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1 (1893) Anatomie du cerveau de l'homme : morphologie des hémisphères cérébraux, ou cerveau proprement dit. Texte accompagné de 204 figures schématiques
diés sur les coupes vertico-transversales de l'hémisphère (pl. XXXII, fig. 127, OLM). antérieur de la protubérance. Il sui
rofonds de ce faisceau seront étudiés ultérieurement (voy. pl. XXllI, fig. 73, et pl. XXYI, fig. 96). § III Hémisphère c
seront étudiés ultérieurement (voy. pl. XXllI, fig. 73, et pl. XXYI, fig. 96). § III Hémisphère cérébral. Nous avons
de cette planche représentent la face externe d'un hémisphère gauche ( fig. 1) et la face externe d'un hémisphère droit (fig.
hémisphère gauche (fig. 1) et la face externe d'un hémisphère droit ( fig. 2), qui, malgré certaines dissemblances, peuvent
co-transversales représentées sur les planches suivantes (voy Pl. 14, fig. 19, 20, 23, 24). Ce sinus, accompagnant le corps
devant du genou (GC) et va aboutir à l'espace perforé antérieur (EPA fig. 2) en avant du pédoncule du septum lucidum (psp).
s calleux [sC] ne contourne pas le bourrelet (SPL). Il en est séparé ( fig. 2) par le prolongement supérieur du tubercule de
te planche. C'est pour la môme raison que sur le cerveau en question ( fig. 1), les trois cii'convolutions occipitales extern
par le volume et par la complication de leurs replis. Le plus petit ( fig. l) est le plus simple; le plus volumineux (fig. 3
eplis. Le plus petit (fig. l) est le plus simple; le plus volumineux ( fig. 3) est le plus compliqué; cela n'est pas conforme
dre la préparation de l'hémisphère représenté sur la figure suivante ( fig. 2). Après 24 heures de séjour dans la solution
tout ce qui appartient à l'écorce cérébrale. Le couteau passe ainsi ( fig. 1) en dehors des tubercules quadrijumeaux postéri
e continue en arrière, avec le pli de passage temporo-liinbique (tcT, fig. 1). Toute l'écorce de cette circonvolution, au vo
nstituent ce qu'on a appelé la couche grillagée (voy. CG, pl. XXVIII, fig. 114). Les trois noyaux de la couche optique son
n une seule masse, que nous étudierons sur une coupe plus inférieure ( fig. 2) sous le nom de pulvinar (Pul). Substance bla
and nombre d'entre elles formeront, plus bas, la capsule externe (CE, fig. 2). Quelques-unes se réfléchissent plus brusqueme
ande grise en question est réellement un noyau gris, l'avant-mur (CL, fig. 2) ; mais il ne devient facile à reconnaître que
tre que sur les coupes transversales qui intéressent le putamen (PUT, fig. 2). LFE. La lame festonnée représente, au-desso
pé de la ressemblance. Écorce. A la face externe de l'hémisphère ( fig. 2, pl. X), les trois circonvolutions frontales (F
par un autre noyau profond, le noyau médian de Luys (voy. pl. XXIII, fig. 75, 77, NmC). Nous avons vu que le thalamus est
une branche de la scissure perpendiculaire interne (voy. sCw, pl. II, fig. 1, où, sur un cerveau frais, on voit la pénétrati
ier sillon, situé ici très bas, en raison de sa courbure (voy. Pl. I, fig. 1 et 2), s'enfonce à une grande profondeur dans l
du lobe oceipital, laquelle est, comme nous le savons (voy. Pl. Il, fig. 1 et 2), formée en partie par le gyrus lingual. L
ut dire autant de la lame festonnée (LFE); nous trouverons plus loin ( fig. 12, 13, 14) une exception à cette disposition.
parallèle à la surface de section et deviennent franchement blanches ( fig. 10, FCF). FOi. Les fibres inférieures du forcep
mesure que les coupes intéressent des parties plus antérieures (voy. fig. 12 et 15, FOi); cela prouve que le faisceau infér
t tout à fait impossible. Mais, dans une région plus antérieure (voy. fig. 15), leur différentiation est toujours des plus s
u supérieur du forceps qui forme la paroi externe du ventricule (voy. fig. 10, FOs). FOm. Le faisceau moyen du forceps maj
valaire (Pa), immédiatement en arrière de la scissin'e limbique (voy. fig. 10 et il). FOV. Le faisceau occipital vertical
sommet de l'hémisphère est représenté par la crête du lobe carré (Q, fig. 9) et par la circonvolution pariétale ascendante,
le paracentral (Pa), confondu d'abord avec la , pariétale ascendante ( fig. 7), en est séparé sur les coupes 10,11 et 12 ! pa
férieure la scissure sous-pariétale (sP). La scissure calcarine (K, fig. 9, 10, 11) se bifurque encore dans | la profondeu
x branches de bifurcation, le pli de ¦ passage cunéo-limbique (•^0^ fig. 10, 11), qui, jusqu'alors, était superficiel, est
eur et inférieur de la première circonvolution pariétale (P's et P*i, fig. 9) se confondent dans la circonvolution pariétale
illon temporal {t^). Enfin, la troisième circonvolution temporale (T% fig. 12) forme le bord inférieur de l'hémisphère. Ca
orme quadrangulaire. Substance blanche. FS. Le faisceau sensitif ( fig. 9, 11,12), très compact, séparé, en dedans, du ve
au longitudinal inférieur. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur ( fig. 9, 10, 12) divisé en trois couches, se porte en d
ion occipito-lemporale (O'). FOs. Le faisceau supérieur du forceps ( fig. 11, 12) est un nouveau faisceau transversal, diri
e occipitale [Oi). Schéma 52. FCF. Le faisceau compact du fornix ( fig. 10), accolé au cul-de-sac de la scissure occipita
sceau supérieur du forceps (FOs). LFE. La lame festonnée du cuneus ( fig. 10, 11, 12) double le fond de la scissure calcari
F. Le faisceau pariéto-frontal s'insère à la pariétale ascendante (P, fig. 11), mais il reprend immédiatement après (fig. 12
riétale ascendante (P, fig. 11), mais il reprend immédiatement après ( fig. 12) une forte insertion sur le lobule pariétal su
e lobule pariétal supérieur (P'). FOV. Faisceau occipital vertical ( fig. 9). F'Om. Faisceau moyen du forceps (voy. pl. XIl
plus antérieure que nous examinons. On les distingue cependant (voy. fig. 14, 15 et suiv), à l'angle inféro-externe du vent
ainsi que dans la substance grise de la scissure sous-pariétale (voy. fig. 14) {sP)-Mais là il ne s'épuise pas. C'est un fai
c l'écorce, il est limité en dehors par la lame festonnée (LFE) (voy. fig. 14 et 15). FOi. Les fibres inférieures du force
élargit au fur et à mesure qu'on examine des coupes plus antérieures ( fig. 14). Elle est toujours verticale, adossée au fond
tale ascendante (P et F). FOV. Le faisceau occipital vertical (FOV, fig. 14), situé en dehors du faisceau sensitif se diri
ntes. Cin. Le cingulum, venu du pli de passage cunéo-limbique (r.0\ fig. 9, pl. XII), s'insinue obliquement en haut et en
tir ; on la voit apparaître à un millimètre plus loin, en avant (voy. fig. 23). FPF. Le faisceau pariéto-frontal, plus cla
tion du corps calleux (C), qu'elle sépare du corps calleux (ce) (voy. fig. 17 et 18). Cavité ventriculaire. Elle s'élarg
que nous allons voir apparaître sur une coupe un peu plus antérieure ( fig. 25, 24 et suiv., CAM). FOm. Le faisceau moyen d
ceps (FOm) ; celle-ci avait déjà fait son apparition (même planche, fig. 14) sous la forme d'un mince fuseau (FLi), dans u
pparente. On s'en rend mieux compte sur les coupes suivantes (PI- 14, fig. 21). Seulement, comme l'angle inféro-externe du v
forceps, momentanément confondu avec les parties blanches adjacentes ( fig. 15), redevient un faisceau isolé sur tout son pou
bulbe de la corne postérieure (BCP), bulbus cornu poster'ioris (voy. fig. suiv.). Cette région est celle où le ventricule a
ie constituée par la portion supérieure du lobule pariétal supérieur ( fig. 15, P1). Cavité ventriculaire. La disposition
à l'autre, réunissent les deux circonvolutions cunéiformes (06, voy. fig. 1, 2, 3, 4, 5, 6 de la planche XI). Cin. Le cin
facile à saisir sur certaines coupes horizontales (Yoy. pl. XXXVIII, fig. 1 et 2, Fci). Les détails dans lesquels nous so
pas plus de 3 ou 4 millimètres de distance antéro-postérieure (de la fig. 18, Pl. XIII, à la fig. 46, Pl. XVIII). Il en rés
imètres de distance antéro-postérieure (de la fig. 18, Pl. XIII, à la fig. 46, Pl. XVIII). Il en résulte que les changements
limite inférieure un sillon analogue, identique même, mais renversé ( fig. 25 et suiv.); il n'est que la continuation du sin
ilement de la continuité de ce sillon avec celui de l'hippocampe (sh, fig. 53). Le sinus du corps calleux n'est donc lui-mêm
vient nettement visible que sur des coupes plus antérieures (pL XVII, fig. 59, 40). Au-dessous du sillon de la lame eendré
l tend déjà à se diviser en deux couches, une externe et une interne ( fig. 19 et suiv.). La couche interne est plus compacte
nt en arrière, directement, du moins à la partie la plus postérieure ( fig. 19). La délimitation du faisceau sensitif est tou
celle du faisceau sensitif (FS). Parti de la circonvolution limbique ( fig. 20), il se porte en dehors, en bas et en arrière;
nt re-connaissable que dans le manteau de la circonvolution limbique ( fig. 19, 20). Dorénavant, ces trois faisceaux (faiscea
sure limbique, en bas par la scissure sous-pariétale, et représentée ( fig. 19) par le pli de passage pariéto-limbique (tcL),
visible sur les dernières figures. Il est sur ces figures, en effet ( fig. 22, 23), plus complètement parallèle au plan de l
er (au-dessous du corps calleux) à la bandelette cendrée (Fci), puis ( fig. 25 et 24) s'interposer entre le faisceau inférieu
dehors, à la face interne du faisceau supérieur ou tapetum. On voit ( fig. 22 et 25) le reliquat de ces fibres qui, précédem
érébrales tout à fait monstrueuses. Ici, en effet, on peut constater ( fig. 26, 27, 28) que l'apparition du pli de communicat
l'écorce, en haut et en bas par un sillon que nous connaissons bien ( fig. 27, sC) et qui s'enfonce dans la substance grise
la substance grise appartient toujours à la circonvolution limbique ( fig. 27, G). Seulement cette circonvolution change de
ique ; à la face inférieure, c'est la circonvolution de l'hippocampe ( fig. 30, Hip). Le sillon qui continue son trajet dans
l ne mérite vraiment cette dernière dénomination qu'un peu plus loin ( fig. 51, sh), lorsqu'il dépasse une tubé-rosité de sub
bique, et désignée sous le nom de tubercule de la bandelette cendrée ( fig. 31, Tf). Cavité ventriculaire. La forme quadr
laire, encore recon-naissable sur la première coupe de cette planche ( fig. 27), se modifie insensiblement et devient triangu
planche (fig. 27), se modifie insensiblement et devient triangulaire ( fig. 30) par la disparition progressive d'un des côtés
nté par le bulbe de la corne postérieure (BCP), diminue d'importance ( fig. 25, 26). La face externe revêtue du tapetum (FOs)
minente, car l'enroulement de la substance grise de la corne d'Ammon ( fig. 25, 27, 50, Fci) devient de plus en plus volumine
le et que nous avons vue apparaître (CAM) sur l'avant-dernière coupe ( fig. 23) présente, sur les figures de la planche 15, u
se compose que de deux parties fondamentales : une bandelette grise ( fig. 25, Fci) continuation de la bandelette cendrée ou
ation de la bandelette cendrée ou fasciola cinerea; une lame blanche ( fig. 26 et suiv. LMA), continuation de la substance bl
mogène, résultant de la fusion des trois taches grises déjà étudiées ( fig. 25). Ces trois taches figuraient, sur la coupe, t
avant, au centre de la masse grise, apparaît une bande blanche (LMA, fig. 26) qui s'amincit (fig. 27), puis s'élargit de no
masse grise, apparaît une bande blanche (LMA, fig. 26) qui s'amincit ( fig. 27), puis s'élargit de nouveau (fig. 28), et au m
he (LMA, fig. 26) qui s'amincit (fig. 27), puis s'élargit de nouveau ( fig. 28), et au milieu de laquelle se détachent (fig.
'élargit de nouveau (fig. 28), et au milieu de laquelle se détachent ( fig. 29) trois nouvelles petites taches grises. Ces tr
encore les saillies d'une circonvolution dont une masse nouvelle (Fd, fig. 50) est la base commune. D'autre part, on peut
elle (Fd, fig. 50) est la base commune. D'autre part, on peut voir ( fig. 28) que la substance grise sous-jacente au corps
aît sans peine que cette bandelette grise du sillon du corps calleux ( fig. 28, Fci) ne fait que se prolonger dans la substan
ne fait que se prolonger dans la substance grise de la corne d'Ammon ( fig. 50, Fci). En d'autres termes, la substance grise
en se reportant aux coupes horizontales de l'hémisphère (pl. XXXVIII, fig. 1 et 2). Les rapports de la masse grise de la cor
rps calleux, réfléchie à la partie antérieure de la fasciola cinerea ( fig. 30). Sections verticales, 1, 2, 5 intéressant l
il est surtout représenté par le faisceau supérieur du forceps (FOs, fig. 26 et BRISSAUD. 10 suiv.). Ce faisceau entre
ître sur le bord interne du corps calleux une encoche assez profonde ( fig. 28 et 29) qui marque la séparation du faisceau su
au milieu des stries transversales, apparaît une tache triangulaire ( fig. 28, FOi) indiquant la section d'une masse de fibr
e et appartenant au faisceau inférieur du forceps. On voit plus loin ( fig. 30) ces fibres s'insinuer au-dessous du bulbe de
totalité épuisé dans le gyrus fusiforme (T4). La couche moyenne (FL2, fig. 26, 29), composée de fibres transversales, appart
on, les particularités relatives à la réflexion des fibres (FOs, FOm, fig. 50) au niveau de l'angle inféro-externe de la cav
faisceau diffus du fornix, croisant obliquement le faisceau sensitif ( fig. 26) de bas en haut et de dehors en dedans, devien
imbique, celle-ci s'cnfonçant plus profondément dans le centre ovale ( fig. 30). Sa direction générale reste d'ailleurs la mê
icales ; mais sa place est indiquée et facilement reconnaissable (Cm, fig. 26, 27, etc.) au-dessus et en dedans du faisceau
s (FOi) et la corne d'Ammon. FOi. Le faisceau inférieur du forceps ( fig. 28) se compose de deux séries de fibres, les unes
r enve lopper la corne d'Àmmon de la façon qui a été déjà indiquée ( fig. 22, 23). Seulement, comme la corne d'Ainmon leur
ne du ventricule. FOm. Le faisceau moyen du forceps est représenté ( fig. 27, 28) par le bulbe de la corne postérieure, à l
claires, sont contenues dans le plan de section verticale, commence ( fig. 30) à changer de direction; il s'élargit, ce qui
ensiblement parallèles à ce plan. FPF. Le faisceau pariéto-frontal ( fig. 25, FPF) a pris une insertion, que nous connaisso
leur teinte est plus foncée et leurs limites plus arrêtées (FDF, FCF, fig. 52). Au-dessous du corps calleux (ce) s'ouvre l
re. Dès l'apparition de la corne d'Ammon sur les coupes verticales ( fig. 25, 24) la cavité ventriculaire a commencé à dimi
le inférieur et interne du croissant est le sillon du subiculum (Dsu, fig. 54, 56). Substance grise. Sur cette planche o
située entre le corps calleux (ce) et le sillon de l'hippocampe (sh, fig. 52). — La structure de la corne d'Ammon rappelle
substance grise de la circonvolution de l'hippocampe (Hip). Sur la fig. 52 on comprend ce que représente la masse grise c
is (Tf) situé immédiatement au-dessous du sillon de l'hippocampe (sh, fig. 52). Ce tubercule, appelé tubercule du fascia den
. Elle a son point de départ au niveau du sillon de l'hippocampe (sh, fig. 51 et 52) ; et de là elle se répand et s'enfonce
ventricule. Elles forment ainsi une cloison épaisse, le tapetum (TAP, fig. 54), dont les faisceaux se comportent dans cette
ont fourni aux faisceaux moyen et inférieur du forceps (FOm* et FOi, fig. 34), s'étend de dedans en dehors au-dessus du ven
toute leur hauteur, se composent de fibres à directions différentes ( fig. 55) ; les plus externes (FSe) se portent assez ex
i que les couches (FLs, FL4, FLs) du faisceau longitudinal inférieur ( fig. 35) ne soient qu'une disposition vraiment peu dif
ceau est plus petit. FDF. Le faisceau diffus du fornix est visible ( fig. 52 et suiv.) dans deux régions très éloignées l'u
es se portent presque directement de dehors en dedans. Quelques-unes ( fig. 54), au contact du corps calleux, présentent une
s se mêlent au réseau blanc du manteau de la circonvolution limbique ( fig. 56,FCF). Cin. Le cingulum se reconnaît à des ca
e dans sa partie supérieure et dans sa partie inférieure. On le voit ( fig. 35), au-dessus du corps calleux, représenté par l
ps calleux à l'autre. — Au contraire, au-dessous de la corne d'Ammon ( fig. 52, 55, 56), il est exclusivement représenté par
manteau du subiculum (Ilip). FOi. Le faisceau inférieur du forceps ( fig. 52, 54, 56) occupe la partie la plus inférieure e
terne du ventricule, c'est-à-dire jusqu'au sillon du subi-culum (Dsu, fig. 56); puis, arrivé là, il change de direction, ain
ection, ainsi qu'en témoigne la coloration foncée de ses fibres (FOi, fig. 52, 54): il s'enfonce d'arrière en avant sous la
once d'arrière en avant sous la substance grise de l'hippocampe (Hip, fig. 54), et peu à peu se perd dans cette partie de l'
érieures, se détachera nettement de l'alveus. Ce faisceau diffus (FI, fig. 56) représentera l'origine de la fimbria. FOm.
en dedans du faisceau supérieur du forceps et se porte en avant (FOm, fig. 55). FOs. Le faisceau supérieur du forceps (FOs
n avant (FOm, fig. 55). FOs. Le faisceau supérieur du forceps (FOs, fig. 55, 55) se continue au-dessus de la paroi ventric
age de l'angle inféro-externe du ventricule se portent en avant (FOs, fig. 54), et puis ensuite en dedans sous le plancher d
intriquant finalement avec celles du faisceau compact du fornix (FCF, fig. 54, 55). FPF. Le faisceau pariéto-frontal, qui
lle est empruntée non plus à l'homme, mais au singe papion (pl. XXVI, fig. 1, % 3, 4). COUPES VERTICO-TRANSVERSALES PASSAN
à relever. A la face interne, au-dessus de la scissure limbique (L, fig. 59, 40), le couteau a entamé un repli de la subst
nfin, à la face externe, deux changements se sont produits : d'abord ( fig. 42) on voit la circonvolution pariétale supérieur
égion désignée sous le nom de lobule du pli courbe (GP), on remarque ( fig. 57) un diverticulum gris (S), qui représente la p
a partie la plus reculée de l'écorce de la scissure de Sylvius; puis ( fig. 42), la scissure elle-même pénétrant dans ce dive
haute, de plus en plus étroite et même resserrée à sa partie moyenne ( fig. 42), elle n'est plus reconnaissable, relativement
lement où il reste quelques fibres du faisceau moyen du forceps (BCP, fig. 40). C'est en effet dans cet angle rentrant qu'on
s rapports réciproques des parties constituantes de la corne d'Ammon ( fig. 37). Fci. La substance grise du fasciola cinere
ntinue avec l'écorce grise de la circonvolution de l'hippocampe (Hip, fig. 38). Sur la première coupe (fig. 57), la substanc
circonvolution de l'hippocampe (Hip, fig. 38). Sur la première coupe ( fig. 57), la substance grise du fasciola cinerea (Fci)
tôt qu'une lamelle qui disparaît complètement sur la figure suivante ( fig. 58). A sa place, on voit s'étendre un grand prolo
d'une part (Fd), et avec l'écorce de l'hippocampe d'autre part (Hip, fig. 40). Sa communication avec la région sous-calleus
go-dron suivant Fd'. LMA. La substance blanche de la corne d'Ammon ( fig. 57), étalée au devant du fasciola cinerea et de s
de ses replis (Fci, Fd), part de la face inférieure du corps calleux ( fig. 58) et va, obliquement en bas et en dehors, rejoi
liquat du fasciola cinerea (Fci) et de son tubercule (Tf). Plus loin ( fig. 59), ces taches ont disparu parce que le couteau
fibres sont sectionnées plus parallèlement à leur direction générale ( fig. 42), la coloration de la fìmbria est plus claire.
de la fìmbria est plus claire. FI. La fimbria. Confondue en dedans ( fig. 57, 58, 59) avec la lame médullaire (LMA) qui rev
asciola cinerea, la fimbria s'isole nettement à l'état de bandelette ( fig. 41, 42), à partir du moment où la section passe a
°u fasciola cinerea qu'aux deux extrémités de la fìmbria : en haut ( fig. 41), on la reconnaît encore (Fci) sous le corps c
Ses fibres émanent de la partie la plus inférieure du corps calleux ( fig. 37, FI), où elles forment un faisceau foncé, isol
sphenoidal dans le tr1 gone (TRI). toujours séparé de cette paroi ( fig. 40) par une lame blanche (ALv), l'alveus, qui éme
rne d'Ammon et qui fait suite à la lame médullaire du subiculum (LMA, fig. 41). Mais la teinte de cette extrémité inférieure
lles sont plus foncées à la partie inférieure et externe du splenium ( fig. 41). Elles sont, en tout cas, indépendantes de ce
ortent ensuite en dedans et qu'elles forment, dans ce dernier trajet ( fig. 41), la limite supérieure du sillon ou fente, ou
convolution de l'hippocampe, en dehors et au-dessus du cingulum (Cin, fig. 40). Les coupes verticales nous font voir ainsi
faisceau d'abord diffus, qui en devenant compact formera la fimbria ( fig. 42, FI). TAP. Le tapetum (fig. 38) est, d'une f
devenant compact formera la fimbria (fig. 42, FI). TAP. Le tapetum ( fig. 38) est, d'une façon manifeste, ' la continuation
grande partie sous le plancher du ventricule ; mais une partie (TAP, fig. 37, 42) se réfléchit d'arrière en avant sous la f
externe du tapetum, où les fibres du faisceau sensitif externe (FSe, fig. 42) rejoignent la partie supérieure du corps call
nt la partie supérieure du corps calleux. FS. Le faisceau sensitif ( fig. 57) esteomposé de ses deux couches : l'externe, c
uches : l'externe, compacte, foncée, dirigée d'avant en arrière (FSe, fig. 58 et suiv.); l'interne, paie, en apparence moins
ig. 58 et suiv.); l'interne, paie, en apparence moins compacte (FSi), fig. 58 et suiv.), et dont les fibres ont une directio
effet, de la région du corps opto-strié, et nous allons voir (pl. IX, fig. 52) que ces fibres prennent leur origine dans un
FLI. Le faisceau longitudinal inférieur présente ici quatre couches ( fig. 57 et suiv.) : Io une couche supérieure claire, f
e couche foncée, formée des fibres du faisceau sensitif interne (FSi, fig. 59) et des fibres du faisceau sensitif externe (F
ernes du faisceau diffus du fornix (FDF) ; 4° une couche foncée (FLs, fig. 58), qui est la continuation, sous le ventricule,
us-jacentes au plancher ventriculaire et au sillon du subiculum (Dsu, fig. 41), se prolongent et se perdent dans la circonvo
s du fornix se reconnaît toujours facilement dans la région limbique ( fig. 59, 41). Ses rapports et sa forme sont ceux que
dans la couche la plus inférieure du faisceau longitudinal inférieur ( fig. 39, 40, 41). FCF. Le faisceau compact du fornix
ans, vers l'écorce de la circonvolution limbique. Cin. Le cingulum ( fig. 30, 38), dans la circonvolution limbique, est trè
ation accentuée qu'il présente dans son ensemble s'atténue peu à peu ( fig. 42), de place en place. Cela signifie simplement
nférieures sont des fibres longues. Au-dessous de la corne d'Ammon ( fig. 39,40, 42), elles se portent en dehors et se mêle
s proches voisines sont celles du faisceau inférieur du forceps (FOi, fig. 37). FOi. Le faisceau inférieur du forceps que
lum, son faisceau satellite. Il a une teinte franchement claire (FOi, fig. 37). En haut, dans le corps calleux, il s'isole
s calleux, il s'isole de plus en plus complètement de la fimbria (FI, fig. 39). FI. La fimbria, qu'on peut considérer comm
dont elle dérive, et s'incline en dehors et en bas (elle accompagne ( fig. 42) le faisceau inférieur du forceps, avec lequel
paroi interne du ventricule). Mais, au voisinage delà corne d'Ammon ( fig. 40, 41), ses fibres (FI) changent de couleur : cl
'Ammon. Elles sont désormais séparées du hile du fascia dentata (Hfd, fig. 41) par une lame blanche, transversale, qui conti
ue, de dedans en dehors, la lame médullaire de la corne d'Ammon (LMA, fig. 42). La continuité de celle-ci avec la fimbria n'
presque totalement disparu. On ne retrouve que sur certaines coupes ( fig. 57, 59, 42) le bourgeon blanc de ce faisceau, à s
eure. CO. Le faisceau sensitif du centre ovale diminue d'épaisseur ( fig. 58, 59, 40) entre le tapetum (TAP) et le faisceau
utes celles que renferme le manteau de la circonvolution limbique (C, fig. 41). FPF. Le faisceau pariéto-frontal devient p
surtout dans l'épaisseur de la première circonvolution frontale (F1, fig. 37, 59, 42). On l'y voit prendre une insertion pu
e (F1, fig. 37, 59, 42). On l'y voit prendre une insertion puissante ( fig. 59) au contact du lobule paracentral (Pa). COUP
se à la partie supérieure de la corne d'Ammon. Elle y forme en effet ( fig. 45, 46) un revêtement blanc, étalé horizontalemen
e d'Arnold ou lame médullaire (LMA) semble faire défaut (voy. pl. IX, fig. 49, et pl. X, fig. 60). Il n'en est rien, car sur
médullaire (LMA) semble faire défaut (voy. pl. IX, fig. 49, et pl. X, fig. 60). Il n'en est rien, car sur les coupes suivant
ez considérables. Elle s'amincit de dedans en dehors progressivement ( fig. 46, 47, 48), et disparaît sur le bord interne de
convolution de l'hippocampe. En dedans, au contraire, elle s'élargit ( fig. 47), passe au-dessus du fascia den-tata (Fd', fig
e, elle s'élargit (fig. 47), passe au-dessus du fascia den-tata (Fd', fig. 44), et se continue avec la partie interne de la
ria, mais sans mélanger ses fibres avec celles de cette dernière (FI, fig. 45). On peut se demander si, au niveau du corps
se demander si, au niveau du corps godronné, la lame médullaire LMA ( fig. 48) passe toujours directement de la surface de l
envoie un prolongement entre la substance grise de l'hippocampe (LC, fig. 46) et le Coupe vertico-transversale de la circ
llon (sillon de l'hippocampe) où s'enfonce le stratum lacunosum (LST, fig. 45) ; enfin qu'il est la continuation du fasciola
dessus du splenium, dans la profondeur du sinus du corps calleux (sC, fig. 45), et qu'il y représentait un repli de la subst
tait un repli de la substance grise de la circonvolution limbique (C, fig. 45, 45). Ce repli, très mince, très effilé à son
e, très effilé à son extrémité interne, n'est que le lamia leda (tee, fig. 45 et schéma 74), ou tractus gris longitudinal de
examiner les portions blanches de la corne d'Ammon. FI. La fimbria ( fig. 44, 45, 46, 48) occupe la partie inférieure et ex
t plus foncée. C'est au contact du corps godronné qu'on peut la voir ( fig. 45) se continuer de dehors en dedans avec la lame
ue le couteau laisse flotter ses fibres dans la cavité ventriculaire ( fig. 46), alors que la fimbria reste compacte. L'alveu
ne du ventricule ; on la retrouve, aussi bien en avant qu'en arrière ( fig. 45, ALY), adossée au segment externe de la lamina
ésenté sur le schéma 79 tel qu'il apparaît sur les coupes verticales ( fig. 43). ia f o Schéma représentant sur une coupe
en dedans et en arrière, et qui appartiennent au stratum zonale (ZS, fig. 46). Substance blanche. ce. Le corps calleux
res que nous connaissons déjà. Mais peu à peu on les voit s'atténuer ( fig. 44 et 45), puis se renforcer (fig. 46 et 47), pui
peu à peu on les voit s'atténuer (fig. 44 et 45), puis se renforcer ( fig. 46 et 47), puis se réduire encore. La région de l
signalé par un changement de coloration. On remarquera, par exemple ( fig. 46), que le faisceau sensitif interne (FSi) se co
les ne sont plus désormais représentées que par une bandelette grise ( fig. 44, TAP) verticale, située au milieu même du prol
lement. Dans l'épaisseur de la quatrième circonvolution temporale (T\ fig. 44), on peut encore le reconnaître ; mais il est
encore le reconnaître ; mais il est au bout de son trajet. Plus loin ( fig. 47, 48) on ne distingue plus la teinte foncée grâ
le manteau de la circonvolution limbique, au-dessus du cingulum (Cm, fig. 47). Cin. Le cingulum ne présente rien de remar
de remarquable dans son trajet à travers la circonvolution limbique ( fig. 44, 46, 47). Dans la circonvolution de l'hippocam
n limbique (fig. 44, 46, 47). Dans la circonvolution de l'hippocampe ( fig. 44), il se mêle avec le faisceau inférieur du for
ngitudinal inférieur (FLI). FOi. Les fibres inférieures du forceps ( fig. 45) présentent sur cette planche la même disposit
e sur la précédente ; le forceps comprend deux parties : une interne ( fig. 45), située dans l'angle et au-dessous de l'angle
Il n'en subsistera plus que la partie externe ou fimbria (FI). — FOm ( fig. 45) représente ce qui reste du faisceau moyen du
aisceau moyen du forceps. CO. Le faisceau sensitif du centre ovale ( fig. 44, 46, 48) diminue d'épaisseur au voisinage du c
ssure limbique. Laq. Le laqueus ou couche latéral du ruban de Reil ( fig. 45) est un faisceau oblique de fibres blanches do
es blanches dont il sera question plus loin. ZS. Le stratum zonale ( fig. 46, 47) représente le revêtement blanc du pulvina
parié to-limbique (dL). Celui-ci est même devenu tout à fait profond ( fig. 51). Cela explique comment, dans la région représ
) diminue très rapidement; et cela est constant. A la face externe ( fig. 49 et suiv.), on voit la scissure de Sylvius (S')
de Sylvius (S') s'enfoncer de plus en plus profondément. Elle arrive ( fig. 50, 51) presque au contact du faisceau sensitif e
rie, permet de voir la face postérieure de la frontale ascendante (F, fig. 52, 53, 54) au fond et en avant de la scissure de
ne de l'hémisphère, les surfaces de section de la couche optique (Th, fig. 54) deviennent bien plus larges. Sur la dernière
région sous-thalamique n'est autre chose que la fente de Bichat (voy. fig. 54). On sait, d'autre part, que la fente de Bic
moyenne. Ce rétrécissement est dû à l'apparition du noyau caudé (NC, fig. 50 etsuiv.) au milieu du tapetum (TAF) ; il est d
e optique (Th), qui se porte en dehors à la rencontre du noyau caudé ( fig. 54). Dans sa partie supérieure comme dans sa pa
riculaire ne subit pas de modifications. Le sillon du subiculum (Dsu, fig. 51) s'enfonce toujours plus ou moins profondément
ou moins profondément dans la circonvolution de l'hippocampe. Aq. ( fig. 50,52) représente la demi-section verticale de l'
ticularités nouvelles. Dans la continuité de la lamina convoluta (LC, fig. 49, 50) apparaît une strie blanche transversale,
fig. 49, 50) apparaît une strie blanche transversale, qui s'allonge ( fig. 51, 52, LMA') en même temps que le stratum lacuno
onvoluta ; la coupé 50 passe au contact du stratum lacunosum (LST). fig. 53). Il est évident que cette nouvelle strie, sur
ligne 50 de la ligure schématique 82. On verra plus loin (Pl. XXIII, fig. 70 et 77) que la disposition tout artificielle do
plus antérieures, elle se réduit; un mince pont de substance blanche ( fig. 51, 52, 55) établit encore line communication ent
a partie inférieure du corps calleux (ce) et la lame médullaire (LMA, fig. 51). Sur la coupe 54 la continuité est interrompu
ésente l'aspect d'un croissant, coiffant en partie le fascia dentata ( fig. 55, FI). C'est la fimbria proprement dite, ou cor
e de l'aqueduc de Sylvius. — Au pourtour de l'aqueduc de Sylvius (Aq, fig. 52) on distingue une masse de substance grise qui
, 51, 55) commence à être aperçu au-dessous de la couche optique (Th, fig. 49, 51) dans la profondeur de la fente de Bichat.
ée de dehors en dedans par les bandes blanches du stratum zonale (ZS, fig. 52). Substance blanche ce. Le corps calleux r
ent en tous sens au pourtour de la corne d'Ammon. T/AP. Le tapetum ( fig. 50, 51, 52) provient du corps calleux, mais il di
fibres calleuses s'insinue de dedans en dehors entre le tapetum (TAP, fig. 52) et le faisceau diffus du fornix (FDF). Sur
au diffus du fornix (FDF). Sur la première figure de cette planche ( fig. 49), on voit apparaître, vers le milieu de la par
ut de hauteur. Elle refoule dans le ventricule une partie du tapetum ( fig. 50, 51, 52). Mais elle est toujours dans le tapet
me. Cependant on voit bientôt proéminer en dedans du noyau caudé (NC, fig. 54) Une petite bandelette blanche à fibres vertic
rale, par ses tenant et aboutissant. Au-dessous du noyau caudé (NC, fig. 52), dans la lame blanche du tapetum, on distingu
térieures. Cm. Le cingulum, dans la circonvolution de l'hippocampe ( fig. 52), se termine sous la substance grise du subicu
e l'alveus. FOi. Le faisceau inférieur du forceps, devenu l'alveus ( fig. 52), passe sous la corne d'Ammon, de dehors en de
r de la timbria portera seul le nom de fimbria ou de corps bordé (FI, fig. 55); le tronçon supérieur portera le nom de pilie
ronçon supérieur portera le nom de pilier postérieur du trigonc (TRI, fig. 51, 54). FOm. Le faisceau moyen du forceps a co
aisceau sensitif du centre ovale manifeste de plus en plus nettement ( fig. 52, 55, 54) sa continuité avec le faisceau sensit
é avec le faisceau sensitif externe. Nous avons vu que celui-ci (FSc, fig. 52, 55) se porte en avant et en dedans; c'est la
'occasion des coupes de la planche suivante. ZS. Le stratum zonale ( fig. 52, 54) se dirige de dehors en dedans. 11 se comp
llées et sans ordre à la surface et dans la profondeur du thalamus ( fig. 54). Mais en suivant la série des coupes, on s'ap
x principaux entrent dans sa constitution : un inférieur superficiel ( fig. 52); un supérieur également superficiel ; un moye
convergent vers la partie interne du thalamus. Le faisceau inférieur ( fig. 54), clair au-dessous de la couche optique, devie
re jusqu'à la surface du pulvinar (Th). Foncé à sa partie inférieure ( fig. 54), qui est encore dirigée d'avant en arrière, i
sphère ; elle arrive presque au contact du faisceau sensitif externe ( fig. 56, FSe), mais ne l'atteint jamais. La substance
ond au commencement de la formation de l'opercule pariétal (OP) (voy. fig. 67). Cavité ventriculaire. Les sections succe
ici d'abord la cavité ventriculaire occipitale dans toute sa hauteur ( fig. 55), puis la portion supérieure de cette cavité (
travers la cavité elle-même. En réalité la cavité n'est pas scindée ( fig. 56). Simple en arrière, elle se bifurque au nivea
a fimbria (FI) : c'est la portion frontale du ventricule latéral (VF, fig. 56). Un prolongement inférieur se porte au-dessou
e Bichat, tout le long de la portion inféro-antérieure de la fimbria ( fig. 57, FI). Sur toutes les figures qui vont suivre
uche optique, la bandelette demi-circulaire ou tœnia semi-circularis ( fig. 56, 58, 60, Tae) et le noyau caudé du corps strié
nterne, aigu, enfoncé entre le corps calleux (ce) et le trigone (TRI, fig. 58). Pour la portion sphénoi'dalc, elle reste q
voy. plus loin) ; le côté externe est représenté par le lapetum (TAP, fig. 60), le côté interne par l'alveus (ALY); le côté
e saillie externe dans la cavité ventriculaire, et que cette saillie ( fig. 58, 59) s'accuse bientôt à tel point que le bord
che optique, en dedans du corps genouillé interne. Th. Le thalamus ( fig. 55, 56,60), toujours d'un gris homogène à sa part
à cette région interne et postérieure qui s'appelle le pulvinar (Pul, fig. 59). NC. Le noyau caudé du corps strié (fig. 55
elle le pulvinar (Pul, fig. 59). NC. Le noyau caudé du corps strié ( fig. 55, 56), allongé à la face externe de la cavité v
é en deux tronçons : un supérieur, le noyau caudé proprement dit (NC, fig. 60), un inférieur, la queue du noyau caudé (NCC).
aboutit à la région la plus antérieure du ventricule sphénoïdal (VS, fig. 60); le noyau caudé proprement dit arrive jusqu'a
t limités en dedans par la bandelette demi-circulaire ou taenia (T;e, fig. 56, 57, 58). Celle-ci même, comme nous le verrons
face, une démarcation entre le noyau caudé et la couche optique (Tse, fig. 59). Substance blanche. ce. Le corps calleux
res à l'hémisphère : d'abord les fibres antérieures du tapetuin (TAP, fig. 57); puis le faisceau du centre ovale (CO, fig. 5
res du tapetuin (TAP, fig. 57); puis le faisceau du centre ovale (CO, fig. 57, 60) dont il a déjà été question. TAP. Le ta
supérieure du ventricule, Au-dessous de la queue du noyau caudé (NCC, fig. 60), il présente encore dans sa hauteur la strie
x moitiés du cervelet. Tout ce qui est au-dessus du pont de Varole ( fig. 57-60) appartient à la région dite de la calotte
otte; l'aqueduc de Sylvius lui-môme a été divisé en deux moitiés (Aq, fig. 57, 59) et il est représenté par une gouttière al
vers la ligne médiane un tractus foncé (Lem) nettement isolé en bas ( fig. 60), plus diffus au niveau QA, section vertico-
he de Reil, parvenue à la face externe de la région protubérantielle ( fig. 58), qui constitue ce qu'on est convenu d'appeler
un peu en dehors de la substance grise (SG) de l'aqueduc de Syl-vius ( fig. 58). Ses rapports avec celle-ci sont invariables.
inage de la ligne médiane. Pcs. Le pédoncule cérébelleux supérieur ( fig. 57, 58, 60) est placé exactement entre le faisc
rentrant formé par le bord inféro-externe de la substance grise (SG, fig. 58) et le bord supéro-externe de l'entrc-croisemc
SO. La bandelette sous-optique, faisceau tcmporo-thalamique d'Arnold ( fig. 55), issue du stratum zonale du pulvinar, se port
lus en avant encore, la bandelette sous-optique devient transversale ( fig. 57, BSO), c'est-à-dire que la coupe passe par un
couche optique, vers le taenia, que la bandelette sous-optique (BSO, fig. 58) provient non seulement du stratum zonale du p
aussi en arrière de la couronne rayonnante de ce noyau (voy. Pl. XXI, fig. 61, RGI) avec laquelle il se confond. FS. Le fa
nsitif externe (FSe) se porte encore plus haut, en dehors du tapetum ( fig. 58, 60). Il est bien moins foncé à sa partie infé
nterne (FSi) ne se compose plus que de fibres transversales. On voit ( fig. 60) que celles-ci proviennent directement de la c
as de la couche optique à ce faisceau horizontalement ; on peut voir ( fig. 58) qu'elles s'inclinent en bas et en dehors, déc
ongement du sillon du subiculum. FDF. Le faisceau diffus du fornix ( fig. 57, 60) n'est plus visible que dans la région lim
signalés. Gin. Le cingulum dans la circonvolution de l'hippocampe ( fig. 59) se confond avec les fibres du faisceau inféri
ie de l'alveus. L'autre partie émane de la fimbria. On peut suivre ( fig. 59) la continuité de la lame blanche en question,
à fait au voisinage de l'écorce, puisque le sillon du subiculum (Dsu, fig. 58) se poursuit virtuellement jusqu'à la substanc
ceau sensitif du centre ovale, transversal au-dessus du tapetum (TAP, fig. 57, 60), est oblique en bas et en arrière, à la p
inue de plus en plus nettement avec le faisceau sensitif externe(FSe, fig. 59). FPF. Le faisceau pariéto-frontal ne se rec
demment dans l'aire beaucoup plus large du centre ovale. Cependant ( fig. 57) on voit encore ses deux points d'attache prin
olongement de cette scissure, en arrière, dans le sillon pariétal (p, fig. 66). La scissure de Sylvius (S') s'enfonce profon
e relève dans la masse de la circonvolution pariétale inférieure (P2, fig. 61, 62). La portion de cette circonvolution qui,
e péninsule, est ce qui a été déjà étudié sous le nom d'opercule (OP, fig. 65, 64, 65). En haut, sur la face externe, le s
haut, sur la face externe, le sillon prse-rolandique supérieur Oprs, fig. 61) sépare la première frontale (F1) de la fronta
quera que le pli de communication qui, au fond du premier sillon (tit fig. 66), ou sillon parallèle, relie la première circo
ectionnée sur la ligne médiane, depuis la commissure postérieure (CP, fig. 65) jusqu'au milieu du pont de Varole (PV). Le po
es rapports constants qui existent, d'une part, entre la fimbria (FI, fig. 64) et la voûte de la cavité ventriculaire ; d'au
culaire ; d'autre part, entre la saillie inférieure du pulvinar (Pul, fig. 66) et la face supérieure de la circonvolution de
66) et la face supérieure de la circonvolution de l'hippocampe (Hip, fig. 66). Aq. Aqueduc de Sylvius (fig. 61). Substa
convolution de l'hippocampe (Hip, fig. 66). Aq. Aqueduc de Sylvius ( fig. 61). Substance grise. CAM. Corne d'Ammon (Voy
araison avec les faisceaux clairs, comme le faisceau du laqueus (Laq, fig. 62, 63), ne peut laisser place à aucun doute. Q
us interne du thalamus, située juste au-dessous du corps calleux (ce, fig. 65). D'autre part, en bas et en dehors, on voit l
et en dehors, on voit la couche optique former une proéminence (Pul, fig. 65, 66), appuyée toujours sur la circon volutio
érieure. Or, la partie inférieure et externe du thalamus ou pulvinar ( fig. 66, 66) reçoit, elle aussi, comme la partie supér
e. Ses limites antérieures seront indiquées plus loin (voy. pl. XXII, fig. 69). On remarquera, d'une façon spéciale, le si
et dans la partie supérieure et interne du pulvinar. Ces ibres (TRO, fig. 65, 66) représentent le tractus zonalis de la ban
llet du stratum zonale, qui se confond en dedans avec le taenia (Tse, fig. 66). G. La glande pinéale, sur les figures 61 à
e de la couche optique. Schéma 94. CL. Le claustrum ou avant-mur ( fig. 65, voy. pl. XXV). Substance blanche. PV. Le
ont se joindre au feuillet latéral du ruban de Reil, ou laqueus (Laq, fig. 62, 63), et on peut constater même qu'elles contr
'elles contribuent à former, en dehors de la région protubérantielle ( fig. 65), la partie visible à l'extérieur du ruban de
TEC, voy. plus loin) et par le faisceau longitudinal postérieur (FLP, fig. 61, 62, 65). En bas, il est en contact avec la co
Reil ou lemniscus (Lem). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur ( fig. 61, 62, 63, 65) est d'une teinte toujours foncée.
les coupes de la planche XXI. Lem. Le lemniscus ou couche de Reil ( fig. 61, 62, 63, etc.) est formé de deux étages : un é
eprésentent la partie superficielle du ruban de Reil ou laqueus (Laq, fig. 61, 62, 63, etc.). On peut se rendre compte, sur
antérieur (BQA). BQA. Le bras du tubercule quadrijumeau antérieur ( fig. 61, 62, 64, 65) représente la conlinualion des fi
couche optique (Th), glisse au-dessus du corps genouillé interne (GI, fig. 64) et s'éparpille dans le pulvinar (fig. 65, 66)
orps genouillé interne (GI, fig. 64) et s'éparpille dans le pulvinar ( fig. 65, 66); mais beaucoup d'entre elles vont, plus e
nt passé en dessous et en dedans du tubercule quadrijumeau antérieur ( fig. 63, QA) et elles sont venues se placer en dedans
enouillé interne (GI) ; le laqueus (Laq) situé à leur partie interne ( fig. 64, 65, 66) est précisément le faisceau de Reil d
re est un des faisceaux du tegmentum qui s'isolent le plus nettement ( fig. 61, 64, 65, 66). A sa coloration on reconnaît que
stinées aux tubercules quadriju-meaux et au thalamus de l'autre côté ( fig. 65). Mais en dehors de ces fibres, il en est d'au
t d'autres qui semblent dirigées tout à fait trans-' versalement (CP, fig. 66 et schéma 99), d'un côté à l'autre de l'hémisp
t' tangentes à la partie la plus inférieure du pédoncule cérébelleux ( fig. 64, 65). Il est difficile d'admettre qu'elles ne
coupes suivantes jusqu'au ganglion interpédonculaire (GIP, pl. XXVUI, fig. 103). Lmd. Lamina lateralis de Reil (voy. plus
es situées entre le pulvinar (Pul) et le corps genouillé interne (GI, fig. 65, 66) ; elles représ(intent Texpansion de la ba
ère à la rencontre du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (RQxV, fig. 65, 66). RGI. La couronne rayonnante du corps g
plus grand nombre abordent le corps genouillé par son stratum zonale ( fig. 61, RGI). Elles se confondent d'ailleurs à ce niv
ndent d'ailleurs à ce niveau avec la couronne rayonnante du thalamus ( fig. 65, Rth). Les autres fibres qui, avec celles-là,
terne, abordent ce noyau par son extrémité antérieure (voy. pl. XXIV, fig. 80). Il s'ensuit que le corps genouillé interne e
est comme enveloppé dans sa totalité par de la substance blanche (GI, fig. 63) : en arrière par le stratum zonale (fig. 61),
a substance blanche (GI, fig. 63) : en arrière par le stratum zonale ( fig. 61), en dedans par le bras du tubercule quadrijum
61), en dedans par le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP, fig. 62), en dehors par le bras du tubercule quadrijum
62), en dehors par le bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BQA, fig. 64) et par le tractus opticus zonalis (TRO, fig.
meau antérieur (BQA, fig. 64) et par le tractus opticus zonalis (TRO, fig. 65); en avant par la couronne rayonnante. Rth.
ante du thalamus (voy. plus loin). BSO. La bandelette sous-optique ( fig. 61) présente, sur les premières figures de cette
llé : il en sera question plus loin. Tœ. Le taenia semi-circularis ( fig. 62), accolé au bord interne du noyau caudé (NC),
asion de ses rapports profonds avec la capsule interne (CI, pl. XXII, fig. 68, 70). ce. Le corps calleux (fig. 62, 65), su
capsule interne (CI, pl. XXII, fig. 68, 70). ce. Le corps calleux ( fig. 62, 65), sur toutes les figures de cette planche,
à sa hauteur propre et à celle du pilier postérieur du trigone (TRp, fig. 62). Il se compose des fibres transversales qui v
se compose des fibres transversales qui vont former le tapetum (TAP, fig. 63) et de celles, plus superficielles, qui vont f
plus superficielles, qui vont former le faisceau du centre ovale (CO, fig. 63). TAP. Le tapetum (fig. 62) se distingue tou
former le faisceau du centre ovale (CO, fig. 63). TAP. Le tapetum ( fig. 62) se distingue toujours très nettement, grâce à
l est situé immédiatement au-dessous de la queue du noyau caudé (NCC, fig. 63). TRp. Le pilier postérieur du trigone (fig.
u noyau caudé (NCC, fig. 63). TRp. Le pilier postérieur du trigone ( fig. 62), étalé à la surface du thalamus, dont il est
LY, lyre de David; coupes précédentes et que nous retrouvons (FI, fig. 64) réfléchies et dirigées d'arrière en avant au-
ion réfléchie du splenium (SPL). FSe. Le faisceau sensitif externe ( fig. 62) se dirige d'arrière en avant, dans toute la h
fosse de Sylvius. Cette substance blanche est la capsule externe (CE, fig. 65). Le faisceau sensitif externe est plus larg
En bas, il se continue avec le faisceau longitudinal inférieur (FLl, fig. 62); en haut, il s'étale transversalement entre l
fig. 62); en haut, il s'étale transversalement entre le tapetum (TAP, fig. 62) et le faisceau du centre ovale (CO); mais ses
oit pénétrer, de dedans en dehors, dans le faisceau sensitif externe ( fig. 64), un grand nombre défibres horizontales venues
les vont s'insinuer entre le putamen et le globus pallidus (pl. XXVI, fig. 92, FSe). FSi. Le faisceau sensitif interne (fi
llidus (pl. XXVI, fig. 92, FSe). FSi. Le faisceau sensitif interne ( fig. 62) est composé de fibres blanches, dirigées en b
t le tapetum réfléchi (TAP). Elles viennent de la couche optique (Th, fig. 62) et plus spécialement du pulvinar, où l'on dis
un faisceau (Rth) situé au-dessus de la bandelette sous-optique (RSO, fig. 65). Ce faisceau est la couronne rayonnante du pu
ur participer à la formation du faisceau longitudinal inférieur (FLl, fig. 62). Rth. La couronne rayonnante du thalamus (f
inférieur (FLl, fig. 62). Rth. La couronne rayonnante du thalamus ( fig. 63) ne se compose pas d'ailleurs uniquement des f
compose pas d'ailleurs uniquement des fibres issues du pulvinar (Pul, fig. 62, 63, 64, 65, 66) et qui vont, en décrivant une
oncavité inférieure, se jeter dans le faisceau sensitif interne (FSi, fig. 62). On doit appeler couronne rayonnante du thala
es, en somme, à cette lame blanche, oblique en bas et en dehors (LML, fig. 64), qui se continue avec le faisceau sensitif in
faisceau sensitif interne (FSi). LML. La lame latérale du thalamus ( fig. 66) s'étend donc depuis le tsenia (Tse, fig. 64),
me latérale du thalamus (fig. 66) s'étend donc depuis le tsenia (Tse, fig. 64), qui sépare en haut le noyau caudé (NC) du th
va môme plus loin, puisqu'elle longe la face externe du tapetum (TAP, fig. 64) et se perd, après réflexion, dans le faisceau
perd, après réflexion, dans le faisceau longitudinal inférieur (FLl, fig. 62). La lame latérale du thalamus et le faisceau
eure de la couche optique. FLl. Le faisceau longitudinal inférieur ( fig. 62) ne présente ici rien de particulier. Nous con
onnaissons les éléments dont il se compose. CE. La capsule externe ( fig. 65) est la lame de substance blanche qui double e
ouble en dedans le claustrum (voy. pl. XXII, CE). Cin. Le cingulum ( fig. 64), régulièrement compact sur tout son trajet, p
nix (voy. pl. XIV). FPF. Le faisceau pariéto-frontal (voy. pl. XIH, fig. L4). ARC. Le faisceau arqué (fig. 65) est ce la
au pariéto-frontal (voy. pl. XIH, fig. L4). ARC. Le faisceau arqué ( fig. 65) est ce large faisceau dirigé d'abord d'arrièr
sous la corne d'Ammon. Le ventricule moyen semble fermé en dedans ( fig. 67, 68, 71, 72) par la toile choroïdienne, qui en
imbria, coupée perpendiculairement à sa direction postéro-antérieure ( fig. 69), présente, sur les six figures de la planche
nstater souvent, môme sur les cerveaux frais. tec. La lamina tecta ( fig. 71) s'étale à la surface du corps calleux, au-des
quadrijumeau antérieur, coupé au niveau de son extrémité antérieure ( fig. 67), n'est presque plus reconnaissable au milieu
t surtout de la lamina lateralis de Reil (Lmd). NC. Le noyau caudé ( fig. 68) proémine dans la cavité ventriculaire. Sa sub
libre dans cette cavité, tantôt recouverte d'un mince feuillet blanc ( fig. 67, 71), formé de fibres aberrantes du tsenia.
formé de fibres aberrantes du tsenia. NCC. La queue du noyau caudé ( fig. 68, 69, 71) ne présente pas partout les mêmes dim
coupes sont plus antérieures. Par places, la section est plus large ( fig. 71). C'est un fait à peu près constant; mais les
rences sont, en tout cas, peu considérables. Th. La couche optique ( fig. 68), sectionnée ici encore tout au voisinage de s
de dehors en dedans par les fibres venues de la capsule interne (CI, fig. 68, 70) et qui appartiennent au segment postérieu
70) et qui appartiennent au segment postérieur de cette capsule (CID, fig. 72). Nous savons que ces fibres font partie du sy
ces fibres font partie du système du faisceau sensitif interne (FSi, fig. 70). Dans cette région le thalamus ne forme don
Dans cette région le thalamus ne forme donc d'abord qu'un seul noyau ( fig. 68). Mais bientôt on voit s'isoler un noyau inter
noyau (fig. 68). Mais bientôt on voit s'isoler un noyau interne (NiC, fig. 89) ; il est séparé de la masse commune par des f
ésentant la couronne rayonnante de la masse commune postérieure (Rth, fig. 70), et provenant par conséquent des faisceaux se
rise en se confondant, à leur terminaison, avec le stratum zonale ZS, fig. 71). (Quoique, dans cette région postérieure du
ions qui n'ont rien d'artificiel : en haut est le noyau interne (NiC, fig. 09, 72) formant le bord supéro-interne de la couc
pulvinar. Celui-ci est la grosse tubérosité postéro-inférieure (Pul, fig. 67) qui se trouve placée en arrière du corps geno
. 67) qui se trouve placée en arrière du corps genouillé externe (GE, fig. 70), lequel est entamé seulement sur les coupes s
suivantes, et dont on ne reconnaît encore que l'écorce blanche (RGE, fig. 70, 71, 72). Gl. Le corps genouillé interne (fi
rce blanche (RGE, fig. 70, 71, 72). Gl. Le corps genouillé interne ( fig. 70) ne fait plus qu'une faible saillie à la paroi
Bichat. Il est séparé du noyau postérieur parle bras du pulvinar (BP, fig. 69), au-dessous duquel s'étend le bras du tubercu
rcule quadrijumeau antérieur (BQA), GE. Le corps genouillé externe ( fig. 70), qui fait suite au pulvinar, n'est pas encore
substance grise sera le corps genouillé externe. Pul. Le pulvinar ( fig. 67) est en effet toujours nettement isolé du corp
uve — nous le savons déjà — le tractus opticus zonalis (TRO, pl. XXI, fig. 65). Cette fissure est le sillon inter-géniculair
de Rauber (AI, pl, XXII, fig, 68), GII. Le ganglion de l'habénule ( fig. 71, 72), ainsi nommé parce que la rêne de la glan
es de la planche XXIII. Substance blanche. FV. Le pont de Varole ( fig. 69, 71) présente, au milieu de la striation trans
ont en apparence la conlirmation du ruban de Reil proprement dit (RR, fig. 69), ou faisceau triangulaire de l'isthme. Mais e
du ruban de Reil proprement dit ou faisceau triangulaire de l'isthme ( fig. 69). Pcs. Le pédoncule cérébelleux supérieur (f
ire de l'isthme (fig. 69). Pcs. Le pédoncule cérébelleux supérieur ( fig. 69) continue de s'entre-croiser avec son congénèr
le faisceau longitudinal postérieur cessent bientôt d'être immédiats ( fig. 74). 11 en est séparé par une commissure (CMT), d
Meynert (voy. plus loin). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur ( fig. 69) sous-jacent à la substance grise de l'aqueduc
substance grise de l'aqueduc. Lem. La couche de Reil ou lemniscus ( fig. 69) se trouve réduite, ou peu s'en faut, aux fibr
rcement notable au niveau du locus niger de Sœmmering (voy. pl. XXIV, fig. 79, 85). Laq. Le laqueus, nettement reconnaissa
nettement reconnaissable à sa coloration claire et à sa forme arquée ( fig. 67), est limité en dedans par le tegmentum (TEG).
educ pour contribuer à la formation de la commissure postérieure (CP, fig. 67); mais il est impossible de lui attribuer des
BQP. Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur est presque épuisé ( fig. 67, 69). La coupe, en effet, n'intéresse plus qu'
e médiane les fibres qui vont former la commissure de Meynert (Cx^lï, fig. 71 et schéma 95 et 97). FCP. Le faisceau de la
la commissure postérieure, issu de la partie inférieure du tegmentum ( fig. 67) contribue, avons-nous dit, à former le laqueu
en avant, sous le ganglion de l'habénule (Gll, 71). Plus loin encore ( fig. 72), il Coupe vertico-transversale au niveau de
e la commissure postérieure dans la région antéro-externe du laqueus ( fig. 67). Sur cette coupe et sur les suivantes, le tub
ntérieure du corps genouillé interne et avec le bras du pulvinar (BP, fig. 68) ; elle le sépare du centre médian. On voit su
égion intermédiaire à la protubérance et à la calotte. Elle provient ( fig. 69) de la couche de Reil ou lemniscus (Lem), comm
) le ruban de Reil tout à fait superficiel qui, un peu plus en avant ( fig. 69), s'ajoutera à la lame latérale (Lmd). La part
e la bandelette optique et le corps genouillé interne. Plus en avant ( fig. 71), l'isolement de ces fibres terminales n'est p
ne interne de la bandelette optique (ansa intergenicularis de Rauber ( fig. 68, 71) représente, sous la masse du thalamus, en
ure. FRF, fasciculus retroflexus. Schéma lOi. veau faisceau (FRF, fig. 71, 72) qui interrompt la continuité du faisceau
as et en arrière et se termine dans la région interpédonculaire. Ici ( fig. 71, 72) on ne distingue que la portion initiale d
postérieure de l'étage inférieur, juste au contact du ruban de Reil ( fig. 71), se réfléchissent d'avant en arrière dans la
phale sera toujours représenté par le pied du pédoncule; et ici déjà ( fig. 71) c'est le pied du pédoncule qui limite la surf
tie intéressé par la section (schéma 106). Mais un peu plus en avant ( fig. 72), la bandelette sous-optique redevient plus ho
du plafond du ventricule sphénoïdal, séparé en bas de la fimbria (El, fig. 72), par le prolongement de la fente de Bichat da
élangent en partie avec les siennes. Tœ. Le taenia semi-circularis ( fig. 69) est au fond du sillon opto-strié et se contin
g. 69) est au fond du sillon opto-strié et se continue manifestement ( fig. 70) avec le stratum zonale de la convexité supéri
e stratum zonale de la convexité supérieure de la couche optique (ZS, fig. 71^ 72). Dans sa profondeur, il est en continuité
d sa direction horizontale pour se rapprocher do la verticale. (CI, fig. 68, 70), et nous verrons que cette portion de la
oïdal, il longe la convexité interne de la queue du noyau caudé (NCC, fig. 68) ; et comme sa direction générale est devenue
nt en dehors, où elles forment la majeure partie du centre ovale (CO, fig. 69). Très peu d'entre elles se réfléchissent en b
s se réfléchissent en bas, en arrière et en dehors pour réapparaître ( fig. 71, TAP) à la face externe du ventricule sphénoïd
cule sphénoïdal, où elles représentent le tapetum. TAP. Le tapetum ( fig. 71) est cependant reconnaissable au-dessous de la
cependant reconnaissable au-dessous de la queue du noyau caudé (NCC, fig. 71). Seulement, comme il est beaucoup moins épais
res que nous voyons apparaître au-dessus et en dehors du noyau caudé ( fig. 69, TAP) et qui, sorties de la masse du corps cal
a paroi externe du ventricule sphénoïdal. TRI. Le trigone cérébral ( fig. 68) diminue de largeur. H forme une mince languet
Th) dont il suit les sinuosités. FSe. Le faisceau sensitif externe ( fig. 68, 70) perd encore peu à peu l'intensité de sa c
alamus, ou, pour parler plus exactement, dans la capsule interne (CI, fig. 68, 70). Nous verrons bientôt, en effet, que la l
faitement distinctes en réalité. FSi. Le faisceau sensitif interne ( fig. 70) n'est, en apparence, que la continuation de l
nt à cette lame de fibres. Rth. La couronne rayonnante du thalamus ( fig. 68), issue en grande partie du pulvinar, décrit u
e, on constate que la couronne rayonnante de ce corps genouillé (RGE, fig. 70, 71, 72) fait suite, dans la même direction, à
l en est de même des fibres sorties de la région moyenne du thalamus ( fig. 72), qui toutes vont se jeter dans la lame blanch
ter dans la lame blanche que nous savons être la capsule interne (CI, fig. 70) et qui est ici (CID) le segment postérieur de
fig. 70) et qui est ici (CID) le segment postérieur de cette capsule ( fig. 72). Mais on peut remarquer sur la dernière coupe
72). Mais on peut remarquer sur la dernière coupe de la planche XXll ( fig. 72) qqe le segment postérieur de la capsule inter
proprement dite. CID. Le segment postérieur de la capsule interne ( fig. 72) est donc formé par les fibres les plus intern
iculaire, entre le globus pallidus et le putamen. Cin. Le cingulum ( fig. 68, 69, 70), toujours compact en dehors de la lam
t son trajet postéro-antérieur. FCF. Le faisceau compact du fornix ( fig. 71) prend insertion sur la circonvolution du corp
stitué par ! des fibres courtes. FDF. Le faisceau diffus du fornix ( fig. 71) continue son chemin d'arrière en avant sous l
'arrière en avant sous le cul-de-sac gris de la scissure limbique {L, fig. 67 à 70). Il est certain qu'il est en grande part
ornix (FCF) dans le manteau de la circonvolution du corps calleux (C, fig. 70). CO. Le faisceau du centre ovale (fig. 69)
ion du corps calleux (C, fig. 70). CO. Le faisceau du centre ovale ( fig. 69) remonte dans le lobe frontal, entre le faisce
l, entre le faisceau diffus du fornix et le fasciculus arcuatus (ARC, fig. 72). Il est facile de constater que ce faisceau d
volution frontale. | ARC. Le faisceau arqué ou fasciculus arcuatus ( fig. 72), issu de ' l'opercule (OP) et du lobule parié
g. 72), issu de ' l'opercule (OP) et du lobule pariétal inférieur (P^ fig. 67), se condense au-dessus de la scissure de Sylv
cent au faisceau pariéto-frontal. FPF. Le faisceau pariéto-frontal ( fig. 72), repoussé en haut et en dehors par le grand d
rs par le grand développement progressif du fasciculus arcuatus (ARC, fig. 72), s'accole à la substance grise des circonvolu
aire, s'insérer sur la substance grise de la pariétale ascendante (P, fig. 67). Il est encore plus volumineux sur la coupe 6
lution frontale (F'), où il rejoint le faisceau pariéto-frontal (FPF, fig. 72). PLANCHE XXIII COUPES VERTICO-TRANSVERSAL
r la face interne de l'hémisphère, que le ganglion de l'habénule (GH, fig. 76) forme une convexité qui peut arrriver jusqu'à
corne d'Ammon sur des coupes plus postérieures. NC. Le noyau caudé ( fig. 74, 76, 77), libre dans la corne frontale du vent
corne sphénoïdale du ventricule. NIC. Le noyau interne du thalamus ( fig. 78) est à l'angle supérieur et interne de la couc
te lame fait partie du segment postérieur de la capsule interne, CID, fig. 76). NeC. Le noyau externe du thalamus (fig. 75
capsule interne, CID, fig. 76). NeC. Le noyau externe du thalamus ( fig. 75) s'isole nettement. Circonscrit en dehors, en
ssu de ce dernier cenlre. NinC. Le centre médian ou centre de Luys ( fig. 75, 74, 75, 76, 77) est une masse grise dont la s
s, on y voit rayonner les fibres de la lamina lateralis de Reil (Lmd, fig. 77). En bas, il est limité par le bras du pulvina
ue nous venons de signaler sous le nom de centre médian de Luys (NmC, fig. 75); la plus postérieure est le pulvinar propreme
la face supérieure et la face inférieure du thalamus. Plus en avant ( fig. 73), alors que la coupe commence à entamer le noy
thalamus (NeC) par la couronne rayonnante de la couche optique (Rth, fig. 75), à laquelle il fournit de nombreuses fibres;
s fibres; en haut et en dedans, il (ist séparé du centre médian (NmC, fig. 7(5) par le bras du pulvinar (RP) et la lame laté
n avant de la commissure postérieure. On s'aperçoit alors (pl. XXIII, fig. 77, 78), qu'il est enveloppé toujours et de opt
eut voir que la partie posléro-externe du ganglion de l'habénule (GH, fig. 76) arrive presque au contact du centre médian (N
du thalamus et qui forme l'angle inféro-interne du ventricule moyen ( fig. 73). Le ganglion de l'habénule fait, en quelque s
anche que par les fibres postérieures de sa couronne rayonnante (RGE, fig. 74, 75, 78). Substance blanche. PV. Le pont d
(RGE, fig. 74, 75, 78). Substance blanche. PV. Le pont de Varole ( fig. 74, 75) s'élargit à mesure que le^ cupes sont plu
ubérance (PVT) à la partie interne du faisceau de Tiïrck-Meynert (FM, fig. 75). Celles-ci proviennent du pédoncule cérébelle
se portent en avant et vont s'adjoindre au lemniscus (Lem, pl. XXlll, fig. 75). Elles s'inclinent immédiatement en haut et e
t en dehors pour former la partie la plus antérieure du laqueus (Laq, fig. 74, 75) et se confondre avec la portion externe d
e et au pont de Varole : c'est le Iractus lransvers7is pedimculi (TP, fig. 73). Ce faisceau appartient h h lamina lateralis
confondre le tractus transversus pedunculi avec la lamina lateralis ( fig. 75) à la partie externe du pédoncule. Le faisceau
t accidentellement écarté. Pcs. Le pédoncule cérébelleux supérieur ( fig. 74, 75) représente un demi-cercle dont la circonf
ignalé ce rapport (voy. pl.XXl, Lm). CMT. La commissure de Meynert ( fig. 75), intercalée entre le pédoncule cérébelleux su
ébelleux supérieur (Pcs) et le faisceau longitudinal postérieur (FLP, fig. 73), réunit au niveau de la ligne médiane les rég
cet aspect et cette disposition. Le faisceau longitudinal postérieur ( fig. 75) ne se présente plus sous l'aspect d'une strie
'ection de ses libres. Une co\ipe (encore plus autéiieure, pl. XXV, fig. 87) le divise de nouveau perpendiculairement à la
erpendiculairement à la direction de ses fibres. Lem. Le lemniscus ( fig. 75) ne consiste plus ici que dans le groupe de fi
nouillé externe. ZGE. Le stratum zonale du corps genouillé externe ( fig. 75, ZGE) indique déjà la forme extérieure de ce n
dedans de la lamina lateralis (Lmd) et en dehors du tegmentum (TEG, fig. 74, 75, 76). Au voisinage de la commissure elle-m
(TEG, fig. 74, 75, 76). Au voisinage de la commissure elle-même (CP, fig. 75), il se met en contact avec le fasciculus retr
é opposé, se perd insensiblement dans la substance grise du thalamus ( fig. 74, 76, 77), au-dessus du corps genouillé externe
t la partie la plus antérieure du lemniscus (Lem) et du laqueus (Laq, fig. 75). • Il résulte de là que la forme en lame de
um s'augmente d'un certain nombre de fibres venues du lemniscus (Lem, fig. 75), et que ce môme lemniscus fournit les fibres
uer du faisceau de la commissure, puisqu'elles ont la môme direction ( fig. 74, 75). Mais, tandis que le faisceau de la commi
commissure de Forel. ^ Lmd. La lamina lateralis, confondue d'abord ( fig. 75) avec le tractus transversus pedunculi (TP), e
xterne du tegmentum) des fibres les plus antérieures du laqueus (Laq, fig. 75). Elle devient donc de nouveau plus foncée ; l
la majeure portion des éléments qui la composent se portent en avant ( fig. 76), limités en dedans par le faisceau de la comm
t (FM, fîg. 75, 78); puis, arrivées au-dessous du centre médian (NMC, fig. 75, 76, 77), elles s'y dispersent en rayonnant. M
rrière. FM. Le faisceau de Tùrck-Meynert émerge de la protubérance ( fig. 75) et, de vertical qu'il était d'abord, devient
. 75) et, de vertical qu'il était d'abord, devient postéro-antérieur ( fig. 78) pour contourner le bras du tubercule quadriju
derrière lui. BSO. La bandelette sous-optique, redevenue compacte ( fig. 73, 77, 78) et toujours dirigée d'arrière en avan
tre la queue du noyau caudé (NCC) et la bandelette sous-optique (RSO, fig. 73). Il redevient clair sur les coupes 75 et 76.
ennent ces alternatives (voy. pl. XXII, Tse). ce. Le corps calleux ( fig. 76) présente un de ces amincissements que nous av
ssements que nous avons déjà signalés. Il reçoit à sa partie externe ( fig. 78) les fibres de la couronne rayonnante du noyau
reviendrons un peu plus loin sur cette connexion. TAP. Le tapetum ( fig. 77) diminue de plus en plus d'épaisseur dans la p
s moins certain qu'il se mélange avec les fibres du centre ovale (CO, fig. 78) qui, elles aussi, se portent en bas et en arr
omme nous l'avons antérieurement observé. TRI. Le trigone cérébral ( fig. 77) perd de plus en plus de sa largeur; il couv
e externe du noyau lenticulaire. FSi. Le faisceau sensitif interne ( fig. 76) provient du pulvinar, où il prend naissance e
l prend naissance en formant la couronne rayonnante du thalamus (Rth, fig. 75) et du corps genouillé externe (RGE, fig. 75),
nnante du thalamus (Rth, fig. 75) et du corps genouillé externe (RGE, fig. 75), Entre son origine dans le thalamus ou dans c
uillé et sa terminaison dans le faisceau longitudinal inférieur (FLl, fig. 76), il traverse la partie inférieure de la capsu
, où il constitue la lame latérale externe de la couche optique (LML, fig. 76). Rth. La couronne rayonnante du thalamus (f
he optique (LML, fig. 76). Rth. La couronne rayonnante du thalamus ( fig. 75) sort de la masse de la couche optique, entre
a masse de la couche optique, entre le noyau thalamique externe (NeC, fig. 72), situé au-dessus de lui, et le corps genouill
n bas, pour pénétrer dans la lame latérale de la couche optique (LML, fig. 78). RGE. La couronne rayonnante du corps genou
fig. 78). RGE. La couronne rayonnante du corps genouillé externe ( fig. 78) fait suite, d'arrière en avant, à la couronne
ante du thalamus. Elle commence à la surface môme du corps genouillé ( fig. 75), qui est tapissée par le stratum zonale (ZGE,
rps genouillé (fig. 75), qui est tapissée par le stratum zonale (ZGE, fig. 75). Le stratum zonale du corps genouillé se cont
n dehors et en arrière, au-dessus de la bandelette sous-optique (BSO, fig. 78) ; puis elles se jettent dans le segment infér
tapetum. Elles accompagnent alors le faisceau sensitif interne (FSi, fig. 70), dont elles font partie intégrante, pour se t
qui vont former la lame médullaire externe de la couche optique (LML, fig. 76) ; 3" enfin par les fibres du stratum zonale,
par les fibres du stratum zonale, qui recouvre la couche optique (ZO, fig. 74). On voit, sur les coupes 76 et 77, que la cou
du centre médian (NmC), au-dessous du noyau externe du thalamus (NeC, fig. 77). En réalité, elle sort de la partie antérieur
ame latérale du thalamus en empruntant la voie du stratum zonale (ZO, fig. 74). Mais toutes ces fibres de la couronne rayonn
fD), puisque celle-ci reçoit aussi du faisceau sensitif externe (FSe, fig. 76) les fibres transversales que nous avons signa
es fibres transversales que nous avons signalées. Cin. Le cingulum ( fig. 74, 76, 78, voy. pl. XXÏI, p. 238). ARC. Le fai
m (fig. 74, 76, 78, voy. pl. XXÏI, p. 238). ARC. Le faisceau arqué ( fig. 73, 77) présente la forme caractéristique d'un tr
tique d'un triangle dont le sommet le plus aigu, quelquefois tronqué ( fig. 73), est dirigé en dehors, et dont la base décrit
nt dans l'opercule supérieur de la scissure de Sylvius (voy. pl. XXI, fig. 65, OP), où elles commencent par se porter de deh
apport avec le faisceau pariéto-frontal, situé au-dessus d'elle (FPF, fig. 76). Le côté inférieur présente une concavité inf
ales d(; l'opercule, qui se prolongent dans la capsula extrenia (LFS, fig. 77). L'angle supéro-interne du triangle s'étend,
du faisceau arqué se continue, en dehors de la capsula extrema (LFS, fig. 77), avec les fibres blanches qui convergent vers
lle se confond avec te segment postérieur de la capsule interne (CID, fig. 76), et, encore plus haut, avec le stratum zonale
rne (CID, fig. 76), et, encore plus haut, avec le stratum zonale (ZO, fig. 74). RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé
système de fibres qui émergent de la face inférieure de ce noyau (NG, fig. 77) sur la plus grande partie de son étendue anté
dessous d'elle, l'opercule (OP). FDF. Le faisceau diffus du fornix ( fig. 78) présente un vasie renforcement de fibres acco
t situé au-dessous de lui. FLI. Le faisceau longitudinal inférieur ( fig. 76), voy. pl. XVI, p. 154). CO. Le faisceau du
(fig. 76), voy. pl. XVI, p. 154). CO. Le faisceau du centre ovale ( fig. 78), voy. pl. XYI, p. 159. Quant aux circonvolu
. pl. XYI, p. 159. Quant aux circonvolutions temporales (T', T,T,T, fig. 84), elles conservent toujours les mômes rapports
mômes rapports, et l'on voit le grand sillon occipito-temporal (of^, fig. 84) s'enfoncer au-dessous du plancher (tu ventric
ventricule sphénoïdal. A la face interne, la scissure limbique [L, fig. 79) s'incline encore en bas et en dehors vers le
ehors vers le corps calleux. Mais bientôt elle est comblée en partie ( fig. 84) par le grand pli de passage fronto-lim-bique
r et elle s'insinue, de dehors en dedans, entre le corps calleux (ce, fig. 80) et le trigone cérébral, de telle sorte que ce
rte que ce dernier commence à se pédiculiscr. La corne sphénoïdale ( fig. 84) communique plus largement avec la fente de Bi
ouverons sur cette planche la subdivision de la lamina convoluta (LC, fig. 81), précédemment signalée. Mais nous voyons auss
crochet sont exposés plus loin (pl. XXV, XXVI). NC. Le noyau caudé ( fig. 82), voy. pl. XXIII. NCC. La queue du noyau cau
oyau caudé (fig. 82), voy. pl. XXIII. NCC. La queue du noyau caudé ( fig. 82), voy. pl. XXIIÏ. NiC. Le noyau interne du t
caudé (fig. 82), voy. pl. XXIIÏ. NiC. Le noyau interne du thalamus ( fig. 81) est, sur quelques points encore, assez bien s
fond gris de la couche optique. NeC. Le noyau externe du thalamus ( fig. SI), voy. pl. XXlIL GII. Le ganglion de l'habén
thalamus (fig. SI), voy. pl. XXlIL GII. Le ganglion de l'habénule ( fig. 79, 80) fait saillie dans le ventricule moyen. Il
côtés et qui sont le point de départ du fasciculus retroflexus (FRF, fig. 85). GE. Le corps genouillé externe (fig. 79) e
ciculus retroflexus (FRF, fig. 85). GE. Le corps genouillé externe ( fig. 79) est encore sectionné seulement dans sa partie
le faisceau de Tùrck-Meynert (FM, 83), déjà signalé. Plus en avant ( fig. 82), la substance grise du corps genouillé est sé
elle empiète en dedans sur la partie la plus inférieure du thalamus ( fig. 83). Le corps genouillé se trouve ainsi à cheval
circulaire; toujours séparé de la couche optique et du pédoncule (FM, fig. 83) par les fibres de sa propre couronne rayonnan
lamina medialis (Lm) se confond avec le bord interne du locus niger ( fig. 83) et le traverse sans s'y arrêter. D'autre part
versales n'intéressent d'abord que la partie externe de sa substance ( fig. 79). Plus en avant (fig. 83), la surface de secti
abord que la partie externe de sa substance (fig. 79). Plus en avant ( fig. 83), la surface de section est plus complète, mai
fibres au locus niger. Substance blanche. PV. Le pont de Varole ( fig. 79, 83) présente un développement de plus en plus
e la calotte dont la surface de section apparaîtra prochainement (NR, fig. 83). Sur la coupe 83 on voit les fibres les plus
tudinal postérieur (FLP). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur ( fig. 81) redevient plus apparent; sa teinte est plus f
dedans du fasciculus retroflex (FRF). FRF. Le fasciculus retroflex ( fig. 79), obliquement dirigé en bas et en dedans, entr
entre le tegmentum (TEG) et le faisceau longitudinal postérieur (FLP, fig. 81), se place presque au contact de la ligne médi
tact de la ligne médiane, au-dessus de la commissure de Meynert (Pcs, fig. 84). On voit sur les coupes 80 et 81 que l'origin
rtie du gangUon de l'habénule, par quelques fibres transversales (MP, fig. 79) qui suivent une direction parallèle à celles
dire qu'il va courir d'arrière en avant, entre la couche optique (Th, fig. 83) et le ganglion de l'habénule (GH), représenta
antérieur de la glande pinéale (HAB, schéma 121). Laq. Le laqueus ( fig. 79) représente les fibres venues du lemniscus. Ce
la capsule interne la couronne rayonnante de la couche optique (Rth, fig. 80). TEG. Le faisceau de la calotte apparaît de
eur. On désigne sous ce nom les fibres inférieures du tegmentum (LTE, fig. 79) qui se jettent dans le locus niger (LN). Elle
ires au locus niger et au pied du pédoncule. IS. Stratum intermedium ( fig. 84). CTE. Le fasciculus marginalis aquœducti pe
Plus en avant on ne le retrouve plus. ..... Lmd. La lame latérale ( fig. 79) se dirige de dedans en dehors, au-dessus du f
convergentes de la lame médullaire externe de la couche optique (LML, fig. 82, 83). Bientôt nous les perdrons de vue dans la
halamus et dans la lame médullaire externe. Lm. La lamina medialis ( fig. 79), toujours confondue par son bord supérieur av
connaît qu'elle poursuit son trajet antéro-postérieur. Plus en avant ( fig. 83), elle est tellement voisine du locus niger (L
i le sépare de la ligne médiane. FM. Le faisceau de Tiirck-Meynert ( fig. 79) représente la portion la plus postérieure du
lus antérieures. Le faisceau pyramidal sur les coupes verticales (FP, fig. 83) est, en effet, toujours situé en dedans et au
n avant; à partir de ce moment il présente une coloration foncée (FM, fig. 83); puis il contournera le corps genouillé et re
; puis il contournera le corps genouillé et reviendra en arrière (FM, fig. 83, 84) placé en dehors de ce dernier et au-dessu
ce à la face externe du corps genouillé. FP. Le faisceau pyramidal ( fig. 83) commence à s'isoler du faisceau de Tùrck-Meyn
es régions antérieures à celle-ci. BSO. La bandelette sous-optique ( fig. 79) est très exactement limitée en dedans par la
ouillé se présenter à ce niveau dans le sens vertical. Plus en avant ( fig. 80), lorsque cette lame a disparu la couronne ray
orps genouillé (RGE) se confond avec la bandelette sous-optique (BSO, fig. 80). 11 en est de même un peu plus loin (fig. 83,
ette sous-optique (BSO, fig. 80). 11 en est de même un peu plus loin ( fig. 83, 84); mais ici les fibres longitudinales de te
t, comme celle du taenia, antéro-postérieure. ce. Le corps calleux ( fig. 80) se divise en dehors en trois faisceaux : un s
au tapetum, réfléchi dans la paroi externe du ventricule sphénoïdal ( fig. 82), il n'en reste plus qu'un mince vestige. Il d
du faisceau longitudinal inférieur (FLl). TRI. Le trigone cérébral ( fig. 80) s'isole du corps calleux par une incisure de
ue des fibres horizontales et postéro-antérieures. TAP. Le tapetum ( fig. 80) sort de l'étage supérieur du corps calleux et
sphénoïdal. Mais un très petit nombre de ses fibres arriveront (TAP, fig. 82) jusqu'au-dessous de la queue du noyau caudé (
ffisamment insisté sur ce point. FSe. Le faisceau sensitif externe ( fig. 79) présente la même disposition que sur les coup
erne de ce noyau et se fondent dans le faisceau de Tùrck-Meynert (FM, fig. 82, 83, 84). FSi. Le faisceau sensitif interne
k-Meynert (FM, fig. 82, 83, 84). FSi. Le faisceau sensitif interne ( fig. 79) forme la majeure portion des fibres qui passe
ce trajet avec la couronne rayonnante du corps genouillé externe (GE, fig. 79, RGE, fig. 80). RGE. La couronne rayonnante
la couronne rayonnante du corps genouillé externe (GE, fig. 79, RGE, fig. 80). RGE. La couronne rayonnante du corps genou
fig. 80). RGE. La couronne rayonnante du corps genouillé externe ( fig. 80) sort du corps genouillé par le stratum zonale
lé externe (fig. 80) sort du corps genouillé par le stratum zonale ( fig. 79, GE) et par la substance grise de ce noyau (fi
e stratum zonale (fig. 79, GE) et par la substance grise de ce noyau ( fig. 80). Lorsque la coupe passe par le stratum zonale
ce noyau (fig. 80). Lorsque la coupe passe par le stratum zonale (GE, fig. 79), la couronne rayonnante est blanche ; lorsqu'
anche ; lorsqu'elle passe par la lame grise du corps genouillé (GE, fig. 80), la couronne rayonnante apparaît sous la form
a fois par une lame blanche et par une lame grise du corps gcnonillé ( fig. 82), la couronne rayonnante paraît s'insérer sur
ci a été appelée quelquefois capsule du corps genouillé externe (CGE, fig. 82). Il est vrai que sur cette dernière coupe et
st traversée d'avant en arrière par le faisceau de Tûrck-Mcynert (FM, fig. 82, 85, 84). GIF. Le segment inférieur de la ca
fig. 82, 85, 84). GIF. Le segment inférieur de la capsule interne ( fig. 81) est cette portion de la capsule qui s'étend o
ventricule sphénoïdal, avec le faisceau longitudinal inférieur (FLI, fig. 82). En haut elle se prolonge pour une faible par
prolonge pour une faible part dans le faisceau de Tiirck-Meynert (FM, fig. 82), et pour une grande part dans la couronne ray
par l'ensemble des fibres qui vont former le faisceau pyramidal (FP, fig. 84), et qui, venues de la région pariéto-frontale
s, s'accolent à la face externe de la lame latérale du thalamus (LML, fig. 82). LML. La lame latérale du thalamus (fig. 82
rale du thalamus (LML, fig. 82). LML. La lame latérale du thalamus ( fig. 82) n'occupe plus, strictement, que la face exter
ne présente de spécial que l'apparition du premier sillon frontal (/j fig. 86) dont le cul-de-sac postérieur s'enfonce dans
'enfonce dans le manteau de la circonvolution frontale ascendante (F, fig. 85). Nous verrons, plus loin, plus en avant, ce s
par un seul pli (IN) ; mais une des circonvolutions de ce lobule (Tt fig. 85) s'étend dans le sens transversal entre la pre
ué sur la face supérieure de la circonvolution de l'hippocampe (Ilip, fig. 85). Mais il en est séparé par un intervalle fiss
que le prolongement le plus antérieur du sillon de l'hippocampe (S//, fig. 89) : celui-ci fait communiquer la face interne d
pocampe. On constatera que la circonvolution de l'hippocampe (Ilip, fig. 86) diminue progressivement d'épaisseur à mesure
us absolument que les fibres du faisceau longitudinal inférieur (FLI, fig. 86). Cavité ventriculaire. La corne frontale,
est occupée dans sa presque totalité par la queue du noyau caudé (NCC fig. 90). La paroi supérieure est formée par la bandel
est convexe et répond à la corne d'Ammon tapissée par l'alveus (ALV, fig. 88). Substance blanche. CAM. Corne d'Ammon. D
ions importantes se font voir dans ses rapports avec le crochet (Une, fig. 85, 87, 89). Celui-ci, sectionné sur des parties
lution de l'hippocampe. Une, crochet de l'hippocampe. pocampe [SU fig. 89), se compose d'une masse grise au milieu de la
pose d'une masse grise au milieu de laquelle apparaissent des taches ( fig. 88), puis des stries blanches (fig. 89). Les stri
laquelle apparaissent des taches (fig. 88), puis des stries blanches ( fig. 89). Les stries en question sont les dernières ra
dernières ramifications du stratum lacunosum de la corne d'Ammon (LST fig. 89). Le crochet ou uncus, en effet, n'est pas aut
a lame médullaire (LMA) et de la fimbria. FI. La fimbria, en effet ( fig. 85, 88), accompagnant toujours le corps godronné
té postérieure. C'est ainsi qu'elle gagne la face externe de l'uncus ( fig. 85, 90), où elle se perd. Elle participe, de cett
à recouvrir le corps godronné; elle arrive à le coiffer complètement ( fig. 90), et s'étale dans le recessus antérieur du sil
te épendymaire qui l'en séparait devient de moins en moins saillante ( fig. 88). Au fond du recessus ou sillon de l'hippocamp
rapproche insensiblement de l'uncus, avec lequel il va se confondre ( fig. 85, 86, 87, 88, 89, 90). NC. Le noyau caudé (fi
va se confondre (fig. 85, 86, 87, 88, 89, 90). NC. Le noyau caudé ( fig. 86) émet des fibres, dirigées d'arrière en avant,
fibres, déjà décrites, de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. 88). NCC. La queue du noyau caudé (fig. 85, 80,
nnante du noyau caudé (RNC, fig. 88). NCC. La queue du noyau caudé ( fig. 85, 80, 90) diminue progressivement de volume. El
ne de la corne sphénoïdale, toujours accompagnée par le tsenia (Ta?., fig. 89). Th. La couche optique (fig. 85, 88, 89) au
s accompagnée par le tsenia (Ta?., fig. 89). Th. La couche optique ( fig. 85, 88, 89) augmente d'abord de largeur. C'est, e
en avant, on voit apparaître sur ces coupes des bandes claires (SMT, fig. 85), demi-circulaires, concaves en dedans, et, d'
'une façon générale, concentriques à la lame médullaire externe (LML, fig. 88). Ces bandes blanches (stries médullaires — st
des faisceaux de la calotte dans la substance grise du thalamus. Ici ( fig. 85), la strie médullaire (SMT) fait suite à la la
s (Lmd), qui se perd dans le noyau externe de la couche optique (NeC, fig. 87). On comprend que ces bandes concentriques ne
en réalité qu'une demi-écaille. NiC. Le noyau interne du thalamus ( fig. 85, 87, 89). Après la la disparition du ganglion
r les fibres du stratum zonale et de la lame médullaire externe (LML, fig. 88). Gll. Extrémité la plus antérieure du gangl
re du ganglion de l'habénule (fig- 85). NR. Le noyau de la calotte ( fig. 85 à 90), voy. pl. XXIV. LN. Le locus niger (fi
au de la calotte (fig. 85 à 90), voy. pl. XXIV. LN. Le locus niger ( fig. 86) se développe sur une assez grande étendue dan
vient plus jusqu'à la ligne médiane. CL. Le claustrum ou avant-mur ( fig. 86. 87, 90) est une lame verticale de substance g
oncée. Nous l'étudierons plus loin. GE. Le corps genouillé externe ( fig. 85, 86 et suiv.), d'abord enveloppé de sa capsule
la couronne rayonnante. Substance blanche. PY, Le pont de Varole ( fig. 87) ne présente plus guère qu'une striation verti
rouges de la calotte (NR). Pcs. Le pédoncule Cérébelleux supérieur ( fig. 85, 87, 89) se porte, en masse, en haut et en d
e, permet enfin de reconnaître l'isolement de la lamina medialis (Lm, fig. 85), dont les fibres les plus internes continuent
ur trajet antéro-postérieur à l'extrémité interne du locus niger (LN, fig. 85, 87). Il est certain que, si le pédoncule cé
couche optique. Ces fibres forment un faisceau bien homogène (CEO, fig. 85, 86 et suiv.). On peut l'appeler faisceau céré
s. Les fibres les plus postérieures deviennent donc récurrentes (CEO, fig. 85, 86, 88), et présentent une coloration foncée;
des fibres de la lame médullaire latérale du thalamus (LML, pl. XXYI, fig. 95). FLP. Le faisceau longitudinal postérieur (
ceau, par conséquent, semble arriver à la surface même du ventricule ( fig. 86, 89). Mais on remarque alors que sa coloration
il en est qui vont, en dehors, rejoindre la lame médullaire externe ( fig. 90, LML). Par là, sans doute, s'établissent les c
ce ventriculaire. Lmd. La lame latérale de Reil (Lamina lateralis) ( fig. 85, 86) se perd définitivement dans la partie i
ésente aucun rapport visible de continuité. Lm. La lamina medialis ( fig. 85, 86) poursuit son chemin d'arrière en avant, a
blement confondue en dehors avec la substance noire de Sœmmering (LN, fig. 85). TEG. Le faisceau de la calotte ou tegmentu
secondaires : Fun postérieur et inférieur ou lamina tegmenti (LTE, fig. 80, 88, 89, 90); l'antre antérieur et supérieur o
l'antre antérieur et supérieur ou faisceau tegmento-thalamiquc (CAO) ( fig. 96, pl. XXVI). Ce dernier ne figure pas encore su
la planche que nous étudions actuellement. LTE. La lamina tegmenti ( fig. 85) est dirigée en haut et en dehors ; elle s'éte
age sur la coupe 87 ; puis le faisceau se porte en dehors et en haut ( fig. 88, 89); devenu très compact (fig. 90), il se dir
eau se porte en dehors et en haut (fig. 88, 89); devenu très compact ( fig. 90), il se dirige directement en avant, continuan
ond sur le plus grand nombre des préparations, et ici en particulier ( fig. 87, 90), avec le locus niger de Sœmmering. FM.
vec le locus niger de Sœmmering. FM. Le faisceau de Tiirck-Meynert ( fig. 85), issu du pédoncule, où on le voit couper obli
la forme d'une crête rayonnante, foncée en dedans, claire en dehors ( fig. 89). Il pénètre dans la partie la plus reculée de
nert. fibres antéro-postérieures du faisceau sensitif externe (FSe, fig. 89). Le faisceau de Tiirck-Meynert, sur les coupe
e stratum intermédiaire (IS). Plus haut, dans la capsule interne (CI, fig. 88), le faisceau pyramidal (FP') s'épanouit à la
es prochaines coupes vont entamer. BSO. La bandelette sous-optique ( fig. 86, 89, 90) occupe toujours la voûte du ventricul
'épaisseur qui résultent du passage du faisceau de Tùrck-Meynert (FM, fig. 89, 90) au travers de ses fibres. Sur la coupe 90
fibres de la bandelette optique dans le corps genouillé externe (BOG, fig. 96). Tse. Le taenia semi-circularis (fig. 85) s
s genouillé externe (BOG, fig. 96). Tse. Le taenia semi-circularis ( fig. 85) se continue encore avec le stratum zonale à l
OÙ il est reconnaissable en dedans de la queue du noyau caudé (Tse, fig. 89). ce. Le corps calleux (fig. 88) émet en deh
ns de la queue du noyau caudé (Tse, fig. 89). ce. Le corps calleux ( fig. 88) émet en dehors deux groupes de fibres : le gr
rme une notable partie de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. 88). TRI. Le trigone cérébral n'est plus relié
cérébral n'est plus relié au corps calleux que par un mince pédicule ( fig. 88). Ce pédicule représente l'extrémité la plus p
s postérieure du septum lucidum. FSe. Le faisceau sensitif externe ( fig. 87) projette en grande abopdance ses fibres trans
ôt ce que deviennent ces fibres. FSi. Le faisceau sensitif interne ( fig. 87) passe au-dessus de la bandelette sous-optique
interne (fig. 87) passe au-dessus de la bandelette sous-optique (BSO, fig. 89), pour aller se jeter dans le faisceau de Tûrc
ynert et dans la couronne rayonnante du corps genouillé externe (RGE, fig. 88). Nous savons que ces deux derniers faisceaux
inférieur de la capsule interne. LML. La lame latérale du thalamus ( fig. 88) est maintenant parfaitement isolée de toutes
tique; la lame médullaire est à sa surface. CI. La capsule interne ( fig. 88) commence à augmenter de largeur à mesure que
couche optique (Th) par la lame médullaire externe du thalamus (LML, fig. 88). CE. La capsule externe (fig. 89), exclusiv
ullaire externe du thalamus (LML, fig. 88). CE. La capsule externe ( fig. 89), exclusivement composée de fibres blanches ve
blanches verticales, s'étend dans toute la hauteur du claus-trum (CL, fig. 90) à la face externe du putamen ; ce noyau n'est
s et de haut en bas après leur passage à travers le centre ovale (CO, fig. 88). ARC. Le faisceau arqué (fig. 87) se confon
ge à travers le centre ovale (CO, fig. 88). ARC. Le faisceau arqué ( fig. 87) se confond avec le claustrum (CL), c'est-à-di
artie interne se continue avec les fibres du faisceau pyramidal (FP', fig. 85) qui sortent de la capsule interne et vont gag
PAR. Le faisceau parallèle qui apparaît ici pour la première fois ( fig. 86) est un faisceau difl'us, étendu d'arrière en
e circonvolution temporale (T') et du gyrus temporal traiisverse (Tt, fig. 85). Jusqu'ici son isolement n'était pas bien net
e chose qu'une expansion du faisceau parallèle entre le damtruin (CL, fig. 86) et le faisceau sensitif externe. Le faiscea
ARC) les connexions de ces deux faisceaux. LFS. La capsula extrema ( fig. 89) ou moelle de l'insula, ou substance blanche i
savons qu'elle représente le système d'association de l'opercule (OP, fig. 90) et de la première circonvolution temporale. E
ces, elle est interrompue par un élargissement gris du claustrum (CL, fig. 90). La substance grise du claustrum cependant n'
ssement de l'avant-mur. RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé ( fig. 88) émerge de la face inférieure de ce noyau par
u dans le plan d'un des faisceaux de sa couronne. Cin. Le cingulum ( fig. 87). FCF. Le faisceau compact du fornix (fig. 8
. Cin. Le cingulum (fig. 87). FCF. Le faisceau compact du fornix ( fig. 85, 87) varie de couleur selon la direction des f
rieure à partir de la coupe 90.* FDF. Le faisceau diffus du fornix ( fig. 85, 87) devient plus compact à la face interne de
l'écorce de la première frontale. CO. Le faisceau du centre ovale ( fig. 88), fondu à sa partie interne dans la masse des
ce des réactifs chimiques. FLl. Le faisceau longitudinal inférieur ( fig. 87), refoulé, comme toujours, vers la paroi infér
ieure du ventricule, par le quatrième sillon occipito-teinporal [ot^, fig. 86, 87), épuise ses fibres dans la circonvolution
devant de lui et n'intéressent plus que le premier sillon frontal {f, fig. 96). On reconnaît encore la scissure de Rolando {
porale transverse (Tt). A la face interne de la couche optique (Th, fig. 94), et entre ce ganglion et le noyau rouge de la
n qui correspond à la gouttière de Monro (M). Enfin, plus bas encore ( fig. 96), entre la région de l'étage supérieur occupée
communique encore avec la fente de Bichat au-dessus de l'uncus (Une, fig. 94); mais on verra bientôt se fermer ce passage.
e la bandelette optique qui se jettent en arrièrc-dans ce noyau (BOG, fig. 96) et aussi par la bandelette optique elle-même
ce supérieure de l'uncus. Substance grise. CAM. La corne d'Ammon ( fig. 91) présente, snr cette pLanche, un aspect compar
lte la disparition ou l'efl'acement du recessus de l'hippocampe (RAIL fig. 95, 96). Dès lors il n'y a bientôt plus aucun int
rvalle entre le fascia dentata (Fd) et la substance grise du crochet ( fig. 96). A partir de la coupe 95 il est facile de con
, mais elle est remplacée par une crête semblable de substance grise ( fig. 95, 96) qui n'est que la continuation de la précé
lien (NA) à la terminaison la plus antérieure de la crête de l'uncus ( fig. 105, 106et suiv.). NC. Le noyau caudé (fig. 92)
de la crête de l'uncus (fig. 105, 106et suiv.). NC. Le noyau caudé ( fig. 92). NCC. La queue du noyau caudé (fig. 94), ar
iv.). NC. Le noyau caudé (fig. 92). NCC. La queue du noyau caudé ( fig. 94), arrivée au voisinage de l'extrémité antérieu
la corne sphénoïdale, augmente un peu d'épaisseur. Th. Le thalamus ( fig. 94), limité en bas par le noyau rouge de la calot
noyau interne du thalamus. NiC. Noyau interne de la couche optique ( fig. 94, 95, 96). NeC. Noyau externe de la couche op
optique (fig. 94, 95, 96). NeC. Noyau externe de la couche optique ( fig. 91, 92). NR. Le noyau rouge de la calotte, enve
s étudierons plus loin : le discus lentiformis. LN. Le locus niger ( fig. 91), interposé ici entre la lamina medialis (LM)
lenticulaire (ANL, voy. plus loin). GE. Le corps genouillé externe ( fig. 92, 95) diminue rapidement de hauteur. Sa couronn
. 92, 95) diminue rapidement de hauteur. Sa couronne rayonnante (RGE, fig. 92), mêlée aux fibres du faisceau de Tùrck-Meyner
ant de pénétrer dans le segment inférieur de la capsule interne (GIF, fig. 94). Sa lame grise décrit des méandres moins él
rieure du corps genouillé externe, on voit la bandelette optique (BO, fig. 96) faire suite immédiatement à ce noyau; et co
couteau a divisé ici cette première lame blanche. PUT. Le putamen ( fig. 91, 92, 94, 95) est le segment le plus externe du
ur contribuer à former la cloison externe du noyau lenticulaire (MLE, fig. 94, 95, 96). La cloison inlcrne (MLI, fig. 96)
noyau lenticulaire (MLE, fig. 94, 95, 96). La cloison inlcrne (MLI, fig. 96) commence seulement à apparaître ; et déjà se
les coupes des planches suivantes. CL. Le claustrum, ou avant-mur ( fig. 95, 94). Substance blanche. PV. Le pont de Va
sectionné ici au milieu de la masse des fibres du pied du pédoncule ( fig. 91). Le nombre des fibres transversales de la pro
yau rouge (NR). Il n'en reste plus ici cju'un très petit nombre (Pcs, fig. 91), passant de l'autre côté de la ligne médiane.
bonne partie du pédoncule cérébelleux, se porte en haut et en dehors ( fig. 91, 92, 93, 95), situé toujours au-dessus de la l
paré que par le fasciculus retroflex. FRF. Le fasciculus retroflex ( fig. 92, 93, 94), invariablement accolé à la face exte
vité regardant en dehors. Parvenu un peu au-dessus du foramen caecum ( fig. 94, 96, TR), il se bifurque, envoyant un prolonge
lus de la ligne médiane et se termine un peu plus en avant (pl. XXVR, fig. 101) dans la substance grise de l'espace perforé
ré postérieur et dans le ganglion interpédonculaire (GIP, pl. XXVIII, fig. 103). Lm. La lamina medialis (fig. 91), travers
erpédonculaire (GIP, pl. XXVIII, fig. 103). Lm. La lamina medialis ( fig. 91), traversant d'arrière en avant le locus niger
s, par conséquent, l'une au-dessus du trou borgne (foramen caecum TB, fig. 96), l'autre au-dessous. TP. Le tractus transve
us transversus pedunculi, que nous avons déjà étudié (voy. pl. XXIII, fig. 73) à la face externe de l'isthme de l'encéphale,
ig. 73) à la face externe de l'isthme de l'encéphale, réapparaît ici ( fig. 96); il est tout à fait à la surface de la région
amina tegmenti occupe en dehors la partie externe du locus niger (LN, fig. 91). A sa coloration, on reconnaît que ses fibres
du noyau lenticulaire (voy. plus loin). IS. Le stratum intermedium ( fig. 91), dont la section présente ici une surface tri
étroites; mais, plus en avant, on les voit s'interrompre (pl. XXVll, fig. 08). Alors, en effet, il devient évident que le f
isceau tegmento-thalamique (CAO). FM. Le faisceau de Tùrck-Meynert ( fig. 91) remonte d'arrière en avant, au-devant du corp
ivantes, il passe au-dessus de l'anse pédonculaire de Gratiolet (RSO, fig. 93, 94) et finalement arrive au faisceau sensitif
fig. 93, 94) et finalement arrive au faisceau sensitif externe (FSe, fig. 95), au moment où apparaissent, sur les coupes ve
rtico-transversales, les lames verticales du noyau lenticulaire (MLE, fig. 94, 95) (MLE, MLI, fig. 96). FP. Le faisceau py
lames verticales du noyau lenticulaire (MLE, fig. 94, 95) (MLE, MLI, fig. 96). FP. Le faisceau pyramidal (fig. 91), formé
(MLE, fig. 94, 95) (MLE, MLI, fig. 96). FP. Le faisceau pyramidal ( fig. 91), formé d'une belle masse de fibres blanches,
qu'il entre en rapport direct avec l'écorce cérébrale. Plus en avant ( fig. 94), il envoie dans le noyau lenticulaire — ou re
voyons apparaître au-dessus et en dedans du stratum intermedium (IS, fig. 91) et qui n'est autre chose que l'anse du noyau
du faisceau géniculé. Seulement la plupart de ses fibres sontclaires ( fig. 94), parce qu'elles sont, dans le plan de la coup
minant d'avant en arrière, sous le discus lentiformis (DL, pl. XXYII, fig. 98, 101) où, tout d'un coup, elle se coude de hau
ur gagner le bord interne du pédoncule. MF. Le faisceau capsulaire ( fig. 94), dont il sera plus longuement question ultéri
ouge de la calotte (NR). Il semble continuer la lamina tegmenti (LTE, fig. 95, 96) après que celle-ci, venue obliquement de
et à mesure que s'élargit la corne sphénoïdale du ventricule latéral ( fig. 92, 93, 94). On constate aussi qu'elle fournit, d
fibres transversales au segment inférieur de la capsule interne (GIF, fig. 94). D'autre part, comme elle ne diminue pas de v
la bandelette sous-optique est refoulée au-dessus de ce dernier (BSO, fig. 95, 96). Elle recouvre même partiellement la co
e, à ce niveau, dans l'extrémité la plus postérieure du putamen (PUT, fig. 91). Sa striation transversale s'observe encore,
est certain, c'est que les fibres transversales du faisceau sensitif ( fig. 92) convergent vers la cloison externe du noyau l
la cloison externe du noyau lenticulaire, en dedans du putamen (FSe, fig. 92), et qu'elles contribuent pour une bonne part
contribuent pour une bonne part à la formation de cette cloison (MLE, fig. 95, 96). RGE. La couronne rayonnante du corps g
g. 95, 96). RGE. La couronne rayonnante du corps genouillé externe ( fig. 92), mélangée avec le faisceau de Tùrck-Meynert,
corps genouillé (GE), et juste au-dessous du faisceau pyramidal (FP, fig. 92, 93, 94). Elle se dirige franchement en arrièr
illé (schéma 140). CIF. Le segment inférieur de la capsule interne ( fig. 94), déjà étudié (voy. pl. XXIV, fig. 81), s'amin
nférieur de la capsule interne (fig. 94), déjà étudié (voy. pl. XXIV, fig. 81), s'amincit progressivement et va être bientôt
érieure et la racine inférieure de la couche optique (voy. pl. XXVIf, fig. 100, 101). CI. La capsule interne (fig. 91) dev
he optique (voy. pl. XXVIf, fig. 100, 101). CI. La capsule interne ( fig. 91) devient plus importante, plus compa(de, à mes
sceaux, celui de Turck-Meynert (FM) se recourbe en arrière et en bas ( fig. 91) : il n'entre pas dans la capsule interne prop
interne proprement dite; il va, comme on peut le constater plus loin ( fig. 94) contribuer à la formation du segment inférieu
re du noyau externe de la couche optique (NeC). La capsule interne ( fig. 91, 95) reçoit aussi de l'écorce une grande quant
u d'admettre que ces fibres sont destinées au faisceau pyramidal (FP, fig. 91 et suiv.). Mais la capsule interne ne se compo
lle renferme les fibres les plus externes de la lamina tegmenti (LTE, fig. 96), situées au-dessus et en dedans du faisceau p
ML), situées au-dessus et en dedans du faisceau cérébello-thalamique ( fig. 96). CE. La capsule externe (fig. 94) est la la
du faisceau cérébello-thalamique (fig. 96). CE. La capsule externe ( fig. 94) est la lame verticale de substance blanche qu
noïdal. Elle renferme des fibres qui vont du faisceau parallèle (PAR, fig. 93) au faisceau arqué (ARC). Mais ces fibres ne s
rum et y subissent une forte réduction. PAR. Le faisceau parallèle ( fig. 93), que nous appelons ainsi parce qu'il envelopp
ARC) se perd dans son extrémité supérieure. ARC. Le faisceau arqué ( fig. 95) occupe toujours la même situation dans le man
toujours la même situation dans le manteau de l'opercule frontal (OF, fig. 96 et schéma 141). Au-dessous de l'insula, ses fi
plus externes se mélangent avec la substance grise du claustrum (CL, fig. 93, 94). Et comme ARC Schéma 141. Profil (l
tous les points de l'écorce qui entourent la scissure de Sylvius (S', fig. 91) vers l'avant-mur et s'y terminant. Mais les f
plus profonde que ce dernier. Les figures suivantes (voy. pl. XXVin, fig. 105, 106, 107, 108) le démontreront d'une façon p
(OF, fîg. 96) au gyrus temporal transverse (Tt). Cin. Le cingulum ( fig. 91, voy. pl. XV). FCF. Le faisceau compact du f
erne est représentée exclusivement par la cpueue du noyau caudé (NCC, fig. 102); sa face supérieure est formée, en dehors pa
en dehors par la partie la plus postérieure du noyau amygdalien (NA, fig. 102), et par la bandelette optique sus-jacente à
sentée dorénavant sur les coupes plus antérieures. NC. Noyau caudé ( fig. 98), voy. pl. XIX. NCC. La queue du noyau caudé
Noyau caudé (fig. 98), voy. pl. XIX. NCC. La queue du noyau caudé ( fig. 98, 99, 101, 102). Ses rapports avec la bandelett
rieure du thalamus (Thl) seront étudiés plus loin. Th. Le thalamus ( fig. 97) commence à montrer ici d'une façon tout à fai
eure le noyau antérieur (NaC). NaC. Le noyau antérieur du thalamus ( fig. 97, 101), ou corpm album subrotundum, est une mas
nche et faisant saillie au-dessus et en dehors du noyau interne (NiC, fig. 91). H a la forme d'une demi-sphère [corpus subro
essous de lui et va se mélanger avec la lame médullaire interne (LMI, fig. 101). Cette dernière change alors de direction :
font que passer au-dessus de lui pour aboutir au noyau interne (NiC, fig. 99). Très peu d'entre elles s'arrêtent au corpus
fibres du faisceau de Yicq-d'Azyr. NiC. Noyau interne du thalamus ( fig. 99). NB. Le noyau rouge de la calotte (fig. 97,
au interne du thalamus (fig. 99). NB. Le noyau rouge de la calotte ( fig. 97, 98, 100) diminue progressivement de volume ;
par la couronne rayonnante du faisceau longitudinal postérieur (RFP, fig. 102). Nous avons déjà signalé la striation blan
ibres dirigés obliquement de haut en bas et de dedans en dehors (MOC, fig. 99). Ces fibres appartiennent au nerf moteur ocul
du noyau rouge, au fond de la gouttière de Monro. PUT. Le putamen ( fig. 98, 100, 101), ou segment externe du noyau lentic
Ch, clnustrwn (voy. plus loin), adjacent à la capsule externe (CE. fig. 101) dont il est séparé par une fissure réelle, i
lle d'un trapèze dont les deux côtés parallèles sont représentés ici ( fig. 101) par sa face externe et par sa face interne.
adhérente à la cloison verticale externe du noyau lenticulaire (MLE, fig. 98), d'où partent des stries horizontales, dirigé
s leur ensemble, vers la partie inférieure du faisceau pyramidal (FP, fig. 102). 11 est indubitable que beaucoup des fibres
la région moyenne du noyau lenticulaire. DL. Le discus lentiformis ( fig. 98, 99, 101) est un noyau gris parfaitement isolé
idal (FP) dans le pédoncule. CEO. Le faisceau cérébello-thalamique ( fig. 97) est tout ce qui subsiste du pédoncule cérébel
au-dessous de la gouttière de Monro {M), présente une teinte claire ( fig. 97), lorsque SCS fibres se portent, de dedans e
libres qui rejoint le bord le plus interne du discus lentiformis (PL, fig. 101, 102) avec lequel il parait se confondre en p
travers la capsule interne. RFP. La radiatio fasciculi posterions ( fig. 101, 102) est certainement bien distincte des fai
est en rapport intime avec la lame terminale de Reil (LTE, pl. XXVI, fig. 96) et avec le faisceau d'Arnold (AR, pl. XXXII,
(LTE, pl. XXVI, fig. 96) et avec le faisceau d'Arnold (AR, pl. XXXII, fig. 101, 102). Comme il est indubitable que le faisce
ante) au-dessus du noyau rouge, sous la couche optique (voy. pl. XXY, fig. 90). Nous n'y reviendrons plus. FRF. Le fascicu
us n'y reviendrons plus. FRF. Le fasciculus retrofiexus de Meynert ( fig. 98, 99, 101) se sépare à présent du faisceau long
hors par le faisceau longitudinal postérieur. A ce niveau (pl. XXVIÏ, fig. 101) le faisceau longitudinal postérieur (FLP), l
soit en avant, soit en arrière de ce point. Lm. La lamina medialis ( fig. 98) n'est plus représentée que par son faisceau s
s la substance grise du ganglion inter-pédonculaire (vov. pl. XXVJII, fig. 105). Là, elles se mélangent avec celles du fas
roflexus (voy. GIP, pl. XXVIII, fïg. 105). LTE. La lamina tegmenti ( fig. 97) est toujours située, d'une part, au-dessous d
-dessous duquel se glisse d'arrière en avant la lamina tegmenti (LTE, fig. 98). Ce rapport, toutefois, n'est que très passag
menti et le noyau rouge un nouvel organe : le discus lenliformis (DL, fig. 101). Nous avons signalé déjà précédemment ses co
c les faisceaux de la région. CAO. Le faisceau tegmento-thalamique ( fig. 98, 99 et suiv.) recouvre le noyau rouge auquel i
seur de laquelle il accompagne les fibres cérébello-thalamiques (CEO, fig. 97). Limité en haut par le. noyau interne du thal
CEO, fig. 97). Limité en haut par le. noyau interne du thalamus (NiC, fig. 99), il enveloppe en bas le noyau rouge, s'étale
99), il enveloppe en bas le noyau rouge, s'étale à sa partie interne ( fig. 101, CAO), où il n'est séparé de la cavité ventri
, au contact de la lamina medialis (Lm), dont l'extrémité supérieure ( fig. 98) s'insinue entre les deux branches du fascicul
clinent vers le noyau lenticulaire et y pénètrent. En (in, en dedans ( fig. 100), il est borné par le faisceau géniculé (FG)
pparaître sur les coupes de la planche précédente, est sectionné ici ( fig. 99) perpendiculairement à la direction de ses fib
t le faisceau géniculé (FG), et l'anse du noyau lenticulaire (ANL). fig. 101, 102) dont il emprunte la forme. C'est môme à
du faisceau rubro-thalamique (NL). BSO. La bandelette sous-optique ( fig. 97) est toujours sectionnée de façon à se présent
ntent la partie postérieure de la racine inférieure du thalamus (ThI, fig. 99) : nous allons les étudier dans un instant. Su
t toujours en dehors, et lorsqu'elles prennent, un peu plus en avant ( fig. 102), l'apparence d'un faisceau compact (ThI). ce
le schéma 155). On voit aussi que ce faisceau, de forme triangulaire ( fig. 102) est situé au-dessus et en dehors de la queue
au-dessous de ces faisceaux, au-dessus de la bandelette optique (BO, fig. 101). C'est dans cette partie de son trajet qu'el
se pédonculaire que lui avait donné Gratiolet. ce Le corps calleux, fig. 98 (voy. pl. XXIV et XXV). TRI. Le trigone céré
calleux, fig. 98 (voy. pl. XXIV et XXV). TRI. Le trigone cérébral, fig. 98 (voy. pl. XXIV et XXV). FSe. Le faisceau sen
fig. 98 (voy. pl. XXIV et XXV). FSe. Le faisceau sensitif externe ( fig. 99, 100, 101, 102) se distingue maintenant aussi
distingue maintenant aussi nettement que possible du putamen (PUT, fig. 100, 101), dans lequel il s'enfonce en partie. Su
otalité, se jeter dans la cloison externe du noyau lenticulaire (MLE, fig. 98). On doit toutefois remarquer encore que s'il
oison externe, quelques-unes s'insinuent dans la capsule externe (CE, fig. 101) entre le putamen (PUT) et le claustrum (CL)
elle du claustrum. GIF. Le segment inférieur de la capsule interne ( fig. 98) sous-jacent au putamen (PUT) s'étale de dehor
interne que nous avons déjà longuement décrit. Il se confond bientôt ( fig. 102) avec la racine inférieure du thalamus (ThI)
férieure du thalamus (ThI) et rejoint ainsi le pied du pédoncule (FP, fig. 102), au-dessous duquel il passe pour former l'an
ire de Gratiolet. CID. Le segment postérieur de la capsule interne ( fig. 98, 100) est la portion de la capsule interne qui
nticulaire, c'est-à-dire le putamen (PUT) et le globus pallidus (GLP, fig. 100), il est certain que les faisceaux capsulaire
faisceaux capsulaires sectionnés appartiennent au segment postérieur ( fig. 100). Quand la coupe intéresse les trois noyaux (
re le noyau caudé et le noyau lenticulaire. CE. La capsule externe ( fig. 101) présente à sa partie inférieure la teinte fo
'accuse encore davantage sur la coupe 102, LFS. La capsula extrema ( fig. 102), cllo aussi, est un peu plus, foncée au vois
tient aux libres du faisceau parallèle. PAR. Le faisceau parallèle ( fig. 98 et suiv.) provient de la première circonvoluti
ns la substance grise qui double ce sillon. ARC. Le faisceau arqué ( fig. 98) est dédoublé dans la région du centre ovale.
au pyramidal au moment où celui-ci émerge de la capsule interne (CID, fig. 98). LML. La lame médullaire externe du thalamu
nterne (CID, fig. 98). LML. La lame médullaire externe du thalamus ( fig. 97, 98, 99) termine en dessous et en dehors de la
aux de la calotte que nous avons énuinérés : la lamina tegmenti (LTE, fig. 98), le faisceau rubro-thalamique (ML), le faisce
la capsule interne (CID) avec le faisceau cérébcllo-thalamique (CEO, fig. 100 et 101), qu'ils accompagnent jusqu'à la couro
a couronne rayonnante. RJNC. La couronne rayonnante du noyau caudé ( fig. 97). FCF. Le faisceau compact du fornix (fig. 1
nante du noyau caudé (fig. 97). FCF. Le faisceau compact du fornix ( fig. 101). FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig. 9
au compact du fornix (fig. 101). FDF. Le faisceau diffus du fornix ( fig. 99). Cin. Le cingulum (fig. 101). CO. Le fais
). FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig. 99). Cin. Le cingulum ( fig. 101). CO. Le faisceau du centre ovale (fig. 102
9). Cin. Le cingulum (fig. 101). CO. Le faisceau du centre ovale ( fig. 102). FLI. Le faisceau longitudinal inférieur (
u centre ovale (fig. 102). FLI. Le faisceau longitudinal inférieur ( fig. 97). PLANCHE XXVIII COUPE VERTTCO-TRANSVERSAL
frontale représente la racine inférieure de la deuxième frontale (-B, fig. 107) que nous avons déjà étudiée (voy. Introd., p
on de l'hippocampe est confondue avec le lobule de l'hippocampe (IIL, fig. 107). La circonvolution de l'hippocampe (T5, fig.
l'hippocampe (IIL, fig. 107). La circonvolution de l'hippocampe (T5, fig. 108) reste toutefois suffisamment isolée au-dessu
ci à la substance blanche du recessus antérieur de l'hippocampe (RAIL fig. 108) et à la lame blanche de l'alveus (ALV). A
ceau le plus interne du pédoncule ou anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 104). Plus en avant, les faisceaux blancs du pédo
le se placent au contact de la substance grise du tuber cinercum (SG, fig. 108); et, en dedans de celle-ci, la coupe entame
a partie la plus postérieure du tubercule mamillaire, constituée ici ( fig. 108) par les fibres postérieures du pilier descen
seule est intéressante. Limitée en haut par le noyau amygdalien (NA, fig. 107) dans une large étendue, elle envoie deux p
Bicbat; le prolongement inférieur est le recessus sub snbiculo (Dsu, fig. 108). Substance grise. CAM. La corne d'Ammon
ulo (Dsu, fig. 108). Substance grise. CAM. La corne d'Ammon (CAM, fig. 104) ne diffère de ce qu'elle était sur les figur
pports avec le sillon de l'hippocampe (SH) et la fente de Bichat (Bf, fig. 105). La coupe précédente (102) passait par le si
ui-ci arrivait encore jusqu'à la surface corticale. Ici au contraire ( fig. 105) le sillon de l'hippocampe n'arrive plus jusq
de l'hippocampe (RAII). RAIL Le recessus antérieur de l'hippocampe ( fig. 105, 106) est toujours tapissé, en haut comme en
quel point la fusion est intime. ALV. L'alveus, substance blanche ( fig. 108), enveloppe de toutes parts la lamina convolu
noïdal, est remplie en grande partie par une masse ganglionnaire (NA, fig. 104, 105, 106, 107), de plus en plus volumineuse,
mmunication apparente de l'écorcc grise avec le noyau amygdalien (NA, fig. 105), ce fait que le ventricule latéral, dans sa
rait dans cette fente, juste au-dessous de la bandelette optique (BO, fig. 98). NA. Le noyau amygdalien, situé au-dessus d
mmédiatement pénétré par elles. Il en est d'abord nettement distinct ( fig. 104, 105). En dedans il paraît se confondre avec
ppocampe. Enfin, en haut, il est séparé de la bandelette optique (BO, fig. 108) par la fente de Bichat. Par places, la sépar
eue du noyau caudé par les fibres de la bandelette sous-optique (BSO, fig. 107, 108), et quelques fibres du taenia. Le noy
nte de non moins étroites avec la racine inférieure du thalamus (ThI, fig. 106, 107, 108). C'est sur la convexité supérieure
édonculaire de Gratiolet (voy. plus loin, THI). NC. Le noyau caudé ( fig. 106) commence à émettre les fibres lenticulo-caud
e pédonculaire (voy. plus loin, ANC). NCP. La queue du noyau caudé ( fig. 105, 104) réduite à une toute petite masse grise
acente à la bandelette sous-optique (BSO). Mais encore plus en avant ( fig. 107, 108) cette bandelette se porte en dedans de
en dedans de la queue du noyau caudé, et, accompagnée du taenia (Tae, fig. 108), borde la face externe du noyau amygdalien,
au amygdalien, de façon à séparer ces deux noyaux. PUT. Le putamen ( fig. 103) présente encore à sa partie inférieure et ex
rne qui renforcent, sa coloration. Ce faisceau sensitif externe (FSe, fig. 107) en est cependant séparé déjà, mais sur quelq
i de substance grise innominëe (voy. GAP). GLP. Le globus pallidus ( fig. 108). GLM. Le globus medialis (fig. 108). Ces
AP). GLP. Le globus pallidus (fig. 108). GLM. Le globus medialis ( fig. 108). Ces deux noyaux se distinguent maintenant
la formation plus complète de leurs cloisons de séparation (MLE, MLI, fig. 105, 107). Le globus medialis (fig. 105) est abor
cloisons de séparation (MLE, MLI, fig. 105, 107). Le globus medialis ( fig. 105) est abordé directement par le faisceau pyram
qui le pénètre de bas en haut et de dedans en dehors. Plus en avant ( fig. 106), le même faisceau semble s'enfoncer dans la
la calotte, en particulier par les fibres du faisceau capsulaire (MF, fig. 108) dont l'extrémité supérieure se perd dans la
, forme cette sorte de treillage qu'on a appelé couche grillagée (CG, fig. 104). La couche grillagée est toujours beaucoup p
) située dans la substance grise de l'espace perforé postérieur (EPP, fig. 104), au-dessus et en dedans du pied du pédoncule
nti (voy. plus loin LTE). SG. La substance grise interpédonculaire ( fig. 104, 105, 106) ou substance grise basilaire fait
laire correspond, par sa surface, à l'espace perforé postérieur (EPP, fig. 108); et déjà l'on y voit apparaître la convexité
érieure des tubercules mamillaircs (DF). DL. Le discus lentiformis ( fig. 105, 106) est ici d'une coloration plus foncée,
res antéro-postérieiires du faisceau capsulaire (MF) qui s'y termine ( fig. 104, 105, 106). Ces fibres venues de l'écorce s'c
t en dehors du ganglion intcrpédonculaire. GAP. Le noyau de l'anse ( fig. 107) sera étudié à l'occasion des coupes de la pl
tudié à l'occasion des coupes de la planche XXIX. CL. Le claustrum ( fig. 106), cloison grise verticale, intermédiaire à la
intermédiaire à la capsule externe (CE) et à la capsula extrema (LFS, fig. 104), occupe ici encore toute la région du fond d
BO. Bandelette optique (104, 105, 106, 107). PY. Le pont de Varole ( fig. 105) est réduit à la couche la plus superficielle
édiane, immédiatement en arrière de l'espace perforé postérieur (EPP, fig. 104). Lorsque les plans les plus antérieurs du po
la protubérance, la coupe n'intéresse plus que le pédoncule cérébral ( fig. 106, 107, 108), où l'on reconnaît deux étages : l
ns la couche optique, au-dessus du faisceau tegmento-thalamique (CAO, fig. 101), d'autre part dans le discus lentiformis (DL
lamique (CAO, fig. 101), d'autre part dans le discus lentiformis (DL, fig. 402) par l'intermédiaire de la radiatio fasciculi
faisceau longitudinal postérieur d'où elle émane. On la voit encore ( fig. 105, 105) poursuivre son trajet postéro-antérieur
ment en arrière du tubercule mamillaire (ici le tubercule mamillaire ( fig. 108) n'est représenté que par le petit faisceau d
roflex dans le ganglion interpédonculaire. LTE. La lamina tegmenti ( fig. 105), que nous avons vue s'épuiser progressivemen
e recouvertes par l'anse du noyau lenti- Fl\ Le faisceau pyramidal ( fig. 105, 106) est sectionné au-dessus il la bandelett
ette substance qui fait corps avec le pédoncule (voy. SG, pl. XXVIII, fig. 107). Les deux traînées grises dont il s'agit rep
en plus nombreuses à la lame médullaire externe de la couche optique ( fig. 104, 106); les fibres les plus internes s'enfonce
yau rouge, glissent obliquement au-dessus du discus lentiformis (I)L, fig. 105), et vont, à leur tour, rejoindre la lame méd
mplètement épuisées, il en reste toujours un faisceau plus antérieur ( fig. 106, 107, NL), superposé au discus lentiformis, e
au géniculé, représenté par les stries foncées de la capsule interne ( fig. 105,106,107), semble s'étendre beaucoup plus loin
cédemment entre la couche optique (ThA) et le noyau lenticulaire GLM ( fig. 108). En effet, à ce niveau le faisceau géniculé
u lenticulaire se porte en bas vers l'espace perforé postérieur (EPP, fig. 104) dont elle forme le bord externe à la partie
moins intime; elle occupe, à elle toute seule, le pied du pédoncule ( fig. 107, 108, ANL), tandis que le faisceau géniculé p
s le noyau lenticulaire du corps strié. MF. Le faisceau capsulaire ( fig. 105), encore compact vers le bord antérieur du di
ur, de dedans en dehors, vers la lame médullaire externe du thalamus ( fig. 106) et en hauteur vers la substance grise de la
D'autre part, les coupes horizontales de l'hémisphère (voy. pl. XXXV, fig. 6) nous font voir que la couche blanche des fibre
ter dans la substance grise de l'espace perforé postérieur (pl. XXIX, fig. 113), à l'endroit même où vient aboutir en sens i
e optique, située immédiatement au-dessus du faisceau capsulaire (MF, fig. 108), est une masse convergente de fibres en pinc
es et parfaitement visibles sur les coupes horizontales (voy. pl. 58, fig. 1, 2, 5, ThA). Elles se dirigent d'avant en arriè
t dans la substance grise du noyau externe de la couche optique (NeC, fig. 107) ; à la fin de ce trajet, elles deviennent fr
e du môme faisceau sur les coupes 107 et 108. — Sur certaines coupes ( fig. 105) on voit les fibres les plus postérieures de
naissablcs : 1° un faisceau inférieur ou faisceau d'Arnold (pl. XXIX, fig. 109, AR); 2° un faisceau supérieur, auquel on p
rieure de la couche optique (ThA). BSO. La bandelette sous-optique ( fig. 103, 104) immédiatement accolée à la queue du noy
de la même façon la convexité antéro-externe du noyau amygdalien (NA, fig. 107), et nous les y voyons s'y enfoncer (fig. 107
u noyau amygdalien (NA, fig. 107), et nous les y voyons s'y enfoncer ( fig. 107) sous l'aspect de stries blanches, obliques e
erposent, en tout cas, aux fibres les plus antérieures du taenia (ïœ, fig. 108), lorsque celles-ci s'étalent sur la voûte du
ace inférieure du noyau amygdalien. Tae. Le taenia semi-circularis ( fig. 108), situé entre la queue du noyau caudé et le n
t débarrassée de ses plexus. ThI. La racine inférieure du thalamus ( fig. 104) présente encore ici la coloration claire qui
de la racine du thalamus, avec la teinte foncée correspondante (ThI, fig. 106). Sur cette dernière coupe on notera l'appa
nnent un aperçu de cette disposition. CA. La commissure antérieure ( fig. 107) est un faisceau cornmis-sural qui réunit les
unit les troisième et quatrième circonvolutions sphé-noïdales (T3, T\ fig. 107) et le lobule de l'hippocampe (IIL, 107) d'un
t en dehors, et comme c'est là précisément qu'a lieu sa dissociation ( fig. 104, CA), il est très difficile de distinguer ses
s dernières, forment le segment inférieur de la capsule interne (CIF, fig. 105). Au fur cl à mesure que les coupes irilére
e, dissociée par les fibres de la racine inférieure du thalamus (ThT, fig. 106), il ne faut pas s'attendre à la voir se cond
er immédiatement sous la cloison externe du noyau lenticulaire (MLE), fig. 106). C'est seulement sur la figure 107 qu'on tro
s la troisième, la quatrième et la cinquième. ce. Le corps calleux ( fig. 104). Voy. pl. XXIV et XXV. TRI. Le trigone cér
calleux (fig. 104). Voy. pl. XXIV et XXV. TRI. Le trigone cérébral ( fig. 104). Voy. pl. XXIV et XXV. FSe. Le faisceau se
fig. 104). Voy. pl. XXIV et XXV. FSe. Le faisceau sensitif externe ( fig. 107), réduit à une toute petite masse prismatique
ci que ce faisceau se confond, par sa teinte foncée, avecl'avant-mur ( fig. 108). Sur les coupes précédentes (103 à 106) il é
dhérent à la substance grise du putamen; il en est séparé maintenant ( fig. 107, 108) par une lame blanche, qui appartient à
a capsule externe. CIF. Le segment inférieur de la capsule interne ( fig. 103, 108), étendu sous le noyau lenticulaire, fai
au système des fibres du pied du pédoncule. CI. La capsule interne ( fig. 106) s'étale à la face interne des trois articles
de ces fibres qui sont en étroite connexion avec le noyau caudé (NC, fig. 106) et que nous avons appelées fibres lenticulo-
fibres lenticulo-caudêes (LCf). LCf. Les fibres lenticulo-caudées ( fig. 106, 108) sont des fibres qui, bien que faisant p
ule (PP), sans traverser le novau lenticulaire. du noyau caudé (NC, fig. 106), sortent de ce noyau par sa face inférieure,
ux segments internes du noyau lenticulaire. CE. La capsule externe ( fig. 106), renforcée à sa partie inférieure par les fi
inférieure par les fibres externes du faisceau sensitif externe (FSe, fig. 107, 108), envoie un prolongement au-dessous du p
plication de cet enchevêtrement de fibres. LFS. La capsula extrema ( fig. 104, 107) présente, sur certains points de son ét
ées qui démontrent qu'elle fournit des fibres au faisceau arqué (ARC, fig. 104) et au faisceau parallèle (PAR, fig. 105). A
bres au faisceau arqué (ARC, fig. 104) et au faisceau parallèle (PAR, fig. 105). A part cela, elle représente toujours le sy
iation des circonvolutions de l'insula. PAR. Le faisceau parallèle ( fig. 105) se confond, en apparence, avec le faisceau s
hacun des faisceaux garde son indépendance. ARC. Le faisceau arqué ( fig. 105,104), nédansl'écorce de l'opercule et de la d
emarquer qu'il est situé au-dessous du faisceau pariéto-fronlal (FPF, fig. 105, 108), connue il l'était dès son apparition à
interne et de la capsule externe. FPF. Le faisceau pariéto-frontal ( fig. 103) est accolé à la deuxième circonvolution fron
immédiatement au-dessus du faisceau arqué (ARC). Cin. Le cingulum ( fig. 105) garde toujours à peu près le môme volume. Se
s, en tout cas, ne varient pas. FCF. Le faisceau compact du fornix ( fig. 105) nous offre ici une coloration très remarquab
r tour, dans la substance grise. FDF. Le faisceau diffus du fornix ( fig. 105) présente les mêmes variations de couleur sur
coupes toutes voisines (105, 108). CO. Le faisceau du centre ovale ( fig. 105, voy. pl. XXV). FLI. Le faisceau longitudin
(fig. 105, voy. pl. XXV). FLI. Le faisceau longitudinal inférieur ( fig. 104), sous-jacent au plancher du ventricule, se p
u ventricule, se prolonge dans la circonvolution de l'hippocampe (Ts, fig. 108), où il se termine. Il forme lui-même le plan
ine. Il forme lui-même le plancher du diverlicidmn sub subiculo (Dsu, fig. 106, 108). Ainsi s'explique la netteté absolue de
ître par deux origines de la substance grise du troisième ventricule ( fig. 108). Il existe bien, en réalité, deux origines à
versalc apparaîtra sur la coupe 109 de la planche suivante (pl. XXIX, fig. 109, TM). Le faisceau d'origine le plus interne f
aisceau externe, comme on le verra à l'occasion de la coupe suivante ( fig. 109), emprunte aussi des fibres nombreuses au noy
euxième circonvolution frontale (F2) présente un grand développement ( fig. 109); et elle n'est séparée de la troisième front
t le pied du pédoncule, occupé par l'anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 110, 111, 115); accolée à l'anse du noyau lenticu
); accolée à l'anse du noyau lenticulaire, la bandelette optique (BO, fig. 112,115) s'enfonce comme un coin entre le pied du
t que les coupes passent à travers le corpus album sub-rotundum (NaC, fig. 109), la corne frontale du ventricule latéral s'é
très faible hauteur. Lorsqu'elles passent au-devant de ce tubercule ( fig. 113, 114), la corne ventriculaire redevient plus
tié externe de sa paroi inférieure est formée par le noyau caudé (NC, fig. 114), et la moitié interne par l'extrémité antéri
rieures. Lorsque le ventricule latéral (VS) est réduit à une fissure ( fig. 112, 115), il en forme encore la paroi supérieure
roi supérieure; et lorsque la coupe passe au-devant de cette fissure ( fig. 114), il est nettement séparé de la lame blanche
partiennent à la bandelette sous-optique (BSO). NC. Le noyau caudé ( fig. 114). NCC. La queue du noyau caudé (fig. 109),
SO). NC. Le noyau caudé (fig. 114). NCC. La queue du noyau caudé ( fig. 109), à peine reconnais-sable, se perd au milieu
res de la bandelette sous-optique (BSO, 110, 111). PUT. Le putamen ( fig. 110, 111) présente à sa partie inférieure et exte
ion : c'est de là que part la couronne rayonnante de ce novau (R1L, fig. 109, 115). GLM, GLP. Le globus medialis et le g
fig. 109, 115). GLM, GLP. Le globus medialis et le globus pallidus ( fig. 111, 112) sont sectionnés ici au niveau du diamèt
lis ; le tronçon interne pourrait être appelé globus accessoire (GLA, fig. 110). C'est dans l'intimité même du globus access
ns l'intimité même du globus accessoire que le faisceau géniculé (FG, fig. 113), venu de la capsule interne (FG, 111), décri
l'anse du noyau lenticulaire. NaC. Le noyau antérieur du thalamus ( fig. 109, 110, 112,113) reçoit le faisceau de Vicq-d'A
amus (fig. 109, 110, 112,113) reçoit le faisceau de Vicq-d'Azyr (FVA, fig. 109) par sa face inférieure; il est séparé du noy
inférieure; il est séparé du noyau externe par le stratum zonale (ZS, fig. 110) dont les fibres se confondent avec celles du
pect : nous allons dire comment. NeC. Le noyau externe du thalamus ( fig. 110) est toujours celui des trois noyaux de la co
t tranchées. En dehors il s'arrête à la lame médullaire externe (LML, fig. 111); en dedans il est borné par le faisceau de V
libres qui y viennent aboutir de tous côtés : fibres du taenia (Tae, fig. 114), fibres de la racine antérieure (ThA, 111,11
antérieure (ThA, 111,112), fibres de la lame médullaire externe (LML, fig. 112); toutes ces fibres s'entre-croisent dans la
9, 110, 114). SG. La substance grise de l'espace interpédonculaire ( fig. 109 111) diminue de quantité au voisinage du tube
Elle est toujours intercalée entre l'anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 109, 111) et le discus lentiformis (DL, fig. 109)
noyau lenticulaire (ANL, fig. 109, 111) et le discus lentiformis (DL, fig. 109). Elle n'a môme plus de continuité absolue :
es, par les libres de l'anse (ANL, 110). DL. Le discus lentiformis ( fig. 109), divisé au niveau de son extrémité antérieur
nterior corporis mamillaris). GAP. Le noyau de l'anse pédonculaire ( fig. 111, 112, 114). — Avant de donner la description
oche progressivement de la ligne médiane. FG. Le faisceau géniculé ( fig. 111) est tout ce qui reste du pied du pédoncule.
peu plus en arrière (voy. pl. XXVIÍÍ, FP). 11 se contourne en hélice ( fig. 112), de telle sorte que ses fibres postérieures
erne au-dessus du globus medialis, tandis que ses fibres antérieures ( fig. 113, FG) suivent un trajet postéro-antérieur. Les
suivent un trajet postéro-antérieur. Les plus antérieures de toutes ( fig. 114) se relèvent à leur tour avant de contourner
chacun des faisceaux commence à se manifester d'une manière évidente ( fig. 113). Le faisceau géniculé aborde le noyau lentic
nte en dedans et d'arrière en avant, sous le faisceau capsulaire (MF, fig. 113, 114). ANL. L'anse du noyau lenticulaire (1
dont nous avons indiqué un peu plus haut le trajet et l'origine (Tmp, fig. 113). MF. Le faisceau capsulaire (fig. 109), di
le trajet et l'origine (Tmp, fig. 113). MF. Le faisceau capsulaire ( fig. 109), dirigé d'arrière en avant au-dessus de l'ex
formis (DL), se répand dans la capsule interne, en haut et en dehors ( fig. 111)* de la façon que nous avonsdéjà signalée. En
naissance dans la substance grise de l'espace perforé postérieur (SG, fig. 111) et peut-être aussi dans le tubercule mamilla
, fig. 111) et peut-être aussi dans le tubercule mamillaire lui-même ( fig. 112, TM). Plus en avant encore (fig. 113) elles s
e tubercule mamillaire lui-même (fig. 112, TM). Plus en avant encore ( fig. 113) elles se confondent en apparence avec le fai
-ci se séparer bientôt du faisceau capsulaire, en formant avec lui ( fig. 114) un angle dans lequel s'insinuent les fibres
re-croise avec les libres terminales de la racine inférieure (ThI). fig. 109). Elle occupe une bonne partie de la hauteur
de la hauteur de ce faisceau dans le noyau externe du thalamus (NeC, fig. 110). Plus en avant, quand le faisceau de Vicq-d'
us en avant, quand le faisceau de Vicq-d'Azyr est épuisé, ses fibres ( fig. 114) s'entre-croisent avec les ramifications term
de la première et de la deuxième. EVA. Le faisceau de Vicq-d'Azyr ( fig. 109) remonte directement de bas en haut jusqu'au-
e antérieur de la couche optique (NaC) et se porte à sa face externe ( fig. 110); là il se confond avec le stratum zonalc (ZS
, 111, qu'il prend naissance dans la capsule blanche de ce tubercule ( fig. 109) et dans la substance grise (fig. 111) du gan
apsule blanche de ce tubercule (fig. 109) et dans la substance grise ( fig. 111) du ganglion lui-même. Dans la première parti
que par les dernières fibres de projection du faisceau d'Arnold (AR, fig. 109, 110). Il semble même que le faisceau d'Arnol
aller se jeter dans la substance grise du troisième ventricule (AR, fig. 113, 114). En dedans, le faisceau de Yicq d'Azyr
les fibres de la racine inférieure de la couche optique (ThI). Sur la fig. 112, une partie de ses fibres d'origine dans le t
mamil-laire (TM) font suite à la capsule blanche de ce noyau. Sur la fig. 115 un tout petit faisceau ramifié (FVA) représen
contourné la queue du noyau caudé de façon à être située maintenant ( fig. 109) à la partie supérieure et externe de ce gang
re et externe de ce ganglion. Puis, lorsque le noyau caudé a disparu ( fig. 110), elle se place à la partie externe du gangli
reconnaît sur les coupes 109, MO, 111. Puis, plus en avant encore ( fig. 112, 115), alors que la fente vcntriculaire a dis
e qui est l'expansion ultime du faisceau longitudinal inférieur (FLI, fig. 112, 113). Au-dessus de cette lamelle le noyau am
ce même de la cavité vcntriculaire. Là, elle se relève, en décrivant ( fig. 114) une courbe à convexité inférieure et en se r
le, comme un stratum zonale. ThI. La racine inférieure du thalamus ( fig. 109, 110), accolée à la partie interne du faiscea
is elles passent au-dessus de la bandelette optique sans s'y arrêter ( fig. 113, 114); elles sont, dans cette partie de leur
segments du noyau lenticulaire par la substance grise de Vanse (GAP, fig. 114); à leur partie externe on voit la commissu
suivent la même direction, depuis la substance grise de l'anse (GAP, fig. 112, 114) jusque dans le centre ovale du lobe sph
une autour du noyau amygdalien (NA). CA. La commissure antérieure ( fig. 109, 110), oblique en haut et en avant, pénètre,
uttière sous-jacente à la cloison externe du noyau lenticulaire (MLE, fig. 110); mais elle franchit d'abord le prolongement
is elle franchit d'abord le prolongement sphénoïdal du putainen (GAP, fig. 111), passant derrière le bord postérieur de cett
onnaire, — que nous savons être le noyau de l'anse lenticulaire (GAP, fig. 114). Dans cette partie de son trajet ascendant e
t en rapport, en dehors, avec la couronne rayonnante du putamen (BIL, fig. 113), en dedans avec la racine inférieure du thal
BIL, fig. 113), en dedans avec la racine inférieure du thalamus (ThI, fig. 113, 114). ce. Le corps calleux (fig. 113, 114)
inférieure du thalamus (ThI, fig. 113, 114). ce. Le corps calleux ( fig. 113, 114) augmente de largeur et d'épaisseur. L'a
n d'épaisseur tient à l'accroissement des fibres du centre ovale (CO, fig. 114) dans la région frontale de l'hémisphère. C'e
couronne rayonnante du noyau caudé (RNC). TRI. Le trigone cérébral ( fig. 114) n'est plus relié au corps calleux que par le
son gauche du septum lucidum. PEL. Le septum lucidum ou pellucidum ( fig. 114) n'a encore qu'une faible hauteur. Il se comp
ie dans la capsule externe (CE). FSe. Le faisceau sensitif externe ( fig. 114), de plus en plus mince, se perd dans la couc
a pu donner le nom de couronne rayonnante de la base du putamen (RIL, fig. 113). RIL. La couronne rayonnante de la base du
(RIL, fig. 113). RIL. La couronne rayonnante de la base du putamen ( fig. 113) est le faisceau le plus compact des irradiat
à connaître sous la désignation de noyau de l'anse pédonculaire (GAP, fig. 111, 112, 114). La couronne rayonnante du putamen
ne rayonnante du putamen (RIL) paraît interrompue dans sa continuité ( fig. 109) par une lame blanche descendue de la capsule
robabilité, à la face interne du claustrum. CE. La capsule externe ( fig. 109) est formée par les fibres les plus inférieur
st formée par les fibres les plus inférieures du faisceau arqué (ARC, fig. 112); par les fibres les plus supérieures du fais
s du faisceau parallèle ; par la couronne rayonnante du putamen (RIL, fig. 109, 113). On voit aussi qu'elle reçoit des fibre
9, 113). On voit aussi qu'elle reçoit des fibres du centre ovale (CO, fig. 112), des fibres qui proviennent du corps calleux
, à travers la moelle du lobe frontal. FU. Le fasciculus uncinatus ( fig. 115, 114) est un faisceau compact qui apparaît su
e). entremêlé aux fibres de la couronne rayonnante du putamen (RIL, fig. 109), puis, bientôt, franchement isolé et indépen
gé d'arrière en avant, au-dessous et en dehors de la capsule externe ( fig. 114). Mais cette Profil de l'hémisphère gauche
la racine inférieure du thalamus, de la bandelette sous-optique (voy. fig. 114 et schéma 179) se recourbe en avant et en hau
ous-jacent à la capsule externe. LCf. Les fibres lenticulo-caudées ( fig. 112) coupent obliquement en bas et en dehors la c
parallèles aux fibres de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. 112, 114). RNC. La couronne rayonnante du noyau
r au-dessous de la circonvolution limbique. ARC. Le faisceau arqué ( fig. 112) devient diffus vers le centre ovale : il tra
illon frontal (fy dans le manteau de la troisième circonvolution (F3, fig. 115). Il ne s'agit donc pas d'un sillon supplémen
oit augmenter progressivement la hauteur du pédicule du trigone (TRI, fig. 119, 120). Là commence le septum lucidum. La paro
u ventricule est formée par la section médiane du tuber cinereum (TC, fig. 120). Le tuber cinereum, sur cette dernière coupe
e optique (RO), qui a cessé d'adhérer au lobule de l'hippocampe (Hip, fig. 115). Elle s'écarte de ce lobule, se portant de p
ant entre elle et lui une surface plane : l'espace perforé antérieur ( fig. 119) ; à l'extrémité externe de l'espace perforé
ssus de la portion la plus antérieure du lobule de l'hippocampe (Hip, fig. 120), la coupe a entamé les branches perforantes
dedans de celui-ci s'étalent les fibres terminales du taenia (Tae, fig. 117, 118), au milieu desquelles on reconnaît la s
squelles on reconnaît la section de la veine de la bandelette cornée ( fig. 118). La paroi interne du ventricule est formée p
ne du ventricule est formée par le pilier descendant du trigone (TRI, fig. 119) et par son pédicule qui formera le septum lu
calleux. Substance grise. . NaC. Le noyau antérieur du thalamus ( fig. 115) n'existe plus en réalité sur les coupes de c
qui le recouvrent et qui s'étalent sur sa convexité antérieure (Tae, fig. 117, 118, 119, 120). Quant aux noyaux externe et
externe et interne, les coupes passent devant eux. PUT. Le putamen ( fig. 117, 118, 120), aussitôt après que les noyaux ext
les coupes précédentes, parce qu'il émet en quantité des fibres (LCf, fig. 118) destinées au noyau caudé. Son bord inférieur
é. Son bord inférieur s'allonge en dedans vers le tuber cinereum (TC, fig. 120); il forme ainsi le noyau de l'anse (GAP, 120
commissure antérieure (CA, 118, 119, 120). GLP. Le globus pallidus ( fig. 117, 118) s'incurve, lui aussi, en haut et en ded
nombre de fibres qui semblent se jeter dans le faisceau d'Arnold (AR, fig. 118), mais qui, selon toute vraisemblance, se réf
ndre à l'anse du noyau lenticulaire (ANL). GLM. Le globus medialis ( fig. 119), au voisinage de son extrémité antérieure, a
ar les fibres les plus internes de l'anse. GAP. Le noyau de l'anse ( fig. 117, 118, 119, 120) établit une démarcation bien
se confond en partie avec la substance grise du tuber cinereum (TC, fig. 119, 120), à laquelle est accolée la bandelette o
TC, fig. 119, 120), à laquelle est accolée la bandelette optique (BO, fig. 120). Substance blanche. BO. La bandelette op
nche. BO. La bandelette optique se rapproche du tuber cinereum (TC, fig. 117, 119, 120), laissant entre elle et la circonv
120), laissant entre elle et la circonvolution de l'hippocampe (Hip, fig. 120) un intervalle horizontal qui est l'espace pe
, parait s'enfoncer de dedans en dehors dans le globus medialis (GLM, fig. 115). En réalité, il passe devant ce ganglion et
compliqués dont il s'agit. ANL. L'anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 115) est un faisceau de fibres transversales, sit
u'ils se perdent dans la capsule interne au voisinage du taenia (Òàç, fig. 117, 118). ThA. La racine antérieure de la couc
àç, fig. 117, 118). ThA. La racine antérieure de la couche optique ( fig. 115 et suiv.) se présente sous l'aspect d'un fais
édent jusque dans la partie postérieure et inférieure du thalamus. ( fig. 118, 119, 120), la racine antérieure se compose d
s elles mélangent leurs fibres au niveau du tubercule antérieur (NaC, fig. 115). AR. Le faisceau d'Arnold, encore très com
bres avec celles de la racine antérieure de la couche optique (ThÀ, fig. 116, 117 et suiv.). La masse des fibres foncées
ines de la voûte du trigone). DE. Le pilier descendant de la voûte ( fig. 116,117,118 et suiv.) apparaît dans la substance
suiv.) apparaît dans la substance grise du troisième ventricule (SG, fig. 116, 117). Il est constitué par une masse homogèn
passage au pilier descendant (DF). BSO. La bandelette sous-optique ( fig. 115) passe obliquement en avant et en dedans, au-
ous-optique filer transversalement sous la forme d'une mince lamelle ( fig. 117), entre la substance grise de l'hippocampe (H
c'est-à-dire que la coupe passe au devant de sa convexité antérieure ( fig. 118), et la racine inférieure de la couche optiqu
la bandelette sous-optique. ThI. La racine inférieure du thalamus ( fig. 115), au-dessus de la circonvolution de l'hippoca
a direction des fibres est oblique. Mais un peu plus loin en avant ( fig. 119), elles deviennent franchement horizontales e
dont elles formeront la partie la plus reculée. Plus en avant encore ( fig. 120), elles occupent la totalité du triangle post
s ici, elles s'insinuent entre la racine antérieure du thalamus (ThA, fig. 115, 116, 117, 118) et le pilier descendant de la
re au-dessous du tubercule antérieur. CA. La commissure antérieure ( fig. 115) franchit le bord postérieur de la lame grise
franchit le bord postérieur de la lame grise sous-lenticulaire (GAP, fig. 116, 117) et suit Sens de la torsion des libres
pour gagner l'espace perforé antérieur (EPA). ce. Le corps calleux ( fig. 116) ne diffère pas de ce qu'il était sur les cou
ontale interne, plus spécialement vers la circonvolution limbique (C, fig. 119, 120). Dans ce trajet elles accompagnent la r
e ligne de démarcation. Sur les coupes horizontales (voy. pl. XXXY1I, fig. 10, M), on se rend compte assez facilement de ces
rémité la plus antérieure de la tête du corps strié (voy. pl. XXXIII, fig. 155). TRI. Le trigone cérébral (fig. 118, 119,
corps strié (voy. pl. XXXIII, fig. 155). TRI. Le trigone cérébral ( fig. 118, 119, 120), ramassé sur lui-même, ne se compo
s antéro-postérieures; il s'éloigne du corps calleux et se rapproche ( fig. 120) du pilier descendant (DF), qui se continue a
troisième ventricule (schéma 186). Tae. Le taenia semi-circularis ( fig. 118, 119, 120) se présente sous l'aspect d'une la
tique ; cette lamelle se porte de haut en bas et de dehors en dedans ( fig. 120), vers la ligne médiane où elle est brusqueme
nnée, entre le trigone (TRI) et le pilier descendant de la voûte (DF, fig. 120). Elle se prolonge donc plus loin, et nous la
mpt la continuité de ses fibres. LCf. Les fibres lenticulo-caudées ( fig. 118,120), plus nombreuses à mesure que les coupes
globus medialis (GLM). RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé ( fig. 118, 119), mêlée aux fibres lenticulo-caudées, se
ire partie de la capsula extrema. L'intervalle qui, au-dessus de lui ( fig. 120), sépare le claustrum et l'écorce (c'est-à-di
ec l'extrémité antéro-inférieure du faisceau diffus du fornix (FDF, fig. 117) qui s'étale dans toute la largeur du pôle sp
ur du pôle sphénoïdal. LML. La lame médullaire externe du thalamus ( fig. 119), mêlée en partie avec le faisceau d'Arnold (
nt l'angle rentrant du genou de la capsule. ARC. Le faisceau arqué ( fig. 118) ne diffère pas ici de ce que nous l'avons to
iéto-frontal, isolé d'abord sous la deuxième circonvolution frontale ( fig. 115), puis confondu avec le faisceau arqué (fig.
onvolution frontale (fig. 115), puis confondu avec le faisceau arqué ( fig. 117), puis, de nouveau isolé (fig. 118), et final
s confondu avec le faisceau arqué (fig. 117), puis, de nouveau isolé ( fig. 118), et finalement confondu avec le faisceau arq
veau isolé (fig. 118), et finalement confondu avec le faisceau arqué ( fig. 120), prend ses insertions postérieures dans la d
ns antérieures dans la première. FDF. Le faisceau diffus du fornix ( fig. 116) se mêle au faisceau pariéto-frontal dans la
e circonvolution frontale (F1) et au faisceau compact du fornix (FCF, fig. 116) dans la circonvolution limbique. Nous avons
frontal et l'extrémité inférieure au pôle sphénoïdal (voy. pl. XIII, fig. 16, et pl. XVI). Nous savons qu'il se confond en
il se confond en dedans avec le faisceau longitudinal inférieur (FLI, fig. 115). FLI. Le faisceau longitudinal inférieur (
inférieur (FLI, fig. 115). FLI. Le faisceau longitudinal inférieur ( fig. 115) se reconnaît aisément, jusqu'à son extrémité
dinal est arrêté en haut par le diver-ticulum sub subiculo (pl. XXIX, fig. 110, Dsu). Ce diverticulum va jusqu'à l'écorce ;
en haut par les fibres transversales de l'alveus et du tapetum (TAP, fig. 115, 116) étalées sous le noyau amygdalien (NA).
circonvolution de l'hippocampe. FCF. Le faisceau compact du fornix ( fig. 116). Cin. Le cingulum (fig. 115, 116). PLANCHE
e. FCF. Le faisceau compact du fornix (fig. 116). Cin. Le cingulum ( fig. 115, 116). PLANCHE XXXI coupes vertico-transv
avec la quatrième. Mais on reconnaît encore leur subdivision sur les fig. 125 et 126, où un petit sillon en crochet, à conv
n petit sillon en crochet, à convexité supérieure, les sépare (T4 T3, fig. 126). La scissure de Sylvius s'enfonce vers l'i
A la face interne des coupes, le pilier antérieur du trigone (TRI, fig. 122) ferme complètement la cavité ventriculaire.
lier et un peu en avant de lui, la commissure blanche antérieure (CA, fig. 124, 125, 126) est divisée sur la ligne médiane.
ieure, la section interhémisphérique a divisé la lame terminale (LAT, fig. 125), qui surmonte le chiasma optique (Cil). En
du chiasma, s'étend horizontalement l'espace perforé antérieur (EPA, fig. 123). Cavité ventriculaire. La corne frontale
triculaire. La corne frontale aplatie au-dessus du noyau caudé (NC, fig. 125) augmente de hauteur dans son tiers interne,
ns son tiers interne, où elle a pour paroi inférieure le taenia (Ta3, fig. 122), le stratum zonale (ZS, fig. 124), et, au
ur paroi inférieure le taenia (Ta3, fig. 122), le stratum zonale (ZS, fig. 124), et, au devant du stratum zonalc, la subst
devant du stratum zonalc, la substance grise du septum luci-dum (GSL, fig. 125). Nous verrons que cette masse de substance g
vers la base de l'encéphale. Substance grise NC. Le noyau caudé ( fig. 125), en avant de l'extrémité antérieure du taeni
caudé (fig. 125), en avant de l'extrémité antérieure du taenia (Tse, fig. 125) se prolonge donc en bas et en dedans avec la
notablement de volume, et les fibres de sa couronne rayonnante (RNC, fig. 121, 122) sont de plus en plus nombreuses. PUT.
C, fig. 121, 122) sont de plus en plus nombreuses. PUT. Le putamen ( fig. 121, 122, 123, 125) se rapproche de la ligne médi
3, 125) se rapproche de la ligne médiane et aussi du noyau caudé (NC, fig. 125). L'intervalle de ces deux noyaux diminue trè
dus, gagner la face inférieure du putamen. GAP. Le noyau de l'anse ( fig. 121) s'amincit en avant; il forme un feuillet d'u
arrière du chiasma (CH). GSL. La substance grise du septum lucidum ( fig. 125) est le prolongement inférieur et antérieur d
eplum lucicum se continue, au devant de la commissure antérieure (CA, fig. 125) avec celle de la lame terminale (LAT). Elle
vers la commissure, la mince couche grise de la lame terminale (LAT, fig. 125,126), laquelle se confond, autour de la commi
la substance grise du septum (GSL). CL. Le claustrum ou avant-mur ( fig. 121) est cette cloison de substance grise, dont n
it que l'avant-mur, situé verticalement entre la capsule externe (CE, fig. 121) et la capsula extrema (LFS, fig. 123), occup
t entre la capsule externe (CE, fig. 121) et la capsula extrema (LFS, fig. 123), occupe au fond de la scissure de Sylvius un
verticale, de la substance grise de l'isthme fronto-sphénoïdal (IFS, fig. 126). Pour bien comprendre cette origine il faut
ais elle est arrêtée par la masse énorme du fasciculus uncinatus (FU, fig. 125). Plus en avant (fig. 124, 125), lorsque le f
a masse énorme du fasciculus uncinatus (FU, fig. 125). Plus en avant ( fig. 124, 125), lorsque le fasciculus uncinatus passe
dalien est séparé de l'avant-mur par la capsule externe (CE, pl. XLI, fig. 1, 5, 4) et par les fibres les plus antérieures d
et par les fibres les plus antérieures de la commissure blanche (CA, fig. 9, 10). Sur la coupe vertico-transversale 121 d
it des fibres du faisceau sensitif externe. LAT. La lame terminale ( fig. 125, 126), voy. FSL, SG, Substance blanche. A
y. FSL, SG, Substance blanche. ANL. L'anse du noyau lenticulaire ( fig. 121, 122, 125, 124) se confond ici avec le globus
fig. 121, 122, 125, 124) se confond ici avec le globus medialis (GLM, fig. 122), et c'est là une disposition faite pour rend
elles décrivent. Plus loin encore elles sont représentées simplement ( fig. 126, ANL) par un tractus blanc situé immédiatemen
face inférieure du noyau lenticulaire. ANC. L'anse du noyau caudé ( fig. 122, 125,124) est une lamelle Projection horizo
s plans vertico-trans-versaux que sur un très petit nombre de coupes ( fig. 122, 125, 124), c'est-à-dire seulement au niveau
ou de lame isolée. ThA. La racine antérieure de la couche optique ( fig. 121, 122, 125, 125, 126) forme la partie la plus
la partie la plus inférieure et interne de la capsule interne (CI, fig. 122). Elle est sectionnée ici à peu près perpendi
t à ce que les fibres de la couronne rayonnante du noyau caudé (RISC, fig. 121 et 122) la traversent de part en part, dirigé
acine antérieure du thalamus. DF. Le pilier descendant de la voûte ( fig. 121) s'enfonce dans la substance grise du troisiè
tricule (SG) qui va bientôt se confondre avec la lame terminale (LAT, fig. 125). Pendant une petite portion de son trajet ve
er dans la substance grise. En haut il se confond avec la voûte (TRI, fig. 122). Un peu plus en avant (fig. 125), il forme l
ut il se confond avec la voûte (TRI, fig. 122). Un peu plus en avant ( fig. 125), il forme le bord le plus antérieur du ventr
rme le bord le plus antérieur du ventricule moyen et rejoint en haut ( fig. 125, 124, 125) le corps calleux (ce). Sur la coup
en arrière de la commissure. ThI. La racine inférieure du thalamus ( fig. 121) remonte obliquement en haut et en arrière, e
erse, le taenia (Tse). Elle vient de l'espace perforé antérieur (EPA, fig. 122, 125) dont elle occupe maintenant toute l'épa
seur. Elle remonte de môme, en faisceau compact, vers le taenia (Tae, fig. 125), qui ne fait qu'un avec le stratum zonale (Z
taenia (Tae, fig. 125), qui ne fait qu'un avec le stratum zonale (ZS, fig. 124), immédiatement en arrière de la commissure a
ne dépasse jamais. Tae. Les fibres les plus antérieures du taenia ( fig. 121), parvenues en avant du noyau antérieur de la
si le stratum zonale de la région thala-mique la plus antérieure (ZS, fig. 121) et se mêlent, comme nous venons de le dire,
e nous venons de le dire, avec la racine inférieure du thalamus (THI, fig. 121), dirigée de bas en haut et de dedans en deho
la racine antérieure (ThA). Elles restent toutefois cantonnées (Tae, fig. 122) à la partie interne de cette racine. CA. L
sur les coupes 121 et 122, est sous-jacente au globus pallidus (GLP, fig. 122). Sur la coupe 123 Projection horizontale d
factive externe (OLE), passe en dedans de l'anse du noyau caudé (ANC, fig. 125 et 124), et, devenant brusquement transversal
gne médiane (CA, 124, 125, 126), au-dessus de la lame terminale (LAT, fig. 125, 126). On peut se demander comment il se fait
peut se demander comment il se fait qu'elle soit visible à la fois ( fig. 124) sous le globus pallidus et sur la ligne médi
e (IIL). de la ligne médiane, elle s'abaisse vers l'espace perforé ( fig. 125), qu'elle n'atteint d'ailleurs jamais. Tantôt
des faisceaux de fibres issues de la racine moyenne du nerf olfactif ( fig. 124, 125, 126, OLC). On sait que chez certains an
sule reçoit la presque totalité des fibres de la lame terminale (LAT, fig. 126). Or la lame terminale est, elle aussi, une c
ment isolée et fonctionnellement spécialisée. ce. Le corps calleux ( fig. 125, 124, 125, 126) (voy. pl. XXX, p. 585). TRI
5, 124, 125, 126) (voy. pl. XXX, p. 585). TRI. Le trigone cérébral ( fig. 122, 125) se confond avec le pilier descendant de
L. Septum lucidum. CIA. Le segment antérieur de la capsule interne ( fig. 122), à sa partie supérieure et externe, renferme
e, renferme les fibres de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. 122); à sa partie moyenne les fibres lenticulo-ca
NC, fig. 122); à sa partie moyenne les fibres lenticulo-caudées (LCf, fig. 125); à sa partie inférieure et interne, la racin
partie inférieure et interne, la racine antérieure du thalamus (ThA, fig. 121,122,125). Cette olernière nous est connue.
Cette olernière nous est connue. LCf. Les fibres lenticulo-caudées ( fig. 122) se confondent insensiblement avec la couronn
lieu de la substance foncée de la racine tha-lamique antérieure (ThA, fig. 125), proviennent non-seulement du noyau caudé (N
r, d'ailleurs, qu'elles rejoignent l'anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 124) au moment où celle-ci passe d'avant en arriè
n arrière en dedans du globus mcdialis. ANC. L'anse du noyau caudé ( fig. 122, 125) représente donc, au-dessous du noyau ca
mmédiatement en avant des fibres les plus antérieures du taenia (Tse, fig. 126). RNC. La couronne rayonnante du noyau caud
taenia (Tse, fig. 126). RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé ( fig. 121), limitée en dehors par le claustrum (CL), en
toujours sous-jacent à la capsule externe. LFS. La capsula extrema ( fig. 125) augmente de largeur. Ses fibres inférieures,
s l'extrémité antérieure du claustrum. FU. Le fasciculus uncinatus ( fig. 121) sous-jacent à la capsule externe est séparé
il s'entre-croise avec les fibres les plus inférieures de celles-ci ( fig. 124, 125, 126). Mais la capsule conserve toujours
et en dehors vers l'insula, où il se mêle à la capsula extrema (LFS, fig. 126); l'autre interne, se porte obliquement en ba
où il se croise avec les fibres de la racine externe olfactive (OLE, fig. 124). Mais le plus grand nombre des fibres de ce
trouverons sur les coupes de la planche suivante. Cin. Le cingulum ( fig. 122, 124). FCF. Le faisceau compact du fornix (
n. Le cingulum (fig. 122, 124). FCF. Le faisceau compact du fornix ( fig. 124) présente une disposition que nous avons déjà
pact ou au faisceau diffus (FDF). FDF. Le faisceau diffus du fornix( fig. 1 24) se rapproche du corps calleux. Jusqu'à prés
calleux qu'il accompagne. Dans le lobe sphénoïdal, ce faisceau (FDF, fig. 123) s'épanouit en tous sens au-dessous de l'isth
is fronto-sphénoïdal (schéma 124). CO. Le faisceau du centre ovale ( fig. 124) présente ici son maximum d'épaisseur. Outre
il se continue sans démarcation tranchée avec la capsule externe (CE, fig. 124, 126). BO. La bandelette optique (fig. 121)
la capsule externe (CE, fig. 124, 126). BO. La bandelette optique ( fig. 121) arrive sur la ligne médiane au chiasma. CH
. 121) arrive sur la ligne médiane au chiasma. CH. Chiasma optique ( fig. 122, 125) adhère par sa face supérieure avec la s
sa face supérieure avec la substance grise de la lame terminale (LAT, fig. 125) OLC. Les fibres olfactives de la commissur
minale (LAT, fig. 125) OLC. Les fibres olfactives de la commissure ( fig. 125, 124, 125, 126), que nous avons déjà mentionn
joindre la commissure antérieure. OLM. La racine olfactive moyenne ( fig. 124), représentée par un faisceau bien compact et
euses à la commissure antérieure. OLE. La racine olfactive externe ( fig. 123, 124) se porte d'avant en arrière et de dedan
ommunication entre la troisième circonvolution et la deuxième (F3 F2, fig. 127) s'isole et se fond insensiblement avec la tr
27) s'isole et se fond insensiblement avec la troisième frontale (F3, fig. 129). La seule particularité à signaler à la fa
enfoncer vers l'insula dont la circonvolution la plus antérieure (IN, fig. 130) forme une languette accolée à la troisième f
sse de Sylvius, au fond de laquelle apparaît le pôle de l'insula (PI, fig. 127), se prolonge en bas et en dedans au-dessus d
perforé, à ce niveau, est le commencement de la vallée de Sylvius (S, fig. 127). Lorsque, sur des coupes plus antérieures
, en bas par la vallée de Sylvius. La face interne de l'hémisphère ( fig. 127) ne diffère pas d'abord de ce qui a été vu et
-dessous du septum lucidum (PEL) pour former bientôt le rostrum (ROS, fig. 151). Toutes les parties qui se trouvaient au-des
ent au-dessus du corps calleux. Ainsi, le sinus du corps calleux (sC, fig. 130), qui séparait le corps calleux de la circonv
ps calleux de la circonvolution limbique (C), sépare le rostrum (ROS, fig. 152) du tubercule de jonction (TJ); nous savons q
aenia tecta ; il apparaît aussi à la face inférieure du rostrum (tec, fig. 132). La scissure limbique (L) réduite à une faib
ure limbique (L) réduite à une faible incisure au-dessous du rostrum ( fig. 131, 132) occupe cependant sa place, entre la cir
place, entre la circonvolution limbique ou tubercule de jonction (TJ, fig. 152) et le gyrus rectus (GR) ou première circonvo
ce interne par la vallée de Sylvius. L'espace perforé antérieur (EPA, fig. 127) qui fait suite à la lame terminale (LAT) se
r de la coupe 128, dans la vallée de Sylvius (S). L'espace perforé ( fig. 128) est sectionné au niveau même de l'épa noui
le noyau caudé (NC), et la paroi interne par le septum lucidum (PEL, fig. 130) et la face supérieure du rostrum (ROS). Su
supérieure du rostrum (ROS). Substance grise. NC. Le noyau caudé ( fig. 128, 129, 130 et suiv.), après avoir atteint sa d
a dimension maximum, diminue rapidement de volume. PUT. Le putamen ( fig. 127, 128) se rapproche toujours davantage du noya
au fond de laquelle s'enfonce la racine antérieure du thalamus (ThA, fig. 129). Sur les coupes vertico-transversales en sér
e qu'on observe sur les coupes 131 et 152. GAP. Le noyau de l'anse ( fig. 127), sous-jacent au putamen (PUT) et à l'anse du
ue ici, en haut et en dedans, avec la substance grise du septum (GSL, fig. 127). Puis, lorsque le septum disparaît, remplacé
septum disparaît, remplacé par l'écorce du tubercule de jonction (TJ, fig. 150), ce noyau de l'anse se confond définitivemen
ce noyau de l'anse se confond définitivement avec le noyau caudé (NC, fig. 150). Il est, à sa partie inférieure, toujours st
e inférieure, toujours strictement limité par la capsule externe (CE, fig. 127, 128, 129). GSL. La substance grise du sept
xterne (CE, fig. 127, 128, 129). GSL. La substance grise du septum ( fig. 127) monte sur la paroi externe de la cloison et
rrêtée en avant par le pédoncule du septum. LÂT. La lame terminale ( fig. 127), blanche sur la ligne médiane, foncée en deh
e olfactive moyenne (OLM, 127). GS. La pyramide grise de Sœmmering ( fig. 127) est un noyau confondu en arrière avec la sub
nt dite, immédiatement en arrière du faisceau compact du fornix (FCF, fig. 128), réfléchi sous le rostrum du corps calleux (
rnix (FCF, fig. 128), réfléchi sous le rostrum du corps calleux (ROS, fig. 131). CL. Le claustrum (fig. 129) s'amincit pro
sous le rostrum du corps calleux (ROS, fig. 131). CL. Le claustrum ( fig. 129) s'amincit progressivement et disparaît, sans
qui se trouve immédiatement en avant et au-dessus du chiasma optique ( fig. 128). On ne le distingue pas encore sur la coupe
nce blanche. Substance blanche. OLM. La racine olfactive moyenne ( fig. 127,128) se termine dans la substance grise de la
nglion basai optique (GBO, 128). ANL. L'anse du noyau lenticulaire ( fig. 127, 128) n'apparaît plus que sous l'aspect d'une
précédemment signalé l'épaississement. ANC. L'anse du noyau caudé ( fig. 127) occupe le fond de la gouttière leriticulo-ca
lamus, bien nettement circonscrite, en dedans par le noyau caudé (NC, fig. 128) et en dehors par le putamen (PUT), montre la
es. Elle est en effet traversée par les fibres lenticulo-caudées(LCf, fig. 128,131). Mais la couronne rayonnante du noyau ca
ger au delà de la capsule proprement dite, dans le centre ovale (ThA, fig. 130) où sa striation persiste. La coupe vertico-t
fibres se présente sous la forme d'un croissant à concavité interne ( fig. 130), embrassant l'angle supéro-externe du ventri
nt au devant du putamen et n'intéressent plus que le noyau caudé (NC, fig. 132), la racine antérieure du thalamus se confond
ale. PEL. Le septum lucidum ou pellucidum, ou cloison transparente ( fig. 127), s'étend verticalement entre le corps calleu
grise que nous avons appris à connaître sous le nom de lamina tecta ( fig. 128, tec). Plus en avant, celle-ci, toujours situ
ase du scptum, se confond avec l'écorce du tubercule de jonction (TJ, fig. 129). Quant à la lame blanche du septum propremen
TJ, fig. 129). Quant à la lame blanche du septum proprement dit (PEL, fig. 151), elle s'enfonce à la partie externe de l'éco
oy. Introd.) provient de la partie la plus inférieure du septum (psp, fig. 131). Il est môme placé au-dessus et en arrière d
upes 150,131,152. PEL, septum pelluci-dum ; ROS, rostrum. (RNC, fig. J 29). Mais à partir de la coupe 150 les rapports
. Mais en réalité il ne se termine pas là. En effet, plus en arrière ( fig. 128), il se dirige vers l'espace perforé antérieu
avoir croisé les fibres les plus internes de la capsule externe (CE, fig. 127). Dans cette partie de son trajet (fig. 128 e
e la capsule externe (CE, fig. 127). Dans cette partie de son trajet ( fig. 128 et 127) il est situé entre les fibres de la r
aux fibres rayonnantes du faisceau sensitif. ce. Le corps calleux ( fig. 127) est d'abord disposé comme sur toutes les cou
squ'à l'espace perforé antérieur. ROS. Le rostrum du corps calleux ( fig. 151, 152) représente en avant l'inflexion de la g
alleuses n'est pas facile à reconnaître. Mais un peu plus en avant ( fig. 152) elles apparaissent avec plus de netteté; ell
plus antérieure de cette lame blanche (CE). CE. La capsule externe ( fig. 128), large à la face externe du putamen (PUT), m
du putamen une anse véritable, dont les fibres les plus internes (CE, fig. 130, 131) gagnent le rostrum (ROS) avec lequel el
ndent. Lorsque le putamen a disparu, c'est-à-dire lorsque les coupes ( fig. 132) passent au devant de l'extrémité antérieure
ce perforé antérieur ou vers le fond du sillon olfactif interne {Soi, fig. 130). La capsule externe semble môme mêler ses fi
e semble môme mêler ses fibres avec celles de la capsule interne (Cl, fig. 152) qui s'épanouit dans le centre ovale du lobe
ouit dans le centre ovale du lobe frontal. LES. La capsula extrema ( fig. 152), dont les rapports ne peuvent être précisés
versales sont des fibres d'association entre le pôle de l'insula (PI, fig. 152) et le lobule orbitaire. LCf. Les fibres le
ig. 152) et le lobule orbitaire. LCf. Les fibres lenticulo-caudées ( fig. 128) représentent, avec la racine antérieure du t
e que la coupe traverse des régions plus antérieures du putamen (PUT, fig. 151). Puis, lorsque le putamen a disparu (fig. 15
eures du putamen (PUT, fig. 151). Puis, lorsque le putamen a disparu ( fig. 152), la capsule interne (CI) n'est plus représen
rayonnante du noyau caudé (RNC, iîg. 132). CI. La. capsule interne ( fig. 132), plaquée en quelque sortecontre la face infé
nes, antéro-postérieures, comme appartenant à la capsule interne (CI, fig. 132). RNC. La couronne rayonnante du noyau caud
été déjà indiquées (voy. pl. XXX, ce). FU. Le fasciculus uncinatus ( fig. 127) s'étale dans toute la largeur du lobe fronta
es vont gagner, en dedans, la région du sillon olfactif interne (soi, fig. 129, 130); les plus externes vont se perdre dan
orbitaires. La portion supérieure du faisceau du centre ovale (CO, fig. 132), sortie du corps calleux, s'incline en haut
onvolution frontale (F'), où il se termine. ARC. Le faisceau arqué ( fig. 127, 128, 130, 132) garde, jusque dans les région
l'étroite connexion de ses fibres inférieures avec le claustrum (CL, fig. 129). Cin. Le cingulum (fig. 127) se confond, p
res inférieures avec le claustrum (CL, fig. 129). Cin. Le cingulum ( fig. 127) se confond, par places, avec le faisceau com
compact du fornix (FCF) ; par places il s'en isole très complètement ( fig. 128). Lorsque la coupe a entamé le rostrum du cor
ig. 128). Lorsque la coupe a entamé le rostrum du corps calleux (ROS, fig. 131), on voit le cingulum réapparaître au-dessous
, fig. 131), on voit le cingulum réapparaître au-dessous de celui-ci ( fig. 151, 132, Cin) dirigé, non plus d'arrière en avan
ns la substance grise -qui enveloppe le sillon olfactif interne {Soi, fig. 130).. FCF. Le faisceau compact du fornix (FCF,
interne {Soi, fig. 130).. FCF. Le faisceau compact du fornix (FCF, fig. 127), d'abord suf PLANCHE XXXIII COUPES VERTI
GENOU DU CORPS CALLEUX Écorce. A la face interne de Vhêmisphère ( fig. 135), les trois circonvolutions frontales s'étage
dedans en dehors le cap de la troisième circonvolution frontale (CAP, fig. 153, 135, 136). Le cap de la troisième frontale s
Sylvius envoie en avant, bien en avant de la fosse, une branche (S", fig. 136, 137, 138) qui est la branche horizontale. No
étage supérieur du lobe frontal. FDF. Le faisceau diffus du fornix ( fig. 127) reste limité à la région du manteau limbique
t dépouillé de ses méninges. Au-dessous de la vallée de Sylvius (S, fig. 155, 154,155) le tronçon le plus antérieur du lob
présente encore la subdivision de ce lobe en quatre circonvolutions ( fig. 155, TS T^ T% T). Puis les troisième et quatrième
T% T). Puis les troisième et quatrième circonvolutions se fusionnent ( fig. 154); puis ces deux circonvolutions avec les deux
. 154); puis ces deux circonvolutions avec les deux premières (T', T, fig. 155). Enfin il ne reste bientôt plus, pour former
ste bientôt plus, pour former le pôle sphénoïdal, que la deuxième (T^ fig. 157). La face interne de Vhémisphère présente,
calleux (sC) sépare la circonvolution limbique du tsenia tecta (tec, fig. 154). Le môme Puis se succèdent : la circonvolu
nt, c'est qu'elles forment la paroi antérieure du ventricule latéral ( fig. 156, 157). La cavité ventviculaire, en effet, v
ps calleux lui-même. Substance grise. NC. La tête du noyau caudé ( fig. 154), de plus en plus réduite, finit par n'être p
couronne qui en émanent. Substance blanche. ce. Le corps calleux ( fig. 155), étalé au-dessus du ventricule frontal, a do
faisceau légèrement teinté sur les coupes vertico-transversales (CE, fig. 435) : Ce faisceau est déjà la capsule externe. I
n remarquera également que, si le corps calleux et le rostrum réunis ( fig. 134, 135, 156) forment la paroi interne du ventri
oujours, soit par le noyau caudé (NC) et sa couronne rayonnante (RNC, fig. 154), soit par la couronne rayonnante du noyau ca
54), soit par la couronne rayonnante du noyau caudé toute seule (RNC, fig. 135, 136). Rref le corps calleux et le rostrum
NC, fig. 135, 136). Rref le corps calleux et le rostrum réunis (ce, fig. 135) passent au-dessus et au-dessous du ventric
(RNC) pour former la capsule externe (CE). CE. La capsule externe ( fig. 133, 134 et suiv.) est, ainsi que nous l'avons dé
nous a présentée jusqu'à présent. CO. Le faisceau du centre ovale ( fig. 157), issu du corps calleux (ce) s'incline en ava
line en avant et en dehors et va rejoindre au milieu du lobe frontal ( fig. 158) la masse des fibres antéro-postérieures. A
8) la masse des fibres antéro-postérieures. ARC. Le faisceau arqué ( fig. 155, 156), confondu en haut avec le faisceau pari
cul-de-sac frontal du ventricule latéral. LFS. La capsula extrema ( fig. 154) composée de fibres arquées reliant entre ell
ce du lobule orbitaire. RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé ( fig. 155) se divise en deux portions facilement reconn
rien de commun avec la première. FPF. Le faisceau pariéto-frontal ( fig. 135, 136), toujours sous-jacent au premier sillon
tout cas il n'a aucune connexion avec la circonvolution limbique (C, fig. 135, 136, 137, 158). FDF. Le faisceau diffus du
ue (C, fig. 135, 136, 137, 158). FDF. Le faisceau diffus du fornix ( fig. 156, 157) continue son trajet antéro-postérieur a
avoisine la scissure limbique. FCF. Le faisceau compact du fornix ( fig. 157), confondu avec le faisceau diflus (FDF) au-d
du rostrum, de la façon que nous allons indiquer. Cin. Le cingulum ( fig. 155) que nous avons vu devenir de moins en moins
s du corps calleux ne soient encore assez compactes (voy. pl. XXXlll, fig. 155, Cin). Elles cessent de l'être quand la coupe
du cingulum, va se terminer dans le manteau du gyrus vestibuli (GVE, fig. 137). Mais Profil de la région du carrefour où
ection du pôle frontal. FOA. Le forceps minor ou forceps antérieur ( fig. 137, 138) est l'ensemble des fibres du corps call
région protubérantielle. L'hémisphère est relié à la protubérance ( fig. 1) par le pédoncule cérébral (PP), qui s'avance d
médullaire de la capsule (MF). DL. Le disons lentiformis apparaît ( fig. 2) entre la lamina tegmenti (LTE) et le faisceau
ctionné au voisinage de sa partie inférieure sur la figure 1, reçoit ( fig. 2) le tractus opticus zonàlis (TRO) et s'isole su
ntôt confondu avec le stratum zonale du corps genouillé interne (ZGl, fig. 3). En dehors du corps genouillé externe, on reco
sance ; en réalité elles n'ont de connexion qu'avec le pulvinar (Pul, fig. 2). GIP. Le ganglion interpédonculaire situé, i
deux noyaux, qui en réalité n'en forment* qu'un seul (voy. pl. XXXIX, fig. 1 et 2), ne sont ici séparés l'un de l'autre que
téral {VF). . PUT. Le putamen, même à sa partie la plus inférieure ( fig. 1) est limité en dehors par la capsule externe (C
e. En dessous et en dehors de cette extrémité postérieure du putamen ( fig. 1), la commissure antérieure (CA) se porte de hau
2), le putamen, limité toujours en dehors par la capsule externe (CE, fig. 3), est limité en dedans par la commissure antéri
on se confond en avant avec la substance grise du septum lucidum GSL ( fig. 2 et 3) au devant du faisceau de Vicq d'Azyr (FVI
ance grise du tuber cine-reum, au devant du tubercule mamillaire (TM, fig. 1). GSL. La substance grise du septum lucidum (
mamillaire (TM, fig. 1). GSL. La substance grise du septum lucidum ( fig. 2 et 3) se confond avec la substance grise de la
, en dehors de la capsule externe (CE) qui le sépare du putamen (PUT, fig. 3). A sa partie inférieure (fig. 1), il est disso
(CE) qui le sépare du putamen (PUT, fig. 3). A sa partie inférieure ( fig. 1), il est dissocié par les fibres de la capsule
e (ANL) et de la commissure antérieure (CA). CAM. La corne d'Ammon ( fig. 2 et 3) se présente comme un enroulement de subst
à leur sortie de ce noyau. Pcs. Le pédoncule cérébelleux supérieur ( fig. 1), venu du côté opposé, s'épanouit à la surface
est limité en dedans par le fasciculus retroflexus (FRF). En dehors ( fig. 2), les fibres du pédoncule qui ne pénètrent pas
aisceau cérébello-thalamique (CEO). FRF. Le fasciculus retroflexus ( fig. 1), accolé à la convexité interne du noyau rouge
u corps genouillé externe (GE). Laq. Le laqueus est représenté ici ( fig. 1) par les fibres les plus supérieures du Icmnisc
du faisceau de la commissure, qui, plus loin, en avant et en dehors ( fig. 2 et 3), vont former le bras du pulvinar (BP).
du pulvinar, immédiatement au devant du corps genouillé interne (GI, fig. 1 et 2) se termine dans la région inférieure du t
propre de la calotte (TEG). TEG. Le faisceau propre de la calotte ( fig. 2 et 3), en dehors de l'aqueduc, se dirige en ava
ire de la lamina tegmenti (LTE), il aborde le discus lentiformis (DL, fig. 2). LTE. La lamina tegmenti apparaît sur le pla
rs le discus lentiformis. MF. Le faisceau médullaire de la capsule ( fig. 2 et 3), au-dessus et en dehors du discus lentifo
a partie postérieure et externe. ANL. L'anse du noyau lenticulaire ( fig. 1), issue de la face inférieure des deux segments
de dehors en dedans vers la substance grise du tuber cinereum ; puis ( fig. 2 et 3) elles se recourbent en arrière et en deda
rrière et en dedans, immédiatement en avant du pied du pédoncule (PP, fig. 5). Elles passent alors au-dessous du faisceau mé
es passent alors au-dessous du faisceau médullaire de la capsule (MF, fig. 3), pour aboutir aux noyaux moteurs supérieurs du
lbe.. L'anse du noyau lenticulaire est limitée en dedans et en bas ( fig. 2) par la bandelette optique (BO) ; en dehors par
t, logée au-dessus du noyau de l'anse (GAP) qui la dépasse en dedans ( fig. 5). En avant, elle franchit la ligne médiane, au-
t du pied du septum lucidum (psp). BSO. La bandelette sous-optique ( fig. 1), qui semble émaner du corps gcnouillé externe
externe (GE), provient en réalité du stratum zonale du pulvinar (ZO, fig. 2). Elle se porte en avant, en dehors et en bas,
sur les coupes supérieures. Thl. La racine inférieure du thalamus ( fig. 2 et 3), venue de la région sphénoïdale où elle a
ntricule (GSL), où il est impossible de la reconnaître (voy. pl. XXX, fig. 115), du moins sur les coupes horizontales. AR.
ur les coupes horizontales. AR. Le faisceau d'Arnold est constitué ( fig. 1 et 2) par les fibres les plus inférieures du se
les plus inférieures du segment antérieur de la capsule interne (CIA, fig. 1). Venu de la région frontale, il se perd dans l
qu'au pôle occipital; il n'est séparé de la cavité ventriculaire {VO, fig. 2) que par les fibres verticales du tapetum (TAP)
erticales du tapetum (TAP). 11 est composé de deux bandes parallèles ( fig. 2), représentant en somme deux faisceaux distinct
ns BlUSSACD. 28 la région postérieure et externe du puhinar (Pul, fig. 5); il reçoit également la totalité des fibres du
it également la totalité des fibres du faisceau de Tùrck-Meynert (FM, fig. 5), issues du pied du pédoncule. FM. Le faiscea
Meynert, qui représente le quart postérieur du pied du pédoncule (PP, fig. 3) et qui arrive à l'hémisphère de la région prot
ussitôt après que la bandelette optique a disparu. Cin. Le cingulum( fig. 3), adjacent à la substance grise du tubercule de
Le faisceau compact du fornix, au contraire, se reconnaît facifement ( fig. 3) dans la substance blanche du lobe carré, en av
mble faire suite à la lame festonnée (LFE). LFE. La lame festonnée ( fig. 1, 2, 3) double l'écorce grise du fond de la scis
nt une cloison continue depuis le bulbe de la corne postérieure (BCP, fig. 2) jusq^u'au pôle occipital. FPV. Le faisceau p
g. 2) jusq^u'au pôle occipital. FPV. Le faisceau pariétal vertical ( fig. 2 et 5), très compacta la face externe du faiscea
ation, dans la région pariétale, du faisceau occipital vertical (FOV, fig. 1). psp. Le pédoncule du septum lucidum (fig. 2
ipital vertical (FOV, fig. 1). psp. Le pédoncule du septum lucidum ( fig. 2 et 3) est un faisceau horizontal aplati, dirigé
des noyaux gris centraux. QA. Le tubercule quadrijumeau supérieur ( fig. 4) est sectionné au niveau de sa convexité supéri
e réunit au ganglion de l'habénule. Gll. Le ganglion de l'habénule ( fig. 5), adjacent à l'encoche qui représente la moitié
n avant du lobule de l'hippocampe. FVA. Le faisceau de Vicq d'Azyr ( fig. l), sorti du tubercule mainillaire (TM), s'enfonc
rcule mainillaire (TM), s'enfonce dans la substance grise de la base ( fig. 2), puis, de là, dans la couche optique. Mais alo
sur les coupes horizontales. DF. Le pilier descendant de la voûte ( fig. 3) est perdu dans la substance grise du septum lu
sance dans le ganglion. NC. Le noyau caudé, séparé du putamen (PUT, fig. 4) par le faisceau d'Arnold (AR), se continue san
trousseaux blancs qui représenlent les fibres lenticulo-caudées (ANC, fig. 4 et 6). Sur les coupes 5 et 6, la pénétration
noyau caudé (NC) et le putamen (PUT). NCC. La queue du noyau caudé ( fig. 4 et 5) est à l'extrémité la plus externe du pulv
rne du pulvinar (Pul), derrière le noyau postérieur du thalamus (NpC, fig. 4), d'où émerge la couronne rayonnante du thalamu
s (NpC, fig. 4), d'où émerge la couronne rayonnante du thalamus (Rlh, fig. 5). GSL. La substance grise du septum lucidum s
substance grise basilaire qui enveloppe la commissure antérieure (CA, fig. 5) et qui appartient à la lame terminale. Elle s'
appartient à la lame terminale. Elle s'avance dans le septum lucidum ( fig. 5) de manière à tapisser la partie postérieure de
septum lucidum présente une teinte foncée dans sa partie antérieure ( fig. 5 et 6), cela tient à ce que ses fibres, destinée
tum lucidum, on voit la section du pilier descendant de la voûte (DF, fig. 6) ; mais le pilier, à ce niveau, est en réalité
fait corps avec le noyau caudé (NC) sur la coupe la plus inférieure ( fig. 4). Il en est séparé plus haut (fig. 5 et 6) par
sur la coupe la plus inférieure (fig. 4). Il en est séparé plus haut ( fig. 5 et 6) par le segment antérieur de la capsule (C
(CiA). Le putamen est limité en dehors par la capsule externe (CE, fig. 4), et en dedans par le glohus pallidus (GLP, fig
psule externe (CE, fig. 4), et en dedans par le glohus pallidus (GLP, fig. 5). Seulement il est, sur la première coupe (fig.
ohus pallidus (GLP, fig. 5). Seulement il est, sur la première coupe ( fig. 4), séparé en partie du globus pallidus par la co
la commissure antérieure (CA). GLP. Le globus pallidus, intercalé ( fig. 5) entre le globus medialis (GLM) et le putamen (
plus interne de ce dédoublement qu'on peut appeler globus accessoire ( fig. 4) est en contact avec le segment postérieur de l
qu'à l'angle externe du ventricule, au voisinage du noyau caudé (NCC, fig. 5). 11 se compose d'une grosse masse grise qui, à
médian (NmC) par le bras du pulvinar (BP) et, à sa partie supérieure ( fig. 5), se confond avec le noyau interne du thalamus
dehors avant de s'y épuiser. NpC. Le noyau postérieur du thalamus ( fig. 6) est, immédiatement au-dessus, en dehors et en
nt de la substance grise de l'écorce sur la coupe la plus inférieure ( fig. 4). Mais plus haut (fig. 6) le corps calleux (ce)
de l'écorce sur la coupe la plus inférieure (fig. 4). Mais plus haut ( fig. 6) le corps calleux (ce) s'insinue entre l'écorce
ubstance blanche. CID. Le segment postérieur de la capsule interne ( fig. 4) renferme toutes les fibres qui, sur les coupes
ure de la couche optique. FLP. Le faisceau longitudinal postérieur ( fig. 4) est, parmi les' faisceaux de la calotte, le pl
ostérieur [Radiatio fasciculi pos-terioris de Meynert, voy. pl. XXVn, fig. 101, 102, RFP). FRF. Le fasciculus retroflexus
us ou faisceau rétrograde se dirige, sur la coupe la plus inférieure ( fig. 4), en bas, en dedans et en ar-, rière; sur la co
en bas, en dedans et en ar-, rière; sur la coupe la plus supérieure ( fig. 6), il se dirige en haut en avant et en dedans. S
ina lateralis de Reil, accolée au faisceau cérébello-thalamique (CEO, fig. 4), s'épanouit au-dessous du centre médian. LTE
et plus en dehors arrive au-dessous du corps de Luys, représenté ici ( fig. 4) par un espace fusiforme adjacent au segment po
ade à concavité postérieure. CEO. Le faisceau cérébello-thalamique ( fig. 4 et 5) passe, de dedans en dehors, sous le pulvi
tiformis, reçoit toutes les fibres du faisceau rubro-thalamique (CAO, fig. 6). ANL. L'anse du noyau lenticulaire, très net
NL. L'anse du noyau lenticulaire, très nette sur la coupe inférieure ( fig. 4), qui passe horizontalement au-dessous du noyau
ui le remplace sur les coupes 5 et 6. CA. La commissure antérieure ( fig. 5), passe au-dessous du putamen (PUT, fig. 4), au
La commissure antérieure (fig. 5), passe au-dessous du putamen (PUT, fig. 4), au niveau de la fusion de ce noyau avec la tê
du noyau caudé (NC)., Thl. La racine inférieure du thalamus arrive ( fig. 5) de la région sous-lenticulaire, remonte et se
ïliA. La racine antérieure du thalamus vient de la région frontale ( fig. 5) à travers le segment antérieur de la capsule i
interne (CIA), au-dessus du faisceau d'Arnold (AR, voy. pl. XXXVIII, fig. 3). PLANCHE XXXVI COUPES HORIZONTALES PASSANT
Ce ganglion est situé en avant du noyau postérieur du thalamus (NpC, fig. 7) et du noyau interne (NiC). Il se continue inse
r du thalamus appartient à la région inférieure de la couche optique ( fig. 7). Il n'est donc plus visible sur les coupes 8 e
ogène, résultat de la fusion des noyaux interne et externe (NiC, NeC, fig. 8), émet en dehors la majeure partie des fibres d
majeure partie des fibres de la couronne rayonnante du thalamus (Rth, fig. 7), destinées au faisceau sensitif. NiC. Le noy
destinées au faisceau sensitif. NiC. Le noyau interne du thalamus ( fig. 8), séparé du noyau externe (NeC) par la lame méd
ue (ThA) qui, venues du segment antérieur de la capsule interne (CIA, fig. 9), se répandent également dans le noyau externe
lement dans le noyau externe du thalamus (NeC). NC. Le noyau caudé ( fig. 7 et 8) proémine dans la corne frontale du ventri
g. 7 et 8) proémine dans la corne frontale du ventricule latéral {VF, fig. 7), et se confond en arrière et en dedans avec la
face de section s'élève. GSL. La substance grise du septum lucidum ( fig. 7) occupe exclusivement la partie postéro-cxterne
a déjà pu constater ce fait. GLP. Le globus pallidus est intercalé ( fig. 7) entre le putamen (PUT) et le globus medialis.
capsule interne. On le voit émettre des fibres nombreuses destinées ( fig. 9) au faisceau géniculé (FG) et au faisceau pyram
niculé (FG) et au faisceau pyramidal (FP). GLM. Le globus medialis ( fig. 7) étant beaucoup moins élevé que les deux segmen
blanche le sépare du globus pallidus. NCC. La queue du noyau caudé ( fig. 7 et 9) est plus volumineuse; elle est toujours r
re, et la bandelette sous-optique (BSO) en avant. CL. Le claustrum ( fig. 9) devient au contraire de plus en plus mince; ma
l'épaisseur même du claustrum. Tf. Le tubercule du fascia dentata ( fig. 7 et 8), adjacent au corps calleux, se continue a
La fimbria, coupée perpendiculairement à la direction de ses fibres ( fig. 7), présente une teinte foncée; mais lorsque la c
ésente une teinte foncée; mais lorsque la coupe l'entame obliquement ( fig. 8 et 9), elle reprend une teinte claire. Elle se
ment (fig. 8 et 9), elle reprend une teinte claire. Elle se recourbe ( fig. 9) au-dessous du tubercule du fascia dentata pour
r sous le thalamus. CIA. Le segment antérieur delà capsule interne ( fig. 9) n'est donc plus guère représenté que par la ra
emi-circularis est adjacent à la racine antérieure du thalamus ; ici ( fig. 8 et 9) il est coupé près de son extrémité antéri
. Le faisceau pyramidal, au fur et à mesure que les coupes s'élèvent ( fig. 8), dissocie les fibres de l'étage supérieur de l
. FG. Le faisceau géniculé. CAO. Le faisceau tegmento-thalamique ( fig. 7) est un de ces faisceaux de l'étage supérieur
le faisceau géniculé (FG). Rth. La couronne rayonnante du thalamus ( fig. 8), claire en dedans, foncée en dehors, est repré
e sous-optique, placée immédiatement en dedans du faisceau précédent ( fig. 8 et 9) appartient bien, vraiment, elle aussi, au
a région supérieure de la couche optique. D'abord allongé, fusiforme ( fig. 10), il est limité sur son bord externe par la la
termine en pointe, accolé au noyau externe du thalamus. — Plus haut ( fig. 11) on le voit se réduire ; il est pénétré de deh
de la lame médullaire interne (LMl). Sur les coupes plus supérieures ( fig. 11) il n'y a plus à distinguer de noyaux. Le thal
ole très imparfaitement. Enfin, sur une coupe plus supérieure encore ( fig. 12), la couche optique n'existe plus. Le plan de
postérieure, allongée, de la tête du| noyau caudé. PUT. Le putamen ( fig. 10) représente, à lui seul, le noyau lenticulaire
môme, ce noyau dispa- ¦ raît; la grande tache grise qui le remplace ( fig. 11) dans l'angle j rentrant du thalamus en arrièr
uelques fibres transversales appartenant au genou de la capsule (Gci, fig. 11 et 12) conservent une coloration claire parce
upe. I Substance blanche. TRp. Le pilier postérieur du trigone ( fig. 10) fait suite à la fimbria. 11 est exclusivement
des îlots de substance grise qui, sur la coupe précédente (pl. XXXVl, fig. 9), répondaient encore à l'extrémité supérieure d
issure interhénii-sphérique. FOi. Le faisceau inférieur du forceps ( fig. 10), issu du splenium du corps calleux, plonge en
sposition qui est constante. FOs. Le faisceau supérieur du forceps ( fig. 12) n'est que l'ensemble des fibres les plus supé
us les deux ont une coloration foncée; entre eux, les fibres claires ( fig. 12) qui ferment en haut la cavité ventriculaire,
e rayonnante du thalamus. Ces fibres, avons-nous dit (voy. pl. XXXVI, fig. 8) rejoignent finalement, en arrière, le faisceau
é (NC) et le putamen (PUT), devient adjacente au faisceau arqué (ARC, fig. 11) lorsque le putamen a disparu. Elle reste touj
te toujours en arrière de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. il et 12). ARC. Le faisceau arqué dont la parti
re comme un coin très effilé entre le faisceau sensitif externe (FSe, fig. 12) et le faisceau sensitif interne (FSi). C'est
rolongement postérieur. RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé ( fig. il et 12) présente la double coloration dont il a
a môme raison, le corps calleux est divisé au niveau du rostrum (ROS, fig. 2), tandis que sur la première coupe (fig. 1), le
au niveau du rostrum (ROS, fig. 2), tandis que sur la première coupe ( fig. 1), le couteau a divisé le gyrus rectus (GR) dans
titre ces replis circonvolutions sous-calleuses. 1. Voy. pl. XLII, fig. 1. Leur continuité avec la substance grise de l
(LMl) parcourue par les fibres du faisceau tegmento-thalamique (voy. fig. 2, CAO); le faisceau de Tiirck-Meynert (FM), qui
yen, qui renferme les fibres réellement commissurales (voy. pl. XXII, fig. 07, CP); 5" enfin le bras du pulvinar (BP), qui r
sur les coupes 1 et 2 ; 2" La fusion de l'anse du noyau caudé (ANC, fig. 1 et 2) avec l'anse du noyau lenticulaire (ANL, f
oyau caudé (ANC, fig. 1 et 2) avec l'anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 1) ; 3° L'isolement et la direction du faisceau
fig. 1) ; 3° L'isolement et la direction du faisceau d'Arnold (AR, fig. 1) qui, à lui seul, constitue la partie la plus i
eure (CA) ; 5" La pénétration de la substance réticulaire d'Arnold ( fig. 3, LMV)' dans la substance blanche de l'hémisphèr
son sillon au devant de la substance grise du septum lucidum (GSL, fig. 5), puis se confond avec la moelle du centre oval
m (GSL, fig. 5), puis se confond avec la moelle du centre ovale (LMV, fig. 4) en dedans et en arrière du sillon orbitaire in
orbitaire interne (soi) ; 6" La continuité du noyau de l'anse (GAP, fig. 3 et 4) avec la substance grise qui limite en deh
qui fait partie de la masse du tuber cinereum. Le tuber cinereum (TC, fig. 5) est entamé par la section dans le plan même de
s adhérences avec l'hémisphère; 7° Le siège du noyau amygdalien (M, fig. 4) en avant, en dehors et au-dessous du noyau de
la bandelette sous-optique ; 8° La disposition du tœnia tecta (tec, fig. 2) à la partie antéro-inférieure du splenium, en
t la direction des faisceaux inférieur et moyen du forceps (FOi, FOm, fig. 3 et 4). caractéristique (//). La troisième cir
la plus inférieure du cul-de-sac antérieur du ventricule sphénoïdal ( fig. 12). Il est excessivement difficile de réaliser
upe qui passe dans l'axe même du sillon orbitaire interne (pl. LXIII, fig. 2). Telle encore, celle qui passe par l'extrémité
Telle encore, celle qui passe par l'extrémité antérieure du crochet ( fig. 3). Si l'on peut écarter, sans rien détériorer, l
2 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
lire : STh. Page 182, ligne 33, au lieu de : lig. 101 et 11 lire : fig. 101 et 105. l'age 229, ligne 32, au lieu de : P
e 253, au lieu de : Lignes 811 des lig. 2 ? i et 286, lire : .- des fig. 23b et 230. Page 569, légende de la ligure 29 :
tébrés. milieu de cellules de soutènement et de cellules muqueuses ( fig. z1, a et G). Très grèles et d'aspect fusiforme,
azc.sczclo-e'pz- ihéliales et les cellules pM;'o ? 7/f</<'.y ( fig. 1 c et d); les premières, mu- nies à leur face
que v. Lenhossek l'a établi par ses recherches sur le ver de terre ( fig. 2). Les neurones périphériques ou du système se
direction cen- te, entrent en connexion avec les neurones centraux ( fig. 2). es neurones centraux ou du système musculai
plus anciens est celui de Meynert. Coupe de Meynert. - Cette coupe ( fig. 4 et 5) a été employée par Meynert dans le but
part, le manteau des leux hémisphères réunis par le corps calleux ( fig. 3) et d'autre part, le tronc encéphalique avec
x (fig. 3) et d'autre part, le tronc encéphalique avec le cervelet ( fig. 4). On sépare ensuite ce dernier organe du tron
iers supérieur avec les deux tiers inférieurs de la couche optique ( fig. ? ligne XY). A Bicêtre, nous avons l'habitude d
sion corticale. - Dans ce cas nous pratiquons les coupes suivantes ( fig. 6) : 1° Une coupe vertico-transverwle (CD) pass
, sont dues tout entières iL Forel. Cet instrument se compose (voy. fig. 7) d'un cylindre métallique creux, enchâssé par
indications, rem- plit complètement ces conditions. Cet instrument ( fig. 8) est muni d'une platine de grande dimension,
ant tirage, la lanterne doit être munie d'une très longue cheminée ( fig. 9). La préparation que l'on veut projeter est p
gauche par une crête ; ces crêtes ou lames neurales ou médullaires ( fig. 10 et '11 a) se soulèvent et se déli- mitent de
e bientôt d'autant plus que les lames neurales s'élèvent davantage ( fig. 11 b et c). 1. Daus cette étude embryologique,
un embryon de pou- let vu de dos et examiné à la lumière transmise ( fig. 10), elles apparaissent dans l'aire transparent
ligne primitive (pp), en formant le situes ? ? on ! - boïdal (SR, fig. 13). La gouttière neurale repose sur un épais
ssis- sement du mésoderme, la corde dorsale ou no- tocorde (Ch. fig. 10 et fig. 11 a), qui lui est in- timement un
t du mésoderme, la corde dorsale ou no- tocorde (Ch. fig. 10 et fig. 11 a), qui lui est in- timement unie; les la-
re médullaire proprement t dite (rudiment de la moelle épinière) ( fig. 10). Dès le début de la vie em- bryonnaire, la
ames neurales marchent peu à peu à la ren- contre l'une de l'autre ( fig. 11, b et c et fi-. 12), et finissent bientôt par
(Zwischen- strang, Ganglienstrang), de crête neurale de Balfour ( fig. 12, GS). Ce cordon donne naissance, ainsi que
la lame encéphalique, celle qui correspondra au cer- veau moyen ( fig. 10). De- ce point, elle se propage rapi- deme
époque où le canal mé- dullaire est encore complète- ment ouvert ( fig. 13); lorsque l'occlusion s'effectue à l'extrémi
les bords se continuent directement avec le feuillet ectodermique ( fig. 13). Vésicules encéphaliques primitives. Pendan
ure, ou de première, deuxième et troisième vésicules encéphaliques ( fig. 14, Y,, Vs, Va). Ces trois vésicules représente
'incubation, passant à peu près au même niveau que la coupe b de la fig. 10, c'est-à-dire au niveau de la fosse cardiaqu
Travaux .de Darestc. rieure, affecte la forme d'un court fuseau ( fig. 13), et présente à son extrémité antérieure, la
éro-postérieur; elle affecte la forme caractéristique d'un marteau ( fig. Il, Vo), et ses volumineux diverticules latéraux,
illet ectodermique, ne conserve pas longtemps sa forme, globuleuse ( fig. 16, c). La face profonde du feuillet ectodermique
ue. La vésicule oculaire secon- daire est dès à présent constituée ( fig. 1G, d, côté gauche du schéma). Le pédicule ocul
u moins saillantes dont l'une est antérieure et l'autrepostérieure ( fig. 18). La crête antérieure, connue 'sous le nom d
'sous le nom de crête ou de lame basilaire de His (Basilarleiste) ( fig. 18, LB), se porte obliquement en arrière et e
crête basilaire, et la branche postérieure avec la crête latérale ( fig. 18). Au sur et à mesure que le pédicule oculaire
nienne, d'abord dirigée un peu obliquement en arrière et en dehors ( fig. 19 et 21), se porte peu à peu en avant et se pl
la première vésicule primitive. La troisième vésicule encéphalique ( fig. 19 et 20, AC et CP) s'évase ; elle prend l'aspe
e, et font complètement défaut chez les embryons un peu développés ( fig. z19 et 20). DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 6
ue. IX. ganglion du glosso-pharyngien . - La ligne pointillée de la fig. 19. indique la limite antérieure du cerveau inter
primitif, qui rappelle très exactement celui de la moelle épinière ( fig. 13 et 1 i.) L'arrêt de développement de la troisi
igne assez accentué, le col du cerveau intermédiaire de His (cCI.) ( fig. 24). La vésicule encéphalique antérieure primit
iante au début, mais qui prend par la suite un grand développement ( fig. 17, CA). La vési- cule mère portera désormais,
intime que l'on observera par la suite entre les corps opto-striés ( fig. m à 63). - Lcce/'ueaM intermédiaire est un peu
ux régions sous-thalamiques de Forel dans leur moitié infé- rieure ( fig. 22). Layaroi.szcpériezcne ou voûte, se réduit en
tur infundibulum, la postérieure aux futurs tubercules mamillaires ( fig. 22). La vésicule des hémisphères, impaire, médi
paire, médiane et insignifiante au début, est plus haute que large ( fig. 17); vue de profil, elle affecte la forme d'une
rtie antérieure et supérieure des vésicules oculaires primi- tives ( fig. 23, 24). Etroite à sa base d'implantation, qui 'e
elle se continue avec la paroi supérieure du cerveau intermédiaire ( fig. 17 et 18). Vers la fin de la quatrième semaine,
grande scissure interhémisphérique ou fente interhémisplié- rique ( fig. 21); en avant elle n'atteint pas la portion axial
e cerveau intermédiaire, le cerveau moyen et le cerveau postérieur ( fig. 21, 40, 44, 46, 66). Au niveau de leur insertio
tit lobe étroit, le lobe olfactif, du reste du manteau céré- bral. ( fig. 18.) . La cavité du cerveau antérieur comprend
is très profonde, comparée il une selle (Sattelspalte de lIis; fst, fig. 18, 19, 23, 24) et dans laquelle la base du crâne
ra dorénavant deux bords : l'angle antérieur et l'angle postérieur ( fig. 23). L'angle posté- rieur, situé au voisinage d
au postérieur s'applique presque sur la voûte de l'arrière-cerveau ( fig. 24), et les parties latérales du cerveau postér
itudinale. Au niveau de Y arrière-cerveau et du cerveau postérieur ( fig. 32), la cavité du canal encéphalique devient pr
té, très irrégulière, donne naissance ,$, de nombreux diverticules ( fig. 22). En bas et en arrière, elle communique avec
tient à une légère pénétration de la voûte dans le canal central ( fig. 26). Les sillons latéraux divisent les épaiss
eine saillie au début de chaque côté de la commissure antérieure ( fig. 26 et 27) ; ils prennent bientôt un développeme
tant plus profond, que les cordons antérieurs sont plus volumineux ( fig. 28, °3 ! ), 30). Les cornes et les cordons anté
ordons postérieurs. Les cornes postérieures sont , encore informes ( fig. 26, 27, 28), alors que les cornes antérieures et
ré- sente le futur cordon de Burdach, l'entoure alors complètement ( fig. 29), Fie. 27. Coupe transversale de la ré- gi
nnaire, qu'un es- ¡ace relativement petit au centre le la moelle ( fig. 29 et 30). Le canal central se termine ilors
t donne inser- tion à un cordon névroglique le septum postérieur ( fig. 30), lequel s'étend jusqu'à la surface de la
inales : ce sont d'abord les deux artères spi- nales antérieures ( fig. 26, 27) ; réunies l'une à l'autre par de nomb
paire et médiane, et a une seule artère du sillon médian antérieur ( fig. 28, 29, 30). L'apparition des artères spinales
bords de la membrane obturatrice sont irrégulièrement losangiques ( fig. 20, p. 67) ; on peut leur considérer trois part
pond à la plus grande largeur le la cavité du quatrième ventricule ( fig. 20 (c) ; dans leur partie supérieure les bords
a partie inférieure du bulbe. Lorsque la courbure du pont apparaît ( fig. 18, 22, 23, 34), la voûte du cerveau postérieur
ame alaire subit d'impor- tantes modifications. Verticale au début ( fig. 31) et formant avec la lame fondamentale un ang
obturatrice, se recourbe en dehors en formant une sorte de crochet ( fig. 32). On peut alors considérer a la lame alaire de
antia fer1'1lginea. 2" La lèvre rhomboïdale est très irrégulière ( fig. 24) : étroite à son origine au niveau de l'angl
la lèvre rhomboïdale cesse alors d'être une formation indépendante ( fig. 33, 34). Après la soudure de la lèvre rhomboïda
e la substance réticulée et du noyau d'origine du grand-hypoglosse ( fig. 33). Elles donnent naissance : a) dans la régio
bientôt recouverts par les fibres arquées superficielles du bulbe ( fig. 35). Le corps restiforme apparaît il la partie
entri- cule et donne naissance au ta ? nia du quatrième ventricule ( fig. 35). Ce n'est que vers le quatrième mois de la
qui constituent les recessus latéraux du quatrième ven- tricule ( fig. 36). ' 1 La partie moyenne de la lame céré- b
entraîne avec lui la partie adjacente de la membrane obturatrice ( fig. 44). Celle-ci se raccourcit à sa partie moyenne
u); ce dernier occupe l'angle inférieur de la membrane obturatrice ( fig. 20, ob). Au niveau de l'isthme du cerveau posté
deux sont situés en avant et un en arrière de la vésicule auditive ( fig. 19). Le ganglion antérieur représente le gangli
roïdes. L'aqueduc présente un sillon médian antérieur assez profond ( fig. 37 et 38), qui se continue avec le sillon média
n des hémisphères cérébraux, de la lame des tubercules quadrijumeaux ( fig. 37) et de la moitié droite de la lame du cervel
et se perdent sur les parois latérales du cerveau intermé- diaire ( fig. 39, 40). La partie moyenne du fer à cheval répond
erveau intermédiaire, est verticale ou légèrement convexe au début ( fig. `.3J et 40). Son extrémité antérieure pénètre,
extrémité antérieure pénètre, ainsi que nous l'avons vu plus haut ( fig. 19, p. 67), il la façon d'un coin dans le cerve
mois, vu par sa face latérale droite. (Dessiné d'après nature.) La fig. 40 montre la surface extérieure de l'encéphale ap
tte surface suturale sous le nom de surface salit raie opto-striée ( fig. 39 et 40, siCStr.). Elle représente l'axe autou
optique et se continue avec la crête latérale du pédicule oculaire ( fig. 18). La région du corps genouillé externe est r
entricule latéral, et se développe aux dépens du cerveau antérieur ( fig. 52-63). La face interne ou ventriculaire, conca
saillies longitudinales séparées par un sillon, le sillon de Monro ( fig. 41 à 44, 52, 53.) La saillie supérieure corresp
foetal, donne naissance au pulvinar et au corps genouillé externe ( fig. 41-44, Rg); la partie antérieure ou partie tha-
ne. Ce diverticule porte le nom de recessus geniculi (His); (11 ? fig. 42, 43, 44), il reçoit en avant les sillons de
l (cCI), qui correspond au col du cerveau in- termédiaire de His ( fig. 42). La couche optique, en se dé- veloppant d
s la région rétrothala- mique (pulvinar, corps genouillé externe), ( fig. 44). Cette fente se comble peu il peu, et ainsi
ntérieur, presque horizontal, est en rapport avec la base du crâne ( fig. 41, 42). Chez les jeunes embryons ces deux segmen
lin du deuxième mois de la vie intra-utérine, puis rapidement aigu ( fig. 43, 44). Le segment postérieur ou mamillaire, d
hypophyse ou glande pituitaire. La lame terminale embryonnaire (lt, fig. 41, 42, 43, 44), légèrement dé- primée au nivea
t du pilier antérieur du trigone. L'hypophyse ou glande pituitaire ( fig. 44), constitue un organe particu- lier dont les
ntérieur, et dont elle n'est séparée que par un léger étranglement ( fig. 41, 42, 43, 44). Cette paroi supérieure se rédu
la prolon- gent l'un en bas, l'autre en avant. Le sillon antérieur ( fig. 46, 68, paFS) atteint l'extrémité antérieure du
elles recouvrent le cerveau intermédiaire à lafaçon d'un capuchon ( fig. 18,24), elles sont réunies entre elles en avant
s en bas et en avant, et déborde bientôt en bas la fosse sylvienne ( fig. 24, p. 74). Chaque vésicule hémisphérique entoure
tent. tous une disposition radiée par rapport à la fosse sylvienne ( fig. 45, si 1 Fosse sylvienne et / sillons qui
te la partie du cerveau antérieur située enlavant du trou de Monro ( fig. 41, 42, 44). La région postérieure ou thalazizi
aquelle elle est unie au niveau de la surface suturale opto-striée ( fig. 58 à 63) ; un repli mésodermique qui fait tjtt
sance au globus pallidus, à la lame cornée et au noyau amygrlalien ( fig. 52 à 63). Au-dessus de la surface suturale opto-
rnold), ou de sillon arqué postérieur de His (hintere Bogenfurche) ( fig. 42, sap) ; le sillon infé- rieur, celui de sill
(fig. 42, sap) ; le sillon infé- rieur, celui de sillon choroïdien ( fig. 42, Fch). Ces deux sillons interceptent un pli
ue, il ne se confond avec ce dernier que beaucoup plus tardivement ( fig. 44). Il divise la région préthalamique de la paro
is (Area tra- pezoïdes), et appartient au lobe olfactif postérieur ( fig. 41, 42, 44). La lame terminale embryonnaire s'é
lame terminale embryonnaire s'étend du chiasma des nerfs optiques ( fig. 41, 42), à la voûte du cerveau intermédiaire. Sa
ndément entre les corps striés, et ferme le trou de Monro en avant ( fig. 42). Lobes olfactifs. Les lobes olfactifs antér
un peu en dehors et dont l'ouverture correspond à l'incisura prima ( fig. 51 ). Il affecte la forme d'une petite pyramide
s'étend de la fosse sylvienne à la paroi interne de l'hé- misphère ( fig. 47). Le lobe olfactif antérieur est limité en arr
-dessous du lobe olfactif postérieur vers. la fin du deuxième mois ( fig. 51); à mesure que le pédoncule olfactif s'allonge
vant et le sépare du gyrus fornicatus. Le lobe olfactif postérieur ( fig. 7, u9), compris entre l'incisura prima de His,
e des hémisphères, où il se confond avec l'area trapaxoïdes de His ( fig. 49). La substance perforée antérieure s'unit in
se développent, et rétrécit en bas le grand trou de Monro primitif ( fig. 41). Sa large base d'implantation (fig. 50) s'é
d trou de Monro primitif (fig. 41). Sa large base d'implantation ( fig. 50) s'étend de l'embouchure du pédi- cule ocula
DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 11f f voisinage du lobe temporal ( fig. 50). Très petit au début, le sommet suit bientô
à-dire la région du futur, irsûla et le lobe olfactif posté- rieur ( fig. 48); il entoure en dedans la surface suturale opt
que par l'intermédiaire de l'étage supérieur du ventricule latéral ( fig. 52 à 63). Le corps strié rudimentaire donnera n
antérieure et postérieure atteignent la base du cerveau antérieur ( fig. 48 et 51). L'extrémité postérieure ou thalamiqu
Via. 50. - Paroi interne de l'hémisphère cérébral de l'embryon de la fig. 49, âge de 4 semaines et demie. (D'après W. His
veau intermédiaire qu'au niveau de la surface suturale opto-striée ( fig. 49, S). Mais dès la fin du deuxième mois, et su
rait appeler cette nouvelle suture, suture opta-striée secondaire ( fig. 34, 55, Sss), lorsqu'on la compare à la suture
iste un espace faisant primitivement partie du sillon semi-lunaire ( fig. 52 à 63, ssl), au niveau duquel la surface extéri
capsule interne (Cip) pour se rendre au pied du pédoncule cérébral ( fig. 52 il 63). La paroi interne de la vésicule de
toenia thalami et le sillon cho- roïdien est ext1'a-ventrlculaÙ'e ( fig. 52 à 63); elle n'appartient ni au troi- sième v
onro ; à ce niveau il se continue avec la zone choroïdienne de His ( fig. 43, 45, 50), qui représente un espace irréguliè
nd à la commissure blanche antérieure. Là zone choroïdienne de His ( fig. 41 et 43) donne naissance aux piliers antérieur
ou cloison transparente, qui sépare les têtes des deux noyaux caudés ( fig. 64). L'accollement des zones choroïdiennes ne s
héliale qui recouvre les plexus choroïdes des ventricules latéraux ( fig. 52 à 63). Au commencement du quatrième mois de
et fait suite à la suture qui a donné naissance au septum lucidum ( fig. 6) : .. , Fiu. u-t. - r ace interne du cerveau
héliale qui coiffe les plexus choroïdes des ' ventricules latéraux ( fig. 56, 57, 62, 63). Les plexus choroïdes ne sont don
ale embryonnaire, les couches optiques et les pédoncules cérébraux ( fig. 65). Fie. 65. - Face interne d'un hémisphère pr
le bec du corps calleux, et se confond avec l'izrci.wtec·a prinza ( fig. 44, p. 101). Le sillon ammonique déprime fortem
ème mois de la vie intra-utérine, apparaît la scis- sure calcarine ( fig. 64 et 66), qui déprime comme le sillon ammonique
anches divergentes com- prennent un espace triangulaire, le cuneus ( fig. 67, C). Petite et insignifiante au début, où el
e milieu du cinquième mois, apparaît le sillon calloso-'l1wl'ginàl ( fig. 67); il commence en avant, au-dessous du bec du c
ariétal, qui lui forme vers le cinquième mois une sorte d'opercule ( fig. 68). En se développant, l'opercule recouvre de pl
uatre lobes : les lobes frontal, pariétal, occipital et temporal ( fig. 69). Des sillons secondaires subdi- visent ce
plus rap- proché de la membrane limitante externe que de l'interne ( fig. 71). Dans la partie interne de la lame épithéli
corps cel- lulaires s'allongent et se compri- ment latéralement ( fig. 72) ; les noyaux, plus petits, se placent à d
les différencie nettement des cellules épithéliales environnantes ( fig. 73). Le noyau de quelques cellules germinatives
ril- laire, et en une substance claire, homogène et transparente ( fig. 75). La substance fibril- laire s'imprègne faci
s présentent donc quelques analo- gies avec les-cellules muqueuses ( fig. 75). Une fois constitués, les spongioblastes af
rne, dans laquelle ils s'irradient et qu'ils concourent à former ( fig. 76). Les prolongements internes des spongiobl
. Cette apparence constitue la chaîne de prolifération des auteurs ( fig. 78). Entre les colonnes de la zone interne, on
ermina- tives qui y sont situées comme dans de véritables nids ( fig. 77). Après leur multiplication et leur trans-
or- respondant aux anciennes loges des cellules germina- tives ( fig. 78). Lorsque toutes les cellules germinatives ont
t de karyokinèse, et entouré d'un protoplasma clair et transparent ( fig. 81). Mais à côté de ces cellules, on en trouve d'
qui, au niveau de son extrémité externe, tantôt s'effile en pointe ( fig. 80 et 81 Ct), tantôt revêt la forme en massue o
tante interne et émigrent dans la zone des corps spongioblastiques ( fig. 82). Elles ressemblent singulièrement par leur as
actifs colo- rants, ainsi du reste que le corps protoplas- mique ( fig. 83). Le protoplasma, extrême- ment mince et à p
oblastes de la moelle épinière du même em- . bryon humain que les fig. 80 et 81. (D'après R. His.) ..1JU, membrane l
une disposition radiaire et sont surtout formés de spongioblastes ( fig. 84). La couche grise externe (Mantelschicht de
d'un sillon irré- gulier, le futur sillon collatéral antérieur ( fig. 85). . Les cylindre-axes des cellules des cor
ou moins arrondie qui lui a valu le nom de faisceau ovalaire (His) ( fig. 84 et 85). Après un trajet as- cendant ou desce
ivent l'incurvation des arcs branchiaux auxquels ils appartiennent ( fig. 88). Ce changement de direction porte non seule
ables exemples provenant des parois latérales de la moelle foetale ( fig. 89). Golgi (1886), à l'aide de sa méthode, a mo
rochet, soit d'après Ramon y Cajal par un petit renllement conique ( fig. 90). Les cellules épendymaires du voisinage des
médian antérieur, dans lequel la pie-mère envoie un prolongement. ( fig. 90 et 26 à 30.) Les prolongements des cellules
, et désigné par Retzius sous le nom de cône épendymaire antérieur ( fig. 90.) Ce cône épendymaire arrête dans leur migra
ant longtemps la forme d'une fente aplatie telle que le présente la fig. 84; il se transforme en effet, ainsi que nous l
iculaires de la lame alaire, fusion qui s'opère d'arrière en avant ( fig. 26 à 30). Les prolongements des cellules épendy
re plus profond que le sillon d'émergence des racines postérieures ( fig. 90). Les cellules épendymaires de la région fus
s souvent ramifiés, quelquefois terminés par une extrémité renflée ( fig. 91). A un âge un peu plus avancé, le grand nomb
respondent à celles décrites par Roll, sous le nom de Pinselzellen ( fig. 91). Les cellules de la névroglie sont formées
aires, et dont la plupart ne présentent aucune trace de division ( fig. 90, 92, 93). Tous ces rameaux courts ou longs s
he chevelu des cellules araignées par lequel il est bientôt masqué ( fig. 90). Lorsqu'à l'aide de la méthode de Golgi, on
, et qui forment un épais feutrage circulaire autour de ce dernier ( fig. 92). Les prolongements des cellules araignées g
e à la cellule un aspect givré, décrit par Boll, Ranvier et Vignal ( fig. 90 et 93). y. - Les cellules araignées du voisi
lles. l'a montré, le septum postérieur comme centre de rayonnement ( fig. 90). Les prolongements primordiaux de ces cellu
uelle ils pénètrent quelquefois jus- qu'au niveau du canal central ( fig. 90 et 93). Dans la couche granuleuse de l'écoi-
iales, décrites par Cajal sous le nom de cellules em- panachées (f, fig. 93). Celles-ci envoient leurs prolongements, qui
ient dans la pro- fondeur de longs prolongements rarement ramifiés ( fig. 94). B. - CELLULES nerveuses Les cellules ner
tes les directions des prolongements très grêles, souvent ramifiés ( fig. 95). Le noyau de ces cellules est toujours volu
n (Vignal). Ce protoplasma contient souvent de nombreuses vacuoles ( fig. 95 c). A un stade un peu plus avancé, le protop
a renferme de grosses et nombreuses granulations, peu réfringentes ( fig. 96). Vers le sixième mois le la vie utérine, le
s'en distinguent que par leur vo- lume et leur absence de pigment fig. 97). ' Suivant leur situation, les cel- lules
prolongement cen- tral très long, qui constitue le nerf olfactif ( fig. 98). Celui-ci passe par les trous de la lame cr
és, où elles siègent toutes dans les ganglions cérébro- rachidiens ( fig. 99). La cellule olfactive des vertébrés représe
s et au niveau du point d'origine des collatérales du cylindre-axe ( fig. 100). Une fois développées, les dendrites ou pr
e les dendrites semblent recou- vertes d'une couche de gi- vre ( fig. 101). L'extension des dendri- tes est énorme,
pos- térieure et pénètrent profondément dans la substance blanche ( fig. 103). Golgi a eu le grand mérite de montrer que
al, et communément dési- gnées sous le nom de cellules de Cajal; ( fig. 103, 94) on les rencontre dans la couche la plu
s, voire même davantage, lesquels se détachent tous d'une dendrite ( fig. 103). Le prolongement cylindre-axile n'est pas
ntrent fréquemment sur les cylindres-axes des cellules de Purkinje ( fig. 111 ) et de certaines cellules de l'écorce cérébr
iens ou sympathiques, et autour des corps des cellules de Purkinje ( fig. 105). Ces derniers sont entourés d'une véritabl
les fibres mous- sucs et les fibres grimpantes décrites par Cajal ( fig. 10). Les fibres moussues que l'on rencontre dan
une rosace, et rappelant la mousse qui recouvre les arbres (Cajal) ( fig. 10, -114). Les libres grimpantes sont épaisses; e
e et s'y terminent par une arbo- risation variqueuse et plexiforme ( fig. 105, 111). Les cylindres-axes du système nerveu
s cylindres-axes dans la substance blanche de l'axe cérébro-spinal ( fig. 109). La division du cylindre-axe et sa richesse
se divisent en ramifi- cations noueuses, arboriformes et libres ( fig. 102). Les cellules pyramidales de l'écorce cé
olumineux que les dimensions de la cellule sont plus considérables ( fig. 110). Les nombreux prolongements protoplasmiques
ment entre les fibres nerveuses de la zone corticale superficielle ( fig. 110). Les dendrites basilaires se détachent prè
di- rection ascendante et se continue avec une fibre nerveuse ( fig. 111). Du corps cellulaire se déta- chent une
rieur d'un glomérule olfactif par un élégant panache variqueux ( fig. 112). z Les grains du cervelet sont, ainsi qu
donc constitué que par une chaîne de neurones plus ou moins longs ( fig. 113). La cellule du neurone peut siéger, soit d
sont du reste variables; tantôt, comme dansle glo- mérule olfactif ( fig. 112), la dendrite empanachée et ramifiée est ento
dendrites digitiformes des grains du cervelet (fibres mous- sues) ( fig. 101 et 1®); tantôt les arborisations terminales d
- minale (Endkorben de KolIIker) ou de nid péri-cellulaire (Cajal) ( fig. 105); le plus souvent enfin, grâce à la longueu
cornes antérieures). Les aspérités des arborisations dendritiques ( fig. 101) représentent très vraisemblablement des li
i constitue le nerf présente lui-même une base d'insertion conique ( fig. 114). De très bonne heure, à la fin du premier mo
nt les fibrilles nerveuses en petits faisceaux qu'elles recouvrent ( fig. 116). Ces cellules connectives embryonnaires se
istance demi-molle, et pré- sentant une grande plasticité (Vignal) ( fig. -lu7); elles s'appliquent en effet à la surface
les gouttelettes se contondent avec la grande masse de la myéline ( fig. 118); peu colorée par l'acide os- mique au débu
ue du cylin- dre-axe, des gouttelettes de myéline apparaissent ( fig. 119). D'abord peu nombreuses; elles se fu- si
forment les cônes épendymaires antérieur et postérieur de Retzius ( fig. 90, p. 153). 2° Les cellules de la névroglie, q
ne intermédiaire, laquelle se colore fai- blement par les réactifs ( fig. 122). La striation fibrillaire du protoplasma,
cellule une po- sition excentrique, au voisinage d'une dendrite ( fig. 122). Dans cer- taines cellules, telles que cel
noyau saillant à leur surface et logé dans une masse de protoplasma( fig. 1 23, E, c,) qui s'étend à la surface du tube;
bien connue depuis les recherches de Ranvier et de v. Lenhossek ( fig. -124). La capsule endothéliale corres- pond à l
suite de sa gaine de Schwann et présente un étranglement annulaire ( fig. 124). La cellule des ganglions rachidiens occup
ment inter-annulaire avant que la fibre nerveuse ne se divise en T ( fig. 121). Cette division s'opère au niveau d'un étr
ts ou dendri- tiques et des prolongements longs ou cylindre-axiles ( fig. 126). Les cellules sympathiques sont donc multi
les fibres enchevêtrées se terminent toutes librement et en pointe ( fig. 126). Les prolongements dendritiques, les plus
eaux compacts de libres, qui tra- versent le ganglion en tous sens ( fig. 87, p. 148). Les couches les plus superficielle
minent par des arborisations libres dans l'épaisseur des ganglions ( fig. 87). Ils présentent également, ainsi que v. Geh
ses bords un double contour bien marqué et un large ruban central ( fig. 127). Le double contour correspond, ainsi que Ran
vient grenue et que le cylindre-axe ap- paraît nettement (Ranvier) ( fig. 127). Au bout d'un certain temps, la portion du
chwann au fond de laquelle il existe un anneau coloré en noir (a, fig. 128, B). A une petite dis- tance de celui-ci, l
lus claire, au delà de laquelle se montrent les stries de Frommann ( fig. 128, C). Ces renflements biconi- ques, qui joue
de leurs étranglements annulaires une légère dilatation en ampoule ( fig. 129) ; les deux ampoules limitent un ménisque b
noir par l'acide osmique (rlxel-liey et Retzius, Ranvier, Vignal) ( fig. 120). 2. Gaine de myéline. La myéline située da
hwann, soit à la surface du cylindre-axe par des angles très aigus ( fig. 129). Leur longueur, leur forme, leur nombre so
large base correspond à la face interne de la membrane de Schwann ( fig. 130). Ils signalent en outre dans certains cas,
U SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 213 tine, décrit par Ewald et Kühne ( fig. 131), mais il s'en distingue en ce qu'il se col
re- ment rentlées, qui ne dépassent jamais le stratum granulosum ( fig. 133). L'existence de ces arborisations termi-
atifié, on observe le même mode de terminaison que dans l'épiderme ( fig. 134, 136). Les fibres ner- veuses de la couche
langue, celle de 1't,pi- glotte, des cordes vocales supérieures ( fig. 136) et inférieures (fig. 138) et de l'crsoplaa
glotte, des cordes vocales supérieures (fig. 136) et inférieures ( fig. 138) et de l'crsoplaae (fig. 135) (Retzius).
périeures (fig. 136) et inférieures (fig. 138) et de l'crsoplaae ( fig. 135) (Retzius). Dans la muqueuse vésicule (fig.
t de l'crsoplaae (fig. 135) (Retzius). Dans la muqueuse vésicule ( fig. 137), les arborisations terminales libres et
, les libres nerveuses présentent en général un trajet ré- current ( fig. 138) ; quelquefois cependant, en particulier dans
s nerfs cutanés, par des arborisations libres inter-épithéliales ( fig. 98). c) Arborisations nerveuses des poils. Le
anhiste, vitrée de la paroi connective du follicule (v. Gehuchten) ( fig. 140). Les poils tactiles. n'existent pas chez l
ent pas chez l'homme, mais se rencontrent chez tous les mammifères ( fig. 141) ; ils sunt entourés d'un sinus sanguin caver
e termi- nent par des extrémi- tés libres, légèrement renflées ( fig. 142). e) Dans les dents. les terminaisons ner
de le 'démontrer récem- ment chez le lézard et chez l'anguille ( fig. 143). f) Dans les ten- dons, Sachs et Tschi
- ceaux musculaires et re- couverte par la gaine de sarcolemme ( fig. 144). Elle est formée d'une masse granuleuse
valaires, tantôt allongées ou trian- gulaires, tantôt rubanées ( fig. 145). Ces plaques terminales, dépourvues de s
e à de très fines fibres vari- queuses plus ou moins ramifiées ( fig. z6). Ces fibres, d'après Ranvier, embrochent
latérales et se terminent par des extrémités libres et variqueuses ( fig. 146). Les nerfs des. muscles lisses se comporte
és depuis Calien sous le nom de cerveau droit et de cerveau gauche ( fig. 148). Une scissure profonde verticale et antéro-p
recourbe en bas à sa partie antérieure et à sa partie postérieure ( fig. 151). En avant il forme le genou (Cc[g]) et le
scis- sure inter-hémisphérique descend jusqu'à la base du cerveau ( fig. 148, 4 ? 9). Son extrémité antérieure mesure de
mité postérieure oulole occipital, à la fosse occipitale supérieure ( fig. lui9). Le bord supérieur demi-circulaire, arron
aire, arrondi et mousse, sépare la face interne de la face externe ( fig. 148) ; il est le siège de prédilection des clra-
la région frontale, sépare la face externe de la face infé- rieure ( fig. 149). Les trois faces des hémisphères sont nett
se continue avec la face inférieure en formant un angle très obtus ( fig. 179). La section transversale de cette extrémit
de l'hémisphère, en lobes frontal, pariétal, occipital et temporal ( fig. d30). La face interne, plane et verticale, limi
t verticale, limite de chaque côté la scissure inter-hémisphérique ( fig. 131). Elle répond, dans la plus grande partie de
La face inférieure des hémisphères appartient à la base du cerveau ( fig. 149); elle se moule sur les étages antérieur et m
et sous un angle très ouvert, avec la face interne de l'hémisphère ( fig. 1 i-1, 179). Le bord externe du lobe sphéno-occip
obaires de la face externe de l'hémisphère sont au nombre de trois ( fig. 150), ce sont : la scissure de Sylvius (S), la
MORPHOLOGIE CEREBRALE. 121- deuxième circonvolution pariétale (P,) ( fig. 152, 153, 156, 161). L'éperon inférieur est gén
is inci- sures profondes, les incisures pariétales de Broca (ipop) ( fig. 153, 161, 173). On trouve quelquefois une incis
), c'est l'incisllre frontale de l'oper- . cule de Brissaud (ifop) ( fig. 153, 163,). La branche antérieure (fig. 155, 16
. cule de Brissaud (ifop) (fig. 153, 163,). La branche antérieure ( fig. 155, 163), la plus courte, se bifurque en Y, 1
; ils naissent quel- quefois directement de la scissure de Sylvius ( fig. 161), de manière il former une sorte de V et no
ce externe et la face orbitaire de cette importante circonvolution ( fig. 160, 161, 162, 'l73). La branche ascendante ver
(S [aj) et la branche postérieure (S pl), porte le nom d'opercule; ( fig. 150, 1go, 161, 163, 173, etc.), il forme la lèvre
rconvolution marginale supérieure ou gyrus supra, marginalis (Gsm) ( fig. 150). Le pli de passage profond est souvent dédou
de l'insula, et constitue la région rétro- insulaire de Broca (Tp) ( fig. 100.173). 2° Scissure de Rolando (R). - Synonym
de passage fronto-pariétal supérieur ou lobitle paracentral (Parc) ( fig. 151, 17'1 à 182) qui relie à la face interne de
ure, limitée par le pli de passage fronto-pariétal inférieur (OpR) ( fig. 150, 161, 462), se termine au-dessus de la scis
[situé quel- quefois profondément dans la scissure de Syl- vius ( fig. 155, 156). A un examen superficiel, la scissure
scissure de Ro- lando et du sillon prérolandique supérieur. (Voy. fig. 165 et 166 -qui se rapportent au même hémisph
rès Brissaud (Oe). ' La scissure pariéto-occipitale d'Ecker (po) ( fig. 150, 159, 161- à 1G91, à cheval sur la partie p
rieure de l'hémisphère, où il forme le lobule orbitaire de Gratiolet ( fig. 149, 157, 179), connu encore sous le nom d'étag
nsversal, peu profond, le sillon fronto-mar- ginal de Wernicke (fm, fig. 15â, ·15 7) sépare la portion frontale du lobe de
me circonvolution frontale (OpF.,) sur la frontale ascendante (Fa) ( fig. 154, z, 156, 157, 160). De là, le sillon prérolan
il n'atteint qu'exceptionnellement la scissure inter-hémisphérique ( fig. 156). Il est en effet le plus souvent interrompu
lutions frontales. Lorsque ces deux plis d'insertion sont profonds ( fig. 1G), le sillon prérolandique s'élend du voisina
ion. Mais ces plis d'in- sertion sont le plus souvent superficiels ( fig. 148, 150, 1.i2, ? i, 160, 1(il); le sillon prér
tal (f2) et le sillon de la deuxième circonvolution frontale (f'2) ( fig. 163). Lorsque la troisième circonvolution MORPH
lon prérolandique inférieur se réduit à une courte incisure isolée ( fig. 162). Le sillon prérolandique supérieur (prs),
ser en lon- gueur le sillon prérolandique inférieur qu'il compense ( fig. loi, 155, 158). Premier sillon frontal (f;).- S
moins profondément en arrière du sillon prérolandique ' inférieur ( fig. 166) ; plus exceptionnellement, il naît de la sci
166) ; plus exceptionnellement, il naît de la scissure de Rolando ( fig. 163), et divise alors complètement la circonvolut
is encore il se réduit à l'état de deux ou trois incisures isolées ( fig. 158). Il se dirige d'arrière en avant, du sillo
tomo- tiques, qui relient entre elles ces deux circonvolutions ( fig. 150, 155,-160 à 163). lin avam, un pu anastom
ale (F3[c), une incisure presque constante, Y incisure du cap (ic) ( fig. 105, 157, 160 à '162). Le sillon fronto-margina
105, 157, 160 à '162). Le sillon fronto-marginal de Wernicke (fm) ( fig. 155, Un) est un petit sillon transversal, rarem
dédouble la deuxième circonvolution frontale, soit le deuxième (f,) ( fig. 155) soit même le premier sillon frontal (f,).
e toujours située au-dessous de l'incisurc sus-or bitaire de Broca ( fig. 180, 181, 182). Les deux sillons frontaux et le
riangulaire, forme la face inférieure ou orbitaire du lobe frontal ( fig. 149, 179, 183); elle repose sur la voûte de l'o
, par un bord tranchant, longé par la « racine » olfactive externe ( fig. 183), bord le long duquel s'arrête l'écorce cér
r un sillon rectiligne, antéro-postérieur, le sillon olfactif (fi) ( fig. 149, 179, 183), qui loge Je pédon- cule et le b
ire, sulcus orbitalig \f5) d'Ecker, l'incisul'e en H de Broca (f,) ( fig. 149, 183). Les parties moyenne et externe du si
sités et s'insèrent sur la circonvolution frontale ascendante (Fa) ( fig. 155). · La première circonvolution frontale, ou
éparés l'un de l'autre par le sillon prérolandiquesupél'ieur(pI's) ( fig. 155, 158, 159). La deuxième circonvolution fron
la branche verticale ascendante (S [v]) de la scissure de Sylvius ( fig. 150, 155, 17 Troisième circon- volution fro
concavité l'extré- mité inférieure du sillon prérolandique (pri) ( fig. 155] 160).. Quelquefois même, il est si profo
remier abord, se jeter directement dans la scis- sure de Sylvius ( fig. 163). On distingue à cette circonvolution tro
tie operculaire (Op F 3)' situé en arrière de la branche verticale ( fig. 150, 155, 160, 161, 162, 173). - La partie orbi
de la partie orbitaire est longé par la «racine» olfactive externe ( fig. 183) ;son extrémité interne s'unit à la moitié
i anastomotique quilimite en avant le deuxième sillon frontal (fa) ( fig. 155). Le cap ou partie triangulaire (F;; [c]),
uperficielle qui interrompt la continuité du second sillon frontal ( fig. 155). Le pied ou partie operculaire (Op F 3)' s
ntôt de la scissure de Sylvius, tantôt du sillon frontal inférieur ( fig. 152, 135, hui8, 161). Ce lobule envoie en général
s, ainsi qu'il est facile de s'en assurer en examinant les figures ( fig. 150, 155, 160, 161, -163). Le bord inférieur et
profond et vertical, le sillon marginal antérieur de l'insula (ma) ( fig. 1 î : 3). Le pied recouvre la face supérieure de
eût été pendant sa vie doué de facultés ora- toires particulières ( fig. 158). Ici, comme pour d'autres circonvolutions, c
Cette circonvolution très volumineuse est, dans quelques cas rares ( fig. 163), divisée en deux parties par le premier sill
e où elle forme la plus grande partie du lobule paracentral (Parc) ( fig. 177, 180, 181, 182). De là, elle se dirige obliqu
ando semble alors se jeter directement dans la scissure de Sylvius ( fig. 106). ¡ Le pli de passage froatomcnrc·tal.suhér
e de Meynert (ipo), ou sillon pré-occipital de Bischoff et Meynert ( fig. 150, 171). Cette incisure appar- tient au trois
par sa minceur avec le contingent frontal beaucoup plus volumineux ( fig. 177, 180, 181, 182). La partie supérieure de la c
de la scissure de Rolando, soit des sillons pré ou post-rolandique ( fig. 1H6, 158, 163, 166). Sillon interpariétal (ip).
ndant porte le nom de sillon post-rolandiquc ou post-central (por) ( fig. .158, li9, z163). Ce sillon, même lorsqu'il est tr
ourrait, à première vue, être confondu avec la scissure de Rolando ( fig. 159, H. d.). Le sillon interpariélal (ip) est f
ls, soit profonds, connus sous le nom de plis verticaux de Gromier ( fig. 164, 165). Dans sa partie courbe, il fournit pr
to-occipitale, c'est le sillon pariétal transverse (pt) (Brissaud) ( fig. 166); il donne en outre un rameau descendant, le
outre un rameau descendant, le sillon intermédiaire de Jensen (j) ( fig. 166), qui subdivise la circonvolution pariétale
i représente à la face externe la scissure pariéto-occipitale (po) ( fig. 164, 165, 169). La deuxième circonvolution pari
divisée en deux parties par le sillon intermédiaire de Jensen (j) ( fig. 166). La partie antérieure naît de l'extrémité
volution temporale (T2), et former le pli courbe de Gratiolet (Pc) ( fig. 165 à 172), le gyrus angularis d'Ecker, ou deux
s dit, immédiatement en arrière du sillon, intermédiaire de Jensen ( fig. l(i0, 161, 162, 165, 166, 170, 171.) , 3° lobe
rne un véritable sillon, le sillon pré- occipital de Meynert (ipo) ( fig. 1HO, 170). Sur le trajet de la ligne qui réunit
b. 171). Ce sillon fort variable représente tantôt un sillon isolé ( fig. 168), tantôt l'éperon inférieur du sillon parallè
on isolé (fig. 168), tantôt l'éperon inférieur du sillon parallèle ( fig. 171); son extrémité inférieure tombe immédiatem
u deuxième sillon occipital ou sillon occipital Irans- vcnsc (o =) ( fig. 1 : i0, 1 G, 168); le plus souvent il dépasse ce
oile et se prolonge jusqu'au niveau de la pointe du lobe occipital ( fig. 1164, 171). Il divise le lobe occipital en Les
porte en avant vers la partie horizontale du sillon parallèle (t,) ( fig. 150, 168, 171). Le troisième sillon occipital (
d'autres fois, il appartient à la face inférieure de l'hémisphère ( fig. 166. 171). | Les circonvolutions délimitées par
où elle s'anas- - tomose avec le gyrus rlc.vcmrrlcrr.s d'Echer (D) ( fig. 168). Deuxième circonvolution occipitale (0,).
parfois, il inter- rompue sillon occi- pital antérieur (oa) ( fig. 173) en s'anas- tomosant avec la deuxième cir
ital (io), puis s'insère sur la circonvolution descendante d'Ecker ( fig. l 7 1 Troisième circonvolution occipitale (03),
ie d'une pièce durcie dans le bichromate ; même cerveau que dans la fig. 159.) C, cuneus. - cm, sillon calloso-marginal.
)' en formant le qun- trième pli de passage externe de Gratiolet ( fig. 168, 170, 171). . La circonvolution occipi-
olution occipi- tale descendante ou gyrus descendons d'Ecker (D) ( fig. - 167, 168, 16y, 171) occupe l'extrémité tout
avec le lobule lin- gual (Lg) à la face interne de l'hémisphère ( fig. 176). 4° Lobe temporal (T). Situé dans l'étag
1G L), pli ordinairementprofond, mais qui peut devenir superficiel ( fig. 162). Elle s'anastomose rarement avec la scissure
(fig. 162). Elle s'anastomose rarement avec la scissure de Sylvius ( fig. 158), plus fréquemment avec le sillon temporal mo
us (fig. 158), plus fréquemment avec le sillon temporal moyen (t2) ( fig. 1771). Dans sa partie verticale (t'1), le sillo
souvent en bas avec le sillon occipital antérieur de Wernicke (oa) ( fig. 16), et établit ainsi la limite antérieure du lob
ne donne qu'une branche ascendante, laquelle peut être simple ( fig. 167) ou dédoublée (fig. 170,172). On trouve q
he ascendante, laquelle peut être simple (fig. 167) ou dédoublée ( fig. 170,172). On trouve quelquefois entre l'ext
la scissure parallèle, un petit sillon horizontal superficiel ( fig. 161,168,152), qui n'est, dans la majorité des c
ique allant de la troisième circonvolution temporale à la deuxième ( fig. 171), lantôt il se prolonge en haut et en arriè
7 concourt à former le sillon occipital antérieur de Wernicke (oa) ( fig. 170), tantôt enfin, affectant une forme étoilée
ernicke (oa) (fig. 170), tantôt enfin, affectant une forme étoilée ( fig. 172), il reçoit le deuxième sillon pré-occipita
e Meynert, et constitue le [Confinent Furchenconflux) de Jensen(x) ( fig. 170, 172). De la terminaison postérieure de ce
de Schwalbe, qui semble alors n'être qu'une incisure de ce sillon ( fig. 149). D'autres fois, il en est séparé par un pl
, et dédoublées plus ou moins par le deuxième sillon temporal (t2) ( fig. 160, 1G1, r16 ? , 171). La troisième circonvolu
nt séparée de la première temporale par la scissure parallèle (t,) ( fig. 150, 160). En avant et à la face inférieure de l'
des deuxième (02) et troisième circonvolu- tions occipitales (03) ( fig. 150, 171). Première Circonvolution temporale (T
quefois par un pli de passage plus souvent profond que superficiel ( fig. z); elle est séparée du pli courbe par le sillo
st séparée du pli courbe par le sillon intermédiaire de Jensen (j) ( fig. 164, 1G5,-1 ï-1). La face supérieure de cette c
, recouvre la partie inférieure de l'insula, dont elle est séparée ( fig. 173) par le sillon, marginal postérieur de l' in-
meau ascendant de la branche postérieure de la scissure de Sylvius ( fig. 160). .. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 279 1 L'extré
porale (T,) se continue directement avec la région rétro-insulaire ( fig. 158, 160). La région rétro-insulaire comprend u
squels sont '1tpé- - 1'iew'-(ms), antérieur (ma)etposté1'iew' (mp) ( fig. 173). " . Le sillon marginal supérieur de l'ins
érieur : c'est le seuil de l'insula, le pli falciforme de Broca (SI) ( fig. 177). Le pli falciforme de Broca représente une
on est sensiblement parallèle à celle du sillon marginal supérieur ( fig. 173). Des trois faces de l'insula, la supérieur
et qui forme une simple entaille à la face externe de l'hémisphère ( fig. 169), l'autre interne qui constitue la scissure p
proprement dite, ou scissure perpendiculaire interne de Gratiolet ( fig. 174 à 182), et qui possède la synonymie suivante
le nom d'isthme du lobe limbique ou isthme antécalcarinien (L[ij) ( fig. -1.77, 180, 182). Lorsqu'on écarte cette scissu
ns voisines : le pli inférieur, pli cunéo-limbique de Broca ('1t cl) ( fig. 182, 177, J 8'1), pli de passage pariéto-occipi
endus du sommet du cunéus à la partie postérieure du lobe ]imbique ( fig. 182, 183). Le pli supérieur, constant égale- me
e profonde du précunéus à l'angle antéro-supérieur du cunéus (-poi, fig. 177, 181, 182). Il interrompt le fond de la sci
continue souvent avec un des sillons antéro-postérieurs du cunéus ( fig. 183). Scissure calcarine (K). Partie postérieur
éperon qui empiète quel- quefois sur la face externe de ce lobe ( fig. ] 74). L'éperon supé- rieur (K') peut faire déf
e calcarine se trouve à son origine réduite à l'éperon inférieur ( fig. 178, 179, 180). De la, elle se porte en dedans,
n cle l'hippocampe (H) à la circon- volution du corps calleux (L,) ( fig. 177, 182). Scissure caleariue. Ftc. 174. - Fa
former l'ergot de Morand, le petit hippocampe ou calmar avis (Voy. fig. 204 et coupes ve)-lico-li,ansve2 ? l1WC1'OS.)..
plis verticaux, qui réunissent le cuneus (C) au lobe lingual (Lg) ( fig. 181, ! 8`2). Profonds dans l'immense majorité des
re plus ou moins complètement la scissure calcarine, comme dans les fig. 175, 176. Ces figures reproduisent les deux hém
près Broca, SF. La .s'c<.y.s ? e c ? o.s'o-M ! <7 ? a/e (cm) ( fig. 1711 à 182), parallèle à la face supérieure du
médiatement en arrière de la circonvolution parié- tale ascendante ( fig. 158, 159). Dans sa partie antérieure et convexe
sch), elle sépare le précunéus (Pr C) du lobule paracentral (Parc) ( fig. 15'1). De la convexité de la scissure calloso-m
sa partie supérieure. C'est le sillon sus-orbitaire de Broca (so) ( fig. 181, 182, 183). Il forme quelquefois, à la face
e pré-ovalaire de Broca, le sillon paracen- tral de Meynert (parc) ( fig. 151, 177, 180, 182). Au niveau du coude postéri
sage analogue, le pli de passage pariéto-limbique antérieur (-pla) ( fig. 180, 177), sépare l'extrémité antérieure de ce si
lis de passage, le pli de passage f1'onto-lÙnbique de Broca (- 11) ( fig. 180), situé en avant du genou calleux, et qui réu
as- tomose quelquefois avec le troisième sillon temporal (ot + t3) ( fig. 180). Dans sa moitié postérieure, cette scissur
-Iiiibiqite (- tl), qui relic le lobe limbique au lobule fusiforme ( fig. 175, 178, 179, 182). Ordinairement profonde, la
elle occupe la paroi externe et inférieure de la corne sphénoïdale ( fig. 204 et Coupes vertigo- transversales). Les sc
face interne ou inférieure des lobes respectifs de la face externe ( fig. 151). B. LOBES DE LA FACE INTERNE DE L'HÉMISPHÈ
ariéto-lim- bique antérieur est tantôt superficiel, tantôt profond ( fig. 176, 178, 182, '181) ; dans ce dernier cas, la
erficiels, dont l'un, un peu plus profond, le sillon du cunéus (c) ( fig. 179, 180, 181, 182), affecte, en général, une d
ule lingual par les plis anastomotiques cuw ! o-lil/[j uaux (..dg) ( fig. 178, 'l76. 181, 182) 2" Lobule lingual (Lg). -
sage rélro-limbique (- ri) de Broca, pli le plus souvent superficiel ( fig. 4 in, 179, 180, 181, 182). Le lobule lingual pr
e. Profond en arrière, où il com- mence, soit par un éperon simple ( fig. 1n9, 180) ou double (fig. 181), soit par une in
il com- mence, soit par un éperon simple (fig. 1n9, 180) ou double ( fig. 181), soit par une incisure étoilée (fig. 182),
fig. 1n9, 180) ou double (fig. 181), soit par une incisure étoilée ( fig. 182), qui peut communiquer avec la partie posté-
mmédiatement au-dessous du pli îél-o-Iii2îbiqèir de Broca (7t i-1) ( fig. 179, 180). Il dédouble quelquefois ce pli (fig.
de Broca (7t i-1) (fig. 179, 180). Il dédouble quelquefois ce pli ( fig. 183), et le lobule lingual se trouve alors rattac
nt le supérieur est en général superficiel, et l'inférieur profond ( fig. 181, 182). i Sillon du lobulo '' lingual.
ales (0,, Oa), par l'intermédiaire du gyrus descendens d'Ecker (D) ( fig. 174, 175, 176). Fig. 180. - Face interne de l'h
Fus), auquel il est uni quelquefois par un ou deux plis de passage ( fig. 151, 174). Lobule fusiforme (Fus). SYNONYMIE. -
térale, pour s'unir à la troisième circonvolution occipitale (0,,) ( fig. 176, 179, 180, 182) ; en avant, il n'atteint pa
l, dont il est séparé par une distance de deux à trois centimètres ( fig. 179, 180). Le lobule fusiforme entre toutefois
gion par un pli de passage, le pli temporo-limbique de Broca (-tl) ( fig. 175, 178, 179, 182), qui relie le lobule fusiform
rficiel, fréquemment interrompu, le troisième sillon temporal (t3) ( fig. 152). C'est sur ce sillon que se branche, en géné
t, incisure qui délimite le lobe occipital d'avec le lobe temporal ( fig. 175, 176, 180). 4° Grand lobe limbique de Broca
c[g]), où elle se confond avec le carrefour olfactif de Broca (CB) ( fig. 177, 180, 181, 182), la première circonvolution
rt de pied d'insertion au pli de passage fl'onto-limbiqul ? (tt il [ fig. 180); elle présente en outre, au niveau de la par
mbique (H), est constant, mais peut occuper une situation profonde ( fig. 179, fil). Il faut dans ce cas, pour l'apercevo
désigné par Manou- vrier sous le nom de sillon intra-limbique (t) ( fig. 181). Les incisurcs occu- pent en général les o
pocampe (L2[llJ), fait suite en arrière à l'isthme antécalcarinien ( fig. 181, 182). Elle naît par une extrémité épaissie
gone, et donne insertion en dedans au velum terminale d'Aeby (vt), ( fig. 177) lamelle grise qui ferme l'extrémité antérieu
passage superficiel, le pli de passage temporo-limbique de Broca) ( fig. 180, 182, 17G, U7G, 152). Le pôle temporal débo
de l'hippo- campe et que l'on relève le bourrelet du corps calleux ( fig. 177, 181, 182,) MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 299 on
onde présente en général, au-dessous du bourrelet du corps calleux ( fig. 181, 182) (Cc), deux ou trois petites saillies
ons sous-calleuses, de circonvolutions calleuses inférieures (Csc) ( fig. '181, 182). Circonvolutions sous-calleuses.
, et reçoivent les radiations de la substance blanche du subiculum ( fig. 181, 182) (sbll). Les circonvolutions sous-call
a cavité ventriculaire les digilations de la corne d'Ammon (dg CA) ( fig. 204). Compris à son origine entre la circonvoluti
us-calleuses et l'isthme du lobe limbique du fasciola cinerea (Fc) ( fig. 171, 181, 182), puis se continue in- sensibleme
odronmee naît en avant, au niveau du vélum ter- minale d'Aeby (vl) ( fig. 177), sous la forme d'une mince et petite bande-
la fimbria, ce sillon peut être désigné sous le nom de sillon (fg) ( fig. 182). Sinus du corps cal- leux. Circonvolut
GIE CÉRÉBRALE. 303 était, et porte le nom de fasciola cinerea (Fc) ( fig. 182, 149). Arrivée au niveau de la face supérie
iveau pour former la circonvolution géniculée de Zuckerkandl (Cgn) ( fig. 178). Arrivés au niveau du bec du corps calleux
misphère, et se perd sur l'extré- mité antérieure du lobe temporal ( fig. 183). D'après quelques auteurs, elle se termine
gonales (le Broca. dehors par la racine olfactive externe (Rôle) ( fig. 183), qui le sépare de . l'insula(I), en avant
en dehors parle cro- chet de la circonvolution de l'hippocampe (U) ( fig. 149). Sa surface, de coloration gris rosée, est
Voy. Coupes vertico-transver- sales et horizontales microscopiques, fig. 280, 296, 314 et 319 à 322.) La partie postérie
térieur, par une couche de fibres blanches toujours très manifeste ( fig. 282 et 283). Ces fibres appartiennent aux radiati
hme de l'encéphale, au niveau du bord supérieur de la protubérance ( fig. 183). L'étude du plan de sépa- ration, c'est-à-
'L° Chiasma et bandelettes optiques. Le chiasma des nerfs optiques ( fig. 183, 187), formé par l'entre-croisement incomplet
és dans la couche optique, les corps genouillés externe et interne ( fig. 183, 187). Les nerfs optiques sont libres dans
isième ventricule, le divei-liciite ou l'ecessus sus- optique (ro) ( fig. 188). Les bandelettes optiques sont également a
mis- sure inférieure de la base du cerveau ou commissure de Gudden ( fig. 184). Le faisceau visuel croisé, le plus volumi
es visuelles, qui présentent un calibre beaucoup plus considérable ( fig. 184, r185, 18G). Dans la commissure grise de la
du ruban de Reil médian. (Voy. Coupes horizontales microscopiques, fig. 320 et 31.1 Au voisinage du chiasma, on trouve
ntéro-postérieure et médiane d'un cerveau durci dans le bichromate ( fig. 188). Faisceau du tuber cinereum. Lame gris
) qui représente la partie la plus déclive du troisième ventricule ( fig. 188), cette tige se rétrécit en bas, et s'impla
ormée de deux parties ou lobes, l'un postérieur, l'autre antérieur ( fig. 188). Le lobe postérieur, le plus petit, d'un gri
à ligne médiane et séparées l'une de l'autre par un sillon profond ( fig. 187). Uniques et médians au début delà vie embryo
térieur du trigone et donne naissance au fais- ceau de Vicq d'Azyr ( fig. 193), l'autre interne qui émet un petit faisceau
e à la base du cerveau, c'est le tubercule mamillaire latéral (Tml, fig. 193), décrit chez les animaux par Gudden. Ce tube
de Reil; c'est le pédoncule du tubercule mamillaire latéral (PT ml, fig. 193). L'espace inler-pédonculairc ou espace per
93). L'espace inler-pédonculairc ou espace perforé postérieur (Spp, fig. 187), de forme triangulaire, s'enfonce par son
aire commun par le pédoncule du tubercule mamillaire latéral (PTml, fig. 184 et 193), faisceau blanc, légèrement sail- 2
décrit par Gudden et par Forel, la gang lion inter-pédonculaire (Gip, fig. -184). Ce ganglion, très peu visible chez l'hom
ndue du tubercule mamillaire médian au ganglion inter-pédonculaire ( fig. 184). Région des pédoncules cérébraux. En arr
paroi supérieure sera beaucoup plus longue que sa paroi inférieure ( fig. 188). Cette dernière mesure, en effet, depuis l
à l'origine de la lingula du cervelet. Vue en section transversale ( fig. 183, 189), la région des pédoncules cérébraux a
stéi@ieure, le pédoncule du tubercule mamillaire latéral de Gudden ( fig. 191 et 1931. 1 . La face latérale du pédoncule
sépare en dehors, le pied du pédoncule de la région de la calotte ( fig. -189, 19° ? , 19 ! ). Quant au champ du triangl
quadrijumeaux, la section triangulaire de l'aqueduc de Sylvius (Aq, fig. 189), vestige de la cavité du cerveau moyen; 2°
bras, les jambes ou les cuisses du cerveau, affecte, sur la coupe ( fig. 189), la forme d'un croissant à concavité postéro
ssant à concavité postéro-interne; il est constitué de chaque côté ( fig. 190) par une masse volumineuse de gros fais- ce
les parois latérales et postérieures du losange opto-pédonculaire ( fig. 183, 190). En divergeant ils s'aplatissent et s
constituent le faisceau arciforme ou fais- ceau en écharpe de Féoé ( fig. 4). Ce faisceau représente une variété ana- tom
eure du cerveau, en arrière du chiasma et de la bandelette optique ( fig. 191). Chez l'homme et chez les autres mam- mifè
anciens anatomistes. a. 25acttcs2edunculccri.s transversus ('l'pt, fig. 192). - Entrevu pai- Gall et Spurzheim, qui l'o
ral elle pédoncule du tubercule mamillaire latéral de Gudden (PTml, fig. 191, 193). Après sa pénétration dans le sillon du
nètre dans le sillon du nerf oculo-moteur. p. Le tseniapontis (Tpo, fig. 189 et 192) oubandelctle de la protubérance de
e pied du pédoncule le long du bord supérieur de " la protubérance ( fig. 189, 192), pénètre dans le sil- lon du nerf o
par une ligne trans- versale passant par l'aque- duc de Sylvius ( fig. 189). En dehors, elle con- court à former la
, le péclota- cule du tubercule mamillaire latéral de Gudden (PTmI, fig. 191, 193, 297). La face externe de la calotte p
versus. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 329 de l'isthme de l'encéphale ( fig. 192) ; on y trouve d'avant en arrière le corps
on trouve des amas plus ou moins considérables de substance grise ( fig. 189, 193). Cette substance réticulée occupe dans
noyau volumineux bien circonscrit, le noyau rouge de Stilling (NR, fig. 193) situé de chaque côté du raphé, dans les ré
pé- doncule cérébelleux supérieur ou noyau blanc de Stilling (Pcs, fig. 189). De chaque côté du raphé, en arrière du no
es noyaux d'origine du nerf moteur oculaire commun (3° paire) (NI ? fig. 193). En dehors du noyau rouge (NR) ou du pédon
ruban de Reil laté- ral, de faisceau triangulaire de l'isthme (RI, fig. 189). Dans la région Fig. 193. Coupe transversa
ette optique. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 331 pédonculaire supérieure ( fig. 193), elle est recouverte par les libres du bras
s quadrijumeaux occupe la partie postérieure du pédoncule cérébral ( fig. 194) ; elle s'étend du bord postéro-supérieur du
meaux antérieurs, un petit triangle, le triangle sous-pinéal (TgGp, fig. 194), sur lequel repose la glande pinéale, tria
étudiés dans leur ensemble que sur une coupe médiane et sagittale ( fig. 151 et ! 95), qui sépare l'un de l'autre les deux
isphères, circonscrit autour de son seuil ou de sa partie centrale ( fig. loi). Le seuil de l'hémisphère comprend : en ha
eau, passant par exemple au niveau des tubercules mamillaires (Tm) ( fig. 19(i). On rencontre, sur la ligne médiane et de
troisième ventricule par l'intermé- diaire des trous de Monro (TM) ( fig. 19a, 198). La face inférieure du noyau caudé et
substance blanche fort importante, la capsule interne de Reil (Cip, fig. 196); dirigée obliquement en bas et en dedans, el
un cerveau reposant sur sa base, on écarte les deux hémis- phères ( fig. 197), le corps calleux (Ce) se présente sous la f
bre ou moyenne, le tronc du corps calleux. La coupe de Vieussens ( fig. 199) montre que par ses parties latérales le co
calleux (Cc). Sur une coupe sagittale et médiane Troncducorpscai- ( fig. 151) séparant les deux hémisphères, le corps call
veau de la commissure blanche antérieure, avec la lame sus-optique ( fig. 198). On considère au tronc du corps calleux de
leux deux faces, deux bords et deux extrémités. La face supérieure ( fig. 199), plus large en arrière qu'en avant, est en
me le fond. Elle mesure 15 à 20 millimètres. Un sillon peu profond ( fig. '196), le sinus ou ventricule du corps calleux de
corps calleux et se continuent soit avec le fasciola cinerea (Fc) ( fig. 1 i.9) soit avec la substance blanche réticulée d
ge du raphé du corps calleux. De chaque côté de la face supérieure ( fig. 199), on trouve au niveau du sinus du corps cal
alterium ou de lyre de David, de fornix transversus de Fore ! (Ly) ( fig. 200). En avant, le trigone s'infléchit en bas,
le. Cette fente est connue sous le nom de ventricule de Verga (vV) ( fig. 203). Chez quelques mammifères, tels que le che
se présente sous la forme d'un triangle isocèle à base postérieure ( fig. 200), situé au-dessous du corps calleux, au-des
ace triangulaire occupé sur la ligne médiane par le septum lucidum ( fig. 201 à 203). Le trigone est essentiellement cons
à leur parlie moyenne, où ils constituent le corps du trigone (Tg) ( fig. 200). En arrière MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 34";
e à la fois des couches optiques (Th) et du ventricule moyen (V 3) ( fig. 19G). Le bord postérieur adhère à l'extrémité p
ventriculaire (Sexv), de la face supé- rieure de la couche optique ( fig. 196). En avant les bords latéraux sont libres,
ire que les trous de Monro servent au passage des plexus choroïdes ( fig. 201 à 203). Les angles du trigone sont l'un ant
la substance grise centrale (Sgc), et par l'épendyme ventriculaire ( fig. 201). Les piliers antérieurs du trigone affecte
plus antérieure du prolongement sphénoïdal du ventri- cule latéral ( fig. 204 et 213). A leur origine, les piliers postérie
ls sont séparés dans quelques rares cas par le ventricule de Verga ( fig. 203). En descendant dans le prolongement sphénoïd
or du corps calleux et à la partie postérieure de la corne d'Ammon ( fig. 204) et se divise ensuite en deux parties, l'une
blanche intraventriculaire ou l'cclveu.s (ais) de la corne d'Ammon ( fig. 204, 205, 206); la partie interne est libre, elle
(Cg), dont ils s sont séparés par le sillon fimbrio-godronné (fgl, ( fig. 20 : i, 206). La facescrpé- rieure de la fimbri
er- . tico-transversales la formé d'un crochet à convexité interne ( fig. 205), et que sa plus grande partie est située e
qui s'élargit et recouvre complètement la circonvolution godronnée ( fig. 206). . Le trigone contient des fibres longitud
pace perforé antérieur en formant la bandelette diagonale ae Broca ( fig. 183). ? L'angle postérieur, très aigu, s'insinue
se pro- longe jusque dans le bourrelet du corps calleux (Cc[Spl]) ( fig. 203) et le diverticule linéaire des ventricules
viduelles. Lorsqu'on incise le septum lucidum soit horizontalement ( fig. >08.), soit verticalement (fig. 212), on con
um lucidum soit horizontalement (fig. >08.), soit verticalement ( fig. 212), on constate à. son centre l'existence d'une
e et un peu en dedans, en décrivant une courbe à convexité interne ( fig. 200). Arrivés au niveau de l'extrémité pos- tér
oms de cavité digitale ou ancyroïde, ou de prolongement postérieur ( fig. 209 et 204). Le point de réunion de ces trois p
leux (Cc[g]) à l'extré- mité postérieure de la couche optique (Th) ( fig. 208), et mesure en moyenne 7 centimètres de lon
encontre du bord externe du noyau caudé (NC) avec le corps calleux ( fig. 122). La paroi supérieure est formée par la fac
trigone (Tg) et les plexus choroïdes du ventricule latéral (Pchl) ( fig. 208). . 1° Le tronc et la queue du I/o ! /au ca
prend part à la constitu- tion de la voûte de la corne sphénoïdale ( fig. 209). 2° En dedans du noyau caudé on trouve la
horoïdien et le 1--iiia tltalami sont en effet extravenlriculaires ( fig. 213); ils sont recouverts par la toile choroïdien
nt à la surface extérieure du cerveau intermédiaire (Yoy. p. 113 et fig. 52 il gui). La partie Fie. 208. - Étage supérie
que, constitué par la partie saillante de son noyau antérieur (Na) ( fig. 213). 3° Le sillon opto-strié (si), assez large
le de la cornée transpa- . rente. Assez résistante, large en avant ( fig. 208), plus étroite en arrière, la lame cornée e
e de la corne sphénoïdale dont elle atteint l'extrémité antérieure ( fig. 209). La veine du corps strié (Vcst) recouverte
nt parallèle à la scissure de Sylvius (S). La paroi supéro-externe ( fig. 209) se moule sur la paroi inférieure et se con
ment du noyau lenticulaire. (Voy. Coupes sagittales macroscopiques, fig. 274 et fig. 209.) En dehors, la paroi supéro-ex
u lenticulaire. (Voy. Coupes sagittales macroscopiques, fig. 274 et fig. 209.) En dehors, la paroi supéro-externe est fo
t Onufrowicz (OF). La paroi, ou le plancher de la corne occipitale ( fig. 210) présente en dedans la saillie connue sous
rne d'Ammon d'une couche blanche connue sous le nom d'alvéus (Alv) ( fig. 205 et 206). La partie antérieure de la corne d'A
quatre bos- selures, les digitations de la corne d'Anznzozz (dg CA, fig. 210) ; l'interne est la plus constante, etrépon
sphénoïdale.' MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 361 la face inféro-interne ( fig. 209). Elle est tapissée par les fibres du tapetum
dedans en dehors, deux reliefs longitudinaux et une surface plane ( fig. 210). Le relief interne et supérieur est plus p
la couche optique, et longent le bord interne de la corne d'Ammon ( fig. 208); ils forment un cordon vasculaire rouge et
de réflexion inférieur, au sillon choroïdien, de la couche optique ( fig. 212). Dans le prolongement sphénoïdal, le point
demi-circulaire, l'inférieur à la crête épendymaire de la fimbria ( fig. 205, 206). Les plexus choroïdes no siègent donc
ar l'épendyme ventriculaire et la substance grise sous-épendymaire ( fig. 177). Le ventricule latéral représente donc une
avant, et dont le sommet correspond à la tige du corps pituitaire ( fig. 211). On peut donc lui considérer une base, un
as et en avant; il est formé : 1° dans la région de l'infundibulum ( fig. 211), par la partie antérieure du tuber cinereum,
te successivement et de haut en bas : 1° dans la région thalamique ( fig. 211), la base de la glande pinéale (Gp), la com
égion sous-optique (STh) et de la calotte des pédoncules cérébraux ( fig. 213); plus en avant se trou- vent la substance
é effilée dans la moitié supérieure de la tige pituitaire. Sa base ( fig. 213), allongée dans le sens antéro-postérieur, es
membrane obturatrice, qui ferme le troisième ven- tricule en haut ( fig. 212) (MV : ;). Cette membrane s'insère en arrière
résente la surface cxlra-ventriculaire de la couche optique (Sexv) ( fig. ° ? 92, 213), et corres- pond, ainsi que nous l
ptiques et du troisième ventricule, au-dessous du corps du trigone ( fig. 212, 213). La face supérieure, convexe d'avant
granulations rouges, les plexus choroïdes du troisième ventricule ( fig. 213); ils sont minces en avant, au niveau du .
e confondent avec la pie-mère qui entoure . la glande pinéale (Gp) ( fig. 201 à 203). Ils sont séparés l'un de l'autre pa
rt avec la surface extra-ventriculaire de la couche optique (Sexv) ( fig. 212). Les bords latéraux de la toile choroïdien
confond avec la pie-mère qui recouvre les tubercules quadrijumeaux ( fig. 211). Le ventricule moyen, comme les ventricule
ieure du noyau lenticulaire, au noyau amygdalien, et à Y avant-mur ( fig. 214 et 215). Noyau caudé. Le noyau caudé ou noy
ou d'une cornue, située en avant et en dehors de la couche optique ( fig. 215). Epais et arrondi au niveau de la partie fro
en rapport avec les radiations du genou et du bec du corps calleux ( fig. 213). Au niveau du carrefour ventriculaire, la
ave et dirigée obliquement de haut en bas et de dehors en de- dans ( fig. 241 à 245). Elle envoie au segment' externe du no
e de section est, par consé- quent, celle d'une lentille biconvexe ( fig. 246 à 251). Au niveau de la queue la face adhér
st séparée par le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne ( fig. 252 à 255). Sa portion réfléchie se place en de
1), de la lame cornée et des fibres du tænia semi-circzclaris (le) ( fig. 249 à.257), au-dessous de la face inférieure du
ÉBRALE. 3T3 épendymaire (Sge) particulièrement épaisse à ce niveau ( fig. 241 et suiv.) et du faisceau d'association occi
x, et constitue à elle seule l'extrémité antérieure du corps strié ( fig. 240 et 241). Elle apparaît librement à la base
s, faites dans le sens horizontal, vertico-transversal et sagittal ( fig. 281, 314, 319- 321). Elle forme en effet une lé
ni), du taenia semi-circularis (le) et de la bandelette optique (II) ( fig. 249 à 251). Au niveau de l'extrémité antérieure
du noyau lenticulaire s'unit intimement au noyau amygda- lien (NA) ( fig. 248) et à l'extrémité antérieure recourbée de la
(Al) et le pédoncule infào-inte1'7 ! c de la couche optique (PiTh) ( fig. 244 à 246). Au niveau du colliculus du noyau ca
de la capsule externe et par la partie morcelée de l'avazzt-nzzcr,( fig. 281). Enfin au niveau de la face orbi- taire du
et en dehors par la capsule externe et le faisceau uncinatus (Fu) ( fig. 242 et 243). Les bords du noyau lenticulaire so
(Arc). Le bord interne se voit surtout sur des coupes horizontales ( fig. 224 à 228). Il n'est pas rectiligne, mais coudé
coupes vertico-transversales en avant de la commissure antérieure ( fig. 244 et 224*à 227). Le segment interne (NL,), le
raît que dans le voisinage immédiat du genou de la capsule interne ( fig. 226). On rencontre enfin dans la région sous-op
nt concentrique formé par le dédoublement du segment interne (NL,) ( fig. 227 à 229). Le putamen (NL3) déborde le globus
s'unissent à la portion réfléchie de la queue du noyau caudé (NC") ( fig. 214, 224 à 230. 2;il à 255 et 273-274). Lorsque
t en dedans et qui repose sur la masse blanche du lobule orbitaire ( fig. 243 et 281). Le putamen ( : \"L;;) ne concourt
benæ) ide la glande pi- néale ou de stria medztllaris thalami (tth, fig. 216). Etroite en avant, plus large en arrière,
es, les covps genouillés, qui sont l'un interne et l'autre externe ( fig. 192). Le cOJps genouillé externe (Cge), le plus v
u porte le , nom de pédoncule antérieur de la couche optique (Cia) ( fig. 223, 224, 225,' 22G). Les faces externe et in
e en arrière et en dehors, limitent le pédoncule cérébral en avant ( fig. 245 et 246). Cette zone a été comparée à une anse
la désignent encore sous celui de substattia iniioi21111(ita (Sti) ( fig. 230 et 231). En arrière de la substance innomin
nu sous le nom de région sous-optique ou sous- thalamique de Forel ( fig. 247 à 252). Cette région s'étend de la substanc
ans la concavité de la région sous-thalamiquede la capsule interne ( fig. 229, 230). Le noyau rouge représente un petit c
nterne; elle est oblique d'avant en arrière et de dedans en dehors ( fig. 224 à 226). Cette face reçoit un nombre considéra
enouillé externe (Voy. coupes horizontales macro et microscopiques, fig. 221-228, 292-293) ; les plus supérieures s'étal
(Voy. Coupes horizontales et vertico-transversales miCroscopiques, fig. . 28 i, 304-305). Ces noyaux ne constituent cepend
t du corps genouillé externe, et forment le champ de Wernicke (W.) ( fig. 303-310 et 319-326). Au noyau externe se rattac
83 le noyau semi-lunaire de Flechsig (Schalenfôrmiger Korper) (NF) ( fig. 307- 309, 318-320). 7° Capsule interne. Dep
sales ou antéro-postérieures. Sur les coupes vertico-transversales ( fig. 241 à 252), elle se présente sous la forme d'un
du noyau caudé, de la couche optique et de la région sous-optique ( fig. 248 à 252). On peut par conséquent lui considérer
'autre inférieure ou sous-thalamique . Sur les coupes horizontales ( fig. 224 à 226) elle se présente dans la région thal
îztzciito-optiqiie. Le segment antérieur ou lcntzczclo-caudé (Cia) ( fig. 223 -'il 227 et 241 à 245) oblique en dehors et
pédoncule antérieur. - Le segment postérieur ou lenticulo-optique ( fig. 223 à 228 et 247 à 255), oblique en arrière et
le pédoncule postérieur. Dans la région sous-thalamique (de Forel) ( fig. 228-230, 309-312, 317- 323), la capsule interne
ction du lobe temporal, en particulier au faisceau de Tiirck. (Voy. fig. 214.) . BIBLIOGRAPHIE. Voy. p. 312 et 333. CH
ignes de repère indiquées dans les figures 217 et 218. Coupe n° 35 ( fig. 219), passant à 35 millimètres au-dessous du bord
ètres au-dessous du bord su- périeur de l'hémisphère (lignes 3o des fig. 217 et 218). . Cette coupe située au-dessus de
mètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 3a des fig. 217 et 218. (Grandeur naturelle.) COUPES MACR
imètres au-dessous du hord supérieur de l'hémisphère. Lignes 41 des fig. .217 et 218. (Gran- deur naturelle.) COUPES MA
mettant en connexion deux circonvolutions voisines. Coupe n° 41 ( fig. 220), passant à G millimètres au-dessous de la pr
assant à G millimètres au-dessous de la précé- dente (lignes 41 des fig. 2'17 et 218). . Cette coupe intéressse la parti
de la région sous-optique et du plancher du ventricule lui(,- ral ( fig. 220 à 227) ; même après la fermeture antérieure d
tance grise sous-épendymaire qui coiffe le carrefour ventriculaire ( fig. 220) et forme il ce niveau, ainsi que le prouvent
(Iig. c ? 19) intéresse les libres longi- tudinales. Coupe no 45 ( fig. 221), passant à 4 millimètres au-dessous de la pr
limèlres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 4 des fig. 217 et 218. (Grandeur naturelle.) COUPES MACR
rication des fibres blanches sous-jacentes à l'écorce. Coupe n° 48 ( fig. 222), passant à 3 millimètres au-dessous de la pr
assant à 3 millimètres au-dessous de la précé- dente (lignes 48 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe par la partie su
imètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 48 des fig. -217 et 218. (Gran- deur naturelle.) AU, avan
ndent aux crêtes des circonvolutions de l'iiisula (I). Coupe n° 52 ( fig. 223), passant à 4 millimètres au-dessous de la pr
assant à 4 millimètres au-dessous de la précé- dente (lignes 52 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe par le troisième
limètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Ligne 52 des fig. 21 et 218. (Grandeur naturelle.) Ail, avant-m
ions microscopiques,, colorées par la méthode de Pal ou de Weigert ( fig. 392), ou encore par le carmin, on y reconnaît l'e
e), et constituent- le centre ovale du lobe frontal. Coupe n° 55 ( fig. 224), passant à 3 millimètres au-dessous de la pr
assant à 3 millimètres au-dessous de la précé- dente (lignes 85 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe par le deuxième
s fibres du faisceau longitudinal infënic.2cr (Fli). Coupe n° 58 ( fig. 225), passant à 3 millimètres au-dessous de la pr
passant à 3 millimètres au-dessous de la pré- cédente (ligne 58 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe au-dessous du bo
x plexus choroïdes des ventricules latéraux (Voy. coupe précédente, fig. 324). La partie adhérente du trigone concourt à f
gion, rétro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl). Coupe n° 61 ( fig. 226), passant à 3 millimètres au-dessous de la pr
assant à 3 millimètres au-dessous de la précé- dente (lignes 61 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe au-dessous du tr
e diffère peu ici de ce qu'elle est sur les coupes nos55, 58 et 63 ( fig. 4, 225, 227). Le faisceau arqué a disparu, les ci
que (Th) et les noyaux de la région sous-thalamique. Coupe n° 63 ( fig. 227), passant à 2 millimètres au-dessous de la pr
assant à 2 millimètres au-dessous de la précé- dente (lignes 63 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe par la commissur
appartient déjà à la région sous-thalamique de Forel. Coupe n° 68 ( fig. 229), passant à 3 millimètres au-dessous de la pr
rne sphénoïdale, pour former l'éminence collatérale de Meckel (Voy. fig. 204). En dehors du sillon collatéral, on rencontr
écédente reçoit le faisceau lenticulaire de Forel (FI, coupe n° 65 [ fig. z28par les radiations de la calotte (RC) qui ém
ns limi- tées il la partie moyenne du lobe temporal. Coupe n° 70 ( fig. 230), passant tu 2 millimètres au-dessous de la p
vue sectionnée dans sa partie moyenne sur les coupes n°5 63 et 65 ( fig. 227 et 228), et qui présentait sur la coupe n° 68
5 63 et 65 (fig. 227 et 228), et qui présentait sur la coupe n° 68 ( fig. 229) une surface de section ovalaire. Elle consti
ys genouillés internes (Voy. Coupes microscopiques). Coupe n° 72 ( fig. ° ? 31), passant à 2 millimètres au-dessous de la
nt à 2 millimètres au-dessous de la coupe précédente (lignes 72 des fig. 217 et 218). COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU.
imètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 72 des fig. 217 et 218. (Gran- deur naturelle.) Al, anse
la texture proprement dite des pédoncules cérébraux. Coupe n° 75 ( fig. 232), passant à 3 millimètres au-dessous de la co
nt à 3 millimètres au-dessous de la coupe précédente (lignes 75 des fig. 217 et 218). Cette coupe passe par la bandelett
coupe ne diffère pas sensiblement de celle des coupes nos 70 et 72 ( fig. 30 et 231) et auxquelles nous renvoyons. Il n'en
s le nom de voile ter- minal (vélum terminale) (vt). Coupe n° 78 ( fig. 233), passant à 6 millimètres au-dessous de la pr
assant à 6 millimètres au-dessous de la pré- cédente (lignes 78 des fig. 217 et oh8).. Cette coupe passe par le seuil de
78 millimètres - (lu bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 78 des fig. 217 et 218. (Grandeur naturelle.) CA, corne d'A
volution frontale (oF.,) et de l'écorce insulaire. ' Coupe n" 82 ( fig. 234), passant à 4 millimètres au-dessous de la pr
assant à 4 millimètres au-dessous de la précé- dente (lignes 82 des fig. 217 et 218. sillon frontal ou sillon olfactif.
imètres au-dessous du bord supérieur de l'hémisphère. Lignes 82 des fig. 217 et 218. (Gran- dur naturelle.) CA, corne
F). Cette dernière forme en effet (voy. Face inférieure du cerveau, fig. 183) la limite antérieure de l'espace perforé a
CENTRES NERVEUX. Coupes nos 30, 33, 37, 40, 43, 46. Coupe n° 30 ( fig. 237), passant à 30 millimètres en arrière du pôle
et correspondant aux lignes 30 des figures 235 et 236. Coupe n° 33 ( fig. 238), passant à 3 millimètres en arrière de la pr
et correspondant aux lignes 33 des figures 235 et 236. Coupe n° 37 ( fig. 239), passant à 4 millimètres en arrière de la pr
et correspondant aux lignes 37 des figures 235 et 236. Coupe n° 40 ( fig. 240), passant à 3 millimètres en arrière de la pr
et correspondant aux lignes 40 des figures 235 et 236. Coupe n° 43 ( fig. 41), passant à 3 millimètres en arrière de la pré
et correspondant aux lignes 43 des figures 235 et 236. Coupe n° 46 ( fig. 242), passant à 3 millimètres en arrière de la pr
r-hémisphérique et la faux du cerveau. Les coupes nos 40, 43 et 46 ( fig. 240, 2-ici, 242) intéressent l'extré- mité anté
et du deuxième sillon frontal (f,, f). Les coupes noS 33, 37 et 40 ( fig. 238, 239, 240) intéressent le cap de la ? 0 ! -
uxième sillon, frontal (f') et sur les coupes suivantes (nos 37-43 ( fig. 239-241) par la branche horizontale antérieure, d
lvius (S[a]). Le cap de la troisième circonvolution frontale (F3C) ( fig. 238 et 239) est subdivisé en deux parties inéga
nférieure, triangulaire et. insigni- fiante sur la coupe n° 37 ( fig. 239), plus étendue sur les coupes nos 40 et 43
e antérieure de la scissure de Sylvius (S[a]). Sur la coupe n°43 ( fig. 34)) apparaitlabranche verlicale ascendante d
on frontale (mF,). En avant du genou du corps calleux (coupe n° 30 ( fig. 237), la face interne verticale du lobe frontal
e (mF,). Le genou du corps calleux (Cc[g) (voy. coupes nos 33 à 46, fig. 238-21.), luc. 237. Coupe \'crlico-trans\'er5al
passant à 30 millimètres en arrière du pôle frontal. Lignes 30 des fig. 235 et 230. (Grandeur naturelle.) Ce, corps c
frontal et n'intéresse pas le ventricule latéral. La coupe n° 33 ( fig. 238) passe immé- diatement en avant de la corne
(Sge) qui double la corne à ce niveau. Les coupes nos 37 à 46 ( fig. ? 39-°3 r3) intéressent il un degré plus ou moi
tèmes de fibres d'association et de projection. Sur la coupe n° 37 ( fig. 239) la substance grise est réduite il la couche
passant à 33 millimètres en arrière du pôle frontal. Lignes 33 des fig. 23o et 230. (Grandeur naturelle.) Ces], genou
stérieure de la corne (l'on- tale. Les coupes nls 40, 43 et 46 ( fig. 240-242) intéres- sent la tète du noyau caudé
dehors par le pied de la couronne rayonnante (pCR) (coupe n° 40, fig. `3 40). Plus loin (coupes nos 43 et 46, fig.
pCR) (coupe n° 40, fig. `3 40). Plus loin (coupes nos 43 et 46, fig. 2ho2), il est relié par des ponts de substance
oit, n° 37, passant à 37 millimètres du pôle frontal. Lignes 37 des fig. `>3 et 236. (Grandeur naturelle.) Arc, faisc
ibres sont vues en coupe transversale. Les coupes nos 30 il 40 ( fig. 237-240), in- téressent le segment antérieur
la corne frontale du ventri- cule latéral (VL) coupes nOs 37 et 40 ( fig. 239 et 240). En avant du ventricule latéral (VL
e faisceau occipito-frontal (OF), qui le sépare sur la coupe n° 30 ( fig. 237) du forceps antérieur du corps FIG. 240.- C
t, n° 40, passant à 40 millimètres du pôle frontal. Lignes 40 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) Cc(g), genou
s-épendynwil'e (Sge) qui double la corne frontale. Sur la coupe n040 ( fig. 240) apparaît la tête du noyau caudé (NC) qui s
jection et le ventricule latéral (VL). Sur les coupes nos 43 et 46 ( fig. 241-242), le pied de la couronne rayonnante (pC
assant à 43 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 43 des fig. 23 et 236. (Grandeur naturelle.) Arc, faisceau
ES NERVEUX. le genou du corps calleux (Ce [g]). Sur la coupe n° 30 ( fig. 237), la section trans- yersale du forceps an-
durcis par les bichro- mates. Sur les coupes nOS 40, 43 et 46 ( fig. 240-242) le genou du corps calleux comprend
passant à 46 millimètres en arrière du pote frontal. Lignes 46 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) AM, avant-mur
ps calleux (Ce') s'effile, s'atténue et disparaît sur la coupe n° 55 ( fig. 243). La partie supérieure du cingulum forme da
u niveau du point où ses libres s'incurvent, et sur la coupe n° 30 ( fig. 237), le triangle supérieur foncé se continue e
aspect d'une lame allongée et étroite, située d'abord (coupe n° 30, fig. 237) entre le forceps antérieur du corps calleux
la sub- stance grise sOlls-ëpendymaÍt'e (Sge) (coupes nos 33 et 37, fig. 238-239). Sa partie inférieure ou orbitaire, se
ctif (U)- Lorsqu'apparait la tète du noyau caudé (NC) (coupe n° 40, fig. 240), le fais- ceau occipito-frontal (OF) est r
limité en dedans par la capsule externe (Ce) (coupes nos 43 et 46, fig. 2< l-2t2) et qui se confond en dehors, en ha
là un fait facile il constater sur les coupes microscopiques (voy. fig. ? 7Si, 280, 281, etc.). Coupes nos 55, 60, 63,
et correspondant aux lignes 60 des figures 235 et 236. Coupe n° 63 ( fig. 2fi), passant à 3 millimètres en arrière de la pr
et correspondant aux lignes 63 des figures 235 et 236. Coupe n° 66 ( fig. zig), passant à 3 millimètres en arrière de la pr
ral, immédiatement en arrière du seuil de l'insula. La coupe n° 55 ( fig. 23) passe au niveau de la circonvolution du cro-
partie moyenne de la commissure antérieure (coa) ; la coupe n° 63 ( fig. 245), au niveau du chiasma des ol)ti(liies (11)
assant à 55 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 55 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) AM, avant-mur
remière circonvolution frontale (1<\), large sur la coupe n° 55 ( fig. 243), où elle est subdivisée par un profond sillo
sillon prérolandique inférieur (pri). Les coupes nos 60, 63 et 66 ( fig. '241-246) intéressent l'extrémité inférieure de l
formation de l'opercule rolandique (OpR). Les coupes nOS 63 et 66 ( fig. ? 4S ? E6) inté- ressent en outre l'extrémité i
ité par une incisure du sillon collatéral (of). Sur la coupe n° 60 ( fig. 244), il se fusionne avec la circonvolution de l'
ssant il 00 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 60 des fig. 233 et 236. (Grandeur naturelle.) AM, avant-mur
du crochet (U) dont elle est séparée par Yincisure temporale (it) ( fig. 243). L'écorce du lobe frontal et celle du lobe
térieur (Epa), ainsi qu'avec les ganglions de la base (coupe n° 66, fig. 246), et, à la place des écorces fi°ozto-tenzpora
). " . Noyaux gris de la base et ventricule latéral. Coupe n° 55 ( fig. 243). - Le noyau caudé (NC) et le noyau lenticula
sième segment du noyau lenticulaire (NLg) (coupes nos 60, 69 et 71, fig. 244, 247-248). . Le ventricule latéral (VI) aff
occipito-frontal (OF). ' . La masse blanche de cette coupe (n° 55) ( fig. 243) diffère peu de celle de la pré- cédente (n
(n° 55) (fig. 243) diffère peu de celle de la pré- cédente (n° 46) ( fig. 242). Nous y. retrouvons les longs faisceaux d'as
s et de projection sont ici intimement enchevêtrées. . Coupe n° 60 ( fig. 244). - La paroi interne et la paroi supérieure d
assant a 63 miiii- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 63 des fig. 233 et 236. (Grandeur naturelle.) Al, anse du n
ique. '450 . ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. apparaît (coupe n° 63, fig. 245) l'extrémité antérieure de la couche optique
rne de la substance perforée anté- rieure.(Spa). Cette coupe n° 60 ( fig. 244) passe immédiatement en arrière-de la parti
épanouit dans l'extrémité antérieure du lobe temporal. Coupe n° 63 ( fig. 245). La coupe passe au niveau du chiasma des ner
assant à 66 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 66 des fig. z et 236. (Grandeur naturelle.) Al, anse du noy
le lobe temporal en dehors du noyau arnygdalien (NA). Coupe n° 66 ( fig. 246). -Le noyau cazcdé (NC) et le noyau lenticula
l; elles se placent ensuite (voy. Coupes horizontales microscopiques, fig. 296) en arrière du locus niger dans la région d
eure du diverticule sphénoïdal. Coupes nIl 69 et 71. Coupe n° 69 ( fig. 247), passant à 3 millimètres en arrière de la pr
ssant il 69 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 69 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) Al, anse du n
de diverticule du subiculum de la corne d4vatzott. (ds) (coupe 69, fig. 247). La coupe n° 71 (fig. 248) intéresse l'extré
m de la corne d4vatzott. (ds) (coupe 69, fig. 247). La coupe n° 71 ( fig. 248) intéresse l'extrémité antérieure de la cor
dalien (NA) et sépare ce dernier noyau du globus pallidus (NL2, 1) ( fig. 217). Le sommet du globus pallidus repose sur l
assant à 71 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 71 des fig. 235 et 236. (Grandeur nature.) Alv, alvéus.-Adl
éral (Pchl). (Va)", Coupes vel'iico- transversales micl'oscopiques, fig. 286.) La face externe de la couche optique (Th) e
e interne (Cip) dont la sépare la zone réticulée (zr) (coupe n° 69, fig. 247). Sa paroi inférieure correspond à une lign
au blanc, le pilier antérieur du trigone (Tga). Sur la coupe n° 71 ( fig. 248), les faisceaux lenticulaire et thalamique de
es. Le noyau interne de la couche optique (Ni) est très peu accusé ( fig. 248), il se confond avec la substance grise centr
et correspondant aux lignes 75 des figures 235 et 236. Coupe n° 78 ( fig. 250), passant il 3 millimètres en arrière de la p
et correspondant aux lignes 78 des figures 235 et 236. Coupe n° 80 ( fig. 2;5'1), passant a 2 millimètres en arrière de la
ace externe, le lobule paracentral se continue, sur la coupe n° 75 ( fig. 249), avec le pied d'insertion de la première cir
e circonvolution frontale (1) ; sur les autres coupes nos 78 et 80 ( fig. 250 et 251) avec la circonvolution frontale asc
tion du crochet se continue avec Yalvéus (Alvj. Sur la coupe n° 75 ( fig. 248), la couche de substance grise inter- média
11wlOn (CA), elle est au contraire unie, sur les coupes nOS 78 et 80 ( fig. ' : 250- 251), qui intéressent l'extrémité post
pro- fond, le sillon fimbrio-godronné. (Voy. Coupes microscopiques, fig. 307, 311, 313). Cavités ventriculaires. - Le ve
assant à 78 mil- limètres en arrière du pôle frontal. Lignes 78 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) AM, avant-mur
stérieur du trigone (Tgp) (f ? ? 51). Le troisième ventricule (V3) ( fig. 250) est limité en bas par l'adossement des deu
lume ; il ne présente que deux segments (NL3'21 sur la coupe n° 75 ( fig. 219), sur la coupe n° 78 (fig. 250), le deuxièm
segments (NL3'21 sur la coupe n° 75 (fig. 219), sur la coupe n° 78 ( fig. 250), le deuxième segment (NL2) se perd dans les
n bord supéro-interne le tienia tlcalaoei (tth) (coupe n° 75 et 80, fig. ? .49. 251). La couche optique jTh) est divisée
u noyau antérieur (Na). (Voy. Coupes microscopiques hori- zontales ( fig. 301.) et sagittales, t. IL) La couche optique r
e. Cette région intéresse le corps de Luys (CL) sur la coupe n° 75 ( fig. ? .f9), le noyau rouge (NR) le locus niger (Ln)
e noyau rouge (NR) le locus niger (Ln) sur les coupes nos 78 et 80 ( fig. 2.49-250. Le corps dcLtys se présente de Roland
l, bandelette optique. 462 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. sur la fig. 249 sous la forme d'une lentille biconvexe, dirig
assant à 80 mil- limètres en arrière du pôle frontal. Lignes 80 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) Aln, alvéus -
lotte ou l'étage supérieur du pédoncule. Les coupes n's 78 et 80 ( fig. 250-251) passent en arrière du corps de Luys. L
e). En dedans du noyau rouge on trouve sur les coupes nos 80 et 83 ( fig. 251-252), la section des fibres radiculaires de l
la face interne du noyau rouge et qui sur les coupes nos 80 et 83 ( fig. 251-253) se porte en haut et en dehors. Il se t
lion de l'habénula (Gh) qui se trouve sectionné sur la coupe n° 86 ( fig. 253). ' , Substance blanche. - Le corps calleux
aisceau s'irradie, pour se porter d'une part (coupes ne-' 75 et 78, fig. ? ! c1-`3ai0), dans la première circonvolution
n° 75'(fig : z9) et des radiations de la calotte (RC) (coupe n° 78 ( fig. 250). Le faisceau inférieur beaucoup moins consid
au caudé (NC'). Ce faisceau représente le faisceau de T'ürcl, (FT) ( fig. 24H, 251). Il se porte en bas et en dehors entre
(Voy. Coupes horizontales et vel'tico-transvel'sales microscopiques, fig. 285, 56, 30S v 3l0). Coupes n°5 83, 86, 88, 8
g. 285, 56, 30S v 3l0). Coupes n°5 83, 86, 88, 89. Coupe n° 83 ( fig. 232), passant à 3 millimètres en arrière de la pr
et correspondant au lignes 83 des figures 235 et 236. Coupe n° 86 ( fig. 253), passant à 3 millimètres en arrière de la pr
et correspondant aux lignes 86 des figures 235 et 236. Coupe n° 88 ( fig. 254), passant à 2 millimètres en arrière de la pr
et correspondant aux lignes 88 des figures 235 et 236. Coupe n° 89 ( fig. 255), passant à 1 millimètre en arrière de la pré
et le pli marginal supérieur (Gsm) et (P.,) ). Sur la coupe n° 89 ( fig. 255), un pli de passage profond qui réunit la cir
V.,), il est considérablement réduit de volume. Sur la coupe n° 83 ( fig. 252) le sillon de 11/011/'0 (sM) exisle encore, s
ylvius (Aq) dans le troisième ventricule : Les coupes nos 88 et 89 ( fig. 254-255) passent en arrière du troisième t'eo-
ssant à 86 mil- limètres en arrière du pôle frontal. Lignes 811 des fig. 235 et 2jô. (Grandeur naturelle.) Aq, aqueduc d
assant à 88 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 87 des fig. 35 et 236. (Grandeur naturelle.) ils, aqueduc d
uent le segmen i rétro- lenticulaire de la capsule in terne (Cirl) ( fig. 254-255). La couche op/ique(Th) a diminué de vo
le noyau externe (Ne) et le noyau interne (Ni). Sur la coupe n° 83 ( fig. 252), la couche optique (Th) repose sur la région
ceau rétroflexe de Illerlner't (FM) qui atteint sur la coupe n° 86 ( fig. 253) le ganglion de l'habénula (Gh). En dehors de
(Ne). Le corps genouillé interne (Cgi) apparaît sur la coupe n° 83 ( fig. 252) où il recouvre la partie externe du pied du
en dehors de la calotte du pédoncule cérébral. Sur la coupe n° 89 ( fig. 255) le pulvinar le limite en dehors et le sépare
W). Le corps genouillé externe (Cge) présente un aspect cordiforme ( fig. 252 et 253) : les lamelles concentriques grises
segment postérieur de la capsule interne (Cip) sur la coupe n° 83 ( fig. 252) et avec le corps genouillé interne (Cgi) sur
ns la lame médullaire externe (Lme) du pulvinar (Pul), coupe n° 89 ( fig. 255). Ces fibres forment en s'éntre-croisant un c
téraux correspon- dent, l'interne au corps genouillé-exlernc (Cge) ( fig. 252 et 253), puis au pulvinar (Pul) (fig. 254)
genouillé-exlernc (Cge) (fig. 252 et 253), puis au pulvinar (Pul) ( fig. 254) et l'externe aux fibres de projection thalam
t et s'allonge sur les coupes qui passent en arrière de ce dernier ( fig. 254 et 255); il s'applique sur la zone réticulée
xterne du thalamus (Lme). (Voy. coupes microscopiques horizontales ( fig. 306 à 308). Le segment postérieur de la capsule
. 252), avec le pied du pédoncule cérébral (P); sur la coupe n° 86 ( fig. 253), elle en est séparée par le corps genouillé
de Gratiolet (RTll) et le faisceau longitudinal Sur la coupe n° 89 ( fig. 255) enfin, le;uoazc lcuticulaire(NL.,) a presque
ide externe (Ce), et ce fait est encore visible sur la coupe n° 83 ( fig. 252), qui intéresse la partie la plus postérieure
erne (Ce) et de l'aaan.f-ziaur (AM). Sur les coupes nos 86, 88 et 89 ( fig. 2;;3,2;;4 et 255), ce faisceau se perd en haut
perpendiculaire- ment à leur longueur. Ces trois dernières coupes ( fig. 25 ? 25t et 255) intéressent en outre la partie
e Ileil latéral (RL). Coupes nos 92, 93, 95, 97, 99. Coupe n° 92 ( fig. 256), passant à 3 millimètres en arrière de la pr
et correspondant aux lignes 92 des figures 235 et 236. Coupe n° 93 ( fig. 257), passant à 1 millimètre en arrière de la pré
et correspondant aux lignes 93 des figures 235 et 236. Coupe n° 95 ( fig. 258), passant à 2 millimètres en arrière de la pr
et correspondant aux lignes 95 des figures 235 et 23G. Coupe n° 97 ( fig. 259), passant à 2 millimètres en arrière de la pr
et correspondant aux lignes 97 des figures 235 et 236. Coupe n° 99 ( fig. 260), passant à 2 millimètres en arrière de la pr
presque parallèlement à sa direction sur les coupes n"S 92. et 93 ( fig. °356 et 357); les autres coupes intéressent sa pa
assant à 92 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 92 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) Arc, faisceau
assant à 93 milli- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 93 des fig. 233 et 236. (Grandeur naturelle.) CA, corne d'A
onvolution godronnée (Cg) qui conserve sur les coupes nOS 92 et 93 ( fig. 256 et 257), l'as- pect qu'elle présentait sur
passant à 9 mil- limètres en arrière du pôle frontal. Lignes 9o des fig. 233 et 236. (Grandeur naturelle). Ce, corps cal
. l'l, ventricule latéral. 474 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. : ' ( fig. 258 et 259), cette circonvolution change de forme
ec). La circonvolution godronnée (Cg) abandonne sur la coupe n° 95 ( fig. 258) le fond du sillon de l'hippocampe, elle se r
ux avec le tania tecta (tec) qu'il concourt à former (coupe n° 105, fig. 261). Sur les coupes nos 95 et 97 (fig. 258 et
court à former (coupe n° 105, fig. 261). Sur les coupes nos 95 et 97 ( fig. 258 et 259), le sillon, de l'hippocampe (h) sép
bée ce qui explique son épaisseur considérable. Sur la coupe n° 92 ( fig. 256) on trouve ¡¡l'union du tronc du corps call
h) au niveau du pilier postérieur du trigone (Tgp). La coupe n° 93 ( fig. 237) intéresse le pilier postérieur du trigone (T
ensuite sur la corne d'19>zzrzorz (CA). Les coupes nos 95 et 97 ( fig. 258 et 259) intéressent sa partie postérieure;
a cOl'ne d'A m1/WII, et qui est décrite sous le nom d'alvéu.s (Alv, fig. 260). La coupen° 99 (fig. 3ti0), enfin, passe en
i est décrite sous le nom d'alvéu.s (Alv, fig. 260). La coupen° 99 ( fig. 3ti0), enfin, passe en arrière du trigone. Cavi
arrière du trigone. Cavités ventriculairés. - Les coupes 92 et 93 ( fig. 25(i et 257) section- nent le ventricule latéra
onde fois au niveau de la corne sphénoïdale (Vsph). La coupe n° 93 ( fig. 257) intéresse le ventricule latéral au niveau du
te de l'étage inférieur ou sphénoïdal. Les coupes n"s 95, 97 et 99 ( fig. 258, 259, 260) intéressent le carrefour ventric
eur du ventricule. Noyaux gris centraux. -Le,, coupes nos 92 et 93 ( fig. 256 et 257 intéres- sent le pulvinar (Pul) dans
ar (Pul) se comprend facile- ment à l'inspection de la coupe n° 93 ( fig. 257). Le pilia pos/Ùiew' du trigone (Tgp) qui l
passant à 9 mil- limètres en arrière du pôle frontal. Lignes 97 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) Cc, corps cal
entricule latéral. 47G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. coupe n° 92 ( fig. 256). La coupe n° 93 (fig. 257) intéresse la part
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. coupe n° 92 (fig. 256). La coupe n° 93 ( fig. 257) intéresse la partie postérieure de sa queu
al (V1) il la voûte de la corne sphénoïdale (Vsph). La coupe n° 95 ( fig. 258), enfin, inté- resse la partie la plus sail
assant à DU mil- limètres en arrière du pôle frontal. Lignes 99 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) /t), : )lveus
e faisceau d'association occi- pito-frnutal (coupes nos 92, 93, 95, fig. 256, 257, 258). Au niveau du carrefour ventricu
ire et en arrière de la queue du noyau caudé (coupes nOS 97 et 99, ( fig. 259 et 260) les fibres du corps calleux semblent
et du noyau caudé (ni) nous trouvons sur les coupes n°S 95, 97,-99 ( fig. 258 à 260), la couche des fibres de projection du
eure (Po). Coupes n°S 105, 107, 116, 122, 133,137.. Coupe n° 105 ( fig. 261), passant à 6 millimètres en arrière de la pr
correspondant aux lignes 105 des figures 235 et 236. Coupe n° 107 ( fig. 262), passant à 2 millimètres en arrière de la pr
es 235 et 23tri. 4-78 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Coupe n° 116 ( fig. 263), passant à 9 millimètres en arrière de la pr
correspondant aux lignes 116 des figures 235 et 236. Coupe n° 122 ( fig. 264), passant à foi millimètres en arrière de la
correspondant aux lignes 122 des figures 235 et 236. Coupe n° 133 ( fig. 265), passant à Il millimètres en arrière de la p
correspondant aux lignes 133 des figures 235 et 236. Coupe n° 137 ( fig. 266), passant à 4 millimètres en arrrière de la
e section de la coupe, est tangente à un sillon. Sur la coupe n° 105 ( fig. 261) seulement, il existe un point où l'écorce
issures calcarine et pariélo- occipilale (K+po). La coupe n° 107 ( fig. 262) ne présente que peu de modifications, celles
Vicq d'Azyr est extrêmement accentué sur les coupes nos 116 et 122 ( fig. 263, 264); sur les coupes n°5 133 et 137 (fig.
upes nos 116 et 122 (fig. 263, 264); sur les coupes n°5 133 et 137 ( fig. 265, 266), il s'étend sur la face supérieure du c
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Large sur les coupes nos 116 et 122 ( fig. 263, 264), le précunéus diminué sur.- les coupe
éus diminué sur.- les coupes suivantes, et forme sur. la coupe 137 ( fig. 266) un îlot cortical, complètement séparé de l
r-pariélal (ip) sectionné parallèlement à son trajet (coupe n° 116, fig. 263) la subdivise en deux parties : la partie i
, n° 107, passant à 107 millimètres du pôle frontal. Lignes 107 des fig. 235 et 23G. (Grandeur naturelle.) CO, centre ov
ois circonvolutions sont intéressées sur les coupes nos 116 et 122 ( fig. 263, 264); sur. les coupes n°"133 et 137 (fig. 26
upes nos 116 et 122 (fig. 263, 264); sur. les coupes n°"133 et 137 ( fig. 265, 266) la section ne porte que sur la deuxiè
sième circonvolution occipitale (0.) sur les coupes nOS 116 et 122 ( fig. 263, 26 les dernières coupes n'intéressent que
obule /uM6t<(Lg). Étroit et profond sur les coupes nos 116 et 122 ( fig. 263,26) où il ne forme la face interne qu'une m
s'étale considérablement sur les coupes postérieures (133 et 137) ( fig. ? G5, 266), mais ces. coupes ne peuvent pas rendr
à t 16 milli- i- mètres en arrière du pôle frontal. Lignes 116 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) EM, ergot de
ieure du cunéus, celle qui est en rapport avec le. précunéus. (Voy. fig. 235.) ' .' . Le lobule lingual (Lg), que nous a
) est irrégulièrement quadrangulaire sur les coupes nON 105 et 107 ( fig. 261, 262). Sa paroi supérieure est limitée par le
passantà 122 millimètres en arrière du pôlefrontal. .Lignes 122 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) . C, cunéus.
saillie connue sous le nom d'éminence collatérale de lleclccl (l : c, fig. 204). Cette paroi est tapissée par les trois co
ente une base inféro-interne et un sommet interne. La coupe n° 137 ( fig. 266) passe en arrière de la cavité ventriculaire,
la corne occipilale (Voc) (voy. Coupes horizontales macroscopiques, fig. 226 et 237). La cavité ventriculaire n'atteint
ésente de même un aspect pana- ché. Sur la coupe suivante (107, fig. 362), les fibres du forceps major (Fm) sont r
cette circonvolution aug- mente de volume (coupes nos 116 et 122, fig. 263,264). Sur les coupes n°s 133 et 137 (fig.
s nos 116 et 122, fig. 263,264). Sur les coupes n°s 133 et 137 ( fig. 265, 266), le forceps major a disparu en tant q
épuise rapidement, on n'en lrouve plus trace sur la coupe n° 116 ( fig. 263). En dehors du fbrcn ? 8nrjo on trouve le
ssant à 13'7 millimètres en arrière du pôle frontal. Lignes 137 des fig. 235 et 236. (Grandeur naturelle.) C, cunéus.
rection pour la plupart antéro-postérieure. (Coupes nos 133 et 137, fig. 265 et 266.) Ce sont, en allant de la cavité vent
Seul, le cingulum (Cing) est encore intéressé sur la coupe n° 105 ( fig. 261) où il est situé au niveau de la partie sup
en arrière de ce faisceau. Dans la pointe occipitale (coupe n° 133, fig. 265), au niveau de la partie moyenne du CtliU :
misphère et correspondant aux lignes de la figure 267. Coupe n° 5 ( fig. 268), passant à S millimètres en dehors de la fac
s et le lobule lingual. (Voy. Coupes horizontales macrosco- piques, fig. ? ° ? , l6 et 227.) Au-dessous du cunéus nous tro
dans toute son étendue il la face inférieure du corps calleux (Voy. fig. 181). Le diver- ticule inférieur, très petit su
exus choroïdes se fait davantage en arrière (coupes nos 5, 7 et 10, fig. 268, 269, 270). La couche optique repose sur la
yau gris irrégulier, le noyau du toit du cervelet (Nt). Coupe n° 7 ( fig. 269), passant à 2 millimètres en dehors de la pré
précédente. Comme la coupe passe en dehors de cette dernière (n° 5, fig. 268), les sillons de la face interne sont moins p
e coupe n" 7 passe en effet en dedans du genou de la capsule. (Voy. fig. 267.) La couche optique (Th) est séparée du noy
ieur (Lia), ce dernier surmonté du flocculus (Floc). Coupe n° 10 ( fig. 270), passant à 3 millimètres en dehors de la pré
pédoncule antérieur de la conclu- optique (PaTh) de la coupe n° 7 ( fig. 269). Dans le segment externe du globus pallidu
que (Th) est située- en arrière du corps strié. Sur la coupe n° 15 ( fig. 271) elle est enclavée entre la queue du noyau
qui correspond il la cérébrale de 731clcal. Sur cette coupe n° 10 ( fig. 270), le thalamus (Th) est sectionné au niveau
onne naissance au pédoncule cérébelleux moyen (Pe.rn). Coupe n° 15 ( fig. 271) passant à 8 millimètres en dehors de la préc
ral (T2)' Cette coupe montre, ainsi que la coupe précédente (n° 10, fig. 270) et la coupe suivante (n° 17, iig. 272), l'an
niveau de la vallée de Sylvius (N7S). Sur les coupes nos 10 et 15 ( fig. 270, 271), la vallée de 6'y/f; ! M (VS) se contin
ral (P) et la couche optique (Th) d'autre part. Sur la coupe n° 17 ( fig. 272), cette continuité est interrompue par la fus
gée. - Il, bandelette optique. 502 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. ( fig. 270). Les fibres de ses 2/3 postérieurs présenten
ans cette région que nous verrons s'irradier sur la coupe suivante ( fig. 372), les fibres de la bandelette optique. La ban
constamment des orifices vasculaires assez volumineux. Coupe n° 17 ( fig. 272), passant à 2 millimètres en dehors de la pré
s en dehors de la précé- dente et correspondant à la ligne 17 de la fig. 267. Cette coupe passe en dehors de l'étage sup
ette coupe les mêmes circonvo- lutions que sur la coupe précédente ( fig. °371), mais l'écorce a diminué d'étendue. La co
ns la corne occipitale (Voc) la saillie de V ergot de Jloraud (EM) ( fig. 371). La partie l}'(l il tale du ventricule latér
ille latéral. (Voy. Coupes vel'lico-tl'flllS1WI'SIÛCSIIWcl'uswpiques, fig. 240 il 35<j.) Au-dessus du bord supérieur de
ue en bas et en arrière. Lorsqu'on compare la coupe actuelle n° 17 ( fig. 272) avec la coupe suivante n° 21 (ûg. 273), on s
H, hippocampe. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 509 Coupe n° 27 ( fig. 274), passant à 6 millimètres en dehors de la pré
érieure du ventricule sphénoïdal (Voy. Coupe vC1'tico-lmnsvcl'sale, fig. 247). Dans le sinus de l'angle formé par le péd
à leur axe, sauf celles de la pointe du lobe temporal. Coupe n° 33 ( fig. 275), passant à 33 millimètres en dehors de la fa
a saillie connue sous le nom d'éminence collatérale de Meckel, (Ec, fig. 275). Sa paroi supérieure est longée par un noyau
s), dans l'espace qui correspond au putamen de la coupe précédente ( fig. 274) et aux circonvolutions de l'insula de la cou
(fig. 274) et aux circonvolutions de l'insula de la coupe suivante ( fig. 276), on trouve un amas de substance grise, d'asp
e présente alors, grâce à la courbe qu'il décrit (Voy. coupe n° 27, fig. 274), sous la forme d'une lamelle grise, étroite
Il est séparé [du noyau lenticulaire sur la coupe actuelle, n° 33 ( fig. 275,) par une mince lamelle blanche, qui borde le
e les Coupes vel'tico-l1'ansversales et horizontales). Coupe n" 37 ( fig. 276), passant à 4 millimètres en dehors de la pré
s en dehors de la précé- dente et correspondant à la ligne 37 de la fig. 267. Cette coupe passe en dehors des noyaux gri
veau de la partie postérieure de la corne sphénoïdale. Coupe n° 43 ( fig. 277), passant à 6 millimètres en dehors de la pré
s en dehors de la précé- dente et correspondant à la ligne 43 de la fig. 267. Cette coupe passe en dehors de l'insula et
En comparant l'opercule avec la région insulaire de la coupe n° 37 ( fig. 276), on voit que la partie orbitaire de la tro
appareil à projection d'après les indi- cations données plus haut ( fig. 9, p. 06). Chaque dessin est la reproduction d'
A et B intéressent les deux tiers postérieurs de l'hémisphère (voy. fig. de repérage 291) et sectionnent l'une (coupe A)
E, comprennent les 2/3 antérieurs de l'hémisphère céré- bral (voy. fig. de repérage 294) et intéressent la région thalami
La troisième série comprend 1 coupes à direction horizontale (voy. fig. de repérage 299) et parallèles à la série des cou
ues en avant et en bas, et parallèles à la bandelette optique (Voy. fig. de.repérage 315). Elles intéressent la région sou
de 12 coupes, correspondant aux lignes de repère indiquées dans la fig. 278. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 321 Co
ns la fig. 278. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 321 Coupe n° I ( fig. 279). Coupe passant par la ligne I de la fig. 278
VEAU. 321 Coupe n° I (fig. 279). Coupe passant par la ligne I de la fig. 278 et en arrière de la coupe macroscopique ver
et en arrière de la coupe macroscopique vertico-transversale n° 30 ( fig. 237). Cette coupe passe en avant du genou du co
us les sens et qui appartiennent au faisceau occipito-fronlal (Voy. fig. 295). Cette grande richesse en libres lui donne
n se reporte aux coupes horizontales passant par celte région (Voy. fig. 9). Le FiG. 279. Coupe vertico-transversale n°
avant de s'irradier dans les circonvolutions du lobe frontal (Voy. fig. 395). Entre ces fibres calleuses et la substance
tent sous l'aspect d'un pointillé plus ou moins serré. Coupe n° II ( fig. 280). Coupe passant par la ligne II de la fig. 27
serré. Coupe n° II (fig. 280). Coupe passant par la ligne II de la fig. 278 et correspondant à peu près à la coupe macr
ieure de la corne frontale (Voy. Coupe horizontale microscopique C, fig. ? 95, p. 369). Le faisceau occipito-frontal (OF
se sous-csloendynzaire contient comme sur la coupe précédente (n°I, fig. 279), des fibres il myéline s'entre-croisant dans
1;2-1 Coupe n° III (Fig. 281). Coupe passant par la ligne III de la fig. 278 et en arrière de la coupe macroscopique ver
et en arrière de la coupe macroscopique vertico-transversale n° 55 ( fig. 243). Cette coupe passe immédiatement en arrièr
ntre les fibres calleuses et la couronne rayonnante. Coupe n° IV ( fig. 282). Coupe passant par la ligne IV de la lig. 27
coupe avec les mêmes caractères que sur la coupe précédente (n°III, fig. 281). Les libres du pied de la couronne rayonna
fonde et postérieure de la circonvolution du crochet (Voy. coupe F, fig. 298). Au-dessous du globus pallidus et de la su
rt (CM). Coupe n° V (lig. 283 ). Coupe passant par la ligne V de la fig. 278 et correspondant assez exactement à la coup
z exactement à la coupe vertico-transversale macro- scopique n° 63 ( fig. 245). Cette coupe passe par les trois segments
upes sériées, en particulier des coupes horizontales (voy. coupe D, fig. 296 et Coupes microscopiques de la capsule intern
ibres radiées dans les crêtes des cir- convolutions. Coupe n° VI ( fig. 284). Cette coupe passe par la ligne VI de la fig
ns. Coupe n° VI (fig. 284). Cette coupe passe par la ligne VI de la fig. 278 et appartient à une autre série que les cou
t par le pédoncule inférieur de la couche optique (voy. coupe n° V, fig. 283) et en arrière par la couronne rayonnante du
te la longueur du noyau externe et du noyau interne. (Voy. coupe C, fig. 295). Il reçoit en outre des fibres radiées qui l
et entrent dans la constitution de la capsule du noyau rouge (Voy. fig. 309 il 311 et 318). En dedans et au-dessus du c
t que nous désignerons sous le nom de commissure de Forel (eF)(Voy. fig. 3)t, 3l6, 327). Ces fibres occupent la partie inf
ys (CL) par la première ébauche du locus nirler (Ln). Coupe no VII ( fig. °38). - Cette coupe appartient à la même série qu
même série que la coupe précédente et passe par la ligne VII de la fig. 278. Cette coupe sectionne les circonvolutions
amique est carac- térisée ici, comme sur la coupe précédente n° VI ( fig. 284), par ses fibres paral- lèles, très serrées
au- dessous du globus pallidus (GP). Sur la coupe suivante n° VIII ( fig. 286), nous ver- rons ces fibres qui constituent
eau externe du pédoncule ou « faisceau de TÜrck ». Coupe n° VIII ( fig. 286) passant par la ligne VIII de la fig. 278 et
e TÜrck ». Coupe n° VIII (fig. 286) passant par la ligne VIII de la fig. 278 et cor- respondant assez exactement à la co
. Coupe n° IX (iig. 1-187). Cette coupe passe par la ligne IX de la fig. 278 et correspond à peu près a, la coupe vertic
nd à peu près a, la coupe vertico-transversale macroscopique n° 86 ( fig. 3). Elle intéresse la circonvolution pariétale
r cette coupe que sur les deux coupes précédentes (nos VII et VIII, fig. 285, 286) qui intéressent les deux circonvolution
ecourbent pour pénétrer dans le thalamus (Voy. Coupes horizontales, fig. 292, 293). Les fibres des radiations thalamique
blanche profonde du tubercule qiiudrijumeau antérieur. Coupe n" X ( fig. 288) passant par la ligne X de la fig. 278, en ar
umeau antérieur. Coupe n" X (fig. 288) passant par la ligne X de la fig. 278, en arrière de la coupe vertico-transversal
, en arrière de la coupe vertico-transversale macroscopique n" 95, ( fig. 258). Cette coupe passe en arrière de la queue
calleux (sec) et du subiculum de la corne d'Ammon (H). Coupe n° XI ( fig. 289), passant par la ligne XI de la fig. 278 et e
d'Ammon (H). Coupe n° XI (fig. 289), passant par la ligne XI de la fig. 278 et en avant de la coupe vertico-transversal
et en avant de la coupe vertico-transversale macroscopique n° 116 ( fig. 263). Cette coupe sectionne le pli cunéo-limbiq
es du genou du corps calleux et du faisceau oceipito ? f1'ontal (Voy. fig. 279 et 280). De cette couche se détachent des f
orales aux circonvo- lutions occipitales (Voy. Coupes horizontales, fig. 392, 293 et 298). Le faisceau supérieur travers
elle forme le stratum calcarinum (voy. [strK], coupe suivante n° XII, fig. 290), H60 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. de te
es du forceps tapissées de l'épendyme ventriculaire. Coupe- n° XII ( fig. 290). Cette coupe passe par la ligne XII de la
Coupe- n° XII (fig. 290). Cette coupe passe par la ligne XII de la fig. 278 et correspond à peu près à la coupe vertico-t
à peu près à la coupe vertico-transversale macro- scopique no 135 ( fig. 265). - - Cette coupe intéresse la pointe occip
ale du ventricule latéral. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 561 ( fig. 289), les fibres qui longent la paroi externe du
té et consti- tuent le faisceau occipital vertical de Wernicke (Ov, fig. 389) (faisceau perpendi- culaire de la convexit
s. Leur repérage est indiqué par les figures z01 et 294. Coupe A ( fig. 292) passant par la ligne A de la fig. 291. 36
figures z01 et 294. Coupe A (fig. 292) passant par la ligne A de la fig. 291. 36 562 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
airement à leur axe. Coupe B (ng. 293) passant par la ligne B de la fig. 291. Cette coupe intéresse la partie inférieure
nvoyons aux séries de coupes suivantes (séries III et IV). Coupe C ( fig. 295), passant par la ligne C de la fig. 294. Cett
séries III et IV). Coupe C (fig. 295), passant par la ligne C de la fig. 294. Cette coupe inté- resse les deux tiers ant
ntricule latéral (Voy. Coupes verlico-transversales microscopiques, fig. z80 à 287). Les fibres calleuses contournent en
ne du thalamus (Ni, Ne) un aspect tacheté tout à fait spécial (Voy. fig. 284 et t. II). En avant et en dedans du pied de
ée ou grillagée. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 51l Coupe D ( fig. 296), passant par la ligne D de la fig. 294. Cett
DU CERVEAU. 51l Coupe D (fig. 296), passant par la ligne D de la fig. 294. Cette coupe, très voisine de la base du ce
) et s'entre-croiser avec le faisceau uncinatus (Fu) (Voy. coupe E, fig. 297). Les fibres fortement colorées de la parti
yau et les fibres radiculaires de la troisième paire (Nm). Coupe F ( fig. 298), passant par la ligne F de la fig. 294. Ce
isième paire (Nm). Coupe F (fig. 298), passant par la ligne F de la fig. 294. Cette coupe qui appartient il la même séri
es hauteurs. - Coupe n° 1 (lig. 300) passant par la ligne 1 de la fig. 299. Celte coupe intéresse le centre ovale (CO)
squ'on étudie la région sur des coupes verlico- transversales (voy. fig. 3S 1 ), on se rend très bien compte de l'inflexio
limite externe se confond avec celle de cette dernière. Coupe n" 2 ( fig. 301), passant par la ligne 2 de la ligure 299.
dans la masse blanche sous-corticale non différenciée. Coupe n° 3 ( fig. 302), passant par la ligne 3 de la ligure 299.
mme le montre par exemple, la figure 381 : la coupe actuelle (n° 3, fig. 302) sectionne parallèlement à leur longueur les
ens tntéro I)o.um limites du ventricule latéral (VI). Coupe n° 4 ( fig. 303), passant par la ligne de la figure 299. Ce
le que cette dernière se présente sur les coupes n° 6 et suivantes ( fig. 305 il 308). Sur la coupe actuelle, la capsule
me largeur que le pied de la. couronne rayonnante de la coupe n° 3 ( fig. 302). Elle s'étend du bord externe du noyau cau
t s'irradier dans l'extrémité antérieure de la couche optique (Th) ( fig. 30.1 il 308). A coté de ces fibres thalamiques
parition de la capsule interne au niveau des zones de tran- sition ( fig. 303 et 304), on voit donc se dessiner très nettem
squ'on étudie les coupes verlico-transversales microscopiques (voy. fig. 281 à 286). Coupe n° 5 (fig. 304), passant par
ico-transversales microscopiques (voy. fig. 281 à 286). Coupe n° 5 ( fig. 304), passant par la ligne 5 de la figure 299.
n- triculaire et livre passage il la toile choroidienne (Tch) (Voy. fig. 21 ? et 286). La couche optique (Th) a augmenté
e celle du putamen et de celle de l'écorce cérébrale. Coupe n° 6 ( fig. 305), passant par la ligne 6 de la figure 299.
eure est enclavée profondément dans la"couclw optique (voy. coupen°7, fig. 306), se prolonge en arrière en forme de queue
proche du corps genouillé externe (Cge) (voy. coupe suivante n° 8, fig. 307). Dans ses ligures et dans son texte, Werni
ec ces dernières la couche sagittale du lobe oecipito-tempoml (voy. fig. 292 et 293), se dirigent d'arrière en avant et se
circonvolutions plus ou moins rapprochées. Sur cette coupe n° 7 ( fig. 306), la couche optique (Th) a considérablement
appa- rent que lorsque le noyau antérieur a disparu. Coupe n° 8 ( fig. 307), passant par la ligne 8 de la figure 299.
qui traverse le segment antérieur de la capsule interne (Cia) (voy. fig. 305, 306). Il est toujours caractérisé par son
ale, sont beaucoup plus nombreuses ici que sur la coupe précédente ( fig. 306). Les fibres du genou (Ci[g]) ont changé de d
entricule latéral. Ces plexus, non représentés sur cette coupe, n° 8 ( fig. 307), s'insinuent entre la queue du noyau caudé
olongement spluonoïdal du ventricule latéral (Vsph) (Voy. coupe n° 7, fig. 306). Le pilier postérieur du trigone ou fimbri
de Vicq d'Azyr (VA), que nous avons vu sur la coupe précédente n° 7 ( fig. 306), aborder le noyau antérieur du thalamus (N
ersale affecte une forme semi-lunaire à concavité postérieure (Voy. fig. 308 et 309). Le ganglion de Vhabéuula (Gh) sert
I). Cette coupe, ainsi que la précédente (fib. 306) et la suivante ( fig. 308), passe en effet par le trou de J/01/l'o. La
de la partie moyenne de la fente cérébrale de Bichal. Coupe n" 9 ( fig. 308 passant par la ligne 9 de la fig. 299). Cet
ébrale de Bichal. Coupe n" 9 (fig. 308 passant par la ligne 9 de la fig. 299). Cette coupe intéresse la couche optique à
d'un noyau qui n'existait pas encore sur la coupe précédente n" 8 ( fig. 307), le corps genouillé interne (ci). . Vers l
u'elles relient au corps genouillé externe. Sur cette coupe n" 9 ( fig. 308) nous voyons donc apparaître dans la couche
téristique et qui n'existait pas encore sur la coupe précédente n° 8 ( fig. 307). Ici en effet, les fibres au lieu d'appara
oupes vertico-transversales et sériées d'un hémisphère entier (voy. fig. 285, 286 et t. II), on constate très nettement qu
isposition qui n'existait pas encore sur la coupe précédente (n° 8, fig. 307). On voit en effet ici les fibres qui constit
rité qui s'est pré- sentée pour la première fois sur la coupe n° 8 ( fig. 307), où l'obliquité des fibres est extrêmement
nts du corps genouillé externe (Cge). Sur la coupe actuelle (n° 10, fig. 309), on voit encore les fibres du segment antéri
(cop) et constituera sur les coupes inférieures (voy. coupe n° 12, fig. 3tl) la partie dorsale de la commissure postéri
(NL,.), se voit encore sur les coupes plus inférieures (nos 12, 13) ( fig. 311, 3)3), mais il a perdu alors toute connexio
ge (Voy. t. II). Le ruban de Reil (Rm) forme sur cette coupe n° 11 ( fig. 310) un faisceau irrégulier, aplati dans sa par
du bras du tubercule quadrijumeau antéicfyr ? (t)i'== Coupe n° 12 ( fig. 31 L), passant par la ligne 12 de la ligure b.4.
X. plus en arrière et en dehors que sur la coupe précédente (n° 11, fig. 310) et contient beaucoup moins de fibres. En a
cule quadrijumeau antérieur (Qa) (Tiefliegcndes Mark). Coupe n° 13 ( fig. 312), passant par la ligne 13 de la ligure 299.
(Cirl) est encore plus éloigné que sur la coupe précédente (n° 12, fig. 311), du segment postérieur proprement dit, qui
lieu de la masse de fibres constituée sur la coupe précédente (voy. fig. 311) par le faisceau thalamique de Forci et les
nnent au système de la commissure postérieure (cop;. . Coupe n° 14 ( fig. 313), passant par la ligne 14 de la figure 299.
rées, dont l'origine se voit nettement sur la coupe suivante n° 15 ( fig. 314). Ce faisceau constitue le pédoncule du tubér
t. Ces libres constituent le straittzn inlermedium de Meynert (Voy. fig. 193 et 397, Stri). Le pied du pédoncule cérébral
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. Sur les coupes précédentes nos 12 et 13 ( fig. 311 et 312), on pouvait encore distinguer dans
ntérieures (la), plus étroites et plus bombées. Sur la coupe n° 14 ( fig. 3t3), cette différence commence déjà il être moin
frontale (F3), est seule proéminente. Sur la coupe actuelle n° 15 ( fig. 314) l'in- sula se réduit iL une seule circonvo
née (Cg), que le sillon fimbrio-godronné sépare sur la coupe n° 13 ( fig. 312) du pilier postérieur du trigone. Sur la coup
2) du pilier postérieur du trigone. Sur la coupe précédente, n° 14 ( fig. 313) les plexus choroïdes de la corne sphénoïdale
ferme la corne sphénoïdale en dedans. Sur la coupe actuelle n° 15 ( fig. 314) la circonvolution du crochet (U) a augment
, il s'élargit et s'étale. Sur les coupes précédentes nos 11 et 12 ( fig. 310, 311), nous l'avons déjà vu envoyer de nombre
surtout sur la coupe n° 14 (lig. 313) et sur la coupe actuelle n° 15 ( fig. 314) on voit l'amnl-In/II' s'unir au noyau amyr
s présentant une obliquité différente de celle de cette série (voy. fig. 331) on voit la commissure de Forel réunir les ex
rie précédente, elles sont en-outre obliques en bas et en avant (voy. fig. de repérage 315) et parallèles il ? la bandelet
-thalamique . G32 . . ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Coupe n° 1 x ( fig. 316), passant par la ligne 1 x de la figure 315.
gion sous-thalamique. Elle correspond, en arrière, à la coupe n° 7 ( fig. 306) de la série précédente, et en avant à la cou
édian de, Ato/.s'nette- ment apparent sur la coupe suivante n° 2 x ( fig. 317), - cnvoic ses fines libres t''[G. 313. Fac
érieure (coa) et la première circonvolution limbique. Coupe n° 2 x ( fig. 317), passant par la ligne 2 x de la ligure 31 S.
e côté de laquelle on trouve, comme sur la coupe précédente n° 1 x ( fig. 316), la section de la bandelette diagonale de
rnicke, que nous allons rencontrer sur la coupe sui- vante, n° 4 z ( fig. 319). Fil;. 318. Coupe n° 3 x, passant par la l
x régions supérieures de l'espace per foré antérieur. Coupe n" 4 x ( fig. 319), passant par la ligne 4 x de la ligure : 31
au 1'(lUge, et nous verrons apparaître sur la coupe suivante n° 5x ( fig. 320), il la place du champ' de Forel, le noyau
(le) contenant les fibres du renia semi-circularis. Coupe n° 5 x ( fig. 320), passant par la ligne 5 x de la figure 315.
dans la constitution du tuber cinei'eum (Voy. coupe suivante n° 6 x, fig. 32 I, Te). Dans l'espace triangulaire intercept
nalus (Fu). COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 043 Coupe n° 6 x ( fig. 321) passant par la ligne 6 x de la figure 313.
bitaire de la première circonvolution frontale (oF,). Coupe n° 7 x ( fig. 322) passant par la ligne 7 x de la figure 315.
de Meynert (Fontaineartige tlaubenhreuzunj Meynert's de Forel) (xM, fig. 3'23). Ces 646 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
en dedans, et appartenant au faisceau uncinalus (Fu). Coupe n° 8 x ( fig. 323) passant par la ligne 8 x de la figure 315.
uditif et relie entre eux les corps genouillés internes (Cgi) (Voy. fig. 191, CG). Dans le losange opto-pédonculaire on
diffère pas ici de ce qu'il était sur la coupe précédente (n° 8 x, fig. 323). Les faisceaux de la commissure postérieur
si que l'un de nous a pu le constater (Voy. t. II). Coupe n° 9 x ( fig. 324), passant par la ligne 9x de la figure 315.
ment de la calotte de Meynert (Fontaineartige Haubenkreuzung) (xM, fig. 323.) Dans le prolongement antérieur de la subs
rables à son étude (Voy. Coupes microscopiques de la capsule interne, fig. 313 et 314). Dans la série de coupes que nous é
P) est presque complètement constitué sur la coupe actuelle n° 9 x ( fig. 324). Ses quatre cinquièmes internes sont libres
ise qui double le pli falci fornze de l'insula. Cette coupe n° 9 x ( fig. 324) présente encore en avant un point inté- re
fibres laiigeiiiielles de cette écorce rudimentaire. Coupe n° 10 x ( fig. 325), passant par la ligne 10 x de la figure 315.
au faisceau de Vth'cA (FT) décrit sur la coupe précédente (n° 9 x, fig. 324). En dehors du segment rétro-lenticulaire de
ont beaucoup plus nombreuses que sur la coupe précé- dente (n° 9 x, fig. 324) et sont disposées en gros fascicules au nive
uche optique. 6 : i0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Coupe n° 11 x ( fig. 326), passant par la ligne dix de la figure 315.
érébrale ou descendante de la 5° paire (Vc) (voy. coupes suivantes, fig. 327 et 328), la couche profonde du tuber- cule
dont nous rapporterons un certain nombre d'exemples. Coupe n° 12 x ( fig. 327), passant par la ligne 12 x de la figure 31b.
anglion inter-pédonculaire de Gudden (voy. coupe suivante, n° 13 x, fig. 328, Gip), et qui entrent en connexion avec le fa
es appartiennent à la partie motrice du trijumeau. Coupe n° 13 x ( fig. 328), correspondant à la ligne 13 x de la figure
nt blanches et grises, connues sous le nom de stries de Baillarger ( fig. 330). Au niveau de la face interne du lobe occi
us, et va en s'amincissant jusqu'au niveau de la pointe occipitale ( fig. 223 à 234 et 261 à 266). Ces différences de color
rne grise également, mais présentant une coloration rouge jaunâtre ( fig. 330). Ces deux couches grises, assez épaisses,
etites cellules irrégulières; : 50 la couche des cellules fusiformes ( fig. 329 et 330). La 3° couche ou couche des grandes
occipital, le type longtemps classique des huit couches de Meynert ( fig. 345). Cette division de l'écorce cérébrale en u
andes cellules pyramidales; '. 4° la zone des cellules polymorphes ( fig. 330).' La nomenclature de ces différents auteur
différents auteurs se trouve . résumée dans le tableau suivant, ( fig. 330) qui représente en quelque sorte, les progr
, couche sans cellules de Stieda, couche des fibres tangentielles) ( fig. 329, 339, A). - Cette zone a une épaisseur de 0
en cellules araignées. Sur des préparations colorées par le carmin ( fig. 329), la zone nzolé- culaire parait constituée
tan- gentielle et par des fibres à direction plus ou moins oblique ( fig. 342). L'origine des libres du réseau d'Exner a
iangulaires et des cellules polygonales. Les cellziles polygonales ( fig. 331) sont anguleuses, de volume moyen et peu no
ers, qui naissent tous d'une den- drite. Les cellules fusiformes ( fig. 332) sont en général hipolaires; elles peu- ven
dendrites po- aires ou de rameaux protoplasmiques secon- laires ( fig. 332). Les cellules triangulaires (fig. 333, 334
oplasmiques secon- laires (fig. 332). Les cellules triangulaires ( fig. 333, 334) ne sont qu'une modification du type p
CE CÉRÉBRALE. 671 des panaches ascendants des cellules pyramidales ( fig. 338, A) et par les nombreuses cellules névro-
ennent, quel que soit leur volume, les cellules p,1Jl'a- midales ( fig. 335,336,338, 339) présentent toujours Couche
de forme conique ou triangulaire, et contient un nucléole brillant ( fig. 335). Les dendrites de la cellule pyramidale so
et en dendrites basilaires, provenant du corps même de la cellule ( fig. 336, 338 et 339). La tige ascendante (a,fig.336
es se terminant par une extrémité arrondie et légèrement renflée ( fig. 337, a et b) ; pointes qui leur donnent l'appar
dans la partie supérieure de son trajet de fines collatérales (col fig. 338) au nombre de six à dix, qui se détachent à
difiées, qui constituent les grains de la circonvolution godronnée ( fig. 364). Chez les reptiles, la tige ascendante exi
ndrites basi- laires, elles sont très nombreuses et très ramifiées ( fig. 338, 339). Il'ic. 339. Coupe transversale de l'
e moyenne des cellules nerveuses de Stieda, strata- medio de Golgi, fig. 329 et 339, C.). Cette couche se distingue de l
aillarger. 4° Couche des cellules polymorphes ÏD, E, fib. 329 et D. fig. 339). -Dans cette zone, qui mesure à peu près 0
libre, dont les rameaux enveloppent le corps des cellules voisines ( fig. 340). Quant aux cellules décrites par Martinott
écorce et principalement dans la couche des cellules poly- morphes ( fig. 339, f, g). Fusiformcs ou triangulaires, elles pr
es qui se détachent à angle droit et se portent dans tous les sens ( fig. 341). Les cellules araignées manquent d'orienta
lables à un fin duvet, soit longs, lisses et ordinairement indivis ( fig. 341). Fibres de l'écorce cérébrale. Les fibres
ituent les fibres à direction transversale ou fibres langentielles ( fig. 342). Les fibres radiées (fig. 342 et fig. 347,
nsversale ou fibres langentielles (fig. 342). Les fibres radiées ( fig. 342 et fig. 347, fr) forment des faisceaux régu-
fibres langentielles (fig. 342). Les fibres radiées (fig. 342 et fig. 347, fr) forment des faisceaux régu- lièrement
rise, où elles s'épanouissent en un très élégant pinceau de libres ( fig. 283, Fa, p. 536). Sur les coupes perpendiculaires
de la circonvolution, ces fibres se présentent sous le même aspect ( fig. 283, h" p. 536 et fig. suiv.). Sur les coupes hor
es fibres se présentent sous le même aspect (fig. 283, h" p. 536 et fig. suiv.). Sur les coupes horizontales section- na
ce " blanche, qui viennent s'arboriser dans ce territoire cortical ( fig. 343). Les fibres à direction transversale ou fi
e dehors en dedans cinq couches de fibres à direction transversale ( fig. 342); ce sont : - 1° La couche des fibres tange
zone corticale tangenlielle, stratum zonale, premier plexus de Cajal, fig. 342 et 347, fl). Cette couche, relativement épa
deuxième et troisième couches de Meynert, deuxième plexus de Cajal, fig. 342 et fig. 31.-1, fsr). Ce feutrage occupe la
troisième couches de Meynert, deuxième plexus de Cajal, fig. 342 et fig. 31.-1, fsr). Ce feutrage occupe la couche des p
ccipital. Ces libres, qui constituent la strie de Bechterew (Kaes) ( fig. 342 et fig. 347, sBK), apparaissent, d'après l'
s libres, qui constituent la strie de Bechterew (Kaes) (fig. 342 et fig. 347, sBK), apparaissent, d'après l'auteur dont
oral. 3° La strie externe de Baillarger (troisième plexus de Cajal, fig. 342, sBc), est formée d'un feutrage très dense
l, où elle porte le nom de ruban de Vicq d'Azyr ou de Gennari (Voy. fig. 347, V, et coupes macro et microscopiques); ell
e sa face interne, en strie externe et strie interne de Baillarger ( fig. 342, sBe, sBi). Ce dédoublement s'observe en outr
idales, la strie interne occupe la couche des cellules polymorphes ( fig. 342), et appartient au feutrage interradiaire d'E
isième et quatrième couches de Meynert, quatrième plexus de Cajal, ( fig. 342 et fig. 347, fir). Ce feutrage est situé da
atrième couches de Meynert, quatrième plexus de Cajal, (fig. 342 et fig. 347, fir). Ce feutrage est situé dans la couche
erne de, Meynert [aussere Meyne1'l'sche Associationsschicht, Kaes], fig. 342 et fig. 347, fAc). Bien décrites par Kaes,
nert [aussere Meyne1'l'sche Associationsschicht, Kaes], fig. 342 et fig. 347, fAc). Bien décrites par Kaes, ces fibres occ
nvolutions, et quelquefois avec les fibres de la substance blanche ( fig. 317). Connexions des cellules pyramidales. Les
ui se détachent de son cylindre-axe dans son trajet intra-cortical ( fig. 344). Par son panache protoplasmique, la cel-
ongtemps resté classique. Les huit couches de Meynert comprenaient ( fig. 345) de dehors en dedans : 1° La couche molécul
ou couche granuleuse interne; 8° la couche des cellules fusiformes ( fig. 345). Le ruban de Vicq d'Azyr correspondait aux
t troisième couches. Cet auteur, dont nous suivrons la description ( fig. 345 et 346), n'admet que cinq couches dans l'éc
des corpuscules polymorphes (fig, 346). 1° Couche moléculaire (A. fig. 346). - Contrairement à l'opi- nion de Meyner
traste avec l'aspect lisse des prolongements des cellules de Cajal ( fig. 346, a). Leur cylindre- axe chemine parallèleme
trouve trois ou quatre rangées de petites cellules de forme ovoïde ( fig. 346, d), allongées dans le sens vertical et éme
se détache de l'arborisation terminale de la dendrite descendante ( fig. 346, c). 3° Ruban de Vicq d'Azyr. Couche fibril
. 3° Ruban de Vicq d'Azyr. Couche fibrillaire moyenne (Cajal) (C, fig. 346). Immédiatement au-dessous de la couche des c
mes caractères que celles que l'on rencontre dans l'écorce typique ( fig. 346, j), cellules fusiformes à direction vertical
à direction verticale, semblables a celles de la couche précédente ( fig. 346, h), cellules triangulaires ou fusi- formes
se termine dans la couche moléculaire par une arborisation étendue ( fig. 346, i). Avant d'aborder la couché des cellules f
ire très dense. 4° Couche des grandes cellules pyramidales (D et E, fig. 346). -Cette couche se présente ici avec les mê
le cylindre-axe peut être suivi jusque dans la subs- tance blanche ( fig. 346, r). Ici encore, comme dans le reste de la co
u ruban de Vicq d'Azyr. 5° Couche des corpuscules polymorphes (F, fig. 346). Dans cette couche, se trouve un grand nom
en outre un certain nombre de cellules triangulaires ou fusiformes ( fig. 31G, s) analogues aux cellules à cylindre-axe asc
avec le plus de netteté en particulier sur des cerveaux d'adultes ( fig. H 7) - outre le ruban de Vicq d'Azyr (V) et les f
ramidales, et sont particulièrement accentuées au fond des sillons ( fig. 347, fU). Toutes ces fibres à direction transvers
sure calcarine, elles dépassent en général le ruban de Vicq d'Azyr ( fig. 317). . II. - ÉCORCE DU RHINENCÉPHALON L'écor
une moyenne ou cellulaire et une profonde ou de substance blanche ( fig. 318). La couche moyenne est composée de cellule
nsi nais- sance à deux fibres se dirigeant en sens inverse (Cajal) ( fig. 349). La couche profonde est constituée par la
moyenne et dans la couche moléculaire par de riches arborisations ( fig. 349). On rencontre encore, d'après Cajal, dans
tes, ramifiées et il direction longitudinale ou antéro-postérieure ( fig. 349). On trouve aussi dans cette couche quelque
'Arnold ou lame médullaire superfi- cielle ou externe du subiculum ( fig. 3su, Lms). L'épaisseur de cette couche n'est pa
des- cendent jusque dans la substance blanche de la circonvolution ( fig. 350). Cette couche moléculaire, qui contient co
de Pal, donnent à cette couche un aspect tacheté tout particulier ( fig. 350). Sa structure au ni- veau du subiculum.
e situé dans le prolongement sphénoïdal du ventricule latéral (voy. fig. 210, p. 360). Elle est produite par la saillie
substance blanche qui tapissent le fond du sillon de l'hippocampe ( fig. 350). La corne d'Ammon et la circonvolution godro
ourse et 1 que l'écorce de la corne d'Ammon en constitue le centre ( fig. 351). La structure si complexe de cette région
x écorces cérébrales dans la région du hile , de la circonvolution ( fig. 353). Il découle de ce dernier fait que les fibre
e, l'écorce de la corne d'Ammon avant d'arriver à leur destination ( fig. 381 ). ). On considère généralement comme limit
on et la circonvolution godronnée, le hile de cette circonvolution ( fig. 351). La corne d'Ammon comprend par conséquent de
ieure, celle qui est en rapport avec la circonvolution godron- née ( fig. 359). Chez l'homme les rapports sont autres : il
l suffit d'examiner une coupe vertico-transversale de l'hémisphère ( fig. 3â9 ), pour constater que la partie de la corne
couche des cellules polymorphes, par des extrémités non ramifiées ( fig. 354). Le cylindre-axe (c) naît du corps cellulair
s terminales atteignent la couche moléculaire. c) Stratum radiatum ( fig. 352, R). Le stratum radiatum se présente sous f
couches adjacentes : telles sont les cellules pyramidales égarées ( fig. 355, g h) et les cellules trian- gulaires ou fu
ellules trian- gulaires ou fusiformes égarées du stratum lacunosum ( fig. 354, e, f), dont les dendrites descendantes att
es du type II de Golgi sont des cellules étoilées ou triangulaires ( fig. 355 e, f, fig. 360, G, H), qui occupent toute l'é
e Golgi sont des cellules étoilées ou triangulaires (fig. 355 e, f, fig. 360, G, H), qui occupent toute l'épaisseur du str
ndue et vari- ' queuse, soit dans l'épaisseur même de cette couche ( fig. 355, f), soit dans le slratumlacunosum(fig.360,
ns (Cajal). Les cellules à cylindre-axe descendant sont fusiformes ( fig. 354, d, g, fig. 355, i) ou triangulaires. Leur
cellules à cylindre-axe descendant sont fusiformes (fig. 354, d, g, fig. 355, i) ou triangulaires. Leur cylindre-axe, dest
s atteignent le stratum oriens. 2. Couche des cellules pyramidales ( fig. 352, Py). - Cette couche correspond aux couches
gion hippocampique et dans la région godronnée de la corne d'Ammon ( fig. 311). Dans la région hippocampique de la corne
Ammon (fig. 311). Dans la région hippocampique de la corne d'Ammon ( fig. 356, CA), ces cellules possèdent un corps fusif
tte couche (fig 356). Dans la région godronnée de la corne d'Ammon ( fig. 365, RCg), les cel- Leur cylindrc-axe. Il se
caractères très nets des cellules ana- logues de l'écorce typique ( fig. 357). Ce sont des cellules pyramidales géante
s, etc., sont hérissés d'amas proto- plasmiques d'aspect globuleux ( fig. 358) et fout il fait comparables aux amas pro
'on observe dans toutes les cellules en voie de développement (Voy. fig. 100, p. 164). Caractères qui dis- tinguent le
u intermédiaire) et de là avec le cerveau moyen et postérieur (Voy. fig. 359). Schàffer a montré en outre, et le fait a
m et se continue avec une fibre nerveuse à myéline de cette région ( fig. 359). Ces fibres se portent vers le subiculum, où
t dont les plus profondes sont situées en pleine substance blanche ( fig. 354, a, b); leurs dendrites se perdent entre le
mme le cylindre-axe ascendant des cellules décrites par Martinotti ( fig. 354, a; fig. 360, A), soit comme le cylindre-ax
re-axe ascendant des cellules décrites par Martinotti (fig. 354, a; fig. 360, A), soit comme le cylindre-axe horizontal de
e horizontal des cellules du type II de Golgi delà zone supérieure ( fig. 354, b). La zone supérieure du stratum oriens,
des cellules pyramidales. Les cellules à cylindre-axe ascendant ( fig. 360, B,C, E)sont de petites cel- lules, fusifor
DES CENTRES NERVEUX. Cellules à cylindre- axe arqué de Cajal. ( fig. 3G0, A), tantôt et cette disposition, bien décrit
les d'un riche feutrage de rameaux flexueux et fortement variqueux ( fig. 360, B,C,E). Les collatérales de ces cellules
, et entrent dans la constitution de la masse blanche du subiculum ( fig. 359). Les fibres de l'alvéus sont de gros et de
c beaucoup de netteté dans la région godronnée de la corne d'Ammon ( fig. 359). La plupart de ces collatérales s'arborise
es fibres et des collatérales de la substance blanche du subiculum ( fig. 359) ; 2° des ramifications terminales des cylind
9) ; 2° des ramifications terminales des cylindres-axes ascendants ( fig. 3;4, a, et fig. 360, A); 3° des cellules étoilées
fications terminales des cylindres-axes ascendants (fig. 3;4, a, et fig. 360, A); 3° des cellules étoilées autochtones d
d'Ammon, pour former la substance réticulée d'Arnold du subiculum ( fig. z0 et 351). Ces libres ne forment une couche in
terminales des cellules à cylindre-axe ascendant du stratum oriens ( fig. 354, a, et fig. 360, A). A ces deux ordres de f
ellules à cylindre-axe ascendant du stratum oriens (fig. 354, a, et fig. 360, A). A ces deux ordres de fibres bien décri
ièrement nom- breuses dans la région godronnée de la corne d'Ammon ( fig. 359). 4. Les collatérales des épaisses fibres d
urent les cel- lules du stratum lacunosum d'un feutrage très dense ( fig. 359). 5. Les ramifications terminales des cellu
rminales des cellules à cylindre-axe ascendant du stratum radiatum ( fig. 354, e, f). 6. Les arborisations terminales des
rminales des éléments cellulaires autochtones du stratum lacunosum ( fig. 354, h, i, j, m, fig. 355, j). c) Les fibres du
cellulaires autochtones du stratum lacunosum (fig. 354, h, i, j, m, fig. 355, j). c) Les fibres du stratum radiatum sont
cellules deMartinotti, et cellules à cylindre- axe arqué de Cajal) ( fig. 360, A, B, C, E). 2. Les ramifications des épai
lules pyramidales géantes qui se portent vers le stratum lacunosum ( fig. 359). 3. Les arborisations des cellules étoilée
cellules étoilées du type II de Golgi propres au stratum radiatum ( fig. 355, e, f). ' 4. Les arborisations des collatér
xe descendant de Cajal du stratum radiatum et du stratum lacunosum ( fig. 354, d, g). Mais la plupart des fibrilles de ce
nt au stratum oriens : des cellules et cylindre-axe arqué de Cajal ( fig. 360, B, C, E), des cellules à cylindre-axe hori
Cajal (fig. 360, B, C, E), des cellules à cylindre-axe horizontal ( fig. 355, a, b, d), ces dernières sont une variété d
ité supéro-interne de la région godronnée de la corne d'Ammon (Voy. fig. 351). La substance blanche de la circonvolution
ns la circonvolution godronnée, avant d'arriver à leur destination ( fig. 351 et 353). Cette superposition de deux écorces
le hile de la circonvolution godronnée, les 7 couches sui- vantes ( fig. 353) : La circonvolu- tion godronnée re- pr
xe s'arborisent toutes dans l'épais- seur de la couche moléculaire ( fig. 363, b). Les profondes sont triangulaires, étoi
du type Il de Golgi, cellules autochtones de la couche moléculaire ( fig. 363, b). Collatérales du cylindre-axe des grain
ollatérales du cylindre-axe des grains égarés de cette même couche ( fig. 363, a). y Ramifications terminales des cellule
les à cylindre-axe ascendant de la couche des éléments polymorphes ( fig. 363, c, f). STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 72
illon de l'hippocampe et un seul feuillet pie-mérien. (Voy. schéma, fig. 3tH.) , . l'c. 361. Schéma de la struc- tur
e dendritique épineux s'insère directement sur le corps cellulaire ( fig. 364); les cellules ovoïdes des couches profonde
he, analogue il celui des cellules pyramidales de l'écorce typique ( fig. 365) ; ce n'est qu'exception- Fic,. 363. - Coup
es cellules présentent des dendrites basilaires (Scliâffer, Cajal) ( fig. 365, d). Les panaches épineux des cellules ovoïde
xpansions. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE, ? )9 fibres moussues ( fig. 366). Ils présentent, en effet, par places, un as
les pyramidales géantes de la région godronnée de la corne d'Ammon ( fig. 356 RCg, p. 713), et forment un plexus très ser
es moussues ne dépasse pas la région godronnée de la corne d'Ammon ( fig. 366) et représente une véritable arborisation n
s, enclavées par leur base dans la couche des cellules polymorphes ( fig. 367, a, b) ; leur corps est placé entre les cel
ce cylindre-axe fournit une multitude de collatérales descendantes ( fig. 367, c, c), qui viennent s'arboriser librement
radiai- res se comportent comme les fibres de Bergmann du cervelet ( fig. 93, f, et e, p. 159). Leur corps, fusiforme ou
nt un remarquable exemple de cellules nerveuses périphériques (Voy. fig. a69 et p. 162). , 2" Couche des glomérules olfa
uses géantes, les unes triangulaires, les autres en forme de mitre ( fig. 370, mi, fig. 3ï1, C), cellules signalées et fi
les unes triangulaires, les autres en forme de mitre (fig. 370, mi, fig. 3ï1, C), cellules signalées et figurées déjà par
des fibres Au pédoncule olfactif et de la racine olfactive externe ( fig. 371). Les cylindres-axes des cellules mitrales do
ire du bulbe olfactif, soit encore des fibres centrales terminales ( fig. 371, L) qui viennent s'arboriser librement auto
îlots cellulaires sont presque exclusivement formés par des grains ( fig. 371, E), c'est-à-dire par de petits éléments sphé
re en connexion avec les dendrites latérales des cellules mitrales ( fig. 371). Parmi ces grains on trouve quelques rares
i ces grains on trouve quelques rares cellules du type II de Golgi ( fig. 371, M). Ce sont des cellules étoilées, volumineu
e du lobe olfactif, les dendrites basilaires des cellules mitrales ( fig. 371). Tubercule olfactif. La région du tubercul
us ou moins oblique, se divisent en deux ou trois grosses branches ( fig. 372 a et b), qui se dichotomisent plusieurs fois,
fois, et se terminent par des arborisations libres et variqueuses ( fig. 372, c), situées en général au niveau des cellu
ascendant, ces fibres émettent des collatérales assez volumineuses ( fig. 372, d). Elles concourent ainsi à former le vas
'association relient deux circonvolutions ou deux lobes voisins (f, fig. 347, p. 696 et p. 743); elles forment quelquefois
fibres d'association inlra- corticales ou externes de Meynert (fAc, fig. 347), dont elles ne se distin- guent que par le
es commissu- rales et des fibres d'association de longueur moyenne ( fig. 347, p. 090). Les fibres en Une sont pas en gén
tudinal du gyrus 107'llicatus,(or- nix peripltericus (Arnold) (Voy. fig. 373, 374 et Coupes vertico-transversales macro
oupe vertico-transversale d'un hémisphère durci dans le bichromate ( fig. 238 à 261 et 280 à 288), le cingulum se présente
oiffent l'extrémité interne du diverticule du subiculum (Cing [p]) ( fig. 354, p. 706). L'origine et la terminaison des f
isceau antérieur, le faisceau horizontal et le faisceau postérieur ( fig. 373, 374). Le faisceau antérieur (Cing[a]), situé
leur trajet, appartiennent à ce faisceau. Faisceau uncinatus. (Fu) ( fig. 37a, 3 in, 377 et 381). Découvert par Reil, le
ment rectilignes, mais affectent mème une courbure en sens inverse ( fig. 376). Le faisceau uncinatus se colore peu inten
niveau du seuil de l'insula. Sur les. coupes vertico-transversales ( fig. 281 à 283) il affecte la forme d'un faisceau ir
artie horizontale de l'avant-mur (api'). A leur extrémité frontale ( fig. 375), les fibres les plus inférieures, les plus
à l'écorce temporale au niveau de la substance perforée antérieure ( fig. 283) ; , elles s'entre-croisent avec le faiscea
upérieur ou faisceau arqué (Arc) ((ascicuills arcualus de Burdach) ( fig. 376. 377). Le faisceau arqué est à la face ex-
nsversales de cerveaux durcis dans les bichro- mates alcalins (voy. fig. 382 et Coupes macroscopiques, fig. ? r`3 il 2(5),
les bichro- mates alcalins (voy. fig. 382 et Coupes macroscopiques, fig. ? r`3 il 2(5), la FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET CO
ux. raie, couche constituée par le faisceau occipital vertical (Ov, fig. 377) de Wernicke. Sur les coupes microscopiqu
et sur le système commissural du trigone cérébral (Lyre de David) ( fig. 378, 379, 380). Le lapetum au contraire, c'est-
nnante, en dehors du corps du trigone auquel il est intimement uni ( fig. 379). Ces faits montrent donc que le tapetum n'
rayonnante, et con- court à former la voûte du ventricule latéral ( fig. 379 et 380). Sachs émet l'hypothèse qu'il s'agi
une agénésie du corps calleux. (D'après Foret et Onufrowicz.) (Voy. fig. 378 et 380.) Cette coupe correspond à peu près
0.) Cette coupe correspond à peu près à la coupe nor- male n° 88, fig. 234, p. 467. Alv, alvéus. - CA, corne d'Ammon.
agénésie du corps calleux. (D'après Forel et Onu- frowicz.) (Voy. fig. 378 et 379.) Cette coupe correspond à peu prè
.) Cette coupe correspond à peu près à la coupe normale n° 107, fig. 262, p. 480. C, cunéus. - EM, ergot de Mo- ra
e à constater sur des coupes microscopiques vertico- transversales ( fig. 382) ou horizontales (Iïg. 301 à 304 et 295, 296)
zontales zig. ou en haut et en dedans (coupes vertico-transversales fig. 382), et qui occupent tout l'espace clair, comp
alleuses qui entourent le ventricule latéral. D'autres fibres (OF', fig. 391, p. 790) traversent la substance grise sous-é
est en effet perpendiculaire à celle des fibres qui le recouvrent ( fig. 383 et 389). Pris dans son ensemble, ce faiscea
nvolutions troisième temporale (T.,) et troisième occipitale (0.,) ( fig. 383, voy. aussi lige52 à 262). La paroi externe
s, et tapisse au niveau de l'ergot de Morand le stratum calcarinum ( fig. 384). A la base du ÉKË cunéus, les deux bords d
ital la forme d'un WkM anneau plus ou moins irrégulier et anguleux ( fig. 384 et 290), et dans le . lobe temporal, la for
dans le . lobe temporal, la forme d'une gouttière fortement coudée ( fig. 383. Le . faisceau longitudinal inférieur const
on occipitale (0,,) et des lobules fusiforme (Fus) et lingual (Lg) ( fig. 384, 385, voy. aussi lig. 223 a 228, 2S1 à ° ?
dach sous le nom de fais- ceau basai interne (Inneres Grundbundel) ( fig. 373 et 374, Fbi) ; elle répond Fie. 384. - Coup
ontales qui sectionnent obliquement les circonvolutions temporales ( fig. 385 et 293). Dans le lobe temporal, le faisceau
ors - avec les fibres de projection des lobes temporal et pariétal ( fig. 383, 385 et p. 532, fig. 287). Il résulte de ce
projection des lobes temporal et pariétal (fig. 383, 385 et p. 532, fig. 287). Il résulte de cette disposition, que ce f
ourbée de la queue du noyau caudé (Voy. séries I, II, 111, p. 33fi, fig. 283 à 288, 292, 293 et p. : i93, fig. 305 à 314).
. séries I, II, 111, p. 33fi, fig. 283 à 288, 292, 293 et p. : i93, fig. 305 à 314). En avant du segment rétro-lenticula
oure l'extrémité postérieure et le bord inférieur du putamen (NL3) ( fig. 385), puis contourne la corne sphénoïdale (Vsph
'avant-mur au noyau amygdalien et à l'écorce cérébrale avoisinante ( fig. 386). Sur les coupes traitées par les méthodes
distinguer sur les coupes traitées par la méthode de Weigert (p. 60 fig. 290, et p. 768 fig. 384). Ce faisceau reçoit ch
oupes traitées par la méthode de Weigert (p. 60 fig. 290, et p. 768 fig. 384). Ce faisceau reçoit chemin faisant un gran
, qui ne dépassent guère le tiers postérieur de la capsule externe ( fig. 303 à 326), s'entre-croisent avec les. fibres de
aussi : les séries de coupes horizontales III et IV, p. z587 à 657, fig. 303 à 326). - ...... ? ' , Fie. 386. - Coupe ho
nt faciles à constater sur les coupes horizontales sériées (p. 754, fig. 375). Au voisinage de la première circonvolutio
s microscopiques horizontales (lige. 385) ou vertico-transversales ( fig. 387), un aspect tout il fait spécial : il est t
ette face et l'extrémité recourbée de la queue du noyau caudé (NC) ( fig. 387), dans toute l'étendue comprise entre le segm
dehors (plus obliques encore que celles de notre série IV, p. 633, fig. 316 à 328), on peut intéresser parallè- lement
rieur (Voy. t. II, les coupes horizontales se rapportant au cas des fig. 39G à 398, p. 798). A l'examen de coupes micros
ième circon- FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSU 11 AUX. ï0 (voy. fig. : 388\ on ne retrouve dans la couche sagittale du
semble exister, de prime abord, qu'une seule couche sagittale (RTh, fig. 388) correspondant à la fusion des radiations t
le corps genouillé externe, extrêmement développé chez cet animal ( fig. 388). Mais en examinant les choses de plus près
très mince couche de fibres fines, peu colorées par l'hématoxyline ( fig. 388, Fli), disposées en lâches fascicules, et q
AISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. -78t Le stratum calcarinum ( fig. 290 et 389, strK) est une épaisse couche de fib
occipital vertical ou occipital perpendiculaire de Wernicke (Ov), ( fig. 377, 388, 389) stratum proprium convexitatis de S
sverse du cunéus (stratum cllnei tranSVeJ'SIfl7l de Sachs) (ftcS), ( fig. 390, 384 et 389) relie le cunéus à la convexité d
chs). Le faisceau occipital transverse du lobule lingual de Vialet ( fig. 290 et 389, fllgV) est au lobule lingual ce que
IATION ET COMMISSURAUX. 83 instructifs pour l'étude de ce faisceau ( fig. 394) (Voy. Th. de Vialet, Obs. III). Outre ces
ciation propresau cunéus, c'est le stratum proprium cunei de Sachs ( fig. 309, strprC). Il s'agit ici encore de fibres ve
ucoup plus réduite, à ce que l'on observe dans la corne occipitale ( fig. 390). L'anneau interne se trouve constitué en ded
circonvolution frontale et dans la première circonvolution limbique ( fig. 390). Cette disposition en couches sagittales n
couches sagittales ne se retrouve pas sur les coupes horizontales ( fig. 391, 296), ces dernières montrent, au contraire,
, que l'on peut le mieux suivre les dernières fibres différenciées ( fig. 242 et 243, p. 442 et 448). Fibres commissurale
rayonnante (pCR) et une partie du fais- ceau occipito-frontal (OF) ( fig. 387, p. 774). Arrivées au niveau de l'angle ext
le tronc du corps calleux (Cc). Sur une coupe vertico-transversale ( fig. 387 et 281 à 287), le tronc du corps calleux se
tronc du corps cal- leux se réfléchit autour de son angle externe ( fig. 391). Ce faisceau compact augmente rapidement d
scopiques colorées au carmin ou traitées par la méthode de Weigert ( fig. 391). Le genou du corps calleux contiendrait en
haut que le faisceau longitudinal supérieur ou arqué de Bur- dach ( fig. 375, p. 754) ne serait autre chose, d'après Schno
Forel et Onufrowicz (OF), qui forme le tapetum du lobe sphénoïdal ( fig. 381, p. 760). Schwalbe émet l'hypothèse que le
dedans et en avant, passe au-dessous de la tète du noyau caudé (NC, fig. 242, p. 442), s'épaissit rapidement grâce à l'a
substance grise qui relie le putamen à la tête du noyau caudé (Voy. fig. 242 et 243, p. 442 et 4 ! â). Radiations du bou
tourent la corne occipitale d'une couche mince et régulière . (Tap) fig. 290, p. 560), qui est séparée de la cavité ventri
ou moins parallèlement il la paroi interne de la corne occipitale ( fig. 384, p. 768). Il en est de même de la plupart d
X D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 793 direction nettement sagittale ( fig. 384). Renforcé par les libres de la paroi . ext
du bourrelet se comportent comme celles du tronc du corps calleux ( fig. 383). Nées de toute la convexité du lobe pariéto-
i externe de la corne occipitale (voy. Faisceau occipito-frontal et fig. 384); sur les coupes vertico-transversales micros
éré complet et sous-épendymaire. Dans les régions plus antérieures ( fig. 394), la situation des fibres dégéné- rées se m
rps calleux, et n'affleure pas la surface apparente du bour- relet ( fig. 392). Si cette plaque jaune ancienne respecte un
pli FAISCEAUX D'ASSOCIATION' ET COMMISSURAUX. 79o cunéo-limbique ( fig. 395), la dégénérescence des fibres calleuses se c
bourrelet du corps calleux, et n'affleure pas sa surface apparente ( fig. 395) (J. et A. De- jerine, et thèse de Vialet,
ccipitale (0,,02), sur les lobules fusiforme (Fus) et lingual (Lg) ( fig. 396, 397 et 398), la dégénéres- cence des fibre
inféro-postérieures, en particulier le bec et le genou postérieurs ( fig. 397 et 398). En résumé donc, les lésions de la
En résumé donc, les lésions de la scissure pariéto- occipitale (po) ( fig. 395). et de la partie postérieure de la scissur
ig. 395). et de la partie postérieure de la scissure calcarine (K) ( fig. 392), retentissent sur le forceps major, et la
s postéro-inférieures, c'est-à-dire le bec et le genou postérieurs ( fig. 398). Les lésions primitives, colorées en orang
émianopsie homonyme latérale droite (Voy. topographie de la lésion, fig. 392 et 393). Cette coupe passe environ à 45 mil
mort du malade. Dégénérescence du bourrelet du corps calleux (Voy. fig. 398). FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX.
e, de sa face inférieure, et du tiers supérieur de sa face externe ( fig. 399). La lig. 400 représente une coupe sagittal
ure de l'hémisphère gauche dans un cas de cécité verbale pure (Voy. fig. 396 et 397, la topographie de la lésion). 3/2 g
oscopique de la face interne de l'hémisphère sain du cas précédent ( fig. 399), montrant l'atrophie de la partie postérieur
et croisée obliquement par les piliers antérieurs du trigone (Tga) ( fig. 201 à 203). Elle forme avec ces derniers un esp
nier de la lame sus-opticlue. Sur une coupe verticale et sagittale ( fig. -193, p. z), sa surface de section est ova- . -
u caudé (ng. 316), il sépare ensuite le globus pallidus du putamen ( fig. 229, 244, 268, 269, 282), croise . la face infé
. 229, 244, 268, 269, 282), croise . la face inférieure du putamen ( fig. 230, 246, 283), longe ensuite ce noyau en dehor
du putamen (fig. 230, 246, 283), longe ensuite ce noyau en dehors ( fig. 231, 312, 40')), concourt à former la partie post
ourt à former la partie postéro-infé- rieure de la capsule externe ( fig. 312, 401), s'cnlre-croise avec le faisceau long
eau longitudinal inférieur et limite en dehors le noyau amygdalien ( fig. 246). La commissure antérieure peut donc être s
ENTRES NERVEUX. direction de cette dernière (voy. série IV, p. 631, fig. 316 à 323), la com- missure antérieure se trouv
rles commissures antérieure et postérieure (voy. série III, p. 877, fig. 310, 312), la commissure antérieure est sectionné
llè- lement à son axe et se trouve intéressée dans tout son trajet ( fig. 401), tandis que la bandelette optique est au c
e la lèvre calcarine du lobule lingual (Lg) (to- pographie dans les fig. 392 à 394); elle est normale également dans le
COMMISSURAUX. 807 et collatérale (ot) (Voy. topographie des lésions fig. 396 et 397 et L. II). Nous l'avons trouvée de m
ajet 'es fihres de la cap- sule externe. Capsule extrême (Ce, fig. 375) dont la base, croisée par les fibres du fais
3 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
8) Exercitationes patologica?. Mediolani, 1820 — 1826. 2 voi. in-4°., fig. (29) Iconcs helmìntlium , system a Rudolph ii c
ésicules tantôt agglomérées autour d'un axe commun, verticillées ( D, fig. 2)5 tantôt disposées à la manière d'une grappe de
sparence des parois, une disposition réticulée parfaitement indiquée ( fig. 2). Si on l'entame, on trouve que la cavité des v
niquent toutes entre elles et sont remplies par une sérosité limpide ( fig. ï, a'j 3', etc.), quelquefois cependant par une s
ffaissées, extraites de la partie supérieure Ce de la masse commune ( fig. 1 ) ; ces grappes, que je ne puis mieux comparer
chaque côté; c'était évidemment un fœtus et son cordon ombilical. La fig. ire est destinée à donner une idée de la totalité
séreuses de la coque de l'œuf. La fig, 2 doit être rapprochée de la fig. 3, planche 1". On doit supposer, par la pensée, l
a nature et le traitement de la môle vésiculaire. Paris, 1827. In-8°, fig. 1ère Livraison. Pl. 2. MALADIES DU PLACENTA.
eloppement. Cette démonstration, Ruysch l'avait déjà donnée dans la fig. 5 de son Thes. anatom. vi, tab. v, que j'ai cru d
eut-être (**), dans une figure que j'ai également reproduite (pl. n , fig. 4 )• Cette figure représente un œuf humain rendu
se perdre dans le muscle grand-droit antérieur. De son côté externe ( fig. 2) partent, de haut en bas, i° un filet a qui va
* Ouverture du cadavre. —L'abdomen ouvert, on aperçoit la tumeur ( fig. i ) RC, en partie cachée par le colon descendant
des vaisseaux sanguins, d'un volume considérable. La coupe du rein ( fig. 2), faite de son bord convexe vers son bord conca
ormation ou nouvellement développés et aréolaires. L'un et l'autre ( fig. 3 ) étaient remplis par une matière pultacée MC,
me, du cancer. Aussi voit-on ici que toute la masse tuberculeuse TTT, fig. 2, ne présente aucun vaisseau, tandis que la couc
MALADIES DU REIN. MALADIES DU REIN. NÉPHRITE. Néphrite aiguë ( fig. 1-2) terminée par ramollissement.—Inflammation du
été impossible de faire une coupe nette et exempte de déchirure. La fig. 2 est destinée à représenter cette coupe. Ici le
e sérosité dans l'abdomen ; le rein droit très-sain : le rein gauche ( fig. 3 ) prodigieusement développé , mais sans changem
ie de vin épais P, formé comme par un mélange de pus et de sang. La fig. 4 représente la coupe de cet organe faite du bord
dié de la substance tubuleuse. Je pense donc que le rein représenté fig. 3 et 4 avait été le siège d'une inflammation chro
enta. Une de ces grappes, grossie une vingtaine de fois, a été gravée fig. V, GR : ces petites granulations seraient-elles d
u rein ne dépassait pas l'état naturel. D'ailleurs le rein représenté fig. i et i ne nous a-t-il pas offert l'aspect d'un ti
pus lie de vin, et vous aurez un tissu aréolaire analogue à celui des fig. 3 et l\. 1ère Livraison. Pl. 6. VICES DE CONF
la place. A son niveau, la peau est soulevée par un flot de méconium ( fig. 6); le raphé R est saillant et comme noueux ; on
scription très-circonstanciée des parties : Fig. i et 2. Le cœur C ( fig. i ), examiné à l'extérieur, paraissait dans l'éta
au; du reste • elle se comporte absolument comme dans l'état naturel ( fig. 2), c'est-à-dire qu'elle se divise en deux branch
ane pour aller se jeter dans l'oreillette gauche, ainsi qu'on le voit fig. 2 pour les deux veines pulmonaires du côté gauche
ent la même disposition. Les reins R et les capsules surrénales CS, fig. 1, sont dans l'état naturel. Peut-être les capsul
ent de divers points de l'aorte pour se rendre dans chaque poumon. La fig. 3 est destinée à représenter les branches qui se
ans le système artériel du poumon en a entraîné une autre représentée fig. 4-C'est un système de vaisseaux particuliers VS,
Les figures 5, 5', 5" représentent les cavités du cœur ouvertes; la fig. 5, le ventricule gauche, et à la la partie supéri
les deux ventricules. Cette ouverture est mise dans tout son jour O, fig. S". Dans ces deux figures, on voit aussi l'artère
lmonaire AP au moment où elle contourne l'aorte. Le trou de Botal TB, fig. 5', était en grande partie oblitéré, comme il a c
ois. Comme chez le reptile et le poisson, le cœur n'a qu'une cavité ( fig. 5, 5" ) ; comme chez le reptile, le poumon vésicu
es vaisseaux blancs-jaunâtres, à nœuds très-rapprochés VL, VL', etc. ( fig. i), partaient de ces plaques pour se rendre aux g
laient être transformés. D'autres vaisseaux VL, VL', VL", VL'", VL"" ( fig. 2), naissaient dans des points dépourvus de plaqu
actés jusqu'à travers l'épaisseur des parois intestinales. Plusieurs ( fig. 1) avaient un trajet rectiligne 5 d'autres (fig.
stinales. Plusieurs (fig. 1) avaient un trajet rectiligne 5 d'autres ( fig. 2) se ramifiaient sous la membrane péritonéale, e
bandonnant la dissection par la face externe, j'ai ouvert l'intestin ( fig. 3) ; j'ai pu voir la membrane muqueuse soulevée p
n [assez long trajet sans communiquer entre eux. Le vaisseau VL, VL ( fig. 3 ) m'a paru le plus remarquable; il longeait le
eux; on dirait que le tissu cellulaire en est entièrement formé. La fig. 4? cpri appartient à un autre sujet, nous présent
pour aller former les vaisseaux lactés. Mascagni représente (Tab. I, fig. i) la membrane interne du jéjunum d'un enfant qui
s étaient opaques, épaissies. i° Un grand nombre de vaisseaux lactés ( fig. i, i) était interrompu d'espace en espace par de
de vaisseaux malades ne naissaient pas au voisinage des ulcérations ( fig. 2, 4) et des plaques tuberculeuses des intestins.
que cette difformité, offrait (*) Le bassin de la taupe représenté, fig. 2, a en effet une disposition analogue. Les os pu
lusieurs lames ou couches au niveau de la tubérosité du calcanéum TC ( fig. 1 et 3) dont la saillie est considérable. Une cap
ement diminuée, ainsi que la facette antérieure du calcanéum FC. La fig. 6 représente, de grandeur naturelle, l'astragale
ens est formée la tubérosité TC sur laquelle marchait la malade. La fig. 7 représente les extrémités inférieures du tibia
ets de différens âges. 1 astragale de nouveau-né, représenté en place fig. 3; 2 astragale d'un enfant de six à sept ans, rep
fait le sujet de la planche 111 ; 5 astragale de vieillard représenté fig. 1. J'appelle l'attention du lecteur sur la tête d
des in-convéniens de l'amputation partielle du pied par Chopart. La fig. 6 prouve que cet inconvénient peut aussi se renco
nt main-bot. Il est tellement vrai que le double pied-bot du fœtus ( fig. 1, planche n) tient uniquement à la situation qu'
n autre cas tout semblable : ainsi le pied-bot représenté planche iv, fig. 3, appartenait à un enfant double pied-bot, venu
ied-bot : ce qui frappe d'abord dans le squelette du pied-bot ( voyez fig. 1, 1 planche iv), c'est le coude ou l'angle que f
lement parfaite, que je défie de reconnaître le moins du monde (voyez fig. 1, 2, planche m) que ces os appartiennent à un pi
série de scaphoïdes appartenant à cinq pieds-bots de différens âges, fig. 4? pour être convaincu que le scaphoïde, comme le
qui a entraîné dans un déplacement consécutif la totalité du pied. La fig. 5, planche ni, le prouve vu iQ manière la plus ma
aire de la poulie est détruit en grande partie dans le cas représenté fig. 5 et 6, planche ni : il l'était complètement chez
tronquée, et même d'une partie de cette facette, naissait (planche m, fig. 4) un ligament qui allait se rendre au pourtour d
e efficiente de toutes ces déviations. Il est vrai qu'ici (planche m, fig. 12) le muscle jumeau interne, et quelques fibres
cette déformation est postérieure à la naissance, je répondrai par la fig. 3, planche iv, qui prouve manifestement qu'à la n
is je m'étais arrêté constamment au foie. La rate est ( Planche v , fig. 1 ) plus volumineuse et surtout plus longue que d
e la face convexe vers la face concave, et alors se sont présentées ( fig. 2) des infiltrations de pus concret PPP correspon
colon transverse dans l'étendue de trois à quatre pouces. La rate ( fig. 3), qnp. j'examine on dor^lo^ ILüi y a lP dminle
ucune altération. La rate, beaucoup plus volumineuse que de coutume ( fig. 4 ), était d'une couleur brun-marron foncé ; sa m
a pièce, modelée en cire, fait partie de la collection de l'Ecole. La fig. 5 représente exactement cette pièce qui n'a été a
titude dans le modèle en cire, qui est ici fidèlement représenté. Les fig. 6 et n indiquent une coupe de la tumeur vue par s
s fig. 6 et n indiquent une coupe de la tumeur vue par sa surface TP, fig. 7, par sa coupe MG, fig. 6. Comment cette tumeu
ne coupe de la tumeur vue par sa surface TP, fig. 7, par sa coupe MG, fig. 6. Comment cette tumeur volumineuse avait-elle
parsemés d'un grand nombre de foyers sanguins (Pl. 1, 111e livraison, fig. 2 et 3). Ces foyers, disséminés çà et là., étaien
foyers, sans les lames fibreuses qui en traversaient quelques-unes ( fig. 2 ) , on eut dit un caillot de sang concret. Au r
une couleur moins foncée, aux petits foyers apoplectiques représentés fig. 1 et 3 ; et même, lorsque la mort a été rapide, o
la base du poumon, intimement unie au diaphragme, une déchirure FGD ( fig. 1, planche 11, 111e livraison), de laquelle s'éch
été agrandie, je pénétrai dans un foyer gangreneux considérable FGD ( fig. 2), duquel se détachaient, avec une multitude de
le lé malade avait succombé, et un stylet introduit dans l'artère AR ( fig. 2) a pénétré sans aucun obstacle dans le foyer.
un obstacle dans le foyer. Un deuxième foyer gangreneux récent FGR ( fig. 1), plus petit, contenant un lambeau E, qui adhér
inage du sommet du poumon. Un troisième foyer gangreneux récent FGR ( fig. 3 ) se voyait dans l'épaisseur du même poumon ; u
l'épaisseur du bord postérieur du poumon était une vaste caverne FGC ( fig. 1) extrêmement anfrac-tueuse, cloisonnée, communi
é. Ce foyer était vraiment énorme; il présentait un prolongement FGC ( fig. 3), également anfractueux, qui paraissait d'une d
x, qui paraissait d'une date plus récente que le foyer principal FGC ( fig. 1), allait toujours se rapprochant de la plèvre p
ité de laquelle se serait infailliblement ouverte la caverne F"G"C" ( fig. 3 ) sans la barrière apportée par cette plèvre ép
e cartilagineuse. Un deuxième foyer en voie de cicatrisation FGC' ( fig. 1 ) se voyait un peu au-dessous du foyer gangrene
d'un liquide séreux trouble, non fétide ;»il était traversé ça et là ( fig. ï, 2, 3 ) par des lames fibreuses évidemment form
depuis l'origine de la trachée jusqu'aux dernières ramifications. B ( fig. 3) représente une bronche ouverte, et donne une i
de. Cette matière s'échappait par les orifices des bronches divisés ( fig. 1 et 2 ). L'artère pulmonaire présentait dans son
s saillantes, qui ont été exactement rendues sur l'artère ouverte AO ( fig. 3 ). Ces petites plaques étaient formées par la p
risation a commencé, les parois se sont détergées, une membrane FGC ( fig. i ) tapisse le foyer; or la formation d'une caver
orte témoins du mécanisme de la cicatrisation des foyers de ce genre ( fig. i). J'avais donc raison de conclure dans ma thèse
Ouverture du cadavre. La tumeur, vue antérieurement TA (planche ni, fig. 1,111e livraison, demi-grandeur), avait une forme
tous les viscères contenus dans la cavité thoracique, nous avons vu ( fig. 2) la partie sous-sternale de la tumeur TA, du ba
s l'intérieur de laquelle elle avait produit une érosion (planche ni, fig. 2 ). Ces trois tumeurs étaient remplies de concré
, d'où l'inflammation et l'usure de la muqueuse trachéale MTE (Pl. m, fig. 2), en sorte que, si le malade eût vécu quelque t
ion de leurs parois. Le» tumeurs anévrysmales T'A', T"A" (Planche iv, fig. i.), une troisième plus petite située du coté de
t un cas de ce genre, bien plus frappant encore, qui a été représenté fig. i et 3. (Plancheiv, 111e livraison. ) Rupture d
nduit directement dans la cavité de l'œsophage. L'œsophage ouvert OE ( fig. 3) présente une très-large perforation POE. La mê
fois dans l'œsophage et dans la trachée. A coté de la perforation P ( fig. 2 ) se voit une petite excavation qui est certain
l'eau citrine dans la cavité abdominale. É m Le foie (planche v, fig. 1, ni" livraison) a une forme singulière ; son di
volume et de formes différentes, qui ont été fidèlement représentées fig. 1. Deux tumeurs volumineuses fluctuantes existent
e la membrane acéphalocyste qui tapissait immédiatement le kyste. AM ( fig. 5) appartenait à la poche gauche, AM (fig. 6) à l
mmédiatement le kyste. AM (fig. 5) appartenait à la poche gauche, AM ( fig. 6) à la poche droite. Dans la première on voit
une tumeur violacée du volume et de la forme d'une grosse amande FAP( fig. 1.) : les faisceaux postérieurs de la moitié gauc
de la queue de cheval était entourée d'une cellulosité brun-jaunâtre ( fig. 1), vestige d'un épanchement sanguin qui avait un
chée dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien. Vu antérieurement ( fig. 2.), le foyer apoplectique présente une saillie F
ue côté les deux moitiés déployées en manière de ruban. Alors je vis ( fig. 3 et 3') que la substance grise de la moelle avai
longueur du cordon rachi-dieu depuis le collet du bulbe d'origine MO ( fig. 3), jusqu'au bulbe de terminaison MO (fig. 3'), e
let du bulbe d'origine MO (fig. 3), jusqu'au bulbe de terminaison MO ( fig. 3'), en sorte que la moelle épinière tout entière
de sang. C'était au-dessus et au-dessous du foyer apoplectique FAO ( fig. 3 et 3') que la quantité de sang épanché était la
étaient remplies par du sang concret très-noir. FAO (fîg. 3 ) et FAO ( fig. 4) donnent une idée exacte du volume et de la for
nctes : i° le foyer apoplectique ou cicatrice celluloso-fibreuse FAP ( fig. i ), FAA (fig. 2), FAO (fig. 3 et 4); i° la lame
oyer apoplectique ou cicatrice celluloso-fibreuse FAP (fig. i ), FAA ( fig. 2), FAO (fig. 3 et 4); i° la lame jaune-serin qui
que ou cicatrice celluloso-fibreuse FAP (fig. i ), FAA (fig. 2), FAO ( fig. 3 et 4); i° la lame jaune-serin qui tapissait le
g. 3 et 4); i° la lame jaune-serin qui tapissait le canal médullaire ( fig. 3 et 3'); 3° le sang coagulé qui remplissait la t
g. 3 et 3'); 3° le sang coagulé qui remplissait la totalité du canal ( fig. 3 et 3'). Le sang coagulé ne date que de quelques
hirer. C'est ce qui paraît avoir eu lieu en partie pour le foyer FAP ( fig. i), FAA (fig. 2), car les faisceaux médullaires a
e qui paraît avoir eu lieu en partie pour le foyer FAP (fig. i), FAA ( fig. 2), car les faisceaux médullaires antérieurs ont
robable, d'après la coloration du tissu cellulaire sous-arachnoïdien ( fig. 1'), que la partie la plus liquide du sang s'est
ées après la mort. Je rapporte au foyer apoplectique cicatrisé FAP ( fig. 1), FAA (fig. 1) la première invasion de la malad
ort. Je rapporte au foyer apoplectique cicatrisé FAP (fig. 1), FAA ( fig. 1) la première invasion de la maladie, quatre à c
lbe, montrent leur face postérieure dans le quatrième ventricule FSO ( fig. 1), et se continuent d'une part avec les tubercul
x, d'une autre part avec les couches optiques. J'ai fait représenter ( fig. 1), deux petits faisceaux FM, faisceaux mamillair
c'est ce qui a eu lieu chez le sujet de notre observation (fîg. 3 et fig. 3'). Si l'épanchement est rapide, il doit détruir
t même déchirer; c'est ce qui paraît avoir eu lieu pour le foyer FAP ( fig. i ), FAA ( fig. i). Enfin on conçoit que la moell
c'est ce qui paraît avoir eu lieu pour le foyer FAP (fig. i ), FAA ( fig. i). Enfin on conçoit que la moelle peut être conv
il a donc fallu diviser l'estomac et le duodénum ive livraison. 1 ( fig. i ). Alors se présentent ces tumeurs à découvert
aminées sous l'eau et à l'aide de la loupe, elles paraissent formées ( fig. i) par une innombrable quantité de lamelles ou fo
yenne de l'arc du colon. Il existait trois petites perforations P, P ( fig. 1); d'autres commençaient à se faire. La portion
intérieur de l'intestin. L'arc du colon ouvert, sa surface interne ( fig. 2) présente absolument le même aspect que l'exter
ncissement qui succède au ramollissement gélatiniforme. L'estomac ( fig. 3 ) présentait dans sa grosse extrémité le ramoll
du condyle interne du fémur. Sur la face postérieure de la rotule ( fig. 2), grand nombre de petites concrétions plâtreuse
es partie sur sa face supérieure, partie sur sa face inférieure. La fig. 6" représente le gros orteil vu de profil avant l
onne vertébrale a été sciée dans sa longueur, et nous avons pu voir ( fig. i ) avec quel art le canal a été maintenu au mili
rbide dont elle est le résultat. Fracture de la colonne vertébrale ( fig. 3) avec luxation consécutive suivie de guérison (
ourir à l'Hôpital Saint-Louis. A l'ouverture du cadavre, on trouve ( fig. 3) une fracture FR avec déplacement considérable
re que dans le cas représenté figure i, conduit à celui de M. Cassan ( fig. 3), où l'on voit la division pénétrer jusqu'à l'o
a également qu'un vagin V. Le corps et le col de l'utérus divisés ( fig. 2' demi-grandeur), j'ai vu que le col était uniqu
ur ou le fond, la face antérieure et la face postérieure de l'utérus ( fig. 4) sont séparés en deux parties parfaitement égal
sur les cas d'utérus double et de supcrfétation. Paris , 1826, in-8., fig. (**) Quatuor tabulai anatomica? uteri duplicis ob
'un utérus sufnra-t-elle au développement du fœtus. Le cas représenté fig. 1 et l'le prouve d'une manière évidente. La femme
nt, paraît également sain à l'extérieur. Les ligamens ronds LR, LR ( fig. 1), dont le gauche est plus volumineux que le dro
s épaissies, ramifiées et formant un lacis inextricable. L'utérus ( fig. 2 ) est tapissé par une matière putride et sanieu
n'aurait probablement pas tardé à s'ouvrir. L'ovaire du côté droit O ( fig. i ) était volumineux, spongieux; la trompe du mêm
ses de leur diagnostic et de leur thérapeutique. Cancer alvéolaire ( fig. i et i) du testicule avec matière perlée. — Opéra
malade guérit rapidement. Le volume du testicule est considérable ( fig. 1 ) : il a quatre pouces neuf lignes dans son dia
eur aspect, ceux du kyste qui les contenait, ont été très-bien rendus fig. 2, TP, TP,TP. D'autres kystes contenaient de la s
ui les produit. Tumeur fibreuse du testicule simulant un sarcocèle ( fig. 3). Rien ne ressemble davantage à une tumeur fi
de dégénération. Sarcocèle aréolaire, encéphaloïde et tuberculeux ( fig. 4)- — Matière cancéreuse le long et dans Vintér
stème capillaire veineux. Sarcocèle tuberculeux (tubercules épars) ( fig. 5). Cette forme de sarcocèle est assez fréquent
uqueuse de la région sus-glottique du larynx ( œdème de la glotte ) ( fig. i ) (*). Pierre Vrain, cinquante-six ans, ancie
ueuse de la région sous-glottique du larynx — Mort par suffocation ( fig. 2 et 2') (?). Un jeune suisse entre à la Maison
les parties molles qui le recouvraient ayant été divisées, on trouve ( fig. 2) ce cartilage dénudé de toutes parts, corrodé,
sur l'angle sacro-vertébral. Cette tumeur, représentée demi-grandeur ( fig. i, planche m), était bosselée, libre de toutes pa
crânienne correspondante, mais l'hémisphère gauche HGN ( planche iv, fig. 1) est tout-à-fait dans l'état naturel; l'hémisph
s circonvolutions antérieures A et postérieures P. Le kyste ouvert ( fig. 2), il s'est échappé une grande quantité de séros
er, il m'a été possible d'y retrouver les circonvolutions CA, CA, CA ( fig. 2), mais atrophiées, semblables à des lames mince
utions ont existé, mais qu'elles se sont atrophiées. L'incision I, I ( fig. 2) permet de voir l'aspect du réseau cellu-leux q
du kyste. Le ventricule latéral du même côté est extrêmement dilaté ( fig. 3) et communique par une très-large ouverture O a
Ouverture du cadavre. — Un foyer apoplectique très-considérable FA ( fig. 1 ) existait dans l'épaisseur de la couche optiqu
re médullaire de l'hémisphère droit, un kyste apoplectique ancien RA ( fig. 1), oblong, à parois minces et jaunâtres, au fond
ur du corps strié du même côté. Tumeurfibreuse ramollie de l'utérus ( fig. 1 et 1'). Madame Lechat, soixante-douze ans, es
guins. Les caillots étant enlevés à l'aide d'un filet d'eau, on voit ( fig. 2) les rudimens du kyste réparateur dans un tissu
divisant la couche optique et le corps strié droits, j'ai rencontré ( fig. 2) un noyau celluloso-fibreux CA très-dense, brun
on. Fluxion séreuse considérable dans les ventricules, cause de mort ( fig. 3 et 3'). Devieux, soixante-cinq ans, peintre,
u ventricule latéral gauche nous a présenté le foyer apoplectique FA ( fig. 3); il occupe la partie postérieure du corps stri
enlevé autant que possible à l'aide d'un filet d'eau, nous avons vu ( fig. 3) que les parois étaient tapissées par une membr
sous - arachnoïdienne de la convexité du cerveau [forme comateuse), fig. i. Leclair (*), palefrenier, cinquante-trois an
Le crâne ouvert, la surface convexe du cerveau présente ( Planche 1, fig. 1 ) une couche d'un blanc jaunâtre, demi-concrète
rs. Méningite sous-arachnoïdienne de la base du cerveau. Planche 1, fig. 1. Il existe à la base du cerveau une excavatio
aître. Ouverture. Le tissu cellulaire sous-arachnoïdien de la base ( fig. 2) est infiltré d'une couenne d'un blanc jaunâtre
intime; à ce niveau était un tubercule sous-arachnoïdien. A la base ( fig. 3), même injection de la pie-mère qu'à la voûte.
- mère sont injectés, mais beaucoup moins que dans le cas précédent ( fig. 2 ) ; infiltration légère du tissu cellulaire sou
es, j'ai trouvé dans le fond de plusieurs anfractuosités de la voûte ( fig. 2 ) plusieurs tubercules TT qui paraissent logés
bstance corticale. Mais ayant séparé avec précaution les méninges MG ( fig. 5) de la substance cérébrale SC, tous ces tubercu
e. A la partie inférieure de la région lombaire, large ouverture SB ( fig. 1) ; débris de la poche que formaient les tégumen
e antérieure de la moelle. Ge pus floconneux se prolongeait en avant ( fig. 2) autour du cervelet C, le long de la protubéran
s de son côté par une double rangée de racines. Une avance osseuse A ( fig. 4) en forme d'épine conoide, née de la face posté
eur lombaire. Les colonnes lombaire et dorsale, vues antérieurement ( fig. 3), présentent de bas en haut i° une seule pièce
Vues postérieurement, les colonnes lombaire et dorsale ont présenté ( fig. 4) : i° nue seule pièce pour le corps de la cinqu
loi qu'il a appelée loi de conjugaison, car la deuxième lombaire (4) ( fig. 4) présente trois noyaux bien distincts. (*) Ob
is et sur la portion malade et sur la portion saine a donné la coupe ( fig. i ), qui permet de voir comparativement l'épaisse
était exactement bornée par le bord libre de la valvule iléo-cœcale ( fig. 1, pl. m). Ce n'étaient ni escarres, ni ulcères,
uro-pneumonie après trente-sept jours de convalescence. ( Planche iv, fig. i. ) Peltier, âgé de vingt-six ans, entre à la
terne par une bride circulaire formée par une appendice épiploïque. ( fig. i .) Demoiselle Hullin, femme Saint-Éloy, danse
adhérence avec les parties voisines. Hernie ombilicale congéniale. ( fig. 2 et 2'. ) Les figures 2 et 2' appartiennent à
intestin grêle déplacé IG. On voit les débris du sac herniaire SO. La fig. 2' représente les rapports de la veine et des art
rteil considérablement développé et recourbé en corne de bélier. La fig. 2 nous montre la face dorsale de l'ongle qui est
e un aspect rugueux et se morcelle avec la plus grande facilité. La fig. 2'nous montre une coupe de l'ongle et de la phala
très - vasculaire, nous trouvons des végétations osseuses VO, VO, VO ( fig. 2), dont quelques-unes ne tenaient aux os du crân
diagnostic était erroné. La voûte du crâne enlevée , nous avons vu ( fig. 4) que la portion correspondante de la face inter
qui avaient disparu. Des débris d'os et de matière carcinomateuse DO ( fig. 3) sont restés attachés à la dure-mère, au. nivea
é divisée circulai renient et enlevée avec précaution, nous avons vu ( fig. 1) deux tumeurs careinomateuses TC, TC, sphéroïde
nes du cerveau venaient se jeter dans leur circonférence. On voit ( fig. 1 ) que les tumeurs TC, TC sont bosselées, comme
nne de la tumeur la plus volumineuse. Sous elle, les circonvolutions ( fig. 3) avaient disparu. Il ne restait qu'une couche m
'étendait jusqu'au niveau du corps calleux. La coupe de la tumeur TC ( fig. 3) nous a présenté un tissu mou, encéphaloïde et
sur l'inspection directe; car aux limites de la tumeur TC, on voyait ( fig. 1) l'arachnoïde se détacher pour ainsi dire de la
faux du cerveau chez Un calculeux récemment opéré'(*). (Planche 11, fig. 1.) « M. R., âgé de soixante-quinze ans, consei
e déchirait difficilement, et la coupe présentait un aspect lobuleux ( fig. 1). Son tissu avait toutes les apparences du tiss
n d'arrière en avant, s'est présentée une tumeur très-volumineuse TC ( fig. 3) naissant de la face interne de la dure-mère DM
e déchirait difficilement, et la coupe présentait un aspect lobuleux ( fig. 1). Son tissu avait toutes les apparences du tiss
et la dure-mère enlevés, nous trouvons une tumeur carcinomateuse TC ( fig. 3) située sous l'arachnoïde, à côté de la scissur
petits cylindres sanguins et purulens. Le pressoir d'Hérophyle PH ( fig. 3), la moitié postérieure ou horizontale des sinu
it bu un demi-litre d'alcohol. } Ouverture du cadavre. Le cerveau ( fig. i, planche iv) est enveloppé de tous côtés par un
sant circulairement à coups de marteau. Son épaisseur du côté gauche ( fig. i) est au moins double de celle du côté droit. Le
réduit au-dessous du tiers du volume que conserve l'hémisphère droit ( fig. i et 2 ). Les figures i et 2 représentent tous
té n'est pas exactement remplie par le cerveau. Les lobes antérieurs ( fig. i ) manquent complètement. Une sérosité limpide,
OA que présente le lobe antérieur LA de l'hémisphère gauche HG. La fig. 2 représente la base du cerveau. Le bulbe rachidi
e provisoire dans le service de M. lîreschet. viii0 livraison. La fig. 3 représente le cerveau vu de face, et permet d'a
par les circonvolutions antérieures -, elle est ici à découvert. La fig. 4 représente le cerveau vu de côté et à droite. L
idyme; quelques tubercules commen- çans dans le corps du testicule, fig. i, i. Les testicules représentés fig. i et 2 on
s dans le corps du testicule, fig. i, i. Les testicules représentés fig. i et 2 ont été extirpés par M. le baron Larrey su
té. Le canal déférent est dans l'état normal. Le testicule représenté fig. 2 a été divisé en deux parties égales de son bord
du sarcocèle. la plus fréquente est sans contredit celle représentée fig. 1 et 2. C'est celle qui m'a paru succéder constam
Epididyme fongueux et tuberculeux ; testicule parfaitement sain ' ( fig. 4 et 4')- Les figures 4 et 4 représentent un te
qui est séparé du radius par un petit os, vestige du scaphoïde. La fig. 3 représente l'avant-bras et le carpe disséqués e
'avant-bras ; la seconde, les os du carpe et du métacarpe. Le radius ( fig. 4) est raccourci} déformé. La déformation porte p
c la description donnée par les auteurs, le cas représenté planche 2, fig. 1, 2 et 3, rentre entièrement dans cette descript
avec le bord supérieur, mais bien avec la face dorsale du carpe. La fig. 2 représente la même articulation du poignet vue
le pisiforme, P' le pyramidal, SL le semi-lunaire, T le trapèze. FAR ( fig. 1) est une facette articulaire du cubitus dont je
te articulaire du cubitus dont je n'ai pu déterminer l'origine ; BTE ( fig. 1 et 2) est une bride fibreuse dans l'épaisseur d
ue par le docteur Maure, l'un de ses membres, ixe livraison. 2 La fig. 3 représente, séparés, le carpe et l'avant-bras.
arrière de l'extrémité supérieure du radius droit sur l'humérus. La fig. 4 représente cette articulation vue par devant; T
e du radius, à laquelle tient encore le tendon du muscle biceps. La fig. 5 représente la même articulation demi-fléchie vu
ibreuse ; TR la tête déformée du radius; AO l'apophyse olécrane. La fig. 6, qui représente le radius isolé, permet d'appré
é en dehors : la tubérosité bicipitale TB est à peine prononcée. La fig. 4 (planche 4) représente un autre cas de luxation
eure comme dans une forte pronation. Dans l'un de ces cas, représenté fig. i, -2, 3, pl. CIII (Muséum anatomicum\ la tête du
ance ou perforations à travers lesquelles on aperçoit l'humérus. La fig. 3 offre, écartés, l'humérus d'une part, et le rad
te. On avait pu penser qu'elle occupait les deux côtés. L'ankylose A, fig. i, est remarquable par un gros bourrelet osseux q
les présentent, et les rayures parallèles et plus ou moins profondes ( fig. 1,2,2') dont elles sont sillonnées dans le sens d
r le grand développement et par la rougeur des franges synoviales FS, fig. i, i'. J'ai vu quelquefois, dans le cas d'inflamm
ur fa grande cavité sygmoïde CSR et des végétations osseuses VO. La fig. 2 représente les corps étrangers articulaires CE,
rès-développées et rouges FS. Ces derniers ne sont pas pédicules. Les fig. 3 et 3' représentent un corps étranger articulair
étranger est semi-lunaire, cartilagineux du côté de sa face convexe ( fig. 3), osseux du côté de sa face concave (fig. 3). L
côté de sa face convexe (fig. 3), osseux du côté de sa face concave ( fig. 3). Le malade a guéri sans le moindre accident.
r corps étrangers articulaires, et il suffît de jeter les yeux sur la fig. i pour être convaincu que rien n'est plus facile
l'extrémité spléniquc de l'estomac vu par sa surface extérieure. La fig. 2 représente la surface interne de ce même estoma
t milite contre l'opinion d'une altération purement cadavérique. La fig. 3 montre l'intérieur de l'œsophage OE ouvert long
viscère. La demi-transparence de cette grosse extrémité, représentée fig. i, me fit soupçonner, à la première inspection, l
en sorte qu'il y a dans l'estomac comme deux centres de dégénération ( fig. i, pl. 3), lesquels, d'abord indépendans l'un de
qu'elles soient formées dans l'intérieur même de ces vaisseaux ? La fig. 1 représente l'estomac ouvert. La dégénération es
x progrès de la maladie cancéreuse. xe livraison. a L'étude de la fig. i (planche 4) ? qui a été dessinée avec un soin t
aigu. Du reste, l'altération est exactement circonscrite. La petite fig. 3 est la coupe d'un autre estomac qui avait égale
gemens fibreux plus déliés qui les traversent. L'estomac représenté fig. i (planche 4) a appartenu à une vieille femme mor
is l'estomac qui présenta les particularités suivantes : L'estomac ( fig. 2) est en quelque sorte racorni, tant ses dimensi
imple de Vorifice pylorique de Vestomac suivi de perforation. (Pl. 5, fig. ï et i'.) Un charbonnier, âgé de vingt-trois an
ir s'est échappé avec bruit au niveau du pylore, et la perforation P, fig. i\ pl. 5, masquée par des fausses membranes, a ap
n commençante se voyait à une petite distance. Dans le cas représenté fig. 1, pl. 6, les trois tuniques ont été détruites da
lequel nagent quelques caillots. Au niveau de la petite courbure PC, fig. 2 (pl. 6), existe une ulcération profonde, circul
à son bord adhérent. La face externe de l'estomac a été représentée ( fig. a) au niveau de l'ulcère. L'aspect froncé des par
ncréas. Je l'ouvre : il était également rempli de sang et présentait ( fig. 3, pl. 6) sur sa paroi postérieure, à quatre à ci
alade après vingt-quatre heures d'agonie. A l'ouverture, on trouve ( fig. 2, pl. 5) l'estomac d'une grande opacité, flasque
remarquaient principalement à la face externe de l'ulcère représenté fig. 2'. Le lieu de la cicatrice C était on ne peut pl
ossible de déterminer. Les vaisseaux veineux superficiels représentés fig. 1 sembleraient dénoter une hémorrhagie par exhala
és avec pleurésie du côté droit. Hépatite granuleuse. La planche 1 ( fig. 1) représente l'extrémité supérieure de ce malade
nte sous ce point de vue les veines des autres parties du corps. La fig. i, pl. 2, xie livr., fournira un exemple de cette
ate récente. Poumons. A la base du poumon gauche (11e livr., pl. 2, fig. 1 ) se voient deux petits foyers purulens circons
point de départ, phlébite du canal médullaire du fémur, (planche ii , fig. i et 3.) Niles (Pierre), palefrenier, âgé de tr
idu dont l'extrémité supérieure a été figurée planche i. Le poumon ( fig. i) est enveloppé dans sa presque totalité par une
uverture du cadavre trente-six heures après la mort. Le poumon droit ( fig. 1) présente à son bord postérieur BP une vaste ca
UTÉRUS. (Planche vi, xie livraison.) Polypes. L'utérus représenté fig. ï, 2, 3, appartenait à une malade de la Maison ro
, la présence d'un polype encore contenu dans la cavité utérine. La fig. 1 représente la saillie du museau de tanche dans
nnaissait parfaitement, pendant la vie, la présence du polype P. La fig. 2 représente la cavité utérine ouverte par sa par
fait semblable à celle que détermine le travail de la grossesse. La fig. 3 présente une coupe antéro-postérieure du polype
s caractères du tissu propre de l'utérus comme dans le cas représenté fig. i, a, 3. La portion de polype contenue dans le co
chirure du col de Vutérus pendant l'accouchement. ( Fig. 41 5. ) La fig. 4 représente la face postérieure de l'utérus d'un
si exactement reproduits dans la figure i de la Planche i. Le foie ( fig. 1) est réduit au tiers environ de son poids et de
foie de ses membranes, comme il a été fait dans plusieurs points des fig. 1 et 2, on voit que les granulations sont de volu
re, et ne tient au reste du foie que par un pédicule vasculaire ( V^. fig. 2, Gy)« La coupe du foie (fig. 2) permet de fai
que par un pédicule vasculaire ( V^. fig. 2, Gy)« La coupe du foie ( fig. 2) permet de faire les mêmes observations, c'est-
de granulations volumineuses, des granulations extrêmement petites ( fig. 1 et 2), et une grande quantité de tissu fibreux,
ont traversées par des colonnes fibreuses plus ou moins irrégulières ( fig. 2 , Pl. 1 ). Si on soumet ces tumeurs à une forte
tumeurs. Plusieurs de ces tubercules solitaires T, ou agglomérés TA ( fig. 2 ), étaient dépourvus de cavités, d'une densité
commencement de cancer aréolaire gela tin if orme, (figure I.) La fig. i appartient à un individu qui avait éprouvé pend
est rempli de gaz, il se dessine à travers les parois abdominales. fig. 2 et 2'. La fig. 2 représente la surface extern
il se dessine à travers les parois abdominales. fig. 2 et 2'. La fig. 2 représente la surface externe d'un cancer du py
ne mince, PM, PM, qui est en partie enlevée sur la figure. Leur coupe fig. 2, présente une disposition aréolaire et un aspec
existent quelques petits kystes ou ovules. Les ovaires représentés fig. 1 et 2, étaient très denses : il n'en était pas d
taient très denses : il n'en était pas de même de l'ovaire représenté fig. 5 ; il était tellement ramolli que la traction lé
pinceaux vasculaires au milieu desquels se voyaient quelques ovules ( fig. 3.) : ce ramollissement est bien certainement le
s un cas d'utérus bifide observé quelques jours après l'accouchement ( fig. a, même planche, même livraison), que la division
a cavité de la matrice. Tumeurs fibreuses, pl. VI, XIIIe livr. La fig. I représente ouvert, par sa face antérieure, un u
plissée, d'un rouge vif. C'est cet estomac qui est représenté Pl. I, fig. 2, xive livraison (1). La fin de l'intestin grêle
es gastriques, lesquels sont en grand nombre et très marqués ; (voyez fig. III, pl. 1, 14e liv. ) ; dans le grand cul-de-sac
queuse de ces gros intestins, absolument comme dans le cas représenté fig. II, pl. 2. Pûen de particulier dans les autres
ovie. L'estomac, extrêmement contracté sur lui-même, est représenté fig. I. pl. 1 , 14e liv. ; sa face interne est tapissé
ente çà et là des ecchymoses par points et par plaques rouges, pl. 5, fig. 1, cette injection qui n'est pas uniforme est si
ue nous pûmes voir une arborisation vasculaire extrêmement déliée. La fig. 2, pl. 3, représente une portion intestine demi-d
ce en distance : il y en avait une seule dans le cœcum. La planche 4, fig. 1, qui appartient cependant à un autre sujet, rep
. C'est le gros intestin de cet individu qui a été représenté pl. IV, fig. i. Une rougeur interne et des plaques ecchymosées
que des plaques noires ecchymosées, semblables à celles représentées fig. i, pl. IV, avaient pu être prises pour des eschar
resque complètement effacé, comme chez un carnassier (voy. planche I, fig. i, XIV livr. ); dans d'autres cas, la contraction
de l'estomac: la disposition de ces follicules a été très bien rendue fig. 3, pl. I, XIV liv. Sous le rapport de la couleur,
plus ou moins grande étendue, et quelquefois dans toute leur étendue ( fig. i, pl. I.), des traces non équivoques de la plus
'autres fois, il a porté exclusivement sur les follicules agminés. La fig. 2, pl. IV, représente la forme la plus habituelle
aire sous-muqueux ou dans le tissu même de la membrane (voyez pl. II, fig. ire et pl. IV, fig. i): cette altération peut êtr
dans le tissu même de la membrane (voyez pl. II, fig. ire et pl. IV, fig. i): cette altération peut être bornée au voisinag
tion peut être bornée au voisinage de la valvule iléo-cœcale (pl. II, fig. 2); ou bien occuper Lintestin rectum, l'S iliaque
l'S iliaque, l'arc du colon; enfin, dans quelques cas (voyez pl. IV, fig. 1) , la presque totalité du gros intestin est com
re et cette perforation est indiquée par un petit point noir (pl. IV, fig. 1). Dans un grand nombre de cas, ces follicules s
licules sont environnés comme par une espèce d'auréole rouge (pl. II, fig. 1), qui examinée à la loupe, n'est autre chose qu
. Le ventricule gauche ne contient que quelques petits caillots. La fig. 5 représente la paroi inférieure du ventricule ga
blanchâtres, et dont les parois sont infiltrées de pus concret. Les fig. 7 et 8 appartiennent au même sujet. Dans la fig.
e pus concret. Les fig. 7 et 8 appartiennent au même sujet. Dans la fig. 7 on voit la rate, R; la capsule surrénale, G S;
G S; le pancréas, D, qui est volumineux, induré et non granuleux. La fig. 8 présente une coupe du pancréas, qui a l'aspect
us et du pancréas; induration et imperméabilité des poumons. (Pl. II, fig. i, xve livr.) Enfant à terme venu vivant, par l
ou si l'on veut, une inflammation chronique du thymus. Les poumons ( fig. 2) très volumineux, très pesants, ne sont perméab
quatre onces ; le fœtus pesait quatre livres et demie. Le pancréas ( fig. 7 et 8) était d'apparence lardacé, sans distincti
oment de la mort qui eut lieu au bout de vingt heures. Les poumons ( fig. 4, pl. II) sont imperméables dans les deux tiers
plus ou moins considérables, absolument comme dans le cas représenté fig. 1. Observation 10- Pustules cutaneea. Jt?7zcumo
dation pseudo-membraneuse, le plus habituellement d'un blanc de lait ( fig. 1), est jaunâtre, verdâtre (fig. 2,3), lorsque de
s habituellement d'un blanc de lait (fig. 1), est jaunâtre, verdâtre ( fig. 2,3), lorsque des vomissements bilieux ayant exis
ation qu'une rougeur, légère dans le cas de pseudo-membrane discrète ( fig. 1); intense dans le cas de pseudo-membrane con-fl
iscrète (fig. 1); intense dans le cas de pseudo-membrane con-fluente ( fig. 2 et 5). Il est extrêmement rare de voir le mug
branes, et néanmoins la muqueuse laryngée en est tout-t-faït exempte ( fig. i'), tandis que, par opposition, nous voyons, dan
aucune de la muqueuse pharyngienne. Cepeudant dans le cas représenté fig. 2 et 2', de fausses membranes remplissaient les v
e et comme sillonnée des pseudo-membranes de l'œsophage, représentées fig. 5, s'explique par les replis longitudinaux de la
s bords des ulcérations sont d'un rouge foncé. Dans le cas représenté fig. 6, des vomissements noirs avaient eu lieu; l'esto
vés), le 29 janvier 1851, et le lendemain à l'infirmerie. Le crâne ( fig. 1 , pl. 4 ) a un volume très considérable; sa cir
aucun débris de substance cérébrale ; un seul flocon albumineux. La fig. 1 représente le crâne, très largement ouvert par
partent; les plexus choroïdes, PC; la voûte à trois piliers, V. La fig. 2 représente la masse encéphalique vue par sa bas
s olfactifs, NOL, NOL, qui en partent; les membranes cérébrales. La fig. 5 montre la masse encéphalique, vue d'arrière en
voit manifestement ce qui reste des deux hémisphères cérébraux. La fig. 4 reproduit la partie antérieure de la fig. 1, av
misphères cérébraux. La fig. 4 reproduit la partie antérieure de la fig. 1, avec ses détails : la voûte à trois piliers et
ux tiers supérieurs avec le tiers inférieur de l'intestin grêle. La fig. 3 représente la manière dont l'intestin était dis
ettent de saisir les rapports de toutes ces parties entre elles. La fig. 1 représente la hernie sous-pubienne vue à l'exté
é sanguinolente; l'intestin, I, était rouge et injecté. L'intestin ( fig. 2) a pu être retiré sans beaucoup d'effort de l'a
qui fait le sujet de cette planche. EXPLICATION DES FIGURES. Les fig. 1 et i' représentent le placenta d'une femme qui
placenta deux foyers sanguins volumineux, d'une date inégale (Fig. 1, fig. 1' F A , F'A'). La fig. 1' donne une idée exact
ins volumineux, d'une date inégale (Fig. 1, fig. 1' F A , F'A'). La fig. 1' donne une idée exacte de la manière dont étaie
un renseignement sur le sujet de la fig, 1 : à l'égard du sujet de la fig. 2, j'ai appris seulement qu'il n'avait présenté d
al aux mamelons de la surface du cœur. Comme dans le cas représenté fig. 1., la pseudo^membrane était formée de deux couch
éraux, page21) et dont les poumons farcis d'abcès ont été représentés fig. 2 et 3 , pl. III. La suppuration du tissu adipeux
ces de coloration de la surface de ces tumeurs. La tumeur lombaire ( fig. 1 ) est sphéroïdale, non ouverte, mais ulcérée su
niveau des deux dernières vertèbres lombaires. La tumeur lombaire ( fig. 2) a la forme d'un cœur de carte à jouer; elle es
ée en U , et perforée à sa partie inférieure P. La tumeur lombaire ( fig. 3 ) occupe la région sacrée ; elle est très consi
représente les détails qui résultent de la dissection de la tumeur ( fig. 5 ). Cette tumeur T L est renversée à gauche. La
nerveuses R N qui vont constituer les ganglions et nerfs sacrés. La fig. 4' offre les mêmes détails, mais beaucoup plus ci
4' offre les mêmes détails, mais beaucoup plus circonstanciés que la fig. 3' : elle a pour sujet un enfant affecté de spina
la moelle vient se perdre dans la tumeur comme dans le cas représenté fig. 3' : de cette tumeur naissent les filets d'origin
stérieures et les branches antérieures des nerfs correspondants. La fig. 4 représente la moelle et une coupe du cerveau ch
Les deux tumeurs qui se sont rom- xvie livraison. 1 pues étaient ( fig. 2 et 3) beaucoup plus volumineuses que celles qui
t 3) beaucoup plus volumineuses que celles qui sont restées intactes ( fig. 1). On conçoit en effet qu'un bien petit nombre d
cienne. Une pareille méprise aurait été facile dans le cas représenté fig. 3. Dans les sept cas que j'ai observés, la tume
épaisse pour distendre fortement la dure-mère. Dans le cas représenté fig. 4, une fausse membrane verdâtre environnait la mo
moelle intacte dans toute sa longueur, excepté dans le cas représenté fig. 3 ' , où sa partie inférieure était ramollie dans
lèles. Ces tubercules appartiennent à l'entrée du vagin. Fig. 2. La fig. 2 représente la vessie, le rectum, l'utérus et se
pas plus souvent dans la formation de pareilles tumeurs. Fig. 3. La fig. 3 représente l'utérus réduit et vu par sa face po
ois plus considérable que dans le cas que j'ai fait représenter (voy. fig. 3). Il était si grand dans un autre cas de prolap
de cette science; Thèse du Concours. Paris, i83i , in - 4°, pl. VIII, fig. 3. Dans un cas où le bas-fond de la vessie avai
s anatomico-pathologiques sur la hernie crurale. Paris ; 1826 , in-4* fig. (2) Bulletin Sociétéphilomalique, jarr\f. 1813.
l'un deux fut suivie de l'évacuation de la totalité du liquide. La fig. 1 représente le cerveau vu du côté gauche. La f
du liquide. La fig. 1 représente le cerveau vu du côté gauche. La fig. 2 représente la face externe de l'hémisphère droi
s'étend beaucoup plus en arrière de ce côté que du côté gauche (voyez fig. 1). Les circonvolutions adjacentes sont atrophiée
à celles qu'on observe autour des foyers apoplectiques anciens. La fig. 3 représente l'hémisphère gauche H G vu par sa fa
u cadavre. Une pierre volumineuse était contenue dans la vessie» La fig. 1 représente la vessie ouverte par sa face postér
e et atteignait la circonférence antérieure de la prostate. Dans la fig. 3, on voit la paroi antérieure de la vessie divis
us de la bride transversale B M et de la tumeur prostatique LMP. La fig. 4 représente une coupe perpendiculaire de la pros
M est l'orifice de la vessie dont on peut apprécier le diamètre. La fig. 5 représente le calcul vésical vu par sa face ext
s calculs d'acide urique. Son poids est de deux onces deux gros. La fig. 6 représente une coupe de ce même calcul, faite s
La bride mince qui existe dans le trajet de la fausse route (voyez fig. 3 et 4), au-devant du col de la vessie est au niv
e qui existe au-devant de cette bride sur les cotés du veru-montanum ( fig. 3 et 4)- A l'aide de cet orifice vésical artifi
vaisseaux lymphatiques ? EXPLICATION ues FIGURES 2, 3, 5'et 4. La fig. 2 représente le muscle soléaire d'une femme qui a
e au jumeau J, et au soléaire était également infiltrée de pus. Les fig. 3, et 3', représentent le muscle extenseur des do
le sujet de la dernière observation. F P, est un foyer purulent ; la fig. 5', représente les parois du foyer vidées de pus.
lent ; la fig. 5', représente les parois du foyer vidées de pus. La fig. 4 a été prise sur un sujet destiné à mon cours, e
de la tumeur anévrysmale dans la cavité de l'artère pulmonaire. La fig. 2 représente la partie ascendante de la crosse de
t de l'abdomen ayant été enlevée, apparut une tumeur considérable HD ( fig. 1) occupant le thorax dont elle remplit en presqu
s enfin dans un renversement ou torsion du mésentère sur lui-même ET ( fig. 2), torsion en vertu de laquelle le mésentère se
sur l'intestin, interceptait complètement le cours des matières. La fig. 2 représente 1° le collet circulaire du sac G S ,
nt faciles à séparer. Les branches nerveuses N, n, n, n, représentées fig. 1, étaient interposées à ces deux feuillets. Le
Ribes fils qui n'a pu recueillir sur lui aucuns renseignements. La fig. 1 représente le rein droit et la capsule surrénal
CULEUSES). ( XVIIIe livr., pl. IL ) EXPLICATION DES FIGURES. La fig. 1 représente la face supérieure du cervelet d'un
e 14 ans. Le tubercule du lobe gauche LGG est, comme ceux représentés fig. 1, parfaitement circonscrit, logé dans l'épaisseu
'épaisseur de la protubérance annulaire. La coupe de ce tubercule GT ( fig. 3') présente les couches concentriques qui lui do
édillot, l'un de ses membres, répond parfaitement aux cas représentés fig. 1 et 2. Deux masses tuberculeuses dans le lobe
e d'un calcul mural, représentant trait pour trait la tumeur, pl. II, fig. 3. Cette tumeur empiétait un peu à gauche, de tel
livr., Pl. III, IV, V.) EXPLICATION DES FIGURES. Planche III. La fig. 1 représente un kyste pileux, RP, dont le siège e
tanche., se termine immédiatement en cul-de-sac, ainsi qu'on le voit fig. 2. La fîg. 2 montre l'utérus ouvert. L'orifice
. 5 représente la masse de poils qui était contenue dans le kyste KP, fig. 1, au milieu d'une matière graisseuse dont il a é
ielle de térébenthine. Ges poils ont une éouleur châtain fonce'. La fig. 4 représente le fragment le plus intéressant des
rphe; mais nulle part je n'ai trouvé de traces de dents. Fig. V. La fig. 5 représente un double kyste pileux (1) observé c
dans l'épaisseur des parois du kyste et dont la forme est représentée fig. 6. La fig. 7 montre que les deux dents étaient so
sseur des parois du kyste et dont la forme est représentée fig. 6. La fig. 7 montre que les deux dents étaient soudées, que
dent canine très développée était seule reçue dans l'alvéole A. La fig. 8 représente les deux dents sous une autre face.
ig. 8 représente les deux dents sous une autre face. Planche IV. La fig. 1 représente un kyste pileux ovarique (je n'ai pa
un os percé d'un trou DO; cet os était enveloppé de tissu fibreux. La fig. 2 et la fig. 3 représentent les deux dents et l'o
'un trou DO; cet os était enveloppé de tissu fibreux. La fig. 2 et la fig. 3 représentent les deux dents et l'os qui les sou
ssu criblé de trous qui est bien évidemment un fragment de peau. La fig. 5 représente la portion osseuse qui soutient les
quées l'une au-devant de l'autre et soudées dans cette position. La fig. 6 représente des kystes qui tenaient à l'ovaire g
de la matière grasse à l'aide de l'alcool. Cette masse pileuse MP, fig. 1, ovoïde, qui était formée par des cheveux intri
e leurs parois l'ovaire aplati et transformé en tissu aréolaire. La fig. 2 représente la bride B et la mèche de cheveux C,
usqu'à son extrémité libre qui seule déborde et qui est pointue. La fig. 3 représente, disséquée ,1a partie delà tumeur d'
a substance cornée S C , S C, emboîte une petite avance osseuse. La fig. 4 représente le petit squelette vu sous un autre
cères. La coupe verticale et antéro-postérieure du fœtus représenté fig. 3 permet d'embrasser d'un coup d'œil l'ensemble d
manière des calculs biliaires. Quelques fragments ont été représentés fig. 4, 4' et 5 ; ils étaient évidemment formés aux dé
e. Cette membrane présentait une couleur jaune diversement nuancée ( fig. 1, 2). Sa surface interne était parsemée de vésic
entre eux, sans communiquer avec les kystes des autres systèmes. La fig. 2 (grandeur naturelle) représente une coupe de la
l'acéphalocyste pleine. Ces diverses dispositions se voient très bien fig. 2, pl. 1. Pl. II. La fig. 1 (i/2 grandeur) re
verses dispositions se voient très bien fig. 2, pl. 1. Pl. II. La fig. 1 (i/2 grandeur) représente la masse formée par l
La forme des acéphalocystes était généralement sphéroïdale ou ovoïde ( fig. 2, pl. II). Un grand nombre offrait un aspect trè
2, pl. II). Un grand nombre offrait un aspect très irrégulier (Voyez fig. 1, 3, 4, 5, 6, 7). Cette forme irrégulière était
il y avait d'ouvertures de communication. L'acéphalocyste représentée fig. 7 remplissait un kyste étranglé à sa partie moyen
t juger par l'irrégularité de la forme de l'acéphalocyste représentée fig. 4, que ces productions sont essentiellement amorp
par suite d'un cancer mélanique aux grandes et aux petites lèvres. La fig. 3 représente l'extrémité postérieure d'une côte q
traversée par des lamelles fibreuses qui la divisent en lobules. La fig. 4 représente les ganglions inguinaux profonds qui
icielles étaient aplaties et comme pédiculées» Le cœur(Voy. pl. IV, fig. 1 et 2) présentait Io des tubercules mélaniques s
naux présentaient tous les caractères du cancer mélanique (Voy pl. IV fig. 5). Un certain nombre de tumeurs, dont plusieur
'un grand nombre de côtes était le siège du cancer mélanique (pl. IV, fig. 5). La matière cancéreuse noire déposée dans les
ouche est largement fendue , le nez déprimé, l'oreille déformée. La fig. 2 représente le même fœtus, vu de profil et du cô
partie de la cavité : une sérosité sanglante occupait le reste. La fig. 5, grandeur naturelle, représente les os il u crâ
ue trois demi-corps de vertèbres sont soudés à gauche. Pl. VI. La fig. ire (grande naturelle) représente la base du crân
ée derrière le poumon droit, en sorte qu'elle n'a pas pu être aperçue fig. 2. Il y avait donc deux portions du foie déplacée
, en sont des exemples remarquables. EXPLICATION DES FIGURES. Les fig. i, i et 4 appartiennent au même sujet : l'observa
montrer la cavité dans laquelle elle était contenue. Les vertèbres ( fig. 2) contenaient aussi dans leur épaisseur un grand
re de cet os. Une tumeur caiicéreuse (*) dans l'épaisseur du sternum ( fig. 5). Saint-Marcel (Louise), âgée de soixante-six
res viscères de l'abdomen, du thorax étaient sains. La fracture FR ( fig. v, pl. 1, xxe livr.) était située au-dessous de l
OEUR. ( XXe LIVRAISON, PLANCHE 1. ) explication des figures. La fig. i représente le péricarde plein de sang d'une vie
e du péricarde, à travers un éraillement de la tunique fibreuse. La fig. 2 représente le péricarde ouvert et contenant enc
oit au-dessous de la rupture, au voisinage de la pointe du cœur. La fig. 3 représente la coupe du ventricule gauche, dont
aillots CS occupent et masquent l'orifice interne de la rupture. La fig. 4 représente une coupe du ventricule gauche prati
rophie avec ratatinement des circonvolutions. (Fig. i et i'.) Les fig. i et i' représentent l'hémisphère droit du cervea
e toute sa sensibilité : la paralysie était bornée au mouvement. La fig. i représente la convexité de l'hémisphère droit d
ourtour de cette dépression, les os du crâne étaient très épais. La fig. 2 représente la coupe d'avant en arrière de cet h
des circonvolutions. Atrophie avec ratatinement des circonvolutions, fig. i et 3. La fig. 3 représente une altération que
ns. Atrophie avec ratatinement des circonvolutions, fig. i et 3. La fig. 3 représente une altération que je rencontre très
soient susceptibles. On les trouve quelquefois flétries, ratatinées ( fig. 2, CA, CA, CA); et ce ratatinement, qui s'accompa
gouttes d'acide nitrique étaient tombées çà et là sur cette surface ( fig. 2), et l'avaient sillonnée de la manière la plus
inférieur du poumon droit. Téte. — Le sinus longitudinal supérieur ( fig. 1, SL) est rempli par un caillot très dense adhér
t (3), qui ont beaucoup d'analogie avec celle qui fait le sujet de la fig. 1, pl. 4? xxC Hvr- Dans Fun de ces cas, le sinus
fait semblable sans inflammation des veines et des sinus (comparez la fig. 1 et la fig. 2), ne doit-on pas conclure que, dan
e sans inflammation des veines et des sinus (comparez la fig. 1 et la fig. 2), ne doit-on pas conclure que, dans l'un et l'a
e la substance grise de plusieurs circonvolutions et anfractuo-sités ( fig. 2) appartenant à l'hémisphère gauche. Ce ramollis
présentait une perte de substance analogue à celle représentée pl. m, fig. 2. Cette perte de substance avait laissé à nu la
Ramollissement amaranthe et hortensia du cerveau. ( Fig. 3. ) La fig. 3 représente la nuance rouge amaranthe qui condui
parties ramollies ne fût pas exactement la même que celle représentée fig. 3. y4Jfaiblissement ancien dans la moitié gauch
a perforation , la cicatrice d'un ulcère ancien, if) \ PLANCHE vi , fig. 3 et 4- ) La nommée B..., âgée de soixante ans
e courbure, non loin du pylore, une perforation arrondie, P ( Pl. vi, fig. 4)i de deux lignes de diamètre. L'estomac ouver
P ( Pl. vi, fig. 4)i de deux lignes de diamètre. L'estomac ouvert ( fig. 3), présente au niveau de cette perforation une u
e; cicatrice très considérable de l'estomac. ( XXe livr. planche v, fig. i et 2.) (**) La fig. i, pi. v, représente la p
érable de l'estomac. ( XXe livr. planche v, fig. i et 2.) (**) La fig. i, pi. v, représente la plus vaste cicatrice de l
e d'adhérences; Ouvert par sa face antérieure, cet organe présente ( fig. i, Pl. v) une perte de substance ovalaire ou plut
ute la partie de son trajet qui était subjacente à la cicatrice. La fig. 1, pl. v, nous montre un vaste ulcère chronique d
4 (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions
enterai aussi sur des sujets de différents âges : sur un enfant (voy. fig. 5, 10, 28, 29), sur un jeune homme (voy. fig. h,
s : sur un enfant (voy. fig. 5, 10, 28, 29), sur un jeune homme (voy. fig. h, 15, 16, 27, 24, 25), sur une jeune femme (voy.
ne homme (voy. fig. h, 15, 16, 27, 24, 25), sur une jeune femme (voy. fig. 35, 36), et enfin sur une femme plus âgée et dont
ur une femme plus âgée et dont la peau est brûlée par le soleil (voy. fig. 11, 26, 27). La démonstration des faits mis en
r, on le sait, le vieillard dont il a été question plus haut (voy. la fig. 3) est trop peu intelligent ou trop peu impressio
aux exigences de la plastique ; on voit, en effet, sur son portrait ( fig. 4), où sa physionomie est au repos, que ses trait
ment jusqu'à la branche temporo-faciale de la septième paire (voy. G, fig. 2), a provoqué la contraction en masse des muscle
de l'électrisation localisée. MUSCLE DE L'ATTENTION (frontal, A, fig. 1). Figures 7, 8, 9, 10, 11. LÉGENDE. (Regard
du muscle frontal chez un -vieillard (voy. son portrait photographié, fig. 3). A droite, excitation électrique, à un degré
pressives du muscle frontal chez une petite fille (voy. son portrait, fig. 5). A droite, électrisation du frontal, dévelop
. A. — Mécanisme. L'électrisation localisée du muscle frontal (A, fig. 1) se pratique en posant l'un des rhéophores au n
des rhéophores au niveau du point d'immersion de son filet moteur (H, fig. 2), comme dans les figures?, 8, 9, 10, 11. Dans
t a été excité modérément, par l'intermédiaire de son nerf moteur (H, fig. 2), au moment où la physionomie était au repos. O
eure. La petite fille sur laquelle j'ai fait contracter modérément ( fig. 10) le muscle frontal était âgée de neuf ans. On
mment plus grande dans la figure 9 que dans la figure 7. La première ( fig. 9) le montre prêtant une attention très grande qu
ive et va presque jusqu'à la surprise, l'admiration, dans la seconde ( fig. 7), la physionomie est plus tranquille; le sujet
alpébral supérieur, portion du muscle dit sphincter des paupières, B, fig. 1). Figures 12, 13, 14, i5. LEGENDE. ( Rega
isme et de l'expression du muscle orbiculaire palpebral supérieur (B, fig. 1), chez un vieillard (représenté dans les fig. 3
lpebral supérieur (B, fig. 1), chez un vieillard (représenté dans les fig. 3, 7, 8, 9). A droite, electrisation modérée de
raux supérieurs, chez un jeune sujet (voy. son portrait photographié, fig. h) : méditation, contention. EXPLICATION DE LA
rendues sur la face d'un homme jeune que j'ai photographié (voyez la fig. 15) au moment où il se livrait à de grands effort
igne la différence d'âge. L'un est vieux et laid (voyez son portrait, fig. 3) ; l'autre est jeune et beau (voyez son portrai
on portrait, fig. 3) ; l'autre est jeune et beau (voyez son portrait, fig. û); la peau de son front et de son espace interso
portrait de ce jeune homme est bien différent de celui du vieillard ( fig. 3). Cependant, de même que chez ce dernier, ses s
traction chez le même individu, mais à des degrés différents. — L'une fig. 12), comme je viens de le démontrer, peint la réf
lme, parce que la contraction musculaire est modérée. — Dans l'autre ( fig. 13), on reconnaît la méditation, mais avec effort
yramidaux chez un jeune homme d'un caractère doux (voy. son portrait, fig. h) : expression de dureté. Fig. 17. — Destinée,
l'action expressive du pyramidal du nez chez un vieillard (représenté fig. 3, 7, 8, 9, 12, 13, là). A droite, électrisatio
gnoré jusqu'alors : la terminaison supérieure du pyramidal du nez (P, fig. 1) dans la peau de l'espace intersourcilier, au n
uceur habituelle de son regard (voyez son portrait à l'état de repos, fig. li), sa physionomie a pris une expression de dure
ez cet homme, l'expression habituelle de la bouche est bonne (voy. la fig. 3), ce que du reste on constate dans la figure 17
t arrivé. Les commissures de cet individu tombent naturellement (voy. fig. 3), comme chez les vieillards, en général. Abando
roce ; c'est l'œil du tigre. MUSCLE DE LA DOULEUR (sourgilieb, 0, fig. 1). Figures 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 2
une petite fille âgée de six ans (représentée antérieurement dans les fig. 5 et 10). A droite, contraction électrique légè
es muscles moteurs du sourcil.) A. — mécanisme. Le sourcilier (0, fig. 1), recouvert par l'orbiculaire supérieur, ne peu
palpebral supérieur, et qui est sous-cutané dans deux points (voy. I, fig. 2). On voit que le rhéophore est appliqué au nive
eillard qui sert habituellement à mes expériences (voy. son portrait, fig. 3). De ce côté on remarque: 1° que la tête du sou
front, bien que le sourcilier ait été excité très fortement (voyez la fig. 27). On remarque aussi sur la figure 26, où la co
l'atelier, a froncé ses sourcils (comme on le voit sur son portrait, fig. 5, et du côté droit de la fig. 10) lorsqu'il a ét
ls (comme on le voit sur son portrait, fig. 5, et du côté droit de la fig. 10) lorsqu'il a été photographiée, sans pouvoir m
s que sa physionomie était au repos complet, comme dans son portrait ( fig. 3). On remarque que celui-ci est plus éclairé. J'
CE (grand zygomatique et orbiculaire palpébral inférieur, I et E, fig. 1.) Figures 30, 31, 32, 33, M, 35, 3(J. LÉGEN
ON DE LA LÉGENDE. A. — Mécanisme. L'immersion du filet moteur (b, fig. 2) du grand zygoma-tique se fait un peu au-dessou
tro-physiologiques que j'ai faites sur le grand zygomatique (voy. les fig. 30, 31, 33, 34, 35, 36).—Du côté gauche de la fig
cette expérience. Il m'est arrivé de rencontrer son filet nerveux (K, fig. 2) en excitant le grand zygomatique, comme du côt
5 et mieux la figure 36 en fournissent la preuve. Dans la première ( fig. 35), le rhéophore a été posé au niveau de la part
A. — Mécanisme. L'éleclrisation partielle du transverse du nez (Q, fig. 1) s'obtient en plaçant les rhéophores au niveau
et à leur aplatissement, on reconnaît dans son portrait photographié ( fig. 3 et 37), que le muscle expressif des plaisirs la
e narcotisme. MUSCLE DE LÀ TRISTESSE (triangulaire des lèvres, M, fig. 1). Figures 43, 44, 45. LÉGENDE. Fig. Zl3.
ysionomie est au repos; on peut le voir, du reste, dans son portrait ( fig. 3). Cette chute des commissures labiales se montr
etit zygomatique et élévateur propre de la lèvre supérieure, F, II, fig. \ ). Figures 46, 47, 48, 49, 50, 51, 52, 53.
sive du petit zygomatique, chez une femme jeune (représentée dans les fig. 35 et 36). A droite, excitation électrique du p
là que se trouve la portion supérieure du petit zygomatique (voy. F, fig. 1) qui s'attache en haut, à la face externe de l'
'est également là que s'immerge le filet moteur de ce muscle (voy. K, fig. 2). Du côté droit de la figure lil, le rhéophor
tion supérieure de l'élévateur propre de la lèvre supérieure (voy. G, fig. 2), et le filet moteur (voy. L, fig. 2) de ce mus
de la lèvre supérieure (voy. G, fig. 2), et le filet moteur (voy. L, fig. 2) de ce muscle, sont sous-cutanés. Il n'est pa
de l'élévateur commun de l'aile du nez et de la lèvre supérieure (H, fig. 1), vers le point d'immersion du filet moteur (L,
supérieure (H, fig. 1), vers le point d'immersion du filet moteur (L, fig. 2) de ce muscle. On voit que l'aile du nez s'es
r, est l'élévateur de la lèvre supérieure et de l'aile du nez(voy. H, fig. 1); maison n'obtient cette expression qu'en le fa
de l'aile du nez est combinée avec celle du carré des lèvres (voy. X, fig. 1), qui tire la lèvre inférieure en bas et en deh
seurs du maxillaire inférieur, chez le vieillard (représenté dans les fig. 3, 7, 8, 9, 12,13, 14, 17, 18, 19, 20, 21, 22, 30
. Il ouvrit simplement la bouche, comme s'il allait bailler (voyez la fig. 55). J'eus beau le stimuler, lui faisant écarter
l'étonnement. MUSCLli DE LA FRAYEUR, DE L'EFFROI (PEAICIEU, Y, fig. 1). Figures 58, 59, (il, (52, 03, Ci, G5. LÉGEN
t la sinuosité du sourcil, comme sous l'influence du sourcilier (voy. fig. 19, 20, 2/i, 25). Fig. 70. — Tête du Laocoon de
convulsions de l'agonie. Même modelé défectueux que dans l'original, fig. 70. Fig. 73. — Tête de la Niobé, dont le front
ourcil. Évidemment, d'une part, les lignes frontales de Y arrotino ( fig. 66 et 67), d'autre part, la forme et la direction
s sillons régner sur toute la largeur du front, comme chez YArrotino ( fig. 66 et 67), sans que le sourcil décrivît une courb
e muscle a été mis en action. Mais alors, de même que dans VArrotino ( fig. 66 et 67), elles ne pourraient coexister avec le
u sourcil est absolument le même sur le Laocoon de Bruxelles (voy. la fig. 72) que sur le Laocoon de Rome; mais le premier d
placer au point de l'appareil photographique. Dans une seule figure ( fig. 75), je me suis trouvé parfaitement au point. Q
posé. Electrisation du muscle de la douleur (du sourcilier, voy. o, fig. 1), à gauche : regard tourné en haut et léger aba
sation modérée du muscle de la lasciveté (trans-versc du nez, voy. Q, fig. i), du côté droit; mouvement du globe oculaire ob
ate que son expression est à peu près la même que celle du vieillard ( fig. /i0). Chez les deux on reconnaît, d'un côté (adro
vieillard (fig. /i0). Chez les deux on reconnaît, d'un côté (adroite, fig. 75, et à gauche, fig. uO), l'expression du souven
Chez les deux on reconnaît, d'un côté (adroite, fig. 75, et à gauche, fig. uO), l'expression du souvenir qui, du côté opposé
he, fig. uO), l'expression du souvenir qui, du côté opposé (à gauche, fig. 7/i ; à droite, fig. l\0), devient douloureux. Il
ssion du souvenir qui, du côté opposé (à gauche, fig. 7/i ; à droite, fig. l\0), devient douloureux. Il faut noter toutefois
mmissures labiales, qui est naturel à mon modèle (voyez son portrait, fig. 74), ajoute seulement un peu de tristesse à cette
tion aux plaisirs de l'amour. Ce sont des figures d'hommes (voyez les fig. 39, /1,2, partie scientifique) dont l'expression
l est permis de supposer à son air peu irrité. J'avais déjà exposé ( fig. S6, partie scientifique) une étude physiologique
i les différences qui distinguent ces deux figures. 1° La première ( fig. 36) avait légèrement contracté spas-modiquement s
le était gênée par la lumière de l'atelier; à ma demande, la seconde ( fig. 79) les avait un peu rapprochées volontairement e
ndant elles se distinguent entre elles par une légère nuance : l'une ( fig. 30) sourit, et l'autre, sans rire aux éclats, a p
e de cruauté. Contraction électrique faible du pyramidal du nez (P, fig. 1). Fig. 82. —Lady Macbeth : « Venez, venez, es
caractéristiques des passions agressives (sur le pyramidal du nez, P, fig. 1). Ce muscle est tellement développé chez la j
tits. Dans une autre étude électro-physiologique sur la même scène ( fig. 82), j'ai essayé de marquer plus fortement le fro
e meurtre et en modérer l'emportement. Cette expression de cruauté ( fig. 82) peindrait bien la Macbeth qui vient de recevo
nez sur la beauté des traits, ressort du rapprochement comparatif des fig. 81, 82 et 83. Tous les sujets ne conviennent pa
voir peint sur la face d'un vieillard débonnaire (voyez son portrait, fig. 3) une expression de méchanceté et même de cruaut
trait, fig. 3) une expression de méchanceté et même de cruauté (voyez fig. 8), par la contraction du pyramidal du nez, j'ai
i faible ou si peu développé chez un homme jeune (voyez son portrait, fig. h), que j'ai pu à peine, malgré une forte excitat
te excitation de ce muscle, abaisser la tête de son sourcil (voyez la fig. 9). La physionomie de ce dernier sujet prit alors
son sourcil (le pyramidal du nez et l'orbicuîaire supérieur, P et B, fig. 1) l'emportent sur les élévateurs, le frontal et
l'emportent sur les élévateurs, le frontal et le sourcilicr (A et 0, fig. 1). Ce dernier muscle est môme si faible, que pou
s coins de la bouche sont abaissés naturellement (voyez son portrait, fig. 7û), il m'a suffi, pour produire les expériences
omme ils avaient été démontrés dans la partie scientifique (voyez les fig. 19, 20, 21, 22, 23, 24 et 25). Une observation
airement, toutefois, il se contracte avec l'orbiculaire supérieur (0, fig. 1); alors le sourcil est abaissé en masse, tout e
agression, le muscle de la bienveillance (l'orbiculaire inférieur, E, fig. 1), est également rebelle à la volonté, et n'obéi
ime sur la face par la contraction combinée du grand zygoma-tique (I, fig. 1) et de l'orbiculaire inférieur (E, fig. 1); que
e du grand zygoma-tique (I, fig. 1) et de l'orbiculaire inférieur (E, fig. 1); que le premier obéit à la volonté, mais que l
de la physionomie humaine...................... 137 PREMIÈRE SÉRIE, fig. 74, 75, 76, 77, 78........ 138 LÉGENDE.........
ijurd dédaigneux, du côté droit..........., . . 154 DEUXIÈME SÉRIE, fig. 79, 80, 81, 82, 83, 84...... 157 Légende.......
5 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
pareil lacrymal se compose de toutes les parties qui con-1 Planche i, fig. i et i bis; et aussi fig. a et 3. i courent à
de toutes les parties qui con-1 Planche i, fig. i et i bis; et aussi fig. a et 3. i courent à la sécrétion des larmes a
e par le conduit lacrymal le stylet filiforme boutonné d'Anel (pl. 2, fig. 6), suit obliquement la direction du conduit la
l nasal avec le plan du méat inférieur. ¦Procédé de Laforest(pl. 3, fig. i, 2 et 2 bis ; et pl. i, fig. i, 2 et 3). L'inst
férieur. ¦Procédé de Laforest(pl. 3, fig. i, 2 et 2 bis ; et pl. i, fig. i, 2 et 3). L'instrument est une petite sonde en
'ouverture de la narine, sa convexité tournée vers la cloison (pl. 3, fig. 2 et 2 bis) sur laquelle on la fait glisser d'ava
il laissait à demeure dans le canal. Procédé de M. Gensoul (pl. 3 , fig. 3,3 bis ). Cet habile chi-rurgien a imaginé, pour
respondent aux deux temps d'un même traitement : un cathéter (pl. 2 , fig. 8 ) destiné à frayer la voie, et une sonde flexib
r (pl. 2 , fig. 8 ) destiné à frayer la voie, et une sonde flexible ( fig. 9 ) portée sur un mandrin porte-cau-stique. Cette
rocédé opératoire. L'instrument tenu comme une plume à écrire (pl. 3, fig. 3, n° 1 ), par la main de l'opérateur opposée à l
ssis ou debouten face du malade, armédu petitbistouri cannelé (pl. 2, fig. 16) tenu, comme une plume à écrire, de la main dr
pris avec les deux der-niers doigts au-dessus de l'arcade orbitaire ( fig. i, b.), le chirur-gienapplique la pulpe du doigt
tylet cylindrique servant de conducteur à une canule d'argent (pl. i, fig. 20); le stylet retiré, se servir de la cavité de
ur l'adaptera la forme du canal. On lintroduit sur un mandrin (pl. 2, fig. 15). La canule en place, on fait glisser par sa c
ins du grand chirurgien de l'Hôtel-Dieu. Cepen-dant sa canule (pl. 2, fig. 21), lisse, conique, légèrement incur-vée, et qui
nt à la canule de Pellier; enfin M. Gerdy emploie une canule conique ( fig. 24 ), simulant par sa forme six petits cônes dégr
erture en biseau est placée sur la con-cavité; 20 un mandrin d'acier ( fig. 17), coudé à angle de cent vingt-cinq degrés, qui
qui sert de conducteur à la canule ; 3° le bis-touri à lame effilée ( fig. 16 ). La ponction avec le bistouri étant pratiq
canule, ce que l'on opère avec le mandrin bifide de Dupuytren (pl. 2, fig. 18), ou le stylet à hameçon de M. JulesCloquet(fi
Dupuytren (pl. 2, fig. 18), ou le stylet à hameçon de M. JulesCloquet( fig. 19); et il faudrait ultérieurement recommen-cer l
du cathétérisme par' la méthode de Laforest: 10 le cathéter ( ¡¡1. 2, fig. 8) pour frayer la voie; et •»." la sonde graduée
éter ( ¡¡1. 2, fig. 8) pour frayer la voie; et •»." la sonde graduée ( fig. 9), garnie de son mandrin porte-eau- stique. Pl
rin porte-canule, M. Laugier emploie un trocart à tige coudée (pl. 2. fig. 26), le fait glisser par l'incision sur la rainur
se pratique de la même manière sur l'une ou l'autre paupière ( pl. 5, fig. 6 et 7 ). Après la guérison, la plaie ne donne li
re. Excision partielle du cartilage tarse (procédé de Weller:pl. 5, fig. 3 ). Ayant remarqué que, dans l'ectropion ancien,
ur d'Antylns. Excision partielle de la paupière inférieure (pl. 5 , fig. 4 et 5 ). (Procédé de M. Adams.) Publié en 1813 p
issement de la peau (cicatrice vicieuse). Blépharoptastique (pl. 6, fig. 1, 2, 3, 4 )• Lorsqu'une cicatrice vicieuse a déf
iveau, le pédicule étant entre les deux. Pour la paupière supérieure ( fig. i et 2), le lambeau est taillé en dehors sur la r
pro-duiraient sur la paupière nouvelle. Pour la paupière inférieure ( fig. 3 et 4 ), le lambeau est taillé sur la région mal
onstitue ultérieu-rement une autre opération. blépharoptose (pl. 5, fig. 9, 10, ii, 12). La chute de la paupière supérie
mieux avoir immédiatement recours à l'excision. Procédé ordinaire ( fig. 11 et 12). Saisir entre le médius et le pouce de
gra-duée fixée par un tour de bande circulaire. Procédé de M. Hunt ( fig. 9 et 10). Dans le cas de paralysie de l'élévateur
a ré-section du cartilage tarse. Bandelettes agglutinatives (pl. 5, fig. 8). Ce moyen ne convient que pour les cas les plu
-drons pas. Excision du cartilage tarse (procédé deSaunders; pl. 7, fig. 2, 3). Introduire sous la paupière, entre elle et
courager à faire usage de ce procédé. Procédé de M. Gulhrie (pl. 7, fig. 4 et 5), Avec le bistouri, ou mieux avec des cise
palpébral est conservé intact? trichiasis et disticiiiasis (pl. 7, fig. 4 et 5). Destruction des bulbes ciliaires. Le
dont l'extré-mité est filiforme. Arrachement après incision (pl. 7, fig. G). La paupière soule-vée par l'élévatoire en éca
troite, qui achève la section suivant la ligne interci-liaire (pl. 6, fig. 5). L'opération terminée, pour empêcher une nouve
'excision ou l'incision aidée de la cautérisation. Excision (pl. 6, fig. 9 et 1 o). Suivant la profondeur du kyste, on l'a
le peut, pour éviter une cicatrice. i° Excision par la peau (pl. 6, fig. 9). Armé d'un bistouri convexe très fin, pratique
nir par première inten-tion. 20 Excision par la conjonctive (pl. f, fig. 10). Renverser sur le doigt la paupière, dont le
sation, avec une tige métallique enduite de nitrate d'argent ( pl. 6, fig. 12). La tumeur érectile (pl. 5, fig. 1), le fon
e de nitrate d'argent ( pl. 6, fig. 12). La tumeur érectile (pl. 5, fig. 1), le fongus et la tumeur méla-nique, qui se dév
hissent l'œil en entier et la cavité de l'orbite. Encanthis (pl. 6, fig. 11), c'est le nom générique du gonfle-ment ou de
mé par des concrétions calcaires (Monteggia). Le pinguécula (pl. 7, fig. i,b) est une petite tumeur jaunâtre qui se dévelo
ent aussi sur la nature même de l'altération. Ptérygion (planche 7, fig. 9). C'est une végétation membra-neuse de forme tr
re ; les deux dernières sont tombées en désuétude. Excision (pl. 7, fig. 10). Scarpa saisissait le ptérygion avec des pinc
indre, comme M. Ribcri, à une dissection minutieuse. Pannus (pl. 7, fig. 1 1). C'est un état général de dilatation va-riqu
ité cornérde qui succède aux kératites chroniques. Excision (pl. 7, fig. 12). Scarpa saisissait avec des pinces les princi
piqûre à la partie inférieure de la circonférence delà cornée (pl. 8, fig. 9). Si l'on soupçonne le liquide très épais, on p
Procédés opératoires. Scléralonyxis. — Procédé ordinaire (pl. 10, fig. 5 6, 7,8 ,9). Le malade et le chirurgien sont pla
enne se montrer au devant du cris-tallin dans l'ouverture pupillaire ( fig. 6). Inciser alors, par une succession de petits m
ourbe supérieure du cristallin , la pointe entamant sa circonférence ( fig. 6 bis). Enfin, par un mou-vement de bascule qui é
ne courbe en bas en dehors et en arrière au - dessous du corps vitré ( fig. 7 et 9). L'opération à ce point, maintenir le cri
térieure devient supérieure, et son bord inférieur antérieur (pl. io, fig. i o). Cette manœuvre opérée, la cataracte continu
s peuvent servir à cet effet : l'élévatoire annulaire de Bell (pl. 2, fig. 2 ), le trèfle de Pamard, ou, ce qui est préférab
'il est plus simple, l'élévatoire en fil d'argent de Pellier ( pl. 2, fig. 1 ). Prévenons toutefois que l'usage de ces instr
débris de la capsule, soit la pince-érigne double deReisinger (pl. 2, fig. 54), soit toute autre plus simple et de forme ord
fig. 54), soit toute autre plus simple et de forme ordi-naire (pl. 2, fig. 34-37). Il existe un grand nombre de ces in-strum
u la cornée, mais d'arrière en avant. La pointe ressortant au dehors ( fig. 1), continuer avec lenteur et ménagement le même
tir le glissement du couteau, incliner un peu son tranchant en avant ( fig. 2) pour obtenir une section plus directe. La sect
lors de la main qui opère le kystitome tenu comme une plume à écrire ( fig. 3 ), l'insinuer avec douceur par son clos présent
ière supérieure, en arrière du plan auquel corres-pond le cristallin ( fig. 4 et 5). En même temps, avec le doigt indicateur
ris-tallin franchit le bord pupillaire de l'iris qui fuit en arrière ( fig. 4),etla lentille elle-même tombe dans la chambre
tte et les lambeaux adhérens saisis et enlevés avec des pinces fines ( fig. 6). Précautions et manœuvres complétives ou acc
uation du corps vitré. Kératomie oblique. —Procédé de Wenzel(p\. 9, fig. 9). Ce procédé ne diffère du précédent que par
t à propos de la kératomie inférieure. Kératomie supérieure (pl. 9, fig. 7 et 8). La kératomie supérieure est la section
. M. Jœger, seul, se sert à cet effet de son couteau spécial ( pl. 2, fig. 4o). Cette kératomie peut être pratiquée dans la
ement comme une méthode exceptionnelle. Kératomie latérale (pl. 10, fig. 3, |). Kératomie- kyslotritie, de M. Furnari.
essaires sont: i° Le kératotome à double lance de M. Furnari (pl. 10, fig. 1), qui consiste en une lance or-dinaire terminée
s que la grande lance incise la cornée ; 20 le kystotriteur ( pl. 10, fig. 2) formé d'une pince à double bascule montée sur
dans son entier. Le kératotome plus large que nous proposons (pl. 10, fig. i bis) a pour but de faire à la cornée une incisi
rait trop faible; nous avons dû le rem-placer par des pinces (pl. 10, fig. 4) dont les branches sont plus fortes, et qui, av
. Velpeau. Procédés opératoires. 1" Procédé de Cheselden (pl. 11, fig. 1 ). L'instrument de Cheselden est une petite lam
cée en travers de l'iris. 2u Procédé de Sharp et W. Adams (pl. 1 i, fig. 2). Ce procédé est exactement le même que celui d
ncision de l'iris d'avant en arrière. 3" Procédé de.) anus (pl. 11, fig. 3). Deux modifications prin-cipales caractérisent
te, la même direction à l'incision. 1 " Procédé de Maukoir (pl. 11 , fig. 4)- Ce procédé n'est qu'un perfectionnement du pr
e l'iris jusqu'au ligament ciliaire. Procédé de M. Velpeau (pl. 11, fig. 5 ). Ce n'estautrequele premier temps du procédé
herché à perfectionner cette méthode. t° Procédé de Wenzel (pl. 11, fig. (')). Ce procédé se compose de deux temps : l'inc
hances possibles de ne pas se refermer. Procédé de Guérin (pl. 1 1, fig. 7). D'après quelques auteurs Guérin aurait pratiq
iser les angles des quatre lambeaux. 3° Procédé de Gibson (pl. 1 1, fig. 8). Après l'incision préalable de la cornée et l'
ation et d'en avoir fait une méthode. i° Procédé de Scarpa (pl. 11, fig. 9). Armé de l'aiguille à ca-taracte de Scarpa, la
roduire une cataracte consécutive. 20 Procédé de Donegana (pl. 1 1, fig. 10). Ce procédé réunit l'iridodialysis à l'iridot
crochet analogue à celui de Beer. 4° Procédé de Langenbeck (pl. 11, fig. i3). Une très petite incision étant faite à la co
de cette mem-brane, exciser une portion du lambeau décollé (pl. 1 1 , fig. 2). C'est pour opérer d'un seul temps le décollem
, divers dards-érignesd'un mécanisme pinson moins ingénieux (pl. 1 1, fig. 16, et pl. 2, fig. 55-59). quatrième méthode. —
nesd'un mécanisme pinson moins ingénieux (pl. 1 1, fig. 16, et pl. 2, fig. 55-59). quatrième méthode. — extension de la PU
. quatrième méthode. — extension de la PUPILLE NATURELLE (pl. 11, fig. i4). Créé par M. Langenbeck pour un cas où la p
faire pénétrer le crochet sur un point opaque de la cornée (pl. 1 1, fig. 1 1 ). y D. Extension de la pupille naturelle
de la cornée avec intégrité de l'iris. E. Méthodes mixtes (pl. i i, fig. 12). L'excision alliée au dé-eolleuicut offre des
s facile de l'extraire par la nouvelle ouverture pupillaire (pl. 1 1, fig. i5). MALADIES QUI AFFECTENT TOUTE LA MASSE OCUL
SUR l'ORElLLE EXTERNE 1° perforation du lobule de loreille (pl. 22, fig. 9). Cette opération se pratique avec un emporte
On les extrait avec un petit cro-chet , ou un cure-oreille ( pl. 13 , fig. 6 ), que l'on insinue entre le corps étranger et
as, on a recours à d'autres procédés. i° Procédé ordinaire (pl. i3, fig. i i ). L'oreille seulement, lubrifiée avec de l'h
re avec la main gauche, saisir de la main droite une curette (pl. i3, fig. 6), la glisser le long de-là paroi inférieure du
ment ceux qui siègent à une grande profondeur. A. Ligature (pl. 12, fig. 8, g). Procédé ordinaire. A l'aide de pinces ou d
d et opérer la constriction. ProcédédeM. Fabrizj deModène (pl. 1 a, fig. 3,8,9). L'appareil se compose de deux ou, au beso
plus loin possible au moyen de ciseaux légèrement recourbés (pl. 13, fig. .0). C. Cautérisation. Applicable aux très peti
ns danger. D. Arrachement. Armé des tenettes de Dupuytren (pl. 1 3, fig. 8 ), les ouvrir modérément ; engager leurs mors e
odène,qui l'a porté à la perfection. Procédé de M. Deleau (pl. i a, fig. io). Porter l'extrémité per-forante de la tige ti
anisme de cet instru-ment. Procécé de M. Fabrizj de Modène (pl. ta, fig. i4)- Nous connaissons déjà la structure et le méc
e mécanisme de l'ingénieux tré-pan auriculaire de M. Fabrizj (pl. 19, fig. 11, 12, i3). Voici la description de son procédé.
tique, de même forme, et soutenue par une mandrin en argent ( pl. 12, fig. 4, 5 ). Tout étant disposé comme dans le procédé
'aile du nez par un fil métallique disposé en forme de pince (pl. 12, fig. 6 ). Procédé de M. Gairal. Faire parvenir le be
d'Eustacbc, il suffit du simple stylet coudé à angle de i35° (pl. i , fig. 2). Sa forme nous paraît plus conve-nable que cel
nsposition. i° Méthode italienne. Procédé de Tagliacozzi (pl. i|, fig. 7). Ce procédé com-pose réellement deux opération
e de manière à former le dos du nez. Procédé de M. Gr^efe (pl. (4-, fig. 7)- C'est celui de Ta-gliacozzi modifié et réduit
éthode indienne. Procédé ordinaire, avec la peau du front (pl. 1/1, fig. 1,2, 10 3 ). On commence par simuler le nez q
érablement d'huile d'olive. tamponnement des fosses nasales (pl. l, fig. 2). L'hémorragie nasale, soit qu'elle ait pour
aire pour compléter l'extraction par fragmens. Arrachement (pl. i5, fig. 1 et 2). Cette méthode, qui a également pour obje
narine anté-rieure, et les courbes par la narine postérieure (pl. 19, fig. 1 à 10). En outre on doit avoir une érigne ( fig.
ostérieure (pl. 19, fig. 1 à 10). En outre on doit avoir une érigne ( fig. 28, 3 1), des pinces de Museux (fig. 37-39), des
outre on doit avoir une érigne ( fig. 28, 3 1), des pinces de Museux ( fig. 37-39), des bistouris droits et boutonnés, des ci
s et courbes; en outre, pour le cas d'hémorragie, un porte-caustique ( fig. 12), de la charpie et des bourdonnets saupoudrés
haude, etc. Manuel opératoire, () Par la narine antérieure (pl. i5, fig. 1). Le malade estassis en face d'une fenêtre, la
branches se terminent par deux anneaux qui reçoivent le fil (pl. 19, fig. Procédé de Brasdor. Faire glisser dans la fosse
que consiste le procédé suivant. Sous-procédé d'Ant. Dubois (pl. t5 fig. 3). D après ce qui pré-cède, nous voyons que la p
d la ligature. M. Félix Hatin (t83o) est le premier en date (pl. 1 5, fig. 4)- Son instrument se compose de trois lames d'ac
de manière que le porte-ligature peut être à volonté ouvert (pl. 19, fig. 20 bis) ou fermé (fig. 20). Cet instrumenta en sa
e-ligature peut être à volonté ouvert (pl. 19, fig. 20 bis) ou fermé ( fig. 20). Cet instrumenta en sa laveur d'avoir été emp
en dirons autant du disque du porte-ligature de M. Leroy d'Etiolles ( fig. 23 et 2 3 bis). Celui de M. Blandin, dont les tro
l'instru-ment pouvant, ouvert, offrir toute la dilatation désirable ( fig. 21), ou se réduire étant fermé (20 bis) à une étr
st point à négliger. Il existe une grande variété de ces instruinens ( fig. 14 à 1 g); mais le plus commode, sans contredit,
contredit, est le serre-nœud en chapelet de Roclerick ou de M. Mayor ( fig. 17), que sa flexi-bilité rend susceptible de se p
atation générale des sinus. Perforation des sinus frontaux (pl. 16, fig. 5). Les abcès des si-nus frontaux s'ouvrent facil
bouche. i0 Perforation des alvéoles (méthode de Meïbomius) (pl. 16, fig. 6). Attribuée à tort à Meïbomi us, puisque long-t
rmé. 2° Perforation de la paroi externe (méthode Lamorier) (pl. 16, fig. 7). 11 s'agit de pénétrer dans le sinus maxillair
es dents s'y trouvent fréquemment implantées. bec-de-LlÈVRE simple ( fig. 8, 9, 10). Historique. Avivement. Quoique cette
ué qui se rencontre soit avec l'écartement simple des os maxillaires ( fig. 9) ou avec l'inter-position médiane d'un tubercul
hes et à lames courtes ejui portent mal à propos le nom de A. Dubois ( fig. 1 1). Réunion. L'objet de l'opération étant de
s, les deux lignes de réunion ou convergent en haut vers les narines ( fig. 7) ou sont parallèles. Dans le cas, au contraire,
rmer le tubercule moyen, et les deux lignes prennent la forme d'un V ( fig. 4); ou ce tubercule n'occupe qu'une portion de la
irrégulier offre les dents implantées dans des di-rections vicieuses ( fig. 6). Si la fente palatine est simple, circon-stanc
M. Gensoul saisit avec une forte pince le tubercule incisif saillant ( fig. 3), parvint à l'amener avec lenteur à la directio
de la commissure. — Incisions elliptiques. Procédé de Celse (pl. 16, fig. 3). Cerner verticalement ou obliquement le cancer
aux cutanés pris aux dépens du cou. Procédé de M. Lal-lemand (pl. 16, fig. 1 et 2). Après avoir circonscrit entre trois inci
t de la i^égion mentonnière. — Incision en V. Procédé ancien (pl. 17, fig. 1 et 2). A partir des commissures, circonscrire l
t vers la joue. — Lambeaux quadrilatères. Procédé de Chopart (pl. 17, fig. 3 et4). C'est la maladie précédente, mais moins é
ieure pour le remonter par tiraillement jusqu'au niveau de la bouche ( fig. 4)5 dont il doit servir à former la lèvre inférie
a commissure et de la portion externe de la lèvre inférieure (pl. 17, fig. 5,6,7). — 1 ° ablation par un lambeau semi-ellipt
(pl. 17, fig. 5,6,7). — 1 ° ablation par un lambeau semi-elliptique ( fig. 5). Dans ce procédé de M. Roux de Saint-Maximin,
s les procédés suivans. 20 Procédés de M. Lisfranc et de l'auteur ( fig. 6 et 7 ). Pour rendre la réunion plus facile, M.
rin et surtout mentonnier, puis d'emporter une portion de ce dernier ( fig. 6.) qui transforme l'incision verticale eu une in
e-hors sur la région génienne. — Procédé de M. Serres de Montpellier ( fig. 8 et 9). Rien n'est mieux combiné que la manière
er les mâchoires autant que possible avec un spéculum à cric (pl. 19, fig. 25); écartant alors la commissure du côté malade
e la parotide elle-même. FISTULES DU CONDUIT DE STÉNON. Anatomie ( fig. 1). Le conduit de Sténon, épais, blanchâtre, form
ée. 2" DJlatation du canal naturel. (a) Selon. Procédé de Morand ( fig. 3). C'est à ce chirurgien (pie l'on doit la métho
et en réunis-sent les bords par une suture. Procède de M. Déguise ( fig. 3). Ce procédé se caractérise par une idée nouvel
rdinaire à hydrocèle M. Grosserio a substitué un trocart très délié ( fig. 3 ), dont le bouton terminal de pression se dévis
au dedans, et de fermer au dehors la fistule par une suture (pl. 20, fig. 6). 4" Oblitération du conduit naturel. La de
e deux incisions rectilignes réunies par un sommet anguleux ou en "V ( fig. 2), de manière à obtenir, pour la réunion, une ex
éunion, une extrémité de langue régulière, si le cancer était médian ( fig. 3), ou au moins irrégulière, s'il était latéral.
il était latéral. (b) Excision avec les ciseaux (Procédé de Bqyef) ( fig. 1). Le côté sain de la langue étant saisi entre l
la tumeur en arrière par le même moyen. Procédé de M. ./. Cloquet ( fig. 5). Celui-ci se compose uni-quement de la ligatur
ieure, l'auteur indique de passer l'aiguille au travers de la bouche ( fig. 4)- Si l'on voulait déterminer le sphacèle, une s
pratiquée tout simplement avec les doigts par plusieurs chirurgiens ( fig. G), de même que pour la ligature des artères; mai
ent celui de M. Loudot. MANUFI, OPÉRATOIRE. Procédé df. M. Roux. ( fig. 1 , 1, 3). Appareil. Il se com-pose des objets su
s, réunis en avant à angle très aigu. 3e temps. Striction du nœud ( fig. 6 ). M. Roux pratique ce temps opératoire avec le
onvéniens que tendent les autres procédés. Procédé de M. A. Bérard ( fig. 2 et 5). L'appareil diffère en ce que l'auteur fi
service. Perfectionnée par M. dePierris, cette aiguille (pl. 22 bis, fig. 20) et celle de M. Fau-raytier, sont incontestabl
nt; déjà pourtant les deux modèles que nous avons figuré (pl. 22 bis, fig. 21 et 22) remplissaient assez convenable-ment leu
t autorisé à leur préférer les doigts. Celui de M. Guyot (pl. 22 bis, fig. 29), qui saisit le nœud et aide à le serrer, méri
ù il le fixe par la suture. 3° Mieux inspiré M. Dief-fenbach (pl. 23, fig. 1 1), imitant la méthode de Celse, prati-que para
remplacés par l'uranotome à deux tranchans de M. Dieffenbach (pl. 23, fig. 2), l'opérateur détache en dessous la membrane pa
bes sur le plat pour opérer la section. Procède opératoire (pl. 23, fig. 6). Le malade étant assis en face du jour, la têt
cès dans les angines aiguës de mauvais caractère. Ligature (pl. 23, fig. 5). Ce procédé paraît avoir été leplusgé-néraleme
ixer les amygdales ; nous renvoyons pour ces détails à la planche 29, fig. 28 à 39, où l'on peut juger du mode d'action de c
t ce qui est malade. Manuel opératoire. Procédé ordinaire (pl. -¿3, fig. 3). Le ma-lade est assis en face du jour, la tête
r-ren, Fahnestock. Ce dernier, un peu modifié par MM. Ricord (pl. ig, fig. 46) et Velpeau (fig 45) ? paraît prévaloir en Fra
côté deux de ses malades ont succombé. Procédé de M. Mayor (Pl. 25, fig. 4)- La tumeur étant mise à découvert par une doub
nt. VOIES AÉRIENNES. cati1étérisme des voies aériennes (Pl. ll\ , fig. l). L'objet de cette opération est de pratiquer
Ce médecin employait pour l'opération un instrument particulier (Pl. fig. i et i bis), dit tube laryngien, offrant une gout
ule pour la respiration. i" Extraction d'un corps étranger (Pl. 25, fig. 2). Si le corps étranger est arrondi et d'un médi
'on se propose. 4° laryngotomie thyroïdtenne ou Thyrolomie (Pl. a5, fig. l). Desault est l'inventeur de cette opération,
dans tous les cas où l'on peut choisir. BRONCIIOPL ASTIQUE (Pl. 26, fig. i, a, 3). Par suite d'ulcération des cartilages
étranger, ou enfin de pénétrer dans l'estomac CATHÉTÉRISME (Pl. 24, fig. 2, 3). Cette opération , la plus commune et la
rde pas à faire pénétrer la sonde dans l'estomac. Procédé de Boyer ( fig. 3). Le chirurgien commence par intro-duire clans
s instrumens plus ou moins analogues de MM. Blondeau et Gama (Pl. 24, fig. 4)- Leur mécanisme est facile à comprendre. L'ins
fit; 2° Le second moyen de M. Reybard est encore plus simple (Pl. 28, fig. 3). Sur la canule est ficelé un bout d'intestin d
us loin que la surface d'adhérence. Procédé de M. Rècamier (Pl. 20, fig. 3). Ce médecin ouvre le foyer au moyen de la pota
isolé de l'intestin au travers d'une déchirure de l'épiploon (pl. 3o, fig. 4) sans que le paquet hernie en masse soit lui-mê
n soit, M. Reybard ayant percé cette plaque de deux trous en travers ( fig. 6), y passa une anse de fil. Armant ensuite, l'un
interne dans un point quelconque de son trajet. Suture entrecoupée ( fig. 5). Procédé de M. Jobert. Après avoir lavé les bo
e guérison qu'il ne peut plus diriger. Suture du Pelletier (Pl. 3o, fig. a). Procédé ordinaire. Rien de plus simple que la
disposées parallèlement l'une l'autre et suivant l'axe de l'intestin ( fig. 5), on les recouvre cir culairement avec le bord
d les trois viroles se trouvent maintenues dans une même anse de fil ( fig. 7). Mais jusque-là, si l'on faisait im-médiatemen
ération, et plusieurs autres moyens auxiliaires. i° Taxis (Pl." 3^, fig. 1 et a). Il "consiste en une compression méthodiq
ion une aiguille très compliquée, sorte de tige-ca-nule (planche 40 , fig. 2), brisée au milieu en deux pièces (b, b) dont l
rans-versalement l'aiguille sous les tégumens et le sac (planche 4o , fig. 3) et la dévisse pour en écarter les deux moitiés
montée, puisqu'il disten-dait avec de l'air en soufflant par le tube ( fig. 4). Cette vessie remplissant exactement le sac y
l'infundibulum avec deux ou trois points de suture, comme on le voit ( fig. 1, lett. c.) On peut avoir à craindre dans cett
u survenant autour de lui , on puisse le retirer facilement (Pl. t\o, fig. 1). De la douleur et de l'inflammation se dével
ollet, faisant à ces deux parties de petites scarifications (pl. /|o, fig. 6). Exécutées de celte manière, les scarification
est. l'invagination de l'intestin qui forme tumeur au dehors (Pl. 33, fig. i). Les observations d'un grand nombre de chiru
es qui doivent pincer l'intestin est de 10 à 12 centimètres (Pl. /j3, fig. 6). Pour appliquer l'entérotome, il faut faire
de de Littre (perfectionnée par Duret). Procédé opé-ratoire (Pl. 43 , fig. 3). Ainsi que nous l'avons dit, Littre n'a fait q
ion de l'anus p; un petit spéculum comme nous l'avons figuré (pl. 46, fig. 3)? L'o pratique la ponction avec un bistouri gar
urs de l'aide dont les autres doigts maintiennent les genoux (pl. 4b, fig. 4), le chirurgien, placé en face et à genoux, rec
par M. Velpeau. Le malade étant situé en position convenable (Pl. 45, fig. i, 2, 3, 4) le chirurgien fait écarter par les do
d'un tube creux en ébène que l'on dispose de la même manière (Pl. 46, fig. i), et M. Piedagnel d'un simple sac de toile que
mpression excentrique dans les cas d'hémorrhagie intérieure (pl. /iG, fig. i). Mais lorsque le rétrécissement s'étend ou qu'
r sur ces détails qui sont suffi-samment exprimés dans la planche l\ ( fig. 2 et 2 bis ). Cautérisation. On ne peut non plu
ou mieux de l'autre procédé que nous avons figuré en détail (pl. 403, fig. i) où la chemise de linge est fixée sur une canul
e accident qui complique si fréquemment l'anus contre nature (Ri. 33, fig. a) et dont la chute de l'utérus et du vagin offre
la striction de l'orifice de l'anus. Procédé de Dupuytren (Pl. 45, fig. 2). Le malade étant couché sur le ventre, le bass
de leur portée , comme cela arrive quelquefois. Ligature. (Pl. 45, fig. i). Avant de pratiquer cette opération, on donne
spéculum de M. Charrière dont les parois sont à claire-voie (pl. 45, fig. i), il serait plus facile d'ac-crocher le polype,
est longue, difficile et nécessite la plus grande at-tention (Pl. 45, fig. /j.). Chez l'homme, pour éviter de blesser l'ur
u , excisait une partie du kyste avec son lam-beau ovalaire ( Pl. 47, fig. 3 ). Procédé de Boyer. Le malade et le chirurgi
doucement dans le sac, toujours par la partie antéro-externe (pl. 4?, fig. 4)-Parvenue dans la cavité, l'opérateur, avec la
lui-même, ne se servent plus que de la pince de M. Landouzy (Pl. 4g, fig. 17 ). le malade étant placé comme pour les proc
les pansemens consécutifs. Deuxième temps. Isolement du testicule ( fig. 3). L'incision étant faite, il faut isoler la tum
suit cette méthode, est défaire la ligature au-dessus du mal (Pl. 48, fig. 4). Sous-procédé dA. Paré. Il passait un fil do
e, on achèverait de diviser cette dernière avec des ciseaux. (Pl, 5o, fig. \.) Quelques chirurgiens ne se servent pas de s
ncisions plus profondes , de 9 à 12 millimètres, par exemple (Pl. 5o, fig. 2). Appréciation des procédés de la méthode par
nsuffisante il en pratique plusieurs dans des points voisins (Pl. 5o, fig. 3). Méthode par circoncision. Procédé de M. L
d'un seul coup tout ce qui est en avant des pinces à anneaux (Pl. 5o, fig. Procédé de M. Ricord. Ce chirurgien commence pa
tandis qu'avec les deux médius on ramène le prépuce en avant (Pl. 5o, fig. 7). Le procédé suivant, attribué à M. Desruelle
'avec la main gauche il attire fortement le prépuce en avant (Pl. 5o, fig. 8). Bien que ce procédé soit un des meilleurs,
s délayantes, aux bains, aux cataplasmes, etc. Débridement (Pl. 5o, fig. 9). Procédé ordinaire. Le chirurgien fait couch
gaigne sont celles que nous avons reconnues être les plus exactes. La fig. 2 de la planche 52 représente un urètre d'a-dulte
sous du canal urétrala, suivant M. Senn, i5 à 18 millimètres; dans la fig. 2 delà planche 52 , nous ne lui avons donné que 1
a réussi bien plus souvent qu'elle n'a échoué. ÉPISPADIAS (Pl. 49, fig. 2 et 3 et6, 7 ). L'épispadias ne diffère de l'h
s. 1" Procédé opératoire ordinaire avec les sondes courbes (Pl. 56, fig. 1,2, 3, 4). Pour pratiquer le cathétérisme avec a
dans le méat urinaire, dans une direction à-peu-près perpendiculaire ( fig. i), la fait glisser lentement et avec dou-ceur ju
ire un quart de cercle, à être perpendi-culaire aux parois du ventre ( fig. a); il place alors l'indicateur sur l'orifice ou
par la pression de l'indi-cateur qui la fait pénétrer dans la vessie ( fig. 3). La verge doit suivre avec un accord parfait t
tiède. Cathétérisme avec des instrumens droits et solides. (Pl. 56, fig. 5 et 6.) Le cathétérisme rectiligue n'est pas u
de-sac pré-prostatique, s'exerce sous un arc de Go à 80 degrés (Voyez fig. 5, pl. 56). C'est en abaissant encore de a5 à 3o
remarquer cpie l'angle de la sonde droite avec le canal prostatique ( fig. 5, pl. 56), est précisément le même que celui de
. ana.tomie pathologique des rétrécissemens de l'uretre. (Pl. 53, fig. », 2, 3,4,6, 8.) i° Rétrécissemens spasmodiques
rs à l'aide d'un fil. —Le dilatateur à quatre branches de M. Amussat ( fig. 17 , pl. 54), celui à' A. Cooperk deux branches f
s de M. Amussat (fig. 17 , pl. 54), celui à' A. Cooperk deux branches fig. 20 ) et celui de M. Charrière à trois branches (f
rk deux branches fig. 20 ) et celui de M. Charrière à trois branches ( fig. 18) sont droits et placés dans une canule. Arrivé
, pour dilater l'urètre dans ses parties membraneuse et prostatique ( fig. 21 ), et qui agit très bien. Mais ces derniers in
sont courbes, et ne portent qu'un œil sur leur concavité (PL 56 bis, fig. 1). Le traitement n'est complet qu'alors qu'on es
'instrument dont il se servait était appelé porte-caustique (pl. 5/i, fig. 29, 3o) ; il était constitué par une canule en go
d donne le nom de sondes à cautériser à ses porte-caustiques (Pl. 34, fig. 32, et Pl. 56 bis, fig. 6). Les unes sont droites
à cautériser à ses porte-caustiques (Pl. 34, fig. 32, et Pl. 56 bis, fig. 6). Les unes sont droites, pour laportion du cana
auxquels leur destination a fait donner le nom d'urétrotomes (Pl. 54, fig. 36 à 48). Bien que peu employées, les scarifica
le rétrécissement, deux petites lames semi-ovalaires, à dos opposés ( fig. 3o,). Celui de M. Despinay n'est autre chose qu'u
ètres environ, destinée à pénétrer dans le rétrécissement. Dans l'un ( fig. 36), cette pointe est bientôt arrêtée par un renf
ndrin contenu dans la canule qui supporte cette pointe. Dans l'autre ( fig. 37), la pointe est également ar-rêtée par un renf
diquer qu'on est arrivé dans le rétrécissement. Enfin , le troisième ( fig. 47) n'a pas de pointe comme les deux précédens, m
s dépassent la circonférence du renflement d'un demi-millimètre. La fig. 47 représente encore un autre instrument du même
qui ont la forme d'ailes et qui s'écar-tent beaucoup de la canule (V. fig. 41)- M. Dupierris en a imaginé deux, un droit (
e la canule (V. fig. 41)- M. Dupierris en a imaginé deux, un droit ( fig. L\i) et un courbe (fig. 43). La canule protectric
- M. Dupierris en a imaginé deux, un droit (fig. L\i) et un courbe ( fig. 43). La canule protectrice est cylindrique et mou
er lorsqu'il y a hy-pertrophie du lobe médian de la prostate (Pl. 53, fig. 8 et ro). Alors il arrive ici ce qui arriva à Laf
tion. INCISION EXTÉRIEURE DE l'uRETRE OU BOUTONNIÈRE. (Pl. 57 bis, fig. 7.) Cette opération qui consiste à ouvrir l'urè
ère un peu. i° Cas d'oblitération complète de l'urètre (Pl. 5y bis, fig. 3). Le malade étant placé comme pour l'opération
e à les rapprocher lorsque la pierre a été sai-sie entre eux (Pl. 54, fig. 62 et 63). Dans cette même région l'anse de fil d
être utile : quelques personnes préfèrent employer un petit crochet ( fig. 53), comme le fit M. Ci-viale avec succès en 1828
s nous trouvons : i°La curette articulée de M. Bonnet et de M. Leroy ( fig. 54, 55). Cet instrument est constitué par une tig
mmode, et qui présente beaucoup de sécurité; il en existe une courbe ( fig. 56), destinée, à retirer les calculs de la partie
ses modifications. Une des plus impor-tantes est celle de M. Civiale ( fig. S7). 11 a rendu la tige creuse dans toute sa long
est com-prise entre les deux mors de la pince. 3" Pince de M. Leroy ( fig. 5S). Elle est également constituée par une canule
hors de la canule, ou qu'on la retire dedans. 4° Pince de M. Amussat ( fig. 5i). C'est encore une canule divisée à son extrém
d'une application plus générale. (a) Pince de M. Amussat (Pl. 54 , fig. 5i). Elle est constituée par deux branches qui gl
s par leur rapprochement. T. VU. (b) Pince de M. Ségalas (Pl. 54, fig. 5a). Elle ne diffère de la précédente que par le
54) suffit pour faire comprendre. Lithotriteur urétral de M. Leroy ( fig. 61). Pensant que l'in-strument de M. Dubowitski n
é qui se redresse par un mécanisme dans le col de la vessie (Pl. 5/j, fig. if\ et a5). A ce sujet M. Malgaigne observe jud
ant l'une sur l'autre lorsqu'il est introduit dans la vessie (Pl. 57, fig. 1 et 2); en écartant ces branches, on dé-prime le
isfaisant, M. Leroy substitue au dépresseur un scarificateur (Pl. 54, fig. 48 et 56 bis, fig. 9), construit de la même maniè
substitue au dépresseur un scarificateur (Pl. 54, fig. 48 et 56 bis, fig. 9), construit de la même manière et portant sur l
oj [dEtiolles). Ce chirurgien a imaginé deux porte-ligatures (Pl. 54, fig. 65 a, b, et fig. 66 a, b, c). Le premier, fig. 65
e chirurgien a imaginé deux porte-ligatures (Pl. 54, fig. 65 a, b, et fig. 66 a, b, c). Le premier, fig. 65, est constitué p
rte-ligatures (Pl. 54, fig. 65 a, b, et fig. 66 a, b, c). Le premier, fig. 65, est constitué par une canule porte-nœud, gra-
e mandrin. Le second de ces instrumens (Pl. 54, fig- 66, et Pl. 57, fig. 31 est aussi constitué par une canule porte-nœud,
é serait inapplicable. PONCTION DE LA VESSIE PAR LE RECTUM (Pl. 5^, fig. 5). Fleurant, de Lyon, est généralement regardé
fier en quoi que ce soit. ponction de la vessie par lurètre (Pl. ^, fig. 6, 7, 8). Cette opération n'est guère proposabl
s manières : i° En faisant passer la sonde au travers de la prostate ( fig. 6) ; a0 en la faisant filer au-dessus de cette
pubis, de ma-nière à pénétrer dans la vessie par sa face antérieure ( fig. 7). 3° En la conduisant en dessous, entre la glan
la vessie et de la vider, est l'instrument le plus employé (Pl. 5/j, fig. i à 12). La sonde arti-culée de M. Leroy d'Etioll
, et dans le cas de Dupuy tren que nous avons fait dessi-ner (Pl. 55, fig. i, 2, 3, 4), on compte trois petits calculs encha
x (Boyer) ou les tumeurs osseuses, fibrineuses, squirrheuses (Pl. 53, fig. 11 et 13), dans les parois de la vessie. C'est pa
solide ter-minée par une couronne dentée ou un fer de lance (Pl. 61, fig. 1). La pierre devait être embrassée et fixée par
onse Ferri lui fournirent l'idée de sa pince à trois branches. (Pl.6i, fig. 4-) Mais cette pince ne remplissait pas encore
pl. 54 sont figurés deux étaux inventés par M. Amussat : celui de la fig. 68 qui, est le plus usité, se compose d'une boule
faut trois. M. Leroy a fait construire un grand étau en fer (Pl. 54, fig. 70) qui se fixe par deux vis sur une planche, et
it et fixe solidement le corps de l'étau avec ses deux mains (Pl. 58, fig. i, a et b), la gau-che en avant, près de sa parti
. Pravaz a imaginé un instrument courbe à trois bran- ches (Pl. 61, fig. 10). Cet instrument qui parut en 1828 pour la pre
des fo-rets à virgule susceptibles de produire le même effet (Pl. G1, fig. 7). Enfin M. Heurteloup voulant obtenir un résult
résultat rapide sur les gros calculs, imagina son évideur à forceps ( fig. 8), composé de quatre canules contenues les unes
âpaient la surface externe du calcul. Il appela ce foret rithorimeur ( fig. 7, pag. 61); mais avec cet instrument il était tr
hes maintenues en rap-port avec elle par un écran et une vis (Pl. 61, fig. \L\). Le brise-coque de M. Pravaz (Pl. 61, fig.
et une vis (Pl. 61, fig. \L\). Le brise-coque de M. Pravaz (Pl. 61, fig. 11) est constitué par une pince dont les branches
intention mécanique que se rapportent les instrumens de M. Colombat ( fig. 12), et de M. Charrière (fig. 1 3). Nous ne faiso
pportent les instrumens de M. Colombat (fig. 12), et de M. Charrière ( fig. 1 3). Nous ne faisons que les mentionner. Enfin
de la rupture de la coque d'un calcul déjà perforé ou évidé (Pl. 61, fig. i5). M. Sirhenry, coutelier de Paris, a de même
point de départ le brise-pierre courbe articulé de Jacobson (Pl. 61, fig. 16). Cet instrument est le premier de ce genre do
re par un trou pla^ cé en avant, un peu au-dessous de la boîte à cuir( fig. 18, p. 61), et glisse entre les deux branches de
entait à-peu-près un parallélogramme, lorsqu'il était ouvert (Pl. 61, fig. 17). Comme on objectait qu'un instrument à deux b
lesquelles le calcul, une fois saisi, était solidement fixé (Pl. 61, fig. 19). Enfin, dans ces derniers temps, on a rem-pla
u à ailes et la vis par un pignon engrenant une cré-maillère (Pl. 61, fig. 20). Ainsi la forme qu'on a définitivement adop
PAR LA PERCUSSION SEULE. Premier percuteur de M. Heurteloup (Pl. 6, fig. 21). Le pre-mier instrument propre à broyer les c
jets nécessaires à la percussion, il faut un marteau d'acier (Pl. 61, fig. 21). Celui qui est fabriqué par M. Charrière prés
che quadrillé en facilite la préhension. Manuel opératoire (Pl. 60, fig. 1 ). Pour se servir du percu-teur, on l'introduit
érateur avec ses deux mains dont la paume est tournée en haut (Pl. 61 fig. 1). En ce moment saisissant le marteau de la main
cune des branches de l'in-strument une poignée transversale (Pl. fii, fig. 26). Lorsqu'on voulait s'en servir pour opérer le
vis et l'écrou. Son instrument est une gouttière métallique (Pl. 61, fig. 23), fixée solidement par un collet sur la partie
ée. M. Clot-Bey a combiné un instrument à-peu-près semblable (Pl. 61, fig. 25); au lieu d'une gouttière, c'est une espèce d'
e à pousser la branche mobile. L'instrument de M. Sirhenry (Pl. 61, fig. 24) agit par un mécanisme analogue aux deux précé
lé à la gouttière de Touzay ou de Clot. Dans cet instrument (Pl. 61 , fig. 28), l'extrémité extérieure de la branche fixe po
verses modifica-tions aux écrous brisés. Celle qu'on remarque dans la fig. 28 de la planche 61 est la meilleure : elle appar
icalement et la crémaillère sur le côté de la branche mobile (Pl. 61, fig. 3o). Malgré tous les perfectionnemens incontest
étau. Cet instrument est repré-senté fonctionnant dans la planche 61% fig. 31. Il a été nommé Compresseur-percuteur. Dans un
ire, sur les mors, des dents sinueuses pour les calculs mous (Pl. 61, fig. 27) : mais, outre que le dégagement de la gouttiè
eur, une complication de structure. Dans l'instrument de M. Sirhenry ( fig. 24), le mors de la branche femelle est une goutti
bientôt sentir. M. Clot réunit les trois trous en une fente étroite ( fig. 25) placée au fond de la gouttière, la boue pouva
es mors est celle dans laquelle ils forment deux gouttières opposées ( fig. 29), destinées à écraser les petits calculs et à
pierre , et parmi eux trois instrumens , le brise-pierre de Jacobson ( fig. 20), et les deux percuteurs à mors dentelé et fen
Jacobson (fig. 20), et les deux percuteurs à mors dentelé et fenêtre ( fig. a8 et 3o), et à double cuiller (fig. 29). Appré
teurs à mors dentelé et fenêtre (fig. a8 et 3o), et à double cuiller ( fig. 29). Appréciation. Nous avons déjà parlé de l'i
frag-mens comme sur la pierre entière. Les mors en gouttière (Pl. 61, fig. 3o) conviennent parfaitement pour ramasser les fr
s fragmens et les graviers, et pour les réduire en poussière (Pl. 5g, fig. 3). Pour faciliter l'expulsion des débris calcu
itie. Quant aux tumeurs cellulo-vasculaires, appelées fungus (Pl. 53, fig. 1 1 et i3), on n'est pas précisément d'accord pou
drait toute opération quel-conque immédiatement funeste (Voy. pl. 55, fig. i-4). Influence de l'âge sur la lithotritie. So
exité; a° un lithotome. Celui de Philippe Collot, re-présenté pl. 68, fig. 7 et 8, avait à-peu-près la forme d'une grosse la
de la vessie. — 6„ Le bouton, décrit sous le nom de curette (Pl. 68, fig. 36) était une tige d'acier, longue de 3o centimèt
lame longue de 5 à 6 centimètres avait un tranchant convexe (Pl. 68, fig. 9); 3° un gorgeret plus large que ceux dont on se
stouri caché de Bienaise; il porte le nom de lithotome caché (Pl. 68, fig. 18 et 18 bis). Long de 26 centimètres ; il est fo
t les parties extérieures comme dans les pro-cédés précédons (PI. 62, fig. 1). Lorsqu'il croyait être arrivé à l'urètre, il
de façon que la lame fût dirigée suivant la plaie extérieure (Pl. 62, fig. 2). Lors-qu'il jugeait que cette tige était assez
aient que la prostate et le col de la vessie étaient incisés (Pl. 62, fig. 3). Enfin, il terminait son extraction en abaissa
t subir quelques modifications d'une faible importance ( voy. pl. 68, fig. 19 et 20). Elles portent: 1° sur le manche qui es
s. L'un des principaux est le cathéter de Guérin de Rordeaux (pl. 68, fig. 5). Procédé de Guérin. Ce procédé est fondé sur
ou la taille médiane. Cathéter de Savigny. Cet instrument (pl. 68, fig. 6) est un cathéter ordinaire a, sur la plaque duq
r le glissement d'une arête dans une coulisse de réception ( pl. G8 , fig. 22 ). M. Roux, en France, est pour ainsi dire le
qui ait adopté le gorgeret tranchant : celui dont il se sert (pl. 68, fig. 28) a le tranchant d'un bistouri ordinaire convex
transversalement les tissus au tond de la plaie semi-lunaire (Pl. 64, fig. 1). Cette manière de pratiquer la taille, long-te
aussi l'usage d'un lithotome double. Procédé de Dupuytmen (Pl. 64, fig. 1, 2, 3). Appareil in-strumental. i° Un cathéter
l. 64, fig. 1, 2, 3). Appareil in-strumental. i° Un cathéter (Pl. 68, fig. 1, 2, 3), différent de celui que l'on emploie ord
graduée d'un bouton curseur dont le talon appuie sur la tige (pl. 68, fig. 21 et 21 bis, et pl. 64 fig- 2 ). « Avec le « dou
er le scrotum et tirer un peu sur la verge avec l'autre main (pl. 64, fig. 1 ). Le chirurgien placé en face du périnée, qu'i
se superficielle et la pointe du sphincter externe de l'anus (Pl. 64, fig. 1) étaient ensuite divisées suivant la même direc
et à droite; et en avant, également à gauche et à droite. La pl. 63, fig. 9., montre le bulbe, la partie membraneuse de l'u
is on rase le périnée. Appareil instrumental, i° cathéters (Pl. 68, fig. i 6). Il y en a de diverses grosseurs. On doit ch
ns désirables, est un des meilleurs qu'on puisse employer (V. pl. 68, fig. i bis, i ter, i et 3). — 2" Lithotomes. Pour la t
u, em-ploient divers instrumens particuliers. — 3° Tenettes (Pl. 68 , fig. 3o à 33). On donne ce nom à une espèce de pince d
-culées comme des ciseaux ou comme les pinces à pansement (V. Pl. 68, fig. 33). Cette disposition était très défavorable en
e, on a besoin des tenettes droites et des te-nettes courbes (Pl. 68, fig. 3o et 3i). — 4° Bistouris. Il est bon d'avoir tou
rigine des mors, fixent le calcul et en facilitent la sortie (Pl. 63, fig. i). La main gauche sert de guide à l'instrument d
son dans lequel on divise la prostate et le col de la vessie (Pl. 65, fig. 1,2, 3,4)- Le malade étant situé et maintenu comm
e qui lui servait à diriger dans le viscère une sonde à dard (Pl. 68, fig. 37). Cette sonde n'était autre chose qu'une algal
nte qu'on pouvait en faire sortira l'aide d'une vis ou d'une bascule ( fig. 39), et incisait ainsi la partie in-férieure de l
chose qu'un gorgeret terminé par une extrémité mousse et re-courbée ( fig. 29). Celui dont E. Côme faisait usage était const
tige aplatie et recourbée à angle droit, à l'une de ses ex-trémités ( fig. 4a)- M. Leroy (d'Etiolles) en a imaginé deux (fig
e ses ex-trémités (fig. 4a)- M. Leroy (d'Etiolles) en a imaginé deux ( fig. 4^ et 44)- L'un d'eux (44) est construit sur le m
rieur de la plaie, la face palmaire tour-née vers l'ombilic (Pl. (56, fig. 3), et on en appuie l'extrémité sur la partie de
ns vu , son pavil-lon d'un arc de i3o° avec la ligne blanche (Pl. 68, fig. 5) et on prescrit à un aide de la maintenir dans
cteur de M. Leroy (d'Etiolles) et le bistouri cystotome de M. Belmas ( fig. 6, pl. 68), mais ces instrumens ne sont pas usité
s de ses mors, et dont l'autre la tient par les anneaux (Voy. Pl. 66, fig. 2). On peut aussi, au lieu de la tenette, employe
curette, et qu'on tâche de le faire sortir par la plaie (Voy. Pl. 66, fig. 1). Si le calcul était enkysté ou enchatonné, o
n long ou en travers, dans l'étendue de 27 à 35 millim. (Voy. pl. 67, fig. 3). Cette méthode a généralement été reconnue com
par l'ex-tension des tissus dans lesquels elle est pratiquée (Pl. 67, fig. 1, et fig. 2 pour l'extraction du calcul.). On pe
nsion des tissus dans lesquels elle est pratiquée (Pl. 67, fig. 1, et fig. 2 pour l'extraction du calcul.). On pense qu'elle
comprimées d'une manière égale dans toute leur étendue (Voy. pl. 69, fig. r). T. VU. Procédé de M. Dieffenbach. Dans un
voir les fils coupel-les tissus : la guérison eut lieu (Voy. pl. 69 , fig. 1). On pourrait, si on le jugeait à propos, met
mplètement pour laisser voirla paroi correspondante du vagin (pl. 76, fig. 3L). Tous ces spéculums avaient l'inconvénient de
M. Galenzowski l'a fait appliquer au spéculum cylin-drique (V. pl. 76 fig. 3i bis). Il existe encore une foule de spéculum
u centre. M. Leroy (d'Etiolles) a imaginé à cet effet deux spéculums ( fig. 3o et 3i pl. 76) ; la figure 3o représente un spé
ar l'urètre, une sonde en ar- gent appelée sonde-érigne (V. pl. 76, fig. 27), pour procurer un écoulement à l'urine. Des c
'avivement que M. Leroy (d'Etiolles) a inventé son spéculum bi-valve ( fig. i3, pl. 76); un pignon d'engrenage fait saisir la
qui glisse dans une rainure de la pince pour pratiquer l'excision. La fig. 20 représente la pince de M. Fabri dont une branc
a lame a quelque ressemblance avec celle d'un couteau à cataracte. La fig. 2 de la pl. 70, représente Vavivement avec Vinstr
enfin les ciseaux de M. Coglioso sont destinés au même usage (pl. 76, fig. 19 et 19 bis). Il faut bien convenir pourtant qu'
s derniers: telles sont les deux aiguilles de M. Fauraytier, (pl. 76, fig. ai et 2a); la première dont la pointe s'enlève ap
ce; on va la saisir ensuite avec des pinces. L'aiguille de M. Le-roy ( fig. 25), imitée de celle de M. Depierris; celles de M
sutures. 3° L'anaplastie ou Vèlytroplastie recto-vaginale (Pl. 69, fig. 4) est tout aussi applicable ici qu'aux fistules
reçoit le col utérin. 5° Pessaires à tige et en bilboquet (pl. 72, fig. 7 et 9). On les construit en ivoire ou en caoutch
pessaire a été appliqué une fois avec succès par M. Àmussat (Pl. 71, fig. 2 et 3). 6" Pessaire à ressort. Saviard, trouva
r cette raison, pessaires vaginaux. 8° Pessaires en bondon (pl. 72, fig. 4). Us ontla formed'un cône allongé, à sommet tro
étroit, entouré d'une bandelette de linge jusqu'auprès de la pointe ( fig. 5, pl. 73), ou d'un trocart un peu courbe, analog
celui qu'employait frère Corne pour la ponction de la vessie (pl. 73, fig. 1 et 2). La femme étant placée comme dans les c
n fait l'excision avec de longs ciseaux courbés sur le plat (pl. 71 , fig. 3), ou bien avec un grand bistouri boutonné, conc
ts aux extrémités de deux diamètres qui le couperaient à angle droit ( fig. 3, pl. 7 1), et qu'on pourrait ainsi exercer sur
ixât d'abord l'utérus avec une tige, appelée éphelcomètre (v. pl. 76, fig. Z|o), qui était introduite fermée clans la cavité
ction du péritoine sont les méthodes qu'on emploie. i" Ligature. La fig. 3 de la pl. 74 représente cette opération. L'utér
eaux conduits parla main droite. Procédé de M. Langenbeck (pl. 76 , fig. 3). C'est une légère modification de celui indiqu
puter le tout, et réunir la plaie. Procédé de M. Mac Dowel (pl. 72, fig. 16). La femme étant couchée sur le dos, les membr
, en tirant dessus avec les indicateurs recourbés en crochet (pl. 77, fig. 1) et placés sous la mâchoire inférieure, ou dans
déchirer les lèvres de la plaie faite au corps de l'utérus (pl. 77 , fig. a ). Délivrance. Il faut la faire aussitôt que
côté, ou même au besoin, on en fait plusieurs sur le pourtour du col ( fig. 3). Toutefois, comme avec plusieurs incisions sup
er vers un point central, el qui forment une espèce d'étoile (Pl. 73, fig. 3). Dugès pense qu'il est prudent d'ap-pliquer le
nommé cette variété strabisme fixe, double et di-vergent (Voy. pl. A, fig. 10 un nouveau cas rencontré par M. Amussat). Le
e droit correspondant pour attirer l'œil en dedans et en haut. Pl. A, fig. 1 2. 3° Inégalité de force musculaire. Cette di
igures qu'en ont données MM. J. Muller et Dufresse Chassaignc (pl. A, fig. 17 ei 18). Quant à la fréquence relative de cet é
ieur est le plus mince des quatre. (1) Pl. B; C, D, E. (2) Pl. A. fig. 1,2, 3, 4. Action des muscles droits, (a) Les m
irurgien accroche la conjonctive avec ses deux petites érignes(pl. E, fig. 3 et 4) qu'il place entre la caroncule lacrymale
mousse et très aplati. Son opération se divise en deux temps. (Pl. C, fig. 8, 9.) Premier temps. Le malade assis, la tête
ciseaux courbes. I Suit pour l'opération, le texte de l'auteur,V\. C, fig. i, 2, 3, 4 5.) « Le strabique est assis sur un
description d'a-près la Gazette des hôpitaux du 19 janv. i84i- (PL B, fig. 4? 5,6.) « Les deux paupières étant préalableme
on M. Velpeau a adopté un rétracteur particulier en fil de fer (Pl. 6 fig. B) qui retient parfaitement les paupières écartée
e.Toutlepro-cédé opératoire qui suit résulte de cette donnée. (Pl. D, fig. 1 et 2.) Les instrumens particuliers sont deux
avec la main droite des muscles différens. Premier procédé (Pl. E, fig. 1,2, 3). Le malade étant couché, la tête légèreme
nière que la coudure du manche correspond à l'arcade sous-orbitraire ( fig. 2). Cette manœuvre est terminée quand l'extrémité
comme on peut s'en assurer par les dessins pris sur la nature (Pl. A, fig. 13, i4, i5, 16). Enfin un fait semblable a été
plication avec succès. Opération secondaire de M. J. Guérin (Pl. E, fig. 67). Saisissant la conjonctive avec la petite é
la position des aides. Section des muscles droit supérieur (pl. D, fig. 3) et droit inférieur. Si on opère pour un stra
ousse et le couper avec des ciseaux. (b) Procédé de M. Gairal(V\.D, fig. 8). Voici encore un procédé qui n'a qu'une valeur
on spéciale. Procédé imité de la section des autres muscles (Pl. D, fig. 7). Recommandant au malade de tourner fortement
2" Opération pour l'agrandissement de l'ouverture palpèbrale. (Pl. D, fig. 9 et 10). C'est de resserrer l'ouverture des paup
e, et large de deux à trois; ce lambeau étant en-levé par dissection ( fig. 9), il rapproche l'un de l'autre les bords écarté
tés de l'angle interne, et les fixe par des sutures à points séparés ( fig. 10). L'auteur a déjà pratiqué cette opération, av
. OPÉRATION DU BÉGAIEMENT (Pl. F, G). anatomte operatoire (Pl. F, fig. i et 2 ). La langue est formée de muscles intri
aves qu'il aurait omis de rapporter. Disons pourtant (I) Planche F, fig. 1 et 8. que, dans le cours de son ouvrage, il c
des génio-glosses, mais sans pénétrer plus loin que (1) Planche g , fig. 4. quelques millimètres ou, tout au plus, un ce
ement, comme on le pratiquait au temps d'Heister et de Dionis (Pl. F, fig. 7 et fig. i, D). Procédés de M. Amussat. Ce chi
me on le pratiquait au temps d'Heister et de Dionis (Pl. F, fig. 7 et fig. i, D). Procédés de M. Amussat. Ce chirurgien ét
t par tâtonnemens, en suspendant après chaque petite (1) Planche g, fig. 8, 9,10, 11. section partielle, pour s'assurer
il en pratique le décollement avec un petit bistouri droit et mousse ( fig. 10). Nous avons vu plusieurs fois exécuter cette
l'Isère, d'après sa lettre à l'Institut (19 février (1) Planche G, fig. 1, 2, 3. (2) Planche G, (ig. 5, 6, 7. 1841),
la peau avec une petite lancette d'une forme particulière (PlancheN, fig. 16). La pointe de l'instrument traverse la peau p
te et qui permet un trajet sous-cutané beaucoup plus long (Planche H, fig. i et 2 ). Rassemblant d'abord les tégu-mens sur l
itue Véquin simple produit par la rétraction du triceps sural (Pl. H, fig. 3). Le pied alors pose sur les articulations méta
par la rétraction des orteils ou dans le sens de l'extension (Pl. I, fig. i ), ou dans le sens de la flexion (Pl. J, fig. 6
e l'extension (Pl. I, fig. i ), ou dans le sens de la flexion (Pl. J, fig. 6). Dans le premier cas, outre le triceps sural,
ée directement en haut. C'est le cas de mademoiselle Élisa G. (Pl. J, fig. 6, 7, 8), guérie par M. J. Guérin, sous les yeux
terne, la face plantaire étant tournée directement en de-dans (Pl. I, fig. 3). Si, en même temps, il y a un commence-ment d'
a un commence-ment d'extension du pied , c'est un varus équin (Pl. I, fig. 2 ). Dans le varus équin, comme dans l'équin varu
chisseurs des orteils et même de l'adducteur du gros orteil (Pl. 1, fig. 4). 3° Valgus. Le caractère de ce pied-bot cons
n mouvement d'extension du pied produit par le triceps su-ral (Pl. K, fig. 1 ), ou au contraire d'une flexion de cet organe
ction des extenseurs (Guérin, loc. cit., pag. 4a). 4° Talus (Pl. K, fig. 5 ). Le talus est l'opposé du pied équin, c'est-à
dessus du poignet, cpie nous avons figurée d'après M. Bouvier (Pl. N, fig. ii, 12 et i3). Mais déjà, il faut convenir cpie,
n du coude, une section tendineuse, celles du biceps brachial (pl. N, fig. i/j) dont les bons effets sont approuvés de tous
é pleurale. Lâchant alors et faisant lâcher par l'aide le pli cutané ( fig. 2), le chirur-gien presse de haut en bas et fait
. Figure 7. Trichiasis, et Figure 8. Distichiasis (Demours, pl. 20, fig. 1 ). L'une et l'autre maladie ne se guérissent qu
et vers la base (Rognetta). Figures 11 et 12. Pannus (Weller, pl. l, fig. 8 ). Figure 11. Pannus très avancé. — Figurée 12.
URELLE. Figure ]. Cataracte lenticulaire complète (Demours, pl. 22, fig. 3 ). Figure 2. Cataracte capsulo-lenticulaire (De
fig. 3 ). Figure 2. Cataracte capsulo-lenticulaire (Demours, pl. 38, fig. 3). Figure 3. Cataracte centrale ( Demours, pl. 2
urs, pl. 38, fig. 3). Figure 3. Cataracte centrale ( Demours, pl. 28, fig. 2 ). Figure 4. Cataracte noire (Cas analogue, Wel
taracte capsulo-lenticulaire chez un homme de G2 ans ( Weller, pl. 2, fig. 6). Figure 7. Cataracte capsulo-lenticulaire ch
taracte capsulo-lenticulaire chez un enfant (Beer,dans Weller, pl. 2, fig. 7). Figure 8. Cristallin opaque qui a spontaném
de l'iris, la pupille déformée est presque oblitérée (Weller, pl. S, fig. 1). Figure 12. Pupille ovale par le fait d'une
stallin. Figure 7. Abaissement du cristallin (suivantla ligne g, h, fig. 8). Figure 8. Résumé du trajet de l'aiguille. L
porte un pas de vis sur lequel se meut le renflement de la canule (h, fig. 12 ). L'autre extrémité de la tige (c) est un fil
ectiligne, mais forment un angle très obtus à leur point de jonction ( fig. 3). G. Fig. 2,3. Artère carotide à son entrée e
erpentant, suivant les sinuosités naturelles du conduit auditif (voy. fig. 3, 4). Figure 8. Tenettes de Dupuytren pour l'a
le fixé par les doigts d'un aide (c), le chirurgien armé de la pince ( fig. 9), tenue en plein de la main droite (d), pratiqu
es sutures. e. Sommet du lambeau cutané pris sur le cou au point f { fig. 1,2). g. Autre sommet en dehors de la commissur
point (h) du lambeau cervical et le bord (i) de la lèvre infé-rieure { fig. 1, 2). Des points de suture sont posés aux deux e
e trajet des fils ponctués (voyez, pour les figures analogues, pl. 1 , fig. 2 et 3; et pl. 15, fig. 3 et 4). Un fil double
és (voyez, pour les figures analogues, pl. 1 ,fig. 2 et 3; et pl. 15, fig. 3 et 4). Un fil double ayant été introduit avec
Un fil double ayant été introduit avec la sonde de Rellocq (pl. 1, fig. 3), la sonde a ramené d'arrière en avant un tampo
é irrégulier. Figure 2. Opération pratiquée. Le tubercule cutané (a) { fig. 1, 2, 3) est rafraîchi sur les bords , le bistour
3) avec la sous-cloison du nez; les bords du tuber-cule gingival (c) ( fig. 1, 2, 3) sont équarris, les dents incisives légè-
igures 45 et 46. Tonsillitome de Fahnestock : modifié par M. Velpeau, fig. 45; et par M. Ricord, fig. 46. Cet instrument, qu
me de Fahnestock : modifié par M. Velpeau, fig. 45; et par M. Ricord, fig. 46. Cet instrument, qui est un sécateur, se compo
nche qui glisse en avant du corps de l'instrument porte une aiguille ( fig. 45 et 45 bis) ou une fourchette (fig. 46 et 46 bi
'instrument porte une aiguille (fig. 45 et 45 bis) ou une fourchette ( fig. 46 et 46 bis) qui fixe l'amygdale et l'éloigné de
igature et l'avivement du bord membra-neux d'un côté. L'instrument, fig. 21, est construit sur le modèle de M. de Pierris,
n; 21 bis est le même instrument vu sur l'autre face. L'instrument, fig. 22, est comme une paire de ciseaux doubles ou à q
ution de continuité. serre-noeuds. ¦— figure 25-30. Serre-nœuds : fig. 25, de M. Grcefe. — Fig. 26, a, b, c, de M. Colom
athologique, l'analogue de celui qui est figuré d'après le vivant pl. fig. 4. Le sac herniaire du côté droit contient, avec
ure 3 reproduit les deux hernies dans leurs rapports comme elles sont fig. 1. Elle montre les cavités des sacs herniaires le
ecroisent sur la ligne blanche. Au pourtour de l'anneau inguinal (c) ( fig. 1, 2,3) elles ont une épaisseur considérable et f
o-névrotique très résistant. HERNIE INGUINALE EXTERNE IRRÉDUCTIBLE ( fig. 1, 2, 3). A. Fig. 1. La surface est formée par
ine de l'artère épiga-strique. HERNIE INGUINALE INTERNE RÉDUCTIBLE ( fig. 1, 2, 3). B. Fig. 1. Surface externe des envelo
que nous avons dessiné, il y a quelques mois, sur le vivant (pl. 3G, fig. 1). FIGURE 2. Hernie inguinale externe bilocula
de lurètre dans ses différens points tels qu'on les voit pl. 51 ; et fig. 2, pl. 52. De l'examen de ces pièces il résulte q
ment qui doit être arrivé sur le bord antérieur de la prostate (Voyez fig. 4)- Figure 3. (Troisième temps. Sonde horizonta
antérieure se relève par le mouvement de bascule de la sonde droite ( fig. 6). — d. Ligament suspenseur du pénis qui est tir
x. Ils se relè-vent vers le pubis par la pression de la sonde droite ( fig. 6). — f. g. Les deux lèvres de l'orifice vésico-p
supérieur se relève et l'inférieur s'abaisse devant la sonde droite ( fig. 6). Figure 4- Deuxième temps de l'introduction
6). Figure 4- Deuxième temps de l'introduction de la sonde courbe ( fig. 2). Figures 5 et 6. Ici, pour faire comprendre
sac pré-prostatique, s'exerce sous un arc de 60 à 80 degrés (ici, 77, fig. 5). C'est en abaissant encore de 2 5 à 3o degrés
77, fig. 5). C'est en abaissant encore de 2 5 à 3o degrés (ici, 104, fig. 6), que la sonde, basculant sous le pubis, relève
l prostatique (c) est précisément celui de la nouvelle sonde (Pl. 54, fig. 7, 10.) etdela plupart des nouveaux instrumens de
e foret commence à entamer le calcul. Le manche du litholabe (Pl. 61, fig. 5) est fixé par les deux mains (a etb) d'un aide
e avec le brisepierre de M. Jacobson modifié par M. Charrière (Pl. 6i fig. 20). Le chirurgien est placé entre les jambes d
branche mâle articulée sur la branche femelle fenêtrée (Voyez Pl. 60, fig. 1 et Pl. 61, fig. 3o). Figure 3. Action de rama
ulée sur la branche femelle fenêtrée (Voyez Pl. 60, fig. 1 et Pl. 61, fig. 3o). Figure 3. Action de ramasser soit les peti
à mors denticulés, avec l'autre percuteur à double cuillère (Pl. 61, fig. 29) destiné à les écraser. Figures 4 à 12. Dive
issi avec de petites aiguilles d'une sub-stance ligneuse ou herbacée ( fig. 9), l'autre avait un noyau central entouré par un
fig. 9), l'autre avait un noyau central entouré par un mucus concret ( fig. g bis). Figure 10. Calcul d'urate d'ammoniaque.
. Opération de la lithotritie avec le percuteur perfectionne (Pl. 61, fig. 36). Le calcul étant saisi entre les mors de l'
ment des lames, une incision analogue à celle des chairs (V. Pl. 63 , fig. 2). Dans celui-ci, l'inclinaison des lames est te
é. On a figuré ici l'opération comme pour le cas dessiné plan-che 54, fig. 12. La vue est représentée cadavérique, la paroi
nsiste, dans le trajet des lames en un angle curviligne (Voy. Pl. 65, fig. 2). — 18 bis. Ecartement des lames, vu de face.
-tudinale dont les bords sont fixés par la pince de M. Fabri (Pl. 76, fig. 20). Une branche de l'instrument passée dans la v
t détaché sur l'extrémité antérieure de la face postérieure du vagin ( fig. 3). Sur la figure 4 qui représente une vue cadavé
eut sans danger par le crochet abaisseur de M. Colombat (c et pl. 76, fig. 40). Une érigne à quatre branches (d), enfoncée d
A. généralités des opérations du strabisme. ANATOMIE OPÉRATOIRE, fig. 1, 2, 3, 4. Figure 1. Muscles de l'œil dépourvu
lambeau triangulaire en forme de croissant qu'il enlève. (Voy. pl. F, fig. 1) Nous avons calqué les traits sur le dessin m
RE 8. Section sus-tendineuse du tendon de l'aponévrose fascia lata (a fig. 6), la pipûre faite d'arrière en avant. La main g
nction sous-cutanée avec sa main droite (e) armée du petit bistouri ( fig. 8 ). FIGURE !. Section sus-tendineuse isolée du
Section sus-tendineuse isolée du faisceau sternal avec le inyotome ( fig. 9). Figure 6. Premier temps. Le doigt médius de
ont employés par M. J. Guérin : i° une sonde cannelée à fer de lance ( fig. 6) qui sert à-la-fois d'instrument d'exploration
ion; 2° un grand trocart à tige droite ou courbe, suivant le besoin ( fig. 4 et 5 ). Cet instrument se com-pose de deux part
pter à la forme et au volume des parties, il y a des trocarts droits ( fig. 4) et courbes (fig. 5). PONCTION DE L'EMPYÈME.
u volume des parties, il y a des trocarts droits (fig. 4) et courbes ( fig. 5). PONCTION DE L'EMPYÈME. FIGURE i. (a) Main
6 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
ait du sang épanché dans la cavité articulaire. Vue antérieurement ( fig. i, pl. i) la fracture occupe exactement la ligne
_Le petit trochanter est détaché du reste de l'os. Vue en arrière ( fig. 2), la fracture présente plusieurs esquilles, com
orps de l'os. La fracture horizontale du grand trochanter (observée fig. 1) se prolongeait en arrière et en bas, de manièr
ale en deux fragmens secondaires, l'un interne, l'autre externe. La fig. 3 représente la fracture du col du fémur vue par
orps du fémur; cette cavité communique avec le canal médullaire. La fig. 4 représente une coupe du corps du fémur. La disp
même aspect que si la fracture venait d'être opérée à l'instant même ( fig. 3). Il n'y avait donc aucun travail entre les fra
sulaire du col du fémur étudiée avant le travail de réparation. Les fig. i et i' représentent une fracture du col du fémur
rochanter de la crête iliaque de l'autre côté. La capsule fibreuse ( fig. 1), CF, CF contenait une certaine quantité de san
hanter à la tête du fémur. En arrière, le repli fibro-synovial P,P ( fig. 1'), avait été décollé. Plusieurs fragmens osseux
r. Engrènement des fragmens.— Décollement du repli fibro-synovial ( fig. 2 et 2' ). Femme Mathieu, 82 ans, le 5 mai 1836
ces intermusculaires de la cuisse. La fracture était intra-capsulaire fig. 2, 2': elle était oblique fig. 2. En haut, elle a
se. La fracture était intra-capsulaire fig. 2, 2': elle était oblique fig. 2. En haut, elle avait lieu à la réunion de la tê
col du fémur : les dimensions de cette apophyse sont marquées sur la fig. 1 par une ligne ponctuée. Il résulte de cette dis
le repli fibro-synovial, est étendue de l'un à l'autre fragment. La fig. 2 représente la fracture vue en arrière. On voit
inairement dans la moitié postérieure de la circonférence du col. Les fig. i et i', i et i' peuvent servir de type à cet éga
sulaire : cependant, je lai observé plusieurs fois; le cas représenté fig. i et l' en est un exemple. Ainsi, dans un cas de
fémur. Les parties molles enlevées, nous avons pu voir à découvert ( fig. i ) l'extrême obliquité du fémur dont l'axe forme
dehors ne pouvait s'effectuer à raison de la situation du fémur. La fig. i représente rallongement transversal et la graci
yloïde. Le col du fémur C très court et creusé d'une gouttière. Les fig. 2 et 3 représentent l'os coxal vu sous deux aspec
g. 2 et 3 représentent l'os coxal vu sous deux aspects différens ; la fig. 2 représente l'os coxal vu par derrière : on y vo
rangé, par suite des frottemens qu'il a subis. La tête du fémur TF, fig. 4i est déformée et érodée, comme la cavité eotylo
ut en avant : à son insertion fémorale ; elle est disposé en collier, fig. 4 ¦ COL, lequel est reçu dans la rainure profonde
é, voici l'explication des figures de la pl. i, xxixe livraison. La fig. i représente la nouvelle articulation vue par dev
n. La fig. i représente la nouvelle articulation vue par devant. La fig. 2 représente la nouvelle articulation vue par der
La fig. 2 représente la nouvelle articulation vue par derrière. La fig. i nous représente l'ancien ligament capsulaire AL
urtour de l'ancienne cavité cotyloïde à la base du col du fémur. La fig. 2 nous représente l'ancien ligament capulaire ALC
ent dirigés de bas en haut et de dedans en dehors, et atrophiés. COL, fig. i, fig. 2, est l'espèce de collier que forme l'an
gés de bas en haut et de dedans en dehors, et atrophiés. COL, fig. i, fig. 2, est l'espèce de collier que forme l'ancienne c
col où elle forme une espèce de collier qui s'imprime sur lui. Les fig. 1 et 2 représentent la manière dont la tête fémor
très superficielle et constitue une véritable cavité glénoïde. Les fig. 1 et 3 donnent une idée exacte de l'allongement e
du fémur; j'en ai exposé le mécanisme, pl. 6, xxviur livraison. La fig. 3 a pour but de montrer l'ancienne et la nouvelle
d'encroûtement du tubercule frottant TF était très remarquable. La fig. 4 représente la partie supérieure du fémur dont l
t tout-à-fait circonscrite. » Explication des figures. Fig. i. La fig. i représente le profil de la tête de la malade. L
La surface de la tumeur est aréolaire. Fig. 2. La coupe représentée fig. 2 a été faite sur la ligne médiane, et verticalem
taires externe et interne ont subi la même altération. La coupe de la fig. 2 établit que l'augmentation de volume du frontal
ue, au moins analogue à celle que j'ai donnée des pièces représentées fig. ^ et b. La tumeur qui occupait la moitié inféri
ant le pédoncule des tumeurs et les veines du voisinage, j'ai trouvé ( fig. 2) ces veines remplies de cordons fibreux extrême
meur, où il était impossible de les suivre. Les vaisseaux représentés fig. 1 faisaient suite aux veines obturatrices et circ
iennes occupaient et la voûte et les régions latérales du crâne. La fig. 1 représente la voûte du crâne , dépouillée du cu
au fond de ces tumeurs sent à nu les os inégaux et comme érodés, La fig. 3 représente la surface interne du crâne , dont l
i s'enfoncent dans les pertes de substance des os du crâne. La même fig. 3 montre les os du crâne érodés et comme vermoulu
même mécanisme que l'usure des os dans les tumeurs anévrysmales. La fig. 2 présente les perforations du crâne, vues par la
et l'autre sont réduites aux deux derniers doigts. Les deux pieds ( fig. 3, 4) sont disposés en manière de pince de homard
Voici d'ailleurs la description du squelette du pied droit représenté fig. 5. Le squelette du pied gauche offrait quelques d
'est ce squelette que j'ai fait représenter pl. 6 , xxxme livraison ; fig. 4- H est vu par sa face postérieure. Les deux fém
6, deux exemples fort remarquables. Cyclopie. Le fœtus représenté fig. i et a (demi-grandeur) vient encore du départemen
rvé l'attitude quadrupède. Dans cette attitude quadrupède, on voit, fig. i et 2, que la trompe nasale est dirigée en haut,
ent ou appendice LP, que j'ai fait représenter de grandeur naturelle ( fig. 2"). Cet appendice que j'ai déjà noté dans un aut
rnes en arrière, les faces postérieures en dedans: aussi voyons-nous ( fig. 6 et 7) que les deux péronés sont intermédiaires
sont intermédiaires aux tibias. Les jambiers postérieurs J A , JA ( fig. 3) sont en dehors, de même que les extenseurs pro
nt au globe lui-même; mais la section antéro-postérieure de la masse ( fig. 4") montre que le globe de l'œil et le nerf optiq
. i. — Cicatrices d'ulcérations folliculeuses. L'estomac représenté fig. i , pl. 2, appartient au même sujet que l'intesti
t au même sujet que l'intestin grêle et le gros intestin, représentés fig. 1, pl. 3, même livraison. Le duodénum et toute la
des selles sanglantes. Dans le cas représenté xxxie livraison, pl. i, fig. i, aucun vomissement n'avait eu lieu; mais, étonn
égénérescence noire, mélanose, cancermélané, etc., Paris, 1821, in-8, fig. — C. A. Noack, de Melanosi tum in hominibus tum i
in equis obviente spécimen pathologiœ comparatœ, Lipsiae, 1826, in-4, fig. —P. Rayer, Traité théorique et pratique des maladi
épiploons. — Plaques opalines du péritoine. L'estomac représenté fig. i, pl. i, xxvme liv., a beaucoup d'analogie avec
i, pl. i, xxvme liv., a beaucoup d'analogie avec l'estomac représenté fig. 2, pl. 4? xe liv. Il en diffère cependant à quelq
tait également des tubercules miliaires ou granulations. L'estomac ( fig. i) est considérablement revenu sur lui-même. Divi
e progressivement jusqu'au cardia. La surface interne de l'estomac ( fig. i) est comme granuleuse ou mieux d'apparence aréo
'estomac ~ La grande différence qui existe entre l'estomac représenté fig. i, xe liv. et l'estomac représenté fig. i, xxvne
te entre l'estomac représenté fig. i, xe liv. et l'estomac représenté fig. i, xxvne liv., c'est que dans le premier cas, tou
membrane muqueuse seulement. L'altération de l'estomac représentée fig. i, établit, de la manière la plus péremptoire , l
e l'adhérence. Divisé le long de sa grande courbure, l'estomac (voyez fig. 2) a présenté à sa face postérieure une grande pe
tissu cancéreux : et je suis porté à considérer la lésion représentée fig. 2, pl. 1, xxvirlivr. comme une conséquence de l'i
mé dans un kyste; il paraît au premier coup-d'œil libre d'enveloppes ( fig. i ), tant ses formes extérieures sont bien dessin
et les membres inférieurs sont dans la demi-flexion. « Son volume ( fig. i ) est à-peu-près celui d'un fœtus à terme ; sa
ette croûte qui couvrait la face et en voilait les divers organes. La fig. 2 montre les yeux, parfaitement conservés ainsi q
le nom de cérébrote. « F. Boudet. » 4° Dans la cavité thoracique, fig. 2, les poumons P refoulés en haut et en arrière p
estin déplacé. La tumeur semble naître directement de l'anus. lia fig. 2 représente une chute de rectum HR observée chez
O qui occupe la partie inférieure de la tumeur est circulaire. La fig. 3 représente la coupe du bassin appartenant au mê
1) J'avais fait figurer une coupe du bassin de ce sujet comme dans la fig. 3; mais n'étant pas bien sûr du trait qui représe
droïde, de 7 pouces 6 lignes de long et de 5 pouces de circonférence ( fig. 4)- Sa couleur est ardoisée : des deux extrémités
éplacées, c'était un sac à collets. La planche vi, xxive livraison, fig. 1, représente le sac herniaire ouvert et la masse
uillets bien distincts, d'apparence fibreuse, qui ont été représentés fig. 3, F', F", F'", F"". Ces feuillets étaient unis
u au monde naturellement au huitième mois de la gestation. On voit ( fig. 2) que la tumeur, très considérable, a une envelo
inguer le foie et les intestins. De même que dans le cas représenté fig. 1, l'insertion du cordon ombilical n'a pas lieu a
e l'abdomen ayant été enlevée par une coupe circulaire et renversée ( fig. 2' ), j'ai reconnu : i° que le liquide transparen
Une conséquence pratique d'un haut intérêt découle du fait représenté fig. i : c'est la curabilité possible de Véventration
ent ou explicitement adopté par tout le monde. Dans le cas représenté fig. i, une inflammation s'établit dans les enveloppes
eloppe ; les deux cylindres moyen et interne forment la tumeur. (Poy. fig. 4 et 5.) Les surfaces muqueuses correspondantes
ait, outre la perforation, un grand nombre d'érosions ova-laires UUU, fig. 2, évidemment produites par l'action mécanique ex
ntestinaux, suite probable démérite folliculeuse. — Cicatrices. Les fig. i et 2, pl. m, xxxe livraison, représentent fidèl
'ulcérations , suite d'entérite folliculeuse aiguë ou chronique. La fig. i présente le dernier pied de l'intestin grêle IG
le de taches irrégulières d'un noir ardoisé plus ou moins foncé. La fig. 2 , qui appartient à un autre sujet, présente à l
intestin grêle des cicatrices identiquement semblables à celles de la fig. i ; ces cicatrices devenaient plus rares, à mesur
itation difficiles à décrire. A l'ouverture, je trouvai (Planche 2, fig. 1) les ganglions lymphatiques qui avoisinent l'an
do-membraneuse de l'intestin grêle m'a offert, dans le cas représenté fig. 1 ,tous les symptômes de l'entérite folliculeuse,
te folliculeuse : tel est le cas suivant, qui a fourni le sujet de la fig. 1, pl. 3. Un jardinier, âgé de tyo ans, est app
l'excavation du bassin. En ouvrant le canal alimentaire, je trouve fig. i, pl. 3, que la fin de l'intestin grêle, le cœcu
la médication tonique et stimulante qui incendiait les malades. La fig. 2 représente la fin du gros intestin appartenant
mité inférieure du rectum ou simplement de la muqueuse déplacée. La fig. i représente le bourrelet tel qu'il se présentait
t couvert de fausses membranes : au centre est l'orifice anal O. La fig. i ' représente une section verticale du bourrelet
, dont quelques-unes très volumineuses. La tumeur anale représentée fig. i et i ' n'est donc rien autre chose qu'une invag
cessaire de toutes ces influences, l'expliquent surabondamment. Les fig. 2 et 2' représentent la partie inférieure de l'in
stin plusieurs varices V, V, remplies de sang concret très noir. La fig. 2 montre les détails de ces végétations : quelque
l'intestin a été le siège d'une irritation long-temps continuée. La fig. 2' représente une section du bourrelet hémorrhoïd
l'excision des végétations anales. Explication de la figure 3. La fig. 3 représente le rectum d'une femme de la Salpêtri
Inflammation chronique du rectum simulant le cancer de cet organe , fig. i et i\ J'ai déjà eu occasion (i) d'établir par
l'exception du rectum , qui a été représenté avec beaucoup de vérité, fig. 1 , pl. 1 , xxxnie livraison, et dont voici la de
decin en qui ils avaient toute confiance. L'autopsie nous démontra ( fig. 2, pl. 1,33e livr.) qu'à trois pouces environ de
u'il avait acquise. L'étude de la portion dégénérée m'apprit (voyez fig. 2) : i° que la membrane muqueuse avait été détrui
(PLANCHE IV, XXXIe LIVRAISON.) FOYERS SANGUINS. - TUBERCULES. La fig. i représente la rate d'un blessé de i83o, dont le
seulement dans divers organes, mais encore dans le même organe. Les fig. 2 et 2' appartiennent à un blessé de février 1882
présentent me paraît devoir être classée dans la même catégorie. La fig. 3 appartient à un phthisique de dix à douze ans,
bercules sont à l'état naissant, et entourés d'un tissu induré. Les fig. 4 et 4' représentent la rate d'un jeune enfant de
immersion du foie dans l'eau alcoolisée. Les tubercules de la rate ( fig. 4 et 4) étaient extrêmement multipliés : ils étai
roduction organique. EXPLICATION nES FIGURES. La rate représentée fig. i a été rencontrée sur un cadavre. Je n'ai pu me
isme est un problème insoluble dans l'état actuel de la science. La fig. 1 représente une rate qui m'a été adressée de Dij
temporaire, des voies biliaires. Le kyste acéphalocyste de la rate, fig. 2, pl. 1, xxxve livraison, présente les particula
nche 4 , a pour sujet: i° une variété du cancer encéphaloïde du foie ( fig. i), 2° des foyers ou kystes gélatiniformes qui me
me paraissent la conséquence de kystes acéphalocystes du même organe ( fig. 2). La fig. 1 représente un cancer encéphaloïde
la conséquence de kystes acéphalocystes du même organe (fig. 2). La fig. 1 représente un cancer encéphaloïde du foie qui p
S DE CANALISATION. — CALCULS BILIAIRES. EXPLICATION DES FIGURES. La fig. i représente la partie inférieure de la face conv
assez qu'il est composé de cholestérine. La coupe du petit calcul ( fig. 6) montre au centre une concrétion biliaire plus
lculs qu'elle contient, si toutefois elle contient des calculs (voyez fig. 4), adhère à leur surface et constitue un véritab
e dilatation considérable de la vésicule comme dans le cas représenté fig. i, i, 3. Le liquide contenu est limpide, tantôt s
uri, à l'aide duquel je suis arrivé dans un vaste foyer purulent GAH, fig. 1, planche 1, foyer anfractueux , situé dans l'ép
ur la malade, dont la vie fut ainsi prolongée de plusieurs mois. La fig. 3 représente le lobe supérieur du poumon gauche,
oigt pouvait parcourir le pourtour d'une ouverture très considérable ( fig. 2), qui donnait passage aux parties déplacées.
ire dans lequel était contenue une portion considérable de poumon HP, fig. 1. Les muscles grand et petit pectoraux manquaien
O, voy. (i) Il faut lire probablement expiration. xxie livraison. fig. 2, et de la troisième côte, pour se réfléchir sur
ouvelle formation. Voici maintenant l'explication des figures. La fig. i représente la portion de poumon déplacée HP, si
ème et la quatrième côtes. La pneumocèle avoisine le sternum ST. La fig. 2 représente la perte de substance des parois tho
rd fibreux semi-lunaire qui appartient aux muscles intercostaux. La fig. 2 présente en outre : i° la soudure de la premièr
tte articulation se fait par des surfaces planes et planiformes (voy. fig. 3). Elle était légèrement mobile en tous sens, à
l'injection, dans la trachée, d'une grande quantité de cire. On voit ( fig. 1) qu'il présente à sa face interne une concavité
un certain nombre de lobules pulmonaires, une couleur violette (voy. fig. r(0J A ce niveau, le poumon est déprimé, et sa mo
t dit du tissu cellulaire infiltré. Du reste, la surface du poumon ( fig. 1) est recouverte par une grande quantité de vais
e travail de perforation des muscles intercostaux. Le poumon droit ( fig. 1 ) était peu volumineux, affaissé qu'il était pa
tie sur la partie latérale gauche du larynx. La pièce représentée fig. 2 m'a été remise par M. Voisin, alors interne à l
anulations miliaires d'un blanc-jaunâtre. La planche iv représente, fig. i, la face dorsale de la main du même sujet. Sur
oigts sont encore plus déformés que du côté de la face palmaire. La fig. 2, qui représente la face palmaire de la même mai
distendue par des caillots sanguins, ainsi qu'on le voit en VO. La fig. l'montre ouverte la partie supérieure de la veine
tes les parties environnantes étaient-elles parfaitement saines. La fig. 2 représente les deux veines fémorales VF, VF, la
bre des artères correspondantes. Les coupes des veines représentées fig. i montrent que toutes ces veines sont remplies de
a paroi antérieure du vagin. Etat du membre gangrené. (Voyez pl. 5, fig. 1.) La gangrène, caractérisée par une couleur n
donne l'aspect de petites trachées-artères. L'artère fémorale A F ( fig. 2), à partir de l'origine de l'artère profonde AP
s teintes de coloration. Il en était de même de l'artère poplitée AP, fig. 2et 3, de l'artère tibiale antérieure ATA, fig. 3
l'artère poplitée AP, fig. 2et 3, de l'artère tibiale antérieure ATA, fig. 3, et du tronc tibio-péronier A TP, fig. 3; l'art
tère tibiale antérieure ATA, fig. 3, et du tronc tibio-péronier A TP, fig. 3; l'artère tibiale postérieure ATP, est extrêmem
TP, est extrêmement grêle, bien plus grêle que l'artère péronière AP, fig. 3. L'obturation par des caillots sanguins avait
en est tout-à-fait indépendante. L'aorte, à partir de son origine ( fig. 1 et 2) jusqu'au dessous des artères rénales, est
; d'une autre part, les artères de l'intestin grêle. La planche 3 ( fig. 1) représente l'artère aorte vue à l'intérieur :
du rétablissement de la circulation par des voies collatérales. La fig. 2 présente un cas danévrysme sphéroidal de l'artè
tère vertébrale droite AAV, au niveau des pyramides antérieures. La fig. 3 montre ouverte la petite poche anévrysmale que
tion , qui auront fini par se faire jour au centre de la tumeur. La fig. 4 représente la face antérieure du bulbe rachidie
es, quoique profondément altérées, jusqu'aux points marqués LAT, LAT ( fig. i, planche n), au-delà duquel on chercherait vain
dois pas omettre d'appeler l'attention sur les concrétions radiées R( fig. i, planche ni) que présente le sang renfermé dans
naturel, et la circulation ne devait y éprouver aucun obstacle. La fig. a' représente la poche anévrysmale ouverte par so
érieur; la perforation P est beaucoup inoins considérable que dans la fig. 2, ce qui tient à ce que, vue par ce côté, elle e
e, au niveau de l'insertion du canal artériel. Ce rétrécissement R A, fig. 3, est circulaire, fort régulier,sans altération
it. Le ventricule gauche avait d'ailleurs une forme sphéroïdale. La fig. 1 représente le ventricule droit ouvert par une s
s de diverse densité, et offrant diverses nuances de coloration. La fig. 2 représente une coupe verticale du ventricule ga
uer les caillots du tissu du cœur. La tranche des sections du cœur ( fig. 1, fig. 2) présente, au niveau des caillots, une
caillots du tissu du cœur. La tranche des sections du cœur (fig. 1, fig. 2) présente, au niveau des caillots, une disposit
inégale, et peuvent facilement être séparées les unes des autres. La fig. 3 représente deux lamelles CS, CS, qui ont été dé
pertrophie et adhésion au péricarde. Le cœur représenté planche vi, fig. i et 2, m'a paru pouvoir servir de type à la dila
sition de la couche superficielle de ces fibres. Une coupe du cœur ( fig. 1) a été faite au niveau de la réunion des deux t
sanguins dans l'épaisseur du ventricule gauche. Le cœur représenté fig. i appartient à une femme de la Salpêtrière sur la
il n'y a qu'un pas entre les foyers sanguins circonscrits représentés fig. 1 , pl. ni, et la rupture du cœur avec hémorrhagi
ait aucune adhérence entre le cœur et le péricarde. Le cœur ouvert ( fig. 2) présente son sommet converti en une coque AP,
ai ou par dilatation et en faux ou par déchirure. Le cas représenté fig. i est un exemple dianévtysme partiel vrai. Dans c
rupture spontanée du coeur. lie cœur représenté sur cette planche, fig. i et i, a appartenu à une vieille femme de quatre
infiltration s'étend bien plus loin que la perforation supérieure P', fig. i ne semble l'indiquer ; qu'elle s'est prolongée
i° Concrétions fibrincus es purulentes ou kystes purulens du cœur; fig. 1,1 et i".—^Rétrécissement de U orifice artériel
1,1 et i".—^Rétrécissement de U orifice artériel du ventricule droit; fig. i et i'. La présence dans les cavités du cœur d
oncrétion fibrineuse purulente remplissant l'oreillette gauche. — Les fig. i, i' et i", pl. 4i représentent une concrétion f
tion offrait sur une partie de sa surface une disposition granuleuse ( fig. i') ; [elle était creusée par une cavité remplie
uleuse (fig. i') ; [elle était creusée par une cavité remplie de pus ( fig. i"). Du reste les parois de l'oreillette (fig. i)
cavité remplie de pus (fig. i"). Du reste les parois de l'oreillette ( fig. i) n'offraient aucune trace d'inflammation, même
entricule droit; hypertrophie de ce ventricule. Le cœur représenté, fig. 2 et 2' appartenait à un sujet sur lequel je n'ai
s ou brides séparées par autant de petits enfon-cemens ou sinus. La fig. 2' représente ce diaphragme étendu horizontalemen
es sygmoïdes et est évidemment formé aux dépens de ces valvules. La fig. 2 représente la forme insolite du cœur, forme ins
phéroïdal, et l'emporte de beaucoup sur le ventricule gauche, La même fig. 2 représente le ventricule gauche ouvert VG, on y
s gauches ne dépassent pas celles de l'état régulier. La coupe delà fig. 2' montre dans tout son jour l'hypertrophie consi
la cloison obturatrice présentait identiquement les caractères de la fig. i, pl. 4 '• a L'orifice a de l'artère pulmonaire,
e quelquefois devient cartilagineuse, osseuse. Dans le cas représenté fig. i et i' la valvule tricuspide épaissie représenta
libre, et en ceux qui occupent toute la hauteur de la valvule. Les fig. i, i' et i", offrent un exemple remarquable de ré
ou kystes largement ouverts du côté de la pointe du ventricule. La fig. i représente l'orilice auriculo-ventriculaire gau
e auriculo-ventriculaire gauche OAV, vu du côté de l'oreillette. La fig. i" représente le même orifice vu du côté du ventr
La fig. i" représente le même orifice vu du côté du ventricule. La fig. i' représente la valvule mitrale déployée à l'aid
tion verticale du ventricule, de l'oreillette et de la valvule. Les fig. i' et i" montrent dans tout leur jour les kystes
k, 3 k, 4 k, formés aux dépens delà valvule mitrale (voyez surtout la fig. 1'), kystes qui, par leur rapprochement, intercep
r rapprochement, interceptaient d'une manière plus ou moins complète ( fig. 1) le passage du sang de l'oreillette dans le ven
le ventricule. Deux de ces kystes, ceux qui sont notés, 1 K et /jK. ( fig. 1'), présentaient une petite perforation dans les
directement aux commissures des deux lèvres de la boutonnière. Les fig. 3 et 3' représentent un mode de rétrécissement mo
issement moins fréquent que le précédent. Vu du côté de l'oreillette ( fig. 3), l'orifice auriculo-ventriculaire gauche est c
rt les petites tumeurs verruqueuses formées par les concrétions. La fig. 3' représente le même orifice auriculo-ventricula
de sang : point de tubercules. Le cœur qui a été représenté pl. 2, fig. 1 et 2 et pl. 3, fig. 1, offre les particularités
bercules. Le cœur qui a été représenté pl. 2, fig. 1 et 2 et pl. 3, fig. 1, offre les particularités suivantes : La fig. 1
fig. 1 et 2 et pl. 3, fig. 1, offre les particularités suivantes : La fig. 1 représente largement ouverts le ventricule et l
s en sens opposé pour se mouler sur la convexité de ce vaisseau. La fig. 2 représente l'oreillette droite largement ouvert
es plus liquides et réduit à sa partie compacte. Le fait représenté fig. 2,pl. 3,xxixelivraison est un des'plus remarquabl
nt j'évalue la quantité à cinq cents grammes environ. Le péricarde ( fig. 1, planche vi, xlc livraison) avait une capacité
pseudo-membraneuse , mais beaucoup moins épaisse. La coupe du cœur ( fig. 2) représente l'épaisseur de la couche pseudo-mem
ient tapissées par une fausse membrane réticulée toute récente (FI P, fig. 1 ). La base du même poumon présentait à sa circo
que des maladies du cœur, deuxième édition, Paris, i84i, 2 vol. in-8. fig. — Traité clinique du rhumatisme articulaire et de
chidien, le pédoncule cérébelleux correspondant et le cervelet. (Voy. fig. i, 2, 3.) Cette tumeur adhérait, par un pédicul
érait, par un pédicule considérable, à la face postérieure du rocher ( fig. 3). La fig. 1 représente la section du pédicule P
n pédicule considérable, à la face postérieure du rocher (fig. 3). La fig. 1 représente la section du pédicule PT.— Elle nai
représente la section du pédicule PT.— Elle naissait d'une cavité TE, fig. 4, située sur la face postérieure du rocher, cavi
ditif interne au trou déchiré postérieur et au canal carotidien. La fig. 1 représente la tumeur dans ses rapports avec la
fs optiques (2e P.) complètement atrophiés. Leur tissu est gris. La fig. 2 représente la tumeur renversée, de manière à me
it pas le moindre vestige de dégénération cancéreuse; le pédicule PT, fig. 1, offrait même quelques traces d'ossification. C
ion. Ce pédicule, qui s'enfonçait dans le creux irrégulier représenté fig. 4, a pu facilement en être séparé, en sorte que l
tait impossible à reconnaître au milieu de la cavité anfractueuse TE ( fig. 4) qui réunissait le conduit auditif interne et l
ure-mère, j'ai vu la cause de la paraplégie dans une tumeur ovoïde T ( fig. 2'), grisâtre , molle, nettement terminée en haut
oï-dien , et adhérait assez intimement à l'arachnoïde viscérale. La fig. 2 représente la moelle vue par la face postérieur
ians postérieurs. — Tumeur encéphaloïde autour de la queue de cheval ( fig. i et i', pl. i). (i) Pineau (Marie-Geneviève),
ugeâtre TA,molle, bosselée, entièrement semblable à celle représentée fig. 2 , 2'et 2"; tumeur située , comme elle , dans le
rmation a lieu de bas en haut jusqu'au calamus. Vue antérieurement ( fig. 1'), la moelle présente la même disposition que l
illies sur les sujets auxquels ont appartenu les moelles représentées fig. i et i et 2, je me contenterai d'une simple expli
simple explication des figures. Plus heureux pour les cas représentés fig. 3 et 4 ? je pourrai donner sur eux les détails le
euse par masses disséminées? Je reste dans le doute à cet égard. La fig. 2 représente la face postérieure d'une moelle app
ronique. — Dégénération grise des cordons postérieurs de la moelle ( fig. 3). Mademoiselle Gruyer, 54 ans, brodeuse, à l'
unâtre et indurée TG, TG , qui occupe toute la longueur de la moelle ( fig. 3, pl. 2). Supérieurement, les cordons transformé
on suivante , qui a beaucoup de rapport avec l'altération représentée fig. 3, ou plutôt qui est identique avec cette altérat
des couches optiques des corps calleux, de la voûte à trois piliers ( fig. 4, pl. 2). Dargès,37 ans, cuisinière, à la Salp
bronchite. La malade est morte par les poumons. Etat de la moelle ( fig. 4, pl. 2). Face antérieure. —Bulbe rachidien. — L
des deux tiers supérieurs avec le tiers inférieur de la moelle. La fig. 4'? qui représente la partie inférieure de la moe
les muscles longs du dos atrophiés et réduits à une lame assez mince ( fig. 1, KH, RH), une tumeur molle, fluctuante, tout-à-
yant été dépouillée de son névrilème propre (Pl. v, xxxvme livraison, fig. i et i'), la dégénération grise apparaît dans tou
u'elle est bien plus considérableà la région postérieure, représentée fig. i', qu'à la région antérieure, représentée fig. i
térieure, représentée fig. i', qu'à la région antérieure, représentée fig. i. Les colonnes antérieures de la moelle ne prése
nération grise, elle était très variable, suivant la région. La coupe fig. 1'', qui a été faite à la hauteur indiquée sur la
ses, tout-à-fait semblables à celles qui sont représentées planche v, fig. i. Au bulbe rachidien, légère diminution de vol
oncules cérébraux et cérébelleux. (Planche i, xxr8 livraison.) La fig. i (xxi livr.) représente un foyer apoplectique de
e de l'intelligence, du sentiment et du mouvement. La protubérance ( fig. i) est convertie en une poche, limitée en arrière
la base du cerveau, dans le tissu cellulaire sous-arachnoidien. La fig. 2, qui appartient à un autre individu sur lequel
er la lésion matérielle, source de l'hémiplégie. Or, la protubérance ( fig. 3, pl. 1, xxie liv.) est petite et déformée, et p
était peu profonde, tandis que celle de la moitié gauche, représentée fig. 3', était extrêmement profonde, et intéressait la
semblé, au premier abord, résolue négativement par le fait représenté fig. 3; car, vue à sa surface, la moitié droite de la
eurs de ces lésions que des détails descriptifs fort incomplets. La fig. i représente une tumeur de nature cancéreuse comp
erveau que les moindres nuances de coloration sont appréciables. La fig. 3 représente une protubérance annulaire, qui m'a
r était blanc-grisâtre, sa dureté assez grande. Sa coupe, représentée fig. 2, offre une surface grise à peine nuancée, dans
pliquée sur un verre et vue contre le jour, présentait l'aspect de la fig. 2'. Je regarde cette tumeur comme appartenant à
tumeur comme appartenant à la classe des lésions tuberculeuses. La fig. 3 représente une tumeur que j'ai retirée du milie
laire, qu'il est consécutif à la déchirure des petits vaisseaux. La fig. 3 représente un mode d'apoplexie capillaire assez
violacée. Les faits suivans seront confirmatifs de ceux représentés fig. 2 et 3. Deux foyers apoplectiques, l'un du lobu
tude prodigieuse de taches pétéchiales d'apparence scorbutique (voyez fig. 3), ou plutôt de petits épanchemens miliaires, la
s parties ramollies par apoplexie capillaire. Le cerveau représenté fig. i, xxxvie livraison, appartient à une jeune fille
ne l'indique. Pendant que je faisais dessiner le cerveau représenté fig. i,une vieille femme de la Salpétrière mourut dans
uence nécessaire. EXPLICATION DE LA FIGURE 1 DE LA PLANCHE I. Les fig. 2 et 2' représentent un cerveau qui appartenait à
type pour l'apoplexie capillaire portée à son summum d'intensité. La fig. 2 représente la surface du cerveau parsemé de pla
globules sanguins disposés suivant des lignes irrégulières. (1) La fig. 2 présente en outre un énorme foyer apoplectique
e un énorme foyer apoplectique subjacent aux plaques lie-de-vin. La fig. 2', qui est la coupe d'un des hémisphères, établi
les parties centrales avaient été conservées; dans le cas représenté fig. 1 et 2% toute la masse encéphalique fait défaut e
', 3", 3"'. Cysticerque du cerveau. J'ai observé le fait représenté fig. 3, 3', 3" et 3"', sur le corps d'une vieille femm
— Pus séreux d'une horrible fétidité dans la cavité des ventricules ( fig. i). Martin, 3-2 ans, conducteur des Messageries
rmes ou autres, ou permanent et alors les effets sont durables. Les fig. 2 et 2' représentent une tumeur carcinomateuse de
à la manière d'une mûre. Son tissu était mou, encéphaloïde. La coupe, fig. 2, offre de petits foyers de sang qui attestent c
our la forme, le volume et même la consistance, la tumeur représentée fig. i et 2; c'était à quelques égards, sauf la consis
ur qui naissait de la surface orbitaire, comme dans le cas représenté fig. 1 et 1 était complètement logée dans une excavati
i a pour sujet la femme à laquelle a appartenu le cervelet représenté fig. i, est une des plus complètes que je possède à ce
ce de cette perte de substance est irrégulièrement dentelée. La coupe fig. i' montre la ténuité de cette pellicule, et l'int
surface du cervelet. Fig. 3. Apoplexie capillaire du cervelet. La fig. 3 fournit un exemple d'apoplexie capillaire du ce
remment et la substance grise et la substance blanche. Fig. 4. La fig. 4 a pour sujet un cervelet qui a été présenté à l
Explication des figures. Les deux productions cornées représentées fig. i et i', fig. 2 et 2', ont été adressées à l'Acad
es figures. Les deux productions cornées représentées fig. i et i', fig. 2 et 2', ont été adressées à l'Académie de médeci
égulière que remplissait une production ou végétation de la peau. Les fig. 1' et 2' représentent une coupe longitudinale de
rimer sur ce point une opinion à « l'abri de toute objection. » Les fig. 3 et 3' représentent une production cornée (1) qu
ement libre d'adhérence avec l'os de la pommette. Cette végétation ( fig. 3et3') avait 4 centimètres de longueur sur 2,1/2
, est sillonnée dans toute sa longueur par des stries longitudinales ( fig. 3); l'autre inférieure, concave, présente trois n
oprement dite. (1) dette pièce est déposée au musée Dupuytren. La fig. 3' représente la coupe de la même production corn
disposition striée, linéaire, que nous avons déjà remarquée dans les fig. i' et 2'. Production cornée de la région lombai
peau qui lui sert de support. Cicatrisation. (Fig. 4 et 4'-) Les fig. 4 et 4' représentent une production cornée qui a
x incisions semi - elliptiques la base de la végétation morbide (voy. fig. 4)- K Par une dissection scrupuleuse, ajoute cet
i j'en juge par l'état de la peau qui supporte et avoisine la tumeur ( fig. 4), la dégénérescence cancéreuse ne me paraît pas
en s'éloignant de la peau. La coupe verticale de cette végétation ( fig. 4) présente également un aspect fascicule. Ce ne
un aspect fascicule. Ce ne sont pas de simples stries comme dans les fig. 3 et 3', mais des faisceaux bien distincts et qui
ce. (2) Hist. de la Soc. roy. de méd., tom. i , pag. 3i : , pl. xu, fig. xv. xxive livraison. 2 durs, contournés et ar
pratiquée plusieurs fois chez le nègre dont la corne est représentée fig. 4 et 4, xxxiv6 livraison. Mais la résection n'e
itement qui a été employé chez le nègre dont la corne est représentée fig. 4 et 4 • Un autre traitement consiste à enlever l
dons nerveux, mais par celle du tissu propre des nerfs lui-même. La fig. 2 représente une tumeur sphéroïdale du volume d'u
daient dans l'enveloppe fibreuse. Aucun ne traversait la tumeur. La fig. 2 montre la tumeur vue par sa face antérieure. La
a tumeur. La fig. 2 montre la tumeur vue par sa face antérieure. La fig. 2' montre la même tumeur vue par sa face postérie
e. La fig. 2' montre la même tumeur vue par sa face postérieure. La fig. 2'' montre la tumeur divisée: elle était molle, b
n'était qu'un des effets consécutifs de l'infection cancéreuse. Les fig. 3 et 3' représentent un fragment de nerf (je ne s
nerf (je ne sais lequel), ayant subi une altération remarquable. La fig. 3' représente ce nerf vu avant la dissection et s
s. On voit qu'il offre un renflement dur, gangliforme. La dissection ( fig. 3) a démontré que chaque filet nerveux avait son
au sujet de cette altération remarquable. xxxve liviuvsojv. I Les fig. 4 et 4' représentent une tumeur encéphaloïde déve
Les filets nerveux ont été tous rejetés au-devant de la tumeur. La fig. A' représente cette tumeur ouverte: elle contenai
soin d'être sondé, ce qui fut fait avec la plus grande facilité. La fig. 3 représente la vessie et la prostate non ouverte
il : leurs rapports avec la symphyse du pubis ont été conservés. La fig. 2 représente la prostrate, la vessie et les vésic
o-postérieur, 2 pouces ; diamètre transverse, 2 pouces 9 lignes. La fig. 1 représente le canal de l'urètre et la vessie ou
la muqueuse urétrale et la surface interne du canal prostatique. La fig. 4 représente une coupe verticale de la prostate f
purulente et un calcul mural gros comme une forte noix. Sa capacité ( fig. 1 et 3) était beaucoup plus considérable qu'elle
en pareil cas. Ses parois étaient considérablement hypertrophiées ( fig. 1 et 3). L'hypertrophie n'avait nullement porté s
tés les plus remarquables se voient du côté du col de la vessie. La fig. 1 représente la vessie ouverte, le trigone vésica
umeurs, situées l'une à droite, l'autre à gauche de cet orifice. La fig. 2 représente la vessie renversée, et par conséque
es dans la vessie et interceptent une sorte de museau de tanche. La fig. 3 représente la vessie et le canal de l'urètre ou
ste. On peut toutefois se rendre compte de la disposition représentée fig. F, en admettant que dans les efforts de contracti
Fig. 4s Phlébite rvésicale. Le cas de phlébite vésicale représenté fig. 4 m'a été donné par M. Monod, alors interne des h
r/Jicnard ¿CU (XXXIXe LIVRAISON, PLANCHES I ET II). PLANCHE I. La fig. i représente un cas d'hypertrophie de la vessie q
e la présence de deux canaux de l'urètre, l'un supérieur, plus petit ( fig. 3'), qui occupe la face dorsale de la verge, au n
orsale de la verge, au niveau de la ligne médiane; l'autre inférieur ( fig. 3), qui présente la situation, la structure et la
anal de l'urètre ordinaire. Ces deux canaux s'ouvraient sur le gland ( fig. 3" ), savoir : le canal inférieur dans le lieu ac
V, XXXVIe LIVRAISON.) EXPLICATION DES FIGURES DE LA PLANCHE III. La fig. i représente un calcul urinaire, contenu dans le
urs aucun renseignement sur le sujet auquel a appartenu ce rein. La fig. 2 représente la coupe d'un rein remarquable par s
d'anatomie pathologique qui appelait des recherches ultérieures. La fig. 3 représente un rein converti et un kyste multilo
er, les couches optiques et les corps striés. Reins. Le rein droit ( fig. 3, pl. m, xxxvie livraison) avait le volume de la
ange d'urine. Quelques calculs nagent au milieu du pus. Les cellules ( fig. 3) qui ont remplacé les cônes du rein, communique
plusieurs semblent subdivisées par des espèces de brides. Le rein ( fig. 3) est entouré d'une très grande quantité de grai
t la forme d'un cône. Le fragment inférieur qui a été dessiné à part ( fig. 3), remplissait le bassinet et obstruait incomplè
gues devait piquer ma curiosité. Ce rein avait le volume représenté fig. i, pl. iv : il exhalait une très mauvaise odeur.
ent, sans mélange d'urines et de matières purulentes, le rein ( voyez fig. i) offre la transformation en poche multiloculair
e des poches était remplie par un calcul fort remarquable. Ce calcul ( fig. i ) était étranglé au niveau de l'orifice de la c
volumineuse, ce calcul a présenté un noyau central très cohérent ( fig. i'"), formé de lamelles superposées, dont quelque
'écoulement de la matière [contenue dans la poche rénale. L'uretère ( fig. i ) présentait plusieurs pierres d'un volume cons
er, j'ai à donner quelques explications sur les figures i et 3. Les fig. s et 3 représentent deux reins appartenant à une
s les calices voisins de celui dans lequel ils étaient contenus (voy. fig. 2'). Les reins n'ont d'ailleurs subi aucune dilat
uppose une liberté pleine et entière dans le cours des urines. (Voyez fig. i, pl. ni, xxxvie livraison.) Dans d'autres cas
ur retourner dans sa province, où il mourut quelques mois après. La fig. i représente un fungus d'une horrible fétidité, l
nt pénétrées de suc cancéreux gélatiniforme. La coupe de la tumeur ( fig. 2) représente un tissu blanc, demi transparent, s
mement à une partie de la tumeur, n'était pas encore envahi. On voit ( fig. 2) la coupe de la portion du muscle qui a été emp
ssu de la tumeur était demi transparent, d'aspect gélatiniforme. La fig. i' représente la tumeur divisée. La portion K, qu
ue celles qui répondent au kyste présentent un aspect lobuleux (voyez fig. i'). La substance de cette tumeur est partout pén
ées à représenter les aspects divers de la substance de la tumeur. La fig. 3 donne une idée exacte de la demi-transparence e
emi-transparence et de l'aspect du plus grand nombre des lobules ; la fig. 2 est l'image fidèle du développement veineux obs
demoiselle, est entrée à la Salpêtrière dans l'état suivant : (voyez fig. i.) Mamelle droite déformée, bosselée, d'une du
à concevoir que la malade n'ait pas accusé de douleur au genou. La fig. i qui représente la région antérieure du thorax,
u, mais encore il y en avait dans le tissu cellulaire sous-cutané. La fig. i en montre un certain nombre au devant des fibre
ne sont autre chose que des vaisseaux artériels restés intacts. La fig. 2 représente la coupe de la mamelle droite et cel
été divisés sur la ligne médiane , nous avons vu (xxme livr., pl. vi, fig. 3) que l'utérus, le vagin, la vessie et le canal
successive, en commençant par la couche la plus superficielle. Les fig. i et 2, pl. vi, sont propres à fournir la preuve
. vi, sont propres à fournir la preuve de ce fait si important. Les fig. i et i représentent l'utérus et la vessie vues ex
es mêmes que dans les veines capillaires observées sur la coupe de la fig. 3. Ce sont bien des veines, car indépendamment
ent avec les veines saines; et j'ai vu qtie des caillots obturateurs ( fig. i et i) isolaient complètement du reste du systèm
senté par le corps fibreux. Nous avons vu que, dans le cas représenté fig. 2, xiii6 livraison, des efforts d'expulsion avaie
partie. Or, en examinant avec soin la face postérieure du polype PP ( fig. i), je reconnus que sa partie supérieure était re
ermine par un bord dentelé et très mince OU A. La coupe représentée fig. 3 montre que ce polype n'est autre chose qu'un co
isseaux artériels et veineux acquièrent un calibre considérable (voy. fig. a, pL vi,xinc livr.), probablement aussi les vais
entation notable du volume de l'organe; dans le second, comme dans la fig. 3, elle est liée à l'hypertrophie de l'utérus. El
ier. L'opposition qui existe entre l'altération représentée dans la fig. i et celle représentée dans la fig. a, vient à l'
l'altération représentée dans la fig. i et celle représentée dans la fig. a, vient à l'appui de ce que j'avance. Dans la fi
présentée dans la fig. a, vient à l'appui de ce que j'avance. Dans la fig. i, on voit la dégénération dite cancéreuse; dans
nce. Dans la fig. i, on voit la dégénération dite cancéreuse; dans la fig. i, se voit une gangrène sans aucun vestige d'alté
le résultat de mes dissections au sujet du cancer pultacé représenté fig. 1, et de tous les cancers du même ordre. Si „ d
ns : tantôt elle envahit en masse une grande étendue de parties. La fig. i est le type de la gangrène par couches successi
la planche 6 de la xxine livraison. explication des figures. Les fig. i et 2 représentent deux cas différens. La fig. i
on des figures. Les fig. i et 2 représentent deux cas différens. La fig. i représente, de profil et vus par leur surface e
plie de suc cancéreux. La coupe de ce tissu présentait l'aspect de la fig. 2. La pression exercée sur les bords de la coupe
ssé du suc cancéreux qui l'infiltrait, ce tissu utérin est représenté fig. 3. — L'ovaire O et la trompe utérine gauche TG so
gauche TG sont appliqués sur les côtés de l'utérus et adhérens. La fig. 2 présente une coupe de l'utérus, de la vessie et
vait oblitération complète de la partie inférieure de l'uretère. La fig. 3 représente une tranche du tissu de l'utérus qui
s que la théorie semblerait indiquer. L'urine dilate l'uretère (voyez fig. i)\ en même temps qu'elle le dilate, elle l'allon
ture du corps. Il ne reste de l'utérus que le corps (voyez planche n, fig. i) ; le col a été complètement détruit par la gan
uqueuse, qu'une pseudo-membrane mince recouvre. L'uretère droit OD, fig. i, est volumineux ; son calibre, U G , fig. 2 , e
re. L'uretère droit OD, fig. i, est volumineux ; son calibre, U G , fig. 2 , est plus considérable que de coutume, et ses
ême temps que le rein, j'ai fait représenter la capsule surrénale CS, fig. 1, qui était remarquable par son développement. L
de tanche, diagnostiquer un cancer de l'utérus dans le cas représenté fig. i. Comment, en effet, diagnostique-t-on le canc
s organes génitaux d'une jeune fille morte phthisique. Les trompes ( fig. 3) sont flexueuses, d'une résistance élastique, c
, lequel était complètement oblitéré. La trompe droite ouverte T D O ( fig. 3') présente une multitude de plis longitudinaux,
rpris de sa mollesse presque fluctuante, je l'incisai, et je trouvai, fig. 6', une masse adipeuse mêlée de poils, dont un ce
Lausannœ, 1768. (2) De Duplicitate monstrosa, Halae, i8i5, in-fol. fig. (3) Philosophie anatomique, t. II, Monstruosité
rfaitement au moment où, M. Jolly m'adressait cette observation. La fig. i, pl. v, représente le fœtus double femelle vu p
t de la poche herniaire a eu lieu par le fait de l'accouchement. La fig. 2 , pl. v (grandeur naturelle), représente le can
le nom de jéjunum pour redevenir double à sa partie inférieure. La fig. i, pl. vi (grandeur naturelle), représente les vi
beaucoup plus considérables que l'auricule supérieure droite OS (Voy. fig. 2) et l'auricule inférieure gauche OT. On voit en
publiée par Valentin (Ephem. nat. cur. dec. 11, Ànn. ni, obs. 90 avec fig. ), et par Dorsten (Dissert, de monstr. human., Mar
avité abdominale. Estomac. La presque totalité de l'estomac (Pl. 3, fig. i ), la portion pylorique P exceptée, et la fin d
us à un repli membraneux, extrêmement mince et parfaitement sain(voy. fig. 1). Assurément le cancer du péritoine fournit l'e
7 (1857) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Atlas
érold V. l'atlas du Traité d'ana-tomie comparée de M. Carus, pl. VII, fig. 2,5 et 26. ) 1. Ganglion céphalique. 2. Cordo
se; au lieu de circonvolutions, il existe seulement sur chaque lobe, ( fig. i ) une dépression dirigée d'avant en arrière, et
ne dépression dirigée d'avant en arrière, et une dépression latérale ( fig. 2) qui est comme un rudiment de la scissure de Sy
me du cerveau du castor. Les dépressions que l'on voit sur ses lobes ( fig. ire)nesont pas symétriques. La fig. 2 représente
ions que l'on voit sur ses lobes (fig. ire)nesont pas symétriques. La fig. 2 représente la base du cerveau du même animal. e
ne de Tali-mentivité:le reste de cette circonvolution se voit dans la fig. 3, au-dessus du corps calleux. 1. Partie moyenn
e, l'est ordinairement. Cette interruption est très marquée à droite, fig. i , et moins à gauche; elle est indiquée chez la
e présente cette section, désignées par les mêmes lettres que pour la fig. 3 du renard (pl. IV). Pour bien distinguer les
la disposition que présente la première et la seconde circonvolution ( fig. 2). Entre l'une et l'autre, le sillon n'est pas c
l, et que l'on trouve très marqué sur le lobe correspondant du lion ( fig. ij. Ces deux faits dont le premier seul est const
amment retrouvé les caractères que j'indique ici. M. Serres (pl. XIV, fig. 264 et 265 de son atlas) a donné un prétendu encé
onvolutions. Coati brun. La partie antérieure de la circonvolution ( fig. 2) qui borde la scissure de Sylvius, est plus ami
rtion correspondante de la seconde circonvolution qui la recouvre. La fig. 1 représente l'encé- ENCÉPHALE DE LA FAMILLE DE
lle des renards, et ceux de la famille des chats. [V, pl. IV, renard, fig. 3; et pl. V, chat, fig. 3.) ENCÉPHALE DE LA FAM
de la famille des chats. [V, pl. IV, renard, fig. 3; et pl. V, chat, fig. 3.) ENCÉPHALE DE LA FAMILLE DES MOUTONS {compre
nombre de quatre. Les deux supérieures sont celles que j'ai décrites fig. I; les deux autres, nées dans le même point, à l'
llesse réunissent au point marqué + sur le cerveau du bœuf (Pl. VIII, fig. a). La réunion continue jusqu'à la ligne ponctuée
mouton coupé d'avant en arrière, sur la ligne médiane. Comme dans la fig. 3, on voit ici quels sont les rapports de l'encép
duire en erreur, et ne conservez que la disposition générale : sur la fig. i , vous aurez des circonvolutions continues d'av
ontinues d'avant en arrière dans toute la longueur du cerveau; sur la fig. 3, il en sera de même, et sur la fig. 4 cette sup
la longueur du cerveau; sur la fig. 3, il en sera de même, et sur la fig. 4 cette suppression n'est pas nécessaire, elle es
cessaire, elle est toute faite par la nature. Les lettres P. P. P.P., fig. 3, indicjnent qu'il y a quatre circonvolutions en
ue existe chez l'ours. Les points marqués 4-sur le cerveau du bœuf ( fig. i et 2 , pl. VIII), indiquent la jonction des cir
rire un demi-cercle, vous aurez presque un cerveau de renard (Pl. IV, fig. 2.). Oubliez toutes vos suppositions, ne conser
'autre bien formé chez l'ours. Quant à la circonvolution interne I, fig. 4? elle diffère de celle du renard, seulement en
le, ainsi qu'on peut s'en convaincre en comparant le crâne du mouton, fig. 3 et 4, avec celui de l'homme (Pl. XVI, XVII et X
entre ces parties est formée,d'une part, par la scissure de Sylvius ( fig. 2), et d'autre part, par la réunion commune des c
e du cerveau du bœuf présente donc une double circonvolution externe ( fig. 1) et une double circonvolution supérieure (fig.
convolution externe (fig. 1) et une double circonvolution supérieure ( fig. j ). Cheval. Côté gauche de l'encéphale de cet
I, I vont s'unir à la circonvolution antérieure et moyenne (pl. VIII, fig. i). P. Circonvolution postérieure. I. I. Circ
licité du cerveau de chevreuil comparée à celui du mouton (pl. VII, fig. a) est encore ici très évidente. Daim. On voit
ntre les circonvolutions du côté droit et celles du côté gauche de la fig. ï. La direction de toutes ces circonvolutions est
. Encéphale vu par sa (ace supérieure et dont le lobe cérébral droit ( fig. 2) a été détaché par la section du corps calleux
-h où elle s'unit avec un prolongement de la circonvolution interne ( fig. 5). Sur le lobe droit de la même figure se trouve
. 2. Lobe latéral du cervelet, dont le lobe moyen se voit en partie fig. i et fig. 5. 3. Troisième lobe du cervelet ou f
e latéral du cervelet, dont le lobe moyen se voit en partie fig. i et fig. 5. 3. Troisième lobe du cervelet ou flocons.
a moelle d'un homme adulte vers le milieu du renflement cervical (Cf. fig. 6). à. Sillon médian antérieur, á. Sillon méd
4G\ Coupe de la même moelle vers le milieu de la région dorsale (Cf. fig. 7). a. Sillon médian antérieur. b. Sillon méd
aux coupes analogues pratiquées sur la moelle de l'enfant nouveau-né, fig. 6, 7 et 8, on pourra constater une proportion rel
gauche vue de manière à mieux faire comprendre certains détails de la fig. 4. après l'ablation de la bandelette optique. a
ation est une modification très-simple de celle qui a été représentée fig. 5. Les fibres postérieures du corps calleux (fig,
ux (fig, 5, c") ont été enlevées ainsi que ses branches descendantes ( fig. 5, c", ci% ce), puis on a soulevé et détaché avec
, ci% ce), puis on a soulevé et détaché avec précaution le tapis (oo' fig. 5) et le tractus gris du corps strié inférieur (p
le tapis (oo' fig. 5) et le tractus gris du corps strié inférieur (p fig. 5). Les expansions cérébrales du nerf optique o
loppe exactement appliquée sur lui, et qui ont déjà été indiquées, g, fig. 1. k.k. Faisceau perforé et anse du pédoncule cér
nt complètement effacées. Fig. 5. Profil du cerveau déjà représenté fig. \, les hémisphères ne recouvrent point les lobes
passage. Fig. 4. Face interne de l'encéphale, déjà figuré Pl. XXIX, fig. \. C. M. Commissure molle dont les deux moitiés
Face interne de l'un des hémisphères du cerveau représenté Pl. XXIX, fig. 5. C. Cervelet. L. OP. Lobes optiques. G. M
Cette figure montre l'expansion des fibres de l'ourlet. Cf. Pl. XXVI, fig. 4. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère.
ig. SO. Expansions du corps calleux clans l'hémisphère. Cf. Pl. XXVI, fig. 2. E. F. Extrémité frontale de l'hémisphère. E.
nges. Fig \\. Expansions cérébrales du nerf optique . Cf. Pl. XXVI, fig. 4. N. OP. Nerf optique très-grêle, C. G, Corps
8 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome sixième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Première partie
° Dans la région sus-hyoïdienne, au-devant du pharynx, 1 Planche 2, fig. i, 2, et planche io, %. i. les muscles abaisseu
Squelette. Cette région ne renferme, 1 Planche i, n° i4; planche 2, fig. i ; et planche 6. à proprement parler, aucune p
-gastrique ; et, derrière les gros vais- 1 Planche î, n° planche a, fig. i ; et planche 6. seaux, sont situés le tronc d
ne placée entre l'extrémité sternale 1 Planche i, n° i6; planche a, fig. i ; et planche 6. de la clavicule et l'attache
atique ordinairement les sétons. ' Planche i, n° 17; et planche 10, fig. 1. Parties constituantes, i 0 Peau. D'une épais
n tranchant; il coupe plus en pressant qu'en sciant : 1 Planche i4, fig. 6. * Planche i5, fiy. l\ aussi, la troisième po
section doit être précédée de la tension de la peau; on 1 Planche i5, fig. 7. ' Planche i4, fig. 2, 3, 4, 5, et planche i5
ée de la tension de la peau; on 1 Planche i5, fig. 7. ' Planche i4, fig. 2, 3, 4, 5, et planche i5, fig. -i. l'opère gén
1 Planche i5, fig. 7. ' Planche i4, fig. 2, 3, 4, 5, et planche i5, fig. -i. l'opère généralement avec la main gauche et
ite et à gauche de la ligne que doit suivre l'instru- 1 Planche 16, fig. 5. ment, et, en les soulevant, un pli résulte d
tranchant de la laine à gauche et à droite, en avant 1 Planche if, fig. l\. et en arrière. Dans tous les cas, on doit,
esser les parties sous-jacentes. 1 Planche 16, %. 3. 1 Planche i/|, fig. 7. incisions elliptiques. Les incisions ellip
communiquent ensemble par un trajet plus ou moins si- 1 Planche 17, fig. 18. 1 Planche i4, fig- ~-3 Planrhe i5, fig. 3.
moins si- 1 Planche 17, fig. 18. 1 Planche i4, fig- ~-3 Planrhe i5, fig. 3. nueux, on introduit la sonde cannelée par l'
décrivent un X par lecartement simultané des branches 1 Planche 17, fig. 11, 12, F3. des lames, la vis servant d'appui c
plus d'intérêt à détruire le ¦ Planche il\, figj. 2. * Planche i5, fig. 1. parallélisme entre l'ouverture intérieure et
de la chaleur. Le degré de température des cautères a 1 Planche 17, fig. à 3j, t. VI. beaucoup d'influence sur leur mo
é son effet, appliqué sur l'homme, dans un cas d'ané-vrisme. (Pl. 31, fig. 5.) Torsion. Des divers procédés de lésion des
re dans les plaies par arrachement. Procédé de M. Amussat. (Pl. 3i, fig. 7.) Quatre pinces sont employées. Saisir de la ma
de la main gauche, et faire exécuter avec la pince de droite (Pl. 34, fig. 8.) huit à neuf tours de rotation. Le nombre de
end à s'arrêter d'elle-même. Selon. (Pl. 34 , fig- 11, et pl. 3 1 , fig. 10.) Ce n'est également que pour mémoire que nous
t à cet effet d'un petit cautère approprié, chauffé à blanc ( Pl. 17. fig. 31), ou au besoin d'un (il métallique degrosseurc
la canine ou une incisive déviée. Pour redresser une dent (Pl. 25 , fig. 4-), on se sert d'une plaque en or, argent ou ivo
nneton en dehors. Il faut alors avoir recours au crochet en Z (PL 25, fig. 3 et 4-) qui permet d'agir, le panneton appuyant
d'une gouttière dans laquelle est reçue la tige du crochet. (Pl. 26, fig. ?J\.) 20 Avec le davier. Cet instrument est cel
és de maladies aiguës. PERFORATION DU LOBULE DE L'OREILLE. (Pl. 22, fig. 2.) Cette légère opération est une sorte de pon
s, ils sont à peine suivis d'une légère vésication. séton. (Pl. 22, fig. i, 2, 3, 4-) Cet exutoire consiste dans une pla
sortes de scarificateurs: l'un à ressort, dit scarificateur allemand( fig. 6), qui agit de lui-même; l'autre, à manche, qui
pour éviter les vaisseaux profonds : 20 de dedans en dehors (pl. 23, fig. 1 ). Cette modification , qui écarte d'abord et l
uscle lui-même. section du tendon d'aciiille (soléaire). (Pl. 2 3 , fig. ) La section du tendon d'Achille a pour objet d
re et la veine frontales profondes. Procédé de M. Felpeau. (Pl. 23, fig. 6.) Le chirurgien est placé, debout, derrière le
de dent molaire. T. VI. Procédé par la muqueuse buccale. (Pl. a3, fig. ~. Dans cette opération, qui se pratique sous la
La ventouse la plus simple se compose d'une cloche de verre (pl. 27, fig. 1,2, 3 ) de deux à trois pouces de hauteur sur au
ce procédé, est encore moins complet. 20 Ventouse à pompe. (Pl. 27, fig. 4-) Elle produit, en théorie, les mêmes effets
ns, le rasoir, le bistouri, la lancette et le scarificateur ( pl. 27, fig. 6, 7 ), peuvent servir à les faire. Les scarifi
vaise qualité et l'infidélité de leur emploi. Bdellomètre. (Pl. 27, fig. 8, 9.) Cet instrument, imaginé par MM. Sarlandièr
iter et dont les glandes mammaires sont fortement engorgées (pl. 2-7, fig. 3 ). L'aspiration de la ventouse, précieuse en pa
l'abord derrière le trajet de l'instrument. SAIGNÉE DU COU (pl. 3o, fig. C). Considérations an atomiques. On la pratique
t convenir pour un dégorgement local. Saignée par incision (pl. 3o, fig. D et D2 ). C'est comme une dernière ressource ava
stitue le procédé de M. L. Sanson. Procédé de M. L. Sanson (pl. 3i, fig. i, 11" 3). L'instrument se compose de deux petite
le ne faire qu'une ligature temporaire avec un nœud coulant (pl. 3 1, fig. 2, n° 5 ), cle manière à être immédiatement prêt
es anévrismatiques dont ils sont formés. Incision multiple (pl. 3i, fig. 2, n° 7). Appliquer sur le membre deux ligatures
ndage compressif. Incision unique. Procédé de M. Richerand (pl. 31, fig. 1, n° 9). Avec un bistouri convexe inciser longit
uille de Deschamps, et qui en justifie l'emploi dans ces cas (pl. 36, fig. 1, A). Si, dans la première incision, on néglig
devant se faire en deux temps. ARTÈRE t1riale POSTÉRIEURE (pl. d^, fig. i et 1 ) 1. Situation. Situé sous la cloison tr
qui a opéré de cette manière avec succès. Artère péronière (pl. 37, fig. 3) '. Situation. Logée profondément à la face p
i° Incision latérale interne. (Procédé de l'auteur : planche 38, fig. 2.) Le sujet couché de côté ou sur le dos, le m
opératoire. i° Ligattire au tiers inférieur de la cuisse (pl. 3o,, fig. 4 et 5). lia cuisse étant couchée sur son côté
sous le couturier, à la partie moyenne ou au tiers supérieur (pl. 39, fig. 2 et 3). On considère comme une modification d'
le nerf médian. 3° Ligature à la partie supérieure du bras (pl. 42, fig. 1 ) '. Procédé de M. iÀsfranc. Nous appelons hu
s cas que nous avons dessinés d'après Pcllctan et M. ,lobert (pl. 3a, fig. r et. 2). Artère sous-clavière (pl. /j3 , |5) '
e l'opération. Incision transversale. — Procédé ordinaire (pl. 43 • fig. 1. A et A 2 ). Le malade assis ou couché sur un p
plus récens de médecine opératoire. A. Incision verticale (pl. 4$ , fig. 3. Cet C2 )• ï^es aides et le chirurgien placés c
primitive et le tronc brachio-céphalique. ARTÈRE LINGUALE (pl. 44, fig. 2). Situation. Dégagée de la carotide externe,
oulever le vaisseau et le lier. ARTÈRE CAROTIDE PRIMITIVE (pl. l\1, fig. 2 ; et pl. 4$, fig. i). La ligature de l'artère
et le lier. ARTÈRE CAROTIDE PRIMITIVE (pl. l\1, fig. 2 ; et pl. 4$, fig. i). La ligature de l'artère carotide externe es
. Manuel opératoire. i° Ligature à la partie supérieure (pl. 45 , fig. i. A et A3). Le malade étant couché sur le dos
ez peu prononcé, formé par l'épaisseur du sterno-mastoïdien ( pl. 10, fig. i ) ; et si ce muscle dans l'opération est conven
. 2° Ligature à la partie inférieure. Procédé de M. Sédillot (pl. fig. 2. G et G 2 ). L'objet de l'auteur est d'aller ch
en elle-même. Manuel opératoire. Procédé de M. F. Mott (pl. 46 , fig. 1. A et A a). Le malade couché sur le dos, le cou
ligature avec un simple fil de soie. Procédé de M. Kincj (pl. l\G , fig. a. B et B2 ). Le malade couché sur le dos, la têt
eur, se rétablit par la dilatation des branches collatérales (pl. 33, fig. 3 et 4; et 33 bis, fig. 1, 2, 3, 4). C'est très i
dilatation des branches collatérales (pl. 33, fig. 3 et 4; et 33 bis, fig. 1, 2, 3, 4). C'est très injustement et, heureusem
ue d'opposition, l'une et l'autre fixées par un compresseur (pl. 20 , fig. i,2,3). Ce moyen, du reste, est celui qu'ont empl
, c'est l'électro-puncture. Procédé opératoire. L'aiguille (pl. 22, fig. 10) peut être introduite par trois procédés.—Prem
cuillers fenêtrées ; la meilleure est celle de M. Charrière (pl. 19, fig. 3), dont les mors, qui s'écartent parallèlement,
sur le bassin et avec rotation du genou en dedans. M. Barton (pl. 5o, fig. 4) pratiqua d'abord sur la partie la plus saillan
tte (consultez, pour la description de ces instrumens, la planche 55, fig. 8 à 17). Les manœuvres suivant lesquelles on di
eront examinés en leur lieu. La scie articulée ou à chaîne (pl. 55, fig. 14), à raison des brisures de sa lame, offre l'av
ursuivre les restes d'une carie. Le perforateur de Dupuytren (pl. 55, fig. 18) n'est autre chose qu'une espèce de ciseau auq
solides et plus fortement trempés. Les tenailles incisives (pl. 55, fig. 20, 21, 22) sont aux os ce que les ciseaux sont a
l'autre que de quatre millimètres (deux lignes). EXOSTOSE (pl. 5o, fig. i et l). On distingue plusieurs espèces d'exost
re sans crainte d'une fracture ou d'une incurvation. carie (pl. 54, fig. 10 à i3). On a caractérisé la carie l'ulcératio
dans la nécessité d'appliquer plusieurs couronnes de trépan (pl. 53, fig. A, B), et il est presque toujours impossible d'en
u moins éloignés. 4° Enlèvement de la cause de compression (pl. 53, fig. G). Lorsqu'on a affaire à une fracture avec enfon
Trépanation avecl'ostéotome. Enfin rostéotomede M. I leine (pl. 55, fig. i5), dont la manœuvre est si simple, serait aujou
seule indication qui en réclame encore quelquefois l'emploi (pl. 54, fig. 7 )• RÉSECTION DES OS. Les résections sont de
x phalanges conservées. EXTRACTION DE LA PREMIERE PHALANGE (pl. 56, fig. i). Pratiquée sur le pouce avec succès et avec
ns les cas de carie, de luxation, ou de fracture comminutive (pl. 56, fig. 2). Manuel opératoire. Pratiquer une incision l
ronnent l'articulation de toutes parts. Procédé de M. Roux (pl. 56, fig. 3 et 4)- On peut, suivant les cas, enlever l'extr
Premier temps. Résection de [extrémité inférieure du radius (pl. 56, fig. 4). La main placée dans la pronation et appuyée s
euxième temps. Résection de [extrémité inférieure du cubitus (pl. 56, fig. 3). La main fortement renversée en dehors, cette
s d'eux une plaque de bois protectrice. Procédé de [auteur (pl. 6o, fig. i, 2, 3). On peut simplifier les plaies opérato
tendons : ceux des radiaux externes qui doivent être déprimés en bas ( fig. i et 2) et les tendons extenseurs qui exigent aut
rnues, que l'on réunit sur les deux plaies à lajpeau par des sutures ( fig. 3). Appréciation. Aucun de ces procédés n'a une
il a fallu en venir à l'amputation. extirpation du radius (pl. 56, fig. 5). L'ablation complète du radius, en le désart
urable. i° Ablation du radius par désarticulation complète (pl. 56, fig. 5 ). L'avant-bras légèrement fléchi et placé da
avec raison recours au procédé suivant. Procédé de Moreau (pl. 56, fig. 1 et 2). Dans un lit disposé et éclairé convenabl
manière à former un lambeau à base supérieure et postérieure (pl. 58, fig. i et 2). Procédé de M. Buzairies. Comme dans le
édent ne sont guère que celui de White. Procédé de [auteur (pl. 58, fig. 3, l\ et 5). Le malade est assis sur une chaise,
remplacer la portion d'os enlevée. RÉSECTION DE L'OMOPLATE (pl. 63, fig. 2). Chez un malade qui portait dans la fosse so
rticulation. 20 Extraction complète du premier métatarsien (pl. 59, fig. 1). Tracer sur le côté interne de l'os et parallè
indications les plus ordinaires. i° Cuboïde et cunéiformes (pl. 61, fig. i ). Dans un cas où la carie des os situés au côt
t conservation de presque tous les mouvemens. 3° Calcanéum (pl. 6i, fig. 3). Si, à raison de son volume plus considérable
ne sont-ils pas plus funestes qu'utiles! Procédé de Moreau (pl. 59, fig. 4)- k° but de l'opération est d'enlever à la fois
ennent. Second temps. Pour pratiquer la résection du tibia (pl. 5g, fig. 1), la jambe étant couchée sur son côté externe,
pour scier et enlever les os altérés. Procédé de l'auteur (pl. 60, fig. l\, 5 et 6). La jambe reposant sur sa face postér
ciseau et du maillet ou préférablement avec la scie à chaîne (pl. 60, fig. 5). Pansement (pl. 60, fig. 6). Chacune des inc
ablement avec la scie à chaîne (pl. 60, fig. 5). Pansement (pl. 60, fig. 6). Chacune des incisions sera réunie au moyen de
isolément. i° Extraction du corps du péroné par M. Seutin (pl. 61, fig. 1). La jambe reposant sur son côté interne, prati
ion de l'extrémité supérieure du péroné. Procédé de l'auteur (pl. 61, fig. 4). La jambe dcmi-fléchic reposant sur sa face
céder de la même manière à la résection. Procédé de Moreau (pl. 62, fig. 1, 2, 3). Les analogies de forme qui existent ent
le maxillaire. On obtient après l'opération une large cavité (pl. 64, fig. 2) limitée en dedans par la cloison des fosses na
111 Résection de la partie moyenne du corps de la mâchoire (pl. 65, fig. 1). Procédé ordinaire ou de Dupuylren. Langenbe
ection de la moitié de la portion horizontale de la mâchoire (pl. 65, fig. 2). Procédé de M. J. Cloquet. Pratiquer une inc
seul lambeau supérieur. 5° Ablation totale de la mâchoire (pl. 65 , fig. 3 ). Après avoir, comme dans le cas précédent,
une pour chaque moitié de la mâchoire. RÉSECTION DES CÔTES (pl. 63, fig. i). Connue des anciens, cette opération fut tir
s des membres. AMPUTATION DANS LA CONTINUITÉ DES PHALANGES (pl. 67, fig. I, A, B). Anatomie opératoire. Négligeant ici t
de pinces à disséquer et à torsion. i° Méthode circulaire (pl. 69, fig. 1, 2, 3). Le poignet et les doigts fixés par des
nd plus sûre et plus facile. i0 Procédé ordinaire modifié (pl. 7 2, fig. 1,2, 3). Premier temps. Avec la main gauche saisi
entrent ainsi dans le procédé de Verduin. Procédé de Klein (pl. 74, fig. 1 , 2, 3). Le malade assis et fixé par des aides,
les et énucléer la capsule. Procédé de Louis et de Sabatier(p\. 74, fig. 4)-Le bras appliqué contre le corps, pour couper
lution de continuité. /Imputation du métatarse en totalité (pl. 80, fig. 1 et 2). Généralités. Les objections que M. Lis
u'en commençant l'opération par la face dorsale. M. Bau-dens (pl. 91, fig. 2) taille deux lambeaux égaux, l'un plantaire et
le biseau autant que possible aux dépens de la face dorsale (pl. 81, fig. 3 ). MM. Sanson et Blandin font l'ovale latéral
ion des tendons et des chairs inter-osseuses et scier les os (pl. 85, fig. 4 et 5 ). M. Garavel voudrait qu'on commençât par
ique un lambeau ovalaire antérieur ou postérieur. M. Baudens (pl. 91, fig. 4) pratique à son ordinaire une incision cutanée
ement les fibres profondes : le reste comme il a été dit (pl. 83 bis, fig. 7, 8, 9). Appréciation. M. Malgaigne, qui parle
ien voulu nous donner après l'avoir pratiqué devant nous (pl. 83 bis, fig. 10). A dix-huit millimètres en dehors de la crê
l'espace interosseux et scier les os. Nous donnons nous-même, pl. 83, fig. 1,2,3, le procédé de Vermale, que nous avons modi
és, contourner les os en 8 de chiffre et en faire la section (pl. 91, fig. 5). M. Bérard, au lieu de former les lambeaux, pr
ue pour la jambe. Procédé ordinaire modifié de J.-L. Petit (pl. 85, fig. i et 2). Premier temps. Le chirurgien, prenant
r une opération plus périlleuse. Procédé de M. Langenbeck (pl. 85 , fig. 3). Nous consignons à part ce procédé d'applicati
'autre par la face palmaire.— Premier procédé de M. Lisfranc (pl. 67, fig. 2). La main tenue en pronation, les doigts sains
ur recouvrir l'articulation. — Second procédé de M. Lisfranc (pl. 67, fig. 3). La main portée en supination, les doigts sain
Procédé de Ledran perfectionné par M. Walther et M. Lisfranc (pl. G8, fig. 2). La main placée en pronation, les doigts voisi
e le détacher. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Scoutetten(p\. 68, fig. i ). Tout étant disposé comme pour l'amputation à
x autres. amputation des quatre derniers doigts ensemble (pl. 68, fig. 3). La ligne des quatre articulations se tradui
orme le sommet. Méthode circulaire. — Procédé de M. Comuau (pl. 68, fig. 4)-— Premier temps. La main placée en supination,
u palmaire. — Procédé ordinaire perfectionné par M. Lisfranc (pl. 68, fig. 3). Pour contenir la main du malade, l'auteur pre
vers l'interne. Méthode a un lamreau. — Procédé ordinaire (pl. 70, fig. 2). La main placée en supination, lavant-bras con
acile. — 2° Procédé ordinaire, perfectionné par M. Lis-franc (pl. 70, fig. 3 ). La main placée en pronation, s'assurer de la
a section de leurs ligamens postérieurs. Méthode a lambeau (pl. 70, fig. 4)- Inciser en plein dans l'un des espaces inter-
côté à l'autre. méthode a deux lambeaux.— Procédé ancien (pl. 7 1, fig. 3,4). La main tournée en pronation, l'avant-bras
, mode de division très inférieur à la section circulaire. Réunion ( fig. 4)- Les artères à lier sont les deux troncs des a
artères à lier. Méthode ovalaire. — Procédé de M. Baudens (pl. 91, fig. 1 ). i° L'avant-bras étendu, la face externe du m
au et détacher l'olécrane du triceps. Procédé de Dupuytren (pl. 73, fig. 1). i°Lc membre en supination complète et légèrem
8o3) et dans une autre de M. Chasley. Procédé de M. Larrey (pl. 78, fig. 1 et 2). Le bras du malade appliqué contre le cor
ratoires sont les mêmes qu'à la main, à lambeaux ou ovalaire (pl. 79, fig. 1 et 2) : la méthode ovalaire est évidemment préf
t au gros orteil en particulier. Amputation du gros orteil (pl. 79, fig. 1, 2, 3). Depuis Ledran la plupart des chirurgi
ait à un recouvrement complet. Amputation des cinq orteils (pl. 79, fig. 4, 5, 6). Pour procéder à cette opération il es
s sans mâcher et taillader les chairs. — 2° Procédé ovalaire (pl. 81, fig. 4)- Le tubercule du cinquième métatarsien étant r
s en avant. Procédé de M. Lisfranc (à un lambeau plantaire; pl. 80, fig. 3, 4, 5). Le malade couché en supination, la jamb
les lambeaux et on les maintient par des bandelettes agglutinatives ( fig. 5); la jambe est couchée demi-fléchie sur sa face
cule du cinquième métatarsien. Méthode mixte de M. Bmtdens (pl. 91, fig. 3). L'objet de fauteur est d'éviter de sacrifier
du moyen cunéiforme entre ces deux os. Procédé de Chopart (pl. 81, fig. 1 et 2). Pied droit. La jambe fixée comme il a ét
nne moins incurvée que l'autre. Procédé de M. Sédillot (pl. 83 bis, fig. 5 ). Voici le procédé de l'auteur, traduit fidèle
procédé que nous allons décrire. Procédé de M. Baudens(v\. 83 bis, fig. i, 2, 3et 4). La jambe fixée par un aide, et le p
l'avantage de donner une large base de sustentation; et la cicatrice ( fig. 2), quoique formant la surface de pression, n'emp
de longues marches à l'aide de la bottine fabriquée par M. Gharrière ( fig. 4). AMPUTATION DANS L ARTICULATION FÉMORO-TIBIA
ation de la cuisse. Méthode ovalaire.—Procédé de M. Baudens(p\. 91, fig. 6). i° La jambe placée dans l'extension, commence
lambeau. Procédé de Lalouette, lambeau interne et antérieur (pl. 87, fig. 1 et 2). Le malade couché sur le côté sain, un to
de l'artère fémorale. Procédé de Delpech (lambeau interne: pl. go, fig. i). Commençant par une incision pour procéder à l
nt. .. Procédé de M. Lisfranc (lambeaux externe et interne: pl. 89, fig. 2). Le chirurgien est place en dehors du membre l
ière. Procédé de Béclard (lambeaux antérieur et postérieur: pl. 89, fig. 1). L'artère comprimée au pli de l'aine, les bour
de M. Baudens(lambeaux antérieur et postérieur : pl. 9 1, X: vi. fig. 8 et 9). Ce procédé ne diffère essentiellement de
beau postérieur. Méthode circulaire. Procédé d'Abernethy (pl. 90, fig. 2). Nous n'avons qu'à rappeler ce procédé, qui es
ence antéro-interne. Méthode mixte. Procédé de M. Larrey (pl. 87, fig. 3). Nous appelons du nom de méthode mixte ce proc
rnuau. C'est le procédé, ainsi modifié, que nous avons figuré pl. 88, fig. i, 2 et 3. Procédé de MM.Belmas etScoutetten. L
tes, qui ne diffèrent que par les lames. Ce sont: Les oiseaux droits { fig. Il); les ciseaux courbes sur le plalifig. 12) ; e
La grande figure le représente en position sur le sujet vivant ; les fig. 2 et 3 en donnent la théorie et les détails. DÉ
DÉTAILS DU COMPRESSEUR DE LA CAROTIDE , FIGURES 1, 2 ET 3. Sur la fig. 2, l'instrument est représenté en position sur le
par une vis de pression. 4° La pelotte mobile (L), étroite et longue [ fig. 3), est large de 10 lignes à sa base, et seulemen
emporale par la petite pelotte de M. Charnière (A) (voyez planche 20, fig. 6), maintenue par un simple lacs, qui passe verti
ère. (Voyez, pour les détails de l'instrument, la description commune fig. 4.) Figure 2. Compression de T artère numérale,
etite pelotte de M. Charrière (voyez pour les détails de l'instrument fig. 6). Pour toutes les compressions de ce genre, une
POSTERIEURE. Sur un pied adulte, la pelotte (K) (voyez planche 20, fig. 6). appuyant elle-même sur une petite compresse g
clef de Garengeot à crochet simple. — Fig. 1, bord alvéolaire droit; fig. 2, bord alvéolaire gauche. Figures 3 et 4. Extr
Z sur la clef de Garengeot. — Fig. 3, luxation de la dent en dehors; fig. 4, exemple de luxation en dedans, lorsque l'espac
3. Cloches à ventouse, en verre, vues par le'plan de leur orifice. La fig. 2 représente la cloche circulaire, comme dans la
g. 2 représente la cloche circulaire, comme dans la ventouse à pompe ( fig. 4). La fig. 3 est une cloche ovale, propre à s'ad
nte la cloche circulaire, comme dans la ventouse à pompe (fig. 4). La fig. 3 est une cloche ovale, propre à s'adapter dans c
ulaires. Ces lames sont rentrées dans l'intérieur de la boîte dans la fig. (a), et ressortent, au contraire, parleurs fentes
(a), et ressortent, au contraire, parleurs fentes parallèles dans la fig. (h), où l'instrument est représenté armé. FIGUR
stal, dans lequel se trouve enfermé le membre gauche, soit abdominal ( fig. 1), ou thoracique (fig. 2). 2. Ajutage en cuivr
uve enfermé le membre gauche, soit abdominal (fig. 1), ou thoracique ( fig. 2). 2. Ajutage en cuivre, qui s'adapte à l'extr
la pompe et du récipient. (Les caractères sont les mêmes que pour la fig. 4. Tome 6 Ventouses - Junod. Pl.28. Dessi
ne ; (4) la radiale postérieure; et (5) la cubitale antérieure (voyez fig. 2 et 3). Le pouce de la main droite de l'opérateu
3. Io Veines superficielles (1, 2,3, 4 et 5), les mêmes que dans la fig. 1. (d, e, f, g, h) lieux d'élection de la saign
al des vaisseaux lymphatiques du membre thoracique. 3° Nerfs. (7),t fig. 2 et 3. Branches du nerf cutané externe ; [S), fi
. 3° Nerfs. (7),t fig. 2 et 3. Branches du nerf cutané externe ; [S), fig. 2 et 3, Nerf cutané interne; (9), fig. 2 et 3,
u nerf cutané externe ; [S), fig. 2 et 3, Nerf cutané interne; (9), fig. 2 et 3, Filet cutané du nerf cubital. 4° Vais
C. Artère fessier e. On en voit naître quatre branches, a, b, c, d ( fig. 3,4), qui vont rejoindre l'origine de \a fémorale
ne forte branche (f) vue au travers d'une échancrure des adducteurs ( fig. 1 ) et se divise en deux artères dont l'une (g) v
artère qui rétablit la circulation dans la fémorale H. En arrière ( fig. 4) la fémorale profonde se jette dans la poplitée
exe interne anastomosée avec l'ischiatique par une autre branche ( o, fig. 4 ). FIGURES 5 et 6. résultat de la ligature
tumeur, molle et diffluente, est placée en diagonale sous le biceps ( fig. 6') et entièrement revêtue parles fibres de ce mu
nterposition du muscle biceps, un cordon d'étranglement. Au point (a, fig. 5), un stylet, glissé dans le permis encore visib
Tous ces instrumens , dont le modèle est la pince ordinaire (pl. \l, fig. 21), n'en différent que par un mécanisme qui main
au trait, pour en permettre le numérotage. Figure 2. Elle répète la fig. 1, en donnant l'anatomie chirurgicale des deux pl
. — 5. Aponévrose profonde d'enveloppe des muscles fléchisseurs. — 6. fig. 2. Muscle jumeau interne. — 7. fig. 2. Nerf tibia
pe des muscles fléchisseurs. — 6. fig. 2. Muscle jumeau interne. — 7. fig. 2. Nerf tibial postérieur. — 8. fig. 1 et 2. Artè
. 2. Muscle jumeau interne. — 7. fig. 2. Nerf tibial postérieur. — 8. fig. 1 et 2. Artère tibiale postérieure , entre ses de
. 1 et 2. Artère tibiale postérieure , entre ses deux veines. Dans la fig. 1 , l'aiguille de Deschamps, tenue par la main dr
s l'artère. Détails anatomiques supplémentaires des plaies (B et C), fig. 2. 9. Aponévrose jambière. —10. Veine saphène i
les mêmes parties déjà énoncées et visibles sur la plaie opératoire, fig. 2. — Suivent les détails qui ne sont pas visibles
les mêmes parties déjà énoncées et visibles sur la plaie opératoire, fig. 4. ¦— Détails supplémentaires : 6. Aponévrose d
(41) : Le trajet de l'artère humérale s'indique de lui-même sur la fig. 1 par une ligne continuée par la pensée, des doig
artères cubitale et radiale est ponctué, dans les intervalles, sur la fig. 2. Les petites figures (A2, B\ C2, D2) ne sont
res (A2, B\ C2, D2) ne sont que le trait des plaies opératoires de la fig. ], reproduit pour le numérotage des parties, sans
gures (G2, F2, C2) reproduisent le trait des plaies opératoires de la fig. 1, pour en faciliter le numérotage. OPÉRATIONS.
engagée sous l'artère. (Voyez, pour les détails anatomi-ques, pl. 43, fig. 2). Figure 2. Elle représente deux ligatures, c
ifférentes ligatures des artères axillaire et sous-clavière. [Pl. 42, fig. 1 et 2 ; pl. 45, fig. 1 et 2; et pl. 43, fig. 1.)
es artères axillaire et sous-clavière. [Pl. 42, fig. 1 et 2 ; pl. 45, fig. 1 et 2; et pl. 43, fig. 1.) 1° Portion cervical
sous-clavière. [Pl. 42, fig. 1 et 2 ; pl. 45, fig. 1 et 2; et pl. 43, fig. 1.) 1° Portion cervicale. 1. Section de la pe
'anatomie chirurgicale des régions sus et sous-claviculaires, pl. 43, fig. 2). OPÉRATIONS. FIGURE \. LIGATURE DE L'ART
iliaque. Ce cas réel nous a servi de modèle pour l'opération supposée fig. 1. figure 3. ( Pièce du Muséum de la Faculté.
ération du séton pratiquée au travers du tibia pour le cas représenté fig. 5. Entre deux incisions des parties molles qui se
fice au travers des fragmens, soit avec le trépan perforatif (pl. 53, fig. 6,7), soit avec le perforateur de Dupuytren (pl.
iculation coxo-fémorale. (Voyez, pour un cas de cette nature (pl. 54, fig. 1 et 2). Une incision cruciale étant pratiquée en
l'étendue du séquestre. (Voyez, pour un cas de cette nature, pl. 54, fig. 9.) Figure 3. Séquestre de l'humérus. L'opérati
la cavité du nouvel os. (Voyez, pour des cas de cette nature, pl. 54, fig. 5 et 6.) Le trépan, dont l'extrémité seule est de
ée, est celui de M. Charrière , séparé de la scie à molette. (Pl. 55, fig. 17.) Figure 4. Séquestre de la partie moyenne d
nlement sont moins à craindre. (Voyez, pour un cas analogue, pl. 54 , fig. 7.) Figure 2. A. Séquestre du tibia. (Voyez pl.
, pl. 54 , fig. 7.) Figure 2. A. Séquestre du tibia. (Voyez pl. 54, fig. 8.) Après une incision de la peau en T, une ouver
section du séquestre avec le perforateur de M. Dupuytren. ( Pl. 55 , fig. 18. ) B. Extraction dun séquestre du premier os
, 9, 40. NÉCROSES. Figures 5 et 6. Nécroses de l'humérus. Dans \a\ fig. 6, où la nécrose occupe la partie moyenne de l'os
x dépens du périoste, est encore incomplet, mince et fragile. Dans la fig. 5, qui offre un des plus beaux cas de nécrose de
n. A, B, C, D, E, expriment les mêmes détails que ci-dessus. ( Voy. fig. 1.) (e) est le nerf cubital dans le point où il p
( b ) situé entre l'angle externe de l'œil et le devant de l'oreille ( fig. 2 et 3), le lambeau mus-culo-cutané (c) a été rap
. Figures 3 et 4. Extrémité du moignon vue par sa face antérieure ( fig. 3) et par sa face latérale (fig. 4) avec le couss
moignon vue par sa face antérieure ( fig. 3) et par sa face latérale ( fig. 4) avec le coussin, l'allonge en liège et la chau
9 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
al, pl. ir». (3) Outlines of comparative anatomy, Loud. 1835, in-8, fig. p. i83. (4) Ouvrage cité. (5) Ouvrage cité, p
(4) Anat. disquisitione de auditu et olfactu, Pavie, 1789. ïn-fol., fig. (5} De respiratione sœpiœ officinalis. Leipsig, r
ervir à l'Histoire et à l'Ànatomie des Mollusques. Paris, 1817, in-4, fig. (8) Encyclopédie méthodique, Hist. nat. des ver
zootom. sopre alcune specie di conchigUe ilvalvi. Milan, 18o/r, in-8, fig. le ganglion labial est situé un peu en arrière
ui ait été dis- (i) Talula bateos eneepkali, Francf. 1798. In-fol'. fig. 2 séqué avec soin, a été donnée par Cuvier; e
le clio. (3) Blainville, Manuel de malacologie. Paris, 182.5, in-8, fig. chose sur les facultés qui ont pour but de conc
urs rapports naturels avec les animaux articulés, Paris, i835, in-4°, fig. p. 34» Je vais l'examiner successivement sur le
ams, dans son Traité élémentaire cAlnat. comp. Paris, i835 (V. pl. v, fig. i3) donne la description du système nerveux du lo
ort, à droite et à gauche, trois racines nerveuses. (2) Voy. pl. 1, fig. *p*. ressemble à celui du lombric terrestre, il
senter (pl. lre) une portion de la chaîne ganglionaire de la sangsue ( fig. lre) et un de ses ganglions grossi au microscope
de la sangsue (fig. lre) et un de ses ganglions grossi au microscope ( fig. 2). En haut et en bas sont les deux colonnes nié
e sopra le funzioni del sis-tema nervoso. Torino, 1828, 3 vol. in-8, fig. (14) Vergleichende Anatomie des Gehirns der Grœ
parative anatomy of the nervous system, part. 11, Lond., i836, in-40, fig. § I. DESCRIPTION DU SYSTÈME NERVEUX CÉRÉBRO-SPI
ni pour la morue dont il a décrit l'encéphale, (i) Op. cit. pl. vi, fig. 142. M. Martin-St-Ange regarde comme tel un fil
son du volume de la substance nerveuse encéphali- (i) Op. ttY.pl. l, fig. 5 et6. que, à celui du corps entier et à celui
ai le lieu où il faut la chercher. (i) Voyez l'ouvrage cité,pl. vu, fig. 5. 6° Commissure antérieure. Elle est placée un
. v, tig. 5. (2) V. pl. 11 de l'Atlas ; et Carus, op. cit. pl. xii, fig. 5. (3) Mayer, op. cit. pl. vn, fig. 6, (4) V.
s ; et Carus, op. cit. pl. xii, fig. 5. (3) Mayer, op. cit. pl. vn, fig. 6, (4) V. l'Atlas, et Carus, pl. xu, fig. 4'
) Mayer, op. cit. pl. vn, fig. 6, (4) V. l'Atlas, et Carus, pl. xu, fig. 4' (5) Desmoulins, pl. v, fig, 7. (6) Id. id.
Carus, pl. xu, fig. 4' (5) Desmoulins, pl. v, fig, 7. (6) Id. id. fig. 6. (7) Mayer, pl. vu, fig. 5. (8) Swan, op. c
Desmoulins, pl. v, fig, 7. (6) Id. id. fig. 6. (7) Mayer, pl. vu, fig. 5. (8) Swan, op. cit. 3e part. pl. xvu, fig, 7.
und die letzten Enden der Nerven, in-4°de 190 pag. et 8 pl.; pl. vii, fig. 5g. M. Valentin a fait figurer des anses nerveuse
(2) Op. cit., p. 456. (3) V. l'Atlas iu-fol. de Gall, pl. I/VII; la fig. ire représente le crâne de la poule , la fig. 2 c
de Gall, pl. I/VII; la fig. ire représente le crâne de la poule , la fig. 2 celui du coq ; la fig. 3 celui de la dinde et l
ig. ire représente le crâne de la poule , la fig. 2 celui du coq ; la fig. 3 celui de la dinde et la fig. 4 celui du coq-d'i
la poule , la fig. 2 celui du coq ; la fig. 3 celui de la dinde et la fig. 4 celui du coq-d'inde. j'ai sous les yeux et to
suite, c'est as- (i) V. Op. cit., t. iv, page 26, et Atlas, pl. 64, fig. 3, représentant le crâne du coq du combat, et fig
et Atlas, pl. 64, fig. 3, représentant le crâne du coq du combat, et fig. 4 celui du coq ordinaire. si miter les uns aux
pect est, presque celui d'une circonvolution. Chez le castor (pl. ni, fig. lre) on voit des sillons moins prolongés, mais pl
s mammifères. J'explique ma pensée par des exemples. Voyez (pl. iv, fig. 2) la face latérale externe du lobe cérébral droi
alité se trouve dans la figure 3, au-dessus du corps calleux c. c. A ( fig. 3) correspond à la même lettre placée sur la quat
renard, montre le complément de la quatrième circonvolution, dont la fig. 3 montre la partie interne et postérieure P, et q
que les autres. On voit sur la face supérieure du cerveau du renard ( fig. 1), immédiatement derrière la ligne SS, un petit
ondulations ne pouvaient être mises en évidence comme celles du lion, fig. 1 et 2 de la même planche , dont les membranes av
elles plusieurs points d'union. A l'endroit marqué S, chez le chat ( fig. 2, pl. vi), se trouve un petit sillon qui représe
'est qu'on l'observe très souvent. La circonvolution sus-orbitaire ( fig. 2) n'est pas toujours distincte de la partie anté
un prolongement qui va s'unir à la quatrième circonvolution externe ( fig. 3, A), en arrière du sillon crucial, sillon que j
ille des renards, et qui est très bien marqué sur le lion et le chat ( fig. lrt). Les chats se distinguent donc des renards
elui qui réunit la première à la seconde circonvolution externe (-h fig. 2), et celui qui réunit la circonvolution interne
la circonvolution interne avec la quatrième circonvolution externe (A fig. 3); celui qu'on ne rencontre pas constamment, et
up près d'un égal volume dans tous les points de son étendue (pl. vi, fig. 2); en arrière de la scissure de Sylvius, elle es
isposition se rencontre chez la fouine, la martre, la loutre (pl. vi, fig. 2) et même chez l'ours. La seconde circonvoluti
très considérable, et les dépressions très nombreuses. Voyez (pl. vi, fig. 3) le cerveau de la loutre. La ligne S indique la
re, en communication avec la troisième : on voit cette communication ( fig. 3) un peu en avant de la ligne S, et l'on peut s'
eux côtés, en examinant la face supérieure du cerveau du même animal ( fig. lle). Il existe à peine d'antres exemples de ce f
ie de la circonvolution interne qui commence au lobe d'hippocampe (I, fig. 3, cerveau de la loutre), se porte en arrière, em
enlève en avant, pour s'unir, comme on l'a vu pour le renard (pl. iv, fig. 3), à la circonvolution supérieure. Au-dessus d
onvolution, la circonvolution sus-orbitaire (0 ours brun et 0 loutre, fig. 3), elle présente un sillon pour loger le nerf ou
me type, cependant avec quelques modifications. La ligne S (pl. vu, fig. 3) tracée sur le cerveau du mouton et sur celui d
. 3) tracée sur le cerveau du mouton et sur celui du cheval (pl. vin, fig. 2) conduit à la scissure de Sylvius, au fond de l
de cette ligne, et à la dislance de 12 et de 20 millimètres (pl. vm, fig. 2), sont deux lettres PP placées sur deux circonv
ont très considérables, en même temps que le point d'union + (pl. ix, fig. 3) entre les deux premières circonvolutions est t
erveau, présente des dispositions analogues. La même ligne S (pl. vu, fig. lrc, et pl. vin, fig. lre) indique le lieu corres
ispositions analogues. La même ligne S (pl. vu, fig. lrc, et pl. vin, fig. lre) indique le lieu correspondant à la scissure
chez le chevreuil, où elle est à son état le plus élémentaire (pl. x, fig. lle). Celle du côté droit et celle du côté gauche
t à ses divisions, avec le volume du cerveau. Chez le mouton (pl. vu, fig. 3,0), elle est seulement déprimée ; tandis que ch
,0), elle est seulement déprimée ; tandis que chez le bœuf ( pl. vin, fig. 2,0) elle est divisée, de même que chez le cheval
vin, fig. 2,0) elle est divisée, de même que chez le cheval (pl. ix, fig. 3, 0), le dromadaire, le chameau, etc. La circo
, le cheval, le chameau. La circonvolution interne du mouton (pl. vu, fig. h, I) est triple en avant, où elle se confond ave
de la scissure de Sylvius, dans laquelle elle se termine ( V. pl. ix, fig. 1 et 2, lettre I ). Cette dernière disposition es
à la partie supérieure du cerveau est triple en arrière (PPP, pl. xi, fig. 1), en avant, elle est seulement double AA; la pl
cement des deux divisions antérieures. La scissure de Sylvius S S., fig. 1 et fig. 2, presque transversale à la partie inf
deux divisions antérieures. La scissure de Sylvius S S., fig. 1 et fig. 2, presque transversale à la partie inférieure du
importante à noter ici, qu'elle envoie un prolongement postérieur P' ( fig. 2) qui, réuni à un prolongement analogue venant d
h., se porte en arrière et en dehors du cerveau. Un sillon si., si., fig. 1, sépare l'une de l'autre les deux circonvolutio
appartenant aux groupes précédens, et comme ceux du marsouin (pl. xn, fig. lre), de la baleine, du daim, du chevreuil (pl. x
le traverser d'un bout à l'autre, faire saillie en avant du cerveau ( fig. 1, I), et se terminer en bas, entre le sillon méd
, entre le sillon médian du cerveau et la racine du nerf olfactif (I, fig. 2).Dans ce trajet, et arrivée vers la partie moye
n dehors et en arrière du cerveau pour s'unir à la circonvolution P', fig. 2. Quanta la circonvolution sus-orbitaire (0, f
rconvolution P', fig. 2. Quanta la circonvolution sus-orbitaire (0, fig. 2), elle est moins une circonvolution spéciale qu
l a été question jusqu'ici, mais à sa partie antérieure. (On le voit, fig. 2, à l'extrémité antérieure du nerf olfactif.)
ocampe (l. h., môme figure). Les trois autres sillons (si., si., si., fig. lle) placés à la surface extérieure du cerveau, s
au, servent de limites à quatre circonvolutions, dont la première (I, fig. 13), sous-divisée un grand nombre de fois, (1 A,
emière (I, fig. 13), sous-divisée un grand nombre de fois, (1 A, 1 P, fig. 3) forme une sorte de frange qui semblerait fixée
de frange qui semblerait fixée au fond de la scissure de Sylvius (S, fig. 3). La seconde circonvolution (II, fig. lre) est
de la scissure de Sylvius (S, fig. 3). La seconde circonvolution (II, fig. lre) est sillonnée à la partie postérieure et sou
côtoie la troisième circonvolution el qui est superposée à l'interne ( fig. 1 et fig. 2) est sillonnée à la partie postérieur
troisième circonvolution el qui est superposée à l'interne (fig. 1 et fig. 2) est sillonnée à la partie postérieure P, et so
ue des sous-divisions antérieures de la première circonvolution (1 A, fig. 3). J'ai étudié deux cerveaux frais de marsouin
it déjà crayonné cette figure, mais sans en tirer aucune induction. fig. 1 et 2); par conséquent elle ne se confond pas av
irconvolutions sus-orbitaires. La circonvolution interne 1,1,1,1,1 ( fig. 5,pl. xv), ressemble assez, en avant, à celledu r
communication + qui s'élève jusqu'aux circonvolutions supérieures (+ fig. h el S +, et fig. 2 S +) puis descend en avant du
ui s'élève jusqu'aux circonvolutions supérieures (+ fig. h el S +, et fig. 2 S +) puis descend en avant du cervelet, «ontour
e du cerveau et va reparaître en bas, tout à côté du nerf optique (I, fig. 3, et I, fig. 5), sous la forme du lobe d'hippoca
t va reparaître en bas, tout à côté du nerf optique (I, fig. 3, et I, fig. 5), sous la forme du lobe d'hippocampe. Ce lobe n
nde partie recouvert par le cerveau. La scissure de Sylvius (S. S., fig. 2, et fig. h) est déjetée en arrière, par la prés
recouvert par le cerveau. La scissure de Sylvius (S. S., fig. 2, et fig. h) est déjetée en arrière, par la présence de deu
la présence de deux circonvolutions supérieures S,S,S,S, et S',S',S', fig. h, dont la postérieure S',S',S,S,S -j-, se porte
i se dirigent vers la partie antérieure du cerveau ( I A, H A, III A, fig. 2 et fig. h). Entre ces deux circonvolutions, il
ent vers la partie antérieure du cerveau ( I A, H A, III A, fig. 2 et fig. h). Entre ces deux circonvolutions, il existe un
t fig. h). Entre ces deux circonvolutions, il existe un sillon (S, R, fig. 2 et fig. 4) qui les sépare dans loute leur longu
Entre ces deux circonvolutions, il existe un sillon (S, R, fig. 2 et fig. 4) qui les sépare dans loute leur longueur, et do
appelle cuisse du cerveau, pédoncule cérébral (p. c. pl. iv, renard, fig. 2 ; pl. vi, loutre, fig. 2 ; pl. vu, mouton, fig.
u, pédoncule cérébral (p. c. pl. iv, renard, fig. 2 ; pl. vi, loutre, fig. 2 ; pl. vu, mouton, fig. 2, etc.), arrivé au nive
c. pl. iv, renard, fig. 2 ; pl. vi, loutre, fig. 2 ; pl. vu, mouton, fig. 2, etc.), arrivé au niveau de la racine du nerf o
e cavité qui règne tout le long du lobe olfactif (pl. x, chevreuil e, fig. 2). (i) Vf y;Tied. et Carus, op. cit. Au-dess
he transversale que l'on appelle commissure antérieure (c. a. pl. iv, fig. 3, renard; c. a. pl. v, fig. 3, chat, etc.), en a
lle commissure antérieure (c. a. pl. iv, fig. 3, renard; c. a. pl. v, fig. 3, chat, etc.), en arrière et de chaque côté de c
s piliers antérieurs de la voûte (p. a. pl. ix, cerf et cheval, p. a. fig. lre), et immédiatement après, une large commissur
oit la section de celte commissure de la couche optique c. o. pl. iv, fig. 3 du cerveau du renard; c. o. pl. v, fig. 3 du ch
ouche optique c. o. pl. iv, fig. 3 du cerveau du renard; c. o. pl. v, fig. 3 du chat; pl. vu, fig. U du mouton, etc.). Ent
iv, fig. 3 du cerveau du renard; c. o. pl. v, fig. 3 du chat; pl. vu, fig. U du mouton, etc.). Entre les quatre parties do
urs de la voûte, est une ouverture (pl. ix, bœuf et cheval, même pl., fig. lre) qui conduit à la cavité principale du troisi
e la commissure molle, entre elle et la glande pinéale (g. p. pl. iv, fig. 3, etc.) est un second orifice qui, en avant et e
lus, s'ouvre en arrière dans l'aqueduc de Sylvius (a. s. pl. iv et v, fig. 3; pl. vu, fig. U, etc.); cette ouverture a pour
arrière dans l'aqueduc de Sylvius (a. s. pl. iv et v, fig. 3; pl. vu, fig. U, etc.); cette ouverture a pour limites la commi
la commissure molle, la commissure postérieure (c. p. pl. ix, cheval, fig. lrc), et les filamens de substance blanche qui, d
respond aux cuisses du cerveau ou pédoncules cérébraux (p. c. pl. vu, fig. 2 et) ; en bas, il se termine en entonnoir ou inf
en bas, il se termine en entonnoir ou inf'undibulum (in pl. iv et v, fig. 3), dans la matière grise qui entoure Je tubercul
qui résulte du rapprochement des lobes ou hémisphères (c. c. pl. iv, fig. 3 et); sa face supérieure offre des stries longit
d'un même tout. Entre le corps calleux (c. c. pl. ix, bœuf et cheval, fig. llC) et les piliers antérieurs de la voûte, se tr
er le tubercule mamillaire, eminentia candicans (c. m. pl. iv, chien, fig. 2), que l'on voit à la base du cerveau, au milieu
ersée par la racine du nerf pathétique (r. p. pl. ix, bœuf et cheval, fig. lre). Au-dessous des tubercules quadrijumeaux, rè
arrière, dans le quatrième, c'est l'aqueduc de Sylvius (a. s. pl. vu, fig. k). Deux autres tubercules situés sur le pédonc
, existent également entre le cerveau et le cervelet (pl. ix, cheval, fig. 2, c. g.). Le corps genouillé interne est en rapp
ipaux qui le partagent ainsi en trois lobes (1, 2, 3, pl. iv, renard, fig. 2, etc.), savoir : un lobe moyen, ou ver du cerve
ieur du cervelet; enfin un lobe tout-à-fait externe (3, pl. m, lapin, fig. lre) qui en raison de sa forme a été aussi appelé
uze lamelles. Si l'on examine la coupe du cervelet du mouton (pl. vu, fig. 6), on y trouvera, en effet, huit principales div
ère la déviation que présente le ver supérieur du cervelet (même pl., fig. lre), dont les circonvolutions qui s'éloignent de
ative. Ainsi, comparez les unes et les autres chez le renard (pl. iv, fig. 3), et chez le chai (pl. v, fig. 3), vous ne les
t les autres chez le renard (pl. iv, fig. 3), et chez le chai (pl. v, fig. 3), vous ne les trouverez pas très dissemblables
ne les trouverez pas très dissemblables de celles du mouton (pl. vu, fig. 4). Comparez les mêmes parties (i) Op. cit., p.
trois ordres de fibres, savoir : celles du corps resti-forme (pl. vu, fig. 2, c. r.), celles du pont de varole (mêmes pl. et
forme (pl. vu, fig. 2, c. r.), celles du pont de varole (mêmes pl. et fig. , p. v.), celles des processus cerebelli ad testes
valvule du cervelet ou valvule de Vieussens (pl. ix, bœuf et cheval, fig. lre, v. v.), par une lamelle très mince et presqu
nerf, v même après qu'il s'est détaché de la moelle (pl. ix, cheval, fig. 2, 1.). 2. Nerfs encéphaliques. Les nerfs enc
étal est petit, l'occipital ne s'avance pas jusqu'au cerveau (pl. vu, fig. 4); chez le singe, le frontal est comparativement
re de Sylvius et les circonvolutions postérieures (V. pl. vi, loutre, fig. 3). Ainsi, le développement en arrière du crâne d
emps peu susceptible d'éducation, c'est le renard (V. pl. iv, renard, fig. 3). La circonvolution dont il s'agit esl d'une gr
ion bien isolée, très grosse et même sous-divisée (V. pl. ix, cheval, fig. lre, la circonvolution située entre le lobe ethmo
tamment celui du chat, celui du chien et celui de la marte (pl. lxxv, fig. 3, 6 et 7) sont assez fidèlement reproduits; les
10 (1854) Mémoire sur les plis cérébraux de l'homme et des primatès
flexueuses à la manière des rubans rayés. [Anat. du cerveau, pl. IV, fig. 1.) Meckel signale, dans la corne d'Ammon, une di
quée par Yicq-d'Azyr, a été également très-bien dessinée par Rolando, fig. % (aa). En dehors de cette circonvolution est une
t représenté celles de la partie orbitaire du lobe frontal (tab. III, fig. 1, et tab. IV, 1) et celles du lobe temporal. Les
irconvolutions frontales sont assez bien dessinées dans la planche 5, fig. 1 ; mais les circonvolutions pariétales et celles
tit faisceau cendré qui fait suite au 'orps godronné ( voy. tab. VIÏ, fig. 1 et 3 ). Enfin il donne (tab. VIII, fig. 3) une
s godronné ( voy. tab. VIÏ, fig. 1 et 3 ). Enfin il donne (tab. VIII, fig. 3) une poupe fort remarquable de la corne d'Ammon
s. M. Leuret décrit ainsi les circonvolutions des Primates (pl. 11, fig. 1, 2, 3, 4, 5). Le Singe (on voit que M. Leui'e
circonvolutions sus-orbitaires. La circonvolution interne (pl. XV, fig. 5, rai) ressemble assez en avant à celle du Renar
ne large expansion qui s'élève jusqu'aux circonvolutions supérieures ( fig. 4. -b S. -f.), et (fig. 2. —. S. +.), puis elle d
'élève jusqu'aux circonvolutions supérieures (fig. 4. -b S. -f.), et ( fig. 2. —. S. +.), puis elle descend en avant du cerve
, tout à côté du nerf optique, sous la forme du lobe de l'hippocampe ( fig. 3, î, et fig. 5, i). Ce lobe n'est pas seulemen
du nerf optique, sous la forme du lobe de l'hippocampe (fig. 3, î, et fig. 5, i). Ce lobe n'est pas seulement en relation
jetée en arrière par la présence de deux circonvolutions supérieures ( fig. 4, SS, SS"), dont la postérieure se porte en haut
de Sylvius sont trois autres circonvolutions (pl. XV, iP, iiP, iiiP, fig. 4), dont les deux dernières ne sont distinctement
u lobe postérieur ; il forme, en dehors, un coude fort remarquable i ( fig. 2). Le second pli passe de la portion descendan
un peu plus riches dans la Mone que dans le Callitriche. (Voy. pl. V, fig. 4 et 9.) Les plis de passage externes sont fort
d'examiner un cerveau de Semnopithèque maure (S. maurus, voy. pl. IV, fig. 10, 41 et 12) et celui du Semnopithèque nasi-que
12) et celui du Semnopithèque nasi-que (Nasalis larvatus, voy. pl. V, fig. 1 et 2). L'étude de ces cerveaux a justifié ce qu
et couchés dans la direction de la scissure de Sylvius {voy. pl. IV, fig. 9). Le pli courbe suit le même mouvement. Son s
en le plus attentif, mon incertitude demeurait entière. {Voy. pl. IV, fig. 1 et 2.) Heureusement, fort de l'assentiment de
de passage, qui est énorme et complètement à découvert (voy. pl. IV, fig. 3); 3° Le grand développement des plis marginau
es imbéciles. Plis cérébraux des Macaques à queue courte (pi. YIII, fig. 7, 8, 9, 10, 11). Le cerveau du Rhésus et celui
i, néanmoins, porte une ou deux incisures secondaires (voy. pl. YIII, fig. 8); la gracilité des plis ascendants et surtout d
choisirai donc comme type principal de ma description. {Yoy. pl. III, fig. 5 et 6.) Le cerveau de l'Orang est très-globule
quel point ils varient dans les divers individus. Dans le cerveau ( fig. 6) qui me sert de type, le pli surcilier 1.1. est
en deux plis secondaires 3 3 3 et 3' 3' 3'. Dans le second cerveau, fig. 2, le pli surcilier est peu étendu, peu distinct
endant est grêle à sa partie supérieure et un peu incliné en arrière ( fig. 6, 4.4.4.). Cette inclinaison est plus marquée
e pli ascendant, dont le prolongement supérieur se développe au loin ( fig. 6, 5.3.5.5'.). Ces deux plis présentent, à leur
uivalent à celui qu'on observe dans les cerveaux de l'espèce humaine ( fig. lY 1.1.1.1'); mais l'étage supérieur du lobe fron
elle qu'en a donnée Tyson ne mérite pas d'être rappelée (voy. pl. VI, fig. 4). La figure de Tiedemann est également très-déf
us épais que ceux de VOrang-Outang. Le pli frontal supérieur (pl. VI, fig. 2 3.3.3'3') est subdivisé en deux plis, dont le p
lui-même, et cette disposition paraît assez constante. (Yoy. pl. VI, fig. 2, 5,5.5.) L'origine du pli courbe est remarqua
n vu de profil fera toucher aux yeux ces ressemblances; voy. pl. XII, fig. 1. J'ai choisi, pour type de cette comparaison, u
est la position reculée de la racine du premier pli ascendant (pl. I, fig. 1 et 2, 4. 4. 4.). Ce pli, qui, dans tous les Pit
encore dans le cerveau de fœtus humain que nous avons figuré pl. XI, fig. 1, 2, 3. Le lobe temporo-sphénoïdal est d'une é
illon olfactif; 2*" le pli frontal inférieur ou pli surcilier (pl. I, fig. 1 et 2) 1.1. 1. ; 3Me pli frontal moyen entourant
) est bien défini, comme on peut le voir sur le cerveau figuré pl. I, fig. 1. Quant à l'étage moyen 2. 2., il est, en généra
r : Un pli supérieur qui longe la grande scissure cérébrale (pl. I, fig. '1.3'3'). Ce pli, fort simple et à peine flexueux
ont on reconnaît aisément l'analogue dans le Chimpanzé. (Voy. pl. II, fig. 1 et %.) C'est dans le cerveau de la Vénus hott
, et ne se retrouve ni dans VOrang ni dans le Chimpanzé. (Voy. pl. ï, fig. 1 et 2, A. A. A.) Souvent du sommet de ce lobul
rontale, un espace que l'œil distingue aussitôt (comparez, pl. H, les fig. 1 et 2). On le dirait, en effet, découpé sur le r
scissure de Sylvius. Elle semble, en effet, se relever en K (pl. XII, fig. 7 et 8) et se prolonger jusqu'au bord supérieur d
ion. Ce cerveau, que je possède encore, est figuré pl. XI de l'atlas, fig. 1, 2, 3. Il n'a point encore ces plis profonds (j
11 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
et disparition à peu près complète de la substance grise (V. PI. I, fig. A). II. .Une femme de 58 ans,non syphilitique,c
remières douleurs. Aucun signe rachidien. A l'autopsie (V. PI. I, fig. B), caverne tuberculeuse détruisant la moitié p
complète d'urines. Mort le lendemain. ' A l'autopsie (V. pl. II, fig. c), caverne tuberculeuse de la VIII° dorsale, ave
ssin de spondylotique que nous avions publiée en 1899 (Rev. médic., fig. 23, p. 805), nous avons pu remarquer un aplatisse
proche cette radiographie de celle d'un bassin normal (Rev. médic., fig. 21). Nous rappellerons d'ailleurs Schéma montra
ament atloïdo-axoïdien postérieur, premier des ligaments jaunes (V. fig. 1, 2, 3 et 4). Ces ossifications, prédomi- nant
décrit une courbe douce, à grand rayon, concave en avant (PI. VIII, fig. 1, A); il subsiste cependant une très légère te
e et la colonne cervicale est légèrement inclinée à droite (PI. IX, fig. 1). Le corps de la 7e cervicale est comme tassé
omélique (A Autopsie nou\ el1e, de 1905, malade représente PI. VII, fig. 3. - C : autopsie de ,899.) La pièce B est une co
béwdo-lrnmnotigne (malade de P. Marie et Astié, représenté PI. VII, fig. 4-) - On remarquera dans les spondyloses la courb
nt nulle part de saillies notables, nulle part d'exostoses (PI. IX, fig. 1, 2, 3, A) ; il est douteux qu'ils soient form
e ligament entre les apophyses des vertèbres lom- baires (PI. VIII, fig. 1, et pl. IX, fig. 2) ; la couleur blanc jaunâtre
s apophyses des vertèbres lom- baires (PI. VIII, fig. 1, et pl. IX, fig. 2) ; la couleur blanc jaunâtre, ivoire, de cert
ent soudées, les cervi- cales et les lombaires nettement (PI. VIII, fig. 2), les dorsales moins net- tement parce que, p
, beaucoup plus mince, qui l'unit au disque intervertébral (PI. IX, fig. 1, 2, 3 A) ; l'un des deux faisceaux, supérieur o
e, des grands ligaments rayonnés sacro-iliaques antérieurs (PI. IX, fig. 1, 2, 3, A). En arrière les articulations sont
ifeste de la partie externe des ligaments sacro-sciatiques (PI. IX, fig. 1 et 3, A et surtout fig. 2). La colonne lombai
e des ligaments sacro-sciatiques (PI. IX, fig. 1 et 3, A et surtout fig. 2). La colonne lombaire semble s'être légèremen
sacro-lombaire que la partie tout à fait infé- rieure (comparer les fig. 3 et de la PI. IX). Il existe des irrégularités
d'ailleurs le malade était un des beaux cas du' type d'ex- tension ( fig. 3, pl. VII). Ce qui frappe dès le premier exame
a partie inférieure s'est détachée de l'ischion et du pubis (pl. X, fig. 1 et 6g. 2). " Nous avons ainsi pu voir que l'i
Sur le col du fémur droit existait une saillie irrégulière (pl. IX, fig. 3) ; sur les lignes intertrochantériennes antér
n au-dessous et surtout au- dessus' de l'endroit atteint (PI. VIII, fig. 2) ; cet homme s'était fortement voûté et la co
ie et A. Léri). (Partie altérée de la colonne représentée Pl. VIII, fig. i, B). . (Malade représenté l'l. VII, fig. 4).
ne représentée Pl. VIII, fig. i, B). . (Malade représenté l'l. VII, fig. 4). fie. 1. Ossification monilitorme du ligamen
gaison.- Le malade avait eu peut-être la syphilis (Comparez avec la fig. 3, B de la planche). Fig. b. Rhumatisme chroniq
ut le pre- mier et le second semblent luxés en arrière sur le pied ( fig. 1). Le gros orteil est piriforme, son tendon fa
la palpation on constate que la dernière phalange est rudimentaire ( fig. 2) (voir radiographie, Pl. XXIV). Ces troubles
normal. A la main gauche mêmes déformations, mais moins accentuées ( fig. 3). Le 5" doigt est aussi atrophié (5 cm.), mai
ent avec lenteur. L'oeil gauche est un peu plus petit que le droit ( fig. 4). Le nez est de conformation normale. Il exis
peut-être même dans l'intérieur de ces cellules. (Voyez le dessin, fig. 14). Dans les préparations traitées par double
s'est épilé les sourcils, surtout complètement à droite (Pl. XXVII, fig. A). Il n'a pas entretenu cette destruction ; de
est épilé complètement la moustache en quelques minutes (PI. XXVII, fig. B), il n'a donné aucune explication, ne s'est pla
é qu'une mèche du côté droit de la ligne mé- diane de la moustache ( fig. C). On ne trouva rien sur la peau et on n'obtint
s pénibles. Le lendemain, le reliquat de sa barbe avait été enlevé ( fig. D). On n'entendit rien de plus en fait d'explicat
même envahie par le ramollissement. Plus en avant (Planche XXXII, fig. 17), les lésions sont moins destructives, mais
cl.znz6aull) S¡ ? Conclu sagittale externe, zone dégénérée ; sur la fig. 6, on voit la zone dégénérée se confondre avec
onnaissable était le faisceau longitudinal in- férieur des auteurs ( fig. 4 et PI. XXXII, 17). 202 LASALLE-ARCUAMBAULT
ngitudinal inférieur dégé- nérer à la suite de lésions antérieures ( fig. 5, le segment supérieur de la cou- che sagittal
tre ces deux ordres de fibres de nature essentiellement différente ( fig. 1 et 6). Au niveau du carrefour ventriculaire,
ntriculaire) et environ le tiers inférieur de son segment vertical ( fig. 2) et déjà, à la jonction des tiers infé- rieur
cales, se portent vers la partie inférieure de la capsule externe ( fig. 3),traver- sent l'angle inférieur du noyau lent
rieure et l'écorce, la substance blanche est d'une extrême minceur ( fig. 3) et nous disions que les fibres d'association
ésions limi- tées à la face latérale retentissent sur le cingulum. ( fig. 2 et 7). La figure 2 représente une coupe front
La moelle présente des lésions tabétiques peu avancées (Pl. XXXIV, fig. 2) ; la systématisation habituelle du tabes inc
ans interruption sur un long trajet de la fibre atteinte (Pl. XXXV, fig. 3 et 5). Il serait intéressant de savoir commen
s fines groupées, en faisceaux riches en noyaux allongés (Pl. XXXV, fig. 3). La nature de ces dernières fibres est doute
t isolé- ment et ne paraissent pas se ramifier beaucoup (Pl. XXXVI, fig. 6). Dans le tabes ancien (obs. I etII),au contr
nouvelles naître de points très rapprochés de l'axone (PI. XXXVII, fig. 10 ; PI. XXXVIII, fig. 12, j, j'), et se ramifier
ints très rapprochés de l'axone (PI. XXXVII, fig. 10 ; PI. XXXVIII, fig. 12, j, j'), et se ramifier abondamment tout près
re plus volumineuse, ancienne ou de nouvelle formation (PI. XXXVII; fig. 11, b et PI. XXXVIII, /). Parfois deux ou plusi
t plus volumineuses, plus régulières et d'un aspect plus vigoureux ( fig. 1) ; dans le tabes ancien au contraire, on voit
re phase de leur développement sont infiniment petites (PI. XXXVII, fig. 11, a). A un stade ultérieur, les boules primit
normal, pratiquées suivant les lignes a, b, c, du schéma, Pl. XXXV, fig. 1. a', b', c', coupes du même , nerf aux mêmes
supé- rieur ; a, b, c, niveaux des coupes représentées, Pl. XXXIV, fig. 1 (figure demi-sché- matique). Fig. 2. Même c
t si peu marqués qu'il fallut la découverte du tubercule T (Pl. XL, fig. 1 et 2) dans l'hémisphère gauche du cervelet pour
et déformé les faisceaux, que l'on retrouve tous. La planche XL, fig. 1 et 2, montre la moelle intacte ; le sarcome fai
t le noyau de de l'oculomoteur commun droit qui a le plus souffert ( fig. 2) ; que, malgré cette déformation notable, les
les mâchoires. Cette grimace se produit d'abord rarement (Pl. XLV, fig. A). Mais en se for- 290 ROUBINOVITCU çant lui
phie à aucun degré, au moins pour l'immense majorité d'entre elles ( fig. 3 et 4, planche XLVIII). Il ne faut attacher aucu
érées contrastent avec les fibres intactes des racines antérieures ( fig. 1, même planche), et les fibres éga- lement tou
fait intactes, nous avons retrouvé les mêmes fibres fines dégénérées ( fig. 7, 8 et 9, planche L). Au 247° jour (chez le
les coupes des ganglions spinaux (voir le dessin des dissociations, fig. Il et 12, planche L). Elles se présentaient irrég
nce de fibres dégénérées au 18e jour dans le sympathique (chat XII, fig. 1 et 2, planche XLIX) et dans les nerfs cutanés (
mentées provenant des fibres à direction centripète (chiens X et XI, fig. 6 et 7, planche XLIX). Il est assez difficile de
férent du ganglion un peu avant sa fusion avec laracine antérieure ( fig. 8 et 9, planche XLIX). Il (1) Kohnstamm, Deut
es gaînes vides. Chez le chat IV, au 382e jour, le bout médullaire ( fig. 10, planche L) se montrait au contraire entière
fibres a myéline indemnes, fines, moyennes et même de fort calibre ( fig. 2) qui sont vraisemblablement des fibres centrifu
n même temps on notait un certain degré de multiplicité des noyaux ( fig. 7, planche XLVIII). La numération a donné, de ce
re. Du côté droit, les gaînes de myéline sont tout à fait normales ( fig. 2 et 4 de la planche XLVIII). Les cellules ga
vaient l'aspect de fibres régénérées xix 22 330 nOUX ET llEITZ ( fig. 10, planche L). Ces libres étaient comparables au
filets dissociés du bout médul- laire. On voit que certains filets ( fig. 1) sont complètement dégénérés, et qu'on n 'ype
libre que ce soit. A peu près aussi nombreux, sont d'autres filets ( fig. 2 à 6) où au milieu de très nombreuses fibres c
en dégénérescence un cer- tain nombre de fibres saines et normales ( fig. 6 et 7, planche XLIX). Ces fibres sont assez di
ns 3e, 4° et 5e sacrés, avant leur réunion aux racines antérieures ( fig. 8 et 9, planche XLIX). Les nerfs cutanés ont ét
résente des fibres dégénérées très nom- breuses (voir planche XLIX, fig. 1 et 2). Le sympathique droit est intact. Les 3
éranlielle supérieure. Mé- thode de Weigert et Weigert-Pal (PI. LI, fig. 1). Calotte. - A gauche, destruction du pédoncu
ment conservées des deux côtés. Région protubérantielle inférieure ( fig. 2). La moitié gauche de la pro- tubérance est p
zones scléreuses. Dans la moitié droite l'olive est moins touchée ( fig. 3). Les noyaux de la XIIe paire et les noyaux p
ées par de petites zones circulaires légèrement jaunâtres (PI. LII, fig. 4). Deux racines plus bas, la moitié gauche de
dach. La moitié droite, au contraire, est beau- coup moins touchée ( fig. 5). 350 GIUNIO CATOLA Au niveau de la lié rac
antérieures et posté- rieures sont, elles aussi, en très bon état ( fig. 7). Au niveau de la 2e racine lombaire, les cor
don antéro- latéral, tandis qu'à droite il n'en reste pas de trace ( fig. 7). Un segment plus bas les rapports sont compl
g. 7). Un segment plus bas les rapports sont complètement invertis ( fig. 8). Au niveau des 4° el 5" racines lombaires, l
una légère sclérose .sy- métrique bornée aux faisceaux pyramidaux ( fig. 9). En conclusion, à partir de la région bulbai
tration s'étend à la gaine péri- vasculaire et au tissu avoisinant ( fig. 11). Dans les vaisseaux de la substance médulla
x y figurent trois ou quatre fois plus nombreux qu'à l'ordi- naire ( fig. 12). Dans les foyers scléreux nous n'avons trouvé
s, en général, assez grands. Ces noyaux parfois sont très nombreux ( fig. 13). Les vaisseaux du cervelet dans cette même
vaisseau et le tissu uerveux sans aucun espace vide intermédiaire ( fig. 13) ; parfois, au contraire, entre la paroi vascu
re un espace vide plus ou moins large, une vraie formation lacunaire ( fig. 15). Cette ressemblance avec les lacunes de dés
plus clair. Cette ra- réfaction s'étend aussi au faisceau de Goll ( fig. 1). Au niveau de la 3e racine cervicale existe
sceau de Burdach, l'anneau de raréfaction périphérique, persistant ( fig. 2). A la 5° racine le cordon latéral droit est re
on de Goll, la zone cornu-commissurale et la corne latérale droite ( fig. 3). Au niveau de la, 6° racine dorsale toute la
reste un petit état de tissu sain dans la zone radiculaire interne ( fig. 4). Au niveau des li'etl2° racines dorsales on
e très légère raréfaction périphérique des cordons antéro-latéraux ( fig. 5). Au-dessous de ce niveau la moelle se présen
ques. Au niveau de la grande plaque de sclérose du 6e segment dorsal ( fig. 5), les cellules des cornes antérieures sont co
s plaques, comme, par exemple, au niveau de la 5e racine cervicale ( fig. 3), elles subsistent toutes absolument intactes.
par exem- ple, c'est le cas au niveau du segment de la 6e dorsale ( fig. 5), présentent tou- jours leurs fibres presque
plus de déviation dans les poignets. Nos photographies (PI. LVI, fig. 1 et 2) rendent compte de cet en- semble de car
é, déjà signalé comme ne présentant pas l'aspect clinique rapporté ( fig. 4, PI. LVI) : on voit que les extrémités phalan
ection, on observe une tumeur occupant le lobule sphénoïdal gauche ( fig. 1). Cette tumeur est molle, gélatineuse, légère
ien conservée qu'on ne peut mettre en doute leur na- ture nerveuse ( fig. 2). La tumeur est peu vascularisée à son centre ;
ème phalange formant avec la première un angle droit ouvert en bas ( fig. ). -A la voûte plantaire, par suite de la sailli
ersalement, avec déformation très marquée de l'axe gris (Pl. LXXVI, fig. 2, le N° 2 de cette figure correspond à la compre
e d'une noix. Rachis.- La section antéro-postérieure montre (pi. I, fig. 3) un foyer tuber- culeux détruisant le disque
t à gauche, où il y imprime nettement son empreinte (V. pl. LXXVII, fig. 1). Pas d'adhérences entre la dure-mère et les
ie,avecdisparition complètedetotite différenciation (Y.pl. LXX VII, fig. 2). On ne trouve plus qu'une trame névroglique ir
aires s'ouvrant dans l'es- pace épidural où l'on trouve (pl. LXXVI, fig. 3) des amas irréguliers de tissu lar- dacé engl
-dessous[du cône terminal,dans une mince toile btanchâtre(pt.LXXVt, fig. 4) constituée, au microscope, par un tissu d'infl
es présente deux petits foyers de carie superficielle (pl. LXXVIII, fig. 1) ; à leur niveau, l'espace épidural renferme de
semblables existent devant les VIIIe racines cervicales (pl. LXXVIII, fig. 2) ; la face interne est partout saine, sans ad
nt) le diamètre an- téro-postérieur (V. la radiographie, pl. LXXIX, fig. 1) ; une section médiane antéro-postérieure du
osité angulaire. Au niveau des 6e-7e paires cervicales (pl. LXXVII, fig. 1), un gros tubercule ancien est contenu dans u
e prolongeant dans dans l'espace épidural, où on trouve (pl. L1XIX, fig. 3, face antérieure de la 532 ALQUIER moelle :
nt ainsi comprimé, existe une myélomalacie complète (V. pl. LXXVII, fig. 1). Obs. V, IX, X : la partie antérieure ou inl
hagiques, protubérantiel et cérébelleux. Le foyer protubérantiel ( fig. 9'H) a son maximum d'étendue sur une coupe de l
le cérébelleux inférieur (PCI) en dehors de l'olive. Sur une coupe ( fig. 6), passant au-dessous de la précédente, on voit
e sous-lobaire. FIG. 6 HÉM1ASYNERGIE DROITE . 547 Sur un coupe ( fig. 7) passant au-dessous de la précédente, la substa
et le dernier dans la substance blanche postérieure. Sur une coupe ( fig. 8) plus inférieure, le foyer de dégénérescence in
é et DEVAUX. Abcès cérébral, nécrose corticale. syndrome méningé (3 fig. , 4 pl.), 239. Eccr : n (maux) et Français (IL
expérimentale à la psy chophysiologie de l'usage des lunettes (2 fig. ), 115. Féré. Note sur quelques cas de trichotil
esco et MINE,\. Recherches sur la ré- générescence de la moelle (13 fig. ), 497. IATIGNON. Plaies pénétrantes du cràne pa
et a l'état normal. Lésions tabétiques des racines médullaires (3 fig. , 5 pl.), 211. NoïcA. Deux frères atteints de my
nts de myopathie primitive progressive (Note addition- nelle) (11 fig. ), 151. Parisot et Etienne. Arthropathies sénile
es altérations du tissu cérébral dues à la présence de tumeurs (3 fig. , 1 pl.), 241. TABLE DES MATIÈRES Abcès cérébr
S MATIÈRES Abcès cérébral, nécrose corticale, syndrome méningé (3 fig. , 1 pl.), par Dupré et DE- veaux, 239. ' Achon
ontribution expérimentale à la psychophysiologie de l'usage des) (2 fig. ), par Féré, 115. Mal de Pott sans gibbosité (
aillard, 282. Moelle (recherches sur la régénérescence de la) (13 fig. ), par Marinesco et Minea, 417. 600 . TABLE DE
ie progressive (deux frères at- teints de) {note additionnelle) (11 fig. ), par NoïcA, 951. ' Neurofibromatose générali
t A. Lévy, 454. Tabétiques des racines médullaires (lé- sions) (3 fig. , 5 pl.), par NncEOTTe, 217. Tics (iconographie
de quelques altérations du tissu cérébral dues à la présence de) (3 fig. , 1 pl.), par Weber, 241. TABLE IDES PLANCHES
12 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
re de chaque étage mé- dullaire. Si nous considérons par exemple la fig. 19 de Parhon (Journal de Neurologie du 5 janvie
tif in- terstitiel est friable et disposé en petits faisseaux (voir fig. 3). En examinant la fibre on aperçoit que l'alt
ent sous le sarcolemme en forme des chaînes plus ou moins longues (a, fig. 4 et 5), en s'enfonçant dans l'épaisseur même d
orte de noyaux isolés dans la masse de la substance contractile (a, fig. 3) tantôt ils sont en désordre sous le sarcolemme
surface de la fibre musculaire un aspect d'une peau de léopard (c, fig. 5) ; tantôt enfin, les noyaux, se multipliant d
fait l'impression d'une plaque fort colorée de forme irrégulière (d, fig. 5). Dans les fibres fort atrophiées la quantité
e fibre on ne voit qu'une gaine de sarcolemme remplie de noyaux (e, fig. 5). La forme des noyaux n'est pas constante : s'i
èbre lombaire, ainsi que le représente la figure placée devant vous( fig. 1). Le reste du canal rachi- dien est rempli pa
filu1n terminale, mais encore la portion inférieure de la- moelle ( fig. 2). Cela dit, vous concevrez sans peine qu'une
limites exactes se trouvent représentées sur la figure schématique ( fig. 3) placée devant vous. J'ajoute qu'elle était plu
du plexus sacré, ainsi que le montre la figure placée devant vous ( fig. 4. ' Chez notre malade, l'anesthésie réalise bi
, un modèle qu'on lui soumet.Les échantillons d'écriture,spontanée ( fig. 2) et copiée (fi.4), représentent ici deux spéc
médullaires. Le premier cas qui nous occupe (Arthur) (PI. XVIII, fig. A et B) est celui d'un enfant de 10 ans 1/2 né
es d'atrophiquesa à type radiculaire, à sa- voir : 1 syringomyélie, fig. 89, 90 et 94 ; 2 paralysies infantiles,fig. 102,
voir : 1 syringomyélie, fig. 89, 90 et 94 ; 2 paralysies infantiles, fig. 102, 103 et 99, 100; 1 hématomyélie, fig. 105.
; 2 paralysies infantiles,fig. 102, 103 et 99, 100; 1 hématomyélie, fig. 105. J'ai discuté tous ces cas et rapporté en o
ne garçon tient également à la main un urinai de moindre dimension ( fig. 1). La page suivante est un résumé graphique de
tre un peu pos- térieure(XVICsiècle) et représentant le même sujet ( fig. 2). Largement drapé dans sa longue robe qu'il r
urs gravures hollandaises que je citerai tout d'abord. La première ( fig. 3), sans nom d'auteur, peut être attribuée à la p
née, nous renseigne suffisamment pour que nous en puissions parler ( fig. 4). Teniers ne nous conduit pas ici chez les ba
tissu se logent d'abondantes petites cellules d'aspect polymorphe ( fig. 4). A un plus fort grossissement, et sur des co
t forment des lobules comparables à ceux de l'épithé- liome lobulé ( fig. 2). Ces cellules présentent un noyau assez volu
oupe transversale et verticale passant par l'insertion du pédicule ( fig. 3), et sur laquelle l'aplatissement considérable
ologique de la tumeur. Les dissociations de fragments de la tumeur ( fig. 4) montrent, après coloration au picro-carmin, un
ongle. Les 4° et 5e doigts sont normaux. Main droite- (PI. XXVII, fig. B et C). Au pouce et à l'index, rien d'a- norma
e la phalangette existe un gros bourrelet du volume d'un gros pois ( fig. B et C), à peau molle et rose, séparé dans sa par
profond. L'auriculaire est bien conformé. Main gauche (Pl. XXVII, fig. B et C). Elle est, dans son ensemble ab- solume
les qui limitent de petites masses secondaires. Il en existe trois ( fig. B et C), du volume d'une noisette, disposées en b
sur le bord cubital de la main un auriculaire assez bien conformé ( fig. B) séparé du moignon de la main par 224 4 UAUSH
le rudiment d'extrémités de doigt), replié jusqu'à presque contact ( fig. B) sur ce qui représente la paume de la main, e
trois sillons esquissant les 2e, 3e et 48 espaces inter- digitaux ( fig. B). Ces 3 phalanges convergent l'une vers l'aut
ain, on sent la phalange du pouce, contenue dans un gros bourrelet ( fig. B), convergeant aussi vers le cen- tre delà pau
les uns sur les autres. Voici les particularités qu'ils présentent ( fig. 1 et 2). Occipital. De chaque côté, les points
-pariétale à sa partie tout inférieure. Quant à la face (PI. XXVII, fig. A), toute la partie comprise au-dessus du maxil
e. Scissure interhémisphérique . Partie supérieure : (PI. XXVIII, fig. D) absolument accolés par les ménin- ges, au po
s de la surface supérieure, une bande antéro-postérieure (PI. XXIX, fig. H et 1) dont l'axe est un peu oblique de droite à
É RARE DE LA FACE ET DE L'ENCÉPHALE 235 de l'encéphale (Pl. XXVIII, fig. D), cette bande est visible par son bord antéro-
e 6 millimètres de large et de 2 millimètres d'épaisseur (Pl. XXIV, fig. H et I), qui apparaît par transparence sous la me
préciable. Si nous continuons sur les hémisphères isolés (PI. XXIV, fig. H et I) l'étude de ces formations interhémisphé
ce inférieure du cerveau, nous voyons que leur section (pl. XXVIII, fig. E), au lieu d'être médiane et de répondre par p
si dire immédiatement en plein hémisphère. On aperçoit (pl. XXVIII, fig. E) l'éminence représentant la tige pituitaire.
ir. Hémisphère droit. Sur la convexité de l'hémisphère (pl. XXVIII, fig. D) nous voyons la scissure de Rolando plus tour
rphologiquement très proba- ble (face latérale gauche) (pl. XXVIII, fig. G et fig. D), nous eu sommes même à nous demand
ement très proba- ble (face latérale gauche) (pl. XXVIII, fig. G et fig. D), nous eu sommes même à nous demander si c'es
llimètres. A moins alors de nommer scissure de Sylvius (pi. XXVIII, fig. D) une scissure profonde allant jusqu'à la ligne
externe se fusionnerait avec la scis- sure de Sylvius(pl. -NX1111, fig. D). Pour suivre cette toute gratuite hypothèse,
ce de l'encéphalocèle, depuis le niveau de la scissure (pl. XXVIII, fig. D), l'épaisseur de la paroi nerveuse varie entre
ar le liquide sanguin. A la face interne des hémisphères (pl. XXIV, fig. D), bien que sillons et saillies s'y dessinent
oite ils sont reconnaissables. Le prolongement occipital (pl. XXIX, fig. K et L) est très nettement indiqué, fortement d
unissant à plein canal avec le prolongement sphénoïdal, (pl . XXIX, fig. K) profond de 2 cm. 5 et large de 1 cm. 5. Le p
de 2 cm. 5 et large de 1 cm. 5. Le prolongement frontal (Pl. XXIX, fig. K et fig. L) remonte jus- qu'à une distance de
5 et large de 1 cm. 5. Le prolongement frontal (Pl. XXIX, fig. K et fig. L) remonte jus- qu'à une distance de 10 à 15 mi
A gauche, les deux prolongements occipital et sphénoïdal (pi. XXIX, fig. K et L) se présentent comme de larges fentes, d
lsation se présente avec une physionomie distincte et bien définie ( fig. 2 et 3). Fig. 2 et 3. Types des courbes p[4tys'
imensions avec des plumes de longueur égale. Dans le seul cas de la fig. 7 les sujets suivaient de leurs yeux les déplac
rement touchés. La face externe de l'hémisphère gauche (PI. XXXIII, fig. A) serait abso- lument saine si la décorticatio
leur ensemble faisceau sensitif ou radiations optiques) (PI. XXXIV, fig. C, D), elles sont considérablement réduites d'é
médian,démontre qu'il s'agit bien d'une dégénérescence (PI. XXXIV, fig. E). Outre que le ramollissement du splenium ne pe
Des coupes macroscopiques pratiquées surI'hémisphèredroit(PI.XXXV, fig. F, G) permettent de suivre cette dégénérescence d
ité remplie de sang occupant à peu près la moitié de l'organe (voir fig. 2). Dans la plupart des ganglions lombaires et
liers concentriques qui correspondent à des capsules vides (PI. LXII, fig. B), d'autres amas nucléaires sont formés d'élém
re sont extrêmement grêles, entortillés et enroulés sur eux- mêmes ( fig. 4), ils augmentent considérablement de volume au
ent considérablement de volume au voisinage immé- diat du ganglion ( fig. 3) ; au reste, dans toute cette région qui corres
men du cas précé- dent et qui sont représentés sur la planche XLII ( fig. B). Il nous paraît probable d'après l'examen d'
érieure est atrophiée sur tout son trajet, jusque dans le ganglion ( fig. 5). Dans sa portion sus-ganglionnaire, la racine
atrième ganglion lombaire droit (coupé perpendiculairement) (PI.XL, fig. A et B). La racine postérieure est atrophiée da
nent des amas de noyaux arrondis, dispersés en ilots et en traînée ( fig. 7). Dans chaque fascicule, le tissu conjonctif
est-elle plus accentuée à la périphérie du fascicule qu'au centre ( fig. 9). Le périnèvre n'est formé que par du tissu f
nt la paroi également hyaline est extrê- mement épaissie (PI. XLII, fig. A). A l'intérieur des fascicules les vaisseaux
ocient, s'élargissent et occupent une surface de plus en plus grande ( fig. 10). Dans l'intervalle des fibres saines, l'on
arler, ou vient de le faire ; quand on l'observe avec trop (1) Voir fig. (2) Mal. de Friedreich, loc. cit., p. 12. LE
ième série dépasse encore la moitié de la première. Le diagramme 1 ( fig. 1) représente le tra- vail total des neuf série
illes lâches, qui contient encore de nombreux éléments cellulaires ( fig. 1). Les vaisseaux participent dans une large me
de la même façon : leurs parois sont infiltrées de cellules rondes ( fig. 2 et 3). Les lésions du tronc basilaire mériten
nière partie on observe au centre des lacunes sanguines néoformées ( fig. ). La tunique moyenne et les tissus de l'endart
l'élastique interne, dans l'épaisseur de la musculaire désorganisée ( fig. 5). Dans les derniers moments de la vie, il s'e
e et le long des vaisseaux des corps granuleux disséminés (Pl. LVI, fig. J, K, L, M). Ce foyer entame la lame postérieur
ibres, ou du moins d'une bonne partie d'entre elles (Pl. LVI, LVII, fig. K, L, M, N). Les troisième et quatrième foyers
er précé- dent, et l'autre (F4) sur le faisceau pyramidal (PI. LVI, fig. K, L, M). Il nous faut aborder maintenant l'étu
as suivi les fibres dégé- nérées jusqu'à leur disparition (Pl. LIX, fig. S). Le ruban de Reil gauche, au-dessus des foye
iculièrement les fibres provenant' du noyau grêle (PI. LVII, LVIII, fig. 0, P,Q). En effet, Bechterew assigne à celles d
gion protubérantielle ; c'est aussi l'avis de Scblesinger (Pl. LIX, fig. R). Ifl . ' En remontant dans la protubérance e
rsent la moitié externe du noyau semi-lunaire de Flechsig (PI. LIX, fig. S). Au-dessous des foyers de ramollissement, on
u (face) et destinées aux noyaux de la couche optique (PI. LVI, LV, fig. I, J, K, L, M). Le ruban de Reil droit présente
es du faisceau pyrami- dal direct par une mince ligne pâle (PI. LV, fig. H), puis cette ligne de démarcation disparaît;
ipète que nous avons admise pour le ruban de Reil (PI. LVII, LVIII, fig. N, 0, P, Q). Il existe en outre d'autres fibres
upérieure du faisceau, sur la face interne du noyau rouge (PI. LVI, fig. J, K, L). Enfin nous arrivons à la dégénérescen
ormes et vont se grouper dans leur angle postérieur (Pl. LVI, LVII, fig. L, M, N, 0). Elles montent ainsi jusqu'à la par
erminaison dans le corps ciliaire du côté opposé (PI. LV11,, LVIII, fig. 0, P. Q). Après un grand nombre d'hypothèses ém
nt des sinuosités, ont des contours comparativement réguliers (voy. fig. 1). Elles s'amincissent assez rapidement, en se
ices collatéraux, qui ont une forme et une grandeur variables (voy. fig. 2) ; tantôt ces appendices consistent en un pédon
es sont presque tout à fait privés d'ap- pendices collatéraux (voy. fig. 3). En poursuivant le trajet des dendrites, pas
tes des cellules de la corne postérieure sont moins réguliers (voy. fig. 4). que ceux des dendrites des cellules motrice
ULES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE 535 lions plus fines et terminales (voy. fig. 5 et 6). Il faut encore ajouter que çà el là on
pendices collatéraux, que les dendrites des cellules motrices (voy. fig. 7). Très souvent on rencontre ici des cellules,
s d'un pédoncule fin avec un épaississement sphérique au bout (voy. fig. 8). Cornes postérieures. - Ici on rencontre ass
sposent d'une manière tantôt plus dense, tantôt plus raréfiée (voy. fig. 8). Outre ces cellules nerveuses à dentrites rich
de la soudure des épiphyses, présentait aussi un genu valgum droit ( fig. 3). 2° D'autre part, l'existence d'un genu valg
trace d'inllammation tuberculeuse présente ou passée. ' Squelette ( fig. 4). Les diaphyses sont grandes, mais à peu près n
de 37 millimètres (au lieu de la longueur normale : 15 mm.). Face ( fig. 5). Les maxillaires supérieurs sont très augmenté
sur un crâne acromégalique appartenant à l'école d'Anthropo- logie ( fig. 6). Il ne suffit donc plus de dire que le géant
rvelet (Lésions histologiques de l'écorce dans les atrophies du) (1 fig. 2 pl. en plio- tocollogr.), par LANNOIS et P.wu
phocollogr.) par Ilcw Meige, 586. ' Gigantisme et infantilisme (6 fig. 8 pl.) par Launois et Pieiuie Boy, 539. Hallu
mi- plégie croisées. Lésions syphilitiques des centres nerveux (8 fig. dans le texte, 5 pl. en pliotocollogr.), par BA
pl.), par Henry Meige, 78. Psychiatrie dans le théâtre japonais (3 fig. ), par Geyel, 359. Queue de cheval et du segme
du segment inférieur de la moelle (sur les -affections de la) (5 fig. ), par F. Bnxxoao), 81, 473. Sens des altitudes,
- Torticolis spasmodique (Le syndrome) (1 pl. en photocollogr., 4 fig. dans le texte), par Destarag, 385). Urologues
NAGEOTTE. Hémiasynergie, latéropulsion, myosis bulbaires (5 pl. 5 fig. ), 493. Ballet (GILDERT) et DrLILLr (ARMAND).
- veuses des cornes de la moelle épinière chez les nouveau-nés (8 fig. ), 529. DAMEL (Gaston). Syndrome de Little (2 pl
Le syndrome du torticolis spas- modique (1 pl. en photocollogr., 4 fig. dans le texte), 385. DUCREST de Villeneuve. P
gr.), 101. Geyer (R.). La psychiatrie dans le théâtre Japonais (3 fig. ) 359. HAusER (G* et Thomas (A.). Etude sur le
logr.), 241. Lannois et Pavot. Lésions de l'écorce du cervelet (1 fig. , 2 pl.), 512. Launois et Roy (P.). Exostoses mu
ssins), 349. Launois et Roy. Gigantisme et infantilisme (8 pl., 6 fig. ), 539. Lejonne et Cestan. Une myopathie fami-
ons histologi- ques de l'écorce dans les atrophies du cervelet (1 fig. 2 pl. en photocollogr.), 512. RAYMOND (P. F.)
ons de la queue de cheval et du segment inférieur de la moelle (5 fig. ), 81, 413. Rarnow (F.) et Janet (Pierre). Le sy
13 (1893) La photographie médicale : application aux sciences médicales et physiologiques
comporte trois corps au lieu de deux, et deux soufflets au lieu d'un ( fig. 9). L'objectif se place sur le corps du milieu.
des épreuves posées, ou des instantanés de divers degrés de rapidité ( fig. 12). Nous le plaçons entre les deux lentilles d
ne crémaillère qui permet de le lever ou de l'abaisser très aisément ( fig. 13). Il est nécessaire que la planchette supéri
des mains, l'extension des membres inférieurs sont également à noter ( fig. i5). On retrouve ces mêmes caractères chez une
actères chez une autre malade du même genre qui est assise et dont la fig. 16 reproduit l'attitude habituelle. Cette malade,
onvaincre aisément de cette nécessité en jetant un coup d'ceil sur la fig. 17. Elle représente la tête d'un hystérique mâle
s, chez le sujet en question, il a persisté pendant de longs mois. La fig. 18 montre le même malade vu de face. Ici, il a ét
façon à bien mettre en évidence l'anomalie qu'il présentait. Dans la fig. 19 nous voyons un cas remarquable d'une maladie e
ner à la chambre noire une inclinaison égale à celle du plateau (voir fig. 23) (*). Nous avons vu à la Préfecture de Polic
ale. La comparaison sera plus facile. C'est ce qu'on peut voirdans la fig. 24, qui montre des mains d'acromégalique à côté d
Nous donnons deux reproductions de pieds faites dans ces conditions ( fig. 26). Fig. 26. Pieds d'acromégalique. Durill
réglée d'après le plus ou moins de rapidité du mouvement observé. ( fig. 28) \ on remarque son altitude caractéristique da
ous l'influence de la faradisation des principaux muscles de la face ( fig. 3o, 3i, 32 et 33). Il est à remarquer que, pour
ubitale obtenue par friction du nerf cubital dans la région du coude ( fig. 34), puis la griffe médiane par celle du nerf méd
t de rotation qui est conforme absolument aux lois de la Physiologie ( fig. 36). Nous avons exécuté, avec le Dr Richer, une
supérieur, le sourcillier et le pyramidal du nez. Le schéma suivant ( fig. 37) indique les points d'élection sur lesquels Du
lques-unes de ces épreuves. Sous l'influence du verre jaune (Pl. VII, fig. 1), la malade fronce les sourcils, elle cligne le
tance de son nez, en flairant une fleur qu'elle croît tenir (Pl. VII, fig. 2). Un verre bleu étant interposé, elle lève le
Un verre bleu étant interposé, elle lève les yeux au ciel(P/. VII, fig. 3), joint les mains en l'air, dans l'attitude de
dans l'attitude de la prière et finit par se mettre à genoux (Pl. VU, fig. 4)- Si l'on fait entendre un bruit de cloches,
ique. devient fixe, puis peu à peu le pied se contracture (Pl. VII, fig. 6). Si l'on remplace le chloroforme par le sulf
la main sur ses yeux, comme quelqu'un qui pleure ou qui prie (Pl. VU, fig. 5). Lui fait-on respirer du chloroforme, son rega
la fait frissonner et elle serre les bras contre son corps (Pl. VII, fig. 8). Nous arrivons maintenant à l'étude de la gr
*s survient la deuxième phase avec immobilité tétanique ou tétanisme ( fig. 42). Dans cette phase, l'immobilité est complèt
e Richer qui donne une idée parfaite des grands mouvements cloniques ( fig. 43). Dans l'espèce, il sera avantageux de faire p
le. La malade repose sur les pieds et la tête complètement renversée ( fig. 46). Fig. 46. Vient alors une nouvelle phase,
spécimens choisis parmi l'infinité de poses que l'on peut rencontrer ( fig. 44 et 45). H en est cependant une qui est particu
dans un monde imaginaire. Elle assiste à des scènes gaies ou tristes ( fig. 48 et 49)? parfois à des drames dont elle traduit
ttaque d'hystérie et montrer la violence de ces crises, nous donnons ( fig. 5o) deux des positions prises par un hystérique m
a façon d'appuyer le pied constitueront autant de signes distinctifs ( fig. 54). La Photographie sera très précieuse pour r
deux yeux, on peut examiner cette image sans l'emploi du voile noir ( fig. 56). Les deux objectifs rigoureusement de même
placer à l'endroit le plus convenable pour obtenir un bon éclairage ( fig. 60). Il faut en effet, dans la Photographie à la
et effectuons la mise au point sur le verre dépoli comme d'habitude ( fig. 61). La pièce est placée soit sur une plaque de
et les moindres différences facilement perceptibles. Ainsi dans la fig. 62, qui représente un crâne normal et un crâne d'
moelle épinière, est ainsi composé : Sur le tube amenant l'oxygène ( fig. 65), nous mettons à portée de notre main un robin
ciaux dont le tube a de grandes dimensions, tels que ceux de M. Yvon ( fig. 70), de M. Dumaige (fig. 66). Nous préférons, pou
randes dimensions, tels que ceux de M. Yvon (fig. 70), de M. Dumaige ( fig. 66). Nous préférons, pour notre part, employer le
t la préparation et arriver à la plus grande précision. Nous donnons ( fig. 67) le dessin du modèle de platine de Karl Zeiss.
lement l'appareil de M. Yvon, qui est construit par la maison Verick ( fig. 70) ; il permet d'opérer soit avec l'objectif seu
roscopique. L'appareil est vertical et se compose de trois parties ( fig. 71) : i° Un solide tabouret de om, 55 de long s
aut citer celui que M. Duchesne (d'Evreux) vient de faire construire ( fig. 72) et qui a été montré au Conservatoire des Arts
se compose d'une boîte rectangulaire en bois montée sur quatre pieds ( fig. 73). Le Fig. 74. mètre placé à l'intérieur. I
Celle qui nous sert à la Salpêtrière sort des ateliers de M. Voirin ( fig. 7$). Elle consiste essentiellement en un solide p
on filtrera sur de la flanelle dans un entonnoir à filtration chaude ( fig. 78). Pendant ce temps l'étuve aura dû être chau
de faire tous les changements et toutes les transpositions voulues ( fig. 79). Fig. 80. appareils fonctionnent suivant
ne vieille femme qui a été littéralement écrasée à coups de bâton; la fig. 2 de la même Planche représente une section du co
14 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
aire devient suhitement l'inverse de celui que je viens de décrire ( fig. 5 et 6). Ainsi, durant tout le temps de l'oscilla
ssi toujours du côlé opposé au pied qui supporte le poids du corps ( fig. 7). C'est également ce qui a lieu dans certaine
re, grande oeuvre dramatique des Offices (3) que nous reproduisons ( fig. II), le pied droit de l'enfant, que baise à la
rer que comme des espaces lymphatiques de dimensions pathologiques ( fig. 1). Les vaisseaux ne sont pas fortement engorgé
l l'est beaucoup plus dans sa corne frontale que dans l'occipitale ( fig. 2). Comme il y avait communication large entre
I. XXV, A). Les ventricules ne sont pas dilatés. Vaisseaux, etc. ( fig. 3 et 4). Les espaces périvasculaires sont partout
ane propre, délimitées simplement par des fibres nerveuses serrées ( fig. 5). Mais ici ces vacuoles sont loin d'occuper tou
a cependant des îlots de cellules infiltrées dans le tissu nerveux ( fig. 6). Point de réaction inflammatoire. La série
n'y a que peu de détruit. Les pyramides sont repoussées en dehors ( fig. 7), le noyau IIIe à gauche se voit bien et l'on
imètres, aplati, est appliqué sur le côté droit de la protubérance ( fig. 10) et de la moelle allongée, jusqu'au niveau du
upé en série (Dr. Papadaki). Les ventricules latéraux sont dilatés ( fig. 10 et 41), à gauche un peu plus qu'à droite ; l
l'épendyme, pénétrant même profondément dans la substance blanche. ( fig. 11). Partout nous trouvons des espaces périvasc
ces périvasculaires fortement dilatés, même autour des capillaires ( fig. 12), contenant du sang frais ou du pigment. Il n'
nvahit le tubercule quadrijumeau antérieur gauche qui est affaissé ( fig. 1). · Le tuberculome dans sa hauteur, sans atte
à toit nu quelques kystes remplis d'une abondante matière colloïde ( fig. 4). Au microscope on constate immédiatement une
plasie glandulaire qui a bouleversé toute la substance cor- ticale ( fig. 5). La capsule fibreuse, épaissie, envoie dans
laire qui partage la teinte bleuâtre du reste du fond de l'oeil (V. fig. 2). Cet aspect du fond de l'oeil est symétrique
la marche. Nous avons ici cinq échantillons d'écri- ture ataxique ( fig. 1 à 5), dont deux appartiennent à deux comptables
la cause initiale de l'affection en. question. Voici une écriture ( fig. 6), qui appartient à une personne instruite, qu
tte contracture se constate également pendant l'extension du pouce ( fig. 7). La figure 8 montre nettement la flexion exa
des fibres à myéline, dont la plupart sont atrophiées (PI. XXXIII, fig. 5). La moelle lombaire est normale, à part une tr
la limite moyenne des faisceaux de Goll et de Burdach (pl. XXXIII, fig. ). Les cellules nerveuses paraissent normales.
açon plus discrète et moins systématique que le gauche (pl. XXXIII, fig. 1). Au Nissl, les cellules des cornes antérieur
rète et moins bien limitée de l'autre pyramidal croisé (pl. XXXIII, fig. 2). Au Nissl, même altération des cellules des
n est toujours plus dense et plus localisé que l'autre (pi. XXXIII, fig. 3). Au Nissl, les cellules ont conservé leur no
grise offre un assez grand nombre de fibres respectées (pl. XXXIII, fig. 7). Les racines postérieures sont, comme à la rég
- lité, et le cordon de Burdach dans sa partie interue (pi. XXXIII, fig. 9). Les racines postérieures sont très altérées
dach, prédominant à la limite de séparation de ceux-ci (pl. XXXIII, fig. 8). Nissl. Les cellules de la colonne de Clarke
sclérosées, ainsi que les faisceaux cérébelleux directs (pl. XXXIV, fig. 8). Moelle. La moelle cervicale, à l'hématoxyli
Au Weigert, on constate la sclérose des cordons de Goll (pl. XXXIV, fig. 9). Au Nissl, les cellules des cornes sont norm
tion, disparition d'un grand nombre de libres à myéline (PI. XXXIV, fig. 10). Les racines postérieures sont également en
- éosine montre à ce niveau de petits foyers de myélite (PI. XXXIV, fig. 11). Les reins ont leurs vaisseaux dilatés et q
gauche qui apparaît atrophiée et complètement décolorée (pl. XXXIV, fig. 1). La moelle dans toute sa hauteur est atteint
e Lissauer. Les racines postérieures sont très altérées (pl. XXXIV, fig. 2). Dans la région dorsale on constate les même
rose et en plus un gros foyer récent de méningo-myélite (pi. XXXIV, fig. 3). Dans la région lombaire, en plus de la sclé
radiculaires postérieures et antérieures sont conservées (pl. XXXIV, fig. 5). Les racines antérieures sont intactes. Le
que la partie postérieure et interne des cordons de Goll (pl. XXXIV, fig. 6). Au Nissl, dans la corne antérieure les cell
érieure ; la zone de Lissauer est complètement détruite (pl. XXXIV, fig. 7). A l'hématoxyline-éosine, méningite intense,
altérées et pré- sentent de la névrite parenchymateuse (pl. XXXIII, fig. 10, H, 12). Ons. XI bis. - Dumo...., âgé de 34
s. Au niveau de la zone de Lissauer, elles ont disparu (pi. XXXIII, fig. 12). Marchi. Les préparations au Marchi permett
rdons de Goll et des bandelettes exter- nes de Pierret (pl. XXXIII, fig. 6). Nissl. L'inflammation très accentuée des ra
seaux de la base. Le cervelet présente une atrophie du lobe gauche ( fig. 1). Les circonvolu- tions du flocculus sont les
lules en araignée, à prolongements épais, se divisant en fibrilles ( fig. 2). La même prolifération névroglique se retrouve
t Varnier concernent le père et la fille ; nous donnons ci- contre ( fig. 1, 2, 3) une photographie de cette dernière ainsi
e der Scliliisselbeiiie, Mang. dissert. Leipzig, déc. 1902 29 p., 1 fig. , 1 radiogr. Fig. 2. Malade de Pinard et Varnier
RET ET FRANCO/. ' sur le fragment externe (Pinard et Varnier) (voir fig. et notre cas n° 1) ; d'autres fois on ne trouve
es bords spinaux s'éloignent excentriquement (scapulae alatm) (voir fig. ), une disparition apparente des fosses sus-épineu
lles-ci s'avancent plus ou moins, parfois jusqu'à la racine du nez ( fig. 1) ; parfois au contraire elles laissent une ét
tés intéressantes à noter. C'est ainsi que chez l'un de mes sujets ( fig. 2), la tumeur correspondait, extérieurement, à la
(t) Op. cit. (2) Op. cit. (3) Op. cit. (4) Op. cit., pl. II, fig. 7 et 8. , 360 RABAUD et manque complètement a
t-Hilaire a repris l'étude avec d'excellents dessins à l'appui (2) ( fig. 3). Le coronal existe, il est formé de deux por
nal droit et du coronal gauche n'est parfaite (t) Op. cit., pl. II, fig. 6. (2) ETIENNE GEOFFMY-SAtNT-IhLAOEE, Philosoph
espace libre où puisse habiter l'en- céphale. Dans ces conditions ( fig. 4-5) l'écaille du frontal a perdu toute con- (1
ettes, en effet, le maxillaire inférieur paraît démesurément grand ( fig. 7), et quelques auteurs t'ont considéré comme f
roéminant dans l'espace compris entre la dure- mère et la pie mère ( fig. 8). En dehors de la pie-mère se trouvent les sect
eau du sillon antérieur et un peu à gauche du sillon postérieur (v. fig. 10); la pénétration est peu importante; elle para
sant en même temps, de façon à former un tout parfaitement continu ( fig. U et PI. XLIV bis, Ce). Les nerfs rachidiens so
oi antérieure et tend à rejoindre le sillon antérieur de la moelle ( fig. 10). Ce bou- chon est de nature conjonctivo-vas
n. Quant à ce dernier, il est gravement atteint par l'inflammation ( fig. 11). Les coupes intéressant les segments supéri
les mouvements volontaires au niveau de la moitié droite du front ( fig. A, pl. XL1X) et de la commissure labiale du (1)
et les releveurs de la lèvre entrent en contraction du côté droit ( fig. C, pi. XLIX) ! Le phénomène est encore plus fra
encore plus frappant quand le malade ferme l'oeil droit isolément ( fig. B). Voilà bien la synergie « paradoxale » : la co
oite, où d'ailleurs il n'y a pas non plus d'atrophie apprécia- ble ( fig. 1 et 2). La station debout, immobile, est fatig
n peu élargie (ce qui est en particulier le cas pour l'enfant D... ( fig. 4). Les déformations y sont rares à moins de coex
pés de l'adulte. Chez le (oetlls achondroplase (comparez Pl. LII la fig. 1 avec la fig. 2 concernant un enfant normal] l
. Chez le (oetlls achondroplase (comparez Pl. LII la fig. 1 avec la fig. 2 concernant un enfant normal] les os longs ne
vait trop souvent con- fondues jusqu'ici. 1° Chez le foetus (voy. fig. 4), les os longs des membres sont courts, ramas-
nt basculé l'un par rapport à l'antre (Voy. le radius du squelette, fig. 4). Elles relèvent, en effet,de l'évolution mêm
llongé qui n'est pas sans analogie avec la clavicule (Voy. PI. LII, fig. 1), mais qui est bien différente de la courbure e
est normal et régulier, parfois, cependant, élargi à sa base (Voy. fig. 4). Dans certains cas plus généralisés les côtes
, les mêmes caractères du squelette que chez l'enfant (voy. p ! . II, fig. 6). Les os longs des membres sont courts et épa
l'orifice postérieur des fosses nasales très rétréci (voy. PI. LUI, fig. 8). La clavicule, de longueur normale, présente
se portant du cartilage indilférent vers la diaphyse (voy. PI. LVI, fig. 9). a) Zone de prolifération. Les cellules du c
constituant les systèmes de Ilavers de l'os compact (voy. Pl. LVI, fig. 16). LES MICROMÉLIES CONGENITALES 503 Dans le
minent de nombreux et larges conduits vasculaires (Voy. f. PI. LIV, fig. 10 et PI. LV, fig. 13). Cette bande fibreuse, r
et larges conduits vasculaires (Voy. f. PI. LIV, fig. 10 et PI. LV, fig. 13). Cette bande fibreuse, retrouvée par tous l
-même parfois à subir une transformation fibreuse (Voy. s. PI. LIV, fig. 10 et PI. LV, fig. 13). c) La zone de rivulat
ir une transformation fibreuse (Voy. s. PI. LIV, fig. 10 et PI. LV, fig. 13). c) La zone de rivulation est rudimentaire
t fait défaut dans les épiphyses les plus altérées (Voy. c. PI. IX, fig. 14). A ce niveau, la substance interstitielle s
lonne normale au niveau de la ligne d'ossification (Voy. b. PI. LV, fig. 14). d) La ligne d'ossification est extrêmement
rès sinueux de cette ligne normalement régulière (Comparez Pl. LIV, fig. 9 et 10 et PI. LV, fig. 13). Cette irrégulari
ne normalement régulière (Comparez Pl. LIV, fig. 9 et 10 et PI. LV, fig. 13). Cette irrégularité est encore exagérée, da
aît active et se rappro- che en général de la normale (Voy. PI. LV, fig. 15 et PI. LVI, fig. 18). Le périoste, habituell
pro- che en général de la normale (Voy. PI. LV, fig. 15 et PI. LVI, fig. 18). Le périoste, habituellement épais, est tap
te. Plus bas, la rivulation s'effectue régulièrement (voy. pi. LIV, fig. 12). Tou- tefois, dans le cas de Ilildebrand, l
périoste et ne constituent qu'une couche discontinue (voy. pl. LVI, fig. 19). Dans le périoste diaphysaire et ses prolon
us ou moins loin dans la moelle (tissu ostéoïde) (comparez PI. LIV, fig. 11 avec fig. 10). Il semble y avoir essentielleme
oin dans la moelle (tissu ostéoïde) (comparez PI. LIV, fig. 11 avec fig. 10). Il semble y avoir essentiellement une végé
ici en ce qu'il peut déterminer une micromé- lie (comparez PI. LU, fig. 3 avec fig. 1 et PI. LUI, fig. 5 avec fig. 6) :
u'il peut déterminer une micromé- lie (comparez PI. LU, fig. 3 avec fig. 1 et PI. LUI, fig. 5 avec fig. 6) : 1° soit par
r une micromé- lie (comparez PI. LU, fig. 3 avec fig. 1 et PI. LUI, fig. 5 avec fig. 6) : 1° soit par courbures des os.
é- lie (comparez PI. LU, fig. 3 avec fig. 1 et PI. LUI, fig. 5 avec fig. 6) : 1° soit par courbures des os. Ces courbure
diane et correspondante à la coupe S S 1 bis du schéma de Dejerine ( fig. 407, anatomie des centres nerveux), on voit que l
ore plus externes et correspondantes aux coupes S 3, S 4 du schéma ( fig. 407) on y constate les mêmes faits : cepen- dan
as du crâne que nous avons figuré et décrit dans le chapitre premier ( fig. 6). Mais l'éclatement peut intéresser une -part
ivers cas dans la descrip- tion et les représentations des auteurs ( fig. 3, 4 et 5). Tous ces cas, relèvent indistinctem
longueurs se groupant en quelques points en faisceaux remarquables ( fig. 1). Notre ligure 1 ne rend que de façon bien sc
ici que nous avons rencontré le pus de paquets névrogliques spiralés ( fig. 2). Au pôle occipital le revêtement épendymaire
leur niveau les vaisseaux sous-épendymaires apparaissent indemnes ( fig. 3). En cer- tains points des amas de pus se son
ceux-ci se montrent particulièrement infiltrés dans leur intérieur ( fig. 3 et 4). 4e ventricule. Plancher infiltré de la
infiltré de la même façon ; plafond recouvert d'un enduit purulent ( fig. 5) de quelques millimètres d'épaisseur. Séparés d
, mais eux-mêmes ne participent pas ou peu seulement à l'infection ( fig. 5). L'aqueduc de Sylvius est complètement obstr
'aqueduc de Sylvius est complètement obstrué par un bouchon de pus ( fig. 6). Après la nécrops on a essayé sa perméabilité
que l'on a fait fausse route et passé à côté de l'a- queduc fermé ( fig. 6). Méninge. La pie-mère de la face antérieure
fond de la calcarine par exemple il ya quelques points infil- trés ( fig. 4). Substance blanche. Dans tout le pourtour de
s expliquons la déviation à droite du septum lucidum et du trigone ( fig. 2 et 3). PSEUDO-TUMEUR CÉRÉBRALE PAR EMPYÈME VE
exus appliqués sur les thalamus optiques suffit à protéger ceux-ci ( fig. 3). 660 MOCQUIN Les plexus, même lorsqu'ils s
u corps pituitaire, du corps thyroïde et des capsules surrénales (6 fig. ), par Ballet et LAIGNfiL-LAVASTINE, 176. Affe
fami- liale (1 pl.), par Ballet et Rose, 404. Ambroise Pare' (17 fig. , 4 pl.), par Debove, 92. Anencéphalie (palhog
. Anencéphalie (palhogénie de la pseuden- céphalie et de l'-) (12 fig. , 2 pl.), par RABAUD, 345, 602, 675. Aphasie a
itudes vicieuses par contractures hyslé- riques chez les enfants (2 fig. ), par BROCA et HERBINET, 443. Cérébral (de qu
de quelques altérations du tissu - dues à la présence de tumeur) (4 fig. , 3 pl.), par Weber et PAPADAKI, 140. Contract
Contractures hystériques chez les enfants, attitudes vicieuses (2 fig. ), par BROCA et HERIJINBT, 443. Contractures p
t son traitement par le massage méthodique et la réédu- cation (3 fig. , 1 pl.), par KOUINDJY, 115. Déformation thoraci
mations séniles du squelette simulant la maladie de Paget (2 pl., 2 fig. ), par MocQuoT et MOUTIER, 61. Démonopathie (E
héréditaire (Une famille de quatre sujets atteints de) (5 pl., 3 fig. ), par VILLARET et FRAN- cEz, 304. ' Exostoses
cérébelleuse (méningo-encé- phalite diffuse et chez un chien) (2 fig. ), par Marchand, PETIT et COQUOT, 234. Hémiplé
ôle des muscles spinaux dans la - normale chez l'homme) (1 pl., 6 fig. ), par Lamy, 49. Méningo-encéphalite diffuse et
céphalite diffuse et hémiat ? ,o- hie cérébelleuse chez un chien (2 fig. ), par Marchand, G. Petit et CoQUOT, 234. Mé
spinaux (Rôle des -) dans la mar- che normale de l'homme (1 pl., 6 fig. ), par LA11Y, 49. Myasthénie hypotonique morte
7. Myopathie primitive progressive (Deux frères atteints de -) (1 fig. , 1 pl.), par Nolcn, 426. OEdèmes circonscrits
10. Pseudencéphalie et de l'anencéphalie (pathogénie de la -) (12 fig. , 4 pi.), par Rabaud, 345, 602, 675. Pseudo-tu
RUDLGR, 667. Sciatique (Scoliose alternante avec lombo droite) (2 fig. , 1 pl.), par Henry MnIGE), 234. Sclérose en p
orso-lombaire gauche, onélatrau- matique, forme clinique curable (6 fig. ), par RÉVILLIOD, 17. Scléroses combinées médu
LYASTINE, 201. Scoliose alternante avec lombo-sciatique droite (2 fig. , 1 pl.), par Henry MEIGE, 234. Squelette (Déf
ormations séniles du - si-, mutant la maladie de Pagel) (2 pl.; 2 fig. ), par MOCQUOT et Moutier, 61. Syndrome cérébell
pl.), par ScHr,ni3, 31. Syndrome de la calotte pédonculaire (3 fig. , 1 pl.), par GRU : OER et BERTOt.OTTI, 159, T
quelques altérations du tissu cérébral dues à la présence de -) (14 fig. 3 pl.), par Weber et Papadaki, 140. Vitrail d
ttitudes vicieuses par contracture hystérique chez les enfants (2 fig. ), 443. CATOLA. Sclérose en plaques ; atrophie
), 241. Gruner et BERTOLOTTI. Syndrome de la calotte pédonculaire fig. , 1 pl.), 159. HALIPRÉ. Aphasie amnésique (3 pl.
du corps pituitaire, du corps tyroide et des capsules surrénales (6 fig. ), 176. Lwxr. Rôle des muscles spinaux dans la
des muscles spinaux dans la marche normale chez l'homme (1 pi., 6 fig. ), 49. LAMY (II). Note sur les contractions sy-
encéphalite diffuse et hémiatrophie cé- rébelleuse chez un chien (2 fig. ), 234. Margain (L.). Autour d'une épidémie de
Meige (Henry). Scoliose alternante avec lombo-sciatique droite (2 fig. , 1 pl.), 234. Henry Meige et RUDLEn. Deux Saint
112 Mocquin. Pseudo-tumeur cerébrale par empyème venticulaire (6 fig. ,1 pl.), 651. MocQuoT et Moutier. Déformations s
ons séniles du squelette simulant la maladie de Pa- get (2 pl., 2 fig. ), 61. NoiCA. Deux frères atteints de myopathie
. Deux frères atteints de myopathie primitive progressive (1 pl., 1 fig. ),426. QEttinger et E. Agasse-Lafont. Maladie
altéra- tions du tissu cérébral dues a la présence de tumeurs (14 fig. , 3 pl), 140. Pariion, Shunda et GALPL.1CHTA. Su
Pathogénie de la pseudencépha- lie et de l'anencéphalie (6 pl., 12 fig. ), 345, 602, 675. Raymond. Maladie de Friedrei
so-lombaire gau- che, métatraumatique ; forme clinique curable (6 fig. ), 17. Ruiler. Sainl-Pantaléon, médecin (1 pl.).
jets atteints de dysostose ctëido-cranienne héréditaire (5 pl., 3 fig. ), 304. WEBE11 et P APADAKI. De quelques altéra-
téra- tions du tissu cérébral dues à la pré- sence de tumeurs (14 fig. , 3 pl.), 140. TABLE DES PLANCHES Achondroplas
15 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857
mie des sciences, 1740. (2) Ibid., 1772. (3) Voy. l'Atlas, pl. 1, fig. 1. Enfin, vous trouverez au Musée Dupuytren, so
(1) Voy. Duchenne, Electrisation localisée, p. 312. (2) Voy. pl. 1, fig. 2. (3) Voy. p. 127. 23. blement dans ce sen
celle des muscles du tronc (1) Loc. cit., p. 834, (2) Voy. pl. 1, fig. 3. et donne lieu à des inclinaisons toutes semb
xion peut être plus prononcée au cou ou aux lombes. (1) Voy. pl. 2, fig. 1 et 4. (2) Journal complém. des sciences mèdic
mées que j'ai fait mouler autrefois dans cette attitude. (1) Pl. 1, fig. 4 et 5. (2) Des déviations de la colonne vertéb
2) Des déviations de la colonne vertébrale, 1827, p. 96. (3) Pl. 2, fig. 1. (4) Pl. 2, fig. 1 et 4. (5) Pl. 2, fig. 2.
la colonne vertébrale, 1827, p. 96. (3) Pl. 2, fig. 1. (4) Pl. 2, fig. 1 et 4. (5) Pl. 2, fig. 2. La flexion latéral
7, p. 96. (3) Pl. 2, fig. 1. (4) Pl. 2, fig. 1 et 4. (5) Pl. 2, fig. 2. La flexion latérale de la partie supérieure
de la saillie de la hanche du côté où le tronc s'inflé- (1) Pl. 2, fig. 3. chit, c'est-à-dire du côté du membre qui sou
rapprocher ainsi la courbure en S de la courbure simple. (1) Pl. 2, fig. 6. (2) J. Shaw, Nature and treatment of (lie di
istorsions. London, 1823, p. 54. (3) Loc. cit., p. 95. (4) Pl. 2, fig. 5. En raison de la différence de mobilité des t
its appartenant à la véritable scoliose. (1) hoc. cit. (2) Pl. 2, fig. 7. Une foule de circonstances, en provoquant la
llemande de Sieben-haar. Leipzig, 1831, p. 194. (5) Voy. planche 3, fig. 7. (6) Voy. pl. 1, fig. 6. souvent sigmoïdes,
eipzig, 1831, p. 194. (5) Voy. planche 3, fig. 7. (6) Voy. pl. 1, fig. 6. souvent sigmoïdes, peuvent aussi être simple
vertèbres du plan médian du corps, l'autre qui les (1) Voy. pl. 3, fig. 2; pl. 6, fig. \. 15. ramène vers la ligne mé
lan médian du corps, l'autre qui les (1) Voy. pl. 3, fig. 2; pl. 6, fig. \. 15. ramène vers la ligne médiane. La figur
e, et où les deux côtés de la courbure sont le plus (1) Voy. pl. 3, fig. 1, 3, 4; pl. 4, fig. 1, 2,3, 6; pl. 5, fig. 1, 2,
és de la courbure sont le plus (1) Voy. pl. 3, fig. 1, 3, 4; pl. 4, fig. 1, 2,3, 6; pl. 5, fig. 1, 2, 3, 4, 5, 6, et pl. 7
le plus (1) Voy. pl. 3, fig. 1, 3, 4; pl. 4, fig. 1, 2,3, 6; pl. 5, fig. 1, 2, 3, 4, 5, 6, et pl. 7, fig. 1, 2, 3. (2) V
3, 4; pl. 4, fig. 1, 2,3, 6; pl. 5, fig. 1, 2, 3, 4, 5, 6, et pl. 7, fig. 1, 2, 3. (2) Voy. pl. 3, fig. 5 et 6. (3) Voy
. 5, fig. 1, 2, 3, 4, 5, 6, et pl. 7, fig. 1, 2, 3. (2) Voy. pl. 3, fig. 5 et 6. (3) Voy. pl. 3, fig. 8; pl. 6, %, 2» 3,
pl. 7, fig. 1, 2, 3. (2) Voy. pl. 3, fig. 5 et 6. (3) Voy. pl. 3, fig. 8; pl. 6, %, 2» 3, 4. rapprochés l'un de l'autr
es inclinaisons du tronc dans la scoliose dorso-lombaire. (1) PL 4, fig. % et 5. Je suis loin de vous avoir indiqué tout
- (1) Voy. la pl. 9. (2) Voy. pl. 3, %. 4, 6; pl. 4, %. 5; pl. 6, fig. 4, et pl. 7, fig. 2. bure des cotes dans ce sen
. 9. (2) Voy. pl. 3, %. 4, 6; pl. 4, %. 5; pl. 6, fig. 4, et pl. 7, fig. 2. bure des cotes dans ce sens et de leur dépla
à la bosse postéro-droite, comme dans le Pulcinello (1) Voy. pl. 4, fig. 3. (2) Voy. pl. 3, fig. 6. (3) Voy. pl. 6, fi
comme dans le Pulcinello (1) Voy. pl. 4, fig. 3. (2) Voy. pl. 3, fig. 6. (3) Voy. pl. 6, fig. 4. (4) Voy. pl. 4, fi
(1) Voy. pl. 4, fig. 3. (2) Voy. pl. 3, fig. 6. (3) Voy. pl. 6, fig. 4. (4) Voy. pl. 4, fig. 5. (5) Septième lrçon
(2) Voy. pl. 3, fig. 6. (3) Voy. pl. 6, fig. 4. (4) Voy. pl. 4, fig. 5. (5) Septième lrçon, 3 juillet 1857, bouvie
t des côtes (1) Voy. pl. 3, %. 1, 2, 3; pl. 4, fîg. 1, 2, 6; pl. 5, fig. 2, 3, 4, 5, 6; et pl. 7, fig. 1 et 3. de la con
%. 1, 2, 3; pl. 4, fîg. 1, 2, 6; pl. 5, fig. 2, 3, 4, 5, 6; et pl. 7, fig. 1 et 3. de la concavité. Les plus déformées, ce
articipe parfois aux déformations de la région lom- (1) Voy. pl. 3, fig. 8, et pl. 6, lig. 1 et 2. (2) Voy. pl. 6, fig.
m- (1) Voy. pl. 3, fig. 8, et pl. 6, lig. 1 et 2. (2) Voy. pl. 6, fig. 3 et 4. (3) Voy. pl. 6, fig. 2; pl. 7, fig. 1 e
pl. 6, lig. 1 et 2. (2) Voy. pl. 6, fig. 3 et 4. (3) Voy. pl. 6, fig. 2; pl. 7, fig. 1 et 3. (4) Lçc. ri!,, p. 127.
et 2. (2) Voy. pl. 6, fig. 3 et 4. (3) Voy. pl. 6, fig. 2; pl. 7, fig. 1 et 3. (4) Lçc. ri!,, p. 127. baire; coupé o
rachis, ne correspondent plus directement au-dessus (1) Voy. pl. 5, fig. 5. (2) Voy. p. 289. du bassin. Les crêtes ili
ux et surtout par un foie très-volumineux (2). (1) Voy. les pl. 10, fig. 2; 11, fig. 1; 12, fig. 1; 13, fig. 1. (2) Voy.
t par un foie très-volumineux (2). (1) Voy. les pl. 10, fig. 2; 11, fig. 1; 12, fig. 1; 13, fig. 1. (2) Voy. pl. 11, fig
e très-volumineux (2). (1) Voy. les pl. 10, fig. 2; 11, fig. 1; 12, fig. 1; 13, fig. 1. (2) Voy. pl. 11, fig. 1. On de
ineux (2). (1) Voy. les pl. 10, fig. 2; 11, fig. 1; 12, fig. 1; 13, fig. 1. (2) Voy. pl. 11, fig. 1. On devine combien
l. 10, fig. 2; 11, fig. 1; 12, fig. 1; 13, fig. 1. (2) Voy. pl. 11, fig. 1. On devine combien les résultats de la percus
ous présente les dessins. L'un d'eux était une (1) Voy. les pl. 10, fig. 2; 11, fig. 1; 12, fig. 1; et 13, fig. 1. (2) V
les dessins. L'un d'eux était une (1) Voy. les pl. 10, fig. 2; 11, fig. 1; 12, fig. 1; et 13, fig. 1. (2) Voy. pl. 14,
. L'un d'eux était une (1) Voy. les pl. 10, fig. 2; 11, fig. 1; 12, fig. 1; et 13, fig. 1. (2) Voy. pl. 14, fig. 2. fe
ait une (1) Voy. les pl. 10, fig. 2; 11, fig. 1; 12, fig. 1; et 13, fig. 1. (2) Voy. pl. 14, fig. 2. femme qui avait a
10, fig. 2; 11, fig. 1; 12, fig. 1; et 13, fig. 1. (2) Voy. pl. 14, fig. 2. femme qui avait atteint l'âge de soixante-di
. (8) Voy. les pl. 11, 12, 13, 14, 15 et 16. (9) Voy. les pl. 12, fig. 2; 13, fig. 1 et 2. Vous remarquerez que l'aort
les pl. 11, 12, 13, 14, 15 et 16. (9) Voy. les pl. 12, fig. 2; 13, fig. 1 et 2. Vous remarquerez que l'aorte ne paraît
orsale gauche, les rapports de l'aorte avec le ra- (1) Voy. pl. 11, fig. 2. (2) Voy. pl. 12; pl. 14, fig. 1; pl. 15 et 1
rte avec le ra- (1) Voy. pl. 11, fig. 2. (2) Voy. pl. 12; pl. 14, fig. 1; pl. 15 et 10. (3) Voy. les pl. 12, 15 et 16.
1; pl. 15 et 10. (3) Voy. les pl. 12, 15 et 16. (4) Voy. pl. 15, fig. 1. (5) Voy. pl. 17, fig. 1. BOUVIER. Vi chi
. les pl. 12, 15 et 16. (4) Voy. pl. 15, fig. 1. (5) Voy. pl. 17, fig. 1. BOUVIER. Vi chis changent complètement ; e
(2) Loc. cit., p. 7. (3) Lettre 4, n° 16. (4) Voy. les pl. 13, fig. 4; 15, fig. 4. (5) Voy. les pl. 11, fig. 2; 12,
cit., p. 7. (3) Lettre 4, n° 16. (4) Voy. les pl. 13, fig. 4; 15, fig. 4. (5) Voy. les pl. 11, fig. 2; 12, fig. 2; 14,
16. (4) Voy. les pl. 13, fig. 4; 15, fig. 4. (5) Voy. les pl. 11, fig. 2; 12, fig. 2; 14, fig. 1; 13, fig. 3; 15, fig. 2
y. les pl. 13, fig. 4; 15, fig. 4. (5) Voy. les pl. 11, fig. 2; 12, fig. 2; 14, fig. 1; 13, fig. 3; 15, fig. 2 et 3; pl. 1
3, fig. 4; 15, fig. 4. (5) Voy. les pl. 11, fig. 2; 12, fig. 2; 14, fig. 1; 13, fig. 3; 15, fig. 2 et 3; pl. 16 et 18. (
5, fig. 4. (5) Voy. les pl. 11, fig. 2; 12, fig. 2; 14, fig. 1; 13, fig. 3; 15, fig. 2 et 3; pl. 16 et 18. (6) Voy. les
(5) Voy. les pl. 11, fig. 2; 12, fig. 2; 14, fig. 1; 13, fig. 3; 15, fig. 2 et 3; pl. 16 et 18. (6) Voy. les pl. 10, fig.
1; 13, fig. 3; 15, fig. 2 et 3; pl. 16 et 18. (6) Voy. les pl. 10, fig. 2; et 13, fig. 2 e. Organes digestifs. — La cou
15, fig. 2 et 3; pl. 16 et 18. (6) Voy. les pl. 10, fig. 2; et 13, fig. 2 e. Organes digestifs. — La courbure lombaire
er, Anaîomie descriptive, 1834, t. II, p. 519. (2) Voy. les pl. 11, fig. 1 : 13. % 1 ; 15, 6|, 2 droite et surtout à sa
c en partie, comme le foie, aux influences mé- (1) Voy. les pl. 10, fig. 1; 12, fig. 1; 13, fig. 3; 14, fig. 3; 17, fig. %
comme le foie, aux influences mé- (1) Voy. les pl. 10, fig. 1; 12, fig. 1; 13, fig. 3; 14, fig. 3; 17, fig. % (2) Voy.
ie, aux influences mé- (1) Voy. les pl. 10, fig. 1; 12, fig. 1; 13, fig. 3; 14, fig. 3; 17, fig. % (2) Voy. pl. 10, fig.
uences mé- (1) Voy. les pl. 10, fig. 1; 12, fig. 1; 13, fig. 3; 14, fig. 3; 17, fig. % (2) Voy. pl. 10, fig. 1. (3) Pl
(1) Voy. les pl. 10, fig. 1; 12, fig. 1; 13, fig. 3; 14, fig. 3; 17, fig. % (2) Voy. pl. 10, fig. 1. (3) Pl. 10, fig. 2
1; 12, fig. 1; 13, fig. 3; 14, fig. 3; 17, fig. % (2) Voy. pl. 10, fig. 1. (3) Pl. 10, fig. 2. (4) Pl. 15, fig. 4.
g. 3; 14, fig. 3; 17, fig. % (2) Voy. pl. 10, fig. 1. (3) Pl. 10, fig. 2. (4) Pl. 15, fig. 4. (5) Pl. 12, fig. 1.
fig. % (2) Voy. pl. 10, fig. 1. (3) Pl. 10, fig. 2. (4) Pl. 15, fig. 4. (5) Pl. 12, fig. 1. (fi) Pl. 1 1, fig. 2;
10, fig. 1. (3) Pl. 10, fig. 2. (4) Pl. 15, fig. 4. (5) Pl. 12, fig. 1. (fi) Pl. 1 1, fig. 2; et pl. 17, fig. \, 2.
, fig. 2. (4) Pl. 15, fig. 4. (5) Pl. 12, fig. 1. (fi) Pl. 1 1, fig. 2; et pl. 17, fig. \, 2. caniques produites par
15, fig. 4. (5) Pl. 12, fig. 1. (fi) Pl. 1 1, fig. 2; et pl. 17, fig. \, 2. caniques produites par la scoliose. Elle
te est assez sensible sur ces dessins. Il s'y reproduit (1) Pl. 13, fig. 1; 14, fig. 1. (2) Pl. 10, fig. 1; 15, fig. 1,
sensible sur ces dessins. Il s'y reproduit (1) Pl. 13, fig. 1; 14, fig. 1. (2) Pl. 10, fig. 1; 15, fig. 1, 2, 4; et pl.
ins. Il s'y reproduit (1) Pl. 13, fig. 1; 14, fig. 1. (2) Pl. 10, fig. 1; 15, fig. 1, 2, 4; et pl. 18. (3) Pl. 13, fig
reproduit (1) Pl. 13, fig. 1; 14, fig. 1. (2) Pl. 10, fig. 1; 15, fig. 1, 2, 4; et pl. 18. (3) Pl. 13, fig. 2. (4) P
. 1. (2) Pl. 10, fig. 1; 15, fig. 1, 2, 4; et pl. 18. (3) Pl. 13, fig. 2. (4) Pl. 11, fig. 2; pl. 16; pl. 17, fig. 1.
. 1; 15, fig. 1, 2, 4; et pl. 18. (3) Pl. 13, fig. 2. (4) Pl. 11, fig. 2; pl. 16; pl. 17, fig. 1. (5) Pl. 15, fig. 1 e
t pl. 18. (3) Pl. 13, fig. 2. (4) Pl. 11, fig. 2; pl. 16; pl. 17, fig. 1. (5) Pl. 15, fig. 1 et 4. en sens inverse,
, fig. 2. (4) Pl. 11, fig. 2; pl. 16; pl. 17, fig. 1. (5) Pl. 15, fig. 1 et 4. en sens inverse, selon que la convexité
e. La loi de compensation ou de balancement des cour-Ci) Voy. pl. 13, fig. 4; 14, fig. 1 ; pl. 12, fig. 1, 2; pl. 15, fig. 2
compensation ou de balancement des cour-Ci) Voy. pl. 13, fig. 4; 14, fig. 1 ; pl. 12, fig. 1, 2; pl. 15, fig. 2 et 4. (2)
de balancement des cour-Ci) Voy. pl. 13, fig. 4; 14, fig. 1 ; pl. 12, fig. 1, 2; pl. 15, fig. 2 et 4. (2) Voy. pl. 12, fig
cour-Ci) Voy. pl. 13, fig. 4; 14, fig. 1 ; pl. 12, fig. 1, 2; pl. 15, fig. 2 et 4. (2) Voy. pl. 12, fig. 1 ; et pl. 18.
, fig. 1 ; pl. 12, fig. 1, 2; pl. 15, fig. 2 et 4. (2) Voy. pl. 12, fig. 1 ; et pl. 18. (3) Robert, 'Thèse de concours s
ie de médecine. Paris, 1841, t. IX, p. 132 et 228. (2) Voy. pl. 19, fig. 1 et 2. ctail d'un mèlre 22 centimètres. Les fo
ncipale à convexité droite. Vous voyez que Vincli- (1) Voy. pl. 19, fig. 3 et 4. (2) Voy. lu pl. 20, fig. 1 et 2. liai
yez que Vincli- (1) Voy. pl. 19, fig. 3 et 4. (2) Voy. lu pl. 20, fig. 1 et 2. liaison lombaire a complètement disparu
ait mieux, dans le nôtre, pour la fille du peuple. (1) Voy. pl. 20, fig. 3 et 4. FIN. TABLE DES MATIÈRES. PREMIÈRE 1
16 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
ces points dans la description des segments radiculaires suivants (v. fig. 1). 4e Sacrée. Le triangle sacré médian, qui da
, par suite de son mélange avec des fibres radiculaires dégénérées ( fig. 1 et 2). lre Sacrée. La séparatiou entre le tri
horizon- tales de même aspect qui cheminent dans le septum médian ( fig. 3). 24 NAGEOTTE Les coupes faites par la méth
génie du tabès dorsal, 2. article, Presse médicale, 3 janvier 1903, fig. 42 à 45. ' NOU\'LLI e Iconographie UL la SAI.Pi
arpillent en éventail dans toute l'étendue des cordons postérieurs ( fig. 1), se divisent et s'épanouissent à mesure qu'ils
dans toute l'étendue des cordons posté- rieurs à la région sacrée ( fig. 2). Elles deviennent plus rares dans la portion
rvicale il en existe encore, mais fort peu, dans le cordon de Goll ( fig. 3). c) Zones de Lissauer ou fibres endogènes fi
vi. Ces ponts, isolés par la sclérose radiculaire, sont représentés fig. 1. Une autre opinion des plus contestables,actu
es dans la corne postérieure ; dans la moelle D, représentée pi. VII. fig. 4 et 7 où les zones de Lissauer sont relaliveme
eint, mais relativement peu ; on voit très bien cette lésion sur la fig. 4 de la pl. VII et l'on constate qu'elle est limi
lusion du faisceau de la zone cornu-commissurale. Je reproduis ici ( fig. 4 à 11), les figures d'un mémoire antérieur (1),
u contraire plus rares que dans le champ ovale. » Je reproduis ici ( fig. 12, 13 et 44.), des figures empruntées à la thèse
acé des différents trajets radiculaires sui- vant la loi de Kahler ( fig. 16), on voit que le territoire de chaque racine
du cordon et dont le sommet s'enfonce vers la substance grise (Voir fig. 4). Diverses hauteurs de la moelle cervicale, d
ue-commissurale est respectée ; mêmes lésions du cordon latéral (Voir fig. 7). Au niveau de la région dorsale, la sclérose
la zone pyramidale croisée ; la colonne de Clarke est normale (Voir fig. 6). Au niveau de la région cervicale, le cordon
nde marginale dégénérée qui s'étend jusqu'au cordon antérieur (Voir fig. 5). Kattwinkel qui a pu examiner le bulbe a pu
onstate par ci, par là éparses des gaines de myéline conservées (Voir fig. 8). 3e Cervicale. La sclérose du cordon postéri
r est diffuse, un peu moins accentuée dans la région ventrale (Voir fig. 2). Région lombaire. La moelle a été examinée à
rtie périphérique. - Ici se rencontrent -des cellules nerveuses (V. fig. 1) avec des dendri- tes ; celles-ci partent du
trouve aussi sur le corps cellulaire dont la dendrite est issue (V. fig. 2). - Ici les appen- dices collatéraux se disti
jumeaux antérieurs. -Ici les den- drites des cellules nerveuses (V. fig. 4) attenant au corps cellulaire par leur grosse
i comme les dentrites elles-mêmes s'amin- cissent graduellement (V. fig. 5), et parcourent une étendue assez longue. Leu
des éléments nerveux des tubercules qua- drijumeaux postérieurs (V. fig. 6), où saute aux yeux surtout à un Fig. 6. - Ce
auparavant, disons deux mots de la miniature reproduite (pl. XIX, - fig. A), et qui représente saint Maur guérissant le pi
époque. Charcot et P. Richei' (1) P. Richer, L'art et la médecine, fig. 23. (2) Jean Heitz, Un possédé de Rubens, la tr
t on ne saurait (1) CHARCOT et P. Richbr, Les démoniaques de l'art, fig. 11. (2) ChAMOT et P. RICHER, lac. cit., fig. 9.
démoniaques de l'art, fig. 11. (2) ChAMOT et P. RICHER, lac. cit., fig. 9. LES POSSÉDÉS ET LES MALADES DANS L'ART BYZAN
type de ganglion malade nous prendrons le 3e ganglion sacré droit ( fig. 1). Ce ganglion a été examiné sur des coupes pe
sur elles-mêmes elles- ne forment plus que des globes fibro-hyalins ( fig. 2). Ces capsules gigantesques contiennent en ef
rtain nombre de cellules sont en voie de dégénérescence graisseuse ( fig. 3). L'état du noyau est proportionnel à celui de
avantage épaissi, et plusieurs capsules sont nettement proliférées ( fig. 4). z ' 'Au contraire, dans le 4ar ganglion lom
plaçant la capsule et pouvant acquérir des dimensions gigantesques ( fig. 2). Les deux premiers aspects sont les plus fréqu
es étapes de l'atrophie cellulaire avec proli- fération capsulaire ( fig. 5). La réduction simple de la cellule nerveuse,
rveuse myélinisée dont la nutrition ne semble nullement compromise ( fig. 2). L'atrophie cellulaire sans prolifération caps
de graisse dans le protoplasma d'un très grand nombre de cellules ( fig. 3) ; les gouttelettes sont parfois assez volu-
ns, qu'on voit dans le VI" segment, répond au siège de la fracture ( fig. g). La moelle est aplatie dans le sens antéro-p
, elle effilait du crin. Nous présentons son ouvrage en même temps ( fig. 2) que celui de la malade suivante. OBs. III. M
de fil t quelques travaux dont nous reproduisons ici un exemplaire ( fig. 3). Les phé- nomènes psychopathiques essentiels
productions qu'il faut rapporter la broderie que nous reproduisons ( fig. 4). Nous trouvons indispensable toutefois de fa
peut voir cette fibre musculaire se diviser en fibrilles primitives ( fig. 1) avec accotement de noyaux entre ces fibrille
352 CESTAN ET LEJONNE de régression de la fibre musculaire (voir fig. 4, b). Nous devons toute- fois signaler deux ca
n un mot comme une manière de mourir de la cellule musculaire (voir fig. 4, c). Nous avons signalé chemin faisant l'exis
n calibre ; parfois ils se groupent en véritables paquets (PI. LUI, fig. A). Ce sont sans nul doute des néo-vaisseaux, à
vroglique, et elle paraît creusée à même le tissu nerveux (PI. LIV, fig. A). Il serait difficile d'identifier le processus
la néoformation vasculaire évidente des tissus adjacents (PI. LIV, fig. B). C'est bien le même processus, mais moins acti
outit à la formation de tractus, de bandelettes festonnées (Pl. LV, fig. B et C). Corré- lativement autour de la région
s fentes, les pertes de substance ? De plusieurs façons sans doute ( fig. 7 et PI. LV). Qu'on s'imagine les effets du pro
toute la longueur de cette corne jusqu'à la péri- phérie (PI. LVI, fig. A). Or à la région cervicale inférieure la cavi
en avant où elle forme une sorte de dilatation ampullaire (PI. LVI, fig. B). Du rapprochement de- ces coupes on peut con
certains points où la lésion est particulièrement végétante (PI.LVI, fig. B) les vaisseaux anciens ou néoformés donnent n
itéré ou par des tractus conjonctifs onduleux d'origine vasculaire ( fig. 8). Les vaisseaux voisins sont malades. A la ré
ité avec la tunique externe de certains vaisseaux est indiscutable ( fig. 9). A son pourtour (1) Thomas et G. HAUSER, Pat
membrane bordante, gaufrée, figure dans les descriptions classiques ( fig. 11). Sa nature conjonctive est hors de doute, l
haut qu'ils sont fréqueuts et presque exclusifs à la syringomyélie ( fig. 12). Ajou- tons que leur siège d'élection est j
,obtenue en donnant au malade un modèle à copier, vous pouvez voir ( fig. 1) que la fin des lignes est située plus bas qu
r d'un mot ces caractères, qu'il y a là du choréisme de l'écriture ( fig. 2). , Voici maintenant quelques types d'écritur
ue rapprochée du début de la maladie et antérieure à l'internement ( fig. 3) ; le malade était alors excité et avait des
es caractères d'excitation se sont atténués, et dans un écrit récent ( fig. 5) nous notons une écriture plus posée, mais av
ts de dé- mence. Ce malade écrit mieux spontanément qu'il ne copie ( fig. 10 et 11). Je termine ici l'étude des diverses
constater que cette femme qui écrivait très bien avant sa maladie ( fig. 12) est dans l'impossi- bilité absolue d'écrire
moi des gâteaux. » Elle a alors écrit ce qui suit, en cinq minutes ( fig. 14) : Ici nous constatons des troubles calligra
dans la salle où il se trouve, laisse vraiment très peu à désirer ( fig. 15). Ces deux faits, auxquels j'en pourrais ajo
dre par écrit à nos questions : D. - Etes-vous malade ? ' ? R. - ( fig. 9G).. D. - Comment vous appelez-vous ? R. - (
e ? ' ? R. - (fig. 9G).. D. - Comment vous appelez-vous ? R. - ( fig. 17). Enfin, afin d'apprécier le degré d'obnuhil
de, à la même date, mais en dehors de toute influence vertigineuse ( fig. 19). Comme second exemple, je vous rapporterai
ps stationnaire et qui est dans mon service depuis plus de dix ans ( fig. 20). Nous aurons du reste prochainement l'occas
int que les enve- loppements ouatés n'arrivent pas à le réchauffer ( fig. 3). Fig. 2. 462 GENÉVRIER Pendant que nous
vertébrés supérieurs (Sur l'aspect extérieur des dendriles des) (6 fig. ), par CZARNBICKI, 100. Concrétions calcaires
IGE, 165. Gilles de la Tourette, 265. Hématomyélie traumatique (9 fig. ), par Laignel-Lavastine, 240. Hémioedèmes che
'écriture chez les paralytiques généraux (des troubles de la) (10 fig. ), par A. JoFFROY, 409. Maladie de Friedreich av
ND, 1. Myopathie avec rétractions ; examen analo- mique (1 pl., 1 fig. ), par CESTaN et LE- joNNE, 343. Myotonie avec
ed chez les paralytiques généraux (notes sur l'aplatissement du) (2 fig. ), parCH. Féré, 79. Poliomyélite antérieure ai
affections spasmodiques du système pyramydal (étude graphique) (9 fig. ), par H. VERGER et J. ABADIE, 67. Rétine dans l
Scléroses combinées tabétiques (Anatomie pathologique) (2 pi.. 11 fig. ), par Czeou- zon, 52. Spasme bilatéral des mu
ingomyélie (Histologie pathologique et pathogénie de la) (4 pl., 12 fig. ), par A. Thomas et G. Hauser, 376. Tableaux d
anuels des aliénés (Une tenta- tive d'analyse psychologique des) (5 fig. ), par N. TOPORICOFF, 311. Trophoedème (1 pl.)
ner Voisin, 189. Tumeur cérébrale à forme psycho-paraly- lique (7 fig. ), par ED. Cornu, 107. Ulcérations trophiques ch
par Trepsat, 465. Vaso-moteurs chez une hystérique (Trou- bles (3 fig. ), par Genévrier, 459. TABLE DES AUTEURS Ai3AD
s de myopathie avec rétractions ; examen anatomique (1 planche, 1 fig. ), 343. CATOLA. Note sur les concrétions calcair
aplatissement hypotonique du pied chez les paralytiques généraux (2 fig. ), 79. Forestier. Déformations rachidiennes :
gie patho- logique et pathogénie de la syringomyé- lie (4 pl., 12 fig. ), 376. I-IBITZ. Nouveaux documents sur les poss
e la parole et de l'écriture chez les paralyti- ques généraux (20 fig. ), 409. LAIG\EL-LAVASTINB. Hématomyélie trau-
s de myopathie avec rétractions ; examen anatomique (1 planche, 1 fig. ), 343. de LHO11 (.TACIiVTO). Contribution à l'é
atho- logique et pathogénie de la syringomyé- lie (4 planches, 12 fig. ), 376. ToponKOFI ? Une tentative d'analyse psy-
17 (1888) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 01] : clinique des maladies du système nerveux
a sensibilité à la douleur est abolie complètement dans tout ce côté ( fig. 1 et ' : 2). Toutefois, la moitié gauche postér
e, rétrécissement très marqué du champ visuel sans dyschromatopsie ( fig. 3). Le second malade, Gr... Noël, actuellement,
défaut d'uniformité de la crète formée par les apophyses épineuses ( fig. Il-». « ,le ne saurais trop appeler l'attention d
d'ob- server surtout à la région lombaire. La station verticale ( fig. 13) est la moins favorable à la saillie lombair
duit alors. Mais cette saillie se développe dans la station assise ( fig. 14) ou dans la flexion du tronc en avant (fig. 15
s la station assise (fig. 14) ou dans la flexion du tronc en avant ( fig. 15). C'est dans celle dernière attitude qu'elle
le dernière attitude qu'elle acquiert son maximum de développement ( fig. 16). Le sillon médian lombaire est alors remplacé
ensibilité générale et spéciale est particulièrement inté- ressant ( fig. 17). Tout le côté droit est analgésique; celte an
rappe le plus à l'aspect de ce membre c'est la déformation du pied ( fig. 19). Celui-ci est dans l'extension mais surtout
irculairement, elle envahit la jambe et le pied dans leur totalité ( fig. 22, 23). Le réflexe pharyngien persiste. Le c
igures représentant les tracés qui nous ont été fournis par Aub... ( fig. 26, 27). Mais l'inspection minutieuse de ces em
e sol ou le papier d'expérience par un pied normalement conformé ( fig. 28), on remarque qu'elle est constituée , par d
près l'attaque de D..., dont la respiration normale est représentée fig. 2 £ 1. FIl;, 31. - a b tracé du long-supinateur
Allemands, branche externe de bifurcation du grand nerf sciatique ( fig. 35), après 1. Seeligmiiller, Lehrbuch der 111'(
ilement se constater chez l'enfant. = La branche cutanée péronière ( fig. 36) innerve la partie la plus externe de la fac
minons maintenant le tracé de la zone d'anesthésie de notre malade ( fig. 37) : elle reproduit exactement la distribution c
s des tours Notre-Dame de Paris tirer une langue droite et pointue ( fig. 38). Un des diables fantastiques de la cathédra
C'est aussi ce qu'on peut voir sur un des Mascarons du Pont- Neuf ( fig. 39) conservé au musée de. Clnny à Paris, et sur u
r une large face aux cheveux bouclés qui orne un chapiteau à Semur ( fig. 40). Au moyen âge, cette protrusion de la langu
la face interne de l'hémi- sphère droit de notre malade (pl. XXI et fig. 41). FIG, 42. - Face interne de l'hémisphère dr
7. - Gilles de la Tourette, Études sur la marche, loc. cit., p. 49, fig. 17. 2. Certains hémiplégiques infantiles, avec
ue, nous remettait, le 14 mars 1888, la note et le schéma suivants ( fig. 43) : « Chez Iloud... (obs. III) les troubles o
u champ visuel il 40° pour l'oeil droit, il 25° pour l'oeil gauche ( fig. 44). c Le champ visuel du bleu est moins étendu
urs. L'examen delà sensibilité révèle les particularités suivantes ( fig. 45, 46). Sur la face antérieure du corps, zone
A droite et à gauche, rétrécissement concentrique du champ visuel ( fig. 47) à 15°; abolition de la perception du violet.]
super- ficielle avant que le pouls n'ait éprouvé aucun changement ( fig. 48). Au début de l'accès, la tension des muscle
odifie la forme du tracé qui présente des formes assez différentes ( fig. 49, 50, 51, 52). A la suite du paroxysme, on pe
l'exagération du dicrotisme normal, soit un véritable polycrolisme ( fig. 58), soit l'arrondissement particulier de la cour
t l'arrondissement particulier de la courbe, signalé par M. Voisin ( fig. 59), soit une tendance la formation d'un plateau
M. Voisin (fig. 59), soit une tendance la formation d'un plateau ( fig. G1, 63). Mais, comme je l'ai montré sur de nomb
be s'exagère, et l'on voit apparaître un; polycrotisme très marqué ( fig. 04). En tout cas, quand l'effort cesse, la cour
t obliquement en haut \ rappelant h métacrotisme du pouls cérébral ( fig. 65, 66, 67) ; 2° tantôt, à la place de cette li
qui prolonge l'ascension verticale, on voit un plateau horizontal ( fig. 68); 3° tantôt, enfin, l'ascension et la descente
t. On y voit, par exemple, qu'en général le bâillement est précédé ( fig. 72) d'un abaissement des courb s respira- toire
r)icieKoav ! tnUobino]nont. BAILLEMENTS CHEZ UN ÉPILEPTIQUE. 167 ( fig. 72) ou d'une large et brusque expiration (fig. 73
UN ÉPILEPTIQUE. 167 (fig. 72) ou d'une large et brusque expiration ( fig. 73). Lorsque le bâillement se produit par série
t la rétraction du thorax sont figurées par des courbes régulières ( fig. 72 et 73). Je noterai en outre chez ce sujet de
ouvements choréiformes que l'on remarque à l'inspection extérieure ( fig. 76, 77). CH. Féré, Mélecin de Bicôti-0. LE
ntaient très notablement de volume et cela d'une façon progressive ( fig. 78, 79)`. Il semble que cet accroissement n'est
prononcée.'la ressemblance avec le célèbre pantin serait complète ( fig. 80; pl.-X1YVI, XXXVII, XXXVIII) : La partie ant
tion si considérable des fausses côtes en avant signalée plus haut ( fig. 80). Peut-être existe-t-il une très légère cour
ctéristique. C'est là ce qu'on pourrait appeler le type de flexion ( fig. 81). - Biais il est des malades, et celui que n
ante a été désignée par M. Charcot sous le nom de type d'extension ( fig. 82). On voit, en effet, d'après la pl. XLIII, q
l se trouve un peu au-dessus et très en arrière des autres orteils ( fig. 83). Circonférence au niveau de la partie infér
'avant-bras. La forme de la main est assez régulière, mais camarde ( fig. 8 i). Les juin- tures ne font pas (toutes propo
que e toutes. ' Actuellement (3e trimestre de 1885). -Les doigts ( fig. 85) présentent des nouures très accentuées, sur
e, mais bien de l'hypertrophie portant sur la totalité de l'organe ( fig. 86). L'arcade dentaire supérieure est normale;
ement proportionnel; les ongles présentent une large surface plane ( fig. 87). Le système veineux superficiel ne présente
; les dimensions du pavillon de l'oreille semblent aussi excessives fig. 88). Le pénis est grand mais non d'une façon ex
18 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
nt sa marche, et élevant les bras qu'elle agite au-dessus de sa tête ( fig. 1). Elle pousse des cris de bête féroce ou bien
s tours sur elle-même. Survient parfois un petit accès épileptoïde ( fig. 2). Elle perd connaissance, ses membres se raidis
urs contractures de la même façon, 1 un en avant, l'autre en arrière ( fig. 4). D'autres fois c'est une jambe que la con-trac
sont contracturées dans l'extension et ses bras diversement fléchis ( fig. 5). Au bout de peu d'instants, l'attaque commence
poignet fléchi, la main au niveau de l'épaule et les doigts étendus, ( fig. 5.) Fig. 6. — Contractures. Comme je l'ai déj
le y est immobilisée par la contracture qui envahit tous ses membres ( fig. 7). Elle conserve toute sa connaissance, mais ne
ague et son attitude immobile permettent facilement de reconnaître ( fig. 8), on essaye de déplacer ses membres, on éprouve
. L'excitation du point symétrique au côté droit de-meure inefficace ( fig. 9, n° 5). N... possède à la partie postérieure du
avers de doigt environ au-dessous de l'angle inférieur de l'omoplate ( fig. 10, n° 3). Witt... ressemble sous ce rapport à
riques situés un peu en dehors des seins, presque sous les aisselles ( fig. 9, n° 3, 3'). Chez Marc..., la zone hystérogène
e, elle siège un peu plus bas au niveau du rebord des fausses côtes, ( fig. 9, n° 6 et 6') et aussi au niveau des épines ilia
. 9, n° 6 et 6') et aussi au niveau des épines iliaques anté-rieures ( fig. 9, n° 7 et 7'). Juliette Dub... possède, sans c
elle siège le long de la colonne vertébrale, entre les deux épaules ( fig. 10, n° 1). Les deux autres sont antérieures et so
eures et sont placées de chaque côté du sternum, au-dessus des seins ( fig. 9, n°l, 1'). L'excitation d'un seul de ces points
rieure de la région dorsale, près de la limite de la région lombaire ( fig. 10, n° 2). Enfin je rappellerai qu'il est une z
e en rien d'essentiel des zones hystérogènes que je viens d'indiquer ( fig. 9, n°8 et 8'). L'assimilation toutefois ne saurai
Phase tonique avec mouvements à grand rayon ou convul-sions toniques ( fig. 16). b. Phase tonique avec immobilité tétanique
ette partie de la phase tonique se trouve représentée sur nos tracés ( fig. 11,30, 31, 32, 33 et 34) par une ligne dont la co
t, la langue sort quel-quefois et se meut d'une commissure à l'autre ( fig. 13, 14); ou bien les mâchoires sont fortement ser
onique. C. Commencement de la phase toniaue qu'il subit. On y voit ( fig. 15, n° 3) que le gonflement du cou débute brusque
rands mouvements de circumduc-tion qui peuvent se décomposer ainsi : ( fig. 16) d'abord, mouve- Fig. 16. Représentation sch
ariété dans ses mouvements to-niques. La face grimace affreusement ( fig. 13). Les bras s'élèvent alter-nativement et exécu
ont étendus et écartés, pendant que les deux derniers sont fléchis ( fig. 17). Le moulinet s'exécute parfois en plusieurs t
nce naturelle les attitudes les plus variées de la tétani-sation. Les fig. 22, 23 et 24, qui Font pour sujet, en sont autant
a résolution musculaire. Les mouvements cloniques sont généralisés ( fig. 25). Ils affectent lout le corps, les traits de l
et ceux de l'abdomen, l'antagonisme nettement indiqué sur nos tracés ( fig. 15) où l'on remarque : 1° D'abord un petit trem
t complètement la malade et la font quelquefois se ramasser en boule ( fig. 80). Elle y demeure fort peu de temps ei retombe
e se trouve dans les positions les plus bizarres et les plus variées ( fig. 22, 23, 24). 2° Phase clonique. —Les petits mou
ement. La tétanisation qui s'établit dé-bute d'une façon progressive ( fig. 31, n° 1) ou subite (fig. 31, n° 3). b) D'autre
s'établit dé-bute d'une façon progressive (fig. 31, n° 1) ou subite ( fig. 31, n° 3). b) D'autres fois au contraire ils re
se tonique, et l'immobilité tétanique manque absolument. Par exemple ( fig. 34) : La malade commence par exécuter quelques
constants, mais ils peuvent durer peu pour faire place aux secousses ( fig. 32). Quelquefois au contraire ils se prolongent
prolongent et occupent la plus grande partie de la phase épileptoïde ( fig. 29, n° 1). e) Dans d'autres cas, quelques convu
s. Le ventre souvent météorisé forme le sommet de la courbe (pl. III, fig. 2). La rigidité de tous les membres est telle, qu
l'arc de cercle, et la malade repose sur la partie supérieure du dos ( fig. 36); tantôt, au contraire, la tête portée, au der
e rapproche des talons et la face tout entière repose sur l'oreiller ( fig. 44). Au lieu de reposer sur les pieds et la têt
conservant sa position courbée. Quelquefois elle repose sur le côté ( fig. 37). Fig. 3G. Contorsion. — Arc de cercle incom
u corps formant la convexité de l'arc, le décubitus peut être dorsal ( fig. 35), c'est Varc de cercle (intérieur dorsal ou dr
de cercle (intérieur dorsal ou droit; le décubitus peut être latéral ( fig. 37), c'est Varc de cercle antérieur latéral; ou b
e cercle antérieur latéral; ou bien enfin le décubitus est abdominal ( fig. 46), c'est Varc de cercle antérieur abdominal ou
peut désigner cette attitude sous le nom à'arc de cercle postérieur ( fig. 45), qui est susceptible des mêmes variétés suiva
donner une idée on permettra à la plume de céder la place au crayon ( fig. 39, 40, 41, 42 et 43). Lorsque les muscles de l
nt les attitudes les plus étranges, qui se succèdent sans transition ( fig. 41 et 42). La ligure grimace horriblement, elle t
de exécute sur son lit un grand saut qui rap. pelle celui de Marc... ( fig. 51). Elle le reproduit plusieurs fois de suite en
e, les pieds fort rapprochés de la tête et le ventre très proéminent ( fig. 44). Elle demeure ainsi une à deux minutes, puis
it, et se place presque aussitôt dans la situation figurée ci-dessus ( fig. 45), qui est un sorte d'arc de cercle à concavité
46. — Variété de l'arc de cercle. dernière forme de la contorsion ( fig. 46) peut être considérée comme un arc de cercle r
Le plus fréquent de ces mouvements est celui représenté ci-dessus ( fig. 47). Il consiste en une flexion brusque du tronc,
nt, ou bien la tête et les jambes participent à la fois au mouvement ( fig. 48). Fig. 51.— Grands mouvements. — Variété rem
ul membre. Le pied droit, par exemple, vient frapper le genou gauche ( fig. 49); ou bien la malade réunit les deux bras en av
etomber sur le lit. Elle rebondit ainsi quinze à vingt fois de suite ( fig. 50). Marc... exécute encore un grand mouvement
c... exécute encore un grand mouvement qui a beaucoup plus d'ampleur ( fig. 51 ) : elle lance les j ambes en l'air et, passan
enfonce dans son lit ou se ramasse sur elle-même pour pousser ce cri ( fig. 52). Il se produit avant les grands mouvements
les sens, elle essaye de se débarrasser des liens qui la retiennent ( fig. 53). C. — Survient quelquefois une sorte de rag
lade s'en prend aux personnes qui l'entourent, elle cherche à mordre ( fig. 54). Si elle ne peut les atteindre, elle déchire
sse alors de véritables cris de rage ou des hurlements de bête fauve ( fig. 55). Fig. 55. — Cris de rage. Elle frappe son
vement plus accusé, elle se redresse et se met complètement à genoux ( fig. 57). Dans ses poses, déplus en plus suppliantes,
ontracturée, la jambe gauche est demi-fléchie, et relativement molle ( fig. 58). Les paroles qu'elle laisse échapper montrent
'on pourrait appeler le crucifiement, sur-vient une scène de menaces ( fig. 59). Elle se relève furieuse, Fig. 59. — Attitu
comme pour atteindre le cou-pable et ressemble à une véritable furie ( fig. 60); elle crache à la figure du personnage imagin
essus de sa force et la menace est parfois interrompue par des coups ( fig. 61) : « Oh! là là! des coups... pardon, laissez
e les bras, comme pour étreindre le fantôme, et le couvre de baisers ( fig. 62). Le calme revient peu à peu. Elle fait la
peu. Elle fait la nique à un être imaginaire 1 en tirant la langue ( fig. 63). Puis elle prête l'oreille, elle écoute (fi
tirant la langue (fig. 63). Puis elle prête l'oreille, elle écoute ( fig. 64) : « Écoutez!... Écoutez!... Oh! la belle mu
!... » Son regard s'anime, elle invite du doigt l'objet de la vision ( fig. 65), et accompagne ce geste de petits mouvements
rêts à l'étreindre, elle semble demander ou attendre une explication ( fig. 66). Sa phy- Fig. b7. — Attitude passionnelle.
ttitudes dont le crayon peut difficilement rendre toute l'expression ( fig. 67). Parfois, c'est le découragement et un dése
ment et un désespoir contenu qui se peignent sur toute sa personne ( fig. 68.) Un jour nous avons recueilli les paroles sui
orreur, elle se blottit contre le mur près duquel est appuyé son lit ( fig. 70). 11 lui échappe des paroles comme celles-ci,
is elle a des attitudes provocantes, comme pour défier les assassins ( fig. 71). Parfois elle pousse de grands cris, en lev
(fig. 71). Parfois elle pousse de grands cris, en levant les bras ( fig. 72). Sa physionomie est celle d'une furie vengere
ssionnelle. chantant et tout le corps suit le rythme de la chanson ( fig. 74). Elle fait claquer ses doigts comme pour imit
74). Elle fait claquer ses doigts comme pour imiter les castagnettes ( fig. 75). Elle se redresse parfois complètement sur
avec les ennemis imaginaires contre lesquels les coups sont dirigés ( fig. 76). Elle lutte avec le poing, les pieds, la tête
poses théâtrales accompagnées de ces paroles : « Donne-moi ton amour ( fig. 77).» « Ne m'outragez pas (fig. 78).» Ou bien e
ces paroles : « Donne-moi ton amour (fig. 77).» « Ne m'outragez pas ( fig. 78).» Ou bien elle prend des attitudes silencie
le se cache la figure de ses mains, et se répand en pleurs abondants ( fig. 80). Elle déplore sa destinée et accuse ses paren
miques en sou-tenant contre ces bêtes imaginaires une lutte acharnée ( fig. 76). Ler... termine son attaque par une phase q
» Elle s'accroupit sur son lit et fait la mimique de souffler le feu ( fig. 83). Puis elle se redresse en criant : « A chat!
des situations variables. Le plus souvent ils sont dans l'extension ( fig. 84), mais ils ne restent pas dans une im-mobilité
alisée donne à la ma-lade des attitudes variées et souvent bizarres, ( fig. 85) qui, malgré leur ressemblance avec les attitu
se terminer comme celles de Gen... par ces contractures généralisées ( fig. 86). Nous aurons à examiner plus loin comment l
l10 période. Grands mouvements toniques décrits p. 51, et représentés fig. 17, avec grincements de dents, puis mou-vements c
te de mouvement de roulis. —Rage, cris. Arc de cercle sur le ventre, ( fig. 46.) — La malade se contourne et roule plusieurs
point. b). Cris, arc de cercle dansles diverses situations figurées( fig. 44, 45 et 46.) Ces différentes attitudes se succè
b). Cinq grands sauts, — cris, — arcs de cercle variés, postérieur ( fig. 44), antérieur (fig. 45), puis latéral (fig. 37).
ts, — cris, — arcs de cercle variés, postérieur (fig. 44), antérieur ( fig. 45), puis latéral (fig. 37). c). 10 h. 48. Mouv
rcle variés, postérieur (fig. 44), antérieur (fig. 45), puis latéral ( fig. 37). c). 10 h. 48. Mouvement de défense, regard
sauts, arc de cercle, cris, arc de cercle dans le décubitus laté-ral ( fig. 37), arc de cercle renversé (fig. 46). c). Hall
cercle dans le décubitus laté-ral (fig. 37), arc de cercle renversé ( fig. 46). c). Hallucination. La malade se tient la t
cloniques suivent bientôt. b). Sauts variés, arc de cercle latéral ( fig. 37). c). Hallucination. —Vision affreuse en hau
c de cercle en avant (emprostotonos), les bras et les jambes étendus ( fig. 45); d'un bond la malade se jette sur le ven-tre;
d'un bond la malade se jette sur le ven-tre; arc de cercle renversé ( fig. 46). c). L'haljucination apparaît terrible. « M
épilcptiquc et que nous avons déjà relevé sm^ le soldat de Ch. Bell ( fig. 38). Ce signe consiste dans la situation des memb
s malades et particulièrement chez Ler... Nous les avons re-présentés fig. 50. Les accidents variés consignés dans l'obser
rapprochées des oreilles, comme pour éviter un bruit as-sourdissant ( fig. 96). La physionomie conserve le plus souvent l'ex
p pénibles. Un jour nous la prions de frap-per elle-même sur le gong ( fig. 97). A peine a-t-elle donné le coup sur l'instrum
ié dans le Progrès médical (n° 25,1878). « Compresseur des ovaires ( fig. 104). — L'appareil se compose d'une gouttière mat
uivant que l'on se propose de comprimer un seul ou les deux ovaires, ( fig. 404, B, C.) » Deux coins de bois, pouvant entre
ins curieux de comparer, d'après le schéma que nous avons repré-senté fig. 9 et 10, les régions du corps occupées de préfére
19 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
scissure longitudinale, se trouve une ré' : ion ou un centre Ci. 2. fig. 1 ; fig. % et 3, tête) dont l'excitation produit
longitudinale, se trouve une ré' : ion ou un centre Ci. 2. fig. 1 ; fig. % et 3, tête) dont l'excitation produit l'ouvertu
ent des excitations minima des points indiqués dans leur diagramme ( fig. 4). La région correspondante sur le cerveau du
gion correspondante sur le cerveau du chien se trouve au numéro 12 ( fig. 5. On ne trouve pas un centre ainsi différencié
(fig. 5. On ne trouve pas un centre ainsi différencié chez le chat ( fig. 6), ni chez le lapin (fig. 7). A l'extrémité su
n centre ainsi différencié chez le chat (fig. 6), ni chez le lapin ( fig. 7). A l'extrémité supérieure des circonvolution
QUE. ' , et pariétale ascendante) et lobule postero pariétal (1, 2, fig. 1 ; fig. 2 et 3), et s'étendant au delà de la m
et pariétale ascendante) et lobule postero pariétal (1, 2, fig. 1 ; fig. 2 et 3), et s'étendant au delà de la marge de l'h
tions minima, on peut encore différencier davantage les mouvements ( fig. 4) et en particulier, on peut pro- duire des mo
produit les mouvements du membre supérieur (3. 4, 5, 6, a, 6, c. d, fig. 1, et arm. fig. 2). Dans ce centre, il est poss
ements du membre supérieur (3. 4, 5, 6, a, 6, c. d, fig. 1, et arm. fig. 2). Dans ce centre, il est possible de différenci
tra- pariétal peut mettre individuellement en mouvement le pouce ( fig. 4). La région correspondante du cerveau du chien
éros 4 et 5 situés sur la division post-cruciale du gyrus sigmoïde ( fig. 5), et par les mêmes nombres sur le cer- veau d
gmoïde (fig. 5), et par les mêmes nombres sur le cer- veau du chat ( fig. 6) et en a situé sur l'extrémité antérieure de la
respondante chez le lapin est indiquée par les mêmes nombres (4, 5, fig. 7). Au-dessous du centre du bras, et occupant l
en avant, et pour les inférieurs, en arrière du sillon de Roiando ( fig. .7). La région correspondante dans le cerveau du
ALES. 71 large que chez le singe est indiquée pat les numéros 9, 8, fig. 5, par les mêmes numéros chez le chat (fig. 6)
e pat les numéros 9, 8, fig. 5, par les mêmes numéros chez le chat ( fig. 6) chez le lapin (fig. 7). L'excitation de la p
fig. 5, par les mêmes numéros chez le chat (fig. 6) chez le lapin ( fig. 7). L'excitation de la partie inférieure a prod
éné- ralement produite par l'excitation de la partie antérieure (9, fig. i) et la réaction, par l'excitation de la parti
i) et la réaction, par l'excitation de la partie postérieure (10, fig. 1). Semon et Horsley' ontdémontréde plus que l'
on , J/ip, hanche ; Taist, queue. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. z fig. 7), produit des mouvements du dos, de la queue, d
ts du membre. L'excitation du gyrus angulaire, pli courbe (13', 13, fig. 1), pro- duit des mouvements du globe des yeux,
gion correspondante dans le cerveau du chien est indi- quée par 13 ( fig. 5) sur la deuxième circonvolution externe et la
euxième circonvolution externe et la région homologue chez le chat ( fig. 6) et chez le lapin (fig. 7), sont indiquées pa
erne et la région homologue chez le chat (fig. 6) et chez le lapin ( fig. 7), sont indiquées par les mêmes chiffres. Da
courbe. L'excitation de la circonvolution temporale supérieure (14, fig. 1) produit un redressement de l'oreille du côté
eure de la troisième circonvolution externe du cerveau du chien (14 fig. 5) et aussi chez le chat (fig. 6) et chez le la
tion externe du cerveau du chien (14 fig. 5) et aussi chez le chat ( fig. 6) et chez le lapin (fig. 7).,Quelquefois, on o
chien (14 fig. 5) et aussi chez le chat (fig. 6) et chez le lapin ( fig. 7).,Quelquefois, on obtient seulement les mouveme
t, poignet. "' ? (a) A la page 423, du t. XX, dans la légende de la fig. 39, il faut lire Eyes et non Yes, et Tangue au li
hil. Trans. sup. cit. ' Expériment. IX. Pli. Trans., 1881. ' Voir fig. 1, planche 20. Phil. 7Sans, pan. II, 1881. » Vo
- p. comnllssure poste[ ieuie. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 91 fig. 8). l'appui de ce que j'avance, je rapporte l'exp
n : que le trouble de la vision, résultant d'une lésion au point A, fig. 14, n'avait lieu seulement dans lot ! opposé. Dat
pouvez en juger, aux branches terminales du nerf saphène interne, ( fig. 12, A). La douleur en question était à la fois
représentés sur la figure par trois plaques de stries verticales ( fig. 12, B). Il y a quelques mois, on voyait à cette
la figure que je vous ai montrée, figure dessinée d'après nature ( fig. 12), et représentant le sujet se tenant debout su
mité charnue du vaste interne vient faire hernie au-dessous d'elle ( fig. 13). Par l'étran- glement que ses fibres exerce
bdomino-génital, première branche collaté- rale du plexus lombaire ( fig. 14 et 18). Faut-il admettre que ce zona soit su
e portion aussi delà circonvolution temporale moyenne fut détruite ( fig. 17). Le jour suivant, à cause de la production,
é inférieure de la circonvolution fut presque entièrement épargnée ( fig. 18). Le jour suivant, l'animal ne répondit pas
ces sur les chiens, déclare qu'une lé- sion destructive au point B ( fig. 10), situé vers l'extrémité infé- rieure de la
l'audi- tion, semblable à celui qui résulte de la destruction de A ( fig. 14) 1150 PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE. pour la vi
des images audi- tives comme les images visuelles dans la région A ( fig. 19), sont emmagasinées. Fréquemment, cependant,
l'extrémité inférieure de la circouvolution temporale moyenne (B, fig. 19), région que j'ai complètement extirpée sans c
circonvolutions temporo-sphénoidales des deux hémis- phères. (Voir fig. 20 et 21). La substance grise des régions atro-
externe de la colonne latérale vers le milieu de la région dorsale ( fig. 24). Malgré une légère paralysie dans le même c
dans l'angle formé par les deux cornes anté- rieure et postérieure ( fig. 25), il y avait une paralysie motrice * presque
e celle des parties avoisinant immédiatement la scissure mé- diane ( fig. 26). Quoique l'animal fût pour quelques heures co
erse du bulbe à la hauteur du segment le plus inférieur de l'olive ( fig. 124) l'existence a d'un ou de deux cordons cylind
montrent que la sensibilité tactile était dans tous les cas ' Voir fig. 105. Flt7 ! cti07 ! S of the Brai7 ! , p. 329.
331. - 1 Phil. Transact. Part. II, 1884. Expériences XXIV à XXXIII, fig. 103 à 181. 380 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. at
degré d'incertitude sur la position des objets . Expériences XXVII, fig. 125 à 132. Op. cit. LES LOCALISATIONS CEREBRALE
té antérieure et inférieure de la circon- volution de l'hippocampe ( fig. 29 Trol.). A cause de la for- mation originale
e de l'hémisphère. C'est le pli de passage rétro-limbique de Broca ( fig. 30, 9). Chez l'homme et chez le singe, on consi
ure. 388 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. pli de passage cunéo-limbique ( fig. 31 P C u.) réunissant le coin à la circonvoluti
unit l'uncus à l'extrémité antérieure du lobe tempora-phénoidal (+ fig. 31). C'est très net dans le cerveau du chimpanz
falciforme, et se continue postérieu- rement avec le fascia dental ( fig. 31 f. cl). La portion dorsale et au- dessus du
les restes atrophiés constituant les nerfs de Lancisi (s. t. 1. ni. fig. 31) qui sont visibles chez l'homme à la face su
- catus et l'hippocampe parait comme le bord enroulé de ce gyrus ( fig. 32). Ceci montre la communauté de fonctions entre
voit bien chez les animaux qui ont de grands bulbes olactifs (voir fig. 33. PO), mais on peut aussi constater ce rappor
s on peut aussi constater ce rapport chez le singe et chez l'homme ( fig. 34, a c). La commissure antérieure réunit aussi
it fragment du lobule de l'hippocampe entièrement détaché du reste ( fig. 35). En produisant la lésion, le cordon optique f
s l'opération. . On détruisit l'écorce comme le montre la figure ( fig. 36) de l'hé- misphère gauche sur une étendue co
t de la moelle jusqu'à la région lombaire. Dans le cas représenté fig. 37, la lésion faite à l'extrémité supé- rieure
. Donc une extirpation i Ph. Trans. Bd. XX. 1888. 1 Voir figure : fig. 20, op. cit. LES LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. 408
lut que les cordons internes du pied du pédoncule réunissent ' Voir fig. 122, Fonctions of the Umin, 4 Contraction perma
mment extirpé toute la région frontale de l'hémisphère gauche (voir fig. 38). Quand l'animal commença à bouger, peu d'he
20 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
elevée et la tête tordue, du côté gauche s'appuie sur cette épaule ( fig. 1) ; si on lui demande de changer cette attitude
ade quand il veut manger et de défigurer complètement son écriture ( fig. 2). En outre, chez le Parkinson, le tremblement
ergangenheit. Leipzig, E. Diederichs, grand in-8°, 1900; cf. p. 12, fig. 8. ' 2° Le syphilitique. Estampe mesurant 251 m
1500. Bibliothèque de la Cour à Munich. PETERS, loco citato, p. 10, fig. 6. - 4° Emploi médical du bois de Gaïac contre
, d'après Joh. Stradanus, vers 1570. - PETEns, loco citato, p. 101, fig. 112. 6° Vie de 19 prostituée à Venise. Histoire
du chanoine JANSSENS : Gheel, imp. à Turnhout, 1900 j 300 p., nomb. fig. (en flam.). LES POSSÉDÉS DE SAINTE-DYMPIlNE 307
'Horlus deliciarunt, reproduite par P. Richer (L'Ad et la Médecine, fig. 24, f. 14 et 16). 316 P. MASOIN ET.IIENRY MEIGE
e, fileté de stries longitudinales d'un blanc nacré (Voy. pi. L111, fig. A, a). Ce cylindre n'est autre que le nerf médi
dans l'aisselle il a encore le double de son diamètre normal (Voy. fig. A, ni). Les rameaux musculaires partant de ce t
ais régulière- ment cylindriques et sans bosselures (Voy. pl. LXII, fig. A, b, d). * Les muscles, tant du bras que de l'
adial et cubital ne présentent rien de pathologique (Voy. pl. LXII, fig. A, c). La moelle paraît normale. Les mensuratio
Distance séparant les deux névromes terminaux : 17 centimètres. La fig. A, dans laquelle c représente le tronc du cubital
impression de jeunes fibres en voie de régénération (voy. pl. LXII, fig. B). 2° Au niveau du col du névrome, ces faiscea
occupé par un espace incolore (Voy. les faisceaux de droite dans la fig. C). Il semble qu'à cette hauteur il y ait un oe
vides séparant deux segments adjacents (comparez sous ce rapport la fig. E et les fig. F. G. IL de la planche LXIII).
deux segments adjacents (comparez sous ce rapport la fig. E et les fig. F. G. IL de la planche LXIII). Lorsque, dans
e. Le Pal fait ressortir d'étroites traînées noires (Voy. pl. LXIV, fig. K) représentant soit une mince enveloppe de myé
Pal, ni la safranine ne mettent rien en évi- dence (Voy. pl. LXII, fig. D). Mais à un fort grossissement, leur aire est
atteignant presque jamais celle d'une fibre normale (Voy. pl. LXIV, fig. J). Ils paraissent formés d'une substance non dif
hracène de Kaplan. Sur les coupes longitudinales (Voy. pl. LXIII, fig. F, G, II), les fibres nerveuses myélinisées son
nsi que le démontrent les coupes transversales (comparez pi. LXIII, fig. G et pi.LXIV, fig. I). Les fibres sont cylind
nt les coupes transversales (comparez pi. LXIII, fig. G et pi.LXIV, fig. I). Les fibres sont cylindriques et bosselées ;
és de différenciation. Sur les coupes transversales (voy. pl. LXIV, fig. I), les faisceaux ner- veux sont de dimension n
en direct des coupes. Ainsi que l'on peut s'en rendre compte sur la fig. I delapl. LXIV, le nombre des éléments nerveux
le faisaient songer les coupes longitu- dinales. En comparant cette fig. I avec la fig. G de la pl. LXIII, qui toutes de
nger les coupes longitu- dinales. En comparant cette fig. I avec la fig. G de la pl. LXIII, qui toutes deux représentent
d'une chaîne de grosses perles de volume irrégulier (Voy. pl. LXIV, fig. Let). Cette observation peut se résumer dans le
bout périphérique, correspondant environ à l'un des faisceaux de la fig. I. Les fibres nerveuses sont abondammcnt myélin
t en rapport avec un ou plusieurs noyaux. FiG. M. Même point que la fig. L mais à un plus fort grossissement. BIBLIOGRAP
rimée, fÙt-elle allée jusqu'à sentit'Ie plan osseux.(V oir Pl. LXV, fig. 1 et PI.LXVI, fig. 3.) La peau du pied infiltré
ée jusqu'à sentit'Ie plan osseux.(V oir Pl. LXV, fig. 1 et PI.LXVI, fig. 3.) La peau du pied infiltré est de teinte gris
mental, avoir un retentissement sur le pseudo-oedème. (V. Pl. LXV, fig. 2). z Si maintenant, renversant la question, on
certain nombre de cas inédits de trophoedè- mes. (VOil' PI. LXVIII, fig. 1). Quoi qu'il en soit, il serait inexact d'att
m comme cela est manifeste dans nos photographies (Voir PI. LXVIII, fig. 2 el 3). Le tableau comparatif suivant fera trè
Lccrosnier, 2° édit., 1885, 1 vol. gr. in-8" de 976 pages, avec 191 fig. et 10 eaux-fortes. (3) Paris, Delahaye et Lecro
Venise. L'Héanispasnxe glosso-labié hystérique, p. 81-92 (4 phot., 3 fig. ). Charcot et PAUL Richer. Les Infirmes d'une an
iques sur l'histoire de la Trépana- lion, p. 292-304 (3 phot.), (13 fig. ). Henry MEiGE. - Le Juif-Errant à la Salpêtrièr
lpêtrière. Etude de cerlains névropathes voya- geurs, p. 191-204 (6 fig. ), p. 211-29\ (3 phot., 5 fig.), p. 333-358 (iO.ll
évropathes voya- geurs, p. 191-204 (6 fig.), p. 211-29\ (3 phot., 5 fig. ), p. 333-358 (iO.llg.). GEORGES Gutxo. Renaudol
Henry Meige. - Les Amyolrophiques dans l'arl, p. 198-204 (2 phot., 4 fig. ). Henry Meige, Les faciès dans la Paralysie glo
MEIGE. - Deux cas 'd' Hermaphrodisme dans l'art, p. 56-64 (1 phot., 3 fig. ). Gilles delà Tournette. - Le Sein hystérique,
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enry Meige. Les Nains el les Bossus dans l'Art, p 161-188 (4 phot., 2 fig. ). Henry MEIGE. - Les Peintres de la Médecine (E
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s au XVII- siècle, p. 45-12 (3 phot., 1 fig.), p. 121-144 (3 phot., 5 fig. ). Henry MEiGE. -Le Goitre dans l'Arl ? p. 294-3
phot., 5 fig.). Henry MEiGE. -Le Goitre dans l'Arl ? p. 294-304 (5 fig. ). Henry Meige. Les Pouilleux dans l'Art, p. 358
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phot.). Henri Meige. Un Goitreux. Gravure de Denou 1188, p. 100 (1 fig. ). II. GAUDIEIL - A propos d'un tableau du Musée
Henry Meige. Quelques Mascarons de la cathédrale de Reims, p. 470 (6 fig. ). Henry ME[GE. Iconographie des Arracheurs de d
). Henry ME[GE. Iconographie des Arracheurs de dénis, p. 198-204 (1 fig. ), p. 296- 300 (2 phot., 1 fig.), p· 439-447 (4
s Arracheurs de dénis, p. 198-204 (1 fig.), p. 296- 300 (2 phot., 1 fig. ), p· 439-447 (4 phot.), p. 558-560 (1 phot., 1 fi
des dans l'Arl byzantin, p. 84-96 (13 phot.) p. 161-168 (3 phot., 1 fig. ). Jean Heitz. La « Transfiguration » du Musée d
RouEnT GEYEn. La Psychiatrie dans le théâtre japonais, p. 359-376 (4 fig. ). ( ? 1 : . 1\lAm.svc. - La Maladie, tableau de
e. Quelques Accouchements bibliques en images, p. 203-201 (1 phot 3 fig. ). Il. BLANCHARD, - La Syphilis dans l'Art, p. 2
r DUCREST DE Villeneuve, 911. Anencéphalie avec amyélie (3 pl., 2 fig. , 6 schémas), par BRISSAUD et BRUANDET, 133.
sie d'un géant acromégalique et diabétique, 1 pl. en photograv. 2 fig. ) par Launois et Roy, 163 Gigantisme précoce ave
ud ET BRUANDET. Un cas d'anencé- phalie avec amyélie (3 planches, 2 fig. , 6 schémas), 133. Brissaud et BRUANDET. Syrin
ET et Brissaud. Un cas d'anencé- phalie avec amyélie (3 planches, 2 fig. , 6 schémas), 133. CALMETTE et Pages. Un cas d
- démateux et maladie de Recklinghau- sen (1 pl. en photocoll., 1 fig. ), 232. Genévrier. Le maillot de l'enfant d'aprè
psie d'un géant acromégalique et diabétique (7 pl. en photogr., 2 fig. ), 163. LEJARS. F. Un fait de macrodactylie (2
yxoedemateux et maladie de Reckling- hausen (1 pl. en photocoll., 1 fig. ), 232. Pages et Calmette. Un cas d'hémiatrophie
d'un géant acro- mégalique et diabétique (7 pl. en pho- togr., 2 fig. ), 163. RUDLER (F.) Tic tonique du membre supé-
21 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
leptique, un tambour à réaction, fixé à l'extrémité du membre étendu [ fig. 1, R), servira à enregistrer, parla méthode graph
s de ce membre, pendant qu'un pneumographe, appliqué sur la poitrine [ fig. 1, P), donnera la courbe des mouvements respirato
i correspond au membre trace une ligne droite parfaitement régulière ( fig. 2,11). Pendant ce temps, chez le simulateur, le
ée, marquée par instants de grandes oscillations disposées en séries ( fig. 3, II). Les tracés fournis par le pneumographe
ation rare, superficielle, la fin du tracé ressemble au commencement ( fig. 2,1). Chez le simulateur, le tracé se compose de
du trouble de la respiration qui accompagne le phénomène de l'effort ( fig. 3,1). En résumé, vous le voyez, la cataleptique
r à volonté une déformation analogue à celle du rhumatisme chronique ( fig. 40). Un élève de la clinique de la II. C'en est
Salpêtrière peut également produire à volonté la même déformation ( fig. 11). Ces faits montrent bien que la déviation se
e médiane (poignée du sternum, appendice xyphoïde) sous la clavicule { fig. 14), au-dessous des seins et dans les régions ova
nnes, chez la femme, à la région inguinale chez l'homme ; en arrière { fig. 13), entre les deux épaules, quelquefois à l'angl
amp visuel montre un rétrécissement particulièrement marqué à droite ( fig. 16), et, de ce côté, il ne voit que le rouge. En
ous le voyez, une véritable main-boQgu^e je qualifierai d'hystérique ( fig. 17) . Je vous dirai tout à l'heure dans quelles
t de môme de la vision : il existe un rétrécissement du champ visuel { fig. 18) pour la perception lumineuse, et pour la perc
n plateau de balance dans lequel est placé un poids de un kilogramme ( fig. 19). L'expérience dure environ une demi-heure ; p
le trouble respiratoire, qui caractérise le le phénomène de l'effort ( fig. 20, A, B). En manière de contrôle, un jeune hom
épreuve de luxe ; déjà nous avions réuni des preuves nombreuses et fig. 20.— Les lignes A et B, représentent les mouvemen
phique de l'autre. Chez le jeune L..., que vous avez sous les yeux ( fig. 27), l'impotence fonctionnelle est le fait domina
l'ensellure, la démarche caractéristiques des pseudo-hypertrophiques [ fig. 27). Quand vous le faites coucher par terre, sur
e de la lèvre supérieure, marquée surtout dans le rire et les pleurs ( fig. 28 et 29). Elle n'a jamais pu siffler, et si on v
14 ans, les membres supérieurs ont commencé à se prendre à leur tour ( fig. 30), l'atrophie est apparue bientôt et ici la des
ent est tellement caractéristique qu'il saute immédiatement aux yeux ( fig. 31). Pendant la marche, qui est celle du pseudo-h
te par Duchenne (de Boulogne). Le père d'un côté, le fils de l'autre ( fig. 32 et 33), sont tous deux affectés de la même faç
ls est un exemple de ces cas de transition dont je parlais plus haut [ fig. 34 et 35). Il existe chez lui une faiblesse très
par un tracé à l'aide des appareils enregistreurs. La partie 1 de la fig. 36 représente le tremblement intentionnel de la s
!. Vous voyez, en particulier, par l'examen de la planche que voici ( fig. 58 et 59), empruntée à M. Ross et relative à un c
s ici d'un cas d'hystérie absolument complet, régulier, 1. Comparez fig. 54, 55, 56, 57. Cette disposition par segments gé
exactement de la même façon, du côté de la racine du membre (voir les fig. 54 et 55, 60 et 61). La perte du sens musculair
e, remarquez-le bien, un plan perpendiculaire au grand axe du membre ( fig. 64 et 63, B, ir). Passons à un autre segment, c
férieure de la zone d'anesthésie se trouve déplacée une fois de plus ( fig. 64 et 65, C, C). Vous pouvez constater avec moi q
, la même configuration, je dirais presque qu'ils sont superposables [ fig. 64 et 65, et fig. 66, 67.) G'est là certainemen
ation, je dirais presque qu'ils sont superposables [fig. 64 et 65, et fig. 66, 67.) G'est là certainement un fait remarqua
lité cutanée tend à reparaître, dans l'aisselle et au pli du coude ( fig. 72 et 73). En même temps, le malade semble récupé
et à l'aide de ces renseignements, on a dressé la courbe ci-dessous ( fig. 74) \ On voit que, pendant la première semaine
aitement (5 juin) sur toute l'étendue du membre, la main exceptée (V. fig. 66 et 67, p. 347). Huit ou dix jours plus tard, e
i du coude et dans l'aisselle. Le 7 juillet on constate ce qui suit: ( fig. 72 et 73, p. 364). La sensibilité a reparu sur un
l'épaule encore anesthésiées. La sensibilité s'est rétablie 1. Voir fig. 74, p. 366. encore, au coude, en avant et eu ar
les résultats obtenus chez ce malade ne sont pas moins remarquables ( fig. 75). Le 5 juin, l'épreuve dynamométrique donnait
tenir debout. Si maintenant nous examinons le malade par derrière ( fig. 76, B), nous remarquons tout d'abord le contraste
ndis que pour d'autres, le coude, par exemple, elles sont conservées ( fig. 78). Les sens spéciaux, goût, odorat, ouïe, sont
lexion, exactement dans la situa-lion où vous les voyez actuellement ( fig. 79). La chloroformisation fut pratiquée, elle p
ement porté en écharpe, est fléchi à angle obtus, au niveau du coude ( fig. 79). L'avant-bras est maintenu dans la supination
marque une forte empreinte sur la peau de la face externe de l'index ( fig. 80 et fig. 81). Les mouvements volontaires sont
forte empreinte sur la peau de la face externe de l'index (fig. 80 et fig. 81). Les mouvements volontaires sont, pour ains
ment concentrique du champ visuel très prononcé à droite et à gauche ( fig. 83) ; nous avons déjà signalé l'hyperesthésie per
onc, l'anesthésie des membres inférieurs chez notre malade. En avant [ fig. 84), cette limite est représentée par une ligne q
éservant les organes génitaux ; en arrière, c'est une ligne qui suit ( fig. 85), l'insertion des muscles fessiers, réservant
aralysie totale du membre inférieur répondant au côté non anesthésié ( fig. 86 et 87). La présence des stigmates classiques
u centre, une figure en V qui répond à la face postérieure du sacrum ( fig. 84 et 83). Cette disposition si originale est b
es déterminant un plan fictif perpendiculaire au grand axe du membre ( fig. 85, A et b). même coup, conduit à proposer comm
erpendiculaire au grand axe du membre, celui-ci étant supposé étendu ( fig. 86 A et B) ; 2° L'anesthésie s'étend aux parties
côté droit du corps; partout ailleurs le malade ne sent pas le froid ( fig. 88 et 89). Les troubles sensoriels sont très re
22 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
voûté. Les mains sont très volumineuses en comparaison du bras (V. fig. 5), elles ont une véritable conformation en bat
IVe segments cervicaux. La coupe provenant du IIe segment cervical ( fig. 2) confirme ce qu'on a trouvé à l'examen macros
cendante dans les deux faisceaux pyramidaux latéraux et antérieurs ( fig. 3), mais pas de dégénérescence dans les cordons p
put écrire spontanément après plusieurs essais le mot « omelette » ( fig. 1). Les mois suivants, les troubles s'atténuère
sions. La tumeur médullaire (se trouvait en dehors de la dure-mère ( fig. 4). Les coupes sériées démontrent que la tumeur
t dans le cordon latéral droit et présen- tait une démyélinisation ( fig. 5). Les limites du foyer ne sont pas très nettes.
s cordons antérieurs par contre sont presque tout à fait in- tacts ( fig. 6). - Dans les cordons latéraux il y a des raie
s on voit de grands alvéoles vides (à aspect aréolaire cribriforme, fig. 7). Par places se voient des masses rondes roug
Au niveau du XIIe segment dorsal déjà la lésion en foyer prend place ( fig. S). Ui ? s. 1. Foyer de lésion dans le cordon
mbaire) les foyers changent de nouveau de forme et de localisation ( fig. 9). On n'y voit plus de grands foyers» 160 FLAT
e. Elles se disposent quelquefois par groupes, for- ment des ilots ( fig. 11) ou sont dispersées isolément. (A côté de leur
ber die palholog. Anat. des A : <cA6Nma ! <'/M, 1901, p. 248, fig. 126). Il faut remar· quer spécialement que la n
sont disposées principalement sur la face externe de la dure-mère ( fig. 12). Elles occupent en grande partie le côté ga
Le sujet est habi- Fig. 2. Représente le même individu que dans la fig. 1, vu de dos. 300 COSTANTINI 1 tuellement cal
ouvait à l'endroit où la VIe racine dorsale pénètre dans la moelle ( fig. 13) (incision de la dure-mère le long de la fac
et refoulait la moelle à gauche. ICette dernière est très amincie ( fig. 14). L'examen mi- 1 croscopique de cette région
'est plus qu'un étroit ruban adhérant d'un côté à une tumeur ronde ( fig. 15). La partie postérieure de ce ruban (les cordo
, la substance blanche et grise se laissent facilement reconnaître ( fig. 16). On y constate une raréfaction de la subs-
. Il persiste qu'un amincissement de la moitié gauche de la moelle ( fig. 17) où se trouve aussi une dégénérescence accen
maladie. La tumeur correspondait aux VI, et VU. racines cervicales ( fig. 18). Elle sié- 332 FLATAU geait sur la face a
cine cervi- cale) montrent une configuration interne bien modifiée ( fig. 19). Dans la moi- tié droite de la moelle on pe
tumeur, c'est-à-dire au niveau du VIe segment cervical (la ligne 5, fig. 18), la sub,tance grise reprendre sa forme normal
Au niveau du Ve segment cervical (au-dessous de la ligne 4 dans la fig. 18), on ne constate pas de tumeur quoique la mo
ssinée par la substance grise et les contours sont bien- accentués ( fig. 0). Dans la moitié droite de la moelle on voit un
pyramidale gauche qui, sous forme de languette, se dirige en avant ( fig. 21). Tout le cordon gauche est plus mince que le
segments dorsaux et en partie aussi dans celles de la Ire lombaire ( fig. 22). La tumeur,au premier coup d'oeil, fait cor
les dimensions de cette dernière ne sont pas encore considérables ( fig. 23). Elle adhère sous forme d'un corps allongé fu
3 346 FLATAU niveau de la partie supérieure du Xe segment dorsal ( fig. 20). On y voit des espaces vides et des espàces
- térieurs Le faisceau pyramidal gauche est plus lésé que le droit ( fig. 27). On peut l'observer tout le long de la moel
e est bien conservée. Les coupes colorées par la méthode de Marchi ( fig. 28) démontrent deux grands foyers dans les faisce
i- res bien formés. L'exception constitue le IIIo segment cervical ( fig. 29). On y voit deux foyers du type,alvéolaire à
ans la moitié droite de la moelle dans la région du cordon latéral ( fig. 30). A un fort grossis- sement on peut voir com
vé; onpouvaitproduire l'apparition des larmes très facilement (voir fig. C) ; l'influence de la suggestion sur les réllexe
tc.). On a suggéré dans l'hypnose des états émotifs, comme la peur ( fig. A), la colère (fig. B), la tristesse (larmes, fig
ans l'hypnose des états émotifs, comme la peur (fig. A), la colère ( fig. B), la tristesse (larmes, fig. C), la douleur p
, comme la peur (fig. A), la colère (fig. B), la tristesse (larmes, fig. C), la douleur physique (fig. E), la joie (fig.
olère (fig. B), la tristesse (larmes, fig. C), la douleur physique ( fig. E), la joie (fig. D) et on constate des expressio
tristesse (larmes, fig. C), la douleur physique (fig. E), la joie ( fig. D) et on constate des expressions de la figure
de la sixième couche des- cendent profondément dans cette dernière ( fig. 1). Les caractères histologiques de la pariétal
endant faire remarquer que ni les zones 1, 2, 3 et 4 de cet auteur ( fig. 4) n'offrent pas la même structure sur toute leur
suivant que l'on considère le tiers supérieur, moyen et inférieur ( fig. 5, Pl Y11VIEI).Dansla partie la plus supérieure
s-granulaire de la pariétale ascendante sont également en réaction ( fig. 6, PI. XXXIX). 3° Hélène T... Notes cliniques.
s cellules sous-gra- nulaires du type 5 ont presque toutes disparu ( fig. 7, Pl. XXXIX). On voit également des lésions da
raux ainsi que celles des pariétales ascendantes sont con- servées ( fig. 8, PI. XXXIX). 2° Georges D... Notes cliniques.
de l'écorce motrice, on voit qu'elles se ressemblent complètement ( fig. 9 et 10) ; j'ai également insisté sur le fait que
et groupés en trois systèmes : 1° Système du 2e intercostal gauche ( fig. 1, PI. XL), limité en dedans par une ligne géné
és en devenant à peine apparente vers le coude. 2° Système fessier ( fig. 2, PI. XL). Une petite tache, allongée parallèlem
de la partie inférieure de la fesse gauche. 3° Système du genou ( fig. 2, PI.XL). Une série de macules, à disposition li
du bras (Van Gehuchten, Anatomie du système nerveux, 4° édi- tion, fig. 393 ? Il est facile de voir que cette dispositi
ion forcée et en extension et très élevé comme sur la photographie ( fig. 3,P1. XLl), le naevus présente la forme générale
ale, s'étend sur la largeur moyenne d'une main. Il part en arrière ( fig. 4), sur la ligne médiane, au niveau de la Se vert
izontal en s'élargissant légèrement sur la face latérale du thorax ( fig. 5), puis redevient nettement descendant pour cr
5' côte sur la ligne 1 SUR LES NÆVI SYSTÉMATIQUES 405 mamillaire ( fig. 6), jusqu'au bord inférieur de la 7e côte, pour v
vers la zone médiane antérieure (rameaux antérieurs (Van Gehuchten, fig. 333, 332). Ces. IV. - Noeous- névrite pigment
upant en arrière l'espace situé de la 8° à la 10" vertèbre dorsale ( fig. 7), s'étend sur une largeur d'environ 4 travers d
la ligne axillaire antérieure, elle devient nettement descendante ( fig. 9) pour gagner la région péri-ombilicale sur la
le interne de l'omoplate SUR LES NIEVI SYSTEMATIQUES 407 droite( fig. 7 et 8),et un peu au-dessus, sensiblement sur la
hie du zona. Soc. méd. des hôpitaux, 1896. (2) Brissaud, Loc, cit., fig. 1, p. 2S, Bulletin médical, 1896. 412 ÉTIENNE
bre cervicale (VIsegment cervical et bout supérieur du Ier dorsal) ( fig. 31). Le jour suivant on constate l'affaiblissem
moelle épinière, en collaboration avec le professeur Dejerine (Voy. fig. 306 à 319, p. 621 à 627). Dans ce cas un seul g
ment oblitérées et engainées dans d'abondants petits noyaux foncés ( fig. 3 el fig, 4). La tunique interne présente des é
liers ; l'endothélium ne parait pas avoir de solution decontinuité ( fig. 2). Au, fort grossissement. ? Les traînées et l
ns ; ce sont de petites gommes. Elles ressemblent à des tubercules ( fig. 5). On rencontre aussi des gommes plus grandes,
s, brisées, dégénérées, englobées dans les masses en prolifération ( fig. 7). Celles qui composent l'élastique interne so
us tassé el ses éléments plus jeu- nes ont mieux élu les colorants ( fig. 8, b). Nombreux sont les vasa-vasorum oblitérés
on rencontre dans la mé- dia des territoires nécrosés, non colorés ( fig. 8, a). L'hypertrophie des parois vasculaires si
IE VERTICO-rRONTALE. Lobe frontal. La partie antérieure de ce lobe ( fig. 1) est constituée par un amas d'îlots de substa
'on aborde le pôle du lobe temporal, le champ triangulaire compact ( fig. 2) que nous avons signalé en parlant du bord infé
au sagittal médian se renfle pour former un forceps majeur typique ( fig. 4) qu'on ne saurait distinguer du for- ceps cal
es coupes qui passent immédiatement au-dessus de la couche optique ( fig. 5), le ventricule latéral se trouve exposé sur to
la voûte du ventricule, soit immédiatement au-dessous de celle-ci ( fig. 6), tout l'intérêt porte sur le développement u
XXX, LXXXI) : . 1° Le deuxième orteil est plus long que les autres ( fig. 1) (a). 2° Le premier et le deuxième orteils, p
e le premier, le deuxième et le troisième sont de la même longueur ( fig. 2, z; 15, 17). 3° Un orteil quelconque, le plus
eut être considérablement plus atrophié, plus mince que les autres ( fig. 5, 6, 7). 4° Le petit orteil est presque rudime
tres (fig. 5, 6, 7). 4° Le petit orteil est presque rudimentaire ( fig. 3, 4, 8). 5° Le petit orteil est tourné de mani
visible sur la plan- che 9, tandis qu'en vérité ce dernier malade ( fig. 9), présentait ce phéno- mène d'une façon assez
e sur le pied droit ; il est, cependant, probable que, dans ce cas ( fig. 12), il s'agit de syndactylie ; cette suppo- si
horizontale, mais penchée soit d'un côté, soit de l'autre ; ainsi ( fig. 13) la situation du premier et du deuxième doig
position inverse à celle que nous avons déjà vue sur le petit orteil ( fig. 8, 9 et 10; voir le § 5). 8° Halux valgus; ce
uis la base de la phalangette, tandis que pour les seconds orteils ( fig. 13 et 18), cette position commence depuis la ph
les dirait atrophiés (tig. 13 et 19) ; ils sont parfois très longs ( fig. 3) et ne correspondent pas à la taille des pers
ième ; ce sont eux qui se présen- tent tantôt recourbés en crochet ( fig. 1 et suiv.), tantôt atrophiés (fig. 3, 4, 8), t
tent tantôt recourbés en crochet (fig. 1 et suiv.), tantôt atrophiés ( fig. 3, 4, 8), tantôt comme ayant accompli une rotat
4, 8), tantôt comme ayant accompli une rotation autour de leur axe ( fig. 10, 9) ; il existe encore d'autres formes de défo
Corps calleux (Analomie et pathogénie de l'agénésie du -) (6 pl., 6 fig. ), parlais- SALLE-ARCIIAÙ1RAULT, 505, 630. Der
1 pl ? par Wickersiieimer, 92. Orteils ( Anomalie des -) (1 pl., 18 fig. ), par SI. V. V. SEDLETSKI, 695. Paget (Sur un
.), 416. SEDLETSKI (M. V. V.). Anomalies des or- teils (3 Pl., 18 fig. ), 695. WIC ! OERSHEIMER. Ornithomancie médicale
23 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
s complexes (1) : a) Dans le nerf brachial cutané interne, on voit ( fig. 1) : 1- des libres ner- (t) Les dessins de ce t
at normal, forme une gangue interstitielle, régulièrement répartie ( fig. 2), constituée par des éléments fibreux dont le
interne, peu altérés mon- trent avec des grossissements plus forts ( fig. 3) les mêmes variantes de lésions, mais ici déj
mixtes on trouve des lésions beaucoup plus avancées (V. PI. V, B et fig. 3). Les fibres nerveu- ses y sont rares. Le tis
rossissement et avec des coupes colorées par l'hématoxyline-éosine ( fig. 4). On voit alors que ce manchon fibreux qui pr
érée à une autre dont les lésions sont beaucoup plus considérables ( fig. 3 et 4). En résumé ces coupes transversales des
l et au carmin, ou à la safranine ou encore à l'encre d'anthracène ( fig. 5, 6, 7) : a) Les unes ont conservé leur forme
ns sa gaine fibreuse épaissie se recourbe et revient sur elle-même ( fig. 6), Fm. 5. - Fibres du radial. Pal et carmin.
asciculaire est mieux démontrable que sur les coupes transversales ( fig. 7). Les cellules fibreuses qui le constituent s
III, obj. 8. 54 LONG ces coupes avec un plus fort grossissement ( fig. 8), les fibres nerveuses des racines antérieure
s que l'on voit sur les coupes du deltoïde sont de volume variable ( fig. 9) ; il en est qui sont hypertrophiées, d'autres
conjonc- tive annulaire et épaisse. Cet aspect si caractéristique ( fig. 3 et 4) est bien semblable à celui qui a été dé
les autres et de grosses fibres entourées d'une lame épaisse (V. la fig. 3 de la planche qui accompagne leur mémoire).
de face interne, lire face externe. Page 520, ligne 13, au lieu de fig. 1, lire fig. 2. Page 524, ligne H, au lieu de f
rne, lire face externe. Page 520, ligne 13, au lieu de fig. 1, lire fig. 2. Page 524, ligne H, au lieu de fi,g. 3, lire
de fig. 1, lire fig. 2. Page 524, ligne H, au lieu de fi,g. 3, lire fig. 4. Imp. J. Thevenot, Saint-Dizier (Haute-Marne)
ractérise la physionomie dans cette der- nière affection (PI. XXIV, fig. 1). Il est manifeste que cet aspect et le défau
n s'efforçaient de concourir à l'action de l'orbiculaire (PI. XXIV, fig. 2). Ainsi, en dépit des apparences, il n'y a po
peut s'en rendre compte en regardant la malade de profil (PI. XXIV, fig. 3 et 4). La façon dont la malade parvient à mas
e fermer la bouche sans rapprocher les arcades dentaires (Pl. XXIV, fig. 2). En général, on n'observe l'atrophie des mas
DLLMANN et Tmnx. Cliniques iconographiques, 1900, obs. 124, PI. 31, fig. 1. (2) G. Etienne, OEdèmes aigus essentiels loc
I. Téguments. On trouve successivement sur la coupe (Planche XXX, fig. A) : 1° L'épiderme qui n'est ni épaissi ni modi
ne épaisseur de 3 milli- mètres environ ; elle représente le derme ( fig. B); les annexes de l'épiderme, glandes sébacées
il y a des traînées de tissu adipeux. On voit sur la photographie ( fig. A) que l'une des loges en contient davantage, d
it ces dernières l'état de dissociation au milieu du tissu adipeux ( fig. C). ' 11. Ner/'médinu. - Ce nerf est notablemen
fig. C). ' 11. Ner/'médinu. - Ce nerf est notablement hypertrophié ( fig. D), mais les faisceaux nerveux ne participent p
f. Chaque faisceau possède une gaine lamelleuse qui lui est propre ( fig. F) et qui est formée comme dans la règle de lamel
- Bien différent du nerf médian, ce nerf n'est pas hyper- trophié ( fig. E). L'hyperplasie du tissu conjonctif qui l'entou
aisceaux du nerf médian sont plus espacés que ceux du nerf cubital ( fig. G. H). On peut résumer cet examen histologique
u même niveau. Description des figures. - Sur la coupe représentée ( fig. 1) passant par la partie supérieure de la régio
et une atrophie nette du champ de Wernicke. Les figures suivantes ( fig. 2 et 3) montrent que la lésion occupe la même s
dant du foyer principal, capsulaire, vient sur la coupe sui- vante ( fig. 3), se réunir à celui-ci en avant, alors qu'en ar
action des fibres avec très légère sclérose. Sur la coupe suivante ( fig. 4) passant par les tubercules quadrijumeaux ant
eau la partie tout inférieure du corps de Luys. La figure suivante ( fig. 6 représente une coupe du pédoncule cérébral in-
ce à la face interne du pédoncule. Sur les trois figures suivantes ( fig. 7, 8 et 9), on voit que le foyer primitif se po
eux supérieur sont intéressées par la lésion. Sur ces mêmes coupes ( fig. 8 et 9) on voit que les faisceaux extra-pédoncu
niveau de l'apparition des fibres transversales du pont. A ce niveau ( fig. 10) la lésion de la calotte ne consiste plus qu
de cette bandelette dégénérée, on voit en plein tissu de sclérose ( fig. 3 et 4) une cavité allongée formée par une pert
et au niveau du chiasma lui-même, on ne note plus, du côté gauche ( fig. 7 et 8), qu'une diminution de volume avec ra- r
ire supérieure, il existe des lésions atrophiques très manifestes (V. fig. 12), des fibres arciformes interréticulées du.
28 ANS 195 latéral droit, prédominant au niveau du cordon latéral ( fig. 13, 14, 15, 16); une dégénération presque compl
tade plus avancé le vaisseau est complètement rentré dans l'écorce ( fig. 2). ' Le tissu cérébral cède donc déjà à une pr
cule latéral est de beau- coup en dessous de la contenance normale ( fig. 3 et 3 bis). Le ventricule latéral gauche est t
carine par le pourtour inférieur jusqu'au tiers de la face externe ( fig. 4). Rappelons qu'il s'agit d'un néoplasme fixé
que la tumeur apparaît ; elle n'est pas délimitée par une membrane ( fig. 5). M. le professeur Askanazy en con- firme la
les masses grises basales. l'avant-mnr sont beaucoup moins altérés ( fig. 7). Fig. 6. - Coupe 1055. Fig. 7. - Coupe 149
(prof. Askanazy). Examen des coupes sériées. Oblongata et cervelet ( fig. 9 et 10). A plus d'une reprise déjà j'ai montré
uvant s'écouler assez vite, s'est fait place du côté gauche (V. IV, fig. 9 et 10). Cependant à droite aussi il y a eu réte
rmé en tissu sclérosé. C'est au maximum d'extension de la tumeur ( fig. 9) que correspond natu- rellement la déformatio
la main ; à sa partie inférieure, il se termine par un tendon (le, fig. 3) très largement étalé sur la face antérieure de
muscu- laires dont la disposition est la suivante : l'un d'eux (b , fig. 3), plus externe, va de la face inférieure de l
l'axe de l'avant-bras et parallèles entre eux. Le plus externe (h, fig. 9) est visiblement un chef du long supinateur déd
large conserve son dédoublement au niveau de sa partie tendineuse ( fig. 6) : un faisceau solide, en forme de gros cordon,
la face postérieure de l'avant-bras, on voit ensuite un muscle (i, fig. 9) qui a des insertions supérieures analogues à c
NUMÉRIQUE DES TISSUS 301 Enfin le troisième muscle longitudinal (j, fig. 9), situé entre le précédent et le muscle ancon
onde est d'accord sur ce point. Au-dessous de cette figure (Pl. LX, fig. 1)nous avons placé un fragment de foliole dont
tes, on voit beaucoup de noyaux et peu de fibrilles (voir pl. LXII, fig. 2) ; la couche des grains et la subs- tance bla
être reconnue au milieu d'autres lésions, elles, séniles (Pl. LXII, fig. 2). On distinguera avec la même assurance un ce
senté par Bourgery et Jacob (Anat. descript., 1835, t. IV, Taf. 38, fig. 5) est celui d'une anomalie de l'humérale qui p
identifier ces muscles : c'est ainsi que les muscles figurés en i ( fig. 9) représentent les muscles longs du pouce, mais
opre du petit doigt, cubital postérieur ; que les mus- cles b et c ( fig. 2), représentent les fléchisseurs profonds (commu
der Enlwicklungsgeschichle des Menschen. Erster Teil. Iena, 19l'7, fig. 334, 335, 336,337,338. Klippel. - Arrêt de déve
janv. 1S98, Archiv. f. Psychiatrie, t. XXXII, f. 1, 1899 (20 p., 27 fig. ). (2) DEGANELLO, Un caso di porencefalia. Rivis
sa et mentale, vol. V, rase. 5, p. 193, mai 1900 lExam. Iiistol., 1 fig. ). (3) RAVAUT, Un cas de porencéphalie acquise.
la porencéphalie. Archiv sur Psychiatrie, 1902, t. 36, f. 1. (16 p. 6 fig. ). (5) Messing, DI ei Fille von Porencéphalie, 2
élie avec phénomènes bulbunes et troubles tro- phiqups (4 pl.. -' fig. ) 261. Raymond et F, Rose. Myopathie nspudo- h
cta, 91 . Hémimélie avec atrophie numérique des tissus (3 pl., 11 fig. ), par HLIPPBL OtP.BOU- CHR,T, 290, 396. Infan
ec phénomènes bulbaires et troubles trophiques intenses (4 pl., 2 fig. ), par Raymond et Lejonne, ? 6l. Topographe cet-
mental (les péripéties d'un). Histuire clinique et thérapeutique (3 fig. ), par HENHY Meige, 461. Torticolis mental de
Tumeurs cérébrales[de quelques altérations dues à leur présence) (H fig. , 2 pl.),par R. WE3ER, 275. Weber (Syndrome de
24 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
a hauteur exagérée du cerveau par rapport il ses autres dimensions ( fig. 1, 2, 3, 4), la sailliedes pôles temporaux à la
ensions (fig. 1, 2, 3, 4), la sailliedes pôles temporaux à la base ( fig. 4), la direction anormale des circonvolu- tions
be occipital, entraînant le déplacement de la scissure cal- carine ( fig. 3); à l'examen microscopique la présence de vaiss
ant-bras reposant sur un plan ho- rizontal. Cette attitude (pl. XX, fig. A) comporte un léger degré de flexion et de pro
, et de l'impossibilité d'éten- dre et d'écarter le pouce (pl. XVI, fig. A et B ; pl. XVII, fig. A, B et C). Quelles que
d'éten- dre et d'écarter le pouce (pl. XVI, fig. A et B ; pl. XVII, fig. A, B et C). Quelles que soient la nature et la
ant ses efforts pour étendre les doigts sur le métacarpe (pl. XVII, fig. D). Pour mettre en évidence l'immobilité de la
d cubital de la main par l'action des muscles thénariens (pl. XVII, fig. E). Pendant ces essais, les tendons de la tabatiè
ébauchée de la phalange unguéale sur la deuxième phalange (pl. XX, fig. B, C, D, E et pl. XXI, fig. A). Celle attitude
uéale sur la deuxième phalange (pl. XX, fig. B, C, D, E et pl. XXI, fig. A). Celle attitude s'explique par la paralysie
oins écarté du médius, et le médius peu écarté de l'index (pl. XXI, fig. B). L'atrophie des interosseux, du premier surt
t, donne parfois à la main un aspect dit « squelettique » (pl. XXI, fig. B). A la face palmaire, l'atrophie de l'éminenc
au niveau de la commissure séparant le pouce de l'index (pl. XXII, fig. B). Par suite de cette atrophie musculaire, les
ssi le médius, plus rarement et à un moindre degré l'index (pl. XX, fig. B et C). L'hy- per-extension de la première pha
YSles paes on peul observer l'absence compléter de griffe (pi. XIX, fig. B) : les muscles de l'hypothénar et les premiers
me plan que les quatre autres, réalisant la main de singe (pi. XVI, fig. C ; Pl. XVlI, fig. G). De plus la main se trouv
tre autres, réalisant la main de singe (pi. XVI, fig. C ; Pl. XVlI, fig. G). De plus la main se trouve dans son ensemble l
liy- perextension des dernières phalanges (main en calice, pl. XVI, fig. D). DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES N
membre, la main en particulier, absolument inutilisables (pl. 1VII, fig. F et H). L'atrophie de la main va en augmenta
marquée des phalanges ( « main ostéoporeuse » de Sicard) (pl. XIX, fig. C). Le trophisme de la peau, du tissu cellulair
nime et passive des deux dernières phalanges, sans griffe (pl. XIX, fig. A). Plus rarement les deux derniers doigts se rec
échisseurs du carpe. Seule la flexion du poignet est possible (pl. 3, fig. C). L'attitude de la main et son impotence rapp
ans la paume de la main au niveau des talons des doigts (pl. XVIII, fig. D). 7h MADAME ATHANASS10-BENISTY La flexion d
e toujours impossible. Même aspect de dos de fourchette (pl. XVIII, fig. A et pl. XXI, fig. E). .. Troisième type. Les p
le. Même aspect de dos de fourchette (pl. XVIII, fig. A et pl. XXI, fig. E). .. Troisième type. Les petits muscles de la
mais l'hyperextension de la phalange basale est moindre (pl. XVIII, fig. G et pl. XXI, fig. C). Le blessé peut « faire le
on de la phalange basale est moindre (pl. XVIII, fig. G et pl. XXI, fig. C). Le blessé peut « faire le poing » : les doi
éterminé une hypersudation dans le territoire du médian (pl. XVIII, fig. B, E et F). En somme, dans ces types si variabl
èrement succulent ou oedémateux à extrémité plus -enflée (pl. XXII, fig. C). ) D'autres fois l'épidémie est sec, sèche,
la striction prolongée du membre par un appareil plâtré (pl. XXII, fig. D). Nous avons pu observer dans deux cas une ré
des dernières phalanges rappelant le rhumatisme chronique (pl. XX, fig. F et pl. XXI, fig. D). VI. Paralysies ET contra
anges rappelant le rhumatisme chronique (pl. XX, fig. F et pl. XXI, fig. D). VI. Paralysies ET contractures dites réflex
ane au-dessous des trois autres doigts, eux-mêmes accolés (pi. XVI, fig. E, pl. XX, fig. G, pl. XXIII). MM. Babinski e
es trois autres doigts, eux-mêmes accolés (pi. XVI, fig. E, pl. XX, fig. G, pl. XXIII). MM. Babinski et Froment (2) do
dont nous ne trouvâmes plus trace lors de notre examen. , Cas II ( fig. B). B..., âgé de 34 ans, entré le 2 avril 1915, p
s mou- vements auraient disparu quand apparut l'oedème. ' Cas ly ( fig. D). D..., 23 ans, se présente le 25 juin 1915 ave
me que la main et les. doigts auraient pris l'aspect actuel. CAS V ( fig. E). E..., 25 ans, entré le 3 juin 1915, évacué du
produisons nous paraissent venir à l'appui de cette hypothèse. 1 ( fig. A). B..., 31 ans, a été blessé le 26 novembre 191
térielle, mesurée au Potain, est de 28 à gauche, 22 à droite. II ( fig. B et C). - F..., 31 ans, blessé le 12 février 191
de la main, notamment un panaris analgésique du petit doigt. III ( fig. D et E). - T..., 21 ans, a été blessé le 16 juin
ble vaso-moteur ou trophique.Nous en reproduisons un, entre autres ( fig. F.), où un coup de couteau à la face interne du
l'humérus. La main se présente atrophiée, amincie, creuse {pl. XXX, fig. F), ordi- nairement maintenue' en bénitier; la
rmation du pied existait encore nette, quoique diminuée (pl. XXXII, fig. A). Ce n'est pas seulement dans les blessures d
n graduelle » ; « la dernière phalange disparait peu à peu ». V. la fig. , p. 454. NOUVELLE IC01'>.OGRAPHIE I)I· LA SA
hypophysaire, comme s'il avait tenté de pénétrer dans son intérieur ( fig. 2). Une forte capsule fibreuse entourait le pro
on voit que les omoplates présentent la forme des scapulae alatae ( fig. 3 et 4). L'extrémité inférieure de l'omoplate dro
e. Voici les détails de l'examen radiographique du membre atrophié ( fig. 8 et 9). Fémur normal. Atrophie congénitale du
son étude anatomopa- thologique, nous l'a dessinée d'après nature ( fig. 1), et nous en a donné la description suivante
t en bas le plan du bord inférieur de la deuxième vertèbre dorsale ( fig. II). L'intégrité de la carotide s'explique par
pébrale lié à l'énophtalmie est visible sur les deux photographies ( fig. I et IV) ; il diminua à la suite des instillati
re en évidence, grâce au procédé de Stewart à la poudre de charbon ( fig. 3), une zone d'hyposudation occupant la 2e espa
se trouve de dimen- sions normales dans le type gérodermiqne (voir fig. VII). Les signes acromégaliques tirés du systèm
os du crâne et des jambes (Voir l'exa- men radiographique du crâne, fig. X). Les cas de cette nature ont été interprétés
rme tar- dive. C'est précisément ce qui arrive chez le malade de la fig. 13, que nous * avons observé dans le service de
des abcès du -. Centre cortical de la déviation conjugée) (Moniz), fig. 1-2. Coude flottant ; rééducation musculaire ex
I), XLIX. Névrite hypertrophique de l'adulte (DIDE et Courjon), 1 fig. Oxycéphalie et paralysie générale (FLOUK- 1\O
25 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
petit doigt l'étant au maximum, l'index au minimum. Le petit doigt ( fig. 1) est : "1 ce point rétracté qu'on ne peut l'é
à une époque éloignée des accès; le malade est gaucher. La courbé ( fig. 5), se lisantde droite à gauche, qui représente
e et plus.élevée = 52 kil., tandis que la courbe de la main droite ( fig. 6) est moins élevée et un-peu hésitante= 48 kil.
ndent au thorax, et se traduisent par des saccades de l'expiration ( fig. 1). . Cii. FEUE, Médecin de Bicêtre. 1. Bra
, pesante, d'une teinte cireuse, les plis naturels avaient disparu ( fig. 15, 16, 17, 18). Les lèvres étaient grosses, le
re diminuée dans l'oreille gauche. (État actuel) 1er novembre 1886 ( fig. 19). - Le malade est de moyenne grandeur (104
ème. Peau souple. Oreilles normales comme dimensions et coloration ( fig. 21). Cheveux et sourcils bien développés. La
ligne droite parfaitement régulière tout le temps de l'expérience ( fig. 3). Un tracé semblable pris dans les mêmes cond
première minute, des lignes irré- gulières et légèrement tremblées ( fig. 24). Ces différences sont rendues encore plus é
lement une petite boucle qui sert, lorsque l'appareil est en place ( fig. 34) à réunir les deux pièces entre elles à l'aide
au tronc chacune des deux paires de membres. La face tout entière ( fig. 3G), d'une façon prédo- minante dans sa partie
JOU Elle présente les troubles suivants de la sensibilité générale ( fig. 38, 3J) : Sensibilité complète à la piqûre, au
rat. Diminution de l'acuité auditive de l'oreille gauche. Vision ( fig. 40). OEil gauche. - Amaurose de cet oeil ; rien d
PI. XVIII). L'examen des yeux fait immédiatement donne ce qui suit ( fig. 41) : acuité visuelle normale à droite; 1/3 il
he dans son ensemble est le siège d'une hypcreslhésie très marquée ( fig. 41, 45), la pression, même légère, est douloureus
e entier pesait 1,275 grammes. La base du crâne se distinguait par ( fig. 47) de nombreuses singularités ; elle élait lar
cès de son opéra- tion. ,Le tableau dont nous donnons la gravure ( fig. 51) se trouve égale- ment au musée de Munich. C
es ses faces était comme la partie droite, totalement anesthésique ( fig. 53). De même, la sensibilité spéciale avait dis
volume de ses Leçons sur les maladies du, système nerveux (p. 441) ( fig. 54 et 55). A l'époque où fut publiée cette obse
mu- queuse : I)Liccale est limitée a la partie gauche de la bouche ( fig. 50). Le rétrécissement du champ visuel est'égal
mple, que celle à incriminer dans l'espèce. Or dans ces deux cas ( fig. 57 et 58) il existait une bande d'anesthésie se
un peu au-dessous, existe une zone d'anesthésie totale à la piqûre ( fig. 57). Dans une même zone adroite (côte liémianes
uisse étendue sur la jambe et sur le bassin : le pied en extension ( fig. 59, CO). Au bout de dix-huit mois, le bras s'es
, à la face plantaire duquel s'est développé récemment un durillon ( fig. 61). Le malade ressent un chatouillement qui, p
l mesure 30 millimètres; elle est limitée par les organes suivants ( fig. 63, 64) : en avant le chiasma des nerfs optique
isque les os zygomatiques ne sont pas plus grands qu'à l'ordinaire ( fig. 65, 66). Les orbites ont une forme irrégulière,
on de 3 centimètres et demi hors du plan de la ligne sus-orbitaire ( fig. 67, 68). Le corps du maxillaire inférieur au ni
- porale ; son épaisseur en certains points ne dépasse pas 1 mill. ( fig. 69). La partie occipitale, au contraire, est ne
ineuscs compliquant les contractures spasmodiques. Obs. 111, p. 35, fig. 19 {Nouvelle Iconographie de la Salpètrière, t. I
vée mai ? bien musclé et d'apparence robuste. On constate chez lui ( fig. 70, 71) : Une hémianesthésie droite sensitivo-s
es éminences thénar et hypothénar ont disparu presque complètement ( fig. 72, 73). Les muscles de l'hypothénar sont un pe
ujourd'hui (octobre 1889) la main gauche présente l'aspect suivant ( fig. 74, 75). ' ' ' 'l i FlG, 7>, Fie 75. Les
étant en flexion dans la paume de la main; le tliénartrès atrophié ( fig. 76). L'avanl- bras et le bras ne participent pa
ononcée se résout pendant le sommeil chloroformiquc. Sensibilité ( fig. 77, 78). Côté droit normal. Côté gauche. Anesth
stent depuis l'âge de 17 ans. ' . , . ' Sensibilité à la douleur ( fig. 81, 82). - Aux membres supérieurs elle est symé
thésie s'arrêtant des deux côtés au niveau du cou-de-pied. (Sur les fig. 81 et 82 l'hyperesthésie envahit les pieds; il
es sont plutôt perverties qu'abolies. Sensibilité au froid (glace) ( fig. 85, 86). Membres supérieurs : com- ptt'tement a
endant nous donnons ici le des- sin de quelques-unes d'entre elles ( fig. 87, 88, 89, 90, 9'1, 92, 93). Le malade, âgé de
de diamètre transversal et 10 mill. de diamètre anléro-postérieur ( fig. 94). Sur la partie moyenne du corps du sphénoïd
bliques en haut et en arrière. Angle de la mâchoire : 1250 environ ( fig. 95). Nulle part il n'y a de rugosités spongieus
profond du condyle par la cavité glénoïde transformée en un angle ( fig. 96, 97). En regardant le profil de la face tout
26 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
mblement des mains est analogue il celui de la sclérose en plaques ( fig. 1). Lorsque la main est au repos, rien d'anormal.
remblée. En voici deux spécimens tracés à quatre mois d'intervalle ( fig. 2 et 3). Examen du malade debout et dans la mar
manifes- tement. tremblée; en voici un spécimen écrit en allemand ( fig. 4). La parole est hésitante, traînante, scandée
its par le tracé ci-dessous que nous avons enregistré ce même jour ( fig. 5). Au repos, les secousses persistent; dans l'
x. Au dynamomètre, la main gauche donne 35. Sensibilité générale ( fig. 6, 7). -Hénti-lapoestlaésie droite : Sensibilité
reille quelques légères douleurs et quelques bourdonnements. Vue ( fig. 8) : Rétrécissement concentrique du champ visuel
temps. Sens musculaire conservé.. Description de la main malade ( fig. 9). - Ce qui frappe au premier abord, c'est un
ns le lointain sem- blent contempler un spectacle terrible (PI. VI, fig. '1). Verre bleu. Elle lève les yeux au ciel, jo
l'attitude de la prière, et finit par se mettre à genoux (PI. VII, fig. 1, et Pl. VI, fig. 3). Verre jaune. Elle fronce
rière, et finit par se mettre à genoux (PI. VII, fig. 1, et Pl. VI, fig. 3). Verre jaune. Elle fronce les sourcils, clig
ets environ- nants sont éclairés par un vif soleil d'été) (Pl. VII, fig. ,3). r - Verre vert foncé. : =Elle sourit et fai
, sur un arbuste imaginaire et la passe dans sa main gauche (PL IX, fig. 3 et 4). Elle recommence ensuite, cueille aussi
lle suivait des yeux avait disparu pour ne plus revenir (PI. VII, - fig. d). Nous avons pu'observer pendant toute cette sc
a passé l'hiver saupoudré de camphre et qu'elle le secoue (Pl. VII, fig. 4.). Mais on comprend que l'interprétation de m
ns l'altitude d'une contracture du muscle tibial antérieur (Pl. VI, fig. 3). Éther. Elle fait de grandes inspirations co
un peu hagards, sa face exprime une certaine souf- france (Pl. VI, fig. 4). (Il est bon d'ajouter, à propos des résulta
est assise comme si elle était au lit, se tâte le poids (I'1. VIII, fig. 4). Puis elle fait le geste d'écarter quelqu'un q
à quelque enterrement ou à quelque triste scène d'église (Pl. VIII, fig. 1 et 3). . Si on; vient à siffler auprès d'elle
inue- rait indéfiniment, même une fois la musique, arrêtée (Pl. IX, fig. 1). ,Si on change brusquement le rhythme et qu'
banal qui ne dit rien sur ce qui se passe dans son cerveau (Pl. IX, fig. 2). Il en est à peu près de même pour les sensati
d la fait frissonner et serrer ses bras contre son corps (PI. VIII, fig. 2). Elle se couvre la tête et les épaules d'un
s, réels d'ailleurs (témoin ce cerveau que je place sous vos yeux) ( fig. 10), qui permettraient de croire que la microcéph
n crâne d'une forme bizarre comparable à celui de certains oiseaux ( fig. 20, 1). J'ai pratiqué chez cet enfant une crani
et l'état d'immobilisation volontaire du thorax. A l'état nor- mal ( fig. 22) la respiration ne présente rien de particulie
its accidents lorsque l'on fait compter, siffler ou rire le malade ( fig. 23). La ligne de la respiration abdominale norm
inale normale est également remplacée par une ligne presque droite ( fig. 24). L'amplitude des mouvements respiratoires,
au bout de cinq à dix minutes. Le tracé pneumographique ci-dessus ( fig. 25) accuse bien les mouvements res- piratoires,
de la main sont rendus très difficiles et souvent même impossibles ( fig. 26). La langue tremble aussi quelquefois. Il en
orte que le tronc et lés épaules oscil- lent dans le sens vertical ( fig. 97). Quand le sujet se met en marche, le trembl
res au-dessus du plan du lit, le tremblement se reproduit aussitôt ( fig. 28). Le décubitus horizontal est donc, à l'étal
ro-traumatique consécutive ci une contusion des membres inférieurs ( fig. 29, 30). 142 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊT
édents que nous em- pruntons à l'ouvrage remarquable de Thornburn' ( fig. 33, z.....45). La comparaison de ces diverses f
eurs branches de ces nerfs et au terri- toire cutané correspondant ( fig. 33 à 45). Inutile d'insister davantage. Il est
u pelvimètre, et qui sert à prendre les diamètres maximum du crâne ( fig. 49); 2° le mètre à ruban divisé en centimètres
. Les points de repère qu'il vous faut connaître sont les suivants ( fig. 50) : Sur la ligne médiane : a. La glabelle,
en forme de boule, resserre à ,` la base, face petite (PI : XVIII, fig. -I; 3,-3, et pl. XIX, fi'. 2). 1 - B. Déformati
aximum du crâne n'est pas àntéro-pôslérieur, mais oblique (PI. XIX, fig. 3).' ' \ ; 2 ? Scaphocéplialie (<7Xt<mog,
le sens antéro-postérieur, saillie de la suture sagittale (Pl.'NIX, fig. 1). i 3° Acrocéphalie (ccr,ov; sommet), désigne
), désigne d'une façon générale les crânes' à voûte élevée (PI. XX, fig. 1 et 2). ° Trigonocéphalie (-.pcyowcv, triangle
bien. » Actuellement, 20 janvier 1891 elle est complètement guérie ( fig. z , OBs. II. Myélite transverse avec contractur
éjourné avant de venir à la Salpêtrière. Des deux dessins suivants ( fig. 52, 53), dus à la plume habile de notre maître
arquée, esquisse du nez en lorgnette. Le médius gauche fait défaut ( fig. 53) et la cicatrisation est régulière et parfai
le membre supérieur gauche et délimitée en haut en manche de veste ( fig. 54, 55). La pointe d'une épingle enfoncée dans
qui permet en même temps de calculer le triangle facial de Cuvier ( fig. 58). Cet instrument consiste en une tablette en
culaire, voyons rapidement quelle en est la configuration normale ( fig. 59). Je ne vous parlerai pas de la situation ni
es cas on a rencontré de véritables irrégularités mor- phologiques ( fig. GO). Hélix. - La racine de l'hélix, comme nous
Les anomalies de l'appareil dentaire' sont d'espèces très variées ( fig. 61 et C2) : ce sont : '1° Des anomalies de form
le muscle est ce qu'il était auparavant. Il ne reste pas raccourci ( fig. 63). b. Quelquefois une seule secousse faradiqu
te et le muscle demeure raccourci. Il est en état de contrac- ture ( fig. 64). c. Mais le plus souvent il est indispensab
ci- tation en augmente le degré, ainsi que le représente le schéma ( fig. 65). Dans cette circonstance, la contracture ne
trécis- sentettt concentrique du champ visuel des deux côtés à 511 ( fig. 69). Amblyopie : le malade ne compte les doigts
lle de l'anes- thésie tabétique. C'est la distributionditeen îlots ( fig. 70 et 71). On con- çoit aisément les difficulté
. Les autres viscères sont sains. Atrophie musculaire (Planche lII, fig. B). L'atrophie, qui a été au- trefois considéra
. (b) Main droite. Le thénar et l'hypolhénar sont effacés (PI. XLI, fig. A). L'opposition du pouce est impossible (main de
ées par M. Landolt et pris comme terme de com- paraison son schéma ( fig. 72) d'un champ visuel normal. « Ce schéma, dit-
able. Dans ces conditions nous avons obtenu les résultats suivants ( fig. 73, 74, 75). Ces schémas comparés il celui de M
s'insère jusqu'à la ligne médiane sur la face antérieure de cet os ( fig. 78). Du côté droit le petit pectoral manque com
os (fig. 78). Du côté droit le petit pectoral manque complètement ( fig. 79). Ce fait m'a paru digne d'être signalé en r
27 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
ntermédiaires à celles qui ont été prises pour types. (1) Voyez les fig. 307 et 318 du Traité d'histologie de Kolliker, éd
ures 4 et 5 du Mé-moire de Hering. (Schultze's Archiv). (2) Voy. la fig. 3 du Mémoire de Hering. Fig. 5. — (D'après Koll
taine distance le corps de ce canal. (Voir Hering, loc cit., Taf. IV, fig. 5), et Kôlliker, loc. cit., fig. 308.) 2° Si la
al. (Voir Hering, loc cit., Taf. IV, fig. 5), et Kôlliker, loc. cit., fig. 308.) 2° Si la coupe , plus épaisse, comprend u
Vous connaissez la disposition générale d'une telle coupe (K'ôlliker, fig. 310); si elle est très mince, autour de chacun de
pillaires. [Fig. 14.) (1) Hering, dans Stricker's Handbuch, p. 441, fig. relative au foie d'un enfant de 3 ans. f2) Vircho
elle assez bien la section similaire d'une glande en tubes (Kôlliker, fig. 306). La membrane propre, je le répète, n'existe
de la cirrhose du foie. (Voyez Planche I, flg. 1, 2, 3, 4, et Pl. II, fig. 3.) (1) Les cellules plates et les faisceaux fi
seaux radiés. (1) Voir les planches du mémoire de Kiernan, Pl. xxi, fig. 5 et Pl. xxn, fig. 2. 2° Ces notions, relativem
Voir les planches du mémoire de Kiernan, Pl. xxi, fig. 5 et Pl. xxn, fig. 2. 2° Ces notions, relativement à la veine port
(stercorine). Ce serait un excrément (1) Funkel — Atlas. Tabl. vi, fig. 2 et 3. et non pas un agent actif dans la diges
ux (1) Frerichs. — Atlas, 2 hei'l, t. xiv, 1, 2 et 3. Funke, t. ix, fig. 3. cérébraux. Quelques auteurs admettent que le
(2) Robin et Verdeil.— Traité de chimie anatomique. Atlas, Pl. xvm, fig. 5. la coloration violette qui l'emporte dans le
d'anatomie pathologique, t. ri, p. 86. (Montpellier, 1843, PL III, fig. 7. A, B, C). On peut mention-ner encore comme exe
haux. Les petits calculs plats dessinés par Frerichs (Atlas, Pl. XIV, fig. 14) sont des exemples de ce genre. TREIZIÈME LE
assez forte part, de ces cristaux Cl) Frerichs, loc. cit., p. 802, fig. 148, édition française de 1866. en aiguilles de
vent, dans la vési- cule, dans les voies biliaires et même dans les fig. 19. garde-robes, les fragments de structure radié
nflement, se termine tout à coup en cul-de-sac. (Frerichs, loc. cit., fig. 45). La dilatation paraît affecter surtout les
miliaires hépa-tiques superficiels. (1) Voir la belle Planche xii, fig. 1 et 2 et la Pl. i, fig. 3, 4 de Y Atlas de Bayer
perficiels. (1) Voir la belle Planche xii, fig. 1 et 2 et la Pl. i, fig. 3, 4 de Y Atlas de Bayer. — Voir aussi Y Atlas de
g. 3, 4 de Y Atlas de Bayer. — Voir aussi Y Atlas de Carswell, PI, i, fig. 4, Pus. Suivant la plupart des auteurs qui ont
rent les granulations secondaires sont d'une (1) Atlas, planche XI, fig. 5. Art. Atropky. moindre épaisseur ; enfin, tou
e dans la cirrhose l'interruption plus (1) Article Atrophie, pl. n, fig. 1. Charcot. Œuvres complètes, t. vi, Maladies du
l'une des séances de notre cours pratique. (1; Voir la planche III, fig. 2, de Y Atlas de Frerichs. Je terminerai en pas
uins ont été injectés. (Ludwig, in Stricker's Gand-bach, 1.1, p. 489, fig. 138, Edit. angl.) p, région papillaire. — g, zone
ersale dune pa-pille rénale au voisinage du sommet (Fia. 23). (Henle, fig. 232, A). — a, canalicule de Bellini. — b, branche
d'aprés Hinùfleisch. Traité d'histologie pathologi-que. Trad. franc., fig. 189].— et, Bases des lobules rénaux présentant su
nue sans doute avec lui. (1) Schweigger-Seidel, loc. cit., Pl. III, fig. B, r. Je ne puis terminer les préliminaires d'a
avité des bassinets. (1) Mém. de la Soc. de Biologie, 1863, Pl. iv, fig. 3, et Leçons su)' les ma-ladies des vieillards, P
, Pl. iv, fig. 3, et Leçons su)' les ma-ladies des vieillards, Pl. m, fig. 3. Ce mémoire a été reproduit par nou dans le tom
its, ainsi que le montre une planche de l'atlas de Frerichs. (Taf. 1, fig. 9.). Jene sache pas que des accidents quelconques
intermédiaire. M. Cornil a figuré dans sa thèse d'agrégation (p. 24, fig. 5, 5°) un cylindre qui pré-sente un étranglement
in de Bright par excellence, très bien représenté dans la planche II, fig. 1, 2, et la planche IV, fig. 1,2 des Reports of m
très bien représenté dans la planche II, fig. 1, 2, et la planche IV, fig. 1,2 des Reports of médical Cases. Histologiquem
mètres. —Comparez le dia-mètre de ces tubes atrophiés avec ceux de la fig. 332 des-sinée au même grossissement; Gor-nil et R
s rondes ou cu-biques dont la nature n'est pas bien déterminée fv. la fig. 34) et qui tantôt remplissent complètement la lum
. — Reports of medical Cases. London, 1827, Case xi, p. 26 et Pl. IV, fig. 4 et 5. (Voir Pl. VI et VU.) — Voir aussi la plan
es de Y Histologie pathologique de Rindflcisch (traduction française, fig. 196 (?), p. 516). Ainsi nous trouvons ici une n
28 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
incluse dans la gaine méningée, ayant l'aspect d'une gomme (PL VI, fig. 1, G). Les lésions des méninges molles se pours
globe les vaisseaux et les nerfs crâniens à leur émergence (PI. VI, fig. 1). Examen microscopique. -- Nous avons fait de
stait la tumeur gommeuse que nous avons signalée plus haul (PI. VI, fig. 1 et PI. VIII, fig. 8 G) autour de laquelle s'éta
euse que nous avons signalée plus haul (PI. VI, fig. 1 et PI. VIII, fig. 8 G) autour de laquelle s'était faite une hémorra
noïde.En examinant les coupes de la région cervicale de bas en haut ( fig. 4, 5, 6, 7) on se rend compte de la façon dont
ées alors que la dure-mère est encore libre sur la face antérieure ( fig. 6). La fusion complète des trois mé- ninges ne
es trois mé- ninges ne se fait qu'au niveau du 4e segment cervical ( fig. 7). En somme il ne s'agit pas à proprement parl
ra-médullaire. Elles se traduisent sur les cou pes colorées au Pal ( fig. 5) par une bande claire au niveau du cordon de Bu
as lésée sur un autre point, à la partie moyenne du bulbe (Pl. III, fig. 9) la pyramide droite est en effet envahie par du
onstaté à gauche la présence de trois lésions nettement distinctes ( fig. 2). La plus grosse de ces lésions, représentée
vements. Les mouvements peuvent être localisés à la tèle (PI. XVII, fig. C et D), aux bras et à la jambe droite ou plus
ras et à la jambe droite ou plus généralisés au tronc et aux membres ( fig. E) et encore à la tête ( fig. B). Nous ne pouvo
généralisés au tronc et aux membres (fig. E) et encore à la tête ( fig. B). Nous ne pouvons pas donner une grande longueu
que nous présentons montrent bien ce que nous disons. Ainsi dans la fig. 1 (obs. I) nous voyons que la malade, entre la
en arrière, a fermé les yeux, etc., en six centièmes de seconde. La fig. XVI (obs. II) montre bien la brusquerie des mou
le grossissement que la structure des fibres rappelle l'épi de blé ( fig. 1). Un grossissement plus fort nous permet de con
étoile, placées symétri- quement au milieu dé la gaine médullaire ( fig. '2 et 3). Nous avons désigné les formations sus
s des gaines de Schwann il en est d'autres (pél'il1u ! dullail'es) ( fig. 4). De toutes ces formations sortent des fibres
le des fleurs campanulées au milieu desquelles passe le cylindraxe ( fig. 3). Quelques formations en entonnoir sont envel
compose de fibres fines et de formations stelliformes plus petites ( fig. 4). Ces enveloppes entourent non seulement les
une plus ou moins longue partie du manteau de la gaine médullaire ( fig. 5). . Quant aux noyaux de la gaine de Schwann,
ibres extrêmement fines, continues ou pointillées colorées en rose ( fig. 6, 7, 8). Par endroits on trouve des noyaux dont
même calibre que celles du réseau intramédullaire décrit plus haut ( fig. 9). ' . FiG. 4 et 5. Racine postérieure (Immers
ériphériques offrent dans leur structure deux espè- ces de réseaux ( fig. 10). Le premier, Composé de fibres un peu fortes,
ois on ne trouve aucune corrélation directe entre ces deux réseaux ( fig. 11). Si l'on compare les coupes de la substance
es-uns de ces élé- ments. Ce sont tout d'abord des cellules rondes ( fig. 13) semblables à celles que nous avons eu l'occ
ns les cellules névrogliques de la subs- tance blanche du cervelet ( fig. 9 i) des signes d'involution bien avancée (raré
écorce cérébrale qui offrent des altérations régressives évidentes ( fig. 20, thionine et bleu de toluidine)etdansquelqués
ns son traité La cellule nerveuse, apparaît bien clairement dans la fig. 22 (oc et p). Les cellules des olives inférieur
mandons de le soulever, comme elle fait d'ailleurs avec le pied sain ( fig. 1) ; mais la malade peut abaisser le pied malad
résultant des écarts de plume. On le voit par le spécimen ci-joint ( fig. 1) provenant d'un tabétique dont nous allons pu
tre à une table, et voici le spécimen de son écriture il ce moment ( fig. 2). On remarquera que plusieurs lettres sont ab
notables se constatent sur les coupes des segments I-II lombaires ( fig. 1). Le canal épen- dymaire est dilaté et'd'une
l dans le reste. Sur les coupes prises des IVe-Ve segments dorsaux ( fig. 2) on voit une dilata- tion assez marquée des v
ICATIONS DANS LA MOELLE ÉPINIÈRE 249 Segments lombaires supérieurs ( fig. 3). Les racines antérieures présentent des modi
r les figures qui accompagnent celte courte note (Pl. XLVIII). La fig. 1 montre l'aspect du premier névrome enlevé 23 an
inant en tous sens au sein d'alvéoles conjonctives irrégulières. La fig. 2 montre la régénération du bout central du sciat
même fréquemment des trajets récurrents. 330 DUSTIN ET LIPPENS La fig. 3 - montre l'exubérante innervation de la cicatri
es néoformées cheminent en tous sens dans le tissu conjonctif. La fig. 4 - montre ce que nous appellerons les « phénomèn
n'apparaissent pas tou- jours dans tous ces points à la fois (Voir fig. 1). Les contractions se montrent aux points 1,
ractères un peu différents suivant le point où on les observe (voy. fig. 2). Au niveau du point 1, les secousses siègent
chesse en fibrilles névrogliques s'étendant en faisceaux (PI. LXII, fig. 4). Les cellules faisant partie de ce tissu névro
ation dn stroma des parois des vaisseaux encéphaliques (pli. LXIII, fig. 5) en formant un stroma reticulaire de la couch
*, dans l'autre, où la voûte crânienne était L énorme (PI. LXVIII, fig. 1), toute (1) ANDRÉ LÉRi, Les lésions des extré
laire, apophyses ptérygoïdes, etc.. (Voir schéma, PI. LXIX, n° 3 et fig. 3). Les os de la base n'augmentent pas seulemen
étiques, elle a une largeur de 2 centi- mètres 1/2 à 3 (comparer la fig. 1 de la PI. LXVII, avec les figures suivantes d
te disposition est particulièrement nette sur le crâne 7 (Pl. LXVI, fig. 2) : et dans notre première observation (PI. LXVI
Pl. LXVI, fig. 2) : et dans notre première observation (PI. LXVIII, fig. 2), où l'écaille de l'occipital est à peu près
ur le crâne 1 observé frais et sur le crâne sec 7 (voir PI. LXVIII, fig. 2 et PI. LXVIII, fig. 2) : c'est dans ces cas sur
frais et sur le crâne sec 7 (voir PI. LXVIII, fig. 2 et PI. LXVIII, fig. 2) : c'est dans ces cas surtout qu'on pourrait
cial, extrêmement net sur la tête de notre malade n° 1 (PI. LXVIII, fig. 1) et sur le crâne sec.n" 7 (PI. LXVIII, fig. 4
ade n° 1 (PI. LXVIII, fig. 1) et sur le crâne sec.n" 7 (PI. LXVIII, fig. 4 et schéma 3). On peut aussi , constater dans
e de foetus ou de nouveau-né à celle d'un crâne d'adulte (PI. LXIX, fig. 4. On voit nettement que chez le nouveau- né la
tal qui apparaît sous forme d'un angle aigu d'environ 70° (PI. LXX, fig. 2). Plus en avant, la base fait une large saill
t certes moins frappante, mais elle est encore très nette (PI. LXX, fig. 3). En arrière, les fosses cérébelleuses sont moi
29 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
pelant de tous points les arborisations de crânes oxycéphales (Voir fig. 4). A l'autopsie on ne trouva autre chose qu'un
s lettres; plus tard, il est arrivé il écrire ce motsauf l'y final ( fig. 3, n° 8). De rares foisB... a réussi à indi- qu
tra cette image jusqu'à la glande. Or les fibres du nerf opti- que ( fig. 5), qui se poursuivent jusqu'à la superficie inté
ui de la théorie granulaire soutenue par certains auteurs (Pl. XXV, fig. 1). Un fait intéressant sur lequel j'ai attiré
ules nerveuse, c'est la tendance à la 204 ' MARINESCO lobulation ( fig. 4, PI XXV). 1) apparaît,en effet,à la périphérie
ù -les corpuscules de Nissl sont disposés d'une façon concentrique ( fig. 7). Au niveau de l'émer- gence de l'axone, n'y
la présence de conglomérats qui simulent les corpuscules de Nissl ( fig. 10). Au point de vue de la tonalité, on peut dist
cool, le nucléole est non seulement visible, mais encore granuleux ( fig. 12, Psi. XXVI). Il esl depuis longtemps connu q
boules-là sur- tout où le liquide de la préparation s'est évaporé ( fig. 13, PL XXVI). Si l'on traite le ganglion conser
vide nucléaire plus ou moins large et l'apparition d'arcs lumineux ( fig. 15, PL XXVII) même brillants, en nombre de 2 à
cs lumineux (fig. 15, PL XXVII) même brillants, en nombre de 2 à 6 ( fig. 16), qui rendent la membrane nucléaire très ap-
dans l'eau pendant une heure el les lésions y sonl moins avancées ( fig. 17). C'est là un phénomène qui est difficile à ex
alogues aux cellules hydrophobes que nous avons décrites plus haut ( fig. 18, Pl. XXVIII). On peut ralentir et diminuer l
éalisée par cette substance. En ce qui concerne l'hydrate de soude ( fig. 20) et l'am- moniaque, j'ai pu étudier les alté
es prennent un aspect grisâtre, d'autres sont absolument diaphanes ( fig. 22) ; dans les pre- mières on peut distinguer e
ation générale normale ; on ne constate, à un faible grossissement ( fig. 1), ni lésions interstitielles (méninges, vaissea
pes principales de la dé- sintégration des troncs nerveux. Sur la fig. e les fascicules contiennent encore un nombre ass
intervalles sont occupés par du tissu conjonctif réticulé. Enfin ( fig. g), dans les zones d'aspect vitreux, la raréfacti
discontinuité possible de l'épaississement de la gaine de Schwann ( fig. 3). On voit aussi cette dernière rester volumineu
el il faut insister, est l'intégrité du nerf brachial cutané interne ( fig. 4), intégrité que l'on retrouve presque aussi c
ans toute la traversée de ce dernier, tandis que sur la racine C 8 ( fig. 13) on voit déjà au même niveau des fascicules at
buté et a atteint le plus de gravité. De même dans la racine L 3 ( fig. h), la dégénérescence des fibres ner- veuses et
ubles égaux des deux côtés. 312 THOMAS EN JUMENTlÉ à gauche (voir fig. 1, A),topographiée dans le territoires', S2, S3 ;
, S ', S ', Su est complètement anesthésique à tous les modes (Voir fig. 2, B et C), il n'existe pas de dissociation des
ut sur sa face postérieure et son pôle inférieur (Voir Planche XLI, fig. 2 et 3).Elle a 3 centimètres de lon- gueur, 1 c
le filum descendent en avant et en de- hors du néoplasme (PI. XLI, fig. 4). Sur les coupes passant à ce niveau, la subs
lement déprimée par la moelle qui y est incrus- tée (Voir PI. XLII, fig. 5 et 6). La compression exercée par la tumeur se
la déformation générale de la moelle qui apparaît nettement sur la fig. 6 : elle est aplatie d'arrière en avant, la subst
artie supérieure du 3e segment sacré et inférieure du 2e (PI. XLII, fig. 7 et 8), la compression atteint son maximum, et e
es obliquement d'arrière en avant et de dehors en dedans (PI. XLII, fig. 8 et PI. XLIII, fig. 9); les fibres radiculaires
ère en avant et de dehors en dedans (PI. XLII, fig. 8 et PI. XLIII, fig. 9); les fibres radiculaires qui les composent s
roite de la moelle (11 d.) est fortement comprimée au niveau de S2 ( fig. 7et 8), la corne postérieure est considérablement
ment disparu : elle redevient normale à la partie supérieure de S' ( fig. 9). D) A la partie supérieure du 2° segment sac
arrière les racines postérieures se tasser en couches successives ( fig. 10, f. p.) et former une masse sans cesse grossis
ig. 10, f. p.) et former une masse sans cesse grossissante qui sur la fig. 11 (c. o. p.) donne déjà l'image d'un cordon po
l'image d'un cordon postérieur. Sur les coupes plus supé- rieures ( fig. 12), on voit apparaître la tête de la corne posté
et bientôt la moitié interne de la corne antérieure' est détruite ( fig. 11) ; ces lésions s'accentuent en approchant de l
omalacie ayant désagrégé la substance grise des cornes antérieures ( fig. 13) et même un peu de la corne postérieure gauche
ient déjà visibles à l'oeil nu sur la face antérieure de la tumeur ( fig. 2, v.). Dans toute la substance médullaire soum
emble se montre asymétrique et est atrophiée dans sa moitié gauche ( fig. 3). Conclusions. En présence de ces constatatio
ssu arachnoïdo-pie-mérien et tendant à s'infiltrer dans les tissus ( fig. 14.). En plusieurs endroits, on voit l'adventic
n antérieur, le même état réticulé que dans l'observa- tion 1 (voir fig. 3). Ce cas a été débité en séries depuis C 3 jusq
éphromalacie antérieure, po- liomyélite, névrite radiculaire pl., 9 fig. ), par Marie et Foix, 353 et 427. - musculaire
s un cas de syringomyélie, par ANDIIÉ- Thomas et (2UEPCY (4 pl., 14 fig. ), 364. Gigantisme acromégalique sans élargissem
poliomyélite, névrite radiculaire ou non radiculaire), (1 pl., 9 fig. ), par Marie et Foix, 353 et 427. Méningite sé
génie. - antérieure, poliomyélite, névrite radiculaire) (1 pl., 9 fig. ), par Muue et Fon, 353 et 427. Traumatisme et
ingo- myélite de l'épicône avec lipomatose se- condaire (4 pl., 3 fig. ), 309. AKDRÉ-TnoM\s et Quercy. Syringomyélie.
u conjonctif. Vibres musculaires striées dans la moelle (4 pl. 14 fig. ), 364. A.NGLADA (Jean). Hyperchromie généralisé
rapports avec la diathese rachitique et l'adénoï- disme (8 pl., 4 fig. ), 1. Bonnet et CRESPIN (J.). Micromélie rhizo-
lt;'.\S50U et Trénel (i%l.). Adénolipomatose type Launois (1 pl., 1 fig. ), 483. FEiL (André) et Klippel (M.). Absence de
nne de nature névriti- que. Second cas suivi d'autopsie (2 pl., 3 fig. ), 281. MAWAIIESCO (N.) et PARIION (C.) de Buca-
sai de biocytoneurologie au moyen de l'ultramicroscope (4 pl., 22 fig. ), 193. Mingazzini (G.).Dystrophie musculaire pr
7. Murard (J.) et Paillasse (C.). Acromégalie et urémie (1 pi., 1 fig. ), 454. Pariion (C.), OBREGI (Al.) et UIIECII1A
ROTSTADT (J.). Carie des vertèbres. Mal de Polt sans gibbosité (4 fig. ), 391. TissoT (F.) (d'Amiens). Hérédo-ataxie cé
30 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
destinés à produire des cellules nerveuses (Microphotographie, Pl. A, fig. I). Suivant quelques auteurs, la substance gris
trices des cornes antérieures de la moelle (Microphotographie, Pl. A, fig. III). Ces cellules géantes ont la forme d'une p
ronds sont en rapport avec la sensibilité (Microphotographie, Pl. A, fig. II). * Les capillaires sanguins sont très nombr
rcules mamillaires (Pl. III; Pl. XLIV, 17) (Microphotographie, Pl. B, fig. I à 111). Le faisceau de Vicq-d'Azyr relie par
0 \. de diamètre, découvertes par Purkinje (Microphotographie, Pl. B, fig. IV). Ces cellules de Purkinje sont situées sur
e immédiatement sous-jacente à la pie-mère (Microphotographie, Pl. B, fig. V). La zone profonde est constituée par de la n
ère nommée substance gélatineuse de Rolando (Microphotographie, PL G, fig. IV). La portion médiane juxtaposée entre les so
ise renferment des groupes de cellules particulières (Microph., Pl. C, fig. I). Dans les cornes antérieures, on distingue t
ine, divisés bientôt en branches ramifiées (Microphotographie, Pl. C, fig. II et III). La région intermédiaire aux cornes
ion profonde ou sensitive de ces pyramides (Microphotographie, Pl. G, fig. IV). , La colonne centrale médullaire a donc ét
e le centre et entoure le canal médullaire (Microphotographie, Pl. C, fig. IV). Des coupes horizontales faites dans des pl
à côte et se terminent dans la protubérance (Microphotographie, PL C, fig. IV). La substance grise centrale se condense en
s dimensions varient de 30 y. à 70 p. de millimètre (Microph., Pl. D, fig. II). Le noyau du moteur oculaire externe se tro
attache au noyau sensitif des nerfs mixtes (Microphotographie, Pl. C, fig. IV). Le noyau antéro-externe ou accessoire de l
au du pneumogastrique et celui du glosso-pharyngien (Microph., Pl. R, fig. III). Cette petite colonne se termine, ainsi qu
tées les unes dans les autres (Pl. XXIV, 18; XXXIX) (Microph., Pl. A, fig. IV). Ces fibres afférentes aux ganglions ressor
les dispositions des corps rhomboïdaux du cervelet (Microph., Pl. D, fig. IV). En avant et en dedans de l'olive, on renco
live et en avant de la corne antérieure (Pl. XL, 31) (Microph., PL D, fig. III). A cette formation se rattache le noyau de
le nom de noyau des corps restiformes (Pl. XXXVII) (Microph., Pl. G, fig. IV). § 2. Au-dessus des olives, la substance gr
ramides antérieures (Pl. IV, 25 ; XL, 28; XLII, 25) (Microph., Pl. D, fig. I). Les cordons antérieurs, entre-croisés sur t
31 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
se, 18 janv. 1904, p. 174-178 et 170. Acad. Roumaine. Mémoire avec fig. , 1904; Congrès de pathologie comparée, Paris, 1
leux caractérisée notam- ment pour sa distribution très espacée (V. fig. 1). A cet ensemble des symptômes d'insuffisance
t de vacuoles. Plus bas le tubercule augmente rapidement de volume ( fig. 6) envahis- sant à la fois, dans la moitié droi
che. Son développement maximum se trouve dans le segment Cc (P1.1V, fig. B). Ici, la moitié droite de la moelle n'est pl
grise intermédiaire aux cornes anté- rieure et postérieure (PI. XV fig. C). Au total, et l'élude des dégénérescences se
e successivement (1) : dans le segment C8 une imprégnation diffuse ( fig. 1) qui atteint jus- qu'aux racines antérieures
matisées, proportionnellement à l'é- tendue des lésions primitives ( fig. 2) ; dans les segments D,, D3, 1) ? une réappar
a- tion prédominante sur la périphérie de la moelle et les racines ( fig. 3) ; au delà (fig. 4 et 5) dans le reste de la
e sur la périphérie de la moelle et les racines (fig. 3) ; au delà ( fig. 4 et 5) dans le reste de la moelle dorsale et le
la diffusion des grains noirs n'existe qu'au contact du tubercule ( fig. 6) et cesse avec lui. Au-dessus les dégénéresce
alisation des lésions causales (compression, nécrose). Au départ ( fig. 7) elles occupent : 10 dans les cordons postéri
oyer de nécrose signalé dans la photographie du segment C7 (PI. XV, fig. B). En partant de celle région, nous étudierons
nexions intraspinales. - L'étude de la moelle cervicale supérieure ( fig. 7-10) comprend deux points intéressants : d'une
téraux (zone des faisceaux cérébelleux) se fait d'avant en arrière ( fig. 7-11). Celte translation est déjà visible dans la
ée par Schaffer dans la figure 8 de son mémoire, par Hoche (PI. IX, fig. 1), André Thomas (fig. 67), Bruce (fig. 1), Kaf
figure 8 de son mémoire, par Hoche (PI. IX, fig. 1), André Thomas ( fig. 67), Bruce (fig. 1), Kafka (Hg. des pages 227 et
mémoire, par Hoche (PI. IX, fig. 1), André Thomas (fig. 67), Bruce ( fig. 1), Kafka (Hg. des pages 227 et 238). Ziehen (p
argi- nales postérieures d'abord distantes de la corne postérieure ( fig. 7) arri- vent en contact avec elle (fig. 10) ta
s de la corne postérieure (fig. 7) arri- vent en contact avec elle ( fig. 10) tandis que la zone du faisceau.de Go- wers
au solitaire, le corps j axta-l'esti fonne, et le corps restiforme ( fig. 13). Nous signalons sur les figures 10, 11, 12,
en passant par la décussation inférieure, gagne la pyramide gauche ( fig. H) et diminue rapidement d'importance; ces fibr
térieure des olivesbulbaires. En suivant les coupes de bas en haut ( fig. 12, 13, 14, 15) on voit des fibres, parties du fa
de hauteur, esl d'a- bord visible en avant de la corne postérieure ( fig. 12) puis devant le noyau sensitif du trijumeau
détache de la masse des fibres qui passent par le corps restiforme ( fig. 14) ; il se disperse dans une région qui con- t
ha- ryngien (IX d). Il n'est pas très aisé sur la série des coupes ( fig. 12-14) de délimiter la terminaison de ce groupe
ns postérieurs se termine sans connexions avec le corps restiforme ( fig. 13) et aucune expansion de ce dernier ne lui succ
tiforme (fig. 13) et aucune expansion de ce dernier ne lui succède ( fig. 14). Cette disposition si particulière des voie
is bandes transversales sur une figure du mémoire de Hoche (PI. IX, fig. 5), mais pour lui, les deux bandes postérieures
ions spino-bulbaires, mais moins complètes ; ainsi Quensel dans ses fig. 3 et 4, Dydinski, indiquent seulement la bande
isceau de Gowers se détachent de place en place des fibres isolées ( fig. 16) qui rejoignent la voie du pédoncule cé- réb
onculaire et sous-thalllmique. - Si on compare les coupes du bulbe ( fig. 12-15) avec les coupes supérieures (fig. 16-22) i
mpare les coupes du bulbe (fig. 12-15) avec les coupes supérieures ( fig. 16-22) il est certain que les fibres dégénérées
des grains noirs. - Ce groupe occupe dans la substance réticulée ( fig. 16) la zone limitée parle noyau du facial, l'ol
tral de la calotte. Il chemine parallèlement au faisceau de Gowers ( fig. 17), aboutit dans la protubérance (fig. 18) il
ment au faisceau de Gowers (fig. 17), aboutit dans la protubérance ( fig. 18) il la zone antéro-interne de la formation rét
e déplacent bientôt d'avant en arrière dans la formation réticulée ( fig. 19) ; elles longent le ruban de Reil. latéral,
diane, arrivent ainsi au bile du tubercule quadrijumeau postérieur ( fig. 20), et un certain nombre d'entre elles y pénèt
ieur (fin. 21)."D"n le retrouve encore dans la région sous-optique ( fig. 22) en contact avec le corps genouillé interne,
ure palpébrale reste incomplètement fermée comme on le voit par les fig. 1, 7, 8, 10 et 11. Il existe alors ce symptôme
chez lesquels sont inté- ressés les muscles du facial inférieur. La fig. 10 le démontre bien claire- ment. En plus de l'
nnervation du pied par la régénération nerveuse (Voir à ce sujet la fig. 42). Mais si les conditions opératoires sur le
cromégalie indiscutable. Aux membres supérieurs, les mains (PI. XL, fig. 1) ont l'aspect caractéristi- que, en battoir ;
biseau de ia face antérieure des incisives inférieures (PI. XXXIX, fig. 3). La langue, rouge et sèche comme toute la muqu
de M. le Pr Lesieurdont l'observation est encore inédile (PI.XLII, fig. 3). Dans ce dernier cas, le contour de la selle t
32 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
corps de la cinquième vertèbre lombaire est inférieur à la normale ( fig. VIII). Toutes les dimensions en sont réduites, su
paralysé avait conservé ses différentes formes de sen- sibilité ( fig. I). Les corps chauds comme les corps froids ain
inverse, on constate que les deux pieds reposent à plat sur le sol ( fig. II). Quant à l'attitude des jambes, on voit que l
e pas fait par la jambe normale s'exécute beaucoup plus rapidement ( fig. II). Si on examine à présent l'allure de la mar
he lorsque la jambe maladeest portante, on constate l'état suivant ( fig. III). Ici, non plus, il n'y a pas de phasede do
à les sentir, les mettre en mouvement, enfin qu'elle peut marcher ( fig. IV).Le résultat en ell'et a été très encoura- g
trente-deux centimètres. A l'examen de la colonne vertébrale (voir fig. 1) on constate une lordose dorso-lombaire, prof
à se coucher. Quand on observe le malade, dans la station debout ( fig. 2), on est frappé par son inclinaison en avant
ire un doigt entre les deux. Le malade vu de dos ou latéralement ( fig. 3 et 4), on reconnaît en totalité la déviation
ve en dedans. Quand on examine le malade par côté ou de dos (voir fig. 5 et 6), on est frappé par le volume, la sailli
ue les particularités fournies il la seule inspection du dessin (Voir fig. 7). Le tronc de la malade, très amaigri, permet
est examinée, le malade étant dans la station assise et vu de dos ( fig. 8 et 9). Dans son ensemble, elle décrit une longu
la capsule interne et la portion postérieure du ventricule latéral ( fig. XVII, coupe frontale), si l'on fait par la pensée
l'incline quelque peu en bas et en dedans, on atteint le pédoncule ( fig. XVI et XIV). Donc ces lésions qui sont déjà pos
C, Corps calleux. 384 rené martial Dans une première expérience ( fig. 1 et 2), nous avons enfoncé la tige dans l'angl
e lobe occipital dans la deuxième circonvolution temporo-occipitale( fig. 1). La seconde figure (fig. 2) repro- duit l'ex
xième circonvolution temporo-occipitale(fig. 1). La seconde figure ( fig. 2) repro- duit l'expérience à peu près semblabl
entrer dans le sinus caverneux et peut-être de blesser la carotide ( fig. 18 et 19). En réalité, celle-ci aurait peut-être
re l'affaissement de la cavité. L'enfant dont il s'agit (l'l. LXII, fig. N) était âgée dé 18 ans, lorsqu'elle a commencé
it alors 1 m. 045, taille d'un en- fant de 8 ans. Six mois après ( fig. 0) elle mesurait 1 m. 153 : Gain : 0 m. 058, pr
153 : Gain : 0 m. 058, près de six centimètres. Au bout d'un an ( fig. P), elle arrive à 1 m. 232. Gain : 0 m. 137 prè
. 232. Gain : 0 m. 137 près de quatorze centimètres. Après 2 ans ( fig. 13), elle arrive à -1 m. 324, gagnant 0 m. 29. So
isser la moindre trace, quand on le soulevait par les épaules (voir fig. 8). Mais bientôt l'immobilisation gagne toute l
eule- ment isolées, mais on en rencontre des groupes entiers (Voyez fig. VI). Dans certaines cellules on peut observer u
colorés n'a pas donné de résultats plus précis. Champ visuel... (V. fig. ci-dessous.) - Sensibilité cutanée. - Hémianalg
t dans la substance grise, avec une méningite très caractéristique ( fig. 2 et 3). Les examens bactériologique et histolo
e trajet des arté- rioles radiculaires antérieures et postérieures ( fig. 5). Si nous passons a présent à 1 étude des réa
essemble parfois à s'y méprendre aux petites cellules kariochromes ( fig. 6). Les cellules névrogliques sont très nombreu
ges, et qui jouent également un certain rôle dans la myélite aiguë ( fig. 7 et 8). ' Dans les nodules inflammatoires de l
intenses, ainsi qu'il résulte également de mes propres expériences ( fig. 8 bis et fig. 20). Parmi les portes d'entrée de
i qu'il résulte également de mes propres expériences (fig. 8 bis et fig. 20). Parmi les portes d'entrée des agents micro
ltration diffuse qui parfois prend des proportions considérables ( fig. 9), de sorte que les cellules nerveuses se perd
forme de nodules qui existent tantôt autour des cellules nerveuses ( fig. 10), tantôt dans le tissu intersti- tiel ; ce
diabète insipide non seulernent j'ai trouvé des lésions semblables( fig. 1-1 et 12), mais le tissu in- terstitiel prolif
ronde ou ovoïde et qui se teint très bien par les couleurs acides ( fig. 13). Ces corpuscules ont déjà été vus par Babès,
i parfois était très accentuée et quelquefois des nodules rabiques ( fig. 14) Les lésions interstitielles étaient très ra
nt jusqu'à un certain point aux poliomyélites antérieu- res aiguës ( fig. 15). On a par là une preuve de l'origine vasculai
on de streptocoques virulents par le bacille de l'influenza ; etc. ( fig. 16, fig. 17 A, B, C, fig. 18 A, fig. 18 B). J'a
eptocoques virulents par le bacille de l'influenza ; etc. (fig. 16, fig. 17 A, B, C, fig. 18 A, fig. 18 B). J'ai réalisé
nts par le bacille de l'influenza ; etc. (fig. 16, fig. 17 A, B, C, fig. 18 A, fig. 18 B). J'ai réalisé avec le méningoc
bacille de l'influenza ; etc. (fig. 16, fig. 17 A, B, C, fig. 18 A, fig. 18 B). J'ai réalisé avec le méningocoq-ue de We
stance blanche étant intacte. 586 MARINESCO une myélite centrale ( fig. 19) comme on en voit rarement, même dans la pat
es à l'aide des lymphatiques, des méninges aux cordons postérieurs ( fig. 20). On sait que l'abcès de la moelle est très
ntre les espaces lymphatiques qui entourent les fibres nerveu- ses ( fig. 21) ; ils constituent une espèce de couronne auto
omogène, le pro- toplasma est peu teinté (achromatose rela- tive, fig. 23) ou bien tout à fait incolore (achromatose a
tive, fig. 23) ou bien tout à fait incolore (achromatose absolue, fig. 24) ressemblant a'du verre mat ; parfois l'achr
e n'intéresse qu'une partie de la cellule (achromatose partielle, fig. 25). J'ajoute qu'au point de vue de leur sort u
par leur aspect ont attiré mon attention d'une façon particulière ( fig. 26 A. B). En effet, c'est pour la première fois q
s il se produit une véritable perte dans le cytoplasma. La cellule ( fig. 27) présente une lésion très grave du cytoplasma
tôt les microbes s'infiltrent dans la paroi du canal épen- dymaire ( fig. 16), tantôt ils pullulent dans ce canal et y déte
eaux à plumes, en usage aux siècles précédents. Dans la première ( fig. 2) le, charlatan est secondé par un orchestre b
'imaginer que l'extraction se fait sans douleur. Dans la seconde ( fig. 3),le dentiste est accompagné d'un singe qui paro
.), 51. Arracheurs de Dents (Iconographie des), par Henry MEME (2 fig. , 6 photogr., 9 pi. en photocollogr.), 198, 296,
de Vinci ; contribution à l'étude de l'), par GIL13ERT Ballet (8 fig. , 1 photograv.), 597. Gigantisme, acromégalie
tique et étudié à l'aide du cinématographe, par G. MA- rinesco (4 fig. ), 116. Hémiplégie (La marche de l'), par Gilles
ie (de l') traumatique, par RENÉ Martial (4 pl. en photograv. et 10 fig. dans le texte), 209, 371, 532. Hystérie et go
Myélite aiguë (Nature et traitement de la), par G. Marinesco, (28 fig. ), 561. Myxoedème (le) franc et le myxoedème f
cas de) pendant sept mois par tumeur de l'hypophyse, par SOCA (1 fig. ), 101. Syndrome de Wéber (double) suivi d'autop
ard de Vinci. Contribution à l'étude de l'écri. ture en miroir (8 fig. , 1 phot.), 597. Barneff et Cabannes. Etude sur
la suggestion hypnotique et étudié à l'aide du cinématographe (4 fig. ), 176. Marinesco G. Nature et traitement de la
), 176. Marinesco G. Nature et traitement de la myélite aiguë (28 fig. ), 561. 1\1.\R1 IAL René. De l'hémiplégie trauma
R1 IAL René. De l'hémiplégie traumatique (4 pl. en photograv. et 10 fig. dans le texte), 209, 3 11, 532. MEiGE (Henry)
sommeil prolongé pendant sept mois par tumeur de l'hypo- physe (4 fig. ), p. 101. Souques A. Double syndrome de Wéber
ie olivo- ponto-cérébelleuse (3 pl. photocollogr. en couleur et 2 fig. ), 330. TABLE DES PLANCHES Adénolipomatose sym
33 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
evant l'oeil droit, sain). OEil droit sain. Rien au fond de l'oeil ( fig. 3, 4). Dans un second examen, le réta- blisseme
r les trois modes de la sensibilité (tact, douleur, tem- pérature) ( fig. 5, 6, 7, 8). Le sens musculaire n'est pas intér
Indépendamment du nystagmus que nous avons déjà signalé, il existe ( fig. 9, 10) un rétrécissement concentrique à 60° du
eloppement exagéré constitue la stéatopygie des femmes boschimanes ( fig. '11, l), dont il est donné d'observer, pour ain
tes, qui est la limite supérieure du flanc et qui marque la taille ( fig. z15, 16). Il résulte de cette disposition que le
ode graphique à l'étude de ce tremble- ment°. Les tracés I et II ( fig. 17, 18) ont été recueillis sur le malade qui fa
ique assez clairement l'allure que présentait alors le tremblement ( fig. 19). Les tracés du tremblement de notre second
alade (Chérub...) pré- sentent exactement les mêmes particularités ( fig. 20). Diagnostic. - Parmi les tremblements qui o
, l'inégalité de leur amplitude, ils se ressemblent singulièrement ( fig. 21, 22, 23). M. Marier dans son intéressant tra
lonne lombaire cancéreuse dont nous repro- duisons ici le dessin ( fig. 0), qu'il a bien voulu nous confier. On voit qu
de trépidation épileptoïde de pied. , Déformations, pl. X, XI, XII; fig. 31, 33. Si l'on examine la malade toute nue, pl
étrécissement concentrique du champ visuel de l'oeil gauche, à 70" ( fig. 33, 3 >.). L'odorat est aboli à droite; le g
t très émoussé à droite ; l'ouïe est normale. Sensibilité générale ( fig. 35, 36). - On constate 1° une diminution très n
aient souvent sont devenus beaucoup plus rares. Le tracé suivant ( fig. 39), représente la respiration de la malade pen
qu'il semble que ce soit le mode habituel de respirer des sujets ( fig. 39). Nous noterons aussi que les bâillements s'ac
illements s'accompagnent ou même s'entrecoupent de quintes de toux ( fig. 38), phénomènes de même ordre. Ce qui est exa
tions assez rapprochées pour constituer un seul et même bâillement ( fig. 40). Il peut être avorté ; dans ce cas la malad
IIQUE DE LA PAUPIÈRE SUPÉRIEURE. 159 le malade ferme bien les yeux ( fig. 1). Quand il regarde en face, on voit(fig. 2) q
ade ferme bien les yeux (fig. 1). Quand il regarde en face, on voit( fig. 2) que la paupière laisse à découvert, au-dessus
ropulsion de la langue s'inscrit par une ligne d'ascension brusque ( fig. 48) : la conservation de la position n'est pas
e forme d'ascension en escalier que danslaparésie ,postépileptique ( fig. 4 ! J) et le plus souvent, le tremblement s'objec
'objective par des oscillations plus étendues et plus irrégulières ( fig. 53, 5, : 55,55G). 1. Cli. réré, Note sur les ph
el fibroïde qui siège de préférence autour des vaisseaux (PL XXXII, fig. 5, a). Les fibres nerveuses des cornes antérieu
ation on ne constate pas de signe de division indirecte (Pl. XXXII, fig. 5 c). Les vaisseaux sanguins et lymphatiques so
l résulte de là une apparence tout à fait particu- lière (PL XXXII, fig. f). D'autre part cette même lésion n'est pas ex
prolongements. Plusieurs sont fortement pigmentées (Planche XXXII, fig. '1). Les vaisseaux de la moelle sont un peu dil
e de quelques gaines vides, ou à myéline fragmentée (Planche XXXII, fig. 3, a). Les seuls ramuscules musculaires des ner
une gangue beaucoup plus épaisse qu'à l'état normal (Planche XXXII, fig. 4, b). Les fibres musculaires offrent des dimen
très riches en chromatine et se colorent fortement (Planche XXXII, fig. 4, el, d'). Les petits nerfs musculaires qui se
épaissie, et leurs fibres nerveuses ont disparu' ¡ (Planche XXXII, fig. 4, f). Les parois des artérioles sont épaissies
mbre inférieur gauche. Ce malade a guéri depuis lors. Sa déviation ( fig. 72, 73),dontM. Char- cot avait pris le croquis
NOSTRAS. 287 catalogue sous le numéro 292. Ce moulage ! représente ( fig. 75) un éléphantiasis des Arabes siégeant aux de
34 (1913) Exposé des travaux scientifiques
aussi entre les fibres musculaires quelques tubes nerveux (voir fig. i). Dans d'autres îlots la structure est un p
ouvement réflexe des orteils, provoque tou- jours une flexion (voir fig. 2). 11 est des individus normaux chez lesquels,
eler, tant en France qu'à l'étran- ger, « signe de Babinski » (voir fig. 3). Etant donnée l'importance que tous les neur
s qu'ils y aient attaché une valeur sémiologique quel- conque (voir fig. fi). RÉFLEXES CUTANÉS 53 « Mon attention a ét
de ces actes on voit les orteils s'écarter les uns des autres (voir fig. 5). « L'abduction associée des orteils me parai
fossette irré- gulière qui apparaît au menton du côté malade (voir fig. 6 et 8). Ces contractions s'associent les unes
une variété de synergie que l'on peut qualifier de paradoxale (voir fig. 8), car elle est l'opposé des modes de syncinés
rouve sur cette figure aucun des caractères qui sont relevés sur la fig. 8. 84 AFFECTIONS DES NERFS à celui qui résult
procédé de 'Yeigert et colorée par l'liématoxyline de Ranvicr (voir fig. 10), des tubes nerveux en voie d'altération d
n d'autres parties de cellules chargées de gouttes de myéline (voir fig. Il). « On voit nettement que la disparition des
, que le degré de flexion est plus grand du côté paralysé (voir fig. 12). C'est là un signe que j'ai désigné sous
rent tantôt quand le malade ouvre la bouche toutegrande (voir fig. 13), tantôt quand il fléchit for- tement la t
immobile ou ne se soulève que plus tardivement el moins haut (voir fig. 14) ; en même temps, l'épaule du côté normal se p
isse sur le bassin est bien plus prononcée qu'à l'état normal (voir fig. 15), ce qui a pour consé- quence un soulèvement
u sur le bassin, ne suit pas le mouvement du membre inférieur (voir fig. 15); il est en même temps un peu entraîné en arri
forme d'arc, les membres inférieurs restent presque immobiles (voir fig. 16) et n exé- cutent pas ou n'exécutent que d'u
mal accomplit dans cet acte afin de main- tenir son équilibre (voir fig. 17). Lorsque le malade, après s'être couché à p
bassin et les talons s'élèvent nota- blement au-dessus du sol (voir fig. 18), contrairement à ce qu'on observe chez un
sta- bilité des membres inférieurs. écartés l'un de l'autre (voir fig. ig). Quand le malade, après s'être mis sur le d
chez ceux-là il présente au contraire de nom- breux crochets (voir fig. 21 et 22). Cette fixité peut être considérée co
s les sens et il lui est impossible de conserver l'immobilité (voir fig. 20). Il n'est pas nécessaire pour cela que l'inco
- mateuses systématisées, consécutives aux lésions localisées (voir fig. 23, 24, 25, 26, 27). Babinski. il I 162 AFF
t 181 AFFECTIONS DES GLANDES A SÉCRÉTION INTERNE annexées (voir fig. 28, 2g) et sur lesquelles la surcharge adipeuse e
, adhérait au corps pituitaire et englobait le tuber cinereum (voir fig. 3o, 31). Ce néoplasme a été examiné histologiquem
35 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
Les vaisseaux sont sclérosés. On voit la dilatation du ventricule ( fig. 2). 2° Sur les coupes faites plus en avant, e
ses vicieuses de la hanche. (2) Revue d'orthopédie, t899, p. 432, fig. V (Judson) ; - 1898, p. 384, fig. 4 (Pho- cas)
) Revue d'orthopédie, t899, p. 432, fig. V (Judson) ; - 1898, p. 384, fig. 4 (Pho- cas) ; 1895, p. 195, fig. 4 (Calot).
fig. V (Judson) ; - 1898, p. 384, fig. 4 (Pho- cas) ; 1895, p. 195, fig. 4 (Calot). 56 GASNE ET COURTELLEMONT M. Campe
sition qui devient très manifeste au niveau du leur segment dorsal ( fig. 1). On voit aussi apparaître des lésions vasculai
myé- line dans la zone des faisceaux pyramidaux directs et croisés ( fig. 3). Les lé- sions vasculaires sont déjà plus in
de de Pal, par une disparition du réseau des fibrilles myélinisées ( fig. 5) ; ce foyer est localisé dans ce segment de l
e dans le cordon de Goll droit un grand nombre de fibres a myéline ( fig. 6) tandis que le cordon de Goll gauche reste au
ordon de Goll gauche reste au contraire presque entièrement dégénéré ( fig. 7). Dans les cordons latéraux c'est à gauche qu
ale. Par contre les cordons antéro-latéraux présentent à ce niveau ( fig. 9) le maximum des lésions. Dans la substance gris
SUR l'état ATROP111QUE DE la MOELLE épinière 111 7° segment dorsal ( fig. 10). Les lésions en foyer commencent il disparaî-
up moins intenses que dans le 6° segment dorsal. 9e Segment dorsal ( fig. 12). - Dans la région dorsale inférieure, bien qu
ues vaisseaux extramédullaires plus ou moins épaissis et oblitérés ( fig. 18 et 19) ; il faut aussi noter que ces lésions
uche est au maximum dans la partie inférieure du 5° segment dorsal ( fig. 7) et celle du faisceau pyramidal croisé droit
celle du faisceau pyramidal croisé droit dans le 6e segment dorsal ( fig. 9). Au- dessus de ces régions les faisceaux pyr
Ici la tête de la corne antérieure droite paraît comme décapi- tée ( fig. 5) par suite de la disparition du réseau fibrilla
tion du réseau fibrillaire, amaigrissement de la colonne de Clarke ( fig. 21). L'apparition de ces foyers de lésions destru
les diamètres de cette moelle avec ceux d'une moelle normale (Voir fig. 1 à 15). SUR L'ÉTAT ATHOPUIQUE DE LA MOELLE ÉPI
présence se constate sur toutes les coupes, mais sans localisation ( fig. 3). A côté de ces fentes, il y a des vaisseaux
ca de KAUFFHANX. (Ziegler's Handb. Palh. u. Anat., t. II, p. 170, fig. 1t4.) U, Le dieu égyptieu Phtah, statuette du
tion congénitale, augmentation qui s'accentue de plus en plus (Voir fig. t, Radiographie). Aucun traitement autre que l'
ablement ralentie et revêtant le type de Cheyne- Stokes (Voy. l. L, fig. A et A'). IX Une étude parallèle et concomita
- servai les symptômes suivants : Main gauche en forme de griffe ( fig. 1) ; premières phalanges en extension forcée, s
u facial, déterminant une attitude de la main très caractéristique ( fig. 2), que par analogie je désigne sous le nom de
aphie reproduite dans la planche LXXI, et sur les figures ci-jointes ( fig. 1 et 2), l'extrémité supérieure du fémur est co
dans l'art byzantin, par Jean IIEITI, (5 pi. en photocollogr., 1 fig. ), 84 et 61. Dermographisme chez les épileplique
considérations sur l'hémi- mélie, par E. HUET et CII. INFROIT (2 fig. , 6 pl. en photocollogr.), 128. Fatigue par les
e (La), un curieux moyen de prolonger la vie , par A. BEAUVOIS (1 fig. ), 62. Hémianopsie d'origine intra - cérébrale
ébelleuse (Sur l'anatomie pathologique de l'), par SWITALSKI (2 . fig. , 2 pl. en photocollogr.), 373. Hypertrichose (L
rerie cérébrale (Un cas de), par Lùo- pOLD-Lnvi et Louis LEMAIRE (4 fig. ), 32. Macrodactylie et microdactylie, par P.
ralysie bulbaire aigué (Un cas de) chez un enfant, par KOLLARITS (2 fig. ), H. Paralysie du nerf cubital et contracture
système nerveux chez un anencéphale, par V ASCII IDE et Vuarws (6 fig. , 2 pl. en photocollogr.), 388. Surdité cortic
sles hydatiques du cerveau, par PAUL SE- RIçUX et ROGER Mignot (4 fig. ), 39. Syphilis spinale (Atrophie de la moelle
s spinale (Atrophie de la moelle dans la), par E. Long et `Vzx1 (21 fig. ), 105. Tapisseries de Reims (Les), par Henry
BEAUVOIS A. La gérocomique, un curieux moyen de prolonger la vie (1 fig. ), 62. Bégouin P. et J. Sabrazès. Macrodactylie
ence sur le travail d'un muscle de l'activité d'autres muscles (5 fig. ), 432. GASNE G. et Courtellemont. Le genu rec
et les ma- lades dans l'art byzantin (5 pl. en pho- tocollogr., 1 fig. ), 84 et 161. Heitz J. Un possédé de Rubens. La
ctromélien hémimèle avec quelques considérations sur l'hémimélie (2 fig. , 6 pl. en photocollogr.), 128. Infroit Cu. et
natomie pathologique de l'hémianopsie d'origine intracérébrale (8 fig. ), 4. KOLLARITS, Un cas de paralysie bulbaire
. KOLLARITS, Un cas de paralysie bulbaire aiguë chez un enfant (2 fig. ), 11. Lannois. Dermographisme chez les épi- l
LEMAIRE (Louis) et Léopold-Lévi. Un cas de ladrerie cérébrale (4 fig. ), 32. LÉOPOLD-LÉVI et Louis LEMAIRE. Un, cas de
. LÉOPOLD-LÉVI et Louis LEMAIRE. Un, cas de ladrerie cérébrale (4 fig. ), 32. ' LONG E. et Wiki. Sur l'état atiophique
ique de la moelle épinière de la syphilis spi- nale chronique (21 fig. ), 105. MAntLLE. Observation de trophoedème (1
allucinations de l'ouïe due à des kystes hydatiques du cerveau (4 fig. ), 39. MOUSSEAUX, DE GOTHARD et Riche. Kys- te
cina- tions de l'ouïe due à des kystes hydati- ques du cerveau (4 fig. ), 39. SoLovTzoFF.Les difformités du systèmener-
S. Structure anatomique du système nerveux chez un anencéphale (6 fig. , 2 pl. en photocol- logr.), 388. Vuaras et VA
Structure anatomique du système nerveux chez un anencé- phale (6 fig. , 2 pl. en photocollogr.), 388. Wiki et E. Long.
ique de la moelle épinière dans la syphilis spinale chronique (21 fig. ), 105. Zmamn.r A. Sur un cas de rachitisme fa-
36 (1911) La pratique neurologique
istances, différentes, un objet de grandeur déterminée, invariable ( fig. z1 ). En règle générale, on emploie le premier
lequel sont imprimées en noir des lettres de différentes grandeurs ( fig. 2). Partant de ce principe convention- nel, que
uand par rapport à sa longueur l'oeil est trop réfringent (myopie) ( fig. 5), ou pas assez' réfringent (hypermétropie), ou
obtient l'immo- bilisation de l'oeil, une immobilisation complète ( fig. 4). Le malade, . regardant 11 l'aide du stéréos
e d'un scotome central, mais en déterminer la forme et l'étendue ( fig. 5). ' Il ne suffit pas de rechercher si la visi
une portion de l'espace en forme de cône ayant son sommet à l'oeil ( fig. 6). Les sections de ce cône perpendicu- laires
il. La forme d'une de ces sections est re- présentée sur le schéma ( fig. 7). ' Limites périphériques du champ visuel.
on se sert d'un instrument spécial fort simple, 1 e pél'i11lèt1'e ( fig. 8). 11 est essentiellement constitué'par un dem
r catégoriquement l'intégrité du champ visuel. " On voit, en effet ( fig. 10), que l'encoche a1,'1,/Ib passe inaperçue si o
érimé- trique au point de disparition et reportez-la sur le schéma ( fig. 10, q, sur le méridien 15°). Laissez l'index po
concen- triques les uns aux autres dans un ordre toujours le même ( fig. 7). Dans certains états pathologiques, cet ordr
xamen microscopique des lésions avec un grossissement considérable ( fig. 11). Des lésions intra-oculaires même minimes s
sent à la simple inspection pour peu qu'elles soient accu- sées ( fig. 12, 15, 14, 15). Dans quelques cas, un stra-
L'oeil dévié est placé au centre de l'arc périmétrique. Le malade ( fig. 1G) fixe avec ses deux yeux un objet 0, situé a
due dans le sens des muscles insuffisants, il mo- difiera sa forme ( fig. 18 et 1J ? Prise du champ du regard. L'observat
irculairement les points du schéma, le champ du regard monoculaire ( fig. 1 ï). Il est une autre méthode plus précise que
ard certaines défor- mations ~ particulières, toujours les mêmes ( fig. 18 et 19). Ces de- formations sont si constante
l'oeil- gauche est traversée verticalement par une ligne lumineuse ( fig. 21). Si la fixation est incorrecte, la ligne lu
gne lumineuse qui coupe trans- versalement la flamme- de la bougie ( fig. 22). Si la fixation est défectueuse, le malade
ontrer, il se mesurera lui. Il mesure le pouvoir d'accom- modation ( fig. 24). Telle est une façon précise de mesurer l'a
APPAREIL. OCULAIRE. deux mains les yeux grands - ouverts du malade ( fig. 25). Vivement on découvre un oeil, et la pupill
a pupille frappée par la lumière se contracte devant l'observateur ( fig. 26). On répète M même expérience pour l'oeil du c
pupille se contracte. Même expérience pour l'oeil de l'autre côté ( fig. 27). On peut se dispenser de loupe. La lumière
t la lumière sur l'autre oeil. Même expérience pour le second oeil ( fig. 28 et 29)." '. , " , " . \ , . [POULARD.] Fig
ière est plus facile encore à l'aide des appareils ici représentés ( fig. 50 et 51). Ils permettent d'opérer dans l'obs
ore utiliser un instrument ingénieux, construit par le 11'' Cerise ( fig. 52), et fondé sur la méthode précédente. Une aigu
alement, l'oeil peut suivre l'objet et lit les lettres jusqu'à 45° ( fig. ? ). ' On peut aussi, comme pour la mensuration
rique concentrique ou rétrécissement concentrique du champ visuel ( fig. 55) ; : lacunes périphériques irrégulières ou en
el (fig. 55) ; : lacunes périphériques irrégulières ou en encoches ( fig. 56) ; lacunes binoculaires homolatérales hémiop
équent dans l'hystérie, dont il constitue un des signes importants ( fig. 55). Il peut, en étendue, pré- senter tous les
erveuses qui constituent le nerf optique explique bien ce symptôme ( fig. 59). - Les fibres du nerf optique droit se divi
APPAREIL OCULAIRE. - des deux faisceaux venant des rétines nasales ( fig. 40, 1), il. y aura inter- ruptiondes fonctions
) Soit en formant un petit demi-cercle autour du point de fixation ( fig. 41, B) ; , ú) Soit sous forme d'une bande plus
le me- ridienvertica) au-dessus et au-dessous du point de fixation ( fig. 41, C). 5" Plus rarement, les lacunes du champ
lité des fibres rétiniennes nasales qui viennent s'y entre-croiser ( fig. 40, 1). On conçoit facilement aussi qu'une lési
e puisse amener une hémianopsie d'un oeil et une cécité de l'autre ( fig. 40, 2 et fig. 42, B). ' ' Enfin, la localisatio
r une hémianopsie d'un oeil et une cécité de l'autre (fig. 40, 2 et fig. 42, B). ' ' Enfin, la localisation périphérique
e, c'est la portion nasale des deux champs visuels qui fait défaut ( fig. 42, C). La gêne visuelle est dans ce cas moins ac
stante du champ visuel empiète assez souvent sur la moitié aveugle ( fig. 41, C). Les hémianopsies doubles avec conservat
M. 0. C. siège dans les noyaux du mésocéphale (tub. quad. antér.) ( fig. 59). Si la lésion siège au delà des noyaux du m
e rencontrent que dans les lésions du système nerveux périphérique ( fig. 57 et fib. .I 0 S). Et encore n'existent-ils gu
ceptionnellement dans des directions inter- médiaires (S. oblique) ( fig. 12, 15, 14 et 15). Nous savons comment constate
et horizontales circonscrivant des car- rés de 1 mètre de côté ( fig. 46). On subdivise ensuite chacun de ces carré
la position des images, on note ces constatations sur un schéma ( fig. 47) en désignant l'image rouge par un trait rou
des voies nerveuses motrices des yeux, de la face et des membres ( fig. 51). Les libres du M. 0. C. s'entrecroi- sent
de la lésion) ; paralysie de la face et des membres du côté opposé ( fig. 52 A). Syndrome Millard-Guble1' (lésion protubé
un côté (côté de la lésion) ; paralysie des membres du côté opposé ( fig. 52 B). Des lésions pédonculo-protubérantielles
embres et de l'oculogyre du même côté. (Voir Déviations conjuguées ( fig. 55 A.) Syndrome type Foville dans la lésion pro
gyre d'un côté ; paralysie du facial et des membres du côté opposé ( fig. 55 B).. '.> Syndrome type Foville par lésion
'un côté (côté de la lésion); paralysie des membres du côté opposé ( fig. 55 C). Dans la paralysie de l'oculogyre droit o
rattacher les ophtalmoplégies de la- paralysie bulbaire asthénique ( fig. 54). ' Paralysie du droit externe d'origine nuc
dans la-protubérance (Voir Syndrome protubéran- l'lEI., p. 70, fig. 55). On peut recon- naître le siège diffé-
tout à fait en dedans dans la com- missure interne de- l'aeil ( fig. 56). Dans le premier cas paralysie nucieairej
combinant les actions musculaires, réglant les mouvements associés ( fig. 81). Des centres nerveux d'association existent
paralysie du facial, des membres et de l'oculogyre du même côté ( fig. 53 A). Syndrome type Foville par lésion protubé
et des membres du côté opposé. C'est un syndrome de Weber modifié ( fig. 55 B). Syndrome type Foville par lésion protubé
bres du côté opposé. C'est un syndrome de Millard-Gubler mo- difié ( fig. 55 C). Tel est le sens de la déviation dans les
ar le système nerveux. L'iris reçoit deux ordres de filets nerveux ( fig. 58) : 1° Des filets irido-constrictcurs venant
réflexe les noyaux dumésocéphale, pourvoie centrifuge le M. 0. C. ( fig. 50). Toute lésion interrompant cet arc réflexe
double origine (bulbaire et spinale) a été décrite ailleurs (p. 85 et fig. 58). Il peut être utilisé en diverses circonsta
ral et, dans le ptosis bilatéral. Dans le ptosis bilatéral complot ( fig. ? )), les paupières retombent sur le globe ocul
en- contre également au début de certaines myopathies progressives ( fig. 60). Diagnostic du siège. Aspects cliniques var
est incapable d'amener l'occlusion complète de la fente palpébrale ( fig. 62). Souvent aussi une autre particularité frap
meau orbitaire lequel- s'anastomose avec le nerf lacrymal lui-même ( fig. 63). Dans ces conditions, une lésion périphériq
lpébrale et laissent voir nne grande étendue de la sclé- rotique ( fig. 64). Signe de Stelwag. Cette rétraction des p
e modifie dans sa l'orme et son étendue (rétrécissement, encoches) ( fig. 30); la vision des couleurs est très altérée. L
embres inférieurs, peuvent revêtir la topographie radiculaire (voir fig. 5) aux membres supérieurs, 8`' cervicale et 1 d
chéma de l'état normal de la pallestliésie. établi par ces auteurs ( fig. 8). IROnssr.l 1-'ig. Ij. - Diapason de Hydc
é emprunte son innervation sensitive au moins à trois racines (voir fig. 22), l'innervation principale d'une racine étan
aires et sacrées, par suite de l'obliquité des racines (voir schéma fig. 2G). Ainsi, à une lésion siégeant au niveau de
énile. Topographie des troubles de la sensibilité, au sixième jour ( fig. 42), au onzième jour (fig. 45)-. (Cas And..., Bic
bles de la sensibilité, au sixième jour (fig. 42), au onzième jour ( fig. 45)-. (Cas And..., Bicêtrc, ·1901).. Fig. 44. M
ontact du tronc et la jambe vient se placer sur le côté de la joue ( fig. 1) ; si le malade est assis,ou debout, il porte a
membre dans la situation du fusil dans la position du port d'armés ( fig. 2). L'hypotonie des extenseurs de la jambe perm
a jambe, un angle obtus ouvert en avant : c'est le genu recurvatum ( fig. 5). De plus, si le malade est couché, cette hyper
loppés, contenant ou non un squelette osseux. . La mégalodactylie ( fig. 1) est l'hypertrophie d'un ou plusieurs doigts
s'accroît « en large » ; elle prend la forme de main en battoir ( fig. 2) ; elle est épaisse, étalée, courtaude, mas
n du géant est régulièrement développée dans toutes ses dimensions ( fig. 3); c'est le « type en long » de la main de l'a
ffection décrite par Pierre Marie, les mains sont grosses, en pattes ( fig. 4), les doigts sont élargis avec une phalangett
nons de décrire les aspects. La chiromégalie sy- ringomyélique ( fig. 5), décrite par Charcot et Brissaud, ressembl
le type de flexion et le type d'extension. Dans le type de flexion ( fig. 6). tous les segments de la main sont fléchis l
J. Teissier, Barjon et Destot, etc.). Laforme de rhumatisme sénile ( fig. 7) décrite parP. Marie etA.Leri('), intéresse t
ais aux côtés des articulations des phalanges avec les phalangines ( fig. 8) ; il s'agirait, d'après Bouchard, d'une form
solée, la rétraction de l'aponévrose palmaire, maladie de Duchenne ( fig. 9). Au début on ne constate que de petites indu
t, de l'index et du médius gauche. ¡ DIFFORMITÉS ACQUISES. 1 ( fig. 10). Les déformations peuvent tenir à deux causes
ente, décrite dans la syringomyélie par Pierre Marie et llarinesco ( fig. 11 ), est due à la fois à l'atrophie musculaire e
bracelet. - D) Dans LES affections mutilantes. La main de Morvan ( fig. 12) caractérise la «parésie analgésique avec pa
x sont diminués ou abolis. '. La main-bote congénitale spasmodique ( fig. 13) est plus fréquente; elle s'observe dans les
que. La forme la plus remarquable est la a main dé prédicateur » ( fig. 15), qui été dé- crite par Charcot ,et Joffroy
complètement ; ' - il en résulte une main « en pince de homard» ( fig. 16). Certaines variétés de mains fléchies du
ive au début, pachyméningite cervicale, etc.... La griffe cubitale ( fig. 17) comporte la paralysie des interosseux, des
embres et athétosiques il leur extrémité. Dans l'athétose double ( fig. 19), affection très ordinairement congeni- ta
A. DIFFORMITÉS TÉRATOLOGIQUES Les diverses variétés d'ectromélie ( fig. .1), d'ectrodactylie, de polydac- tylie, de synd
dedans et est recouvert par le 2C orteil : c'est l'ltallux vctlrps ( fig. 5). Le petit orteil peut présenter la même déviat
e des caractères spéciaux. Le « pied tabétique » (Charcot et Féré) ( fig. 4) est essentiellement une ostéo-arthropathie d
fréquente, c'est le pied-bot congénital avec malformation osseuse ( fig. 5); elle mérite d'être étudiée d'abord. Que la
les diplégies céré- brales infantiles. Dans la première variété ( fig. 6), les membres inférieurs sont contracturés à
erne, un talus varus plus ou moins prononcé. Le pied de Friedreich ( fig. 8) est un pied creux varus équin avec grillé :
pied-creux valgus. Comme nous l'avons dit, le Lctlzsspied- creux ( fig. 1 1 ) est dû- une paralysie du triceps sural se
paissi. Il n'est rien d'anonnti aux clavicules, aux [F. MOUTIER.] fig. 7. Achondroplasie (d'après Porak). Fig. 6. Ac
grande partie du courant resterait dans le voisinage de la peau (A. fig. 1 ! ) ; éloignées, au contraire, un plus grand
lus grand nombre de lignes de flux pénètrent dans la profondeur (B. fig. 14). 4° Pour localiser le courant sur un point
IT GALVANIQUE. 1221 muscle que l'on examine est à son maximum (Voir fig. 21, 22 et 2). On recherche alors les diverses m
ants. Si l'on considère la forme de l'onde faradique en pareil cas ( fig. 56), on voit que la tension de l'onde faradique
37 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
ns les figures i, 2, 3,4: Le jeune Louis Hottmann, âgé de neuf ans ( fig. 3 et 4), nous fut adressé au mois de septembre 18
des lèvres était immobile et il ne pouvait froncer les lèvres (voyez fig. 3) ; les autres muscles, moteurs des lèvres, avai
ses buccinateurs et ses lèvres se renversaient un peu en avant (voyez fig. 4), ce qui donnait à son rire une expression des
t pas se douter. On retrouve aussi chez elle de grosses lèvres (voyez fig. i) qui sont un caractère de famille, dit-elle, ma
des deux tiers inférieurs de son grand pectoral correspondant (voyez fig. 2), et de quelques autres muscles du tronc. Enfin
eur mobilité et en creusant les joues, surtout pendant le rire (voyez fig. 4) ; elle n'envahit que plus tard, en général dan
est couché M..., âgé de 65 ans, né à Saint-Florentin (Yonne). Pl. XI, fig. vue de profil. Ses parents jouissaient d'une ex
ours joui d'une bonne santé. Pas d'antécédents syphilitiques. Pl. XI, fig. vue de face. Il y a sept ans, il constata derri
ant la respiration la plus forte que puisse exécuter le patient (voy. fig. 1). Mais la tumeur se présente d'une manière tr
vocale droite, et environ un quart de la corde vocale opposée (voyez fig. 3). Si ensuite on engage le patient à émettre u
assue légèrement étranglée au-dessous de son extrémité renflée (voyez fig. 2). Le son produit est très rauque, et l'inspirat
nifiants furent ramenés dans les anfractuosités des mors de la pince ( fig. 4). J'unis alors, mais sans succès, la cautérisat
sceau de lumière dans la cavité du larynx à travers l'ouverture (voy. fig. 5 et 6). Celle-ci est d'environ 4 millimètres, et
polype avec son pédicule exactement à son point d'implantation (voy. fig. 6). La tumeur, qui força le passage quand je la r
de inspiration et s'approchant très franchement pendant la phonation ( fig. 7). La tumeur (fig. 8) fut remise pour l'étude
prochant très franchement pendant la phonation (fig. 7). La tumeur ( fig. 8) fut remise pour l'étude histologique à M. Ranv
mique. Outre les lésions précédentes, on note encore les suivantes ( fig. i) : L'atrophie du nerf ci de la bandelette optiq
a première nous appellerons l'attention sur sa marche ascensionnelle ( fig. 2) qui a été très rapide, puisque en quatre jours
avoir leur transformation en petits kystes. VI. Les autres lésions ( fig. 1) consécutives à l'altération principale apparti
dition allemande annotée par E. Onimus. i vol. in-8 de 53o pages avec fig. intercalées dans le texte. Paris. — Chamerot et L
38 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857. Déviations de la colonne vertébrale. Atlas de XX planches
ts à sa cause spéciale. (1) Voy. Orthomorphie. Atlas, planche XXIX, fig. 3, et p. 59. (2) Voy. Orthom. Atlas, planche XX
01, 404. Voici une scoliose qui, de même que la pleurétique, Pl. I, fig. 1, est empreinte du sceau de son origine. Cet hom
bure vertébrale principale forme presque un angle aigu, comme dans la fig. 3, pl. IV. Le sommet de cet angle répond à la pre
nte le premier plan; la figure 2, le second plan. Le poumon gauche, fig. 1, est revenu sur lui-même; mais l'espace vide qu
dinaire et logée en partie dans la fosse iliaque gauche. Les reins, fig. 2, s'éloignent peu de leur forme naturelle; ils s
ué en partie dans la fosse iliaque et obliquement dirigé. Rein droit, fig. 2, placé presque transversalement dans la concavi
à 416, 418[ 419, 421. Les poumons n'ont pas été conservés. Cœur, fig. 1, assez volumineux; le ventricule droit était tr
e destiné à la loger, sillonnée de scissures superficielles. Reins, fig. 2, presque normaux ; le gauche plus élevé, plus a
iciel des organes thoraciques et abdominaux est représente planche X, fig. 1. Celle femme, qui n'avait pas 1 mètre de haut
a figure 4, planche XV ; c'est la même courbure retournée. Le foie, fig. 2, est peu réduit malgré l'invasion du rachis dan
mineuse, est mamelonnée et creusée de plusieurs sillons. Les reins, fig. 1, sont inclinés à droite comme la colonne lombai
39 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la moitié gauche du corps, neltement limitée par la ligne moyenne ( fig. L7). La main ne z sent pas une différence de te
ur le membre supérieur droit et la moitié droite du thorax. (Voy. fig. 18.) La ther- manesthésie est nettement limitée
pas d'in- sister dans bien des cas. Sur la PLANCH1, nous donnons ( fig. 1) le dessin schématique des circonvolutions et
s commissurales. Nous étendrons pourtant, par l'imagination, sur la fig. 1, le siège de l'aphasie (aphémie), à l'insula
hères cérébraux, th. Paris 1879. Perdrier, th. Paris 1882. 3 Voir fig. 3 et 4 de laPL. I. 'Raymond et Artaud. Archives
p. 39. 250 REVUE CRITIQUE. La zone motrice corticale (Planche I, fig. 1, Bleu)1, encore appelée zone épilepto-ène en
intellectuelle et la zone sensitive. La zone intellectuelle (PL. I, fig. 1, violet) occupe d'après l'opinion générale, les
nce ont leurs siège et direction indiquées en pointillé noir sur la fig. 4, de la PL. II. (A. A.-B. B.-C.) qu'il faut ex
C.) qu'il faut examiner simultanément avec les différentes coupes ( fig. 1,` ? , 3, de la Pl. II) mises en regard. Enfin,
ture permanente des hémiplégiques. Th. Paris, 1880. 3 Voir sur la fig. 1 du sch. I la direction un peu oblique en bas et
ieur dans leur totalité sur la coupe préfrontale de Pitres (PI,. I. fig. 2, 6). Dans la capsule interne*, le faisceau in
x tiers antérieurs du segment lenticulo-strié de la capsule (PL. I, fig. 6, a, (violet). Toutefois, ce segment de la capsu
intellectuel, à la partie interne de l'étage inférieur 3. (PL. II, fig. 1, violet.) Plus bas enfin, dans la protubéranc
l'insula de Reil qui prend le nom de faisceau de l'aphasie (PL. I, fig. 1, jaune). Au centre ovale, le faisceau de l'
rontal inférieur sur la coupe pédiculo- frontale de Pitres (Pij. I, fig. 3, jaune), de même que les fibres parties de l'
u géniculé au genou de la capsule, immédiatement en arrière (PL. I, fig. 6, jaune). Dans le pédoncule, le faisceau de l'
empiétant légèrement sur le pied de la pariétale ascendante (PL. I, fig. i, vert) partent les fibres essentielle- ment m
e faisceau frontal inférieur de la coupe frontale de Pitres (PL. I, fig. 4, vert). Dans la capsule interne, le faisceau
lé occupe exacte- ment le genou delà capsule, d'où son nom (PL.. I, fig. 6, b, vert). Dans le pédoncule, le faisceau g
situé en dedans et le fais- ceau pyramidal situé en dehors (PL. II, fig. 1, vert). Dans la protubérance, les faits anato
cicule des fibres motrices du membre infé- rieur en partie' (PL. I, fig. cl, bleu), le faisceau frontal moyen (fascicule
moyen (fascicule des fibres motrices du membre supérieur) (PL. I, fig. 4. d. 5, bleu) et le faisceau frontal inférieur (
bleu) et le faisceau frontal inférieur (faisceau géniculé) (PL. I, fig. 4. e. 6, bleu). 2o Sur la coupe pariétale de Pi
tg. 5, f, bleu), les faisceaux pariétaux moyen et inférieur (PL. I, fig. 5, 5, 6, bleu). De là, le faisceau pyra- midal
cupe les deux tiers antérieurs du segment lenticulo-optique (PL. I, fig. 6, c, bleu) se plaçant entre le faisceau génicu
aisceau pyramidal à la partie moyenne de l'étage inférieur (PL. II, fig. 1, bleu), entre le faisceau géniculé qui est en
ge supérieur en dedans des fibres centripètes de cet étage (PL. II, fig. 1, bleu 4). Ce sont ces fibres centripètes de l
trant dans la formation des cordons latéraux de la moelle (PI,. II, fig. 2, bleu 1); 2° dans l'étage supérieur, le fasci
aisceau pyramidal direct. Les faisceaux pyramidaux croisés (PL. II, fig. 3. ; 2 bleu) 1 Flechsig. Ctlblt. nzéct., n°>
u du renflement lombaire. Les faisceaux pyramidaux directs (PL. II, fig. 3 ; 1, bleu), constituent le fascicule interne
sceau sensitif forme dans sa totalité le cordon postérieur (PL. II, fig. 3, rose). Le cordon postérieur de la moelle est
expression anatomo-clinique spéciale : un fascicule externe (PL.II, fig. 3 ; 7), ou cordon de Burdach re- présenté dans
rdons postérieurs (zone de l'ataxie), un fascicule interne (PL. II, fig. 3 ; 5), cordon ou faisceau de Goll. Ces deux fa
érance, le faisceau sensitif vient occuper l'é- tage moyen (PL. II, fig. 2, rose 2). Il y est séparé parles fibres trans
i représente les cordons an- térieurs. Dans le pédoncule (PL. II, fig. 1, rose) : le faisceau sensitif répond à la par
fibres centripètes paraissent oc- cuper l'étage supérieur (PL. II, fig. 1, rose) ; ce qui accroît con- sidérablement l'
stérieur du segment lenticulo-optique de la capsule interne (PL. I, fig. 6, rose) immédiatement en arrière du fais- ceau
40 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
l'arrière de l'extrémité transversale gauche du sulcus cruciatus. ( fig. 3, x), une aiguille de Bernard (b) fut introdui
veux central s'unissent quelque part dans les environs du conarium ( fig. b, 3) resp. ganglia habenulae ; dans les taenia
ES ANIMAUX 23 l l'écorce des hémisphères et avec le conarium (3) - ( fig. b, 4 d et 4. s). Si la conscience ou l'attentio
conséquent consciemment. Mais lorsque j'ai détruit le fornix même ( fig. b, x z) chez un animal qui survécut 5 jours à l
ication de X et des nombres comme précédemment. FiG. 6. La même que fig. 5. Planche III. - Fin. 7. La section suivante d
vant leur réunion dans le lobule paracentral (Parc). A ce niveau ( fig. 1) la nécrose a détruit : 1° la partie supérieure
l, les lésions destructives gardent la même répartition géné- rale ( fig. 2) ; plus étendues et plus profondes dans la part
s de faible importance. ° On remarqué d'autre part sur cette coupe ( fig. 2) que les lésions de nécrose restent superfici
te : bien visibles à leur point de départ, au-dessous du Parc (v. fig. 2), ces dé- générescences secondaires se retrou
o-médullaires. Mais dans la région cervicale de la moelle épinière ( fig. 5) apparaît une dégénérescence typique du FPyC,
re de cette région (DEJEttINE, Anatomie des centres nerveux, t. II, fig. 79), on voit que la nécrose n'a atteint qu'une
vale. Sur les coupes passant par le pied de la couronne rayonnante ( fig. 7) on trouve une scissure de Sylvius élargie (S
ns la même région (v. Dejerine, Anatomie des centres nerveux, t. I, fig. 219 et suiv. et fig. 301 et 302), il est éviden
Dejerine, Anatomie des centres nerveux, t. I, fig. 219 et suiv. et fig. 301 et 302), il est évident que, indépendamment d
de partie de l'insula, dont on ne voit reparaître, un peu plus bas ( fig. 8), que l'extrémité inférieure de la circonvolu
artie antérieure, si bien qu'on a sur une même coupe horizon- tale ( fig. 8) : en avant la région thalamique supérieure, en
nution considérable de volume de la substance blanche, on constate ( fig. 7) : ' 1° Qu'il n'y a pas dans le pied de la co
s deux tiers environ est encore plus évident dans la capsule interne ( fig. 8). La région du genou et la partie antérieure
r as- pect clair sur les coupes colorées par la méthode de Weigert ( fig. 9). On sait que dans cette région le segment po
ai, dans le segment interne que dans les segments moyen et externe ( fig. 10). Sur cette coupe comprenant les deux pédonc
ignifiant l'ardeur de la charité ; deux autres maniaques, un homme ( fig. 6), et une femme (fig. L2) portent sur la tête
a charité ; deux autres maniaques, un homme (fig. 6), et une femme ( fig. L2) portent sur la tête un béret orné comme ceu
teii quelquefois ; la seconde porte encore une écharpe, en travers ( fig. 1), ou en bandoulière (lis. 3), qui est l'insig
pliquer, - due nous fabriquons l'air. » Un second dément paranoïde ( fig. 13) porte une petite ficelle rouge devant la po
des d'esprit, adultes et même âgés, ont l'habitude de se préparer '( fig. 16-17). La malade de la figure 11 porte sur la
les 9/10 des gaines myéliniques ont pris une coloration noir foncé ( fig. 5), tandis que la zone centrale de chaque fibre,
e blanche beaucoup de tubes nerveux sont également colorés en noir ( fig. 5 c), mais on ne voit pas se vérifier ce même fai
niveau les mêmes faits qu'on a constatés dans la moelle cervicale ( fig. 6). Moelle lombaire supérieure : Dans cette rég
tent des dilatations fusiformes plutôt légères, disposées en série ( fig. 9). Seu- lement dans quelques fibres ces dilata
e sont pas augmentés en nombre. Le nombre extraordinaire de noyaux ( fig. ), qu'on trouve au niveau de n'importe quel musc
liquide. Le 3e ventricule est en effet réduit à une fente oblique ( fig. 2). ' L'épaississement épendymaire est général
e Muller. Le tissu ambiant a été ré- duit en une masse gélatineuse ( fig. 2) autour des parties médiales du néoplasme. C'
t le plus facilement (Ci ? '2 et 3). On peut affirmer que, dès la fig. 2. les 2/3 au moins de l'hémisphère droit sont
épaississe- ment général. Ce n'est guère que dans la région de la fig. 2 que la différence entre les deux hémisphères
ontre les plus petites. Elles affectent des for- mes très bizarres ( fig. 2). On a l'impression que le tissu a élé irréguli
de couronne rayonnante donne à ces coupes un aspect très spé- cial ( fig. 1). C'est ici le moment de relever à nouveau un
lement la tumeur descend, dégageant de plus en plus N. C. et C. i. ( fig. 2) ; on en trouve les derniers vestiges dans les
rossièrement lésé que dans sa moitié antérieure. A la hauteur de la fig. 2, toute la substance blanche est occupée par des
aggraver l'aphasie. Les deux foyers de ramollissement notés sur la fig. 2, et quelques autres plus petits, expliquent s
saux manquent et il existe' deux plis longitudinaux bien mar- qués ( fig. 2). L'index est insuffisamment développé, grêle
limitation des mouvements; même disposition de la paume de la main ( fig. 3) ; même position de l'auricu- laire le rendan
41 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
UVAL'. 1. Il. Corne d'Ammon chez l'homme et chez quelques singes ( fig. 1 et 2 de la Planche 1, fiq. 3 3 et 4 de la Pla
r ordre d'étude qui sera le plus pro- fitable, en le faisant sur la fig. 2, laquelle représente seulement la formation a
lement la formation ammonique telle qu'elle est déjà donnée dans la fig. 1, mais à un grossissement plus considérable (1
vexité de la circonvolution de l'hippocampe (extrémité gauche de la fig. 2), nous voyons qu'à cette convexité (0) fait s
essus de ce sillon est une circonvolution, très nette (a, b, c, cl, fig. S) et non une LA CORNE D'AMMON. 3 demi-circon
en de particulier pour la couche de cellules nerveuses étoilées (d, fig. 2), non plus que pour la couche de substance mé
, non plus que pour la couche de substance médullaire blanche (f, fig. 2) qui forme ici l'alvezcs (voy. ci-dessus page 2
ie à la profondeur (de gauche à droite ou de bas en haut, dans la fig. 2) les couches qui composent la circonvo- lutio
présente ici de particulier que son épaisseur et son uniformité (a, fig. 2). Nous verrons plus loin que, chez divers mam
ous apparaît, comme nouvelle couche, une mince nappe contournée (b, fig. 2), d'un aspect tout particulier : elle est for
orum a2,clorzinî. (Voy. Huguenin, page 297.) 3° Vient ensuite (c, fig. 2) la couche des grandes pyramides, qui, vu la
hippocampe, d'abord assez large dans sa partie superficielle (en e, fig. 2), devient de plus en plus étroit à mesure qu'
sur un cynocéphale et sur un cébien. Chez le cynocéphale (PL. II, fig. 3), les parties sont disposées exactement comme
ventri- cule (V et PC) et au corps bordant. Chez le singe cébien ( fig. 4) les dimensions réduites de l'encéphale nous
es. Quant à l'ensemble de la corne d'Ammon (partie inférieure de la fig. 4) chez le singe cébien, il reproduit très exac
oit, contourné, plein de vaisseaux, d'une belle circonvolution (CH, fig. 6) dans laquelle il est facile de reconnaître l
ieure de la couronne rayonnante). Si dans' une coupe horizontale ( fig. 7) la corne d'Ammon d'un côté est séparée de ce
es parties supérieures ou sous-calleuses des deux cornes d'Ammon ( fig. 8). Ici les deux formations ammo- niques se rap
s arrive presque au contact d'un côté à l'autre. Cette partie (C H, fig. 8), c'est une région de l'écorce qui, par sa sa
nt, malgré son étroitesse, comme représentant le sillon qui sépare ( fig. 7 et 8, e) la circonvolution de l'hippocampe de
tites dimen- sions. Le cerveau de la taupe est représenté dans la fig. 10 d'après une coupe horizontale (qui comprend
issociation du nerf auditif, ce dont ils publient un dessin (PL. I, fig. 23-24 de leur travail.) Ils ne disent pas cepen
a moelle épinière. Ces tubes nerveux sont assez unifor- mes (PL. V, fig. 2), possèdent des noyaux granuleux 1 A. Eitzky.
ibres, les cylindres d'axe ne se colorent pas par le carmin (PL. V, fig. 3) et ne se reconnaissent guère que sous l'aspe
laires ont un cylindre-axe nettement accusé par le carmin (Pl. V, fig. 5, A) ; à cet endroit, il n'y a plus de fibres
es, dont les cylindres d'axe ne se colorent pas au carmin. (Pi,. V, fig. 5, B), et ne se distinguent que sous la forme d
ante à cinquante diamètres, on y distingue une grande quantité de fig. 28. recueil DE faits. 32) corps granuleux. En
42 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
ordure violette épaisse tout autour de la moelle. (PI. XIII, XIV, XV, fig. 2). Les éléments de cette néoformation sont de
situé au niveau des 2e et 3e racines dorsales (Planche XIII, XIV, XV, fig. 1). En haut et en bas celles-ci s'éteignent gra
chent par leur apparence homogène sur le reste du tissu (loc. cit., fig. 1, A, A'). Ces taches occupent la commissure et l
nt de beaucoup les plus importants et les plus nombreux (loc. cit., fig. 1, B, B' B"). Chacun de ce groupe est composé d
sa collerette de cellules épithélioïdes (Voir planche XIII, XIV, XV, fig. 5). Ici encore, même contraste entre l'intensit
ossissement on aperçoit la coupe de volumineux cylindres-axes (voir fig. 6). FiG. 2. - Région lombaire. (Coloration au p
e au niveau du sillon médian antérieur (Voir planche XIII, XIV, XV, fig. 3). Une quantité considérable d'éléments embryo
eau, ces éléments s'agglo- mèrent en amas plus compacts (loc. cit., fig. 3, A, A'), formant autour de cha- cune d'elles
antérieure aussi intacte que dans les autres régions de la moelle ( fig. 3, B, de la planche XIII, XIV, XV). Nous retrou
es organes des sens ; champ visuel un peu rétréci concentriquement ( fig. G). La cavité buccale, la langue sont indemnes
mant un bloc épais d'un centimètre il son bord libre. Pied droit ( fig. 7). Motitité normale. Quelques douleurs pendant l
PRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYR1NGOVLYÉLIQUE 129 Pied gauche ( fig. 8). Les caractères de la peau et des ongles sont
es ; les mains et les pieds sont plutôt secs. Troubles sensitifs ( fig. 9, 10). Tête et con. Sensiblité tactile nor- ma
ibilité, explorée minutieusement, fournissait le schéma ci-dessous ( fig. il, ils»; les parties anesthésiques étaient entou
ribution topogra- phiques sont indiquées sur les schémas ci-contre ( fig. 13, J1), la sensibi- lité au contact et à la do
dont les parois sont hypertrophiées et le calibre très réduit (voir fig. 00). 168 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈR
trique des tu- niques musculaires et surtout adventice du vaisseau ( fig. 16). Le tissu conjonctif de cette dernière est
. Les unes ont leurs parois épaissies et couvertes de cellules rondes( fig. 15); d'autres sont oblitérées par des thrombus
is d'éléments embryonnaires, vivement teintés par l'hématoxy- line ( fig. 18). Le centre du foyer est au contraire privé de
blable à celle que nous avons décrite et figurée précédemment (voir fig. 3, pl.1111,11V, XV) (1). Mais nous avons affair
porte qua- tre feuilles et se trouve à la bibliothèque de Munich » ( fig. 2). La figure du Juif dans cette vignette très
rché à rendre fidèle- ment et naïvement l'expression de son modèle ( fig. 3). Les Flamands, les Hollandais, les Suédois o
nd (2) vers le milieu du XVIIe siècle. Une autre fort intéressante ( fig. 4) que M. Garnier con- sidère comme originaire
cipale- ment de celui de l'observation III. Un portrait analogue ( fig. 5) qui pourrait bien avoir été copié sur le pré
, Metz, Nancy, lIont1>éliard, Rennes, Orléans. La plus ancienne ( fig. 6), et non la moins curieuse, teintée de deux t
SALPÊTRIÈRE. Coupes du nerf optique droit Il sa sortie du chiasma ( fig. 2ï). Sur toute la périphérie, le périnèvre se m
on des fibres a la périphérie des cordons nerveux en question (voir fig. 26). Une autre particularité, que nous a égalem
e droite, pendant que la moitié gauche restait tout à fait flasque ( fig. 47). Puis nous excitons la moitié temporale de
43 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
osseuses de la région radio-carpienne observées dans notre cas (V. fig. schématiques .1 et 2). Il suffit de comparer le
enntniss der polydaclylen llùiieri-asseil. Anat. Anz., IX, 509-514, fig. 4, 1894. (3) Boas, Btdi-aq til opfallelsen ot P
'état actuel de la question des localisations cérébrales » (p. 582, fig. 105 et 10(3) (2), décrit une tumeur ayant détru
e, elles sont toutes deux riches en hémorragies d'étendue variable ( fig. 1). L'épanchement sanguin, détruisant du tissu
Th. opt., les îlots postérieurs de N. L. il droite et Li il gauche ( fig. 2). Il est remarquable que les dépôts symétriqu
rieure et formant un croisé à la partie latérale interne du mollet ( fig. 1). Nous trouvons une quantité de panse- ment
e l'a le capitaine, et aussi le troisième soldat du troisième rang ( fig. 2). Au deuxième rang les figures sont couvertes
sur l'Estampe de Blois le nez du deuxième est quelque peu effondré ( fig. 3). Le porte-enseigne a aussi des emplastres au
assez difGcile , dire : comme on peut le voir sur notre fac-similé ( fig. 4), quelques traits parais- sent figure)'soit d
e 15 décembre 1908 el durent encore aujourd'hui sous la même forme ( fig. 9). Comment le cas doit-il être interprété ? Su
que nous décrirons tout à l'heure, la coloration est plutôt rosée ( fig. 3, 4, 5). Ce noevus s'étend (saus faire d'aille
un point ininterrompu, la côte et les corps des vertèbres voisines ( fig. 1, Pi. XXV). Ainsi que le ligament costo-vertéb
la structure fibreuse des ligaments qui s'y trouvaient auparavant ( fig. 2). Les ligaments sus-épineux, sans avoir chang
osseux qui unissent les extrémités d'apophyses épineuses voisines ( fig. 2). De celte manière, sur notre pièce anatomiqu
la pièce forment, avec les arcs des vertèbres, une colonne osseuse ( fig. 2 et 3, PI. XX.V). Les ligaments ossifiés ont é
de fibres élastiques avec une faible addition de fibres collagènes ( fig. 4). Nous avons prélevé dans trois directions (f
méthode de Hansen. (Grossis. : 5.) Fig. 0. - La même pièce qu'à la fig. 8, mais pathologique. (A et el, vertèbres, (B),
a disparu. Décaleination et coloration comme pour la pièce de la fig. 8. FIG. 10. - Coupe frontale au milieu d'une
spongieux partout est augmentée en com- paraison de l'état normal ( fig. 10). (agrandies. 5.) LA SPONDYLOSE RHIZOMÉLIQUE
rapports du cartilage avec les vertèbres connexes. A l'état normal ( fig. 8, Pl. XXVII), la face antérieure du cartilage
vertèbre. Mais on voit bien sur ces pièces le disque conservé (15) ( fig. 11, PI. XXVII). Une autre étude macro-microscop
e transversale, l'apophyse transversale même et l'apophyse oblique ( fig. 12). L'analyse microscopique de ces pièces conf
un tissu spongieux à larges mailles, parsemé de lamelles osseuses ( fig. 11 d, PI. XXVII). A une étude minutieuse de ces
vertèbre, dont les mailles sont remplies des cellules lymphatiques ( fig. 12, PI. XXVIII). On ne voit pas de signes d'infla
la canal de Ila- vers. Même préparation et coloration que coupe de fig. 13. (Agrandiss de 70.) Fin. 15. - Surface de
férents : sur les parties qui se sont relativement bien conservées ( fig. 15, PI. XXVIII et 16y1), le cartilage hyaloïde es
sent tout le cartilage transversalement de la périphérie en dedans ( fig. 15). La couche extérieure des fibres horizontales
i- 254 ELDAROFF lages articulaires se sont encore conservés (voir fig. 13 et 1 ) qui prou- vent que l'ossification est
les phases successives de ce processus. Première phase (pi. XLI, fig. a). - Ce qui caractérise cette première Nouvell
ne présente aucune solution de continuité. Deuxième phase (PI. XLI, fig. b). Dans cette deuxième phase, nous assistons à
la paroi de la membrane ainsi modiliée. Troisième phase (I'l. XLI, fig. c) La portion amincie de la membrane tend à pro
rch. d'Anat. mic., 1909. 288 JONNESCO Quatrième phase (Pl. XLI, fig. d, e, f). - Le nucléole qui a quitté complèteme
nce chro- matophile en état de désintégration granuleuse (PI.Xl,lil, fig. 2), la forma- tion est d'habitude de taille inf
ranulations fuchsinophiles (c). Fio. 4. (n, g, b, c,) comme pour la fig. 3), en plus désagrégation du nucléole et en (v)
oncerne les membres supérieurs. Un coup d'oeil sur la photographie ( fig. 3) montre que la tête, le cou, le tronc sont parf
tabès. L'état des mains et des doigts est tout à fait intéressant ( fig. 1). La main gauche est large ; les doigts sont
en trident. L'état du pied est représenté sur le dessin ci-joint ( fig. 2) qui donne une idée fort exacte de la réalité
44 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
DE SCLÉRODERMIE ET DE VITILIGO CHEZ DES ENFANTS 199 Observation II ( fig. B., pl. 1VI) .-I;milie R...., âgée de 11 ans, ent
ontant en bande jusqu'au pli sépa- rant le dos du pied de la jambe ( fig. 1). A la face antéro-externe de la cuisse droit
ndre, un cas de vitiligo observé chez une enfant. Observation VI ( fig. C, pl. 11VI). - Augustine D..., 11 ans, vue à l
de fibres normales correspondant à la bandelette externe (PI. XXIX, fig. N et PI. XXX, fig. 0,P). - Les racines postérie
correspondant à la bandelette externe (PI. XXIX, fig. N et PI. XXX, fig. 0,P). - Les racines postérieures sont intactes.
au de la cinquième cervicale, les lésions sont les mêmes (PI. XXIX, fig. L). Région cervicale inférieure. Coupe entre la
rieure. Coupe entre la cinquième et la sixième cervicale (Pl. XXIX, fig. M). Dans les cordons postérieurs il existe touj
gion lombail'e.- Coupe passant par la première lombaire (PL XXVIII, fig. K). La localisation des lésions est la suivante
énital se ressemblent à s'y méprendre. Je montrerai plus loin (voir fig. 12) une petite lille au ventre gros et hernié,
aille. La gravure le représente avec lès proportions exactes. (Voir fig. 10 et 11.) Au point de vue intellectuel, le dév
térioration grave de la constitution. Fig. il . - Même sujet que la fig. 10, après 2 ans et 9 mois de traitement. Réductio
ied prend des attitudes variables ; à un premier degré (v.' PI. LI, fig. ABC D) le pied est en varus équin, quand il pend
erte, sa plante regarde en dedans ; sa face intense est très excavée ( fig. 3 et 4) ; les orteils présentent la déformation
e est atrophiée en jarretière. Aux membres supérieurs (v. PI. LU, fig. E. IL), l'atrophie occupe les interosseux, les
l'atrophie dite du type Âran-Duchenne. A un premier degré (PI. III, fig. E), la main est simplement amaigrie, les doigts
nterosseux profondément creu- sés. A un degré plus avancé (PI. III, fig. II), c'est la main en griffe. De même qu'au mem
onie intercurrente. Dur... Hub..., ouvrier maçon, 61 ans (Pl. LXII, fig. F et G). Antécédents héréditaires. Père mort à
employé de commerce, entre à la clinique le 22 juin 1891 (PI. LXI, fig. C). ATROPHIES MUSCULAIRES PROGRESSIVES D'ORIGIN
s. Troubles bulbaires ; mort. Poull..., 65 ans, manoeuvre (Pl. LXI, fig. D). Personne dans sa famille n'a eu de maladie
4 ans, fossoyeur, salle 10, n° 4, entré le 7 juillet 1888 (PI. LXI, fig. E). Antécédents héréditaires. Mère morte à 57 a
héréditaires et familiaux. Prév... Gab..., 42 ans, cocher (P,j. LX, fig. A et B). Antécédents héréditaires. Père atteint
ur l'index et l'auriculaire ; le pouce est dans l'extension forcée ( fig. B). , Les muscles de l'éminence thénar sont com
atrophiés. La tête est fléchie forte- ment sur le sternum (Pl. LX, fig. A et B), toutefois le malade peut encore la red
iques. G... Emile, formier de chapellerie, âgé de 48 ans (PI. LXII, fig. H et K et PI. LXIII, fig. L, M, N). Hérédité
de chapellerie, âgé de 48 ans (PI. LXII, fig. H et K et PI. LXIII, fig. L, M, N). Hérédité ET parenté. Les grands-paren
oplate, d'une dureté osseuse caractéristique, non mobile (PI. LXII, fig. K). On ne peut, en palpant les téguments, faire l
n avant, et le malade éprouve une grande difficulté à la rele- ver ( fig. H, K). Dans cette position, les deux lames supéri
marquée à la partie inférieure du tronc et aux membres inférieurs ( fig. H). , Circonférence, partie moyenne de la cuiss
tête penchée en avant, ainsi que le montrent les photographies (V. fig. II, K, pl. LXII) publiées. Très rapidement, en
inférieure de celle-ci et large comme une pièce de cinq francs (V. fig. N, pl. LX111) (1). Au moment de l'effort fait p
A l'intérieur, on constate la disparition totale de la tête humérale ( fig. N). A la périphérie de l'articulation existe un
musculaire. Io A l'insertion supérieure du deltoïde est une plaque ( fig. M, L) osseuse en forme d'épaulette, mesurant 7
it pectoral, de la courte portion du biceps et du coraco-braclaial ( fig. L). 3° De l'insertion de la longue portion du b
us forme de fuseau ostéophytique sur une longueur de 8 centimètres ( fig. L). 4° Nodule osseux ayant les dimensions d'une
imensions d'une noix à l'insertion de la longue portion du triceps ( fig. M). , 5° Nodule comme un gros pois à l'insertio
45 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
t heures ante mortem, le thermomètre remonte à 59°7. (Voir Planche V, fig. 1.) En résumé, la courbe thermométrique représent
de trois malades qui ont succombé au tétanos traumatique. Le premier ( fig. 1) est relatif au vieillard, dont notre ami Dupuy
chiffre exagéré (59°,7, 8 heures avant la mort)1. Le second tracé ( fig. 2) concerne un enfant âgé de neuf ans qui, à la s
é cette idée, quand nous avons obtenu le troisième tracé. Celui-ci ( fig. 3) se rapporte au malade, dont l'observation se t
ignon qui ne mesure que quatre centimètres et demi. (Voy. planche XI, fig. 1.) La circonférence du bras, à la partie moyen
me d'un grain de millet; l'interne, celui d'un pois (Voy. planche XI, fig. 2). Quand l'avant-bras (gaucbe) est porté dans
nt leur volume ordinaire. (Voy. Planche XIII; fig.'l, humérus gauche; fig. 2, humérus normal; fig. 3, humérus droit.) Radi
. (Voy. Planche XIII; fig.'l, humérus gauche; fig. 2, humérus normal; fig. 3, humérus droit.) Radius. Leur extrémité supér
mètres de longueur, deux de largeur et un d'épaisseur. (Planche XIII, fig. 4.) Le radius droit ne présente que quelques bo
lobuleuse et s'avance du côté externe de l'avant-bras. (Planche XIII, fig. 5.) Le cubitus gauche n'offre rien d'extraordinai
rne, existent deux autres productions peu volumineuses. (Planche XII, fig. i.) Fémur gauche. Extrémité inférieure. A cinq
tes dont le plus grand a deux centimètres de long. (Voy. Planche XII, fig. 3.)— L'extrémité inférieure est saine. Péroné g
x centimètres de large. En face de lui, légère saillie. (Planche XII, fig. 5.) L'extrémité inférieure est normale. Le ti
r, séparés par un intervalle de cinq à six millimètres. (Planche XII, fig. 4 ; face postérieure.) L'extrémité supérieure d
omprise entre la cornée et la caroncule. Cette tumeur (Planche XIV, fig. 1) irrégulièrement ovalaire, allon-gée transversa
Bientôt l'œil offre les caractères représentés dans la Planche XIV, fig. 2. L'eschare, irrégulière, n'a plus que quelques
et que nous devons à l'obligeance de M. Rosapelly. (Voy. Pcanche XIV, fig. 5 et 4.) Observation I. — Kyste de Tiris. — Ext
pupille où elle paraît se perdre derrière l'iris. (Voy. Planche XIV, fig. 4.) L'indication était évidente ; il fallait enle
aissa d'une façon constante, en particulier aux approches de la mort ( fig. 5) ce qui confirme la proposition formulée par M.
in grêle, entourant Y origine du côlon et la fin de l'intestin grêle ( fig. 5), passant ensuite par-dessous quelques anses in
c, adhérait intimement à la* paroi abdomi-nale à droite de l'ombilic ( fig. 0). Au point de vue clinique, ce fait est intér
46 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
aux bâillements ; il fut un temps, vous le reconnaîtrez sur le tracé ( fig. 2), où ceux-ci étaient tellement précipités, que
ec le bâillement et l'on peut suivre sur le schémadu tracé du 15 août( fig. 3), l'alternance en quelque sorte mathématiquemen
ur le tracé des bâillements de la somnambule recueilli par nous hier ( fig. 5), dans une expérience semblable à celle dont no
ervée cette fois sur deux autres sujets atteint de la même affection ( fig. 9 et fig. 10). Cette déformation sur laquelle j'i
e fois sur deux autres sujets atteint de la même affection (fig. 9 et fig. 10). Cette déformation sur laquelle j'insiste act
ontait jusqu'au niveau de l'aisselle tandis que chez notre malade (V. fig. 17),elle passe en avant par le pli de l'aine tand
ièrement sur les muscles antérieurs de la cuisse 1. Les croquis des fig. 18, 19, ,20, 21 ont été recueillis en janvier 188
ue, quoi qu'il fasse, ce membre reste demi-fléchi au niveau du genou ( fig. 19 B.), en même temps que la rotule se montre trè
e une fois la maigreur de la fesse gauche comparée à la fesse droite ( fig. 20), celle de la cuisse gauche surtout prononcée,
noncée, je le répète encore une fois, sur les muscles de l'extension ( fig. 19 et 20). La différence entre les deux cuisses
peu moins prononcée, mais elle est, cependant, encore très sensible ( fig. 20). Eh bien, Messieurs, après tous les détails
at normal. vez le reconnaître sur les schémas que je vous présente ( fig. 25 et 26). Si bien que lorsque les attaques se re
plus marqué au contraire à la suite de ce qu'il appelle ses attaques ( fig. 31), ses étourdissements, sa syncope. D'ailleurs
u 2e volume de nos Leçons sur les maladies du système nerveux (t. II, fig. 5, 8, p. 181), offre précisément un exemple de ce
e : léger rétrécissement du champ visuel pour les deux yeux. Voy. les fig. 64, 65, 66, 67 p. 290, 291. Pas de polyopie monoc
odes de la sensibilité, occupant la face, le tronc, les membres Voyez fig. 69 et 70. Perte du sens musculaire, de la notion
avant-bras et sur les mains où ils atteignent leur maximum (voir les fig. 74 et 75). Ëh bien, Messieurs, il me semble que
'abord l'exposé de ce qui est relatif aux stigmates permanents (Voir, fig. 76, 77, 78). Il y a une hémianesthésie droite rel
concentrique permanent, très prononcé du champ visuel (voir le schéma fig. 84). Tout cela est encore hystérique. Un neuropat
entière hypéresthésique et deux plaques hystérogènes (voir le schéma fig. 82). Si je presse sur ces deux points, vous voyez
se, sur le tiers inférieur de la jambe et sur le pied (voir le schéma fig. 9fi) ; elle porte à la fois et à peu prés au même
impressions tactiles sont transmises d'une façon absolument normale ( fig. 106 et 107). Partout au contraire, par un contras
ntre être pincées, tiraillées, piquées sans que la douleur s'ensuive ( fig. 108 et 109). Les titillations du pharynx provoque
à alcool, peut être à volonté portée à divers degrés de température ( fig. 112). Sur toute l'étendue des deux membres supéri
ui occupe toute l'étendue du tiers supérieur de la poitrine en avant ( fig. 110). Fig. U3 Fig. 114 Sensibilité au froid (
ant (fig. 110). Fig. U3 Fig. 114 Sensibilité au froid (0*). Les fig. 113,114, montrent les régions où l'application su
ressions de froid sont seulement émoussées. On voit, en comparant les fig. 110, 111, 113 et 114 entre elles, que les zones i
ouleur occupe à peu près indistinctement toutes les parties du corps ( fig. 108 et 109). Le malade s'était depuis longtemps
mains. pepùis5 ans, l'état reste absolument stationnaire. Vous voyez ( fig. 115) comment l'amyotrophie et les Fig. 115. t
tions tactiles sont restées normales dans toute l'étendue du corps ( fig. 116 et 117) 2° L'analgésie (pincement et piqûre)
eur étendue, les membres supérieurs sont restés insensibles au froid ( fig. 120 et 121). 4° Sur le dos et sur le devant de la
ophiques, en dehors des amyotrophies, sont représentés 1. Loc. cit. fig. 2 et 3. ainsi qu'il suit : 1° Il existe des lés
t moins élevée que sur les parties correspondantes de la main gauche ( fig. 124). Sur les parties ainsi paralysées et tuméfié
47 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
les 1 Voyez Sappey. — Traité d'anatomie descriptive, t. IV, p. 450, fig. 830. uns des autres par la dissection ; cet iso
s secondaires qui s'écartent l'une de l'autre sous un 1 4° édition, fig. 141. 2 Strickers Handbuch, t. I, p. 46. Charc
— Emprun-tée au Traité d'histologie de M. Kôlliker, 2« éd. française, fig. 354. des modifications survenues dans la confi-
sines se touchent sans lacunes intermédiaires ; il 4 Voyez : Elenz, fig. 2, et Schultze. est uniforme, parce que toutes
s unes des autres ne sont pas visibles; mais nous recon- 1 Voyez la fig. 1 du mémoire de Colberg. 2 Reindfleisch, fig. 3
s recon- 1 Voyez la fig. 1 du mémoire de Colberg. 2 Reindfleisch, fig. 335. Fi /5. — D'après Reindfleisch, 4e édit., p
Wolff. — M, feuillet moyen. — (Ranvier, Leçons d'anato-mie générale, fig. 1.) même, se composent essentiellement de deux
rhumatismale par exemple. (Voy. Corail et Ranvier, loc. cit., p. 459, fig. 307.) Dans le tissu conjonctif lâche, composé,
par scission de cellules 1 Manuel d'histologie pathologique, p. 75, fig. 41. plates aboutissant à la formation d'élément
sseau. Grossissement de 300 diamètres. (Cornil et Ranvier, loc. cit., fig. 268, p. 710). Sous le nom de carnisation, Legen
de Wolff.— M, feuillet moyen. (Ranvier, Leçons d'anatomie gé-nérale, fig. 1. Jn Progrès Médical). lui-même, tapissés d'un
ment sur le même modèle, aussi bien chez le poulet (Waldeyer, p. 132, fig. 4C), que chez le mouton (Kuppfer, Schultz s Archi
132, fig. 4C), que chez le mouton (Kuppfer, Schultz s Archiv., Bd. I. fig. 245), par un prolongement qui part de la partie p
ale prolongée. (Cari. Friedlander. ITeber epithelwucherwig und Krebs, fig. 8, pl. 1. Strasbourg, 1877). Je pense en avoir
: Pathol. Society, t. XX, 1869, p. 41; môme recueil, t. XVII, pl. IV, fig. 3 et 4. Charcot. Œuvres complètes, t. v, Poumon
et dans le poumon seul que se sont accumulées les poussières (Pl. II, fig. 3, 4 et S). Des faits analogues ont pu être obs
ssière de charbon répandue à la sur-face des moules en sable (Pl. II, fig. 192). Les ouvriers placés dans ces conditions r
variétés qu'on remarque avant toute réaction, sont présentés dans la fig. 41, a. Les globules blancs étaient encore visible
trouve d'ailleurs toutes les dimensions intermédiaires. Nous donnons ( fig. 41, a) la reproduction de plusieurs de ces crista
ristaux se brisent au niveau de leur base et forment deux pyra-mides ( fig. 41, b). La rupture des cristaux se fait aussi, ma
avons rencontrés le plus ordinairement sont ceux qui sont représentés fig. 41, c1, c3, c-3, e4, c3. Ce n'est que très except
de plusieurs heures, et présentent alors les formes indiquées dans la fig. 41, e. A une tem-pérature inférieure à 60°, et ég
nes courbes, témoignent de la diminution de consistance des cristaux ( fig. 41, d). L'acide azotique bouillant détruit le san
ilieu d'une des figures de Funke (Atlas der physiolog. Chemie, t. IX, fig. 5, Leipsick, 1858) présente une certaine analogie
et de la physiologie pathologiques, publiées par J. B. Pigné (Pl. I, fig. 1). D'autres fois ces tumeurs sont molles, fluctu
térés; 5° cristaux aciculaires dont la nature n'a pu être déterminée { fig. 44 et 45). On peut comparer ces résultats avec ce
. Les parois du ventricule gauche paraissent légèrement épaissies fig. 44 et 45. — Eléments microscopiques composant le
s canalicules pul-monaires, dans les cas analogues à celui représenté fig. 1, et pro-venant de la même préparation. a, b, c,
trouve en quantité variable, dans les cas semblables à ceux présentés fig. 1. a, b, c, Leucocytes encore peu granuleux. d,
48 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
ont une revue allemande, Le Daheirn, a donné la reproduction en 1883 ( fig. 63). Cette femme à barbe vivait au milieu du dix-
e à nos yeux, parce qu'elle porte au menton une barbe très accentuée ( fig. 64). Cette barbe, d'après la façon dont les artis
, avec le costume habituel des amazones et des seins très développés ( fig. 65). Le caducée que le personnage tient à la main
ure barbue qu'on voit sur une des faces de la monnaie d'Halicarnasse ( fig. 69) et qui représente un individu barbu revêtu d'
accentuer l'expression grimaçante qui se dégage de cette physionomie ( fig. 70). Les dieux, voulant délivrer le pays d'un f
t conservateur, M. Léon Heuzey, et dont nous donnons la reproduction ( fig. 75), étaient dos dieux lares de la bonne époque g
de dos, les deux sujets représentent exactement deux sœurs jumelles ( fig. 76). La seule différence qu'il leur a imposée,
évidence un sein qui, chez un homme, serait de dimensions anormales [ fig. 77). L'absence, sur la partie antérieure du cou,
ôler, les jeunes gens naïfs ou les barbons libidineux. Le personnage ( fig. 78)que nous voyons ici est emprunté à un 1res
un tel caractère d'impiété. En examinant ces images si singulières ( fig. 80 et 81 ), dans lesquelles des individus mâles,
saint auteur du traité contre les hérésies ('). Le troisième dessin { fig. 82), représente une femme dont le menton est orné
Gerliard). quelques-uns de ceux qui encadrent la troisième figure ( fig. 82) ne sont pas sans analogie avec les symboles d
es. Au nombre de ces idoles se trouvent de véritables femmes à barbe ( fig. 84, 85, 86, 87). Ces images, le plus souvent, s
d'une longue robe serrée à la taille et son visage est orné de barbe ( fig. 89). Un joueur de viole est agenouillé à sa droit
rf, près d'Erlangen [Bavière), au-dessus de la porte de la sacristie ( fig. 90). Au-dessous du tableau se trouve une inscri
s ancienne, ainsi qu'en témoigne le costume dont le sujet est revêtu ( fig. 91). On a pu la voir à l'Exposition des arts indu
té. Il est vrai qu'elle était destinée à la vénération de villageois ( fig. 92.) La vierge barbue de Lutolff porte sur le m
st représentée crucifiée, vêtue d'une grande robe, la tête couronnée ( fig. 93}. Un long voile descend de sa couronne; sa rob
é, être désignée sous le nom de Wilgeforte ou sous celui de Liberata ( fig. 93). L'existence du culte de sainte Wilgeforte
se conformer à la tradition, on lui rajouta l'ornement de son menton ( fig. 94). Les femmes à barbe sont, on le voit, trè
urs, a publié dans la Chronique médicale (1), une image de la sainte ( fig. 95) qui se vend accompagnée d'une explication et
uis longtemps. Son portrait la représente à l'âge de trente-cinq ans ( fig. 101). Elle est la femme d'un patron d'hôtel meubl
e barbe a pris le développement que nous constatons sur son portrait ( fig. 102). Cette barbe forme un collier complet qui en
âgée deTSans, dont le menton était orné d'une barbe en fer à cheval ( fig. 106). Margret Halseber était blonde, et, malgré s
es comédiens et les prêtres, dont le menton est rasé tous les matins ( fig. 107). La figure barbue et la laideur de Mme Pil
49 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
diagnostiquée. Etude anatomique. L'hémisphère cérébelleux droit ( fig. 4 à 7) est normal : à l'oeil nu, les lamelles pré
L'hémisphère cérébelleux gauche est réduit à un petit lobule (fl., fig. 4) du volume d'un pois, à. lamelles bien distin
eure de la base de ce dernier, part un volumineux faisceau blanc ( fig. 4 et 5), concave en bas et dont le bord su- pér
gion du pied est beaucoup moins développée adroite qu'à gau- che ( fig. 6 à 8). Sur coupes, l'olive gauche présente sa
formé de cinq lames caractérisées par leur direction transversale ( fig. 4, 6 et 7, v) ; il ne semble présenter que des
trémité postérieure se perd dans l'épaisseur de l'hémisphère droit ( fig. 4). Fin. 7. Coupe intéressant la protubérance à
r du 4, ventricule ; n d, noyau denté. Les hémisphères cérébraux ( fig. 8 à 13) présentent, outre de multiples anomalie
n- volutions, une déformation de leurs extrémités posté- rieures ( fig. 8) en rapport avec l'asymétrie du cer- veau pos
résenté par une lame blan- che, de 1 mm. à 1.5 environ d'épaisseur ( fig. 10, 12 et 13) dans sa moitié antérieure, qui s'
de la tête du noyau caudé. La commissure blanche antérieure (c.o.a, fig. 10, 12 et 13) est normale pt facile à suivre pa
éciproques des plis et des sillons. Hémisphère droit. Face externe ( fig. 9). A la limite des tiers antérieur et moyen es
n situé en arrière de la grande anfractuosité (marquée R ? sur la fig. 9), quoique plus éloigné du pôle antérieur de l
vius (S) avec le sillon, à la vérité peu profond, marqué Sp dans la fig. 9 ; elle soulèverait en outre di- verses object
externe, se terminer dans le gyrus supra-marginal. Face interne ( fig. 10) ? La circonvolution du corps calleux (lui)
rieur environ : elle cesse de l'être au niveau d'un sillon profond ( fig. 10, en arrière de Parc) qui se con- tinue en ba
notation spéciale (voir Dé,jerine, Anatomie des centres nerveux, I, fig. 180, p. 294 et 181, p. 299), et qui se continue
vec le sillon sus-orbitaire. En arrière du sillon qui continue R ? ( fig. 9), les sillons de la face interne se continuen
quelques analogies avec le cas de Forel et Onufrowicz (Déjerine, 1, fig. 378, cm) que nous in- diquons dubitativement la
la scissure I> ? p o part une anfractuosité sulciforme profonde ( fig. 10) qui se dirige il peu près transversalement
de passage temporo-limbique (- tl). Hémisphère gauche. Faceea ? ? ( fig. 11). Al'u- nion des deux quarts antérieurs est
le rappelle le grand sillon anormal de l'hémisphère droit (Il ? ' ? fig. 9), mais elle est plus profonde et beaucoup plu
extrémité antérieure ne se confond pas avec celle de la calcarine ( fig. 13) ; 'celle-ci est bifurquée en arrière. Le lo
raîné la mort. Les ligures annexées au mémoire, et notamment celle ( fig. 5) qui représente la face latérale droite du tr
spinal mening. Lancet, Lond.. 1901, v. l, p. 1 ? 4-1529, 2 table, 4 fig. Jassniger, K. Der Pneumococcus Frieclliinder al
ed lunbar puncture. Med. News, N. Y., 1901, v. v. 78, p. 448-455, 2 fig. Koplik, II. The clinical features of cerebro-sp
FFR, de Budapest. (Neurol. Ctrbl., vol. XXV, fasc. 1, p. 2 à 14, 12 fig. 2 janvier 1906. S. a examiné au moyen de la mét
SCHEIDGI2, de Berlin. (Neurol. Ctrbl., XXV, las. 4, p. 146 à 167, 2 fig. schématiques, 15 fév rier 1906.) Vues très in
s, de Leipzig. (Xeul'ol. Cenlmlbl" '01..\.\Y. fas. 1, p. 18 à 20, 1 fig. ) La malade ( ? foi ans) maniait depuis huit sem
50 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
e, à convexité supérieure, dans la région temporo-pariélale droite ( fig. 2) ; puis il a ra- ric. 2. 228 F. RAYMOND b
en rendre compte sur la coupe de l'os pratiquée après durcissement ( fig. 1). Alors que le tibia sain offre, si l'on veut
radiographie à l'étude des),par A. Londe et Henry MEME (15 phot, 2 fig. ), 34. Atrophie des cent/'es nerveux, dans un ca
osseuse d'origine articulaire, par Achard et Ltol'OL1> Lévi (2 fig. et 3 pl.), 2G2. Charcot artiste, par Henry Meig
note sur un cas de) et craquements articulaires. par Cn. rrns. (1 fig. ), 454. Conservation des réflexes dans le tabès
tales du système ner- veux central, par N.SOLOVTZOFF (28 phot., 5 fig. ), 368. Difformités congénitales du cerveau dans
état des cellules nerveuses de la moelle, par N. SOLOVT- zoff (13 fig. , 6 phot.), 185. Epilepsie symptomatique des néo
émihypertrophie faciale, par J. Sabrazès et C. Cabannes (2 phot., 1 fig. ), 343. Inauguration du monument élevé il la m
s crâniennes chez les hérédo- syphilitiques,pal' EDMOND Fournier (2 fig. , 4 pl.), 238. 0-1 Marche et course (de quelqu
Marche et course (de quelques variétés delà), par PAUL Richer (18 fig. ), 65. Myosite ossifiante progressive, par A. We
yosite ossifiante progressive, par A. Weil et J. Nissim (4 phot., 9 fig. , 1 pl.), 114, 154, 216, 3S7, 475. Nævus tzngi
bilité douloureuse de la peau : algé- simétrie, par MocxHTKOVSKY (2 fig. ), 230. Spondylose rhizomélique (Un cas de), par
mélique (Un cas de), par E. FEINDEL et Il. Froussard (11 phot., 6 fig. ), 324. Syndrome temporaire de Weber avec hé-
e de Weber avec hé- miopie permanente, par A. JOFFROY (2 phot., 5 fig. ), 1. Tachypnée hystérique secondaire (Sur un
G. GASKE. 18. Tumeur du cervelet (Un cas de), par F. RAYMOND (3 fig. et 1 pl.), 213. TABLE DES AUTEURS Actlann et
n cas d'atrophie musculaire et osseuse d'origine articu- laire (2 fig. et 3 pl.), 262. ALLAED (FÉLIX) et Henry Meige.
Bossus (L.). Un cas de maladie de Fried- reich à début tardif (6 fig. ), 178. Cabannes (C.) et J. SABRAxÈs. Ilémihyper
bannes (C.) et J. SABRAxÈs. Ilémihyper- trophie faciale (2 phot., 1 fig. ), 343. Charcot (J.-B.). Amyotrophie du membre
d). Les malformations crâniennes chez les hérédo-syphilitiques (2 fig. et 4 pl.), 238. Froussard (P.) et E. FEINDEL. U
P.) et E. FEINDEL. Un cas de spondylose rhizomélique (11 phot., 6 fig. ), 321. GASNE (G.) et GILLES DE la TOUIiETTE. Le
ndrome temporaire de We- ber avec hémiopie permanente (2 phot., 5 fig. ), 1. Lannois et BERNouD. Enorme naevus an- gi
n cas d'atrophie musculaire et osseuse d'origine articu- laire (2 fig. et 3 pl.), 262. Lindetrem (A.). Contribution à
de la radiographie à l'étude des anomalies digitales (15 phot., 2 fig. ), 34. Magaliiaes Lemos. Contribution à l'étude
de la radiographie à l'étude des anoma- lies digitales (15 phot., 2 fig. ), 34. MEIGE (IIENRY) et FÉLIX ALL,RD. Deux in-
vSliY. De la sensibilité doulou- reuse de la peau : algésimétrie (2 fig. ), 230. TABLE DES AUTEURS Nissim (J.) et A.
(J.) et A. WEIL. De lamyosite ossi- fiante progressive (2 phot., 9 fig. et 1 pl.), 114, 154, 276, 387, 475. Raymond (
276, 387, 475. Raymond (F.). Sur un cas de tumeur du cervelet (3 fig. et 1 pl.), 213. Richer (PAUL). De quelques vari
brazès (J.) et C. CABANNES. IIémihyper- trophie faciale (2 phot., 1 fig. ), 343. Socs (J.). Sur un cas de tachypnée hysté
eurs rapports avec l'état des cellules nerveuses de la moelle (13 fig. et 6 phot.), 185. SOLOVT70FF (N.). Des difformi
formités congéni- tales du système nerveux central (28 . phot., 5 fig. ), 368. Souques (A.) et Pierre DuvAL. Sur une
abre de la région frontale ; crises épileptiformes concomitantes (1 fig. et 1 phot.), 142. - WEtL (A.) et J. Nissim. D
.) et J. Nissim. De la myosite os- sifiante progressive (2 phot., 9 fig. et 1 pl.), 114, 154, 216, 387, 415. TABLE DES
51 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
in Arc/t. fur Mikruscop. Anatomie. — 3° Bd. 1867, p. 441, Taf. XXIH, fig. 1 a, et fig. 2. (2) J. Henlc. — llandb. der Ner
r Mikruscop. Anatomie. — 3° Bd. 1867, p. 441, Taf. XXIH, fig. 1 a, et fig. 2. (2) J. Henlc. — llandb. der Nerwenlehre, p.
g. 1 a, et fig. 2. (2) J. Henlc. — llandb. der Nerwenlehre, p. 274, fig. 201. Braunsehweig, 1871. (3) Archives de Physio
01. Braunsehweig, 1871. (3) Archives de Physiologie. T. VI, pl. VI, fig. 2 et 3. Fifj.5. — Celte ligure estemprun-tée au
stants (Fig.o, 5). (1) Allas, etc., pl. XX, fig 4, (2) hoc. cit., fig. 198, p. 271, Ces investigations sommaires nous
— Allg. Patholog.der Krankk. des Nerven Systems. Zurich, 1873, p. 94, fig. 70; p. 85, fig. 63 ; p. 119, fig. 82 ; p . 127,
.der Krankk. des Nerven Systems. Zurich, 1873, p. 94, fig. 70; p. 85, fig. 63 ; p. 119, fig. 82 ; p . 127, Il n'est pas qu
erven Systems. Zurich, 1873, p. 94, fig. 70; p. 85, fig. 63 ; p. 119, fig. 82 ; p . 127, Il n'est pas question de fibres p
découvert la face supé (i)AHgem. l'ath. der Krankk., etc., p, 119, fig. 82. Zurich, 1873. périeure des masses centrales
ital. Ce schéma est emprun-té à l'ouvrage de M. Huguenin. [Loc. cit., fig. 82, p. 119.) qui le composent pénètrent dans la
en Bau des Chiasma nervorum opticorum. — Même recueil, p. 59, Taf. I, fig. îv. — Bastian. — The Lancet, 1874, July 25, p. 11
. La figure ci-contre (Fig. 30), empruntée h M. Meynert (toc, cit., fig. 233) et représentant la coupe antérieure du cerve
ouche optique — (Schéma emprunté à l'ouvrage de M. Huguenin, p. 93, fig. 69.) «, couche optique. — b, corps strié. — c, vo
dimension, qui se trouvent bien représentées dans l'ouvrage de Henle ( fig. 177, p. 249). 2° Un second faisceau,'situé en ded
sversale telle que celle qui est figurée dans le tra-vail de Meynert ( fig. 249, II, R), le faisceau en question est situé en
der Thalamus opticus. Sitz. Bericht. iïvAkad,, LXV1 Bd. 1872. T. II. fig. 10). (4) Un quatrième faisceau, situé en dehors
pruntée à l'ouvrage de M. Meynert (Stricker's llanclbuch. II, p. 721. fig. 243). Elle représente une coupe longitudinale et
opté sans réserves l'opinion de M. Charcot. (1) Loc. cit. Taf. Xlf, fig. 2, A. T. (2) Dcbovc et Gombault. loc. cit., p.
52 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
nts d'inspiration les cordes se portent en abduction complète (Voir fig. 1), au contraire dans la phonation l'adduction es
it, à gauche comme à droite, une ondée sanguine extrêmement faible ( fig. 1). Ces signes paradoxaux donnaient l'impressio
on actionne le substratum organique sur lequel elle repose. Dans la fig. II et dans un but de simplification, j'ai confond
aladresse est moindre, et le malade peut exécuter quelques dessins ( fig. 2). Au tire-lignes, les traits sont bien tracés
les mêmes phénomènes reparaissent,. tou- jours dans le même ordre ( fig. 3). Fio. 3. Crampe des écrivains. Forme paralyl
'écriture irrégulière, surchargée, illisible, doit être abandonnée ( fig. 4). Mu 14 Fm, 4. Crampe des écrivains. Forme
ant se met à écrire ; et la plume devient inapte à tracer les mots ( fig. 5). Le tremblement diminue dès que le malade re
avant-bras, les mouvements nécessités par l'écriture» (Gallard) (V. fig. 6). XXII 20 Fio. 6. - Appareil articulé de Ve
e en un anneau double, fixant, l'index et le médius au porte-plume ( fig. 7). L'appareil de Duchenne consiste en une volu
in, et qui permet ainsi de faire agir indirectement le porte-plume ( fig. 8). Ces divers appareils répondenl, écrit Galla
t deux temps. Le K, l'R, l'A, le B majuscules en demanderont trois ( fig. 9). Il faut recommander au malade d'écrire auss
gauche est le cliché négatif de la feuille d'écriture droite (voir fig. 12). Pendant que le sujet écrit ainsi des deux
ront être tracées plus vite, plus petites, et en plus grand nombre ( fig. 13). Meige a soigné un certain nombre de malade
, montrent bien les heureux résultats de la thérapeutique de Meige ( fig. 14). En réalité les méthodes de Kouindjy, Zablu
ques profondes, dont les principaux stades sont représentés dans la fig. I (PI. XL). On voit apparaître une ou deux peti
de Cajal. Tantôt ces va- cuoles restent petites et peu nombreuses ( fig. I, 3). Tantôt elles s'accroissent considérablem
issent considérablement pour confluer en une énorme vacuole unique ( fig. I, 2), tan- tôt enfin les vacuoles deviennent e
umeux atteint un haut degré, la cellule paraît être frappée à mort ( fig. I, il) ; dans ce cas la structure fibrillaire dis
arsemés de vacuoles : Ce sont d'anciennes gaînes de Schwann (g. s., fig. II, 2) flétries, en tous points analogues à celle
suivant le grand axe du nerf. Les premiers sont des leucocytes (l, fig. II, 2) : leur présence, en quantité modérée tém
de Cajal, les phénomènes de régénérescence deviennent évidents. La fig. I donnera au lecteur une idée de l'aspect des pré
tries, soit à l'intérieur même de cer- taines de ces gaines (g. s., fig. I, 1). Certains tronçons de nerf sciatique, spé
Dans le septum médian postérieur, de nombreuses coupes montrent ( fig. 18), autour de l'artère, un manchon lymphocytique
t des par- ties plus atteintes, existent de nombreux capillaire (V. fig. 17), en partie au moins néoformés, en raison de
: la lésion est figurée dans la planche qui accompagne ce travail, fig. 4). Rappelons que, dans ce cas comme ici, le mê
us- cles précédents (PI. XLIV). Au milieu des libres musculaires ( fig. 1), ces cellules- apparaissent moins sous forme
umineuses, présentent tous les caractères des mastzellen d'Ehrlich ( fig. 2). On voit ces dernières particulièrement nombre
plus nombreuses et plus petites que dans un corps thyroïde normal ( fig. 3). A un grossissement moyen, on constate les m
e l'évolution des vésicules. On voit en effet les détails suivants ( fig. 4) : certaines vésicules volumineuses, entourée
que les deux naevi ne se trouvent pas sur le même plan horizontal ( fig. 1, 2, 3, 4). OBSERVATION 2. Mart..., âgée de
ant-bras, elle déborde sur le territoire de la 6° racine cervicale ( fig. 5, 6, 7, 8). Observation 3. Alb..., âgée de 1
orsale et se dirige vers le précédent. Si on rapproche les figures ( fig. 13 et 14) des schémas de Head ou de Kocher (fig.
roche les figures (fig. 13 et 14) des schémas de Head ou de Kocher ( fig. 15 et 16), on constate nettement que les deux n
n arrière le territoire des 10e, Ile, 12e racines dorsales gauches ( fig. 17,18,19,20). OBSERVATION 6. Il s'agit d'un m
'est ainsi que les capillaires offrent deux dispositions différentes ( fig. 3). Tantôt les capillaires se composent d'une s
des autres et engaînés dans une coque commune de tissu conjonctif ( fig. 3, cI), Les capillaires entrant dans la constit
uvent très tuméfiées sont le siège d'une pigmentation très intense ( fig. 3, p). Le trouble vasculaire est-il l'origine d
millimètres, indice 50.7. Le sternum est incomplètement ossifié ( fig. 3). Le manubrium s'est peu développé. Il a la f
t veuant s'appuyer contre l'épiphyse hypertrophiée de l'os cubital ( fig. 3). L'épiphyse distale est hypertrophiée, sa su
t RAULOT-L.1POINTE, 229. Nsevi, disposition radiculaire (1 pi.,24 fig. ), par 1LIPPEL et Pierre- Weil, 473. Nerfs crâ
53 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
ée par une ouverture grillagée, à mailles multi- ples et arrondies ( fig. 2 et 3). Ce tissu fenêtré disposé sur deux plan
ces veines se pelotonnent, et forment un véritable corps spongieux ( fig. 4). En résumé, l'appareil de la circulation vei
n un centi- mètre au-dessus de l'extrémité inférieure de la moelle ( fig. 1). En ce point elle est constituée simplement
eure et elle se dirige en dehors. Au niveau de la douzième dorsale ( fig. 2), elle a passé complètement en dehors de la c
pyramidaux. DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 109 ( fig. 3). Les fibres radiculaires postérieures, très at
de la sixième cervicale, la cavité a été ouverte par le chirurgien ( fig. 5) ; on voit le développement énorme que la tumeu
hé- lium cubique cilié. Enfin au niveau de la deuxième cervicale ( fig. 6), bien que la tumeur principale ait diminué d
il est très abondant, ce tissu néoplasique diffus est très friable ( fig. 6). Toute la tumeur est très vasculaire et a ét
vité qui se forme aux dépens d'un trac- tus conjonctivo-vasculaire ( fig. 9). Le tissu conjonctif est en train de subir u
n, au contraire, ils forment des tourbillons très caractéristiques ( fig. 8 et 11). Ces petits nerfs possèdent un névrile
plusieurs jusqu'à l'entrée des racines pos- térieures de la moelle ( fig. 11), et j'ai tout lieu de croire qu'ils sont to
la région cervicale et particulièrement vers la deuxième cervicale ( fig. 6); cette destruction de cause directe, à laque
nt naturellement lésés de la même façon, particulièrement à droite ( fig. 6). Mais cette 122 PATHOLOGIE NERVEUSE. lésio
générés on aperçoit une mince couche de fibres arciformes exlernes ( fig. 12). On remarquera com- bien cette dégénération
lution de l'ourlet qui se renfle beaucoup en se rapprochant d'elle ( fig. 13); de plus, la surface de cette circonvolutio
dans le noyau blanc du lobe frontal, sans atteindre le corps strié ( fig. 13) ; un simple changement de couleur et de con
atis; les circonvolutionscorrespondantes sont couchées et amincies ( fig. 15). Cette tumeur, considérée en elle-même, pré
° des noyaux ovoïdes ou arrondis, de 3 à 5 IL de dia- mètre (1, 1', fig. 16), autour desquels on aperçoit à peine une très
ingents, non ramifiés : ce sont des cellules-araignées typiques (8, fig. 16). Sur les coupes ce tissu forme un réseau do
un aspect grenu au dépôt d'une couche de substance interstitielle ( fig. 17) ; traitées par la méthode de Malassez ces fib
e tout forme des cellules arrondies, de volume variable (2, 2', 2", fig. 16) qui représentent un stade intermédiaire de
ements qui, dès leur origine, ont l'as- pect de cylindre d'axe- (5, fig. 16) il y en a d'autres qui semblent prendre ces
me espèce de cellules qui ont la forme d'un fuseau très allongé (7, fig. 16) ; elles sont moins nom- breuses que les pré
protoplasma trouble qui contiennent jusqu'à huit ou dix noyaux (14, fig. 16); il est probable que ces cellules-mères donne
re assez considérable de noyaux en' état 'de prolifération évident ( fig. : 21). Ces noyaux, dont quelques- uns sont ento
observation, avec la description des lésions dans le deuxième cas ( fig. 25 à 31). Je Fig. 25. - Tumeur du cerveau vue s
entielles de l'écorce dans l'hémisphère droit du cerveau représenté fig. 2.ï, 26 et 27. Les parties noires représentent
al et de l'acoustique. La ligne pointillée (destinée à remplacer la fig. 37) représente le contour antérieur d'une protu
a partie moyenne des o[ives,vamettre en évidence leurs altérations ( fig. 36). On y reconnaît en 8 le faisceau solitaire
olive et les parolives du côté opposé à un plus fort grossissement ( fig. 37). On peut bien y constater les dispositions
54 (1905) Oreille et encéphale : étude d'anatomie chirurgicale
au-dessus du pôle supérieur du méat, tantôt horizontalement (pl. II, fig. 3, 5 et 6), tantôt avec une oblicuité de 45° (fig
ntalement (pl. II, fig. 3, 5 et 6), tantôt avec une oblicuité de 45° ( fig. 1); elle peut aussi occuper des positions intermé
e 45° (fig. 1); elle peut aussi occuper des positions intermédiaires ( fig. 2, 4). Nous en avons déterminé la direction à s
igne pointillée qui marque le plancher de la fosse cérébrale moyenne ( fig. 1 et 5), tantôt au-dessous (fig. 2 et 6) ; parfoi
ncher de la fosse cérébrale moyenne (fig. 1 et 5), tantôt au-dessous ( fig. 2 et 6) ; parfois même le plancher et la crête co
sous (fig. 2 et 6) ; parfois même le plancher et la crête coïncident ( fig. 4 et 3). Garnault a observé que, dans quatorze ro
a pyramide entre la fosse jugulaire et le limaçon. Sur la planche VI, fig. /|, on en voit une séparée de la cavité tympaniqu
n remarque le petit orifice du canal postérieur de la corde (Pl. VII, fig. 3). Au-dessus de la ligne horizontale passant par
oïdienne allant du coude de l'aditus au trou stylo-mastoïdien (Pl. V, fig. i). Portion intercochléo-vestibulaire. — Celte
nt rapportées à trois types : i° Temporaux à sillons très profonds ( fig. i à 4)ï 2° Temporaux à sillons de profondeur mo
rofonds (fig. i à 4)ï 2° Temporaux à sillons de profondeur moyenne ( fig. 2 à 5); 3° Temporaux à sillons superficiels (fi
ofondeur moyenne (fig. 2 à 5); 3° Temporaux à sillons superficiels ( fig. 3 à 6). 25 fois sur 60 crânes, la profondeur du s
55 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
ypoesthésie) qui intéresse la sensibilité sous ses trois modes. (V. fig. G et 7) En poussant plus loin la recherche de c
lombes et du sacrum, à travers les trous de conjugaison. La figure ( fig. 8) que je vous mets sous les yeux vous donne une
ne repré- sentation nette de cette disposition. Cette autre figure ( fig. 9) queje place également sous vos yeux, en même
it. Vous voyez, en jetant un coup d'oeil sur notre deuxième figure ( fig. 9), que la moelle se termine inférieurement par
vous le montrent les figures schématiques placées sous vos yeux (V. fig. B). Aux pieds, elle peut être limitée à la face
es chrono-photographiques faites récemment, avec M. Londe (Pl. XVI, fig. 1 et 2, 3 et 4. Pl. XVII, Riz. 1 et 2. Néanmoin
se fléchit et le membre qui s'é- tend. Les photographies (Pl. XVI, fig. 5 et 6) sont parfaitement concluantes. Dans la
on voit manifestement s'ajouter celle du long supinateur (PI. XVI, fig. 3 et 4). Si une différence existe, c'est clans l'
un poids par l'intermédiaire d'une poulie située en haut (Pl. XVI, fig. 1 et 2), ou observerait les mêmes phénomè- nes,
moins contracté clans le second cas que dans le premier (l'l. XVI, fig. 1 et 2). Fait de prime abord para- doxal, puisq
action plus marqué dans le premier cas que dans le second (PI. XVI, fig. 1 et 3). Passons maintenant à l'étude fort curi
arrive ;i l'extension, le triceps est.déjà relâché et la photographie fig. Il de la planche II, prise pendant le mouvement
et de l'avant-bras jusqu'à deux centimètres au-dessus du pisiforme ( fig. 13 et 14). Sur toute cette surface les contacls
oesthésique, devint complètement anesthésique et thermanesthésique ( fig. 15). Cependant les douleurs ne furent point amé
me que l'on fai- sait rouler sous le doigt sans la moindre douleur ( fig. 17 et 98). En somme nous n'avions point affaire
sion menée de la IVe apophyse épineuse cervicale à la Ille dorsale ( fig. 19). La peau, puis l'apo- névrose ayant été div
rnes), enfin, avec beaucoup moins d'intensité, des supina- teurs ( fig. 20). Nous avions donc affaire, avec certitude,
doigts, prit et soutint son verre rempli, écrivit quelques lignes ( fig. 21), sans souffrance et sans autre gêne des mouve
ensité beaucoup plus grande, à leur niveau, des troubles sensitifs ( fig. 22 et 23). Au nouvel examen pratiqué le soir du
culaires il a repris, à très peu près, l'aspect d'un membre normal ( fig. 2ü). Le 16, le pansement est changé pour la pre
cates mais praticables, et praticables avec une précision parfaite ( fig. 27, 28,.29). Moins donc que des difficultés parti
l'ostéite déformante. Voici, du reste, ce que nous avons constaté ( fig. 52). Ajoutons qu'il n'a pas été recueilli de nerf
56 (1934) Oeuvre scientifique
e j'ai observé à l'état normal ainsi qu'à l'état pathologique (voir fig. t et 2). Mais chez les sujets sains il est rare,
et sont bien moins marqués qu'au membre atteint de paralysie (voir fig. 4) ; en même temps, l'épaule du côté normal se
adipeuse du corps et l'aspect infantile des organes génitaux (voir fig. 5 et 6), qui contraste avec la taille, d'une ha
, adhérait au corps pituitaire et englobait le tuber cinereum (voir fig. 7 et 8, exécutées d'après les dessins de mon am
-bras se fléchit sur le bras et le bras se porte en adduction (voir fig. g). Ces mouvements spasmodiques se reproduisent a
ntué et la muqueuse des lèvres plus à découvert qu'à gauche (voir fig. 10). On observe aussi une légère oscilla- tion
état normal, un peu moins pourtant à gauche qu a droite (comparez fig. 13, l'attitude d'un sujet sain). (Examen dans l
mbres inférieurs restent presque immobiles et n'exécutent pas (voir fig. t 4) ou n'exécutent que d'une façon très imparfai
it pas le mouve- ment du membre inférieur et reste en arrière (voir fig. 16). Ce défaut de synergie entre la partie supé
les membres pour prendre l'attitude spéciale que j'ai déjà décrite ( fig. Il). Pendant l'exécution du mouvement, les membre
nes sacrées : S5, SI-, S3, S'=, SI, sont sensibles, et que le tact ( fig. 3o), la piqûre, la température (le froid surtout)
ue le tact (fig. 3o), la piqûre, la température (le froid surtout) ( fig. 3 1 sont perçus sur des zones à topographie pre
s de la sensibilité sont les suivants : La sensibilité superficielle ( fig. 32) est abolie au-dessous d'une horizontale pas
), dont la topographie exacte est dessinée sur le schéma ci-contre ( fig. 33). La sensibilité profonde est abolie aux membr
bolis. Il n'existe pas de troubles sphinctériens. La sensibilité ( fig. 34) présente les troubles suivants : hypoesthésie
ureuse, présentent des troubles à répartition presque identique (v. fig. 35, 36). Ces sensibilités sont normales au-dess
euse. COMPRESSIONS MÉDULLAIRES 36g La sensibilité thermique (v. fig. 37 et 38) est troublée sur le territoire de ])Il,
lobulée incluse dans la gaîne méningée, ayant l'aspect d'une gomme ( fig. 44, G). Les lésions des méninges molles se pour
e qui englobe les vaisseaux et les nerfs crâniens à leur émergence ( fig. 44). Examen microscopique. Nous avons fait de c
, qu'existait la tumeur gommeuse que nous avons signalée plus haut ( fig. li4 et 51 G) autour de laquelle s'était faite une
ïde. En examinant les coupes de la région cervicale de bas en haut ( fig. ll7, 48, 49, 50) on se rend compte de la façon
ées alors que la dure-mère est encore libre sur la face antérieure ( fig. 4g). La fusion complète des trois méninges ne se
des trois méninges ne se fait qu'au niveau du 4e segment cervical ( fig. 5o). En somme il ne s'agit pas à proprement par
ra- médullaire. Elles se traduisent sur les coupes colorées au Pal ( fig. 48) par une bande claire au niveau du cordon de
r ; on constate en effet au niveau des 4e et 5" segments cervicaux ( fig. 5o et 4g) une assez grande quantité de grains noi
dans ce cas lésée sur un autre point, à la partie moyenne du bulbe ( fig. 52) la pyramide droite est en effet envahie par d
nsversales destructives de la moelle. ' Voici un cas de ce genre ( fig. 53), les signes constatés (paraplégie totale, a
392 l'IRtPLI'GIE.S - I FH'EG1'ION.S DE LA MOELLE voici un exemple ( fig. 54) : à côté d'une paraplégie complète, nous cons
ompression, mais souvent bien loin au-dessous de celle-ci (voir les fig. 55, 56, 57 et 58). Ainsi la zone intermédiaire
n bas, elle se fond avec le territoire de l'anesthésie maxima (voir fig. 56). Si, en plus, il y a une conservation relat
ée, en bas et en haut, par deux larges zones d'hypoes- thésie (voir fig. 55, 56 et 58). Nous voyons parfois dans ces cas
; les figures ci-jointes en donnent la preuve. Parfois identique ( fig. 54) à celle des lésions destructives et les rappe
des lésions destructives et les rappelant dans une certaine mesure ( fig. 55) elle en diffère dans la plupart des cas par
de D 5 à gauche, où les attouchements légers ne sont pas perçus (voir fig. 67). Il s'agissait d'un anneau fibreux engloban
Mal de Pott. Paraplégie presque complète. Troubles sensitifs (voir fig. 68). L'anesthésie est presque complète et à tous
57 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
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58 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
U gâtisme : résultats. VII gâteux, que nous avons décrits (1). La fig. 9 repré- sente un de ces fauteuils dont les bra
leurs chaussures : brosse, brosser, cirage, cirer, etc. (1) Voir la fig. des sièges, Compte-rendu de 18J9, p. XVIII, si !
es traitements antérieurs. Nous recommencerons prochainement. Les fig. 20, 21, 22, 23, 2 i, 25 et 2G permettent de se re
s figures 11, 12 et 13, donnent une idée de son degré d'obésité. La fig. 11 montre qu'il est resté infantile par sa phys
m. 27 ; son poids est de 11 kilogr. 400 au lieu de 26 kil. 130. Les fig. 35, 30 et 37 donnent une idée exacte* de son ra
qu'elle était après la (1) Voir cette observation à la page 240. fig. : : >1 : 1. - 'lar... a ans (1899). i fig.
on à la page 240. fig. : : >1 : 1. - 'lar... a ans (1899). i fig. ¡¡CI. - 'l'au ... à 1 zut ans (1903). Epileps
e du côté paralysé ainsi que le mettent nettement en évidence les fig. 58, 59. Le caractère devient irritable, sour- n
ce osseuse anormale et nettement d'origine inflammatoire. Sur les fig. (je,61 et 62, on voit l'atrophie de la partie ant
t 62, on voit l'atrophie de la partie antérieure du cerveau; sur la fig. 63 où est représentée la coupe du crâne, on rem
en forme de lamelles ayant jusqu'à 2 centimètres de hauteur. Sur la fig. 64, on voit une anomalie assez curieuse, l'agrand
les hémisphères à l'état naturel et après leur incision. Le crâne ( fig. 65) a une forme régulière. En général, ceux qui
Les notions usuelles sont assez limitées. b. L'hémiplégie gauche ( fig. 66) est nettement caracté- risée. Au membre sup
ie dans l'hé- miplégie spasmodique infantile, 1882 (avec 2 pl. et 5 fig. ), un de nos internes, M. Wuillamipr, a repris n
mort en quelques heures. La température n'a monté que jusquà 39,9 ( fig. 69). Souvent elle État DE MAL épileptique. 267
t l'épaisseur était le double des os correspondants du côté gauche ( fig. 67) ; elle prédominait au niveau du frontal ; 2
lation considérable du liquide eép7zalo-·ae7aicl,iea. (Voir p. 236, fig. 60, et l'L. II et III, un cas analogue : Hypert
59 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
s de la par- tie agissante. Voici la description de mon appareil ( fig. 2 et 3). Entre deux montants en bois de 102 cen
ma- lade de l'obs. 1 et dont nous reproduisons un bel exemple. (V. fig. n, p. ex.) . Voici de quelle manière quelques
eindre le niveau du plateau du té- 1. Voir le n° 1, 1892. 2. Voy. fig. 1, P. 16. ÉTUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DE
le spasme myotonique. En se reportant aux tracés précédents (A, B, fig. I) de la môme planche, il est facile de faire la
adie de Thomsen et celle des muscles normaux. La figure suivante ( fig. 6) représente en A et A' le tracé des excitations
omplet et immédiat du muscle à l'état de repos. La figure suivante ( fig. 7) représente en A, 1' le tracé d'excitations ave
étails qui échappent à l'exploration directe. - Le premier tracé, fig. 12, a été pris avec un courant interrompu 8 foi
met près de 28 secondes pour se décontracter. Sur le tracé suivant, fig. 13, nous avons recueilli sur la même feuille 2;
nfluence des plus nettes sur la dernière ligne du tracé suivant (C. fig. 14). Ce tracé, fig. 14, a été pris immédiatemen
ttes sur la dernière ligne du tracé suivant (C. fig. 14). Ce tracé, fig. 14, a été pris immédiatement après le précédent
es d'application, que pour le courant galvanique. Le trace suivant, fig. 14, pris sur le droit antérieur de la cuisse du
tant aux inscriptions analogues pour le même muscle du côté gauche ( fig. 13 et 14), on reconnaîtra que cette ÉTUDE DE L'
en son milieu et aboutit en arrière au sommet du sacrum (fig.19 et fig. 30). Sur le malade, la ligne sus-trochalltéricn
enne de Boulogne, et dont Heine figure un exemple dans son ouvrage ( fig. 28, planche XIII). Nous n'y insistons pas. La c
ystérique. Nouvelle iconographie de la Salpê/¡'iè1-e, 1888, p. 191, 2 fig. Fi) llirt, Manuel de pathologie ncrreiiie. Trnd
courant; lorsqu'il en existe elles sont brèves, instantanées (voy. fig. 24) ; le plus souvent, au moment de l'ouverture d
urra faire celle comparaison dans le travail du Dr Déléage (p. 128, fig. il). Le réllexe rotulien chez Boul... est affaibl
Larat et Gautier, ai- dés de M. Gaiffe, construisirent un appareil ( fig. 35) dont voici la des- cription : Il se compo
gles semblables. Le compas est à quatre branches en forme d'X (voy. fig. 42). D'un côté, la longueur des branches est fi
ge l'examen. A droite, il ne saurait être question de champ visuel ( fig. 44). Examen oplatalmoscopique. Le fond de l'oei
comme dans la sclérose en plaques. Les deux graphiques ci-joints ( fig. 43), pris à cette période et dus à l'obligeance
60 (1894) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 07] : clinique des maladies du système nerveux
nt de vue des formes extérieures la comparaison entre notre malade ( fig. 1) et ceux que représentent les figures 2, 3, 4,
à notre description et considérer le dessin remarquable ci-dessus ( fig. 5) que Fig.5. 14 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
eproduction au trait d'après laquelle j'ai fait le dessin reproduit fig. 9. J'ai pu contrôler, sur une photographie toute
kl. IV. 2. et Baumeister. Denkmoeler des class. Althcrth. Tome lI, fig. 928. - Voy. aussi Wieseler Il, 579. Ménade et p
. 20, 21, 25. (2) Campana opère plast. pl. 41. - et Baumeister. II. fig. 929. pl. XVIII. (3) Wieseler II. 602. I. 140. -
e- seler, Denkm., II, 148. Mon. Inst., IV, 48. - Baumeister, l. c., fig. 1314. - \lillin- gen, Peintures de vases, II, 6
. - \lillin- gen, Peintures de vases, II, 68, et Baumeister, 1. c., fig. 1 : 3111. Fig. 13. LES POSSÉDÉES DES DIEUX DA
uissance ne saurait être ailleurs que dans le muscle gastrocnémien ( fig. 21). Ce muscle est-il contracté ou simplement d
urs axes décrivent une ligne brisée intéressante il bien connaître ( fig. 22). / . ? La ligne transversale qui joint les
ligne sur le nu se trouve la hauteur de la deuxième pièce sternale ( fig. 26 et 27). Le centre articulaire de la hanche c
bliques alternativement de sens inverse qui peuvent la schématiser ( fig. 40), on arrive nécessairement à cette conclu- s
la hauteur II est réduite à zéro ou se retrouve en sens contraire ( fig. 41), c'est-à-dire dans lequel le plan des épaules
ans lequel II est conservé et plus ou moins considérablement accru ( fig. 42). C'est à ce dernier type que se rattache la
e en avant, et prend les posi- tions successives que j'indique ici ( fig. 4H), jusqu'à ce que, louchant le sol par le tal
e ride est accentuée, c'est le pli naso-géuien des deux côtés (Voy. fig. 47 et PI. XVIII). Les yeux sont peu saillants,
épaissies, retournées et parfois entr'ouvertes (voy. tome Il, Pl. 92, fig. 5. - PI. 93, fig. 3, 5, 6 et 7. Pl. 95, F. 5 et
s et parfois entr'ouvertes (voy. tome Il, Pl. 92, fig. 5. - PI. 93, fig. 3, 5, 6 et 7. Pl. 95, F. 5 et S). Mais ce sont
ofesseur Til- taux où elle est accompagnée d'une figure nouvelle ( fig. GS). 2° Ünecourtenole basée sur la dissection
e plus deux figures, l'une reproduisant l'une de ses dissections ( fig. GG) ; l'autre destinée à montrer les de niveau
bserver la nature, et avec quelle fidélité il la tra- duisait (voy. fig. 7u). L'oeuvre de Bronzet mérite donc les mêmes
uscle avait pris une apparence à la fois athlétique et monstrueuse ( fig. 77.). Complications. L'évolution essentiellemen
61 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
es images différentes suivant la hauteur. A la partie inférieure ( fig. 1) de l'entrecroisement, on voit les fibres sen
fondre avec les fibres du stratum zonale. A la partie supérieure ( fig. 3), les fibres sensitives suivent deux voies di
des points où elle est interrompue, se dégager un tractus (A, A, fig. 3) présentant une striation longitudinale la pl
que et qu'il n'est pas interrompu à son niveau. ' Ailleurs enfin ( fig. 6), les amas de myéline granu- leuse ont dispar
et, qui en constitue, croyons-nous, la phase de restauration. Ici ( fig. 7) la fibre nerveuse est, comme précédemment, m
dans une même masse de protoplasma située à leur partie moyenne ( fig. 11, a et b). En fin de compte, le segment inter-
n d'une nouvelle gaine de myéline mince et régulière. Dans l'autre ( fig. 11), l'ordre de succes- sion est le même, mais
Ainsi, est-il fréquent d'observer sur le trajet d'une fibre large ( fig. 15) un, deux, quel- quefois trois rétrécissemen
ette gaine. ' Ranvier, loc. citât., T. L, p. 2G6 et suw. - l'1. IV. fig. 3 et n. 26 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 4° Des lési
même lorsque la restauration de la fibre est complètement achevée ( fig. 9), on constate que la 28 ANATOMIE PATHOLOGIQUE
e intéresse sur une même fibre plusieurs segments qui se suivent ( fig. 15) soit qu'on examine un faisceau de fibres pa
de l'Encéphale ; par le Dr A. Robin. Vol. in-8°, de 600 pages, avec fig. Paris, 1880. J. B. Baillière et fils éditeurs.
: Louise Lateau ou la Stigmatisée belge. In-8 de 72 pages avec deux fig. dans le texte et une eau forte dessinées par P.
grand nombre de fibres, il est facile de voir, en se reportant à la fig. 4, que plus on s'avancera vers la Fig. 4.-Schém
enregis- treur, une courbe semblable à celle représentée dans la fig. 5, A. 43 9a· . PATHOLOGIE INTERNE. ? 1 l ? 'r
cnémien. Il est facile de reconnaître sur le tracé ainsi obtenu { fig. 6, A), une série de petites oscillations qui so
e tremblement du sujet en expé- rience. Le tracé représenté dans la fig. 7 a été obtenu dans les .conditions que nous ve
iera avec l'état de contracture du triceps. , Lé tracé ci-dessus ( fig. 10, A) été pris chez un hé- miplégique, suivant
le dj. ' - mi if . i ' 1 "l d'inscrire ? , " , , , ..^t Dans la fig. 11, on peut voir les contractions des muscles p
cles 'est. dicr'otë;' ce qui n'avait pas lieu' pouf 'le tracé de la fig. 7 ? mais nous nous trouvons ici dans 'des condi
? t ? ? D '» 204 'PATHOLOGIE INTERNE. Le second tracé de là même' fig. 12, T S, repré- sente une' trémulation spontané
ssent à leur tour sur les extenseurs, comme on a pu le voir dans la fig. Il. \ L'analyse que nous allons faire du trembl
e et de celle qui représente le tremblement de l'épilepsie spinale ( fig. , 11). Les . ? ¡(Of (1 /"T ;1... Y '.1` ,it wf`
ralysie agitante ne sont en quelque sorte , que la reproduction des fig. 9 et 10, et par consé- quent tes phénomènes son
t 1 1, - 1 .... ' blement'' plus petites,1 soit fusiformes ,(PL. V, fig. 1" " B, C), "'s'oit' munies-' d'un' seul prolon
tracture permanente des hémiplégiques.Vol. in-8" de 208 p., avec 42 fig. , 5 fr., aux bureaux du Progrès médical. GALVAG
manente des hémiplégiques; parle Dr Brissaud. In-8° de 208 p. et 42 fig. (Publication au Progrès Médical.) Bien que le t
r M. J. Grasset (2° édition). Un vol. in-8° de 1096 pages avec 35 fig. dans le texte et 10 planches dont 6 en couleur. P
33sür ? in'Ibtttr, la;troisième 'circonvolution frontale .(PL. XIV, fig. 2). On distingue clairement; ! surjette "coiïpe
. in 8° carré, avec 120 photographies ou photolithogra- phies et 36 fig. dans le texte; 1876-1880. Frappés du succès des
62 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
oyer tout entier se^ trouve représenté par un seul, nodule (PL. L fig. 11; PL. ll,flg. 19),lequel apparaît alors sous la
lequel apparaît alors sous la forme d'un' petit bloc isolé (PL. II, fig. 18) semblable à celui dont Joffroy et Achard 1
e. - Ces foyers occupent d'ordinaire l'espace mésoneurial (PL. I, fig. 1, fig. 3). Beaucoup plus rarement ils se rencont
es foyers occupent d'ordinaire l'espace mésoneurial (PL. I, fig. 1, fig. 3). Beaucoup plus rarement ils se rencontrent dan
ui qui regarde la sur- face extérieure du funicule nerveux (PI,. I, fig. 1). Considéré isolément, chacun des nodules élé
nt les contours sont tantôt très nets ? tantôt assez diffus (PL. I, fig. 8, a; fig. 9, b; fig. 10, a; PL. II, feg. 18, b
rs sont tantôt très nets ? tantôt assez diffus (PL. I, fig. 8, a; fig. 9, b; fig. 10, a; PL. II, feg. 18, b; fig. 19, c.
antôt très nets ? tantôt assez diffus (PL. I, fig. 8, a; fig. 9, b; fig. 10, a; PL. II, feg. 18, b; fig. 19, c.). Dans cer
iffus (PL. I, fig. 8, a; fig. 9, b; fig. 10, a; PL. II, feg. 18, b; fig. 19, c.). Dans certains cas, son diamètre dépass
diamètre dépasse à peine celui d'une cellule endothé- liale (l. I, fig. 8, ii; PL. II, fig. z18, c); d'autres fois il for
peine celui d'une cellule endothé- liale (l. I, fig. 8, ii; PL. II, fig. z18, c); d'autres fois il forme. presque à lui
fois il forme. presque à lui seul toute la masse du nodule (PL. I, fig. 6, 6 et ig. 9, bl. / ' . Autour de cette sphé
ticulaire que- celui. du manchon, péri-,t neurial primitif, (PL. I, fig. 4,'M). 9 ,znatl 41 liq,« ? En-plus. du schéma q
ntôt une cellule unique'(PL : 'I;tfigr9,' c;'Pi ? ."n,' fig ? 1, a; fig. 24), tantôtideuxiou trois cellules globuleuses (P
1, a; fig. 24), tantôtideuxiou trois cellules globuleuses (PL' II, fig. d2, a', fig.-i '-)2;, c» munies-* d'un1' superb
e alors i par rapport à eux comme un. substrat indifférent (PL. II, fig. 12,' b;fig.\9,d). On'peut voir aussi ? sur ce
r rapport à eux comme un. substrat indifférent (PL. II, fig. 12,' b; fig. \9,d). On'peut voir aussi ? sur certaines prépar
mplacer la cellule centrale (PL : I ? g..3; b ? g : 5, a;a; ? 6; a; fig. 7, *" a ; fig. 11, n). Il importe toutefois de
ule centrale (PL : I ? g..3; b ? g : 5, a;a; ? 6; a; fig. 7, *" a ; fig. 11, n). Il importe toutefois de ne pas confondre'
on plus ou moins complète^de plusieurs nodules élémentaires (PL. I, fig. 6, b). 1 ''"' - Enfin;- il est assez commun «de
tres, ou bien deux ou trois d'entre elles réunies en groupe (PL/11, fig. 20), qui constituent le centre de la formation
'épaississent -, déjà en lamelles plus ou moins compactes (pal. Il, fig. 18 et 19). D'autres formations périneuritiques
périneuritiques tendent vers la configuration nodu- leuse (PL. Il,' fig. .20) et souvent alors elles possèdent un groupe
t;7- 3; a). En d'autres cas encore, c'est un nodule fibreux (PL.11, fig. 5,, b, b) ou bien une'masse hyaline (PL., Il, f
fibreux (PL.11, fig. 5,, b, b) ou bien une'masse hyaline (PL., Il, fig. 23) qui se; creusent d'alvéolés centraux. Enfin
ntéressants, en particulier sur la structure de l'écorce cérébrale ( fig. 22). L'étude se termine par des rappro- chement
eux premières fron- tales, le lobule orbitaire sont indemnes. (Voir fig. 27.) , S32 e*tnj.z ? 3v ^ouCLINI<5UE<MENT
63 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
t qu'ils sont capables de mar- IV ENFANTS GATEUX INVALIDES. cher ( fig. 1), ils sont envoyés à la petite écolo le matin,
es exercices sont les mêmes qu'avec les échelles : en posi- tion ( fig. 11), assis (fig. 12), extension alternative de
nt les mêmes qu'avec les échelles : en posi- tion (fig. 11), assis ( fig. 12), extension alternative de l'un et l'autre b
(fig. 12), extension alternative de l'un et l'autre bras en avant ( fig. 13). Ces exercices, ainsi que nous l'avons déjà
- chettes, des petits cylindres en bois, des sphères en bois (1) ( fig. 14), du livre cles étoffes (2). Dans le cours d
l'enfant distingue les deux extrêmes (très râpeuse et très lisse) ( fig. 15), on lui fait toucher les intermédiaires. Le
u ajouter à l'observation très intéressante de M. le Dl' Camuset la fig. 18, d'après une photographie, prise, comme nous
le soir à 39°,3 et à partir de là elle continue à redescendre (voir fig. 25). 17 octobre. Les accès ont diminué, il n'y
l'un des états de mal. Dans le premier cas, ainsi que le montre la fig. 24, la tempé- rature ne dépasse guère que d'un
64 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
e du côté sain peut suivre le mouvement d'inclinaison du thorax ( fig. 3). Mais c'est là une conséquence inconstante d
parce que la déviation primordiale est très prononcée elle- même ( fig. 5J. Il faudrait une deuxième courbure de compen
rbure de compensation pour que le niveau des épaules fût le môme ( fig. 6). On sait que les chirurgiens ont signalé des
sans courbure de compensation, la tête est inclinée du côté sain ( fig. 7). Mais la courbure de compensation, au lieu d
se tient debout, 'tout droit, les jambes parallèles et symétriques ( fig. 9), répartit le poids de son corps également su
ne, portant tout le poids du corps, repose sur sa face plantaire ( fig. 11). Il peut même arriver que la jambe étant fo
upes obtenues à la partie la plus élevée de la moelle cervicale (V. fig. 19), on observe, au niveau de la commissure gri
A un niveau moins élevé, la forme du foyer se modifie encore (V. fig. 20); elle affecte l'apparence Fig. 19. - Coupe
ns; perforation étroite à gauche avec rétention du pus. Planche II, fig. 1 et 2. Les courbes ci-jointes montrent les var
téral et pénétrant dans ce cordon à la ma- nière d'un coin. (PI. I, fig. 1 - a.) . Transition de la région dorsale à la
ntonnée dans noire cas dans les limites générales suivantes (PL. I, fig. 1) : Dans la région lombaire, elle occupe les f
ment les cellules, mais encore les fibres fines ont disparu (PL. 1, fig. 3). On peut ajouter qu'il est au moins exceptio
; li, canal (·hendymaire; i, zune externe de Lissauer saine. PI. 1, fig. 2. - Coupe' le la moelle lombaire inférieure, il
sceau de Burdach ; canal épeud\maire ; g, faisceau pyrnnmhl. PI. I, fig. 3. Région de la colonne de Clarke dans la moelle
née, par le procédé de Weigert. Au niveau du renflement t cervical ( fig. 39), le microscope permet de constater que la p
la partie externe des cordons de Goll, on distingue une zone (Voir fig. 42'), qui, sans être absolument incolore, n'a q
s'agrandit, et vers la partie inférieure de la moelle dorsale (voir fig. 2'), on se trouve en présence d'une zone en for
canal épendymaire; ? ', i, zone externe de Lissaller saine. Pl. I, fig. 2. - Coupe de la moelle lombaire inférieure, à un
u de Burdach ; f, canal épendymaire ; g, faisceau pyramidal. Pl. I, fig. 3. - Région de la colonne de Clarke dans la moell
65 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
membres. Le gâtisme avait complè- tement disparu. (Voir Planche I, fig. 1, 2, 3, et 4.) VII. L'idiotie symptomatique de
es sail- lies dont la face interne est en rapport avec ces organes ( fig. 1). fig. 1. -Ceruelet, bulbe et protubérance de
lies dont la face interne est en rapport avec ces organes (fig. 1). fig. 1. -Ceruelet, bulbe et protubérance de Ber... En
nt réunies par une sorte de membrane plus ou moins transpa- rent ( fig. 4). Lors du premier examen de la tête, on avait
roduire, à un degré si remarquable, sur le crâne de Berl... (p. 51, fig. 4.) Il est bon, à ce propos, de rappeler que su
ppeler que sur les crâ- nes de Rcn.. (p. 00) et de Tronc... (p. 00, fig. 0) les s (1) Voir Bourneville Recueil de mée" n
commence à tenir une plume et à tracer des a sur le cahier. (PL. X, fig. 1.) 1881. Jal1vÍe¡'. - Jan. fait quelques progr
travaille bien. Ses notes de classe sont les mêmes. (l'L. VII et X, fig. 2.) 1887. Janvier. Cordonnerie, Jan. fait un pe
ets usuels ; il saitles jours mais n'a pas d'idée des mois. (PL. X, fig. 4.) Juin. - Son caractère est habituellement as
n maniaque. 145 tenant presque tous les jours n'importe où. (PL. X, fig. 5). Continuer l'hydrothérapie. 10 octobre. Ja
et en paroles. Il danse assez bien la polka, quand il veut. (PL. X, fig. 6.) Hydrothérapie, depuis le 1er avril. 6 juill
n résumé, son développement intellectuel est tout à fait inférieur ( fig. 8). « Pour qui a voyagé dans le pays des crétin
érence au niveau de l'ombilic : ïf) cent.). 11 n'y a pas de hernie ( fig. 12 et 13). La verge est volumineuse, le gland d
66 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'une pièce de cinq francs, résultant des chocs réitérés de la main ( fig. 4). D'ailleurs, les parties découvertes du visa
en 9 secondes.) se fait avec une vigueur et une rapidité inouïes ( fig. 2) ' ; par contre ' Qu'il nous soit permis de r
e d'ascension est presque verticale, de même, la ligne de descente ( fig. 4) ; les ondulations ne s'observent que tout à
ue tout à fait à la fin de la contraction, - c'est là l'exception, ( fig. 5), ou bien pendant sa durée, et alors on const
cidentée, qui rappelle la contraction du muscle en état de tétanie ( fig. 6, 7); enfin, pour les muscles du cou, le tracé
sée par la prolifération nucléaire des noyaux de la plaque (Pl. VU, fig. 6). L'exécution des planches est en tous points
s'amuser avec un objet quelconque, un morceau de bois par exemple ( fig. 21). Etat du malade (19 mars 1887). Tête : crân
l regarde avec fixité, les yeux dans un léger strabisme convergent ( fig. 26, 27). Fig. 31. IDIOTIE CONGÉNITALE : TICS.
'accomplir. Sur notre ordre, il s'assied, prend diverses positions ( fig. 28, 29, 30, 31), se Fig. 37. IDIOTIE CONGÉNIT
ÉNITALE : 'l'ICS. 24o lève en se contorsionnant, se couche à terre ( fig. 32, 33, 34 35, 36), se relève, sans hésitation,
à être seul, et trouve le plus grand plaisir à déchirer du papier ( fig. 37) dont il entasse les morceaux dans ses poches
'environnent. Très pusillanime, le moindre geste brusque l'effraie ( fig. 38, 39), toutefois, cette frayeur, excessivement
nts, qui ont été faits d'après des photographies tirées ce jour-là ( fig. 45 et 46). Un simple coup d'oeil suffit pour co
elles atteignaient les bords supérieurs des muscles fessiers. (Voir fig. 47 et 48.) L'examen périmétrique a démontré dan
cissement concentrique du champ visuel pour lacouleur blanche (voir fig. 49 et 50). Les centres visuels des autres couleur
ude sur la paralysie faciale hystérique. Vol. in-8" de 156 p., avec fig. dans le texte. Paris, 1893. Jouvet et Ciel HiaT
effacés, on croirait voir un masque où serait peint l'étonne- ment ( fig. 1). A un examen plus attentif, on reconnaît cepen
droite, ils sont à peu près nuls à gauche. Dans la position assise ( fig. 2), les bras légèrement fléchis, les coudes un
aucune modification ; elle s'accomplit lentement, tout d'une pièce ( fig. 3), mais avec une grande régularité, les yeux ouv
Même dans ces conditions il reste beaucoup plus mar- qué à gauche ( fig. 4, 5, 6), car c'est à peine s'il est dessiné pour
G.V. = 1/2, rétrécissement concentrique surtout prononcé à gauche ( fig. VII), dys- chromatopsie pour le violet, le vert
67 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
aralytiques, correspond une extension de la zone d'anesthésie (voir fig. 2). Uue exception doit être faite pour les cuis
ibles à la température, et seulement à ce mode de sensibilité (voir fig. 3). Rien n'est changé pour les mem- bres inféri
nversion du rouge et du blanc. Le violet est confondu avec le bleu ( fig. 4). 19 . Sensibilité. - Nuuvelle délimitation d
bilité. - Nuuvelle délimitation des troubles sen- sitifs dissociés ( fig. 5) ; les doigts sont devenus sensibles à la pi-
; elle remonte jusqu'à une ligne circulaire correspondant au coude ( fig. 6). La sensibilité au courant électrique a les mê
squ'à l'insertion du deltoïde est devenu sensible à la température ( fig. 7). Le membre gauche (bras, avant-bras et main)
egments limités par des cercles perpendiculaires à l'axe du membre ( fig. 8) : il, épaule ; perte complète de tous les mo
agné du terrain : la limite supérieure du poignet a gagné le coude ( fig. 9). 13. - Le traitement psychique, les exercice
uche avec rétrécissement concentrique du champ visuel du même côté ( fig. 10). Réflexions. Nous passerons assez rapidemen
lle fut sectionnée, tandis que la partie gauche est restée intacte ( fig. 1 i). En m'appuyant sur ce cas, qui a été suivi
r adhérent à la fissure antérieure du cerveau était restée intacte ( fig. 2). Fig. 12. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. , 57 Do
et on y fait une section de la moitié droite de la moelle épinière ( fig. 19). - DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 191 Etat aussit
de la moelle au niveau de la dernière (3°) sec- tion du côté droit ( fig. 21), qui montre que toute la moitié droite de l
on fait une hémisection de la moitié droite de la moelle épinière ( fig. 23) ; la plaie est pansée et couverte d'une cou
- section du côté gauche, suivie d'une hémorrhagie insignifiante ( fig. 24) ; la plaie est pansée. Aussitôt après l'opé
[démontré que toute la moitié de la moelle épinière a été atteinte ( fig. 25). Avant de discuter la valeur des résultats
l'ouverture, on fait une hémisec- lion du côté droit de la moelle ( fig. 26). Aussitôt après l'opération, on remarque le
orsale; à cette région, on y a fait une hémisection du côté gauche ( fig. 27). Aussitôt après l'opération, on remarque chez
rds de la plaie de la moelle sont très enflés. La plaie est pansée ( fig. 28). ' Aussitôt après l'opération, le cobaye se
ement lombaire dans toute sa longueur, excepté le bout inférieur ( fig. 29). Les bords de la plaie de la moelle sont enfl
68 (1884) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1883
l'atelier d'imprimerie, on voit un cabinet d'accès et un bureau ( fig. 3). Nous avons demandé l'adjonction à chaque at
che. Face inférieure. Toutes les cir- convolutions du lobe frontal ( fig. 2, L F.) se dirigent d'avant en arrière vers la
eut aisément s'en rendre compte en comparant les deux moitiés de la fig. 3. Toutefois nous devons faire remarquer que, t
ir- convolution frontale et à la circonvolution du corps calleux ( fig. 3, F.). Nous n'avons pas trouvé d'indice du sillo
ongée, aplatie, sans sillon, qui est peut-être le lobe paracentral ( fig. 3, L P). Viennent ensuite des circonvolutions m
cir- convolution du corps calleux dont la direction est modifiée ( fig. 3). Les circonvolutions de la région moyenne sont
e la face conserve sa configu- ration normale dans l'encéphalocèle ( fig. 4), elle offre, dans l'hydrocéphalie, un aspect
halie, un aspect tout à fait particulier et connu de tout le monde ( fig. 5). (1) (1) M. Fr. S. Palmer vient de communiqu
ice de M. Giraldès, outre le cas d'encéphalocèle représenté dans la fig. 47,un autre cas moins accusé. Il s'agissait d'u
lérose en plaques dissémi- nées. Vol. gr. in-8 de zoo pages avec 10 fig. et 1 planche. Prix : 4 fr. 50. Pour nos abonnés
69 (1825) Anatomie des systèmes nerveux des animaux à vertèbres, appliquée à la physiologie et à la zoologie : Atlas
u cervelet, qu vide avant qu'il se forme. r, (lisez e. s. sur les fig. 4 et 15 de la pl..\ 1 Il) , étage supérieur de
e en-dessus. 1" D. premier nerf dorsal. Ir. L. premier nerf lombaire ( fig. réduite de l'atlas de Gall). PLANCHE V. Fig
nerveux latéraux dans le cycloptère : les signes sont comme dans la fig. 1 de la planche VIII. lig. 3. Face inférieure d
ar la face supérieure et de grandeur rron- propo-rtionnelle avec la fig. 2. , , Fig. ft. Encéphale de marmose (didelphis
x, brochés papier sa- tiné. 56 fr. Le même ouvrage, papier vélin, fig. avant la lettre. 72 fr. Le même, grand raisin
70 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
enflement lombaire, par exemple, ces cellules forment en s'agrégeant { fig. 9). Ce sont là, pour ainsi dire, les foyers primi
, que la corne grise est envahie dans toute son étendue transversale { fig. 8). Il est de règle, en pareille occurrence, que
re des faisceaux blancs n'est pas nécessaire. Elle peut faire défaut ( fig. 9) et ne saurait, par conséquent, figurer au prem
. A. Hammond. — A Treatise on diseases of the nervous System, p. 666, fig. 31. New-York. des de ces membres. Cette atrophi
téristique qu'il affectait dans la station verticale. (Voir aussi les fig. 3, 4 et 9 du mémoire de M. Duchenne). Je ne puisq
u près complète-ment tous les autres détails histologiques. (Pl. VII, fig. 7.) Ici, encore,la membrane interne et en particu
ré d'une petite zone arrondie ou ovalaire de pigment jaune. (Pl. VII, fig. 4, a, a.) Quelques autres, de dimensions moins ré
rotoplasma totalement infiltré de granulations pigmentaires. (Pl. VIL fig. 4, b.) En un mot, atrophie du protoplasma, perte
parsemées de nombreux noyaux séparantceux qui ont survécu. (Pl. VII, fig. 5.) Sur les coupes transversales, ces bandes conj
points de la préparation où la destruction s'est effectuée. (Pl. VII, fig. \, a.) Ces coupes transversales fournissent enc
elques tubes analogues à celui dont nous donnons le dessin. (Pl. VII, fig. 3.) Ces tubes ont conservé le volume normal, ma
iennent frappantes par le fait de cette simple comparaison (Pl. VIII, fig. 4 et 5). Dans l'une, les fibres sont volumineus
uve envahi que lentement, et pour ainsi dire fibre à fibre (Pl. VIII, fig. 1 et/ig. 3). Il convient de rappeler en termina
n-dant presque toutes conservé leur striation transversale (Pl. VIII, fig. S), peut-être convient-il de faire intervenir la
nérations secondaires. — d, Point comprimé représenté, grossi, sur la fig. 2. — c, Région dorsale. Sclérose latérale et post
71 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
n sens contraire des phalangines sur les phalanges (voyez Planche IV, fig. 3 et 4, 1 et 2). La déviation en masse des phal
XI, p. 85,1843), le docteur B. Garroda fait figurer (/oc cit., pl. I, fig. h) un fragment de cartilage articulaire d'un gout
ermant à leur centre une masse opaque généralement arrondie (Pl. III. fig. 5, N), simple ou double, blanche à la lumière réf
fère, G, est déjà devenue transparente, tandis qu'un autre point, E, ( fig. 4,) de ce même tube reste obstrué par la masse am
était exactement celle du premier type figuré par M. Charcot (PL II, fig. 2) dans sa thèse sur le rhumatisme chronique. (Vo
du rein, dans le gouty kydney de Todd. Les dépôts blancs, (PL. III. fig. !, À) linéaires, se déta-chaient vivement, sur la
ismatiques, généralement parallèles ou réunis en faisceaux, (PL. III, fig. 3 D) quelques-uns d'entre eux par-tant de la mass
la masse principalement, se dirigeaient dans tous les sens (PL. III, fig. 1 D). Lorsqu'on eut ajouté de l'acide acétique,
ciculaires libres prenaient sur elles leur point d'implantation (voir fig. 19). M. Garrod (op. cit.) donne de la dispositi
grands îlots ou entre eux, on voyait des masses opaques plus petites ( fig. 18 N) qui servaient aussi de centres de cristal
dans son intérieur étaient dissous jusqu'au noyau qui restait opaque ( fig. 19, ). Enfin le noyau et, en dernier lieu, la nuc
n le noyau et, en dernier lieu, la nucléole, devenaient transparents [ fig. 19, r3). Ces résultats, parfaitement nefs et pl
xion. — Voyez Gharcot. Thèse inaugurale, Paris, 1853, p. 16, pl. I, fig. 3 et A, pl. II, fig. 1 et c2 ). — Cette femme aya
. Thèse inaugurale, Paris, 1853, p. 16, pl. I, fig. 3 et A, pl. II, fig. 1 et c2 ). — Cette femme ayant succombé à une pne
oïdes, bosse-lées, à base large ou, au contraire, presque pédiculées ( fig. 3). Ces tumeurs, qui peuvent atteindre le volume
at, qui révèlent suffisamment la présence de l'urate de soude (pl. I, fig. ) 3). Enfin, un dernier trait caractéristique, c'e
ée à la thèse de M. Bail (Du rhumatisme viscéral, Paris, 1866, pl. I, fig. 2) donne une bonne idée des altérations obser-vée
72 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
pas davantage des méninges cérébelleuses qui, comme le montre notre fig. 2, ne font qu'adhérer au ni- veau des points le
e. A environ 23 mm. du pôle occipital elle a une hauteur de 23 mm. ( fig. 4), plus en avant même de 30 mm. son maximum. E
2° série, t. XIX 12 178 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. cortex moins lésé ( fig. 7). Enfin elle est restreinte à une des- tructi
te aux faisceaux sagit- taux (Tap. Rtli. Fli.) dès leur apparition ( fig. 5.) Cela se voit surtout nettement dans la fig.
ès leur apparition (fig. 5.) Cela se voit surtout nettement dans la fig. 7 qui donne du reste une bonne idée de l'irrégu
ap. Euh. Fli.) sont directement lésées dans leur partie inférieure ( fig. 4-7). Tan- dis que le Tap. n'est pas sensibleme
et Fli. et à l'extrémité du 1/4 inférieur des fibres sa- gittales ( fig. 8, coupe 205). Mais déjà sur la coupe 185 le jam-
ression bien certaine que Fli. est beaucoup plus atteint que Ilth. ( fig. 9.) FIG. . 182 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Il es
normales dans sa parlie inférieure. Dès environ 15 mm. en avant de fig. 9, nous notons une len- dance prononcée de la d
space apparemment normal, peut-être un peu appauvri en li- v lires ( fig. 10). Sm la (ig. Il, cet espace est déjà devenu se
de Fig. 10. 184 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. c. g. e. paraît intacte ( fig. 12). Il est facile de constater l'appau- vrisse
vrissement en fibres nerveuses de la partie supérieure de c. g. c. ( fig. 12 et 13), tandis que sa partie inférieure, relev
amblyope et distinguo les ^objets placés à une distance rapprochée ( fig. 16 à 20); par suite, il peut paraître assez nat
le distingue deux points de dimensions égales, de la grandeur de la fig. 19, et indique leurs couleurs et leurs places r
oint vert est vu blanc dans les mêmes dimensions que le point de la fig. 17. 1 Expérience 8 (épreuve delà règle de Cuign
. Si elle ferme l'oeil gauche, l'image droite est vue comme suit : ( fig. 22) ; c'est sensiblement la même grosseur que d
suit : (fig. 22) ; c'est sensiblement la même grosseur que dans la fig. 20. Si maintenant elle ouvre les deux yeux ense
x couleurs normales, vert et rose et dans la disposition que voici ( fig. 23). En d'autres ternies, cet oeil droit, ambly
23. Les yeux de la malade regardant au sté- réoscope le test de la fig. `>l (exp. 21), le fusionnement a lieu comme
73 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
om de force neurique. par le Dr Baréty. Un fort vol. in-8°; avec 82 fig. dans le texte. Oct. Doin et Le-chevallier, 1887.
hysiologiques et thérapeutiques, 1 vol grand in-8 de 662 pag. avec 82 fig. dans le texte. Paris, 1887, chez Oct. Doin. L
endant l'année 1886. Vol. 7. In-8°, XLVIII-262 pages avec 3 plans. 25 fig. et 5 planches OUVRAGES REÇUS A LA REVUE De la
ée en fer à cheval placée sur le sujet en position isonome des pôles ( fig. 1 et 4) donnait les mêmes effets que l'applicatio
longitudinale d'un aimant de même forme, de même position des pôles ( fig. 2 et 5), c'est-à-dire que le même courant, qui co
turait quand les extrémités de la tige recourbée regardaient en haut ( fig. 1), décontracturait quand elles regardaient en ba
ent en haut (fig. 1), décontracturait quand elles regardaient en bas ( fig. 4); or, dans la seconde position (fig. 4). le cou
uand elles regardaient en bas (fig. 4); or, dans la seconde position ( fig. 4). le courant avait une direction inverse de cel
. 4). le courant avait une direction inverse de celle de la première ( fig. 1) et ils en avaient conclu que l'aimant devait a
endant sur le côté droit du buste et sur le côté interne des membres ( fig. 3 et 6). Quand les courants employés sont de se
, ils anesthésient ou contractures et. s'ils sont portés sur la tête ( fig. 1, a, 3), ils endorment; s'ils sont de même sens
1, a, 3), ils endorment; s'ils sont de même sens que celui du sujet ( fig. 4, 5, 6), ils décontracturent ou ils esthésient e
s. Dans la position hétéronome des pôles, le courant de sens inverse ( fig. 7, ft et 9) endort parfois, mais c'est exceptionn
9) endort parfois, mais c'est exceptionnel ; le courant de même sens ( fig. 10, 11, 12) réveille toujours. Voilà l'explic
Les émotions chez les sujets en état d'hypnotisme. In-8°. 98 p. avec fig. Baillière et fils. Grasset (J.) et Brousse (A)
humain, par les docteurs Chazarain et Ch. Dècle.— Broch. in-8°. 118 fig. , 1887. L'hypnotisme et les religions ou la fin
74 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
om de force neurique. par le Dr Baréty. Un fort vol. in-8°; avec 82 fig. dans le texte. Oct. Doin et Le-chevallier, 1887.
hysiologiques et thérapeutiques, 1 vol grand in-8 de 662 pag. avec 82 fig. dans le texte. Paris, 1887, chez Oct. Doin. L
endant l'année 1886. Vol. 7. In-8°, XLVIII-262 pages avec 3 plans. 25 fig. et 5 planches OUVRAGES REÇUS A LA REVUE De la
ée en fer à cheval placée sur le sujet en position isonome des pôles ( fig. 1 et 4) donnait les mêmes effets que l'applicatio
longitudinale d'un aimant de même forme, de même position des pôles ( fig. 2 et 5), c'est-à-dire que le même courant, qui co
turait quand les extrémités de la tige recourbée regardaient en haut ( fig. 1), décontracturait quand elles regardaient en ba
ent en haut (fig. 1), décontracturait quand elles regardaient en bas ( fig. 4); or, dans la seconde position (fig. 4). le cou
uand elles regardaient en bas (fig. 4); or, dans la seconde position ( fig. 4). le courant avait une direction inverse de cel
. 4). le courant avait une direction inverse de celle de la première ( fig. 1) et ils en avaient conclu que l'aimant devait a
endant sur le côté droit du buste et sur le côté interne des membres ( fig. 3 et 6). Quand les courants employés sont de se
, ils anesthésient ou contractures et. s'ils sont portés sur la tête ( fig. 1, a, 3), ils endorment; s'ils sont de même sens
1, a, 3), ils endorment; s'ils sont de même sens que celui du sujet ( fig. 4, 5, 6), ils décontracturent ou ils esthésient e
s. Dans la position hétéronome des pôles, le courant de sens inverse ( fig. 7, ft et 9) endort parfois, mais c'est exceptionn
9) endort parfois, mais c'est exceptionnel ; le courant de même sens ( fig. 10, 11, 12) réveille toujours. Voilà l'explic
Les émotions chez les sujets en état d'hypnotisme. In-8°. 98 p. avec fig. Baillière et fils. Grasset (J.) et Brousse (A)
humain, par les docteurs Chazarain et Ch. Dècle.— Broch. in-8°. 118 fig. , 1887. L'hypnotisme et les religions ou la fin
75 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e constate pas de différence entre la contractilité des deux côtés ( fig. 5). Les troubles de la parole qui s'étaient déj
a partie antérieure du genou gauche la sensiblililé est normale (v. fig. 6). La lecture des trois observations qui précé
haleur et absolue à la dou- leur, avec zones hypéresthésiques (voir fig. 1 et 2) ; 2° des troubles de la sensibilité spé
rès la méthode de Weigert, les ! lots sont absolument décolorés (voir fig. 7). Ils siègent dans les cordons antérieurs, da
le carmin n'a pas coloré, présentant une certaine réfringence (voir fig. 8). On y distingue des contours peu nets qui li
jaune, d'aspect vitreux et dépour- vues la plupart de noyaux (voir fig. 9). Archives t. XX. 4 Fig. 9. - Masses vitreu
ourvues de noyau; la plupart ont conservé leur'forme générale (voir fig. 4, a, b, c) ; il en est, mais très rares, qui s
is très rares, qui sont réduites en un amas de granula- tions (voir fig. 10, d). Vers la partie inférieure, les lésions
érieure elles deux tiers de la face postérieure de la jambe. (V. la fig. 11.) 2 Sensibilité à la température. - Le troub
ure de la jambe est prise dans une étendue beaucoup moindre. (V. la fig. 12.) 3° Sensibilité au tact. Elle est conservée
ment dite seule est insensible ainsi que le dos des orteils. (V. la fig. 13.) Nous sommes là en présence d'une sciatique
comprimant la région ovarienne droite suspendre les attaques (voir fig. 26 et 27) ; un rétrécissement double du champ v
à cette époque, ont été établis. « Le centre des muscles du cou ( fig. 35, a) est situé sur la partie latérale de la c
nt au voisinage de la terminaison latérale de la scissure frontale ( fig. 38 +) le centre pour les exten- seurs et les ab
re antérieur. Un peu derrière et plus près de la scissure coronale ( fig. 37 +) est le centre pour la flexion et la rotat
1 rieur et quelque peu plus en arrière. L'innervation du facial ( fig. 38") provient de la partie médiane de la circonvo
76 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
Est du pavillon, de manière à obtenir l'isolement le plus complet ( fig. 1 et 2). Par une disposition spéciale, le vitra
rage, sauf celles qui limitent en deux sens les cabinets d'aisance ( fig. 1, wc.), de telle sorte que, de son cabinet, la
haque pièce, et qui aboutissent à un grand coffre central vertical ( fig. 1, v.) dans lequel passe le tuyau de fumée (fig
central vertical (fig. 1, v.) dans lequel passe le tuyau de fumée ( fig. 1, f.) du fourneau d'office. Une couronne de be
e, en porcelaine, avec robinet, cuvette d'évacuation, syphon, etc. ( fig. 1, L, L). Chaque chambre isolée renferme une cu
erminer la visite médicale. Fin. 3. Coupe sur la ligne A B du plan ( fig. 1;. Le crédit autorisé se montait à 106.660 fr.
la tête, aplatie au vertex, était très large latéralement (voir la fig. 2) : diamètre Fiv. 2. longitudinal : 14 pouce
opreté et nous sommes parvenus à remplacer la robe par le pantalon ( fig. 21). Il est sujet à être constipé et est très s
as appartient à la catégorie des idiots crétinoïdes avec myxoedème { fig. 12). L'ob- servation qui suit a été rédigée d'a
Elle a une teinte rosée et même rougeâtre vers la partie moyenne ( fig. 15). c La moitié droite est plus volumineuse d'
(Fig. 26). Nous rapprocherons de ce tracé celui que représente la fig. 27 ; il montre la marche de la température dans
77 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
troublées du côté droit, et complètement perverties du côté gauche ( fig. 1). Le 16 mars 1898, la paraplégie s'est aggrav
e malade répond avec beaucoup plus d'hési- tation aux explorations ( fig. 2). Par moments, sensations de froid ou de chau
aux cuisses et à l'abdomen. PARAPLÉGIE SPASMODIQUE. 9 côté droit ( fig. 3). Quand on essaie de déplacer une jambe, la con
èce mentonnière et de deux pièces pour les bras- pièces axillaires ( fig. 4). Le patient est enlevé du sol par le menton
et se termine par un réceptacle pour la série des différents poids ( fig. 5). Le malade est assis; la traction se fait av
patient, permet d'amener son corps graduellement vers les jambes ( fig. 8). Dans son ensemble, et par son application, c'
nférieurs vers le tronc, quand le patient est couché sur un canapé ( fig. 9). Le professeur Benedikt vante beaucoup ce pr
sensibilité est normale, ainsi que sur la face dorsale des doigts ( fig. 12). Le champ visuel est rétréci de moitié envi
n de la sensibilité normale au- dessus à l'hypoesthésie au-dessous ( fig. 13). Les sensibilités à la température et au co
gnostique est intact, la sensation de position du membre conservée ( fig. 14). - , L'excitabilité des muscles de l'avant-
ité de la main droite (depuis le bout des doigts jusqu'au poignet) ( fig. 15). » Le sens stéréognostique est conservé, ai
4 CLINIQUE NERVEUSE. quand elle porte sur les deux moitiés droites ( fig. 19), ou sur les deux moitiés gauches du champ v
dans la moitié temporale ou externe du champ visuel de chaque oeil ( fig. 20). Hémianopsie croisée nasale, ou encore hémi
constater l'existence d'une hémianopsie temporale homonyme droite ( fig. 24), portant sur toutes les couleurs. L'acuité
'une façon très nette sur la figure schématique placée devant vous ( fig. 25). ' Je vous rappelle aussi qu'au point où l'
gine, il occupe la région rétro-lenticulaire de la capsule interne ( fig. 26) ; puis il ,se dirige horizontalement en arr
érieure. Rappelez-vous que l'artère cérébrale moyenne ou sylvienne ( fig. 29) irrigue la plus grande partie de la zone ro
resse l'une des bandelettes optiques dans toute son épaisseur (en A fig. 30), et là c'est le cas habituel, quand la lési
tion de son trajet : 1° L'hémianopsie d'origine corticale (en Cal., fig. 30) ou sous-corticale (en RO) est toujours bila
78 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es au second étage du grand bâtiment cen- tral de Clark University ( fig. 2) : l'une d'elles est vaste; les autres sont d
est servi M. le D1' Fernet (catalogue de Ch. Verdin, novembre 1890, fig. 136), dans son Elude sur les tremblements (Thès
t fait construire un appareil (cata- logue C. Verdin, octobre 1830, fig. 137) se composant d'un tambour de Marey portant
hiques de ces différents tremblements. Notre appareil se compose ( fig. 6) de deux tambours de de Marey, l'un* enregist
'ORBICULAIRE DES LÈVRES : agir comme il est indiqué précé- demment ( fig. 6), en ayant soin de fixer au préalable la tête d
trer en même temps les mouvements du corps ou de la tête. Exemple : fig. 5, fig. 6 et fig. 7. ( Vitesse lente.) 2° Pou
me temps les mouvements du corps ou de la tête. Exemple : fig. 5, fig. 6 et fig. 7. ( Vitesse lente.) 2° Pour LE tremb
les mouvements du corps ou de la tête. Exemple : fig. 5, fig. 6 et fig. 7. ( Vitesse lente.) 2° Pour LE tremblement des
appareil comme pour l'enregistre- ment du tremblement de la langue ( fig. 3). > Tous les graphiques ci-dessus, obtenus
ux formes dans lesquelles la moelle parait touchée pri- mitivement ( fig. '13). Le point de départ des lésions médullaire
t altérés d'une façon constante dans cette variété de leptomyélite ( fig. 14). Les éléments nobles de la moelle sont donc
E. 471 l' granulations de Virchow) qui les refoule, les comprime ( fig. 15) - et l'ischémie par oblitération des vaisseau
ans les formes qui rappellent, aussi bien au point de vue clinique ( fig. 16) qu'au point de vue anatomique, les myélites
uelques vaisseaux à la formation de foyers gommeux intra-pariétaux ( fig. 17). Fig. 16. - Ao- ? ? /6e syphilitique (forme
inées : état de repos et état d'action. . Dans le premier cas (V. fig. 18, a), la cellule glandulaire consiste en un r
sd)men- sions ; le nombre des granulations diminue énormément (V. fig. 19, e); le réseau cellulaire se dessine plus
tible ; à la place de la cellule on observe une énorme cavité (V. fig. 20, c) qui semble dans cer- tains cas complètem
l d'observations de neuro-pathologie. Fasc. I, 2oS p. in-8°, avec 8 fig. interc. dans le texte. Kazan, 1894; par V. M. Bec
79 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Ci-dessous la par- tie supérieure de deux tracés de l'oeil gauche ( fig. 3 et 4). Le tracé n° 3 pris le 11 juillet, la m
'étendue du champ visuel en haut sont indiquées dans le tracé de la fig. 5, 5, Le 11 septembre Rétrécissement notable po
ure des tracés du 11 septembre, et du 8 octobre pour l'oeil gauche ( fig. 6 et 7). La figure 6 présente les rétrécissemen
métriques. Ci- dessus la partie supérieure de celui du 3 nov. 1906 ( fig. 8 et 9). Ce tracé présente en haut le rétréciss
iques. Ci-dessous le schéma des variations du champ visuel en haut ( fig. 10). 20 août. Alitée se lamente et pleure. 24 a
ues. Ci-dessus la partie supérieure de deux tracés de l'oeil droit ( fig. 11,'et 12). , Ons. 17. FIG. 11. OBs. 17. FI
ès le schéma des variations de l'étendue du champ vi- suel en haut ( fig. 15). Le 24 août. Rétrécissement portant sur les
nts 'Ci- dessus la partie supérieure de 2 tracés de l'oeil gauche '( fig. 16 'et 17). ). - OBs. 117. Fac. 16. 0. G. O
riques. Ci-contre la partie supérieure de 2 tracés de l'oeil droit ( fig. 18 et 19). Le tracé n° 18 pris le 11 septembre,
la partie supérieure du tracé du champ visuel pris le 6 oct. 1906 ( fig. 20 et 21). Le champ est élargi dans toute son é
ès le schéma des variations de l'étendue du champ vi- suel en haut ( fig. 22). 23 champs, pris du 9 sept. au 1er oct. pen
nc. Ci-dessous le schéma des variations des champs visuels en haut ( fig. 23). Le 8 septembre. Le champ visuel monte pour
champ visuel, en rapport avec les troubles de l'activité générale ( fig. 24). Le 24 août. Le malade est pris, étant isol
ût, préoccupations de suicide ; 9 examens périmétriques com- plets ( fig. 25). 22 août. La malade étant déprimée est bien
blanc. Ci-contre 2 tracés complets de l'oeil gauche pour le blanc ( fig. 26 et 27). 2° Avec les hallucinations de la v
sous le schéma des variations de l'étendue du champ visuel en haut ( fig. 28). Le 6 septembre. Le malade pris la 2e fois
e des différentes formes de l'idiotie. In-8° de 136 pages avec 55 fig. Prix ...»-. 4 fr. Pour nos abonnés 3 fr. BOUR
tion de 11111. Durand, Friedel et Perrin. Vol. de 314 pages avec 17 fig. Tome XXV, Prix ........... 1...... > .......
80 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
iste aussi un spéculum Il quatre valves d'un mécanisme analogue. La fig. N représente un modèle plus simple, à deux valves
adhérences, situées à droite et à gauche du sillon médian antérieur ( fig. 13 Adh) ; ces deux adhérences, recouvrant une s
rrégulièrement arrondie mesurant environ 5 millimètres de diamètre ( fig. 13, Adh). En ces points, la dure-mère est épais
16. Coupe de la moelle dans la région commune aux deux gommes (voir fig. 13) : A ce niveau, les deux tumeurs sont symétr
istes (P. Lacroix, Vie milit. et relig. au moyen âge, 1873, p. 226, fig. 177). Deux possédés sont figurés sur des fresqu
sses étant en demi-flexion,cette sail- lie est encore plus visible ( fig. 20) (1). La déformation thoracique est très bie
comme il est de règle chez les sujets porteurs de celte difformité ( fig. 21). Le modelé de la poitrine, bien que fruste
légère, les deux dernières pha- langes étaient en flexion modérée ( fig. 30 et 31). Chez l'autre malade les trois dernie
isseurs des mains et des pieds. Les mains et les pieds sont ballants ( fig. 37 et 38) (1),. Lorsque ensuite les rétractio
ations des orteils, on constate une voussure anormale de la plante ( fig. 4.1 et 42). Dans la paralysie alcoolique, les r
n peut s'assurer du fait dans Ficoroni, De larvis scenicis (Pl. IX, fig. 2). Les anciens avaient dressé des statues à Po
&CL'0, t. 1, 1877. Article : Atellanoe {abuloe, par G. Boas : en, fig. 597. On s'accorde généralement à la regarder co
mités du même genre (Voir l'article de G. Boissier, cité plus haut, fig. 593, 594, 596). Comparer les figurines grotesqu
81 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
ns lequel passe un fd qui sert à re-tirer l'instrument, voir pl. VII, fig. xx. Des tentes de qualité inférieure sont formées
dé de M. Simpson. L'instrument est un bistouri caché métro tome {voj. fig. 13); d peut parfaitement faire at-teindre le but,
s ainsi par la lésion des vaisseaux qui se trouvent en ce point {vo/. fig. ii et 12, planche VII). Les chirurgiens qui sont
strument à deux lames dont l'action est beaucoup mieux calculée (voy. fig. i6 et 9). Les lames ne s'écartent pas de suite da
ssu que les ciseaux ont épargnée en haut vers la cavité utérine {voj. fig. 17, 18, 19). Après avoir bien ar-rêté l'hémorrhag
ns le cas où ce col est en même temps hypertrophié {voyez planche XI, fig. 3 et 4)' Si le corps fibreux renfermé dans une de
es. Après cette opération on peut déplacer l'urèthre comme on le voit fig. v, et le vagin se trouve raccourci. Mal-heureusem
in en avant de la fistule ; ces fils suivent le trajet indiqué par la fig. v' dans l'épaisseur des parois antérieure et post
illées. Le pé-dicule est comprimé dans le clamp B (voyez planche xiv, fig. xx). Le chirurgien saisissant d'une main le manch
côté droit, et sortent à 27 millimètres du bord droit du vagin (voy. fig. i). De cette façon les deux surfaces cruentées so
du nouveau périnée sont réunis par des points de suture entrecoupée ( fig. Il), et on place une sonde dans la vessie. Comm
82 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
tons, (PL. VII, Fig. 1); maintenant, il commence à écrire (Po. vil, fig. 2). Il compte jusqu'à 1000, distingue les chiff
une brèche longitudinale ouverte sur la moitié droite du crâne. La fig. 4 donne une idée nette de la manière dont s'eff
dans : Bourneville, Notes et obser- vations sur la fièvre typhoïde, fig. 10.) Aucun autre trouble typhiquc n'avait été n
i la suite de l'infiltration sanguine (is) que nous avons signalée ( fig. 8). Sur une autre coupe du même lobe cérébelleu
s'amuser avec un objet quelconque, un morceau de bois par exemple ( fig. 11). I ? 1;1. 266 Description DU malade. Et
- torsions des doigts comparables aux mouvements de l'athé- tose ( fig. 13, et 1 li). Ilrcmue lentemcnt les mains demi-fe
its sauts et grinçant toujours des dents Il fait vibrer ses lèvres ( fig. -1 : i). et produit des bruits de cornage parti
accom- plir. Sur notre ordre, il s'assied, prend diverses positons ( fig. 18, 19, 20,21), se lève en se contorsionnant, s
18, 19, 20,21), se lève en se contorsionnant, se couche à terre ( fig. 22, 23. 2h, 2;i 26), se relève sans hésitation, p
à être seul, et trouve le plus grand plaisir à déchirer du papier ( fig. 27) dont il entasse les morceaux dans ses poche
pusillanime, Réflexions. 279 le moindre geste brusque l'effraie ( fig. 28, 29), toutefois, cette frayeur, excessivemen
83 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
à Augsbourg qu'un premier portrait avait été dessiné par Isaac Brunn ( fig. 12). Ce portrait ne dénote pas chez son auteur, b
sage que par sa laideur vraiment repoussante. Le portrait ci-joint ¡ fig. 15) la représente telle quelle était en 1858, à
poils assez développés, fut dessiné par un peintre nommé Dworzaczek ( fig. 15). Le corps de cet enfant fut empaillé. Il en
a Pastrana qui diffère quelque peu de la précédente. Sur ce portrait ( fig. 17) les principaux caractères simlesqucs de la ph
les deux omoplates, une crinière rcctilignc comme celle d'un cheval ( fig. 23). Elle était née à Port-Iluron. Etat de Michig
excellente. Elle a toujours été bien réglée. La seconde photographie [ fig. 35) fut prise au moment de la ménopause. L'exam
r complet développement, comme on peut le constater sur son portrait ( fig. 37). La barbe et les cheveux étaient noirs. Tou
lle infortune. Annie Jones EUlot, m'offrit la photographie ci-jointe ( fig. 39). Fl£.S9. Annie Jcces Elliot femme a barbe,
ur de vingt centimètres et recouvre la partie médiane de la poitrine ( fig. 40). La raideur des poils de la barbe peut s'expl
dont elle relève les pointes fines, occupe toute la lèvre supérieure ( fig. 41). Les cheveux fins et épais sont naturellement
t bien garnie, enveloppe complètement la partie inférieure du visage ( fig. 45). Elle se divise naturellement en deux et s'ét
s foires, nous devons également mentionner Mme X... dont le portrait ( fig. 46] nous révèle l'existence d'une double anomalie
une femme à tous égards. Comme on peut en juger d'après son portrait ( fig. 49) elle n'avait rien de masculin ni dans son asp
Médical Times.en 1873(4). Il s'agit d'une femme de quarante deux ans ( fig. 521, entrée à l'asile du comté de Norfolk, le 29
84 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
yste à 4 centim. en arrière de son extrémité antérieure. ( pur.. V, fig. 1.) Celte coupe montre que le pseudo-kyste a un
que (la corne sphénoïdale se confondant ici avec le kyste). (PL. V, fig. % et 4). Troisième coupe. Elle est pratiquée su
; d'antres sont atrophiées, quelques-unes presque normales. (PL. V, fig. 1, 2, 3. Les fig. 4, a et 6 représentent des co
rophiées, quelques-unes presque normales. (PL. V, fig. 1, 2, 3. Les fig. 4, a et 6 représentent des coupes symétriques p
éruption. - La comparaison de ce tracé et de celui qui est représenté fig. 5, avec les tracés fig. 1, 2, 3 et et permetten
de ce tracé et de celui qui est représenté fig. 5, avec les tracés fig. 1, 2, 3 et et permettent de se rendre bien compte
était à 37°, et, à partir de là, d'heure en heure jusqu'à la mort ( fig. 7). AUTOPSIE. 1' 1 est le siège d'un épanchem
eudo-hyste), ayant détruit tout le lobe temporal. Hémisphère droit ( fig. 1, 2, 3), dessins demi-schématiques, gran- deur
85 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
en disant qu'il a voulu simplement se moquer de notre incrédulité ( fig. 3, dessin a). Un autre graphique analogue (fig.
notre incrédulité (fig. 3, dessin a). Un autre graphique analogue ( fig. 3, dessin b) se complète du message que voici :
le est superbe d'éclat a. D'autres sinuosités rehaussées de points ( fig. 4, a et b) sont définies l'une, a : « constellati
s, revenir sur les méandres d'une ligne qu'elle venait de tracer ' ( fig. 7). Ces dessins cessèrent presque complètement
t 10, on voit l'atrophie de la partie antérieure du cerveau; sur la fig. Il où est représentée la coupe du crâne, on rem
en forme de lamelles ayant jusqu'à 2 centimètres de hauteur. Sur la fig. 12, on voit une anomalie assez curieuse, l'agrand
les hémisphères à l'état naturel' et après leur incision. Le crâne ( fig. 13) a une forme régulière. En général, ceux qui
Les notions usuelles sont assez limitées. b. L'hémiplégie gauche ( fig. 14) est nettement caracté- risées, au membre su
système musculaire bien mis en évidence par les mensurations et la fig. 15. Le membre inférieur gauche offre les mêmes
e dans l'hé- miplégie spasmodique' infantile. 1882 (avec 2 pl. et 5 fig. ), un de nos internes, M. Vuillamier, a repris n
a cessation des accès, la température s'abaisse jusqu'à la normale ( fig. 16), puis elle se relève plus ou moins vite, mo
t l'épaisseur était le double des os correspondants du côté gauche ( fig. 15) ; elle prédominait au niveau du frontal ; 2
du liquidecéphalo-1'Ctchidien. (Voir le numéro de juillet, p. 39, fig. 8, et PL. 1 et II, un cas analogue : Hypertrophie
arnivores. Une partie du cuir chevelu est montrée (voyez planche I, fig. 1), et aussi des préparations micros- copiques
caractérisaient la der- nière, étant bien marquées (voir planche I, fig. 2). Scissures. Les scissures de Sylvius et de R
86 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
tuniques sous jacentes sont alors plus difficiles à étudier (Pl. III, fig. 1, B.) Tantôt l'altération de l'adventice, et c'e
ance de l'altération plus superficielle décrite précédemment. (Pl. I, fig. 1, A; et Pl. IJ, fig 1). En effet, on voit souven
run rougeâtre ou noirâtre, quelques-uns même gris ou jaunâtre (Pl. I, fig. 2, A,B). Si l'on examine ces taches de plus près,
lus d'attention que celle des anévrysmes des circonvolutions (Pl. II, fig. 3, B, G, D.) Jusque-là pour être minutieuse cet
ot bouchant à la façon d'un capuchon des vaisseaux ruptures (Pl. 111, fig. 2), mais on finit par en trouver quelques-unes, d
gements villeux, au pourtour des cartilages diarthrodiaux. (Pl. IV, fig. 1 et 2.) Ceux-ci présentent un reflet bleuâtre tr
e-même complètement, au bout de quelques instants. Les tracés de la fig. ' î et de la fig. \ ont été obtenus dans les niâm
t, au bout de quelques instants. Les tracés de la fig. ' î et de la fig. \ ont été obtenus dans les niâmes conditions expé
très rapidement à la contracture ainsi que le prouvent les tracés des fig. 3 et h. L'excitation portée sur les muscles flé
s les conditions requises d'hyperexci-tabilité neuro-musculaire. La fig. 1 (Pl. _Y) est la représentation d'une expérience
t au terme de son mouvement dans l'attitude figurée ci-contre (Pl. V, fig. 1). — On distingue parfaitement, sur cette photog
87 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
tait à découvert l'ensemble des ventricules (Cerebri anatome, cap. X, fig. 7). Duncan modifia légèrement cette manière de
un réseau très-délié. (1) Arnold. Tab. analom., fasc. 1, Tab. VIII, fig. 4.» 2° Structure du noyau blanc. Les fibres d
uct, cerebr. Parmœ, 1782. (3) Trailed'anatomic Paris, 178G. PI. IV, fig. \, ce. l'avoir généralisée en la rendant plus p
ité indique que les (1) Voyez Kôlliker. Histologie humaine, p. 338, fig. 151 et 152. (2) Tabulée anatomicœ. (3) Journa
interne de l'hémisphère, et plus (1) Tab. anatomicœ, fasc. 1, t. X, fig. 5. (2) Anatomic etphysiolouiç du système nerveu
es du moins, était celle- (1) Arnold. Tab. anatom., fasc. 1, pl. X, fig. 19, r. r.et fig. 2, m. n. ci : on considérait l
t celle- (1) Arnold. Tab. anatom., fasc. 1, pl. X, fig. 19, r. r.et fig. 2, m. n. ci : on considérait le corps calleux c
au. Paris, 1823, page 262. (4) Foville, Pl. XV, I. J. L. — Pl. XVI, fig. 2, 0. Q. K. R. R.- Pl. XVII, fig. let 2. —Pl. XIX
oville, Pl. XV, I. J. L. — Pl. XVI, fig. 2, 0. Q. K. R. R.- Pl. XVII, fig. let 2. —Pl. XIX, fig. I. au désir de la reprodu
L. — Pl. XVI, fig. 2, 0. Q. K. R. R.- Pl. XVII, fig. let 2. —Pl. XIX, fig. I. au désir de la reproduire. On y voit le corp
ie aux hémisphères qu'un pinceau rudimentaire. (1) Foville, pl. XX, fig. 5. Ainsi, dans l'homme, le système dont nous pa
certaine célébrité. Voy. à ce sujet Meckel, Archiv. Bd. 1, torn. Il, fig. 3 et 8. —R. Wagner, Icônes. Tab. 22, f. xu, et Lo
de physiologie, torn. H, deuxième partie, de la génération, page 195, fig. 22, B. borner à une exposition empirique de fai
ephalic, offrent, sous ce rapport, (1) Cf. Morel, hoc. cil., Pl. X, fig. 3. une grande ressemblance avec les sauvages. T
88 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
r : il dit n'avoir abso- lument rien senti. Etat actuel (5 août) ( fig. i, 2, 3). - Tète de volume à peu près moyen, ré
a peau. Il n'y a pas d'atrophie des éminences thénar et hypothénar ( fig. 4). b) Main droite. - La peau est épaisse, prin
, des deux côtés, est nul. Au dynamomètre, 10 à gauche, 6 à droite ( fig. 4 et 6). Membres inférieurs. - Dans l'attitude
e plus, elle' est dans l'adduction et croisée sur la cuisse gauche ( fig. 2 et 3). L'adduction est limitée; laflexion com
il en est de même de l'arrêt de développe- ment du reste du tronc ( fig. 29). Les mesures suivantes en donnent une idée.
d cubital, tandis que le métacarpe est incliné vers le bord radial ( fig. et 6). Tous sont l plus ou moins déformés. La p
ême la déchéance intel- lectuelle ressortent bien nettement sur les fig. 16, 17 18, 19. Les spécimens de l'écriture offr
tre, l'épaule gauche étant plus basse que la droite. Les bras, en fig. 39 238 Imbécillité ET paraplégie spasmodique.
89 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
m des autres mamelles ; il y a aussi moins de globules laiteux. (Voy. fig. 1, 2, 3 et 4.) D'après M. Donné1, ce lait des gro
u lait, dont on pourra reconnaître les qua¬lités histologiques. (Voy. fig. 1, 2, 3 et 4.) Si les cas de mamelles supplémen
rdinaire de l'homme : elles nous épargneront une longue des¬cription ( fig. 2 et 3). TjEnia Madagascariensis. — C'est sur d
adressa à notre secrétaire général une épreuve photographique (pl. X, fig. 1) portant la mention suivante : " La photograp
tte apparence devient plus évidente clans l'épreuve amplifiée (pl. X, fig. 3) que j'ai fait tirer ; mais quant au coude prés
pouls n'a pas été proportionnelle à l'augmentation de la température ( fig. 3). Observation VIII. — Multipare. — Fièvre de
critique, ou bien c'est une forme particulière de la fièvre de lait ( fig. 6). Observation XI. Primipare. — Fièvre de lait
permet de rapprocher progressivement les deux lames à bords mousses ( fig. 1). La section s'est faite, comme d'ordinaire, sa
90 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
la région Lhalamique supérieure de la capsule interne (détail de la fig. 14). Méthode de Weigert. Cc, corps calleux. -
ieur de la capsule interne (en particulier, par la ligne B Il de la fig. 11 i). Dégénérescence de la substance blanche non
e partielle du bras du tubercule quadrijumeau postérieur (13r Qlp) ( fig. 149). Atrophie secondaire très évidente du faisce
l'hypertrophie de la capsule interne saine. Méthode de Weigert. La fig. 147 est dessinée à la même échelle (5/4 grandeu
an. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nalure. Dans le cas Lavigne ( fig. ils9, 190 et 191) enfin, il s'agit d'une lésion c
onnant le lobe orbitaire au-dessous de sa couronne rayonnante (voy. fig. 213, le plan de direction de ces coupes). La co
s thalamique (Fig. 227) et sous-thalamique de la capsule interne ( fig. 228, 229, 230). Bien que mince et étroit dans l
ites non traunzatischer ]{opfverlet;;ung. Neurol. Centralbl., 1898, fig. 59. - Lisso. Zur Lehre von der Localisation des
- Cas Rivaud. (Hémiplégie cérébrale infantile (p. 150) détail de la fig. 1 \'5, p. 153). Méthode de Weigert. 10/1 grande
uberis) dans son trajet à travers le tuber cinereum (Voy. cas Racle fig. 16j à t73, p. 167). Bibliothèque des Internes
sceau de Gudden. - Coupe sagittale passant en dehors de celle de la fig. 262. Méthode de Weigert-Pal. Caf, commissure de
ffectent l'aspect d'un pointillé assez régulier (Fig. 290 et T. Nier, fig. 302 et 303). Sur les coupes horizontales qui in
alamiduc d'Arnold au moment où il aborde le pulvinar (comparez avec fig. 83, p. 112, cas Cour rière). - lme, lame médull
ns la région du faisceau thalamique (Fth) et du champ de Forel (F) ( fig. 298). Dégénérescence partielle du taenia thalam
sent : 1° Par le taenia semicircularis (Voy. ce faisceau, p. 265 et fig. 255), donl une parlie des fibres, en prenant le
ntricule, le diverlicule pinéal, plus mar- qué chez l'embryon (Voy. fig. 42, pg, 99, T. ICl')'que chez l'adulte, sépare la
6. - Sappey. Traite d'anatomie. 3° édition, 1877, T. III, p. 13as0, fig. 495-aOl et 507-314. - SCIILES11NGER. Beitrage zur
ittale médiane SI du vermis passant par la ligne de repère SI de la fig. 407. (Méthode de Weigert-Pal.) 2/1 grandeur nat
u tronc encéphalique, passant par la ligne de repère SI bis de la fig. 407. 2/1 grandeur nature. Méthode de Weigert-Pa
de la région de transition passant par la ligne de repère S 5 de la fig. 401. 2/1 grandeur nature. Méthode de Weigert-Pal.
de l'hémisphère cérébelleux passant par la ligne de repère 9 de la fig. 407. 2/1 Gran- deur nature. Méthode de Weigert-
91 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
es que : « Je ne veux pas à la soupe. Il a battu Geor- ges, etc. » ( fig. 9). Décembre. Beaucoup d'amélioration dans les
re de noyaux qui sem- blent nés sur place, viennent sejoindre en 2 ( fig. 18) par e\emple des noyaux conjonctifs provenan
nt de la partie interne de la cho- roïde de sorte que la papille (3 fig. 1) présente un état de sclérose déjà avancé; il
on que nous n'insistions pas davantage ici. Les vaisseaux (4 et 5 fig. 18) ont leur paroi peu épaissie, ils sont enlou
La rétine présente dans ses parties avoisinant la papille (6 et 7 fig. 18) des. lésions de même intensité que celles que
les modifications qu'elle a pu subir : La limitrarzle interne (1, fig. 19) est épaissie, elle mesure plus de deux p.;
aissie, elle mesure plus de deux p.; d'épaisses fibres de Muller 2 ( fig. 19) en partent, on les voit,d'abord se diriger
malement; de sorte qu'il ne reste plus que les libres de Mutter (7, fig. 19) formant autant de colonnes verticales épaisse
! <0 ! ) ? te<s ont, comme on peut s'en rendre compte en 10, fig. 19, notamment, une forme irrégulière; ils sont
tions dispersées comme en 1 par exemple. La couche pigmentaire (16, fig. 19) complètement séparée de la rétine, est rest
t certaines cel- lules en sont presque complètement dépourvues (17, fig. 19). La choroidc présente à ce niveau des lésio
SOCIÉTÉS SAVANTES. 257 Cas V. Le Br... (Sainte-Marie), douze ans ( fig. 20). Premier traitement (1er janvier-24 avril 1
es couleurs : rouge, vert, jaune et bleu. Comme on voit d'après les fig. 30 à 33. insérés plus haut. la vue périphérique
pathologique présente en outre du pigment et des amas cellulaires ( fig. 38). Le pigment, par son aspect général et ses
r constaté à l'oeil nu dans toute la hauteur du foyer pathologique ( fig. 39). Ces amas, plus ou moins volumi- neux, inte
92 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t indemnes dans la plus grande partie de la région lombaire (PL. I, fig. 1, 2 et 3). Au contraire, à l'extrémité supérie
). Au contraire, à l'extrémité supérieure de cette région (PL. I, fig. 4), ils sont sclérosés dans presque toute leur ép
e Goll sont moins altérés que ceux de Burdach et même sur un point ( fig. 8), ils paraissent indemnes de toute lésion.
- sale et de la partie inférieure de la région cervicale (PL. II, fig. 9 et 10) que la sclérose est le plus accusée. Ell
effet toute l'épaisseur des cordons postérieurs. Plus baut(PL. II, fig. 11 et 12) les bandelettes externes sont intacte
ie-mère. Ce triangle scléreux confine à la corne postérieure sur la fig. 1 qui représente une coupe du cône médullaire ;
e qui correspond aux cordons latéraux. On voit en effet (PL. III, fig. 14) que en a, la teinte bleue est beaucoup moins
ux et leur gaine lymphatique sont infiltrés de leucocytes (PL. III, fig. 13, a). g) Sur les points où la sclérose n'a pa
apparaît variqueux sur des coupes longitudinales (PL. III, (tg, 15, fig. 16 B.) Il) Les racines antérieures et postérieu
oupe longitu- dinale un tube nerveux heureusement isolé (PL. III, fig. 15). On voit que le cylindre axile est variqueux,
'on examine l'un de ces vaisseaux à un fort grossissement (PL. III, fig. 13, a), on voit que ses parois et sa gaîne péri
93 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
(avec le tableau roulant), soit enfin dans les promenades (1). Les fig. 1, 2 et 3 complétant celles du Compte-rendu de
usage il la section des Enfants arriérés et épileptiques (Voir les fig. 7 à 51 de ce Compte-rendu Petite ÉCOLE. JX co
tre. Tel est l'aspect représenté sur la figure 3 : on voit sur la fig. 2 un stade intermédiaire. Toute la morphologie,
e le cas de la figure 1 ou le cas intermédiaire représenté sur la fig. 2- (1). Figures schématiques empruntées à 1\1.
ire. La partie rayée représente ce qu'il faut ajouter il l'os de la fig. 1 pour qu'il prenne la. forme de la fig. 3. A
faut ajouter il l'os de la fig. 1 pour qu'il prenne la. forme de la fig. 3. A lapartieinférieure de l'os, on retrouve d'
a, bord antérieur; - e, bord externe ; - i, bord interne. - Sur la fig. 7 agrandissement de la partie a e (ptère sus ép
des muscles les modifications suivantes sont survenues. Fig. 8. fig. 4. Fig. 6. Fig. 9. Fig. 5. Fig. 7. Humé
94 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
de façon à léser le faisceau optique dans son trajet vers le coin ( fig. 1). ). Observation 28. (Haab). Homme de soixant
des efforts réitérés, il arrive à tracer le barbouillage représenté fig. 7. Traitement : 2 capsules de bromure de camphr
ns bouger durant une minute environ. Il écrit encore illisiblement ( fig. 8). Les grimaces sont intermittentes. La parole
on écriture a repris les caractères qu'elle avait avant sa maladie ( fig. 10). Cette observation s'ajoute à celles qui on
Au début, la périphérie du cylindre de myéline est seule atteinte ( fig. 1). Les couches les plus excentriques, celles q
lies de granulations très fines, grisâtres, jau- nâtres ou ambrées ( fig. 2 et 3); entre ces sphères existe une matière p
etite quantité de protoplasma et des noyaux plus ou moins nombreux ( fig. 4). Entre ces renflements, la gaine de Schwann
le sur laquelle se détache une succession de petits noyaux ovoïdes ( fig. 5); ou bien elle n'est pas complètement flétrie e
e, d'un jaune ambré et aussi des noyaux disposés en série linéaire ( fig. 6, PI. II). Le cylindre-axe n'y est pas mieux r
ux ou en boules noires par la végétation exubérante du protoplasma ( fig. 7); le. cylindre-axe est rompu; sectionné en mê
nce en distance celle-ci est dé- primée par de gros noyaux ovoïdes ( fig. 8 et 9). Il s'agit évi- demment là de libres ou
95 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
HISTOLOGIQUE DE la MOELLE épinière Er du cerveau. Moelle lombaire ( fig. 1). Les faisceaux blancs, colorés par la méthod
nd nombre d'entre elles persistent. b) Moelle dorsale supérieure ( fig. 5). A l'étage supérieur de la moelle dorsale, l
es est tou- jours très net. Moelle cervicale. a) Etage inférieur ( fig. 6). - L'intégrité du faisceau de Goll est ici m
andelettes externes. Mais lorsqu'on atteint l'étage cervico-dorsal ( fig. 6), on se trouve en présence d'une bande sclére
à une fente. A la hauteur des dernières racines dorsales (XI-YII) ( fig. 8), toute la section ne paraît présenter qu'une
(dégénération ascendante). A la hauteur de la VIe racine cervicale ( fig. 10) la tumeur méningée atteint son maximum : à
arois on voit du tissu conjonctif formant de larges festons (t. c., fig. 10), et des fibres névrogliques lassées concent
egment cervical, une cavité qui modifie bien l'aspect de la moelle ( fig. 11); les cordons de Goll (dégénérés) se trouvent
upérieurs et plus particulièrement dans les interosseux. Les mains ( fig. 20 et 21) ont pris la forme de griffes à cause
est-à-dire se sont mises en 1 apport avec la paroi des capillaires ( fig. 4). Nous ne sommes pas ici en présence d'une tr
tion ici et évitons ainsi des répétitions inutiles. Le dessin de la fig. 5 donne l'image exacte d'un de ces petits terri
t centrifuge par le troncde ce nerf, puis les filets ciliaires' (V. fig. 26). Le réflexe irien à la lumière et le réflex
en repart aussitôt par les fibres cen- trifuges correspondantes (V. fig. 27, 28 et 29). Dans le réflexe conscient et vol
96 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la dépendance d'autres causes. Observation I. (Voir l'caacue I, fig. 1 et 2.) R..., trente-sept ans, pasteur, entre
compte de cette affection. .. Observation II. (Voir Planche II, fig. 1 et 2.) L..., trente-cinq ans, cordonnier, ent
manifestement à la sciatique. Observation 111. (Voir Planche III, fig. 1 et 2.) M..., trente et un ans, marchande de"j
ui pourrait, à première vue, prêter à la confusion (voir Planche V, fig. 1 et 2); mais ces ma- lades sont atteints en mê
très caracté- ristiques. Le champ visuel est très rétréci à droite ( fig. 9 et 10). Le goût est obnubilé. Il existe enfin
bas par les expansions nerveuses supé- rieures du plexus lombaire ( fig. 3)'. La thermo-anesthésie se ré- pandit sur la
épinière du côté droit, nette- ment limitée par la ligne moyenne ( fig. 4). En haut et en arrière, l'anal- gésie s'élèv
roubles objectifs de la sensibilité ont considérablement augmenté. ( fig. 5.) Dans la région du nerf grand occipital des
de la douleur et du toucher à la moitié radiale de la main droite ( fig. 7 et 8). Il occupe les trois premiers doigts et
où sa disposition est sem- blable à celle qu'elle a sur la paume ( fig. 7. et 8). Bientôt après l'apparition de l'anest
nous excitons par le n° 4 pendant dix secondes. (Voir le tracé fig. 38.) Ensuite, nous exci- tons avec le n° 3, p
97 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e la moelle, par une capsule. fresi fine de tissu conjonctif (Pl. \, fig. 3). Sur la coupe transversale cette,' tumeur av
I TI 1 nll de pelote§ entremêlées les unes dans les autres (Pi. V, fig. 4).. 11 li r 1 Î .,IJ JirilliJ'l . 'JJU.ttU'th
it à peu près à la moitié de la largeur de la commis z sure (PL. V, fig. 4 et 5). Tout ce que la tumeur, par son envahisse
un mince filet logé entre la tumeur et la corne postérieure (PL. V, fig. 4 et 5). Les cordons anté- rieur et postérieur
des concrétions cristallines. Fig. 6. Grossissement de la tumeur ( fig. 4). Fig. 7. Concrétions cristallines v couches
ne portion du vaisseau avec ses branches collatérales (Fig. XI V et fig. 7.Y de l'auteur) Sur des sections horizontales,
qu'il appelle arteriw cornuum posteriarum posticai. (Voy. c. p. p. fig. 11 et IV). Il signale encore la présence consta
des concrétions cristallines. Fig. 6. Grossissement de la tumeur ( fig. 4). . Fig.7. - Concrétions cristallines à couch
. Fig.7. - Concrétions cristallines à couches concentriques (de la fig. 5). Fig. 8.-Représentant une portion de la colo
98 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sie des mouvements associés de latéralité (examen de M. Sauvineau) ( fig. 5 et 6). t 2° Troubles de la motilité. Il n'e
rsque le centre du tube n'est pas occupé par la papille vasculaire ( fig. 8). A certains endroits, les cellules subissent
des deux tiers supérieurs et du tiers inférieur du disque cornéen ( fig. 9, 10, 11, 12). Au cours de cette constatation
dans la soirée du 19, au milieu d'accidents congestifs pulmonaires ( fig. 13 et 17). Observation III. Blanche C..., âgée
5 et 16). Le 25 juillet, la dépression a disparu sur l'oeil gauche ( fig. 9 et 10). Le 29 juillet, il n'existe de dépress
ée un léger piqueté, dépourvu de toute inflammation appré-- ciable ( fig. 18 et 19). Le 22 août, je retrouve, après une a
alaire, occupe la partie inférieure et médiane de la cornée gauche ( fig. 21 et 22). Le 19 juillet, la dépression de l'oe
e sèche ; 90 pul- sations ; réflexes rotuliens normaux ; alitement ( fig. 23 et 24). Le 22 juillet. Sur l'oeil droit seul
ession en dedans et dépression en dehors, à la limite de la cornée ( fig. 2G et 27). Le 29 juillet. Dépressions moins app
utre en dehors de l'oeil gauche, moins étendue que les précédentes ( fig. 28). Le malade'se meut avec moins de difficulté
n'existe de dépression que sur l'oeil droit en dedans de la cornée ( fig. 30 et 31). Le 4 septembre. Absence complète de
survenu le 31 novembre 1901, à 4 heures du soir, par marasme aigu ( fig. 34). Dans ce cas suivi de mort, il devenait int
99 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
43. ? (2) Compte-rendu du service de Bicêtre, 1885, p. 49 (avec '4 fig. d'éoriture). Voir aussi le Compte-rendu de 1895
... est agitée ; préhension impossible ; écriture mécon- naissable ( fig. 1 et 2) ; on est forcé de la nourrir et de la mai
dans une longueur de 3 centimètres sur le crâne de Le Ga.. (PL. IX, fig. 1) et de 6 centimètres sur le crâne de Pint.. (
ade n'a pré- senté d'albuminurie. Il sort guéri le 17 décembre. (La fig. 10 représente la marche de la température.) 1
pilppsie. Thèse de Paris. Errata . Page 82, au lieu de ? 17, lire fig. 7. Page 170, ligne 13, au lieu de Rungès, lire
s sutures métopiques, partielle dans la fg. 1, ut complète, dans la fig. 2. BOURNEV1LLE, Bicêtre, 1898. - - " PL. IX,
100 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
erfs cutanés an voisinage, de l'eschare fessière droite (Obs. iI1); fig. 2 et 3, sixième nerf intercostal (Obs. IV). Fig
e avec coloration jaune provenant du Me nerf intercostal (Obs. IV); fig. 16 et 17, atrophie avec aspect conjonctif provena
f provenant des nerfs du voisinage de l'escliare fessière (Obs. I); fig. 16, faisceau de fibres non dissociées; / : y. 1
ne au niveau et un peu au voisinage du lobule paracentral. (PL. IV, fig. 1 et 2.) En effet, au niveau de ce lobule, sur
nerfs cutanés au voisinage de l'eschare fessière droite (Obs. III); fig. 2 et 3, sixième nerf intercostal (Obs. IV). Fig
erf cutané au voisi- nage de l'eschare fessière droite (Obs. III) ; fig. 6, nerf mentonnier (Obs. V); fig. 7, sixième ne
hare fessière droite (Obs. III) ; fig. 6, nerf mentonnier (Obs. V); fig. 7, sixième nerf intercostal (Obs. IV). Fig. 8,
avec coloration jaune provenant du lie nerf intercostal (Obs. IV); fig. 16 et 17, atrophie avec aspect conjonctif provena
f provenant des nerfs du voisinage de l'eschare fessière (Obs. I) ; fig. 16, faisceau de fibres non dissociées; fig. 17,
are fessière (Obs. I) ; fig. 16, faisceau de fibres non dissociées; fig. 17, fibres isolées par la dissociation. Fig. 18
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