E DES CENTRES NERVEUX DEUXIÈME PARTIE (suite) CHAPITRE VI
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE On désigne
IBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE On désigne sous le nom de
fibres
de projection de l'écorce cérébrale l'ensemble
le nom de fibres de projection de l'écorce cérébrale l'ensemble des
fibres
qui, prenant leur origine dans les cellules de la
système du rhinencéphale. Le système du manteau cérébral envoie ses
fibres
de projection dans la capsule interne et attein
ons olfactives et le lri- gone cérébral et n'envoie que très peu Je
fibres
dans la capsule interne. La capsule interne rep
ar le rhinencéphale TOME Il. 1 Lo manteau cérd- bral envoie ses
fibres
de projection dans la capsule interne. Le r
d'un manteau cérd- bral. 2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les
fibres
do pro- jection du manteau cérébral sont des
dentala, corne d'Ammon, subiculum), donne naissance à un groupe de
fibres
qui est l'homologue du trigone cérébral. I. SYS
de fibres qui est l'homologue du trigone cérébral. I. SYSTÈME DES
FIBRES
DE PROJECTION DU MANTEAU CÉRÉBRAL. NEURONES COR
JECTION DU MANTEAU CÉRÉBRAL. NEURONES CORTICAUX DE PROJECTION Les
fibres
de projection du man- teau cérébral sont des fi
ROJECTION Les fibres de projection du man- teau cérébral sont des
fibres
corlici- luges. Elles pré- sentent comme ca
sceau pyramidal croisé; l ? lcl, faisceau pyramidal direct; /7 ? t,
fibres
py- ramidales liomolatérales. - Ln, locus niger
au rouge de Stilling. Elles peuvent être désignées sous les noms de
fibres
cortico-thalamiques, cortico-genonillées, corlico
halamiques, cortico-genonillées, corlico-rubriques, etc. Les autres
fibres
, poursuivant leur trajet descendant, apparaissent
ans l'étage antérieur de la protu- bérance, s'enchevêtrent avec les
fibres
transversales du pédoncule céré- belleux moyen,
leux moyen, puis forment la pyramide antérieure du bulbe. Parmi les
fibres
de la voie pédonculaire, les unes s'arrêtent dans
et la substance grise de l'étage antérieur de la protubérance (Np) (
fibres
cortico - prolubéranlielles) ; les autres se re
; les autres se rendent dans les noyaux des nerfs moteurs crâniens (
fibres
cérébrales des nerfs moteurs crâniens) et repré-
é- sentent les neurones centraux, corticaux de ces nerfs. Quant aux
fibres
de la pyramide antérieure du bulbe (fibres pyra
de ces nerfs. Quant aux fibres de la pyramide antérieure du bulbe (
fibres
pyramidales, faisceau pyramidal), elles s'entre
épinière et se terminent dans toute la hauteur de sa colonne grise (
fibres
cortico-médullaires) ; les fibres les plus long
e la hauteur de sa colonne grise (fibres cortico-médullaires) ; les
fibres
les plus longues atteignant l'extrémité supérieur
termi- nale (Dejerine et Thomas). Par son trajet, le système des
fibres
de projection du manteau cérébral appartient do
culaire dans le rhombencéphale et la moelle épinière. 1. TRAJET DES
FIBRES
DE PROJECTION DANS LES CERVEAUX AN- TItIIEUR, I
, PIED DU PÉDONCULE CÉRÉBRAL. A. CENTRE OVALE A leur origine, les
fibres
de projection du manteau cérébral concourent, a
, les fibres de projection du manteau cérébral concourent, avec les
fibres
calleuses, les fibres d'association et les fibres
tion du manteau cérébral concourent, avec les fibres calleuses, les
fibres
d'association et les fibres corticipètes ou ter
courent, avec les fibres calleuses, les fibres d'association et les
fibres
corticipètes ou terminales, à la formation du c
s'irradient suivant un plan oblique de l'hémisphère, tandis que les
fibres
calleuses s'irra- dient suivant le plan vertico
s variables. Enchevêtrement des libres do pro- jection avec les
fibres
d'association, les fi- bres calleuses et le**
n avec les fibres d'association, les fi- bres calleuses et le**
fibres
s terminales dans la partie externe du centro
ieussens. 1 4 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Concentration des
fibres
do projection en un faisceau com- pact dans l
s la partie interne du centre ovale. Dans lo centre ovale les
fibres
de projection affectent un trajet coudé. As
ante après dissociation. A la partie interne du centre ovale, les
fibres
de projection se coudent, émettant parfois une
tive qui sépare la capsule interne de la couronne rayonnante. Les
fibres
de projection ne convergent donc pas radialement
nt postérieur; CR(i) segment inférieur de la couronne rayonnante.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 5 tail lar
de rapports communs (Fig. 3, 7, 10). Leur face interne recouvre les
fibres
calleuses et le faisceau occipito-frontal qui l
e faisceau ar- qué ou longitudinal supérieur et croisé par quelques
fibres
du faisceau occipito-frontal (Fig. 4, rOr) et p
rontale et au faisceau occipito-frontal qui la double en avant, les
fibres
de ce segment sont beaucoup plus longues que cell
es du segment moyen, mais elles n'atteignent pas les dimensions des
fibres
des segments postérieur et inférieur. Les fibre
les dimensions des fibres des segments postérieur et inférieur. Les
fibres
inférieures se dirigent obli- quement en haut e
la couronne rayonnante constitue un faisceau volu- mineux, dont les
fibres
se disposent en deux couches parallèles. La cou
Ne, Ni, noyaux antérieur, externe et interne du thalamus. NC, tête
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 7 grosses
tient peut-être moins à la finesse qu'à la moindre abondance de ces
fibres
(Fig. 4). La dis- tinclion en couches externe e
a couronne rayonnante en un faisceau complexe contenant à la fois des
fibres
occipito-frontales et des fibres de projection(
u complexe contenant à la fois des fibres occipito-frontales et des
fibres
de projection( ? +07''), et constituant en dedans
s et des fibres de projection( ? +07''), et constituant en dedans des
fibres
cal- leuses, un faisceau horizontal dont les fi
t en dedans des fibres cal- leuses, un faisceau horizontal dont les
fibres
traversent le pied de la couronne rayonnante et
ec, lee', taenia tecta. - Vf, corne frontale du ventricule latéral.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 9 rieur de
à la base du gyrus reclus (oF, [Gr]), qui lui envoie de nombreuses
fibres
: son segment externe, plus long et plus épais, s
ompact de la cou- ronne rayonnante est surmonté à ce niveau par les
fibres
de projection de la première circonvolution fro
et dans la capsule interne que sur des plans plus postérieurs. Les
fibres
des couches sagittales du lobe frontal ne se rend
des libres d'association et un nombre plus ou moins considérable de
fibres
de projection qui dégénèrent toutes deux à la s
. - V.I, noyau amygdalien. Le noyau caudé est teinté en gris. Ses
fibres
se ren- dent les unes di- rectement dans le
rébral. Coupe vertico-transversale sectionnant la partie moyenne du
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. H giqucs,
celle du faisceau occipito-frontal (OF) peut être suivie en partie -
fibres
d'association - dans la substance grise sous-ép
sous-épendymaire (Sge) et dans la capsule externe (Ce), en partie -
fibres
de projection - dans la capsule interne (segment
a couronne rayonnante. (CR, CR(s), Fig. 2,6, 7, 9, 13, 19, 23). Les
fibres
du segment moyen delà cou- ronne rayonnante se
plan vertical. Les coupes vertico-transversales qui sectionnent ces
fibres
parallèlement à leur axe sont donc particulièreme
gitudinal inférieur. - F.11, faisceau rétroflexe de Meynert. - FPoa,
fibres
antérieures de la protubérance. - FT, faisceau
ceau de Turck venant de la première circonvolution temporale. - ft,
fibres
tangentielles. Plh, faisceau thalamique de Forel.
nsula. - L,, première circonvolu- tion limbique. lc, lame cornée et
fibres
du taenia semi-circularis. - Lme, lame médullaire
cule un crochet analogue a celui du segment antérieur et envoie ses
fibres
dans le segment postérieur ou lenliculo- optiqu
rtie comme le segment antérieur. Comme lui, il est surtout formé de
fibres
à direction sagitlale, mais il s'en distingue p
direction sagitlale, mais il s'en distingue par la longueur de ses
fibres
. Dans la région du carrefour ventriculaire, le
e la corne occipitale, pour produire l'ergot de Morand, refoule les
fibres
de projec- tion le long de la voûte, du planche
scissure calcarine n'étant tapissé que par une très mince couche de
fibres
appréciable seulement au microscope. Les fibres
rès mince couche de fibres appréciable seulement au microscope. Les
fibres
de projection qui alimentent le segment postérieu
3) circonvo- lutions occipitales). En avant viennent se joindre les
fibres
du precuneus (PrC), du pli courbe (Pc), des cir
postérieure des trois circonvolutions temporales (T,, T,, T3). Les
fibres
du segment postérieur de la couronne rayonnante s
autre interne (RTh), plus pâle et remarquable par la finesse de ses
fibres
. Nous avons étudié dans le tome 1er, page 765,
Fli), et avons montré qu'elle contient, à côté d'un grand nombre de
fibres
d'association, des fibres de projection destiné
lle contient, à côté d'un grand nombre de fibres d'association, des
fibres
de projection destinées aux ganglions infra-cor
s fibres de projection destinées aux ganglions infra-corticaux. Les
fibres
de la couche sagittale interne (RTh) appartienn
ouche sagittale interne (RTh) appartiennent toutes, par contre, aux
fibres
de pro- jection. Dans la région occipitale et
culaire, les couches sagittales externe et interne constituent deux
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CEREBRALE. 13 FiG. 8.
sagittale externe du segment postérieur de la couronne rayonnante.
FIBRES
DE PROJECTION DE LËCORCE CEREBRALE. 15 couche
CE CEREBRALE. 15 couches nettement distinctes, traversées par les
fibres
calleuses et les fibres du faisceau occipito-fr
es nettement distinctes, traversées par les fibres calleuses et les
fibres
du faisceau occipito-frontal qui se rendent dans
triculaire, ces deux couches fusionnent en une seule (Fig. 10). Les
fibres
de projection de la couche sagittale externe s'en
deux couches sagittales est en outre complétée par les nom- breuses
fibres
de projection de la circonvolution pariétale infé
as Courrière, et Bras, Fig. 83, 84, 85 et 93, p. 112 et 120). Les
fibres
du segment inférieur de la couronne rayonnante co
l- lèle à celle du pôle temporal et d'autant plus accentuée que les
fibres
sont plus antérieures et plus voisines du noyau
nterne et leur continuation dans le segment retrolenticulairo de la
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 17 capsule
cingulum. - Cip, segment postérieur de la cap- sule interne. - Fie,
fibres
calleuses de l'ergot de Morand. - Fli, faisceau l
itudinal infé- rieur. - Fin, forceps major du corps calleux. - fie,
fibres
propres de la scissure calca- rine (stratum cal
res de la scissure calca- rine (stratum calcarinum de Sachs). - fp,
fibres
de projection de l'ergot de Morand. - ft, fibre
m de Sachs). - fp, fibres de projection de l'ergot de Morand. - ft,
fibres
tangentielles du lobe limbique. - la, circonvolut
lcarine. - LI, première circonvolution limbique. - le, lame cornée et
fibres
du tænia semi circularis. - Lg, lobule lingual.
tudinal postérieur. - Pli, faisceau uncinatus. - lc, lame cornée et
fibres
du ttenia semi-circularis. - Ln, locus niger. - 1
elette optique. - Ill, filets radiculaires de la troisième paire.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 19 noyau c
BRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 19 noyau caudé (NC"), ces
fibres
se portent en haut, en dedans et un peu en arri
lenticulaire (Fig. 7). Ainsi s'explique l'aspect si spécial que les
fibres
du segment inférieur de la couronne rayonnante
. Ier, Fig. 297). Les coupes vertico-transversales montrent que ces
fibres
se continuent avec le seg- ment sous-lenticulai
n connaître avant d'entreprendre l'étude de chacun d'entre eux. Les
fibres
des segments antérieur (Cia), rétro-lenticulaire
de la scissure paral- lèle. - 7'(il), tapelum. - Th, thalamus.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 21 Fin. 44
- rieur tlii 1 i-i-one. - Th, lhala mus.-11', zone de Wernicke.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 23 Fic,. 4
du tiers inférieur de la région thalamique de la capsule interne.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 2a 5 FiG.
ptique. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 27 Fic. 19
- dante. - Fil, faisceau uncinatus. - Fies, lobule fusiforme. - fl,
fibres
tangentielles de la première circonvolution lim
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le segment anté- rieur est formé de
fibres
horizontales qui s'irradient dans le thalamus
s le thalamus. Leurs rapports. Leur enchevêtre- ment avec les
fibres
lenticulo-caudées. noyau lenticulaire. - mF,,
rieur ou lenticulo-caudé de la capsule interne est surtout formé de
fibres
horizontales qui passent entre le noyau caudé e
éanmoins sur les coupes horizontales sériées quelques fascicules de
fibres
qui séparent, dans la ré- gion sous-thalamique,
Fig 15, 24, 28, 33). Dans leur trajet à travers le corps strié, les
fibres
du segment anté- rieur de la capsule interne (C
nne de la commissure antérieure (coa) (Fig. 19, 244, T. 1er) et les
fibres
les plus antérieures de l'anse du noyau lenticula
dus (NL1; NL2) enfin, elles sont croisées par les radiations striées (
fibres
rr.ç7.P- FIG. 20. Coupe horizontale intéressa
ches sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante. fNC,
fibres
du noyau caudé. - la, circonvolutions antérieur
occipito-frontal. OF + Pr, faisceau complexe contenant à la fois des
fibres
du faisceau occipito-frontal et des fibres de p
contenant à la fois des fibres du faisceau occipito-frontal et des
fibres
de projection. - PaTh, pédoncule antérieur; l'p
ostérieur du thalamus. - pCR, pied de la couronne rayonnante. - Pr,
fibres
de projection corticales longeant la queue du noy
et dans les lames médullaires du noyau lenticulaire (lme, Imi). Ces
fibres
sont sur- tout nombreuses dans les parties infé
partiennent à une véritable région de transition, dans laquelle les
fibres
de segments antérieur (Cia) et pos- térieur de
en du thalamus (Fig. 21), le genou de la capsule n'est formé que de
fibres
horizontales; elles pro- viennent du segment an
ité antérieure du segment postérieur (Cip), dont elles masquent les
fibres
longitudi- nales, et pénètrent toutes dans l'ex
dans l'extrémité antérieure de la couche optique en constituant les
fibres
radiées. Sur les coupes qui intéressent le tiers
vise à ce niveau en deux faisceaux : l'un, formé de fas- cicules de
fibres
horizontales, denses et parallèles, s'irradie en
ion située au sommet du segment interne du globus pallidus (NL,) et
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 31 ne. 21.
ique. - Tga, pilier antérieur du trigone. 7'li, thalamus; fl'TIt, ses
fibres
radiées. - tsc, toenia semi-circularis. - 111t,
'.lzyr. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 33 Fia. 23
e. - AU, avant-mur. - AU', partie de l'avant-mur mor- celée par les
fibres
du faisceau uncinatus. - Arc, faisceau arqué. - C
n frontale ascendante. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - /'l,
fibres
tangentielles. - Fu, faisceau uncinatus. - Fus, l
culé est renforcé dans la région thalamique inférieure par quelques
fibres
qui, venant de la face orbitaire du lobe frontal,
t antérieur de la capsule interne (Cia), puis descen- dent avec les
fibres
operculaires dans la partie antérieure du segment
. 1,'il, 165, 197). Les'fibres orbitaires, intimement mélangées aux
fibres
oper- culaires, s'épuisent chemin faisant dans
ue, mais n'atteignent pas le sillon pédonculo-pro- tubérantiel. Les
fibres
operculaires descendent, par contre, dans l'étage
eur ou lenliculo-optique de la capsule interne est surtout formé de
fibres
verticales ou obliques en bas et en dedans, qui s
l'hémisphère el convergent vers le pied du pédoncule cérébral. Les
fibres
antérieures, adjacentes au segment antérieur de
postérieures obliquement en bas, en dedans et en avant (Fig. 6).
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 35 Fig. 24
rconvolution frontale. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. - Fie.
fibres
lenticulo-caudées. -- Fli, faisceau longitudinal
ernicke. - Zi, zona incerla de Forel. - 11, bandelette optique. Les
fibres
du segment postérieur (Cip) appartiennent aux rég
u thalamus (Fig. 14-, 21). La limite postérieure est formée par les
fibres
horizontales du segment rétro-lenticulaire de l
mique de Forel (Fth) et des parties ventrales du thalamus; avec les
fibres
de l'anse du noyau lenticu- laire (Al) qui cont
par les Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 37 segme
pallidus (NL,, NL, et NL/), et reçoit à son sixième postérieur les
fibres
du segment sous-lenticulaire de la cap- sule in
a capsule interne ne sont pas équivalents. Enchevêtrement des
fibres
de Cip dans le sens longitudinal. Enchevêtrem
fibres de Cip dans le sens longitudinal. Enchevêtrement de ces
fibres
avec les fibres horizontales des radiations s
s le sens longitudinal. Enchevêtrement de ces fibres avec les
fibres
horizontales des radiations strio- thalamique
es et strio- sous-thalamiqucs. de la région sous-thalamique : ses
fibres
s'insinuent d'abord entre les segments postérie
ig. 25). Par son aspect, ce con- tingent se distingue nettement des
fibres
du segment postérieur (Cip) qui traversent la r
horizontales et se présentent sous l'aspect d'un fin pointillé. Les
fibres
du contingent sous-lenticulaire sont sectionnées
u pied du pédoncule cérébral (Fig. 25). Il s'agit, en effet, ici de
fibres
à direction plus ou moins horizontale dont une pa
es régions thalamique et sous-thalamique de la capsule interne, les
fibres
du segment postérieur (Cip) ne sont pas disposées
en effet - ainsi que l'un de nous l'a montré en 1893 que toutes les
fibres
longitudinales du pied du pédoncule cérébral sont
dinales du pied du pédoncule cérébral sont d'origine corticale. Les
fibres
du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
(Cip) sont croi- sées à angle presque droit par un grand nombre de
fibres
qui occupent toute la hauteur de la capsule int
région thalamique (Fig. 21), elles proviennent en grande partie des
fibres
radiées du putamen et du globus pallidus, et s'ir
on .so2.v-tlalazziqztc (Fig. 24) elles sont fournies àlafois parles
fibres
ra(liées et parles fibres des lames médullaires
Fig. 24) elles sont fournies àlafois parles fibres ra(liées et parles
fibres
des lames médullaires du noyau lenticulaire. To
rles fibres des lames médullaires du noyau lenticulaire. Toutes ces
fibres
se réunissent en fascicules épais et serrés; le
scicules épais et serrés; les unes s'irradient en très grand nombre
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 39 Fig. 26
ment sous-lenticulaire de la 40 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les
fibres
de CI ! ' se rendent les unes dans le thalamu
ule ecré- bral. Le segment rétro- lenticulaire est for- mé de
fibres
hori- Ion talcs qui s'irra- dient dans la par
u occipito-frontal. - OF + Pi, partie de ce faisceau qui contient des
fibres
de projection. - P, pied du pédoncule cérébral.
de Forel (FI) (Fig. 21, 28, 312, 323 et 321). Un grand nombre de
fibres
de projection corticale du segment posté- rieur
ent posté- rieur de la capsule interne s'arrêtent dans le thalamus (
fibres
corlico-l/w- lamiques), d'autres dans le noyau
lamus (fibres corlico-l/w- lamiques), d'autres dans le noyau rouge (
fibres
coîlico-î-tib,1'qiles), quelques très rares fib
le noyau rouge (fibres coîlico-î-tib,1'qiles), quelques très rares
fibres
se rendent dans le corps de Luys et le globus pal
t le globus pallidus, les autres se continuent directement avec les
fibres
du pied du pédon- cule cérébral en formant la v
en éventail de la capsule interne, la partie supérieure de la coupe
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 41 corresp
de la capsule interne (Cip), reconnais- sable à l'obliquité de ses
fibres
en bas et en dedans; la partie moyenne riche en
quité de ses fibres en bas et en dedans; la partie moyenne riche en
fibres
transversales répond au segment rétro-lenticulair
inférieure appartient au segment sous-lenticulaire (Cisl), dont les
fibres
se portent obliquement en haut et en dedans. Le
t postérieur (Cip) et ne s'en distingue que par la direction de ses
fibres
; sur les coupes passant par le tiers inférieur
Le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne n'envoie pas de
fibres
dans le pied du pédoncule cérébral; tributaire du
la partie postérieure des lobes pariétal et temporal, il envoie ses
fibres
dans le pulvinar (Pul) et la partie adjacente d
xterne (Cge), et dans le tubercule quadrijumeau antérieur (Qa). Ces
fibres
forment dans leur en- semble les radiations opt
rieure est tapissée par l'épendyme ventriculaire et croisée par les
fibres
du taenia semi-circularis (tsc) et par la partie
rdant le segment sous-lenticulaire delà capsule interne (Cisl), les
fibres
du segment inférieur de la couronne rayonnante se
rts sur les cou- pes horizontales. Ce segment n'en- voie pas de
fibres
dans le pied du pé- doncule cérébral. Dispo
xterne du pied du pédoncule cérébral, après s avoir abandonné des
fibres
au corps genouillé interne (RCgi) et à la par
s externes, se portent obliquement en arrière et en dedans; ses
fibres
les plus 'internes affectent une direction pr
n du crochet. - I'P, voie pédon- culaire.-11. Bandelette optique.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 43 Fic. 28
de la corne d'Ammon (CA). - Cg, circonvolution godronnée. fCg, les
fibres
de la circonvolution godronnée qui se rendent d
rnold, ou couche inférieure du segment sous-lenticulaire de la cap-
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 4 : i su e
tratum moyen ; Slip, stratum profond; Sirs, stratum superficiel des
fibres
transversales de la protubérance. - 7'(ip, tape
nticulaire de la capsule interne du (Cisl) comprend deux couches de
fibres
superposées et de direction différente, bien mise
la région (Fig. 29, 30 et 281) : la couche supérieure comprend les
fibres
du faisceau de Turck (FT) que l'on peut suivre
la capsule interne, le faisceau temporo- thalamique d'Arnold et les
fibres
du faisceau de Tiirck qui s'irradient dans le tha
de la corne d'Ammon (Cet). - Cg, circonvolution godronnée; fCg, les
fibres
qu'elle envoie dans la (imbria ;Ici). - Cge, co
ouches sagittales du segment inférieur de la couronne rayonnante. fr,
fibres
radiées du thalamus. - FTth, fibres que le fais
de la couronne rayonnante. fr, fibres radiées du thalamus. - FTth,
fibres
que le faisceau de Turck envoie au thalamus. - zu
e d'une Bibliothèque des Internes eh Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 47 lésion
lamique d'Arnold, son irradiation (Fig. 31) dans le pulvinar. - ft,
fibres
tangentielles de la circonvolution du crochet. -
e segment (Cisl) est réduit au faisceau temporo-thalamique dont les
fibres
, sectionnées perpendiculairement ou obliquement
enticulaire de la capsule interne (Cirl) au sur et à mesure que ses
fibres
s'irradient dans le corps genouillé externe et
ement que le faisceau temporo-thalamique, en se continuant avec les
fibres
du segment inférieur delà couronne', rayonnante,
ule mamillaire. temporales, qu'il reçoit un contingent important de
fibres
du lobe occi- pital et qu'il dégénère partielle
ngitudinales forment la voie pédonculaire et comprennent toutes les
fibres
de projection corticale du segment postérieur (Ci
dans le thalamus, ni dans la région sous-thalamique, ainsi que les
fibres
du segment sous-lenticulaire (Cisl) de la capsu
té inféro-interne du corps de Luys, et sillonnée par les nombreuses
fibres
transversales du système strio-1uysien; sa part
interne du pied du pédoncule, celui-ci est longé en dedans par les
fibres
horizontales du pédoncule du tubercule mamillai
e il la calotte pédonculaire. Pas plus que l'anse lenticulaire, ces
fibres
n'entrent dans la conslitu- FIBRES DE PROJECTIO
lus que l'anse lenticulaire, ces fibres n'entrent dans la conslitu-
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. zip FiG. 3
ieur. Flp, faisceau longitudinal postérieur. 1,ilI. faisceau rétro-
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. as flexe
ge le locus niger. Les quatre cin- quièmes internes comprennent des
fibres
pour la plupart sectionnées per- pendiculaireme
la capsule interne; quant au cinquième externe, caractérisé par ses
fibres
horizontales, il est constitué par le faisceau de
k. Sur les coupes plus inférieures, ces différences s'effacent, les
fibres
du cinquième externe se coudent et deviennent l
s du cinquième externe se coudent et deviennent longitudinales; les
fibres
des quatre cinquièmes internes s'infléchissent,
aberrants de la voie pédonculaire qui, refoulés en arrière par les
fibres
transversales de la protubérance (Eig. 36), s'a
es coupes horizontales obliques. La direction verti- cale des
fibres
de ses quatre cinquièmes internes. La direc
es quatre cinquièmes internes. La direction hori- zontale des
fibres
de son cinquième ex- terne constitué par le
l'entre-croisement sensitif du bulbe. Au lieu d'être profondes, ces
fibres
aberrantes peuvent être quelquefois superficiel
ne; dans la protubérance, elles sont refou- lées en arrière par les
fibres
transversales de la protubérance et s'accolent
que; xll', son entre-croisement en arrière de l'aqueduc de Sylvius.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 53 la co
t se détacher du 2c cinquième externe de la voie pédon- culaire des
fibres
aberrantes superficielles, qui à l'enconlre du pe
iculier du stratum intermedium et du pes lemniscus profond, par les
fibres
transversales du pont et leur adossement au rub
sant au-dessous de la coupe précédente (Fig. 3o) et sectionnant les
fibres
protubéranhelles qui forment la lèvre inférieure
central de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. FPoa,
fibres
protubérantielles antérieures. - Fl'op, fibres
al postérieur. FPoa, fibres protubérantielles antérieures. - Fl'op,
fibres
protubérantielles postérieures. - Gip, ganglion
- trice descendante du trijumeau. - l'Il, la voie pédonculaire, ses
fibres
horizontales et les fascicules dissociées de sa
fonde. - 171 ? valvule de \'ieussens. - l ? quatrième ventricule.
Fibres
aberrante postéro-esternes. 54 ANATOMIE DES
nterne et se dirigent vers le tubercule quadrijumeau antérieur. Ces
fibres
aberrantes postéro-externes suivent en quelque
eigoffer, Fig. 120, p. 136), en dedans de ce faisceau dégénéré, les
fibres
horizontales saines de l'anse lenticulaire, qu'
resse l'entre-croisement des pédoncules céré- belleux supérieurs.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 55 FiG.
être confondu ni avec le pes lemniscus superficiel ni avec les
fibres
aberrantes postéro externes. rieur. - r.11, f
rra sur les coupes voisines du bord supérieur de la protubérance, des
fibres
saines refouler en arrière et en dehors le fais
la face superficielle du pied du pédoncule cérébral et on verra ses
fibres
horizontales se placer en avant, puis en dedans,
rra ses fibres horizontales se placer en avant, puis en dedans, des
fibres
verticales saines du faisceau interne. Ces part
édoncule (Fig. 39); elle est limitée en dedans et en dehors par les
fibres
saines des faisceaux interne (P') et externe (P
sines du bord supérieur de la protubérance, un petit fas- cicule de
fibres
horizontales contourner les fibres verticales du
bérance, un petit fas- cicule de fibres horizontales contourner les
fibres
verticales du pied du pédoncule cérébral. Elles
es cérébelleux supérieur ou moyen. Elles appartiennent en effet aux
fibres
horizontales les plus supé- rieures de la protu
être confondues, ni avec le pes lemniscus superficiel, ni avec les
fibres
aberrantes posléro-exlernes que la voie pé- don
rieur. Bibliothèque des Internes 'en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 57 II. ORI
GINE COKT1CALE ET TRAJET CAPSUL.411'E DES DIFFÉRENTES CATÉGORIES DE
FIBRES
DE PROJECTION DU MANTEAU CÉRÉBRAL (Résultats ba
ec les masses grises du névraxe s'effectuent par deux catégories de
fibres
de projection de longueur différente : 1° Les
lilé cérébrale aux noyaux gris des cerveaux intermédiaire el moyen (
fibres
cortico-tlzalanziqzces et corlico- sous-thalami
érébrale au locus niger, au rhombencéphale et à la moelle épinière (
fibres
corlico-rotuGé- rantiellcs et cortico-médullair
DE PROJECTION CORTICO-THALAMIQUES ET CORTICO SOUS-THALAMIQUES Ces
fibres
destinées aux noyaux gris des cerveaux intermédia
us les centres ganglionnaires, celui qui reçoit les plus nombreuses
fibres
de projection corticale. Elles lui constituent un
it toujours, quel qu'en soit le siège, sur la couche optique. Ces
fibres
, dites radiations de la couche optique, radiation
es, dites radiations de la couche optique, radiations thalamiques ,
fibres
cortico-lhalamiques appartiennent au faisceau com
point, par elle-même, que ce faisceau contienne une seule espèce de
fibres
. Elle indique seulement que dans ce faisceau un
e fibres. Elle indique seulement que dans ce faisceau un système de
fibres
y existe d'une manière prédominante. Les faisceau
ière prédominante. Les faisceaux constitués par une seule espèce de
fibres
sont en ell'et des plus rares dans la moelle, aus
et des plus rares dans la moelle, aussi bien que dans le cerveau.
Fibres
do projec- tions courtes. Frbros do projec-
es do projec- tions courtes. Frbros do projec- tions longues.
Fibres
do projec- tions cortico-thala- miques et cor
eux. Cia, segment antérieur; Ci(g), genou; Cip, segment postérieur;
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 59 Cirl, s
uronne rayonnante. - Fi, fimbria du pilier postérieur du trigone. - ?
fibres
du fornix longus. qui bordent la face profonde du
profonde du corps calleux et se rendent dans le septum lucidum; fp,
fibres
perforantes des régions antérieures du corps call
dullaire externe du noyau lenticulaire. - NC, noyau caudé. - J'\'C,
fibres
propres du noyau caudé. - Sa. noyau antérieur; Se
du noyau lenticulaire. - 0/+ ? faisceau occipito-frontal mélangé de
fibres
de projections. - PaTh, pédoncule antérieur du
de la couche optique. Elles se séparent, à ce niveau, du reste des
fibres
de projection de la capsule interne, puis se réun
ts fascicules qui s'irradient dans la couche optique et forment les
fibres
radiées (Fig. 41). Pour la commodité de la desc
ont mélangées dans le centre ovale et la capsule interne aux autres
fibres
de projections corticales et aux fibres cor- ti
capsule interne aux autres fibres de projections corticales et aux
fibres
cor- ticipèles que le thalamus envoie à la corl
l'espèce, bien moins de faisceaux distincts, que d'un groupement de
fibres
des différentes régions corticales. Aussi divis
nous les radiations thalamiques en quatre groupes. Ce sont : 1° les
fibres
cortico-thalamiques antérieures ou frontales; 2°
1° les fibres cortico-thalamiques antérieures ou frontales; 2° les
fibres
cortico-thalamiqucs moyennes ou p-,iriéto-l'i-o
o-thalamiqucs moyennes ou p-,iriéto-l'i-oiito-iolaiicli(liies; 3° les
fibres
cortico-thalamiques postérieures ou occi pito-p
es cortico-thalamiques postérieures ou occi pito-pariétalcs; 4° les
fibres
cortico- thalamiques inférieures ou occipilo-lc
ue. Les lésions du lobe frontal entraînent une dégéné- rescence des
fibres
radiées des parties antérieures des noyaux intern
terminée de la couche optique. 60 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
cortico-tha- lamiques antérieu- res. Elles
ent le stra- tum zonale. la lame médullaire anté- rieure et les
fibres
radiées. tions frontales et pariétales (cas S
à 136) sur la partie ventrale et externe de la couche optique. 1.
Fibres
cortico-thalamiques antérieures ou frontales. - (
de la couche optique) PaTh, Fig. 3, 14, 20 à 23, 41, 12, 43. - Les
fibres
cortico-thalamiques anté- rieures proviennent d
extrémité antérieure du tha- lamus, elles s'entre-croisent avec les
fibres
verticales de la lame médullaire externe (Lme),
e externe (Lme), puis se comportent de la façon suivante : 1° Les
fibres
les plus internes et les plus supérieures se port
et inlerne (Ni) (Fig. 41 et T. ICI', Fig.30t, 305); 3° Les autres
fibres
cortico-thalamiques antérieures, de beaucoup les
teur de l'ex- trémité antérieure du thalamus dont elles forment les
fibres
radiées (Fig. 42). Elles croisent le faisceau d
es, et leur trajet presque antéro-postérieur explique pourquoi, sur
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 61 Fig.
- f4, sillon crucial. - F,11, faisceau rétroflexe de Meynert. - fez,
fibres
perforantes du corps calleux destinées au trigo
one cérébral dont elles concourent à former le fornix longus. - fl,
fibres
tangentielles de la première circonvolution limbi
tricule latéral. - PiTh, pédoncule inféro-interne du thalamus.-Poa;
fibres
transversales antérieures ; Pop, fibres transvers
éro-interne du thalamus.-Poa; fibres transversales antérieures ; Pop,
fibres
transversales postérieures de la protubérance.
l'Tm, pédoncule du tubercule mamillaire. - l'ul. pulvi- nar. - l'y,
fibres
longitudinales de l'étage antérieur de la protubé
e grise de l'aqueduc de Sylvius. 62 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
cortico-tha- lamiques supérieu- res. Elles
ent le stra- tum zonale, la lame médullaire antérieu- re et les
fibres
ra- diées. Sge, substance grise centrale. - S
yaux interne et externe un aspect tacheté tout à fait spécial. 2.
Fibres
cortico-thalamiques moyennes, supérieures ou pari
res, pédoncule supérieur de la couche optique.) (Fig. 7, 26.) Les
fibres
cortico-thalamiques moyennes appartiennent à la z
as Schweigoffer, Fig. 116 il 122, p. 134). Intimement mélangées aux
fibres
cortico-protubérantielles et cortico-médullaire
es aux fibres cortico-protubérantielles et cortico-médullaires, ces
fibres
abordent la couche optique par toute la hauteur
sa face externe (Fig. 7). Elles se comportent absolument comme les
fibres
cortico- thalamiques antérieures, si ce n'est q
e-croisent dans la zone grillagée (Zr), elles sont croisées par les
fibres
verticales de la lame médullaire externe (Lme); l
ventriculaire, sont croisées au niveau du sillon opto-strié par les
fibres
du taenia semi-circularis (lsc), puis se dédouble
lame médul- laire antérieure ou supérieure. Les autres forment les
fibres
radiées, tra- versent le noyau externe (Ne) de
cial, parfaitement visible à l'oeil nu. Le plus grand nombre de ces
fibres
radiées croisent la lame médullaire interne (Lm
tico-transversales sont par- ticulièrement favorables à l'étude des
fibres
cortico-thalamiques moyennes, elles les intéres
culièrement accentué sur les coupes horizontales qui intéressent la
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 63 1'ic. 4
t la FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 63 1'ic. 43. Les
fibres
radiées du thalamus (noyaux externe, interne et p
llon insulaire. - la, insu la antérieur. - Ip, insula postérieur. -
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. M Lms, lam
inférieure de ce noyau (Fig. 1a3, 7 et Fig. 7) ; l'obli- quité des
fibres
radiées est, en effet, minime dans cette région q
s est, en effet, minime dans cette région qui reçoit, en outre, des
fibres
radiées du lobe temporal par l'intermédiaire du s
e du seg- ment sous-lenticulaire de la capsule interne (Cisl). 3.
Fibres
cortico-thalamiques postérieures ou occipito-pari
halamus). PpTh, Fig. 10, 14, 15, 16, 20, 21, 24, 33, 41, 43). - Les
fibres
cortico-thalamiques postérieures relient le lobe
e du noyau externe, dont elles forment la zone réticulée- Parmi les
fibres
qui se détachent de la zone réticulée, les plus p
épuisent dans la substance grise du pulvinar dont elles forment les
fibres
radiées (Fig. 43). 4. Fibres cortico-thalamique
e du pulvinar dont elles forment les fibres radiées (Fig. 43). 4.
Fibres
cortico-thalamiques inférieures ou occipito-tempo
ieures et pédoncule in(éJ'o. inlcl'Ile de la couclle opl ique). Les
fibres
cortico-thalamiques inférieures relient le lobe o
a partie ventrale adjacente de la couche optique. Le : TOME II. 5
Fibres
eortico-tlta- lamiques posti ripu- res. Ell
ar et tonnent le stratum zonale et Ie cl ? ny dc \\-crninl;o.
Fibres
cortica-tlia- lamiqncs inférIPI : - rc&.
et abordent la partie antéro-inlerne de la couche optique. 1. Les
fibres
destinées au pulvinar (Fig. 12, 26, 30, 31, 32) s
é le champ triangulaire de Wernicke (W) (Fig. 31 et 32). 2. Les
fibres
qui forment le pédoncule inféro-in- terne du
mètres. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. G7 semblen
23). De là, elles se portent en avant et en dedans,-tandis que les
fibres
du faisceau temporo-thalamique d'Arnold se porten
e de Reichert (Sti (Fig. 44) et sont renforcées à ce niveau par des
fibres
provenant de la substance perforée antérieure et
elles affectent un trajet sagittal, croisent à angle très aigu les
fibres
cortico- thalamiques antérieures (PaTh), s'ench
térieur (BrQa) appartiennent au système visuel et forment, avec les
fibres
cortico-thalamiques postérieures, les radiation
s le centre ovale et dans la capsule interne le même trajet que les
fibres
cortico-thalamiques postérieures, auxquelles el
ais- ceaux distincts : Les radiations du corps genouillé externe,
fibres
cortico-genouillées externes (pédoncule du corp
ar sa partie supérieure et externe. Elles comprennent à la fois des
fibres
corti- cifuges et des fibres corlicipèles et co
terne. Elles comprennent à la fois des fibres corti- cifuges et des
fibres
corlicipèles et concourent avec les radiations du
pèles et concourent avec les radiations du pul- vinar, et certaines
fibres
de la bandelette optique et du faisceau temporo-
o- thalamique d'Arnold (p. 47) à la formation d'un champ compact de
fibres
, le champ triangulaire de Wernicke. zone de Wer
latéral. - Zi, zona incerta du thalamus. II, bandelette optique.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 69 FiG. 47
nté- rieur. Radiationscortico- quadrigéminales pro- fondes.
Fibres
aberrantes postéro-externes do la voie pédonc
ouillé externe. Les radiations du tubercule quadrijumeau antérieur,
fibres
c'ortico- quadrigézzzinales, affectent un traje
. Ce sont les radiations cortico-quaclrigéminales superficielles ou
fibres
aberrantes postéro-externes (]) . 5'1) qui contou
auditif et proviennent du lobe temporal, en particulier de la pre-
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. il FiG.
i passe en avant du corps genouillé interne et traverse le champ de
fibres
situé au-dessous et en arrière du centre médian
eil (Fig. 48), dont il se distingue par le trajet horizontal de ses
fibres
et leur forte coloration par la laque hématoxyl
ficielle. 4. radiations du noyau ROUGE. - Le noyau rouge reçoit des
fibres
de la corticalité cérébrale, ainsi que nous l'a
ons de la voie cérébro-cérébelleuse, le neurone cortico-rubrique.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 73 B. ORIG
RTICO-PROTUBÉRANTIELLES CORTICO-BULBAIRES ET CORTICO-MÉDULLAIRES.
FIBRES
du pied du pédoncule cérébral. - Les fibres de pr
ET CORTICO-MÉDULLAIRES. FIBRES du pied du pédoncule cérébral. - Les
fibres
de projection corticales destinées au rhombencé
tituent t la voie pédonculaire et forment à elles seules toutes les
fibres
du pied du pédoncule cérébral. Les recherches
ni dans sa couche périphérique, ni dans le stratum intermedium, de
fibres
d'origine striée. Il est exclusive- ment formé
obe occipital, y compris le pli courbe, d'autre part, n'envoient de
fibres
de projection ni dans le pied du pédoncule céré
doncule cérébral, ni dans l'étage antérieur de la protubérance. Les
fibres
de la voie pédonculaire proviennent du secteur mo
e interne et s'enchevêtrent intime- ment dans cette région avec les
fibres
de projection corticale à trajet plus court (fi
région avec les fibres de projection corticale à trajet plus court (
fibres
cortico-thalamiques, corlico-genouittées, cortico
nlerne ou faisceau interne du pied du pédoncule cérébral reçoit ses
fibres
de l'opercule rolandique et de la partie adjace
Voy. cas Schweigoffer, Fig. 116 à 122.) Le plus grand nombre de ces
fibres
s'épuisent dans le locus niger (Ln), les autres
rme de libres (le projec- tion corticales et ne contient pas de
fibres
striées. Ses libres pro- wennent du secteur
est croisé en haut (au voisinage de la région sous-optique), par les
fibres
de l'anse du noyau lenticulaire (Al) (Fig. 33,
g. 3-) ; en bas (au voisinage immédiat de la protubérance), par les
fibres
du lænia pontis (Tpo) (Fig. 35, 36, 337, 351 et
pontis (Tpo) (Fig. 35, 36, 337, 351 et tGi.), c'est-à-dire par les
fibres
les plus supérieures de la protubérance. Le fai
existe un pes lemniscus superficiel, il est refoulé en dehors par ces
fibres
., mais ce déplacement ne s'effectue qu'au voisi
u lenticulaire, ainsi que Meynert l'a avancé; il ne contient pas de
fibres
provenant du noyau caudé, comme le croyaient Me
ncore aujourd'hui Betcherew et Zacher; il ne reçoit pas non plus de
fibres
de la partie an- térieure du lobe frontal, comm
erne est exclusivement formé de neurones corticaux. 11 contient les
fibres
de projection corticales qui se rendent au locus
ne partie des nerfs moteurs crâniens. 11 contient en outre quelques
fibres
cortico-prolzcbérantielles et de rares fibres p
ent en outre quelques fibres cortico-prolzcbérantielles et de rares
fibres
pyramidales. Le faisceau interne du pied du péd
du pédoncule cérébral. Les lésions de la partie antérieure du seg-
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 16 ment po
terne du pied du pédoncule cérébral. On y rencontre quelquefois des
fibres
saines, disposées en fascicules lâches et obliq
atteint seul le bord supérieur de la protu- bérance ; aucune de ces
fibres
ne descend dans la pyramide du bulbe. De prime
De prime abord, il paraît assez difficile d'établir l'origine de ces
fibres
. L'emploi de la méthode des coupes microscopiqu
utefois comme dans le cas Rivaud, qu'il s'agit, le plus souvent, de
fibres
respectées au sein de la lésion primitive et qu
sceau interne du pied du pédoncule, en dehors des très nom- breuses
fibres
qui lui viennent de l'opercule rolandique et de l
es d'autres régions corticales, en particulier du lobe frontal. Ces
fibres
ne peuvent avoir qu'une origine corticale, le cas
te des corps striés Fig. 66 à 78, p. 100) démontre d'emblée que ces
fibres
ne peuvent avoir une origine caudée ou lenticul
e zone excitable envoie, tout comme la zone motrice rolandique, des
fibres
dans le pied du pédoncule cérébral. Chez l'homm
trer. Par exclusion, nous arrivons donc à chercher l'origine de ces
fibres
dans la face orbi- taire du lobe frontal, bien
233) pourrait être invoqué en faveur de l'origine orbitaire de ces
fibres
; il faut toutefois se rappeler qu'il s'agit ici d
onnaire, avant la soudure du manteau Discussion sur l'origine des
fibres
saines dans les dé- générescences in- compl
nouveau trajet plus ou moins aberrant de la voie normale'et si les
fibres
du faisceau interne du pied du pédoncule du cas
aisceau moyen du pied du pédoncule cérébral, est constituée par des
fibres
qui tirent leur origine des cinq sixièmes supér
,, F2), et pariétales (P1; P2) et du lobule paracentral (Parc). Ces
fibres
descendent directement dans le pied du pédoncul
nt de régions rolandiques plus inférieures et plus antérieures. Les
fibres
de la partie moyenne de la zone rolandique (zone
interne (Cip); dans la région thalamique de la capsule interne, ces
fibres
sont limitées en arrière par le segment rélro-len
e, elles sont séparées du segment rétro-lenticulaire (Cirl) par les
fibres
horizontales du fais- ceau de Tiirck qui les re
pied du pédoncule cérébral abandonnent chemin faisant de nombreuses
fibres
au locus niger (Ln) puis descendent dans la pro
) puis descendent dans la protubérance (Po). Un petit nombre de ces
fibres
traversent en lâches fascicules le locus niger,
ge antérieur de la protubérance : elles y sont disso- ciées par les
fibres
transversales et abandonnent à la substance grise
substance grise an- 1(,'i,ieti2,e (noyaux politiques) de nombreuses
fibres
; elles descendent en- suite dans la pyramide bu
inière. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 77 .'IG. 4
. 77 .'IG. 49. - Le trajet capsulaire et le trajet pédonculaire des
fibres
de projection de la corticalité cérébrale. Le s
NTRES NERVEUX. Sa constitution. Ses différentes ca- tégories de
fibres
ne se groupent pas en faisceaux distincts.
e tubercule quadrijumeau antérieur (Qt) reçoivent le contingent des
fibres
du lobe occipital; la partie postérieure du noyau
la région sous-optique, en particulier le noyau rouge reçoivent les
fibres
du lobe pariétal. Les fibres de projection du sec
rticulier le noyau rouge reçoivent les fibres du lobe pariétal. Les
fibres
de projection du secteur moyen de l'hémisphère
elles seules l'étage inférieur du pied du pédon- cule cérébral. Les
fibres
du segment supérieur ou sus-sylvien du secteur mo
t de ré- gions corticales plus inférieures et plus antérieures. Les
fibres
du segment sous- sylvien ou temporal du secteur
u secteur moyen de l'hémisphère et la situation respective de leurs
fibres
dans la capsule interne et le pied du pédoncule
res dans la capsule interne et le pied du pédoncule cérébral. Les
fibres
de la partie moyenne du pied du pédoncule cérébra
ébral con- tiennent donc des neurones corticaux du locus niger, des
fibres
corlico- protubérantielles et des fibres pyrami
ticaux du locus niger, des fibres corlico- protubérantielles et des
fibres
pyramidales, elles contiennent en outre, dans l
neurones corticaux du nerf fa- cial. Ces différentes catégories de
fibres
du pied du pédoncule ne se groupent pas en fais
erfs moteurs crâniens distinct, un faisceau pyramidal distinct. Ces
fibres
sont intimement enchevêtrées les unes avec les
sont intimement enchevêtrées les unes avec les autres, bien que les
fibres
des nerfs moteurs crâniens se groupent surtout
t à la partie interne du pied du pédoncule cérébral, tandis que les
fibres
pyramidales sont plus abondantes dans les deuxièm
interne du pied du pédoncule déterminent toujours une diminution de
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 9 volume d
intense, voire même d'une atrophie complète de cette pyramide. Les
fibres
pyramidales occupent donc une étendue très gran
l'écorce des deuxième et troisième circonvolutions temporales. Ces
fibres
passent par le segment inférieur de la couronne
t pédonculaire, le faisceau de Tiirck n'abandonne que de très rares
fibres
au locus niger, il pénètre presque en entier da
presque en entier dans l'étage antérieur de la protubérance, et ses
fibres
se terminent dans la partie postéro-supérieure
t dans la partie postéro-supérieure des noyaux politiques. Au- cune
fibre
ne descend dans la pyramide bulbaire. Le faisceau
ceau externe du pied du pédoncule cérébral ne contient donc que des
fibres
temporo-pro- lubéranlielles et quelques fibres
ontient donc que des fibres temporo-pro- lubéranlielles et quelques
fibres
pour le locus niger. Le faisceau externe du pie
n'était jamais frappé de dégénérescence secondaire et contenait des «
fibres
centripètes prolongeant les fibres sensitives s
ce secondaire et contenait des « fibres centripètes prolongeant les
fibres
sensitives spinales ». Flechsig montra que ce f
énérait, sans toutefois établir son origine corticale, car dans Les
fibres
pyrami-- dales sont dissémi- nées dans les qu
sulaire, dégénérescence qui peut être suivie jusque dans le segment
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 81 sous-le
ait défaut dans la région thalamique de la capsule. En RÉSUMÉ : Les
fibres
du pied du pédoncule cérébral émanent toutes di-
raux, et provienne» dit secteur moyen de l'hémisphère cérébral. Les
fibres
du pied du pédoncule cérébral comprennent les rad
viennent sur- tout des régions rolandiques supérieures. Parmi les
fibres
qui se rendent dans le locus niger, les unes s'y
lles consti- tuent le pes lemnicus profond (voy. p. je), véritables
fibres
aberrantes de la voie pédonculaire qui plus bas
misphère. Le faisceau de Tiirck ne contient pour ainsi dire que des
fibres
eorlico-protubérantielles, qui se terminent dans
mes internes du pied du pédoncule contiennent de même de nombreuses
fibres
cortico-protubérantielles qui proviennent de la
ed du pédoncule cérébral, et sont enchevêtrées à ce niveau avec des
fibres
cortico-protubérantielles et quelques fibres pyra
s à ce niveau avec des fibres cortico-protubérantielles et quelques
fibres
pyra- midales. TOME II. G Les différentes c
res pyra- midales. TOME II. G Les différentes ca- tégories do
fibres
do la v oic pédonculaire Leur origine dans
rment la pyramide bulbaire. Ils ne reçoivent pour ainsi dire pas de
fibres
du faisceau de Turck, mais un petit nombre de f
si dire pas de fibres du faisceau de Turck, mais un petit nombre de
fibres
du faisceau interne du pied du pédoncule. En ef
de la pyramide bulbaire (voy. cas Scheule,Fig. 112). Historique des
fibres
de projection de la corticalité cérébrale et en p
que nous venons de la décrire et l'origine purement corticale de ses
fibres
, ont été établies par l'un de nous en 1893. C'é
esquelles le pied du pédoncule cérébral contenaient de nom- breuses
fibres
originaires des noyaux caudé et lenticulaire. Il
eure et externe de la capsule interne, entraîne la dégénérescence des
fibres
de la partie postéro-externe de la pyramide et
des fibres de la partie postéro-externe de la pyramide et celle des
fibres
.si tuées le long du sillon médian antérieur dan
s sont les faits rapportés par Charcot et Turner (185`3), Schroeder
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 83 van d
)eynert, que le faisceau pyramidal, comme du reste la plupart des
fibres
du pied du pédoncule, tiraient leur origine du
directes et s'effectuaient par l'intermédiaire de trois systèmes de
fibres
de projection (les fibres de projection de le',
par l'intermédiaire de trois systèmes de fibres de projection (les
fibres
de projection de le', zu et 3e ordres) et par d
s de la base par le système de projection de premier ordre dont les
fibres
abordaient cha- cun des ganglions de la base pa
psule externe. - CI, capsule interne, - CO, couche optique. - FC,
fibres
pédoncu- laires destinées au noyau caudé. - FD,
que. - FC, fibres pédoncu- laires destinées au noyau caudé. - FD,
fibres
directes. -' FK. fibres du noyau caudé qui vont
u- laires destinées au noyau caudé. - FD, fibres directes. -' FK.
fibres
du noyau caudé qui vont à la corticalité cérébr
fibres du noyau caudé qui vont à la corticalité cérébrale. - FL,
fibres
du pédoncule destinées au noyau lenticulaire.FV
le. - FL, fibres du pédoncule destinées au noyau lenticulaire.FV,
fibres
du noyau lenticulaire qui vont à la corticalité
du noyau lenticulaire qui vont à la corticalité céré- brale. FS,
fibres
du noyau lenticulaire qui se jettent dans le lo
du noyau lenticulaire qui se jettent dans le lobe sphénoïdaL- FT,
fibres
de la couche optique qui vont il la corticalité
de Meynert sur la tex- ture du cerveau. Les trois systèmes de
fibres
de projection. 84 zur ANATOMIE DES CENTRES NE
olives bulbaires; : i, par la partie sous-olivaire du bulbe rachi-
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 85 dien; 6
ux en jaune. Cf, le faisceau interne du pied du pédoncule cérébral (
fibres
de l'anse lenticulaire); il occupe la partie in
Cbr, région moyenne du pied du pédoncule cérébral dans laquelle les
fibres
de la pyramide sont mélan- gées avec des fibres
l dans laquelle les fibres de la pyramide sont mélan- gées avec des
fibres
du pédoncule cérébelleux moyen. - Cp, le faisceau
coupe 5), - CR, corps restiforme. th" rh" l'h3 (coupes 2 et 3), une
fibre
protubérantielle qui occupe la couche superficiel
belleux moyen gauche, entre en connexion avec une cellule (cll) des
fibres
longitudinales de la protubérance et se continu
es fibres longitudinales de la protubérance et se continue avec une
fibre
de la couche profonde du pédoncule cérébelleux
che profonde du pédoncule cérébelleux moyen gauche. - fb (coupe 4),
fibre
superficielle du corps restiforme gauche apparten
m zonale, qui s'entre-croise à la partie antérieure du raphé avec une
fibre
de môme nom du coté opposé, entre en connexion
l'olive bulbaire et pénètre dans le cordon postérieur droit. - fb',
fibre
des couches profondes du corps restiforme droit
l'acoustique. - Si, noyau interne de l'acoustique. - 83 (coupe 4),
fibres
arquées en connexion avec les noyaux de l'acousti
n avec les noyaux de l'acoustique. 10, noyau postérieur du vague et
fibres
radiculaires de ce nerf (coupe 4). - 10a, noyau
La couche optique et les tubercules quadrijumeaux envoyaient leurs
fibres
de pro- jection de deuxième ordre dans la calot
oyait les siennes dans le pied du pédoncule cérébral (Fig. 50). Les
fibres
du noyau caudé (FC) et les fibres radiées du no
pédoncule cérébral (Fig. 50). Les fibres du noyau caudé (FC) et les
fibres
radiées du noyau lenticulaire (FL) y arrivaient e
e elles sont situées, puisse recourbaient en bas et formaient t les
fibres
les plus internes du pied du pédoncule cérébral (
internes du pied du pédoncule cérébral (CF, Fig. 1). La plupart des
fibres
de l'anse lenticulaire abandonnaient le pied du p
ur oculaire commun (III- paire) et pathétique (IVe paire), quelques
fibres
descendaient jusqu'aux noyaux des VI,, VUe et X
bres descendaient jusqu'aux noyaux des VI,, VUe et XIIe paires; ces
fibres
de l'anse lenticulaire n'étaient en effet pour Me
fibres de l'anse lenticulaire n'étaient en effet pour Meynert que les
fibres
cérébrales des nerfs moteurs crâniens. Les autr
rt que les fibres cérébrales des nerfs moteurs crâniens. Les autres
fibres
de l'anse du noyau lenticulaire descendaient da
don antérieur, le long du sillon médian antérieur. Quant aux autres
fibres
striées (Cbr, Fig. : il, coupe 1),les unes s'arrê
doncule cérébral ltig. 51, coupe 1), celui-ci recevait en- core des
fibres
du locus niger et des fibres directes de l'écorce
upe 1), celui-ci recevait en- core des fibres du locus niger et des
fibres
directes de l'écorce des lobes occipital et tem
s le nom de faisceau de Tiirck, ou faisceau sensitif. ' Quant aux
fibres
du locus niger (pédoncule du locus niger de Mey
l, outre les faisceaux du corps strié, du noyau lenticulaire et les
fibres
corticales directes temporo-occi- pitales qui f
En 1872, Gudden montra par voie expérimentale que, chez le chien, les
fibres
de la pyramide prennent leur origine dans le gy
rébral. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CEREBRALE. 87 fibre
e la Salpêtrière FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CEREBRALE. 87
fibres
pédonculaires indirectes (Fig. 0), c'est-à-dire s
), c'est-à-dire se terminant dans l'épaisseur des corps striés, des
fibres
pédonculaires directes venant de la corticalité,
), qui jamais sous aucune condition ne dégénère, qui est composé de
fibres
centripètes et qui forme le tiers postérieur du
t faisceau externe, contigu au faisceau pyramidal, qui renferme les
fibres
des noyaux moteurs bulbaires (facial et hypoglo
isceau interne de la couche inférieure du pied du pédoncule cérébral (
fibres
du noyau caudé) non encore myélinisé. - d, la p
de la couche supérieure ou dor- sale du pied du pédoncule cérébral (
fibres
du lobe frontal, du noyau lenticulaire et du noya
e de la couche supérieure ou dorsale du pied du pédoncule cérébral (
fibres
du noyau lenticulaire et de la queue du noyau cau
du faisceau pyramidal dans la capsule interne, admet l'existence de
fibres
cortico-médullaires et cor- lico-protuhérantiel
passe par l'étage antérieur de la protubérance, n'abandonne aucune
fibre
aux noyaux;pontidues, forme la pyramide bulbaire
gment pos- térieur en avant du faisceau pyramidal et représente les
fibres
des nerfs moteurs de la protubérance ; 4° Le
e et à la partie antérieure de son segment postérieur et contient des
fibres
du lobe frontal, du noyau caudé et de la partie
noyau caudé et de la partie antérieure du noyau lenticulaire. a) Les
fibres
originaires du lobe frontal constituent le fais
e, mais ne participent pas à la constitution de la pyramide, b) Les
fibres
du noyau caudé, provenant de la têle, du tronc
les occupent ensuite le bord interne de la protubérance lorsque les
fibres
cortico-protubérantielles antérieures sont devenu
o-protubérantielles antérieures sont devenues profondes. c) Quant aux
fibres
du noyau lenticulaire, les unes occupent la cou
ées entre le faisceau des nerfs crâniens moteurs et le faisceau des
fibres
caudées; elles forment avec ce dernier le faiscea
dium de Meynert; elle est constituée en dedans (Fig. 53 (d) par les
fibres
du faisceau cortico-protubérantiel antérieur et e
s du faisceau cortico-protubérantiel antérieur et en dehors par les
fibres
du noyau lenticulaire (b). FIBRES DE PROJECTION
antérieur et en dehors par les fibres du noyau lenticulaire (b).
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 89 Les a
r et, dans les couches internes et profondes du pied du pédoncule des
fibres
d'ori- gine caudée et lenticulaire. Les reche
riées, - méthode qui doit en dernier ressort fixer l'origine de ces
fibres
, au moins chez l'homme, - ont démontré (Fig. 49)
(Fig. 49) : l°Que le pied du pédoncule cérébral ne contient pas de
fibres
striées, qu'il est exclu- sivement formé de fib
contient pas de fibres striées, qu'il est exclu- sivement formé de
fibres
d'origine corticale et qu'il dégénère en totalité
tren). Les zones des centres de projection seraient reliées par des
fibres
de projection aux centres inférieurs du nevraxe
active). Les zones des centres d'association seraient dépourvues de
fibres
de projection mais seraient reliées aux sphères
on mais seraient reliées aux sphères sensorielles par de nombreuses
fibres
d'association. Ces zones, au nombre de trois, s
ère qu'un tiers de la corticalité encéphalique qui serait pourvu de
fibres
de projection, les deux autres tiers en seraient
avaux de Dejc- rine sur l'origine exclusivement corti- cale des
fibres
du pied du pédoncule cérébral. Les nouvelle
centres d'asso- ciation. Ces derniers se- raient dépourvus do
fibres
de projection. 90 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
hs, v. Mo- nakow, Siemerling, 0. Vogt démontrant la présence de
fibres
de projection dans les soi-disant cen- tres
condaires, démontre que toute la corticalité cérébrale contient des
fibres
de projection, y compris probable- ment l'insul
ntérieure du lobe fron- tal et le pli courbe envoient de nombreuses
fibres
de projection dans la couche optique, et les fa
ent une fois de plus que toute la corticalité cérébrale possède des
fibres
de projection. Mais le secteur moyen de l'hémis
e projection. Mais le secteur moyen de l'hémisphère envoie seul des
fibres
de projection dans le pied du pédoncule cérébra
gual et fusiforme, la pointe temporale, envoient de très nombreuses
fibres
de projection dans le thalamus et les ganglions
riétal, comme les circonvolutions occipito- temporales, possède des
fibres
de projection, et qu'il participe à la constituti
corticalité cérébrale tout entière, y compris l'insula, possède des
fibres
de projection. L'anatomie comparée montre, du r
Qu'une grande partie de l'écorce cérébrale soit encore dépourvue de
fibres
de projection chez l'enfant en bas âge, - et le
ylogénétique plus ancien. Mais se baser sur ce fait que cer- taines
fibres
ne sont pas encore développées à une certaine pér
met en outre que ses «anciennes » zones d'association possèdent des
fibres
de projection mais en quantité moindre que les
projection mais en quantité moindre que les zones de projection.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 91 III. -
FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 91 III. - TRAJET DES
FIBRES
DE PROJECTION DU MANTEAU CÉRÉBRAL ÉTUDIÉES : 1°
ite. - 111, filets radicu- laires du nerf moteur oculaire commun.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 93 FIG, :
'y), atrophie indirecte de l'entre-croisement piniforme (xpin), des
fibres
arciformes inter- réticulaires gauches (firfa),
fois du côté sain une véritable hypertrophie de tout le système des
fibres
de projection du manteau cérébral, en particuli
édoncule céré- bral, l'enchevêtrement des différentes catégories de
fibres
de projection du manteau est tel, que l'emploi
r une lésion corticale entraîne non seulement la dégénérescence des
fibres
de projection corlicifuges, il ter- minaisons p
ncore -ainsi que nous l'avons vu dans le tome la dégénérescence des
fibres
commissurales, des libres courtes et longues d'
es courtes et longues d'association; elle retentit en outre sur les
fibres
terminales, corticipètes qui subissent la dégén
ment. Le ruban de Reil du côté atrophié contient un petit nombre de
fibres
normales (fn), il contient surtout des fibres de
nt un petit nombre de fibres normales (fn), il contient surtout des
fibres
de petit calibre et un très grand nombre de fib
ient surtout des fibres de petit calibre et un très grand nombre de
fibres
atrophiées (fa), les fibres sont en outre plus se
etit calibre et un très grand nombre de fibres atrophiées (fa), les
fibres
sont en outre plus ser- rées les unes contre le
TRES NERVEUX. petit à petit, au sur et à mesure de l'épuisement des
fibres
dégénérées. À la suite d'une lésion sous-cortic
protubé- ranlielle, bulbaire ou médullaire située sur le trajet des
fibres
de pro- jection du manteau cérébral, l'étendue
à 102.) Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CEREBRALE. 97 grand n
re FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CEREBRALE. 97 grand nombre de
fibres
de projection à long trajet qu'une lésion cortica
leur long trajet étendu du manteau -cérébral au filum terminal, les
fibres
de projection n'existent nulle part à l'état is
isolé, que partout elles se mélangent ou s'entre-croisent avec des
fibres
plus ou moins nombreuses et de provenance fort va
férenciée de l'hémisphère, elles s'enchevêtrent intimement avec les
fibres
commissurales et d'asso- ciation du manteau cér
e rayonnante et la capsule interne, elles se mélangent en outre aux
fibres
corticipètes qui, prenant leur origine dans les
renant leur origine dans les centres ganglionnaires infracorticaux (
fibres
tha- lamo-corticales et autres), se terminent d
nt dans l'écorce cérébrale en suivant en sens inverse le trajet des
fibres
de projection corticale. Dans la capsule intern
sont en outre croisées par un nombre plus ou moins considérable de
fibres
qui - reliant le corps strié au thalamus, à la'ré
même dans la pyramide bulbaire. Dans la moelle épinière enfin, les
fibres
du faisceau pyramidal, bien que cantonnées spéc
ertaines parties, sont accompa- gnées dans tout leur trajet par des
fibres
ayant une toute autre origine (fibres longues e
dans tout leur trajet par des fibres ayant une toute autre origine (
fibres
longues et courtes d'association provenant des ce
longues et courtes d'association provenant des cellules descordons,
fibres
de la formation réticulée bulbo-protubérantielle,
escordons, fibres de la formation réticulée bulbo-protubérantielle,
fibres
venant du tubercule quadrijumeau antérieur, du
médul- laires, etc., entraîneront donc, outre la dégénérescence des
fibres
de pro- jection corticale, la dégénérescence d'
s de pro- jection corticale, la dégénérescence d'autres systèmes de
fibres
d'origine variée. Dans ces lésions il se prod
récente, le champ de dégénérescence est constitué seulement par les
fibres
qui, séparées de leurs cellules d'origine, ont
i la dégénérescence wallérienne - dégé- nérescence cellulifuge. Les
fibres
qui dégénèrent en aval, c'est-à-dire au-dessous
capsule interne et du pied du pédoncule cérébral, appartiennent aux
fibres
de projection du manteau cérébral; ce sont des
rtiennent aux fibres de projection du manteau cérébral; ce sont des
fibres
corticifuges. Les fibres qui dégénèrent en amont,
rojection du manteau cérébral; ce sont des fibres corticifuges. Les
fibres
qui dégénèrent en amont, c'est-à-dire au- dessu
s aussi, frappées de dégénérescence ce//«- lifzcge, car ce sont des
fibres
, qui nées dans le thalamus et ses gan- glions,
halamus et ses gan- glions, etc., - vont s'arboriser dans l'écorce,
fibres
corticipèles. Par contre, lorsque la lésion est
essus de la lésion, il se produit une dégénérescence rétrograde des
fibres
de projection TOME II. 7 Les lésions sous-
nent la dégéné- rescence do co systômo do libres, ainsi que des
fibres
d'origine variées qui s'entre-croisent ou so
ébrale et au-dessous de la lésion une dégénérescence rétrograde des
fibres
corticipètes. En d'autres termes, dans les cas de
vant déceler, par conséquent, l'existence d'un très petit nombre de
fibres
dégénérées au milieu d'un faisceau sain, résultat
t, d'autre part, établir dans un faisceau complexe la direction des
fibres
qui le constituent. Dans les lésions anciennes
escence qui, certaine- ment, n'est pas seulement constituée par les
fibres
de projection dégénérées, mais aussi par un gra
fibres de projection dégénérées, mais aussi par un grand nombre de
fibres
corticipètes frappées de dégénérescence cellulipè
ntrent en effet, dans ces régions, l'existence d'un grand nombre de
fibres
saines au milieu des fibres dégénérées; cer- ta
gions, l'existence d'un grand nombre de fibres saines au milieu des
fibres
dégénérées; cer- taines lésions thalamiques réc
es lésions thalamiques récentes permettent de suivre le trajet de ces
fibres
cortici- pètes dégénérées à travers la capsule
ers la capsule interne et la couronne rayonnante ; le nombre de ces
fibres
est enfin bien mis en évidence dans certaines agé
ctibilité et, partant, son origine et ses terminaisons; aussi, dans
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 99 ces c
celle de Nissl, l'état des cellules des neurones correspondant aux
fibres
dégénérées. En résumé, l'étude des dégénérescen
que de tous les points de la corticalité cérébrale se détachent des
fibres
de pro- jection. Mais le nombre et la longueur
chent des fibres de pro- jection. Mais le nombre et la longueur des
fibres
dégénérées dépendent essentiellement du siège m
le moyenne (OTm), artère calcarine (K) sont colorées en vert. Des
fibres
de pro- jection se détachent do tous les poin
envoie au globus pallidus et au corps de Lugs qu'un petit nombre de
fibres
(méthode de Marchi'). 2° Que les lésions de l'é
er- veau moyen et le rhombencéphale : la formation réticulée et ses
fibres
arcifonnes, le faisceau longitudinal postérieur
de l'écorce cérébrale, intéressent de ce fait à peu près toutes les
fibres
de projection. Le cas Pradel.- Hémiplégie droit
schématique pour celle étude (voy. Dejerine, Mém. Soc. RioL, 1893).
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 101 Il s'a
psule interne sont seules conservées. - Dégénérescence complète des
fibres
radiées du pulvinar (Pul) et du noyau interne (
des s masses centrales.Dé- généresconce de tout le système des
fibre
: de projection du man- teau cérébral. Dégé-
on des masses centrales.Dé- générescence de tout le système des
fibres
de projection du man- teau cérébral. Dégé-
nne la couche sagittale et que c'est par cette couche que passent les
fibres
de projection de la région occipitale (faces in
des figures 68 et 69.) - Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 103 1° I
1° Il existe dans ce cas : une dégénérescence totale de toutes les
fibres
longitudinale de la capsule interne (segments a
es (Cisl) (Fig. 67, 68, 69) ; une dégénérescence totale de toutes les
fibres
longi- tudinales du pied du pédoncule cérébral
m intermedium (Stri; (Fig. ' ? 0-7t); une dégénérescence totale des
fibres
longitudinales de l'étage antérieur de la protu
dégénérescence totale de la pyramide bulbaire (Py) (Fig. 76) et des
fibres
directes et croisées que cette dernière envoie da
es et croisées que cette dernière envoie dans la moelle épi- nière,
fibres
pouvant être suivies dans toute [la hauteur de la
«(Fig. 75), due en grande partie à la disparition du feu- trage des
fibres
de ces régions. 2° Il existe : une dégénérescen
bres de ces régions. 2° Il existe : une dégénérescence complète des
fibres
radiées des noyaux externe et interne du thalam
ion des masses centrales.Dé- générescence de tout lesystème des
fibres
de projection du man- teau cérébral. Dégé-
ion des masses centrales.Dé générescence de tout lo système des
fibres
de projection du man- teau cérébral. Dégé-
bi qu'une diminution simple de volume, et contenaient de nombreuses
fibres
saines fortement colorées parl'héma- toxyline.
. Le faisceau thalamique de Forel (Fth), le ruban de Reil (Rm), les
fibres
verticales de la lame médullaire externe du tha
(FI), de l'anse du noyau lenticulaire (AI) et de tout ce système de
fibres
qui, reliant le corps strié et le globus pallidus
corticalité cérébrale étaient détruites, tandis que les systèmes de
fibres
qui relient le thalamus à la région de la calot
de Luys, étaient intacts. Grâce à la dégénérescence com- plète des
fibres
de projection corticale, on pouvait dans ce cas é
et sous-thalamique le segment postérieur de la capsule interne. Ces
fibres
paraissaient môme plus nombreuses, plus denses,
que. - Dégénérescence totale du pied du pédoncule cérébral (P). Les
fibres
qui traversent le pied du pédoncule [radiations
ruban de Reil médian. - Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. Ce cas mon
. Ce cas montre donc : 1° Que la corticalité cérébrale envoie des
fibres
à toute l'étendue des noyau externe et interne
n des masses centrales. Dé- générescence de tout le système des
fibres
de projection du man- teau cérébral. Dege-
des s masses centrales. De- générescence do tout le système des
fibres
de projection du man- teau cérébral. Dégé-
l (P), y compris le stratum intermedium, est en- tièrement formé de
fibres
corticales dont les unes s'épuisent dans le locus
re. - Dégéné- rescence complète du pied du pédoncule cérébral : les
fibres
qui limitent le pied du pédoncule cérébral en d
du pédoncule cérébral en dedans correspondent dans la figure 73 aux
fibres
radicu- laires de la IIIe paire, et dans la fig
ux fibres radicu- laires de la IIIe paire, et dans la figure 74 aux
fibres
protubérantielles qui comblent le trou borgne e
oupe transversale de la protubérance. - Dégénérescence complète des
fibres
longitudinales de la protubérance et des noyaux p
. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Saïpêtrière 107
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. substance
ncule cérébelleux supérieur (vu leur intégrité) ne reçoivent pas de
fibres
directes de la corticalité cérébrale (Voy. Ruba
globus pallidus) et le corps de Luys ne reçoivent que de bien rares
fibres
de la corticalité céré- brale, si toutefois ils
moitié droite de la moelle épinière, mais on ne pouvait y suivre de
fibres
dégénérées, et l'état sain de ces noyaux contra
postérieur de la capsule interne dans la région sous-optique. Les
fibres
horizontales saines mais d'aspect onduleux du f
u lenticulaire de Forel (FI) segmentent la capsule interne dont les
fibres
longitudinales sont totalement dégénérées. -Com
vaut, hémiplégie infantile; ici la lésion remonte au jeune âge, les
fibres
dégénérées ont disparu sans laisser pour ainsi
dégénérées ont disparu sans laisser pour ainsi dire de traces; les
fibres
du faisceau lenticulaire sont si serrées que l'
n des masses centrales. Dé- générescence de tout le système des
fibres
de projection du man- teau cérebral. Dégé-
v ec le corps strié et le corps de Luys, s'il montre que toutes les
fibres
du pied du pédoncule cérébral prennent leur origi
de la plaque jaune - sur les territoires corticaux qui envoient leurs
fibres
de projection soit dans le thalamus, soit dans
é an- térieure de la couche optique et de la région sous-optique.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 109 des fi
sous-optique. FIBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 109 des
fibres
radiées du pulvinar et des fibres du stratum zona
ON DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 109 des fibres radiées du pulvinar et des
fibres
du stratum zonale (Strz). Le lobe occipital pos-
du stratum zonale (Strz). Le lobe occipital pos- sède donc : 1° des
fibres
de projection cortico-thalamiques, qui se rendent
ui se rendent dans le pulvi- nar et dans son stratum zonale; 2° des
fibres
de projection cortico-gerzouillées externes, dest
desti- nées à la partie supérieure du corps genouillé externe. Ces
fibres
portent encore le nom de radiations optiques de
donc pas à la formation de la voie pédonculaire ; il ne possède ni
fibres
de projection cortico-protubérantielles, ni fibre
il ne possède ni fibres de projection cortico-protubérantielles, ni
fibres
de projection cortico- bulbaires ou cortico-méd
lésions du lobe occipilal déterminent, en outre, dans le système des
fibres
com- missurales et d'associations, une dégénére
missurales et d'associations, une dégénérescence : t° Des courtes
fibres
d'association et des libres propres du lobe occip
sceau long d'association : faisceau longitudinal inférieur (Fli). Les
fibres
dégénérées de ce faisceau passent par la couche
Tap) (Voy. cas Courrière et Bras) qui envoie un grand nombre de ses
fibres
dans le bourrelet du corps calleux (Cc[Spl]), et
ses fibres dans le bourrelet du corps calleux (Cc[Spl]), et d'autres
fibres
dans le faisceau d'association occipito-frontal
au d'association occipito-frontal (OF). Voy. T. I ? pj 794-800. Les
fibres
commissurales du lobe occipital prennent, non s
iforme affleurent la surface libre du genou et du bec postérieur, les
fibres
du cunéus et de la scissure pariéto-occipitale
g. 794-799). L'extrémité effilée du bec postérieur ne contient pas de
fibres
occi- pitales, mais livre passage aux fibres co
eur ne contient pas de fibres occi- pitales, mais livre passage aux
fibres
commissurales du trigone cérébral tributaires d
ïdale jusqu'au noyau amygdalien (NA) (Fig. 83 à 8)); une partie des
fibres
dégénérées du faisceau longitudinal inférieur s'i
écorce du lobe temporal dont la substance blanche est très dégénérée (
fibres
longues 110 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. d
OMIE DES CENTRES NERVEUX. d'association) (Fig. 83), l'autre partie (
fibres
de projection) se recourbe en anse au niveau du
t normaux. (Fig. 82 à 85). 2° Une dégénérescence très intense des
fibres
calleuses qui entourent le plancher, les parois
refour ventriculaire; sur les coupes sériées on voit une partie des
fibres
dégénérées longer la paroi inférieure du ventricu
e Biologie, 1892, Thèse de Vialet, 1893, et Tome I, p. 798 et 800.)
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 111 majo
CÉRÉBRALE. 111 major dans le bourrelet du corps calleux, d'autres
fibres
dégénérées entrent dans la constitution du fais
roi interne de la corne occipitale. Dans la région du bourrelet ces
fibres
sont renforcées par les fibres calleuses dégénéré
ale. Dans la région du bourrelet ces fibres sont renforcées par les
fibres
calleuses dégénérées du tapetum; elles occupent
genou postérieurs (Fig. 8G). , 3° Une dégénérescence des courtes
fibres
d'association qui relient la face inférieure du
ons du bord inféro-externe de l'hémi- sphère. La dégénérescence des
fibres
d'association qui relient la face inférieure du l
laire de la capsule interne (Cirl), du stratum zonale (Strz) et des
fibres
radiées du pulvinar (Pul). Méthode de Weigert. 3/
delette optique (Fig. 83). Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. t13 FIG.
ps ge- nouillé externe (Cge), du bras (BrQa) et de la couche de
fibres
superficielles du tu- bercule quadrlju- mea
ce de la masse blanche de la face inféro-interne de l'hémisphère.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 115 Le c
(Fig. 89) montrent que celte plaque a détruit les trois couches de
fibres
qui doublent le plancher de la corne occipitale
ruban de Vicq d'Azyr d'apparence normale et un assez grand nombre de
fibres
myéli- nisées, mais qu'elle est ratatinée et co
eur et inférieur de la couronne rayonnante (Fig. 89). Au milieu des
fibres
dégénérées des couches sagittales qui longent l
paroi externe de la corne occipitale, il existe un petit nombre de
fibres
saines (rRTh), myélinisées, qui représentent les
t nombre de fibres saines (rRTh), myélinisées, qui représentent les
fibres
de projection des circonvolutions de la face ex
, de la zone de Wernicke (W), du corps genouillé externe (Cge) et des
fibres
radiées et du stratum zonale du pulvinar (pur).
s manifeste du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa), des
fibres
superficielles et moyennes de ce tubercule et d
nature. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 117 Le s
partie inférieure de la capsule externe con- tiennent de nombreuses
fibres
dégénérées (Fig. 91). 3° Une dégénérescence des
le interne (Cirl), de la zone de Wernicke (W), du pulvi- nar (Pul) (
fibres
radiées et stratum zonale), du bras du tubercule
présente la coupe (Fig. 92) est essentiellement constituée par les
fibres
calleuses dégénérées de l'hémi- sphère droit; l
nt de la même cause : l'irradiation dans la convexité pariétale des
fibres
calleuses dégénérées de l'hémisphère droit. 2°
sont colorées en jaune.) Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. n9 qui d
i doublent la paroi inférieure de la corne occipitale (Fig. 92) ; les
fibres
dégénérées se concentrent surtout le long de l'
ule interne; elle per- met de suivre d'une façon très manifeste les
fibres
dégénérées dans la couche sagittale de la deuxi
s sont colorées en jaune.) Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 121 geno
a capsule interne (Cip), de la lame médullaire externe (Lme) et des
fibres
radiées du thalamus dans la partie adjacente à la
rescence partielle de la commissure antérieure (coa) et des courtes
fibres
d'association du sillon marginal postérieur de
postérieur de l'insula. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 123 post
ittales du lobe occipito-pariéto-temporal contiennent à la fois des
fibres
corticifuges et ]des fibres corticipètes. Mai
iéto-temporal contiennent à la fois des fibres corticifuges et ]des
fibres
corticipètes. Mais on peut rencontrer des cas p
agittale interne (Sgi, H1'h), et ce siège indique nettement que les
fibres
dégénérées ne peuvent venir que de la lésion pa
peuvent venir que de la lésion pariétale, qu'elles représentent les
fibres
de projection du pli courbe (Fig. 97 et 98). -
ntent les fibres de projection du pli courbe (Fig. 97 et 98). - Ces
fibres
peuvent être suivies. à travers le segment rétro-
aitie supérieure de la zone de Wernicke (W) (Fig. 97 et 98). Aucune
fibre
dégénérée ne se rend dans le segment postérieur d
cérébral (l'). Ce fait démontre donc que le pli courbe contient des
fibres
de projection, et qu'il Fig. 99 et 100. Cas Jou
rébral, malgré la lésion du pli courbe. Le pli courbe n'envoie pas de
fibres
à la voie pédonculaire. Coupes passant par la p
00) du pédoncule cérébral. Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 125 les en
a région sous-thalamique (Fig. 10) elle est refoulée en avant par les
fibres
du segment sous-lenticulaire de la capsule inte
oyau rouge (NR, Fig. 103 et 104). Le lobe pariéta contient donc des
fibres
de projection corlico-rubriques qui passent en pa
erne (Lme), de la zone réticulée (Zn) du stratum zonale'(Strz), des
fibres
radiées du pulvinar (Pul) et de la partie adjac
. 104). Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 121 Cas Le
OMIE DES CENTRES NERVEUX. En résumé : le lobe pariétal contient des
fibres
de projection cortico-thalamiques et cortico-ru
miques et cortico-rubriques ; sa partie postérieure n'envoie pas de
fibres
de projection dans le pied du pédoncule cérébra
de projection dans le pied du pédoncule cérébral et ne contient ni
fibres
cortico-protubérantielles, ni fibres cortico- m
ncule cérébral et ne contient ni fibres cortico-protubérantielles, ni
fibres
cortico- médullaires. , , . Une lésion du lob
laires. , , . Une lésion du lobe pariétal retentit en outre sur les
fibres
des systèmes d'association et commissural. On o
commissural. On observe toujours une dégénérescence : 1° des courtes
fibres
d'asso- ciation de la région et du faisceau occ
Fli), qui concourt à former la couche sagitlale externe et dont les
fibres
dégénérées s'irradient dans la première cir- co
convolution temporale (Fig. 103); 3° du tapetum (Tap) qui envoie ses
fibres
dégénérées, soit dans le bourrelet et la partie
u faisceau de Tiirck (FT). Méthode de Weigert. 2/1 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 129 .rol
générescence du thalamus, intéressant la zone réticulée (Zr) et les
fibres
radiées (fr), dont le siège et l'étendue correspo
i cette dernière occupe le genou de la capsule interne, ce sont les
fibres
radiées de l'extrémité antérieure du thalamus qui
'est dans la partie adjacente du thala- mus qu'il faut chercher les
fibres
dégénérées (cas Scheule, Fig. 108). Ce fait mon
mme du reste dans le segment moyen de la couronne rayonnante, - les
fibres
cortico- thalamiques sont intimement enchevêtré
s fibres cortico- thalamiques sont intimement enchevêtrées avec les
fibres
de projection cortico-protu- bérantielles, cort
-protu- bérantielles, cortico-bulbaires et cortico-médullaires. Les
fibres
cortico-thalamiques abandonnent la capsule inte
et s'ir- radient dans les tiers supérieur et moyen du thalamus. Les
fibres
cortico-protubé- ·antielle,s, cortico-bulbaires
la pyramide bulbaire. La zone rolandique ne paraît pas posséder de
fibres
de projection pour la région tome II. 9 FIG.
le interne (Cip, Fig. 107), delalame médullaire externe (Lme) etdes
fibres
radiées du noyau externe (Ne) du tha- lamus dan
que de la capsule interne. Méthode de Weigert, 2/1 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 131 sous
ans les lésions corticales qui intéressent le lobe central. Parmi ces
fibres
, les unes se terminent dans le locus niger, les
1), s'a- dossent au ruban de Reil médian (Rm) et représentent les
fibres
aberrantes de la voie pédonculaire. Les lésio
crochet (OF) qui surmonte le noyau caudé et (juicontient la fois des
fibres
FIG. 113 à 41. - Cas Naudin (Bicêtre 1894). T
e la lame médullaire externe, de la zone ré- ticulée (Zr), et des
fibres
radiées du noyau externe du thalamus dans la
3/2 grandeurnature. Les zones dégénérées sont colorées en jaune.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBHALE. 133 d asso
IBRES DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBHALE. 133 d association et des
fibres
de projection, mais encore les libres de la couch
e le faisceau occipito-frontal reçoit de la zone rolandique plus de
fibres
se dirigeant vers le lobe frontal qu'il ne reço
plus de fibres se dirigeant vers le lobe frontal qu'il ne reçoit de
fibres
le reliant à la moitié postérieure de l'hémisphèr
é- rieur du putamen (\La) et le tronc du noyau caudé (NC); quelques
fibres
passent en dehors du noyau lenticulaire, appart
u segment rétrolenti- culaire de la capsule interne (Cirl), par des
fibres
saines qui appartiennent au système de projecti
ment postérieur de la capsule interne, abandonne chemin faisant des
fibres
à la zone réticulée (Zr) et à la partie adjacente
ème cinquième externe et abandonne dans son trajet pédonculaire des
fibres
au locus niger (Ln). (Fig. 110 el 411). Dégénér
. If;j). Comme dans le cas précédent, il existe une disparition des
fibres
radiées dans la partie du noyau externe du 'thala
les cas précédents, on observe encore ici une dégé- nérescence des
fibres
radiées du thalamus et du locus niger (Ln) dans l
erne du lobe frontal, du faisceau occipito-frontal (OF-1-Pr) et des
fibres
(OF) qui sillonnent la substance grise sous-épe
1 grandeur nature. Les zones dégéné- rées sont colorées en jaune.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 135 circ
nsversales (Fig. 118) montrent que la lésion a détruit toutes les
fibres
de projection de l'opercule rolandique, et qu
e interne (Cip),dégénéres- cence de la zone réticu- lée, et des
fibres
radiées del'extrémité antérieure de la couche
20) la zone dégénérée est limitée en dedans et en avant par les
fibres
horizon- tales saines de l'anse len- ticulair
1 gran- Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 137 occu
eur de la capsule interne (Cip) ; il est contourné en dedans parles
fibres
à trajet horizontal de l'anse du noyau lentic
ccusée sur les coupes voisines de la protubérance. La plupart des
fibres
dégénérées se portent, en effet, vers les couch
(Voy. Nerfs crâniens, Rhombencéphale, IIIe partie). Une partie des
fibres
du cin- quième interne du pied du pédoncule cér
us- lenticulaires de la capsule interne et du faisceau de Tiirck.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 139 rG.
et sous-lenticulaire (Cisl), (Fig. 127) de la capsule interne, des
fibres
radiées et du stra- tum zonale (Strz) de la par
du corps genouillé externe (Cge), du bras (BrQa) et de la couche de
fibres
superficielles du tubercule quadrijumeau antéri
me antérieur du segment postérieur de la capsule interne (Cip) et des
fibres
radiées du thalamus dans la région adjacente à
ral (Fig. 127 et 128). Méthode de Weigert-Pal. 3/2 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 141 lobe
épendyme ventriculaire et détruisent plus ou moins complètement les
fibres
de la région. Aux dégénérescences secondaires p
en particulier dans la région sous-thalamique que quelques rares
fibres
faiblemenl colorées par l'hématoxyline qui s'ir
les régions thalamiques de la capsule (Fig. 9 2 et 126), par des
fibres
saines ( ! le) qui s'étendent de la queue du no
f'(NC) au noyau lenticulaire (NL3), el appartiennent au système des
fibres
lenticulo-caudées. Le pulvinar (Pul), la partie p
ne de Wernicke (W) sont très dégénérés et ne contiennent que de rares
fibres
saines. Dans la région thalamique de la capsu
ceau dégénéré, le faisceau de Tiirck (FT), qui refoule en avant les
fibres
saines du segment postérieur de la capsule inte
u bulbe laquelle con- tient néanmoins un nombre consi- dérable de
fibres
saines correspon- dant aux fibres saines du fai
ins un nombre consi- dérable de fibres saines correspon- dant aux
fibres
saines du faisceau moyen de la voie pédonculair
al (Fig. 128). Il existe donc dans ce cas une dégénéscence : 1° des
fibres
cortico-thalamiques desti- nées au pulvinar ; z
1° des fibres cortico-thalamiques desti- nées au pulvinar ; zu des
fibres
de projection cortico-genouillées externes ; 3" d
e du thalamus (Ne), la partie supérieure du pulvinar (Pul) dont les
fibres
radiées ont complètement disparu (Fig. 131) et
e de la capsule in- terne (Ciil) contient un nombre considérable de
fibres
saines; il en est de même de la zone de Wernick
le faisceau de Tiirck (FT), qui ne contient relativement que peu de
fibres
dégénérées- Elle occupe, dans le pied du pédoncul
rcule pariétal et de la circonvolution postérieure de l'insula.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE 143 exter
érieur de la capsule in- terne (Cip), de la zone réticulée et des
fibres
radiées de la partie postérieure du noyau 1
la coupe précédente est divisé en deux parties par l'arrivée des
fibres
en grande partie saines du faisceau de Turck
, ou cinquième externe, n'est toutefois pas complètement indemne.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 145 Dans c
E CÉRÉBRALE. 145 Dans ce cas, il existe donc une dégénérescence des
fibres
cortico-thalamiques destinées au pulvinar et à
ie postérieure du noyau externe du thalamus, une dégénérescence des
fibres
cortico-genozcillées internes, une dégénérescence
egment rétro-lenticu- laire de la capsule interne. S'agit-il ici de
fibres
de projection corticales destinées au globus pa
fibres de projection corticales destinées au globus pallidus ou de
fibres
lenticulo-caudées ? c'est là un point sur lequel
emporo- occipital et détruisent par conséquent un certain nombre de
fibres
occipitales; mais, nous avons montré plus haut
re présentait la même disposition. Le lobe temporal envoie donc ses
fibres
de /projection dans la partie inférieure de la
dans le cinquième externe du pied du pédoncule cérébral. Toutes ces
fibres
passent par le segment sous-lenticulaire de la
postérieure des noyaux externe et interne du tha- lamus (Ne, Ni) (
fibres
cortico- thalamiques) et au corps genouillé i
fibres cortico- thalamiques) et au corps genouillé inlerne (Cgi) (
fibres
cortico-ge- nouillées internes). Les autres d
postéro-supéro- externe de l'étage antérieur de la protubérance (
fibres
cortico- protubérantielles). Les lésions du l
s- cence des segments antérieurs de la cap- sule interne, des
fibres
radiées de l'ex- trémité antérieure du thalam
- cenco des segments antérieurs de la cap- sule interne , des
fibres
radiées de l'ex- trémité antérieure du thalam
mière et deuxième circonvolutions frontales droites. Dégénérescence
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. U9 du ge
du bourrelet du corps calleux (Ce [Spl]). Dans le bour- relet, les
fibres
temporales passent au-dessus et en avant des fibr
our- relet, les fibres temporales passent au-dessus et en avant des
fibres
du lobe occipital. La dégénérescence du faiscea
- tale. Ce faisceau dégénère par conséquent dans les deux sens (
fibres
corticifuges et fibres corticipètes); il reçoit
égénère par conséquent dans les deux sens (fibres corticifuges et
fibres
corticipètes); il reçoit du lobe temporal des
ticifuges et fibres corticipètes); il reçoit du lobe temporal des
fibres
qui relient la région temporale moyenne les u
a pointe temporale, les autres à la pointe occipitale. Toutes ces
fibres
empruntent, dans une partie de leur trajet, l
énérescence du segment antérieur de la capsule interne (Cia) et des
fibres
radiées des noyaux externe et interne du thalam
et la partie postérieure du lobe pariétal. Elles n'envoient pas de
fibres
de projection dans le pied du pédoncule cérébral
pied du pédoncule cérébral et ne contiennent par conséquent pas de
fibres
cortico-protubérantielles, cortico-bulbaires, o
protubérantielles, cortico-bulbaires, ou cortico-médullaires. Leurs
fibres
de projection se rendent toutes dans l'extrémité
l'extrémité antérieure du thalamus et concourent à la formation des
fibres
radiées des noyaux externe et interne. Les lé
ne. Les lésions du lobe frontal retentissent encore sur les courtes
fibres
d'association de la région et sur les longs fai
nérescence du faisceau occipito-frontal intéresse non seulement les
fibres
de la substance grise sous-épendymaire, mais enco
i entoure l'angle latéral du ventricule et qui contient à la fois des
fibres
d'association et des fibres de projection. Ces
entricule et qui contient à la fois des fibres d'association et des
fibres
de projection. Ces dernières peuvent être suivies
la capsule interne (Cià) où elles se mélangent intimement avec les
fibres
dégénérées de la couronne rayonnante du lobe fron
ns du lobe frontal déterminent en outre une dégénérescence soit des
fibres
du genou (Ce[g]), du bec (Cc[r]) ou de la partie
euvent nous renseigner sur le territoire cortical dont dérivent les
fibres
de projection, mais elles sont précieuses pour
et dans le pied du pédoncule cérébral. Si l'on fait abstraction des
fibres
de projection destinées à la couche optique, au
corps genouillés, au noyau rouge, etc., pour ne considérer que les
fibres
du pied du pédoncule, dont l'origine corticale
ière du genou et respecte le faisceau interne du pied du pédoncule.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. loi Les lé
dans les segments antérieur et posté- rieur, quelques fascicules de
fibres
intactes, saines, et plongées au sein de zone
saines, et plongées au sein de zones complètement dégénérées. Ces
fibres
saines existent sur les cou- pes qui passent au
ou rétro-lenticulaire de la capsule interne (Ci ri). Certaines de ces
fibres
saines s'irradient dans la couche optique (Th),
5J4 grandeur nature, dessiné à un grossissement de 12 diamètres.(
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 153 de Cip
ésion primitive (Fig. 148 et 149), contient un très grand nombre de
fibres
saines, et dans le pied du pédoncule (P) on tro
iirck (FT) très apparent (Fig. 150). Abstraction faite de ces rares
fibres
conservées, il existe chez Rivaut : 1° une dégéné
l existe chez Rivaut : 1° une dégéné- rescence presque complète des
fibres
cortico-thalamiques du pulvinar (Pul), des noyaux
onnante sans léser le noyau caudé. Remar- quer les quelques rares
fibres
respectées du segment moyen de Cas Rivaud. Hé
nticulaire (Cirl) de la capsule in- terne qui contien- nent des
fibres
s'ir- radiant dans l'ex- trémité antérieure
e seg- ment sous-lenticulaire de la capsule interne (Cisl);dont les
fibres
saines, en particulier le faisceau de' Turck (F
érieur (Cip) de la capsule interne. Celui-ci ne contient que de rares
fibres
saines, en particulier dans sa partie antérieur
ntérieure; sa dégénérescence est en grande partie mas- quée par les
fibres
saines des radiations strio-sous-tlialamiques, st
interne (Cgi) et externe (Cge), du bras (l3rQla) et de la couche de
fibres
superficielles du tubercule quadrijumeau antérieu
ibres superficielles du tubercule quadrijumeau antérieur (Qla), des
fibres
de la substance grise centrale (Sgc (d) el. de la
atéral. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 157 Fig. 1
rescence des quatre cinquièmes internes du pied du pédoncule; les
fibres
saines, en particulier celles du faisceau inter
tubérance. La partie antéro-interne de cet étage ne contient pas de
fibres
longitudinales (Py (d). Atrophie des noyaux ponti
trice considérable de la pyramide gauche. Mé- thode de Weigert.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 159 la par
sé (FPyc), et dans le cordon latéral gauche un fascicule compact de
fibres
pyramidales homolatérales (fPylil). La pyramide d
borde le sillon médian anté- rieur de la moelle épi- nière. Des
fibres
pyramidales homolatérales (fPyhl) aban- donne
ompact qui, très rapidement, se perd (Fig. 158) dans la masse des
fibres
du cordon latéral gauche et met à nu une peti
es aberrants (fa) qui appar- tiennent très vraisemblable- mentaux
fibres
pyramidales homolatérales et peuvent être sui
le des cor- dons blancs. Méthode de Weigert,.6/1 grand, nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 161 {Ln)
Fig. 150), du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) (Fig. 149) et des
fibres
de la substance grise centrale (Sgc) au voisina
terolivaire. L'atrophie complète de la pyramide (Py) démontre que les
fibres
saines du pied du pédoncule cérébral, soit cell
cule cérébral, soit celles du faisceau de Ticrch (FT), soit les rares
fibres
saines des tiers interne et moyen, s'épuisent t
il montre : 1° l'agénésie, l'arrêt de développement des différentes
fibres
de projection corticale, conséquence directe de l
phies secondaires, par la pelitesse, la minceur, le tas- sement des
fibres
, et non par une dégénérescence de ces dernières;
aire, 1)rotubéi-anLiel et bulbaire (Fig. 149 à l : i2); Fatiophie des
fibres
arci formes internes du bulbe, de Y entre-crois
é en dedans et en arrière par le iviiia semicircularis (Lsc) et les
fibres
qu'il envoie à la couche optique. Méthode de Weig
à la couche optique. Méthode de Weigert-Pal. 10/1 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 1G3 blemen
t encore un autre facteur : la dégénérescence des collatéiales ou des
fibres
aber- rantes que la voie pédonculaire envoie à
es de l'écorce avec le corps strié. L'agénésie presque complète des
fibres
du système de projection du manteau cérébral pe
u cérébral permet de suivre avec facilité le trajet des systèmes de
fibres
saines qui croisent les fibres de projection da
c facilité le trajet des systèmes de fibres saines qui croisent les
fibres
de projection dans leur trajet capsulaire. Tels s
- thalamiques et sous-thalamiqucs (anse du noyau lenticulaire [AI],
fibres
strio- lu y siennes, faisceau lenti- culaire de
- lu y siennes, faisceau lenti- culaire de Forel [F1J etc.), et les
fibres
que le tænia semi-circularis (fisc) (Fig. 160) en
stérieur de la capsule interne paraît con- lenir un grand nombre de
fibres
de projection, il ne contient en réalité que des
and nombre de fibres de projection, il ne contient en réalité que des
fibres
. strio-tlialamiques sectionnées parallèlement à
axe. Cette apparence est facile à comprendre, si l'on songe que les
fibres
de projection ont dégénéré ici très peu de temp
aisceau pyramidal croisé (F'yc),un faisceau pyramidal direct et des
fibres
pour le cordon latéral du même côté -fibres pyram
pyramidal direct et des fibres pour le cordon latéral du même côté -
fibres
pyramidales- homolatérales (fPylt). Ces dernièr
trophiée, abandonne au cordon latéral gauche un faisceau compact de
fibres
pyramidales homo-latërales (fPyh), et au cordon
idal croisé (FPyc). Méthode de Weigert-Pal. 15/1 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 165 un pré
érébral. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrièr
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 167 B. - L
capsule interne (Cip). Les coupes sériées permettent de suivre les
fibres
saines du pédoncule antérieur de la couche opti
uronne rayonnante (CSgt). Méthode de \VeigerL. 3/2 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 169 la cap
es (Fig. 109 et 170), mais elle devient très manifeste, lorsque ces
fibres
ont pénétré dans le corps de Luys (CL) (Fig. 17
des radial ions strio-tlialamidues et strio-sous-Ilialamiques, des
fibres
radiées des régions antérieure et ventrale du tha
pédoncule. Intégrité partielle du faisceau géniculé. cher, des
fibres
anté- rieures du trigone, un faisceau 'aberra
a lame médullaire externe (Lme), de la zone réticulée (Zr), aes
fibres
famées aes aeux tiers antérieurs des noyaux exter
oyenne et inférieure de la région thalamique, de gros fascicules de
fibres
saines réapparaissent dans le segment antérieur d
re du segment postérieur de la capsule interne (Cip) un faisceau de
fibres
saines, le faisceau géniculé (Ci(g)). Dans toute
antérieure du segment postérieur de la capsule interne contient des
fibres
saines appartenant au faisceau géniculé. Elles
la région sous-thalamique, dans le locus niger, de sorte que quel-
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CEREBRALE, ni ques ra
aphé mé- dian. Malgré l'apparence que présente la Fig. 169, ces
fibres
saines ne proviennent pas du noyau caudé. L'exa
des dégénérescences secondaires démontre en outre que toutes les
fibres
du pied du pédoncule sont d'ori- gine corticale
e représentent pas le contingent orbitaire du faisceau interne. Ces
fibres
passent en effet par la partie inférieure du se
ncule cérébral, conservation partielle du faisceau interne dont les
fibres
font suite au'faisceau géniculé, et s'épuisent
MIE DES CENTRES NERVEUX. ceau interne du pied du pédoncule avec les
fibres
que l'opercule rolandique et la partie adjacent
arties moyenne et inférieure de la région thalamique, de nombreuses
fibres
radiées saines de la partie inférieure du segment
de la zone réticulée (Zr), de la lame médullaire externe (Lme) et des
fibres
radiées du noyau externe (Ne) du thalamus, dans
le pied du pédoncule cérébral où elle est limitée en dedans par les
fibres
saines du faisceau interne (Fi, Fig. 172) jusque
segment postérieur de la capsule in- terne Cip (Fig. 175 et 176).
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. - 173 FiG.
e la zone réticulée (Zr) de la lame médullaire externe (Lme) et des
fibres
radiées de l'extrémité antérieure du noyau extern
egment postérieur de la capsule interne du Cip. Méthode de Weigert.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 175 Fic. 1
du pé- doncule (Pi, d) est refoulée en dehors par un faisceau de
fibres
saines ap- partenant au pes lemniscus supei-il-
deuxième segment externe du pied du pédoncule avec intégrité des
fibres
de sa partie moyenne. Le pied du pédoncule de C
moyenne et inférieure du bulbe. 1° Dégénérescence très intense des
fibres
longitudinales de l'étage antérieur de la protubé
squ'à la pointe occipi- tale. Elle est due il la dégénérescence des
fibres
qui, prenant leur origine dans le corps Bibliot
e corps Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. t77 7 geno
insi qu'à la dégénérescence ascendante, rétrograde, cellulipète des
fibres
de projection cor- ticale qui se terminent dans
pied du pédoncule et empiète sur le 3° cinquième. Une large zone de
fibres
saines la sépare du faisceau interne du pied du
ans le rhombencéphale on constate une dégénérescence très marquée des
fibres
velticales de l'étage antérieur de la protubéra
le de la pyramide antérieure Celle-ci ne consent que quelques rares
fibres
saines irrégulièrement disséminées. La sclérose
ne minceur de la couche inlerolivaire, une diminution de volume des
fibres
arciformes internes croisées et du noyau du cor
générescence presque complète de la pyramide antérieure du bulbe.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. n9 ? b. W
térieur (Cip) de la capsule en arrière du genou. Dégénérescence des
fibres
radiées du noyau externe du thalamus dans la régi
nt postérieur de la capsule interne. Dégéné- rescence partielle des
fibres
radiées du thalamus, de la zone de Wernicke, du
e et du globus pallidus. Méthode de Weigert. 3/2 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 181 Le loy
rmedium (Stri) et du pes lemniscus profond. Dégénéres- cences des
fibres
radiées, de la lame mé- dullaire externe (Lme),
oyau externe du thalamus (Fig. 190); dégénérescence de la couche de
fibres
superficielles du tubercule quadrijumeau antérieu
édian (Itiii). Intégrité du noyau rouge (P\R) et de sa cap- sule de
fibres
. Dégénérescence partielle des radiations strio-lu
amen (Fig.189 et 190). Cette lésion a entraîné une dégénérescence des
fibres
radiées, de la zone réticulée (Zr) et de la lam
88). 11 existe enfin dans ce cas une dégénérescence de la couche de
fibres
superficielles du tubercule quadrijumeau antéri
ré- bral (Tgp, Tga). Méthode de Weigert-Pal. 5/4 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 183 Dégéné
faisceau externe du pied du pédoncule contient un certain nombre de
fibres
saines. La lésion du segment rétrolen- ticulair
nérescence de la capsule externe (Ce) en particulier du contingent de
fibres
fournies par le faisceau longitudinal inférieur
escence des couches sagittales, en dedans par la dégénérescence des
fibres
du faisceau occipito-frontal. En aval de la lés
dégénérescence très intense du pul- vinar (Pul) qui ne contient ni
fibres
radiées, ni stratum zonale, ni zone de Wernicke;
er Dégénérescence incom- plète du faisceau de Tiirck. Intégrité des
fibres
du tiers interne du pied du pédoncule. Intégrit
sa capsule de libres. Méthode de Weigert-Pal 5/4 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 185 intern
ruban de Reil médian (Rm), du noyau rouge (NR) et de sa capsule de
fibres
. 2° AGÉNÉSIES DU MANTEAU CËRËBUAL L Les résul
'ont pas encore été étudiées au point de vue spécial du système des
fibres
de projection de l'écorce cérébrale, la plupart d
membrane transparente, tapissée par la pie-mère, et le système des
fibres
de projeclion de l'écorce cérébrale fait complè
érébral, ni l'étage antérieur de la protubérance, ne contiennent de
fibres
longitudinales et la pyra- mide antérieure du b
ez Longery il s'agit d'une anomalie d'évolution, d'une agénésie des
fibres
de projection cérébrale, le manteau faisan t défa
nteau qu'à leurs parties antérieure, postérieure et inférieure. Les
fibres
de projection se sont développées dans ce cas,
couronne rayonnante, la porencéphalie empêchant la pénétration des
fibres
du seg- ment supérieur de la couronne rayonnant
phères. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 187 Étant
t posté- rieur, et contient dans la région thalamiqne de nombreuses
fibres
myéli- nisées qui proviennent toutes du thalamu
érébrale (qu'elles n'ont pu atteindre) et représentent le système des
fibres
de projection tltalamo-corticales. Par une diss
pathologique ou expérimentale, ce cas démontre donc l'existence de
fibres
thalamo-corti- cales dans les segments antérieu
e des segments rétro etsous-lenticulaires) contiennent à lafois des
fibres
cortico- thalamiques et des fibres thalamo-cort
laires) contiennent à lafois des fibres cortico- thalamiques et des
fibres
thalamo-corticales. Mais ce cas montre en outre
fibres thalamo-corticales. Mais ce cas montre en outre : 1° que les
fibres
thalamo-corticales sont des fibres ascendantes,
cas montre en outre : 1° que les fibres thalamo-corticales sont des
fibres
ascendantes, qu'elles n'appartiennent qu'à la r
bé- rance et la pyramide bulbaire sont exclusivement formés par des
fibres
des- cendantes d'origine corticale. Ce sont l
n cérébrale : Agénésie du man- teau cérébral, de son système de
fibres
de projection et du sep- tum lucidum. Ab- s
s de projection et du sep- tum lucidum. Ab- scnco complète de
fibres
longitudinales dans la région sous- optique (
rigone cerébral. Dé- monstrationdel'exis- tence d'un système do
fibres
thalamo- corticales. Intégrité du système des
gone cérébral. Dé- monstration de l'exi- stence d'un système de
fibres
thalamo- corticales. Intégrité du système des
capsule interne (Cia). Ce dernier contient un très grand nombre de
fibres
thalamo-corticales qui s'épanouissent dans l'ép
érieure du pied du pédoncule cérébral. Remarquer le grand nombre de
fibres
thalamo-corticales, leurs connexions avec la co
partie postérieure du corps strié (NL3) et la corne d'Ammon (C1). Les
fibres
thalamo-corticales, très nombreuses à droite, o
uche optique à gauche. Méthode de Weigert-Pal. 5/2 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 193 Fig. 2
mus (Th) est une masse informe contenant un assez dense feutrage de
fibres
myélinisées. Le pied du pédon- cule ne contient
bres myélinisées. Le pied du pédon- cule ne contient pas la moindre
fibre
. IO'1E n. 13 Cas Longery. Mal- formation cé
res de projection et du e1- tain lucidum. Absen- ce complète do
fibres
longitudinales dans la région sous-optyue d
gone cérébral. Dé- monstration de l'exis- tence d'un système do
fibres
thalamo- corticales. Intégrité du système des
teau est réduit en grande partie à une mince lamelle dépourvue de
fibres
de projection, d'association et de com- missu
rconvolution go- dronnée), est par contre bien déve- loppée ; ses
fibres
se rendent dans le trigone cérébral mais ne son
défaut, est donc de première importance pour étudier le système de
fibres
qui prennent leur origine ou se terminent dans le
térieur 'de la protubérance (Fig. 208 et 209) ne contiennent aucune
fibre
verticale; les pyramides antérieures du bulbe fon
e pédonculaire. Méthode de Weigert-l'al. 3/1 t grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 195 on tro
ue côté du sillon médian antérieur, une légère saillie dépourvue de
fibres
à myéline, traversée et entourée par des fibres a
aillie dépourvue de fibres à myéline, traversée et entourée par des
fibres
arciformes myélinisées et qui jccupe la place d
ale (Fig. 212) il existe des zones presque complètement dépourvues de
fibres
à myé- line dans les régions correspondant aux
riphérique du cordon antéro-latéral paraît également moins riche en
fibres
à myéline. 2° Les ganglions de la base du cerve
interne (Cip, Fig. 203, 204 et 205) qui con- ,Íenennt de nombreuses
fibres
à myéline. Le putamen est intraventriculaire à l'
g. 202 et 203) et comprend deux et trois segments. Le système des
fibres
striées est très bien myélinisé. Les fibres radié
egments. Le système des fibres striées est très bien myélinisé. Les
fibres
radiées du noyau caudé et du putamen, les lames
ire de Forel (11, rg. 203 côté gauche, et Fig. 204 côté droit), des
fibres
slrio-luysiezznes, du champ de Fore, F, Fig. 20
érébelleux. L'étage antérieur de la protubérance ne contient aucune
fibre
longitudinale. Méthode de Weigert-Pal. 3/1 grande
ibres de pro- jection et du septum lucidum. Absence complète do
fibres
longitudinales dans la région sous-opti- qu
rigone cérébral. Démonstra- tion do l'existence d'un système de
fibres
tlalamo - corticale '). Intégrité du système
ES CENTRES NERVEUX. myélinisés, et grâce à l'absence du système des
fibres
de projection corticale, peuvent être suivis av
tingue un noyau antérieur (Na, Cig. 203), un noyau interne pauvre en
fibres
à myéline (Ni, Fig. ` ? Or), une lame médullair
G7 et 68). Elle tient indubitablement à la présence des nombreuses
fibres
radiées qui sillonnent le noyau externe du thal
e épendymairequi recouvre la face ventriculaire du corps strié. Ces
fibres
ne peuvent être que des fibres d'or iginethalamiq
ce ventriculaire du corps strié. Ces fibres ne peuvent être que des
fibres
d'or iginethalamique, des fibres thalami- corti
. Ces fibres ne peuvent être que des fibres d'or iginethalamique, des
fibres
thalami- corticales, qui, nées des cellules de
nature. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 197 dans c
ORCE CÉRÉBRALE. 197 dans ce cas à l'état de pureté, sans mélange de
fibres
cortico-thalamiques, formant à elles seules les
s mélange de fibres cortico-thalamiques, formant à elles seules les
fibres
des segments antérieur et postérieur de la capsul
érieure et sous-thalamique (Fi=.20ret 205) sont aussi dépourvues de
fibres
verticales que le pied du pédoncule cérébral, l'é
et la pyramide bulbaire, el l'on n'y rencontre que le sys- tème des
fibres
sti,io-.5otis-thcilaî ? îiqzies : anal lenticul
es : anal lenticulaire (.11), faisceau lenticulaire de Fore (FI),
fibres
strio-luysiennes qui traversent la capsule inte
ui à l'état normal cor- respond au pulvinar, on trouve au lieu de
fibres
radiées de nombreuses fibres à myé- line enchev
pond au pulvinar, on trouve au lieu de fibres radiées de nombreuses
fibres
à myé- line enchevêtrées dans tous les sens et
0G) contient toutefois, dans sa partie supérieure surtout, moins de
fibres
qu'à l'état normal; peut-être parce que la myélin
e fibres qu'à l'état normal; peut-être parce que la myélinisation des
fibres
n'est pas parachevé, peut-être aussi par suite
es n'est pas parachevé, peut-être aussi par suite de l'agénésie des
fibres
cortico-rubriques. FIG. 211. - Cas Longery. Cou
on cérébrale. Agenésie du manteau cérébral, do son sys- tème de
fibres
de pro- jection et du septum lucidum. Absence
ibres de pro- jection et du septum lucidum. Absence complète do
fibres
longitudinales dans la région sous-opti- 1-
rigone cérébral, Démonstra- tion de l'existence d'un système de
fibres
thalamo - corticales. Intégrité du système
érébelleux supérieur, moyen et inférieur, paraissent nor- maux. Les
fibres
protubérantielles antérieures et postérieures ne
s vertico-transversales (Fig. 219 à 221). D'après une photographie.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 190 hydr
x corps opta - striés. Agenésie du septum lucidum. Absence de
fibres
longitudinales dans la région sous- optique d
sence de la pyrami- de antérieure du bul- be. Développement des
fibres
d'associa- tion et commissu- rales du manteau
e la membrane qui ferme incomplètement la vaste porencéphalie (po).
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 201 part
sence de la pyrami- de antérieure du bul- be. Développement dos
fibres
d'associa- tien et commissura- les du manteau
ec l'espace sous-arachnoidien au niveau de la porencéphalie (po).
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 203 pied
e qui, bien que réduite, contient néanmoins les trois catégories de
fibres
normales : fibres d'association, fibres de proj
réduite, contient néanmoins les trois catégories de fibres normales :
fibres
d'association, fibres de projection, fibres cal
ins les trois catégories de fibres normales : fibres d'association,
fibres
de projection, fibres calleuses ou commissurales.
es de fibres normales : fibres d'association, fibres de projection,
fibres
calleuses ou commissurales. Elles s'épanouissent
du cerveau normal (fiv. 219). Le tapetum en dedans (Tap), avec ses
fibres
fortement colorées par l'héma- toxyline, les co
ent bien encore complètement la cavité ventriculaire (VI), mais les
fibres
des couches sagit- tales s'amassent le long de
gt) et de l'angle supéro-externe (CR) du ventricule, tandis que les
fibres
calleuses faisant suite au tapetum de la coupe pr
olumineux for- tement coloré par l'hémaloxyline (Fcj. En dedans des
fibres
calleuses, dans les couches profondes de la mem
convexité de l'hémisphère, une mince couche presque continue de fines
fibres
, faiblement colorées par l'hématoxyline, partic
corps opta - striés, Agénésie du septum 1 ucidum..A bscncc de
fibres
longitudinales dans la région sous- optique d
sence de la pyrami- de antérieure du bul- be. Développement les
fibres
d'associa- tion et commissura- les du manteau
corps calleux. Dé- monstration de l'exis- tence d'un système le
fibres
thalamo- corticales. Intégrité lu système des
sence de la pyrami- de antérieure du bul- be. Développement des
fibres
d'associa- tion et commissura- les du manteau
corps calleux. Dé- monstration de l'exis- tence d'un système de
fibres
thalamo- corticales. Intégrité du système des
es sagittales se concentrant le long de la face externe (Fig. 220)'
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 203 et d
aire très épais, comme il l'est chez l'enfant. - Fc, le faisceau de
fibres
calleuses situé en dehors du faisceau occipito-fr
e la porencé- phalie, détruit la face externe du ventricule, et les
fibres
des couches différenciées s'amassent en deux tr
tour des angles supéro-externe et inféro-externe du ventricule. Les
fibres
calleuses (Fc) entourent l'angle supéro-externe e
ui double l'angle interne et la paroi inférieure du ventricule. Les
fibres
de projection forment deux faisceaux qui affleu
ariéto-frontal) de la couronne rayonnante ; il entoure en crochet les
fibres
cal- leuses et forme au-dessus d'elles une minc
s fibres cal- leuses et forme au-dessus d'elles une mince couche de
fibres
à direction transversale. Le faisceau inférieur
la région où elle se continue avec le toenia tecta. Le faisceau des
fibres
calleux (Fc) occupe encore l'angle externe du v
sur la coupe suivante] (Fig. 223). Le faisceau supérieur (pCR) des
fibres
de projection contourne en crochet le faisceau
(pCR) des fibres de projection contourne en crochet le faisceau des
fibres
calleuses (Fc) et tapisse sa face supérieure ; il
uses (RCc) qui pro- viennent de la partie recourbée du manteau; ces
fibres
sont situées sur le même plan et présentent la
nt situées sur le même plan et présentent la même direction que les
fibres
de projection et simulent à tort un faisceau d'
Ces deux fais- ceaux sont reliés entre eux par une mince couche de
fibres
qui entoure l'angle interne et la face inférieu
nterne. Le faisceau supérieur, très petit, contourne en crochet les
fibres
calleuses et s'étale à leur surface en formant
re l'épendyme ventriculaire (pCR, Fig. 222 et 223). La plupart de ses
fibres
se por- tent transversalement de dedans en deho
e de repère 3 de la Fig. 213. Cing, cingulum. - Fc, le faisceau des
fibres
calleuses se concentre à la partie interne de l
logue du forceps postérieur d'un cerveau normal. - Fp, faisceau des
fibres
de projection recouvrant le faisceau calleux. -
aisceau calleux. - pCR, pied de la couronne rayonnante du faisceau de
fibres
de projection. - OF, faisceau occipito-frontal.
bique. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 207 repl
breuses ; elles sont sectionnées parallèlement à leur axe comme les
fibres
de la couronne rayonnante qui recouvrent le fai
pour s'enfoncer un peu dans la profondeur, mais le crochet que les
fibres
de projection décrivent autour des fibres calleus
, mais le crochet que les fibres de projection décrivent autour des
fibres
calleuses est très manifeste et facile à suivre
c les coupes horizontales obliques on se convainc qu'une partie des
fibres
du' pied de la couronne rayonnante franchit l'é
elle dans le segment antérieur de la capsule interne. En résumé les
fibres
des segments antérieur, postérieur et supérieur d
érieurs, rétro et sous -lenticulaire de la capsule interne. Quant aux
fibres
du segment supérieur de la couronne rayonnante,
ed de la couronne rayonnante, deviennent sagittales et les quelques
fibres
qui arrivent aux ganglions de la base emprunten
eur, postérieur ou inférieur de la couronne rayonnante. Quant aux
fibres
calleuses, elles se déplacent de plus en plus en
cas Richard, passant par la ligne de repère 2 de la Fig. 213. Les
fibres
du faisceau calleux sagittal (Fc) s'infléchissent
ux corps opfo-striés. Agénésio du septum 111cidum. Absence de
fibres
longitudinales dans la région sous- optique d
sence de la pyramu- de antérieure du bul- be. Développement des
fibres
d'associa- tion et commissura- les manteau cé
nue, puis disparaît, et dans les régions antérieures du manteau, les
fibres
calleuses forment une couche transversale mince
e l'autre. Malgré les apparences, cette disposition si spéciale des
fibres
calleuses s'écarte en réalité très peu du traje
fibres calleuses s'écarte en réalité très peu du trajet général des
fibres
calleuses d'un cerveau sain. A l'état normal, l
énéral des fibres calleuses d'un cerveau sain. A l'état normal, les
fibres
calleuses entourent complètement la corne occipit
majeur ou postérieur du corps calleux (Fm, Fig. 8, p. 14), dont les
fibres
après un trajet sagittal plus ou moins court s'in
lame interhémisphérique, il existe un tronc calleux rudimentaire.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 209 Fie.
onne rayonnante du lobe orbitaire (pCR). Le nombre de ces dernières
fibres
est é11deIll- ment disproportionné à la petites
s est é11deIll- ment disproportionné à la petitesse de ce lobe; les
fibres
internes, recourbées en arc, appartiennent très
arc, appartiennent très vraisemblablement en propre à ce lobe, les
fibres
externes peuvent être suivies sur les coupes sé
ès probablement la voie détournée par laquelle un certain nombre de
fibres
de la convexité du manteau cérébral arrivent à
capsule interne (Cip). Ces segments contiennent un grand nombre de
fibres
myélinisées qui se continuent avec la couronne ra
ux corps s pto-striés. Agénésie du septum lucidum..\Lsence de
fibres
longitudinales dans la région sous- optique d
- sence de la pyramide antérieure du bulbe. Développement des
fibres
d'association et commissurales du manteau cér
corps calleux. Dé- monstration de l'exis- tence d'un système de
fibres
thalamo- corticales. Intégrité du système des
terne (Th\'i) et un noyau externe (ThNe) bien développés, riches en
fibres
radiées, dont un faisceau important appartient
psule interne (Cia). Au voisinage du genou, un petit t fascicule de
fibres
(Ci(g) se détache du segment antérieur (Cia) et s
). Celui-ci, bien qu'étroit, [contient néanmoins un grand nombre de
fibres
myélinisées; elles s'épanouissent dans la membran
ire (Ep) qui recouvre les ganglions de la base ; un certain nombre de
fibres
entrent dans la constitution de la capsule exte
le corps du trigone. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 Grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 211 On p
la Capsule interne est relativement bien développée et contient les
fibres
descendantes du faisceau géniculé Ci(g). Tout l
u géniculé Ci(g). Tout le reste du segment postérieur est dépourvu de
fibres
longitudinales, et n'est reconnaissable que grâ
nticulaire de la capsule interne (Cirl) contient un grand nombre de
fibres
qui font suite au segment postérieur de la couron
aux corps opto-striés. Agénésio du septum lucidum. Absence de
fibres
longitudinales dans la région sous- optique d
sence dota p3rami- de antérieure du bul- be. Développement des
fibres
d associa- tion et comnussura- les du manteau
ps calleux. Dé- monstration de l'exis- s- tence d'un système de
fibres
thalamo- corticales. Intégrité du système des
sence de la pyrami- de antérieure du bul be. Développement des
fibres
d'associa- tien et commissura- les du manteau
bus pallidus ( : 'iL ! ) et du corps de Luys (CL) et ne contient de
fibres
que dans sa partie antérieure (Ci(g). De la parti
nt la porencéphalie. Méthode de Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉ13 U A LE. 213 Le
lamo-corticales, bien que le nombre respectif de ces deux variétés de
fibres
soit difficile à établir, étant donné les conne
dans la région thalamique inférieure (Fig. 226 à 228) contient des
fibres
cortico-protubéran- tielles qui, se détachant c
béran- tielles qui, se détachant comme à l'état normal du reste des
fibres
de ce segment, sous l'aspect d'un petit faiscea
protubérantielle supérieure. Quelle est l'origine corticale de ces
fibres
du faisceau interne du pied du pédoncule cérébr
est traversé par les radiations s(rio-luysiennes et ne contient de
fibres
descendantes que dans sa partie autéro- interne
rayonnante ? Dans le premier cas, elles affirmeraient l'existence de
fibres
cortico protubérantielles dans les régions anté
que l'on peut suivre sur les coupes sériées une partie au moins des
fibres
de la couronne rayonnante du lobe orbitaire dans
vec le manteau cérébral, il contient néanmoins un grand nombre de
fibres
dans toute la région thalamique de la capsule.
la nature de ces libres qui toutes sont t d'origine thalamique :
fibres
thalamo- corticales; elles forment les libres r
230). Bien que mince et étroit dans la ré- gion thalamique où ses
fibres
sont adossées au premier et au deuxième segme
contre, le segment postérieur de la capsule inlerne est dépourvu de
fibres
verticales sauf au niveau du genou; il n'est reco
nombreuses radiations strio-tUalamidues et strio-luysiennes et des
fibres
du faisceau lenticulaire de Forel qui le cloisonn
re. Le faisceau interne du pied du pédoncule (Fi) contient seul des
fibres
my- élinisées. Du locus niger se détachent un
res my- élinisées. Du locus niger se détachent un grand nombre de
fibres
(aLn) qui se portent en arrière, croisent le ru
esque complète de la voie pédonculaire. Développement remarquable des
fibres
sagittales du raphé. Intégrité de la calotte. M
aux corps opto-striés. Agénésie du septum lucidum. Absence de
fibres
longitudinales dans la région sous- optique d
sence de pyranu- de antérieure du bul- be. Développement des
fibres
d'associa- tion et commissura- les du manteau
corps calleux. Dé- monstration de l'eais- tencc d'un système de
fibres
thalamo- corticales. Intégrité du système des
gments du noyau lenticulaire ou n'en sont séparées que par quelques
fibres
appartenant au faisceau lenticulaire de Forel.
(Fig. 231) ne contient (à l'exception de sa partie interne) pas de
fibres
verticales descendantes; les pyramides antérieure
la périphérie du cordon anléro-latéral présente la même pauvreté en
fibres
à myéline que dans le cas Longery (Fig. 212). F
pauvreté en fibres à myéline que dans le cas Longery (Fig. 212).
Fibres
de projections, Dégénérescences secondaires. - A.
- Du même. Sur l'origine corticale et le trajet ittlracérébral des
fibres
de l'étage inférieur ou pied du pédoncule cérébra
ule cérébral. Mém. de la Soc. de Biologie, 1893. - Du même. Sur les
fibres
de projeclion et d'association des hémisphères cé
ébraux. C. R. Soc. Biol., 1897. - J. Dejerine et A. Thomas. Sur les
fibres
pyramidales homolatérales el sur la terminaison
tzisse. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 217 Arch.
et Durel (187S), de Luciani et Tamburini, de Franck et Pitres; les
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 219 recher
- 0, centre cortical de l'olfaction.- V, centre cortical visuel.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 221 chez l
monoplégies faciales se traduisent par une paralysie des muscles de
FIBRES
DE PROJECHON DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. '223 ric. 2
1895); la figure 238 a trait à un nouveau cas de paralysie 1·seudo-
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 225 bulb
chafer, Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 227 la que
III, centre du membre inférieur. - MS, centre du membre supérieur.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 2M Rolando
nicus), d'après Beevor et Horsley (Philos. Trans., 1890, B. p. 81).
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 231 part
sceau moteur. Leurs recherches sont basées sur quarante-trois expé-
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 233 rien
exacte- ment la disposition de l'arrangement antéro-postérieur des
fibres
excitables de la capsule interne. - D'avant en
s sinicus, d'après Beevor et Ilorsley (Philos. Trans., t8go, (3).
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 235 236 AN
t dans la couche optique, et que de ce dernier ganglion partent des
fibres
destinées aux diffé- rents modes de la sensibil
rsellement reconnu que la corticalité cérébrale est l'aboutissant des
fibres
de tous les modes de la sensibilité, il existe
tendue et plus profonde, partant, a détruit un plus grand nombre de
fibres
d'association intra-corticales. Cette hémianest
affirmer les fonctions sensitivo-motrices de la région rolandique.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 239 Mais o
de cécité corticale et d'hémianopsie corticale de Bouveret (1887),
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 241 de C
al et de la partie postérieure du pli courbe ne serait dépourvue de
fibres
maculaires. Celles-ci occupent l'étendue tout ent
isuel il propos des localisations sous-corticales et capsulaires.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 243 FIG. 2
et un de Bouveret (1887). Dans tous ces cas, il s'agit d'une double
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 245 lésion
ition . Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 247 chez
es lettres et des mots est en connexions intimes, par de nombreuses
fibres
d'association, avec la face interne du lobe occ
énérale. Ces trois centres sont inti- mement unis entre eux par des
fibres
d'association courtes, moyennes et longues, en
totale si toute la zone du langage est détruite, ou partielle; elle
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 249 revêt
rs posté- rieurs à une coupe horizontale. La zone du langage et ses
fibres
sont colorées en rouge. Arc, faisceau arqué, ré
zone motrice corticale du membre supérieur Un certain nombre de ces
fibres
passent probablement par le faisceau occipito-fro
faisceau occipito-frontal. - C, cuneus. - Cc, corps calleux. - cff,
fibres
calleuses reliant entre elles les deux circonvolu
entre elles les deux circonvolutions frontales ascendantes. ef/'a,
fibres
calleuses reliant entre elles les deux circonvolu
u noyau lenticulaire. Pc, Pc', plis courbes gauche et droit. - pcc,
fibres
commissurales reliant entre eux les FIBRES DE P
gauche et droit. - pcc, fibres commissurales reliant entre eux les
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 251 deux p
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 251 deux plis courbes. - paf,
fibres
rehaut le pli courbe gauche à la zone motrice du
ehaut le pli courbe gauche à la zone motrice du côté opposé. - pet"
fibres
reliant le pli courbe gauche il la troisième circ
courbe gauche il la troisième circonvolution frontale droite. -pco,
fibres
reliant le pli courbe gauche à la zone corticale
li courbe gauche à la zone corticale visuelle du môme côté. - pco',
fibres
reliant le pli courbe gauche il la zone corticale
ale visuelle du côté opposé et passant par le corps calleux. - ycl,
fibres
reliant le pli courbe il la première circonvoluti
la première circonvolution temporale du côté correspondant. - pet',
fibres
reliant le pli courbe à la première circon- vol
le corps calleux. - tu, première circon- volution temporale. - tel,
fibres
calleuses reliant entre elles les deux circonvolu
crite. Enfin, une lésion sous-corticale détruit non seule- ment les
fibres
de projection et commissurales de la région, mais
fibres de projection et commissurales de la région, mais encore les
fibres
d'association qui relient entre elles les circonv
sions du segment antérieur (Cia) ne se traduisent par aucun trouble
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 253 moteur
rts antérieurs de ce segment. Il s'agit là en effet d'un système de
fibres
spécial - neurones de projection fronto-thalami
tie adjacente du seg- ment postérieur de la capsule que passent les
fibres
provenant de l'opercule frontal et rolandique (
genou, et ce fait montre que, chez l'homme comme chez le singe, les
fibres
du facial passent en arrière du genou de la cap
lésions protubérantielles et bulbaires, siégeant sur le trajet des
fibres
qui, provenant de la zone motrice, - neurones d
plus être admise. Le noyau lenticulaire, en effet, n'envoie pas de
fibres
dans le pied du pédoncule cérébral et n'en reço
ied du pédoncule cérébral et n'en reçoit pas de la corticalité. Ses
fibres
de projection appartiennent au système des radi
à fonctions synergiques sont paralysés. Les muscles des membres in-
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 2¡j5 férie
le membre supérieur et inférieur du côté de la lésion. Lorsque les
fibres
situées en arrière du genou (Ci(g) sont détruit
térieur (Cia) a disparu ou n'est représenté que par quelque : rares
fibres
. Le segment postérieur (Cip) représente déjà il c
cette hauteur le pie( du pédoncule cérébral. Dans cette région, les
fibres
de projection de la régioi motrice sont encore
par le faisceau de Tiirck venu de la région temporale. Une lésion des
fibres
mo trices dans celte région ne donnera jamais n
(1872-1880) adopta et développa les idées de Tilpek et admit que les
fibres
des sensibilités générales et spéciales de la m
lion le centre du sensorium commune, c'est-à-dire l'aboutissant des
fibres
conductrices de la sensibilité générale et des se
cas de Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 21î¡ ce ge
ans le tubercule quadriju- meau postérieur (voy. Nerf auditif). Ces
fibres
peuvent donc être détruites dans une lésion de
es mêmes réflexions s'appliquent à l'olfaction et à la gustation. Les
fibres
olfactives venues de la corne d'Ammon et du fas
éressé par la lésion. Il en est de même pour la gustation, dont les
fibres
- d'après ce que nous savons de l'origine corti
ion sous- thalamique, sont-ils la conséquence de la destruction des
fibres
de la sensibilité générale qui passent t par la
par sa face externe, pénètrent l dans Cip s'y entremêlent avec les
fibres
de projection corticale et vont s'arbo- riser d
es à savoir : 1° dans le cas de lésion thalamique détruisant et les
fibres
terminales du ruban de Reil et les fibres du ne
lamique détruisant et les fibres terminales du ruban de Reil et les
fibres
du neurone thalamo-cortical; 2° lorsque, le thala
avec la corlicalité sensitivo-motrice sont plus ou moins détruites.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 259 Dans c
ostérieur de cette dernière de faisceau compact formé uniquement de
fibres
à fonctions sensitives. Ces dernières, une fois i
ntimement dans ce segment postérieur de la capsule interne avec les
fibres
motrices pour aller s'arboriser dans les territor
he Arrangement of the 260 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. excitable
fibres
ofthe internai capsule of tlee Bonnet Monkey (Mac
N. Brain, t. ZII, 1. 2G9; 1\.wcni.nr. Med. News Philadelphie, 1888,
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 261 p. 586
iss sur topischen Diagnose der Geltirnkrattkheitcn. Berlin, 1881.
FIBRES
DE PROJECTION DE L ECORCE CÉRÉBRALE. 263 II. -
FIBRES DE PROJECTION DE L ECORCE CÉRÉBRALE. 263 II. - SYSTÈME DES
FIBRES
DE PROJECTION DU RHINENCÉPHALE Le rhinencéphale
ne d'Ammon, circonvolution de l'hippocampe et gyrus fornicatus. Ses
fibres
de projection forment les voies olfactives cent
lfactives centrales et suivent un trajet bien distinct de celui des
fibres
de projection du manteau cérébral : les fibres de
istinct de celui des fibres de projection du manteau cérébral : les
fibres
de projection du lobe olfactif et du- septum lu
s, le faisceau septo-tltalamiqzte, et le tænia semicircularis ; les
fibres
do pro- jection de la circonvolution godronnée,
re et dont elle partage probablement les fonctions, elle envoie ses
fibres
de projection en partie dans le trigone cérébra
ie dans le trigone cérébral et en partie dans la capsule interne.
FIBRES
DE PROJECTION DU LOBE OLFACTIF ET DU SEPTUM LUCID
es circonvolutions du man- teau cérébral, le lobe olfactif émet des
fibres
de projection, d'association et de commissure.
plus souvent le pédoncule et le tubercule olfactifs d'une couche de
fibres
plus particu- lièrement denses et épaisses au n
terne et le carrefour olfactif, puis se continue en partie avec les
fibres
de la strie de Lancisi, en partie avec les fibr
n partie avec les fibres de la strie de Lancisi, en partie avec les
fibres
du pédoncule du septum lucidum et entre ainsi d
s radiations olfactives superficielles contiennent donc surtout des
fibres
d'associations qui relient le bulbe olfactif au p
les impressions olfactives conduites au glomérule olfactif par les
fibres
du nerf olfactif. Pour Edinger, la strie olfact
actif. Pour Edinger, la strie olfactive interne ne recevrait aucune
fibre
mitrale et serait exclusivement constituée par
ait aucune fibre mitrale et serait exclusivement constituée par des
fibres
qui, prenant leur origine dans les cellules pyr
e et séparés les uns des autres par des îlots allongés de substance
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 265 grise.
l'extrémité antérieure du thalamus où elles se continuent avec les
fibres
du tænia semicircularis et du tænia thalami (Fi
a, commissure antérieure. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. - fU,
fibres
en U ou courtes d'association de la première ci
nnominée sous-lenticulaire de Reichert, et croise obli- quement les
fibres
de la bandelette diagonale de Broca, située au-de
om- missure antérieure, son faisceau olfactif et le contingent] des
fibres
du tænia semicircu- laris. - Fc, fasciola ciner
u rétroflexe de Meynert. - Fol, faisceau olfactif du trigone. - fp,
fibres
perforantes calleuses ou fibres extra- ammoniqu
, faisceau olfactif du trigone. - fp, fibres perforantes calleuses ou
fibres
extra- ammoniques du corps du trigone. - fslh,
oniques du corps du trigone. - fslh, faisceau septo-thalamique. fisc,
fibres
que le toenia semi circularis envoie à la couch
isi. - Spl, splenium ou bourrelet du corps calleux traversé par les
fibres
perforantes provenant soit du fasciola cinerea, s
ncipal. Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 267 d'elle
rofondes, poursuivant leur trajet, entrent dans la constitution des
fibres
longitudinales de la région sous-optique et de
(Fig. 252). Les radiations olfactives profondes ne reçoivent aucune
fibre
mitrale, aucune fibre du bulbe olfactif. Elles
ions olfactives profondes ne reçoivent aucune fibre mitrale, aucune
fibre
du bulbe olfactif. Elles naissent des cellules py
rcées dans leur trajet antéro-postérieur par un apport incessant de
fibres
nées des cellules de l'aire olfactive. Les radi
au à origine et à destination uniques, mais contiennent la fois des
fibres
d'as- sociation, des fibres de projection, des
n uniques, mais contiennent la fois des fibres d'as- sociation, des
fibres
de projection, des fibres commissurales et des fi
t la fois des fibres d'as- sociation, des fibres de projection, des
fibres
commissurales et des fibres terminales. Les fib
sociation, des fibres de projection, des fibres commissurales et des
fibres
terminales. Les fibres d'association unissent l
projection, des fibres commissurales et des fibres terminales. Les
fibres
d'association unissent le bulbe, le pédoncule et
t le trigone olfactifs au septum lucidum et à l'aire olfactive. Les
fibres
commis- surales relient les différentes régions
édiaire de la parlie hémisphérique de la commissure antérieure. Les
fibres
terminales s'arborisenL dans le bulbe olfactif et
etunissentles circonvolutions limbiques au lobe olfactif. Quant aux
fibres
de projection enfin, elles relient le lobe olfact
thalami; 4° au tuber cinereum, et au tubercule mamillaire, par des
fibres
directes; 5° probablement à la calotte du pédon-
r antérieur du trigone, mais qu'il n'en reçoit ou n'y envoie aucune
fibre
. Il représente donc un faisceau indépendant du
Sm, centre médian du thalamus. - Nii, noyau rouge et sa capsule de
fibres
(CNlI). - P, pied du pédoncule cérébral. PaTh, pé
atéral. - Zr, zone réticulée du thalamus. 11, bandelette optique.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 269 3. T
te un neurone olfactif de troisième ordre et contient à la fois des
fibres
qui prennent leur origine dans le noyau amygdalie
s le noyau amygdalien et se terminent dans l'aire olfactive, el des
fibres
dont les cellules d'origine siègent dans l'espa
um, sous l'aspect d'un faisceau large, étalé et ascendant, dont les
fibres
convergent de l'aire olfactive à l'extrémité an
strié. Il est renforcé dans cette partie de son trajet par quelques
fibres
que lui envoic la commis- sure antérieure, il e
du corps strié et ses branches de bifurcation d'une mince couche de
fibres
lon- gitudinales, et contient dans son épaisseu
circularis s'en distingue toutefois par la faible coloration de ses
fibres
par la laque héma- toxylinique. Le long de la
au amygdalien et le segmentent en plusieurs amas. Une partie de ces
fibres
s'y termine ou y prend ses origines, les autres
artie de ces fibres s'y termine ou y prend ses origines, les autres
fibres
s'irradient dans l'écorce de la circonvolution
erait dans le noyau amygdalien, dans l'avant-mur, le noyau lenticu-
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 271 lair
aire et l'écorce de la pointe du lobe temporal. Il n'enverrait pas de
fibres
au noyau caudé, mais en enverrait probablement
tratum zonale. En avant, le taenia semicircularis abandonnerait des
fibres
au pilier antérieur du tri- gone, à la zona inc
. Il ne recevrait du noyau caudé et du thalamus aucun contingent de
fibres
et se terminerait au niveau de la corne frontal
et se terminerait au niveau de la corne frontale en abandonnant des
fibres
soit à la commissure anté- rieure, soit à la su
s particulièrement manifeste gràce à la dégénérescence complète des
fibres
longitudinales de la capsule interne. - Cas Riv
e interne. - Cip, segment postérieur de la capsule interne. - ftsc,
fibres
qui se détachent du tamia semicircularis, et s'ir
ons soupçonnées par Honegger et niées par Ganser et Kolliker. Ces
fibres
se détachent à angle droit du taenia semicircular
xterne par la zone réticulée et sont croisées à angle droit par les
fibres
verticales de la capsule interne et les fibres
angle droit par les fibres verticales de la capsule interne et les
fibres
horizontales des radiations strio-thalamiques. Su
. Sur les coupes horizontales ou vertico-transversales normales ces
fibres
à direction sagit- tale se perdent parmi les fi
es normales ces fibres à direction sagit- tale se perdent parmi les
fibres
longitudinales et transversales de la cap- sule
de la couche optique, on trouve alors (Fig. 255) des fascicules de
fibres
il direction sagittale qui en avant se détachen
e la couche optique (Fig. 145), et abandonnent à cette dernière des
fibres
ou en reçoivent ; ce cas ne permet pas, en effe
mplexe comme les radiations olfac- tives. Il contient à la fois les
fibres
de projeclion et d'association, les fibres comm
Il contient à la fois les fibres de projeclion et d'association, les
fibres
commissurales et terminales de la corne d'Ammon
iques (circonvolution de l'hippo- campe et du corps calleux). Les
fibres
commissurales relient entre elles les deux circon
l'hippocampe et plus particulièrement les deux cornes d'Ammon. Les
fibres
d' association relienlla corne d'Ammon, la circon
ance innominée sous-lenticulaire de Reichert, noyau amygdalien. Les
fibres
de projeclion, enfin, unissent ces mêmes circon
ercule mamillaire, ses connexions, ses rapports, les contingents de
fibres
qu'il reçoit ou qu'il émet, on peut diviser le
a seconde partie s'adosse au forceps major du corps calleux, occupe
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 273 le c
aire. CA, corne d'Ammun. - Cg, circonvolution godronnée. - fCg, les
fibres
de la circonvolution godronnée qui se rendent d
OMIE DES CENTRES NERVEUX. Fimbria ; i corps bor- dant ou bordé.
Fibres
qui la con- stituent. u Alveus. Son segme
dans la corne d'Ammon et dans la circonvolution godronnée dont les
fibres
forment la fimbria et l'alvezc.s. La fimbria
l et du corps du trigone (Fig. 7,26). Elle constitue un faisceau de
fibres
lon- gitudinales et parallèles que les coupes v
ventricule latéral. Elle reçoit chemin faisant un certain nomhre de
fibres
de l'alvcus, mais elle est surtout alimentée par
lules polymorphes de la circonvolution godronnée; la plupart de ces
fibres
se rendent directe- ment dans la fimbria en for
es coupes vertico-transversales(fCg, Fig. 256) un petit faisceau de
fibres
convergentes qui passent par le hile du fascia
ou moins obliques au plan vertico-transversal de l'hémisphère, ces
fibres
se portent en haut, changent bientôt de directi
ie interne du hile du fascia dentata, en un petit faisceau dont les
fibres
affectent une direction longitudinale et sont s
ria, l'alveus intra et exlraventriculaire présentent sur les coupes
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 275 vertic
digilalions de la corne d'Ammon et les revêt d'une mince couche de
fibres
presque toutes parallèles au plan verlico-lrans
sphère. Sur les coupes plus postérieures, la couche s'épaissit, les
fibres
deviennent plus obliques el, au niveau de l'ist
osse au forceps postérieur du corps calleux et se continue avec les
fibres
intraventriculaircs de l'alvcus. Sa partie extern
eure (Fig. 9, p. 14, 42 et 268). A ce niveau, une petite partie des
fibres
du pilier postérieur du trigone se porte soit t
edans, soit obliquement en dedans et en avant, mais la majorité des
fibres
se porte directement en avant et forme le conti
du trigone. Son trajet. 376 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Los
fibres
trans- versales ou commis- surales passent pa
- surales passent par le bec postérieur du corps calleux. Les
fibres
transversales ou commissurales du pilier postérie
postérieur du corps calleux, se placent immédiatement en avant des
fibres
calleuses qui, provenant de la face interne et
mmissure des cornes d'Ammon, le fornix transvers us de Forel. Les
fibres
obliques du pilier postérieur occupent cet espace
. 2j8.) Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 277 compri
la lame névroglique, s'entre-croisent sur la ligne médiane avec des
fibres
de même nom du cùlé opposé, et se continuent avec
ec des fibres de même nom du cùlé opposé, et se continuent avec les
fibres
longitudinales du corps du trigone controlatéra
ibres longitudinales du corps du trigone controlatéral. Quant aux
fibres
longitudinales du pilier postérieur, elles sont d
directes et en très petit nombre croisées et se continuent avec les
fibres
longitu- dinales du corps du trigone. Les fib
tinuent avec les fibres longitu- dinales du corps du trigone. Les
fibres
longitudinales, transversales et obliques du pili
versales et obliques du pilier postérieur contiennent à la fois des
fibres
de la fimbria et des fibres de l'alveus intra-
er postérieur contiennent à la fois des fibres de la fimbria et des
fibres
de l'alveus intra- ventriculaire; elles constit
ou ganglionnaire du septum lucidum, celle qui s'étend en avant Les
fibres
1(initti. linales. Corps du trigone. Sa lam
tronc du corps calleux.. , Le corps du trigone con- tient, des
fibres
de la fimbria et des fibres de l'ah'eus inlra-
Le corps du trigone con- tient, des fibres de la fimbria et des
fibres
de l'ah'eus inlra- et eaLraven triculai rc (li
fibres de l'ah'eus inlra- et eaLraven triculai rc (li ib.28). Les
fibres
de l'alvezcs intraven- triculaire (Alv) occupen
ert d'insertion aux plexus choroïdes du ventricule laté- ral. Ces
fibres
sont pour la plu- part la continuation directe
al. Ces fibres sont pour la plu- part la continuation directe des
fibres
longitudinales du pilier poslérieurdu nlêmc cbl
le corps du trigone ne contient l en effet qu'un pelil nombre de
fibres
croisées. Quant aux libres de l'ah'ells extl'
corps calleux. - Fim, fimhria.- fp, fihres perforantes calleuses ou
fibres
extraammoniques du corps du trigone. - (si, fib
tes calleuses ou fibres extraammoniques du corps du trigone. - (si,
fibres
du septum lucidum ou fibres perforantes de la p
aammoniques du corps du trigone. - (si, fibres du septum lucidum ou
fibres
perforantes de la par- tie moyenne du tronc du
m (Si). - sL, strie de Lancisi. - 17SI, ventricule de la cloison.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 29 sous
enia tecta et les stries de Lancisi. A ce niveau (Fig. 258, 1,) les
fibres
de l'alveus extravenlriculaire se portent direc
face infé- rieure du bourrelet du corps calleux, envoient quelques
fibres
commissu- rales à l'alveus extra-venlriculaire
vec le pilier antérieur du trigone en avant du trou de Monro. Les
fibres
delà fimbria, collesdc l'alveus intraetextraventr
ulaire peu- vent, dans leur ensemble, être désignées sous le nom de
fibres
ammoniques du trigone. Elles constituent le con
les recherches récentes de 0. Vogt et Kolliker, un grand nombre de
fibres
des stries de Lancisi qui, perforant le corps cal
des stries de Lancisi qui, perforant le corps cal- Fig. 259. - Les
fibres
perforantes du bourrelet du corps calleux, vues s
Ce (Spl), bourrelet du corps calleux. - Fc, fasciola cinerea. - fp,
fibres
perforantes du corps calleux se rendant dans le
macrosmatiques décrit par Forci sous le nom de fornix fongus. Ces
fibres
extraammoniques peuvent être suivies avec beaucou
e sa face supérieure ou dorsale à sa face infé- rieure ou ventrale {
fibres
perforantes de Kolliker), et croiser par consé-
forantes de Kolliker), et croiser par consé- duent la direction des
fibres
calleuses. Elles existent aussi bien au niveau
corps calleux. Arrivées à la face inférieure du corps calleux, les
fibres
perforantes du bourrelet et du liers postérieur
de David et se rendent dans le corps du trigone controlalcral. Les
fibres
perforantes FiG. 260. - Les fibres perforantes
ps du trigone controlalcral. Les fibres perforantes FiG. 260. - Les
fibres
perforantes du bourrelet du corps calleux dans un
ale). La partie antérieure du bec postérieur (Spl) (r) contient les
fibres
commissurales, saines, du trigone cérébral. La
st colorée en jaune. Méthode de Weigert-Pal. Gj j GranLlcur nature.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 281 1 du
) du corps calleux n'entrent pas en connexion aussi intime avec les
fibres
ammoniques du trigone que les précédentes. Elle
trigone que les précédentes. Elles se réunissent en un faisceau de
fibres
parallèles, moins denses, moins serrées que les
cule du septum lucidum et la bande- lette diagonale de Broca. Les
fibres
perforantes du tiers anté- rieur du corps calle
t entrent dans la constitution de son pédoncule (Fig. 262). Les
fibres
perforantes pro- viennent surtout de la strie d
es coupes plus latérales. Le bourrelet reçoit en outre quel- ques
fibres
perforantes du cin- gulum, par conséquent tribu
s aux lésions du lobe occipital (Fig. 260), le trajet de toutes ces
fibres
perforantes (fp) est particulièrement manifeste :
s latérales du corps calleux (Fig. 2(il), on constate de nombreuses
fibres
à direction radiée qui s'enfoncent à des profon
ronc du corps calleux et qu'il faut se garder de confondre avec les
fibres
perforantes du fornix longus. La plupart n'atte
leux. Aspect strié du corps calleux tenant non pas à la présence de
fibres
perforantes, mais bien à la disposition des rad
mpact Pic. 262. - Le corps du trigone, son faisceau olfactif et les
fibres
du septum lucidum. Coupe sagittale passant par
au rétroflexe de Meynert. Fmp, faisceau mamillaire principal. - fr,
fibres
perforantes du corps calleux abordant le corps
grise centrale de l'aqueduc de Sylvius. - SI, septum lucidum. fSl,
fibres
du septum lucidum qui s'unissent au faisceau olfa
uber cinereum. - fTc, faisceau du tuber cinereum de Gudden dont les
fibres
peuvent être suivies jusque dans la substance gri
tre-croisement dans le chiasma. Il[, nerf moteur oculaire commun.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 283 du cor
corps calleux avant de se couder et de se continuer avec une de ses
fibres
. Or les coupes sagittales sectionnent toutes ces
une de ses fibres. Or les coupes sagittales sectionnent toutes ces
fibres
plus ou moins parallèlement ou perpendiculairem
re en erreur, lorsqu'il s'agit d'évaluer chez l'homme le nombre des
fibres
perforantes du fornix longus. Par leurs origine
re des fibres perforantes du fornix longus. Par leurs origines, les
fibres
perforantes sont donc en réalité homo- logues d
gines, les fibres perforantes sont donc en réalité homo- logues des
fibres
que la circonvolution godronnée envoie à la fimbr
mentaire (strie de Lancisi, fasciola cinerea, voy. T. ter 302). Les
fibres
perforantes du bourrelet et de la moitié postér
Nous verrons en effet plus loin qu'elles se com- portent comme les
fibres
ammoniques du pilier postérieur du trigone, aux
rieur du trigone, auxquelles elles sont intimement mélangées. Les
fibres
longitudinales du corps du trigone - qu'elles app
lles étaient adossées et dont les séparent le septum lucidum et les
fibres
perforantes de la partie moyenne du tronc du co
jacente du tronc du corps calleux. Il est renforcé en outre par les
fibres
perforantes des parties moyenne et antérieure du
misphérique, au-dessous du bec du corps calleux. Renforcées par les
fibres
des stries de Lancisi et de la strie olfactive
a) et se terminent finalement autour des cellules de la région. Les
fibres
les plus longues atteignent la circonvolution du
former un faisceau distinct ; elle se fusionne intimement avec les
fibres
de l'alveus et celles du fornix longus (Fig. 258)
Gudden. - Ln, locus niger. - NR, noyau rouge. - CNR, sa capsule de
fibres
. - P, pied du pédoncule cérébral. - l'o, protub
s parties latérales du chiasma. Il[, nerf moteur oculaire commun.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 283 Immé
i) : 1° le lænia semicircularis (tsc), auquel il abandonne quelques
fibres
, et le pé- doncule inféro-interne du thalamus (
mamillaris, G. Het- zius). Il est croisé par un petit faisceau de
fibres
fortement coloré par la laque héma- toxylinique
fet au système du tubercule mamillaire et reçoit un grand nombre de
fibres
du pédoncule du tubercule mamillaire (PTm) ou l
'enchevêtrent les uns avec les autres et sont entourés par de fines
fibres
arquées qui croisent FiG. 264. Coupe horizontal
. 167). Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 287 vent
mamillaire, et concourt à en former la capsule. La grande masse des
fibres
du pilier antérieur se rend toutefois dans un p
le tuber- cule mamillaire correspondant; toutefois, quelques rares
fibres
traversent ce tubercule et se prolongent dans l
n si localisée a entraîné des dé- générescences dans le domaine des
fibres
de projection, des fihres commissurales et d'as
l'alvells et de la fimbria, et la dispaiition d'un certain nombre de
fibres
du stratum lacunosum. Or, nous savons, depuis l
illaire corres- pondant, du faisceau olfactif du trigone et des
fibres
COnmllSS11- 1 alcs du bec posté- rieur du cor
luhereule ma- millaire correspondant. Dans le corps du trigone les
fibres
dégénérées occupent sa par- lie interne ou ammo
générescence du faisceau occipito- frontal (OF), en particulier des
fibres
qui occupent la couche profonde sous-épen- dyma
er des fibres qui occupent la couche profonde sous-épen- dymaire.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 289 a'dm
89 a'dmmon du côté opposé; le pilier antérieur est renforcé par les
fibres
eWra-ammo- niques du fornix longus. Le tuberc
t son feutrage ont en partie disparu. Oulre la dégénérescence des
fibres
cOl'lico-mamillaÍ1'cs du irigone, il existe une d
co-mamillaÍ1'cs du irigone, il existe une dégé- nérescence : Il des
fibres
commissurales de la corne d'Ammon (psalterium dor
bourrelet du corps calleux ; 2° une dégénérescence par- tielle des
fibres
qui s'irradient dans le septum lucidum et concour
ostérieur du trigone (Tgp), de l'alveus intraventriculaire (Alv), des
fibres
de la circonvolution godronnée (Cg). Dégénéresc
illaire corres- pondant, du faisceau olfactif du trigone et des
fibres
conumssu- l'ales du bec posté- rieur du corps
peul donc être invo que en faveur de l'existence dans le trigone de
fibres
cortico-habénulaires. Le faisceau de Vicq d'Azy
, Fli), qui relèvent surtout de la lésion du pli rétrolimbique. Les
fibres
dégénérées du faisceau inférieur ou minor du forc
férieure du splenium (Spl (i) (Fig. 267) et se placent en arrière des
fibres
commis- surales du trigone qui passent par le b
es du trigone qui passent par le bec postérieur du corps calleux. Les
fibres
dégé- Fig. 269,270, 271. Cas Chab. Plaque jaune
illaire corres- pondant, du faisceau olfactif du trigone et des
fibres
commissu- rales du bec posté- rieur du corps
illaire corres- pondant, du faisceau olfactif du trigone et des
fibres
commissu- rales du bec poste- rieur du corps
68). Celles de la couche sagittale externe s'épuisent rapidement; les
fibres
de la couche sagittale interne se portent peu à
e optique. La dégénérescence intéresse le faisceau compact formé de
fibres
d'association et de fibres de projection (Ol ?
e intéresse le faisceau compact formé de fibres d'association et de
fibres
de projection (Ol ? 1-l'r), le feutrage de la sub
-Pal. Cisl, segment sous-lenticulaire de la capsule interne. - f'U,
fibres
courtes d'association ou en U de la deuxième ci
ssociation ou en U de la deuxième circonvolution temporale. - /'la,
fibres
longues d'association des circonvolutions tempo
ions temporales (dégénérées). - Nu, queue du noyau camlé. - / : \'C',
fibres
propres de ce noyau. - Oh", segment temporal du
nterne la paroi externe de la queue du noyau caudé et mélangées aux
fibres
conservées du tapetum. S ! lc, couche sagittale
tions thalamiques) du segment postérieur de la couronne rayonnante.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 293 puis l
le toenia semicircularis et la queue du noyau caudé. Une partie des
fibres
dégénérées (celles qui proviennent du pli rétroli
la commissure antéréezcre(coa) (ri. 2G9) et s'enchevêtrent avec les
fibres
commissurales saines de la circonvolution du croc
la circonvolution du crochet et de l'hémisphère du côté opposé. Ces
fibres
saines masquent complètement les fibres dégénér
émisphère du côté opposé. Ces fibres saines masquent complètement les
fibres
dégénérées, dès que la commissure antérieure co
is inféro-externes du carrefour ventriculaire (Fig. 267), les grosses
fibres
vertico-transversales qui appartiennent au corp
versales qui appartiennent au corps calleux sont intactes ; les fines
fibres
sagittales qui appartiennent, ainsi que 0. YogL
misphères ne sont pas exclusivement formés par une seule variété de
fibres
(de projection, d'as- sociation ou commissurale
ceau longitudinal inférieur) du lobe temporo-occipital contient des
fibres
d'association et de projection; la couche sagitta
ibres d'association et de projection; la couche sagittale interne des
fibres
de projection et commissurales, le tapetum enfi
rne des fibres de projection et commissurales, le tapetum enfin des
fibres
commissurales ou calleuses et des fibres d'asso
urales, le tapetum enfin des fibres commissurales ou calleuses et des
fibres
d'association ou occipito-frontales. Le faisc
geant 1. La constitution du tapetum au dépens de deux catégories de
fibres
, des fibres calleuses et des fibres d'associati
a constitution du tapetum au dépens de deux catégories de fibres, des
fibres
calleuses et des fibres d'association occipito-
au dépens de deux catégories de fibres, des fibres calleuses et des
fibres
d'association occipito-frontales, est bien mise e
dans le tapetum deux couches, l'une mince interne, formée de fines
fibres
à direction sagittale qui empiètent en dedans sur
manifestes par la dégéné- rescence de l'une ou l'autre catégorie de
fibres
consécutive à certaines lésions encéphaliques.
nérées le long de la paroi externe du carrefour ventriculaire, et les
fibres
calleuses y sont presque normales. La Fig.273 e
presque normales. La Fig.273 est la contre-partie de ce cas : ici les
fibres
sagittales occipito- frontales (OF') sont respe
agittales occipito- frontales (OF') sont respectées, tandis que les
fibres
calleuses du tapetum (Tap) sont dégénérées à la
du trigone : Fimbria. Alveus intraven- triculaire. avec les
fibres
commissurales calleuses et avec des fibres de pro
- triculaire. avec les fibres commissurales calleuses et avec des
fibres
de projection corticale. Ce cas permet de délei
rieur se continuant directement avec le pilier antérieur; quant aux
fibres
extraammoniques ou fornix longus de Forel, elle
par le fornix longus de Forel. L'une et l'autre partie envoient des
fibres
dans le septum lucidum et le fais- ceau olfacti
t il se distingue facilement grâce à la plus faible coloration de ses
fibres
par la laque hématoxylinique, puis il se rend e
éral. Il contient, comme la fimbria, Ves libres longitudinales et des
fibres
transver- sales. Les premières s'adossent à la
e fornix oblique, le pilier antérieur du trigone et le pédoncule du
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 295 sept
smatiques compris entre l'écorce du fascia dentata et la fimbria. Ses
fibres
s'acco- tr " lent à la fimbria et atteignent, l
ium. Psalterium. - On comprend sous le nom de psalterium toutes les
fibres
commissu- rales du trigone; depuis Ganser on y
Lo fornix longus des mammifères ma- crosmatiques con- tient des
fibres
am- moniques fournies par r le e segment do
Ammon (Kôlliker). Le psalterium ventral (Pslv, Fig. 273) reçoit ses
fibres
de la fimbria, de l'alveus intra- ventriculaire
aire et de l'alveus extra ventriculaire : il reçoit en outre quelques
fibres
com- missurales du fornix longus. 0. Vogt a mon
s fibres com- missurales du fornix longus. 0. Vogt a montré que les
fibres
de l'alveus extraventricu- laire occupent la pa
s de l'alveus extraventricu- laire occupent la partie ventrale, les
fibres
de la fimbria la partie antéro-infèrieure, les
ventrale, les fibres de la fimbria la partie antéro-infèrieure, les
fibres
de l'alveus intraventriculaire la partie antéro-s
.Ni la fimbria, ni l'alveus extra ventriculaire ne lui abandonnent de
fibres
; il n'en reçoit que de l'alveus intraventricula
s Honegger, de la lame mé- dullaire superficielle du subiculum. Les
fibres
de l'alveus intraventriculaire longent la paroi
et du corps calleux, puis se rendent dans le psalterium dorsal. Les
fibres
du cingulum perforent le corps calleux et arriv
terium dorsal en longeant la voûte du ventricule latéral. Quant aux
fibres
de la lame médullaire supeificielle du subiculum,
m (paroi externe) de la corne sphénoïdale. Un certain nombre de ces
fibres
après avoir traversé le psalterium dorsal se re
ndent dans la corne d'Ammon du côté opposé et représentent de simples
fibres
com- missurales reliant deux régions symétrique
e chaque côté de la ligne médiane, un faisceau aplati et compact de
fibres
fortement colorées par la laque hématoxylinique;
'Ammon, puis du psalterium venlral, et se continue en partie avec les
fibres
du septum lucidum, en partie avec celles du pil
lucidum, en partie avec celles du pilier antérieur du trigone. Ses
fibres
sont d'origine ammonique et extraammonique. Les f
trigone. Ses fibres sont d'origine ammonique et extraammonique. Les
fibres
ammoniques proviennent de l'alveus intraventric
bent dans le fornix longus du même côté. D'après Honegger, quelques
fibres
iraient dans le fornix longus croise', fait nié p
ques diffère donc du fornix longus de l'homme par le contingent des
fibres
ammoniques. Le. fornix longus de l'homme ne com
fibres ammoniques. Le. fornix longus de l'homme ne comprend que des
fibres
extraammoniques, ce qui tient évidemment au pet
'Ammon' Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 297 et à l
on segment dorsal. Chez l'homme, la corne d'Ammon envoie toutes ses
fibres
dans le corps du trigone, et c'est dans le corps
c'est dans le corps du trigone même qu'elles se fusionnent avec les
fibres
extraammoniques du fornix longus. Chez les mamm
main. Pilier antérieur. - Le pilier antérieur du trigone reçoit ses
fibres
de la fimbria, de l'alveus intra et extraventri
une connexion entre la corne d'Ammon et le ganglion de l'habenula (
fibres
cortico-hccbeatc- laris d'Edinger). Leur existe
trigone au-dessous du corps calleux. D'après ce dernier auteur, les
fibres
qui semblent relier le pilier antérieur au toenia
266 à 272, p. 28a) n'est pas non plus en faveur de l'existence des
fibres
cortico-habenularis reliant la corne d'Ammon à
ontrairement à ce que l'on observe chez l'homme, un petit nombre de
fibres
se terminent seules dans les noyaux externe et
tre-croise au-dessus et en arrière du tubercule mamillaire avec des
fibres
homologues du côté opposé. Une petite partie co
ostérieur (Forel, Ganser, Schnoplhagen, V. Monakow, Vogt); quelques
fibres
se terminent dans la substance peiforée postérieu
isées du trigone sont toujours faciles à reconnaître parmi les autres
fibres
de l'entre-croisement sous-thalamique postérieu
principal). - VP, voie pédonculaire. - Ir3, troisième ventricule.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 299 intern
en général, mais dont le sépare une couche plus ou moins épaisse de
fibres
qui appartiennent à la capsule de ce noyau. Dans
e pédoncule du tubercule mamillaire. Le ganglion externe reçoit les
fibres
terminales du pilier antérieur du trigone, le gan
llules du noyau interne du tubercule mamillaire et de sa capsule de
fibres
, et apparaît à sa partie posléro-supéro-interne s
avant du faisceau lon- gitudinal postérieur, lui envoie quelques
fibres
d'après Külliker, puis s'enchevêtre avec les fi
voie quelques fibres d'après Külliker, puis s'enchevêtre avec les
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur au momentd
c, ses cellules étoilées dont le cylindre axe se continue avec une
fibre
du faisceau mamillaire principal. - 13, faiscea
- F, région intérieure du noyau interne du tubercule mamillaire.
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 301 sale
ez l'homme un faisceau volumineux, compact et serré, formé de fines
fibres
parallèles. A son origine dans la région sous-t
e Gudden. Ln, locus niger. - NR, noyau rouge. - C\-R, sa capsule de
fibres
. - P, pied du pédoncule cérébral. - l'o, protub
y. Fig. 45), en dehors de la lame médullaire interne, et croise les
fibres
radiées du pédoncule antérieur de la couche opt
illaire (PTm). Le pédoncule du tubercule mamillaire reçoit quelques
fibres
directes du pilicr antérieur du trigone du même
chez le lapin (Fig. 274), le chien, etc., reçoit en outre quelques
fibres
du pilier antérieur du trigone du côté croisé qui
le pédoncule du tubercule mamillaire constitue un petit faisceau de
fibres
lâches qui affecte dans l'espace inlerpédonculair
erforée postérieure et le pied du pédoncule cérébral, et croise les
fibres
du nerf moteur oculaire commun (Fig. 251 et 277
lon pédonculo-protubérantiel, il se coude, change de direction; ses
fibres
divergent, traversent d'avant en arrière le tro
traversent d'avant en arrière le tronc encéphalique en formant les
fibres
radiées de la for- mation réliculée. Ses fibres
ique en formant les fibres radiées de la for- mation réliculée. Ses
fibres
les plus nombreuses se portent en arrière et FI
réliculée. Ses fibres les plus nombreuses se portent en arrière et
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ECORCE CÉRÉBRALE. 303 en deh
LE. 303 en dehors, passent en dedans du corps de Luys, croisent les
fibres
de l'entre- croisement sous-thalamique postérie
de laquelle nous n'avons pu le suivre chez l'homme; quelques rares
fibres
se portent en arrière et en dedans, longent la
u tubercule mamillaire constitue un faisceau assez compact dont les
fibres
, fortement colorées par la laque hématoxylinique,
linique, divergent à leur entrée dans la calotte; une partie de ces
fibres
se portent en dehors, dans le locus niger, une
la calotte (Fig. 252). Le ganglion profond, qui reçoit en outre des
fibres
du faisceau de la calotte de Gudden, est un petit
nal postérieur. C'est un ganglion arrondi, entouré d'une capsule de
fibres
, qui reçoit un certain nombre de fibres du gangli
i, entouré d'une capsule de fibres, qui reçoit un certain nombre de
fibres
du ganglion interpédoncu- laire et duquel émane
bre de fibres du ganglion interpédoncu- laire et duquel émanent des
fibres
longitudinales qui traversent du haut en bas la
C. R. Soc. de Biologie, 1897. - DOTTO et Pusateri. Sul decorso delle
fibre
Son trajet dans la calotte pédonculaire de
nement réticulée et se colorant intensivement par le carmin; 2° des
fibres
ner- veuses groupées en fascicules, dont les un
s ner- veuses groupées en fascicules, dont les unes ne sont que des
fibres
de passage, et dont les autres prennent leur or
t traversent souvent le segment antérieur de la capsule inlerne. 2°
Fibres
nerveuses. - Le corps strié possède de nombreuses
nlerne. 2° Fibres nerveuses. - Le corps strié possède de nombreuses
fibres
groupées en épais fascicules dont la plupart so
reuses fibres groupées en épais fascicules dont la plupart sont des
fibres
de passage provenant des neurones corticaux (fi
lupart sont des fibres de passage provenant des neurones corticaux (
fibres
cortico-thalamiques, cortico- protubérantielles
miques, cortico- protubérantielles, cortico-médullaires, etc.). Ces
fibres
abandonnent au corps strié quelques fines colla
ge des cellules de Golgi et des cellules à cylindre-axe long. Les
fibres
nerveuses qui prennent leur origine dans le corps
iters. Elles affectent toutes un trajet descendant, constituent les
fibres
de projection striées, les radiations ou neuron
de Golgi. Cellules névrogli- qucs et épendniiiai- res. 1-
Fibres
de passage Radiations striées .i trajet desce
riées .i trajet descendant. 308 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
terminales. Le noyau caudé et le putamen ne r
terminales. Le noyau caudé et le putamen ne re- çoivent pas de
fibres
cortico-striées et ne possèdent pas de cou-
en particulier au corps de Luys. . Le corps strié reçoit enfin des
fibres
terminales ascendantes, dont les cellules d'ori
i lui arrivent par la capsule interne ; ce sont, d'après Cajal, des
fibres
épaisses, recouvertes d'une gaine de myéline et
orisation complexe et sou- vent fort élendue. Les cellules et les
fibres
nerveuses du corps strié sont plongées au sein
ge péricellulaire extrêmement dense, formé parles arborisations des
fibres
terminales ascendantes, par les collatérales de
u caudé et le putamen, ne reçoit, au moins chez l'hom- me, pas de
fibres
cortico-striées directes; il ne reçoit que les
; il ne reçoit que les fines collatérales que lui abandonnent les
fibres
de projection corticale qui traversent sa masse
naires des cerveaux inter- meaiaire, moyen, postérieur, etc., etc. (
fibres
cortico-thalamiques, libres cortico-protubérant
con- nexion directe avec la corticalité cérébrale et l'existence de
fibres
cortico- striées directes, en particulier d'une
e in- terne : ses deux couches superposées, la supérieure formée de
fibres
sectionnées per pendiculairement à leur axe, co
nt rétro-lenticulaire de la capsule interne; l'inférieur comprend les
fibres
onduleuses à direction sagittale du faisceau te
corps genouillé externe et la bandelette optique. L'irradiation des
fibres
du segment antérieur de la couronne rayonnante et
la méthode de Marchi, a observé la dégénérescence de quelques fines
fibres
du corps strié après ablation du lobe frontal c
les cas, et qui tiennent vraisemblablement à la dégénérescence des
fibres
de passage et des collatérales des neurones cor
ent autant à la dégénérescence des collatérales, que le système des
fibres
de projection corticale envoie au corps strié et
Il présente son aspect normal et donne naissance à d'aussi abondantes
fibres
que du côté sain; seules les fibres de projecti
naissance à d'aussi abondantes fibres que du côté sain; seules les
fibres
de projection corticale qui le traversent pour fo
e la capsule interne (Cia) font défaut, et grâce à l'absence de ces
fibres
, l'union du noyau caudé et du putamen paraît enco
Edinger, Sachs, Bechterew, Marinesco, tout en niant l'existence de
fibres
de projections cortico-striées, admettent, Los
x de Mzerato ff. Bien qu'il paraisse évident que la mince couche de
fibres
il myéline sous-épendymaire qui tapisse le noyau
f NC, Fig. 290), appartienne en propre à ce noyau et représente des
fibres
d'association inlercaudées reliant deux territoir
rise sous-épendymaire de l'angle externe du ventricule latéral. Ces
fibres
appartiennent, en partie au moins, au faisceau
. 2GG à 272)]. Elles n'abandonnent au noyau caudé que de très rares
fibres
, ainsi que le montrent, non seulement les prépara
lobus pallidus. Si le noyau caudé el le putamen ne reçoivent pas de
fibres
de la corticalité cérébrale, il ne parait pas e
p), il est le plus souvent facile de suivre de petits fascicules de
fibres
hori- zontales qui traversent sagittalement le
oyau lenticulaire, soit dans le deuxième segment de ce noyau. - Ces
fibres
peuvent être suivies encore avec plus de facili
es du globus pallidus. Mais, comme dans la couronne rayonnante, ces
fibres
ne peuvent être suivies au delà du voisinage im
, on peut se demander si, dans l'espèce, il ne s'agit pas plutôt de
fibres
lezzticulo-caudécs, de fibres de projection GAN
l'espèce, il ne s'agit pas plutôt de fibres lezzticulo-caudécs, de
fibres
de projection GANGLIONS I\113 : 1COR'I'IC : 1U1
: 1U1 : CORPS STRIÉ. 313 ou de terminaison caudées, c'est-à-dire de
fibres
qui traversent le segment rétro-lenticulaire de
encontre pas de zones d'atrophie limitée avec disparition, soit des
fibres
radiées, soit des lames médullaires, soit du fe
ut affirmer que le globus pal- lidus possède dans ces cas autant de
fibres
radiées, ou un feutrage aussi dense qu'à l'étal
que le globus pallidus et le corps de Luys reçoivent tous deux des
fibres
de projection de la corticalilé cérébrale. Cas
ntermedium, en particulier du pes lemniscus profond (PLp), dont les
fibres
s'accolent dans les régions pédonculaires infér
S CENTRES NERVEUX. la partie du ruban de Reil situées au-dessus des
fibres
dégénérées que le pes lemnicus profond (PLp) en
le et légère du globus pallidus (NL2, NL,), de son feutrage, de ses
fibres
radiées et de ses lames médullaires interne el.
au de la lame médullaire interne, mais intéresse également quelques
fibres
radiées. Dans la région sous-thalamique (Fig. 284
pes lem- ni,cusprofontl (l'Lp), du pes lemniscus superficiel et des
fibres
aberrantes postéro-externes de la voie pédoncul
es postéro-externes de la voie pédonculaire; une dégénérescence des
fibres
verticales de l'étage antérieur de la protubéra
pédoncule, pes lcmmscus pro- fond, pes lemniscus superficiel ,
fibres
aberrantes postéro- externes. Dégéné- resce
du pes lemniscus profond (PLp), du pes lemniscus superficiel et des
fibres
aberrantes postéro-externes de la voie pédoncul
ste du globus pallidus (i'lL2, i'lLI) et du corps de Luys (CL). Les
fibres
dégénérées pénètrent dans le globus pallidus au n
s pallidus; dans la région sous-thalamique (Fig. 288), une partie des
fibres
dégénérées du globus pallidus s'épuise dans la
inct. Dans la moitié postérieure du segment pos- térieur (Cip), les
fibres
verticales sont dégénérées, tandis que les fibres
térieur (Cip), les fibres verticales sont dégénérées, tandis que les
fibres
horizontales du système strio-luysien sont abso
bsolument intactes; dans la moitié antérieure du segment (Cip), les
fibres
verticales sont intactes et les fibres horizontal
rieure du segment (Cip), les fibres verticales sont intactes et les
fibres
horizontales sont dégénérées. Ces cas montrent
le ; reçoit par son extrémité postérieure et sa lame médullaire des
fibres
qui s'épuisent dans sa substance grise; Le corp
aux cerveaux intermédiaire et moyen par à un volumineux système de
fibres
d'une valeur phylogéné- tique considérable, car
es et strio-sous-thala- miques. Il relie, à la manière de certaines
fibres
corticales (fibres cortico- thalamiques et cort
ala- miques. Il relie, à la manière de certaines fibres corticales (
fibres
cortico- thalamiques et cortico-sous-thalamique
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Difficulté d'étude de ce système de
fibres
cliez les mam- miferos. Nos recherches pers
, en particulier à la corne d'Ammon et donne naissance à un groupe de
fibres
de projection qui est l'homologue, ainsi que Ad
s de vertébrés un degré de développement suffisant pour envoyer des
fibres
de projection dans les cerveaux intermédiaire et
au basal du cerveau antérieur (basales VOI'derhirnbiindel) dont les
fibres
, recouvei les d'une épaisse couche de myéline,
les amas ganglionnaires des cerveaux intermédiaire et moyen. Aucune
fibre
ne descend dans la protubérance ou le bulbe (Éd
z les mammifères, en paiticulier chez l'homme, l'élude du système des
fibres
striées est plus difficile à cause de son intri
ées est plus difficile à cause de son intrication avec le système des
fibres
de pro- jection de l'écorce cérébrale. Il ne pe
onnelles ont porté sur l'homme. Nous avons pu étudier le trajet des
fibres
de projection striée : 1" dans un cas de vasle lé
e vasle lésion corticale avec dégénérescence complète de toutes les
fibres
d'origine corlicale et intégrité complète du corp
ésions corticales étendues avec dégénérescence d'un grand nombre de
fibres
de la capsule interne (cas Rivaud, Fi". 142 à 1
mince membrane tapissée par la pie-mère, et partant le système des
fibres
de projec- tion corticale faisait défaut. Dans
ons slrio-l/wla miques et sous-lhalamiques comportent à la fois des
fibres
slriofuges cons tiiiiées par les longs cylindre
bord inféro-interne du noyau caudé, puis traversent sous le nom de
fibres
len- ticulo-caudées (Fie) la capsule interne, e
es du tronc, le segment postérieur de la capsule interne (Cip); les
fibres
de la queue traversent les segments rélro-lenli
e intérieure (Cisl). Les libres lenticulo-caudées croisent donc les
fibres
de projection corticale sous un angle plus ou m
ajet intra-capsulaire; la laque hématoxylinique colore en effet les
fibres
len- ticulo-caudées beaucoup moins intensivemen
les fibres len- ticulo-caudées beaucoup moins intensivement que les
fibres
de projection corticale. Le trajet des fibres l
intensivement que les fibres de projection corticale. Le trajet des
fibres
lenticulo-caudées à travers le segment rétro- l
1, p. 117 et 118, el cas Heudebert, Fig. 125 et 126, p. 139). Les
fibres
lenticulo-caudées abordent le globus pallidus, so
ires interne et externe du noyau lenti- culaire. Un petit nombre de
fibres
se terminent dans le globus pallidus, mais la p
s ou moins long, deviennent horizontales et concourent à former les
fibres
radiées et les lames médul- laires du noyau len
au caudé. Leur trajet ultra- caudé. Leur trajet capsu- laire;
fibres
lentlculo- caudées. Leurs connexions avec l
s sagittales du segment postérieur de la couronne rayonnante. - f\-C,
fibres
du noyau caudé. - la, circonvolutions antérieur
pito-frontal. - OF + l'r, faisceau complexe contenant à la fois des
fibres
du faisceau occipito-frontal et des fibres de pro
contenant à la fois des fibres du faisceau occipito-frontal et des
fibres
de projection. - PaTh, pédoncule antérieur du t
ieur du tlialamus. - ? CR, pied de la cou- ronne rayonnante. - Pur,
fibres
de projection corticales longeant la queue du noy
VSl, ventricule du septum lucidum. - Zr, zone réticulée. Toutes les
fibres
caudées ne traversent cependant pas le noyau lent
suit dans le segment antérieur de la capsule interne le trajet des
fibres
de projection cortico-thalamiques antérieures, et
lobus pallidus, et convergent vers le sommet du noyau lenticulaire,
fibres
radiées du noyau lenticulaire; les autres sépar
interne (lmi) et les lames médullaires supplémentaires (lmé, lmi').
Fibres
radiées. - Les fascicules radiés du putamen (\TL3
externe, ils s'enchevêtrent les uns avec les autres, une partie des
fibres
entrent dans la constitution de cette lame, les
mique. Ils sont entourés d'un dense feutrage interradiaire dont les
fibres
se con- centrent entre les segments du globus p
21 Les deux groupes do radiations du noyau lenticulaire. Les
fibres
radiées; leur trajet iiitra-lon- ticulairc.
ne rayonnante. - Fi, fimbria du pilier postérieur du trigone. - fi,
fibres
du fornix longus qui bordent la face profonde d
onde du corps calleux et se rendent dans le septum lucidum. - /)>,
fibres
perforantes des régions antérieures du corps ca
- dullaire externe du noyau lenticulaire. - NC, noyau caudé. - fVC,
fibres
propres du noyau caudé. - Na, noyau antérieur.
oyau lenticulaire. - OF + Pr, faisceau occipito-frontal, mélangé de
fibres
de projections. - PaTh, pédoncule antérieur du th
one réticulée du thalamus. surtout constituée par des fascicules de
fibres
enchevêtrés dans tous les sens, mais qui affect
x enchevêtrés, à direction verticale, dans sa partie antérieure les
fibres
affectent une direction horizontale, traver- se
à la base du noyau lenticulaire. Quelle que soit la direction des
fibres
des lames médullaires dans l'épais- seur du noy
la face inférieure de ce noyau, et la tapissent d'une dense couche de
fibres
, d'autant plus épaisse que l'on s'approche du s
Fig. 23, p. 33). Trajet et terminaisons des radiations striées. Les
fibres
striées, quels que soient leur origine et leur
s appartien- nent au noyau caudé, au putamen ou au globus pallidus (
fibres
lenticulo- caudées, fibres radiées ou lames méd
caudé, au putamen ou au globus pallidus (fibres lenticulo- caudées,
fibres
radiées ou lames médullaires du noyau lenticulair
ervalles irrégulièrement arrondis ou rectangulaires comblés par les
fibres
de projection corlicale. Elles abordent ensuite
optique. - T7a, pilier antérieur du trigone. - Th, thalamus, - fn Th,
fibres
radiées du thalamus. - Ise, tienia semi-circula
es sériées normales, devient particulièrement manifeste lorsque les
fibres
de projection corti- cales du segment postérieu
ascicules le segment postérieur de la capsule interne, croisent les
fibres
(ftsc) que le FiG. 293. - Le contingent thalami
d'hé- miplégie cérébrale infantile avec dégénérescence complète des
fibres
de projection corticale du segment postérieur d
diations strio - sous -thalami - '[tics. Ses trois groupes de
fibres
: taenia semi-circularis (tsc) envoie à la couc
tsc) envoie à la couche optique et entrent dans la constitution des
fibres
radiées du thalamus. Dans la partie inférieure de
n des tissus dans ce cas, masque en quelque sorte l'emplacement des
fibres
de projection corti- cale dégénérées et agénési
noyau lenticulaire, elles se concentrent en une couche compacte de
fibres
(FI), Fig. 7, p. 69) qui se place entre le glob
vant la hauteur à laquelle elles appartiennent, en trois groupes de
fibres
. Les unes passent au-dessus du corps de Luys et
en formant l'anse du noyau lenticulaire (Al). Ces trois groupes de
fibres
, très mal délimités les uns des autres, ont été
cas d'hémiplégie cérébral infantile avec dégénérescence complète des
fibres
de projection corticales du segment postérieur
dorsale, moyenne et ventrale), correspondant à nos trois groupes de
fibres
. Le faisceau lenticulaire de Forel (FI) (faisce
ié à la partie antéro-ventrale du thalamus. Il est surtout formé de
fibres
radiées du noyau lenticulaire qui traversent en
se du noyau lenticulaire (Al). Il abandonne chemin faisant quelques
fibres
à la substance grise centrale du 3e ventricule et
es il se présente sous l'aspect d'un faisceau triangulaire formé de
fibres
parallèles (Fig. 318 T. Ie1'). Les coupes verti
ions strio-luysiennes avec lesquelles il se fusionne en partie. Les
fibres
radiées et les lames médullaires externe, inter
ormer, mais elle reçoit en outre par les lames médullaires quelques
fibres
lenti- 1- La faisceau len- ticulaire de Forel
e sous-lenticulaire de Reichert et croise à angle presque droit les
fibres
de la capsule interne en suivant un trajet sensib
g. 319 et 320, p. 639). Dans la région sous-optique, une partie des
fibres
de l'anse lenticulaire se porte en haut dans la
ventrale du thalamus où elle se termine en s'enchevêtrant avec les
fibres
du faisceau lenticu- laire de Forel (FI) et du
de Forel (FI) et du pédoncule inféro-interne du thalamus (PiTh) les
fibres
les plus longues atteignent le plan du ganglion d
autre partie se porte en arrière, abandonne chemin faisant quelques
fibres
à la substance grise centrale du troisième ventri
iège. Bechterew, etc., l'anse du noyau lenticulaire n'envoie aucune
fibre
dans le ruban de Reil, ni dans les radiations d
tent le plus souvent sur la capsule interne, une dégénérescence des
fibres
de projection corticale, en particulier de la voi
orps strié et partant une dégénérescence complète de son système de
fibres
radiées. Cette particularité tient évi- demment
dégéné- rescence plus ou moins intense de toutes les catégories de
fibres
striées : radiations strio-thalamiques et radia
us restreintes peuvent intéresser de préférence certains groupes de
fibres
, en épargner d'autres et les dégénérescences seco
p. 167 à 185, on est frappé du nombre relativement considérable de
fibres
qui persistent intactes après des lésions mêmes
lenticulaire et les radiations strio-luysienncs un grand nombre de
fibres
saines qui, dans la région sous-thalamique, tra-
a capsule interne qu'elles masquent presque la dégé- nérescence des
fibres
de projection corticale (Fig. 169, 170, 171, p. 1
) ; la dégénérescence secondaire intéresse toutes les catégories de
fibres
striées, les radiations slzio-tlzalanzicues, l'an
la lésion, possède un dense feutrage interradiaire et de nombreuses
fibres
radiées; et la partie adjacente du segment post
globus pallidus, adjacente à la lésion et intéressant à la fois les
fibres
radiées et Dégénérescence des fibres radiées
et intéressant à la fois les fibres radiées et Dégénérescence des
fibres
radiées et du feutrage interra- diaire en amo
e feutrage interradiaire. Cette dégénérescence des gros fascicules de
fibres
est localisée à une tranche, à un secteur du co
du corps strié et de la constitution des fas- cicules radiés : les
fibres
striées parcourant souvent un très long trajet
t postérieur de la capsule interne (Cip), croiser à angle droit les
fibres
de projection corticales plus ou moins dégénérées
les régions ventrales du tha- lamus. La pénétration en pinceau des
fibres
dégénérées dans le corps de Luys est particuliè
eurs de la couche optique, du noyau rougo et de sa cap- sule de
fibres
. * 334 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cas Ro
eure de la couche optique, du noyau rouge et de sa cap- sule de
fibres
. externe du pied du pédoncule cérébral, y compr
e la zone réticulée (Zr) de la lame médullaire externe (Lme) et des
fibres
radiées du noyau externe (Ne) du thalamus. Dégéné
sion du putamen et du globus pallidus (Fig. 29G). Dégénérescences des
fibres
radiées et des lames médullaires (lme, Imi, Imi
ce de la zone réticulée, de la lame médullaire externe (Lme) et des
fibres
radiées du noyau externe (Ne) de la couche optiqu
a couche optique. Dégénérescence du noyau rouge et de sa capsule de
fibres
consécutives à la lésion mtralenticulaire et a
sécutives à la lésion mtralenticulaire et a la dégénérescence des
fibres
strio-tlialamiques et strio-sous-tliala- miques
FiG. 300. - Cas Ronse. La zone de dégéné- rescence du système de
fibres
striées a dis- paru ; le ruban de Reil médian e
eure de la couche optique, du noyau rouge et de sa cap- sule de
fibres
. 33G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. remplis de
sous-corticale - à en juger d'après l'état de dégéné- rescence des
fibres
- a entraîné une dégénérescence de toutes les cat
es fibres - a entraîné une dégénérescence de toutes les catégories de
fibres
striées. Dans la région thalamique de la capsul
halamique de la capsule interne (NL3, Fig. 296), elle intéresse les
fibres
radiées du putamen et du globus pallidus (NL2), l
us, en particulier son segment interne, ne contient que très peu de
fibres
dégénérées (Fig. 296), mais il est contourné pa
peu de fibres dégénérées (Fig. 296), mais il est contourné par les
fibres
dégénérées de la lame médullaire interne (Imi) qu
e la sub- stance innominée sous-lenticulaire de Reichert (Sti), les
fibres
dégénérées sont parti- culièrement nombreuses.
s dégénérées sont parti- culièrement nombreuses. Elles occupent les
fibres
radiées et le feutrage des deux segments intern
ée du segment postérieur de la capsule interne (Fig. 297). D'autres
fibres
, enfin, suivent la voie des radiations strio- l
adiations strio- luysiennes (RsL, Fig. 298). Un grand nombre de ces
fibres
dégénérées concourent à former la capsule du co
de Forel (F) et de la capsule du noyau rouge (Fig. 298). D'autres
fibres
dégénérées ne traversent pas la capsule interne,
rs lacunaires. Ce cas démontre : 1° Que le corps strié envoie des
fibres
dans les radiations strio-thala- miques, dans l
s radiations strio-luysiennes el dans la commissure de Meynert. Ces
fibres
sont. destinées au corps de Luys, à la partie ant
rtie antéro-inférieure du thalamus, au noyau rouge, à sa capsule de
fibres
; et au noyau lenticu- laire du côté opposé, par
e faisceau interne du pied du pédoncule cérébral et n'envoie pas de
fibres
dans la voie TOME II. 22 338 ANATOMIE DES CEN
lé- sions thalamiques. Les radiations striées contiennent des
fibres
striofugcs et striopétes. 0 pédonculaire. C'e
outre (Méthode de Marchi) la dégénérescence d'un petit faisceau de
fibres
, qui dans le plancher du troisième ventricule s
, Fig. 297, 298 et 301.) Ce faisceau appartient donc au système des
fibres
striées. Nous y reviendrons en étudiant les commi
us avons étudiés, nous n'avons vu les dégénérescences du système de
fibres
striées empié- ter sur le ruban de Reil (Rm) ou
Reil se propager à l'anse lenticulaire et aux autres catégories de
fibres
striées. Dégénérescence des radiations striées
de la calotte pédonculaire sans pouvoir toutefois déterminer si les
fibres
dégénérées se perdaient dans le noyau rouge ou
en amont et en aval des lésions paraît impliquer que ce système de
fibres
contient des fibres diri- gées en sens inverse,
des lésions paraît impliquer que ce système de fibres contient des
fibres
diri- gées en sens inverse, des fibres striofug
stème de fibres contient des fibres diri- gées en sens inverse, des
fibres
striofuges et des fibres striopètes. Cas Gardet
des fibres diri- gées en sens inverse, des fibres striofuges et des
fibres
striopètes. Cas Gardette. - (Fig. 302 à 309.) I
sillon bulbo-protubérantiel. Il existe enfin une dégénérescence des
fibres
radiées (fr) et de la lame médullaire externe (
ctéristique d'un faisceau triangulaire, à sommet postérieur, dont les
fibres
dégénérées traversent le segment postérieur de
es dégénérescences qui en sont les conséquences. Dégénérescence des
fibres
radiées (fr) et de la zone réticulée (Zr), du tha
ule cérébral (P) (Fig. 307, 308). L'anse lenticulaire n'envoie pas de
fibres
ci la voie pédonculaire, les quelques rares fib
n'envoie pas de fibres ci la voie pédonculaire, les quelques rares
fibres
dégénérées que l'on constate dans le faisceau i
érescence s'étend au noyau rouge (\Il), et surtout il sa capsule de
fibres
(C\C) (Fig. 307) ; elle se confine ensuite à la
et du champ de Forel (F), du noyau rouge (1\Il) et de sa capsule de
fibres
(CN13). Dégénérescences du faisceau de Vicq d'A
ral. Il existe d'autre part une dégénérescence du petit faisceau de
fibres
que le champ de Forel, en particulier, le faisc
en effet que dans la région protubérantielle supérieure, lorsque les
fibres
aberrantes dégénérées de la voie pédonculaire,
cule cérébral, malgré la dégénérescence de l'anse lenticulaire. Les
fibres
dégénérées qui se trouvent sur la Figure 309 dans
CAUX. : CORPS STRIÉ. 343 3° Que l'anse lenticulaire n'envoie pas de
fibres
dans le pied du pédoncule cérébral, en particul
s faisceaux thalamique et lenticulaire de Forel n'en- voient pas de
fibres
au ruban de Reil médian. 5° Que les fibres du f
el n'en- voient pas de fibres au ruban de Reil médian. 5° Que les
fibres
du faisceau thalamique et du champ de Forel qui d
entrent dans la constitution de la capsule du noyau rouge sont des
fibres
de court trajet qui ne dépassent guère la régio
férieure. D'après Edinger, le système slrié enverrait de nombreuses
fibres
au locus niger. Bien que l'on observe constamme
ec- tionnent par conséquent un nombre plus ou moins considérable de
fibres
de projection corticale. Nous avons montré dans
orticalité, qu'il reçoit de la région rolandique un grand nombre de
fibres
de projection. Si la dégénérescence du locus ni
même étendue. Dans le segment postérieur de la capsule interne les
fibres
de projection corticale sont en effet resserrée
re interne (Lmi) ; leur face libre est recouverte par une couche de
fibres
à myéline connue sous le nom de couche zonale,
oyau externe la substance grise prédomine et que la pénétration des
fibres
radiées s'y effectue avec beaucoup de régularit
férieure ou ventrale de ce noyau est remarquable par sa richesse en
fibres
verticales. Néanmoins la transition entre ces d
s ramifications cylindraxiles terminales et collatérales et par les
fibres
et cellules de la névroglie. Dans les noyaux an
e et dans le pulvinar, ce réseau est remarquable par sa pauvreté en
fibres
à myéline. Dans le centre médian de Luys et dan
e centre médian de Luys et dans la couche ventrale du thalamus, les
fibres
à myéline sont par contre nombreuses et serrées,
mineuses, ainsi que par la richesse de sa substance fondamentale en
fibres
à myéline. Le noyau acces- soire ventral (ant.
. b.) est séparé du noyau principal par de volumineux fascicules de
fibres
appartenant au pédoncule interne de la couche opt
t de la partie antérieure du segment postérieur (Cip) de nombreuses
fibres
radiées qui pénètrent dans l'extrémité antérieure
artie externe(Fig. 291). L'origine et le lieu de terminaison de ces
fibres
sont encore inconnus. Proviennent-elles des cel
encore inconnus. Proviennent-elles des cellules du noyau antérieur (
fibres
tha- Bibliothèque des Internes en Médecine de
UCHE OPTIQUE. 341 lamo-corticales), sont-elles d'origine corticale (
fibres
cortico-thalamiques) ? v. Monakow les rattache,
e qu'il n'est pas en connexion avec le lobule paracentral, dont les
fibres
de pro- jection passent du reste, comme nous l'
nt divergents, bien différents d'aspect des fascicules onduleux des
fibres
radiées corticales. Le noyau antérieur reçoit e
au antérieur reçoit encore, dans sa partie inféro-interne, quelques
fibres
du pédoncule inféra-interne de la couche optiqu
Forel. - sillon olfactif. - F.11, faisceau rétroflexe de Meynert. fp,
fibres
perforantes du corps calleux destinées au trigo
one cérébral dont elles concourent à former le fornix longus. - ft,
fibres
tangentielles de la première circonvolution limbi
latéral. - PiTh, pédoncule inféro-interne du thalamus. - l'oa,Pop,
fibres
transversales antérieures et fibres transversales
nterne du thalamus. - l'oa,Pop, fibres transversales antérieures et
fibres
transversales postérieures de la protubérance.
- PTm, pédoncule du tubercule mamillaire. - l'ul, pulvinar. - l'y,
fibres
longitudinales de l'étage antérieur de la protubé
unes des autres et entourées d'une substance fondamentale pauvre en
fibres
à myéline. Ces cellules sont d'autant plus petite
interne reçoit, surtout dans ses régions antérieures, de nombreuses
fibres
radiées qui lui viennent par les segments antérie
pes traitées par la méthode de Weigert ou de Pal, ces fascicules de
fibres
radiées, légèrement onduleux, se détachent avec
ico-transversales, un aspect tacheté spécial (Fig. 284, T,1er). Ces
fibres
tirent leur origine de la parlie externe et ant
rtie inférieure et interne, le noyau interne reçoit de nom- breuses
fibres
du pédoncule inféro-interne du thalamus, de l'ans
le inféro-interne du thalamus, de l'anse lenticu- laire et quelques
fibres
du faisceau lenticulaire de Forel. Ces fibres dég
cu- laire et quelques fibres du faisceau lenticulaire de Forel. Ces
fibres
dégé- nèrent à la suite de lésions de la partie
méthode de Weigert- Pal. Le centre médian de Luys est très riche en
fibres
à myéline; il appa- rait par conséquent plus cl
es; elles sont entourées d'une substance fondamentale très riche en
fibres
à myéline qui, disposées en fins fascicules, s'en
ntre médian. Il se confond à ce niveau avec cette épaisse couche de
fibres
situées à la partie postéro- inféro-externe du
tte. Dans sa partie supérieure et moyenne s'irradient de nombreuses
fibres
radiées qui traversent la partie postérieure du
lutions rolandiques et de la partie adjacente du lobe pariétal. Ces
fibres
appartiennent au système de la cou- ronne rayon
partiennent au système de la cou- ronne rayonnante du thalamus, aux
fibres
cortico-thalamiques supérieures (Voy. p. 62); e
NGLIONS INFRACORTICAUX : COUCHE OPTIQUE. 331 d'autres catégories de
fibres
, telles que les fibres cortico-protuhérantielles
: COUCHE OPTIQUE. 331 d'autres catégories de fibres, telles que les
fibres
cortico-protuhérantielles et cortico-médullaire
sous-optique, le centre médian de Luys reçoit un certain nombre de
fibres
du ruban de Reil mé- dian, du pédoncule cérébel
u ruban de Reil mé- dian, du pédoncule cérébelleux supérieur et des
fibres
longitudinales de la formation réticulée. Ces f
périeur et des fibres longitudinales de la formation réticulée. Ces
fibres
abordent le centre médian de Luys par sa 1'ic.
psule interne. - coa, commissure antérieure. - CL, corps de Luys ? p,
fibres
perfo- rantes du corps calleux. - ft, fibres ta
CL, corps de Luys ? p, fibres perfo- rantes du corps calleux. - ft,
fibres
tangentielles du subiculum de la corne d'Ammon-
de chaque côté le stratum zonale qui la renforce par de nombreuses
fibres
. Il résulte de cette disposition que l'on peut
mmissure molle ou moyenne (com)à laquelle elle envoie de nombreuses
fibres
. Dans cette même région, la courbe de la partie
noyau semi-lunaire de Flechsig. Elle envoie un grand nombre de ses
fibres
dans GANGLIONS tNFRACOR'HCAUX : COUCHE OPTIQUE
du ruban de Reil médian. La lame médullaire interne est formée de
fibres
à direction surtout verticale et de fibres à di
re interne est formée de fibres à direction surtout verticale et de
fibres
à direction plus ou moins sagittale. Une partie d
dans les régions ventrales de la couche optique et se joignent aux
fibres
verticales. Les fibres verticales et sagittales
es de la couche optique et se joignent aux fibres verticales. Les
fibres
verticales et sagittales sont croisées par les fa
lame médullaire interne avant d'aborder le noyau interne. Entre ces
fibres
, on trouve constamment, dans la lame médullaire i
ues rares cellules multipolaires plus volumineuses. L'origine des
fibres
de la lame médullaire interne n'est pas encore
e lame. Quelques-unes ne sont probablement que les collatérales des
fibres
radiées ou du stratum zonale ; d'autres représe
ion étroite avec la région sous-optique et elle contient, à côté de
fibres
qui prennent leur origine dans le thalamus, d'a
) et se caractérise à l'état frais par un aspect strié qu'il doit aux
fibres
radiées qui le pénètrent. Grâce à sa richesse e
il doit aux fibres radiées qui le pénètrent. Grâce à sa richesse en
fibres
à myéline, il est plus pâle à l'état frais que
de Monro (T1\J). Il est séparé de l'épendyme ventriculaire par les
fibres
du stratum zonale, et il est traversé dans toute
son étendue antéro-postérieure de nombreux et d'épais fascicules de
fibres
radiées qui se détachent du segment antérieur,
stérieur et du segment sous-lenticulaire de la capsule interne. Les
fibres
radiées qui suivent le segment, antérieur de la
a largeur, aux confins du noyau antérieur (Na), lui abandonnent des
fibres
, croisent la partie supérieure du faisceau de Vic
o-transversales, un aspect Lâcheté spécial (Fig. 323, 324, va). Les
fibres
qui lui arrivent par le segment postérieur de la
horizontales sec- tionnées parallèlement à leur axe. Une partie des
fibres
inférieures et postérieures passent par le segm
t présentent un trajet légèrement oblique en haut et en dedans. Les
fibres
radiées sont constituées à la fois par des fibres
et en dedans. Les fibres radiées sont constituées à la fois par des
fibres
cortico-tlea- lamiques, des fibres thalamo-cort
nt constituées à la fois par des fibres cortico-tlea- lamiques, des
fibres
thalamo-corticales et des fibres strio-lhalamique
fibres cortico-tlea- lamiques, des fibres thalamo-corticales et des
fibres
strio-lhalamiques. Les premières, fibres cortic
thalamo-corticales et des fibres strio-lhalamiques. Les premières,
fibres
cortico-thalamiques , prennent leur origine dans
suite de lésions destructives de ces régions (p. 91 et suiv.). .Ses
fibres
radiées. Constitution des )iht'osradt6os. C
ui correspond très exactement au champ dégénéré cap- sulaire. Les
fibres
tlealamo-corticales prennent leur origine dans le
nt dans l'écorce cérébrale et suivent en sens inverse le trajet des
fibres
corticifuges; elles dégé- nèrent comme les libr
de, cellulipète et peut aller jusqu'à la disparition complète de la
fibre
nerveuse lorsque la lésion est ancienne ou remo
sion est ancienne ou remonte à la première enfance. L'existence des
fibres
thalamo-corti- cales est démontrée à l'état de
vie embryonnaire (cas Richard et cas Longery, p. 185 à 216). Les
fibres
strio-tlaalnnziqzces appartiennent aux radiations
que, croisent, dans le segment postérieur de la capsule interne les
fibres
de projection corticales et les fibres thalamo-co
ur de la capsule interne les fibres de projection corticales et les
fibres
thalamo-corticales à angle plus ou moins droit
thalamiques (cas Gardette, p. 338). La multiplicité d'origine des
fibres
radiées, le grand champ cortical auquel elles a
tielle dans la moitié ventrale qui reçoit surtout le contingent des
fibres
strio-lhalamiques. Quant aux vastes lésions cap-
e interne, et partant, on trouve toujours dans le noyau externe des
fibres
radiées conservées. Dans la partie inférieure o
t au groupe des noyaux ventraux de v. Monakow, il existe à côté des
fibres
radiées un très grand nombre de fibres à direct
onakow, il existe à côté des fibres radiées un très grand nombre de
fibres
à direction plus ou moins verticale, qui occupent
e et plus serré que l'on s'approche de la région sous- optique. Les
fibres
externes appartiennent à la lame médullaire exter
UE. : ¡ : ;7 la partie antérieure de la capsule du noyau rouge. Les
fibres
postérieures sont comprises enlre le centre méd
de Reil médian est formé dans ces régions par un dense feutrage de
fibres
qui entoure la partie postérieure, inférieure et
gros fascicules, sectionnés perpendicu- lairemcnl à l'axe de leurs
fibres
et réunis entre eux par de fines fibres à myéli
lairemcnl à l'axe de leurs fibres et réunis entre eux par de fines
fibres
à myéline à direction verticale et sagittale. C
sagittale. Ces gros fascicules appartiennent incontestablement aux
fibres
radiées qui longent la lame médullaire externe
si que le montrent nettement les coupes vertico-l ransversales. Les
fibres
verticales et sagittales représentent les vérit
es. Les fibres verticales et sagittales représentent les véritables
fibres
propres delà lame médullaire externe. Elles son
llaire externe s'épaissit considérablement et constitue une zone de
fibres
très compactes connue sous le nom de zone, de c
m) qu'il entoure à la façon d'un croissant ou d'une faux. Pauvre en
fibres
à myéline, mais entouré par des régions qui en
llaire externe (Lme), elle est traversée par tous les fascicules de
fibres
radiées qui pénètrent dans le thalamus et qui f
onvolution frontale. - FI, fais- ceau lenticulaire de Forel. - Fie,
fibres
lenticulo-caudées. - Fli, faisceau longitudinal
n petits groupes et entourées d'une substance fondamentale riche en
fibres
à myéline. Ces fibres s'entre-croisent dans GAN
tourées d'une substance fondamentale riche en fibres à myéline. Ces
fibres
s'entre-croisent dans GANGLIONS INFHACOHTICAUX
e et le pulvinar. Le champ de Wernicke est sur- tout formé de fines
fibres
verticales, fortement colorées par l'héma- toxy
rrés, séparés par des intervalles allongés, sont fort analogues aux
fibres
de la bandelette optique aux- quelles elles fon
oviennent, appartiennent au système visuel et sont croisées par les
fibres
radiées du pulvinar qui divisent les fibres verti
t sont croisées par les fibres radiées du pulvinar qui divisent les
fibres
verticales du champ de Wernicke en rangées tran
ales sériées, le pulvinar, grâce à sa situation et à sa richesse en
fibres
radiées, semble faire suite au noyau externe. En
lon calloso-marginal ; cm', sa branche verticale. cp, la couche des
fibres
profondes du tubercule quadrijumeau antérieur. -
n frontale ascendante. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - ft,
fibres
tangentielles du ta ! nia tecta. - Fus, lobule fu
ne de 1\'er- nicke. sagittale et proviennent en grande partie des
fibres
de projection cortico- thalamique ; elles arriv
, elles abandonnent, au voisinage du noyau antérieur, de nombreuses
fibres
à la lame médul- laire supérieure (Lms) et à la
périeure (Lms) et à la lame médullaire interne (Lmi). En avant, ces
fibres
sont renforcées par quelques fibres du pédoncule
re interne (Lmi). En avant, ces fibres sont renforcées par quelques
fibres
du pédoncule inférieur du thalamus (PiTh). En a
iveau du pulvinar, le stratum zonale est renforcé par de nombreuses
fibres
qui lui viennent soit directement de la bandele
ation, d'énucléation ou d'atrophie du globe oculaire. A côté de ces
fibres
terminales cortico- thalamiques qui constituent
couche profonde du stratum zonale, ce dernier contient en outre des
fibres
thalamo-corticales qui prennent leur origine da
TIC.UX : COUCIIE OPTIQUE. 36 finement granuleux et parcouru par des
fibres
à myéline qui forment ici un feutrage beaucoup
dense que celui du noyau externe. Le pulvinar reçoit de nombreuses
fibres
radiées ; elles apparaissent sur les coupes hor
egment postérieur de la couronne rayonnante. Un grand nombre de ces
fibres
radiées appar- tiennent aux radiations optiques
et moyenne du pulvinar. Comme le stratum zonale du pulvinar et les
fibres
verticales du champ de Wernicke reçoivent soit
oit par l'intermédiaire du corps genouillé externe, de nom- breuses
fibres
de la bandelette optique, le pulvinar se trouve a
ique, le pulvinar se trouve ainsi situé à la fois sur le trajet des
fibres
rétiniennes (1 CI' neurone visuel) et des fibres
is sur le trajet des fibres rétiniennes (1 CI' neurone visuel) et des
fibres
visuelles corticales ou centrales (2° neurone v
les centres visuels primaires sous-corticaux ou ganglionnaires. Ses
fibres
dégénèrent a la suite de lésions corticales ou so
tte optique). Dans la partie supérieure du pulvinar s'irradient des
fibres
qui provien- nent de la face externe du lobe oc
optique. Le corps genouillé externe est enveloppé d'une capsule de
fibres
médullaires d'inégale épaisseur et présente une
laire de la capsule interne (Cirl), sépare le faisceau de Turck des
fibres
de projection corticale qui pénètrent dans le p
s genouillé externe reçoit de la bandelette optique de nom- breuses
fibres
rétiniennes qui sont superficielles ou profondes
es fibres rétiniennes qui sont superficielles ou profondes : .' Les
fibres
superficielles passent les unes au-dessus, les au
ent dans une véritable capsule et l'entourent d'une couche de fines
fibres
qui se colorent intensivement par l'héma- toxyl
par des fentes allongées. Elles sont en tous points semblables aux
fibres
de la ban- delette optique avec lesquelles elle
ec lesquelles elles se continuent sans changement de direction. Ces
fibres
émettent quelques collatérales, qui se ramifient
un nombre considérable de cellules nerveuses (Fig. 314 c, D). Les
fibres
profondes traversent le corps genouillé externe e
res qui sillonnent ce ganglion. Elles se terminent, de même que les
fibres
superficielles, par de larges arborisations qui
llules ganglionnaires du corps genouillé externe. Mais toutes les
fibres
rétiniennes, soit superficielles soit profondes,
r (Strz), du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa) ou des
fibres
verticales de la zone de Wernicke Ces dernières
BrQa) ou des fibres verticales de la zone de Wernicke Ces dernières
fibres
présentent la même dispo- sition que celles de
ompacts séparés par des fentes allongées et se terminent, comme les
fibres
du corps genouillé externe, par de larges arboris
367 vinar représentent donc de véritables noyaux terminaux pour les
fibres
de la rétine. Les lamelles grises du corps ge
Ramon (1890) et surtout par Cajal (1895), et qui sont l'origine des
fibres
visuelles du deuxième neurone. Les unes, petite
rne du chat nouveau-né. Méthode de Golgi (d'après R. y Cajal). A,
fibres
optiques pourvues d'une arborisation terminale ap
, fibres optiques pourvues d'une arborisation terminale aplatie. -13.
fibres
optiques se ramifiant dans l'étage moyen. - C e
ie. -13. fibres optiques se ramifiant dans l'étage moyen. - C et D,
fibres
optiques pourvues d'une arborisation terminale
e dense et profonde. - E, faisceau des voies optiques centrales. -1 ?
fibres
se con- tinuant dans la bandelette optique. - L
iatement entre les cellules avoisinantes, puis se continue avec une
fibre
visuelle centrale. Les fibres visuelles centrales
voisinantes, puis se continue avec une fibre visuelle centrale. Les
fibres
visuelles centrales se réunissent en fascicules
es sont accompagnées [dans toute la longueur de leur trajet par des
fibres
de projection corticale (libres cortico-genouillé
résultats fournis par l'anatomie expérimentale, l'existence de ces
fibres
, dont la fonction est inconnue, a été confirmée p
les primates, et en particulier chez l'homme. Chez ces animaux, les
fibres
visuelles centrales divisent le corps genouillé
illé externe en deux noyaux : l'un, dorsal ou supérieur, reçoit les
fibres
rétiniennes, ainsi que v. Monakow l'a montré; l
nférieur ou ventral, plus volumineux, en connexion surtout avec les
fibres
visuelles corticales (v. Monakow), serait, d'aprè
ce libre ou postéro-inférieure est recouverte d'une mince couche de
fibres
zonales qui appartiennent en partie au bras du
rps genouillé interne n'appartient pas au système visuel et que les
fibres
de la branche interne de la bandelette optique
volution temporale (T,). De celte même région corticale parlent des
fibres
de projection corticale qui se terminent librem
TRES NERVEUX. Connexions avec la corticalité céré- brale. Los
fibres
cortico- thalamirjues. de nombreuses fibres à
céré- brale. Los fibres cortico- thalamirjues. de nombreuses
fibres
à la corticalité cérébrale, au corps strié, au ce
t avec le corps strié s'établissent surtout par l'intermédiaire des
fibres
radiées, tandis que le dense feutrage de fibres
l'intermédiaire des fibres radiées, tandis que le dense feutrage de
fibres
qui occupe toute la couche ventrale du thalamus
ires, p. 91 et suiv.) s'effectue non seulement par les innombrables
fibres
de projection que la corticalité cérébrale envoie
e envoie à la couche optique (p. 57), mais encore par de nombreuses
fibres
tlralazzzo- corticales qui, prenant leur origin
nt dans l'écorce cérébrale et suivent en sens inverse le trajet des
fibres
cortico-thalamiques. La cou- ronne rayonnante d
s. La cou- ronne rayonnante du thalamus contient donc à la fois des
fibres
corli- cifuges et des fibres corticipètes. Mais
u thalamus contient donc à la fois des fibres corli- cifuges et des
fibres
corticipètes. Mais le nombre et la proportion res
Mais le nombre et la proportion respective de ces deux variétés de
fibres
sont encore discutés. La plupart des auteurs (M
couronne rayonnante du thalamus comme consti- tuée surtout par des
fibres
cortico-thalamiques, v. Monakow, par contre, ad
amiques, v. Monakow, par contre, admet qu'elle comprend surtout des
fibres
thalamo-corticales; v. Kôl- liker, adoptant un
dire les ganglions centraux de la vision, con- tiennent surtout des
fibres
thalamo-corticales, tandis que les autres noyau
res noyaux, en particulier le noyau externe, ne recevraient que des
fibres
cortico-thalamiques. En réalité, il nous semb
es fibres cortico-thalamiques. En réalité, il nous semble que les
fibres
cortico-thalamiques et thalamo- corticales sont
don- cules de la couronne rayonnante du thalamus. L'existence des
fibres
cortico-thalamiques est bien mise en évidence p
n'établissent pas d'une manière absolument probante l'existence de
fibres
allant de la corticalité au thalamus. En effet,
ns corticales récentes la dégénérescence occupe non seule- ment les
fibres
radiées du thalamus, mais encore toute la substan
érieur (Pes). Ces deux faisceaux qui se terminent par de nombreuses
fibres
dans le thalamus ne sont donc pas, contrairement
onnexion directe avec la corticale cérébrale par l'intermédiaire de
fibres
passant par la couche optique. Si ces faisceaux d
diminution de volume tient encore à la dégénérescence descendante des
fibres
abérrantes (pes lemniscus superficiel, pes lemn
étrui- sent par conséquent un nombre plus ou moins considérable des
fibres
terminales du ruban de Iteil médian et du pédon
bérantielles par la dégénérescence du pes lemniscus. L'existence de
fibres
thalamo-corticales esl difficile à démontrer par
tro-lenticulaire de la capsule interne, on observe dans les cas Les
fibres
thala- mo-corticalcs. 372 2 ANATOMIE DES CENT
une atrophie plus ou moins étendue du thalamus et une atrophie des
fibres
et des cellules dans la partie correspondante d
tains. Pour résoudre cette question de l'existence et du nombre des
fibres
thalamo-corticales il faut employer d'autres pr
udier certaines malformations tératologiques. Or l'existence de ces
fibres
est démontrée, à l'état de pureté pour ainsi di
gery, p. 187, Fig. 197 à 212), l'écorce et partant son sys- tème de
fibres
de projection faisaient complètement défaut; dans
de soudure du manteau cérébral aux corps opto-striés, le système des
fibres
de projec- * lion ne pouvait arriver au segment
ous de l'épendyme ventriculaire. Ces libres ne peuvent être que des
fibres
thalamo-corticales, des fibres d'origine thalam
re. Ces libres ne peuvent être que des fibres thalamo-corticales, des
fibres
d'origine thalamique, qui, nées des cellules de
t dans les deux sens, la couche optique recevant du corps strié des
fibres
thalomopètcs, de môme qu'elle lui envoie des fibr
corps strié des fibres thalomopètcs, de môme qu'elle lui envoie des
fibres
lha- lamofuges. Quelle que soit la direction de
voie des fibres lha- lamofuges. Quelle que soit la direction de ces
fibres
, elles suivent toutes le trajet des radiations
ombencéphale et le cer- veau moyen. La couche optique envoie peu de
fibres
dans le rhom- bencéphale, mais elle en reçoit p
du ruban de Reil médian (rgRm) comprend enfin ce dense feutrage de
fibres
Fie. 313 et 316. -Les fibres thalamo-corlicales
m) comprend enfin ce dense feutrage de fibres Fie. 313 et 316. -Les
fibres
thalamo-corlicales des segments antérieur et post
isceaux ne sont pas constitués par une seule et même caté- gorie de
fibres
, mais comprennent des fibres du pédoncule cérébel
s par une seule et même caté- gorie de fibres, mais comprennent des
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur, des fibres
mais comprennent des fibres du pédoncule cérébelleux supérieur, des
fibres
du noyau rouge, des fibres longitudinales de la f
du pédoncule cérébelleux supérieur, des fibres du noyau rouge, des
fibres
longitudinales de la for- maton réticulée de la
fibres longitudinales de la for- maton réticulée de la calotte, des
fibres
du ruban de Reil médian. L'étude des dégénéresc
de Marchi montre que le ruban de Reil médian forme la majorité des
fibres
de la région du ruban de Reil médian, qu'il se
ar et dans le centre médian de Luys, mais qu'il envoie en outre des
fibres
dans les parties supérieures du noyau externe d
s lames médullaires externe et interne du thalamus, envoie quelques
fibres
dans la partie postérieure du noyau interne et da
cérébelleux croisé, en particulier avec l'olive cérébelleuse. Les
fibres
du noyau rouge et celles de la formation réticulé
ge et la substance grise de la formation réticulée. Le complexus de
fibres
qui relie le rhombencéphale à la couche opti- q
relie le rhombencéphale à la couche opti- que, contient surtout des
fibres
ascendantes, afférentes, thalamopèles, des fibr
tient surtout des fibres ascendantes, afférentes, thalamopèles, des
fibres
se terminant dans la couche optique ; il contient
t dans la couche optique ; il contient néanmoins un petit nombre de
fibres
efférenles , tl¡alamofuges, qui, prenant naissanc
pédon- cule cérébelleux supérieur, le noyau rouge et sa capsule de
fibres
, la for- mation réticulée de la calolle, contie
tion réticulée de la calolle, contiennent donc un certain nombre de
fibres
descendantes dont l'existence est démontrée par l
hode de Marchi (Voy. cas Gardette, Fig. 302 à 309 p. 338). Mais ces
fibres
sont en généial des fibres à court trajet. Le rub
rdette, Fig. 302 à 309 p. 338). Mais ces fibres sont en généial des
fibres
à court trajet. Le ruban de Reil médian parait
jet. Le ruban de Reil médian parait de même contenir quelques rares
fibres
descendantes d'ori- gine thalamique, mais leur
mais leur nombre est insignifiant lorsqu'on le compare à celui des
fibres
ascendantes ou terminales. Par les corps genoui
se continuent sans ligne de démarcation nette avec la couche des
fibres
profondes (cp) du tubercule quadrijumeau antéri
grise de l'aqueduc de Sylvius, soit par le sillon sous-pinéal. Les
fibres
de la commissure postérieure sont transversales e
laire. - cop, com- missure postérieure. - cp, couche profonde des
fibres
du tubercule qua- drijumeau antérieur. - Gp, gl
DES CENTRES NERVEUX. La commissure postérieure no reçoit pas de
fibres
de la corticalité cérébrale. Malgré son volum
igine et les lieux de terminaison de la commissure postérieure; ses
fibres
paraissent être de court trajet, car leur dégénér
sule interne. Cet auteur est ainsi conduit à admettre que certaines
fibres
de la commissure postérieure, entrent en connex
chewitch et Bechterew et étayée sur la myélogénèse très précoce des
fibres
du segment dorsal de la commissure postérieure. D
du segment dorsal de la commissure postérieure. D'après Boyce, ces
fibres
corticales dégénéreraient à la suite d'ablation d
des lésions corticales ou sous-corticales, nous avons pu suivre les
fibres
dégénérées dans le gan- glion de l'habenula, la
la partie adjacente du noyau externe du thalamus. Dans ces cas les
fibres
dégénérées de la com- missure postérieure peuve
, nous ne savons en réalité, ni de quelles cellules proviennent ces
fibres
, ni dans quelles masses grises elles vont se te
cérébral démontrent en effet que la couche optique n'envoie aucune
fibre
dans le pied du pédoncule cérébral et qu'elle n
borisations terminales des neurones visuels corticaux, émellenl des
fibres
qui s'arborisent dans la zone visuelle cortical
cularis (Voy. ce faisceau, p. 265 et fig. 255), donl une parlie des
fibres
, en prenant leur origine dans le noyau externe
ar; en avant, par un tractus blanc qui lui fournil un revêtement de
fibres
à myéline et qui est connu sous les noms de taeni
'aire olfactive (Fig. 3 1 9) ; il émet un faisceau com- pact de
fibres
, le fais- ceau rétroflexe (fut) (Meynert), ou
enfin au ganglion de l'habenula du côlé opposé, par un faisceau de
fibres
transversales, situé à la base de la glande pinéa
s v. Gehuchten constata le premier, chez les poissons osseux, que les
fibres
du fais- ceau rétroflexe de Meynert prennent le
ans par l'épendyme du troisième ventricule et en dehors par les
fibres
du lænia thalami, qui le séparent du noyau ex
les dans l'épaisseur du noyau interne, puis se continue en une fine
fibre
amyélinique du faisceau rétroflexe de Meynert (
ge cylindre-axile extrême- ment dense et enchevêtré, fourni par les
fibres
internes du trenia thalami (Fig. 319), et tout
ntoure d'un épais manchon de myéline et se continue avec une grosse
fibre
du fais- ceau rétroflexe. Ces cellules sont ent
les sont entourées d'un feutrage très dense, constitué par de fines
fibres
granuleuses et ramifiées, fournies en grande pa
fibres granuleuses et ramifiées, fournies en grande partie par les
fibres
externes du lrenia thalami et en partie par les
rtie par les fibres externes du lrenia thalami et en partie par les
fibres
radiées du pulvinar et du centre médian de Luys.
s blanc est une dépen- dance de l'habenula et qu'il n'envoie pas de
fibres
à la glande pinéale. Sur les coupes vertico-tra
ure antérieure, il s'épaissit bientôt grâce à l'apport incessant de
fibres
qui lui viennent du stratum zonale. Sur les cou
chez le chai. 11 ne paraît pas en être de même chez l'homme. Les
fibres
du ta'nia thalami ne se terminent, pas toutes dan
dans la commissure interbabénulaire. Si le mode de terminaison des
fibres
du txnia thalami est aujourd'hui assez bien con
nt loin d'être complètement élucidées. 1. Il tire une partie de ses
fibres
du stratum zonale des faces, supé- rieure, anté
et appartiennent au pédoncule inféro-interne du thalamus. Parmi ces
fibres
une petite partie est d'ori- gine corticale, dé
it noyau intermédiaire au taenia thalami et au noyau antérieur. Les
fibres
corticales et les libres thalamiques ne sont pa
l;¡mia thalami et au ganglion de t'habenula en suivant le trajet des
fibres
radiées des noyaux externe et interne du thalam
t interne du thalamus et du pulvinar. Il est probable que parmi les
fibres
qui arrivent au taenia thalami par l'inter- méd
entrale qui tapisse la face interne du thalamus. 2. De nombreuses
fibres
proviennent du septum lucidum et de l'aire olfa
dmise par Luys, Schwalbe, Forel, Honegger Origine complexe de ses
fibres
. Contingent cortical et contingent thala- m
u-dessous du bourrelet du corps calleux et cel auteur admet que les
fibres
qui se détachent du pilier antérieur du trigone,
oyau lenticulaire sans intéresser la couche optique. Une partie des
fibres
dégénérées se termine autour des noyaux cellulair
lentin, Luys, Honegger, le txnia semi-circularis enverrait quelques
fibres
au taenia thalami, connexions niées par Kolli-
, Lotheisen. D'après Honegger, le taenia thalami recevrait quelques
fibres
du pédoncule du septum lucidum, qui après avoir t
ami recevrait du nerf optique et du ganglion optique basai quelques
fibres
qui abandonneraient le nerf optique en arrière
e tuber cinereum et arriveraient au ganglion de l'habenula avec les
fibres
du pédoncule inféro-interne de la couche optiqu
inféro-interne de la couche optique. Il s'agirait dans l'espèce de
fibres
pupillaires. D'après Mendel l'arc irido-réllexe p
erf optique et le ganglion de l'habenula, mais pour cet auteur, les
fibres
pupillaires ou irido-réflexes ne suivraient pas
niveau du corps genouillé externe, traverseraient ensuite, avec les
fibres
radiées, le pulvinar pour se rendre à la commissu
g. 317 et 320). - La commissure interhabénulaire est un faisceau de
fibres
transversales situé en avant de la glande pinéa
s douteuses du taema thalami. Le nerf optique n'envoie pas de
fibres
au ganglion do : 1 ha- benula. Commissure i
commissure pos- térieure. Sa constitution. Connexions de ses
fibres
. Faisceau rétro- flexe de Meynert. Son traj
Leuret et Gratiolet, Mayser, etc., l'ont déjà fait remarquer. Ses
fibres
situées dans la paroi antérieure de la glande pin
ig. 320). La commissure interhabe- nulaire reçoit en outre quelques
fibres
du ganglion de l'habenula et du faisceau rélrot
du ganglion de l'habenula et du faisceau rélrotlexc de Meynerl, des
fibres
radiées du thalamus et du stra- tum zonale du p
halamus et du stra- tum zonale du pulvinar. Un 'petit nombre de ces
fibres
, après avoir dépassé la ligne médiane, se termi
le ganglion de l'habenula du côté opposé et constitue de véritables
fibres
commissurales. D'autres se continuent peut-être
rigine, au ganglion interpédonculaire dans lequel une partie de ses
fibres
se terminent. Chez les vertébrés inférieurs et
ainsi que le ganglion inter-pédonculaire sont bien développés, les
fibres
amyéliniques prédominent et, sur les coupes col
ession de Forel, l'aspect d'un faisceau sclérosé. Chez l'homme, les
fibres
fines sont beaucoup moins nombreuses, les gross
homme, les fibres fines sont beaucoup moins nombreuses, les grosses
fibres
myéliniques prédominent et occupent la périphér
e fascicule présente une partie périphérique foncée, formée par les
fibres
à myéline fortement colorées par l'hématoxyline,
ées par l'hématoxyline, et une partie centrale claire contenant les
fibres
dépourvues de myéline. Cette dispo- sition se r
t d'un ou de deux faisceaux. Il est probable que ces deux ordres de
fibres
, d'origines diverses, pré- sentent également un
rses, pré- sentent également une terminaison différente. Les( fines
fibres
amyéli- niques se terminent très certainement,
le ganglion interpédon- culaire (Fig. 322). La prédominance de ces
fibres
chez les mammifères, dont le ganglion interpédo
éveloppé, milite complètement en faveur de cette opinion. Quant aux
fibres
entourées d'une épaisse gaine de myéline, il es
rtant de la façon décrite par Meynert, elles se continuent avec des
fibres
longitudinales de la calotte à desti- nation in
poissons osseux, et par Cajal également chez les mammifères. Les
fibres
du faisceau rétroflexe de Meynert qui abordent le
orment dans l'intérieur du ganglion interpédonculaire un système de
fibres
parallèles légère- ment curvilignes, très serré
ur des lamelles. Lorsqu'on éludie attentivement le trajet de chaque
fibre
du faisceau de Meynert, on FiG. 322. - Coupe ve
interpédonculaire est limité de chaque côté par la bifurcation des
fibres
du faisceau rétroflexe de Meynert (A). - il, ce
on interpédonculaire vues de champ. C, arborisation terminale d'une
fibre
du faisceau rélroflexe. - a, bifur- cation d'un
d'une fibre du faisceau rélroflexe. - a, bifur- cation d'une de ces
fibres
; b, ses collatérales; c, anse formée par ces libr
ntre-croisement ventral de la calotte. Mode de terminai- sons des
fibres
du faisceau rétroflexe. 388 ANATOMIE DES CENT
Ganser avaient du reste signalé ces dispositions en disant que les
fibres
du faisceau de Meynert décrivent des 8 de chiff
ire. Dans la première partie de leur trajet intraganglionnaire, ces
fibres
n'émettent que de rares collatérales. Plus loin
x, horizontaux, pourvus souvent d'un bouton terminal. Quelquefois, la
fibre
se bifurque en abordant le ganglion, et les deu
ellules du ganglion interpédonculaire qui entrent en contact avec les
fibres
du faisceau rétroflexe sont, ou bien de petites
(Ilaubenbiindel des ganglion inter- pedunculare de Ganser) dont les
fibres
se détachent du ganglion de chaque côté de la l
i, elle contiendrait de nombreuses cellules névrogliques. Quant aux
fibres
nerveuses de la glande pinéale, admises par Mey
roïdienne : la commissure inlerhabénulaire ne lui abandonne aucune
fibre
. Les fibres nerveuses sympathiques forment, d'apr
: la commissure inlerhabénulaire ne lui abandonne aucune fibre. Les
fibres
nerveuses sympathiques forment, d'après Cajal, da
e dont la séparent incomplètement le faisceau de Vicq d'Azyr et les
fibres
du pédon- cule inféro-interne du thalamus qui p
ous-optique est essentiellement consti- tuée : 1° par une couche de
fibres
à myéline, la couche dorsale de la région sous-
mente d'épaisseur d'avant en arrière, se continue avec la couche de
fibres
qui entoure le noyau rouge et avec les fibres l
nue avec la couche de fibres qui entoure le noyau rouge et avec les
fibres
longitudinales de la calotte pédonculaire, et f
arrière, il s'amincit et participe à la formation de la capsule de
fibres
qui entoure le corps de Luys. Le faisceau thala
fait corps avec la lame médullaire externe et le dense feutrage de
fibres
qui sillonne la moitié ventrale de ce ganglion
e Forel (F) en par- ticulier au faisceau lenticulaire (FI) dont les
fibres
peuvent être suivies à travers le segment posté
ne. - F, champ de Forel. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. Fie,
fibres
lenticulo-caudées qui traversent la par- tie su
ois segments du noyau lenticulaire. - OF + ]le-, le faisceau mixte de
fibres
occipito- frontales et de projection. - l'clrl,
ale du troisième ventricule. La zona incerta est sillonnée de fines
fibres
entre-croisées dans tous les sens, et se distin
de la zone réticulée thalamique par l'absence de gros fascicules de
fibres
enchevêtrées. Dans le plan des tubercules mamil
Forel qui s'épaissit considérablement grâce à l'apport incessant de
fibres
qui lui viennent de la couche optique; il reçoi
ui viennent de la couche optique; il reçoit en effet les nombreuses
fibres
verticales de la lame médullaire externe, du no
e postérieure et amincie du faisceau lenticulaire de Forel dont les
fibres
forment une capsule au corps de Luys. Ces dernièr
dont les fibres forment une capsule au corps de Luys. Ces dernières
fibres
traversent la zona incerta et la divisent en de
sépare le faisceau thalamique du corps de Luys et de sa capsule de
fibres
, et se continue en arrière avec le segment de la
Forel, comme les faisceaux thalamique et lenticulaire, est formé de
fibres
entre-croisées dans tous les sens, il est fusionn
capsule du noyau rouge. Au voisinage de cet amas ganglionnaire, ses
fibres
divergent, entourent les faces supérieure, intern
'accolent aux radiations de la calotte et con- courent à former les
fibres
longitudinales de la formation réticulée de la
ormation réticulée de la calotte. L'origine et la terminaison des
fibres
de la couche dorsale de la région sous-optique
complexe. Elle contient des radiations strio-sous- thalamiques, des
fibres
des pédoncules cérébelleux supérieurs, du noyau
s fibres des pédoncules cérébelleux supérieurs, du noyau rouge, des
fibres
longitudinales de la formation réticulée, des fib
yau rouge, des fibres longitudinales de la formation réticulée, des
fibres
tha- lamiques descendantes, et quelques fibres
ation réticulée, des fibres tha- lamiques descendantes, et quelques
fibres
mamillaires. Mais ni le fais- Bibliothèque des
u thalamique, ni le faisceau lenticulaire de Forel n'abandonnent de
fibres
au ruban de Reil médian (Voy. Région de la calott
de Stilling; il est entouré comme ce dernier noyau d'une capsule de
fibres
à myéline qui le relient au corps strié (noyau ca
supérieure : il ne s'agit pas ici, en effet, d'une bande- lette de
fibres
, mais d'un véritable amas ganglionnaire; « l'oliv
ode de Weigert une couleur foncée qu'il doit à sa richesse en fines
fibres
à myéline. Sur les coupes vertico-transversales
onnante. - F, champ de Foret. - FI, faisceau lenti- culaire. - Fie,
fibres
lenticulo-caudées. - Fmp, faisceau mamillaire pri
continue defibres à myéline, la capsule du corps de Luys, dont les
fibres
se dirigeant obliquement en haut et en dehors a
e Forel. La zona incerta (Zi), située au-dessus de cette capsule de
fibres
, sépare le corps de Luys de la partie ventrale
que) et dans la partie adjacente du pied du pédoncule cérébral. Les
fibres
de la capsule interne séparent cette face de la
53, 254, 311). Le faisceau lenticulaire de Forel abandonne quelques
fibres
au corps de Luys, ainsi que le montrent les dég
connexions avec le corps strié, en particulier avec le système des
fibres
radiées et des lames médullaires du globus pallid
28), soit encore dans les cas de dégénérescences secondaires de ces
fibres
, consécutives aux lésions du noyau lenticulaire
lenticulaire. Le degré de dégénéres- cence du corps de Luys et des
fibres
qui lui arrivent est dans ces cas pro- portionn
eigert-Pal et de Marchi. Le corps de Luys ne paraît pas recevoir de
fibres
de projection corticale, il apparaît intact à la
e dans ces cas une dégénérescence très légère du corps de Luys. Les
fibres
dégénérées proviennent du segment postérieur de l
tie antérieure du segment postérieur de la capsule interne avec les
fibres
strio-luysiennes, puis abordent le corps de Luys,
Fig. 287 et 288). Le corps de Luys reçoit donc quelques très rares
fibres
de la corticalité cérébrale, mais leur nombre est
système strio-luysien. Le corps de Luys envoie enfin de nombreuses
fibres
dans la commis- sure de Foret (cF) ou commissur
a sub- stance grise de l'espace perforé postérieur (Fig. 325) ; ces
fibres
relient probablement le corps de Luys au corps
e,se porte- rait en dehors vers le corps de Luys. Une partie de ses
fibres
s'y termi- nerait, assurant ainsi les connexion
croisées entre le corps de Luys et le noyau lenticulaire. Parmi les
fibres
du corps de Luys qui tome Il. 26 Avec la cort
ert-Pal, semble de prime abord confirmer cette manière de voir; les
fibres
qui se détachent de la partie postérieure du co
de coupes horizontales ou obliques, la conviction s'impose que les
fibres
luysiennes qui perforent la capsule interne et se
onti- nuer avec la bandelette optique, appartiennent en réalité aux
fibres
strio- luysiennes les plus inférieures, à celle
cences secondaires ne sont pas non plus en faveur de l'existence de
fibres
optiques d'origine luysienne. Les dégénérescenc
que s'accompagnent d'une intégrité complète du corps de Luys et des
fibres
strio-luysiennes. D'autre part, on peut observe
, ces connexions ne peuvent s'effectuer que par l'intermédiaire des
fibres
de la zona incerta, du champ de Forel et de la pa
dus, le putamen et le noyau caudé sont détruits. Il envoie quelques
fibres
dans la substance grise inter- pédonculaire et
onculaire et reçoit de la corticalité cérébrale quelques très rares
fibres
qui passent par les lames médullaires du globus p
nt s'établissent les connexions strio-luysiennes' ? '1 S'agit-il de
fibres
qui se terminent dans le corps de Luys ou de fibr
'1 S'agit-il de fibres qui se terminent dans le corps de Luys ou de
fibres
qui y prennent leur origine ? Cette étude n'est
ucture un peu spéciale, il est remarquable par le dense feutrage de
fibres
à myéline qui le sillonnent [dans tous les sens.
rage de fibres à myéline qui le sillonnent [dans tous les sens. Ces
fibres
sont toutes très fines et de calibre uniforme,
t qu'au voisinage de la circonférence du corps de Luys, lorsque les
fibres
à myéline se réunissent en faisceau avant 'de t
egment pos- térieur de la capsule interne, que l'on trouve quelques
fibres
de plus fort calibre. Ce caractère parait plutô
lutôt plaider en faveur de la nature ter- minale ou collatérale des
fibres
du corps de Luys. La dégénérescence (méthode de
fibres du corps de Luys. La dégénérescence (méthode de Marchi) des
fibres
strio-luysiennes après lésions du corps strié p
ns du corps strié plaide de même en faveur de la terminaison de ces
fibres
dans le corps de Luys. Le feutrage des fines
naison de ces fibres dans le corps de Luys. Le feutrage des fines
fibres
à myéline est plongé au sein d'une sub- stance
e. Structure du corps de Luys. Son riche et dense feutrago de
fibres
à myéline. ·'e04 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX
e Weigert-Pal révèle dans la substance grise cenlrale de nombreuses
fibres
fines, de moyen et de gros calibre, dont beauco
t beaucoup appartiennent aux faisceaux avoisinants. Telles sont les
fibres
des parois latérales du troisième ventricule qui
uys ou au pédoncule du tubercule mamillaire. Telles sont encore les
fibres
sagittales qui sillonnent le plancher du troisièm
, et qui appartiennent aux radiations olfac- tives profondes ou aux
fibres
des ganglions du tuber cinereum. Ses amas gangl
ou de Forel. Sa situation. Ses rapports. Sa constitution. Les
fibres
luy- siennes. COMMISSURES du plancher du TROI
u du tuber cinereum de Gudden. Ces commissures sont l'homologue des
fibres
commissurales qui traversent le raphé dans toute
r la divergence des pédoncules cérébraux; comme pour le système des
fibres
commissurales du raphé du tronc encéphalique ou
a moelle épinière, il s'agit ici bien plus d'un entre-croisement de
fibres
que d'une commis- sure véritable. Commissure
ous-thalamique postérieure est essen- tiellement constituée par des
fibres
luysiennes. Elles se détachent du bord interne
s se détachent du bord interne du corps de Luys sous forme de fines
fibres
parallèles, ne se réunissent pas en faisceaux c
RACORTICAUX : RÉGION SOUS-OPTIQUE. 407 contiennent probablement des
fibres
reliant le corps de Luys d'un côté au noyau rou
yau rouge, ou à la calotte et au champ de Forel du côté opposé. Les
fibres
luysiennes occupent la partie moyenne de la commi
de la commissure sous-thalamique postérieure, on trouve quel- ques
fibres
qui proviennent du champ de Forel et des faisceau
el. - F, champ de Forel. - FI, faisceau lenticulaire de Forel. - Fie,
fibres
lenticulo- caudées. - Fmp, faisceau mamillaire
- II, bandelette optique. 408 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les
fibres
du fais- ceau longitudinal postérieur. Les
ERVEUX. Les fibres du fais- ceau longitudinal postérieur. Les
fibres
mamil- laires. Commissure de Meynert. miq
nt unir les deux régions homologues; plus en arrière, on trouve des
fibres
qui, se détachant de la partie antérieure du fa
le noyau rouge ? la calotte pédonculaire croisée ? Au-dessous des
fibres
luysiennes^ la commissure sous-thalamique pos-
issure sous-thalamique pos- térieure est surtout constituée par des
fibres
du pilier antérieur du trigone qui s'y entre-cr
bres du pilier antérieur du trigone qui s'y entre-croisent; par des
fibres
directes et croisées des ganglions interne, ext
es mamillaires et du pédoncule du tubercule mamillaire ; et par des
fibres
qui appartenant vraisembla- blement au faisceau
t, dans la constitution du pédoncule du tubercule mamillaire ou des
fibres
de la calotte pédonculaire (Voy. IIIe partie, R
La commissure sous-lhalamique postérieure ne parait pas recevoir de
fibres
du système des radiations strio-luysiennes. Elle
Marchi) dans les lésions du noyau lenticulaire, et les nom- breuses
fibres
qu'elles reçoit chez l'homme du corps de Luys sem
stance grise centrale, est un faisceau formé de lâches fascicules de
fibres
enclavés dans la substance grise centrale, au-d
uban de Reil médian, et admettent qu'elle contient deux systèmes de
fibres
: l'un reliant le noyau lenticulaire d'un côté
p. G 1 ). La commissure de Meynert se distingue très nettement des
fibres
parallèles, serrées et superficielles de la ban
passe au-dessus et en dehors d'elle et se perd dans le feutrage des
fibres
de la partie inférieure du globus pallidus. Ce
er comme appartenant au système des radiations strio-luysiennes les
fibres
courbes qui paraissent se détacher de la commissu
structives du globus pallidus (méthode de Marchi). Le départ de ces
fibres
ne peut donc être fait ni par la méthode myélog
u noyau lenticulaire ayant entraîné la dégénérescence de quel- ques
fibres
strio-luysiennnes rendait évidemment ce cas moins
a 10) et convergent en éventail. Malgré cette variété d'aspect, les
fibres
olfac- tives ne forment aucun réseau anastomoti
s glomérules olfactifs (Voy. T. Nier, Fig. 370, p. 3715). Plusieurs
fibres
olfactives abordent un seul glomérule olfactif et
anachées des cellules mitrales. Le glomérule recevrait en outre des
fibres
centripètes d'après Golgi, Cajal, Monli. Les
en outre des fibres centripètes d'après Golgi, Cajal, Monli. Les
fibres
olfactives méritent seules le nom de nerfs olfact
posé et à la calotte du cerveau moyen par des systèmes distincts de
fibres
commissurales et de fibres de projection. Les
veau moyen par des systèmes distincts de fibres commissurales et de
fibres
de projection. Les deux centres olfactifs prima
a talami (tth), faisceau rétroflexe de Meynert (FM) et par quelques
fibres
qui se rendent directement dans le tubercule ma
tement dans le tubercule mamillaire (Fig. 327, Rolp, 5). Toutes ces
fibres
constituent' probablement la courte voie olfact
ar des arborisations libres dans les centres olfactifs primaires. Les
fibres
les plus longues forment la strie olfactive ext
rment la strie olfactive externe et s'arborisent dans la couche des
fibres
tangentielles et du feutrage sus-radiaire de l'éc
rconvolution du crochet ou dans le noyau amygdalien ; ces dernières
fibres
toutefois représentent probablement, non les cyli
tre part (Fig. 327) ; 2° Au cerveau intermédiaire : a) Par quelques
fibres
, peu nombreuses chez l'homme, qui se rendent di
7) ; b) Par le faisceau septo-lhala- mique (fslh, Rolp, 2) dont les
fibres
concourent à former le tænia, thalami puis s'ar
isceau rétroflexe de Meynert (FM) (neurone de lye ordre) ; puis aux
fibres
(ve neurone) que le ganglion inter-pédonculaire e
tz (vie neurone). C'est par l'intermédiaire de ces faisceaux et des
fibres
longitudinales de la calotte, que passe très vrai
vec le thalamus (noyau externe et pulvinar) par l'intermédiaire des
fibres
que nous avons décrites (Voy. cas Rivaud, Fig.
(Voy. cas Rivaud, Fig. 160, p. 162). Il contient en outre quelques
fibres
ric. 326. - Schéma de la marche des courants ne
atérales de ces mêmes cylindres-axes dans le pédoncule olfactif. - I,
fibre
cen- trifuge. - L, fibre centrale terminale. -
dres-axes dans le pédoncule olfactif. - I, fibre cen- trifuge. - L,
fibre
centrale terminale. - La pointe des flèches indiq
com- missure antérieure, son faisceau olfactif et le contingent des
fibres
du taenia semicircu- laris. - Fc, fasciola cine
u rétroflexe de Meynert. - Fol, faisceau olfactif du trigone. - fp,
fibres
perforantes calleuses ou fibres extra- ammoniqu
, faisceau olfactif du trigone. - fp, fibres perforantes calleuses ou
fibres
extra- ammoniques du corps du trigone. - fsth,
oniques du corps du trigone. - fsth, faisceau septo-thalamique. fisc,
fibres
que le taenia semi-circularis envoie à la couch
isi. - Spl, splenium ou bourrelet du corps calleux traversé par les
fibres
perforantes provenant soit du fasciola cinerea, s
ie olfactive de la commissure antérieure (Rolp,') dont la plupart des
fibres
se terminent soit dans la substance grise du tu
la zone moléculaire du bulbe olfactif (v. Kolliker). Quelques rares
fibres
atteindraient le bulbe olfactif (v. Kolliker) e
érieure de la circonvolution de l'hippocampe (H). Ils reçoivent les
fibres
centripètes terminales des radiations olfactives
godronnée sont les cellules d'origine du trigone cérébral. Par ses
fibres
commissurales (commissure a/<e ? '2eM ? ! e
relie entre eux les deux centres corticaux de l'olfaction; par ses
fibres
cortico-mamil- laires directes et croisées, il
f cortical à la première circonvolution limbique. Celle-ci, par les
fibres
perforantes calleuses (fp), le corps du trigone (
primaires. Le centre olfactif cortical donne en outre naissance aux
fibres
de la partie hémisphérique de la commissure ant
res olfactifs corticaux sont encore TOME Il. 27 Leur système do
fibres
commissurales. Centres olfactifs secondaires
tifs de 4' ordre. Trigone cérébral. Cingulum. Leur système de
fibres
commissurales et d'association. 418 ANATOMIE-
ANATOMIE- DES CENTRES NERVEUX. unies entre elles par de nombreuses
fibres
d'association intra et sous- corticales, telles
ses fibres d'association intra et sous- corticales, telles sont les
fibres
d'association de l'alveus qui relient la corne
e la circonvolution de l'hippo- campe (Voy. Fig. 351, T. le,*), les
fibres
moussues des grains de la circon- volution godr
ution godronnée, qui relient cette dernière à la corne d'Ammon, les
fibres
du stratum lacunosum qui unissent les cellules py
on. Les connexions se font avec le lobule fusiforme par les courtes
fibres
en U de Meynert, avec le lobule lingual, le cun
côté opposé, en avant du tuber cinereum, au niveau du chiasma. Ses
fibres
se continuent ensuite dans les bandelettes opti
ourt il former les lames médullaires de ce ganglion. Une partie des
fibres
s'y termine ; une autre partie traverse simplemen
simplement le corps genouillé externe, participe à la formation des
fibres
verticales du champ de Wer- nicke ou concourt a
cte avec ce dernier que des rapports de voi- sinage. Quelques rares
fibres
tapissent la surface libre de ce ganglion, la p
optique. - xll, chiasma des nerfs optiques. (Qa), se détachent les
fibres
du segment postérieur de l'appareil visuel elle
) et les radiations du pulvinar (Voy. p. 65 et 363), qu forment les
fibres
transversales ou horizontales du champ triangulai
ns terminales si riches, si étendues, si denses et si complexes des
fibres
rétiniennes (Fig. 314) entourent un nombre cons
Or les radiations optiques de Gratiolet contiennent il la fois des
fibres
corticifuges et des fibres corticipètes. Les prem
de Gratiolet contiennent il la fois des fibres corticifuges et des
fibres
corticipètes. Les premières pren- nent leur ori
c la moitié homonyme des deux rétines. Origine rétinienne des
fibres
visuelles. les radiations optiques et le centre
endant, et il ne semble pas exister, chez l'homme tout au moins, de
fibres
établissant une connexion directe, ininterrompue,
cer, que chez l'homme, les nerfs optiques contiennent à la fois des
fibres
directes et croisées, et qu'ils ne subis- sent
au du chiasma qu'une décussation incomplète. Origines et trajet des
fibres
visuelles. Les fibres visuelles ou optiques pre
écussation incomplète. Origines et trajet des fibres visuelles. Les
fibres
visuelles ou optiques prennent pour la plupart
inférieure de la papille. Ce secteur papillaire reçoit en effet ses
fibres
de la macula lutea (point de vision centrale, tac
a (fovea centralis), les cellules gan- glionnaires et, partant, les
fibres
nerveuses font complètement défaut, la rétine t
nnent naissance à un faisceau nerveux volumineux, le fais- ceau des
fibres
maculaires, connu encore sous le nom de faisceau
externe et inférieur de la papille, et représente près du tiers des
fibres
du nerf optique. Les fibres de la partie inlern
ille, et représente près du tiers des fibres du nerf optique. Les
fibres
de la partie inlerne ou nasale (N, Fig. 329), de
irement vers la papille dont elles occupent le secteur interne. Les
fibres
de la partie temporale (T) ou externe de la rétin
t à se grouper en deux faisceaux : l'un supérieur, alimenté par les
fibres
du quadrant supéro-externe de la rétine; l'autre
t supéro-externe de la rétine; l'autre inférieur, constitué par les
fibres
du quadrant inféro-externe. Ces deux faisceaux se
s par le faisceau nasal, en dehors par le faisceau maculaire. Les
fibres
visuelles ou rétiniennes, après s'être groupées d
s moyennes 2 IL de diamètre, les plus grosses 5 il 10 p.; outre ces
fibres
, on en trouve un grand nombre d'une extrême fin
res, on en trouve un grand nombre d'une extrême finesse. Toutes ces
fibres
se réunissent, en un très grand nombre de fasci
ine piemérienne et autour de l'artère centrale du nerf optique, les
fibres
réti- niennes s'atrophient chez l'adulte, dispa
t obliquement en bas et en dehors, abandonne le nerf optique et les
fibres
atrophiées ne s'observent qu'à la périphérie du
NS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 425 1" ! G. 329. - Le groupement des
fibres
des parties maculaire, temporale et nasale de la
temporal; ts, le quadrant supérieur du faisceau temporal. - p, les
fibres
pupillaires et leur siège dans la bandelette opti
tranchées et qu'il existe toujours une région de transition, où les
fibres
dégénérées sont entremêlées de fibres normales. M
région de transition, où les fibres dégénérées sont entremêlées de
fibres
normales. Malgré leurs varia- tions individuell
tte optique droite, avait entraîné une dégénérescence de toutes les
fibres
rétiniennes à l'excep- tion du faisceau tempora
culaire, constataient l'existence d'une dégénérescence complète des
fibres
des nerfs optiques à l'exception du faisceau te
t même former un faisceau aberrant, complètement isolé du reste des
fibres
du nerf op- tique ; dans ces deux cas, il longe
contralatérale et constituent le faisceau optique croisé. Les autres
fibres
, c'est-à-dire le faisceau temporal et l'autre p
aisceaux nasal et temporal ne con- tiennent qu'une seule variété de
fibres
, le faisceau maculaire comprend à la fois des f
ule variété de fibres, le faisceau maculaire comprend à la fois des
fibres
croisées et des fibres directes. Les recherches
le faisceau maculaire comprend à la fois des fibres croisées et des
fibres
directes. Les recherches de Bunge, Uhthoff, Tho
. 330), en traversant le chiasma, diverge en forme de fuseau et ses
fibres
s'entre-croisent dans toute la hauteur et toute
auteur et toute l'épaisseur de la ligne médiane du chiasma avec des
fibres
analogues du côté opposé. Dans son ensemble, le
ent de place en traversant le chiasma. Mais seul un petit nombre de
fibres
sont rectilignes. Les autres divergent en décri
le bord anté rieur du chiasma. Cette commissure n'existe pas : les
fibres
du faisceai nasal, après s'être coudées à la ba
macu- laire. Mode de décussa- tion du faisceau na- sal. Les
fibres
en anse. 428 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Tr
NERVEUX. Trajet du faisceau temporal ou direct. irant avec les
fibres
du faisceau temporal. Dans les atrophies unilatér
versales, passant à un ou deux millimètres en avant du chiasma, des
fibres
saines dans le nerf optique complètement dégénéré
le nerf optique complètement dégénéré. Elles appar- tiennent à ces
fibres
en anse et, par la méthode des coupes sériées, il
de démontrer leurs connexions avec le nerf optique sain. Les autres
fibres
en anse se détachent, ainsi que Ploeli l'a montré
rieur du chiasma et se continuent, après entre-croisement, avec les
fibres
de la partie inféro-interne de la bandelette co
a, sans toutefois jamais l'atteindre. Malgré cette dissociation des
fibres
, le faisceau temporal occupe surtout, mais non ex
rne du chiasma, intéresse donc à la fois des libres croisées et des
fibres
directes et déterminera non une hémianopsie nas
optiques. -Ces faisceaux ne forment pas des faisceaux fermés, leurs
fibres
divergent et décrivent des sortes d'anse. Nil
, faisceau nasal ou croisé. - ft, faisceau temporal ou direct. - p,
fibres
pupillaires. NERFS CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET
lette. La ligne médiane du chiasma ne contient, par contre, que des
fibres
croisées. Une section médiane entraînerait une hé
défendent encore aujourd'hui l'idée de la décussation complète des
fibres
optiques dans le chiasma. L'existence des fibres
ation complète des fibres optiques dans le chiasma. L'existence des
fibres
directes n'a pu en effet être démontrée que par
le exister en outre dans la bandelette, un groupe- ment spécial des
fibres
directes et croisées en rapport avec les secteurs
partie inférieure ou ventrale de la bandelette paraît contenir les
fibres
de la moitié inférieure ou ven- trale des deux
° Dans les centres ganglionnaires de la vision, la dissociation des
fibres
directes et croisées du nerf optique, - qu'elles
uement par une hémianopsie latérale homonyme, la terminaison de ces
fibres
semble se faire dans le sens d'une projection d
ale en ilni de la macula. 430 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les
fibres
pupil- laires du nerf opti- que. de perte d
t con- servée. Ceci concorde avec ce crue nous savons du trajet des
fibres
macu- laires qui, ramassées en un faisceau dist
scrit de l'écorce cérébrale. Bien au contraire, la dissociation des
fibres
maculaires dans la partie postérieure de la ban
'ori- gine des radiations optiques beaucoup plus nombreuses que les
fibres
ma- culaires elles-mêmes, l'épanouissement des
tranchée dans le sens de l'une ou de l'autre de ces deux opinions.
Fibres
pupillaires. Le nerf optique contient non seuleme
s. Fibres pupillaires. Le nerf optique contient non seulement des
fibres
visuelles, mais encore des fibres pupillaires, qu
ptique contient non seulement des fibres visuelles, mais encore des
fibres
pupillaires, qui président aux NERFS CRANIENS,
ncter irien. D'après Gudden, elles comprendraient, toutes les fines
fibres
du nerf optique, prendraient leur origine dans le
cules quadrijumeaux antérieurs. Pour Darkschewitsch par contre, les
fibres
pupillaires traverseraient le pulvinar et se rend
lionnaire visuel proprement dit. Il reçoit à lui seul 80 p. 100 des
fibres
visuelles (v. Monakow) et entre en connexion tr
n connexion très étroite avec le centre visuel cortical. Les autres
fibres
visuelles se terminent dans le pulvinar. Quant
cule quadrijumeau antérieur il ne recevrait du nerf optique que des
fibres
pupillaires (v. Monakow). Les connexions des fi
optique que des fibres pupillaires (v. Monakow). Les connexions des
fibres
optiques avec les noyaux des nerfs moteurs de l
l sont indirectes et s'effectuent en partie par l'intermédiaire des
fibres
de l'entre-croisement dorsal de la calotte de Mey
ns, IIIe parlie, nerf moteur oculaire commun.) Outre le système des
fibres
centripètes, l'appareil visuel antérieur con- t
rines) de la rétine. Pour v. Kolfiker, elles re- présenteraient des
fibres
de la commissure de Gudden. Parmi les fibres qu
re- présenteraient des fibres de la commissure de Gudden. Parmi les
fibres
qui se terminent librement clans la rétine, un
tine, un certain nombre, d'après Elinson et Mislawsky, seraient des
fibres
t'a \'o-m 0 ll'ices , d'origine sympa- thique;
ens. Leur origine dis- cutée. Les connexions in- directes des
fibres
optiques avec les noyaux des nerfs moteurs
fibres optiques avec les noyaux des nerfs moteurs de l'oeil.
Fibres
optiques centrifugea. 432 ANATOMIE DES CENTRE
ites avec les centres ganglion- naires de la vision ? Reçoit-il des
fibres
du noyau lenticulaire et du pied du pédoncule,
omme, soit par la méthode de Weigert, soit par celle de Marchi. Les
fibres
du corps de Luys et du corps genouillé interne, q
(Voy. Commissures du troisième ventricule, p. 406), au système des
fibres
strio-luysiennes et strio-sous-thalamiques. Il
ennes et strio-sous-thalamiques. Il en est probablement de même des
fibres
du contingent lenticulaire admis par v. Monakow
ncule cérébral, soit du noyau lenticulaire. Il est probable que les
fibres
dites pédonculaires appartiennent au système stri
dites pédonculaires appartiennent au système strio-luysien et que les
fibres
dites lenticulaires font partie de la commissur
aire, qu'elle dégénère à la suite de lésions de ce noyau et que les
fibres
qui lui donnent naissance, situées d'abord en deh
ce totale des deux bandelettes optiques qui ne con- tiennent aucune
fibre
saine. Ces faits ne sont donc pas en faveur de l'
l'épaisseurmême de la bandelette optique de l'homme, du système de
fibres
commissurales connu sous le nom de commissure d
nfé- rieure, de commissure arquée postérieure, un petit faisceau de
fibres
qui occupe la partie interne de la bandelette,
d d'un corps genouillé à l'autre et se distingue très nettement des
fibres
visuelles de la bandelette par le lui calibre d
ent des fibres visuelles de la bandelette par le lui calibre de ses
fibres
(C G, Fig. 274). Ce faisceau persiste intact aprè
s avec la bandelette optique et qu'elle ne peut être distinguée des
fibres
visuelles ni par le calibre de ces fibres, ni p
ne peut être distinguée des fibres visuelles ni par le calibre de ces
fibres
, ni par l'époque de leur myélinisation. Comme d
parfaite intégrité, mais nous avons en vain cherché un faisceau de
fibres
pouvant.être homologué avec la commissure de Gudd
eynert. Il s'agit en effet de la réunion de plusieurs fascicules de
fibres
fortement colorées par la laque hématoxylinique
rch. f. Opllthal. Bd. XXIX, 1883. - CAHL. Taminalion central.de las
fibres
retinianos. Algunas contribuciones. Madrid, 189
t ! e)'U6H/'aso');. Arch. f. Ophthalmol. Bd. 3î. - ELINSOX. Sur les
fibres
centrifuges du nerf optique, Soc. de Biologie, 18
Psych. u. Ner- venheilk, 1898, 31. - Nicvn. De la distribution des
fibres
nerveuses dans le chiasma des nerfs optiques. A
e de vie du vermis. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - fai,
fibres
arciformes internes du bulbe. - NCB, noyau du cor
un demi-lobe céré- belleux, dont l'axe blanc est formé par les
fibres
de la valvule de Vieusscns. La face postérieure
ntérieur. - BrQp, bras"du tubercule quadrijumeau postérieur. - fui,
fibres
arci- formes;supérieures de l'isthme. - Gp, gla
cérébelleux moyen, auxquels la lingula envoie un certain nombre de
fibres
. II. Lobe central : lobule central et ailes du
rne du cervelet. Les lames et les lobules du déclive envoient leurs
fibres
dans la branche horizontale (bh) de l'arbre de
trième ventricule de l'olive cérébelleuse et de la mince couche de
fibres
blanches qui la recouvre dans celte région. L
fec, feutrage extraciliaire. - fic, feutrage intraciliaire. - fsme,
fibres
semi-circulaires externes. fsmi, fibres semi-ci
rage intraciliaire. - fsme, fibres semi-circulaires externes. fsmi,
fibres
semi-circulaires internes. - Ldg, lobe digastriqu
ve cérébelleuse dont elle n'est séparée que par une mince couche de
fibres
blanches appartenant en partie aux ailes de la lu
toile choroïdienne et les plexus choroïdes du 4° ventricule.- 1*.q,
fibres
eu guir- lande qui coitlent le fond du sillon p
ux moyen ; en dedans, elles s'im- plantent sui un épais faisceau de
fibres
blanches, le pédoncule du flocculus, (p Floc) a
et caractérisée par la direction transversale de ses fascicules de
fibres
; l'autre inférieure ou bulbaire, qui représente u
s par le passage des faisceaux de la voie pé- donculaire sous les
fibres
transversales de la protubé- rance qu'ils sou
recou verte il sa partie supérieure et à sa partie moyenn par les
fibres
arciformes superficielles du bulbe. - il'y, déc
égion pontine est striée transversalement par de gros fascicules de
fibres
qui se dirigent du sillon médian de la protubér
le collier des pyramides , de Cruveilhier. Celle disposition des
fibres
prolubéranlielles supérieures et inférieures es
férieure, l'étage antérieur de la protubérance, con- stitué par des
fibres
transversales qui relient un hémisphère cérébelle
ntent une sorte de pont, le pont de Varole, sous lequel passent les
fibres
longitudinales de la calotte. Par ses fibres tran
ous lequel passent les fibres longitudinales de la calotte. Par ses
fibres
transversales, la protubérance n'est qu'une ann
elleux ; lorsque ceux-ci subissent un arrêt de développe- ment, les
fibres
transversales n'existent. pas ou sont très réduit
chez lesquels les hémisphères cérébelleux sont peu développés, les
fibres
transversales sont de même très réduites; elles
ipèdes, les ruminants et les rongeurs. Ce faisceau se distingue des
fibres
transversales de la protubérance parce qu'il ne r
on latéral de l'isthme, on trouve constamment un petit fascicule de
fibres
qui longe le bord supérieur de la protubérance
apparait dans le trou borgne supérieur immédiatement en dehors des
fibres
radiculaires de la troisième paire; plus rareme
tre, dans la majorité des cas, qu'un faisceau détaché, aberrant des
fibres
trans- versales du pont. 2° La partie inférie
sa partie moyenne, ce sillon est le plus souvent interrompu par les
fibres
arciformes. externes (stratum zonale d'Arnold)
nt dans le sillon médian anlérieur et s'y enlre-croi- sent avec des
fibres
de même nom du côté opposé (Fig. 319). Les pyra
nglées à leur partie supérieure où elles se dégagent au-dessous des
fibres
transversales de la protubérance, et où elles s
es de la protubérance, et où elles sont souvent recouvertes par des
fibres
arciformes, elles mesurent à leur partie moyenn
ter le bulbe de la moelle épinière (Fig. 333, 349). La majorité des
fibres
de la pyramide d'un côté se rend après décus- s
isceau pyramidal de Turck. Enfin la pyramide envoie encore quelques
fibres
directes, dans le cordon latéral du même côté d
ctes, dans le cordon latéral du même côté de la moelle. Ce sont les
fibres
pyramidales home- latérales (Muraloff, Dejerine
t est total, le faisceau pyramidal direct fait défaut et toutes les
fibres
pyramidales se rendent dans le cor- don latéral
nellement enfin la décus- sation fait totalement défaut, toutes les
fibres
se rendant dans le cordon antérieur homolatéral
t prendre un dévelop- pement énorme, elle est hypertrophiécet les
fibres
pyramidales homolalé- rales de la moelle sont
ure est plus petite et elle est souvent bri- dée par un faisceau de
fibres
arciformes qui la recouvre pour passer ensuite
et s'entre-croiser dans le sillon médian anté- rieur du bulbe. Ces
fibres
, que l'on a appelées faisceau arciforme de l'oliv
lbe. Ces fibres, que l'on a appelées faisceau arciforme de l'olive,
fibres
arciformes pré-olivaires, recouvrent quelquefois
- Crsl, corps restiforme. Fia, faisceau la- téral du bulbe. - faa,
fibres
arquées antérieures. - Fora, faisceau oblique d
inégales. La saillie de l'olive est d'autant plus accentuée, que ces
fibres
sont moins nombreuses (Fig. 349); elle est moin
re inlerne; son extrémité inférieure est en général masquée par les
fibres
arciformes du bulbe; quelquefois, on le voit se
ce des racines antérieures et il est fréquemment interrompu par les
fibres
arciformes du bulbe. En dehors de l'olive, en
haut, il atteint le sillon bulbo-protubérantiel, s'enfonce sous les
fibres
transversales du pont et occupe la partie antér
nètre une volumineuse artériole; elle est comblée en partie par les
fibres
arciformes qui entourent l'extrémité étranglée
est convexe, recouverte par la pie-mère et par un certain nombre de
fibres
arciformes très variables dans leur volume et leu
ion. Pcdoncnicscurc- elleux 488 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
arciformes me. Vah ule de Viens- sens lta
trémité supérieure et la sépare nettement du ruban de Reil latéral,
fibres
arciformes, supérieures de l'isthme (fai) de Re
om- plètement fusionné avec la région du ruban de Reil latéral. Ces
fibres
arquées de l'isthme appartiennent en partie aux
latéral. Ces fibres arquées de l'isthme appartiennent en partie aux
fibres
semi-circulaires in- ternes péripédonculaires (
in- ternes péripédonculaires (voy. chap. IV); elles contiennent des
fibres
du petit faisceau latéral du bulbe et du faisce
sant en quelque sorte hernie, et recouverte par une mince couche de
fibres
appartenant à la grosse racine sensitive descen
eau cérébelleux direct. Du corps restiforme se détachent toutes les
fibres
arciformes qui entourent les parties antéro-lat
enchevêtrent dans la profondeur du sillon médian antérieur avec des
fibres
analogues du côté opposé. Elles portent le nom co
ibres analogues du côté opposé. Elles portent le nom collec- tif de
fibres
arciformes externes antérieures du bulbe (stratum
um zonale d'Arnold, stratum transversale) , pour les distinguer des
fibres
arciformes externes postérieures , infiniment m
ui se dirigent vers la pyramide postérieure du bulbe, ainsi que des
fibres
arciformes internes. Membrane obturatrice du
Tubercule rendre de Rolando. Faisceau cérébol- leu x direct.
Fibres
areifornies externes antérieures du bulbe.
des diverticules latéraux (Tub.ac, Fig. 439), reçoit une partie des
fibres
terminales du nerf cochléaire et sert d'origine
c, feutrage intra- ciliaire. - fsl, feutrage sous-lobaire. - fsme,
fibres
semi-circulaires externes. - Lgr, lobe grêle. L
us-jacente (Oc). La préparation intéresse en effet la couche de
fibres
qui entoure le corps dentelé et qui est connu
plexus ex- traciliaire. En dehors de la toison se trouvent des
fibres
curvilignes à convexité externe, les fibres s
son se trouvent des fibres curvilignes à convexité externe, les
fibres
semÍ-circll- laires du cervelet, qui se jette
sur une préparation par dissociation.-La moitié gauche montre les
fibres
semi-circulaires externes du cervelet mises à n
phie d'une pièce durcie dans l'alcool. 2/3 Grandeur nature. fsme,
fibres
semi-circulaires externes. - Lsli, lobe semi- l
fie, feutrage intraciliaire. - fsl, feutrage sous- lobaire. - fsme,
fibres
semi-circulaires externes. - Oc, olive cérébelleu
us-épendymaire, qui tapisse le toit du quatrième ventricule, et des
fibres
sagittales que lui envoient la valvule de Vieus
e la protubérance et le long duquel s'entre-croisent une partie des
fibres
semi-circulaires internes du cervelet (fsmi) ains
s fibres semi-circulaires internes du cervelet (fsmi) ainsi que les
fibres
qui relient les deux noyaux du toit. Sur les co
- cUv, crête de la luette dépourvue d'écorce cérébelleuse. - FPoa,
fibres
antérieures de la protubérance. FPop, fibres pos-
ce cérébelleuse. - FPoa, fibres antérieures de la protubérance. FPop,
fibres
pos- térieures de la protubérance. - fsme, fibr
otubérance. FPop, fibres pos- térieures de la protubérance. - fsme,
fibres
semi-circulaires externes. - fsmi, fibres semi-
de la protubérance. - fsme, fibres semi-circulaires externes. - fsmi,
fibres
semi- circulaires internes. - Nem, embole ou no
ui occupe le toit du quatrième ventricule et que des fais- ceaux de
fibres
segmentent en plusieurs noyaux. Weidenreich y dis
a-ciliaire - Floc, flocculus. - (si, feutrage sous-lobaire. - fsme,
fibres
semi-circulaires externes. fsmi, fibres semi-ci
trage sous-lobaire. - fsme, fibres semi-circulaires externes. fsmi,
fibres
semi-circulaires internes. - Il' ! }, fibres de l
laires externes. fsmi, fibres semi-circulaires internes. - Il' ! },
fibres
de la pyramide de Malacarne. - NUl, noyau sphér
se termi- nent dans la substance grise de l'olive cérébelleuse. Ces
fibres
ne se dirigent pas nécessairement vers le hile
tance blanche exlra-ciliaire (fec), formée par un dense feutrage de
fibres
, l'homologue de la substance - blanche intra-ci
ve cérébel- leuse, on trouve, en dehors de la toison, une couche de
fibres
curvilignes et parallèles, mince et étroite en
es, mince et étroite en arrière, plus épaisse en avant; ce sont les
fibres
semi-circulaires du cervelet, remarquables par le
428, 429, 135). La troisième couche recouvre le groupe externe des
fibres
semi-circu- laires et toute la région postérieu
région postérieure et inférieure de la toison; elle est for- mée de
fibres
entre-croisées dans tous les sens qui constituent
se forme surtout aux dépens du feu- trage sous-lobaire (fsl) et des
fibres
semi-circulaires externes (fsme, coupes S 9, C5
, S 5, Fig. 360, 363, 412); le feutrage intra-ciliaire (tic) et les
fibres
semi- circulaires externes (fsme) et internes (
gion protubérantielle un faisceau fermé, mais qu'il se segmente, au
Fibres
SeIl1Hlrcn- ¡aires externe% et in- ternes.
et protubérantiel. - Fo, faisceau oblique de la protubérance. FPoa,
fibres
protubérantielles antérieures. - Fl'om, fibres
protubérance. FPoa, fibres protubérantielles antérieures. - Fl'om,
fibres
protubérantielles moyennes. - FPop, fibres protub
es antérieures. - Fl'om, fibres protubérantielles moyennes. - FPop,
fibres
protubérantielles postérieures. - fsme, fibres
es moyennes. - FPop, fibres protubérantielles postérieures. - fsme,
fibres
semi-circulaires externes. - Girl, lingula. - Nrf
cérébelleux supérieur. - 1', raphé médian de la protubérance avec ses
fibres
sagillales. Rm, ruban (lelleil médian. Sy/o, su
fascicules, à direction transversale, cloison- nent le système des
fibres
longitudinales de la voie pédonculaire et suivant
he superficielle ou antérieure (stratum superfictate pontis (Strs).
fibres
protubérantielles antérieures [FPoa] (coupe S 1,
), occupe toute la hauteur de la protubérance et passe en avant des
fibres
de la voie pédonculaire; elle présente sur les
ascicules souvent fort grêles (Fig. 362). Leurs connexions avec les
fibres
semi-circulaires externes (fsme) et le feutrage
e un volumineux faisceau qui s'isole plus ou moins complètement des
fibres
environnantes, affecte un trajet descendant et
362). La couche profonde et postérieure (stratum profondum (Strp),
fibres
protubérantielles postérieures [FPop]) occupe s
ux tiers infé- rieurs de la protubérance; elle passe en arrière des
fibres
de la voie pédonculaire (VP), entre ces fibres
passe en arrière des fibres de la voie pédonculaire (VP), entre ces
fibres
et le ruban de Reil médian (Rm) qui forme la li
a couche intermédiaire ou moyenne (Strc) (stratum complexum pontis,
fibres
protubérantielles moyennes [FPom]) appartient aux
de faisceaux, de]volumes et de formes exlrè- mement variables, les
fibres
de la voie pédonculaire, en isole plus ou moins
entrer plus bas dans la région protubéran- tielle antérieure. Les
fibres
protubérantielles moyennes abordent et divisent l
ure. Les fibres protubérantielles moyennes abordent et divisent les
fibres
de la voie pédonculaire de dedans en dehors; el
de la protubérance (H 1 à H4, Fig. 391 à 396). Après épuisement des
fibres
corlico-protu- Léranliclles dans les noyaux pon
s fibres corlico-protu- Léranliclles dans les noyaux pontiques, les
fibres
protubérantielles Couche superti- cielle du p
TRES NERVEUX. Mntrc-crooment des libres protubé- l'antlclIes.
Fibres
sagittales ,lu raphé. Pédoncules cére- I)cl
s. Trajet. Rapports. moyennes cessent d'exister et le reste des
fibres
de la voie pédonculaire se ramasse en un volumi
plus ou moins épaisse de substance grise et limité en avant par les
fibres
protubérantielles antérieures, en arrière par les
vant par les fibres protubérantielles antérieures, en arrière par les
fibres
protubérantielles postérieures (coupe C5, Fig.
érantielles postérieures (coupe C5, Fig. 361). Un certain nombre de
fibres
protubérantielles, qu'elles appartiennent aux c
s'entre-croisent à angle obtus sur la ligne médiane (Fig. 362). Les
fibres
antérieures se continuent avec des fibres moyen
e médiane (Fig. 362). Les fibres antérieures se continuent avec des
fibres
moyennes du côté opposé. Les fibres moyennes d'
érieures se continuent avec des fibres moyennes du côté opposé. Les
fibres
moyennes d'un côté se continuent après entre-cr
es moyennes d'un côté se continuent après entre-croisement avec des
fibres
postérieures du côté opposé et vice-versa. Outr
age antérieur de la protubérance contient encore un grand nombre de
fibres
à direction sagittale qui proviennent des fibre
un grand nombre de fibres à direction sagittale qui proviennent des
fibres
protubérantielles transver- sales ou des noyaux
tubérantielle, puis changent de direction et concourent à former les
fibres
arquées de la formation réticulée du côté oppos
face postérieure libre, recouverte par la pie-mère, croisée par des
fibres
arquées et masquée en grande partie par les lam
, faisceau rétroflexe de Meynert. fsl, feutrage sous-lobaire. - fsna,
fibres
semi-circulaires du cervelet. - Lg, lobe grêle.
traversé dans toute son épaisseur par les fasci- cules onduleux des
fibres
semi-circulaires internes (fsmi) qui croisent sa
ur (NVm) du trijumeau; sa face posté- rieure est recouverte par les
fibres
semi-circulaires externes qui contour- nent la
ce supérieure du noyau dentelé et se fusionnent ace niveau avec les
fibres
semi-circulaires internes les plus élevées et les
face externe ou convexe est recouverte au voisinage du hile par des
fibres
arquées, sectionnées obliquement, qui décrivent
ement, qui décrivent des anses, des courbes à concavité inférieure (
fibres
semi-cir- culaires inle1'Jtes pél'l}Jédollcu/ai
rémité antérieure s'épaissit et se coude à angle presque droit. Ses
fibres
se déjettent en Rapports. Segment juxta ven
u'ils sont plus postérieurs. Les champs postérieurs contiennent des
fibres
sectionnées perpendiculairement ou obliquement
ment a leur axe, tandis que, dans ceux des parties antérieures, les
fibres
infléchies vers le raphé sont sectionnées parallè
ostérieures du fer à cheval dispa- raissent, grâce au transport des
fibres
dans la partie antéro-interne de la calotte (co
nc le faisceau longitudinal postérieur. Pour l'immense majorité des
fibres
, l'entre-croisement se fait à l'aide de larges
llèles qui se coupent à angle très ouvert; seul, un petit groupe de
fibres
, appartenant aux fascicules les plus postérieur
us grand nombre entourent le noyau rouge d'une véritable capsule de
fibres
, capsule du noyau rouge (CNR), entrent dans la
? Connexions avec 1, noyau rouge du côti opposôctsacapsu)' de
fibres
. oyaurouo. °6 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
ubstance grise centrale qui entoure l'aqueduc de Sylvius et par les
fibres
de l'anse lenticulaire qui entrent dans la cons
sillonnent. Il est, en outre, entouré d'une couche assez épaisse de
fibres
à myéline signalée par Reil, la capsule du noya
e, en bas et en dehors avec le pédoncule cérébelleux supérieur, les
fibres
longitudi- nales de la formation réticulée et l
dien, se forme surtout aux dépens du feutrage exlra-ciliaire et des
fibres
semi-circulaires externes et internes; il reçoi
circulaires externes et internes; il reçoit du vermis de nombreuses
fibres
qui participent à la Fig. 365. - Les ganglions
nglions centraux (noyau du toit, embole, olive cérébelleuse) et les
fibres
extrinsèques du cervelet : pédoncules cérébelleux
traciliaire. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - fsme, fsmi,
fibres
semi-circulaires externes, fibres semi-circulaire
tudinal postérieur. - fsme, fsmi, fibres semi-circulaires externes,
fibres
semi-circulaires internes du cervelet. - ND, no
) sous l'aspect d'un faisceau allongé, en connexion intime avec les
fibres
semi-circulaires externes qui recou- vrent la f
s des régions protubérantielles moyennes (coupe H6, Fig. 3gaz), les
fibres
du pédoncule cérébelleux inférieur se trouvent se
ros calibre, elles se distinguent néanmoins toujours facilement des
fibres
du pédoncule cérébelleux moyen qui leur sont pa
d) en avant, dont la séparent incomplètement et de haut en bas, les
fibres
radiculaires des nerfs vesti- bulaire (Villa),
E. 52» Cet FiG. 366. - Le corps restiforme, l'olive bulbaire et les
fibres
arciformes du bulbe. Le tubercule et les stries
". 430.) Cj, corps juxta-restiforme. Crst, corps restiforme. - fad,
fibres
arciformes dorsales TOME II. 3k > 530 ANAT
mes dorsales TOME II. 3k > 530 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
arciformes céréhello - olivaires pr6trycmmale
RVEUX. Fibres arciformes céréhello - olivaires pr6trycmmales.
Fibres
arctformes cércbello - olivaires, intcr et ré
- forme. Sa constitution : noyau de Deiters. du bulbe. - fas,
fibres
arciformes superficielles. - Fcc, faisceau centra
o, feutrage extra-olivaire. - fio, feutrage intra- olivaire. - fit,
fibres
arciformes inter-trigéminales. - Floc, flocculus.
eau longitudinal postérieur. - Fit, faisceau latéral du bulbe. fpl,
fibres
arciformes pré-tri- gémmales. - j'd, fibres arc
latéral du bulbe. fpl, fibres arciformes pré-tri- gémmales. - j'd,
fibres
arciformes rétro-trigéminales. - Fs, faisceau sol
entée et saillante (coupe H 9, Fig. 366) se détachent de nombreuses
fibres
arciformes, les fibres arciformes cé·ébello- ol
pe H 9, Fig. 366) se détachent de nombreuses fibres arciformes, les
fibres
arciformes cé·ébello- olivaires (llingazzini) q
oncavité antérieure; il passe ensuite en avant de l'olive bulbaire (
fibres
ci7'curn-olivaÙ'es), et entre dans la constitut
-olivaÙ'es), et entre dans la constitution de sa capsule. Parmi ces
fibres
, les unes se terminent dans l'olive bulbaire ou
ontinuant leur tra- jet passent en avant des pyramides antérieures (
fibres
circurn-pY1'amidales), ou à travers les pyramid
se rendent dans le noyau arqué. Le groupe interne ou postérieur des
fibres
cérébello-olivaires passe, soit à travers, soit
n arrière de la grosse racine sensitive descendante du tri- jumeau [
fibres
inter (fit) et 1'élro-lrigéminales (frt)], traver
et s'en tre-croise au niveau du raphé. Le plus grand nombre de ces
fibres
pénètre dans le hile de l'olive contra- latéral
estiforme, considérable- ment diminué de volume après le départ des
fibres
arciformes, s'aplatit transversalement, se port
du noyau de Deiters, les autres sont la continuation, en partie des
fibres
semi-circulaires in- ternes du cervelet, en par
e des fibres semi-circulaires in- ternes du cervelet, en partie des
fibres
radiculaires du nerf vestibulaire ; ils ont été
De toute la hauteur de cette formation se détachent de nombreuses
fibres
arciformes (fad) qui décrivent, autour de la subs
cen- trale, des courbes incluses dans celles du groupe interne des
fibres
arci- formes cérébello-olivaires; elles s'entre
re-croisent pour la plupart dans le raphé et se continuent avec des
fibres
longitudinales de la formation réticulée blanch
de l'autre en dedans par le hile, qui livre passage à de nombreuses
fibres
arciformes internes; les fibres radi- culaires
, qui livre passage à de nombreuses fibres arciformes internes; les
fibres
radi- culaires du nerf hypoglosse longent la pa
intra-olivaire est presque exclusivement formé de gros faisceaux de
fibres
horizon laies el transversales qui abordent en pi
sinage du hile de l'olive que l'on rencontre quelques faisceaux de
fibres
verticales; ils séparent le hile de l'olive du
l'olive du noyau juxta-olivaire interne et s'adossent en partie aux
fibres
de la couche inler-olivaire. Leurs ori- gines e
nsversale passant par la partie moyenne des olives bulbaires et les
fibres
radiculaires du nerf glosso-pharyngien. Méthode d
st, corps restiforme. - Fcc, faisceau central de la calotte. - feb,
fibres
arciformes cérébello-olivaires. - fit, fibres arc
de la calotte. - feb, fibres arciformes cérébello-olivaires. - fit,
fibres
arciformes inter-trigémi- nales.- fpl, fibres a
llo-olivaires. - fit, fibres arciformes inter-trigémi- nales.- fpl,
fibres
arciformes pré-trigéminales. frt, fibres arciform
nter-trigémi- nales.- fpl, fibres arciformes pré-trigéminales. frt,
fibres
arciformes rétro-trigéminales. - Fil. faisceau
- Fil. faisceau latéral du bulbe. - l's, faisceau solitaire. - fsr,
fibres
sagittales du raphé appartenant aux stries acou
bres hori- zontales et transversales qui font partie du système des
fibres
arciformes du bulbe. L'olive est ainsi entourée
gale, qui régularise les contours de ce ganglion el dont toutes les
fibres
sont for- tement colorées par la laque hématoxy
ématoxylinique. Elles se distinguent de ce fait très facilement des
fibres
longitudinales de la pyramide antérieure du bul
de la face postérieure de cette dernière, et sépare sa capsule des
fibres
longitudi- nales de la formation réticulée gris
Sa constitution. Dissociation de la voie pédonculaire par les
fibres
trans- versales du pont. anatomique, clinique
le cerveau moyen par le locus niger, dans le rhombencéphale par les
fibres
transver- sales du pont et la face postérieure
ventral du tronc encéphalique est constitué : 1° Par un système de
fibres
longitudinales, la voie pédonculaire, qui en oc
u pédoncule cérébral et la pyramide bulbaire et comprend toutes les
fibres
de projection du manteau cérébral qui ne se son
, ni dans la région sous-optique (voy. p. 73); 2° Par un système de
fibres
transversales propres à la protubérance qui clo
gue de substance grise, les noyaux pontiques, qui enve- loppent les
fibres
longitudinales et transversales de l'étage antéri
ur de la protubérance, la voie pédon- culaire est dissociée par les
fibres
transversales du pont en un nombre considérable
on de la partie interne et profonde de la voie pédonculaire par les
fibres
transversales de la protubérance, et refoulement
rsales de la protubérance, et refoulement dans le ruban de Reil des
fibres
aberrantes de la voie pédonculaire. Coupe horizon
al de la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fl'oa,
fibres
protubérantielles antérieures. FPop, fibres trans
al postérieur. - Fl'oa, fibres protubérantielles antérieures. FPop,
fibres
transversales postérieures de la protubé- rance
l'avons vu FiG. 369. - Dissociation de la voie pédonculaire par les
fibres
transversales profondes du pont et refoulement
e par les fibres transversales profondes du pont et refoulement des
fibres
aberrantes protubérantielles de la voie hédoncu-
la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FPoa, 11'op,
fibres
transversales antérieures et postérieures de la p
la pro- tubérance. Un très grand nombre (près des deux tiers) des
fibres
de la voie pédon- culaire, s'épuisent dans la s
dans la substance grise de l'étage antérieur de la pro- tubérance (
fibres
cortico-protubérantielles p. 81); les autres fibr
pro- tubérance (fibres cortico-protubérantielles p. 81); les autres
fibres
se ras- semblent dans le tiers inférieur de la
substance grise, et qui n'est plus dissocié que par quelques rares
fibres
du stratum complexe (coupes H 6 et H 7, Fig. 36
rs inférieur de la protubérance, entouré en avant par la couche des
fibres
transversales superficielles (stratwn superfici
icielles (stratwn superficiale, Strs), en arrière par la couche des
fibres
transversales profondes (stratum profundum, Strp)
8, Fig. 398, p. 5G3), le stratum profundum disparaît, la couche des
fibres
superficielles du pont recouvre seule le faisce
de la protubérance, la dissociation de la voie pédonculaire par les
fibres
transversales du pont est si intime, qu'il est
le contin- gent du segment moyen est, par contre, considérable; les
fibres
pyrami- dales y sont intimement mélangées aux f
sidérable; les fibres pyrami- dales y sont intimement mélangées aux
fibres
cortico-protubérantielles, car toute dégénéresc
supéro-antéro-inlerne de la pyramide en un noyau irrégulier, connu
Fibres
de la voio pédonculaire s'arrê- tant dans la
de la voio pédonculaire s'arrê- tant dans la protu- bérance.
Fibres
de la voie pédonculaire des- cendant dans le
appol't> du fais- ccau y3 ramidal avec le noyau arqué et les
fibres
arciformes superficielles. sous le nom de noy
ce antérieure du faisceau pyramidal est en oulre recouverte par les
fibres
arciformes superficielles du bulbe, qui appartien
le traversent : elles ont été désignées de ce fait sous les noms de
fibres
arciformes circum ou péri-pyramidales ou de fibre
sous les noms de fibres arciformes circum ou péri-pyramidales ou de
fibres
arciformes pré- FiG. 370.- Coupe transversale d
- Crsl, corps restiforme. - PU, faisceau latéral du bulbe. - fil',
fibres
inter-réticulées du bulbe. - Fs, faisceau solitai
- Oi, dernières dentelures de l'olive bulbaire; cOi, sa capsule de
fibres
. - Py, pyramide antérieure du bulbe. - xpin, entr
les, post-pyramidales et inter-pyramidales . Un grand nombre de ces
fibres
se terminent ou prennent leur origine dans le noy
e du bulbe(coupeH8,Fig.398, cûlé gauche, p. 563), elle s'adosse aux
fibres
transversales du corps trapézoïde (1'r) ainsi q
sse aux fibres transversales du corps trapézoïde (1'r) ainsi qu'aux
fibres
longitudinales du ruban de Reil médian (Rm) el du
e H 8, Fig. 398 côté droit), l'olive bulbaire (Oi) et sa capsule de
fibres
s'insinuent entre ces deux faisceaux longitudin
us que le faisceau pyramidal reçoit sou- vent dans celle région les
fibres
aberrantes de la voie pédonculaire qui ont suiv
ruban de Reil médian. On peut néanmoins considérer comme limite les
fibres
arciformes transversales les plus antérieures (co
l. Faisceau pyrami- dal croisé. Faisceau pyrami- da direct.
Fibres
pyrami- dales homolaterales. p. 565). Le fais
délimite mieux, en général, de l'olive bulbaire et de sa capsule de
fibres
, non seulement grâce au sillon olivaire interne
lement grâce au sillon olivaire interne et au trajet horizontal des
fibres
olivaires, mais encore par la présence des noya
ssus de la décussation, il ne se distingue que par l'obliquité de ses
fibres
lâchement fasciculées de la dense couche de fib
obliquité de ses fibres lâchement fasciculées de la dense couche de
fibres
qui recouvre la corne antérieure et qui apparti
ournit enfin au cordon latéral du même côté un très petit nombre de
fibres
, fibres pyramidales homolalérales (fPyh). Signa
nfin au cordon latéral du même côté un très petit nombre de fibres,
fibres
pyramidales homolalérales (fPyh). Signalées d'a
rring- ton), puis chez l'homme (Afuratoff, Dejerine et Thomas), ces
fibres
se portent en arrière et en dehors, décapitent
CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPHALE. apparentes. Tantôt les
fibres
pyramidales homolatérales se réduisent à quelqu
les fibres pyramidales homolatérales se réduisent à quelques fines
fibres
isolées, appréciables seulement dans les cas de d
dans les cas de malfor- mation cérébrale avec agénésie complète des
fibres
de projection corlicale (cas Longery et Richard
accompagnant d'une régres- FiG. 372. - Faisceau pyramidal croisé et
fibres
pyramidales homolatérales, dans un cas de dégén
croisé sain. - FPyc(d), faisceau pyramidal croisé dégénère ? 7 ? t,
fibres
pyramidales homolatérales se détachant du faiscea
l sain. Agenésie de la vote pedonculail si avec intégrité des
fibres
transversales protubérantielles. S42 ANATOMIE
tubérantielles. S42 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. sion totale des
fibres
dont la myélinisation est plus ou moins parachevé
la forme et la disposition du pied du pédoncule, mais dépourvue de
fibres
longitudi- nales ; la protubérance ne contient
médian existent comme à l'état normal et proviennent en partie des
fibres
transversales de la protubérance. Quanta la pyr
on inverse peut s'observer; la voie pédonculaire est normale et les
fibres
transversales de la protubérance font défaut (Fig
ance font défaut (Fig. 373). C'est FiG. 3n. - Atrophie complète des
fibres
du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm), des fibre
ophie complète des fibres du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm), des
fibres
transversales et de la substance grise antérieure
bstance grise riche en névroglie, pauvre en cellules nerveuses. Les
fibres
transversales de laprotu- bérance et les fibres
ules nerveuses. Les fibres transversales de laprotu- bérance et les
fibres
sagittales du raphé médian font complètement défa
plus grandes variétés individuelles, et qui forment le système des
fibres
aberrantes de la voie pédonculaire. La plupart
homolatéral de la moelle épinière. Dans la région pédonculaire les
fibres
aberrantes forment, ainsi que nous l'avons vu plu
51), le pes lemniscus profond, le pes lemniscus superficiel et les
fibres
aberrantes postéro-externes. Les deux premiers
veau du sillon pédonculo-pro- tubérantiel, en général au-dessus des
fibres
transversales de la protubérance. Le pes lemnis
place en dedans de son faisceau interne (voy. p. 52). Les premières
fibres
transversales du pont qui apparaissent dans le
t l'adossent à la partie interne du ruban de Reil médian. Quant aux
fibres
aberrantes postéro-externes (Fpe) elles contourne
es protubéran tielles avec intégrité de la voie pédonculaire.
Fibres
aberrantes de la voie pédoncll- laire. Pes
aire. Pes lemniscus pro- tond. Pes lemniscus su- perficiel.
Fibres
aberrantes postéro-externes 4 Il ANATOMIE DES
4 Il ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. FiG. 374, 375, 37G, 377. -- Les
fibres
aberrantes de la voie pédonculaire de la région d
(Fig. 375, 3 in, 377), pes lemniscus superficiel (PLs) (Fig. 377),
fibres
aberrantes posléro-exlernes (Fpe) (Fig. 377, 37C,
\'0)'. T. Ier, p. 327), on peut se demander si chez l'homme les
fibres
aberrantes de la voie pédonculaire ne con- co
eule visi- ])le à i exLei'Lour, ! ) ne serait constitué qiiopir les
fibres
aberrantes postéro- externes, lorsqu'on le voit
ée, se détachent dans la région protubéran- tielle super cure les
fibres
aberrantes protubérantielles (Fap) qui s'inco
e de la substance grise antérieure du pont, du noyau arqué et des
fibres
sagittales du raphé bulbaire. (Méthode de Mar
ulbaire. (Méthode de Marchi.) 546 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
aberrantes protubérantielles. cérébral, le pe
s coupes normales au pédon- cule du tubercule mamil- laire; les
fibres
dégénérées proviennent probablement de la voi
el s'accole a la par- tie interne, le pes lemniscus profond, cl les
fibres
aberrantes postéro- externes aux parties extern
se antérieure du pont, du pes lemniscus super- ficiel (PLs et des
fibres
aber- rantes protubérantielles (Fap). Ces der
t la voie pédonculaire dans la région bulbaire inférieure; aucune
fibre
ne participe àl'en- tre-croisementpiniforme(xpi
eur de la région protubérantielle, un certain nombre de libres, les
fibres
aber- rantes protubérantielles (Fap, Fig. 378,
Fap, Fig. 378, 381, 382) : elles se détachent de Fig. 383 et 384. -
Fibres
pyramidales homolatérales superficielles (fPyhs)
rrantes de la voie pédonculaire (Fap, Fig. 383), qui font suite aux
fibres
aberrantes protubé- rantielles des figures 381
de décussation du faisceau pyramidal; faisceau pyramidal croisé et
fibres
pyramidales homolatérales profondes et superficie
ire consécutive à une lésion capsulaire. (Méthode de Marchi). - Les
fibres
pyramidales homolatérales superficielles (f Pyhs)
bulbaire (Fig 386) sous forme de 5 à 7 fascicules compacts que les
fibres
arciformes superficielles du bulbe refoulent da
lbaire, à la partie inférieure de l'entre-croisement piniforme, les
fibres
pyramidales homolatérales superficielles s'infl
rieure. Au niveau du collet du bulbe, elles sont renforcées par des
fibres
pyramidales homolatérales profondes (f l'yli) (Fi
cules arrondis et sont refoulées dans la région de la calotte par les
fibres
transversales profondes de la protubérance. Les
se colorent plus fai- blement par la laque hématoxylinique que les
fibres
du ruban de Reil proprement dit, et sont de ce
(Fig. 378, 379, 380, 381, 382). L'examen de ces cas montre que les
fibres
aberrantes protubérantielles (Fap) présentent d
protubérantielle inférieure- plus rarement au-dessous des dernières
fibres
transversales profondes, au voisinage du sillon
tubérantiel ; dans ce dernier cas, elles représentent de véritables
fibres
aberrantes bulbaires. Parmi ces fibres aberrant
représentent de véritables fibres aberrantes bulbaires. Parmi ces
fibres
aberrantes protubérantielles et pédonculaires, le
égion protubérantielle inférieure et sont ramenées en avant par les
fibres
transversales profondes du pont; la plupart des
andonne parfois au cordon latéral homolatéral de la moelle un petit
Fibres
aberrantes bulbaires. 550 ANATOMIE DES CENTRE
S NERVEUX. Fibies pyramida- Us loniolatérale% superficielles.
Fibres
aberrantes p3 rainidales croi- sées. Hé- on
Ses rapports. Sa constitution. )0 Formation réti- culée. Les
fibres
longltn- dinales. nombre de libres aberrantes
unes (Fig. 383, 384) contournent l'olive bulbaire à la manière des
fibres
arciformes superficielles, les autres (Fig. 387)
, Pick, V. Gehuchten. Elles représentent à notre avis de véritables
fibres
pyramidales homola- létales superficielles, tou
midales homola- létales superficielles, tout à fait comparables aux
fibres
pyramidales homo- latérales profondes qui décap
ulbe enfin, le faisceau pyramidal croisé abandonne parfois quelques
fibres
aberrantes ; elles descendent dans la substance
e. Le faisceau dit de Pick, n'est qu'une modalité anatomique de ces
fibres
(voy. Entre-croise- ment pyramidal, Moelle épin
disposées sous forme de réseau, lequel englobe dans ses mailles des
fibres
longitu- dinales qui sont croisées par des fibr
s ses mailles des fibres longitu- dinales qui sont croisées par des
fibres
arciformes et radiées. Les colon- nettes de sub
s reticulares de Lenhossek (1855), l'ensemble du réseau gris et des
fibres
blanches celui de formation réticulée de Deiter
bres blanches celui de formation réticulée de Deiters (1805). Les
fibres
longitudinales se groupent les unes en fascicules
onner à sa substance grise ou sans en recevoir un certain nombre de
fibres
. Les fibres transversales, arquées ou arciforme
ubstance grise ou sans en recevoir un certain nombre de fibres. Les
fibres
transversales, arquées ou arciformes sont d'origi
uis s'entre-croisent dans le raphé; les unes se continuent avec les
fibres
longitudinales de la formation réticulée, les a
ou prennent leur origine) dans les noyaux gris de la calotte. Les
fibres
arciformes se disposent en un certain nombre de g
antérieure et inférieure de la protubérance, il existe un groupe de
fibres
arciformes extrêmement important qui forme le coi
n partie dans le ruban de Reil latéral croisé. Le bulbe possède les
fibres
arciformes les plus nombreuses et les plus denses
fibres arciformes les plus nombreuses et les plus denses. Les unes,
fibres
arciformes eey'e'6e//o-o/a'M, se détachent de tou
étachent du corps juxta-restiforme, du noyau de Deiters, etc. Les
fibres
radiées ou sagittales traversent pour la plupart
en arrière, et de dehors en dedans, et appartiennent en général aux
fibres
radiculaires (fibres d'origine, fibres de termina
ors en dedans, et appartiennent en général aux fibres radiculaires (
fibres
d'origine, fibres de terminaison) des différent
appartiennent en général aux fibres radiculaires (fibres d'origine,
fibres
de terminaison) des différents noyaux des nerfs
, fibres de terminaison) des différents noyaux des nerfs crâniens :
fibres
radiculaires des nerfs facial, glosso-plwr ! /J
acial, glosso-plwr ! /J1gien, pneumogastrique, vestibulaire; d'autres
fibres
appartiennent à des noyaux spéciaux, tel le fai
s voies cérébelleuses comprennent : a) le pédoncule cérébelleux Les
fibres
arc formes. Les fibres radiée 2° Voios cérd
ennent : a) le pédoncule cérébelleux Les fibres arc formes. Les
fibres
radiée 2° Voios cérdlhe (e1150s. 552 ANATOM
ertaines régions, s'amincissent et disparaissent dans d'autres, les
fibres
longitudinales s'y groupant en fais- ceaux plus
extré- mité mincc et effilée qui fait suite au champ de Forel, aux
fibres
de la commissure postérieure et v la région du
grise (noyau innominé de Bechterew) traversés par des fascicules de
fibres
lon- gitudinales minces et clairsemés. A mesure
eur (Flp). Ce faisceau, qui se distingue par le gros calibre de ses
fibres
et leur coloration foncée par la laque hématoxyli
e Wernekink. Elle est riche en trabécules gris, ne contient que des
fibres
longitudinales clairsemées qui se continuent in
dedans et en arrière le faisceau longitudinal postérieur, dont les
fibres
se délimitent mal des autres fibres longitudina
ngitudinal postérieur, dont les fibres se délimitent mal des autres
fibres
longitudinales de la formation réticulée. 2° A
yau du côté opposé une lentille biconvexe médiane, que divisent les
fibres
sagittales du raphé et que sil- lonnent quelque
ivisent les fibres sagittales du raphé et que sil- lonnent quelques
fibres
arciformes clairsemées. Il mesure 7 à 8 millimètr
rière, il touche au faisceau longitudinal postérieur; en avant, aux
fibres
les plus supé- rieures du corps trapézoïde; en
Coupe P2, Fig. 420.) Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FPoa,
fibres
protubérantielles antérieures. - Gip, ganglion
réticulé. De chaque côté enfin, il est assez bien délimité par des
fibres
longitudinales clairsemées de la for- mation ré
e la commissure en fer à cheval de Wernekink. Le ruban de Reil et les
fibres
transversales superficielles, moyennes et profo
- SR, formation réticulée. - Strs, Strc, Strp, les trois couches de
fibres
transversales du pont : stratum superficiale, str
corps trapézoïde. - La dissociation de la voie pédonculaire par les
fibres
protubérantielles transversales. - Coupe horizo
otte. - flip, faisceau longitudinal postérieur. - Fl'oa, FPom, Fi'op,
fibres
pro- tubérantielles antérieures, moyennes et po
moyen. -l'cs, pédoncule cérébelleux supérieur. - r, raphé avec ses
fibres
sagittales. - Rl, ruban de Reil latéral. - Rm,
, sur quelques coupes, une sorte d'accent circonflexe qui isole les
fibres
longitudinales de la formation réticulée du fai
(Nef, coupe H2, Fig. 395). Il résulte de cette disposition que les
fibres
longitudinales de la formation réticulée sont r
a calotte se continue insensiblement en avant et en dedans avec les
fibres
longitudinales de la formation réticulée qui av
eur, les noyaux central supérieur et circonflexe disparaissent. Les
fibres
longitudinales de la formation réticulée atteigne
cervelet et la face externe du faisceau central de la calotte, les
fibres
longitudinales sont toujours clairsemées. On y
nférieure de la calotte protubérantielle et il est traversé par les
fibres
du corps trapézoïde et par de nombreuses libres a
- Les pédoncules cérébel- leux supérieur, moyen et inférieur et les
fibres
semi-circulaires externes du cervelet. - Coupe
eure au voisinage du sillon hulho-protubérantiel et intéressant les
fibres
radiculaires des nerfs moteur oculaire externe'
longitudinal postérieur. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - fsmi,
fibres
semi-circulaires internes du cervelet. - \'ci,
ieur, moyen et supérieur. l'il, fais- ceau pyramidal. r, raphé, ses
fibres
sagittales. R) ? ruban de Reil médian. Sglt, sub-
rmation réticulée en deux segments : l'un interne, traversé par les
fibres
radiculaires de la VIe paire (nerf moteur ocula
(nerf moteur oculaire externe) ; l'autre externe, traversé par les
fibres
radiculaires du nerf facial et de la branche ve
Flp) dont il est constamment séparé par une couche assez épaisse de
fibres
longitudinales; il envoie de chaque côté un prolo
entricule, en dedans du pédoncule cérébelleux inférieur (l'ci). Les
fibres
longitudinales du segment externe sont assez clai
ume et atteint la périphérie du bulbe dont la sépare une capsule de
fibres
d'autant plus mince que l'on considère des région
56, coupe H8, Fig. 438.) Cj, corps juxta-restiforme, comprenant les
fibres
cérébello-vestibulaires et le noyau de Deiters.
bulaires et le noyau de Deiters. - Crsl, corps restiformes. - facl,
fibres
arciformes dorsales ou profondes. - fat, fibres
estiformes. - facl, fibres arciformes dorsales ou profondes. - fat,
fibres
arciformes moyennes. Fcc, faisceau central de la
longitudinal postérieur. - Fit, faisceau latéral du 1)11]be. - FPoa,
fibres
transversales antérieures du pont. - fpt, fibre
u 1)11]be. - FPoa, fibres transversales antérieures du pont. - fpt,
fibres
arciformes pré-triéminales. - ND, noyau de Deit
s deux faisceaux est comblé par de nombreux et denses fascicules de
fibres
longitudinales (coupes H10 et Hll, Fig. 399 et
du le ventricule à la pyramide bulbaire et limité en dehors par les
fibres
radiculaires du nerf grand hypoglosse. Ce champ
s longitudinaux plus ou moins volumineux et denses, croisés par des
fibres
arciformes, ne contient que de rares et minces
avant, il est en rapport avec l'olive bulbaire (Oi), la capsule de
fibres
qui l'enveloppe elle noyau juxta-olivaire exter
EURE DU RI10\I13);\CI : I'tlALl : . : i6u réticulée blanche par les
fibres
radiculaires de l'hypoglosse (coupe Hll, Fig. 3
bulbaire et les noyaux juxta-olivaires. Le corps restiforme et ses
fibres
arciformes cérébello-olivaires, le corps juxta-
441.) Cj, corps juxta-restiforme. - Crsl, corps restiforme. - fad,
fibres
arciformes dor- sales. - feo, feutrage extra-ol
capsule de l'olive bulbaire. - fio, feutrage intra- olivaire.- fil,
fibres
arciformes inter-trigéminales. fpt, fibres arcifo
e intra- olivaire.- fil, fibres arciformes inter-trigéminales. fpt,
fibres
arciformes pré-trigéminales. - frl, fibres arci
inter-trigéminales. fpt, fibres arciformes pré-trigéminales. - frl,
fibres
arciformes rétro-trigéminales. - Fit, faisceau la
ciformes rétro-trigéminales. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - fpo,
fibres
pré-olivaires. - Fs, faisceau solitaire. - Nab,
niveau de l'entre- croisement sensitif. contient de nombreuses
fibres
longitudinales réunies en fascicules denses et
par de minces trabécules gris et croisés par d'épais fascicules de
fibres
arciformes provenant du corps restiforme. 2° Da
mation duquel concourt la grande majorité mais non la totalité des
fibres
de la couche inter-olivaire (SRa cio). Les fibr
n la totalité des fibres de la couche inter-olivaire (SRa cio). Les
fibres
entre-croisées se portent t en dehors et en arr
rsent toute la formation réticulée grise dont elles constituent les
fibres
arciformes, puis se rendent dans les noyaux des c
rièr CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCEPHALE. : : 67 couche de
fibres
longitudinales à surface de section triangulaire,
. - Crst, corps restiforme. - Flt, faisceau latéral du bulbe. - fil',
fibres
interré- üculées. - Fs, faisceau solitaire. - Y
e décapitée. la future corne antérieure de la moelle cervicale. Les
fibres
longitudinales s se concentrent de plus en plus
à 453, p. 687 à 689), la formation réticulée est très réduite. Les
fibres
non entre-croisées de la formation réticulée bl
(Ca) de la moelle. Quant à la formation réticulée grise (SRg), ses
fibres
longitudinales se continuent avec le cordon antér
o. - rsd, grosse racine sensi- tive descendante du trijumeau. - Il,
fibres
radiculaires du nerf spinal. · CONFIGURATION IN
facial et trijumeau, faisceau faisant suite d'après cet auteur aux
fibres
qui enveloppent l'extré- mité supérieure de l'o
s le thalamus en passant au-dessous des corps genouillés ; quelques
fibres
atteindraient la couronne rayonnante. L'autre fai
e ruban de Reil reçoit enfin, de la voie pédonculaire, le système des
fibres
aberrantes (p. 543). Les trois groupes de fibre
re, le système des fibres aberrantes (p. 543). Les trois groupes de
fibres
que nous avons désignés sous les noms de pes lem-
oms de pes lem- niscus superficiel, de pes lemniscus profond, et de
fibres
aberrantes protubérantielles ont reçu des diffé
oire disséminé (Bechterew); pédoncule du locus niger (Meynert). Les
fibres
aberrantes protubérantielles (Dejerine) ont reçu
nue avec les faisceaux sous-olivaires, c'est-à-dire avec toutes ces
fibres
qui forment le faisceau latéral ou inter- média
ui, le terme de faisceau latéral du bulbe n'est guère appliqué qu'aux
fibres
qui occupent la périphérie du bulbe entre le co
entre-croisement sensitif, bien que la destination ultérieuie de ses
fibres
fût encore problématique; pour les uns (Iluguen
encore problématique; pour les uns (Iluguenin, Roller, Flechsig) les
fibres
des noyaux des cordons postérieurs se rendaient
lbaires; et de là, dans le corps restiforme par l'intermédiaire des
fibres
arciformes externes du bulbe; pour Meynert, ell
se servant de la méthode des coupes microscopiques sériées, que les
fibres
des noyaux des cordons postérieurs et de l'entr
e des pyramides, se plaçaient, dans la protubérance, en arrière des
fibres
transversales du pont, dans le pédoncule, en ar
, l'inexactitude de l'hypothèse de Meynert sur la participation des
fibres
des noyaux des cordons postérieurs à la constit
de la même méthode (chez un foetus de 8 mois), la continuation des
fibres
de l'entre-croisement sensitif avec la couche int
s cordons postérieurs de la moelle épinière, contribue à former les
fibres
arciformes internes de la partie inférieure du
stérieurs aux confins des corps restiforme et juxta-restiforme, les
fibres
arciformes interréticulées, la partie supérieure
ux noyaux des cordons postérieurs. - Crsl, corps restiforme. - fas,
fibres
arciformes superficielles. - feb, fibres arcifo
, corps restiforme. - fas, fibres arciformes superficielles. - feb,
fibres
arciformes cérébello-olivaires. - fio, feutrage i
s arciformes cérébello-olivaires. - fio, feutrage intra-olivaire. )-,
fibres
arci- formes interréticulées, provenant des noy
- 1 ·scl, grosse racine sensi- tive descendante du trijumeau. - X,
fibres
radiculaires du nerf vague. - XII, fibres radi-
cendante du trijumeau. - X, fibres radiculaires du nerf vague. - XII,
fibres
radi- culaires de l'hypoglosse. de Rolando (S
postérieure irrégulièrement l dentelée est entourée d'une couche de
fibres
longitudinales, d'abord mince CONFIGURATION INT
n bas, où elles sont complètement séparées l'une de l'autre par les
fibres
des cor- dons postérieurs. Le noyau de Burdac
tache un petit noyau irrégulièrement déchiqueté, plongé au sein des
fibres
du cordon postérieur el uui à la masse principa
ordon de Goll. - Cl, cordon latéral. - Coa, corne antérieure. fil',
fibres
arc[formes interréticulées. - Fit, faisceau latér
eau. - xpin, entre-croisement piniforme ou sensitif du bulbe. - XI,
Fibres
radiculaires du spinal. , Le 1103 au de liur-
e Goll. Les conne\ ions des noyaux de Goll et de Burdach et les
fibres
arciformes loterré- tictilées de la partio
mplantation; elle est. entourée en cupule par une épaisse couche de
fibres
du cordon posté- rieur qui la sépare, en dedans
à H 21, Fig. 403 et 419 à 451, p. 685 à 687) d'épais fascicules de
fibres
qui rayonnent dans le cordon de Burdach (coupes
n'est séparée de la périphérie du bulbe que par une mince couche de
fibres
longitudinales et qui est reliée à la substance
ur aspect; dans le noyau de Goll, la sub- slance grise et les fines
fibres
qui le sillonnent sont uniformément dissémi- né
upesH16,H1'7,Fib.400 et370, p ? 3S) entourés d'un dense feutrage de
fibres
fortement colorées par la laque hématoxylinique.
feutrage de fibres fortement colorées par la laque hématoxylinique.
Fibres
arciformes interréticulées et entre-croisement pi
rdach sont en outre les noyaux d'origine le l'important système des
fibres
arciformes internes de la partie inférieure lu
des fibres arciformes internes de la partie inférieure lu bulbe, ou
fibres
arciformes inlernetictclées (fir). Ces dernières
u ra- pliC(coupesHl2 etH13, Fig. H2 et ! 4.3,p.Gï` ? ,Gii); ses
fibres
se distinguent net- tement des autres fibres
3,p.Gï` ? ,Gii); ses fibres se distinguent net- tement des autres
fibres
qui s'entre-croisent dans le raphé (fibres ar
t- tement des autres fibres qui s'entre-croisent dans le raphé (
fibres
arciformes cérébello-olivaire) fibres arciformes
entre-croisent dans le raphé (fibres arciformes cérébello-olivaire)
fibres
arciformes dorsales), grâce à leur forte colora
aigu. Couche interolivaire (SR, cio). - Après leur décussation, les
fibres
de l'entre-croisement piniforme se portent en a
if du bulbe. Méthode de Weigert-Pal. 1a/1 grandeur nature. f.Vl3,
fibres
du noyau de Burdach concourant à for- mer les f
ture. f.Vl3, fibres du noyau de Burdach concourant à for- mer les
fibres
arciformes interréticulécs (fil'). - Ca. cordon
les la couche inter-olivaire ; elles se mélangent en effet avec des
fibres
d'origines variées dont les unes proviennent de
9 et 532), en dehors au noyau juxta-olivaire in- terne (Noi) et aux
fibres
radiculaires de l'hypoglosse (XII), en arrière au
ux fibres radiculaires de l'hypoglosse (XII), en arrière aux autres
fibres
de la formation réticulée blanche (coupes Hll à H
uche interolivaire est traversée et cloi- sonnée par les nombreuses
fibres
arciformes des parties moyenne et supé- rieure
ses fibres arciformes des parties moyenne et supé- rieure du bulbe,
fibres
qui appartiennent, pour la plupart, au système de
bulbe, fibres qui appartiennent, pour la plupart, au système des s
fibres
cérebello-olivaires (fcb, coupe H10, Fig. 367, p.
du trijumeau (coupes, H4, H5, H6, Fig. 396, 405, 365). Adossé aux
fibres
du stratum profundum (Strp), il sépare l'étage an
lobé, situé en avant et au-dessus du noyau du facial, en dehors des
fibres
radicu- laires de la VIe paire, et connu sous l
les coupes horizontales, le ruban de Reil forme ainsi une couche de
fibres
aplatie d'avant en arrière, désignée par Reiche
RHOMBENCÉPHALE. 377 et de la décussation piniforme cl comprend des
fibres
ascendantes, ver- icales, sectionnées, par cons
érébelleuse, l'embole et l'entre-croisement des noyaux du toit. Les
fibres
semi-circulaires externes et internes du cervelet
restiforme. - 7 ? ), faisceau longitudinal postérieur. - fsme, fsmi
fibres
semi-circulaires externes et internes du cervelet
gn, substance gélatineuse de Rolando. Slis, Slrc, Strp, couches des
fibres
transversales superficielles, moyennes et profond
tué en avant et en dehors de l'olive protubérantielle, est formé de
fibres
sectionnées obliquement ou horizon- talement ;
tionnées obliquement ou horizon- talement ; il est alimenté par les
fibres
du corps trapézoïde (Tr) et de l'olive protubér
ustique centrale; mais il reçoit de la formation réticulée quelques
fibres
longitudinales qui occupent la périphérie rétro
nt de la moelle épinière; il est renforcé probablement par quelques
fibres
du ruban de Reil médian. Les deux faisceaux d
trajet protubérantiel, ils sont renforcés par un apport incessant de
fibres
qui leur proviennent soitde la formation réticu
H3. Fig. 395 et 362). Ces fascicules appartiennent au sys- tème des
fibres
aberrantes de la voie pédonculaire , et occupent,
nnent du pes lemniscus superficiel, du pes lemniscus profond ou des
fibres
aberrantes protubérantielles, les parties interne
ils envoient, en effet, à ce faisceau un con- tingent important de
fibres
. Le ruban de Reil laléral, facile à distinguer
ban de Reil laléral, facile à distinguer grâce à l'obliquité de ses
fibres
, n'est plus situé sur la même ligne transversal
t la face latérale du tronc encéphalique et y forme cette couche de
fibres
obliques désignée par les anciens anatomistes s
ntérieure, reliée au ruban de, Reil médian par un mince pédicule de
fibres
. Les fibres, d'obliques quelles étaient, devien
eliée au ruban de, Reil médian par un mince pédicule de fibres. Les
fibres
, d'obliques quelles étaient, deviennent vertica
artie externe du noyau rouge (NR) et se fusionne avec la capsule de
fibres
(CNR) qui entoure ce noyau, et dont l'extrémité
du pied du pédoncule cérébral (P) et du locus niger (Ln). Quelques
fibres
se terminent dans le tubercule quadrijumeau ant
orte en arrière; son extrémité postérieure s'épaissit et s'unit aux
fibres
cortico- quadrigéminales postérieures qui font
dans la région tous- optiquc 80 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
croisant le ruban de Reil dans les régions pé
terne du thalamus (Ne) autour du centre médian de Luys (Nm). Aucune
fibre
ne se rend directement dans la capsule interne.
ous-optique, le ruban de Reil est tra- versé par un grand nombre de
fibres
horizontales curvilignes d'origines très variée
de la formation réti- culée. Les unes appartiennent au système des
fibres
corlico-quadrigémi- nales postérieures (coupe n
es représentent une forma- lion surajoutée, peut-être un système de
fibres
prenant son origine ou se terminant dans le loc
longitudinal supérieur de Stieda; Hinteres LangsbÜndel de Meynert;
fibres
spinales des régions postérieures (Luys); bord
; il forme de chaque côté de la ligne médiane un petit faisceau de
fibres
fortement colorées par la laque héma- toxyliniq
la partie supérieure du bulbe, grâce à l'intense coloration de ses
fibres
par la laque hématoxylinique, à la densité de s
rieure et externe comprend sur les coupes horizontales obliques des
fibres
section- nées perpendiculairement à leur axe; s
erpendiculairement à leur axe; sa parlie interne et inférieure, des
fibres
sectionnées parallèlement; ces dernières forment
le du noyau rouge dont le délimitent d'au- tant mieux les élégantes
fibres
arciformes de l'entre-croisement dorsal de la c
ont il se distingue toutefois par la coloration plus intense de ses
fibres
par la laque hématoxylinique. Il con- serve cet
alolle (Nrt), à une petite masse ovalaire limitée en arrière parles
fibres
arciformes profondes (fad), et séparée du faisc
es (fad), et séparée du faisceau de même nom du côté opposé par les
fibres
sagittales du raphé. En dehors, le faisceau lon
aré du noyau réticulé de la calotte par une couche assez épaisse de
fibres
longitudinales, dont il se dislingue néanmoins .
ne. Celte fusion s'opère dès que le genou et le segment externe des
fibres
radiculaires du facial apparaissent sur les cou
l'on considère des coupes plus inférieures. Le noyau (1\Tm) et les
fibres
radiculaires de la VIe paire limitent en dehors l
rant plus haut dans la constitution du ruban de Reil latéral. fsme,
fibres
semicirculaires externes du cervelet. Y ? noyau
meau. - l'd, petite racine motrice descen- dante du trijumeau.' 1 ?
fibres
du raphé se rendant dans les noyaux du trijumeau.
a capsule de l'olh c bult,ar('. dernière, il est sillonné par des
fibres
arciformes qui le traversent, le limitent en ar
ou moins nettement délimité. Il est complètement fusionné avec les
fibres
de la formation réticulée blanche. Il occupe la
sur les coupes sagittales ou vertico-transver- sales-de suivre les
fibres
les plus postérieures de ce faisceau jusque dans
ou pédonculaire de son trajet, il se fusionne complètement avec les
fibres
longitudinales de la formation réticulée; l'étu
G2G), il est séparé en avant, du ruban de Reil médian (Rm), par les
fibres
horizontales supérieures du corps trapézoïde (Tr)
té cérébrale. C. Il. Soc. - Biologie, 1895, p. 285. -DES Mêmes. Les
fibres
aberrantes de la voie pédonculaire, XIII' Con-
ça, cordon antérieur. - Cp, cordon postérieur de la moelle. - fai,
fibres
arciformes internes du bulbe. Ilp, faisceau longi
ues (Np), dans lesquels apparaissent sur les coupes suivantes les
fibres
lon- gitudinales de la voie pédoncu- laire.
tte est fusiforme et atteint sa plus grande largeur ric. 400. - Les
fibres
du raphé, les stries acoustiques et le noyau du
r nature. Méthode de Weigert-Pal. Cp, cordons postérieurs.- j'ai,
fibres
arciformes internes formant l'entre-croisement
eau longitudinal dorsal. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. ?
fibres
du laphé s'étendant dans l'étage an- térieur de
lbe. -xpin, entre-croisement piniforme ou sensitif du bulbe. zur,
fibres
sagittales du raphe. Syc, substance grise centr
bérantiel. Dans la région protubérantielle, elle est formée par les
fibres
sagittales du mphé (1') qui s'étendent d'arrièr
nses, qu'elles permettent à peine d'apercevoir la.section des fines
fibres
transversales de l'entre-croisement du corps trap
e-croisement du corps trapézoïde. Au-des- sous du ,trou borgne, les
fibres
sagittales appartiennent aux stries acoustiques
de noyau du raphé. La calotle bulbaire contient déjà la section des
fibres
longitudinales les plus internes de la formatio
ongitudinal postérieur (Flp); fusionnés en bas, ces deux groupes de
fibres
de la formation réticulée blanche divergent en ha
ivergent en haut et l'on voit apparaître dans leurs interstices les
fibres
sagittales du raphé bulbaire (r). Les faisceaux
(xPy), appartiennent à Ventre-croise- ment piniforme (xpin) et aux
fibres
arciformes internes (t'ai) du bulbe. Sur la cou
direc- tement avec le faisceau pyramidal du bulbe et segmententles
fibres
transversales de l'étage antérieur de la protub
e à ses gros fascicules sectionnés transversalement et entourés .de
fibres
longues plus ou moins onduleuses. La couche inl
ssé à la substance grise, et duquel se détachent un grand nombre de
fibres
arciformes (fai), le noyau du cordon de Goll (N
u cordon de Goll (NCG), avec son extrémité effilée, entouré par les
fibres
du cordon postérieur de la moelle (Cp). Le noya
ur. ' 1 cEp, crête épendymaire tapissant l'écorce du nodule. - fai,
fibres
arciformes internes ou interréliculéesdu bulbe.
arciformes internes ou interréliculéesdu bulbe. Fl'oa, FPom, Pl'op,
fibres
protubérantielles antérieures, moyenne» et post
u faisceau solitaire. 59fi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. quelques
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs). Quant a
rmée du bulbe, la formation réticulée est croisée par de nombreuses
fibres
arciformes internes ou interréticulées (fai) qui
s le stratum profundum (Strp), et sépare nettement les faisceaux de
fibres
transversales. Dans le stratum superficiale (St
rance, mais en est séparée par une couche très dense et compacte de
fibres
transversales qui forment le revêtement du pont
ue sur la coupe S 2; elle est seulement plus petite. Une capsule de
fibres
enchevêtrées, fortement colorées par la laque h
o-protubérantiel, le noyau moteur bilobé du nerf facial (Nvin). Les
fibres
longitudinales de la formation réti- culée (SR)
téressée. Elle est sillonnée dans toute sa hauteur bulbaire par les
fibres
arciformes sectionnées très obliquement. Les supé
plus colorées par l'hématoxyline, appartiennent déjà au système des
fibres
arciformes céré- bello-olivaires ; les inférieu
érieure du bulbe, et l'on voit s'en détacher de longs fascicules de
fibres
qui peuvent être suivis jusqu'au-dessous du noyau
che centrale augmente subitement : 1° par l'apport considérable des
fibres
fournies par les pédoncules cérébelleux supérieur
t à la substance blanche des hémisphères un important contingent de
fibres
, et sur les coupes qui passent immédiatement en
ractéristique, qu'elle doit, en outre, à l'apport, considérable des
fibres
fournies par le pédoncule cérébelleux moyen.
- Eca, grand entre-croisement commissural antérieur du vermis. - fcb,
fibres
arciformes cérébelto-olivaires. - : feue, faisc
calotte. fc</, faisceau céré- belleux direct. Fl'oa, FPom, FPop,
fibres
protubérantielles antérieures, moyennes et posté-
s, moyennes et posté- rieures de l'étage antérieur du pont. - fsme,
fibres
semi-circulaires externes du cervelet. - Lig, f
culaire. - VT, -valvule de Tarin. - V,, quatrième ventricule. - VII,
fibres
radiculaires du nerf facial. 604 ANATOMIE DES
n avant et au-dessus du noyau sphérique (Ngl) est recouvert par les
fibres
semi-circulaires externes (fsme) du cervelet et r
sté- rieure du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs), ainsi que les
fibres
senzi-circu- laires internes (fsmi, coupe S 5,
céphalique n'est représenté que par sa partie protubérantielle. Les
fibres
dela couche superficielle du pont sont encore plu
plus denses, plus compactes que sur la coupe précédente ; quelques
fibres
commencent déjà à s'infléchir et à être section
ment à leur axe (coupe S 5, Fig. 413); elles appartiennent déjà aux
fibres
(Voyez Coupes horizontales, séries H et C, Fig. 4
ig. 412) on trouve, en arrière de l'étage antérieur, la section des
fibres
longitudinales du ruban de Reil médian (Rm) etc
m) etcellede la formation réticulée (SR), limitées en arrière par les
fibres
parallèles fortement colorées par l'hématoxylin
ormation réticulée (SR) se trouve un amas gris irrégulier, riche en
fibres
à myéline et qui représente la partie supérieur
partie inférieure de la calotte protubérantielle appartiennent aux
fibres
radiculaires du nerf moteur oculaire externe (V
section partielle de la substance gélatineuse de Rolando (SgR). Les
fibres
longitudinales G06 ANATOMIE DES CENTRES NERVE
ers (ND) borde en avant la cavité du quatrième ventricule (V,J. Les
fibres
transversales qui sillonnent la calotte FiG. 41
h, la branche horizontale de l'arbre de vie médian. - FPoa, FPop, les
fibres
transver- sales antérieures et postérieures de
érieures de l'étage antérieur de la protubérance. - fsme, fsmi, les
fibres
semi-circulaires externes et internes du cervelet
IIIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 607 bulbaire appartiennent au système des
fibres
arciformes internes cérébello-oli- vaires qui s
umeau, (Vsd) qui se présente sous l'aspect d'un faisceau compact de
fibres
, situé en avant du pédoncule cérébelleux inféri
dont le pédoncule cérébelleux inférieur (Pci) se continue avec les
fibres
semi-circulaires externes (fsme) du cervelet. Ces
Pal. 2/1 grandeur nature. Crst, corps restiforme. - FPoa, FPop, les
fibres
transversales antérieures et postérieures de la
ansversales antérieures et postérieures de la protubérance. - fsme,
fibres
semi-circulaires externes du cervelet. - Rem, noy
on- cule cérébelleux inférieur, sa continuation en arrière avec les
fibres
semi-circulaires externes du cervelet et en bas
oncule cérébelleux supérieur dans la région du hile de l'olive, les
fibres
les plus externes du pédoncule céré- belleux su
t juxta-ventriculaire (l'cs) se trouvent sectionnées en arrière des
fibres
transversales profondes de la protubérance. - cl'
eutrage intra-ciliaire, le pédon- cule cérébelleux inférieur et les
fibres
semi-circulaires externes du cervelet. - Coupe
ert-Pal. 2/1 grandeur nature. fie, feutrage intra-ciliaire. - fsme,
fibres
semi-circulaires externes du cervelet. - nh, nid
formé en grande partie par le pédoncule cérébelleux supérieur, des
fibres
semi-circulaires externes (fsme), situées en arri
du trijumeau (Nvm), et on voit s'en détacher de gros fascicules de
fibres
appartenant à la racine motrice ou nerf mas- ti
, les feutrages mira et extra-ciliaire, le feutrage sous-lobaire, les
fibres
semi- circulaires externes du cervelet, le pédo
ÉTUDE TOPOGR'APHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 613 en vaisseaux et en
fibres
entre-croisées dans tous les sens ; c'est le corp
. A la surface extérieure de l'olive, on trouve une mince couche de
fibres
entre-croisées dans tous les sens qui comblent
itié supérieure de la toison, enfin, est tapissée par une couche de
fibres
courbes à direction sagittale et qui appar- FiG
' les feutrages intra-ciliaire, extra-ciliaire et sous-lobaire, les
fibres
semi-circulaires externes du cervelet et le péd
fie, feutrage intra-ciliaire. - fsl, feutrage sous-lobaire. - fsme,
fibres
semi-circulaires externes du cervelet. - Oc, oliv
acial. 614 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. tiennent à la couche des
fibres
semi-circulaires externe (fsme) du cervelet; - on
ntrale de l'hémisphère cérébelleux est constitué par un feutrage de
fibres
entre-croisées dans tous les sens, qui sépare l
eutrage de fibres entre-croisées dans tous les sens, qui sépare les
fibres
différenciées (fibres semi-circulaires externes,
e-croisées dans tous les sens, qui sépare les fibres différenciées (
fibres
semi-circulaires externes, toison) de la base d
ntre ovale de l'hémisphère cérébral, et contient comme celle-ci des
fibres
d'association, des fibres de projection et des
cérébral, et contient comme celle-ci des fibres d'association, des
fibres
de projection et des fibres commissurales. En r
celle-ci des fibres d'association, des fibres de projection et des
fibres
commissurales. En résumé, il résulte de l'étude
bral fait suite à la capsule interne et qu'elle ne contient que des
fibres
de projection du manteau cérébral (T. II, p. 73).
insi qu'il celle de la dissociation de la voie pédonculaire par les
fibres
transversales de la protubérance. Les coupes Hl
sommet de l'espace interpédonculaire, la lèvre infé- rieure par les
fibres
transversales superficielles de la protubérance.
622 à 631 et Fig. 323 à 328, p. 619 à 661). Comme d'autre part, les
fibres
transversales supérieures de la protu- bérance
gne médiane un niveau plus élevé que sur les parties latérales, ces
fibres
protubérantielles ne se trouvent intéressées qu'à
. 419). La plus élevée des quatre coupes : elle passe au-dessus des
fibres
transversales de la protubérance, intéresse le pi
chure dans le quatrième ventricule. Pied du pédoncule cérébral. Les
fibres
du pied du pédoncule ou de la voie pédonculaire
cicules ne suivent pas la direction longitudinale de la plupart des
fibres
de la voie pédonculaire. mais s'infléchissent en
s se portent en dehors et en arrière, masquant en grande partie les
fibres
longitudinales de la formation réticulée (SR).
s'effectue par deux faisceaux de volumo fort inégal. La plupart des
fibres
(xiPcs) s'entre-croisent en fascicules presque
t du faisceau longitudinal postérieur (Flp) et se continue avec les
fibres
les plus internes du pédoncule cérébelleux supé
/1 grandeur nature. Flp, faisceau longitudinal postérieur. - Fl'oa,
fibres
protubérantielles antérieures appa- raissant da
rijumeau. VI', voie pédonculaire. - li, quatrième ventricule. - Il,
fibres
radiculaires des nerfs pathé- tiques. - xIV, le
l'ori- gine, ni sur la terminaison, ni sur le trajet ultérieur des
fibres
du petit entre- croisement supérieur dont l'exi
en grande partie masquée sur cette coupe par l'entre-croisement des
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur, elle n'est
. Le ruban de Reil médian (Rm) apparaît comme une bande compacte de
fibres
qui s'étend du raphé et du ganglion inter-pédon
ituée par l'entre-croise- ment des nerfs pathétiques (xIV) dont les
fibres
radiculaires sectionnées parallè- lement à leur
nt la partie supérieure de la valvule de Vieussens et les premières
fibres
traces- versales de la protubérance qui s'enfon
t s'accolent au ruban de Reil médian (Rm) en formant le système des
fibres
aberrantes de la voie pédonculaire, sont ici pl
donculaire, et partant le trou borgne supérieur, est comblée par les
fibres
trains- versales de la protubérance qui s'entre
aire commence sa partie interne et pro- fonde et s'effectue par les
fibres
transversales profondes du pont (FPop). La couche
ar les fibres transversales profondes du pont (FPop). La couche des
fibres
transversales superficielles (FPoa) est ici encor
a moitié interne de la face superficielle du pied du pédoncule. Les
fibres
transversales profondes atteignent par contre p
iG. 421. - Pied du pédoncule cérébral en particulier dissociation des
fibres
du stra- tum intermedium et du pes lemniscus pr
ibres du stra- tum intermedium et du pes lemniscus profond, par les
fibres
transversales du pont et leur adossement au rub
central de la calotte. Flp, faisceau longitudinal postérieur.- FPoa,
fibres
protubérantielles antérieures. - FPop, fibres p
al postérieur.- FPoa, fibres protubérantielles antérieures. - FPop,
fibres
protubérantielles postérieures. - Gip, ganglion
il médian; les fascicules arrondis qu'il contient appartiennent aux
fibres
aberrantes de la voie pédonculaire. - Sge, substa
motrice descendante du trijumeau.- 171>, la voie pédonculaire, ses
fibres
horizontales et les fascicules dissociés de sa
0) toute l'étendue sagittale du raphé, mais un très grand nombre de
fibres
croisées se concentrent en dehors et en arrière
eures de la calotte, au voisinage du ruban de Reil médian (Rm), les
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur (Pes) sont plu
e son bord concave, ce qui permet de distinguer très nettement les-
fibres
longitudinales de la formation réticulée (SR).
les de la formation réticulée (SR). FiG. 422. - La dissociation des
fibres
du pied du pédoncule cérébral par les fibres tr
2. - La dissociation des fibres du pied du pédoncule cérébral par les
fibres
transversales profondes du pont. La calotte péd
la calotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FPoa, FPop,
fibres
transversales* antérieures et postérieures de la
ue côté du raphé, le noyau central supérieur (Ncs) ; en dehors, les
fibres
fortement colorées du faisceau central de la ca
, antérieure et volumineuse, le ruban de Reil zuédiazt(llm), formé de
fibres
fines réunies en faisceaux compacts, au milieu
(RI), de l'extrémité postérieure duquel se détachent de nombreuses
fibres
obliques qui se portent en arrière, recou- vren
u ruban de Reil latéral (RI) est volumineuse et ne contient que des
fibres
sectionnées perpendiculairement à son axe; elle s
et l'entre-croisement des nerfs pathétiques. Étage antérieur. - Les
fibres
transversales de la protubémnce sont infiniment
ravers ou en arrière de la voie pédonculaire, on les dis- tingue en
fibres
transversales antérieures (Strs), fibres transver
ire, on les dis- tingue en fibres transversales antérieures (Strs),
fibres
transversales moyennes ou intermédiaires (Strc)
res (Strs), fibres transversales moyennes ou intermédiaires (Strc),
fibres
transversales postérieures de la protubérance (St
res transversales postérieures de la protubérance (Strp). Entre les
fibres
transversales profondes (Strp), on rencontre au v
les très dissociés de la voie pédonculaire; ils appar- tiennent aux
fibres
externes du pied du pédoncule cérébral, au faisce
s des tiers moyen et inférieur de la protubérance, et la couche des
fibres
transversales profondes du pont y est de ce fai
fait plus épaisse. ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 623 Les
fibres
transversales moyennes (Strc) sont très nombreuse
ntielle supérieure; la voie pédonculaire et sa dissociation par les
fibres
transversales du pont. - Le pédon- cule cérébel
t le plus souvent la partie pos- térieure et interne du pont. Les
fibres
transversales antérieures (Strs) passent en avant
- phérie du pont au niveau des bourrelets pyramidaux. Ce sont les
fibres
transversales antérieures (Strs) qui sur cette co
belleux moyen (Pcm), réduit encore à une mince mais dense couche de
fibres
, qui occupe la partie latérale de l'étage antérie
rieur et qui est encore sans connexion aucune avec le cervelet. Les
fibres
transversales moyennes (Strc) se terminent brus
bas dans la constitution du pédoncule cérébelleux moyen. Quant aux
fibres
transversales profondes (Strp), elles atteignent
e coupe le sillon latéral de la protubérance. Un grand nombre des
fibres
transversales de la protubérance s'entre-croisent
'entre-croisementdes pédoncules céré- belleux supérieurs (Pcs). Les
fibres
croisées de ces pédoncules occupent les par- ti
médian (Rm), et qui se trouve sil- lonné par de nombreuses et fines
fibres
arquées qui tirent leur origine de la for- mati
la for- mation réticulée de la calotte (SR) ou s'y terminent. Les
fibres
arquées, qui occupent sa partie antérieure sont p
au corps trapézoïde (Voy. Tr, Fig. 456, 630). Une étroite rangée de
fibres
longitudinales limite le noyau central supérieur
en dehors et le sépare d'un segment de formation réticulée, pauvre en
fibres
et désigné quelquefois sous le nom de segment e
des noyaux d'origine ou de termi- naison de certaines catégories de
fibres
du ruban de Reil médian, et du corps trapézoïde
continue à angle droit avec le ruban de Reil latéral (RI) dont les
fibres
sectionnées très obliquement, recouvrent ÉTUDE
e-croisement des nerfs pathétiques (IV). Les fasci- cules foncés de
fibres
qui recouvrent le ruban de Reil latéral (RI) en d
art à la dissociation complète de la voie pédonculaire (VP) par les
fibres
transversales de la protubérance, et d'autre part
eur (Pcs) à la partie postérieure de la calotte. Un grand nombre de
fibres
de la voie pédonculaire (VP) se sont épuisées dan
ance grise de l'étage antérieur de la protubérance (SgPo). Les autres
fibres
se groupent en épais fascicules, dissociés par
ibres se groupent en épais fascicules, dissociés par les nombreuses
fibres
toanscer- sales de la couche protubérantielle m
oanscer- sales de la couche protubérantielle moyenne (F Pom). Les
fibres
des couches antérieures (FPoa) et postérieures (F
encore avec la substance blanche du cervelet. Il est traversé par les
fibres
radiculaires du nerf trijumeau (V); la directio
trijumeau (V); la direction oblique et la faible coloration de ses
fibres
par la laque hématoxylinique, permettent de recon
xylinique, permettent de reconnaître facilement ce nerf au sein des
fibres
épaisses et très foncées du pédoncule cérébelleux
ées du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Au niveau du raphé, les
fibres
transversales antérieures ou superficielles (FPoa
elles (FPoa) s'entre-croisent en fascicules presque parallèles, les
fibres
des couches moyennes (FPom) et profondes (FPop)
moitié postérieure du raphé contient en outre un certain nombre de
fibres
sagittales (r), qui parti- cipent il la formati
nce grise qui entoure les fascicules de la voie pédonculaire et les
fibres
transversales de la pro- tubérance, sont partic
ntielle supéiieure. La voie pédonculaire et sa dissociation par les
fibres
transversales du pont. Le pédon- cule cérébelle
rieur. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FPoa, FPom, FPop,
fibres
transversales antérieures, moyennes et postérieur
s', sa partie externe. - NRl, noyau du ruban de Iteil latéral. - r,
fibres
sagittales du raphé. - lil, ruban de Reil latér
GRAPHIQUE DU RHOMBENCEPHALE. 627 Le corps trapézoide (Tr) forme les
fibres
arciformes antérieures de la calotte. Du raphé,
Reil latéral (NR1) . Sur la moitié gauche de la coupe, on voit les
fibres
du corps trapézoïde (Tr) se continuer directement
transversale (Fig. 426), et ainsi s'explique pourquoi ce système de
fibres
n'est intéressé qu'au voisinage du raphé sur la c
loppe la voie pédonculaire, s'in- filtre en nappe épaisse entre les
fibres
transversales, clairsemées, du stratum profundu
super- ficiale (FPoa) qui s'entre-croisent au niveau du raphé. Les
fibres
sagittales du G28 ANATOMIE DES CENTRES NERVEU
ubéranlielle moyenne. La voie pédonculaire, sa dissociation par les
fibres
transversales du pont. Le pédon- cule cérébelle
moyen, son irradiation dans le cervelet et sa continuation avec les
fibres
semi-circulaires externes du cervelet. La formati
e. - Fo, faisceau oblique de la protu- bérance. - FPoa, FPom, FPop,
fibres
protubérantielles antérieures, moyennes et posté-
protubérantielles antérieures, moyennes et posté- rieures. - fsme,
fibres
semi-circulaires externes. Lirl, lingula. - Nrt,
ricule; sur d'autres préparations de cette même région, on voit des
fibres
sagittales émerger de l'épaisseur même du stratum
émerger de l'épaisseur même du stratum superficiale. L'origine des
fibres
sagittales du raphé est fort discutée. Elles ne p
ère enfance, on observe souvent une atrophie simple, indirecte, des
fibres
sag Ut aies du raphé, ainsi que des fibres arci
e simple, indirecte, des fibres sag Ut aies du raphé, ainsi que des
fibres
arciformes de la calotte protubérantielle du côté
opposé. Ce fait conduit à admettre une connexion indirecte entre ces
fibres
et la voie pédonculaire ; les fibres sagittales
connexion indirecte entre ces fibres et la voie pédonculaire ; les
fibres
sagittales du raphé prennent très probablement
e, où l'on voit de nom- breux fascicules onduleux faisant suite aux
fibres
transversales profondes (FPop), intermédiaires
diaires (FPom) et antérieures du pont (FPoa), se continuer avec les
fibres
semi-circulaires externes (fsme) du cervelet. A
xterne du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm), il existe un groupe de
fibres
sectionnées obliquement ou perpendiculairement à
t ou perpendiculairement à leur direction, et séparées du reste des
fibres
du pédoncule cérébelleux moyen par une cloison
ules gris plus abondants que sur la coupe précédente. De nombreuses
fibres
arciformes qui dérivent en partie des fibres sa
cédente. De nombreuses fibres arciformes qui dérivent en partie des
fibres
sagittales du raphé, sillonnent ce faisceau ainsi
live supérieure ou P1'olubél'antielle (Os), entourée en avant par les
fibres
du corps trapézoïde (Tr). Le ruban de Reil mé
dehors, il est mal délimité et se fusionne avec l'étroite couche de
fibres
(Fit) d'origine fort com- plexe, située en avan
stérieurs de la moelle. - Fcc, faisceau central de la calotte. - fin,
fibres
arciformes in- terréticulées du bulbe. Flp, fai
escendante du glosso-pharyngien. en effet surtout alimentée par les
fibres
du corps trapézoïde et par des fibres nées dans
effet surtout alimentée par les fibres du corps trapézoïde et par des
fibres
nées dans l'olive protubérantielle, mais elle c
nées dans l'olive protubérantielle, mais elle contient, en outre, des
fibres
appartenant au faisceau latéral du bulbe, en pa
ral du bulbe, en particulier au faisceau de Gowers (FG) et quelques
fibres
originaires des noyaux du cordon postérieur du cô
de Reil médian (Rm) est traversé dans le sens de sa largeur par les
fibres
du corps trapézoïde (Tr) qui le divisent en champ
orés par la laque hématoxylinique, qui appartiennent au système des
fibres
aberrantes de la voie pédonculaire. Les noyaux
zolezvr(NVm) est constitué par une masse ovalaire en contact avec les
fibres
lon- gitudinales de la formation réticulée (SR)
m). A sa partie antérieure, il existe une sorte de croissant formé de
fibres
sectionnées obliquement et qui appartiennent à
confins de l'angle antéro-externe de la calotte, une partie de ses
fibres
se ter- mine dans le noyau sensitif (NVs), les
a calotte. Cette moitié de la coupe intéresse en outre un groupe de
fibres
à trajet hori- zontal situé en dehors du ruban
ure la face convexe du pédoncule cérébelleux supé- rieur (Pcs). Ces
fibres
appartiennent il un faisceau médullaire, le faisc
vec la voie pédonculaire (VP), les noyaux ponti- ques (SgPo) et les
fibres
transversales superficielles (FPoa), moyennes (FP
ostérieur (Flp) et l'olive supérieure ou protubéranlielle (Os). Les
fibres
radiculaires du trijumeau (V) traversent le pédon
apparaît comme une masse irrégulière contenant un dense feutrage de
fibres
à myéline; sa partie antérieure est occupée par l
iju- meau (Vsd); sa partie postérieure reçoit un petit fascicule de
fibres
qui traverse le pédoncule cérébelleux supérieur
le pédoncule cérébelleux supérieur (Pes) et appartient au système des
fibres
semi- circulaires internes (fsmi) du cervelet.
érantielle moyenne. La voie pédonculaire et sa dissociation par les
fibres
transversales du pont. - La forma- tion réticul
. Les pédoncules cérébelleux supé- rieur, inférieur et moyen et les
fibres
semi-circulaires externes du cervelet. Coupe ho
lotte. - Flp, faisceau longitudinal postérieur. - FPoa, FPom, FPop,
fibres
transversales antérieures, moyennes et postérieur
ostérieures de l'étage antérieur de la protubérance. - fsme, fsme',
fibres
semi-circulaires externes du cervelet. - fsmi,
fsme, fsme', fibres semi-circulaires externes du cervelet. - fsmi,
fibres
semi-circulaires internes du cervelet. - Lig, lin
ngle postéro-externe de la calotte, et qui n'abandonne que de rares
fibres
au noyau sensitif de la V° paire. Sur cette cou
oyau sensitif de la V° paire. Sur cette coupe, on voit en outre les
fibres
sagittales du raphé se porter en dehors, de cha
la partie postéro-interne du noyau sensitif du trijumeau (NVs). Ces
fibres
constituaient pour Meynert une des origines du
du locus cændeus du côté opposé, une autre partie faisait suite aux
fibres
sagittales du raphé, provenait de la voie pédon
rches modernes ne viennent pas à l'appui de cette hypothèse; si ces
fibres
appartiennent réellement à la voie trigéminale,
u pédoncule cérébral et ne se con- tinuant pas directement avec les
fibres
radiculaires du trijumeau. La moitié postérieur
précentral. En dehors et en arrière, il est entouré par de nombreuses
fibres
arci- formes qui font partie des fibres semi-ci
t entouré par de nombreuses fibres arci- formes qui font partie des
fibres
semi-circulaires externes (fsme) du cervelet, se
) et qui contient, dans sa partie antérieure surtout, de nombreuses
fibres
sectionnées perpendiculairement ou obliquement à
ssée au pédoncule cérébelleux inférieur (Pci), contient de nombreuses
fibres
semi-circulaires externes (fsme) qui se portent
(fsme) qui se portent en avant, passent au-dessus ou au-dessous des
fibres
radiculaires du trijumeau (V) et se continuent di
radiculaires du trijumeau (V) et se continuent directement avec les
fibres
transversales profondes (FPop), moyennes (FPom) e
a partie externe du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm) est formée de
fibres
entre-croisées dans tous les sens; sa partie post
ns; sa partie posté- rieure contient les gros fascicules isolés des
fibres
semi-circulaires externes du cervelet (fsme), f
centrale du cervelet. - La voie pédonculaire et ses rapports avec les
fibres
protuhérantielles antérieures et postérieures.-
périeur, inférieur et moyen dans la région du hile du cervelet, les
fibres
semi-circulaires externes du cervelet. z L'entr
l de la calotte. - Flp, faisceau longi- tudinal postérieur. - fsme,
fibres
semi-circulaires externes du cervelet. - fsmi, fi
érieur. - fsme, fibres semi-circulaires externes du cervelet. - fsmi,
fibres
semi-circulaires internes du cervelet. - Nem, b
- Strc, Strp, Strs, couches moyennes, profonde et superficielle des
fibres
transversales de la protubérance. - Tr, corps tra
(VP) se sont rap- prochés et ne sont plus séparés que par de rares
fibres
transversales du stratum complexum (Strc). Les
e plus abondante que sur la coupe précédente. La conti- nuation des
fibres
transversales de la protubérance avec le pédoncul
ossés au ruban de Reil médian (Rm), ce dernier est traversé par les
fibres
horizontales du corps trapézo'ide (Tr) et affecte
l'olive supérieure (Os), la formation réticulée (SR) est pauvre en
fibres
et présente, dans cette région, la partie supérie
de Rolando (SgR); sa partie externe est traversée par les dernières
fibres
radiculaires de la Ve paire. De chaque côté de
ou du facial (Vllg) qui se continue en dehors avec un fais- ceau de
fibres
sectionnées obliquement appartenant au troisième
u facial. La coupe H 6 (Fig. 129) montre le trajet ultérieur de ces
fibres
qui, passant en dedans de la racine sensitive d
ère de substance grise, à laquelle aboutissent un certain nombre de
fibres
semi-circulaires internes du cer- velet (fsmi),
) ; mais le pédoncule cérébelleux in férieur (Pci) s'est épaissi, les
fibres
semi-circulaires externes qui le séparaient du
e par la substance blanche centrale (Sbc) et intéresse la couche de
fibres
qui recouvrent les noyaux du toit et s'entre-croi
1 retrouve comme sur la coupe précédente, les fascicules isolés des
fibres
semi- circulaires externes (fsme) du cervelet;
VIe paire (Nvi) ou noyau du nerf moteur oculaire externe, dont les
fibres
radiculaires décrivent de légères courbes, se dét
ne surface de section semi-lunaire tout à fait caractéristique. Ses
fibres
sont groupées en gros fasci- cules il surface d
rise, la substance gélatineuse de Rolando (SgR), située en dehors des
fibres
radi- culaires du fcccial (VII;). - Les modif
la substance blanche centrale des hémisphères et la disposition des
fibres
semi-circulaires externes (fsme) sont les mêmes
le feutrage ext1'a-ciliaÍ1'e (fec); son sommet se continue avec des
fibres
semi-circulaires externes (fsme) sec- tionnées
pond au hile du cervelet, 638 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. les
fibres
du pédoncule cérébelleux inférieur (Pci) se coude
et S 7, Fig. 604 et 60a), et ainsi s'explique le très grand nombre de
fibres
cou- pées en travers que contient sur cette cou
blanche centrale du cervelet. - Les trois pédoncules cérébelleux, les
fibres
semi- circulaires externes et internes du cerve
utrage intra-ciliaire. - Flp, faisceau longitunal postérieur. - fsme,
fibres
semi-circulaires externes. - fsmi, fibres semi-
tunal postérieur. - fsme, fibres semi-circulaires externes. - fsmi,
fibres
semi-circulaires internes du cervelet. - ND, noya
I ! , formation réticulée de la calotte. S<<'e, Strp, Strs, les
fibres
transversales moyennes, profondes et superficie
facial. -NI71, noyau d'origine du nerf moteur oculaire externe. - VI,
fibres
radiculaires du moteur oculaire externe. ÉTUD
l'autre par Y entre- croisement des noyaux du toit (xNt), dont les
fibres
contournent, après leur entre-croisement, la face
eur (Pcs) en fascicules onduleux et enchevêtrés, et constituent les
fibres
semi-circulaires internes (fsmi), du cervelet. En
sinage et au-dessous du sillon bulbo-protubérantiel. Une partie des
fibres
semi-circulaires internes (fsmi) s'épuise dans la
oupe passe au-dessus du sillon bulbo- protubérantiel, intéresse les
fibres
inférieures de la protubérance, le noyau du fac
(Nvn), le nerf vestibulaire (VlIIv), l'olive supérieure (Os) et les
fibres
radiculaires du nerf moteur oculaire externe (Vle
di, qui mérite dès à présent le nom de fais- ceau pyramidal. Aucune
fibre
protubérantielle transversale ne le traverse, mai
ibre protubérantielle transversale ne le traverse, mais beaucoup de
fibres
passent encore en avant, et en arrière de lui. El
tubé- rantielle (Os). 11 est séparé de celui du côté opposé par les
fibres
sagittales du raphé (r) et par une étroite band
postérieur (Flp). Le ruban de Reil médian (Rm) est traversé par les
fibres
horizontales du corps trapézo'ide (Tr);on les v
trijumeau (Vsd), en 6t0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. arrière des
fibres
transversales profondes du pont (FPop), pour s'ar
rofondes du pont (FPop), pour s'arrêter brus- quement au niveau des
fibres
radiculaires du nerf vestibulaire (VlIlv) au delà
vestibulaire (VlIlv) au delà desquelles il ne peut être suivi. Les
fibres
du corps trapézoïde se coudent dans cette régio
au postérieur du côté opposé. L'ensemble du trajet de ce système de
fibres
est nettement visible sur la coupe vertico-tran
u facial et du moteur oculaire externe, le nerf vestibulaire et les
fibres
semi-circulaires externes du cervelet. - Coupe ho
lon- gitudinal postérieur. - Fit, faisceau latéral du bulbe. fsmi,
fibres
semi-circulaires internes du cervelet. - i\'ci,
e sensitive descendante du trijumeau. - NVI, VI, noyau d'origine et
fibres
radiculaires du nerf moteur oculaire externe. N
ou de son hile dirigé en arrière, se détachent un certain nombre de
fibres
qui traversent radiairement la formation réticulé
lumineux, d'aspect godronné, formé d'îlots de substance grise ; les
fibres
radiculaires du facial qui s'en détachent se port
es au delà de la partie externe du noyau de la VIe paire (Nvi). Les
fibres
radiculaires du facial décrivent dans la région i
au d'origine situé au voisinage du sillon bulbo-protubérantiel, les
fibres
radiculaires se dirigent en arrière et en dedan
facial (NVII), intéresse ses deux segments extrêmes : à savoir, les
fibres
radiculaires à leur sortie du noyau d'origine e
sur la coupe H 7 (Fig. 430); de sa partie interne se détachent les
fibres
radiculaires de la Vie paire (VI) qui traversen
sensitive descendante du trijumeau (Vsd), on trouve un faisceau de
fibres
sectionnées parallèlement à leur axe et qui repré
e fibres sectionnées parallèlement à leur axe et qui représente les
fibres
radiculaires de la branche vestibulaire du nerf
adiculaires de la branche vestibulaire du nerf auditif (VIIIv). Ces
fibres
aboutissent au noyau de Deiters; la majeure par
echerches pratiquées par la méthode de Golgi). Une autre partie des
fibres
du nerf vestibulaire se termine dans la substance
ule cérébelleux supé- rieur (Pcs) et entre dans la constitution des
fibres
semi-circulaires internes (fsmi) du cervelet.
ment limité en arrière et dont la large base contient de nombreuses
fibres
longitudinales sillonnées de fibres hori- zonta
rge base contient de nombreuses fibres longitudinales sillonnées de
fibres
hori- zontales. Les fibres radiculaires du nerf
uses fibres longitudinales sillonnées de fibres hori- zontales. Les
fibres
radiculaires du nerf vestibulaire (VIII) le sépar
le de l'arbre de vie et dans l'axe du lobe central, on aperçoit les
fibres
parallèles de I'e ? t'e-c ? -0 ! se7) : en< co
n< commissural (Eca) qui se con- tinuent de chaque côté avec les
fibres
semi-circulaires externes (fsme) du cervelet. C
ernes (fsme) du cervelet. Celles-ci se disposent en deux groupes de
fibres
presque parallèles, décrivent des courbes régul
nettement fasciculé sur le dense feutrage sous-lobaire (fsl) formé de
fibres
entre-croisées dans tous les sens et qui consti
principale de la substance blanche centrale des hémisphères. Les
fibres
du groupe externe (fsme) se portent en divergeant
rtent en divergeant en avant, et se continuent directement avec les
fibres
transversales antérieures de la protubé- rance
protubé- rance en formant le pédoncule cérébelleux moyen (Pcm); les
fibres
du groupe in- terne (fsme) sont plus courtes, n
nt parallèles sur la moitié droite de la coupe, ces deux groupes de
fibres
semi-circulaires externes affectent une direction
ouchon (Nem) et intéresse le feutrage extra-ciliaire (fec). Ici les
fibres
du groupe externe (fsme) forment en avant un larg
s au grand axe du tronc encéphalique. mg. 432. - Le cervelet; ses
fibres
semi-circulaires externes; ses connexions avec la
ue de la protubérance. - fsl, feutrage sous-lobaire. - fsme, fsme',
fibres
semi-circulaires externes du cervelet. - fsmi, fi
fsme, fsme', fibres semi-circulaires externes du cervelet. - fsmi,
fibres
semi-circulaires internes. - Lqa, Lqp, lobes qu
ans- verse antérieur. - V, nerf trijumeau. nexion intime avec les
fibres
transversales de la protubérance, tandis qu'elles
dis qu'elles s'ef- FiG. 33. - La substance blanche du cervelet; ses
fibres
semi-circulaires externes et leurs connexions a
; ses fibres semi-circulaires externes et leurs connexions avec les
fibres
transversales de la protubérance. - Coupe horizon
otubérance. - fse, feutrage sous-lobaire. - fsme, fsme', fsme", les
fibres
semi-circulaires externes du cervelet. - fsmi, le
sme", les fibres semi-circulaires externes du cervelet. - fsmi, les
fibres
semi-circulaires internes. - aLc, axe du lobe c
hémisphère céré- bral et le vermis, où elles se continuent avec les
fibres
de l'entre-croisement commissural (Eca). Les fi
inuent avec les fibres de l'entre-croisement commissural (Eca). Les
fibres
du groupe interne (fsme) sont sectionnées plus
i), dont la partie antérieure contient déjà un très grand nombre de
fibres
coudées et par- tant sectionnées perpendiculair
erticale de l'arbre de vie (bv) et l'axe du lobe central (aLe). Les
fibres
semi-circulaires externes (fsme) se divisent nett
lanche centrale des hémisphères et se continue directement avec les
fibres
transversales du pont en formant le pédoncule c
doncule cérébelleux moyen (Pcm); l'autre, interne (fsme'), dont les
fibres
s'insinuent entre l'olive cérébelleuse (Oc) et l'
is il est traversé par quelques fascicules légèrement onduleux, les
fibres
semi-circulaires internes (fsmi) du cervelet qu
arginal antérieur du cervelet; elle sec- tionne dans la calotte les
fibres
radiculaires du facial (VIIt) et du moteur ocul
ulaires externes et internes du cervelet, leurs connexions avec les
fibres
transversales de l'étage antérieur du pont et ave
céphale, sectionnant le tiers inférieur de la protubé- rance et les
fibres
radiculaires des nerfs moteur oculaire externe et
trage extra-ciliaire. - fie, feutrage intra-ciliaire. - fume, fs7nP',
fibres
semi-circu- laires externes du cervelet. - fsmi
me, fs7nP', fibres semi-circu- laires externes du cervelet. - fsmi,
fibres
semi-circulaires internes du cervelet. - Lqp, lob
on- state deux sortes d'entre-croisements : le postérieur, formé de
fibres
presque parallèles, appartient à l'ent1'e-crois
chacun de ces entre-croisements, se rattache un système spécial de
fibres
semi-circulaires. Les fibres semi-circulaires e
s, se rattache un système spécial de fibres semi-circulaires. Les
fibres
semi-circulaires externes (fsme) font suite al' e
ité postérieure de l'olive cérébelleuse (Oc). Le groupe externe des
fibres
semi-circulaires externes (fsme) se continue comm
s la constitution du pédoncule céré- belleux inférieur (Pci). Les
fibres
semi-circulaires internes (fsmi) procèdent de Y e
trage extra-ciliaire. - fie, feutrage intra-ciliaire. - fsme, fsme' ,
fibres
semi-circu- laires externes du cervelet. - fsmi
me, fsme' , fibres semi-circu- laires externes du cervelet. - fsmi,
fibres
semi-circulaires internes du cervelet. - Lqp, lob
u toit (Nt). De ces noyaux arrondis se détachent un grand nombre de
fibres
fortement colorées par l'hématoxyline, qui s'en
e- croisement des noyaux du toit (xNt), puis se continuent avec les
fibres
semi-cir- culaires internes (fsmi) et traversen
c la face supérieure et la face postérieure des noyaux du toit, les
fibres
de la coupe C 4 se continuent en effet avec cel
colorées par l'hématoxyline ; ils se continuent en dehors avec les
fibres
semi-circulaires externes (fsme) du cervelet et
-ciliaire. - Floc, flocculus. - fsl, feutrage sous-lobaire. - fsme,
fibres
semi-circulaires externes du cervelet. - fsmi,
aire. - fsme, fibres semi-circulaires externes du cervelet. - fsmi,
fibres
semi-circulaires internes. - fl'y, fibres de la p
rnes du cervelet. - fsmi, fibres semi-circulaires internes. - fl'y,
fibres
de la pyramide du vermis. - globule ou noyau sp
i, en dehors, traversent le globule (Ngl) et se continuent avec les
fibres
semi-circulaires internes (fsmi) du cervelet et l
sphérique ou globule (Ngl). Dans la substance blanche centrale, les
fibres
semi-circulaires externes (fsme) se présentent
que sur la coupe précédente : elles se continuent en avant avec les
fibres
transversales du pont, et se réduisent en arrière
faisceau piriforme volu- mineux, sans connexion manifeste avec les
fibres
semi-circulaires externes; à gauche, par contre
loc.ac, flocculus accessoire. - fsl, feutrage sous-lobaire. - fsme,
fibres
semi-circulaires externes. - Lsli, Lsls, les lobe
une mince couche de feutrage extra-ciliaire, la toison (fec), que ses
fibres
. fortement colorées par l'hématoxyline distingu
dernière est presque exclusivement formée par un dense feutrage de
fibres
entre-croisées dans tous les sens, le feutrage so
l'arbre de vie (bh), que l'on rencontre les derniers ves- tiges des
fibres
semi-circulaires externes du cervelet (fsme). Dan
elet (fsme). Dans cette région elles ne contiennent presque que des
fibres
d'association, et décrivent dans leur ensemble
t faisceau - 6'i(i ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. compact dont les
fibres
fortement colorées par la laque hématoxylinique
e dis- tinguent des coupes de la protubérance, 1° par l'absence des
fibres
trans- versales du pont et l'affleurement de la
gauche, elle passe au- dessus de l'olive bulbaire et sectionne les
fibres
transversales du pont (FPoa) qui surplombent le
i- TOMEM. 11. 42 638 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. forme et les
fibres
arciformes cérébello-olivaires. Les faisceaux com
tiel. - Ci, corps juxta-restiforme. CI'st, corps restiforme. - fad,
fibres
arciformes dorsales du bulbe. - fana, fibres arci
rps restiforme. - fad, fibres arciformes dorsales du bulbe. - fana,
fibres
arciformes moyennes du bulbe. Fcc, faisceau cen
au longitudinal postérieur. - Flt, faisceau latéral du bulbe. - FPoa,
fibres
trans- versales antérieures de la protubérance.
FPoa, fibres trans- versales antérieures de la protubérance. - fpt,
fibres
arciformes prétribéminales. - ND, noyau de Deit
la moitié gauche du bulbe sont encore recouvertes par de nombreuses
fibres
transversales, séparées par des traînées de sub
e et qui appartiennent au stratum superficiale du pont. L'union des
fibres
protubérantielles antérieures (FPoa), soit avec l
bulbo- protubérantiel, et par le nerf vestibulaire (VIIIv) dont les
fibres
pénètrent dans les parties latérales du bulbe,
re. Les pyramides antérieures du bulbe, incomplètement séparées des
fibres
trans- versales de la protubérance, contiennent
n'en étant plus séparée comme dans la région protubérantielle par les
fibres
du stratum profundum. A gauche, le faisceau p
ire (Oi), et se continue sans délimitation nette avec une couche de
fibres
sectionnées plus ou moins obliquement qui entoure
e bulbaire et lui constitue une véritable capsule. Si ces dernières
fibres
paraissent être si nombreuses dans cette région
intéresse l'extré- mité supérieure de l'olive et que la capsule de
fibres
est particulièrement épaisse aux deux extrémité
éparé du faisceau lon- gitudinal postérieur (Flp) par une couche de
fibres
beaucoup plus épaisse et dense que sur la coupe
, le noyau du facial (Nvn) intéressé à sa partie infé- rieure ; les
fibres
radiculaires (VII), qui en partent se portent en
acial est nettement visible sur la moitié gauche de la coupe où les
fibres
radiées et arciformes de la formation réticulée s
, la formation réticulée (SR) atteint la péri- phérie du bulbe; les
fibres
longitudinales y sont particulièrement denses et
, fais- ceau complexe et mal délimité qui fait suite à ce groupe de
fibres
situé dans la région protubéranlielle, en avant
'oM6 ? 's; dans la région protubérantielle, il est renforcé par des
fibres
du ruban de Reil latéral et par quelques fibres
st renforcé par des fibres du ruban de Reil latéral et par quelques
fibres
du ruban de Reil médian. Dans la partie fermée du
ouve le corps juxta-resliforme (Cj); sa partie interne est riche en
fibres
longitudinales denses et serrées, qui forment dan
la calotte. Il est complètement séparé du reste du cervelet par les
fibres
horizon- tales du pédoncule du flocculus (PFloc
; c'est un faisceau volumineux, essentielle- ment constitué par des
fibres
longitudinales, mais qui contient déjà à ce nivea
r des fibres longitudinales, mais qui contient déjà à ce niveau des
fibres
horizontales. Ces derniers s'infléchissent en ded
ent en grand nombre de sa partie antérieure etconcourent former les
fibres
arciformes du bulbe. Dans toute la hauteur de s
ire, le corps restiforme abandonne ainsi à la calotte de nombreuses
fibres
arciformes qui décrivent des courbes à concavit
des pyramides et aux olives bulbaires, et constituent le système des
fibres
arciformes superficielles du bulbe et le systèm
ème des fibres arciformes superficielles du bulbe et le système des
fibres
cc·réGello-olivaires. Les premières fibres arci
bulbe et le système des fibres cc·réGello-olivaires. Les premières
fibres
arciformes (fpt) qui se détachent du corps restif
cine sensitive descendante du trijumeau (Vsd) leur a valu le nom de
fibres
arciformes pnélrigé- minales (fpt). Les parti
ne et dorsale de la calotte sont traversées par un autre système de
fibres
arciformes, le système des fibres arciformes moye
raversées par un autre système de fibres arciformes, le système des
fibres
arciformes moyennes (fam) et dorsales (fad). El
détachent pourla plupart du raphé, lequel contient de nom- breuses
fibres
sagittales, dont les connexions avec le noyau arq
otte, tra- versent le faisceau longitudinal postérieur (Flp) et les
fibres
de la formation réticulée situées en avant et e
côté gauche, le corps trapézoïde (Tr) constitue un autre système de
fibres
arciformes ; on voit ses fibres traverser le ruba
(Tr) constitue un autre système de fibres arciformes ; on voit ses
fibres
traverser le ruban de Reil médian (Rm) et le fa
iste dans la moitié droite de cette coupe un faisceau volumineux de
fibres
sectionnées parallèlement à leur axe et fortement
cupe la partie antérieure de la calotte; le nombre et le volume des
fibres
arciformes émises par le corps resti- forme (Cr
on du noyau central inférieur cl )il remplacement par de nombreuses
fibres
longitudinales, particulièrement denses et serrée
ERVEUX. de la pyramide, elle est essentiellement constituée par des
fibres
nerveuses et connue sous le nom de formation ré
formation réticulée blanche (SRa) n'atteint pas sur cette coupe les
fibres
sagittales du raphé particulièrement nombreuses à
mettent par contre d'y reconnaître un certain nombre de systèmes de
fibres
. Cette étude montre; que la couche interolivaire
ette étude montre; que la couche interolivaire comprend surtout les
fibres
du ruban de Reil médian, de là le nom de couche l
ule qui lui est quelquefois donné, et qu'elle contient en outre des
fibres
en connexion avec les cordons antéro- latéraux
a couche inte1'J'éticlllée con- tient, à sa partie postérieure, les
fibres
descendantes et ascendantes du faisceau longitu
ie antérieure de la couche inle1'1'éticlllée con- tient surtout des
fibres
en connexion avec le cordon latéral de la moelle,
surtout des fibres en connexion avec le cordon latéral de la moelle,
fibres
qui se terminent dans le noyau central inférieu
proviennent. La formation réticulée présente sur cette coupe peu de
fibres
radiées, mais elle est traversée par un grand n
u de fibres radiées, mais elle est traversée par un grand nombre de
fibres
arquées ou arciformes de volume variable. Celle
t du noyau triangulaire du nerf vestibulaire (iNVI11v). Ce sont les
fibres
arciformes ])1'0 (ondes ou dorsales (fad) et le
Ce sont les fibres arciformes ])1'0 (ondes ou dorsales (fad) et les
fibres
arciformes moyennes. Les fibres arciformes qui,
0 (ondes ou dorsales (fad) et les fibres arciformes moyennes. Les
fibres
arciformes qui, sur cette coupe, traversent la pa
lorées par la laque hématoxylinique et appartiennent au système des
fibres
arciformes cérébello-olivaires. Elles se portent
ules latéraux du qua- trième ventricule.-Le corps restiforme et les
fibres
arciformes cérébello-olivaires. - Les stries ac
ature. Cj, corps juxta-restiforme. - Crst, corps restiforme. - fad,
fibres
arciformes dorsales. - fas, fibres arciformes s
- Crst, corps restiforme. - fad, fibres arciformes dorsales. - fas,
fibres
arciformes superficielles antérieures du bulbe. -
antérieures du bulbe. - Fcc, faisceau central de la calotte. - fcv,
fibres
cérébello-vestibulaires. - feo, feutrage extra-ol
eo, feutrage extra-olivaire. - fio, feutrage intra-olivaire. - fil,
fibres
arciformes intertrigéminales. (pt, fibres arcifor
ge intra-olivaire. - fil, fibres arciformes intertrigéminales. (pt,
fibres
arciformes prétri- géminales. - fil, fibres arc
intertrigéminales. (pt, fibres arciformes prétri- géminales. - fil,
fibres
arciformes rétrotrigéminales. - Floc, flocculus.
sensitive du trijumeau (Vsd); elles portent de ce fait les noms de
fibres
arciformes prétrigéminales (fpt), inlerll'igémi-
cé- dente, mais il a déjà diminué de volume par suite du départ des
fibres
arciformes,. C'est du reste un fait facile à co
orme diminue à mesure que celui de l'olive bulbaire augmente. Les
fibres
arciformes pî( ? Iî,igén21nales (fpt) n'appartien
dente H8 (Fig. 438), leur position superficielle et appartiennent aux
fibres
arciformes externes ou superficielles du bulbe
riphérie du bulbe, elles passent en avant de l'olive bulbaire (Oi) (
fibres
pré-olivaires), puis se comportent de deux faço
- ficiel passent en avant de la pyramide antérieure du bulbe (Py), (
fibres
prépyrami- dales), et se rendent dans le noyau
dans le noyau arqué des pyramides (Narc) ou se continuent avec les
fibres
sagittales du raphé (r) ; les autres passent entr
aisceau pyramidal (Py), puis abordent de même le noyau arqué ou les
fibres
sagittales du raphé. L'olive bulbaire (Oi) occu
sous le nom de hile de l'olive et qui livre passage à de nombreuses
fibres
arciformes cérébello-olivaires de la moitié opp
eure de la lame olivaire sont tapissées d'un feutrage très dense de
fibres
, fortement colorées par la laque hématoxyliniqu
- ceau pyramidal traitées par la méthode de Marchi à la présence de
fibres
pyra- midales homolatérales superficielles (Voy
arrière, de la capsule de l'olive (feo) que par la direction de ses
fibres
et par leur coloration moins in- tense par la l
ouverte par le noyau arqué (Narc), sa partie antéro-externe par les
fibres
arciformes péri- pyramidales. Formé surtout de
terne par les fibres arciformes péri- pyramidales. Formé surtout de
fibres
sectionnées perpendiculairement ou obliquement
iquement à leur direction, le faisceau pyramidal est sillonné par des
fibres
horizontales plus ou moins onduleuses dont une
es plus ou moins onduleuses dont une partie au moins appartient aux
fibres
arciformes pré-olivaires. Les fibres sagittales
rtie au moins appartient aux fibres arciformes pré-olivaires. Les
fibres
sagittales du raphé (r), particulièrement nombreu
ette coupe et dont les connexions avec le noyau arqué (Narc) et les
fibres
prépara- midales sont des plus manifestes, se c
oustiques (stac) de la coupe précédente H 8 (Fig. 438, p. 657); ses
fibres
sont sectionnées parallèlement à leur direction,
(Crst). C'est une masse allongée de substance grise, sil- lonnée de
fibres
parallèles et horizontales fortement colorées par
ales fortement colorées par l'hématoxyline et qui appartiennent aux
fibres
radiculaires du nerf cochléaire et aux stries aco
du sillon longitudinal médian, par un petit noyau arrondi pauvre en
fibres
à myéline, le noyau des faisceaux arrondis, noy
errés et moins nombreux que sur la coupe précédente. Une partie des
fibres
descendantes de la racine de Roller (racine des
faisceaux du coîI)sjuxta-2,estifoî, ? te (Cj) ont donné naissance aux
fibres
arciformes dorsales ou profondes (fad). En avan
restiforme (Crst) et du corps juxta-restiforme (Cj), on trouve les
fibres
radiculaires du nerf glosso-pha- ryngien ou de
oustique; elle inté- resse la partie moyenne des olives (Oi) et les
fibres
radiculaires du nerf ,rlosso-p7ecayngiea (IX).
tac) sur le plancher du quatrième ventricule et au riche système de
fibres
sagittales du raphé qui aboutissent au noyau arqu
ntra-olivaire s'est beaucoup accru; il ne comprend 'presque que des
fibres
horizontales qui s'irradient dans la lame festo
aversent de part en part, et appar- tiennent surtout au système des
fibres
arciformes cérébello-olivaires (fcb). Au voi- s
u voi- sinage du hile toutefois, il existe un assez grand nombre de
fibres
longitudinales, dont l'origine est encore obscu
ème ventricule. Le corps restiforme, le corps juxta-restiforme et les
fibres
arci- formes cérébello-olivaires. Les stries ac
Crst, corps restiforme. - Fcc, faisceau central de la calotte. fez,
fibres
arciformes cérébello-olivaires. - fit, fibres arc
l de la calotte. fez, fibres arciformes cérébello-olivaires. - fit,
fibres
arciformes intertrigé- minales. fpi, fibres arc
bello-olivaires. - fit, fibres arciformes intertrigé- minales. fpi,
fibres
arciformes prétrigémmales. - frt, fibres arciform
intertrigé- minales. fpi, fibres arciformes prétrigémmales. - frt,
fibres
arciformes rétrotrigé- minales. - Fit, faisceau
s. - Fit, faisceau latéral du bulbe. - Fs, faisceau solitaire. - fsr,
fibres
sagittales du raphé. - Xab, noyau ambigu. - Nar
mprend plus, comme sur les coupes H 8 et H 9 (Fig. 438 et 439), des
fibres
longitudinales, striées de quelques fascicules
s de quelques fascicules horizontaux, mais est surtout constitué de
fibres
sectionnées plus ou moins obliquement et enchev
onnées plus ou moins obliquement et enchevêtrées avec de nombreuses
fibres
longitu- dinales. Les fibres arciformes du syst
ent et enchevêtrées avec de nombreuses fibres longitu- dinales. Les
fibres
arciformes du système céérébello-olivaire (fcb) s
b) se détachent de toute la face interne du corps restiforme et les
fibres
rétrotrigéminales (frt) sont particulièrement n
culièrement nombreuses dans cette région. Cette coupe intéresse les
fibres
radiculaires du cerf glosso-pharyngien (IX), qui
rijumeau (Vsd) et passent en avant du corps restiforme (Crst) ; les
fibres
descendantes du glosso-pharyngien ont augmenté
rieure du noyau de l'hypoglosse (Nxu), le noyau ambigu (Nab) et les
fibres
radiculaires du nerf vague ou pneumogastrique (
el (coupe H8, Fig. 438, p. 657). Toujours on voit s'en détacher des
fibres
arciformes inter (fit) et rétrolrigénzizzales (fr
radient dans le hile de l'olive bulbaire du côté opposé (Oi). Les
fibres
arciformes occupent sur cette coupe toute l'étend
g. 440). Comme sur les coupes précédentes, il existe ici encore des
fibres
arciformes prépyramidales en connexion avec le
an antérieur du bulbe, s'y entre-croisent et se continuent avec les
fibres
sagittales du raphé. La direction de ces fibres e
continuent avec les fibres sagittales du raphé. La direction de ces
fibres
est moins rectiligne que sur les coupes précéde
stries acoustiques (Coupe SI bis, Fig. 409, p. 592); la plupart des
fibres
ne parcourent du reste pas toute la longueur du r
ute la longueur du raphé, mais se coudent et se continuent avec les
fibres
arciformes moyennes ou profondes du bulbe et ai
s ou profondes du bulbe et ainsi s'explique l'aspect enchevêtré des
fibres
du raphé. Les fibres arciformes qui traversent
be et ainsi s'explique l'aspect enchevêtré des fibres du raphé. Les
fibres
arciformes qui traversent la couche inter-olivair
noyau de l'hypoglosse. Le corps restiforme, l'olive bulbaire et les
fibres
arciformes cérébello-olivaires. Les formations ré
ature. Cj, corps juxta-restiforme. - Crst, corps restiforme. - {ad,
fibres
arciformes dorsales. - feo, feutrage extra-oliv
e intra-olivaire. /(/.fibres arciformes intertri- géminales. - fpt,
fibres
arciformes prétrigéminales. - frl, fibres arcifor
tertri- géminales. - fpt, fibres arciformes prétrigéminales. - frl,
fibres
arciformes rétrotri- séminales. - fpo, fibres a
étrigéminales. - frl, fibres arciformes rétrotri- séminales. - fpo,
fibres
arciformes préolivaires. - Fit, faisceau latéral
s travées grises de la formation réticuléegrise(SRg), mais quelques
fibres
plus longues peuvent être suivies jusqu'au corps
litaire (Fs), représenté sur cette coupe par un faisceau compact de
fibres
entourées d'une zone de substance grise. Les
atteint rarement son extrémité inférieure, et est traversé par les
fibres
arci- formes qui abordent la face externe de l'
xterne de l'olive; quelquefois il est interrompu par places par les
fibres
longitudinales de la formation réticulée grise (S
ous forme d'une lame rectiligne, plusieurs fois interrompue par les
fibres
arciformes, et longée soit en dedans, soit en deh
s fibres arciformes, et longée soit en dedans, soit en dehors par les
fibres
radiculaires du nerf hypoglosse (XII). La for
'épaisseur même de la formation, et en- tourés de toute part parles
fibres
longitudinales; ce sont ces amas de substance g
et Laura). La formation réticulée grise (SRg) est plus abondante en
fibres
dans sa partie moyenne; à sa partie externe, en
itive descendante du triju- meau (Vsd), apparaît, plongé au sein de
fibres
longitudinales, un noyau allongé mal délimité.
itué. Sur quelques coupes, on voit s'en détacher un petit groupe de
fibres
radiculaires qui se portent en arrière vers le pl
eau solitaire (Fs). Elles se coudent à ce niveau et se joignent aux
fibres
radiculaires du vague (X), qui passent en dedans
sse racine sensitive descendante du trijumeau (Vsd). La plupart des
fibres
du vague ne proviennent toutefois pas du noyau
noyau i,étî-o-I)y ? ,ai ? zidal (Nrp), est mal délimité en dehors des
fibres
longitudinales qui entrent dans la constitution
ation réticulée blanche est traversée dans toute sa hauteur par les
fibres
anci formes cérébello-olivaioes (fcb), et longée
anci formes cérébello-olivaioes (fcb), et longée en dehors par les
fibres
radiculaires de l'hypoglosse (XII) disposées en t
restiforme est due non seulement au départ incessant des nombreuses
fibres
arciformes cérébello- olivaires, mais encore à
olivaires, mais encore à la translation d'un certain nombre de ses
fibres
sur les parties latérales du bulbe. Ces fibres
ertain nombre de ses fibres sur les parties latérales du bulbe. Ces
fibres
se détachent de l'extrémité antérieure du corps
nt de l'extrémité antérieure du corps restiforme, passent comme les
fibres
arciformes pzrélrigécrzinales - dont elles se d
du pédoncule cérébelleux inférieur, entre dans la constitution des
fibres
semi-circulaires externes et de l'entre-croisemen
sliforme (Cj) est à peine reconnaissable ; ses gros fasci- cules de
fibres
ont, en grande partie, disparu ou n'existent qu'à
vec les noyaux du corps restiforme et contient un dense feutrage de
fibres
qui occupe toute la partie interne du corps resti
corps resti- forme et dans laquelle apparaissent des fascicules de
fibres
sectionnées oblique- ment ou perpendiculairemen
ment ou perpendiculairement, qui se fusionnentplus ou moinsavcclcs
fibres
les plus internes du corps 1'esti(onne, s'adoss
e la moelle. - Fcd, faisceau cérébelleux direct de Flechsig. - fcb,
fibres
arciformes cérébello- olivaires. - fil, frt, fp
ig. - fcb, fibres arciformes cérébello- olivaires. - fil, frt, fpt,
fibres
arciformes intertrigéminales, rétrotrigéminales e
t à petit en noyaux des cordons postérieurs de la moelle. Quant aux
fibres
du corps l'esti- forme qui n'entrent dans la c
s du corps l'esti- forme qui n'entrent dans la c nstitution, ni des
fibres
arciformes cérébello- olivaire, ni du faisceau
leur sont homologues. Sur les coupes suivantes elles font place aux
fibres
des cordons postérieurs. La grosse racine sensi
fascicules qui vont former les cordons postérieurs, et en avant des
fibres
de la formation réticulée grise(Sllg). En dedans
avec la substance gélatineuse de Rolando (SgR) et traversée par les
fibres
arcifbmzes cérébello-olivaires (fcb). Elle n'est
lle n'est plus traversée, comme sur les coupes précédentes, par les
fibres
radiculaires du ironc des nerfs mixtes, qui pas
à rattacher au nerf vague ou pneumogastrique (Xe paire) toutes les
fibres
qui traversent la surface de section du trijume
ués en dedans du faisceau latéral du bulbe (Fit), et entourée par des
fibres
arci- formes cérébello-olivaires (fcb) qui s'y
a partie supérieure des noyaux des cordons postérieurs (NCp) et les
fibres
radiculaires des nerfs grand hypoglosse (XII) e
eurs (\Cp), amas gris diffus, contenant un très riche feu- trage de
fibres
de diamètres très variables, entre-croisées dans
ondis, que l'étude des coupes sériées permet seule de rattacher aux
fibres
les plus longues et les plus infé- ri eures de
au corps juxta-restiforme. Cette masse est entourée d'une couche de
fibres
sectionnées perpendiculairement à leur directio
cordons postérieurs (Cp). Les parties externe et anlérieure de ces
fibres
peuvent être rattachées au cordon de Burdach, bie
tablir une séparation en cordon de Goll et cordon de Burdach. Les
fibres
des cordons postérieurs (Cp) n'atteignent pas la
a périphérie posté- rieure du bulbe; elles en sont séparées par les
fibres
du corps restiforme (Crst) disposées en une cou
les unes occupent la périphérie du bulbe et se continuent avec les
fibres
arciformes superficielles péri pyramidales (fas)
) et le faisceau latéral du bulbe (Fit); les autres se joignent aux
fibres
cérébello-olivaires in ter et rélro-trigéminale
r nalure. Cp, cordons postérieurs. - Crst, corps restiforme. - fcb,
fibres
arciformes cérébello- olivaires. - fio, feutrag
formes cérébello- olivaires. - fio, feutrage intra-olivaire. -fie,,
fibres
arciformes interréticulées formant l'en- tre-cr
ans le hile de l'olive du côté opposé, non sans avoir abandonné des
fibres
aux amas gris qu'elles traversent. Les fibres
avoir abandonné des fibres aux amas gris qu'elles traversent. Les
fibres
arciformes qui occupent la moitié postérieure de
ement colorés par la laque hématoxylinique. Elles portent le nom de
fibres
arciformes intel'1'éticulaÏ1'es (fir), naissent d
fibres arciformes intel'1'éticulaÏ1'es (fir), naissent du feutrage de
fibres
des noyaux des cordons postérieurs (NCp), trave
supérieure de Y entre-croisement sensitif ou piniforme (xpin), les
fibres
arciformes interréticulées se continuant pour la
e continuant pour la plu- part après leur entre-croisement avec les
fibres
longitudinales ascendantes de la couche inter-o
couche inter-olivaire, en particulier du ruban de Reil médian. Les
fibres
arciformes inlerréliculées (fir) appartiennent,
inlerréliculées (fir) appartiennent, par conséquent, au système des
fibres
sensitives qui, prenant leur origine dans les c
yau volumineux, arrondi, limité en arrière par un dense feutrage de
fibres
et en avant par un petit groupe de fibres arcif
re par un dense feutrage de fibres et en avant par un petit groupe de
fibres
arciformes originaires du noyau de l'hypoglosse
osse, qui s'entre-croisent dans le raphé et sont les homologues des
fibres
arciformes dorsales ou profondes qui proviennen
etits, fascicules séparés par de la substance grise et par quelques
fibres
arciformes. La,subs- tance grise centrale du qu
ve est toujours reconnaissable, grâce à l'intense coloration de ses
fibres
entre-croisées dans tous les sens; le feutrage in
rage intra-olivaire s'est considé- rablement réduit et l'apport des
fibres
( ? ci(ormes cérébello-olivaires est relative-
res ( ? ci(ormes cérébello-olivaires est relative- ment faible. Ces
fibres
, qui n'existent que dans la partie antérieure de
ral du bulbe (Fit), et s'effile en avant pour se continuer avec les
fibres
arciformes superficielles /é3·i-olivccires et p
s superficielles /é3·i-olivccires et péri-pyramidales (fas). Aucune
fibre
arciformes cérébello-olivaire ne passe plus soi
g Il) sont-elles très nettes sur cette coupe. Cette disposition des
fibres
du système cénébello-olivaire tient à la manière
nt la hauteur des coupes que l'on étudie, on pourra donc suivre ces
fibres
soit dans tout leur trajet, depuis le corps resti
parties antérieure et inférieure de leur courbe, et l'on verra des
fibres
cérébello-olivaires traverser la formation réticu
couche inter-olivaire (coupes H 16). En d'autres termes, parmi les
fibres
qui dans la parlie inférieure du bulbe s'enlre-
e peuvent appartenir néanmoins au système cérébello-olivaire. Les
fibres
arciformes interréticulées (fir) se distinguent d
ire. Les fibres arciformes interréticulées (fir) se distinguent des
fibres
cérébello- olivaires par leur volume, leur inte
n- tre-croisent dans la partie postérieure du raphé, en arrière des
fibres
cérébello- olivaires, constituent l'important e
re ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 677 continuent avec les
fibres
ascendantes du ruban de Reil médian, c'est-à-dire
cendantes du ruban de Reil médian, c'est-à-dire avec une partie des
fibres
de la couche inter-olivaire. Au sur et à mesure q
des fibres de la couche inter-olivaire. Au sur et à mesure que les
fibres
cérébello-olivaires, diminuent et disparaissent,
iphérie de la formation réticulée grise est occupée par une zone de
fibres
longitudinales fortement colorées par la laque hé
cordons postérieurs de la moelle. - Crst, corps restiforme. - fas,
fibres
arciformes superficielles antérieures du bulbe. -
- fas, fibres arciformes superficielles antérieures du bulbe. - fcb.
fibres
arciformes céré- bello-olivaires. feo. feutrage
es. feo. feutrage extra-olivaire. - fio, feutrage intra-ohvaire. fir,
fibres
arci- formes interréticulées, provenant des noy
blanche (SRa) con- sidérablement réduite et dont un grand nombre de
fibres
, entrant dans l'entre- croisement sensitif (xpi
nt dans l'entre- croisement sensitif (xpin), se continuent avec les
fibres
arciformes intel'1'éticull : es (fir), et se po
apsule de libres; elle est traversée et contournée en avant par des
fibres
arciformes, appartenant encore au système céréb
la coupe précédente. Elle est traversée à sa partie interne par les
fibres
radiculaires du nerf hypoglosse (XII) et à sa p
adiculaires du nerf hypoglosse (XII) et à sa partie moyenne par les
fibres
radiculaires de la portion bulbaire du nerf spi
aspect spécial, ils contiennent un riche et dense feutrage de fines
fibres
à myéline qui se con- centrent sur certaines pa
s restiforme, et ETUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE. 079 leurs
fibres
en connexion 'avec le corps restiforme et les cor
ons postérieurs de la moelle, ne participent à la formation, ni des
fibres
arciformes interne- liculées, ni de l'entre-cro
au-dessous de l'olive bul- baire; elle est tangente à la capsule de
fibres
qui tapisse son extrémité inférieure. Cette c
sentée toutefois par deux petits îlots gris (Oi), plongés au sein des
fibres
de la capsule olivaire (cOi); par l'accroisseme
région bulbaire inférieure. Les noyaux des cordons postérieurs, les
fibres
arciformes interréticulées et l'entre-croisement
Cp, cordons postérieurs de la moelle. Crst, corps restiforme. fcb,
fibres
arcifonne cérébello-olivaires. - fil', fibres a
orps restiforme. fcb, fibres arcifonne cérébello-olivaires. - fil',
fibres
arciformes intcrréticulées. - Fit, faisceau latér
eau de cellules épendymaires. Cette coupe montre très nettement les
fibres
radiculaires du zzeof spizal (I), dont quelques
yau juxta-olivaire interne. Les noyaux des cordons postérieurs; les
fibres
arciformes interréticulées et l'entre-croisemen
ordon de Burdach. CG. cordon de Goll. Crst, corps restiforme. - fil',
fibres
arciformes interréticulées. - Fs, faisceau soli
étendu des cordons postérieurs (CG, CB) au noyau arqué (Narc) et aux
fibres
arciformes pré-pyramidales. Coupe H17 (Fig. 4
ieure du bulbe; au-dessous de l'olive bulbaire, et de sa capsule de
fibres
, elle intéresse le noyau juxta-olivaire inlerne
téraux de l'entre-croisement piniforme se détachent de nom- breuses
fibres
arciformes interréliculées (fir) fortement coloré
blanche et grise et peuvent être suivies jusqu'à l'épais faisceau de
fibres
qui longe la base des noyaux des cordons postér
qui longe la base des noyaux des cordons postérieurs (NB, NG). Ces
fibres
appartiennent toutes au système des fibres inte
ostérieurs (NB, NG). Ces fibres appartiennent toutes au système des
fibres
inter-réticulées ou leznniscales, prennent leur o
ution de la couche inter-olivaire et du ruban de Reil médian. Les
fibres
de la partie antérieure de la formation réticulée
e et en dedans, et participent à l'entre- croisement piniforme. Les
fibres
de la partie postérieure de la formation réticulé
nt à leur axe; elles sont limitées de chaque côté par les dernières
fibres
radiculaires de l'hypo- glosse (XII) et par le
udée; il est bien délimité en avant et en arrière par de nombreuses
fibres
sectionnées per- pendiculairement il leur axe e
l leur axe et qui, sur les coupes suivantes, se continuent avec les
fibres
des cordons antero-latéraux de la moelle. La fo
ineuse de Rolando (SgR), il existe toujours un dense conglomérat de
fibres
, fortement colorées par la laque hématoxyliniqu
tineuse de Rolando et la formation réticulée grise; recouvert par les
fibres
arciformes superficielles, dernier vestige du c
ec le cordon luléral de la moelle épinière. Un autre conglomérat de
fibres
se rencontre toujours à la base et en avant de
- Crst, corps restiforme. - Fil, faisceau latéral du bulbe. - fil',
fibres
arciformes interre- ticulees. - NB, noyau du co
péri- phérie du bulbe dont ne le sépare qu'une très mince couche de
fibres
section- nées perpendiculairement à leur axe. 1
es perpendiculairement à leur axe. 11 contient de nombreuses et fines
fibres
qui se portent en avant, et forment à la base d
du noyau un faisceau volumineux et horizontal en connexion avec les
fibres
arciformes inlerréticulées du bulbe. Le noyau d
arrondis ou oblongs de substance grise limités parun feu- trage de
fibres
et par l'épaisse couche de fibres du cordon posté
grise limités parun feu- trage de fibres et par l'épaisse couche de
fibres
du cordon postérieur qui le recouvre. Son bord
n de l'autre. De sa partie postéro- externe se détachent seules des
fibres
arciformes interréticulées (fir) qui entourent
rmation réticulée grise (SRg). Il est en général facile de suivre ces
fibres
jusque dans le noyau de Goll (NG) et le noyau d
e, s'en- fonçant avec le sillon médian antérieur; une partie de ses
fibres
commence déjà iL s'infléchir, mais aucune ne s'
la substance gélatineuse de Rolando, est occupée par de nombreuses
fibres
longitudinales qui délimitent encore mal la for
tion grise, translucide. Ces coupes montrent qu'une mince couche de
fibres
appartenant à la grosse racine sensitive descenda
e, et une partie profonde parcourue par un dense et fin feutrage de
fibres
à myéline, la substance spongieuse de la corne po
ance grise centrale, et du sommet duquel se détachent de nombreuses
fibres
qui s'irradient dans le cordon de Burdach ou co
de Burdach d'une sorte de cupule. Sur la coupe H 19 (Fig. 449) les
fibres
du cordon de Burdach sont si denses et nombreuses
antérieure. Col, corne lalérale. - Col, corne postérieure. - fil',
fibres
inlcrréliculécs du bulbe. \'l3, noyau de Burdach.
ig. 449), puis s'étrangle sur la coupe H20 (Fig. 450). La couche de
fibres
qui le revêt et qui constitue le cordon de Goll
relativement faible, surtout comparée à la misse considérable e de
fibres
du cordon de Burdach, mais elle s'accroît rapidem
l'entre-croisement pyramidal ou entre- croisement Ho/e(xPy). Les
fibres
du faisceau pyramidal (Py) s'infléchissent en arr
lent en dehors la base des cornes antérieures et la mince couche de
fibres
du cordon antérieur (Ca) qui la recouvre, de tell
re-croisement; elles ne montrent pas encore le trajet suivi par les
fibres
entre-croisées. L'entre-croisement pyramidal (xPy
il ne faudrait pas considérer comme lui appartenant, la couronne de
fibres
arciformes (fir) qui entoure sur la coupe H 19
fir) qui entoure sur la coupe H 19 la substance grise centrale. Ces
fibres
appartiennent encore au système, sensitif et le
ins épaisse de substance blanche essentiellement constituée par des
fibres
longitudinales. Nous n'avons pas à revenir sur
larke, et se perdra sur les coupes suivantes (H21 et-H22) parmi les
fibres
croisées du faisceau pyramidal. Dans la substance
en dehors et en arrière, le noyau dorsal des nerfs mixtes (Nxi). Les
fibres
radi- culaires du nerf spinal (XI) sont intéres
al après son entre- croisement ; il est formé de gros fascicules de
fibres
, sectionnés obliquement ou perpendiculairement
ibres, sectionnés obliquement ou perpendiculairement et entourés de
fibres
horizontales plus ou moins ondu- leuses et qui
le- ment, grâce il son aspect grossièrement fasciculé, du reste des
fibres
du cordon 11nté¡'o-laléral de la moelle. Sur
sub- stance grise centrale par un col mince, étroit et effilé. Les
fibres
du faisceau pyramidal croisé (FPyc) se sont tou
partie droite de la coupe ne contient en effet, que quelques rares
fibres
horizontales qui traversent en fascicules onduleu
ffet, considérer comme appartenant au faisceau pyramidal croisé les
fibres
horizontales qui traversent le col et la corne po
rsent le col et la corne postérieure (Cop), et qui représentent les
fibres
radiculaires de la racine postérieure de la premi
a couche moléculaire (cm); 3° La couche granuleuse (cg); '1-° Les
fibres
terminales qui s'arborisent dans ces couches. S
en partie par les arborisations cylindre-axile ou collatérale d'une
fibre
terminale (fl). - ft, fibres terminales de la sub
ons cylindre-axile ou collatérale d'une fibre terminale (fl). - ft,
fibres
terminales de la substance blanche (sali s'arbo
a couche rouillée, granuleuse ou interne, el se con- tinue avec une
fibre
il myéline de l'arbre de vie du cervelet. Dendr
lames et lamelles cérébelleuses FiG. 4.'iC. Cellule de Purkinje et
fibres
de Bergmann de son prolongement l'écorce cérébe
de candélabre traversent la couche moléculaire, en formant t les
fibres
de Bergmann (fB). le plan sagittal, c'est-à-dir
pénétrer dans la couche interne ou granuleuse (Cajal, Retzius). Ces
fibres
longitudinales, extrêmement fines et généra- le
riment un aspect slrié spé- cial, et portent depuis Cajal le nom de
fibres
parallèles . Leur direction est Bibliothèque de
de Purkinje sont vues de champ ou de profil (Fig. 457), et que les
fibres
parallèles se trouvent sectionnées parallèlemen
interne, voire même dans la Fie. 45T. - Les grains du cervelet, les
fibres
parallèles de la couche moléculaire et les cell
ssance à une libre parallèle. - e, extrémité granuleuse terminale des
fibres
parallèles. - il, cellule de Purkinje, vue de c
, où il se divisait à angle aigu et se perdait clans le feutrage de
fibres
qui entoure ces noyaux. Couche externe ou moléc
eu près égale, mesure de 0 ? 15 à 0 ? 04 : Elle renferme, outre les
fibres
parallèles et les arborisa- tions à direction s
459). Cajal (1895) a signalé enfin dans la couche moléculaire, des
fibres
en anse dont l'origine et la terminaison sont enc
ements traversent radiairement la couche moléculaire en formant les
fibres
dites cle Bergmann. La signification de ces fib
e en formant les fibres dites cle Bergmann. La signification de ces
fibres
, décrites par Retzius et Key en 1875 et par E. Sc
is l'emploi de la méthode -de Golgi. Golgi, en 1885, montra que les
fibres
de Bergmann provenaient d'un corps cellulaire s
se sont occupés de la question. Les cellules, donnant naissance aux
fibres
de Bergmann, paraissent être parti- culièrement
- g, grain avec son cylindre-axe ascendant qui se bifurque en i. - h,
fibres
moussues. - j, cellule névroglique empanachée.
i. - h, fibres moussues. - j, cellule névroglique empanachée. - n,
fibres
grimpantes. - ne, cellule névroglique de la zon
our la coloration de la névroglie, on ne constate que de très rares
fibres
névrogliques transversales dans la couche moléc
ersales dans la couche moléculaire. Les libres de Berg- mann et les
fibres
névrogliques paraissent être beaucoup plus rares
ssive et dans la sclérose en plaques (Weigert) et dans ces cas, les
fibres
névrogliques transversales entourent les cellul
granuleuse, on ne constate à l'aide de la méthode de Weigert aucune
fibre
névroglique. Dans la substance blanche, par contr
souvent fort étendus et en général parallèles à la direction de la
fibre
nerveuse. Ce sont là, du reste, des caractères co
que peu de libres à myéline. Elle est dépourvue de cette couche de
fibres
tangen- tielles superficielle, si caractéristiq
e, si caractéristique de l'écorce cérébrale, et ne présente que des
fibres
radiaires et longitudinales, c'est-à-dire parallè
itudinales, c'est-à-dire parallèles au grand axe de la lamelle. Ces
fibres
excessivement fines sont surtout abondantes au
veau du quart ou du cinquième interne de la couche moléculaire. Les
fibres
radiées passent entre le corps des cellules de
sales situées au-dessous des corps des cellules de Purkinje. Les
fibres
longitudinales se présentent sur les coupes trans
EXTURE DU RHOMBENCEPHALE. T03 direction, et il est probable que ces
fibres
correspondent, comme l'admet v. Kôlliker, aux f
obable que ces fibres correspondent, comme l'admet v. Kôlliker, aux
fibres
parallèles de Cajal, c'est-à-dire aux fibres nerv
admet v. Kôlliker, aux fibres parallèles de Cajal, c'est-à-dire aux
fibres
nerveuses des grains du cervelet. Si le quart
e cinquième interne de la couche moléculaire contient de nombreuses
fibres
à myéline, les trois quarts externes n'en sont to
Weigert ou de Pal, il n'est pas rare d'y rencontrer quelques rares
fibres
radiées ou longitudinales dont l'interprétation e
ile. Il est néanmoins probable qu'elles appartiennent en parlie aux
fibres
parallèles de Cajal, comme les fibres des parties
s appartiennent en parlie aux fibres parallèles de Cajal, comme les
fibres
des parties internes de la couche moléculaire.
a couche moléculaire. La couche granuleuse contient de nombreuses
fibres
à myéline. Elle est traversée dans toute sa hau
. Elle est traversée dans toute sa hauteur par un dense feutrage de
fibres
et présenle à sa limile supérieure, au-dessous
le. Sur les coupes perpendiculaires au grand axe de la lamelle, les
fibres
transversales sous-purkinj iennes se trouvent s
tué au-dessous des corps des cellules de Purkinje et au-dessous des
fibres
longitudinales de la couche moléculaire qui crois
la circonvolution montrent qu'il ne s'agil pas ici d'une couche de
fibres
continue, mais d'une sorte de feutrage de gros
rage de gros fascicules transversaux, reliés par d'étroits ponts de
fibres
à direction plus ou moins oblique. Cette couche
onts de fibres à direction plus ou moins oblique. Cette couche de
fibres
transversales 5Ous-purkÙjiennc reçoit les fibres
e. Cette couche de fibres transversales 5Ous-purkÙjiennc reçoit les
fibres
radiées de la couche moléculaire qui se coudent
t en l'abordant. De sa partie inférieure se détachent de nombreuses
fibres
à myéline, rectilignes ou plus ou moins oblique
t dans le fond du sillon; ici la couche granuleuse est sillonnée de
fibres
obliques ou arquées qui se réfléchissent sur la f
face latérale de la lamelle voisine, et représentent de véritables
fibres
d'association intra- corticale tout à fait anal
les fibres d'association intra- corticale tout à fait analogues aux
fibres
courtes d'association intracorli- cales ou fibr
ait analogues aux fibres courtes d'association intracorli- cales ou
fibres
en U de Meynert, que nous avons décrites dans les
rkinje seule envoie son cylindre-axe dans la substance blanche. Les
fibres
cen- trifuges de l'écorce cérébelleuse sont don
d'origine pur- kinjicnnc. 704 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les
fibres
termi nalesou centripètes. Fibres grimpantes.
OMIE DES CENTRES NERVEUX. Les fibres termi nalesou centripètes.
Fibres
grimpantes. Les nids péricellu. laires. Fib
u centripètes. Fibres grimpantes. Les nids péricellu. laires.
Fibres
moussues. Toutes les autres cellules de l'écorc
es rentrent : 1° les grains dont les cylindres-axes constituent les
fibres
parallèles; 2° les cel- lules étoilées de la co
recou- verts d'une gaine de myéline, et concourraient à former les
fibres
radiées et les libres longitudinales de la zone
radiées et les libres longitudinales de la zone moléculaire. Les
fibres
centripètes ou termina/es concourent avec les cyl
é découvertes par Cajal à l'aide de la méthode de Golgi : les unes,
fibres
moussues, s'arborisent dans la couche granuleus
ibres moussues, s'arborisent dans la couche granuleuse; les autres,
fibres
grim- pantes, sont destinées à la couche molécu
ritiques des cellules de Purkinje. Les arborisations terminales des
fibres
centripètes sont toutes dépourvues du revêtemen
centripètes sont toutes dépourvues du revêtement myélinique. Les
fibres
grimpantes sont des fibres épaisses, qui traverse
dépourvues du revêtement myélinique. Les fibres grimpantes sont des
fibres
épaisses, qui traversent la zone granuleuse et
me étendue (Cajal, Iiüllil : er, lielzius) (Fig. 'tJ9 et lui-60). Les
fibres
grimpantes sont aussi nombreuses que les cellul
des panaches protoplas- miques de ces cellules (Manouélian). Les
fibres
mozcsszces (filrras musgosas de Cajal, Moosfasern
qui recouvre les arbres. Elles sont en tous points comparables aux
fibres
moussues des grains de la circonvolution godronné
odronnée (Fig. 3G5, p. 728, T. 1). Les arborisations terminales des
fibres
moussues, au nombre de 20 à 30, occupent de gra
1-1 1 D U o z N > : 5 CD (il n s 3 l'm. 400.
Fibres
grimpantes et libres moussues de Cajal. Coupe per
pour s'arbo- boriser dans la couche moléculaire : libres moussues,
fibres
étoilées ou à ni([ péricellulairc, libres grimp
grimpantes, appartiendraient ainsi à une seule el même catégorie de
fibres
, aux fibres terminales de l'écorce cérébelleuse.
appartiendraient ainsi à une seule el même catégorie de fibres, aux
fibres
terminales de l'écorce cérébelleuse. 2° Structu
substance blanche mlraciliaire, s'y couder et se continuer avec une
fibre
de la région (Fig. 4 fil); mais nous n'avons ja
onner, étant donné le trajet oblique et l'ex- trême intrication des
fibres
de la substance blanche inlraciliaire, très man
e de la Sa'pstrièTe STRUCTURE ET TEXTURE DU RHOMBENCÉPHALE. 707
fibres
à myéline et par les arborisations très riches de
ALE. 707 fibres à myéline et par les arborisations très riches de
fibres
terminales, dont les unes viennent de la substa
vident L que ces arborisations terminales n'appartiennent pas à des
fibres
purkin- jiennes, mais à des libres d'origine ex
ules nerveuses, on rencontre des fascicules plus ou moins lâches de
fibres
à myéline qui traversent de pari en part le corps
polai- res du noyau du toit. i 08 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
de la sub- stance blanche du cervelet. Les
ES NERVEUX. Fibres de la sub- stance blanche du cervelet. Les
fibres
cn guir- lande. Elles sout les homologucs des
logucs des courtes libres en l' do l'ccorco céré- bt'alo. Les
fibres
dendri- tiques. Elles comprennent l'ensembl
ions traitées par la méthode de Golgi que sur un court trajet. 3°
Fibres
de la substance blanche du cervelet. - Les libres
use, se réunissent dans l'axe de la lamelle en un mince faisceau de
fibres
parallèles qui se porte radiairement du sommet à
les qui se porte radiairement du sommet à labase de la lamelle. Les
fibres
les plus courtes, qui sont en mème temps les plus
er sur la face latérale de la lamelle voisine : elles constituent les
fibres
en guirlande cle Stilling (fg, Fig. 4G5, p. 720
ande cle Stilling (fg, Fig. 4G5, p. 720, et sont les homologues des
fibres
arquées, des fibres en U ou fibres courtes d'asso
g, Fig. 4G5, p. 720, et sont les homologues des fibres arquées, des
fibres
en U ou fibres courtes d'association de l'écorce
720, et sont les homologues des fibres arquées, des fibres en U ou
fibres
courtes d'association de l'écorce cérébrale. El
, eldonl la face super- ficielle se continue graduellement avec les
fibres
d'association intra-cor- ticales de la couche g
ion intra-cor- ticales de la couche granuleuse (voy. p. 703). Les
fibres
longues ou centrales poursuivent leur trajet desc
ues ou centrales poursuivent leur trajet descendant, s'unissent aux
fibres
semblables des lamelles avoisinantes, s'enchevêtr
es principales de l'arbre de vie et sont partout recouvertes parles
fibres
en guirlande. Comme elles occupent l'axe des ra
l'arbre de vie, elles ont été désignées par Stilling sous le nom de
fibres
dendritiques (fd, Fig. 16 ? p. 720). La longueu
délimitent les lobules et lobes aux- quels elles appartiennent. Les
fibres
dendritiques son[ donc plus longues dans le ver
ittale de la branche horizontale de l'arbre de vie du vermis. Les
fibres
dendritiques se rendent, les unes aux différentes
rébelleuse avec des régions plus ou moins éloignées du névraxe. Les
fibres
dendritiques comprennent par conséquent l'ensem
. Les fibres dendritiques comprennent par conséquent l'ensemble des
fibres
d'association, des fibres de projection, des fibr
comprennent par conséquent l'ensemble des fibres d'association, des
fibres
de projection, des fibres commissurales, et des
l'ensemble des fibres d'association, des fibres de projection, des
fibres
commissurales, et des fibres terminales de l'éc
ciation, des fibres de projection, des fibres commissurales, et des
fibres
terminales de l'écorce cérébelleuse. Arrivées à
se. Arrivées à la base d'implantation des lobes et des lobules, les
fibres
dendritiques se coudent en général, changent de
changent de direction, s'enchevêtrent et s'entre-croisent avec les
fibres
homologues des lobes voisins en formant à la ba
vermis, l'axe de la pyramide du vermis et le flocculus, on voit les
fibres
dendritiques converger en nombre appré- ciable
us-lobaire en fais- ceaux plus ou moins nettement délimités : Les
fibres
de la couche sagittale de la branche horizontale
ttale de la branche horizontale de l'arbre de vie, c'est-à-dire les
fibres
dendritiques des lobes tributaires de celle bra
sa par- tie postérieure et inférieure (bh, Fig. 410 el 165). Les
fibres
de la pyramide de Malacarne se groupent en fascic
uis s'infléchit en avant et se conlinue (Fig. 412, p. 603) avec les
fibres
semi-circulaires externes qui passent au-dessus
xternes qui passent au-dessus du bouchon et du corps dentelé. Les
fibres
dendritiques du flocculus se réunissent en un fai
es fibres dendritiques du flocculus se réunissent en un faisceau de
fibres
parallèles, fortement colorées par la laque hémat
t, du Ilocculus vers l'angle externe du quatrième ventricule où ses
fibres
s'infléchissent et changent de direction. (PFlo
a substance blanche centrale du cervelet : il est recouvert par les
fibres
en guirlande des sillons interlobaires et inter
, au niveau du sillon marginal antérieur et du bile du cerveau, les
fibres
des pédoncules céré- belleux moyen et inférieur
- ttittale de la branche horizontale de l'arbre de vie. z Les
fibres
de la py : anllde de \lala- c trine. 3° Le
la substance blanche centrale avec : son feutrage sous-lobaire, ses
fibres
semi-circulaires externes el STRUCTURE ET TEXTU
feutrage ectraciliaire. - fie, feutrage intraciliaire. - fsme, fsmé,
fibres
semi-circulaires externes du cervelet. - fsmi,
- fsme, fsmé, fibres semi-circulaires externes du cervelet. - fsmi,
fibres
semi-circulaires internes du cervelet. - Lqp, lob
e du cervelet, ne mérite pas d'être maintenue. L'enchevêtrement des
fibres
est ici en effet aussi intime, aussi inextricab
-transversales (Fig. 346 p. 474 et Fig. 356 p. 505) sectionnent les
fibres
du feutrage sous-lobaire très obli- quement et
lle part, comme dans le centre ovale de Vieussens, par exemple, des
fibres
d'une direction donnée, en nombre assez considé
hémisphère ou les différentes parties du vermis. L'existence de ces
fibres
est bien mise en évidence par les dégénérescences
anche centrale, - cle suivre, à l'aide de la méthode de Marchi, des
fibres
dégénérées dans des régions souvent fort éloign
mes de libres nettement différenciés, ali- mentés en partie par les
fibres
dendriliques purl;injienncs, en partie par L'ex
purl;injienncs, en partie par L'extrême enche- vêtrement do ses
fibres
. Les deux s\ ...lelllP"; do fibres dlllèrell-
me enche- vêtrement do ses fibres. Les deux s\ ...lelllP"; do
fibres
dlllèrell- ciées do la substance blanche cent
s intra et extra ciliaires, el dont l'autre comprend le système des
fibres
seiii-ci2,cll- laires du cervelet, - Système
- L'olive céré- belleuse est située au sein d'un dense feutrage de
fibres
, entre-croisées dans tous les sens et intimemen
ormations plexiformes ne constituent qu'un seul et même feutrage de
fibres
, car non seulement la toison envoie au feutrage i
oison envoie au feutrage intraciliaire (ou en reçoit) de nombreuses
fibres
qui traversent toute l'épaisseur de la lame gri
quadrilatères antérieur el postérieur. Ici les épais fascicules des
fibres
semi- circulaires externes du cervelet séparent
Fig. 433 à 437, p. 645 à 653), qui séparent les lâches fascicules des
fibres
semi-circulaires. La toison ne se dislingue dan
du feutrage sous-lobaire que par la coloration plus intense de ses
fibres
par la laque hématoxylinique. Elle reçoit les n
ses fibres par la laque hématoxylinique. Elle reçoit les nombreuses
fibres
purkinjicnnes des diffé- rents lobes et lobules
bules de l'hémisphère et envoie à la corticalité cérébel- leuse des
fibres
dont les cellules siègenl dans le corps dentelé.
tre au pédoncule cérébelleux inférieur (ou en reçoit) de nombreuses
fibres
destinées il l'olive bulbaire, à la moelle épiniè
le épinière, etc., et qui relient ces organes au corps dentelé. Ces
fibres
abordent la partie anléro-interne du corps dent
. 429, p. 638.) Le feutrage intraciliaire envoie la majorité de ses
fibres
dans le pédoncule cérébelleux supérieur; ces de
moyenne et supé- rieure du corps dentelé, grâce au parallélisme des
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur, groupées en
521). Le feutrage intraciliaire reçoit, en avant et en dedans, des
fibres
du pédoncule cérébelleux inférieur (Pci, Coupe
C4, Fig. 434 à 435, p. 647 et 648) ; en arrière, il reçoit quelques
fibres
dendritiques de la région de transition ou du v
(Coupe H5, Fig. 428, p. 635); mais il est surtout alimenté par des
fibres
qui prennent leur origine dans les cellules du
nné en outre dans la partie moyenne de l'olive cérébelleuse par des
fibres
arquées (voy. fibres semi-circulaires internes)
partie moyenne de l'olive cérébelleuse par des fibres arquées (voy.
fibres
semi-circulaires internes), qui longenl la paroi
e vermis à différents noyaux bulbo-protubé- rantiels. Système des
fibres
semi-circulaires du cervelet. - Les libres de c
l'olive cérébelleuse et ses feutrages intra et extraciliaires. Les
fibres
du groupe externe (fsme, Coupe C4, Fig. 463), déc
ne (fsme, Coupe C4, Fig. 463), décrites par Stilling sous le nom de
fibres
semi-cÍ1'culaires, entourent la face externe du
leux moyen et inférieur et s'entre-croisent dans le vermis avec des
fibres
analogues du côté opposé, à l'aide de fascicule
ui forment l'entre- croisement commissural de Stilling (Eca). Les
fibres
dugroupe inlerne (fsmi Fig. 463), plus rapprochée
bschnitt des hinteren Kleinhirnsclienlcels, Flechsig et Rechlercw),
fibres
reliant le noyau du Le feutrage intra- ciliai
cérébel- lieux supérieur au- quel il envoie la plu- part de ses
fibres
. Ses connexions avec le noyau den- telé, av
érébelleux in- férieur étalée l'é- corce du vermis. Système des
fibres
semi-circulaires du cervelet, ses deux grou
me des fibres semi-circulaires du cervelet, ses deux groupes de
fibres
. Les fibres semi- circulaires externes, et
semi-circulaires du cervelet, ses deux groupes de fibres. Les
fibres
semi- circulaires externes, et l'entro croise
circulaires externes, et l'entro croisement commissural. Les
fibres
semi- circulaires internes ctl'cntrc-croiscmo
CE BLANCHE DU CERVELET ", .¡. 71G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
semi-circu- laires externes. Leurs rapports
e-croi- sement commissural antérieur. toit au noyau de Deiters,
fibres
reliant le noyau du. toit ci l'olive supérieure
supérieur, entourent le noyau du toit d'une véri- table capsule de
fibres
et s'entre-croisent sur la ligne médiane du vermi
toit se coupent à angle droit ou à angle aigu. Nous désignerons les
fibres
du groupe externe sous le nom de fibres semi-ci
aigu. Nous désignerons les fibres du groupe externe sous le nom de
fibres
semi-circulaires circzenzclezztelées externes o
rculaires circzenzclezztelées externes ou simplement sous le nom de
fibres
semi-circulaires externes (fsme, Fig. hG3), et
ternes (fsme, Fig. hG3), et celles du groupe interne sous le nom de
fibres
semi- circulaires circumdenlelées internes ou p
rculaires circumdenlelées internes ou plus simplement sous celui de
fibres
semi-circulaires internes ou péri-ventriculaire*
fibres semi-circulaires internes ou péri-ventriculaire* (fsmi). I.
Fibres
semi-circulaires externes (fsme) et entre-croise-
laires externes (fsme) et entre-croise- ment commissural (Eca). Les
fibres
semi-circulaires externes re- présentent un fai
émité postérieure et le bord supérieur de l'olive cérébelleuse, les
fibres
semi-circulaires externes s'infléchissent en de
p. 633, Cl à C5,Fig. 432 il 436, p. 644. à 051). La pluparl de ces
fibres
s'enlre-croisent à la partie anlérieure du vermis
lanche centrale du vermis (Fig. 465, p. 720). Une petite partie des
fibres
se porte directement en dedans et en arrière, et
eaucoup plus important. La topographie générale et les rapports des
fibres
semi-circulaires externes el de t'entre-croisem
12 à 417), colorées suivant les méthodes de Weigert, ou de Pal; les
fibres
semi-circulaires externes s'y présentent sous f
irculaires externes s'y présentent sous forme de gros fascicules de
fibres
fortement colorées par Bibliothèque des Interne
différencient nettement, par leur coloration et leur direction, des
fibres
des feutrages sous-lobaire et extraciliaire. Ex
re. Examinées sur les coupes sagittales (coupes S5,S6, S7, S8), les
fibres
Kig. 46 - Les fibres semi-circulaires externes
coupes sagittales (coupes S5,S6, S7, S8), les fibres Kig. 46 - Les
fibres
semi-circulaires externes du cervelet, leur traje
ire du nerf auditif. 718 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Aspect des
fibre
semi-circulaires ex ternes sur les coupes s
nexions avec le pé- doncule cérébcllew inférieur. Aspect des
fibre
? semi-circulaires eN.- ternessur les coupes
ncule cérébel- leux inférieur (Coupes S8 et S9, p. 612 et 613), les
fibres
semi-circulaires externes décrivent toujours le
faisceau s'amincit et s'effile en avant où il se continue avec les
fibres
du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm). Sur les c
es H4 à H6, Fig. 427 il 429 et coupes Cl à C6, Fig. 432 à 437), les
fibres
semi-circulaires externes (fsme) se présentent,
sent les deux tiers supérieurs du corps dentelé. Sur ces coupes les
fibres
semi-circulaires externes n'occupent plus toute l
Il semble donc que dès à présent on soit autorisé à distinguer les
fibres
semi-circulaires en groupe externe et groupe inte
au niveau de son bord supérieur, si l'on réflé- chit au trajet des
fibres
semi-circulaires externes, iL la manière dont ell
roiser dans le vermis, on comprend aisément que l'épais faisceau de
fibres
compris sur les coupes horizontales H4, et C2 (Fi
son et le pédoncule cérébelleux supérieur, appartienne en réalité aux
fibres
semi-circulaires externes, tout comme le faisce
enveloppe augmentent de volume, les fascicules internes et moyens des
fibres
semi-circulaires externes diminuent, puis dispa
le montrent les coupes sagittales et horizontales sériées, avec le»
fibres
den- critiques de la pyramide du vermis (Voy. C
t Coupe sagittale, S4, Fig. 412, p. G03). Sur toutes ces coupes les
fibres
semi-circulaires externes ne sont donc représen
res semi-circulaires externes ne sont donc représentées que par les
fibres
qui contournent la face externe du corps den- t
ns la région de transition, entre le vermis et les hémisphères, ces
fibres
s'infléchissent fortement en dedans et en avant,
tiers inférieur du corps dentelé - il quelques rares fascicules de
fibres
sectionnés obliquement qui se perdent en avant da
arbre de vie du vermis (coupe C6, Fig. li : 7, p. 653), on voit les
fibres
semi-circulaires externes s'entre- croiser sur
issural antérieur sont séparés les uns des autres par de nombreuses
fibres
dendritiques (fd) sectionnées parallèlement il
ie diminue de hau- teur. Ses fibre-* se continuent bientôt avec les
fibres
semi-circulaires externes Le crochet qu'elles
he verticale (bv) considérable- ment élargie de l'arbre de vie. Les
fibres
semi-circulaires externes sont section- nées pa
ermis et le noyau du toit. Les libres en guirlande de Stilling, les
fibres
dendritiques, et l'entre-croisement commissural a
ithéliale qui tapisse les plexus choroïdes du 4° ventricule. - fol,
fibres
dendritiques. - ffl, fibres en guirlande. - (su,
exus choroïdes du 4° ventricule. - fol, fibres dendritiques. - ffl,
fibres
en guirlande. - (su, fibres sagittales de la ling
ule. - fol, fibres dendritiques. - ffl, fibres en guirlande. - (su,
fibres
sagittales de la lingula. - SI, noyau du toit.
ÈRES DU TOME DEUXIÈME ANATOMIE DU CERVEAU (Suite) CHAPITRE VI
FIBRES
DE PROJECTION DE L'ÉCOKCE E C Ji; 1\ Ji; B l\ A L
des masses centrales et indiqué quelle est la direction générale des
fibres
blanches, que je groupai artificiellement pour ce
pai artificiellement pour cette étude en quatre ordres de faisceaux :
fibres
frontales, fibres pariétales, fibres occipitales
nt pour cette étude en quatre ordres de faisceaux : fibres frontales,
fibres
pariétales, fibres occipitales et fibres sphénoïd
en quatre ordres de faisceaux : fibres frontales, fibres pariétales,
fibres
occipitales et fibres sphénoïdales. Ce premier
aisceaux : fibres frontales, fibres pariétales, fibres occipitales et
fibres
sphénoïdales. Ce premier travail, destiné seule
pas la formation, le groupement et la direction des divers genres de
fibres
blanches; l'apparition des noyaux de substance gr
r situation; leurs rapports entre eux, ainsi qu'avec les faisceaux de
fibres
blanches, la substance grise des circonvolutions
accolés, formés par du tissu cellulaire dense et serré conte-nant des
fibres
élastiques. L'externe est en rapport avec la surf
n de cellules nerveuses ; la substance blanche est constituée par des
fibres
nerveuses, ou tubes nerveux, recouvertes de myéli
re de l'activité psychique, intellectuelle, motrice ou sensitive; les
fibres
nerveuses sont les conducteurs de cette activité.
'encéphale; ensuite de reconnaître les connexions qu'ils ont avec les
fibres
nerveuses et quelle est l'origine, la direction e
lle est l'origine, la direction et la terminaison de ces faisceaux de
fibres
nerveuses qui constituent la substance blanche.
suivant un plan déterminé, reliés intérieurement par des faisceaux de
fibres
blanches, à deux noyaux de substance grise, princ
pro-longements. Elles sont disposées régulièrement sur le trajet des
fibres
médullaires suivant un mode constant nettement dé
rapport par leur base avec les fibrilles d'une certaine catégorie de
fibres
irradiées de la substance médullaire dans l'écorc
ongement non ramifié, cylindrique, qui va former le cylinder-axis des
fibres
ner-veuses. Le plan le plus profond de la subst
capillaires, dans une substance unissante, la névroglie, composée de
fibres
de tissu conjonctif, renfermant un grand nombre d
onvolutions où il se revêt de myéline et forme le cylinder-axis d'une
fibre
nerveuse. Ces cellules géantes sont des cellule
des centres de réception, en rapport avec des ordres particu-liers de
fibres
médullaires. Il les désigne sous le nom de centre
r délimitation sont dues au mode de distribution et à la catégorie de
fibres
qui pénètrent dans la couche optique et vont abou
parée en deux portions inégales par le passage d'un large faisceau de
fibres
nerveuses (Pl. X, 4 et XVIII, 6) aplati d'avant e
gments par des faisceaux blancs verti-caux {laminœ meclullares) ; des
fibres
transversales pénètrent par le sommet et se dir
énètrent par le sommet et se dirigent en éventail vers la base. Ces
fibres
transversales donnent à la substance grise des se
elui de noyaux jaunes. Le segment externe, recevant beaucoup moins de
fibres
transversales^ présente la teinte générale du cor
NCHE DU CERVEAU. La substance blanche du cerveau est formée par des
fibres
nerveuses ou tubes nerveux de 2 fx à 5 p de diamè
une couche de myéline. Le cylinder-axis est l'élément essentiel de la
fibre
nerveuse, le seul conduc-teur de l'influx nerveux
st une enveloppe destinée à protéger, à isoler le filament axile. Ces
fibres
nerveuses ne possèdent donc pas, comme celles du
ux extrémités. Chaque cellule nerveuse reçoit par un de ses pôles une
fibre
nerveuse, tandis qu'elle donne naissance par le p
rveuse, tandis qu'elle donne naissance par le pôle opposé à une autre
fibre
. Les fibres qui aboutissent à une cellule sont le
dis qu'elle donne naissance par le pôle opposé à une autre fibre. Les
fibres
qui aboutissent à une cellule sont les fibres aff
à une autre fibre. Les fibres qui aboutissent à une cellule sont les
fibres
afférentes, celles qui en partent sont les fibres
ne cellule sont les fibres afférentes, celles qui en partent sont les
fibres
efférentes. Les fibres nerveuses ne se subdivis
s afférentes, celles qui en partent sont les fibres efférentes. Les
fibres
nerveuses ne se subdivisent pas dans l'intérieur
se juxtaposent pour consti- tuer dans certains cas des faisceaux de
fibres
, entre lesquelles on trouve des cor-puscules conj
ouve des cor-puscules conjonctifs étoiles et fusiformes. Toutes les
fibres
blanches, quel que soit leur ordre, pénètrent sui
ur ordre, pénètrent suivant un même mode dans la substance grise. Les
fibres
nerveuses se réunissent en un faisceau blanc au c
isolément et abordent la base de la substance grise corticale. Chaque
fibre
à ce niveau s'amincit progressivement, s'effile,
n se mettant en connexion avec un prolongement cellulaire. Quelques
fibres
nerveuses paraissent s'amortir dans la couche la
striés. Ces trois ordres de connexions impliquent trois systèmes de
fibres
nerveuses : Io des fibres arciformes conjuguant l
de connexions impliquent trois systèmes de fibres nerveuses : Io des
fibres
arciformes conjuguant les uns aux autres dans cha
chaque hémisphère les divers points de la surface corticale ; 2° des
fibres
commissurantes qui unissent les cellules nerveuse
uses d'un hémisphère à leur homologue de l'hémisphère opposé ; 3° des
fibres
convergentes reliant les cellules corticales aux
es cellules corticales aux cellules de noyaux opto-striés. § 1. Les
fibres
arciformes constituent un système d'association d
ance mé-dullaire, vers la limite de la substance grise. Ce système de
fibres
arciformes, indiqué seulement par quelques auteur
deux circonvolutions voisines ; il existe plusieurs autres groupes de
fibres
arciformes, qui relient des régions éloignées dan
acentral et au lobule quadrilatère; du lobe occipital, un faisceau de
fibres
, le faisceau longitudinal inférieur (Pl. XII, 4),
liant les circonvolutions de l'insula de Reil. Enfin un faisceau, les
fibres
arciformes occipito-frontales unissent la partie
ce innommée (Pl. XXVIII, 4). La disposition de ces cinq systèmes de
fibres
unissantes est facile à constater par des coupes
rveaux durcis par une méthode particulière qui permet de décliver les
fibres
de la substance médullaire, ainsi qu'on le ferait
es de la substance médullaire, ainsi qu'on le ferait d'un faisceau de
fibres
ligneuses (1). § 2. Les fibres commissurantes a
nsi qu'on le ferait d'un faisceau de fibres ligneuses (1). § 2. Les
fibres
commissurantes appartiennent au système d'associa
sphère à leur homo-logue de l'hémisphère opposé. Chaque extrémité des
fibres
commissurantes est en connexion avec les prolonge
au milieu de la substance médullaire. La direction générale de ces
fibres
varie en raison de la situation des points de la
e Sylvius, opercule, opposent la convexité de leur courbe à celle des
fibres
qui relient les régions placées au-dessus de cett
bres qui relient les régions placées au-dessus de cette scissure. Les
fibres
des régions anté-rieures décrivent une courbe à c
des forment les cornes postérieures (forceps posterior). Toutes ces
fibres
passent sur la ligne médiane, les unes au-dessus
lleux en arrière (Pl. II, 2 ; XVIII, 1,2; XXXIV, 1 ; L1V, 1,6). Les
fibres
commissurantes émergent de la base des circonvolu
ent de la base des circonvolutions ; elles sont intimement mêlées aux
fibres
convergentes, qu'elles abandonnent au voisinage d
et, sur la face inférieure du corps calleux, on remarque un groupe de
fibres
disposées en filaments curvilignes dirigés obliqu
ents curvilignes dirigés obliquement en bas et en dehors, ce sont les
fibres
commissurantes de la substance grise des hippocam
et des corps godronnés; elles croisent à angle aigu la direction des
fibres
transversales du corps calleux, affectant une dis
s le nom depsalterium ou lyre (Pl. XVIII). Un groupe particulier de
fibres
commissurantes conjugue les deux lobes sphé-noïda
er de fibres commissurantes conjugue les deux lobes sphé-noïdaux. Les
fibres
issues des régions antérieures de ces lobes se po
rique et rejoint le faisceau homologue du côté opposé. Ce groupe de
fibres
, nommé commissure blanche antérieure, décrit par
e avec le faisceau que Gratiolet décrit sur les animaux. : § 3. Les
fibres
convergentes émergent de tous les points de la su
corticale périphérique. Elles suivent d'abord le même trajet que les
fibres
commissurantes, puis s'en séparent au voisinage d
ce grise de ces noyaux. En changeant de direction, ces deux ordres de
fibres
interceptent un espace désigné sous les noms de v
'aspect d'une tache grisâtre (PL VIII, 2, 3, 5; XVIII, 15; XXXV). Les
fibres
issues des circonvolutions antérieures convergent
ennent une direction convergente d'arrière en avant et en dedans. Les
fibres
convergentes des régions infé-rieures ont une dir
n haut et de dehors en dedans (Pl. X-Xl-XII). Ces divers groupes de
fibres
se juxtaposent en un gros faisceau qui plonge dan
s noyaux opto-striés qui leur correspondent (PL XXI). Ce système de
fibres
dirigées de tous les points de l'écorce vers le c
en-semble des faisceaux irradiés des régions moyennes ; le groupe des
fibres
issues des régions postérieures décrit par Kôllik
uefois désigné sous le nom de radiations optiques de Gratiolet. Les
fibres
convergentes des régions antérieures et inférieur
pénètrent en fascicules stratifiés (PL VIII, 9; XXVI, 3; LU, 4). Les
fibres
convergentes des régions antérieures et supérieur
aversent sous l'aspect de fascicules spiroïdes (Pl. XI, XLIV, 3). Les
fibres
convergentes des régions moyennes supérieures et
t le séparent du noyau lenticulaire (Pl. XVI, 4; XVII; XV11I, 6). Les
fibres
convergentes qui proviennent des régions inférieu
n dehors du pilier antérieur du trigone, se raccordent aux groupes de
fibres
de la capsule interne (PL IV, 7), et pénètrent da
uche de l'anse pédonculaire de Gratiolet. Ces différents groupes de
fibres
convergentes se condensent sur le côté antéro-ext
dénominations ont une valeur importante au point de vue de l'ordre de
fibres
qui entrent dans la constitution de chacune de ce
e de ces régions (1). On verra plus loin, en effet, qu'une partie des
fibres
spinales pénètrent de même dans la capsule intern
l de distribution relativement à ces régions. Les divers groupes de
fibres
convergentes, issues des différents points de la
nts de la subs-tance corticale, se sont condensés en un faisceau. Ces
fibres
se séparent de nouveau pour gagner leurs destinat
noyaux opto-striés. Une partie pénètre dans la couche optique; les
fibres
s'effilent, s'amincissent, tra-versent la substan
partie se détache du faisceau principal, se sépare en deux groupes de
fibres
: l'un gagne la masse du corps qu'elle aborde par
sonnent sa substance grise en plusieurs segments (Pl. XLIÏ, 2). Les
fibres
convergentes des régions frontales moyennes et de
oyennes et de Pinsula se dirigent directement en dedans, croisent les
fibres
arciformes, s'inclinent sur la face externe du no
nte; elle peut être facilement énucléée sur des pièces durcies. Les
fibres
convergentes des régions postérieures se détachen
vient plus apparent et plus volumineux par l'adjonction successive de
fibres
nouvelles, à mesure qu'il se rapproche des région
égions postérieures de la couche optique. Arrivées à ce niveau, les
fibres
se dissocient, s'étalent; les unes pénètrent dans
. D'après le mode de constitution et de groupement des faisceaux de
fibres
conver-gentes des régions postérieures, il semble
x de fibres conver-gentes des régions postérieures, il semble que les
fibres
convergentes des régions internes seulement du lo
cipital vont s'amortir dans le pulvinar (Pl. XX, 9; XXII, 8), que les
fibres
des régions externes se portent dans la profondeu
r de la couche optique jusqu'à la paroi du ventricule moyen ; que les
fibres
externes et inférieures de ce faisceau gagnent la
ceau gagnent la région externe du pédoncule cérébral. Le système de
fibres
convergentes comprend donc (Pl. XI-XII) : Io un g
res convergentes comprend donc (Pl. XI-XII) : Io un groupe spécial de
fibres
nerveuses qui relient tous les points de la pulpe
us les points de la pulpe corticale à la couche optique ; ce sont les
fibres
cortico-thalamiques ; 2° Un second groupe spéci
ont les fibres cortico-thalamiques ; 2° Un second groupe spécial de
fibres
nerveuses, qui met également en connexion les div
ériphérique avec le corps strié et le noyau lenticulaire, ce sont les
fibres
cortico-striées. En dehors de ce système de fib
ire, ce sont les fibres cortico-striées. En dehors de ce système de
fibres
convergentes, il existe un faisceau de fibres d'u
dehors de ce système de fibres convergentes, il existe un faisceau de
fibres
d'une forme particulière, qui suit un trajet diff
sse de substance corticale des circonvolutions de l'hippocampe. Les
fibres
convergentes de F hippocampe naissent du crochet
olution par un groupe de fibrilles, qui s'accroît dans son trajet des
fibres
issues du bord interne de la corne d'Ammon, et co
renferme (Pl. III). - Vicq-d'Azyr a décrit un faisceau spiroïde de
fibres
blanches, verticalement dirigé de haut en bas, qu
e la substance grise des tubercules mamillaires. Il est formé par les
fibres
efférenles des tubercules mamillaires (Pl. III; P
la substance grise des tubercules mamillaires et, indirectement, aux
fibres
convergentes de l'hippocampe (Pl. XII, 7). Les
ise, recouverts d'une écorce blanchâtre, formée par l'en-roulement de
fibres
nerveuses afférentes. Ils ont la forme et le volu
égion antérieure de la couche optique, les faisceaux cylindriques des
fibres
convergentes de Fhippocampe envoient des fibres a
eaux cylindriques des fibres convergentes de Fhippocampe envoient des
fibres
au septum lucidum et un cordon blanc très grêle o
lleux est constitué par une écorce de substance grise, reliée par des
fibres
nerveuses médullaires à un noyau central de subst
x capillaires. Elle est séparée de la zone profonde par une couche de
fibres
nerveuses dirigées parallèlement à la surface ext
limite interne, cette couche renferme des cellules fusiformes et des
fibres
médullaires parallèles à la surface externe. La
sinage. Quelques-uns de ces prolongements sont en continuité avec les
fibres
nerveuses de la substance blanche (Pl. VI, 17; XX
rticulière (Pl. II, 15). Cette substance médullaire est composée de
fibres
nerveuses de même texture et de même dimension qu
cellules nerveuses de la substance grise, de la même manière que les
fibres
médullaires des hémisphères cérébraux. Au centr
rconvolution cérébelleuse apparaît un petit fascicule axile, dont les
fibres
se dissocient, s'étalent et pénètrent isolément d
ocient, s'étalent et pénètrent isolément dans la substance grise. Ces
fibres
se dépouillent de leur gaine de myéline, traverse
son avec les prolongements des grosses et des petites cellules. Les
fibres
nerveuses de la substance médullaire du cervelet
me celles de la substance médullaire du cerveau, en trois systèmes de
fibres
unis-santes : Les unes relient les folioles voi
e système d'association des folioles d'un même lobe est formé par des
fibres
médullaires curvilignes, tendues en forme d'arcs
n forme d'arcs à la base de chaque lamelle. Ce sont les analogues des
fibres
arciformes de la substance médullaire cérébrale.
rciformes de la substance médullaire cérébrale. § 2. Le système des
fibres
commissurantes est représenté par des groupes de
e système des fibres commissurantes est représenté par des groupes de
fibres
, qui se détachent de la substance corticale des r
au-dessus du corps rhomboïdal et se portent vers le lobe médian. Les
fibres
qui proviennent des régions inférieures au grand
us du corps rhomboïdal et gagnent le lobe médian. Ces deux groupes de
fibres
constituent la substance médullaire des Vermis su
égions homologues à celles dont elles dérivent (Pl. XXVI). § 3. Les
fibres
convergentes, issues des cellules de la substance
la subs-tance corticale et le lieu d'arrivée au corps rhomboïdal. Les
fibres
qui proviennent des régions supérieures se dirige
n haut, celles des régions latérales vont vers le centre ; toutes ces
fibres
s'inclinent dans leur marche et prennent un traje
ules qui pénètrent dans les anfractuosités de la substance grise; les
fibres
se séparent de nouveau, s'épanouissent en fibrill
nexion avec les cellules nerveuses qu'elle renferme. article 111. —
fibres
efférentes cérébelleuses. La substance grise du
orps rhomboïdal reçoit, par les anfractuosités de sa péri-phérie, les
fibres
convergentes qui naissent des diverses parties de
émet, de tous les points de la surface interne de ses sinuosités, des
fibres
nerveuses effèrentes, qui se portent, sous forme
l forme les pédoncules cérébelleux supérieurs. Ces trois groupes de
fibres
suivent un trajet qui leur est propre et vont se
situé sur le côté opposé à celui de leur origine (PL VI, VII). Les
fibres
des pédoncules cérébelleux inférieurs, nées dans
oncavité interne, s'insinue en se dissociant dans les interstices des
fibres
ascendantes, croise sur la ligne médiane les fibr
s interstices des fibres ascendantes, croise sur la ligne médiane les
fibres
du groupe congénère, continue son trajet et se te
trajet et se termine dans le côté externe des corps olivaires par des
fibres
arquées connues sous le nom de fibres arciformes
rne des corps olivaires par des fibres arquées connues sous le nom de
fibres
arciformes du bulbe. Le groupe interne des pédo
ns la substance grise du noyau des cordons grêles (Pl. XXXVII). Les
fibres
des pédoncules cérébelleux moyens, en se séparant
té-rieures du cervelet, qui se dirige transversalement en dedans. Ses
fibres
s'entre-croisent avec celles de son congénère en
ance grise de la protubérance (Pl. VI, 19; XXXVIII, 20; XXXIX). Les
fibres
des pédoncules cérébelleux supérieurs, dès leur s
rhom-boïdal, se séparent très nettement des deux autres faisceaux de
fibres
efférentes. Elles se dirigent en haut, en avant e
e décrite par Stilling sous le nom de noyaux rouges. Une partie des
fibres
des pédoncules cérébelleux supérieurs contourne l
ière, la substance grise est entourée d'une écorce blanche for-mée de
fibres
nerveuses, groupées en faisceaux longitudinaux pr
ondaires, s'effilent insen-siblement et entrent en connexion avec les
fibres
radiculaires des nerfs moteurs. Deiters a désig
-sivement, se recouvrirait de myéline pour se convertir finalement en
fibre
nerveuse. Cette description est difficile à const
rieures donnent naissance aux racines postérieures ou sensitives. Ces
fibres
radi-culaires, aussitôt après avoir traversé la g
séminés symétriquement de chaque côté du canal central, au milieu des
fibres
nerveuses à direction ascendante, transver-sale o
u névraxe donne naissance, comme la portion spinale, à deux séries de
fibres
radiculaires : les racines motrices et les racine
n rapport avec le faisceau moyen du facial, auquel il envoie quelques
fibres
, ce qui lui a fait donner le nom de noyau supérie
e longueur, à prolongements fins et ramifiés, qui donne naissance aux
fibres
radiculaires du nerf pa-thétique. Vers la pointe
llules multipolaires, indiqué par Stilling en 1846, d'où émergent les
fibres
radiculaires du nerf moteur oculaire commun. La
ite racine du trijumeau ou nerf masticateur prend son origine par des
fibres
radiculaires, qui émergent d'un noyau sphérique à
levé, au noyau propre du facial, dont il est séparé par le passage de
fibres
nerveuses. La base de la corne postérieure s'ét
e du triju-meau, en avant du noyau interne de l'auditif, qui émet les
fibres
radiculaires consti-tutives du nerf de Wrisberg.
nerf auditif ou acoustique est formé par la fusion de deux groupes de
fibres
. Le groupe inférieur ou externe contourne le pédo
u pédoncule et va aboutir à un noyau de cellules. Ces deux groupes de
fibres
radiculaires enclavent, près du bord externe du c
e teinte bleuâtre qui lui a fait donner le nom de locus cœruleus. Les
fibres
radiculaires émergent d'un groupe allongé de gros
éminées sur un long espace en petits amas, qui donnent nais-sance aux
fibres
des racines supérieures du trijumeau. Ces cellule
écapitées. La substance gélatineuse qui l'entoure émet une série de
fibres
nerveuses se dirigeant en dehors et en arrière. C
e série de fibres nerveuses se dirigeant en dehors et en arrière. Ces
fibres
constituent par leur groupement, à la protubéranc
, 1866. nerf auditif. Vers ce niveau, la racine bulbaire reçoit des
fibres
radiculaires d'un autre ordre; la substance gélat
des nerfs olfactifs; Serres a en outre montré ses connexions avec les
fibres
du taenia semi-circularis, il a été décrit pour l
triques, fréquemment recou-vertes de granulations pigmentaires. Les
fibres
afférentes proviennent des racines externes des n
afférentes proviennent des racines externes des nerfs olfactifs; les
fibres
efférentes sont représentées par le fascicule de
ues sur les bords de la fente cérébrale de Bichat, appuyés contre les
fibres
pédonculaires ; ils n'affectent que des rapports
s volumineux que l'interne. Ces deux ganglions reçoivent chacun des
fibres
nerveuses périphériques d'un ordre particulier, q
ns les autres (Pl. XXIV, 18; XXXIX) (Microph., Pl. A, fig. IV). Ces
fibres
afférentes aux ganglions ressortent dans une dire
tance grise du tubercule quadrijumeau antérieur (Pl. XXXVI, 9). Les
fibres
optiques présentent donc, comme les nerfs rachidi
itables noyaux de substance grise, qui possèdent un système propre de
fibres
efférentes et jouent par conséquent un rôle parti
ns sensitives des pyramides antérieures du bulbe. Sur le trajet des
fibres
du pédoncule cérébelleux inférieur, la substance
olumineux noyau de substance grise est traversé par des fascicules de
fibres
dirigées longitudinalement et transversalement. G
s dirigées longitudinalement et transversalement. Ge dernier ordre de
fibres
provenant du cervelet s'amortit dans les cellules
es cellules voisines. Ces deux noyaux sont situés sur le trajet des
fibres
des pédoncules cérébelleux supérieurs, qu'ils int
supérieurs, qu'ils interrompent. Ils émettent par le côté opposé des
fibres
efférentes prenant leur origine dans les cellules
Luysii est en connexion par sa face postéro-interne avec un groupe de
fibres
provenant des pédoncules cérébelleux supérieurs,
substance blanche du névraxe. En traversant le collet du bulbe, les
fibres
nerveuses groupées en faisceaux pris-matiques aut
uent leur marche ascendante sous le nom de pyramides antérieures. Les
fibres
nerveuses longitudinales qui les composent formen
ls constituent la portion profonde ou sensitive de ces pyramides. Les
fibres
nerveuses, plus fines dans ce faisceau, se juxtap
bstance grise du plancher du quatrième ventricule; un grand nombre de
fibres
transversales s'entremêlent avec ces faisceaux. C
uniculus cuneatus (Pl. IV, 24; XXXVI, 16; XXXVII). § 2. Passage des
fibres
spinales à travers la protubérance. — Les trois c
nt entre eux est occupé par un amas de substance grise entrecoupée de
fibres
transversales, qui s'entre-croisent au raphé médi
e-croisent au raphé médian. Les cordons antérieurs, dissociés par les
fibres
trans-versales, se placent entre la portion sensi
'un gros faisceau fascicule, à peu près arrondi, situé en arrière des
fibres
transversales des pédoncules cérébelleux moyens,
eau de l'émergence du nerf trijumeau, plongent dans la masse même des
fibres
transversales cérébelleuses, et se rapprochent de
ième ventricule; à ce niveau, ils sont traversés et dissociés par les
fibres
des pédoncules cérébelleux supérieurs (Pl. IV, 25
ntervalles compris dans la protubérance entre ces divers faisceaux de
fibres
nerveuses longitudinales sont remplis par des agg
illonne, traverse, entrecoupe, émiette, un réseau abondant de grosses
fibres
transversales. Ces trois cordons atteignent le
e, et celle qui entoure l'aqueduc de Sylvius. § 3. Distribution des
fibres
nerveuses spinales. — Arrivé à l'extrémité supéri
du noyau caudé et vers la tête du corps strié, qu'elle aborde. Les
fibres
nerveuses s'épanouissent ensuite en petits filame
llules nerveuses que renferme la substance grise de ces noyaux. Les
fibres
les plus internes du pédoncule cérébral se détach
se plie de nouveau totalement en dehors, et va se confondre avec les
fibres
des lames médullaires verticales du noyau lenti-c
le troisième ventricule (PL XXXV11I, 18, 25). § 4. Distribution des
fibres
cérébelleuses. — Un contingent de fibres cérébell
25). § 4. Distribution des fibres cérébelleuses. — Un contingent de
fibres
cérébelleuses, possédant un mode de répartition i
ant un mode de répartition indépendant, nettement isolé, se joint aux
fibres
spinales antérieures, ou portion motrice des py
uges de Stilling reçoivent par leur segment postérieur un faisceau de
fibres
afférentes fourni par les pédoncules cérébelleux
bres afférentes fourni par les pédoncules cérébelleux supérieurs. Ces
fibres
pénètrent dans la substance grise des noyaux en p
es, suivant chacun une direction particulière. Un premier groupe de
fibres
, le plus considérable, se porte dans la tête du c
du corps strié et s'éparpille dans sa substance. Un second groupe de
fibres
afférentes se recourbe en dehors, prend une direc
3, 15, 16; XL, 18, 19, 20). Le corpus Luysii reçoit un fascicule de
fibres
cérébelleuses qui se détache du faisceau principa
ne sous la forme de fibrilles efférentes irradiées, qui se mêlent aux
fibres
spinales antérieures, dont elles partagent la dis
llules nerveuses qui constituent la substance grise de Sœmmering; les
fibres
efférentes, nées sur la face opposée, se dirigent
opposée, se dirigent en dehors et en avant, croisent la direction des
fibres
spinales antérieures et gagnent la substance gris
es et gagnent la substance grise des noyaux jaunes, dans laquelle ces
fibres
se distribuent. Les pédoncules cérébelleux supé
ntral de la substance grise des lobes du cervelet. Les faisceaux de
fibres
cérébelleuses moyennes se dissocient en atteignan
se en avant au sillon médian ; l'autre partie s'insinue à travers les
fibres
ascendantes, s'entre-croise au raphé médian tavec
vers les fibres ascendantes, s'entre-croise au raphé médian tavec les
fibres
congénères du côté opposé et disparaît dans la su
et disparaît dans la substance grise qui occupe les interstices. Ces
fibres
constituent un lien immédiat entre la substance g
allongée et la moelle épinière. En traversant la protubérance, les
fibres
spinales antérieures se sont accolé des fibres ne
t la protubérance, les fibres spinales antérieures se sont accolé des
fibres
nerveuses de nouvelle formation, qui ont augmenté
on, qui ont augmenté considérablement le volume de leur faisceau. Ces
fibres
nouvelles ont pris naissance dans les cellules ne
enferme la substance grise de la protubérance; elles représentent les
fibres
efférentes de ce volumi-neux noyau de la moelle a
ns cellulaires accessoires répandues sur le parcours des faisceaux de
fibres
nerveuses, indiquent que la portion encéphalique
ique. e. Prolongement bifide. Fig. IV. — Formation du chiasma des
fibres
optiques. a. Fibres latérales, directes, se por
t bifide. Fig. IV. — Formation du chiasma des fibres optiques. a.
Fibres
latérales, directes, se portant d'une bandelette
une bandelette optique dans le nerf optique du côté homologue. b.
Fibres
médianes, entre-croisées, passant d'une bandelett
d'une bandelette optique dans le nerf optique du côté opposé. c.
Fibres
internes, commissur antes, unissant les deux band
e du plancher du ventricule moyen. Fig. II. — Mode d'émergence ries
fibres
efférenles du tubercule. a. Faisceau des fibres
de d'émergence ries fibres efférenles du tubercule. a. Faisceau des
fibres
afférentes (pilier antérieur du trigone). b. Fa
es fibres afférentes (pilier antérieur du trigone). b. Faisceau des
fibres
efférentes (faisceau de Vicq-d'Azyr). c. Substa
e du plancher du ventricule moyen. Fig. III. — Mode cVimmersion des
fibres
afférentes au tubercule. a. Faisceau de fibres
Mode cVimmersion des fibres afférentes au tubercule. a. Faisceau de
fibres
afférentes (pilier antérieur du trigone). b. Su
s émergeant de la corne an- térieure. d. Section transversale des
fibres
nerveuses longitudinales de la substance médullai
. Racine du grand hypoglosse. /. Raphé médian. m. Noyau sensitif et
fibres
radiculaires du grand hypoglosse (noyau classique
osso-pharyngien divisé en deux portions ; l'une donne naissance aux
fibres
radiculaires. d. Faisceau nerveux. e. Substan
essoire de Mathias Du val. r. Noyau moteur du glosso-pharyngien. s.
Fibres
arciformes. t. Substance grise du plancher du q
me ventricule. Fig. IV. — Substance grise de f olive bulbaire. a.
Fibres
efférentes de la face interne de la substance gri
efférentes de la face interne de la substance grise de l'olive. b.
Fibres
afférentes à la face externe de la substance gris
externe de la substance grise de l'olive, désignées sous le nom de
fibres
arciformes du bulbe. c. Substance grise de Y ol
en bas aux os propres du nez et à la peau des sourcils ; en haut, les
fibres
s'attachent au bord antérieur de l'apo-névrose ép
tiers externes de la ligne courbe occipitale supérieure; en haut, les
fibres
s'attachent au bord postérieur de l'aponévrose ép
bres s'attachent au bord postérieur de l'aponévrose épicrânienne. Les
fibres
de ces deux muscles se dirigent d'avant en arrièr
Ces deux faces sont unies entre elles par un gros faisceau aplati de
fibres
blanches, nommé corps calleux (13), de 6 à 8 mill
e occipital interne ou cuneus (1). 2. — Section perpendiculaire des
fibres
commissurantes des hémisphères céré-braux, forman
leux. Le bord supérieur de la cloison adhère à la face inférieure des
fibres
commis-surantes ; le bord inférieur se fixe sur u
res commis-surantes ; le bord inférieur se fixe sur une bandelette de
fibres
blanches, le trigone cérébral. Ces deux lames lai
postérieure par la commissure blanche postérieure, petit faisceau de
fibres
blanches disposé transversalement, et par la glan
rs et en avant. Ces pédoncules sont formés par deux gros faisceaux de
fibres
blanches émergeant de la protubérance ; ils inter
pont de Varóle montrant, au milieu d'un amas de substance grise, les
fibres
transversales blanches appartenant aux pédon-cule
rsales blanches appartenant aux pédon-cules cérébelleux moyens et les
fibres
verticales blanches issues du bulbe rachidien.
du bulbe rachidien. 17. — Section du bulbe rachidien présentant les
fibres
arciformes du raphé médian, la substance grise ce
ntes leur forme et leurs limites. En bas et en avant, on aperçoit les
fibres
longitudinales qui constituent le gyrus reclus; a
s longitudinales qui constituent le gyrus reclus; au-dessus, sont les
fibres
blanches de la circonvolution frontale interne, a
un aspect foliacé, lamellaire, dû à la dissociation des faisceaux des
fibres
commissurantes. A la région postérieure, ces fibr
des faisceaux des fibres commissurantes. A la région postérieure, ces
fibres
sont unies avec la bandelette qui forme les pilie
x apparaît le noyau rouge de Stilling, en rapport avec un faisceau de
fibres
blanches, formépar les pédoncules cérébelleux sup
traversé horizontalement et verticalement par de petits faisceaux de
fibres
blanches ; elle est séparée de la cavité du quatr
ée de la cavité du quatrième ventricule par un groupe de faisceaux de
fibres
blanches, qui s'étend du bulbe rachidien au pédon
grise corticale des circonvolutions, circonscrivant de toute part les
fibres
blanches médullaires. Aux lobulus cunéiforme, ext
décrites dans la planche précédente. 2. — Section du cervelet. Les
fibres
médullaires prennent chacune une direction propre
rale par la première scissure temporo-occipitale. 4. — Ensemble des
fibres
commissurantes constituant le corps calleux ; une
blanche antérieure (6) et le mode de péné-tration du faisceau (7) des
fibres
convergentes des régions inférieures et internes
12). 14. — Noyau rouge de Stilling; il émet en avant un faisceau de
fibres
efe-rentes (15) et reçoit un groupe de fibres aff
en avant un faisceau de fibres efe-rentes (15) et reçoit un groupe de
fibres
afférentes (16) qui émane des pédoncules cérébell
le nom de bandelette accessoire, c'est le corpus Luysii (17). 18. —
Fibres
spinales à leur sortie de la protubérance, forman
g (19). 20. — Substance grise de la protubérance, sillonnée par les
fibres
transversales des pédoncules cérébelleux moyens e
les fibres transversales des pédoncules cérébelleux moyens et par les
fibres
verticales (22) venant de la région supérieure et
érieure et antérieure du bulbe rachidien. En arrière apparaissent les
fibres
radiculaires des nerfs moteurs oculaires externes
(21). 23. — Substance grise de Votive bulbaire en rapport avec les
fibres
spinales posté-rieures (25). La face postérieure
grise des tubercules quadrijumeaux. En avant apparaît un fais-ceau de
fibres
blanches (28) appartenant aux fibres spinales pos
n avant apparaît un fais-ceau de fibres blanches (28) appartenant aux
fibres
spinales postérieures ; plus loin est un petit fa
t dans le cerveau la disposition de la substance grise corticale, des
fibres
de la substance médullaire, et le faisceau longit
re blanche antérieure (6, Pl. IV) conserve ses mômes dimen-sions. Les
fibres
spinales antérieures (10, Pl. IV) se réfléchissen
té devient de plus en plus fine. Ce faisceau reçoit le contingent des
fibres
efîérentes du noyau rouge de Stilling et celui du
orpus Luysii. La couche optique reçoit également l'épanouissement des
fibres
blanches d'une autre source qui vont s'atténuer d
forme en noyau. Sa substance grise est traversée verticalement parles
fibres
spinales antérieures; elle est contournée en arri
s fibres spinales antérieures; elle est contournée en arrière par les
fibres
spinales postérieures, qui sont séparées, dans le
ales postérieures, qui sont séparées, dans le pédoncule cérébral, des
fibres
spinales antérieures par la substance grise du lo
tance grise de l'olive s'interpose également entre ces deux ordres de
fibres
. La substance grise centrale du bulbe se contin
ïde ouvert en avant, c'est le corps rhomboïdal, nucleus dentatus; les
fibres
efférentes forment en avant et en haut les pédonc
longitudinal supérieur, dont on distingue nettement la direction des
fibres
. 2. — Ensemble des fibres commissurantes, corps
t on distingue nettement la direction des fibres. 2. — Ensemble des
fibres
commissurantes, corps calleux, recouvrant la cavi
la commissure blanche antérieure (5) et reçoit en avant et en bas les
fibres
convergentes des régions inférieures et antérieur
qui se relèvent pour pénétrer dans sa masse et se fusionner avec les
fibres
de la capsule interne. 7. — Fibres du tœnia sem
a masse et se fusionner avec les fibres de la capsule interne. 7. —
Fibres
du tœnia semi-circularis se dirigeant en arrière
le centre moyen (8) de la couche optique, vers lequel s'effilent les
fibres
convergentes de la capsule interne; en arrière es
rouge est réduit à son segment externe ; en avant est son faisceau de
fibres
efférentes (12) se dirigeant vers le corps strié.
yau jaune du noyau lenticulaire (segment moyen). 15. — Faisceau des
fibres
spinales antérieures émergeant de la substance gr
u corps strié. 17. — Section de la substance grise corticale et des
fibres
convergentes médul-laires du cervelet. Au milieu
ntes médul-laires du cervelet. Au milieu est le corps rhomboïdal. Les
fibres
efférentes du cervelet se dirigent les unes en ba
cissures mises à découvert dans leurs régions profondes. La coupe des
fibres
commissurantes porte sur la portion du corps call
ne (3, Pl. VI) est encore adhérent au bourrelet par son bord interne (
fibres
de la lyre). La substance grise du noyau intrav
t dans les noyaux jaunes du noyau lenticulaire du corps strié que les
fibres
blanches de la capsule interne séparent du noyau
hes de la capsule interne séparent du noyau intraventriculaire. Les
fibres
convergentes pénètrent en serpentant dans la subs
ll, Pl. VI) et de la substance grise de Sœmmering (13, Pl. VI). Les
fibres
spinales antérieures (15, Pl. VI) émergent de la
ures (15, Pl. VI) émergent de la protubérance annulaire. Un groupe de
fibres
se dirige vers les noyaux jaunes; un autre contin
faisceau direct moteur du pédoncule cérébral. Le groupe postérieur de
fibres
, qui paraît s'arrêter au locus niger, aboutit à l
tique. La section du cervelet montre la disposition convergente des
fibres
de la subs-tance médullaire vers la substance gri
ance grise plissée du corps rhomboïdal, d'où part un gros faisceau de
fibres
qui se dirigent d'abord en avant, puis se séparen
le bulbe. Le fais-ceau moyen continue son trajet pour constituer les
fibres
transversales qui dissocient la substance grise d
issocient la substance grise de la protubérance. Ces trois groupes de
fibres
constituent les pé-doncules du cervelet. En ava
s-phère, convergeant vers les noyaux opto-striés. 2. — Ensemble des
fibres
commissurantes, corps calleux, recouvrant la cavi
rminant en arrière en forme de queue, d'où le nom de noyau caudé. Les
fibres
convergentes des régions anté-rieures et inférieu
Faisceau spiroïde, tourbillonné, constitué par les divers groupes de
fibres
convergentes des régions supérieures, antérieures
i-circularis. Au-dessous on aperçoit le mode de péné-tration (15) des
fibres
convergentes dans la substance grise de la couche
ouillé interne (18). 19. — Section du lobe latéral du cervelet. Les
fibres
médullaires efférentes se di-rigent en avant sous
rande que celle qui correspond à la périphérie de l'hémisphère. Les
fibres
de la substance médullaire ont toutes une directi
tif. La voûte que forme le corps calleux n'est plus apparente ; les
fibres
commissu-rantes sont mêlées aux fibres convergent
eux n'est plus apparente ; les fibres commissu-rantes sont mêlées aux
fibres
convergentes. La cavité des ventricules latéraux
arée delà couche optique parle taenia semi-circularis. Au-dessous les
fibres
convergentes traversent l'épaisseur de la face ex
interne (18, Pl. VIII) montre la disposition oblique et parallèle des
fibres
optiques qui la sillonnent. Les noyaux jaunes d
he qui les a fait diviser en segment interne et en segment moyen. Des
fibres
transversales parcourent les deux segments, et vo
solés de la couche optique par le groupement des faisceaux divers des
fibres
couvergentes cons-tituant la capsule interne. Au-
agment du corps rhomboïdal, le mode de groupement et la direction des
fibres
efférentes cérébelleuses. Gavoy. — Encéphale. 1
oyau caudé. 1. — Substance grise corticale des circonvolutions. Les
fibres
convergentes des régions antérieures, supérieures
pto-striés, connue sous le nom de couronne rayonnante de Reil. 2. —
Fibres
convergentes des régions antérieures et inférieur
ie antérieure de la capsule interne. 3. — Point de dissociation des
fibres
convergentes et commissurantes, nettement apparen
les transverses. 4. — Ensemble de la capsule interne, formé par les
fibres
convergentes des régions antérieures, les fibres
terne, formé par les fibres convergentes des régions antérieures, les
fibres
convergentes des régions supérieures et moyennes,
moyennes, et, en arrière, parles radiations optiques de Gratiolet ou
fibres
cortico-thalamiques postérieures. 5. — Substanc
ntiguë à la substance grise du ganglion olfactif (14), qui reçoit les
fibres
radiculaires externes (15) du nerf olfactif. 16
du cervelet comprend la substance grise corticale et les faisceaux de
fibres
médullaires qui vont s'y distribuer sous une form
ubstance médullaire indiquent l'affleurement de sillons profonds. Les
fibres
convergentes sont étalées en éventail; elles pren
nne de la capsule interne. Les planches VIH, IX, X ont montré que les
fibres
convergentes des régions antérieure et inférieure
affectent une disposition entièrement semblable. Ces divers ordres de
fibres
viennent se grouper en un faisceau commun désigné
rsale-ment par des filaments blancs provenant de l'épanouissement des
fibres
spinales anté-rieures (Pl. VI et VII). La portion
du corps genouillé externe, qui semble au premier abord recevoir les
fibres
convergentes de la région postérieure, comme on l
sillon, est la substance grise du ganglion olfactif (14, Pl. X). Les
fibres
radiculaires externes du nerf olfactif et celle
l'hémisphère. Le centre médullaire est consti-tué par l'ensemble des
fibres
convergentes et commissurantes. Les fibres de la
sti-tué par l'ensemble des fibres convergentes et commissurantes. Les
fibres
de la région antérieure (2) se portent directemen
ctement en bas, celles des régions moyennes, en bas et en dedans; les
fibres
des régions postérieures (4) suivent une directio
es (4) suivent une direction antéro-postérieure. Ces divers ordres de
fibres
convergentes abordent la substance grise des noya
a marche des faisceaux principaux auxquels elles appartiennent. Les
fibres
arciformes occipito-pariétales (5) relient les ci
nes aux autres. Le faisceau arciforme frontal croise la direction des
fibres
convergentes et met en connexion les circonvoluti
ndues que celles de la coupe précédente. Le bord supérieur reçoit les
fibres
du tœnia semi-circularis (9) ; la face antérieure
œnia semi-circularis (9) ; la face antérieure est en rapport avec les
fibres
radiculaires externes du nerf olfactif (10). II
strié, désignée sous le nom de avant-mur. Elle est traversée par les
fibres
provenant des circonvolutions de l'insula de Reil
n (15) du noyau jaune du corps strié, est pénétrée par le système des
fibres
convergentes. 16. — Coupe de la substance corti
est réuni au lobule orbitaire par le faisceau arciforme frontal; les
fibres
convergentes des régions supérieures et moyennes
s et moyennes plongent verticalement vers le noyau lenticulaire ; les
fibres
convergentes des régions postérieures se dirigent
gentes des régions postérieures se dirigent directement en avant; les
fibres
du lobe sphénoïdal se portent en haut. Dans la su
tement par l'aspect tout particulier que présente l'agencement de ses
fibres
médul-laires. XIV. Coupe horizontale antéro-pos
au niveau de la face supérieure du corps calleux. %. — Ensemble des
fibres
convergentes et commissurantes émanant de la face
commissurantes émanant de la face interne de la couche corticale. Les
fibres
commissurantes de chaque lobe s'isolent des fibre
che corticale. Les fibres commissurantes de chaque lobe s'isolent des
fibres
convergentes, passent sur la région médiane inter
stitué par l'entrelacement et la condensation à la région médiane des
fibres
commissurantes des deux hémisphères. Les fibres c
la région médiane des fibres commissurantes des deux hémisphères. Les
fibres
commissurantes des régions supérieures sont secti
ou bord externe, du corps calleux. C'est le point de dissociation des
fibres
convergentes et des fibres commissurantes. Le c
alleux. C'est le point de dissociation des fibres convergentes et des
fibres
commissurantes. Le corps calleux occupe tout l'
sillon, on aperçoit deux saillies longitudinales (5) formées par les
fibres
superficielles. Winslow a appelé ces saillies lon
alement sous le nom de tractus longitudinaux ou nerfs de Lancisi. Les
fibres
commissurantes des régions antérieures et des rég
postérieure, passant par la région moyenne du corps calleux. 1. —
Fibres
commissurantes des régions antérieures formant la
ure. 2. — Fibrescommissurantesd.es régions moyennes se séparant des
fibres
conver-gentes sur le bord externe du corps calleu
des fibres conver-gentes sur le bord externe du corps calleux. 3. —
Fibres
commissurantes des régions postérieures formant l
, à concavité dirigée vers la région postérieure. 4. — Ensemble des
fibres
convergentes et commissurantes se dirigeant de la
ions vers le bord externe du corps calleux. Arrivées en ce point, les
fibres
convergentes se portent vers les noyaux opto-stri
s convergentes se portent vers les noyaux opto-striés, tandis que les
fibres
com-missurantes continuent leur trajet en passant
ieure de la couche optique (8) par le sillon intermédiaire (7). Les
fibres
commissurantes forment, par leur condensation sur
1. — Partie antérieure ou réfléchie du corps calleux formée par les
fibres
commis-surantes des régions antérieures des hémis
2. — Partie postérieure ou bourrelet du corps calleux formée par les
fibres
com-missurantes des régions postérieures des hémi
Portion cavitaire, ou de la voûte, constituée par l'entrelacement des
fibres
commissurantes des régions moyennes, recouvrant l
eures et internes des noyaux opto-striés des deux hémisphères. 4. —
Fibres
convergentes des régions moyennes du cerveau péné
ette demi-circulaire ou taenia semi-circularis ; ce petit faisceau de
fibres
blanches prend son origine au ganglion olfactif (
de la cavité sphénoïdale. 9. — Plexus choroïde. 10. — Faisceau de
fibres
commissurantes des régions postérieures, apparten
sceau à direction antéro-postérieure, constitué par le groupement des
fibres
convergentes de ces mêmes régions. 11. — Liséré
ons des lobules de l'insula, qui ont été atteintes parla coupe. Les
fibres
médullaires partent de la base des circonvolution
Les fibres médullaires partent de la base des circonvolutions. Les
fibres
commis-surantes des régions antérieures forment l
s des régions postérieures occupent la portion appelée bourrelet. Les
fibres
convergentes se dirigent vers les noyaux opto-str
te de ce noyau que l'extrémité postérieure ou caudale et la tête. Les
fibres
convergentes des régions postérieures sont groupé
ue. 1. — Portion réfléchie ou genou du corps calleux formée par les
fibres
commissu-rantes des régions antérieures. 2. — B
ures. 2. — Bourrelet ou splenium du corps calleux constitué par les
fibres
commissu-rantes des régions postérieures. 3. —
titué par les fibres commissu-rantes des régions postérieures. 3. —
Fibres
convergentes des régions antérieures. 4. — Poin
onvergentes des régions antérieures. 4. — Point de dissociation des
fibres
convergentes et des fibres commissurantes. 5. —
érieures. 4. — Point de dissociation des fibres convergentes et des
fibres
commissurantes. 5. — Tête du noyau caudé ou noy
de la cavité des ventricules latéraux. 6. — Groupe de faisceaux de
fibres
convergentes, fibres cortico-thalamiques, se rend
tricules latéraux. 6. — Groupe de faisceaux de fibres convergentes,
fibres
cortico-thalamiques, se rendant de la base des ci
rçoit la substance grise du noyau lenticulaire du corps strié. 7. —
Fibres
convergentes des régions postérieures groupées en
tance grise de la couche optique pénétrée par des filaments blancs de
fibres
cortico-thalamiques. 9. — Réseau fin linéaire f
fibres cortico-thalamiques. 9. — Réseau fin linéaire formé par les
fibres
cortico-thalamiques sur le bord externe de la cou
es un espace triangu-laire, nommé Lyre ou psaltherium, occupé par les
fibres
transversales ou commissu-rantes qui unissent ces
st de beaucoup plus considérable que celle des deux hémi-sphères. Les
fibres
médullaires qui prennent naissance dans les cellu
es qu'elle renferme, se dirigent toutes vers la région centrale ; les
fibres
commissurantes passent sur la ligne médiane pour
édiane pour se rendre dans les régions homologues du côté opposé, les
fibres
convergentes pour entrer en connexion avec les ce
ion avec les cellules nerveuses des noyaux opto-striés. Le trajet des
fibres
cortico-thalamiques est en partie interrompu par
précédente (6, Pl. XVIII), à travers les faisceaux médullaires. Les
fibres
convergentes antérieures pénètrent dans la substa
a-venticulaire et en noyau extra-ventriculaire ou len-ticulaire ; les
fibres
cortico-thalamiques ont déjà détaché le noyau cau
à détaché le noyau caudé du reste de la masse de substance grise. Les
fibres
convergentes sectionnent par conséquent la sub-st
des deux plans forme le genou de la capsule interne. Le faisceau des
fibres
convergentes postérieures vient abou-tir à la rég
avant-mur; elle est séparée du noyau lenticulaire par un faisceau de
fibres
convergentes que l'on nomme capsule externe. L'av
circonvolutions de l'insula par un espace médullaire, occupé par des
fibres
arciformes et convergentes que l'on désigne sous
bstance grise de la couche optique montre le mode de pénétra-tion des
fibres
convergentes dans l'intérieur de sa masse et la f
enticulaire. 1. — Portion réfléchie du corps calleux formée par les
fibres
commissurantes des régions antérieures. 2. — Fi
formée par les fibres commissurantes des régions antérieures. 2. —
Fibres
commissurantes des régions postérieures ou bourre
régions postérieures ou bourrelet du corps calleux. En avant sont les
fibres
transversales de la Lyre, mettant en connexion le
ot de Morand ou petit hip-pocampe (4). b\ — Point de séparation des
fibres
convergentes et commissurantes. 6. — Faisceau d
aration des fibres convergentes et commissurantes. 6. — Faisceau de
fibres
convergentes antérieures, cortico-striées, pénétr
et concourant à la formation de la capsule interne. Un groupe de ces
fibres
suit la face externe du noyau lenticulaire, sans
e optique; il porte le nom de capsule externe (7). 8. — Section des
fibres
convergentes sur le bord externe de la couche op-
ne de la couche op-tique (6, Pl. XVIII). Cette portion du faisceau de
fibres
blanches, intermédiaire aux deux substances grise
interne est occupée par le gros faisceau formé par le groupement des
fibres
convergentes des régions postérieures (9), et le
fibres convergentes des régions postérieures (9), et le fascicule des
fibres
convergentes antérieures, la capsule externe, qui
eur de la couche optique, séparé du noyau intra-ventriculaire par les
fibres
du taenia semi-circularis qui s'épanouissent dans
s toute son étendue avec celle des circonvolutions de l'insula. Les
fibres
commissurantes forment en avant, la partie antéri
même et fait saillie dans l'intérieur de la cavité sphénoïdale. Les
fibres
convergentes sont groupées entre les noyaux opto-
ux opto-striés en un gros faisceau blanc appelé capsule interne : ces
fibres
pénètrent sous la forme de petits filaments dans
paraît la section de la région supérieure et médiane du cervelet. Les
fibres
médullaires ont une direction transversale. XXI
tion réfléchie ou genou du corps calleux formée par les fascicules de
fibres
commissurantes antérieures. 2. — Dernier vestig
es antérieures. 2. — Dernier vestige du bourrelet du corps calleux.
Fibres
commissurantes pos-térieures. 3. — Section de l
des piliers postérieurs du trigone. 4. — Point de dissociation des
fibres
convergentes et commissurantes. 5. Fibres conve
Point de dissociation des fibres convergentes et commissurantes. 5.
Fibres
convergentes antérieures pénétrant dans la capsul
terne et dans la capsule externe (6). 7. — Section transversale des
fibres
convergentes sur le bord externe de la couche opt
e de la capsule interne). 8. — Faisceau formé par le groupement des
fibres
convergentes des régions postérieures. Ce faiscea
u segment ex-terne par une petite arcade blanche (12), formée par les
fibres
convergentes antérieures et supérieures qui pénét
bstance grise des trois segments : 13. —Avant-mur, dissocié par les
fibres
arciformes occipito-frontales (substance innominé
les fibres arciformes occipito-frontales (substance innominée) et les
fibres
convergentes des circonvolutions de l'insula. 1
he optique. 16. — Centre médian. Il reçoit par son côté externe des
fibres
qui ont traversé la couche optique et, en dedans,
nche. 17. — Centre postérieur de la couche optique. Le faisceau des
fibres
convergentes postérieures plonge et s'épanouit en
. 24. — Section de la région supérieure et médiane du cervelet. Les
fibres
médul-laires ont la disposition transversale de f
cervelet. Les fibres médul-laires ont la disposition transversale de
fibres
commissurantes ; la masse de la sub-stance grise
et atteint le niveau de la portion réfléchie du corps calleux. Les
fibres
convergentes se groupent dans la capsule interne
our se répandre en-suite dans les noyaux opto-striés. Le faisceau des
fibres
convergentes des régions pos-térieures se jette e
an et la paroi du ventri-cule moyen. 11 semble par conséquent que les
fibres
des régions internes seulement du lobe occipital
ation de ces segments provient de l'abondance plus ou moins grande de
fibres
nerveuses qui se distribuent à chacune de ces rég
e l'autre par un filament blanc courbe formé par l'épanouissement des
fibres
convergentes antérieures et supérieures. Le cen
blanche postérieure. Cette commissure est formée par un faisceau de
fibres
qui s'étend de la couche optique d'un côté à cell
ure et médiane du cervelet représente la disposition transversale des
fibres
nerveuses qui relient l'un à l'autre les deux lob
postérieurs. 1.— Portion'réfléchie du corps calleux, formée par les
fibres
commissurantes des régions antérieures. 2. — Po
missurantes des régions antérieures. 2. — Point de dissociation des
fibres
convergentes et commissurantes. 3. — Faisceau d
ciation des fibres convergentes et commissurantes. 3. — Faisceau de
fibres
convergentes antérieures divisant en deux noyaux
grise du corps strié. 4. — Faisceau formant la capsule externe. Les
fibres
de ce faisceau n'ont que des rapports de contact
la substance grise de Pavant-mur (9). 5. — Section transversale des
fibres
convergentes au bord externe de la couche optique
ue de la capsule interne. 6. — Faisceau formé par le contingent des
fibres
convergentes des régions posté-rieures. 11 s'éten
entre eux par deux arcades blanches, formées par l'épanouissement des
fibres
convergentes des régions antérieures et supérieur
t supérieures. 11. — Dernier vestige du centre antérieur ; quelques
fibres
transversales représen-tent l'arrivée du faisceau
icq-d'Azyr (Pl. III). 12. — Segment inférieur du centre médian. Les
fibres
convergentes pénètrent dans la substance grise de
ccipital. 14. — En dedans du centre médian apparaît le faisceau des
fibres
efférentes des noyaux rouges de Stiiling se dirig
par un faisceau blanc aux tubercules quadrijumeaux postérieurs ; les
fibres
optiques ont dans sa substance grise une directio
— Section de la région supérieure des lobes latéraux du cervelet. Les
fibres
médullaires traversent la ligne médiane, mettent
la profondeur de la scissure de Sylvius au lobule de l'insula. Les
fibres
commissurantes constituent la portion du bec du c
la commissure blanche antérieure limite cette substance grise. Les
fibres
convergentes des régions antérieures et des régio
solés, séparant incomplètement la substance grise du corps strié. Les
fibres
convergentes des régions postérieures semblent se
e continuer avec les fais-ceaux latéraux ascendants. La section des
fibres
convergentes qui formait sur la planche précédent
de la capsule interne, est détachée et remplacée par une section des
fibres
spinales antérieures, faite au-dessous des couche
r des noyaux rouges de Stilling, qui émettent en avant un faisceau de
fibres
efférentes et reçoivent en arrière des fibres aff
en avant un faisceau de fibres efférentes et reçoivent en arrière des
fibres
afférentes, appartenant aux pédoncules cérébelleu
le, limitée en arrière par la coupe de la valvule de Vieussens et les
fibres
radiculaires des nerfs pathétiques. En avant est
a corne frontale des ventricules latéraux qui l'isole du faisceau des
fibres
commissu-rantes (corps calleux). Quelques fibres
sole du faisceau des fibres commissu-rantes (corps calleux). Quelques
fibres
convergentes abordent encore à sa région antéro-p
encore à sa région antéro-postérieure ; il reçoit principalement les
fibres
spinales antéro-internes, séparées en deux gerbes
n réalité composé de quatre segments. Des bords de ces arcades, les
fibres
spinales s'épanouissent en longs filaments ondulé
ieure passant au niveau de la commissure blanche antérieure. 1. —
Fibres
commissurantes des régions antérieures et inférie
régions antérieures et inférieures. 2. — Point de dissociation des
fibres
convergentes et commissurantes. 3. — Fibres con
int de dissociation des fibres convergentes et commissurantes. 3. —
Fibres
convergentes des régions antérieures et inférieur
le long de la face externe du noyau lenticulaire. 5. — Faisceau des
fibres
convergentes des régions postérieures. Ce faiscea
ge dans le pédoncule cérébral en dehors et en arrière du faisceau des
fibres
spinales antérieures, entre le corps genouillé in
et le segment in-terne sont constitués par les noyaux jaunes (8). Les
fibres
spinales antéro-internes (9) forment des arcs, V
ce grise des circonvolutions de l'insula. Elle est disso-ciée par les
fibres
arciformes et les fibres convergentes des circonv
ons de l'insula. Elle est disso-ciée par les fibres arciformes et les
fibres
convergentes des circonvolutions du lobule. 11.
entes des circonvolutions du lobule. 11. — Section transversale des
fibres
spinales au-dessous de la région inférieure de la
renflée à sa partie médiane. Il émet par son bord antéro-externe des
fibres
nerveuses qui se mêlent au faisceau des fibres sp
ord antéro-externe des fibres nerveuses qui se mêlent au faisceau des
fibres
spinales antérieures. 13. — Noyaux rouges de St
hile tourné en haut vers la ligne mé-diane (14). 15. — Faisceau de
fibres
efférentes issu des noyaux rouges de Stilling : i
issu des noyaux rouges de Stilling : il cons-titue un contingent des
fibres
spinales antérieures. 16. — Fibres afférentes a
il cons-titue un contingent des fibres spinales antérieures. 16. —
Fibres
afférentes aux noyaux rouges. Ces fibres viennent
pinales antérieures. 16. — Fibres afférentes aux noyaux rouges. Ces
fibres
viennent des pédoncules cérébelleux supérieurs; e
ème ventricule. 24. — Section de la région moyenne du cervelet. Les
fibres
médullaires convergent, de la face interne de la
orps rhomboïdal (25). De l'intérieur du corps rhomboïdal naissent des
fibres
effé-rentes cérébelleuses ; celles-ci ont une dir
rocessus cerebelli ad testes (26). Sur la ligne médiane, un groupe de
fibres
commissurantes met en connexion les deux lobes du
icq-d'Azyr, qui ne sera plus apparent sur les coupes suivantes. Les
fibres
commissurantes des régions antérieures et inférie
ures et inférieures se portent en arrière vers la ligne médiane ; les
fibres
convergentes pénètrent par quelques fascicules is
e externe suit la face externe du noyau lenticulaire. Le faisceau des
fibres
convergentes des régions postérieures est section
ne de la commissure blanche antérieure (20, Pl. XXVI), formée par les
fibres
commissurantes qui mettent en connexion les deux
issurantes qui mettent en connexion les deux lobes sphénoïdaux. Ces
fibres
se groupent à leur sortie des lobes sphénoïdaux e
s pédoncules cérébelleux supérieurs, après leur entre-croisement, des
fibres
afférentes qui les environnent, puis pénètrent pa
r sortie, sur un point opposé à celui de leur arrivée, le faisceau de
fibres
efférentes (15, PL XXVI). Gavoy. — Encéphalk. 1
substance grise, c'est-à-dire la quantité des éléments nerveux. Les
fibres
de la substance médullaire convergent vers la pér
des pédon-cules cérébelleux supérieurs ; à l'entrée est la coupe des
fibres
radiculaires des nerfs moteurs oculaires externes
iveau du bord inférieur de la commissure blanche antérieure. 1. —
Fibres
commissurantes des régions antérieures et inférie
régions antérieures et inférieures. 2. — Point de dissociation des
fibres
commissurantes et convergentes. 3. — Fibres con
int de dissociation des fibres commissurantes et convergentes. 3. —
Fibres
convergentes des régions antérieures et inférieur
la substance grise du corps strié des fascicules fins isolés. 4. —
Fibres
arciformes occipito-frontales, dissociant, avec l
és. 4. — Fibres arciformes occipito-frontales, dissociant, avec les
fibres
de la capsule externe, la substance grise de Pava
capsule externe, la substance grise de Pavant-mur. 5. — Faisceau de
fibres
convergentes du lobe sphénoïdal, sectionné au niv
VII), à concavité regardant en arrière et en bas. 11. — Section des
fibres
spinales. Étage inférieur des pédoncules cérébrau
—Segment inférieur des noyaux rouges de Stilling. 14. — Faisceau de
fibres
efférentes des noyaux rouges de Stilling. 15. —
fibres efférentes des noyaux rouges de Stilling. 15. — Faisceau de
fibres
efférentes appartenant aux pédoncules cérébelleux
ection du corps rhomboïdal, recevant à sa superficie les faisceaux de
fibres
convergentes. 23. — Fibres efférentes supérieur
ecevant à sa superficie les faisceaux de fibres convergentes. 23. —
Fibres
efférentes supérieures ou pédoncules cérébelleux
médian. Après avoir gagné le côté opposé à celui de leur origine, ces
fibres
se dirigent vers les noyaux rouges de Stilling, s
lutions de l'insula sont réduites à un ou deux plis seu-lement. Les
fibres
commissurantes des régions antérieure et inférieu
ions antérieure et inférieure se portent en arrière et en dedans. Les
fibres
convergentes envoient quelques fibres dans la sub
nt en arrière et en dedans. Les fibres convergentes envoient quelques
fibres
dans la sub-stance grise du corps strié. Les fibr
envoient quelques fibres dans la sub-stance grise du corps strié. Les
fibres
commissurantes du lobe sphénoïdal présentent le m
latérales (10', Pl. XXVIII) de la commissure blanche antérieure. Les
fibres
arciformes occipito-frontales dissocient la subst
face supérieure du ganglion olfactif et le mode d'épanouissement des
fibres
du tœnia semi-circularis dans l'intérieur de sa s
n arrondie du lobe sphénoïdal; il reçoit par sa région antérieure les
fibres
radiculaires du nerf olfactif. Les noyaux jaune
noyau lenticulaire sont détachés. A leur place, on voit une trame de
fibres
nerveuses présentant un grand nombre de petits tr
aut en bas par rapport à son axe, comprend : en avant, la section des
fibres
spinales anté-rieures ou étage inférieur, séparé
ou étage inférieur, séparé par la substance grise du locus niger des
fibres
spinales postérieures ou étage supérieur ; en deh
nt des noyaux rouges de Stilling (13, Pl. XXVIII); le petit groupe de
fibres
efférentes qu'il émet s'unit au faisceau antéro-i
de fibres efférentes qu'il émet s'unit au faisceau antéro-interne des
fibres
spinales et semble ainsi constituer unique-ment l
de chacun des lobes cérébelleux, réunie sur la ligne médiane par des
fibres
commissurantes. A l'intérieur apparaît le corps r
aît le corps rhomboidal, recevant de la substance grise corticale les
fibres
afférentes, émettant de sa face interne les fibre
rise corticale les fibres afférentes, émettant de sa face interne les
fibres
des pédoncules cérébelleux supérieurs. XXX. — C
ontale antéro-postérieure passant au-dessus du tuber cinereum. 1. —
Fibres
commissurantes du lobule orbitaire se dirigeant e
bule orbitaire se dirigeant en arrière, vers la ligne médiane. 2. —
Fibres
arciformes dépendant du groupe qui circonscrit le
mes dépendant du groupe qui circonscrit le lobule de l'insula. 3. —
Fibres
convergentes du lobule orbitaire se portant vers
tement apparente en 6, Pl. VI, et en 9, Pl. VIII. 4. — Ensemble des
fibres
convergentes et commissurantes du lobe sphénoïdal
vestige de la substance grise de l'avant-mur, dissociée par diverses
fibres
. 6. — Pédoncule du corps calleux. Ce sont les p
connexion avec la capsule interne, et le faisceau antér o-interne des
fibres
spinales antérieures, en contournant la sub-stanc
'avant-mur ; elle est dissociée, comme la portion antérieure, par des
fibres
médullaires. 9. — Fibres du taenia semi-circula
ciée, comme la portion antérieure, par des fibres médullaires. 9. —
Fibres
du taenia semi-circularis à leur sortie de la sub
ubercules mamillaires. 14. — Section du faisceau antéro-interne des
fibres
spinales antérieures, allant s'épanouir dans la s
s strié. 15. — Substance grise du locus niger de Sœmmering. 16. —
Fibres
spinales postérieures, étage supérieur des pédonc
nales postérieures, étage supérieur des pédoncules cérébraux. 17. —
Fibres
transversales provenant des pédoncules cérébelleu
centrale du névraxe. 20. — Cavité du quatrième ventricule. 21. —
Fibres
des pédoncules cérébelleux moyens qui revêtent le
ntricule. 22. — Section de la substance médullaire du cervelet. Les
fibres
convergentes se portent de la base de la substanc
édoncules cérébelleux supérieurs (24), et, au-dessous, un faisceau de
fibres
à direction antéro-postérieure, les pédoncules cé
hénoïdaux, séparés transversalement par la scissure de Sylvius. Les
fibres
convergentes et commissurantes naissent à la base
recouvert d'une écorce de substance blanche, formée en partie par les
fibres
des piliers antérieurs du trigone, qui vont ensui
tir dans les cellules nerveuses que renferme la substance grise ; ces
fibres
émergent des cellules, se rapprochent, se groupen
de faisceau de Vicq-d'Azyr. La coupe du névraxe est formée par les
fibres
antérieures des pédoncules céré-braux et celles d
rance aisément reconnaissables à leur direction trans-versale . Ces
fibres
protubérancielles appartiennent au faisceau moyen
. Ces fibres protubérancielles appartiennent au faisceau moyen des
fibres
efférentes cérébelleuses. La section du cervelet
lleuses. La section du cervelet montre la disposition convergente des
fibres
mé-dullaires vers la région qu'occupait le corps
vers la région qu'occupait le corps rhomboïdal qui a été détaché. Des
fibres
efférentes émergent de l'ouverture du corps rhomb
ravers ce pédoncule, dont elles croisent obliquement les faisceaux de
fibres
, et disparaissent dans la cavité du quatrième ven
re qui forment la scissure cruciforme. Elle circonscrit les dernières
fibres
convergentes des lobules orbitaires et des lobes
tronc des nerfs olfactifs, prismatique et triangulaire, formé par les
fibres
radiculaires blanches et grises. Il occupe la cav
ion des bandelettes optiques au moment de l'entre-croisement de leurs
fibres
au chiasma. Arrivées au chiasma, les fibres de ce
entre-croisement de leurs fibres au chiasma. Arrivées au chiasma, les
fibres
de ces deux bandelettes se dissocient en trois fa
emier faisceau, postero-interne, se porte dans la bandelette opposée (
fibres
commissurantes) ; un second faisceau, médian, cro
12. — Vestiges de la substance grise du ganglion olfactif. 13. —
Fibres
des pédoncules cérébelleux moyens, dissociant la
diane, où elles forment un raphé médian. 14. — Faisceaux moyens des
fibres
efférentes émergeant du corps rhomboïdal; ils se
ils forment les pédoncules cérébel-leux moyens. 15. — Fibrilles des
fibres
efférentes moyennes se répandant sur le plancher
e. 16. Substance grise du plancher du quatrième ventricule. 17. —
Fibres
radiculaires du faisceau bulbaire du nerf trijume
leuse. Le centre médullaire des hémisphères comprend l'ensemble des
fibres
commissu-rantes et convergentes qui partent de la
s régions supé-rieures, moyennes et inférieures. Ces divers ordres de
fibres
se dirigent vers la région centrale, puis se diss
e fibres se dirigent vers la région centrale, puis se dissocient. Les
fibres
convergentes se portent dans la substance grise d
ieures ont été sectionnées perpendicu-lairement à leur direction. Les
fibres
commissurantes se groupent en faisceaux juxta-pos
ité des ventricules latéraux. La dissociation de ces deux systèmes de
fibres
détermine également, dans la substance médullaire
hénoïdal et de prolongement occipital des ventricules latéraux. Les
fibres
commissurantes des régions supérieures décrivent
jet curviligne à concavité tournée vers les régions supérieures ; les
fibres
commissurantes des régions inférieures forment un
égions inférieures forment une courbe à concavité tournée en bas. Les
fibres
commissurantes des régions moyennes ont un trajet
rvelet présente une couche corticale de substance grise entourant les
fibres
nerveuses qui constituent le centre médullaire de
entre médullaire des deux lobes. Chacun de ces centres est formé de
fibres
convergentes qui partent de la base de la substan
entres mé-dullaires sont réunis sur la ligne médiane par un groupe de
fibres
commissurantes. En haut le vermis superior couv
calleux. 1. — Bourrelet ou splénium du corps calleux formé par les
fibres
commissurantes des régions supérieures moyennes e
rantes des régions supérieures moyennes et postérieures. En haut, ces
fibres
sont séparées de la circonvolution crêtée par le
entre-croisement constitue un raphé sur la ligne médiane (2). 3. —
Fibres
convergentes des régions supérieures et postérieu
. 3. — Fibres convergentes des régions supérieures et postérieures (
fibres
de Kólliker) 4. — Fibres convergentes des régio
s des régions supérieures et postérieures (fibres de Kólliker) 4. —
Fibres
convergentes des régions moyennes et inférieures.
5. — Section perpendiculaire du faisceau formé par le groupement de
fibres
con-vergentes des régions postérieures (voir ce f
isposition particulière qu'on désigne sous le nom d'arbre de vie. Les
fibres
médullaires, nées de la base de la substance gris
du corps rhomboïdal (10). La face interne de cette membrane émet des
fibres
efïerentes qui forment les pédoncules cérébelleux
ransversales qui représentent les barbes du calamus (13), ce sont les
fibres
radiculaires des nerfs auditifs. 14. — Colonne
et du bulbe. A ce niveau a lieu l'entre-croi-sement des faisceaux des
fibres
nerveuses qui constituent les cordons de la moell
rds convexes, la branche postérieure de la scissure de Sylvius. Les
fibres
nerveuses de la substance médullaire se détachent
-volutions, et prennent chacune la direction qui leur est propre. Les
fibres
commissu-rantes des régions supérieures et postér
leur passage sur la ligne médiane, le bourrelet du corps calleux. Les
fibres
commissurantes des régions moyennes et inférieure
ouche optique, et montre le mode de pénétration dans sa substance des
fibres
convergentes des régions postérieures. En avant e
qui contient les corps rhomboïdaux (voir la planche précédente). Les
fibres
nerveuses convergent de la base de la substance g
) appelée aussi noyau des cordons grêles ou noyau post-pyramidal, les
fibres
nerveuses des cordons médians postérieurs ou cord
épare. Sur leur bord externe, est un sillon très délié et au delà les
fibres
ner-veuses des cordons postérieurs proprement dit
ijumeaux. 1. — Portion postérieure du corps calleux, formée par les
fibres
commissurantes des régions supérieures, moyennes
es régions supérieures, moyennes et postérieures. 2. — Ensemble des
fibres
convergentes constituant le centre médullaire. Le
nsemble des fibres convergentes constituant le centre médullaire. Les
fibres
des régions interne, supérieure, moyenne et infér
rapport avec leur point d'origine et celui de leur immersion. 3. —
Fibres
du taenia semi-circularis contournant le bord ext
culum sphénoïdal. 6. — Région postérieure de la couche optique. Les
fibres
convergentes des régions postérieures de l'hémisp
base de la substance grise corticale, se réunissent en un faisceau de
fibres
qui convergent toutes vers le centre médullaire q
rs (11), les pédoncules cérébelleux moyens, dont on aperçoit quelques
fibres
à l'angle latéral du quatrième ventricule, et les
us et, en bas, avec le canal central du bulbe rachidien (14). 16. —
Fibres
médullaires des cordons médians postérieurs, limi
si. Elle accentue l'apparition des circonvolutions de l'insula. Les
fibres
commissurantes des régions postérieures supérieur
eures forment la portion postérieure du corps calleux. L'ensemble des
fibres
convergentes et commissurantes des régions postér
séparé de la substance grise de la couche optique par la section des
fibres
du taenia semi-circularis (3, PL XXXVI). Le cen
ur occupe la partie interne de cette région de la couche optique; les
fibres
convergentes pénètrent en longs filaments, jusqu'
e, très nette, dessinant un V dans Ja substance grise centrale. Les
fibres
des cordons médians postérieurs se perdent, au de
au delà du noyau gris des pyramides postérieures, dans le groupe des
fibres
descendantes des pédoncules cérébel-leux inférieu
lleux indique la formation des pédoncules cérébelleux inférieurs. Ces
fibres
efférentes cérébelleuses se dirigent immédia-teme
tes cérébelleuses se dirigent immédia-tement en bas, se mélangent aux
fibres
des corps restiformes et vont se répandre dans le
postérieure. 1. — Portion moyenne du corps calleux, formée par les
fibres
comrnissurantes des régions supérieures et moyenn
ibres comrnissurantes des régions supérieures et moyennes. 2. — Les
fibres
convergentes de la région supérieure et celles de
les de la région moyenne (3) se dirigent vers la couche optique ; les
fibres
du lobe sphenoidal (4) s'élè-vent, s'incurvent en
e sphenoidal (4) s'élè-vent, s'incurvent en dedans, sejuxtaposent aux
fibres
précédentes et constituent par leur ensemble la r
e la région postérieure de la capsule interne. Ces divers systèmes de
fibres
pénètrent, sous l'aspect de filaments très déliés
les différents noyaux qu'elle renferme, où ils s'amortissent. 5. —
Fibres
arciformes occipito-frontales. 6. — Substance g
u noyau lenticulaire aperçue à travers l'écartement des faisceaux des
fibres
convergentes. 10. — Centre antérieur de la couc
tion au-dessous des tubercules quadrijumeaux (11, Pl. XXXVI). 17. —
Fibres
transversales des pédoncules cérébelleux moyens d
aisceau triangulaire de l'isthme ou ruban de Reil. 19. —Faisceau de
fibres
cérébelleuses ascendantes, appartenant aux pédonc
ppartenant aux pédoncules cérébelleux supérieurs. 20. — Faisceau de
fibres
cérébelleuses se dirigeant en avant, faisant part
faisant partie des pédoncules cérébelleux moyens. 21. — Faisceau de
fibres
cérébelleuses descendantes, provenant des pédoncu
des antérieures se portant latéralement et en haut à la rencontre des
fibres
convergentes, vers la région postérieure de la ca
ordons latéraux de la moelle s'inclinant en avant et en dedans. Les
fibres
de ces cordons s'entre-croisent sur la ligne médi
s antérieures du bulbe. 27. — Cordons postérieurs de la moelle. Les
fibres
de ces cordons s'entre-croisent au-dessus des pré
vec les circonvolutions de l'insula, dans le centre médullaire. Les
fibres
commissurantes des régions supérieures forment la
rantes des régions supérieures forment la voûte du corps calleux; les
fibres
convergentes des régions supérieures passent entr
le noyau caudé et le noyau lenticulaire (8 et 9 ; Pl. XXXVIII) ; les
fibres
convergentes des régions moyennes se portent en d
entre leurs faisceaux la sub-stance grise du noyau lenticulaire; les
fibres
convergentes du lobe sphénoïdal se diri-gent en h
e sphénoïdal se diri-gent en haut et en dedans. Ces divers groupes de
fibres
se condensent sur le bord externe de la couche op
entent un hile, tourné en haut et en dedans, par lequel pénètrent les
fibres
afférentes, après leur enroulement à la périphéri
à la périphérie du noyau. Ils émettent un faisceau antéro-latéral de
fibres
efférentes (15; Pl. XXXVI, 14; Pl. XXXVIII); Ils
t son apparition. En dehors se trouvent les faisceaux latéraux et les
fibres
spinales postérieures, qui descendent à travers l
dent à travers la substance grise de la protubérance annulaire et les
fibres
transversales des pédoncules cérébelleux moyens,
ovoïde à grand diamètre vertical; cette membrane est recouverte de
fibres
de substance blanche, qui lui donnent extérieurem
s pyramides antérieures du bulbe: elle reçoit par sa face externe les
fibres
arciformes qui prolongent dans le bulbe les pédon
et montre la disposition de chacun des lobes cérébelleux et celle des
fibres
des pédoncules cérébelleux moyens dans la protubé
es fibres des pédoncules cérébelleux moyens dans la protubérance. Les
fibres
convergentes, après être entrées en connexion ave
n, ou pédoncule cérébelleux moyen, se porte directement en avant; ses
fibres
contournent, traversent, sillonnent horizontaleme
me de fer à cheval. Par conséquent, sur une section transversale, les
fibres
des régions latérales ne sont pas en continuité a
si qu'on pourrait le supposer au premier examen de cette planche. Les
fibres
transversales, qui occupent la protubérance, et c
ing. 1. — Portion moyenne ou voûte du corps calleux, formée par les
fibres
commis-surantes des régions supérieures et moyenn
des régions supérieures et moyennes. 2. — Point de dissociation des
fibres
commissurantes et des fibres convergentes. 3. —
yennes. 2. — Point de dissociation des fibres commissurantes et des
fibres
convergentes. 3. — Fibres convergentes des régi
ociation des fibres commissurantes et des fibres convergentes. 3. —
Fibres
convergentes des régions supérieures et des régio
convergentes des régions supérieures et des régions moyennes. 4. —
Fibres
convergentes des lobes sphénoïdaux. Ces fibres fo
gions moyennes. 4. — Fibres convergentes des lobes sphénoïdaux. Ces
fibres
forment avec les précédentes la région lenticulo-
lenticulaire ouputamen, séparée de Pavant-mur (6) par le faisceau de
fibres
qui forme la capsule externe (7). 8. — Section
e antérieur de la couche optique. 11 est séparé du noyau caudé parles
fibres
du taenia semi-circularis. 12. — Centre moyen.
s communs. 18. — Substance grise des noyaux rouges de Stilling. Les
fibres
afférentes pénè-trent par le hile, puis émergent
ulaire et celle du corps strié. 20. — Arrivée aux noyaux rouges des
fibres
afférentes cérébelleuses. 21. —Corpus Luysii (b
ssoire). 22. — Substance grise du locus niger de Sœmmering. 23. —
Fibres
spinales postérieures se portant dans la capsule
région antérieure du cervelet. Le centre médullaire est formé parles
fibres
des pédoncules cérébelleux moyens, issues des rég
moyens, issues des régions détachées par les coupes précédentes. Ces
fibres
parcourent transversalement la substance grise de
ransversalement la substance grise de la protubérance en croisant les
fibres
ascendantes. 25. — Portion sensitive des pyrami
corps olivaires reçoivent, par la face externe de leur membrane, les
fibres
arciformes cérébelleuses qui terminent les pédonc
enou du corps calleux. La substance grise corticale circonscrit les
fibres
médullaires ; elle forme à l'inté-rieur l'écorce
trémité tout à fait antérieure dans le diverticulum sphénoïdal. Les
fibres
commissurantes des régions supérieures, forment l
éparée de la circonvolution crêtée par le sinus corporis callosi. Les
fibres
convergentes du lobe sphénoïdal se groupent en un
stitue la branche latérale de la commissure blanche antérieure. Les
fibres
convergentes des régions externes et des régions
rition. Le segment externe et le segment moyen sont traversés par des
fibres
ramifiées, issues des faisceaux spi-naux. Le ce
. Les noyaux rouges sont également moins développés, les faisceaux de
fibres
afférentes sont plus apparents et se dirigent ver
ysii (21 ; Pl. XL) est plus étendu; il reçoit par sa facu interne des
fibres
nerveuses du faisceau cérébelleux supérieur. En
En dehors de la substance grise du locus niger sont les faisceaux des
fibres
spinales postérieures ; elles se terminent en poi
ffilée dans la substance grise de la protu-bérance que traversent les
fibres
des pédoncules cérébelleux moyens. Les fibres de
ance que traversent les fibres des pédoncules cérébelleux moyens. Les
fibres
de la portion sensitive des pyramides (25; Pl. XL
édente ; le grand noyau pyramidal de Stilling est plus apparent ; les
fibres
etTérentes du corps olivaire traversent sa substa
re traversent sa substance grise pour gagner sur la ligne médiane les
fibres
homologues du côté opposé. XLII. — Coupe vertic
ing. 1. — Portion moyenne ou voûte du corps calleux, formée par les
fibres
commissu-rantes des régions supérieures et moyenn
es fibres commissu-rantes des régions supérieures et moyennes. 2. —
Fibres
convergentes des régions externes et supérieures,
au lenticulaire, il constitue la capsule externe. 3. — Ensemble des
fibres
convergentes et commissurantes du lobe sphénoïdal
laments blancs très déliés, représentant le mode d'épanouissement des
fibres
convergentes et des fibres spinales antérieures.
représentant le mode d'épanouissement des fibres convergentes et des
fibres
spinales antérieures. 8. — Section du noyau cau
le bord externe du centre antérieur. 10. — Mode de pénétration des
fibres
convergentes dans l'intérieur de la substance gri
segment antérieur des noyaux rouges de Stilling. 15. — Faisceau de
fibres
efférentes antéro-latéral des noyaux rouges se po
édonculaire ou substance perforée de Vicq-d'Azyr. 21. — Faisceau de
fibres
spinales postérieures. Ces fibres se portent en h
de Vicq-d'Azyr. 21. — Faisceau de fibres spinales postérieures. Ces
fibres
se portent en haut dans la couche optique ; elles
est composé par un amas de substance grise que dissocie un groupe de
fibres
transversales et un groupe de fibres verticales.
grise que dissocie un groupe de fibres transversales et un groupe de
fibres
verticales. Il est entouré d'une écorce de substa
provenant en grande partie des pédoncules cérébelleux moyens. 22 —
Fibres
transversales des pédoncules cérébelleux moyens c
versales des pédoncules cérébelleux moyens croisant les fais-ceaux de
fibres
spinales postérieures. 23. — Portion sensitive
ons antéro-latéraux de la moelle. 25. — Mode d'entre-croisement des
fibres
des cordons antérieurs et des cordons postérieurs
tilling qui longe leur bord externe. Gavoy. — Encéphale. 18 28. —
Fibres
efférentes olivaires émergeant de la cavité du co
oppe la substance blanche, et donne naissance par sa face interne aux
fibres
nerveuses du centre médullaire. Les fibres comm
par sa face interne aux fibres nerveuses du centre médullaire. Les
fibres
commissurantes des régions supérieures se portent
ans la scissure inter-hémisphérique, la voûte du corps calleux. — Les
fibres
commissurantes du lobe sphénoïdal sont groupées e
tue les branches latérales de la commissure blanche antérieure. Les
fibres
convergentes se dirigent vers la capsule interne,
noïdal qu'elle occupait, la substance grise du ganglion olfactif. Les
fibres
olfactives radiculaires externes contournent sa r
résente son plus grand diamètre. Il est en rapport en dehors avec les
fibres
du tsenia semi-circularis qui le séparent du noya
icq-d'Azyr ; en dehors de ceux-ci, apparaît un faisceau formé par les
fibres
antérieures les plus internes des pédoncules céré
e ses plus grandes dimensions et sa forme semi-lunaire. [1 reçoit des
fibres
cérébelleuses qui traversent les derniers vestige
e au-dessus de la protubérance. De chaque côté de l'axe médian, les
fibres
spinales antérieures s'inclinent en dehors pour g
ersent la substance grise de la protubérance annulaire, croi-sent les
fibres
transversales des pédoncules cérébelleux moyens,
stance grise est réduite à quelques replis dans lesquels abordent les
fibres
arciformes ; sa face interne émet des fibres effé
ns lesquels abordent les fibres arciformes ; sa face interne émet des
fibres
efférentes à la limite du bulbe et de la protubér
1. — Portion moyenne ou voûte du corps calleux, constituée par les
fibres
commis-surantes des régions supérieures et moyenn
des régions supérieures et moyennes. 2. — Point de dissociation des
fibres
convergentes et commissurantes. 3. Fibres conve
Point de dissociation des fibres convergentes et commissurantes. 3.
Fibres
convergentes des régions supérieures et externes
gions supérieures et externes se portant dans la capsule interne. Ces
fibres
se recourbent, pénètrent dans le noyau caudé, s'i
aire, serpentent dans la substance grise de la couche optique. 4. —
Fibres
convergentes du lobe sphénoïdalse dirigeant vers
h\ — Substance grise de l'avant-mur, dissociée par les faisceaux de
fibres
arci-formes occipito-frontales. 6. — Faisceau q
ique. 9. — Section du faisceau arrondi, formé par le groupement des
fibres
commissu-rantes du lobe sphénoidal, constituant l
t les branches latérales de la commissure blanche antérieure. 10. —
Fibres
olfactives radiculaires externes pénétrant dans l
bord externe de la cavité du ventricule latéral. 12. — Section des
fibres
du taenia semi-circularis en rapport avec le cent
re du trigone, bande-lettes géminées. 14. — Mode de pénétration des
fibres
convergentes dans la substance grise de la couche
grise des tubercules mamillaires. 18. — Faisceau antéro-interne des
fibres
spinales antérieures (voir Pl. XXVI, XXIX et 14 P
ourée d'une écorce de substance blanche, formée par l'enroulement des
fibres
des pédoncules antérieurs du trigone avant leur é
tance grise. 20. —Substance grise centrale, tuber cinereum. 21. —
Fibres
spinales antérieures se portant dans la substance
agne la substance grise corticale du lobe frontal (voir Pl. VII). Les
fibres
spinales constituent un faisceau qui descend de c
où ils forment la portion motrice des pyramides antérieures. 22. —
Fibres
transversales des pédoncules cérébelleux moyens d
de la protubérance annulaire. Elles croisent perpendiculairement les
fibres
de la portion motrice (23) des pyramides. 24. —
me autour du centre médullaire une sorte d'écorce périphérique. Les
fibres
commissurantes des régions supérieures et moyenne
s supérieures et moyennes constituent la voûte du corps calleux ; les
fibres
commissurantes du lobe sphénoïdal sont groupées e
r le bord du segment externe du noyau lenticulaire (9 PL XLIV). Les
fibres
convergentes des régions supérieures et moyennes
es n'atteignent plus la cap-sule interne. Celle-ci est formée par les
fibres
convergentes des régions antérieures et par les f
formée par les fibres convergentes des régions antérieures et par les
fibres
spinales antérieures (Pl. XI et 6 Pl. XX). Les fi
ures et par les fibres spinales antérieures (Pl. XI et 6 Pl. XX). Les
fibres
convergentes antérieures pénè-trent dans la subst
I). De petites stries blanchâtres, formées par l'épanouissement des
fibres
olfactives radiculaires externes, traversent la r
n segment antérieur ; il est com-posé de substance grise sillonnée de
fibres
transversales appartenant aux pédoncules cérébell
versales appartenant aux pédoncules cérébelleux moyens et de quelques
fibres
verticales provenant des pyramides anté-rieures d
es anté-rieures du bulbe rachidien. Sur son bord supérieur sont les
fibres
radiculaires des nerfs moteurs oculaires communs.
ues. 1. — Portion moyenne ou voûte du corps calleux, formée par les
fibres
commis-surantes des régions supérieures et moyenn
s des régions supérieures et moyennes. 2. — Point de séparation des
fibres
commissurantes et convergentes. 3. — Fibres con
Point de séparation des fibres commissurantes et convergentes. 3. —
Fibres
convergentes des régions supérieures et moyennes,
es et moyennes, interrompues à l'entrée de la capsule interne. 4. —
Fibres
convergentes des régions antérieures (6; Pl. XX),
gentes des régions antérieures (6; Pl. XX), croisant la direction des
fibres
précédentes. 5. — Substance grise de l'avant-mu
des fibres précédentes. 5. — Substance grise de l'avant-mur. 6. —
Fibres
qui composent la capsule externe, contournant la
ticulaire. 7. — Segment antérieur du ganglion olfactif recevant les
fibres
radiculaires externes du nerf olfactif. 8. — Se
dé; occupant le plancher de la cavité du ven-tricule latéral. 11. —
Fibres
du taenia semi-circularis. 12. — Section de la
cavité de la cloison transparente. 13. — Mode d'épanouissement des
fibres
convergentes dans l'intérieur de la couche optiqu
intérieur de la couche optique. 14. — Centre antérieur recevant les
fibres
du taenia semi-circularis. 15. — Substance gris
pe d'ensemble du chiasma; mode d'entre-croisement des trois ordres de
fibres
qui constituent les bandelettes optiques. Les fib
trois ordres de fibres qui constituent les bandelettes optiques. Les
fibres
postéro-internes sont commis-surantes, les fibres
ettes optiques. Les fibres postéro-internes sont commis-surantes, les
fibres
médianes passent dans le nerf optique du côté opp
les fibres médianes passent dans le nerf optique du côté opposé, les
fibres
latéro-antérieures gagnent le nerf optique du côt
u-dessous de la circonvolution crêtée (Sinus corporis callosi). Les
fibres
commissurantes des régions supérieures et moyenne
uent sur la ligne médiane la portion antérieure du corps calleux. Les
fibres
commissurantes du lobe sphénoïdal se portent en h
le putamen et le segment moyen des noyaux jaunes (8, Pl. XLVI). Les
fibres
convergentes des régions supérieures et externes
icule de la capsule externe contourne la face externe du putamen. Les
fibres
convergentes des régions antérieures émergent ent
oyau caudé et le noyau lenticulaire ; leur direction croise celle des
fibres
convergentes des régions supérieures. La couche
une couehe extrêmement mince, traversée par des tractus très fins de
fibres
olfactives radiculaires externes. La coupe du chi
radiculaires externes. La coupe du chiasma montre la disposition des
fibres
des bandelettes optiques et leur trajet réciproqu
ntérieure. 1. — Portion antérieure du corps calleux, formée par les
fibres
commissurantes des régions supérieures et moyenne
des régions supérieures et moyennes. 2. — Point de dissociation des
fibres
convergentes et des fibres commissurantes. 3. —
moyennes. 2. — Point de dissociation des fibres convergentes et des
fibres
commissurantes. 3. — Fibres convergentes des ré
ociation des fibres convergentes et des fibres commissurantes. 3. —
Fibres
convergentes des régions supérieures et moyennes
et moyennes s'étendant jusqu'à l'entrée de la capsule interne. 4. —
Fibres
convergentes des régions antérieures, croisant la
ibres convergentes des régions antérieures, croisant la direction des
fibres
précédentes (voir Pl. X). 5. — Fascicule de la
e. 6. — Substance grise de l'avant-mur dissociée par le faisceau de
fibres
arciformes occipito-frontales. 7. — Fibres conv
ociée par le faisceau de fibres arciformes occipito-frontales. 7. —
Fibres
convergentes du lobe sphénoïdal. 8. Noyau lenti
dal. 8. Noyau lenticulaire composé de trois segments. De nombreuses
fibres
très déliées serpentent et s'épuisent en pointe e
s quatre autres cavités ventriculaires. 15. — Section verticale des
fibres
olfactives. XLIX. — Encéphale dont on a détaché
anté-rieure des lobes sphénoïdaux. De sa face interne, naissent les
fibres
commissurantes qui forment par leur grou-pement l
ment par leur grou-pement la portion antérieure du corps calleux. Les
fibres
commissurantes des régions inférieures se portent
se relèvent et convergent vers la ligne médiane (voir PL VII). Les
fibres
convergentes se dirigent vers les noyaux opto-str
t atteignent la capsule interne, constituée en majeure partie par les
fibres
convergentes des régions antérieures, par le cont
es fibres convergentes des régions antérieures, par le contingent des
fibres
des régions inférieures et internes (7; Pl. IV) e
des fibres des régions inférieures et internes (7; Pl. IV) et par les
fibres
spinales antérieures. Ces divers ordres de fibres
Pl. IV) et par les fibres spinales antérieures. Ces divers ordres de
fibres
s immergent dans les trois segments du noyau lent
dans la couche optique. Les lobes sphénoïdaux sont composés par les
fibres
médullaires de leur extrémité antérieure; leurs c
La section étendue de la commissure blanche montre la direction des
fibres
qui la constituent; ses rapports avec le putamen,
tance médullaire des lobes sphénoïdaux. Le faisceau radiculaire des
fibres
olfactives est sectionné à son origine. Il est co
e. 1. — Portion réfléchie ou genou du corps calleux, formée par les
fibres
commis-surantes des régions supérieures et moyenn
des régions supérieures et moyennes. 2. — Point de dissociation des
fibres
convergentes et commissurantes. 3. — Fibres con
int de dissociation des fibres convergentes et commissurantes. 3. —
Fibres
convergentes se portant dans la capsule interne.
onvergentes se portant dans la capsule interne. 4. — Fascicules des
fibres
convergentes des régions antérieures et des régio
fórmela capsule externe. 6. —Substance grise de l'avant-mur. 7. —
Fibres
médullaires des régions antérieures du lobe sphén
Fibres médullaires des régions antérieures du lobe sphénoïdal. 8. —
Fibres
commissurantes des régions inférieures et antérie
stance grise du noyau intra-ventriculaire ou tête du corps strié. Les
fibres
convergentes et les fibres spinales antérieures r
-ventriculaire ou tête du corps strié. Les fibres convergentes et les
fibres
spinales antérieures rayonnent dans toute la mass
Sylvius les sépare des derniers vestiges des lobes sphénoïdaux. Les
fibres
commissurantes des régions supérieures et moyenne
a ligne médiane la portion réfléchie ou genou du corps calleux. Les
fibres
commissurantes des régions inférieures ou lobules
a cavité des ven-tricules latéraux et plus bas avec les faisceaux des
fibres
commissurantes des régions inférieures ou orbitai
e. 1. — Portion réfléchie du genou du corps calleux, formée par les
fibres
commissu-rantes des régions supérieures et moyenn
des régions supérieures et moyennes. !. — Point de dissociation des
fibres
convergentes et commissurantes de la région supér
fibres convergentes et commissurantes de la région supérieure. 3. —
Fibres
convergentes des régions supérieures et moyennes,
et moyennes, plongeant dans la substance grise du corps strié. 4. —
Fibres
convergentes des régions antérieures, séparées en
stratifiés, en continuité plus bas avec les fascicules formés par les
fibres
convergentes des régions inférieures et internes.
ne. 6. — Substance grise de Pavant-mur dissociée par l'ensemble des
fibres
conver-gentes et commissurantes de la région moye
t commissurantes de la région moyenne. 7. — Point de séparation des
fibres
convergentes et commissurantes de la région infér
fibres convergentes et commissurantes de la région inférieure. 8. —
Fibres
commissurantes des régions inférieures se rendant
ssure inter-hémisphérique, une lame épaisse, qui tend à rejoindre les
fibres
congénères de la région supérieure. 9. — Sectio
stance grise du noyau intra-ventriculaire ou tête du corps strié. Les
fibres
convergentes pénètrent dans sa masse sous l'aspec
ions des lobules orbitaires. Le centre médullaire est formé par les
fibres
commissurantes des régions supé-rieures et moyenn
nes qui constituent la portion réfléchie du corps calleux, et par les
fibres
commissurantes des régions inférieures ou orbitai
nt supérieurement l'une de l'autre et laissent entre elles, entre les
fibres
commissurantes et le trigone, un espace triangula
ches de substance grise est en outre recouverte par l'épendyme. Les
fibres
convergentes du centre médullaire se dirigent ver
vers la substance grise du corps strié. Les fascicules stratifiés des
fibres
convergentes des régions antérieures dissocient c
s régions antérieures dissocient cette masse de substance grise ; les
fibres
convergentes des régions infé-rieures et internes
de substance grise du putamen ; il est séparé de l'avant-mur par les
fibres
de la capsule externe. Les nerfs olfactifs appa
des régions supérieures et moyennes. 2. — Point de dissociation des
fibres
convergentes et des fibres commissurantes. 3 —
moyennes. 2. — Point de dissociation des fibres convergentes et des
fibres
commissurantes. 3 — Fascicules des fibres conve
ibres convergentes et des fibres commissurantes. 3 — Fascicules des
fibres
convergentes des régions antérieure, moyenne et i
et infé-rieure pénétrant dans la substance grise du corps strié. Ces
fibres
s'immergent dans sa masse sous la forme de petits
x. 4. — Substance grise de l'avant-mur dissociée par l'ensemble des
fibres
conver-gentes et commissurantes. 5. — Fibres co
iée par l'ensemble des fibres conver-gentes et commissurantes. 5. —
Fibres
convergentes des régions inférieures ou orbitaire
. — Fibres convergentes des régions inférieures ou orbitaires. 6. —
Fibres
commissurantes des régions inférieures ou orbitai
périeure, moyenne et infé-rieure ou orbitaire. Ces divers ordres de
fibres
prennent naissance à la base de la substance gris
lobe opposé les régions homologues à celles dont elles dérivent. Ces
fibres
décrivent par conséquent un trajet curviligne, à
par conséquent un trajet curviligne, à concavité supérieure pour les
fibres
commissurantes des régions supérieures, à concavi
surantes des régions supérieures, à concavité tournée en bas pour les
fibres
des régions inférieures. Ces faisceaux curviligne
trémité antérieure de la corne frontale des ventricules latéraux. Les
fibres
commissurantes se juxtaposent sur la face supérie
ppelé cavité ventriculaire, limité sur les points de dissociation des
fibres
convergentes, au moment où elles péné-trent dans
se en avant par le rapprochement progressif de la portion médiane des
fibres
commissurantes des régions supérieures et inférie
fibres commissurantes des régions supérieures et inférieures. 3. —
Fibres
arciformes se rendant de la base d'une circonvolu
Article 2. — Substance blanche du cerveau................. 14 § 1.
Fibres
arciformes........................ IS § 2. Fibr
....... 14 § 1. Fibres arciformes........................ IS § 2.
Fibres
commissurantes...................... 16 § 3. Fi
..... IS § 2. Fibres commissurantes...................... 16 § 3.
Fibres
convergentes....................... 17 Article
.. 24 Article 2. — Substance blanche..................... 25 § 1.
Fibres
arciformes........................ 25 § 2. Fibr
....... 25 § 1. Fibres arciformes........................ 25 § 2.
Fibres
commissurantes.................... , 26 § 3. Fi
..... 25 § 2. Fibres commissurantes.................... , 26 § 3.
Fibres
convergentes..................... . 26 Article
6 § 3. Fibres convergentes..................... . 26 Article 3. —
Fibres
efférentes cérébelleuses................. 26 §
spinales dans la protubérance............. 41 § 3. Distribution des
fibres
spinales................... 42 § 4. Distributio
ion des fibres spinales................... 42 § 4. Distribution des
fibres
cérébelleuses................. 44 Microphotogra
euses neurones de 2", 3e, 4° ordre, etc., - autour des- quelles les
fibres
de ce faisceau se terminent en s'arborisant. Si
'on trouve une première indication de système musculaire; certaines
fibres
du mésoderme sont en effet manifestement contra
exions qu'affectent ces cellules multipolaires, avec les nombreuses
fibres
musculaires des mêmes régions. Dans l'endoderme
cutané renfermant les cellules des neurones sensitifs. - r, couche de
fibres
musculaires aires. /, couche do fibres musculai
es sensitifs. - r, couche de fibres musculaires aires. /, couche do
fibres
musculaires longitudinales. - g, vaisseau situé d
e gros calibre et des de fin calibre. Les libres de gros calibre ou
fibres
nerveuses motrices, se terminent dans les couches
olongement nerveux princi- audouuc de nombreuses ramifications. Les
fibres
de fin calibre (fibres nerveuses sensitives) pren
ci- audouuc de nombreuses ramifications. Les fibres de fin calibre (
fibres
nerveuses sensitives) prennent origine dans les
rès nettement le trajet qu'affectent les nerfs entre les bouches de
fibres
musculaires. (hn) ollier nerveux l'extrémité oe
ions sont réunis par de fines commissures verti- t transversales de
fibres
nerveuses. Ces deux cordons ganglionnaires omos
ent se diviser en deux systèmes principaux. Le premier comprend les
fibres
de projection de l'écorce cérébrale qui unissen
section à l'aide du scalpel et la séparation au moyen de pinces des
fibres
nerveuses, opérations pratiquées sur des tissus
1833, le premier la cellule, le second le tube nerveux, le trajet des
fibres
nerveuses dans le système nerveux central resta
e fondamentale d'un faisceau beau- coup mieux que le trajet des
fibres
col- latérales qui s'en dé- tachent. Chez l
on- dantes [Scléroses systématiques de Vulpian). Le territoire de
fibres
, où se produit constamment une même dégéné- res
ans telle condition donnée, est désigné sous le nom de « Système de
fibres
»; on doit aujourd'hui, grâce aux données introdu
as toujours très aisé, il s'en faut même de beaucoup, de suivre les
fibres
qui se détachent du système envisagé pour se re
de tout tube nerveux, encéphalique ou médullaire, se détachent des
fibres
, qui vont se terminer dans une région plus ou m
gion plus ou moins éloignée. Or, la dégénérescence de ces dernières
fibres
ne peut être nettement reconnue, que lorsqu'elles
r les centres trophiques encéphalo-médullaires ou sur le trajet des
fibres
nerveuses, se traduit uniquement par un processus
it que, dans le système nerveux central, les différents systèmes de
fibres
se recouvrent de myéline, à une époque détermin
sceaux pyramidaux, l'existence d'un faisceau distinct contenant des
fibres
blanches. Parrot, examinant le cerveau d'enfant
uveau-nés, montra qu'à cette époque de la vie, il existait déjà des
fibres
à myéline sous-jacentes au sillon de Rolando (A
si le système de neurones que l'on étudie est un système composé de
fibres
longues, il peut arriver que la partie de ces f
ème composé de fibres longues, il peut arriver que la partie de ces
fibres
, voisine de leurs cellules d'origine, soit déjà r
COMP14tement l'aide de la méthode 1 de Flechsig un sys tème de
fibres
Ion gués. Travaux de Leur- : et Gratiolet.
DES CENTRES NERVEUX. Méthodes de colo- ration. Coloration des
fibres
à myéline. Méthode de Wei- crt. montées par
es tubes à myéline, varie d'intensité suivant tel ou tel système de
fibres
. C'est ainsi en particulier que dans le cerveau
normale, car elles nous permettent de suivre tel ou tel système de
fibres
, au milieu d'entrecroi- sements plus ou moins c
mpliqués. Pour obtenir une différenciation encore plus parfaite des
fibres
à myé- line, Weigert a modifié sa première méth
es par la méthode de Weigert, par ce fait que tout ce qui n'est pas
fibre
à myéline y est complètement décoloré névroglie,
al l'emporte sur celle de Weigert pour la coloration des très fines
fibres
à myéline, mais nous paraît être un peu inférie
du carmin ou picro-carmin, les fibrilles de la névroglie d'avec les
fibres
du tissu con- jonctif. Dans certains cas cepend
oupes avec un instrument métallique. Avec la méthode de Ziehen, les
fibres
à myéline et sans myéline, les cellules nerveus
u de Pal, méthodes qui, en différenciant fortement les faisceaux de
fibres
à myéline, fournissent une image autre- ment ne
hzzilt. II. Ed Fischer, Berlin, 1884. - GOLGI. Sulla strutura delle
fibre
nervose midollete periferiche centrale. (Archiv.
prépa- rent pour ainsi dire, le trajet que suivront les futures
fibres
op- tiques pour se porter de la rétine au chi
, connue sous le nom de corne latérale (CL), envoie de nombreuses
fibres
dans les cordons an- téro-latéraux. Les cordons
des éléments des deux parois juxta- posées du canal central; les
fibres
du cordon de Goll n'apparaissent que fort tar
e, on voit naître dans la région bulbaire, les noyaux d'origine des
fibres
mo- trices des nerfs spinal, pneumo-gastrique e
naissance à la couche grise disséminée de la substance réticulée. Les
fibres
qui naissent de cette couche, concourent à
ui naissent de cette couche, concourent à former une partie des
fibres
longitudi- nales de la substance réticulée, a
res longitudi- nales de la substance réticulée, ainsi que - les
fibres
a°cifornzes internes du bulbe et - de la prot
tre le raphé et le noyau d'ori- gine du grand-hypo- glosse, ces
fibres
forment, après en- . trecroisement au niveau
rqués des para- mides et à la substance gélatineuse de Rolando. Les
fibres
de ces cellules FiG. 34. Coupe transversale du
rand-hypoglosse. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 89 forment les
fibres
arclfonnes internes du bulbe, le système des fibr
89 forment les fibres arclfonnes internes du bulbe, le système des
fibres
oli- vaires, le corps trapézoïde, la couche int
l'olive protubérantielle, la substance gélatineuse de Rolando, les
fibres
arciformes internes de la protubérance, le corp
inter- medius de Mis. Ces faisceaux sont bientôt recouverts par les
fibres
arquées superficielles du bulbe (fig. 35). Le
ne, qu'appa- raissent au niveau du bulbe et de la protubérance, les
fibres
longitudinales des pyramides, que recouvrent le
érance, les fibres longitudinales des pyramides, que recouvrent les
fibres
arquées les plus superficielles. La région de l
antes du bulbe et de la protubérance, sont Apparition tardive des
fibres
longitudi- nales des pyramides. FiG. 35. - Co
rébelleux, apparaissent les pédoncules cérébelleux moyens, dont les
fibres
se portent en avant et en dedans, et s'entrecro
érieure est formée d'éléments nerveux, rudimentaires, adhérents aux
fibres
radiculaires des neuvième et dixième paires, et a
chez les oiseaux et devient très accusé chez les mammifères. Les
fibres
pyramidales, qui relient l'écorce cérébrale à la
expres- sion, en sont dépourvus et ne possèdent que le système des
fibres
de la calotte. Le cerveau postérieur et l'arr
du cerveau postérieur et de l'arrière-cerveau, donne naissance aux
fibres
névrogliques du raphé, l'homologue du septum an
t du corns 2'enouillé externe. D'anrès Mibalkowicz. ces der- nières
fibres
précéderaient dans leur développement, les fibrel
x e ? çute un " état embryonnaire, alors que l'on constate déjà des
fibres
n4r\, : h\s6l>Ulf\trH la bandelette et le ch
ou rétro-pinéale est petite et forme la commissure postérieure; ses
fibres
apparaissent de bonne heure, et relient la couche
, au-dessus de l'embouchure antérieure de l'aqueduc de Sylvius. Des
fibres
nerveuses apparaissent en outre dans toute la p
Dans la lame qui limite ce diverticule en arrière, apparaissent des
fibres
nerveuses, qui forment la commissure des pédonc
m, elle correspond morphologiquement à un développement exagéré des
fibres
tangentielles de l'écorce et représente le faisce
orps strié; il se 1 - - iCT.Hi peu à peu grâce au développement des
fibres
de la lame cOl'luJe t1'nrfl ? eml- HI circtclar
qu'une seule masse de substance grise que segmentent frienfot1' des
fibres
blanches. Ces fibres relient le corps strié à la
substance grise que segmentent frienfot1' des fibres blanches. Ces
fibres
relient le corps strié à la couche optique et à
rps strié à la couche optique et à la région sous-optique; d'autres
fibres
beaucoup plus nombreuses traver- sent le corps
t la moelle épinière. Dans leur trajet à travers le corps strié ces
fibres
forment la capsule interne. Les fibres de la cour
à travers le corps strié ces fibres forment la capsule interne. Les
fibres
de la couronne rayonnante affectent dans leur e
ieur, postérieur et retro-lenticulaire de la cap- sule interne; les
fibres
du segment postérieur passent parle sillon semi-l
termédiaire et la surface exté- rieure du cerveau antérieur ; - les
fibres
du segment antérieur passent par la surface sut
une formation très analogue à la couche optique. Une mince lame de
fibres
blanches, la capsule externe, limite le putamen
aire. La séparation du noyau caudé et du noyau lenticulaire par les
fibres
de la capsule interne n'est cependant pas compl
i qu'avec la substance grise de l'espace perforé anté- rieur. Les
fibres
de la capsule interne qui proviennent de l'extrém
optique, au niveau de la surface suturale opto-striée primaire. Les
fibres
de la capsule interne qui provien- nent de l'ex
étro-lenticulaire de la capsule interne (Girl.) (Fig. 52 à 63). Les
fibres
de la capsule interne qui proviennent de la parti
constitue Y étage inférieur ou le pied du . pédoncule cérébral. Les
fibres
de la couronne rayonnante qui proviennent du lo
cule cérébral et forment le faisceau de Tiirck (J. Dejerine). Les
fibres
du pied du pédoncule cérébral atteignent le bord
e la vie intra-utérine, puis s'entrecroisent à angle droit avec les
fibres
du pédoncule cérébelleux moyen, DÉVELOPPEMENT D
avec elles l'étage antérieur de la protubérance. Une partie de ces
fibres
forme ensuite la pyramide antérieure du bulbe, et
'en- trecroise incomplètement au niveau du collet du bulbe avec les
fibres
du côté opposé. Le faisceau direct, le plus pet
etpostériellr. Dans ce der- nier apparaissent, en ar- rière des
fibres
transver- sales de la commissure blanche anté
rigone cérébral et plexus choroïdes des ventricules laté- raux. Les
fibres
longitudinales du trigone, naissent par différenc
tie ventrale du pli marginal. En avant elles se continuent avec les
fibres
des piliers antérieurs; en arrière elles contourn
63). Au commencement du quatrième mois de la vie intra-utérine, les
fibres
du trigone se soudent à celles du côté opposé,
1 Vert;elH ellUnllellC les piliers postérieurs du trigone, dont les
fibres
entrent en connexion avec . la corne d'Ammon. L
ormation fort tardive; son développement est postérieur à celui des
fibres
du trigone cérébral et de la couronne rayonnant
arois s'épaississent considérablement, et donnent nais- sance à des
fibres
qui appartiennent soit au système de la couronne
nante, soit au système des radiations calleuses, soit au système des
fibres
d'association ; elles forment la masse blanche
s'eflace,gràce au développement que prennent dans celte région, les
fibres
de la couronne rayonnante et celles du forceps ma
ans les régions encéphaliques inférieures un volumineux faisceau de
fibres
. Le manteau cérébral ou pallium, persiste à l'éta
ules ganglionnaires inégalement disséminées, et une mince couche de
fibres
blanches sous-jacentes au ventricule. Ce n'est
'écorce cérébrale et de la cavité crâ- nienne, le développement des
fibres
blanches, etc., etc. On trouvera donc chez les
ontrer trois à quatre noyaux superposés, situés sur le trajet d'une
fibre
à direction radiaire et plus ou moins volumineu
moitié externe, et y forme un cône qui se continue avec une longue
fibre
à bords pa- rallèles. Cette fibre n'est autre c
qui se continue avec une longue fibre à bords pa- rallèles. Cette
fibre
n'est autre chose que le futur cylindre-axe de
ns antérieures de la moelle; une partie de ces derniers forment les
fibres
arquées (Bobenschicht de His), forzzzatio arcuata
cuata; une autre partie se recourbe et se bifurque, pour former les
fibres
des cor- dons longitudinaux de la région postér
dons longitudinaux de la région postéro-latérale de la moelle. Les
fibres
arquées se portent en avant, et reçoivent dans le
en avant, et reçoivent dans leur trajet de nouveaux contingents de
fibres
. Elles s'entrecroisent avec les fibres des raci
t de nouveaux contingents de fibres. Elles s'entrecroisent avec les
fibres
des racines antérieures, les unes passant en av
sent avec celles du côté opposé et entrent dans la constitution des
fibres
longitudinales du cordon antérieur. Les neurobl
mun au ni- veau de la racine an- térieure, les deux or- dres de
fibres
se sé- - parent au niveau de la constitution du
es se sé- - parent au niveau de la constitution du tronc mixte. Les
fibres
des cellules de la corne antérieure s'unissent
ixte. Les fibres des cellules de la corne antérieure s'unissent aux
fibres
sensitives, pour former les nerfs mixtes; les f
s'unissent aux fibres sensitives, pour former les nerfs mixtes; les
fibres
de la corne latérale se jettent, d'après Gaskell,
s neuroblastes de la corne anté- rieure donnent nais- sance aux
fibres
des racines antérieures. Fia. 85. - Coupe tra
res parties de la moelle; il leur manque en effet le contingent des
fibres
de la corne latérale qui forme le spinal. La
nt le spinal, les racines motrices du pneumo-gastrique et les rares
fibres
motrices du glosso-pharyngien, qui émergent toute
alaire. Sur le prolongement de cette ligne, émergent également les
fibres
du facial. Plus en avant, la chaîne nucléaire e
(ive paire) et du moteur oculaire commun (m1' paire), ainsi que les
fibres
motrices du trijzc- meau, forment des îlots sit
hétique , situé dans la lame fondamen- tale de l'isthme, envoie ses
fibres
en arrière; elles s'entrecroisent sur la ligne
elle, 'autre vers la périphérie pour former le nerf sensitif. Les
fibres
périphériques entraînent avec elles quelques gang
if qui se porte dans le ganglion sympathique voisin, soit enfin une
fibre
du grand sympathique qui se termine dans l'endo
ctoderme, ainsi que de la lame des protover- tèbres. Cette dernière
fibre
entraîne à son tour des jeunes ganglioblastes e
es d'Auerbach et de 111eiss- ner. Entre les ganglioblastes et les
fibres
nerveuses, s'insinuent de nombreuses cellules
n trajet (llg. si), xunsi se trouvent constituées les cellules avec
fibres
en T de Ranvier, qui représentent le type norma
itif présente d'une façon permanente des cellules bipolaires. Les
fibres
centrales des ganglioblastes rachidiens se dirige
crlnach et Meissuer. i i Gangliohlastes cé- rébro-rachidiens.
Fibres
en T do Ranvier. Unipolarisatiou des gangli
Unipolarisatiou des ganglioblastes dos vertébrés supérieurs.
Fibres
centrales des ganglioblastes. Cordon postérie
Cordon postérieur primitif. Fi(;. 86. - Celltiles et groupes de
fibres
du ganglion spinal d'un embryon humain de qua
et demie. (D'après \\'. His.) 148 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
centrales des ganglions cra- niens. Racines
. Après un trajet as- cendant ou descendant plus ou moins long, ces
fibres
centrales se terminent toutes par des arborisat
es arborisations libres autour des cellules du nevraxe ; toutes les
fibres
cependant n'affectent pas une direction ascendant
es cellules de la lame alaire, où elles se terminent librement. Les
fibres
centrales des ganglions craniens atteignent la su
surface du bulbe un peu en arrière du sillon latéral du bulbe. Les
fibres
centrales du trijumeau (ve paire), du lo.s.so-p
-p7aylzz,ieu (ixe paire) et du vague (x° paire), forment, comme les
fibres
des ganglions spinaux, un faisceau longitudinal,
fin calibre venant de la racine antérieure et s'arborisant en e. - f,
fibre
de fin calibre venant de la périphérie par le r
s lequel se rend le cylindre-axe n. - m, collatérale ramifiée d'une
fibre
longitudinale. - o, fibre longitudinale s'arboris
re-axe n. - m, collatérale ramifiée d'une fibre longitudinale. - o,
fibre
longitudinale s'arborisant autour d'une artère.
6 à 89). Les cellules de cette lame donnent en effet naissance, aux
fibre
.s ar- ciformes du bulbe et de la protubérance :
aissance, aux fibre.s ar- ciformes du bulbe et de la protubérance :
fibres
du système olivaire, fibres du corps trapézoïde
ciformes du bulbe et de la protubérance : fibres du système olivaire,
fibres
du corps trapézoïde, fibres du pédoncule cérébe
tubérance : fibres du système olivaire, fibres du corps trapézoïde,
fibres
du pédoncule cérébelleux moyen, etc. Ces fibres,
u corps trapézoïde, fibres du pédoncule cérébelleux moyen, etc. Ces
fibres
, dont le développement est relativement tardif,
eau solitaire, ainsi que la racine correspondante du trijumeau. Les
fibres
centrales du nerf acoustique ne donnent naissance
ne donnent naissance qu'à une petite racine caudale; la plupart des
fibres
s'éparpillent en effet bientôt après leur entré
ro-rac7ai- diens, ils pénètrent dans le névraxe par leur racines ou
fibres
centrales et s'aoGorisent librement dans leurs
s et s'aoGorisent librement dans leurs noyaux de terminaison. Les
fibres
périphériques des ganglioblastes rachidiens se ré
au début, est constitué par un nombre plus ou moins considérable de
fibres
dépourvues de noyaux, qui présentent au voisina
is des semaines se passent avant que les dernières extrémi- | i
Fibres
centralos de l'acoustiquo. Lo nerf de Wris-
ta- cial. Noyaux do termi- naison des racines postérieures.
Fibres
périphéri- ques et tronc des nerfs mixtes.
ent ainsi former un angle droit avec l'axe primitif du tronc. Les
fibres
nerveuses s'entrelacent et s'entrecroisent non se
(1882-83). La charpente névrogliquc serait ainsi constituée par des
fibres
de toute longueur, s'entrecroisant dans différe
a moelle la commissure blanche antérieure et au niveau du bulbe les
fibres
transversales du raphé. Les cellules épendymair
affectent une disposition radiaire, suivent la voie tracée par les
fibres
épendymaires, tra- versent les substances grise
omme des invaginations de la pie-mère, voire même comme des amas de
fibres
élastiques (Gerlach). Leurs extrémités terminales
é- sentent un chevelu très abondant, et sont munies d'un bouquet de
fibres
excessivement fines et très nombreuses. Les c
icie du cervelet. En traversant la zone moléculaire ils forment les
fibres
de Berg- Cellules névroti- ques de l'écorce c
.) o, superficie de l'écorce cérébrale. - cz, cellule de Cajal. - ?
fibres
tangentielles qui no sont proba- blement que de
que se continue avec un nerf sensitif, la branche centrale avec une
fibre
radi- culaire postérieure. Les cellules du gang
es cel- lules sensitives périphériques, des cellules d'origine de
fibres
nerveuses. Elles envoient leur prolongement pér
e légèrement renflée. Leur prolongement central représente une fine
fibre
nerveuse, qui se réunit aux fibres voisines et
ement central représente une fine fibre nerveuse, qui se réunit aux
fibres
voisines et se dirige vers le cordon ganglionna
de la souris. Méthode rapide de Golgi. (D'après G. Retzius.) ? il,
fibres
nerveuses qui so portent sur la surface do l'ép
llules senso- rielles secondaires , en connexion indirecte avec des
fibres
nerveuses et qui ne peuvent être comparées aux
(fig. 105). Ces derniers sont entourés d'une véritable corbeille de
fibres
entrelacées, désignées par Kolliker sous le nom
EUX. 167 présentent une terminaison spéciale, comme par exemple les
fibres
mous- sucs et les fibres grimpantes décrites pa
erminaison spéciale, comme par exemple les fibres mous- sucs et les
fibres
grimpantes décrites par Cajal (fig. 10). Les fi
- sucs et les fibres grimpantes décrites par Cajal (fig. 10). Les
fibres
moussues que l'on rencontre dans l'écorce cérébel
il naît directement du corps cellulaire par un cône d'origine, mais
Fibres
moussues. Fibres grimpantes Le cylindre-axe s
du corps cellulaire par un cône d'origine, mais Fibres moussues.
Fibres
grimpantes Le cylindre-axe s. tcrmiuc par une
, dont une branche se dirige vers la moelle et se continue avec une
fibre
radiculaire postérieure, dont l'autre se dirige v
mérique considérable qui existe entre les cellules nerveuses et les
fibres
nerveuses, entre le volume de la substance gris
ramuscules proto- plasmiques, qui se terminent librement entre les
fibres
nerveuses de la zone corticale superficielle (f
angle obtus et les deux branches qui en proviennent de- viennent
fibres
constitutives des cordons postérieurs. La fibre
ent de- viennent fibres constitutives des cordons postérieurs. La
fibre
a, avant de se bifurquer, émet une branche collat
ues collatérales à di- rection ascendante et se continue avec une
fibre
nerveuse (fig. 111). Du corps cellulaire se d
). Leurs rameaux descendants et leurs terminaisons en corbeilles de
fibres
ne sont pas encore développés. - c. grains du cer
richement. d, petite cellule de Golgi à prolongements ramifiés. - hf,
fibre
nerveuse avec sa termi- naison en forme de nid
rveuse avec sa termi- naison en forme de nid péri-cellulaire. - if,
fibre
grimpante de Cajal.- m ? fibres moussues do Cajal
en forme de nid péri-cellulaire. - if, fibre grimpante de Cajal.- m ?
fibres
moussues do Cajal. - lef, fibres nerveuses à ra
if, fibre grimpante de Cajal.- m ? fibres moussues do Cajal. - lef,
fibres
nerveuses à ramification spéciale (prolongement n
cellules do Golgi). - e, cellule névrogliquc donnant naissance aux
fibres
de Bergmann. sèderaient, d'après Tartufori et C
ndant dans les glomérules olfactifs. - yl, glomérules olfactifs. - o,
fibres
olfactives. HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 1 -
és inférieurs, etc.; que toute région de substance grise pourvue de
fibres
nerveuses terminales possède également des arbori
s antérieures. La libiese21silive naissait duréseati de Gerlach, la
fibre
motrice des cellules des cornes antérieures, et l
tinuation directe d'une cellule nerveuse avec le cylindre-axe d'une
fibre
motrice ; il montra : 1° Que toutes les cellule
ées et libres. Quant aux connexions réciproques des cellules et des
fibres
nerveuses, Golgi se laissa évidemment influence
des dendrites, qu'il se termine par une extrémité libre, et que la
fibre
nerveuse qu'il concourt à former ne doit pas être
le réseau n'est qu'apparent, et les connexions des cellules et des
fibres
se font par l'intermédiaire d'un feutrage plus
dégénérescence se fait toujours dans le sens du développement de la
fibre
. Si la cellule d'origine est située dans la moe
la cellule d'origine est située dans la moelle et qu'elle envoie sa
fibre
vers le bulbe ou vers le cervelet, la dégénéres
si la cellule d'origine siège dans le cerveau et qu'elle envoie sa
fibre
dans des régions inférieures, telles que la pro
dégé- nérescence est dite descendante. La propriété que possède la
fibre
nerveuse de dégénérer, lorsqu'elle est séparée
es masses blanches encéphalo-mé- dullaires de certains faisceaux de
fibres
nerveuses. (Voy. méthode des dégénérescences se
rause, P. Marie, etc.) Cette atrophie.de la cellule d'origine de la
fibre
nerveuse, qui se produit lorsque l'on sectionne
E DES CENTRES NERVEUX. Dans la méthode expérimentale de Gudden.
fibre
ner- veuse s'altère dans les deux sens. Tra
, on observe non seulement la dégénération du bout périphérique des
fibres
sectionnées, mais encore l'atrophie, voire même
ation de l'écorce ou des noyaux gris. Dans la méthode de Gudden, la
fibre
s'altère donc dans toute son étendue : son bout
lbairc d'un nerf sensitif est l'analogue du bout périphérique de la
fibre
nerveuse, puisque la libre HISTOGENÈSE DU SYSTÈ
bre HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. HO radiculaire centrale et la
fibre
périphérique résultent d'une division en T du c
le d'un ganglion rachidien. Lorsqu'on arrache un nerf sensitif, les
fibres
y compris les ramifica- tions arboriformes de F
du nerf sensitif (voy. p. 149); les cellules autour desquelles ces
fibres
s'ar- bprisent (cellules d'origine d'un autre n
de Gudden et la méthode des dégénéres- cences montrent donc que la
fibre
nerveuse périphérique ou centrale, motrice ou s
ajet et que l'atrophie ne dépasse pas le point de terminaison de la
fibre
. Cependant, dans quelques cas, surtout chez les
ant plus facilement, que l'excitation naturelle qui leur venait des
fibres
désormais dégénérées leur faisant défaut, leur
tème nerveux deux éléments, l'élément cellule nerveuse et l'élément
fibre
nerveuse; il n'existe qu'un seul élément, une s
6° Il n'existe pas une cellule motrice et une cellule sensitive, une
fibre
motrice et une fibre sensitive. La fonction mot
cellule motrice et une cellule sensitive, une fibre motrice et une
fibre
sensitive. La fonction motrice ou sensitive dépen
on motrice ou sensitive dépend de la terminaison périphérique de la
fibre
, soit dans un élément moteur comme le muscle, s
a neuritité est, suivant toute vraisemblance, la même dans toutes les
fibres
nerveuses, qu'elles soientmotrices, ou sensitiv
on ne doit pas être cherchée dans les propriétés physiologiques des
fibres
nerveuses elles-mêmes, mais bien dans la différ
ses elles-mêmes, mais bien dans la différence des connexions de ces
fibres
, tant avec les parties centrales qu'avec les pa
anachée et ramifiée est entourée par les ramifications libres de la
fibre
olfactive; tantôt, comme dans le cer- velet, le
s'enroulent en liane autour des dendrites des cellules de Purkinje (
fibres
grimpantes), ou s'emboîtent avec le corps et le
avec le corps et les dendrites digitiformes des grains du cervelet (
fibres
mous- sues) (fig. 101 et 1®); tantôt les arbori
contact avec les arborisations terminales d'un très grand nombre de
fibres
nerveuses (cellules pyramidales de l'écorce céré-
risation péri-cellulaire extrêmement fine, qui se continue avec une
fibre
nerveuse dont l'origine est inconnue, mais qui
es .. A cet état de développement, les parties essentielles de la
fibre
nerveuse sont consti- tuées : le faisceau de fi
celui de l'adulte, il ne lui manque que sa gaine de niyéline. La
fibre
nerveuse à cet état de. développement, même lorsq
ic. 114. rto. 415. FIG. 114. Groupe de neuroblastes moteurs et de
fibres
radiculaires d'un embryon humain - d'environ qu
oblastes. - Sp, spongioblastes. - ym, voile médullaire. FiG. 115. -
Fibres
nerveuses d'un embryon de brebis de Om,3d5 de lon
. (D'après Vignal.) F, portion d'un faisceau du nerf sciatiqne. -a,
fibres
nerveuses. - b, cellules connectives très allongé
ès allongées ot isolées. c, cellules connectives appliquées sur les
fibres
nerveuses et dont les noyaux sont seuls visibles.
noyaux sont seuls visibles. d, cellules lymphatiques. A -et B, deux
fibres
nerveuses plus fortement- grossies. HISTOGENÈSE
tives (Vignal), se distingue cependant d'avec le cylindre-axe d'une
fibre
de l'adulte; par l'exagération de la striatio
soumet à l'action de l'acide osmique. Elle diffère en outre des
fibres
de Remak, avec lesquelles on pourrait la conf
lindre-axe. La myéline n'apparaît pas en même temps dans toutes les
fibres
, ni sur tous les points d'une même fibre nerveu
ême temps dans toutes les fibres, ni sur tous les points d'une même
fibre
nerveuse, elle apparaît au contraire du centre à
érie, ce qui a fait dire à Vignal que « l'évolution formative des
fibres
ner- veuses estplus avancée com- parativement
es qui forment les segments inter-annulaires (Vignal). Sur d'autres
fibres
, elle apparaît sous forme de boules plus ou moins
ves embryonnaires recouvrant la périphérie du faisceau. Fig. 117. -
fibres
nerveuses (['un embryon de mouton de 0 ? 2S de
s (['un embryon de mouton de 0 ? 2S de long. (D'après Vignal.) a,
fibres
nerveuses. - b, cellules connectives enveloppant
RES NERVEUX. allongées et irrégulièrement distribuées le long de la
fibre
nerveuse. Sur d'autres enfin, elle revêt la for
de la naissance, une teinte beaucoup plus foncée, jusqu'à ce que la
fibre
nerveuse ait atteint les caractères qu'elle pos
que la vie embryon- naire approche de sa fin, le protoplasma de la
fibre
nerveuse devient de plus en plus capable de séc
elle se présente avec des saillies ou des dépressions, donnant à la
fibre
ner- veuse une apparence plus ou moins régulièr
, la conséquence de la croissance des éléments qui constituent la
fibre
nerveuse. Si l'augmentation du calibre du tube
d'un embryon d'une brebis, long de Om,34. (D'après Vignal.) a,
fibre
sans myéline à la surface de laquelle on voit
ine à la surface de laquelle on voit des noyaux. - b et c, deux
fibres
sur lesquelles la myéline a fait son appa- ri
t peu développé et no se voit qu'au voisinage du noyau. - d, un
fibre
dans la myéline s'est également développée le
res du cervelet, avec quelques détails nouveaux sur l'évolution des
fibres
cérébelleuses. Internat. Monatschr. f. Anat. un
Monatschr. f. Anat. und Physiol., Bd VII, 1890. - Du même. Sur les
fibres
nerveuses de la couche granuleuse du cervelet e
à la substance grise. La substance grise, riche en cellules et en
fibres
nerveuses, forme les ganglions périphériques et
aires. La substance blanche est constituée presque exclusivement de
fibres
nerveuses; elle est remarquable par son opacité
jouant le rôle de conducteurs. Couronne rayon- nante de Reil.
Fibres
de projec- tion. ? t Fibres commissu- l'ale
Couronne rayon- nante de Reil. Fibres de projec- tion. ? t
Fibres
commissu- l'ales et et arquées. Conception an
La substance blanche est essentiellement formée de conducteurs, de
fibres
, qui relient entre elles les différentes parties
ues et ces derniers à la substance grise centrale. L'ensemble des
fibres
qui relient l'écorce cérébrale aux ganglions encé
pond au système de projection de ? ordre de Meynert. L'ensemble des
fibres
qui relient les ganglions encéphaliques à la su
stitué par les nerfs périphériques, c'est-à-dire par l'ensemble des
fibres
qui relient la substance grise centrale, aux or
organes de la périphérie du corps. A côté de ces trois systèmes de
fibres
de projection décrits par Meynert, il en existe
s le faisceau pyramidal. Le cervelet enfin présente des systèmes de
fibres
de projection qui sont les homologues de celles
celles décrites par Meynert dans le cerveau. Mais les systèmes des
fibres
de projection ne constituent pas toute la masse
as toute la masse blanche de l'axe encéphalo-médullaire. A côté des
fibres
rayon- nantes on trouve dans la substance blanc
i que dans la substance blanche de la moelle, d'autres faisceaux de
fibres
; les unes commissurales, celles du corps calleux
misphères, les autres, arquées, constituent un véritable système de
fibres
d'association, et unissent entre elles les diffé-
et les éléments non nerveux. Les éléments nerveux comprenaient les
fibres
nerveuses et les cellules nerveuses; les éléments
xile, prolongement qui constitue la partie la plus importante de la
fibre
nerveuse. L'étude histogénique, que nous avons
ellule névroglique adulte ; 3° La cellule nerveuse adulte ; 4° La
fibre
nerveuse adulte de la substance blanche; 5° Les
eux. Elles entourent d'un feutrage très dense les cel- lules et les
fibres
nerveuses, doublent les cellules épendymaires et
dulte, est alors formée, d'après Ranvier, de deux parties : par des
fibres
de toute longueur qui s'entrecroisent dans tous l
es dernières des faces et des crètes d'empreintes correspondant aux
fibres
de la névroglie. Chez l'adulte, les cellules né
LOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE -L'ADULTE. 191 il seaux et les
fibres
nerveuses. - Sous l'influence des bichromates alc
s intensivement que les cellules non revenues sur elles-mêmes. 4°
Fibres
nerveuses adultes du névraxe. - Le cylindre-axe d
tous les cylindres- axes, de telle sorte que l'on peut diviser les
fibres
nerveuses soit du système nerveux périphérique,
u système nerveux périphérique, soit du système nerveux central, en
fibres
à myéline et fibres sans myéline. Le cylindre-a
riphérique, soit du système nerveux central, en fibres à myéline et
fibres
sans myéline. Le cylindre-axe des fibres à myélin
al, en fibres à myéline et fibres sans myéline. Le cylindre-axe des
fibres
à myéline n'est pas recou- vert dans toute sa l
é des arborisations terminales, soit des col- latérales, soit de la
fibre
nerveuse elle-même, qu'il s'agisse d'une fibre de
latérales, soit de la fibre nerveuse elle-même, qu'il s'agisse d'une
fibre
des centres ou d'un nerf périphérique. Le cyl
e catégorie spé- ciale de nerfs périphériques connus sous le nom de
fibres
de Remak. Les fibres ci myéline constituent l'i
e de nerfs périphériques connus sous le nom de fibres de Remak. Les
fibres
ci myéline constituent l'immense majorité des tub
ux capillaires, dont les mailles allongées suivent la direction des
fibres
nerveuses. Dans la substance grise, le réseau c
e ce tissu n'entrent pas en contact direct avec les cellules ou les
fibres
nerveuses, dont elles sont toujours séparées pa
lles sont toujours séparées par une couche plus ou moins épaisse de
fibres
névrogliques. Les vaisseaux, entourés de fibril
t unipolaires et d'aspect piriforme ; elles n'émettent qu'une seule
fibre
nerveuse, laquelle se divise en T après un court
serve, en général, un deuxième segment inter-annulaire avant que la
fibre
nerveuse ne se divise en T (fig. 121). Cette divi
e secondaire dc]{a ! )\ierc)tcxfes ^poissons. continue avec une
fibre
des racines postérieures de la moelle, tandis que
andis que l'autre se porte à la périphérie, et s'entremêle avec les
fibres
motrices éma- nées des cellules antérieures de
a l'aide de la méthode de Golgi, par Cajal et v. Gehuchten, que la
fibre
la plus grêle est toujours la fibre centrale, c
r Cajal et v. Gehuchten, que la fibre la plus grêle est toujours la
fibre
centrale, c'cst-a-diro celle qui entre dans la co
s la consti- tution d'une racine postérieure. Le cylindre-axe de la
fibre
périphérique est beaucoup plus volumineux, il s
une arborisation péricellulaire très fine, qui se continue avec une
fibre
nerveuse amyélinique, d'origine inconnue, mais
, la majeure partie des éléments nerveux du ganglion. A côté de ces
fibres
qui .naissent dans le ganglion, il s'en trouve
autres qui ne font que le tra- verser. L'existence de ces dernières
fibres
, vues et décrites par Freud en 1879 'sur les po
ri- cellulaires d'Ehrlich Cellules margina- les et centrales.
Fibres
nerveusos traversant le gan- glion - Froud, J
oyau de la gaine secondaire. ` ? Or ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
nerveuses partant de la corne antérieure de l
es relativement petites, entoure les cellules ganglionnaires et les
fibres
ner- veuses. Ce réseau est toujours situé en de
osités, et formant un gros faisceau, une sorte de panache, dont les
fibres
enchevêtrées se terminent toutes librement et e
elquefois de petits renflements fusiformes. Il se continue avec une
fibre
de Remak, laquelle se porte soit vers un gangli
une fibre de Remak, laquelle se porte soit vers un ganglion voisin {
fibre
commissurale ou interganglionnaire), soit vers
fibre commissurale ou interganglionnaire), soit vers la périphérie [
fibre
périphérique), et ne présente en général pas de
ches les plus superficielles du ganglion sont formées, en outre, de
fibres
nerveuses amyé- liniques, longitudinales, qui é
ongements dendritiques des cellules des couches superficielles. Ces
fibres
nerveuses qui traversent ou recouvrent le ganglio
liale. , Corps cellulaire avec fibrilles proto plasmiques.
Fibres
traversant les ganglions sympa- thiques. .
le d'une cellule. Il, noyau d'une arborisation. C, cylindre-axe des
fibres
de Rcmak. 206 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. F
lindre-axe des fibres de Rcmak. 206 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
venant des cellules de la moelle épinière.
ympa- thiques | viscéraux. a thique appartiennent, les unes aux
fibres
commissurales, les autres aux - fibres périphér
appartiennent, les unes aux fibres commissurales, les autres aux -
fibres
périphériques, les autres enfin aux rameaux commu
fibres périphériques, les autres enfin aux rameaux communicants ou
fibres
centrales. Les ganglions reçoivent en outre d
reçoivent en outre de la moelle, par les racines anté- rieures, des
fibres
nerveuses centrifuges, qui prennent leur origine
t donner naissance, ainsi que l3eale et Arnold l'ont montré, à deux
fibres
, l'une droite, l'autre spirale. Les recherches ré
droite, l'autre spirale. Les recherches récentes ont montré que la
fibre
droite appartient seule à la cellule unipolaire d
re dont elle constitue le prolongement cylindre-axile (Retzius). La
fibre
spirale, au contraire, représente une véritable
(Retzius). La fibre spirale, au contraire, représente une véritable
fibre
terminale (Arnold, Ehrlich), qui entoure la cel
ance du corps cellulaire, et donnent naissance à trois ou plusieurs
fibres
variqueuses, qui s'incorporent dans les fascicu
par des extrémités libres légèrement renflées, soit au niveau d'une
fibre
musculaire lisse, soit au niveau d'une cellule
sent, et forment un plexus enche- vêtré à mailles très serrées. Les
fibres
les plus fines se terminent par des extrémités
plasma des éléments musculaires lisses ou glandulaires auxquels ces
fibres
sont destinées. IL - Structure des nerfs adul
caractérisent. Dans les nerfs dits sympathiques, au contraire, les
fibres
à myéline sont peu nombreuses ou font même comp
ésentent une apparence grisâtre. Nous étudierons successivement les
fibres
nerveuses à myéline, les fibres nerveuses sans
Nous étudierons successivement les fibres nerveuses à myéline, les
fibres
nerveuses sans myéline ou fibres de Remak, ains
es fibres nerveuses à myéline, les fibres nerveuses sans myéline ou
fibres
de Remak, ainsi que le tissu de soutène- ment e
ge. Dans un même nerf périphérique, on trouve en général d'épaisses
fibres
nerveuses à côté de fibres très grêles ou de mo
hérique, on trouve en général d'épaisses fibres nerveuses à côté de
fibres
très grêles ou de moyenne épaisseur. On admet que
isseur. On admet que les libres motrices sont plus épaisses que les
fibres
sensitives; que les fibres longues le sont plus
libres motrices sont plus épaisses que les fibres sensitives; que les
fibres
longues le sont plus que les libres courtes, et
les fibres longues le sont plus que les libres courtes, et que les
fibres
épaisses nais- sent de cellules volumineuses, t
fibres épaisses nais- sent de cellules volumineuses, tandis que les
fibres
grêles proviennent de petites cellules d'origin
s fibres grêles proviennent de petites cellules d'origine. Chaque
fibre
nerveuse à myéline est constituée par le cylindre
elle-mème par une membrane découverte par Schwann en 1839. Chaque
fibre
nerveuse est donc un véritable tube, lequel, exam
ritifs, et c'est à leur niveau que s'observent les bifurcations des
fibres
. Pour bien se rendre compte de ces particula-
, et qui ne font pas défaut au niveau des points de bifurcation des
fibres
nerveuses (Kolliker), se colorent également facil
? 3. Leur longueur est en général pro- portionnelle au diamètre des
fibres
nerveuses; « les segments inter-annulaires sont
urs, que le diamètre des tubes est plus petit » (Ranvier). Une même
fibre
peut cependant présenter, ainsi qu'Axel Key et
mbre et l'étendue augmentent progressivement, de telle sorte que la
fibre
nerveuse présente bientôt un aspect granuleux.
e présente bientôt un aspect granuleux. Au niveau de la section des
fibres
, la myéline s'échappe en bourgeons filamenteux,
130). Ils signalent en outre dans certains cas, à la surface de la
fibre
nerveuse, une striation transversale ou oblique
ico, non seulement sur les nerfs périphériques, mais encore sur les
fibres
nerveuses des masses blanches du névraxe : auss
tent pas, sauf toutefois les incisures de Schmidt (Ranvier), sur la
fibre
nerveuse vivante, dont la myéline constitue une
YSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 2t : : B. tubes nerveux sans myéline ou
fibres
DE REMAK. Découvertes par Remak en 1838, ces fi
sans myéline ou fibres DE REMAK. Découvertes par Remak en 1838, ces
fibres
, qui constituent la plupart des nerfs des Inver-
olfactif n'est formé dans toute la série des Vertébrés que par des
fibres
sans myéline, et nous avons vu précédemment que
par des fibres sans myéline, et nous avons vu précédemment que les
fibres
à myéline se dépouillent de leur gaine médullaire
urs arborisations terminales. C'est à l'absence de myéline dans les
fibres
qui les constituent, que les nerfs sympathique et
ue difficilement à isoler les unes des autres, sans les rompre, les
fibres
nerveuses qui le constituent. Les fibres de Remak
tres, sans les rompre, les fibres nerveuses qui le constituent. Les
fibres
de Remak ne sont pas en effet, comme les fibres
le constituent. Les fibres de Remak ne sont pas en effet, comme les
fibres
à myéline, placées parallèlement les unes à côté
e nerf incomplètement dissocié, on voit qu'il est constitué par des
fibres
dépourvues de myéline, de diamètre variable et
et qu'on le colore ensuite par le picro-carmin, on constate que ses
fibres
ne prennent pas la coloration noire, ce qui mon
re par ce procédé, en employant un grossissement suffisant, que les
fibres
de Remak possèdent une striation longitudinale, e
Schwann et groupés en petits faisceaux. De distance en distance, ces
fibres
sont recouvertes par des noyaux allongés et ova
icro-carmin après macération préa- lable dans l'acide picrique, les
fibres
de Remak présentent un degré de colo- ration as
faible, qui, pour Ranvier, suffit cependantpour les distinguer des
fibres
du tissu conjonctif. Le même auteur a montré que
e pas les faisceaux connectifs, tandis qu'il imprègne fortement les
fibres
de Remak. On arrive encore au même résultat, en f
tions et après dissociation, on peut très facilement distinguer les
fibres
de Remak des fibres connectives, car elles prés
ciation, on peut très facilement distinguer les fibres de Remak des
fibres
connectives, car elles présentent un aspect variq
vacuoles, considérées à tort par certains auteurs comme des espaces
Fibres
de Remak. Noyaux des fibres do Remak. Diffé
ar certains auteurs comme des espaces Fibres de Remak. Noyaux des
fibres
do Remak. Différenciation dos fibres de Rom
res de Remak. Noyaux des fibres do Remak. Différenciation dos
fibres
de Romak d'a- yec les fihres du tis- su conjo
u conjonctif d'après Ranvier. 216 ANATOMIE DES CENTHES NERVEUX.
Fibres
do Remak ('tudiées sur des cou- t'cstransvers
ansversales pratiquées après durcissement dans les bichromates, les
fibres
de Remak se présentent, après coloration par le
sversale d'une des fibrilles qui, par leur réunion, constituent les
fibres
de Remak. En résumé, les fibres de Remak présen
, par leur réunion, constituent les fibres de Remak. En résumé, les
fibres
de Remak présentent une texture übrillairc comme
lindres-axes des tubes nerveux à myéline, et il est certain que ces
fibres
sont constituées par des cylindres-axes qui, parl
omosant pas au sens propre du mot. Chaque fibrille conserve dans la
fibre
de Remak, comme dans la libre nerveuse à myélin
jal, Retzius, Kolliker). Existe-t-il une gaine véritable autour des
fibres
de Remak, et les fibrilles nerveuses qui les co
qui a étudié très spécialement ces différents points, considère les
fibres
de Remak comme dépourvues de toute membrane envel
de Schwann. Pour le même auteur, les noyaux qui se trouvent sur les
fibres
de Remak n'appartiennent pas à autant de cellu-
rte dégaine de Henle incomplètement développée. Toutefois, si les
fibres
de Remak ne possèdent pas de gaine proprement d
t creusée de canaux parallèles (Ranvier). On voit donc que dans les
fibres
de Remak, commc dans les fibres à myéline, les fi
Ranvier). On voit donc que dans les fibres de Remak, commc dans les
fibres
à myéline, les fibrilles nerveuses sont égaleme
, apparaît d'après Han- vier sous forme de lames et sous forme de
fibres
. Les lames connectives intra-fasciculai- res
soit pour cloisonner un faisceau et le diviser en deux. Quant aux
fibres
du tissu con- jonctif intra-fasciculaire, elles
tissu con- jonctif intra-fasciculaire, elles sont semblables aux
fibres
connectives ordinaires, sans mélange de fibre
ont semblables aux fibres connectives ordinaires, sans mélange de
fibres
élastiques. Les cellules ici sont des cel- lu
- thèliaIes. 111. Terminaison des nerfs. Les cylindres-axes des
fibres
nerveuses périphériques, qu'ils appar- tiennent
itifs, se terminent tous, ainsi du reste que les cylindres-axes des
fibres
nerveuses centrales, par une extré- mité libre,
nts cas, la terminaison est une terminaison libre et nulle part, la
fibre
nerveuse n'entre en connexion directe, soit : '1°
atrices; ils ne présen- tent par conséquent aucune relation avec la
fibre
nerveuse. ^ Nous passerons successivement en re
L'ADULTE. 221 . la surface, se divisent et s'entrecroisent avec les
fibres
nerveuses voisines. Après un trajet plus ou moi
t plus ou moins compliqué sous la membrane basale des papilles, les
fibres
nerveuses, recouvertes encore de leur gaine de my
e Langerhans n'appartien- nent pas au système nerveux, et que les
fibres
sensitives se terminent par des arbo- risations
e même mode de terminaison que dans l'épiderme (fig. 134, 136). Les
fibres
ner- veuses de la couche conjonctive sous-muque
us.) Méthode rapide de Golgi. 222 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
nerveuses terminales de la mu- queuse olfacti
de l'épithélium olfactif avec l'épi- thélium respiratoire, de fines
fibres
nerveuses, ramifiées, variqueuses, d'aspect mon
t par des extrémités libres, quel- quefois légèrement renflées. Ces
fibres
nerveuses terminales, découvertes par v. Brunn,
DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 223 vier Ira signalé, qu'une seule
fibre
nerveuse, .qui se détache du tronc ner- veux un
de l'épithélium. - bg, couche conjonctive sous-épi- théliale. - n,
fibre
nerveuse montant du tissu conjonctif dans la co
gé de 4 semaines. (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. n,
fibres
nerveuses qui, de la couche conjonctive, montent
au à mailles arrondies ou polygonales, dont se détachent de fines
fibres
nerveuses, qui sont en contact direct avec la [
ces diverses. Au voisinage de l'éminence terminale de Ranvier, la
fibre
nerveuse à myéline ou bien reste indivise, ou
d'un étranglement an- nulaire en deux, voire même trois ou quatre
fibres
à myéline, formées chacune d'un segment inter-a
fibres à myéline, formées chacune d'un segment inter-annulaire. Ces
fibres
nerveuses sont des fibres complètes, pourvues d
acune d'un segment inter-annulaire. Ces fibres nerveuses sont des
fibres
complètes, pourvues de leur gaine de Schwann et
ucusc. 1, poil. -is, gaine o intcrnc.-Itb, follicule pileux. - n.
fibres
nerveuses. - hiv, Hoorzwicucl. - hp, pa- pill
de très grandes varié- tés. En général, le nerf qui côtoie la
fibre
musculaire est recouvert de sa gai- ne de myé
e se divise et se subdi- vise, et donne naissance à de très fines
fibres
vari- queuses plus ou moins ramifiées (fig. z
nes fibres vari- queuses plus ou moins ramifiées (fig. z6). Ces
fibres
, d'après Ranvier, embrochent les cellules mus
ê- mement grêles et d'iné- gale épaisseur. La péné- tration des
fibres
muscu- laires par les fibres ner- veuses, sig
gale épaisseur. La péné- tration des fibres muscu- laires par les
fibres
ner- veuses, signalée par Ranvier, n'a été retr
i, ni par Cajal, ni par Retzius. Ces deux auteurs admettent que les
fibres
nerveuses du coeur se divisent dichotomiquement e
ulte. (D'après G. Retzius.) Coloration au bleu de méthylène. , n,
fibre
nerveuse pourvue d'une gaine de myéline. 228 AN
CENTRES NERVEUX. Travaux de Ret- zjns. organique. Les nerfs des
fibres
musculaires lisses de la vie animale des Mollus
souvent digitiforme, la tache motrice de Ranvier.Les nerfs des
fibres
muscu- laires lisses de la vie organique, qu'
l'intestin, plexus des vais- seaux sanguins), dont se détachent des
fibres
très fines, qui se terminent très probablement
thode d'Ehrlich (bleu de méthylène in2tra- vitam), a montré que ces
fibres
se divisent dichotomiquement il diverses repris
és, qui répondent manifestement aux plaques termi- nales des autres
fibres
musculaires, et se rapprochent singulièrement du
laires, et se rapprochent singulièrement du mode de terminaison des
fibres
nerveuses des muscles des Vertébrés (lig. 147).
des corpuscules de Golgi. Golgi découvrit en 1878, à l'union de la
fibre
musculaire et de la fibre tendineuse, des corps
Golgi découvrit en 1878, à l'union de la fibre musculaire et de la
fibre
tendineuse, des corps fusiformes spéciaux, lieu d
tendineuse, des corps fusiformes spéciaux, lieu de terminaison des
fibres
tendineuses, et qu'il désigna sous le nom de corp
is au lieu d'être uniques et isolées comme l'éminence terminale des
fibres
musculaires, les plaques terminales tendineuses s
tis, situés à la surface du tendon, au voisinage de l'insertion des
fibres
musculaires sur les fibres tendineuses; ils sont
tendon, au voisinage de l'insertion des fibres musculaires sur les
fibres
tendineuses; ils sont formés d'une substance gr
divise soit dichotomiquement, soit en patte d'oie, en deux ou trois
fibres
myéliniques et équidistantes. Ces fibres donnen
te d'oie, en deux ou trois fibres myéliniques et équidistantes. Ces
fibres
donnent à leur tour naissance à une véritable a
rpuscule do fTolgi sii'g'c au yoi- sinage de l'insertion île la
fibre
tendineuse surtafi)jrf;niuscn- laire. 230 A
osés, qui constituent autant de corpuscules et reçoivent chacun une
fibre
nerveuse distincte. Ils présentent tous un aspect
, ainsi que Langerhans l'a montré, il la direction transversale des
fibres
nerveuses, revêtues de myéline, qui pénètrent dan
erveuses, revêtues de myéline, qui pénètrent dans le corpuscule. La
fibre
nerveuse qui aborde un corpuscule du tact l'attei
psulaire le nom de funicule. Chaque lame capsulaire est formée de
fibres
connectives, séparées par une substance amorphe
tance amorphe et disposées en deux couches, l'une interne formée de
fibres
longitudinales, l'autre externe formée de libres
GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 231 : versée par quelques
fibres
à direction rayonnante. Les lames capsulaires l
ires moyennes; elles sont en outre formées presque exclusivement de
fibres
longitudinales. Chaque lame cap- sulaire est ta
ct de fuseaux allongés, composés de trois à sept groupes de petites
fibres
musculaires striées, entourés d'une gaine lamel
entourés d'une gaine lamelleuse. Tantôt ils ne contiennent que des
fibres
musculaires serrées et très jeunes, tantôt ils
oma, 1877. - G. Cattani. L'appareil de soutien de la myéline dans les
fibres
nerveuses périphériques. Arch. italiennes de Bi
217. - GEDOELST. Recherches sur la . constitution cellulaire de la
fibre
nerveuse. La Cellule. Tomes III et IV. - v. Gehuc
l'Homme. La Cellule, Tome VIII, 1892. Golgi. Sulla structura delle
fibre
nervose midollale periferiche. Arch. p. le scie
ue Folge. III, IV, V. Stockholm. REZ- z6Nlco. Sulla struttura delle
fibre
nervose del midollo spinale. Arch. p. le scienze
au développement considérable, que pren- nent dans cette région les
fibres
tangentielles de l'écorce cérébrale (voyez z st
que sinus du corps calleux, l'inrlusellln grisellln s'épaissit; les
fibres
tangentielles de cette écorce cérébrale rudimen
t que le développement du corps calleux est fort tardif, et que les
fibres
calleuses, lorsqu'elles font irruption à la face
sous le nom de circonvolutions olfactives internes et externes. Les
fibres
blanches de ces circonvolutions avortées consti
me grise qui recouvre l'espace perforé antérieur, par une couche de
fibres
blanches toujours très manifeste (fig. 282 et 2
e de fibres blanches toujours très manifeste (fig. 282 et 283). Ces
fibres
appartiennent aux radiations olfactives destiné
artie diffé- renciée de l'écorce du cerveau antérieur, analogue aux
fibres
langen- ticllc.s de l'écorce et il la couche ré
iagonales de Broca. Chaque bandelette semble naître dans ce cas des
fibres
longitudinales du septum lucidum, de Fig. 183.
elette optique et le chiasma ne sont pas formés par un système ' de
fibres
homogènes; ils renferment au moins trois ordres d
tème ' de fibres homogènes; ils renferment au moins trois ordres de
fibres
, dont t deux appartiennent au système visuel, l
upérieure, elle est également convexe par sa face infé- rieure. Ses
fibres
ne se distinguent pas à l'état normal des libres
out lorsque celle- ci est pratiquée chez de jeunes animaux, les
fibres
visuelles s'atrophient rapide- ment, et la co
a richesse en myéline de ses libres réunies en gros fascicules. Ses
fibres
se terminent les nnes dans le globus pallidus,
Gudden sous le nom de fais- ceau du tuber cillel'ell1n et dont les
fibres
s'irradient dans la substance grise située entr
a structure de ce lobe est rudimentaire : au milieu de faisceaux de
fibres
entrecroisées en tous sens et dont la | nature
cq d'Azyr (fig. 193), l'autre interne qui émet un petit faisceau de
fibres
longitudinales, le faisceau de la calotte du tube
ue côté (fig. 190) par une masse volumineuse de gros fais- ceaux de
fibres
, étendues du bord supérieur de la protubérance àl
supérieur de la protubérance àla base du cerveau dans laquelle ces
fibres
pénètrent, pour entrer dans la consti- tution d
VI, nerf moteur oculaire externe. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 327 de
fibres
arciformes, qui apparaissent toutes dans la régio
iveau des pédoncules cérébelleux supérieurs. Parmi ces faisceaux de
fibres
, plus ou moins variables comme nombre et comme
rieure de son trajet, sa partie antérieure étant recouverte par les
fibres
du pied du pédoncule. Il occupe la partie moyenne
ger et le ruban de <' ? 7,"et se perd après dissémination de ses
fibres
. L'origine cellulaire et la terminaison de ce f
'origine cellulaire et la terminaison de ce faisceau formé de fines
fibres
nerveuses sont encore inconnues. Il n'est pas en
are ce pédoncule du pédoncule cérébelleux moyen, se porte en avant,
Fibres
arcitormes dupicddupedon- doncule. Tractus
édoncule cérébelleux supérieur (Pcs) d'autre part, est sillonnée de
fibres
blanches qui forment un relief tantôt considéra
s qui forment un relief tantôt considérable, tantôt peu marqué. Ces
fibres
ne représentent, ainsi que nous le verrons plus
est formée de szcbstance ·éticzclc·e (SR), c'est-à-dire de petites
fibres
blanches entre-coisées en tous sens, et entre les
queduc de Sylvius. On y trouve, en outre, d'importants faisceaux de
fibres
nerveuses et un noyau volumineux bien circonscr
supérieures de la calotte du pédoncule et entouré d'une capsule de
fibres
blanches. Dans les régions inférieures de la ca
on longitudinal est bordé, de chaque côté, par un petit faisceau de
fibres
blan- ches qui appartient à la valvule de Vieus
sous le nom de globus pallidus (NL2, NL,); ils sont plus riches en
fibres
nerveuses, et présentent une origine et une str
quadrilatère, reliant les deux hémisphères, et formée uniquement de
fibres
blanches dirigées transversa- lement. La partie
rties latérales le corps calleux envoie dans chaque hémisphère, des
fibres
extrêmement nom- breuses connues sous le nom de
lanche des hémisphères, s'y irradient et s'entre- croisent avec les
fibres
du grand soleil de Reil. La ligne d'intersectio
il. La ligne d'intersection des radiations du corps calleux et, des
fibres
de la couronne rayonnante forme la limite exter
lleux, le t<7'nia tecta (tec), et en dehors un petit faisceau de
fibres
blanches, dirigées d'avant en arrière. Ce faiscea
tion de la première circonvolution limbique (L,), est formé par les
fibres
les plus inférieures du cingulum (Cing), c'est-
cia- tion du lobe limbique. D'après Beevor, il serait formé par les
fibres
propres de la première circonvolution limbique
par les fibres propres de la première circonvolution limbique (L,),
fibres
qui séparent le cingu- lum de l'écorce grise du
12 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. sont réunis l'un à l'autre par des
fibres
transversales, adhérentes au corps luc. 199. Ce
rveau durci dans l'alcool.) C, cunéus. Ce, corps calleux. - Cing,
fibres
du cingulum sectionnées parallèlement au niveau
ou de l'extrémité antérieure. Le bec postérieur donne insertion aux
fibres
transversales du psalterium, qui adhèrent en géné
t importante il établir car, comme nous le verrons plus loin, leurs
fibres
n'ont pas la même origine. Le corps calleux e
appartiennent à la circonvolu- tion godronnée, de gros faisceaux de
fibres
transversales.de 1 millimètre . \ Lyre de Dav
n divergeant en haut, en dehors et en bas, s'entrecroisent avec les
fibres
de la couronne rayonnante, et se terminent dans
eures de l'hémisphère, et comme ces parties reçoivent néanmoins des
fibres
calleuses, il faut nécessairement que les fibres
vent néanmoins des fibres calleuses, il faut nécessairement que les
fibres
du genou et du bourrelet s'infléchissent en ava
t à des couches plus superficielles du genou ou du bourrelet. Les
fibres
du bourrelet décrivent de chaque côté de la sciss
la- ture de Reil, le nom de forceps du corps calleux. (Voy. ch. IV,
fibres
com- zzis.szcales. ) 2° Trigone cérébral Le
03). Le trigone est essentiellement constitué par deux faisceaux de
fibres
longitudinales, aplatis de haut en pas, et réun
(illoïd(,.Y. Les bords latéraux du psaltcriemz sont formés par les
fibres
longitudinales du trigone, le fond est constitu
les fibres longitudinales du trigone, le fond est constitué par les
fibres
transversales du corps calleux, et par des -JËmM
tué par les fibres transversales du corps calleux, et par des -JËmM
fibres
transversales propres au trigone, le fornix trans
la circonvolution godronnée (fig. 206). . Le trigone contient des
fibres
longitudinales et des fibres transversales. Par
(fig. 206). . Le trigone contient des fibres longitudinales et des
fibres
transversales. Par la majeure partie de ses fib
tudinales et des fibres transversales. Par la majeure partie de ses
fibres
longitudinales, le trigone cérébral réunit la c
(tuber- cules mamillaires, couche optique) : Une petite partie des
fibres
longitudi- Le trigone contient les libres de
ongitudi- Le trigone contient les libres de projec- tion et,les
fibres
com- missuralcs. Fic, 204. -Prolongements sph
350 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. nales du trigone s'unissent aux
fibres
du septum lucidum, passent en avant de la commi
antérieure et se rendent à la substance perforée anté- rieure. Ces
fibres
constituent le faisceau olfactif de la corne d'Am
rne sphénoïdale du ventricule latéral. Il, bandelette optique. - III,
fibres
radicu- laires de la 3- paire. MORPHOLOGIE CÉ
doncule cérébelleux supérieur. - Pchl, plexus choroïdes. - Poa, l'op,
fibres
antérieures et postérieures de la protubérance.
VEUX. Septum lucidum. Pédoncules du sep- tum lucidum. Par ses
fibres
transversales, le trigone appartient également au
une partie de la grande fente inter-hémisphérique, enclavée par les
fibres
transversales du corps calleux. Le ventricule de
rce grise rudimentaire; elle est recouverte par une mince couche de
fibres
tangen- tielles et renferme dans les couches su
lanche, l'analogue de la substance blanche, reçoit, en arrière, les
fibres
longitudinales du trigone qui constituent le fa
tuent le faisceau olfactif de la corne d'Ammon de Zuckerkandl ; ces
fibres
s'irra- dient dans le septum lucidum, puis conv
ncule du septum lucidum ou bandelette diagonale deDroca (bd). (Voy.
Fibres
de projection du z7aizzezzceh7aalozz.) Enfin au
refoule en bas et en dehors. La lame cornée, qui contient quelques
fibres
nerveuses longitudi- nales du ta'nia semi-circu
asse comme un lien l'espèce de gerbe » (Cruveilhier) formée par les
fibres
de la cap- sule interne. étalée en avant, la ba
queue du noyau caudé (NC'), masquée souvent par une mince couche de
fibres
nerveuses. Contiguë en arrière à la bandelette
upéro-externe est formée par le tapetum (Tap), c'est-à-dire par des
fibres
décrites pendant longtemps comme appartenant au
icz, à Kauffmann, puis à Hochhaus, de montrer l'indépendance de ces
fibres
d'avec celles appartenant au système calleux, et
E. 361 la face inféro-interne (fig. 209). Elle est tapissée par les
fibres
du tapetum. La paroi inféro-interne ou plancher
interne et de la face supérieure de la couche optique, et dont les
fibres
se terminent dans le ganglion de /7c'</f<(G
e en dehors de la bandelette optique,(11), de la lame cornée et des
fibres
du tænia semi-circzclaris (le) (fig. 249 à.257),
e. Rapports de cette face. Ses bords. naissance qu'à de rares
fibres
nerveuses, et n'affecte que des rapports do con
l'écorce du pli falciforme de Broca, dont elle est séparée par les
fibres
les plus inférieures de la capsule externe et par
sur l'espace perforé antérieur. Le bord supérieur est longé par les
fibres
les plus inférieures du faisceau arcifo1'11le (Ar
yau caudé. Les deux autres segments plus petits, pâles et riches en
fibres
, sont situés en dedans du putamen, et ne se ren
ports et den- duc du putamen. 3ïû ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
du corps strié. Lames médullaires interne e
. Lames médullaires interne et externe du noyau lenticulaire.
Fibres
radiées. Couche optique (thalamus). La face
caudé (NC) (lig. 240 à 242). Le corps strié donne naissance à des
fibres
appartenant à différents systèmes. Les unes ent
e Forel (FI) (désigné par Forel sous le nom de faisceau IL). D'autres
fibres
enfin se rendent au corps cle Lu.s et au locus
antérieur d'Edinger (basales VurderhirnbÜndel) (loy. t. 11). Ces
fibres
traversent le noyau lenticulaire en deux sens, le
ire. Les autres se portent de dehors en dedans - et constituent les
fibres
radiées du putamen et du globus pallidus. B. CO
convexe dans le sens transversal, est revêtue d'une mince couche de
fibres
blanches, le stratum zonale (strz). Sa couleur ca
en avant et en dedans, et qui est perpendiculaire à la direction des
fibres
de l'étage inférieur du pédoncule. La petite
la sépare du noyau caudé et qui constitue la plus grande partie des
fibres
du segment antérieur de, la capsule interne; ce f
, zone de sub- - stance grise, de constitution complexe et dont les
fibres
, à direction trans- versale et un peu oblique e
à l'étage supérieur du pédoncule et qui est entouré d'une couche de
fibres
blanches, la capsule du noyau rouge. Le -t corp
éparés de la face inférieure de la couche optique par une couche de
fibres
bien décrites par Forel et qui se confond en ar
e de la couche optique. Arrivées dans l'intérieur de celles-ci, les
fibres
se dirigent d'avant en arrière et de dehors en
381 Le pédoncule supérieur ou moyen, le plus large, aborde par ses
fibres
la plus grande étendue de la face externe ; il
fibres la plus grande étendue de la face externe ; il contient des
fibres
à direction oblique en bas et en dedans, qui pr
de la partie postérieure du lobe frontal et du lobe pariétal et des
fibres
obliques en haut et en avant qui proviennent du
tiolet) provient du lobe temporal et surtout du lobe occipital. Ses
fibres
se dirigent d'arrière en avant et pénètrent dan
zonale. En pénétrant dans la face externe de la couche optique, les
fibres
de ces trois pédoncules s'entre-croisent dans t
ée (Gitterschicht) (Zr). . Après avoir formé la zone réticulée, les
fibres
pénètrent dans l'intérieur de la couche optique
ètrent dans l'intérieur de la couche optique dont elles forment les
fibres
radiées. Constitution anatomique. - Sur une cou
ES CENTRES NERVEUX. Noyau externe, lame médullaire ex- terne et
fibres
ra- (liés. 1 Champ de Wcr- nickc. Noyau
eures du pulvinar, ces fais- ceaux radiés s'entre-croisent avec des
fibres
émanées de la racine externe de la bandelette o
u interne elle noyau externe, et caractéristique par sa richesse en
fibres
. Nous avons vu plus haut que ce noyau fait partie
relient la tète du noyau caudé au putamen. Il est surtout formé de
fibres
à direction horizontale qui présentent, sur des c
omates alcalins, l'aspect brillant, nacré, particulier à toutes les
fibres
sectionnées parallèlement. Ces fibres se terminen
cré, particulier à toutes les fibres sectionnées parallèlement. Ces
fibres
se terminent presque toutes dans la couche opti
ule acéré- bral (voy. chap. n et ni et t. II), est surtout formé de
fibres
verticales, coupées par conséquent perpendicula
t la portion réfléchie de la queue du noyau caudé, la direction des
fibres
est horizontale. Ces fibres, connues depuis Grati
queue du noyau caudé, la direction des fibres est horizontale. Ces
fibres
, connues depuis Gratiolet sous le nom de radiat
optique. Le segment rétro-lenticulaire (Cirl) est surtout formé de
fibres
horizon- tales qui se rendent au pulvinar, au c
ps genouillé externe et au tuber- cule quadrijumeau antérieur ; ses
fibres
les plus antérieures passent au-des- sous du no
ne dans laquelle se trouve logé le corps de Luys et il est formé de
fibres
ver- m^-'à ticales, et cloisonné par un grand n
é de fibres ver- m^-'à ticales, et cloisonné par un grand nombre de
fibres
horizontales qui t'Clientr,2J le globus pallidu
t t. IL) w T' On se rend encore compte de la direction générale des
fibres
de la capsule interne, en disséquant un cerveau
d amassées en un gros faisceau au niveau du pédoncule cérébral, les
fibres
se dé- ploient, s'étendent en avant et en arriè
dehors, il passe au-dessous du noyau lenticulaire et correspond aux
fibres
de projection du lobe temporal, en particulier
liquité plus ou moins grande, suivant laquelle sont sectionnées les
fibres
de tel ou tel faisceau de la substance blanche,
x. Un faisceau sectionné perpendiculairement il la direction de ses
fibres
apparaît foncé, un faisceau sectionné parallèleme
ît foncé, un faisceau sectionné parallèlement à la direction de ses
fibres
apparaît, clair, et présente un aspect nacré et r
a peu de . , détails à noter par suite de la grande intrication des
fibres
nerveuses il ce niveau. On y reconnaît cependan
isceau d'association du lobe limbique ou cingulum (Cing.), dont les
fibres
sont coupées parallèlement il leur axe, et affe
partie interne du centre ovale nettement limitée en dedans par les
fibres
du cingulum, correspond aux radina- tions du co
les radiations du corps calleux, en dehors elle est limitée par les
fibres
longues d'association klllpol'o-occipito-j'I'onia
et il doit cette coloration à la direction anléro-postérieure de ses
fibres
section- nées parallèlement il leur axe. Mais c
rallèlement il leur axe. Mais ce faisceau est traversé par toutes les
fibres
, frontale ascendante. - ip, sillon. inter-parié
utions de la convexité de l'hémisphère; cette grande intrication de
fibres
explique les limites diffuses du faisceau. En d
ites diffuses du faisceau. En dehors du faisceau arqué, on trouve les
fibres
Arc, faisceau arque.C, cuncus ? Ce, corps calle
ation qui relient entre elles les circonvolutions de la face externe,
fibres
d'association qui, sectionnées pour la plupart
nd des sillons, on trouve une petite zone claire qui correspond aux
fibres
en U de Meynert, c'est- à-dire aux courtes fibr
ui correspond aux fibres en U de Meynert, c'est- à-dire aux courtes
fibres
d'association mettant en connexion deux circonvol
ous-épendymaire (Sge, Sé), est embrassée par un faisceau compact de
fibres
obliquement sectionnées sur la coupe, c'est le fa
al, Chap. IV). Il possède une direction antéro-postérieure ; et ses
fibres
sont dissociées par les radiations du corps cal
le prouvent les cas de malformation du corps calleux, la couche des
fibres
blanches qui constitue le tapetum (Tap) des auteu
cée, irrégulière, nettement délimitée en dehors, formée surtout de
fibres
coupées perpendiculairement ou obliquement, sil
rolongements de substance grise, que lui envoie le noyau caudé. Les
fibres
les plus externes de la couronne rayonnante app
la couronne rayonnante appartiennent au prolongement supérieur des
fibres
de la capsule externe (Ce), les internes il cel
ur des fibres de la capsule externe (Ce), les internes il celui des
fibres
de la capsule interne. La couronne rayonnante (
blement en arrière, au niveau du corps cal- leux, avec la masse des
fibres
d'association des hémisphères. En avanl, la couro
la couronne -rayonnante se recourbe en dedans et en arrière, et ses
fibres
s'entre-croisent avec celles du corps calleux p
Burdach (Arc), qui se continue insen- siblement en dehors avec les
fibres
d'association courtes et les fibres en U du fon
n- siblement en dehors avec les fibres d'association courtes et les
fibres
en U du fond des sillons. A la face interne,
au caudé. La capsule interne (Cia, Cip) est limitée en dehors par les
fibres
verticales delà capsule externe (Ce), qui lui f
ent délimitée; en avant elle se perd insensiblement dans la masse des
fibres
d'association du lobe frontal, tandis qu'en arr
érieur de l'insula (ms), on trouve une lame blanche, formée par les
fibres
du faisceau arqué ou longitudinal supérieur (Ar
masse blanche sous-jacente à l'écorce, aucun faisceau distinct. Les
fibres
courtes d'association de la convexité présentent
il n'est possible, de délimiter un faisceau dans l'intrication des
fibres
blanches sous-jacentes à l'écorce. Coupe n° 48
tria tecta (tec), la partie posté- rieure du cingulum (Cing) et les
fibres
propres du jzrécunéus (PrC). Le tapetum (Tap),
perpendiculairement à leur axe, elle est limitée en dehors par les
fibres
du fais- ceau w'r¡ur; (Arc ).L' avant-11H11' (À
noyau externe (Ne) affecte un aspect radié caractéristique, dû aux
fibres
radiaires qui le traversent et qui proviennent
rofond, dans lequel on trouve la veine du corps strié (Vcst) et les
fibres
de la lame cornée (le) ou tænia semi- Ci genou
ne du corps strié (Vcst) ; le segment antérieur (Cia) est formé, de
fibres
horizontales, qui pénètrent toutes dans les noyau
nt postérieur , de la capsule interne (Cip) comprend deux ordres de
fibres
: des fibres horizon- tales (blanches par consé
, de la capsule interne (Cip) comprend deux ordres de fibres : des
fibres
horizon- tales (blanches par conséquent, sur ce
s fibres horizon- tales (blanches par conséquent, sur cette coupe),
fibres
lcazticulo-llzalamziqucs, qui relient le troisi
ment du noyau lenticulaire (nul;,) à la couche optique (Th), et des
fibres
coupées perpendiculairement (foncées par conséque
érébral. De la partie postérieure de la couche optique, partent des
fibres
horizontales, les radiations thalamiques de Gra
ital. La masse blanche du lobe occipito-lemporal est formée par les
fibres
d'asso- ciation courtes entre ces dernières et
ette couche sagittale semble n'être formée que par un seul ordre de
fibres
, à trajet antéro-postérieur. Dans les régions inf
tème analogue à celui de la couche sagittale du lobe occipital; les
fibres
thalamiques du segment antérieur de la capsule
ent antérieur de la capsule interne (Cia) s'entre-croisent avec les
fibres
calleuses (Ce), et constituent- le centre ovale
simplement t accolée au putamen (NL3), et ne lui donne que de rares
fibres
, ce qui explique la facilité avec laquelle les
du lobe occipital. Sa face interne est bordée d'une mince couche de
fibres
blanches, le stmtulll zonale (Strz), qui se déd
t homogène d'avec le noyau, externe (Ne), dans lequel pénètrent les
fibres
horizontales, radiaires, du segment, postérieur
]). Le segment auténiczco (Cia) ne contient pour ainsi dire que des
fibres
thalamiques, le segment postérieur (Cip) ne conti
fibres thalamiques, le segment postérieur (Cip) ne contient que des
fibres
opto- slriécs et pédonculaires. Le segment rétr
l cette hauteur, les radiations optiques de Gratiolet (l,Tli), et les
fibres
du faisceau longitudinal infënic.2cr (Fli). C
d'Arnold (Lms), formée aux dépens d'un dévelop- pement exagéré des
fibres
tangentielles de l'écorce. En dehors la circonvol
lcal'iml1ll qui double la scissure calcarine (K), par une couche de
fibres
foncées appartenant au faisceau postérieur du c
inal inférieur (Fli). En dehors de cette couche on trouve les courtes
fibres
d'association du lobe sphéno-occipital. Corps
eux segments du noyau lenticulaire sont traversés par de nombreuses
fibres
blanches, qui se rendent à la couche optique en
loration plus pâle et son aspect strié qui tient il la présence des
fibres
radiaires. Ces noyaux sont sépa- rés l'un de l'
i n'en forme qu'une dépendance, et qui est sillonné comme lui par des
fibres
radiaires, provenant de la région, rétro-lentic
arqué a disparu, les cil'- convolutions frontales sont doublées de
fibres
d'association courtes ou longues, mal délimitée
qui se différencie nette- ment par sa coloration foncée d'avec les
fibres
d'association voisines; son faisceau postérieur
u corps calleux (Fin'). Dans le lobe occipital on trouve, outre les
fibres
d'association propres des cir- cingulum. Cing(p
ution limbique. - L(i), isthme du lobe limbique. - le, lame cornée et
fibres
du taenia semi-circularis. - Lg, lobule lingual
s fois. La partie interne de la couche sagittale est formée par les
fibres
de projection du lobe occipital, par les radiat
capsule interne, dans le pulvinar (Pul) dont elles constituent les
fibres
radiées. Corps opto-striés. Les corps opto-stri
Finie). Ils sont sillonnés par un très grand nombre de faisceaux de
fibres
blanches, qui traversent les trois segments du
apsule. Il présente une coloration blanche, nacrée, et est formé de
fibres
horizontales qui se rendent toutes dans l'extrémi
). Les préparations microscopiques de cette région montrent que les
fibres
</i6[a ? )M<jf : <Ms'entre-croisentaang1
i6[a ? )M<jf : <Ms'entre-croisentaang1e presque droit, avec des
fibres
striées qui naissent du noyau caudé (NC), trave
egment antérieur de la capsule interne. Elle est blanche, formée de
fibres
horizontales qui s'irradient presque toutes dans
ons optiques de Gratiolet (RTh). En pénétrant dans le pulvinar, ces
fibres
forment une zone réticulée qui se confond avec
plus importante et la plus intéressante. Elle est surtout formée de
fibres
verticales, sectionnées perpendiculairement, et p
ionnées perpendiculairement, et présente une coloration foncée. Ces
fibres
disposées en fascicules appartiennent en majeure
nt horizontalement ce segment postérieur de la capsule interne. Ces
fibres
transversales appartiennent il différents système
système thalamique, proviennent de l'écorce et descendent avec les
fibres
du segment postérieur de la capsule interne ; ell
elles s'entre-croisent au niveau de la zone réticulée (Zr) avec les
fibres
des régions voisines et pénètrent dans le noyau
e noyau externe de la couche optique (Ne), dont elles constituent les
fibres
radiaires ; d'autres appartiennent au système d
quatre couches concentriques. La couche interne est formée par les
fibres
d'association courtes de la scissure calcarine
courtes de la scissure calcarine (K), ou stratum la seconde par les
fibres
d'association longues appartenant au système du
ceps minor. - f,, f2, pre- mier et deuxième sillons frontaux. - FV,
fibres
visuelles. sillon de l'hippocampe. - la, insula
la queue du noyau caudé (NC'), en arrière le tapetum (Tap) dont les
fibres
coupées perpendiculairement appartiennent au sy
ur de la capsule interne. Ces segments sont sillonnés de nombreuses
fibres
branches qui traversent le segment postérieur de
ons optiques de Gratiolet (RTh) s'entre-croisent avec un système de
fibres
à direction verticale, qui appartient au systèm
de fibres à direction verticale, qui appartient au système visuel (
fibres
du corps genouillé externe) et forment avec ces d
t, il se présente toujours avec l'aspect foncé, caractéristique des
fibres
nerveuses coupées perpendiculairement à leur axe
fibres nerveuses coupées perpendiculairement à leur axe ; mais les
fibres
houri- zontales qui traversent ce segment ont a
nt à deux circonvolutions. La capsule extrême (Cex), formée par les
fibres
d'association courtes de l'insula, est beaucoup p
aître un sillon, entouré d'une écorce grise et d'une zone claire de
fibres
courtes d'association. Ce sillon n'est autre que
ulum, l'externe enfin est blanche et se continue avec la couche des
fibres
d'association de la circonvolution de l'hippoca
de section présente l'aspect strié caractéristique des faisceaux de
fibres
qui le composent. Le cingulum (Cing) apparaît s
gulaire, dont le sommet se dirige en arrière et se confond avec les
fibres
horizontales du même faisceau, situées entre le
e de Ileichel'l (Stil ou d'anse pédonculaire de Gratiolet. Quelques
fibres
de l'anse du noyau lenticulaire traver- sent le
les plus importantes du tronc encéphalique, par la multiplicité des
fibres
qui y passent, s'y terminent ou y prennent leur
ur de la capsule interne (Cip) et reçoit la plus grande. partie des
fibres
horizontales qui transversent cette dernière. En
eau de Vicq d'Azyr (VA), se présente sous l'aspect d'un faisceau de
fibres
compactes et fines. Ces deux faisceaux sont sépar
une mince lamelle de substance grise, dans laquelle s'irradient les
fibres
du'segment rétro-lenticidaire de la capsule int
en arrière par le corps genouillé externe (Cge). Il est sillonné de
fibres
transversales,* s'étendant du noyau lenticulaire
23 Mais il reçoit en outre à sa partie tout il fait postérieure des
fibres
hori- zontales provenant du lobe temporal, en p
rticulier des deuxième et troisième circonvolutions temporales; ces
fibres
constituent le faisceau de Tiil'ck (FT) et des-
d du pédoncule dont elles forment environ le cinquième externe. Ces
fibres
du faisceau, de Tiil'ck dégénèrent, ainsi que l
résente un aspect fusiforme, il est mal délimité et morcelé par des
fibres
blanches qui appartiennent en partie au faisceau,
alus (Fuj. La substance grise .eou.e-nlrcnclynaai>v (Sge) et les
fibres
du genou du corps cal- lenT : (Ce) sont encore
re reconnaissables dans la masse blanche du lobe frontal. Entre les
fibres
du corps callrrtt.r et l'r-cm·c de la première ci
'r-cm·c de la première circonvolution, limbique (L,), on trouve les
fibres
horizontales du faisceau antérieur du cill ! lulw
(Fli) est très mal délimité, et se continue insensiblement avec les
fibres
de projection et avec la capsule externe (Ce).
ieure de cette zone est séparée du pu/amen (NL.,) par les dernières
fibres
de projection du lobe occipito- temporal, sa fa
anse pédonculaire de Gratiolet, constituée en grande partie par les
fibres
de l'anse du noyau lenticulaire (Al) qui contour-
rrière, parallèlement au raphé, dont elles concourent il former les
fibres
parallèles. Elles se confondent dans la région du
'autre sont en effet sectionnés parallèlement à la direction de leurs
fibres
. L'antérieur est constitué par les parties laté
elle coupe l'étage inférieur ou pied du pédoncule cérébral (P). Les
fibres
les plus posté- rieures s'insinuent entre le co
cule (P) et se terminent dans le corps genouillé interne (Cgi). Ces
fibres
, qui entrent dans la constitution de la bandele
iculaire (nez) et de la queue du noyau caudé (NC'), se trouvent les
fibres
parallèles de la commissure antérieure (coa). D
Dans la substance perforée antérieure (Spa) on trouve les dernières
fibres
de l'anse du noyau lenticulaire (Al), qui contour
tapetum (Tap), en dehors duquel on trouve, comme précédemment, les
fibres
de projection du lobe splu;- noïdal et le faisc
verticule du subiculum (ds), et ce prolongement est entouré par les
fibres
du trigone et celles du faisceau postérieur du
euil de l'insula (I) par une mince lamelle blanche qui appartient aux
fibres
tangentielles de la région. En arrière de celte
e du noyau caudé (NC'), puis par le tapetum (Tap) recouvert par des
fibres
de projection, apparte- nant au système des rad
e, mais au niveau du dernier vestige de l'insula (I), on trouve les
fibres
du faisceau uncinatus (Fu), situées de chaque côt
l on trouve le faisceau longitudinal inférieur (Fli). La couche des
fibres
de projection ou radiations tha- lamiqucs (1'l'
n ou radiations tha- lamiqucs (1'l'h) se confond ici avec celle des
fibres
d'association appartenant au 28 Fil. faisceau
la substance réticulée d'Arnold (Lms) qui représente la couche des
fibres
tangentielles de l'écorce de la circonvolution
aroi exlerne par de la sub- stance grise qui double les systèmes de
fibres
d'association et de projection. Sur la coupe n°
e grise au troisième segment du noyau lenticulaire (NL3) et les
fibres
du pied de la cou- l'onne rayonnante pCR, de-
S CENTRES NERVEUX. nous retrouvons les trois systèmes ordinaires de
fibres
: fibres d'association, fibres commissurales, f
NERVEUX. nous retrouvons les trois systèmes ordinaires de fibres :
fibres
d'association, fibres commissurales, fibres de
ons les trois systèmes ordinaires de fibres : fibres d'association,
fibres
commissurales, fibres de projection. Le système
ordinaires de fibres : fibres d'association, fibres commissurales,
fibres
de projection. Le système des fibres de project
ation, fibres commissurales, fibres de projection. Le système des
fibres
de projection est constitué par le pied de la cou
ar le segment an- térieur de la capsule interne (Cia), dont les
fibres
sont vues en coupe transversale. Les coupes n
fond du sillon en Il (f3), et se confond avec le système des
fibres
d'association qui entoure le sillon, olfactif
ts de substance grise qui relient ces deux noyaux. Le système des
fibres
commissurales est formé par le forceps antérieur
fond au-dessus du sil- lon olfactif (1 ? ) avec le système des
fibres
de projection. Les autres coupes intéressent
du corps calleux (Ce [g]), dont la partie interne est formée de
fibres
transversales presque parallèles, la partie e
res transversales presque parallèles, la partie externe par des
fibres
qui s'infléchis- sent en avant, en haut et en
riangle supérieur foncé se continue en bas, avec une lame claire de
fibres
sectionnées parallèlement, qui appartiennent au
au foncé, mal délimité en dehors, où il se confond avec les courtes
fibres
d'association de la troisième circonvolution fr
du centre ovale de Vieussens (CO). En haut, il se confond avec les
fibres
d'association de la deuxième circonvolution fro
2) et qui se confond en dehors, en haut et en bas, avec les courtes
fibres
d'association des circonvolutions voisines. 1
impossible de décrire des faisceaux distincts, dans l'ensemble des
fibres
d'association du lobe frontal. Sauf pour les fibr
l'ensemble des fibres d'association du lobe frontal. Sauf pour les
fibres
en U du fond des sillons on ne peut en effet dé
u lobule orbitaire (oF,). Tout ce que l'on peut dire, c'est que les
fibres
d'association sont d'autant plus courtes, qu'elle
he plus rapprochées du centre ovale (CO). Néanmoins, l'ensemble des
fibres
d'association moyennes et courtes forme sur les c
entre ovale (CO). Ce dernier est formé par l'intrication intime des
fibres
calleuses et des fibres du système de projectio
nier est formé par l'intrication intime des fibres calleuses et des
fibres
du système de projection. La séparation entre ces
bres du système de projection. La séparation entre ces deux ordres de
fibres
, système calleux ou commissural et de projectio
complète, car si les fonds des sillons sont tapissés par de courtes
fibres
d'association, les crêtes des circonvolutions reç
qui doivent nécessairement pour y arriver, s'entre-croiser avec les
fibres
du système d'association. C'est là un fait faci
a place des écorces fi°ozto-tenzporales adossées, nous trouvons des
fibres
blanches, formées d'abord par des fibres du systè
dossées, nous trouvons des fibres blanches, formées d'abord par des
fibres
du système d'association, faisceau uncinatus (F
res du système d'association, faisceau uncinatus (Fu), puis par des
fibres
du système commissural, commissure antérieure (
putamen (NL3) de nombreux ponts de substance grise, séparés par les
fibres
du segment antérieur de la cap- sule interne (C
il est séparé par le bec du corps calleux (Ce') et par quelques rares
fibres
du cin- gulum. L'avant-mur (AM) est séparé de l
u). Dans le lobe temporal on ne peut distinguer aucun faisceau. Les
fibres
courtes, comme les fibres longues d'associa- ti
on ne peut distinguer aucun faisceau. Les fibres courtes, comme les
fibres
longues d'associa- tion, les fibres commissural
. Les fibres courtes, comme les fibres longues d'associa- tion, les
fibres
commissurales et de projection sont ici intimemen
de substance grise et de nombreux faisceaux blancs, constituant les
fibres
lenticulo-caudées, qui traversent obliquement la
trer dans le lobe temporal. Elle est sectionnée parallèlement à ses
fibres
, et se présente sous l'aspect d'une bandelette
ut, et s'insinue entre le fais- ceau argué de Burdach (Arc) et. les
fibres
propres de l'insu la .(capsule extrême) (Cex);
nticulaire (NL3' 2' 1)' par des ponts de substance grise et par les
fibres
lenticulo-striées. Il est toujours recouvert en h
et par. une mince couche de COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 451
fibres
blanches, qui font partie des fibres lés plus ant
MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 451 fibres blanches, qui font partie des
fibres
lés plus antérieures de l'anse du noyau lenticu
l'ava ? -tt-72%u ? (AM), en bas le faisceau uncinatus (Fu) dont les
fibres
les plus supérieures entrent dans la constitution
de la partie infé- rieure de la capsule exterzze (Ce), et dont les
fibres
inférieures s'épanouissent dans le lobe tempora
r. De cette substance grise et des noyaux environnants, partent des
fibres
qui contournent l'extrémité interne du noyau le
du noyau lenticulaire et du genou de la capsule interne (Ci[gl); les
fibres
les plus inférieures, qui sont en môme temps le
les régions inférieures et internes de la couche optique (Th). Ces
fibres
qui viennent en partie du segment du lobe tempo
interne de la couche optique (PiTh), on trouve un autre faisceau de
fibres
sectionnées parallèlement, l'anse du noyau lent
s sectionnées parallèlement, l'anse du noyau lenticulaire (Al). Ces
fibres
proviennent du noyau caudé (NC), traversent le
nt antérieur de la capsule interne (Cia) et concourent à former les
fibres
verticales des lanzes médullaires du noyau lentic
iculaire (Al), le genou de la capsule interne (Ci[g]) ainsi que les
fibres
les plus internes du pédoncule cérébral; elles
la circonvolution du crochet (U), en haut, il est dissocié par des
fibres
blanches qui s'irradient dans son intérieur et qu
lanches qui s'irradient dans son intérieur et qui appartiennent aux
fibres
du loenia semi-circularis ; en bas, il est séparé
nent aux fibres du loenia semi-circularis ; en bas, il est séparé des
fibres
propres d'une incisure du sillon collatéral (ot
es d'une incisure du sillon collatéral (ot'), par une mince couche de
fibres
blanches qui entourent l'extrémité antérieure d
dans la corne sphénoïdale (Vsph), il en est en efiet séparé par les
fibres
blanches de la lame cornée (le) (1,Tiiia En ded
aire, est bien développé et présente un aspect strié, qui tient aux
fibres
radiaires qui le pénètrent. Le segment postérie
à ajouter à ce que nous avons dit précédemment, sur le système des
fibres
d'association. Le cingulum (Cing) et le faisceau
cornée (le), la queue du noyau caudé (NC') et les trois couches de
fibres
qui limitent le ventricule en dehors : Tapetum (T
eau de la corne sphénoïdale, et le tienia semi- circularis dont les
fibres
se sont accrues, s'étale sur la paroi supérieure
coupe n° 78 (fig. 250), le deuxième segment (NL2) se perd dans les
fibres
du segment postérieur de la capside interne (Ci
en (NL;,1 n'est plus formé que par des îlots gris dissociés par les
fibres
de projection. La couche optique (Th) augmente
sur cette coupe un mince noyau aplati, situé entre deux couches de
fibres
blanches, et qui répond il bipartie postérieure
tance grise COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 463 par une zone de
fibres
nerveuses bien décrite par Forel et que nous dési
s on trouve le noyau rouge (\R) arrondi et entouré d'une capsule de
fibres
blanches, qui se déjettent en dehors pour forme
n trouve sur les coupes nos 80 et 83 (fig. 251-252), la section des
fibres
radiculaires de la troisième paire (III). Au-de
adie dans la capsule interne. On le voit se continuer çn bas avec les
fibres
verticales (Py) de la protubérance (Po), où il
verticales (Py) de la protubérance (Po), où il est dissocié paroles
fibres
transver- sales du pédoncule cérébelleux moyen
- Zr, zone réticulée ou grillagée. - Il, bandelette optique. - Ill,
fibres
radiculaires de la troisième partie 464 ANATOMI
% Ces îlots gris du noyau lenticulaire'. (NLJ- sont séparés par des
fibres
, faisant suite Fie.. 233. - Coupe vertico-traus
e sphénoïdale. - IV, zone de Wcrnickc. Z1', zone réticulée. - 11 T,
fibres
radiculait : es de sa troisièlllc pail'e, . COU
a troisièlllc pail'e, . COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 467 aux
fibres
de projection qui limitent en dehors la corne sph
ué égale- ment. A sa partie inféro-interne on trouve la section des
fibres
radiculaires de la troisième paire (III). Au-de
erne adhérente également, qui donne naissance il un grand nombre de
fibres
, lesquelles constituent les radiations du corps
parties inférieures de la couche optique, s'entre-croisent avec des
fibres
qui, venant de la bandelette optique, traversent
llaire externe (Lme) du pulvinar (Pul), coupe n° 89 (fig. 255). Ces
fibres
forment en s'éntre-croisant un champ irrégulièrem
ig. 252 et 253), puis au pulvinar (Pul) (fig. 254) et l'externe aux
fibres
de projection thalamiques. Très petit sur les c
ntre ovale (CO) en dedans, et se confond en dehors avec les courtes
fibres
tarciforztaes de la circonvolution pariétale infé
gue du corps calleux que par sa coloration foncée, duc à ce que ses
fibres
sont sectionnées perpendiculaire- ment à leur l
'is située dans 1alame cornée (le) et sectionnée parallèlement ases
fibres
. La situation extra-ventriculaire du pulvinar (Pu
le du ventricule latéral. COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 477 7
fibres
calleuses s'infléchissent, elles contournent le b
la queue du noyau caudé (coupes nOS 97 et 99, (fig. 259 et 260) les
fibres
du corps calleux semblent se confondre avec le ta
no-occipitale en dehors. Les libres du tapetum ne font pas partie des
fibres
calleuses, elle appartiennent en effet, comme l
uvons sur les coupes n°S 95, 97,-99 (fig. 258 à 260), la couche des
fibres
de projection du lobe occipital, ou radiations
occipital, ou radiations optiques de Gratiolet (RTh). Cette couche de
fibres
, pré- sente, dans son segment externe, un aspec
('1), cette couche s'effile en haut où elle embrasse en dehors les
fibres
calleuses, - et se perd dans le centre ovale (C
rieur (flip, se perd insensiblement en haut, et se confond avec les
fibres
de projection d'une part, les fibres courtes d'as
n haut, et se confond avec les fibres de projection d'une part, les
fibres
courtes d'association ,¡¡'autre part. Dans sa p
e faisceau plus ou moins distinct, mais se confond avec les courtes
fibres
d'association de la circonvolution pariétale infé
105 et 107 (fig. 261, 262). Sa paroi supérieure est limitée par les
fibres
calleuses qui con- courent à former le forceps
xterne qui sont effilées et recourbées en dedans et par les courtes
fibres
d'association du fond du sillon collatéral (ot).
est éloignée peu près trois centimètres. Substance blanche. - Les
fibres
calleuses sont sectionnées sur la coupe n° 105
ésentant un aspect panaché qui tient il la direction oblique de ses
fibres
. En dehors elles se confondent avec une bande d
ique de ses fibres. En dehors elles se confondent avec une bande de
fibres
blanches, nacrées, resplendissantes, qui tapiss
e un aspect pana- ché. Sur la coupe suivante (107, fig. 362), les
fibres
du forceps major (Fm) sont réunies en un épai
ion antéro-posté- rieure, très foncé grâce il la direction de ses
fibres
. Situé d'abord au-dessus du cunéus dans la pa
é ventriculaire est simplement bordée par une mince cou- che de
fibres
calleuses. Le faisceau inférieur du forceps (
upe n° 116 (fig. 263). En dehors du fbrcn ? 8nrjo on trouve les
fibres
blanches et nacrées du tapetum (Tap). Nous av
avité ventriculaire est entourée par trois couches concentriques de
fibres
à direction pour la plupart antéro-postérieure. (
e sont, en allant de la cavité ventriculaire il la périphérie : les
fibres
calleuses, les fibres de projection occipitales o
a cavité ventriculaire il la périphérie : les fibres calleuses, les
fibres
de projection occipitales ou radiations thalami
ojection occipitales ou radiations thalamiques (RTh) et les longues
fibres
d'association (faisceau longitudinal irrfé- rie
itudinal inférieur et du ces coupes n'inté- ressent que des courtes
fibres
d'association ou des fibres d'association régiona
coupes n'inté- ressent que des courtes fibres d'association ou des
fibres
d'association régionales. Seul, le cingulum (Ci
i); celle-ci est recouverte par une lame blanche qui appartient aux
fibres
tangentielles de l'écorce, et qui se continue à
ne (Ni). Au-dessous du noyau antérieur (Na), se voit un faisceau de
fibres
(PiTh) qui semble venir de la région du tubercule
st séparée des tubercules quadrijumeaux (Qa, Qp) par un faisceau de
fibres
d'un blanc éclatant, qui se dirige obliquement en
otte et sur la région sous-optique. Il est entouré de sa capsule de
fibres
blanches, formée en haut par les radiations de la
uge, nous trouvons la substance réticulée de la calotte (SR) et les
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs), qui s
adrijumeau postérieur (Qp), nous trouvons enfin une mince couche de
fibres
blanches, qui répond au ruban de 1 ? (il latéral
pédoncule. L'étage inférieur du pédoncule (P) se continue avec les
fibres
longitudinales de l'étage antérieur de la protu
ventricule latéral et donne naissance il des petits fais- ceaux de
fibres
à direction radiée. Ces fibres sont un peu plus a
issance il des petits fais- ceaux de fibres à direction radiée. Ces
fibres
sont un peu plus accentuées en bas, au-dessous
érieure de la commissure antérieure (coa), on trouve un faisceau de
fibres
blanches, qui apparaissent nacrées et resplendiss
arrière : le noyau externe (Ne), facile il reconnaître grâce il ses
fibres
radiaires et dans lequel s'irradie le pédoncule
externe et ne présente de parti- culier à noter que la présence des
fibres
du pédoncule cérébelleux moyen (Pcm), au moment
a limite supérieure est toujours nette, grâce à la direction de ses
fibres
. Letciugulum a disparu, il est resté en dedans de
men (NL.,) et le noyau caudé (NC) sont séparés par des faisceaux de
fibres
blanches, qui donnent il ces noyaux l'aspect st
n noyau externe (Ne), facile il reconnaitre grâce à la présence des
fibres
radiées. La couche optique repose sur le pied du
sectionné obliquement par rapport il la direction de ses libres. Les
fibres
les plus antérieures, qui sont en même temps le
nier est encore facile il reconnaître, grâce il la direction de ses
fibres
et à ses limites supérieures encore nettes. Il
ur de la capsule interne (Cia) et le globus pallidus (NL=, , ). Les
fibres
du segment antérieur de la capsule interne (Cia)
noyau caudé est séparée de la couche optique (Th) par une laine de
fibres
claires, qui appar- tiennent pour la plupart, s
moyen (PThm). La couche optique (Th) est en outre par une couche de
fibres
blanches, la zone réticulée ou grillagée (zr). En
pied du pédoncule céréGnal (P) se continuent avec des faisceaux de
fibres
il direction verticale, qui passent entre la zone
t entre la zone réticulée (zr) elle globus lJallidlls (NL2, 1)' Ces
fibres
correspondent au tiers antérieur du segment pos
elette optique. 502 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. (fig. 270). Les
fibres
de ses 2/3 postérieurs présentent encore le même
n que nous verrons s'irradier sur la coupe suivante (fig. 372), les
fibres
de la bandelette optique. La bandelette optique (
eur de la substance grise sous-épendymaire, on trouve les dernières
fibres
nettement marquées du corps calleux (Ce). Sur les
du corps calleux (Ce). Sur les coupes suivantes, il a disparu; ses
fibres
sont en effet dissociées par les fibres de la cne
suivantes, il a disparu; ses fibres sont en effet dissociées par les
fibres
de la cnet- ronne rayonnante (CR), et le dernie
e du ven- tricule. Au-dessus du carrefour ventriculaire (TgVl), les
fibres
calleuses (Ce) sont COUPES MACROSCOPIQUES DU CE
EAU. ;i03 encore très apparentes ; elles correspondent en effet aux
fibres
du forceps major (Fm). Autour de la courbe des
en effet aux fibres du forceps major (Fm). Autour de la courbe des
fibres
calleuses, se dessine une seconde courbe de fib
de la courbe des fibres calleuses, se dessine une seconde courbe de
fibres
plus claires qui appartiennent à la couronne rayo
r est séparé du segment interne du noyau lenticulaire (NL,) par les
fibres
du segment postérieur de la capsule interne (Ci
interne (Cip), qui présentent toutes une direction verti- cale. Les
fibres
du segment antérieur de la capsule interne (Cia)
nt du noyau lenticulaire (NL3) donne naissance à un grand nombre de
fibres
qui traver- sent le globus pallidus (NL ? ), po
ne présente pas, comme le croyait Meynert, un pôle central, et les
fibres
qui semblent s'irradier dans le putamen ne font q
r dans le putamen ne font que tra- verser sa partie supérieure. Ces
fibres
qui constituent le segment antérieur de la caps
interne (Cia) sont du reste de deux ordres, les unes constituent les
fibres
de projection du noyau caudé, qui traversent pe
r se porter de là dans la calotte du pédoncule* La seconde série de
fibres
appartient il la couche optique et constitue le p
elle de son segment postérieur (Cip); celui-ci contient surtout des
fibres
pédonculaires et représente la continuation 504
OUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU; 30a ') dans la capsule interne des
fibres
du pied du pédoncule (P), elui`.ilé'z'fjt uMüŸCs
au niveau du pied de la couronne rayonnante (pCR), avec une zone de
fibres
claires, qui appartiennent à la couronne rayonnan
couronne rayonnante (CR) et correspondent à l'entre-croisement des
fibres
calleuses et des fibres de projet- tion. Cette
) et correspondent à l'entre-croisement des fibres calleuses et des
fibres
de projet- tion. Cette zone claire est limitée
e concentrique- qui appartient au centre ovale (CO). L'aspect des
fibres
blanches est différent au niveau de la corne occi
(Voc) ; ici nous commençons à voir apparaître les trois couches- de
fibres
qui doublent la corne occipitale, à savoir : le
e la paroi supérieure du carrefour ventriculaire est bordée par les
fibres
calleuses (Ce), qui se différencient assez nett
derniers vestiges du thalamus (Th) doublés de la lame cornée et des
fibres
du tænia scmi-circularis (le), enfin par la queue
ccipitale (Voc), elle est limitée en haut par la couche épaisse des
fibres
calleuses (Cc) doublées de la couche des radiat
entre elles que grâce il leur coloration et à la direction de leurs
fibres
. Noyaux gris centraux. Des trois segments du no
t le segment, rétro- lenticulaire de la capsule interne (Cirl). Les
fibres
de cette dernière se dirigent pour la plupart e
supérieur de l'insula (ms), par l'écorce grise qui l'entoure et les
fibres
courtes d'association propres il ce sillon. En av
halamiques (RTh). Sa partie antéro-supérieure est embrassée par les
fibres
légèrement teintées du centre ovale (CO), en de
t teintées du centre ovale (CO), en dehors desquelles on trouve les
fibres
d'association plus ou moins courtes des circonv
les fibres d'association plus ou moins courtes des circonvolutions,
fibres
qui sont pour la plupart sectionnées parallèlem
n noyau gris, mince et étroit, interrompu par quelques faisceaux de
fibres
blanches et qui appartient ¡lia la queue du noy
et dont la partie postérieure décrit une courbe assez accentuée. Ces
fibres
appar- tiennent il la partie inférieure du segm
rien de particulier à signaler, on y trouve la section de -nombreuses
fibres
d'association, qui ne semblent pas se grouper e
éresse en effet aucun faisceau différencié, si ce n'est les courtes
fibres
d'association qui tapissent les fonds des sillo
Le reste de la masse blanche est formé par l'intime intrication des
fibres
d'association et de projection avec les fibres co
time intrication des fibres d'association et de projection avec les
fibres
commissurales. Dans le lobe frontal, le deuxièm
t, seul, de résoudre certains points controversés sur le trajet des
fibres
du névraxe de l'homme adulte. Dans le tome II de
II de cet ouvrage, on trouvera à propos de l'étude synthétique des
fibres
de la capsule interne, de la région sous-optiqu
rce cérébrale avec la masse blanche sous-jaccnte; la façon dont les
fibres
radiées abordent l'écorce et l'aspect que ces lib
faisceaux courts et longs d'association; leur intrication avec les
fibres
commissurales et de pro- jectiozz; les rapports
bres commissurales et de pro- jectiozz; les rapports respectifs des
fibres
calleuses et des fibres de la couronne rayonnan
pro- jectiozz; les rapports respectifs des fibres calleuses et des
fibres
de la couronne rayonnante, soit au-dessus du ve
corps calleux pour aborder l'écorce cérébrale, et l'irradiation des
fibres
de la couronne rayonnante dans la crête des circo
convolutions. Les coupes faites parallèlement à la direction de ces
fibres
sont particulièrement t instructives. 3° Le l
, le morcellement de la partie infé- rieure de l' avant-mur par les
fibres
du faisceau uncinatus. 4° La constitution des n
ie I, soit sagittales, destinées à montrer une partie du trajet des
fibres
de ces régions, qui comptent parmi les régions
oichert (coupe E). Elles montrent la façon dont se compor- tent les
fibres
du corps calleux, de la couronne rayonnante et du
u-dessous de la corne frontale. La coupe C montre l'irradiation des
fibres
de la couronne rayonnante et du segment antérie
dernier faisceau est sectionné parallèlement a la direction de ses
fibres
; on le voit contourner la partie antérieure du se
l. Elle intéresse la substance grise OM ? CM<7y- maire (Sge) les
fibres
calleuses qui doublent la corne frontale en avant
Riche en vaisseaux, elle est traversée par un très grand nombre de
fibres
il myéline, non réunies en fascicules, qui la sil
dehors; elles s'entre- croisent à angle plus ou moins aigu avec des
fibres
à direction soit oblique, soit antéro-postcrieu
oblique, soit antéro-postcrieure. La direction transversale de ces
fibres
s'explique, lorsqu'on se reporte aux coupes hor
pe passe en arrière de la coupe macroscopique de la figure 237. Ce,
fibres
calleuses. - Cing, cingulum. - cm, sillon calloso
AU. z23 plan de section de la coupe actuelle intéresse en effet les
fibres
calleuses, au niveau du point où elles se réflé
e latéral, pour atteindre la paroi externe de ce même ventricule. Les
fibres
calleuses, qui limitent la substance grise sous
diffèrent pas, dans leur aspect général et dans leur direction, des
fibres
calleuses qui proviennent du tronc du corps cal
appartient encore au système cal- leux et répond il la section des
fibres
réfléchies qui, après avoir contourné l'extrémi
dans les circonvolutions du lobe frontal (Voy. fig. 395). Entre ces
fibres
calleuses et la substance grise sous- épendymai
tance grise sous- épendymaire, on trouve la section transversale de
fibres
faiblement colorées par l'hématoxyline, et qui
isceau occiilo-f i·oz7tal de Forel (OF). Ce faisceau se distingue des
fibres
calleuses par la coloration moins foncée de ses
istingue des fibres calleuses par la coloration moins foncée de ses
fibres
. Au-dessous de la substance grise s01ls-épendym
ses fibres. Au-dessous de la substance grise s01ls-épendymaire, les
fibres
calleuses inférieures se réunissent aux fibres
1ls-épendymaire, les fibres calleuses inférieures se réunissent aux
fibres
calleuses réfléchies et forment un faisceau allon
ujours séparé du fond du sillon olfactif (1'4) par trois couches de
fibres
qui sont, en allant de l'écorce aux fibres calleu
'4) par trois couches de fibres qui sont, en allant de l'écorce aux
fibres
calleuses : 1° une couche de fibres claires qui
sont, en allant de l'écorce aux fibres calleuses : 1° une couche de
fibres
claires qui doublent le fond du sillon, olfactif
laires qui doublent le fond du sillon, olfactif et représentent les
fibres
d'association propres de la région; 2° une couche
ent les fibres d'association propres de la région; 2° une couche de
fibres
plus foncées qui appartiennent la la couronne r
ppartiennent la la couronne rayonnante (CIl), enfin, 3° une couche de
fibres
claires qui font partie du même système de fibr
3° une couche de fibres claires qui font partie du même système de
fibres
. Les fibres de la couronne rayonnante (CR) ento
de fibres claires qui font partie du même système de fibres. Les
fibres
de la couronne rayonnante (CR) entourent en dehor
es de la couronne rayonnante (CR) entourent en dehors la couche des
fibres
calleuses; ce sont pour la plupart des fibres sec
dehors la couche des fibres calleuses; ce sont pour la plupart des
fibres
sectionnées perpendicu- lairement il leur axe,
on frontale (oF.,). Mal délimitées en haut, où elles font suite aux
fibres
sectionnées obliquement ou parallèlement et qui
jusqu'au niveau de la base du gyrus reclus (oFl). La direction des
fibres
qui composent cette couche n'est pas partout la m
enons de voir qu'elle est formée clans sa partie supérieure par des
fibres
qui s'irradient dans la première circonvolution
externe et face interne). Dans sa partie moyenne elle est formée de
fibres
sectionnées transversalement, c'est-à-dire de f
est formée de fibres sectionnées transversalement, c'est-à-dire de
fibres
qui se portent d'arrière en avant, pour s'irradie
i correspond à la première circonvolution orbitaire (oF,), mais les
fibres
qui doublent le fond du sillon olfactif (f4) so
rontale (mF,). : : 24 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. En dedans des
fibres
calleuses (Cc), on trouve un faisceau volumineux,
(Cc), on trouve un faisceau volumineux, fortement coloré, formé de
fibres
verticales sectionnées parallèlement il leur ax
ui envoie un fascicule s'irradier au voisinage du gyrus reclus. Les
fibres
du cingulum sont séparées de l'écorce du lobe lim
du cingulum sont séparées de l'écorce du lobe limbique (LJ par les
fibres
d'association propres à la région. Les fibres d'a
limbique (LJ par les fibres d'association propres à la région. Les
fibres
d'association sont particulièrement abondantes
ie externe de la coupe; elles occu- pent l'espace compris entre les
fibres
de la couronne rayonnante et l'écorce des circo
Elles sont entre-croisées dans cette région par des fais- ceaux de
fibres
assez espacés, que l'on peut suivre du corps call
lution frontale (F3), dans laquelle ils s'irradient pour former les
fibres
radiées des circonvolutions. En abordant la trois
ons. Au niveau du fond des sillons, elles s'entre-croisent avec les
fibres
d'association courtes et avec la couche des fib
roisent avec les fibres d'association courtes et avec la couche des
fibres
d'association externe de Meynert (Vay. p. 686).
irconvolution frontale (1,), présente une très belle irradiation de
fibres
. Venues de la substance blanche, elles s'épanouis
couche profonde de l'écorce cérébrale, et s'entre-croisent avec les
fibres
tangentielles de la partie moyenne de l'écorce
qui forment la ligne externe de Baillarger. L'épa- nouissement des
fibres
radiées est moins marqué dans la deuxième circonv
r former au-dessus et au-dessous du genou le toenia teelri (tec). Les
fibres
calleuses au niveau du genou sont sectionnées p
, et entoure la paroi externe de la. corne frontale d'une couche de
fibres
continues. Mais tandis que le faisceau supérieur,
supérieur, que le faisceau inférieur et que le genou sont formés de
fibres
presque parallèles, la couche de fibres calleus
que le genou sont formés de fibres presque parallèles, la couche de
fibres
calleuses qui entoure la paroi externe de la corn
ses qui entoure la paroi externe de la corne frontale est formée de
fibres
sectionnées perpendiculairement à leur axe; ces f
st formée de fibres sectionnées perpendiculairement à leur axe; ces
fibres
répondent en effet il la section des fibres cal
irement à leur axe; ces fibres répondent en effet il la section des
fibres
calleuses qui se réfléchissent en arrière, après
95, p. 369). Le faisceau occipito-frontal (OF), situé en dedans des
fibres
calleuses, est formé de gros fascicules de fibr
tué en dedans des fibres calleuses, est formé de gros fascicules de
fibres
sectionnées perpendiculairement à leur axe et peu
ynzaire contient comme sur la coupe précédente (n°I, fig. 279), des
fibres
il myéline s'entre-croisant dans tous les sens,
comme ce faisceau à la suite de lésions corticales. , En dehors des
fibres
calleuses on trouve la section des fibres de la c
rticales. , En dehors des fibres calleuses on trouve la section des
fibres
de la couronne rayonnante (CR); il s'agit ici e
des fibres de la couronne rayonnante (CR); il s'agit ici encore de
fibres
sectionnées perpendiculairement à leur axe et d
blent au niveau de la partie supéro-externe de la corne frontale, les
fibres
deviennent plus obliques, puis sont sectionnées
eau du gyrus reclus (oF,[Grj). Dans l'un et l'autre cas, il s'agit de
fibres
section- nées perpendiculairement à leur axe, m
, mais déjà on observe, au niveau du gyrus reclus, une obliquité de
fibres
et une irradiation de quelques-unes d'entre elles
entre elles dans cette circonvolution. En dehors de la couche des
fibres
de la couronne rayonnante, on trouve la masse d
couche des fibres de la couronne rayonnante, on trouve la masse des
fibres
d'association de cette région, formée de fibres s
trouve la masse des fibres d'association de cette région, formée de
fibres
s'entre-croi- sant dans tous les sens, dans les
sant dans tous les sens, dans lesquelles prédominent toutefois les
fibres
sec- tionnées parallèlement à leur axe et qui v
nt s'irradier dans la troisième circon- volution frontale (F,). Ces
fibres
, qui sont pour la plupart des fibres de projectio
n- volution frontale (F,). Ces fibres, qui sont pour la plupart des
fibres
de projection, se groupent en fascicules et tra
se blanche du lobe frontal pour se rendre, soit dans le système des
fibres
calleuses, après avoir traversé les deux couche
orme, dont le sommet regarde en dedans, dont la base repose sur les
fibres
calleuses; il est formé de fibres à direction s
dans, dont la base repose sur les fibres calleuses; il est formé de
fibres
à direction sagittale fortement colorées par l'hé
le cingulum forme un faisceau beaucoup plus petit (Cing'), dont les
fibres
sont sectionnées très obliquement, presque perpen
ténia tecta (tec). Au niveau du sommet du triangle, la section des
fibres
est presque parallèle il leur axe, et l'on peut s
res est presque parallèle il leur axe, et l'on peut suivre quelques
fibres
qui s'irradient dans la partie adjacente de la fa
au caudé est séparé de la substance grise du septum lucidum par des
fibres
riches en myéline, et fortement colorées par l'
hématoxyline, qui appartiennent au pédoncule du septum lucidum. Ces
fibres
se portent en dehors, se confondent avec la mince
fibres se portent en dehors, se confondent avec la mince couche de
fibres
tangentielles qui tapissent le colliculus du noya
L : 1) repose sur la capsule externe (Ce) et sur la mince couche de
fibres
propres qui doublent le seuil de l'insula (1).
microscopique. Ils sont séparés l'un de l'autre par deux ordres de
fibres
, les unes fortement, les autres très peu colorées
nes fortement, les autres très peu colorées par l'hématoxyline. Les
fibres
très noires appartiennent presque exclusivement
exclusivement au segment antérieur de la capsule interne (Cia). Les
fibres
claires prennent leur origine dans le corps str
s prennent leur origine dans le corps strié, elles représentent les
fibres
de projection, de ce gan- glion et apparaissent
onnés parallèlement, obliquement et perpendiculairement à leur axe,
fibres
qui entrent dans la constitution de la partie i
e du segment antérieur de la capsule interne. Quoique mélangées aux
fibres
fortement colorées par l'hématoxyline, ces fibr
que mélangées aux fibres fortement colorées par l'hématoxyline, ces
fibres
de projection du corps strié prédominent cependan
lions se rendant au cerveau intermédiaire et au cerveau moyen. Ces
fibres
donnent au colliculus du noyau caudé un aspect
297, 314, 320) ou sagittal. 528 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les
fibres
du corps calleux (Ce) se portent en dehors, sous
ensuite dans les trois circonvolutions frontales (F,, F ? F.,). Les
fibres
calleuses qui se rendent dans la troisième circon
r de la capsule interne (Cia) font suite a la partie inférieure des
fibres
de la couronne rayonnante de la coupe précédente
en décrivant une courbe, dans la concavité de laquelle se logent les
fibres
calleuses (Ce), la substance grise sous-épendym
le faisceau occipito- frontal (OF). Elles s'entre-croisent avec les
fibres
calleuses et présentent un coude au niveau du p
du pied de chacune des circonvolutions frontales. L'irradiation des
fibres
rayonnantes ou de projection se voit mal dans les
très beau faisceau, de projection, qui concourt il la formation des
fibres
radiées de cette circonvolution. Un petit faiscea
on des fibres radiées de cette circonvolution. Un petit faisceau de
fibres
rayonnantes se porte en dedans vers la première
ulum. Le cingulum (Cing) constitue un faisceau volumineux, formé de
fibres
sec- tionnées en travers, fortement colorées pa
fond du sinus du corps calleux (sec), dont il est séparé par quelques
fibres
propres il la région, et repose par sa base sur
quelques fibres propres il la région, et repose par sa base sur les
fibres
calleuses. L'écorce de la région limbique (L,)
t l'iudrzseurrr, ! /l'iseu1lt (ig). Au niveau du tsenia tect/1, les
fibres
tangentielles (ft), sectionnées transversalement,
le ne présente rien de particulier il noter; on y voit la section des
fibres
radiées qui affectent un aspect particulier, su
ue du faisceau uncinalus (Vu); au niveau de sa partie inférieure, les
fibres
radiées sont clairsemées et les fibres tangenti
de sa partie inférieure, les fibres radiées sont clairsemées et les
fibres
tangentielles des couches profondes de l'écorce
l'écorce prédominent . En dedans du faisceau uncinalus (Fn) et des
fibres
propres de on 3t - frontal. - Fa, circonvolut
on 3t - frontal. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - fl,
fibres
tangentielles. - Fu, faisceau uncinatus. - l, i
faisceau occipito- frontal (OF), soit vers la partie recourbée des
fibres
calleuses (Ce). Quant au fais- ceau occipito-fr
uronne rayonnante, la substance grise sous-épendymaÎl'e(Sge) et les
fibres
calleuses, il est formé de gros fascicules de l
nt. De ces fais- ceaux volumineux se détachent un certain nombre de
fibres
, qui entrent dans la constitution du pied de la
lles qui forment la traînée de substance claire, comprise entre les
fibres
calleuses et la couronne rayonnante. Coupe n° I
oiffe externe du ventricule latéral est parcourue par de nombreuses
fibres
myéline; celles-ci font presque complètement dé
e (Cia) et se portent vers le noyau lenticulaire. La plupart de ces
fibres
lenliculo-caudées passent entre le putamen (NL3
richesse en libres à myéline fortement colorées par l'hématoxyline,
fibres
qui impriment il ce noyau une coloration foncée t
iveau de son genou et de son segment postérieur, se mé- langent aux
fibres
précédentes, dont ils se distinguent facilement g
<'/f't ? (coa)(Voy.iig ? 9t)). Toutes ces libres constituent les
fibres
de projection lenliculo-caudées ; elles travers
èlement il leur axe au niveau du bord supérieur du corps strié, ces
fibres
sont coupées d'autant plus obliquement, que l'on
ance grise qui relient le noyau caudé (XC) au putamen (NLJ, par les
fibres
lenliculo-caudées et par les fibres qui entrent
é (XC) au putamen (NLJ, par les fibres lenliculo-caudées et par les
fibres
qui entrent dans la constitution de l'anse du noy
l'anse du noyau lenticulaire. La capsule externe (Ce) est formée de
fibres
il direction verticale, section- nées parallèle
l direction verticale, section- nées parallèlement il leur axe. Ces
fibres
, peu abondantes au niveau de la partie inférieu
eçoivent au niveau de la partie inférieure de l'insula (I) quelques
fibres
du faisceau auci- nalus (Fu). Ainsi renforcées,
d de la couronne rayonnante (pCR) et semblent se confondre avec les
fibres
calleuses les plus inférieures et avec les fibr
onfondre avec les fibres calleuses les plus inférieures et avec les
fibres
du faisceau occipito-fron lai. Elles sont parallè
c les fibres du faisceau occipito-fron lai. Elles sont parallèles aux
fibres
calleuses (Ce) qui s'épanouissent dans l'opercu
circonvolution frontale ascendante (Fa), après intrication avec les
fibres
du pied de la couronne rayonnante et avec les f
ation avec les fibres du pied de la couronne rayonnante et avec les
fibres
du faisceau occipito-frontal. En dehors de la c
a partie inférieure (AM') par le faisceau uncinalus (Fu) et par les
fibres
de la capsule externe (Ce). En dehors de l'avant-
capsule externe (Ce). En dehors de l'avant-mur, on trouve enfin les
fibres
d'association courtes qui longent le fond du sill
partie moyenne de la commissure antérieure (coa). Elle est formée de
fibres
parallèles, placées les unes il coté des autres
l'on ne constate pas ici l'enche- vêtrement si caractéristique des
fibre
calleuses. Elle constitue, en effet, un véri- t
Meynert long- temps classique, il ne parait pas en être de même des
fibres
calleuses (Voy. Radia- lions du corps calleux,
ement et qui se dirigent de dedans en dehors et de haut en has. Les
fibres
inférieures répondent aux fibres tangentielles de
s en dehors et de haut en has. Les fibres inférieures répondent aux
fibres
tangentielles de la région et appartiennent il
dale. Ses libres Fu, faisceau uncinatus. Fus, lobule fusiforme. fi,
fibres
tagentielles. J. insula. L,, première circonvol
tique. : ! 34 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. suivent le trajet des
fibres
des piliers postérieurs et du corps du trigone; a
dum, et traversent en diagonale l'espace perforé anlé- rieur. Les
fibres
situées au-dessus de la bandelette diagonale de B
ect si spécial qu'il présentait sur la coupe précé- dente, mais les
fibres
radiaires que lui envoie le putamen. et les fibre
dente, mais les fibres radiaires que lui envoie le putamen. et les
fibres
caudées qui lui arrivent du segment antérieur d
faisceaux distincts; elles s'entre-croisent en effet avec les fines
fibres
fortement colorées par l'hématoxyline, qui prenne
t leur origine dans le feutrage fibrillaire du globus pallidus. Ces
fibres
foncées se groupent en un faisceau volumineux,
enticulaire (Al). Sec- tionnées parallèlement il leur longueur, ces
fibres
de l'flnse du noyau lenticulaire longent le bor
tance grise centrale (Sge) qui tapisse le troisième ventricule. Ces
fibres
changent en effet de direction à ce niveau et l
au rouge. ' L'anse du noyau lenticulaire (Al) est renforcée par des
fibres
peu colorées par COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVE
re. z La lame médullaire externe (lme) reçoit un fort contingent de
fibres
du noyau caudé (NC), fibres qui traversent le s
erne (lme) reçoit un fort contingent de fibres du noyau caudé (NC),
fibres
qui traversent le segment, antérieur de la capsul
ment externe du globus pallidus (NL2), et s'entre-croisent avec les
fibres
radiaires du putamen (NL3). La lame médullaire
ion de l'ansc du noyau lenticulaire (Al). Mais un certain nombre de
fibres
de la lame médullaire interne du globus pallidu
(lmi) se portent en haut et en dedans, s'en- tre-croisent avec les
fibres
du genou de la capsule (Ci [g]) et forment dans c
ection du pédoncule inférieur de la couche optique (PiTh), formé de
fibres
parallèles qui se por- tent en haut et en dedan
(Te), la commissure de Meynert (CM), formée de petits fascicules de
fibres
, fortement colorés par l'hématoxyline et séparant
du pilier anlé- rieur du trigone (Tga) formé de gros fascicules de
fibres
, on trouve la section oblique d'un petit fascic
nt inconnus, mais qui reçoit très manifestement sur cette coupe des
fibres
de l'anse du noyau lenticulaire (Al), fibres qui
nt sur cette coupe des fibres de l'anse du noyau lenticulaire (Al),
fibres
qui traversent la partie supérieure du pilier a
ée seulement ici par le stmtum zonale (strz) qui reçoit de nombreuses
fibres
du segment antérieur de la capsule interne (Cia
gment, ont ? rieur de la capsule interne (Cia) est traversé par les
fibres
du système lenliculu- caudé. Au niveau du segme
s du lobe temporo-occipilal, constituées en dedans par la couche de
fibres
peu colorées liai' l'léuuatoyline des radiation
(Fli) est séparé de la partie morcelée de l'avant-mur (AM') par les
fibres
du faisceau uncinatus. Are, faisceau arqué. Ce, c
u) par le pédoncule inférieur de la couche optique (PiTh), dont les
fibres
peuvent être suivies depuis l'anse du noyau lenti
niveau des circonvolutions rolandiques, une intrication intime des
fibres
d'association et de projection, ainsi que l'épa
bres d'association et de projection, ainsi que l'épanouissement des
fibres
radiées dans les crêtes des cir- convolutions.
upérieure de la coupe ne présente rien de particulier il noter. Les
fibres
calleuses (Cc) contournent comme précédemment l'a
'angle externe du veutoi- cule latéral et s'entre-croisent avec les
fibres
du faisceau occipito-frontal (OF) et de la cour
, recouvert par la substance grise sous-épendymaire (Sge), émet des
fibres
de projection qui, de ce noyau, se rendent dans
du noyau caudé (NC') est séparée du putamen (NLa) par une couche de
fibres
sectionnées parallèlement, fibres qui constituent
u putamen (NLa) par une couche de fibres sectionnées parallèlement,
fibres
qui constituent la couronne rayon- liante du lo
u ventricule sphénoïdal (Vsph), dont elle est séparée par les rares
fibres
du tapetum (Tap). En dehors, cette couche est l
petum (Tap). En dehors, cette couche est limitée par un faisceau de
fibres
foncées, dirigées obliquement en haut et en ded
s et qui pénètrent dans la partie inférieure du putamen (nul,). Ces
fibres
appartiennent à la commissure antérieure (coa) et
d au noyau externe (Ne) de la couche optique. Une couche épaisse de
fibres
qui cons- tituent le stratum zonale (strz) et q
se dirigent transversalement de dehors en dedans la recouvre ; ces
fibres
proviennent de la partie supérieure de la capsule
u pied de la couronne rayonnante (pCR) et s'entre-croisent avec les
fibres
du système lenlicztlo-caztdé. La partie interne d
ique ou zone grillagée d'Arnold ('l,r), riche en gros fascicules de
fibres
, dont les uns, sectionnés parallèlement, pénètren
nt, pénètrent dans le noyau interne (Ni) du thalamus en formant les
fibres
radiées, dont les autres se trouvent sec- tionn
lus ou moins obliques. Elle est limitée en dedans par une couche de
fibres
fines, il direction verticale, la lame médullaire
n sub- stance grise, reçoit du stratum zonale (strz) quelques rares
fibres
qui le sillon- nent de dehors en dedans. Le noy
(Ni) par la lame médullaire interne du thalamus (Lmi) très riche en
fibres
. Il est sillonné par de gros fascicules de fibr
mi) très riche en fibres. Il est sillonné par de gros fascicules de
fibres
parallèles, les fibres radiées, qui provien- ne
s. Il est sillonné par de gros fascicules de fibres parallèles, les
fibres
radiées, qui provien- nent de toute la couronne
qui provien- nent de toute la couronne rayonnante du thalamus. Ces
fibres
arrivent au noyau externe par l'intermédiaire d
bles venus des différentes parties de l'écorce cérébrale. Outre les
fibres
radiaires qui impri- ment au noyau externe l'as
trouve dans le noyau externe un feutrage extrêmement dense de fines
fibres
, dans lequel dominent toutefois des fibres à dire
trêmement dense de fines fibres, dans lequel dominent toutefois des
fibres
à direction verticale. Ces fibres forment les l
ans lequel dominent toutefois des fibres à direction verticale. Ces
fibres
forment les lames médullaires externe et interne
terne (Ni) est surtout caractérisé par la présence de fascicules de
fibres
il direction antéro-postérieure. Ce sont les fibr
e fascicules de fibres il direction antéro-postérieure. Ce sont les
fibres
du pédoncule antérieur de la couche optique qui
du noyau interne. (Voy. coupe C, fig. 295). Il reçoit en outre des
fibres
radiées qui lui arrivent après avoir traversé l
nt il la commissure molle, faisceau qui reçoit un certain nombre de
fibres
de la lame médullaire interne du thalamus (Lmi).
convolution frontale ascendante FI, faisceau lenticulaire de Forel. ?
fibres
tangentielles. - Fus, lobule fusiforme. -h, sil
: ¡2 A\ : 1TOII1 DES CENTRES NERVEUX. zone irrégulière, riche en
fibres
, le champ de Forel (F). Le corps de Luys (CL) s
ille biconvexe, dirigée obliquement en bas et en dedans et riche en
fibres
qui s'entre-croisent dans tous les sens. Il appar
al et il la région sous- optique et il est entouré d'une capsule de
fibres
nettement limitée en haut, en bas et en dehors,
lames médullaires (lme, lmi). Comme situation et comme origine ces
fibres
font suite aux fibres de l'ansl ! du noyau lent
e, lmi). Comme situation et comme origine ces fibres font suite aux
fibres
de l'ansl ! du noyau lenticulaire; les unes conto
aversent le segment postérieur de la capsule interne (Cip) avec les
fibres
de laquelle elles s'entre-croisent puis aborden
ent dense, se porte en dedans et aboutit au champ de Forel (F). Ces
fibres
bien décrites par Forel constituent le faisceau
18). En dedans et au-dessus du corps de Luys se 1 rouve un champ de
fibres
irré- gulièrement quadrilatère, c'est le champ
ent quadrilatère, c'est le champ de Forel (F) (champ H, Forel). Les
fibres
de ce champ tirent leur origine en grande partie
orel (F) et de la partie interne du corps de Luys, se détachent des
fibres
qui se portent en dedans, traversent la ligne méd
us le nom de commissure de Forel (eF)(Voy. fig. 3)t, 3l6, 327). Ces
fibres
occupent la partie inférieure du troisième vent
région tlwlll1oÎlll/e, la capsule est formée de gros fascicules de
fibres
qui s'entre- croisent angle droit ou sous des a
de la zone réticulée (Zr), soit le stratum zonale (strz), soit les
fibres
radiées de la couche optique. Les fibres du strat
um zonale (strz), soit les fibres radiées de la couche optique. Les
fibres
du stratum zonale décrivent une grande courbe à
zontal au niveau de la partie supérieure de la capsule interne. Les
fibres
radiées du thala- mus présentent une direction
inférieures du noyau externe (Ne) de la couche optique. A côté de ces
fibres
qui constituent la couronne rayonnante du tlaal
es fibres qui constituent la couronne rayonnante du tlaalaoazes-les
fibres
de projection tha- /amt'Me ? il en est d'autres
thalamique de la capsule interne, sous forme de gros fascicules de
fibres
qui entrent plus bas dans la constitution du pied
dans la constitution du pied du pédoncule cérébral (P). Ce sont les
fibres
de projection directes de l'écorce de la région
Dans la partie supérieure de la région thalamique de la capsule, ces
fibres
sont croisées à angle presque droit par les fib
la capsule, ces fibres sont croisées à angle presque droit par les
fibres
de projection thalamiques; elles se grou- pent
ans la partie inférieure, de telle sorte que l'enche- vêtrement des
fibres
si accentué au voisinage du noyau caudé et du str
iveau de la région, sous-thalamique de la capsule, où les dernières
fibres
radiées de la couche, optique affectent une direc
diées de la couche, optique affectent une direction paral- lèle aux
fibres
qui entrent dans la constitution du pied du pédon
pédoncule cérébral. Outre la couronne rayonnante du thalamus et les
fibres
de projection directes de l'écorce rolandique,
que, la région thalamique de la capsule interne contient encore des
fibres
dites lerzficulo-crzu.décs. Elles constituent les
encore des fibres dites lerzficulo-crzu.décs. Elles constituent les
fibres
de projection du. noyau caudé, traversent la pa
ulaire (Lme). Elles se distinguent en général facilement des autres
fibres
, car elles sont faiblement colorées par l'hématox
toxyline. Dans la région sous-thalamique de la capsule interne, les
fibres
de projection de 1'¡;col'ce l'Olrllldiqae s'ent
On constate toujours, de la façon la plus nette, le crochet que les
fibres
calleuses (Ce) décrivent autour de l'angle exte
(Sâe), ainsi que la courbe il conveitétipjyuty , 1 décrite par les
fibres
de la couronne i·ayorzrrarrte (GR). Le pied de la
ns le sillon opto-strié on trouve la coupe transversale de très fines
fibres
qui se colorent faiblement par l'hématoxyline e
yline et appartiennent au taenia semi- circularis. On rencontre ces
fibres
(le) avec leur même caractère, mais accrues en
ule sphénoïdal (Vsph), entre la bandelette optique et la couche des
fibres
du tapetum (Tap). Le noyau lenticulaire se rédu
pallidus (GP). Le putamen est traversé par de gros fas- cicules de
fibres
fortement colorées, qui traversent le globus pall
ur se rendre dans la région sous-optique de la capsule interne. Ces
fibres
indiquent que nous sommes déjà au voisinage de
couche optique (Th) est toujours caractéristique par les nombreuses
fibres
radiées qui. le sillonnent et qui, dépassant la l
ans la capsule du noyau rouge (NR). Le noyau interne (Ni), riche en
fibres
radiées, a vu disparaître le plus grand nombre
che en fibres radiées, a vu disparaître le plus grand nombre de ses
fibres
sectionnées perpendiculairement. Nous sommes en e
le centre médian de Luys (Nm) remarquable par sa grande richesse en
fibres
. Il est nettement limité en haut et en dehors p
nert (FM), qui se présente sous l'aspect de quatre gros fascicules de
fibres
, fortement colorés par l'hématoxyline et dirigé
longitudinal inférieur. FM, faisceau rétro- flexe de Meynert. l'l,
fibres
tangentielles. IZ (Lms), libres tangentielles (la
er-pariétal. LI, première circonvolution limbique. le, lame cornée et
fibres
du toenia scmi-circularis. Ln, locus niger. NC,
plexus choroïdes du ventricule sphénoïdal. Po, protu- bérance. Poa,
fibres
antérieures de la protubérance. Pop, fibres posté
o, protu- bérance. Poa, fibres antérieures de la protubérance. Pop,
fibres
postérieures de la pro- tubérance. Pi/, faiscea
r, zone retj ? ( ? )9\H1 gril- lagée. 77°, bandelette optique. 777,
fibres
radiculaires de la troisième paire, i \ o i i i&g
énula. Le centre médian de Luys est sillonné par un grand nombre de
fibres
. Il reçoit la terminaison des fibres radiées du
illonné par un grand nombre de fibres. Il reçoit la terminaison des
fibres
radiées du noyau externe du thalamus (Ne) et un
s radiées du noyau externe du thalamus (Ne) et un certain nombre de
fibres
du feutrage de ce noyau, qui, traversant la lam
rtie supéro- externe du centre médian de Luys. Du riche feutrage de
fibres
du centre médian (Nm) partent de nombreuses fib
iche feutrage de fibres du centre médian (Nm) partent de nombreuses
fibres
qui se portent en bas; elles sont traversées pa
an. C'est il la capsule du noyau rouge que se rendent, de même, les
fibres
verticales du feutrage du noyau externe du thal
eau de la partie inféro-interne du noyau rouge, où ils font suite aux
fibres
dû pédoncule cérébelleux supérieur et où ils so
s dû pédoncule cérébelleux supérieur et où ils sont croisés par des
fibres
radiculaires de la troisième paire (III) qui em
he optique Ne). En dehors, le noyau rouge est entouré par les fines
fibres
émanées du centre médian de Luys et qui entrent
yau rouge, on trouve la section transversale d'un certain nombre de
fibres
, réunies en fascicules serrés, fibres qui apparti
ersale d'un certain nombre de fibres, réunies en fascicules serrés,
fibres
qui appartiennent à la capsule du noyau rouge e
térisée ici, comme sur la coupe précédente n° VI (fig. 284), par ses
fibres
paral- lèles, très serréesles unes contre les a
tubérance (Po) où elles s'entre-croisent avec les gros faisceaux de
fibres
transversales du pédoncule cérébelleux moyen. C
colorée des- radiations optiques de Graliolel (RTh) et la couche de
fibres
plus épaisses du faisceau lonuiludi1l1lIinfi'-
nfi'- rieur (Fli). De ces deux couches partent un certain nombre de
fibres
fortement colorées, qui se dirigent en haut et
(GP). Sur la coupe suivante n° VIII (fig. 286), nous ver- rons ces
fibres
qui constituent la couronne rayonnante du lobe te
racentral (Parc). Cette coupe est remarquable par l'irradiation des
fibres
calleuses (Ce) dans les circonvolutions l'olall
présente encore le même volume que sur les coupes précédentes. Ses
fibres
onduleuses entrent les unes dans la constitutio
au niveau de l'angle externe du ventricule latéral (VI), entre les
fibres
calleuses situées en dedans et les libres du pi
du pied de la couronne rayonnante (pCR) situées en dehors. D'autres
fibres
se portent en dehors et en bas, s'entre-croisent
occipito-frontal fournit en effet à cette dernière un contingent de
fibres
assez important. Le trigone (Tg) situé au-cless
uni, se présente sous l'aspect d'une masse rectangulaire, formée de
fibres
sectionnées en travers, et dont l'angle inféro-in
ticulier il noter, elle émet, comme sur les coupes précédentes, des
fibres
qui traversent laparlie supé- rieure du segment
yau caudé (NC') située dans la corne sphénoïdale, partent de même des
fibres
qui se portent en haut et en dedans vers la fac
Le putamen (NL.,) est en effet sil- lonne par de gros fascicules de
fibres
fortement colorées, qui le divisent en un certa
i le divisent en un certain nombre d'îlots de substance grise : ces
fibres
appartiennent aux confins du segment postérieur
que sur la coupe précédente, n° VIII, (fi. 285); la pénétration des
fibres
radiaircs est toutefois ici plus accusée. Au ni
le noyau rouge (NR). On voit encore sur cette coupe, les dernières
fibres
du fais- ceau thall'lnique de Forel (Fth) qui s
celui de cette coupe. En dehors, le noyau rouge est limité par des
fibres
section- nées perpendiculairement, qui appartie
ncule cérébelleux supérieur (Pcs); en dedans, on trouve les dernières
fibres
de faisceau longitudinal postérieur, ainsi que
ngitudinal inférieur. - FAf, faisceau rétroflexe de Meynert. l'Poa,
fibres
antérieures de la protubé- rance. - FT, faiscea
au de Tiirck venant, de la pre- mière circonvolution temporale. ft,
fibres
tangentielles. - Fth, faisceau thalamique de Fo-
nsula. - L,, pre- mière circonvolution limbique. le, lame cornée et
fibres
du taenia semi-circularis. Lnae, lame médullair
NTRES NERVEUX. dier. Dans la région lhalamique il reçoit toutes les
fibres
du pied de la couronne rayonnante (pCR) qui se
rendent, soit dans la couche optique (Th) dont elles for- ment les
fibres
radiaires, soit dans le pied du pédoncule cérébra
diaires, soit dans le pied du pédoncule cérébral (P). Ces dernières
fibres
se réunissent en faisceaux qui s'enchevêtrent les
La région, thala- mique de la capsule interne contient en outre les
fibres
lenliculo-caudées qui tra- versent obliquement
postérieur de la capsule interne reçoit un contingent important de
fibres
, qui constituent la couronne rayonnante du lobe
'c ? (FT) ou faisceau externe du pied du pédon- cule cérébral. Ces
fibres
apparaissent au niveau de la paroi externe de la
e sphénoïdale, où elles se présentent sous la forme d'une couche de
fibres
forte- ment colorées, formée de fibres sectionn
ous la forme d'une couche de fibres forte- ment colorées, formée de
fibres
sectionnées très obliquement, et que l'on voit
de cette coupe et est vue en section transversale (FT'). De là ces
fibres
se portent en haut et en dedans, passent au-desso
u putamen (NL3) et le séparent de la queue du noyau caudé (NC), des
fibres
de la lame cornée (tænia senai-circularis) (le)
(tænia senai-circularis) (le) et de la bandelette optique (II). A ces
fibres
se joignent un certain nombre d'autres, qui pro
nt un certain nombre d'autres, qui proviennent de la zone claire de
fibres
situées en dedans du faisceau de 7'ürcl, : (FT) e
rne et se rendent il la partie inférieure de la couche optique. Les
fibres
du faisceau de 7'M/'c/- (FT) se portent au cont
énérescences secondaires ont montré il l'un de nous (1893), que les
fibres
qui dégénèrent à la suite d'une lésion de la part
des deuxième et troisième circonvolu- tions temporales (FT'). Les
fibres
du pied du pédoncule cérébral (P), qu'elles provi
is pénètrent dans la protubérance, où elles sont dissociées par les
fibres
protubérenlielles et postérieures (FPoa). Dans
e formée par les radiations thalamiques (RTh), un petit faisceau de
fibres
sectionnées perpendi- culairement et tapissées
-<''n< ? )tf/M))t)/v' de la corne sphé- noïdale : ce sont les
fibres
du tapetum (Tap), que nous verrons grandir au sur
MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. ;¡,)l iriculaire par une mince couche de
fibres
peu colorées par l'hématoxyline et qui appartie
ques. La paroi interne de la corne sphénoïdale est tapissée par les
fibres
de Yalvéus (Alv) qui se continuent en haut avec
endant re- marquables par le grand développement que prennent leurs
fibres
tangentielles, qui forment au niveau de la circ
e médullaire superficielle du subiculum (Les). L'épanouissement des
fibres
radiées dans les crêtes des circonvolutions est
286) qui intéressent les deux circonvolutions rolandiques. Ici les
fibres
radiées sont sectionnées plus ou moins obliquemen
plus ou moins obliquement et on ne trouve un bel épanouissement de
fibres
qu'au niveau de la première circon- volatioll l
slannce rvise S/111s-épendymail'e et se confondent en dehors avec les
fibres
du pied de la couronne rayonnante (pCR). Les
hors avec les fibres du pied de la couronne rayonnante (pCR). Les
fibres
du pied de la couronne rayonnante (pCR) se porten
dé, puis pénètrent dans la couche optique (Th) dont elles forment les
fibres
radiées. Celle pénétration est particulièrement
supé- rieure et de la partie inférieure de la capsule interne. Les
fibres
radiées supérieures ou fibres y ? r7<) ? <
inférieure de la capsule interne. Les fibres radiées supérieures ou
fibres
y ? r7<) ? </6tntt ? < du pied de la cou
pied de la couronne rayonnante, appartiennent au lobe pariétal. Les
fibres
radiées inférieures ou fibres temporo-ihalamiques
, appartiennent au lobe pariétal. Les fibres radiées inférieures ou
fibres
temporo-ihalamiques appar- tiennent au contrair
miques appar- tiennent au contraire au lobe temporal. Ces dernières
fibres
se détachent des ra diations thalamiques postér
ctile du subiculum. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 353 sus des
fibres
du tænia scmi-circularis et du corps genouillé ex
de la couche optique et dans le corps genouillé interne (Cgi). Ces
fibres
appartiennent au pédoncule postérieur du thalamus
ennent au pédoncule postérieur du thalamus (RTh, (Pp Th). Entre ces
fibres
et les fibres qui traversent les îlots supérieurs
ncule postérieur du thalamus (RTh, (Pp Th). Entre ces fibres et les
fibres
qui traversent les îlots supérieurs du pu- tame
ts supérieurs du pu- tamell, il existe une zone verticale, riche en
fibres
sectionnées transversalement, comprise entre la
ticulée du thalamus (Zr), et les îlots morcelés clu yzeta- men. Ces
fibres
appartiennent au segment rétro-lenticulaire de la
celle du lobe temporal. Quoique cette région soit surtout formée de
fibres
sectionnées perpendiculairement il leur longueur,
ment il leur longueur, elle renferme cependant un certain nombre de
fibres
qui se dirigent de dehors en dedans, du il la c
la couche optique dans laquelle elles s'irradient pour formel- les
fibres
radiées, mais on ne peut pas les suivre sur un lo
a couronne rayonnante du lobe telll- poral et du lobe pariétal. Ces
fibres
proviennent en effet du lobe occipito-te/IJ}io-
r dans le thalamus (Voy. Coupes horizontales, fig. 292, 293). Les
fibres
des radiations thalamiques (RTh) et du faisceau l
t à leur longueur. Au sur et à mesure que l'on se porte en bas, les
fibres
sont sectionnées en travers et cette direction es
ême aspect que sur les coupes pré- cédentes et se différencient des
fibres
du faisceau longitudinal inférieur (Fli) par le
ar leur coloration plus pâle. Elles sont limitées en dedans par les
fibres
du tapetum (Tap) et par la substance grise sous
s de l'alvéus (Alv), qui se continuent graduellement en haut avec les
fibres
- Fli, faisceau longitudinal inférieur. - l'lp,
ngitudinal inférieur. - l'lp, faisceau longitudinal postérieur. - ft.
fibres
tangentielles. - Fus, lobule fusiforme. - Gh, g
ri- cule latéral. - Pp1'h, pédoncule postérieur du thalamus. - Poa,
fibres
antérieures de la protu- lpérance. Pop, fibres
du thalamus. - Poa, fibres antérieures de la protu- lpérance. Pop,
fibres
postérieures de la protubérance. - pour, sillon p
ïdale du ventricule latéral. Zr, zone réticulée ou grillagée. -I/I,
fibres
radiculaires de la : 3` paire. 334 ANATOMIE DES
rne s'élargit, elle reçoit en effet un contingent très important de
fibres
provenant du corps genouillé externe (Cge); ces
courent à former le champ de Wernicke et s'entre- croisent avec les
fibres
du pédoncule postérieur de la couche, optique (Pp
es du pédoncule postérieur de la couche, optique (PpTh). Toutes les
fibres
du corps genouillé externe ne se rendent cependan
be en dehors et en bas, et forme au-dessus de la lame cornée et des
fibres
du ta'nia scmi-circularis, un champ assez impor
(P) est complètement séparé de la capsule interne. Il est formé de
fibres
enchevêtrées, sectionnées plus ou moins oblique-
sont dissociées en gros fascicules par la substance grise; et par les
fibres
transversales de l'étage antérieur de la protub
eur (Pcs), entre-croisement se luisant par de très gros fascicules de
fibres
. Entre le pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs)
eau longitudinal postérieur (l11) divisé en gros fascicules par les
fibres
radiculaires de la troisième paire (Ill), qui l
llé interne (Cgi), se trouve le ruban de Ileil médian (Rm) dont les
fibres
, sectionnées très obliquement, se portent en de
rrrlrt (Gh) et la crrzrzrrzi ? stcre po.sléz·ietcre (cop), dont les
fibres
se portent en avant, délimitent nettement la subs
circonvolutions temporales et parié- tales, le corps calleux et les
fibres
de projection du lobe occipilal. Le ventricule
udé. Le bourrelet du corps calleux (Ce), formé de gros faisceaux de
fibres
enche- vêtrées, se divise au niveau de l'angle
ffilée. Un peu en arrière du plan par lequel passe cette coupe, ces
fibres
vont se porter en arrière pour constituer le fo
, au-dessous de la substance grise sous-ohendyzuaine; une couche de
fibres
sectionnées parallèlement à leur axe, dirigées
. IV). Arrivées au niveau de l'angle inférieur du ventni- cule, les
fibres
du tapetum se réfléchissent et tapissent toute la
paroi inférieure du diverti cule du subiculum (ds). En dehors des
fibres
calleuses qui tapissent l'angle supérieur du carr
ui tapissent l'angle supérieur du carrefour vell- triculaire et des
fibres
du tapetum qui tapissent son angle inférieur, on
e, le long de toute la hauteur de ce carrefour, une couche de fines
fibres
peu colorées par l'hématoxyline et qui appartie
angle supéro-externe de ce ventricule, avec de gros fasci- cules de
fibres
plus ou moins enchevêtrées, qui se portent en hau
et en dedans, contournent en sens inverse le crochet formé par les
fibres
calleuses et représen- tent la couronne rayonna
(ds), les libres des radiations optiques se réfléchissent comme les
fibres
du tapetum (Tap), 330 . ANATOMIE DES CENTRES NE
.Fe, fasciola cincrea.- Fli, faisceau longitudinal inférieur. - ft,
fibres
tangentielles. - Fus, lobule fusiforme. - H, cir-
COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. a37 1 mais elles sont formées de
fibres
nettement sectionnées en travers, groupées en f
sectionnées en travers, groupées en fascicules et séparées par les
fibres
du tapetum qui vont s'irradier dans les lobules
u niveau de la paroi inférieure du carrefour ventriculaire, par des
fibres
sectionnées parallè- lement, qui s'épanouissent
sparait au-dessus de la région du pli coMe(Pc), où se perd dans les
fibres
de la couronne rayonnante et dans les fibres d'as
), où se perd dans les fibres de la couronne rayonnante et dans les
fibres
d'association de la région. Dans la première ci
ng) qui affecte toujours sa forme triangulaire caractéristique. Les
fibres
courtes d'association et l'épa- nouissement des
istique. Les fibres courtes d'association et l'épa- nouissement des
fibres
radiées ne présentent sur cette coupe rien de par
pe rien de particulier. Notons toutefois le grand développement des
fibres
tangentielles (ft) (Lms) au niveau du sinus du
corne occipitale est entourée par trois couches con- centriques de
fibres
; ces couches, très épaisses au niveau de la paroi
t de la subs- tance grise sous-épendymaire, on trouve la couche des
fibres
du tapetum (Tap) incisure. Sage, substance gris
l'hématoxyline, et sectionné perpendiculairement à-son trajet. Les
fibres
du tapetum se dirigent de haut en bas et sont sec
la corne occi-. pitale. Au niveau de la paroi inférieure enfin, ces
fibres
sont sectionnées très obliquement. Le tapetum e
, très analogue à celle que forment autour de la corne frontale les
fibres
du genou du corps calleux et du faisceau oceipito
? f1'ontal (Voy. fig. 279 et 280). De cette couche se détachent des
fibres
qui traversent les deux couches sagittales de l
VEAU. 5; ! 9 Autour de la couche du tapetum se trouve une couche de
fibres
pâles, très fines, quiappartiennentauxradiation
po) et calcarine (K). Tandis que la couche du tapetum est formée de
fibres
il direction verticale au niveau de la paroi ex
direction verticale au niveau de la paroi externe, il s'agit ici de
fibres
sectionnées en travers, qui ne com- mencent il
'au niveau de la paroi inférieure de la corne occipitale (Voc). Ces
fibres
renferment presque toutes les fibres de project
e la corne occipitale (Voc). Ces fibres renferment presque toutes les
fibres
de projection du lobe occipital, fibres qui pas
nferment presque toutes les fibres de projection du lobe occipital,
fibres
qui passent dans le segment rétro-lenticulaire
épaisses, fortement colorées par l'hématoxyline, c'est la couche des
fibres
longues d'association ou du faisceau longitudin
e de la corne occipitale, la largeur de deux ou trois fascicules de
fibres
. Comme pour la couche des radiations thalamique
r la couche des radiations thalamiques (RTh), il s'agit ici encore de
fibres
sectionnées en travers et qui ne deviennent par
es qu'au niveau de la paroi inférieure du ventricule. Ces longues
fibres
d'association proviennent de toutes les circonvol
le segment rétro-lenticulaire de la capsule interne, puis forme les
fibres
les plus inférieures du segment postérieur de la
ère il la suite des lésions du lobe occipital, et contient donc des
fibres
dont les cellules d'origine siègent, dans l'éco
es cellules d'origine siègent, dans l'écorce occipitale et dont les
fibres
se terminent dans l'écorce du lobe temporal. Ce
uelle au centre auditif des mots. En dehors de ces trois couches de
fibres
qui constituent les couches s'agit- tales du lo
stituent les couches s'agit- tales du lobe occipital, on trouve les
fibres
d'association propres de ce lobe Coiffant l'ang
itudinal inférieur, on trouve un faisceau assez volumineux formé de
fibres
parallèles ou légèrement obliques, c'est le fai
ulier au pli courbe (Pc). Le fond des sillons est entouré par les
fibres
courtes d'association, fibres en U de Meynert,
Le fond des sillons est entouré par les fibres courtes d'association,
fibres
en U de Meynert, et qui ne présentent ici rien
tue que d'une très mince couche de libres blanches, cette couche de
fibres
en U existe cependant à ce niveau, où elle form
lcarine jusqu'au 'ventricule occipital, on compte quatre couches de
fibres
: 1° le stratum calcarinum; 2° le faisceau long
férieur ; 3° la mince couche des radiations thalamiques, et 4.° les
fibres
du forceps tapissées de l'épendyme ventriculaire.
ar ses trois couches concentriques. Le forceps major a disparu. Les
fibres
du tapetum (Tap) sont très réduites, mais forment
le latéral. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 561 (fig. 289), les
fibres
qui longent la paroi externe du ventricule sont s
Entrevu par Sachs, bien décrit par Vialet, ce faisceau est formé de
fibres
parallèles qui se dirigent transversalement de de
ne du lobe occipital dans lequel il s'irradie. Quelques-unes de ses
fibres
atteignent le pli courbe (Pc). Ce faisceau, t
aisceau, toujours facile il reconnaître, est limité en dehors par des
fibres
à direction verticale, qui relient la base du l
ssant en arrière de la corne occipitale (Voc), les trois couches de
fibres
disparaissent graduellement. Ce sont d'abord les
couches de fibres disparaissent graduellement. Ce sont d'abord les
fibres
du tapetum (Tap), qui ne forment une couche dis
pes passant en arrière de ce dernier faisceau n'intéressent que les
fibres
d'association courtes de la région, entre-crois
s fibres d'association courtes de la région, entre-croisées par les
fibres
du tapetum, des radiations thalamiques et du fais
limite très nette entre les couches profondes de l'écorce riches en
fibres
radiées, et les couches superficielles qui en son
ique (L,), en particulier dans le sinus du corps calleux (sec), les
fibres
tangentielles (ft) du tfCllia tecta (lec) sont
culièrement nombreuses. L'écorce de l'insula (la, Ip), peu riche en
fibres
radiées, est un peu plus riche en fibres tangenti
ula (la, Ip), peu riche en fibres radiées, est un peu plus riche en
fibres
tangentielles; les belles irradia- tions de fib
eu plus riche en fibres tangentielles; les belles irradia- tions de
fibres
radiées ne s'observent sur cette préparation, qu'
sagittales, aucun faisceau nettement distinct. L'enchevêtrement des
fibres
d'association, de ]JI'ojec- tion et commissural
r l'existence, grâce à la coloration spéciale et à la direction des
fibres
. Ces couches sagittales sont séparées de l'écor
e libres propres, le stratum calcarinum (1(,, Sachs (fk). Comme les
fibres
propres sont perpen- diculaires il la direction
es propres sont perpen- diculaires il la direction des sillons, les
fibres
du stratum calcarinum se trouvent donc sectionn
les radiations lh(i- lamiques de Gratiolet (RTh); en dedans de ces
fibres
on trouve le tapetum (Tap). 1° Le faisceau long
u fait, que la coupe sectionne parallèle- ment il leur longueur les
fibres
qui lui viennent du cunéus (C) et du lobule lingu
es fibres qui lui viennent du cunéus (C) et du lobule lingual (Lg),
fibres
qui alimentent l'extrémité postérieure du faiscea
ieurs sont peu accusés; l'antérieur donne naissance à de nombreuses
fibres
, qui s'irradient en arrière du sillon marginal po
rtient au faisceau longitudinal in firicrtr (1 li). En arrière, ces
fibres
se continuent avec ce dernier faisceau au nivea
couche caracté- risée par la finesse et la faible coloration de ses
fibres
. Ce sont les radiations optiques de Gratiolet (
au de la pointe occipitale (0,) on les voit traverser la couche des
fibres
du faisceau longitudinal inférieur (Fli) et s'i
nt dans la couche optique (Th) dont elles concou- rent à former les
fibres
radiées. Cette couche des radiations représente
au niveau de l'ergot de Morand et le tapisse d'une mince couche de
fibres
peu colorées, comprise entre le faisceau longitud
ise entre le faisceau longitudinal inférieur et la mince couche des
fibres
calleuses. Les radiations thalamiques (RTh) reç
ns thalamiques (RTh) reçoivent chemin faisant, un certain nombre de
fibres
des circonvolutions temporales (T,, T ? T3) qui t
sceau longitudinal inférieur (Fli) : il est probable que toutes les
fibres
fines, peu colo- rées, que l'on constate à un f
élucidée. Repré- sentent-ils, comme nous penchons à le croire, des
fibres
de projection /r'II1POI'O- //itM/«e ? qui trave
ité des auteurs, au faisceau longitudinal inférieur dont quel- ques
fibres
s'irradieraient dans la couche optique ? L'étude
pourra seule résoudre le problème (Voy. chap. V et t. II). 3° Les
fibres
du tapetum (Tap) n'affectent pas une direction sa
lamiques (RTh) et se présentent sous l'aspect d'un gros faisceau de
fibres
sectionnées perpendiculai- rement à leur direct
Cing, cingulum. Cip, segment postérieur de la capsule interne. Fc,
fibres
calleuses. - Fli, faisceau longitudinal inférieur
ine (stratum calcarinum de Sachs). - /'p, libres de projection. Il,
fibres
tangentielles du lobe limbique. - i, sillon de l'
arine. - Lu première circon- volution limbique.- le, lame cornée et
fibres
du tænia semi-circularis. Lg, lobule linguai. M
de la paroi interne du carrefour ventriculaire, la mince couche des
fibres
de projection (fp) est recouverte par une mince c
es fibres de projection (fp) est recouverte par une mince couche de
fibres
calleuses (Fc) qui se continue manifestement- a
le forceps major n'ap- partiennent pas à un seul et même système de
fibres
. Si le forceps représente un système de fibres
l et même système de fibres. Si le forceps représente un système de
fibres
commissurales , le tapetum constitue un système d
système de fibres commissurales , le tapetum constitue un système de
fibres
d'association inlra-hémisphérique, mettant en c
ale (Voy. faisceau occ ? ) ! '<o-/<'0)i<a7). En avant, les
fibres
du forceps major (Fm) se continuent avec celles d
du corps calleux qui se dirigent d'avant en arrière. La direction des
fibres
calleuses devient bientôt oblique, et au niveau
aux plexus choroïdes du ventricule latéral (Tcli et Plchsph) ; ses
fibres
disposées en gros fascicules affec- tent une di
. Les segments antérieur (Cia) et rétro-lenticulaire sont formés de
fibres
à direction horizontale; [le segment postérieur (
de fibres à direction horizontale; [le segment postérieur (Cip) de
fibres
section- nées perpendiculairement à leur axe.
ent diminué de volume. Elle est constituée en grande partie par les
fibres
courtes d'association, enchevêtrées avec les fi
partie par les fibres courtes d'association, enchevêtrées avec les
fibres
longues d'association, les fibres de projection e
ssociation, enchevêtrées avec les fibres longues d'association, les
fibres
de projection et les fibres commissurales , non
c les fibres longues d'association, les fibres de projection et les
fibres
commissurales , non encore disposées en couches c
u- tour du carrefour ventriculaire on retrouve les trois couches de
fibres
de la ligure précédente, mais beaucoup moins ét
e, mais beaucoup moins étendues dans le sens antéro-postérieur. Les
fibres
du tapetum (Tap) sectionnées perpendiculairement
constituent la couronne rayonnante. Elles s'entre-croisent avec les
fibres
du corps genouillé externe qui entrent dans la
icke (W). Quant au faisceau longitudinal inféoiczt· (Fli), formé de
fibres
très foncées, il présente trois coudes ou angles
ième segment du noyau lenticulaire f\L") et s'entre-croise avec les
fibres
du faisceau de Tiirck (FT), faisceau qui entre
ur de la capsule interne (Cip). Dans la circonvolution de (11), les
fibres
tangentielles qui forment la substance réticulé
le système du faisceau longitudinal inférieur (Fli); la couche des
fibre
» claires* entoure le diverticule du subiculum et
volution frontale. z0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. nuer avec les
fibres
du tapetum (Tap). Pour l'étude de la région sous-
Cette coupe est destinée à montrer la façon dont se comportent les
fibres
du genou du corps calleux (Ce[-]) et les fibres
t se comportent les fibres du genou du corps calleux (Ce[-]) et les
fibres
de la couronne rayonnante (CR), en avant de la
vant de la corne frontale du ventricule latéral. Ces deux ordres de
fibres
se comportent ici absolument de la même façon q
. Coupes verlico-transversales microscopiques, fig. z80 à 287). Les
fibres
calleuses contournent en crochet la corne front
n crochet la corne frontale et donnent naissance à un grand nombre de
fibres
, qui traversent radiairement le système de la c
u F,, F.,). La couronne rayonnante qui reçoit un fort contingent de
fibres
de la face interne de la première circonvolution-
ne de la première circonvolution- frontale (mF,) est formée par des
fibres
onduleuses, qui contournent les fibres calleuse
ntale (mF,) est formée par des fibres onduleuses, qui contournent les
fibres
calleuses, passent par le segment antérieur de
rradient dans l'extrémité antérieure de la couche optique (Th). Ces
fibres
de la couronne rayonnante (CR) traversent l'extré
yenne du noyau interne (Ni) du thalamus. Ce mode de pénétration des
fibres
dans l'extrémité antérieure de la couche optique
rayonnante, on trouve le faisceau ocr.ipilo-fionlal (OF), formé de
fibres
peu colorées, disposées en gros fascicules et e
diat avec la substance grise sous-épendymaire (Sge). Une partie des
fibres
du faisceau occipilo-fronlal (OF') se porte en av
lal (OF') se porte en avant et en dedans, s'en- tre-croise avec les
fibres
calleuses et les fibres de la couronne rayonnante
ant et en dedans, s'en- tre-croise avec les fibres calleuses et les
fibres
de la couronne rayonnante, et s'ir- radie dans
es circonvolutions frontales; une autre partie située en dedans des
fibres
de la couronne rayonnante se porte avec ces derni
face interne de la première circonvolution frontale (mF,). D'autres
fibres
, enfin, traversent au niveau de la tête du noya
reçoit au niveau du putamen (NL3) un contingent assez important de
fibres
qui lui viennent du faisceau longitudinal inférie
La masse blanche du lobe frontal est considérablement réduite, les
fibres
d'association prédominent en effet ici. Au nive
eau fortement coloré, sectionné parallèlement à la direction de ses
fibres
et qui contourne le sillon marginal antérieur d
n olfactif (1'1.) il existe un faisceau antéro-postérieur, formé de
fibres
fortement colorées et qui appartiennent à la cour
ne rayonnante (CR) de la première circonvolution frontale (F,). Ces
fibres
se portent en avant, formant un faisceau unique
us-épendymaire (Sge); elles entourent cette dernière d'un cercle de
fibres
complet, puis s'irradient dans la face interne du
ette courbe de la couronne rayonnante (CR), on trouve une couche de
fibres
claires, puis un faisceau à direction sagittale,
appartient au faisceau occipito-frontal (OF). En avant on voit ces
fibres
s'irradier dans la face interne du gyrus reclus
fibres s'irradier dans la face interne du gyrus reclus (mF,). Les
fibres
de la capsule externe (Ce) sont fortement colorée
ser avec le faisceau uncinatus (Fu) (Voy. coupe E, fig. 297). Les
fibres
fortement colorées de la partie antérieure de la
ule externe appartiennent au faisceau uncinatus (Fu), dont quelques
fibres
se portent en dedans, s'entre-croisent avec les
ont quelques fibres se portent en dedans, s'entre-croisent avec les
fibres
de la couronne rayonnante (CR) puis s'irra- die
(mF,), en dehors du sillon olfactif (f4). Le plus grand nombre des
fibres
du faisceau unci- na lus (Fu) se porte en dehor
ryonnaire (lt). Cette masse com- mune est limitée en avant, par des
fibres
fortement colorées, un peu obliques en avant et
et qui semblent entrer dans la couronne rayonnante. En arrière, ces
fibres
se disséminent en gros fascicules fortement color
ajet un peu onduleux. On les voit s'entre- croiser avec la masse de
fibres
qui occupent la substance innominée de Reichert
s on ne les voit pas atteindre l'anse du noyau lenticulaire (Al). Ces
fibres
572 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX Fin. 296.
CERVEAU. 573 appartiennent au système olfactif et représentent les
fibres
de projection du bulbe olfactif destinées au ce
re et au cerveau moyen. Elles sont entre-croisées en dedans par les
fibres
de la bandelette diagonale de Broca (bd), qui a
zyr (VA), en dedans du corps de Luys (CL), puis se confond avec les
fibres
de la partie interne de la capsule du noyau rouge
nse du noyau lenticulaire (Al) et le faisceau, de TiiJ'ck (FT), les
fibres
verticales du segment postérieur de la capsule
sont divisées en faisceaux plus ou moins gros, par de nom- breuses
fibres
il direction, transversale qui réunissent le glob
partie externe de la capsule du noyau rouge on voit se détacher les
fibres
fortement onduleuses des radiations de la calotte
s des noyaux gris centraux, et au-dessus du noyau amygdalien. Les
fibres
tangentielles ainsi que l'irradiation des fibres
au amygdalien. Les fibres tangentielles ainsi que l'irradiation des
fibres
radiées dans la face orbitaire des première et
; il en est de même de la strie externe de llaillarrler (sB) et des
fibres
d'association externes de Meynert (fAc). Les fi
ler (sB) et des fibres d'association externes de Meynert (fAc). Les
fibres
en U du fond des sillons sont ici encore nettemen
perforé antérieur (Epa). On voit très nettement la mince couche de
fibres
tangentielles qui tapissent le gyrus reclus (ml
libres tangentielles. -Fu faisceau uncinatus. - le, lame cornée et
fibres
du taenia, scmi-circularis. - Ln, locus niger.
en dedans à la tête du noyau caudé (CNC). Ils sont séparés par des
fibres
nettement parallèles, fortement colorées par l'hé
u que l'on peut suivre jusqu'au niveau de la corne sphénoïdale. Ces
fibres
appartiennent au faisceau uncinalus (Fu). Le fais
es radiations thalamiques (RTh), et il est limité en dehors par les
fibres
d'association propres du sillon, marginal postéri
(NL3) et la corne sphénoïdale, on trouve : 1° une couche épaisse de
fibres
enchevêtrées (Cirl), qui appartiennent aux fibres
couche épaisse de fibres enchevêtrées (Cirl), qui appartiennent aux
fibres
de projection du lobe temporal et qui passent s
du lobe temporal et qui passent sous le noyau lenticulaire ; 2° les
fibres
du loen.ia scmi-circularis situées dans la lame
n du tubercule mamillairc latéral (Tml). De ce ganglion partent des
fibres
qui contournent la partie antéro-interne du pied
trouve le faisceau longitudinal posté- rieur (Flp), le noyau et les
fibres
radiculaires de la troisième paire (Nm). Coupe
olution du crochet (U), dont il n'est séparé que par quelques rares
fibres
à direction langentielle. En haut et en dehors,
té- noïdale (Vsph), est bifurqué en arrière; il est soulevé par les
fibres
d'association du fond du sillon collatéral et s
t le faisceau longitudinal inférieur (Fli) sont tra- versés par des
fibres
qui s'irradient dans la crête de la première circ
masse blanche du lobe temporal comprend l'intime enchevêtrement des
fibres
d'association et de projection. La paroi intern
e du côté du ventricule par l'alvéus (Alv) formé de deux couches de
fibres
: l'une épaisse, fortement colorée contient les
x couches de fibres : l'une épaisse, fortement colorée contient les
fibres
du trigone cérébral; l'autre située en dedans con
rigone cérébral; l'autre située en dedans constitue une cou- che de
fibres
lâches et peu colorées, particulièrement épaisse
l'extrémité postérieure de la circonvolution du cnoclael (U) : ces
fibres
correspondent aux fibres d'association de la régi
de la circonvolution du cnoclael (U) : ces fibres correspondent aux
fibres
d'association de la région, en particulier au fai
e la région, en particulier au faisceau postérieur du cingulum. Les
fibres
tangentielles de la circonvolution de l'hippocamp
acunosmn (Sll). Cette dernière couche est particulièrement riche en
fibres
fortement colorées. Ces deux couches de fibres ta
culièrement riche en fibres fortement colorées. Ces deux couches de
fibres
tangentielles appar- tiennent à la couche moléc
,, la cii-co) ? volt(tio)i godronnée (Cg) et se continuent avec les
fibres
tangentielles de la circonvolution du crochet (U)
iennent du fond des sillons et des parties avoisinantes forment les
fibres
d'association courtes; elles doublent le fond d
courtes; elles doublent le fond de tous les sillons d'une couche de
fibres
parallèles, d'autant plus régu- lière et d'auta
tage du plan perpendiculaire au grand axe de la circonvolution. Les
fibres
qui proviennent des crêtes des circonvolutions
ur une assez grande étendue; tel est le cas en particulier pour les
fibres
des circonvolutions frontale (Fa) et pariétale as
ariétale ascendantes (Pa). A la face interne, la couche des courtes
fibres
d'association qui double les fonds des sillons
es courtes fibres d'association qui double les fonds des sillons ou
fibres
en U est moins épaisse, il en est de même des fib
des sillons ou fibres en U est moins épaisse, il en est de même des
fibres
radiées des crêtes des circonvolutions, qui se
es des crêtes des circonvolutions, qui se perdent dans la masse des
fibres
blanches, dès qu'elles ont dépassé le fond des
postérieure de la masse blanche est formée sur cette coupe par des
fibres
il trajet extrêmement complexe, enchevêtrées, e
'il devient absolument impossible d'y suivre non seulement quelques
fibres
, mais même des groupes de fibres. Dans la parti
d'y suivre non seulement quelques fibres, mais même des groupes de
fibres
. Dans la partie centrale seule de la coupe, il
ie centrale seule de la coupe, il existe de véritables faisceaux de
fibres
, plus ou moins nettement circonscrits; ainsi, on
ère circonvolution limbique (L,) et en dehors d'une mince couche de
fibres
propres à cette circonvolution, un volumineux f
st toujours séparé de l'écorce, par une couche plus ou moins mince de
fibres
d'association courtes. En dehors du cingulum, o
ette- ment délimitées en dedans, par le ci7guluia.(Cing) et par les
fibres
enchevêtrées de la musse blanche, dont elles se
X. diffuses ; elles dissocient en effet de volumineux fascicules de
fibres
coupés perpendiculairement à leur axe, et qui a
la couronne rayonnante, au delà elles se perdent dans la couche des
fibres
d'associafion..A la partie moyenne des radiations
s du corps calleux, il existe un espace clair, au niveau duquel les
fibres
calleuses moyennes s'inflé- chissent pour se po
1 ), on se rend très bien compte de l'inflexion que subis- sent les
fibres
calleuses au niveau de l'angle externe du ventric
s'entre-croiser au niveau du pied de la. couronne rayonnante avec les
fibres
de pro- section. Comme la voûte du ventricule l
ge) n'est intéressée qu'à sa partie moyenne. La troisième couche de
fibres
différenciées sur cette coupe est formée par le
scicules. Leurs limites internes, formées par de gros fascicules de
fibres
, correspondent assez exacte- ment à une ligne d
x nettement délimités el caractéristiques par la direction de leurs
fibres
: en dedans le cingulum (Cing) avec ses libres il
ing) avec ses libres il direction antéro-postérieure, en dehors les
fibres
du pied de la couronne rayon- nante (pCR) à dir
le, et qui se présentent sur cette coupe sous forme de faisceaux de
fibres
coupés en travers. Entre le cingulum et le pied d
nt de dedans en dehors; nettement déli- mitées en dedans d'avec les
fibres
du cingulum, les radiations calleuses s'enlre-
ations calleuses s'enlre- croisent en dehors à angle droit avec les
fibres
dupied de la couronne rayonnante et leur limite
long du sinus du corps calleux (sec), on trouve une mince couche de
fibres
sectionnées parallèlement et qui appartien- nen
uche de fibres sectionnées parallèlement et qui appartien- nent aux
fibres
tangentielles (ft) de cette écorce atrophiée. F
nvolution frontale ascendante.- f-2, deuxième sillon frontal. - ft,
fibres
tangentielles du tænia tecta. ip, sillon inter-pa
CENTRES NERVEUX. Le tænia tecta (tec) est doublé par une couche de
fibres
parallèles, il direction antéro-postérieure, fo
u sinus du corps calleux (scc) ; à ce niveau il se confond avec les
fibres
enchevêtrées de la masse blanche sous-corticale
n dedans au niveau de sa partie moyenne, et de l'enchevêtrement des
fibres
sous-corticales, à ses extrémités antérieure et
lles s'infléchissaient sur la coupe précédente, puis dissocient les
fibres
du pied de la couronne rayonnante (pCR) comme p
Le pied de la couronne rayonnante (pCR) est formé de deux ordres de
fibres
. La moitié postérieure, qui correspond aux circon
e entre en connexion intime avec les radiations calleuses, dont les
fibres
la sillonnent en se dirigeant transversalement de
antéro-posté- rieure et sectionnés parallèlement il leur axe : ces
fibres
appartiennent au fais- ceau occipito-frontal (O
antéro-externe du noyau caudé (NC), dissocie les gros fascicules de
fibres
du pied de la couronne rayonnante de cette régi
usés sur cette coupe que sur la coupe précédente. Ses fascicules de
fibres
de- viennent de plus en plus petits, il mesure
et avortée, qui constitue les nerfs de Lancisi (NL). - La masse des
fibres
d'association est toujours extrêmement considé-
rconvolution frontale. Fa, circonvolution frontale ascendante. Fie,
fibres
lenticnlo-candees. ft, fibres tangentielles du Ue
convolution frontale ascendante. Fie, fibres lenticnlo-candees. ft,
fibres
tangentielles du Uenia tecta. - L,, première circ
UX. coupes précédentes, grâce à l'apparition d'un certain nombre de
fibres
il direc- tion antéro-poslérieure qui appartien
du corps calleux (sec), et qui se différencient très nettement des
fibres
calleuses, grâce à leur direction. Le corps cal
mince couche épendymaire. Il est constitué, en grande partie, par des
fibres
sectionnées parallèlement et disposées en faisc
n dehors. Entre ces faisceaux, on aperçoit un assez grand nombre de
fibres
sectionnées obliquement, voire même perpendiculai
ux. Sur la ligne médiane, au voisinage du nerf de Lancisi (NL), les
fibres
sont toutes coupées parallèlement et s'entre-croi
tuelle (n° 3, fig. 302) sectionne parallèlement à leur longueur les
fibres
des couches super- ficielles et perpendiculaire
des couches super- ficielles et perpendiculairement à leur axe les
fibres
des couches profondes du corps calleux. La sect
es fibres des couches profondes du corps calleux. La section de ces
fibres
à direction ascendante explique ainsi l'aspect,
ésente sur cette coupe hori- zontale le tronc du corps calleux. Les
fibres
sectionnées verticalement, très nom- breuses au
térieure du ventricule latéral (VI). Elles font place peu à peu aux
fibres
exclusivement transversales des radiations du c
portent transver- salement en dehors, et s'entre-croisent avec les
fibres
du pied de la couronne rayonnante (pCR), mais l
i se colorent moins intensivement par la méthode de W(igert que les
fibres
appartenant il d'autres faisceaux. Grâce il cet
nte (pCR), pied qui i bientôt va constituer la capsule interne. Ces
fibres
, sectionnées obliquement, se dirigent presque t
, se dirigent presque toutes en dehors et s'entre-croisent avec des
fibres
fortement colorées, à direction verticale, qui
s désignerons les libres pâles, peu riches en myéline, sous le nom de
fibres
COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. Ma lCi/liwl
udl ! cs (Fie). Elles paraissent appartenir, en effet, au système des
fibres
intrinsèques du corps strié et relient dans tou
lenticulaire, Au niveau de la grosse extrémité du noyau caudé, ces
fibres
Ümticulo-caudécs s'entre-croisent avec le faiscea
tal. Le long de la face externe du noyau coudé, on trouve entre les
fibres
lenliculo-caudées, le système de fibres de projec
coudé, on trouve entre les fibres lenliculo-caudées, le système de
fibres
de projection qui constitue le pied de la couro
convolution limbique (L,) et le l[('nia tecta (tec). La couche de
fibres
non différenciées qui forme le centre ovale (CO)
ro-postérieure de ses libres ; il délimite nettement le système des
fibres
d'association, d'avec le système des fibres de
nettement le système des fibres d'association, d'avec le système des
fibres
de projection qui occupe la partie moyenne de l
faisceaux de libres transversales, on aperçoit un certain nombre de
fibres
sectionnées obliquement et dont quelques-unes a
ue celles du pied de la couronne rayonnante (pfft). En arrière, les
fibres
calleuses sont net- lemenl séparées des fibres
ft). En arrière, les fibres calleuses sont net- lemenl séparées des
fibres
de projection , qui appartiennent déjà, dans celt
du noyau caudé (NC'), on voit un assez grand nombre de faisceaux de
fibres
, sectionnées obliquement ou perpendiculai- reme
xterne de la tête du noyau caudé (NC). Ces libres appartiennent aux
fibres
lenliculo-caudées (Fielc), se portent en dehors e
ensions sont encore réduites; elle est recouverte par une couche dé
fibres
enchevêtrées, à direction onduleuse, qui se porte
(Zr); ils sont séparés les uns des autres par de gros fascicules de
fibres
qui pénètrent dans la couche optique (Th), où i
ptique (Th), où ils forment soit le stratum zonale (strz), soit les
fibres
radiées que nous retrouverons sur des coupes plus
supérieure du troisième segment du noyau lenticulaire (NLJ)' Les
fibres
de la capsule interne présentent un aspect partic
appartiennent il son segment caudé ou à son segment thalamique. Les
fibres
du segment caudé ou segment antérieur de la capsu
érieure de la couche optique (Th) (fig. 30.1 il 308). A coté de ces
fibres
thalamiques on trouve les libres lenliculo-caudée
rallèlement à leur longueur, soit sous un angle très oblique. Les
fibres
du segment thalamique ou segment postérieur de la
ros fascicules qui pénètrent tous dans la couche optique (Th) ; ces
fibres
appartiennent à la couronne rayonnante de la couc
ouronne rayonnante de la couche optique. On y trouve, en outre, des
fibres
pâles, peu colorées, a direction transver- sale
, a direction transver- sale ou oblique, appartenant au système des
fibres
lenliculo-caudées (FIe) et qui se trouvent souv
accolées le long des ponts de substance grise. Mais, à côté de ces
fibres
nettement transversales, on trouve dans le segmen
segment postérieur de la capsule interne. - CO, centre ovale. Fie,
fibres
lenticulo-caudecs. ft, libres tangentielles du tt
ou grillagée. 588 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. interne (Cip) des
fibres
sectionnées perpendiculairement à leur longueur,
un fin pointillé, et qui se groupent en fascicules entourés par les
fibres
à direction horizontale. Ces fibres verticales
en fascicules entourés par les fibres à direction horizontale. Ces
fibres
verticales font suite aux fibres de même direct
ibres à direction horizontale. Ces fibres verticales font suite aux
fibres
de même direction du pied de la couronne rayonnan
ques inférieures, soit aux régions pédonculaires; or, ces dernières
fibres
appartiennent presque toutes au système du faisce
ouche optique (Th), au niveau de la queue du noyau caudé (NC'), les
fibres
de la capsule interne sont presque toutes section
capsule interne sont presque toutes sectionnées parallèlement. Ces
fibres
viennent du lobe a ? e<o-occ)t/'7/et appartien
ratiolet (IITII). Elles représentent par conséquent l'homologue des
fibres
du segment, antérieur, et constituent un faisce
térieur, et constituent un faisceau assez large, situé en dehors de
fibres
calleuses, au niveau de l'angle pos- téro-exter
gèrement ondulées et sectionnées parallèlement à leur longueur. Les
fibres
horizontales des segments antérieur et postérieur
pect de cet entre-croisement, ainsi que la courbe que décrivent les
fibres
de projection pour pénétrer dans l'opercule syl
t de libres transversales : au niveau du septum luci- dum (SI), ces
fibres
s'entre-croisent avec les fibres longitudinales q
veau du septum luci- dum (SI), ces fibres s'entre-croisent avec les
fibres
longitudinales qui constituent COUPES MICROSCOP
OMIE DES CENTRES NERVEUX. du ventricule latéral (VI), on trouve les
fibres
du corps du trigone (Tg), qui ont une direction
ure de la couche optique. Il est limité en dedans par une couche de
fibres
qui forment le stratum zonale (strz), en dehors p
rment le stratum zonale (strz), en dehors par une seconde couche de
fibres
il direction oblique et antéro-postérieure, couch
noyau externe du thalamus (Ne); il est lisse en effet, peu riche en
fibres
, tandis que le noyau externe reçoit un 1res grand
Dans sa partie moyenne, cette lame est formée par des fascicules de
fibres
sectionnées perpendiculairement à leur longueur
, ces fascicules sont sectionnés dans le sens de leur longueur. Les
fibres
antérieures proviennent du segment antérieur de l
l'extrémité antérieure de la couche optique, dont elles forment les
fibres
radiées. Les postérieures proviennent des radiati
ue par la lame cornée (lc), qui renferme un certain nombre de fines
fibres
faiblement colorées par l'hématoxyline et secti
blement colorées par l'hématoxyline et sectionnées obliquement. Ces
fibres
appartiennent au tanirz semi-circularis et se t
segment rétro-lenticulaire. Le segment antérieur (Cia) est formé de
fibres
sectionnées soit parallèlement, soit très oblique
térieure de la couche optique (Th), quelques-unes appartiennent aux
fibres
lenliculo-caudées. Dans le segment postérieur de
iculo-caudées. Dans le segment postérieur de la cap- sule (Cip) les
fibres
à direction verticale prédominent de beaucoup. On
minent de beaucoup. On y ren- contre cependant un certain nombre de
fibres
horizontales, qui pénètrent dans la partie moye
trent dans la partie moyenne de la couche optique (Th), et d'autres
fibres
, horizontales également, mal colorées par la mé
t, mal colorées par la méthode de Weigert, et qui appartiennent aux
fibres
lenliculo-caudées. Dans le segment que nous dés
compris entre la face externe de la queue du noyau caudé (ni) et les
fibres
pro- pres qui doublent le fond du sillon, margi
i doublent le fond du sillon, marginal postérieur (mp). Il reçoit les
fibres
des radiations thalamiques (RTh), qui forment s
nt sur cette coupe un faisceau nettement délimité en dehors par les
fibres
du faisceau longitudinal infé- rieur (Fli). Ce
é- rieur (Fli). Ce dernier faisceau est formé par des fascicules de
fibres
compactes et à direction antéro-postérieure don
bord externe du noyau lenticulaire, pour s'entre- croiser avec les
fibres
horizontales et verticales de la capsule externe
ur les coupes plus inférieures. A ce niveau elle est formée par des
fibres
à direction antéro-postérieure, faiblement colo
érieure, faiblement colorées, et qui délimitent assez nettement les
fibres
du pied de la couronne rayonnante (pCR). Entr
de la couronne rayonnante (pCR). Entre la capsule externe et les
fibres
propres qui doublent l'écorce des circon- volut
noter. La couche superficielle est claire et ne reçoit que de rares
fibres
à myéline, colorées par la méthode de Weigert.
onvolution insulaire antérieure (la), un très bel épanouissement de
fibres
radiaires. La couche de fibres qui double les c
(la), un très bel épanouissement de fibres radiaires. La couche de
fibres
qui double les circonvolutions de l'insula est pe
épaisse, si ce n'est au niveau des crêtes des circonvolutions. Ces
fibres
s'entre-croisent dans tous les sens, les libres
ois dans les parties centrales des circonvolutions, de même que les
fibres
en U abon- dent au fond des sillons. Cette couc
que les fibres en U abon- dent au fond des sillons. Cette couche de
fibres
est limitée en dedans par la substance grise de
a. Il s'effile en avant et en arrière et se perd dans la couche des
fibres
qui doublent le fond du sillon marginal postérieu
illon marginal postérieur (mp) d'une part, et d'autre part dans les
fibres
propres des deux circonvolutions antérieures de
rconvolutions antérieures de l'insula (la). Il sépare la couche des
fibres
propres de l'insula des fibres de la capsule ex
l'insula (la). Il sépare la couche des fibres propres de l'insula des
fibres
de la capsule externe (Ce). La capsule extern
e, à direction verticale ou légèrement oblique, et croisées par des
fibres
horizontales plus intensivement colorées, qui tra
nce grise de l'avant-mur (AM), pour se confondre avec la couche des
fibres
propres de l'insula. La capsule externe (Ce) est
e (putamen) (NL'I); elle ne donne à ce noyau aucun gros faisceau de
fibres
. Cependant lorsqu'on examine à l'aide de forts
t une bonne élection de coloration, on voit très nettement de rares
fibres
isolées pénétrer dans le putamen (NL3). L'asp
for- tement colorées par l'hématoxyline, se détachant nettement des
fibres
pâles du fond de la capsule externe, et qui tra
dans laquelle elles se perdent. Comme intensité de coloration, ces
fibres
peuvent être comparées aux fibres qui appartien
omme intensité de coloration, ces fibres peuvent être comparées aux
fibres
qui appartiennent au faisceau longitudinal inféri
ia). Dans le putamen (NL3) et dans la tête du noyau caudé-(NC), les
fibres
nerveuses' apparaissent sous forme de très gros f
gros fascicules, présentant par endroits un aspect arboriforme. Ces
fibres
qui appartiennent à la tête du 38 FiG. 305. C
our se rendre au noyau lenticulaire et appartiennent au système des
fibres
leulicizlo-caudées. Les fibres du segment antér
aire et appartiennent au système des fibres leulicizlo-caudées. Les
fibres
du segment antérieur de la capsule interne (Cia)
es du segment antérieur de la capsule interne (Cia) sont toutes des
fibres
obliques en arrière et en dedans, et sectionnées
nt postérieur de la capsule interne. (Cip) au contraire, toutes les
fibres
sont coupées perpendi- culairement à leur axe.
au de sa paroi antérieure, on rencontre quelques rares faisceaux de
fibres
à direc- tion horizontale, étendus du putamen (
n horizontale, étendus du putamen (NL) il la couche optique (Th). Ces
fibres
sont surtout nombreuses au niveau du genou de l
que le genou (Ci[g]), représente une région de transition entre les
fibres
du segment antr-i·icur (Cia), il direction obli
part dans l'extrél mité antérieure de la couche optique (Th, et les
fibres
du segment postérieur (Cip) qui, vues en sectio
encore dans le segment rélro-lenliculaire de la capsule (Cirl). Les
fibres
coupées en travers disparaissent graduellement, e
en travers disparaissent graduellement, et sont remplacées par des
fibres
à direction plus ou moins oblique, qui longent to
paraît nettement distinct que dans ses couches les plus externes. Les
fibres
les plus internes des radiations thalamiques (R
C'), et pénètrent dans la couche optique (Th), dont elles forment les
fibres
radiées les plus postérieures. D'autres fibres,
nt elles forment les fibres radiées les plus postérieures. D'autres
fibres
, que l'on trouve éparpillées dans le segment ré
zone grise, la zone réticulée (Zr), morcelée par un grand nombre de
fibres
qui pénètrent dans la couche optique, au niveau
st beaucoup plus large; on y distingue la sec- tion de faisceaux de
fibres
, non seulement horizontales et pénétrant dans la
e du thalamus ; elle est formée par une série de gros fascicules de
fibres
, coupés perpendiculairement à leur longueur et au
les de fibres, coupés perpendiculairement à leur longueur et aucune
fibre
radiai re ne paraît pénétrer dans cette région de
ant inexact de dire, que la face externe du thalamus ne reçoit pas de
fibres
J'fJ1diail'cs" ces fibres existent, mais elles
face externe du thalamus ne reçoit pas de fibres J'fJ1diail'cs" ces
fibres
existent, mais elles sont coupées sous des incide
mer le slratum zonale (strz). En arrière, il en est de môme, et les
fibres
radiaires les plus internes entrent dans la const
r à l'état frais sa couleur café au lait caractéristique. Quant aux
fibres
radiaires antérieures, les plus internes pénètr
partie de la couche optique et reçoit, en avant et en arrière, les
fibres
radiaires des pédoncules antérieur (PaTh) et po
e médullaire externe du noyau lenticulaire (lme), formée surtout de
fibres
se colorant faiblement par la méthode de Wei- g
gros fascicules, coupés perpendiculairement il leur lon- gueur. Les
fibres
du/zntavzeu affectent une disposition analogue, t
(Th); elles en forment le pédoncule antérieur (PaTh), ainsi que les
fibres
radiaires du noyau externe du thalamus (Ne). Les
nsi que les fibres radiaires du noyau externe du thalamus (Ne). Les
fibres
internes chemi- nent sous la forme d'un gros fa
vantes à la lame médullaire interne du noyau lenticulaire (mi). Ces
fibres
se dirigent toutes vers la couche optique (Th),
CENTRES NERVEUX. texture tout il fait particulière. On y trouve des
fibres
entre-croisées dans tous les sens; les unes s'é
entricule latéral, contournent la queue du noyau caudé (NC') et les
fibres
du tænia semi-circularis situées dans la lame c
atéral (VI), on se rend très nettement compte de la disposition des
fibres
qui concourent à former le segment rétro-lentic
la capsule (Cirl). Cette paroi est constituée par quatre couches de
fibres
qui sont de dedans en dehors : les fibres du tape
uée par quatre couches de fibres qui sont de dedans en dehors : les
fibres
du tapetu1ll (Tap), les libres des radiations t
u tapetu1ll (Tap), les libres des radiations thalamiques (RTh), les
fibres
du faisceau longitudinal inférieur (Fli) et les
s (RTh), les fibres du faisceau longitudinal inférieur (Fli) et les
fibres
propres du fond du sillon jiarallèle (t,). 1° L
, en dehors par les radiations thalamiques (RTh), et formée par des
fibres
fines, claires, peu colorées par l'hématoxyline e
rées par l'hématoxyline et sectionnées oblique- ment. Aucune de ses
fibres
n'entre dans la constitution du segment -leu lici
optiques de Gratiolet (RTh) sont formées par de gros fascicules de
fibres
, à direction antéro-postérieure au ni- veau de
térieure au ni- veau de la paroi externe du ventricule latéral. Ces
fibres
s'infléchissent au voisi- nage de la queue du n
s le pulvinar (Pul) de la couche optique dont elles constituent les
fibres
radiaires. Après avoir tra- versé la zone rétic
s il direction verticale, et forment avec ces dernières une zone de
fibres
très com- pacte décrite par Wernicke, qui augme
illé externe. Le champ de Wernicke (W) est formé par deux ordres de
fibres
: des fibres horizontales, qui appartiennent da
Le champ de Wernicke (W) est formé par deux ordres de fibres : des
fibres
horizontales, qui appartiennent dans la région
RCge) (voy. Coupes de la région sous-optique, lig. 308,309)- p. Des
fibres
verticales, fines, fortement colorées par l'hémat
t entre dans la con- stitution de la capsule externe (Ce). D'autres
fibres
, enfin, semblent se porter direc- tement en ded
ernières libres n'est pas élucidée (voy. cliap. V et t. II). 1° Les
fibres
propres du fond du sillon parallèle appartiennent
es du fond du sillon parallèle appartiennent au système des courtes
fibres
d'association; ce sont des libres parallèles, fai
ptique est formé, comme sur la coupe précédente (fin. 305), par des
fibres
appartenant aux radiations thalamiques postérieur
fibres appartenant aux radiations thalamiques postérieures (RTh); les
fibres
qui recouvrent l'extrémité antérieure de la cou
moyenne. Dans le tiers moyen du noyau externe du thalamus (Ne), les
fibres
radiaires sont coupées perpendiculairement à le
zone de Wernicke, ainsi qu'au niveau de son extrémité antérieure, les
fibres
radiaires sont sectionnées parallèlement à leur
parallèlement à leur longueur et constituent de gros fascicules de
fibres
à direction horizontale ou oblique, qui sillonnen
r de la couche optique (PaTh), qui entre dans la constitu- tion des
fibres
radiaires de l'extrémité antérieure du thalamus,
s, pénètre dans la couche optique sous forme d'un pinceau, dont les
fibres
embrassent la partie pro- fonde de son noyau an
DES CENTRES NERVEUX. part un faisceau conique et compacte, de fines
fibres
à direction horizontale ou légèrement oblique;
(VA), aborde par sa base le noyau antérieur (Na) et est croisé parles
fibres
radiaires du pédoncule antérieur de la couche o
e noyau interne (Ni) se caractérise par sa moins grande richesse en
fibres
et son aspect lisse; il reçoit cependant quelqu
ichesse en fibres et son aspect lisse; il reçoit cependant quelques
fibres
radiaires du pédoncule antérieur de la couche o
toujours caractérisé par son aspect clair, et son peu de richesse en
fibres
, qui affectent toujours un aspect fascicule.
e substance grise, dans laquelle apparaissent de gros faisceaux de.
fibres
qui affectent une disposition arboriforme et qui
(NL2) présente un aspect finement grenu, qui tient à sa richesse en
fibres
il directions très diverses, parmi les- quelles
lame médullaire supplémentaire (Imé), dans laquelle prédominent les
fibres
il direction horizontale. Le segment interne du
) présente un aspect pointillé, qui lient aux nombreux faisceaux de
fibres
sectionnés transversalement qui le traversent. La
u noyau (Inii) est surtout formée d'une part, de gros fascicules de
fibres
il direction verticale et par conséquent sectionn
s transversalement il leur longueur, et d'autre part, de nombreuses
fibres
hori- FiG. 307. Coupe horizontale microscopique
re eux les deux noyaux du globus pallidus (NL,, NL,). En avant, ces
fibres
horizontales s'infléchissent en dedans et travers
iculier que nous avons déjà indiqué sur les coupes précédentes. Les
fibres
horizontales du segment antérieur (Cia) s'irrad
he optique (Th) dont elles constituent le pédoncule (ultérieur. Les
fibres
du segment rétro- lenticit,laii-e.(Cir]) sont s
res se diri- gent obliquement en avant et en dedans, et forment les
fibres
radiées de la partie du noyau externe du thalam
artie du noyau externe du thalamus (Ne) qui touche au pulvinar. Les
fibres
moyennes, très obliquement sectionnées dans la
amp de Wernicke (W), considérablement élargi sur cette coupe. Les
fibres
du segment postérieur de la capsule interne (Cip)
rpendiculairement il leur axe, et subdivisées en fascicules par les
fibres
qui se rendent du noyau lenticulaire au thalamus.
ar les fibres qui se rendent du noyau lenticulaire au thalamus. Ces
fibres
lenliculo-opti- ques, à direction horizontale,
oup plus nombreuses ici que sur la coupe précédente (fig. 306). Les
fibres
du genou (Ci[g]) ont changé de direction; elles
, et sont subdivisées en gros fascicules de libres, en partie par les
fibres
de la lame médullaire interne (lmi) du noyau le
re interne (lmi) du noyau lenticulaire, en partie également par les
fibres
qui relient le deuxième segment du noyau lenticul
ulaire (N1) à l'extrémité antérieure de la couche optique (Th). Les
fibres
du genou s'infléchissent donc en avant, et s'ac
rement a leur axe. . Lorsque l'on étudie sur des coupes sériées les
fibres
du segment postérieur de la capsule interne (Ci
Ammon (CA); sa paroi externe présente quatre couches très nettes de
fibres
qui sont de dedans en dehors : - le Les fibres
uches très nettes de fibres qui sont de dedans en dehors : - le Les
fibres
il direction transversale et oblique du tapetum (
ibres il direction transversale et oblique du tapetum (tas); 20 les
fibres
a direction sagittale des radiations thalamiques
n foncée et l'apparence serrée de leurs fascicules; .1.0 enfin, les
fibres
propres du fond du sillon parallèle (t,), formées
u sillon parallèle (t,), formées dans les couches profondes par des
fibres
entre-croisées dans fous les sens, et dans les
sées dans fous les sens, et dans les couches superficielles par des
fibres
parallèles qui embrassent le fond du sillon. '
externe, toujours facile à distin- guer, grâce à la présence de ses
fibres
radiaires, on trouve la surface de section tran
tionnés perpendiculairement à leur axe, mais bien par de nombreuses
fibres
radiaires, qui pénètrent dans le noyau interne. C
ian de Luys (Nm). Le noyau interne du thalamus (Ni) reçoit quelques
fibres
radiaires, qui lui viennent du 1)(.,doîicule an
dont il se distingue cependant facile- ment, grâce à sa richesse en
fibres
. Le centre médian de Luys se présente donc sous
xterne, du thalamus (Ne) on trouve un espace triangulaire, riche en
fibres
, et qui se continue sur les coupes plus inférie
largi, il est recouvert par le st/'Cltwn zonale. (strz) et reçoit les
fibres
1'Il- niées des radiations thalamiques postérie
ance grise qui consti- tuent de véritables petits nids, entourés de
fibres
nerveuses. Il reçoit plusieurs systèmes de libr
s de fibres nerveuses. Il reçoit plusieurs systèmes de libres : les
fibres
internes se groupent en pelils fascicules forteme
ncule, antérieur de la glande pinéale ou tællill lhalami (llh). Les
fibres
externes colorées aussi intensivement que les lib
ravées de substance grise. La capsule extrême (Cex) est réduite aux
fibres
radiaires qui pénètrent dans 1'('COl'CC iiisîtl
du trigone (Tga). La tète du noyau caudé (NC) est traversée par les
fibres
du segment antérieur de la capsule interne (Cia);
du noyau lenticulaire (lmi) s'est élargie, elle est formée par des
fibres
horizontales, qui traversent le genou de la cap
rradient dans l'extrémité antérieure de la couche optique (Th). Les
fibres
horizontales de la lame médullaire intanc s'ent
ame médullaire intanc s'entre-croisent avec les gros fascicules des
fibres
radiaires des segments interne et externe du gl
ommissure grise ou molle (com), et qui est traversée par quel- ques
fibres
de la lame médullaire interne du thalamus (Lmi).
au corps genouillé interne (Cgi), et reçoit par sa face externe les
fibres
radiaires du thalamus. Ces fibres sont particuliè
et reçoit par sa face externe les fibres radiaires du thalamus. Ces
fibres
sont particulièrement accusées en arrière et en
s fibres sont particulièrement accusées en arrière et en avant; les
fibres
antérieures appartiennent au pédoncule antérieur
partiennent au pédoncule antérieur de la couche optique (PaTh). Les
fibres
postérieures séparent le noyau externe du thala
é interne (ci). . Vers la partie moyenne du noyau externe (Ne), les
fibres
radiaires sont beau- coup plus clairsemées; ell
(NF). · Le noyau interne du thalamus (Ni) reçoit en avant quelques
fibres
radiaires du pédoncule antérieur de la couche o
ibres les plus postérieures s'irradient dans le pulvinar (Pul), les
fibres
moyennes se réunissent pour former un faisceau
ntérieur (BrQa). Ses limites antérieures sont moins pré- cises. Ses
fibres
radiaires les plus postérieures le séparent du no
nt du noyau externe du thalamus (Ne). Un champ irrégulier, riche en
fibres
, la future région du ruban de lieil médian (rg
couvert par un ? 11-a- tum zonale (strz) épais, et sillonné par des
fibres
radiaires qui proviennent des radiations thalam
stance grise et de substance blanche, et sillonné par de nombreuses
fibres
radiaires, dont la direction est perpendicu- la
res radiaires, dont la direction est perpendicu- laire il celle des
fibres
qui constituent les lamelles. Le corps genouill
llé c.r/e/'He (Cge) est séparé du pulvinar (Pul) par quelques rares
fibres
; il est limité en avant par une épaisse couche de
ques rares fibres; il est limité en avant par une épaisse couche de
fibres
, dans laquelle s'irradie le bras du tubercule q
précédentes. Sa partie postérieure donne naissance il de nombreuses
fibres
très serrées, qui traversent de dedans en dehor
thalamus, sous le nom de radiations du corps genouillé externe. Ces
fibres
prennent leur origine dans l'écorce du lobe occip
s donc apparaître dans la couche optique trois nouveaux systèmes de
fibres
à savoir : 1° Le bras du tubercule quadrijumeau
ICROSCOPIQUES DU CERVEAU. 609 (Cia), est toujours constitué par des
fibres
sectionnées horizontalement, qui s'ir- radient
de la lame médullaire interne du noyau lenticulaire (lmi) quelques
fibres
sectionnées obliquement, et qui entrent dans le
ule (Ci(âJ). Il s'agit donc ici de libres appartenant au genou, (le
fibres
]/I;dullculail'p-s, qui entrent dans la constit
rme de faisceaux ou de fascicules, séparés les uns des autres par des
fibres
il direction horizontale, reliant le globus pal
uche optique. Notons cependant déjà ici une richesse plus grande en
fibres
transversales, dans toute la portion de la caps
st en contact avec le segment interne du globus pallidus (NL,); ces
fibres
se réunissent au niveau de la face externe de la
s encore sur la coupe précédente n° 8 (fig. 307). Ici en effet, les
fibres
au lieu d'apparaître sectionnées perpendiculairem
tion oblique, presque horizontale. Il s'agit donc ici d'un système de
fibres
dont la direction est assez analogue il celui q
e il celui que nous avons décrit dans le genou de la capsule (CiCes
fibres
horizontales de la partie postérieure du si'Ullll
comme étant la continuation dans Vêlage inférieur du pédoncule, des
fibres
des couches sagittales du lobe occipital (radia
. II), on constate très nettement que ce faisceau est formé par des
fibres
de projection qui, venant du lobe temporal (en pa
sur la coupe précédente (n° 8, fig. 307). On voit en effet ici les
fibres
qui constituent ce segment rétro-lenticulaire,
? 'c/; et se recourber en arrière, sous forme de gros fascicules de
fibres
qui vont se terminer soit dans le corps genouillé
czt lonzritztdizzal itr fét·ieur (1 li), la plus grande partie de ces
fibres
se rend à la première circonvolution temporale
e substance grise, incomplètement divisée en deux segments, par les
fibres
du segment antérieur de la capsule interne (Cia
relient la corticalité à l'extrémité anté- rieure du thalamus. Les
fibres
qui naissent de cette masse grise, commune au n
nt toutes dans le globus pal- lidus (NL,, NL,). Pour y arriver, les
fibres
du putamen (NL.,) n'ont qu'a traverser la lame
enticulaire semble être formé par quatre segments. Les nom- breuses
fibres
radiaires, qui naissent du segment interne du glo
pour former le faisceau lenticulaire de Forel (FI), faisceau de fines
fibres
obliques en avant et en dedans, fortement color
inconnue. Au niveau du segment interne du globus pallidus (NLJ, les
fibres
du genou de la capsule interne (Ci[g]) continue
our la première fois sur la coupe n° 8 (fig. 307), où l'obliquité des
fibres
est extrêmement faible, ne se rencontre plus au
(Cge). Sur la coupe actuelle (n° 10, fig. 309), on voit encore les
fibres
du segment antérieur de la cap- sule interne ab
antérieur de la capsule interne ne contient plus que quelques rares
fibres
du pédoncule antérieur du thalamus (PaTh), qui
capsule interne (Cip), on voit le faisceau de Tiirck (FT), formé de
fibres
sectionnées très obliquement et situé en avant
es six septièmes antérieurs de ce segment postérieur sont formés de
fibres
nettement sectionnées en travers et qui dégénèr
circonvolution frontale. FI, faisceau lenticu- laire de Forel. Flc,
fibres
lenticuo-caudées. Fli, faisceau longitudinal, inf
), par une lame étroite de substance grise, contenant de nombreuses
fibres
horizontales, c'est la zona incerta de Forel (Zi)
tie centrale, on reconnaît déjà l'exis- tence de ses trois zones de
fibres
: la zone externe, superficielle, entre dans la
du trigone (Tga), facile à reconnaître, grâce aux gros fascicules de
fibres
qui le constituent. En dedans, on trouve les pr
es de fibres qui le constituent. En dedans, on trouve les premières
fibres
transversales de la partie moyenne de la commis
noyau caudé (NC). En arrière et en dehors du trigone, on trouve les
fibres
du /.fH<6[ semi-rircularis et de la lame corné
subdivisé par la lame médullaire interne supplémentaire (lmi'). Les
fibres
radiaires de ce segment interne, extrêmement nomb
segment antérieur de la capsule (Cia) sont représentés par quelques
fibres
horizontales que l'on suit jusqu'à la commissure
tiennent au pédoncule antérieur de la couche optique. Ce système de
fibres
qui sépare, fort incomplètement du reste, le noya
mais il a perdu alors toute connexion avec la couche optique, et les
fibres
qui le constituent ne dépassent guère la commis
le constituent ne dépassent guère la commissure antérieure (coa). Ces
fibres
viennent des parties inférieures du lobe fronta
rel (CL), est formé de substance grise, sillonnée par de nombreuses
fibres
et contient de grandes cellules polygonales et mu
ue. Le segment postérieur de la' capsule interne (Cip) est formé de
fibres
à direc- tion verticale, sectionnées transversa
térieur est occupé par le faisceau de 7'M<'e& (FT); formé de
fibres
horizontales et qui, comme sur les coupes précéde
férieur (Fli) et en arrière par la queue du noyau caudé (NC) et les
fibres
du tænia .seHM-c ? cM- laris situées dans la la
précédemment, la zone de Wernicke (W), en s'entre-croisant avec les
fibres
du corps genouillé externe (Cge). Quant au fais
r°icvr(lli), tout, en ayant l'air d'abandonner un certain nombre de
fibres
au segment rétro-lenti- culaire de la capsule,
aire de la capsule, il continue sa route en avant, en fournissant des
fibres
à la première circonvolution temporale, ainsi q
s antérieurs de la capsule interne sont traversés par de nombreuses
fibres
horizontales, présentant une origine et une termi
ois groupes : le groupe antérieur et le groupe moyen font suite aux
fibres
radiaires du segment interne du globus pal- lid
psule interne, se réunissent en un faisceau rectangulaire, formé de
fibres
entre-croisées dans toutes les directions, mais
a partie supérieure sur la coupe précédente (n° 10, suri. 309). Les
fibres
du groupe moyen abordent le corps de Lugs (CL) da
n abordent le corps de Lugs (CL) dans lequel elles s'irradient; les
fibres
postérieures proviennent également du segment int
oyau lenticulaire (NL,); elles sont beaucoup moins nombreuses que les
fibres
des deux groupes précédents, et s'irradient dan
dient dans la zona incerta de Forel (Zi). Ces différents groupes de
fibres
sont très faciles à étudier et à suivre, sur le
onstate des. particularités intéressantes. En effet, tandis que les
fibres
verticales ? systèffiè'col'lico-pym1Jlidal et sys
lle il celle de la zone motrice corticale détruite, par contre, les
fibres
horizontales appartenant aux trois variétés que n
zontales appartenant aux trois variétés que nous venons de décrire,
fibres
radiaires antérieures, moyennes et postérieures,
postérieur de la capsule (Cip) esl entouré par un gros faisceau de
fibres
horizontales, l'anse du noyau lenticulaire (Al).
isceau de fibres horizontales, l'anse du noyau lenticulaire (Al). Ces
fibres
font suite aux lames médullaires internes (lmi,
rne (Cgi), dont il est séparé par un petit faisceau triangulaire de
fibres
horizontales (Rc), qui s'insinuent entre le fai
ge. Il dégénère il la suite de lésions de l'écorce cérébrale et ses
fibres
dégénérées peuvent être suivies jusque dans le no
) d'autre part. Il est surtout constitué dans cette région, par des
fibres
il direction horizontale appartenant en partie au
facile à reconnaître, grâce il sa forme et au gros diamètre de ses
fibres
. En avant du ruban de Reil, on trouve le faisce
corps de Luys (CL) par une étroite lame de substance grise riche en
fibres
il myéline, la zona incerta de Forel (Zi). Les
ur les coupes précédentes, est 19JJj.ru.I.l ? \.. recouvert par les
fibres
du bras du tubercule quadrijumeau antéicfyr ? (t)
embryonnaire et de la tête du noyau caudé (NC), elle est formée de
fibres
parallèles, disposées en faisceaux serrés. Elle
allèles, disposées en faisceaux serrés. Elle se coude au niveau des
fibres
qui constituent les derniers vestiges du segmen
de la capsule interne (Cia), se dirige en arrière et en dehors, ses
fibres
cessant alors d'être nettement parallèles, pour d
s, pour décrire un léger mouvement spiroïde, de telle sorte que les
fibres
les plus antérieures, se portent obliquement en
allidus (NL,). Elle atteint ensuite la capsule externe (Ce), où ses
fibres
s'arrêtent assez brusquement au voisinage de nomb
(Cia), l'autre postérieure, comprise entre elle et les der- nières
fibres
du segment rétro-lenticulaire de la capsule inter
du pulmnen est en rapport avec la capsule externe (Ce), et avec les
fibres
les plus antérieures du faisceau longitudinal inf
la coupe précédente (n° 11, fig. 310) et contient beaucoup moins de
fibres
. En arrière il est séparé du ventricule sphé- n
séparé du ventricule sphé- noïdal (Vsph), par la lame cornée et les
fibres
du taenia scmi-circularis (le) qui s'in- fléchi
(NC'). Ce segment rétro-lenticulaire est formé ici surtout par des
fibres
des radiations thalamiques (RTh). La plupart de
ro-lenticulaire de la capsule interne (Cirl), on trouve un champ de
fibres
sectionnées parallèlement à leur axe, qui émergen
s passent - et se dirigent obliquement en dedans et en arrière. Ces
fibres
viennent de l'écorce temporale et appartiennent e
u lenticulaire (lmi), en dedans il donne naissance il de nombreuses
fibres
qui traversent le segment postérieur de la capsul
erne du noyau lenticulaire (lmi) et que la bandelette optique (II),
fibres
qui s'étendent entre ces deux organes, el qui c
commissure de Meynert (CM). Celte, commissure donne naissance à des
fibres
nombreuses, qui traversent le tiers postérieur
r de la capsule (Cip), et subdivisent ce dernier en fascicules. Les
fibres
les plus antérieures atteignent le corps de Luys
érieure du segment interne du noyau lenticulaire (NL,), partent des
fibres
transversales, qui traversent le tiers antérieur
térieur, qui représente le faisceau de ! 'ürck(1T), est seul formé de
fibres
couchées et sectionnées encore obliquement. Le
s interne (Cgi) et externe (Cgi), en avant, avec un petit faisceau de
fibres
fines, le pédonculeinjëro-inlc1'Ile de la coztc
surface extérieure de la région sous-thalamique. La plupart de ces
fibres
ne font que traverser ce noyau, pour se rendre
t forme dans la concavité du ruban delleil médian(Hm)nn faisceau de
fibres
, le faisceau de la com- missure postérieure (Fc
à savoir : la couche superficielle grise, qui donne nais- sance aux
fibres
qui entrent dans la constitution du bras du tuber
uadri-- jumeau antérieur (BrQa); la couche moyenne, formée de fines
fibres
fortement colorées, qui se dirigent obliquement
entrer dans le ruban de Reil (Rm). La couche profonde est formée de
fibres
parallèles qui se por- tent presque transversal
nie au noyau caudé (NC), n'en est séparée que par des fascicules de
fibres
interrompus, représentant les der- niers vestig
port en arrière avee une lame de substance grise, sillonnée par des
fibres
à direction oblique en avant et en dedans, qui ap
de la tête du noyau candi; est en rapport avec un petit faisceau de
fibres
diffuses, sectionnées transversalement, et qui ap
laire de la capsule (Cirl), formé surtout dans cette région par des
fibres
apparte- nant aux radiations thalamiques de Gra
le)iti- culaire de la capsule interne, abandonne un grand nombre de
fibres
à la première circonvolution temporale (Ti), pu
e (le), qui donne insertion aux plexus choroïdes (Plch) et dont les
fibres
qui appartien- nent au henia semi-CÍI'wlaris s'
u, le prcocicr·,cn.gncenl (\L,) n'est représenté que par la couche de
fibres
qui double sa base, et qui forme l'anse du noya
qui forme l'anse du noyau lenticulaire (Al). Quelques- unes de ces
fibres
traversent la partie interne du pied du pédoncule
? bandelette optique. 624 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. quelques
fibres
peuvent être suivies il la partie externe du fais
ous l'avons dit plus haut, que dans sa moitié anté- rieure, par les
fibres
de l'anse du noyau lenticulaire (Al) et de la com
capsule, interne (Cip) des coupes précédentes est surtout formé de
fibres
sectionnées transversalement ou obliquement, et
transversalement ou obliquement, et séparées en fascicules par les
fibres
de l'anse du noyau lenticulaire (Al) et de la com
e loge le corps de Lu ys (CL), nettement délimité par une couche de
fibres
il ses parties interne et externe. En dedans du c
ne et externe. En dedans du corps de Luys, au milieu de la masse de
fibres
constituée sur la coupe précédente (voy. fig. 311
tillé, qu'il. doit à la section du grand nombre des fas- cicules de
fibres
qui le traversent et il est entouré d'une véritab
fibres qui le traversent et il est entouré d'une véritable capsule de
fibres
nerveuses, dont les internes affectent une dire
e, et on y reconnaît déjà très nette- ment, au moins deux ordres de
fibres
: les unes, fibres de fin calibre, groupées sur
t déjà très nette- ment, au moins deux ordres de fibres : les unes,
fibres
de fin calibre, groupées surtout au voisinage d
upées surtout au voisinage de la capsule du noyau rouge, les autres
fibres
de gros calibre, entourées d'une gaine épaisse
du tubercule quadrijumeau antérieur (Qa) on observe trois sortes de
fibres
: les postérieures, les plus superficielles, très
dale (Vsph). Sa face venlriculaire est recouverte par une couche de
fibres
sectionnées transversalement il leur axe et qui a
1 ? e)iia scmi-circularis ; sa face profonde est en rapport avec les
fibres
à direction transversale de la substance innomi
ibres à direction transversale de la substance innominée (Stil. Ces
fibres
, qui appartien- nent au pédoncule inféro-intern
se de la première circonvolution limbique, se trouve un faisceau de
fibres
fines, peu serrées, qui appartient il la surface
ette diagonale de Broca (bd) ou le pédoncule du septum lucidum. Ses
fibres
se dirigent en arrière et en dehors, côtoient le
se perd dans la partie interne de la capsule de ce noyau. Quelques
fibres
de l'unse lenticu- laire s'irradient dans la su
CENTRES NERVEUX. cule cérébral (P) est sillonnée par de nombreuses
fibres
fortement colorées en noir, à direction transve
et l'anse du noyau lenticulaire (Al), apparaît un petit faisceau de
fibres
fortement colorées, dont l'origine se voit nettem
t le ruban de Reil médian (Rm) qu'il traverse, et dans le- quel ses
fibres
semblent se perdre. Le pédoncule du tubercule mam
olume, et il est toujours caractérisé par son aspect pointillé. Des
fibres
disposées en fascicules très rap- prochés le su
êlage inférieur du pédoncule ; il est sillonné par un grand nombre de
fibres
fas- cicnlees, sectionnées transversalement, pe
récit en avant, et il est formé au niveau du corps de Luys [par des
fibres
faiblement colorées par la méthode de Weigert.
minée de Reichert (Sti); en avant et en dedans d'elle on trouve les
fibres
de la commissure de Meynert (CM). La substance
rcule quadriju- 1UNIU antérieur (BrQa) est réduit il quelques rares
fibres
, qui forment il ce tuber- cule un slratum zonal
circonvolutions qui le limitent, et abandonne un certain nombre de
fibres
il la crête de ces circonvolutions, à savoir : au
et à la circonvolution de l'hippocampe (II) où elles s'unissent aux
fibres
duj'aisccau ]1OS- tl'I'iew' du cil1gulwn,. Le
mmédiatement en dehors de la queue du noyau caudé (ni). Ce sont des
fibres
à direction sagil- tale, parallèles à la paroi
roi externe du ventricule sphénoïdal (Y$\A\) et recouvertes par les
fibres
des radiations thalamiques (RTh). Ces dernières,
i. Lorsque ce segment rétro-lenticulaire de la capsule a disparu, ces
fibres
s'arrêtent en général assez brusquement au nive
tution du pédoncule inféro-interne de la couche optique (PiTh). Ces
fibres
des radiations optiques (RTh) sont recouvertes pa
recouvertes par le faisceau longitudinal inférieur (Fli), dont les
fibres
affectent le même trajet et présentent la même
lus intensivement il l'aide de la méthode de Weigert. En avant, les
fibres
du faisceau longitudinal inférieur entrent dans l
pocampe (H) est recouverte par une, couche plus ou moins épaisse de
fibres
blanches, la substance réticulée d'1r>rold, ou
uire superficielle de la corne d'Ammon (Lms). Elle est formée par des
fibres
tan-. Tic;. 314. Coupe horizontale microscopiqu
g. 313) les plexus choroïdes de la corne sphénoïdale ont disparu, les
fibres
du pilier postérieur du trigone sont moins nomb
convolution du crochet (U), dont elle est séparée par une couche de
fibres
très lâches, tout à fait comparable à celle qui s
une petite masse de substance grise, sillon- née par les dernières
fibres
du pied de la couronne rayonnante (IiCR), et sépa
e -de l'écorce qui tapisse le fond du sillon olfactif (fi), par des
fibres
propres appar- tenant à cette région. En avant,
ve le sillon olfactif ({.;). En arrière, il est en rapport avec les
fibres
parallèles de la bandelette diagonale de Broca (b
ne; en arrière du faisceau de Vicq d'Azyr, on trouve un faisceau de
fibres
lâches, fines, il direction transversale, paral
e la partie externe de la couche optique (Th) est sillonnée par des
fibres
radiaires, épaisses et fasciculées, dont quelqu
différencie guère au niveau de son point de pénétration, d'avec les
fibres
radiaires de la face externe du thalamus. La limi
vers la commissure molle (com), que traversent quelques-unes de ces
fibres
. FiG. 316. Coupe n° 1 x, passant par la ligne 1
- com, commissure molle. FI, faisceau lenticulaire de Forel. - Fic,
fibres
lenticulo-caudées. Fli, faisceau longitudi- nal
couche nhlic/tte (Tlr), entre le pédoncule antérieur (PaTh) et les
fibres
radiaires du noyau externe (Ne), on trouve la sec
lagée tend il disparaître; elle est remplacée par une zone riche en
fibres
, sectionnées transversalement, et qui se continue
ent le pédoncule rttrlrrieua(P;tTl1). Le genou (Ciest formé par des
fibres
coupées transversalement ou légèrement obliques.
ées transversalement ou légèrement obliques. Les gros fascicules de
fibres
, qui forment le segment postérieur de la capsule
r de la capsule interne (Cia), ils sont dissociés par de nombreuses
fibres
qui viennent de la lame médullaire interne du n
on- nées perpendiculairement il leur longueur, est traversé par des
fibres
beaucoup moins nombreuses à direction horizonta
oisième segment du noyau lenti- culaire (NL.,), et représentent les
fibres
lenticulo-caudées, les autres se dirigent en av
ent toute l'extrémité postérieure de ce noyau. Un certain nombre de
fibres
du faisceau longitudinal inférieur (Fli) peu- v
re. - com, commissure molle. FI, faisceau lenticulaire de Forel. Fle,
fibres
lenti- culo-caudées. Fli, faisceau longitudinal
la. la, insula antérieur. Ip, insula postérieur. le, lame cornée et
fibres
du toenia semi-circularis. Lme, lame médullaire e
ne (Cia) a disparu, il n'est plus représenté que par quelques rares
fibres
horizontales appartenant au pédoncule antérieur
l noter; ils reçoivent comme précédemment et dans le même ordre les
fibres
radiaires. La lame médullaire interne du thalam
tre sur les coupes suivantes le faisceau rélroflexe de Meynert. Les
fibres
de la lame, médullaire interne du thalamus trav
nt la commissure molle, (com). Cette dernière renferme en outre des
fibres
d'apparence commissurale, qui relient les deux
on trouve un faisceau d'aspect triangulaire, très allongé, formé de
fibres
horizontales, qui se portent en arrière et en d
aire interne du noyau lenticulaire (lmi), se détache un faisceau de
fibres
parallèles, oblique également en arrière et en
la. la, insula antérieur. Ip, insula postérieur. - le, lame cornée et
fibres
du taenia semi-circularis. Lme, lame médullaire
présente rien de particulier il noter. On y rencontre toujours les
fibres
lenticulo-caudées (1 lc), croisées par les fibr
ntre toujours les fibres lenticulo-caudées (1 lc), croisées par les
fibres
des radiations thalamiques postérieures (RTh) et
enticulaire de la capsule interne (Cirl), tandis que la plupart des
fibres
du faisceau longitudinal inférieur coiffent l'e
ment interne du noyau lenticulaire, se détachent clés fascicules de
fibres
très élégantes, se colo- rant fortement par la
iangulaire il base interne, constitué presque exclusivement par des
fibres
horizontales dirigées de dehors en dedans. Ces
ps de Luys. cop, commissure postérieure. F, champ de Forel. - floc,
fibres
lenticulo-caudées.. Fli, faisceau longitudinal
. la, insula anté- rieur. Ip, insula postérieur. le, lame cornée et
fibres
du tænia semi-circularis. Lme, lame médullaire
terne du globus pallidus (NL, NL" NL,'), se détachent de nombreuses
fibres
transversales qui se portent en dedans et trave
té antérieure de la couche optique (Th) dans un champ irrégulier de
fibres
, le champ de Forel (F). Les fibres qui traverse
(Th) dans un champ irrégulier de fibres, le champ de Forel (F). Les
fibres
qui traversent le corps de Luys appartiennent enc
parti.e-.antèroex.terne. Elles s'enlre-croisent il ce niveau avec les
fibres
du fais- ceau thalamique de Forel, lesquelles s
se dirigent en arrière et en dehors, et avec de. gros fascicules de
fibres
qui appartiennent déjà aux radiations de la calot
eynert, (FM), la partie inférieure du ganglion de l'habénula et les
fibres
de la commissure postérieure (cop). Une petite
eure (cop) en deux parties : l'une antérieure ou ventrale, dont les
fibres
se portent en dehors, et entrent sur les coupes s
um zonale (strz). La zone de Wernicke (W) s'est un peu élargie. Les
fibres
radiaires sont cxtl't'- mement nombreuses, ains
Les fibres radiaires sont cxtl't'- mement nombreuses, ainsi que les
fibres
du stratum zonale. A la partie posté- rieure de
trouve la section transversale de la lame cornée (le) contenant les
fibres
du renia semi-circularis. Coupe n° 5 x (fig.
us. la, insula antérieur. Ip, insula postérieur. le, lame cornée et
fibres
du t,enia semi-circularis. lme, lame médullaire
e postérieure (cop). Le segment ventral de cette commissure, formé de
fibres
parallèles, se recourbe en avant et en dedans e
stérieure , on trouve le noyau rouge (NR), entouré de sa capsule de
fibres
; il reçoit en arrière le faisceau rétroflexe de
ro-in terne de la capsule du noyau rouge est formée de faisceaux de
fibres
sectionnées perpendiculairement; la partie intern
fibres sectionnées perpendiculairement; la partie interne, par des
fibres
à direction antéro-postérieure, enfin la partie e
re de la capsule du noyau rouge, se détachent de gros fascicules de
fibres
un peu onduleux, qui se portent en dehors et qu
eliés au niveau de la substance perforée postérieure (Spp), par des
fibres
commissurales transversales (eF), qui occupent le
e corps de Luys (CL) a augmenté de volume, il reçoit de nombreuses
fibres
du glo- bus pallidus (NL,, NL" NL,'). L'anse du
apparait la commissure de Meynert (CM), sous forme de fascicules de
fibres
à direction parallèle, qui semblent au début ap
), on trouve le ganglion du tubercule mamillaire latéral (Tml). Les
fibres
qui en naissent, formant le pédoncule du tuberc
la partie morcelée de l'avanl-azeccr (AM), limité en dehors par les
fibres
du faisceau unci- nalus (Fu). COUPES MICROSCO
nt sur cette coupe le centre médian de Luys (ThNm), dans lequel les
fibres
ont considérable- ment augmenté de nombre. Ces
ns lequel les fibres ont considérable- ment augmenté de nombre. Ces
fibres
appartiennent déjà au ruban de Reil, qui se tro
cule quadrijumeau antérieur (Qa), apparaissent les trois couches de
fibres
caractéristiques de ce noyau, les superficielle
et en arrière, il donne naissance en dedans à un certain nombre de
fibres
fines, qui se portent vers la ligne médiane dan
elles forment l'enlre-cl'oisemenl ou commissure de Forel (eF). Ces
fibres
s'entre-croisent avec le pédoncule du tubercule
nticulaire, et en particulier des radiations thalamiques (RTh), des
fibres
qui l'abordent obliquement. La partie interne du
veau. Elle est recouverte par la commissure de (CM) et par quelques
fibres
de la bandelette optique (II). La commissure de
re de Meynert, sur la ligne médiane, on trouve un petit faisceau de
fibres
qui se perd dans la substance grise, du tuber cin
au lenticulaire, formé encore de deux segments (NL,, ,'). De là ses
fibres
se recourbent, se dirigent en arrière et en ded
de Gudden. - Fu, faisceau uncinatus. I; insula. le, lame cornée et
fibres
du tamia semi-circularis. ml ? face interne de
optique. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. Ma en effet formée de
fibres
réunies en fascicules espacés et séparés par la s
ereum (Te); la bandelette optique (II), au contraire, est formée de
fibres
fines, extrêmement serrées, fortement colorées pa
lles. Elle est formée de deux parties : l'une postérieure, riche en
fibres
obliques en dehors et en arrière, et qui appartie
nt-mur (AM) et le fais- ceau uncinalus (Fu), ainsi que par quelques
fibres
fortement colorées, qui appartiennent au tuberc
n de Reil médian (Rm), uni au niveau de sa partie postérieure à des
fibres
à direction transversale fortement colorées, qu
nt enclavé dans la partie inférieure de la couche optique (Th). Les
fibres
du bras du tubercule quadrijumeau postérieur et d
n dehors et en arrière, il donne naissance il de gros fascicules de
fibres
qui appartiennent aux radiations de la calotte (R
bstance grise de l'aqueduc est nettement limitée en arrière par des
fibres
transversales, qui font suite aux fibres de la
limitée en arrière par des fibres transversales, qui font suite aux
fibres
de la commissure postérieure des coupes précédent
sommet très effilé se dirige en avant, et qui limite en arrière les
fibres
qui forment la capsule du noyau rouge. La couche
rière les fibres qui forment la capsule du noyau rouge. La couche des
fibres
moyennes du tubercule quadrijumeau antérieur (Q
térieur (Qa) se rend dans le ruban de Reil (Rm). Elle est formée de
fibres
obliques en avant et en dehors. La couche super
liques en avant et en dehors. La couche superficielle est formée de
fibres
parallèles à la courbure du tubercule quadri- j
nouillé interne (Cgi) du pulvinar (Pul). Au niveau du pulvinar, ces
fibres
s'entre-croisent avec la zone de Wernicke (W),
gie de la zone de Wernicke (W). Le pulvinar (Pul) reçoit encore des
fibres
radiaires assez nombreuses, qui lui viennent de
ourbe à concavité interne. Ainsi que Wernicke l'a fait remarquer, ces
fibres
présentent les plus grandes analogies avec les
emarquer, ces fibres présentent les plus grandes analogies avec les
fibres
de la bandelette optique (II); elles ont en eff
rrés, séparés les uns des autres par des fentes longitudinales. Ces
fibres
sont croisées par les fibres radiaires du pulvi
res par des fentes longitudinales. Ces fibres sont croisées par les
fibres
radiaires du pulvinar (Pul), qui, provenant des
ure de la couche optique (Th); elles sont croisées en outre par les
fibres
du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa
du bras du tubercule quadrijumeau antérieur (BrQa) et par quelques
fibres
du ruban de Reil (Rm). La zone réticulée ou grill
la tête du noyau caudé (NC), on trouve la section transversale des
fibres
du icerzia semi-circularis situées dans la lame c
laire de la capsule interne (Cirl) comprend un très grand nombre de
fibres
dont la direction et l'origine sont variables; le
sent en diagonale cette région de la capsule; elles font partie des
fibres
lenticulo-caudées. Les autres appartiennent aux f
t partie des fibres lenticulo-caudées. Les autres appartiennent aux
fibres
radiaires du pulvinar (Pul) : ce sont les radia
ues postérieures (RTh). Elles s'enlre-croisent obliquement avec les
fibres
lenticulo-caudées, concourent à for- mer la côn
iculo-caudées, concourent à for- mer la cône de Wernicke (W) et les
fibres
radiaires du pulvinar. D'autres encore sont sit
r, ainsi que l'un de nous a pu le constater dans plusieurs cas, ces
fibres
dégénèrent ri la suite des lésions corticales des
e Meynert. Fil, faisceau unci- natus. 1, insula. le, lame cornée et
fibres
du taenia semi-circularis. Ln, locus ni.-or. -
ATOMIE DES CENTRES NERVEUX. la capsule interne. Ces trois ordres de
fibres
sont limités en dehors par un fais- ceau de lib
dehors par un fais- ceau de libres parallèles et très serrées, les
fibres
du faisceau longitudinal in fn- 1'iew' (Fli). C
fond du sillon marginal postérieur de l'insula (mp) par les courtes
fibres
d'association qui relient la première circonvol
situé très près de la ligne médiane, entouré d'une mince couche de
fibres
blanches, et logé dans la substance grise du tube
le interne. La séparation entre ces deux régions est formée par les
fibres
de la commissure de Meynert (CM), qui traversen
la tête du zzoyzcrc caudé (\C) et bordée par un mince fascicule de
fibres
fortement colorées, appartenant il la racine ol
capsule interne (Cirl) envoie tou- jours de nombreux fascicules de
fibres
dans le pulvinar. Le pied du pédoncule cérébral
section de la commissure antérieure (coa), limitée en dehors par les
fibres
de la Fig. 323. Coupe n° 8 x, passant par la li
ceau de Turck. Fu, faisceau uncinatus. ? insula. le, lame cornée et
fibres
du ttenia semi-lenticularis. LIl, locus niger. Nu
NERVEUX. capsule externe (Ce) et V avant-mur (AM), morcelé par les
fibres
du faisceau unci- nalus (Fu). La bandelette o
à la substance grise du tuber cinereum (Te). L'entre-croisement des
fibres
de la bandelette se fait dans les trois quarts
rieurs du chiasma; le quart postérieur est formé uniquement par des
fibres
parallèles, qui se continuent avec les fibres les
mé uniquement par des fibres parallèles, qui se continuent avec les
fibres
les plus internes des deux bandelettes optiques
uban de Reil médian (Rm), qui reçoit un faisceau extrêmement net de
fibres
, qui lui viennent du segment 1'I : II'o-lenticu-
segment 1'I : II'o-lenticu- laire de la capsule interne (Cirl). Ces
fibres
appartiennent très probablement aux radiations
aractéristiques du corps genouillé externe (Cgc). Les fascicules de
fibres
de la zone de Wernicke sont lins, serrés, et ex
ins, serrés, et extrêmement nombreux; ils s'enlre-croisent avec les
fibres
onduleuses qui proviennent du segment rétro-len
ques. Zr, zone réticulée ou grillagée. Il, bandelette optique. 111,
fibres
radiculaires de la troisième paire. 632 ANATOMI
evient plus épaisse, surtout en dedans, où elle est croisée par les
fibres
radiculaires de la troisième paire (III). Les f
roisée par les fibres radiculaires de la troisième paire (III). Les
fibres
de la couche profonde du tubercule quadri- jume
ur (Qa) se portent en avant et en dedans, s'entre-croisent avec les
fibres
du faisceau longitudinal postérieur (Flp), avec l
avec les fibres du faisceau longitudinal postérieur (Flp), avec les
fibres
de la partie interne de la capsule du noyau rou
es de la partie interne de la capsule du noyau rouge, puis avec les
fibres
radiculaires de la lzoi- sième paire (III). Arr
aux de la troisième paire (NIII), séparés par de gros fascicules de
fibres
, appartenant aux radicules de ce nerf. Cette co
u du bord postérieur du locus niger. Le locus niger est très riche en
fibres
entre-croisées dans tous les sens, groupées en
est encore inconnue. Il existe toutefois dans cette zone un groupe de
fibres
plus colorées qui s'en détache nettement. Ce pe
eil médian (Rm) et le faisceau longi- ludinal postérieur (Flp). Ces
fibres
appartiennent, ainsi que Gudden l'a montré, au
t du noyau lenticulaire (pulamen) (nul,,) un volumineux faisceau de
fibres
à direction transversale : le faisceau de Türck (
sceau de l'iirclc (FT) et la capsule, externe (Ce), renforcée par des
fibres
venant du faisceau longitudinal inférieur (Fli)
ubercule olfactif est formé d'une masse grise centrale, entourée de
fibres
à myéline fortement colorées, et représentant mor
myéline fortement colorées, et représentant mor- phologiquement les
fibres
laiigeiiiielles de cette écorce rudimentaire. C
ue par les corps genouillés interne et externe (Cgi, Cge), et par des
fibres
qui, se détachant de la partie postérieure de l
pro- fonde, il reçoit un nombre assez considérable de fascicules de
fibres
, apparte- nant au bras du t ubl ? 1'culc. quadl
est intéressant à étudier, ainsi que sa partie adjacente, riche en
fibres
et qui appartient à la SUú- stance innominée de
ulaire de la capsule (Cirl) contient en effet de gros fascicules de
fibres
, il direction presque antéro-posté- rieure, et
les forment un angle presque droit; elles représentent en effet les
fibres
de projection corticales du globus pallidus. La
projection corticales du globus pallidus. La plus grande masse des
fibres
du segment rétro-lenticulaire est formée par Fi
faisceau de Türclc. - Fu, faisceau unci- natus. le, lame cornée et
fibres
du toenia semi-circularis. Lms, lame médullaire s
uban de Reil médian. RTh, radia- tions optiques de Gratiolet. RTh',
fibres
de projection corticale du globus pallidus, RTht,
let. RTh', fibres de projection corticale du globus pallidus, RTht,
fibres
de projection de la partie antérieure du lobe tem
e (W). Mais le pulvinar reçoit en outre d'autres gros fascicules de
fibres
, qui passent sous le pulamen (NL.,), se dirigent
dedans, et traversent la substance innominée de Reichert (Sti). Ces
fibres
(RTht) proviennent des parties antérieures du l
s parties antérieures du lobe temporal. Elles sont croisées par des
fibres
à direction presque transversale, qui se logent
rouve encore ici le faisceau longitudinal inférieur (Fli), avec ses
fibres
disposées en fascicules serrées et d'aspect car
fibres disposées en fascicules serrées et d'aspect caractéristique,
fibres
dont la plus grande partie, entre dans la const
ent constitué. Le locus niger (Ln) a encore augmenté de volume. Les
fibres
du sl1'alwn intel'1lwdillln sont beaucoup plus
s fascicules au niveau de la partie postérieure du locus niger. Les
fibres
du pied du pédoncule cérébral (P) présentent dé
me sur les coupes pré- cédentes, formé par un aussi grand nombre de
fibres
nettement coupées en travers. Ces fibres sont c
r un aussi grand nombre de fibres nettement coupées en travers. Ces
fibres
sont couchées sous des angles plus ou moins obliq
u moins obliques, ce qui tient à la torsion qu'éprouvent toutes les
fibres
Au pied du pédoncule, peu de temps après leur é
oncule, peu de temps après leur émergence à la base du cerveau. Les
fibres
sectionnées obliquement sont surtout nombreuses
moitié interne du pied du pé- doncule; dans la moitié externe, les
fibres
coupées transversalement, ainsi que les fibres
moitié externe, les fibres coupées transversalement, ainsi que les
fibres
horizontales, dominent. Ces dernières viennent su
ncule est extrêmement large, et formé presque exclusivement par des
fibres
horizontales, qui appar- tiennent les unes au f
M). Ces dernières constituent ce que Wernicke a décrit sous le nom de
fibres
pédonculaires de la bandelette optique. Au ni
s nerfs optiques (xll) et le trigone olfactif (Toi) avec sa couche de
fibres
nerveuses. Au niveau de sa partie postérieure,
qui double le prolongement sphénoïdal du ventri- cule latéral. Ces
fibres
se dirigent en arrière et en dedans, s'entre-croi
bres se dirigent en arrière et en dedans, s'entre-croisent avec les
fibres
de la zone de Wernicke (V) et s'irradient dans le
s épais et se prolonge en dehors jusqu'à la lame cornée (le) et aux
fibres
du laenia semi-cir- cularis. Le corps genouillé
longue, très réduite de volume, entourée d'une très mince couche de
fibres
nerveuses. Le corps genouillé externe (Cge) est
rnicke (W), et reçoit en avant la bandelette optique (II), dont les
fibres
s'irradient dans ce ganglion, et dont quelques-
ertains éléments du tubercule quadrijumeau postérieur. La couche de
fibres
profondes (3) et la couche de libres moyennes (
arrière de l'aqueduc de Sylvius (Aq), a augmenté d'étendue, el ses
fibres
entrent en connexion soit avec la couche profonde
lles du côté opposé au niveau de la partie antérieure du raphé. Les
fibres
de la couche moyenne ('2) du tubercule quadriju
a presque disparu et n'est plus représentée que par quelques rares
fibres
, qui se dirigent obliquement en dehors et en avan
longitudinal postérieur. Fu, faisceau uncinatus. le, lame cornée et
fibres
du taenia semi-circularis. Ln, locus niger. NIII,
a troisième paire. 6;i8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. faisceau de
fibres
parallèles fortement colorées, le bras du tubercu
rées, le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BrQp), dont les
fibres
se continuent insensiblement en dedans avec le
duite en dehors, tandis qu'en dedans elle forme un gros faisceau de
fibres
très serrées, sectionnées transversalement, et
xtrémité interne Au locus niger (Ln), sont traversés par de grosses
fibres
radiculaires appartenant il la troisième paire (I
re (III). Au niveau du raphé nous trouvons, d'arrière en avant, les
fibres
radiculaires internes de la troisième paire, le
n avant,' entre les deux noyaux rouges (NR), un entre-croisement de
fibres
transversales, décrit par Forel sous le nom A' en
nt ventral de la valottr,, (xF) (Ventrale Haubenl : reuzunâ). Les
fibres
qui forment ce dernier entre-croisement naissent
tubé- rance puis dans celle du cordon latéral de la moelle. - Les
fibres
de Ventre-croisement de la calotte de Meynert pre
érébral est nettement délimité en arrière; il ne reçoit plus aucune
fibre
de la base du cerveau. Le pied du pédoncule céréb
udinal postérieur (Flp), qui envoie dans le raphé des fascicules de
fibres
atteignant presque la partie moyenne de ce raph
tubercule qua- drijumeau postérieur (BrQp) contient un peu moins de
fibres
que sur la coupe précédente, mais ses connexion
coupe. En avant de ce noyau, et embrassé par la couche profonde des
fibres
du tubercule quadrijumeau antérieur, on trouve
au antérieur, on trouve un petit croissant (Vc) formé par de, fines
fibres
vues en section transversale et qui entourent de
petite racine motrice descendante de la cinquième paire (Vc) et ses
fibres
ne sont autres, ainsi que l'a montré Foret, que l
dans du pied du pédoncule cére'Gral (P) se trouvent sectionnées les
fibres
les plus supérieures de la protubérance, le tænia
n effet, par de la substance grise diffuse, et par trois couches de
fibres
superposées : une couche superficielle, une couch
l médian (Rm) par sa situation d'une part, et par le calibre de ses
fibres
d'autre part. Il COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVE
tie antéro-interne et se trouve constitué par de gros fascicules de
fibres
assez serrées. Le ruban de Reil lalé2-al ([il)
rieur (Flp) jusqu'au locus] niger (Ln). L'entre-croi- sement de ces
fibres
se fait sous un angle très ouvert, de telle sorte
(iv* paire). 662 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. gros fascicules de
fibres
qui constituent le pédoncule cérébelleux supérieu
ement supérieur du pédoncule cérébelleux supérieur (xsPcs) dont les
fibres
descendent presque parallèlement le long du raphé
sque parallèlement le long du raphé, et se perdent dans la masse de
fibres
Au pédoncule, cérébelleux supérieur. Le faiscea
rement échancré, et embrasse un petit noyau arrondi qui envoie ses
fibres
en dehors et en arrière. Ce noyau constitue le
ue le noyau du pathétique ou de la, quatrième paire (NI,), dont les
fibres
(IV) se portent en arrière, et s'entre-croisent,
n trouve le faisceau, de la commissure postérieure (Fcop), dont les
fibres
présentent pour la plupart une direction obliqu
é avec le pied du pédoncule cérébral (P), dans lequel il envoie des
fibres
horizontales, qui s'enchevêtrent avec les fibres
lequel il envoie des fibres horizontales, qui s'enchevêtrent avec les
fibres
à direction oblique ou verticale du pied du péd
cule cérébral est limité par un faisceau arci forme (Tpo), composé de
fibres
horizontales qui s'infléchissent en avant et en
rer le tiers interne du pédoncule cérébral. Obersteiner désigne ces
fibres
, qui viennent des régions protubérantielles , s
e nom de pai-lie pédonculaire du ruban de Reil (Pes lemniscus). Ces
fibres
ne doivent pas être confondues avec celles que Fl
coupes en séries et sur l'étude des dégénéscences secondaires, ces
fibres
horizontales internes, que l'on ne rencontre qu'a
, ne font pas parlie constituante du ruban de mais représentent des
fibres
ascendantes de la protubérance, que les couches d
sentent des fibres ascendantes de la protubérance, que les couches de
fibres
protubérantielles plus profondes ont refoulées
oulées en arrière dans la partie antero- interne de la calotte. Ces
fibres
persistent intactes dans les cas de dégénérescenc
iennent appareilles à l'extérieur, et forment un polit fascicule de
fibres
qui embrasse le bord inférieur An pédon- cule,
ate que l'écorce cérébrale est formée de cellules ner- veuses, de
fibres
nerveuses, de névroglie et de vaisseaux. Les ce
général pyramidales et se disposent en cou- ches stratifiées. Les
fibres
nerveuses qui naissent des cellules pyramidales
des cellules pyramidales se réunis- sent en fascicules, forment les
fibres
radiées, puis pénètrent dans la substance blanc
ns la substance blanche. D'une manière générale, la direction des
fibres
radiées, ainsi que celle des cellules py- ramid
rpendiculaire au. grand axe de la circonvolution. Mais à côté des
fibres
radiées on en trouve d'autres, perpendiculaires
général parallèles au grand axe des cir- convolutions : ce sont les
fibres
tdngentielles ou fibres d'association intra-cor
d axe des cir- convolutions : ce sont les fibres tdngentielles ou
fibres
d'association intra-corticales. Elles occupent
ode d'agencement des cellules, ainsi qu'au mode de distribution des
fibres
tangentielles, qu'est dû l'aspect concentrique
; ,orce cérébrale. i Cellules nerveuses Cellules nerveuses.
Fibres
radiées. Fibres transversal es ou tangentiell
e. i Cellules nerveuses Cellules nerveuses. Fibres radiées.
Fibres
transversal es ou tangentielles. Fis. 329. -
uatrième colonne représente les quatre couches de Cajal (1890). Les
fibres
tangentielles, le ruban de Vicq d'Azyr, les str
nert, couche granuleuse, couche sans cellules de Stieda, couche des
fibres
tangentielles) (fig. 329, 339, A). - Cette zone
Pal ou de Wolters, cette couche est formée presque exclusivement de
fibres
à myéline, variqueuses, d'épaisseur très variab
rface et tangente à la courbe de la circonvolution. Cette couche de
fibres
tan- gentielles, découverte par K6111l.er en 18
s, constitue le réseau d'Exner, la zone corticale tangentielle, les
fibres
zonales ou le plexus externe de Cajal. Ce son
le plexus externe de Cajal. Ce sont pour la plupart de très fines
fibres
à myéline, sauf dans la région rolandique où on
e direction principalement horizontale et s'entre-croisent avec des
fibres
à direction verticale ou plus ou moins oblique. L
ique. Le réseau d'Exner se trouve donc constitué, à la fois par des
fibres
à direction tan- gentielle et par des fibres à
tué, à la fois par des fibres à direction tan- gentielle et par des
fibres
à direction plus ou moins oblique (fig. 342). L
e Ramon y Cajal. Zone moléculaire (1" couche), Son épaisseur.
Fibres
tanc'ettticties ou réseau d'lexiier. Origine
isseur. Fibres tanc'ettticties ou réseau d'lexiier. Origine des
fibres
du réseau d.Exncr. 668 ANATOMIE DES CENTRES N
phes des couches sous-jacentes, et que la plus grande partie de ses
fibres
horizontales se ramifiait comme des arborisa- t
ales de cylindres-axes. Cajal reconnut que le plus grand nombre des
fibres
du réseau d'Exner proviennent de cellules propres
es. La couche moléculaire est donc formée par les cellules et des
fibres
nerveuses autochtones a à direction surtout tan
s a à direction surtout tangentielle; elles s'enchevêtrent avec des
fibres
provenant des zones sous-jacentes (cylindres-ax
es ascendants des cellules polymorphes, ramifications terminales de
fibres
nerveuses de la substance olanche des hémisphèr
Golgi. (D'après G. Retzius.) 0, Surface de l'écorce ccrebrale. - f,
fibres
tangentielles, prolongements d'antrcs cellules
elle est analogue à celle qui existe dans le cervelet, entre les
fibres
parallèles des grains et les dendrites des ce
ylindrc-axc de la cellule pyramidale se continue. soit avec une
fibre
d'associa- tion, soit avec une fibro de proje
ce blanche, avec un tube ner- veux, appartenant soit au système des
fibres
d'association, soit à celui de la couronne rayo
ramidales se con- tinuent avec une fi- bre de projection ou une
fibre
calleuse. Modo de terminai- son dos collatéra
sous-jacentes, dans la substance blanche où il se continue avec une
fibre
à myéline, en fournissant à une certaine distance
t impossible de suivre sur une coupe le trajet complet d'une de ces
fibres
. Par contre, sur l'embryon, le mammi- fère nouv
ive dans la substance blanche où il se continue en général avec une
fibre
de projection ou d'association. Dans certains cas
etles grandes cellules pyramidales sont comblés par un feutrage de
fibres
nerveuses, particulièrement serré au STRUCTURE
ient, puis se coudent ou se divisent en T et se continuent avec une
fibre
nerveuse de la substance blanche (Cajal). i C
e cylindre-axe ries cellules poly- morphes se continue avec une
fibre
de la substance blanche. Fil;. a : r0. -Cellu
s névrogli- ques d'origine épon- dymaire. Cellules araignées.
Fibres
myéliniques et amyéliniques de l'écorce Ent
fin duvet, soit longs, lisses et ordinairement indivis (fig. 341).
Fibres
de l'écorce cérébrale. Les fibres de l'écorce cér
ordinairement indivis (fig. 341). Fibres de l'écorce cérébrale. Les
fibres
de l'écorce cérébrale sont les unes pourvues, l
re dépourvus de myéline. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 679 Les
fibres
myéliniques de l'écorce cérébrale sont décelables
ersent radiai- rement l'épaisseur de l'écorce cérébrale, ce sontles
fibres
radiées ; les autres sillonnent toute l'épaisse
orce d'un réseau à mailles plus ou moins lâches, et constituent les
fibres
à direction transversale ou fibres langentielle
moins lâches, et constituent les fibres à direction transversale ou
fibres
langentielles (fig. 342). Les fibres radiées
à direction transversale ou fibres langentielles (fig. 342). Les
fibres
radiées (fig. 342 et fig. 347, fr) forment des fa
s renferment des libres de calibres variés : à côté de très grosses
fibres
appartenant aux cellules pyramidales grandes ou
nvolutions rolandiques, par exemple, se présentent sous l'aspect de
fibres
parallèles entre elles qui, de la substance blanc
les coupes perpendiculaires au grand axe de la circonvolution, ces
fibres
se présentent sous le même aspect (fig. 283, h"
ent sous l'aspect d'ilôts pointillés, d'autant plus courts, que les
fibres
sont sectionnées plus perpendiculairement à leur
(lig. 29o,T V" p ? 6). Ces faisceaux radiés contiennent toutes les
fibres
du système d'associa- tion, du système commissu
laires de Meynert et les quatre couches cellulaires de Cajal. fl,
fibres
tangenticlles. fll-lll, fibres des deuxième et tr
couches cellulaires de Cajal. fl, fibres tangenticlles. fll-lll,
fibres
des deuxième et troisième couches. -se, strie ext
rne de Baillarger (strie intermédiaire externe de Remak). flfl-l1',
fibres
des troisième et qua- trième couches. sBi, stri
terne de Baillarger (strie intermédiaire interne de Remak). . /7-f,
fibres
des quatrième et cinquième couches. Sb, substance
couches. Sb, substance blanche. 682 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
tangentielles de l'écorce. Elles occupent t
res-axes des cellules polymorphes, mais ils renferment en outre des
fibres
terminales provenant de la substance " blanche,
ui viennent s'arboriser dans ce territoire cortical (fig. 343). Les
fibres
à direction transversale ou fibres tangentielles
ritoire cortical (fig. 343). Les fibres à direction transversale ou
fibres
tangentielles sont perpendiculaires aux fibres
tion transversale ou fibres tangentielles sont perpendiculaires aux
fibres
radiées ; elles occupent toute la hauteur de l'
nt un feutrage plus ou moins dense par places. Cette large bande de
fibres
tangentielles s'épaissit à sa partie externe, à s
moyenne la strie externe de Baillarger, et en dedans la couche des
fibres
d'association intm-col'ticales de Meynert (couche
uche des fibres d'association intm-col'ticales de Meynert (couche des
fibres
d'association externes) (Kaes). Ces trois zones
rois zones, caractérisées par la grande densité de leur feutrage de
fibres
, sont reliées entre elles par deux zones de fib
leur feutrage de fibres, sont reliées entre elles par deux zones de
fibres
plus clairsemées, formant un feutrage à mailles t
formant un feutrage à mailles très lâches. Comme les faisceaux des
fibres
radiées ne dépassent guère la strie externe de Ba
ire du cerveau de la souris âgée de 15 jours. On y a représenté les
fibres
grosses venant de la substance blanche et s'arb
s la substance grise. Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) a,
fibres
ascendantes bifurquées en b. c, arborisations var
ations variqueuses finales. d, colla- térales très longues desdites
fibres
. e, grandes cellules pyramidales. f, éléments glo
'écorce cérébrale présente donc de dehors en dedans cinq couches de
fibres
à direction transversale (fig. 342); ce sont :
s à direction transversale (fig. 342); ce sont : - 1° La couche des
fibres
tangentielles proprement dite ou réseau rl' £ .1'
midales et une partie de la couche des cellules polymorphes; 5° Les
fibres
d'association intm-corticales de Meynert, qui occ
des cellules polymorphes, et se con- tinuent profondément avec les
fibres
courtes d'association, fibres en U, ou librioe
se con- tinuent profondément avec les fibres courtes d'association,
fibres
en U, ou librioe proprise de Meynert. De ces
n, fibres en U, ou librioe proprise de Meynert. De ces couches de
fibres
tangentielles, le réseau d'Exner est le seul qui
iation de la substance blanche; 5° Les arborisations terminales des
fibres
d'association et probablement d'autres libres n
fra-corticaux ; 6° Les collatérales et arborisations terminales des
fibres
du corps calleux. Toutes ces libres forment p
on ensemble, et on doit se contenter d'indiquer, d'après Cajal, les
fibres
ner- veuses qui paraissent dominer dans chacune
aissent dominer dans chacune des couches de l'écorce. 1° Couche des
fibres
tangentielles proprement dite {réseau d'Exner,
- tielles. lléD1cnts qui en trent dans la consti- tution (les
fibres
tan- gentielles. GS4 Al'\ATOl\I1E DES CENTRES
n- gentielles. GS4 Al'\ATOl\I1E DES CENTRES NERVEUX. Couche des
fibres
tangentielles propre- ment dites ou plexus
es ou plexus externe do l'écorce (1"' plexus). Origine de ces
fibres
. Son épaisseur va- rie selon les régions et
lle n'atteint que 0 ? 244, cette couche contient un grand nombre de
fibres
amyélinique et myélinique d'épaisseur variable
l'âge. En règle générale, la convexité du cerveau est plus riche en
fibres
tan- gentielles que les faces interne ou inféri
ircon- volutions rolandiques sont remarquables par leur richesse en
fibres
lan- gentielles et par le fort calibre de ces d
libre de ces dernières ; très nombreuses dans le lobe occipital ces
fibres
y son ! particulièrement fines. Le lobe temporal
ez un individu du même âge. 2° Feutrage super-radiaire d'Edinger (
fibres
des deuxième et troisième couches de Meynert, d
es contient, ainsi que Tuczek et Exner l'ont montré, les plus fines
fibres
à myéline de l'écorce cérébrale et constitue un
ques rares, unes et courtes libres irrégulièrement disséminées, ses
fibres
croissent en nombre avec l'âge. Elles se dispos
s, ses fibres croissent en nombre avec l'âge. Elles se disposent en
fibres
parallèles fines, plus ou moins longues, qui oc
tendent à sa moitié externe. A mesure que leur nombre augmente, ces
fibres
se stratifient en une strie, d'autant plus nett
de cette couche, quelquefois avant (Kaes), qu'apparaissent quelques
fibres
à myélines de fort calibre, signalées pour la p
moyenne (stratwn lacunosum) de la corne d'Ammon ; d'après Kaes ces
fibres
de fort calibre apparaîtraient dans la partie moy
enne et interne du feutrage super-radiaire. Quoi qu'il en soit, ces
fibres
sont en général au nombre de 40 à 80 (Kaes), el
w, IL mais apparaît d'après Kaes, dans toutes les régions riches en
fibres
transver- sales intra-corticales. Elle est par
ig. 342, sBc), est formée d'un feutrage très dense et très riche en
fibres
médullaires, courtes et fines. Elle correspond
iaire d'Edinger, plexus de la qua- trième couche (4" plexus).
Fibres
d'associa- tion intra-corticales de Meynert,
tion intra-corticales de Meynert, Elles ne se distin- guent des
fibres
en U de \Ieynert que par leur situation int
rage interradiaire d'Edinger. 4° Feutrage inter-radiaire d'Edinger (
Fibres
des troisième et quatrième couches de Meynert,
présente, en parti- culier dans le lobe frontal, un grand nombre de
fibres
à myéline rela- tivement épaisses, qui constitu
interne de Baillarger ou plexus nerveux interne de Krause. 5° Les
fibres
d'association intra-corticales de Meynert (Fibres
de Krause. 5° Les fibres d'association intra-corticales de Meynert (
Fibres
d'asso- ciation externes de l'écorce cérébrale
cht, Kaes], fig. 342 et fig. 347, fAc). Bien décrites par Kaes, ces
fibres
occupent la partie pro- fonde de la couche des
tapisse le fond des sillons, où elles se présentent sous l'aspect de
fibres
parallèles, qui s'entre-croisent avec les faisc
ct de fibres parallèles, qui s'entre-croisent avec les faisceaux de
fibres
radiées, et qui s'étendent en hauteur, depuis l
en hauteur, depuis la strie externe de Baillarger jusqu'aux courtes
fibres
d'association de la substance blanche ou fibres e
r jusqu'aux courtes fibres d'association de la substance blanche ou
fibres
en U de Meynert,. Elles se confondent insensibl
tuation nettement intra-corticale. Cette couche est formée de fines
fibres
parallèles entre elles et de quelques fibres de f
he est formée de fines fibres parallèles entre elles et de quelques
fibres
de fort calibre d'autant plus nombreuses et plu
Kaes). Elles ne le cèdent dans ce cas en rien par leur calibre aux
fibres
en U de Meynert. Sur les faces latérales des ci
térales des circonvolutions ainsi qu'au niveau de leurs crêtes, les
fibres
d'association cessent d'être parallèles aux libre
au niveau de la crète des circonvolutions, et quelquefois avec les
fibres
de la substance blanche (fig. 317). Connexions
stance blanche (fig. 317). Connexions des cellules pyramidales. Les
fibres
tangentiel) es qui occu- pent toute l'épaisseur
ion, siégeant en des points plus ou moins éloignés de l'écorce (
fibres
d'association) ; p) Soit à des cel- lules du
à des cel- lules du cervelet, de centres infra-corticaux, etc. (
fibres
terminales) ; y) Soit à des cel- lules de l'h
phère opposé, par l'intermé- diaire des branches terminales des
fibres
calleuses (fibres com- missll1'ales) . Par
l'intermé- diaire des branches terminales des fibres calleuses (
fibres
com- missll1'ales) . Par sa tige et par ses d
B, grande cellule pyra- midale. C et D, cellules polymorphes. - E,
fibres
termi- nales venues d'autres centres. F, collat
l'intelligence de l'enfant et de l'époque de la myélini- sation des
fibres
cérébrales. Elle est encore corroborée par les re
par les recherches de Kaes sur la richesse de l'écorce cérébrale en
fibres
myéliniques. Cet auteur a montré, en effet, que
brale en fibres myéliniques. Cet auteur a montré, en effet, que les
fibres
tangentielles, en particulier celles du feutrag
lle c ? t Me-mènie la plus grande. Époque de la myélinisation des
fibres
de la substance blanè1fè ? hémisphères et des f
linisation des fibres de la substance blanè1fè ? hémisphères et des
fibres
tangentielles intra-corticales.- Chez les foetus
nce médullaire des stries blanches, indices de la myélinisation des
fibres
nerveuses. Cette myélinisation s'accroît et se
onserve pendant un temps assez long une légère teinte violacée. Les
fibres
nerveuses de la masse blanche des hémisphères ne
le long du trajet du faisceau pyramidal. Sur une coupe sagittale, les
fibres
revêtues de leur gaine de myéline se présentent
nisation est si avancée qu'il est im- ' t4 La myélinisation des
fibres
nerveuses qui augmente avec l'âge est en lave
Parrot. 690 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La myélinisation des
fibres
tangen- tielles va en augmen- tant de la nais
la troisième année, il n'en est pas de même de la myélinisation des
fibres
nerveuses intracorticales et en parti- culier d
sation des fibres nerveuses intracorticales et en parti- culier des
fibres
tangentielles de l'écorce, ainsi que le montrent
ulte des recherches de Vulpius que l'époque de la myélinisation des
fibres
tangentielles varie, non seulement suivant les ré
re suivant les différentes couches d'une même région. Les premières
fibres
tangentielles apparaissent au niveau du réseau d'
lules pyramidales, ... (feutrages super et interradiaire d'Edinger,
fibres
des deuxième et troi- ? sième couches de Meyner
par les maladies de la nutrition, par le rachitisme (Vulpius). Les
fibres
tangentielles du réseau d'Exner, ainsi que cell
l'insula est large particulièrement au fond des sillons et riche en
fibres
tangentielles volumineuses et à contours nets (
dans le lobe frontal ou à la face inférieure du cerveau; les fines
fibres
font au contraire défaut. Les couches des cellu
dino). Cette disposi- tion est encore exagérée par la direction des
fibres
propres ou fibres en U. qui tapissent le sillon
si- tion est encore exagérée par la direction des fibres propres ou
fibres
en U. qui tapissent le sillon marginal postérie
t le sillon marginal postérieur de l'insula d'une épaisse couche de
fibres
parallèles. Le feutrage interradiaire de l'insula
autres régions de l'écorce. La strie de Baillarger fait défaut, les
fibres
d'association intra- corticales de Meynert sont
au contraire bien développées, quoique de fin calibre (Kaes). Les
fibres
radiées de l'insula appartiennent presque toutes
éveloppé et la strie externe de Baillarger ·r fait du·faut. Les
fibres
radiées \1c lïllsula sont fol'- nu·es surtout
es fibres radiées \1c lïllsula sont fol'- nu·es surtout par des
fibres
d'association. 692 ANATOM1E DES CENTRES NERVEUX
OM1E DES CENTRES NERVEUX. - L'insula ne con- tient que do rares
fibres
de projection qui se rendent au pédoncule 'in
ien, l'opercule temporal ou la région rétro-insulaire de Broca. Ces
fibres
forment la majorité des fibres de la capsule extr
région rétro-insulaire de Broca. Ces fibres forment la majorité des
fibres
de la capsule extrême; mais celle-ci contient e
res de la capsule extrême; mais celle-ci contient en outre quelques
fibres
commissurales se rendant au corps calleux ou à
e rendant au corps calleux ou à la commissure antérieure ; d'autres
fibres
traversent V avant-mur et se rendent par le che
ers le pédoncule inféra-interne de la couche optique. Ces dernières
fibres
repré- sentent les rares fibres de projection d
de la couche optique. Ces dernières fibres repré- sentent les rares
fibres
de projection de l'insula. Lobe occipital. Dans
l'admet universellement aujourd'hui, à la pré- sence de nombreuses
fibres
à myéline. Le type cortical à 8 couches stratif
La couche des cellules fusi- formes verticales; 3° La couche des
fibres
médul- laierez moyennes (ruban de Vicq d'Azyr
cette couche est remarquable par son épaisseur et sa richesse en
fibres
nerveuses tangentielles. ' Elle présente les
res-axes ascendants des cel- lules des couches sous-jacentes. Les
fibres
à myéline à direc- tion tangentielle sont remar
ent en effet les ar-. borisations terminales d'un grand nombre de
fibres
ascendantes, re- vêtues d'une épaisse couche de
a partie pro- fonde do la couche moléculaire, le feu- trage des
fibres
tan- gentielles est très dense et on y ren-
corce occipitale d'après Meynert et - d'après Cajal. Les couches de
fibres
trans- versales sont colorées en rouge. I, il
couche moléculaire.-73, couche des cellules fusiformes.-C, couche des
fibres
médullaires moyennes ou du ruban de Vicq d'Axyr
de Cajal); dans les mailles du feu- trage, formé par de nombreuses
fibres
nerveuses ramifiées, se rencontrent quelques ce
formes verticales, se trouve le ruban de Vicq d'Azyr ou couche des
fibres
médullaires moyennes de Cajal, qui correspond il
rébrale, est constituée par des cellules nerveuses et de nombreuses
fibres
à myéline et sans myéline. Les cellules sont de
0/1. Détails dessinés à un grossissement de 60 dia- mètres. filc,
fibres
d'association externe ou intra-corticales.- fir,
tres. filc, fibres d'association externe ou intra-corticales.- fir,
fibres
inter-racliaires. - fr, fibres radiaires. fsr,
ion externe ou intra-corticales.- fir, fibres inter-racliaires. - fr,
fibres
radiaires. fsr, fibres super-radiaires. ft, fib
icales.- fir, fibres inter-racliaires. - fr, fibres radiaires. fsr,
fibres
super-radiaires. ft, fibres tangentielles. fU, fi
acliaires. - fr, fibres radiaires. fsr, fibres super-radiaires. ft,
fibres
tangentielles. fU, fibres en U de Mey- nert ou
radiaires. fsr, fibres super-radiaires. ft, fibres tangentielles. fU,
fibres
en U de Mey- nert ou fibres d'association du fo
adiaires. ft, fibres tangentielles. fU, fibres en U de Mey- nert ou
fibres
d'association du fond des sillons. K, scissure ca
couche moléculaire, au voisinage des cellules dites de Cajal. Les
fibres
nerveuses du ruban de Vicq d'Azyr, ou couche médu
stances. Par la méthode de Weigert, on constate que beaucoup de ces
fibres
sont revêtues de myéline et qu'elles constituen
ailles duquel se trouvent les cellules nerveuses. A l'exception des
fibres
verti- cales, qui représentent les cylindres-ax
s-axes ascendants ou descendants des cellules nerveuses, toutes les
fibres
du ruban de Vicq d'Azyr sont consti- tuées par
s, Martinotti, Cajal.) L'écorce du lohe occipital est très riche en
fibres
tangentielles. C'est ici que l'on peut étudier
aux d'adultes (fig. H 7) - outre le ruban de Vicq d'Azyr (V) et les
fibres
tangen- il'elles (ft) (couche zonale d'Exner) -
) (couche zonale d'Exner) - la strie de Bechte1'ew (sBK) située aux
Fibres
du ruban de Vicq d'Azyr. Le ruban de Vicq 1
feutrages intel' et sU1H'I'J'adiaires d')Jdinger (fir, fsr) et les
fibres
d'association intracorticales de Mcynert(fAc).
lièrement accentuées au fond des sillons (fig. 347, fU). Toutes ces
fibres
à direction transversale sont 1, très développé
blement avec la strie externe de^ Baillarger située aux confins des
fibres
radiées. Ces dernières fibres se comportent dans
de^ Baillarger située aux confins des fibres radiées. Ces dernières
fibres
se comportent dans le lobe occipital comme dans
ticulier de ses cellules, mais encore par la grande richesse de ses
fibres
tangentielles, dont les plus superficielles for
ouche moléculaire, quoique très large, est toutefois moins dense en
fibres
tangentielles que dans les autres régions de l'éc
s signalées par Greppin et confirmées par Yulpius et par Kaes : ses
fibres
tangentielles sont peu nombreuses, le réseau d'Ex
paisseur, et parait à l'oeil nu s'arrêter brusquement au niveau des
fibres
transversales du corps calleux. En réalité, elle
en une lame grise. Méthode de Golgi. (D'après Ramon y Cajal.) a,
fibres
du corps calleux. -L, grosses fihres antero-posté
ajal.) a, cellules grandes et profondes se continuant en b avcc des
fibres
il direclion antérn- postéricurc. c, libre anté
couchc moléculaire. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 701 1 ' une
fibre
à myéline, soit de la couche profonde, soit de la
e, le cylindre-axe se divise en Y et donne ainsi nais- sance à deux
fibres
se dirigeant en sens inverse (Cajal) (fig. 349).
a réunion des cylindres-axes des cellules de la couche moyenne. Ces
fibres
nerveuses donnent nais- sance à des collatérale
ntient, comme dans l'écorce cérébrale ordinaire, un grand nombre de
fibres
tangentielles très délicates, ramifiées et il d
ales est encore beaucoup plus grande dans l'induseum griseum. Les
fibres
longitudinales des nerfs de Lancisi se continuent
longitudinales des nerfs de Lancisi se continuent en avant avec les
fibres
du pédoncule du septum lucidum, en arrière avec l
- lution godronnée (Zuckerkandl, Honegger), elles correspondent aux
fibres
tangentielles du reste de l'écorce, et constitu
deux territoires plus ou moins éloi- gnés du rhinencéphalon. Les
fibres
du teitit7 tecta représentent également des fibre
nencéphalon. Les fibres du teitit7 tecta représentent également des
fibres
tangen- tielles ; en avant, elles ne dépassent
pyramidales. - L, stratum lacunosum. il/, stratum moleculare. - fl,
fibres
tangentielles ou lamina medullaris involula. Cg
érieur de la capsule interne. Fli, faisceau longitudinal inférieur. ?
fibres
radiées du thalamus.-Fus, lobule fusiformc.-11,
Ces modifications portent surtout sur la richesse de ces parties en
fibres
tangentielles et sur la dimi- nution du nombre
s de l'écorce, grâce au développement considérable que prennent les
fibres
tangentielles qui forment ici une couche apprécia
, on constate que la couche moléculaire contient un grand nombre de
fibres
parallèles, revêtues d'une couche rela- tivemen
lules pyramidales. C'est à cette épaisseur inégale de la couche des
fibres
tangentielles, qu'est dû l'aspect réticulé que pr
appréciable que du sommet des festons se détachent des faisceaux de
fibres
radiées, qui des- cendent jusque dans la substa
valu le nom de stratum radiatum. Cette couche est en outre riche en
fibres
tangen- tielles à direction parallèle au grand
n- tielles à direction parallèle au grand axe de la circonvolution,
fibres
grou- pées en faisceaux, et qui, sur des coupes
stance blanche du subiculum est épaisse et contient deux couches de
fibres
à myéline. La couche profonde celle qui entoure l
iverticule du subiculum de la corne sphénoïdale se compose de fines
fibres
entou- rées d'une mince couche de myéline; elle
s d'une mince couche de myéline; elles appartiennent au système des
fibres
commissurales (fornix transversus de Forel) et re
adjacente de la corne d'Ammon; par la voie du trigone cérébral, ces
fibres
entrent dans la constitution de la lyre de Davi
la constitution de la lyre de David ou psalterium. ' La couche de
fibres
commissurales est entourée d'une couche de fibres
m. ' La couche de fibres commissurales est entourée d'une couche de
fibres
de plus gros calibre, revêtues d'une épaisse co
rant intensivement par l'hématoxyline. Elles se continuent avec les
fibres
de l'alvéus, représentent le cylindre-axe des c
e la corne d'Ammon et du subiculum, et appartiennent au système des
fibres
d'associa- tion, en particulier au faisceau pos
- tion, en particulier au faisceau postérieur du cingulum, dont les
fibres
mettent en connexion la corne d'Ammon avec la c
que par le feuillet pie- mérien et par leurs couches respectives de
fibres
tangentielles (Ii ? 3â0). Sur une coupe vertico
e la circonvolution (fig. 353). Il découle de ce dernier fait que les
fibres
i de la circonvolution godronnée, destinées au
llon fimbrio-godronné. - Fli, faisceau longitudinal inférieur. - fin,
fibres
moussues de Cajal. fl, fibres tangentielles ou
isceau longitudinal inférieur. - fin, fibres moussues de Cajal. fl,
fibres
tangentielles ou lamina medullaris involuta. - Fu
ariété de forme de ses cellules du type II de Golgi, sa richesse en
fibres
tangentielles, ainsi que sur le mode de distribut
ouches profondes. En abordant la corne d'Ammon, l'épaisse couche de
fibres
tangentielles, qui forme la lame médullaire sup
e du corps des cellules pyramidales . géantes, se transforment en
fibres
moltssues de Cajal, et assurent les connexion
orps cellulaire ou d'une grosse dendrite, et se continue avec une
fibre
(commissurale ou d'asso- ciation) de l'alvéus
es cylindres-axes se coudent et se continuent simplement avec les
fibres
il myéline. D'autrefois ils se divisent en de
e, continue le cy- lindre-axe et concourt à for- mer les épaisses
fibres
à myéline de l'alvéus (fibres d'association).
et concourt à for- mer les épaisses fibres à myéline de l'alvéus (
fibres
d'association). La branche mince présente tou
istinct de celui de la bran- che épaisse, concourt à for- mer les
fibres
fines de l'al- véus, et entre très probable-
al- véus, et entre très probable- ment dans la constitution des
fibres
transversales ou commissurales du trigone cér
365, RCg), les cel- Leur cylindrc-axe. Il se continue avec une
fibre
de l'alvéus. 1"¡G. 3 : iG. - Cellules pyram\dè,
rale se rendant à la substance blanche. - g, collatérale venant des
fibres
de l'alvéus.-h, libres moussues en relation ave
- tent, ainsi que nous le verrons plus loin, avec les rosaces des
fibres
mous- sues, émanées des grains de la circon-
d'une courte tige pro- toplasmique. Leurs connexions avec les
fibres
mous- sues de Cajal. Fie.. 338. - Cellule pyr
région go- dronnéo de la corno d'Ammon, se conti- nue avec une
fibre
du trigone cérébral. L'épaisse collaté- ral
ria (Cajal), c'est-à-dire dans le pilier postérieur du trigone. Ces
fibres
représentent de véritables fibres de projection
pilier postérieur du trigone. Ces fibres représentent de véritables
fibres
de projection qui, par la voie du corps du trig
vient horizontale dans le stratum lacunosum et se continue avec une
fibre
nerveuse à myéline de cette région (fig. 359).
e avec une fibre nerveuse à myéline de cette région (fig. 359). Ces
fibres
se portent vers le subiculum, où elles se termi
ales géantes de la « région inférieure » de la corne d'Ammon et les
fibres
moussues provenant, des grains. (D'après Ramon
rtion terminale de la corne d'Ammon. L, faisceau longitu- dinal des
fibres
moussues ou cylindres-axes des grains. E, cylindr
nerveuses ascendantes /, collatérales de la substance blanche. - J,
fibres
terminales venant du subiculum. L, cellules pyra-
des cellules fusiformes et irrégulières, dirigées parallèlement aux
fibres
de l'alvéus et dont les plus profondes sont situé
ance blanche (fig. 354, a, b); leurs dendrites se perdent entre les
fibres
à myéline de l'alvéus, leur cylindre-axe se compo
typique, il s'arborise dans la couche moléculaire au voisinage des
fibres
tangentielles cette disposition est relativement
. G, Il, deux cellules à cylindre-axe court du stratum radiatum. - I,
fibres
horizontales du stratum lacunosum. J, cellule f
ongements, plus longs et plus grêles, sont dirigés, parallèlement aux
fibres
de la substance blanche, et simulent des cylind
chez l'adulte, on ne les suit guère au delà de l'alvéus (Cajal). 2.
Fibres
de la corne d'Ammon.-Lcs fibres de la corne d'Amm
ère au delà de l'alvéus (Cajal). 2. Fibres de la corne d'Ammon.-Lcs
fibres
de la corne d'Ammon comprennent : 1° la substan
comprennent : 1° la substance blanche ou ah/Jus; 2° les nombreuses
fibres
Feutrage 1)%ripy- ramirlal. Cellules de la
. Cellules de l'épen- d3nue de la cornc sphénoïdale. i' j
Fibres
do la corne d'Ammon. 1 d2o ANATOMIE DES CENTR
gros et de fin ua- libre. Collatérales cylin- drC'-axilcs. "'
Fibres
intra-eorti- cales de la corne d'Ammon. int
Ammon. 1° Alvéus (Substance blanche de la corne d'Ammon. Couche des
fibres
blanches du pilier postérieur du trigone). Golg
erme quelques cellules polymorphes égarées du stratum oriens. Les
fibres
nerveuses de l'alvéus affectent une direction var
tion variable suivant la région à laquelle elles appartiennent. Les
fibres
de la région godronnée de la corne d'Ammon pénè
ent dans la fimbria et le pilier postérieur du trigone (Cajal). Les
fibres
de la région hippocampique de la corne d'Ammon
la constitution de la masse blanche du subiculum (fig. 359). Les
fibres
de l'alvéus sont de gros et de fin calibre. Les f
g. 359). Les fibres de l'alvéus sont de gros et de fin calibre. Les
fibres
de gros calibre sont situées au-dessus du strat
ns et représentent les cylindres-axes des cellules pyramidales. Les
fibres
fines, nombreuses sur- tout dans la région hipp
ules ; par leur aspect et leur finesse elles ressemblent beaucoup aux
fibres
du corps calleux (Cajal). Les collatérales de
l'alvéus sont rares et fines ; elles se détachent à angle droit des
fibres
de gros calibre ou cylindres-axes des cellules py
de Cajal du stratum oriens, ainsi que de certaines collatérales des
fibres
de l'alvéus, qui traversent l'écorce de la corne
e péri-pyramidal sont au contraire dépourvus de gaine de myéline.
Fibres
intra-corticales. - La corne d'Ammon est remarqua
a-corticales. - La corne d'Ammon est remarquable par sa richesse en
fibres
intra-corticales à direction plus ou moins tangen
. 1° La couche moléculaire possède il elle seule trois feutrages de
fibres
superposés. Le feutrage superficiel constitue l
edullare involuta s. circozvolzcta de la corne d'Ammon est riche en
fibres
nerveuses à myéline. Sur les préparations trait
ons traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal, cette couche de
fibres
apparaît d'autant plus épaisse que l'on s'approch
oche davan- tage du subiculum (lig. 350). L'origine de ces épaisses
fibres
à myéline n'est pas encore bien élucidée. D'apr
aiffer elles proviendraient : 'Iodes arbo- risations terminales des
fibres
et des collatérales de la substance blanche du
Golgi de la couche moléculaire se recou- vrent de myéline. b) Les
fibres
nerveuses du stratum lacunosum sont extrêmement n
la circonvolution go- dronnée (V oy. plus loin). L'origine de ces
fibres
à myéline est très complexe. 1. La plus grande
sum, dans lequel elles s'arborisent librement (lig. 359). ' -io
Fibres
de la lame médullaire supcrti- clelle ou lami
médullaire supcrti- clelle ou lamina me \tullaris involllta.
Fibres
de la lame médullaire moyenne, stratum medull
médium ou stratum lacunosum. 722 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
du stratum radiatum. Feutrage péri-ccl- lul
lulairc de la couche des cellules pyrami- dales. 2. D'autres
fibres
représentent les arborisations terminales des cel
stratum oriens (fig. 354, a, et fig. 360, A). A ces deux ordres de
fibres
bien décrites par Schtiffer il faut ajouter d'a
il faut ajouter d'après Cajal : .. 3. Les collatérales des fines
fibres
de l'alvéus, particulièrement nom- breuses dans
ée de la corne d'Ammon (fig. 359). 4. Les collatérales des épaisses
fibres
de l'alvéus qui entourent les cel- lules du str
du stratum lacunosum (fig. 354, h, i, j, m, fig. 355, j). c) Les
fibres
du stratum radiatum sont formées par : 1. Les c
xe des cellules pyrami- dales dans leur trajet vertical, et par les
fibres
de l'alvéus. La corne d'Ammon représente donc e
l résulte de la superposition de ces deux écorces cérébrales, que les
fibres
de la circonvolution godronnée sont obligées de
uve en outre, comme dans toute écorce cérébrale, un grand nombre de
fibres
tangentielles et deux variétés de cellules; ce
um et se terminent dans la couche des cellules polymorphes. . Les
fibres
tangentielles de la couche moléculaire forment le
age du corps des cellules pyramidales géantes, se transforment en
fibres
moussues de Cajal, et assurent les connexions
midales de cette écorce avortée. Caractères des grains. a £
Fibres
nerveuses collatérales et terminales de l'alvéus.
a £ Fibres nerveuses collatérales et terminales de l'alvéus. Ces
fibres
, très difficiles à imprégner, n'arrivent à la c
pines que s'effectuent les contacts nervoso-protoplasmiqiies avec les
fibres
nerveuses terminales de la couche moléculaire.
pyramidales géantes de la corne d'Ammon et s'y trans- forme en
fibre
mous- sue. convolution godronnée, lui abandon
places d'une véritable rosace protoplasmique analogue à celles des
fibres
moussues de Cajal (voy. 365, b,) ; ces collatér
d'une de ces expansions. STRUCTURE DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE, ? )9
fibres
moussues (fig. 366). Ils présentent, en effet, pa
mmon (fig. 356 RCg, p. 713), et forment un plexus très serré. Les
fibres
moussues des grains dufascia dentata se réunissen
ue le stratum lucidum de Honegger. Pour Cajal enfin, ce faisceau de
fibres
moussues ne dépasse pas la région godronnée de
es cellules pyramidales géantes. Les cylindres-axes des Rosaces des
fibres
moussues. rH ? jOO. - Cl1èma de la corne a-Am
ules pyramidales de la région inférieure de la corne d'Ammon et les
fibres
moussues provenant des grains. (D'après Ramon y
tion terminale de la corne d'Ammon. - D, faisceau longitu dinal des
fibres
moussues ou cylindres-axes des grains. - E, cylin
corne d'Ammon. ! ' - 730 .ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.- - I Les
fibres
moussues mettont en rapport les grains de la
sub- stance blanche, et partant ne concourent pas à la formation de
fibres
apparu - tenant au système commissural ou de pr
ection. Ces cylindres-axes repré1 sentent un système particulier de
fibres
d'association zntra-c01,ticale, desti- nées à m
de la région godronnée de la corne d'Ammon, et se continue avec une
fibre
à myéline de l'alvéus. Il fournit en général dans
olymorphes; leurs prolongements radiai- res se comportent comme les
fibres
de Bergmann du cervelet (fig. 93, f, et e, p. 1
u niveau du bulbe olfactif. Celui-ci, véritable organe terminal des
fibres
olfactives périphériques, a été étudié par Owsjan
e bulbe olfactif cinq cou- ches concentriques : 'Í. La couche des
fibres
nerveuses super- ficielles. 2. La couche des
4. La couche des cellules mitrales. 5. La couche des grains et des
fibres
nerveuses profondes. 1. La couche des fibres ne
uche des grains et des fibres nerveuses profondes. 1. La couche des
fibres
nerveuses superficielles est exclusivement form
es fibres nerveuses superficielles est exclusivement formée par les
fibres
olfactives. Ces fibres sont dépourvues de myéline
erficielles est exclusivement formée par les fibres olfactives. Ces
fibres
sont dépourvues de myéline, et abordent le bulb
trage très dense et non anastomotique. Les cellules d'ori- gine des
fibres
olfactives sont bipolaires; elles siègent clans l
la souris. Méthode rapide de Golgi. (D'a- près G. Retzius.) n',
fibres
nerveuses qui se por- tent sur la surface de l'
s renferment, ainsi que Golgi l'a mon- tré dès 1874, deux ordres de
fibres
: les ramifications terminales des nerfs olfact
ordiales des cellules mitrales du bulbe olfactif. D'après Golgi les
fibres
olfactives constitueraient dans le glomérule un r
e un réseau nerveux anastomotique qui se continuerait avec d'autres
fibres
nerveuses centri- pètes, émergeantdu glomérule.
entrent à ce niveau en connexion avec les arborisations centrales des
fibres
olfactives. Le corps des cellules mitrales donn
une direction antéro-postérieure et entre dans la constitution des
fibres
Au pédoncule olfactif et de la racine olfactive
écorce de la circonvolution du crochet. : jo Couche des grains et des
fibres
à myéline. Cette couche com- prend une trame de
rains et des fibres à myéline. Cette couche com- prend une trame de
fibres
nerveuses à myéline entre-croisées dans tous les
ans tous les sens, mais à direction surtout antéro-postérieure; ces
fibres
entourent STRUCTURE DE L'ÉCORCE CEREBRALE. 733
es formés par les grains et les cellules du type II de Golgi. Les
fibres
représentent soit les cylindres-axes des cellules
usiformes de la zone moléculaire du bulbe olfactif, soit encore des
fibres
centrales terminales (fig. 371, L) qui viennent s
ymaires, qui pénè- trent profondément dans le bulbe olfactif. Les
fibres
de la racine olfactive externe naissent en éventa
ns, elles sont toujours superficielles, représentent les véritables
fibres
tangentielles du pédoncule olfactif, du trigone
e, sans jamais atteindre la couche des cellules pyramidales. Aucune
fibre
de la racine olfactive externe ne descend, en e
s couches profondes (fib. 371). Le bulbe olfactif émet, outre les
fibres
de la racine externe, un autre faisceau profond
11, collatérales de ces mêmes cylindres-axes dans le tractus. - I,
fibre
centrifuge. - L, fibre centrale terminale. - La
s mêmes cylindres-axes dans le tractus. - I, fibre centrifuge. - L,
fibre
centrale terminale. - La pointe des flèchesindi
L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 737 Iules d'origine sont encore inconnues. Ces
fibres
occupent la partie pro- fonde du pédoncule et d
tie pro- fonde du pédoncule et du tubercule olfactif, reçoivent les
fibres
des cel- lules pyramidales de la région, et tra
ux nerveux n'est' pas individualisée, c'est-à-dire ne- va pas d'une
fibre
olfactive afférente à une cellule mitrale, mais
ibre olfactive afférente à une cellule mitrale, mais d'un groupe de
fibres
olfactives à une seule cellule mitrale. La voie
es (neurone de deuxième ordre), pour être portée et déposée par les
fibres
de la « racine » olfactive externe, dans la couch
ellules mitrales peuvent encore être incitées indirectement par des
fibres
centripètes, dont les cellules d'origine sont inc
fibres centripètes, dont les cellules d'origine sont inconnues. Ces
fibres
excitent les grains du bulbe olfactif dont les de
cellules pyramidales de la région, avec un nombre con- sidérable de
fibres
nerveuses de fin ou de gros calibre. Les fibres d
e con- sidérable de fibres nerveuses de fin ou de gros calibre. Les
fibres
de fin calibre appartiennent aux ramifications
cellules polymorphes, décrites par Martinotti et par Schalfer. Les
fibres
de gros calibre appartiennent vraisemblable- me
traverse la couche des cellules polymorphes et se continue avec une
fibre
de la substance blanche. Les grandes cellules s
iquement la couche des cellules polymorphes et se continue avec une
fibre
à myéline de la substance blanche. Les cellules
isation nerveuse et variqueuse. Cette arborisation appartient à des
fibres
termi- nales, qui proviennent probablement du b
eja). 3° La couche plexiforme ou des cellules polymorphes, riche en
fibres
à myéline disposées en faisceaux à direction ve
ans la couche moléculaire, leur cylindre-axe se con- tinue avec une
fibre
de la substance blanche. A côté de ces fibres, on
se con- tinue avec une fibre de la substance blanche. A côté de ces
fibres
, on trouve des cellules fusiformes ri cylindre-
e profondément avec les faisceaux plexi- formes du corps strié. Ses
fibres
, qui sont la continuation des cylindres- axes d
alogue à l'épendyme ventriculaire, mais d'une véri- table couche de
fibres
tangentielles, couche mince, qui correspond au ré
réseau d'Exner de la couche moléculaire. Au-dessous de la couche de
fibres
tan- gentielles, on rencontre une couche mince
ordant le ventricule latéral, elle est constituée par une couche de
fibres
à myéline, recouverte de l'épendyme ventriculaire
CHAPITRE V 0 SUBSTANCE BLANCHE DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX Les ^
fibres
de la substance blanche comprennent des fi-
substance blanche comprennent des fi- bres d'association, des
fibres
commissl1- l'ales. des fibres de projection e
t des fi- bres d'association, des fibres commissl1- l'ales. des
fibres
de projection et des fi- bres centripètes ou
de projection et des fi- bres centripètes ou terminales. Les
fibres
d'asso- ciation naissent sur- tout des parois
sent sur- tout des parois latl ? rales des circonvolu- tions.
FIBRES
D'ASSOCIATION ET FIBRES COMMISSURALES La substa
ois latl ? rales des circonvolu- tions. FIBRES D'ASSOCIATION ET
FIBRES
COMMISSURALES La substance blanche des hémisphè
ntre ovale de Vieussens, est essentiellement formée de faisceaux de
fibres
nerveuses à myéline, à trajet plus ou moins sinue
anteau cérébral, soit du rhinencéphalon, comprend quatre espèces de
fibres
à savoir : 1° Des fibres et association qui relie
rhinencéphalon, comprend quatre espèces de fibres à savoir : 1° Des
fibres
et association qui relient deux régions plus ou
deux régions plus ou moins éloignées de l'écorce cérébrale; 2° des
fibres
commissurales qui unissent les deux hémisphères
s commissurales qui unissent les deux hémisphères entre eux; 3° des
fibres
de projection qui relient l'écorce cérébrale au
-optique, à la protubérance, au bulbe, à la moelle épinière; 4" des
fibres
centripètes ou terminales, qui comprennent : a,
; 4" des fibres centripètes ou terminales, qui comprennent : a, des
fibres
nées d'une région quelconque de l'écorce cérébr
cérébrale et qui se terminent en s'arborisant dans une autre région
fibres
d'association, fibres commissurales , collatérale
rminent en s'arborisant dans une autre région fibres d'association,
fibres
commissurales , collatérales des fibres de proj
région fibres d'association, fibres commissurales , collatérales des
fibres
de projection - b, des libres provenant d'autre
opto-striés, du cervelet, de la région de la ca- lotte, etc., etc.,
fibres
sensitives et sensorielles, fibres cérébelleuses,
ion de la ca- lotte, etc., etc., fibres sensitives et sensorielles,
fibres
cérébelleuses, etc., et qui se terminent égalem
sations libres dans la substance grise de l'écorce cérébrale. Les
fibres
d'association naissent de préférence des parois l
ou territoires plus ou moins éloignés d'un même hémi- sphère. Les
fibres
de projection et les fibres commissurales , par c
éloignés d'un même hémi- sphère. Les fibres de projection et les
fibres
commissurales , par contre, naissent de préfére
sillons n'est toutefois pas dépourvu, comme le croyait Meynert, de
fibres
commis- surales et de fibres de projection. S
dépourvu, comme le croyait Meynert, de fibres commis- surales et de
fibres
de projection. Si on enlève avec des pinces et
ns l'alcool, soit dans le bichromate, la disposition respective des
fibres
d'association, de pro- jection et commissurales
u grand axe de la cir- convolution, ni par aucune dissociation; les
fibres
commissurales et de projection se terminent en
eux circonvolutions voisines. Ces lamelles sont constituées par les
fibres
arquées d'Arnold, les fibres propres de Meynert
Ces lamelles sont constituées par les fibres arquées d'Arnold, les
fibres
propres de Meynert, les fibres en U, ou fibres
par les fibres arquées d'Arnold, les fibres propres de Meynert, les
fibres
en U, ou fibres courtes d'association. Les plus c
rquées d'Arnold, les fibres propres de Meynert, les fibres en U, ou
fibres
courtes d'association. Les plus courtes de ces
bres en U, ou fibres courtes d'association. Les plus courtes de ces
fibres
sont en même temps les plus superficielles, elles
toires fort distants, et constituer dans ce dernier cas les longues
fibres
d'association. On trouve tous les intermédiaire
d'association. On trouve tous les intermédiaires entre les courtes
fibres
en U, reliant deux circonvo- lutions voisines,
ourtes fibres en U, reliant deux circonvo- lutions voisines, et les
fibres
longues qui relient, par exemple, le lobe frontal
courbe autour du seuil de l'hémisphère; mais en règle générale, les
fibres
courtes sont toujours les plus superficielles, le
les plus superficielles, les plus voisines de l'écorce grise et les
fibres
longues les plus profondes. Les longs faisceaux
isceaux d'association eux-mêmes ne présentent qu'un petit nombre de
fibres
ayant toute la longueur du faisceau ; ils se comp
ayant toute la longueur du faisceau ; ils se composent en effet de
fibres
plus ou moins longues, sensiblement parallèles en
que dans une partie de leur trajet. Si la préparation des courtes
fibres
d'association est très facile, et se voit très
e ou dans l'alcool par exemple, il n'en est pas de même des longues
fibres
d'association, situées dans la masse blanche co
aissent du sommet des circonvo- Les libres de pro- jection et los
fibres
commissurales nais- sent surtout du som- me
t des crêtes des circonvolutions. Aspect du fond des sillons.
Fibres
courtes et longues d'associa- tion. 744 ANA
tion. 744 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Entre-croisements des
fibres
d'associa- tion, commissurales .et de project
. Origine et termi- naison des libres de la substance blanche
Fibres
d'associa tion. Leur origine. lutions, et q
ée à la surface du cerveau, le système d'association présentera des
fibres
parallèles à cette sur- face, le système de la
a couronne rayonnante et du corps calleux présentera par contre des
fibres
perpendiculaires..L'entre-croisement des trois sy
fibres perpendiculaires..L'entre-croisement des trois sys- tèmes de
fibres
est très intime, leur dissociation est souvent ex
absolument artificiels. Aussi, pour la détermination du trajet des
fibres
d'association, en particulier des longs faiscea
nche des hémisphères, malgré les entre-croisements multiples de ses
fibres
, ne forme pas un feu- trage inextricable, sauf
de faisceaux qui ne soient dissociés ou entre-croisés par d'autres
fibres
, il n'existe jMl^ par contre que bien peu de ré
n ne puisse constater nette- ! j ! ) ! j ment, par la direction des
fibres
, la prédominance de tel ou tel faisceau de fibr
la direction des fibres, la prédominance de tel ou tel faisceau de
fibres
. En règle générale on peut dire : que les radia
générale on peut dire : que les radiations du corps calleux et les
fibres
de la couronne rayonnante naissent de préférence
'association des parois laté- rales de ces dernières ; Que chaque
fibre
suit en général le trajet le plus direct pour se
le plus direct pour se rendre à son lieu de destination ; Que les
fibres
du 'système d'association occupent les couches le
sines de l'écorce, et qu'elles s'en- tre-croisent',toutes, avec les
fibres
calleuses ou les fibres de projection; Que les
'elles s'en- tre-croisent',toutes, avec les fibres calleuses ou les
fibres
de projection; Que les fibres calleuses et de p
tes, avec les fibres calleuses ou les fibres de projection; Que les
fibres
calleuses et de projection se présentent dans une
ctes, isolés pour ainsi dire, ? s et non entre-croisés par d'autres
fibres
. Que les fibres calleuses et de projection, alT
ainsi dire, ? s et non entre-croisés par d'autres fibres. Que les
fibres
calleuses et de projection, alTectent toutes la f
e l'angle externe du ventricule latéral. Origine et terminaison des
fibres
de la substance blanche. Chez l'homme et chez l
l'origine ou la terminaison dans l'écorce de tel ou tel système de
fibres
de la substance blanche est impos- sible à étab
méthode de Golgi, ainsi que l'a montré Cajal. 1° Pour Cajal, les
fibres
d'association tirent probablement leur origine
MMISSE» AUX. 745 cylindre-axe de ces cellules donne naissance à une
fibre
d'association, le plus souvent en se recourbant
dans ce dernier cas, la branche de bifurcation interne des longues
fibres
d'association s'insinue en général, d'après Cajal
fibres d'association s'insinue en général, d'après Cajal, entre les
fibres
calleuses. Les fibres (l'association, grâce à la
'insinue en général, d'après Cajal, entre les fibres calleuses. Les
fibres
(l'association, grâce à la variété de leur dire
u même hémisphère ou de l'hémisphère du côté opposé. La plupart des
fibres
d'association émettent en outre des collatérale
c les différentes couches de l'écorce céré- brale (Cajal). 2° Les
fibres
commissurales proviennent de toute la surface de
Elles comprennent le corps calleux, la commissure antérieure et les
fibres
trans- versales du trigone cérébral (fornix tra
lon, et le corps calleux celui du manteau cérébral. L'origine des
fibres
calleuses est complexe. Quelques fibres représent
eau cérébral. L'origine des fibres calleuses est complexe. Quelques
fibres
représentent d'après Cajal le cylindre-axe des
bre ne sont que les collatérales ou les branches de bifurcation des
fibres
longues d'association ou des fibres de projecti
les branches de bifurcation des fibres longues d'association ou des
fibres
de projection. Quelle que soit leur origine, les
héma- toxyline. Sur les coupes traitées par la méthode de ? I les
fibres
calleuses apparaissent foncées; le picro-carm#n ¡
etDrnrtlre11t par des arborisations dans l'écorce cérébrale. Chaque
fibre
calleuse est donc en réalité composée de plusie
le. Chaque fibre calleuse est donc en réalité composée de plusieurs
fibres
: l'une est horizontale, et se porte dans l'hém
oté. D'après les nouvelles conceptions que nous devons à Cajal, les
fibres
calleuses représentent donc, non pas un système
et asymétriques de l'écorce des deux hémisphères cérébraux. 3 Les
fibres
de projection naissent de tous les points de la c
dence l'étude des dégénérescences secondaires. Pour v. Monakow, ces
fibres
viennent exclusivement des grandes cellules pyram
s viennent exclusivement des grandes cellules pyramidales. Pour Les
fibres
d'asso- ciation mettent en relation des cellu
ules do l'écorce plus ou moins éloignées les unes des autres.
Fibres
commissu- rales. Origine des libres calleus
issu- rales. Origine des libres calleuses. Collatérales des
fibres
calleuses. Fibres de projec- tion. .. i z L
gine des libres calleuses. Collatérales des fibres calleuses.
Fibres
de projec- tion. .. i z Leur origine. * j 7
Leur origine. * j 740 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Trajet des
fibres
de projection. Fibres centripètes ou termin
ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Trajet des fibres de projection.
Fibres
centripètes ou terminales. Leur origine. Le
sub- stance grise par un renflement variqueux et libre (Cajal). Ces
fibres
de pro- jection traversent toute l'épaisseur de
émisphères; arrivées au niveau du corps calleux, un grand nombre de
fibres
de projec- tion (mais pas toutes) envoient à ce
ié, et entrent dans la constitution de la capsule interne. Quelques
fibres
abandon- nent au corps strié de fines collatéra
se et libre entre les cellules propres de ce ganglion (Cajal). 4°
Fibres
centripètes ou terminales. - Tous les auteurs qui
ructure de l'écorce admettent qu'elle contient les ramifications de
fibres
nerveuses, provenant des différentes régions du s
du système nerveux central. D'après Golgi, les ramifications de ces
fibres
seraient d'ordre pro- bablement sensitif et con
les décrit pas à part dans l'écorce cérébrale. L'étude * .. de ces
fibres
est en effet particulièrement difficile, et ne pe
niveau des cellules pyramidales. Pendant leur trajet ascendant, ces
fibres
émettent des collatérales assez volumineuses (fig
fig. 372, d). Elles concourent ainsi à former le vaste feutrage des
fibres
tangentielles qui occupent la deuxième, la troi
he molécu- laire. Ces libres ne s'anastomosent jamais avec d'autres
fibres
de la sub- stance grise; elles ne s'abouchent a
n facteur très important de l'écorce cérébrale (Cajal). Parmi ces
fibres
les unes, ainsi que nous l'avons indiqué, apparti
unes, ainsi que nous l'avons indiqué, appartiennent au système des
fibres
d'association, mais il en est d'autres qui sont b
gs segments inter- annulaires et représentent vraisemblablement des
fibres
sensitives, senso- FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET C
OCIATION ET COMMISSURAUX. 747 rielles ou cérébelleuses (Cajal). Ces
fibres
se distinguent des cylindres-axes des cellules
comme on le sait une disposition rectiligne et un trajet radiaire (
fibres
radiées). Cajal regarde comme appartenant à celte
enant à celte variété de libres terminales, toutes les très grosses
fibres
à trajet oblique ou horizontal, qui sillonnent
de l'écorce cérébrale. Nous n'étudierons ici que les systèmes des
fibres
d'association et des fibres commissurales, renv
s n'étudierons ici que les systèmes des fibres d'association et des
fibres
commissurales, renvoyant au chapitre suivant t. I
nt au chapitre suivant t. II) tout ce qui con- cerne le système des
fibres
de projection. Caractères qui les 1 distingue
me des fibres de projection. Caractères qui les 1 distinguent dos
fibres
do projection. 1 m. 372. - Coupe transversale
ire du cerveau de la souris âgée de 13 jours. On y a représenté les
fibres
grosses venant de la substance blanche cl, s'ar
blanche. B, couche moléculaire. 748 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
Fibres
courtes d'association ou Il- bi-es cil U. L
Leur originc. Leur trajet. Leur direction. Leurs rapports-
Fibres
d'association Ces fibres comprennent : A. Les
jet. Leur direction. Leurs rapports- Fibres d'association Ces
fibres
comprennent : A. Les courtes fibres d'associati
s- Fibres d'association Ces fibres comprennent : A. Les courtes
fibres
d'association; B. Les longs faisceaux d'associa
ibres d'association; B. Les longs faisceaux d'association; C. Les
fibres
propres des lobes occipital et frontal. A. Fibr
es des lobes occipital et frontal. A. Fibres courtes d'association (
fibres
en U de Meynert, fibres arquées d'Al'11old, fib
t frontal. A. Fibres courtes d'association (fibres en U de Meynert,
fibres
arquées d'Al'11old, fibres propres des circonvo
s d'association (fibres en U de Meynert, fibres arquées d'Al'11old,
fibres
propres des circonvolutions cérébrales). - Les co
1old, fibres propres des circonvolutions cérébrales). - Les courtes
fibres
d'association relient deux circonvolutions ou deu
compliquent l'étude des circonvolu- tions du manteau cérébral. Les
fibres
les plus courtes et les plus superfi- cielles d
va- riable, suivant les régions et suivant l'importance du pli, de
fibres
com- missurales et de fibres de projection. L
ons et suivant l'importance du pli, de fibres com- missurales et de
fibres
de projection. La direction des fibres en U var
bres com- missurales et de fibres de projection. La direction des
fibres
en U varie avec la direction du sillon : les fibr
La direction des fibres en U varie avec la direction du sillon : les
fibres
qui doublent la scissure calcarine (K) sont par
mme par exemple la scissure calloso-margirzale (cm), la direction des
fibres
en U est parallèle au plan vertico-transversal
u plan horizontal au niveau de la partie verticale des sillons. Les
fibres
en Uqui tapissent la scissure de Rolando (R) et
an horizontal de l'hémisphère. En d'autres termes, la direction des
fibres
en U est toujours perpendiculaire au grand axe
rs perpendiculaire au grand axe du sillon qu'elles tapissent. Ces
fibres
en U forment au niveau du fond des sillons une co
ine et se conti- nuent insensiblement du côté de l'écorce, avec les
fibres
d'association inlra- corticales ou externes de
ar leur situation sous-corticale. La face profonde de la couche des
fibres
en U est en rapport avec la masse blanche propre
masse blanche propre de la région, formée par l'enchevêtrement des
fibres
de projection, des fibres commissu- rales et de
a région, formée par l'enchevêtrement des fibres de projection, des
fibres
commissu- rales et des fibres d'association de
trement des fibres de projection, des fibres commissu- rales et des
fibres
d'association de longueur moyenne (fig. 347, p. 0
es fibres d'association de longueur moyenne (fig. 347, p. 090). Les
fibres
en Une sont pas en général désignées sous un nom
um collateralis, d'un stratum parieto-occipitalis, etc., etc. Les
fibres
courtes d'association ont évidemment pour fonctio
n rapport deux circonvolutions voisines, et il est probable que ces
fibres
ne se recouvrent de myéline chez l'enfant et ne s
myéline chez l'enfant et ne se distinguent de la masse générale des
fibres
nerveuses, que lorsque l'éducation et l'exer- c
deux territoires corticaux à fonctionner à l'unisson. C'est par ces
fibres
d'association et par le système des fibres tangen
l'unisson. C'est par ces fibres d'association et par le système des
fibres
tangentielles, que se généralise probablement l
t croyait que ces deux formations étaient reliées par de nombreuses
fibres
qui traversaient le corps calleux. Le cingulum
dans le bichromate, on enlève par dissection l'écorce grise et les
fibres
en U de la première circonvolution limbidue (L,).
antérieure. - CR, couronne rayonnante du lobe tem- poral. - fa(ci),
fibres
arciformes du sillon calloso-marginal. zizi, fais
et (U). Les dissections montrent que le cingulum n'est pas formé de
fibres
ayant, toute la longueur du faisceau, mais de f
t pas formé de fibres ayant, toute la longueur du faisceau, mais de
fibres
relativement courtes, qui se recourbent à leurs d
tie du cingulum de Burdach. Ce faisceau reçoit et émet en effet des
fibres
pour la première ' circonvolution frontale (mF,
rme (Fus) et le pôle temporal. Cet apport et ce départ incessant de
fibres
expliquent pourquoi la largeur du cingulum vari
re circonvo- lution limbique, dont elle est séparée par les courtes
fibres
d'association de la région ; sa face externe ou
n de la région ; sa face externe ou convexe est en rapport avec les
fibres
du centre ovale (CO), et dissociée par les fibr
rapport avec les fibres du centre ovale (CO), et dissociée par les
fibres
calleuses qui se rendent au bord supérieur de l
la face interne. D'après Meynert, Schwalbe, Obersteiner, etc., les
fibres
les plus inféro- internes du cingulum ne seraie
ngulum ; nous avons vu en effet plus haut qu'elles représentent les
fibres
tangen- tielles de l'écorce de la région (p. 69
du corps calleux (Cc[Spl] ) le cingulum est dis- socié par quelques
fibres
du forceps major du corps calleux, qui se rendent
inien (L [i] ) la partie rétrécie du cingulum est en rapport avec les
fibres
les plus antérieures du stratum calcarinum (str
convolution de l'hippocampe (L2 [H]) enfin, le cingulum constitue ces
fibres
à direction sagittale, fortement colorées par l
ulum (Cing [p]) (fig. 354, p. 706). L'origine et la terminaison des
fibres
du cingulum sont très controver- sées. Pour Fov
(Roli), avec l'extrémité antérieure du lobe frontal ; aucune de ses
fibres
no se recourbe- rait en avant du genou du corps
rizontal (Cing[h]) longe la face supérieure du corps cal- leux, ses
fibres
proviennent de l'extrémité frontale de l'hémisphè
amen du cerveau, Beevor constata une dégénérescence portant sur les
fibres
de la partie postérieure du faisceau horizontal;
fibres de la partie postérieure du faisceau horizontal; toutes les
fibres
de cette partie n'étaient pas dégénérées, et ce f
l'opinion aujourd'hui admise, que le cingulum contient non pas des
fibres
de toute longueur, mais des fibres qui, dans une
le cingulum contient non pas des fibres de toute longueur, mais des
fibres
qui, dans une partie seulement de leur trajet,
orbitaire du lobe frontal est très rapprochée du pôle temporal, les
fibres
les plus internes de ce faisceau sont aussi arqué
l'espace perforé antérieur et par conséquent plus on considère des
fibres
plus externes du faisceau, plus la courbure se re
eau, plus la courbure se redresse, de telle sorte que les dernières
fibres
deviennent non seulement rectilignes, mais affe
le de l'avant-mur (api'). A leur extrémité frontale (fig. 375), les
fibres
les plus inférieures, les plus internes et les
partie interne de la première circonvolution frontale (mF,). Les
fibres
qui suivent se rendent les unes dans le gyrus rec
niveau du sillon marginal postérieur dct'iusuta. Trajet de ses
fibres
dans le lobe trontal. i 754 ANATOMIE DES CE
sième sillon frontal ou incisure en H. - f5, sillon olfactif. jilc,
fibres
d'association externes de Meynert. - Fli, faisc
f. U, circonvolu- tion du crochet. tions frontales (oFpoF 3); les
fibres
les plus externes enfin se recourbent en dehors
s externes enfin se recourbent en dehors, s'entre-croisent avec les
fibres
du genou du corps calleux et se ter- minent ave
remière circonvolution temporale, ont été enlevées pour montrer les
fibres
de la capsule externe, le faisceau uncinatns et
sillon olfactif. - Fa, circonvolution frontale ascendante. - fa(ip),
fibres
arci- formes du sillon inter-parital. - fa(pri)
à la base des circonvolutions de l'opercule sylvien, en dehors des
fibres
du pied de la couronne rayonnante et à la haute
riétale de l'opercule; parallèles au bord supérieur du putamen, ses
fibres
les plus inférieures et les plus superficielles
i cient le bord supérieur de l'avant-mur, recouvrent en dehors les
fibres
du pied de la couronne rayonnante, et concouren
té antérieure, qui embrasse le bord postérieur du putamen, puis ses
fibres
se déploient en éventail, s'entre-croisent avec
temps, la base des circonvolutions pariéto-occipito-tempurales. Les
fibres
les plus superficielles se portent en avant, re
e circonvolution temporale (il), où elles s'entre-croisent avec les
fibres
de la couronne rayonnante et du bourrelet du corp
lus en plus difficiles il suivre, grâce à leur intrication avec les
fibres
calleuses et les fibres de projection. Sur les
l suivre, grâce à leur intrication avec les fibres calleuses et les
fibres
de projection. Sur les coupes vertico-transvers
l'opercule sylvien; son angle supérieur se perd dans la couche des
fibres
avoisinantes. Mal délimité en dehors et en bas, o
te : ses libres sont en effet per- pendiculaires à la direction des
fibres
rayonnantes. Au niveau du gyrus supra-marginali
dans le lobe temporal; il se confond en arrière avec la couche des
fibres
verticales de la convexité des régions occipitale
ent que le fais- ceau arqué est formé par un système de courtes
fibres
d'asso- dation. Faisceau occipito- frontal.
- lution frontale (Fg) ; il s'entre-croiserait à ce niveau avec les
fibres
de la couronne rayonnante, puis se porterait en
n. Le faisceau arqué ne semble du reste être composé que de courtes
fibres
d'association, mettant en connexion deux circon
ont en rapport avec la capsule externe, contiennent seules quelques
fibres
plus longues qui, sautant l une circonvolution,
u plus éloignées. Mais le faisceau arqué ne parait pas contenir des
fibres
de toute longueur, mettant en connexion deux lo
ve englobé dans une lésion corticale ancienne, on ne suit guère ses
fibres
dégénérées au delà du voisinage immédiat du foyer
378, 379, 380). Le lapetum au contraire, c'est-à-dire la couche de
fibres
qui tapisse la paroi externe des cornes sphénoï
e Burdach est situé en dehors de la couronne rayonnante, et que ses
fibres
les plus inférieures recouvrent en dehors la ca
une agénésie, mais d'une sorte d'hétérotopie du corps calleux ; les
fibres
calleuses se seraient développées, mais au lieu d
n effet d'un arrêt de développement qui intéresse non seulement les
fibres
et leurs arborisations terminales, mais encore
s animaux nouveau- nés entraînent la dis- parition complète des
fibres
et de leurs cellu- les d'origine, sans lais-
la couronne rayonnante du noyau caudé est formée par de nombreuses
fibres
qui prennent leur origine dans le noyau caudé, ém
orne sphénoïdale. FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 761 ..
fibres
n'affectent aucune connexion avec le noyau caudé;
oscopiques sériées, on ne voit, en effet, nulle part, aucune de ces
fibres
se terminer dans le noyau caudé. D'après Wernic
ces fibres se terminer dans le noyau caudé. D'après Wernicke, ces
fibres
constituent un faisceau défibres calleuses se l
, qui longerait le bord supéro-externe du noyau caudé et dont les
fibres
pénétreraient dans la capsule interne, entre le
ales, nous avons pu nous convaincre à maintes reprises, qu'aucune
fibre
de ce faisceau n'entre en connexion avec le noy
- liolet et de Foville, reprise par Wernicke., sur l'existence de
fibres
calleuses se rendant dans la capsule interne, n
nce grise sous-épen- dymaire, à laquelle il abandonne de nombreuses
fibres
, ce faisceau longe - l'angle externe du ventric
de la couronne rayonnante, au-dessous du crochet que décrivent les
fibres
calleuses autour de l'angle externe du ventricule
par son sommet dirigé en haut et en dedans, il s'insinue entre les
fibres
calleuses et l'épen- dyme ventriculaire. Nettem
est en partie dissocié au niveau de la queue de ce dernier, par les
fibres
de la couronne rayonnante et par les libres FIG
sième ventri- cule. - lsc;lcj, tienia semi-circularis dont quelques
fibres
sont situées dans la lame cornée. - ltlt, ténia
ur ventriculaire ce faisceau se recourbe en bas et en avant, et ses
fibres
s'étalent en éventail sur la paroi inféro-exter
ontal, face orbitaire; il reçoit chemin faisant, un grand nombre de
fibres
provenant du bord supérieur de l'hémisphère et
ions de la face externe, et qui lui arri- vent en passant entre les
fibres
calleuses et les fibres de la couronne rayon- n
et qui lui arri- vent en passant entre les fibres calleuses et les
fibres
de la couronne rayon- nante. Ce fait est facile
4 et 295, 296), traitées par les méthodes de Weigert ou de Pal. Les
fibres
du faisceau occipito-fron- tal se groupent en e
eaucoup moins intensivement par la laque hématoxyli- nique, que les
fibres
calleuses ou que celles de la couronne rayonnante
nante. Du faisceau principal on voit se détacher un grand nombre de
fibres
fines et peu colorées, qui se portent en avant
s fig. 382), et qui occupent tout l'espace clair, compris entre les
fibres
de la couronne rayonnante et les fibres calleus
ce clair, compris entre les fibres de la couronne rayonnante et les
fibres
calleuses qui entourent le ventricule latéral. D'
les fibres calleuses qui entourent le ventricule latéral. D'autres
fibres
(OF', fig. 391, p. 790) traversent la substance g
maire, ', s'entre-croisent, en avant de la corne frontale, avec les
fibres
du corps calleux et de la couronne rayonnante e
voit en outre se détacher sur les coupes vertico-transversales des
fibres
qui se portent en bas et en dehors, traversent
stitution de la capsule externe. Dans le lobe sphéno-occipital, les
fibres
du faisceau occipito-f1'Ontal s'irradient, aprè
ulaire et en particulier au niveau de la corne occipitale, avec les
fibres
du forceps major du corps calleux : en exa- min
coupes vertico-transversales, on voit en effet très net- tement des
fibres
se détacher du forceps major, et longer la paroi
Dans les lésions limitées du lobe occipital, on voit en outre, les
fibres
dégénérées du tapetum entrer en partie dans la co
ale, et cela est d'autant plus probable, que Cajal a montré que les
fibres
calleuses ne sont souvent que la branche de bifur
ne sont souvent que la branche de bifurca- tion interne des longues
fibres
d'association. Les lésions du lobe occipital re
le ascendante. - Fu, faisceau uncinatus. Fus, lobule fusiforme. ft,
fibres
tangentielles. - /, insula. L,, ,, première circo
lobe frontal, à la convexité de l'hémisphère et à l'insula (par les
fibres
se rendant à la capsule externe). Comme tous le
rne). Comme tous les longs faisceaux d'association, il est formé de
fibres
d'iné- gale longueur n'appartenant que dans une
du pôle occipital au pôle temporal. Il forme la couche externe des
fibres
sagittales du lobe occipito-temporal et il est ex
l'alcool ou dans les bichromates alcalins, car la direction de ses
fibres
est en effet perpendiculaire à celle des fibres
la direction de ses fibres est en effet perpendiculaire à celle des
fibres
qui le recouvrent (fig. 383 et 389). Pris dans
t à tort que quelques auteurs décrivent sous ce nom l'ensemble tics
fibres
commissurales, de projection et d'association, qu
arrefour ventriculaire, où il se ramasse en un faisceau compacte de
fibres
très serrées, tandis qu'il se réduit, au niveau
réduit, au niveau de l'ergot de Morand, à une très mince couche de
fibres
, décelable seulement au microscope. Sa face c
nt au microscope. Sa face concave est en rapport avec la couche des
fibres
de projection du lobe <c ? ? o/'o-oc< ? &
. Fc, fasciola cinerea. Fli, faisceau longitudinal inférieur. - ft,
fibres
tangentielles. Fus, lobule fusiforme. - II, cir
e de Burdach. l'entre-croisement à la base des circonvolutions, des
fibres
commissurales, d'association et de projection.
aban- donne en effet à ces circonvolutions un très grand nombre de
fibres
. La crête du lobule lingual a été décrite par B
- culaire de la capsule interne qu'il recouvre en dehors - avec les
fibres
de projection des lobes temporal et pariétal (f
différencie très facilement des radiations thalamiques (RTh) et des
fibres
de la masse blanche du lobe temporo-occipital, gr
o-occipital, grâce au gros calibre et à l'intense coloration de ses
fibres
réunies en fascicules compactes et séparés les
ascicules compactes et séparés les uns des autres : 1° par de fines
fibres
peu colorées qui appar- tiennent vraisemblablem
emblablement aux radiations thalamiques de Gratiolet, et 2° par des
fibres
foncées qui, traversant le faisceau longitudinal
au longitudinal inférieur perpendiculairement à la direction de ses
fibres
, entrent dans la consti- tution du tapetum. C
aisceau longitudinal inférieur comprend un système très complexe de
fibres
d'inégale longueur. Les dégénérescences seconda
ont toutefois montré, que ce faisceau con- tient un grand nombre de
fibres
longues, dont la dégénérescence peut être suivi
elles traversent radiairement, avec les libres de projection et les
fibres
commissurales, la substance blanche de ce z19
cingulum. Cip, segment postérieur de la capsule ' " interne. - Fc,
fibres
calleuses. Fli, faisceau longitudinal inférieur.
s propres de la scissure calcarine (stratum calcarinum de Sachs). fp,
fibres
de projection. - fl, fibres tangentielles du lo
rine (stratum calcarinum de Sachs). fp, fibres de projection. - fl,
fibres
tangentielles du lobe limbique. - i, sillon de l'
768 fig. 384). Ce faisceau reçoit chemin faisant un grand nombre de
fibres
du cunéus (C), du lobule lingual (Lg), du lobul
tions de la face convexe du lobe occipital (Oi,02,03). Toutes ces
fibres
ne présentent pas la même direction. Tandis que l
utes ces fibres ne présentent pas la même direction. Tandis que les
fibres
qui prennent leur origine dans la moitié inférieu
ng du bord inféro-externe des cornes occipitale et sphénoïdale, les
fibres
qui naissent de la partie supéro-externe de ce
us obliques qu'elles proviennent de régions plus supérieures. Les
fibres
qui naissent de l'écorce du cunéus se portent de
s passent au-dessous du plancher de la corne occipitale. Toutes ces
fibres
se rapprochent donc de plus en plus du faisceau
fibres se rapprochent donc de plus en plus du faisceau compacte de
fibres
sagittales qui longe le bord inféro-externe du
al inférieur abandonne aux circonvolutions de ce lobe de nombreuses
fibres
. Les fibres des couches inférieures se rendent
abandonne aux circonvolutions de ce lobe de nombreuses fibres. Les
fibres
des couches inférieures se rendent dans la circ
nent le pôle temporal, où elles s'entre-croisent Direction de ses
fibres
. Terminaison des fibres du faisceau longitu
les s'entre-croisent Direction de ses fibres. Terminaison des
fibres
du faisceau longitudinal inte- rieur. Termi
TRES NERVEUX. De- faisceau lon- gitudinal inférieur fournit des
fibres
à la capsule externe. Son entre-croise- men
es fibres à la capsule externe. Son entre-croise- ment avec les
fibres
de la commissure intérieure et du faisceau
de la commissure intérieure et du faisceau uncinatus. avec les
fibres
du faisceau arqué ou. longitudinal supérieur de B
dach et avec celles du faisceau uncinatus. ' . Un petit nombre de
fibres
entrent dans la constitution de la capsule exte
ont elles concourent à former les couches les plus inférieures. Ces
fibres
, qui ne dépassent guère le tiers postérieur de la
de la capsule externe (fig. 303 à 326), s'entre-croisent avec les.
fibres
de la commissure antérieure et avec le faisceau
leur plus gros calibre et leur intense coloration. " ., D'autres
fibres
enfin s'irradient dans l'écorce de la circonvolut
e segment postérieur de la capsule, interne, et descendent avec les
fibres
de ce segment postérieur dans le pied du pédon-
al, dont elles concourent à former le cinquième externe. Toutes ces
fibres
qui traversent les radiations thalamiques et le s
n de la couronne rayonnante ? Représentent-elles, au contraire, des
fibres
de pro- jection du lobe temporal, qui ne feraie
au d'association, dans le premier cas il contiendrait à la fois des
fibres
d'association et des libres de projection. Pour
bres de projection. Pour les auteurs qui assimilent ce faisceau aux
fibres
de projection du lobe occipital et le décrivent
s- saud), le faisceau longitudinal inférieur ne serait formé que de
fibres
de projection. Pour Sachs, la couche de fibre
erait formé que de fibres de projection. Pour Sachs, la couche de
fibres
que cet auteur désigne sous le nom de stratum s
sous le nom de stratum sagittale externonz, serait surtout formé de
fibres
d'association, mais contiendrait en outre un pe
fibres d'association, mais contiendrait en outre un petit nombre de
fibres
de projection. Il est incontestable que dans le
testable que dans le faisceau longitudinal inférieur, le départ des
fibres
de projection et des fibres d'association ne peut
u longitudinal inférieur, le départ des fibres de projection et des
fibres
d'association ne peut se faire unique- ment il
ire unique- ment il l'aide de l'anatomie normale. L'intrication des
fibres
est trop grande, leurs entre-croisements trop m
enticu- laire de la capsule interne, elle confient certainement des
fibres
de pro- jection, destinées aux centres infra-co
rts des li- bres du faisceau 1011- gitudinal inférieur avec les
fibres
des radiations thalami- ques. Le faisceau l
ngitudinal inférieur. - FM, faisceau rétroflexe de Meynert. - FPoa,
fibres
antérieures de la protubé- rance. - FT, faiscea
al inférieur est traversé, dans toute sa partie occipitale, par les
fibres
qui de l'écorce occipitale se rendent dans le t
me dans la partie tem- porale de ce faisceau, et que la plupart des
fibres
que l'on voit se détacher de la couche sagittal
e, le segment postérieur de la capsule interne, etc., etc., que ces
fibres
, disons-nous, n'appartiennent pas en propre au
be occipital, soit à la couronne rayonnante du lobe temporal. Les
fibres
de la couronne rayonnante du lobe temporal (c'est
fibres de la couronne rayonnante du lobe temporal (c'est-à-dire les
fibres
de projection de ce lobe), passent sous la face i
stination. La démonstration de cette proposition est faite pour les
fibres
de pro- . jection du lobe temporal qui descende
la corticalité temporale, l'un de nous a montré, en effet, que les
fibres
qui constituent le cinquième externe environ du
externe environ du pied du pédoncule cérébral, c'est-à-dire que les
fibres
du « faisceau dit de Tüuclc » proviennent, non pa
troisième circonvolutions temporales, et dans ces cas, on voit ses
fibres
dégénérées traverser la partie supérieure du fa
ui s'entre-croise avec le faisceau longitudinal inférieur. D'autres
fibres
de la couronne rayonnante du lobe temporal, telle
temporal, telles que les radiations du corps genouillé interne, les
fibres
temporales destinées au pulvinar, au noyau exte
profondément enclavée dans la couche optique. Il en est de même des
fibres
temporales destinées au pulvinar et que nous dé
orales destinées au pulvinar et que nous désignerons sous le nom de
fibres
temporo-thalamiques. Sur une série de coupes ho
316 à 328), on peut intéresser parallè- lement à leur longueur les
fibres
du lobe temporal qui relient l'extrémité antéri
oral qui relient l'extrémité antérieure de ce lobe au pulvinar. Ces
fibres
se rassemblent à la partie externe et supérieur
obli- quement en avant et en dedans, - ne s'identifie pas avec ces
fibres
temporo- thalamiques dont le trajet est très fa
re-croisement du faisceau lon¡ : ritu- dinal inférieur avec les
fibres
temporales se rendent au corps, genouillé int
fibres temporales se rendent au corps, genouillé interne et les
fibres
tomporo- thalamiques. 778 ANATOMIE DES CENTRE
ubercule quadriju- mcau antérieur. Ce, capsule externe. - Ce(h'li),
fibres
du faisceau longitudinal inférieur se rendant à
eau longitudinal inférieur (couche sagittale externe), et formée de
fibres
serrées, disposées en fais- ceaux compacts, et
ne), se portent d'arrière en avant, reçoivent un fort contingent de
fibres
de l'ergot de Morand, entourent complètement la
choses de plus près, on constate qu'il existe entre cette couche de
fibres
fortement colorées par l'hématoxyline et le faisc
o-vertical de Wernicke (voy. fib. 388, Ov) une très mince couche de
fibres
fines, peu colorées par l'hématoxyline (fig. 388,
Sur les coupes intéressant les régions temporales inférieures, ses
fibres
s'irradient en avant dans les circonvolutions t
evées, intéressant les corps opto-striés, la plus grande partie des
fibres
du faisceau longitudinal inférieur s'irradient en
ceau longi- tudinal inférieur dé- géiiûro dans les deux sens.
fibres
d'associa- tion propre au lobe occipital. m
hez le singe la masse blanche des hémisphères et en particulier les
fibres
d'associations intra-hémisphériques. En résumé,
Mais, de même que tous les faisceaux d'association, il est formé de
fibres
d'inégale lon- gueur qui n'appartiennent à ce f
aisceau, et qu'à mesure que l'on s'éloigne du foyer destructif, des
fibres
saines viennent s'adjoindre aux fibres dégénérées
gne du foyer destructif, des fibres saines viennent s'adjoindre aux
fibres
dégénérées. Lorsque l'on étudie la dégénérescen
si le faisceau longi- tudinal inférieur ne contient pas, outre les
fibres
qui lui viennent de l'écorce occipitale et qui
este presque la totalité de ce faisceau, un certain nombre d'autres
fibres
qui, lui venant de l'écorce temporale, iraient
reconnaître l'origine cellulaire de tel ou tel de ces faisceaux.
Fibres
d'association propres au lobe occipital (Stratum
e Sachs). Autour du faisceau longitudinal inférieur se groupent les
fibres
propres au lobe occipital, disposées en cinq fais
périeure du lobe occipital à ses parties moyenne et inférieure; les
fibres
des faisceaux transverses du cunéus et du lobul
tratum calcarinum (fig. 290 et 389, strK) est une épaisse couche de
fibres
verticales, qui double l'écorce de l'ergot de Mor
t forme à elle seule la masse blanche des plis cunéo-limbiques. Ses
fibres
relient la lèvre supérieure de la scissure calc
les parties profondes des deux lèvres de la scissure calcarine, les
fibres
les plus longues relient la face interne du cunéu
éus à la face inféro-in- - terne du lobule lingual. Cette couche de
fibres
verticales s'étend du pôle occipital au lobe li
ur du cingulum. Elle repré- sente en d'autres termes, la couche des
fibres
en U de la scissure calcarine. Brissaud décrit
cunéus du reste de l'hémisphère, et qu'elle oppose une barrière aux
fibres
de projection dont le cunéus serait ainsi dépourv
; ici comme dans toutes les autres régions de l'écorce, on voit les
fibres
radiées de l'écorce de la scissure calcarine, t
rser perpendiculairement ou plus ou moins obliquement la couche des
fibres
en U, puis les faisceaux d'association plus ou mo
ssociation plus ou moins longs, et concourir à former la couche des
fibres
de projection, dont la situa- tion est toujours
onakow, Moeli, Hens- chen, Zinn, Vialet), que le cunéus possède des
fibres
de projection tout comme les autres régions de
ion tout comme les autres régions de l'écorce cérébrale, et que ces
fibres
arrivent à leur destination par le plus court c
estination par le plus court chemin, c'est-à-dire en traversant les
fibres
en U et les fibres d'association plus ou moins lo
lus court chemin, c'est-à-dire en traversant les fibres en U et les
fibres
d'association plus ou moins longues, avant d'arri
d'association plus ou moins longues, avant d'arriver la couche des
fibres
sagittales du lobe occipital. Le faisceau occip
tum proprium convexitatis de Sachs, constitue une épaisse couche de
fibres
propres au lobe occipital et qui relie le bord
nvolutions temporales et recouvre profondément la mince' couche des
fibres
propres du sillon parallèle. En arrière du gyru
occipital vertical de Stratum calcari- Ullll1. ri 1 Il J
Fibres
de projee- tion du cunéus. 1,'aisceaii occipi
ec la convexité du lobe occipital. , Wernicke se confond avec les
fibres
postérieures ou descendantes du fais- ceau arqu
qué ou longitudinal supérieur de Burdach. : Dans leur ensemble, les
fibres
du faisceau occipito-frontal constituent - donc
scissure de Sylvius. Cette cloison est traversée par les nombreuses
fibres
qui entrent dans la constitution du faisceau lon-
occipito-temporal et du tapetum; elle est encore traversée par les
fibres
des faisceaux trans- verses du cunéus et du lob
lingual. Grâce à ces nombreux entre-croise- ments, cette couche de
fibres
verticales est mal délimitée en dehors, elle est
délimitée en dedans par le faisceau longitudinal inférieur, et ses
fibres
se distinguent, de celles de ce dernier par leur
t présente la même origine corticale que le stratum calcarinum. Ses
fibres
naissent donc de la lèvre supérieure de la scis
ersalement en dehors; mais au lieti de s'infléchir en bas comme les
fibres
du stratum cal- carinum, elles se recourbent en
versent le faisceau occipital vertical, se mélangent intimement aux
fibres
commissurales de projection et d'association de
g. 394) (Voy. Th. de Vialet, Obs. III). Outre ces quatre couches de
fibres
propres au lobe occipital, Sachs dé- crit une c
s au lobe occipital, Sachs dé- crit une cinquième couche de oourtes
fibres
d'association propresau cunéus, c'est le stratu
proprium cunei de Sachs (fig. 309, strprC). Il s'agit ici encore de
fibres
verticales comme celles du stratum calcarinum : e
re calcarine, puis se portent verticalement en haut, recouvrent les
fibres
propres des sillons du cunéus et s'irradient dans
e occipital gauche, destinée à montrer . l'origine et le trajet des
fibres
d'association propres du lobe occipital. (Demi-
opres du lobe occipital. (Demi- schématique.) , C, cunéus. - far,
fibres
arquées. - Fli, faisceau longitudinal inférieur.
pres des circon- volutions de face interne de l'hémi- sphère.
Fibres
d'associa- tiou lu IoVc l'routal. Couche des
- sphère. Fibres d'associa- tiou lu IoVc l'routal. Couche des
fibres
propres des circonvolutions de la face interne de
circonvolutions de la face interne de l'hémisphère. - Une couche de
fibres
verticales, analogues aux fibres propres du cun
e de l'hémisphère. - Une couche de fibres verticales, analogues aux
fibres
propres du cunéus, se trouve également dans le
dans la face interne de la première circonvolution frontale. ® Ces
fibres
, plus ou moins longues, naissent du bord supérieu
des scissures calloso-marginale et sous-pariétale. Cette couche de
fibres
s'étend du cunéus au pôle frontal, et s'entre-c
nd du cunéus au pôle frontal, et s'entre-croise avec les nombreuses
fibres
de projection et commissurales qui abordent les c
stingue par con- séquent facilement des radiations calleuses et des
fibres
de la couronne rayonnante, qui contournent la v
onnante, qui contournent la voûte du ventricule latéral et dont les
fibres
sont sectionnées parallèlement à leur longueur, a
roscopiques (p. 528 lig. 281 à 287 et 387). C'est cette couche de
fibres
propres des circonvolutions de la face interne
même au lobule lingual. Appliquer en outre à la couche des courtes
fibres
d'association des circonvolutions de la face in
outre que le trigone cérébral renferme un système fort complexe de
fibres
: on y décrit, outre le fornix proprement dit, un
le terme de forai ? au trigone cérébral et désignerons la couche de
fibres
d'association dont il est question ici, sous le
s d'association dont il est question ici, sous le nom de couche des
fibres
propres des circonvolutions de la face interne de
e interne de l'Izénzisphère. Dans le lobe frontal, le système des
fibres
d'association propres est beaucoup moins dévelo
upent les couches sagittales et les différentes couches des courtes
fibres
d'association, se prolonge en effet très loin dan
u interne se trouve constitué en dedans, en haut et en bas, par les
fibres
calleuses émanées du genou (Ce), il est complété
le faisceau occipilo-frontal (OF). Autour de ce premier système de
fibres
, on trouve l'anneau irrégulier et incomplet formé
de fibres, on trouve l'anneau irrégulier et incomplet formé par les
fibres
50 fie. 390. Coupe vertico-transvcrsale de l'
(Voy. pour la description de cette coupe, p. 31, coupe n° I.) - Ce,
fibres
calleuses. Cin,g, cingulum, cm, sillon calloso-ma
nce grise sous-épendymaire. 786 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les
fibres
d'asso- ciation propres au lobc frontal se gr
missu- raies. de la couronne rayonnante du lobe frontal (CR). Ces
fibres
se disposent en une couche épaisse en dehors, e
n haut et en bas, et mince en dedans, où elle est renforcée par les
fibres
du cingulum, immédiatement en avant du genou du
du cingulum, immédiatement en avant du genou du corps calleux. Les
fibres
des parties orbitaires et externe de la couronn
yonnante, sont sectionnées perpendiculairement à leur longueur. Les
fibres
des parties supérieures de la couronne rayonnante
ales (fig. 391, 296), ces dernières montrent, au contraire, que les
fibres
calleuses se réfléchissent en avant du ventricule
de s'irradier dans la troisième circonvolution frontale, et que les
fibres
de la couronne rayonnante décrivent une courbe
couronne rayonnante décrivent une courbe en sens inverse autour des
fibres
calleuses. La disposition en anneaux concentrique
u'à une fausse apparence, obtenue grâce à la section simultanée des
fibres
du genou du corps calleux et de ses fibres réfl
a section simultanée des fibres du genou du corps calleux et de ses
fibres
réfléchies, C'est autour des fibres de la couro
enou du corps calleux et de ses fibres réfléchies, C'est autour des
fibres
de la couronne rayonnante que se groupent les c
es fibres de la couronne rayonnante que se groupent les couches des
fibres
d'association propres au lobe frontal : les unes
première et troisième circonvolutions frontales. Mais ces courtes
fibres
d'association ne se disposent pas en couches co
obe occipital - elles s'entre-croisent en effet avec les nombreuses
fibres
de projection et commissurales de la région. En
on. En avant de la substance grise sous-épendymaire, les couches de
fibres
1... différenciées perdent rapidement leur indi
sse blanche du lobe frontal est formée par l'intime intrication des
fibres
d'association avec les fibres commissurales et
t formée par l'intime intrication des fibres d'association avec les
fibres
commissurales et de projection. C'est le long d
irconvolution frontale, que l'on peut le mieux suivre les dernières
fibres
différenciées (fig. 242 et 243, p. 442 et 448).
es dernières fibres différenciées (fig. 242 et 243, p. 442 et 448).
Fibres
commissurales. Les libres commissurales qui rel
OMMISSURAUX. 787 aussi renvoyons-nous pour son étude au système des
fibres
de projection. du rhinencéphalon (Voy. Trigone
ncéphalon (Voy. Trigone cérébral, t. II). Corps calleux (Ce). Les
fibres
calleuses constituent le système commissural ou m
égions desservies par le système de la commissure antérieure. Les
fibres
calleuses représentent très probablement, d'après
s, soit les collatérales ou les branches de bifurcation des longues
fibres
d'association ou des fibres de projection. Nées d
les branches de bifurcation des longues fibres d'association ou des
fibres
de projection. Nées de toute la corticalité cér
de l'écorce cérébrale à l'angle externe du ventricule latéral, les
fibres
calleuses sont connues sous le nom de raclia- t
es selon les méthodes de Weigert ou de Pal, que l'irra- diation des
fibres
de projection se fait suivant un plan oblique.
sula, par l'intermédiaire de la capsule externe (Schnopfhagen). Les
fibres
les plus internes naissent de la première circo
s, en décrivant une légère courbe à concavité inféro-interne. Les
fibres
moyennes naissent des circonvolutions de la face
liquement en bas et en dedans, soit transversalement en dedans. Les
fibres
les plus inférieures, enfin, proviennent des circ
vec le toenia tecta (tec) et le cingulum (Cing), en dehors avec les
fibres
de la couronne rayonnante (Ce), qui décrivent aut
iciels deviennent profonds de l'autre côté de la ligne médiane, les
fibres
des régions antérieures d'un hémisphère s'irrad
l'ont soutenu Reil, Arnold et en particulier Meynert, de véritables
fibres
commissurales qui relient et associent dans leur
iques des deux hémisphères, il contient en outre un grand nombre de
fibres
d'association inter-hémi- sphériques, qui assur
rayonnant vers l'angle antéro-externe du ventricule latéral. Les
fibres
qui naissent de la troisième circonvolution front
ongueur sur les coupes vertico-transversales (lig. 280 et 390). Les
fibres
originaires des deuxième et première circonvoluti
he d'autant plus du plan sagittal, que l'on considère davantage les
fibres
nées de la première circonvolution frontale. Le
vantage les fibres nées de la première circonvolution frontale. Les
fibres
de la face interne (L,,mF,) se dirigent enfin o
ère et en dehors. Toutes ces radia- tions s'entre-croisent avec les
fibres
d'association propres du lobe frontal et avec l
act augmente rapidement de volume grâce à l'adjonction de nouvelles
fibres
, puis se porte obliquement en dedans et en arri
où il s'entre-croise irrégulièrement avec celui du côté opposé. Les
fibres
superficielles du genou du corps calleux ne se po
(fig. 391). Le genou du corps calleux contiendrait encore d'autres
fibres
: nous avons vu plus haut que le faisceau longi
. 375, p. 754) ne serait autre chose, d'après Schnopfhagen, que des
fibres
du genou du corps calleux, destinées à relier le
ce orbitaire de la troisième circonvolution frontale (off. quelques
fibres
proviendraient des couches les plus inférieures
2, p. 442), s'épaissit rapidement grâce à l'adjonction de nouvelles
fibres
qui lui viennent des faces orbitaire et interne
avec celui du côté opposé, au niveau du bec du corps calleux. - Ces
fibres
n'affectent aucun rapport avec les fibres de la
c du corps calleux. - Ces fibres n'affectent aucun rapport avec les
fibres
de la couronne rayonnante, elles sont séparées
os- térieure de la corne occipitale. Confondues en arrière avec les
fibres
d'asso- ciation et de projection non encore dif
itudinal inférieur (Fli). Sur les coupes vertico-transversales, les
fibres
de cette couche annulaire se trouvent toutes se
'ouvre et grandit, et que l'ergot de Morand s'accuse davantage, les
fibres
de la partie inférieure ou minor du forceps (Fm')
es lingual (Lg) et fusiforme affectent une direction sagittale. Les
fibres
de la mince couche qui tapisse l'ergot de Morand
occipitale (fig. 384, p. 768). Il en est de même de la plupart des
fibres
qui tapissent la paroi externe du ventricule. Née
la paroi externe du ventricule, traversent les épaisses couches de
fibres
du faisceau longitudinal inférieur (Fli) et des r
et entrent directement dans la constitution du forceps major. Les
fibres
du faisceau supérieur ou major du forceps (Fm) af
isceau se porte en avant et reçoit dans les régions antérieures les
fibres
du précu- néus (PrC), de la première circonvolu
icule latéral, traversent les couches des libres d'association, des
fibres
de projection ainsi que les fibres du faisceau
es des libres d'association, des fibres de projection ainsi que les
fibres
du faisceau occipito-frontal (off, puis se coud
e terme date de Reil, qui comprenait sous ce nom la mince couche de
fibres
d'aspect triangulaire, qui tapisse la paroi sup
h, au contraire, ne désigne sous le nom de tapetum que la couche de
fibres
qui tapisse la paroi supéro-externe de la corne s
reste indemne à la suite de la section du corps calleux, pourvu que
Fibres
de partie supérieure major du forceps. Orig
-frontal. 11 ri 794 ANATOMIE DES' CENTRES NERVEUX. Trajet des
fibres
calleuses étudié par la méthode des dégé- n
presque total du corps calleux. Il est néanmoins problable, que les
fibres
calleuses entrent pour une certaine part dans la
les microscopiques sériées, on voit, en effet, un certain nombre de
fibres
de la paroi externe de la corne occipitale abor
faisceau principal ou major du forceps. Le départ, dans ce cas, des
fibres
du tapetum et de celles du forceps, ne peut êtr
ces secondaires consécutives aux lésions de l'écorce cérébrale, les
fibres
du tapetum dégé- nérant en effet comme celles d
problème. Beevor soutient l'hypothèse que le cunéus est dépourvu de
fibres
cal- leuses, nous avons vu plus haut que Brissa
cal- leuses, nous avons vu plus haut que Brissaud lui refusait des
fibres
de projection : Si les hypothèses de ces auteur
es auteurs étaient fondées, le cunéus serait exclusivement formé de
fibres
d'association. Or, il n'en est rien, les dégéné
es lobules fusiforme (Fus) et lingual (Lg), la dégéné- rescence des
fibres
calleuses se dispose comme suit : les fibres dégé
a dégéné- rescence des fibres calleuses se dispose comme suit : les
fibres
dégénérées de la pointe occipitale et de la bas
ire. Dans les régions plus antérieures (fig. 394), la situation des
fibres
dégéné- rées se modifie, par suite de l'arrivée
bres dégéné- rées se modifie, par suite de l'arrivée incessante des
fibres
saines, prove- nant soit des lobules lingual (L
ue Vialet l'a bien indiqué, les libres saines traverser la zone des
fibres
dégénérées, et aborder soit le forceps major, s
COMMISSURAUX. 79o cunéo-limbique (fig. 395), la dégénérescence des
fibres
calleuses se can- tonne dans le forceps major e
us) et lingual (Lg) (fig. 396, 397 et 398), la dégénéres- cence des
fibres
calleuses occupe encore la partie inférieure du v
hé, si ce n'est au fond de la scissure calcarine (K). Les courtes
fibres
d'association du lobe occipital telles que le fai
le. Sur les coupes qui passent en arrière de la coupe actuelle, les
fibres
dégénérées du tapetum et des radiations thalami
s coupes qui passent en avant de cette coupe, la dégénérescence des
fibres
du tapetum se cantonne (grâce à l'apport incessan
ibres du tapetum se cantonne (grâce à l'apport incessant de nouvelles
fibres
) à la partie externe et supérieure du ventricul
la profondeur du bourrelet du corps calleux. La dégénérescence des
fibres
des radiations thalamiques se continue au contrai
tre suivie jusqu'aux noyaux gris centraux, où elle retentit sur les
fibres
radiées du pulvinar, sur la zone de Wernicke et
ticulier celles du cunéus, en- traînent donc une dégénérescence des
fibres
du système calleux, mais eues retentissent en o
ion et de projection. Au voisinage du foyer primitif, les courtes
fibres
d'association sont toutes dégéné- rées ; à me
u foyer primitif, la dégénéres- cence se cantonne sur les longues
fibres
d'association, sur les fibres du système calleu
- cence se cantonne sur les longues fibres d'association, sur les
fibres
du système calleux et sur les fibres du systè
fibres d'association, sur les fibres du système calleux et sur les
fibres
du système de projection. Or, les tra- vaux e
me et troisième circonvolutions temporales. Les dégénérescences des
fibres
calleuses s'observent non seulement il la suite
on, Langley et Grünbaum, Muratuff, etc. ; le siège et le nombre des
fibres
cal- leuses dégénérées, sont proportionnels au
u siège et à l'étendue du foyer cor- tical (Forel, Muratoff). Les
fibres
calleuses qui se réfléchissent autour de l'angle
ale à l'épendyme ven- triculaire. Dans ce dernier cas, le champ des
fibres
calleuses dégénérées est Fig. 396 et 397. Topog
posé la lésion; elle est destinée à montrer les dégénérescences des
fibres
cal- leuses il la suite de cette vaste lésion d
En résumé, le corps calleux est donc formé par un grand nombre de
fibres
qui, venant de toute la corticalité cérébrale (à
temporale), s'entre-croisent sur la ligne médiane, à la manière des
fibres
de la commissure antérieure de la moelle, et se t
pyramidales ou poly- morphes, soit les branches de bifurcation des
fibres
de projection ou d'association, émettent de nom
ps genouillé externe; 3° une dégénéres- cence extrêmement nette des
fibres
calleuses, qui sur les coupes sériées, peut être
érieur ou minor du forceps (Fm'). Sur la coupe actuelle on voit ces
fibres
dégénérées longer la paroi interne de la corne oc
ment ancien, ayant sectic ; le faisceau longitudinal inférieur. Il,
fibres
tangentielles. Fus, 1'tisifoi-iiie.- ip, sill i
r le chien par Muratoff, montrent au contraire nettement, qu'aucune
fibre
dégé- nérée ne pénètre dans la capsule interne,
ulum. cm, sillon calloso-marinal. - cnz', sa partie verticale. fAe,
fibres
d'association externes de leviiert. L,, première
loration des radiations tha- lamiques et du faisceau uncinatus; ses
fibres
se distinguent par conséquent facilement des fi
uncinatus; ses fibres se distinguent par conséquent facilement des
fibres
du faisceau longitudinal inférieur. Au niveau de
ur. Au niveau de la partie moyenne de la commissure antérieure, les
fibres
sont disposées en couches parallèles régulièrem
sur la ligne médiane et constituent vraisemblablement de véritables
fibres
commissurales ; au niveau des parties latérales,
itables fibres commissurales ; au niveau des parties latérales, les
fibres
subissent une torsion, de telle sorte que les f
latérales, les fibres subissent une torsion, de telle sorte que les
fibres
postérieures deviennent inférieures puis extern
les fibres postérieures deviennent inférieures puis externes et les
fibres
antérieures, supérieures, puis internes. La com
rbe en avant et atteint le tubercule olfactif. Elle contient : 1° des
fibres
commissurales reliant l'un à l'autre les deux l
t représentant un véritable chiasma olfacti f (\Ieynert), et 2° des
fibres
qui s'entre-croisent sur la ligne médiane, et u
essant dans ces cas de suivre dans l'hémisphère sain, le trajet des
fibres
dégénérées de la commissure antérieure. Dans de
e la commissure antérieure. Dans deux cas, nous avons pu suivre les
fibres
dégénérées jusqu'à la capsule externe et la par
ns, et les pièces n'avaient pas été préparées en vue de l'étude des
fibres
dégénérées dans la masse blanche de l'hémisphère
sule externe (Ce). La capsule externe contient un grand nom- bre de
fibres
commissurales et d'association, aussi son étude s
quée a la fin de ce chapitre. Elle n'est toutefois pas dépourvue de
fibres
de projection, et fournit le contingent principal
vue de fibres de projection, et fournit le contingent principal des
fibres
du pédon- cule inféro-interne de la couche opti
ace externe du pulamen, à laquelle elle est unie par quelques rares
fibres
à myéline; il n'existe, en ell'et, entre ces de
rne. Capsule extrême (Ce, fig. 375) dont la base, croisée par les
fibres
du faisceau arqué ou lon- gitudinal supérieur,
rapprochent d'autant plus de l'horizontale, que l'on considère des
fibres
plus inférieures. Ses fibres ont des origines f
l'horizontale, que l'on considère des fibres plus inférieures. Ses
fibres
ont des origines fort complexes. Les libres de la
terne après avoir croisé, perpendiculairement à leur direction, les
fibres
du pied de la couronne rayonnante. Dans les cas d
la capsule externe ne semble donc pas être très considérable. Les
fibres
antérieures proviennent du faisceau uncinatus et,
ès Schnopfhagen, du genou et du bec du corps calleux. Ces dernières
fibres
, passent au-dessous de l'extrémité antérieure d
sent pas par conséquent avec le pied de la couronne rayonnante. Les
fibres
postérieures sont fournies par le faisceau longit
aisceau longitudinal inférieur, par la commissure antérieure et les
fibres
temporales du faisceau uncinatus. Ce dernier fa
elle la partie horizontale de l'avant- mur. Un certain nombre des
fibres
soit verticales, soit obliques de la capsule ex
se terminent dans la crête des circonvolutions de l'insula. D'autres
fibres
se rendent dans la substance grise des parties
ance grise des parties verticale ou morcelée de l'avant- mur. Les
fibres
de la capsule externe forment donc une partie des
e (Cex); celle-ci contient en outre un très grand nombre de courtes
fibres
d'association, reliant deux circonvolutions voisi
convolutions voisines ou plus ou moins éloignées de l'insula. Les
fibres
des capsules externe et extrême, à l'exception de
le constater plus d'une fois, la dégénérescence de ces différentes
fibres
, sauf toutefois celle des fibres de la commissu
dégénérescence de ces différentes fibres, sauf toutefois celle des
fibres
de la commissure antérieure et du faisceau unci
FAISCEAUX D'ASSOCIATION ET COMMISSURAUX. 800 qu'un grand nombre des
fibres
de la capsule externe, et en particulier de la
en particulier de la capsule extrême, appartiennent au système des
fibres
courtes d'asso- ciation. " " ARNOLD (F.). Tab
E3ERINE (J.). Sur l'origine corticale et le trajet intra-cérébral des
fibres
de l'étage inférieur ou pied du pédoncule ce !
DEJERINE (J. et A.). Contribution à l'étude de la dégénérescence des
fibres
du corps calleux. Soc. de Biologie, 1892. - DEd
u'au quart postérieur en arrière. Il est composé en majeure partie de
fibres
transversales. Sur ses côtés, on voit deux tractu
ivise ainsi, à peu près par le milieu, un pont de substance blanche à
fibres
transversales : le pont de Varole, lequel réunit
ptiques. Cet entre-croisement ou chiasma (CH) est constitué par les
fibres
des deux bandelettes optiques (BO) venues de gang
et symétriques, mais reliées entre elles sur la ligne médiane par des
fibres
commissurales qui constituent le raphé. Le sché
Sœmmering. Le nerf olfactif envoie dans la pyramide de Sœmmering des
fibres
qui représentent sa racine moyenne. 1. Sur l'hé
l'espace perforé postérieur, on voit sortir des interstices de leurs
fibres
les deux tronçons symétriques du nerf moteur ocul
ce ; plus profondément (troisième ligure), elle est parcourue par les
fibres
de la racine moyenne du nerf olfactif, disposées
la racine inférieure du thalamus (Thl). antérieurs, on aperçoit les
fibres
transversales du corps calleux, qui, à leur parti
ale (psp) dans l'espace perforé antérieur, l'autre à la direction des
fibres
du pédoncule cérébral. 1° psp. Bandelette diago
oré; mais elle s'enfonce, en avant et en haut, entre les faisceaux de
fibres
du nerf olfactif, qui représentent, ainsi que nou
le schéma 4 (première figure). Souvent elle s'étale et éparpille ses
fibres
sur toute la surface de l'espace perforé, et c'es
lement à l'aide de la loupe qu'on reconnaît la direction générale des
fibres
dissociées qui la composent. La figure 1 de la pl
cas, la pyramide de Sœmmering est parcourue à sa surface par quelques
fibres
aberrantes de la bandelette diagonale, étendues t
LM). antérieur de la protubérance. Il suit d'abord la direction des
fibres
internes du pédoncule, puis se porte en dehors, p
non loin du tubercule quadrijumeau antérieur, dans une région où ses
fibres
deviennent difficiles à suivre. Le tractus tran
P, le Iraclus pedunculi ou faisceau en écharpe croise obliquement les
fibres
du pédoncule cérébral gauche, vu par sa face infé
i constituaient le faisceau en écharpe (TP) ne passaient pas avec les
fibres
du pied sous la bandelette optique (BO). Elles se
. Schéma 6. Il s'agissait donc en quelque sorte d'une ectopie des
fibres
de la bandelette optique. Ce qu'on peut dire, c
ieure du seuil. Le corps calleux est une voûte de substance blanche à
fibres
transversales, présentant sur les coupes sagittal
erf de Lancisi : c'est la substance réticulaire d'Arnold (LMV). Les
fibres
transversales de la partie moyenne du corps calle
oyenne du corps calleux passent au-dessus du ventricule latéral ; les
fibres
du genou passent au-devant de la corne frontale;
ral ; les fibres du genou passent au-devant de la corne frontale; les
fibres
du rostrum passent au-dessous de la corne frontal
e; les fibres du rostrum passent au-dessous de la corne frontale; les
fibres
du splenium passent au-dessus et en dehors de la
abénule se perd en avant, au-dessous du noyau antérieur (NaC), où ses
fibres
rejoignent, en s'éparpillant, au-devant de ce noy
que, sont réunis, chacun à chacun, sur le cerveau non divisé, par des
fibres
cornmissurales dont l'ensemble appartient au ruba
elle de la face postéro-externe du pont de Varole (PV). Ce système de
fibres
cornmissurales est renforcé, en avant du tubercul
ant du tubercule quadrijumeau antérieur, par une masse cylindrique de
fibres
transversales qu'on appelle commissure blanche po
avant avec le genou du corps calleux (GC), en bas avec la voûte; ses
fibres
disposées verticalement paraissent soutenir la vo
r, la situation plus superficielle et la direction toute spéciale des
fibres
du pied du septum permet, pour peu qu'on y fasse
a circonvolution en crochet. Là on le perd de vue ; une partie de ses
fibres
se mêle à la substance blanche de l'espace perfor
fìmbria du côté gauche est reliée à la fìmbria du côté droit par des
fibres
transversales, accolées à la concavité antérieure
é sous le nom de lyre de David (psalterium). On ne peut bien voir ces
fibres
qu'en soulevant, sur un cerveau entier, le bord p
égion, dépourvue d'accidents de terrain, reçoit un certain nombre des
fibres
radiculaires de la racine olfactive externe. He
orps calleux (ce) coupé sur la ligne médiane envoie la plupart de ses
fibres
au centre ovale de l'hémisphère. Mais, de sa part
ourbe en avant, en dehors et en bas pour devenir la fimbria (Fl). Les
fibres
du trigone se confondent, en dehors avec les fais
, au-dessus de la tubérosité réfléchie du splenium (SPL), partent les
fibres
postérieures que nous savons constituer le forcep
ne occipitale. UU1SSAUD. f et on dehors; il est constitué par des
fibres
qui vont tapisser la paroi interne du ventricule.
s-calleux, a été fort bien décrite par M. Testut. Elle se compose des
fibres
médianes du ce, corps calleux; SPL, sploniuui
cia-dentala ; Fci, fasciola cinerea ; FOin, forceps major; FOi,
fibres
inférieures du forceps destinées à forjuer l'alve
Elle représente, dans la profondeur de l'hémisphère, l'expansion des
fibres
divergentes du pédoncule ou couronne rayonnante d
du pédoncule ou couronne rayonnante de Reil. Elle renferme aussi les
fibres
qui réunissent les noyaux de l'hémisphère à ceux
hère à ceux de la région bulbo - prolubéran-tielle. L'ensemble de ces
fibres
constitue le deuxième système de projection de Me
icule latéral. Tœ. Le taenia semi-circularis est la petite bande de
fibres
blanches qui sépare la couche optique (Pul) de la
ule frontal. En arrière et en dehors il repose sur une large masse de
fibres
qui convergent vers la couche optique (NeC); cett
de fibres qui convergent vers la couche optique (NeC); cette masse de
fibres
est la couronne rayonnante, dirigée obliquement e
est moins visible à la surface du noyau interne (NiC), parce que ses
fibres
, vers l'extrémité postérieure de la couche optiqu
lame médullaire externe; ou latérale (LML). Cette lame est formée de
fibres
venues de la face inférieure de la couche optique
lleux, dans le lobe frontal et dans le lobe occipital, n'émet pas ses
fibres
transversales, directement de la ligne médiane à
fibres transversales, directement de la ligne médiane à l'écorce. Les
fibres
frontales, en majeure partie, se réfléchissent en
t encore pour gagner la face inférieure du noyau caudé, mélangées aux
fibres
de la couronne rayonnante de ce noyau (RNC). Da
tricule. GO. Le centre ovale, dans le lobe frontal, est la masse de
fibres
qui émergent de la partie supérieure et antérieur
artie supérieure et antérieure du corps calleux, pour se mélanger aux
fibres
propres de ce lobe. On voit un faisceau clair, si
fet, une partie de la surface de section de ces taches correspond aux
fibres
verticales de l'anse du noyau lenticulaire (ANL).
pes verticales. FPV. Le faisceau pariétal vertical est une masse de
fibres
d'association, étendues entre les circonvolutions
placé plus en dedans et plus en avant, et dont on ne voit ici que les
fibres
qui ont pénétré dans le centre ovale, de haut en
ise du septum lucidum (GSL). En dehors et en arrière, il reçoit des
fibres
du segment antérieur de la capsule interne (CIA),
la scissure limbique (L). Mais en réalité elle en est séparée par les
fibres
du pied du septum, qui, étant ici perpendiculaire
capsule interne (CIA). Le côté postérieur, très étroit, reçoit les
fibres
du faisceau sensitif externe (FSe). Ce côté posté
par la lame médullaire externe. (LML) ; et l'on voit une multitude de
fibres
blanches partir de cette lame médullaire pour s'e
a profondeur, de dehors en dedans et d'avant en arrière. Toutes ces
fibres
sont interrompues dans leur parcours par des traî
igées de dedans en dehors, au faisceau sensitif (FSi). Cette masse de
fibres
n'est autre chose que la couronne rayonnante du t
ensitif externe (FSe), envisagé d'avant en arrière, est la réunion de
fibres
qui viennent 1° de la capsule externe (CE); 2° du
du pôle. Hs abandonnent en efl'et, chemin faisant, un grand nombre de
fibres
au faisceau longitudinal inférieur (FLI), après s
ventriculaire, se compose d(3 libres vernies du faisceau sensitif, de
fibres
venues du tapetum (TAP), enfin de fibres antéro-p
ies du faisceau sensitif, de fibres venues du tapetum (TAP), enfin de
fibres
antéro-postérieures réunissant d'étape en étape l
le, est toujours sectionnée perpendiculairement à la direction de ses
fibres
sur les coupes horizontales. Aussi sa colora rati
). FPV. Le faisceau pariétal vertical est une masse peu compacte de
fibres
d'association qui réunissent l'écorce du lobe par
sensitif (FS), et qui n'est séparée de celui-ci que par de très rares
fibres
du tapetum. La paroi inférieure est formée par
suffisamment compacte, et dans laquelle sont évidemment mélangées les
fibres
des faisceaux FOm, FLI, FS, reconnaissables sur l
ntéro-postérieurs de l'hémisphère cérébral. Cette étroite fusion de
fibres
qui étaient distinctes et séparées dans une régio
té postérieure du cerveau, la substance blanche se compose surtout de
fibres
arquées, mettant en relation les unes avec les au
en majeure partie le plan vertico-transversal. Mais au milieu de ces
fibres
blanches on distingue un gros faisceau (FS), repr
ation foncée indique qu'il est toujours formé d'une masse compacte de
fibres
dirigées d'avant en arrière. A sa partie inférieu
ce foncée pour devenir franchement clair. Cela revient à dire que ses
fibres
, d'abord antéro-postérieures, s'inclinent vers la
oit admettre qu'il s'épuise progressivement à mesure qu'il envoie des
fibres
sous la paroi du ventricule ; celles-ci vont se j
semble se confondre avec le faisceau compact du fornix (FCF) dont les
fibres
sont également dirigées dans le sens antéro-posté
e la membrane épendymaire (EP), et, plus en dehors, par une couche de
fibres
foncées, dirigées dans le sens antéro-postérieur,
essus de la paroi supérieure (FOi). Ce faisceau aplati représente les
fibres
les plus inférieures du forceps major, c'est-à-di
te les fibres les plus inférieures du forceps major, c'est-à-dire des
fibres
venues de l'étage supérieur du splenium du corps
nettement au fond de la scissure calcarine, qu'elle enveloppe de ses
fibres
verticales. Quant au faisceau pariéto-frontal (
ieure du lobule pariétal supérieur (P^) lui fournissent également des
fibres
. Figure 4. COUPE VERTICO-TRANSVERSALE PASSANT
pe précédente, dans la substance grise de celui-ci. Le faisceau des
fibres
inférieures du forceps major (FOi) est plus épais
ait voir toujours plus foncé à sa partie inférieure. Ce sont donc les
fibres
supérieures qui sont le plus franchement horizont
e de ce qu'il prend une direction oblique en avant et en dedans : ses
fibres
sont moins foncées. On ne distingue ici en efl'et
t qu'une lame demi-circulaire, représentant un trousseau lamelleux de
fibres
émanées du pli courbe et de la partie inférieure
isceau sensitif (FS), il est ici situé en dedans. Cela prouve que les
fibres
de ces deux faisceaux s'entrc-croisent : le premi
rès foncé, augmente d'importance. Il est composé en majeure partie de
fibres
dirigées d'avant en arrière. Mais sa couleur somb
ée en dehors qu'en dedans. Il renferme donc, à sa partie externe, des
fibres
exclusivement antéro-postérieures et des fibres p
a partie externe, des fibres exclusivement antéro-postérieures et des
fibres
plus ou moins obliques. Les fibres externes sont
ivement antéro-postérieures et des fibres plus ou moins obliques. Les
fibres
externes sont nettement séparées par le bord très
nettement séparées par le bord très accentué d'un nouveau faisceau de
fibres
blanches, verticales (FOY), faisceau occipital ve
es. afl'cctcr avec celle-ci aucun rapport de continuité. Toutes ses
fibres
, en efîet, se jettent, de dehors en dedans, dans
oisines de la paroi inférieure du ventricule sont la continuation des
fibres
blanches les plus voisines de la paroi externe. C
séquent, qui s'épuisent les premières dans le gyrus lingual (0'). Les
fibres
externes, au contraire, vont en arrière jusqu'à l
me il fournit à la substance grise du cuneus la majeure partie de ses
fibres
, il occupe surtout la partie supérieure de cette
rconvolution. 11 est encore séparé de la cavité du ventricule par les
fibres
inférieures du forceps major (FOi) dont la direct
u inférieur, se relève ici obliquement et en dehors, pour croiser ses
fibres
avec celles du faisceau pariéto-frontal (FPF), et
rtical, il est représenté par une bande claire, homogène, composée de
fibres
verticales, tranchant nettement par leur couleur
ée de fibres verticales, tranchant nettement par leur couleur sur les
fibres
foncées, antéro-postérieures, du faisceau sensiti
st-à-dire qu'il est sectionné sur un point où il a abandonné moins de
fibres
au lobule lingual (0"). FCF. Le faisceau compac
us, mi-partie au-dessous de ce i sillon {sCu). Au-dessous de lui, les
fibres
moyennes du forceps j major (FOm), venues de l'ét
la paroi supérieure du ventricule, dont elles sont i séparées par les
fibres
inférieures du forceps (FOi). Elles se jettent i
aisceaux aiitéro-postérieurs, pour prendre I la coloration claire des
fibres
transversales. Les fibres inférieures ! du forcep
rs, pour prendre I la coloration claire des fibres transversales. Les
fibres
inférieures ! du forceps major (FOi) forment une
il est plus paie que dans la figure pré céclciitc. Il emprunte des
fibres
nouvelles, celles-là dirigé(;s dans le sens antér
nt antéro-postérieur; un plan moyen, clair, par conséquent composé de
fibres
transversales; un plan supérieur, foncé, antéro-p
a figure suivante. Mais déjà on peut remarquer que ces trois plans de
fibres
sont, comme le faisceau sensitif dont ils émanent
et par la scissure perpendiculaire interne {Oi). Quelques-unes de ses
fibres
n'ont pas encore pris cette direction, et on les
forceps entoure la voûte du ventricule sous la fornn^ d'un arc où les
fibres
de la partie ext(iriic sont plus nombreuses que c
e ext(iriic sont plus nombreuses que celles de la partie interne. Les
fibres
externes contournent la paroi externe; les fibres
partie interne. Les fibres externes contournent la paroi externe; les
fibres
internes s'accolent à la paroi interne, puis, bru
luais ses deux extrémités supérieure et inférieure se mêleut avec des
fibres
d'association de la région pariétale et de la rég
lus interne du faisceau sensitif (FS) ; une moyenne (FL2), blanche, à
fibres
transversales, émanées de la partie moyenne du fa
à deux. La couche supérieure (FLi) aura disparu; c'est-à-dire que ses
fibres
auront pris une autre direction. Il s'agit en efl
autre direction. Il s'agit en efl'et, comme nous l'avons déjà dit, de
fibres
nerveuses qui, faisant d'abord partie du faisceau
FLI), sont évidemment celles qui s'incurvent les dernières. Donc, les
fibres
antéro-postérieures, formant la couche supérieure
is quelque peine à s'orienter dans cette (linal inférieur, sont des
fibres
qui s'incurvent seulement dans la région postérie
les ont continué, sans s'incurver, leur trajet antéro-postérieur. Les
fibres
de la conche siipérienre (FLi) du faisceau longit
irige d'avant en arrière, sans passer sous le ventricule. Ce sont les
fibres
de la coucihe la plus interne du faisceau sensiti
étendue, en deux parties : l'une, la supé-i rieurc, qui renferme les
fibres
inférieures du forceps; l'autre. Fin-' férieure,
res inférieures du forceps; l'autre. Fin-' férieure, qui renferme ses
fibres
supérieures. En dehors de ce qui précède, les d
cipitale interne et la voûte du ventricule, que par une mince lame de
fibres
coupées perpendiculairement à leur axe. La plus g
section et deviennent franchement blanches (fig. 10, FCF). FOi. Les
fibres
inférieures du forceps major tapissent la face in
ceps abandonne, chemin faisant, d'avant en arrière, une partie de ses
fibres
. Il est certain que le plus grand nombre d'entre
major forme la voûte du ventricule latéral. Une partie seulement des
fibres
situées à sa partie la plus externe passent en de
cissure occipitale (sQ), dont elle n'est séparée que par le reste des
fibres
du faisceau compact du fornix (FCF). Nous venons
ompact du fornix (FCF). Nous venons de voir que la majeure partie des
fibres
de ce dernier faisceau s'est déviée, en avant et
du corps calleux, désigné ordinairement sous le nom de cingulum. Les
fibres
de la lame festonnée (LFE) sont, dans cette régio
fecte la forme représentée sur la figure 8, la maj(Hire partie de ses
fibres
appartenant au manteau du cuneus ou du pli de pas
unéo-limbique (xO"). FPF. Le faisceau pariéto-frontal se compose de
fibres
obliques' en haut, en avant et en dehors, devenan
appelle le premier l'attention. Nous verrons que la masse compacte de
fibres
dont il se compose est cependant relativement fac
ent pas que les lames en question ne renferment exclusivement que des
fibres
optiques. Bien au contraire. Aussi leur conserver
doute a ce que, étant moins compact, il est aisément pénétré par des
fibres
venues d'ailleurs. A sa partie interne il est tou
a cavité ventriculaire. On voit, à ce niveau inôine, que très peu des
fibres
de sa portion interne s'incurvent sous le ventric
de. La couche supérieure (FLi) a disparu. Cela revient à dire que les
fibres
qui la représentaient sur une coupe plus postérie
adjacente, sur la coupe 13, à la paroi ventriculaire, est formée des
fibres
du faisceau sensitif (FS) qui, à la partie extern
en partie dans cette circonvolution. Mais le plus grand nombre de ses
fibres
se porte dans le gyrus lingual (0^'), où on les v
e (voy. fig. 14) {sP)-Mais là il ne s'épuise pas. C'est un faisceau à
fibres
courtes, qui se renouvelle d'étape en étape de fa
n dehors par la lame festonnée (LFE) (voy. fig. 14 et 15). FOi. Les
fibres
inférieures du forceps major paraissent encore co
ures du forceps major paraissent encore confondues en partie avec les
fibres
moyennes (FOm) ; et cette séparation est réelle.
la voit s'accuser dans les figures suivantes (14 et 15), lorsque les
fibres
moyennes se portent en masse vers la ligne médian
es moyennes se portent en masse vers la ligne médiane, tandis que les
fibres
inférieures, toujours foncées et compactes, conse
s épais que sur les coupes précédentes ; il renferme donc ici plus de
fibres
qu'en arrière. Cela tient à ce que ses fibres s'é
nferme donc ici plus de fibres qu'en arrière. Cela tient à ce que ses
fibres
s'épuisent en partie dans la paroi externe du ven
aroi externe du ventricule ou tapetum, d'où elles se portent avec les
fibres
du faisceau sensitif (FS) sous la paroi mférieure
e ce faisceau au-dessus du ventricule montre sur la figure 15 que les
fibres
les plus internes, les plus foncées, et par consé
au de la terminaison antérieure du cuneus (xO"), quelques-unes de ses
fibres
se confondent, dans le gyrus lingual, avec celles
u longitudinal inférieur (FLI). C'est d'ailleurs le seul point où ses
fibres
inférieures ne soient pas nettement isolées des p
FPF. Le faisceau pariéto-frontal, peu visible sur cette coupe, où ses
fibres
sont parallèles au plan de section, se distingue
entriculaire. L'angle supéro-externe est émoussé par une partie des
fibres
du faisceau supérieur du forceps qui le croisent
ce interne une petite encoche répond à un changement de direction des
fibres
du faisceau inférieur du forceps, dont la partie
blanche de la quatrième circonvolution temporale (T4). Une partie des
fibres
renfermées dans ce faisceau doit en être distrait
une très mince lamelle, à peine visible, qui ne renferme môme plus de
fibres
du faisceau sensitif. Elle se compose exclusiveme
lus de fibres du faisceau sensitif. Elle se compose exclusivement des
fibres
les plus externes du faisceau moyen du forceps (F
er vers le gyrus lingual (T) La couche moyenne (FL2) représente les
fibres
du faisceau sensitif réfléchi. La couche inférieu
ensitif réfléchi. La couche inférieure (FL3) représente également des
fibres
du même faisceau; seulement ces dernières sont le
u diffus du fornix est, comme son nom l'indique, un faisceau dont les
fibres
, coupées perpendiculairement à leur axe, n'ont pa
indique qu'il est sectionné perpendiculairement à la direction de ses
fibres
. Celles-ci sont donc antéro-postérieures. Puis, e
de cette scissure a disparu. Il est donc dans le plan de sCction. Ses
fibres
sont blanches et situées au-dessus du faisceau su
e s'écarte pas de la paroi et il ne diminue pas d'épaisseur. Mais ses
fibres
, au lieu de garder la direction antéro-poslérieur
cissure occipitale encore visible sur la coupe précédente (sQ), les
fibres
du faisceau moyen du forceps se portent brusqueme
centeà l'écorce de la circonvolution limbique(C). Mais le mélange des
fibres
n'est qu'apparent, ainsi que le démontrent les fi
coloration est très claire; elle le parait même d'autant plus que les
fibres
du faisceau sensitif (FS), qui lui sont immédiate
mesure que cette scissure diminue de profondeur. Ce petit système de
fibres
arquées, absolument constant, est séparé de la su
s, tantôt clairs : sombres, à leur insertion corticale, lorsque leurs
fibres
sont dirigées d'arrière en avant ; clairs, lorsqu
e des ondulations qui répondent au croisement, à angle très aigu, des
fibres
du faisceau moyen du forceps. Substance blanche
siforme (T4). A ce niveau, il n'est plus représenté seulement par les
fibres
du faisceau sensitif (FS) réfléchi sous la paroi
c ligne de démarcation les sépare nettement. Un grand nombre de leurs
fibres
s'intriquent ou semblent s'intriquer réciproqueme
nt au faisceau supérieur du forceps (EOs), lequel semble mélanger ses
fibres
avec les siennes. Mais l'isolement de l'un et de
signalé sur les coupes plus postérieures, on voit une large bande de
fibres
à coloration claire qui s'interpose entre le fais
a substance blanche de la circonvolution lim-bique (C), mais avec les
fibres
du faisceau supérieur du forceps (FOs). Cette der
s du faisceau supérieur du forceps (FOs). Cette dernière confusion de
fibres
résulte de ce que les plus supérieures du faiscea
ps contribue donc à former le lapetum. Nous retrouvons d'ailleurs ces
fibres
à la partie inférieure du tapetum, où elles repre
ffus du fornix (FDF) est mieux séparé de lui à ce niveau. On voit ses
fibres
, disposées sous la forme d'un triangle à sommet i
moyenne du faisceau longitudinal inférieur (FLI), et paraît mêler ses
fibres
avec celles de la couche inférieure (FL3) de ce f
sa teinte devient plus foncée. A ce niveau il môle une partie de ses
fibres
avec celles du faisceau compact du fornix (FCF).
dant autre chose que le faisceau inférieur du forceps (FOi), dont les
fibres
, jusqu'alors dirigées dans le sens antéro-postéri
forceps recommence à s'isoler à sa face supérieure. La direction des
fibres
du faisceau supérieur (FOs) est, en effet, beauco
u'il arrive au voisinage de l'écorcc grise. On voit (fîg. 18) que ses
fibres
se portent ensuite transversalement vers la face
inal inférieur (FLT), remonte en dedans du forceps et va mélanger ses
fibres
supérieures avec celles qui tapissent l'écorcc du
mince fuseau (FLi), dans une région correspondante. Cette fusion des
fibres
du faisceau sensitif et des fibres du faisceau mo
n correspondante. Cette fusion des fibres du faisceau sensitif et des
fibres
du faisceau moyen du forceps (FOm) n'est qu'appar
gle inféro-externe du ventricule est le point commun de réflexion des
fibres
du faisceau sensitif (FS) et des faisceaux supéri
ux supérieur et moyen du forceps (FOm et FOs), l'incurvation de leurs
fibres
parait les mélanger en un faisceau unique. FLI.
uche ; cette couche inférieure (FL3) est formée en majeure partie des
fibres
du faisceau sensitif (FS), et spécialement des fi
eure partie des fibres du faisceau sensitif (FS), et spécialement des
fibres
externes de ce faisceau. La couche moyenne (FL2)
e moyenne (FL2) a perdu beaucoup de son épaisseur. C'est dire que les
fibres
du faisceau sensitif qui la composaient ne se réf
e limbique qu'il enveloppe. Il est difficile de dire s'il y a plus de
fibres
situées au-dessus de cette scissure qu'il n'y en
que, est plus foncée qu'au-dessous; en d'autres termes, le nombre des
fibres
antéro-postérieures du faisceau diffus du fornix
volution frontale ascendante, est plus considérable que le nombre des
fibres
du môme faisceau qui parcourent la circonvolution
ce faisceau, décrivant sa courbe à concavité antérieure, se môle aux
fibres
les plus externes du faisceau sensitif (FS) et s'
re sous-pariétale (sP). En dehors et en haut, il parait confondre ses
fibres
avec celles du faisceau diffus du fornix (FDF).
nférieure du splenium à sa partie supérieure; et, dans ce trajet, ses
fibres
sont approximativement verticales. Les plus infér
é postérieure de la corne d'Ainmon, n'est plus représenté que par des
fibres
verticales (FOi) et un petit faisceau de fibres h
eprésenté que par des fibres verticales (FOi) et un petit faisceau de
fibres
horizontales, antéro-postérieures, dont la coupe
n où il représente le tapetum. C'est qu'il s'y ajoute le trousseau de
fibres
du faisceau moyen dont il vient d'être question.
e la substance grise est interrompue par la pénétration en dehors des
fibres
transversales les plus postérieures du corps call
le bulbe de la corne postérieure (BCP). Elle répond exclusivement aux
fibres
du faisceau moyen du forceps (FOm). — La face ext
face externe s'incurve en dedans, suivant exactement la direction des
fibres
du faisceau supérieur du forceps (FOs). Substan
longitudinal inférieur, réduit à sa couche inférieure, est formé des
fibres
de la partie externe du faisceau sensitif (FS) et
ormé des fibres de la partie externe du faisceau sensitif (FS) et des
fibres
du faisceau diffus du fornix (FDF), dont la direc
ne d'être signalée. FDF. Le faisceau diffus du fornix se compose de
fibres
anléro-postérieures, en majeure partie accumulées
act; mais il perd déjà en épaisseur, c'est-à-dire que beaucoup de ses
fibres
se sont déjà insérées à la substance grise de cet
t ici entamée par le couteau pour la première fois, renferme donc les
fibres
qui, d'un hémisphère à l'autre, réunissent les de
ur du forceps devient de plus en plus vertical, sauf* un trousseau de
fibres
externes, dirigées dans le sens antéro-postérieur
e.-Au-dessus de cet angle fortement enfoncé dans la masse blanche des
fibres
du forceps, on ne trouve plus que des fibres appa
ans la masse blanche des fibres du forceps, on ne trouve plus que des
fibres
appartenant au faisceau moyen (FOm). FOm. La pr
e cas ici — ce « bulbe », cxclusive- BRISSAUD. (J ment composé de
fibres
blanches, forme sur la voûte du ventricule deux s
voûte du ventricule deux saillies. La saillie externe se compose des
fibres
supérieures du faisceau moyen ; la saillie intern
res supérieures du faisceau moyen ; la saillie interne se compose des
fibres
inférieures. Toutes ces fibres continuent leur tr
en ; la saillie interne se compose des fibres inférieures. Toutes ces
fibres
continuent leur trajet suivant la direction génér
se rendre compte que cette paroi est constituée exclusivement par des
fibres
obliques, se portant du côté interne au côté exte
(LFE) par une ligne courbe à convexité interne. C'est qu'en effet ses
fibres
, dirigées en avant et en dedans, se recourbent di
iation transversale due, non seulement à la direction évidente de ses
fibres
de dehors en dedans, mais à la présence de couche
sence de couches grises, minces, interposées entre les trousseaux des
fibres
blanches. Ces stries grises ne sont autre chose q
blanches. Ces stries grises ne sont autre chose que les sections des
fibres
antéro-postérieures du corps calleux, plus nombre
rtion blanche du manteau. On verra, sur les coupes suivantes, que les
fibres
blanches de ce manteau rudimen taire se continu
fibres blanches de ce manteau rudimen taire se continuent avec les
fibres
blanches du corps calleux. Si les fibres blanches
taire se continuent avec les fibres blanches du corps calleux. Si les
fibres
blanches n'étaient pas visibles encore sur la cou
s la substance grise de l'écorce. Mais il est accompagné par quelques
fibres
du corps calleux jusqu'au fond de la saillie gris
x (22, sC). Bientôt ce ne sera plus le corps calleux qui fournira les
fibres
de la paroi interne du ventricule ; ce sera le pi
eut l'étudier comme telle, vu sa situation profonde dans la masse des
fibres
blanches. CAM. Corne d'Ammon. Sur la figure 25,
en bas, à droite et à gauche, elles sont en rapport immédiat avec les
fibres
du Faisceau inférieur du forceps (FOi). Les fibre
immédiat avec les fibres du Faisceau inférieur du forceps (FOi). Les
fibres
les plus postérieures sont même les seules qui so
f est toujours plus prononcée, d'ailleurs, au contact du tapetum. Les
fibres
du tapetum (FOs) sont verticales. Celles du faisc
ante (FL3, fîg. 21), est la couche inférieure, celle qui renferme les
fibres
antéro-postérieures, venues en majeure partie du
du faisceau sensitif externe. La couche moyenne (FL2) représente des
fibres
transversales, dirigées de dehors en dedans, prov
. Et comme cette circonvolution est occupée par la corne d'Àmmon, les
fibres
des couches inférieure et moyenne du faisceau lon
e réfléchit en bas, en dedans et en avant. C'est par l'adjonction des
fibres
du faisceau diffus du fornix que le faisceau long
nférieur (FLI) augmente momentanément de calibre. Mais la plupart des
fibres
du faisceau diffus du fornix (FDF) restent en deh
ment de Fêtre jusqu'à la coupe 27; dans cet intervalle, en effet, ses
fibres
sont verticales et ne se reconnaissent pas du pre
i). Les trois faisceaux du fornix représentent donc trois systèmes de
fibres
d'association, pour des régions corticales dont l
les ce i La face supérieure du corps calleux (ce), composée de
fibres
transversales, forme en arrière une courbe à conc
spleniuin (SPL). Sur les côtés du corps calleux, et au dessus de ses
fibres
transversales, on voit les deux faisceaux antéro-
cingulum. i". coupes précédentes. Il décrit, dans le sens de ses
fibres
, un are à concavité antérieure. Les coupes les pl
ngulum n'est plus sectionné perpendiculairement à la direction de ses
fibres
, mais très obliquement. Sur la figure 19, au-de
n (FOm) au milieu de l'angle supéro-interne du ventricule. Toutes ses
fibres
se portent obliquement en arrière et en bas, de f
ncave en avant et en dehors, où se loge la corne d'Ammon. Lorsque ses
fibres
deviennent verticales (25,24), elles perdent tout
apparaissent. Ainsi que sur les coupes de la planche précédente, les
fibres
de ce faisceau, qui restent antéro-postérieures s
uré sur les coupes verticales passées en revue jusqu'ici. Ce sont des
fibres
désormais dirigées de haut en bas et d'arrière en
lus en plus de volume. 11 n'est plus constitué que par ce faisceau de
fibres
flottantes qui, juste au-dessus de la base de la
faisceaux du splenium qui forme la voûte de la corne occipitale. Les
fibres
ainsi sectionnées se portent toujours plus loin e
ceau supérieur ou tapetum. On voit (fig. 22 et 25) le reliquat de ces
fibres
qui, précédemment, formaient encore un petit fais
e dans toute la partie contiguë à la paroi externe du ventricule. Ses
fibres
, venues du corps calleux, sont donc, à ce niveau,
à son insertion sur la partie postérieure du corps calleux (ce). Les
fibres
de ce faisceau rayonnent en éven tail, mais décri
hors du cingulum, en dedans des faisr ceaux du forceps. La sortie des
fibres
du forceps à la face interne de l'hémisphère arrê
rne de l'hémisphère arrête la communication directe que cette lame de
fibres
nerveuses établit entre l'étage supérieur et l'ét
s'enfonce plus profondément dans le centre ovale et se rapproche des
fibres
supérieures du corps calleux. Sur la figure 25,
; et un étage inférieur dans lequel circulent d'arrière en avant les
fibres
du faisceau longitudinal inférieur (FLI). L'étage
tache triangulaire (fig. 28, FOi) indiquant la section d'une masse de
fibres
dirigées d'avant en arrière et appartenant au fai
ant au faisceau inférieur du forceps. On voit plus loin (fig. 30) ces
fibres
s'insinuer au-dessous du bulbe de la corne postér
e, au-dessus et en dedans de la corne d'Aminon. Ce sont les premières
fibres
nettement isolées du pilier postérieur du trigone
coloration plus foncée indique la direction antéro-postérieure de ses
fibres
. — En haut, il contourne le faisceau supérieur du
aître, à une différence de coloration suffisamment accentuée, que les
fibres
du faisceeu sensitif (FS) se composent de deux co
es. La couche inférieure foncée (FLs) est en grande partie formée des
fibres
du faisceau sensitif externe (FSe) et en faible p
des fibres du faisceau sensitif externe (FSe) et en faible partie des
fibres
du faisceau diffus du fornix (FDF). Mais ce derni
rus fusiforme (T4). La couche moyenne (FL2, fig. 26, 29), composée de
fibres
transversales, appartient au faisceau sensitif in
um dans cette région, les particularités relatives à la réflexion des
fibres
(FOs, FOm, fig. 50) au niveau de l'angle inféro-e
même. FCF. Le faisceau compact du fornix, composé exclusivement de
fibres
transversales depuis que la totalité de ses fibre
é exclusivement de fibres transversales depuis que la totalité de ses
fibres
a passé au-dessus du corps calleux, se jette dans
gènes, les plus directes et les plus compactes de tout l'appareil des
fibres
blanches intra-hémisphériques. Au-dessous du co
ngue difficilement sur les coupes verticales de cette planche, où ses
fibres
sont elles-mêmes verticales ; mais sa place est i
nsible de sa teinte, au-dessus et en dedans de la corne d'Ammon ; ses
fibres
antéro-postérieures sont foncées; ses fibres obli
e la corne d'Ammon ; ses fibres antéro-postérieures sont foncées; ses
fibres
obliques en bas et en dehors sont claires, et s'i
faisceau inférieur du forceps (fig. 28) se compose de deux séries de
fibres
, les unes situées au-dessus, les autres situées a
dessous nous sont connues. Celles qui sont situées au-dessus sont des
fibres
antéro-postérieures, appartenant à la partie la p
et aussi à la partie inférieure du tapetum, par un petit faisceau de
fibres
, que nous connaissons déjà, dirigées en avant, en
t en bas et de dedans en dehors suivant une courbe régulière dont les
fibres
, d'abord très claires, sont contenues dans le pla
nférieure du tapetum. Ce sont, comme on le voit sur la figure 30, les
fibres
les plus externes qui s'inclinent les premières e
e faisceau, qui concourt à la formation du centre ovale, est formé de
fibres
transversales du corps calleux appartenant à une
e nous connaissons déjà, sur l'écorce des deux lobules pariétaux. Ses
fibres
se portant ensuite directement en haut et en deda
se grise. Seulement tout cet ensemble, au lieu d'être perdu parmi les
fibres
blanches du faisceau inférieur du forceps (fîg. 2
bandelette cendrée, laquelle est recouverte par une mince couche de
fibres
. Cette couche blanche commence à revêtir la bande
sversalement en avant du splenium. Il ne reste donc ici plus guère de
fibres
appartenant au forceps. Seules les fibres les plu
este donc ici plus guère de fibres appartenant au forceps. Seules les
fibres
les plus inférieures et les plus antérieures du s
, qui vont envelopper la corne d'Ammon, s'isolent assez nettement des
fibres
directement transversales. On constate que les fi
z nettement des fibres directement transversales. On constate que les
fibres
transversales du corps calleux se portent horizon
u ventricule ne se fait pas en masse, tout d'un coup, pour toutes les
fibres
visibles sur un plan de section, mais seulement p
ême. Nous y reviendrons plus loin. TAP. Le tapetum. La totalité des
fibres
du corps calleux, en dehors de celles qui ont fou
u-dessus du ventricule et va former la paroi externe de celui-ci. Ses
fibres
n'appartiennent plus à proprement parler au force
upérieur du forceps ; FOm, faisceau moyen du forceps. ciablc. Les
fibres
du forceps sont, en somme, les fibres du corps ca
moyen du forceps. ciablc. Les fibres du forceps sont, en somme, les
fibres
du corps calleux qui se portent d'avant en arrièr
res. Ces deux plans, adossés dans toute leur hauteur, se composent de
fibres
à directions différentes (fig. 55) ; les plus ext
le plancher du ventricule, augmente le nombre des stratifications des
fibres
entre cette paroi ventriculaire et le fond du g
eaux. Le faisceau longitudinal inférieur est toujours formé des mômes
fibres
. Seulement les fibres qui sur une coupe précédent
itudinal inférieur est toujours formé des mômes fibres. Seulement les
fibres
qui sur une coupe précédente formaient la couche
7, que la cinquième circonvolution temporale (T3) où aboutissent les
fibres
sensitives, perd peu à peu d'épaisseur, d'arrière
suite au faisceau sensitif externe (FSe) et mêle quelques-unes de ses
fibres
avec celles du faisceau sensitif externe qui se r
nte, l'aspect du faisceau compact du fornix ne s'est pas modifié. Ses
fibres
se portent presque directement de dehors en dedan
ntact du corps calleux, présentent une coloration foncée. Ce sont les
fibres
les plus inférieures de ce faisceau, coupées perp
-inférieure de la circonvolution limbique (C), comme d'autre part ses
fibres
inférieures s'épanouissent en divergeant dans la
ct, homogène, à concavité interne, que nous avons déjà mentionné. Les
fibres
les plus foncées sont toujours celles qui sont le
ise de l'hippocampe et le faisceau inférieur du forceps (FOi). Là ses
fibres
, que nous avions vues précédemment dirigées en ba
alleux. Mais ici, il n'y a plus, à proprement parler, de forceps. Les
fibres
auxquelles on a donné ce nom se dirigent en effet
s on a donné ce nom se dirigent en effet toujours en arrière. Ici les
fibres
les plus inférieures du corps calleux se portent
change de direction, ainsi qu'en témoigne la coloration foncée de ses
fibres
(FOi, fig. 52, 54): il s'enfonce d'arrière en ava
où émane le faisceau inférieur du forceps (FOi), la teinte claire des
fibres
transversales du corps calleux devient progressiv
et, en dedans du faisceau inférieur du forceps, un faisceau diffus de
fibres
antéro-postérieures qui, sur les coupes plus anté
résente l'ancienne voûte horizontale du ventricule. Une partie de ses
fibres
, après avoir recouvert la voûte du ventricule, de
m formant la paroi ventriculaire externe. Nous avons déjà dit que les
fibres
du tapetum arrivées au voisinage de l'angle infér
il semble même, autant qu'on en juge par la coloration claire de ses
fibres
, se porter horizontalement en dedans vers la circ
s deux faisceaux est assez difficile à établir. Le fait est que leurs
fibres
sont également horizontales. Mais celles du faisc
à constater que les deux faisceaux en question ne mélangent pas leurs
fibres
. L'examen des coupes représentées sur la planch
n des coupes représentées sur la planche 6 permet de supposer que les
fibres
du faisceau sensitif du centre ovale (CO) se port
plans suivant des intersections différentes. En (a), par exemple, les
fibres
sont coupées perpendiculairement à leur axe, au v
, y, z, dans le manteau de l'hémisphère au voisinage de l'écorce. Les
fibres
a, b, c s'insèrent sur l'écorce; leurs "angles d'
n étendue, attendu que la lame du couteau n'a encore traversé que des
fibres
de revêtement, dirigées obliquement en bas et en
la face externe et la face interne, là seulement où il reste quelques
fibres
du faisceau moyen du forceps (BCP, fig. 40). C'es
iquement de haut en bas et de dedans en dehors. C'est qu'en effet les
fibres
dont elle se compose sont dirigées dans ce sens,
igone cérébral ou fìmbria (FI). Sur une coupe plus antérieure, où les
fibres
sont sectionnées plus parallèlement à leur direct
comme un ruban homogène, décrivant un arc à concavité antérieure. Ses
fibres
émanent de la partie la plus inférieure du corps
irectement de la face inférieure du corps calleux. La direction des
fibres
de la fimbria, reconnaissable sur les figures 39,
xtrémité inférieure, plus claire en dedans, laisse soupçonner que les
fibres
de la fimbria s'épuisent en partie, surtout en de
ur la corne d'Ammon, à sa partie interne. Mais un grand nombre de ses
fibres
conservent leur groupement compact jusqu'à la p
l'alveus (ALV, fîg. 40). L'alveus est simplement l'épanouissement des
fibres
les plus antérieures du faisceau inférieur du for
i) à la face externe de la corne d'Ammon. Il est bien évident que ces
fibres
proviennent du corps calleux, où elles sont plus
es de la fimbria. Celles-ci ne sont qu'accolées au corps calleux; les
fibres
de l'alveus en font partie intégrante. On peut vo
e l'alveus en font partie intégrante. On peut voir, en outre, que les
fibres
les plus externes de l'alveus continuent leur tra
si se continuer sous la corne d'Ammon, comme ont fait déjà toutes les
fibres
du faisceau inférieur du forceps et se terminent
dans le ventricule, n'est que la continuation la plus antérieure des
fibres
inférieures du splenium. Ce sont encore ces fibre
lus antérieure des fibres inférieures du splenium. Ce sont encore ces
fibres
qui, dans leur ensemble, forment la mince cloison
oupe de revêtement blanc de la couche optique. Celui-ci se compose de
fibres
dont la direction oblique en bas et en dehors com
ontrer sur la figure 42. Nous verrons ultérieurement le trajet de ces
fibres
. Substance blanche. ce. Le corps calleux augm
sibles seulement sur les cerveaux durcis, représentent les couches de
fibres
antéro-postérieures qui se groupent, dans le vois
forme d'une lamelle foncée, située verticalement dans l'épaisseur des
fibres
blanches. En dehors du tapetum courent d'avant en
fibres blanches. En dehors du tapetum courent d'avant en arrière les
fibres
des faisceaux sensitifs interne et externe (FSi,
toute l'étendue verticale de la paroi externe du ventricule. Ici, les
fibres
du tapetum et du faisceau sensitif ne se mélangen
t pas de même dans la région supérieure et externe du tapetum, où les
fibres
du faisceau sensitif externe (FSe, fig. 42) rejoi
ie, en apparence moins compacte (FSi), fig. 58 et suiv.), et dont les
fibres
ont une direction qu'il s'agit de déterminer. On
sceau sensitif n'est pas moins claire que la partie externe. Donc ses
fibres
se rapprochent de la direction horizontale ; et s
on du corps opto-strié, et nous allons voir (pl. IX, fig. 52) que ces
fibres
prennent leur origine dans un noyau, d'où elles p
sensitif, sur toutes ces coupes, ne se compose pas de deux couches de
fibres
, mais seulement d'une seule, incurvée de telle so
ction horizontale du faisceau sensitif et changement de direction des
fibres
de ce faisceau. h, portion transversale de son
chéma 70. voulons dire : le faisceau sensitif est constitué par des
fibres
arquées, d'abord horizontales de dedans en dehors
l y a dans le faisceau sensitif interne (FSi) une notable quantité de
fibres
qui passent dans le faisceau externe (FSe), celui
isceau externe (FSe), celui-ci est loin de se composer uniquement des
fibres
qui ont déjà formé le faisceau interne. Les coupe
ne. Les coupes horizontales démontrent môme que la majeure partie des
fibres
du faisceau externe, venues de beaucoup plus loin
ches (fig. 57 et suiv.) : Io une couche supérieure claire, formée des
fibres
les plus internes du tapetum (TAP), réfléchies so
AP), réfléchies sous le ventricule ; 2° une couche foncée, formée des
fibres
du faisceau sensitif interne (FSi, fig. 59) et de
formée des fibres du faisceau sensitif interne (FSi, fig. 59) et des
fibres
du faisceau sensitif externe (FSe); 3° une couche
if externe (FSe); 3° une couche claire, formée d'une bonne partie des
fibres
du faisceau sensitif externe (FSe), mélangées ave
tie des fibres du faisceau sensitif externe (FSe), mélangées avec les
fibres
les plus internes du faisceau diffus du fornix (F
l'étage inférieur de cette circonvolution et ne se mélangent avec les
fibres
de l'étage supérieur que tout à fait au voisinage
pact du fornix ne présente rien de spécial. La majeure portion de ses
fibres
se porte horizontalement en dedans, vers l'écorce
à peu (fig. 42), de place en place. Cela signifie simplement que ses
fibres
supérieures se portent souvent directement en ded
rectement en dedans vers l'écorce limbique pour s'y insérer. Mais les
fibres
les plus voisines du corps calleux gardent, sur t
nt, sur toute leur étendue, leur homogénéité. En d'autres termes, les
fibres
supérieures du cingulum sont des fibres courtes ;
éité. En d'autres termes, les fibres supérieures du cingulum sont des
fibres
courtes ; les fibres inférieures sont des fibres
mes, les fibres supérieures du cingulum sont des fibres courtes ; les
fibres
inférieures sont des fibres longues. Au-dessous
du cingulum sont des fibres courtes ; les fibres inférieures sont des
fibres
longues. Au-dessous de la corne d'Ammon (fig. 3
ventricule). Mais, au voisinage delà corne d'Ammon (fig. 40, 41), ses
fibres
(FI) changent de couleur : claires d'abord, elles
fornix (FDF). Sur les figures 41, 42, on reconnaît d'ailleurs que ses
fibres
, à leur extrémité interne, se portent plus en ava
fasciola cinerea (Fri). Sur les coupes suivantes elle disparaît; ses
fibres
antéro-postérieures, disposées sous la forme d'un
ontinue avec la partie interne de la fim-bria, mais sans mélanger ses
fibres
avec celles de cette dernière (FI, fig. 45). On
ng parcours elle est intercalée entre deux tractus blancs composés de
fibres
longitudinales. Le tractus interne est le tractus
, 48) occupe la partie inférieure et externe du corps calleux, où ses
fibres
antéro-postérieures, diffuses, dissociées par les
leux, où ses fibres antéro-postérieures, diffuses, dissociées par les
fibres
transversales du corps calleux, se portent en deh
c dirigée d'avant en arrière, là où elle est encore mélangée avec les
fibres
du corps calleux. Plus loin en arrière, elle se p
s oblique de celle-ci. C'est-à-dire que le couteau laisse flotter ses
fibres
dans la cavité ventriculaire (fig. 46), alors que
errons les rapports ultérieurement. Il repose sur une lame blanche de
fibres
dirigées obliquement en haut et en dedans : le la
ance blanche. ce. Le corps calleux (44, 45, 47) consiste surtout en
fibres
transversales dont la majeure partie forme le tap
n est ainsi dans toute la région occipitale. Un peu plus en avant les
fibres
du corps calleux ne suivront plus la paroi ventri
icule. Mais cela ne veut pas dire que le tapetum ne se compose que de
fibres
du splenium. On a prétendu que dans les cas d'abs
rps calleux. Il est certain, en tout cas, que le tapetum renferme des
fibres
venues d'une région supérieure à celles du corps
ue manifestement avec le manteau de la circonvolution limbique. Les
fibres
inférieures du corps calleux (FOi) seront étudiée
he précédente. On remarquera seulement qu'une plus notable partie des
fibres
du faisceau externe semble s'épuiser dans le gyru
on limbique, mais il n'atteint pas cette circonvolution. Du moins ses
fibres
sont en grande partie arrêtées par celles des fai
ntinue également avec la quatrième couche (FL4). C'est-à-dire que les
fibres
les plus internes du faisceau sensitif interne se
sensitif interne se portent encore d'avant en arrière (FL3) quand ses
fibres
externes se portent déjà de dehors en dedans. En
déjà de dehors en dedans. En d'autres termes, le point d'arrivée des
fibres
du faisceau sensitif (FSe, FSi) dans la circonvol
e une région de cette circonvolution d'autant plus antérieure que les
fibres
du faiseau sensitif sont plus internes. La figure
on sous-venfriculaire du faisceau sensitif externe (FSe). Quant aux
fibres
du tapetum que nous avons vues former précédemmen
u homogène que dans le manteau de cette circonvolution, au-dessus des
fibres
claires du faisceau compact du fornix (FCF), diri
ée grâce à laquelle nous pouvions jusqu'ici affirmer sa présence. Ses
fibres
deviennent verticales, claires et se jettent dans
la circonvolution de l'hippocampe, on le voit mélanger en partie ses
fibres
avec celles du faisceau longitudinal inférieur (F
bres avec celles du faisceau longitudinal inférieur (FLI). FOi. Les
fibres
inférieures du forceps (fig. 45) présentent sur c
FPF. De nouveau le faisceau pariéto-frontal est devenu diffus. Ses
fibres
sont donc sectionnées dans le plan même de la cou
couche latéral du ruban de Reil (fig. 45) est un faisceau oblique de
fibres
blanches dont il sera question plus loin. ZS. L
Le tronçon inférieur, coupé perpendiculairement à la direction de ses
fibres
, présente l'aspect d'un croissant, coiffant en pa
un supérieur qui représente le corps calleux proprement dit, dont les
fibres
formeront plus en dehors le centre ovale ; un inf
bres formeront plus en dehors le centre ovale ; un inférieur dont les
fibres
dirigées en dehors en bas et en arrière constitue
re constituent le pilier postérieur du trigone ou fimbria. Celles des
fibres
de cet étage inférieur qui ne participent pas à l
er qu'il n'emprunte au corps calleux que la moitié, tout au plus, des
fibres
supérieures de celui-ci. Une autre bonne partie d
plus, des fibres supérieures de celui-ci. Une autre bonne partie des
fibres
calleuses s'insinue de dedans en dehors entre le
n dedans du noyau caudé (NC, fig. 54) Une petite bandelette blanche à
fibres
verticales (Tse) qui semble n'être qu'un simple é
me provenance, il a la môme signification : c'est un petit système de
fibres
antéro-postéricures, parallèles aux libres inféri
arallèles aux libres inférieures du corps calleux, par conséquent aux
fibres
de la fimbria. C'est une bandelette analogue à la
ngue encore une petite lame grise, verticale (TAP), qui représenteles
fibres
du tapis réfléchies d'arrière en avant. Mais leur
e (FSe), toujours plus foncé que l'externe, par conséquent composé de
fibres
plus franchement antéro-postérieurcs, remonte à l
est devenu presque tout à fait clair, par conséquent transversal. Ses
fibres
passent de dehors en dedans au-devant du noyau ca
e plus que de deux couches. La supérieure, transversale, renferme les
fibres
du faisceau sensitif interne (FSi) ; l'inférieure
fibres du faisceau sensitif interne (FSi) ; l'inférieure renferme les
fibres
du faisceau sensitif externe (FSe). Il va sans di
es du faisceau sensitif externe (FSe). Il va sans dire que toutes les
fibres
de ces deux derniers faisceaux ne passent pas sou
ue le faisceau longitudinal inférieur ne représente qu'une partie des
fibres
du faisceau sensitif, réfléchie sous la corne occ
du fornix devient de plus en plus mince. Il ne se compose plus que de
fibres
mal agglomérées, dirigées dans le sens antéro-pos
e (fig. 52), se termine sous la substance grise du subiculum avec les
fibres
les plus antérieures du faisceau longitudinal inf
ne postérieure. Non seulement on ne reconnaît plus aucune saillie des
fibres
moyennes du splenium dans la cavité ventriculairc
ale inférieure (P2) est assez uniformément clair. De cette région les
fibres
se portent transversalement dans le centre ovale.
optique, devient foncé à sa partie externe, où il change de nom ; ses
fibres
, Projection horizontale de la couche optique Th
ne de la couche optique est sectionnée, en dehors parallèlement à ses
fibres
, en dedans perpendiculairement. Le trait horizo
rps genouillé interne (GI). Entre ces deux noyaux un prolongement des
fibres
de la bandelette optique (TRO) s'étale à la surfa
un gris homogène à sa partie interne, est parcouru maintenant par des
fibres
blanches non-seulement à sa surface, mais dans sa
fibres blanches non-seulement à sa surface, mais dans sa profondeur :
fibres
transversales dirigées de dehors en dedans et abo
caudé et de la queue du noyau caudé, séparés l'un de l'autre par les
fibres
de la couronne rayonnante de la couche optique (R
eau de son étage supérieur, dans deux directions bien distinctes, des
fibres
à l'hémisphère : d'abord les fibres antérieures d
x directions bien distinctes, des fibres à l'hémisphère : d'abord les
fibres
antérieures du tapetuin (TAP, fig. 57); puis le f
l présente encore dans sa hauteur la strie grise qui correspond à ses
fibres
antéro-postérieures. Tae. La bandelette (ou tae
on de la couche optique et du corps strié. Elle se compose surtout de
fibres
verticales sur les coupes postérieures des corps
e avant la division du corps calleux (voy. Introd.). Il se compose de
fibres
horizontales appartenant en majeure partie au péd
ongée à concavité interne. Lem. Le lemnisque. — Juste au-dessus des
fibres
transversales du pont de Varolc (PV) on distingue
ec un faisceau blanc arqué (Laq). Le faisceau foncé constitué par des
fibres
antéro-postérieures est le lcmnisque (Lem) ou lem
chleife des Allemands). Le faisceau clair, latéral, constitué par des
fibres
verticales, est le Laqueus (Laq) ou ruban de Reil
ation. Ce sont deux parties d'un seul et même faisceau. Seulement les
fibres
du lemnisque ou de la couche de Reil (Lem), arriv
éprouvent aussi un mouvement de torsion spiroïde, en vertu duquel les
fibres
les plus internes, d'abord antéro-postérieures (f
bulbaire dans la région de la protubérance. Or ce sont toujours les
fibres
les plus superficielles (Laq) qui changent les pr
les premières de direction. Il reste toujours au-dessous d'elles des
fibres
antéro-postéricurcs (Lcm), qui représentent le le
s, à l'occasion des coupes de la planche suivante, la destination des
fibres
du ruban de Reil. FLP. Le faisceau longitudinal
sceau longitudinal postérieur, ainsi que le lemnisque, est composé de
fibres
antéro-postérieures ; il apparaît sur les coupes
osé de fibres antéro-postérieures ; il apparaît sur les coupes Lem,
fibres
antéro-postérieures du lemnisque ou couche profon
e. Sur un plan horizontal, on peut se figurer aisément comme quoi les
fibres
externes ont une direction plus antéro-postérieur
les fibres externes ont une direction plus antéro-postérieure que les
fibres
internes. Projection horizontale de l'entre-cro
ersale (fig. 57, BSO), c'est-à-dire que la coupe passe par un plan de
fibres
transversales. Projection horizontale de la par
thalamus (Th). On constate, en examinant la direction générale des
fibres
qui se portent en dehors de la couche optique, ve
culairement (ou à peu près perpendiculairement) à la direction de ses
fibres
, et à partir de là elle ne changera plus de color
périeure du ventricule sphénoïdal, elle est souvent dissociée par des
fibres
transversales venues de la couche optique, du cor
ns le stratum zonale et même dans la substance grise du pulvinar, des
fibres
de la bandelette optique, qui ont franchi le corp
que, qui ont franchi le corps genouillé externe sans s'y arrêter. Les
fibres
les plus inférieures et les plus antérieures du t
dedans. Le faisceau sensitif interne (FSi) ne se compose plus que de
fibres
transversales. On voit (fig. 60) que celles-ci pr
dans la circonvolution de l'hippocampe (fig. 59) se confond avec les
fibres
du faisceau inférieur du forceps (FOi). FOi. Le
'Àmmon, jusqu'à la paroi interne du ventricule. Ce sont les dernières
fibres
de ce faisceau que les coupes de la planche 10 re
a couche optique et l'aqueduc de Sylvius, est perdu dans une masse de
fibres
obliques ou antéro-postérieures, dont le trajet s
(celle qui est représentée sur la planche XXI) est recouverte par des
fibres
blanches, franchement trans- Projection horizon
clair, parcourue de dehors en dedans et un peu de bas en haut par des
fibres
blanches très délicates, toutes issues de la régi
égion du faisceau sensitif interne (FSi). Le plus grand nombre de ces
fibres
se dirigent vers la partie la plus interne du tha
6, 66) reçoit, elle aussi, comme la partie supérieure et interne, des
fibres
issues du faisceau sensitif interne. L'ensemble d
ne, des fibres issues du faisceau sensitif interne. L'ensemble de ces
fibres
constitue, dans la couche optique, le système de
xe de la bandelette optique. ]'est au fond de ce sillon que certaines
fibres
de la bandelette optique se portent en arrière d'
stance blanche. PV. Le pont de Varole (61, 62, 65, 64) présente des
fibres
obliques en haut et en dehors; elles vont se join
rieur du ruban de Reil (RR) ou faisceau triangulaire de l'isthme. Les
fibres
verticales (PV) de la même figure représentent le
de la ligne médiane un demi-cercle régulier, clair au centre, où ses
fibres
sont transversales, foncé à la périphérie, où ses
ntre, où ses fibres sont transversales, foncé à la périphérie, où ses
fibres
redeviennent antéro-postérieures. Il est limité e
e toujours foncée. Il est juste au contact de la ligne médiane; ses
fibres
sont antéro-postérieures, d'une façon générale; m
s foncée. Sur les coupes durcies dans le bichromate d'ammoniaque, les
fibres
supérieures semblent donc se confondre avec la su
rieur; elles sont coupées perpendiculairement à leur direction. FLPs,
fibres
supérieures du faisceau longitudinal postérieur;
e sur la coupe. Lem. Le lemnisque ou couche de Reil est une lame de
fibres
antéro-postôricures, perpendiculaires au plan de
a couche inférieure, foncée, est constituée par un faisceau aplati de
fibres
dirigées en avant ; la couche supérieure, claire,
gions antérieures de l'isthme de l'encéphale, abandonne peu à peu ses
fibres
de dedans en dehors et dans des plans verticaux;
telle sorte que si l'on se figure le profil de ce système, toutes les
fibres
coupées en Schéma représentant de profil les fi
ème, toutes les fibres coupées en Schéma représentant de profil les
fibres
de la couche du ruban de Reil (A) se portant en h
96. arrière, suivant la ligne A, paraîtront foncées, tandis que les
fibres
supérieures, coupées en avant, suivant la ligneR,
érentes. Déjà nous avons indiqué (pl. XX) le procédé par lequel les
fibres
supérieures de la couche de Reil se portent en ha
t suivantes, exposer leur trajet dans son ensemble. On sait que les
fibres
du ruban de Reil, vues de l'extérieur, partent de
l'isthme; et ce ruban de Reil provient d'une seule couche profonde de
fibres
antéro-postérieures, la couche de Reil (Lem). Pou
us et en dehors de la glande pinéale, parmi des faisceaux obliques de
fibres
blanches, on voit émerger le tubercule quadrijume
isolément pour avoir une idée aussi exacte que possible du trajet des
fibres
de la calotte. Nous choisirons ceux du côté gauch
couches n'est pas dans la nature ; il est constant néanmoins que les
fibres
les plus supérieures de la couche de Reil proprem
le bras du tubercule quadrijumeau postérieur du côté opposé; que les
fibres
suivantes, un peu plus inférieures, forment le br
t le bras du tubercule quadrijumeau antérieur du côté opposé; que les
fibres
suivantes, encore plus inférieures, forment le fa
ure et vont se perdre dans le pulvinar du côté opposé ; enfin que les
fibres
les plus profondes ne subissent pas la décussatio
es; celle-là est, en fait, assez nettement isolée; elle se compose de
fibres
compactes, situées juste au contact de la ligne m
isceau médian de la couche de Reil. Il nous reste à ajouter que les
fibres
du ruban de Reil, après avoir formé le côté exter
bras du corps genouillé externe, plus rares et plus profondes que les
fibres
directes de la couche précédente. Celles du fai
n avant et au-dessus du corps genouillé externe se confondre avec les
fibres
du faisceau propre de la calotte (TEG), dans la p
2, 63, etc.) est formé de deux étages : un étage inférieur composé de
fibres
antéro-postérieures; un étage supérieur composé d
composé de fibres antéro-postérieures; un étage supérieur composé de
fibres
dirigées en haut et en dehors. Ces dernières se p
ion de ces deux étages n'est pas nettement accusée. On devine que les
fibres
antéro-postérieures (Lem), c'est-à-dire celles de
en dehors (Laq) et former le laqueus. Mais au fur et à mesure que ces
fibres
antéro-postérieures (Lem) se portent vers la surf
jumeau antérieur (fig. 61, 62, 64, 65) représente la conlinualion des
fibres
du laqueus du côté droit (le côté qui manque sur
du laqueus du côté droit (le côté qui manque sur la préparation). Ces
fibres
deviennent nettement transversales, comme on en p
BQP. Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur forme une masse de
fibres
beaucoup plus importante que celle du bras du tub
eaucoup plus importante que celle du bras du tubercule antérieur. Ces
fibres
sont dirigées ici en avant et en dehors. Les plus
nterne (fig. 64, 65, 66) est précisément le faisceau de Reil dont les
fibres
formeront, du côté opposé, non pas le bras du tub
eur. — Le bras du tubercule quadrijumeau postérieur (BQP) mélange ses
fibres
avec celles du stratum zonale du corps genouillé
ne et compact. C'est à la fois l'aboutissant et le point de départ de
fibres
antéro-postérieures venues de la moelle et destin
la moelle et destinées à s'épanouir dans la couronne rayonnante ; ces
fibres
y prennent un développement quantitatif des plus
nettement (fig. 61, 64, 65, 66). A sa coloration on reconnaît que ses
fibres
sont d'abord antéro-postérieures. Elles remontent
e optique, aux environs du centre médian (vo.y. plus loin). BP. Les
fibres
du faisceau de la commissure qui ont franchi la l
droit. CP. La commissure postérieure se compose donc de toutes les
fibres
du laqueus d'un côté, destinées aux tubercules qu
meaux et au thalamus de l'autre côté (fig. 65). Mais en dehors de ces
fibres
, il en est d'autres qui semblent dirigées tout à
l'appellerons lamina medialis (Lm). La lamina medialis se: compose de
fibres
antéro-postérieures provenant de deux sources : |
s plus internes de la ! couche de Reil. Les plus supérieures sont des
fibres
du pédoncule ! cérébelleux supérieur (Pcs), facil
l (voy. plus loin). TRO. Le tractus opticus zonalis est une lame de
fibres
situées entre le pulvinar (Pul) et le corps genou
elette optique à la surface du pulvinar (voy. plus haut); ce sont des
fibres
terminales du nerf optique, issues de la bandelet
e au moment même où celle-ci se divise pour envoyer une partie de ses
fibres
au corps genouillé externe et une autre partie au
nne rayonnante du corps genouillé interne est formée d'un ensemble de
fibres
, dont le plus grand nombre abordent le corps geno
au avec la couronne rayonnante du thalamus (fig. 65, Rth). Les autres
fibres
qui, avec celles-là, forment la couronne rayonnan
d peu à peu sa coloration franchement foncée; il est traversé par des
fibres
transversales, concaves en bas et en dehors vers
en bas et en dehors vers la queue du noyau caudé (NCC, fig- 64). Ces
fibres
transversales appartiennent au taenia, qui se con
titue à peu près exclusivement. On peut considérer d'ailleurs que les
fibres
réfléchies du tsenia occupent toujours la partie
urs la partie la plus externe de la bandelette sous-optique. Mais les
fibres
transversales qui modifient le plus la forme de l
sur la coupe 66 avec une coloration très claire, c'est parce que ses
fibres
sont déjà presque transversales; elles vont de de
s, que le tsenia n'est pas seulement un faisceau antéro-postérieur de
fibres
longues, étendu comme une bride au fond de la gou
gouttière opto-striée. C'est un faisceau en grande partie composé de
fibres
courtes, s'épuisant, dans toute sa longueur, sur
lle du pilier postérieur du trigone (TRp, fig. 62). Il se compose des
fibres
transversales qui vont former le tapetum (TAP, fi
istingue toujours très nettement, grâce à la coloration foncée de ses
fibres
réfléchies, à la partie externe du ventricule sph
, dont il est séparé par la toile choroïdienne, est constitué par les
fibres
de la fimbria que nous avons étudiées sur les P
dirigées d'arrière en avant au-dessus de la corne d'Ammon (CAM). Les
fibres
du pilier postérieur, au-dessous du corps calleux
blanche. Elles représentent ici la partie antérieure (Je ce champ de
fibres
horizontales qu'on appelait autrefois la lyre de
ait autrefois la lyre de David, et qui se compose tout simplement des
fibres
transversales de la portion réfléchie du splenium
tapetum (TAP, fig. 62) et le faisceau du centre ovale (CO); mais ses
fibres
vont toujours d'arrière en avant, et un certain n
médullaire latérale du thalamus (LML). Celles-ci paraissent être des
fibres
rayonnantes de la couche optique ; il n'en est ri
e des fibres rayonnantes de la couche optique ; il n'en est rien. Les
fibres
rayonnantes de la couche optique forment, comme n
me nous le verrons plus loin, le faisceau sensitif interne (FSi). Les
fibres
dont il s'agit, qui traversent le faisceau sensit
rsent le faisceau sensitif externe (FSe), ne sont autre chose que les
fibres
mêmes de ce faisceau, s'épuisant de dehors en ded
2, FSe). FSi. Le faisceau sensitif interne (fig. 62) est composé de
fibres
blanches, dirigées en bas et en dehors, entre le
nte du thalamus (fig. 63) ne se compose pas d'ailleurs uniquement des
fibres
issues du pulvinar (Pul, fig. 62, 63, 64, 65, 66)
62). On doit appeler couronne rayonnante du thalamus la totalité des
fibres
transversales qui forment la striation horizontal
uablement isolé sur tout son parcours, se compose en grande partie de
fibres
longues, étendues d'une extrémité à l'autre de la
xtrémité à l'autre de la voûte à trois piliers, il contient aussi des
fibres
courtes qui relient, d'étape en étape, les différ
a ou du fascia dentata. Si la fimbria se composait exclusivement de
fibres
longues, d'une seule portée, elle conserverait su
antérieure (fig. 67), n'est presque plus reconnaissable au milieu des
fibres
antéro-postérieures foncées de la commissure post
, tantôt recouverte d'un mince feuillet blanc (fig. 67, 71), formé de
fibres
aberrantes du tsenia. NCC. La queue du noyau ca
celle du noyau caudé. Elle est traversée de dehors en dedans par les
fibres
venues de la capsule interne (CI, fig. 68, 70) et
gment postérieur de cette capsule (CID, fig. 72). Nous savons que ces
fibres
font partie du système du faisceau sensitif inter
s encore entamé ici dans sa profondeur. Le couteau n'a divisé que les
fibres
les plus superficielles de son extrémité postérie
, il est recouvert à l'extérieur et même quelquefois traversé par les
fibres
de la racine interne de la bandelette optique, ou
(fig. 69, 71) présente, au milieu de la striation transversale de ses
fibres
, des faisceaux longitudinaux (FM) qui ne provienn
ut à fait indépendants de ce faisceau. Ils appartiennent au groupe de
fibres
que nous désignons en France sous le nom de faisc
te commissure de Meynert, au niveau de laquelle s'entre-croi sent des
fibres
nerveuses parties de la calotte (TEG) et destinée
prolongé dans la gouttière de Monro [M). Ce faisceau se compose de
fibres
longues, de fibres courtes et de libres qui s'ent
outtière de Monro [M). Ce faisceau se compose de fibres longues, de
fibres
courtes et de libres qui s'entre-croisent au-dess
n'est pas visible; cela tient à ce que, de dislance en distance, ses
fibres
deviennent transversales, et parallèles au plan d
les au plan de section. Il doit donc se composer en majeure partie de
fibres
courtes s'entrc-croisant au-dessous de l'aqueduc
Reil ou lemniscus (fig. 69) se trouve réduite, ou peu s'en faut, aux
fibres
qui vont former le faisceau latéral de Reil ou la
s (Laq). Sur une coupe encore plus antérieure (71) elle se compose de
fibres
qui vont former la partie la plus inférieure du t
a couche de Reil s'épuise par l'expansion latérale progressive de ses
fibres
dans le laqueus, elle prend, plus haut, un renfor
ostérieure (CP, fig. 67); mais il est impossible de lui attribuer des
fibres
destinées à une région déterminée; on peut en tou
égion déterminée; on peut en tout cas affirmer qu'il emprunte ici des
fibres
à la calotte, et que ces fibres sont celles du fa
t cas affirmer qu'il emprunte ici des fibres à la calotte, et que ces
fibres
sont celles du faisceau de la commissure (FCP). I
e la commissure (FCP). Il est possible qu'il renferme encore quelques
fibres
du ruban superficiel de Reil destinées au tubercu
laqueus se compose donc principalement, sur les coupes 67 et 69, des
fibres
du faisceau de la commissure (FCP); il est limité
trajet il est sous-jacent au bras du pulvinar. Mais comme toutes les
fibres
, à ce niveau suivent, à peu près parallèlement, u
a calotte; et de celle-ci on voit se porter vers la ligne médiane les
fibres
qui vont former la commissure de Meynert (Cx^lï,
montrer que le fascicu-lus retroflexus (FRF) s'en-tre-croise avec les
fibres
du faisceau de la commissure (FCP) sans se mélang
le (le fascicule rétroflexe FRF), dont il va être question. BP. Les
fibres
du faisceau de la commissure postérieure forment
phère du côté opposé le bras du pulvinar (BP). Celui-ci se compose de
fibres
disposées en lames presque verticales, en avant d
, en avant du bras du tubercule quadrijumeau antérieur, au-dessus des
fibres
les plus antérieures du bras du tubercule quadrij
a série de nos coupes verticales et de certaines coupes obliques. Les
fibres
qui se poursuivent dans ces deux faisceaux sont d
elui-ci. Elles appartiendraient, dans ce dernier cas, à ce système de
fibres
que Forel appelle fasciculi decussationis anticse
eau de la commissure (FCP) fait donc partie surtout de l'ensemble des
fibres
qui constituent le laqueus ; et comme celui-ci s'
il s'agit n'est pas, à proprement parler, une commissure, puisque les
fibres
dont il se compose ne semblent pas réunir des par
majorité des anatoinistes. Elle serait le lieu d'entre-croisement des
fibres
qui constituent les racines antérieure et postéri
ble. D'autre part, comme il est incontestable que des trousseaux de
fibres
venus des racines antérieures et postérieures des
faut croire de deux choses l'une : ou bien qu'un très petit nombre de
fibres
des racines antérieure et postérieure de la couch
ur passage dans le thalamus, sont représentées seulement par quelques
fibres
dans la commissure postérieure. Enfin nous répé
ement; ils ne sont pas transversaux. Ce sont, en d'autres termes, des
fibres
qui ne réunissent pas des parties homologues des
s parties homologues des deux moitiés du cerveau. C'est un mélange de
fibres
venues d'un étage supérieur d'un hémisphère pour
é à la rigueur si, comme le prétendait Arnold, cette mince lamelle de
fibres
blanches établissait une communication immédiate
commissure ne convient donc qu'autant qu'il est réservé à ces seules
fibres
commissurales. On voit, en particulier sur la fig
oit, en particulier sur la figure 67 (CP), un trousseau bien isolé de
fibres
blanches transversales, venues de la commissure,
elles se ramifient dans la substance grise du thalamus, au-dessus des
fibres
les plus supérieures du bras du tubercule quadrij
le quadrijumeau antérieur a disparu. Il est remplacé par une masse de
fibres
dirigées en haut, en avant et en dehors, foncées
interne (Lmd, 67), plus claires à leur partie externe. Cette masse de
fibres
représente In lamina lateralis. Sur les coupes
us contribuer à la constitution du laqueus. Seulement, tandis que les
fibres
du laqueus se portaient en haut et en dedans vers
(68) envoie dans la région antérieure du corps genouillé interne des
fibres
qui s'entre-croisent avec celles du bras du pulvi
corps genouillé interne. Plus en avant (fig. 71), l'isolement de ces
fibres
terminales n'est plus reconnaissable. Elles se mê
sse du thalamus, entre le corps genouillé externe et le pulvinar, les
fibres
qui vont former le ti^actus opticus zonalis (TRO)
upe 68. Par conséquent, Vansa intergenicularis renferme à la fois les
fibres
optiques du stratum zonale et celles du corps gen
les du corps genouillé interne. La séparation des deux groupes de ces
fibres
se fait au voisinage et à la partie externe de l'
empruntant au stratum zonale de ce ganglion la majeure partie de ses
fibres
; il se porte en bas, en dehors et en avant, revie
st excessivement grand et c'est à peine si, chez quelques sujets, les
fibres
s'écartent de la verticalité. Il résulte encore d
gne en France sous le nom de faisceau de Meynert (FM), la portion des
fibres
du pied du pédoncule qui, situées à la partie la
le pied du pédoncule qui limite la surface de section. Une partie des
fibres
de ce faisceau se confond avec le stratum zonale
n dehors qu'en dedans; elle est toujours en dedans du tsenia dont les
fibres
transversales se mélangent en partie avec les sie
s stries transversales. Cela démontre une fois de plus l'existence de
fibres
courtes sur le trajet de la bandelette demi-circu
e demi-circulaire. ce. Le corps calleux augmente d'épaisseur et ses
fibres
se dirigent maintenant bien plus franchement en d
, on peut admettre que, dans sa portion réfléchie^ il est formé des
fibres
que nous voyons apparaître au-dessus et en dehors
cérébral (fig. 68) diminue de largeur. H forme une mince languette de
fibres
obliques, ou presque transversales, au-dessus de
encore peu à peu l'intensité de sa coloration primitive. Il émet des
fibres
obliques en haut et en dedans, qui diminuent d'au
ant le nombre de celles qui sont franchement postéro-antéricures. Ces
fibres
obliques vont se jeter dans la lame médullaire ex
si qu'il ne doit pas être considéré comme appartenant à cette lame de
fibres
. Rth. La couronne rayonnante du thalamus (fig.
s la même direction, à la couronne rayonnante du pulvinar. Toutes ces
fibres
aboutissent dans le faisceau sensitif interne. Il
aboutissent dans le faisceau sensitif interne. Il en est de même des
fibres
sorties de la région moyenne du thalamus (fig. 72
ent postérieur de la capsule interne (fig. 72) est donc formé par les
fibres
les plus internes du faisceau sensitif externe. M
r les fibres les plus internes du faisceau sensitif externe. Mais ces
fibres
ne parcourront pas un long trajet dans la capsule
(fig. 71) prend insertion sur la circonvolution du corps calleux. Ses
fibres
sont blanches, transversales ; les coupes de cett
rajet de ce faisceau, où l'on reconnaît qu'il est constitué par ! des
fibres
courtes. FDF. Le faisceau diffus du fornix (fig
al, où il forme une proéminence régulièrement convexe, repose sur des
fibres
du stratum zonale du thalamus (ZO, 74), avec lesq
'ailleurs aucune connexion. Mais, par sa face inférieure, il émet des
fibres
à concavité supérieure (RNC, 77, 78), qui représe
he optique. Il est séparé du noyau externe (NeC, 78) par une bande de
fibres
blanches horizontales, venues de la lame médullai
'isole nettement. Circonscrit en dehors, en haut et en dedans par les
fibres
de la lame médullaire externe (LML, 78), qui prov
lan vertico-transversal. En bas, et en dedans, on y voit rayonner les
fibres
de la lamina lateralis de Reil (Lmd, fig. 77). En
la couche optique (Rth, fig. 75), à laquelle il fournit de nombreuses
fibres
; en haut et en dedans, il (ist séparé du centre m
la substance blanche. En dehors et en arrière, il est limité par des
fibres
qui forment plus bas le faisceau rétrograde (FRF)
e au contact du centre médian (NmC). Mais elle en est séparée par des
fibres
qui seront plus apparentes sur des coupes plus an
ntérieur de la glande pinéale ; elle en est également sépanîe par les
fibres
descendantes du fasciculus retrollexus (FRF, pl.
enouillé externe n'est encore constitué sur cette planche que par les
fibres
postérieures de sa couronne rayonnante (RGE, fig.
sont plus antérieures. L'élargissement résulte de l'apparition des
fibres
transversales de la protubérance (PVT) à la parti
t (FM), qui les sépare delà surface latérale du pont. TP. Parmi les
fibres
transversales de la protubérance, il est un faisc
genouillé interne et le centre médian (NmC) ; mais il semble que ses
fibres
entrent surtout en connexion avec le corps genoui
dans en dehors, il se porte en avant, en bas et en dedans, devant les
fibres
les plus superficielles du pédoncule. Nous avons
foncée que le centre. Ce demi-cercle répond à l'entre-croisement des
fibres
pédonculaires ; la teinte foncée de la périphérie
es ; la teinte foncée de la périphérie s'explique par le fait que les
fibres
, arrivées à la partie la plus externe, changent d
ée de cette commissure indique qu'elle ne se compose pas seulement de
fibres
transversales; en d'autres termes, qu'elle n'est
le n'est pas une véritable commissure; loin de là. Presque toutes ses
fibres
sont obliques, (;MT, la commissure de. Mey-nert
e (69) le divise à peu près perpendiculairement à la direction de ses
fibres
. Une coupe plus antérieure (73) le divise paral
g. 87) le divise de nouveau perpendiculairement à la direction de ses
fibres
. Lem. Le lemniscus (fig. 75) ne consiste plus i
em. Le lemniscus (fig. 75) ne consiste plus ici que dans le groupe de
fibres
du pont que nous avons signalées plus haut (PY) e
la surface ; il forme la paroi supérieure de la fente de Richat. Ses
fibres
sont d'abord transversales ou légèrement obliques
éléments ganglionnaires qui sont éparpillés sur tout le trajet de ses
fibres
, et ensuite l'adjonction aux fibres déjà existant
rpillés sur tout le trajet de ses fibres, et ensuite l'adjonction aux
fibres
déjà existantes de celles qui forment la partie l
nous savons encore que le tegmentum s'augmente d'un certain nombre de
fibres
venues du lemniscus (Lem, fig. 75), et que ce môm
ues du lemniscus (Lem, fig. 75), et que ce môme lemniscus fournit les
fibres
de la lamina laterahs (Lmd). Il existe donc des r
lamina lateralis ; or on peut considérer celle-ci comme provenant de
fibres
du lemniscus, renforcées de conducteurs nouveaux
aquseducti, ou faisceaux de la décus-sation antérieure. Il s'agit de
fibres
issues du tegmentum, en dedans du faisceau de la
le se renforçait (à la partie inférieure et externe du tegmentum) des
fibres
les plus antérieures du laqueus (Laq, fig. 75). E
érébelleux supérieur (Pcs). Toutefois, il laut remarquer que d'autres
fibres
, médianes aussi et situées sur un plan plus infér
FRF. Le fasciculus retroflex, encore visible sur la coupe 73, où ses
fibres
sont obliques en bas et en avant, devient moins f
nous avons déjà signalés. Il reçoit à sa partie externe (fig. 78) les
fibres
de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC), q
et en dehors. Il est certain que ce faisceau est appelé à fournir des
fibres
à la portion réfléchie du ventricule sphénoïdal.
sphénoïdal. Mais il n'est pas moins certain qu'il se mélange avec les
fibres
du centre ovale (CO, fig. 78) qui, elles aussi, s
sans aucune transition avec cette couronne rayonnante. L'ensemble des
fibres
qui sortent ainsi du corps genouillé remontent d'
stérieur de la capsule interne (|jg. 7(j) est représenté : 1" par les
fibres
du faisceau sensitif externe (FSe) qui vont à la
ne (FSe) qui vont à la lame externe du noyau lenticulaire; 2" par les
fibres
de la couronne rayonnante du thalamus et du corps
llaire externe de la couche optique (LML, fig. 76) ; 3" enfin par les
fibres
du stratum zonale, qui recouvre la couche optique
éalité, elle sort de la partie antérieure du centre médian. Quant aux
fibres
du noyau externe (NeC), elles vont dans la lame l
n empruntant la voie du stratum zonale (ZO, fig. 74). Mais toutes ces
fibres
de la couronne rayonnante du thalamus sont loin d
celle-ci reçoit aussi du faisceau sensitif externe (FSe, fig. 76) les
fibres
transversales que nous avons signalées. Cin. Le
ns la région du puta-men, au-dessus duquel le faisceau arqué émet des
fibres
destinées au claustrum, à la capsule externe et à
sule externe et à la capsule interne. Mais tout en émettant ainsi des
fibres
dans diverses directions, le faisceau arqué ne co
sa direction initiale, jusqu'à son complet épuisement. Les premières
fibres
du faisceau arqué apparaissent dans l'opercule su
se continue, en dehors de la capsula extrema (LFS, fig. 77), avec les
fibres
blanches qui convergent vers la lame médullaire e
e blanche innommée de Vinsula, ou moelle de finsula, est une bande de
fibres
arquées, mettant en communication l'écorce de l'o
sula et de la première circonvolution temporale. C'est le système des
fibres
d'association le plus nettement circonscrit de to
des fibres d'association le plus nettement circonscrit de toutes les
fibres
de l'écorce hémisphérique. Schnopfhagen a consacr
externe du thalamus (fîg. 76, 78) reçoit, à sa partie inférieure, les
fibres
du faisceau sensitif interne (FSi) et une partie
eure, les fibres du faisceau sensitif interne (FSi) et une partie des
fibres
du faisceau sensitif externe (FSe). En haut, elle
La couronne rayonnante du noyau caudé (fîg. 77, 78) est un système de
fibres
qui émergent de la face inférieure de ce noyau (N
faisceau diffus du fornix (fig. 78) présente un vasie renforcement de
fibres
accolées à la face interne de l'hémisphère Il est
l'hémisphère Il est difficile, toutefoiF, d'affirmer qu'il s'agit de
fibres
nouvelles surajoutées à celles que nous avons déj
suivi jusqu'à présent tout le segment postérieur. En tout cas, si les
fibres
du segment postérieur s'arrêtent à ce niveau, ell
ment postérieur s'arrêtent à ce niveau, elles sont remplacées par des
fibres
nouvelles, que nous retrouverons plus loin et aux
g, 78) se comporte de la même façon que le précédent. Nous voyons ses
fibres
prendre une teinte foncée au contact delà circonv
des plis cérébraux à ce niveau entraîne toujours un renforcement des
fibres
arquées sous-jacentes, en particulier dans le fai
Sur d'autres points, il l'est beaucoup moins. Cela tient à ce que les
fibres
du' stratum zonale qui établissent leur démarcati
entricule qu'on appelle la gouttière de Monro. Il est entouré par des
fibres
du stratum zonale, qui l'isolent de tous côtés et
artient à son noyau proprement dit. Cette masse est parcourue par des
fibres
recourbées, à concavité inféro-interne, et qui re
urs séparé de la couche optique et du pédoncule (FM, fig. 83) par les
fibres
de sa propre couronne rayonnante, il n'a aucune c
du faisceau pyramidal (FP) ne sont pas séparés par le locus niger des
fibres
de l'étage supérieur; ils passent à côté. En deda
nversement, qu'il est un noyau de projection et de réduction pour les
fibres
corticales qui, de haut en bas, sont destinées à
figure 83, que le pédoncule cérébelleux supérieur abandonne quelques
fibres
au locus niger. Substance blanche. PV. Le pon
3) présente un développement de plus en plus prononcé du système des-
fibres
transversales. Celles-ci proviennent du côté oppo
les font suite au pédoncule cérébelleux moyen. En dehors du pont, les
fibres
transversales arrêtées dans leur trajet par le pi
ent les mêmes qu'on retrouverait du côté opposé, formant la couche de
fibres
ascendantes qui constituent le faisceau direct du
cérébelleux supérieur a perdu sa forme primitive de demi-cercle : ses
fibres
médianes s'entre-croisent sur le raphô ; ses fibr
demi-cercle : ses fibres médianes s'entre-croisent sur le raphô ; ses
fibres
externes se relèvent en haut et en dehors, se con
n apparaîtra prochainement (NR, fig. 83). Sur la coupe 83 on voit les
fibres
les plus externes passer en dehors du noyau rouge
amina medialis se relève également vers le laqueus (Laq). Quant aux
fibres
internes du pédoncule cérébelleux, au lieu de se
s'entre-croisent avec celles du côté opposé pour contribuer, avec les
fibres
de la calotte, à la formation de la commissure de
4. Elle est toujours intercalée entre la masse la plus importante des
fibres
cérébelleuses et le faisceau longitudinal postéri
evient plus apparent; sa teinte est plus foncée, c'est-à-dire que ses
fibres
se dirigent de nouveau d'arrière en avant; elles
au ganglion de l'habénule (GH) (il résulte môme de la convergence des
fibres
qui forment le stratum zonale de ce ganglion). So
est interrompu, dès sa sortie du gangUon de l'habénule, par quelques
fibres
transversales (MP, fig. 79) qui suivent une direc
sure antérieure. Mais la commissure antérieure n'existe plus ici. Les
fibres
dont il s'agit appartiennent aux pédoncules trans
bstance grise des noyaux de l'hémisphère par trois petits systèmes de
fibres
, représentant ce qu'on appelle ses pédoncules : 1
atum zonale, mais il est certain que le ganglion lui-même fournit des
fibres
à ce pédoncule. L'extrémité externe passe netteme
pinéale (HAB, schéma 121). Laq. Le laqueus (fig. 79) représente les
fibres
venues du lemniscus. Celui-ci n'est plus visible
es venues du lemniscus. Celui-ci n'est plus visible sur la coupe; ses
fibres
les plus antérieures sont situées en arrière, ou
ons déjà constaté à plusieurs reprises, le centre de renforcement des
fibres
du lemniscus. Et en eifet la partie inférieure et
érieure et extérieure du tegmentum donne ici naissance à une masse de
fibres
dont la direction antéro-postérieure se reconnaît
du corps genouillé interne, on peut admettre que quelques-unes de ses
fibres
accompagnent dans la capsule interne la couronne
es, le tegmentum proprement dit est un noyau diflùs, interrompant les
fibres
du faisceau de la calotte. Sur la coupe 79 la mas
la calotte est particulièrement chatoyante. C'est à ce niveau que les
fibres
du tegmentum se divisent pour se répartir, sous l
, pour former le bras du pulvinar du côté droit, mais fournissant des
fibres
directes au bras du pulvinar gauche (BP); — TEG,
u, il émet en dehors la lame latérale de Reil (Lmd), et en dedans les
fibres
marginales de l'aqueduc (CTE). Il ressort du noya
ceaux plus antérieurs destinés à traverser le noyau rouge. CEO. Les
fibres
postérieures du pédoncule cérébelleux supérieur,
s le thalamus sans traverser le noyau rouge; elles sont entourées des
fibres
de la calotte, avec lesquelles elles se confonden
lamina lateralis. cérébelleux supérieur. On désigne sous ce nom les
fibres
inférieures du tegmentum (LTE, fig. 79) qui se je
es représentent môme les plus inférieures et les plus antérieures des
fibres
de la calotte. Elles s'arrêtent dans le locus nig
éro-externe du thalamus (schéma 123). Là elle s'entre-croise avec les
fibres
convergentes de la lame médullaire externe de la
tact immédiat avec le locus niger. Il en est séparé en partie par des
fibres
du fais-' ceau pyramidal (FP) que nous verrons se
essus de la bandelette sous-optique (BSO). A partir de ce moment, ses
fibres
s'épuisent, d'avant en arrière, dans le faisceau
. 80). 11 en est de même un peu plus loin (fig. 83, 84); mais ici les
fibres
longitudinales de teinte foncée, situées au-dessu
vec elles, sont encore plus nombreuses ; ce ne sont pas seulement les
fibres
de la couronne rayonnante du corps genouillé exte
la couronne rayonnante du corps genouillé externe, ce sont aussi les
fibres
récurrentes du faisceau de Tùrck-Meynert (FM) don
coloration blanche qui correspond à la direction transversale de ses
fibres
. Il est donc composé, à ce niveau, de fibres cour
tion transversale de ses fibres. Il est donc composé, à ce niveau, de
fibres
courtes. Sur la coupe 79, il n'est pas possible d
e (CO) ; un inférieur qui fournit au noyau caudé ou qui en reçoit des
fibres
(c'est la couronne rayonnante (RNC) du noyau caud
en arrière, en bas et en dehors, et qui envoie vraisemblablement des
fibres
au tapetum du ventricule sphénoïdal. Mais, comme
t bientôt sous le plancher du ventricule, où il se perd au milieu des
fibres
du faisceau longitudinal inférieur (FLl). TRI.
nde. Sa couleur indique en outre qu'il ne renferme plus guère que des
fibres
horizontales et postéro-antérieures. TAP. Le ta
oi externe du ventricule sphénoïdal. Mais un très petit nombre de ses
fibres
arriveront (TAP, fig. 82) jusqu'au-dessous de la
erne est entamé par les sections vertico-transversales, le nombre des
fibres
du faisceau sensitif externe qui se porte vers le
sidérablement. Sur les coupes 82, 84, par exemple, on voit toutes ces
fibres
converger vers la convexité du corps genouillé ex
. Le faisceau sensitif interne (fig. 79) forme la majeure portion des
fibres
qui passent au-dessus et au-devant du corps genou
ssus de la réflexion du faisceau de Tûrck-Meynert, par l'ensemble des
fibres
qui vont former le faisceau pyramidal (FP, fig. 8
tie par l'expansion de la lame latérale de Reil, c'est-à-dire par des
fibres
venues du mésocéphale. On ne peut donc pas consid
faisceau lamellaire homogène. C'est une région, et non un appareil de
fibres
ayant même provenance et mômes fonctions. PLANC
ineux; et l'on remarquera qu'elle ne renferme plus absolument que les
fibres
du faisceau longitudinal inférieur (FLI, fig. 86)
elle forme le plancher. A ce niveau, avons-nous dit, elle confond ses
fibres
avec celles de la lame médullaire et fait suite a
es empruntent leurs origines. ALV. De son côté, l'alveus, formé des
fibres
les plus inférieures du corps calleux, se mélange
fig. 85, 86, 87, 88, 89, 90). NC. Le noyau caudé (fig. 86) émet des
fibres
, dirigées d'arrière en avant, qui s'ajouteront, p
qui s'ajouteront, plus en avant, à l'anse du noyau lenticulaire. Ces
fibres
appartiennent au système de l'anse du noyau caudé
u caudé (ANC, voy. plus loin) ; à leur partie externe se trouvent les
fibres
, déjà décrites, de la couronne rayonnante du noya
du thalamus. Sur la coupe 85 il était pénétré de bas en haut par les
fibres
de la lamina lateralis (Lmd). Sur la coupe 87 il
coupe 87 il est pénétré de haut en bas et de dehors en dedans par les
fibres
du stratum zonale et de la lame médullaire extern
c la lamina medialis de Reil (Lm) ; mais il ne semble pas recevoir de
fibres
de ce faisceau. Son extrémité externe se perd ent
eur. Elle se confond, en haut, avec le faisceau arqué (ARC), dont les
fibres
antéro-postérieures ont une coloration foncée. No
t en arrière ; que les plus postérieurs sont les plus épais ; que les
fibres
qui tapissent la face supérieure de la lame et qu
ment la couronne rayonnante du corps genouillé externe; enfin que les
fibres
qui tapissent la face inférieure appartiennent à
e de son étendue transversale. Cet étage inférieur se compose ici des
fibres
les plus antérieures du faisceau de Tùrck-Meynert
usion. Tel faisceau, divisé perpendiculairement à la direction de ses
fibres
, et qui, par conséquent, offre sur telle coupe un
ou deux millimètres de là, divisé parallèlement à la direction de ses
fibres
et offrira une teinte claire. Les coupes 85 et 87
reconnaître l'isolement de la lamina medialis (Lm, fig. 85), dont les
fibres
les plus internes continuent leur trajet antéro-p
s le noyau rouge de la calotte, il abandonne un assez grand nombre de
fibres
à sa partie externe, lesquelles passeront en deho
u rouge de la calotte ; Pcs, pédoncule cérébelleux supérieur dont les
fibres
se jettent en majeure partie dans le noyau rouge
ie dans le noyau rouge ; CEO, faisceau cérébello-thalamique formé des
fibres
les plus externes du pédoncule cérébelleux supéri
externe (LML), indiquée par la ligne ponctuée. couche optique. Ces
fibres
forment un faisceau bien homogène (CEO, fig. 85,
apsule interne, il s'épanouit en éventail au-dessous du thalamus. Les
fibres
les plus postérieures deviennent donc récurrentes
ntes (CEO, fig. 85, 86, 88), et présentent une coloration foncée; les
fibres
moyennes de l'éventail sont sensiblement parallèl
'est au faisceau cérébello-thalamique qu'appartiennent la plupart des
fibres
de la lame médullaire latérale du thalamus (LML,
a gouttière de Monro (M), dans lesquels s'arrêtent une n partie des
fibres
du faisceau longitudinal postérieur (FLP). et
e sa coloration est plus foncée. Cela tient à ce qu'une partie de ses
fibres
s'interrompent, d'étage en étage, au niveau des n
rposés. Les noyaux (n, n', n") du schéma 28 reçoivent précisément les
fibres
courtes du faisceau longitudinal postérieur (FLP)
au cérébello-thalamique (CEO). 11 s'agit encore là d'une por-fion des
fibres
du faisceau longitudinal de la calotte qui revien
nouit en rayonnant dans la substance grise de la couche optique : ses
fibres
postérieures, revenant en arrière, sont sectionné
postérieur (FLP) sur un plan horizontal. La coupe 90 sectionne les
fibres
de ce faisceau : en. dedans et en avant, perpendi
tion et présente une coloration claire. Il est certain que, parmi ces
fibres
récurrentes, il en est qui vont, en dehors, rejoi
ce, aplatit et élargit en quelque sorte le faisceau du tegmentum. Les
fibres
dont ce dernier se compose se répandent à la surf
d'elle, et le locus niger (LN) qui est au-dessous. Elle se compose de
fibres
qui prennent naissance dans les amas cellulaires
e elles appartiennent. En d'autres termes, on peut se demander si les
fibres
de la lamina tegmenti, dans chaque moitié de l'is
orel. Il est facile de constater, à l'examen de la coupe, 85, que les
fibres
de la lamina tegmenti (LTE) viennent en effet dir
E) devient foncée ; elle se porte en avant, après avoir abandonné des
fibres
latérales à la couronne rayonnante ; elle est ent
entraînée en quelque sorte dans le mouvement de torsion spiroïde des
fibres
du pédoncule cérébelleux auquel elle est accolée.
. 90), il se dirige directement en avant, continuant d'abandonner des
fibres
au pied de la couronne rayonnante \ Mais, dans ce
\ Mais, dans cette portion de son parcours, il a aussi abandonné des
fibres
au locus niger; quelques-unes même, en assez gran
on les 1. On appelle pied de la couronne rayonnante l'ensemble des
fibres
qui passent du pédoncule cérébral dans la capsule
pédoncule, où on le voit couper obliquement en haut et en dehors les
fibres
transversales de la protubérance, s'incurve au de
Projection horizontale de la réflexion du faisceau Tiirck-Meynert.
fibres
antéro-postérieures du faisceau sensitif externe
aisceau pyramidal (FP), une disposition arquée qui tient à ce que ses
fibres
s'entre-croisent avec celles de ce dernier, dont
rsale qu'on reconnaît à ce niveau, il y a à distinguer deux ordres de
fibres
. Les stries blanches appartiennent au faisceau py
s stries foncées appartiennent au faisceau de Tùrck-Meynert, dont les
fibres
les plus antérieures se portent en avant pour all
ctement dans la capsule interne sous la forme d'une masse compacte de
fibres
claires, limitée en dehors par le faisceau de Tùr
sage du faisceau de Tùrck-Meynert (FM, fig. 89, 90) au travers de ses
fibres
. Sur la coupe 90, qui traverse la région antérieu
averse la région antérieure du corps genouillé externe (GE) et où les
fibres
récurrentes du faisceau de Tùrck-Meynert ont à pe
lé externe, et est maintenant très exactement limitée en haut par les
fibres
les plus antérieures du faisceau de Tùrck-Meynert
s 95 et 96). Cet épaississement correspond aussi à la pénétration des
fibres
de la bandelette optique dans le corps genouillé
89). ce. Le corps calleux (fig. 88) émet en dehors deux groupes de
fibres
: le groupe supérieur va se perdre dans le centre
faisceau sensitif externe (fig. 87) projette en grande abopdance ses
fibres
transversales vers la capsule interne, mais la ma
e ses fibres transversales vers la capsule interne, mais la masse des
fibres
postéro-antérieures reste encore assez considérab
bord postérieur du noyau lenticulaire : le putamen est tout près; les
fibres
postéro-antérieures se condensent dans son voisin
du faisceau sensitif. Nous allons voir bientôt ce que deviennent ces
fibres
. FSi. Le faisceau sensitif interne (fig. 87) pa
mus (fig. 88) est maintenant parfaitement isolée de toutes les autres
fibres
de la capsule interne (Cl). C'est à cette lame la
atérale que partent, pour pénétrer dans la couche optique, toutes les
fibres
corticales du premier système de projection. C'es
ction. C'est-à-dire que c'est sur la lame latérale que convergent les
fibres
de l'écorce qui ont pour foyer la couche optique.
gent les fibres de l'écorce qui ont pour foyer la couche optique. Les
fibres
de l'écorce sont celles qui ont été groupées sous
pédoncviles). — CG, couche grillagée formée par l'entrecroisement des
fibres
cortico-thalamiques et des fibres ])édonculo-thal
ée formée par l'entrecroisement des fibres cortico-thalamiques et des
fibres
])édonculo-thalamiques;—FSe, faisceau sensitif ex
seront étudiés ultérieurement, elle est aussi le point de départ des
fibres
qui proviennent directement des faisceaux de la c
rne se perd dans la lame médullaire latérale du thalamus. Ce sont ces
fibres
de l'étage supérieur du mésocéphale qui, en s'ent
ale qui, en s'entre-croisant, comme l'indique le schéma 133, avec les
fibres
thalamiqucs d'origine corticale, forment, immédia
g. 88). CE. La capsule externe (fig. 89), exclusivement composée de
fibres
blanches verticales, s'étend dans toute la hauteu
e 89 on peut aussi se rendre compte que la capsule externe reçoit des
fibres
du corps calleux, réfléchies de dedans en dehors
e qu'il y prend une insertion. Sa partie interne se continue avec les
fibres
du faisceau pyramidal (FP', fig. 85) qui sortent
erse (Tt, fig. 85). Jusqu'ici son isolement n'était pas bien net; les
fibres
postéro-antérieures des premières circonvolutions
onvolutions temporales qui le constituent étaient en contact avec les
fibres
du faisceau sensitif externe. Désormais elles en
ance grise du claustrum cependant n'est pas plus épaisse. Ce sont les
fibres
de la capsula extrema qui, se portant de distance
mpact du fornix (fig. 85, 87) varie de couleur selon la direction des
fibres
courtes qui le composent et qui s'insèrent sur la
où le faisceau compact du fornix semblait seulement constitué par des
fibres
transversales (ce faisceau était clair sur les co
u était clair sur les coupes 87, 88, 89). C'est donc un nouvel arc de
fibres
qui reprend la direction antéro-postérieure à par
nt de l'écorce en surface comporte un développement correspondant des
fibres
sous-jacentcs. Un nouvel arc de fibres prend donc
éveloppement correspondant des fibres sous-jacentcs. Un nouvel arc de
fibres
prend donc une insertion sur cette partie de l'éc
rs sa direction générale, oblique en avant, en haut et en dedans; les
fibres
nouvelles, comme celles que nous avons déjcà étud
u centre ovale (fig. 88), fondu à sa partie interne dans la masse des
fibres
du corps calleux, s'incline en bas et en dehors:
alleux, s'incline en bas et en dehors: il est toujours sus-jacent aux
fibres
de la couronne rayonnante du noyau caudé; d'autre
nante du noyau caudé, à l'extrémité externe du corps calleux, que les
fibres
cérébrales présentent l'intrication la plus compl
le quatrième sillon occipito-teinporal [ot^, fig. 86, 87), épuise ses
fibres
dans la circonvolution de l'hippocampe ; sa teint
re que le corps genouillé tend à disparaître, est représentée par les
fibres
de la bandelette optique qui se jettent en arrièr
arge que sur les coupes horizontales. Cela permet de supposer que les
fibres
de cette lame se décomposent en deux cloisons adj
calotte, enveloppé d'une couche de substance blanche appartenant aux
fibres
les plus extérieures du pédoncule cérébelleux sup
tion du stratum intermedium, présente une notable condensation de ses
fibres
, qui se portent d'arrière en avant et de dedans e
ère en avant) sont coupés perpendiculairement à la direction de leurs
fibres
. En réalité, il ne reste plus guère, sur la coupe
pidement de hauteur. Sa couronne rayonnante (RGE, fig. 92), mêlée aux
fibres
du faisceau de Tùrck-Meynert (FM, 91, 93, 94), se
ue (BO, fig. 96) faire suite immédiatement à ce noyau; et comme les
fibres
de cette bandelette sont dirigées d'avant en arri
les. Il est encore assez difficile de distinguer ici le putamen des
fibres
Vue scliéniatique du noyau lenticulaire gauch
é-.„ _rieure. Schéma 135. du faisceau sensitif externe (FSe). Ces
fibres
, en effet, s'y jettent directement d'arrière en a
. PV. Le pont de Varole esL sectionné ici au milieu de la masse des
fibres
du pied du pédoncule (fig. 91). Le nombre des fib
de la masse des fibres du pied du pédoncule (fig. 91). Le nombre des
fibres
transversales de la protubérance proprement dite
du pont. rv, face antérieure du pont de Varole, constituée par des
fibres
transversales. PP, pied du pédoncule. 91, cou
coupe passant en avant de la précédente et intéressant, en outre, les
fibres
transversales superficielles de la protubérance a
pont plus voisines de sa face antérieure ; par conséquent ce sont les
fibres
transversales de la couche la plus superficielle
ion importante dans ses rapports avec ce faisceau. Presque toutes ses
fibres
ont subi la décussation, avant d'aborder le noyau
passant de l'autre côté de la ligne médiane. Au moment où toutes les
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur ont terminé le
amina medialis se dédouble : une partie passe au-dessus des dernières
fibres
du pédoncule cérébelleux, une partie passe au-des
al postérieur, longe le noyau rouge de la calotte sans lui fournir de
fibres
. 11 épouse la courbure convexe de celui-ci, et pa
dedans du môme faisceau. Le prolongement externe se confond avec les
fibres
de la calotte qui enveloppent le noyau rouge; le
: un étage inférieur qui s'épuise dans le locus niger, au-dessous des
fibres
les plus antérieures du pédoncule cérébelleux sup
e du locus niger (LN, fig. 91). A sa coloration, on reconnaît que ses
fibres
se dirigent franchement d'arrière en avant. Mais
augmenté; cela tient à ce qu'elle s'entrecroise à ce niveau avec des
fibres
dirigées d'avant en arrière, situées au-dessous d
une surface triangulaire, se perd sur les coupes suivantes parmi les
fibres
de l'étage inférieur. Sa coloration indique qu'il
tales, où il a une coloration claire. Il s'entre-croise donc avec les
fibres
verticales du pied du pédoncule. Mais il est à pe
e savoir à quelle distance du locus niger il reprend la direction des
fibres
du pied du pédoncule, attendu qu'après un assez c
t, le stratum intermedium ne peut plus être reconnu dans la masse des
fibres
du pied. CAO. Le faisceau tegmento-thalamique,
artie inférieure de la couche optique, est une lamelle assez mince de
fibres
dirigées d'arrière en avant, et qu'on voit appara
6). FP. Le faisceau pyramidal (fig. 91), formé d'une belle masse de
fibres
blanches, passe, d'une seule traite, de la capsul
), il envoie dans le noyau lenticulaire — ou reçoit de ce noyau — des
fibres
qui traversent la lame médullaire ou cloison vert
'il subit la dégénération descendante. En raison de l'incurvation des
fibres
pédonculaires, on conçoit que, sur les coupes ver
pl. XXYI, 94). Sur la coupe 96, plus éloignée de la protubérance, ses
fibres
se rapprochent de la direction transversale et la
blement avec ce trajet il est limité, en dehors et en haut, par les
fibres
les plus antérieures du faisceau de Tùrck-Meynert
nous avons, depuis bien des années, désigné sous ce nom parce que ses
fibres
passent par le genou les fibres antérieures du
, désigné sous ce nom parce que ses fibres passent par le genou les
fibres
antérieures du faisceau pyramidal. Les fibres péd
sent par le genou les fibres antérieures du faisceau pyramidal. Les
fibres
pédonculaires claires, intercalées entre ces stri
isceau est ainsi désigné parce qu'il provient d'une couche blanche de
fibres
sous-jacentes aux deux segments internes du noyau
s le même que celui du faisceau géniculé. Seulement la plupart de ses
fibres
sontclaires (fig. 94), parce qu'elles sont, dans
96, FG représente les stries foncées du faisceau géniculé, et ANL les
fibres
de l'anse. Celles-ci émergent toutes ensemble d'u
ont il sera plus longuement question ultérieurement, est une masse de
fibres
antéro-postérieures courant au-dessous et en deho
2, 93, 94). On constate aussi qu'elle fournit, de place en place, des
fibres
transversales au segment inférieur de la capsule
diminue pas de volume, il faut admettre qu'elle emprunte de nouvelles
fibres
au thalamus tandis qu'elle en abandonne à la caps
nt au faisceau sensitif externe et ce qui appartient au putamen : les
fibres
antéro-postérieures de ce faisceau, encore très f
e de la substance grise du putamen. Ce qui est certain, c'est que les
fibres
transversales du faisceau sensitif (fig. 92) conv
interne (fig. 91, 95) reçoit aussi de l'écorce une grande quantité de
fibres
qui font d'abord partie du faisceau arqué (ARC).
d partie du faisceau arqué (ARC). 11 y a tout lieu d'admettre que ces
fibres
sont destinées au faisceau pyramidal (FP, fig. 91
91 et suiv.). Mais la capsule interne ne se compose pas seulement de
fibres
destinées au faisceau arqué. Elle renferme les fi
as seulement de fibres destinées au faisceau arqué. Elle renferme les
fibres
les plus externes de la lamina tegmenti (LTE, fig
au-dessus et en dedans du faisceau pyramidal; elle renferme aussi lés
fibres
terminales du faisceau cérébello-thalamique (CEO,
us et en dedans de la lamina tegmenti (LTE) ; elle renferme enfin les
fibres
de la lame médullaire externe (LML), situées au-d
la substance médullaire du lobe temporo-sphénoïdal. Elle renferme des
fibres
qui vont du faisceau parallèle (PAR, fig. 93) au
u faisceau parallèle (PAR, fig. 93) au faisceau arqué (ARC). Mais ces
fibres
ne suivent pas un trajet ininterrompu; elles sont
cule frontal (OF, fig. 96 et schéma 141). Au-dessous de l'insula, ses
fibres
les plus externes se mélangent avec la substance
Profil (le l'hémisphère gauche où l'on voit la direction générale dos
fibres
du faisceau arqué .. (ARC) au-dessus de l'insula
érer ces deux faisceaux comme constituant un seul et même appareil de
fibres
, convergeant de tous les points de l'écorce qui e
de Sylvius (S', fig. 91) vers l'avant-mur et s'y terminant. Mais les
fibres
les plus externes de ces deux faisceaux sont les
ceaux sont les seules qui entrent en connexion avec le claustrum. Les
fibres
internes ont une direction verticale, ou presque
de la capsule externe au contact du putamen. — Où vont ces dernières
fibres
? Nous verrons que celles du faisceau arqué rejoig
au milieu du manteau de l'opercule. C'est là, par conséquent, que ses
fibres
antéro-postérieures sont le plus condensées. En d
, le faisceau arqué devient de plus en plus diflùs; bon nombre de ses
fibres
, au lieu de se porter vers le claustrum, comme su
arallèle ; F', F*, F', les trois circonvolutions frontales. a aux
fibres
du faisceau pariéto-frontal; mais on remarquera q
déjà le reconnaître sur toutes les figures de la planche XXll. Les
fibres
du faisceau arqué qui se jettent dans la capsule
C). On l'aperçoit également sur la coupe 9(5, où la continuité de ses
fibres
avec la capsule est très facile à reconnaître. No
t, sans prendre le chemin de la lame médullaire externe; mais que les
fibres
les plus externes de ces faisceaux atteignent cep
sceaux atteignent cependant cette lame et s'y entre-croisent avec les
fibres
d'origine corticale qui forment la lame médullair
'une demi-sphère [corpus subrotundum) revêtue d'une couche épaisse de
fibres
nerveuses, dont la plupart proviennent du taenia.
aisse de fibres nerveuses, dont la plupart proviennent du taenia. Ces
fibres
, par conséquent, sont dirigées de dehors en dedan
rieur, de façon à renforcer la lame médullaire interne, projetant ses
fibres
en éventail, au-dessous du tubercule, les unes en
dessous du tubercule, les unes en avant, les autres en arrière. Les
fibres
superficielles qui recouvrent le tubercule antéri
ns que ce ganglion reçoit, plus en avant, par sa face inférieure, les
fibres
du faisceau de Yicq-d'Azyr. NiC. Noyau interne
a striation blanche du noyau de la calotte par de petits faisceaux de
fibres
dirigés obliquement de haut en bas et de dedans e
obliquement de haut en bas et de dedans en dehors (MOC, fig. 99). Ces
fibres
appartiennent au nerf moteur oculaire commun, don
ui pénètrent directement dans le putamen. Nous avons déjà signalé ces
fibres
et nous avons dit qu'elles constituaient un faisc
aisceau pyramidal (FP, fig. 102). 11 est indubitable que beaucoup des
fibres
dont ces stries se composent vont directement du
us et dans le glohm medialis. Mais un nombre encore plus grand de ces
fibres
s'arrêtent dans les deux segments internes et s'y
cloisons verticales du noyau lenticulaire, composées exclusivement de
fibres
, présentent une coloration claire, aussi bien sur
es transversales. Cela prouve simplement que ces lames renferment des
fibres
verticales et des fibres horizontales : les fibre
ouve simplement que ces lames renferment des fibres verticales et des
fibres
horizontales : les fibres verticales sont celles
mes renferment des fibres verticales et des fibres horizontales : les
fibres
verticales sont celles qui, sorties des trois noy
, descendent vers le scgincrU inférieur de la capsule iulerrie; les
fibres
horizontales sont celles qui ne font que traverse
un véritable treillage fibreux. Il faut ajouter encore que, parmi les
fibres
verticales des cloisons, il en est Coupe vertic
Le discus lentiformis (DL, fîg. 99) reçoit par sa face inférieure les
fibres
de la lamina tegmenti (LTE). Il émet par sa face
ibres de la lamina tegmenti (LTE). Il émet par sa face supérieure les
fibres
du faisceau capsulaire (MF), sur les rapports duq
it rayon que la convexité inférieure. Le diamètre antéro-posté- aux
fibres
de l'anse du noyau lenticulaire, continue donc so
faisceaux sus-jacents au discus lentiformis a valu à cette couche de
fibres
le nom de zona incerta (Forel). Substance blanc
re du noyau rouge de la calotte (NR), au niveau de la pénétration des
fibres
capsulaires du faisceau pyramidal (FP) dans le pé
grande partie dans la lame médullaire externe du thalamus (LML). Les
fibres
se portent directement en haut et en dehors : mai
us. S'il est vrai que le pédoncule cérébelleux supérieur renferme des
fibres
destinées à l'écorce cérébrale, c'est évidemment
e (CEO) qu'il faut les chercher. En tout cas le plus grand nombre des
fibres
de ce faisceau se perd préalablement dans la lame
ère de Monro {M), présente une teinte claire (fig. 97), lorsque SCS
fibres
se portent, de dedans en dehors, à la face inféri
to-thala-111 ique ; FLl', i'aisceau longitudinal postérieur; FLP'
fibres
inédianes de ce faisceau allant au thalamus ; R
r; FLP' fibres inédianes de ce faisceau allant au thalamus ; RFP,
fibres
inférieures allante la capsule interne (radia-tio
jeter dans la capsule interne, à travers le discus lentiformis. Les
fibres
de cette rndialio fasciculi jwslerioris, obliques
t, sont d'une teinte sombre sur la coupe 101 de la planche XXVII. Les
fibres
supérieurs et internes, au niveau de la coupe 101
al postérieur (FLP) ne consiste pas seulement dans l'agglomération de
fibres
qui se portent au-dessus et cri dehors du noyau
éral, enveloppe donc du haut en bas le noyau rouge de la calotte. Ses
fibres
supérieures (FLP) vont au thalamus. Ses fibres in
uge de la calotte. Ses fibres supérieures (FLP) vont au thalamus. Ses
fibres
inférieures (RFP) vont rejoindre, à travers le di
ravers le discus lentiformis, la capsule interne. Meynert appelle ces
fibres
inférieures « couronne rayonnante du faisceau pos
la partie interne du noyau rouge (NR) ; elle sépare, à ce niveau, les
fibres
directes et les fibres croisées du fasciculus ret
yau rouge (NR) ; elle sépare, à ce niveau, les fibres directes et les
fibres
croisées du fasciculus retroflexus (FRF). Puis el
s retroflexus (FRF). Puis elle devient de moins en moins foncée : ses
fibres
s'incurvent en bas et en avant; elles vont Coup
eau cérébello-thalamique (CEO) au fur et à mesure qu'il abandonne des
fibres
à la lame médullaire externe du thalamus (LML). M
oisinage de la capsule interne. Il envoie le plus grand nombre de ses
fibres
à la lame médullaire externe du thalamus (LML), d
rne du thalamus (LML), dans l'épaisseur de laquelle il accompagne les
fibres
cérébello-thalamiques (CEO, fig. 97). Limité en h
ctuelle. NL. Le faisceau rubro-thalamique représente l'ensemble des
fibres
latérales issues du noyau rouge de la calotte. Ce
externe duquel il était situé, on voit sortir de ce dernier noyau les
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) qui y av
s du pédoncule cérébelleux supérieur (Pcs) qui y avaient pénétré. Ces
fibres
(NL) font suite à celles du faisceau cérébello-th
andis que ce dernier faisceau a simplement côtoyé le noyau rouge. Les
fibres
latérales issues du noyau rouge sont-elles les mô
de Funcus (Une), où il pénètre dans l'hémisphère. La direction de ses
fibres
est, là encore, différente de celle du faisceau p
faisceau riihro-thalamique (iN'L), à sa sortie du noyau rouge (NR).
fibres
parcourent un long trajet. Un certain nombre d'en
edans (fig. 100), il est borné par le faisceau géniculé (FG) dont les
fibres
foncées, antéro-postérieures, le repoussent en de
é de la section du pied du pédoncule. Sur cette môme coupe (102), les
fibres
foncées représentent le faisceau géniculé; les fi
oupe (102), les fibres foncées représentent le faisceau géniculé; les
fibres
claires représentent l'anse du noyau lenticulaire
est sectionné ici (fig. 99) perpendiculairement à la direction de ses
fibres
. Il pénètre, d'avant en arrière et de dehors en d
ig. 101, 102) dont il emprunte la forme. C'est môme à la présence des
fibres
du faisceau capsulaire que le discus lentiformis
faisceau à direction postéro-antérieure. Mais il est dissocié par des
fibres
d'abord contournées en tous sens, puis nettement
, puis nettement transversales ou obliques en haut et en dedans ; ces
fibres
représentent la partie postérieure de la racine i
toujours arrêtée par un contour net et foncé, ce qui démontre que les
fibres
venues de sa partie externe ne s'entre-croisent p
oncé (BSO) s'épuiser dans la queue du noyau caudé (NCC). Les quelques
fibres
qui proviennent, à ce niveau, de la bandelette so
l'espace perforé antérieur. Dans ce trajet, on peut constater que les
fibres
les plus postérieures delà racine inférieure du t
e du thalamus se dirigent d'avant en arrière; ce sont précisément ces
fibres
qui sont reconnaissantes à leur coloration foncée
que insurmontable lorsqu'on s'en tient aux dissections, c'est que les
fibres
de la racine inférieure du thalamus s'enchevêtren
racine n'est pas, à proprement parler, un faisceau, mais une lame de
fibres
, excessivement mince dans toute sa portion inféri
au-dessus de la bandelette sous-optique (BSO). Sur la figure 100, ses
fibres
sont transversales (voy. la ligne 100 du schéma 1
une coloration franchement claire. Mais sur les coupes 101 et 102 les
fibres
redeviennent presque antéro-postérieures; elles s
te foncée du putamen. Le faisceau sensitif externe abandonne donc des
fibres
au putamen ; mais il va surtout, presque en total
doit toutefois remarquer encore que s'il abandonne la plupart de ses
fibres
au noyau lenticulaire et à sa cloison externe, qu
qui correspond, ainsi que nous l'avons dit, à sa pénétration par les
fibres
les plus externes du faisceau sensitif externe (F
ostérieure du tubercule mamillaire, constituée ici (fig. 108) par les
fibres
postérieures du pilier descendant de la voûte (DF
lobe sphénoïdal, dont il forme la voûte, est longé en dehors par les
fibres
blanches du faisceau sous-optique (BSO). Il n'est
possible que celle-ci, par sa face inférieure, lui fournisse quelques
fibres
(105, 106). Sur certaines coupes, on voit couri
au amygdalien, des stries blanches, dirigées en haut et en dehors Ces
fibres
, comme on le verra plus loin, proviennent de la b
est toujours séparé de l'extrémité de la queue du noyau caudé par les
fibres
de la bandelette sous-optique (BSO, fig. 107, 108
ibres de la bandelette sous-optique (BSO, fig. 107, 108), et quelques
fibres
du taenia. Le noyau amygdalien forme une sorte
us loin, THI). NC. Le noyau caudé (fig. 106) commence à émettre les
fibres
lenticulo-caudées (LCF) qui vont se jeter dans le
amen (fig. 103) présente encore à sa partie inférieure et externe les
fibres
antéro-postérieures du faisceau sensitif externe
e petite bandelette blanche que nous étudierons et qui appartient aux
fibres
capsulaires externes de la commissure antérieure.
e plus en avant, il s'insinue de nouveau dans le globus medialis. Les
fibres
des faisceaux capsulaires qui semblent ainsi évit
ct, depuis le pied du pédoncule jusqu'à l'écorce. Il s'agirait de ces
fibres
pëdonculo - corticales directes dont Charcot a dé
dance, du stratum zonale, les stries transversales qui renferment les
fibres
venues de l'écorce. Parmi ces fibres, les plus no
transversales qui renferment les fibres venues de l'écorce. Parmi ces
fibres
, les plus nombreuses sont celles de la racine ant
lacer à la partie externe du faisceau de Yicq-d'Azyr (FVA). Ainsi les
fibres
corticales destinées au noyau externe du thalamus
rne de ce noyau. La partie externe, au contraire, est occupée par les
fibres
venues de la région de la calotte, en particulier
les fibres venues de la région de la calotte, en particulier par les
fibres
du faisceau capsulaire (MF, fig. 108) dont l'extr
se perd dans la lame médullaire externe (LML). L'entre-croisement des
fibres
corticales et des fibres de l'étage supérieur, en
llaire externe (LML). L'entre-croisement des fibres corticales et des
fibres
de l'étage supérieur, en dedans de la lame médull
té de la façon suivante : Les masses grises situées sur le trajet des
fibres
, sont destinées à concentrer sur un point limité
ce blanche : là, la zone interne reçoit selon toute vraisemblance les
fibres
du fasciculus retroflex, la zone externe reçoit l
blance les fibres du fasciculus retroflex, la zone externe reçoit les
fibres
de la lamina tegmenti (voy. plus loin LTE). SG.
ar le faisceau capsulaire (MF, 104, 105, 106) qui vient y épuiser ses
fibres
). Cette substance grise intcrpédonculaire corresp
du faisceau capsulaire (MF) qui s'y termine (fig. 104, 105, 106). Ces
fibres
venues de l'écorce s'cntrc-croiscnt dans l'intéri
dans le corps de Luys (DL) ; il abandonne une certaine partie de ses
fibres
à la substance grise de l'espace perforé postérie
erforé postérieur ; l'étage inférieur constitué exclusivement par les
fibres
les plus internes du pied, c'est-à-dire par le fa
es en question envoient, d'un côté à l'autre de la ligne médiane, des
fibres
commissurales à la partie la plus antérieure du p
es recouvre; mais on ne peut nier qu'elles soient constituées par des
fibres
pédonculaires, et que ces fibres, en partie recou
qu'elles soient constituées par des fibres pédonculaires, et que ces
fibres
, en partie recouvertes par l'anse du noyau lenti-
ussé en haut et en dedans par le discus lentiformis (1)L), envoie des
fibres
de plus en plus nombreuses à la lame médullaire e
la lame médullaire externe de la couche optique (fig. 104, 106); les
fibres
les plus internes s'enfoncent dans la partie infé
de Vicq-d'Azyr (FYA) et du faisceau rubro-thalamique (NL). NL. Les
fibres
externes du noyau rouge de Stilling, que nous avo
, superposé au discus lentiformis, et qui se mêle finalement avec les
fibres
du faisceau d'Arnold. Projection horizontale du
externe à la partie antérieure de la protubérance. Le mélange de ses
fibres
avec celles du faisceau géniculé est moins intime
ut ainsi concevoir que le faisceau capsulairc (MF) est un ensemble de
fibres
venues de la couche optique en convergeant vers l
ions être très précis à cet égard. On peut toutefois affirmer que les
fibres
qui passent à la face supérieure du discus lentif
te connexion que nous avons pris la liberté d'appeler cet ensemble de
fibres
le faisceau capsulairc (MF). Si le faisceau cap
hère (voy. pl. XXXV, fig. 6) nous font voir que la couche blanche des
fibres
qui recouvrent le discus lentiformis ne s'attarde
nu ainsi jusqu'au noyau lenticulaire, il se divise en deux groupes de
fibres
; les unes — de beaucoup les plus nombreuses — pé
faisceau d'Arnold (AU). Le segment postérieur est constitué par les
fibres
de l'étage inférieur, à la partie interne desquel
conlinuation des tibrcs les plus externes de ce dernier faisceau; les
fibres
internes de la lamina tegrnenti se terminent mani
vraisemblable que nous verrons, sur des coupes plus antérieures, les
fibres
antérieures et internes du faisceau capsulairc (M
vus émerger de la région de la calotte : la lame latérale (Lind); les
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur ne traversant
aire; ThA, racine antérieure du thalamus; AR, faisceau d'Arnold ; NL,
fibres
latérales du noyau rouge de la calotte (faisceau
egmenti; CAO, faisceau tegmento-thalamique; Lmd, lamina lateralis. ou
fibres
directes de la couche latérale de Reil; CIA, segm
lamus (ThA). Et môme, plus loin encore, elle sera représentée par les
fibres
du stratum zonale (ZS) qui envelopperont sa face
ostérieur de la capsule interne; à partir de là, ils sont accolés aux
fibres
du pied du pédoncule. En avant du faisceau capsul
ire (MF), se trouve le genou de la capsule (Gci), à partir duquel les
fibres
capsulaires se portent dans le segment antérieur,
térieur, entre le noyau caudé (NC) et le noyau lenticulaire (NL). Ces
fibres
sont précisément celles qui vont former le faisce
s du faisceau capsulaire (MF, fig. 108), est une masse convergente de
fibres
en pinceaux superposés, issus de la lame médullai
rne. La racine antérieure de la couche optique est constituée par des
fibres
du segment antérieur de la capsule, naturellement
les coupes 107 et 108. — Sur certaines coupes (fig. 105) on voit les
fibres
les plus postérieures de la racine antérieure de
la couche optique, ne permet pas de considérer un pareil ensemble de
fibres
comme un faisceau proprement dit. Il y aurait des
t pas de part en part ; elles en proviennent directement. Ce sont des
fibres
qui, après avoir suivi le trajet postéro-antérieu
liques en bas et en dedans, convexes en bas et en dehors. Ce sont des
fibres
qui vont jusqu'à l'extrémité antérieure du ventri
a profondeur. Sur les coupes 105, 106, on ne distingue pas encore ces
fibres
; les coupes en question passent trop en arrière d
ouverons plus loin (pl. XXIX). Elles se superposent, en tout cas, aux
fibres
les plus antérieures du taenia (ïœ, fig. 108), lo
coloration claire qui correspond à la direction transversale de ses
fibres
. Si nous avons déjà constaté sur les coupes précé
e ininterrompue. Elle est divisée dans sa continuité générale par les
fibres
obliques de la commissure antérieure (CA, 105). I
s sont antérieures, plus s'accuse la direction antéro-postérieure des
fibres
de la racine du thalamus, avec la teinte foncée c
férieure du noyau amygdalien (NA) est au contraire enveloppée par les
fibres
d'origine de la racine inférieure du thalamus (Th
ns la réalité, un faisceau aussi compact. thalamus, et y croise les
fibres
les plus antérieures du faisceau de Vicq-d'Azyr,
e où elle sort de sa gaine sous le putamen (PUT) pour se mélanger aux
fibres
de la capsule inférieure (CIF). Elle est oblique
dissociation (fig. 104, CA), il est très difficile de distinguer ses
fibres
de celles de la racine inférieure du thalamus (Th
is comme elle est encore, sur une certaine étendue, dissociée par les
fibres
de la racine inférieure du thalamus (ThT, fig. 10
déjà on peut s'apercevoir, à la coloration de cette capsule, que ses
fibres
n'ont aucun rapport avec les première et deuxième
if externe (fig. 107), réduit à une toute petite masse prismatique de
fibres
compactes, logées entre le clau-strum et la base
peu s'épuiser dans le thalamus, est donc remplacé maintenant par les
fibres
du pied du pédoncule que nous avons appelées dans
lées dans leur ensemble segment inférieur de la capsule. Il s'agit de
fibres
peu abondantes en somme, mais dont la direction e
e la troisième circonvolution temporale. Il appartient au système des
fibres
du pied du pédoncule. CI. La capsule interne (f
ois articles du noyau lenticulaire (PUT, CLP, GLM); elle contient les
fibres
du faisceau pyramidal (FP) et du faisceau génicul
, à son extrémité supérieure et externe, apparaître l'ensemble de ces
fibres
qui sont en étroite connexion avec le noyau caudé
nnexion avec le noyau caudé (NC, fig. 106) et que nous avons appelées
fibres
lenticulo-caudêes (LCf). LCf. Les fibres lentic
et que nous avons appelées fibres lenticulo-caudêes (LCf). LCf. Les
fibres
lenticulo-caudées (fig. 106, 108) sont des fibres
s (LCf). LCf. Les fibres lenticulo-caudées (fig. 106, 108) sont des
fibres
qui, bien que faisant partie de la capsule intern
ule; dirigées d'abord en bas et en dehors, elles se croisent avec les
fibres
pédoneulaircs qui vont au centre ovale, et qui so
se recourbent en bas, de manière à se placer dans le sens général des
fibres
capsulaircs, et vont se mélanger, dans la partie
, et vont se mélanger, dans la partie interne de la capsule, avec les
fibres
du faisceau géniculé (FGr) et de l'anse du noyau
nent, avant d'y arriver, un chemin détourné. Ce sont, en ciîet, les
fibres
lenticulo-caudées qui forment en grande partie le
104, 105, 106. Cela n'est qu'une apparence. On ne peut pas suivre ces
fibres
dans toute leur étendue (mélangées qu'elles sont
nes et des autres est la même. Plus en avant, lorsque le faisceau des
fibres
pédonculaircs se portera presque directement vers
nculaircs se portera presque directement vers la région frontale, les
fibres
lenticulo-caudées se détacheront clairement sur l
109, 112). Il est certain également que les plus antérieures de ces
fibres
ne pénètrent pas bien profondément dans les clois
aire, vers la pointe du globus medialis. On peut se demander si les
fibres
lenticulo-caudées (LCF), une fois qu'elles ont pé
ries transversales du putamen, si elles n'ont rien de commun avec les
fibres
lenticulo-caudées, on doit les considérer comme d
n avec les fibres lenticulo-caudées, on doit les considérer comme des
fibres
d'origine, sortant du putamen pour passer au-dess
tamen pour passer au-dessous de l'anse du noyau lenticulaire avec les
fibres
lenticulo-caudées, exactement de la même façon qu
culo-caudées, exactement de la même façon que nous avons vu certaines
fibres
d'origine du noyau caudé se joindre à l'anse du n
e d'admettre que si le noyau caudé envoie au faisceau de l'anse des
fibres
qui ne traversent pas le noyau lenticulaire, il e
es de la capsule interne (CI), destinées à montrer les connexions des
fibres
len-tieulo-eaudées (LCF), avec les cloisons verti
et s'enfoncent dans le putamen. Dans l'hypothèse du schéma 168, les
fibres
lenti-culo - caudées pénétrent dans les cloisons
ans le globus paludos. Les stries transversales du putamen sont les
fibres
d'origine des fascicules de l'anse (ANL), qui ne
capsule externe (fig. 106), renforcée à sa partie inférieure par les
fibres
externes du faisceau sensitif externe (FSe, fig.
la commissure antérieure (CA, 107); mais ce n'est qu'un trousseau de
fibres
, et non pas une lamelle de la capsule externe, co
rons plus loin (pl. XXIX, IUL) l'explication de cet enchevêtrement de
fibres
. LFS. La capsula extrema (fig. 104, 107) présen
verticale, des colorations foncées qui démontrent qu'elle fournit des
fibres
au faisceau arqué (ARC, fig. 104) et au faisceau
amcn, un gros faisceau antéro-postéricur, où semblent se mélanger les
fibres
du faisceau parallèle, du faisceau sensitif exter
d'examiner les coupes suivantes pour reconnaître que celte fusion de
fibres
ne s'étend pas plus loin; chacun des faisceaux ga
ceau pariéto-frontal; mais c'est le fait du croisement réciproque des
fibres
de ces deux faisceaux, attendu que le faisceau pa
rieures claires, et légèrement striées, se portent vers l'écorce. Ses
fibres
supérieures, foncées, marchent d'arrière en avant
séparé du fond de la scissure lim-bique (L) par une couche claire de
fibres
transversales qui lui appartiennent évidemment, p
(NaC), séparé de la substance grise intra-ventriculaire (Th), par les
fibres
antéro - postérieures de la racine inférieure du
erra à l'occasion de la coupe suivante (fig. 109), emprunte aussi des
fibres
nombreuses au noyau fondamental ou antéro-interne
euses au noyau fondamental ou antéro-interne du tubercule1. DF. Les
fibres
du pilier antérieur de la voûte qui enveloppent l
le est enveloppée d'une couche blanche continue, où s'entremêlent les
fibres
de l'alveus et de la lame médullaire. Nous avons
qui se compose, ainsi que nous l'avons dit à plusieurs reprises, des
fibres
transversales du tapetum et du faisceau longitudi
issent d'une façon identique. Nous verrons, un peu plus loin, que ces
fibres
appartiennent à la bandelette sous-optique (BSO).
oyau caudé (fig. 109), à peine reconnais-sable, se perd au milieu des
fibres
de la bandelette sous-optique (BSO, 110, 111).
séparé du noyau externe par le stratum zonale (ZS, fig. 110) dont les
fibres
se confondent avec celles du faisceau de Yicq-d'A
par la masse énorme des libres qui y viennent aboutir de tous côtés :
fibres
du taenia (Tae, fig. 114), fibres de la racine an
y viennent aboutir de tous côtés : fibres du taenia (Tae, fig. 114),
fibres
de la racine antérieure (ThA, 111,112), fibres de
aenia (Tae, fig. 114), fibres de la racine antérieure (ThA, 111,112),
fibres
de la lame médullaire externe (LML, fig. 112); to
12), fibres de la lame médullaire externe (LML, fig. 112); toutes ces
fibres
s'entre-croisent dans la substance du noyau exter
au noyau interne; celui-ci, du reste, est.également comblé par les
fibres
de la racine inférieure du thalamus (ThI, 109, 11
eau remontant (FVA) est cependant loin de représenter la totalité des
fibres
du pilier antérieur du trigone (TRI). D'autre par
aire; 5, noyau externe et postérieur du tubercule mamillaire ; 6,
fibres
du pilier se jetant dans la couche optique sans s
e; 7, libres se jetant dans le tubercule antérieur et interne; 8,
fibres
du pilier formant la capsule blanche du tubercule
rieur (5). Le noyau interne recevrait une faible partie seulement des
fibres
du pilier (2). Ces fibres (7) se jetteraient dire
e recevrait une faible partie seulement des fibres du pilier (2). Ces
fibres
(7) se jetteraient directement dans la substance
plus grande masse du tubercule (4). Celui-ci serait enveloppé par les
fibres
les plus antérieures du pilier (8), qui formeraie
uite se terminer dans le ganglion externe et postérieur (5). Quelques
fibres
encore, venues du pilier, s'infléchiraient sur
es irradiations convergentes du pilier antérieur. — D'autre part, les
fibres
divergentes se répartiraient de la façon suivante
tique est logée ; cette rigole est censée correspondre à un cordon de
fibres
, qui, accompagnant la bandelette optique jusqu'au
abord il est absolument rare que la bandelette optique repose sur les
fibres
qu'on a désignées sous le nom iïanse pédonculaire
dans et non pas au-dessous de l'anse; elle repose directement sur les
fibres
du pied du pédoncule; l'anse pédonculaire est plu
moins inexact de considérer l'anse pédonculaire comme un ensemble de
fibres
qui, même si elles n'appartiennent pas au même sy
s n'appartiennent pas au même système, suivent la même direction. Les
fibres
de l'anse, en effet, se composent de deux plans s
superposés et séparés l'un de l'autre par le noyau de Vanse; or les
fibres
de ces deux plans ont des directions inverses : c
du plan supérieur vont de dehors en dedans et Savant en arrière. Les
fibres
du plan inférieur appartiennent (ThI, schéma 172)
E, corps gcnouillé externe; BG, couronne rayonnante. thalamus ; les
fibres
du plan supérieur appartiennent à l'anse du noyau
uivante. Le putamen, à sa partie postérieure, ne repose pas sur les
fibres
blanches de l'anse du noyau lenticulaire. Il se r
ÍÍ, FP). 11 se contourne en hélice (fig. 112), de telle sorte que ses
fibres
postérieures entrent dans la masse líbrense de
de la capsule interne au-dessus du globus medialis, tandis que ses
fibres
antérieures (fig. 113, FG) suivent un trajet post
u noyau lenticulaire (ANL). Ce qui les différenciait, c'était que les
fibres
du faisceau géniculé étaient antéro-postérieures
sceau géniculé étaient antéro-postérieures et foncées, tandis que les
fibres
de l'anse étaient obliques ou transversales et cl
1)* de la façon que nous avonsdéjà signalée. En bas et en dedans, ses
fibres
, dirigées vers la capsule interne (sans avoir tra
en formant avec lui (fig. 114) un angle dans lequel s'insinuent les
fibres
les plus postérieures du pilier du trigone (DF).
r les coupes 111 et 112. Elle est constituée sur la coupe 111 par les
fibres
les plus antérieures de la lamina tegmenti. Mais
mina tegmenti. Mais sur la coupe 112, elle se compose d'un mélange de
fibres
à peu près inextricables : les fibres du faisceau
elle se compose d'un mélange de fibres à peu près inextricables : les
fibres
du faisceau capsulaire, celles du faisceau d'Arno
optique se dirigent en arrière et en bas. De cet entre-croisement de
fibres
résulte la confusion extrême des fibres de cette
s. De cet entre-croisement de fibres résulte la confusion extrême des
fibres
de cette région sur les coupes vertico-transversa
110). Plus en avant, quand le faisceau de Vicq-d'Azyr est épuisé, ses
fibres
(fig. 114) s'entre-croisent avec les ramification
ieure du tubercule mamillaire (TM). Elle enveloppe ce tubercule : ses
fibres
postérieures passent derrière lui (112), où elles
térieures passent derrière lui (112), où elles se confondent avec les
fibres
les plus antérieures du faisceau de Vicq-d'Azyr.
avec les fibres les plus antérieures du faisceau de Vicq-d'Azyr. Ses
fibres
antérieures passent devant le faisceau de Vicq-d'
arrière en avant jusqu'au centre ovale, et nous ne connaissons pas de
fibres
du centre ovale qui ne soient en relation avec Pe
u faisceau capsulaire (MF) ; il n'en est séparé que par les dernières
fibres
de projection du faisceau d'Arnold (AR, fig. 109,
. 113, 114). En dedans, le faisceau de Yicq d'Azyr est croisé par les
fibres
de la racine inférieure de la couche optique (ThI
rieure de la couche optique (ThI). Sur la fig. 112, une partie de ses
fibres
d'origine dans le tubercule mamil-laire (TM) font
ais non sans avoir préalablement abandonné une notable portion de ses
fibres
à la capsule blanche de ce ganglion, et particuli
lle s'épanouit à sa surface. C'est à cet épuisement progressif de ses
fibres
qu'est due la striation blanche déjà signalée pré
Ainsi le ganglion amygdalien se trouve complètement enveloppé par les
fibres
supérieures-externes et inférieures-internes de l
ière dans la profondeur du thalamus, où elle s'épuise. Ce sont là ses
fibres
terminales. Sur la figure 110 on voit aussi ses f
Ce sont là ses fibres terminales. Sur la figure 110 on voit aussi ses
fibres
d'origine, placées immédiatement au-dessus delà b
gouttière que celle-ci s'est creusée sous le noyau lenticulaire. Les
fibres
de la commissure antérieure (CA) et de la racine
icule latéral; l'augmentation d'épaisseur tient à l'accroissement des
fibres
du centre ovale (CO, fig. 114) dans la région fro
se en deux étages bien distincts : un étage supérieur qui fournit des
fibres
au centre ovale ; un étage inférieur qui contient
bres au centre ovale ; un étage inférieur qui contient une partie des
fibres
de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC).
(fig. 114) n'a encore qu'une faible hauteur. Il se compose encore de
fibres
antéro-posté rieures. Nous verrons, plus loin e
fibres antéro-posté rieures. Nous verrons, plus loin en avant, ces
fibres
s'incurver en bas et en dehors, en décrivant une
de sa pénétration dans le putamen, il représente donc un faisceau de
fibres
convergentes, auxquelles on a pu donner le nom de
ne dans la capsule elle-même. Arrivées dans la capsule, les dernières
fibres
de ce faisceau, qui sont les plus externes, se
du claustrum. CE. La capsule externe (fig. 109) est formée par les
fibres
les plus inférieures du faisceau arqué (ARC, fig.
ibres les plus inférieures du faisceau arqué (ARC, fig. 112); par les
fibres
les plus supérieures du faisceau parallèle ; par
nte du putamen (RIL, fig. 109, 113). On voit aussi qu'elle reçoit des
fibres
du centre ovale (CO, fig. 112), des fibres qui pr
t aussi qu'elle reçoit des fibres du centre ovale (CO, fig. 112), des
fibres
qui proviennent du corps calleux. Sur la coupe 11
oujours au devant de la commissure antérieure, et atteindra ainsi les
fibres
réfléchies du genou du corps calleux. Par conséqu
nséquent la capsule externe reçoit du corps calleux non seulement les
fibres
qui lui viennent de cette commissure à travers le
postérieure du noyau lenticulaire (NLe) et s'entre-croisant avec les
fibres
postéro - inférieures de la capsule externe (CE).
elle sort de la gouttière de Gratiolet (CÀ), se place au contact des
fibres
inférieures du faisceau sensitif externe (FSe).
ibres inférieures du faisceau sensitif externe (FSe). entremêlé aux
fibres
de la couronne rayonnante du putamen (RIL, fig. 1
re). Au-dessous de lui s'étalent, sectionnées transversalement, les
fibres
les plus antérieures du faisceau diffus du fornix
convexité inférieure. Le fasciculus unciriatus est donc un faisceau à
fibres
convergentes ; ses fibres proviennent de l'écorce
asciculus unciriatus est donc un faisceau à fibres convergentes ; ses
fibres
proviennent de l'écorce du pôle sphénoïdal, en av
e lobe frontal au-dessus des circonvolutions orbitaires, et alors ses
fibres
deviennent de nouveau divergentes, elles s'écarte
xterne : il est toujours sous-jacent à la capsule externe. LCf. Les
fibres
lenticulo-caudées (fig. 112) coupent obliquement
Dans l'intérieur de ce noyau elles sont momentanément parallèles aux
fibres
de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fi
114). RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé est l'ensemble des
fibres
qui partent de la face inférieure de ce noyau, en
s fibres qui partent de la face inférieure de ce noyau, en dehors des
fibres
lenticulo-caudées, et qui se portent en dehors et
de l'hémisphère pour gagner le corps calleux. Mais la plupart de ses
fibres
vont à la capsule interne et à la capsule externe
e est formée par le corps strié ; en dedans de celui-ci s'étalent les
fibres
terminales du taenia (Tae, fig. 117, 118), au m
érieure est indiquée pour mettre mieux en évidence la terminaison des
fibres
du taenia qui le recouvrent et qui s'étalent sur
rêté que sur les coupes précédentes, parce qu'il émet en quantité des
fibres
(LCf, fig. 118) destinées au noyau caudé. Son bor
, lui aussi, en haut et en dedans et donne issue à un grand nombre de
fibres
qui semblent se jeter dans le faisceau d'Arnold (
thalamus (ThI), dont il n'est séparé que très incomplètement par les
fibres
les plus internes de l'anse. GAP. Le noyau de l
antérieur. FG. Le faisceau géniculé, dont il reste à peine quelques
fibres
sur les coupes 115 et 116, parait s'enfoncer de d
ANL. L'anse du noyau lenticulaire (ANL, fig. 115) est un faisceau de
fibres
transversales, situé immédiatement au-dessus de l
oyau lenticulaire change de direction. Elle se porte en avant, et ses
fibres
deviennent foncées ; elles passent ainsi en desso
illé au-dessous du tubercule antérieur du thalamus (NaC). Ce sont les
fibres
les plus internes de ce faisceau qui se rendent d
ce grise de la couche optique. AR, faisceau d'Arnold accompagnant les
fibres
externes et postérieures du faisceau précédent ju
ehors, la racine inférieure est en dedans. Mais elles mélangent leurs
fibres
au niveau du tubercule antérieur (NaC, fig. 115).
re. Sur les coupes plus antérieures, il se porte en avant, mêlant ses
fibres
avec celles de la racine antérieure de la couch
re de la couche optique (ThÀ, fig. 116, 117 et suiv.). La masse des
fibres
foncées de ce dernier faisceau s'en augmente d'au
ur et à mesure que les coupes sont plus voisines du pôle frontal. Les
fibres
qui restent dans le plan vertico-transversal sur
t en dehors, cette masse fibreuse est entrecoupée obliquement par les
fibres
lenticulo-caudées dont il sera question plus loin
sera question plus loin (LCf). Il résulte de cet entre-croisement des
fibres
lenticulo-caudées avec la racine antérieure du th
icule (SG, fig. 116, 117). Il est constitué par une masse homogène de
fibres
ondulées, spiroïdes, blanches, presque verticales
, en d'autres termes, que la racine inférieure du thalamus envoie des
fibres
au pilier descendant de la voûte. Il n'en est rie
oloration du faisceau est un peu foncée, attendu que la direction des
fibres
est oblique. Mais un peu plus loin en avant (fi
nètre dans le noyau interne de la couche optique. Nous savons que ses
fibres
se reportent alors, de nouveau, en arrière; et co
rtico-transversales et que Meyncrt a le premier signalée. Lorsque les
fibres
de la racine inférieure du thalamus se relèvent v
e région. On conçoit aisément que la lame profonde est formée par des
fibres
qui occupent l'étage supérieur de l'espace perfor
erforé antérieur, tandis que la lame superficielle est formée par des
fibres
de l'étage inférieur. Le schéma 184 montre l'ense
peut le constater aussi en examinant la coupe 119 (pl. XXX), que les
fibres
les plus superficielles de la racine inférieure,
eure, à la face interne du thalamus, vont en haut, à la rencontre des
fibres
du taenia, formant avec celles-ci le stratum zona
rmant avec celles-ci le stratum zonale; quant à la lame profonde, ses
fibres
antérieures vont se perdre au-dessous du tubercul
e en dedans de la commissure antérieure ; ensuite à la torsion de ses
fibres
sur elles-mêmes. Il est difficile d'indiquer par
de par sa face inférieure ou son bord externe. Comme il s'agit ici de
fibres
absolument claires, il faut admettre qu'elles occ
la coupe. Ainsi le corps calleux fournit à la tête du corps strié les
fibres
de sa couche la plus inférieure, et ces fibres se
ête du corps strié les fibres de sa couche la plus inférieure, et ces
fibres
se réfléchissent du corps calleux sous le corps s
r conséquent foncé, à concavité tournée en dedans, et enveloppant ces
fibres
du corps calleux (RNC) qui vont sous le noyau cau
désignation est la même, RNC : elles sont en effet, elles aussi, des
fibres
de la couronne rayonnante du noyau caudé. Seuleme
. Il fallait les signaler ici à l'occasion du mode de terminaison des
fibres
du corps calleux dans le centre ovale. On a préte
(fig. 118, 119, 120), ramassé sur lui-même, ne se compose plus que de
fibres
antéro-postérieures; il s'éloigne du corps calleu
oyau caudé, la lumière vasculaire qui interrompt la continuité de ses
fibres
. LCf. Les fibres lenticulo-caudées (fig. 118,12
ère vasculaire qui interrompt la continuité de ses fibres. LCf. Les
fibres
lenticulo-caudées (fig. 118,120), plus nombreuses
RNC. La couronne rayonnante du noyau caudé (fig. 118, 119), mêlée aux
fibres
lenticulo-caudées, se partage, ainsi que nous l'a
-à-dire la capsula extrema), est constitué presque uniquement par des
fibres
foncées, à direction antéro-postérieure. LFS. L
e pour pénétrer dans le lobe frontal. Sur les coupes 119 et 120 les
fibres
d'origine du fasciculus uncinatus, à l'extrémité
nt on ne peut la distinguer que par la différence de direction de ses
fibres
, se termine en haut, entre le noyau caudé et la c
Profil d'ensemble du faisceau diffus du fornix (FDF). ment si les
fibres
antéro-poslcricures, logées dans la circonvolutio
(pl. XXIX, fig. 110, Dsu). Ce diverticulum va jusqu'à l'écorce ; les
fibres
du faisceau longitudinal inférieur vont aussi jus
al. Le faisceau longitudinal inférieur est donc borné en haut par les
fibres
transversales de l'alveus et du tapetum (TAP, fig
lucidum (GSL, 125). Il augmente encore notablement de volume, et les
fibres
de sa couronne rayonnante (RNC, fig. 121, 122) so
ité antérieure. Mais comme il est traversé d'avant en arrière par les
fibres
de l'anse, les deux segments internes du noyau le
iver jusqu'à sa face inférieure. Plus en avant, il est divisé par les
fibres
olfactives externes (OLE, 124), puis par les fibr
st divisé par les fibres olfactives externes (OLE, 124), puis par les
fibres
olfactives de la commissure (OLC, 126). Mais on l
toute cette portion ascendante de son étendue, est dissociée par les
fibres
du pilier descendant de la voûte (DE, 124, 125, 1
manie sans précautions un cerveau frais. C'est là que se perdent les
fibres
médianes des deux nerfs optiques. C'est de là que
ant-mur par la capsule externe (CE, pl. XLI, fig. 1, 5, 4) et par les
fibres
les plus antérieures de la commissure blanche (CA
rrière, les limites de l'insula, c'est parce qu'il est arrêté par les
fibres
corticales des lobes frontal et occipital qui se
que le claustrum d'un côté est relié à celui de l'autre côté par des
fibres
coinmissurales appartenant au rostrum du corps ca
Enfin, comme le noyau caudé et le putamen, le claustrum reçoit des
fibres
du faisceau arqué; et comme le putamen, il reçoit
çoit des fibres du faisceau arqué; et comme le putamen, il reçoit des
fibres
du faisceau sensitif externe. LAT. La lame term
au niveau du globus medialis, que ce dernier semble traversé par les
fibres
de l'anse. Or, comme les fibres récurrentes de
ce dernier semble traversé par les fibres de l'anse. Or, comme les
fibres
récurrentes de l'anse sont dirigées d'avant en ar
uter que déjà l'anse lenticulaire est réduite à un si petit nombre de
fibres
que cette différence de teinte n'existe que sur u
ce pâle (fîg. 124, ANL) correspondant à la portion de l'anse dont les
fibres
sont presque transversales; elles sont au sommet
e l'anse du noyau lenticulaire (ANL) et de l'anse du noyau caudé de
fibres
blanches étalée au-dessous de la portion antérieu
re du noyau caudé, comme l'anse du noyau lenticulaire est une lame de
fibres
(ANC). Ces deux anses, formées de fibres rayonn
nticulaire est une lame de fibres (ANC). Ces deux anses, formées de
fibres
rayonnantes au-dessous du corps strié (NC), sont
en dedans, l'anse du noyau caudé est dirigée d'avant en arrière. Les
fibres
des deux anses convergent vers le sommet du globu
t en réalité qu'une seule, les deux anses représentent l'ensemble des
fibres
blanches, disposées au-dessous d'elles comme une
es comme une lamelle horizontale. On sait que la majeure partie des
fibres
de l'anse du noyau lenticulaire proviennent des d
dans les segments mêmes du noyau lenticulaire. De la même façon, les
fibres
de l'anse du noyau caudé sont fournies par la sub
e la capsule externe (CE). La capsule externe ne renferme donc pas de
fibres
destinées à l'anse du noyau lenticulaire ; et com
inexact d'admettre que la face inférieure du noyau caudé fournit des
fibres
à l'anse. Le noyau caudé, jusqu'à son extrémité a
imité en dehors et en bas par la capsule externe ; et s'il envoie des
fibres
à l'anse du noyau lenticulaire, sous la forme d'u
, sous la forme d'une lamelle blanche étalée à sa base, c'est que ces
fibres
pénètrent directement dans sa substance (ou en ém
en bas et en dedans, qu'en haut et en dehors; cela tient à ce que les
fibres
de la couronne rayonnante du noyau caudé (RISC, f
traversent de part en part, dirigées de dedans en dehors ; outre les
fibres
de la couronne rayonnante du noyau caudé, il faut
de la couronne rayonnante du noyau caudé, il faut signaler aussi les
fibres
lcnticulo-caudécs comme ajoutant à l'épaisseur de
de la commissure antérieure (CA), En dedans, elle est limitée par les
fibres
antéro-posté-ricurcs de la racine antérieure du t
grise du septum lucidum (GSL), qu'elle ne dépasse jamais. Tae. Les
fibres
les plus antérieures du taenia (fig. 121), parven
it de jeter les yeux sur les coupes 121 et 122 pour s'assurer que les
fibres
les plus antérieures du taenia quittent le stratu
r pénétrer dans le noyau interne de la couche optique et se mêler aux
fibres
de la racine antérieure (ThA). Elles restent tout
à la commissure, deux tractus blancs (OLC) qui jsont des faisceaux de
fibres
issues de la racine moyenne du nerf olfactif (fig
istes admettent avec Meynert que la commissure antérieure fournit des
fibres
commissurales aux circonvolutions inférieures de
re, y compris les occipitales. Nous ne contesterons pas que certaines
fibres
, venues de la commissure antérieure, se dirigent
ale entre les circonvolutions postérieures. L'immense majorité de ses
fibres
— autant dire la presque totalité — dès leur sort
ntérieure sur le cerveau humain ont cherché à suivre le trajet de ses
fibres
sur les coupes horizontales en série. Tous ont re
ommissure antérieure se disperse, à cet endroit même, et projette ses
fibres
divergentes sur toutes les circonvolutions tempor
re change brusquement de direction ; 11 n'y a donc pas à chercher ses
fibres
sur le prolongement de sa direction primitive ; e
to-sphénoïdalc que la commissure antérieure est censée abandonner des
fibres
: c'est aussi à la capsule externe. Il faut recon
e que la partie la plus inférieure de la capsule externe renferme des
fibres
d'une dissection' très difficile et qui semblent
(CE) dont elle suit la direction. Mais elle abandonne aussi quelques
fibres
à la région occipitale : ce sont les fibres qui s
abandonne aussi quelques fibres à la région occipitale : ce sont les
fibres
qui suivent le trajet primitif des branches du fe
n Las et de dehors en dedans vers la région amygdalienne. Si quelques
fibres
gagnent la capsule, ce sont des fibres égarées
on amygdalienne. Si quelques fibres gagnent la capsule, ce sont des
fibres
égarées et en très petit nombre. Au contraire, il
re, il est très vraisemblable que la commissure antérieure envoie des
fibres
à la capsule externe, non pas dès sa sortie du ca
le. A ce niveau, d'autre part, la capsule externe se confond avec les
fibres
inférieures du rostrum qui s'étalent au-dessus de
nous semble être la suivante : si la commissure antérieure envoie des
fibres
à la capsule externe dès avant sa pénétration dan
qui est certain, c'est que la capsule reçoit la presque totalité des
fibres
de la lame terminale (LAT, fig. 126). Or la lame
e interne (fig. 122), à sa partie supérieure et externe, renferme les
fibres
de la couronne rayonnante du noyau caudé (RNC, fi
ne rayonnante du noyau caudé (RNC, fig. 122); à sa partie moyenne les
fibres
lenticulo-caudées (LCf, fig. 125); à sa partie in
(ThA, fig. 121,122,125). Cette olernière nous est connue. LCf. Les
fibres
lenticulo-caudées (fig. 122) se confondent insens
oir sur lequel se détachent ces stries est constitué par la masse des
fibres
de la racine antérieure du thalamus (ThA), qui se
septum lucidum. Elle fournit donc, comme le noyau caudé lui-môme, des
fibres
au faisceau lenticulo-caudé que nous avons déjà é
culo-caudé que nous avons déjà étudié; or nous avons vu que parmi les
fibres
lcnticulo-caudées, il en est qui gagnent le pied
(fig. 122, 125) représente donc, au-dessous du noyau caudé, l'anse de
fibres
blanches qui fait suite à l'anse du noyau lenticu
caudé et de la substance grise du septum, immédiatement en avant des
fibres
les plus antérieures du taenia (Tse, fig. 126).
stance blanche de l'espace perforé antérieur; cela tient à ce que les
fibres
de l'espace perforé ont, sur les coupes de cette
ne. Nous verrons plus loin que l'espace perforé est constitué par les
fibres
du fasciculus unci-natus (FU). Cela même ne fait
xterne. LFS. La capsula extrema (fig. 125) augmente de largeur. Ses
fibres
inférieures, dirigées d'arrière en avant, sont ac
s aussi nettement séparé de la capsule, et il s'entre-croise avec les
fibres
les plus inférieures de celles-ci (fig. 124, 125,
t en dedans vers l'espace perforé antérieur, où il se croise avec les
fibres
de la racine externe olfactive (OLE, fig. 124). M
cine externe olfactive (OLE, fig. 124). Mais le plus grand nombre des
fibres
de ce faisceau continuent leur course en dedans e
124, 125. 126; la couche supérieure ne renferme évidemment que des
fibres
antéro-postérieures. 11 est difficile de dire si
ntre ovale (fig. 124) présente ici son maximum d'épaisseur. Outre les
fibres
qu'il envoie dans la direction du lobe frontal et
ec la substance grise de la lame terminale (LAT, fig. 125) OLC. Les
fibres
olfactives de la commissure (fig. 125, 124, 125,
elle s'épuise (OLM, 125) ; mais il est probable qu'elle abandonne des
fibres
assez nombreuses à la commissure antérieure. OL
a ligne médiane, foncée en dehors, reçoit dans sa substance grise les
fibres
de la racine olfactive moyenne (OLM, 127). GS.
ous savons que la direction de cette racine est la même que celle des
fibres
de l'anse caudée, il est difficile de faire la di
n que sur les coupes précédentes. Elle est en effet traversée par les
fibres
lenticulo-caudées(LCf, fig. 128,131). Mais la cou
. 130) où sa striation persiste. La coupe vertico-transversale de ses
fibres
se présente sous la forme d'un croissant à concav
e croissant est le plus nettement arrêté, il faut en conclure que les
fibres
externes de la racine antérieure du thalamus sont
aisseur, elle poursuit son trajet en avant et en dehors au milieu des
fibres
entre-croisées du centre ovale. PEL. Le septum
A), à la surface duquel il va arriver bientôt, après avoir croisé les
fibres
les plus internes de la capsule externe (CE, fig.
s cette partie de son trajet (fig. 128 et 127) il est situé entre les
fibres
de la racine moyenne du nerf olfactif (OLM) et le
es coupes précédentes, il est impossible de l'isoler, attendu que ses
fibres
sont transversales, comme toutes celles de l'espa
aire (BSL) et, de là, la bandelette sous-optique, pour se joindre aux
fibres
rayonnantes du faisceau sensitif. ce. Le corps
ostibuli. s'incline en bas et en dehors; mais presque aussitôt, ses
fibres
devenues verticales, accolées au gyrus vestibuli
s (FU). Elle forme au-dessous du putamen une anse véritable, dont les
fibres
les plus internes (CE, fig. 130, 131) gagnent le
uncinatus (FU, 132), ni môme de la capsula extrema (LES). Toutes les
fibres
de cette région sont en efïet dirigées de dehors
tif interne {Soi, fig. 130). La capsule externe semble môme mêler ses
fibres
avec celles de la capsule interne (Cl, fig. 152)
ru. Sa coloration, toutefois, permet d'affirmer qu'elle se compose de
fibres
verticales ou transversales; les verticales sont
ompose de fibres verticales ou transversales; les verticales sont des
fibres
d'association entre l'insula et le Jobe frontal;
ciation entre l'insula et le Jobe frontal; les transversales sont des
fibres
d'association entre le pôle de l'insula (PI, fig.
le pôle de l'insula (PI, fig. 152) et le lobule orbitaire. LCf. Les
fibres
lenticulo-caudées (fig. 128) représentent, avec l
en apparence, c'est parce qu'on ne voit de la capsule interne que les
fibres
de la racine thalamique antérieure, qui continuen
trajet d'arrière en avant vers le lobe frontal. Les plus externes des
fibres
de cette racine devenant transversales de dedans
isphère gauche ; au niveau de la coupe vertico-trans-versale 132, les
fibres
du segment antérieur de la capsule interne (CI) f
corps calleux. constater sur le schéma 198, on ne reconnaît que les
fibres
les plus internes, antéro-postérieures, comme app
sphénoïdal (IFS). Sa teinte encore foncée indique que beaucoup de ses
fibres
se portent en avant; mais elles vont en divergean
nfond avec celle du faisceau du centre ovale (CO). CO. La masse des
fibres
du centre ovale (iîg. 128, 13Ô) dont la presque t
jours le plan vertico-transversal, et sont limitées en dehors par les
fibres
inférieures du faisceau arqué (ARC) qui vont, d'a
voisins ne se modifient pas, non plus que l'étroite connexion de ses
fibres
inférieures avec le claustrum (CL, fig. 129). C
). Le corps calleux (ce) se compose ici d'une masse considérable de
fibres
transversales, qui se -divisent par parties égale
la face supérieure du noyau caudé : en dehors elle est formée par les
fibres
les plus antérieures de la couronne rayonnante de
ures de la couronne rayonnante de ce noyau (RNC, 155, 155) et par des
fibres
issues du corps calleux lui-même. Substance gri
e ligne convexe, au-dessus de laquelle passent, sans s'y insérer, les
fibres
du corps calleux ; sa face inférieure, au contrai
e. Comme il est dirigé d'avant en arrière et de dedans en dehors, ses
fibres
forment un faisceau légèrement teinté sur les cou
re plus oblique en arrière, en bas et en dehors, c'est-à-dire'que ses
fibres
se rapprochent de plus en plus de la direction sa
ormer la capsule externe est donc plus foncé. — Sur la figure 135 ses
fibres
tendent à devenir plus transversales. Enfin, sur
au devant du genou. ovale étant celle qui présente l'intrication de
fibres
la plus compliquée et, sans doute, la plus variab
.) est, ainsi que nous l'avons déjà dit, formée en majeure partie des
fibres
du rostrum, et en faible partie des fibres les pl
rmée en majeure partie des fibres du rostrum, et en faible partie des
fibres
les plus antérieures du corps calleux. Elle const
e représentant d'une façon schématique le changement de direction des
fibres
de la couronne rayonnante du noyau caudé (lîNG).
ors et va rejoindre au milieu du lobe frontal (fig. 158) la masse des
fibres
antéro-postérieures. ARC. Le faisceau arqué (fi
ventricule latéral. LFS. La capsula extrema (fig. 154) composée de
fibres
arquées reliant entre elles les différentes parti
reconnaissables : 1° une portion supérieure, foncée, qui renferme les
fibres
dirigées d'arrière en avant et que nous avons déj
présentant tout ce qui reste de la capsule interne, et renfermant des
fibres
dirigées de haut en bas et de dedans en dehors da
c'est-à-dire au niveau de son adhérence avec la capsule interne. Ces
fibres
vont elles-mêmes se recourber bientôt en avant, c
st que tout à fait à son-extrémité antérieure qu'il projette quelques
fibres
sur la première circonvolution. En tout cas il n'
érieur au fond de la scissure limbique (L), abandonnant peu à peu ses
fibres
, à la substance grise de la première frontale et
du genou du corps calleux, n'est pas pour cela moins compact. Si ses
fibres
sont moins colorées, c'est d'abord parce qu'elles
carrefour garde partout sa coloration claire; elle se compose donc de
fibres
verticales : en d'autres termes, cela signifie qu
cingulum et le faisceau compact du fornix n'envoient que très peu de
fibres
dans la direction du pôle frontal. FOA. Le forc
forceps minor ou forceps antérieur (fig. 137, 138) est l'ensemble des
fibres
du corps calleux qui se terminent, en s'épar-pill
ssement postérieur des faisceaux du splenium qu'on a donné ce nom aux
fibres
du genou et du rostrum. Celles-ci, en effet, sont
u rostrum. Celles-ci, en effet, sont beaucoup moins compactes que les
fibres
postérieures. Elles ne présentent une certaine de
(ZGl, fig. 3). En dehors du corps genouillé externe, on reconnaît les
fibres
de la bandelette sous-optique (BSO) qui paraissen
XXXIX, fig. 1 et 2), ne sont ici séparés l'un de l'autre que par les
fibres
les plus inférieures du segment antérieur de la c
entriculaire; elle est adjacente à de la substance blanche (OLl). Les
fibres
qui s'interposent ainsi entre la tête du noyau ca
rne du nerf olfactif (OLl) ; plus en avant on voit aussi pénétrer les
fibres
profondes du rostrum (ROS) entre la face intern
nt à ce qu'il présente une concavité inférieure où prennent place les
fibres
de l'anse du noyau lenticulaire (ANL) et celles d
UT, fig. 3). A sa partie inférieure (fig. 1), il est dissocié par les
fibres
de la capsule externe (CE), de l'anse du noyau le
dedans de la bandelette optique (BO). 11 se compose de deux ordres de
fibres
, les unes foncées, les autres claires; celles-ci
irigés dans leur ensemble vers le noyau rouge de la calotte (NR). Les
fibres
foncées, coupées à peu près perpendiculairement à
du plan de la coupe) avec le segment postérieur de la capsule. — Les
fibres
claires et striées appartiennent à la lamina tegm
ennent à la lamina tegmenti (LTE) ; elles représentent le système des
fibres
du tegmentum à leur sortie de ce noyau. Pcs. Le
n dedans par le fasciculus retroflexus (FRF). En dehors (fig. 2), les
fibres
du pédoncule qui ne pénètrent pas dans le noyau r
ssous et en avant duquel il se placera avant de pousser ses dernières
fibres
jusqu'au corps genouillé externe (GE). Laq. Le
é externe (GE). Laq. Le laqueus est représenté ici (fig. 1) par les
fibres
les plus supérieures du Icmniscus; il vient de la
scus; il vient de la commissure postérieure; il est constitué par les
fibres
du faisceau de la commissure, qui, plus loin, en
ig. 2 et 3), au-dessus et en dehors du discus lentiformis, envoie ses
fibres
à la capsule interne, mélangées à celles du pied
capsule interne, mélangées à celles du pied du pédoncule. CEO. Les
fibres
cérébello-thalamiques font suite à celles du pédo
tales. AR. Le faisceau d'Arnold est constitué (fig. 1 et 2) par les
fibres
les plus inférieures du segment antérieur de la c
; il n'est séparé de la cavité ventriculaire {VO, fig. 2) que par les
fibres
verticales du tapetum (TAP). 11 est composé de de
externe du puhinar (Pul, fig. 5); il reçoit également la totalité des
fibres
du faisceau de Tùrck-Meynert (FM, fig. 5), issues
e du subiculum, en dedans de la corne d'Ammon (CAM). A ce niveau, ses
fibres
sont divisées parallèlement à leur direction : il
écorce grise du fond de la scissure calcarine (K). Elle se compose de
fibres
verticales, compactes, par conséquent foncées, fo
), en avant de la racine inférieure du thalamus (Thl), en arrière des
fibres
commissurales du nerf olfactif (OLC), en dedans
sus de ce noyau. 11 est entouré d'une zone blanche qui appartient aux
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur, devenues hori
re. Sa coloration, déjà claire, indique que le couteau a traversé les
fibres
blanches horizontales de son stratum zonale. Sur
la base (fig. 2), puis, de là, dans la couche optique. Mais alors ses
fibres
, devenues verticales, prennent une coloration fon
). , coupe 6, le ganglion de l'habénule (GII) est enveloppé par des
fibres
qui forment autour de lui une sorte de capsule. L
pé par des fibres qui forment autour de lui une sorte de capsule. Les
fibres
externes appartiennent au fasciculus retroflexus
es fibres externes appartiennent au fasciculus retroflexus (FRF); les
fibres
internes appartiennent à l'habénule (HAB). Les un
sure antérieure (CA), quelques trousseaux blancs qui représenlent les
fibres
lenticulo-caudées (ANC, fig. 4 et 6). Sur les c
ncée dans sa partie antérieure (fig. 5 et 6), cela tient à ce que ses
fibres
, destinées à former la bandelette diagonale, sont
diculairement à leur axe. Mais on peut voir, sur la figure 5, que ces
fibres
obliques ou horizontales en arrière, ont une tein
re le globus medialis (GLM) et le putamen (PUT), est parcouru par des
fibres
convergentes de la couronne rayonnante qui traver
e. C'est sous le globus medialis que passent le plus grand nombre des
fibres
de l'anse du noyau caudé (ANC) pour gagner la rég
avec la partie la plus reculée de la capsule, celle qui renferme les
fibres
du faisceau de Tùrck-Meynert. Pul. Le pulvinar,
segment postérieur de la capsule interne (fig. 4) renferme toutes les
fibres
qui, sur les coupes précédentes, constituaient le
précédentes, constituaient le pied du pédoncule. 11 est strié par les
fibres
du tegmentum. Sa partie moyenne est occupée par l
il n'est séparé que par le faisceau rétroflexe (FRF), il partage ses
fibres
en deux directions : les fibres antérieures se po
ceau rétroflexe (FRF), il partage ses fibres en deux directions : les
fibres
antérieures se portent en avant et se terminent,
s en grande partie, dans la substance grise de la fente de Monro; les
fibres
externes, visibles, juste en arrière du noyau rou
ntact du segment postérieur de la capsule (CID), passe au-dessous des
fibres
du pédoncule qui se portent vers l'écorce. Il est
franchement claire au-dessus du discus lentiformis, reçoit toutes les
fibres
du faisceau rubro-thalamique (CAO, fig. 6). ANL
e, et va se terminer dans l'extrémité antérieure du thalamus. Là, ses
fibres
terminales s'entre-croisent avec les fibres termi
eure du thalamus. Là, ses fibres terminales s'entre-croisent avec les
fibres
terminales de la racine antérieure (ThA).. ïliA
e et externe (NiC, NeC, fig. 8), émet en dehors la majeure partie des
fibres
de la couronne rayonnante du thalamus (Rth, fig.
se confondre avec le ganglion de l'habénule. Il en est séparé par les
fibres
du stratum zonale du ganglion de l'habénule, qui,
en arrière et en dedans de la; lame médullaire interne (LMl). Si ces
fibres
ne sont pas visibles sur les coupes 7 et8, c'est
lles sont horizontales. Nous avons déjà décrit le trajet recourbé des
fibres
en question, qui concourent à la formation du fai
yau externe du thalamus (ûg. 8 et 9) est le centre de convergence des
fibres
venues de la lame médullaire externe (LML). Nous
ibres venues de la lame médullaire externe (LML). Nous savons que ces
fibres
représentent la couronne rayonnante du thalamus p
l'hémisphère. Il faut compter comme appartenant au même système, les
fibres
de la racine antérieure de la couche optique (ThA
e du septum lucidum (GSL). Il est parcouru d'arrière en avant par des
fibres
ramifiées qui le traversent de haut en bas et d'a
noyau caudé. Étant donné le sens de ce trajet, on s'explique que les
fibres
en question doivent être de moins en moins abonda
forme la limite externe de la capsule interne. On le voit émettre des
fibres
nombreuses destinées (fig. 9) au faisceau génicul
une apparence; en eflet, sur les coupes horizontales supérieures, les
fibres
du faisceau arqué se rapprochent de l'horizontali
rapprochent de l'horizontalité et deviennent plus claires. Comme ces
fibres
augmentent l'épaisseur du claustrum, leur colorat
). FI. La fimbria, coupée perpendiculairement à la direction de ses
fibres
(fig. 7), présente une teinte foncée; mais lorsqu
une striation antéro-postérieure. Celle-ci est due à la présence des
fibres
les plus supérieures du septuni lucidum (PEL) et
sence des fibres les plus supérieures du septuni lucidum (PEL) et des
fibres
les plus inférieures du corps calleux lui-môme, q
tricule, s'épuise, avons-nous dit, de bas en haut, en abandonnant ses
fibres
au stratum zonale. Cela explique pourquoi ses der
nt ses fibres au stratum zonale. Cela explique pourquoi ses dernières
fibres
, dirigées d'avant en arrière, sont encore visible
) il est coupé près de son extrémité antérieure, c'est-à-dire que ses
fibres
sont presque verticales; elles ont une coloration
on ultime de son trajet, la queue du noyau caudé sépare le taenia des
fibres
du tapetum, réduites à une couche d'une minceur e
origine jusqu'à sa terminaison, permet d'admettre qu'il se compose de
fibres
longues, d'un seul tenant, sans faire escale dans
l, au fur et à mesure que les coupes s'élèvent (fig. 8), dissocie les
fibres
de l'étage supérieur de la calotte. Celles-ci d'a
. 8), claire en dedans, foncée en dehors, est représentée ici par des
fibres
venues du stratum zonale de la face supérieure de
a région postérieure du pulvinar ; c'est pourquoi la direction de ses
fibres
est différente de celle de la couronne rayonnante
1) on le voit se réduire ; il est pénétré de dehors en dedans par des
fibres
venues du genou de la capsule (Gci) et qui appart
en avant et va rejoindre la téte, dont elle n'est séparée que par les
fibres
les plus superficielles du t8enia(Tre) et par que
par les fibres les plus superficielles du t8enia(Tre) et par quelques
fibres
transversales du genou de la capsule (Gci). Cette
n arrière (Th) et du noyau caudé en avant (NC) est constituée par les
fibres
du faisceau sensitif externe (FSe) en arrière, et
les fibres du faisceau sensitif externe (FSe) en arrière, et par les
fibres
du faisceau arqué (ARC) en avant. Ces fibres ont
) en arrière, et par les fibres du faisceau arqué (ARC) en avant. Ces
fibres
ont une teinte foncée parce qu'elles se portent d
s en dedans et surtout de haut en bas presque verticalement. Quelques
fibres
transversales appartenant au genou de la capsule
gone (fig. 10) fait suite à la fimbria. 11 est exclusivement formé de
fibres
blanches, horizontales, dirigées d'arrière en ava
s; il présente une coloration foncée en avant, claire en arrière (ses
fibres
les plus postérieures en effet se confondent avec
. Le faisceau supérieur du forceps (fig. 12) n'est que l'ensemble des
fibres
les plus supérieures du corps calleux ; il est fa
u ventricule. Tous les deux ont une coloration foncée; entre eux, les
fibres
claires (fig. 12) qui ferment en haut la cavité v
nsitif interne (fîg. 10), au niveau du carrefour sensitif, croise ses
fibres
avec celles de la bandelette sous-optique et de l
bandelette sous-optique et de la couronne rayonnante du thalamus. Ces
fibres
, avons-nous dit (voy. pl. XXXVI, fig. 8) rejoigne
isceau sensitif externe, foncé sur la figure 11, n'est composé que de
fibres
obliques en bas et en avant. Nous savons en effet
e de fibres obliques en bas et en avant. Nous savons en effet que les
fibres
du faisceau sensitif externe ne répondent qu'à la
dit) le segment inférieur de l'hémisphère sectionné. L'obliquité des
fibres
entraine un éclairage inverse de leur surface de
ervera également que la partie postérieure de ce faisceau (composé de
fibres
verticales) s'enfonce en arrière comme un coin tr
ion dont il a été déjà question, et qui résulte de la courbure de ses
fibres
au moment où un certain nombre d'entre elles pass
rayonnante du noyau caudé (RNC) envoie à la capsule externe (CE) des
fibres
dont la masse décrit une courbe à concavité posté
CA) trois couches distinctes : 1" le pied du septum lucidum, dont les
fibres
verticales sectionnées perpendiculairement à leur
de l'écorce; 2" la couche blanche de la lame terminale (LAT) dont les
fibres
, également verticales, font suite au rostrum du c
ue le noyau caudé (NC) est nettement arrêté à sa face interne par les
fibres
profondes du corps calleux (ce). Sur la figure 2,
figure 1, la lacune ventriculaire qui sépare le noyau caudé (NC) des
fibres
profondes du corps calleux (ce). Substance gris
la paroi antérieure de la fente de Bichat. Il émet, en abondance, des
fibres
transversales qui constituent la majeure partie d
us qu'on observe sur cette coupe appartiennent surtout au système des
fibres
de l'étage supérieur de la calotte. On y reconnaî
te. On y reconnaît la lame médullaire interne (LMl) parcourue par les
fibres
du faisceau tegmento-thalamique (voy. fig. 2, CAO
u pulvinar (Rth) pour former le faisceau sensitif interne (FSi) ; les
fibres
commissurales de la commissure postérieure (CP),
ganglion de l'habénule (GH) ; 2" un faisceau moyen, qui renferme les
fibres
réellement commissurales (voy. pl. XXII, fig. 07,
egment postérieur de la capsule interne ne lui emprunte aucune de ses
fibres
. CID. Le segment postérieur de la capsule inter
strié par le fait de l'entre-croisement du pied du pédoncule avec les
fibres
de la calotte, présente une teinte claire unifo
laire. Cette coloration claire tient à la disposition horizontale des
fibres
de la capsule interne au niveau de leur pénétrati
terne, adjacente à la substance grise du thalamus, est formée par les
fibres
de la racine postérieure et de la racine antérieu
de la racine postérieure et de la racine antérieure du thalamus. Les
fibres
de la racine postérieure proviennent du faisceau
aisceau sensitif interne (FSi) et de la bandelette sous-optique ; les
fibres
de la racine antérieure proviennent du segment an
roviennent du segment antérieur de la capsule. L'entre-croisement des
fibres
de la calotte avec les fibres des racines postéri
r de la capsule. L'entre-croisement des fibres de la calotte avec les
fibres
des racines postérieure et antérieure du thalamus
fasciola cinerea (Fci), se porte en bas et en avant, mélangé avec les
fibres
du faisceau compact du fornix (FCF). FCF. Le fa
capsule interne (CIA) ; ces faisceaux croisent, dans la capsule, les
fibres
du faisceau d'Arnold et aboutissent aux deux segm
), formant, dans cette dernière partie de leur trajet, le système des
fibres
lenticulo-caudées (LCf\. Pul. Le pulvinar, parc
fibres lenticulo-caudées (LCf\. Pul. Le pulvinar, parcouru par les
fibres
de la couronne rayonnante du thalamus qui se port
a lame médullaire latérale du thalamus est parfaitement distincte des
fibres
propres de la capsule interne qui forment la cour
) appartenant également à la capsule interne, mais bien distincte des
fibres
striées qui en occupaient la partie moyenne. Cett
ui en occupaient la partie moyenne. Cette lame blanche représente les
fibres
capsulaires qui prennent la direction horizontale
lution occipitale (0") et la quatrième (0^). La majeure partie de ses
fibres
aboutissent ici h ces deux circonvolutions. Nous
plus qu'une faible partie des éléments du faisceau d'Arnold (AR). Les
fibres
de la racine antérieure du thalamus (ThA), venues
enté que par la lame médullaire externe du thalamus (LML). Toutes les
fibres
de la couronne rayonnante ont pénétré dans les de
la racine antérieure du thalamus (ThA). 4° La séparation réelle des
fibres
du splenium en deux couches : les fibres supérieu
4° La séparation réelle des fibres du splenium en deux couches : les
fibres
supérieures du splenium (ce) appartiennent aux fa
appartiennent aux faisceaux supérieur et moyen du forceps major; les
fibres
inférieures (BAM) appartiennent au faisceau infér
t la bandelette optique, fortement adhérente à ce lobule, confond ses
fibres
blanches avec celles de cette capsule. Figure 2
dans le lobule de l'hippocampe (HL) reçoit, de dedans en dehors, les
fibres
terminales de la bandelette sous-optique (BSO). E
coupe actuelle est plus élevée que la précédente, ce ne sont plus les
fibres
de la capsule externe qui enveloppent en dedans l
e externe qui enveloppent en dedans le noyau amygdalien : ce sont les
fibres
de la racine inférieure du thalamus (Thl). Figu
paroi antérieure le noyau amygdalien (NA) où viennent s'épanouir les
fibres
terminales (ou originelles) de la bandelette sous
ien (NA), où la bandelette sous-optique (BSO) entrecroise et môle ses
fibres
avec celles de la capsule externe. En dedans la
ieure par les éléments de la bandelette sous-optique (BSO) et par les
fibres
les plus antéro-inférieures du tsenia (Tse). En
longitudinal supérieur, fasciculus arcuatus (Burdach, Arnold). ARC.
Fibres
du faisceau arqué destinées à la capsule interne.
ase de la corne d'Ammon. BCP. Bidbus cornu posterioris, saillie des
fibres
moyennes du corps calleux dans le ventricule laté
lette de Giacomini. BO. Bandelette optique, tractus opticus. BOG.
Fibres
de la bandelette optique destinées au corps genou
de la bandelette optique destinées au corps genouillé externe. BOZ.
Fibres
de la bandelette optique allant au stratum zonale
calcar avis, colliculum, ergot de Morand. CAM. Corne d'Anmion. CAO.
Fibres
de la couche optique allant à la calotte ou inver
calleux. ccB. Bec du corps calleux. ^ CE. Capsule externe. CEO.
Fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur allant à la co
molle. CMT. Commissure de Meynert. CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale. COL Commissure inférieure (dan
e accessoire. F^a. Deuxième circonvolution frontale accessoire. Y
M. Fibres
arquées profondes du bulbe. FAL. Gyrus falcifor
ieur. ; FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte. FLF.
Fibres
du faisceau longitudinal postérieur de la calotte
irconvolution frontale. FOA. Forceps anfertor, ou forceps minor. FOi.
Fibres
inférieures du forceps major. FOM. Forceps majo
rceps major. FOM. Forceps major, en grande partie constitué par les
fibres
moyennes du splenium. FÔm. Fibres moyennes du o
n grande partie constitué par les fibres moyennes du splenium. FÔm.
Fibres
moyennes du ou faisceau moyen du forceps' major
FÔm. Fibres moyennes du ou faisceau moyen du forceps' major. FOp.
Fibres
postérieures du forceps major. FOs. Fibres supéri
u forceps' major. FOp. Fibres postérieures du forceps major. FOs.
Fibres
supérieures du forceps. FOV. Faisceau occipital
FOV. Faisceau occipital vertical. \ FP. Faisceau pyramidal. FP'.
Fibres
du faisceau pyramidal se continuant dans le faisc
lamina convoluta. LC". Segment externe de la lamina convoluta. LCf.
Fibres
lenliculo-caiidées. Loin. Lemniscus, feuillet h
lame sur un plan plus antérieur. Lmd. Lamina lateralis de Reil, ou
fibres
directes de la couche latérale de Reil. LML Lam
ncisi. NG. Nudeus gracilis. NiC. Noyau interne du thalamus. NL.
Fibres
latérales du noyau rouge de la calotte, faisceau
e interne. OL. Nerf olfactif. OLB. Bulbe du nerf olfactif. OLC.
Fibres
commissurales du nerf olfactif. OLE. Racine olf
rofond (Broca). Pul. Pulvinar. PUT. Putamen. PV. Pont de Varole. PVT.
Fibres
transversales du pont. PYR. Pyramide antérieure d
e rayonnante du centre médian. RO. Recessus opticus. nos. Fiostrum,
fibres
transversales du bec du corps calleux. jR^. Reces
endante du trijumeau. VF. Corne frontale du ventricule latéral. VL.
Fibres
du pont de Varole se croisant sur la ligne médian
...... i FeuiUct horizontal du ruban de Reil (Lem)........... 199
Fibres
arquées profondes du bulbe (FAI)...........PL V
...... 199 Fibres arquées profondes du bulbe (FAI)...........PL V
Fibres
de la bandelette optique destinées au corps genou
es au corps genouillé externe (DOG)..................... 284, 290
Fibres
de la calotte allant à la couche optique (CAO)...
F'ibres directes de la couche latérale de Reil (Lmd)........ 251
Fibres
directes de la partie inférieure du tegmentum {la
egmenti) participant à la formation ÙMsiratum intermedium [Lli^E) 267
Fibres
du faisceau arqué destinées à la capsule interne
ibres du faisceau arqué destinées à la capsule interne (ARC). . . 505
Fibres
du faisceau longitudinal postérieur allant au tha
res du faisceau longitudinal postérieur allant au thalamus (FLP') 279
Fibres
du faisceau pyramidal destinées au faisceau arqué
32, 429 Geminum centrum semi-clrculare (EaWer), (ÏSË)........ 399
Fibres
du pont de Varole se croisant sur la ligne médian
ligne médiane pour s'adjoindre au lemniscus................. 245
Fibres
externes du noyau rouge de Stilling (NL)........
. 245 Fibres externes du noyau rouge de Stilling (NL)........ 557
Fibres
inférieures du forceps (FOi).............. 102
....... 557 Fibres inférieures du forceps (FOi).............. 102
Fibres
latérales du noyau rouge de la calotte (NL)......
02 Fibres latérales du noyau rouge de la calotte (NL)........ 517
Fibres
lenticulo-caudées (LCf)............. 549, 403 F
........ 517 Fibres lenticulo-caudées (LCf)............. 549, 403
Fibres
moyennes du splenium (FOm)............. 103 Fib
..... 549, 403 Fibres moyennes du splenium (FOm)............. 103
Fibres
olfactives de la commissure (OLC)......... 401, 4
.. 103 Fibres olfactives de la commissure (OLC)......... 401, 406
Fibres
pédonculo-corticales de Charcot............. 351
401, 406 Fibres pédonculo-corticales de Charcot............. 351
Fibres
supérieures du forceps (FOs)............... 108
...... 351 Fibres supérieures du forceps (FOs)............... 108
Fibres
temporo-thalamiques d'Arnold (BSO)....... 195, 50
... 108 Fibres temporo-thalamiques d'Arnold (BSO)....... 195, 501
Fibres
transversales du pont (PVT).............. 245 F
liforme. Les ligaments jaunes étaient neltement ossifiés sur place,
fibre
par fibre, de dehors en dedans, car, si l'on ouvr
es ligaments jaunes étaient neltement ossifiés sur place, fibre par
fibre
, de dehors en dedans, car, si l'on ouvrait la cav
ehors, l'étaient incomplètement en dedans; on voyait même certaines
fibres
, ligamenteuses encore par une extrémité, se termi
vertèbres voisines ; ces ponts sont lisses, ne laissent pas voir de
fibres
ossifiées, ne font nulle part de saillies notab
at avec le bourrelet cotyloïdien ossifié qu'avec l'ossification des
fibres
capsulaires ou ligamenteuses voisines, iléo-pubo
ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL. QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR LES
FIBRES
DISSOCIATION DU CERVEAU, PAR LA SALLE ARCHA
hère ; les études remarquables de Flechsig sur la myélinisation des
fibres
nerveuses et sur l'existence de « centres d'ass
longitudinal inférieur ». Pour Bnrdach, ce faisceau était formé de
fibres
d'asso- ciation, prenait son origine dans le lo
itue pas un seul faisceau, mais plusieurs ; il renferme surtout des
fibres
de projection. Il le dé- crit sous le nom de «
faisceau se confond avec le cingulum et partie supérieure avec les
fibres
de la couronne rayonnante. II fait usage du terme
s le faisceau longitu- dinal inférieur abandonne un grand nombre de
fibres
. Dans le lobe temporal et au niveau du segment
erne (qu'il recouvre en dehors) ce faisceau est mal délimité et ses
fibres
s'enchevêtrent avec les fibres de projection de
s) ce faisceau est mal délimité et ses fibres s'enchevêtrent avec les
fibres
de projection des lobes temporal et pariétal. E
lien et à l'écorce cérébrale avoisinante. Dans le lobe temporal les
fibres
des cou- ches inférieures se rendent dans la ci
siforme et la troisième circonvolution temporale ; un grand nombre de
fibres
s'irradient dans la deuxième temporale, un plus
rand nombre encore dans la première temporale. Un petit nombre de
fibres
entrent dans la constitution de la capsule extern
rmer les couches les plus inférieures et s'entrecroi- sent avec les
fibres
de la commissure antérieure et du faisceau uncina
es de la commissure antérieure et du faisceau uncinatus. D'au- tres
fibres
enfin s'irradient dans l'écorce de la circonvolut
de Turck). Le faisceau longitudinal est traversé également par les
fibres
temporo-thalamiques, etc. Toutes ces fibres n'app
versé également par les fibres temporo-thalamiques, etc. Toutes ces
fibres
n'appartiennent pas au fais- ceau longitudinal,
blanche du lobe temporal, mais souvent, à cause du grand nombre de
fibres
courtes, cette dégénérescence ne se poursuit pa
ans les deux sens... il est donc probable qu'il renferme, outre les
fibres
qui vien- nent de l'écorce occipitale et qui en
ale et qui en constituent la presque totalité, un certain nombre de
fibres
venant de l'écorce temporale. A la suite de ses
ce temporale. A la suite de ses recherches sur la myélinisation des
fibres
nerveuses chez les nouveau-nés, Flechsig (1) pr
prétend que le faisceau longitudinal inférieur ne renferme que des
fibres
de projection qui se terminent dans le lobe occip
che optique et du noyau principal du pul- vinar ; à cet endroit ses
fibres
croisent d'autres fibres qui proviennent de la
rincipal du pul- vinar ; à cet endroit ses fibres croisent d'autres
fibres
qui proviennent de la partie supérieure du corp
ce de la couche optique, le faisceau longitudinal est accompagné de
fibres
venant de la couche optique et desti- nées à la
sti- nées à la sphère olfactive et à la corne d'Ammon, ainsi que de
fibres
ayant leur origine dans le corps genouillé inte
lobe occipital au lobe temporal... elle est formée exclusivement de
fibres
de projection. Pour von Alonakow (2) le faiscea
nsidéré comme une entité anatomi- que. Grâce au resserremeut de ces
fibres
, à leur gros calibre, à leur coloration intense
endue du lobe temporal-occipital et constitue la couche externe des
fibres
profondes. Dans son trajet postérieur, il reçoit
fibres profondes. Dans son trajet postérieur, il reçoit de nombreuses
fibres
de la capsule externe et du segment sous-lentic
du segment sous-lenticulaire de la capsule interne. La majorité des
fibres
dont ce faisceau est constitué appartiennent au s
se terminent dans le lobe occipital ; mais il existe, en outre, des
fibres
allant dans le sens inverse, et qui proviennent d
faisceau longitudinal inférieur renferme aussi un certain nombre de
fibres
de projection, de radiations thalamiques. En ré
uées en dehors de la paroi ventriculaire, toutes trois renferment des
fibres
qui proviennent des centres optiques primaires,
si la partie dorsale du faisceau longitu- dinal inférieur. D'autres
fibres
tirent leur origine de la sphère visuelle corti-
les centres optiques ; les radiations optiques renferment donc des
fibres
allant dans les deux sens. , A la suite de lési
eau longitudinal inférieur. Les radiations optiques abandonnent des
fibres
à la scissure calcarine, au cunéus, au lobule l
stérieure du pli courbe. Le faisceau longitudinal contient donc des
fibres
appartenant à plusieurs systèmes; la dégénéresc
s; la dégénérescence secondaire nous démontre que la nature de. ses
fibres
varie sensiblement d'un niveau à l'autre. En avan
es varie sensiblement d'un niveau à l'autre. En avant il contient des
fibres
qui proviennent des centres optiques primaires
rimaires aiusi que du corps genouillé interne; il renferme même des
fibres
commissurales, c'est-à-dire des fibres 108 LA S
interne; il renferme même des fibres commissurales, c'est-à-dire des
fibres
108 LA SALLE ARCHAMBAULT de la commissure ant
LE ARCHAMBAULT de la commissure antérieure, mais la majorité de ses
fibres
, cependant, sont des fibres d'association. ·
ure antérieure, mais la majorité de ses fibres, cependant, sont des
fibres
d'association. · Obersteiner (1) admet que le f
be temporal ; mais la partie supérieure de ce faisceau renferme des
fibres
qui passent dans la partie posté- rieure de la
ifie assez souvent ses opinions sur l'origine et la terminaison des
fibres
qui entrent dans sa constitution, mais n'admet nu
a constitution, mais n'admet nulle part que ce faisceau renferme de
fibres
d'association. Dans ses premières études (a, b
des (a, b et c) il dit que la couche sagittale interne contient des
fibres
qui passent de l'écorce occipitale à la couche op
occipitale à la couche optique, et la couche sagittale externe des
fibres
dont le trajet est l'inverse, c'est-à-dire qu'e
délimitation peu précise entre ces deux couches ; un bon nombre de
fibres
proviennent des faces externe et interne dn lobe
rtie infé- rieure de cette couche sagittale (commune) recevrait les
fibres
de trois circon- volutions occipitales ; elles
nvolutions pariétales supérieures et inférieures ; -1 ces dernières
fibres
seraient moins nombreuses que celles qui provienn
tion déterminée, elle représenterait la voie visuelle centrale, ses
fibres
proviennent de la couche optique et se rendent à
ndent à la sphère visuelle corticale ; parfois (f) il accorde à ces
fibres
une origine plus étendue, non seulement dans la
puise et dans le lobe temporal et dans le lobe occipital. Parmi les
fibres
non dégénérées de ce fais- ceau, il en est qui
s, occipitales et des lo- bules lingual et fusiforme, ces dernières
fibres
se rendent au pédoncule cérébral. 1. Le faisc
cérébral. 1. Le faisceau longitudinal inférieur renferme donc des
fibres
thalamo-corti- cales destinées aux lobes tempor
- cales destinées aux lobes temporal et occipital et, en outre, des
fibres
qui pro- viennent de ces lobes et qui passent d
quadriju- meau antérieur. Le faisceau longitudinal n'envoie aucune
fibre
à la capsule ex- terne. ' Dans des cas de lés
conclut, comme avant, que la couche sagittale externe renferme les
fibres
visuelles centrales et que celles-ci tirent leur
ent à la destruction du noyau latéral de la couche optique dont les
fibres
passent au-dessus du corps genouillé externe et
e occipital est cependant respectée, car ce faisceau reçoit aussi des
fibres
du pulvinar et du corps genouillé externe, et d
x sont in- demnes. ' Les lobes pariétal et occipital envoient des
fibres
au corps quadrijumeau an- térieur, ces fibres c
ccipital envoient des fibres au corps quadrijumeau an- térieur, ces
fibres
constituent le faisceau cortico-tectal. Ecdinge
e'cas vient à l'appui' de/l'origine tempo- rale d'un bon'nombre des
fibres
dû faisceau longitudinal inférieur.' Scla7ttz (
titution du faisceau longitudinal. Ce faisceau contiendrait : a)@des
fibres
qui lui viennent directement du nerf optique ;
a)@des fibres qui lui viennent directement du nerf optique ; b) des
fibres
ayant leur origine dans le mésencéphale. ' ' 1
es fibres ayant leur origine dans le mésencéphale. ' ' 1 ? '. Ces
fibres
mésencéphaliques ou pédonculaires proviendraient
mière circonvolution-temporale ; elles seraient accompagnées d'autres
fibres
ayant la même origine et qui se rendraient au n
inférieures du névraxe. Ainsi serait constitué un faisceau dont les
fibres
iraient dans le deux sens, ce faisceau représente
o·/' (2), élève de Flechsig,après avoir étudié la myélinisation des
fibres
nerveuses 'et' pratiqué des coupes dans tous les
ng de la paroi ventriculaire et forment la couche la plus externe des
fibres
sagittales profondes. Toutes ces fibres se rend
couche la plus externe des fibres sagittales profondes. Toutes ces
fibres
se rendent dans le lobe occipital pour se termi
e de l'écorce occipitale délimitée par la strie de Vicq-d'Azyr. Les
fibres
,d'association n'entrent nullement dans la constit
ion n'entrent nullement dans la constitution de ces deux couches de
fibres
. , Siarokotlitzki (1) se range parmi les auteur
eure de ce faisceau renferme, au niveau des ganglions de la base, des
fibres
de projection, mais la partie inférieure de son
'écorce occipitale à l'écorce temporale. · - Le contingent formé de
fibres
d'association tire son origine de l'écorce occi-
ière circonvolution est particulièrement facile à cons- tater ; ces
fibres
d'association se terminent dans l'écorce temporal
pe, même dans la corne d'Ammon. Au niveau du pôle temporal d'autres
fibres
s'irradient dans l'écorce de la circonvolution du
ns temporales. Dans la région des noyaux centraux, un bon nombre de
fibres
se détachent z de la partie supérieure du segme
e putamen et le globus pallidus du noyau lenticulaire. Enfin d'autres
fibres
passent dans le pied du pédoncule cérébral, mai
n temporale ainsi que le veut Dejerine. Pour ce dernier auteur, ces
fibres
venant de la première temporale, concourent, avec
ces fibres venant de la première temporale, concourent, avec d'autres
fibres
qui proviennent des deuxième et troisième circo
cune part dans sa constitution, mais pour l'autenr, la majorité des
fibres
de ce faisceau lui viennent du lobe occipital, et
tal ; peut-être en est-il un certain nombre d'origine temporale. Ces
fibres
, dont la grande majorité se termineraient dans
jorité se termineraient dans la couche optique, correspon- dent aux
fibres
thalamo-corticales et cortico-thalamiques décrite
t. . Slosel (1), la la suite de recherches sur la myélinisation des
fibres
nerveuses des grands faisceaux de l'hémisphère,
hémisphère, insiste sur l'apparition précoce de la myéline pour les
fibres
de certains territoires bien délimités, à savoir
le faisceau longitu- dinal inférieur renfermerait un bon nombre de
fibres
provenant des circonvo- lutions de la face orbi
eur et iraient se terminer dans le précuneus. A l'ensemble de ces
fibres
, l'auteur donne le nom de « faisceau temporo-pré-
ue, d'une façon générale,la couche sagittale externe ren- ferme des
fibres
corticipètes, la couche sagittale interne des fib
ren- ferme des fibres corticipètes, la couche sagittale interne des
fibres
corticifu- ges ; mais il insiste sur la délimit
x. Ainsi, le fais- ceau longitudinal inférieur envoie de nombreuses
fibres
qui lui viennent de la sphère visuelle cortical
uteur revient sur l'origine du faisceau longitudinal et dit que les
fibres
qui proviennent du pôle occipital se dirigent hor
lobe occipital contournent les parois ventriculaires, et enfin les
fibres
qui tirent leur origine des circonvolu- tions s
eur, le faisceau longitudinal in- férieur renferme avant tout « des
fibres
corticifuges » destinées à la couche optique et
uillé externe. Il n'est fait mention nulle part dans son travail de
fibres
ayant leur origine dans le corps genouillé extern
origine dans le corps genouillé externe, cependant Redlich parle de
fibres
que le faisceau longitudinal envoie à la calcarin
ngual, à la première circonvolution occipitale. D'où viennent ces
fibres
? On ne parvient pas à se faire une idée exacte d
l donne le nom de « Stratum sagittale occipitale » à l'ensemble des
fibres
du faisceau longitudinal et des radiations opti
utefois, Redlich ne nie pas que le faisceau longitudinal renferme des
fibres
d'association, il considère que cette question
sieurs reprises sur la grande difficulté qu'il y a à distinguer les
fibres
du faisceau de Turck de celles du faisceau long
ns et précis sur l'origine et la terminaison des divers systèmes de
fibres
; tout au plus peut-elle nous indiquer de grandes
traité par la méthode de Marchi, on observe dans un grand nombre de
fibres
, presque la moitié des fibres de chaque fasci-
i, on observe dans un grand nombre de fibres, presque la moitié des
fibres
de chaque fasci- cule nerveux, dans l'intérieur
itié des fibres de chaque fasci- cule nerveux, dans l'intérieur des
fibres
nerveuses, une multitude de granula- tions de v
ées en séries et sont disséminées sur presque toute l'étendue de la
fibre
nerveuse. Plusieurs de ces granulations, sont lib
ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL. QUELQUES CONSIDÉRATIONS SUR LES
FIBRES
D'ASSOCIATON DU CERVEAU. (suite et fin) PAR
ur nous le mot « faisceau » ne doit s'appliquer qu'à un ensemble de
fibres
, se poursuivant sur une lon- gueur appréciable
n territoire assez nettement déterminé (exception faite de quelques
fibres
aberrantes),comme par exemple, le faiseau pyramid
amidal. Le mot faisceau n'est pas l'équivalent du terme « couche de
fibres
» ; or depuis de nombreuses années on a appliqu
is de nombreuses années on a appliqué indifféremment à la couche de
fibres
la plus externe du lobe temporo-occipital l'une
rne. A cet endroit en effet, la couche sagittale externe contient des
fibres
de projection et corticipètes et corticifuges,
ipètes et corticifuges, elle contient en outre un certain nombre de
fibres
d'association, elle ne représente nullement la co
u corps genouillé externe, la couche sagittale externe contient des
fibres
de la commis- sure antérieure et se confond en
bres de la commis- sure antérieure et se confond en dehors avec les
fibres
les plus internes du faisceau uncinatus. , Il
udinal inférieur tel qu'il existe dans ce lobe, ne contient que des
fibres
de projection ; il représente pour nous la Fra.
poral n'est reliée au lobe pariétal que par la première et quelques
fibres
du pédoncule inféro-interne de Meynert. La pr
nt de la partie antérieure du lobe temporal et serait accompagné de
fibres
que le faisceau de Türclt envoie à la couche opti
e est peu considérable et représente à notre avis la « totalité des
fibres
corticifuges destinées à la couche optique » et
rs de la bandelette et du faisceau normal, on voit un bon nombre de
fibres
dégé- nérées et disposées de façon à former un
r un arc qui semble relier les deux fais- ceaux qu'il recouvre. Ces
fibres
dégénérées appartiennent au faisceau de Türck e
avec la couche sagittale externe (segment inférieur); en effet ses
fibres
sont sectionnées directement par la lésion au niv
des circonvolutions inférieures résulte de la dégénéres- cence des
fibres
qui s'y rendent ou qui ne font qu'occuper leur pr
ITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 183 tral dont les
fibres
sont totalement dégénérées à cet endroit. Il se c
générées à cet endroit. Il se continue en dedans avec une couche de
fibres
saines occupant le lobule lingual et qui représ
lobule para- central et la circonvolution pariétale supérieure. Ces
fibres
appartiennent au cingulum horizontal de Beevor.
nt blanches et régu- lièrement 'conformées ; elles représentent les
fibres
dégénérées du faisceau optique central qui se r
optique central qui se rendent à la scissure calcarine et en plus les
fibres
d'as- sociation provenant de la face externe et
u en avant de la région que représente cette coupe, et comprend des
fibres
du faisceau optique central, des radiations tha
bres du faisceau optique central, des radiations thalamiques et des
fibres
d'association. La couche sagittale interne est
une courte étendue au-dessous de la lésion. Cela tient à ce que ces
fibres
sont lésées directement à un niveau antérieur à
de l'hémisphère ; cette décoloration tient à la dégénérescence des
fibres
du faisceau perpendiculaire de Wernicke. Ce faisc
s du faisceau perpendiculaire de Wernicke. Ce faisceau contient des
fibres
allant dans les deux sens et il a été directement
ence est d'ordre bien compliqué. En premier lieu, elle renferme les
fibres
provenant de la partie supérieure lésée du corps
res provenant de la partie supérieure lésée du corps genouillé, ces
fibres
se sont portées en avant, se sont coudées, puis s
t portées en avant, se sont coudées, puis se sont mêlées aux autres
fibres
du segment rétro-lenticulaire de la capsule inter
ccipitale et pariéto-lemporale postérieure, enfin elle comprend les
fibres
de la première circonvolution temporale destinées
siques.- La partie interne de ce faisceau a disparu avec les autres
fibres
situées au niveau de la scissure calcarine, par
scissure calcarine qu'il détruit totalement et sectionne toutes les
fibres
qui longent la paroi ventriculaire interne. Sur c
générescence occupe exactement le territoire que nous accordons aux
fibres
corticipètes de la couronne rayonnante du lobe
une lésion du noyau lenticulaire, que cette lésion a sectionné les
fibres
provenant du corps genouillé et qui traversent
n du problème. Nous avons dit que cette zone dégénérée renferme les
fibres
du faisceau optique central ; cela est vrai d'u
is dans sa partie inférieure cette couche contient un bon nombre de
fibres
saines. A un niveau plus antérieur (Planche XXX
ande partie de la troisième tem- porale, et détruit la totalité des
fibres
situées au-dessous de la paroi ventricu- laire
e apparence. Au microscope on constate que cette strie renferme les
fibres
de la partie supérieure de la couche sagittale
corps quadrijumeau antérieur. L'implica- tion d'un grand nombre de
fibres
d'association a donné lieu à une pâleur de la s
externe. On note la destruc- tion totale du noyau lenticulaire, les
fibres
dégénérées de la couche sagittale ex- terne en
uche sagittale ex- terne en émergent ; en dedans et au-dessous, ces
fibres
sont saines et elles se recourbent vers la band
ISCEAU OPTIQUE CENTRAL 189 vers le cunéus. Cette strie renferme les
fibres
du faisceau optique central des- tinées à la lè
le externe et au-dessus et au- dessous de la lésion, la section des
fibres
du faisceau de Wernicke a déter- miné une pâleu
nt inférieur) de la couche sagittale externe est dégénérée, car ces
fibres
sont directement inter- rompues à des niveaux a
iveaux antérieurs ; cette zone renferme donc un certain nom- bre de
fibres
corticipètes ; mais elle renferme aussi des fibre
tain nom- bre de fibres corticipètes ; mais elle renferme aussi des
fibres
corticifuges qui proviennent surtout de la deux
se sont entièrement reconstituées, mais que la dégénéres- cence des
fibres
d'association a déterminé'un certain degré de pâl
veau du corps genouillé externe, un prolongement a inter- rompu les
fibres
du segment horizontal de la couche sagittale exte
nt en dedans et disparaît dans la profondeur du lobule lingual. Ces
fibres
dégénérées appar- tiennent à la couronne rayonn
oi- sième circonvolution temporale. Ces altérations portent sur les
fibres
de trois systèmes différents, fibres calleuses,
es altérations portent sur les fibres de trois systèmes différents,
fibres
calleuses, fibres de projection (radiations thala
tent sur les fibres de trois systèmes différents, fibres calleuses,
fibres
de projection (radiations thalami- ques) et fib
ibres calleuses, fibres de projection (radiations thalami- ques) et
fibres
d'association. Nous savons que les fibres calle
tions thalami- ques) et fibres d'association. Nous savons que les
fibres
calleuses se rendent au tapetum et les radiations
halamiques à la couche sagittale interne (d'une façon générale) ; ces
fibres
doivent donc, à un moment donné, traverser la c
la couche sagittale externe. Or, dans le cas que nous étudions, les
fibres
qui proviennent du lobule fusiforme et de la tr
égénérée. La couche externe contient encore un très grand nombre de
fibres
saines dont l'ensemble représente la totalité d
nombre de fibres saines dont l'ensemble représente la totalité des
fibres
qui lui sont propres. En d'autres termes, la co
. En d'autres termes, la couche sagittale externe, étant privée des
fibres
qni, à l'état nor- mal, ne font que la traverse
férent de celui qui la caractérise sur une coupe normale. Parmi ces
fibres
saines, il en est qui concourent à former un fa
gment vertical de la couche sagittale externe. Nous croyons que ces
fibres
tirent leur origine du corps genouillé externe et
ne et qui se porte vers le lobule lingual ; cette zone renferme les
fibres
du faisceau de Vialet (cin- gulum inférieur occ
la circonvolution de l'hippocampe, renferme le très grand nombre de
fibres
dégénérées du cingulum inférieur de Beevor. Com
ne s'étend pas dans la profondeur. En raison de l'interruption des
fibres
de son segment inférieur et de l'étendue plus con
erne au niveau du pôle temporal, car ce segment ne renferme plus de
fibres
du « faisceau optique central », il n'est formé
us de fibres du « faisceau optique central », il n'est formé que de
fibres
d'association. 60 Cas : Gir... Aphasie, Démence
t la partie inférieure du segment vertical (les régions destinées aux
fibres
corticipètes de la couronne rayonnante) de la c
externe causée par une lésion thalamique voisine et du passage des
fibres
qui proviennent de la deuxième temporale, elle
ent rétro-lenticulaire de la capsule interne et concourent avec les
fibres
provenant de la première tem- porale à former l
endons compte du terri- toire exact de chacun de ces deux ordres de
fibres
. Les lésions des première et deuxième circonvol
FAISCEAU LONGITUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 195
fibres
d'association de la région. Elles ont également r
de la couronne rayonnante nette- ment isolé ; la majeure partie des
fibres
dont il est constitué appartiennent, pour nous,
ystème à part, c'est-à-dire au système visuel. Nous croyons que ses
fibres
tirent leur origine du corps genouillé externe et
dent à la scissure calcarine. Nous ne prétendons pas que toutes les
fibres
corticipètes de la couche sagittale externe pro
visuelle corticale; il est certain que la couche optique envoie des
fibres
au lobe temporal, peut-être aussi au lobe pariéta
, la couche sagittale externe du lobe occipital ne renferme que des
fibres
géniculo-calcariniennes. Or, au niveau que nous é
culo-calcariniennes. Or, au niveau que nous étudions, ces dernières
fibres
forment la presque totalité de la partie respecté
partie respectée de la couche sagittale externe et certaines de ces
fibres
occupent en plus la couche sagittale interne. I
e nettement des parties voisines et qui se continue en bas avec des
fibres
qui traversent la couche sagittale interne et se
sent la couche sagittale interne et se confondent avec la masse des
fibres
de la partie inférieure de la couche sagit- tal
e fascicule fait partie du faisceau optique central et renferme des
fibres
qui naissent de la partie postérieure du corps ge
e la partie postérieure du corps genouillé externe. A ce niveau les
fibres
de ce faisceau occupent le segment horizontal de
oire qu'elles occupent. Elles sont donc nécessairement mê- lées aux
fibres
du faisceau de Turck, aux radiations thalamiques
externe et interne se confondent, l'ensemble des deux renferme les
fibres
du faisceau optique, du faisceau de Tûrck et les
ue, quoique facilement décelable, se confond plus ou moins avec les
fibres
qui recouvrent en dehors le noyau caudéet entre
ce du cingulum inférieur est encore très accusée et on voit que les
fibres
du segment horizontal de la couche sagittale exte
enouillé interne, profondément enclavée dans la couche optique. Ces
fibres
qui se terminent dans le corps genouillé intern
rétro-lenticulaire de la capsule interne on remarque un bon nombre de
fibres
saines ; ces fibres appartiennent en partie au
la capsule interne on remarque un bon nombre de fibres saines ; ces
fibres
appartiennent en partie au faisceau optique, en p
champ triangulaire de Wernicke est normale et renferme surtout des
fibres
du faisceau optique ; sa partie inférieure est
que ; sa partie inférieure est grandement dégénérée et conlient les
fibres
qui proviennent de la première . temporale et q
nsei- gnements fort précieux sur certains autres faisceaux, sur les
fibres
appartenant aux autres systèmes de l'hémisphère
che sagittale interne temporo-occipitale, à l'étude du tapetum, des
fibres
d'association en général, du faisceau de Türck,
r l'ori- gine, le trajet, les relations, la dégénérescence,etc. des
fibres
dont il est cons- titué. Il est donc indispensa
royons que dans le lobe occipital, cette couche ne renferme que des
fibres
corticifuges et que sa constitution se modifie
lobe temporal ; c'est-à- dire qu'elle contient à cet endroit et des
fibres
corticipètes et des fibres corti- cifuges. La
dire qu'elle contient à cet endroit et des fibres corticipètes et des
fibres
corti- cifuges. La couche sagittale interne d
tale interne, des radiations thalamiques. Nous croyons donc que les
fibres
dont est constituée cette couche, proviennent d
de l'expression courante « radiations thalamiques », mais parmi les
fibres
corticifuges de la couche sagittale interne, il e
s qua- drijumeau antérieur. Dans le lobe occipital, la majorité des
fibres
de la couche sagittale interne proviennent de l
elle, c'est-à-dire de l'écorce du cunéus et du lobule lingual ; ces
fibres
constituent les « radiations optiques vraies ».
éno- mination « radiations optiques » ne devrait s'appliquer qu'aux
fibres
que la sphère visuelle corticale envoie aux cen
l'on quali- fierait alors de « radiations thalamiques » toutes les
fibres
provenant des autres régions. Les radiations
dans la partie postérieure de la couche optique, à l'exception des
fibres
qui entrent dans la constitution du pédoncule i
latéral. La première temporale envoie, en outre, un ]son nombre de
fibres
au corps genouillé interne et au corps quadrijume
n lobe temporal, qu'il acquiert son maxi- mum de développement. Les
fibres
de ce faisceau proviennent en grande partie du
ème et troisième circonvolutions temporales. Un bon nom- bre de ses
fibres
contournent l'angle inféro-externe du ventricule
usiforme; de plus, ce faisceau renferme un nombre considéra- ble de
fibres
qui naissent de l'écorce des circonvolutions infé
el que soit le siège de la lésion qui ait retenti sur le tapetum, les
fibres
dégénérées sont exclusivement des fibres calleu
etenti sur le tapetum, les fibres dégénérées sont exclusivement des
fibres
calleuses et le tapetum est une dé- pendance du
e du système commissural interhémisphérique ; il ne renferme pas de
fibres
d'association, exception faite bien enteudu, des
fibres d'association, exception faite bien enteudu, des nombreuses
fibres
cal- leuses qui relient des régions asymétrique
de fas- cicules plus ou moins séparés les uns des autres, dont les
fibres
affectent une direction obliquement antéro-post
-postérieure et se colorent peu fortement par l'hé- matoxyline. Ces
fibres
sont les plus abondantes et c'est à leur ensemble
terme de « faisceau occipito-frontal ». Nous croyons que toutes ces
fibres
sont des fibres de projection cooticipétes. A côt
eau occipito-frontal ». Nous croyons que toutes ces fibres sont des
fibres
de projection cooticipétes. A côté de cela, la co
té de cela, la cou- che sagittale interne renferme un bon nombre de
fibres
calleuses (rücklauci-e Backenfasern de Sachs) q
e l'insula ainsi que de la première circonvolution temporale et des
fibres
qui se rendent à ces Nouvelle Iconographie de l
mêmes circonvolutions. Pour arriver au tronc du corps calleux, ces
fibres
pas- sent par la capsule externe et entre les s
dégénérescence est invariablement petite, porte uniquement sur les
fibres
verticales (coupes frontales) de la couche sagitt
fascicules restent intacts. ' Ces fascicules ne contiennent que des
fibres
de projection, pour la plupart corticipètes. No
'il est intéressé par le foyer au niveau de l'enchevêtrement de ses
fibres
avec celles de la commissure cal- leuse, ce fai
t au-dessus et en dehors du noyau caudé et qui ne sectionne que les
fibres
de la couche interne. Il est inutile de nous éten
e dirige en dedans au-dessus du corps calleux. Nous croyons que les
fibres
de projection (de beaucoup les plus nombreuses)
nne rayonnante de la première circonvolution limbi-. que et que ces
fibres
tirent leur origine du tubercule antérieur et du
ceau que portent nos conclusions. Nous avons vu que cette couche de
fibres
ne dégénère pas à la suite de lé- sions occipit
ans la partie supérieure et externe du corps genouillé externe. Les
fibres
provenant de la partie antérieure de ce noyau s
la corne sphénoïdale, où elles se Confondent plus ou moins avec les
fibres
du faisceau uncinatus, les fibres de la commissur
Confondent plus ou moins avec les fibres du faisceau uncinatus, les
fibres
de la commissure antérieure et les courtes fibr
au uncinatus, les fibres de la commissure antérieure et les courtes
fibres
d'association de la région, puis elles se coudent
sous la partie externe de la paroi ventriculaire inférieure. Les
fibres
qui tirent leur origine de la partie moyenne du c
couche sagittale interne, elles s'enchevêtrent à ce niveau avec les
fibres
du faisceau de Türck et avec les fibres cortici
evêtrent à ce niveau avec les fibres du faisceau de Türck et avec les
fibres
corticipètes et corticifuges de la première cir
ipètes et corticifuges de la première circonvolution temporale. Les
fibres
qui naissent de la partie postérieure du corps ge
partie inférieure et le bord externe du noyau caudé sphénoïdal. Ces
fibres
sont extrêmement dissociées par les radiations th
des ganglions de la base ; il est en effet dissocié par toutes les
fibres
qui se rencontrent dans cette région. Cette irrég
T Immédiatement après son émergence du corps genouillé externe, les
fibres
du faisceau optique central sont refoulées, par
rne, les fibres du faisceau optique central sont refoulées, par les
fibres
corticifuges se ren- dant aux noyaux centraux e
amique d'Arnold », mais il existe à cet endroit bon nombre d'autres
fibres
, à savoir, les fibres de la lame cornée, des fi
s il existe à cet endroit bon nombre d'autres fibres, à savoir, les
fibres
de la lame cornée, des fibres que nous croyons
nombre d'autres fibres, à savoir, les fibres de la lame cornée, des
fibres
que nous croyons appartenir à la commissure antér
ur la paroi ventriculaire supérieure, il ne contient que quel- ques
fibres
et le long de la paroi interne, ce faisceau n'est
supéro-interne et inféro-interne se détachent continuel- lement des
fibres
qui vont s'irradier dans l'écorce de cette partie
de la lèvre infé- rieure de la scissure calcarine et enverrait des
fibres
à la convexité occipitale, mais il a été trouvé
EUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAI. 205 fait démontre que parmi les
fibres
du faisceau de Vialet existe un bon nombre de f
que parmi les fibres du faisceau de Vialet existe un bon nombre de
fibres
de projection, que ces fibres ne tirent pas leur
eau de Vialet existe un bon nombre de fibres de projection, que ces
fibres
ne tirent pas leur origine de la scissure calca
la scissure calcarine, mais qu'elles s'y terminent, que ce sont des
fibres
géniculo-calcari- niennes. A côté de cela, nous
tement qu'il y ait au-dessous de la corne occipitale, de nombreuses
fibres
d'association plns ou moins systé- matiquement
ation plns ou moins systé- matiquement réparties ; certaines de ces
fibres
naisseht de la lèvre inférieure de la scissure
verse du cunéus » de Sach ; que ce faisceau soit composé surtout de
fibres
d'association c'est indubitable ; il provient en
a lèvre supérieure de la scissure calcarine et reçoit de nombreuses
fibres
de la con- vexité occipitale, mais il contient
fibres de la con- vexité occipitale, mais il contient en outre les
fibres
de la partie supérieure de la couche sagittale
ons donc l'intimité de relation qui existe entre ces deux ordres de
fibres
de nature essentiellement différente (fig. 1 et
ttale externe du lobe occipital ; elle en diffère sensiblement. Les
fibres
du faisceau optique central se resserrent et n'
des tiers infé- rieur et moyen de la couche sagittale externe, les
fibres
du faisceau optique central commencent à se por
yau caudé apparaît le long de la paroi ventri- culaire externe, les
fibres
du faisceau optique se groupent en fascicules com
n fascicules com- pacts et entourent sa partie inférieure. Quelques
fibres
éparses du faisceau optique, cependant, occupen
pour simplifier l'exposition de nos idées sur la réparti- tion des
fibres
au niveau de la partie postérieure du lobe tempor
la couronne rayonnante du-lobe pariétal. b) Le tiers moyen : les
fibres
de projection corticipètes,mais surtout cortici-
ière et deuxième circonvolutions temporales, et en plus, quel- ques
fibres
du faisceau optique central. c) Le tiers inféri
ues fibres du faisceau optique central. c) Le tiers inférieur : les
fibres
du faisceau optique central. d) Le tiers moyen
ttale interne contient un bon nombre de 206 LASALLE-AL1CHA11BAULT
fibres
du faisceau optique intimement mêlées aux radiati
u bord inférieur. Ce que nous venons dé dire ne s'applique qu'aux
fibres
qui longent la paroi ventriculaire externe. Qua
longent la paroi ventriculaire externe. Quant à la répartition des
fibres
situées sous la paroi ventriculaire inférieure,
occipital, c'est-à-dire que la couche externe comprend surtout les
fibres
du faisceau opti- que central et la couche inte
t les fibres du faisceau opti- que central et la couche interne des
fibres
thalamiques provenant des circon- volutions inf
enne du lobe temporal, au niveau du pulvinar, une grande partie des
fibres
du faisceau optique central s'est portée en dedan
érieur du segment vertical de la couche sagittale externe; quelques
fibres
occupent la partie la plus supérieure ou dorsal
culaire de la capsule interne.. On pourrait dire qu'à ce niveau les
fibres
du faisceau optique central se divisent en deux
vers la paroi ventriculaire, dont l'autre se confond avec toutes les
fibres
entrant dans la constitution du segment rétro-l
faisceau au niveau du carrefour ventriculaire, nous avons dit que ses
fibres
se portent obliquement en dedans vers la paroi
effet, que débute une transposition partielle, mais progressive des
fibres
qui constituent les deux couches sagittales. Il
eux couches sagittales. Il se fait un véritable entrecroisement des
fibres
du faisceau optique et des radiations thalamiqu
. Peu appréciable dans la région temporale postérieure, puisque les
fibres
affectent à ce niveau une direction antéro-post
psule interne, le pulvinar de la couche optique. A cet endroit, les
fibres
deviennent verticales, et alors on constate que
deviennent verticales, et alors on constate que les plus externes (
fibres
du faisceau optique) se portent obliquement en ha
se dirigent en haut et légèrement en dehors, traversent l'amas des
fibres
du faisceau optique central, se cuudent fortement
de Turck qui établit la limite antérieure de cet entrecroisement de
fibres
corticipètes et corticifuges. En arrière du pul
se terminer dans les noyaux centraux, elles sont remplacées par les
fibres
du faisceau deTürck ; et sur les coupes intéressa
et bien d'autres considè- rent qu'il est impossible de répartir les
fibres
sagittales du lobe temporo-occi- pital en deux
tal en deux couches bien délimitées ; ils ne veulent admettre que des
fibres
thalamo-corticales et cortico-thalamiques ne re
, dans le lobe occi- pital, il n'est plus question de confondre les
fibres
des couches sagittales ; la couche externe est
corticipète et la couche interne franchement corticifuge. Parmi les
fibres
dont parle Dejerine, fibres qui s'infléchissent e
erne franchement corticifuge. Parmi les fibres dont parle Dejerine,
fibres
qui s'infléchissent en dedans au niveau des pre
erne. Les faits que nous venons d'exposer sur l'entrecroisement des
fibres
sagitta- les, surtout au niveau du segment rétr
E-A RCilAlliBAULT · - faut avoir recours pour l'étude du trajet des
fibres
nerveuses; c'est à l'aide des dégénérescences s
onnaître sur des coupes normales, les détails d'entrecroisement des
fibres
sagittales. Les fibres corti- cipètes se colore
normales, les détails d'entrecroisement des fibres sagittales. Les
fibres
corti- cipètes se colorent fortement et présent
tes se colorent fortement et présentent souvent une teinte verte, les
fibres
corticifuges, surtout les radiations thalamique
les fibres corticifuges, surtout les radiations thalamiques et les
fibres
du faisceau de Türck, prennent une coloration n
ivement fines (40- 60 fi- environ). Revenons à la répartition des
fibres
du faisceau optique central au niveau' du corps
genouillé externe ; dès que s'est effectué le passage de toutes les
fibres
corticifuges destinées au pulvinar, au corps geno
nar, au corps genouillé interne, au pied du pédoncule cérébral, ces
fibres
du faisceau optique qui longent encore la paroi
orps genouillé externe, nous avons vu la direction que prennent ses
fibres
avant de se réunir au-dessous et en dehors delà c
; mais nous n'avons pas suffisamment insisté sur la disposition des
fibres
de ce faisceau dans la par- tie antérieure du l
ie antérieure du lobe temporal ainsi que sur leurs relations avec les
fibres
d'as- sociation de la région. En parlant de ce
ns insisté sur la délimitation peu précise entre ces deux ordres de
fibres
bien distincts ; délimitation impossible sur des
s admettons que ces faisceaux, surtout par l'intermédiaire de leurs
fibres
profondes, se mêlent plus ou moins aux fibres les
ntermédiaire de leurs fibres profondes, se mêlent plus ou moins aux
fibres
les plus externes de la cou- che sagittale exte
e pour que l'on puisse donner à l'ensem- ble de ces deux couches de
fibres
le nom de faisceau longitudinal inférieur ; s'il
e sujet et briève- ment exposer quelques idées personnelles sur les
fibres
d'association en général. Comme Beevor, nous cr
jerine en parti- culier, le cingulum. horizontal reçoit et émet des
fibres
pour la première circon- volution frontale, pou
vant) pour la troi- sième circonvolution temporale un bon nombre de
fibres
et en reçoit également de ces mêmes circonvolut
compression auquel ils sont exposés, à condition que l'axe de leurs
fibres
diffère de celui des faisceaux voisins. C'est ain
rne occipitale. Les faisceaux de Sachs et de Vialet contiennent des
fibres
sectionnées (coupes frontales) en travers et su
t situées vers les parties médianes et se délimitent assez bien des
fibres
de la couche sagittale externe, excepté aux ang
terne, c'est-à-dire là où la couche sagittale externe abandonne des
fibres
à la scissure calcarine. Par contre vers les pa
es, les faisceaux de Vialet et de Sachs ne contiennent que quelques
fibres
dirigées transversalement en dehors, pour la pl
es fibres dirigées transversalement en dehors, pour la plupart, ces
fibres
sont dirigées dans le même sens que les fibres de
pour la plupart, ces fibres sont dirigées dans le même sens que les
fibres
de la couche sagittale externe, s'enchevêtrent
au d'association, absolument analogue au faisceau de Vialet, dont les
fibres
les plus internes sont plus visibles parce qu'e
primées dans l'axe de leur direction, là où elles passent entre les
fibres
propres de la circonvolution de l'hippocampe et
laire qui sépare la corne d'Ammon de cette même circonvolution. Les
fibres
les plus externes, les plus inférieures ont une
t sensiblement modifié, toutes les relations des divers systèmes de
fibres
ont grandement changé, mais ces sys- tèmes eux-
blanche est d'une extrême minceur (fig. 3) et nous disions que les
fibres
d'association des parties internes se dessinent p
ssociation des parties internes se dessinent plus nettement que les
fibres
inférieures et externes. Aux fibres internes,on a
essinent plus nettement que les fibres inférieures et externes. Aux
fibres
internes,on a donné le nom de cingulum postérie
inférieur, mais ces dernières sont, à notre avis, inséparables des
fibres
qui occupent les plans inférieurs, et l'ensemble
u faisceau de Vialet. Or, quel parcours allons- nous accorder à ces
fibres
, puisque la substance profonde de cette région le
idemment elles devront forcément occuper le même territoire que les
fibres
de projection et se confondre avec celles-ci da
. Nous admettons donc l'impossibilité de séparer ces deux ordres de
fibres
sur des préparations normales, mais quand l'un
un ou l'autre est dégénéré, on se rend compte de la répartition des
fibres
appartenant à chacun.Nous avons (PI.IV) une LE
e du cingulum inférieur de Beevor, et alors nous constatons que les
fibres
dégénérées passent en dessous des couches sagit
mais aussi la couche sagittale interne et même le « tapetum » ; ces
fibres
dégénérées se rendent surtout aux circonvolutio
ertain nombre de coupes (fron- tales). , Allons-nous dire que ces
fibres
font partie du faisceau optique ceutral, ou mêm
t du cingulum, nous avons dit que son segment horizontal reçoit des
fibres
de la troisième circonvolution frontale, du lobul
frontale, du lobule para-central et du précuneus, et qu'il émet des
fibres
pour les mêmes circonvolutions. Nous irons plus
porter vers le gyrus supramarginalis ; ce fascicule représente les
fibres
normales du cingulum provenant des circonvolution
appréciable du cingulum de Beevor (PI. XXX). Il semble donc que ces
fibres
qui passent de la face externe de l'hémisphère
lace dans les 'traités classiques. ) Nous avons déjà parlé de ces
fibres
dans le lobe temporal et avons dit que, pour no
résentent un système analogue au faisceau de Vialet ; de mêmes, les
fibres
du lobe fronto-pariétal constituent un faisceau d
chs de cellobe. , On ne .se rend pas compte de l'existence de ces
fibres
pour les raisons que nous avons déjà indiquées
uées pour le lobe temporal. Or, dans le lobe fronto-parié- tal, ces
fibres
, destinées à relier la convexité à la première ci
n maximum de développement. Elles se perdent donc dans la masse des
fibres
de la couronne rayonnante, mais nous n'irons pa
n'est bien délimité qu'en avant ; en arrière il se confond avec les
fibres
de projection, mais personne n'a prétendu jusqu'i
ique à celle du lobe fronto-pariétal ; elle est partout entourée de
fibres
d'association ; à certains endroits ces deux ordr
ée de fibres d'association ; à certains endroits ces deux ordres de
fibres
occupent à peu près le même territoire, mais, a
même territoire, mais, ainsi qu'est reconnue l'indépendance de ces
fibres
dans le lobe fronto-pariétal, de même nous insist
e lobe temporo-occipital. Au niveau du corps genouillé externe, les
fibres
du faisceau optique central longent surtout la
ule. Au sur et à mesure que l'on se rapproche du pôle temporal, les
fibres
du faisceau optique abandonnent le segment hori
ubstance profonde occupe un territoire de plus en plus vaste et les
fibres
d'association se sont de nouveau rassemblées en
eau rassemblées en un faisceau situé au-dessous du ventricule ; ces
fibres
d'association constituent, au niveau du passage d
- ment vertical, mais il n'en fait nullement partie.11 contient des
fibres
qui appar- tiennent surtout au cingulum inférie
ipital. Nous nous sommes étendu longuement sur la considération des
fibres
d'asso- ciation ; cela nous a paru indispensabl
n d'un sujet fort complexe, nous avons voulu dégager de la masse de
fibres
dont est constituée la couche sagittale externe
longitudinal inférieur ou dans la couche sagittale externe, que des
fibres
de projection, ces fibres seraient essentiellem
dans la couche sagittale externe, que des fibres de projection, ces
fibres
seraient essentiellement thalamo-corticales et co
isceau longitudinal inférieur des auteurs classiques et en plus : des
fibres
du faisceau de Turck, des fibres qui passent de
uteurs classiques et en plus : des fibres du faisceau de Turck, des
fibres
qui passent de la première circonvolution tempo-
ceau longitudinalinférieur ont eu le soin d'insister que toutes ces
fibres
ne font que traverser le faisceau longitudinal et
e de la couche sagittale externe dans le lobe occipital et a vu ses
fibres
se terminer dans les deux lèvres de la scissure
et qui, en raison même de leur siège, atteignent nécessairement les
fibres
provenant du corps genouillé et entraînent la d
nous admettons parfai- tement qu'elle renferme un certain nombre de
fibres
thalamo-corticales et un nombre infiniment plus
de fibres thalamo-corticales et un nombre infiniment plus grand de
fibres
cortico-thalamiques. Après avoir exposé en déta
e d'un faisceau dont le territoire est constamment traversé par des
fibres
qui ne lui appartien- nent pas. Pour entrer dan
ENTRAL 215 verser le faisceau longitudinal inférieur. Ce passage de
fibres
débute dans le lobe occipital et se continue su
t pas dans la couche sagittale interne, mais se confondent avec les
fibres
du faisceau longitudinal et concourent avec ces d
isième circonvolution temporale et du lobule fusiforme, les courtes
fibres
d'association, les fibres calleuses et les radi
mporale et du lobule fusiforme, les courtes fibres d'association, les
fibres
calleuses et les radiations thalamiques qui pro
s blanchâtres, mais qu'elle renferme encore un très grand nombre de
fibres
normales. Ces fibres saines sont les fibres de pr
u'elle renferme encore un très grand nombre de fibres normales. Ces
fibres
saines sont les fibres de projection corticipèt
un très grand nombre de fibres normales. Ces fibres saines sont les
fibres
de projection corticipètes de cette couche, ell
ion corticipètes de cette couche, elles représentent l'ensemhle des
fibres
qui consti- tuent le faisceau optique central,
sceau géniculo-calcarinien ». 2) Ce faisceau doit être séparé des
fibres
d'association qui envahissent cons- tamment son
e « faisceau optique central » et, en plus, b) un certain nombre de
fibres
d'association. 3) Quelle que soit l'étendue d'u
emporal et nous n'admettons pas l'existence chez l'homme de longues
fibres
d'association des auteurs. 4) Le cingulum n'a p
térieure du lobe pariétal. 8) Le tapetum est formé exclusivement de
fibres
calleuses ; il ne renferme pas de fibres d'asso
est formé exclusivement de fibres calleuses ; il ne renferme pas de
fibres
d'association. 9) La couche sagittale interne d
chez l'homme de faisceau d'association occipito-frontal. 11) Aucune
fibre
de l'écorce occipitale ne passe dans le pied du p
occipitale ne passe dans le pied du pédoncule cérébral ; toutes les
fibres
que les régions postéro-inférieures de l'hémisphè
mporale, et en partie de la troisième circonvolution temporale. Ces
fibres
constituent le faisceau de Turck. Le gérant : P
Dr BABINSKI, A L'HÔPITAL DE LA PITIÉ). RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE
FIBRES
NERVEUSES T>JRM1NÉL,S ? ? ARM`ÛES MASSUES DE
e la durée du tabes, parallèlement à la destruction progressive des
fibres
radiculaires. Dans ce deuxième chapitre nous se
terpréta^ tion inattendue de la nature et du rôle physiologique des
fibres
terminées par des boules sous-capsulaires et in
semblablement des organes de réparation, destinés à rempla- cer les
fibres
qui disparaissent par suite de l'usure normale de
ations analogues, qui 'jouent sans doute le même rôle à l'égard des
fibres
médullaires. De ces faits, jusqu'ici inconnus,
sacrée est très considérable, c'est à peine s'il reste quelques rares
fibres
à myéline intactes. Les racines antérieures pré
es lésions que j'ai dé- crites à plusieurs reprises ; leurs grosses
fibres
sont en grande partie rempla- cées par des paqu
rosses fibres sont en grande partie rempla- cées par des paquets de
fibres
à myéline fines très serrées ; ces paquets, dans
e longs cylindres parfaitement arron- dis, d'où ne s'échappe aucune
fibre
je laisserai de côté, dans le présent tra- vail
nt la mé- thode de Cajal, montrent qu'il existe un nombre énorme de
fibres
fines amyé- liniques dans les racines postérieu
s, là où la méthode de Pal ne décèle qu'un nombre très restreint de
fibres
conservées. Cas. II. Tabes amyottophique, chez
Salpêtrière T. XIX. Pl. XXXIV Fig. 2 Fig. 3 RÉGÉNÉRATION DES
FIBRES
NERVEUSES /Y ATrf1.)'/f.L. . m««M<tjL jt !
XV Fig. 1 Fig. 2 Fig. 3 Fig. 4 · Fig. 5 .REGENERATION DES
FIBRES
NERVEUSES (I N.7,o-eotte.) RÉGÉNÉRATION COLLA
diminution de la surface de section et par conséquent du nombre des
fibres
de cette racine. En b, l'épaississement des ménin
tielle caractérisée par de la périnévrite et de l'endonévrite ; les
fibres
de la racine antérieure paraissent intactes, ta
siennes. Nous verrons plus loin qu'en réa- lité un grand nombre des
fibres
de la racine antérieure a subi une altération d
rons aussi qu'il existe dans le ganglion une vigoureuse repousse de
fibres
assendantes destinées à rem- placer les fibres
goureuse repousse de fibres assendantes destinées à rem- placer les
fibres
radiculaires postérieures détruites, mais que les
res postérieures détruites, mais que les massues, qui terminent ces
fibres
, sont arrêtées dans le nerf radiculaire par le fo
glion symétrique de nombreuses massues de croissance, terminant des
fibres
néoformées ; ce cas est remarquable en ce qu'il
des lésions des ra- cines peuvent être décelées par la présence de
fibres
régénérées, avant que la . sclérose des cordons
a forme; nous savons en effet de longue RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE
FIBRES
NERVEUSES 221 date que les gonflements et l'éta
s autres et se succédant sans interruption sur un long trajet de la
fibre
atteinte (Pl. XXXV, fig. 3 et 5). Il serait int
3 ou 4 centimètres situés au-dessus ; on la suit également sur les
fibres
radiculaires qui pénètrent dans le ganglion, mais
jusqu'à la bifur- cation en T de l'axone, qui marque l'origine des
fibres
radiculaires ; nous verrons plus loin, en effet
ations en T dans les cas de tabes avancé. 11 n'échappe que peu de
fibres
de gros et de moyen calibre à cette lé- sion, q
moyen calibre à cette lé- sion, qui épargne complètement certaines
fibres
très fines groupées, en faisceaux riches en noy
s en noyaux allongés (Pl. XXXV, fig. 3). La nature de ces dernières
fibres
est douteuse ; autant il est facile de reconnaîtr
euse ; autant il est facile de reconnaître, dans leur ensemble, les
fibres
régénérées amyéliniques d'une racine postérieure
racine postérieure de tabes avancé, qui ne contient presque plus de
fibres
à myéline, autant il est difficile de savoir la
ne, autant il est difficile de savoir la signification de certaines
fibres
en particulier, lorsqu'elles sont au milieu de
bres en particulier, lorsqu'elles sont au milieu de très nombreuses
fibres
myéliniques conser- vées. On peut se demander s
myéliniques conser- vées. On peut se demander si ce ne sont pas des
fibres
de nouvelle for- mation, qui doivent leur intég
égrité à cette qualité ; ou hien si 'ce sont les 222 11) NAGEOTTE
fibres
fines contenues à l'état normal dans la racine po
le tabes, par suite de la disparition d'une certaine quan- tité de
fibres
de gros et de moyen calibre. La comparaison que
que, comme nous le verrons plus loin, les massues de croissance des
fibres
régénérées ne franchissent pas le nerf radiculair
adiculaire dans ce cas ; on pourrait, il est vrai, supposer que ces
fibres
résultent d'une poussée régénérative antérieure
l'opinion de Lissauer, qui admettait la résis- tance prolongée des
fibres
fines dans le tabes et qui mettait sur son compte
ont endogènes, mais la remarque de Lissauer sur la conservation des
fibres
fines dans les racines tabétiques garde sa vale
la même épreuve. J'ai pu montrer en outre que cette résistance des
fibres
motrices est loin d'être égale dans tous les cas,
'être égale dans tous les cas, et qu'il faut ranger les lésions des
fibres
radiculaires antérieures parmi les lésions éven
n ; la relation proportionnelle qui existe entre la destruction des
fibres
motrices et celle des fibres sensitives varie t
le qui existe entre la destruction des fibres motrices et celle des
fibres
sensitives varie tellement que, dans certains c
e des fibres sensitives varie tellement que, dans certains cas, les
fibres
motrices paraissent com- plètement intactes, ta
que dans d'autres elles sont autant et même plus atteintes que les
fibres
sensitives (tabes amyotrophique). NOUVELLE Icon
VII .Fig. 8 1 Fig. 9 Fig. 10 Fis. 1 il ? RÉGÉNÉRATION DES
FIBRES
NERVEUSES RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NE
il ? RÉGÉNÉRATION DES FIBRES NERVEUSES RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE
FIBRES
NERVEUSES 223 L'observation que je viens de rel
mais que son étude y est moins intéressante parce que le nombre des
fibres
non détruites dans les deux espèces de racines
de la région lombo- sacrée qui ont été étudiés dans ce cas. Il. -
Fibres
régénérées dans les racines postérieures et massu
diens et dans la substance grise de la moelle. La néoformation de
fibres
dans les ganglions et dans les racines posté- r
geonnement du corps cellulaire et de l'axone, qui est l'origine des
fibres
régénérées, le trajet souvent compli- qué de ce
origine des fibres régénérées, le trajet souvent compli- qué de ces
fibres
, leurs ramifications en bouquet, leurs enroulemen
nerfs radiculaires les régénérations apparaissent sous la forme de
fibres
extrê- mement fines pour la plupart, qui rempla
e de fibres extrê- mement fines pour la plupart, qui remplacent les
fibres
radiculaires dé- truites, dans le tabes ancien,
adiculaires dé- truites, dans le tabes ancien, ou qui se mêlent aux
fibres
radiculaires épargnées, dans le tabès jeune. Ce
mêlent aux fibres radiculaires épargnées, dans le tabès jeune. Ces
fibres
sont excessivement abondantes dans le tabes anc
n où il est manifeste que leur nombre dépasse de beaucoup celui des
fibres
qu'elles sont destinées à remplacer : c'est là un
vement leur origine, leur trajet et leur terminaison. Origine des
fibres
néoformées. Ces fibres naissent soit du corps cel
leur trajet et leur terminaison. Origine des fibres néoformées. Ces
fibres
naissent soit du corps cel- lulaire, soit de la
-dire du glo- mérule, soit enfin de la portion extra-capsulaire des
fibres
nerveuses. Parmi ces trois modes d'origine, cel
niveau du glomérule paraît être le plus fréquent; la naissance des
fibres
directement du corps cellulaire est la plus rar
directement du corps cellulaire est la plus rare, au moins pour les
fibres
qui s'en vont au loin ; au contraire, les fibre
au moins pour les fibres qui s'en vont au loin ; au contraire, les
fibres
qui restent incluses dans la capsule péri-cellula
rtent souvent du corps de la cellule. Très fines dès l'origine, les
fibres
qui naissent de la cellule simulent des axo- ne
nt l'aspect de collatérales. Dans le tabes incipiens (obs. III) les
fibres
nouvelles naissent isolé- ment et ne paraissent
tabes ancien (obs. I etII),au contraire, on voit souvent plusieurs
fibres
nouvelles naître de points très rapprochés de l'a
ndamment tout près de leur origine, de façon à former un bouquet de
fibres
. On voit souvent aussi un même neurone donner n
ibres. On voit souvent aussi un même neurone donner naissance à des
fibres
multiples par tous ses organes : corps, gloméru
: corps, glomérule, portion extra-capsulaire de l'axone. Trajet des
fibres
néoformées. Les fibres qui partent du corps et du
tion extra-capsulaire de l'axone. Trajet des fibres néoformées. Les
fibres
qui partent du corps et du glomérule, sont, à l
conographie de la Salpêtrière ' T. XIX. PI. XXXVHI RÉGÉNÉRATION DES
FIBRES
NERVEUSES RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NE
VHI RÉGÉNÉRATION DES FIBRES NERVEUSES RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE
FIBRES
NERVEUSES 225 5 ainsi que les boules qui les te
oelle ; il est en effet impossible de distinguer avec certitude les
fibres
régénérées des fibres fines épargnées, lorsqu'e
t impossible de distinguer avec certitude les fibres régénérées des
fibres
fines épargnées, lorsqu'elles sont isolées. L
fibres fines épargnées, lorsqu'elles sont isolées. Le trajet des
fibres
régénérées dans le tabes incipiens peut être très
e très simple, comme le montre la figure 6 de la planche XXXVI ; la
fibre
se di- rige obliquement à travers la substance
nce blanche, puis elle se recourbe pour se placer parallèlement aux
fibres
des faisceaux radiculaires, le long des- quels
fec- tent des dispositions variées. Tantôt on voit une ou plusieurs
fibres
, nées du glomérule d'une cellule,se ramifier en
nt plus lâche se pro- duit sur une très grande étendue autour d'une
fibre
plus volumineuse, ancienne ou de nouvelle forma
I. XXXVII; fig. 11, b et PI. XXXVIII, /). Parfois deux ou plusieurs
fibres
très fines cheminent de concert en s'entrelaçan
e concert en s'entrelaçant d'une façon irrégulière. Enfin certaines
fibres
forment sur leur trajet des pelotons très serré
simplement un écheveau embrouillé aux dépens d'une ou de plusieurs
fibres
enlacées. Les ramifications se forment suivant
EOTTE mentionnée, et qui se fait très près du point d'origine de la
fibre
néofor- mée ; la tige primitive est notablement
la tige primitive est notablement plus volumineuse que chacune des
fibres
du bouquet auquel elle donne naissance (Pl. XXXVI
). Un second mode de division est la bifurcation dichotomique : une
fibre
se divise en deux branches divergentes, chacune
fines, naissant comme des collatérales à angle presque droit d'une
fibre
plus grosse, qui ne modifie pas sa direction au
fie pas sa direction au point d'émergence ; dans ce cas, lorsque la
fibre
qui émet la collatérale présente un certain vol
, il est souvent impossible de savoir s'il s'agit d'une division de
fibre
régénérée, ou de la naissance d'une fibre régénér
s'agit d'une division de fibre régénérée, ou de la naissance d'une
fibre
régénérée sur un axone ancien (Pl. XXXVIII, h,
érée sur un axone ancien (Pl. XXXVIII, h, le', h"). Le volume des
fibres
régénérées est en effet assez variable ; la plupa
squ'elles se terminent par une massue (PI. XXVIII, f) ; ces grosses
fibres
se colorent en jaune ou en rouge. Une particula
sses fibres se colorent en jaune ou en rouge. Une particularité des
fibres
régénérées les plus fines est la présence de bo
trouve souvent ces boules aux points de bifurcation ; lorsque deux
fibres
cheminent de concert, il arrive parfois que chacu
il faut mentionner ce fait très important, que dans leur trajet les
fibres
néoformées sont enveloppées dans une membrane con
remarquable, que nous aurons à décrire plus loin. Terminaison des
fibres
régénérées ; massues de croissance encapsulées,
lées, Ces massues sont les formations les plus caractéristiques des
fibres
régénérées ; elles représentent à l'âge adulte
étro- grades, mais souvent dans ces cas le point de réflexion de la
fibre
qui leur RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NER
point de réflexion de la fibre qui leur RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE
FIBRES
NERVEUSES 227 donne naissance est situé très pr
la fois le trajet direct, la coudure, et le trajet rétrograde de la
fibre
, ainsi que la boule qui termine celle-ci. Les d
que la boule qui termine celle-ci. Les dispositions qu'affectent la
fibre
au moment où elle aborde la mas- sue sont varia
d'une massue pyriforme, et dans ce cas les dernières portions de la
fibre
sont habituellement contournées en spirale ou s
, à une certaine distance de la massue, un renflement brusque de la
fibre
, qui garde néanmoins une forme cylindrique jusq
s cellules épithéliales péricellulaires ; ces massues terminent des
fibres
simples ou ramifiées, nées du corps cellulaire
intracapsulaires ont perforé la capsule et siègent, de même que les
fibres
, en plein tissu mésodermique ; elles se comport
mation conjonctive particulière qui dépend de la gaine propre de la
fibre
, signalée plus haut. La gaine conjonctive des mas
ence paraît être la même que celle qui a produit la destruction des
fibres
qu'elles tendent à remplacer. Les choses se pas
s- qu'un obstacle purement mécanique vient s'opposer au passage des
fibres
régénérées ; il n'y a, en un mot, aucune appare
matoire. Le seul fait qui apparaisse, c'est l'arrêt pur et simple des
fibres
régénérées. Dans le tabes ancien les choses s
s. Dans le tabes ancien les choses se passent un peu autrement; les
fibres
RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 22
se passent un peu autrement; les fibres RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE
FIBRES
NERVEUSES 229 ne sont plus arrêtées par le foye
certaines d'entre elles ne résultaient pas d'un pelo- tonnement de
fibres
néoformées, nées sous la capsule, autour de la ce
velet et substance grise de la moelle). - Des massues terminant des
fibres
nerveuses ont été vues par Ramon y Cajal dans l
nglions rachidiens, sauf l'absence de capsule, et qui terminent des
fibres
fines ou moyennes du réticulum nerveux des corn
plus loin comment on doit interpréter ces faits. Signification des
fibres
terminées par des massues. Tous les détails don
es massues. Tous les détails donnés précédemment démontrent que les
fibres
terminées par des massues sont des néoformation
évident que, dans les ganglions des tabétiques, cette production de
fibres
nouvelles est desti- née à réparer les dégâts d
nroulements dans le ta- bes ancien, prouvent que ce ne sont pas des
fibres
démyélinisées en voie d'atrophie ; leur termina
ns les ra- cines antérieures, au même niveau, d'une régénération de
fibres
à myé- FiG. 2. - Fibres terminées en massue dan
ures, au même niveau, d'une régénération de fibres à myé- FiG. 2. -
Fibres
terminées en massue dans la substance grise de la
tions auxquelles elles se rapportent. RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE
FIBRES
NERVEUSES 231 line faite sur le type classique,
is longtemps si- gnalée, vient encore éclairer la signification des
fibres
qui nous occupent. Il s'agit donc bien d'une ré
par ailleurs, que cette régénération est desti- née à remplacer des
fibres
radiculaires détruites, comme le prouve l'orien-
e la moelle, on peut se demander si elles n'appartiennent pas à des
fibres
radiculaires postérieures qui seraient arrivées
. li- mite de la substance grise, tendent à prouver qu'il s'agit de
fibres
qui cherchent à sortir des cornes, plutôt que d
l s'agit de fibres qui cherchent à sortir des cornes, plutôt que de
fibres
qui y ont pénétré. Ce sont très probablement de
ins dans les cas que j'ai observés. Pour arriver à destination, les
fibres
de régénération devraient tout d'abord traverse
averser le foyer inflammatoire, à longue évolution, qui a détruit les
fibres
normales ; or nous avons vu (obs. III) que l'in
s ; or nous avons vu (obs. III) que l'influence de ce foyer sur les
fibres
régénérées se manifeste très nettement par l'arrê
l'arrêt des massues d'ac- croissement.Il est même probable que les
fibres
qui, dans le tabes avancé, parviennent à vaincr
l'évolution des lésions, et expliquer l'abondante ramification des
fibres
de nouvelle formation dans les cas-anciens. Rég
rtiellement détruit remplace sa portion manquante par un pinceau de
fibres
fines qui naissent à l'extrémité de la portion co
ndraxe tronqué, donnant naissance par son extrémité à un pinceau de
fibres
régénérées, aussi ai-je supposé, comme je l'ai in
es,-s'il ne se développait des axones de remplacement, qui sont les
fibres
régénérées dont nous nous occupons ; ces axones n
s ; ces axones néoformés naissent non pas aux dépens des restes des
fibres
détruites, mais en un point quelconque des neur
disposition normale destinée à remédier à l'usure physiologique des
fibres
nerveuses. Tandis que dans la régénération term
t directe- ment au point lésé, dans la régénération collatérale les
fibres
nouvelles naissent des parties du neurone qui s
apparition des axones de remplacement. RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE
FIBRES
NERVEUSES 233 3 schématiquement,à côté de l'éta
ontraire, que les deux actes sont simultanés et que la repousse des
fibres
collatérales n'attend pas, pour se produire, l'ac
par Huber chez-une, \ espèce de grenouille américaine. Ce sont des
fibres
très fines, terminées par des boules, qui naiss
érule, soit. : ... : de la portion extra-capsulaire de l'axone; ces
fibres
peuvent rester incluses à l'intérieur de la cap
slin à Bicêtre, dans lequel, avec une lésion sensiblement nulle des
fibres
radiculaires posté- rieures, il existe une très
laires posté- rieures, il existe une très abondante néoformation de
fibres
terminées en massue dans les ganglions ; la rég
té de pro- duire, à l'état normal, comme à l'état pathologique, des
fibres
terminées en massue, qui ont la signification d
on observe dans le tabes. La nécessité de l'élaboration continue de
fibres
de suppléance à l'état normal n'apparaît pas to
e à l'état normal, c'est l'existence constante d'un petit nombre de
fibres
altérées que décèle la méthode de Marchi chez tou
é. S'agit-il d'un fait entièrement phy- RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE
FIBRES
NERVEUSES 235 siologique, d'une sorte de mue no
icile de le dire ; pourtant l'augmentation notable du nombre de ces
fibres
chez les animaux âgés ou moins bien portants la
On peut supposer que c'est à ces lésions infimes que répondent les
fibres
terminées en massues observées à l'état normal,
être établies entre les produits de la régénération supposée et les
fibres
altérées ou détruites : en effet, toute régénér
toute régénération se manifeste par la pro- duction d'un nombre de
fibres
qui est variable, mais toujours plus grand que
de fibres qui est variable, mais toujours plus grand que celui des
fibres
détruites ; d'autre part, l'évolution de la régén
ents peuvent rester en place indéfiniment tandis que les traces des
fibres
détruites disparaissent rapidement ; enfin les
un nombre de massues tantôt supérieur, tantôt inférieur à celui des
fibres
altérées, si l'hypothèse que je propose est exact
e convient le nom de régénération collatérale. Dans la première les
fibres
néo-formées naissent à l'extrémité du moignon d
mité du moignon de l'axone amputé ; dans la seconde la repousse des
fibres
se fait au ni- veau des partions du neurone les
rme de collatérales. Comme celles de la régénération terminale, les
fibres
néo-formées de la régénération collatérale se ter
rachidiens et sympathiques de l'homme et des animaux, même jeunes (
fibres
terminées par des boules encapsulées de Cajal).
s dans les cas observés. IV. Il existe dans le tabes une lésion des
fibres
radiculaires, décela- ble par la méthode de Caj
niliforme des cylindraxes, occupe dès le début toute la hauteur des
fibres
radiculaires postérieures ; dans la ra- cine an
a méthode à l'alcool am moniaque de Ramon y Cajal ; régénération de
fibres
à myéline dans les racines an- térieures, de fi
régénération de fibres à myéline dans les racines an- térieures, de
fibres
sans myéline dans les racines postérieures. Soc.
s le tabes et sur les a massues d'accroissement » qui terminent les
fibres
néo-formées. Soc. de Biol., 3 mars 1906. ' MA
physiologique des « cet; nies pourvues RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE
FIBRES
NERVEUSES 237 d'appendices terminés par des bou
la substance blanche d'un ganglion sacré. L'une d'elles termine une
fibre
dont on voit l'origine au niveau du glomérule d
de la cellule par deux branches qui se réunissent bientôt. Plusieurs
fibres
, pourvues de boules sous-capsulaires de dimens
radiculaire au pôle supérieur d'un ganglion sacré. Très nombreuses
fibres
néoformées ; plusieurs sont terminées par des m
ssues directes ou rétrogrades munies de capsules nucléées. Quelques
fibres
décrivent des trajets compliqués. A gauche une pe
s. A gauche une petite boule sous- capsulaire mûriforme termine une
fibre
courte naissant du glomérule d'une cellule dont
le rasoir. , Fig. 9. Coupe transversale d'un fascicule semblable ;
fibres
néoformées ; une seule fibre ancienne conservée
ansversale d'un fascicule semblable ; fibres néoformées ; une seule
fibre
ancienne conservée ; trois massues dont les conne
du corps cellulaire et terminé par une boule sous-capsulaire ; une
fibre
très fine, terminée par une boule plus pe- tite
nt le cylindraxe, suivi sur une très grande longueur, porte une seule
fibre
régénérée en forme de collatérale ; cette fibre
ur, porte une seule fibre régénérée en forme de collatérale ; cette
fibre
présente un renflement fusiforme à peu de dista
ne. En outre le cylindraxe est entouré par un plexus lâche de trois
fibres
néoformées fines, venues d'ailleurs, munies de pe
ques massues). - d) massue précédée d'un renflement fusiforme. - e)
fibre
ramifiée dont deux branches se terminent, dans
nent, dans la préparation, par des massues. f) massue terminant une
fibre
régénérée de gros calibre, entourée d'un plexus s
une fibre régénérée de gros calibre, entourée d'un plexus serré de
fibres
fines. g) fibre ramifiée dont une branche, term
rée de gros calibre, entourée d'un plexus serré de fibres fines. g)
fibre
ramifiée dont une branche, terminée par une massu
irale simple. g') spirale plus compliquée. - h, h' h") naissance de
fibres
en forme de collatérales sur des fibres plus volu
e. - h, h' h") naissance de fibres en forme de collatérales sur des
fibres
plus volumineuses, anciennes ou néo- , formées
fibres plus volumineuses, anciennes ou néo- , formées ; en /¿',une
fibre
est emhrassée par la bifurcation d'une autre fibr
rmées ; en /¿',une fibre est emhrassée par la bifurcation d'une autre
fibre
volumi- neuse, qui est évidemment de nouvelle f
fibre volumi- neuse, qui est évidemment de nouvelle formation. -i)
fibre
volumineuse bifurquée (bifurcation en T ? ) don
es abon- damment ramifiées, qui s'enroulent en spirale autour de la
fibre
d'origine avant de s'échapper de la capsule pou
épaissi partout et traversé assez fréquemment par des pin- ceaux de
fibres
très fines, rappelant ceux qu'a décrits Chaslin c
au carmin des cellules « arai- gnées » gonflées, et au Weigert des
fibres
variqueuses, en chapelet, dont le nom- bre va d
ence normale prédominent de beau- coup. Il y a diminution aussi des
fibres
nerveuses, mais les réseaux suprara- diaire et
tangentiel sont nettement démontrables. On n'y voit même que peu de
fibres
variqueuses. Corps quadrijumeaux et cerveau pos
let on rencontre dans les parties blanches avoisinant la tumeur des
fibres
variqueuses et le même état vacuole qu'au cerveau
plus grande qu'il couvre. Cela supposerait pas mal d'élasticité des
fibres
nerveuses et n'expliquerait pas les varicosités e
on voit à la face inférieure du corps calleux les mêmes pinceaux de
fibres
que dans l'observation VI. Substance blanche. R
ointillée) se colorant mal au Weigert-Pal. Elle est occupée par des
fibres
nerveuses plus ou moins dégénérées, variqueuses
ements semblables à ceux des « arai- gnées ». Ici la coloration des
fibres
à myéline réussit très bien. Fig. 3.- Métastase
s la région frontale on peut constater l'existence de la couche des
fibres
tangentielles. Cervelet. - Le lobe gauche conti
de pression par un. épais- sissement et la formation de pinceaux de
fibres
(Chaslin). Cette réaction de son côté, augmenta
uide intra-1)entriculaire. 3. L'épendyme épaissi est contigu il des
fibres
nerveuses eu dégénérescence. Pour l'observation
mique des muscles permet de constater une atrophie volumétrique des
fibres
musculaires, une proli- fération assez marquée
erstitielle. Diminution individuelle, pourrait-on dire, de cha- que
fibre
musculaire ; prolifération des noyaux du sarcopla
GIES PAR RÉTRACTION CHEZ LES VIEILLARDS 257 7 dans la striation des
fibres
, celles-ci ne sont le siège d'aucun phénomène d
ettement. Nous ne saurions être de l'avis d'Otto Weber pour qui les
fibres
muscu- laires du vieillard auraient toutes les
contraire, que l'irrégularité de taille est presque de règle dans les
fibres
musculaires des sujets ayant dépassé 70 ans.
nérescence vacuolaire, pigmentaire ou graisseuse, fragmentation des
fibres
, ils appartiennent, nous semble-t-il, non pas aux
consistaient dans une dégéné- rescence graisseuse de la plupart des
fibres
. Principalement localisées sur les muscles des
une écharpe musculaire de 5 à 6 milli- mètres d'épaisseur, dont les
fibres
sont séparées par des stries jaunes. Les muscle
u tissu conjonctif, des vaisseaux, puis celles plus délicates de la
fibre
musculaire elle-même. - Sur une coupe transvers
infiltrées de vésicules adipeuses en traînées. Pour ce qui est des
fibres
musculaires, celles-ci sont réparties inéga- le
aires. A un plus fort grossissement, la sclérose constituée par des
fibres
épaisses renfer- mant peu de noyaux allongés en
gaines sarcolemmatiques épaissies. En de certains endroits, chaque
fibre
musculaire paraît isolée, entourée qu'elle est
TE Sur des coupes longitudinales on constate très nettement que les
fibres
les plus atrophiées sont celles qui bordent les
s sont celles qui bordent les travées fibreuses; par en- droits ces
fibres
striées, amincies à leurs extrémités se continuen
leur tunique interne presque normale. Quant aux altérations de la
fibre
musculaire elle-même, celles-ci sont variables
ariables dans leur nature et leur intensité. Au sein d'une masse de
fibres
ayant l'apparence normale sans la proli- férati
Les noyaux du sarcolemme en prolifération très active pénètrent la
fibre
elle-même et ébauchent des divisions longitudin
ns longitudinales. Lorsqu'on peut suivre sur une grande étendue une
fibre
musculaire aux environs d'un îlot fibreux, on v
s à la manière des poils d'un pinceau. Au sommet aminci de quelques
fibres
s'amassent des noyaux qui don- nent l'apparence
uche de régénération du type de Neumann. Autour de la plupart des
fibres
ayant gardé leur striation et leur dia- mëtre n
colorables par l'orange, représentant probablement les débris de la
fibre
musculaire fragmentée. La prolifération nucléai
. Le plus souvent la dégénérescense graisseuse se limite à quelques
fibres
. Celle-ci se pré- sente sous forme d'un piqueté
vidence des amas de granulations pigmentaires à la périphérie de la
fibre
; visibles surtout sur les coupes transversales
rver, mais plus rarement, d'autres modifications structurales de la
fibre
muscu- laire. C'est ainsi que dans un cas, cert
ation extrême du tissu conjonctif,une modification particulière des
fibres
. Celles-ci tortueuses, renflées par endroits perd
l'hématoxyline (Voir figure). En de certains points, où toute la
fibre
n'est pas dégénérée, cette subs- tance apparaît
tte subs- tance apparaît limitée à des fragments très réduits de la
fibre
, présentant la forme des boules ovoïdes bosselé
a colore pas, elle nous semble résul- ter d'une désagrégation de la
fibre
musculaire ; elle existait très nettement, quoi
). Nous rappellerons que nous n'avons pu dans nos cas, trou- ver de
fibre
en hypertrophie manifeste. Histogénèse. Nous
. Avec la majorité des auteurs, on peut considérer l'atrophie de la
fibre
comme résultant de deux processus différents bi
tense, aug- mentation du sarcoplasma, division et éparpillement des
fibres
, se montre dans tous les cas, le second n'a pu
nérescence et cependant la prolifération des noyaux, l'atrophie des
fibres
, les divisions dont elles sont le siège sont tr
simple avec disparition graduelle et progressive de la plupart des
fibres
, remplacées qu'elles sont par du tissu conjonctif
ion qu'il doit probablement s'agir d'une altération primitive de la
fibre
musculaire dont les éléments revenus à l'état ind
la même cause pathogène, soit secondairement il la destruction des
fibres
musculaires le tissu conjonctif interfasciculaire
selon l'intensité de la cause patho- gène. Atrophie simple de la
fibre
musculaire (division, prolifération nucléaire,
avons fait remarquer que le tissu fibreux et les modifications des
fibres
musculaires étaient plus développés autour des
ant sur tous les éléments à la fois (vaisseaux, tissu con- jonctif,
fibres
musculaires) avec une prédominance au début pour
plus différencié, par conséquent le plus fragile, dans l'espèce la
fibre
musculaire. L'affection dont nous avons entrepr
testicules et des bourses ; l'emphysème pulmonaire par atrophie des
fibres
élastiques ; le glissement des téguments de l'é
SUR L'ÉTAT DES NEURONES PÉRIPHÉRIQUES CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES
FIBRES
CENTRIFUGES DES RACINES POSTÉRIEURES. PAR -
scence que nous avions vues au 250e jour, n'appartenaient pas à des
fibres
centrifu- ges venues de la nioelle par des raci
e, la question disculée depuis si long- temps de l'existence de ces
fibres
centrifuges. La réponse donnée à cette ques- ti
ngue en nombre à peu près égal, de ce côté, comme du côté sain, des
fibres
grosses et fines à myéline. Les fibres en dégénér
ôté, comme du côté sain, des fibres grosses et fines à myéline. Les
fibres
en dégénérescence appartien- nent ordinairement
e appartien- nent ordinairement à la seconde catégorie. Les grosses
fibres
dégénérées sont plus rares, elles peuvent manqu
né- rescence wallérienne. Le degré en est d'ailleurs variable d'une
fibre
à l'autre. C'est ainsi que certaines fibres ne
'ailleurs variable d'une fibre à l'autre. C'est ainsi que certaines
fibres
ne sont plus représentées que par de petites bo
ces gaines qui se renflent de loin en loin autour d'elles. D'autres
fibres
, au contraire, donnent l'impression de n'être enc
aux premiers stades du processus. Du côté non opéré il n'y a pas de
fibres
en dégénérescence. Il en est de- même dans les
acun des 3 troncs correspondant aux 3 racines sectionnées, quelques
fibres
dégénérées, de calibre plus fin que celles que
s, de calibre plus fin que celles que nous voyons planche XLIX. Ces
fibres
dégénérées sont manifestement plus rares dans l
I enfin, opéré comme le chat II à la région sacrée, de nom- breuses
fibres
dégénérées se voyaient dans certains filets du pé
du périnée et de la 'croupe (ria. q, planche XLIX). Ici aussi, les
fibres
altérées étaient en majorité de petit calibre.
s, on ne remarquait que quelques rares petites boules au milieu des
fibres
saines. Chez l'un de ces animaux Koster notait
ne présentaient, au total sur toutes les préparations, qu'une seule
fibre
dégénérée. On distinguait par contre sur plusieur
nces étaient arrivées à leur terme, à la disparition complète de la
fibre
. Revenons maintenant au travail de Koster, et c
ans les nerfs périphériques de l'un d'eux, à côté de quelques rares
fibres
dégénérées, il y avait aussi des gaines vides.
eux seulement d'entre eux (chat VU), contenaient un petit nombre de
fibres
en état de dégénérescence avancée. C'étaient de
t nombre de fibres en état de dégénérescence avancée. C'étaient des
fibres
très fines. Chez le chat IX, les nerfs cutanés
préparations des nerfs de la plante, uue seule contenait 2 groupes de
fibres
fines dégénérées (un de ces groupes de 3, et l'
de fibres fines dégénérées (un de ces groupes de 3, et l'autre de 2
fibres
). Chez le chien X (section des deux dernières s
nerfs de la queue, un des filets examinés contenait également deux
fibres
fines dégénérées. Chez le chat XII, enfin (sect
cos- taux correspondants présentaient de même au 18e jour, quelques
fibres
fines dégénérées. - Les nerfs symétriques exa
dans quelques filets seulement sur un certain nombre examinées, de
fibres
en dégénérescence wallérienne : ces fibres, en no
ain nombre examinées, de fibres en dégénérescence wallérienne : ces
fibres
, en nombre restreint d'ailleurs, semblent appar
nt d'ailleurs, semblent appartenir exclusivement à la catégorie des
fibres
fines. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTER
7° lombaires, il ne trouva dans le sympathique du même côté aucune
fibre
altérée, ni au-dessus ni au-dessous des racines
de l'un de nous (1) démontrèrent l'existence dans le sympathique de
fibres
qui dégénéraient après la section des racines pos
us des racines sectionnées, un nombre relativement. considérable de
fibres
à myéline, fibres fines, quelques- unes même tr
tionnées, un nombre relativement. considérable de fibres à myéline,
fibres
fines, quelques- unes même très fines, en voie
sympathiques à deux grossissements différents (130/1 et 280/1). Les
fibres
dégénérées y sont beau- coup plus nombreuses da
aux correspondant à ces mêmes racines (obs. XII). Quant aux grosses
fibres
à myéline, épaisses et noires comme celles des
térieures. On peut donc affirmer l'existence dans le sympathique de
fibres
venues de la moelle en passant par les racines
fibres venues de la moelle en passant par les racines postérieures,
fibres
qui dégénèrent de la moelle vers la périphérie.
ers la périphérie. Laignel-Lavastine (4) a montré récemment que ces
fibres
prenaient pour la plupart leur origine dans les p
- (1) J. Cn.-Roux, Note sur l'origine de la terminaison des grosses
fibres
à myéline du sympathique. Soc. biologie, juille
e environ un sixième de la périphérie du tronc nerveux, zone où les
fibres
fines myéline apparaissent très raré- fiées. es
i implique un certain degré de réaction interstitielle. Les grosses
fibres
à myéline ne semblent pas participer à ce process
le à apprécier étant donné l'irrégularité de la distribution de ces
fibres
sur les coupes de sympathiques normaux. Le cordon
roit était d'apparence normale. Nous avons fait la numération des
fibres
des deux variétés sur les coupes des deux cordo
respondants. Le cordon sympathique droit (côté sain) contenait 2880
fibres
fines et 382 grosses fibres.. . Le cordon gau
thique droit (côté sain) contenait 2880 fibres fines et 382 grosses
fibres
.. . Le cordon gauche (côté opéré) contient 2202
382 grosses fibres.. . Le cordon gauche (côté opéré) contient 2202
fibres
fines et 3 i 3 grosses fibres. Le déficit des
don gauche (côté opéré) contient 2202 fibres fines et 3 i 3 grosses
fibres
. Le déficit des fibres fines (678 unités) est d
ontient 2202 fibres fines et 3 i 3 grosses fibres. Le déficit des
fibres
fines (678 unités) est donc évident. Nous n'oseri
t donc évident. Nous n'oserions nous prononcer au sujet des grosses
fibres
: rappelons-nous en effet qu'au- cune d'elles n
êmes cordons thoraciques (chat I), nous avons pu retrouver quelques
fibres
dégénérées, fines de calibre, infiniment plus rar
difficile de distinguer dans le sympathique les gai- nes vides des
fibres
de Rémak, au moins avec les techniques courantes.
ique au-dessous des racines sectionnées qu'un très pelit nombre des
fibres
dégénérées. Faudrait-il donc admettre qu'à ce n
es fibres dégénérées. Faudrait-il donc admettre qu'à ce niveau, les
fibres
d'origine médullaire sont en majorité ascen- da
niques chez le même animal les a montrés normaux, avec un nombre de
fibres
à peu près égal des deux côtés, que les splanchni
normales de nombre, de dimension et de structure. On distingue les
fibres
des racines postéiieures, partiellement en état d
aires ne se dis- tinguent pas de celles de la coupe précédente, les
fibres
sont normales (même tech- nique, même grossisse
ganglionnaires, de leur noyau et de la capsule péri-cellulaire. Les
fibres
à myéline présentent certains caractères patho-
a- raison avec la figure précédente. Tous les éléments, cellules et
fibres
, sont normaux (obj. 7, ocul. 2). FiG. 5. - Co
Les cellules sont normales en nombre, dimensions et structure. Les
fibres
à myéline sont sensiblement moins nombreuses que
e dans la partie supérieure de la coupe, une zone en croissant où les
fibres
fines à myéline sont considérablement raréfiées
ami-communicantes des IOB et 11e n'ont montré au total qu'une seule
fibre
dégénérée (1). Les ganglions semilunaires, exam
que. Le fait est surtout intéressant à noter chez le chat I, où les
fibres
afférentes à ce ganglion étaient partiellement lé
l semble donc résulter de tous ces examens, que la dégénérescence des
fibres
fines du sympathique, évidente à la 3e semaine,
uer (1) Il existait dans les rami-communicantes, à côté des grosses
fibres
intactes, un nombre relativement considérable d
des grosses fibres intactes, un nombre relativement considérable de
fibres
fines normales; cette constatation vient confir
d'Onuf et de Trouchkowsky, au sujet de l'existence dans les rami de
fibres
fines à myéline issues des ganglions sympathiques
la place des cellules disparues s'étendait du tissu conjonctif. Les
fibres
efférentes du pôle périphé- rique étaient faibl
ble du ganglion paraissait légèrement réduit de vo- lume. Quant aux
fibres
nerveuses, un certain nombre d'entre elles, au pô
s les différents ganglions du même animal. Au sujet des lésions des
fibres
nerveuses, Kuster est à peu près d'accord avec
r est à peu près d'accord avec Kleist. Dès le 60e jour, il note des
fibres
plus étroites et moins colorées au pôle médulla
que dans l'intérieur du gan- glion (maxima au 330° jour). Quant aux
fibres
efférentes du pôle périphérique elles sont norm
désirions surtout nous rendre compte de l'état des cellules et des
fibres
nerveuses au bout de plusieurs mois. Nous avons
contre l'avantage précieux de nous montrer en même temps l'état des
fibres
à myéline, et de permettre de faire il première
de faire il première vue la distinction de l'espace occupé par les
fibres
et par le tissu interstitiel. Aussi, avons-nous d
té, chez les animaux ayant t survécu plus de 7 mois, la présence de
fibres
à myéline en état de dégénéres- cence au milieu
s à myéline en état de dégénéres- cence au milieu d'une majorité de
fibres
normales. Ces fibres altérées se voyaient surto
e dégénéres- cence au milieu d'une majorité de fibres normales. Ces
fibres
altérées se voyaient surtout au niveau du pôle
nt de la racine postérieure, dans laquelle il n'existait que de rares
fibres
nor- males. Elles s'avançaient d'autre part dan
endroits, formant des boules éparses dans le tissu conjonctif. Ces
fibres
altérées contrastent avec les fibres intactes d
dans le tissu conjonctif. Ces fibres altérées contrastent avec les
fibres
intactes des racines antérieures (fig. 1, même pl
ibres intactes des racines antérieures (fig. 1, même planche), et les
fibres
éga- lement tout à fait normales du pôle périph
ales du pôle périphérique des mêmes ganglions. La pré- sence de ces
fibres
dégénérées indique de la façon la plus formelle q
une survie d'un an, les cellules ganglionnaires correspondantes aux
fibres
sectionnées étaient en apparence indemnes de to
toire, notre ami André Thomas, qu'en dehors des dégénérescences des
fibres
radiculaires, il était impossible de trouver de d
d'un certain temps, mais l'accord n'est pas fait sur la nature des
fibres
dégénérées. Waller, en 1856, avait conclu que s
n 1887, Joseph constatait que quelques semaines après la sectionnes
fibres
du bout ganglionnaire restaient normales à l'ex
quelques-unes qui dégénéraient rapidement et qu'il considéra comme
fibres
centrifuges venues de la moelle. En 1896, Bonne r
nues de la moelle. En 1896, Bonne revit sur les racines sacrées ces
fibres
qui dégénéraient, peu nombreuses, par grou- pes
ient pas (ou très rares) au 9e jour, et qu'il considérait comme des
fibres
régénérées. A cette époque les fibres dégéné- r
t qu'il considérait comme des fibres régénérées. A cette époque les
fibres
dégéné- rées n'étaient plus représentées que pa
n au ganglion. La description de Koster nous montre, au Marchi, des
fibres
étroites, mal colorées, avec çà et là dispariti
des racines sacrées, on distinguait au milieu d'un grand nombre de
fibres
saines un certain nombre de fibres dégénérées,
t au milieu d'un grand nombre de fibres saines un certain nombre de
fibres
dégénérées, presque toutes de faible calibre. Les
nombre de fibres dégénérées, presque toutes de faible calibre. Les
fibres
saines se partageaient en grosses fibres et en
tes de faible calibre. Les fibres saines se partageaient en grosses
fibres
et en petites fibres, ces dernières contrairement
. Les fibres saines se partageaient en grosses fibres et en petites
fibres
, ces dernières contrairement 1'1 l'opinion de B
7 jours. Dans ces deux cas, au milieu d'une très grande majorité de
fibres
tout à fait intactes, nous avons retrouvé les m
orité de fibres tout à fait intactes, nous avons retrouvé les mêmes
fibres
fines dégénérées (fig. 7, 8 et 9, planche L).
s (fig. 7, 8 et 9, planche L). Au 247° jour (chez le chat I), les
fibres
à myéline, examinées sur coupe, étaient amincie
intégration de la myéline en boules minuscules. A côté de ces grosses
fibres
malades, les dissociations mieux que les coupes
les coupes, nous montraient aussi au 11° " mois un grand nombre de
fibres
fines serrées, et d'aspect tout à fait normal.
e au 250e jour. De toutes manières, elles donnaient l'impression de
fibres
régénérées, et nous verrons l'étude du bout méd
n'en est pas de même des lésions précoces de ces mêmes racines. Ces
fibres
que l'on trouve en nombre restreint, dégénérées d
dans les troncs mixtes et les nerfs cutanés, ne sont-elles pas des
fibres
centrifuges venues de la moelle ? Pour la seconde
à la résoudre. Etat du bout médullaire des racines sectionnées. Les
fibres
centrifuges des racines postérieures. Nous ne
ionnaire des racines postérieures et en ont conclu à l'existence de
fibres
centrifuges (Stricker, Dastre et Morat, Verzilow)
poulet, au 5e jour, par l'im- prégnation au chromate d'argent, des
fibres
qui sortaient de la corne latérale, s'engageaie
ans s'y arrêter, passaient enfin dans "les nerfs périphériques. Ces
fibres
furent revues par Martin, par Lenhossek (2), Va
stérieures, il subsistait dans le bout médullaire, environ 3 0/0 de
fibres
intactes. En 1887, Joseph retrouva ces fibres int
ire, environ 3 0/0 de fibres intactes. En 1887, Joseph retrouva ces
fibres
intactes dans le bout mé- dullaire au milieu de
ces fibres intactes dans le bout mé- dullaire au milieu des autres
fibres
totalement dégénérées, en même temps que dans l
e temps que dans le bout ganglionnaire mettait en évidence quelques
fibres
dégénérées. Quelques années plus tard, avec la
Singer et 111ünzer (4), Gabri (5;, Tarulli, ne retrouvèrent aucune
fibre
intacte dans le bout médullaire. En 1895, Sherr
racines postérieures, il trouva dans le bout médullaire toutes les
fibres
dégéné- rées, mais au bout de 7 semaines, ce mê
, ce même bout médullaire était rempli d'un grand nombre de petites
fibres
à myéline (moins de 4 ? ) ayant l'aspect de fibre
nombre de petites fibres à myéline (moins de 4 ? ) ayant l'aspect de
fibres
régénérées. Dans le bout ganglionnaire toutes l
'aspect de fibres régénérées. Dans le bout ganglionnaire toutes les
fibres
étaient saines sauf quelques dégénérescences s'
33e jour, il existait dans le bout médullaire de nombreuses petites
fibres
, minces, tortueuses groupées par 2 ou 3 avec le
uses groupées par 2 ou 3 avec les noeuds de Ranvier peu visi- bles,
fibres
ayant toutes les apparences des fibres régénérées
s de Ranvier peu visi- bles, fibres ayant toutes les apparences des
fibres
régénérées ; mais Sherrington restait très emba
e autre observation, il subsistait en tout dans le but médullaire 9
fibres
à myéline, lar- ges de 12 à 20 lx. Dans ce troi
ges de 12 à 20 lx. Dans ce troisième cas, au 42° jour, rien que des
fibres
de 4 IL. Reprenant ces expériences en 1897 (7),
s 4e, 5e, 6e racines dorsales. Au bout de 14 et de 18 jours, pas de
fibres
intactes dans le bout médullaire. Il semble résul
9e jour, l'auteur lyonnais trouva dans le bout médullaire quelques
fibres
normales peu nombreuses. Au 30" jour, ces fibre
édullaire quelques fibres normales peu nombreuses. Au 30" jour, ces
fibres
se voyaient plus facilement, les débris de myélin
e racines dorsales postérieures, extradurale). Présence de nombreuses
fibres
à myéline de fin calibre, en voie de dégénéresc
même cordon à plus fort grossissement. Dégénérescence de très fines
fibres
à myéline (obj. 8, ocul. 1). . Fio. 3 et 4. Dis
ême côté dans leur trajet extradural). On distingue de nom- breuses
fibres
fines et quelques fibres grosses à myéline, ces d
extradural). On distingue de nom- breuses fibres fines et quelques
fibres
grosses à myéline, ces dernières plus rares, en
et 3 racines postérieures du même côté, intra-dura- le). Nombreuses
fibres
fines en dégénérescence wallérienne {même techniq
cines sacrées postérieures (16 jours après la section). Présence de
fibres
centrifuges restées saines, au milieu des masse
saines, au milieu des masses myéliniques fragmentées, provenant des
fibres
à direc- tion centripètes. FiG. 8 et (obs. X)
e (16 jours après la section de la racine postérieure). Présence de
fibres
dégénérées en petit nombre ou au milieu des fib
re). Présence de fibres dégénérées en petit nombre ou au milieu des
fibres
saines. SECTION EXPÉRIMENTALE DES RACINES POSTÉ
ux. Il existait de plus quelques filets très fins à' peine teintés (
fibres
régénérées ? ). Nous avons vu qu'il parvint à sui
és (fibres régénérées ? ). Nous avons vu qu'il parvint à suivre ces
fibres
centrifuges dégénérées jusqu'au pôle périphériq
ent ni Kohnstamm (1), ni Kleist, ni Koster ne parvinrent à voir des
fibres
restées intactes dans le bout médullaire. Le dern
ans le bout médullaire. Le dernier auteur ne trouva pas non plus de
fibres
dégénérées dans le bout ganglionnaire peu après l
er rechercha à nouveau l'état du bout médullaire, sans y trouver de
fibres
régénérées ; il ne concevait pas d'ailleurs la
out ganglionnaire. Enfin Scaffidi (2) a nié également l'existence des
fibres
centrifuges, en s'appuyant sur 3 expériences pe
des racines pos- térieures. Dans deux cas, il avait trouvé quelques
fibres
en dégénérescence périaxile type Gombault (un s
vités soigneusement, il n'avait plus, au 65e jour, rencontré aucune
fibre
altérée. Scaffidi n'a pas exa- miné les bouts m
ires. C'est là cependant, à notre avis, qu'il faut recher- cher les
fibres
centrifuges, sur des dissociations plutôt que sur
car il est extrêmement difficile dans les dernières de distinguer les
fibres
restées intactes au milieu des débris de myélin
s pour notre part nous parais- sent démonstratifs. La présence de
fibres
dégénérées au 18e jour dans le sympathique (chat
es preuves indirectes de leur existence. Il restait à retrouver les
fibres
intactes dans le bout médullaire. Or, au 15e jo
e grande netteté sur les dissocia- tions de ce bout médullaire, des
fibres
saines, très fines, conservées intactes au mili
intactes au milieu des masses myéliniques fragmentées provenant des
fibres
à direction centripète (chiens X et XI,fig. 6 e
t XI,fig. 6 et 7, planche XLIX). Il est assez difficile de voir ces
fibres
intactes à cause de leur finesse, de leur rareté
tion doit être faite très fine et avec beaucoup de douceur, car ces
fibres
cassent très facilement. Comme contre-épreuve, le
glionnaire chez les mêmes animaux contenait un nombre comparable de
fibres
dégénérées que nous avons pu suivre jusque dans
(2) SCAFNIDI, Policlinico, 1902, sulle questione de la presenza di
fibre
efferenti nelle recidi posteriori. 316 ROUX E
T HRITZ Au 3° mois (chats VII et IX), nous avons retrouvé les mêmes
fibres
dégé- nérées dans le bout ganglionnaire des lre
anche L. La figure 1 montre un des filets qui ne contenaient aucune
fibre
intacte. Les filets représentés figures 2 à 6, re
s représentés figures 2 à 6, renferment, par contre, cha- cun 2 à 3
fibres
de différents calibres, qui se distinguent ici bi
e myéline se sont, en effet, déjà résorbées en grande partie et les
fibres
indemnes apparaissent relative- ment plus nombr
he L) se montrait au contraire entièrement composé d'un ensemble de
fibres
très fines, très nombreuses, serrées presque pa
ès nombreuses, serrées presque parallèles, qui étaient évidemment des
fibres
régénérées. Au milieu d'elles on voyait encore
it encore quelques boules de myéline. Rappelons à ce propos que des
fibres
régénérées ont été décrites par Bonne dans le b
, puis dans le bout médullaire des racines section- nées et que ces
fibres
ont été revues récemment par Marinesco, à l'aide
lus lente et plus tardive que dans les nerfs périphériques. ' Les
fibres
régénérées du bout médullaire nous paraissent suc
Les fibres régénérées du bout médullaire nous paraissent succéder aux
fibres
fines, que nous avons vues dans le bout ganglio
rétrograde. Il est seulement difficile de com- prendre comment ces
fibres
peuvent se trouver dans la partie de la racine co
e ganglion et le niveau de la section. Il faudrait admettre que les
fibres
régénérées naissent, non pas du dernier segment à
ellule ganglionnaire elle-même. D'autre part cependant, comment des
fibres
en voie de dégénérescence auraient-elles pu fourn
e dégénérescence auraient-elles pu fournir cette poussée intense de
fibres
neuves ? Il semble plus vraisemblable, en y réflé
ction.que l'on peut espérer résoudre la question de l'existence des
fibres
centrifuges. Par contre les pièces provenant des
mblent pas prêter liane à la critique. On pourrait soutenir que les
fibres
du bout médullaire du chat IX sont des fibres rég
rait soutenir que les fibres du bout médullaire du chat IX sont des
fibres
régénérées. Nous ne le croyons pas, vu leur rar
isolé leur calibre en moyenne assez fort (certaines sont de grosses
fibres
à myéline, et toutes sont beaucoup plus larges
osses fibres à myéline, et toutes sont beaucoup plus larges que les
fibres
régénérées du chat IV), N'oublions pas enfin qu
de 3 à 4 millimètres de cette racine dans son trajet intradural). La
fibre
représentée ne renferme que des gaines vides av
- venant des gaines complètement dégénérées. On ne distingue aucune
fibre
restée in- demne (fixation sublimé osmique, obj
servation au milieu des gaines vides dans chaque filet, de quelques
fibres
a myéline indemnes, fines, moyennes et même de
nes et même de fort calibre (fig. 2) qui sont vraisemblablement des
fibres
centrifuges des racines postérieures (même tech
e gauche (observ. IX, chat adulte, sacrifié après 91 jours). Quelques
fibres
fines dégén'él ées au milieu des fibres normale
é après 91 jours). Quelques fibres fines dégén'él ées au milieu des
fibres
normales (même technique, même grossissement).
trajet intradural). Le filet représenté renferme de très nombreuses
fibres
fines à myéline, vraisemblablement régénérées a
382 jours). Dégénérescence rétrograde des grosses gaines à myéline.
Fibres
fines intactes ; quelques boules de myéline, ves-
Fibres fines intactes ; quelques boules de myéline, ves- tiges des
fibres
centrifuges disparues (même technique, même gross
RIEURES 317 Il subsiste de nombreuses inconnues dans l'histoire des
fibres
centrifuges des racines postérieures ; il reste
'expliquent très aisément si on les considère comme appartenant aux
fibres
centrifuges. La' rareté de ces fibres dégénérée
considère comme appartenant aux fibres centrifuges. La' rareté de ces
fibres
dégénérées, le faible volume des boules qui les
onstituent concordent avec le petit nombre et le fin calibre de ces
fibres
centrifuges. Nous ne sommes pas en situation de
es nerfs cutanés, sont également dues à la persistance de restes de
fibres
centrifuges. Au voisinage du 2DO. jour, les dég
dans les troncs mixtes. Sans doute la présence d'un grand nombre de
fibres
motrices dans les troncs mixtes doit faire paraît
bres motrices dans les troncs mixtes doit faire paraître les autres
fibres
moins nombreuses, et d'autre part, il existe prob
e part, il existe probablement dans les filets cutanés, en plus des
fibres
venant des nerfs mixtes, d'autres fibres d'origin
ilets cutanés, en plus des fibres venant des nerfs mixtes, d'autres
fibres
d'origine sympathique. Rien, en tout cas, ne po
hique. Rien, en tout cas, ne pourrait faire comprendre pourquoi les
fibres
lésées se montrent plus nombreux au 950e jour qu'
t pourquoi ces lésions qui portaient exclusivement au début sur les
fibres
fines, atteignent au 7e mois aussi un certain n
les fibres fines, atteignent au 7e mois aussi un certain nombre de
fibres
moyennes. On est amené alors à admettre l'exist
ionnaire de la racine sectionnée commençait aussi à s'altérer : les
fibres
à myéline y apparaissaient plus minces, moins col
us minces, moins colorées (chat au z178 jour) ;au 3e et 48 mois ces
fibres
étaient encore tout à fait nor- males (chats VI
xistait également des gaînes vides à côté d'un très petit nombre de
fibres
dégénérées. A la même époque, dans le bout gang
sent en dégénérescence rétrograde très accusée ; mais à côté de ces
fibres
frangées, irrégulières, fragmentées même, se voie
fibres frangées, irrégulières, fragmentées même, se voient d'autres
fibres
fines, tout à fait normales d'aspect, et qui semb
fibres fines, tout à fait normales d'aspect, et qui semblent être des
fibres
régé- nérées. Le bout médullaire de cette mêm
gé- nérées. Le bout médullaire de cette même racine est rempli de
fibres
régénérées très nombreuses, continuation selon
la dégénérescence du prolongement périphérique est à son terme. Les
fibres
atteintes ne sont plus représentées que par des g
. Du côté des racines postérieures, en même temps que les anciennes
fibres
continuent leur dégénérescence rétrograde, il a
continuent leur dégénérescence rétrograde, il apparaît de nouvelles
fibres
minces régénérées, qui se dirigent vers la moel
moelle par les anciennes gaînes vides de la racine sectionnée. Ces
fibres
régénérées auraient leur origine dans les cellu
et Hauser) (2), quoique Stroebe et Chiari aient vu à ce niveau des
fibres
dégénérées rares, mais certaines, dans des tabès
lades des tabétiques comprennent de nombreu- ses gaînes vides ; les
fibres
intactes ont une coloration grisâtre ; les fibres
allérienne, elle aboutit rapidement à la disparition complète de la
fibre
et à la gaîne vide, sans le stade intermédiaire e
are ; on trouve à l'examen mi- croscopique des gaînes vides, et des
fibres
altérées dans leurs gaines ; en» certains point
, alors que le segment suivant est souvent atrophié au maximum. Les
fibres
altérées se voient mélangées aux fibres saines (4
nt atrophié au maximum. Les fibres altérées se voient mélangées aux
fibres
saines (4). Expérimentalement,au contraire,nous
cines postérieu- res, la dégénérescence porte exclusivement sur les
fibres
fines centrifu- ges des racines postérieures. I
Dans les nerfs qui composent le plexus cardiaque, la diminution des
fibres
fines à myéline est beaucoup plus accusée que d
ans le plexus, une diminution très importante du nombre des grosses
fibres
à myéli- ne, alors que dans les cordons ces fib
mbre des grosses fibres à myéli- ne, alors que dans les cordons ces
fibres
étaient encore en nombre normal. No-, tons cepe
le splanchnique (Ch. Roux). Si nous nous souvenons que ces grosses
fibres
sont d'origine gan- glionnaire, nous sommes con
r dans le sympathique des tabétiques, en plus de la disparition des
fibres
centrifuges des racines postérieures, un processu
stantanée, ca- ractérisée par une interruption totale de toutes les
fibres
, sans que cette inter- ruption ait été accompag
ions. 4 Il existe dans les racines postérieures des mammifères, des
fibres
à myé- line à trajet centrifuge. Ces fibres son
res des mammifères, des fibres à myé- line à trajet centrifuge. Ces
fibres
sont relativement peu nombreuses, presque toute
s de calibre, quelques-unes cependant moyennes ou même grosses. Ces
fibres
persistent intactes, quinze jours après la sectio
usionner avec la racine antérieure. 2° La plus grande partie de ces
fibres
centrifuges passe par les rameaux com- municant
bles sur les coupes transversales. 3° Une plus faible partie de ces
fibres
se dirige vers les nerfs périphériques où elles
onstatées au bout de 2 à 3 semai- nes, et portant à la fois sur les
fibres
fines et sur les grosses fibres. Il existe auss
- nes, et portant à la fois sur les fibres fines et sur les grosses
fibres
. Il existe aussi des fibres dégénérées dans les
sur les fibres fines et sur les grosses fibres. Il existe aussi des
fibres
dégénérées dans les nerfs mixtes, mais elles y so
n après l'opération, les nerfs périphériques ne contiennent plus de
fibres
dégénérées, mais seulement des gaines vides. Le b
onnée a accusé sa dégénérescence ; il contient cependant encore des
fibres
fines assez nombreuses et d'aspect tout à fait no
324 ROUX ET HEITZ de cette même racine présente de très nombreuses
fibres
fines régénérées. Les cellules ganglionnaires o
égénérescence partielle du cordon sympathique gau- che descendant ;
fibres
de gros et de fin calibre en dégénérescence wallé
naire) montrent les gaînes de myéline amincies et mal colorées, les
fibres
efférentes sont normales au pôle périphérique.
ire, la plupart des ra- meaux cutanés présentent d'assez nombreuses
fibres
à des degrés divers de dégénérescence. Lesfigur
orants postérieurs d'un des nerfs intercostaux gauches. On y voit des
fibres
à myéline grosses, fortement colorées, mélangée
les filets symé- triques droits. On distingue un certain nombre de
fibres
dégénérées, quelques- unes de gros calibre, la
térés ; sur quelques rameaux même, elles manquent complètement. Les
fibres
malades sont atteintes isolément, au milieu des
ètement. Les fibres malades sont atteintes isolément, au milieu des
fibres
restées normales et le degré de la dégénérescen
ées normales et le degré de la dégénérescence semble variable d'une
fibre
à l'autre. Les lésions sont celles de la dégéné
troncs des nerfs intercostaux présentaient à gauche, également, des
fibres
malades, mais certainement plus rares et aussi pl
ent plus rares et aussi plus complètement dé- générées que dans les
fibres
cutanées. Elles nous avaient même échappé à pre-
ite ; mais à gauche, des recherches minutieuses nous ont montré des
fibres
dégénérées, rares, fines en presque tota- lité,
or- mal et comprenait (après numération à l'oculaire-quadrille) 382
fibres
à myé- line de gros calibre et 2.880 fibres fin
oculaire-quadrille) 382 fibres à myé- line de gros calibre et 2.880
fibres
fines. Le cordon gauche montrait une zone en tr
ant environ le sixième de la section totale, zone dans laquelle les
fibres
à myéline apparaissaient comme très raréfiées.
7, planche XLVIII). La numération a donné, de ce côté, 313 grosses
fibres
et 2.202 fibres fines (soit un déficit de 69 gros
II). La numération a donné, de ce côté, 313 grosses fibres et 2.202
fibres
fines (soit un déficit de 69 grosses fibres et 67
grosses fibres et 2.202 fibres fines (soit un déficit de 69 grosses
fibres
et 678 fibres fines). Les ganglions semilunai
es et 2.202 fibres fines (soit un déficit de 69 grosses fibres et 678
fibres
fines). Les ganglions semilunaires ne présent
e. Les nerfs périphériques, sur dissociations, ne présentent pas de
fibres
dé- générées du côté droit. A gauche, intégrité
- Survie 252 jours. - Intégrité des ganglions spinaux ; nombreuses
fibres
dégénérées dans les rameaux cutanés du territoire
nor- maux du côté droit, sauf qu'une des préparations montrait une
fibre
dégéné- rée, d'ailleurs unique (à la croupe dro
Du côté gauche, les nerfs du périnée contenaient d'assez nombreuses
fibres
dégénérées, au moins dans certains filets. La f
Il existait, sur d'autres filets, également des dégénérescences de
fibres
moyennes et même de grosses. Dégé- 328 ROUX ET
es ganglionnaires des deux côtés avec dégénérescence rétrograde des
fibres
venues des racines sectionnées ; fibres efférente
générescence rétrograde des fibres venues des racines sectionnées ;
fibres
efférentes normales au pôle pétiphé1 igue des g
efférentes normales au pôle pétiphé1 igue des ganglions; nombreuses
fibres
régénérées dans le bout médullaire des racines
ler ganglion sacré gauche. On distingue à la droite de la figure, les
fibres
noires, régulières et serrées de la racine anté
noires, régulières et serrées de la racine antérieure normale. Les
fibres
à myéline del'intérieur du ganglion sont en maj
el'intérieur du ganglion sont en majorité saines, mais entremêlées de
fibres
dégénérées que l'on distingue plus aisément sur
érie de boules myéliniques noires. Il s'agit, sans aucun doute, des
fibres
des racines postérieures, prolongements cen- tr
n- traux des cellules bipolaires du ganglion. Ces altérations des
fibres
myélinisées n'ont été constatées que sur les coup
e dégénérescence au niveau du pôle périphérique du ganglion, où les
fibres
efférentes apparaissent comme tout à fait norma
au ganglion (tig. 11 et 12 de la planche L), présentait beaucoup de
fibres
dégé- nérées, presque toutes de grosses fibres,
ésentait beaucoup de fibres dégé- nérées, presque toutes de grosses
fibres
, alors que les fibres fines se voyaient au cont
ibres dégé- nérées, presque toutes de grosses fibres, alors que les
fibres
fines se voyaient au contraire intactes et nomb
ines se voyaient au contraire intactes et nombreuses. Les grosses
fibres
présentaient l'aspect frangé, rétréci et dilaté a
ganglion. Elles étaient aussi fragmentées par places. A côté de ces
fibres
dont la dégénérescence ne faisait que débuter,
faisait que débuter, selon toute vraisemblance, se voyaient d'autres
fibres
dont la dégénérescence semblait au contraire pl
noires ou brunes éparses, au milieu d'un nombre très considérable de
fibres
extrêmement fines, colorées en brun par la myél
lées, serrées les unes contre les autres et qui avaient l'aspect de
fibres
régénérées xix 22 330 nOUX ET llEITZ (fig.
ET llEITZ (fig. 10, planche L). Ces libres étaient comparables aux
fibres
fines, indemnes en apparence de toute dégénéres
r dans le bout ganglionnaire de ces mêmes racines. Au milieu de ces
fibres
régénérées, on distinguait un certain nombre de
ilieu de ces fibres régénérées, on distinguait un certain nombre de
fibres
légèrement plus grosses, qui pouvaient être les
in nombre de fibres légèrement plus grosses, qui pouvaient être les
fibres
dont nous avions relevé les traces sous forme de
de la région de la croupe, il a pu être déterminé cependant une seule
fibre
dégé- nérée. Par contre ces différents nerfs pr
pinaux des deux côtés, avec dégénérescence rétrograde partielle des
fibres
à myéline sur les coupes des ganglions droits ; i
splanchniques el des ganglions semi-lunaires, zone de raréfaction des
fibres
fines dans la corde sympathique droite au-dessu
' de dégénérescence rétrograde tout au moins d'un certain nombre de
fibres
. Les gaînes de myéline étaient pâles, irréguliè
e augmentation de la gaîne protoplasmique. Nous avons pu suivre ces
fibres
malades sur les coupes du ganglion droit, moins
imal IV, vu l'orientation trans- versale des coupes. Par contre les
fibres
efférentes du pôle'périphérique étaient absolum
és ; aucune des préparations de ces différents filets n'a montré de
fibres
dégé- nérées. Après coloration en masse par l
nique droit (côté opéré), comprenait sur une coupe transversale 358
fibres
de gros calibre et 3.161 plus fines à myéline.
ine. Le splanchnique gauche, symétriquement, comprenait 441 grosses
fibres
et 3.302 fibres fines. Il n'existait sur les co
ique gauche, symétriquement, comprenait 441 grosses fibres et 3.302
fibres
fines. Il n'existait sur les coupes de ces deux n
pes de ces deux nerfs aucune zone de sclérose ni de raréfaction des
fibres
. Le splanchnique droit pouvait donc être consid
nt été examinés par le même procédé. Le cordon droit comprenait 337
fibres
grosses et 4.155 fibres fines. Les fibres fines
même procédé. Le cordon droit comprenait 337 fibres grosses et 4.155
fibres
fines. Les fibres fines étaient légèrement raré
rdon droit comprenait 337 fibres grosses et 4.155 fibres fines. Les
fibres
fines étaient légèrement raréfiées dans une très
l n'existait pas d'ap- parence semblable et cependant le nombre des
fibres
fines était légèrement moindre (4.071, avec 441
des fibres fines était légèrement moindre (4.071, avec 441 grosses
fibres
), il est bon d'ajouter que le diamètre total de
une zone en croissant, périphérique, presque tota- lement privée de
fibres
à myéline. Sur des coupes plus élevées, cette zon
ostérieures gauches. Survie 77 jours. Intégrité des cellules et des
fibres
à myéline des ganglions correspondants ; dans les
té- rieures sectionnées (bout ganglionnaire) la grande majorité des
fibres
sont intactes, quelques-unes se présentent en é
coupes de la partie y attenante de la racine postérieure, au- cune
fibre
à myéline altérée, comme nous avions pu en noter
gan- glions et les racines postérieures des chats IV et V. Ici, les
fibres
à myéline de la racine sont encore intactes, et
es- SECTION expérimentale DES racines postérieures 333 cence. Les
fibres
efférentes du pôle périphérique sont de même tout
nées. Nous n'avons trouvé dans ce tissu conjonctif aucune trace des
fibres
nerveuses normales ni altérées. Par contre, les
de ces racines ont montré au milieu d'une très grande majorité des
fibres
intactes, quelques fibres beaucoup plus rares,f
au milieu d'une très grande majorité des fibres intactes, quelques
fibres
beaucoup plus rares,fines en majorité, et en état
ous n'avons trouvé sur les dissociations qu'un très petit nombre de
fibres
dégénérées, l'imprégna- tion des gaines par l'a
ne des préparations sur 5, montre à la dissociation deux groupes de
fibres
en état de dégénéres- cence wallérienne, l'une
s de fibres en état de dégénéres- cence wallérienne, l'une de 3 à 4
fibres
, l'autre de 2 ou 3 (ces fibres se trou- vant da
s- cence wallérienne, l'une de 3 à 4 fibres, l'autre de 2 ou 3 (ces
fibres
se trou- vant dans le territoire de la lre ou d
rieures gauches. - Survie 97 jours. - Intégrité des cellules et des
fibres
des ganglions spinaux correspondants ; persistanc
et des fibres des ganglions spinaux correspondants ; persistance de
fibres
à myé- line intactes dans le bout médullaire de
e des racines sectionnées, et présence d'un nombre correspondant de
fibres
dégénérées au milieu des fibres saines, dans le
ésence d'un nombre correspondant de fibres dégénérées au milieu des
fibres
saines, dans le bout garzglionrzaire des mêmes
saines, dans le bout garzglionrzaire des mêmes racines. -- Quelques
fibres
dégé- nérées dans les filets cutanés du territo
transversales aucun caractère pathologique, ni des cellules ni des
fibres
. Les racines postérieures du côté droit sont no
1) sont complètement dégénérés, et qu'on n 'ypeut'retrouver aucune
fibre
à myéline normale de quelque calibre que ce soi
, sont d'autres filets (fig. 2 à 6) où au milieu de très nombreuses
fibres
complètement dégénérées, se voient un certain n
uses fibres complètement dégénérées, se voient un certain nombre de
fibres
ayant persisté intactes, et qui viennent évidemme
r voie centrifuge. Certains filets ne comprennent que deux ou trois
fibres
à myéline fines, au milieu des gaines vides. D'au
s, comme dans la figure 2, on peut même voir exceptionnellement des
fibres
de gros calibre. Il est assez difficile de se r
assez difficile de se rendre compte de la proportion exacte de ces
fibres
centrifuges par rap- port aux fibres centripète
de la proportion exacte de ces fibres centrifuges par rap- port aux
fibres
centripètes, celles-ci complètement détruites, s'
s dis- sociations du bout ganglionnaire de ces mêmes racines où les
fibres
centrifuges apparaissent en dégénérescence au m
les fibres centrifuges apparaissent en dégénérescence au milieu des
fibres
saines beaucoup plus nombreuses. Ces dissociati
celles du même bout ganglion- naire chez le chat VII. Le nombre de
fibres
dégénérées dans le bout ganglion- naire semble
le bout ganglion- naire semble sensiblement équivalent à celui des
fibres
restées intactes dans le bout médullaire des mê
ameaux cutanés de la face postérieure du genou un certain nombre de
fibres
en état de dégénérescence wallérienne, territoire
ans bout médullaire des racines sectionnées, d'un certain nombre de
fibres
restées saines ; présence dans le bout ganglionna
s le bout ganglionnaire de ces racines d'un nombre correspondant de
fibres
dégénérées, lesquelles se retrouvent dans nerf
t du ganglion, avant sa réunion avec la racine antérieure. Quelques
fibres
dégénérées dans les nerfs cutanés cor- responda
re des racines sectionnées renferme au milieu de nombreux débris de
fibres
en dégénérescence un cer- tain nombre de fibres
nombreux débris de fibres en dégénérescence un cer- tain nombre de
fibres
saines et normales (fig. 6 et 7, planche XLIX). C
nombre de fibres saines et normales (fig. 6 et 7, planche XLIX). Ces
fibres
sont assez difficiles à apercevoir, étant donné
qui fait paraître les fais- ceaux plus volumineux, et par suite les
fibres
persistantes, relativement moins nombreuses.
. Dans le bout ganglionnaire de ces filets, au milieu de nombreuses
fibres
saines, on distingue un nombre appréciable de f
de nombreuses fibres saines, on distingue un nombre appréciable de
fibres
en voie de dégénéres- cence. Ces fibres dégénér
ue un nombre appréciable de fibres en voie de dégénéres- cence. Ces
fibres
dégénérées se retrouvent enfin, aussi nombreuses,
queue. 336 ROUX ET HEITZ L'un des filets présentait un groupe de
fibres
de petit calibre en voie de dégé- nérescence av
uche dans leur trajet intradural. - Survie de 14 jours. Présence de
fibres
fines intactes dans le bout médullaire des racine
es dans le bout médullaire des racines sec- tionnées ; présence des
fibres
fines dégénérées dans le nerf efférent du gangl
t médullaire des racines postérieures présente un certain nombre de
fibres
intactes, comparables à celles de l'obser- vati
ent du pôle périphérique du gan- glion spinal, un certain nombre de
fibres
fines en dégénérescence. Un filet des racines a
thoraci- ques postérieures gauches. -Survie 18 jours. - Nombreuses
fibres
fines dégénérées dans le sympathique thoracique
uses fibres fines dégénérées dans le sympathique thoracique gauche;
fibres
dégénérées moins nombreuses dans les troncs int
auche, sur toute son étendue au-dessous de la 4e côte, présente des
fibres
dégénérées très nom- breuses (voir planche XLIX
ement et exa- minés minutieusement, renferment un certain nombre de
fibres
fines et aussi quelques grosses fibres dégénéré
ferment un certain nombre de fibres fines et aussi quelques grosses
fibres
dégénérées. HOSPICE DE BICÊTRE. LABORATOIRE D
les d'origine syphilitique, on a fréquemment la des- truction de la
fibre
nerveuse entière ; mais parfois cependant les cyl
ux supérieur, au faisceau loncitu : dinal postérieur, sauf quelques
fibres
. La petite racine motrice descendante du trijum
ébelleux moyen, le stratum profundum et le stratum superficiale des
fibres
transversales du pont et une partie de la voie pé
s restées indemnes de sclérose sont, en résumé, les suivantes : les
fibres
transversales du stratum profundum, quelques fi
suivantes : les fibres transversales du stratum profundum, quelques
fibres
du corps trapézoïde et du ruban de Reil médian, u
bres du corps trapézoïde et du ruban de Reil médian, une partie des
fibres
du stratum superficiale et du pédoncule cérébelle
rébelleux supérieur et moyen. Le faisceau pyramidal contient peu de
fibres
à gaîne myélinique nor- male qui est ou disparu
nterne et externe ne sont pas at- teints ; de même les systèmes des
fibres
arquées. Toutes les lésions sont symé- triques.
nsformée en une zone de sclé- rose ; on y rencontre encore quelques
fibres
éparses du système des fibres arciformes interr
rose ; on y rencontre encore quelques fibres éparses du système des
fibres
arciformes interréticulées. Pas de trace de l'e
paire.Au niveau de l'entrecroisement moteur n'existe pas une seule
fibre
colorable avec le Weigert ou Weigert-Pal. Les cel
ures qui se trouvent sur la même coupe présentent un tiers environ de
fibres
normales : des autres fibres, une partie est co
e coupe présentent un tiers environ de fibres normales : des autres
fibres
, une partie est constituée par des fibres à gaine
res normales : des autres fibres, une partie est constituée par des
fibres
à gaine myélinique non colorée par la laque hém
rt et Weigert-Pal. A partir de ce niveau il n'y a plus que quelques
fibres
dans la partie périphérique du cordon antérieur
Les racines antérieures et postérieu- res contiennent deux tiers de
fibres
normales ; d'autres sont représentées par de pe
as, la moitié gauche de la moelle ne contient qu'un petit groupe de
fibres
nerveuses normales situées à peu près au niveau d
s deux côtés : tout le reste de la coupe ne contient plus une seule
fibre
ner- veuse colorable avec la méthode de Weigert
ellules de la substance grise sont en grande partie conservées. Les
fibres
des racines antérieures et posté- rieures sont,
cence secondaire. Avec cela dans toute la moellecervico-dorsale,les
fibres
radiculaires intramédullairesneprésententplus l
nts. Au niveau des plaques de sclérose il n'existe presque plus une
fibre
nerveuse avec sa gaine myélinique. Un certain n
e cylindraxe encore bien visi- ble à leur intérieur. Une partie des
fibres
ainsi transformées présente un degré variable d
in et le tissu scléreux, où, en même temps on trouve aussi d'autres
fibres
plus ou moins atrophiées. Dans -les zones de sc
quelconque. A ce niveau on constate une très légère raréfaction des
fibres
myéliniques tout autour de la moelle à la façon
u du segment de la 6e dorsale (fig. 5), présentent tou- jours leurs
fibres
presque complètement intactes : quelques-unes seu
u-dessus de l'émergence du trijumeau. Son maximum est au niveau des
fibres
supérieures de ce nerf. Enfin, sur le plan d'ém
fibres supérieures de ce nerf. Enfin, sur le plan d'émergence des.
fibres
les plus inférieures de la cinquième paire, la
e certains faisceaux, compression ou'irritation d'autres groupes de
fibres
. Enfin, malgré l'atteinte plus ou moins prononcée
lacés. Stroebe a constaté au bout de deux semaines, la formation de
fibres
fines à myéline provenant des cordons latéraux et
s fines à myéline provenant des cordons latéraux et antérieurs. Ces
fibres
s'infiltrent entre les éléments cellulaires de la
n trajet irrégulier et formant un feutrage plus ou moins dense. Ces
fibres
présentent une ressemblance parfaite avec les fib
ins dense. Ces fibres présentent une ressemblance parfaite avec les
fibres
jeunes des nerfs périphériques, c'est-à-dire qu
s secondaires d'origine mésodermique. Malgré cette néoformation des
fibres
nerveuses, la régénérescence de la moelle n'est t
moelle 41'J rive dans les nerfs périphériques. D'autre part, si les
fibres
médullaires de néoformation ne progressent pas
ales. Aussi, après la section de la moelle il ne se produit pas des
fibres
puissantes, longues, mais des fibres fines qui
oelle il ne se produit pas des fibres puissantes, longues, mais des
fibres
fines qui s'épuisent facilement par des divisio
n. Il a pu constater des phénomènes de régéné- rescence du côté des
fibres
de la substance blanche. Beaucoup de fibres de
é- rescence du côté des fibres de la substance blanche. Beaucoup de
fibres
de nouvelle formation proviennent des racines p
près l'opération. Dans tous ces cas, on voit une régénération des
fibres
nerveuses ni In ti l d'une part, du point de se
ction des racines postérieures vers la moelle (quelques-unes de ces
fibres
pénètrent dans la cicatrice), et, d'autre pari,
es avons décrit dans les nerfs périphériques ; c'est-à-dire que les
fibres
de nouvelle formation prennent naissance la plupa
s avons montré la possibilité d'une régénérescence très étendue des
fibres
nerveuses détruites chez l'homme par le processus
et avec le pied terminal de Hetd. Il décrit également des plexus de
fibres
nouvellement formées autour des vaisseaux qui à c
formées autour des vaisseaux qui à coup sûr ne représentent pas des
fibres
vaso-motrices, mais des fibres régé- nérées.
i à coup sûr ne représentent pas des fibres vaso-motrices, mais des
fibres
régé- nérées. Tout récemment, Ramon y Cajal (
naire, inflammatoire, dans l'épaisseur de laquelle se terminent les
fibres
de la substance blanche et grise. Les bouts tra
ont entourées de quelques éléments satellites. Les ramifications de
fibres
dans la cicatrice sont rares. Les axones situés
ues et bien colorés, mais d'autres sont moniliformes. Dans quelques
fibres
, les renflements moniliformes sont considérable
mme chassées vers la périphérie à la suite de la com- pression. Ces
fibres
moniliformes représentent le premier degré de dé-
endroits un riche tissu embryonnaire où pullulent les faisceaux de
fibres
nerveuses se terminant par des boutons. Le fait l
ques-unes arrivent jusqu'à la frontière de la cavité kystique. Les
fibres
ramifiées appartiennent à tous les cordons, mai
s à une lame névroglique tapissée del'épithé- lium épendymaire. Les
fibres
de nouvelle formation, de même que les boules t
ique, ont souffert un processus d'atrophie, de résorption. Même les
fibres
moniliformes ont disparu en grande partie, on r
es et granu- leuses représentant des restes d'axones dégénérés. Les
fibres
persistantes de la substance blanche changent d
de sécréter des substances chimiotaxidues qui puissent attirer les
fibres
de nouvelle formation, de même que d'autres condi
es massues terminales se ren- contrent aussi bien à l'extrémité des
fibres
du faiscean latéral qu'au niveau des cordons po
toujours s'assurer si ces globes sont ou non la terminai- son d'une
fibre
, car on en trouve d'isolées, sans aucune continui
les-satellites. En outre, il n'est pas rare do rencontrer aussi des
fibres
hypertrophiées et d'autres présentant des renflem
e de la pie-mère, mais égale- ment en dehors de cette dernière. Les
fibres
de nouvelle formation, de calibre et d'aspect t
ect très différent, suivent la direction des cellules-satellites. Ces
fibres
sont parfois réunies en faisceaux peu denses, m
se rapproche de la région moyenne de la cicatrice. En dehors de ces
fibres
fines, on en rencontre d'autres plus épaisses se
nais- sance à un véritable plexus. Nous avons trouvé un faisceau de
fibres
fines égaré dans ces ponts cellulaires bien loi
laires bien loin des extrémités sectionnées de la moelle. Certaines
fibres
de nouvelle formation sont moniliformes ou présen
les satellites qu'entre leurs interstices. La présence de certaines
fibres
de nouvelle formation à l'intérieur des cel- Iu
la présence de toute espèce d'éléments (1). Parfois cependant, les
fibres
de nou- velle formation suivent le trajet des v
bres de nou- velle formation suivent le trajet des vaisseaux. Les
fibres
hypertrophiées contiennent indiscutablement un ré
ement un réseau dont la structure n'est pas la même dans toutes les
fibres
. Dans certaines, il s'agit (1) G. Marinesco, Et
(1) G. Marinesco, Etudes sur le mécanisme de la régénérescence des
fibres
nerveuse" des nerfs périphériques. Journ. f. Ps
uel- ques-unes à direction ascendante et d'autres rétrogrades ; des
fibres
hypertro- phiées avec renflements parfois consi
umineux entre lesquels siègent les macrophages bourrés de débris de
fibres
dégénérées. En outre, on voit très clairement c
de fibres dégénérées. En outre, on voit très clairement comment ces
fibres
eu voie de dégénérescence pénètrent dans la cic
des faisceaux qu'elles forment. De plus, on remarque que certaines
fibres
fines ou de calibre moyen présentent des renfle
cés entr'eux et formant ainsi une espèce de chapelet. Le trajet des
fibres
de nouvelle formation à travers la cicatrice es
otoplasma pour leur nutrition, car on voit de temps en temps de ces
fibres
régénérées entourées d'une couche de protoplasm
. 2. Détails de structure relatifs au processus de régénérescence des
fibres
nerveuses à la suite de la section de la moelle
is 7 jours. La partie dessinée avoisine la cicatrice. On y voit une
fibre
épaisse, rouge, présentant la bifurcation et un
bifurcation et une autre division secondaire. Puis, plusieurs autres
fibres
noires, en état de division en Y, fn, fn', rn",
CHERCHES SUR LA RÉGÉNÉRESCENCE DE LA MOELLE 425 on trouve plusieurs
fibres
à l'intérieur dé ces cellules. La plupart des cel
cellules. La plupart des cellules- satellites ne contiennent pas de
fibres
de nouvelle formation. Là où les macro- phages
ouvelle formation. Là où les macro- phages sont très abondants, les
fibres
de nouvelle formation suivent le trajet des cel
icatrice présente une espèce d'entonnoir dans lequel descendent les
fibres
de nouvelle formation. Le cône est bordé par des
ibres de nouvelle formation. Le cône est bordé par des faisceaux de
fibres
fines et épaisses, présentant parfois des épaissi
r leur trajet : Dans le goulot de l'entonnoir on voit seulement des
fibres
fines, flexueuses ou enroulées, en c, c' on voi
n revenant sur eux-mêmes. Dans le bout supérieur on voit pas mal de
fibres
nerveuses, iso- lées ou réunies en faisceaux, a
une massue terminale mt, ml'. r, r' remplacements sur le trajet des
fibres
. p. pinceau, cp, cp', petit cône de croissance,
res. p. pinceau, cp, cp', petit cône de croissance, f, faisceau des
fibres
. 426 MARINESCO ET MINEA massues terminales et
sceau des fibres. 426 MARINESCO ET MINEA massues terminales et de
fibres
de nouvelle formation. Ces fibres isolées ou réu-
ET MINEA massues terminales et de fibres de nouvelle formation. Ces
fibres
isolées ou réu- nies en faisceaux descendent à
trice et se présentent sous différents aspects. Tantôt il s'agit de
fibres
rouges, sans gaine de myéline, pourvues quelque
collatérales qui à leur tour peuvent se diviser. Il y a ensuite des
fibres
plus fines, moniliformes, se ramifiant souvent
trajet de quelques cylin- draxes dégénérés et isolés du reste de la
fibre
. Il y a en effet des fibres fortement altérées
draxes dégénérés et isolés du reste de la fibre. Il y a en effet des
fibres
fortement altérées qui subissent la dégénéresce
mulation d'une substance probablement albuminoïde sur le trajet des
fibres
. Si on examine de plus près ces dilatations kys
e également dans la substance blanche latérale un certain nombre de
fibres
nouvelles provenant des fibres préexistantes sous
lanche latérale un certain nombre de fibres nouvelles provenant des
fibres
préexistantes sous forme de plexus, de faisceau
éanmoins, à la périphérie de la substance blanche, on voit quelques
fibres
descendant verticalement. Un certain nombre de
ques fibres descendant verticalement. Un certain nombre de vieilles
fibres
et de fibres de nouvelle formatton épaisses pré
escendant verticalement. Un certain nombre de vieilles fibres et de
fibres
de nouvelle formatton épaisses présentent une s
u, tantôt lâche, tantôt serré. Ce réseau est très apparent dans les
fibres
épaisses et au niveau des plaquettes qui existe
aires. La plupart du temps nous ne sommes pas arrivés à trouver des
fibres
de nouvelle formation dans l'intérieur ou dans
n immédiatement avoisinante de la ligne de section qu'on trouve des
fibres
de nouvelle formation d'aspect très différent,
une grande partie de la massue et ses travées sont grossières. Les
fibres
de nouvelle formation arrivées dans la cicatrice
nombre demassues terminales dont certaines en continuation avec des
fibres
. Certaines massues offrent une région centrale
colorée en orange et une région périphé- rique jaune.Puis, y a des
fibres
dégénérées avec des épaississements volumi- neu
réoles dans lesquelles se trouvent des débris de dégénérescence des
fibres
nerveuses et des cellules granuleuses. La cicat
tices du tissu conjonctif. Cette cicatrice ne contient que de rares
fibres
nerveuses de nouvelle formation et rarement réu
rveuses de nouvelle formation et rarement réunies en faisceaux. Ces
fibres
pénètrent dans les fentes du tissu conjonctif e
t parfois des divisions latérales sur leur trajet. Un bon nombre de
fibres
nerveuses ne pénètrent pas dans la cicatrice à ca
raisseux au niveau d'une extrémité. Il rentre dans la cicatrice des
fibres
et des faisceaux de fibres de nouvelle for- mat
trémité. Il rentre dans la cicatrice des fibres et des faisceaux de
fibres
de nouvelle for- mation qui s'infiltrent dans d
es interstitiels des lames conjonctives.Dans le bout supérieur, ces
fibres
, peu nombreuses, au lieu de traverser la cicatric
ce est excavée en entonnoir et à ce niveau on trouve quelques rares
fibres
à court trajet, pauvres en ramifications secondai
des fibroblarts, fb, fb' fb". On y voit, en outre, des faisceaux de
fibres
de nouvelle formation (F) affectant des connexion
en ? RECHERCHES SUR LA RÉGÉNÉRESCENCE DE LA MOELLE 429 logent les
fibres
nerveuses, isolées ou réunies en faisceaux, fibre
E 429 logent les fibres nerveuses, isolées ou réunies en faisceaux,
fibres
assez épais- ses, sans myéline, habituellement
ersant parfois le protoplasma de certaines cellules fusiformes. Ces
fibres
assez peu nombreuses sont disséminées dans l'ép
nt dans la formation de produits polybiformes, dans la formation de
fibres
nouvelles et surtout d'un nombre considérable de
les massues. On voit en outre que la racine est constituée, par des
fibres
fines sans myéline, réunies pour la plupart du
6. Coupe destinée à montrer la relation étroite qui existe entre les
fibres
de nouvelle formation avec la' paroi vasculaire
aire.) RECHERCHES SUR LA HÉGÉi\ÉII [,CI £ NCI £ nls LA MOELLE 431
fibres
de nouvelle formation suivant la plupart du temps
de lymphocytes diminue. L'aspect, la to- pographie et le trajet des
fibres
de nouvelle formation varient suivant la région
s où ils possèdent une paroi épaisse, sont entourés de faisceaux de
fibres
qui constituent parfois de véritables plexus couv
parois vasculaires (Fig. 7). On voit nettement que certaines de ces
fibres
finissent par des massues terminales. D'autre par
ssent par des massues terminales. D'autre part, nombreuses sont les
fibres
qui donnent des ramifications secondaires de plus
t, Sur des coupes longitudinales on voit très bien l'enlacement des
fibres
nerveuses épaisses au- Fin. 7. - Détails de str
étroite qui existe entre le trajet vascu- laire et la direction des
fibres
du plexus. En effet, l'artériole dessinée ici pré
résente une espèce de coude au niveau C et change de direction. Les
fibres
changent éga- lement de direction au niveau de
elles-mêmes pour sui- vre le vaisseau. Remarquer que la plupart des
fibres
présentent des épaississements sur leur trajet
sseaux (Fig. 7) Sur des coupes transversales, on s'aperçoit que les
fibres
circulent dans la gaine externe, on dirait même q
même qu'elles pénètrent parfois dans la gaine musculaire ( ? ). Ces
fibres
de nouvelle formation présen- tent des épaissis
et, ou bien elles ont souvent un aspect moniliforme irrégulier. Les
fibres
de nouvelle formation ne restent pas cantonnées
ise et de la substance blanche fortement altérée ne présentent pas de
fibres
ni de faisceaux nerveux de nouvelle formation.
'origine plus récente qui ne possèdent pas d'aussi riches plexus de
fibres
nerveuses nouvellement for- mées, ou bien ces d
mant un réseau dans les mailles duquel il existe un certain nombre de
fibres
nerveuses, épaisses, à rendements fusiformes su
s interstices de laquelle on constate des cellules FM. 8. Plexus de
fibres
nerveuses de nouvelle formation qui s'infiltrent
tie moyenne de la cicatrice contient un grand nombre des cordons de
fibres
de nouvelle formation qu'on peut suivre sur un
faisceaux nerveux les corps granuleux sont en grande abondance. Les
fibres
des cordons sont amyéliniques traversant des ba
ordons sont amyéliniques traversant des bandes protoplasmiques. Ces^
fibres
sont fines, bien colorées', traversant par deux
i- nées quelques cellules granuleuses cg, rg'. Quelques-unes de ces
fibres
fa, fa' traver- sent évidemment les cellules ap
les cellules apotrophiques. 434 MARINESCO ET MINEA fois voir des
fibres
pourvues d'un cône de croissance. Certaines fibre
EA fois voir des fibres pourvues d'un cône de croissance. Certaines
fibres
de nou- velle formation ont un aspect tout à fa
épaississements fusiformes on bien une disposition moniliforme; les
fibres
minces offrent parfois un petit nodule sur leur
on peut voir des cylindraxes assez épais qui se continuent par une
fibre
mince sur un long trajet, fibre finissant à son t
sez épais qui se continuent par une fibre mince sur un long trajet,
fibre
finissant à son tour par un cône de croissance.
te région de la cicatrice, comme dans la précédente, les cordons de
fibres
nerveuses sont séparés par des tractus de tissu c
ou bien même étoilées. Dans ce tissu conjonctif on n'observe pas de
fibres
de nouvelle formation. Quelle est l'origine des
elle formation. Quelle est l'origine des cordons cellulaires et des
fibres
de nouvelle forma- tion que nous avons décrits
libres fines disposées en faisceaux et présentant les caractères de
fibres
de Remack. Puis, nous constatons un grand nombr
voit quelques grosses libres disséminées dans le tissu. Ces grosses
fibres
, habituellement bien imprégnées, présentent sur l
dilatation du réseau par la substance interfibrillaire. Ces grosses
fibres
à trajet irrégulier, ou ser- pentin, offrent de
e bifurquent après un tra- jet plus ou moins long. En dehors de ces
fibres
épaisses on en trouve d'autres plus fines, très
très riche de nouvelle formation presqu'inextricable, parfois, les
fibres
qui le constituent s'entortillent de toutes les m
disposition est due sans doute aux nom- breuses difficultés que ces
fibres
rencontrent dans leur progression. La densité d
e là même où il n'y a que des macrophages. On voit bien comment ces
fibres
s'insinuent entre les macrophages, et qu'elles
A l'extrémité inférieure, on voit l'existence d'un grand nombre de
fibres
de nouvelle formation, épaisses ou minces, isol
es- RECHERCHES SUR LA DÉGÉNÉRESCENCE DE LA MOELLE 435 unes de ces
fibres
finissent par des massues volumineuses ou par un
oules jaunâtres, absolument uniformes, sans connexion aucune avec les
fibres
nerveuses, elles ressemblent aux corpuscules am
bles qui représentent assurément un produit de dégéné- rescence des
fibres
nerveuses.Beaucoup de fibres ramifiées,dont les b
ent un produit de dégéné- rescence des fibres nerveuses.Beaucoup de
fibres
ramifiées,dont les branches dedivision sont sou
ont les branches dedivision sont souvent inégales.A l'extrémité des
fibres
fines, on voit parfois une espèce d'arborisatio
ation, ou mieux, des plaques terminales. Il se détache de certaines
fibres
des ramifications fines qui aboutissent par une e
connaît autour des cellules radiculaires. Un certain nombre de ces
fibres
de nouvelle formation présentent la dégénérescenc
nérescence des neuro-fibrilles ou bien un état de gonflement. Les
fibres
des racines postérieures disposant de capacités p
s de régé- nérescence, apportent un contingent plus considérable de
fibres
nervenses ainsi que nous l'avons montré dans un
l'avons montré dans un travail antérieur. Aussi, le grand nombre de
fibres
de nouvelle formation que nous trouvons dans la c
es racines postérieures, car elles présentent tous les caractères des
fibres
pé- riphériques de ces dernières. Sans doute qu
res des fibres pé- riphériques de ces dernières. Sans doute que les
fibres
de la moelle proprement dite ne restent pas ine
s avons décrits autour des vaisseaux de nouvelle formation sont des
fibres
en régénérescence provenant de la moelle. D'aut
elle. D'autre part, nous avons également signalé d'autres plexus de
fibres
nerveuses presque inextricables autour des ma-
tain qu'ils provien- nent des extrémités de la moelle épinière. Les
fibres
d'origine médullaire ne pa- raissent pas être s
ont essentiellement constituées au niveau de la compression par des
fibres
fines flanquées de distance en distance de noyaux
distance de noyaux oblongs ou fusiformes, riches en chromatine. Ces
fibres
fines n'ont pas une di- rection parallèle, mais
t affectent différents rapports avec ces noyaux. Assez souvent -les
fibres
passent à côté des noyaux, d'autres fois, au co
m- bre d'axones de nouvelle formation présentent les caractères des
fibres
de Remack, il y en a d'autres qui se revêtent d
pie-mère, où les racines sont comprimées, on constate un cordon de
fibres
fines qui s'entremêlent de toutes fio. aU. - fa
e décrire dans les racines postérieures ; on distingue aussi quelques
fibres
qui se couvrent de myéline. Comme on trouve dan
on trouve dans l'épaisseur de la pie-mère et entre ses lamelles des
fibres
et des faisceaux de fibres de nouvelle formation,
de la pie-mère et entre ses lamelles des fibres et des faisceaux de
fibres
de nouvelle formation, il est à supposer que le
lle est constituée au niveau de la compression par des faisceaux de
fibres
de nouvelle formation généralementdépourvues de m
e que les derniers,et c'est pré- cisément pour cette raison que les
fibres
sans myéline ont échappé à leur attention. Su
is le fait le plus important c'est l'existence d'un grand nombre de
fibres
uerveuses jeunes entre les cellules de cet épithé
e fibres uerveuses jeunes entre les cellules de cet épithélium. Les
fibres
sont fines et ne paraissent pas suivre un trajet
souvent. Dans la névroglie péri-épendymaire, on ne voit que peu de
fibres
de nouvelle formation. On rencontre encore des fa
Fia. 12. Même cas que la figure précédente. Portion d'un faisceau de
fibres
de nouvelle formation dessinée à un fort grossi
de nouvelle formation dessinée à un fort grossissement. On voit des
fibres
de nouvelle formation dont quelques-unes ressem
quelques-unes ressemblent à celles de Remack. On voit en outre deux
fibres
à myéline et avec des scissures de Lautermann (fm
isolés pour la plupart du temps ou réunis par trois ou quatre. Ces
fibres
présentent des nodosités sur leur trajet qui est
qui est plns ou moins irrégulier et s'entremêlent. En dehors de ces
fibres
d'un certain calibre ; on en voit d'autres plus
arfois en deux branches flexueuses très longues. Il y'a ensuite des
fibres
encore plus fines que les précédentes et à pein
us fines que les précédentes et à peine visibles. Enfin on voit des
fibres
rouges, épais- ses, de court trajet et présenta
t des rendements de distance à distance ; ce sont là évidemment des
fibres
dégénérées. Il est possible que les corpuscules a
rescence proviennent de ces rendements des cylindraxes altérés. Les
fibres
fines avec des ramifications, des anneaux et de
ations, des anneaux et des épaississements sur leur trajet sont des
fibres
de nouvelle formation. Dans la substance grise
istant dans la présence e de quelques rares massues terminales, des
fibres
nerveuses, tantôt minces tan- tôt épaisses et q
tantôt minces tan- tôt épaisses et qui se divisent. Quelquefois ces
fibres
de nouvelle formation donnent lieu il des espèc
dans le cas précédent nous avons également trouvé dans celui-ci des
fibres
de nouvelle formation même dans les zones de né
. Dans leurs adventices, il existe par ci, par là, des faisceaux de
fibres
de nouvelle formation fng, fnp, lisp'. En (l117 o
voit un faisceau nerveux, assez considérable, compact, constitué de
fibres
qui s'entrecroisent et se mêlent de différentes
conjonctif intervasculaire. 440 MARINESCO ET MINEA progressif des
fibres
anciennes, et ensuite, multiplication par ramific
ennes, et ensuite, multiplication par ramifications successives des
fibres
de nouvelle formation. Ce dernier procédé est mêm
même assez fréquent dans la régénérescence médullaire, on voit les
fibres
se bifurquer tout d'abord, puis, chacune de ces
t à parcourir d'un bout ;i l'autre de la moelle, les faisceaux et les
fibres
nerveuses s'égarent et malgré leur tentative de
es jouent un rôle important dans le processus de régénérescence des
fibres
nerveu- ses. Elles possèdent en effet des propr
urs interstices et les nourrissent. On dirait que tout au moins les
fibres
d'un certain calibre se dévelop- pent aux dépen
ellules apotrophiques. c'est-à-dire qui attirent et nourrissent les
fibres
nerveuses. Elles jouent un rôle essentiel, non
a régénérescence des nerfs périphériques, mais aussi dans celle des
fibres
des centres nerveux ; aussi nous avons vu qu'il s
tate des lésions d'atrophie simple très marquées. Il existe quelques
fibres
d'aspect normal, qui paraissent saines, mais la
esque totalité présente des modifications atrophiques extrêmes, les
fibres
sont extrêmement grêles ou même filiformes, les
-aponévrotiques est beaucoup moins dégénérée, mais à ce niveau, les
fibres
musculaires ne présentent plus l'aspect grenu et
es, ces lésions paraissent encore plus marquées. Il n'existe aucune
fibre
saine, toutes sont en voie d'atrophie simple av
prolifération nucléaire que sur les muscles précédents; quel- ques
fibres
cependant, bien qn'en voie d'atrophie, sont encor
oloration brunâtre tranchant sur la coloration jaune vif des autres
fibres
. Muscles des gouttières vertébrales de la régio
érent des muscles ci-dessus ; il y a intégrité presque absolue. Les
fibres
ont leur aspect, leur dimension et leur striation
s abondants que normalement et il existe de place en place quelques
fibres
dégénérées. POLIOMYÉLITE DIFFUSE bUUAIGUE DE LA
line en voie de dégénérescence, il persiste une quantité notable de
fibres
d'aspect normal (mais grêles), à côté de celles-c
Il existe de très nombreuses gaines vides, mais cependant quelques
fibres
sont conservées et intactes. b) Nerf sensitif :
itif : Nerf cutané péronier. Il y a intégrité absolue de toutes les
fibres
, la gaine de myéline est intacte. 3° Racines. E
s par la méthode de Weigert- Pal, on remarque qu'un grand nombre de
fibres
à myéline existent encore au milieu du tissu né
à myéline existent encore au milieu du tissu néoplasique, mais ces
fibres
ont pris une coloration pâle, sont fragmentées,
elles sont en voie de dégénérescence ; tout autour de la tumeur, les
fibres
à myéline sont également mal colorées par la la
ut considérer comme nor- male chez quelques-unes d'entre elles. Les
fibres
à myéline, au contraire, ont en partie disparu
physio- logique. Cette observation montre que, dans notre cas, les
fibres
à myéline ont été plus vulnérables que les corp
chroniques, où on trouve souvent une disparition très accentuée des
fibres
tangentielles sans altération, notable du moins
jour à l'autre. L'examen mi- croscopique des crachats n'a dénoté ni
fibres
élastiques, ni bacilles de Koch. Le coeur ne
uscles de l'éminence thénar, on trouve à peine quelques vestiges de
fibres
musculaires : la plupart ont disparu et sur celle
la striation n'est plus reconnaissable : les noyaux sont rares, les
fibres
disparues sont remplacées soit par des vésicules
ions y sont moins avancées. On remarque tout d'abord que toutes les
fibres
ne sont pas atteintes d'atrophie, celle-ci proc
teintes d'atrophie, celle-ci procède par zones, des petits groupes de
fibres
atrophiées sont séparés par des groupes de fibr
petits groupes de fibres atrophiées sont séparés par des groupes de
fibres
normales, et le champ des fibres malades est ne
es sont séparés par des groupes de fibres normales, et le champ des
fibres
malades est nettement délimité. Un certain nomb
p des fibres malades est nettement délimité. Un certain nombre de
fibres
n'ont subi qu'un processus d'atrophie simple, l
rs ce sont des placards dans lesquels on distingue à peine quelques
fibres
atrophiées. Le plus grand nombre est réduit à des
intérieur quelques granulations plus foncées, par endroits toute la
fibre
prend une coloration légèrement violette comme
te comme si la substance nucléaire s'était intimement mélangée à la
fibre
musculaire. Entre la fibre simplement atrophiée
cléaire s'était intimement mélangée à la fibre musculaire. Entre la
fibre
simplement atrophiée et cette fibre encombrée de
à la fibre musculaire. Entre la fibre simplement atrophiée et cette
fibre
encombrée de noyaux et de déchets, qui donne l'
bre encombrée de noyaux et de déchets, qui donne l'impression d'une
fibre
en quelque sorte digérée par les noyaux hypertr
yophagie), il existe tous les intermé- diaires. Par contre quelques
fibres
paraissent augmentées de volume, hyper- trophié
yper- trophiées ; enfin la dégénérescence hyaline a envahi quelques
fibres
, atrophiées ou hypertrophiées. Le tissu inter
eu proliféré, un tissu conjonctif fihril- laire s'insinue entre les
fibres
les plus malades. Par places il y a un peu d'adi-
tudinalement ; enfin la dégénérescence n'atteint pas en bloc toute la
fibre
mus- 4Sô' ' ' . - DEJERINE ET ANDIiG-'l'Ii0111A
s parties adjacentes ne sont nullement altérées ; on voit alors des
fibres
creusées de petites logettes occu- pées par de
oxyline, par des débris ou des blocs de substance muscu- laire : la
fibre
prend parfois à ce niveau une coloration uniformé
prend parfois à ce niveau une coloration uniformément violette. Les
fibres
disparues sont par places remplacées, par du tiss
mpression que les noyaux contribuent à achever la dislocation de la
fibre
musculaire. Sur les muscles traités par la méth
lle n'est pas très prononcée. Ainsi sur le long supinateur quelques
fibres
contiennent un grand nombre de fines gouttelett
dégénérescence graisseuse se fait par zones, des petits groupes de
fibres
dégénérées sont plongés au milieu de fibres saine
, des petits groupes de fibres dégénérées sont plongés au milieu de
fibres
saines ; les fibres qui ont subi ce mode de dég
es de fibres dégénérées sont plongés au milieu de fibres saines ; les
fibres
qui ont subi ce mode de dégénérescence ne sont
ne sont d'ailleurs nullement ou rela- tivement peu atrophiées; les
fibres
qui sont les plus réduites ne contiennent plus
examen a porté sur les petits filets intra-musculaires ; comme les
fibres
musculaires, ils ont été colorés par l'éosine e
ne et l'hématoxyline ou par le picro-carmin. Sur tous, la plupart des
fibres
nerveuses ont presque complètement disparu, et
ilet nerveux n'est plus représenté que par des petits fascicules de
fibres
conjonctives, assez espacés les uns des autres
r les fascicules les plus dégénérés, il ne persiste par une ou deux
fibres
à myéline au centre de laquelle on distingue en
de laquelle on distingue encore un cylindre-axe. Sur chacune de ces
fibres
la myéline prend avec l'hématoxyline une colora-
aires et' des troncs nerveux permet d'affirmer qu'il y a moins / de
fibres
dans les premiers. Comme type des lésions nous pr
épaissi (PI. LXXVB). Dans chaque fascicule il y a à considérer les
fibres
nerveuses et le périnèvre. Les fibres à myéline
icule il y a à considérer les fibres nerveuses et le périnèvre. Les
fibres
à myéline sont très rares, mais dans chaque fasci
fixation par l'acide osmique et coloration par le carmin. A". Une
fibre
ne veuse isolée dans une racine. Gaine de Schwann
issement. B'. - La même coupe vue à un plus fort grossissement. Les
fibres
nerveuses sont entourées d'une gaine de tissu c
t mieux sur les coupes colorées par la méthode de Pal. ' . Chaque
fibre
à myéline est entourée par une gaîne de. tissu co
à myéline est entourée par une gaîne de. tissu conjonctif dont les
fibres
sont imbriquées les unes autour des autres, comme
ntense. L'épaisseur : de cette gaîne est extrêmement variable d'une
fibre
à l'autre : d'ailleurs la plupart de ces gaines
découvrir au centre ni myéline, ni cylindre- axe. L'agencement des
fibres
entre elles est lui-même assez variable. Par en-
tissu cellulaire lâche dans lequel il existe peu de noyaux et peu de
fibres
conjonctives ; les noyaux sont également rares
t également rares dans les gaînes conjonctives qui entourent chaque
fibre
nerveuse ; il s'agit en effet d'un tissu complète
peut-être un peu plus de noyaux dans la gaîne conjonctive de, chaque
fibre
nerveuse, mais ce sont des différences à peine
après fixation par l'acide osmique et le picro-carmin. L'aspect des
fibres
est à peu près le même que sur les racines à l'
s à l'examen desquelles nous renvoyons le lecteur : cepen- dant les
fibres
pourvues d'une gaîne de myéline y sont moins nomb
à peine apprécia- bles ; ailleurs elles sont des plus nettes et les
fibres
sont engaînées par un tissu conjonctif riche en
un faible grossissement on peut déjà constater le petit nombre des
fibres
à myéline : presque toutes les fibres ont perdu e
constater le petit nombre des fibres à myéline : presque toutes les
fibres
ont perdu en effet leur gaine de myéline; et ce
lérienne (segmentation en boules) fait défaut. ` L'agencement des
fibres
entre elles est assez variable. Sur certains grou
es fibres entre elles est assez variable. Sur certains groupes, les
fibres
représentées pour la plupart par des gaines vides
ans les tentatives de division ; en effet c'est un entremêlement de
fibres
conjonctives et de gaines vides semées denoyaux d
volume et de forme divers, le tout contenant une ou quelques rares
fibres
à myéline enroulées en spirale autour de l'axe
quelques-uns de ces faisceaux donnent au premier abord l'aspect de
fibres
envoie de régénération. (PI.LXXIV A"). Il est d
de faire la part de ce qui revient, dans cet en- chevêtrement, aux
fibres
nerveuses,aux gaines vides et au tissu conjonctif
nstater la présence d'un tissu conjonctif plus ou moins abondant en
fibres
ou en noyaux ; les noyaux sont volumineux, le plu
nérescence wallérienne, cependant nous avons rencontré sur quelques
fibres
de gros blocs de myéline entremêlés à des débris
à des amas de noyaux. Il n'est pas facile d'isoler complètement une
fibre
ayant en- core sa gaine de myéline et de différ
ts ont été les suivants : sur le segment médullaire ou central, les
fibres
présentent pour plupart l'aspect enchevêtré,en na
prolifération des noyaux ne se voit pas sur toute la longueur de la
fibre
; elle n'existe que par places : suivant les endr
ITIELLE 11YPERTR0PHIQ0E ET PROGRESSIVE DE l'ENFANCE 491 ce sont les
fibres
conjonctives ou les noyaux qui prédominent ; ces
tatations tendent à démontrer que ce processus n'envahit pas chaque
fibre
isolément et simultanément sur toute sa longueu
central ; la transition de l'aspect en nattes à l'aspect de simples
fibres
juxtaposées se rencontre quelquefois ; les racine
aspect un peu différent des racines antérieures : les faisceaux de
fibres
enchevêtrées figurant des nattes, sont plutôt r
su con- jonctif ; plusieurs faisceaux paraissent constitués par une
fibre
nerveuse entou- rée de tissu conjonctif. ' En
ne fibre nerveuse entou- rée de tissu conjonctif. ' En résumé,les
fibres
radiculaires paraissent souvent engainées dans un
chon de tissu conjonctif, dans lequel prédominent le plus souvent des
fibres
adultes, mais quelquefois aussi des noyaux, sur
ons variables.Le centre de ces cylindres est souvent occupé par une
fibre
nerveuse dont la myéline se colore en gris viol
ont le centre est occupé par un cylindre-axe coloré en rouge. Cette
fibre
est entourée d'un manchon constitué par des fibre
é en rouge. Cette fibre est entourée d'un manchon constitué par des
fibres
et des noyaux dispo- sés sur plusieurs couches
rès réduit ; les vacuoles et les noyaux sont rares autour de chaque
fibre
et le manchon qui l'engaine est plus souvent form
plus aisée. , Tout d'abord les petits cylindres constitués par une
fibre
nerveuse centrale et une gaine dans la constitu
centrale et une gaine dans la constitution de laquelle entrent des
fibres
nerveuses de plus petit calibre, des vacuoles,
t central de la racine antérieure. Les cylindres constitués par une
fibre
centrale myélinisée ou non myélinisée engainée d'
ntrale myélinisée ou non myélinisée engainée d'un simple manchon de
fibres
conjonctives tassées les unes contre les autres,
ier le tissu conjonctif et les gaines vides. Si on remarque que les
fibres
nerveuses sont plus nombreuses dans les raci- n
ment au-dessus du cinquième ganglion lombaire gauche, alors que les
fibres
radiculaires antérieures sont devenues complète-
diculaires antérieures sont devenues complète- ment scléreuses, les
fibres
radiculaires postérieures sont engainées par des
hie des ganglions est due uniquement à l'augmentation de volume des
fibres
qui les traversent. Le ganglion sympathique cer
cordons antéro-latéraux à ce niveau est augmenté ; en tout cas les
fibres
des racines antérieures ne sont nullement dégénér
la soeur de R..., il existe un contraste frappant avec l'aspect des
fibres
radiculaires à leur émergence, où plupart ont p
r est décoloré sur toute sa surface, cependant il existe encore des
fibres
à myé- line colorées en bleu, mais clairsemées
t également plus pâles. Les cornes postérieures sont petites et les
fibres
à myé- line y sont très diminuées de nombre ; c
(PI. LXXIX A'). La corne postérieure est très réduite et pauvre en
fibres
à myéline. Au niveau de la IV' lombaire, les lé
de la IV' lombaire, les lésions sont les mêmes, si ce n'est que les
fibres
sont un peu plus abondantes sur les bords du sept
e de Lissauer. L'atrophie des cornes postérieures est la même : les
fibres
collatérales réflexes sont presque complètement
des zones radiculaires postérieures est encore plus apparente ; les
fibres
sont également mieux conservées sur le bord inter
gne médiane ; il ne persiste à ce niveau qu'une très mince bande de
fibres
le long du septum médian, ainsi qu'un petit tri
core très appréciable au niveau de la zone radiculaire moyenne; les
fibres
sont au contraire relativement bien conservées
rieures sont rapprochées." Le fais- ceau de Goll est très pâle, les
fibres
y sont très clairsemées ; elles sont un peu plu
oins dans son tiers moyen (zone radiculaire moyenne) ; en somme les
fibres
y sont beaucoup plus nombreuses que dans les ré
et en arrière il est séparé de la périphérie par une mince bande de
fibres
à myéline. Dans le faisceau de Burdach, la dégéné
ration diffuse atteignant son maximum dans le cordon de Goll où les
fibres
sont très rares ; la même différence existe entre
l'état normal, mais leur réseau myélinique est maigre, de même les
fibres
sont très clairsemées dans la zone de Lissauer,
dimensions habituelles, leur réseau est pâle, amaigri, et même les
fibres
de la zone de Lissauer sont très clairsemées ;
sarcolemme; mais l'atro- phie peut rester simple jusqu'à la fin, la
fibre
très atrophiée conservant encore sa striation t
s des nerfs, lorsque celles-ci sont arrivées à leur terme et que la
fibre
est réduite à une gaine de myéline vide; cepend
fibre est réduite à une gaine de myéline vide; cependant toutes les
fibres
ne sont pas dépourvues de leur gaine de myéline
st ici 504 DEJERINE ET ANDRÉ-THOMAS .. orientée suivant l'axe des
fibres
nerveuses, formant à chaque fibre et quel- quef
AS .. orientée suivant l'axe des fibres nerveuses, formant à chaque
fibre
et quel- quefois à plusieurs une gaine isolante
f de l'endonèvre n'est pas sensiblement augmenté. Lorsque plusieurs
fibres
sont engainées dans le même manchon fibreux, c'
sieurs fibres sont engainées dans le même manchon fibreux, c'est la
fibre
centrale qui est le mieux conservée,elle a quel
raire le plus souvent dépouillées ; quelques-uns de ces pelotons de
fibres
, examinés sur les coupes ou sur les dissociations
upes ou sur les dissociations, donnent tout d'a- bord l'illusion de
fibres
régénérées et la même pensée était venue à l'espr
isager plutôt ces formations comme dues à l'enrobement de plusieurs
fibres
dans la même gaine fibreuse ; la persistance d'un
plusieurs fibres dans la même gaine fibreuse ; la persistance d'une
fibre
à myéline au centre de ces éléments ne permet g
de ces éléments ne permet guère de considérer les autres comme des
fibres
régénérées. Quand on compare les aspects divers
mée de tissu adulte dense, tassé, et cependant il existe encore une
fibre
à myéline au (1) Elle a été mentionnée une seul
tissu jeune, riche en noyau et le centre n'est plus occupé par une
fibre
à myéline. Il nous semble par conséquent plus l
la région dorsale,où elles présentent peut-être une diminution des
fibres
à myéline) ; mais ces altérations ne sont en au
L'ADULTE 515 5 très sclérosées, avec atrophie intense de nombreuses
fibres
nerveuses, et dispa- rition de nombreux cylindr
- mère : épaississement léger des méninges molles ; raréfaction des
fibres
ner- veuses, diffuse avec prédominance dans la
ions dégénératives très accentuées, ascendantes et descendantes des
fibres
longues des faisceaux blancs (cordons de Goll, cé
avait que de la sclé- rose névrogliqueet de l'atrophie de certaines
fibres
nerveuses, sans dila- tation des gaines de myél
formée d'une rangée de cellules cylindriques entourée d'une zone de
fibres
névrogliques mesurant de 1 à 2 millimètres d'épai
un épaississement con- sidérable de la névroglie, avec atrophie des
fibres
nerveuses, dont les cylindres- axes sont irrégu
e des signes de myélite diffuse légère ; désintégration diffuse des
fibres
nerveuses, dont les gaines de myéline ne se color
duisant au foyer épidural et à, l'englobement des racines. Quelques
fibres
des cordons postérieurs dans la région sacrée p
e, désintégration de la myéline, ou bien sclérose avec atrophie des
fibres
nerveuses, et, au Pal et au Marchi, lésions dégén
a moitié postérieure de l'arbre de vie, paraissant correspondre aux
fibres
semi-circu- laires internes. Immédiatement au-d
se, les feutrages intra-ciliaire,extra-ciliaire et sous-lobaire,les
fibres
semi-circulaires externes du cervelet et les pédo
uant, mais plus grêle, longe l'olive cérébelleuse et correspond aux
fibres
senai-circulaires externes du cer- velet (FSCE)
3). Les deux supérieurs, antérieur el postérieur, correspondent aux
fibres
semi- FIG. 1 ric. 2 544 Ü'IGNEL-LAVASTINÊ
scence ; l'un antéro-supérieur, à grosses granulations, indique les
fibres
semi-circulaires externes (FSCE) ; l'autre, infér
obe digastrique et le flocculus. Sont sclérosés les territoires des
fibres
semi-circulaires externes en arrière et en deho
égénérescences secondaires. Ils occupent les territoires : 4° Des
fibres
semi-circulaires internes (FSCI) dans le tiers po
ires internes (FSCI) dans le tiers postérieur de l'olive ; 2° Des
fibres
semi-circulaires externes (FSCE) en arrière de l'
res semi-circulaires externes (FSCE) en arrière de l'olive ; 3° Des
fibres
de la pyramide de lllalacarne (FPM), dans un croi
veau de ce foyer il existe une sclérose adulte très nette,formée de
fibres
conjonctives mélangées aux hématies jeunes, aux
est facile de suivre la dégénérescence ascendante d'une partie des
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur. Ainsi,sur u
téro-externe du pédoncule cérébelleux supérieur gauche. Ce sont les
fibres
ascendantes du pédoncule cérébelleux supérieur
-dorsale, il est facile de suivre la dégénérescence descendante des
fibres
atteintes parle foyer cérébelleux. La grosse
A. Coupe du bulbe; décoloration de l'olive gauche; raréfaction des
fibres
du corps restiforme droit. B. Olive gauche (à
TE 549 méthode de Pal on ne voit pas de raréfaction appréciable des
fibres
du pé- doncule cérébelleux moyen. A la limite
ur droit, en même temps qu'on voit un peu de sang diffusé entre ses
fibres
. Les coupes transversales du bulbe passant par
coloration au niveau de l'olive gauche et une légère raréfaction de
fibres
du corps resti- tiforme droit. Il n'existe pas
corps resti- tiforme droit. Il n'existe pas de différence entre les
fibres
arciformes droites et gauches. A un plus fort
ate dans l'olive gauche la disparition du feutrage cortical, et des
fibres
d'intersection qui s'épanouissent dans l'écorce
sclérose, pas de foyer scléreux, pas de dimi- nution de nombre des
fibres
et des cellules nerveuses. Quelques cellules seul
te observation permet quelques remarques sur la systématisation des
fibres
cérébelleuses et le mécanisme de quelques trouble
uelques troubles moteurs. Au point de vue de la systématisation des
fibres
cérébelleuses, elle est dans son ensemble confo
son entrecroisement sont classiques et montrent qu'il contient des
fibres
dont l'origine est cérébelleuse. L'absencede dé
générescence du pédoncule cérébelleux moyen s'explique, puisque ses
fibres
centrifuges sont les cylindres-axes des cellules
t confirmatif de la description donnée par Babinski et Nageotte des
fibres
olivo-7ciliaii-es (2). « Ces fibres, disent-ils,
ée par Babinski et Nageotte des fibres olivo-7ciliaii-es (2). « Ces
fibres
, disent-ils, émanant des deux olives bulbaires,
ent-ils, émanant des deux olives bulbaires,,constituent d'abord les
fibres
pré,inter et rétro- trigéminales, puis vont se
igent directement dans la toison pendant leur trajet ascendant. Ces
fibres
se ter- minent dans l'embolus et l'olive cérébe
ndent pas à l'écorce comme on l'avait supposé. A la dénomination de
fibres
olivo-cé rébelleuses, il convient donc de subst
écorce cérébelleuse et se terminant dans l'olive homolatérale ; ses
fibres
seraient les prolongements cylindraxiles des cel-
du périnèvre et du tissu con- nectif, disparition d'une quantité de
fibres
nerveuses, et lésions dégénératives en activité
postérieurs et latéraux sont sclérosés avec diminution évidente des
fibres
. Par ci, par là, dans la substance grise on tro
our nous, le mot faisceau ne doit s'appliquer qu'à un en- semble de
fibres
, se poursuivant sur une longueur appréciable et o
s de nombreuses années on a appliqué, indifféremment à la couche de
fibres
la plus externe du lobe temporo-occipital, l'une
udinal inférieur tel qu'il existe dans ce lobe, ne contient que des
fibres
de projection, il représente la couronne rayonnan
s le tome 1 (Anal. cent, nerv., pp. î73-775) : « Que la plupart des
fibres
que l'on voit se détacher de la couche sagittale
aujourd'hui : « Que le faisceau longitudinal inférieur, reçoive des
fibres
du corps genouillé externe ou lui en envoie, la c
« Ces radiations appartiennent au système visuel et forment, avec les
fibres
cortico-thalamiques postérieures, les radiation
e centre ovale et dans la cap- sule interne, le même trajet que les
fibres
cortico-thalamiques postérieures auxquelles ell
es auxquelles elles sont intimement unies . » De plus (p. 65) « ces
fibres
font partie intégrante des couches sagittales,
culier, de la couche sagittale interne ». Il est donc question de
fibres
corticifuges et de couche sagittale interne...
n'avons-nous pas eu le tourment de vaciller quant la destination des
fibres
qui assurent les connexions entre la sphère vis
ne s'agissait pas de soutenir que le faisceau longitudinal reçoit des
fibres
du corps genouillé externe ou lui en envoie, ma
ps genouillé externe ou lui en envoie, mais bien de démontrer que ces
fibres
(géniculo-calcariniennes) sont uniquement corti
2 de ['Anatomie des centres nerveux (t. II), pour apprendre que les
fibres
du segment postérieur de la couronne rayonnante
infé- 1 ieure, du lobe occipital ; en avant viennent s'ajouter les
fibres
du précunéus, du pli courbe, des circonvolution
circonvolutions pariétales supérieure et inférieure, etc. ». « Les
fibres
du segment postérieur se disposent en deux couche
ieur et avons mon- tré qu'elle contient à côté d'un grand nombre de
fibres
d'association, des fibres de projection (mais q
elle contient à côté d'un grand nombre de fibres d'association, des
fibres
de projection (mais que en 1895, on avait soigneu
sort de tout cela que les deux couches sagittales renferment et des
fibres
d'association et des fibres de projection, et q
ux couches sagittales renferment et des fibres d'association et des
fibres
de projection, et que ces dernières sont presque
ale externe, l'arrivée, au niveau du carre- four ventriculaire, des
fibres
du faisceau de Turck, des radiations cortico-ge-
rne du lobe pariéto-temporu-occipital ne sont constituées que par les
fibres
de la couronne rayonnante, que les libres d'ass
ngent géniculo-calcarinien soit très grand, on ne peut dire que ces
fibres
forment la totalité ou la presque totalité de la
tale exter- ne ». Elles sont mélangées dans cette couche « avec des
fibres
provenant de territoires corticaux autres que l
che) s. Voilà ce que nous ne saurions admettre, car d'une part, les
fibres
que la corticalité occipitale envoie aux noyaux
le interne et non la couche sagittale externe ; et d'autre part les
fibres
par lesquelles le pulvinar contribue à la forma
jamais retrouvé dans la région occipitale. Pour nous, les seu- les
fibres
qui s'unissent aux fibres géniculo-calcariniennes
égion occipitale. Pour nous, les seu- les fibres qui s'unissent aux
fibres
géniculo-calcariniennes pour constituer la couc
alcariniennes pour constituer la couche sagittale externe, sont des
fibres
et corticipètes et corticifuges, ces der- nière
ro-inférieure. Il importe d'é- liminer le secteur pariétal dont les
fibres
se disposent plutôt en une seule cou- che mal d
n de foyers prédestinée presque à interrompre la majeure partie des
fibres
géniculo-calca- riniennes). On observe (pp. 1
e la corne sphénoïdale jusqu'au noyau amygda- lien ; une partie des
fibres
dégénérées du faisceau longitudinal inférieur s'i
ce du lobe temporal dont la substance blanche est très dégé- nérée (
fibres
longues d'association), l'autre partie se recourb
é du segment limbique du faisceau longitu- dinal inférieur (longues
fibres
d'association de provenance occipitale), en adm
rrefour ventriculaire, répond en grande partie à l'interruption des
fibres
dont elles sont constituées, à un niveau incon-
yons-nous) à la section - non pas du faisceau longitudinal mais des
fibres
d'association qui l'entourent de si près et qui s
r le foyer du bord inférieur de l'hémisphère. On sait com- bien ces
fibres
sont abondantes à cet endroit ; combien intimes l
i- gne Rth. ; il doit donc s'agir de libres cortico-thalamiques, de
fibres
cortici- z 6 8 LASALLE ARCHAMBAULT fuges, mai
paroi ventriculaire inférieure, nous devons dire que pour nous, ces
fibres
normales, sont au contraire des fibres corticipèt
vons dire que pour nous, ces fibres normales, sont au contraire des
fibres
corticipètes et qu'elles'font partie du faiscea
couche sagittale interne à cet endroit, tient à la « transposition de
fibres
corticipètes et corticifuges » que nous avons s
onnaissions pas. Nous nous permettrons de l'assimiler en partie aux
fibres
de projection et de lui proposer comme origine
ision. En d'autres termes nous re- connaissons sur cette coupe, les
fibres
géniculo-calcariniennes de la couronne rayonnan
ne rayonnante postérieure ; elles constituent la majeure partie des
fibres
sagitta- les respectées. C'est au foyer profond
psule externe. « Nous savons, eu effet, qu'à ce niveau temporal les
fibres
de projection et d'association sont intimement
agittales du lobe occipito-pariéto-temporal contiennent à la fois des
fibres
corticifuges et des fibres corticipètes ». b)
riéto-temporal contiennent à la fois des fibres corticifuges et des
fibres
corticipètes ». b) Que les lésions rétro et sou
iculaires, « la dégénérescence ascendante rétrograde, cellulipète des
fibres
de projection corticales, etc. » (Rev. Neurol.,
la lésion du neurone ; nous savons', en effet, que la section d'une
fibre
nerveuse retentit sur sa cellule d'origine (on
que dans la pointe occipitale. Elle est due à la dégénérescence des
fibres
, qui, prenant leur origine dans le corps genouill
nsi qu'à la dégénérescence ascendante, rétrograde, cellulipète, des
fibres
de projection corticoles qui se terminent dans
trales circonscrites, l'at- teinte portée aux cellules mêmes ou aux
fibres
qu'elles enlacent encore, égale, la condamnatio
le, la condamnation du neurone, la suppression totale du système de
fibres
inté- ressé. Les localisations si favorables qu
ne laissent aucun doute que l'interruption de la presque totalité des
fibres
corticipètes de la couronne rayonnante postéro-
téro-inférieure se soit effectuée; non seulement l'interruption des
fibres
géniculo-calcariniennes, mais aussi « du contin
urait plus de doute possible, et sans connaître le trajet exact des
fibres
constitutives des couches externe et interne, o
rticale, et que la pyramide ,bulbaire est le do- maine exclusif des
fibres
qui constituent au niveau de la moelle les faisce
aître, M. Pierre Marie, nous avons réussi à dégager de la masse des
fibres
du fais- ceau longitudinal inférieur un conting
t ; 2° de nous étendre longuement sur l'in- timité de voisinage des
fibres
de projection et d'association, mais d'en plaider
avant nous), au faisceau longitudinal, un contingent considérable de
fibres
de projection, pourquoi, disons-nous, n'ont-ils
rnicke dans le lobe occipital ? Nous tenons à le dire, « toutes les
fibres
d'association que l'on attribue au faisceau lon
ngitudinal depuis Burdach jusqu'à nos jours, ne sont autres que les
fibres
profondes des divers faisceaux qui l'entourent et
ment rétro-lenticulaire de la capsule interne » et qui contient des
fibres
de projection. Autrement dit, « il réunit de viei
la transcription fidèle de nos propres idées : sur le voisinage des
fibres
d'associa- tion ; sur le volume réel du faiscea
p plus rapprochée. A-t-on oublié l'accueil que l'on fit en 1904 aux
fibres
parapyramidales d'origine mésencépbaiique ? Avec
érieur; que l'on a même rapproché, à notre grande satisfaction, nos
fibres
géniculo- calcariniennes des fibres pyramidales
notre grande satisfaction, nos fibres géniculo- calcariniennes des
fibres
pyramidales (liev. l7eiii-o 1., 1905, no 22, p. 1
cipital. Nous avons vu que la pyramide bulbaire ue renferme que des
fibres
d'ori- gine corticale ; par conséquent lorsqu'e
odalités si va- riables de la décussation, par l'enchevêtrement des
fibres
pyramidales avec les autres fibres du cordon at
sation, par l'enchevêtrement des fibres pyramidales avec les autres
fibres
du cordon atitéro-litéral. Bref, il faut revenir
ute l'é- tendue du domaine qu'avait reçu le faisceau classique, les
fibres
que la dégé- nérescence secondaire avait triées
téral ; il en ré- sulta une série de faisceaux secondaires dont les
fibres
sont courtes et de lon- gueur intermédiaire. Or
dont les fibres sont courtes et de lon- gueur intermédiaire. Or,ces
fibres
ne constituent pas un faisceau dans le sens pro
ropre du mot, mais une suite de faisceaux; de plus, l'ensemble de ces
fibres
n'appartient pas au même système que les autres
e spécial, au système d'association ; enfin ce sont de vérita- bles
fibres
pamlongiludinales, car on les retrouve au contact
- bles fibres pamlongiludinales, car on les retrouve au contact des
fibres
lon- gitudinales vraies en tout point du trajet
iculaire de la capsule interne où il est (à l'exemple de toutes les
fibres
du cerveau) grande- ment dissocié. - C'est la
rps genouillé externe ; entre ce niveau et le noyau amygdalien, les
fibres
qui occupent le segment latéral ou perpen- dicu
sont sectionnées (coupe frontale) sur la longueur comme le sont les
fibres
qui passent du genou et du segment postérieur de
ue l'on aborde les plans antérieurs au corps genouillé externe, les
fibres
situées au-dessous du noyau lenticulaire se dis
TUDINAL INFÉRIEUR ET LE FAISCEAU OPTIQUE CENTRAL 579 externe de ces
fibres
verticales entre le corps genouillé et le noyau a
e le corps genouillé et le noyau amygda- lien, renferme surtout des
fibres
corticipètes (on sait que le pied du pédoncule
matique dans les localisations capsulaires. Nous ajouterons que les
fibres
du faisceau optique central occupent environ les
e est grandement dissocié dans cette partie de son trajet : par les
fibres
calleuses de régions antérieures qui se rendent à
a partie postérieure du tronc du corps calleux ; par les nombreuses
fibres
d'association qui relient entre elles les circo
parées au faisceau de Vialet), et dont un bon nombre rappellent les
fibres
transverses (couches moyenne et profonde) du po
pont de Varole. Enfin cette dissociation tient à la transposition de
fibres
corticipètes et corticifuges sur laquelle nous
i que la voie motrice est recouverte de la couche superficielle des
fibres
transverses ponto-cérébelleuses, de même le fai
efour du ventricule latéral. Au-dessous de la paroi inférieure, les
fibres
du faisceau optique ne se localisent pas entièrem
n ventriculaire. Enfin en arrière du bourrelet du corps èalleux les
fibres
du faisceau optique 580 ' LASALLE ARCHAMBAULT
pyramide optique ; elle est excavée mais non moins précieuse. Les
fibres
du faisceau optique central se terminent surtout
qu'elle n'est pas en relation immédiate avec le reste de l'écorce (
fibres
commissurales et d'association). Ce n'est donc pa
externe ; ce noyau reçoit, d'après von Monakow, environ 80 0/0 des
fibres
rétiniennes. Nous croyons que ce ganglion prima
que ventral. D'après nos connaissances actuelles, le complément des
fibres
optiques (le moindre nombre) se rend au pulvina
: les radiations thalamiques de la sphère rétinienne ? De plus,ces
fibres
thalamiques répondraient aux libres que chaque ne
vont au corps quadrijumeau. elles sont comme les pré- cédentes, des
fibres
rétiniennes directes ; elles concourent à former
corps genouillé externe pour arriver à leur noyau pédonculaire. Ces
fibres
quadrigéminales abordent donc les divers niveaux
t l'analogue du type pyramidal. La rétine envoie la majorité de ses
fibres
au corps genouillé externe, mais l'existence de
orité de ses fibres au corps genouillé externe, mais l'existence de
fibres
allant en sens inverse n'est admise que par cer
s nous dirons que nous nous rallions à l'idée qu'un petit nombre de
fibres
passent des noyaux centraux dans la bandelette
ur ou des amas ganglionnaires profonds de l'aqueduc de Sylvius. Ces
fibres
mésen- céphaliques rappellent les fibres que l'
l'aqueduc de Sylvius. Ces fibres mésen- céphaliques rappellent les
fibres
que l'on a décrites comme venant des cornes ant
la voie optique. On sait que le lobe occipital envoie de nombreuses
fibres
aux ganglions in- fracorticaux : corps genouill
ieur et pnlvi- nar, c'est-à-dire aux noyaux mêmes qui reçoivent les
fibres
rétiniennes. Mais, tandis que la rétine entre e
ne envoie : - 1° Au corps genouillé externe 80 0/0 (environ) de ses
fibres
. 2° Au corps quadrijumeau antérieur les libres
u, la couche superficielle. 3° Au pulvinar, un très petit nombre de
fibres
. b) Le lobe occipital envoie : 1° Au corps ge
obe occipital envoie : 1° Au corps genouillé externe, les 20 0/0 de
fibres
corticales qui lui man- quent ; ce sont les rad
ce cal- carinienne qui seule correspond à la rétine. Pour nous, ces
fibres
proviennent des circonvolutions de la face exte
oyenne. 3° Au pulvinar (de la totalité de son écorce) de nombreuses
fibres
, des ra- diations thalamiques. C'est de la sphè
ond neurone et nous croyons qu'il est relié à son semblable par des
fibres
commissurales qui passent par la com- missure p
nnel, l'analogue du noyau ventral de la couche optique qui reçoit les
fibres
du ruban de Reil. Mais le corps genouillé exter
entral pour s'irradier dans l'écorce; certainement que de nouvelles
fibres
prennent naissance dans la couche optique et se
a partie postérieure de la région rolandique, ce sont de véritables
fibres
tllalamo-corticales qui trans- mettent les impu
tent les impulsions sensitives à la zone motrice. Mais pour nous, ces
fibres
sont peu nombreuses en comparaison avec le volu
. Ce centre ganglionnaire de la vision reçoit la majeure partie des
fibres
ré- tiniennes, mais nous avons vu que la rétine
c le reste de la corticalité à l'aide de libres commissurales et de
fibres
d'association. Nous croyons qu'il est très probab
semblable. La zone rolandique reçoit dans sa partie postérieure les
fibres
thalamo-cor- ticales destinées à transmettre le
uillées ; dans sa partie inférieure et antérieure que pénètrent les
fibres
rétiniennes. Les fibres cortico- genouillées ne
inférieure et antérieure que pénètrent les fibres rétiniennes. Les
fibres
cortico- genouillées ne proviennent pas de la s
ons que la commissure postérieure renferme un certain nombre de ces
fibres
. Quant à la grande commissure visuelle, elle se r
à ce qui se passe dans la moelle, il n'y a pas d'entrecroisement des
fibres
rétiniennes temporales. D'ailleurs, les fibres
'entrecroisement des fibres rétiniennes temporales. D'ailleurs, les
fibres
de la bandelette optique s'enche- vêtrent telle
de l'autre des faisceaux rétiniens. Quoi qu'il en soit, toutes les
fibres
optiques se terminent dans les ganglions primai
la vision et nous croyons que le corps genouillé externe envoie des
fibres
à la commissure postérieure à même titre que le p
inar et le corps quadrijumeau antérieur. Nous ne disons pas que ces
fibres
sont nombreuses, mais nous en avons certainemen
euses, mais nous en avons certainement vu dans deux de nos cas. Ces
fibres
com- missurales peuvent représenter des fibres
deux de nos cas. Ces fibres com- missurales peuvent représenter des
fibres
rétiniennes nasales ou maculaires qui s'entrecr
nne rayonnante du lobe occipital contra-latéral ; enfin, de simples
fibres
agenouil- lées commissurales. LE FAISCEAU LON
que le faisceau maculaire n'abandonne que le moindre nombre de ses
fibres
au corps genouillé, que ce sont surtout le corp
la corticalité cérébrale, mais nous croyons que la majorité de ses
fibres
passent dans les régions inférieures du tronc e
inien ». Ce faisceau est la continuation de la proportion 80 0/0 de
fibres
rétiniennes qu'a reçue le corps genouillé, quel
llé, quel que soit le caractère de ce contingent ; qu'il renferme des
fibres
nasales, temporales ou maculaires ; qu'il s'agi
est exclusivement rétinien, le second exclusivement genouillé ; les
fibres
extra-cérébrales proviennent de l'écorce visuel
ales proviennent de l'écorce visuelle périphérique (la rétine), les
fibres
intra-céréhrales se termi- nent dans la sphère
du tronc encéphali- que. Elle se sépare au niveau du pédoncule, des
fibres
corticales destinées aux noyaux moteurs des ner
ualité. Il en est absolument ainsi du faisceau optique central. Ses
fibres
font partie intégrante des couches sagittales e
couches sagittales et s'enchevêtrent plus ou moins avec les autres
fibres
de la couronne rayonnante, mais ce faisceau trave
c'est également ici que se dessine une moelle assez véritable. Les
fibres
du faisceau optique se déploient lentement et f
vons dit, ce cercle n'est pas d'épaisseur uniforme. La majorité des
fibres
géniculo-calcariniennes occupent la moitié infé
du cunéus. Il se fait donc un entrecroisement quelconque entre les
fibres
optiques des- tinées à l'une et à l'autre des l
constatations nous permettent d'affirmer qu'un entrecroisement des
fibres
géniculo-calcariniennes de chaque hémisphère a
chaque hémisphère a lieu. La décussation ne se fait que lorsque les
fibres
du segment latéral ont contourné la corne ventric
oyons que cet entrecroisement n'intéresse qu'un nombre restreint de
fibres
optiques. En second lieu, il est un autre fait
ur destination, elles affectent le trajet le plus court. Ainsi, les
fibres
qui se détachent des angles supéro-externe et inf
sceaux de la voie pyramidale à être refoulés, déplacés ; les autres
fibres
s'enchevêtrent avec les fibres géniculo-calcarini
être refoulés, déplacés ; les autres fibres s'enchevêtrent avec les
fibres
géniculo-calcariniennes, surtout le long de la
mble classique, son cachet véritable. Quel est ce faisceau dont les
fibres
de toute longueur existent à l'état de pu- reté
terne (partie postéro-inférieure) et se retrouvent encore parmi les
fibres
sagittales au niveau du globus pallidus lenticu
érantielle (1 pl.), 383. NAGEOTTE. Régénération collatérale des
fibres
nerveuses terminées par des mas- sues de croiss
et faisceau optique rentrai, par L \5 \LLf;-AHCII,UIU,\ULT, 103.
Fibres
nerveuses terminées par des massues de croissan
ions) (J.-C. Roux et J. HEiTz), XLVIII, XLIX, L. Régénération des
fibres
nerveuses (J. NA- GCOTTE), XXXIV, XXXV, XXXVI,X
n du canal central, et, dans le lobule paracentral, raréfaction des
fibres
à myéline, disparition presque complète des fib
raréfaction des fibres à myéline, disparition presque complète des
fibres
tangentielles. Dans son second cas, il trouve d
de leurs prolongements ; enfin, au Weigert-Pal, la raréfaction des
fibres
tangentielles. Il pense, en définitive, que l'a
interstitiels allon- gés, sans cellules rondes, et sans lésions des
fibres
musculaires, des ter- minaisons nerveuses ou de
M. Babinski, pour mettre en évidence le groupement systématique des
fibres
dans les territoires radiculaires. Ce travail m
synonymie des termes anatomiques qui seront employés. La zone des
fibres
qui borde immédiatement la substance grise, corne
e de Flechsig ; c'est, ainsi que nous le verrons, une région où les
fibres
de di- verses origines sont mêlées, d'où il sui
ppe à sa partie in- férieure, est un faisceau endogène descendant à
fibres
longues, qui, dans la région lombaire, passe au
s de gros calibres, quelques tubes fins, à peine plus nombreux, des
fibres
où la myéline affecte la disposition en boules ca
tense des4e et 5e lombaires, avec conservation d'un certain nombre de
fibres
fines dans ces 2 dernières paires. Dans la mo
uite nous synthétiserons les notions acquises sur chaque système de
fibres
. ' z 5e Sacrée. - Le triangle sacré médian est
um médian à la périphérie. En avant, ce trian- gle se relie par des
fibres
isolées à la zone cornu-commissurale. Dans cett
ommissurale. Dans cette zone il ne reste qu'un très petit nombre de
fibres
disposées sur une ligne mince qui borde la comm
latineuse. Tout le reste des cordons postérieurs est rempli par des
fibres
radiculaires dégénérées ou en voie de dégénéres
res radiculaires dégénérées ou en voie de dégénérescence et par des
fibres
verticales fines, saines, uniformément répartie
formément réparties sur toute l'étendue des cordons postérieurs ; ces
fibres
sont probablement en rapport de continuité avec
rs ; ces fibres sont probablement en rapport de continuité avec des
fibres
horizontales de mê- (l)-Je me suis servi, pour
de la coloration ; 2o la coloration très pré- cise et très sûre des
fibres
à myéline les plus fines (substance grise) ; 3° l
éparpillés en éventail ; le septum médian contient beaucoup de ces
fibres
. Les fibres collatérales réflexes et les faisce
en éventail ; le septum médian contient beaucoup de ces fibres. Les
fibres
collatérales réflexes et les faisceaux radicula
rticaux, sont détruits, mais les zones de Lissauer et le réseau des
fibres
fines de la corne postérieure sont intactes. Il e
due du septum médian et se confond en arrière avec des faisceaux de
fibres
conservées qui occupent l'angle antérieur des c
ascicules arrondis séparés par un réticulum de substance grise. Ces
fibres
endogènes de la zone cornu-commis- surale s'éte
n avant, le triangle se confond avec une masse assez volumineuse de
fibres
endogènes groupées le long de la commissure ; l'e
emble figure la coupe verticale d'un champignon à pied bulbeux. Les
fibres
endogènes de la zone cornu-commissurale ne s'ét
e faisceau est devenue plus pâle, par suite de son mélange avec des
fibres
radiculaires dégénérées (fig. 1 et 2). lre Sa
elle une mince bordure le long de la portion élargie du septum. Les
fibres
conservées de la région cornu-commissurale ont au
ostérieure ; de là elles envoient vers le trian- gle une traînée de
fibres
qui sont mêlées à des fibres radiculaires. Le lon
ient vers le trian- gle une traînée de fibres qui sont mêlées à des
fibres
radiculaires. Le long du septum, dans son 1/3 a
rieur, il se forme une zone plus pâle, plus riche par conséquent en
fibres
radiculaires, qui va en s'élargissant vers la com
ibres radiculaires, qui va en s'élargissant vers la commissure. Les
fibres
saines de gros calibre se répandent d'ailleurs da
plus nombreuses qu'on s'approche de la zone cornu-commissurale; ces
fibres
sont également plus nombreuses autour du triang
envoie de là jusqu'à la périphérie de la moelle une mince ligne de
fibres
accolées au septum.Les fibres conservées de la zo
hérie de la moelle une mince ligne de fibres accolées au septum.Les
fibres
conservées de la zone cornu-commissurale ont ac
e la région commissurale moyenne est devenue très pâle. Les grosses
fibres
conservées disséminées dans les cordons sclérosés
soit parce que la IL,, lombaire contient déjà un certain nombre de
fibres
fines intactes, le bord de la corne postérieure c
intactes, le bord de la corne postérieure commence à se regarnir de
fibres
. Ici le triangle médian forme une ligne minuscule
ion du tiers postérieur avec les deux tiers antérieurs du septum. Les
fibres
conservées de la zone cornu-commissurale sont n
diane de cette zone est très pâle, presque complètement dégarnie de
fibres
. Les fibres grosses disséminées dans la zone sclé
te zone est très pâle, presque complètement dégarnie de fibres. Les
fibres
grosses disséminées dans la zone scléreuse n'ont
touche par sa pointe la zone d'entrée de la racine postérieure.Les
fibres
endogènes fines deviennent moins nombreuses dan
le. Les collatérales réflexes sont normales ainsi que les gros- ses
fibres
du réseau des cornes postérieures; les faisceaux
n de la corne postérieure ne changent pas d'aspect à ce niveau. Les
fibres
conservées de la zone cornu-radiculaire ont dimin
diculaires a augmenté de volume, en gardant sa forme; toutefois les
fibres
envahissent d'une façon diffuse la branche tran
nsversale de l'équerre formée par la région sclérosée. En avant les
fibres
radiculaires recouvrent le bord de la corne an ni
découverte par la sclérose, ne contient qu'une bordure très pâle de
fibres
conservées. 4e Lombaire. C'est à ce niveau que
ransversale de la sclérose est presque complètement remplie par des
fibres
radiculaires ; elle conserve néanmoins une teinte
le. La branche antéro-postérieure contient un assez grand nombre de
fibres
grosses, éparses ; par contre, les fibres fines
un assez grand nombre de fibres grosses, éparses ; par contre, les
fibres
fines deviennent plus rares. . 10e Dorsale. On
niveau, à l'envahissement de la zone com- missurale par de grosses
fibres
, qui sont vraisemblablement d'origine radicu- l
t moins nets et cette région est envahie, surtout en avant, par des
fibres
saines éparses. 8e Dorsale. La région sclérosée
ié antérieure du bord externe de la sclérose, une zone mixte où les
fibres
se mélangent à parties égales avec les fibres d
une zone mixte où les fibres se mélangent à parties égales avec les
fibres
dégénérées. A la 5e dorsale le cordon de Goll t
sclérose aboutit à la partie postéro- interne du noyau grêle ; les
fibres
bondant la face externe du noyau sont in- tacte
sion transverse de la moelle dorsale, on est porté à croire que les
fibres
radiculaires des premières lombaires, ici épargné
l- à la région cervicale il existe un semis très discret de grosses
fibres
conservées. On aperçoit également des fibres fi
très discret de grosses fibres conservées. On aperçoit également des
fibres
fines, mais en moins grand nombre que dans les
es, mais en moins grand nombre que dans les régions inférieures ; ces
fibres
verticales semblent être en rapport de continui
res verticales semblent être en rapport de continuité avec quelques
fibres
horizon- tales de même aspect qui cheminent dan
uer et le réticulum fin de la corne postérieure. Tous ces systèmes de
fibres
ont la même richesse et la même étendue que dan
si on le compare à l'état normal, on voit qu'il est moins fourni de
fibres
; cette lésion extrême- ment légère et diffuse
le cas de dégénérescence de la queue de cheval : il s'y ajoute des
fibres
radiculaires conservées et l'on peut considérer
septum médian, un peu en avant de son milieu. Ce faisceau médian de
fibres
radiculaires con- servées prend une extension d
lure que cette zone est formée, au moins en majeure partie, par des
fibres
radiculaires qui, de même que celles du cen- tr
pa- rée de la corne sur toute son étendue par une zone marginale de
fibres
saines, mais elle va toucher la zone d'entrée p
visées en deux catégories distinctes suivant qu'elles ont.trait aux
fibres
endogènes de la moelle ou bien aux fibres radicul
nt qu'elles ont.trait aux fibres endogènes de la moelle ou bien aux
fibres
radiculaires, C'est dans cet ordre que je cherc
uter. Dans 28 NAGEOTTE ' un premier chapitre j'étudierai : 1° les
fibres
endogènes des cordons posté- rieurs ; 2° celles
sacrées ; 2° à l'agencement des différents systèmes élémentaires de
fibres
dans le territoire de chaque racine dans la moell
on travail, l'observation II me fournira des documents précieux. I.
Fibres
endogènes. L'observation I est extrêmement favo
endogènes. L'observation I est extrêmement favorable à l'étude des
fibres
endogènes parce que la destruction des fibres r
vorable à l'étude des fibres endogènes parce que la destruction des
fibres
radiculaires est complète sur une très grande é
ce est restée cantonnée au neurone périphéri- que, sans envahir des
fibres
qui, dans d'autres observations étaient atteint
rénale, il existait une dégénérescence des zones de Lissauer et des
fibres
fines de la corne postérieure ; dans mon observ
re, les zones de Lissauer sont absolument intactes, de même.que les
fibres
fines de la substance grise. Le fait que dans u
stance grise. Le fait que dans un cas, même unique, ces systèmes de
fibres
ont pu ne pas dégénérer après une destruction r
l est possible à la rigueur qu'il existe, en effet, des systèmes de
fibres
endogè- nes tellement sensibles à l'action de l
vail ; 2° qu'il n'existe, suivant toute vraisemblance, pas d'autres
fibres
endogènes que celles qui sont conservées dans c
ÈNES DANS LES CORDONS POSTÉRIEURS. Il apparaît tout d'abord que les
fibres
endogènes sont, relativement au nombre des fibr
t d'abord que les fibres endogènes sont, relativement au nombre des
fibres
radiculaires, très peu abondantes dans les cordon
\ vent être divisées en deux catégories absolument distinctes : 4°
fibres
en- dogènes fines, 2° fibres endogènes grosses.
catégories absolument distinctes : 4° fibres en- dogènes fines, 2°
fibres
endogènes grosses. Cette distinction ne me paraît
nt à la réalité des faits. Noyées à l'état normal dans la masse des
fibres
radiculaires, les fibres endogènes sont isolées d
. Noyées à l'état normal dans la masse des fibres radiculaires, les
fibres
endogènes sont isolées dans l'obser- 30 NAGHOTT
endogènes sont isolées dans l'obser- 30 NAGHOTTE z vation où les
fibres
radiculaires ont dégénéré et la division que je v
igert-Pal (rig.,I) ; il est facile de retrouver ces deux espèces de
fibres
dans une moelle normale, où les fibres fines se m
etrouver ces deux espèces de fibres dans une moelle normale, où les
fibres
fines se montrent avec la même abondance que da
on I ; enfin on peut constater que dans le tabes ces deux espèce^de
fibres
sont moins atteintes que les fibres radiculaire
dans le tabes ces deux espèce^de fibres sont moins atteintes que les
fibres
radiculaires, bien qu'il y ait à un moment donn
oment donné une atteinte portée sur elles et principalement sur les
fibres
fines. 4° FIBRES ENDOGÈNES FINES. '- Avant d'en
einte portée sur elles et principalement sur les fibres fines. 4°
FIBRES
ENDOGÈNES FINES. '- Avant d'entrer dans la descri
IBRES ENDOGÈNES FINES. '- Avant d'entrer dans la description de ces
fibres
, telles qu'elles apparaissent dans l'observation
elles apparaissent dans l'observation I, après l'effondre- ment des
fibres
radiculaires, je dois indiquer pour quelles raiso
s, je dois indiquer pour quelles raisons je les considère comme des
fibres
, endogènes légitimes. On pourrait en effet me f
s légitimes. On pourrait en effet me faire deux objections : 1° ces
fibres
sont des fibres radiculaires épargnées, provena
pourrait en effet me faire deux objections : 1° ces fibres sont des
fibres
radiculaires épargnées, provenant des racines l
ibres radiculaires épargnées, provenant des racines lésées ; 2" ces
fibres
sont des fibres radiculaires à trajet descendan
es épargnées, provenant des racines lésées ; 2" ces fibres sont des
fibres
radiculaires à trajet descendant, qui provienne
sacrées ne contiennent plus qu'un nombre excessivement restreint de
fibres
fines, peut-être pas 10 par racine, et que les tr
ntes, alors qu'au niveau de la troi- sième sacrée, par exemple, les
fibres
fines des cordons postérieurs sont si nombreuse
objection, elle ne résiste pas mieux à l'examen ; en effet, si les
fibres
fines, et en particulier celles de la zone de Lis
que l'on descend. Or, il n'en est rien ; le nom- bre absolu de ces
fibres
diminue naturellement à mesureque l'on s'approche
nale, mais leur densité reste la même ; à moins de supposer que ces
fibres
, provenant des racines supérieures et destinées a
es lombo-sacrées, on est donc forcé d'admettre que ce sont bien des
fibres
endogènes légiti- mes. Les fibres endogènes f
d'admettre que ce sont bien des fibres endogènes légiti- mes. Les
fibres
endogènes fines ont un diamètre qui, pour la plup
, est inférieur à 1/2 . Elles se présentent sous trois aspects : a)
fibres
horizon- z tales, b) fibres verticales dissémin
s se présentent sous trois aspects : a) fibres horizon- z tales, b)
fibres
verticales disséminées, c) zone de Lissauer ou fi
- z tales, b) fibres verticales disséminées, c) zone de Lissauer ou
fibres
verticales conglomérées. Il est vraisemblable q
e les deux premières catégories n'en font qu'une en ce sens que les
fibres
verticales ne sont autre chose que les fibres h
ne en ce sens que les fibres verticales ne sont autre chose que les
fibres
horizontales qui ont changé de direction ; on peu
horizontales qui ont changé de direction ; on peut supposer que ces
fibres
sortent horizontalement de la substance grise pou
rsqu'elles sont arrivées dans les cordons; il se peut aussi que les
fibres
horizontales représentent, pour une certaine part
ntales représentent, pour une certaine part, le trajet de ces mêmes
fibres
lorsqu'elles rentrent dans la substance grise. Né
faits directement observés, je décrirai à part ces trois aspects de
fibres
endogènes fines. a) Fibres endogènes fines hori
e décrirai à part ces trois aspects de fibres endogènes fines. a)
Fibres
endogènes fines horizontales. Ces fibres forment
fibres endogènes fines. a) Fibres endogènes fines horizontales. Ces
fibres
forment de petits fascicules qui sortent dé la
bien qu'ils finissent par être réduits chacun à un petit nombre de
fibres
qui se frayent leur chemin en serpentant au milie
bres qui se frayent leur chemin en serpentant au milieu des grosses
fibres
radiculaires verticales. Les plus antérieurs se d
rec- tement en dedans vers le septum ; ils se trouvent là mêlés aux
fibres
endo- gènes grosses que nous étudierons plus lo
in, et ils les séparent en tranches transversales, un peu comme les
fibres
arciformes du bulbe divisent les fibres du ruba
sversales, un peu comme les fibres arciformes du bulbe divisent les
fibres
du ruban de Reil ; mais dans le cordon postérieur
moins accusée que dans le ruban de Reil. Les fasci- Fie. 1. Obs. I.
Fibres
endogènes grosses et fines des cordons postérieur
deux portions de la zone de Lissauer par des fascicules obliques de
fibres
fines endogènes. 32 NAGEOTTE cules moyens et
squés par les tractus des collatérales-réflexes, qui sont formés de
fibres
beaucoup plus grosses, mais qui suivent le même
. Le septum médian,'à la région sacrée, contient un grand nombre de
fibres
semblables, qui paraissent provenir de la commi
a région cervicale il en contient encore, mais beaucoup moins. b)
Fibres
endogènes fines, verticales, éparses. Ces fibres
beaucoup moins. b) Fibres endogènes fines, verticales, éparses. Ces
fibres
forment un semis très régulier et assez serré d
ort peu, dans le cordon de Goll (fig. 3). c) Zones de Lissauer ou
fibres
endogènes fines verticales conglomérées. - Les
sont, suivant toute vraisemblance constituées nni- quement par des
fibres
endogènes fines, et c'est ci tort qu'elles sont c
ment pas de ce qu'elle est dans une moelle normale. Fio. 2. Obs. I.
Fibres
endogènes fines horizontales et verticales dissém
gion moyenne des cordons postérieurs, au niveau de la IIe sacrée. Ces
fibres
restent intactes au milieu de blocs irréguliers
tes au milieu de blocs irréguliers de myéline altérée provenant des
fibres
radiculaires dégénérées. Fief. 3. Obs. I. Fibre
ée provenant des fibres radiculaires dégénérées. Fief. 3. Obs. I.
Fibres
endogènes fines horizontales et verticales dans l
ettes de l'observation I avec la réalité d'une continuité entre les
fibres
des zones de Lissauer les fibres fines des raci
réalité d'une continuité entre les fibres des zones de Lissauer les
fibres
fines des racines postérieures serait la suivante
les fibres fines des racines postérieures serait la suivante : les
fibres
de ces zones seraient non pas afférentes, mais co
de ces zones seraient non pas afférentes, mais constitueraient les
fibres
efférentes signalées dans les racines postérieure
ns les racines postérieures par différents au- teurs et de plus ces
fibres
auraient subi la dégénérescence rétrograde depu
e qui concerne l'origine des libres ; il crut voir des faisceaux de
fibres
fines passer direc- tement des racines dans ce
dans ce territoire médullaire, et c'est pourquoi il ad- mit que les
fibres
fines de sa zone marginale n'étaient autre chose
de sa zone marginale n'étaient autre chose que la prolongation des
fibres
radiculaires de petit calibre des racines. C'est
ent remarquable dans La- 1 structure de la racine postérieure ; les
fibres
radiculaires qui entrent dans/1 la moelle perde
t Redlich, un petit espace démyélin au point de transition entre la
fibre
radiculaire extra-médullaire et la' meme Bure c
mère ; cette zone, répondant à l'espace démyélinisé de chacune des
fibres
, est assez large ; elle est presque incolore da
aussi est-il impossible de suivre effectivement la continuité d'une
fibre
d'un bord l'autre de cette zone de démarcation,
cette zone de démarcation, et cela d'autant plus qu'à ce niveau les
fibres
radiculaires sont coupées obliquement, par suit
lisable pourtant sur l'adulte, on ne peut donc pas affirmer que telle
fibre
ou tel paquet de fibres intra-médullaires conti
ulte, on ne peut donc pas affirmer que telle fibre ou tel paquet de
fibres
intra-médullaires continue telle fibre ou tel paq
elle fibre ou tel paquet de fibres intra-médullaires continue telle
fibre
ou tel paquet de fibres extra-médullaires; il f
t de fibres intra-médullaires continue telle fibre ou tel paquet de
fibres
extra-médullaires; il faut se contenter de dire q
de fibres extra-médullaires; il faut se contenter de dire que telle
fibre
sem- ble continuer telle autre fibre, ce qui n'
se contenter de dire que telle fibre sem- ble continuer telle autre
fibre
, ce qui n'est pas la même chose. Ce n'est pas t
Lissauer des sortes de ponts formés par des fas- cicules aplatis de
fibres
fines obliques qui se glissent entre les fascicul
laires. Ces fascicules, très nombreux, s'inlercalent même entre les
fibres
d'un même fascicule radiculaire et ils s'infléchi
a-médullaire des fascicules radiculaires : il résulte de là que les
fibres
de ces fascicules, obliques comme celles des raci
produit presque fatale- ment en certains points, d'où l'on voit ces
fibres
, que l'on prend pour des fibres radiculaires, p
certains points, d'où l'on voit ces fibres, que l'on prend pour des
fibres
radiculaires, pénétrer effectivement dans les zon
n question contenait encore de 1/10 à 1/8 de la somme totale de ses
fibres
à l'état normal et l'auteur pa- raît avoir eu b
ien de la peine à trouver dans les racines un nombre suffi- sant de
fibres
fines conservées pour s'expliquer à lui-même la c
r la sclérose intense des cordons postérieurs ; la diminu- tion des
fibres
variait approximativement entre 1/2 et 3/4. L'un
es racines postérieurs portée à son maximum à la région sacrée, les
fibres
fines de la portion externe comme de la portion
labes une dégénérescence tertiaire; elle appartient aux lésions des
fibres
endogènes qui sont à un moment donné la conséqu
m'a paru être en rapport avec la lésion du réticulum formé par les
fibres
fines de la 36 NAGEOTTE . corne postérieure.
les zones de Lissauer sont le plus altérées, sont aussi ceux où les
fibres
fines à myéline sont le plus raré- fiées dans l
ussion, je dirai que les zones de Lissauer sont constituées par des
fibres
endogènes fines verticales, qui sont conden- sé
sont conden- sées en ce point, au lieu d'être éparses au milieu des
fibres
radiculaires comme elles le sont dans le reste
s, se relieà une dégénérescence éga- lement tertiaire du réseau des
fibres
fines de la corne postérieure. 2° Fibres ENDOGÈ
nt tertiaire du réseau des fibres fines de la corne postérieure. 2°
Fibres
ENDOGÈNES GROSSES. Ces fibres constituent, à la r
res fines de la corne postérieure. 2° Fibres ENDOGÈNES GROSSES. Ces
fibres
constituent, à la région lom- bo-sacrée, deux f
ces observations, en effet l'une des formations endogènes à grosses
fibres
, le triangle sacré médian, est seule dégénérée
chose que la terminaison d'un système médio-périphérique de longues
fibres
qui, situées latéralement à la périphérie de la
égion lombaire, se rappro- (1) NAGBOTTE et ETTLINGER, Etude sur les
fibres
endogènes descendants des cordons postérieurs d
iangle de Gombault et Philippe. Dans ces cas il est évident que les
fibres
lésées ont effectué leur trajet entre la portion
ion médiane à l'état isolé, et qu'il a été impossible de suivre ces
fibres
noyées dans les fibres radiculaires soit par la m
olé, et qu'il a été impossible de suivre ces fibres noyées dans les
fibres
radiculaires soit par la méthode de Marchi, soi
'est à ce type de moelle que répond celle de l'observation I où les
fibres
cessent pro- gressivement d'être 'conglomérées
Theohari appartiennent à la catégorie des moelles où le passage des
fibres
de la périphérie à la région médiane se fait, en
ait, en totalité ou en partie, par l'intermédiaire d'un faisceau de
fibres
conglomérées. Je n'insisterai pas sur ces diffé
n'est moins exact; tout en admettant à tort la nature endogène des
fibres
du centre ovale deFlechsig, nous avons déjà, Et
miné par la méthode des dégénérescences, je suppose l'existence de
fibres
qui lui sont communes avec le champ ovale, mais
période plus tardive du dé- veloppement des cordons postérieurs les
fibres
à myéline sont plus denses l'homme d'après la m
hsig, au milieu duquel il existe, le long du sep- tum, un groupe de
fibres
plus avancées dans leur développement. FiG. 14.
zé. Foetus de 9 mois, 1110 sacrée. Triangle sacré (0) formé par des
fibres
déjà complètement myélinisées; ces fibres sont
e sacré (0) formé par des fibres déjà complètement myélinisées; ces
fibres
sont les mêmes que celles qui sont représentées a
ndis qu'à une phase plus précoce du développement de l'embryon, les
fibres
myélinisées sont au contraire plus rares que da
ment radicale que le centre ovale de Flechsig est constitué par des
fibres
exogènes, tandis que les fibres du faisceau médio
e de Flechsig est constitué par des fibres exogènes, tandis que les
fibres
du faisceau médio- périphérique sont endogènes,
angle de Gombault et Philippe con- tiendrait un très grand nombrede
fibres
radiculaires. Je ne puis souscrire à cette opin
e ne puis souscrire à cette opinion ; il existe sans doute quelques
fibres
radiculaires éparses dans ce faisceau, mais l'i
diculaires éparses dans ce faisceau, mais l'immense majorité de ses
fibres
est de nature en- dogène. Dans l'observation de
usqu'à la 4° sacrée, qu'ils tentent d'ex- pliquer par un passage de
fibres
radiculaires postérieures dans ces régions ; de
crée, ce faisceau est constitué par des fihres éparses au milieu de
fibres
radiculaires. Ces fibres, au-dessus de la 1 ? s
stitué par des fihres éparses au milieu de fibres radiculaires. Ces
fibres
, au-dessus de la 1 ? sacrée, tendent à se condens
ns postérieurs sont tout à fait indécises ; dans le grand nombre de
fibres
qui, de cette zone marginale, paraissent (1) P.
s de la moelle, il est impossible de distinguer celles qui sont des
fibres
endogènes de celles qui appartiennent aux branc
Ces dernières semblent être assez nombreuses, car le nombre de ces
fibres
éparses augmente rapidement lorsqu'on se rapproch
entre de chaque cordon il partir de la 1e sacrée. En tout cas les
fibres
conservées de la zone marginale dans l'observa-
adicu- laire antérieure de Flechsig, ne contient en arriére que des
fibres
radi- culaires et en avant un mélange défibres
bres radi- culaires et en avant un mélange défibres endogènes et de
fibres
radiculai- res où ces dernières ont de beaucoup
on considérable des tis- sus, qui rapproche les unes des autres les
fibres
restées saines et qui transforme une zone large
autres les fibres restées saines et qui transforme une zone large à
fibres
endogènes clairsemées en une zone étroite, à fi
ne zone large à fibres endogènes clairsemées en une zone étroite, à
fibres
endogènes plus tassées. Tels sont les faits que
es plus tassées. Tels sont les faits que j'ai pu recueillir sur les
fibres
endogènes des cordons postérieurs à la région l
vations qui servent de base au présent mémoire. Avant dp passer aux
fibres
endogènes de la substance grise, je ferai remar-
la méthode de Golgi. Voici en effet ce que M. Ramon y Cajal dit des
fibres
endogènes des cordons postérieurs dans son magnif
n excellent ami le Dr Léon Azoulay. 42 NAGEOTTE quantité de ces
fibres
endogènes, ni de préciser le lieu de la substance
es préparations au chromate d'argent nous apprennent, c'est que ces
fibres
sont fines et que, au lieu de former dans les c
es cordons postérieurs un groupe bien délimité, elles se mêlent aux
fibres
radiculaires; elles se concentrent néanmoins plus
ons. Dans toutes ces régions il existe à l'état normal un réseau de
fibres
à myéline qui sont les unes grosses, les autres
e fibres à myéline qui sont les unes grosses, les autres fines. Les
fibres
grosses for- ment des fascicules qui contournen
e un amas transversal de fascicules arrondis,ver- ticaux, formés de
fibres
grosses, qui semblent à certains niveaux décapite
bord interne de la corne s'échappent vers la substance blanche les
fibres
fines que j'ai décrites plus haut sous le nom de
blanche les fibres fines que j'ai décrites plus haut sous le nom de
fibres
endogènes fines horizontales des cordons postér
les faisceaux qu'elles forment se perdent bientôt dans le réseau des
fibres
à myéline fines. De l'observation I du présen
s. De l'observation I du présent mémoire, il résulte que toutes les
fibres
grosses sont radiculaires,puisqu'elles ont comp
n aurait pu prévoir, la totalité ou au moins l'immense majorité des
fibres
fines sont de nature endogène, puisque le résea
l'altération et quels rapports existent entre la disparition de ces
fibres
et celles de la zone de Lissauer. Un point à si
n I. Ce fait prouve que si les raci- nes lombo-sacrées envoient des
fibres
aux colonnes de Clarke, comme on l'admet habitu
olonnes de Clarke, comme on l'admet habituellement,le nombre de ces
fibres
est extrêmement restreint. Il est beaucoup plus
e par les racines dorsales et les deux premières lombaires. II. -
Fibres
radiculaires. L'observation I montre le trajet
ntent d'autre lésion qu'une légère diminution diffuse du nombre des
fibres
à myéline, visibles surtout par comparaison ave
qui se continue sans interruption du haut en bas de la moelle. Les
fibres
endogènes sont complètement intactes (zones de Li
scussions antérieures sur la valeur des mots système élémentaire de
fibres
et affection systématique (1). Ce qui me paraît
ait encore un choix entre les différents systèmes élé- mentaires de
fibres
qui constituent les racines postérieures. (4) E
te externe, telle que l'a décrite Pierret, comme une des étapes des
fibres
radiculaires dans le trajet obli- que en haut e
s (Traité de médecine de Brouardel et Gilbert, t. IX, p. 821) « les
fibres
qui sont comprises dans les bandelettes externe
les cordons de Goll le sont également, puis- qu'ils contiennent les
fibres
qui occupent les bandelettes externes dans les
lechsig, loc. cit. ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 47 de
fibres
, appartenant aux racines postérieures évidemment,
e de la bandelette externe à la région lombo-sacrée, prouve que les
fibres
détruites sont des fibres courtes ou moyennes, et
à la région lombo-sacrée, prouve que les fibres détruites sont des
fibres
courtes ou moyennes, et non des fibres longues.
es fibres détruites sont des fibres courtes ou moyennes, et non des
fibres
longues. Cette démonstration résulte aussi de cet
oportionnel au volume des racines postérieures. Où donc passent les
fibres
longues des racines ? Il est peu probable que c
assent les fibres longues des racines ? Il est peu probable que ces
fibres
constituent les fibres, trop peu nombreuses, qui
es des racines ? Il est peu probable que ces fibres constituent les
fibres
, trop peu nombreuses, qui sont conservées dans
autre part, la zone radiculaire antérieure n'est pas réservée à ces
fibres
longues, comme le montre son remplissage immédi
ent touchés, le cordon de Goll est moyennement touché; si enfin les
fibres
des champs postéro-externes ont complètement disp
usement exact. D'où je conclus que dans les cordons postérieurs les
fibres
longues des racines passent par la zone radicul
re moyenne, ou bandelette de Pierret, étant réservée au passage des
fibres
moyennes et la zone radiculaire antérieure, ou
marginale de West- phal, étant occupée exclusivement par certaines
fibres
courtes, au moins dans sa partie postérieure. M
oins dans sa partie postérieure. Mais il est évident que toutes les
fibres
des champs postéro-externes n'arrivent pas au b
s champs postéro-externes ne contiennent donc pas exclusivement des
fibres
longues, mais aussi des fibres moyennes. Toutef
ntiennent donc pas exclusivement des fibres longues, mais aussi des
fibres
moyennes. Toutefois tous les systèmes de fibres q
ues, mais aussi des fibres moyennes. Toutefois tous les systèmes de
fibres
qui passent par cette zone paraissent avoir pou
e avait-il fait autrefois la même hypothèse au sujet du passage des
fibres
longues des raimes par les zones radiculaires p
ande radiculaire .ÉTUDE ANATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 49 les
fibres
longues et certaines fibres moyennes se disposent
ATOMIQUE DES CORDONS POSTÉRIEURS 49 les fibres longues et certaines
fibres
moyennes se disposent donc, suivant toute vrais
osent donc, suivant toute vraisemblance, en arrière, la plupart des
fibres
moyennes au milieu et les fibres courtes en ava
blance, en arrière, la plupart des fibres moyennes au milieu et les
fibres
courtes en avant. A mesure que la racine monte et
e la corne, cette disposition se modifie par le départ progressif des
fibres
courtes et moyennes (branche antéro-postérieure
en haut par un faisceau cunéiforme périphérique, est rempli par les
fibres
longues des racines sacrées inférieures. S'il en
érieure un remaniement des cordons postérieurs et que le trajet des
fibres
n'est pas rectiligne entre le faisceau cunéifor
n peut se faire des rapports réciproques des différentes espèces de
fibres
radiculaires pendant leur trajet le long des co
a zone marginale de Westphal ou zone radicu laire antérieure ; T s,
fibres
du triangle médian sacré, ou triangle de Gombault
s la zone radiculaire antérieure ; C o F, centre ovale de Flechsig (
fibres
radiculaires). A droite sont re- présentés, dan
caux de la corne postérieure. 50 NAGEOTTE Conclusions. A. Les
fibres
endogènes des cordons postérieurs à la région lom
la région lombo- sacrée doivent être divisées en deux classes : les
fibres
endogènes grosses et les fibres endogènes fines
être divisées en deux classes : les fibres endogènes grosses et les
fibres
endogènes fines. B. Les fibres endogènes grosse
es fibres endogènes grosses et les fibres endogènes fines. B. Les
fibres
endogènes grosses forment : 1° un faisceau dans l
centre ovale de Flechsig, qui est un faisceau radiculaire. D. Les
fibres
endogènes fines sont les unes horizontales, les a
région cervicale. E. Les zones de Lissauer sont constituées par des
fibres
endogènes fines verticales qui sont condensées
ent. Elles dégénèrent tardivement dans le tabes. F. Le réseau des
fibres
fines de la corne postérieure est de nature end
endogène. G. Les colonnes de Clarke ne paraissent pas recevoir de
fibres
des racines postérieures situées au-dessous de
e une forme compliquée qui représente un M de chaque côté. I. Les
fibres
de la bandelette externe sont des fibres radicula
n M de chaque côté. I. Les fibres de la bandelette externe sont des
fibres
radiculaires de moyenne longueur, qui restent d
région lombo-sacrée n'a- boutissent pas au cordon de Goll. J. Les
fibres
radiculaires longues passent non pas par la bande
de Westphal, ou zone radiculaire antérieure, ne contient, outre les
fibres
endogènes, que des fibres radiculaires courtes.
ulaire antérieure, ne contient, outre les fibres endogènes, que des
fibres
radiculaires courtes. ÉTUDE ANATOMIQUE DES CO
ert Pal modifiée. Intégrité de la zone de Lissauer et du réseau des
fibres
à myéline fines dans la corne postérieure. Dans l
myéline altérée empêchent de bien distinguer, à ce grossissement, les
fibres
endogènes conservées. Il existe également dans
myéliniques qui pourraient être pris, sur la photographie, pour des
fibres
radicu- laires conservées. - 3. Obs. II. Tabe
de de Weigert Pal. Intégrité relative de la zone de Lissauer et des
fibres
endogènes fines verti- cales disséminées malgré
cordons latéraux. Ces lésions peuvent être limitées à un système de
fibres
; elles sont di- tes alors systématiques. Elles
scléroses combinées du tabes les lé- sions primitives du système de
fibres
des cordons postérieurs et latéraux n'ont jamai
ions de sclérose. Il existe des lésions des colonnes de Clarke, les
fibres
sont diminuées de nombre et les cellules sont p
ions moindres du cordon postérieur ; les colonnes de Clarke ont des
fibres
normales et des cellules nombreuses, mais un pe
dal et cérébelleux direct sont séparés par une très légère bande de
fibres
saines. Dans le cordon antérieur, d'un seul côt
dal croisé et du faisceau' cérébelleux direct séparées par le zone de
fibres
normales ou moins atteintes. Le cordon antéri
7e et 88 Dorsales.- Même aspect dans le cordon postérieur, quelques
fibres
sont conservées dans deux zones symétriques sit
eau pyramidal antérieur est moins atteint : un plus grand nombre de
fibres
est conservé. 11° Dorsale. La sclérose du cordo
ordon postérieur est sclérosé, sauf dans les régions ventrales où les
fibres
sont presque complètement respectées. Le cordon
dans une certaine mesure ; on constate la disparition de toutes les
fibres
, sauf en une partie de la périphérie où elles p
optique droit semble plus atteint : la sclérose y est diffuse et les
fibres
ne persistent qu'en très petit nombre au niveau
raient dus à la destruc- tion ou à la compression très élective des
fibres
du facial situé précisément en arrière de la tu
use des mots pourraient s'expliquer par une altération analogue des
fibres
centrales de l'hypoglosse. Le faisceau géniculé
de l'hypoglosse. Le faisceau géniculé qui réunit ces deux ordres de
fibres
est derrière la tumeur : le (1) In Rosenthal, T
gauche du bulbe, traduisant ainsi la dégénérescence descendante des
fibres
d'ori- gine centrale, au même titre que les aut
Avec Ferrier (2) et Turner, Thomas n'a pu préciser le trajet de ces
fibres
au delà du noyau rouge. Quoi qu'il en soit, la
se intense des noyaux de la Xe paire, avec disparition complète des
fibres
nerveuses. Dans les corps rectiformes, la parti
l BOl11lamour) MALADIE DE FRIEDREICH 131 cérébelleux latéral, des
fibres
arciformes, du faisceau solitaire, et des olives.
ose complète des faisceaux de Goll : il n'y reste plus que de rares
fibres
nerveuses. Les faisceaux de Burdach sont moins al
déra- blement lésées ; si dans leur intérieur on peut voir quelques
fibres
nerveuses qui semblent encore intactes, la plup
t sclérosé. Il semble bien qu'il y ait une diminution du nombre des
fibres
, et éga- lement sans disposition des cellules.
uve quelques cellules rondes et un grand nombre de débris, reste de
fibres
musculaires en voie de disparition. Disparition
miplégique de l'oedème. Il faut invoquer sans doute l'altération de
fibres
vasomotri- HÉMIOEDÈMES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES 1
phérique. L'atrophie radiculaire est déjà ancienne, il n'y a pas de
fibres
en voie de dégénérescence. Les cellules ganglio
tituées par un tissu fibro-hyalin divisé en plusieurs assises par des
fibres
conjonctives. Ce qui prouve que, malgré cette d
elques-unes on voit encore serpenter à travers ses lames fibreuses la
fibre
à myéline qui y prend naissance. Dans le 2° gan
racines postérieures ne contiennent plus qu'un tout petit nombre de
fibres
normales dont la gaine de myélinea subi l'imprégn
gaine de myélinea subi l'imprégnation osmique. La plupart de leurs
fibres
sont réduites à des filaments tassés et ag- glo
, sont extrêmement atrophiées : cependant il existe encore quelques
fibres
possédant leur gaine de myéline, mais celle-ci es
égénérescence, et sur le trajet ou même dans l'intérieur de plusieurs
fibres
ou distingue aisément un semis de petites granu
stérieures dans leur bout central : à peine distingue-t-on quelques
fibres
à myéline. Le nombre des cellules est considéra
e osmique. Il n'existe pas de granulations noires sur le trajet des
fibres
. On peut affirmer que quelques cellules ont com
es cellules atrophiées sont très étroites, allongées dans le sens des
fibres
nerveuses au milieu desquelles on les distingue
d'ensemble DES lésions. Nous n'insisterons pas sur les lésions des
fibres
radiculaires, ce point ayant été suffisamment d
nous désirons retenir. Dans deux cas (Obs. IV et V), l'atrophie des
fibres
radiculaires postérieures était en voie d'évoluti
d'évolution, et sur le trajet ou dans l'intérieur même de quelques
fibres
, encore pour- vues de leur gaine de myéline, on
nt, puisqu'il démontre d'une part comment se produit l'atrophie des
fibres
radiculaires et permet d'éta- blir d'autre part
e frappe inégalement les divers segments interannulaires d'une même
fibre
; en un mot, ['atrophie est souvent segmentaire, l
u'à 18 mois. En général la cellule est d'autant plus malade que les
fibres
radiculaires sont plus atrophiées et que la durée
cier des groupes cellulaires très distincts : l'enchevêtrement des
fibres
ner- veuses et des cellules rend ce travail en
use, car dans ces coques fibreuses on voit quelquefois s'aboucher une
fibre
nerveuse myélinisée dont la nutrition ne semble
ncen- trique de nombreux noyaux capsulaires, soit par un mélange de
fibres
'con- jonctives et de noyaux, soitparun bloc fi
e plus accusées, qu'elles le sont beaucoup moins que l'atrophie des
fibres
radiculaires. Mais, comme nous l'avons déjà fait
sises autour de la cellule nerveuse, et sont toujours entremêlées de
fibres
conjonctives, il s'agit d'une inflammation prim
aréfaction aussi considérable des cellules nerveuses, alors que les
fibres
qui émergent au pôle périphérique du ganglion son
ce d'un plus ou moins grand nombre de cylindres-axes, même dans des
fibres
complète- ment démyélinisées. Les méthodes qu
s cellules du ganglion spinal sont beaucoup plus nombreuses que les
fibres
radiculaires correspondantes ; il y aurait, d'apr
culaires correspondantes ; il y aurait, d'après Gaule et Lewin, une
fibre
pour six ou sept cellules. Comme nous l'avons déj
. Toutes les cellules ne donnent par conséquent pas naissance à une
fibre
radiculaire, il existe dans les ganglions rachi
z grand nombre de cellules. Epaississement du tissu interstitiel. -
Fibres
en voie de dégénérescence sur le trajet et à l'in
une infiltration hémorrhagique légère qui parait avoir dissocié les
fibres
nerveuses de la zone antéro-interne de Westphall
s-pie-mérienne de névroglie. Cordons postérieurs : une diminution des
fibres
dans la région lombaire et sacrée, qui augmente
es colonnes de Clarke très altérées, très pauvres en cellules et en
fibres
nerveuses. Dédoublement du canal central dans les
it que normalement. - '. Diminution.du nombre des cellules et des
fibres
dans les cornes antérieures, atropine des cellu
ersistante. Les colonnes de Clarke dépourvues des cel- lules et des
fibres
. Augmentation des vaisseaux dans la substance gri
profondément altérées. Les colonnes de Clarke sont dépourvues de
fibres
il \1 très haut degré; on n'y trouve absolument
qui est parsemée par un certain nombre de coupes transversales des
fibres
colorées, lesquelles d'ailleurs sont très minces
s la base des cornes antérieures ne présentent pas de lésions.* Les
fibres
des cornes postérieures apparaissent raréfiées, d
res des cornes postérieures apparaissent raréfiées, de même que les
fibres
longeantes, les cornes postérieures du côté du co
déjà dans les parties inférieures de la moelle être moins riches en
fibres
que normalement. Dans les parties plus élevées, c
ales supérieures et cervicales elles présentent une raréfaction des
fibres
très forte. C'est surtout les fibres fines qui pa
présentent une raréfaction des fibres très forte. C'est surtout les
fibres
fines qui paraissent faire défaut. Substance bl
ns qui paraissent tout à fait respectées par la dégénérescence, les
fibres
sont d'un calibre très petit. Cette gracilité d
cence, les fibres sont d'un calibre très petit. Cette gracilité des
fibres
est tellement prononcée, qu'elle donne à toutes l
une co- loration parfaite, quoiqu'elles aussi soient composées des
fibres
plus grotesque normalement : ce fait nous perme
ter les mêmes altérations dans la coloration et dans le calibre des
fibres
. UNE FORME U'1lÉHIsDW A'CAX1E cÉnÉBELLEUSE 9Q5
ne et cen- trale ; tandis que dans sa partie externe, la partie des
fibres
minces est beaucoup mieux conservée. Dans les p
ires moyennes et internes réapparaissent de nouveau, peu à peu, des
fibres
intactes, elles deviennent de plus en plus nom-
égénération reste séparée du faisceau de Goll par une bande même de
fibres
complètement intactes ; elle est formée visible
fibres complètement intactes ; elle est formée visiblement par ces
fibres
du faisceau de Burdach, que nous avons rencontr
Hand. 298 RYDEL tie moyenne de la corne antérieure ; une zone de
fibres
intactes sépare cette courbe d'un côté du sillo
t en res- tant séparée de la substance grise par une mince bande de
fibres
saines. Vis-à-vis de l'angle latéral de la corn
Gowers. Le faisceau cérébelleux direct présente de plus en plus des
fibres
saines, de sorte qu'au niveau de G4 ce faisseau
ure des cordons latéraux, mais qui est richement parsemée d'amas de
fibres
saines. Nous ne sommes pas en état de donner un
lan- che, dans laquelle elle semble renvoyer une forte quantité des
fibres
sclérosées qui paraissent subir ici un entrecro
res sclérosées qui paraissent subir ici un entrecroisement avec les
fibres
analogues de l'autre côté. Bulbe. - Au niveau
qui est ici très nettement limitée, vient d'être repoussée par les
fibres
pyramidales vers la face interne et antérieure
t à la hauteur du noyau de Goll et de Burdach on s'aperçoit que les
fibres
situées entre ces noyaux et la périphérie sont ra
gitudinal postérieur (ou dorsal) est très notablement dégénéré. Les
fibres
arquées internes sont pâles et très peu nombreuse
mbreuses, les posté- rieures, font presque complètement défaut. Les
fibres
arquées antérieures, quoique mieux conservées,
dans sa partie antérieure la substance réticulaire, de même que les
fibres
intraolivaires, ne présentent pas de lésion. 30
ellules, ce qui correspond à un ap- pauvrissement d'un tiers. Les
fibres
, qui entourent les olives et celles qui entrent d
e qui correspond au faisceau cérébelleux direct. La raréfaction des
fibres
arquées, la sclérose de la partie postérieure d
bstance réticulaire et du raphé, les lésions des olives et de leurs
fibres
, de même que la sclérose du faisceau de Gowers re
Gowers peut être suivie jusqu'à l'extrémité de la protubérance. Les
fibres
ponto-transversales apparaissent raréfiées et p
de Clarke sont pres- que complètement dépourvues de cellules et de
fibres
. Les cornes anté- rieures présentent dans les t
minution énorme et une atrophie des cellules et une raréfaction des
fibres
. Enfin on trouve une lésion des fibres ponto-tr
lules et une raréfaction des fibres. Enfin on trouve une lésion des
fibres
ponto-transversales, surtout dans leurs parties p
uvoir conclure que le début se l'ait par les cellules d'origine des
fibres
optiques, les cellules de la rétine. Moxter (
naires de la rétine que l'on considère comme cellules d'origine des
fibres
optiques ; aussi il donne pour cause à l'amaurose
ue est ascen- dante de 1'oeil,au cerveau et surtout marquée sur les
fibres
périphériques ; il admet par suite la théorie d
ébut la partie périphérique des nerfs optiques contiendrait plus de
fibres
altérées que la partie centrale; bien peu d'auteu
. Or, en admettant que le fait signalé soit réel, que le nombre des
fibres
dégénérées diminue dans le nerf optique en alla
e l'altération primitive siégerait dans les cel-lmles d'origine des
fibres
optiques, las cellules ganglionnaires de la rét
l'atrophie des cellules gan- glionnaires est secondaire à celle des
fibres
nerveuses; les cellules gan- glionnaires peuven
rophier de la même façon après lésion des extrémités terminales des
fibres
, après altération du corps genouillé (1) De Gno
orielles, jusqu'à la couche la plus interne, celle d'où partent les
fibres
mêmes du nerf opti- que ; les trois couches qui
ent parallèles les uns aux autres et constituent la couche dite des
fibres
de Henle,Kus, ils s'articulent avec les prolong
u ganglionnaires, cellules nerveuses d'où partent directe- ment les
fibres
optiques. Cette couche est très peu épaisse, form
uction successive des conducteurs, transmises seulement par 800.000
fibres
optiques (Krause). Les fibres optiques sont imm
urs, transmises seulement par 800.000 fibres optiques (Krause). Les
fibres
optiques sont immédiatement sous-jacentes à la zo
hyaloïde du corps vi- tré par une membrane limitante interne : les
fibres
optiques augmentent LA RÉTINE DANS L'AMAUROSE T
r et à mesure qu'on approche de la papille et une épaisse couche de
fibres
constitue seule la papille avec les vaisseaux.
quelques éléments de soutien névrogliques, les principaux sont dits
fibres
de Müller, bien qu'il s'agisse en réalité de ce
lés et juxtaposés constituent la limitante interne sous-jacente aux
fibres
optiques. On trouve ainsi en allant de dehors e
e peut paraître assez notable alors que le nerf ne contient plus de
fibres
, et presque nulle alors qu'il en contient t enc
l en contient t encore un bon nombre. L'importance de la couche des
fibres
optiques est certainement moins encore proporti
ins cas où les cellules étaient encore relativement nombreuses, les
fibres
optiques étaient presque nulles (Despr... par e
bres optiques étaient presque nulles (Despr... par exemple), et les
fibres
n'étaient pas plus nombreuses dans les points de
granuleuse est presque toujours diminuée d'épaisseur aux dépens des
fibres
de Henle ; les fibres de Ilenle sont, non seuleme
toujours diminuée d'épaisseur aux dépens des fibres de Henle ; les
fibres
de Ilenle sont, non seulement plus courtes qu'à
naires et la présence très fréquente de libres dans la cou- che des
fibres
optiques, les deux faits paraissant en partie ind
étant en tout cas indépendants de la présence ou de l'ab- sence des
fibres
à myéline dans le nerf oplique. Nous avons trouvé
cellules vi- suelles, avec diminution de longueur et de nombre des
fibres
de Henle, et peut-être parfois altération des c
ue du nerf optique depuis son origine jusqu'à la terminaison de ses
fibres
, jusqu'aux corps genouillés par exemple. La c
es ganglionnaires à l'état normal, alors même (7) que la couche des
fibres
optiques (8) est très épaisse. 1 . Cônes et bât
lors neurones, cellules visuelles. 4. Couche intergranuleuse. a)
Fibres
de Henle. b) Couche plexiforme externe. 5. Gr
es ou multipolaires, corps des 3es neurones, cellules d'origine des
fibres
optiques. 8. Fibres optiques. 9. Limitante in
orps des 3es neurones, cellules d'origine des fibres optiques. 8.
Fibres
optiques. 9. Limitante interne. 2. Rétine du
plète (Despr...). Dans le nerf correspondant on ne voit plus aucune
fibre
saine ; or, on peut constater très nettement qu
aires (7) sont encore re- lativement très nombreuses. La couche des
fibres
optiques (8) est très diminuée, mais n'a pas di
lumi- neuses et le nerf optique contenait encore un petit nombre de
fibres
. Or, la couche des cellules ganglionnaires est
naires est presque aussi épaisse qu'à l'état normal ; la couche des
fibres
optiques a au contraire presque disparu. Il exisl
uaunceps crural ^coupe Transversale). nemacuxymuc C<l11111l1. a)
Fibres
musculaires de volume normal avec sclérose non ad
a) Fibres musculaires de volume normal avec sclérose non adipeuse -
Fibre
musculaire hyper- trophiée avec multiplication
les de l'éminence thénar (coupe transversale). Hématoxyline carmin.
Fibres
d'apparence normale avec simplement léger épaissi
C. Long supinateur (coupe longitudinale). Hématoxyline carmin. a)
Fibre
musculaire en voie d atrophie avec noyaux en chap
. a) Fibre musculaire en voie d atrophie avec noyaux en chapelet b)
Fibre
musculaire donnant 1 aspect d'une cuntmute avec
ieur. Certains paraissent à première vue à peu près- normaux, leurs
fibres
musculaires ayant conservé approximativement le
leurs dimensions; d'autres, plus nombreux, offrent au contraire des
fibres
plus fines et séparées les unes des autres par
d'autres enfin, encore plus malades, ne possèdent, qu'un nombre de
fibres
très restreint ; celles-ci sont en général de d
éments se combinent de façons fort diverses, tantôt les cellules et
fibres
conjonctives, tantôt les cellules adipeuses, plus
jonctives, tantôt les cellules adipeuses, plus rarement les grosses
fibres
formant la majeure partie du faisceau. A un for
de lésions : les unes portent sur l'élément parenchymateux, sur la
fibre
muscu- laire elle-même, les autres sur l'élémen
dipeux, les vaisseaux et les nerfs intra-musculaires. 1 Lésions des
fibres
musculaires. - Les fibres musculaires présentent
es nerfs intra-musculaires. 1 Lésions des fibres musculaires. - Les
fibres
musculaires présentent e4 certains points une h
points une hypertrophie manifeste; il n'est pas rare de trouver des
fibres
qui, dessinées à la chambre claire et mesurées, o
l'atrophie n'est pas moins nette, et l'on rencontre fréquemment des
fibres
de 20 et même de 10 de diamètre (PL LVI11. A).
LVI11. A). Certains faisceaux paraissent exclusivement composés de
fibres
normales, d'autres défibres fines ; ces dernier
se intersti- tielle ; d'autres au contraire sont constitués par des
fibres
énormes et des fibres fines, et dans ceux-là, l
; d'autres au contraire sont constitués par des fibres énormes et des
fibres
fines, et dans ceux-là, l'adipose interstitiell
rstitielle est très marquée, à tel point qu'en certains endroits la
fibre
hypertrophiée paraît située en plein tissu graiss
plus, il n'est pas rare d'observer sur les coupes longitudinales des
fibres
se divisant en deux fibres secondaires, mais ja
server sur les coupes longitudinales des fibres se divisant en deux
fibres
secondaires, mais jamais sur des coupes transver-
ires, mais jamais sur des coupes transver- sales nous n'avons vu de
fibres
concentriques. On peut ainsi assister au pro- c
peut ainsi assister au pro- cessus de division longitudinale de la
fibre
musculaire qui n'est certes pas ni un artifice
de préparation, ni un aspect trompeur fourni par le microscope. La
fibre
musculaire présente d'autres lésions parenchymate
ion des noyaux ; ceux-ci sont excessivement abondants déjà dans les
fibres
qui semblent à part cela à peu près normales, m
peu près normales, mais cette abondance atteint son maximum dans les
fibres
hypertrophiées. Sur une coupe transversale, on
e transversale, on peut compter parfois jusqu'à 12 ou 15 noyaux par
fibre
musculaire, et sur des coupes longitudinales les
, ni noyaux contournés ou en croissant. 346 CESTAN ET LEJONNE Les
fibres
musculaires elles-mêmes, qu'elles soient atteinte
en beaucoup de points leur striation transversale ; sur pas mal de
fibres
, principalement dans les préparations au picrocar
riation longitudi- nale et aspect en pinceau en quelque sorte de la
fibre
musculaire. Sur les coupes traitées par la méth
raisseuses situées dans les différentes parties du sarcoplasma ; la
fibre
musculaire, aussi bien sous le sarcolemme que d
st le plus accentuée, est disséminée, ne se fait pas sur toutes les
fibres
et affecte indifféremment les fibres grosses et l
ne se fait pas sur toutes les fibres et affecte indifféremment les
fibres
grosses et les fibres fines, et même parfois le
toutes les fibres et affecte indifféremment les fibres grosses et les
fibres
fines, et même parfois les faisceaux neuro-musc
neuro-musculaires. Nulle part on ne trouve d'état vacuolaire de la
fibre
musculaire. Dans certaines fibres des muscles l
e trouve d'état vacuolaire de la fibre musculaire. Dans certaines
fibres
des muscles les plus malades tels que le jambier
rieur, le droit antérieur, etc., on remarque l'aspect suivant : la
fibre
diminue de volume ; elle a perdu sa striation e
s distinguer d'une manière certaine des capillaires qui côtoient la
fibre
musculaire. Notons qu'au point de vue topograph
xcessi- vement augmenté ; il paraît en certains points enserrer les
fibres
musculaires, c'est du moins l'aspect que fourni
ect que fournissent les coupes transversales où l'on voit certaines
fibres
musculaires comme cravatées par des bandes conjon
out autre ; on voit une série de bandes conjonctives parallèles aux
fibres
musculaires, certaines même parais- sant comme
UN CAS DE MYOPATHIE AVEC RÉTRACTIONS 347 temps en temps, de fines
fibres
musculaires et séparées par des lits de tissu c
ependant, assez riche en noyaux, formé de fins tractus enserrant la
fibre
musculaire. Dans d'autres endroits, il est au con
adipeuses sont d'ailleurs parfaitement distinctes et isolées de la
fibre
musculaire. Nous n'avons pas vu d'infiltration
bre musculaire. Nous n'avons pas vu d'infiltration graisseuse d'une
fibre
musculaire parfaitement individualisée ; nous n
aire parfaitement individualisée ; nous n'avons pas vu non plus une
fibre
musculaire se charger de boules de graisse de f
s- seuses, quelquefois presque uniquement graisseuses, séparant les
fibres
mus- culaires saines ou hypertrophiées. Dans le
plus atteints, ces éléments graisseux se trouvent mélangés avec les
fibres
hypertrophiées. Si l'on compare les muscles ant
granulo-graisseuse, ils sont en tout cas bien moins malades que les
fibres
musculaires qui les avoisinent. Les vaisseaux e
maximum dans tous les muscles examinés ; ici donc on va trouver les
fibres
musculaires hypertrophiées et l'adipose interst
ées et l'adipose interstitielle très marquée. On y trouve aussi des
fibres
atteintes de dégénérescence granulo-graisseuse, m
peut-on constater UN CAS DE MYOPATHIE AVEC RÉTRACTIONS 349 que la
fibre
est gracile, la gaine de myéline moins épaisse. C
s plus puissants, avaient conservé intactes le plus grand nombre de
fibres
musculaires, en même temps que le tissu de sclé
les muscles antagonistes, au contraire, offraient beaucoup moins de
fibres
musculaires saines et étaient particulièrement in
et en 350 CESTAN ET LEJONNE même temps avait conservé beaucoup de
fibres
saines, le triceps présentait au contraire beau
us de tissu adipeux et avait perdu un bien plus grand nombre de ses
fibres
musculaires. Par conséquent, nous pouvons affir
s avons souvent constaté au cours de notre examen l'hypertrophie de
fibres
musculaires ; il est bien entendu que nous voul
endu que nous voulons ici parler d'une hypertrophie portant sur des
fibres
isolées et que jamais le muscle au total ne par
nous semble pas que l'on puisse soutenir que cette hypertrophie des
fibres
musculaires soit une phase prémonitoire précéda
'est dans les faisceaux les plus malades que nous avons observé les
fibres
hypertro- phiées ; au contraire, dans ceux où l
'avait encore que légèrement proliféré, nous n'avons trouvé que des
fibres
de dimensions normales, diminuées de volume ou
- cessus lésionnel soit susceptible d'évoluer de deux manières : la
fibre
peut réagir en s'amincissant et en s'atrophiant
er, c'est celui de l'origine du tissu interstitiel qui remplace les
fibres
musculaires disparues. On sait que deux théorie
pour Krôsing en particulier, ce tissu interstitiel proviendrait de la
fibre
musculaire elle-même. Il nous est bien diffic
ude tout à fait favorable à ce point de vue, nous voyons que chaque
fibre
muscu- laire est entourée d'une gaine conjoncti
point, on ne trouve de figure pouvant faire supposer au niveau des
fibres
musculaires une ré- gression aboutissant à la t
ndiculaires, on aperçoit, noyées dans des placards fibreux de fines
fibres
striées en contact intime avec des éléments conjo
usculaires coupées longnuainaiemem. a) Division longitudinale d'une
fibre
musculaire. b) Fibrillation d'une fibre muscula
ivision longitudinale d'une fibre musculaire. b) Fibrillation d'une
fibre
musculaire ; retour à l'état embryonnaire et peut
onnaire et peut-être trans- formation fibreuse. c) Atrophie d'une
fibre
musculaire avec amas de blocs réfringents dans la
des séries linéaires et rappelant ainsi les noyaux multipliés de la
fibre
musculaire, d'autre part, continuent la direction
és de la fibre musculaire, d'autre part, continuent la direction de
fibres
musculai- res parfaitement reconnaissables comm
- ment. Dans la zone de transition entre les bandes fibreuses et la
fibre
musculaire relativement saine ayant conservé sa
saine ayant conservé sa striation transversale, on peut voir cette
fibre
musculaire se diviser en fibrilles primitives (fi
ng, Durante) comme type 352 CESTAN ET LEJONNE de régression de la
fibre
musculaire (voir fig. 4, b). Nous devons toute-
le tissu conjonctif et les vaisseaux, les débris du sarcolemme, les
fibres
musculai- res embryonnaires, nous croyons que p
du tissu fibreux. Nous devons nous demander quel est le sort de la
fibre
musculaire. Plusieurs processus semblent pouvoi
uvoir se produire : 1° nous venons de voir et d'analyser comment la
fibre
musculaire peut évoluer vers la forme fibroïde;
cessus n'est pas le plus fréquent et l'on voit le plus sou- vent la
fibre
musculaire diminuer de volume, devenir" extrêmeme
'ailleurs se combine fréquemment avec le suivant ; 3> lorsque la
fibre
est devenue très grêle, on voit apparaître dans
ma teuse, le tissu conjonctif seraitirritésecondairement par l' les
fibres
dégénérées formantpour ainsi dire des corps étran
quadrijumaux antérieurs, qu'enfin dans les portions attein- tes les
fibres
du pourtour sont prises les premières et les fibr
attein- tes les fibres du pourtour sont prises les premières et les
fibres
axiales plus tardivement. Les rares constatatio
histologiquement 3 cas d'amauroses tabétiques. Dans l'un toutes les
fibres
étaient atrophiées, dans les deux autres les po
1) a constaté une fois une atrophie totale du nerf optique ; aucune
fibre
n'était conservée. Poncet (2) a constaté une sclé
r la variabilité de distribution de la sclérose et a ajouté que les
fibres
conservées forment de petits groupes. Uhthoff
près du globe oculaire; un seul faisceau inféro-interne et quelques
fibres
éparses étaient conservées. Le chiasma était en g
hié, sauf en haut et en bas ; les bandelettes étaient dépourvues de
fibres
nerveuses, sauf sur leurs bords postérieurs. D'ap
part la disproportion entre le volume de nerfs également privés de
fibres
. Dans la plupart des cas de tabes avec cécité,
me entre des nerfs d'amaurotiques à peu près également dépourvus de
fibres
. Dans l'amaurose tabétique, les nerfs optiques
e nous a mon- tré la persistance d'un nombre encore considérable de
fibres
(nerfs de Gara..., de Besna..., etc.), la dimin
DE DU NERF OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIOUC 363 presque totale des
fibres
nerveuses ; certains nerfs presque privés de fibr
resque totale des fibres nerveuses ; certains nerfs presque privés de
fibres
(nerfs deDor... p. ex.), présentaient un volume
ans le nerf un autre processus qu'une simple atrophie sur place des
fibres
nerveuses : l'examen histologique nous a en eff
u nerf semble quelquefois un peu épaisse, mais elle reste formée de
fibres
serrées, surtout circulaires, elle ne s'infiltr
orée au Weigert, on arrive à y trouver la coupe d'au moins quelques
fibres
nerveuses isolées. Sur une Fig. 1. Chiasma de
ux de cellules névrogliques, qu'il y a dans le nerf, à la place des
fibres
nerveuses disparues, une abondante prolifé- rat
mé de noyaux nombreux, probablement névro- gliques. Presque plus de
fibres
nerveuses. Lymphocytes extrêmement nombreux ent
soient plus étroites peut-être par le seul fait de la disparition des
fibres
nerveuses qu'elles contiennent, mais ce qui nou
parfois assez net pour qu'un nerf qui ne contient plus que quelques
fibres
éparses ait conservé à peu près le volume d'un
ique incomplète avec conservation d'un nombre assez considérable de
fibres
(cas de Bout... par exemple), nous avons trouvé
évolution ae la sclérose. - A droite il existe encore de nombreuses
fibres
; à ce niveau les vais- seaux sont nombreux et
s conjonctives joignent les vaisseaux. - Dans le bas, à gauche, les
fibres
sont moins nombreuses ; à' ce niveau les travée
ule rouge. - A gauche et au milieu enfin il n'y a pres- que plus de
fibres
; à ce niveau les travées intervasculaires ont pr
. Dans les nerfs optiques de notre malade, Bout... par exemple, des
fibres
nerveuses existent encore dans tous les faiscea
lui du reste des faisceaux, mais cet espace ne contient plus aucune
fibre
. Dans d'autres points de la préparation, ces no
s- pace qui les joint-on voit encore le tissu complètement privé de
fibres
. On voit ainsi successivement les divers degrés
evient pas seule- ment sur lui-même par suite de la disparition des
fibres
nerveuses. Ces lésions sont-elles spéciales à l
et de la sclérose « nodulaire ». Ce nerf, qui ne contient plus aucune
fibre
nerveuse, a à peine le tiers du volume d'.un ne
lé- rose « trabéculaire ». Ce nerf, qui ne contient presque plus de
fibres
nerveuses, a cependant conservé à peu près le v
laires sont les restes des faisceaux nerveux contenant quelques rares
fibres
éparses. e) Nerf optique droit de lIlélin...
our et de la nuit. Il subsiste dans le nerf encore un bon nombre de
fibres
et l'on voit que la sclérose est en voie d'évo-
s vaisseaux sont perméables au cen- tre des nodules. Quelques rares
fibres
nerveuses éparses. Lymphocytes, épaississe- men
s ont en- core un globule rouge à leur centre. Très petit nombre de
fibres
nerveuses. Grosse lymphocytose et épaississemen
culo-conjonctives, l'obturation des vaisseaux et la disparition des
fibres
nerveuses. L'évolution de ce processus est représ
atrophié à la suite d'une lésion d'origine externe : obj. 8. - Les
fibres
nerveuses semblent avoir vidé leur gaine, ce qui
aux peu nombreux et plus ou moins obturés ; les faisceaux, vides de
fibres
nerveuses, ont un aspect finement va- cuolaire.
ie générale avec amblyopie. - La totalité du pourtour est privée de
fibres
nerveuses, les vaisseaux très nombreux y sont com
des nodules isolés. Tout le centre au contraire a conservé, avec ses
fibres
, son aspect et sa fasciculation normaux. Grosse
ans sans avoir présenté de signe de tabes (Turb...). - Nombreu- ses
fibres
restantes ; mêmes lésions méningées et vasculaire
ose syphilitique sont constituées par un tissu adulte très riche en
fibres
et contenant très peu de cellules conjonctives, s
travées vasculo-conjonctives restantes que, dans les cas récents, les
fibres
dégénèrent en premier lieu : sur certaines de n
dans des atrophies très anciennes, il subsiste un certain nombre de
fibres
entre les nodules vasculaires ; cette longue pe
ntre les nodules vasculaires ; cette longue persistance de quelques
fibres
expli- que la persistance si longue, qui nous a
. Mais du fait que la lésion interstitielle explique l'atrophie des
fibres
optiques, faut-il absolument nier toute dégénér
sque tous.nos nerfs optiques, nous avons retrouvé au moins quelques
fibres
qui parais- saient saines : cette constatation
quelques cas (nerfs de Bout..., de Merlin...) nous avons trouvé des
fibres
restantes éparses dissé- minées dans toute l'ét
de la fasciculation nor- male étaient peu sensibles ; le nombre des
fibres
contenues dans la partie centrale du nerf était
e présente plus sur la coupe trans- versale qu'un champ uniforme de
fibres
piqueté de vaisseaux de place en place : or c'e
tat. normal et leur situation n'était pas modifiée; dans ce cas les
fibres
paraissaient vidées et la coupe avait un aspect f
entière- ment dans une partie plus périphérique du nerf et que les
fibres
avaient subi dans la portion crânienne une simp
épond très exactement aux schémas dressés par Henschen pour qui les
fibres
périphériques de la portion orbitaire rétro-vascu
ctif ne fait que se rétracter au- tour des faisceaux vidés de leurs
fibres
nerveuses (nerf de Faur..., de Ga- ra... p. ex.
; le nerf se trouve privé de vaisseaux perméables et l'atrophie des
fibres
nerveuses s'explique par leur défaut d'irrigati
tive, une par une, en commençant par le pourtour des vaisseaux, des
fibres
nerveuses privées de leurs moyens de nutrition :
is 34 ans, mais ayant conservé la notion du jour et de la nuit, des
fibres
nerveuses épar- ses encore assez nombreuses.
Ces nuances tiennent sans doute à une différence de condensation de
fibres
qui la composent, peut-être aussi pour certains p
plus compact, et ils semblent renfermer dans leur constitution des
fibres
élastiques (méthode de Weigert). 1llTOLOG1E PAT
gaufrée et godronnée des faisceaux conjonctifs dans l'existence des
fibres
élastiques. Difficiles à déceler dans ces touff
nce des fibres élastiques. Difficiles à déceler dans ces touffes de
fibres
conjonctives, leur existence nous semble cepend
ut cas, c'est à ces sinuosités et à l'insertion leur face profonde de
fibres
névrogliques que tient l'aspect papilliforme- q
s, riche en noyaux et surtout en fibrilles ; et dans cette zone les
fibres
nerveuses ont perdu leur gaine myélinique. Quant
trace et aucune barrière ne sépare plus la perte de substance, des
fibres
nerveuses. L'hypertrophie de la névroglie est don
cavité allongée transversalement et limitée par une fine bordure de
fibres
conjonc- tives et élastiques. Autour de cette p
u à quelques petits vaisseaux réunis, s'enrobant ailleurs de quelques
fibres
nerveuses ; ou d'une véritable nappe de tissu n
perdu que partiellement leurs connexions avec les vaisseaux et les
fibres
nerveuses des régions saines, car leur nutrition
végétants, entourée de tractus conjonctifs, qui occupe la place des
fibres
nerveuses. Remarquer aussi l'hyperplasie de la tu
art tapissée d'épithélium, est bordée d'une couche assez étroite de
fibres
conjonctives agglomérées avec quelques vaisseau
lets limitants. 390 THOMAS ET UAUSEK Dans ces régions malades les
fibres
nerveuses ont disparu (méth. de Pals mais la ré
e groupaient au nom- bre de trois ou quatre, accompagnés de grosses
fibres
conjonctives et formaient des tractus conjoncti
de tissu coujonctif. Or, on se rappelle ces îlots, ces pelotons de
fibres
nerveuses mêlés de vais- seaux et que nous avon
que par l'orientation en tour- billons et la taille plus grêle des
fibres
qui les constituent. Aussi pensons-nous que le
les parois vasculaires et sur les tissus de la paroi, névroglie ou
fibres
nerveuses, et contribue puissamment à l'extension
ire de la face et de la langue très accusé, une véritable danse des
fibres
musculaires. Ces secousses fibrillaires sont dues
ires sont dues en grande par- ' tie à l'altération dégénérative des
fibres
musculaires ; celles-ci désormais se contracten
cléaires ; on ne voit plus dans le tissu que les restes de quelques
fibres
, variqueuses et très mal colorées. En arrière seu
pointe de un ou deux milli- mètres, presque complètement privée de
fibres
. Il n'y a plus dans la corne droite qu'une ou d
chaque corne ; à droite on y voit encore d'assez nombreux débris de
fibres
variqueu- ses, à gauche presque plus de fibres
z nombreux débris de fibres variqueu- ses, à gauche presque plus de
fibres
du tout ; le foyer de gauche est largement vacu
roit. Les faisceaux semblent intacts, sauf dégénérescence de quelques
fibres
isolées, mais dans l'intervalle des faisceaux n
rf sciatique droit. Quelques faisceaux contiennent d'assez nombreuses
fibres
dégénérées ; tous les autres sont parfaitement
a jambe droite. Dégénérescence graisseuse très avancée ; mélange de
fibres
à tous les degrés de la dégénérescence ; fibres n
avancée ; mélange de fibres à tous les degrés de la dégénérescence ;
fibres
nor- males, fibres atrophiées ou hypertrophiées
fibres à tous les degrés de la dégénérescence ; fibres nor- males,
fibres
atrophiées ou hypertrophiées, fibres très colorée
érescence ; fibres nor- males, fibres atrophiées ou hypertrophiées,
fibres
très colorées ou à peine colorables, fibres- ce
rées ou à peine colorables, fibres- cellules à l'état embryonnaire,
fibres
complètement ou incomplètement infiltrées de grai
CIUC11t, montrant mieux l'infiltration graisseuse et le mélange des
fibres
atrophiées et des fibres hypertrophiées. POLIOM
'infiltration graisseuse et le mélange des fibres atrophiées et des
fibres
hypertrophiées. POLIOMYELITE ANTÉRIEURE AIGUË D
, J). - Dégénération mo- dérée : disparition d'un certain nombre de
fibres
dont on voit les gaines dis- séminées ; pas de
lifération interstitielle, plus fibreuse que graisseuse. > . :
Fibres
conservées assez nombreuses. Nerf sciatique dro
ion graisseuse presque totale avec dislocation et dissémination des
fibres
, prolifération nu- cléaire sans aucun ordre, mu
ense et infiltration graisseuse énorme. On ne retrouve que quelques
fibres
de volume très variable. Muscles antéro-externe
urs de la cuisse, dégénérescence plus marquée encore; dispersion de
fibres
, les unes atrophiées, les autres hypertrophiées
us dans des amas de graisse qu'une masse multinucléée avec quelques
fibres
géantes. Muscle quadriceps crural droit. Dégéné
ais surtout au stade de début. Infiltration interfasciculaire, mais
fibres
de volume encore à peu près normal et pour la plu
La plus grande partie de ce muscle est saine, ses faisceaux et ses
fibres
sont normaux, ses fibres n'ont pas leurs noyaux p
ce muscle est saine, ses faisceaux et ses fibres sont normaux, ses
fibres
n'ont pas leurs noyaux prolifè- rés. Seules que
s points très limités), car on y trouvait encore quelques débris de
fibres
variqueuses. . Pour prédominantes qu'elles aien
substance fibreuse, hyaline, rose, d'autant plus abondante que les
fibres
musculaires sont plus altérées. Il est difficile
s de nombre, car on ne peut les différencier des noyaux restant des
fibres
musculaires disparues. Çà et là, îlots de vésic
ais non disposées en groupes ou en séries paraissant répondre à des
fibres
disparues. Les artères et artérioles offrent de
e la tunique musculaire et de l'endartérite oblitérante. « Pour les
fibres
musculaires, leurs altérations sont typiques : il
sculaires, leurs altérations sont typiques : il y a de très grosses
fibres
à côté de très petites. Les très grosses gardent
is prennent parfois un aspect sombre (amas granuleux de Lewin). Les
fibres
vues en long gardent toujours leur striation do
upes transversales, nous n'avons vu aucune division intrinsèque des
fibres
. « L'augmentation numérique des noyaux est très
e formant de véritables couronnes, mais aussi dans le sein même des
fibres
. « Quand la substance musculaire diminue, quand
aux paraissent proportionnellement augmentés de nombre. On voit des
fibres
très petites qui ne présentent plus qu'un mince a
enté de la myotonie. L'examen du muscle montre l'hyper- trophie des
fibres
comme dans la maladie de Thomsen à côté de fibres
yper- trophie des fibres comme dans la maladie de Thomsen à côté de
fibres
très atrophiées et d'infiltration interstitiell
e des centres nerveux, l'arrangement, le diamètre, la nature de leurs
fibres
, ont été l'objet de mes recherches. Chez les inve
et les ganglions comme étant les réservoirs du chyle. La ténuité des
fibres
nerveuses et leur transparence, chez la plupart d
orifice. Les nerfs qu'il donne vont aux tentacules, au manteau et aux
fibres
musculaires environnantes; il est en communicatio
he, le système nerveux serait composé dans toute la série animale, de
fibres
canaliculées ou de tubes. Ces tubes se diviseraie
droit à celui du côté gauche ; celte commissure est large, formée de
fibres
parallèles, analogues à celles qui vont former le
ique. Les nerfs et les cordons de communication sont tous formés de
fibres
rectilignes; il n'y a, sous ce rapport, aucune di
se ramifie, mais un faisceau commun qui se divise en fascicules. Les
fibres
canaliculées, d'un diamètre égal dans toute leur
laquelle elle est destinée. Les nerfs de l'escargot sont formés de
fibres
canaliculées, rectilignes, remplies d'un fluide c
avec cette différence cependant que, dans le premier cas, toutes les
fibres
canaliculées du nerf fournissent des globules, et
ournissent des globules, et que dans le second, ce sont seulement les
fibres
incisées. A l'aide de la pression, on peut vider
fs l'injection avait-elle pu pénétrer? On a dit que c'était entre les
fibres
nerveuses et leurs enveloppes ; je partage cet av
n'existent pas, ou si elles existent, on ignore où elles sont. Les
fibres
canaliculées des nerfs de l'escargot en raison de
chose que de séparer ce nerf de son enveloppe, laquelle se résout en
fibres
distinctes qu'il ne faut pas prendre pour des fib
lle se résout en fibres distinctes qu'il ne faut pas prendre pour des
fibres
nerveuses. On les reconnaîtra à deux caractères b
e nerf privé de son névrilème. La meilleure manière de distinguer ces
fibres
névrilémati-ques des fibres nerveuses, est d'exam
e. La meilleure manière de distinguer ces fibres névrilémati-ques des
fibres
nerveuses, est d'examiner la section d'un nerf; o
ions nerveux des mollusques sont composés de matière globuleuse et de
fibres
. 2. Les nerfs sont composés de fibres creuses e
s de matière globuleuse et de fibres. 2. Les nerfs sont composés de
fibres
creuses et contenant Un liquide rempli de globule
e fibres creuses et contenant Un liquide rempli de globules. 3. Les
fibres
creuses ou canali culées des nerfs de la sensibil
forme et de même nature *• les globules nerveux, qui remplissent ces
fibres
canaliculées, n'offrent pas de différence appréci
oustique et brattchiOAdscéral, ët le ganglion pédieux qui fournit aux
Fibres
musculaires du pied, sont les analogues de la moe
s mollusques, il n'y a pas seulement une commissure, c'est-à-dire des
fibres
nerveuses passant d'un côté à l'autre ; on y déco
ormer les nerfs destinés au pourtour de la ventouse orale* Toutes les
fibres
, tant celles des nerfs que celles du cordon œsop
ne extrémité qui s'épanouit dans la substance globuleuse ; toutes les
fibres
de la commissure se rendent de la substance globu
les deux cordons œsophagiens s'accolent, sans se confondre, et leurs
fibres
marchent parallèlement les unes aux autres tout l
ns le nerf situé au côté gauche, et les autres se continuant avec les
fibres
longitudinales de la moelle. Il en est autrement,
ces inter-ganglionaires. Je n'ai pu distinguer, à ces raci' nés, de
fibres
transverses; elles m'ont paru se continuer seulem
fibres transverses; elles m'ont paru se continuer seulement dans les
fibres
longitudinales dont la moelle est composée. Ce se
ème nerveux du ver de terre sont : 1° le ganglion céphalique ; 2° les
fibres
longitudinales composant le double cordon médulla
gitudinales composant le double cordon médullaire ou moelle ventrale,
fibres
qui se continuent dans l'anneau œsophagien pour a
dans l'anneau œsophagien pour arriver au ganglion céphalique ; 3° de
fibres
transverses qui se trouvent à l'origine des doubl
e structure fort important à remarquer ici, que la double origine des
fibres
qui forment les nerfs partant de la moelle. Pour
sur ce point je n'ai pas de certitude complète), il y a une série de
fibres
longitudinales et une série de fibres transverses
complète), il y a une série de fibres longitudinales et une série de
fibres
transverses. Nous retrouverons le même fait dans
ne question intéressante et qui trouvera plus loin sa solution. Les
fibres
du ver de terre sont rectilignes et canaliculées
nt rectilignes et canaliculées comme celles des mollusques, comme les
fibres
composant tous les nerfs dans la série animale :
racine. Ces globules suivaient la direction que j'avais reconnue aux
fibres
canaliculées qui s'infléchissent et se courbent p
e ou chaîne ganglionaire. J'aurais voulu mesurer le diamètre de ces
fibres
, cela ne m'a pas été possible, parce que, dans l'
aide de l'alcool on peut à la vérité les séparer, mais alors on a des
fibres
contractées, rétrécies et dont la mensuration ne
ts du système nerveux du lombric de terre, je n'ai aperçu l'espèce de
fibres
qu'Ehrenberg appelle fibres variqueuses. Quoiqu
bric de terre, je n'ai aperçu l'espèce de fibres qu'Ehrenberg appelle
fibres
variqueuses. Quoique placés dans la même classe
e lenticulaire, et en les examinant au microscope, on y distingue des
fibres
Ion -giludinales qui viennent des cordons, des fi
y distingue des fibres Ion -giludinales qui viennent des cordons, des
fibres
transverses qui sont, pour les nerfs émanant des
n lui-même on suit ces cordons, on les voit s'y étaler et fournir des
fibres
aux deux paires de nerfs placés latéralement. Les
e nerfs placés latéralement. Les nerfs ne reçoivent pas seulement des
fibres
venant des cordons longitudinaux, ils reçoivent a
des fibres venant des cordons longitudinaux, ils reçoivent aussi des
fibres
transverses qui croisent les premières à angle dr
de nerfs autres que ceux qui partent directement des ganglions. Les
fibres
des cordons médullaires ventraux composant la cha
édullaires ventraux composant la chaîne ganglionaire, de même que les
fibres
des nerfs, sont canali culées, et l'on parvient à
guer et à faire sortir les globules contenus dans leur intérieur. Ces
fibres
ne sont pas de la nature de celles qu'Ehrenberg n
eur. Ces fibres ne sont pas de la nature de celles qu'Ehrenberg nomme
fibres
articulées ; car les lignes qui en indiquent le t
cture en est la même ; ce sont, pour les faisceaux longitudinaux, des
fibres
longitudinales , et pour les ganglions, des fibre
longitudinaux, des fibres longitudinales , et pour les ganglions, des
fibres
transverses qui croisent les premières, et, de pl
nt les premières, et, de plus, une matière globuleuse environnant ces
fibres
. Les faisceaux longitudinaux sont plus nombreux q
comparer aux ganglions spinaux des vertébrés. J'ai pu isoler une des
fibres
nerveuses de la moelle ventrale , et j'ai trouvé
le de tous points celle des autres animaux articulés. On y trouve des
fibres
longitudinales composant la moelle ventrale et se
uant par l'anneau œsophagien jusque dans le ganglion céphalique , des
fibres
transverses faisant communiquer les racines nerve
turellement sépares ou très facilement séparables. J'ai pu isoler des
fibres
de la moelle et des fibres des nerfs chez les deu
facilement séparables. J'ai pu isoler des fibres de la moelle et des
fibres
des nerfs chez les deux insectes dont il s'agit ;
microscope, on les voit formés, comme les ganglions de la sangsue, de
fibres
entrecroisées, les unes transverses, les autres l
u-près pour la réalité. Le système nerveux des insectes n'a que des
fibres
rectili-gnes; ces fibres sont canaliculées, et pa
Le système nerveux des insectes n'a que des fibres rectili-gnes; ces
fibres
sont canaliculées, et par la pression on en fait
Le système nerveux des animaux articulés est formé de deux séries de
fibres
; les unes longitudinales qui vont de l'extrémité
autres transversales, qui vont du côté droit au côté gauche. 2. Les
fibres
longitudinales sont disposées en deux faisceaux l
ement séparés dans l'intervalle des ganglions. 3. Le croisement des
fibres
longitudinales avec les fibres transverses s'opèr
des ganglions. 3. Le croisement des fibres longitudinales avec les
fibres
transverses s'opère dans les ganglions. h. Les
ales avec les fibres transverses s'opère dans les ganglions. h. Les
fibres
longitudinales d'un côté ne se croisent pas avec
cordons nerveux sont formés de substance fibreuse seulement. 7° Les
fibres
nerveuses sont canaliculées, rectilignes, et remp
es de globules que l'on en peut faire sortir par expression. 8° Les
fibres
nerveuses naissent toutes des ganglions. 9° Les
9° Les nerfs ont pour la plupart une double origine, l'une dans les
fibres
longitudinales des cordons médullaires, l'autre d
s les fibres longitudinales des cordons médullaires, l'autre dans les
fibres
transverses des ganglions. 10° H n'y a d'except
t du ganglion céphalique. La commissure de ce ganglion qui répète les
fibres
transverses des ganglions abdominaux, ne communiq
gauche des nerfs disposés par paire et ayant tous deux origines; les
fibres
de cette moelle se prolongeant en avant jusqu'à u
nt grossis chez l'homme. L'anneau nerveux (véritable prolongation des
fibres
de la chaîne ganglionaire) qui reste ouvert chez
able du côté opposé, et à l'endroit de cette adhérence, il existe des
fibres
qui vont de droite à gauche : ces fibres constitu
tte adhérence, il existe des fibres qui vont de droite à gauche : ces
fibres
constituent là une véritable commissure, et repré
ngemens de la moelle dans lesquels on peut suivre une partie de leurs
fibres
; ainsi ces nerfs appartiennent directement à la m
en cela des nerfs de la troisième paire, qui sont la continuation des
fibres
longitudinales de la moelle. Les nerfs pathétique
e la moelle. Les nerfs pathétiques appartiennent donc à un système de
fibres
, dont je n'ai pas encore parlé, à celui des fibre
nc à un système de fibres, dont je n'ai pas encore parlé, à celui des
fibres
transversales. 5e Paire, nerfs trijumeaux. Ces
ssi deux origines; mais ces origines y sont en partie cachées par les
fibres
du pont de varole. 6e Paire, nerfs abducteurs.
aissance, le nerf de la cinquième paire du nerf pneumo-gastrique. Les
fibres
ne viennent pas des proîongemens longitudinaux de
comme celles du nerf pathétique, elles appartiennent à un système de
fibres
transverses que l'on ne trouve, chez les poissons
s, que dans la moelle allongée. Je reviendrai sur ce qui concerne ces
fibres
en parlant de la structure du système cérébro-spi
s'y porter presque en totalité; ils appartiennent au même système de
fibres
que les nerfs auditifs et pathétiques. 11e Pair
tre ? comment, si l'on parvient à les réunir, faire la séparation des
fibres
nerveuses et celle de leurs enveloppes? Cette sép
on serait pourtant nécessaire, car ce qui constitue le nerf, c'est la
fibre
nerveuse, et le nombre des fibres nerveuses, ne p
r ce qui constitue le nerf, c'est la fibre nerveuse, et le nombre des
fibres
nerveuses, ne peut pas se déduire à priori du vol
différence complète. Dans les ganglions des articulés, il existe des
fibres
longitudinales, des fibres transverses , et une s
les ganglions des articulés, il existe des fibres longitudinales, des
fibres
transverses , et une substance granulée propre au
aux ganglions. Dans les renflemens de la moelle de l'anguille, aucune
fibre
transverse et pas de substance granulée en plus g
nt chez les poissons. h. Parmi ces nerfs, les uns appartiennent aux
fibres
longitudinales, les autres aux fibres transversal
erfs, les uns appartiennent aux fibres longitudinales, les autres aux
fibres
transversales dont se compose le système nerveux
queux, à la manière de ceux de Delia Torre. A. Monro dit avoir vu des
fibres
serpentines, entortillées, mais solides ; en cela
ngœ, i8ift, lu-fol. p. 36. nombrable de globules, et en fragmens de
fibres
formées par la réunion linéaire d'un certain nomb
ertain nombre de ces globules. » (1) C'est encore la reproduction des
fibres
de Prochaska. Pour apercevoir la structure de la
mes très irrégulières, quelques globules elliptiques sanguins, et des
fibres
qui n'étaient autre chose que des vaisseaux sangu
que des vaisseaux sanguins très facilement reconnais-sablés ; aucune
fibre
formée par la réunion linéaire de molécules : voi
avec ces globules réunis en séries parallèles, qu'il a vu formées les
fibres
nerveuses de la substance blanche et de la substa
tance blanche de l'encéphale et des nerfs est entièrement composée de
fibres
canaliculées ; qu'il distingue ces fibres en fibr
est entièrement composée de fibres canaliculées ; qu'il distingue ces
fibres
en fibres rectilignes et en fibres articulées; qu
ement composée de fibres canaliculées ; qu'il distingue ces fibres en
fibres
rectilignes et en fibres articulées; que les unes
canaliculées ; qu'il distingue ces fibres en fibres rectilignes et en
fibres
articulées; que les unes et les autres sont rempl
avoir s'il existe réellement, dans le'système nerveux, deux ordres de
fibres
cana-liculées, les unes rectilignes, les autres v
ou articulées. Les invertébrés, n'ayant, d'après M. Ehrenberg que des
fibres
rectilignes et mes observations sur ce point s'ac
s, je n'ai pas eu jusqu'à présent, à m'occuper de ce qui concerne les
fibres
dites variqueuses, et j'ai attendu, pour cela, qu
de la substance cérébrale entre deux , lames de verre, y a trouve des
fibres
pourvues d'élargisse-mens. D'après la grosseur de
trouve des fibres pourvues d'élargisse-mens. D'après la grosseur des
fibres
et le mode des élargis-semens, il a distingué ces
grosseur des fibres et le mode des élargis-semens, il a distingué ces
fibres
en fibres noueuses ou en tubes variqueux. Les fib
es fibres et le mode des élargis-semens, il a distingué ces fibres en
fibres
noueuses ou en tubes variqueux. Les fibres noueus
a distingué ces fibres en fibres noueuses ou en tubes variqueux. Les
fibres
noueuses sont des filamens bien ténus, bien fins,
lobules comme les grains d'un chapelet ; les tubes articulés sont des
fibres
creuses, présentant de distance en distance des r
e en distance des renflemens vésiculaires. M. Langenbeck doute si les
fibres
noueuses sont canaliculées, il regarde comme démo
fibres noueuses sont canaliculées, il regarde comme démontré que les
fibres
articulées sont canaliculées et contiennent une m
bœuf et d'autres animaux, il n'a pu apercevoir rien de semblable. Les
fibres
variqueuses sont les mêmes pour M. Langenbeck et
riqueuses sont les mêmes pour M. Langenbeck et pour M. Ehrenberg; les
fibres
noueuses dont M. Langenbeck seul a parlé, sont tr
» (1) Je puis dire ici à l'avance que les varices ou renflemens des
fibres
variqueuses ne présentent rien de plus constant q
A l'aide d'un grossissement de seulement cinquante l'ois, j'ai vu des
fibres
, des granules et des vaisseaux sanguins, partout
où la substance examinée était transparente ou demi transparente. Les
fibres
étaient parallèles à la longueur de la moelle, le
ral très facilement recon-naissable, était formé par l'adossement des
fibres
parallèles, aucune fibre ne le traversait pour al
naissable, était formé par l'adossement des fibres parallèles, aucune
fibre
ne le traversait pour aller d'un côté au côté opp
moelle, et j'ai vu toute la substance devenir plus transparente, les
fibres
s'étaler davantage, s'allonger en s'effilant dans
argissaient en formant comme des nodosités ou des varices. Toutes les
fibres
ne s'élargissaient pas, et les distances proche
élargissemens étaient presque constamment inégales : le diamètre des
fibres
écrasées dans les endroits non élargis, n'était p
ment. Une compression très forte a fait cesser tout mouvement, et les
fibres
, aussi bien que les granules, les plaques graisse
core plus distincts, mais je n'ai rien aperçu de nouveau. Outre les
fibres
, les granules, les plaques graisseuses formées pa
ceaux latéraux de la moelle. Le diamètre de ces tubes est à celui des
fibres
de la moelle, comme quinze à un. Dans des expérie
ns dont j'ai examiné la moelle à l'aide du microscope. Revenons aux
fibres
et aux molécules. Les fibres non comprimées sont
e à l'aide du microscope. Revenons aux fibres et aux molécules. Les
fibres
non comprimées sont toutes rectilignes; comprimée
les yeux et dans une multitude de points à-la-fois. Serait-ce là les
fibres
variqueuses de l'anatomiste allemand? Ce sont ell
regardé cet état variqueux comme étant la conformation naturelle des
fibres
de la moelle? Cela dépend de la manière dont M. E
crase d'abord entre deux verres, et il l'observe ensuite; il voit des
fibres
écrasées et ne voit que cela; tandis qu'en opéran
e voit que cela; tandis qu'en opérant comme je l'ai fait, on voit ces
fibres
avant et après l'écrasement; or, avant l'écraseme
ont toutes et toujours rectilignes. Il n'y a donc qu'un seul ordre de
fibres
, des fibres rectilignes; car, je le dis ici par a
t toujours rectilignes. Il n'y a donc qu'un seul ordre de fibres, des
fibres
rectilignes; car, je le dis ici par avance, la mo
allongée de l'encéphale, les parties dans lesquelles on a trouvé des
fibres
variqueuses, doivent leurs varices à la préparati
M. S. Valentin et Jean Muller, ont déjà contesté l'état variqueux des
fibres
de la moelle; l'expérience, dont je viens de donn
ux, M. Ehren-berg établit une grande différence quant à la nature des
fibres
; les nerfs auraient des fibres rectilignes, la mo
rande différence quant à la nature des fibres; les nerfs auraient des
fibres
rectilignes, la moelle épinière des fibres articu
es; les nerfs auraient des fibres rectilignes, la moelle épinière des
fibres
articulées. L'observation, telle que Ta faite M.
rimés qu'ils soient après leur extrême division, ne présentent pas de
fibres
variqueuses, tandis que la moelle épinière en pré
, il n'est nullement besoin d'admettre une nature différente dans les
fibres
nerveuses, il suffit de donner aux unes une envel
priver les autres. C'est ce que la nature a fait. Dans les nerfs, la
fibre
est enveloppée d'un névrilème solide; dans la moe
solide; dans la moelle, elle en est dépourvue. Il n'y a donc pas de
fibres
variqueuses dans la moelle épinière de l'anguille
poissons m'a donné le même résultat, je puis dire qu'il n'y a pas de
fibre
variqueuse dans la moelle épinière des poissons.
er point établi, voyons si la disposition longitudinale de toutes les
fibres
de la moelle épinière des poissons, ne nous servi
coup d'anatomistes, me semble à moi très secondaire. En effet, si les
fibres
existent et se continuent tout le long de la moel
aucoup plus important, c'est la présence, dans la moelle épinière, de
fibres
transversales; or ces dernières fibres existent c
e, dans la moelle épinière, de fibres transversales; or ces dernières
fibres
existent chez les reptiles, les oiseaux et les ma
oncerne la moelle épinière de l'anguille. J'ai dit qu'elle n'a pas de
fibre
transverse ; je me suis assuré dans l'expérience
me suis assuré dans l'expérience mentionnée tout-à-l'heure, qu'aucune
fibre
ne passait d'un côté à l'autre au niveau du sillo
l'autre au niveau du sillon fulcral; j'ai constaté la même absence de
fibre
transverse du côté spinal. Dans ce cas, l'expérie
épinière des autres poissons, il n'y a, dans la moelle, pas d'autres
fibres
que des fibres longitudinales. Si on se rappell
utres poissons, il n'y a, dans la moelle, pas d'autres fibres que des
fibres
longitudinales. Si on se rappelle ce que j'ai d
niveau des nerfs latéraux du cordon ganglio-naire, on voit, outre les
fibres
longitudinales du cordon, des fibres transverses
anglio-naire, on voit, outre les fibres longitudinales du cordon, des
fibres
transverses qui les croisent à angle droit, pour
n organe. La partie que je viens de décrire n'a, il est vrai, que des
fibres
longitudinales; mais ailleurs, dans la moelle all
longitudinales; mais ailleurs, dans la moelle allongée, on trouve des
fibres
transverses en grand nombre; c'est là qu'il faut
ties. Dans les ganglions de la sangsue, (i) Op, cit. toujours des
fibres
transverses ; dans les renflemens de la sangsue,
aux, et de même que pour les mollusques, il y a un névrilème à chaque
fibre
nerveuse. Ce névri-lème manque chez les autres po
épinière est constitué, non plus par des filets nerveux, mais par des
fibres
nerveuses. Ainsi, pour citer des exemples, chez l
ibres nerveuses. Ainsi, pour citer des exemples, chez l'anguille, les
fibres
nerveuses sont réunies; chez le poisson-lune, les
ont réunies; chez le poisson-lune, les filets nerveux résultant de la
fibre
nerveuse et de son névrilème, sont rapprochés et
de quantité que M. Serres ne paraît en admettre; ensuite, puisque les
fibres
de la moelle épinière de ces animaux sont longitu
e qu'il faut à l'hypothèse de Gall et Spurzheim, ce n'est pas que les
fibres
blanches soient enveloppées de substance grise, m
ités plonge dans cette substance. Eh bien, l'extrémité céphalique des
fibres
de la moelle épinière des poissons, plonge dans l
ort de volume, analogue à celui qui existe dans les muscles, entre la
fibre
tendineuse et la fibre musculaire. (i) Op. cit.
à celui qui existe dans les muscles, entre la fibre tendineuse et la
fibre
musculaire. (i) Op. cit. t. i, p. 55". égalem
nes spinales entrer dans la moelle épinière, et se continuer avec les
fibres
de cette (1) Jnatomie descriptive, 4 vol. in-8.
aucun d'eux. Alors, j'ai commencé la compression, quelques points des
fibres
sont devenus blancs et se sont élargis; en compri
sont devenus blancs et se sont élargis; en comprimant davantage, les
fibres
se sont distendues, amincies en certains endroits
plus encore, une multitude de portions élargies se sont détachées des
fibres
, et se sont répandues çà et là dans la substance
n aplatissant la substance de la moelle, à l'aide du compresseur, les
fibres
restent dans une direction parallèle, parce que l
en comprimant avec les doigts, il arrive nécessairement alors que les
fibres
déviées au moment où on les comprime , prennent d
as se laisser induire en erreur par cette apparence et croire que les
fibres
de la moelle aient une direction variable. Ces fi
croire que les fibres de la moelle aient une direction variable. Ces
fibres
marchent dans le même sens que la moelle, et il n
ens que la moelle, et il n'y a d'exception à cette règle que pour les
fibres
qui, se détachant de la moelle, vont former les n
r jonction, les racines fui-craies se continuent directement avec les
fibres
longitudinales de la moelle, vers l'extrémité cép
Gall et Spurzheim ont donné le nom de ganglions de renforcement. Des
fibres
de la moelle viennent en convergeant vers ce noya
fibres de la moelle viennent en convergeant vers ce noyau ; d'autres
fibres
en sortent pour former la racine spinale. La somm
'autres fibres en sortent pour former la racine spinale. La somme des
fibres
du nerf est plus considérable que celle des fibre
nale. La somme des fibres du nerf est plus considérable que celle des
fibres
venant de la moelle : ainsi, c'est avec raison qu
e à connaître; elle explique pourquoi les racines fulcrales ont leurs
fibres
étalées à la surface de la moelle, tandis que les
les lobes inférieurs, les lobes cérébraux et les lobes olfactifs. Les
fibres
qui entrent dans les tubercules postérieurs du ce
sont en partie formés. Il en est de même de la plus grande partie des
fibres
du corps restiforme qui entrent dans le cervelet
dernières dirigées vers la partie médiane de l'organe, s'unissent aux
fibres
correspondantes du côté opposé, formant ainsi une
ème ventricule. Telle est la terminaison antérieure ou céphalique des
fibres
de la moelle épinière qui composent les faisceaux
fibres de la moelle épinière qui composent les faisceaux spinaux;les
fibres
des faisceaux fulcraux vont aux lames optiques, a
de substance granulée, un véritable ganglion (le corps strié) où ses
fibres
échappent complètement à l'observateur ; mais au-
lui donnent le nom de couronne radiante, ourayonnée. L'isolement des
fibres
s'opère à la partie externe et supérieure de la l
res s'opère à la partie externe et supérieure de la lame optique. Les
fibres
y sont placées les unes à côté des autres, une la
u-dessous d'elles, les tient réunies. Arrivées là, presque toutes les
fibres
de la lame optique convergent vers deux points, l
nerf optique. Ainsi les nerfs optiques sont en communication avec les
fibres
de la moelle épinière, et il n'y a d'interruption
dans l'intérieur du ganglion ; je dis interruption apparente, car les
fibres
qui y sont entrées divergentes, en sortent précis
ion, seulement plus divergentes. Toutefois, il m'est démontré que les
fibres
qui vont former le nerf optique ne viennent pas t
diamètres suffit. La lame optique présente encore un autre ordre de
fibres
, moins nombreuses que la précédente, mais non moi
d'union et qu'on l'examine au moyen du microscope, on y découvre des
fibres
transverses formant, dans cet endroit, une vérita
mant, dans cet endroit, une véritable commissure. De chaque côté, ces
fibres
se continuent jusqu'au ganglion de la lame optiqu
ent jusqu'au ganglion de la lame optique en croisant la direction des
fibres
qui vont au nerf optique. ¡gAinsi malgré l'auto
pas dénués de corps calleux. M. Gottsche n'a pas connu l'origine des
fibres
du corps calleux; j'ai vu très distinctement qu'e
t de la moelle épinière ; 2° D'un ganglion de renforcement; 3° De
fibres
qui, par leur réunion, constituent le nerf optiqu
ue ; l'analogue de la commissure, c'est le corps calleux ; enfin, les
fibres
d'origine du nerf optique sont les mêmes dans les
nde partie composés. A l'occasion des lobes optiques, j'ai parlé de
fibres
transverses qui forment, pour ces lobes, une véri
part des autres ganglions de l'encéphale des poissons sont pourvus de
fibres
analogues. Toute la partie de la moelle sur laque
lle qui correspond à l'insertion du cervelet, sont traversées par des
fibres
qui vont d'un côté à l'autre, et qui croisant les
sées par des fibres qui vont d'un côté à l'autre, et qui croisant les
fibres
venues des corps restiformes et celles des pyrami
à-fait celui qui a lieu dans la moelle allongée de l'homme, entre les
fibres
des pyramides et celles du cervelet. Cette commis
Cette commissure et celle des lobes optiques sont les seules dont les
fibres
soient isolées; toutes les autres, au nombre de q
au centre de tous les ganglions, ¡I existe un point où se rendent les
fibres
de chaque faisceau fulcral, c'est de là que ces c
ainsi dans les ganglions postérieurs du cervelet, j'ai vu entrer des
fibres
spinales et des fibres transverses; j'en ai vu so
ns postérieurs du cervelet, j'ai vu entrer des fibres spinales et des
fibres
transverses; j'en ai vu sortir les racines des ne
s nerveux des animaux articulés ont une double origine, l'une par des
fibres
longitudinales, l'autre par des fibres transverse
double origine, l'une par des fibres longitudinales, l'autre par des
fibres
transverses (v. pl. 1er le ganglion de la sangsue
rachidiens des poissons viennent presque exclusivement du système des
fibres
longitudinales. Qu'est-ce qui remplace, pour les
fibres longitudinales. Qu'est-ce qui remplace, pour les poissons, les
fibres
transverses des animaux articulés ? Ce ne peut êt
es fibres transverses des animaux articulés ? Ce ne peut être que les
fibres
transverses de la partie céphalique de la moelle
es fibres transverses de la partie céphalique de la moelle ; mais ces
fibres
vont-elles dans les nerfs et ces nerfs ont-ils de
ces nerfs ont-ils des fonctions différentes de ceux qui naissent des
fibres
longitudinales ? La réunion de deux ordres de f
i naissent des fibres longitudinales ? La réunion de deux ordres de
fibres
dans un même nerf peut tenir à ce que, chez les a
par pont de varole, il ne faut pas entendre seulement la réunion des
fibres
transverses qui fait saillie sur les prolongemens
z les mammifères seulement ; si au contraire il faut y comprendre les
fibres
transverses qui s'entrecroisent avec les fibres d
faut y comprendre les fibres transverses qui s'entrecroisent avec les
fibres
de la moelle épinière pour former les lacis intér
is intérieurs que l'on voit en coupant ou mieux encore en raclant les
fibres
de la moelle allongée, M. Gottsche a raison et je
tifs, des racines nerveuses , pour tous une substance granulée et des
fibres
. Je n'ai pu suivre de continuité entre les tuberc
i observé très distinctement et à plusieurs reprises une traînée de
fibres
se dirigeant du cervelet aux tubercules quadriju-
reviendrai ailleurs sur ces granules , je vais maintenant parler des
fibres
. 3. Diamètre et nature des fibres du système ne
s , je vais maintenant parler des fibres. 3. Diamètre et nature des
fibres
du système nerveux cérébro-spinal des poissons.
ture des fibres du système nerveux cérébro-spinal des poissons. Les
fibres
composant la substance blanche du système nerveux
lables dans tous les nerfs. Plusieurs auteurs ont parlé du volume des
fibres
nerveuses, et ils en ont déterminé le diamètre :
ervations faites par ces anato-mistes, il résulte que le diamètre des
fibres
nerveuses varie beaucoup, non-seulement d'une par
re deux verres; j'ai dit précédemment que, dans cette expérience, les
fibres
étaient tiraillées, aplaties, dilacérées, et par
nt déformées. Quant aux nerfs, le procédé employé pour en étudier les
fibres
est sujet à moins d'incon-véniens. On place un pe
petit filet nerveux sur une lame de verre, on cherche à en isoler les
fibres
au moyen de la pointe d'in-strumens très acérés ;
du microscope. Il y a bien encore là une compression exercée sur les
fibres
nerveuses, mais elle est légère et d'ailleurs le
ppose à ce que la substance nerveuse s'élargisse beaucoup. Aussi, les
fibres
des nerfs paraissent-elles plus régulières que ce
a moelle rachidienne. Observées de cette manière, il arrive que les
fibres
de l'intérieur des ganglions encéphaliques et les
rive que les fibres de l'intérieur des ganglions encéphaliques et les
fibres
transverses de la partie supérieure de la moelle,
r-opticien, au Palais-Royal. tiles el presque rectilignes ; que les
fibres
des commissures qui unissent les ganglions cérébr
plus grosses que les précédentes et quelquefois variqueuses ; que les
fibres
du nerf olfactif et du nerf optique, très petites
f optique, très petites aussi, sont quelquefois variqueuses ; que les
fibres
de la moelle rachi-dienne, généralement plus gros
cédentes, ne sont jamais variqueuses. Pour déterminer le volume des
fibres
nerveuses, je n'aurai pas recours aux mensuration
rreur sont à considérer. Le tableau suivant indique le diamètre des
fibres
de l'en- céphale, de la moelle épinière et des
de quelques poissons : j'ai disposé ce tableau suivant le volume des
fibres
nerveuses, en commençant par les plus ténues. D
s fibres nerveuses, en commençant par les plus ténues. Diamètre des
fibres
nerveuses des poissons. Millim. Carpe. Fibre
ues. Diamètre des fibres nerveuses des poissons. Millim. Carpe.
Fibre
du nerf olfactif........ 0,00083 Renfl. d'une I
f........ 0,00083 Renfl. d'une Id. Id...................... 0,00166
fibre
variq. Goujon. Fibre de la lame optique..... 0,
. d'une Id. Id...................... 0,00166 fibre variq. Goujon.
Fibre
de la lame optique..... 0,00166 0,00664. Id. Id
ue..... 0,00166 0,00664. Id. Id...................... 0,00332 Id.
Fibre
de la moelle épinière... 0,00581 Carpe. Id.....
0,00581 Carpe. Id...................... 0,01000 Anguille de mer.
Fibre
du trifacial........... 0,01494 Id. Fibre du mo
,01000 Anguille de mer. Fibre du trifacial........... 0,01494 Id.
Fibre
du mot. commun des yeux. 0,01494 Carpe. Fibre d
....... 0,01494 Id. Fibre du mot. commun des yeux. 0,01494 Carpe.
Fibre
du trifacial........... 0,01660 Le même animal.
1494 Carpe. Fibre du trifacial........... 0,01660 Le même animal.
Fibre
du même nerf......... 0,01992 Carpe. Fibre du n
,01660 Le même animal. Fibre du même nerf......... 0,01992 Carpe.
Fibre
du nerf musculaire dorsal. 0,02506 Raie bouclée
al. 0,02506 Raie bouclée. Id...................... 0,02822 Carpe.
Fibre
du nerf branchial...... 0,02988 Il y a des diff
anchial...... 0,02988 Il y a des différences très grandes entre les
fibres
d'un même nerf ; pour le nerf olfactif, par exemp
même pour la moelle épinière. Cependant, jamais je n'ai vu l'une des
fibres
de la lame optique ou de celles qui croisent la m
nière au-dessous du cervelet, avoir un volume approchant de celui des
fibres
appartenant aux nerfs. Les fibres de la lame opti
r un volume approchant de celui des fibres appartenant aux nerfs. Les
fibres
de la lame optique et les fibres transverses de l
es fibres appartenant aux nerfs. Les fibres de la lame optique et les
fibres
transverses de la moelle sont toutes excessivemen
ces renflemens que M. Ehrenberg appelle variqueux ou articulés. Les
fibres
nerveuses des poissons sont-elles creuses ou plei
oissons sont-elles creuses ou pleines? doit-on leur laisser le nom de
fibres
ou faut-il leur donner celui de canaux? J'ai déjà
analomistes conclut des faits qu'il a découverts sur la structure des
fibres
nerveuses, qu'elles sont des véritables tubes con
se à mes expériences. lre expérience. — Nerf musculaire du dos. Les
fibres
de ce nerf se présentent sous deux aspects différ
la compression. 2e expérience. — Haie. Nerf musculaire du dos. Ces
fibres
presque les plus grosses que j'aie vues chez les
Anguille de mer. Nerf trifacial et nerf branchial. En comprimant les
fibres
du nerf trifacial, je vois des corps blancs s'ava
, mais conservant leur forme rectiligne et leur diamètre. Je vois une
fibre
du nerf branchial bien distincte, parfaitement is
re du même animal m'a présenté, sous le compresseur, une multitude de
fibres
articulées. Je ferai observer ici que l'animal n'
lle de mer, m'a donné un semblable résultat c'est-à-dire , absence de
fibres
. 7e expérience. —Goujon. Nerf optique. J'y déco
res. 7e expérience. —Goujon. Nerf optique. J'y découvre beaucoup de
fibres
rectilignes et quelques fibres articulés. 8eexp
Nerf optique. J'y découvre beaucoup de fibres rectilignes et quelques
fibres
articulés. 8eexpérience.—Carpe. Nerf optique. T
, le séparer en fibrilles ; la compression n'y fait pas développer de
fibres
articulées ; elle donne lieu à l'écoulement de gl
bre infini. Je n'ai pas, à beaucoup près, rencontré constamment des
fibres
variqueuses, dans les nerfs optiques des poissons
il nu, il paraît fibreux ; au microscope, on découvre une infinité de
fibres
rectilignes, et, malgré une forte compression, l'
lgré une forte compression, l'apparence fibreuse persiste et quelques
fibres
deviennent variqueuses, ressemblant assez aux fib
iste et quelques fibres deviennent variqueuses, ressemblant assez aux
fibres
en chapelet de M. Langenbeck. Il s'est échappé pe
a servi à la 8e expérience et sur laquelle j'ai vainement cherché des
fibres
variqueuses dans le nerf optique. 10e expérienc
ance blanche de cette moelle aplatie par le compresseur, présente des
fibres
en très grand nombre, de diamètre variable et aya
rimée, est placée de nouveau sous la lentille; je vois que toutes les
fibres
ont disparu, il ne reste plus autre chose que des
hes blanches , irrégulières. Ces taches sont réellement des débris de
fibres
. 11e expérience. — Anguille de mer. Moelle épin
j'examine, prise à la surface de la moelle , est toute fibreuse ; les
fibres
ont un diamètre variable entre elles, et variable
, et variable même, quant aux différens point de l'étendue d'une même
fibre
: elles sont, surtout les plus larges, pourvues d
obules huileux ; il est resté, pressées entre les lames de verre, des
fibres
variqueuses presque toutes de volume très différe
portion de cet organe, je vois se former un renflement le long d'une
fibre
tiraillée ; ce renflement augmente peu-à-peu de v
llée ; ce renflement augmente peu-à-peu de volume et se détache de la
fibre
. C'est une substance lactescente, huileuse, analo
ance lactescente, huileuse, analogue à celle que l'on trouve dans les
fibres
pourvues de névrilème , analogue à ces innombrabl
les blanchâtres que l'on voit toutes les fois qu'on a écrasé quelques
fibres
nerveuses. 14e expérience. — Goujon. Les fibres
n a écrasé quelques fibres nerveuses. 14e expérience. — Goujon. Les
fibres
du cervelet, celles qui croisent la moelle au niv
anguilles, des carpes, etc. Résulte-t-il de ces expériences que les
fibres
nerveuses soient canaliculées ? 1° Pour les fib
ériences que les fibres nerveuses soient canaliculées ? 1° Pour les
fibres
des nerfs, cela est hors de doute ; on voit la ma
les remplit en être expulsée par la compression , et couler dans ces
fibres
, absolument comme un liquide dans un canal. 2°
ces fibres, absolument comme un liquide dans un canal. 2° Pour les
fibres
dépourvues de névrilème , cela est moins évident,
s que leurs parois ont été déchirées par la compression. Pleines, ces
fibres
sont bien distinctes parce qu'elles se trouvent d
e grasse qu'elles contiennent. La substance blanche contenue dans les
fibres
dites variqueuses et dans le fibres rectilignes e
bstance blanche contenue dans les fibres dites variqueuses et dans le
fibres
rectilignes est lout-à-fait la même; l'observatio
a plus attentive n'y fait pas apercevoir de différence. 3° Pour les
fibres
de la commissure diffuse du cervelet, des ganglio
a commissure diffuse du cervelet, des ganglions postérieurs; pour les
fibres
de la lame optique et la plupart de celles que l'
vec MM. Ehrenberg et Langenbeck. J'admets avec M. Ehrenberg que les
fibres
nerveuses des poissons sont canaliculées, et je d
qu'il a décrites comme servant à caractériser un ordre particulier de
fibres
nerveuses. j'ai vu, ainsi que M. Langenbeck, un
comme de l'huile; il n'en est pas ainsi chez les haut-vertébrés. Les
fibres
nerveuses des poissons sont donc de véritables tu
tubes et s'il reste quelque doute à cet égard, c'est relativement aux
fibres
transverses et à celles qui se trouvent dans l'in
épaisse. RÉSUMÉ. 1. La moelle épinière des poissons est formée de
fibres
nerveuses longitudinales, de granulations et de v
aux sanguins. 2. Des granulations composent la substance grise, des
fibres
composent la substance blanche. 3. Toutes les f
nce grise, des fibres composent la substance blanche. 3. Toutes les
fibres
nerveuses, celles des nerfs, comme celles de la m
t de l'encéphale, sont rec tilignes , il n'existe pas réellement de
fibres
noueuses ou articulées. h. Il y a la plus grand
droie, et la moelle épinière fasciculée des autres poissons. 5. Les
fibres
nerveuses de la moelle épinière se continuent dir
nerfs qui en émanent; du côté spinal, il y a chez la carpe entre les
fibres
des nerfs et les fibres de la moelle, l'intermédi
u côté spinal, il y a chez la carpe entre les fibres des nerfs et les
fibres
de la moelle, l'intermédiaire d'un ganglion. 6.
tifs, vont se rendre les faisceaux fulcraux de la moelle. On voit les
fibres
du faisceau fulcral qui se rendent au lobe optiqu
s'y épanouir. 9. C'est de l'endroit où s'opère l'épanouissement des
fibres
de la moelle, que naissent les commissures. 10.
es ganglions céphaliques, le ganglion olfactif excepté, il existe des
fibres
transverses qui forment leur commissure. 11. A
les ganglions encéphaliques donnent naissance à des nerfs. 12. Les
fibres
nerveuses des poissons varient depuis 0 mill. 000
i plus que celles de l'encéphale; les plus petites de toutes sont les
fibres
transverses. 13. Les fibres nerveuses sont creu
le; les plus petites de toutes sont les fibres transverses. 13. Les
fibres
nerveuses sont creuses, canaliculées, toutefois c
s, canaliculées, toutefois ce fait n'est pas encore démontré pour les
fibres
transverses de la moelle allongée et pour celles
moelle allongée et pour celles des ganglions encéphaliques. 14. Les
fibres
canaliculées contiennent un liquide blanc, huileu
l'autre : et, en travers de ces faisceaux, on voit de très nombreuses
fibres
médullaires, analogues à celles qui chez l'homme,
ques et le cerveau. Les auteurs n'admettent pas l'entrecroisement des
fibres
des nerfs optiques chez tous les reptiles ; je pa
poissons, n'est interrompu dans aucune partie de son étendue par des
fibres
passant de l'un à l'autre côté de la moelle ; il
ut-à-l'heure, les autres s'étalent à la surface de la moelle avec les
fibres
de laquelle elles se continuent directement. La
un grand nombre de filamens, et ces filamens eux-mêmes se divisent en
fibres
, de telle manière que les fibres d'un nerf supéri
es filamens eux-mêmes se divisent en fibres, de telle manière que les
fibres
d'un nerf supérieur s'approchent constamment des
nière que les fibres d'un nerf supérieur s'approchent constamment des
fibres
du nerf placé au-dessous de lui, et toutes ces fi
constamment des fibres du nerf placé au-dessous de lui, et toutes ces
fibres
sont disposés par séries longitudinales, de sorte
le épinière des reptiles. Dans la moelle épinière des reptiles, des
fibres
longitu -dinales, très nombreuses, rectilignes,et
rectilignes,et devenant variqueuses par la compression. En outre, des
fibres
transverses très nombreuses, très ténues etparfai
anguins très multipliés. Il est facile de déterminer que le siège des
fibres
transverses est la substance grise de la moelle,
sser ces lames l'une sur l'autre, faire mouvoir en sens divers, les
fibres
longitudinales et les fibres transverses. Ces der
autre, faire mouvoir en sens divers, les fibres longitudinales et les
fibres
transverses. Ces dernières sont situées dans l'in
pour les filets d'origine des nerfs rachidiens. Ces filets divisés en
fibres
nerveuses, se continuent directement avec les fib
ilets divisés en fibres nerveuses, se continuent directement avec les
fibres
longitudinales de la moelle; au moment où elles p
ns cet organe, elles se rétrécissent et montent vers l'encéphale. Les
fibres
transverses appartenant à la moelle, viennent aus
utre pour former une commissure, un pont au quatrième ventricule. Les
fibres
de cervelet sont de la même nature que les fibres
ème ventricule. Les fibres de cervelet sont de la même nature que les
fibres
transverses, c'est-à-dire petites et sans véritab
pour former deux racines à chacun des nerfs optiques. Une partie des
fibres
de la lame optique croisant les racines du nerf,
des lames optiques est manifestement fibreuse, mais de la nature des
fibres
encéphaliques, c'est-à-dire que , par la compress
compression, on ne parvient pas à les élargir partiellement comme les
fibres
dites variqueuses ; elles sont très ténues. Pour
granulée et vasculaire, dans laquelle on découvre quelques véritables
fibres
, parmi lesquelles il s'en trouve de variqueuses.
e chez la plupart des reptiles ; il est complet, c'est-à-dire que les
fibres
de droite passent toutes du côté gauche, et récip
es et le soumettre à une légère pression. S. Diamètre et nature des
fibres
du système nerveux cerebro-spinal des reptiles.
res du système nerveux cerebro-spinal des reptiles. Le diamètre des
fibres
nerveuses des reptiles est loin d'être égal dans
as conclure de là qu'il n'y ait rien de constant sous ce rapport. Les
fibres
encéphaliques sont toujours plus petites que cell
uses quand elles étaient pleines que quand elles étaient vides. Les
fibres
encéphaliques et les fibres transverses de la moe
ines que quand elles étaient vides. Les fibres encéphaliques et les
fibres
transverses de la moelle , à quelque degré de pre
, puis celles de la moelle épinière , puis enfin celle des nerfs. Les
fibres
de la moelle épinière sont celles qui présentent
les soumet pour les rendre bien observables au microscope. Quant aux
fibres
des nerfs, elles s'élargissent peu, parce que les
utes ces différences : j'ai mis en tête, comme pour les poissons, les
fibres
les plus ténues , et j'ai fini par les plus volum
s ténues , et j'ai fini par les plus volumineuses. Le diamètre, des
fibres
nerveuses des reptiles ne diffère pas en réalité
ont des nerfs pourvus de né- (1) Cette'fibre s'embranchait avec une
fibre
plus grosse de la moelle, (a) Cette fibre se co
re s'embranchait avec une fibre plus grosse de la moelle, (a) Cette
fibre
se continuait avec la racine d'un nerf spinal.
tte fibre se continuait avec la racine d'un nerf spinal. (3) Grosse
fibre
à laquelle était attachée, comme une ramification
3) Grosse fibre à laquelle était attachée, comme une ramification, la
fibre
/1) (4) Voyez page 194. Diamètre des fibres ne
me une ramification, la fibre/1) (4) Voyez page 194. Diamètre des
fibres
nerveuses des reptiles. Grenouille Fibre du cer
page 194. Diamètre des fibres nerveuses des reptiles. Grenouille
Fibre
du cerveau............. 0,00083 — Fibre de la m
des reptiles. Grenouille Fibre du cerveau............. 0,00083 —
Fibre
de la moelle épinière se continuant avec la rac
hidien........ 0,00133 — Cervelet. ............... 0,00166 Lézard
Fibre
du lobe optique........... 0,00166 — Ibid......
Ibid................. 0,00166 — Ibid............. . ... 0,0025 —
Fibre
du corps restiforme......... 0,0025 — Fibre du
...... . ... 0,0025 — Fibre du corps restiforme......... 0,0025 —
Fibre
du cervelet............. 0,0025 Grenouille Fibr
....... 0,0025 — Fibre du cervelet............. 0,0025 Grenouille
Fibre
Iransverse de la moelle allongée..... 0,0025 —
5 Grenouille Fibre Iransverse de la moelle allongée..... 0,0025 —
Fibre
du cervelet............. 0,0025 — Fibre de la m
le allongée..... 0,0025 — Fibre du cervelet............. 0,0025 —
Fibre
de la moelle épinière......... 0,00333 — Fibre
......... 0,0025 — Fibre de la moelle épinière......... 0,00333 —
Fibre
d'une racine de nerf rachidien..... 000366 Léza
0,00333 — Fibre d'une racine de nerf rachidien..... 000366 Lézard
Fibre
du corps restiforme ......... 0,00416 Grenouill
366 Lézard Fibre du corps restiforme ......... 0,00416 Grenouille
Fibre
de la moelle épinière......... 0,00416 (i) — Ib
e épinière......... 0,00416 (i) — Ibid................. 0,00666 —
Fibre
de la moelle épinière......... 0,00666(a) — Fib
..... 0,00666 — Fibre de la moelle épinière......... 0,00666(a) —
Fibre
delà moelle épinière......... 0,0075 (3) Lézard
,00666(a) — Fibre delà moelle épinière......... 0,0075 (3) Lézard
Fibre
du nerf trifacial........... 0,0075 Grenouille
5 (3) Lézard Fibre du nerf trifacial........... 0,0075 Grenouille
Fibre
d'une racine de nerf rachidien..... 0,00916 Léz
Grenouille Fibre d'une racine de nerf rachidien..... 0,00916 Lézard
Fibre
de la moelle épinière. ........ 0,01 Grenouille
0916 Lézard Fibre de la moelle épinière. ........ 0,01 Grenouille
Fibre
de la moelle épinière......... 0,01111 Couleuvr
Grenouille Fibre de la moelle épinière......... 0,01111 Couleuvre
Fibre
de la moelle épinière......... 0,01166 Grenouil
Couleuvre Fibre de la moelle épinière......... 0,01166 Grenouille
Fibre
pleine du nerf trifacial....... . 0,015 — Fibre
,01166 Grenouille Fibre pleine du nerf trifacial....... . 0,015 —
Fibre
vide du nerf crural.......... 0 015 — Fibre ple
cial....... . 0,015 — Fibre vide du nerf crural.......... 0 015 —
Fibre
pleine du nerf crural. ........ 0,02 vrilème qu
chaque tableau, et pour le tableau concernant les reptiles, c'est une
fibre
remplie de matière nerveuse. La différence qu'il
fibre remplie de matière nerveuse. La différence qu'il y a entre une
fibre
pleine et une fibre vide peut être appréciée en c
tière nerveuse. La différence qu'il y a entre une fibre pleine et une
fibre
vide peut être appréciée en comparant cette derni
ine et une fibre vide peut être appréciée en comparant cette dernière
fibre
avec celle qui la précède ; toutes deux appartien
copiques, j'ai plusieurs fois aperçu une continuité entre les grosses
fibres
et les petites, mais cela n'était pas toujours as
e cas et il n'a pas osé se prononcer. Chez la grenouille, j'ai vu une
fibre
rachidienne du diamètre de 0miB, 0075, unie à ang
ibre rachidienne du diamètre de 0miB, 0075, unie à angle droit, à une
fibre
plus petite (de 0mm, 00416). Lorsque, dans les ex
droit qu'elle s'opérait. En entrant dans la moelle rachidienne, les
fibres
des racines nerveuses perdent tout-à-coup de leur
, dans le point que j'ai indiqué, le né-vrilème les abandonne. Les
fibres
nerveuses des reptiles sont canaliculées comme ce
e restriction que j'ai faite dans le chapitre précédent, au sujet des
fibres
transverses de la moelle allongée et des fibres e
écédent, au sujet des fibres transverses de la moelle allongée et des
fibres
encéphaliques ; les unes et les autres ne m'ont p
ient voir les fi bres de la lame optique, celles du cervelet et les
fibres
trans-verses de la moelle allongée et de la moell
es microscopiques. 2. La moelle épinière des reptiles est formée de
fibres
, de granulations et de vaisseaux sanguins. 3. L
formée de fibres, de granulations et de vaisseaux sanguins. 3. Les
fibres
sont de deux sortes, les unes longitudinales, vol
n; les autres très ténues, transversales, allant des granulations aux
fibres
longitudinales. k. Les granulations et les ramu
scules sanguins, composent la substance grise de laquelle émanent les
fibres
trans-verses. 5. Les filets d'origine des nerfs
-verses. 5. Les filets d'origine des nerfs rachidiens, viennent des
fibres
longitudinales de la moelle; ils ne se continuent
eux de droite avec ceux de gauche, mais seulement par l'entremise des
fibres
transverses ou fibres très ténues de la moelle; j
x de gauche, mais seulement par l'entremise des fibres transverses ou
fibres
très ténues de la moelle; je n'ai pu trouver de d
6. De même que chez les poissons, il n'y a pas d'entrecroisement des
fibres
nerveuses de la moelle. 7. Les faisceaux fulcra
erveau est composé de substance granulée, vascu-laire, et de quelques
fibres
. 9. La lame optique est entièrement fibreuse.
se. 10. La substance du cervelet est fibreuse, analogue à celle des
fibres
transverses de la moelle épinière. 11. Nulle pa
le des fibres transverses de la moelle épinière. 11. Nulle part les
fibres
transverses n'existent en aussi grand nombre qu'à
s n'existent en aussi grand nombre qu'à la moelle allongée. 12. Les
fibres
nerveuses des reptiles varient de 0mi11-,00083 ju
les varient de 0mi11-,00083 jusqu'à 0m!il-,02. 13. Les plus grosses
fibres
sont les fibres longitudinales de la moelle épini
mi11-,00083 jusqu'à 0m!il-,02. 13. Les plus grosses fibres sont les
fibres
longitudinales de la moelle épinière, et les fibr
s fibres sont les fibres longitudinales de la moelle épinière, et les
fibres
des nerfs; les plus petites sont les fibres trans
a moelle épinière, et les fibres des nerfs; les plus petites sont les
fibres
transversales de la moelle, les fibres du cervele
rfs; les plus petites sont les fibres transversales de la moelle, les
fibres
du cervelet, de la lame optique, du cerveau et de
entre elles les parties de l'encéphale. IU. Dans un même nerf, les
fibres
pleines sont plus grosses que les fibres vides.
IU. Dans un même nerf, les fibres pleines sont plus grosses que les
fibres
vides. § III. facultés des reptiles. L'analog
Gall, j'opposerai d'abord le fait anatomique suivant : c'est que les
fibres
de la racine du nerf optique vont en partie s'épa
ière. A la face inférieure du cerveau, on voit ces stries blanches ou
fibres
médullaires pénétrer dans l'organe, et s'y divise
es pénétrer dans l'organe, et s'y diviser à l'infini ; un faisceau de
fibres
dont les premiers anatomisles qui ont décrit le c
andis que le lobe cérébral est un organe dans lequel se terminent les
fibres
de la moelle épinière. A sa partie antérieure, te
sub- (i) Op. cit., \. r, p. 2y. stance grise ; ils reçoivent des
fibres
blanches venant de la moelle épinière; ils fourni
c la moelle. Cette dernière communication a lieu par deux ordres de
fibres
: les unes s'enfoncent transversalement dans la m
poissons et des reptiles; c'est en grande partie à la présence de ces
fibres
transverses, dont le pont de varole n'est qu'un d
l'augmentation de volume qu'elle présente en cet endroit. Les autres
fibres
viennent des faisceaux spinaux de la moelle. La
addition d'une certaine quantité de substance grise, et par celle des
fibres
de la commissure diffuse. A sa face spinale, on v
raison de l'absence de cet organe , la cinquième paire sort entre les
fibres
longitudinales de la moelle allongée ; 5° enfin à
ure; sur les lobes optiques, on trouve une commissure large, dont les
fibres
viennent de la moelle épinière; une valvule de Vi
§ II. STRUCTURE DU SYSTÈME NERVEUX CÉRÉBRO-SPINAL DES OISEAUX. Des
fibres
nerveuses canaliculées et des globules nerveux so
té question plus haut; il n'entre dans sa composition que des grosses
fibres
blanches, longitudinales. Les fibres nerveuses
sa composition que des grosses fibres blanches, longitudinales. Les
fibres
nerveuses formant les racines des nerfs rachidien
cope, la substance grise présente un aspect granulé, confus, quelques
fibres
nerveuses que la compression a rendues articulées
é dans l'intérieur de cet organe, chez l'homme. La distribution des
fibres
de la moelle épinière s'opère de la manière suiva
ère de la manière suivante, dans les lobes encéphaliques. D'abord ces
fibres
ne se croisent pas dans la moelle allongée, où l'
celle-ci est très renflée , et son accroissement de volume tient aux
fibres
venant du cervelet, fibres qui la traversent comm
, et son accroissement de volume tient aux fibres venant du cervelet,
fibres
qui la traversent comme une sorte de pont de varo
réalité un organe distinct, mais seulement une portion d'organe. Des
fibres
transverses venant du cervelet s'entrecroisent, d
venant du cervelet s'entrecroisent, dans tous les vertébrés, avec les
fibres
longitudinales provenant de la moelle épinière. S
la moelle est considérable et le cervelet peu volumineux, toutes les
fibres
transverses sont entrecroisées par les fibres lon
volumineux, toutes les fibres transverses sont entrecroisées par les
fibres
longitudinales : c'est le cas des poissons, des r
de volume, proportionnellement au cervelet, le cervelet produit des
fibres
transverses dont une partie seulement s'entrecroi
s fibres transverses dont une partie seulement s'entrecroise avec les
fibres
longitudinales de la moelle, tandis que l'autre p
lieu pour ce qui concerne le corps calleux. M. Tiedemann a suivi les
fibres
de cet organe jusque dans la moelle allongée ; Ga
ane jusque dans la moelle allongée ; Gall a suivi ou plutôt admis des
fibres
venant des hémisphères pour se rendre au même poi
les poissons, il n'en a qu'une, celle de la moelle épinière dont les
fibres
, renforcées par un ganglion , vont former une sor
s plus étendu qu'ils ne l'ont en réalité. o. Diamètre et nature des
fibres
nerveuses du système cérébro-spinal des oiseaux.
poissons : c'est là la seule différence importante à noter entre les
fibres
nerveuses de ces animaux et celles des oiseaux, c
de ces animaux et celles des oiseaux, car l'ordre suivant lequel les
fibres
s'élargissent est à-peu-près le même chez tous. L
s le même chez tous. Le cerveau, le cervelet, les commissures ont les
fibres
les plus petites ; la moelle épinière vient après
: ainsi, il ne faut pas nous presser de conclure que le diamètre des
fibres
nerveuses diffère d'après la nature de leurs prop
our le pédoncule cérébral, j'ai noté comme présentant le diamètre des
fibres
de cet organe, 0,0025 ; tandis que, pour le planc
ens de la moelle épinière qui, de tous les côtés de sa surface, a des
fibres
d'un grand et d'un petit diamètre. D'où vient qu'
'où vient qu'à la cuisse du cerveau il n'y aurait plus que de petites
fibres
, et qu'il y en aurait de très larges au plancher
ncher du quatrième ventricule? Où et comment se terminent les grosses
fibres
de la moelle ? En parlant de l'encéphale de l'hom
je répondrai à ces différentes questions. Dans le nerf optique, les
fibres
ne se découvrent pas facilement ; elles sont liée
'ai trouvé, dans le moteur commun des yeux de la mésange, beaucoup de
fibres
présentant çà et là des dilatations irrégulières,
ilatations irrégulières, comme on en voit en si grand nombre dans les
fibres
de la moelle épinière ; particularité qui me para
re attribuée à ce que, dans la préparation nécessaire pour isoler les
fibres
de ce nerf, j'aurai déchiré le névrilème de plusi
aurai déchiré le névrilème de plusieurs d'entre elles. Diamètre des
fibres
nerveuses des oiseaux. M. Pigeon. Fibre de la
re elles. Diamètre des fibres nerveuses des oiseaux. M. Pigeon.
Fibre
de la commissure des lobes optiques..... o,ooi
Pigeon. Fibre de la commissure des lobes optiques..... o,ooi Poule.
Fibre
du cervelet........................ 0,00166 Més
Poule. Fibre du cervelet........................ 0,00166 Mésange.
Fibre
du lobe cérébral.................... 0,00166 Ic
Mésange. Fibre du lobe cérébral.................... 0,00166 Ici.
Fibre
du nerf optique..................... 0,00166 Pi
6 Ici. Fibre du nerf optique..................... 0,00166 Pigeon.
Fibre
de la commissure des lobes optiques...... 0,002
Pigeon. Fibre de la commissure des lobes optiques...... 0,002 Id.
Fibre
du pédoncule cérébral................ 0,0025 Ch
d. Fibre du pédoncule cérébral................ 0,0025 Chardonneret.
Fibre
du lobe cérébral.................... 0,002 5 Mé
nneret. Fibre du lobe cérébral.................... 0,002 5 Mésange.
Fibre
de la moelle épinière................. o,oo333
ésange. Fibre de la moelle épinière................. o,oo333 Poule.
Fibre
du nerf pneumo-gastrique.............. o,oo333
Poule. Fibre du nerf pneumo-gastrique.............. o,oo333 Id. ?
Fibre
de la moelle épinière................. 0,00 346
3 Id. ? Fibre de la moelle épinière................. 0,00 346 Id.
Fibre
du nerf pneumo-gastrique............. 0,00477 P
6 Id. Fibre du nerf pneumo-gastrique............. 0,00477 Pigeon.
Fibre
de la commissure des lobes optiques...... o,oo583
n. Fibre de la commissure des lobes optiques...... o,oo583 Mésange.
Fibre
de la moelle épinière................. 0,00666
Mésange. Fibre de la moelle épinière................. 0,00666 Id.
Fibre
du nerf moteur commun des yeux....... 0,0075 Pi
75 Pigeon. Même nerf............................. 0,0075 Mésange.
Fibre
d'un nerf de l'aile................... 0,00833
Chardonneret. Même nerf............................. o,oo833 Poule.
Fibre
de la moelle épinière................. 0,00846
3 Poule. Fibre de la moelle épinière................. 0,00846 Id.
Fibre
du maxillaire supérieur.............. 0,0 r Id.
0,00846 Id. Fibre du maxillaire supérieur.............. 0,0 r Id.
Fibre
du glosso-pharyngien................ 0,01 Pigeo
0,0 r Id. Fibre du glosso-pharyngien................ 0,01 Pigeon.
Fibre
du plancher du quatrième ventricule..... 0,01083
on. Fibre du plancher du quatrième ventricule..... 0,01083 Mésange.
Fibre
de la moelle épinière...............*, 0,01166
ésange. Fibre de la moelle épinière...............*, 0,01166 Poule.
Fibre
du nerf moteur ocul. commun.......... 0,01309 I
66 Poule. Fibre du nerf moteur ocul. commun.......... 0,01309 Id.
Fibre
de la septième paire................. 0,01333 P
9 Id. Fibre de la septième paire................. 0,01333 Pigeon.
Fibre
du nerf pathétique.................. 0,0141* Il
oiseaux, autant que chez les poissons et les reptiles, d'exprimer des
fibres
nerveuses la matière blanche qu'elles contiennent
des reptiles et des poissons; aussi a-t-elle un très grand nombre de
fibres
transversales. 2. Le cerveau est composé de sub
faisceaux de substance blanche venant de la moelle allongée. 3. Les
fibres
de la moelle, en arrivant aux lobes optiques, se
aux que dans celui de l'homme. 5. Il n'y a pas d'entrecroisement de
fibres
longitudinales, à la moelle épinière. 6. Le ren
lement que l'on observe à la moelle allongée, lient à la présence des
fibres
transverses ou commissure diffuse du cervelet.
les reptiles et les poissons. 8. Les extrêmes d'élargissemétit des
fibres
nerveuses sont depuis 0, 001 jusqu'à 0, 01411.
corps strié ou bandelette striée par Vicq d'Azyr, est une réunion de
fibres
blanches qui communiquent par une de leurs extrém
aux, et sur sa partie interne et supérieure, l'on voit un faisceau de
fibres
blanches, qui se portent de la glande pinéale jus
ercule quadrijumeaux. C'est un tubercule grisâtre, duquel émanent des
fibres
blanches qui vont dans des directions différentes
ostérieure. Je n'ai jamais trouvé chez les animaux, un autre ordre de
fibres
que M. Cruveilhier a vues, chez l'homme, se dirig
parcourent et des stries transversales qui indiquent la direction des
fibres
composant l'organe'dont il s'agit. Celte face est
ilieu de la matière grise (tuber cinereum) de Xinfundi-bulum. Là, les
fibres
, dont il s'agit, se contournent sur elles-mêmes,,
eure et la couche optique. Jusque au-dessus de la couche optique, les
fibres
du côté droit et celles du côté gauche, réunies e
de corps frange ou bordé. Les piliers de la voûte croisent donc les
fibres
du corps calleux, puisque les unes sont anléro-po
corpus psalloïdes, dont les corps frangés seraient la monture, et les
fibres
du corps calleux, les cordes. Au-dessus de l'ou
elet est en communication avec la moelle allongée par trois ordres de
fibres
, savoir : celles du corps resti-forme (pl. vu, fi
ux se rapprochent beaucoup, sous ce rapport, de l'espèce humaine. Les
fibres
transversales du cervelet, devenues très nombreus
aux n'ayant pas augmenté dans la même proportion, une partie de ces
fibres
se trouve en saiilie et forme une double commissu
inférieure de la moelle allongée, les pédoncules cérébraux formés de
fibres
longitudinales traversés par des linéamens que Ga
le long du sillon spinal, et sont plus blanches que les faisceaux de
fibres
environnantes. Eminences transverses. Sur le pl
cée une petite saillie vermiforme, grisâtre, de laquelle naissent des
fibres
blanches, qui constituent la portion molle de la
phoque et les singes n'ont de l'éminence mamillaire que la traînée de
fibres
blanches que l'on voit à sa face inférieure chez
près, le diamètre de chaque nerf. Des nerfs extrêmement petits ou des
fibres
nerveuses peuvent se mesurer facilement à l'aide
de que chez l'homme. Le pont de varole de la baleine m'a offert des
fibres
transversales ayant trois différens degrés de cou
à dire ici sur l'ana-lomie des mammifères, en donnant le diamètre des
fibres
nerveuses chez la chauve-souris, le rat, le chien
e mieux ressortir la différence qui se trouve dans le diamètre de ces
fibres
chez un même animal, suivant la partie du système
suite les unes des autres toutes les mensurations qui concernent les
fibres
nerveuses de l'âne. Il résulte de ces mensuration
es mensurations, que la moelle allongée et la moelle épinière ont des
fibres
de dimensions très différentes, et que ces fibres
le épinière ont des fibres de dimensions très différentes, et que ces
fibres
peuvent acquérir, par suite de la compression à l
aminer, des dimensions très considérables, ce qui n'arrive jamais aux
fibres
du cerveau, du cervelet, et des parties secondair
mmissures,les corps striés, les couches optiques, etc. diamètre des
fibres
nerveuses des mammifères. mammifères. mm. C
res nerveuses des mammifères. mammifères. mm. Chauve-soukis . .
Fibre
de la moelle épinière......... . 0,00166 Chien.
e la cuisse du cerveau........ 0,01166 ld........~, Renflement d'un
fibre
variqueux du nerf optique ............ ... 0,0116
convexité des hémisphères, où elles forment les circonvolutions. Les
fibres
provenant des colonnes antérieures de la moelle,
end avoir pu suivre, par la dissection, le cercle formé ainsi par les
fibres
nerveuses. La circulation nerveuse, et avec ell
, suivent une marche qui est en rapport parfait avec la direction des
fibres
de la moelle et celles du cerveau. Par l'interm
re de l'encéphale des poissons....... 184 3. Diamètre et nature des
fibres
du système nerveux cérébro- spinal des poissons
re de l'encéphale des reptiles....... 242 3. Diamètre et nature des
fibres
du système nerveux cérébro- spinal des reptiles
ure de l'encéphale des oiseaux....... 295 3. Diamètre et nature des
fibres
nerveuses du système céré- bro-spinal des oisea
aire que d'employer son expression qui résumera ma pensée. Vaxe d'une
fibre
nerveuse est un filament de sarcode primordial (1
erveux une organisation bien n. 1 Un caractère bien remarquable des
fibres
nerveuses périphériques, c'est de ne jamais s'ana
es, c'est de ne jamais s'anastomoser dans les troncs nerveux avec les
fibres
voisines. Chaque fibre nerveuse est donc un fil s
'anastomoser dans les troncs nerveux avec les fibres voisines. Chaque
fibre
nerveuse est donc un fil simple, et chaque nerf e
en est toute récente, et date seulement des travaux de Fontana. Les
fibres
nerveuses animales se rangent, eu égard à leurs f
écessaire succède à toute impression distincte. Il y a donc entre les
fibres
impressionnables et les fibres motrices certains
ssion distincte. Il y a donc entre les fibres impressionnables et les
fibres
motrices certains rapports immédiats ou médiats,
cette relation. Suivant mon illustre maître, M. de Blainville, toute
fibre
nerveuse complète forme un arc, une des plus co
se être dans les terminaisons du nerf le point de départ de plusieurs
fibres
plus petites. Dans ces derniers temps, M; Stillin
peut suffire, et il faut aller au delà. II. En réalité, il y a deux
fibres
nerveuses : Y impressionnable et Y excitante. Ces
il y a deux fibres nerveuses : Y impressionnable et Y excitante. Ces
fibres
sont distinctes l'une de l'autre par leurs propri
s-grand soin, sont de véritables centres vers lesquels convergent les
fibres
sensitives, et d'où rayonnent certaines fibres mo
esquels convergent les fibres sensitives, et d'où rayonnent certaines
fibres
motrices (2). Ainsi les cellules peuvent être con
: chacune d'elles est un centre générateur d'impulsions. En effet, la
fibre
sensitive agit sur la cellule centrale et la modi
e est lui-même composé en un très-haut degré. De même que plusieurs
fibres
nerveuses fasciculées forment un nerf, de même un
ains dans une masse de sable, sans paraître communiquer soit avec les
fibres
nerveuses qui traversent le ganglion, soit les un
rôle jouent ces amas de cellules libres; peut-être ont-elles avec les
fibres
des relations qu'on n'a point aperçues. 2° Un s
nd ordre comprend des cellules auxquelles ne se rattache qu'une seule
fibre
nerveuse, du moins en apparence. 3° Souvent dan
apparence. 3° Souvent dans un ganglion une cellule reçoit une seule
fibre
nerveuse, et en émet une seule qui continue son t
ts. La cellule apparaît alors comme un renflement sur le trajet d'une
fibre
. On pourrait, à priori, con cevoir ces cellules
s d'un même ganglion ; d'autres se continuent avec l'axe de certaines
fibres
nerveuses périphériques. On désigne ces cellules
épuisement successif. Mais à mesure qu'ils s'épuisent, de nouvelles
fibres
nerveuses se groupent sur leurs côtés, et constit
ent graduellement de nouveaux cordons postérieurs par l'adjonction de
fibres
nouvelles, en regard des racines nerveuses des me
ines nerveuses des membres antérieurs. Ainsi dans cette succession de
fibres
qui se remplacent, l'ensemble des cordons postéri
hal Hall et de Blainville ont, avec beaucoup de raison, distingué les
fibres
qui composent ces racines sous le nom de fibres c
raison, distingué les fibres qui composent ces racines sous le nom de
fibres
centrifuges pour les racines antérieures, et de f
sous le nom de fibres centrifuges pour les racines antérieures, et de
fibres
centripètes pour les postérieures. Il est bien en
es cellules bipolaires. Il est certain que le plus grand nombre des
fibres
qui composent les racines postérieures des nerfs
oins évident que les racines antérieures sont annexées au système des
fibres
des cordons antérieurs. Il n'est donc pas étonnan
ît quelquefois oblitéré chez l'adulte. Au-devant du ventricule, les
fibres
propres de la lamelle (1) Cela est parfaitement
écorce blanche, les autres à ses axes gris. Les premières sont des
fibres
nerveuses blanches. Elles ont le caractère de tou
t des fibres nerveuses blanches. Elles ont le caractère de toutes les
fibres
nerveuses centrales. Dépourvues du névrilemme qui
es se laissent facilement déprimer, et reçoivent aisément la forme de
fibres
variqueuses. La transformation des fibres périp
vent aisément la forme de fibres variqueuses. La transformation des
fibres
périphériques en fibres nerveuses centrales se vo
e fibres variqueuses. La transformation des fibres périphériques en
fibres
nerveuses centrales se voit aisément dans la moel
t aisément dans la moelle de la grenouille. La première enveloppe des
fibres
nerveuses qui composent les racines postérieures
nt au point d'implantation de ces racines dans la moelle. L'axe de la
fibre
, revêtu de son enveloppe immédiate, se continue s
cat soutient immédiatement et relie les fasciculations grêles que ces
fibres
constituent en s'associant les unes avec les autr
ellules éparses dont quelques-unes sont à peine plus renflées que les
fibres
qu'elles émettent. Ce système de cellules forme u
moelle épinière ; d'autres prolongements se continuent avec certaines
fibres
des faisceaux moyens et des faisceaux antérieurs;
des coupes transverses de la moelle du chat, à la région lombaire des
fibres
qui, des faisceaux et des racines postérieures, s
ermédiaire de ces plexus des cellules multipolaires, il y a entre les
fibres
des (t) Société des sciences de Gœttingue, 16ja
tranchants postérieurs de l'axe gris, et se continuent avec certaines
fibres
des faisceaux racines et des faiseeaux postérie
autres de la manière la pluâ compliquée. Elles émettent en outre des
fibres
, dont les unes descendent, dont les autres monten
un second qui devient un nerf sensitif, un troisième qui se change en
fibre
nerveuse motrice, un quatrième, enfin, qui unit l
ortant à constater aujourd'hui serait un entrecroisement de certaines
fibre
» sensitives dans la commissure, mais ce sujet est
ord comme elles un contenu granuleux, mais avant de se transformer en
fibres
nerveuses, ils perdent graduellement ces granules
odigieuse ténuité; ces filaments ont une grande ressemblance avec les
fibres
celluleuses, mais il est impossible de méconnaîtr
e, parce qu'on les voit en certains lieux se continuer avec l'axe des
fibres
nerveuses. Tood et Bowman ont déjà remarqué leur
t-. 1855. tranchants antérieurs de l'axe gris est traversée par des
fibres
nombreuses qui, des cordons moyens d'un côté, pas
par l'intermédiaire de la commissure ; en étudiant attentivement ces
fibres
, on démontre aisément que la lame blanche de cett
sposition plus facile à démontrer ; c'est dans les intervalles de ces
fibres
entrecroisées que sont logés les cordons longitud
es par ces lames qu'est comprise la substance gélatineuse. Toutes les
fibres
des cloisons sont longitudinales comme celles des
des cordons postérieurs ; mais on voit dans leur intervalle certaines
fibres
transversales cheminer des cordons postérieurs ve
ordons postérieurs vers le centre des axes gris. Quelques-unes de ces
fibres
se rattachent aux racines postérieures des nerfs
nce gélatineuse, outre ces (1) On a eontesté la nature nerveuse des
fibres
transverses de la commissure. Ce seraient, ont di
sverses de la commissure. Ce seraient, ont dit d'habiles auteurs, des
fibres
celluleuses; il est vrai qu'elles en ont à certai
s rayonnements des cellules entre elles sont eux-mêmes semblables aux
fibres
des tissus cellulaires, et cependant leur nature
propriétés. L'histoire du système nerveux est là pour le démontrer.
fibres
transversales, les loges comprennent encore un pe
comprennent encore un petit nombre de cellules multipolaires, et des
fibres
très-délicates qui relient ces cellules au tranch
ons de la moelle prennent plus d'importance, elles retiennent plus de
fibres
blanches, et en laissent passer jusqu'à l'encépha
axes gris se réduisent proportionnellement. Cette multiplication des
fibres
blanches parait suivre l'accroissement des membre
t à cette région de la moelle, et devraient accroître la somme de ses
fibres
, dans le cas où toutes celles de la région lombai
de la proposition que j'ai plus haut soutenue, savoir, que toutes les
fibres
nerveuses des régions postérieures du corps ne re
ut dans ses parties postérieures, que par le plus petit nombre de ses
fibres
. Cela explique peut-être pourquoi la volonté, que
uide gouverne plusieurs chevaux. Combien, en effet, ne faut-il pas de
fibres
nerveuses élémentaires pour mouvoir un seul doigt
à duquel les deux moitiés de l'axe, après avoir traversé un anneau de
fibres
blanches appelé protubérance annulaire, se sépare
l'olive. L'intervalle qui l'en sépare est rempli par une expansion de
fibres
blanches émanées du funicule accessoire du cordon
fibres blanches émanées du funicule accessoire du cordon latéral; ces
fibres
se portent vers les cordons postérieurs du bulbe.
ement enveloppées par une couche mince de substance blanche formée de
fibres
transversales juxtaposées, qui, du sillon médian
vers les faisceaux postérieurs du bulbe. Elle est appelée couche des
fibres
arciformes. Rolando a le premier fait connaître l
couche des fibres arciformes. Rolando a le premier fait connaître les
fibres
qui la composent. Elles forment une enveloppe ser
aussi, le plus souvent, n'aperçoit-on, au premier abord, que quelques
fibres
irrégulières qui, d'ailleurs, n'existent pas touj
ésulte, dans l'homme et dans les singes, d'une énorme accumulation de
fibres
transversales, qui passent au-devant ou plutôt au
ces collines, qui s'inclinent en arrière vers le cervelet. Toutes les
fibres
de la protubérance s'y condensent en un espace de
n organisation demeure le même dans tous les cas. La manière dont ces
fibres
transversales sont fasciculées dans le pédoncule
a été parfaitement décrite par Rolando. Si nous divisons avec lui ces
fibres
en fibres postérieures moyennes et antérieures, n
aitement décrite par Rolando. Si nous divisons avec lui ces fibres en
fibres
postérieures moyennes et antérieures, nous pouvon
sa description en disant que dans le pédoncule cérébelleux moyen les
fibres
antérieures s'unissent aux postérieures, derrière
oyen les fibres antérieures s'unissent aux postérieures, derrière les
fibres
moyennes. Le pédoncule cérébelleux contient ainsi
s fibres moyennes. Le pédoncule cérébelleux contient ainsi toutes les
fibres
de la protubérance fasciculées et condensées en u
sciculées et condensées en un gros cordon arrondi. Au moment où les
fibres
antérieures s'engagent derrière les fibres moyenn
rrondi. Au moment où les fibres antérieures s'engagent derrière les
fibres
moyennes, on remarque, sur la région pédonculaire
e de la protubérance, une ouverture comprise entre ces deux ordres de
fibres
. Cette ouverture oblongue, au-devant de laquelle
té complet de l'anatomie du système nerveux. un plan superficiel de
fibres
, que ce dernier désigne sous le nom de ruban fibr
res, que ce dernier désigne sous le nom de ruban fibreux oblique. Ces
fibres
, qui font partie des faisceaux les plus antérieur
ficielle la face antérieure des pédoncules cérébelleux moyens. De ces
fibres
, les unes se portent directement vers le cervelet
ut constater, vers le cinquième mois, que les plus inférieures de ses
fibres
, celles qui plongent dans la fosse de Malacarne,
ité où l'on se trouve de fixer d'une manière certaine le point où les
fibres
de la protubérance s'implantent dans le cervelet.
les, la protubérance n'est en aucune façon distincte de la couche des
fibres
arciformes. M. Valentin reconnaît avec raison,
des fibres arciformes. M. Valentin reconnaît avec raison, dans ces
fibres
arciformes du bulbe, le prototype de la protubéra
une bande longitudinale appliquée à leur face inférieure et dont les
fibres
présentent plus que toutes les autres cette diver
tranche sur le fond, grisâtre et semi-transparent à cette époque, des
fibres
du pédoncule; aussi est-ce surtout alors qu'il fa
u'il faut signaler : plus on est près de la protubérance, et plus les
fibres
de cette bande se condensent en un faisceau disti
la face inférieure du pédoncule, les pyramides reçoivent de nouvelles
fibres
, car plus elles s'avancent du bulbe vers le cerve
blable à un cordon fascicule, subit une modification remarquable. Ses
fibres
, en premier lieu condensées, s'écartent, et, en s
se du pédoncule, émane simultanément des deux bords du cornet par des
fibres
qui s'infléchissent en arc au-dessous de la pyram
e l'éventail pédonculaire. Cette gouttière, dont le fond est formé de
fibres
blanches mêlées à beaucoup de substance grise, lo
i le composent. Un faisceau blanc, plus épais, se mêle au plan de ces
fibres
et se porte à la surface du noyau dans la paroi p
noyau dans la paroi postérieure du cornet 5 ce faisceau , composé de
fibres
d'un blanc nacré, émane d'un cordon fibreux logé
écrirons plus tard, sous le nom de commissure antérieure. Outre ces
fibres
superficielles, une multitude de fibres blanches,
ssure antérieure. Outre ces fibres superficielles, une multitude de
fibres
blanches, nées surtout de l'anse pédonculaire, tr
n rayonnant le noyau gris. Il y a une telle relation entre toutes ces
fibres
, qu'en essayant de les dissocier, on décompose ce
s corticales de l'hémisphère la limite en avant et l'embrasse ; les
fibres
blanches qui soutiennent ce bord ont reçu le nom
plus détaillée qui va suivre. Quant à la distribution ultérieure des
fibres
rayonnantes, ou, si l'on aime mieux, de la couron
es supérieurs du cervelet est complètement recouvert par une voûte de
fibres
blanches, qui porte la masse des tubercules quadr
educ de Sylvius, les pédoncules supérieurs du Cervelet, et toutes les
fibres
qui, des faisceaux postérieurs, se portent vers l
n fasciculée du pédoncule, naissent, dans le voisinage de l'anse, des
fibres
blanches, qui s'étalent et s'enroulent autour des
'étalent et s'enroulent autour des deux amas gris qu'elle réunit. Ces
fibres
, très-adhérentes aux parties sous-jacentes, forme
isceau s'étale en une membrane mince autour de la couche optique. Ses
fibres
clair-semées se recourbent d'avant en arrière aut
des cellules pâles, arrondies, sans prolongements, et quelques rares
fibres
nerveuses de 0m,002 à 0m,005 de diamètre (Histolo
écorce blanche, entre elle et le noyau, une bande épaisse, formée de
fibres
blanches entremêlées de beaucoup de substance gan
formant la ceinture. Ils ne sont séparés l'un de l'autre que par les
fibres
du cornet pédonculaire que leur disposition a fai
icule latéral. Au-dessus du vestibule, un plan très-serré, formé de
fibres
transversales, unit les deux arcs des piliers de
fibres transversales, unit les deux arcs des piliers de la voûte. Ces
fibres
transversales tendues entre deux bandelettes dive
vergents du pédoncule ; imaginons ensuite qu'un grand nombre de leurs
fibres
rayonnantes se recourbent au-dessus de l'ensemble
concevoir de deux manières la formation de cette voûte : ou bien les
fibres
qui émanent de l'éventail droit s'unissent avec c
ent avec celles qui naissent à gauche en un raphé médian; ou bien ces
fibres
, s'entre-croisant sur la ligne médiane, poursuive
delà. Nous discuterons plus loin ces deux hypothèses. Les premières
fibres
du corps calleux se voient à la base du cerveau,
ules latéraux, puis se développe d'avant en arrière, où ses dernières
fibres
s'unissent intimement au bord postérieur de l'ope
calleux le nom de genou antérieur. Le bord arrondi que ses dernières
fibres
forment en s'unissant au bord postérieur de l'o
autre, offre donc deux courbures. L'une transversale suit le sens des
fibres
. L'autre longitudinale se développe de bas en hau
rfs longitudinaux de Lancisi. Nous dirons plus tard à quel système de
fibres
ces filaments se rattachent. Pour compléter cet
istence de ce ventricule suppose-t-elle celle du corps calleux et des
fibres
transversales de Xopercule, qui limitent cet espa
u noyau cérébral, auquel elles sont attachées par une masse énorme de
fibres
intermédiaires. Les parois des bourses sont gri
exagération, rappelle assez bien celui que nous constatons entre les
fibres
qui composent la commissure blanche de la moelle.
celles de la moelle épinière. Elles contiennent en effet un réseau de
fibres
obliques presque transversales, symétriques à dro
s, aux deux côtés duquel l'apparence réticulée domine. La plupart des
fibres
longitudinales du bulbe sont comprises dans les m
udinales du bulbe sont comprises dans les mailles de ce réseau. Les
fibres
superficielles des faisceaux moteurs et la totali
ntes entre des choses si disparates. J'ai dit plus haut comment les
fibres
de la commissure de la moelle se comportent avec
mment les fibres de la commissure de la moelle se comportent avec les
fibres
longitudinales de l'arête centrale des faisceaux
bres longitudinales de l'arête centrale des faisceaux antérieurs. Ces
fibres
de la commissure embrassent, en effet, dans leurs
ntérieurs; elle embrasse dans ses interstices la presque totalité des
fibres
qui composent ces faisceaux. Cet épaississement d
dans la moelle d'analogues visibles. Je veux parler des olives et des
fibres
arciformes. E. Les olives sont de petites poche
une supérieure, l'autre interne. Ces ouvertures donnent passage à des
fibres
nombreuses qui pénètrent dans la cavité de la bou
res il ne fait point saillie à l'extérieur du bulbe. Deux ordres de
fibres
pénètrent dans l'intérieur de l'olive. Les unes s
du bulbe et pénètrent dans l'olive par son ouverture supérieure. Ces
fibres
forment un plan bien distinct. Les secondes, je v
ndue de la paroi interne de l'olive qui en est toute traversée. Ces
fibres
transversales abondent à tel point, que, vue à de
ganglions gris que séparent les uns des autres de petits faisceaux de
fibres
transverses. Chacun de ces petits ganglions est à
urtout manifeste pour les noyaux accessoires, au travers desquels les
fibres
nerveuses peuvent être plus facilement suivies. M
s voulu l'étude de ce singulier organe. F. Il me reste à parler des
fibres
qui composent l'écorce du bulbe. Ces fibres sont
Il me reste à parler des fibres qui composent l'écorce du bulbe. Ces
fibres
sont de deux ordres. 1° Les premières résultent
re vers les corps restiformes qu'elle enveloppe d'une écorce dont les
fibres
se portent vers le cervelet. Ainsi le corps resti
ervelet. Ainsi le corps restiforme des auteurs comprend à la fois des
fibres
venant des faisceaux postérieurs et des fibres qu
comprend à la fois des fibres venant des faisceaux postérieurs et des
fibres
qui émanent du faisceau latéral. Cette expansion
été vue pour la première fois par Solly (1). 2° Le second ordre de
fibres
comprend les fibres arciformes de Rolando. Ces fi
mière fois par Solly (1). 2° Le second ordre de fibres comprend les
fibres
arciformes de Rolando. Ces fibres, comme tout le
second ordre de fibres comprend les fibres arciformes de Rolando. Ces
fibres
, comme tout le monde le sait, émer- (1) On the
le cervelet, où elles se terminent. Pour découvrir l'origine de ces
fibres
, il faut séparer l'une de l'autre les deux moitié
ise du quatrième ventricule au travers de la commissure du bulbe. Ces
fibres
, antéro-postérieures, occupent les deux côtés d'u
est là, à très-peu de chose près, ce que l'on savait de l'origine des
fibres
arciformes. Je me suis efforcé d'aller plus loi
édiatement la clef du problème. On voit en effet alors que toutes ces
fibres
antéro-postérieures dont nous parlons naissent de
rlons naissent de la face postérieure des faisceaux moyens. Ainsi les
fibres
arciformes s'étendent des faisceaux moyens au cer
servations que les corps restiformes ne comprennent pas seulement des
fibres
émanées des faisceaux postérieurs, mais contienne
x postérieurs, mais contiennent en outre une assez grande quantité de
fibres
venues des faisceaux moyens. Nous verrons un peu
nues des faisceaux moyens. Nous verrons un peu plus loin, que par les
fibres
arciformes les faisceaux moyens sont surtout en r
relation avec les parties latérales du cervelet, tandis que par les
fibres
émanées du funicule accessoire ils sont plus part
nt plus particulièrement en relation avec ses parties médianes. Les
fibres
areiformes sont très-rapprochées les unes des aut
d'un grand mérite. G. En résumé, le bulbe comprend quatre ordres de
fibres
, savoir : 1° des fibres longitudinales; 2° des fi
En résumé, le bulbe comprend quatre ordres de fibres, savoir : 1° des
fibres
longitudinales; 2° des fibres antéro-postérieures
uatre ordres de fibres, savoir : 1° des fibres longitudinales; 2° des
fibres
antéro-postérieures ; 3° des fibres transversales
des fibres longitudinales; 2° des fibres antéro-postérieures ; 3° des
fibres
transversales ; 4° des fibres enveloppantes. 1°
des fibres antéro-postérieures ; 3° des fibres transversales ; 4° des
fibres
enveloppantes. 1° Fibres longitudinales. Elles
res ; 3° des fibres transversales ; 4° des fibres enveloppantes. 1°
Fibres
longitudinales. Elles sont subdivisées en plusieu
éparés les uns des autres par de petits intervalles où s'engagent les
fibres
transversales du bulbe; un raphe médian parcouru
t les fibres transversales du bulbe; un raphe médian parcouru par les
fibres
antéro-postérieures sépare le cordon de droite d'
ascicules plus petits encore, et disséminés entre les interstices des
fibres
transversales. Il est comme le précédent, triangu
es d'arrière en avant. L'olive est encadrée pour ainsi dire entre les
fibres
de ce faisceau. (d). Le groupe du funicule acce
(é). Le groupe du cordon postérieur situé en dehors du système des
fibres
transversales. (/). Celui des cordons mamelonné
g et Wallach croient en rapport avec les origines du nerf vague. 2°
Fibres
transversales. Celles-ci représentent la commis
légère d'arrière en avant, ce qui permet de distinguer deux ordres de
fibres
transversales, les unes droites, les autres gauch
ni leurs terminaisons ne sont bien connues. Quoi qu'il en soit, ces
fibres
forment, dans toute l'épaisseur du bulbe, des rés
aisseur du bulbe, des réseaux dans les mailles desquels cheminent les
fibres
longitudinales. MM. Stilling et Wallach ont parfa
; mais ils me semblent ne point avoir aperçu l'entrecroisement de ces
fibres
dans le raphe. 3° Fibres antéro-postérieures.
oint avoir aperçu l'entrecroisement de ces fibres dans le raphe. 3°
Fibres
antéro-postérieures. Ces fibres traversent tout
t de ces fibres dans le raphe. 3° Fibres antéro-postérieures. Ces
fibres
traversent toute l'épaisseur de la commissure, et
ve et s'épanouit à l'intérieur de la bourse. (c) . Au delà sont les
fibres
d'origine du nerf spinal. (d) . Plus en dehors
bres d'origine du nerf spinal. (d) . Plus en dehors encore sont des
fibres
divergentes qu'on peut suivre jusqu'aux parties l
on peut suivre jusqu'aux parties les plus externes des axes gris. Ces
fibres
sont les racines du nerf vague ou du glossopharin
mblent, en effet, appartenir au même système. Ainsi, la plupart des
fibres
de cette catégorie sont des racines nerveuses par
ue révèle l'étude de la moelle épinière, une analogie frappante. 4°
Fibres
enveloppantes. Ces fibres, ainsi que nous l'avo
le épinière, une analogie frappante. 4° Fibres enveloppantes. Ces
fibres
, ainsi que nous l'avons déjà dit, viennent de la
et du corps restiforme qu'elles enveloppent; elles ont reçu le nom de
fibres
arci formes. Ces fibres n'ont point d'analogues d
u'elles enveloppent; elles ont reçu le nom de fibres arci formes. Ces
fibres
n'ont point d'analogues dans la moelle épinière.
r rigoureusement l'extrême complication des olives et l'existence des
fibres
antéro-postérieures du raphé : ces fibres ont été
s olives et l'existence des fibres antéro-postérieures du raphé : ces
fibres
ont été parfaitement décrites par M. Gerdy, par M
ubérance elle-même semble résulter d'une accumulation considérable de
fibres
arciformes dans cette région. Elle est formée d
même que les pyramides antérieures cheminaient entre deux couches de
fibres
arciformes, de même elles continuent leur trajet
i demeure à découvert sous forme d'une bande plus ou moins large. Les
fibres
qui composent ces deux plans sont en rapport avec
, des lieux d'élection que j'indiquerai en parlant du cervelet. Les
fibres
qui composent ces plans ont une direction transve
sale facile à constater au premier abord ; plusieurs faisceaux de ces
fibres
s'entremêlent et se croisent avec les petits fasc
ore une assez grande quantité de substance grise interposée entre ces
fibres
(1). C'est ici le lieu d'expliquer comment les
sée entre ces fibres (1). C'est ici le lieu d'expliquer comment les
fibres
transversales de la protubérance subissent l'infl
de ne pas la considérer comme résultant d'une grande accumulation de
fibres
arciformes, entre la régioh du bulbe et celle des
entre la régioh du bulbe et celle des pédoncules. Dans le bulbe, les
fibres
arciformes composent des plans très-minces ; elle
du bulbe. La pyramide antérieure est comprise entre deux plans de ces
fibres
. Dans la région de la protubérance la même chos
protubérance la même chose a heu; mais avec une accumulation telle de
fibres
que de la pression des arcs gauches contre les ar
n-grènement réciproque de leurs fascicules, ou une confusion de leurs
fibres
, qui s'exprime par la formation d'un raphe médian
e plus souvent confondus, et font en même temps partie du système des
fibres
arciformes. Toutes ces fibres, d'ailleurs, sont e
ont en même temps partie du système des fibres arciformes. Toutes ces
fibres
, d'ailleurs, sont en communication avec le cervel
ici constituée, comme dans le bulbe, par la decussation symétrique de
fibres
passant d'un côté à l'autre sous une inclinaison
uvent plus ici, puisque la majeure partie, sinon la totalité de leurs
fibres
, se sont détachées de la moelle pour se terminer
e ne nous avait offert aucun exemple. Dans la moelle, en effet, les
fibres
des cordons postérieurs s'épuisent au centre de s
elé l'attention de nos lecteurs. Maintenant quel sera le trajet des
fibres
qui, du cordon postérieur de la moelle, se porten
s'arrête aux corps restiformes, et qu'il n'y ait plus au delà que ces
fibres
profondes qui cheminent dans le centre même des a
es voir, après avoir donné aux corps restiformes presque toutes leurs
fibres
, se continuer en un faisceau assez large, mais tr
Elle offre un raphé médian que parcourent, d'arrière en avant, des
fibres
émanées du faisceau moyen. Ces fibres auxquelles
ourent, d'arrière en avant, des fibres émanées du faisceau moyen. Ces
fibres
auxquelles ne font point suite des fibres arcifor
nées du faisceau moyen. Ces fibres auxquelles ne font point suite des
fibres
arciformes enveloppant le pédoncule, se prolongen
, se mêlent aux rayons de la couronne de Reil. Quelques-unes de leurs
fibres
paraissent se terminer dans le corps strié extern
, le distingue de l'étage supérieur que composent essentiellement des
fibres
émanées des cordons postérieurs de la moelle, du
sez bien les cornes spongieuses des axes gris de la moelle (1). Les
fibres
qui composent, la coiffe, c'est-à-dire les prolon
n d'un côté à l'autre par la commissure molle. Une quantité énorme de
fibres
grises parcourt cette commissure et plonge de cha
rt cette commissure et plonge de chaque côté dans les interstices des
fibres
de la cupule. Les noyaux gris peuvent être consid
x gris, des couches optiques et de la commissure molle. Peut-être les
fibres
transversales de cette commissure, qui se prolong
s, par Vicq-d'Azyr, qui, du centre de l'éminence mamillaire, dont les
fibres
se portent en traversant toute l'épaisseur du noy
roulent d'avant en arrière avec cette écorce elle-même. 2° D'autres
fibres
, constituant en partie l'écorce des couches optiq
substance grise que parcourent, d'avant en arrière, une multitude de
fibres
blanches. Deux renflements de cette substance gri
s corps striés externes par la couronne de Reil qui reçoit, outre les
fibres
directes des pyramides et des pédoncules, celles
ule. Ainsi chacun des rayons de cette couronne contient à la fois des
fibres
qui proviennent des pédoncules cérébraux propreme
bres qui proviennent des pédoncules cérébraux proprement dits, et des
fibres
émanées soit des cordons postérieurs, soit des pé
cervelet comme les villosités d'un velours, ou mieux encore comme les
fibres
de l'émail à la surface du noyau de la dent. Ce
uelquefois, mais pour le plus petit nombre des prismes. Peut-être les
fibres
des noyaux blancs du cervelet se continuent-elles
avoir : 1° l'olive du cervelet qui est au centre, et 2° les masses de
fibres
blanches qui l'enveloppent. 1° De l'olive du ce
d cere-bellum. Il est indispensable de bien saisir la direction des
fibres
de ce processus, depuis les tubercules testes jus
'olive est à son extrémité antérieure. Elle reçoit un grand nombre de
fibres
du pédoncule lui-même, et un plus petit nombre de
édoncule lui-même, et un plus petit nombre des corps restiformes. Ces
fibres
traversent en partie l'olive pour se porter au de
m., fasc. 1, Tab. VIII, fig. 4.» 2° Structure du noyau blanc. Les
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur qui ont envelo
oublions pas, d'ailleurs, que ces faisceaux comprennent à la fois des
fibres
des cordons postérieurs et des cordons latéraux d
atéraux du bulbe. Il nous reste à dire de quelle source partent les
fibres
qui s'épanouissent dans les parties latérales d
erficiel qui passe au-dessous d'elles. Le plan profond est formé de
fibres
dont la direction est transversale. Ces fibres se
n profond est formé de fibres dont la direction est transversale. Ces
fibres
se dirigent de chaque côté vers le cervelet, et s
pport nécessaire. Quant au plan superficiel de la protubérance, ses
fibres
s'épanouissent de chaque côté dans le corps du ce
lets se développent en conséquence, sur les expansions terminales des
fibres
du Pont de Varole, mais ils ne sont point indiffé
nt formés de substance grise, les postérieurs ont une écorce mince de
fibres
blanches. Les cellules de la substance grise sont
décrites. L'intérieur de ces bourses est rempli par un amas énorme de
fibres
blanches qui émanent surtout des couronnes radian
culaire. (1) Kôlliker. Éléments d'histologie, p. 335. Cet amas de
fibres
blanches, occupant le centre de chaque hémisphère
x, la section de ces deux centres blancs des hémisphères unis par les
fibres
intermédiaires du corps calleux, présente un gran
rent profondément leur substance : il sort de leur partie interne une
fibre
blanche nerveuse, qui en est comme le vaisseau pr
apparemment un tissu et un assemblage de plusieurs sortes de petites
fibres
jointes ensemble (1). » Il est certain que ces
savoir : 1° A l'extérieur, une couche blanche, fort mince, dont les
fibres
sont étendues à la surface du cerveau. Cette couc
Dans la couche extérieure, et peut-être aussi dans la suivante, les
fibres
passent horizontalement sur la surface du cerveau
les fibres passent horizontalement sur la surface du cerveau, et ces
fibres
ne paraissent pas en connexion avec celles des au
es, provient du plus ou moins de cellules qui sont mêlées parmi leurs
fibres
(2). M. Hannover assure qu'il a le plus distinc
plus superficielle est formée, comme l'avait déjà vu M. Hannover, de
fibres
parallèles à la direction des couches corticales.
ité de petites cellules nerveuses. Cette couche est parcourue par des
fibres
nerveuses très-grêles, qui forment des arcades ir
ières. La troisième est blanche et parcourue par un grand nombre de
fibres
parallèles à la surface de l'écorce. La quatriè
s de la deuxième couche, mais beaucoup plus rares. Un grand nombre de
fibres
nerveuses, très-serrées, pénètrent dans son épais
llules à prolongements multiples. Ces couches sont traversées par des
fibres
très-déliées. Quant aux couches blanches, elles s
anches, elles semblent formées par des stratifications très-minces de
fibres
nerveuses. La mieux distincte de ces couches est
distincte de ces couches est la superficielle. En certains points les
fibres
composantes s'y croisent en divers sens ; disposi
anato-mique, nous commencerons par énumérer les différents ordres de
fibres
qui composent ces amas blancs intermédiaires aux
vale de Vieussens (1). Ce centre ovale comprend plusieurs ordres de
fibres
, savoir : 1° Des fibres propres. Ces fibres passe
Ce centre ovale comprend plusieurs ordres de fibres, savoir : 1° Des
fibres
propres. Ces fibres passent du sommet d'un pli au
prend plusieurs ordres de fibres, savoir : 1° Des fibres propres. Ces
fibres
passent du sommet d'un pli au sommet des plis voi
les couches corticales en passant sous leurs anfractuosités. 2° Des
fibres
qui passent oVun hémisphère à Vautre, et les conf
à Vautre, et les confondent tous deux en un seul et même système. Ces
fibres
dépendent de la commissure antérieure. 3° Des f
e système. Ces fibres dépendent de la commissure antérieure. 3° Des
fibres
, qui, nées de la couronne de Reil, s'irradient da
nées de la couronne de Reil, s'irradient dans tout l'hémisphère. Ces
fibres
pénètrent dans les anfractuosités de la face inte
i correspondent au sommet des circonvolutions périphériques. 4° Des
fibres
qui, du corps calleux, vont dans tous les plis de
nt. Le premier qui se présente est epithelial. Le second est formé de
fibres
entremêlées de substance grise qui proviennent de
se qui proviennent de l'anneau du pédoncule, et comprend en outre des
fibres
blanches qui de la voûte se portent en avant au c
es précautions scrupuleuses. Nous découvrons ainsi un premier plan de
fibres
immédiatement sous-jacent aux couches corticales.
n nouvelle. Or, de cet anneau fibreux se détachent en divers sens des
fibres
qui s'irradient dans tous les plis de la face int
tous les plis de la face interne de l'hémisphère. Le trajet de ces
fibres
mérite d'être attentivement examiné. Les unes par
avec lui dans le lobe occipito-sphénoïdal interne. La plupart de ces
fibres
forment de grandes anses dont les deux extrémités
les les différentes parties d'un même hémisphère. Dans l'homme, les
fibres
de l'ourlet forment autour de l'ouverture de l'hé
isi. Si nous considérons avec attention l'origine et la marche de ces
fibres
, il sera difficile de méconnaître leur analogie a
ème des commissures propres. Nous n'insisterons pas davantage sur ces
fibres
que les anatomistes et les physiologistes ont nég
ère profonde que tapisse intérieurement un plan très-mince, émané des
fibres
de l'ourlet. Cette gouttière contient l'extrémité
ocampe. De cette branche descendante du corps calleux, naissent des
fibres
qui, de la pointe du lobe sphenoidal à celle du l
e touchent en ce point, mais dans l'homme, il n'en est pas ainsi; des
fibres
rayonnantes, émanées de la branche descendante du
espace(l). Cette branche descendante du corps calleux et le plan de
fibres
rayonnantes qui s'en détache dans l'homme, revête
cette paroi, nous découvrirons, au-dessous d'elle, un premier plan de
fibres
parallèles. Ce plan émane du genou postérieur d
parallèles. Ce plan émane du genou postérieur du corps calleux; ses
fibres
antérieures touchent au corps strié interne dont
suivent la courbe jusqu'à l'extrémité du lobe sphenoidal. Ses autres
fibres
se redressent graduellement et descendent dans le
4. térieures sont très-courtes, et plongent dans les interstices de
fibres
antéro-postérieures sous-jacentes dont nous allon
gent jusqu'au fond de ces anfractuosités. C'est dans ce point que les
fibres
qui les composent, pénètrent dans les couches cor
au limbe des plans foliacés qui émanent du corps calleux. Ainsi les
fibres
du corps calleux vont à l'hémisphère entier. Mais
calleux vont à l'hémisphère entier. Mais quelle est l'origine de ces
fibres
? Il y a, à cet égard, plusieurs hypothèses dans l
s deux hémisphères ; en d'autres termes, suivant cette hypothèse, ses
fibres
passaient d'un hémisphère à l'autre. C'est là l'o
'ensemble des ventricules, et se continuant, des deux côtés, avec les
fibres
des éventails fibreux que nous avons désignés plu
estement naissance à la jonction sur la ligne médiane d'extrémités de
fibres
des deux pédoncules cérébraux. Tiedemann, Anatami
la première, on peut concevoir dans le corps calleux deux systèmes de
fibres
. Le premier serait formé de fibres en arcades rés
le corps calleux deux systèmes de fibres. Le premier serait formé de
fibres
en arcades résultant d'anastomoses transversales
rsales entre les deux couronnes radiantes. Le second comprendrait des
fibres
mêlées, mais non continues aux premières, et pass
oir que le corps calleux résulte d'un entrecroisement entre certaines
fibres
passant de chaque couronne radiante à l'hémisphèr
cérébraux; fait difficile à constater, par suite du parallélisme des
fibres
entrecroisées au-dessus du système des ventricule
e la clarté des résultats demeure obscurcie par aucun doute. Aucune
fibre
choisie dans l'une des couronnes radiantes, ne pa
ns l'une des couronnes radiantes, ne passe à l'autre couronne. Aucune
fibre
nettement distinguée dans un hémisphère ne passe
Voici d'une manière abrégée ce que mes dissections m'ont appris. Les
fibres
d'origine du corps calleux naissent des couronnes
es plis indiquent immédiatement la série des points dans lesquels les
fibres
rayonnantes de l'axe entrent en rapport avec l'éc
ication physiologique? Contiennent-ils-, dans tous les cas, les mêmes
fibres
nerveuses? Nous essayerons de résoudre plus tard
de résoudre plus tard ces différentes questions. 4° D'ailleurs les
fibres
qui composent ces feuilles, ne proviennent pas to
s calleux aucune dissection générale. Il faut procéder lame par lame,
fibre
par fibre, pour ainsi dire ; mais en rassemblant
aucune dissection générale. Il faut procéder lame par lame, fibre par
fibre
, pour ainsi dire ; mais en rassemblant les observ
, et peut conclure dans tous les plis à l'existence de deux ordres de
fibres
, par lesquels chaque hémisphère tient peut-être s
un instant les plans les plus distincts parmi ceux que composent des
fibres
directes. 5° Je reviens à la préparation décrit
n enlève le tapis à son tour, on découvre un vaste éventail, dont les
fibres
rayonnent dans le bord supérieur de l'hémisphère,
roductions du côté externe sont encore plus remarquables; ce sont des
fibres
rayonnantes très-rapprochées les unes des autres
, avant de s'étaler, subit une torsion d'où résulte une inversion des
fibres
de l'éventail. C'est ainsi que les externes, qui
hémisphère, se distribuent en arrière. Ce changement de direction des
fibres
dans l'expansion cérébrale du nerf optique me par
convergentes du corps calleux; dès lors on ne peut les disséquer que
fibre
à fibre, à force de soins et d'attention; mais ic
entes du corps calleux; dès lors on ne peut les disséquer que fibre à
fibre
, à force de soins et d'attention; mais ici la pat
t pas, on parvient à démontrer à peu de chose près l'existence de ces
fibres
dans toute l'étendue du bord supérieur de l'hémis
couche optique comme cela a lieu dans les monodelphes (1), toutes ses
fibres
à la ibis se portent vers les tubercules nates de
ques en général, mais plus particulièrement des tubercules nates. Les
fibres
qui composent ces faisceaux se terminent-elles da
tes des nerfs optiques, on aperçoit au-dessous d'elles un éventail de
fibres
qui se porte parallèlement aux irradiations de l'
particulièrement ici, on découvre immédiatement cet éventail dont les
fibres
ne peuvent d'ailleurs être suivies jusqu'à leur t
aison dans l'écorce des hémisphères, à cause de leur mélange avec les
fibres
des pédoncules ; mais il est probable, par suite
pressions dans la sphère du sympathique, on pourrait supposer que des
fibres
directes, conduisant des stimulations directes, é
u corps genouillé interne, nous découvrons immédiatement un plan de
fibres
qui, du pédoncule, se porte immédiatement dans to
rd inférieur de l'hémisphère, et de là vers son bord supérieur où ses
fibres
peuvent être suivies jusqu'en regard du genou pos
eux. Il est certain que ce système va encore au delà, et qu'outre les
fibres
qu'il donne au corps calleux, chaque pédoncule en
lis antérieurs externes de l'hémisphère qui lui correspond ; mais ces
fibres
sont grêles et tellement enchevêtrées avec les fi
pond ; mais ces fibres sont grêles et tellement enchevêtrées avec les
fibres
des feuillets rayonnants du corps calleux que leu
soit, de même que par le corps calleux chaque hémisphère recevait des
fibres
du côté opposé de l'axe, de même par le système f
ent avec les deux pédoncules à la fois. 8° L'ablation de ce plan de
fibres
propres met immédiatement à découvert un autre pl
x corps striés, dans l'épaisseur d'une couche grise toute pénétrée de
fibres
qui, de l'anneau pédonculaire, se portent dans le
lle est logée dans un canal parfaitement défini au-dessous duquel les
fibres
du corps strié inférieur s'infléchissent; nous do
e la tige correspondent aux sommets des deux lobes sphénoïdaux. Les
fibres
qui la composent ne sont point exactement parallè
t vers ses extrémités un mouvement de torsion qui ramène en avant les
fibres
de son bord postérieur; celles-ci se terminent im
s plis inférieurs du lobe sphenoidal, vers son extrémité. Quant à ses
fibres
antérieures, elles se portent en arrière dans l'i
et dans les singes, il est fort douteux que la commissure envoie des
fibres
aux lobes olfactifs, du moins les fibres qui ont
que la commissure envoie des fibres aux lobes olfactifs, du moins les
fibres
qui ont été décrites comme s'y distribuant, n'app
stribuant, n'appartiennent point à la commissure, mais au système des
fibres
du corps strié inférieur; mais dans les animaux q
u faisceau qui naît du corps genouillé interne; 9° Puis le plan des
fibres
directes de l'éventail pédonculaire; 10° Le pla
ransformé en un résumé synthétique. Il y a dans le cerveau : 1° Des
fibres
propres servant de commissures entre tous les pli
ant de commissures entre tous les plis d'un même hémisphère; 2° Des
fibres
servant de commissures entre les deux hémisphères
s fibres servant de commissures entre les deux hémisphères ; 3° Des
fibres
développées entre un hémisphère cérébral et le pé
hémisphère cérébral et le pédoncule qui lui correspond; 4° D'autres
fibres
étendues entre l'hémisphère d'un côté et le pédon
le pédoncule du côté opposé et passant par le corps calleux; 5° Des
fibres
directes ou indirectes, émanant des expansions ra
ps strié externe, je veux dire des champs olfactifs. Une multitude de
fibres
, émanées de l'anneau pédonculaire, pénètrent dans
le lobe olfactif et le cerveau. Elle appartient à cette catégorie de
fibres
propres dont fait partie le système du ruban fibr
cerveau. Mieux préparé depuis cette époque, je puis affirmer que ces
fibres
appartiennent, en grande partie, au système des c
articulier dans l'Éléphant, elle subsiste pendant toute la vie. Les
fibres
qui pénètrent dans la masse des lobes olfactifs s
ibres qui pénètrent dans la masse des lobes olfactifs sont, outre les
fibres
commissuralcs connues sous le nom de racines:
s de l'anneau pédonculaire ; ces pinceaux contiennent outre certaines
fibres
des pédoncules, d'autres fibres qui proviennent d
pinceaux contiennent outre certaines fibres des pédoncules, d'autres
fibres
qui proviennent du prolongement du faisceau posté
sceau postérieur et d'une des racines de la cinquième paire; 2° Des
fibres
provenant de la commissure antérieure. Si sur c
central jusqu'à son extrémité, et s'y termine. Quant au reste de ses
fibres
, elles forment un petit cordon très-grêle, qui s'
érieure est énorme, permettra peut-être un jour de résoudre. 3° Des
fibres
émanées de la couronne de Reil. Les lobes olfacti
de faisceaux blancs dont la distribution est fort simple. Toutes ces
fibres
se dirigent vers la partie antérieure du lobe, c'
table bulbe olfactif, en tant qu'elle reçoit immédiatement toutes les
fibres
nerveuses olfactives, qui pénètrent dans le crâne
cines du nerf olfactif. On distingue en outre la coiffe grise, et les
fibres
qui, de l'anneau pédonculaire, se portent vers l'
ettent de constater les faits suivants. A. Racines antérieures. Les
fibres
qui composent ces racines sont de deux ordres, le
rs; c'est dans l'épaisseur de ces lames celluleuses que cheminent les
fibres
des racines antérieures destinées aux axes gris.
inent les fibres des racines antérieures destinées aux axes gris. Ces
fibres
sont le plus souvent obliques, et les tranches ne
plus souvent obliques, et les tranches ne peuvent comprendre que des
fibres
horizontales, aussi la recherche de ces racines e
ur faire tomber la coupe sur un point favorable, on peut suivre leurs
fibres
jusque dans les tranchants antérieurs des axes gr
avec les cellules multipolaires est un fait bien certain. Ainsi, les
fibres
qui des racines antérieures vont aux cellules des
lles plongent dans les sillons laléro-postérieurs de la moelle. Leurs
fibres
sont de deux ordres ; les unes se continuent avec
e. Leurs fibres sont de deux ordres ; les unes se continuent avec les
fibres
nerveuses qui composent les faisceaux postérieurs
s gris et pénètrent dans le domaine des cornes spongieuses. Parmi ces
fibres
, quelques-unes se dirigent vers le ventricule de
loisons qui divisent l'aire des cornes gélatineuses. Ainsi, parmi les
fibres
des racines postérieures, quelques-unes vont, com
fibres des racines postérieures, quelques-unes vont, comme certaines
fibres
des racines antérieures, s'unir au système des ce
u'à la paroi grise du quatrième ventricule, où quelques-unes de leurs
fibres
s'entrecroisent sur la ligne médiane avec celles
s'entrecroisent sur la ligne médiane avec celles du côté opposé. Ces
fibres
paraissent être en série avec celles du facial.
r de l'aqueduc de Sylvius. Un ou deux faisceaux bien distincts de ces
fibres
se portent dans la substance grise des couches op
eureux que moi. Ces habiles anatomistes décrivent en outre un plan de
fibres
radiculaires superficielles qui s'entre-croisent
aperçues d'une manière bien distincte. Il n'en est pas de même des
fibres
que le nerf moteur oculaire commun envoie à l'end
rf moteur oculaire commun envoie à l'endroit noir des pédoncules. Ces
fibres
sont bien apparentes, mais jusqu'ici je n'ai pu s
. La racine principale traverse d'avant en arrière les deux plans des
fibres
transversales du pont, et descend au-dessous de l
fibres transversales du pont, et descend au-dessous de la couche des
fibres
arciformes jusqu'au tubercule cendré de Rolande T
l'axe, au-dessous du pédoncule cérébelleux supérieur. Une partie des
fibres
qui la composent, suivant MM. Philippeaux et Vulp
opposé de l'axe, d'où il résulte un entre-croisement médian. Quelques
fibres
de cette racine, d'après les mêmes auteurs se dir
irigent vers le cerveau. Il y a bien longtemps que nous avions vu ces
fibres
et nous les avions décrites dans nos cours au Mus
. Je n'hésite point à supposer que cette racine comprend toutes les
fibres
gustatives du nerf trijumeau. Aussi la désigneron
live, puis se recourbe vers les corps restiformes avec lesquels leurs
fibres
se confondent ; l'autre postérieure qui remonte a
es vers le cervelet. Je ne suis pas convaincu de l'existence de ces
fibres
qui pourraient bien appartenir à cette expansion
mis ici une faute analogue à celle de M. Foville, qui croit ces mêmes
fibres
en relation avec les fibres arciformes du bulbe ?
celle de M. Foville, qui croit ces mêmes fibres en relation avec les
fibres
arciformes du bulbe ? Nous n'osons rien décider p
u cérébelleux ; 2° La seconde rayonne en un éventail blanc dont les
fibres
cheminent dans la substance grise du plancher du
grise du plancher du quatrième ventricule jusqu'au sillon médian. Ces
fibres
, obliquement dirigées vers ce sillon, ont reçu le
ourt avec lui à la formation de la cupule. Nous n'avons pu suivre ses
fibres
au delà, mais elles se portent probablement vers
anouit dans l'écorce des hémisphères cérébraux. En conséquence, leurs
fibres
entrent dans la composition du centre ovale comme
ur des mouvements, est un fait bien digne de fixer l'attention. Les
fibres
nerveuses qui vont de la moelle et des nerfs aux
isément pour l'affirmative. Dans l'homme, par exemple, la masse des
fibres
dans le centre ovale de Vieussens est telle, que
es nerfs crâniens réunis, ne pourrait rendre raison de la quantité de
fibres
que paraît comprendre un seul hémisphère. Mais on
pas en conclure immédiatement qu'en pénétrant dans l'hémisphère, les
fibres
du bulbe et des nerfs crâniens s'y sont singulièr
ont singulièrement multipliées, ou, réciproquement, que le nombre des
fibres
qui vont de l'hémisphère au bulbe et aux nerfs cr
et dans ces nerfs, une réduction considérable. En effet, il y a des
fibres
propres dans les hémisphères, et au premier abord
propres dans les hémisphères, et au premier abord la quantité de ces
fibres
propres pourrait rendre raison du défaut de corre
dre raison du défaut de correspondance qui existe entre le nombre des
fibres
cérébrales et celui des fibres nerveuses médullai
ondance qui existe entre le nombre des fibres cérébrales et celui des
fibres
nerveuses médullaires ou périphériques. Il sera
t, pour résoudre la question, de s'en tenir à la considération de ces
fibres
de l'axe qui rayonnent vers l'hémisphère, et comp
es où le bulbe est énorme, les couronnes radiantes sont peu riches en
fibres
et leur développement est borné. Dans les singes
nt à l'encéphale. Mais peut-être est-ce des nerfs spéciaux dont les
fibres
ne sont point représentées dans le bulbe, que le
ns le bulbe, que le centre ovale reçoit la quantité exceptionnelle de
fibres
qui le distinguent. Cette hypothèse ne serait pas
lure qu'il n'y a aucune correspondance nécessaire entre le nombre des
fibres
dans la moelle et dans les nerfs, et leur nombre
ssibilité d'une représentation multiple dans ce centre de chacune des
fibres
périphériques qui s'y rattachent. Je parle ici de
uffon, posait en principe que la substance grise engendre partout des
fibres
nerveuses, elle était donc pour lui la matrice de
on d'être en eux-mêmes, et qu'en conséquence, le sens dans lequel les
fibres
se développent étant indécis, la substance grise
elle pourrait servir à la réduction autant qu'à la multiplication des
fibres
nerveuses. Il nous semble donc que l'assertion de
ir dans le système nerveux central trois moyens de multiplication des
fibres
nerveuses centripètes, et réciproquement trois mo
erveuses centripètes, et réciproquement trois moyens de réduction des
fibres
nerveuses centrifuges. Dans le premier cas les
réduction des fibres nerveuses centrifuges. Dans le premier cas les
fibres
peuvent se multiplier : 1° par l'adjonction de fi
premier cas les fibres peuvent se multiplier : 1° par l'adjonction de
fibres
nouvelles ; 2° par une division en plusieurs fibr
r l'adjonction de fibres nouvelles ; 2° par une division en plusieurs
fibres
d'une seule fibre nerveuse ; 3° par l'union d'une
ibres nouvelles ; 2° par une division en plusieurs fibres d'une seule
fibre
nerveuse ; 3° par l'union d'une fibre unique avec
en plusieurs fibres d'une seule fibre nerveuse ; 3° par l'union d'une
fibre
unique avec une cellule multipolaire à prolongeme
lques régions du système nerveux. Dans le second cas, le nombre des
fibres
pourrait se réduire par trois moyens semblables :
e des fibres pourrait se réduire par trois moyens semblables : 10 des
fibres
nerveuses en s'éloi-gnant des couches corticales
continuer dans les pédoncules, se terminer brusquement; 2° plusieurs
fibres
nerveuses pourraient se réunir en une seule; 3" d
en une seule; 3" d'une cellule multipolaire où s'uniraient plusieurs
fibres
cérébrales, pourraient sortir un moindre nombre d
t plusieurs fibres cérébrales, pourraient sortir un moindre nombre de
fibres
centrifuges. Combien n'est-il pas regrettable d
cation des libres une fois admise dans le centre ovale, quel ordre de
fibres
sera le plus nombreux ? Se-ront-ce les fibres sen
re ovale, quel ordre de fibres sera le plus nombreux ? Se-ront-ce les
fibres
sensitives, seront-ce les fibres motrices? Il est
ra le plus nombreux ? Se-ront-ce les fibres sensitives, seront-ce les
fibres
motrices? Il est probable que ce sont les premièr
tranche, on la brûle, il ne s'ensuit ni réaction, ni douleur, et ces
fibres
par lesquelles nous sentons tout, sont par elles-
les parois du septum lucidum se sont constituées. En même temps, des
fibres
transversales complètent l'opercule de la voûte.
ne membrane fibreuse composée simultanément de tissu conjonctif et de
fibres
élastiques. Celles-ci s'y trouvent en grande abon
ppes de la moelle.—La dure-mère rachidienne est à la fois composée de
fibres
de tissu conjonctif disposées en faisceaux longit
elle est essentiellement formée de tissu conjonctif, mêlé de quelques
fibres
élastiques. (b) . Enveloppes du cerveau. — La s
comme la rachidienne de tissu conjonctif auquel sont mêlées quelques
fibres
élastiques. Mais ici l'élément vasculare prédomin
pagnent assez régulièrement les artères méningées et sont composés de
fibres
grises. M. Luschka décrit des filets nerveux dans
onne les artères supérieures du cervelet. Ces artères, parallèles aux
fibres
de la protubérance, passent au-devant des nerfs t
ts nerveux pris à part. Il peut donc y avoir deux ordres distincts de
fibres
. Notre célèbre naturaliste et philosophe Lamarck
avoir prévu que l'une des deux racines des nerfs spinaux contient les
fibres
sensibles et l'autre les fibres motrices. Il a do
acines des nerfs spinaux contient les fibres sensibles et l'autre les
fibres
motrices. Il a donc tracé la voie aux expériences
oncnbcrg expliquait ce résultat en supposant l'existence de certaines
fibres
récurrentes qui des racines antérieures passeraie
ivement sensitives, mais il n'en faudrait pas conclure que toutes les
fibres
qui les composent conduisent des sensations parei
s, les rapports qu'elles établissent entre les nerfs sensitifs et les
fibres
motrices, donnent la clef des mouvements réflexes
térieurs de leur fonction sensitive. Il admet, il est vrai, qu'aucune
fibre
nerveuse ne se rend immédiatement dans les cordon
est fort hypothétique. Il est bien loin d'être prouvé que toutes les
fibres
centripètes, que comprennent les racines postérie
érence qui existe au point de vue des propriétés immédiates entre les
fibres
centrales et les fibres périphériques. 11 faut
nt de vue des propriétés immédiates entre les fibres centrales et les
fibres
périphériques. 11 faut toujours distinguer avec
elle conduit les impressions. 11 admet donc dans cette substance, des
fibres
particulières conductrices mais non excitables, p
onductrices mais non excitables, pour lesquelles il propose le nom de
fibres
esthésocligues. Il admet encore, mais sans preuve
ocligues. Il admet encore, mais sans preuves directes, l'existence de
fibres
analogues pour le mouvement, quïl nomme fibres ky
rectes, l'existence de fibres analogues pour le mouvement, quïl nomme
fibres
kynésodiques (1). Ce mémoire de M. Schiff est i
ensible que le bout supérieur. Il en conclut l'existence de certaines
fibres
descendantes. Une expérience semblable faite sur
s bien évident qu'il ne se borne pas à admettre l'entrecroisement des
fibres
sensibles, et qu'il imagine un trajet beaucoup pl
quelques-uns de ces résultats. Personne aujourd'hui ne doute que les
fibres
qui composent les cordons postérieurs ne soient e
ilité n'est point anéantie, elle n'est qu'affaiblie, ainsi toutes les
fibres
ne s'entrecroisent pas. L'effet croisé, dit avec
fin, toutes les impressions ne sont point semblables ; la variété des
fibres
nerveuses qui composent les nerfs est presque inf
s nerfs est presque infinie ; il n'est pas certain d'ailleurs que des
fibres
excitables dans les nerfs le soient de même dans
oup moins sensibles que les troncs nerveux, et rien ne prouve que les
fibres
qui s'entrecroisent soient de même ordre que cell
sibilité à la « douleur (1)..... » (I) Mém. cit., p. 14. Toutes les
fibres
sensitives ne s'entrecroisent pas, mais il est pr
ibres sensitives ne s'entrecroisent pas, mais il est probable que les
fibres
sensibles de tous les ordres, je parle de celles
er que cette curieuse expérience indique clairement que la marché des
fibres
nerveuses, suivie d'arrière en avant dans la moel
ostérieure de la protubérance, mais il attribue cette sensibilité aux
fibres
ascendantes qui proviennent des faisceaux postéri
he optique trois éléments distincts, savoir : 1° son écorce formée de
fibres
en anse qui appartiennent au même système que le
tance grise que traversent en sens divers une prodigieuse quantité de
fibres
. Les fibres de la lame optique n'ont pas un tra
e traversent en sens divers une prodigieuse quantité de fibres. Les
fibres
de la lame optique n'ont pas un trajet absolument
Mais dans les primates et dans l'homme le plus grand nombre de ces
fibres
s'enroule autour de la couche optique pour se rép
résumer. Le cervelet est attaché à l'encéphale par trois ordres de
fibres
, ou si l'on aime mieux par trois racines. L'une d
trois racines. L'une de ces racines (pont de varole) est composée de
fibres
transversales ; une autre (pédoncule cérébelleux
y a donc, dit M. Flourens, un rapport frappant entre la direction des
fibres
ou des canaux tranchés, et la direction des mouve
s libres de l'encéphale, est toujours parallèle à la direction de ces
fibres
. Quant aux effets singuliers qu'amène la section
t qu'il découvre entre les nerfs de ces canaux et les trois ordres de
fibres
antérieures, postérieures, ou transverses, qui co
orces opposées qui contiennent et modèrent. Il y a, dit-il, autant de
fibres
modératrices distinctes qu'il y a de mouvements o
a de mouvements opposés possibles (2). Il admet donc trois ordres de
fibres
dans le système nerveux moteur : les unes exciten
le par le corps calleux. Mais dans cette inextricable complication de
fibres
et de cellules dont le noyau de l'encéphale se co
nt démontré que cet ordre d'impressions est complètement étranger aux
fibres
nerveuses qui la composent? C'est précisément par
veau qu'un certain filet de l'autre œil. On peut ainsi considérer les
fibres
des deux nerfs optiques comme formant une multitu
rer les fibres des deux nerfs optiques comme formant une multitude de
fibres
paires que Rohault désigne sous le nom de paires
singulier système ana-tomique, qui attache toutes nos idées à quelque
fibre
de notre cerveau. On sait que Charles Bonnet aima
e système nerveux qui l'anime, et si ce système est lui-même formé de
fibres
et de cellules, nous pouvons, par hypothèse, en r
'éveiller le désir, la crainte, toutes les passions enfin, toutes les
fibres
de l'âme humaine. Il y a donc dans l'homme, à p
it semble démontrer qu'une idée vive peut ébranler tout un système de
fibres
nerveuses, jusqu'à leur point d'origine dans un o
organe extérieur qui est intéressé, mais peut-être quelque système de
fibres
intermédiaire à cet organe extérieur et au cervea
t organe extérieur et au cerveau. Il est permis de supposer que ces
fibres
sont celles qui composent le centre ovale. C'est
cas, le caractère et la vivacité de sensations véritables. Toutes les
fibres
qui composent le centre ovale ne sont pas homogèn
ène singulier, de dire qu'un des hémisphères est malade par certaines
fibres
, et l'autre par des fibres différentes. On pour
n des hémisphères est malade par certaines fibres, et l'autre par des
fibres
différentes. On pourrait peut-être opposer à ce
détruit l'équilibre agit, ou sur les couches corticales, ou sur. les
fibres
qui composent le centre ovale, ou sur les unes et
t-il une véritable utilité à considérer avec attention le système des
fibres
propres du cerveau. Ces commissures compliquées q
pour cause première des modifications spontanément éveillées dans les
fibres
qui composent le centre ovale et la couronne radi
de pair avec l'anal) se psychologique la plus subtile. La masse des
fibres
blanches qui composent le centre ovale de Vieusse
ergie ; elle dépend, sans doute, de cette prodigieuse multiplicité de
fibres
propres qui passent d'un pli à l'autre et relient
e des inductions légitimes. Un fait très-remarquable, c'est que ces
fibres
commissurales si abondantes dans les hémisphères,
inie, mais de certaines modifications actuellement insaisissables des
fibres
et des molécules animées qui en composent la mass
cellules ont le plus souvent leur grand axe dirigé parallèlement aux
fibres
du système d'asso- (1) J. Luys. — Recherches su
raduction anglaise, t. II, p. 381 et suiv. dation constitué par des
fibres
médullaires qui unissent une circonvolution à la
llules, on trouve encore dans cette troisième couche des faisceaux de
fibres
médullaires qui s'enfoncent perpendiculairement à
géantes. Il semblerait que la rareté des cel-lules et la présence des
fibres
médullaires dût donner à cette couche une colorat
où l'on retrouve, suivant M. Meynert, des cellules fusiformes et des
fibres
médullaires parallèles à la ligne limitante ; — 3
3 millimètres; puis, en de-dans, la substance médullaire composée de
fibres
rayonnantes et de fibres commissurales reliant un
de-dans, la substance médullaire composée de fibres rayonnantes et de
fibres
commissurales reliant une circonvolution à sa voi
du sillon situé entre deux circonvolutions voisines.— 1" Artères des
fibres
commis-surales de Gratiolet. — 2, 2, 2, Artères c
ar MM. Luys et Kolliker. Ces auteurs ont, en effet, démon-tré que des
fibres
provenant du pied s'arrêtent en chemin pour pénét
en avançant que la cap-sule interne, est formée tout entière : 1° de
fibres
de la cou-ronne rayonnante qui se terminent dans
e la cou-ronne rayonnante qui se terminent dans les ganglions ; 2° de
fibres
qui, partant des ganglions, se répandent dans la
e et Broadbent, ont émis l'opinion qu'il existe un troisième ordre de
fibres
, lesquelles se continuent directement, d'un côté,
pied du pédoncule. — C A, corne d'Amman. — N I, insula de ReiL — F L,
fibres
du pédoncule destinées au noyau lenticulaire. —
— F L, fibres du pédoncule destinées au noyau lenticulaire. — F G,
fibres
pédonculaires destinées au noyau caudé. — F S, fi
laire. — F G, fibres pédonculaires destinées au noyau caudé. — F S,
fibres
du noyau lenticulaire qui se jettent dans le lobe
du noyau lenticulaire qui se jettent dans le lobe sphénoïdal. — F N,
fibres
du noyau lenticulaire qui vont à la périphérie. —
— F N, fibres du noyau lenticulaire qui vont à la périphérie. — F K,
fibres
du noyau caudé qui vont à la périphérie. — F T, f
phérie. — F K, fibres du noyau caudé qui vont à la périphérie. — F T,
fibres
de la couche optique qui vont à la périphérie,
— F T, fibres de la couche optique qui vont à la périphérie, — F D?
fibres
directes. — (Schéma d'après M, Huguenin.) terie
on du système nerveux que la capsule interne est com-posée surtout de
fibres
contenant celles du pied. — Toujours est-il — et
u domaine expérimental qu'il est possible d'invoquer en faveur de ces
fibres
sont nombreux et importants. Ils ont même permis
d'avancer, nous en verrons.la démonstration plus loin, que parmi ces
fibres
directes, les unes (ce sont les antérieures) sont
. 85, fig. 63 ; p. 119, fig. 82 ; p . 127, Il n'est pas question de
fibres
pédonculaires provenant du pied de la couronne ra
ies interne et externe de la couche optique. — N C, iipyau camlé, — F
fibres
émanées du tapehim. — F3, fibres émanées des deux
he optique. — N C, iipyau camlé, — F fibres émanées du tapehim. — F3,
fibres
émanées des deux segments internes du noyau lenti
t dans les directions les plus variées, soit entre eux, soit avec les
fibres
commissurales, de manière à donner naissance à un
ion dans la capsule interne. Nouvelles considérations anatomiques :
Fibres
pédonculaires directes se rendant à la substance
ionnement de ces faisceaux. Mais comme, en pareille circonstance, les
fibres
nerveuses de la capsule sont seulement comprimées
et, plus haut, dans la région de la capsule interne, le faisceau des
fibres
pédonculaires se ren-dant au noyau caudé. Les fib
le faisceau des fibres pédonculaires se ren-dant au noyau caudé. Les
fibres
appartenant également à la capsule interne, qui s
interne et la plus postérieure de l'éventail formé par le système des
fibres
ner-veuses, mises à nu parla préparation, on dist
(Fiy. 26). C'est là, vous le voyez, un faisceau direct, puisque les
fibres
Fig. 26. — A, corpus striatum. — B, noyau lenti
fibres Fig. 26. — A, corpus striatum. — B, noyau lenticulaire. —C,
fibres
pédonculaires se rendant au corps strié. — D, fai
—C, fibres pédonculaires se rendant au corps strié. — D, faisceau de
fibres
pédoncu-laires directes se rendant à la substance
a description, un faisceau séparé. Quelle est la destination de ces
fibres
nerveuses? Chez l'homme, il est à peu près imposs
faire penser que le faisceau dont il s'agit est réellement composé de
fibres
centripètes, ayant pour fonction de trans-porter
pense qu'il en est ainsi, et il se fonde sur ce que, suivant lui, ces
fibres
pourraient, par la comparaison de couches minces,
ote de la 2e éd.) nière partie du trajet assigné par M. Meynert aux
fibres
qui composent la partie la plus postérieure de la
partie postérieure de la capsule interne, l'existence de faisceaux de
fibres
nerveuses centripètes, ayant pour rôle de conduir
ayonnante, une lésion de même étendue, en raison de la divergence des
fibres
, devra produire des effets beaucoup moins prononc
aux ne peuvent représenter qu'un lieu de passsge, un carrefour où les
fibres
centripètes dont il s'agit, se trouvent toutes re
tique du côté droit. Il ne faut pas oublier que cet arrangement des
fibres
ner-veux optiques est, anatomiquement parlant, to
appel à des arguments du même ordre, ont essayé de dé-montrer que les
fibres
nerveuses des nerfs optiques subissent dans le ch
on en arrière des corps genouillés. —C 0, Corps genouillés. — a\ 6,
Fibres
non entrecroisées dans le chiasma. — b\ a, Fibres
nouillés. — a\ 6, Fibres non entrecroisées dans le chiasma. — b\ a,
Fibres
entre-croisées dans le chiasma. — b', a', Fibres
le chiasma. — b\ a, Fibres entre-croisées dans le chiasma. — b', a',
Fibres
provenant de l'œil droit rappro-chées en un point
sur la partie médiane du chiasma, de façon à intéresser seulement les
fibres
optiques entrecroisées (a, b'), devra paralyser l
on de la partie médiane du champ visuel se produirait si le cours des
fibres
directs a' b, était seul interrompu, au niveau du
lement, la consé-quence nécessaire d'une lésion qui rencontrerait les
fibres
nerveuses optiques, au-delà des corps genouillés
emi-décussation une modification légère. On admet communément que les
fibres
nerveuses provenant de l'œil droit et de l'œil ga
ondant, et cette vue s'accorde avec l'idée régnante qu'une lésion des
fibres
nerveuses optiques, dans leurs parcours intra-cér
un point de l'hémisphère gauche L 0 G, repré-sentent la totalité des
fibres
provenant de la rétine de l'œil droit, et que les
l'œil droit, et que les faisceaux b, a, représentent la totalité des
fibres
provenant de l'œil gauche. Le parcours des fibres
ent la totalité des fibres provenant de l'œil gauche. Le parcours des
fibres
op-tiques, d'après cela, en ce qui concerne leur
ouronne rayonnante de Reil. — Faisceaux rayonnants cortico-optiques :
Fibres
antérieures (racine antérieure de la couche optiq
ues : Fibres antérieures (racine antérieure de la couche optique; ; —
Fibres
moyennes (expansions latérales) ; —Fibres postéri
e de la couche optique; ; — Fibres moyennes (expansions latérales) ; —
Fibres
postérieures (expansions cérébrales des nerfs opt
anatomiques entre les expansions cérébrales des nerfs optiques et les
fibres
centripètes de la couronne rayonnante (hémianesth
lié, a pu trouver sa raison d'être dans l'exis-tence d'un faisceau de
fibres
centripètes directes, c'est-à-dire ne s'arrêtant
faisceaux pédonculaircs ou autres qui forment la couronne rayonnante [
fibres
convergentes (Luys), Système de projection de 1er
corps strié. — P, le pulvinar. — G, le corps genouillé externe. pv.
Fibres
propres unissant deux circonvolutions. — are, fas
n a enlevé également son appareil rayonnant, c'est-à-dire le plan des
fibres
rayon-nantes cortico-striées (Fig. 31, FK). De la
ble de distin-guer alors dans ces derniers faisceaux trois groupes de
fibres
: 1° Les unes antérieures (hh,Fig. 32), sont dite
corps calleux, la commissure antérieure. Les autres sont composés de
fibres
à direction générale antéro-postéricure qui mette
d'as-sociation antéro-postérieure. On voit : en pv, les faisceaux des
fibres
propres, fibi'œ propriœ, bien décrites par Gratio
s circonvo-lutions voisines ; en arc, le fasciculus arcuatus dont les
fibres
au-dessus du corps calleux s'étendent du lobe occ
l. — P L, libres du pédoncule destinées au noyau lenticulaire. F G,
fibres
pédonculaircs destinées au noyau caudé. — F S, li
du noyau lenticulaire qui se jettent dans le lobe sphénoïdal. — F N,
fibres
du noyau lenticulaire qui vont à la périphérie. —
hérie. — F K., libres du noyau caudé qui vont à la périphérie. — F T,
fibres
de la couche optique qui vont à la périphérie. P
ie. — F T, fibres de la couche optique qui vont à la périphérie. P D,
fibres
directes. — (Schéma d'après M. Huguenin.) mier
us profond, que se répandent les expansions cérébrales du faisceau de
fibres
centripètes dont la lésion détermine Phémianesthé
xité s'établit, ainsi que je l'ai fait pressentir, par un sys-tème de
fibres
qui constitue la partie la plus postérieure des r
gus.) (Fig. 33). On voit sur cette planche comment des faisceaux de
fibres
ou radiations, partant des eorps genouillés exter
current s'associer au faisceau Om, qni n'est autre que l'ensemble des
fibres
centripètes pédonculaires directes dont nous avon
orps. A cet ensemble de faisceaux se trouvent mêlées sans doute des
fibres
provenant du tractus olfactif, par l'intermédiair
x. Les faits cliniques conduisent à supposer qu'il s'y mêle aussi des
fibres
nerveuses entrecroisées, en rapport avec les nerf
tre cérébral proprement dit doit être cherché sur le prolongement des
fibres
médullaires, dans l'écorce grise des lobes occipi
aisceaux, constatés anatomiquement. Mais on ne saurait décider si ces
fibres
entrecroisées sont réellement en con-nexité avec
avec les nerfs optiques et surtout si elles sont le pro-longement des
fibres
optiques non entrecroisées dans le chiasma. L'exp
te consécutive à une lésion du système cortical. — Dé-monstration des
fibres
pédonculaires directes : faits anatomo-pathologiq
sule interne. Ce tractus contient, vous ne l'avez pas oublié : 1° des
fibres
pédonculai-res directes, c'est-à-dire nées sous l
mises en rapport avec les noyaux gris lenticulaire ou caudé ; 2° des
fibres
pédonculaires indirectes, lesquelles, au contrair
orce grise. Nous faisons abs-traction, en ce moment, des faisceaux de
fibres
qui s'étendent de la substance corticale aux noya
noyaux gris des masses centrales. Nous supposerons que les diverses
fibres
pédonculaires, les directes comme les indirectes,
ses fibres pédonculaires, les directes comme les indirectes, sont des
fibres
à direction cen-trifuges et qu'elles transmettent
rieure, au voisinage, du pied du pédoncule cérébral, là où toutes les
fibres
sont ras-semblées dans un espace étroit, aura pou
grise, des deux noyaux gris à la fois, avec ou sans participation des
fibres
pédonculaires de la capsule interne. Je n'attac
euses, que les foyers qui détruisent, dans une certaine éten-due, les
fibres
motrices de la capsule interne ont pour consé-que
e lésion destructive, c'est-à-dire capable d'interrompre le cours des
fibres
médullaires, la sclérose descendante devra s'en s
d'un foyer ochreux interrompant dans l'hémisphère gauche le cours des
fibres
de la capsule interne dans son tiers moyen. En pa
ansversal, et qu'il y a lieu de croire, d'après cela, qu'en outre des
fibres
cérébro-spinales ou pyramidales seules affectées
affectées dans la sclé-rose consécutive, elle envahit le système des
fibres
spinales propres au faisceau latéral. (Comparez l
rs même que la sclérose secondaire a intéressé "à peu près toutes les
fibres
de la pyramide antérieure, la lésion n'occupe, da
ures, et, en dedans, elle s'avance jusqu'au contact de ce faisceau de
fibres
nerveuses, peut-être sensitives, qui constituent
qui précède, que la sclérose consé-cutive n'affecte qu'une partie des
fibres
nerveuses qui forment les faisceaux latéraux, à s
des fibres nerveuses qui forment les faisceaux latéraux, à savoir les
fibres
cérébro-spinales ; tandis que, dans la sclérose p
hissement du système latéral tout entier comprenant non-seulement les
fibres
cérébro-spinales et pyramidales, mais encore des
seulement les fibres cérébro-spinales et pyramidales, mais encore des
fibres
propres, qui commencent dans la moelle et s'y ter
s fibres propres, qui commencent dans la moelle et s'y terminent, des
fibres
à propre-ment parler spinales. V. Les faits,
s à admettre, à titre, d'hypothèse très vraisemblable, l'existence de
fibres
pédonculaires directes, c'est-à-dire qui, après l
tation peuvent êtreinvoqués encore en faveur de l'existence de telles
fibres
, même chez des animaux placés assez bas dans l'éc
omme le veulent quelques anatomistes, était exclusivement composée de
fibres
pédonculaires indirectes, c'est-à-dire se termina
rrespondant à la lésion cérébrale. La réalité, chez l'homme, de ces
fibres
pédonculaires direc-tes, semble être, à son tour,
lésions étendues et profondes de la substance grise corticale. Ces
fibres
pédonculaires directes, après leur épanouisse-men
eaux triangulaires diminue régulièrement de haut en bas, comme si les
fibres
qui les composent s'épuisaient elles-mêmes che-mi
t jusqu'à la région lombaire. Ces quatre faisceaux sont composés de
fibres
à direction parallèle, et, lorsqu'ils sont dévelo
scendent plus bas dans la moelle, on est en droit de conclure que les
fibres
nerveuses qui les composent s'arrêtent successive
raissent naturellement désignées comme étant le point vers lequel ces
fibres
convergent. Mais, pénètrent-elles dans les racine
s important que le faisceau croisé. Il est représenté par 3,9 0/0 des
fibres
de la pyramide, tandis que le faisceau croisé ren
pyramide, tandis que le faisceau croisé renferme 97 ou 91 0/0 de ces
fibres
. Mais, il existe dans ce type une variété très in
: le faisceau direct est repré-senté par 90 0/0 du chiffre total des
fibres
tandis que le faisceau croisé ne contient seuleme
tandis que le faisceau croisé ne contient seulement que 10 0/0 de ces
fibres
. Le nombre des fibres entrecroisées est donc en p
croisé ne contient seulement que 10 0/0 de ces fibres. Le nombre des
fibres
entrecroisées est donc en pareil cas si in-signif
peut, comme je vous l'ai dit, n'être représenté que par un nombre de
fibres
si restreint que l'on peut le con-sidérer comme t
de faisceaux compactes ; ils se dissocient et s'entremêlent avec les
fibres
protubérantielles proprement dites, où ils contri
qu'une coupe ait été pratiquée perpendiculairement à la direction des
fibres
qui s'accusent si nettement à la face inférieure
ux (partie fondamentale des fais-ceaux antéro-latéraux) ; ce sont des
fibres
qui s'entremêlent avec celles des processus cereb
d'un espace de forme rhom-boïde et opaque, parce qu'en ce point, les
fibres
nerveuses ont acquis leur développement complet.
tion claire, c'est le contraire qui a lieu dans les pédoncules. Les
fibres
nerveuses qui composent les faisceaux pyrami-daux
ment dit, dans les cellules ganglion-naires qui s'y trouvent, que les
fibres
nerveuses des futures pyramides prennent leur ori
par son opacité sur les parties voisines ; composé par conséquent de
fibres
ner-veuses déjà très développées, il n'affecterai
, et même jusqu'à la couche grisé corticale. 4° Pour rechercher les
fibres
pyramidales dans cette dernière parlie de leur
Flechsig, le faisceau pyramidal. Parvenues dans le centre ovale, les
fibres
de ce faisceau com-mencent àse dissocier, à s'épa
été conduit d'après la somme des faits par lui observés, est que les
fibres
pyramidales pren-draient naissance dans la substa
médiane ou sous-rolandiqne du cerveau est marquée par la présence de
fibres
nerveuses revêtues de myéline. En ce point, les f
ux tiers antérieurs du segment postérieur. — Le faisceau pos-térieur (
fibres
sensitives de Meynert) ne dégénère jamais. Mess
squ'à la surface du pied, qui représente le côté le plus large. Les
fibres
nerveuses étant pour une bonne partie détruites d
eau pyramidal dissocié est plus difficile à reconnaître au milieu des
fibres
transver-sales propres à la région. Cependant on
end pas à la capsule interne de manière à en altérer profondément les
fibres
. La lésion de la capsule interne est donc, en c
dans U) Yoy. Première Partie, Leçon VlII, p. 103. du faisceau des
fibres
pyramidales qui s'entrecroisent au ni-veau de la
s'entrecroisent au ni-veau de la décussation bulbaire, un faisceau de
fibres
centri-fujes provenant du segment antérieur de la
t antérieur de la capsule interne. 11 est aussi très probable que ces
fibres
s'arrêtent en bas dans un point quelconque de la
t. On pourrait l'appeler région pyramidale de la capsule, puisque les
fibres
nerveuses qui la traversent semblent être une éma
l j'aurai à revenir), que celte région paraît contenir seule-ment des
fibres
centripètes, et qui, en tout cas, ne semblent pas
s le segment externe n'est frappé de dégénération secondaire. Or, les
fibres
de ce segment externe sont celles que M. Meynert,
t, dirigé par des considérations d'anatomie pure, considère comme des
fibres
centripètes, prolongeant les fibres sensitives sp
natomie pure, considère comme des fibres centripètes, prolongeant les
fibres
sensitives spinales et les reliant aux régions po
spinales et les reliant aux régions postérieures de l'hémisphère. Les
fibres
de ce segment externe du pied remonteraient donc
si commune ; un fais-ceau externe, qui ne dégénère jamais, composé de
fibres
cen-tripètes destinées à former le tiers postérie
à des dégénérations secondaires, tant à la suite de l'altération des
fibres
du centre ovale qu'à l'occasion des destructions
psule correspondant au tiers postérieur du segment postérieur. «des
fibres
nerveuses se dirigeant vers la portion de la caps
ttement les rapports anatomiques de ce faisceau. — La terminaison des
fibres
de ce faisceau dans la moelle épinière donne mati
épinière donne matière à plusieurs hypothèses. — L'aboutissant de la
fibre
pyramidale est la cellule antérieure. — Général
saud. La propagation se fait-elle parle tissu conjonetîf ou par les
fibres
nerveuses elles-mêmes ? Messieurs, J'en aurai
qui s'y produisent, a permis d'établir, vous l'avez reconnu, que les
fibres
nerveuses qui les composent prennent leur origine
bien que ce fait ne soit pas démontré, — que dans l'écorce grise, ces
fibres
nerveuses sont en rela tions plus ou moins direct
Mais en bas, dans la moelle épiniôre, où et comment se terminent ces
fibres
? Nous avons reconnu que dans la moelle, le fai
descend vers le fîlum terminal. Ce fait démontre suffisamment que les
fibres
nerveuses qui les constituent s'épuisent peu à pe
anatomie normale montrent dans les différents étages de la moelle des
fibres
dirigées d'arrière en avant et de dehors en dedan
ures de substance grise. Relativement au mode de terminaison de ces
fibres
ner-veuses qui semblent être une émanation direct
de ces fibres ner-veuses qui semblent être une émanation directe des
fibres
constituantes du faisceau pyramidal, plusieurs hy
u faisceau pyramidal, plusieurs hypothèses se présentent: ou bien les
fibres
pyramidales passent directe-ment dans les racines
s de l'écorce grise du cerveau jusqu'aux plaques ter-minales dans les
fibres
musculaires. — A, Cellules géantes des circonvo-l
, F, Kéticulum de la substance grise où s'épuisent successivement les
fibres
nerveuses du cordon latéral. - F, F, F, Racines a
res, C, G. déjà très avancé. Il n'y a donc pas continuité entre les
fibres
des faisceaux pyramidaux et les fibres des racine
donc pas continuité entre les fibres des faisceaux pyramidaux et les
fibres
des racines anté-rieures. Ce fait trouve en que
point qu'il n'existe aucune connexité entre l'extrémité terminale des
fibres
pyramidales et les cellules motrices multipolaire
nement — la physiologie le démontre — des relations médiates avec les
fibres
des faisceaux pyramidaux. Cette hypothèse, comme
s enseignements qu'ils fournissent est que l'extré-mité terminale des
fibres
pyramidales, comme nous le disions tout à l'heure
e du tissu conjonctif, mais bien suivant le trajet et par la voie des
fibres
nerveu-ses qui, partant du faisceau pyramidal, ga
indique que cette relation s'établit à l'aide de petits faisceaux de
fibres
nerveu-ses, qui, de distance en distance, se déta
permettra peut-être, dans les cas de dégénération descendante où ces
fibres
sont altérées, de les distinguer au milieu des fi
cendante où ces fibres sont altérées, de les distinguer au milieu des
fibres
restées saines de la ré-gion des processus réticu
de tirer de cette observation. -- Double entrecroisement de certaines
fibres
du faisceau pyramidal. Messieurs, Jusqu'à pré
te en semble pas être également développé chez tous les sujets. Les
fibres
qui le composent paraissent prendre leur origine
sensiblement d'épaisseur de bas en haut. M. Flechsig suppose que ses
fibres
naissent de la colonne vésiculaire de Clarke ; ma
sera peu étendue, car l'altération ne porte en pareil cas que sur des
fibres
commis-surales^trôs courtes. Nous verrons tout à
e ce qui advient, lorsque la lésion en foyer intéresse uniquement les
fibres
des faisceaux postérieurs. B. A présent, il nou
ésentais dans la dernière séance, à propos du mode de terminaison des
fibres
du faisceau pyra-midal dans la substance grise. J
u pyra-midal dans la substance grise. Je disais que la plupart de ces
fibres
s'arrêtent dans les cornes antérieures où elles s
scendre avec lui dans la région lombaire. Il existerait donc pour ces
fibres
un double entre-croisement, l'un dans le bulbe (p
à son tour ce qui suit : a) Les faisceaux de Goll sont composés de
fibres
parallèles, à long parcours, formant de longues c
très-éloignés de substance grise centrale. Par en haut, ce système de
fibres
commissurales se termine dans unamas ganglionnair
de Burdach qui, eux, au contraire, sont traversés par une partie des
fibres
émanant des racines postérieures. Des fibres de c
ersés par une partie des fibres émanant des racines postérieures. Des
fibres
de ces racines» les unes, au moment où elles ab
lles dessinent une courbe à convexité externe. c) Mais ce groupe de
fibres
radiculaires émanant des racines postérieures ne
. La grande masse de ces fais-ceaux est formée, au contraire, par des
fibres
verticales, ar-ciformes beaucoup plus courtes que
par des fibres verticales, ar-ciformes beaucoup plus courtes que les
fibres
du faisceau de Goll, et qui s'intriquent dans des
lle est, d'après ce qu'enseigne l'étude directe de l'ar-rangement des
fibres
nerveuses, la constitution particulière des deux
la forme de deux petits nodules, circonscrits de toutes parts par les
fibres
des faisceaux de Burdach. Ces deux faisceaux ont,
e région,une importance majeure,en raison surtout du grand nombre des
fibres
radiculaires postérieures qu'ils reçoivent. A la
avoir pour effet la destruction, sur un point de leur' parcours, des
fibres
des faisceaux de Goll et de celles des fais- ce
et de celles des fais- ceaux do lîurduoh.La lésion, portant sur les
fibres
commissu-rales courtes du faisceau de Burdadi, dé
endante; enfin, la môme lésion, en tant qu'elle porte sur les longues
fibres
commissurales des faisceaux de Goll, déter-mine u
r, le résulLat sera absolument le même au moment où la continuité des
fibres
aura été interrompue. A ce propos, je veux vous f
e en proche, dans toutes les directions, partie suivant le trajet des
fibres
nerveuses, partie suivant les tractus conjonctifs
es faisceaux de Goll. La conséquence de celte propagation est que les
fibres
des faisceaux de Goll, étant intéressées dans la
-dessus de la lésion, du côté de la moelle, et la dégénération de ces
fibres
peut être suivie dans le trajet intra-spinal, c'e
à un moment donné, revêt le caractère inflammatoire se communique aux
fibres
commissurales courtes du faisceau, et, de proche
e faisceau pyra-midal n'est pas compact chez le chien. —Diffusion des
fibres
dégénérées dans le cordon antéro-latéral. Expér
dans toute son étendue ; et la dégénération porte aussi bien sur les
fibres
centiprètes que sur les fibres centifruges qui le
dégénération porte aussi bien sur les fibres centiprètes que sur les
fibres
centifruges qui le composent. (1) Cl. Bernard.
veux, t. I, p. 237, La cause de l'entretien de la vitalité dans les
fibres
ner-veuses, ou, autrement dit, leurs centres trop
n, la dégénération frappe la racine tout en-tière et aussi toutes les
fibres
centripètes du nerf mixte. Vous comprenez aisém
re faite de ces données aux dégénérations secondaires spinales. Les
fibres
des faisceaux qui dégénèrent par en bas, au-desso
érieures. De ce nombre sont : Io les faisceaux pyramidaux composés de
fibres
dont le centre trophique serait dans les cellules
llules pyramidales de l'écorce grise de la région rolandique ; 2° les
fibres
courtes des faisceaux laté-raux, dont les origine
e de la région bulbaire. Enfin, la même interprétation s'applique aux
fibres
commissurales courtes des faisceaux de Burdach, q
, présentent quelques particularités. On peut dire, en effet, que les
fibres
pyramida-les ne forment pas généralement, comme c
nt pas généralement, comme chez l'homme, des faisceaux compactes (les
fibres
des faisceaux pyramidaux directs font cependant e
ndant exception); et, dans le reste des cordons an-téro-latéraux, des
fibres
capables de dégénérer sont dissémi-nées unpeupart
t dans la région pyra-midale du cordon latéral, et, sur ce point, les
fibres
dégénè-rent dans un long trajet, tandis que, part
du gyrus sigmoïde. Ainsi sé-parées du centre trophique cortical, ses
fibres
perdent leurs propriétés physiologiques, tout com
caractères anatomiques que chez l'homme. Jus-qu'en certain point les
fibres
du faisceau pyramidal sembleraient donc se réunir
la moelle sont capables de dégé-nération systématique. — Faisceaux à
fibres
longues. — Faisceaux a fibres courtes. — Schéma.
gé-nération systématique. — Faisceaux à fibres longues. — Faisceaux a
fibres
courtes. — Schéma. Cordons postérieurs. — Faisc
s rela-tifs à la structure de la moelle épinière, à l'arrangement des
fibres
nerveuses et des éléments cellulaires qui la comp
oelle épi-nière subissent tous la dégénêration secondaire quand leur"
fibres
constituantes sont interrompues dans leur parcour
à établir. A. Quelques-uns de ces faisceaux sont constitués par des
fibres
longues, c'est-à-dire parcourant, d'une seule tra
nération ascendante). B. D'autres faisceaux sont constitués par des
fibres
cour- £ig. 75. —A, faisceaux antérieurs. -- B,
rieures. -- Rp, raci-nes postérieures. — F, faisceau pyramidal. — Fc,
fibres
intrinsèques centri-fuges (cordons antérieurs).—
dal. — Fc, fibres intrinsèques centri-fuges (cordons antérieurs).— K,
fibres
extrinsèques centripètes (faisceau céré^ belleux
ibres extrinsèques centripètes (faisceau céré^ belleux direct). — Fp,
fibres
intrinsèques centripètes (faisceau de Burdach). -
t). — Fp, fibres intrinsèques centripètes (faisceau de Burdach). - G,
fibres
longues postérieures (cordon de Goll). tes. De
faisceaux cérébelleux directs. Us dégénèrent de haut en bas ; (3j les
fibres
propres des fais- ceaux de Burdach, et celles-c
t d'indiquer la relation de l'axe gris avec les divers faisceaux de
fibres
blanches, qui com-posent le manteau. 11 y a lieu
es se ramènent à deux groupes : 1° dans les faisceaux de Burdach, les
fibres
intrinsèques sont des commis-sures courtes qui me
es-thésodiques dans toute la hauteur de la moelle. Chacune de leurs
fibres
a son centre tropliique en bas, et dégénère, vous
s ascendant. 2° Dans le faisceau de Goll, au contraire, on trouve des
fibres
commissurales longues, qui dégénèrent également d
e est par conséquent situé plus bas que le centre de terminaison. Ces
fibres
intrinsèques du système spinal posté-rieur n'ont
s etdes parties extrinsèques. Les premières sont représentées par les
fibres
commissurales cour-tes, qui, probablement, metten
les cellules mo-trices des divers étages. Le centre trophique de ces
fibres
est au-dessus du centre de terminaison, puisqu'el
e de terminaison, puisqu'elles dégénèrent de haut en bas. Quant aux
fibres
extrinsèques de ces faisceaux elles ne sont autre
cellules ki-nésodiques des divers étages de l'axe gris. L'origine des
fibres
qui constituent ces faisceaux est dans l'écorce d
es de la subs-tance grise. C'est là qu'est leur centre trophique. Ces
fibres
traversent l'encéphale, parviennent au bulbe, et,
s ôjui se produisent dans les faisceaux antéro-latéraux lorsque leurs
fibres
sont in-terrompues dans leur trajet, nous avons d
ibres sont in-terrompues dans leur trajet, nous avons déjà vu que ces
fibres
se comportent suivant les mômes lois que les nerf
uges est suivie d'atrophie musculaire,tan1 dis que l'interruption des
fibres
antéro-lalérales n'entrainepas le môme résultat
es comme le sont les nerfs? En d'autres termes, l'irritation de leurs
fibres
nerveuses par des agents mécaniques, chimiques ou
nant au système des faisceaux pyramidaux et composés parconséquent de
fibres
longues, auraient à cet égard une importance cons
endue de la section mé-dullaire. transmission. Il n'y a donc pas de
fibres
longues, directement cérébrales, dans les faiscea
ue. Si l'inondation ventriculaire n'a pas eu lieu, si seulement les
fibres
de la capsule ont été déchirées, pour peu que la
ont été déchirées, pour peu que la déchirure porte sur celles de ces
fibres
qui appartiennent au faisceau pyramidal, le cas e
certaine direction, ne sont pas ici chose indifférente. Tant que les
fibres
du fais-ceau pyramidal sont épargnées, quelle que
oyer, le mal est réparable. Il ne l'est plus ou ne l'est guère si les
fibres
de ce faisceau ont été non pas seulement compri-m
ractérise c'est son inter-mittence. Il semble donc avéré, qu'ici, les
fibres
musculaires entrent en activité les unes après le
substance grise des hémisphères, sont transportés à la moelle par des
fibres
. nerveuses qui se mettent en rapport avec des gr
d'abord les connexions anatorniques établies entre les extrémités des
fibres
nerveuses du faisceau pyramidal et les cellules m
nnaires de la substance grise centrale, au contact des extrémités des
fibres
nerveuses du faisceau pyramidal, on peut se rendr
directes, qui paraissent exister entre les extrémités terminales des
fibres
nerveuses du faisceau pyra-midal et les cellules
eur localisation, ils sont placés de façon à interrompre le cours des
fibres
du faisceau pyramidal — circonstance dans laquell
nerveux n'appartenant pas au faisceau pyramidal, mais se mêlant à ses
fibres
. Ces tubes nerveux n'étant pas séparés de leurs c
e,d'ailleurs, en supposant que ces tubes appartinssent au système des
fibres
commissurales courtes, ils ne pourraient jouer un
s que cette lésion dégénérative est due à l'interruption du cours des
fibres
du faisceau pyramidal. 2° Déjà, Messieurs j'ai
, en apparence singulier, j'ai émis l'hypothèse que quelques-unes des
fibres
de chacun des faisceaux pyramidaux, déjà entrecro
sujets ; et il est nécessaire d'admettre, dans mon hypothèse, que les
fibres
entrecroisées deux fois, ne sont pas interrompues
la commissure antérieure un entrecroisement auquel prennent part des
fibres
de provenances diverses. Mais tous s'accordent à
de provenances diverses. Mais tous s'accordent à reconnaître que ces
fibres
, venues d'une des cornes de la substance grise, f
rieur du côté opposé. Dans ces descriptions, il n'est pas question de
fibres
mettant en communication directe le faisceau pyra
ui a étudié ce sujet avec beaucoup de soin, prétend avoir reconnu des
fibres
nerveuses qui, parties du faisceau latéral droit,
u'à une certaine distance, de j'autre côté de la ligne médiane. Ces
fibres
pénètrent-elles dans les faisceaux antérieurs ou
une solidarité intime entre la cellule motrice, le nerf moteur et la
fibre
musculaire; en réalité, on peut les consi-dérer c
ion dans la capsule interne. Nouvelles considérations anatomiques :
Fibres
pédonculaires directes se rendant à la substance
ouronne rayonnante de Reil. — Faisceaux rayonnants cortico-opliques :
Fibres
antérieures (racine antérieure de la couche optiq
ues : Fibres antérieures (racine antérieure de la couche optique) ; —
Fibres
moyennes (expansions latérales) ; —Fibres postéri
e de la couche optique) ; — Fibres moyennes (expansions latérales) ; —
Fibres
postérieures (expansions cérébrales des nerfs opt
anatomiques entre les expansions cérébrales des nerfs optiques et les
fibres
centripètes de la couronne rayonnante (hémianesth
te consécutive à une lésion du système cortical. — Dé-monstration des
fibres
pédonculaires directes : faits anatomo-pathologiq
ux tiers antérieurs du segment postérieur. — Le faisceau pos-térieur (
fibres
sensitives de Meynert) ne dégénère jamais........
à des dégénérations secondaires, tant à la suite de l'altération des
fibres
du centre ovale qu'à l'occasion des destructions
ttement les rapports anatomiques de ce faisceau. — La terminaison des
fibres
de ce faisceau dans la moelle épinière donne mati
épinière donne matière à plusieurs hypothèses. -- L'aboutissant delà
fibre
pyramidale est la cellule antérieure. — Général
aud. La propagation se fait-elle par le tissu conjonctif ou par les
fibres
nerveuses elles-mêmes ?.............'............
de tirer de celte observation. — Double entrecroisement de certaines
fibres
du faisceau pyramidal............................
e faisceau pyra-midal n'est pas compact chez le chien. —Diffusion des
fibres
dégénérées dans le cordon antéro-latéral. Expér
la moelle sont capables de dégé-nération systématique. — Faisceaux à
fibres
longues. — Faisceaux à fibres courtes. — Schéma.
gé-nération systématique. — Faisceaux à fibres longues. — Faisceaux à
fibres
courtes. — Schéma. Cordons postérieurs. — Faisc
s rapports avec la capsule interne 90; -- sa constitution, 135; — ses
fibres
postérieures, 139. Crucial. (V. Sillon.) CrUS
mides, 199 ; — ses variétés et ses types, • 200, 201 ; — double des
fibres
py-ramidales, 258. Epilepsie spinale pbovoquée,
198, 222. — Division des — en extrinsèques et intrinsèques, en f. à
fibres
longues et f. à fibres courtes, 282 et suiv. Fi
des — en extrinsèques et intrinsèques, en f. à fibres longues et f. à
fibres
courtes, 282 et suiv. Filum terminale, 249. F
capsule interne, 86, — sa constitution, 87 ; — Lé-sions du —, 153; —
Fibres
pé-donculaires directes et fibres pé-donculaires
ution, 87 ; — Lé-sions du —, 153; — Fibres pé-donculaires directes et
fibres
pé-donculaires indirectes, 170 ; — Faisceau pyram
e de mouve- ments irréguliers tenant aux contractions anormales des
fibres
longitudinales. Le malade semble avoir quelque
irigerait en arrière. Ce foyer a interrompu : 1° presque toutes les
fibres
de projection de la troi- sième frontale, de la
ions antérieures des ascendantes ; -3° un bien plus grand nombre de
fibres
issues des circonvolutions orbilaires, surtout de
isceaux d'association antéropostérieurs du lobe frontal ; -- 50 les
fibres
des corps calleux; 6° les éléments de la capsul
racine cervicale incluse. Moelle presque indemne, à peine quelques
fibres
dégénérées. A remarquer : la longue durée, l'in
pleine couche optique où les cellules sont délruites, ainsi que les
fibres
conjonctives et rempla- cées par de gros globes
escendait en rayonnant dans l'écorce. Dans la troisième couche, les
fibres
nerveuses issues de la base des petites pyramides
(Koschewnikow), pénètre dans la substance blanche. La direction des
fibres
des systèmes de projection et d'association rév
fonctions des cellules pyramidales et des cellules fusiformes : les
fibres
propres du système d'association, qui ne sont,
es cellules se trouvent de la surface de l'écorce. Les faisceaux de
fibres
à myéline de l'écorce cérébrale n'avaient pu êt
dès 1841, avait découvert, à la surface de l'écorce, une couche de
fibres
nerveuses à myéline. Exner, avec sa méthode de
eynert, au-dessous de la couche de névro- glie (dont il compare les
fibres
à des fils de chanvre), d'une couche de fibres
(dont il compare les fibres à des fils de chanvre), d'une couche de
fibres
nerveuses myélilliques, d'épaisseur et d'orientat
ses myélilliques, d'épaisseur et d'orientation variées 1. Outre les
fibres
nerveuses à direction parallèle de la surface d
rveuses à direction parallèle de la surface de l'écorce du cerveau,
fibres
taneentieiles, Exner en vit d'autres s'élever d
hez l'enfant nou- veau-né, Exner ne trouva dans cette couche aucune
fibre
nerveuse à myéline, mais de très grosses cellul
s de l'url : iuje du cervelet. Au niveau de la deuxième couche, les
fibres
myéliniques, très nombreuses, appa- raissent pl
es d'aucune autre couche de l'écorce. Dans la troisième couche, ces
fibres
commencent à se grouper en faisceaux descendant
que les stries des six couches de Baillarger, est constitué par des
fibres
nerveuses à myéline dont la direction n'est poi
sure, les coupes microscopiques montrèrent un très o-rand nombre de
fibres
tangentielles passant d'une paroi à l'autre de
les passant d'une paroi à l'autre de cette scissure : c'étaient des
fibres
d'association (fi6)' (t ? 'cM6[<oe.) Dans la
association (fi6)' (t ? 'cM6[<oe.) Dans la quatrième couche, les
fibres
myéliniques deviennent si nombreuses et si serr
'elles ne laissent entre elles presque plus d'espace. Le trajet des
fibres
à myéline à travers l'écorce est relativement l
1'bindtlngcn) différents territoires corticaux : ce sont encore des
fibre
arcuatoe, mais au sens le plus étendu du mot. Exn
u mot. Exner répète qu'il n'a jamais pu constater de « division des
fibres
à myéline ; il n'admet donc point la descriptio
psychiques ; l'autre ne laisse guère apercevoir qu'un feutrage de
fibres
nerveuses à myéline, dont le caractère change aux
, ditîérent de tous les autres, et destiné à relier cet élément aux
fibres
ner- veuses. Quelle est la nature de la substan
unique, affirmait Golgi, et qui va constituer le cylin- draxe d'une
fibre
nerveuse à myéline, est le prolongement ner- ve
veuses amyéliniques, donnant pourtant naissance à leur tour à des
fibres
à myéline. Dans cette hypothèse, alors la plus gé
les cellules nerveuses affectaient deux modes de connexion avec les
fibres
nerveuses : d'une part, au mojen des 1 Walther.
autre voie la matière nutritive arriverait à ces éléments. » Si les
fibres
nerveuses ne dérivent ni directement ni indirec
le est alors, pour Golgi, l'explication anatomique de l'origine des
fibres
nerveuses de la substance grise ? Comment s'établ
l'existence ? Quant à la première question, celle de l'origine des
fibres
nerveuses dans les diverses provinces du système
ntenir indivis jusqu'à ce qu'il ait constitué le cylin- draxe d'une
fibre
à myéline, émet toujours, à une distance plus '
uscules arborescents, dont la forme varie, et sert à distinguer les
fibres
nerveuses en deux catégories distinctes : 1° le
cellu- laires des différentes régions de l'écorce cérébrale. Les
fibres
de la première catégorie, qui n'émettent qu'un pe
t nombre de rameaux latéraux avant de devenir le cylindraxe d'une
fibre
à myéline, sont issues de cellules nerveuses qui
rappellent celles des cornes antérieures de la moelle épinière. Les
fibres
de lu deuxième catégorie sortent de cellules qu
types de cellules nerveuses en rapport avec ces deux catégories de
fibres
nerveuses. Les cellules du premier type seraient
ions ultimes et latérales de leurs cylindraxes. Les cellules et les
fibres
motrices présenteraient seules les condi- tions
nt étendues. Telle est bien, en effet, la doctrine de Golgi. Chaque
fibre
nerveuse, loin de se trouver isolément en rappo
des centres nerveux peut être en rapport avec un certain nombre de
fibres
ayant probablement une fonc- tion différente. T
s de la première ou de la seconde catégorie, c'est-à- dire avec des
fibres
de nature motrice ou de nature soit sensitive,
quent uniquement par la direction et les rapports périphériques des
fibres
nerveuses. La spécificité de fonction des diver
ce, tant qu'on n'a point vu son prolongement nerveux constituer une
fibre
des racines antérieures ? A cet effet, au lieu
ellules du premier type sont en rapport direct, non isolé, avec les
fibres
nerveuses; je pourrài dire dorénavant, et avec
ellule 7ze ? ,uose motrice), sont en rap- port, non isolé, avec les
fibres
nerveuses (du mouvement). » Quant aux autres ce
irconvolutions, mais dans les rapports des circonvolutions avec les
fibres
périphériques des sens : la spécificité de foncti
rminée par la spécificité de l'organe auquel, périphériquement, les
fibres
nerveuses vonz aboutir, et non point par une sp
différents modes de la sensibilité générale et spéciale. Seule, la
fibre
musculaire devrait être appelée motrice, et non
medicin. Congress). '108 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. Max Schulze. Les
fibres
nerveuses qui sont liées à ces organismes éléme
les distances et toutes les directions de la colonie, au moyen des
fibres
à myéline des systèmes d'association. » L'écorc
t éviter de chercher à distinguer entre elles les cel- lules et les
fibres
nerveuses, et à supposer des différences dans leu
pourquoi l'on continuait à parler de ganglions d'interruption des
fibres
nerveuses, de réseau nerveux diffus de l'écorce,
ements dans des régions de l'écorce « où ne se rencontrent point de
fibres
nerveuses à myéline ». Voici d'ai Heurs les par
ements protoplasmiques ne prennent aucune part à la for- mation des
fibres
nerveuses ; elles se maintiennent constamment i
nerveuses ; elles se maintiennent constamment indépendantes de ces
fibres
; elles contractent au contraire des rap- ports
ci une « tendance à se porter dans des régions où n'existent pas de
fibres
nerveuses ». Ces régions étaient les couches su
es de l'écorce cérébrale l'existence d'une quantité considérable de
fibres
à myéline. De même dans la fascia dentata : « a
anasto- mose entre les éléments du système nerveux central : chaque
fibre
nerveuse n'était que le prolongement d'une cell
t, la terminaison des nerfs n'est pas en continuité directe avec la
fibre
. 11 comprenait de moins en moins pourquoi la cont
: la seule diffé- rence, c'est que la cellule nerveuse d'où sort la
fibre
sensitive ou sensorielle est périphérique, tand
motrices ces cellules nerveuses. Seul, le mode de terminaison d'une
fibre
parait être décisif pour le diagnostic de sa fo
point difficulté d'avouer que l'absence de transmission isolée des
fibres
nerveuses qui communiquent entre elles dans le
umière de mes préparations, la connexion matérielle ou fusion entre
fibres
et fibres ne se présente plus comme une néces-
mes préparations, la connexion matérielle ou fusion entre fibres et
fibres
ne se présente plus comme une néces- sité pour
eu qu'on sait autorise pourtant pleinement à croire qu' * une seule
fibre
nerveuse peut avoir des rapports avec un nombre
mpressions des organes périphériques des sens; 3° marche isolée des
fibres
nerveuses depuis les organes destinés à revoir
s de la nature propre des organes périphé- riques avec lesquels les
fibres
nerveuses sont en rapport, les faits histologiq
- lialrice. Enfin, quant au troisième point, la marche isolée des
fibres
nerveuses des organes périphériques des sens aux
compalible avec le fait que, avant de pénétrer dans ces centres, la
fibre
nerveuse envoie, sur tout son parcours, nombre
centres, la fibre nerveuse envoie, sur tout son parcours, nombre de
fibres
collatérales destinées évidem- ment à contracte
à contracter les rapports et les connexions les plus divers. « Les
fibres
nerveuses non seulement ne sont pas en rapport in
te cellule nerveuse des centres peut être en rapport avec ces mêmes
fibres
nerveuses, et cette connexion peut vraisemblabl
uses, et cette connexion peut vraisemblablement avoir lieu avec des
fibres
nerveuses qui HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORA
ment différentes (p. 21). » Relativement à la distribution de ces
fibres
, tout conspire, dans le système nerveux central,
er d' « aires centrales exactement déli- mitées de distribution des
fibres
nerveuses ». Mais Golgi croit tou- jours à l'ex
pelle des territori di prevalente e più diretta distribuzione délie
fibre
. Les fibres nerveuses venant de la périphérie o
erritori di prevalente e più diretta distribuzione délie fibre. Les
fibres
nerveuses venant de la périphérie ou allant ver
sations » : celui du revêtement myé- linique dont sont pourvues les
fibres
nerveuses cérébro-spinales dans leur trajet dep
s prolongements protoplasmiques, d'une longueur exceptionnelle, des
fibres
cylindraxiles les plus typiques, celles des nerfs
2 Cf. Tirelli. Corne si comporta lo slroma nectro-chemclinico délie
fibre
nervose del moxzcozte periferico di un xtervo r
ance grise du corps genouillé externe est divisée par une couche de
fibres
venant de la capsule interne en deux noyaux prin-
e Meynert est très nette et on peut voir qu'elle est formée par des
fibres
venant du noyau lenti- culaire. Ces noyaux se d
la forme et l'agencement de leurs éléments 'constitutifs (cellules,
fibres
, névroglie). Cette description est vraie, à q
tions près, pour la couche optique de l'homme. Chez ce dernier, les
fibres
du ruban 120 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de
ent et pénètrent dans les noyaux de la couche optique; de nouvelles
fibres
, prove- nant du voisinage du noyau rouge de la
tte, viennent alors les renforcer. L'auteur isole ces faisceaux des
fibres
qu'il considère comme autonomes et les désigne
es noyaux antérieurs de la couche optique en se confondant avec les
fibres
des faisceaux pré- cédents. La substance innomm
la calotte de la protubérance, etc., et les différents systèmes de
fibres
se trouvent également plus ou moins atteints, a
HOLOGIE NERVEUSE. présente à la fois une station terminale pour les
fibres
venant des noyaux gris situés en arrière et un
ant des noyaux gris situés en arrière et un lieu d'origine pour les
fibres
se dirigeant vers l'écorce. Les noyaux optiques
ion des impressions sensibles à l'écorce est toujours médiate. La
fibre
centripète se termine dans une cellule du noyau
on partie de l'écorce ne se transmet pas non plus directement à une
fibre
centrifuge, elle se communique d'abord à une ce
laire la transmet à une troisième cellule en communication avec une
fibre
motrice qui va au muscle. Une fibre corticale i
llule en communication avec une fibre motrice qui va au muscle. Une
fibre
corticale isolée n'agit pas sur une seule cellu
jal, His, Forel, Kolliker, Waldeyer) ; en revanche, il n'y a pas de
fibres
nerveuses indépendantes puisque partout elles n
, à des cellules nerveuses éloignées, puisqu'elles se continuent en
fibres
nerveuses. Les secondes peuvent également se re
cendant; il peut aussi y avoir courant par les rameaux latéraux des
fibres
et réflexion de l'activité sur d'autres territo
nsforment l'excitant extérieur en une modalité apte à solliciter la
fibre
nerveuse. Selon l'organisation de l'appareil pé
t net et complet dès la première semaine qui suit la naissance. Ses
fibres
se dirigent bien en arrière dans le lobe occipi
-unes montent à la face postérieure du pulvinar, dans la couche des
fibres
arciformes pour atteindre Je noyau principal. L
externe, va, à travers le pulvinar, dans la partie postérieure des
fibres
arcifomes... 2° La couronne rayonnante du centr
pôle frontal. 3° Le faisceau subcalleux contient des trousseaux des
fibres
de la couronne rayonnante qui sortent de la cap
longueur des hémisphères, d'avant' en arrière. A eux s'ajoutent des
fibres
du corps calleux qui, les unes, les accompagnent
l ne s'y mêle qu'un très petit nombre de faisceaux de la couche des
fibres
arciformes. Il n'y a donc, d'après l'examen du
d'après l'examen du cerveau de l'enfant, qu'un très petit nombre de
fibres
d'associations absolues directes, établis- sant
de la queue de cheval, exsudat plastique dure-mérien qui soude les
fibres
, radicu- laires entre-elles et à la face de la
dons postérieurs doit être mise sur le compte de l'al- tération des
fibres
de la queue de cheval lésée dans toute son épai
ute la hauteur de la moelle. Dans le segment sacré et lombaire, les
fibres
dégénérées sont disséminées à travers tout le t
artir de l'extrémité inférieure de la moelle dorsale, le nombre des
fibres
dégénérés décroit graduelle- ment mais progress
rescencejusquedans les noyaux cor- respondants du bulbe. Celles des
fibres
dégénérées qui n'atteignent point les faisceaux
elle dorsale et surtout aux colonnes de Clarke. En conséquence, les
fibres
des racines postérieures qui prennent part à la
s où elles se termi- nent, c'est-à-dire qu'il y a union directe des
fibres
sensitives des racines de la moelle avec les no
côté interne de la- quelle elles sont placées; elles déplacent les
fibres
radiculaires antérieurement entrées, en dedans,
côté delacloison postérieure. C'est pourquoi la dégénérescence des
fibres
sensitives de la moelle, en se propageant de ba
us haut, les parties avoisinant la cloison. Une grande partie des
fibres
radiculaires relevant du complexus anatomique d
Les noyaux des fais- ceaux de Goll sont le trait d'union entre les
fibres
sensitives des segments inférieurs du corps et
au; de même, les colonnes de Clarke sont le trait d'union des mêmes
fibres
avec le cervelet. II. Il existait aussi une alt
s fibres avec le cervelet. II. Il existait aussi une altération des
fibres
radiculaires anté- rieures. Cette altération oc
nté- rieures. Cette altération occupait distinctement le trajet des
fibres
radiculaires au sein de la substance de la moel
de la substance de la moelle et portait seule- ment sur celles des
fibres
qui participent à la formation de la queue de c
lté- ration et la lésion de la queue de cheval. Les altérations des
fibres
radiculaires étaient, en d'autres termes, des d
ces ascen- dantes qui, de même que la dégénérescence ascendante des
fibres
sensitives, dépendaient de la lésion de la queu
on de la queue de cheval. Ceci rap- pelle les altérations des mêmes
fibres
radiculaires antérieures par lésion du sciatiqu
de Reil, on trouve, en - dedans de celui-ci, quelques trousseaux de
fibres
nerveuses qui, de plus en plus fournis à mesure
pyramidal; modifiant alors leur direction; ils se perdent dans les
fibres
externes du pied du pédoncule cérébral. 2° Un peu
re du ruban de Reil, immédiatement à côté du raphé, un trousseau de
fibres
, qui pourrait bien être le faisceau qui va du r
ousseau qui va du ruban de Reil au pied, qui renforce ce système de
fibres
. 3° Les trousseaux pl'otubémntiels latéraux du ru
. La clinique ayant paru indiquer que le ruban de Reil contient les
fibres
sensi- tives des nerfs crâniens sensitifs (et s
s de la jambe. P. 11ÉRAV.1L. V. Trajet ET MODE de terminaison DES
fibres
DU « champ ovale » DES CORDONS POSTÉRIEURS DE L
e Gombault et Philippe donnent pour caractéristique de contenir des
fibres
qui, probablement pro- viennent de la substance
postérieure) dans la moelle sacrée. Barbacci croit que ce sont les
fibres
de la virgule de Schultze qui, convergeant vers
mort de trois à six semaines après le début de la compression. Les
fibres
du champ ovale des cordons postérieurs ont dans
ns la région le plus inférieure du cône terminal. On y voit que les
fibres
de la virgule de Schultze ne prennent pas part
virgule de Schultze ne prennent pas part à la zone en question. Les
fibres
de la zone médiane siègent, au-dessous de l'end
baire et l'extrémité termi- nale du cône terminal, le nombre de ces
fibres
diminue rapide- ment, parceque, les unes le lon
nètrent obliquement en avant dans la substance grise. Les dernières
fibres
se terminent dans la partie la plus inférieure
stance grise déjà rare en cet endroit. Il est donc probable que ces
fibres
pro- viennent de la corne postérieure (des raci
cornu-radiculaire de P. Marie. On voit très nettement un bactus de
fibres
dégénérées, dans la corne postérieure, qui repr
la corne postérieure, qui représente évidemment les contingents de
fibres
de moyenne longueur de la 6e racine dorsale. A
adiculaire postérieure apparaît donc comme le lieu de réception des
fibres
de la 6e racine dorsale qui vont au cerveau. Au
cale, la zone dégénérative a diminué parce que un certain nombre de
fibres
ont été abandonnées à la corne postérieure ; el
données à la corne postérieure ; elle est rejetée en dedans par les
fibres
qui viennent à la suite. Il n'y en a plus qu'un
ôté que la lésion commence à l'entre- croisement des pyramides. Ces
fibres
se trouvent altérées par la compression qu'exer
ression qu'exercent sur elles, au niveau de l'entre-croisement, les
fibres
du côlé opposé pendant le premier stade de la dég
ans nombre de cas récents on peut constater l'existence de quelques
fibres
dégé- nérées qui vont de la pyramide affectée,
e considérable, et généralisée de la gaine de myéline de toutes les
fibres
. M. Feindel partage l'opinion de Recklinghausen
isés aurait enfin pour conséquence de mettre en jeu, au moyen des
fibres
d'association, l'activité des centres des idées a
ondies, rious ne pouvons encore différencier sous le microscope une
fibre
de la sensi- bilité d'une fibre motrice. La mal
différencier sous le microscope une fibre de la sensi- bilité d'une
fibre
motrice. La maladie fait cette distinction. En
iculier dans les ganglions correspondants au centre tro- phique des
fibres
nerveuses. Pour les nerfs rachidiens ces centre
nt dans ces travées épaisses il y a beaucoup de gaines vides. Les
fibres
nerveuses examinées après action de l'acide 1 L
it en boules. Avec la méthode de Marchi on constate que beaucoup de
fibres
présentent des réac- tions pathologiques. Enfin
bres présentent des réac- tions pathologiques. Enfin la plupart des
fibres
nerveuses qui persistent avec leur enveloppe' d
sent le ganglion suivant son 'grand axe longitudinal, on voitles
fibres
qui entrent et les fibres qui sortent de ce centr
t son 'grand axe longitudinal, on voitles fibres qui entrent et les
fibres
qui sortent de ce centre ner- Fig. il, - Gangli
sso-phal'yngien). 276 CLINIQUE NERVEUSE. veux. Des deux côtés ces
fibres
sont également altérées et offrent les mêmes ca
Nerf olfactif. - On y constate par l'acide osmique beau- coup de
fibres
dégénérées avec altération très profonde de la
idées sur la structure du système 282 ' REVUE CRITIQUE. celui des
fibres
parallèles du cervelet, par exemple, l'arborisati
toute la substance grise de la moelle épinière. Le riche plexus de
fibres
à myéline que l'on voit, dans la substance gris
térales qui forment la commissure posté- rieure de la moelle et les
fibres
fines de la commissure antérieure. Dans le cerv
entre ces cellules une unité physio- logique. Dans le cerveau, les
fibres
du corps calleux relient, au moyen de leurs col
insi des collatérales du bulbe olfactif, de la corne d'Am- mon, des
fibres
du cordon du grand sympathique. Dans la subs- t
aussi existent des collatérales et des arborisations terminales de
fibres
nerveuses s'entrelaçant à des prolongements pro
es connexions des éléments nerveux de la moelle épinière. I. Chaque
fibre
nerveuse n'est que le prolongement d'une cellule
nt d'une cellule nerveuse, soit périphérique, soit centrale. Chaque
fibre
nerveuse, de son origine à sa terminaison, n'es
ellules des cordons, dont les prolongements nerveux constituent les
fibres
des faisceaux ou cordons antérieur, latéral et
la moelle des collatérales entre les cellules nerveuses. IV. Les
fibres
sensitives des vertébrés ne naissent pas dans la
entre cette capsule et le protoplasma cellulaire, s'arbo- rise une
fibre
nerveuse d'origine inconnue (Lenhossek, Ehrlich,
borisations terminales des branches ascendantes ou descendantes des
fibres
radiculaires sensitives, on distingue des colla
ordinaire des réflexes : d'où les noms de collatérales réflexes, de
fibres
réfCeo-motriees (Kël- liker) ou sensitivo-motri
e inférée avec certitude : 1° de l'absence d'entre-croisement des
fibres
radiculaires sensitives; 2° du fait que la plupar
t des fibres radiculaires sensitives; 2° du fait que la plupart des
fibres
représentant des voies courtes se terminent dan
ès de la pie-mère. La partie la plus superficielle est traversée de
fibres
horizontales à myéline (Kolliker, Exner), dont qu
es fusiformes ou triangulaires de Mar- tinotti. Mais la plupart des
fibres
nerveuses de la zone moléculaire proviennent de
en deux ou plusieurs filaments très longs, qui paraissent être des
fibres
nerveuses, restant toujours dans la zone molécu
miques très longs, d'abord horizontaux, se continuant peu à peu en
fibres
nerveuses ou de nature analogue, peu ramifiés, ém
gement nerveux u nique de ces neurones sortent par bifurcation deux
fibres
qui dans des directions opposées vont se mêler
tion deux fibres qui dans des directions opposées vont se mêler aux
fibres
du faisceau tangentiel (Veratti). Les cellule
lusieurs expansions d'apparence nerveuse'. La réunion de toutes ces
fibres
autochtones, jointes à celles qui montent des c
se terminant, en bas, dans la substance blanche, où il devient une
fibre
nerveuse à myéline du faisceau de projection. M
tinue, ou par un coude, ou par une division en T, avec une ou deux
fibres
nerveuses de la substance blanche. On distingue d
ance blanche du cerveau antérieur est composée de quatre espèces de
fibres
: 1° fibres de projection; 2° fibres calleuses ou
du cerveau antérieur est composée de quatre espèces de fibres : 1°
fibres
de projection; 2° fibres calleuses ou commissur
composée de quatre espèces de fibres : 1° fibres de projection; 2°
fibres
calleuses ou commissurales ; 3° fibres d'associ
1° fibres de projection; 2° fibres calleuses ou commissurales ; 3°
fibres
d'association; 4° fibres centripètes ou termi-
2° fibres calleuses ou commissurales ; 3° fibres d'association; 4°
fibres
centripètes ou termi- nales, ramifiées dans la
ntripètes ou termi- nales, ramifiées dans la substance grise. Les
fibres
de projection provenant de toutes les régions de
cérébraux; à la hauteur du corps calleux, un certain nombre de ces
fibres
émettent une grosse collatérale dans cette comm
si,- permettent de croire, quant à la terminaison inférieure de ces
fibres
, qu'elles constituent en grande partie la voie
qu'elles constituent en grande partie la voie des pyramides. Les
fibres
calleuses ou commissurales, situées au-dessous de
ides. Les fibres calleuses ou commissurales, situées au-dessous des
fibres
d'association, et recouvrant les ventricules la
u non, de l'hémisphère opposé, sauf à la région sphénoidale, où les
fibres
commissurales constituent la commissure blanche
re (chiasma des bande- lettes olfactives de Van Gehuchten) ; 2° des
fibres
collatérales ou des branches de bifurcation des
en) ; 2° des fibres collatérales ou des branches de bifurcation des
fibres
de projection et d'associa- tion. Des fibres ca
hes de bifurcation des fibres de projection et d'associa- tion. Des
fibres
calleuses se détachent des collatérales qui monte
es qui montent dans la substance grise où elles se terminent. Les
fibres
d'association, courtes ou longues, reliant l'un à
on y Cajal est parvenu à observer directement les connexions de ces
fibres
avec les cellules poly- morphes et avec quelque
on peut invoquer la grande autorité de Cajal, c'est que beaucoup de
fibres
d'association peuvent mettre en rapport une cel
l'écorce est indéfiniment multipliée par les circonvolu- tions les
fibres
d'association forment par leur abondance la masse
e blanche du cerveau. La quantité et la longueur extraordinaire des
fibres
d'association, leur mélange intime aux fibres d
ur extraordinaire des fibres d'association, leur mélange intime aux
fibres
de projection et aux fibres calleuses ou commis-
d'association, leur mélange intime aux fibres de projection et aux
fibres
calleuses ou commis- surales, rendent impossibl
2° série, t. III. 19 9 290 REVUE CRITIQUE. d'elles. En somme, les
fibres
d'association représentent soit les prolongemen
ollatérales nées de ces prolongements nerveux. Les collatérales des
fibres
d'association montent dans les diverses couches
des- cendantes qui se terminent en pleine substance blanche. Les
fibres
centripètes, dont les arborisations cylindraxiles
ndirecte- ment de la moelle épinière, du cervelet, etc. Ces longues
fibres
tra- versent d'ordinaire, obliquement ou horizo
éculaire. Cajal signale l'extension énorme des ramifications de ces
fibres
. Les dernières branches de ces ramescences form
lopper de préférence, dit-il, les petites cellules pyramidales. Ces
fibres
représentent-elles la termi- naison cérébrale d
stologiste espagnol incline visiblement dans ce sens. Au cas où ces
fibres
seraient l'irradiation terminale du faisceau sen-
ypothèse au moyen d'une analogie frappante, rappelle que, comme les
fibres
sensitives sans doute, les fibres sensorielles se
rappante, rappelle que, comme les fibres sensitives sans doute, les
fibres
sensorielles se terminent toujours, par de libr
es, les branches collatérales et terminales d'une grande partie des
fibres
venues du bulbe olfactif montent dans cette zone
l'écorce cérébrale des reptiles, non seulement les cylindraxes des
fibres
olfactives, mais sans doute aussi ceux des fibr
cylindraxes des fibres olfactives, mais sans doute aussi ceux des
fibres
sensitives, se terminent dans la couche moléculai
opographie de ces cellules. Il reste toutefois que les cellules des
fibres
d'association, de commissuration et de projection
la zone moléculaire, point commun de rencontre d'une « infinité de
fibres
nerveuses ter- minales avec les dendrites des c
peut-être de l'hémisphère opposé pour les branches termi- nales des
fibres
calleuses. Les connexions qui peuvent avoir lieu
corce grise des vertébrés sont plus énormes encore : cinqespèce- de
fibres
nerveuses peuvent en effet venir, par leurs conta
térales de la substance blanche du cerveau; 2° les collatérales des
fibres
du corps calleux ; 3° les fibres termi- nales d
u cerveau; 2° les collatérales des fibres du corps calleux ; 3° les
fibres
termi- nales d'association intrahémisphérique;
paux rameaux ascendants sont en relation, par les arborisations des
fibres
grimpantes, s s'entrelaçant comme des lianes au
astes ramures aplaties, hérissées d'épines, sont parcourues par les
fibres
parallèlles, nées de la bifurcation du cylindraxe
rcation du cylindraxe ascen- dant des grains, les ramifications des
fibres
moussues apportant peut- être à ces grains les
sphère; 3° des cellules de l'hémisphère opposé, au moyen : a des
fibres
calleuses ; b de celles de la commissure blanche
axile et ses collatérales. Les glomérules du bulbe olfactif, où les
fibres
olfactives s'arborisent à proximité des prolongem
rap- port avec les cellules bipolaires. Partout où s'arborisent des
fibres
nerveuses, dans la substance grise ou dans la s
endrites représentent sans doute les points où les terminaisons des
fibres
nerveuses entrent en contact avec ces branches
éléments aux corpuscules fusiformes des couches du sarcoplasma des
fibres
musculaires striées, dont le volume paraît égal
l n'existe point de centre dans le cerveau où convergent toutes les
fibres
sensitives et sensorielles, d'où partent toutes l
utes les fibres sensitives et sensorielles, d'où partent toutes les
fibres
motrices : l'écorce représente une série de centr
: l'écorce représente une série de centres, dont chacun reçoit des
fibres
sensitives ou sensorielles, et envoie des libre
mouvements. Ces centres sont reliés entre eux par les systèmes des
fibres
d'asso- ciation et de commissuration pour réali
cune de ses parties (corps cellulaire, tige, dendrites) avec des
fibres
nerveuses d'nne certaine catégorie, les cellules
conducteurs due à des modifications de la composition chimique des
fibres
nerveuses, ; troubles physico- chimiques sans a
ultés : on ne peut constater le moindre mouvement amiboïde dans les
fibres
nerveuses et les arborisations terminales obser
inales observées durant la vie (plaques motrices, ramifications des
fibres
sensitives, etc.). Quant il Cajal, il produit l
, à contours nets. Leur fonction parait être d'interposer entre les
fibres
nerveuses une substance nauvaise conductrice de
substance nauvaise conductrice des courants qui circulent dans ces
fibres
, et non d'assurer des espaces ou interstices par
ficace. En effet, les capillaires cérébraux manquent de nerfs et de
fibres
musculaires lisses, et les artères relativement
l'état normal et pathologique. Elle colore en bleu uni- quement les
fibres
de la névroglie, avec les noyaux de toutes les
nte que les élé- ments différenciés et émancipés » de ce tissu, les
fibres
, cette méthode est incapable de poursuivre jusq
de poursuivre jusqu'aux périodes embryon- naires l'histoire de ces
fibres
, car à cette époque du développement celles-ci
ltérieur de la névroglie, en particulier du rap- port génétique des
fibres
et des cellules de ce tissu. La méthode de Golg
a névroglie et leurs prolongements (F01'siÏlze der Zellen). Que les
fibres
de la névroglie ne soient pas nées de ces cellu
tsch1'ift, Francfurt a. M., 3 nov., 1895, p. 52). Il ajoute que les
fibres
de la névroglie ne sont pas élastiques, comme o
sont pas élastiques, comme on l'avait cru par erreur (Gerlach). Les
fibres
de névroglie se colo- rent donc seules avec la
) « d'où ces Archives, 2e série, t. III. 20 306 REVUE CRITIQUE.
fibres
tirent leur origine », ainsi que l'établissent le
s'en éloignant : mais il n'existe jamais émancipé de celle-ci. Les
fibres
de la névroglie ne sont plus au contraire qu'en
qu'en contiguïté avec le corps cellulaire. Ce qui distingue donc la
fibre
de névroglie, c'est qu'elle est à la fois une s
nette, qu'on ne saurait admettre, selon Weigert, qu'une partie des
fibres
de la névroglie provienne de mésoderme, une aut
c prolongements des cellules de Deiters », pour les Lang- strahler,
fibres
déjà différenciées à proximité du noyau et du pro
t, rien de ce qui est nerveux ne se colore électivement, et que ces
fibres
se colorent seules en bleu sombre (conclusion p
eules en bleu sombre (conclusion per exclusioncm); 2" parce que ces
fibres
possèdent une substance modifiée, non plus protop
- mique, et sont émancipées du corps cellulaire; 3° parce que ces
fibres
et leurs cellules se comportent, à l'état patholo
mme l'enseigne Weigert après Ranvier, de cellules, et, en outre, de
fibres
, celles-ci l'emportant en nombre d'une façon si
ventricules et du canal central git toujours une couche épaisse de
fibres
de névroglie d'un tissu très serré; ce feu- tra
sives. Examinons la nature de quelques-unes. Et d'abord, entre les
fibres
de la névroglie et les éléments nerveux, il n'exi
insi que le commencement des cylindraxes apparaissent en jaune, les
fibres
de la névroglie s'enlèvent nette- ment en bleu.
e (Golgi) et de cette couche en particulier est plus épaisse et ses
fibres
sont plus grosses. La direction des fibres de la
est plus épaisse et ses fibres sont plus grosses. La direction des
fibres
de la couche pie-mérienne de névroglie varie be
s les couches profondes de l'écorce du cerveau, même dans celle des
fibres
radiaires à myéline, Weigert n'a plus rencontré q
reparait, comme dans celle du cer- 310 REVUE CRITIQUE. velet, les
fibres
de ce tissu sont seulement plus fines et leurs ma
au. Dans tout le système nerveux central, c'est une règle que toute
fibre
nerveuse à myéline de la substance blanche est
ute fibre nerveuse à myéline de la substance blanche est isolée des
fibres
voisines par des fibres de névroglie. Ainsi naît,
line de la substance blanche est isolée des fibres voisines par des
fibres
de névroglie. Ainsi naît, dans toute cette subs
t une ou plusieurs fibrilles de névro- glie séparent des autres une
fibre
nerveuse (dans le cerveau, le cervelet, la part
raisse, en etfet, comme dans la sclérose mul- tiple, que toutes les
fibres
nerveuses dégénèrent comme dans le tabes et les
tent, nous l'avons dit, de l'écarter sans discussion. En outre, les
fibres
de la névroglie ne sont pas creuses, mais pleines
la substance grise, à plus forte raison en est-il de même pour les
fibres
à myéline de la substance blanche. D'ailleurs,
pour les fibres à myéline de la substance blanche. D'ailleurs, les
fibres
de névroglie ne présentent jamais de masses fibri
sont pas constantes ; elles enseignent aussi que la décussation des
fibres
du toucher, de la douleur et de la température se
égèrement différents. La décussation de ces deux derniers ordres de
fibres
devient complète dès l'entrée dans la moelle et
ne et discute l'opinion de Férrier sur la décussation immédiate des
fibres
du sens musculaire à leur entrée dans la moelle
usculaire à leur entrée dans la moelle. Il constate ensuite que les
fibres
du sens musculaire et celles de la sensibilité
il là d'un cas de sclérose, affection qui peut laisser indemnes les
fibres
de la sensibi- lité générale. - Les cas de para
s de paralysie de Brown-Sequard paraissent démontrer que toutes les
fibres
de la sensibilité tactile ne s'entre- croisent
sation complète en un point quelconque ; et il est probable que les
fibres
qui se croisent immédiatement à l'entrée se trouv
veux central c'est en outre de l'action spécifique du poison sur la
fibre
nerveuse qu'aucune autre maladie infectieuse ne
e-mère à la voûte crânienne. L'examen histo- logique montre que les
fibres
nerveuses sont normales; de même les cellules n
orme autour de ceux-ci tout un réseau d'arborisations, composé de
fibres
nerveuses extrêmement fines et àl'endroitoù le cy
cerne le mode des arborisations terminales des collatérales de la
fibre
nerveuse principale, nous pouvons supposer qu'il
se continuant nulle part avec eux. Ainsi à chaque terminaison de la
fibre
nerveuse, quel que soit le nombre des prolongem
e corps cellulaire, passe de ce dernier au conducteur nerveux, à la
fibre
nerveuse, atteint les arborisations terminales du
ophique, car la destruction de la cellule provoque l'atrophie de la
fibre
, qui est en continuité avec elle. Les den- drit
les prolongements du cylindre-axile et ses collatérales, toutes les
fibres
nerveuses du neurone constituent l'organe passi
de l'écorce cérébrale ; ce sont elles qui constituent la couche des
fibres
tangentielles. Ces dernières servent à unir les
e de l'écorce cérébrale presque perpendiculairement, tandis que les
fibres
tangentielles vont parallèlement à son bord ext
iste dans l'ensemble de la subs- tance protoplasmique mobile et des
fibres
cylindraxiles très fines ; ce mécanisme peut êt
s d'une cellule pyramidale quel- conque. Une grande quantité de ces
fibres
nerveuses forme une longue voie d'associàtion e
che à l'aide de filets cylindraxiles latéraux, qui naissentde la
fibre
principale, à une grande quantité d'éléments nerv
erons des courants centripètes. Nous voyons également ici, qu'une
fibre
entre en connexion avec beaucoup de cellules pyra
ollatérales et de ses ramifications terminales, et le nombre de ces
fibres
est illimité. Il est en général difficile de se
énéral. Ainsi, le lobe occipital est muni d'un plus grand nombre de
fibres
tangentielles; ces dernières en occupent deux z
de la périphérie aux centres psychiques supérieurs. Mais à côté des
fibres
centripètes existent des fibres centrifuges, do
iques supérieurs. Mais à côté des fibres centripètes existent des
fibres
centrifuges, dont la naissance n'est pas encore é
es et olfactives et de faire l'hypothèse suivante : dans toutes les
fibres
sensitives , à quelque catégorie qu'elles appar
ennent, sont situées quoique en quantité médiocre, de pair avec les
fibres
centripètes, qui conduisent les courants nerveu
duisent les courants nerveux de la périphérie aux centres, d'autres
fibres
qui servent à transmettre les impulsions cen- t
t cela en vue, il ne nous est pas nécessaire d'admettre que la même
fibre
serve de conduction à des ondes moléculaires co
moléculaires contraires. Mais quel est donc le rôle que jouent ces
fibres
centrifuges dans les nerfs sensitifs ? Nous p
NATOMIE PATHOLOGIQUE. Puisque les voies sensitives sont pourvues de
fibres
cen- trifuges, nous pouvons admettre que les ne
trifuges, nous pouvons admettre que les nerfs moteurs ont aussi des
fibres
spéciales, destinées à conduire les impulsions
destinées à conduire les impulsions centripètes. Il se peut que ces
fibres
servent à transmettre les sensations d'innervat
e de neurones aux cellules du cerveau, d'où partent à travers les
fibres
centrifuges du nerf visuel des impulsions central
eint aux muscles internes et externes de l'oeil, d'où partent des
fibres
centripètes qui reviennent au cerveau. Ces fibres
d'où partent des fibres centripètes qui reviennent au cerveau. Ces
fibres
peut- être servent à transmettre les sensations
e les diffé- rents centres du cerveau. Il est très probable que les
fibres
commissurales et celles d'association sont form
isons doubles exigent encore un éclair- cissement ; la quantité des
fibres
centrifuges dans les nerfs sensoriels n'est pas
s sensoriels n'est pas considérable comparativement au nombre des
fibres
centripètes. Une plus petite quantité de fibres s
ement au nombre des fibres centripètes. Une plus petite quantité de
fibres
suffi- rait peut-être pour transmettre les sens
es cas, à un arrêt, ou à un retard momenlané dans la croissance des
fibres
du faisceau pyra- midal. Ces enfants sont des s
tat spasmodique marche naturellement vers la guérison parce que les
fibres
pyramidales ne sont pas détruites ; elles sont
es ou retardées'par leur marche des- cendante. La croissance de ces
fibres
pyramidales continue après la naissance et dès
ite de la section de la branche externe, les auteurs ont trouvé des
fibres
dégénérées dans le nerf dépresseur de Cyon, dans
confirmation des théories avancées par CI. Bernard et Chauveau, des
fibres
dégénérées ont été trouvées aussi dans le tronc
aussi dans le tronc abdominal du pneumogastrique. La présence de
fibres
dégénérées dans le tronc du nerf dépres- seur d
distinctes ; une zone reliée aux masses grises inférieures par des
fibres
de projec- tion (zone des centres de projection
centres de projection) et une zone uniquement cons- tituée par des
fibres
centripètes et centrifuges reliant entre eux les
connexion avec nos organes périphériques par un double faisceau de
fibres
ner- veuses, centripètes ou sensitives, et cent
cules quadrijumeaux antérieurs la couche grise superficielle et les
fibres
blanches de la périphérie se trouvent en rappor
PATHOLOGIQUES. 357 qui prouve qu'elles ne donnent pas naissance aux
fibres
optiques; ce rôle est dévolu aux cellules gangl
ce rôle est dévolu aux cellules ganglionnaires de la rétine. Les
fibres
optiques viennent s'épanouir parmi les cellules d
adiations optiques de Gratiolet qui contiennent, comme on sait, les
fibres
reliant le corps genouillé externe, le pulvinar e
lombo-sacrée avait laissé indemnes précisément ces mêmes régions de
fibres
qui dégé- nèrent de haut en bas dans les cas de
tout en conservant sa forme et ses rapports avec le sillon ; 5° ses
fibres
se terminent en passant en avant dans la substa
t probable que ce faisceau n'est pas en continuité directe avec les
fibres
des racines postérieures de la région correspon-
dépendant du faisceau « en virgule » et du fais- ceau de Marie. Les
fibres
qui le composent, doivent le pénétrer à des niv
ondaires et sur leur développement suc- cessif dans les systèmes de
fibres
isolés avaient un caractère insuf- REVUE D'ANAT
tème ner- veux central; altérations très marquées du parenchyme des
fibres
musculaires à savoir : vacuolisation, gonflemen
augmentation des cellules de la névroglie et une dégénérescence des
fibres
nerveuses. Il est actuellement impossible de co
ules cérébraux et n'ayant intéressé que les noyaux d'origine ou des
fibres
du nerf moteur oculaire commun. A l'autopsie, o
côté postérieur des lamelles. A chaque lamelle se joignent 50 ou GO
fibres
à myéline, qui, en s'unissant et en se divisant
u granuleuse, avec une quantité considérable de noyaux. L'axe des
fibres
se partage en fibrilles très fines, qui sont des
leux. Dans la couche inférieure pénètre une substance homogène de
fibres
avec ses noyaux. La couche moyenne est composée d
s noyaux. La couche moyenne est composée d'une couche très mince de
fibres
musculaires striées. La coloration par l'or et
mie des cordons postérieurs qui apparaissent surtout formés par les
fibres
des racines; elle donne naissance à plusieurs t
ssèdent deux systèmes de faisceaux. Le premier système comprend les
fibres
des racines postérieures : fibres extrinsèques -
. Le premier système comprend les fibres des racines postérieures :
fibres
extrinsèques - exogènes (Pierre-Marie) fibres d
acines postérieures : fibres extrinsèques - exogènes (Pierre-Marie)
fibres
du ganglion vertébral, fibres centripètes du pr
xtrinsèques - exogènes (Pierre-Marie) fibres du ganglion vertébral,
fibres
centripètes du protoneurone sensitif. Le deuxiè
tripètes du protoneurone sensitif. Le deuxième système renferme les
fibres
intrinsèques : fibres endogènes, fibres de cord
ne sensitif. Le deuxième système renferme les fibres intrinsèques :
fibres
endogènes, fibres de cordon. Chaque système occ
uxième système renferme les fibres intrinsèques : fibres endogènes,
fibres
de cordon. Chaque système occupe une place défi
BIBLIOGRAPHIE. 1191 1 des bandelettes externes, la zone interne des
fibres
longues. Les systèmes endogènes sont : l'un des
depuis la racine jusqu'au cordon correspondant de la moelle. Les
fibres
moyennes de Singer et Alunzer sont prises avec él
laire médian du cône terminal;, et des zones endogènes ascendantes (
fibres
cornu-commissurales); celte destruction des zon
t, dans certains cas, le résultat d'une dégénération secondaire des
fibres
longues lombo- sacrées, peut aussi être produit
la région moyenne de la couronne rayonnante, c'est-à-dire la masse de
fibres
de la capsule interne correspondant au faisceau p
teinte primitive dépend, bien entendu, du sens de l'aplatissement des
fibres
. Ici le phénomène est très facile à expliquer. Le
t possible de faire entrevoir les conditions qui le déterminent. Cinq
fibres
nerveuses, 1, 2,. 3, 4, 5, de directions absolu
différentes, sont coupées par des plans parallèles I, K, L, M, N. La
fibre
1 est coupée perpendiculairement à son axe; la fi
, K, L, M, N. La fibre 1 est coupée perpendiculairement à son axe; la
fibre
5 est coupée parallèlement à son axe; les fibres
irement à son axe; la fibre 5 est coupée parallèlement à son axe; les
fibres
2, 3, 4, avec des inclinaisons variables, sont co
ent à l'inclinaison progressive (1, 2, 5, 4, 5) d'une seule et même
fibre
, de la verticalité vers l'horizontalité. Quand la
seule et même fibre, de la verticalité vers l'horizontalité. Quand la
fibre
est verticale, si Ton suppose qu'elle est cylindr
du cercle. Encore plus oblique, la surface de section (3) de la même
fibre
est une ellipse, dont le petit diamètre reste tou
est constant; le grand diamètre D"' augmente indéfiniment. Lorsque la
fibre
(5) étant horizontale est divisée par le plan hor
des faisceaux stratifiés de la substance médullaire et le trajet des
fibres
qui la composent. Lorsqu'un faisceau est sectio
u'un faisceau est sectionné perpendiculairement à la direction de ses
fibres
, il est foncé; lorsqu'il est sectionné parallèlem
st foncé; lorsqu'il est sectionné parallèlement à la direction de ses
fibres
, il est clair. Lorsqu'il est sectionné à angle ai
lle ne fournit aucun renseignement sur la direction anatomique de ses
fibres
. Supposons, par exemple, un faisceau A, dont le
ique de ses fibres. Supposons, par exemple, un faisceau A, dont les
fibres
sont inclinées à 45 degrés sur le plan de section
de la surface de coupe de ce faisceau correspond à l'inclinaison des
fibres
, mais elle ne révèle pas, du premier coup, la dir
s elle ne révèle pas, du premier coup, la direction anatomique de ces
fibres
; en d'autres termes, on ne peut pas dire, à prem
s ; en d'autres termes, on ne peut pas dire, à première vue, si les
fibres
sont obliques en avant et en bas, ou en avant et
ut. Il est facile en effet d'imaginer un autre faisceau (B), dont les
fibres
ont une direction inverse de celles du faisceau A
st alors que, pour déterminer la véritable direction anatomique des
fibres
, il faut faire tourner la coupe horizontalement a
aminer à bon jour et à contre-jour, et voici ce qu'on observe : Les
fibres
obliques par rapport au plan de la coupe, et qui,
hangement de couleur du faisceau. Inversement, on peut dire que les
fibres
dirigées en avant et en haut sont plus claires, l
tes. On comprendra, d'autre part, que la déter-mination du trajet des
fibres
cérébrales exige l'emploi alternatif des coupes e
n'importe quelle autre région des centres, constituent des masses de
fibres
parfaitement isolées, distinctes et séparables de
, est homogène, rencontre, chemin faisant, un autre faisceau dont les
fibres
s'enchevêtrent avec les siennes. Dès lors, ce n'e
antérieures du bulbe. F1. Première circonvolution frontale. FAI.
Fibres
arquées profondes du bulbe. FLP. Faisceau longi
ction, 44. TM. Tubercule mamillaire. TRI. Trigone cérébral. VL.
Fibres
du pont de Varole se croisant sur la ligne médian
ingulum. CL. Claustrum (avant-mur). CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale, 71, 77. DE. Pilier descendant du
7, 98. FLI. Faisceau longitudinal inférieur, 91, 92, 97, 98. FOi.
Fibres
inférieures du forceps major, 91, 93, 95, 97, 98.
FOi. Fibres inférieures du forceps major, 91, 93, 95, 97, 98. FOm.
Fibres
moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps
yennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 97, 98. FOs.
Fibres
supérieures du forceps. FOV. Faisceau occipital v
et troisième couches du faisceau longitudinal inférieur, 102. FOi.
Fibres
inférieures du forceps major, 101,102, 105. FOm.
ur, 102. FOi. Fibres inférieures du forceps major, 101,102, 105. FOm.
Fibres
moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps
res moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major. FOs.
Fibres
supérieures du forceps, 108. FOY. Faisceau occi
s du faisceau longitudinal inférieur, 112, 116, 122, 125, 128. Fui.
Fibres
inférieures du forceps major, 115, 117, 120, 125,
inférieures du forceps major, 115, 117, 120, 125, 126, 129. FOm.
Fibres
moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps
eau moyen du forceps major, 115, 117, 120, 125, 125, 126, 129. FOs.
Fibres
supérieures du forceps, 114, 118, 121, 125, 125,
et troisième couches du faisceau longitudinal inférieur, 156. FOi.
Fibres
inférieures du forceps major, 154, 157, 159. FOm.
r, 156. FOi. Fibres inférieures du forceps major, 154, 157, 159. FOm.
Fibres
moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps
nnes du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 157, 159. FOs.
Fibres
supérieures du forceps, 155, 155, 157, 140. FPF.
et troisième couches du faisceau longitudinal inférieur, 146. FOi.
Fibres
inférieures de forceps major, 146,147. FOM. Force
ajor, 146,147. FOM. Forceps major, en grande partie constitué par les
fibres
moyennes du splenium. FOm. Fibres moyennes du s
n grande partie constitué par les fibres moyennes du splenium. FOm.
Fibres
moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps
moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 148. FOs.
Fibres
supérieures du forceps, 142, 148. FPF. Faisceau p
rps calleux, 155. Cin. Cingulum, 157. CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale, 159. Dsu. Sillon latéral du su
et cinquième couches du faisceau longitudinal inférieur, 155. FOi.
Fibres
inférieures du forceps major, 158. FOm. Faisceau
u forceps major, 158. FOm. Faisceau moyen du forceps major, 158. FOs.
Fibres
supérieures du forceps, 158. FPF. Faisceau pariét
s calleux, 1G6. Cin. Cingulum, 109. CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale, 170. Dsu. Sillon latéral du su
trième et cinquième couches du fais-ceau longitudinal inférieur. FOi.
Fibres
inférieures du forceps major, 165, 169. FOm. Fibr
l inférieur. FOi. Fibres inférieures du forceps major, 165, 169. FOm.
Fibres
du faisceau moyen du forceps major, 170. FSc. Fai
x, 170, 180. Cin. Cingulum, 175, 184. CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale, 184. F1. Première circonvolution
et cinquième couches du fais-ceau longitudinal inférieur, 185. FOi.
Fibres
inférieures du forceps major, 184. FOm. Fibres
férieur, 185. FOi. Fibres inférieures du forceps major, 184. FOm.
Fibres
moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps
moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major, 184. FOs.
Fibres
supérieures du forceps, 182, 185. FPF. Faisceau
rps calleux, 189. Cin. Cingulum, 191. CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale, 192. Dsu. Diverliculum inféro-in
imbria, 188, 192. FL1. Faisceau longitudinal inférieur, 190. FOi.
Fibres
inférieures du forceps major, 19;. FPF. Faiscea
rps calleux, 198. Cin. Cingulum, 203. CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale, 198, 204. Dsu. Diverliculum infé
3. FLP. Faisceau longitudinal postérieur de la calotte, 200. FOi.
Fibres
inférieures du forceps major, 203. FPF. Faiscea
Cingulum, 222. CL. Claustrum, 222. CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale. CP. Commissure postérieure, 205,
GMT. Commissure de Meynert, 227, 229. CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale, 256, 238. CP. Commissure posté
de la couche horizontale de Reil. Lmd. Lamina lateralis de Reil, ou
fibres
directes de la couche latérale de Reil, 224, 25
m. CMT. Commissure de Meynert, 247. CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale, 252. CP. Commissure postérieur
m. CMT. Commissure de Meynert, 263. CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale, 269. CTE. Faisceau du tegmentu
ulum. CL. Claustrum, 27G, 287, 288. CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale, 280. F. Circonvolution frontal
Faisceau de Tùrck-Meynert, 285. FP. Faisceau pyramidal, 284. FP'.
Fibres
du faisceau pyramidal se continuant dans le faisc
ger, 275, 280. LST. Stratum lacunosum, 275. LTE. Lamina legmenti,
fibres
directes de la pallie inférieure du tegmentum, pa
NL. Anse du noyau lenticulaire, 500. ABC. Faisceau arqué, 504. ARC.
Fibres
du faisceau arqué destinées à la capsule interne,
s à la capsule interne, 508. BO. Bandelette optique, 290, 295. ROG.
Fibres
de la bandelette optique destinées au corps genou
4. Cin. Cingulum. CL. Claustrum, 511. CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale. DL. Discus lenliformis, 311, 5
Faisceau de Tûrck-Meynert, 518. FP. Faisceau pyramidal, 518. FP'.
Fibres
du faisceau pyramidal se continuant dans le faisc
terne ou latérale du thalamus, 515, 517, 526. LTE. Lamina tegmenti,
fibres
directes de la partie inférieure du tegmentum, pa
du noyau caudé, 508, 521. NiC. Noyau interne du thalamus, 508. NL.
Fibres
latérales du noyau rouge de la calotte, faisceau
n. Cingulum, 552. CL. Claustrum, 454. CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale. DF. Pilier descendant du forni
campe, 527, 547. IN. Insula de Reil. L. Scissure limbique. LCf.
Fibres
lenticulo-caudées, 549. LFS. Capsula extrema, 5
75. Cin. Cingulum. CL. Cloustrum. CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale. COL Commissure inférieure (dans
ialis, 557. GLP. Globus pallidus, 557. L. Scissure limbique. LCf.
Fibres
lenticulo-caudées, 575. LML. Lame médullaire ex
Hip. Circonvolution de l'hippocampe. L. Scissure limbique. LCf.
Fibres
lenticulo-caudées, 581, 587. LFS. Capsula extre
ule interne, 405. CL. Claustrum, 592. CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale, 406. DE. Pilier descendant du
L. Scissure limbique. LAT. Lamina terminalis, 592, 401, 405. LCL
Fibres
lenticulo-caudées, 598, 405. LES. Capsula extrema
ne du noyau lenticulaire, 597. NC. Noyau caudé, 591, 592, 404. OLC.
Fibres
commissurales du nerf olfactif, 591, 401, 406.
ulum, 418. CL. Claustrum, 410, 418. CO. Centre ovale, faisceau ou
fibres
du centre ovale, 418. EPA. Espace perforé antér
terminalis, lame terminale, lame unissante enibryo naire, 410. LCf.
Fibres
lenticulo-caudées, 411, 416. LFS. Capsida extrema
amen, 409. RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé. ROS. Rostrum,
fibres
transversales du bec du corps calleu 408, 414.
RNC. Couronne rayonnante du noyau caudé, 422, 424. ROS. Rostrum,
fibres
transversales du bec du corps calleux, 421. S.
BCP. Bulbus cornu posterioris. BO. Bandelette optique, 451. BOZ.
Fibres
de la bandelette optique allant au stratum zonale
r de la calotte, 428, 451. FM. Faisceau de Tûrck-Meynert, 454. FOi.
Fibres
inférieures du forceps major. FOV. Faisceau occip
us. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne, 454. OLC.
Fibres
commissurales du nerf olfactif. OLI. Racine olf
diffus du fornix. FG. Faisceau géniculé. FI. Fimbria, 442. FOm.
Fibres
moyennes du splenium ou faisceau moyen forceps
ceau géniculé. FOA. Forceps anterior, ou forceps minor, 448. FOi.
Fibres
inférieures du forceps major, 446. FOm. Fibres
s minor, 448. FOi. Fibres inférieures du forceps major, 446. FOm.
Fibres
moyennes du splenium ou faisceau moyen du force
ibres moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps major. FOs.
Fibres
supérieures du forceps, 446. FP. Faisceau pyramid
e, 453. LAT. Lamina terminalis, 451. LC. Lamina convoluta. LCf.
Fibres
lenticulo-caudées, 455. LFE. Lame festonnée.
isceau géniculé. FI. Fimbria. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert. FOi.
Fibres
inférieures du forceps major, 458. FOm. Fibres mo
de Tùrck-Meynert. FOi. Fibres inférieures du forceps major, 458. FOm.
Fibres
moyennes du splenium ou faisceau moyen du forceps
sceau longitudinal inférieur. FM. Faisceau de Tûrck-Meynert. FOi.
Fibres
inférieures du forceps major, 464 FOs. Fibres s
Tûrck-Meynert. FOi. Fibres inférieures du forceps major, 464 FOs.
Fibres
supérieures du forceps. FOV. Faisceau occipital
Fascia dentata. FI. Fimbria. FM. Faisceau de Tùrck-Meynert. FOi.
Fibres
inférieures du forceps major. FOm. Fibres moyenne
ceau de Tùrck-Meynert. FOi. Fibres inférieures du forceps major. FOm.
Fibres
moyennes du forceps major. FP. Faisceau pyramidal
ptum lucidum. K. Scissure calcarine. L. Scissure limbique. LCf.
Fibres
lenticulo-caudées. LMA. Lame blanche corticale
calotte. Oi. Scissure perpendiculaire ou occipitale interne. OLC.
Fibres
commissurales du nerf olfactif. otk. Quatrième
ilitédans la syringomyélie pouvait s'ex- pliquer par une lésion des
fibres
d'entrée des racines postérieures puisque la su
el les muscles ont subi une altération particulière permettant à la
fibre
musculaire de répondre encore normalement aux e
fait que nous signalons montrerait que, au cours des myopathies, la
fibre
muscu- laire peut subir des altérations variées
iérieurs : 70 ROSSOLIMO ses qu'à l'état normal, prédominent ; les
fibres
normales sont dans une très petite quantité. Le
inent ; les fibres normales sont dans une très petite quantité. Les
fibres
atrophiques sont tantôt en groupes, tantôt isolée
en groupes, tantôt isolées parmi les autres. Le rapport mutuel des
fibres
et leur disposition dans la masse musculaire, r
le tableau caractéristique pour un muscle ordinaire de Thomsen. Les
fibres
au lieu d'ètre rectilignes sont rondes ou légèrem
légèrement ovoïdes ce qui tient à l'absence de contiguïté parmi les
fibres
; le tissu conjonctif in- terstitiel est friabl
iable et disposé en petits faisseaux (voir fig. 3). En examinant la
fibre
on aperçoit que l'altération de sa construction e
sa construction est indépendante de ses dimensions ; cependant les
fibres
atrophiques sont les plus lésées. Si on juge l'
près le nombre des noyaux du sarcolemme, on ne trouve pas une seule
fibre
normale sur les préparations. L'hyperplasie des n
que et frappe l'aeil : ce phénomène est d'autant plus accusé que la
fibre
est plus amincie ; voilà pourquoi dans les fibr
plus accusé que la fibre est plus amincie ; voilà pourquoi dans les
fibres
hypertrophiées l'hyperplasie des noyaux est très
s hypertrophiées l'hyperplasie des noyaux est très faible et dans les
fibres
atrophiées elle arrive au contraire jusqu'aux l
ongues (a, fig. 4 et 5), en s'enfonçant dans l'épaisseur même de la
fibre
; voilà pourquoi on trouve une sorte de noyaux
sont en désordre sous le sarcolemme, en donnant à la surface de la
fibre
musculaire un aspect d'une peau de léopard (c, fi
'une plaque fort colorée de forme irrégulière (d, fig. 5). Dans les
fibres
fort atrophiées la quantité des noyaux arrive à u
ées la quantité des noyaux arrive à un tel de- gré qu'au lieu d'une
fibre
on ne voit qu'une gaine de sarcolemme remplie de
tonique, caractérisé au microscope par l'augmentation de volume des
fibres
musculaires, manifeste en d'autres cas une tend
hie de quelques fihres, entrant dans sa composition. L'atrophie des
fibres
, qu'on a supposé se basant sur l'étude clinique
issu musculaire (ce qu'on voit par l'atrophie et l'hypertrophie des
fibres
musculaires), ainsi que certaines régions du sy
contraire le pincement de la peau et même le sim- ple pincement des
fibres
musculaires superficielles ne l'étaient pas. Le
nte par ses bords qui longent les noyaux gris. Quelques-unes de ses
fibres
sont dissociées ou écartées, d'autres sont découp
frontal. Enfin trois fois nous avons vu cette même lésion dans les
fibres
blanches qui constituent le corps calleux. Par
rte de substance con- sidérable dans cet organe, lieu de passage de
fibres
si importantes, elles ne don- nent pas lieu pas
s larges, qu'elles ne contiennent plus qu'un nombre insignifiant de
fibres
nerveuses et que les cet-' Iules névrogliques s
tunique moyenne surtout composée de libres musculaires lisses et de
fibres
conjonctives et enfin une tunique externe ou adve
ez le vieillard la tunique moyenne contenait une grande quantité de
fibres
conjonctives développées au détriment des fibre
grande quantité de fibres conjonctives développées au détriment des
fibres
musculaires ; elle arrive donc à prendre de plus
les mêmes lésions dissociant plus ou moins des faisceaux blancs de
fibres
et des cellules nerveuses. Dans les noyaux gris
n'a donc rien d'anormal. A côté de ces cellules sont de nombreuses
fibres
nerveuses et pour mainte- nir le tout les éléme
les fait bien distinguer des cellules nerveuses. Enfin le réseau de
fibres
névrogliques qui n'est peut-être pas assez bien
re-axes dont les fragments sont tombés dans la cavité lacunaire des
fibres
névrogliques coupées brusquement dans leur traj
oit un grand nombre de mailles plus ou moins larges formées par des
fibres
de névroglie laissant entre elles de petits espac
es de petits espaces vides. Ils étaient normalement comblés par les
fibres
nerveuses : celles-ci ont en grande partie disp
e région où les cellules nerveuses manquent complètement, les rares
fibres
elles-mêmes qui y subsistent sont très altérées
normal. Les mailles de la névroglie se resserrent et se comblent de
fibres
nerveuses intactes. Les cellules névrogliques d
les parois lacunaires qu'autour du vaisseau. Ce sont d'abord des
fibres
nerveuses tantôt complètement dépouillées de leur
sieurs places. Il est en général im- possible de les distinguer des
fibres
névrogliques, sauf quand elles sont encore suff
r la méthode de Weigert. Quelle que soit la coloration employée ces
fibres
la prennent du reste très mal et beau- coup peu
é en sera totalement dépourvue. Plus de cellules nerveuses, plus de
fibres
à myéline et cependant la cavité se comble. Des
rmant un réseau de plus en plus serré. Ces bandes sont composées de
fibres
névrogli- ques : on y voit même quelques cellul
uve ainsi atteindre la capsule interne. Au niveau de ce faisceau de
fibres
blanches, nous ne voyons naturellement pas de g
de globules rouges épanchés ; mais en raison de la grande quantité de
fibres
à myéline qui s'atrophient et disparaissent il
creusent LACUNES DE DÉSINTÉGRATION CÉRÉBRALE 123 les lacunes. Les
fibres
en sont alors dilacérées, écartées par les élémen
vers la coulisse bicipitale de l'humérus, suivant la direction des
fibres
costales du grand pectoral. En sai- sissant ce
eaux pyramidaux peut provenir d'un manque de développement de leurs
fibres
ou bien de lésions traumatiques agissant sur le
au moins pour le cas que nous pu- blions, la formation de nouvelles
fibres
nerveuses dans le trajet nerveux. (Il est encor
ltérations atteignent peu les éléments nerveux proprement dits, les
fibres
et les cellules de la névroglie sonthy- perplas
rise avec ses cellules pyramidales et la substance blanche avec ses
fibres
nerveuses, mais dans lesquelles se serait faite
rizontales passant par l'axe de la scissure calcarine. Quant aux
fibres
blanches qui limitent en dehors la corne occipita
splenium limite de toutes parts l'orifice du ventricule latéral. Les
fibres
dégénérées sont donc toutes celles dont se comp
été largement ouverte par le couteau. Cette cavité est entourée de
fibres
dont la coloration claire et la consistance indiq
ire et la consistance indiquent qu'elles sont dégénérées. Ce sont les
fibres
du tapetum, dont les plus internes s'appliquent
que la portion réfléchie du splenium ; qu'elle laisse intactes les
fibres
du trigone cérébral ; qu'elle ne s'étend pas au
tapetum du côté droit. Dans le cas actuel la lésion secondaire des
fibres
commissurales repré- sentées par le splenium es
s par le splenium est seule en cause. Il n'existe aucune lésion des
fibres
d'association représentées par le faisceau extern
(épaississement et infiltration), périar- térite ; disparition des
fibres
tangentielles). Celte topographie de la lésion
de diverses manières : s'agissait-il d'une altération primitive de la
fibre
nerveuse, ou d'une altération secondaire due so
racine postérieure l'aborde par son extrémité ou pôle central; ses
fibres
s'y mettent en rap- port avec des cellules gang
de la racine, et sur un trajet de quelques millimètres seulement. Les
fibres
jusque là groupées en 3 ou 4 faisceaux se répar
le plus grand compte des anomalies possibles dans le groupement des
fibres
. Après leur pénétration dans le ganglion, les f
groupement des fibres. Après leur pénétration dans le ganglion, les
fibres
de la racine posté- rieure restent encore sur u
on peut appeler du nom de pâle ganglionnaire central. Plus loin les
fibres
se sont épanouies dans le parenchyme où elles s
pôle périphérique et quitte le ganglion pour se réunir bientôt aux
fibres
de la racine antérieure. Cette brève revue anat
s permettent en effet, d'examiner avec plus de précision l'état des
fibres
et du tissu interstitiel, ci un niveau détermin
ches que nous avions en vue portant sur deux points différents, les
fibres
et les cellules, il fallait s'adresser aux proc
ant particulièrement t à mettre en relief ces divers éléments. a)
Fibres
.- Les fibres nerveuses, au moins leur gaine de my
èrement t à mettre en relief ces divers éléments. a) Fibres.- Les
fibres
nerveuses, au moins leur gaine de myéline,sonl
uleuse, disparition, etc.). Mais ils sont insuffi- sants, car de la
fibre
nerveuse ils ne mettent en relief que l'un des él
lèles, il n'en est.plus ainsi dans cer- taines atrophies lentes des
fibres
nerveuses, où le filament nerveux peut persiste
ncissement d'un grand nombre de gaines de myéline, ' la plupart des
fibres
sont réduites à la gaine de Schwann revenue sur e
ultipliés. Cette atrophie est assez irrégulière, en ce sens que les
fibres
ne conservent pas le même calibre sur toute leu
e leur pénétra- tion dans le ganglion ou même un peu au-dessus, les
fibres
nerveuses sont en quelque sorte dissociées, plu
ntourée d'une membrane kystique et contenant de petits faisceaux de
fibres
radiculaires frp), et surtout des amas de globu
ucléaires ; quel- ques infiltrations hémorrhagiques récentes. Les
fibres
radiculaires se répartissent en quelques petits f
rès.rares; en effet la plupart des gaines de myéline ont disparu, les
fibres
nerveuses sont réduites à une gaine de Schwann
ntérieur, un vaisseau présente également des tuniques dégénérées. Les
fibres
nerveuses sont dissociées par le développement
entre les fascicules,ni de tissu conjonctif interstitiel entre leurs
fibres
. Les vaisseaux inclus dans les racines postérie
nterposition de tissu conjonctif. Sur des coupes longitudinales les
fibres
paraissent à ce niveau un peu plus grêles. Les
phie peut aussi être suivie jusque dans le ganglion au point où les
fibres
se disséminent. Les racines antérieures restent
est très marqué : Au-dessus l'atrophie est évidente, la plupart des
fibres
sont réduites à l'état de filaments onduleux et
draxes. Dans le bout central du ganglion on rencontre également des
fibres
altérées; par contre la majeure partie du ganglio
blablement prédominante sur l'arachnoïde. D'ailleurs l'atrophie des
fibres
radiculaires est aussi marquée dans le segment so
explication de cette atrophie. Nulle part on ne voit non plus les
fibres
de racines postérieures séparées par un tissu c
ées, on peut encore reconnaître l'a- trophie d'un certain nombre de
fibres
radiculaires. Plus loin, à leur sortie du pôle
notamment l'examen du 2* ganglion dorsal. Le degré d'atrophie des
fibres
radiculaires varie dans de grandes limites sur
'à distance. II. - ETUDE histologique DES lésions. - 1° Lésions des
fibres
radiculaires. Voici maintenant en quoi consiste
ulaires. Voici maintenant en quoi consiste le mode d'altération des
fibres
. Sur des coupes transversales, les fascicules q
tat normal.Cet aspect est dû à la pré- sence d'un certain nombre de
fibres
altérées dans leurs parties constituantes. Ces
ain nombre de fibres altérées dans leurs parties constituantes. Ces
fibres
sont en proportion un peu variable suivant le fas
la taille du cylindraxe qui y est encore inclus. Sur un bon nombre de
fibres
, elle disparaît même complètement. Parfois enfi
einte rose sale qui se confond avec celle du cylindraxe. Dans ces
fibres
altérées le cylindraxe persiste généralement. Il
conjonctifs ont proliféré ; mais sur les coupes longitudinales les
fibres
ont l'aspect de filaments à paroi épaissie, forte
de filaments à paroi épaissie, forte- ment teintée en rouge. Les
fibres
altérées se disposent irrégulièrement; souvent el
irrégulièrement; souvent elles ont tendance à se grouper autour des
fibres
normales, en sorte que celles-ci se trouvent sé-
ne. Quelques-uns sont nettement constitués par une agglomération de
fibres
altérées dépourvues de myéline (cylindraxes nus o
urvues de myéline (cylindraxes nus ou gaines vides). Ailleurs les
fibres
altérées sont plongées et noyées dans une substan
combien cette altération rend difficile l'évaluation du nombre des
fibres
ner- veuses conservées. A côté de ces lésions
voit émaner aucune cloison conjonctive séparant les fascicules. Les
fibres
ne sont jamais séparées par des filaments conjo
raire les vaisseaux paraissent indemnes. En résumé l'atrophie des
fibres
radiculaires postérieures porte ici principa- l
armin, particulièrement favorable à l'étude des lésions fines de la
fibre
nerveuse, met en relief ici la modalité et le pro
tissu conjonctif autour des fascicules ou dans les interstices des
fibres
. Corrélativement à ces lésions radiculaires, qu
. 310 THOMAS ET IIAUSER deux extrémités, de sorle que ce sont des
fibres
très irrégulières, de calibre variable, alterna
ibre variable, alternativement fines et grosses. .La majorité des
fibres
est réduite à une gaine de Schwann, sur laquelle
te apparence est due en partie au tassement et au rapprochement des
fibres
atrophiées dans la racine postérieure, mais il
e la pénétration des racines postérieures. Diminution du nombre des
fibres
à myéline des faisceaux radiculaires. Inflammatio
ienne et s'atté- nuent au moment où elles côtoient le ganglion. Les
fibres
nerveuses ne sont nullement dégénérées, elles s
cine pos- térieure est légèrement atrophiée; elle contient moins de
fibres
à myéline, et, sur quelques coupes, celles-ci p
t pas très accentuée, elle contient encore un assez grand nombre de
fibres
à myéline. Le parenchyme ganglionnaire et la ra
'atrophie n'est pas très prononcée, et il subsiste encore beaucoup de
fibres
à myéline. Les noyaux sont plus nombreux sur le
sont disséminés. Cet aspect correspond à une dégénération intense des
fibres
radiculaires. A côté, les racines antérieures
est subdivisée en un grand nombre de fascicules, dont la plupart des
fibres
à myéline ont disparu. Lésions conjonctives : é
les coupes de la racine postérieure, on remarque que la plupart des
fibres
à myéline ont disparu, mais il y en a un certain
névrite, au-dessus du niveau du ganglion rachidien, malgré cela les
fibres
nerveuses ne sont nullement dégénérées. Septi
etite étendue l'atrophie est un peu plus marquée et à ce niveau les
fibres
sont plus grêles, les noyaux de la gaine de Schwa
re, c'est-à-dire des lésions de péri- névrite, mais malgré cela les
fibres
ne sont nullement dégénérées. - Sixieme ganglio
racine pos- térieure. Le pôle central du ganglion contient peu de
fibres
à myéline ; il est, en effet, très pâle sur les
n d'un nombre considérable de gaines de myéline. Un grand nombre de
fibres
nerveuses sont réduites à une gaine de Schwann et
ments iuterannulaires ; mais, malgré cela, on voit encore pas mal de
fibres
saines. Il n'existe pas de névrite interstitiel
que les fascicules appartenant à la racine antérieure contiennent des
fibres
bien colorées, celles-ci font presque complètem
ar l'entrée de la racine postérieure et par le pôle médullaire, les
fibres
à myéline sont encore très rares. Dans le reste d
r pôle périphérique, la racine postérieure est certes plus riche en
fibres
à myéline, malgré cela celles-ci sont moins nombr
sont séparées les unes des autres par un tissu conjonctif riche en
fibres
, les vaisseaux n'y sont pas très malades. A l
vaisseaux n'y sont pas très malades. A la sortie du ganglion, les
fibres
sont parsemées de noyaux appartenant à des cell
ansversales sériées des racines postérieures et du ganglion). Les
fibres
radiculaires sont à peine altérées. Tout au plus
lus fines et plus dissociées qu'à l'état normal ; il n'y a point de
fibres
dégénérées ; et la coloration de la myéline par l
ode de Pal est aussi régulière, aussi intense que d'habitude. Les
fibres
des racines antérieures sont absolument saines.
térieures est le siège d'un processus inflammatoire très actif. Les
fibres
sont entourées d'une nappe conjonctive constitu
Epaississement de la gaine piale des racines postérieures, dont les
fibres
plus disso- ciées qu'à l'état normal sont aussi
il forme aux fascicules un manchon épais, mais il pénètre entre les
fibres
, les écarte et les dissocie (Fig. 8). A mesure
cellules sont entourées d'anneaux fibreux plus ou moins épais ; les
fibres
elles-mêmes sont doublées de faisceaux fibreux et
ralisée ; elle ne semble pas retentir sur les éléments nobles ; les
fibres
ne présentent pas de dé- générescence ; quant a
es racines postérieures ne présentent aucune altération notable des
fibres
ou du parenchyme. Cependant en quelques points,
même origine, mais ayant pu entraîner un bouleversement complet des
fibres
ner- veuses de la racine postérieure sur une ce
ales des racines un peu au-dessus du ganglion, on voit à la place des
fibres
nerveuses, une masse circulaire constituée par
mais la plupart sont refoulés à la périphérie. Ailleurs, toutes les
fibres
ont été reportées il la périphérie. On les voit f
es (r). B. - Mêmes racines sectionnées plus près du ganglion. Les
fibres
des racines postérieures (rp) sont refoulées et d
f à des hémorrhagies interstitielles. Un peu au- dessus, l'état des
fibres
est normal (P. XLI, A). * Cette lésion localisé
u conjonctif en voie d'inflammation, à la périphérie une bordure de
fibres
ner- veuses, refoulées, désorientées. Malgré l'
s, désorientées. Malgré l'existence de ce foyer de compression, les
fibres
ne présentent pas au-dessus trace de dégénérescen
ale. - Représentée seulement par le 6° ganglion cervical droit. Les
fibres
radiculaires sont normales; les enveloppes sont s
presque entièrement disparu, il ne subsiste plus que quelques rares
fibres
ayant conservé une gaine de myé- line de calibr
cas à la pé- nétration dans le ganglion. Dans chaque fascicule, les
fibres
sont groupées en petits placards, composées de
ascicule, les fibres sont groupées en petits placards, composées de
fibres
de divers calibres, plongées au milieu d'un tis
intensivement coloré en rouge) on distingue quelquefois une ou deux
fibres
avec un cylindre-axe très apparent, ailleurs, c
ns sont subdivisés en de nombreux amas extrêmement petits par des
fibres
conjonctives émanées du périnèvre, aussi cette
ormé que par du tissu fibreux adulte. Sur quelques fascicules les
fibres
nerveuses qui occupent la périphérie sont gonfl
ion dans la- quelle il est difficile de distinguer les gaines des
fibres
nerveuses du tissu conjonctif proprement dit hy
Zeiss. Obj. D. Oc. 3. Un fascicule. Différentes altérations des
fibres
radiculaires : fibres amoin- dries, libres do
Un fascicule. Différentes altérations des fibres radiculaires :
fibres
amoin- dries, libres dont la gaine de myéline
présentent les mêmes altérations : malgré cela il existe encore des
fibres
saines. Observation VIII. 1 Blancs..., 43 ans
re occupé par un cylindraxe extrêmement fin. Sur certaines coupes les
fibres
sont réunies par petits groupes séparés les uns
e amorphe, coloré en rose; dans chaque groupe, à côté d'une ou deux
fibres
d'aspect normal on distingue des petits placards
niveau du nerf radiculaire de Nageotte),ce qui tient il ce que les
fibres
nerveuses y sont plus grêles individuellement.
cavité contenant un exsudat amorphe au voisinage du ganglion ; les
fibres
ner- veuses y sont plus grêles ; en outre sur t
s et postérieures adjacentes, montrent une di- minution notable des
fibres
saines reconnaissables à la teinte noire qu'elles
ieure qui reste presque indivise avant d'aborder le ganglion. Les
fibres
radiculaires qui émergent du pôle ganglionnaire p
du pôle ganglionnaire périphérique sont normales et s'unissent aux
fibres
des racines antérieures pour constituer un nerf
ombaire droit. - Coupes perpendiculaires sériées. ., L'atrophie des
fibres
radiculaires postérieures est très nette jusqu'au
liées au point de former une charpente conjonctive qui délimite les
fibres
par petits groupes, ou même les engaine individue
escence spéciale. Dans la portion correspondante de leur trajet les
fibres
des racines anté- rieures restent normales, mal
une surface de plus en plus grande (fig. 10). Dans l'intervalle des
fibres
saines, l'on distingue des fibres désorganisées à
(fig. 10). Dans l'intervalle des fibres saines, l'on distingue des
fibres
désorganisées à contours flous, dont la gaine a
que ; parfois le cylin- draxe est encore visible au milieu de cette
fibre
altérée. D'autres tubes ner- veux sont réduits
n et en des lésions des méninges et des vaisseaux. Tandis que les
fibres
des racines antérieures sont denses, compactes, c
racines postérieures ne contiennent plus qu'un très pelit nombre de
fibres
normales dont la gaine de myéline a subi l'imprég
gaine de myéline a subi l'imprégnation osmique. La plupart de leurs
fibres
sont réduites à des filaments lassés et agglo-
mal. Dans le ganglion même, la région du pôle central est pauvre en
fibres
, tandis qu'à l'autre extrémité les fibres reparai
ôle central est pauvre en fibres, tandis qu'à l'autre extrémité les
fibres
reparaissent aussi nombreuses que d'habitude.
us avons été entraîné par ces constatations à rechercher l'état de la
fibre
mus- culaire. M. Rispal a pratiqué l'examen d'u
ta- ganglionnaires et ganglionnaires du tabès (1). 1° Lésions DES
FIBRES
radiculaires. - L'étude de l'atrophie radiculaire
aux résultats suivants : Dans la majorité des cas il semble que les
fibres
saines soient un peu plus nombreuses au voisina
hyme ganglionnaire, au moins dans la région du pôle central, où les
fibres
encore groupées par petits faisceaux se prêtent
itudinales colorées par la méthode de Pal, beaucoup plus pauvres en
fibres
à myéline que le reste de l'organe. Mais quel
quelque profonde et intense que soit l'atrophie en ces régions, les
fibres
radiculaires reparaissent presque toujours compac
n avancée où l'on examine d'habitude ces lésions,un grand nombre de
fibres
ont ainsi perdu leur myéline. Il ne reste à sa pl
ces préparations, où la méthode de Pal ne montre que quelques rares
fibres
à myéline, on peut juger, après coloration au p
nsi qu'en témoigne la présence de nombreuses « gaines vides » où la
fibre
n'est plus représentée que par un espace clair,
du tabes, on n'assiste jamais à la disparition complète, totale des
fibres
. Quant à la gaine de Schwann, il semble que ses
due à la quantité considérable d'éléments nucléés à la surface des
fibres
. Mais y a-t-il une prolifération réelle ? Ou le
Mais y a-t-il une prolifération réelle ? Ou le simple tassement des
fibres
peut-il donner l'illusion d'une hyperplasie des
s noyaux qui, en raison de leur disposition parallèle au trajet des
fibres
, appar- tiennent à la gaine de Schwann. - Le
ont nous venons de voir les résultats donne souvent lieu autour des
fibres
à une agglomération de débris proto- plasmiques
d'un croissant ou d'un cercle entier de tissu amorphe autour d'une
fibre
nerveuse, oubien encore ils constituent des i lot
s i lots i rrégul iers au mil ieu desquels se trouvent plongées des
fibres
atrophiées. 2° Lésions DU système conjonctif DE
chement fibreuse. Le périnèvre s'épaissit alors par l'adjonction de
fibres
conjonc- tives nouvelles qui s'agglomèrent en c
deviennent souvent anhystes, réfringentes; et dans quelques cas les
fibres
paraissent plongées dans une sorte de ciment qu
artiellement le parenchyme ganglionnaire, dissocier et refouler les
fibres
radiculaires. La présence de pigment sanguin da
s con- servé leur vitalité et malgré la compression exercée sur les
fibres
, il ne s'ensuit pas, fait à noter, de dégénéres
nctifs jeunes viennent soit à disparaître, soit à se transformer en
fibres
adultes, en sorte que finalement à la place de la
en se rapprochant du ganglion et ce fait tendrait à prouver que la
fibre
est d'abord atteinte dans son bout périphérique
plusieurs des ganglions et des racines que nous avons examinés, les
fibres
étaient plus grêles au voisinage même du gangli
cines postérieures traitées par l'acide osmique (4); l'atrophie des
fibres
radiculaires est irrégulière, parfois nettement
e de myéline d'un segment interannulaire ayant les dimensions d'une
fibre
de petit calibre et les deux segments in- teran
eux segments in- terannulaires adjacents ayant les dimensions d'une
fibre
de gros calibre, de sorte que suivant le segmen
ibre, de sorte que suivant le segment interannulaire examiné, telle
fibre
pour- rait être prise pour une fibre grêle, ou
interannulaire examiné, telle fibre pour- rait être prise pour une
fibre
grêle, ou pour une grosse fibre ; sur certaines
ibre pour- rait être prise pour une fibre grêle, ou pour une grosse
fibre
; sur certaines fibres nous avons pu suivre cet
rise pour une fibre grêle, ou pour une grosse fibre ; sur certaines
fibres
nous avons pu suivre cette alternance jusqu'à qua
e processus étant alors moins actif, la diminution de calibre de la
fibre
ne s'effectue pas par un procédé plus voisin de
équent, que la dégénérescence wallérienne puisse atteindre quelques
fibres
, il fant admettre que le processus habituel d'a-
aussi bien au cours des maladies primitives de la cellule ou de la
fibre
nerveuse, qu'à la suite de trauma- tismes ou de
e de trauma- tismes ou de foyers inflammatoires sur le trajet de la
fibre
nerveuse. D'autre part, on sait depuis les trav
, mais elles sont d'autant plus fréquentes et plus intenses que les
fibres
de la racine postérieure sont plus atrophiées dan
r laisser supposer que dans les cas de tabès anciens, la lésion des
fibres
de la racine postérieure est susceptible de rem
ion de la capsule péricellulaire avec hyperplasie des cellules ou des
fibres
conjonctives. Il ne faudrait pas pourtant s'e
t accorder trop d'importance à la disproportion numérique entre les
fibres
et les cellules frappées d'atrophie. Nos connaiss
es cellules bipolaires, de même que leur proportion par rapport aux
fibres
radiculaires sont encore indéterminés (1). Aussi
T de Ranvier, le nombre des cellules devrait être égal à celui des
fibres
de la racine postérieure et du bout périphériqu
ioltz, le nombre des cellules est beaucoup plus grand que celui des
fibres
, deux à trois fois plus, tandis que Wagner pense
ubre des ; cellu· les serait au contraire plus faible que celui des
fibres
. Gaule et Lewiu (C3jLel-alb. far physiol., 1896
ins le 31° et le 32° ganglions du lapin : dans le premier, aux 3173
fibres
de la racine postérieure correspondent 20.361 cel
pondent 20.361 cellules ganglionnaires, dans le deuxième aux t.2T[0
fibres
de la racine postérieure correspondent 27.618 cel
mique dirigée de la périphérie cutanée au ganglion et son axone, la
fibre
radiculaire. Que la cellule vienne à disparaîtr
e que pour le nerf péri- j ' ganglionnaires. Il y aurait donc une
fibre
pour six à sept cellules. Tout en ne donnant à
L'abolition brusque de cette fonction réalisée par la section d'une
fibre
nerveuse ou la destruction de son centre a pour
le nom de dégénérescence wallérienne. , Nous savons encore que la
fibre
nerveuse peut dégénérer de deux façons différen
nte du cylindre axe ? En un mot on peut se demander notamment si la
fibre
nerveuse ne se régé- nère pas constamment, se d
gnification des segments intercalaires observés sur le trajet d'une
fibre
. En somme la régénération constante du cylindre
absence de régénération. Cette circonstance qu'on n'observe pas de
fibres
régénérées dans les ra- cines postérieures, vie
es dans la vie cellulaire retentissent d'abord sur les portions de la
fibre
les plus éloignées du centre du neurone (cordon
s de tendance à la régénéra- tion, c'est qu'elle s'effectue sur des
fibres
dont la vitalité est médiocre et il n'est pas t
souvent une disproportion assez mar- quée entre la dégénération des
fibres
et l'intensité de l'inflammation du tissu conjo
onctives inflammatoires extrêmement intenses et déjà anciennes, les
fibres
radicu- laires sont dissociées à un degré que n
titielles paraissent relativement récentes alors que l'atrophie des
fibres
est déjà ancienne (obs. III) : ces deux ordres
terprétation exacte des faits, il faudrait envisager l'atrophie des
fibres
radiculaires à l'inté- rieur du ganglion comme
nçoit guère que cette atrophie rétrograde puisse se produire si les
fibres
radiculaires ne sont pas profondément dégénérée
ette prédominance toute spéciale du processus dégé- nératif sur les
fibres
des racines postérieures, il y a peut-être lieu d
ltérations histologiques se caractérisent par des modifications des
fibres
nerveuses comparables sous certain^ rapports à ce
érite. Phlébite. Infiltrations cellulaires dans les interstices des
fibres
de là pie-mère et du tissu sous-arachnoïdien. ·
jacente aux lésions inflammatoires de la pie-mère, sans lésions des
fibres
à myéline tangentielles. En somme, l'appareil m
yers (F2) est allongé verticalement, c'est-à-dire parallèlement aux
fibres
nerveuses de la région et perpendiculairement au
artie des racines du spinal ; il interrompt forcément le trajet des
fibres
ascendantes du faisceau antéro-latéral (faiscea
trijumeau n'a pas dégénéré au-dessous de la section ; néanmoins les
fibres
arciformes ont dégénéré à partir du point section
se place au hile de l'olive de manière à interrompre à la fois les
fibres
olivaires gauches avant leur entre-croisement e
ois les fibres olivaires gauches avant leur entre-croisement et les
fibres
olivaires droites après leur entre-croisement;
nt; delà résulte une dégénérescence bilatérale et symétrique de ces
fibres
, ou du moins d'une bonne partie d'entre elles (
direct ne peut être fixée avec certitude, à cause,de,la présence de
fibres
descendantes bulbo- protubérantielles qui lui s
ence rétrograde ? Nous ne pouvons l'affirmer, n'ayant pas suivi les
fibres
dégé- nérées jusqu'à leur disparition (Pl. LIX,
e relativement sain. Dans la zone postérieure, il ne reste plus une
fibre
saine. Cette zone répond aux fibres sectionnées
ostérieure, il ne reste plus une fibre saine. Cette zone répond aux
fibres
sectionnées par le foyer F2; par sa situation, ce
F2; par sa situation, ce foyer a atteint plus particulièrement les
fibres
provenant' du noyau grêle (PI. LVII, LVIII, fig
LVII, LVIII, fig. 0, P,Q). En effet, Bechterew assigne à celles des
fibres
du ruban de Reil qui proviennent du noyau grêle
Reil qui proviennent du noyau grêle une topographie spéciale ; ces
fibres
consti- tueraient la partie postérieure de la c
rolivaire et se myélinise- raient à une époque plus tardive que les
fibres
émanées du noyau cunéi- forme, qui occuperaient
au cunéi- forme aux membres supérieurs, cela revient à dire que les
fibres
du ruban de Reil qui servent au passage des imp
de Reil n'est pas indemne de toute dégé- nérescence ; il existe des
fibres
dégénérées disséminées partout ; ces fibres son
érescence ; il existe des fibres dégénérées disséminées partout ; ces
fibres
sont plus nombreuses et plus condensées tout à
us nombreuses et plus condensées tout à fait en avant ; ce sont les
fibres
sectionnées par le foyer F. - Lorsque, au-dessu
e trouvons plus cette division nette ; il semble qu'à ce niveau les
fibres
des différentes origines se soient NOUVELLE Ico
toires intacts dans son épaisseur. Pourtant Bechterew admet que les
fibres
postérieures de la couche interolivaire occupen
nd, au contraire, à prouver que, au moins chez certains sujets, les
fibres
de différente origine se mé- langent dans la ré
e forme moins définie ; il devient irrégu- lièrement ovalaire ; ses
fibres
sont moins tassées et s'éparpillent à la péri-
sous le nom de zone du ruban de Reil médian. Dans cette région, les
fibres
cheminent au milieu d'amas irrégu- liers de cel
rrégu- liers de cellules, croisant à angle droit les fascicules des
fibres
rayon- nantes de la couche optique. Ces amas dé
du noyau externe de la couche optique, dans laquelle une partie des
fibres
dégénérées s'épuise rapidement; beaucoup d'entre
res, noyau externe et noyau médian, sont les seuls aboutissants des
fibres
du- ruban 'de Reil ; la dégénérescence cesse à
ù disparaît le noyau médian et nous avons pu nous assurer qu'aucune
fibre
altérée ne se dirige vers l'é- corce - en cela
tous les travaux ré- cents.Nous avons constaté également qu'aucune
fibre
ne se rend à la subs- tance noire, ni aVêoÍ'ps
i à la commis- sure de Meynert, comme Bechterew le suppose pour les
fibres
émanées du noyau cunéiforme ; ces fibres formen
hterew le suppose pour les fibres émanées du noyau cunéiforme ; ces
fibres
forment, est vrai, dans notre cas, la mino- 1-i
s fibres forment, est vrai, dans notre cas, la mino- 1-i té 1(1,è,s
fibres
dégénérées ; nous croyons néanmoins que ces conne
n postérieure' (supérieure) du noyau externe. Dans leur trajet, les
fibres
du ruban de Reil traversent la moitié externe d
nse que la dégénérescence ascendante, mais qui permet de suivre les
fibres
dans leur entre-croisement (fibres arciformes int
e, mais qui permet de suivre les fibres dans leur entre-croisement (
fibres
arciformes internes) jusqu'aux noyaux grêle, cu
rnes) jusqu'aux noyaux grêle, cunéiforme et du trijumeau. Parmi ces
fibres
, celles desti- nées au noyau grêle paraissent ê
ées au noyau grêle paraissent être les plus nombreuses'. S'agit-il de
fibres
descendantes suivant exactement le trajet des l
comme Bech- terew, en ont conclu qu'il existe dans cette région des
fibres
descendantes ; les autres, comme Déjerine et so
yons qu'il 1 faut attribuer à ce processus la dégénérescence de ces
fibres
qui suivent si exactement le trajet des fibres
égénérescence de ces fibres qui suivent si exactement le trajet des
fibres
ascendantes et qui forment des boules exac- tem
es et qui forment des boules exac- tement de la même taille que ces
fibres
, indice d'un calibre égal. La couche interoliva
calibre égal. La couche interolivaire ne contiendrait ainsi que des
fibres
ascendantes, libres du ruban de Reil, émanées d
la région épargnée dans le ruban de Reil gauche et qui provient de
fibres
sectionnées à gauche de la ligne médiane avant
igne médiane avant leur entre-croisement; ce sont naturellement les
fibres
dont l'entre-croi- sement est le plus élevé qui
erçoitdes faisceaux longitudinaux dégénérés qui cheminent entre les
fibres
de l'hy- poglosse. Au-dessous des olives ces fi
inent entre les fibres de l'hy- poglosse. Au-dessous des olives ces
fibres
sont séparées du ruban de Reil 1 parle corps ju
au antéro-latéral, en dedans de la place du faisceau de Gowers. Ces
fibres
diminuent rapidement de nombre dans la région c
as chez le chien.Mais il est vraisemblable que, dans notre cas, aux
fibres
descendantes du noyau de Deiters se surajoutent
cas, aux fibres descendantes du noyau de Deiters se surajoutent des
fibres
d'origines diverses et en particulier des fibre
se surajoutent des fibres d'origines diverses et en particulier des
fibres
du faisceau longitudinal postérieur atteintes par
enons de décrire au-dessous du foyer F2. Un certain nom- bre de ces
fibres
se recourbent dans la portion postérieure de la s
ise pour pénétrer dans le noyau de Deiters où elles s'arrêtent. Ces
fibres
sont évidemment les mêmes que celles que Probst a
es que Probst a vues chez des animaux et qu'il a décrites comme des
fibres
ascendantes venant de la moelle et destinées au
la moelle et destinées au noyau de Deiters. On doit se demander ces
fibres
ne représenteraient pas plutôt une dégénérescen
l (PI. LVII, LVIII, fig. N, 0, P, Q). Il existe en outre d'autres
fibres
dégénérées qui remontent jusque dans les région
jusque dans les régions supérieures de la calotte. Ce sont : 1° des
fibres
éparses dans toute l'étendue de la substance ré
arses dans toute l'étendue de la substance réticulée grise ; 2° des
fibres
groupées en fascicules plus denses qui siègent
, dans lequel il semble se perdre. Dans la protubérance toutes. ces
fibres
dégénérées éparses forment par leur ensemble un t
le faisceau central de la calotte. Dans l'aire ainsi délimitée les
fibres
dégénérées sont assez nombreuses en bas ; elles
e au-dessous du foyer F2 une dégénérescence intense; mais comme ses
fibres
se mélangent bientôt à celles du ruban de Reil,
u'elles deviennent par en bas. En haut il existe un petit nombre de
fibres
dégé- nérées dans le faisceau ; par analogie av
vec ce qui se passe dans le ruban de Reil, on peut supposer que ces
fibres
représentent une dégénérescence centripète qui
PI. LVI, fig. J, K, L). Enfin nous arrivons à la dégénérescence des
fibres
olivaires, que nous avons pu suivre dans toute
ons pu suivre dans toute leur étendue jusqu'à leur terminaison. Les
fibres
émanant des deux olives bulbaires, sectionnées en
par leur dégénéres- cence des boules beaucoup plus petites que les
fibres
des autres faisceaux. Elles constituent d'abord
que les fibres des autres faisceaux. Elles constituent d'abord les
fibres
pré-,inter-et rétrotrigéminales, puis vont se g
igent directement dans la toison pendant leur trajet ascendant. Ces
fibres
se terminent dans l'em- bolus et l'olive cérébe
ndent pas à l'écorce comme on l'avait supposé. A la dénomination de
fibres
olivo-cérébelleuses, il convient donc de substi
libres qui relient les olives au cervelet, Cajal a reconnu que les
fibres
pré-, inter-et rétrotrigéll11nales représentent
érente croisée des olives vers le cervelet, sans pouvoir suivre les
fibres
dans leur trajet ultérieur. Bechterew, d'autre
es dans leur trajet ultérieur. Bechterew, d'autre paît, a suivi ces
fibres
par la méthode du déve- , loppement et a reconn
la méthode de Marchi le trajet, la direction et la terminaison des
fibres
olivo-ciliaires. En résumé, un homme de 50 ans,
e est également sectionnée ; 3° une interrup- tion d'une partie des
fibres
du ruban de Reil ; 4° une interruption des voie
ans la partie postérieure de la couche interolivaire où siègent les
fibres
nerveuses provenant du noyau grêle auquel aboutis
ale, c'est sans doute parce que le foyer F2 sectionne à la fois des
fibres
du ruban de Reil déjà entre-croi- sées et des f
à la fois des fibres du ruban de Reil déjà entre-croi- sées et des
fibres
qui ne le sont pas encore ; ajoutons à cela que l
u comme destiné au passage des impressions tactiles, tandis que les
fibres
ascendantes de la région latérale transmet- tra
d'un centre ciliaire dans la moelle ; mais comme il n'existe pas de
fibres
dégénérées dans les racines antérieures médulla
la région dorsale supérieure, nous sommes amenés à conclure que les
fibres
donl l'interruption cause les symptômes en ques
sivement et ont disparu au bout de quelques jours. Quelles sont les
fibres
descendantes qui.établissent la communication e
cilio-spinal ? On peut supposer avec quelque vraisemblance que ces
fibres
passent par le faisceau longitudinal postérieur
sceaux en question intacts. Quel que soit leur lieu de passage, ces
fibres
s'arrêtent dans la moelle ; HÉMIASYNERGIE, LATÉ
ule lésion unilatérale que nous ayons constatée dans le domaine des
fibres
cérébel- leuses. Quant au faisceau de Gowers, f
l'on arrivera à déterminer le rôle joué par les divers systèmes de
fibres
nerveuses bulbaires dans la transmission des di
De plus, cette infiltration est surtout marquée dans la couche des
fibres
transversales du pont et dans les ilots de cell
serve à un fort grossissement une traînée cellulaire interposée aux
fibres
transver- sales du pont, on voit manifestement
ans la portion ventrale de la protubé- rance prédominante entre les
fibres
transversales et au niveau des amas cellu- lair
livaire et la moitié antérieure du raplié bulbaire, enfin le long des
fibres
arciformes externes ; là elles font des lignes
lignes qui épousent la direction de l'incurvation des faisceaux de
fibres
. En somme, c'est au niveau des systèmes de prov
carmin.) Il n'y a pas la moindre lésion. Notamment les traînées des
fibres
transver- sales superficielle, la zone interoli
bre de ces cellules, mais on trouve des lobules entièrement privés de
fibres
et de cellules. » ' On pourrait peut-être mul
- pendices collatéraux, était située juste au milieu d'une masse de
fibres
nerveuses de la substance blanche. On a l'impre
reconnaître, et leurs extrémités abdominales n'avaient que 3 ou A-
fibres
rudimentaires (aucune ne s'attachant à l'ovaire
Mars 1896. -Fièvre hectique. Dans les crachats, bacilles de Koch et
fibres
élastiques. La déchéance se précipite (poids :
ériques. Sur les coupes du sciatique, on note un peu d'atrophie des
fibres
nerveuses ; les fibres normales sont en minorit
u sciatique, on note un peu d'atrophie des fibres nerveuses ; les
fibres
normales sont en minorité ; le tissu fibreux l'
servés dans toute l'étendue des cordons antérieurs et latéraux. Les
fibres
y sont ser- rées, leur myéline bien colorée. Le
iveau de la zone de Lissauer où l'on ne distingue que de très rares
fibres
éparses; la dégénérescence gagne le cordon post
dont le côté rectiligne confine à la périphérie de la moelle ; les
fibres
deviennent de plus en plus nombreuses à mesure qu
ions, le processus scléreux est très accentué, il n'y existe peu de
fibres
saines ; on y voit les vestiges de UN CAS DE
y voit les vestiges de UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE JUVÉNILE. 9
fibres
en voie de disparition. La lésion se détache avec
Trois zones sont beaucoup moins atteintes, offrant une majorité de
fibres
intactes, mais qui manquent de cohésion, marque é
t en dehors à la moitié interne du champ cornu-radicu- laire et aux
fibres
endogènes. Les fibres descendantes occupent de
é interne du champ cornu-radicu- laire et aux fibres endogènes. Les
fibres
descendantes occupent de part et d'autre du sep
semi-lunaire dessinant par leur ensemble l'ovale de Flechsig ; les
fibres
ascendantes occupent la partie antérieure du co
ées; 1 Fi[/. 1. - Moelle lombaire. ) 10 CLINIQUE MENTALE. les
fibres
ne sont diminuées ni en nombre ni on volume. Quan
dans des proportions relativement faibles. Quelques-unes de leurs
fibres
constituantes sont détruites : mais il en resle c
postérieur. Dans cette région dégénérée, il existe encore quelques
fibres
saines. La forme, la disposition et la constitu
ont l'apparence saine, d'autres semblent atrophiées. Plus haut les
fibres
de Clarke sont en partie délllyélinisées. Le ca
eures sont saines; dans les racines postérieures il manque quelques
fibres
, mais le plus grand nombre d'entre elles persis
quent tout ou partie du cordon de Burdach. Elle possède très peu de
fibres
saines dissé- minées à de larges intervalles. L
n, dans tous les cas très peu malade, car aux confins du septum les
fibres
semblent légère- ment espacees, ce qui semblera
les faisceaux de Lissaüer et radiculaires postérieurs. La zone des
fibres
ascendantes est simplement repré- sentée par un
lement repré- sentée par un ruban très étroit, composé par quelques
fibres
à peine, immédiatement situé au contact de la c
missure grise. Il existe encore une bande large, constituée par des
fibres
saines, qui confine aux cornes postérieures et
ieures et les racines antérieures sont à peu près saines ; quelques
fibres
manquent aux uns et aux autres. Fig. 6. - Moe
de la substance de liolando. Cette bandelette renferme très peu de
fibres
, et parmi celles qui exilent encore, il s'en tr
ne de Clarke. Racines. Les racines antérieures ont perdu quelques
fibres
; les racines postérieures peuvent être considér
nvolu- tions frontales et pariétales ne possèdent plus que de rares
fibres
tangentielles, soit que l'on examine la convexi
des symptômes tabé- tiques s'explique seulement par ce fait que les
fibres
ner- veuses, dont la destruction caractérise le
ité est absolue le plus souvent; parfois il parait manquer quelques
fibres
, mais il y en a dans tous les cas très peu d'ab-
x bandelettes de Pierret. Celles-ci étant la suite anato- mique des
fibres
radiculaires, la lésion des unes et la conser-
ère. D'une façon générale, elle atteint non seulement la région des
fibres
exogènes, mais aussi, tout au moins en partie,
des fibres exogènes, mais aussi, tout au moins en partie, celle des
fibres
endogènes; la zone de Westphall est en particul
ll est en particulier fort malade sur la coupe 6 et l'intégrité des
fibres
du centre ovale de Flechsig (quelle que soit la
te bande est séparée de la corne grise par une épaisseur notable de
fibres
saines, qui appartiennent, selon toute apparenc
it ici, tout au moins en très grande partie, d'une dégénération des
fibres
endogènes. Dans le même sens, il faut invoquer
t invoquer l'état du faisceau de Goll qui apparaît sain, à quelques
fibres
près, dès son ori- gine et que l'on voit tel su
e. A vrai dire, on ne saurait insister sur la démyélinisation des
fibres
qui atteignent la substance grise en général et l
n processus exogène et par suite laisse un doute sur l'identité des
fibres
disparues. En effet, l'absence de quelques fibr
ur l'identité des fibres disparues. En effet, l'absence de quelques
fibres
dans la constitution de certaines racines ne su
relation intime de contiguité médiate ou immédiate avec toutes les
fibres
issues du ganglion spinal en bas, et de l'écorc
ctions physiologiques multiples D. Quelle sera donc la nature des
fibres
cordonnales dégéné- rées ? Tout d'abord il est
nnales dégéné- rées ? Tout d'abord il est logique de penser que ces
fibres
appartiennent aux systèmes commissuraux à court
ire que la lésion observée tienne uniquement à la désintégration de
fibres
endogènes ? Une telle affirmation reviendrait à
les con- naissances acquises sur la localisation intra-spinale des
fibres
radiculaires. Nous voulons dire seulement que l
iculaires. Nous voulons dire seulement que le plus grand nombre des
fibres
disparues sont endogènes, qu'elles appar- tienn
x constitués, car il est difficile- ment soutenables que toutes les
fibres
commissurales soient fasciculées. Quant aux aut
outes les fibres commissurales soient fasciculées. Quant aux autres
fibres
, elles sont radiculaires, ' A. Joffroy. Contrib
re compte de la disparition d'une quantité plus ou moins grande des
fibres
exogènes, quantité évidemment un peu plus consi
ssion de neurone à neurone, amenant la destruction d'un segment des
fibres
radiculaires, du seg- ment seul en contact avec
éphale ou de la moelle le mode de dégénérescence invoqué pour les
fibres
exogènes est le seul qui s'accorde logiquement av
arité des lésions observées, en faisant intervenir l'altération des
fibres
endogènes. Telles sont les considérations que n
nt que la lésion frappait presque exclusivement, non le système des
fibres
exogènes, mais celui des fibres endogènes. N'es
e exclusivement, non le système des fibres exogènes, mais celui des
fibres
endogènes. N'est-ce pas le cas de répe- ter ce
e le même syslème artériel fournit à la nutrition des noyaux et'des
fibres
du nerf de la troisième paire. A. FENAYROU. XXI
ses et. plus nombreuses, destruction du tissu nerveux, atrophie des
fibres
'nerveuses à myéline. L'écorce, généralement ép
, ce qui permet de présumer l'action directe du streptocoque sur la
fibre
nerveuse. Les lésions des cellules des cornes ant
roné. Par suite des névrites intersti- tielles très prononcées, les
fibres
à myéline ont complètement dis- paru dans ces n
semble rester la méthode de choix pour déceler la dégénération des
fibres
nerveuses à myéline. Tels sont les moyens, arri
e le cordon postérieur. Plus haut, dans la région dorsale, d'autres
fibres
échappent à l'altération. Celles qui longent im
ent qui correspond à la colonne de Clarke. Enfin, une bandelette de
fibres
, relativement saines, se des- sine à la partie
corne postérieure au sillon médian postérieur, une bandelette de
fibres
saines adossée le long du tiers moyen de la corne
ossée le long du tiers moyen de la corne pos- térieure, une zone de
fibres
dégénérées, la plus importante presque toujours
lle contourne l'extrémité anté- rieure d'une deuxième bandelette de
fibres
saines située au centre même du cordon postérie
généralement, celle qui longe le sillon médian postérieur. Quelques
fibres
du centre ovale de Fleschsig et du triangle de
quelquefois le cordon antérieur. Elle y intéresse exclusivement les
fibres
périphériques et se continue jusqu'au fond du s
e est peu marquée, on observe seulement un défaut de coloration des
fibres
à myé- line. Celle-ci semble avoir perdu son af
une sclérose intense. Nous l'avons vue remplacer presque toutes les
fibres
nerveuses du cordon postérieur dans deux cas. L
ndres-axes eux-mêmes avaient disparu, sauf dans les territoires des
fibres
endogènes. En sorte que la lésion représentait
eure, commissure et dans ses deux principaux éléments : cellules et
fibres
. Ce qui frappe dans les coupes examinées à l'oe
ue se caractérise d'abord par la des- truction d'un grand nombre de
fibres
à myéline et la présence partout de nombreuses
une sclérose active autour de la corne postérieure, au point où les
fibres
radiculaires courtes pénètrent dans la substanc
sur l'anatomie de la moelle. Cette anatomie nous enseigne que les
fibres
blanches se divisent en deux grandes catégories
'une façon à peu près absolue. Daus'le cordon antéro-la- téral, les
fibres
de cordon qui entourent la corne antérieure, so
sont presque toujours saines, et, dans le cordon postérieur, les
fibres
cornu-commissurales, les fibres de cordon, le cen
et, dans le cordon postérieur, les fibres cornu-commissurales, les
fibres
de cordon, le centre ovale de Flechsig et le tr
ule de Schultze même, qui semblent représenter la tota- lité de ses
fibres
endogènes, sont, presque dans tous les cas, res
fibres endogènes, sont, presque dans tous les cas, respectées. Les
fibres
exogènes, au contraire, c'est-à-dire le faiscea
le faisceau pyramidal, surtout et presque exclusivement dans ses
fibres
croisées, le faisceau cérébelleux direct, parfois
ébelleux direct, parfois même celui de Gowers, enfin et surtout les
fibres
radiculaires postérieures, sont presque toujour
raison que l'altération de cet élément du neurone moteur, dont la
fibre
pyramidale n'est qu'une émanation cylindraxile,
tteint par la dégéné- rescence ? S'agit-il d'une dégénération des
fibres
ascendantes pyrami- dales, puisqu'il en existe
ndantes pyrami- dales, puisqu'il en existe ? d'une dégénération des
fibres
hété- rogènes qui contribuent à la formation de
sclérose intra- fasciculaire et, conséquemment, une destruction des
fibres
nerveuses. On ne saisit pas très bien pour quel
elle respecterait, dans ces faisceaux postérieurs, précisément, les
fibres
endogènes éparses un peu partout. Quoi qu'il en
prend mieux puisqu'elle est en rapport avec celle d'un sys- tème de
fibres
et de cellules qu'elle continue, en remontant,
IE PATHOLOGIQUE. jusqu'au bulbe. Nous y reviendrons, en parlant des
fibres
qui proviennent des racines postérieures. Les
territoires du cordon postérieur qui correspondent au trajet de ces
fibres
radiculaires postérieures sont presque toujours
oujours et seuls atteints, avons-nous dit. L'anatomie les divise en
fibres
courtes, moyennes et longues. Les fibres courte
. L'anatomie les divise en fibres courtes, moyennes et longues. Les
fibres
courtes pénètrent immédiatement dans la corne p
la substance grise, nous avons noté une sclé- rose plus active. Les
fibres
moyennes vont, après un trajet à la partie exte
la région dorsale. La preuve qu'il s'agit bien de la lésion de ces
fibres
radiculaires moyennes, c'est qu'elle ne se retr
tomique de ce système sensitif, est éga- lement plus accusée. Les
fibres
radiculaires longues, après un trajet très court
endent dans le faisceau de Goll. Elles sont moins atteintes que les
fibres
moyennes, mais elles le sont toujours et à un d
as complètement détruites ; elles sont un organe de relai entre les
fibres
radiculaires moyennes et le faisceau cérébelleu
ts constitutifs de l'axe médullaire. Dans la substance blanche, les
fibres
endogènes, c'est-à-dire celles qui, dans le cor
éral, entourent la corne anté- rieure et, du cordon postérieur, les
fibres
cornu-commissu- rales, les fibres de cordon, le
ure et, du cordon postérieur, les fibres cornu-commissu- rales, les
fibres
de cordon, le triangle de Gombault et Phi- lipp
sig, la virgule de Schultze, sont presque toujours respectsé. Les
fibres
exogènes, au contraire, dégénèrent. Par ordre d
ordre de fréquence et d'intensité , la dégénérescence frappe les
fibres
radiculaires moyennes, les fibres longues, les fi
té , la dégénérescence frappe les fibres radiculaires moyennes, les
fibres
longues, les fibres courtes dans le cordon post
ce frappe les fibres radiculaires moyennes, les fibres longues, les
fibres
courtes dans le cordon postérieur; le faisceau
ans sa forme générale et profondément altérée dans ses détails. Les
fibres
à myéline sont plus rares. Les cellules radicul
on postérieur s'expliqueraient par une dégé nération ascendante des
fibres
radiculaires. Les cellules de Clarke sont attei
que si on laisse l'animal au repos com- plet pendant l'asphyxie, la
fibre
musculaire n'est pas profondément atteinte. Aus
fectant point, aux divers étages, tout à fait le même contingent de
fibres
, explique les douleurs de la nuque et du dos, s
commun étant pris, il n'y a pas d'altération limitée du système des
fibres
qui unit l'extrémité centrale du nerf optique à
générescence de tout le sys- tème moteur et surtout des systèmes de
fibres
qui servent à unir les divers plans des noyaux
nerfs spi- naux) du faisceau longitudinal postérieur et des courtes
fibres
des cordons antérieurs et latéraux; altérations
courtes fibres des cordons antérieurs et latéraux; altérations des
fibres
radicu- laires des nerfs moteurs de l'oeil, du
rémité musculaire. 3° Dé- chéance des cellules commissurales et des
fibres
commissurales dans l'écorce du cerveau, dans le
dial, cubital gauches, cervical et péronier droits); une lésion des
fibres
musculaires (disparition des stries transversal
Grabower, Darhschewitsch, Schwaller, il se peut encore que quelques
fibres
radiculaires du rameau spinal de l'accessoire s
nctifs dont le néoplasme abonde, sont constitués par la plupart des
fibres
bien colorées et parsemées de noyaux; mais on t
bres bien colorées et parsemées de noyaux; mais on trouve aussi des
fibres
mal colorées, presque transparentes; par places
les cellules sarcomateuses ne sont pas trop encombrées; beaucoup de
fibres
conjonctives présentent des indices d'une dégén
tissu conjonctif formant de larges festons (t. c., fig. 10), et des
fibres
névrogliques lassées concentriquement. * Les ca
n se répartit en périphérique et centrale, on peut voir comme les
fibres
conjonctives se rangent en faisceaux pour former
iose cervicale, nous voyons apparaître un ruban foncé : ce sont des
fibres
névrogliques plus tassées et scléreuses ; sur l
des parois de la cavité intra- médullaire inférieure, sauf que les
fibres
conjonctives y eussent subi une dégénérescence
eur,Kojevnikov vint montrer que, chez les malades de cet ordre, les
fibres
pyramidales de la couronne rayonnante sont atte
e que le phénomène des orteils est lié intime- ment à la lésion des
fibres
des faisceaux pyramidaux, que cette lésion sièg
'ici cette couche corticale comme formée uniquement de faisceaux de
fibres
nerveuses à myéline disposés sur des plans para
giques du cerveau confirment cette manière de voir; 2° Un plan de
fibres
nerveuses tangentielles. Tous les auteurs ont d
rveuses tangentielles. Tous les auteurs ont décrit ces faisceaux de
fibres
à myéline dirigés parallèlement à la surface im
e repère pour une différenciation topographique dans la moelle, des
fibres
des pyramides destinées à diverses parties du c
ier en ce qui concerne les conducteurs intercentraux, notamment les
fibres
pyramidales. La différenciation topogra- phique
, et quant à la durée de l'excitation, on arrive à conclure que les
fibres
motrices destinées aux parties du corps voisine
s loin de la substance grise des cornes antérieures, tandis que les
fibres
des pyramides destinées aux par- 310 REVUE D'
corderait avec l'opinion, de plus en plus répandue, que les courtes
fibres
de la moelle se dirigent près de la substance g
de la moelle se dirigent près de la substance grise, tandis que les
fibres
longues se servent plutôt des zones marginales
- rations principalement marquées par une extrême raréfaction des
fibres
, dans la région la plus supérieure de la moelle t
ième ventricule. Intégrité des méninges. Très grande diminution des
fibres
, atteintes aussi de prolifération gra- nuleuse,
du pneumogastrique. Dégénérescence totale des deux récurrents. Les
fibres
musculaires, également fort appauvries, ont con
1897.) Analyse des travaux de ces 20 dernières années : 1° sur les
fibres
nerveuses; ,2" sur les cellules nerveuses; 3° s
ux et nous montre l'épais feutrage, par places, inex- tricable, des
fibres
qui chez les adultes ou les embryons entou- ren
logie et d'Hypnologie, 1898, n° 6.) L'entrecroisement partiel des
fibres
radiculaires du nerf de la troisième paire est
t celles de savoir de quelle partie du noyau d'origine naissent les
fibres
croisées et quels sont les muscles oculaires au
es fibres croisées et quels sont les muscles oculaires auxquels ces
fibres
sont destinées. Pour déterminer exactement, che
, chez le lapin, la position des cel- lules qui donnent origine aux
fibres
croisées, M. van Gehuchten a vidé une cavité or
une cavité orbitaire en extirpant le globe oculaire avec toutes les
fibres
qui l'entourent. Le lapin a été tué dix jours apr
de Nissl, montrent en toute évidence que les cellules d'origine des
fibres
croisées occupent la partie postérieure et inféri
occupent la partie postérieure et inférieure de chaque noyau. Ces
fibres
se rendent en partie au muscle droit supérieur, a
droit interne. Le droit inférieur est innervé exclusivement par des
fibres
directes ainsi que les muscles intrinsèques de
Quant au nerf pathétique, il serait constitué avant tout par des
fibres
croisées, mais renfermerait cependant quelques ra
par des fibres croisées, mais renfermerait cependant quelques rares
fibres
directes. On ignore toutefois si ces fibres dir
ependant quelques rares fibres directes. On ignore toutefois si ces
fibres
directes se rendent du noyau d'origine dans le
iphérique sans passer par la val- vule de Vieussens, ou bien si ces
fibres
, avant d'atteindre le nerf périphérique, passen
la valvule. Le nerf de la sixième paire est formé exclusivement de
fibres
directes; il résulte, en outre, des recherches
tes; il résulte, en outre, des recherches de van Gehuchten, que ces
fibres
naissent de deux groupes cellulaires distincts et
groupes cellulaires distincts et situés l'un dans la concavité des
fibres
radiculaires du nerf facial, l'autre en dedans
centrales de la tumeur contiennent, par places, des territoires de
fibres
névrogliques. d'aspect homogène, ayant subi la
es noyaux des cordons de Goll dans le bulbe, de petits faisceaux-de
fibres
non croisées qui pro- viennent de ces noyaux..
et l'olive. Sur tout ce trajet le faisceau de Gowers rend quelques
fibres
rares au corps restiforme. Au niveau du corps t
la protubérance, il rend de temps en temps, mais rarement, quelques
fibres
dans la direction du noyau latéral du tegmentum
it brusquement dans la direction dorsale et rejoint ici ses propres
fibres
qui s'étalent antérieurement détachées de lui p
hia conjunctiva et se tenant dans la direction dorso-proximale, les
fibres
arciformes dégénérées du faisceau de Gowers se
externe dans la région du corps quadrijumeau, où elle se joint aux
fibres
entrecroisées de l'autre côté. En s'avançant ve
eure du corps quadrijumeau, le faisceau rend un bonne partie de ses
fibres
(environ un quart) au noyau posté- rieur du cor
corps quadrijumeau (il est impossible de déterminer si ce sont des
fibres
entrecroisées ou des fibres directes) et continue
impossible de déterminer si ce sont des fibres entrecroisées ou des
fibres
directes) et continue son trajet, occupant touj
e au-dessous de la substance de Soemmering, où quelques-unes de ses
fibres
contournent du côté ventral la base du pédoncul
doncule et se continuent dans la même direction du côté médian. Les
fibres
disséminées s'amassent dans la région du bout ant
l n'y a plus de cellules motrices, ou de racines antérieures, ou de
fibres
nerveuses capables de manifester par le spasme
on. A plus forte raison la para- lysie est-elle flaccide lorsque la
fibre
striée est profondément altérée. (Revue neurolo
de celui-ci, qu'un faisceau de celui-là, pour gagner aussitôt les
fibres
d'un troisième. Aucune régularité, aucune loi dan
ration nous nous sommes servi de la méthode de Pal pour l'étude des
fibres
ner- veuses ; pour le reste nous avons employé
blanche et grise ? Il nous est impossible de nous prononcer. Les
fibres
nerveuses correspondant aux foyers décrits ont su
foyers inflammatoires, de donner naissance à une grande quantité de
fibres
. et surtout dans celle de Proust (Des différent
lles de la couche cor- ticale aux mêmes irritations. La plupart des
fibres
nerveuses correspondant aux foyers inflammatoir
la convergence. De l'écorce (A) à ces noyaux (B) l'influx suit les
fibres
centrifuges mêlées aux radiations optiques, dan
montre qu'on doit invequer une excitation venue du cerveau par les
fibres
visuelles centrifuges : a Une excitation née da
emanderons : quelle est l'origine de cette excitation venue par les
fibres
visuelles centrifuges ? ` ? L'étude des phénomè
ndre par analogie. L'excitation apportée au centre visuel par les
fibres
visuelles centripètes est réfléchie par les fibre
e visuel par les fibres visuelles centripètes est réfléchie par les
fibres
visuelles centrifuges jusque dans la rétine où
ue aux précédents. L'inllux nerveux apporté en B ((tg, 29), par les
fibres
visuelles centripètes est réfléchi par les fibres
(tg, 29), par les fibres visuelles centripètes est réfléchi par les
fibres
visuelles centrifuges, jusqu'au neurone interca
mmunication de neurone à neurone se fait au niveau de la couche des
fibres
tangentielles, où les cylindraxes centripètes s
MÉCANISME ANATOMIQUE DE L'ATTENTION. 465. \ Dans cette couche des
fibres
tangenlielles sont trois espèces de cellules pa
- tières situées avec tous leurs prolongements dans la couche des
fibres
tangentielles Elles ne peuvent que recevoir l'inf
es tangentielles Elles ne peuvent que recevoir l'influx nerveux des
fibres
centripètes pour le transmettre aux panaches pr
ction- nement des contacts qui se fait au niveau de Ld couche des
fibres
tangentielles du cerveau. L'influx nerveux part
toujours par l'intermédiaire des cellules de Cajal de la couche des
fibres
tangentielles. Le mécanisme de l'attention est
projection sont seuls mis en jeu : l'influx nerveux arrivé par les
fibres
cen- tripètes à la corticalité en repart aussit
es fibres cen- tripètes à la corticalité en repart aussitôt par les
fibres
cen- trifuges correspondantes (V. fig. 27, 28 e
tre complètement atrophiées; 2° la dégénérescence d'une quantité de
fibres
arcifolmes excitant continuellement les cellules
ascendantes au moyen de la dégénérescence étendue et très ténue des
fibres
arciformes. 5° On observe aussi des atta- ques
nerveuses de la périphérie au centre; nous savons qu'une série de
fibres
partant de la peau, des muqueuses et des muscles
par contact, car il n'y a aucune communication anatomique entre ces
fibres
et les prolongements protoplasmiques, ceux-ci s
es ganglions intervertébraux; 4° la toxine diphtérique agit sur les
fibres
nerveuses principalement, parait-il, par l'inter-
d'une double dégénération. 1° Une dégénération portant : a) sur les
fibres
mêmes des racines et qui d'abord disséminée dans
à partir duquel elle cesse; b) sur les collatérales issues de ces
fibres
, collatérales qui d'abord assez volumineuses pour
principale et aberrante. 2. La dégénération aberrante porte sur des
fibres
endogènes ou commissurales : toutes les fibres
rrante porte sur des fibres endogènes ou commissurales : toutes les
fibres
directes des racines postérieures sont parquées
spinaux (racines postérieures) au cervelet. 4. Il n'existe pas de
fibres
passant directement des racines pos- térieures
ières doit être considérée comme étant de même nature que celle des
fibres
commissurales, c'est-à-dire ter- tiaire. (Revue
z di (l'en., fasc. III, 1897.) XLII. RECHERCHES SUR LES lésions DES
fibres
NERVEUSES spinales dans LES PSYCHO-NEVROSES AIG
imentales pratiquées chez le lapin, l'autour conclut que toutes les
fibres
constitutives du nerf facial sont des fibres di
conclut que toutes les fibres constitutives du nerf facial sont des
fibres
directes et que toutes ses fibres proviennent e
titutives du nerf facial sont des fibres directes et que toutes ses
fibres
proviennent exclusivement de la masse grise sit
2° Le groupe postérieur est formé par les cellules d'origine des
fibres
du facial supérieur; 3° Le groupe médian et le
upe médian et le groupe externe représentent le noyau d'origine des
fibres
du facial innervant tous les autres muscles. To
e enfin d'une autre série d'expériences de M. van Gehuchten que les
fibres
sensitives qui entrent dans la constitution du fa
facial ont leurs cellules d'origine dans le ganglion géniculé. Ces
fibres
sensitives appartiennent donc au nerf intermédi
aibli par suite de la suspension d'action qu'exercent sur elles les
fibres
provenant du cervelet, du mésencéphale et du cer-
rit par moi en 189 et en 1896. Ainsi s'exprime M. de Bechterew. Les
fibres
de ce trousseau se développent plus tard que ce
n foetus humain de sept mois, à un foetus de cinq à six mois. « Les
fibres
de ce trousseau médian sont, disais-je (l'auteur
des seg- ments postérieurs de la substance grise et constituées de
fibres
courtes. Or, l'observation récente de A. Bruce
e de fer ; différen- ciation d'après la méthode de Pal. On voit les
fibres
myéliniques d'un bleu-noir intense se détachant
r intense se détachant sur un fond incolore ; on voit très bien les
fibres
les plus fines de la substance grise de la moelle
uniformément colorées et semblent plutôt de couleur bleu-clair, les
fibres
les plus fines y sont cependant nettes. Prenez
t des foyers de ramollissement. Les dégénérescences des systèmes de
fibres
contenus dans le* pyramides du bulbe et d'autre
organes antéro-mférieurs-(couche grillée) prouvent qu'en outre des
fibres
qui de la couche optique vont à l'écorce (Monakow
u faisceau pyramidal dans la zone de celle-ci. Dégénérescence des
fibres
de la région du faisceau pyramidal, qui vont au
du faisceau pyramidal, qui vont aux noyaux prolubérantiels, de ces
fibres
qui s'épanouissant dans les noyaux en question
u neurone, destine à l'hémisphère cérébelleux du côté opposé. Les
fibres
du ruban de Reil sont également dégénérées ; ce s
Les fibres du ruban de Reil sont également dégénérées ; ce sont des
fibres
appartenant aux voies descendantes : leur manière
e Reil de Bechlhew ou au trousseau piolubé- ranliel de Schlesinger.
Fibres
centrifuges en pitre expliquées par les dégénér
rieur du cerveau, d'arrière en avant, montrent que les premières
fibres
dégénérées du corps calleux occupent la partie mo
ce qui prouve que la circonvolution du corps calleux se compose de
fibres
de diverses longueurs. P. KERAVAL. LX. Contribu
504 BEVUI, d'anatomie ET DE physiologie pathologiques. moteurs. Les
fibres
radiculaires postérieures après leur entrée dans
actus moteur : c'est un réflexe. Mais les rameaux ascendants de ces
fibres
radiculaires forment les longues voies qui gagnen
le bulbe ; entrecroisement au niveau ordinaire, mais une partie des
fibres
s'infléchit dans le cordon antérieur du coté op
jusqu'à la hauteur de la première racine dorsale Il semble que ses
fibres
se terminent dans la corne anté- rieure voisine
.1me1'iean Journal of itzsunit, octobre 1897.) E. B. ). LXVI. DES
fibres
spinales centrifuges originaires DE la couche o
e, des organes sexuels. Voyons leurs corrélations avec la moelle.
Fibres
centripètes. Les fibres du ruban de Reil, issus d
Voyons leurs corrélations avec la moelle. Fibres centripètes. Les
fibres
du ruban de Reil, issus des noyaux des cordons
Reil qui provient des noyaux du faisceau cunéiforme. Une partie des
fibres
du ruban de Reil va à la partie postérieure de
nt donc bien à la couche optique et aux tubercules quadrijumeaux.
Fibres
centrifuges. Il existe un système de fibres qui d
bercules quadrijumeaux. Fibres centrifuges. Il existe un système de
fibres
qui du tuber- cule quad1'ijll1neau antérieur en
ntrecroisement fontainlforme de Meynert. Une portion notable de ces
fibres
file à l'intérieur du faisceau longitudinal posté
). Boyce en a observé la dégénérescence descendante. En réalité les
fibres
émanées des c3 lin- draxes des cellules qui se
noyaux rouges, l'entre-croisement fontaniforme de Meynert. Puis les
fibres
desrendent dans les segments internes de la forma
, en avant du faisceau longitudinal postérieur, et passent avec les
fibres
de ce dernier dans la portion interne du faisceau
la- diculaire des cordons antérieurs. Chez l'homme ce système de
fibres
forme partie constituante du faisceau longitudina
en arrière de la couche optique, on produit la dégénérescence des
fibres
du faisceau pyramidal, du faisceau longitudinal p
eau pyramidal, du faisceau longitudinal postérieur et du système de
fibres
de i'entre-croisement fontaniforme, et en outre
i'entre-croisement fontaniforme, et en outre, la dégénérescence des
fibres
qui forment l'entre-croi- sement antérieur de l
ieur de l'étage supérieur des pédoncules céré- braux de Forel : les
fibres
dégénérées descendaient donc dans la région de
nt acquiert sa myéline ; GO La loi de Kahler sur la disposition des
fibres
radiculaires dans les cordons poste- rieurs est
t jusqu'à la moelle cervicale les faisceaux de Goll reçoivent leurs
fibres
des racines posté- rieures. Au niveau de la moe
es des racines posté- rieures. Au niveau de la moelle cervicale les
fibres
radiculaires posté- rieures passent non plus da
me descendant des cordons pos- térieurs se compose de préférence de
fibres
myetogènes. Les trous- seaux de fibres descenda
se compose de préférence de fibres myetogènes. Les trous- seaux de
fibres
descendantes des cordons postérieurs, décrits- pa
eux supérieur se trouve probablement le passage d'une partie de ces
fibres
à l'autre côté ; 12° La dégénérescence descenda
section, serait plutôt expliquée par le passage dans ces racines de
fibres
des faisceaux de Loewenlhal; 15° La dégénrres-
ures intra-spluales est produite par le passage en ces dernières de
fibres
des faisceaux directs cérébelleux et antéro-lat
s faisceaux anté- rieurs des pyramides du cerveau humain il y a des
fibres
qui dégé- nèrent en montant et peuvent être sép
, quatre centres sensoriels : 1° la région tactile, aboutissant des
fibres
émanées des racines postérieures, qui comprend
égions précédentes, ne sont point en relation avec l'assemblage des
fibres
de projec- tions ou conducteurs sensitivo-moteu
patisme et , par Cullerre, - 353. I'C1CI10-I : IlOSE. Lésions des
fibres
nerveuses spinales dans les - aigu es, par Do
pasme. 'l'tc ou du la face, par Feindel et nleine, 407. Spinales.
Fibres
centrifuges originaires (le la couche optique
yeux. Quelques auteurs expliquent ce fait en admettant que quelques
fibres
du facial du côté atteint sont conservées, tand
x. Il pense que c'est justement à cause de cet entre-croisement des
fibres
musculaires qu'il suffit d'exciter celles d'un cô
effet, en admettant que le noyau protubérantiel du facial donne des
fibres
homo-lalérafes et contro-latérales, il est facile
re que l'excitation électrique du nerf sain peut se communiquer aux
fibres
contro-latérales du côté atteint, dans les cas
teint, dans les cas de lésions unilatérales du noyau du facial. Ces
fibres
, au contraire, sont détruites en cas de lésion
contraire, sont détruites en cas de lésion du tronc nerveux où les
fibres
homo-latérales et contro-latérales sont mêlées
erches de Hoche nous engageraient à penser qu'une petite partie des
fibres
de la voie centrale du facial aillent aussi au no
croire que dans la racine du facial d'un côté,, existent aussi des
fibres
qui dérivent du noyau du côté opposé. Cependant
CINI ET ARTOM la ligne médiane qui entre-croisent (Bernhardt) leurs
fibres
, il est moins probable que ce fait se vérifie p
réti- culaire ; quelques cellules araignées donnant naissance à des
fibres
névrogli- ques. Dans les couches sous-jacentes
euses sont indistinctes. Elles ne semblent pas donner naissance aux
fibres
névrogliques. Vaisseaux. Une infiltration infla
kukke. CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DES CENTRES NERVEUX 47
Fibres
à myéline (Spielmeyer). Etat normal, exception fa
Etat normal, exception faite pour quel- ques petites taches, où les
fibres
sont plus clairsemées. Du resta ni les fibres r
etites taches, où les fibres sont plus clairsemées. Du resta ni les
fibres
radiées ni les plexus interradiaires et supraradi
s radiées ni les plexus interradiaires et supraradiaires, ni même les
fibres
tangentielles n'ont diminué d'uue manière sensi
ses,dont quelques-unes sont encore vague- ment reconnaissables. Les
fibres
à myéline sont plus clairsemées à ces places. S
e cellules araignées volumineuses et la forte production de grosses
fibres
névrogliques, se croisant dans tous les sens, nou
hique des corps striés (dimensions très ré- duites), la richesse en
fibres
à myéline n'a pas diminué. Les couches optiques
a seulement quelques petites taches plus claires, où cependant les
fibres
à myé- line ne font pas défaut. Corps striés
on hyaline, comme dans les autres parties du cerveau, Le nombre des
fibres
à à myéline a diminué à ces places (voyez plus
tes, en apparence, mais il est entouré d'une zone dans laquelle les
fibres
nerveuses sont démyélinisées, les cellules ner-
même fixation élective sur les fragments de myéline dégénérée ; les
fibres
nerveuses normales, et les tissus interstitiels,
ne prépyramidale, le faisceau antérolatéral descendant, et quelques
fibres
des cordons ;i plus court trajet, disséminées a
ous permettra de résumer les dégénérescences des divers systèmes de
fibres
. On ne trouve, au-dessus de la lésion, aucune i
fig. B). En partant de celle région, nous étudierons le trajet des
fibres
dégéné- rées vers le bulbe, le cervelet, et par
téressants : d'une part, la disparition d'une notable proportion de
fibres
dégénérées (voies courtes), d'autre part, un dé
fibres dégénérées (voies courtes), d'autre part, un déplacement des
fibres
occupant la zone des faisceaux cérébelleux. L
es occupant la zone des faisceaux cérébelleux. La raréfaction des
fibres
ascendantes est surtout évidente dans l'intérieur
e dégarnissent progressivement, tandis que sur la face externe, les
fibres
plus longues qui restent sont re- poussées par
lus longues qui restent sont re- poussées par l'apport de nouvelles
fibres
endogènes. Dans la moitié droite delà moelle, e
oelle, elles arrivent ainsi par étapes successives à se joindre aux
fibres
marginales avec lesquelles elles se confondent en
ndent en arrivant au bulbe. Dans la moitié gauche de la moelle, les
fibres
éparses dans le faisceau fondamental disparaiss
re, et ne rejoignant pas la voie cérébelleuse. Le déplacement des
fibres
qui occupent la partie marginale des cordons la
nir au faisceau cérébelleux x direct. Or le trajet ultérieur de ses
fibres
montre qu'elles sont destinées aussi à la voie
ns la traversée des deuxième et troisième segments cervi- caux, les
fibres
ascendantes marginales sont refoulées en avant pa
question de l'origine directe ou croisée de ces divers systèmes de
fibres
: la nature de la lésion primitive et ses limites
place- ment, d'ailleurs inconstant, ne porte que sur une partie des
fibres
du faisceau cérébelleux direct, et sur un court
, et sur un court trajet. Au contraire dans notre observation, des-
fibres
qui occupent déjà en Ce et Ci, la zone du faiscea
direct, passant ainsi d'un faisceau à l'autre. Cette évolution des
fibres
marginales latérales est mise en évidence, du côt
gauche, par l'étroitesse de la bande nécrosée, car l'arrivée de ces
fibres
au milieu des fascicules postérieurs du faiscea
ns visible en raison du plus grand nombre d'éléments dégénérés; les
fibres
margi- nales postérieures d'abord distantes de
s que la zone du faisceau.de Go- wers reçoit l'appoint de nouvelles
fibres
venues du faisceau fondamental. - Connexions sp
venues du faisceau fondamental. - Connexions spino-b¡tlbai1'es.- Le
fibres
dégéérées qui s'arrêtent dans le bulbe y arrive
mi- dale et par les cordons latéraux. a) Terminaison bulbaire des
fibres
des cordons postérieurs (fi. 11-13). Elle se fa
es cor- dons (voir Dejerine et André-Thomas, p. 81 et suiv.). Les
fibres
des faisceaux de Goll se terminent les premières
RESCENCES ASCENDANTES DE LA MOELLE CERVICALE 69 rébelleuses par les
fibres
arciformes externes. Cette interprétation a été
latéraux, et qu'ils se diri- gent d'avant en arrière en suivant les
fibres
arciformes externes ; ils re- présentent donc l
s externes ; ils re- présentent donc le début de la translation des
fibres
spino-cérébelleuses vers le corps restiforme.
recles des cordons postérieurs avec les voies cérébelleuses par des
fibres
arciformes internes, disposition décrite par Ho
ce ascendante du faisceau pyramidal croisé. Parmi le gros paquet de
fibres
dégénérées qui prend la voie du cordon latéral
la pyramide gauche (fig. H) et diminue rapidement d'importance; ces
fibres
peu nombreuses et disséminées se perdent dans l
'une dégénérescence rétrograde de la voie pyrami- claie, ou bien de
fibres
ascendantes mélangées à cette voie sur une partie
des fascicules qui pénètrent dans la substance grise bulbaire. Ces
fibres
sont nombreuses et réparties sur un assez long
suivant les coupes de bas en haut (fig. 12, 13, 14, 15) on voit des
fibres
, parties du faisceau la- téral du bulbe,occuper
; il semble même, et nous l'avons indiqué sur nos dessins, que des
fibres
plus ténues arrivent à la couche interolivaire
zone moyenne. - 3° Un groupe postérieur se détache de la masse des
fibres
qui passent par le corps restiforme (fig. 14) ;
des coupes (fig. 12-14) de délimiter la terminaison de ce groupe de
fibres
et celle des fibres les plus extrêmes des cordo
14) de délimiter la terminaison de ce groupe de fibres et celle des
fibres
les plus extrêmes des cordons postérieurs. On p
ons postérieurs. On peut cependant considérer comme certain que ces
fibres
spino-bulbaires, venues par la voie latérale on
par la voie latérale ont leur plus grand développement lorsque les
fibres
des cordons posté- rieurs sont presque épuisées
es. La méthode de Marchi, en montrant la direction transversale des
fibres
détachées de la voie du corps restiforme ne lai
et, complétant celle e qui, d'après lui, passe'à la surface par les
fibres
arciformes externes. Thiele et Horsley donnent
ent aussi une excellente représentation graphique de ces groupes de
fibres
dans les planches annexées à leur travail, mais i
estiforme et la branche descendante du nerf vestibulaire. Quant aux
fibres
antérieures (fibres dorso-olivaires de v. Solder)
che descendante du nerf vestibulaire. Quant aux fibres antérieures (
fibres
dorso-olivaires de v. Solder), Thiele et Horsle
postérieur, les plus internes allant jusqu'au bile de l'olive. Ces
fibres
sont destinées eu partie, d'après Thiele et Hor
rrêt dans les parties la- térales du bulbe d'une notable partie des
fibres
qui constituent la voie ascendante des cordons
ire et accompagne cette dernière jusqu'à son pôle su- périeur ; ses
fibres
se terminent non seulement dans la partie antérie
de la formation réticulée grise, mais aussi dans l'olive elle-même (
fibres
spino-olivaires) (1) ; celles qui s'enfoncent v
teurs nous n'avons pas observé de con- tinuité entre ces groupes de
fibres
et les expansions terminales des cordons (1) Ce
téro-interne du bulbe, où se termine aussi un contingent notable de
fibres
spino-bulbaires est également celle où aboutiss
le de fibres spino-bulbaires est également celle où aboutissent des
fibres
disséminées descendantes de la formation réticu-
leux supérieur et se termine à la face inférieure du cervelet, ses,
fibres
atteignant la ligne médiane du vermis. Le faiscea
s l'ont déjà fait, la séparation imparfaite de ces deux systèmes de
fibres
; du faisceau de Gowers se détachent de place e
e fibres ; du faisceau de Gowers se détachent de place en place des
fibres
isolées (fig. 16) qui rejoignent la voie du pédon
ne du pédoncule cérébelleux supérieur, que contournent tou- tes ces
fibres
, il n'est pas possible de distinguer où finit le
prises (Worotynski, Marburg, etc.) de ne voir qu'un seul système de
fibres
réunissant la voie ascendante des cor- dons ant
15) avec les coupes supérieures (fig. 16-22) il est certain que les
fibres
dégénérées, détachées de la voie ascendante latér
érébelleux supérieur. Pendant leur trajet intraprotubéran tiel, ces
fibres
ont encore diminué de nombre ; c'est donc qu'une
ci sa terminaison. Arrivées à la calotte du pédoncule cérébral, ces
fibres
résiduelles se déplacent bientôt d'avant en arr
stérieur (fig. 20), et un certain nombre d'entre elles y pénètrent (
fibres
spito-quadrigeminales). De plus en plus diffici
le corps genouillé interne, auquel il abandonne peut-être quelques
fibres
. C'est un peu plus haut, à la face inférieure du
médian, que la dernière trace de cette voie as- cendante disparait (
Fibres
sroitto-tltalrcrtiy2tes). Notre observation vér
stincts pendant leur trajet cervical, bulbaire et protubérantieL; des
fibres
passent de l'un à l'autre et ils forment un seu
ment un seul système spino-cérébelleux. Nous n'avons pas observé de
fibres
venant directement des cordons pos- térieurs de
s spino-bulbaires se distribuent en trois groupes principaux : 1°
Fibres
allant 't la partie antérieure de la formation ré
ie antérieure de la formation réticulée et à l'olive bulbaire. 2°
Fibres
allant à la partie latérale de la formation rétic
2° Fibres allant à la partie latérale de la formation réticulée. 3°
Fibres
allant à la partie postérieure de la formation ré
x posté- rieurs et avec la substance grise avoisinante (le terme de
fibres
spin[ ! - tectales employé par Kohnstamm, par T
é par Kohnstamm, par Thiele et Horsley parait préférable à celui de
fibres
spino-quadrigéminales) ; . avec la région sous-
ous-optique et la partie ventrale du noyau externe du thalamus. Ces
fibres
spino-thalamiques ne sont représentées que par de
in Neurol. Centr., 1908, p. 264. ' BOC'IIF.IOEK. Dégénérescence des
fibres
endogènes ascendantes de la moelle après li- ga
que des altérations extrêmement peu profondes, limitées à quelques
fibres
, et même discutables. (1) Sur une forme de pa
e au niveau de la partie antéro - latérale de la moitié gauche. Les
fibres
du cordon antéro-latéral, en particulier celles
coupes colorés suivant la méthode de Weigert. Un certain nombre ds
fibres
semblent manquer; on note de-ci, de-là quelque
rd interne de la corne postérieure droite quelque raré- faction des
fibres
; à gauche, il existe également quelque altératio
qui sont situées au contact de la zone de Lissauer. En un mot les
fibres
radiculaires longues présentent des altérations d
ues présentent des altérations de moyenne intensité, tandis que les
fibres
de la virgule de Schultze, 'et du faisceau de H
uche (directement comprimée) ne présente plus qu'un petit nombre de
fibres
intactes, sur les coupes au Weigert. La racine
nt égal et de structure voisine de la normale. Un certain nombre de
fibres
des~racines antérieures (de la gauche surtout)
altérations que ceux de D2 ; notons seulement un meilleur état des
fibres
rétro-commissurales. 86 COYON ET BARRÉ , Les
ères que sur les D2 et D3. Les différentes régions occupées par les
fibres
endogènes sont normales ; les deux tiers antéri
rdons de Goll présentent une certaine diminution du nombre de leurs
fibres
; celles qui subsistent sont légèrement altérées
s postérieures présentent une diminution marquée du nombre de leurs
fibres
, avec prolifération du tissu de soutien. Les li
es faisceaux latéraux. On peut noter que les zones occupées par les
fibres
endogènes et qui étaient en D3 et D'' par exemp
ment permet de donner facilement une explica- tion de cet état. Les
fibres
endogènes sont normales, tandis que les fibres ra
tion de cet état. Les fibres endogènes sont normales, tandis que les
fibres
ra- diculaires longues sont très fines, au cont
YPE BABINSKI 87 Dans les racines postérieures il existe au sein des
fibres
de volume et de disposition ordinaire de petit
fibres de volume et de disposition ordinaire de petit faisceaux de
fibres
fines, coupées transversale- ment, mais nous n'
présentent une diminution plus ou moins marquée du nombre de leurs
fibres
normales; le plus souvent cette altération ne s
ns de Goll, et un très minime éclaircissement de la zone d'entrée des
fibres
de la racine postérieure gauche. La corne ant
colorées au Weigert Pal ils forment des taches claires, car aucune
fibre
nerveuse n'y laisse voir sa couronne noire ca-
les entoure est très épaisse, et constituée par plusieurs couches de
fibres
cellules a noyau allongé et disposées parallèle
ement les uns aux autres. On ne retrouve qu'un très petit nombre de
fibres
nerveuses rejetées à la périphérie, elles ont u
te légère des cordons postérieurs portant presque exclusivement sur
fibres
endogènes à partir de D5. 5° L'existence des to
de névrite dont je m'occupe et même dans d'autres, l'excitation des
fibres
sensitives tendino-musculaires pro- duit la con
leurs facultés parla dégénération, soit commune, soit élective, des
fibres
des cordons nerveux. DEUX CAS D'ATROPHIE MUSCUL
ase, ce foyer profond se trouve à interrompre la majeure partie des
fibres
de projection qui proviennent du lobe temporal
yau rouge, et se termine dans la moitié antérieure de ce noyau. Les
fibres
s'épuisent au niveau - des zones grises médiane
e, de sorte que la voie fronto- rubrique renfermerait également des
fibres
rubro-frontales. Ce qui parait être extrêmement
la constitution de la zone capsulaire latérale du noyau rouge. Les
fibres
operculo-rubriques pénètrent alors dans l'épais-
le. Ici encore, c'est surtout avec la substance moléculaire que les
fibres
corticales affectent des rapports. L'existence
re que les fibres corticales affectent des rapports. L'existence de
fibres
allant en sens inverse, c'est- à-dire de fibres
rts. L'existence de fibres allant en sens inverse, c'est- à-dire de
fibres
rubro-operculaires, bien que très probable, n'est
ie operculo-ruhrique est accom- pagnée par un certain conlingent de
fibres
fourni par les masses grises du segment inférie
e environ le quart du volume total de ce noyau. Quant au champ de
fibres
qui entoure de toutes parts le noyau rouge de f
laire bien délimitée (Haubenstrahlunj de Flechsig), il renferme des
fibres
de provenance très variée, mais dont un conting
(frontales Mark des rolen Kerns de von Monakow); est formée par les
fibres
qui retiennent le noyau rouge à la lame médullair
médian en particulier), et à la corticalité préfrontale. Ces mêmes
fibres
forment la majeure partie du tiers antérieur de
ieur de la couche péri-cap- sulaire médiane. Pour ce qui en est des
fibres
qui proviennent de la région operculaire et du
la région operculaire et du noyau ventral de la couche optique, ces
fibres
concourent à former cette partie de la zone pér
ARCHAMBAULT été d'un si grand secours pour le trajet occipital des
fibres
géniculo-cal- cariniennes, nous avons constaté
tendue considérable, et qu'elles se trouvent ainsi à sectionner les
fibres
qui proviennent du lobule fusiforme et de l'hip
éro-externe de ce noyau une raréfaction très nette de la capsule de
fibres
. Cette dégénérescence capsu- laire se présente
Fic. 3. LES CONNEXIONS CORTICALES DU NOYAU ROUGE 203 du champ de
fibres
situé immédiatement en dehors du corps genouillé
- lamique d'Arnold, est en effet nettement dégénéré et renferme les
fibres
pro- venant de l'écorce atteinte par le ramolli
yau lenticulaire. On voit donc que ce foyer in- tercepte toutes les
fibres
de projection provenant des parties correspondant
érescence secondaire très intense, laquelle porte à la fois sur les
fibres
d'association et sur les fibres de projection.
nse, laquelle porte à la fois sur les fibres d'association et sur les
fibres
de projection. On remarque, en effet, une décol
rieur et du pulvinar, lesquels sont presque totalement dépourvus de
fibres
et grossièrement atrophiés. Sur la présente cou
voit très nettement, en effet, que le noyau rouge e est dépourvu de
fibres
nerveuses au niveau de son tiers supérieur, en d'
psulaire, laquelle sectionne sans le moindre doute un bon nombre de
fibres
provenant des circonvolutions frontale et parié-
est notablement dégénérée, sa capsule est pourvue en tous points de
fibres
fortement colorées. C'est qu'à cet endroit, en ef
capsule de celui-ci se trouve maintenant alimentée surtout par des
fibres
tirant leur ori- gine du lobe frontal, lequel e
On remarque une raréfaction nette mais peu pro- noncée du champ de
fibres
situé en dehors du noyau rouge; elle est surtout
U ROUGE 21 t sillon calloso-marginal, le foyer sectionne toutes les
fibres
provenant de la pre- mière circonvolution limbi
uche optique. On note une raréfaction très considérable du champ de
fibres
qui recouvre en dehors le noyau rouge. Quant à ce
ge près de la jonction de ses tiers moyen et antérieur. Le champ de
fibres
qui recouvre ce noyau en dehors s'est en'grande
le de ce noyau ainsi que la raréfaction très notable de sa capsule de
fibres
, la dégénérescence de celle-ci toutefois est p
convolution fron- tale et se trouve ainsi intercepter également les
fibres
de projection provenant de la première circonvo
ule dorsale du noyau rouge, mais respecte à cet endroit le champ de
fibres
qui recouvre ce noyau en dehors. Au niveau de l
o-médiane, . par contre, échappe à l'observation. Quant au champ de
fibres
situé immédia- tement en dehors du noyau rouge,
nstate également une interruption gros- sière au niveau du champ de
fibres
qui recouvre le bord externe du noyau rouge, c'
le. Il existe encore une certaine raréfaction au niveau du champ de
fibres
situé en dehors du noyau rouge et au-dessus du co
étendue considérable et qu'elles se trouvent ainsi à sectionner les
fibres
provenant de la face médiane. Quant aux lésions
rale. Nous ne saurions soutenir que le noyau rouge ne reçoit aucune
fibre
du reste de l'écorce cérébrale, bien que nous p
rminent également la dégénérescence secondaire d'un grand nombre de
fibres
de projection destinées à d'autres ganglions. Ain
égénérées du noyau rouge, la disparition plus ou moins complète des
fibres
à myéline qui pénètrent à l'intérieur de ce noyau
vements sont pour la plupart purement réflexes ou automatiques, les
fibres
nerveuses provenant de l'écorce cérébrale ne so
iquer par la lésion, dans le voisinage immédiat du noyau rouge, des
fibres
operculo-ruhriques, el, en particulier, du cont
ance du noyau rouge, puisqu'il est démontré que ce noyau envoie des
fibres
direc- tes du noyau du facial ; ce n'est que pl
l ; ce n'est que plus tard que ce noyau lui-même est activé par des
fibres
provenant de l'écorce (fibres operculo-rubriques)
ce noyau lui-même est activé par des fibres provenant de l'écorce (
fibres
operculo-rubriques) et que son mécanisme devien
culo'pl'otubél'antielle, puissent résulter de l'Irritation soit des
fibres
operculo-rubriques, soit des fibres rubro-Imlbaii
sulter de l'Irritation soit des fibres operculo-rubriques, soit des
fibres
rubro-Imlbaiies. Nous sommes donc porté à croir
t de l'irritation directe du noyau rouge, soit de l'mlerruption des
fibres
corticales dont le but à l'état nor- mal est de
étal et la face externe du lobe temporal ne semblent pas envoyer de
fibres
au noyau rouge. Les fibres qui tirent leur or
be temporal ne semblent pas envoyer de fibres au noyau rouge. Les
fibres
qui tirent leur origine du lobe frontal se renden
t avec les zones marginales dorso-mélliane et dorso-lalérale. Les
fibres
qui prennent naissance au niveau de la région ope
ut avec les zones marginales dorso latérale el ventro-latérale. Les
fibres
qui proviennent de la face médiane du lobe tempor
que l'anatomie nous eut montré l'indépendance du corps strié et des
fibres
corticales de la capsule interne, et aussi la dég
inorité parmi les neurologistes (Mingazzini) admet l'exis- tence de
fibres
de projection cortico-lenticulaires ; le corps st
n cortico-lenticulaires ; le corps strié donnerait naissance il des
fibres
qui s'associent aux fibres pyramidales. Ces auteu
e corps strié donnerait naissance il des fibres qui s'associent aux
fibres
pyramidales. Ces auteurs ont observé des cas où
es d'après Weigert, les proportions normales ; tous les systèmes de
fibres
sont intacts. Ce ne sont que les corps striés q
Microscopiquement (Weigert-Pal) il y a une diminution très forte des
fibres
appartenant en propre au corps strié; dans le c
distinguant par leur coloration plus faible et par leur volume des
fibres
de. passage se rendant à la capsule interne. Dans
rps strié avec réduction des radiations de ce corps ; intégrité des
fibres
de projection de la capsule interne, ce ne sont q
-est formée par un réseau librillaire inextricable, dans lequel les
fibres
verticales ne sont pas retrouvées. Les fascicul
ces fascicules ne sont pas retrouvés. La substance innominée avec ses
fibres
transversales, la bandelette optique et la comm
u corps strié, par contre le tissu interradiaire est très pauvre en
fibres
à myé- line. Les fibres verticales, qui, normal
e le tissu interradiaire est très pauvre en fibres à myé- line. Les
fibres
verticales, qui, normalement, entrent dans la con
tion. Le segment latéral du globus pallidus contient un réseau de
fibres
à myéline extrêmement dense, dans lequel la lam
sceau volumineux en forme d'écharpe : l'ansa lenticularis. D'autres
fibres
émergent la face supérieure du globus pallidus,
rmal. C'est le même cas avec la région sublenticulaire, contenant les
fibres
transversales du pednnculus inferior thalami.
terradiairesmontrentun réseau fibrillaire très dense, mais dont les
fibres
à myéline sont d'une finesse Série normale Séri
S DANS LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 285 extrême; en d'autres places les
fibres
à myéline sont presque absentes. Les lamina; mé
s. Les lamina; médullaires contiennent dans cette coupe beaucoup de
fibres
à direc- tion verticale. Le réseau fibrillaire
ns la partie médiale du globus pallidus nous remarquons beaucoup de
fibres
croi- sant les fibres radiées ; elles s'achemin
u globus pallidus nous remarquons beaucoup de fibres croi- sant les
fibres
radiées ; elles s'acheminent vers la capsule inte
les sont en forte dégé- nérescence pigmentaire, mais- son réseau de
fibres
à myéline est plus dense que d'ordinaire. La zo
les espaces interradiaires sont en partie occupés par un réseau de
fibres
à myéline extrêmement dense, mais le calibre de
éseau de fibres à myéline extrêmement dense, mais le calibre de ces
fibres
est très fin. A d'autres places les espaces inter
s Weigert-Pal. Les laminas médullaires contiennent un bon nombre de
fibres
verticales. Le corps sous-thalamique est en atr
aux confins de la région sous- thalamique En étudiant le réseau de
fibres
à myéline dans la couche optique, des réduction
s constatées. La capsule interne est intacte en ce qui concerne les
fibres
de projection corticale. Coupe VII (en arrière
coupe d'après Weigert-Pal est normal. Nous remarquons le manteau de
fibres
à myéline autour de ce noyau se conti- nuant da
S LA LÉSION DU CORPS STRIÉ 287 motion décrite; partout le réseau de
fibres
à myéline a une densité normale. A la base la n
s constater également l'intégrité des fais- ceaux pyramidaux et des
fibres
transversales protubérautielles. D'après la mét
- 288 ' VAN WOEIIKOM pect est tout à fait normal. On remarque les
fibres
radiées entourant l'écorce ; le feutrage interr
res radiées entourant l'écorce ; le feutrage interradiaire avec ses
fibres
fines et ses fibres grosses montre la densité n
t l'écorce ; le feutrage interradiaire avec ses fibres fines et ses
fibres
grosses montre la densité normale ; dans les co
ns les coupes pas trop décolorées, le feutrage superradiaire et les
fibres
tangentielles superficielles sont également en bo
colorées d'après les méthodes de Weigert pour la démonstration des
fibres
myéliniques. On a constaté alors dans la moelle
gauche et vers la périphérie de la moelle, il existe encore quelques
fibres
dissé- minées. La dégénérescence descendante es
uence, dans les couches superficielles de l'écorce, de faisceaux de
fibres
névrogliques proliférées, et après lui, Alzheimer
plusieurs anatomistes estiment que c'est seulement un anneau formé de
fibres
tendineuses. i serait le ganglion. i le cordo
entre deux lames de verre et vu au microscope. 1. Ganglion formé de
fibres
longitudinales, défibres transversales et d'une
u centre du ganglion. 3. Nerfs ayant une de leurs origines dans les
fibres
longitudinales et une autre dans les fibres tra
leurs origines dans les fibres longitudinales et une autre dans les
fibres
transverses. Anatife (d'après Cuvier et M. Mart
nt de Varóle. Les points blancs indiquent la section des faisceaux de
fibres
transverses venant du cervelet. /j'"e v. Quatri
centrale dont un prolongement se continue avec Taxe cylindrique d'une
fibre
nerveuse (d'après Ecker). à. Cellule multipolai
nucléole. d. Rayon de cette cellule qui se porte dans l'axe de la
fibre
nerveuse d'. Fig. 45. Cellules conjuguées de l'
ur et racines postérieures des nerfs spinaux dont on voit certaines
fibres
pénétrer dans l'épaisseur des axes gris, et s'inf
, et s'infléchir vers le ventricule de la moelle, tandis que d'autres
fibres
se portent dans les cellules multipolaires des co
érieures. d. Racines antérieures des nerfs spinaux dont certaines
fibres
sont en rapport avec les cellules multipolaires d
es racines antérieures; 2° avec les racines postérieures; 3° avec les
fibres
longitudinales des faisceaux moyens et postérieur
ongitudinales des faisceaux moyens et postérieurs; 4° enfin, avec les
fibres
entrecroisées qui constituent la commissure antér
culaires situés à droite et à gauche du ventricule de la moelle. h.
Fibres
entrecroisées sur la ligne médiane con- stituan
aux disséminés, formant l'arête centrale des faisceaux moyens. j.
Fibres
qui de la face antérieure des faisceaux postérieu
gélatineuse intermédiaires aux lames centripètes qui constituent les
fibres
précédentes. I. Commissure grise. A. Faisceau
Fig. 2. Structure d'une feuille du cervelet. a. Faisceau central de
fibres
blanches provenant du novau blanc du cervelet.
de la protubérance, c. Olive du bulbe. d. Trapèze, formé par les
fibres
du plan profond de la protubérance qui déborde
i. Corps strié inférieur, en dehors duquel se voit F éventail des
fibres
de la couronne de Red coupé à sa racine. h. Cor
inereum. Ce prolongement forme une anse qui se confond avec certaines
fibres
du pédoncule cérébral, et embrasse l'étage inféri
les des ventricules latéraux recouvertes par certaines expansions des
fibres
postérieures du corps calleux. d. Nerfs longitu
apion). a. Bulbe. b. Pyramide antérieure. c. Protubérance» d.
Fibres
antéro-postérieures qui sont comprises dans le
postérieure des faisceaux moyens du bulbe ; elles sont l'origine des
fibres
arciformes. e. Pyramides pédonculaires séparées
séparées l'une de l'au- tre au point de leur entre-croisement. f.
Fibres
du pédoncule supérieur du cervelet qui suivent
m. Masse des tubercules quadrijumeaux. n. Aqueduc de Sylvius. o.
Fibres
que l'anse du pédoncule envoie dans cette porti
couche optique. t. Corps strié interne. u. Commissure antérieure. v.
Fibres
antérieures de l'éventail pédonculaire. Fig. 6.
laire latéral de l'isthme. g. Tubercule quadrijumeau postérieur. h.
Fibres
postérieures du cornet pédonculaire. i. Pédoncu
k. Corps genouillé interne. I. Corps strié externe revêtu par des
fibres
émanées de l'anse du pédoncule, m. Commissure a
encéphale droit d'un Macaque (Macacas radiatus). a. Bulbe. a'a'.
Fibres
delà face postérieure des faisceaux latéraux qui
tent en avant et en bas dans le raphé du bulbe, et sont l'origine des
fibres
arciformes. b. Faisceau postérieur du bulbe dét
e de ce prolongement qui embrasse le noyau de la couche optique. c.
Fibres
qui de l'étage moyen du pédoncule vien- nent se
e moyen du pédoncule vien- nent se joindre au système formé par les
fibres
de la cupule, et forment des anses qui embrassent
la couche optique formant par une fasciculation plus serrée de ses
fibres
la rêne droite des habense de la glande pinéale.
e des commissures propres à la face interne de l'hémisphère. a.a.a.
Fibres
propres, formant par leur fascicula-tion l'anneau
l'extrémité frontale à l'extrémité occipitale de l'hémisphère. ci .
Fibres
supérieures de l'ourlet qui se portent vers l'ext
et qui se portent vers l'extrémité postérieure de l'hémisphère. a".
Fibres
de l'ourlet qui descendent dans le lobe sphénoïda
rlet qui descendent dans le lobe sphénoïdal jusqu'à sa pointe. a'".
Fibres
inférieures de l'ourlet qui se portent vers l'ext
'extrémité occipitale de l'hémisphère. 6. Intervalle qui sépare les
fibres
indiquées en a de celles désignées en a"', et que
latéral. c.c.c. Corps calleux. d. Pilier droit de la voûte. ë .
Fibres
blanches antéro-postérieures du septum lucidum.
ntéro-postérieures du septum lucidum. /'. Corps strié externe. q.
Fibres
qui de l'arc supérieur de l'éventail pé-donculair
sphénoïdale. C.C.j CC Couches corticales. CCI Fig. 2. Le plan des
fibres
de l'ourlet a été enlevé pour mettre à découvert
de la voûte. cf. Division de ce pilier qui se môle intimement aux
fibres
du bord ou genou postérieur du corps calleux. d
rps genouillé externe. n. Commissure antérieure. o. Expansion des
fibres
du tapis de Reil. o" Bord épaissi qui limite ce
e modification très-simple de celle qui a été représentée fig. 5. Les
fibres
postérieures du corps calleux (fig, 5, c") ont ét
ier droit de la voûte coupé. e. Lame droite du septum lucidum. g.
Fibres
qui forment au corps strié externe une (1) J'ai
de l'ablation d'une partie de la voûte et du septum lucidum. q.q.q.
Fibres
qui du faisceau perforé du pédoncule se portent d
ment dans l'hémisphère cérébral. l . Leurs entre-croisements avec les
fibres
du corps calleux. Fig» 6. L'anse du pédoncule
rayonnements dans le bord inférieur de l'hémisphère. q.q. Plan des
fibres
du pédoncule qui se rendent directement à l'hém
endent directement à l'hémisphère. r. Corps genouillé interne. r\
Fibres
nées du corps genouillé interne, et qui se mêlent
es du corps genouillé interne, et qui se mêlent au plan formé par les
fibres
directes du pédoncule. Fig. \ . Cette figure re
soulevés, et la commissure antérieure abaissée. De plus, le plan des
fibres
directes qui viennent du pédoncule à l'hémisphère
ttre a été par erreur remplacée dans la figure par la lettre q. hh\
Fibres
qui se portent directement du noyau de l'axe da
e dans l'hémisphère. i. Enveloppe fibreuse du corps strié externe, y.
Fibres
qui descendent du corps calleux et du bord supé
tte préparation est destinée à montrer la distribution simultanée des
fibres
directes de la couronne Reil ou du cornet pédoncu
c. Corps strié externe. d. Corps strié interne ou supérieur. e.
Fibres
du pédoncule qui composent l'éventail du cornet
es doublant immédia-ment les couches corticales. /. Décussation des
fibres
du corps calleux avec les fibres directes. Fig.
hes corticales. /. Décussation des fibres du corps calleux avec les
fibres
directes. Fig. 5. Cette figure représente la fa
s latéral, y. Plis et feuilles du lobe latéral en relation avec les
fibres
du pont de Varole. Fig. 4. Cette figure est des
erne se porte dans le bord supérieur de l'hémisphère. g. Plan des
fibres
directes des expansions péclon- culaires. h.
tte optique. i. Commissure antérieure, y. Commissures propres. k.
Fibres
de l'enveloppe externe du corps strié externe.
inte du lobe occipital à celle du lobe sphénoïdal. q. Expansion des
fibres
de l'ourlet, r. Commissures propres. s. Corps gen
s genouillé interne gauche. u. Commissures propres. v. Anneau des
fibres
de l'ourlet. x. Corpus fimbrialum. y. Genou p
Rayons antérieurs de l'éventail pédonculaire tranchés. g. Plan de
fibres
qui revêt extérieurement le corps strié. h. P
ses deux feuillets composants. I. Méat de Sylvius. m. Faisceau de
fibres
qui par le corps calleux vient de la moitié droit
érance annulaire. f. f. Pédoncules cérébraux. fi Prolongement des
fibres
du pédoncule constituant l'éventail pédonculaire.
f". Enveloppe externe du corps strié externe qui a été énucléé. g.
Fibres
radiculaires du corps calleux. g\ Partie moyenne
. Expansion du nerf optique dans l'hémisphère droit. m. m. Plan des
fibres
directes du pédoncule. m\ Ses relations avec l'
me dans le vermis latéral. e. Pédoncule supérieur du cervelet. c.
Fibres
de ce pédoncule embrassant l'olive du cervelet.
s dans le ver mis latéral. c. Pédoncule supérieur du cervelet. c\
Fibres
de ce pédoncule qui enveloppent l'olive du cervel
Nerf ou lobe olfactif. Fig. 9. Cette figure montre l'expansion des
fibres
de l'ourlet. Cf. Pl. XXVI, fig. 4. E. F. Extrém
corticales. C, C. Corps calleux. Jr _|_ _j_ Anneau formé par les
fibres
de l'ourlet. Fig. SO. Expansions du corps calle
. Sur des coupes de l'aorte, on constate que ni l'endartère, ni les
fibres
élastiques de la mésartère ne sont lésées; la p
d'éléments chromatophiles ; leurs prolongements sont normaux ; les
fibres
tangentielles et 36 RAYMOND ET BABONNEIX radi
ct habituel, la méthode de Marchi ne décèle aucune dégénération des
fibres
centro-ôvalaires. Les coupes du cervelet ne montr
dre lésion. Au niveau de la protubérance et du bulbe, intégrité des
fibres
à myéline, des vaisseaux et de la névroglie, cont
G. Filet antérieur de la 7e racine cervicale droite. Diminution des
fibres
nerveuses, pelotons de libres de régénération.
laires. Il en est de même pour le reste de la subs tance grise. Les
fibres
de la substance blanche, la pie-mère, le tissu co
c un faible grossissement (Pl. V, B et PI. VI, C) que le nombre des
fibres
que contiennent ces troncs nerveux est très inf
en fournis tandis que d'autres ont perdu une grande partie de leurs
fibres
à myéline, celles qui res- tent forment le plus
ovalaires ou fusiformes et sou- vent parallèles à la direction des
fibres
nerveuses, si bien que sur ces coupes transvers
us forts (fig. 3) les mêmes variantes de lésions, mais ici déjà les
fibres
nerveuses composées d'uu cylindre-axe et d'une ga
uve des lésions beaucoup plus avancées (V. PI. V, B et fig. 3). Les
fibres
nerveu- ses y sont rares. Le tissu conjonctîf i
enté sur une notable partie du champ du microscope par un réseau de
fibres
min- ces, laissant entre elles des espaces clai
EURS 51 un feutrage plus ou moins épais englobant parfois plusieurs
fibres
nerveuses soit (et c'est le cas le plus fréquen
oit (et c'est le cas le plus fréquent) pour constituer autour de la
fibre
nerveuse un manchon cylindrique. Cette dernière
nombre et à la périphérie du manchon elles se con- tinuent avec les
fibres
plus espacées du tissu réticulé avoisinant. Les
ent avec les fibres plus espacées du tissu réticulé avoisinant. Les
fibres
nerveuses contenues dans ces gaines volumineuses
breux qu'un espace central plus clair qui représente la place de la
fibre
nerveuse absente. Toutes ces variantes se retro
oupes transversales des nerfs mixtes montrent une raréfac- tion des
fibres
nerveuses ; celles qui restent sont les unes norm
t' disposés régulièrement. Mais c'est là l'exception. b) D'autres
fibres
dont la gaine de Schwann est épaissie en manchon
énelée. Cette variante aussi est peu fréquente. c) La plupart des
fibres
ont une gaine périphérique très dense et épaisse
t grêle. On voit parfois dans un même manchon fibreux deux ou trois
fibres
nerveuses à des degrés divers d'al- tération, s
cées. Nous avons même trouvé une dis- position assez curieuse ; une
fibre
nerveuse qui dans sa gaine fibreuse épaissie se
épaissie se recourbe et revient sur elle-même (fig. 6), Fm. 5. -
Fibres
du radial. Pal et carmin. Oc. III, obj. 6. FI
- Fibres du radial. Pal et carmin. Oc. III, obj. 6. FIl" 6. - Une
fibre
du nerf médian. Pal et carmin. Oc. III, obj.
s qu'un cordon fibreux dans lequel on ne trouve aucun vestige de la
fibre
nerveuse. Sur ces coupes longitudinales la stru
llules fibreuses qui le constituent sont allongées dans le sens des
fibres
nerveuses, leurs noyaux, ovalaires ou fusiforme
xa- tion par l'acide osmique et dissociation) ; il avait montré des
fibres
nerveuses en grand nombre dont la gaine de myél
A un faible grossissement déjà (PI. VI, F) on voit qu'il y a moins de
fibres
à myéline dans les racines antérieures que dans
f intrafasciculaire y est plus abondant. Quand on examine FiG. 7. -
Fibres
du nerf radial. Anthracène et hématoxyline. Oc. I
54 LONG ces coupes avec un plus fort grossissement (fig. 8), les
fibres
nerveuses des racines antérieures se présentent
és par du tissu conjonctif assez serré, dans lequel on retrouve des
fibres
atrophiées représentées par un cylindre-axe mal c
e ce tissu conjonctif interstitiel. En outre, on voit qu'autour des
fibres
nerveuses même bien conservées le tissu conjonc
es nerfs mixtes dans lesquels ce sont, selon toute vraisemblance, les
fibres
motrices qui ont été le plus atteintes. Ces l
int spécial qui mérite d'être noté, c'est la présence au milieu des
fibres
un peu raréfiées de la racine antérieure C 7 de
n peu raréfiées de la racine antérieure C 7 de pelotons compacts de
fibres
nerveuses enroulées (PI. VI, G). Cette dispositio
le premier et dans le fragment pris sur le muscle biceps toutes les
fibres
musculaires ont disparu. Les fibres musculaires
r le muscle biceps toutes les fibres musculaires ont disparu. Les
fibres
musculaires que l'on voit sur les coupes du delto
ophiées, d'autres sont en état d'atrophie plus ou moins avancé; les
fibres
en état d'atrophie complète ne sont plus représ
res que l'on voit sur les coupes du deltoïde contiennent encore des
fibres
nerveuses mais en nombre bien infé- rieur à la
ns les gros nerfs du creux axillaire, c'est-à-dire des zones où les
fibres
nerveuses raréfiées sont entourées d'une gaine fi
su réticulé, tantôt' épaissi et condensé dans les inter- valles des
fibres
nerveuses. Présence de gaines conjonctives annula
conjonctives annulaires et volumineuses autour d'un grand nombre de
fibres
des nerfs mixtes. Ces diverses lésions sont plu
st bien évident que dans ce cas elle est due à la dégénérescene des
fibres
motrices, accompagnée ou aggravée peut-être par
térieures de la moelle. Ces lésions périphériques systématisées des
fibres
motrices n'ont pas eu un retentissement appréciab
les se présentent sous une forme typique : diminution du nombre des
fibres
à myéline, augmentation du tissu conjonctif inter
tissu conjonctif interstitiel et présence, autour de la plupart des
fibres
nerveuses, d'une gaine conjonc- tive annulaire
débuté dans l'enfance» (1). Ces auteurs décrivent dans le texte des
fibres
de moyen calibre entourées de lames striées s'e
de lames striées s'emboîtant les unes dans les autres et de grosses
fibres
entourées d'une lame épaisse (V. la fig. 3 de la
ve description des nerfs. Ils semblent, dit-il, conte- nir moins de
fibres
que normalement, car sur des coupes transversales
upés par un tissu riche en noyaux. Les nerfs contiennent encore des
fibres
qui ont une grande largeur; après traitement pa
, sont même épaissis, bleuâtres, mais on y trouve difficilement des
fibres
. Friedreich danssonouvragesur «L'atrophie muscu
entourés d'un tissu conjonctif épais qui s'infiltre aussi entre les
fibres
; ce névrilème hyperplasique contient beaucoup de
men his- tologique montre une diminution considérable du nombre des
fibres
dans les troncs nerveux, et autour des fibres n
dérable du nombre des fibres dans les troncs nerveux, et autour des
fibres
nerveuses,une enveloppe conjonc- tive fibreuse
loppe conjonc- tive fibreuse en anneau, contenant parfois plusieurs
fibres
à la fois et parfois aussi ne contenant pas de
ois plusieurs fibres à la fois et parfois aussi ne contenant pas de
fibre
nerveuse mais un point rose qui est soit un noy
re progressive est nettement familiale, la diminution du nombre des
fibres
nerveuses dans les nerfs périphériques est éviden
nt des lésions souvent juxtaposées d'hypertrophie et d'atrophie des
fibres
musculaires. La moelle (1) HOFFMANN, Uber neuro
e méde- cine, 1890, p. 441. 1 60 LONG est intacte, du moins les
fibres
nerveuses y sont en nombre normal, mais il y a
rbillons névrogliques ; dans les troncs nerveux, dégénérescence des
fibres
à myéline, augmentation du tissu conjonctif surto
tion de nombre ou de volume des éléments histologiques (cellules ou
fibres
conductrices des centres nerveux, fibres périph
histologiques (cellules ou fibres conductrices des centres nerveux,
fibres
périphériques motrices,sensitives ou sympathiques
nerveux, fibres périphériques motrices,sensitives ou sympathiques,
fibres
musculaires). On ne peut les interpréter que comm
eurs de la moelle ; dans les nerfs périphériques la raréfaction des
fibres
nerveuses était accompagnée d'une sclérose conjon
; dans les nerfs périphériques, en même temps que la diminution des
fibres
nerveuses il y avait un épaissis- sement du név
fasciculaire) ; les filets sensitifs étaient intacts, les lésions des
fibres
mus- culaires s'accompagnaient de lipomatose au
intacte, la névrite interstitielle périphé- rique forme autour des
fibres
nerveuses raréfiées des enveloppes en anneaux ;
ns très variables, mais il n'y a pas de manchons fihreux autour des
fibres
nerveuses. L'observation de Marinesco qui se ra
; dans les nerfs périphériques, à côté des lésions atrophiques des
fibres
nerveuses il y a une hyperplasie conjonctive, m
Gombault et Malle[, de Dejerine, Sottas et Thomas ; raréfaction des
fibres
nerveuses, augmenta- tion du tissu conjonctif i
partout altéré au même degré et on ne saurait supposer ici que les
fibres
nerveuses man- quantes ont été détruites par co
rieures sont normales ; dans les racines antérieures une partie des
fibres
nerveuses se sont atrophiées, ce qui d'une part v
r de la façon suivante : Atrophie régressive d'un grand nom- bre de
fibres
nerveuses, hyperplasie du tissu conjonctif intraf
rie dans les filets nerveux intra-musculaires.Dans leur ensemble les
fibres
motrices ont été atteintes plus que les fibres
ns leur ensemble les fibres motrices ont été atteintes plus que les
fibres
sensitives. Cliniquement, ces lésions se sont t
t l'écorce est fortement atrophiée, une très légère raréfaction des
fibres
placées au milieu de ces lamelles. De même le r
des fibres placées au milieu de ces lamelles. De même le réseau des
fibres
myéliniques qui se trouve dans la couche des gr
st à noter cependant que sur les coupes transversales la couche des
fibres
transver- sales sous-purkiniennes est partout b
on ne peut même pas dire qu'il existe à ce niveau une raréfaction des
fibres
. Les noyaux accessoires de l'olive,le bouchon e
éseau myélinique dense, et on peut bien voir aussi les nombreu- ses
fibres
qui vont constituer, en arrière de ces noyaux, l'
l, ni 76 ITALO ROSSI foyer hémorragique ou de ramollissement. Les
fibres
semi-circulaires exter- nes sont abondantes, se
enir des cellules aussi nombreuses que sur des coupes normales. Les
fibres
transversales antérieures, moyennes et postérie
noyaux juxta-olivaires, interne et externe, sont aussi normaux. Lcs
fibres
cérébello-olivaires, rétro, pré, et intertrigémin
fibres cérébello-olivaires, rétro, pré, et intertrigéminales, et les
fibres
arciformes superficielles antérieures sont auss
nt on voit que cette raréfaction est due à la plus grande richesse de
fibres
fines, avec, ici et là la perte de quelques fib
ande richesse de fibres fines, avec, ici et là la perte de quelques
fibres
. Cette raréfaction bien que diffuse est toutefo
du tissu interstitiel. Dans aucun segment la légère raréfaction des
fibres
des cordons postérieurs ne présente trace de sy
e lombo-sacrée et dorsale inférieure contiennent un grand nombre de
fibres
fines, beaucoup plus abondantes qu'à l'état nor
'à l'état normal et montrent la disparition, ici et là, de quelques
fibres
, de telle sorte que sur la coupe au Weigert on
ien colorées, d'aspect normal, ainsi que la zone de Lissauer et les
fibres
collatérales, très abondantes. Dans les cordons
vers la périphérie de la moelle, il existe la même raréfaction des
fibres
que dans les cordons postérieurs, mais elle est
s la même raréfaction, encore plus légère, à peine perceptible, des
fibres
des cordons latéraux et enfin, dans une abondance
bres des cordons latéraux et enfin, dans une abondance anormale des
fibres
fines, dans les racines postérieures, avec la per
es racines postérieures, avec la perte, ici et là de quelques rares
fibres
. Nous croyons pouvoir interpréter ces lésions c
rt déjà que dans notre cas la substance centrale du cervelet et les
fibres
arciformes externes présentaient un aspect normal
es couches de l'écorce s'atrophient et disparaissent, par suite les
fibres
médullaires dégénèrent, l'organe est réduit dan
les plus atrophiées on note une raréfaction tout à fait légère des
fibres
nerveuses. Ce fait est difficile à expliquer, n
e la subs- tance blanche n'est qu'apparente. Par la disparition des
fibres
dégénérées et le tassement de celles qui persis
comme au dedans, sans négliger le plus mince organe, la plus petite
fibre
, peut se figurer, avec une apparence de raison,
ié de son volume (PI. XXVII). Au niveau du foyer proprement dit les
fibres
nerveuses constituant le réseau myélinique de l
te une légère diminution de largeur, mais pas de raréfaction de ses
fibres
ni de sclérose. Le cordon antéro-latéral gauche
éral présente eu outre une légère décoloration, une raréfaction des
fibres
avec légère hyperplasie névroglique. Les sillons
cordon antéro-latéral par lesquels passent, en riches faisceaux, les
fibres
radi- culaires antérieures, sont presque complè
radi- culaires antérieures, sont presque complètement dépourvus de
fibres
et occu- pés presque exclusivement par du tissu
mineuses à gauche qu'à droite ; elles ne contiennent presque pas de
fibres
et sont presque uniquement constituées par du tis
ituées par du tissu in- terstitiel fortement sclérosé. Les quelques
fibres
encore restantes sont pour la plupart fines et
es antérieures gauches de ce seg- ment une atrophie et une perte de
fibres
qui bien que beaucoup moins accu- sée que dans
i, le foyer est moins volumineux que dans L 3, la ra- réfaction des
fibres
et la sclérose y est moins accusée. Au sein du fo
res gauches moins forte ; ces der- nières contiennent de nombreuses
fibres
saines. A noter dans la corne droite, au niveau
C 1 ; il s'agit ici aussi d'atrophie simple, sans dégénération des
fibres
nerveu- ses. Les colonnes de Clarke dans tout
on an- cienne ou récente. Le tissu conjonctif est constitué par des
fibres
allongées parallèlement à la surface de la peau
cles sont normaux pour ce qui concerne la structure intimé de leurs
fibres
qui sont vues ici en coupe transversale, mais ent
leurs fibres qui sont vues ici en coupe transversale, mais entre les
fibres
il y a des traînées de tissu adipeux. On voit s
cette région a été débité en coupes pa- rallèles à la direction des
fibres
musculaires et on voit ces dernières l'état de
on, les comprimer ni les irriter. De même pour les muscles dont les
fibres
sont parfois dissociées par du tissu adipeux in
e succédant à intervalles variables. Dercum a décrit l'atrophie des
fibres
des nerfs périphériques, mais ce sont là des co
iliaque, trop surbaissée et dans le mode d'attache défectueuse des
fibres
charnues du grand oblique. « A la partie postér
couche grillagée et au champ de Wernicke dont il sectionne quelques
fibres
; en dehors il s'arrête au confin du globus pal
e par le foyer) dans laquelle ne persistent plus que quelques rares
fibres
saines, et une diminution de largeur évidente d
bres saines, et une diminution de largeur évidente de la couche des
fibres
représentant les radiations optiques. Il n'exis
ntant les radiations optiques. Il n'existe pas dans cette couche de
fibres
, de dégénération proprement dite, bien qu'il y
ration proprement dite, bien qu'il y ait une légère raréfaction des
fibres
avec très légère sclérose. Sur la coupe suivant
st aussi nette que sur les coupes précédentes ! et que la couche de
fibres
représentant les radiations optiques est moins
ge du côté gauche qu'à droite et présente une légère raréfaction de
fibres
avec sclérose très légère. La coupe représentée
corps de Luys tend à augmenter d'éten- due et vient sectionner les
fibres
de la partie antérieure de la capsule du noyau
NS 191 téressant la partie moyenne des tubercules mammillaires, les
fibres
radiculai- >- res les plus antérieures de. l
lité et sectionner, comme sur la coupe de la figure précédente, les
fibres
de la portion antérieure de la capsule du noyau
sule du noyau rouge vient sectionner en outre le groupe externe des
fibres
de la Tille paire, lesquelles traversent, comme
ns le pied du pédoncule, il détruit presque complètement toutes les
fibres
qui le compo- sent, et ne respecte que quelques
éticulée de la calotte Sur la coupe représentée figures 8 et 9, les
fibres
les plus externes du pédoncule cérébelleux supéri
ns la région inférieure du pédoncule, au niveau de l'apparition des
fibres
transversales du pont. A ce niveau (fig. 10) la
rêter à la partie antérieure du ruban de Reil latéral dont quelques
fibres
sont encore sec- tionnées. Le foyer détruit enc
per- , sistent quelques faisceaux de la voie pyramidale et quelques
fibres
transversales du pont. - Topographie du foyer
n- culaire inférieure et s'arrête là, au niveau de l'apparition des
fibres
trans- 192 nossr ET ROUSSY versales du pont.
nterne en poussant une pointe en arrière qui va sectionner quelques
fibres
de la zone réticulée et détruire la partie tout
externe du pied du pédoncule et coupe complètement à ce niveau les
fibres
du faisceau de Turck. 3° Dans tout le reste du
le noyau rouge et le pied du pédoncule, sectionnant à ce niveau les
fibres
de la capsule du noyau rouge et même sur une pe
. A ce niveau le foyer vient enfin sectionner le groupe externe des
fibres
de la IIIe paire qui sont prises soit à leur pa
e du Reil latéral, la partie externe du Reil médian et effleure les
fibres
les plus externes du pédoncule cérébelleux supéri
aut t en bas et détruit même, à un moment donné, presque toutes les
fibres
qui le composent,en ne respectant que quelques
r se termine enfin, dans le pédoncule au niveau de l'apparition des
fibres
transversales du pont. \ remarquer ici, pour le
ifération nucléaire au sein duquel ne persistent que quelques rares
fibres
saines. A la partie an- térieure de la portion
se très ancien. Au sur et à mesure qu'on s'approche du chiasma, les
fibres
redeviennent plus nombreuses dans la bandelette
7 et 8), qu'une diminution de volume avec ra- réfaction légère des
fibres
accusée surtout à la partie la plus externe. Il
champ de Wernicke et du corps de Luys du côté gauche. La couche des
fibres
représentant les radiations optiques est nettemen
te pas de dégénérescence nette à proprement parler, on voit que les
fibres
y sont moins denses et moins serrées que du côté
ette région cependant, il semble exister une certaine raréfaction des
fibres
qui paraissent plus espacées et moins nombreuse
ule interne est moins développée en largeur qu'à l'état normal, les
fibres
y sont assez denses et assez bien colorées alor
ne atrophie très marquée du ruban de Reil médian dont la couche des
fibres
est réduite au moins des deux tiers par rapport à
te cependant du ruban de Reil latéral et une dégénération nette des
fibres
de la portion externe de la subs- tance réticul
uche. Ici en effet, ainsi que le montre la figure 11, on voit que les
fibres
trans- versales de la région sont bien colorées
versales de la région sont bien colorées et nombreuses mais que les
fibres
cou- pées perpendiculairement sont fortement di
ent sont fortement diminuées de nombre. Or ce sont là justement les
fibres
du ruban de Reil médian dont on poursuit toujours
he est également un peu diminuée de volume et un peu moins riche en
fibres
que la partie correspondante du côté droit. Sur
il existe des lésions atrophiques très manifestes (V. fig. 12), des
fibres
arciformes interréticulées du. côté droit, et cel
es coupes intéressant l'entrecroisement piniforme. Le groupe de ces
fibres
qui est très apparent du côté gauche, est à dro
st très apparent du côté gauche, est à droite fortement réduit, les
fibres
y sont rares, celles qui persistent sont cepend
droit et enfin un éclaircissement avec très légère raréfaction des
fibres
dans le pyramidal croisé du côté gauche. A rema
infantile très ancienne, c'est-à-dire une résorption progressive des
fibres
dégé- nérées du pyramidal direct et un tassemen
ive des fibres dégé- nérées du pyramidal direct et un tassement des
fibres
saines persistantes du reste du cordon antérieu
d'un côté à l'autre, leur réseau myélinique est également riche en
fibres
. Les cellules enfin des cornes antérieures, sur
couche sagittale interne, il existe une certaine raré- faction des
fibres
de cette couche, ce qui lui donne un aspect plus
est très nette. A ce niveau il existe une raréfaction évidente des
fibres
radiaires, du ruban de Vicq d'Azir et même des fi
évidente des fibres radiaires, du ruban de Vicq d'Azir et même des
fibres
tangentielles pro- prement dites.Sur des coupes
ule, en plein locus niger et vient sectionner le groupe externe des
fibres
de la Ille paire. Dans le pied du pédoncule, le
compression de la voie pyramidale dans le pédoncule et de quelques
fibres
radiculaires de la Ille paire du même côté, l'h
u'elle provoque se trouvent comprises, et la voie pyramidale et les
fibres
de la IIIe paire à leur point de conver- gence
ruction presque com- plète du ruban de Reil médian (dont seules les
fibres
les plus internes, adjacentes au noyau rouge ét
rtie externe) soit intéressée et qu'ainsi la région occupée par les
fibres
du ruban de Reil médian et les parties latérale
cile à expliquer. Peut-être est-elle due au fait que quelques rares
fibres
de la portion la plus interne du ruban deReil méd
re part, que le foyer de ramollisse- ment intéressait le groupe des
fibres
externes du moteur oculaire commun, et respecta
pe des fibres externes du moteur oculaire commun, et respectait les
fibres
internes, et cela sur toute la hauteur du pédoncu
hauteur du pédoncule. Or ce fait, c'est-à-dire la conservation des
fibres
radiculaires médianes, rapproché de la paralysi
c l'opinion soutenue par Bernheimer et d'autres, selon laquelle les
fibres
radiculaires médianes les plus proxima- les de
d'être résolue aujourd'hui de la topographie dans le pédoncule, des
fibres
radiculaires de la IIP paire, correspondant au di
la macula aurait une représentation corticale bilatérale et que les
fibres
maculaires pour chacun de ces points se rendrai
F. Foyer primitif. Fli. - Faisceau longitudinal inférieur. fir.
Fibres
arciformes interréticulées. Ln. - Locus niger.
e Schultze. Dans les cordons postérieurs une raréfaction légère des
fibres
nerveuses. Dans des segments plus inférieurs de
idaux, un pe les fondamentaux, de Gowers) les a aussi touchées. Les
fibres
nerveuses sont gonflées. Le canal épendymaire e
leurs noyaux se colorent (1)(,matéine-éositie) très nettement. Les
fibres
nerveuses sont gonflées ou brisées ou à demi ré
mal par l'hématoxyline et incomplè- tement vers la périphérie. Les
fibres
nerveuses sont parfois résorbées et 214 ZOGRAFI
ns sont moins intenses. Les cellules ner- veuses sont troubles, les
fibres
nerveuses gonflées, les vaisseaux conges- tionn
s de la myélite (congestion, diapédèse leucocytaire, gonflement des
fibres
nerveuses, prolifération des éléments névrogliq
scléreuses présentaient les caractères suivants : on ne voyait des
fibres
nerveuses que dans la périphérie de la sclérose,
dis que, dans la para- lysie infantile, elle est très rebelle : les
fibres
atrophiées, comme l'ont démontré Duchenne et Ch
se, à noyau excentrique. 242 VIGOUROUX ET DELMAS Au Weigert ; les
fibres
nerveuses sont grêles, mais ne présentent pas d'a
se. De l'albuginée partent de larges tractus fibreux formés par des
fibres
très fines et flexueuses qui enserrent des cana
ngement du tissu gliomaleux remontant assez haut pour atteindre les
fibres
émanées du noyau du pathétique gauche. Quant à
s non entrecroisées de la voie sensitive centrale, c'est-à-dire des
fibres
qui émanées.du noyau du triju- meau traversent
à droile, un prolongement de la lésion bulbaire qui compri- me ces
fibres
. A côté de ces lésions de srriaob2clbie indénia
oute une série de fraîches dans la partie médiane de Th. opt. Les
fibres
nerveuses de l'écorce sont généralement bien cons
prononcé à droite qu'à gauche. On retrouve les mêmes hémorragies et
fibres
variqueuses au cervelet et dans l'oblongala. La
gion, entr'autres le VIII. Le bord médian du néoplasme contient des
fibres
nerveuses encore colo- rahles. Il s'agit d'un s
vacuoles, les grosses cel- lules araignées, les hémorragies et les
fibres
variqueuses décrites ailleurs. Le noyau denté d
CÉRÉBRAL z81 de S. et du IV° ventricule est semé de vacuoles et les
fibres
nerveuses y sont variqueuses, en voie de destru
e par une insertion interne du brachial antérieur qui lui fournit les
fibres
longitudinales, normalement fournies par le cor
se perdent dans la peau du moignon. Le tubercule cutané ne reçoit ni
fibres
musculaires ni filet nerveux apparent. Moelle
estinée. Il se termine bientôt par un épanouissement assez large de
fibres
tendineuses qui se fixent à la face profonde de
face profonde de la peau recouvrant l'espace iuterdigital. Mais les
fibres
internes de ce tendon se continuent plus bas, des
ne sur le tendon d'Achille. Plus profondément, on voit par- tir des
fibres
musculaires qui représentent le soléaire et le po
lan fibreux aponévrotique sur lequel vient s'insérer une partie des
fibres
tendineuses des muscles de l'avant-bras, surtout
une couche pé- riostique, sur laquelle viennent prendre attache des
fibres
tendineuses surtout des fléchisseurs. Histolo
éventail sur l'aponévrose qui recouvre le moignon, de sorte que ses
fibres
semblent en continuité avec celles des radiaux.
soudure avec celui-ci, s'insérer sur le moignon par trois ordres de
fibres
tendineuses : 1° les supérieures s'insèrent à la
la plus interne de la face postérieure de l'os du moignon. Quelques
fibres
vont se perdre sur le tendon de l'extenseur com
outtière postérieure et se termine par trois ordres d'insertions : 1°
fibres
pro- fondes, s'insérant à la partie supérieure
à la partie supérieure de la face postérieure du massif osseux ; 2°
fibres
externes qui vont se perdre sur la gouttière des
ibres externes qui vont se perdre sur la gouttière des radiaux ; 3°
fibres
superficielles qui vont s'insérer sur l'aponévros
le, qui coiffe le moignon comme d'une calotte. Elle est for- mée de
fibres
propres et surtout de fibres d'emprunt de l'épano
me d'une calotte. Elle est for- mée de fibres propres et surtout de
fibres
d'emprunt de l'épanouissement t des tendons de
laire sur lequel se jette le tendon commun au coraco-brachialet aux
fibres
su- périeures du grand pectoral surmonté en deh
oir que, normalement, la couche moléculaire ne possède que quelques
fibres
radiées ou horizontales, que la membrane basale
que la membrane basale, quand elle existe, est représentée par une
fibre
ram- pante et quelques rares noyaux ; autour de
os vertebrados, p. 370 : a Nos recher- ches nous ont montré que les
fibres
citées plus haut se trouvent hérissées d'une inim
Purkinje, est le siège d'une exagération de la névroglie. dont les
fibres
sont plus grosses, dont le réseau est beaucoup pl
re. La membrane basale, si on peut appeler ainsi les quelques rares
fibres
névrogliques qui rampent normalement à la surface
convolu- tions cérébelleuses, est considérablement épaissie. Et les
fibres
radiées, qui dans les parties saines se rencont
e, mieux colorées. Elles forment un réseau vraiment bien curieux de
fibres
à peu près toutes parallèles, réalisant un cont
inje disposé en nids, en pelotons d'où cependant un grand nombre de
fibres
s'écartent pour 1- prendre une direction horizo
rable à celle qui résulte de la sénilité, c'est la même densité des
fibres
avec quelques gros astrocytes. Mais tout le reste
à celles du cerveau. La plus grande, située à gauche, effleure les
fibres
les plus postérieures de la voie py- ramidale.
u niveau de l'écorce même, soit à un point quelconque du trajet des
fibres
qui, de l'opercule, se rendent aux noyaux bulbo
ît être constituée par une bande de tissu névroglique peu épais ; les
fibres
nerveuses sont bien conservées en avant et dans
ence hyaline, et de fins rubans conjonctifs dont, par endroits, les
fibres
s'écartent pour envelopper un amas de globules
e des auteurs) sur laquelle semblent s'attacher en grand nombre les
fibres
névrogli- ques du voisinage : par endroits, la
les des cornes antérieures et la méthode de Weigert fait voir que les
fibres
nerveuses sont irrégulières et moniliformes. Le
dorsale, il ne persiste au niveau des cordons latéraux que quelques
fibres
périphériques colorées suivant la méthode de Weig
i que le cubital, le musculo-cutané étaient extrê- mement riches en
fibres
,grêles aux dépens des fibres moyennes et grosses
cutané étaient extrê- mement riches en fibres,grêles aux dépens des
fibres
moyennes et grosses net- tement diminuées de no
veux la méthode de Marchi nous a permis de constater l'existence de
fibres
en dégénérescence, de corps granu- leux en abon
fération des noyaux du sarcolemme associée à l'atrophie de quelques
fibres
, mais ce processus d'atrophie simple est discre
inence hypothé- nar) sont extrêmement atrophiés. Au microscope, les
fibres
apparaissent di- minuées de nombre et de volume
orsale. Les racines postérieures con- tiennent un certain nombre de
fibres
dégénérées isolées. Dans les cinquiè- me et six
racines gauches on remarque un mode spécial de dégéné- rescence des
fibres
nerveuses. Celles-ci apparaissent inégalement ren
peau de la main, notablement épaissie, présentait dans le derme des
fibres
conjonctives très épaisses et des faisceaux resse
bital), l'examen histologique montrait seule- ment une abondance de
fibres
grêles et une diminution de nombre des grosses
e fibres grêles et une diminution de nombre des grosses et moyennes
fibres
, tandis que dans la main les nerfs présentaient
e la racine du nez (filets internes) et à l'espace intersourcilier (
fibres
sus-trochléaires), Mais dans notre lésion ecchy
lis reçoit des filets sympathiques du plexus caverneux soit par des
fibres
anastomoti- ques directes, soit par la racine g
c le 38 groupe, et contraste par sa position et la direction de ses
fibres
. Les fibres musculaires du groupe des extenseur
pe, et contraste par sa position et la direction de ses fibres. Les
fibres
musculaires du groupe des extenseurs ne s'étenden
ur la moelle, on trouve du côté malade une diminution du nombre des
fibres
qui composent un nerf (médian, musculo-cutané,
ibres qui composent un nerf (médian, musculo-cutané, radial) et des
fibres
qui composentun muscle (presque tous ont été ex
e de ces élé- ments. Ainsi, dans les muscles les plus petits, les
fibres
musculaires ont le même volume que celle du mus
irconvolutions par une épaisse cloison de gaines myéliniques dont les
fibres
sont parallèles à la paroi névroglique, En avan
localisée de la lymphe. Celle sécré- tion se ferait par l'action de
fibres
sécrétrices qui sont douées, comme les vaso-mot
recherches, établit que le fais- ceau longitudinal n'envoie pas de
fibre
au facial ; par conséquent l'hy- pothèse de Men
ué de volume va corroborer l'idée du même auteur, qui croit que les
fibres
qui partent du noyau dont nous avons parlé descen
0 ! se)'wM ! on : cliniche tendenli a dimostrare l'e.,islen : : a di
fibre
associative tra il nervo faciale e il nervo ocu
ansversales de la moelle épinière, se montrent disséminés parmi des
fibres
saines des tubes nerveux offrant les caractères
e du tissu conjonctif, avec lipomatose, une faible hypertrophie des
fibres
musculaires. P. K. XXXI. Un cas DE tabès au déb
donc lieu par l'intermédiaire de la couche optique. Le système des
fibres
, qui relève de celle-ci, contient des faisceaux
aso-moteurs. Ce sont encore les couches optiques et les systèmes de
fibres
qui servent à transmettre et à rassembler les sti
pasme du larynx, troubles de l'innervation cardiaque; paralysie des
fibres
de l'oesophage, dans la paralysie générale; tro
versale de la moelle épinière la disparition d'une grande partie de
fibres
nerveuses. Nous devons maintenant mentionner en
de la voie pyramidale, on a trouvé la dégénérescence disséminée des
fibres
nerveuses ». Dans le même cas les fibres nerveu
énérescence disséminée des fibres nerveuses ». Dans le même cas les
fibres
nerveuses dégénérées ont été dis- séminées dans
n du bulbe et de la protubérance ; quant à la.'moelle épinière, les
fibres
dégénérées disséminées tout le long de cette de
leuse et le faisceau de Gowers contenaient le plus grand nombre des
fibres
dégénérées. Quant au quatrième cas, la lésion é
cela comme règle), c'est-à-dire de la dégénérescence disséminée des
fibres
nerveuses de la moelle avec la lésion spéciale
n ne trouve pas une lésion entière des voies conductrices, mais les
fibres
dégénérées se mêlent avec les fibres saines. Ce
s voies conductrices, mais les fibres dégénérées se mêlent avec les
fibres
saines. Ce qui concerne la portion antéro-interne
-interne des cordons postérieurs, nous y trouvons beaucoup moins de
fibres
dégénérées qu'à la région de l'altération la pl
dégénérées qu'à la région de l'altération la plus intensive. Les
fibres
dégénérées sont aussi disséminées çà etlàdans les
les de la moelle épinière on voit nettement que les fais- ceaux des
fibres
dégénérées se dirigent des racines antérieures
est plus grave. Nous voyons encore comme les petits fais- ceaux des
fibres
dégénérées se tendent vers les cellules de la cor
s de la corne antérieure correspondante. Nous rencontrons aussi des
fibres
dégénérées et dans la commissure antérieure.
st difficile de dire quelle portion de ces cordons contient plus de
fibres
dégénérées. Ce qui concerne les autres cordons
atéraux, il faut remarquer que la région dor- sale contient plus de
fibres
dégénérées, que la région lombaire ; surtout on
ées, que la région lombaire ; surtout on voit la multiplication des
fibres
altérées dans les cordons latéraux en général,
s est moins grave que celle des antérieurs. Nous trouvons aussi des
fibres
dégé- nérées dans la commissure antérieure. Les
que la lésion des cordons de Goll est très grave et la quantité des
fibres
dégénérées domine la quantité des fibres saines.
s grave et la quantité des fibres dégénérées domine la quantité des
fibres
saines. La netteté des esquisses des cordons de
a soull'erte le plus. Dans les cor, dons antérieurs et latéraux les
fibres
dégénérées ne sont pas très nombreuses. Sur les
donne dans notre cas la plus nette présentation de la quantité des
fibres
qui participent dans le procès morbide. Sur les p
renflement cervical. Dans les faisceaux de Burdach, la quantité des
fibres
dégénérées est plus grande que dans les faiscea
l'entrée de la racine postérieure, est située une agglomération de
fibres
dégénérées. Outre tout ce que nous avons dit de
dernière est. la continuation de la lésion du faisceau de Goll. Les
fibres
dégénérées pénètrent à toutes directions le noy
s directions le noyau du {uniculus cyzracilis. - Au même niveau les
fibres
dégénérées se rencontrent dans le fzczziculzcs
ces nerfs cranieus dont nous venons de parler, contiennent avec les
fibres
saines une petite quantité des fibres dégénérée
parler, contiennent avec les fibres saines une petite quantité des
fibres
dégénérées. L'examen microscopique de l'écorce
té de constater un procès dégénératif frais dans la destruction des
fibres
à myéline. Ce procès est tout à fait semblable à
s sur les préparations traitées par la méthode de Marchi, outre des
fibres
dégénérées, disséminées çà et là parmi les sain
ieures continue sans interruption dans les cordons postérieurs; les
fibres
radiculaires, après leur en- DU SYSTÈME NERVEUX
x vaisseaux sanguins, à la névro- glie, aux cellules nerveuses, aux
fibres
nerveuses; 2° clinique- ment, à la paralysie gé
e Marchi, on remarque, dissé- minées dans la substance blanche, des
fibres
nerveuses en état de dégénérescence, que l'acid
en état de dégénérescence, que l'acide osmique colore en noir. Ces
fibres
dégénérées sont visibles, en plus petit nombre,
: on trouve même dans ces racines des îlots absolument dépourvus de
fibres
nerveuses nor- males. La pigmentation exagérée
boutissant à la destruction par compres- sion, d'un grand nombre de
fibres
longitudinales. Les vaisseaux sanguins présente
olorée par la méthode de Marchai, on constate que quelques-unes des
fibres
subissent une dégénérescence paren- chymateuse
ns d'entre eux. Les espaces laissés vides par la disparition de ces
fibres
sont remplis de substance et de débris III)ro-cel
st là un fait intéressant que l'auteur a maintes fois constaté - de
fibres
nerveuses très menues, qui, tout en pos- sédant
lumière du vaisseau. Les petits vaisseaux qui courent le long des
fibres
nerveuses, sous le périnèvre, sont souvent le siè
C. X. Remarques SUR L'EMPLOI DE la formaline dans la fixation DES
fibres
NERVEUSES : par EDWIN-11. Kl'fCIlELL. (The New-Yo
.) A l'exception de l'acide osmique, les agents de fixation de la
fibre
nerveuse usités jusqu'à présent ont pour effet fâ
èrement ou presque entièrement normal dans le plus grand nombre des
fibres
. La formaline pure donne des résultats encore u
'irradiations irrégulières, et qui prennent lorsque l'on observe la
fibre
dans le sens de sa longueur, l'aspect d'un réseau
observe dans la myéline fixée par le liquide de lluller. Quand la
fibre
nerveuse a été durcie à l'aide de la formaline,
et l'éther, sans modifier son aspect. Lorsque l'on veut colorer la
fibre
nerveuse, - ou le tissu des centres nerveux - p
s parties animées par i'oculo-moteur commun. P. KERAVAL. XXVII. DES
fibres
MYOSIGLVES ; par W. DE BECHTEREIv (lveurolog. C
imentation a révélé chez les oiseaux l'existence dans le chiasma de
fibres
optiques et de fibres pupillaires entre-croisées
ez les oiseaux l'existence dans le chiasma de fibres optiques et de
fibres
pupillaires entre-croisées ; celles-ci parcoure
es chiens, il y a très probablement entre- croisement incomplet des
fibres
pupillaires dans le chiasma; elles se séparent
mplet des fibres pupillaires dans le chiasma; elles se séparent des
fibres
optiques non immédiatement en arrière du chiasm
is dans le trajet ultérieur de la bandelette optique. Il existe des
fibres
pupillaires dans la commissure postérieure. Nom
ssure postérieure. Nombre de faits pathologiques confirment que des
fibres
pupillaires marchent séparées des fibres optiqu
ogiques confirment que des fibres pupillaires marchent séparées des
fibres
optiques sur une certaine étendue du segment ce
'expliquer par des lésions qui atteignent le segment centripète les
fibres
pupillaires, dans le 'trajet où elles sont just
s pupillaires, dans le 'trajet où elles sont justement séparées des
fibres
optiques. Travaux -sur ce segment de Gudden, Da
nts spécifiques des centres nerveux, c'est-à-dire la cellule et les
fibres
nerveuses. Combinaison de la méthode de Marchi
ante. La commotion cérébrale provoque donc des lésions étendues des
fibres
nerveuses à myéline de tout le système nerveux
prend son origine dans l'atteinte plus vive de certains systèmes de
fibres
que d'autres. L'hystérie post-traumatiqueaprès
abel etbien pour substratum réel et non occasionnel ces lésions des
fibres
nerveuses à myéline qui se propagent si loin, b
dégénérescence graisseuse parvenue à un degré extrême. Au coeur la
fibre
musculaire est envahie par les granules graisse
antes : 10 La région du noyau de l'hypoglosse donne naissance aux
fibres
nerveuses qui alimentent la langue, le palais, le
le pharynx et le larynx de chaque côté du corps; 2° La colonne de
fibres
nerveuses connue sous le nom de fais- ceau resp
euses connue sous le nom de fais- ceau respiratoire est composée de
fibres
provenant des nerfs glosso- pharyngien, vague e
pharyngien, vague et vague accessoire, et il est probable que les
fibres
provenant du nerf vague et du nerf vague accessoi
s muscles des parties molles du palais ne sont pas innervés par des
fibres
émanant de la septième paire. R. DE MUSGHAVE CL
ssus du sphincter, il était arrêté par un spasme très énergique des
fibres
musculaires circulaires du rectum : la compress
; il est aussi probable que 1 l'agent nocif lèse plus gravement les
fibres
motrices que les fibres sensitives, celles-ci r
que 1 l'agent nocif lèse plus gravement les fibres motrices que les
fibres
sensitives, celles-ci réagissant par une excitati
l'on voit passer, en étroit voisinage, le faisceau pyramidal et les
fibres
des nerfs facial et moteur oculaire externe.
és. Dans la peau au-dessus des parlies oedématiées, on trouve des
fibres
nerveuses dégénérées avec cylindraxes difficileme
euil. Tel est le canevas de cette étude. La finale, c'est que les
fibres
d'association peuvent être arrêtées dans leur f
e mouvements, paralysie psychique pour l'ensemble du territoire des
fibres
d'association. Et cela, sans qu'il y ait de per
du cerveau, il y a dissémination des unités corticales et de leurs
fibres
d'association, qui ne sont enchaînées que par l
ple l'hystérie). Il y a une modification des rouages attractifs des
fibres
d'association excito- motrices, chargées de ten
effet non point l'écorce du cerveau en général, mais le système des
fibres
d'association. P. K. XLIX. RECHERCHES SUR la ge
a région de l'ocu- lomoteur droit qui a détruit les cellules et les
fibres
du noyau de 374 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLO
pourvues d'une couronne rayonnante, c'est-à-dire qui reçoivent des
fibres
établissant une communication enlre l'écorce et
es. Vers la fin du pre- mier mois, à ces conducteurs principaux, ou
fibres
fondamentales, s'adjoignent des trousseaux myél
seaux myéliniques formant, avec les pre- mières, un angle droit, ou
fibres
collatérales. Il est probable que les fibres fo
es, un angle droit, ou fibres collatérales. Il est probable que les
fibres
fondamentales de la couronne rayon- nante sont
nction centripète, (zone centrale du centre sensor iel) et. que les
fibres
collatérales qui partent de ces dernières const
eux territoires corticaux : un territoire cortical central pour les
fibres
fondamentales de la couronne rayonnante et un t
ne rayonnante et un territoire cor- tical périphérique recevant les
fibres
collatérales. Les fibres fonda- mentales parais
toire cor- tical périphérique recevant les fibres collatérales. Les
fibres
fonda- mentales paraissent n'envoyer de fibres
es collatérales. Les fibres fonda- mentales paraissent n'envoyer de
fibres
collatérales que dans le voisinage de leur zone
onscrit ; toutes les arborescences collatérales de chaque groupe de
fibres
fonda- mentales ou centre sensoriel semblent en
leurs collatérales) soit terminé. Ce qui est certain, c'est que les
fibres
fondamentales du système de projection n'en- tr
ur le versant posté- rieur de la pariétale ascendante il y a peu de
fibres
de projection, tandis qu'on trouve des collatér
e fibres de projection, tandis qu'on trouve des collatérales et des
fibres
d'association, etc.; 2° La sphère visuelle est
ouche optique a des connexions directes, mais exclusivement par les
fibres
fondamentales ou tronculaires, avec toutes ces
mémoire, y compris l'étude embryogénique minutieuse du bouquet des
fibres
de la couronne rayonnante qui, du rameau antéri
EMTAJK. (Nezerolog. Cent1"albl" XIV, 180 : ),) Etude spéciale des
fibres
issues de la substance grise même de la moelle,
elle, auxquelles il serait peut-être opportun de réserver le nom de
fibres
myélogènes, Examen des dégénérescences secondaire
s sur des chiens jeunes et adultes. Conclusions : (0 La plupart des
fibres
myélogènes se rassemblent dans le cordon antéri
; 3° la zone périphérique contient dans toute son étendue, avec des
fibres
de ce faisceau, un très grand nombre de tuyaux
myélogènes d'un calibre assez notable ou moyen ; 4° la plupart des
fibres
myélogènes longues sont atteintes de dégé- nére
le segment de la moelle, isolé par la section double ; ces longues
fibres
(faisceau de Gowers, faisceau intermé- diaire d
e Marie) s'épanouissent dans la zone périphérique, tan- dis que les
fibres
myélogènes courtes occupent de préférence la zo
compose, dans la moelle lombaire, pour la plus grande partie, de
fibres
myélogènes dont les cellules originelles occupent
grise lombaire; 6° la commissure antérieure se compose surtout de
fibres
myélogènes; les déchets finement grenus, épars en
doivent tout naturellement être considérés comme pro- duits par les
fibres
commissurales myélogènes dont les cellules orig
les régions en dehors des surfaces section- nées, et aussi par les
fibres
croisées extra-spinales. Il est certain n qu'il
dans le voisinage immé- diat de la lésion inférieure o.ù toutes les
fibres
ascendantes doivent être dégénérées, la commiss
ogènes. En faveur de cette opinion milite le nombre considérable de
fibres
commissurales saines, même dans le voisinage de l
s des conducteurs extra-spinaux sont intimement confondues avec des
fibres
d'origine rnyélogène ; il n'y a donc, quand le
èmes purs, c'est-à-dire contenant exclusivement une seule espèce de
fibres
. P. K. < 380 REVUE d'aNATOMIE ET DE PHYSIOLO
escence descendante bilatérale. De la pyramide du bulbe partent des
fibres
qui se rendent il trois systèmes de la moelle.
pour une petite partie au cordon latéral du même côté ; c) quelques
fibres
, restant du même côté, descendent dans la moell
hode de Weigert et carmin) qu'une seule et même pyramide envoie des
fibres
dans les deux cordons latéraux (Pitres). L'expé
Centralbl., t. XIV, 1895.) Après avoir indiqué que sous le nom de
fibres
du corps calleux, il enlend parler exclusivemen
nom de fibres du corps calleux, il enlend parler exclusivement des
fibres
commissurales, c'est-à-dire de celles qui joign
résultats généraux suivants. Voici d'abord le tapetum ou couche de
fibres
occupant la paroi latérale des cornes inférieur
érale des cornes inférieure et postérieure, entre l'épendyme et les
fibres
de projection. 11 contiendrait autant de fibres d
e l'épendyme et les fibres de projection. 11 contiendrait autant de
fibres
dn faisceau subcalleux que de fibres du corps c
ion. 11 contiendrait autant de fibres dn faisceau subcalleux que de
fibres
du corps calleux lui-même, et se compo- serait
corps calleux lui-même, et se compo- serait d'une couche interne de
fibres
fines d'un jaune clair, et d'une couche externe
une couche externe, bien plus large, surtout en arrière, de grosses
fibres
sombres. Les fibres minces appartiennentau systèm
bien plus large, surtout en arrière, de grosses fibres sombres. Les
fibres
minces appartiennentau système du faisceau subc
s fibres minces appartiennentau système du faisceau subcalleux; les
fibres
épaisses sont commissurales. Plusieurs des prem
e, mais elles sont complètement recouvertes, chez l'adulte, par des
fibres
commissu- rales : ainsi s'explique l'apparente
la couche externe une direction verticale. Cela vient de ce que les
fibres
du corps calleux se rassemblent en la région do
pante dans le lobe temporal; ici, en effet, les deux systèmes de
fibres
suivent l'arc d'inflexion du noyau caudé. La couc
son toit jusqu'à l'extré- mité antérieure de sa paroi médiane, ses
fibres
parvenant aux extrémités convexes et basales du
pital ; dans le lobe tem- poral, elles arrivent, du reste comme les
fibres
de la couche externe, aux parties homologues du
arc de cercle du noyau caudé est le point de concours de toutes les
fibres
du faisceau subcalleuxqui proviennent des lobes
s de la région latéro-dorsale du ventri- cule latéral, point où les
fibres
dorsales s'entrelacent avec celles du corps cal
relacent avec celles du corps calleux. Sur les côtes, la couche des
fibres
s'étale en s'amm- cissant jusqu'au noyau caudé;
noyau caudé; il en est de même, au milieu, jus- qu'au voisinage des
fibres
longitudinales de la saillie de la corne d'Ammo
rsale et médiane du noyau caudé, l'existence d'une mince bordure de
fibres
qui fournissent continuellement dans le noyau m
ipital présente, du côté du ventricule, une couche ininterrompue de
fibres
du corps calleux ; en arrière ou en haut, les p
sements de ces régions.) L'auteur admet que le splenium fournit des
fibres
au trigoue; mais celui-ci reçoit aussi des fibr
enium fournit des fibres au trigoue; mais celui-ci reçoit aussi des
fibres
latérales du corps calleux pro- prement dit et
aussi des fibres latérales du corps calleux pro- prement dit et des
fibres
médianes qui quittent le corps calleux à angle
es fibres médianes qui quittent le corps calleux à angle droit. Les
fibres
latérales sont des fibres de la circonvolution
ttent le corps calleux à angle droit. Les fibres latérales sont des
fibres
de la circonvolution du corps calleux; les fibr
atérales sont des fibres de la circonvolution du corps calleux; les
fibres
perpendiculaires viennent du trousseau antérieu
é dans le tractus de Lancisi. Plus pré- cisément, chez l'homme, les
fibres
antérieures du trigone (fomiæ longues) vont par
ne racine olfactive médiane au tuber tracti 01{act01'ii, Les autres
fibres
se dirigent antéro-iatératement pour former en
de Meynert dans la substance innominée. Et l'on en peut suivre des
fibres
de conjonction à la pointe du lobe tem- poral,
atérale delacorne d'Ammon qui, dans sa partie médiane, contient les
fibres
antéro-inférieures du segment médian de Beevor, n
inférieures du segment médian de Beevor, ne prennent point part les
fibres
tangentielles médianes. Ce trajet n'est suivi q
es fibres tangentielles médianes. Ce trajet n'est suivi que par les
fibres
plus latérales. Celles-ci suivent le dos du cor
se prolongent eu ce point dans les raies de Lancisi. Plus loin, ies
fibres
médianes se trouvent en dedans du corps godronn
e la lyre sont très étroitement unies au corps calleux, à l'étal de
fibres
commissurales. Mais les fibres de la lyre et ce
unies au corps calleux, à l'étal de fibres commissurales. Mais les
fibres
de la lyre et celles du corps calleux sont part
ti-albl., XIV, 1895.) Y a-t-il, comme le prétend Ramon y Cajal, des
fibres
des racines postérieures qui ne se terminant po
ent les grosses cellules motrices ? En d'autres termes y a-t-il des
fibres
radiculaires postérieures centrifuges ? L'auteu
sma, que les nerfs sensitifs et les nerfs sensoriels renferment des
fibres
de deux espèces; les unes émanent des cellules
s des centres, les autres vont aux cellules des centres. Tantôt ces
fibres
se mélangent confu- sément, tantôt elles formen
mière (Van Gen- deren, Stort et Engelmaun); la fonction précise des
fibres
nerveuses et de leurs centres qui y présideraie
naux; ces cellules envoient tous les cylin- draxes aux centres. Les
fibres
des nerfs optiques et acoustiques correspondent
encore aux cellules de la moelle autour desquelles se trouvent les
fibres
nadiculaires postérieures, cellules principalem
'est l'existence d'un centre du nerf optique qui (de même que les
fibres
nerveuses des racines postérieures se terminent e
ce dernier. Il est donc probable que les cellules d'où partent les
fibres
du ruban de Reil occupent lesenvirons de la rég
n de l'élément fibrillaire; les racines motrices possèdent moins de
fibres
. Ces altérations s'atténuent à mesure qu'on s'ap-
alades. L'examen microscopique a montré que dans les trois cas, les
fibres
musculaires de la vessie étaient atteintes à di
dégagement dans la cellule, avec une simple variation de degré. La
fibre
est une, et sa conductibilité est indifférente qu
automne 1895.) ? 1' M,f-»lfi ,1 t L'auteur a montré en 1892 que les
fibres
du Ilaciiit ? rt : : veii ' connexion avec les
s coupes chez le foetus, il confirme ces données; de plus, quelques
fibres
arriveraient à la formation réticulaire grise d
e complète. Donc au point de jonction du bulbe et de la moelle, les
fibres
conduc- trices du tact et de la douleur sont re
es surtout sur le trajet des libres sen- sibles, plus rares sur les
fibres
motrices. Sa terminaison, quand elle a lieu dan
nts qui au point de vue anatomique permet- taient de considérer les
fibres
de la sensibilité dans leur trajet compris entr
facilement de la sorte les dégénérescences ascendantes de quelques
fibres
de ce faisceau pyramidal dans toute poliomyélit
la lésion qui déborde ses limites étroites l'atteint aussi dans ses
fibres
qui viennent directement de l'écorce. Mais, d
e dans sa substance grise un très grand nombre de neurones dont les
fibres
dégénèrent (suivant la loi de Waller) de bas en
en haut. Tels sont les neu- rones de la colonne de Clarke dont les
fibres
iraient en grand nombre former le faisceau céré
érales partent du prolongement des cellules calleuses, d'autres des
fibres
de projections pour se terminer dans l'écorce.
nérescences qui sont en rapport avec les neurones détruits et leurs
fibres
de projection, mais encore les dégénérescences
mon noyau réticulaire de la calotte protubérantielle au moyen de
fibres
spéciales qui, sur les côtés de la partie supérie
tical, avec la substance grise de la protubérance ainsi qu'avec les
fibres
de la formation réticulaire qui constituent le
La destruction du limaçon par Baginsky et Kirilzew montre que les
fibres
de la racine postérieure de l'acoustique se termi
supérieures, au tubercule bijumeau postérieur du côté opposé. Les
fibres
de la racine postérieure, qui se terminent dans l
uadrijumeau et le rameau cochléaire de l'acoutisque contient et des
fibres
centripètes et des fibres centrifuges, et que le
ochléaire de l'acoutisque contient et des fibres centripètes et des
fibres
centrifuges, et que le trajet acoustique entret
estinées à la transmission réflexe des impulsions motrices, car les
fibres
acoustiques atteignent non seulement le tubercu
iste une communication réflexe commune oculo-auditive. En effet des
fibres
du corps trapézoïde, qui sert de voie centrale au
t des olives supérieures, qui servent de postes interrup- teurs des
fibres
du corps trapézoïde, part un gros trousseau de
- teurs des fibres du corps trapézoïde, part un gros trousseau de
fibres
qui vont au noyau de l'oculomoteur externe du côt
eur. P. KERAVAL. LXXVII. DE la I'L1CE occupée dans LE BULBE par LES
fibres
DES cordons antérieurs des pyramides ; par L. J
nspire à l'auteur les réflexions suivantes : Très probablement, des
fibres
du cordon antérieur des pyra- mides ne se mélan
ordinaire que la lésion ait exactement et toujours plus atteint les
fibres
du cordon latéral que celles du cordon antérieur.
l'entre-croisement t des pyramides, M. Jacobsohn conclut que : les
fibres
des pyramides qui, ne s'entre-croisant pas à la
s antéro-poslérieures à travers le tronc du cerveau nor- mal. A ces
fibres
postérieures s'adjoignent celles qui occupent le
joignent celles qui occupent le sillon longitudinal postérieur. Les
fibres
antérieures se placent dans l'ordre que voici :
sillon longitudinal à l'état de cordon antérieur des pyramides. Ces
fibres
-là, dans la moelle, s'entre-croisent, non en tr
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. lioïdes, de cellules de prolifération; les
fibres
nerveuses sont atro- phiées, surtout dans les c
t aussi accompagné d'un petit satellite médian également composé de
fibres
optiques; les fibres de ce satellite inféro-méd
un petit satellite médian également composé de fibres optiques; les
fibres
de ce satellite inféro-médian ne sont point des
ptiques; les fibres de ce satellite inféro-médian ne sont point des
fibres
pédonculaires ; la bandelette optique ne monte pa
La bandelette optique correspondante est recouverte d'une couche de
fibres
bien conservées assez uniformément disposées sur
formément disposées sur toute la surface. Il est impossible que ces
fibres
soient optiques; partie d'entre elles provienne
allongé en avant en forme de coin, sorte de ganglion termi- nal des
fibres
optiques, de celles qui occupent la face médiane
upent la face médiane de la [racine optique inféro-postérieure. Les
fibres
, qui suivent la voie de la racine optique supér
en dehors du noyau du pathétique; cette nodo- sité reçoit aussi des
fibres
du noyau du pathétique voisin, ainsi que du fai
longitudinal postérieur du bulbe duquel, d'autre part, beaucoup de
fibres
vont passer dans les noyaux des nerfs moteurs d
ci ! . Il se pourrait que la dernière nodosité donnât naissance aux
fibres
optiques qui se terminent dans la couche granuleu
ogique des lésions consécutives, il montre une dégéné- rescence des
fibres
à direction horizontale, des libres à direction
ibres à direction horizontale, des libres à direction radiaire, des
fibres
à direction longitudinale. Le détail de ces alté-
ès M. Biedl, ce qui suit. Le corps restiforme donne naissance à des
fibres
qui vont aux deux faisceaux longitudinaux posté
isceau radiculaire antérieur. Ici, nous trouvons dans l'espèce, les
fibres
longitudinales dégénérées; on peut les suivre j
nal postérieur du côté lésé se trouve aussi, par un petit nombre de
fibres
radiaires, en rapport avec une aire de dégéné-
e vestige du cordon antéro- latéral. Or, s'il y a là un surcroît de
fibres
dégénérées, c'est au corps restiforme que cela
bres dégénérées, c'est au corps restiforme que cela est dû, par les
fibres
arciformes, internes, moyennes et externes qui,
niveau, s'infléchissent en prenant une direction longitudinale. Ces
fibres
courent tout le long de la moelle et forment l'
scence décrite dans le cordon antéro-latéral. La dégénérescence des
fibres
radiculaires émer- gentes d'une série de nerfs
'une série de nerfs craniens, celle aussi d'un très grand nombre de
fibres
radiculaires antérieures émergentes de la moell
ères dégénérescences prouvent l'exis- tence d'un système tirant ses
fibres
du corps restiforme. Un second système est form
Un second système est formé par le vestige du cordon latéral ; les
fibres
arciformes externes y apportent des fibres du cor
du cordon latéral ; les fibres arciformes externes y apportent des
fibres
du corps resti- forme. Peut-être même celui-ci
ossible de se prononcer encore sur ce point. Un troisième groupe de
fibres
est celui des fibres entre-croisées. Une import
er encore sur ce point. Un troisième groupe de fibres est celui des
fibres
entre-croisées. Une importance spéciale doit êt
ciale doit être, sous ce rapport, attribuée à la dégénérescence des
fibres
entre-croisées qui vont du corps restiforme à l
Elle confirme la manière devoir de Koelliker, d'après laquelle ces
fibres
cérébello-olivaires sont un trousseau centrifug
trousseau centrifuge, du moins une petite partie d'entre elles. Les
fibres
qui pénètrent dans l'olive du côté opposé, s'y te
la grosse olive du côté opposé, est une annexe cérébelleuse et les
fibres
cérébello-olivaires sont, en partie du moins, c
t, dans le bulbe, le ves- tige du cordon latéral; de là partent des
fibres
centrifuges qui vont jusque dans la moelle lomb
vont jusque dans la moelle lombaire. Du cervelet partent aussi des
fibres
centrifuges qui, traversant la portion latérale d
ulbe, ce trousseau, jusque-là compact, se par- tage en un groupe de
fibres
arciformes internes et en un autre groupe de fi
en un groupe de fibres arciformes internes et en un autre groupe de
fibres
arciformes moyennes. Les premières passent tout
érieur et l'olive supérieure. Enfin le corps restiforme fournit des
fibres
arciformes internes et externes au vestige du c
nes et externes au vestige du cordon antéro-laléral du bulbe. Les
fibres
cérébelleuses centrifuges sont donc représentées
ort avec Je faisceau longitudinal postérieur con- tiennent quelques
fibres
originaires du cervelet. Par le vestige du cord
racines antérieures émer- gentes de la moelle contiennent aussi des
fibres
cérébelleuses cen- trifuges. Entre le faisceau
et le cordon antéro-latéral il y a, par passage dans le second des
fibres
du pre- mier, continuité et analogie. Le faisce
rties du système nerveux, avec la genèse des manchons myéliques des
fibres
de ces parties. La conscience s'exerce chez le
conscience s'exerce principalement par l'écorce des hémisphères.
Fibres
myéliniques et cellules sont les facteurs des fon
Donc le faisceau cérébelleux des cordons latéraux est un système de
fibres
qui joue un rôle important dans la fonction de
en ajoutant à l'action due à l'excitation du sympathique celle des
fibres
musculaires lisses en rapport avec la sécrétion
- mateuse dans les circonvolutions du -, par Muratow, 356, 369.
Fibres
des segments moyens et postéro inférieurs du -,
de la - nerveuse, par Broadbent, 399. Fohmaune pour fixation des
fibres
nerveuses, par Kitchell, 214. Fou tué par ses
é dans la substance blanche, par Kustermann, 51. 1115oscEnes. Des
fibres
-, par de Bechterew, 231. 1111'\OI,UÉIfATC«SR
e, qui se trouve près du bord supérieur de la corue postérieure Les
fibres
strati calcarini, qui réunissent la lèvre su- p
ion s'étend jusqu'à la paroi interne de la corne postérieure. Les
fibres
de la couche sagittale, qui entourent la paroi
lésion. Dans la partie intermédiaire de la couche sagittale, les
fibres
sont atrophiées. Le ramollissement dans le doma
e de la corne postérieure. Une partie de la couche sagittale et des
fibres
du tapetum, qui se trouvent près de la lésion i
ont sclérosés. Dans l'autre partie de la couche sagittale interne les
fibres
sont atrophiées. 3° Sur les coupes, faites pl
qui touchent à la capsule externe et déterminent la disparition des
fibres
dans cette région, sur- tout dans la région qui
a corne posté- rieure. Cette lésion était suivie de la sclérose des
fibres
des radiations de Gratiolet, de la sclérose de
eure, des lacunes, autour desquelles on remarque la raréfaction des
fibres
à myéline. Le ramollissement dans le domaine de
ser- vée. En outre on voit un ramollisse- ment dans la région des
fibres
de la couche sagittale, qui passe près de la
ratiolet. Autour de ces lacunes on remarque la désintégration des
fibres
à myéline et la formation de tissu conjonctif.
teint la paroi ex- terne de la corne postérieure, en détruisant les
fibres
des radiations de Gratiolet, du faisceau longit
de Gratiolet et lefaisceau longi- tudinal inférieur, ainsi que les
fibres
du tapetum dans leur partie externe (Fig.8).
centraux, on voit près du foyer de ra- mollissement la sclérose des
fibres
des radiations de Gratiolet et de celles du f
ous le microscope on distingue dans cette région la rareiaction des
fibres
à myéline et une légère sclérose. Dans ce secon
rtie inféro-externe. Cette lésion était accompagnée de sclérose des
fibres
de la couche sagittale, du pulvinar et de la part
s, nous n'avons observé ni dans le faisceau de Gratiolet, ni dans les
fibres
du corps calleux, une dégénérescence proprement
s ancienne. On pouvait observer seulement une certaine atrophie des
fibres
du bourrelet du corps calleux et du faisceau de
x capillaires. Elle devient ensuite plus âgée, renferme surtout des
fibres
. De nom- breuses cellules conjonctives et des v
urels. De là, cette sé- cheresse, cette rigidité, cette roideur des
fibres
d'où naît cette maladie appelée vieil âge, et p
es secondaires ascendantes, et on voit en outre une raréfaction des
fibres
à myé- line dans la zone des faisceaux pyramida
on voit reparaître dans le cordon de Goll droit un grand nombre de
fibres
a myéline (fig. 6) tandis que le cordon de Goll
position des lé- , sions est inverse et c'est du côté droit que les
fibres
sont atteintes en plus grand nombre. De même au
e segment dorsal. - Le cordon de Goll droit contient encore plus de
fibres
saines que dans la partie supérieure de ce segmen
Goll droit est presque intact ; dans le cordon de Goll gau- che les
fibres
normales reparaissent en grand nombre, surtout da
ons antéro-latéraux montre encore un léger degré de raréfaction des
fibres
. Les faisceaux pyramidaux croisés sont en état
de Pal montre moins de myéline qu'à l'état normal. Mais au delà les
fibres
ne sont pas en état de dégénérescence secondaire,
- tion de volume lotius snústal1tiae, soit par la dégénérescence de
fibres
ou d'éléments cellulaires trop isolés pour être
la profondeur de la périphérie, couverte dans sa périphérie par les
fibres
myéliniques très nettement marquées (le faisceau
en dehors la moelle allongée est recouverte à la périphérie par les
fibres
myéliniques, mais le plancher du 4e ventricule
, dans la direction de la moelle épinière, on voit partir de minces
fibres
myéliniques, qui ne vont pas jusqu'à la moelle
squ'à la moelle épinière et se séparent d'elle à la dure-mère ; ces
fibres
entourent dans la périphérie toute la partie anté
la partie antérieure et les côtés de la moelle allongée en vue des
fibres
myéliniques, nettement indiquées, lesquelles da
lesquelles dans la direction en arrière deviennent plus minces. Ces
fibres
avant d'arriver au plancher du 4e ventricule se
au plancher du 4e ventricule, contient également un réseau de fines
fibres
myéliniques. La moelle épinière n'est pas chang
oelle épinière est modifiée seulement en ce sens, qu'une partie des
fibres
myéliniques des cordons postérieurs est passée
un isthme. La partie médiane de cet isthme plus pâle, contient les
fibres
myéliniques, les- quelles provenant de la moell
n- xiv . 9 122 - SOLOVTZOFF cher du quatrième ventricule et les
fibres
myéliniques, placées de chaque côté de l'isthme
ent comme dans la coupe pré- cédente, seulement le faisceau de ces.
fibres
est généralement plus large. Phot. 9. - L'isthm
ement plus large; correspondant à cet élargissement, le nom- bre de
fibres
partant de la moelle épinière est augmenté. Les f
nom- bre de fibres partant de la moelle épinière est augmenté. Les
fibres
verticales sont conservées dans les cordons pos
urs, seulement dans la partie anté- rieure, elles sont séparées des
fibres
horizontales par une zone pâle. Les fibres myél
e, elles sont séparées des fibres horizontales par une zone pâle. Les
fibres
myéliniques allant dans la moelle allongée comm
comme dans la coupe précédente, pas- sent dans deux directions. Les
fibres
disposées au milieu de l'isthme se dirigent dir
sous forme d'une lame qui en arrière, peu à peu devient mince ; ces
fibres
myéliniques de la direction horizontale prennen
vec la moelle épinière est devenu encore plus large et contient des
fibres
myéliniques bien colorées et seulement horizon-
s côtés, va vers le bord antérieur même. De plus, à la place où les
fibres
myéliniques retournent en arrière, au-devant se
it, et par comparaison avec les coupes précé- dentes la quantité de
fibres
myéliniques couvrant la partie antérieure de la
la partie antérieure de la moelle allongée est un peu amincie ; les
fibres
myéliniques se continuant en arrière, bordent l
la moelle épinière et passe en partie dans l'isthme, déplaçant lés
fibres
myéliniques vers l'intérieur. Dans la fissure qui
, maintenant ils sont passés encore plus en arrière. La quantité de
fibres
myé- liniques est diminuée et elles sont conser
s seulement au milieu de l'isthme.' Sous forme de faisceau large de
fibres
horizontales elles se dirigent en arrière et da
nt, dans l'autre elles viennent se placer de côté, passant dans les
fibres
verticales placées sur le bord de la moelle al-
ngée dans son bord antérieur, étant entourée à la surface de minces
fibres
myéliniques, lesquelles vont dans la périphérie d
a périphérie de la moelle en arrière et passent dans le faisceau de
fibres
, placées sur les bords de la moelle allon- gée.
cordon antéro-latéral con- tient un réseau assez bien développé de
fibres
myéliniques. Reste pâle la substance gélatineus
dedans de la sub- stance gélatineuse de Rolando on voit partir des
fibres
nerveuses arciformes, correspondant au nerf acc
u nerf accessoire de Willis. Planche XII Phot. 12. La quantité de
fibres
myéliniques passantdescordous postérieurs dans
e descendante du nerf trijumeau, entourée à la périphérie de minces
fibres
myéliniques, prenant naissance dans le faisceau c
à la constitution du pédoncule cérébelleux inférieur. Phot. 13. Les
fibres
myéliniques, allant de la moelle épinière dans l'
ette lamelle en est une autre, foncée, qui résulte de ce fait que les
fibres
myé- liniques sont marquées plus fortement, sur
elle allongée nous trouvons une lamelle en forme d'une demi-lune de
fibres
verticales, con- tinuation de cordons postérieu
meau et séparée de la périphérie de la moelle allongée par de fines
fibres
myéliniques, qu'on voit partir du faisceau céré
a substance gélatineuse de Rolando, des deux côtés sont situées des
fibres
ner- veuses qui traversent horizontalement la s
llis. Dans les autres parties de la moelle, il faut remarquer que les
fibres
myéliniques, situées dans une moitié, ne passen
a région de la commissure antérieure, dans laquelle la quantité des
fibres
myéliniques a quelque peu augmenté. Le canal ce
tricule reste tout à fait pâle. Le long de cette lamelle passent les
fibres
myéliniques pour s'entrecroiser sur la ligne mé
entri- cule. Des deux côtés de la moelle allongée nous trouvons les
fibres
myélini- ques qui constituent la continuation d
allongée sur son bord antérieur et limitée à la périphérie par les
fibres
myéliniques qui, quittant le cordon latéral, se d
dans sa structure. Les cordons latéraux ont diminué de volume. Les
fibres
du faisceau fondamental du cordon antérieur dans
rochées et contiennent entre elles le commencement de la couche des
fibres
sensitives. Grâce à ce rapprochement les pyramide
llait se fusionner avec le canal central de la moelle épinière. Les
fibres
sensitives, indiquées assez nettement, se dirig
placé en arrière. Sur les côtés de la moelle allongée se trouvent^des
fibres
myéliniques du faisceau cérébelleux ; devant el
ors de la racine spinale du nerf trijumeau nous trouvons de petites
fibres
arcifor- mes, passant dans le faisceau cérébell
sement démesuré du 4e ventricule. Phot. 16. - L'entrecroisement des
fibres
sensitives est fini et ses fibres viennent se p
Phot. 16. - L'entrecroisement des fibres sensitives est fini et ses
fibres
viennent se placer devant les faisceaux fondame
moelle épinière (Phot. 9, 10). Comme dans la moelle épinière, les
fibres
des cordons postérieurs ont une direction verti
s cordons postérieurs de la moelle épinière, il est logique que les
fibres
des cordons postérieurs de la moelle épinière, po
que comment à la coupe transversale de la moelle dans l'isthme, les
fibres
des cordons postérieurs sont coupées dans une dir
tent dans l'isthme seulement peu de temps, passant bientôt dans les
fibres
verticales, lesquelles, en forme de crois- sant
rois- sant, sont placées des deux côtés de la moelle allongée ; les
fibres
horizontales dans l'isthme ont disparu (Phot. 1
lle allongée. Des noyaux des cordons postérieurs doivent partir les
fibres
sensitives, lesquelles se placent entre les fib
ivent partir les fibres sensitives, lesquelles se placent entre les
fibres
du faisceau fondamental du cordon antérieur. De c
nt, apparaît une partie triangulaire, correspondant à la couche des
fibres
sensitives. Sur le plancher du 4° ventri- cule
périphérique le même rôle que les cellules du cortex vis-à-vis les
fibres
des pyramides ? Il n'est pas toutefois facile d
nce d'une sclérose névroglique intense, proliférante, étouffant les
fibres
nerveuses tout le long du tractus op- tique. '
us, caractérisée par une sclérose névroglique intense étouffant les
fibres
nerveuses, ainsi que le démontre la figure de l
s a entraîné le non-développement ou tout au moins l'altération des
fibres
musculaires vaso-constrictrices dans toute la rég
rière. Dans sa partie dorsale il est couvert d'une épaisse couche de
fibres
myé- liniques qui forment les cordons postérieu
s sont colorés uniformément. Les cordons latéraux ont une couche de
fibres
myéliniques seulement aux bords . Plus haut,
pyramidal du cordon latéral, limité en dehors et en dedans par les
fibres
pâles myéliniques. De chaque côté du sillon média
ordons latéraux sont couverts sur le bord d'une couche très fine de
fibres
myéliniques, qui diminue en épais- seur en arri
OT. 22. Les cordons postérieurs sont encore diminués davantage. Des
fibres
myéliniques il n'en reste, comparativement, pas b
ilieu du croissant dans la direction d'avant en arrière passent des
fibres
myéliniques horizontales formant trois faisceau
rges. Phot. 3.- Le croissant est augmenté de volume ; on y voit des
fibres
myé- liniques disposées en deux larges faisceau
és de la moelle allongée, à leurs extrémités, sont placées de pâles
fibres
myéliniques, correspondant au commencement de la
e la racine spinale du nerf trijumeau. PHOT. ? 5. -La quantité de
fibres
myéliniques horizontales, passant de la moelle
unis- sant la moelle épinière avec l'allongée, est devenu pâle. Ces
fibres
myéliniques, dans la partie postérieure et près
hangent leur direction horizontale en verticale. Des deux côtés des
fibres
horizontales myéliniques, dans la partie abaiss
stance gélatineuse de Rolando, limitée par la périphérie à de pâles
fibres
myéliniques, correspon- dant à la racine spinal
e dépasse déjà considérablement la moelle épinière en grandeur. Les
fibres
myéli- niques horizontales, venant des cordons
trouve la substance gélatineuse de Rolando, limitée en dehors par les
fibres
myéliniques, correspondant a la racine spinale
trijumeau, et dans la périphérie même de la moelle sont placées des
fibres
myéliniques arciformes, allant par l'isthme à l
rtie dor- sale, apparaît l'entrecroisement sur la ligne médiane des
fibres
du ruban de Reil, partant des cordons postérieu
corne^ antérieures ; ici prennent naissance une grande quantité de
fibres
myéliniques, allant dans la direction d'avant e
n arrière et passant dans les racines antérieures. La quan- tité de
fibres
myéliniques dans le cordon latéral a diminué. Sur
xiv ' 18 254 SOLOVTZOFF périphérie même de la moelle passent des
fibres
myéliniques, correspondant t au faisceau cérébe
i en arrière, qu'on aperçoit son ouverture complète. La quantité de
fibres
myéliniques dans les cordons posté- rieurs a qu
sse dans le faisceau longitudinal postérieur. En dehors passent les
fibres
radiculaires de l'hypoglosse. A la place des corn
des deux côtés les pédoncules cérébelleux inférieurs, contenant des
fibres
myéliniques seulement dans leur partie médiane en
un isthme assez large entre les deux parties, isthme contenant des
fibres
horizontales. Après cela les fibres horizontales
x parties, isthme contenant des fibres horizontales. Après cela les
fibres
horizontales des cordons postérieurs commencent
complètement privée des cordons postérieurs (Phot. 24 et 23) ; les
fibres
horizontales deviennent verticales, et se placent
e allongée, en formant deux croissants (Phot. 26). Plus en haut ces
fibres
passent dans les pédoncules cérébelleux inférieur
moelle reste sans modifications, mais au moment où apparaissent les
fibres
sensitives, alors les parties antérieures et post
s, se trouve une formation ovale, couverte aux extrémités de minces
fibres
myéliniques. Phot. 29. Les cordons postérieurs
l'un de ses côtés, et du bord même, part un faisceau assez large de
fibres
myéliniques horizontales. Indé- pendamment de c
e l'extrémité de la moelle et limité il la périphérie par de minces
fibres
myéliniques nettement indiquées ; c'est le commen
est le commence- ment de la racine spinale du nerf trijumeau et des
fibres
arciformes externes. Le long du bord antérieur
appartient le sillon médian postérieur. Dans la moitié voisine les
fibres
myéliniques se sont conservées seulement dans la
rieure, en forme d'un angle assez petit. En échange la quantité des
fibres
myéliniques horizontales dans la partie abaissé
ehors la partie abaissée de la moelle allongée. Immédiatement à ces
fibres
myéliniques horizontales correspondant aux cor-
e spinale du nerf trijumeau. En dehors, elle est en- tourée par les
fibres
arciformes externes. Le long du bord antérieur, e
bres arciformes externes. Le long du bord antérieur, en arrière des
fibres
arciformes, apparaît la substance gélatineuse de
n côté aux cordons postérieurs. En même temps que la diminution des
fibres
myéliniques dans les cordons postérieurs, il faut
u augmenté de volume.Comme dans la coupe précédente, une partie des
fibres
myéliniques horizontales passe sur un des côtés
d ; indépendamment de cela, à travers le mi- lieu de la moelle, des
fibres
se dirigent, réunissant le commencement et l'ex
érieurs et la périphérie par un faisceau étroit nettement coloré de
fibres
myéliniques, les- quelles vont jusqu'aux cordon
, les- quelles vont jusqu'aux cordons postérieurs. En dedans de ces
fibres
arciformes dans la partie postérieure se trouve
e la périphérie la moelle allongée ; dans la partie postérieure les
fibres
myéliniques prennent de la direction horizontal
niques prennent de la direction horizontale la verticale. Là où les
fibres
verticales des cordons pos- térieurs finissent,
acine spinale du nerf trijumeau, entourée à la périphérie de minces
fibres
myéliniques, cor- respondant au faisceau cérébe
térieurs ont considérablement augmenté de volume et contiennent des
fibres
myéliniques horizontales, entre lesquelles, plu
ligne médiane, se mon- trent des masses grises. Du côté opposé, les
fibres
myéliniques horizontales, passant des cordons p
ses, correspondant aux noyaux des cordons postérieurs. En avant des
fibres
myéliniques, correspondant aux cordons postérie
ostérieur du bulbe de la moitié premièrement formée se trouvent des
fibres
myéliniques verticales, des cordons postérieurs
ans la périphérie elles sont entourées d'un faisceau assez mince de
fibres
myéliniques, allant au faisceau cérébelleux ; ce
rémité postérieure même, sont placées, en forme de demi-cercle, des
fibres
myéliniques verti- cales, représentant les fibr
demi-cercle, des fibres myéliniques verti- cales, représentant les
fibres
horizontales qui étaient visibles dans la coupe
orrespondant aux faisceaux de Goll et de Burdach. En avant de ces
fibres
myéliniques, au bord de la moelle, nous apercevon
re y est aussi placée. Au devant du canal central se réunissent des
fibres
myéliniques, commen- çant aux noyaux des cordon
aux fondamentaux des cordons antérieurs, des deux côtés passent des
fibres
myéliniques nettement dessinées, ce sont les raci
trouve les noyaux de Goll et de Burdach, entourés à l'extérieur de
fibres
myéliniques en forme de deux croissants, de l'aut
s en forme de deux croissants, de l'autre côté du canal central les
fibres
myéliniques ont une autre structure, et leur disp
en vaisseaux. Des deux côtés de la moelle allongée nous trouvons les
fibres
myéliniques, appartenant au reste des cordons p
côté, existe un faisceau, très nettement distingué, appartenant aux
fibres
de la voie pyramidale. La fissure dans les partie
ce gélatineuse de Rolando, la racine spinale du nerf trijumeau, les
fibres
arciformes ex- ternes ; du côté opposé nous ren
eure reste sans changements jusqu'à l'ap- parition de la couche des
fibres
sensitives, qui portent des noyaux des cor- don
artie dor- sale sont mal développés, pâles et ne contiennent pas de
fibres
myéliniques. Des deux côtés des cordons postéri
augmentée de volume com- parativement avec la coupe précédente. Les
fibres
myéliniques, appartenant aux cordons postérieur
fusion s'est accomplie au niveau où apparaît l'entrecroisement des
fibres
sensitives, et ici nous voyons que les faisceaux
dé- rablement diminuée de volume et limitée à sa périphérie par des
fibres
myélini- ques correspondant à la racine spinale
amides, en arrière d'elles de suite la couche du ruban de Reil. Les
fibres
ponta-cérébelleuses n'existent pas. Par conséquen
ans la moelle épi- nière disparaître graduellement ; à la place des
fibres
verticales appa- raissent les horizontales, d'a
izontales, d'abord en petite quantité, puis de plus en plus, et ces
fibres
passent dans la partie postérieure de la moelle a
et passe dans le quatrième ventricule,ainsi se forme un canal. Les
fibres
myéliniques hori- zontales, partantde la moelle
disparaissent ; sur le plancher du quatrième ventricule passent des
fibres
de système nouveau correspon- dant aux fibres s
entricule passent des fibres de système nouveau correspon- dant aux
fibres
sensitives. L'isthme, réunissant les deux moitiés
qu'à ce qu'elles se fu- sionnent au niveau de l'entrecroisement des
fibres
sensitives (1). (1) J'ai eu l'honneur de soumet
constituée par trois couches ; l'une, mince et dense, renferme des
fibres
à direction parallèle à la surface, une autre m
lles de l'écorce grise, le réseau de libres fines est abondant, les
fibres
tangentielles sont peut-être raréfiées. Les cel
érose du cordon postérieur est plus petite, mais la disparition des
fibres
y est plus prononcée. La lésion du faisceau cér
ue nous avons signalées plus haut. De ces deux derniers systèmes de
fibres
, c'est le premier qui est le plus atteint ; par
fibres, c'est le premier qui est le plus atteint ; par endroits ces
fibres
ont disparu complètement (Fig. 1). Région dorsa
. La sclérose des faisceaux indiqués n'est pas complète, toutes les
fibres
n'y sont pas dégénérées ; il en existe au contr
plus prononcée est celle du faisceau cérébelleux où, par place, les
fibres
ont disparu complète- ment. Substance grise d
isceau cérébelleux direct sont dégénérés. 13. Coupe du bulbe. Les
fibres
du pédon- cule cérébelleux inférieur sont en pa
rième ventricule est épaissi. C. D. Coupe de la protubérance. Les
fibres
du pédoncule cérébelleux moyen sont réduites
n d'anormal. F. Coupe du nerf optique droit. Les fas- cicules des
fibres
nerveuses sont plus minces que ceux du nerf gau
s ne se détachent presque pas du reste de la corne postérieure. Les
fibres
y ont en grande partie disparu ainsi que les cell
roscope, on constate sur les coupes du bulbe une dégénérescence des
fibres
dans les noyaux des cordons de Goll. Le nombre de
leur structure est intacte, tant au point de vue des cellules que des
fibres
(PI. XLVIII, A et B). Dans la protubérance le
les que des fibres (PI. XLVIII, A et B). Dans la protubérance les
fibres
du pédoncule cérébelleux moyen sont en grande p
elleux moyen sont en grande partie disparues. Cette disparition des
fibres
est surtout prononcée dans les couches superfic
n nom- bre normal et intactes. Le ruban de Reil est petit, mais ses
fibres
sont bien colorées. Les pédoncules cérébelleux
tricule et de l'aqueduc on trouve une couche épaisse formée par les
fibres
névrogliques. Dans le lumen de l'aqueduc on tro
he. Sur les pré- parations au Weigert on constate que le nombre des
fibres
de gros calibre est extrêmement diminué et que
ombre des fibres de gros calibre est extrêmement diminué et que les
fibres
fines prédominent en nombre. On trouve aussi be
les fibres fines prédominent en nombre. On trouve aussi beaucoup de
fibres
dans lesquelles la myéline ne se colore pas à l
ait marqué leur hauteur. On constate ici aussi la prédominance des
fibres
fines. En résumé, notre examen montre les lésio
n montre les lésions suivantes : Dans la moelle, dégénérescence des
fibres
dans les cordons de Goll, dans les faisceaux cé
isceau de Goll. Dans la protubérance, une atrophie considérable des
fibres
du pédon- cule cérébelleux direct, prolifératio
. Dans les nerfs périphériques et dans les racines, disparition des
fibres
à grand calibre et augmentation considérable de
arition des fibres à grand calibre et augmentation considérable des
fibres
minces. Hypoplasie et altérations de la structu
lésions dans la moelle. Dans les racines antérieures le nombre des
fibres
fines prédominait. Dans les raci- nes postérieu
77 millimètres. Au microscope on constatait une dégénérescence des
fibres
des cordons postérieurs des faisceaux pyramidau
che de substance blanche entourant le corps dentelé était pauvre en
fibres
. La couche gra- nuleuse de l'écorce étaitétroit
tructure de la moelle était normale. Dans les racines le nombre des
fibres
fines était plus grand que celui des larges. Da
s de lésions. Dans la protubérance disparition d'un grand nombre de
fibres
du pédoncule cérébelleux moyen. Dans le cervele
squ'on Irouve dans les endroits sclérosés un nombre considérable de
fibres
bien conservées. Nous trouvons dans les deux cas
qui ont été trouvées dans tous les cas examinés sont l'atrophie des
fibres
du pédoncule cérébelleux moyen et l'atrophie (a
ophie se manifeste au commencement par une diminution de volume des
fibres
, ce qui produit un rapetissement du volume de la
trophie va plus loin et se manifestera par une dégénéres- cence des
fibres
nerveuses. La dégénérescence se produira en premi
sales et longitudinales ne montrent pas de lésions appréciables des
fibres
nerveuses. Le processus inflammatoire qui touch
aires ; les vaisseaux sont très dilatés et gorgés de sang. Quelques
fibres
semblent avoir disparu, celles qui restent, en
e des seconds (nous voulons parler ici des voies longues et non des
fibres
courtes d'association). La première coupe por
bo-protubérantielle. A. Faisceau sensitif. B. Entrecroisement des
fibres
nerveuses. Fig. 2. - Région moyenne du bulbe.
Faisceau sensitif. Racine descendante en V. B. Entrecroisement des
fibres
sensitives. C. Ruban de Reil. D. Noyau moteur
arquons le ruban de Reil médian à la partie supé- rieure duquel des
fibres
fines et grêles semblent s'entrecroiser. Ce faisc
rsé de haut en bas et de dedans en dehors sa partie externe par des
fibres
plus grosses qui correspondent aux fibres d'émerg
sa partie externe par des fibres plus grosses qui correspondent aux
fibres
d'émergence de l'oculomoteur externe ou de l'ex
. Sur le côté supéro-externe nous voyons une zone oblongue dont les
fibres
sont bien colorées par la méthode de Weigert. C
bien conservés. Nous disons relativement, car il y a bien quelques
fibres
dégénérées surtout à la partie postéro-interne.
s surtout à la partie postéro-interne. Mais le plus grand nombre de
fibres
est conservé et le faisceau peut être considéré
smission des impressions ou incitations nerveuses. Puis on voit les
fibres
se diriger d'abord en dedans puis en dehors, dé
iatement en arrière du sillon anté- rieur (Fig. 3). , Une zone de
fibres
fines forme la bordure antérieure et antéro-inter
ette région bulbaire. Elle constitue le ruban de Reil médian. Ici les
fibres
sensitives forment (la bordure antérieure de la
dure antérieure etantéro-interne du bulbe et s'y continuer avec les
fibres
situées à ce niveau. C'est d'autre part cette con
quement sont à peine ébauchées sont donc formées uniquement par des
fibres
sensitives. De faisceau moteur il n'en est pas
. N. Faisceau fondamental antérieur. O. Canal de l'épendyme. P.
Fibres
courtes d'association motrices et sensitives. S
ociation motrices et sensitives. S. Arborisalions cylindraxiles des
fibres
des racines antérieures. V. Racine antérieure.
rmal. On note l'absence et la dégénérescence d'un certain nombre de
fibres
à la partie postérieure, sur- tout postéro-inte
à part une mince bande qui présente à son inté- rieur bon nombre de
fibres
dégénérées et où l'absence de fibres est à peu pr
son inté- rieur bon nombre de fibres dégénérées et où l'absence de
fibres
est à peu près totale dans le tiers postérieur,
du sillon antérieur on observe un entrecroisement très manifeste de
fibres
qui passent d'une corne antérieure à l'autre. L
érieurs semblent normalement développés. On remarque quelques rares
fibres
non myélinisées répandues çà et là, surtout à la
. M. Faisceau fondamental antérieur. 0. Canal de l'épendyme. P.
Fibres
courtes d'association sensitives et motrices. D
d'émergence des racines postérieu- res on remarque que beaucoup de
fibres
n'ont pas de myéline (Fig. 6). Le cordon antéri
érieur semble normalement développé; cependant un certain nombre de
fibres
ne sont pas myélinisées à ce niveau. Le cordon
téral est réduit à une courte bandelette qui présente bon nombre de
fibres
non myélinisées. Cet aspect est d'autant plus acc
r. En arrière du sillon antérieur, on observe un entrecroisement de
fibres
qui vont d'une corne antérieure à l'autre. Da
. M. Faisceau fondamental antérieur. O. Canal de l'épendyme. P.
Fibres
courtes d'association sensitives et motrices. S
ociation sensitives et motrices. S. Arborisations cylindraxiles des
fibres
des racines antérieures. 396 VASCHIDE ET VURPAS
x accessoires de l'olive ou parolives, les corps restiformes et les
fibres
arciformes. Nous avons déjà signalé dans l'examen
oscopique l'ab- sence de pont ou de protubérance constituée par les
fibres
arciformes, de sorte que si le lieu topographiq
dance des centres supérieurs étaient à peu près intactes, ainsi les
fibres
courtes d'association, nous sommes conduits à sup
i- . cité du noyau, mais cette disposition est peu fréquente. Les
fibres
qui arrivent à leur niveau ou en partent et qui s
la moelle nous avons remarqué en arrière du sillon an- térieur des
fibres
qui s'entrecroisaient passant d'une corne antérie
qui s'entrecroisaient passant d'une corne antérieure à l'autre. Ces
fibres
nettement observées expliqueraient, croyons-nous,
ntrés dans notre cas en particulier, malgré l'absence de toutes les
fibres
motrices centrales à long trajet. VII. - L'abse
rtaines parties propres au bulbe comme les corps restiformes ou les
fibres
arciformes est naturelle avec la disparition du
orsale, et jusqu'aux dernières sa- crées.une légère raréfaction des
fibres
de la zone de Lissauer, entre le bord ex- terne
dans les deux cordons voi- sins. Cette zone, on le sait, formée de
fibres
très fines provenant des racines postérieures,
as très atteints. Il n'y a pas de pro- lifération conjonctive et la
fibre
striée semble avoir conservé sa structure nor-
e dans la région lombaire, ils ont noté une raréfaction notable des
fibres
nerveuses, dans la partie moyenne des cordons p
issu conjonctif intra-fasciculaire, état légère- ment clairsemé des
fibres
nerveuses. L. Lévi (2) a également trouvé dans
partie des cordons latéraux, et les cordons postérieurs portent des
fibres
nerveuses qui ne présentent rien d'anormal. Il
u moins les signes de la myélite paren- chymateuse c'est-à-dire les
fibres
nerveuses étaient gonflées plus grandes et tout
suroxygénation et cette augmen- tation de nutrition régénérant les
fibres
nerveuses détruites qu'il faut attribuer l'effi
moelle épinière. Ces con- ducteurs ne contiennent pas seulement les
fibres
du sens musculaire; ils renferment aussi celles
ou dolorifiques ou bien dépend du mode diffé- rent d'excitation des
fibres
nerveuses, ou de ce que les fibres des sensibil
e diffé- rent d'excitation des fibres nerveuses, ou de ce que les
fibres
des sensibilités tactile, thermique et dolori-
REVUE D'ANATOMIE ET DE PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE 1. Du TRAJET DES
FIBRES
RADICULAIRES POSTÉRIEURES DANS LA MOELLE ET DE
E CETTE substance; par A. TAKACS. [Neurol. Centralbl., 1887.) Les
fibres
radiculaires postérieures à peine entrées dans la
ubstance de la corne. Des cellules de Clarke partent deux sortes de
fibres
. Les unes vont dans la profondeur du faisceau d
s de Goll et les faisceaux latérocérébelleux, sont donc composés de
fibres
équivalentes qui émanent des fibresradicu- lair
PATHOLOGIE PHYSIOLOGIQUE. latéral sont la continuation directe des
fibres
radiculaires postérieures, mais ces fibres, au-
continuation directe des fibres radiculaires postérieures, mais ces
fibres
, au-dessus de leur entrée dans la moelle à des ha
Les faisceaux de Goll et latéro-cérébelleux étant la prolongation des
fibres
radiculaires postérieures qui ont préalablement
qu'il faut, c'est actionner les organes terminaux dans la peau des
fibres
centri- pètes, et ces fibres elles-mêmes, qui a
les organes terminaux dans la peau des fibres centri- pètes, et ces
fibres
elles-mêmes, qui agissent par voie réflexe sur le
pond à la macula lutea de la rétine et représente la projection des
fibres
du nerf optique qui servent à la vision la plus
: a. des cellules dont le prolongement cylindraxile aboutit à une
fibre
blanche après avoir fourni une plus ou moins gran
tement en un fouillis de fiébrilles et ne donne pas naissance à une
fibre
nerveuse (exemple : nombreuses petites cel- lul
es petites cel- lules nerveuses). Mais M. Forel n'admet pas que des
fibres
issues des prolongements cylindraxiles s'anasto
des prolongements cylindraxiles s'anastomosent avec les branches de
fibres
nerveuses qui de la substance blanche entrent dan
sensitives. Il n'y a que le' mode de terminaison périphérique d'une
fibre
nerveuse qui décide de sa fonction. La cellule
re nerveuse qui décide de sa fonction. La cellule d'où provient une
fibre
nerveuse sera, si elle est sensible, placée à l
ales, M. Forel pense que divers districts de l'écorce reçoivent des
fibres
de projection d'origines très différentes. II
gane que la substance fondamentale gélatineuse. C'est parce que les
fibres
du nerf optique se terminent en ramifications arb
ans le corps genouillé externe et qu'il existe un second système de
fibres
qui prennent leur origine dans le corps genouillé
ptique arrivent au corps genouillé externe par simple contiguïté de
fibres
. Quand on a extirpé la sphère visuelle du cerve
enouillé n'étant pas bipo- laires, il est probable qu'il existe des
fibres
directes qui vont de la bandelette à l'écorce,
étraction atrophique du corps ge- nouillé externe comprime d'autres
fibres
optiques, enfin que les éléments optiques s'atr
ant des éléments de ce nerf empêche l'accroissement ultérieur des
fibres
du tronc central jusqu'au muscle, une atrophie le
, mais les cellules de la substance gélatineuse et le sys- tème des
fibres
longitudinales sont demeurés indemnes ; 4° la m
ule ; il semble chez les paralytiques généraux en question, que les
fibres
de la couche limitante aient diminué ; chez les
r des contradictions. D'un autre côté, arguer du peu d'atrophie des
fibres
de la paroi ventriculaire des paralytiques géné
en foyer) ; elle peut en outre être produite par l'interruption des
fibres
d'association qui unissent le lobe occipital au
dente description montrent, en outre, l'existence d'un trousseau de
fibres
d'association manifestement autonomes en dedans
énérale surtout, rencontré de la diminution du calibre de certaines
fibres
ainsi qu'une abondante prolifération des noyaux
areils cas autre chose qu'un trouble léger dans la transparence des
fibres
. M. KNY (de Strasbourg). Des effets thérapeutiq
hives, t. XIX. 11 162 CLINIQUE NERVEUSE. par un feutrage serré de
fibres
, au milieu desquelles, sur des coupes colorées
, différent de tous les autres, et destiné à relier cet élément aux
fibres
ner- veuses. Quelle est la nature de la substan
nique, nous le répétons, et qui va constituer le cylindre-axe d'une
fibre
nerveuse à myéline, est le prolongement nerveux
brilles nerveuses sans myéline, donnant naissance à leur tour à des
fibres
à myéline. Dans cette hypo- thèse, la plus géné
llules ner- veuses affecteraient deux modes de connexion avec les
fibres
nerveuses : d'une part, au moyen des pro- longe
tre voie la matière nutritive arriverait à ces élé- ments. » Si les
fibres
nerveuses ne dérivent ni direc- tement ni indir
s. - Quelle est alors l'explication anatomique de l'ori- gine des
fibres
nerveuses de la substance grise ? Com- ment s'é
istence ? Qua : .t à la première question, celle de l'origine des
fibres
nerveuses dans les diverses provinces du sys- t
enir indivis jusqu'à ce qu'il ait constitué le cylindre-axe d'une
fibre
à myéline, émet toujours, à une distance plus ou
cules arbores- cents dont la forme varie et sert à distinguer les
fibres
nerveuses en deux catégories bien nettes : 1° Les
ts cellulaires des différentes régions de l'écorce cérébrale. Les
fibres
de la 11C catégorie, qui n'émettent qu'en petit
nombre des rameaux latéraux avant de devenir le cylindre-axe d'une
fibre
à myéline, sont issues de cellules nerveuses qu
ppellent celles des cornes anté- rieures de la moelle épinière. Les
fibres
de la 2e caté- gorie sortent de cellules qui on
types de cellules nerveuses en rapport avec les deux catégories de
fibres
nerveuses. Les cellules du premier type seraien
ement étendus. Telle est bien en effet la doctrine de Golgi. Chaque
fibre
nerveuse, loin de se trouver iso- lément en rap
rapport avec LES FONCTIONS DU CERVEAU. '175 un certain nombre de
fibres
ayant probablement une fonction différente. Tou
erveuses, si l'on n'observe les rapports de ces élé- ments avec les
fibres
de la première ou de la seconde catégorie, c'es
es de la première ou de la seconde catégorie, c'est-à-dire avec des
fibres
de nature mo- trice ou de nature soit sensitive
quent uniquement par la direction et les rapports périphériques des
fibres
. La spécificité de fonction des diverses zones
rice, tant qu'on n'a pas vu son prolongement nerveux constituer une
fibre
des racines antérieures ? A cet effet, au lieu
lules du premier type sont en rap- port direct, non isolé, avec les
fibres
nerveuses; je pourrai dire dorénavant, et avec
llule nervose ntotuici) sont en rapport direct, non isolé, avec les
fibres
ner- veuses (du mouvement). » Quant aux autres
ns musculaires, mouvements impliquant, selon ces auteurs, que « des
fibres
motrices de la vessie passent dans les cordons
irconvolutions, mais dans les rapports des circonvolutions avec les
fibres
périphériques des sens : la spécificité de fonc
LES FONCTIONS DU CERVEAU. 183 gane auquel, périphériquement, les
fibres
nerveuses vont aboutir, et non par une spécific
différents modes de la sensibilité générale et spéciale. Seule, la
fibre
musculaire devrait être appelée « motrice », et
nde pourquoi l'on continue à parler de ganglions d'interruption des
fibres
nerveuses, de rapports des cel- lules nerveuses
terminaison des nerfs n'est pas même en continuité directe avec la
fibre
musculaire. 1 AlIg. Forel. Einige liirnanatomis
: la seule différence serait que la cel- lule nerveuse d'où sort la
fibre
sensible est périphé- rique, tandis qu'elle est
e de termi- LES FONCTIONS DU CERVEAU. 189 naison périphérique des
fibres
nerveuses paraît être décisif pour le diagnosti
, parce que, dans ces éléments, a lieu la terminaison du système de
fibres
(Sehslrahlungen ou fccsciculecs oplicus) issues
ique, et parce que toute destruction notable, soit de ce système de
fibres
, soit de l'écorce du coin, provoque des trouble
ves, et s'y trouvent naturellement reliées, au moyen de systèmes de
fibres
d'association des plus variés, avec d'autres te
à coup sûr virginales; de cet auteur, touchant la struc- ture des
fibres
et des cellules nerveuses. Je ne veux que montr
oint difficulté d'a- vouer que l'absence de transmission isolée des
fibres
nerveuses, qui communiquent entre elles dans le
endon. Dans ces corps, de nature tendineuse, pénètre toujours une
fibre
nerveuse qui se ramifie en nombreux rameaux. Go
tendon, ainsi que leur continuité directe avec le sarcolemme des
fibres
musculaires primitives; si l'on prend garde que,
mètre, entre les organes qui représentent la puis- « sance motrice (
fibres
musculaires) et la partie sur la- « quelle cett
s du sens musculaire, ils devront être en connexion intime avec des
fibres
nerveuses sen- ' A. Cattaneo. 5ugli organi nerv
nt de rapport avec les nerfs moteurs, et sont-en connexion avec les
fibres
de la sensibilité générale. Voici maintenant
ins considérable, en rapport avec l'intensité de la contraction. La
fibre
nerveuse centri- pète qui se termine dans chacu
cellules du premier type devient, on le sait, le cylindre-axe d'une
fibre
ner- veuse, tandis que celui des cellules du de
en de ce réseau fibrillaire que, par leurs ramuscules latéraux, les
fibres
issues des cellules du premier type se trouvent
cylindre-axe, avec hypergènesse des noyaux, de sorte que nombre de
fibres
sont réduites à leur gaine de Schwann; intégrit
de concert avec l'altération des racines postérieures une série des
fibres
qui entrent dans le ganglion intervertébral avaie
commun du côté droit, à l'endroit où il traverse la dure-mère. Les
fibres
du nerf étaient simplement écartées, dissociées
onique simultanément sur les cel- lules des cornes antérieures, les
fibres
nerveuses, motrices périphéri- ques, les plaque
ns. Les débris du tissu musculaire se compo- saient de faisceaux de
fibres
arrivées à la dernière période de l'hypertrophi
l'hypertrophie et constellées de vacuoles. La présence de telles
fibres
dans les affections spinales bien caractérisées,
ée. M. ERB demande à M. Hitzig s'il a observé la scissiparité des
fibres
musculaires; M. Hitzig répond que oui. Séance d
fort) montre des préparations Ú double élection dans lesquelles les
fibres
de la névroglie sont colorées en bleu ; les noy
rois indurées; le ramollissement n'a cependant nulle part gagné les
fibres
atéro-postéi-ietires du centre ovale. Dilatatio
e du pli courbe. Dégénérescence secondaire du segment supérieur des
fibres
de Gra- tiolet jusqu'à la substance blanche lat
est atrophié et qu'il existe une dégénérescence périphérique des
fibres
correspondantes. - Voici maintenant deux observ
13EIINEIMER (d'IIeidelher). De la constatation chez les embryons de
fibres
nerveuses non entre-croisées dans le chiasma du n
t colorées par la méthode de Weigert; on y reconnaît facilement des
fibres
directes et des fibres entre-croisées, complète
de de Weigert; on y reconnaît facilement des fibres directes et des
fibres
entre-croisées, complètement ou incomplètement
e Knapp et Schwei¡rger, sous le titre : Développement et trajet des
fibres
blanches dans le chiasma des nerfs optiques de
térieure, entre le lieu d'émergence des racines posté- rieurs ; les
fibres
qui la constituent seraient ascendantes et se j
réactifs est souvent trop intense ; il arrive alors que beaucoup de
fibres
à myéline demeurent invisibles. Nous avons pu r
dach, quoiqu'elle soit plus accentuée dans le cordon de Goll. Les
fibres
des racines postérieures, au niveau du point où
o- sées. On remarque une diminution notable du nombre des grosses
fibres
transversales de ces mêmes cornes postérieures,
nsversales de ces mêmes cornes postérieures, tandis que les grosses
fibres
ascendantes sont beaucoup moins altérées. Au
nt beaucoup moins altérées. Au niveau de la zone de Lissauer, les
fibres
transversales sont indemnes, tandis qu'il exist
transversales sont indemnes, tandis qu'il existe une diminution des
fibres
fines non commissurales, plus prononcée dans la
RIEDREICH. 341 On observe enfin la disparition presque complète des
fibres
radiées des cordons postérieurs. Les racines
ures extra-médullaires présentent une sclérose assez avancée; leurs
fibres
nerveuses ont des diamè- tres inégaux, plusieur
al dégénéré montre à sa base une disparition presque complète des
fibres
nerveuses tandis que son sommet offre une structu
nfond avec le tissu sain. , Moelle dorsale inférieure. -Beaucoup de
fibres
transversales qui pénètrent dans la corne posté
émergence des racines postérieures contient un plus grand nombre de
fibres
nerveuses que dans la région lombaire. Il exist
e dans la région lombaire. Il existe de mème une augmen- tation des
fibres
nerveuses dans les parties du cordon de Bur- da
dach qui côtoient les cornes postérieures. (Zone de Westphal.) Les
fibres
fines de la substance spongieuse sont en grande
sont également atteintes. Les cordons de Goll sont plus pauvres en
fibres
nerveuses que dans la région lombaire. La par
ntéro-externe de Westphall présente une diminution considérable des
fibres
nerveuses. Les cordons de Goll sont surtout alt
partie moyenne. On voit à leur partie postérieure quelques grosses
fibres
disséminées. Les racines postérieures et les co
es principalement dans leur partie cenlrale où l'on ne voit plus de
fibres
nerveuses. Il reste encore deux ou trois cellul
es cordons de Goll. Même dans son tiers postérieur, le nombre des
fibres
nerveuses n'est pas accru. Quant au cordon de Bur
par une bande de tissu très peu altéré. La partie la plus riche en
fibres
nerveuses est celle du tiers antérieur. Région
postérieure du cordon de Burdach on trouve une grande abondance de
fibres
normales. La zone antéro- externe de Westphall
de la corne antérieure. Le cordon de Goll est un peu plus riche en
fibres
nerveuses. Le faisceau pyramidal présente un mi
artie moyenne, et ce faisceau offre seulement une raréfaction des
fibres
nerveuses dans son tiers postérieur. La sclérose
tout à fait normaux ; on y constate une disparition de quel- ques
fibres
nerveuses ; et aussi (lésion peu importante du re
écussation des pyramides, on observe une diminution peu marquée des
fibres
nerveuses des pyramides postérieures et une alt
pillaires coïncidant au même niveau avec la destruction de quelques
fibres
du raphé. Le cerveau (circonvolutions frontales
aisseaux et pénètrent avec eux dans les parties plus profondes. Les
fibres
cardiaques sont dissociées, plus pâles, et leur
e pas à s'arrêter. L'examen microscopique a démontré l'atrophie des
fibres
nerveuses des cordons postérieurs à la place de
desquels on trouve du tissu fibrillaire très délicat, composé de
fibres
dirigées longiludinalemenl de bas en haut. Les ca
6 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Dans les sciatiques, on trouve beaucoup de
fibres
atrophiées avec conservation du cylindre-axe. L
de la lièvre typhoïde, il existe une dégénérescence fibreuse des
fibres
cardiaques. Examen des centres nerveux pratiqué
droit et gauche. Ce dernier est atteint inégalement. Le nombre des
fibres
nerveuses est considérablement réduit dans les co
térieures vers les cordons latéraux ; d'ailleurs, on trouve plus de
fibres
saines dans le voisinage des cornes posté- rieu
res-axes sont plus ténus. Il en est de même pour les noyaux qui des
fibres
et des pédon- cules. En approchant de l'aqued
ordons postérieurs et des faisceaux pyramidaux avec destruction des
fibres
nerveuses des cordons postérieurs s'étendant un
un peu aussi aux cordons antérieurs, quoique cependant beaucoup de
fibres
de ces cordons fussent relativement saines. L
colonnes de Burdach dans lesquelles cependant on voit çà et là des
fibres
saines disséminées. - Ces fibres saines sont pl
les cependant on voit çà et là des fibres saines disséminées. - Ces
fibres
saines sont plus nombreuses à la, partie supérieu
eu marquée se voit dans le fasciculus czcracu6us et dans un amas de
fibres
du fasciculus 1'otwulllS. Dans les cordons de*
uses ascendantes et légère, mais irrégulière sclérose affectant des
fibres
disséminées en avant de ces bandes et surtout l
dégénérescence des colonnes de Clarke. Dégénérescence de quel- ques
fibres
des racines nerveuses postérieures et dans d'autr
on tiers postérieur, et moyen on trouve seulement çà et là quelques
fibres
nerveuses dans une substance conjonctive fibril-
s la région dorsale supérieure sont visible- ment atrophiées. Les
fibres
fines ont disparu pour la plupart et les cellules
es postérieures sont atrophiées et dans les colonnes de Clarke, les
fibres
fines et les cellules sont altérées. La pie-mèr
. A ce niveau la région occupée par ce faisceau contient quelques
fibres
dégénérées. Quant au faisceau de Gowers, il ne
encore sur celles qui sont saines en apparence; c'est ainsi que les
fibres
grosses sont beaucoup moins abon- dantes dans l
moins abon- dantes dans la moelle qu'à l'état normal, et que les
fibres
très fines y sont en nombre exagéré. Nous peu-'
de leurs prolongements, et ont disparu en plusieurs endroits. Les
fibres
fines de la même zone sont également atteintes,
rosées ou remplacée par un' tissu fibrillaire compact composé de
fibres
entre-croisées dans toutes les direc- tions.
l existe dans les parties non sclérosées une diminution notable des
fibres
grosses, dont la consé- quence est de détermine
colonne de Clarke, dont non seulement les cellules, mais encore les
fibres
fines ont disparu (PL. 1, fig. 3). On peut ajou
sans noyau et sans prolongement b, tissu conjonctif remplaçant les
fibres
fines ; e, noyaux fortement co- lorés ; d, libr
a com- missure postérieure, il existe une zone peu étendue où les
fibres
nerveuses sont bien conservées. En oulre, à la
rées, par une teinte noire et l'examen microscopique montre que les
fibres
nerveuses y sont relati- vement bien conservées
a périphérie, on trouve un champ peu étendu (V. fig, 39 b) dont les
fibres
sont demeurées ntactes. Enfin, on constate en
orée, le mi- croscope fait constater une raréfaction manifeste, des
fibres
nerveuses. Le foyer de dégénérescence dans les
tiel de la lésion systématique, c'est qu'elle frappe un ensemble de
fibres
ayant une même signification et présentant un d
ais que ces bandes obliques constituent un système particulier de
fibres
. Or, quand on examine des coupes de la moelle,
IQUE. veau-né ou chez le foetus de huit mois, on constate que les
fibres
des cordons postérieurs sont enveloppées de myé
u microscope, on constate que cette zone ne ren- ferme que quelques
fibres
à myéline très clairsemées. Elle se dirige de d
établie par les recherches de Popoff'. Cet auteur a reconnu que les
fibres
des parties internes des cordons de Goll possèd
nt déjà une couche de myéline complètement formée, tandis que les
fibres
de leurs parties externes qui confinent aux cor
que dénués. Or, cette région externe des cordons de Goll dont les
fibres
n'acquièrent que tardivement leur myéline se ra
seulement par le fait qu'elle atteint des groupes bien définis de
fibres
nerveuses, mais encore, parce qu'elle se retrouve
ni somatiquement. C'est pourquoi on ne constata pas d'atrophie des
fibres
nerveuses intracorticales. (Techniques d'Exner
ë. M. C. Frommann (de Iéna). De quelques détails de structure des
fibres
et cellules nerveuses. Il existe actuellement tro
oma consistant et un stroma fin. Le stroma consistant se compose de
fibres
consistantes, les unes en zigzags, les autres e
i se pose maintenant, la voici : En quoi cette structure intime des
fibres
et des cellules nerveuses intéresse-t-elle la c
mêmes particularités. Les rapports des ramifications terminales des
fibres
nerveuses avec les appareils de terminaison du
ains éléments anatomiques la con- ductibilité ? l Envisageons les
fibres
des muscles striés. Le cylindre axe de la fibre
Envisageons les fibres des muscles striés. Le cylindre axe de la
fibre
nerveuse après avoir pénétré le sarcolemme se div
vantes. plusieurs branches qui rampent librement à la surface de la
fibre
musculaire; elles sont, chez les reptiles, les
urface (muscle thoracique sous-cutané). Les nerfs qui innervent les
fibres
lisses se divisent de la même façon, après avoir
réseau de filaments des plus ténus qui se terminent dans ou sur les
fibres
musculaires. Dans le réseau de \falpi=hi. de mê
hi. de même que dans l'épithélium des muqueuses et des glandes, les
fibres
, après avoir perdu leur myéline, se divisent en u
cus, 272; -par Mendel, Snell, Binswanger, 406. Moelle (trajet des
fibres
radiculaires postérieures dans la), par Takacs,
sme, 296. Nécrologie, 158, 300, IJ.3 \.. Nerveuses (structure des
fibres
et cellules), par rrommann, 07. , TABLE DES M
sans noyau et sans prolongement b, tissu conjonctif remplaçant les
fibres
fines ; c, noyaux fortement co- lorés ; d, fibr
if remplaçant les fibres fines ; c, noyaux fortement co- lorés ; d,
fibres
fines restantes ; e, fibres saines entourant la z
es ; c, noyaux fortement co- lorés ; d, fibres fines restantes ; e,
fibres
saines entourant la zone. Ce numéro renferme un
tié gauche on dis- tingue encore la corne antérieure bien pauvre en
fibres
myéliniques et cellules nerveuses, tandis que d
dégénérés sans aucune systématisation ; les mieux colorées sout les
fibres
autour du sillon antérieur : assez bien aussi,
eure et médiane sont sclérosées, il n'y a que quelques faisceaux de
fibres
tout à fait postérieurs qui se colorent bien ;
rofondeur des cordons postérieurs. Il faut encore remarquer que les
fibres
n'ont pas la direc- tion normale, au lieu d'obt
coupe transversale comme d'habitude on voit sous le microscope les
fibres
roulées en lire-bouchon ou d'une autre manière
-bouchon ou d'une autre manière quelconque. Le plus grand nombre de
fibres
coupées transversalement se trouve dans les cor
rieurs et par place a la périphérie des cordons antéro-latéraux. La
fibre
myélinique porte le caractère de dégénérescence (
le cordon latéral la moitié antérieure ne conserve presque plus de
fibres
myéliniques, sa partie moyenne a encore quelques
qui se sont groupés sur la périphérie et une toute mince zonule de
fibre
communique avec la corne antérieure dans sa parti
caractéristique d'un H, mais elle est très clairse- mée (réseau des
fibres
myéliniques peu serré). Les mieux conservés reste
téro-latéraux sont également lésés, on y voit la dégénérescence des
fibres
dif- fuses et des foyers de sclérose. La dispos
g-zag. Les racines postérieures sont dégénérées des deux côtés, les
fibres
coupées longitudinalement sont irrégulières en
sceau de Burdach; dans ces foyers sclérosés on trouve des îlots des
fibres
normales qui vont sous forme d'étroites languet
d'étroites languettes vers le centre. On constate aussi une zone de
fibres
assez bien conservées le long de la commissure gr
tincts. Il faut attirer l'attention sur un point que nulle part les
fibres
ne sont coupées transversalement mais qu'elles pa
ne faible prolifération de la névroglie. La dégénération frappe les
fibres
d'une manière diffuse ou se dispose en petits f
réduites à la peau, au tissu sous-cutané et à quelques traînées de
fibres
musculaires sclérosées et rétractées. Les pie
papille et les vaisseaux sont encore assez bien' dessinés, mais les
fibres
nerveuses sont très atrophiées et la lame cribreu
roses qui ne sont autre chose que les cy- lindraxes gonflés ou des
fibres
gonflées et dégénérées. Dans quelques-unes de c
colorées (roses et rouges). Ces masses étaient constituées par les
fibres
dégénérées (cylindraxe ou toute la fibre). A cô
aient constituées par les fibres dégénérées (cylindraxe ou toute la
fibre
). A côté de cela beaucoup d'alvéoles vides. Les v
péri- phérique des cordons antéro-latéraux des mailles vides et des
fibres
dégéné- rées gonflées parmi d'autres normales.
'autres normales. A mesure qu'on s'approche du centre le nombre des
fibres
dégénérées diminue. Nulle part de dégénérescence
hode de v. Gieson ce sont des masses gonflées rose-rou- geâtre, des
fibres
nerveuses dégénérées, gonflées considérablement.)
ent être considérées comme le produit de dégénérescence de toute la
fibre
nerveuse. Il est exceptionnel de voir dans ces ma
calisation ils sont dispersés dans la subs- tance blanche entre les
fibres
et dans les espaces périvasculaires dilatés. Dans
vait des foyers plus ou moins grands qui rappelaient les foyers des
fibres
gonflées et dégénérées hydrémique'ment, c'est-à-d
che, le long de la corne postérieure, et une légère raréfaction des
fibres
dans les cordons postérieurs. Dans le II" segment
les cordons latéraux. En approchant de la substance grise on voit les
fibres
nerveuses plus pâles que dans la zone périphéri
ure est presque complètement dégénérée (il n'y a que des traces des
fibres
fines). Au-dessous de cette région la coupe de
t aussi ainsi que des masses rosées rondes et mates (produits de la
fibre
nerveuse). Au-dessous de la moelle cervicale, p
s ou gonflés légèrement. A côté de ce caractère (de raréfaction des
fibres
) de toute la coupe, on notait des foyers petits
des ilôts de cylindraxes gonflés ou des masses constituées par les
fibres
nerveuses dégénérées. Il est très important d
nc que dans le cas présent la compression mécanique exercée sur les
fibres
nerveuses jouait le rôle prin- cipal dans la pr
pal dans la production de tout le tableau anatomo-pathologique. Les
fibres
nerveuses ont changé de forme (le plus souvent so
complète). La compression n'était pas assez forte pour détruire les
fibres
, puisque nous voyons que leurs cylindraxes ont pe
ntrer au microscope des altérations des tissus nerveux, cellules et
fibres
, dans des coupes provenant de cerveaux d'ani- m
produit la contraction générale des vaisseaux produite par le jeu des
fibres
musculaires logés dans leurs parois. La physi
ta- tion, vu qu'il n'existe pas dans les membranes des vaisseaux de
fibres
mus- culaires dont l'action produirait leurdist
existe dans les systèmes anatomiques connus, dans la répartition des
fibres
dès faisceaux pyramidaux par exemple ou dans le
constater 1'liéLéroLopie. La substance blanche est modifiée. Les
fibres
nerveuses, au lieu de présenter leur coupe transv
bre des vaisseaux est augmenté, qu'ils sont très dilatés et que les
fibres
nerveuses sont dégénérées (gonflement et destru
é nous pouvons dire que dans ce cas il s'agissait, d'une lésion des
fibres
nerveuses par compression avec une stase sanguine
postérieurs sont le mieux conservés quoique là aussi on trouve des
fibres
dégénérées. A la coupe on voit des fibres à dir
ue là aussi on trouve des fibres dégénérées. A la coupe on voit des
fibres
à direction antéro-postérieure (à la suite de com
ion interne normale. On n'y voit qu'une raréfaction insignifiante des
fibres
nerveuses dans le cordon latéral gauche, surtou
ramollissement d'aspect alvéolaire (espaces né- vrogliques dilatés,
fibres
disparues, cylindraxes gonflés). Les vaisseaux so
éseau normal, on voit une masse grise indistincte parcourue par les
fibres
nerveuses modifiées avec les contours mal dessiné
, masses de myéline dégénérée, libres nerveuses rompues). Là où les
fibres
nerveuses persistent encore en nombre suffisant
ans le Vie segm. dorsal), on voit de nouveau un- mince faisceau des
fibres
nerveuses qui couronnent la face postérieure des
substance grise. Sa configuration est presque normale, le réseau de
fibres
myéliniques abondant. La substance blanche est dé
aractéristique que sur toute la périphérie de la tumeur on voit des
fibres
nerveuses à myéline qui constituent évidemment le
ne qui constituent évidemment les racines gauches postérieures. Ces
fibres
s'accumulent en faisceaux ronds ou courent en s
- 3. Pie-mère recouvrant la tumeur. - 4, 6, 8, 9, H, 13. Traces de
fibres
radiculaires postérieures au sème de la masse n
la périphérie de la tumeur on voit dispersés ça et là des îlots des
fibres
radiculaires. La tumeur s'est développée évidemme
o- les vides, larges ; masses rondes, produit de dégénérescence des
fibres
ner- veuses ; vaisseaux dilatés remplis de sang
Presque toute la coupe est couverte de mailles larges, claires, de
fibres
myéliniques (gonflées ? ), surtout distinctes dan
II° cas, On y constatait beaucoup de mailles larges et vides et des
fibres
ner- veuses gonflées. Cette lésion n'était pas
ral gauche et des cordons postérieurs. En outre une raréfaction des
fibres
dans la substances blanche (surtout dans les zo
surtout dans les zones périphériques) et dans la grise (le réseau des
fibres
myélinique moins dense). Nulle part de dégénére
ère).La moelle même présente peu de lésions. Faible raréfaction des
fibres
dans la substance blanche. La substance blanche
is aujourd'hui que les cellules de Betz consti- tuent l'origine des
fibres
qui excitent les noyaux radiculaires des muscles
e de la pariétale ascendante car c'est ici que viennent aboutir les
fibres
du plexus exogène de Cajal que la 372 MARINESCO
ce, laquelle, comme on le sait, nous permet d'étudier l'origine des
fibres
nerveuses. Les premières tentatives dans cette
périmentaux obtenus chez sept chiens auxquels ils ont sectionné les
fibres
de projection de la zone motrice pour voir si les
zone motrice de l'écorce centrale après la section expérimentale des
fibres
de pto- jeclion chez le chien, lbid. (3) G. M
s : 10 Chez les primates, la zone corticale exacte de l'origine des
fibres
cor- tico-spinales qui innervent les membres et
est située tout à fait en avant de la scissure de Rolando. 2° Ces
fibres
cortico-spinales tirent leur origine exclusivemen
zone et ces cellules ne donnent probablement pas naissance qu'à ces
fibres
cortico- spinales. 3° L'aire d'origine de ces
nce qu'à ces fibres cortico- spinales. 3° L'aire d'origine de ces
fibres
cortico-spinales coïncide exactement avec la zo
co-spinales coïncide exactement avec la zone motrice excitable, ces
fibres
innerveraient d'après les recher- ches les plus
plus récentes, les membres et le tronc. 4° Cette aire d'origine des
fibres
cortico-spinales correspond à une portion d'un
uestion, il affirme qu'il considère comme absolument prouvé que les
fibres
du fais- ceau pyramidal tirent leur origine des
hique avec la moelle par des filets sympathiques centrifuges et des
fibres
médullaires centripètes (Langley, Roux) ; et av
ation de foyers irréguliers, mal délimités avec une raréfaction des
fibres
. Ces foyers se rencontraient surtout dans les c
yons qu'elles aussi ne constituent pas une preuve indéniable que la
fibre
nerveuse a perdu sa conductibilité. Maintes foi
nte une légère raréfaction du réseau supraradiaire et de quel- ques
fibres
tangentielles des circonvolutions de l'insula. Le
s de l'insula apparaissent de plus en plus manifestes, car quelques
fibres
de l'axe médullaire, ainsi que les réseaux radiai
ires et supraradiaires des mêmes circonvolutions sont disparus. Les
fibres
de la portion du fasciculus arcualus, qui s'éte
périeur de l'hémisphère on note la disparition presque complète des
fibres
qui font partie des fibres d'association en U e
note la disparition presque complète des fibres qui font partie des
fibres
d'association en U et s'étendent à la base des ci
U et s'étendent à la base des circon- volutions de l'insula, et des
fibres
qui constituent les réseaux supra et infra- (1)
la portion postérieure de la capsule externe, un certain nombre de
fibres
nerveuses sont disparues. Dans les sections h
p plus étendue. Dans la circonvolution postérieure de l'insula, les
fibres
de l'axe médullaire et de celles de la base son
Dans le tiers postérieur de la capsule externe, presque toutes les
fibres
ont disparu, tandis que dans le reste de cette
suivants : le gyrus posterior in- sulx ne contient presque point de
fibres
médullaires ; le gyrus brevis tertius (placé de
ment détruit ; le gyrus brevis secundus présente seulement de rares
fibres
médullaires, la plupart étant complètement disp
s ou dégénérées; le gyrus brevis anterior contient un bon nombre de
fibres
normales, le nombre des fibres dégénérées étant r
s anterior contient un bon nombre de fibres normales, le nombre des
fibres
dégénérées étant relativement moindre. Dans une
suivants : le gyrus poste- rior insulx est en partie détruit ; les
fibres
de l'axe médullaire correspondant sont raréfiée
st presque tota- lement détruit. Dans le gyrus brevis secundus, les
fibres
de l'axe médullaire et du réseau supra et infra
le réseau supra et infraradiaire ont perdu une quantité notable de
fibres
à myéline. Une section horizontale à 55 millimè
ts : le gyrus temporalis trans- versus contient un faible nombre de
fibres
médullaires (Pl. LV, B) ; celles qui regardent
truit ; l'axe médullaire du gyrus tertius (brevis) manque un peu de
fibres
nerveuses ; les deux gyri (brèves) actteriores
t en partie disparus. Dans le gyrus temporalis transversus quelques
fibres
courant à la base de l'axe médullaire sont seules
' est normal ; l'operculum rolandicum est dis- paru. Une partie des
fibres
de l'ol)ei-c ? tl2tîîi desF3 est raréfiée ou dégé
état plus grave dans leur portion dorsale ; légère raréfaction des
fibres
nerveuses de la circonvolu- tion antérieure de
us devons nous occuper séparément, à savoir : la dégénérescence des
fibres
médullaires du 1/3 dorsal antérieur du Ti ; la
fonction du langage. En effet, c'est là un point d'où, sortent des
fibres
associées qui le relient au gyrus supramarginal
e aussi capitale. Autour de ladite circonvolution courent aussi des
fibres
associées, allant, les unes d'avant en arrière,
nsula. Enfin,dans cette même circonvolution, se terminent aussi des
fibres
de la sphère acoustique. En somme, le gyrus tempo
somme, le gyrus temporalis transuersus est une zone qui reçoit des
fibres
de projection (acoustiques), et, en même temps,
ecundus - On voit en partie détruit le gyrus posterior j,¡sulæ; les
fibres
de l'axe médullaire sont raréfiées et en partie d
t presque totalement disparu ; dans le gyrus brevis se- cundus, les
fibres
de l'axe médullaire sont en partie disparues, ain
long de la moitié antérieure de Tq, manque une quantité notable de
fibres
à myéline, tant dans les axes médullaires que d
la. - Le gyrus temporalis trans- versus contient un petit nombre de
fibres
médullaires, celles qui regardent le lobe front
e gyrus ' temporalis transversus il n'est resté intact que quelques
fibres
nerveuses s'étendant à la base de l'axe médulla
up,'emus est normal. De même l'operculum rolandicum. Une partie des
fibres
de l'operculum de la F, est raréfiée ou dégénérée
sence d'une anomalie qui porte exclusivement sur un seul système de
fibres
, sur la grande commis- sure interhémisphérique.
n raison de son enchevêtrement avec les radiations calleuses et les
fibres
de la cou- ronne rayonnante. Lorsque le corps c
ouveau-né, on constate la disparition subséquente non seulement des
fibres
constituantes de cette voie, mais aussi de leurs
nt le long de la paroi interne de cette corne, un certain nombre de
fibres
calleuses dégénérées. Dans la seconde observati
iffusément dans sa totalité. Jamais on n'est-par- venu à suivre les
fibres
dégénérées sur toute l'étendue du faisceau sous-
l forme avec le tapétum un système d'association indivisible dont les
fibres
constituantes servent à relier entre elles les
les différentes régions corticales d'un même hémisphère. Toutes ces
fibres
proviennent de l'écorce et se terminent dans l'
xxiii 34 510 O ARCHAMBAULT laquelle il abandonne de nombreuses
fibres
, ce faisceau longe l'angle ex- terne du ventric
e la couronne rayonnante, au-dessous du crochet que décri- vent les
fibres
calleuses autour de l'angle externe du ventricule
est en partie dissocié au niveau de la queue de ce dernier, par les
fibres
de la couronne rayonnante et par les fibres cal
de ce dernier, par les fibres de la couronne rayonnante et par les
fibres
calleuses. Arrivé au niveau du car- refour vent
our ventriculaire, ce faisceau se recourbe en bas et en avant, et ses
fibres
s'étalent en éventail sur la paroi inféro-exter
rce du lobe frontal ; il reçoit, chemin faisant, un grand nombre de
fibres
provenant du bord supérieur de l'hémisphère et
lutions de la face externe,et qui lui arrivent en passant entre les
fibres
calleuses et les fibres de la couronne rayonnante
ne,et qui lui arrivent en passant entre les fibres calleuses et les
fibres
de la couronne rayonnante. De la base du faisce
stitution de la capsule externe. Dans le lobe sphéno-occipital, les
fibres
du faisceau occipito-frontal s'irradient, après
laire et en particulier au niveau de la corne' occipitale, avec les
fibres
du forceps major du corps calleux. Les lésions
lésions du lobe temporal et de la convexité de l'hémisphère, et ses
fibres
dégéné- rées peuvent être suivies dans la subst
lobe frontal, à la convexité de l'hémisphère et à l'insula (par les
fibres
se rendant à la capsule externe). Après Onufrow
celui-ci existe bien qu'il ne soit représenté que par une couche de
fibres
commissurales très mince, limitée à la partie ant
à peu près au genou. Celui-ci n'est constitué que par une masse de
fibres
transversales longue d'environ deux centimètres e
décrit et se continue plus loin sous la forme d'une mince couche de
fibres
qui engaine plus ou moins complètement ce bourr
t de beaucoup plus abondamment développés qu'à l'état normal. Les
fibres
dérivées du genou du corps calleux entourent pres
du genou du corps calleux, est recouverte par un faisceau dont les
fibres
constituantes semblent émerger du rudiment calleu
et le long de la paroi latérale de la corne temporo-occipitale. Ces
fibres
, poursuit l'auteur, font partie du faisceau d'ass
ssez facilement reconnaître grâce à la faible colora- tion de leurs
fibres
, Ces fascicules se dessinent d'abord dans la part
au du lobe occipital, le tapétum est formé, selon l'auteur, par les
fibres
réunies du cingulum et du faisceau fronto-occipit
se confond avec la zone sous-épendymaire. Un certain nombre de ses
fibres
se rendent directement à la capsule externe. Da
ndent directement à la capsule externe. Dans le lobe occipital, les
fibres
de ce faisceau peuvent être suivies et en dedan
aire, le domaine qui renferme à l'état normal les 514 ARCHAMBAULT
fibres
du forceps majeur du corps calleux ; en d'autres
temporal. Au niveau du lobe occipital gauche, un certain nombre des
fibres
du cingulum se rendent très nettement au tapétum
t un très fort contingent de radiations calleuses, un bon nombre de
fibres
d'association qui relient le lobe occi- pital e
ulièrement favorables à l'étude des rapports qui existent entre les
fibres
'de projection et les fibres d'association. On
tude des rapports qui existent entre les fibres 'de projection et les
fibres
d'association. On voit très distinctement, dit
au du lobe frontal, le trigone est renforcé par un grand -nombre de
fibres
qui viennent de la substance profonde de ce lobe
e recourbe en bas pour combler l'espace qui résulte du fait que les
fibres
calleuses n'atteignent plus la ligne médiane.Plus
trent chacun dans l'épaisseur de l'hémisphère correspondant, où ses
fibres
constituan- tes peuvent être suivies jusque dan
que d'un refoulement, au-dessous de l'épendyme ventriculaire, des -
fibres
appartenant au corps calleux et à la couronne ray
ue la zone réticu- lée de la couronne rayonnante est formée par des
fibres
provenant de la capsule interne, qui se dirigen
ur s'irradier dans l'écorce de la face interne de l'hémisphère. Les
fibres
ni de la zone réticulée ni du faisceau du noyau
te par un faisceau sagittal qui renferme en réalité deux espèces de
fibres
; la majorité de ces fibres appartient à la zon
qui renferme en réalité deux espèces de fibres ; la majorité de ces
fibres
appartient à la zone réticulée de la couronne r
tapétum, la couche pour- tant bien caractéristique que forment les
fibres
calleuses lorsqu'elles se recourbent en arrière
alleux existe bien qu'il ne réunisse pas les deux hé- misphères.Les
fibres
calleuses se sont développées et se sont rassembl
deux faisceaux sont intimement unis par l'entrecroisement de leurs
fibres
. En arrière, ces faisceaux diver- gent progress
persistant de la commissure calleuse, se détachent un bon nombre de
fibres
qui peuvent être suivies en dedans du noyau cau
et au-dessous du ventricule pour constituer le tapétum latéral. Les
fibres
fournies par ces deux feuillets entourent compl
ces deux feuillets entourent complètement la corne occipitale. Les
fibres
du trigone pénètrent en avant dans la substance
en avant dans la substance propre de la commissure calleuse et des
fibres
de pas- sage se retrouvent ai tous les niveaux
u sagittal bien délimité qui représente sans doute le cingulum. Ses
fibres
peuvent être suivies très loin et dans le lobe
rontale et occipitale du ventricule latéral et reçoit de nombreuses
fibres
des circon- volutions frontale supérieure, fron
ciliaires avec les nerfs ciliaires, c'est-à-dire sur l'origine des
fibres
qui innervent le muscle ciliaire et le muscle i
ieure du IIIe ventricule, il existe des centres qui fournissent des
fibres
distinctes à l'iris et au muscle ciliaire, et c
issent des fibres distinctes à l'iris et au muscle ciliaire, et ces
fibres
se trouvent comprises dans la III" paire. . S
tent avec Leneley,Anderson et Langendorf, Kôlliker, z etc., que les
fibres
du sphincter irien et du muscle ciliaire prennent
lement par la voie expérimentale, à des conclusions inverses : les
fibres
motrices des nerfs ciliaires proviennent direct
coupes de plus en plus rapprochées du pôle central du ganglion, les
fibres
à myéline diminuent, surtout dans la moitié du ga
ion, la racine sensitive n'est nullement t dégénérée, et toutes les
fibres
sont intensivement colorées par l'acide osmi- q
tte racine. Mais au sur et à mesure que les cellules diminuent, les
fibres
saines diminuent également. La racine motrice e
lu- sieurs petits fascicules accessoires : tous sont dégénérés, les
fibres
saines y sont très rares (PI. LXIV, E). A la
et qui est vraisemblablement la racine sympathique; la plupart des
fibres
sont colorées par l'acide osmique ; il existe c
sont extrê- mement dégénérées et ne contiennent que quelques rares
fibres
saines. Il en est de môme du tronc de la IIIe p
s dégénérée au niveau du cul-de-sac dure-mérien (PI. LXV, II) : les
fibres
se dépouillent brusquement de leur gaine de myéli
on ou par les nerfs ciliaires, à leur émergence (PI. LXVII, D), les
fibres
sont très bien conservées, les cylindres-axes r
intacts, de même le ganglion : peut-être manque-t-il quelques rares
fibres
dans la racine sympathique et dans la racine sens
ule dans lequel les noyaux soient un peu plus nombreux, et quelques
fibres
absentes, mais tous les autres fascicules peuve
yse anormale est solidement reliée à ses voisines par de nombreuses
fibres
, légèrement déviées sans doute, mais aussi solide
ou légère- ment sinueuses. Les noyaux névrogliques au milieu de ces
fibres
apparaissent ovoïdes, allongés dans le même sen
ces fibres apparaissent ovoïdes, allongés dans le même sens que les
fibres
. Il existe dans ces pla- ques moins de capillai
r des pseudo-glandes. Immédiatement au-dessous de l'épithélium, les
fibres
névrogliques sont par- ticulièrement tassées et
quelque sorte progres- sive. Ou ne rencontre que très rarement des
fibres
boursouflées, tuméfiées et LÉSIONS );PENDYD4AlR
qu'on y rencontre sont ovoïdes, allongés dans le même sens que les
fibres
elles-mêmes. Celte sclérose parait plus compact
s îlots sont séparés les uns des autres par de grêles fascicules de
fibres
nerveuses, ce qui donne aux coupes de cette rég
'est que le résultat pure- ment mécanique de la dissociation de ses
fibres
. Il semble bien s'agir d'un degré peu ordinaire
tion frontale supérieure ; eu bas il se con- tinue avec un champ de
fibres
triangulaire et très compact situé à la partie
rconvolutions de la face médiane. Elle est entourée d'une couche de
fibres
assez épaisse, mais qui se colore fort mal et d
ie supérieure de cette paroi est occupée en partie par une masse de
fibres
très compacte qui se développe rapidement dans la
e normal. Il entre dans la constitution de cette masse blanche, des
fibres
appartenant sans doute à plu- sieurs systèmes d
es, et se dégagent directement de la couche sous-épendy- maire. Ces
fibres
, nous les attribuons au système calleux, puisque
nnent de tous les points de l'écorce et qui ne peuvent être que des
fibres
calles. Les radiations qui naissent des régions i
le bord interne de la couronne rayonnante. A part ce contingent de
fibres
calles, la masse complexe de la paroi interne r
sible de délimiter ces divers systèmes, l'en- chevêtrement de leurs
fibres
étant trop considérable. On distingue très nett
e la bandelette optique et le plus supérieur s'accole à la masse de
fibres
située au-dessus du ventricule. - En arrière de
e ventricule n'est donc plus clos sur la ligne médiane. La masse de
fibres
située à l'angle supérieur du ventricule et dan
r la paroi ventriculaire refoulée et amincie. Ce champ renferme les
fibres
du système calleux et du cingulum, et se continue
r dans la zone sous-épendymaire. Pour nous, 636 ARCHAMBAULT ces
fibres
représentent les radiations calleuses ds l'insula
ndre au tubercule cendré mais s'enchevêtrent plus ou moins avec les
fibres
de l'anse lenticulaire. Bien que nous n'ayons p
profonde de la circonvo- lution limbique est occupé par la masse de
fibres
complexe que nous avons déjà décrite et que, po
ceau reçoit constamment de la zone sous-épendymaire avoisinante des
fibres
dirigées transversalement en dedans et qui se c
érieure hé- berge une partie du cingulum, mais l'enchevêtrement des
fibres
est tel que nous ne saurions établir les confin
e dans le cas actuel cette réaction est d'autant plus nette que les
fibres
voisines sont franchement dégé- nérées. Le fais
a ligne médiane par un prolongement de la pie-mère. D'ailleurs, les
fibres
constituantes de ces deux systèmes diffèrent se
borde les niveaux plus postérieurs, un nombre toujours croissant de
fibres
de projection bien colorées. Les faisceaux d'as
la face dorsale de la couche optique. A ce niveau, l'ensemble des
fibres
situées en dedans et au-dessus du ven- tricule
cingulum que l'on commence à distinguer plus facilement et dont les
fibres
se colorent relativement bien. On dirait que ce
us-épendymaire qui lui abandonne un nombre de plus en plus grand de
fibres
saines. La troisième zone et la plus inférieure
a- ler la rare précision avec laquelle on peut suivre le trajet des
fibres
géniculo. calcariniennes, depuis leur sortie du
cicules arqués qui s'entrecroisent dans tous les sens, mais dont les
fibres
cons- tituantes sont dirigées pour la plupart v
one sous-épendymaire voisine se répartissent de telle façon que les
fibres
qui proviennent de la capsule externe remontent l
ns la partie la plus supérieure du faisceau sagittal, alors que les
fibres
dérivées du bord supérieur de l'hémi- sphère se
us de confins même approximatifs, et on ne saurait différencier ses
fibres
de celles du faisceau sagittal médian. Ce dernier
ia et le corps du trigone. Le ventricule est limité en dedans par les
fibres
FIG. 4. AGENÉSIE DU CORPS CALLEUX 643 réuni
à ce fait que dans toute la région du carrefour ventriculaire, les
fibres
du trigone sont t nettement dégénérées alors qu
re, les fibres du trigone sont t nettement dégénérées alors que les
fibres
du faisceau sagittal prennent une coloration in
une coloration intense. On arrive ainsi à se rendre compte que les
fibres
du fais- ceau sagittal descendent le long de la
ns la zone sous-corticale de la circonvolution de l'hippocampe. Les
fibres
du trigone e ainsi refoulées vers la ligne médi
on limbique. Il se fait donc un véritable entrecroisement entre les
fibres
constituantes du trigone et celles du faisceau sa
aut, devenant sous-cortical en bas. Plus en arrière, cependant, les
fibres
du faisceau sagittal dans leur trajet descendant
continuent directement avec le tapétum sphénoïdal. La totalité des
fibres
du trigone se trouvent ainsi relé- guées à la z
étum est certainement moins volumineux que le tapétum nor- mal; ses
fibres
constituantes sont plus relâchées et son segment
e. Le tapétum est atrophié, mais se colore relativement bien et ses
fibres
constituantes, dirigées plus ou moins verticale
du corps calleux, Oscar Vogt et Zingerle ont égale- ment suivi les
fibres
du cingulum jusque dans la paroi interne de la co
ou inférieur.Elle entoure complètement la corne occipitale, et ses
fibres
peuvent être suivies avec la plus grande facilité
45 Dès que l'on se rapproche du pôle occipital, on constate que les
fibres
du faisceau sagittal médian entourent presque c
trajet, la corne temporo-occipitale du ventricule et les couches de
fibres
qui l'entourent pré- sentent un bon nombre d'al
, toutefois, démontre qu'il ne s'agit là que d'une appa- rence. Les
fibres
de la couche sagittale interne, qui à l'état norm
l sont d'un calibre plus fin et se colorent moins fortement que les
fibres
voisines, se trou- vent dans le cas actuel de b
oloré et que la zone sous-épendymaire est occupée par une couche de
fibres
relativement bien conservée. Cette disposition tr
, cependant, nous a permis d'établir avec certitude absolue que ces
fibres
saines se continuent directement avec la couche s
On voit très distinctement qu'en arrière du noyau lenticulaire, les
fibres
constituantes de la commissure antérieure se dé
c la couche sagittale externe temporale, le trajet ininterrompu des
fibres
du faisceau de Turckdans leur passage à travers
it des couches sagittales profondes du lobe temporal, de nombreuses
fibres
(radiations thalamiques postéro-inférieures) do
capsule interne est particulièrement facile à suivre. Alors que les
fibres
du bras postérieur des tubercules quadrijumeauxse
quadrijumeauxse rendent directement au corps genouillé interne, les
fibres
du bras antérieur passent en avant de celui-ci
du bras antérieur sont croisées obliquement par un autre système de
fibres
provenant du lobe temporal. Ces dernières tirent
pour arriver à la partie antérieure du corps genouillé interne. Ces
fibres
ne sont autres que les radiations cortico-genou
semble être le siège d'une véritable trifurcation, certaines de ses
fibres
se rendent au tuber- cule cendre, d'autres se r
oit très nettement se détacher de l'écorce médiane un bon nombre de
fibres
courtes qui traversent obliquement les couches sa
l'on peut admettre l'existence probable d'un certain contingent de
fibres
calles au niveau de la paroi ventriculaire inte
e terminale et l'angle postéro-interne du lobe frontal, un champ de
fibres
très irrégulier et qui se colore fort mal, se des
iquat de la cloison transparente,car il reçoit un certain nombre de
fibres
du trigone. Des lésions vasculaires abondent à ce
oisième ventricule et le ventricule latéral (PI. LXXVI) le champ de
fibres
complexe et irrégulier que nous avons déjà rema
nom de faisceau sagittal médian. En avant de la corne frontale, les
fibres
de ce faisceau se confondent plus ou moins avec l
ale, les fibres de ce faisceau se confondent plus ou moins avec les
fibres
constituantes de la couche interne de la couron
On voit très nettement se détacher du trigone un certain nombre de
fibres
qui se rendent à la zone sous-épendymaire de la
érieur qui adhère fortement au trigone dont il reçoit de nombreuses
fibres
,l'autre antérieur qui pénètre au fond du sillon
ult) . Masson & Cie, Editeurs AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX 649
fibres
appartenant au faisceau sagittal. Toutes ces part
sans doute le segment supérieur ou fronto-pariétal du cingulum. Ses
fibres
affectent le même trajet que celles du faisceau
les médianes. En arrière, ces fasci- cules croisent obliquement les
fibres
du trigone, forment le tapétum médian sur une c
courte étendue et se confondent près de l'ergot de Morand avec les
fibres
de la couche sagittale interne. On voit encore se
rêmement rapide et, se prolongeant en avant, se confondent avec les
fibres
du faisceau sagittal médian qui est lui-même de
anche pro- fonde de cette circonvolution où il est traversé par les
fibres
que l'écorce lim- bique envoie au corps du trig
sagittal médian. Bien que d'une façon générale ces deux systèmes de
fibres
soient inséparables, ils se trouvent toutefois as
, il se produit un échange de territoire entre ces deux systèmes de
fibres
, ce qui reste du trigone se trans- portant lent
e substitution de domaine est d'autant plus facile à suivre que les
fibres
du faisceau sagittal médian se colorent fortement
res du faisceau sagittal médian se colorent fortement alors que les
fibres
du trigones ont franchement dégénérées. Lors de s
sert à délimiter le fais- ceau sagittal médian du cingulum dont les
fibres
poursuivent un trajet parallèle au sien, au niv
n fascicule gracile, bien défini sur toute son étendue, et dont les
fibres
les plus antérieures peu- vent être suivies jus
s'unissant au tapétum latéral, forme avec ce dernier un système de
fibres
indivisible qui entoure de toute part le segmen
être un fait absolument incontestable. Au-dessus du ventricule, les
fibres
constituantes du faisceau sagittal médian pours
viennent de tous les points de l'écorce et qui ne sont autres que des
fibres
calleuses. Ces fibres s'étant rassemblées dans
nts de l'écorce et qui ne sont autres que des fibres calleuses. Ces
fibres
s'étant rassemblées dans le voisinage du ventricu
un rôle purement mécanique en déviant tout simplement le trajet des
fibres
calleuses ; alors même que ces der- nières sera
rescence wallérienne tout simplement. Seul, le segment distal de la
fibre
calleuse est dégénéré ; le segment proximal res-
de leur exactitude. Le trigone est donc formé non seulement par les
fibres
dérivéos AGÉNÉSIE DU CORPS CALLEUX 659 de la
ALLEUX 659 de la circonvolution de l'hippocampe, mais aussi par des
fibres
qui pro- viennent de la première circonvolution
l n'est possible de le faire dans l'hémisphère normal. En avant les
fibres
du cingulum atteignent presque le pôle frontal
atteignent presque le pôle frontal ; en arrière elles se mêlent aux
fibres
du faisceau sagittal médian pour constituer le
formation d'ordre assez complexe. Elle trans- met certainement les
fibres
de projection qui se rendent à la région de l'i
qui en proviennent, elle renferme peut-être un certain nom- bre de
fibres
d'association, mais pour nous, elle représente su
ute la longueur du lobe fronto-pariétal gauche, que celle couche de
fibres
se rend tout d'une pièce dans la zone sous-cortic
che est corticipéte. Dans l'hémisphère droit, nous avons suivi les
fibres
de la commissure antérieure jusque dans le vois
age du noyau caudé sphénoïdal et nous sommes porté à croire que ces
fibres
entrent dans la constitution de la partie antér
au normal. 4° Le trigone cérébral est formé non seulement par des
fibres
directes de la circonvolution de l'hippocampe,
s directes de la circonvolution de l'hippocampe, mais aussi par des
fibres
provenant de la première circonvolution limbiqu
te de cette possibilité, le tapétum est formé exclusivement par les
fibres
du corps calleux. UNIVERSITÉ DE FLORENCE CONT
st nécessaire, non seulement le ' Les lits de laine de tourbe ou de
fibre
de bois sont exclusivement employés dans notre
11 n'en est pas de même pour le trajet intra-encéphalique de ces
fibres
sensitives. Les documents très incomplets dont di
pose la science à l'heure actuelle ne permettent pas de dire si les
fibres
du sens musculaire ont dans le bulbe, la protub
otubérance et le pédon- cule un trajet distinct de celui des autres
fibres
de la sensibilité Archives, 2' série, t. IX 3
e région qu'il appela lé carrefour sensitif, pensant que toutes les
fibres
sensitivo-sensorielles s'y réunissaient, plusie
ns deux cas : 1° Lorsqu'il y a une lésion thalamique détruisant les
fibres
ter- minales du ruban de Reil et les fibres d'o
alamique détruisant les fibres ter- minales du ruban de Reil et les
fibres
d'origine du neurone tha- lamo-cortical. 2u L
s volumineuse lésion capsulaire. Ces auteurs admettent donc que les
fibres
sensitives font un pre- mier relai au niveau de
e et inférieure du noyau externe du thalamus. De là partiraient des
fibres
cortico -thalami- ques ascendantes. Mais ces fi
partiraient des fibres cortico -thalami- ques ascendantes. Mais ces
fibres
ne forment pas dans la capsule un faisceau dist
le un faisceau distinct; elles occuperaient intimement mêlées aux
fibres
descendantes toute la partie postérieure depuis l
u rétro-lenticulaire. Ce faisceau rétro-lenticulaire est composé de
fibres
visuelles et les lésions siégeant à ce niveau p
natomiques sont donc impuissants à nous révéler le trajet exact des
fibres
centripètes affectées au sens musculaire. Il y
sculaire. Il y a tout lieu de croire cependant que comme les autres
fibres
sensitives elles ont un relai au moins partiel
e de nouvelles recherches. De même que pour l'étude du trajet des
fibres
sensitives, l'étude de la localisation cortical
nterne n'est qu'un lieu de passage et il faut bien admettre que les
fibres
qui la traversent se terminent quelque part dans
outes deux d'une méningo-encéphalique chronique, avec réduction des
fibres
tangentielles de l'écorce, et atrophie des cell
la disparition de'nombreuses cellules nerveuses et la réduction des
fibres
tangentielles, a fait remarquer cependant qu'il
rquée dans la partie antéromédiane de la pyra- mide ; on trouve des
fibres
dégénérées par toute la pyramide dans les lésio
mide dégénérée dans la direction du raphé, on voit se diriger des
fibres
dégénérées qui s'en vont du côté opposé. Ces fibr
se diriger des fibres dégénérées qui s'en vont du côté opposé. Ces
fibres
peuvent être, en ce qui concerne la lésion du c
x de ce nerf; mais on n'en rencontre plus au-dessus du noyau. Les
fibres
pyramidales dégénérées qui vont au noyau du facia
us de ces noyaux dans le ter- ritoire des olives supérieures. Les
fibres
pyramidales qui vont au noyau du trijumeau s'entr
trijumeau, il n'y a plus entre-croisement ; on voit simplement des
fibres
dans le voisinage du noyau. La lésion des centr
et du centre infé- rieur du facial révèle l'existence, en outre, de
fibres
pyramidales dégénérées qui vont au noyau du côt
amidales dégénérées qui vont au noyau du côté opposé; il existe des
fibres
de ce genre qui vont au noyau du même côté. Q
expériences et les coupes ont été bien réussies, il n'existe pas de
fibres
dégénérées dans les systèmes de fibres qui sont
réussies, il n'existe pas de fibres dégénérées dans les systèmes de
fibres
qui sont en dehors des pyramides. Dans la pyram
en dehors des pyramides. Dans la pyramide même, qui con- tient des
fibres
dégénérées, on rencontre toujours, au-dessous du
ntre toujours, au-dessous du niveau des noyaux du nerf examiné, des
fibres
dégénérées que, quoiqu'en petit nombre, on peut
rte quel nerf cranien, entraîne donc toujours une dégénérescence de
fibres
quelconques allant à la moelle. La dégénérescen
res quelconques allant à la moelle. La dégénérescence de toutes les
fibres
des pyramides qui dégénèrent après lésion du ce
et de la capsule interne, car. dans ces deux régions, on trouve des
fibres
dégénérées qui, assurément, n'ont aucun rapport
donc aucun point de repère pour distinguer quelles sont. parmi les
fibres
dégénérées, celles qui appartiennent au système
ains symptômes. Conclusions : 1° La multiplication considérable des
fibres
nerveuses les plus fines dans les parties sclér
ut être le produit d'une dégénérescence ou d'une régénérescence des
fibres
nerveuses. - Dégénérescence, disent les uns, car
but de sclérose, il y a toujours tuméfaction d'un certain nombre de
fibres
nerveuses et par suite une compression qui rédu
par suite une compression qui réduit les nerfs voisins à l'état de
fibres
minces et de fibres 144 REVUE D'ANATOMIE ET DE
ession qui réduit les nerfs voisins à l'état de fibres minces et de
fibres
144 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
moelle; suivant le degré de la compression, on devrait trouver des
fibres
intermédiaires comme volume aux grosses fibres
devrait trouver des fibres intermédiaires comme volume aux grosses
fibres
et aux toutes petites, et l'on n'en trouve poin
petites, et l'on n'en trouve point. En un mot, le grand nombre des
fibres
nerveuses fines plaide en faveur de leur nature
d'un clair halo, qui trahissent, en certains endroits, la coupe des
fibres
nerveuses à myéline fines. Le contour de la gai
de ces gaines, et une réplétion inusitée, en certains endroits, de
fibres
de petit calibre où il n'y a pas de proliférati
tremblement inten- tionnel. La suppression de l'action de quelques
fibres
des voies psychomotrices en est la cause. Briic
t volontaire d'un muscle est dû aux décharges successives de chaque
fibre
comparables à celles de chaque fusil dans le feu
Erben trouve par la constatation d'unnombre remarquable de petites
fibres
qu'il peut y avoir néoformation de cylindraxes.
dant l'existence de gaines de myéline en voie de dégénérescence, de
fibres
com- primées et séparées les unes des autres pa
tion des cellules. Jamais néanmoins la coloration du fin réseau des
fibres
blanches de la substance grise n'est aussi bell
ions physiologiques. ' P. KERAVAL. XIII. De la dégénérescence des
fibres
du bulbe dans la démence paralytique ; par W. D
lée de l'étage supérieur des pédoncules cérébraux à l'exception des
fibres
radiculaires des faisceaux centraux du même éta
yramides, des faisceaux aberrants, d'une por- tion considérable des
fibres
du corps recliforme à l'exception des fibres cé
tion considérable des fibres du corps recliforme à l'exception des
fibres
cérébello-olivaires. Si cette observation est exc
dans les autres cas on constate toujours quelque dégénérescence des
fibres
du tronc du cerveau ; cette dégénérescence n'est
I. Chez le chat. Avant- l'âge de huit jours, on ne constate pas de
fibres
à myéline. Du huitième au neuvième jour on cons
at, d'un jour ou deux, est très nette. Le neuvième jour il n'y a de
fibres
à myéline que dans le gyrus coronaire, le gyrus
x (d'abord), le tiers antérieur de celui-ci (un peu plus tard); les
fibres
du corps calleux proviennent surtout de la prou
ucial antérieur et postérieur et du gyrus coronaire. En réalité les
fibres
d'association entre les circonvolutions ne se v
-t-il aussi dans la radiation optique. Il n'y a certainement pas de
fibres
de projection dans tous ces endroits. Mais il c
huitième au dix-huitième jour on ne voit jamais que des systèmes de
fibres
isolés. Et la maturité suit pour chaque faiscea
enhossek dit que le cordon antérieur des pyramides se substitue aux
fibres
des pyramides qui ne s'entrecroisent pas et occ
e une règle péremptoire. Tandis que chez les carnivores, toutes les
fibres
, entrecroisées ou non, peuvent occuper le cordon
oisées ou non, peuvent occuper le cordon latéral, chez l'homme, les
fibres
, qui ne s'entrecroisent pas, se séparant des fi
ez l'homme, les fibres, qui ne s'entrecroisent pas, se séparant des
fibres
qui s'entrecroisent, descendent, indépendantes,
a pas de cordon antérieur des pyramides, on doit admettre que les
fibres
qui eussent formé ce cordon se sont jointes non a
le ordon antérieur des pyramides ne se substi- tue pas du tout aux
fibres
du cordon latéral des pyramides qui ne s'entrec
rte d'ordi- naire le volume de ce'faisceau, et quelques-unes de ses
fibres
tendent à pénétrer dans le territoire des faisc
l'olive d'autre part ; toujours triangulaire, il émet, en bas, des
fibres
infléchies au corps restiforme; des noyaux des
corps restiforme; des noyaux des cordons de Goll partent encore des
fibres
dégénérées qui décrivent des arcs de cercle plu
ritoire dégénéré des faisceaux latéro-cérébelleux. A la hauteur des
fibres
du corps tra- pézoïde, le faisceau de Gowers, s
à la face postérieure de celui-ci, et devient un faisceau allongé à
fibres
un peu obliques ; quelques fibres dégénérées ga
et devient un faisceau allongé à fibres un peu obliques ; quelques
fibres
dégénérées gagnent encore le corps restiforme.
a région de l'entre-croisement du pathétique. Ici une partie de ses
fibres
s'unissent au faisceau de Gowers de l'autre côt
ion des tubercules quadrijumeaux, le faisceau de Gowers, composé de
fibres
des deux côtés, occupe le territoire du ruban d
en gagnent, en haut, les parties antérieures. Par conséquent, les
fibres
du faisceau de Gowers, originaires de la moelle
ent les organes et territoires sus-indi- qués, fournissent quelques
fibres
aux cordons latéro-cérébelleux sur toute l'éten
belleux sur toute l'étendue du corps restiforme, reçoivent quelques
fibres
du cordon de Goll du même côté, s'entre-croisen
l se termine dans les circonvolutions du vermis supérieur. Quelques
fibres
du cordon de Goll non-entre-croisées passent sans
ro-latéral ; au niveau de la formation réticulaire en question, ces
fibres
s'épuisaient dans l'angle postéro-interne de l'
prodromique de tuméfaction, de bour- souflement, de varicosité des
fibres
myéliniques ? Par un surdurcis- sement de trois
dégénérescences en question apparaît alors uniformément jaune; les
fibres
saines sont d'un brun foncé. P. KERAVAL.. XXI
iner nettement, attendu que les racines pos- térieures envoient des
fibres
dans toutes les parties de la moelle où elles p
convallation ou d'isolement des centres moteurs. Par la section des
fibres
d'association reliant ces centres aux diffé- re
i d'après laquelle la zone motrice du télencé- phale exerce par les
fibres
cortico-spinales une inhibition sur les centres
otrices de la corne antérieure de la moelle par l'intermédiaire des
fibres
cérébello-spinales et du faisceau longitudinal
uand l'interruption anatomique ou fonc- tionnelle atteint aussi les
fibres
d'origine cérébelleuse et mésen- céphalique, on
ont autres que les organes sensoriels auxquels sont juxtaposées les
fibres
motrices. Les procédés de coloration employés, de
eut réveiller la représentation mentale de l'organe ou bien que des
fibres
d'association relient le point de l'écorce touc
malade localise dans l'organe, je suis en droit de conclure que des
fibres
de projection relient à l'organe en question un
droit, un foyer de ra- mollissement qui détruit le noyau rouge, les
fibres
de l'oculo- moteur commun et une partie du pied
b SOCIETES SAVANTES. interne du pied du pédoncule et affleurant les
fibres
de l'oculo- moteur gauche. Le moteur oculaire c
des plaques à localisation bulbo-protubérantielles intéressant des
fibres
cérébelleuses. Quand la moelle est seule atteinte
roscopiquement on note : sclérose de la neuroglie, dégénération des
fibres
nerveuses au-dessous du foyer inflammatoire et
ervelet. Il faut donc admettre dans ces organes une décussation des
fibres
nerveuses du nerf vestibulaire. Il existe un li
uturé ; 2° l'importance capitale que doit avoir la régénération des
fibres
nerveuses périphériques dans le rétablissement
e réparation au début de laquelle serait l'oculomoteur commun ; les
fibres
pupil- laires de ce nerf sont déjà redevenues c
sion volontaire. Celle-ci, palpébrale, agit, simultanément, sur les
fibres
lisses du sphincter pupillaire excessivement ir
316 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Cellules et
fibres
nerveuses sont d'un gris sombre tirant sur le n
matière histologique propre, qui sont colorés. Aussi cel- lules et
fibres
sont-elles pleines de petits grains noirs, très r
nulations de la couche granuleuse du cervelet, très petits dans les
fibres
nerveuses. L'auteur montre, à l'appui, de grand
divisé en deux parties, réunies par une commissure transverse de
fibres
, affectées à chaque moitié du corps. Le ganglion
unipolaires, qui entoure un épais feutrage formé des ramuscules des
fibres
nerveuses et des dendrites, appelé neurophile (
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 317 sont toujours mixtes, les
fibres
motrices émanant des prolonge- ments des cellul
otrices émanant des prolonge- ments des cellules des ganglions, les
fibres
réceptrices arrivant des cellules sensorielles
hérique et dans le ganglion un long prolongement central qui est la
fibre
sensitive. Jusque-là rien de nouveau ; c'est la r
neurone; on y voit et les terminaisons des dendrites et celles des
fibres
sensitives sous la forme d'arborescences termin
les préparations d'Apâthy. Et il n'y a pas de différence entre les
fibres
motrices et les fibres sen- sitives quant au no
thy. Et il n'y a pas de différence entre les fibres motrices et les
fibres
sen- sitives quant au nombre et à la force des
ux, chez les invertébrés comme chez les verté- brés, renferment des
fibres
spéciales nettes, oui; mais M. Bethe n'a pas co
ugitifs, au prolongement principal, pour de là se transpor- ter aux
fibres
motrices périphériques. Seulement, pour le démon-
ment entrelacé par les expan- sions terminales, corbelliformes, des
fibres
sympathiques et autres. Sans doute le corps de
ai que Bethe et Apâthy pré- tendent que ces fibrilles pénètrent les
fibres
musculaires et les épi- théhums, dénudées, sans
es, sans plus avoir de substance périfibrillaire. Bethe dit que les
fibres
myéliniques des vertébrés, au niveau de l'étran
à celles des cornes postérieures, des noyaux névrogliques, quelques
fibres
à myéline, des vaisseaux. Elle n'est pas étendu
d'eau distillée où la coupe s'éclaircit encore. A ce monnnt, les
fibres
sont bleu foncé, l'écorce et les foyers de noyaux
même que l'écorce. Chez un foetus humain de sept mois déjà pounu de
fibres
myé- liniques dans la couronne rayonnante, entr
autrement que chez l'adulte. Ceci prouve que les cellules comme les
fibres
nerveuses, prennent, successivement, dans les d
é, la couche ' intermédiaire des olives, qui ne contient que peu de
fibres
du noyau de Burdach latéral, va jusqu'au corps
au-dessus de l'en- tre-croisement.mais la plus grande partie de ces
fibres
se perdent au niveau du corps trapézoïde. On pe
au niveau du corps trapézoïde, et la partie qui continue donne des
fibres
au noyau latéral supérieur 324 REVUE D'ANATOMIE
Reil principal s'infléchit en arrière pour gagner la calotte : ses
fibres
s'écartent les unes des autres, surtout transve
terew. Au-dessus de ce noyau, on retrouve un ruban de Reil riche en
fibres
par suite probablement de la jonction des trous
iculaire à l'état de tubercule quadrijumeau; un petit nombre de ses
fibres
va dans la substance noire; il ne parait pas cert
e les autres s'unisse au noyau rouge. Le faisceau moyen, composé de
fibres
très fines, ou ruban de Reil de Goll, en décriv
ile de la couche optique ; c'est un trousseau peu compact entre les
fibres
duquel existent des cellules constituant chez le
que, un peu au-dessous du hile en question. C'est là qu'on voit des
fibres
de la calotte arciformes à l'état de trousseaux
rouge. Les trois faisceaux du ruban de Reil paraissent échanger des
fibres
. Celles des fibres qui proviennent du noyau rou
isceaux du ruban de Reil paraissent échanger des fibres. Celles des
fibres
qui proviennent du noyau rouge s'en vont jusque
rmalement précoce qui montre à quatre jours et demi un trousseau de
fibres
blanches allant de la couche optique à la capsu
chez les foetus humains de sept mois qu'on constate un trousseau de
fibres
à myéline puissant, allant du ruban de Reil princ
il les premiers parus qui vont au noyau de Luys se mélange-t-il des
fibres
des pédoncules cérébelleux supérieurs; la masse
prolongements latéraux du pédoncule qu'on constate d'abord quelques
fibres
myéliniques ainsi que dans la partie la plus ex
bres myéliniques ainsi que dans la partie la plus externe du noyau (
fibres
en anses). On voit ensuite les fibres s'avancer
tie la plus externe du noyau (fibres en anses). On voit ensuite les
fibres
s'avancer en haut, entre le premier et le deuxièm
dans le second. Successi- vement, de bas en haut, apparaissent des
fibres
qui passent entre les prolongements inférieur e
qui passent entre les prolongements inférieur et moyens. Toutes les
fibres
forment un trousseau qui va au noyau lenticulai
pallidus et vont à la partie interne du second segment. Toutes ces
fibres
ne vont pas au noyau lenticulaire même ; d'au-
interne. Puis arrive un moment où le trousseau est plus épais ; ses
fibres
sont, en bas, entourées des prolongements latérau
enticulaire qu'elles traversent pour gagner la capsule interne. Ces
fibres
-là ne s'éloignent pas beaucoup du bord interne. D
le même segment du noyau lenticulaire existent aussi beaucoup de
fibres
myéliniques très minces, de nombreuses fibres en
ent aussi beaucoup de fibres myéliniques très minces, de nombreuses
fibres
en anses. Il est très probable qu'une partie du
substance blanche et par le premier segment du globus pallidus. Les
fibres
, dans la capsule interne, deviennent plus fines
es. Le centre ovale de la région motrice contient exclusivement des
fibres
rares et très délicates. La capsule interne don
ui va au pédoncule antérieur de la glande pinéale. Le trousseau des
fibres
épaisses va à la circonvolution cruciale et à la
de la zone psychomotrice; puis, de celle-ci descend un trousseau de
fibres
myéliniques d'un volume double (fibres conductr
e-ci descend un trousseau de fibres myéliniques d'un volume double (
fibres
conductrices centrifuges ? ). Plus bas on retrouv
rne en se dirigeant vers la couronne rayonnante. Il n'existe pas de
fibres
myéliniques allant de la couche optique à la cou-
, va au pédoncule antérieur de la glande pinéale; ce sont de fortes
fibres
inconnues des auteurs (cinquième zone des fibre
ce sont de fortes fibres inconnues des auteurs (cinquième zone des
fibres
spéciales du noyau lenticulaire de Flechsig).
ème jour de la vie chez le chat et le lapin il envoie de nombreuses
fibres
à la substance noire, qui, à peu près à la même
s à la substance noire, qui, à peu près à la même époque reçoit des
fibres
issues de la subs- tance blanche moyenne des tu
de la subs- tance blanche moyenne des tubercules quadrijumeaux. Ces
fibres
viennent surtout dans la partie postérieure de
nce noire; on trouve là de nombreuses cellules entre lesquelles des
fibres
myéliniques nombreuses en anses. La substance b
tubercule quadrijumeau inférieur projette finalement beaucoup de
fibres
dans le corps de Luys même. Mais ces éléments ne
raissent point avant le neuvième jour; à ce moment apparaissent des
fibres
qui vont de la couche optique à la capsule intern
7 D'ordinaire du neuvième au dixième jour apparaissent encore des
fibres
dans la partie antérieure de la capsule interne,
leur calibre et leur colora- tion les fait nettement distinguer des
fibres
du premier système. Les fibres du ruban de Reil
on les fait nettement distinguer des fibres du premier système. Les
fibres
du ruban de Reil sises entre le corps de Luys et
chez le chien et le chat que nettes elles se distinguent des autres
fibres
dans les circonvolutions de la zone sensible du
ù elles s'infléchissent en décrivant un arc de cercle accusé, les
fibres
antérieures formant même un angle aigu, pour se r
tion dénote la participation des neuvième et dixième nerfs dont les
fibres
motrices partent en commun du noyau ambigu, leq
e l'activité mentale. Nous avons, dit l'auteur, déjà montré que les
fibres
arciformes qui passent sous les circonvolutions
, c'est-à-dire la combinaison de nombreuses idées de mouvement. Les
fibres
arciformes en question sont les vectrices de ce
es ni de troubles du sens musculaire, ni d'accès d'épi- lepsie. Les
fibres
arciformes sont donc les voies d'association des
musculaire à forme hémiplégique, la couche superficielle seule des
fibres
tan- gentielles était dégénérée, les fibres pro
superficielle seule des fibres tan- gentielles était dégénérée, les
fibres
profondes de Bechterew et Baillarger étaient de
nnent du processus destructif de l'écorce, de la dégénérescence des
fibres
arciformes accompagnée de dégénérescence secondai
ion qui les font communiquer entre eux. Aussi la dégénérescence des
fibres
arciformes sous-corticales entraine- t-elle un
ration de Marchi. Ces altérations ont permis de suivre un groupe de
fibres
constant qui va de l'isthme dans le cerveau ant
us rapproché du noyau du pathétique et du ganglion de l'isthme, ces
fibres
s'entre-croisent partiellement avec celles du 4
sans cesser de rester près de la commissure antérieure. D'autres
fibres
rayonnent en éventail en arrière et de côté vers
e faisceau s'épuise sur les côtés et en arrière de cet organe : ses
fibres
se ramifient sur le bord antérieur du corps str
ticulaire. On se rappelle que Tschermak a, chez le chat, trouvé des
fibres
communes au noyau du cordon postérieur et au no
férieure du cerveau moyen. Mais il est impossible de décider si ces
fibres
viennent des régions inférieures de l'isthme ou
lus apparente que les cordons postérieurs sont ailleurs indemnes de
fibres
dégénérées, et est encore plus accusée à droite.
me et onzième paires dorsales, il était difficile de distinguer ces
fibres
médianes descendantes de celles de la virgule;
tement à son tour. Nous conclurons avec f31schofi qu'une partie des
fibres
constituant le faisceau posléro-médian occupe les
dans les parties antérieures du cordon postérieur. La plu- part des
fibres
de la zone postéro-médiane paraissent provenir de
ions : i° La virgule de Schultze est, en partie du moins, formée de
fibres
des racines postérieures descendantes de la régio
; 2° A la formation du trousseau postéro- médian prennent part des
fibres
descendantes que l'on voit déjà au niveau de la
ANTES. M. W. Mouravieff. Les altérations de la structure fine de la
fibre
nerveuse après section. Les expériences ont été
mplétaient mutuellement. Conclusions : 1) La gaine de myéline d'une
fibre
nerveuse nor- male est d'une formation chimique
même volume, distribuées d'une façon assez régulière le long de la
fibre
. Ces granulations se colorent principalement pa
xième ou le troisième jour, se désagrègent simplement le long de la
fibre
nerveuse, ou s'épais- sissent d'abord d'une faç
il périt dans une dégénération graisseuse. Alors il ne reste de la
fibre
ner- veuse que la gaine de Schwan, vide avec no
et de distinguer une grande quantité de parties constitutives de la
fibre
normale et pathologique, les noyaux de Schwan,
toure, les granulations chromatophiles de la myéline; dans quelques
fibres
le cylindraxe apparaît très nettement tout le l
ues fibres le cylindraxe apparaît très nettement tout le long de la
fibre
nerveuse. Discussion : M. Weidenhamer fait rema
vec ses éléments cellulaires. Les granulations chromatophiles de la
fibre
nerveuse peuvent bien appartenir aux corps albu
nous a rien montré d'intéressant, il ne nous a point paru que les
fibres
de névroglie fussent augmentées en nombre. Sur de
s régions profondes de l'écorce, l'aspect est le même, et a côté de
fibres
saines, nous en trouvons qui présentent de nomb
s bien nettes, tout au plus rencontre-t-on, par-ci par-là, quelques
fibres
à myéline gonflées et fragmentées, ayant conser
ur toute la surface de sec- tion de la moelle, un certain nombre de
fibres
gonflées réfractaires à la coloration. La métho
oration. La méthode de Marchi a coloré en noir un certain nombre de
fibres
irrégulièrement situées. En somme pas de dégé-
ation, et si les petits amas de mêmes éléments interposés entre les
fibres
de l'écorce et entre celles de la substance bla
de myéline. P. KERAVAL. LXXII. Note relative au champ cortical des
fibres
des cordons pos- térieurs ; par A. TSCIfCR61AH.
ouche optique même, c'est-à-dire qu'un nombre assez considérable de
fibres
sont atteintes dans leur trajet à travers la co
couche optique) et à leur point de sortie, dans leur expansion. Ces
fibres
, la plupart situées en avant, passent en décri-
ctement et transversalement le globus pallidus. La ramification des
fibres
en cet endroit ne parait pas très considé- rabl
nt en arrière dans la cou- ronne rayonnante. Une autre catégorie de
fibres
, dites directés, s'échappent latéralement de la
ns la capsule interne, et montent, éparpillées dans la masse de ses
fibres
, dans la couronne rayonnante en sui- vant princ
e. Les cellules des noyaux du cordon postérieur envoient donc des
fibres
directes du côté opposé à l'écorce. En un mot, il
ectes du côté opposé à l'écorce. En un mot, il existe un système de
fibres
croisées qui vont de l'écorce du cerveau au noy
a couche optique par des rameaux latéraux. Il est surtout formé des
fibres
longues du noyau du cordon postérieur qui se te
u noyau du cordon postérieur. Quelle partie de l'écorce gagnent les
fibres
qui traversent la cou- che optique ? Très proba
e de l'homme, h en serait de même des faisceaux bien plus riches en
fibres
qui subissent une interruption momentanée dans
lisation, et que le segment supérieur du corps genouillé réunit les
fibres
des deux moitiés REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
tre-croisement des pyramides. P. licsavAL. LXXVI. De la teneur en
fibres
blanches des ascendantes d'un individu normal d
ce que montre la frontale ascendante droite. - De bloc en bloc, les
fibres
tangentielles forment des couches de plus en plus
en- nent ensuite moindres dans les 5° et 6° blocs. Le système des
fibres
superradiaires, vers la base de la circonvolution
ouffues du bloc n° i au bloc n°3, si bien que, dans le 4° bloc, les
fibres
arrivent jusqu'aux fibres tangentielles; mais c
oc n°3, si bien que, dans le 4° bloc, les fibres arrivent jusqu'aux
fibres
tangentielles; mais cette richesse de fibres s'ac
res arrivent jusqu'aux fibres tangentielles; mais cette richesse de
fibres
s'accompagne du rétrécissement de toute la couc
la couche est de nouveau large mais presque complètement dénuée de
fibres
. Le tassement des fibres superradiaires est pro-
large mais presque complètement dénuée de fibres. Le tassement des
fibres
superradiaires est pro- duit par le treillis in
e Baillarger ou Gennari (figures). Les parties les plus riches en
fibres
du 4° bloc corrrespondent à la région de la mai
tra-musculaires. Les muscles volontaires renferment trois ordres de
fibres
ner- veuses : les motrices, les sensorielles, l
rices, les sensorielles, les vasomotrices. Rien de nouveau pour les
fibres
motrices déjà bien connues ainsi que leur termi
onnues ainsi que leur terminaison dans les plaques de Kiihne. - Les
fibres
sensorielles chez les vertébrés supérieurs se t
Déjerine, Garel et Dor, Eisenlohr per- mettent de supposer que les
fibres
nerveuses laryngées, parties de l'écorce cérébr
umeur. Le corps calleux joue un rôle énorme comme le conducteur des
fibres
d'association. .Probablement par l'action compe
e que l'auteur attribue à la présence dans la moelle cervicale de
fibres
sensitives du trijumeau. G. DENY. XLVII. Formes
ceuces descendantes des -, par Zappert, 422. Champ cortical des
fibres
des-, par'l'schetmak, 50G. Corps calleux. Gliom
lié, 538. Dégénérescence et mariage, par Talbot, 56. De la des
fibres
du bulbe, dans la démence paraly- tique, par
. - de la jalousie, par villers, 427. Démence. Dégénérescence des
fibres
du bulbe dans la - paralytique, par de Bechte
partiel des -, par de Bechterew, 509. Nerveuse. Altérations de la
fibre
après section, par Mouravieff. 448. Neurast
Les cellules céré- brales, excitées, réagissent à leur tour sur les
fibres
vaso-motrices des artères carotides et les dila
des tubercules quadrijumeaux. Danillo 2 a trouvé que la section des
fibres
d'association des ré- gions frontales et occipi
vé que les mouvements sont entièrement annihilés par la section des
fibres
médullaires sous-jacentes. Danillo et Bechterew
ours après l'abla- tion de la substance grise, car l'excitation des
fibres
médullaires serait équivalente à l'excitation d
l'écorce elle-même. Nous pou- vons supposer avec Munk qu'il y a des
fibres
radiales ou centrifuges entre l'écorce occipita
vés. A gauche, le pli courbe est intact superficiellement, mais les
fibres
médullaires de la partie coupée bombaient consi
isuel entier sont impliquées. - Schrcfer lui-même a supposé que les
fibres
unies à l'écorce des parties environnantes du c
. - f. pilier antenieur ou descendant (\Ieyncl't) du tnngone. - f',
fibres
ascendantes, ou de \ cq d'Azr. - f m. fascicule
t de plusieurs millimètres dans la substance cérébrale divisant les
fibres
médul- laires qui émergent de la région des cen
ais ils ne donnent aucune preuve du fait, que probablement quelques
fibres
occipitales avaient été épaignées pendant la se
n de la pupille ou non. Comme le tractus optique est le passage des
fibres
qui excitent la contraction pupillaire à travers
egrâce regarde globe oculaire comme innervé par deux faisceaux de
fibres
, sensorielles ou optiques propres, et sensitives
ensitives subissent la décussation dans le pont et s'appliquent aux
fibres
postérieures de la capsule interne; elles se di
elles se distribuent principalement au pli courbe. Les lésions des
fibres
sensorielles produisent l'amblyopie et des troubl
s n'ont pas été évidemment lésés ; on a trouvé des lésions dans les
fibres
médullaires de la région postérieure vaguement
dans ses dernières recher- ches il conclut qu'un petit faisceau de
fibres
non croisées ou di- rectes existe aussi dans le
u non croisé ne se présente pas comme une bande séparée, mais les
fibres
sont plus ou moins éparpillées dans le tractus op
upent le tiers supérieur du genou de celle-ci. Il en et de même des
fibres
qui descendent du noyau caudé. Archives, t. XXI
ation III, chaque moitié du pédoncule contenant ici, selon lui, des
fibres
anato- miques destinées aux deux moitiés du cor
ou d'irritabilité, la sollicitation physiologique se communique aux
fibres
et REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 117 aux organ
e guise d'ordinaire, peut- être grâce à l'entrée en scène voulue de
fibres
d'arrêt, se produit ici malgré nous. Nous parlo
. - 118 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Le microscope révèle que les
fibres
intrci corticales sont excessive- ment fines su
u-dessous du nerf optique, gagnent la rétine en haut ou en bas. Les
fibres
nerveuses, après avoir traversé la lame criblée
partie pos- térieure. L'orateur traite aussi de la persistance de
fibres
nerveuses à myé- line dans la rétine chez des n
les malades de l'asile de Fribourg; sur 113 hommes, il a trouvé des
fibres
à myéline dans la rétine, chez 4 d'entre eux ta
ose ou psychose. M. Edinger (de Francfort). De quelques systèmes de
fibres
du cerveau moyen.-En cherchant, il y a deux ans
es du cerveau moyen.-En cherchant, il y a deux ans, les systèmes de
fibres
du cerveau antérieur communs à tous les vertébr
missure postérieure. Celle-ci est commune à tous les vertébrés. Ses
fibres
sont partout myéhniques, et la myéline y ap- pa
raît nettement qu'une petite partie de la com- missure provient des
fibres
entre-croisées des territoires cérébraux immédi
au moyen. Mais la plus grande partie de la commissure est foimée de
fibres
commissurales que l'on peut suivre sans aucun d
dedans d'elles sont des faisceaux longitudinaux postérieurs, des
fibres
commissurales avoisinent ces derniers; en dehors
rs, des fibres commissurales avoisinent ces derniers; en dehors des
fibres
commissurales, on trouve des fibres blanches de
ent ces derniers; en dehors des fibres commissurales, on trouve des
fibres
blanches de la couche nndul- laire profonde. Ce
rveau moyen donnent surtout naissance à deux systèmes différents de
fibres
. Le - plan supérieur contient les racines du ne
ieur contient les racines du nerf optique; le plan infé- rieur, les
fibres
de la substance blanche profonde; les libres des
profonde du cerveau moyen ; chez tous, c'est le premier système de
fibres
qui soit pourvu de fibres myéliniques, si l'on
; chez tous, c'est le premier système de fibres qui soit pourvu de
fibres
myéliniques, si l'on excepte les fibres origi-
e fibres qui soit pourvu de fibres myéliniques, si l'on excepte les
fibres
origi- nelles des nerfs crâniens et spinaux et
tractus transversaux par rapport a l'axe et gagne, il la base, les
fibres
arci- formesqui entament l'aqueduc du Sylvius.
base, les fibres arci- formesqui entament l'aqueduc du Sylvius. Les
fibres
latérales se di- rigent en arrière pour descend
ofond du mésocéphale, noyau du ruban de Reil. Une seconde partie de
fibres
, lui-même divisé en un segment latéral et en un
en s'entre-croisant avec le ruban de Reil. Le rapport numérique des
fibres
non entre-croisées et des fibres entre- croisée
de Reil. Le rapport numérique des fibres non entre-croisées et des
fibres
entre- croisées varie selon les divers animaux.
imaux. Près de la ligne médiane, de chaque côté, au milieu même des
fibres
qui s'entre-croisent existe un autre ganglion,
anglion, le ganglion profond médian du mésocéphale. Existe-t-il des
fibres
commissurales directes faisant communiquer la m
est incertaine. Chez les poissons osseux et chez les sélaciens, les
fibres
entre- croisées de la substance blanche profond
- croisées de la substance blanche profonde sont côtoyées par des
fibres
dont on ignore l'origine; elles ne gagnent pas le
VANTES. Le toit du cerveau moyen contient aussi une commissure de
fibres
fines appartenant a la substance blanche profonde
ure, mais l'époque à laquelle elle se développe etle calibre de ses
fibres
la difféiencient de cette dernière. On s'est
de cette dernière. On s'est souvent demandé ce que deviennent les
fibres
entre- croisées de la substance blanche profond
es précédentes assertions. M. ZACHER (d'Ahnveiler). Des systèmes de
fibres
du pied dupédon- cule et des relations cortical
celte dernière analyse, voici comment sont répartis les systèmes de
fibres
qui occupent le pied du pédon- cule cérébral. P
emporal; il n'est pas démontré que ce secteur latéral contienne des
fibres
pariétales. Plus en dedans est le second secteu
pyramidal. Dans le troisième secteur se trouvent des trousseaux de
fibres
qui se rendent en bataillons compactes aux régi
ontales ; ces derniers trousseaux contiennent très probablement des
fibres
qui descendent du centre de l'hypoglosse et du
mement difficile de se rendre compte de la nature des trousseaux de
fibres
qui occupent le secteur médian du pédoncule cen
qui occupent le secteur médian du pédoncule central, parce que les
fibres
s'y entrelacent en un treillis inextricable. Co
ontrairement à ce que professe Flechsig, il n'y aurait que quelques
fibres
, si tant est qu'il y en ait, émanées du lobe fr
y en ait, émanées du lobe frontal; en revanche on y trouverait des
fibres
provenant du noyau lenticulaire, et des fibres or
on y trouverait des fibres provenant du noyau lenticulaire, et des
fibres
originaires de l'insula. A l'exception du faisc
naires de l'insula. A l'exception du faisceau pyramidal, toutes les
fibres
du pied du pédoncule ne dépassent pas l'étage s
isoirement dans les noyaux qu'on y rencontre. Il y existe aussi des
fibres
qui vont au pied du pédoncule; elles viennent d
on lui, de la destruction du lobe temporal ou de l'interruption des
fibres
blanches émanées des deux premières temporales.
hernie au-dessous d'elle (fig. 13). Par l'étran- glement que ses
fibres
exercent sur la masse charnue de ce muscle, ell
le poison apporté par la circulation aurait agi directement sur les
fibres
terminales du radial, pourquoi aurait-il épargn
e que les noyaux médullaires auxquels le noyau cubital emprunte ses
fibres
radiculaires, ont été la loca- lisation primiti
anente des grandes cellules motrices des cornes antérieures sur les
fibres
nerveuses, auxquelles elles donnnet naissance,
nce, et corollairement, sur les muscles auxquels se distribuent ces
fibres
nerveuses. Le symptôme capital de la téphromyél
sion, le faisceau pyramidal ne renferme pas la vingtième partie des
fibres
nerveuses repré- sentées à la périphériepar les
rouble sans altéra- tion reconnaissable, est suffisant pour que les
fibres
nerveuses du petit sciatique, qui naissent dans
ce dernier. Mais avant de dispa- raître, elle fournit de nombreuses
fibres
blanches à direction transversale, qui vont se
e l'écartement des piliers posté- rieurs, s'entre-croisent avec des
fibres
semblables ve- nues du côté opposé, et contribu
des tractus transversaux de la commissure ont passé à, travers ses
fibres
. En effet, quand on soulève la circonvolution c
calleux. Ils prennent naissance dans la lyre, et proviennent des
fibres
les plus obliques c'est-à-dire les plus externes.
ur des probabilités que Broca édifie ce centre qui a à recevoir les
fibres
blanches émanées de la racine grise et qui vont
postérieur des circonvolutions orbitaires ». Cette insertion des
fibres
blanches de la racine serait très apparente chez
et de Foville. « L'ourlet, suivant Foville, était une bandelette de
fibres
blanches qui longeait toute la base de la circo
admet le système de l'ourlet de Foville qu'il appelle « système de
fibres
longitudi- nales » et qu'il rattache à ses syst
« Si nous considérons avec attention l'origine et la marche de^ ces
fibres
, il sera difficile de méconnaître leur analogie
e des commissures propres. Nous n'insisterons pas davantage sur ces
fibres
que les ana- tomistes et les physiologistes ont
nom d'ourlet donné par Foville, il fait partir tout un système de
fibres
qui s'irradient « dans les plis de la face intern
us le nom de stria tecta et obtecta, et ils seraient formés par ces
fibres
, que nous avons vues se continuer sur la substa
ces deux centres étant reliés l'un à l'autre, bien entendu, par des
fibres
commissurales. Le groupe spinal, le plus compli
elle'. M. Charcot a observé que le cerveau n'a besoin que de peu de
fibres
pour mettre en jeu le groupe cellulaire où rési
ions de la température dans le muscle actif; il avait établi que la
fibre
musculaire, séparée de ses connexions nerveuses
cellules nerveuses centrales et périphériques. La communication des
fibres
nerveuses entre elles a lieu, dans le système n
FONCTIONS DU CERVEAU. 239 9 des cylindres-axes des deux espèces de
fibres
dé la sen- sibilité et du mouvement. , X. Les
it pas absolument enlevée, la substance grise fut détruite avec les
fibres
médullaires par l'action de la chaleur rayonnante
ques avaient une augmentation du tissu conjonctif, une atrophie des
fibres
nerveuses et avec des espaces remplis de matièr
circonvo- lution temporale, cependant leur substance grise et leurs
fibres
médullaires étaient atteintes. L'observation co
es tubercules quadrijumeaux et le corps géniculé interne avec les
fibres
médullaires de l'écorce. Les expériences de L. Ba
jet de la dégénérescence. Il a trouvé une disparition marquée des
fibres
de la bandelette du côté opposé et un certain deg
mporal chez les lapins nouveau-nés, on trouve une atrophie dans les
fibres
médullaires correspondantes de la capsule inter
de Baginsky et Fleschsig. - Nous avons donc sujet de croire que les
fibres
centrales des nerfs auditifs ne passent pas tou
résultats de la destruction du cervelet lui-même. Quelques-unes des
fibres
du huitième nerf passent indubitablement dans l
nt indubitablement dans le cervelet, mais il semble que ce sont les
fibres
vestibulaires des canaux semi-circulaire et non l
sont les fibres vestibulaires des canaux semi-circulaire et non les
fibres
cochléeimes ou vrai nerf de l'audition. CENTRES
arait, d'après les recherches de Tooth, consister principalement en
fibres
fines et provenir des cellules de la colonne de
rajet plus élevé de ce cordon est incertain quoique la majorité des
fibres
atteignent, d'a- près Tooth, en derniei lieu le
de nom- breuses cellules nerveuses et une diminution du nombre des
fibres
nerveuses. L'auteur pense que ces lésions répon
llusion d'une guérison, s'explique à l'autopsie par l'intégrité des
fibres
myéliniques et la conservation des cy- lindres-
es impressions optiques (cécité psychique), ou d'une altération des
fibres
nerveuses d'association qui unissent le centre
ntre de la parole (aphasie optique), ou enfin d'une destruction des
fibres
d'associa- tion qui joignent plusieurs centres
VUE d'anatomie ET DE physiologie pathologiques. 273 destruction des
fibres
vaso-moteurs et trophiques par l'atteinte pri-
des hémorrhagies ou des foyers de ramollissement qui ont déduit les
fibres
centripètes et centri- fuges cortico-médullaire
ri- fuges cortico-médullaires puis, que, comme toujours, d'autres
fibres
ont remplacé fonctionnellement les éléments détru
ss, Lissauer, et une dégénérescence paren- chymateuse chronique des
fibres
des nerfs périphériques avec dégé- nérescence m
endantes ont limité les lé- sions à raison de la direction de leurs
fibres
qui brisent en quelque sorte l'action de la pui
r (ventral) commun ' au pneumogastrique et au glossophary;ien ; les
fibres
du faisceau solitaire avaient considérablement
supérieur du bulbe) anime le pneumogastrique du même côté. - 2° Les
fibres
qui forment le pneumogastrique se réunissent da
dans la cavité thoracique.- 3° Ce noyau ne donne naissance ni à des
fibres
gustatives ni aux fibres sensitives du pneumoga
.- 3° Ce noyau ne donne naissance ni à des fibres gustatives ni aux
fibres
sensitives du pneumogastrique ; sans quoi l'on
orps du noyau, retrouvé intactes les cellules qui correspondent aux
fibres
nerveuses en question, non touchées par la sect
ne préside pas le moins du monde à l'entre-croisement d'aucune des
fibres
émanées des noyaux du pneumogastrique. - 8° Les
ellulesdes faisceaux originels des cordons grêles ne donnent pas de
fibres
au pneumogastrique. Le mé- moire est complété p
oit, le sort des corpuscules nerveux est tou- jours lié à celui des
fibres
nerveuses ; les premiers sont les éléments trop
et, par suite, des organites dont la vitalité dépend de celle de la
fibre
nerveuse, ou, plus exactement, de la gaine myét
nettement circonscrits, mesurant de Omm,25 à omm,50, et composés de
fibres
fines et fortes ; ces cordons unilatéraux occu-
x longitudinaux postérieurs. n M. Pick a retrouvé c un trousseau de
fibres
nerveuses qui commencent dans le segment supéri
ée de gli8me. La pièce montre en outre qu'il existe des systèmes de
fibres
d'association. P. K. XXII. DE l'atrophie DES FI
des systèmes de fibres d'association. P. K. XXII. DE l'atrophie DES
FIBRES
DE l'écorce DU cervelet ; par A. MEYER. (Arch.
rce DU cervelet ; par A. MEYER. (Arch. f. Psychiat., XXI, 1.) Ces
fibres
s'atrophient et disparaissent dans la paralysie g
en constate trois types : 10 Une atrophie généralisée uniforme des
fibres
profondes; 2° une atrophie uniforme diffuse des
uniforme des fibres profondes; 2° une atrophie uniforme diffuse des
fibres
péricellulaires , 3° un effritement des fibres.
uniforme diffuse des fibres péricellulaires , 3° un effritement des
fibres
. P. KERA V AL. XXIII. Contribution A la connais
une théorie basée sur ce cas, car il entraînerait à croire que les
fibres
destinées à la moitié postérieure de la langue,
ée localisée longtemps, l'altération peut se propa- ger le long des
fibres
conductrices. L'auteur en donne deux obser- vat
(Archiv. f. Psychiat., XX, 3.) ' . D'après cette observation, les
fibres
qui président à la genèse du réflexe tendineux
côté, M. de Mona- kow conclut que la section des divers systèmes de
fibres
produit une dégénérescence dans les deux sens,
deux sens, qu'en un mot tout système optique donne naissance à des
fibres
centrifuges et reçoit des fibres centripètes. L
me optique donne naissance à des fibres centrifuges et reçoit des
fibres
centripètes. Les divers systèmes de projection so
lobe contient de grosses cellules pyramidales qui projettent leurs
fibres
dans le tubercule quadrijumeau antérieur et le co
ine, héma- toxyline et safranine). Atrophie généralement simple des
fibres
musculaires; quelques fibres variqueuses contie
ine). Atrophie généralement simple des fibres musculaires; quelques
fibres
variqueuses contiennent, au niveau des points d
cer- veau de cet animal est, quant au développement des masses de
fibres
centrales, à peu près dans les mêmes conditions q
peu (portion intermédiaire ? ). Si l'on poursuit dans les masses de
fibres
encore non développés, la formation des manchon
primaires du nerf cochléaire donnent naissance à quatre systèmes de
fibres
: deux inférieurs, ou ven- traux ; deux supérie
tuants du corps trapézoïde (les premiers formés), puis à l'aide des
fibres
qui s'entre-croisent dans le raphé, derrière le
, derrière le corps trapézoïde. - L'olive supérieure contient des
fibres
issues des deux noyaux du nerf cochléaire, et s'u
il n'est pas divisé en couches. Les stries acoustiques de Monakow (
fibres
allant du tuber- cnle auditif au raphé) ne se v
dans le raphé, jusqu'à la périphérie du bulbe, et passent dans les
fibres
arciformes externes, s'entre-croisant en avant
rps trapézoïde, tandis qu'une petite partie (variable) de ces mêmes
fibres
s'entre-croise immédiatement au-dessous du plan-
eau, chez l'homme, va jusqu'à l'olive supérieure et se rattache aux
fibres
du corps trapézoïde qui gagnent le ruban de Rei
avec le cerveau par le noyau interne de l'acoustique, à l'aide des
fibres
arciformes, et, par suite, de la couche intermé-
animale, variable avec les espèces diffé- rentes. Les trousseaux de
fibres
qui, comme autant de rayons, éta- blissent entr
d'ailleurs la cause et la genèse, en déterminant la disparition des
fibres
rayons de la surface des hémisphères, produit u
lules disséminées, mais elles sont intactes; on constate encore des
fibres
tangentielles, la substance blanche est atrophiée
conques; il faut aussi remarquer que les racines antérieures et les
fibres
radiculaires intra-médullaires sont absolument
s appartenant au corps restiforme et séparés de la pyramide par les
fibres
arci- formes internes. Cette altération ne port
lisée, car parmi les territoires sclé- rosés, on trouve beaucoup de
fibres
normales disposées par des groupes isolés; en o
de sclérosée et les terri- toires notés comme altérés, derrière les
fibres
arciformes internes, on trouve des solutions de
eux et le biceps du côté gauche; on a pu constater une atrophie des
fibres
dont le caractère est d'être diffuse, généralis
externe. La bandelette externe qui livre peut-être pas- sage aux
fibres
sensitives ne nous intéresse point ici. HYSTÉRI
Quant aux deuxbandelettes interne et moyenne, celle-ci renferme les
fibres
du faisceau pyramidal, celle-là les filets cort
pports profonds; je veux dire des rapports in- trapédonculaires des
fibres
de l'oculo-moteur commun avec celles des bandel
re part, le 328 8 CLINIQUE NERVEUSE. trajet intrapédonculaire des
fibres
qui émanent de ces divers noyaux. Les noyaux
Retenez bien , Messieurs, cette disposition intra- pédonculaire des
fibres
de l'oculo-moteur; elle donne l'explication nat
nerf est lésé dans l'in- térieur du pédoncule, quelques-unes de ses
fibres
, de ses filets uon encore agrégés soient pris à
us le plancher du quatrième ven- tricule. Parties de ce point leurs
fibres
s'agrègent aus- sitôt en deux nerfs distincts q
érescence des- cendante, que l'on rencontre souvent dans les autres
fibres
du pied du pédoncule, manque généralement dans
es lésions des lobes occipital et temporal, et Flechsig dit que ces
fibres
n'entrent pas dans la capsule interne et s'infléc
i place dans le tiers extérieur du pied du pédoncule le passage des
fibres
sensitives. Les expériences de Veyssière ' et
lement dé- montré que les tractus sensitifs se trouvent séparés des
fibres
mo- trices dans la partie postérieure (ou plutô
tiers postérieur du segment postérieur) de la capsule interne. Les
fibres
sensithes étant séparées des fibres motrices da
eur) de la capsule interne. Les fibres sensithes étant séparées des
fibres
motrices dans la capsule interne, on se demande
s des fibres motrices dans la capsule interne, on se demande si ces
fibres
. jusque là distinctes, se fusionnent avec des f
demande si ces fibres. jusque là distinctes, se fusionnent avec des
fibres
motrices dans l'écorce (comme le pensent quelques
endant qu'un certain degré de localisation peut être établi par les
fibres
associés qui unissent cette région aux contres
fait par le lobe falciforme de l'autre hé- misphère. Le trajet des
fibres
qui unissent le lobe falciforme et la partie se
il est certain que l'hypothèse de Flechsig sur la distribution des
fibres
sensitives dans le lobe pariétal doit être modi
ttre comme exact aucun des schémas de la distribution corticale des
fibres
sensitives qui ne comprennent pas la distributi
des fibres sensitives qui ne comprennent pas la distribution de ces
fibres
à l'écorce des circonvolutions du corps calleux
ution marginale et les autres centres moteurs de voisinage et leurs
fibres
sont plus ou moins lésés et on peut soupçonner
e falciforme, suffisamment éloignée des centres moteurs et de leurs
fibres
conductrices, pour assurer 1 Dégénérescence des
F, lobe frontal. - Bol, bulbe olfac4l. - Toi, tractus olfactif. des
fibres
olfactives en dehors des expériences physiologiqu
logiques. Le principal rapport et chez l'homme le seul constant des
fibres
o ! - archives, I. XXI. 2 Fiy. 29 (d'après Ob
sont difficiles à expliquer autrement qu'en supposant que quelques
fibres
au moins i étiiiissatil le trac- tus olfactif à
antérieur du trigone à 3 millimètres de diamètre. Une partie des
fibres
du trigone sont pour Owen' des fibres com- miss
de diamètre. Une partie des fibres du trigone sont pour Owen' des
fibres
com- missnrales réunissant les hippocampes. C'e
Chez l'homme aussi, la partie postérieure du tri- rone est formé de
fibres
transverses formant le psalterium, lyre de Davi
it le siège d'une tumeur comprenant le noyau de l'amyg- dale et les
fibres
médullaires. L'odorat cependant n'était perdu ni
iés suivant l'hypothèse pre- mièrement émise par Broadbent, par les
fibres
commissurales réunissant ensemble les noyaux bu
lorsque les centres ont été complètement isolés par la section des
fibres
qui les réunissent aux centres sensitifs de l'e
aux excitants que leur envoient les centres sensilifs au moyen des
fibres
qui les unissent. Si les vrais centres moteurs
ses suivantes : insuffisance innée de l'énergie nutritive dans les
fibres
musculaires, modification des conditions de leur
rouble dans les condi- tions mécaniques normales de l'existence des
fibres
musculaires. Chaque espèce d'atrophie musculair
en leur atrophie longitudinale et transversale. L'hypertrophie des
fibres
musculaires constitue un phénomène de compensat
dans l'organisme du), par Doyon. 124. Bulbe (truusseau anormal de
fibres
dans le), par Pick, 276. BLLLC1'I\ IIlBLI06RA
r Edll1ger,136. TABLE DES MATIERES . 47 -1 Cervelet (atrophie des
fibres
du) - ), par Meyer, 280; fonction du - , par
es sympto- matiquevoisin du, par Iiny, 274. Pédoncule, système de
fibres
du pied du -, par Zacher, 139. Pensée double,
i nous montrent qu'il n'y a que deux segments sur le par- cours des
fibres
motrices conductrices, le premier qui va de la
jal, Kôlliker, etc., traduit ce fait par les mots : « le trajet des
fibres
de conduction motrices est constitué par deux n
tc. Or, dans ces affections, chaque muscle, on pourrait dire chaque
fibre
mus- culaire, peut être paralysée individuellem
entre les éléments de la moelle et ceux de l'écorce. Le nombre des
fibres
conductrices ne suffirait plus pour donner une
'projection de la périphérie sur l'écorce. Il faut supposer que les
fibres
qui vont de la moelle à l'écorce ne repré- sent
d'autre part, un élément périphérique peut correspondre à plusieurs
fibres
con- ductrices spino-corticales. C'est qu'il y
nt, n'est plus une projection véritable; c'est une relation par des
fibres
, pour ainsi dire représentatives et je propose,
irconstances de la lésion. Nous avons dit que le nombre moindre des
fibres
qui vont de la moelle au cortex en comparaison
s qui vont de la moelle au cortex en comparaison avec le nombre des
fibres
qui vont de la périphérie à la moelle, est la b
ssociation pour la paralysie cérébrale commune, c'est parce que les
fibres
de conduction motrices sont trop rapprochées su
plus de la paralysie que le segment central, nous supposons que les
fibres
repré- sentatives du segment périphérique sont
rit non scientifique, ne se comprend que par l'entre-croisement des
fibres
du nerf optique dans le chiasma; elle en est l'
hose hépatique, tuméfac- tion splénique. Histologie. Atrophie des
fibres
à myéline, surtout des fibres tangentielles des
n splénique. Histologie. Atrophie des fibres à myéline, surtout des
fibres
tangentielles des lobes frontaux, atrophie des
de gentiane. (American journal of ïnsanity, 1892.) E. B. IX. DES
FIBRES
D'ASSOCIATION DANS L'ÉCORCE CÉRÉBRALE DES PARALY-
pas beaucoup de celles de Tuczeck; lui aussi a pu constater que les
fibres
à myéline sont absentes souvent dans l'écorce d
traire, dans plusieurs cas (observations 3 et 6) que tandis que les
fibres
à myéline des couches profondes avaient totalem
és au dernier terme de la maladie, et qu'à côté des altérations des
fibres
à myéline, il existe presque toujours des lésio
quelle est la lésion qui com- mence la première, est-ce celle de la
fibre
à myéline, celle de la cellule ou celle des vai
is aussi avec l'extrémité terminale des collatérales sensitives des
fibres
radiculaires posté- rieures, qui s'étendent par
: une postérieure, formée par l'entre- croisement d'une portion des
fibres
postérieures radiculaires; une antérieure, form
s, par les prolongements des cellules de la corne antérieure et des
fibres
radiculaires anté- rieures. J. SI(GLAS. Xi. D
VANTES. 63 celui de Deiters ne sont pas le point de terminaison des
fibres
de la racine postérieure du nerf acoustique; 2°
ison des fibres de la racine postérieure du nerf acoustique; 2° les
fibres
de cette racine se terminent dans le noyau anté
érieure du nerf acoustique, c'est-à-dire du nerf du limaçon; 3° les
fibres
de la racine postérieure. qui se terminent dans l
lives supérieures, passent par le corps trapézoïdal, tandis que les
fibres
qui se terminent dans le quadrijumeau postérieur
ostérieur dans lequel elle se termine. Une partie insignifiante des
fibres
de cette section de la strie médullaire se port
et l'autre côté, en formant un entre-croisement dans le raphé. Les
fibres
isolées les plus postérieures (direction caudal
rimitifs de la racine postérieure; 5° le ruban de Reil contient les
fibres
de l'olive supérieure du même côté, fibres qui
ban de Reil contient les fibres de l'olive supérieure du même côté,
fibres
qui l'unissent avec le quadrijumeau postérieur.
rieur. Il n'y a vraisemblable- ment pas lieu de nier l'existence de
fibres
semblables pour l'olive supérieure du côté oppo
supérieure du côté opposé; 6° dans le corps trapézoïdal passent les
fibres
du ruban de Reil qui se dirigent vers le noyau an
ostérieure gauche, sans beaucoup comprimer la corne antérieure. Les
fibres
de la racine postérieure contournent la tumeur
la tumeur, on aperçoit la tète de la corne refoulée, ainsi que les
fibres
radicu- laires postérieures; celles-ci pénètren
DES TUMEURS NÉVROGLIQUES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 109 (fig. 3). Les
fibres
radiculaires postérieures, très atrophiées, passe
s coupes suivantes, la tumeur continue à occuper la même place; les
fibres
radiculaires postérieures passent pour la plupart
s cordons postérieurs; en dehors d'elle, on aperçoit quelques rares
fibres
radiculaires; la substance de Holando a complèt
ement les cordons pos- térieurs, dont il n'existe plus que de rares
fibres
isolées, et les zones radiculaires des deux côt
dance à l'évolution ganglionnaire des cellules néoplasiques. Les
fibres
sont de volume et de disposition variables; en ce
rencontre dans le cerveau. Entre les cellules le tissu est formé de
fibres
très fines; par places il a même un aspect très
sont accompagnés d'une gaine conjonctive épaisse, formée de grosses
fibres
et de cellules plates : c'est du tissu fibreux
ration néoplasique diffuse; néanmoins il sub- siste encore quelques
fibres
, surtout à droite, qui gagnent la corne antérie
a déjà presque dis- paru dans son noyau, d'où partent en avant les
fibres
du ruban de Reil remarquablement intactes; la z
s. Du noyau du faisceau cunéiforme partent également, en avant, des
fibres
arciformes qui se rendent au ruban de Reil et q
rdons grêle et cunéiforme dégénérés on aperçoit une mince couche de
fibres
arciformes exlernes (fig. 12). On remarquera com-
e la ceinture scapulaire et le triceps fémoral contiennent quelques
fibres
en voie d'atrophie, avec prolifération des noya
lques fibres en voie d'atrophie, avec prolifération des noyaux, ces
fibres
sont d'ailleurs assez rares et toutes les autre
extrême de la moelle, l'écartement, le refoulement, l'étirement des
fibres
nerveuses ne permettent pas toujours d'apprécie
une explication très satisfaisante dans la destruction complète des
fibres
radiculaires intramédullaires de racines postér
très haut. D'ailleurs, on comprendrait difficilement comment ces
fibres
nerveuses, perdues dans le stroma conjonctif de l
précisé- ment aux organes centraux auxquels étaient destinées les
fibres
des racines postérieures. Pour terminer ce qui
ie; ce tissu, d'origine ectodermique, est composé de cellules et de
fibres
: tantôt les cellules'proli- fèrent, en prerai7
gliome cellulaire.-Tantôt..la néoformation porte sur- tout sur les
fibres
, et l'on a une tumeur plutôt circonscrite, asse
ire et du..inusculo-cutané, 1 et, .pari communication de - quelques
fibres
du. médian,, anesthésie du pouce et de l'indicate
hénomène 'tien- - draitàjt'exag'ération duipouvoir contractile des.
fibres
musculaires tandis que-leur action dilatatrice'
laires;. atrophie des grandes cellules de Betz. Dégénérescence des
fibres
nerveuses à myéline. Les paquets 1 delcellliles a
à des lésions périphériques. Il y a lieu d'admettre une lésion des
fibres
pupillaires de t'oculo-motéur commun gauche. -.
cellules de ces der-, niers dans certaines couches, et le manque de
fibres
nerveuses. L'embryologie nous apprend que le ce
ce phénomène que par l'hypothèse de l'entre-croisement partiel des
fibres
qui transmettent le réflexe pupillaire. Voici u
la Société médicale des hôpitaux, au sujet de la dis- parition des
fibres
à myéline tangentielles de l'écorce dans la com
ontal gauche. Compression cérébrale; atrophie par com- pression des
fibres
tangentielles de l'écorce du cerveau; dégéné- n
s fibres tangentielles de l'écorce du cerveau; dégéné- nescence des
fibres
de la substance blanche du lobe frontal gauche
éfinie, d'aspect légèrement fibrillaire, qui ne sont autres que des
fibres
nerveuses amyéliniques, Nous étudierons successiv
des cellules nerveuses à différents stades de leur évolution et des
fibres
amyéli- niques. On y trouve : 1° des noyaux iso
très probable qu'une seule cellule estcapable de fournir plusieurs
fibres
au réseau des cylindres d'axe qui par- courent
és parfaitement vivantes et elles sont tapissées par un feutrage de
fibres
nerveuses, ainsi qu'on le verra plus loin. J'
anière à former un feutrage serré, sans substance interstitielle ni
fibres
névrogliques (rtg. 18 et 19). Des fibres nerveu
ubstance interstitielle ni fibres névrogliques (rtg. 18 et 19). Des
fibres
nerveuses amyéliniques plus ou moins groupées en
<'> : n.'1 Souvent'ils sont enveloppés d'une gaine épaisse de
fibres
ner- veuses parallèles à leur direction, tassée
de conducteur;, on- peut comparer à cette disposition celle que les
fibres
affectent lorsqu'elles arrivent sur une surface
e dégénérescence qui est bien visible sur la figure 21. Ce sont les
fibres
du cingulum qui ont dégénéré en conséquence de la
rce ; on en retrouve encore des traces dans le lobe temporal où les
fibres
longitudinales, qui occupent la hase de la circ
eau d'association part de la face interne du lobe frontal, cède ses
fibres
tout le long de son trajet, pour en reprendre d
jet, pour en reprendre d'autres et ne contient plus beaucoup de ses
fibres
fron- tales lorsqu'il arrive dans la circonvolu
r la méthode élective de Pal décèle une atro- phie considérable des
fibres
tangentielles de l'écorce. On sait que ces fibr
considérable des fibres tangentielles de l'écorce. On sait que ces
fibres
peuvent être distinguées en trois plans ; 4° un
qu'on descend dans la zone des grandes cellules pyramidales où ses
fibres
s'entre-croisent avec les fibres irradiées de l
randes cellules pyramidales où ses fibres s'entre-croisent avec les
fibres
irradiées de la substance blanche. Il nous faut
obe frontal gauche toute la région antérieure ne con- tient plus de
fibres
à myéline dans la deuxième couche ; elles sont
illons. A mesure que l'on se rapproche de la région rolandique, les
fibres
conservées augmentent de nombre graduellement, d'
utions est rede- venu presque normal, mais à la face supérieure les
fibres
restent bien moins nombreuses, surtout dans la
bit une lésion parallèle à celle du gauche, mais moius intense; les
fibres
de la deuxième couche qui sont complètement dét
és et adhérents à la tumeur. Mais là encore il reste quelques rares
fibres
superfi- cielles pour témoigner de l'intégrité
s sont complètement saines, sauf encore une certaine diminution des
fibres
de la deuxième couche dans la partie superficie
dans la partie antérieure de ce lobe, on ne trouve presque plus de
fibres
dans la première couche, à la face supérieure des
s la portion super- ficielle de la circonvolution. Atro- phie des
fibres
tangentielles des couches superficielle et moye
du lobe pariétal la lésion est encore plus avancée. A droite les
fibres
sont mieux conservées, d'une façon générale,
oral la lé- sion est à son maximum dans la région moyenne, où les
fibres
superficielles ont presque com- plètement dis
ces, surtout à droite. En somme, on voit que la dis- parition des
fibres
tangentielles de l'écorce est plus avancée dans
ns la portion située au fond d'un sillon. Atrophie considérable des
fibres
tangentielles dans toutes les couches de l'écor
les plus accessibles aux réactifs, tandis que dans les sillons les
fibres
sont partout plus nombreuses, on ne peut pas accu
aux a conservé l'intégrité de ses éléments sauf la diminu- tion des
fibres
à myéline tangentielle. D'autre part, la subs-
qu'en réalité, si l'on fait abs- traction de la dégénérescence des
fibres
à myéline tangentielles, la lésion destructive
ause des déformations subies par la région. Cette dégénérence des
fibres
tangentielles acquiert une im- portance d'autan
ance qu'ont prise, dans l'ana- tomie pathologique des démences, les
fibres
tangentielles de l'écorce, qui ont été bien déc
me de placer dans le cas actuel la dégénérescence si étendue de ces
fibres
, que j'ai décrite plus haut, au premier rang pa
nc pouvoir admettre que la compression agit en premier lieu sur les
fibres
d'Exner, ? Pour en gêner le fonctionnement d'abor
trice ne se distingue pas des autres par sa richesse plus grande en
fibres
tangentielles, elle possède seulement un plus g
ibres tangentielles, elle possède seulement un plus grand nombre de
fibres
épaisses. Le gliome neuro-formatif n'est pas un
n. (Loc. cit.) Fig. 29. Schéma, de la disposition de l'atrophie des
fibres
à myéline tangentielles de l'écorce de l'hémisp
génitales, qui res ail. . ". Fig. 30. Schéma de la disposition des
fibres
à myéline tangentielles de l'écorce de l'hémisp
. (Loc. cit.) . Fiy. 31. Schéma de la disposition de l'atrophie des
fibres
à myéline tangentielles de l'écorce de l'hémisp
d'un téra- tome ; elle était formée de cellules à la périphérie, de
fibres
au . centre,' présentait à sa surface des rudim
sent ce tissu à l'état adulte : les cellules névrogliques, avec les
fibres
qui en dérivent, et les cellules ganglionnaires
de gliomes, qui diffèrent de ceux du cerveau par l'exubérance des
fibres
névrogliques (gliomes fibrillaires), mais qui ont
y a vingt-trois ans. Le nerf sciatique contenait de très nombreuses
fibres
fines entourées d'une couche de myéline. mortif
ir l'équilibre de la nutrition et la fonction des nerfs. Aussi, les
fibres
nerveuses du bout périphérique du nerf dégénèrent
du nerf dégénèrent- elles. Tel est le mécanisme des altérations des
fibres
sensitives dans les cordons de la moelle. Séa
pu localiser dans l'écorce du cervelet les divers aboutissants des
fibres
olivaires. Les pièces ont été portées au labora
d'épaisseur s'est faite aux dépens du pont de Varole; le paquet des
fibres
des pédon- cules cérébelleux moyens ne forme pl
ncules cérébelleux moyens. On ne retrouve pas, disséminés entre les
fibres
, les riches amas cellulaires qui existent habit
e de la protubérance, on est frappé ici encore par 1 a sclérose des
fibres
transversales, fortement colorées, circonscriva
colorées, circonscrivant des espaces dans lesquels se trouvent les
fibres
normales qui sont au pied du pédoncule. Si no
es. Une série de travaux nous a renseignés sur la destina- tion des
fibres
des pédoncules cérébelleux moyens : on ne les c
ition de ces cellules nerveuses comprises à l'état normal entre les
fibres
des pédoncules céré- belleux moyens; ces cellul
cendantes des voies pyramidales. Leur situa- tion sur le trajet des
fibres
cérébelleuses et des pyramides, et cette double
s ces parties supérieures, plus on voit augmenter l'intrication des
fibres
verticales ou pyramidales avec les transversale
ait passer par les olives et relayer dans leur substance grise, les
fibres
qui se rendent des corps restiformes, aux cordo
, aux cordons postérieurs. Edinger n'ad- met comme prouvées que les
fibres
décrites entre les olives et les corps restifor
les corps restiformes, restant sur la réserve pour les préten- dues
fibres
allant des cordons postérieurs à l'olive : elles
corde pas avec Meynert sur le point où se fait le croisement de ces
fibres
; il pense qu'il a lieu plus haut, dans le cerve
e une moitié du cer- velet et l'olive du côté opposé, le trajet des
fibres
qui les relient est encore discuté. Nous affirm
din- ger1 admet que les olives supérieures sont entourées par des
fibres
émanées du corps restiforme du même côté, mais on
nce, n'affecte pas de rela- tions avec le système cérébelleux.. Ses
fibres
sont dissociées par de nombreuses fibres venant
système cérébelleux.. Ses fibres sont dissociées par de nombreuses
fibres
venant du cervelet et se rendant direc- ' Schul
tion des cellules nerveuses, des modifications de l'innervation des
fibres
d'association et des centres physiologiques.
OGIQUES. 397 court à l'innervation des vaisseaux cérébraux, par des
fibres
vaso- constrictives et vaso-dilatatrices, les p
le fait de stimulations mécaniques ou électriques. L'excitation des
fibres
vaso-dilatatrices est due à l'anémie plutôt qu'
égrité de la commissure antérieure. 2° Dégénérescence partielle des
fibres
du corps calleux. Si l'on examine les fibres de
rescence partielle des fibres du corps calleux. Si l'on examine les
fibres
de jonction d'une région déterminée de la zone
autre hémisphère, on trouve qu'en avant de la scissure sigmoïde les
fibres
du corps calleux sont normales, en arrière, il
ocs et boules de myéline en dissociation) sur toute la longueur des
fibres
. 398 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.- - 3° Dans l'hémisphère gauche (opéré) les
fibres
commissurales qui relient certains endroits de
ui relient certains endroits de l'hémisphére sont dégénérées. Les
fibres
propres de Meynert sont atteintes. 4° A gauche, d
ropres de Meynert sont atteintes. 4° A gauche, dégéné- rescence des
fibres
qui forment la couronne rayonnante et se diri-
te, mottes de myéline disséminées dans le corps calleux et dans les
fibres
qui probable- ment traversent le corps calleux
nt traversent le corps calleux pour aller à l'écorce. Intégrité des
fibres
propres sous-corticales et des fibres de la couro
ler à l'écorce. Intégrité des fibres propres sous-corticales et des
fibres
de la couronne rayonnante. Remarquables différe
Remarquables différences dans le nombre des mottes myéliniques des
fibres
sous-corticales entre les deux hémis- phères.
nt (borax et ferrocyanure de K.) pendant une à trois minutes. Les
fibres
myéliniques sont noir bleues, la névroglie jaune,
. Centralbl., 1892.) Chez l'homme, elles n'ont rien à voir avec les
fibres
de l'acous- tique. Il y a une différence entre
u lobule du pneumogas- trique. En arrière d'elles, apparaissent les
fibres
de rameaux pos- térieurs de l'acoustique, non c
Il n'esl pas rare de voir ces trousseaux abandonner résolument les
fibres
du rameau postérieur de l'auditif, déviant un peu
et d'arrière en avant, la pyramide du côté opposé, pour gagner les
fibres
antérieures du côté opposé du bulbe. On ne peut
utonome ; trousseau doté de ses manchons de myéline, bien avant les
fibres
des parties avoisinantes des hémisphères cérébell
inantes des hémisphères cérébelleux, et bien avant aussi celles des
fibres
des stries médullaires qui se dé- veloppent les
naissance. Le pédoncule du lobule du pneumogastrique se compose de
fibres
qui prennent naissance dans l'écorce de la surf
thal, Bernhardt. P. K. XXXI. DU développement ET DE l'expansion DES
FIBRES
tangentielles du l'écorce du cerveau humain aux
de la première temporale gauche. Méthode de Weigert. Numération des
fibres
à l'oculaire quadrillé. Etude de vingt-deux cer
drillé. Etude de vingt-deux cerveaux. 1° Le nouveau-né n'a pas de
fibres
myéliniques dans les couches spéciales de son é
Il existe réellement trois couches (interne, externe, moyenne), de
fibres
tangentielles. 3° Les premières fibres tangentiel
terne, externe, moyenne), de fibres tangentielles. 3° Les premières
fibres
tangentielles se REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
es de la nutrition générale paraissent arrêter le développement des
fibres
tangen- tielles. 6° Le développement n'en est p
e de dix-sept ans. 7° L'âge paraît amener une faible diminution des
fibres
en question. 8° Les fibres tangentielles provie
araît amener une faible diminution des fibres en question. 8° Les
fibres
tangentielles proviennent souvent de fibres radia
res en question. 8° Les fibres tangentielles proviennent souvent de
fibres
radiaires péné- trant isolément ou en touffes.
nt les trousseaux radiaires à la couche externe. 9° Le nombre des
fibres
tangentielles n'est pas le même dans les diverses
- 10° La frontale ascendante droite possède le plus grand nombre de
fibres
tangentielles épaisses. La première frontale ga
t le lobe occipital droit possèdent une abondance considé- rable de
fibres
fines. 11° Les raies de Baillarger et de Vicq d
de Baillarger et de Vicq d'Azyr sont formées par l'accumulation des
fibres
tangentielles. 12° La raie de Vicq d'Azyr est b
Excellente pour déceler de très bonne heure la dégénérescence des
fibres
nerveuses et, par suite, pour l'élude expérimenta
un ton uniformément brunâtre, dans lequel on distingue parfaitement
fibres
et cellules nerveuses. P. K. Archives, t. XXV
110-PATHOLO- GIQUES SUR LES CENTRES OPTIQUES ET LES TROUSSEAUX DE
FIBRES
AUXQUELS ILS COMMANDENT, AVEC CONTRIBUTIONS CLI-
couches superficielles des tubercules quadrijumeaux antérieurs. Les
fibres
blanches de jonction occu- pent surtout le segm
s le bras du tubercule quadriju- meau antérieur où il se réunit aux
fibres
de la bandelette optique. confinant, par en hau
ule pariétal supérieur et du pli courbe, se groupent, avec quelques
fibres
des première et deuxième occipitales, en un trous
s fibres des première et deuxième occipitales, en un trous- seau de
fibres
blanches qui constitue un trousseau d'irradiation
lancs il existe une zone de transition qui constitue le bouquet des
fibres
émanées du tiers médio-antéro- postérieur du co
spondant. Dans la couronne rayonnante, on retrouve les faisceaux de
fibres
qui vont des centres corticaux aux groupes cell
upes de cellules des centres primaires qui sont en rapport avec les
fibres
que nous venons de décrire. P. KERAVAL. XXXVI
l'olive correspondante était atrophiée; atrophiées en étaient, les
fibres
. M. Bernhardt. Qu'esl-ce que l'atrophie du nerf
s, dans les cas de foyers unilatéraux que lorsque les noyaux ou les
fibres
radiculaires sont lésés, mais non point quand i
! de nature clinique, qui exercent une influence trophique sur les
fibres
qui'partent des cellules nerveuses; 4°'quand on
oduit'la' dégénérescence lente'et continuellement pro- gressive des
fibres
. nerveuses qui', en' partent : ' 5° les extrémit
phénomènes qui traduisent la dégénérescence des diverses espèces de
fibres
sensitives et tt IV/Y 1 REVUE D'ANATOMTE ET D
ette succession dépend de la force de résistance indivi- duelle des
fibres
atteintes, force de résistance elle-même en rappo
cence des bouts nerveux centraux président aussi à l'altération des
fibres
que les cellules nerveuses des ganglions spinaux
inaux) peuvent conserver leur constitution anatomique, bien que les
fibres
qui en partent soient départ en part altérées; 9°
inaux; 10" dans le cordon postérieur, il y a atrophie de groupes de
fibres
différents au point de vue anatomique et physio
peut conclure que dans le bout central des nerfs dégénèrent non les
fibres
qui sont en rapport avec les corpuscules de Mei
qui sont en rapport avec les corpuscules de Meissner, mais d'autres
fibres
sensitives. ' P. KERAVAL. XL VI. Des modifica
au,lobe temporal, on supprime le goût du côté opposé. En lésant les,
fibres
les plus postérieures delà couronne rayonnante
l.' P. K. t Cr f , t j", ? ) -) " 31 ,. ? LV. De. l'abondance DES
fibres
INTRA-CORTICALES D.1NS LES couches II ET de Mey
aire et métho- dique de leurs éléments et de leur, faible teneur en
fibres
. C'est là qu'à l'avenir on devra étudier l'atro
r en fibres. C'est là qu'à l'avenir on devra étudier l'atrophie des
fibres
intra-corticales. La'largeur'de l'écorce à la'
isième couches de'Meynert mesu- rent ensemble 1 millimètre 58 ; les
fibres
d'asàciation etia lisière de Baillarger sous-ja
e on trouve un lacis vasculaire, des, éléments, de, soutènement. Ni
fibres
,, myeliniques,, ni fibres amyéliniques., Cela p
laire, des, éléments, de, soutènement. Ni fibres,, myeliniques,, ni
fibres
amyéliniques., Cela prouve, une'fois'do plus, L
e du.pneumogastrique est la, condensation de la masse entière ? des
fibres
des circonvolutions de ce lobule et forme, un for
ofondeur interne de's'céutt'es où'on le perd de vue. ' z / ' s Les ^
fibres
dû lobule du pneumogastrique qui se dirigent en '
ieur montre qu'en ce point' le" pédoncule en question se compose de
fibres
obliques qui, d'abord en'(dehbrs du corps resti
la partie externe de l'olive cérébelleuse'. Plus haut, entre A ces
fibres
se.placent les premières fibres inféro-antérieurë
rébelleuse'. Plus haut, entre A ces fibres se.placent les premières
fibres
inféro-antérieurësdu' '' pédoncule cérébelleux
eurësdu' '' pédoncule cérébelleux supérieur'. Plus haut encore, ces
fibres
mas'- sées 'en trousseaux épais, croisent soifs
-dessus du noyau du toit et' passé' ainsi" du'côté "oppose où ses ""
fibres
" gagnent le lobule du pneumogas ? trique. n'exi
fibres" gagnent le lobule du pneumogas ? trique. n'existe aussi des
fibres
obliques qui vont en dedans dans ' ' ! les'noy'
ns ' ' ! les'noy'aux' du nerf vestibulaire,lç'est-a-'dire que' les'
fibres
dû neéf vestibulaire vont'non pascaux noyaux ce
ule dii' pneumogastrique. ' T1 'h ' ' ? L'étudedu développement des
fibres
du' pédoncule 'du lobule du pneumogastrique per
u' pédoncule 'du lobule du pneumogastrique permet de distinguer les
fibres
de' cepédon-^' ' culetde celles du pédoncule cé
leux supérieur et du segment , interne du corps restiforme. Or, les
fibres
internes du corps resti- forme sont celles de l
la masse principale du côrps,resti- forme, qui contient surtout des
fibres
issues'du noyau de Deiters du jt côté homonyme
des trousseaux qui croisent le pédoncule cérébelleux supérieur. Ces
fibres
sont plus antéro-in- férieures que celles du pé
t tt) '1 · ffj 11' i ' 4 1 1, t 1 ') F t- , ' .. . Une partie .des,
fibres
de l'acoustique servent à régler la tension des
Schifi7; la surdi-mutilé dontla cause tient t à des altérations des
fibres
tonorégutatrices de l'appareil acoustique s'acc
noyau de4l'liypo,-Iosse, dont.il^est séparé pari deux trousseaux'dé
fibres
. Un, de ces trousseaux vient du faisceau longi-
le groupe en question donne ? ,1 ff, ? iwu ? «l >< ! 10 Des
fibres
au ra lip (trousseau arciforme de Gerlach); .2°
10 Des fibres au ra lip (trousseau arciforme de Gerlach); .2° des
fibres
(lui, ti-avet-saiit 1 - eiio3 rà'du iiét-f'vagtie
petite colonne de' cellules siluées'priricipaleménl au-dessous des
fibres
du'faisceau lohgit'u'dino-dorsal ? '>- ™l« i
s dans la moelle cervicale; atrophie dégénérative de la plupart des
fibres
du cubital, .d'un certain nombre i de fibres. d
tive de la plupart des fibres du cubital, .d'un certain nombre i de
fibres
. du médian, .du radial, du musculo- cutané; atr
e commissure. Chaque partie des centres olfactifs possède ainsi des
fibres
, commissurales. La lyre n'est qu'une commissure
à faire avec la régénération du bout nerveux. Pour former déjeunes
fibres
nerveuses, il faut du tissu conjonctif. La régéné
n delà germination, pour ainsi parler, des anciennes extrémités des
fibres
du bout central, à l'endroit lésé. Ou bien la j
ités des fibres du bout central, à l'endroit lésé. Ou bien la jeune
fibre
provient du prolongement de l'ancienne, ou bien
ichotomie. Le sixième ou septième jour, commence cette néoplasie de
fibres
nerveuses jeunes extrêmement minces; à peine né
wann qui ont proliféré viennent former la gaine nouvelle des jeunes
fibres
. En tout cas, il n'y a ni hyperplasie nerveuse
de cellules indépendantes, ni réunion par première inten- tion des
fibres
nerveuses sans dégénérescence du bout périphé-
nc pas les terminaisons de l'oculo-moteur com- mun, elle excite les
fibres
pupillo-dilatatrice du grand sympa- thique. L
te par l'action de la cocaïne, indiquer l'excita- tion par elle des
fibres
sympathiques. Toutefois, quoi qu'en dise E. Pfl
lle, 95. ME\1\ERT, Eloge de par Fritsch, 265 ; de l'abondance des
fibres
mtra-corticates dans les couches Il et III de
ldu 1 facial "'par Hitig ? 91. '" ? f' ;.C"U ? Paralytiques,' des
fibres
^d'associa- tion dans l'écorce cérébrale'des'-
oplasme et fihres dissociées), nous notons de légères altérations :
fibres
grêles et variqueuses, mais sans dégénérescence
iste en ces divers points une sclérose légère, avec raréfaction des
fibres
nerveuses facilement appréciable. Nerfs acous
e gauche, on constate his- tologiquement une diminution notable des
fibres
myéliniques et des cylindres-axes, l'acoustique
trijumeau, qui, suivant l'opinion généralement admise, contient des
fibres
vaso-constrictives. Les expériences sont cepend
r l'anémie unilatérale à l'action du nerf facial qui fournirait des
fibres
vaso-constrictives à la joue, car ces fibres d'
ial qui fournirait des fibres vaso-constrictives à la joue, car ces
fibres
d'emprunt proviennent des anastomoses de ce ner
que les autres neurones, de prolongements protoplasmiques, et d'une
fibre
cylindraxile avec ses collatérales. Certains ne
ctionnelle est indispen- sable, dans la région des dendrites et des
fibres
cylindraxiles, qui servent de substratum histol
x prolongements protoplasmiques doit correspondre à la formation de
fibres
cylindraxiles colla- térales. Mais de quelle ma
n que suivent les courants ner- veux dans les dendrites et dans les
fibres
cylindraxiles. L'onde moléculaire se dirige dan
t, la direction centripète par rapport à cette dernière ; quant aux
fibres
cy. indraxiles la vibration y part du corps cel-
tions extérieures, qui atteignent les arborisations terminales des
fibres
cylindraxiles se transmettent aux dendrites. L'ac
ui leur parviennent. Il est très probable, que le développement des
fibres
nerveuses devance quelque peu la formation de n
asmiques changent de formes, mais pas de manière à se désunir de la
fibre
cylindraxile ; nous pouvons même sup- 20 ANATOM
it nulle part se produire de disjonction entre les dendrites et les
fibres
cylindraxiles ; au contraire, beaucoup de phéno
, il est probable que le mode de connexion des den- drites avec les
fibres
cylindraxiles prend alors un caractère quelque
que le nombre des points d'attouchement devient moindre pour chaque
fibre
correspondante; il aug- mente, au contraire, à
e reste toujours sous l'influence stimulante des impulsions de la
fibre
nerveuse, avec laquelle elle entre en contact. Ce
a constaté, dans un cas de tumeur du cerveau un anéantissement des
fibres
tangentielles dans l'écorce céré- brale, princi
rissent tout d'abord les ramuscules terminales des dendrites et des
fibres
nerveuses de développement postérieur, comme fo
enne, dépend de la destruction des liens entre les dendrites et les
fibres
cylindraxiles; dans tous les cas de démence, fût-
ntacts formés entre les ramuscules protoplasmiques terminaux et les
fibres
cylindraxiles, se détruisent rapidement. Par co
certaine tension et de certain tonus. La fonction insuffisante des
fibres
nerveuses entraine la destruction continuelle de
s fines cessent de se former uniquement à cause de la faiblesse des
fibres
nerveuses terminales. Il existe en outre, du mo
ts condamnés à périr ; les anciens liens entre les dendrites-et les
fibres
cylin- draxiles sont les seuls à survivre. Du c
-intoxication, la connexion régu- lière entre -les dendrites et les
fibres
cylindraxiles des neu- rones pyramidaux peut se
apter régulièrement aux courants nerveux que lui trans- mettent les
fibres
cylindraxiles. Si l'intensité de la vibration m
si- tifs, qui vont des organes de sensation au cerveau, parmi des
fibres
centripètes des fibres centrifuges. Quand une irr
s organes de sensation au cerveau, parmi des fibres centripètes des
fibres
centrifuges. Quand une irritation morbide, née
charge par la moitié motrice de l'arc réflexe, sans le concours des
fibres
, qui se rapportent à la faculté de projeter nos
ble » et l'autre avec sa portion motrice, à laquelle s'adaptent les
fibres
centripètes des sensations d'innervation. Si no
du, il se trouve, qu'il existe des neurones qui sont dépourvus de
fibres
nerveuses et qui ne possèdent que des prolongemen
ouvons non plus nier, que des liens entre des neurones à l'aide des
fibres
nerveuses terminales sont aussi possibles. Somm
dans la majorité des cas à l'aide de contacts des dendrites et des
fibres
cylindraxiles : Un savant français, M. le profe
olongement membraniforme. Une seule de ces cellules est munie de la
fibre
cylindraxile. Ce seront, d'après l'avis de M. R
8 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. ment protoplasmique commun , tandis que la
fibre
nerveuse part d'une des deux cellules. Ce seron
gement. Une lésion de ce neurone a pour effet la dégénérescence des
fibres
nerveuses et des muscles, en détruisant leurs c
. Rien ne prouve que l'électricité puisse hâter la régénération des
fibres
nerveuses. L'électrothérapie joue un grand rôle
présentés par M. Van Gehuchten qui a constaté l'absence complète de
fibres
pyramidales, cylindraxes compris, dans la moelle
irectement du noyau de la 3° paire à l'oeil du côté opposé, soit de
fibres
d'association entre les noyaux des deux nerfs m
certaines paralysies peuvent s'améliorer grâce à la suppléance des
fibres
détruites par les fibres provenant du côté oppo
vent s'améliorer grâce à la suppléance des fibres détruites par les
fibres
provenant du côté opposé. 2° Chez un brightiq
s et dégénéra- tives dans les circonvolutions centrales; lésion des
fibres
arciformes, de fibres de projection ainsi que d
ans les circonvolutions centrales; lésion des fibres arciformes, de
fibres
de projection ainsi que des fibres tangentielles
lésion des fibres arciformes, de fibres de projection ainsi que des
fibres
tangentielles superfi- cielles. Deuxième mala
pancréas; dégénérescence atro- phique chronique des cellules et des
fibres
des cornes anté- rieures grises de la moelle da
ltération notable des vaisseaux médullaires; atrophie partielle des
fibres
des nerfs périphériques; atrophie avancée des f
partielle des fibres des nerfs périphériques; atrophie avancée des
fibres
musculaires avec multiplication des noyaux et p
il ressort qu'il est aussi difficile de déterminer l'exis- tence de
fibres
périphériques et d'organes terminaux dstincts pou
, Marinesco (1892). Ce dernier observe qu'après une amputation, les
fibres
nerveuses sont plus nombreuses. Les résul- tats
erfs lui a donné les résultats suivants : les nerfs contiennent des
fibres
fines et des fibres grosses ; les premières son
résultats suivants : les nerfs contiennent des fibres fines et des
fibres
grosses ; les premières sont les plus altérées.
s et des fibres grosses ; les premières sont les plus altérées. Les
fibres
fines sont remplacées par du tissu conjonctif;
, est unipolaire. Son prolonge- ment cylindraxile se divise en deux
fibres
, l'une qui descend dans le nerf, l'autre qui va
glie est teinté en jaune et par conséquent facile à distinguer. Les
fibres
sont très épaissies, sur- tout à l'une de leurs
neuse qui prend une coloration un peu moins intense que celle de la
fibre
. Les extrémités remar- quablement épaissies des
e celle de la fibre. Les extrémités remar- quablement épaissies des
fibres
paraissent être souvent placées contre une cell
méthode on ne peut pas reconnaître de connexions directes entre les
fibres
et la cellule, pour que cette connexion n'exist
ou- voir être attribuées. R. de AIUSGRAVE CUY. X. D'un système de
fibres
intermédiaires, occupant le' cordon la- TÉRAL D
motuur entrecroisé. Ce faisceau latéro-pyramfdal contient aussi des
fibres
non entrecroisées, centri- fuges également, qui
des lésions médullaires du tabes doit établir sur quels systèmes de
fibres
ou de cel- lules nerveuses évoluent ces lésions
grises adjacentes ou des ganglions rachidiens. Or, ces systèmes de
fibres
ou de cellules ner- veuses sont nombreux : nous
les derniers travaux, comme formés par deux grands sys- tèmes de
fibres
nerveuses; et chacun de ces systèmes com- prend
tèmes de fibres nerveuses; et chacun de ces systèmes com- prend des
fibres
qui n'ont ni le même trajet anatomique, ni la m
ique, ni la même fonction. Le premier système comprend toutes les
fibres
qui, parties des cellules des ganglions rachidi
iveau du sillon collatéral ; elles ont reçu diverses appellations :
fibres
radiculaires postérieures, fibres extrinsèques,
ont reçu diverses appellations : fibres radiculaires postérieures,
fibres
extrinsèques, fibres exogènes (Pierre-Marie). M
pellations : fibres radiculaires postérieures, fibres extrinsèques,
fibres
exogènes (Pierre-Marie). Malgré leur dénominati
bres exogènes (Pierre-Marie). Malgré leur dénomination commune, ces
fibres
n'ont pas la même valeur anatomique : les unes
moelle, autour des cellules de la corne posté- rieure ; les autres (
fibres
moyennes) suivent un trajet plus long et abouti
celles de la base de la corne antérieure; enfin, un dernier groupe (
fibres
longues) va jusqu'aux noyaux sensitifs ou posté
eurs du bulbe (noyau grêle, noyau cunéiforme). De plus, puisque ces
fibres
radiculaires (courtes, moyennes et longues) ont
que. Les mêmes considérations s'appliquent à l'autre sys- tème de
fibres
nerveuses qui constitue, avec le précédent, 1 N
écente) a été moins . complètement étudié; il com- prend toutes les
fibres
qui, parties des cellules de la subs- tance gri
lus ou moins long dans la masse blanche du cordon postérieur. Ces
fibres
s'appellent : fibres intrinsèques, fibres endogèn
ans la masse blanche du cordon postérieur. Ces fibres s'appellent :
fibres
intrinsèques, fibres endogènes, fibres commissu
du cordon postérieur. Ces fibres s'appellent : fibres intrinsèques,
fibres
endogènes, fibres commissurales courtes. Comme
. Ces fibres s'appellent : fibres intrinsèques, fibres endogènes,
fibres
commissurales courtes. Comme le précédent, ce sys
missurales courtes. Comme le précédent, ce sys- tème est composé de
fibres
distinctes, les unes ascendantes, les autres de
inctes, les unes ascendantes, les autres descendantes; de plus, ces
fibres
occupent, suivant les étages de la moelle, des
miner. Cet aperçu anatomique montre la complexité des systèmes de
fibres
et de cellules nerveuses qui constituent la porti
de ces systèmes par la maladie. Ainsi : où débute le tabes ? - Les
fibres
radicu- laires sont-elles prises toutes en même
t courtes, moyennes ou longues ? A quelle période se prennent les
fibres
endogènes ? Les cellules (ganglion rachidien, c
rimitivement parenchymateux, frappant l'élé- ment nerveux lui-même (
fibre
ou cellule) ? Est-il, au contraire, interstitie
hie des lésions médullaires tabétiques par rapport aux faisceaux de
fibres
nerveuses des cordons postérieurs et aux cellul
e son centre trophique, dégé- nère. » Supposons donc un faisceau de
fibres
nerveuses com- plètement séparé de sa colonne c
lulaire originelle ; ce fais- ceau dégénérera tout entier, dans ses
fibres
périphériques, c'est-à-dire suivant le sens mêm
ces faisceaux seront situés en dehors des champs dits radiculaires (
fibres
des racines postérieures); ce seront des faisce
upe. Il nous faut examiner successivement : les faisceaux exogènes (
fibres
radiculaires postérieures, fibres centripètes d
ivement : les faisceaux exogènes (fibres radiculaires postérieures,
fibres
centripètes du protoneurone sensitif), les fais
otoneurone sensitif), les faisceaux endogènes (libres intrinsèques,
fibres
de cordons). 1° Faisceaux exogènes des cordon
e cordon postérieur. Au niveau du sillon collatéral, son faisceau à
fibres
grêles occupe la zone dite de Lissauer, tandis
occupe la zone dite de Lissauer, tandis que son faisceau à grosses
fibres
se place tout contre le bord interne de la corn
184 PATHOLOGIE NERVEUSE. mentionner. Un- peu plus haut, les grosses
fibres
occupent la zone dite cornu-radiculaire ; cette
ins loin dans l'intérieur du cordon. Plus haut, les mêmes grosses
fibres
, quoique diminuées de n'ombre, occupent la zone d
de toute racine postérieure : il nous reste à dire quelle espèce de
fibres
on rencontre plus spécialement à chaque étape.
Singer et Munzer, on distingue, dans toute racine postérieure, les
fibres
courtes, moyennes et longues suivant l'étendue
trajet. Comme le montrent encore les dégénérations secondaires, les
fibres
courtes ne dépassent pas la zone de Lissauer et
uisent autour des cellules de la corne postérieure adja- cente. Les
fibres
moyennes partent de la bandelette externe, et p
e Clarke et à celles de la base de la corne antérieure. Quant aux
fibres
longues, elles occupent le tiers postérieur de la
ial, endo- gène (b). Ce vaste espace est occupé tout entier par les
fibres
radiculaires et leurs collatérales. ' Mais il
ir où se trouvent plus spécialement, dans ce champ radiculaire, les
fibres
courtes, moyennes ou longues. Rappelons-nous le
ns suivantes : en B (zone d'entrée ou de Lissauer) sont situées les
fibres
fines de la racine postérieure qui pénètre à ce
à ce niveau ; en a (zone cornu-radiculaire) le faisceau à grosses,
fibres
, de la même racine, se dispose contre le bord i
gnalé plus haut : or, c'est en B et en a que se trouvent tuutes les
fibres
courtes, d'ailleurs Fig. 4, 5, 0, 7, 8. - Ces f
la neuvième. Fig. S. Au niveau de la deuxième racine cervicale (G',
fibres
longues lombo-sacrées et dorsales inférieures.
icale (G', fibres longues lombo-sacrées et dorsales inférieures. G"
fibres
longues dorsales supérieures). 188 PATHOLOGIE N
sales supérieures). 188 PATHOLOGIE NERVEUSE. mélangées aux autres
fibres
, moyennes et longues. En-a'et en- a" nous avons
iers antérieurs de ces bandelettes renferment plus spécialement les
fibres
radicu- laires moyennes. Enfin, en d" nous renc
es, région importante à signaler, puis- qu'elle renferme toutes les
fibres
longues, celles qui consti- tueront les triangl
ion exacte du cordon de Goll cervical : les triangles postérieurs à
fibres
longues des racines lombo-sacrées en occupent l
on, de forme irrégulière (Tg. 8, G") est occupé par les triangles à
fibres
longues des sept dernières racines dorsales qui
ent au bord interne de la corne, dont elle est séparée par d'autres
fibres
; son extrémité postérieure est souvent renflée
faisceau endogène descendant contient donc, à tous les étages, des
fibres
courtes, des fibres moyennes et des fibres long
escendant contient donc, à tous les étages, des fibres courtes, des
fibres
moyennes et des fibres longues qui paraissent i
à tous les étages, des fibres courtes, des fibres moyennes et des
fibres
longues qui paraissent intimement mélangées les
vidence; elles ne sont pas compactes, et il per- siste toujours des
fibres
saines, en nombre plus ou moins considérable. q
avancé. Les uns devaient, évidemment montrer quels sys- tèmes de
fibres
se prennent dès la première atteinte du mal; et
ise ; F, colonnes de Claire. Zones radiculaires (faisceau à grosses
fibre
*). - En a, zone cornu-radiculaire ; en a', a",
ns décolores. Les racines postérieures adjjcentes'(A) sont malades (
fibres
fines, fibres déco- lorées). Frg. 12, 13 (pre
. Les racines postérieures adjjcentes'(A) sont malades (fibres fines,
fibres
déco- lorées). Frg. 12, 13 (première racine s
re en l'espèce : aussi notre but a-t-il été surtout de voir quelles
fibres
se prenaient spécialement, dans ce système DES
racines, il nous a paru impossible de systématiser la lésion : les
fibres
étant intimement mélan- gées les unes aux autre
deux tiers anté- rieurs. D'après l'étude anatomique qui précède les
fibres
radiculaires, situées à ce niveau, appartiennen
ède les fibres radiculaires, situées à ce niveau, appartiennent aux
fibres
dites moyennes. Il nous paraît donc logique de
s dites moyennes. Il nous paraît donc logique de conclure que les
fibres
radiculaires moyennes sont prises dès le début du
es dès le début du tabès, dans les cordons postérieurs. Mais si ces
fibres
se détruisent dans la moelle, très vraisemblabl
sent aussi au niveau des racines postérieures. En effet, toutes les
fibres
radiculaires sont continues, depuis la cellule
empêcher de faire remarquer que cette localisation initiale sur les
fibres
radiculaires moyennes explique bien la disparit
neux, rotulien, etc.) : on sait, en effet, qu'un grand nombre deces
fibres
radiculaires moyennes forme le groupe des fibre
grand nombre deces fibres radiculaires moyennes forme le groupe des
fibres
dites sensitivo-réflexes (Koelliker). Ce groupe
ices. Si le tabes initial renseigne sur la première localisation (
fibres
radiculaires moyennes), le tabès avancé montre le
, dans sa dernière étape, détruit les autres systèmes radiculaires (
fibres
courtes, fibres longues); il atteint égale- men
re étape, détruit les autres systèmes radiculaires (fibres courtes,
fibres
longues); il atteint égale- ment les fibres end
laires (fibres courtes, fibres longues); il atteint égale- ment les
fibres
endogènes. Ainsi, sur une moelle de tabes avanc
, bandelette périphérique dorso-lombaire, virgule de Sclmltze). Les
fibres
endogènes ascendantes (zone cornu-com- missural
er- cher l'époque précise à laquelle le mal détruit et les autres
fibres
radiculaires et les fibres endogènes. Nous pouvon
à laquelle le mal détruit et les autres fibres radiculaires et les
fibres
endogènes. Nous pouvons cependant conclure que
e par l'importance anatomo-physio- logique de ce grand faisceau des
fibres
radiculaires longues (lombo-sacrées et dorsales
ar Pierret dans son travail- fondamental. A la région lombaire, ses
fibres
constitutives sont détruites primitivement au n
s, lorsque le processus gagne leur tiers postérieur. Détruites, ces
fibres
subissent, dans leur bout périphérique, la dégé
cervico-dorsale, respectait la moelle lombaire, par conséquent les
fibres
longues du cordon de Goll au niveau de leur poi
nt d'examiner quelle symptomatologie différente suit la prise des
fibres
endogènes et celle des fibres exogènes; de plus,
atologie différente suit la prise des fibres endogènes et celle des
fibres
exogènes; de plus, à propos de ces dernières, i
l s'agissait de voir si la symp- tomatologie varie, suivant que les
fibres
sont atteintes en - dehors de la moelle (racine
lésion de la partie postérieure de la capsule interne atteindre les
fibres
motrices et sensitives du côté opposé. Encore p
atifs sont moins prononcés qu'au début. Il est peu probable que les
fibres
détruites aient retrouvé leur fonction. 11 est
ique immé- diatement à côté de lui. - 6° Il en est de même pour les
fibres
radicu- laires ; les faisceaux latéraux sont de
interne, au droit inférieur, à l'élévateur de la paupière. - 7° Les
fibres
qui unissent le droit interne d'un côté avec le
rb avec celui de Klumpke. Après une étude minutieuse des racines et
fibres
d'après le tableau de Féré, M. Schuster croit à
de la 7° racine cervicale. Il tend également à penser que 1° les
fibres
sensitives du médian destinées à la face palmai
e et 6e racines cervicales; 2° le court extenseur du pouce tire ses
fibres
de racines plus profondes que de la 7e cervicale
par K. Gum- PERTZ. (Neurolog. Cenh·al6l. , XV, 1896.) Suivre les
fibres
nerveuses dans la peau pour bien en déterminer
ment et uniquement à un arrêt ou à un retard dans la croissance des
fibres
pyramidales. Ce développement peut se faire enc
pli courbe gauche est demeuré lésé. C'est l'endroit où passent les
fibres
d'association qui relient le centre visuel occi-
nt au modèle qu'on lui donne à copier) la lésion doit s'étendre aux
fibres
d'asso- ciation entre le centre visuel et le ce
eur ne va pas loin; ce système consiste dans sa masse principale de
fibres
connectives courtes. La plupart des fibres de l
s sa masse principale de fibres connectives courtes. La plupart des
fibres
de la substance réticulaire grise ne contient n
eures (latérales) de la substance réticulaire grise se trouvent des
fibres
longues, qui sont dégénérées en direction desce
égénérées en direction descendante; c'est jus- tement le système de
fibres
fines, situées en dedans de la substance gélati
aire (inférieure) du trijumeau. La dé- génération de ce système des
fibres
, qui traversent tout le long du bulbe et s'épui
. En direction descendante se dégénère aussi une petite quantité de
fibres
, situées dans les régions extérieures de la sub
dans les régions extérieures de la substance réticulaire grise. Ces
fibres
, d'une dimension assez grosse, se trouvent entre
que l'on nomme disséminés. Ces faisceaux disséminés contiennent des
fibres
ascendantes de même que des fibres descendantes
ceaux disséminés contiennent des fibres ascendantes de même que des
fibres
descendantes. Les unes et les autres s'achèvent d
tes. Les unes et les autres s'achèvent dans l'écorce cérébrale. Les
fibres
descendantes des faisceaux disséminés s'épuisen
isent vers le niveau des régions inférieures du pont de Varole. Les
fibres
ascendantes présentent, peut-être, une voie centr
ibres ascendantes présentent, peut-être, une voie centrale pour les
fibres
du trijumeau, qui conduisent les sensations liées
a parole (les mouvements de la langue). En suivant la direction des
fibres
dégénérées du ruban de Reil médian (principalem
du noyau central de la couche optique; 2° une petite quantité de
fibres
se dirige vers la zona incerta, en se finissant,
ellules de la partie la plus interne ; 3° la troi- sième partie des
fibres
, en passant par le centre médian, s'achève dans
situées de son côté potéro-médian concernant le petit faisceau des
fibres
, qui se trouve en dedans du « dorsale Abtheilun
e ; il est pos- sible qu'il présente la continuation du système des
fibres
, décrit par M. Ilüsel, et sert de voie centrale
lle épinière, princi- palement dans les cordons dorsaux et dans les
fibres
radiculaires. De pareilles altérations sont con
trocnémien, on trouva une augmentation très prononcée du volume des
fibres
musculaires jusqu'à 1G0-170 p.), une prolifératio
1G0-170 p.), une prolifération des noyaux (jusqu'à six dans chaque
fibre
), une déformation des contours des fibres (en f
x (jusqu'à six dans chaque fibre), une déformation des contours des
fibres
(en forme des zigzags) et une apparition des va
triquement; on y constata une prolifération et un épaisissement des
fibres
de la névroglie, ainsi qu'une hyper- plaxie trè
es cellules (surtout dans la substance grise altérée) ; beaucoup de
fibres
nerveuses ont péri, mais dans certains endroits
ont fades et présentent des phénomènes de dégénérescence, plusieurs
fibres
nerveuses ont perdu leur myéline; d'autres n'en
et de ses racines, les parties internes des olives et en partie les
fibres
arciformes internes et externes. La lésion est
ent se développer sans la destruction des cylindraxes quand la même
fibre
est soumise à l'influence accumulée des causes
ans suite pour son prolongement cylindr-axile, c'est-à-dire pour la
fibre
nerveuse; cette dernière s'altère à son tour, p
t la dépendance du trouble du sens musculaire de la destruction des
fibres
arciformes. Dans le second cas, la lésion primi
phères sensorielles) et où s'arborisent (centres d'association) les
fibres
de ces faisceaux. Pour le mécanisme de coordina
dante de l'écorce, il n'importe en rien, remarque Lugaro, que les
fibres
afférentes s'élèvent directement des centres sous
corticaux ou proviennent d'autres points de l'écorce, ni que les
fibres
efférentes se terminent dans des centres inférieu
u convient aussi pour le cervelet. L'écorce cérébelleuse reçoit des
fibres
afférentes de deux- sortes : ·1° les fibres mou
cérébelleuse reçoit des fibres afférentes de deux- sortes : ·1° les
fibres
moussues, provenant proba- blement des cellules
ires homologues, qui se ramifient dans la couche des grains; 2° les
fibres
grimpantes, dont les cylindraxes s'ar- borisent
ylindraxes dans les centres nerveux. Jusqu'alors on avait suivi les
fibres
nerveuses delasubs- 400 REVUE CRITIQUE. corps
mbryonnaire où la cellule de Purkinje ne possède pas de panache, la
fibre
grimpante vient se mettre en rapport avec son c
entrent en contact avec les épines des dendrites. a Le fait qu'une
fibre
entoure le corps d'une cellule tant que celle-ci
éraux descendants, aussi bien que l'arborisation terminale de cette
fibre
nerveuse, cylindraxile, des cellules étoilées, co
nche est déterminée par le nombre, l'épaisseur et la lon- gueur des
fibres
nerveuses. Le nombre de ces fibres dépend direc
l'épaisseur et la lon- gueur des fibres nerveuses. Le nombre de ces
fibres
dépend directement de la structure et des fonct
la quantité de la substance blanche et, partant, sur le nombre des
fibres
nerveuses de cette substance. Le volume ou cali
es fibres nerveuses de cette substance. Le volume ou calibre de ces
fibres
dépend de leur rôle fonctionnel et réalise les
lité. De même pour 404 .. - REVUE REVUE CRITIQUE. la longueur des
fibres
: l'onde nerveuse tend à se propager par le plu
tend à se propager par le plus court chemin, car plus l'étendue des
fibres
reliant les organes est brève, plus la transmis
absence de voies longues d'association. Les anciennes idées sur les
fibres
arci forntes d'association du fond des sillons
tituées avec la méthode au chromate d'argent, on ne fait mention de
fibres
où l'on puisse reconnaître celles qu'a décrites
bres où l'on puisse reconnaître celles qu'a décrites Meynert. « Les
fibres
que j'ai pu observer au fond des sillons des ci
la gaine de myéline, l'observation de tractus isolés de pareilles
fibres
peut faire illusion sur leur provenance réelle et
d'un même organe : ce ne sont que des points d'entre- croisement de
fibres
qui établissent des connexions, mais de GENÈSE
tudier la configuration externe des éléments nerveux, le trajet des
fibres
nerveuses. Ce qui a frappé les premiers observa
(ganglia stellata) dans lesquels se trouve le plus grand nombre de
fibres
accélératrices; dans une autre série d'expé- ri
ympathique cervical (Bezold) renferment aussi de leur côté quelques
fibres
accélératrices; ainsi, si nous coupons en même
olifération insolite du tissu conjonctif entre les faisceaux et les
fibres
de nerfs ; les fibres nerveuses sont soumises aux
u tissu conjonctif entre les faisceaux et les fibres de nerfs ; les
fibres
nerveuses sont soumises aux altéra- tions dégén
ui, passant par des stades divers, finissent par la destruction des
fibres
nerveuses. Des morceaux de muscles . pris du mu
urs points : absence de toute autre lésion corticale, intégrité des
fibres
corlico-pédonculaires, intégrité des noyaux de
sion de la base, notamment dans la conservation de muscles dont les
fibres
viennent, à n'en pas douter, du noyau du facial
a dégénérescence. Spasme et contracture ne sont que la réaction des
fibres
musculaires lisses de l'appareil digestif en prés
x, il peut se produire une susceptibilité, une irrita- bilité de la
fibre
musculaire lisse (états moraux, fatigues, surine
dans la paralysie géné- rale, par Mouratoff, 80. Cordon latéral.
Fibres
intermé- diaires du dans les pyramides, par d
n. Elle est d'un tiers plus petite que la droite et beaucoup de ses
fibres
* sont amincies ; on y observe aussi une légère pr
observe aussi une légère prolifération de la né- vroglie, mais les
fibres
nerveuses y sont normales. Les lésions de l'oli
paraît tout il fait normale et ne ren- ferme peut-être que quelques
fibres
dégénérées, la gauche offre des symptômes très
dans cette région, et présente une diminution très sensible de ses
fibres
en général. Elle est repoussée en dedans ; dans t
dégénérées. Dans'sa partie latérale et dans le bile la plupart des
fibres
sont dégénérées. Il en résulte que les fibres a
le bile la plupart des fibres sont dégénérées. Il en résulte que les
fibres
arciformes qui en sont la continuation, et qui
localisée permet de distinguer nettement le contingent olivaire des
fibres
du corps restiforme, qui en constitue la partie
col, corne latérale. Vds, racine descendante du trijumeau. .1'Rm,
fibres
sectionnées de l'entrecroise- ment sensitif ou
Fee, faisceau central de la calotte. Oi, olive inférieure. XII,
fibres
radiculaires de l'hypoglosse. ? J pyramide. io,
ordon latéral dégénéré. (ebo. faisceaux cérébello-olivaires. fai,
fibres
arciformes internes. fs, faisceau solitaire :
é. Subs. ferr., substance ferrugineuse (locus coeruleus). fMtY,
fibres
de la Ve paire de Meynert. NmV, noyau moteur de
oyau moteur de la V paire. NsV, noyau sensitif du trijumeau. /mV,
fibres
motrices sectionnées du triju- meau. V,s, rac
ruban de Reil médian. Pt, protubérance (pont de Varole). fPcmcal,
fibres
du pédoncule cérébelleux moyen se rendant dans
ambigus n'offrent'pas de modifications apparentes. On constate des
fibres
à myéline normales dans les faisceaux radiculaire
s à droite et à gauche. Il ne renferme pas un moins grand nombre de
fibres
et on ne remarque rien d'anormal dans sa consti
et on ne remarque rien d'anormal dans sa constitution, ni dans ses
fibres
arciformes, ni dans la subs- tance gélatineuse
ême la substance gélatineuse de Rolando à gauche est plus pauvre en
fibres
et amincie. Les noyaux du facial et du narmoteu
ans les racines de la sixième paire, un peu atrophiée à gaucho, des
fibres
à myéline normales (PI. II, D). Le tubercule ac
rvé pour la plus grande partie leur gaine de myéline. Le nombre des
fibres
est réduit. En les comparant avec celles de dro
du corps restiforme droit est tout à fait normale (PI. I, B). Les
fibres
arciformes du ruban de Reil ne présentent pas de
de gauche à droite paraît toutefois un peu plus petit que celui des
fibres
à marche inverse. En tout cas on peut affirmer
nverse. En tout cas on peut affirmer qu'il y a une réduction de ces
fibres
des deux côtés. La couche interolivaire est plu
Le ruban de Reil gauche est d'un tiers plus petit que le droit et ses
fibres
sont plus minces. L'amincissement siège dans la
e droite n'en a que la moitié. Il faut remar- quer en outre que les
fibres
du corps restiforme gauche sont extrêmement min
rps restiforme est réduit presque exclu- sivement au contingent des
fibres
venant de l'olive droite intacte (la plus grand
fibres venant de l'olive droite intacte (la plus grande partie des
fibres
du faisceau cérébelleux direct étant détruites de
qu'à droite le corps restiforme est presque uni- quement composé de
fibres
qui proviennent du faisceau cérébelleux direct de
réunissent au noyau du cordon latéral, tandis que le contingent des
fibres
olivaires a disparu à la suite de l'atrophie de l
live gauche ont subi une diminution considérable du nombre de leurs
fibres
et sont dégénérés. C'est le cas en particulier
alotte de Bechterew qui prend naissance dans cette région, pour les
fibres
circum-oli- 1'aires et pour les fibres arciform
dans cette région, pour les fibres circum-oli- 1'aires et pour les
fibres
arciformes externes qui sont très amincies par la
grand nombre, surtout dans les parties dorsales. Les faisceaux des
fibres
transversales au pédoncule cérébelleux moyen sont
a calotte. On constate partout une diminu- tion considérable de ses
fibres
. ' Les faisceaux des fibres transversales de la
une diminu- tion considérable de ses fibres. ' Les faisceaux des
fibres
transversales de la protubérance venant des pédon
t dans la calotte sont mieux développés à à gauche qu'à droite. Les
fibres
transversales du pont sont du reste générale- m
ée dans l'étage de la calotte présente uue'réductiou notable de ses
fibres
, dans ses parties latérales (PI. III, E et F).
es extravasations sanguines, en partie organisées, et des restes de
fibres
nerveuses atrophiées et désagrégées. Il n'y a p
ée de la calotte du pédoncule céré- bral droit sont plus pauvres en
fibres
nerveuses que les mêmes régions à ga'uche. Les
nsidérablement réduites il droite et renferment environ un tiers de
fibres
de moins que celles de l'autre côté. Dans le no
côté. Dans le noyau ventral du thalamus à droite, les fascicules de
fibres
ont passablement disparu ; d'où il résulte que
logues dans les radiations de la ca- lotte et dans les faisceaux de
fibres
du noyau ventral, de même que dans la couche gr
P. LADAME t'1' C. nio·. ,ow ` thalamus une réduction très nette des
fibres
, localisée seulement dans ' par- ties les plus
es plus antérieures on constate aussi la (1è ? ération du champ des
fibres
qui se trouvent entre le corps genouillé externe
des extravasations sanguines et dans le voisinage des vaisseaux les
fibres
nerveuses sont atrophiées; on y remarque des la
lenticulo-optique de la capsule interne à droite. On y remarque des
fibres
nerveuses brisées et dispersées, mais non dégénér
res sont gonflés de sang. On constate une atrophie des faisceaux de
fibres
et des lacunes dans la substance blanche au voi
inement causée par la compres- sion et non par une interruption des
fibres
radiculaires sortant des noyaux, car ces fibres
ne interruption des fibres radiculaires sortant des noyaux, car ces
fibres
ont été trouvées absolument normales sur les coup
he ayant entraîné à sa suite des modifications secondaires dans les
fibres
arciformes correspondantes de droite et dans le c
estiforme du côté opposé est totalement interrompue. L'atrophie des
fibres
arciformes et du corps restiforme à droite avait
ait fait subir à la formation réticulée, et aux inter- ruptions des
fibres
qui s'y trouvaient. Il est en tout cas fort dif
e de la ca- lotte est nettement développée, tandis que le champ des
fibres
situé en arrière de cette voie présente un cert
rément qu'il existe dans cette région une diminu- tion sensible des
fibres
nerveuses. Nous avons constaté dans notre cas u
ions appréciables, mais on y constatait une diminution certaine des
fibres
nerveuses. Il en était de même dans la ré- gion
ovenant de l'atrophie du noyau rouge, et non pas à une atrophie des
fibres
nerveuses elles-mêmes. Le noyau rouge était tout
Dans le faisceau 1 s'est développé un fibrome qui a dissocié les
fibres
nerveuses; le néoplasme est encapsulé par la ga
ois- faisceaux 1, 2, 3, sont intéressés par la coupe. On suit les
fibres
nerveuses de la partie saine du faisceau 1 dans
r la néoplasie 11. Coupe E Coupe du muscle demi-membraneux : 1,
fibre
musculaire normale; 2, fibre musculaire atrophi
Coupe du muscle demi-membraneux : 1, fibre musculaire normale; 2,
fibre
musculaire atrophiée et de forme irrégulière;
Au sein de ce tissu dans la presque totalité des coupes on trouve des
fibres
nerveuses à myéline. Leur disposition doit être
ersales et longitudinales. Sur une coupe transversale on trouve des
fibres
nerveuses avec leur gaine de myéline. Ces fibre
sale on trouve des fibres nerveuses avec leur gaine de myéline. Ces
fibres
ont leurs caractères histologiques normaux. Elles
ur d'autres coupes le faisceau dissocié est représenté par quelques
fibres
allongées en plein DU lI 3 34 PIERRE marie ET
longitudinalement coupé. La diversité de ces figures prouve que les
fibres
nerveuses ont dans leur traversée du fibrome un t
l'hypoderme. Le tissu de la tumeur est constitué par un feutrage de
fibres
conjonctives très irrégulièrement agencées. Ce
Enfin par places et d'une façon inconstante on trouve un pinceau de
fibres
musculaires lisses, quelques culs-de-sac sébacés
sés dans la tumeur. Nulle part nous n'avons constaté la présence de
fibres
ner- veuses. Les tumeurs de la couche profond
l'élément- noble, le cul-de-sac sébacé, le tube sudoripare comme la
fibre
nerveuse gardent au milieu de la néoplasie qui
rales. Enfin sur la plupart des coupes de ces nodules on trouve des
fibres
nerveu- ses à myéline. Ces fibres sont séparées
upes de ces nodules on trouve des fibres nerveu- ses à myéline. Ces
fibres
sont séparées les unes des autres par le tissu co
s exactement que la surface de coupe du nodule est plus grande. Les
fibres
nerveuses sont rarement au centre même des nodu
de l'estomac. (Planche V.) Ce sont des fibromes constitués par des
fibres
et des cellules conjonctives for- mant un nodul
nombreux vaisseaux gorgés de sang. Un ne trouve dans leur tissu ni
fibres
à myéline ni éléments particuliers. Les nodules
IRE atrophie très marquée diffuse et irrégulièrement distribuée des
fibres
muscu- laires. Dans un même faisceau musculaire
muscu- laires. Dans un même faisceau musculaire on peut trouver une
fibre
normale a côté de fibres très dégénérées réduit
ême faisceau musculaire on peut trouver une fibre normale a côté de
fibres
très dégénérées réduites à une petite masse infor
très dégénérées réduites à une petite masse informe atrophiée. Les
fibres
atrophiées ont le plus souvent conservé leur stri
ine de sarcolemme n'a pas plus de noyaux qne d'ordinaire. Entre ces
fibres
atrophiées l'espace laissé libre est comblé par
à l'examen microscopique les muscles sont profondément altérés. Les
fibres
musculaires sont frappées d'atrophie. Cette atr
res sont frappées d'atrophie. Cette atrophie frappe inégalement les
fibres
d'un même faisceau, res- pectant certaines fibr
e inégalement les fibres d'un même faisceau, res- pectant certaines
fibres
alors que les voisines sont très touchées ; toute
aines fibres alors que les voisines sont très touchées ; toutes ces
fibres
sont noyées dans une masse interstitielle vagueme
vons été moins heureux. Nous n'avons pas trouvé dans nos tumeurs de
fibres
ner- veuses, ce qui s'explique aisément par la
-fasciculaire, au milieu de laquelle court le faisceau dissocié des
fibres
nerveuses intactes. Quelques coupes de ces nodu
leuse est là, comme la signature du neurofibrome. S'il n'y a pas de
fibres
nerveuses sur ces coupes, ce n'est pas en effet q
même qui respecte l'élément noble dans lequel il se développe, ici
fibre
nerveuse, là tube sudoripare ,ou cul-de-sac séb
ue l'hystérie n'est pas seule capable de produire cette parésie des
fibres
mus- culaires de l'intestin, mais encore les in
ulté d'interpréter physiologiquement le phénomène. La paralysie des
fibres
musculaires lisses de l'intestin n'est pas une
que qui a fait réformer ce diagnos- tic, en démontrant l'absence de
fibres
nerveuses dans ces boyaux, comme dans toutes le
Les racines postérieures cervicales sont formées par un mélange de
fibres
saines et de fibres atrophiées. Les racines p
eures cervicales sont formées par un mélange de fibres saines et de
fibres
atrophiées. Les racines postérieures lombaires
sâtre et forment un chevelu d'une gracilité extrême : pas une seule
fibre
n'a été trouvée saine à l'examen miscroscopique.
rfs périphériques ont été encore examinés : un très grand nombre de
fibres
y sont altérées. Après macération dans l'eau, l
neiger qui semble intact : l'un occupe le noyau rouge et coupe les
fibres
de l'oculo- moteur, l'autre occupe le quart int
r- min et.par la méthode de Pal, montre que la presque totalité des
fibres
de l'oculo-moteur droit, (PI : XVII, B) sont dé
vie. Dans le pédoncule droit, le foyer coupe à peu près toutes les
fibres
du moteur commun, et quelques fibres seulement
er coupe à peu près toutes les fibres du moteur commun, et quelques
fibres
seulement du faisceau-pyramidal. Or, la paralys
glions lymphatiques en pleine joue (Pr Fournier, Poncet), entre les
fibres
du muscle pectoral (Audry), à la racine de la v
leurs parois sont beaucoup plus minces, elles contiennent moins de
fibres
mus- culaires, déjà naturellementplus fragiles,
gert-Pal, à peine aperçoit-on même à un fort grossissement quelques
fibres
à myéline dans les substances blanches des lames
dère qu'à l'état normal la couche médullaire est constituée par des
fibres
à myéline comprises dans un réseau névroglique à
dans le cas actuel, cette couche, dé- pouillée de la plupart de ses
fibres
nerveuses est réduite à son réticulum né- 336 J
s lesquels on ne distingue ni cellule ni feutrage névroglique ; les
fibres
névrogliques y sont môme rares ; on n'y trouve
res névrogliques y sont môme rares ; on n'y trouve pas davantage de
fibres
à myéline ou des cylindres-axes. Les vaisseaux ne
rbeille autour des cellules de Purkinje ; 3° les divisions en T des
fibres
des grains. Il n'existe plus de prolongements p
ré au noyau dentelé d'un cervelet normal, il paraît petit, mais les
fibres
de sa toison et celles du bile sont si intensivem
rossissement il ne donne pas l'impres- sion d'un organe malade, les
fibres
médullaires et les cellules paraissent en aussi
peuvent être vus que sur un nom- bre de coupes très restreint, les
fibres
médullaires qui l'entourent sont plus rares que
rement dans la pyramide et dans le culmen, on découvre un nombre de
fibres
bien colorées : il en est de même pour les amyg
u lloculus : elles appartiennent pour une bonne part au système des
fibres
de projection : un certain nombre appartient ég
projection : un certain nombre appartient également au système des
fibres
d'association ou fibres en guirlande de Stillin
nombre appartient également au système des fibres d'association ou
fibres
en guirlande de Stilling.Pour tout le reste de l'
es en guirlande de Stilling.Pour tout le reste de l'écorce. les rares
fibres
con- servées appartiennent pour la plupart au s
es fibres con- servées appartiennent pour la plupart au système des
fibres
d'association ; il en est très peu qui pénètren
édoncule cérébelleux supérieur, sont très intensivement colorées. Les
fibres
qui entourent les noyaux du toit, le bouchon et
coup moins nombreuses : on n'y distingue pas les beaux faisceaux de
fibres
qui, normalement, prennent leur origine au mili
leur origine au milieu de ces organes et contri- buent à former les
fibres
semi-circulaires internes. 3° Substance blanche
existe dans la substance blanche centrale du vermis un confluent de
fibres
à myéline, assez riche, surtout dans son tiers
partiellement dé- générés. A ce confluent aboutissent en avant des
fibres
qui peuvent être suivies soit sur le bord inter
l'amygdale. Ce confluent, qui est principalement constitué par les
fibres
du vermis, se continue en partie avec un beau f
des hémisphères ; c'est le corps restiforme (Pl. XLVIII, D, E). Ses
fibres
sont très faciles à suivre à cause de la dispar
Ses fibres sont très faciles à suivre à cause de la disparition des
fibres
de la masse blanche des hémisphères ; on peut ain
blanche centrale des hémisphères (PI. XLVII et XLVIII). - Sauf les
fibres
du corps restiforme, tout le reste a disparu, on
restiforme, tout le reste a disparu, on distingue à peine quelques
fibres
isolées. Les fibres semi-circulaires internes n
este a disparu, on distingue à peine quelques fibres isolées. Les
fibres
semi-circulaires internes ne peuvent être disting
e très forte proportion, comme il l'a été établi précédemment ; les
fibres
semi-circulaires externe sont égatementdisparu,
sont égatementdisparu, ou du moins, elles ne tranchent plus sur les
fibres
de la toison du corps dentelé, un certain nombr
ès intensivement colorés, ils sont contournés par un mince ruban de
fibres
il trajet horizontal ou oblique qui appartienne
ns postérieurs (noyau de Goll et de Burdach, noyau de Monakow), les
fibres
arciformes internes et le ruban de Reil,sont no
petites, ra- tatinées, atrophiées. Le segment supéro-externe des
fibres
arciformes internes (fibres cérébello- olivaire
rophiées. Le segment supéro-externe des fibres arciformes internes (
fibres
cérébello- olivaires rétrotrigéminales et inter
livaires rétrotrigéminales et intertrigéminales de Mingazzini) et les
fibres
arciformes externes (fibres cérébello-olivaires
intertrigéminales de Mingazzini) et les fibres arciformes externes (
fibres
cérébello-olivaires zonales de Mingazzini) ont co
xamine des coupes passant par des plans plus élevés de l'olive, les
fibres
à myéline réapparaissent peu à peu, surtout en
line réapparaissent peu à peu, surtout en arrière et en dehors, ces
fibres
qui appartiennent au faisceau central de la cal
dessous de la pénétration du corps restiforme dans le cervelet, les
fibres
saines représentent le contingent mé- 340 J. DE
340 J. DEJERINE ET A. thomas dullaire du corps restiforme, plus les
fibres
du noyau de Monakow et peut- être quelques fibr
tiforme, plus les fibres du noyau de Monakow et peut- être quelques
fibres
du noyau du cordon latéral du bulbe : elles occup
al du bulbe : elles occupent le cen- tre du corps restiforme. Les
fibres
qui apparaissent dans le bulbe au niveau du noyau
es vaisseaux ne présentent pas d'altérations manifestes. Toutes les
fibres
transverses de l'étage antérieur de la protubéran
ncule cérébelleux moyen est totale- ment dégénéré, de sorte que les
fibres
de la voie pédonculaire ne sont plus fas- cicul
lleux moyen permet de suivre avec une grande facilité le trajet des
fibres
du corps trapézoïde dont les plans antérieurs s
ment bordent le plancher du 4e ventricule n'existent pas ici. Les
fibres
des racines vestibulaires, quoique un peu plus gr
re et le cervelet) ont des dimensions assez exiguës. La plupart des
fibres
des faisceaux cérébello-vestihulaires se conti-
bres des faisceaux cérébello-vestihulaires se conti- nuent avec les
fibres
de la racine vestibulaire. Les noyaux de la 7e,
offre un aspect nettement fasciculé, à cause de la disparition des
fibres
inter-trigéminales et rétro-trigéminales du cor
physiologie expéri- mentale et les observations antérieures. Les
fibres
du corps restiforme qui sont conservées, - c'est-
t conservées, - c'est-à-dire le fais- ceaux cérébelleux direct, les
fibres
des noyaux des cordons postérieurs et du noyau
bres des noyaux des cordons postérieurs et du noyau de Monakow, les
fibres
du noyau du cordon latéral entrent toutes en ra
naire supérieur (cette région hémisphérique contient en effet plus de
fibres
à myéline que les autres lobes). Elles occupent
tion dans le cervelet, la partie centrale du corps restiforme ; les
fibres
dégénérées qui sont pour la plu- part des fibre
s restiforme ; les fibres dégénérées qui sont pour la plu- part des
fibres
olivaires en occupent au contraire la partie péri
ais il est impossible de savoir dans quelles pro- portions, car les
fibres
qui ont disparu dans la masse blanche du cervelet
pédoncules cérébelleux, un grand nombre doit être compté parmi les
fibres
de projection de l'écorce sur les noyaux gris c
A son entrée dans le cervelet, le corps restiforme fournit quelques
fibres
au flocculus. La rareté des fibres senticircu
ps restiforme fournit quelques fibres au flocculus. La rareté des
fibres
senticirculaires internes et externes explique l'
plique l'atrophie marquée du segment interne du corps restiforme ou
fibres
cérébello-vestibu- 'aires, c'est vraisemblablem
ut attribuer la dégénères- 342 J. DEJERINE ET A. THOMAS cence des
fibres
rétro-olivaires etdu petit faisceau dégénéré dans
ntiel ces libres ne sont pas groupées en faisceau. L'atrophie des
fibres
semi-circulaires internes et de l'entrecroisement
e dégénérescence relativement moins accentué, et de* l'existence de
fibres
qui les relient au vermis, le flocculus et l'amyg
rmis, avec dégénération et disparition de la plus grande partie des
fibres
afférentes et efférentes, des fibres de projectio
n de la plus grande partie des fibres afférentes et efférentes, des
fibres
de projection, avec atrophie des principaux noy
es de projection, avec atrophie des principaux noyaux d'origine des
fibres
afférentes : olives bulbaires et noyaux pontiqu
ux juxla-olivaires, des noyaux (l1'ci(of1nes, la dégénérescence des
fibres
ac2Tornaes externes et du corps resti fornze. L
tiforme, l'atrophie des cellules de Purkinje, la dégénérescence des
fibres
de projection du cervelet, toutes réunies, l'atro
couches de l'écorce s'atrophient et disparais- sent, par suite les
fibres
médullaires dégénèrent ; l'organe est réduit dans
n histologique du cervelet n'ait pas été fait. D'autres systèmes de
fibres
afférentes du cer- velet sont nettement dégénér
p plus de libres fines que normalement, avec diminution des grosses
fibres
; il en est de même pour les nerfs périphériques.
stème nerveux frappent par leur petitesse. Dans le pont ce sont les
fibres
transversales du pédoncule cérébelleux moyen qu
e cérébelleux moyen qui semblent réduites de nombre; par contre les
fibres
pyramidales ne parais- sent pas sensiblement di
s olives ne présentent aucune anomalie dans leurs cellules ou leurs
fibres
. Le cervelet ne pèse que 80 grammes ; comparées
se que 80 grammes ; comparées il celles d'un cervelet nor- mal, les
fibres
de la substance blanche et de ses ramifications d
ations des cellules ni de dégénérescence des cordons. Le nombre des
fibres
fines dans les racines n'est. pas augmenté si c
rfs des ex- trémités inférieures l'auteur a constaté la présence de
fibres
dégénérées. Sur les coupes colorées au carmin o
cer d'une façon définitive sur le rôle que jouent les lé- sions des
fibres
cérébelleuses dans la patliogénie de certains sym
ntensité que dans les lésions irrégulièrement dis- tribuées sur les
fibres
cérébelleuses, soit à l'intérieur soit à l'extéri
e de petits foyers de ramollissement disposés sur le par- cours des
fibres
cérébelleuses dans leur trajet intra-protubéranti
réel ; peut-être a-t-il sa raison d'être dans la dispa- rition des
fibres
qui constituent le faisceau cérébelleux descendan
û sans doute à l'interruption ou à une altération fonctionnelle des
fibres
qui relient normalement le cervelet au noyau de
effet, si elles prennent naissance en un point où précisément les .
fibres
pyramidales sont resserrées en un petit espace et
ontre les vaisseaux. Les artères cen- trales sont moins pourvues de
fibres
musculaires, elles sont plus friables ; d'autre
de la capsule), de paralysie du moteur oculaire commun (lésion des
fibres
radiculaires de III), d'aphasie (lésion atteign
le interne et le faisceau interne du pied du pédoncule, puisque les
fibres
qui les constituent dégé- nèrent quand la 3e ci
rise, la capsule interne, en ne s'éloignant que peu du point où les
fibres
des bandelettes optiques sortent en faisceau de
faisceau de la substance blanche, traversent^ ventricule latéral, les
fibres
commissurales et rentrent dans la substance cér
t principalement du noyau caudé, ainsi que la partie supérieure des
fibres
de l'épanouissement pédonculaire. Le ventricule
servis de la méthode de Busch, préalablement pour la définition des
fibres
myéliniques en désagrégation. La méthode de Bus
u ressemblant. (ln n'observe pas de dégénérescence très marquée des
fibres
myéliniques de la su tance blanche. Dans la sub
t des foyers de ramollissement avec désagrégation très prononcée de
fibres
myéliniques et avec formation d'une masse de gl
ept morceaux différents. Dans quatre morceaux la dégénérescence des
fibres
était très marquée, surtout des fibres de proje
rceaux la dégénérescence des fibres était très marquée, surtout des
fibres
de projection (PI. LXX, A). La désagrégation es
à un nombre moins grand que dans les quatre premiers morceaux, des
fibres
dégé- nérées. Ce qui saute aux yeux ici princip
ans un tas autour du foyer de ramollissement.Dans quelques-unes des
fibres
les blocs de myéline se sont colorés en gris-fo
s d'entre eux on observe une dégénéres- cence très accusée dans les
fibres
nerveuses de myéline ; la dégénérescence prédom
voies de projection ; assez souvent on voit la dé- générescence des
fibres
d'association; il y a peu de globules granuleux s
r places, disposés par le trajet les vaisseaux. La myéline dans les
fibres
altérées subit une désagrégation en forme de bloc
dans la substance blanche une dégénérescence assez marquée dans les
fibres
à myéline ; sur les préparations de l'un des mo
- A l'examen sous le microscope on rencontre comparativement peu de
fibres
dégénérées, contenant de gros blocs et des fila
sous-corticale nous observons une dégénérescence très mar- quée de
fibres
myéliniques (avec désagrégation de la myéline) et
ux. Dans la région motrice droite il y avait comparativement peu de
fibres
avec dégénérescence et désagrégation de la myélin
s de ramol- lissement; il est évident, qu'ici la dégénérescence des
fibres
myéliniques est d'une autre origine, c'est-à-di
'une autre origine, c'est-à-dire qu'elle dépend de l'interruption des
fibres
elles-mêmes. Sans nous arrêter sur les donnée
que dans la substance grise, peuvent être contenus ou dans certaines
fibres
myéliniques, présentant par eux la substance my
n- contre parfois de petits foyers de ramollissement et beaucoup de
fibres
dégé- nérées. Le faisceau pyramidal dégénéré pe
rencontre de petits foyers de ramollissement avec désagrégation de
fibres
myé- liniques et avec une masse de globules gra
masse de globules granuleux. IV. Pédoncules cérébraux plus haut des
fibres
radiculaires des oculomo- leurs communs. - La d
res radiculaires des oculomo- leurs communs. - La désagrégation des
fibres
à myéline avec formation d'une masse de globule
OUKHANOFF ET GEIER ramollissement. On ne voit qu'un petit nombre de
fibres
dégénérées dans le pied du pédoncule du côté dr
une dégénérescence disséminée par places, plus accentuées .dans les
fibres
nerveuses. Les cellules nerveuses sont remplies d
a pyramide gauche. En examinant sous le microscope, nous voyons des
fibres
dégénérées disséminées dans la pyramide opposée
u tronc cérébral nous donne la possibilité de nous assurer, que les
fibres
dégé- nérées allant de la région motrice de l'h
escence très prononcée de la pyramide gauche, on observe encore des
fibres
dégénérées disséminées dans différents systèmes
bral, les cel- lules nerveuses sont remplies de globules noirs. Les
fibres
radiculaires des nerfs crâniens contiennent aus
entre la corne postérieure et la corne latérale. Parmi une masse de
fibres
dégénérées on ren- contre des groupes de fibres
Parmi une masse de fibres dégénérées on ren- contre des groupes de
fibres
qui ne contiennent point de blocs noirs. Dans le
dans du vaisseau et con- tenant de pétites gouttes noires. Dans les
fibres
radiculairees on ne rencontre qu'une dégénéresc
e raréfiant un peu, atteint jusqu'à la périphérie de la moelle. Les
fibres
dégénérées sont devenues bien moins nombreuses
téral droit devient visiblement disséminée. La dé- générescence des
fibres
nerveuses sur la périphérie de la moelle épinière
ines, coupées transversalement et entourant la moelle épinière, les
fibres
dégénérées sont comparativement peu nombreuses.
ique nous nous sommes assurés dans celà que la dégéné- rescence des
fibres
nerveuses est accentuée le plus dans les cordons
e assez marquée dans le cordon pyramidal latéral du côté droit. Les
fibres
dégénérées, parsemées çà et là, restent aussi d
V. Au niveau de la queue du cheval on voit un nombre assez grand de
fibres
dégénérées ; il y a des faisceaux qui en contienn
épinière,- Nous nous assurons ici aussi dans la dégénérescence des
fibres
nerveuses et dans l'existence des cellules, con
t, dont nous avons parlé plus haut, apparaît comme continuation des
fibres
dont nous avons déjà vu la dégé- nérescence à l
ral dans la partie lombaire inférieure est déjà très marquée et les
fibres
dégénérées disséminées peuvent être suivies jus
corne postérieure presque sur toute son étendue. La quan- tité des
fibres
dégénérées sur la périphérie de la moelle épinièr
, que dans les régions supé- rieures, ce qui dépend de cela que les
fibres
radiculaires sont plus altérées dans la région
. On peut noter ici une désagrégation disséminée assez mar- quée de
fibres
myéliniques : par places elle est plus marquée et
e du côté gauche, on observait une dégénérescence très prononcée de
fibres
myéliniques, et ici la dégénérescence dans l'en
aractère dis- séminé. II. Au niveau des pédoncules cérébraux. Des
fibres
dégénérées disséminées s'accumulent en grande q
ité dans la région médiane du pied du pédoncule des deux côtés. Les
fibres
dégénérées isolées sont observées par places en a
yramidal latéral ; mais cette dégénérescence n'est pas compacte : les
fibres
dégénérées sont seulement parsemées en plus gra
dégénérées sont seulement parsemées en plus grand nombre entre les
fibres
saines : ensuite, on voit une dégénérescence as
antérieure est bien plus accusée. Une accumulation très marquée des
fibres
dégénérées dans la région ma- trice du pied du
le dépend de la modification des cellules corticales d'origine. Les
fibres
dégénérées isolées dans les faisceaux de Turck
que là, ici aussi la dégénérescence de la partie intramédullaire des
fibres
ANATOMIE PATHOLOGIQUE ET HISTOPATHOLOGIE DE LA
iphérie de la moelle épi- nière une dégénérescence très marquée des
fibres
myéliniques et une lésion plus accentuée des fi
rès marquée des fibres myéliniques et une lésion plus accentuée des
fibres
radiculaires et des cordons postérieurs dans le
'état des méninges spinales. Passant par les méninges altérées, les
fibres
radiculaires peuvent s'ex- poser à une certaine
lions spinaux. C'est pour cela que la partie intra-médul- laire des
fibres
postérieures s'expose plus vite à la dégénérescen
ière : « Sur l'intensité de la dégénérescence et sur la quantité de
fibres
dégénérées, dit-il, influent deux moments : pre
2) N. A. Vyrouboff, Des dégénérescences des cellules nerveuses et des
fibres
dans la moelle épinière dans la paralysie génér
vec cette insuffisance, il y a un mécanisme de compensation par les
fibres
restées intactes, suivant la loi ' des compensa
secondaire, plus tardive des mêmes cellules qui apparaît lorsque la
fibre
nerveuse est altérée. En dehors de ces réacti
ment aux éléments nerveux ; enfin les altérations des cellules et des
fibres
nerveuses dépendent aussi des troubles circulat
ux qui siègent dans les mailles dilatées de la névroglie; enfin des
fibres
à myéline hypertrophiées; mais la myéline est c
primaire, c'est-à-dire qu'elle ne dépend pas de la destruction des
fibres
nerveuses. La méningite aiguë, au cours de la m
résente des lésions de nature régressive. Parfois, la cellule et la
fibre
nerveuse avant d'arriver à la désorganisation et
les voit cheminer entre les espaces lymphatiques qui entourent les
fibres
nerveu- ses (fig. 21) ; ils constituent une esp
ig. 21) ; ils constituent une espèce de couronne autour de quelques
fibres
, et même pouvant aller plus loin dans la substanc
représentation corticale mal- heureusement encore hypothétique des
fibres
constitutives de ces différents nerfs. Les re
l en résultera un trouble de la moti- lité, mais avec intégrité des
fibres
musculaires; celles-ci dégénèrent au contraire,
art, a décrit une forme de ptosis qu'il attribue à la paralysie des
fibres
musculaires lisses de Mùller qui se rendent dan
du pédoncule cérébral correspondant existe une coloration grise des
fibres
, qui ont été évidemment prises de dégé- nératio
e et externe) : l'altération semble toutefois empiéter sur quelques
fibres
du faisceau interne; elle affecte une forme régu-
ne se distingue que difficilement de la coloration acquise par les
fibres
dégénérées. Laissant indemnes les fibres transv
coloration acquise par les fibres dégénérées. Laissant indemnes les
fibres
transversales de la protubérance, la même altér
toute son étendue jusqu'au niveau de son entre-croisement avec les
fibres
du côté opposé. b). Hémisphère gauche. Le lobe
yer. Malheureusement, on ignore à peu près complètement le rôle des
fibres
qui ont leur origine ou leur terminaison dans l
cerveau (couche optique, corps strié); ainsi en est-il surtout des
fibres
commissurales : corps calleux, commissures blan
t de la capsule interne, car il faut en induire que c'est par les
fibres
pédonculaires indirectes que la lésion descendant
lésion descendante s'est produite, c'est-à-dire par cette série de
fibres
qui, parties de l'étage inférieur (ou pied) du
aussi une dégénérescence et une destruction granulo-graisseuse des
fibres
du coeur, qui, dans certains cas, détermine une
rolonge dans le tissu conjonctif ambiant, d'où la compres- sion des
fibres
nerveuses longitudinales et leur dégénéres- cen
tération vasculaire. Enfin, dernière particularité, raréfaction des
fibres
nerveuses dans les colonnes de Clarke. P. K.
nerfs périphériques. Intégrité -des noyaux bulbaires, y compris les
fibres
intra-bulbaires du facial, mais tuméfaction des
tinuité avec les tubercules mamillaires : ce sont des trousseaux de
fibres
séparés les uns des autres qui n'ont aucun rapp
son accroissement, de là une atrophie parallèle des trous- seaux de
fibres
correspondantes de son faisceau de la calotte.
omalies uniques constituées gi-osso )a0(GO par d'épais faisceaux de
fibres
affectant d'abord une direction transversale, p
il n'y a des deux côtés que peu ou point de sections transverses de
fibres
nerveuses, mais la substance blanche paraît con
aire claire, sorte d'éventail constitué par de larges faisceaux de
fibres
nerveuses transversales qui, en ellet, disposée
le paysage ordi- naire d'une coupe transverse est remplacé par des
fibres
ner- veuses très fines pressés les unes contre
nes contre les autres. En réalité, on a affaire à des trousseaux de
fibres
nerveuses déplacées par un vais- seau rétracté,
nt ne peut s'être produit que pendant la période embryonnaire ; les
fibres
nerveuses déplacées paraissent tendre à la déch
e. Peut-être la syringo-myélie émane-t-elle de ce déplacement des
fibres
nerveuses par la rétraction des vaisseaux ; on co
ssus puisse entraîner la formation de cavités. La des- truction des
fibres
déplacées apporte un argument pathorénétique su
En tout cas, il importe de remarquer que les masses com- pactes de
fibres
transverses occupent le même point de la coupe
on des masses grises, la variété dans la direction et l'origine des
fibres
de la couronne rayonnante qui irradient dans ce
'écorce considérées comme champs de projection de divers groupes de
fibres
nerveuses possèdent égale- ment une fonction di
chevreuil et de l'homme, le trajet des irradiations du système des
fibres
de la cou- ronne rayonnante par les capsules ex
capsule interne, sont nombreuses et indubita- bles. Leur système de
fibres
se rassemble pour constituer les lames médullai
upe transverse, dans les articles moyen et interne; l'abondance des
fibres
dans l'article interne en produit l'aspect blanch
ne étude plus exacte du trajet de la capsule interne, du système de
fibres
de l'article externe du noyau lenticulaire, du
drait graduellement, progressivement de haut en bas, un nombre de
fibres
égal à celui de ses irradiations dans l'article e
xterne du noyau lenticulaire reçoit des irradiations du système des
fibres
de la couronne rayonnante permet de saisir aisé
e la couronne rayonnante permet de saisir aisément que la masse des
fibres
qui en sortent passe dans l'anse du noyau lenti
, due presque toujours aune lésion de la portion retro-oculaire des
fibres
optiques et, par consé- quent, d'une grande imp
L'HÉMIANOPSIE CORTICALE. 179 i. Le fait d'une demi-décussation des
fibres
nerveuses dans le chiasma chez l'homme a été pr
novpr et de Graefe), les nerfs optiques sont ainsi dis- posés : les
fibres
de chaque bandelette, arrivées au chiasma, se d
rétine : c'est le faisceau latéral. Chaque rétine reçoit dans des
fibres
nerveuses des deux nerfs optiques, ou, en d'autre
optiques, ou, en d'autres termes, chaque nerf optique contient des
fibres
destinées aux deux rétines. Le faisceau inter
errétinien d'Hanover est purement imagi- naire ; il n'existe pas de
fibres
de cet ordre. Quant à son fais- ceau postérieur
maintenant, depuis les expériences de Gudden, qu'il est composé de
fibres
ne servant pas à la vision; c'est la commissure
e d'une bandelette de façon à ne comprimer que quelques-unes de ses
fibres
pro- duira l'hémianopsie nasale unilatérale.
areil optique et où l'hémianopsie résultait de la compres- sion des
fibres
du nerf et du chiasma optiques. 3. Les cas, au
a de l'hémiopie gauche, comme vous le dites. Il a de l'opacité des
fibres
du nerf optique dans la moitié nasale de la pup
une lésion de la substance blanche du lobe occipital, au niveau des
fibres
les plus postérieures de la capsule interne, pe
théories purement hypothétiques nu cliniques touchant le trajet des
fibres
optiques, la plus connue est celle du professeu
celle du professeur Charcot. Son schéma bien connu des trajets des
fibres
optiques de la rétine aux centres visuels repré
e sorte que finale- ment chaque capsule interne contient toutes les
fibres
desti- nées à l'oeil opposé. Ce schéma fut fait
rchives, t. Xi. 14 210 PATHOLOGIE NERVEUSE. quelque part dans les
fibres
du corps calleux, de sorte qu'a- près que les f
part dans les fibres du corps calleux, de sorte qu'a- près que les
fibres
pour une rétine entière, selon le schéma de Cha
harcot, ont accompli un certain trajet dans la capsule interne, les
fibres
du faisceau latéral croisent encore la ligne mé
nt encore la ligne médiane de façon que le centre visuel reçoit des
fibres
des deux rétines. Cet effort pour concilier l'o
onakow'l tire les conclusions suivantes, relativement au trajet des
fibres
optiques centrales chez l'homme : « Les fibre
ment au trajet des fibres optiques centrales chez l'homme : « Les
fibres
optiques réunies forment dans la substance blan
occipitale du cerveau un faisceau homo- gène qui passe le long des
fibres
du corps calleux ou du tape-. tum et se termine
et de la circonvolution descendante. » ZD Le schéma du trajet des
fibres
optiques que je vous présente est, je crois bie
du centre visuel, avec ce que nous connais- sons de l'anatomie des
fibres
optiques par la dissection et les dégénérations
1 TVcslplucl's trcle. ? Psychiatrie, XVI, 352. Fig. 6 - Schéma des
fibres
optiques, servant à expliquer plus spécialement l
nne n'entrent pas en contracture parla pres- sion exercée sur leurs
fibres
. Les attitudes cataleptiques données aux membre
égard de la structure des éléments nerveux. Dans ces conditions, la
fibre
nerveuse se pré- sente sous la forme de tuyaux
isposée en réseau, se prolonge manifestement dans les fibrilles des
fibres
nerveuses ; l'autre, homogène, se prolonge prob
e nerveuse à celle du protoplasma ordinaire; ce protoplasma dans la
fibre
nerveuse se segmente en fils, et les fibrilles
dans la fibre nerveuse se segmente en fils, et les fibrilles de la
fibre
se comportent, par rapport au corps de la cellu
ma différenciés etisolés.ConchMtOHS/M/pot/tdMes.Lesubrilles de la
fibre
nerveuse sont des fils conducteurs isolés, qui, s
tion d'une certaine force peut rompre l'isolement des fibrilles, la
fibre
nerveuse con- duisant dans son ensemble l'excit
on intime qui supprime la conductibilité isolée des fibrilles de la
fibre
. P.K. III. Contributions expérimentales A la co
eumo-gastrique du même côté : ablation d'une partie de la masse des
fibres
de la moitié droite du vermis; 3° lapin 6, tué
qui va d'une moitié du cervelet à l'olive opposée, d'un trousseau de
fibres
qui doit être en rapport avec le noyau du cordo
u du faisceau cunéiforme. 11 est en tous cas probable que certaines
fibres
de la formation réticulaire participentàla cons
ent interne de ce pédoncule ; il s'y adjoindrait également quelques
fibres
issues des cellules qui se trouvent à l'intérie
t impossible de confirmer l'opinion de Monakow d'après laquelle des
fibres
du corps resti- forme passeraient dans le segme
orme : on peut également suivre, sous le' microscope, le trajet des
fibres
du pédon- cule cérébelleux inférieur jusqu'à ce
même côté et se rend, après s'être entrecroisé avec une partie des
fibres
du pédoncule cérébelleux moyen du côté opposé,
lles, et non pas directement des pédoncules cérébelleux moyens, les
fibres
qui ne proviennent pas des pyramides. En somme,
ux moyen, ni par celui des pédoncules céré- belleux supérieurs. Les
fibres
de ces derniers cessent, soit pour la plus gran
), soit toutes (von Gudden) dansles noyaux rouges. Plusieurs de ces
fibres
vont-elles plus loin, ou les fibres, entrées en
noyaux rouges. Plusieurs de ces fibres vont-elles plus loin, ou les
fibres
, entrées en connexion avec les cellules du noya
fournit aucun point de repère. Et cela probablement parce que lés
fibres
du pédoncule cérébelleux moyen se terminent provi
posé sans qu'il soit possible d'en déterminer la quotité. Les mêmes
fibres
arciformes du faisceau grêle et leurs prolongemen
atéral. il est très probable que le faisceau cunéiforme possède des
fibres
commissurales longitudinales à de courtes dista
MIE ET DE PHYSIOLOGIE. 237 rejeter cette dernière connexion-là. Les
fibres
du faisceau cunéiforme ne sont pas en connexion
ceau cunéiforme ne sont pas en connexion avec les olives ; quelques
fibres
arciformes cessent- elles dans la formation rét
corticales de la vue chez le chat montre que la zone A' reçoit des
fibres
de projection du pulvinar, des portions antérie
cette zone qui compte dans la sphère visuelle) reçoit de nombreuses
fibres
de projection de la lame grise superficielle du t
DE PHYSIOLOGIE. En ce qui concerne l'origine et la disposition des
fibres
du nerf optique, l'ablation de la partie médian
t : « La physiologie « générale nous enseigne que le tissu nerveux,
fibres
ou cellules, « n'échappe point à la loi biologi
e, les cellules nerveuses ont presque entièrement disparu, mais les
fibres
nerveuses émer- gentes sont intactes. C'est aux
s cordons postérieurs. L'autre ré- sulte d'une lésion primitive des
fibres
nerveuses : elle commence principalement dans l
finitive, mais on peut, dès maintenant, dire que la disparition des
fibres
nerveuses n'est pas spéciale àlapara- lysie gén
'autres examens lui ont démontré comme constante la disparition des
fibres
nerveuses à myéline dans l'écorce des paralysés
M. Zacher (de SLepliansfeld). Sur la disparition par atrophie des
fibres
nerveuses à myéline de l'écorce du cerveau dans l
servation des pièces. Mais elles ne mettent pas en évidence plus de
fibres
que cette dernière qui ne lui a jamais fait faux
pièces de l'embryon. Avant d'examiner et de juger l'atro- phie des
fibres
, il convient de comparer des coupes d'égale épais
s zones corticales en ce qui concerne leur richesse respective en
fibres
nerveuses à myéline. M. Tuczek n'a aucune confian
l'avoue lui-même, elle ne fixe pas uniformément ni complètement les
fibres
dans toutes les couches de l'écorce indistincte
veau normal, il a vu manquer presque abso- lument la coloration des
fibres
fines de la couche des petites cel- lules nerve
par lui, (au nombre de douze), Zachera confirmé la disparition des
fibres
constatée par Tuczek. Les divergences ne sont q
e Tuczek' on voit que ce dernier a vu disparaitre non-seulement les
fibres
pa- rallèles de la couche la plus externe (fibr
non-seulement les fibres pa- rallèles de la couche la plus externe (
fibres
tangentielles de Tuc- zek, zonales de Zacher),
y compris les couches profondes. Si Zacher prétend que ce sont des
fibres
de la couche n" Il qui font le plus défaut=, cela
psychique sénile, Zacher a rencontré la disparition atrophique des
fibres
nerveuses de l'écorce; il l'a trouvée dans quel
penser que, comme l'ergotine, il anéantissait certaines espèces de
fibres
. Les états nécroscopiques de l'idiotie montrent
ment qu'il y a sous roche un arrêt de développement qui atteint des
fibres
nerveuses de l'écorce fron- tale dont la généra
res traces d'anêts de développement. En tout cas, si l'atrophie des
fibres
intracorticales du cerveau du paralytique génér
de fixer avec une exactitude toute particulière, fort complète, les
fibres
de chacune des couches de l'écorce; sans doute,
protubérance, qui, dès la première semaine delà vie, con- tient des
fibres
myéliniques. La plupart des noyaux des nerfs cr
se compose de groupes de cellules qui envoient chacun leurs petites
fibres
au nerf en ques- tion. Au-dessus et au-dessous
re les deux noyaux, un noyau médian qui, de chaque côté, envoie des
fibres
au nerf. Le noyau ou les noyaux des oculomo- te
ou les noyaux des oculomo- teurs communs sont en connexion avec des
fibres
issues de la substance blanche profonde des tub
s tubercules quadrijumeaux du même côté et du côté opposé ( ? )(ces
fibres
affectent une direction latérale et inférieure)
rieure); avec le faisceau longitudinal postérieur,ainsi qu'avec des
fibres
issues de la substance réticulaire du côté opposé
èle colorées en gris autour de l'aque- duc de Sylvius de nombreuses
fibres
fines qui se rattachent aux tubercules quadriju
méthodique des plans découpes, le trajet entier du pathétique; les
fibres
de ce nerf s'entre-croisent, quoi qu'en ait dit
mment Mauthner. Discussion : .' M. Stilling. Il est exact que les
fibres
du pathétique s'entre- SOCIÉTÉS SAVANTES. 315
l'on range dans le groupe des névrites, celles qui in- téressent la
fibre
nerveuse d'une manière prédomi- nante ou exclus
noyaux. Puis les débris de myéline sont éliminés. Le calibre de la
fibre
nerveuse diminue et- bientôt celle-ci se trouve
manière identique et sans discontinuité sur toute la longueur de la
fibre
nerveuse. A côté de cette forme, il en est une
ation ne porte ici que sur une étendue limitée de la longueur de la
fibre
, et immédiatement au-dessous, comme immédiateme
volume et son aspect habituels. Il y a plus, l'examen de certaines
fibres
isolées sur une grande longueur permet de s'ass
s'être produite à la fois sur deux points de la longueur d'une même
fibre
, séparés l'un de l'autre par un intervalle au n
ibre, séparés l'un de l'autre par un intervalle au niveau duquel la
fibre
paraît absolument saine. » Le plus habituelleme
été complètement éliminés, il semble à lui seul constituer toute la
fibre
nerveuse. Cette intégrité du filament axile, ma
on segmentaire des lésions est très évidente sur un grand nombre de
fibres
, le type du processus s'éloigne cependant par q
1° Filets du radial à la face dorsale delà main. Presque toutes les
fibres
présentent des altérations manifestes, variable
est sectionné. Ailleurs, la myéline a disparu en grande partie, la
fibre
est atrophiée et réduite à la gaine de Schwann
ants, et constituent parfois des faisceaux entiers. A côté de ces
fibres
, il en est d'autres qui, à un examen superficie
écédents, la lésion n'intéresse' ici qu'une partie restreinte de la
fibre
nerveuse : paifois elle se cantonne dans une fa
millimètres. Au- dessus comme au-dessous de la portion altérée, la
fibre
reprend ses caractères normaux. Il n'est pas ra
'est pas rare de rencontrer sur une 348 pathologie NERVEUSE. même
fibre
deux et même trois foyers successifs d'altération
éline est intéressé 'dans toute son épaisseur, et le diamètre de la
fibre
nerveuse apparaît agrandi au niveau des points
t axile . Et cependant, aux deux extrémités de la portion lésée, la
fibre
nerveuse reprend sa structure normale ou à peu
de la persistance du cylindre-axe. Aux confins de l'altération, la
fibre
nerveuse reprend sa structure normale. Enfin,
l'altération qui intéresse à un si haut degré le tube nerveux. Ses
fibres
sont légèrement Juméfiées et plus appréciables
degrés successifs du processus destructeur, on observe sur maintes
fibres
des images représentant au con- traire la phase
constate des modifications de même ordre, mais la proportion des
fibres
lésées y semble bien moins importante. Le radial
tubes variqueux sur toute leur longueur, il renferme aussi de rares
fibres
dont certains segments sont désorganisés. La pl
res fibres dont certains segments sont désorganisés. La plupart des
fibres
sont, en effet, indemnes ou ne présentent d'aut
mbre inférieur gauche. Le saphène externe renferme à peine quelques
fibres
réellement intactes; celles-ci deviennent un pe
étendue. D. Nerfs du membre inférieur droit. Un grand nombre des
fibres
du saphène interne sont intactes ou régénérées;
oute leur longueur ou seulement au niveau de certains segments. Les
fibres
alto- DE LA NÉVRITE SEGMENTAIRE. 351 rées dom
ns atteint que les branches et renferme une proportion dominante de
fibres
saines. E. Racines spinales. L'examen des racin
ème et troisième ganglions lombaires montre un très petit nombre de
fibres
altérées, éparses au milieu de tubes absolument
ite segmentaire signalés à propos des nerfs périphériques. Quelques
fibres
, normales par ailleurs, montrent également une
les traits habituels de la dé- génération watlérienne, atteint les
fibres
sur toute leur longueur et les détruit suivant
e la portion atteinte, quelle que soit d'ailleurs son étendue, la
fibre
nerveuse reprend son aspect normal et sa struct
ormal et sa structure habituelle. Parfois, on observe sur la même
fibre
deux ou trois foyers successifs d'altération, s
ésente sous deux aspects différents. Sur le plus grand nombre des
fibres
, la désorgani- sation de la myéline s'effectue
aissent progressivement; au sur et à mesure de leur élimination, la
fibre
s'amincit, s'atrophie, d'abord en quelques 'poi
récédent. On ren- contre, en effet, dans la continuité de certaines
fibres
, normales par ailleurs, un ou plusieurs segment
cy- lindre-axe semble bien équivaloir à la division totale de la
fibre
; cependant il n'en est rien, les portions du tube
écutive à la section du cylindre-axe débute par la périphérie de la
fibre
, et remonte progressivement vers son extrémité
ieurs points de son trajet sans que les parties sous-jacentes de la
fibre
ner- veuse souffrent en apparence de cette sépa
névrite segmentaire, on rencontre dans tous les nerfs examinés des
fibres
altérées sur toute leur longueur, et présentant
truit même et détermine alors dans les portions sous-jacentes de la
fibre
des altérations iden- tiques à celles qui se pr
ndre-axe pouvant s'effectuer à des hauteurs très variables pour des
fibres
différentes, il en résulte que dans chaque prép
t-il, la dégénération wallérienne se dé- veloppant d'emblée sur une
fibre
nerveuse qui a con- servé ses rapports avec une
efois, très rarement il est vrai et sur un nombre très restreint de
fibres
, nous avons rencontré la distribution segmentai
attributs ordinaires sur certains segments isolés au milieu d'une
fibre
saine par ailleurs. Une telle particularité n'in-
e travail pathologique qui parfois envahit une grande étendue de la
fibre
nerveuse, parfois l'intéresse d'une manière dis
n ne porte pas sur des points multiples d'un même nerf et sur des
fibres
suffisamment longues, on risque en effet de ne
iations avec grand soin et d'isoler, pour ainsi dire, chacune des
fibres
. Vues en groupe, elles présentent le plus souve
tte façon, mais plutôt sur des voies sou- vent exercées, ou sur des
fibres
qui étaient peu avant en action et, en conséque
peut prendre deux directions : elle peut être trans- mise par les
fibres
fines de la substance grise dans les cornes ant
dans la substance corticale a plusieurs voies (par les systèmes des
fibres
d'association); la voie principale est évidemme
la pression exercée par un caillot relativement volumineux sur les
fibres
cérébrales du côté droit de la protubérance et
Meynert a donnée de la racine du nerf auditif, dont la plupart des
fibres
pénétreraient dans le cervelet. °- - ' - IV. M.
. Dans ce travail, notre but est d'établir cliniquement : que les
fibres
, sans lesquelles la parole ne peut être exprimé
être exprimée, se trouvent dans le tractus précédent; et que ces
fibres
ne se rendant pas à l'écorce de la troisième fr
a troisième, 5. Elles coupent toutes les trois, nécessairement, les
fibres
de Gratiolet, plus les deux premières, les fibr
cessairement, les fibres de Gratiolet, plus les deux premières, les
fibres
d'asso- ciation antéro-postérieures externes et
res, les fibres d'asso- ciation antéro-postérieures externes et les
fibres
trans-, versales du corps calleux. Les irradiat
le bord externe du ventricule latéral. Notons que, de toutes les
fibres
du centre ovale, les irradiations capsulaires s
de Sylvius. DES IRRADIATIONS CAPSULAIRES. 5 autres catégories de
fibres
sont de nature latente, si- lencieuse ou passiv
ment qui résulte de leur lésion. Pour se faire une juste idée des
fibres
d'association et de celles de Gratiolet, il suf
ne'. La planche Y du même travail donne une idée de l'épaisseur des
fibres
descendantes du corps calleux. Le commencement
. Une partie de la capsule externe se continuant en haut avec les
fibres
arquées (voir Topographie cérébrale, deuxième z
de l'épaisseur de cette capsule obtenir fidèlement l'épaisseur des
fibres
descendantes du corps calleux. Ces fibres ont n
idèlement l'épaisseur des fibres descendantes du corps calleux. Ces
fibres
ont notablement diminué comparativement aux fib
rps calleux. Ces fibres ont notablement diminué comparativement aux
fibres
correspondantes du pre- mier district; elles ne
e de ces deux dernières parties. Je me contente de mentionner les
fibres
transversales du corps calleux, parce qu'elles
se entre le noyau caudé et l'écorce de la troisième frontale, les
fibres
actives n'occupent, avons-nous dit, que les cin
ire que toute difficulté était levée par la présence des prétendues
fibres
rayonnantes de Reil. Broca, convaincu de l'arri
es fibres rayonnantes de Reil. Broca, convaincu de l'arrivée de ces
fibres
à la troi- sième frontale, constate avec soin q
en est une qui représente deux de ces cellules unies pat- une seule
fibre
formée par un prolongement de chacune d'elles.
la racine de celui-ci apparaît à un fort grossissement comme une
fibre
spirale enroulée autour d'une fibre directe et d'
un fort grossissement comme une fibre spirale enroulée autour d'une
fibre
directe et d'un aspect assez analogue à celui-c
ls sont chez les mammifères les rapports anatomiques du faisceau de
fibres
qui subit l'entrecroisement et du faisceau de f
faisceau de fibres qui subit l'entrecroisement et du faisceau de
fibres
direct, dans la bandelette optique, le chiasma et
des faisceaux en question. Voici les résultats : chez le chat, les
fibres
du nerf optique directes forment dans le chiasma
peine s'il existe entre les deux faisceaux une petite zone noyée de
fibres
mixtes. Le faisceau de fibres directes se distr
ux faisceaux une petite zone noyée de fibres mixtes. Le faisceau de
fibres
directes se distribue exclusivement à la moitié
tenté de croire que le faisceau entrecroisé fournit, lui aussi, des
fibres
à l'area centralis; mais il convient d'entre- p
MIE ET DE PHYSIOLOGIE. en outre, un début d'atrophie des couches de
fibres
des moitiés homonymes des deux rétines, surtout
tion. Cette variété d'effets réflexes s'explique par la présence de
fibres
inspiratrices et de fibres expiratrices, les pr
s réflexes s'explique par la présence de fibres inspiratrices et de
fibres
expiratrices, les premières étant plus accessib
bout central produit toujours un arrêt en expiration, l'action des
fibres
d'inspiration est donc mo- mentanément suspendu
ais qu'il pa- ralyse le centre d'inspiration auquel aboutissent les
fibres
corres- pondantes du pneumogastrique». D. Vil
ne de l'acoustique. Presque tous les auteurs en font provenir des
fibres
de cette paire crânienne, mais tous ne sont pas d
leur direction. Deiters seul le considère comme un relai entre les
fibres
de la moelle (cordons aiitéro-latéraux) et les pé
gagne en haut la protubérance; il paraît entrer en rapport avec les
fibres
latérales du ruban de Reil. Le corps resti- for
latérales du ruban de Reil. Le corps resti- forme reçoit encore des
fibres
issues des fibres arciformes de la formation ré
de Reil. Le corps resti- forme reçoit encore des fibres issues des
fibres
arciformes de la formation réticulaire, qui con
lui envoie également un fascicule. Une partie assez importante des
fibres
du corps restiforme, ou du faisceau cunéiforme
Au-dessus du noyau externe de l'acoustique, de nouveaux tractus de
fibres
doivent exister; ces nouveaux tractus'émanent v
ivent exister; ces nouveaux tractus'émanent vraisemblablement des
fibres
arciformes de la formation réticulaire, qui vienn
. En somme, le corps restiforme comprend tout à fait en dedans, des
fibres
issues du faisceau cunéi- forme ; une couche mo
belleux ; une zone externe presque entièrement constituée par les
fibres
arciformes issues de la formation réticulaire. Qu
les muscles innervé» par la troisième branche du nerf triju- meau (
fibres
moteurs du nerf maxillaire inférieur). La peau es
s. T. Kahn. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. Sur la disposition des
fibres
nerveuses r\ myéline dans l'écorce DU CERVE11J
at normal toutes les couches de l'écorce sont extrêmement riches en
fibres
de ce genre : la première couche con- tient sur
s en fibres de ce genre : la première couche con- tient surtout des
fibres
arcifomes qui rejoignent les petits oasis cellu
t des fibres arcifomes qui rejoignent les petits oasis cellulaires (
fibres
d'association); dans la seconde (celle des petite
nde (celle des petites cellules pyramidales) prédominent encore des
fibres
d'association : mais il existe aussi des fibres
dominent encore des fibres d'association : mais il existe aussi des
fibres
de toutes directions; la couche des grandes cel
directions; la couche des grandes cellules pyramidales renferme des
fibres
épaisses qui commencent à se conglomérer en tro
paracentral et au lobe occipital. Passons aux particularités : les
fibres
d'association de la couche externe sont très fi
dantes. Le lobe occipital est parcouru dans les mêmes zones par des
fibres
de tous calibres, parallèles à la surface, libr
s que la substance fondamentale a disparu. C'est par le système des
fibres
d'association que s'explique la notion psychiqu
, nuances ombrées, perspectives) provient de ce que, à l'aide des
fibres
en question, nous associons les notions issues de
dans la paralysie gé- nérale l'atrophie considérable de toutes les
fibres
à myéline à tra- vers toutes les couches cortic
ontaux,'y compris l'in- sula (le, cas), ou l'atrophie exclusive des
fibres
d'association (2" cas). 1 Voir Arch. de Neurolo
sentiel et primitif de la maladie serait surtout la dé- chéance des
fibres
à myéline; l'hyperplasie de la névroglie et le
me pathogénie par trouble dans la nutrition de certains systèmes de
fibres
, quelle qu'en soit la cause; mêmes pauses; même
- liorations par la suppléance fonctionnelle d'autres systèmes de
fibres
. La rupture des fibres d'association qui font com
uppléance fonctionnelle d'autres systèmes de fibres. La rupture des
fibres
d'association qui font communiquer le lobe fron
u des paralytiques dépendent pour une forte part, de l'atrophie des
fibres
corticales à myéline. P. KERAVAL. IL Trépanatio
se faire que l'altération len- ticulaire, coïncidant avec celle des
fibres
rayonnantes, et cela largement, puisque le foye
, ..Pour, légitimer ce. contraste, il faudrait admettre, dans les
fibres
voisines les unes des autres et soumises au mêm
.science. la chose n est pas ad- missible. Nous savons bien que les
fibres
nerveuses périptiériques ; séparéésideoleur3lce
sijine^,es0prleuvesjJes/pIus irréj futables de la non existence des
fibres
radiées dans la troisième, frontale, et",de,son
e parler revient au complet, et, par contre, pourquoi également les
fibres
destinées à porter le mouvement dans les membre
ent de la névroglie (cellules et -02 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
fibres
tout a la fois) ; en effet, il n'a rencontré aucu
rophie des cellules pyramidales à une dégénérescence ascendante des
fibres
nerveuses sensitives section- nées qui, sans nu
tives section- nées qui, sans nul doute, doivent exister à côté des
fibres
motrices dans les circonvolutions appartenant a
. T uczek -, croire que, dans la paralysie générale, l'atrophie des
fibres
nerveuses à myéline est primitive et que tout aut
ralytiques généraux, fait par la méthode de Weigert, montre que les
fibres
nerveuses n'ont'pas disparu, qu'il n'existe pas,
venir toute la substance finement granuleuse de la destruction des -
fibres
, nerveuses à myéline. On sait, depuis Koelliker e
et W. Krause, que l'écorce grise contient un grand nombre de ces
fibres
, même dans les couches les plus externes. Mais ce
re de ces fibres, même dans les couches les plus externes. Mais ces
fibres
;ne sont pas assez, nombreuses pour permettre d
êmement vite; sur des coupes verticales ! autéropos- térieures, les
fibres
pénètrent, en décrivant un arc tle.cei-cle,légè-
avec' les 'origines du pneumogastrique; sur des coupes réussies de
fibres
émanées du segment du cercle p.sLéi-0- interne
n et d'enveloppe des éléments nerveux; elle sert de tuteur à chaque
fibre
, à chaque cellule, en même temps qu'elle embrasse
ncore est- elle peu importante, que dans la moelle allongée, où les
fibres
nerveuses du stratum zonale d'Arnold arrivent t
e qu'on en constate le mieux les rapports, parce que la plupart des
fibres
nerveuses ont un très gros calibre, et que la d
i cimente le nombre prodigieux des fines fibrilles nerveuses et les
fibres
amyéiiniques, tandis que les cellulesnévrogliques
, dans la partie postérieure de la capsule interne les faisceaux de
fibres
de pro- jection de la sphère visuelle, l'atroph
elle, l'atrophie s'étend dans les deux sens et, par conséquent, ces
fibres
de projection prennent leur origine dans la rég
estruction, dans le faisceau pyra- midat de la capsule interne, des
fibres
qui pénètrent dans la zone motrice, exerce une
le allongée. P. K. XII. Résultats expérimentaux sur LE trajet DES
fibres
du NERF OPTIQUE dans LE chemin QU'ELLES suivent
BECHTEItEW. (Neurol. Ccntrul6l. 1883.) Gudden dit que toutes les
fibres
du nerf optique, aussi bien celles qui s'entre-
NATOMm LT DE I'IiYSIOLOUIli. lette, qui contient principalement des
fibres
de la commissure de cet auteur, et qui, par con
genouillé externe sans intéresser le corps genouillé interne ni les
fibres
du bras postérieur. Un seul et même effet a été
porte sur un seul oeil. Conclusion. Entre-croisement incomplet des
fibres
du nerf optique dans le chiasma du chien.- Les
OGIE. 325 XIV. Recherches expérimentales SUR l'entre-croisement DES
fibres
du NERF OPTIQUE dans LE chiasma; par V. 13ECHTE
s observations sont en faveur d'un entre-croisement in- complet des
fibres
du nerf optique dans le chiasma du chien. Les a
s la section du nerf optique et de la ban- delette prouvent que les
fibres
centripètes, qui servent à la con- traction réf
la charpente conjonctive n'est pas continue, les gaines cornées des
fibres
nerveuses sont en connexion avec elle. L'auteur
eur doute qu'en dehors des prolongements des cellules, il y ait des
fibres
libres; nulle part on ne voit de substance granul
porte non seulement sur le tissu conjonctif, mais encore sur les
fibres
et les cellules nerveuses, sans qu'il soit permis
ural, sciatique, présentent la dégénérescence atro- phique de leurs
fibres
. Les muscles sont en partie dégénérés (dis- par
parition des stries transversales, état cireux, absence de bien des
fibres
, multiplication des noyaux, hyperplasie conjoncti
a ré- gion dorsale. De ces faits, l'auteur déduit que la partie des
fibres
des cordons postérieurs qui est en connexion av
de Goil, a la région cervicale, se composeraient essentiellement de
fibres
nerveuses en connexion avec les racines sensiti
A côté de cela, les cordons posté- rieurs renfermeraient de courtes
fibres
qui s'arrêtent ailleurs (cellules des cornes po
s inspirent à M. Schultze quelques aperçus sur l'ana- primitive des
fibres
nerveuses, et pense que l'expansion de la dé- g
les faisceaux courts qui, dans leur trajet, sont situés parmi les
fibres
radiculaires des cordons postérieurs. Il. K. X\
exercée sur le voisinage, si ce n'est quelque empiétement sur les
fibres
longitudinales, un peu de compression du cordon c
troubles de la sensibilité. La capsule interne cou- tient donc les
fibres
centrifuges dont la lésion entraîne la dégéné-
uges dont la lésion entraîne la dégéné- rescence secondaire, et les
fibres
centripètes en rapport avec certaines sphères d
ocaliser. P. K. XXXIX. A. Nouvelle communication sur l'atrophie des
fibres
nerveu- SRBaMIÉLI\E D.1\S L'ECOIICE DU CERVEAU
ues concernant cette note ; par Mendel. D. Sur LE DÉVELOPPEMENT DES
FIBRES
-,4ERVEUSLIS A MYILI.NE DANS LES CIRCON- VOLUTI
ours affectés et toujours, dans ces trois zones, la raréfaction des
fibres
nerveuses à myéline était des plus nettes. Intégr
lle de Weigert 2. La méthode de Weigert ne fait res- sortir que les
fibres
nerveuses du plus fort calibre, elle est inégale
des éléments. Celle d'Exner, au contraire (Tuczek, B.), révèle les
fibres
de tous calibres et prouve leur revêtement médu
nt médullaire. Quand la méthode de Weigert produit l'apparition des
fibres
, c'est que celles-ci sont réduites à leurs cyli
néraux ne traduit aucune différence d'avec l'état normal; quant aux
fibres
myéliniques c'est la substance intercellulaire
trent bien une différence entre le nombre des petites raies noires (
fibres
) du cerveaude paralytiques généraux et celui de
ait faire table rase des contradictions de M. Tuczek (intégrité des
fibres
à myéline dans les circonvolutions ascendantes
eu près, poursuivre, dans l'échelle du développement, la genèse des
fibres
. arrive aux con- clusions suivantes : 1° Dans
st d'abord à la lisière de la substance blanche qu'apparaissent les
fibres
nerveuses à myéline, puis elles se montrent dan
du lobule paracen- tral et des deux ascendants est la région où ces
fibres
se constatent d'abord (avant même que le neuviè
lles qui viennent d'être citées ne contient, chez le nouveau-né, de
fibres
myéliniques ; 3° Ultérieurement les fibres my
chez le nouveau-né, de fibres myéliniques ; 3° Ultérieurement les
fibres
myéliniques se développent à peu près d'un pas
s d'autres zones du manteau dont la subs- tance grise contienne des
fibres
nerveuses à myéline. Et encore les circonvoluti
e les circonvolutions précédemment nommées ne renferment-elles de
fibres
nerveuses à myéline que dans le tiers inférieur d
s à myéline que dans le tiers inférieur de l'écorce. Le système des
fibres
tangentielles supérieures manque encore com- pl
plètement; on C'est à une période plus tardive que se forment les
fibres
nerveuses à myéline dans le lobe frontal, qu'il
ne contiennent encore, dans la lisière de substance blanche, aucune
fibre
nerveuse à myé- line. P. K. XL.ASPHYxIE parle
s de la sommation. M. de Watteville pense que la sommation dans les
fibres
serait la résultante de contre-coups (actions u
ive des cellules ner- veuses, de la névroglie et des vaisseaux, les
fibres
nerveuses et les parties constitutives du tissu
s cellules nerveuses étoilees, ne paraissent que peu altérés. Les
fibres
nerveuses qui succèdent ordinairement à la couche
peu près dans'les feuillets malades ; elles sont remplacées par des
fibres
du tissu connectif, et d'une façon générale, pa
teur n'avait jamais observé auparavant, parait dû à ce fait que les
fibres
de la pie-mère hypertrophiée au- ront largement
cas, par une dégéné- rescence primitive prenantson origine dans les
fibres
nerveuses. La moelle allongée ne révèle pas de
é. Il est également arrivé, à son aide, à dé- celer les tractus des
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur; il pense qu
fine racine qui, se dirigeant en avant, se rattache aux tractus des
fibres
du pathétique issus de l'entre-croisement de mê
is il n'en avait établi l'existence que sur l'étude des systèmes de
fibres
; aujourd'hui il n'y a plus de doute à avoir pui
il faut invariablement employer de concert la méthode d'analyse des
fibres
, avec celle des coupes transverses, quand ou se
ce pour le reporter ailleurs sans préciser autrement l'endroit. Les
fibres
centripètes conductrices des réflexes monte- ra
le nouveau centre réflexe de Schiff ; de ce centre partiraient les
fibres
centrifuges qui, remontant au voisinage de l'éc
res corticaux moteurs, sensitifs et sensoriels desquels partent des
fibres
possédant les mêmes propriétés et que ce sont l
artent des fibres possédant les mêmes propriétés et que ce sont les
fibres
motrices qui sont excitées par le courant élec-
des muscles dans cinq cas ; un fait témoigne de la sensibilité des
fibres
378 SOCIÉTÉS SAVANTES. à la percussion. Il ex
â). De l'influence de quelques médicn- ments sur l'excitabilité des
fibres
nerveuses. Dans l'ensemble des complexussymptom
s médicaments dits nervins, les modifications de l'excitabilité des
fibres
nerveuses périphériques ne jouentà peu près jam
application locale, produisent des chan gements dans l'activité des
fibres
nerveuses. Ces transformations peuvent apporter
nante a entraîné après elle l'altération distincte d'une partie des
fibres
qui vont gagner l'écorce. Ces résultats seront
de l'hypoglosse gauche a été effectuée. ' M. SÉKATOR pense que les
fibres
de l'oculomoteur externe et quelques portions d
escence dans son entier, elles gagnent la région dorsale (moins les
fibres
limitrophes externes des mêmes cordons) et se r
, par Boucher, 173. Démence paralytique (sur la dis- position des
fibres
nerveuses à myéline dans l'écorce du cerveau
rard de Cailleux, 397; Dumesnil, 398. Nerveuses (excitabilité des
fibres
nerveuses sous l'influence de cer- tains médi
uses sous l'influence de cer- tains médicaments), 379. Nerveuses (
fibres
à myéline dans l'écorce du cerveau, a l'état no
ntelé), 82. Optique (disposition centrale et pé- riphérique des
fibres
du nerf -, et sur le tubercule bigéminé an- t
, 323, 324, 325. Optiques (phénomènes produits par la section des
fibres
dans l'hé- misphère cérébral), par Bechte- re
ables des étages supérieurs, qui agissent sur les premières par les
fibres
courtes et plus haut il y a « quelque part » un c
l'avons souvent appelée après IIENSCIIEN. Là, dans ce complexus de
fibres
myéliniques, où tant de prolonge- ments nerveux
cellules ner- veuses étoilées autochtones ; 2° des ramifications de
fibres
ner- veuses de fort calibre montant de la subst
otrice, où elles sont pourtant fort nombreuses, c'est le nombre des
fibres
ascendantes de fort calibre qui montent de la s
r se rami- fier horizontalement dans la quatrième couche. Comme ces
fibres
conservent leur gaine de myéline jusqu'à leurs
amides et des cellules des couches inférieures. Souvent ces longues
fibres
myéli- niques croisent verticalement la strie d
en prolongements axiles termi- naux. L'aire de distribution de ces
fibres
est énorme; leurs rami- fications ultimes entre
REVUE CRITIQUE. 127 7 A quelle espèce de cellules appartiennent ces
fibres
nerveuses ? Sont ce des fibres optiques venues
espèce de cellules appartiennent ces fibres nerveuses ? Sont ce des
fibres
optiques venues des centres optiques primaires,
t ce des fibres optiques venues des centres optiques primaires, des
fibres
de projection, ou des fibres d'association interc
es des centres optiques primaires, des fibres de projection, ou des
fibres
d'association intercorticale ? ` ? Il s'agit bi
d'association intercorticale ? ` ? Il s'agit bien, selon Canal, de
fibres
optiques; voici les raisons sur lesquelles repo
les repose cette présomption : sont beaucoup plus délicates que ces
fibres
afférentes de la région visuelle. Il n'y a pas
es géantes de l'écorce qui ne soient moins épais que la plupart des
fibres
con- sidérées. « 2° Lesfibres blanches affére
vertes par nous en d'autres territoires de l'écorce du cerveau (Ici
fibres
de Cipal, comme les appelle KÕLL1KF.I\) ne manq
comme appartenant à des faisceaux de cette nature les innombrables
fibres
myéliniques qui se distribuent dans la zone des
étoilées, dès qu'on admet que les puissants plexus nerveux que ces
fibres
contribuent à former, constituent en quelque so
a couche moléculaire, les cellules de CAJAL et de lii,,rzius. Les
fibres
myéliniques à fort calibre dont Czar, a suivi les
ent sans doute de la voie sensitive centrale. Or là aussi aussi ces
fibres
se terminent électivement dans une couche de l'
ope montre, à côté de l'hypertrophie des noyaux, l'hypertrophie des
fibres
musculaires. Le frère du malade, Michel E...,
résultée d'une lésion radiculaire. M. Brissaud. Celte lésion des
fibres
radiculaires existe peut- être ; le refoulement
ire que ce refoulement ait été assez énergique pour comprimer les
fibres
radiculaires. Hémiplégie gauche et paralysie al
cérébrale reçoit de l'influx nerveux et en projette : pour cela des
fibres
ner- veuses viennent s'y terminer ou y prennent
n. Les premières com- muniquent directement à la périphérie par des
fibres
centri- pètes et des fibres centrifuges mélangé
ent directement à la périphérie par des fibres centri- pètes et des
fibres
centrifuges mélangées. Les secondes ne Archives
e des zones de projection. Il n'existe pas de zones n'ayant que des
fibres
centrifuges ou que des fibres centri- pètes. To
n'existe pas de zones n'ayant que des fibres centrifuges ou que des
fibres
centri- pètes. Toute zone de projection est don
emps qu'on savait qu'au niveau des circonvo- lutions centrales, les
fibres
centripètes étaient mêlées aux fibres centrifug
nvo- lutions centrales, les fibres centripètes étaient mêlées aux
fibres
centrifuges. Monakow avait déjà démontré aussi
ibres centrifuges. Monakow avait déjà démontré aussi l'existence de
fibres
centrifuges mêlées aux radiations optiques cent
face : rien ne' nous autorise à l'en séparer (hémianesthésie). Les
fibres
centripètes, faisant suite aux filets du trijum
ce centre est sensitif. Puis l'im- pression s'est réfléchie par les
fibres
nerveuses centrifuges, mêlées aux radiations op
ie et cécité d'origine corticale). D'autre part, c'est bien par les
fibres
centrifuges émanées du centre visuel cortical q
lobe occipital joue un rôle par elle-même. Mais nous savons que les
fibres
qui se rendent au centre visuel, ou en parlent,
rience de Bechterew l'excitation a diffusé, est allé exciter les
fibres
sous-jacentes allant du centre visuel aux noyaux
é plus haut. Et ce qui prouve que l'excitation passe bien par les
fibres
centrifuges mêlées aux radiations optiques, c'est
de l'écorce. L'anatomie nous a en effet précédemment appris que les
fibres
centrifuges du centre visuel sont intimement mê
les fibres centrifuges du centre visuel sont intimement mêlées aux
fibres
centripètes. La déviation conjuguée des yeux as
ndance des lésions du centre postérieur sensorio-moteu1', ou de ses
fibres
de projection centripètes et centrifuges. b)
ent aussi d'une façon incons- tante de l'hémianopsie par lésion des
fibres
blanches sous- jacentes (Déjerine et Viallet).
tes (Déjerine et Viallet). Or nous savons déjà que la lésion de ces
fibres
blanches sous-jacentes détermine en même temps
ation oculaire, c'est toujours par l'intermédiaire de la lésion des
fibres
sous- jacentes ? Ce serait peut-être imprudent,
t avec la déviation oculaire. Peut-on admettre d'autre part que les
fibres
centrifuges parlies du centre visuel puissent ê
du centre visuel puissent êlre lésées isolément, indépendamment des
fibres
centripètes ? Non, puisqu'elles sont mélangées
distance (compression, modifications circu- latoires) plus que les
fibres
centripètes. Nous savons, en effel, que les fib
es) plus que les fibres centripètes. Nous savons, en effel, que les
fibres
centripètes. en présence d'une cause patholo- g
prononcée détermine de la déviation conjuguée, par action sur les
fibres
centrifuges issues du centre visuel curtical; une
eux. 11 n'est pas prouvé, en effet, que cette région soit privée de
fibres
de projection (V : Déjel'ine 1). D'autre part, qu
lésions du pli courbe, est due à la suppres- sion fonctionnelle des
fibres
sous-jacentes, issues du centre postérieur sens
une lésion soit des circonvolutions dites mo- trices, soit de leurs
fibres
de projection. Il est inutile de rap- peler ces
iveau du pli courbe, mais à la face interne du lobe occipital ; les
fibres
centrifuges qui en partent pas- sent au-dessous
xcitations de cette région. La lésion des deux centres (ou de leurs
fibres
de projec- tion) du même côté peut ne produire
est donc pas illogique que les deux centres oculo-moteurs, ou leurs
fibres
de projection, aient été lésés simultanément. N
Les lésions bilatérales du centre oculo-moteur antérieur, ou de ses
fibres
de projection, sont beaucoup plus intéres- sant
ond : petits foyers dont deux sont situés symétriquement à côté des
fibres
descendantes de la sixième paire. - Enfin on po
ie. La. lésion du pli courbe agit de même par l'intermédiaire des
fibres
sous-jacentes provenant de la face interne du lob
rique atteignant les deux centres oculo-moteurs antérieurs ou leurs
fibres
de projec- tion produit un tableau clinique tou
traventriculaire, entre ce ganglion et la capsule externe, dans les
fibres
qui séparent celle-ci de l'insula. Le noyau ven
e sang devient très considérable, il n'y a en réalité ni rupture de
fibres
ou déchi- rure de la substance grise, ni compre
serait donnée par la constitution même de la capsule externe : les
fibres
de celte dernière ne se dirigent pas perpendicu
face externe du corps strié extraventriculaire et vont croiser les
fibres
qui émergent de la capsule interne. L'hé- morra
Charcot, c'est-à-dire à la face externe du noyau lenticulaire, les
fibres
de la capsule externe se sépàrent très facilement
essif. L'hémorragie se faisant en avant rencontre, il est vrai, les
fibres
de la cou- ronne rayonnante; mais ces fibres, e
ntre, il est vrai, les fibres de la cou- ronne rayonnante; mais ces
fibres
, entrelacées en apparence, offriraient, pour Br
riraient, pour Broadbent, moins de résistance qu'un plan continu de
fibres
serrées et laisseraient l'hémorragie cheminer j
oadbent explique la progression par la disposition particulière des
fibres
permettant un clivage facile, et par le voisina
début, une lente extravasation de sang pourrait se faire entre les
fibres
de la substance cérébrale, au lieu d'une issue
ivie inévitablement de chromatolyse dans les cellules d'origine des
fibres
sectionnées, contrairement il ce qui se passe pou
de la section d'un nerf moteur cranien, les cellules d'origine des
fibres
lésées parcourent d'abord une phase de dissolut
occupe la place du faisceau marginal antérieur de Lo\venthal ; les
fibres
de ce faisceau se mettent en rapport avec les c
opposé. Il est impossible de constater la continuation directe des
fibres
céré- belleuses dans des fibres radiculaires ;
nstater la continuation directe des fibres céré- belleuses dans des
fibres
radiculaires ; 236 SOCIÉTÉS SAVANTES. 2° Les
des plus com- pliquées. Le système le plus développé est celui des
fibres
se diri- geant à travers la partie externe du c
lé noyau du cordon latéral du même côté et en partie à travers les
fibres
arciformes externes antérieures du côté opposé;
té opposé; , 3° Il existe indiscutablement un système descendant de
fibres
- destinées à relier le cervelet avec l'olive d
princi- palement avec l'olive du côté opposé, passant à travers les
fibres
arciformes internes, externes et interpyramidal
ternes, externes et interpyramidales; ,\cru Par l'intermédiaire des
fibres
arciformes internes s'établit la connexion du c
ettre en rapport avec les olives supérieures des deux côtés; 6° Les
fibres
du pédoncule moyen descendent en partie vers le
t rejoint le noyau réticulaire du tégument du côté opposé; 7° Les
fibres
du pédoncule antérieur passent en partie (mais en
internes et externes. Au delà du noyau rouge on ne rencontre pas de
fibres
non entrecroisées ; 8° Par l'intermédiaire du
°, 6°, 5°, et 4° paire crânienne, principalement du même côté ; les
fibres
qui se détachent du pédoncule antérieur servent
du'côté opposé. On n'a pas encore noté de continuation directe des
fibres
cérébelleuses dans les nerfs cra- niens ; 9°
x de Bechterew et de Deiters principalement par l'intermédiaire des
fibres
se détachant du noyau « tecti globosi »; 10° Le
comme la résultante d'une lésion interrompant dans leur trajet les
fibres
de conduction de la sensibilité ? Deux obser- v
centraux, au niveau du pied de la couronne rayonnante de lieil, des
fibres
unissant la capsule interne à la zone rolandiqu
Ch. Rouget, ayant constaté la présence dans les ligaments larges de
fibres
musculaires lisses, admettent une contraction p
res musculaires lisses, admettent une contraction périodique de ces
fibres
, entraînant à la fois l'érection de l'ovaire, l
tion; d'ailleurs, nous ne voyons pas la cause de la contraction des
fibres
muscu- laires. 11 est certain que l'innervati
rrêterait au bulbe, sans doute à l'endroit de l'entrecroisement des
fibres
du faisceau latéral mixte ; là, par des fibres
'entrecroisement des fibres du faisceau latéral mixte ; là, par des
fibres
commissurales dont l'exis- tence reste à mettre
complète, nous réserve sans doute de grandes surprises au sujet des
fibres
incon- nues qui relient les divers centres nerv
- tions parenchymateuses (tous les degrés de dégénérescence de la
fibre
nerveuse, depuis la tuméfaction légère du cylindr
phase médullaire. Toulefois la des- truction d'un certain nombre de
fibres
nerveuses par le microbe et ses toxines, déterm
gaine de myéline des nerfs, dégénérescence affectant également les
fibres
motrices et sensitives. A. Marie. XXXVI. Diagno
cts : 1° celui d'un pro- cessus ancien (atrophie et disparition des
fibres
, multiplication du tissu interstitiel) ; 2° cel
bour- relet dont l'axe long est perpendiculaire à la direction des
fibres
musculaires (myoïdème, idiomnsculære Wulst). B.
en coupes longitudinales et transversales ne nous montrèrent aucune
fibre
dégénérée. D'autre part leur colora- tion au ca
lombaire nous montrèrent dans celui-ci surtout, un petit nombre de
fibres
dégénérées, de petit diamètre en général, dissé
que le prolongement cède au niveau du point où il est fixé par les
fibres
névrogliques qui l'entourent et par ses propres
réunies et anato- miquement associées entre elles par un système de
fibres
anastomotidues. » (P. Raugé .) Ainsi, à l'éta
neurologie, on peut arriver aux conclusions sui- vantes : 1° Les
fibres
afférentes à la moelle épinière se terminent en
implantation de chaque racine; 2° La substance grise qui reçoit les
fibres
centripètes des racines rachidiennes postérieur
tre part, ses divers étages sont eux-mêmes réunis par de nombreuses
fibres
commissurales et d'association. Parmi les fon
ves; 4° Le ruban de Reil médian représente un système complexe de
fibres
. Il comprend d'abord des fibres ascendantes réuni
n représente un système complexe de fibres. Il comprend d'abord des
fibres
ascendantes réunissant les noyaux des cordons d
noyaux des cordons de Goll et de Burdach à la couche optique et des
fibres
moins longues s'arrêtant en différents points de
e interne, de région déterminée par laquelle ne passeraient que des
fibres
sensitives; ces dernières sont en effet mélangé
fibres sensitives; ces dernières sont en effet mélangées aux autres
fibres
verticales ou transversales de la capsule inter
science, par la seule interruption anatomique ou fonctionnelle des
fibres
médullaires, au point comprimé, et il n'y a pas
e subit à un moment donné et du nombre, et surtout de la nature des
fibres
nerveuses médullaires momentanément ou définiti
pression médullaire s'observent des troubles moteurs; c'est que les
fibres
motrices sont plus sensibles au trau- matisme q
ue les fibres motrices sont plus sensibles au trau- matisme que les
fibres
sensitives; mais ces fibres motrices elles- mêm
plus sensibles au trau- matisme que les fibres sensitives; mais ces
fibres
motrices elles- mêmes ne sont pas également rés
t pas également résistantes, les plus vulnérables semblent être les
fibres
cortico-spinales et les fibres cérébello-spi- n
s plus vulnérables semblent être les fibres cortico-spinales et les
fibres
cérébello-spi- nales. La compression de ces fib
-spinales et les fibres cérébello-spi- nales. La compression de ces
fibres
produit la paraplégie spasmo- dique avec exagér
uelle interrompt automatiquement ou fonctionnellement, en outre des
fibres
cortico-spinales et cérébello- spinales, les au
utre des fibres cortico-spinales et cérébello- spinales, les autres
fibres
motrices provenant du mésencéphale, de la protu
degré). Si la compression s'accentue encore, elle retentit sur les
fibres
sensitives. Parmi celles-ci, les plus facilement
et de penser qu'il existe peut- être dans le faisceau de Gowers des
fibres
distinctes pour la trans- mission de la douleur
et pour la transmission de la température. Après la compression des
fibres
du faisceau de Gowers, on voit la lésion médull
laire amener la perte de la sensibilité musculaire (compression des
fibres
du faisceau cérébelleux ou des fibres des cordo
é musculaire (compression des fibres du faisceau cérébelleux ou des
fibres
des cordons postérieurs ? ). La sensibilité tac
ou des fibres des cordons postérieurs ? ). La sensibilité tactile (
fibres
des cordons postérieurs ou fibres du faisceau c
eurs ? ). La sensibilité tactile (fibres des cordons postérieurs ou
fibres
du faisceau cérébelleux ? ) persiste le plus lo
) persiste le plus longtemps. Il est à remarquer que, de toutes les
fibres
de la moelle, ce sont celles du faisceau cérébe
le plus de résis- tance, tandis que, dans la syphilis, ce sont les
fibres
des cordons postérieurs qui paraissent les plus
ne retentit pas-toujours d'une façon systématique, d'abord sur les
fibres
motrices et ensuite sur les fibres sensitives. A
on systématique, d'abord sur les fibres motrices et ensuite sur les
fibres
sensitives. A côté des formes typiques, il exis
nt avant que la compression n'ait mis hors de fonc- tion toutes les
fibres
motrices; ou encore, celles dans lesquelles la
les la compression exerce son maximum d'intensité d'abord sur les
fibres
sensitives. Dans une de ces formes dont la produc
estinées à décider s'il y a dégénérescence ascendante et de quelles
fibres
, LI)amlésions de diverses parties du cervelet pou
)amlésions de diverses parties du cervelet pour savoir s'il y a des
fibres
cérébelleuses descendantes. Résumé. - I. Faisce
moelle dégénèrent dans la moelle en haut et en bus. - 1° Il y a des
fibres
qui, au-dessus et au-dessous de l'endroit vivisec
té du sillon postérieur sous forme de cordon postérieur médian. Les
fibres
qui sortent des racines sensitives dont la dire
es dont la direction est le plus tranversale, se placent à côté des
fibres
déjà incorporées : ainsi se forment un cordon p
ordons an- térieurs et aussi dans les cordons latémux on trouve des
fibres
dégénérées en haut et en bas qui, tout près de
iellement aux cordons antérieurs et encore à leur zone médiane. Ces
fibres
sont indubitablement, pour la plupart, d'origin
pinal antérieur médian. Sur les coupes transverses de la moelle ces
fibres
ne peuvent guère se séparer des fibres à trajet i
transverses de la moelle ces fibres ne peuvent guère se séparer des
fibres
à trajet intra- spinal, car elles dégénèrent en
é- ral. Une coupe antéropostérieure montre que toute la masse des
fibres
s'enfonce dans le corps restiforme et s'en va en
s'entrecroiser dans les circonvolutions supérieures du vermis. Les
fibres
antérieures et transversales demeurent libres.
zis cérébellospinul antérieur). Le second fournit la plupart de ses
fibres
à l'écorce supérieure du vermis ; le reste cont
Ce long faisceau correspond au tractus céré6ellospiual, composé de
fibres
antérieures et posté- rieures du faisceau céréb
ccupent dans le bulbe, le segment cérébral du corps restiforme; les
fibres
antérieures (ou faisceau de Gowers) sont représ
ibres antérieures (ou faisceau de Gowers) sont représentées par les
fibres
qui passent à la partie inférieure des olives e
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XVIII. Contribution au trajet des
fibres
des racines postérieures dans la moelle cervica
lial, Schultze, Kahler et Pick) s'explique par la division en Y des
fibres
radiculaires postérieures. Mais elle peut atfec
stérieures, et pense qu'il s'agit plutôt alors de la destruction de
fibres
commissurales. Une observation récente de destr
acines postérieures. Puis, les faits anatomiques sont en faveur des
fibres
radiculaires descendantes dans le cordon pos- t
scendante des cordons postérieurs est explicable par une lésion des
fibres
radiculaires descendantes et l'hypothèse de fibre
r une lésion des fibres radiculaires descendantes et l'hypothèse de
fibres
ner- veuses endogènes dans la formation du peti
'opinion, d'après laquelle la substance grise donne naissance à des
fibres
destinées aux cordons postérieurs, car les recher
rieures (Schaffer). Il est également possible qu'il y ait aussi des
fibres
provenaut des cellules funiformes de la corne p
nérescence de Schultze est exclusivement produite par la lésion des
fibres
radi- culaires postérieures ; les fibres endogè
produite par la lésion des fibres radi- culaires postérieures ; les
fibres
endogènes n'y prennent (c'est prouvé) pas part.
au à mailles fort épais qui les enveloppe ; il est formé de petites
fibres
nerveuses qui portent de petits nodules. Ce résea
qu'ils entrent, pendant ce long chemin, en relations avec d'autres
fibres
ner- veuses ; ceux-ci ne fournissent ni lacis,
riphérique, p. 249 et 250). La couche granuleuse du cervelet et ses
fibres
mousseuses comportent un réseau à mailles diffu
a zone extérieure, plus pâle, se pro- longe dans un plexus formé de
fibres
nerveuses mille fois anasto- mosées, tandis que
stion à l'état de noyau beaucoup plus foncé. En réalité ce sont des
fibres
mous- seuses à deux zones, une zone externe, et
ontient des mailles bleu foncé, assez larges, formées de tractus de
fibres
relativement assez gros et à points nodaux qui
urs cellules. Ce même tissu de la zone externe glisse au-dessus des
fibres
détachées du réseau sus-décrit, qui, par suite pa
cement rétiforme. Ces tractus membraneux qui portent les réseaux de
fibres
nerveuses se déploient à travers la couche gran
ps mousseux con- fondre leurs mailles sans intermédiaire de longues
fibres
ner- veuses. Ces membranes se collent très inti
nces à la paraffine montrent une limite linéaire tranchée entre les
fibres
nerveuses amyéliniques et la cellule nerveuse.
lésions dans la moelle cervicale, mais on a réussi à suivre de ces
fibres
jusqu'aux cellules du noyau externe de la couch
ines lignes qui passent entre les cellules à petits grains sont des
fibres
nerveuses ou un simple stroma con- jonctif ; ma
n groupe REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 415 de
fibres
médianes, que l'on peut suivre jusqu'à l'extrémit
ptique pos- térieur (Jelgersma). Mais, la preuve de l'origine des
fibres
de ce faisceau dans le gan- glion de l'isthme ?
e du chiasma, il se décompose en une quantité de groupes étroits de
fibres
d'inégale épaisseur; sa masse principale s'avan
eure du chiasma de l'autre côté, tandis qu'une petite partie de ses
fibres
décrit, sur le côté, un arc de conversion accen
dernier trousseau semble s'entrecroiser, car on n'en trouve pas de
fibres
dans le nerf optique du même côté, qui puissent
compar- timent externe et postérieur, en pénétrant, avec les autres
fibres
optiques, dans la rétine où il se termine entre
se termine entre les cellules de la couche ganglionnaire. Quelques
fibres
isolées semblent pénétrer par la couche molécul
pille et va jusqu'au voisinage de la macula, où cesse la couche des
fibres
nerveuses. En dedans de la papille, on ne constat
tique contient une couche de cellules profondes qui fournissent des
fibres
de la substance blanche profonde ; ces fibres f
s qui fournissent des fibres de la substance blanche profonde ; ces
fibres
forment quelques rameaux se ras- semblant en ba
s cellules duquel il se répand. C'est le tractus isthinotectal. Les
fibres
originelles de ce faisceau dans la substance bl
e blanche profonde du lobe optique ne reçoivent pas seu- lement les
fibres
terminales du nerf optique, elles reçoivent encor
t les fibres terminales du nerf optique, elles reçoivent encore des
fibres
centrales des noyaux terminaux sensitifs et moteu
es centres aux cellules de ce ganglion; celles-ci les renvoient aux
fibres
du fais- ceau optique médian qui représentent l
tions de l'urine et que leurs muscles révèlent une hypertrophie des
fibres
musculaires devenu spisoïdes, ayant perdu leurs
re qui fait apprécier exactement le degré de durcissement actif des
fibres
musculaires'. Si l'on veut réfléchir que dans c
sphinctérienne avec dissociation fonctionnelle du sphincter et des
fibres
vésicales désignées par les Allemands sous le nom
iquer, que dans un assez grand nombre de cas, les anas- tomoses des
fibres
motrices remplissent plus complètement leurs fo
us complètement leurs fonctions vicariantes que les anastomoses des
fibres
sensitives. Est-il possible que les impulsions
ssements, pattes de mouches, doigt mort) indiquant l'at- teinte des
fibres
sensitives. Rougeur avec hyperthermie d'une zone
(arrêt de développement) des systèmes de l'encéphale et surtout des
fibres
arciformes ; 3° absence complète d'éléments dév
de développement. Le trouble de la nutrition des cellules a nui aux
fibres
subordonnées. D'où l'atrophie prédominante des
l'atrophie prédominante des faisceaux d'association supérieurs, des
fibres
arciformes, qui ne se développent que plus tard
forme d'un S. « Il est probable, dit M. Hoffmann, que toutes les
fibres
de l'b3'poglosse ne sont pas en tous les cas, sim
, d'abord exercée sur la partie médiane du chiasma qui contient les
fibres
entre-croisées de la bandelette op- tique, expl
lettes optiques, les deux nerfs optiques, la compression finale des
fibres
des nerfs optiques aboutissant à l'ammt1'ose bi
ion, très par- ticulière et constante, fait que la lésion coupe les
fibres
sensitives émanées des noyaux, et produit une d
t des oiseaux, par Friedlaender, 40L - Contribution au trajet des
fibres
des racines postérieures dans la ceivicale de
vaisseau se sont transformées en un maigre tissu de granulations ;
fibres
élastiques et cellules musculaires des membrane
côté du droit interne opposé, sans déviation conju- guée des yeux (
fibres
anastomotiques de Duval et Laborde 6) 5 1 Briss
. nell1 ? 1897, p. 322) a contesté dernièrement l'importance de ces
fibres
anatomiques. Il admet bien qu'elles servent à a
le atteint le faisceau pyra- midal après qu'il s'est débarrassé des
fibres
destinées au facial de l'autre côté. D'autre
. Le faisceau pyramidal étant atteint-avant d'avoir abandonné les
fibres
du facial, il faut invoquer, ou bien une double
s altérations de la cellule, il y a des alté- rations profondes des
fibres
fines de la couche superficielle de l'écorce, d
fondes des fibres fines de la couche superficielle de l'écorce, des
fibres
myéliniques ou amyéliniques(Tuczeck, Zacher, Sc
elle ne gagne que la partie postérieure du noyau latéral; quelques
fibres
s'épanouissent directement en dendrites finales.
ôt de démontrer qu'une autre partie du ruban de Reil (notamment les
fibres
à genèse tardives des trous- seaux latéraux du
taté qu'il y a généralement entre-croisement, c'est-à-dire que les
fibres
radiculaires provenant de la partie la plus posté
e l'organe du même côté, certaines cellules isolées qui donnent des
fibres
à l'oculomoteur du côté opposé. Les divers segm
e droit supérieur qui soit innervé par le noyau du coté opposé. Les
fibres
radiculaires qui lui sont destinées viennent de
antérieure du segment reculé (postérieur) du même côté fournit les
fibres
innervant l'oblique inférieur ; 3° Le droit inf
bres innervant l'oblique inférieur ; 3° Le droit inférieur tire ses
fibres
du segment rapproché (antérieur) du noyau du mê
t encore une partie des cellules latérales. 4° Droit interne. les
fibres
qui s'y rendent proviennent des cellules dissém
s lésions accessoires est évidente. La destruction coexistante de
fibres
cérébelleuses, due à l'intervention opératoire ex
elle cervicale, il est naturel de l'expliquer par la coatteinte das
fibres
pyramidales. P. KERAVAL, VII. Les ALLURES élect
ut à celledu psoas iliaque; 4° il n'y a donc point chez le chien de
fibres
homolatérales du faisceau pyramidal subissant,
s d'attention qui suppriment la fonction d'arrêt du cerveau sur les
fibres
motrices : la réflectivité médullaire se montrera
nato- miques. D'après ses recherches, l'auteur pense que toutes les
fibres
musculaires existent à la naissance et que seul
musculaires existent à la naissance et que seul le volume de ces
fibres
fait la différence entre les muscles du foetus à
neraient un intérêt réel. F. BOISSIER. XXIV. Trajet suivi par les
fibres
du GOUT; par Francis Dixon. (The Edinbu1"gh méd
on du trajet que suivent pour se rendre de la langue au cerveau les
fibres
nerveuses préposées à la gustation, est loin d'
t l'auteur, tant qu'il ne sera pas démontré absolument exact ». Les
fibres
qui reçoivent les impressions gustatives dans les
r rejoindre le nerf facial. Là, d'après la théorie en question, ces
fibres
suivraient le grand nerf pétreux superficiel, q
nerf maxillaire supérieur, deuxième branche du trijumeau. Quant aux
fibres
gustatives de la partie postérieure de la langue,
inaux tirés de l'anatomie et du développement, pour prouver que les
fibres
du goût passent bien par le facial et le glosso
Si l'on refuse aux nerfs facial et glosso-pharyngien de porter les
fibres
du goût, pourquoi ces deux nerfs ont-ils, comme l
sible d'admettre que le petit nerf de Jacobson contienne toutes les
fibres
gustatives du glosso-pha- ryngien ? Autre obj
ives du glosso-pha- ryngien ? Autre objection. A supposer que les
fibres
du goût gagnent le trijumeau, elles devraient t
XV, 1896.) La substance grise de la moelle contient trois sortes de
fibres
nerveuses : 1° les unes viennent des faiceaux p
e Burdach) et la branche descendante éJl1E'.lteut à angle droit des
fibres
nerveuses à myéline nombreuses, qu'on appelle des
es plus nettes chez le chien, le lapin, et surtout le cobaye. Les
fibres
myélogènes se dirigent en deux sens. Celles qui v
de ces indications, il est impossible de retrouver le trajet de ces
fibres
dégénérées dans la substance grise sur des coup
uatre jours une dégénérescence secondaire ascendante d'un cordon de
fibres
nerveuses blanches occupant la substance grise
uestion ; de nombreuses coupes trahissent la présence de nombreuses
fibres
dégénérées qui, des cordons postérieurs, à côté
e notre cordon. Il doit y avoir un rap- port entre ce cordon et les
fibres
sensitives de la moelle. Il est probable, d'apr
e la clinique, et de la physiologie expérimentale, que le cordon de
fibres
blanches qui passe par la substance grise de la
et chez l'homme il \ y a dans le chiasma entre-croisement total des
fibres
optiques. Enlevons un oeil à lapins, cobayes, c
e coupé, par le chiasma, à la bande- lette du même côté; toutes les
fibres
colorées en noir vont oblique- ment à la bandel
tique du côté op'posé : en un mot il y a entre-croisement total des
fibres
optiques dans le chiasma. Chez le chat etle sin
ques dans le chiasma. Chez le chat etle singe une grande partie des
fibres
colorées en noir vont au côté opposé; un nombre
res colorées en noir vont au côté opposé; un nombre considérable de
fibres
ainsi colorées passe par le chiasma du même côt
n peut les suivre plus loin : il y a entre-croisement incomplet des
fibres
optiques dans le chiasma. Il est problable qu'i
e le goitre exophthalmique est dû à une excita- tion permanente des
fibres
vaso-dilatatrices seules du grand sympa- thique
erceptibles. II. MM. Rossolimo et Mouravieff. De la structure de la
fibre
nerveuse dans l'état normal et pathologique, Mé
mme d'un anneau, parfois rien que dans la partie périphérique de la
fibre
, d'autres fois dans toute l'épaisseur de la mem
cations secondaires suivantes : gonflement, teinte rosée tantôt des
fibres
isolées, tantôt de leur groupe entier. Sur les
, rosâtres, en forme de boudin. Avec le temps la myéline sort de la
fibre
et s'accumule tantôt en masses déliquescentes b
é, que la couche la plus superfi- cielle de l'écorce, la couche des
fibres
tangentielles, celle qui est immédiatement sous
volontaires se passant dans un seul muscle, souvent dans quelques
fibres
seulement ; secousses musculaires traduisant l'
Flechsig', contrairement à Déjerine2, considère comme dépourvues de
fibres
de projection, et qualifie de zones d'asso- cia
couleur rose et un aspect légèrement strié suivant la direction des
fibres
nerveuses. Ses bords paraissent flous et se délim
bserver les mêmes symptômes. 3° Au point de vue physiologique les
fibres
motrices qui descen- dent du cerveau, du cervel
on d'après la méthode de Pal. Les cylin- draxes sont, y compris les
fibres
amyéliniques, d'un bleu intense. Les prolongeme
tés et hyperémiés, mais il n'y a pas d'hémor- ragies. Il existe des
fibres
dont la myéline est dégénérée, dans les troncs
nfléchit indivis dans une racine nerveuse et quitte la moelle : ces
fibres
sortent donc bien directement des cellules nerveu
du goût, etc. Tous ces élémenls sans pro- longement n'ont avec les
fibres
nerveuses aucun rapport direct : ce sont bien d
toujours libre- ment, soit sans se bifurquer (corpuscules de Vater,
fibres
paral- lèles de la couche moléculaire du cervel
du lobe olfactif; on a ici les trois segments du neurone : cellule,
fibre
et arborisation. Mais dans la plupart des cellu
, tels qne ceux des cellules d'origine des racines antérieures, des
fibres
optiques, des fibres olfactives. Chez les inver
ellules d'origine des racines antérieures, des fibres optiques, des
fibres
olfactives. Chez les invertébrés, les cellules
t comme l'élément perce- vant et impulsif D, écrit v. Lenhossék. La
fibre
nerveuse, ses colla- térales et son arborisatio
s, s'élever dans les terri- toires de l'écorce, où se terminent les
fibres
de la sensibilité, ou se distribuer aux élément
sité des échanges de ces cellules. Quant au mode de nutrition de la
fibre
nerveuse, et en particu- lier des nerfs périphé
des faisceaux nerveux plaident déjà pour une nutrition autonome des
fibres
de ces faisceaux; en clinique, l'anesthésie et
quelquefois d'embolie et de thrombose périphérique; enfin, dans les
fibres
myéliniques, les étranglements de Ranvier sont
mputations. D'après la loi de Waller, le segment périphérique d'une
fibre
nerveuse devrait bien dégénérer, non la cellule
cellule d'origine du nerf, c'est que les collatérales réflexes, les
fibres
des pyramides, et d'autres fibrilles continuent
ugmente les points de contact des fibrilles du nerf moteur avec les
fibres
musculaires. De même dans la transmission du co
au lieu d'influencer plusieurs cellules à la fois comme le font les
fibres
optiques, il s'entrelace simplement avec les de
tes descendants d'une seule cellule mitrale; souvent même plusieurs
fibres
olfactives ne sont en rapport qu'avec une seule
soit, l'onde nerveuse, apportée par l'arborisation terminale de la
fibre
olfactive, se transmet aux dentrites des cellul
émontré l'existence de libres arborisations terminales provenant de
fibres
nerveuses venues à la rétine par le canal des n
al des nerfs optiques, donc, dans une direction opposée à celle des
fibres
de ce faisceau. Avant Cajal, von Monakow avait
de ses recherches de pathologie expérimentale à l'existence de ces
fibres
, dont les cellules d'origine ne pouvaient être qu
cellule, les prolongements nerveux qui passent dans le faisceau des
fibres
optiques, suivant une direction opposée à celle
u des fibres optiques, suivant une direction opposée à celle de ces
fibres
; les arborisations terminales observées par Ca
ces prolongements des cellules des tuber- cules quadrijumeaux; ces
fibres
doivent apporter des courants centrifuges à la
au cerveau par le nerf optique. Ranioil y Cajal conjecture que ces
fibres
agissent sur les cellules de la couche ganglion
léments de la rétine qui reçoivent les arborisations terminales des
fibres
centrifuges, qu'ils servent à transporter aux c
, a établi expérimentalement que dans le nerf optique passent des
fibres
dont l'excitation détermine la contraction des cô
VUE CRITIQUE. Lenhossék, pour l'interprétation des fonctions de ces
fibres
centri- fuges, à quelque influence sur la couch
ces prolonge- ments axiles, quoique en sens contraire de celle des
fibres
optiques, n'en est pas moins également cellulif
llule nerveuse d'origine ; peu à peu ils se seraient transformés en
fibres
nerveuses, tandis que le prolongement central a
es invertébrés, des cellules de sensibilité, cellules d'origine des
fibres
qui se ramifient dans la peau. Il en est ainsi
fibrilles latérales des prolongements nerveux ou cylindraxiles. La
fibre
sensitive qui, d'une cellule d'un ganglion spmal
n ganglion spmal pénètre dans la moelle épinière, y émet, outre des
fibres
à direction ascendante et descendante qui passe
formation de la racine externe du nerf olfac- tif, a montré que les
fibres
de ce nerf se terminent, au moins en grande par
éculaire ou superficielle de l'écorce. Or, pendant leur trajet, ces
fibres
émettent nombre de collatérales qui pénètrent d
t. De même que les prolongements nerveux des cellules mitrales, les
fibres
sensitives distribuent leurs stimuli aux cellul
lexes, joue- 1 aient un rôle important. Les fibrilles latérales des
fibres
motrices seraient donc de nature réceptrice (ce
'hypothèse de Golgi, qui expliquait les rapports physiologiques des
fibres
de sensibilité et de mouvement par les anastomo
onsidérables de cellules nerveuses et d'arborisations terminales de
fibres
nerveuses. Elles contiennent non seulement les
let, la couche moléculaire est jusqu'à sa surface traversée par des
fibres
parallèles découvertes par Cajal, c'est-à-dire
ipolaires; elles représentaient pour lui les cellules d'origine des
fibres
de la racine supérieure du trijumeau, racine mo
érie, t. V. 25 386 REVUE CRITIQUE. gnent, dit-il, l'épaisseur des
fibres
et la grosseur des cellules (HtH ! t<6. der
un certain nombre de prépara- tions, des cellules d'origine et des
fibres
radiculaires du nerf pathétique, ainsi que les
pro- cessus nerveux. Dans le bulbe olfactif, les arborisations des
fibres
olfactives n'entrent jamais en contact avec le
e les mêmes rapports existent entre les arborisations centrales des
fibres
optiques et les ramifications protoplasmiques d
les états d'innervation de quelques-unes des nombreuses espèces de
fibres
qui entrent en contact avec elle. Cette a corre
du carre- four sensitif, soit de troubles dynamiques affectant les
fibres
qui traversent ce carrefour, soit, comme je sui
et du noyau dans toutes les cellules nerveuses et névrogliques. Les
fibres
nerveuses, d'abord dans la moelle épinière et l
ériphériques, on voit l'état vacuolaire, une légère tuméfaction des
fibres
par gonflement de la myéline et dégénérescence
rieure. La pâleur de cette zone relève d'une part de la finesse des
fibres
nerveuses à ce niveau et, d'autre part, de la d
neurologique, mars 1897.) . E. Blin. LXV. ETUDE SUR LE trajet DES
fibres
exogènes DE la moelle épinière ; par le profess
s opinions sont très diverses à propos du trajet dans la moelle des
fibres
des racines postérieures, et les expériences fait
L'auteur a constaté qu'après une section de la moelle épinière, les
fibres
qui dégénèrent affectent une distribution différe
antéro-latéraux. L'existence d'une quantité plus considérable de
fibres
dégénérées au voisinage de la section qu'à une ce
voies courtes de la moelle épinière. La disposition des diverses
fibres
dégénérées aussi bien dans les cordons postérie
ieurs que dans les cordons antéro-latéraux, semble indiquer que les
fibres
courtes siègent surtout près de la substance gr
es fibres courtes siègent surtout près de la substance grise et les
fibres
longues à la périphérie de ces cordons. G. DENY.
- plètement indépendants et qui n'ont que ceci de commun, que les
fibres
qui les composent proviennent de cellules de la s
composent proviennent de cellules de la substance grise et sont des
fibres
d'un court trajet. (Revue neurologique, dé- cem
-moteurcommuu paraît venir du lobe pariétal (pli courbe); de là les
fibres
vont aux noyaux qui constituent l'ancienne origin
i aussi, partir de l'étage infé- rieur du lobe pariétal : de là les
fibres
vont au pédoncule comme les fibres de l'oculo-m
eur du lobe pariétal : de là les fibres vont au pédoncule comme les
fibres
de l'oculo-moteur commun, le dépassent, traversen
tuésousle plancher du quatrième ventricule. De ce noyau partent les
fibres
radiculaires qui vont tout simplement former le
sible du pédoncule cérébelleux supérieur, et évidemment certaines
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur ne se terminen
mifications terminales cylindraxiles : il est très probable que les
fibres
nerveuses de ces cellules passent au côté oppos
e cette chaîne, se forme une voie arci- forme composée de certaines
fibres
de la racine spinale. (Revue neurologique, août
nfluence tonifiante. Chez les em- bryons à développement normal les
fibres
des cellules pyrami- dales de l'écorce atteigne
corticales de caractère clonique, résultant de la dégénération des
fibres
arci- formes de la sphère motrice. Discussion
roit que l'examen delà fine struc- ture des cellules du système des
fibres
cérébelleuses pourrait pro- jeter quelque clart
es fais- ceaux fondamentaux des cordons antérieurs et latéraux, les
fibres
situées entre les olives et les pyramides du bu
on de Jaboulay, le cordon cervical où passent les plus nom- breuses
fibres
nécessaires au circuit; opération inoffensive;
la deuxième cervicale) par la méthode de Marchi, nous a montré des
fibres
dégénérées dans tout Le territoire des cordons
, le cérébelleux direct et le faisceau de Gowers, seuls offrent des
fibres
dégénérées. Au-dessous de la tumeur (au niveau
f une prédominance marquée dans le faisceau pyra- midal croisé, les
fibres
dégénérées sont à peu près uniformément réparti
'on admet généralement, l'innervation complémen- taire par quelques
fibres
venues des racines situées plus haut. Le territ
profondes restent du même côté de la moelle, mais elles suivent les
fibres
radiculaires moyennes et longues des cordons po
d'une autre question encore très discutée, celle de l'origine des
fibres
dilatatrices de la pupille. On sait que ces fibre
de l'origine des fibres dilatatrices de la pupille. On sait que ces
fibres
sortent de la moelle par les dernières cervical
n trouva bientôt de nombreux contradicteurs; on prétendit que ces
fibres
venaient du bulbe. Les deux opinions trouvent enc
e la dilatation de la pupille, mais c'est par l'in- termédiaire des
fibres
dilatatrices qui passent par le triju- meau (Vu
auteurs, il n'y aurait pas de centre médullaire de la pupille ; les
fibres
dilatatrices qui sortent par la première dorsal
r. nol. Mal., XXIX, 18C, 7. * Pour les discussions relatives à ces
fibres
dilatatrices, V. Wertei- nier, Diel. de l'hys.,
e pupillaire à ce niveau ; il est plus facile de comprendre que des
fibres
venant de plus haut aient pu franchir cette rég
nnes multipolaires. A ce noyau viennent s'appliquer directement les
fibres
de la bande- lette longitudinale postérieure, d
que, et un autre à sa partie antérieure. La plus grande parties des
fibres
qui partent de ces noyaux se dirigent en avant
os- térieure du noyau principal, s'entrecroisent et constituent les
fibres
postérieures du moteur commun. Il est hors de c
r du moteur commun. Le noyau du moteur commun reçoit, en outre, les
fibres
profondes du tub. quadrijumeau antérieur. Quant
moteur externe, l'embryologie permet d'affirmer qu'il n'envoie des
fibres
que dans la racine correspon- dante; l'entrecro
commun. Duval et Laborde ont attiré l'attention sur l'existence des
fibres
qui se dirigent, du noyau du moteur externe, sous
rs ont pensé que ces deux noyaux étaient directement reliés par des
fibres
qui traversaient la bande- lette longitudinale
roisent et atteignent la bandelette du côté opposé. Sans doute, ces
fibres
relient les noyaux du moteur externe et du mote
teur commun du côté opposé. Du noyau du pathétique se détachent des
fibres
qui vont dans la bandelette du même côté. Comme
u moins en partie, à la plus ample distribution, à la moelle, des
fibres
corticales émanées de l'hémisphère gauche. Les de
u bras, soit de la région pariétale. L'atteinte fonc- tionnelle des
fibres
d'association explique les mouvements associés
dans la substance cérébrale, on constate : a) La dégénérescence des
fibres
des racines motrices et sensitives jusqu'aux no
nt le noyau originel forme la substance gélatineuse de Rolando; les
fibres
dégénérées de ces racines entrent dans la subst
la hauteur de la deuxième paire cervicale; c) La dégénérescence des
fibres
qui du trijumeau vont au cervelet ou à la subst
1 rieure de cette racine jusqu'à la deuxième paire cervieale, les
fibres
dégénérés pénètrent successivement dans la substa
de l'endroit lésé, il n'y a pas de dégénérescence, à part quelques
fibres
qui, disséminées plutôt que groupées dans la part
de l'ori- sine apparente de l'oculomoteur externe; à ce niveau ces
fibres
semblent entrer dans la masse comme du corps re
paire (Obersteiner), entraîne une dégénérescence descendante de ces
fibres
radiculaires; la plupart d'entre elles gagnent
es fibres radiculaires; la plupart d'entre elles gagnent en bas les
fibres
des racines motrices avec lesquelles elles quit
près des noyaux du trijumeau ne permet pas de suivre le trajet des
fibres
de la racine sensorielle directe des auteurs ; on
brale dans la région de la substance ferrugineuse ne révèle pas les
fibres
qui, d'après les auteurs, vont de cet endroit a
faisceau longitudinal postérieur, on observe nettement comment les
fibres
dégénérées, après entrecroisement sur la ligne
vont des deux côtés du raphé au noyau moteur. Ce sont peut-être les
fibres
des pédoncules cérébraux décrites par Meynert q
YSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. pôle de la première frontale, détruira des
fibres
, non de l'écorce de ce pôle, mais de la partie
lement de 2 millimètres sur la subs- tance blanche, interrompra des
fibres
qui vont de la région frontale supérieure ou mo
De Monakow avait déjà signalé que le pôle frontal contient peu de
fibres
du système de projection. 11 en est de même pour
s'unissent avec le noyau médian de la couche optique, par quelques
fibres
de projection isolées; mais il est difficile de
nsverse antérieure du lobe temporal, dans laquelle on reconnaît des
fibres
de la couronne rayonnante presque universelleme
porales (en dehors de celle de l'hippocampe) manquent absolument de
fibres
myéliniques. Donc, la circonvolution transverse
se antérieure du lobe temporal contient les stations terminales des
fibres
conductrices cochléaires; le faisceau cortical
QUES. 495 Sur deux foetus de huit mois et de huit mois et demi, les
fibres
de la couronne rayonnante du corps genouillé in
ne contient que très peu de myéline; donc le neurone supérieur des
fibres
auditives est pourvu de myé- line avant que le
te un faisceau du cordon postérieurcérébelleux direct qui tient ses
fibres
et des cordons de Burdacli et des cordons de Go
tractus cérébelleux spinaux ascendants;deux trousseaux, pauvres en
fibres
, passent par le tronc du cerveau entier, et peu
couche optique. Le trajet du faisceau de Gowers est, d'après les
fibres
dégénérées qui lui appartiennent, bien celui qu
rieures), dans la partie qui correspond à leur segment éloigné, les
fibres
dégénérées du cordon latéral, triangulaire, sur
une coupe trans- verse, se décomposent en deux groupes : celui des
fibres
posté- rieures ou dorsales, formant les dernier
ux en masse qui aillent au tractus cérébrospinal dorsal ; celui des
fibres
antérieures ou ventrales, se rassemblant en un
drique, qui, n'étant séparé de la surface que par une lisière de
fibres
arciformes externes, se dirige dans la profondeur
nt dans la protubérance, le faisceau longitudinal, qui contient des
fibres
dégénérées, éclate parmi les trousseaux de fibr
qui contient des fibres dégénérées, éclate parmi les trousseaux de
fibres
trapézoïdes, à l'intérieur même de cette aire, li
nt cette orientation latérale par rapport à l'olive supérieure, les
fibres
dégénérées montent vers le cerveau dans la même s
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE' PATHOLOGIQUES. 497 séparé : quelques
fibres
dégénérées pénètrent parmi les fibres saines du
GIQUES. 497 séparé : quelques fibres dégénérées pénètrent parmi les
fibres
saines du ruban de Reil latéral et y demeurent.
les pédoncules cérébelleux supérieurs arrivent dans la calotte, les
fibres
dégénérées s'écartent latéralement d'eux sur le
indemnes, se rend à la valvule de Vieussens. Une petite partie des
fibres
dégénérées demeurent disséminées dans le ruban
pal, il se souderait plus loin, après s'être détaché en dehors, aux
fibres
précédemment décrites qui viennent du ruban de
mousse satisfasse à tous les desiderata, elle doit être composée de
fibres
très longues et ne contenir aucune matière étra
ir aucune matière étrangère. Il faut exclure absolument la mousse à
fibres
courte* car elle donne beaucoup de poussière.
t son in- fluence sur la sensibilité cutanée, par Vannori, 497.
Fibre
nerveuse. Structure de la -, par liossolimo et
a - (]ans le diabète, par Souques et Mari- nesco, 400. Trajet des
fibres
exogènes de la -, par Donetti, 401. Dégénéres
g le noyau de Luys, le noyau rouge de Stilling lui en- voient des
fibres
; on ne voit que la partie externe de la coque
n peu plus en dedans, le noyau lui-même aurait été intéressé. Les
fibres
fines, qui traversent la couche optique et se j
er sous le nom de pied de la couronne rayonnante. (PL. II.) Ici les
fibres
se por- tent en avant en formant, non des rayon
une sorte de trajet médullaire, perpendiculaire à la direction des
fibres
du corps calleux. Leurs terminaisons au lobule
lieu d'être obliques comme celles du segment inférieur. Outre les
fibres
qui précèdent, la Planche III nous permet encor
nt. Nous savons déjà, d'après la cinquième zone frontale, que les
fibres
se rendent sous forme de courbes vers le lobule
les coupes frontales et sagittales démontrent concurremment que les
fibres
les plus externes du groupe antérieur des irrad
nts qui intéressent l'étude de la capsule interne : a) Le cône de
fibres
que le noyau rouge de Shilling fournit dans ce
e optique. Il n'est pas indifférent de constater l'existence de ces
fibres
et leur situation entre la bandelette optique (
nucléaire la plus rapprochée de la base n'est pas traversée par les
fibres
capsulaires. Les deux noyaux ne sont pas distin
; ils ne forment qu'une masse. On y voit cependant des fragments de
fibres
détachés par le couteau et y constituant comme
eau et y constituant comme un témoignage de la direction courbe des
fibres
antérieures de la capsule. Deuxième coupe. La
caudé. Cette substance blanche est formée principalement par les
fibres
qui viennent de la partie postérieure de la cou
cule cérébral. Gratiolet a le premier attiré l'attention sur les
fibres
qui viennent du pulvinar et des corps genouillé
nar et des corps genouillés. Aussi les appelle-t-on à juste titre :
fibres
optiques de Gratiolet. Moins bien inspiré pour
e titre : fibres optiques de Gratiolet. Moins bien inspiré pour les
fibres
fournies par le pédoncule, Meynert les a désign
r de 4 cen- timètres. f) Dans le segment antérieur la section des
fibres
indique qu'elles ont été coupées dans le sens d
itue donc en réalité que le commencement ou le pied de toutes les
fibres
du segment antérieur formé par l'en- semble de
le trajet du bord externe du ventricule latéral un en- semble de
fibres
tranchant par leur direction sur celles 10 O AN
tapetum et la corne postérieure du corps calleux, en dehors par les
fibres
arciformes, intergyraires. Entre les faisceau
verse le centre ovale et se termine au lobule paracentral. b) Les
fibres
en éventail de la zone sagittale (PL. IV) desti
e. On sait que sous ce nom on désigne l'ensemble des faisceaux ou
fibres
dont on constate la présence sur le le trajet d
éjà dit que nos recherches nous avaient conduit à nous faire de ces
fibres
une toute autre idée que celle qui a cours dans
interruption ni réduction dans les noyaux de la base. Toutes les
fibres
de la couronne rayonnante ne sont que les expan
nante, c'est-à-dire si les ganglions étaient le point d'arrivée des
fibres
hémisphériques, il faudrait nécessairement qu'i
nécessairement qu'il y eût rapport direct entre le nombre de ces
fibres
et les parties les plus volumineu- ses des gang
lement, contre l'opinion qui faisait converger sur eux toutes les
fibres
cérébrales environnantes. Néanmoins , on enseig
NE ET DE LA COURONNE RAYONNANTE. 15 voie dans toute son étendue des
fibres
au noyau caudé, et on tient pour vraisemblable
lement, dans cette région le centre ovale de Vieussens comprend des
fibres
ascendantes, et ces fibres forment sur la secti
e centre ovale de Vieussens comprend des fibres ascendantes, et ces
fibres
forment sur la section un ruban d'un centimètre
e de largeur, courbe, convexe en dehors, concave en de- dans. Ces
fibres
sont divisées en deux catégories : les unes int
ernes, abou- tissant aux circonvolutions médianes, font suite aux
fibres
capsulaires, qui, ici, comme sur la partie anté-
édicule sphéno-occipital. Je dois faire remarquer que ces dernières
fibres
constituent pour nous des fibres d'association
aire remarquer que ces dernières fibres constituent pour nous des
fibres
d'association verticales, destinées à DE LA CAP
es de l'hémisphère à celles de la base. Elles complètent les autres
fibres
d'association dont nous parlerons bientôt. Ma
ont nous parlerons bientôt. Mais la capsule fournit encore d'autres
fibres
dans cette région, fibres invisibles dans les c
Mais la capsule fournit encore d'autres fibres dans cette région,
fibres
invisibles dans les coupes fron- tales, apparen
asion de faire remarquer que ce caractère de directes donné à ces
fibres
pour les différencier des antérieures et des mo-
ux noyaux lenticulaire et nucléaire. Mais la plus grande partie des
fibres
de ce système procède immédiatement du pulvinar
enticu- laire et la commissure cérébrale postérieure. Ce sont les
fibres
optiques de Gratiolet. Les coupes horizon- tale
es horizon- tales sus-mésolobaires ne présentent pas trace de ces
fibres
: on ne les constate réellement que dans les co
interne de l'hémisphère. Telle est la couronne rayonnante; sauf les
fibres
de DE LA CAPSULE INTERNE ET DE LA COURONNE RAYO
- nent à la constitution du centre médullaire hémisphé- rique les
fibres
dites d'association, les fibres de Gra- tiolet,
ntre médullaire hémisphé- rique les fibres dites d'association, les
fibres
de Gra- tiolet, le faisceau unciforme et la cap
me et la capsule externe. Les systèmes d'association ou systèmes de
fibres
des- tinées à relier entre elles plusieurs part
une immer- 20 ANATOMIE. sion momentanée dans de l'eau froide, les
fibres
, pro- bablement par le fait d'une simple hydrot
d'aspect hétérogène, nous devrons le considérer comme formé par des
fibres
coupées en travers, avec cette remarque non moi
coupées en travers, avec cette remarque non moins majeure que ces
fibres
se présenteront, soit sous la forme de points o
° Le faisceau longitudinal inférieur. 5° Le système très étendu des
fibres
propres (Fibrse proprioe.) - A ces cinq systè
isseur provient, ainsi que le fait remarquer Meynert, de ce que des
fibres
d'un autre ordre contribuent à le former. Epais
il irait se terminer à la pointe du lobe temporal. De nombreuses
fibres
provenant des parties avoisinantes de l'écorce
itter après un parcours plus ou moins long. De petits systèmes de
fibres
arciformes se réunissent par conséquent aux 23
es arciformes se réunissent par conséquent aux 23 1-) ANATOMIE.
fibres
à long trajet; ces fibres me paraissent identique
t par conséquent aux 23 1-) ANATOMIE. fibres à long trajet; ces
fibres
me paraissent identiques à celles que nous verr
aissent identiques à celles que nous verrons bientôt sous le nom de
fibres
propres ou de Gratiolet. On en voit provenir di
. Il est constitué de la même façon que l'interne ; il est formé de
fibres
longues et de fibres courtes, mais elles sont p
la même façon que l'interne ; il est formé de fibres longues et de
fibres
courtes, mais elles sont plus nom- breuses les
tes, mais elles sont plus nom- breuses les unes que les autres. Les
fibres
courtes ou de Gratiolet, viennent des circonvol
ur les centres lobulaires de la substance blanche il semble que les
fibres
de Gratiolet les plus longues s'entrecroisent l
tructure est celle des faisceaux précédents. Il renferme de longues
fibres
directes et surtout de nombreuses fibres courte
. Il renferme de longues fibres directes et surtout de nombreuses
fibres
courtes qui viennent à lui des par- ties avoisi
, XX, dut. I, on reconnaîtra facilement la section transversale des
fibres
d'association antéro - posté- rieures. 1 D. F
ansversale des fibres d'association antéro - posté- rieures. 1 D.
Fibres
propres ou fibres de Gratiolet. Ces fibres sont
res d'association antéro - posté- rieures. 1 D. Fibres propres ou
fibres
de Gratiolet. Ces fibres sont en nombre considé
- posté- rieures. 1 D. Fibres propres ou fibres de Gratiolet. Ces
fibres
sont en nombre considérable sous l'écorce. Les
la partie inférieure du claustrum, qu'il traverse pour se mêler aux
fibres
de la commissure cérébrale antérieure et venir
XX, du tome I.) En un mot, le fais- ceau unciforme joue le rôle des
fibres
propres de Gra- tiolet ; elle unit les parties
coupes, il est difficile de ne pas assimiler la capsule externe aux
fibres
lon- gues de Gratiolet, à celles qui embrassent
le externe après avoir dépassé le claustrum s'adjoint aux petites
fibres
de Gratiolet pour se porter, avec les an- térie
tie anté- rieure, la capsule externe est également formée par des
fibres
appartenant au corps calleux. (Commissure inter-
véritable anse caudo-lenticulaire. Cela revient à dire, qu'ici les
fibres
delà capsule externe venant du corps calleux se
recourbent en dedans. Mais il est à remarquer que le nombre de ces
fibres
diminue au sur et à mesure qu'on avance en arri
erne examinée d'avant en arrière est donc formée de deux espèces de
fibres
jusqu'à la rencontre de la commissure cérébrale
eux, se recourbent en bas et en dedans; les autres, constituant des
fibres
longues de Gratiolet, en partie verticales, en
en arrière du genou du corps calleux, c'est-à-dire au point où ses
fibres
commissurales vont être remplacées par la commi
ule, en laissant supposer que le trajet qu'elle suit est formé de
fibres
rectilignes brisées, formant un angle rentrant
Ce procédé fausse donc le jugement sur la véritable direction des
fibres
capsulaires. Il laisse croire que ces fibres on
itable direction des fibres capsulaires. Il laisse croire que ces
fibres
ont la même direction que les segments, ce qui es
ts, ce qui est contraire à la réalité. En effet, ce ne sont pas des
fibres
, mais bien des petites portions de fibres, des
effet, ce ne sont pas des fibres, mais bien des petites portions de
fibres
, des petits arcs qui forment, par exemple, le s
description que j'ai faite ne permet pas le doute à cet égard. Les
fibres
capsulaires étant courbes, parallèles entre ell
L1\CtIE C. i., capsule interne. C. op., couche optique. F. op.,
fibres
optiques. , N. c., noyau caudé. N. I., noyau
al, portion directe. PLANCHE VI C. i., capsule interne ? op. Gr.,
fibres
optiques de Gratiolet. N. L., noyau de Luys; pu
musculaire n'est pas due seulement à l'excita- tion mécanique de la
fibre
musculaire elle-même, mais qu'elle se montre ég
a substance musculaire, ou sur les rameaux nerv ew moteurs dont les
fibres
viennent s'v terminer. 36 PHYSIOLOGIE PATHOLO
ndon doit consister en un choc brusque qui, par l'intermédiaire des
fibres
tendineuses, détermine un ébranlement soudain d
ne contracture ÉTUDE DE ciilz LES HYSTÉRIQUES. -)9 permanente des
fibres
musculaires qui font suite aux fibres tendineus
ÉRIQUES. -)9 permanente des fibres musculaires qui font suite aux
fibres
tendineuses. Pour les tendons de la tabatière a
ment commun : c'est une contraction provoquée par l'extension de la
fibre
musculaire et on peut affirmer que la contracti
t ; ce phénomène ne serait nullement attribuable à la présence de
fibres
gustatives dans le facial ; il n'y aurait là qu'u
contracture est-elle la conséquence de l'excitation di- recte de la
fibre
musculaire elle-même, ou bien suit- elle l'exci
ps du sterno-mastoïdien, ou une simple pression sur un point de ses
fibres
, pour que ce muscle entre en contracture, impri
citer un muscle, soit directe- ment, en portant l'excitation sur sa
fibre
elle-même, soit indirectement, en portant l'exc
o-musculaire, celles qui résultent de l'ex- citabilité spéciale des
fibres
tendineuses et de la sy- nergie musculaire. M
le muscle lui-même ou sur le rameau nerveux qui l'innerve, met les
fibres
muscu- laires en action, mais, la contraction a
ent à l'excitation mécanique' portée sur' différents' points de ses
fibres
. En excitant sur la lèvre inférieure' un point
cles en certains points et de l'intrication d'une partie de leurs
fibres
.. De plus, un même rameau nerveux les innerve. -
her avec l'excitateur .une portion .du rameau nerveux, , dont les
fibres
se distribuent. à plusieurs muscles à la fois.,
en la renversant un peu en dehors. , . , . Le PEAUSSIER, dont les
fibres
se terminent dans cette région, est également t
us de l'excitation d'un muscle, directement1, ! en agissant sur les
fibres
muscu- laires elles-mêmes, ou, indirectement,*
ion, si ce n'est que, dans ce cas,- nous excitons directement' la
fibre
musculaire dans la zone située. au : dessus- de l
semble de ces images prend sa'formule, son nom. Ce nom, à l'aide de
fibres
de transmis- sion, atteint le bulbe, d'où les f
m, à l'aide de fibres de transmis- sion, atteint le bulbe, d'où les
fibres
nerveuses qui animent les diverses parties de l
as rapporter le vrai nom à la lettre qu'il voit.- Si c'est dans les
fibres
conductrices qui vont du centre auditif au cent
ppelle les diverses théories proposées ; lésion du trijumeau ou des
fibres
sympa- thiques contenues dans le tronc nerveux
les troublés spasmodiqùespar suite de l'interruption descelles dés'
fibres
'centrifuges'qui partent des foyers cérébraux m
es (Obs. n° 90 du tableau); concurremment, atrophie et sclérose des
fibres
nerveuses correspondantes, épaississement et in
i théories -fonctionnelles^ à l'homme; il se base sur le trajet des
fibres
nerveuses. L'arrivée dans la corne d'Aminon' oï
sie labio-glosso-pharyngée et la bilatéralité des symp- tômes ; les
fibres
émanées d'un seul hémisphère étant, par un hasa
avec l'altération granuleuse 'typique ('grosses' granulations) des
fibres
musculaires (dy's- trophie) : un second examen
i., capsule interne ? '" C. op., couche optique. j ''T ' F. op.,
fibres
optiques.' ? ' ' A', c, noyaû'caudé. ' ' " ' `
NCHES. PLANCHE VI C. i., capsule interne 1 , ,,fi , f. op. Gr.,
fibres
optiques de Gratiolet. r v , , ,. ,, J N. L. ,
udé. li11'LIC ? l'lU\ lll : i l'i..1\( llli. PLANCHE VIII f G.,
fibres
de Gratiolet. ? 1. i., faisceau longitudinal inté
erritoire des faisceaux pyramidaux croisés, hésite à admettre que les
fibres
altérées soient bien celles du faisceau pyramid
nt bien celles du faisceau pyramidal. 11 pense au contraire que les
fibres
du faisceau pyramidal sont intactes, et que l'alt
faisceau pyramidal sont intactes, et que l'altération porte sur des
fibres
dépendant du système des faisceaux cérébelleux di
s le degré et la topographie de la dégéné- ration, l'altération des
fibres
pyramidales elles-mêmes ne saurait être mise en
ramidales elles-mêmes ne saurait être mise en doute, car jamais les
fibres
cordonales, même détruites en totalité, ne peuv
lésions peuvent intéresser soit les centres eux-mê- mes, soit leur
fibre
d'association, à long ou à court trajet, soit les
es, soit leur fibre d'association, à long ou à court trajet, soit les
fibres
de projection. De là ces nombreuses formes clin
r des grands dorsaux, ou plus exactement à la ligne d'insertion des
fibres
du grand dorsal sur l'aponévrose dorso-lombaire
inué. Dans la protubérance, il existe une atrophie considérable des
fibres
du pédon- cule cérébelleux. Dans le bulbe, il y
s sens, on constate,en outre ? a dégénères- 130 RAYMOND cence des
fibres
dans les cordons de Goll, dans les faisceaux céré
amen d'altérations, minimes à la vérité parfois, du cervelet et des
fibres
ponto-transversales. Or, en ter- minant la préc
rmale que par la gracilité de son ensemble et de ses éléments ; les
fibres
tangentielles et les divers plexus sont régulie
elles et les divers plexus sont réguliers et bien fournis, mais les
fibres
sont d'une ex- trême minceur, les couches cellu
La coloration de Weigert-Pal montre une diminution considérable des
fibres
nerveuses partout (sauf au niveau des noyaux de
ceux-ci ainsi que la région adjacente paraissent sains et riches en
fibres
myéliniques) portant sur les fibres fines de la c
e paraissent sains et riches en fibres myéliniques) portant sur les
fibres
fines de la couche des grains, sur le faisceau
le pédon- cule inférieur (corps restiforme) et le pédoncule moyen (
fibres
transversales de la protubérance) sont atrophié
sont plus discrètes et en raison de la multiplicité des systèmes de
fibres
, moins apparentes à première vue. Bien entendu
modifications sont assez nettes. Les noyaux du pont, ainsi que les
fibres
qui en émanent sont atrophiés ; *, plus bas, à
on voit les corps restiformes réduits de volume et clairsemés comme
fibres
. MALADIE DE FRIEDREICR ET HÉRÉDO-ATAXIE CÉRÉBEL
CÉRÉBELLEUSE 135 Pareille raréfaction s'observe également dans les
fibres
arciformes exter- nes, les fibres arciformes in
tion s'observe également dans les fibres arciformes exter- nes, les
fibres
arciformes intertrigéminales et le feutrage inter
les noyaux de Goll et de Burdach sont tout à fait démyélinisés et les
fibres
qui s'y rendent très peu abondantes. A noter
dullaire. En aucun point, il n'existe une véritable disparition des
fibres
, mais leurs dimensions sont très inégales, beau
gions cornu-commissurales et cornu-radiculaires sont plus riches en
fibres
. La zone de Lissauer contient un certain nombre
riches en fibres. La zone de Lissauer contient un certain nombre de
fibres
fines. Par contre, les fibres arquées (sensitiv
issauer contient un certain nombre de fibres fines. Par contre, les
fibres
arquées (sensitivo-réflexes de Kôlliker) et celle
partout très peu abondantes. Il est difficile d'affirmer ici si les
fibres
endogènes sont conservées ou non. b) Racines. L
n lombaire et dorsale infé- rieure et deviennent plus abondantes en
fibres
, à mesure que l'on s'élève. c) Faisceau antéro-
postérieure est à l'opposé, absolument réduite de volume, pauvre en
fibres
et en cellules, surtout au niveau des colonnes de
/) Ganglions spinaux. Leur capsule fibreuse est hypertrophiée, les
fibres
136 RAYMOND - à myéline sont sinueuses et fin
escence primitive du seul proto-neurone moteur ou de son annexe, la
fibre
musculaire. Allons plus loin, Messieurs. Si les
ux sagittaux et ceux d'association aient dû subir une diminution de
fibres
par suite de la destruction décrite plus haut.
as de larges champs de substance blanche, contenant entr'autres les
fibres
courtes d'association. Serait-ce donc aux dépens
PAPADAKI de la coupe du vaisseau et la direction prépondérante des
fibres
nerveuses ambiantes. Très nombreux dans la moel
ration des phénomènes de compression en des endroits où passent des
fibres
réunis- sant de grands domaines de l'écorce au
par des croix. Cependant elles sont aussi fort nombreuses entre les
fibres
de la couronne rayonnante. Dans la capsule in-
trouve aussi dans le trigone ascendant où elles sont parallèles aux
fibres
; dans les ganglions de la base elles sont rondes
S DU TISSU CEREBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 145 de nombreuses
fibres
nerveuses. Cependant il y a'des fibres conservées
DE TUMEURS 145 de nombreuses fibres nerveuses. Cependant il y a'des
fibres
conservées jusqu'au voisinage immédiat de la tu
rouges séparés par des blancs, qui ne sont pas autre chose que des
fibres
conservées. Au Weigert on remarque que, dans cett
artie et surtout dans le jambage médian de l'U (formé par Fli.),les
fibres
sont fortement raréfiées et très variqueuses.
IIe paires sont presque complètement dégénérés. Un petit nombre de
fibres
seulement se colorent au Weigert ; au carmin les
où l'on ne retrouve que très rarement l'image caractéristique de la
fibre
nerveuse. Mais déjà la région des corps genouil
parties du cerveau. Il n'est pas rare de voir ces espaces entourés de
fibres
ner- veuses plus denses et d'un anneau de noyau
etites vacuoles sans membrane propre, délimitées simplement par des
fibres
nerveuses serrées (fig. 5). Mais ici ces vacuol
est clair qu'à ces va- cuoles doit correspondre une déperdition en
fibres
nerveuses, mais elle est Fie. 3. - P, pigment.
FiG. 4. C, corps amylacés. - Esp, es- pace péri-vasculaire. - F,
fibres
ner- veuses denses.- N, noyaux névrogl.- T, t
ctif. - V, vaisseau. Fic. 5 et 5 a. V, vaisseau. Va, vacuoles. F,
fibres
blanches. .V, noyaux névrogliques. Esp, espace
zontale nous trouvons en avant de la tumeur une forte raréfaction des
fibres
nerveuses radiaires et surtout supraradiaires,
e de vacuoles (Fig. 5 et 5 a). Cependant il y a encore toujours des
fibres
ner- veuses conservées. En certams endroits où
remarquables des domaines corticaux correspondants. Destruction de
fibres
nerveuses limi- tée à une zone étroite située d
7), le noyau IIIe à gauche se voit bien et l'on suit facilement les
fibres
qui en naissent. A droite par contre le même no
noyau ne dispose que d'un espace minime, il n'en sort que quelques
fibres
qui se perdent bientôt dans la tumeur (Fig. 8).
alysie du nerf IIP à droite par destruction directe du noyau et des
fibres
. D'autres sont sans doute des effets de com- pr
étal et en concluons que le cerveau avait subi une perte notable en
fibres
nerveuses. Ceci peut fournir l'explication de l'é
pédoncules, dans la masse même du cervelet. Donc ici aussi perte de
fibres
nerveuses (Fig. 9). XV) H i i FiG. 9. Pcm, pé
e et il n'est pas possible de distinguer les images en soleil de la
fibre
nerveuse. Nous croyons remarquer que les faisceau
e céphalo-rachidien, incompressible, se fait place en réduisant les
fibres
nerveuses il l'atrophie. C'est le second stade
dilatation ventriculaire est le plus forte là où il y a le plus de
fibres
associatives (lobe frontal). A mesure que la co
des résidus ou de la nutrition cérébrale ou de la dégénérescence des
fibres
nerveuses. Nous avons démontré l'existence de c
alotte protubéran- tielle immédiatement en arrière de la couche des
fibres
sensitives, au-des- sous de l'entrecroisement d
ieurs, le procédé de Pal permet de constater les divers systèmes de
fibres
et de cel- lules détruites à savoir : la masse
réticulaire, la partie supérieure et interne du ruban de Reil, les
fibres
de la racine supérieure des- cendante du trijum
bandelette lon- gitudinale postérieure est refoulée en avant et ses
fibres
sont raréfiées, du côté gauche le faisceau long
gauche le faisceau longitudinal postérieur est à peu près intact. Les
fibres
radi- culaires intrapédonculaires des noyaux oc
teurs ne sont pas totalement dégénérées, on voit nettement quelques
fibres
qui partent du faisceau longitu- dinal postérie
sente pas de zones nettement dé- générées, la comparaison entre les
fibres
colorées à droite et à gauche est à peu près la
est à peu près la même ; au surplus il y a du côté gauche quelques
fibres
plus minces et plus pâles et le pied du pédoncu
e la racine descendante du trijumeau consti- tuée par de très rares
fibres
pâles et peu distinctes. Les fibres de la bandele
consti- tuée par de très rares fibres pâles et peu distinctes. Les
fibres
de la bandelette longitudinale postérieure ici
deux noyaux du pathéti- que sont pris, on ne voit pas de trace des
fibres
nerveuses entrecroisées à ce niveau, la section
gauche est plus distincte, elle est formée par un petit faisceau de
fibres
pâles et atrophiées. Les cellules de la substan
substance grise du locus coerules à ce niveau sont très rares. Les
fibres
de la bandelette longitudinale postérieure sont
e, quoique très réduite, a augmenté de volume surtout à droite. Les
fibres
arciformes sont un peu pâles et traversent la ban
égion ventrale de la protubé- 168 GRUNER ET BERTOLOTTI rance, les
fibres
du faisceau pyramidal et les fibres transversales
GRUNER ET BERTOLOTTI rance, les fibres du faisceau pyramidal et les
fibres
transversales sont quelque peu plus nombreuses
onservé leur forme triangulaire, on peut voir l'entrecroisement des
fibres
au dedans du noyau; le genou du facial et les f
croisement des fibres au dedans du noyau; le genou du facial et les
fibres
radiculaires de la VIe paire sont très bien con
entre les noyaux de la 1111, et de la IVe paire, pour détruire les
fibres
d'association entre ces noyaux, qui montent par
vement peu envahissant pour que les noyaux gris de l'aqueduc et les
fibres
des racines qui traversent la calotte soient lésé
ux; on avait admis pour l'expliquer, un entrecroisement partiel des
fibres
radiculaires du noyau du droit interne entre el
rent pouvoir démontrer que du noyau de la sixième paire émanent des
fibres
motrices ascendantes qui montent par le faiscea
uel de la physio-pathologie nerveuse, force nous est d'admettre des
fibres
ascen- dantes de la VIe paire vers la Ille pair
le point suivant : le faisceau longitudinal postérieur contient des
fibres
ascendantes, mais la communication entre les no
la VIe paire et les nerfs de la 1118 paire n'est pas directe ; les
fibres
partent du noyau externe, parcourent (1) DUVAL
marquable (1), formulaient les conclusions suivantes : « Il y a des
fibres
ascendantes qui unissent la VIe à la Ille paire,
le noyau du droit in- terne ; nous ne croyons pas en effet que ces
fibres
parviennent directement jusqu'au muscle droit i
rcalaire au sur- plus on pourrait très bien admettre l'existence de
fibres
directes entre le noyau de l'abducens et les ra
noyau de l'abducens et les racines de l'oculo-moteur commun, et de
fibres
de relai entre les noyaux de la VIe et de la II
rouvé qu'une lésion portant sur le noyau de la VIe paire ou sur ses
fibres
ascendantes qui montent par les faisceaux de la
gique de ces mouvements conjugués^ ? ' un simple entrecroisement de
fibres
entre les noyaux oculo-moteurs. Si l'on songe e
entir sur les noyaux moteurs de la IIIe paire tout en épargnant les
fibres
radi- culaires anastomotiques issues du noyau d
aire ; or l'examen histologique démontra la persistance de quelques
fibres
radiculaires qui passant par le pied du pé- don
périeure et descendante du trijumeau, qui contiendrait, en plus des
fibres
motrices, aussi des fibres trophiques. Dans not
trijumeau, qui contiendrait, en plus des fibres motrices, aussi des
fibres
trophiques. Dans notre IIe observation, en plus
toxyline-éosine et le Nissl. Le Pal montre une légère raréfaction des
fibres
à myéline dans le faisceau pyramidal croisé dro
ns le faisceau pyramidal croisé droit, le picro-carmin y décèle des
fibres
atrophiées et un peu de sclérose. La moelle lomba
che, examiné, est normal. Le sciatique poplité externe gauche a des
fibres
à myéline dégénérées ; les travées interfas- ci
pàle et atrophié. Au microscope on constate une atrophie simple des
fibres
musculaires avec réaction du tissu conjonctif en
s musculaires avec réaction du tissu conjonctif en rapport avec les
fibres
atrophiées. Ces fibres atrophiées, dont la striat
tion du tissu conjonctif en rapport avec les fibres atrophiées. Ces
fibres
atrophiées, dont la striation n'est parfois pas
noyaux. Autour de ces grains est du pigment jaune. Entre certaines
fibres
sont des amas de cellules rondes. Il n'y a pas de
oyaux du sarcolemme et une augmentation du diamètre transversal des
fibres
qui atteignaient 130 micra, sans lésion du tissu
nerveux, l'électrisation sera plutôt nuisible, comme excitant de la
fibre
mus- culaire affaiblie. On peut, par conséquent
ur, ainsi que pour Poor, l'affection dépendrait des altérations des
fibres
musculaires des muscles de l'avant-bras et de la
ysiologique du massage, consistant à activer la contractilité de la
fibre
musculaire, montre que, lors- qu'un muscle est
ntéro-latéraux. OBS. I. P. G. Pémence, paraplégie ; raréfaction des
fibres
à myéline dans la moitié postérieure des faisce
n uniforme, toutes sont très pigmentées. Au Weigert. Diminution des
fibres
de la couronne rayonnante, dispari- tion des fi
Diminution des fibres de la couronne rayonnante, dispari- tion des
fibres
de Tucksek et des fibres de Baillarger. Moelle.
la couronne rayonnante, dispari- tion des fibres de Tucksek et des
fibres
de Baillarger. Moelle. Dans toute la hauteur de
o-lombaire, par la méthode Weigert, on constate une raréfaction des
fibres
à myéline dans les deux tiers externes de la part
celui de Baillarger est peu visible. La cou- ronne rayonnante a ses
fibres
amincies et diminuées de nombre. (t) A. VIOOURO
es mêmes régions, le Pal met en évidence une grande raréfaction des
fibres
à myéline, dont la plupart sont atrophiées (PI.
moelle lombaire est normale, à part une très légère raréfaction des
fibres
à myéline dans les aires pyramidales croisées.
cordons postérieurs. 10. Obs. XI. Moelle cervicale. Raréfaction des
fibres
à myéline dans les aires pyra- midales croisées
cordons postérieurs. 12. Obs. XI. Moelle lombaire. Raréfaction des
fibres
à myéline dans les aires pyra- midales croisées
yra- midales croisées et les cordons postérieurs et disparition des
fibres
des zones de Lissauer. NOUVELLE Iconographie
tion diffuse de petites cellules rondes et une dégénéres- cence des
fibres
à myéline dans la moitié postérieure de la moelle
erveuses paraissent normales. A la région dorsale, on ne trouve les
fibres
dégénérées que dans un îlot situé à la partie a
Le Weigert montre que la couronne rayonnante est atrophiée et que les
fibres
de Tucksek et de Baillarger ont disparu. Bulb
a pyramide du côté droit est beaucoup plus claire que l'autre ; les
fibres
y sont clairsemées. Moelle cervicale. Légère in
clérose à proprement parler. Ce n'est qu'une simple raréfaction des
fibres
des faisceaux pyramidaux croisés seulement sous
est évi- dente; la pseudo-systématisation de la dégénérescence des
fibres
à myé- line démontre qu'elle en dépend. A la my
élite ou de radiculite, suffirait à expliquer la dégénérescence des
fibres
à myéline à la limite moyenne des cordons de Go
. Cette dernière, con- sistant plutôt en une simple raréfaction des
fibres
, se rapproche des cas précédents. Cette obser
e bande longeant la commissure grise offre un assez grand nombre de
fibres
respectées (pl. XXXIII, fig. 7). Les racines po
tre une sclérose limitée aux cordons posté- rieurs. Seules quelques
fibres
confinant aux noyaux de Burdach et de Goll sont
iltrée. La gaine des vaisseaux est remplie de petites cellules. Les
fibres
de Tuckset ont en grande partie disparu. OBs.
Les cordons antéro-latéraux sont absolument sains. En revanche, les
fibres
des cordons postérieurs sont fortement altérées
ieure (zone cornu-commissurale) ; cette zone, où il y a très peu de
fibres
dégénérées se prolonge en arrière en s'effilant l
lechsig. On observe cependant dans cette petite zone quelques rares
fibres
dégénérées. Quant au reste du cordon postérieur
: 1° Une région externe où l'on aperçoit, coupées obliquement, les
fibres
ra- diculaires postérieures très fortement atte
ainsi que la zone de Lissauer. 2° Plus en dedans, une région où les
fibres
dégénérées sont sectionnées per* pendiculaireme
aléraiix. Au niveau des cordons postérieurs un très grand nombre de
fibres
sont dégénérées. La lésion est diffuse et ne re
aux sont infiltrées et entourées de nombreuses cellules rondes. Les
fibres
tangentielles ont, en grande partie, disparu. L
détruites. On voit la dégénérescence en bandes de beaucoup de leurs
fibres
à myéline. Nissl. Les cellules nerveuses sont r
blocs pigmentaires dans les espaces périvasculaires. Au Weigert,les
fibres
de la couronne rayonnante sont raréfiées et atrop
fibres de la couronne rayonnante sont raréfiées et atrophiées. Les
fibres
de la strie de Baillarger sont rares, les fibres
et atrophiées. Les fibres de la strie de Baillarger sont rares, les
fibres
de Tuczeck ont disparu. Au Nissl, quelques cell
ssauer et de la partie interne des cordons de Goll. Raréfaction des
fibres
dans les deux aires pyramidales. 6. Obs. X. Moe
t de la partie postéro-interne des cordons de Goll. Raréfaction des
fibres
dans les deux aires pyramidales. 1. Obs. X. M
une sclérose légère des ban- delettes externes, une raréfaction des
fibres
des aires pyramidales et quelques taches décolo
de la couronne rayonnante apparaissent raréfiées et atrophiées, les
fibres
de la strie de Baillarger sont très clairsemées,
iées, les fibres de la strie de Baillarger sont très clairsemées, les
fibres
de Tuczeck ont disparu. Au Nissl, les cellule
la partie interne. La périphérie de la pie-mère est formée par des
fibres
conjonctives adultes. 1 Les vaisseaux méningé
- ment ; à un plus fort grossissement on voit qu'un grand nombre de
fibres
de névroglie entre dans sa constitution ; les f
rand nombre de fibres de névroglie entre dans sa constitution ; les
fibres
existantes sont moniliformes. Les fibres de Bai
dans sa constitution ; les fibres existantes sont moniliformes. Les
fibres
de Baillarger sont détruites et celles de la cour
paraissent beau- coup plus claires. Au microscope, on voit que les
fibres
sont plus clairsemées et qu'un grand nombre d'e
substance réticulée paraît également présenter une'diminution de ses
fibres
Moelle. Au niveau de la moelle cervicale : méni
façon très intense ; ces petites cellules dissocient;par places les
fibres
radiculaires et forment entre celles-ci de vérita
lle cervicale colorée au Weigert, on constate : une raréfaction des
fibres
nerveuses au niveau des aires des faisceaux pyram
esphall est intacte. Au microscope, dans les aires pyramidales, les
fibres
sont clairsemées et un grand nombre sont d'un v
rsale. Enfin, il y a dans les aires pyramidales une raréfaction des
fibres
, qui donne à la moelle l'aspect d'une sclérose
sous-corticaux, lacunes de désintégration. Au Weigert, atrophie des
fibres
de la couronne rayonnante, disparition des fibr
ert, atrophie des fibres de la couronne rayonnante, disparition des
fibres
de Tuczeck et de Baillarger. Au Nissl, altérati
est atteinte d'endartérite marquée. Le tissu nerveux, - cellules et
fibres
- se. colore très mal. Les racines sont enflamm
racines sont enflammées. Weigert-Pal. On voit une raréfaction des
fibres
dans les aires pyrami- dales et les cordons pos
réparations au Marchi permettent de vérifier cette altéra- tion des
fibres
; la myéline d'un grand nombre ne se teinte pas e
ordons de Goll et de Burdach et les aires pyramidales croisées. Des
fibres
raréfiées qui y persistent, les unes sont hyper
atique reste colorée en bleu. Weigert-Pal. - Il y a raréfaction des
fibres
à myéline dans les aires pyrami- dales croisées
eures sont plus grêles que normalement ; et il y a diminu- tion des
fibres
dans les racines avec prédominance d'un côté. M
matolyse et neuronophagie. Au Weigert ne sont plus perceptibles les
fibres
de Tuczeck et de Baillarger. Il y a raréfaction
bles les fibres de Tuczeck et de Baillarger. Il y a raréfaction des
fibres
de la couronne rayonnante. Cas. XII. - Dous...
flammés avec petits foyers lacunaires inflammatoires, raréfaction des
fibres
d'irradiation, disparition des fibres de Tuczec
flammatoires, raréfaction des fibres d'irradiation, disparition des
fibres
de Tuczeck, et relative intégrité des cellules
lissement jusqu'à la moelle lombaire, on suit la dégénérescence des
fibres
pyramidales dans le pédoncule, le bulbe et la m
à elles seules expliquer la disposition de la dégéné- rescence des
fibres
. des cordons postérieurs, comme la méningite, qui
postérieures, peut entraîner une dégé- nérescence de voisinage des
fibres
nerveuses périphériques des cordons latéraux. '
es théories jusqu'alors soutenues. Nous avons vu la raréfaction des
fibres
pyramidales consécutives aux lésions d'encéphal
MÉNINGO-ENCÉPHALITE DIFFUSE ET BÉMIATROPIIIE CÉRÉBELLEUSE 237 Les
fibres
tangentielles sont en partie disparues dans les d
ont dans les autres parties du cortex très diminuées de nombre; les
fibres
radiaires paraissent normales. La névroglie est
cule cérébelleux moyen gauche est dégénéré en partie, ainsi que les
fibres
transversales antérieures de la protubérance du c
lesquelles on se proposait d'intervenir. Ainsi, dans la section des
fibres
antérieures de la protubérance qui proviennent
ébelleux moyens, on altère toujours les noyaux prépyramidaux et les
fibres
plus profondes des faisceaux pyramidaux. De plu
érescences provoquées par cette lé- sion du cervelet montra que les
fibres
antérieures de la protubérance du côté gauche,
tie de la protubérance voisine des pédoncules cérébraux, et que les
fibres
dégénérées ne dépassent pas la ligne médiane. E
t des circonvolutions voisines, avec dégénérescence consécutive des
fibres
antérieures de la protubérance du même côté, en
ons examiné un fragment de muscle provenant du thyro-hyoïdien : les
fibres
musculaires ont conservé leurs dimensions, leur f
ralysie bulbaire asthénique, des lé- sions atrophiques marquées des
fibres
pyramidales dans leur trajet bulbo- protubérant
e tumeur. Caractérisées par des infiltrations cellulaires entre les
fibres
musculaires, ces lésions ont été interprétées c
Et de plus il prouva que cette sécrétion était sous l'influence des
fibres
nerveuses secrétrices spéciales. Cette dernière
; tandis qu'elle nous prouve que dans le nerf il y a deux ordres de
fibres
: vasomotrices et sé- crétrices. Leur fonction
lions du sympathique, Stricker, Bonozzi, Bagliss ont trouvé que ces
fibres
se portent directement aux parois des vaisseaux
nt souvent ; dans le cas de Gegenbaur, elle est représentée par des
fibres
qui naissent du bord interne de l'acromion; dan
scent : absence de tout vestige de tissu nerveux ; per- sistance de
fibres
nerveuses ; tumeur cérébrale sacciforme. Chapit
ragiques ; elle est constituée par des éléments névrogliques et des
fibres
en mauvais état. De plus, elle est extrêmement ré
ntit nécessairement dans ce cas, comme dans le cas général, sur les
fibres
de la moelle qui ne sont, pour une bonne part,
eure à la propagation de l'inflammation vers la moelle. Dès lors, les
fibres
de celle-ci entrent en dégénérescence et cette
ue dans les segments inférieurs. Nous constatons, on outre, que les
fibres
sensitives, dont le centre trophique se trouve
en particulier, nous les discernons avec certitude, tandis que les
fibres
motrices ont disparu. En somme, les faits se ra
t aux processus de la dégénéres- cence Wallérienne, pour ce qui est
fibres
centrifuges. Peut-être remarquera-t-on que les
ur ce qui est fibres centrifuges. Peut-être remarquera-t-on que les
fibres
centripètes, si elles sont moins atteintes que
veloppée vers l'extérieur ; en particulier, les divers faisceaux de
fibres
radiculaires sont nettement envahis par le néof
le néoformation vasculaire ; celle-ci provoque la dégénérescence des
fibres
intéressées. Il s'agit encore, d'ailleurs, pour
ce, dès le moment où tout ou partie du cerveau cesse d'exister, les
fibres
médullaires correspondantes commencent à se dés
elle où, au-dessus des tissus de remplace- ment, sont disposées des
fibres
nerveuses en nombre variable (Fig. 11). 1° Abse
st tout au plus si, exceptionnellement, on retrouve des vestiges de
fibres
à myélines en fort mauvais état et reconnais- s
é par la néo- formation conjonctivo-vasculaire. 2° Persistance de
fibres
nerveuses. Les foetus qui présentent cette disp
ci d'ailleurs, ne sont guère plus qu'un assemblage de squelettes de
fibres
; ils sont étalés sur toute la largeur du planc
ns le premier chapitre. A ce niveau, existent encore des faisceaux de
fibres
: -. PATHOGÉNIE DE LA PSEUDENCÉPHALIE ET DE L'A
eurs intersti- ces, et, suivant toute apparence, un grand nombre de
fibres
ont dû disparaître. La dure-mère sur laquelle r
ordinaire, s'est étendue en dehors, respectant les fais- ceaux des
fibres
comme cela a constamment lieu, puis elle a marqué
le qui donne des résultats remarquables dans la différenciation des
fibres
à myéline est incapable de montrer les fins dét
et la fuchsine picriquée de Van Gieson (noyaux violets, cellules et
fibres
rouges, myélinejaune, fibrilles de névroglie).
lie se laisse décomposer en un réseau de fines fibrilles mêlées aux
fibres
nerveuses. A la périphérie de la moelle, au bor
La substance grise apparaît donc comme formée d'un plexus serré de
fibres
et de fibrilles. Les fibrilles de la névroglie
irections. Dans la zone des cellules on voit un lacis très serré de
fibres
et de fibrilles, où se reconnaissent facilement
nts protoplasmiques. Enfin dans la couche toute superficielle les
fibres
de névroglie forment un feutrage serré au milie
: la cornée, la sclérotique, la muqueuse pal- pébrale reçoivent des
fibres
sensitives du trijumeau qui transmettent au noy
m. A., contractions très faibles et seulement dans un faisceau des
fibres
NFC > PFC. Pectoral, contractions fortes 10
e-t-il en contracture ? Le trauma a-t-il déterminé des lésions, des
fibres
musculaires ont-elles été rompues, y a-t-il des
répondu à cette question en niant toute altération organique de la
fibre
musculaire. Et ce fait vient corroborer la notion
cellules spéciales (ostéoblastes). Au voisinage de la diaphyse, les
fibres
s'imprègnent de sels calcaires-commeplus haut la
égulière et ser- rée d'ostéoblastes. Ceux-ci revêtent également les
fibres
conjonctives incurvées vers la diaphyse qui s'i
'une mince couche de tissu compact. De sa face profonde partent des
fibres
de Sharpey qui se calcinent et servent de support
de façon à pouvoir se rendre un compte plus exact sur le trajet des
fibres
des pédoncules cérébelleux. Les coupes ont été
au contraire est nettement plus pâle dans son tiers inférieur ; les
fibres
qui .le constituent, coupées transversalement,
grise centrale, les stries acoustiques, la pyramide antérieure, les
fibres
arciformes internes, l'entrecroisement moteur et
vaire, mais au centre de l'olive il est très pâle ; on y retrouve des
fibres
parsemées, coupées transversalement qui semblen
nt immédiatement à côté du vermis (PI. LXI) la dégéné- rescence des
fibres
nerveuses occupe une grande partie du corps dente
avec la substance réticulée grise et le corps juxtarestiforme. Les
fibres
arciformes trigéminales sont très peu nombreuses
acine des- cendante du trijumeau, le faisceau latéral du bulbe, les
fibres
radiculaires des XI- et XIIe paires, le faiscea
ule cérébelleux supérieur reste décolorédans sa moitié moyenne; les
fibres
nerveuses y sont extrêmement réduites de nombre.L
nd entrecroisement commissural du vermis, la partie postérieure des
fibres
semi- circulaires externes et le feutrage sous-
rne de la couche moléculaire contient encore un nombre dis- cret de
fibres
nerveuses. Le feutrage de la couche granuleuse et
ue nous y avons décrites plus haut ne s'étendent pas en général aux
fibres
en guirlande et au feutrage sous-lobaire. La pl
u faisceau pyramidal est très claire et contient à peu près 1/5 des
fibres
nerveuses colorées, c'est-à- dire le même degré
ramidal et le faisceau de Flechsig ne contiennent plus que quelques
fibres
isolées. A ce même niveau les faisceaux pyramidau
elle dorsale, les faisceaux pyramidaux contiennent à peine quelques
fibres
nerveuses normales : les faisceaux pyramidaux dir
couche sous- pie-mérienne beaucoup plus épais que d'ordinaire : les
fibres
nerveuses, bien colorées par la laque hématoxyl
es ou dégénérées, mais elles existent aussi dans les parties où les
fibres
nerveuses semblent encore complètement intactes.
mblablement dans la mesure que nécessite le relâchement complet des
fibres
musculaires. Désormais les contractions n'au- r
sormais les contractions n'au- ront d'autre effet que de tendre ces
fibres
sans provoquer aucun mouvement squelettique ; d
tre ligure 1 ne rend que de façon bien schématique ces tourbillons de
fibres
très fines et élégamment groupées. Elles sont s
g. 4). Substance blanche. Dans tout le pourtour des ventricules les
fibres
ner- veuses sont séparées par de petites vacuol
PAR EMPYÈME VENTRICULAIRE 657 Dans les faisceaux ainsi raréfiés les
fibres
elles-mêmes apparaissent non plus sous la forme
blanche elle aussi est semée de vacuoles et en certains points les
fibres
ne se colorent presque plus au Weigert. En ces en
lus au Weigert. En ces endroits on remar- que un état variqueux des
fibres
d'une intensité incroyable et la présence de dé
elle seule ne conduit pas à un état moniliforme aussi prononcé des
fibres
nerveuses ; nous pensons donc que l'inflamma- t
lles sont fibro-plastiques et l'on voit interposées entre elles des
fibres
conjonctives plus ou moins grêles ou larges. Ma
nombreuses se touchent presque immédiatement sans interposition de
fibres
conjonctives. La plupart de ces cellules pré- s
ration colloïde du proto- plasma cellulaire est très prononcée, les
fibres
conjonctives devien- nent elles-mêmes tuméfiées
myopa- thies primitives progressives, la lésion ne porte que sur la
fibre
musculaire. Dans le premier groupe on trouve
eut donc très logiquement admettre que, dans le tabes sensitif, les
fibres
ner- veuses centripètes de toutes les sensibili
issent la dégénéres- cence, et que dans le tabes moteur, les seules
fibres
de la sensibilité réflexe sont atteintes. Com
ltique réflexe constitue le système pyramidal. Si dans le tabes les
fibres
centri- fuges de ce grand arc sont respectées,
nouveau-né en vert ou en gris jaunâtre et non en noir; les quelques
fibres
du nouveau-né colorées en noir n'ont pas le ton
notamment aux troisième et sixième semaines de la naissance; 3° Les
fibres
périphériques des nouveau-nés qui n'ont pas encor
s noyaux très volumineux surtout si on les compare à la largeur des
fibres
. Ces noyaux sont fréquemment entourés de masses
tendues ; ils par- raissent plus nombreux que chez l'adulte; 5° Les
fibres
nerveuses périphé- riques du nouveau-né sont co
s. Leur largeur moyenne est à peu près le cinquième du diamètre des
fibres
adultes. Jamais elles n'atteignent le maximum de
fibres adultes. Jamais elles n'atteignent le maximum de largeur des
fibres
adultes. Les minima des diamètres des fibres sont
maximum de largeur des fibres adultes. Les minima des diamètres des
fibres
sont les mêmes chez l'adulte et le nouveau-né,
le nouveau-né, mais on trouve chez le nouveau-né beau- coup plus de
fibres
à minimas. Fréquence caractéristique de libres tr
de richesse de noyaux; 7° A partir de la naissance la structure des
fibres
nerveuses périphériques se développe; les manch
rogressivement et alors se développent tous les autres éléments des
fibres
nerveuses; 8° Dans la deuxième et la troisième
de la vie le développement des manchons de myéline et de toutes les
fibres
périphériques est très voisin de l'état parfait
utes les fibres périphériques est très voisin de l'état parfait des
fibres
de l'adulte, mais il ne l'a pas encore complèteme
ais le développement des manchons de myéline et celui de toutes les
fibres
nerveuses périphériques est irrégulier. Il y a so
divers endroits de développement d'un nerf. Quant aux muscles, les
fibres
musculaires des nouveau-nés presque absolument
Chez un enfant d'un an on a constaté un nombre imposant de grandes
fibres
rondes et cylindriques entre d'autres petites f
ant de grandes fibres rondes et cylindriques entre d'autres petites
fibres
polygonales. Largeur bien moindre que de celles
'adulte ; les plus larges mesurent 28 p, c'est-à-dire moins que les
fibres
les plus étroites de l'adulte (30 ); aux époque
es de l'adulte (30 ); aux époques postembryonnaires on trouve des
fibres
très étroites de 5 à 10 li, ces dimensions progre
ueur des bourgeons musculaires de l'enfance est de 40 à 70 p. ; les
fibres
, contenues dans l'enveloppe, stratifiées, au no
te enveloppe. Parfois cependant ils sont centraux, surtout dans les
fibres
qui occupent l'intérieur du bourgeon musculaire
rès riche en noyaux. En conséquence : La bien moindre largeur des
fibres
nerveuses et musculaires, l'absence d'étranglem
des fibres nerveuses et musculaires, l'absence d'étranglements des
fibres
nerveuses, la richesse en gros noyaux du parenc
ultes. Ce qui est, quoique cela, extrêmement probable, c'est que la
fibre
normale doit être tenue pour le prolongement cy
du quatrième ventri- cule. Atrophie complète des éléments nerveux,
fibres
et cellules. Extrême altération des vaisseaux.
use. Par confluence, se forment de gros foyers avec altérations des
fibres
nerveuses; dans les petits foyers scléreux, les
érations des fibres nerveuses; dans les petits foyers scléreux, les
fibres
nerveuses conservent leur aspect normal. Les pa
eau du champ moyen de celte couche, il y a une légère déchéance des
fibres
transverses, et, à côté, une dégénérescence cir
lieux de terminaison de la racine postérieure de l'auditif. 2. Les
fibres
de la racine postérieure en question se terminent
adrijumeau postérieur du côté opposé. Une insignifiante fraction de
fibres
se termine peut-être aussi dans le tubercule qu
postérieures de l'auditif, c'est-à-dire du nerf cochléaire. 3. Les
fibres
des racines postérieures qui se termi- nent dan
lequel elle se termine probablement. Une fraction insignifiante des
fibres
de ce trousseau va, en apparence du moins, à l'
dans le raphé en arrière du corps trapézoïde. Quelques-unes de ses
fibres
, plus inférieures, passent dans le noyau du fac
érieure de l'acoustique. 5. Le ruban de Reil inférieur contient les
fibres
qui vont à l'olive supérieure du même côté, et
meau postérieur. Il n'y a pas de raison de douter de l'existence de
fibres
analogues allant à l'olive supérieure du côté o
upérieure du côté opposé. 6. Dans le corps trapé- zoïde passent les
fibres
du ruban de Reil inférieur qui vont au noyau an
u de concert avec le membre du côté non paralysé. P. K. XIII. DES
FIBRES
NERVEUSES A myéline DE L'ÉCORCE DU cerveau de l
KAES. (Neurolog. Cent1'ltlbl" XIll, 1894.) Nouvelle numération des
fibres
sur 3 cerveaux d'hommes de quarante-deux, quara
ce moment les couches II et III atteignent la largeur du ruban des
fibres
d'association externes y compris la raie de Bai
e olive; il se rend dans le segment antéro-externe de celle-ci. Ses
fibres
, fines, prennent leur origine dans la corne antér
évident que celui-ci et celui-là appartiennent à un seul système de
fibres
inter- rompu, dans son trajet, par les olives i
ures. On sait aussi que celles-ci donnent naissance à de nombreuses
fibres
qui vont au corps restiforme du côté opposé, et
érébelleux, alors que le nerf cochléaire est plutôt céré- bral. Les
fibres
d'origine de ce dernier arrivent aux régions co
e lieu exact d'origine. Comme c'est là également qu'aboutissent les
fibres
originaires du faisceau de Goll, il est facile
'hypoglosse est la seule source des racines du nerf hypoglosse. Les
fibres
propres du noyau proviennent pour une grande part
du noyau proviennent pour une grande part des pyramides. Les autres
fibres
afférentes viennent de la formation réticulaire
rmation réticulaire. Le nucléus ambiguus est le noyau d'origine des
fibres
motrices du glosso-pharyngien et du spinal, et
en et pneumogastrique. Le tronc du facial reçoit un large apport de
fibres
du faisceau longitudinal postérieur du côté opp
les que dans l'atrophie ordinaire. Sur la rétine on voit, entre les
fibres
nerveuses, des stries ou petites plaques de tis
qui est plus atteint que le faisceau droit. La dégénérescence des
fibres
nerveuses dans les cordons laté- raux marche pa
es faisceaux de Goll, dont il reste encoie à la périphérie quelques
fibres
nerveuses intactes. La substance blanche, du re
ès considérables de nutrition. Il s'ensuit une dégénéres- cence des
fibres
nerveuses, sous forme d'îlots; ou bien qui attein
rveuses, sous forme d'îlots; ou bien qui atteint seulement quelques
fibres
nerveuses. La dégénérescence en îlots est causé
Il en est de même pour les lésions microscopiques. L'atrophie des
fibres
à myéline se rencontie dans d'autres psychopathie
la démence paralytique. Plus caractéristique est la disparition des
fibres
à myéline, qui se rencontre même dans les cas r
u développement. Mais dans la paralysie générale la disparition des
fibres
à myéline prédomine dans la région antérieure d
e des lésions en foyer. M. VOGT lit un travail sur les faisceaux de
fibres
des corps calleux. Séance du 22 septembre.
Médical. FLATAIJ (Ed.). - Allas du cerveau humain et du trajet des
fibres
ner- l'p11SeS, avec une préface de M. le profes
t de volume très inégal, très petits pour la plupart et mélangés de
fibres
élastiques; leur groupement est assez lâche et
ue cette substance qui forme des lignes ou de petits lacs entre les
fibres
, est formée par de petits globes arrondis, colo
re, chaque veine est entourée d'une couche plus ou moins épaisse de
fibres
conjonctives longi- tudinales. Les grosses ar
s grosses artères présentent un revêtement extérieur assez épais de
fibres
conjonctives 10ngitudinales',I'enlre lesquelles o
s un peu trouble; on y distingue encore assez bien les contours des
fibres
musculaires, mais c'est à peine si de loin en l
s atteints que dans beau- coup de cas de paralysie cérébrale. Les
fibres
à myéline sont relativement peu touchées; elles n
ter- minaux des branches cutanées du crural ne présentent aucune
fibre
en voie de dégénérescence (acide osmique) ; sur l
smique) ; sur les coupes il semble pourtant qu'un certain nombre de
fibres
ont disparu; mais cette lésion est très peu imp
ans la région cervicale le cordon de Goll est complètement privé de
fibres
dans ses trois quarts postérieurs : dans le qua
arts postérieurs : dans le quart antérieur il reste encore quelques
fibres
plus abondantes le long de la commissure postérie
petite étendue. La bandelette externe, qui contient encore quelques
fibres
, d'autant plus nombreuses qu'on se rapproche de l
de la moelle; elle est séparée du cordon de Goll par une traînée de
fibres
relativement plus denses que celles'qu'elle con
re ; elles contiennent pourtant encore une assez grande quantité de
fibres
très fines. Dans la région cervicale elles sont m
forment tantôt des lignes, tantôt des amas dans le- interstices des
fibres
, se rassemblent particuliè- rement autour des c
la pointe du lobe temporal. Pourtant il n'existe pas de lésions des
fibres
tangentielles, sauf au niveau du gyrus rpctns, où
Les nerfs cutanés du pied ne présentent plus qu'un petit nombre de
fibres
saines; ces lésions sont moins avancées au niveau
s de la jambe présentent une atrophie simple de la plupart de leurs
fibres
. Un assez grand nombre pour- tanl, disséminées
phiées et réduites à l'état d'une gaine remplie de noyaux. Quelques
fibres
isolées sont hypertrophiées et tranchent sur les
iés sur les coupes des muscles, présentent un grand nombre de leurs
fibres
dégénérées. En résumé, il s'agit d'un cas de ta
aire qui est un peu moins intense. C'est le même épaississement des
fibres
con- jonctives, la même infiltration par des no
ives, la même infiltration par des noyaux arrondis; néan- moins les
fibres
conjonctives sont moins fortes et moins denses.
n'existe d'ailleurs aucune lésion des cellules de la moelle ni des
fibres
des racines antérieures. Les vaisseaux médullai
sentent des lésions atrophiques très marquées; on n'y voit point de
fibres
en boules. Les nerfs cutanés de la main sont sa
toute son 296 CLINIQUE NERVEUSE. étendue, par une mince couche de
fibres
saines. Toute sa partie supérieure a été utilis
Azoulay, on découvre, vers l'extrémité inférieure de la plaque, des
fibres
où la myéline est en voie de fragmenta- tion.
de cellules rondes avec, le plus souvent, peu d'épaississement des
fibres
conjonctives, et par la partici- pation toute s
myélite amène par elle-même la dis- parition d'un certain nombre de
fibres
, et à cet égard nous ne saurions mieux faire qu
s certains cas; de plus, elle est susceptible de détruire certaines
fibres
des cordons postérieurs indépendantes des racin
rticulaires, troncs ner- veux, cordons postérieurs); 2° ce sont les
fibres
centripètes REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 309
s, qui agissent par l'intermédiaire des centres vaso-moteurs et des
fibres
vaso-motrices sur la surface ostéo-arti- culair
me atrophique. S'il s'y ajoute un mécanisme de compensation par les
fibres
restées intactes, on aura en plus des phénomène
ns sa totalité, écorce, faisceau pyramidal, cornes anté- rieures et
fibres
motrices avec état spasmodique et en même temps
ec ou sans cavité syringomyélique). Dans la gliomatose, ce sont les
fibres
radiculaires qui sont atteintes dans les cornes
nférieure du SOCIÉTÉS SAVANTES. 327 Î corps. C'est l'ensemble des
fibres
conductrices sensitives de la moelle qui est at
ts, car elle est l'expression ana- tomique de la dégénérescence des
fibres
des cellules de cordon déjà décrites en 1866, p
décrites en 1866, par Charcot et son élève Bouchard, sous le nom de
fibres
commissures courtes et longues. Ce qui prouve b
errompu que nous lui avons décrit (Hoesel). - 4. Il existe avec les
fibres
déjà décrites une quatrième partie constitutive
avec les fibres déjà décrites une quatrième partie constitutive des
fibres
du ruban de Reil de la calotte, qui se termine
ractus présidant à la réaction des pupilles ou de leurs noyaux, des
fibres
de transmis- sion motrices, des faisceaux pyram
t pas du tout de la prolifération du tissu conjonctif étouffant les
fibres
nerveuses. Ce que les auteurs ont pris pour des
les auteurs ont pris pour des travées du tissu conjonctif entre les
fibres
nerveuses, ce sont des produits d'ulcération de
f entre les fibres nerveuses, ce sont des produits d'ulcération des
fibres
nerveuses mêmes. Cette erreur est due à l'insuf
oxyline, on obtient une coloration : rouge des cylindraxes dans les
fibres
à myéline, -jaune intense de la substance blanche
nt pas de volume, ne se multiplient pas, ne se transforment' pas en
fibres
du tissu conjonctif, ils dégé- nèrent. Il est p
ctif, ils dégé- nèrent. Il est probable que leur présence entre les
fibres
nerveuses exerce une influence nuisible sur les
rois sont plus lâches, le nombre des leucocytes est plus grand, les
fibres
et les cylindraxes présentent de plus grosses tum
e parfois à l'une de ses extrémités, voire aux deux, des résidus de
fibres
qui ressemblent à de petites queues représentant
e la préparation, on voit des trousseaux spéciaux composés de fines
fibres
parallèles qu'il n'est guère possible de con- s
r- fois très nettement se diviser eux-mêmes à leurs extrémités en
fibres
fines (cinq à six), et ces fibres fines s'allonge
r eux-mêmes à leurs extrémités en fibres fines (cinq à six), et ces
fibres
fines s'allongeant s'accolent intimement pour f
as de prolifération du tissu conjonctif; 2° dé- chéance et mort des
fibres
myéliniques et des cylindraxes; 3° des- tructio
es d'association. . Les centres sensoriels sont ceux qui, outre des
fibres
d'association, contiennent des faisceaux de la
, contiennent des faisceaux de la couronne rayonnante composés de
fibres
sensitives, motrices et de fibres de la couche op
a couronne rayonnante composés de fibres sensitives, motrices et de
fibres
de la couche optique, et qui paraissent avoir l
ascendantes. Les centres d'association ne possèdent pas du tout de
fibres
de la couronne rayonnante ; on n'y trouve que d
du tout de fibres de la couronne rayonnante ; on n'y trouve que des
fibres
d'association. Ce sont : le lobe frontal antéri
atéral de ce côté en rapport avec ces tubercules quadrijumeaux, des
fibres
radiaires unissant les tuber- cules quadrijumea
s la zone d'entrée radiculaire postérieure de Westpllal, il y a des
fibres
ascendantes. Il faut donc dans les altérations av
tre dans la moelle, c'est-à-dire la vraie racine postérieure, et la
fibre
qui, accolée contre la racine postérieure, se d
énéres- cence des racines postérieures lombaires et sacrées, et les
fibres
ascendantes, dégénérées, présentaient une réduc
posté- rieurs confirme les vues de Flechsig (dix observations). Les
fibres
de la zone radiculaire moyenne de la moelle lom
lonnes de Clarke. Cette zone radiculaire moyenne contient aussi des
fibres
longues qui gagnent le bulbe, et aussi des fibr
ontient aussi des fibres longues qui gagnent le bulbe, et aussi des
fibres
qui, après un court trajet, se rendent dans la
xterne des cordons postérieurs contient une aire striée composée de
fibres
à court trajet qui ne tardent pas à pénétrer da
combinaison du tabes classique et d'une dégénérescence précoce des
fibres
à court trajet. Quant au tabes lui-même, il est
ESDE. Séance du 22 septembre 1894. M. IIIEYER, Sur l'atrophie des
fibres
corticales chez les aliénés. - Depuis les trava
chez les aliénés. - Depuis les travaux de Tuczek sur l'atrophie des
fibres
à myéline intra-corticales dans la paralysie gé
e paranoïa hallucinatoire. Ses recherches ont porté surtout sur les
fibres
corticales du lobe frontal. On sait que ces fib
surtout sur les fibres corticales du lobe frontal. On sait que ces
fibres
constituent trois couches : l'une externe, située
trois couches : l'une externe, située sous la pie-mère, composée de
fibres
tangentielles; l'autre moyenne, plus épaisse fo
ée de fibres tangentielles; l'autre moyenne, plus épaisse formée de
fibres
rayonnantes et tangentielles; la troisième, corre
a couche moyenne qui parait atteinte la première; puis viennent les
fibres
tangentielles et enfin celles de la troisième c
isième couche. Parfois, surtout chez les paralytiques généraux, les
fibres
intra-corticales ont totalement disparu. L'atro
les fibres intra-corticales ont totalement disparu. L'atrophie des
fibres
externes et moyennes se rencontre dans les psyc
bable que souvent il s'agit en réalité de lésions dégénératives des
fibres
d'as- sociation. Le groupe de symptômes qui con
l'expression d'une atrophie diffuse des 414 r SOCIÉTÉS SAVANTES.
fibres
d'association. Chez les idiots il s'agit d'un arr
ion. Chez les idiots il s'agit d'un arrêt de dévelop- pement de ces
fibres
. Les idées délirantes de la paranoïa peuvent ég
des idées provoqués eux-mêmes par une dégénération partielle des
fibres
d'association. De même cette lésion peut explique
s l'idiotie - paraissent être sous la dépendance d'une atrophie des
fibres
corticales. Pour ce qui est des affections ment
quelque ait été le processus initial de la maladie. L'atrophie des
fibres
corticales n'est donc pas une lésion appartenan
andiques. Discussion : M. TuczEK. La localisation de l'atrophie des
fibres
corticales chez les paralytiques généraux est t
s cliniques de la maladie. Si le fait se confirme de l'atrophie des
fibres
dans les psychoses chroniques évoluant vers la dé
rieures des hémisphères. Je n'ai jamais rencontré l'atrophie des
fibres
de l'écorce en dehors de la paralysie générale, s
être les psy- choses séniles. Les cas de paranoïa avec atrophie des
fibres
d'asso- ciation ont besoin d'être confirmés. Il
rapporter un grand nombre de troubles psychiques à la lésion des
fibres
corticales. Par exemple dans les pseudo-paralysie
si complètement la démence paralytique, il n'y a pas d'atrophie des
fibres
. M. Iïa.> : eEtrar émet l'avis que les reche
e les recherches anatomiques devraient porter non seulement sur les
fibres
, mais sur les cellules ganglionnaires. M. ALZ
oïa. M. MEYER a constaté dans un cas de paranoïa une atrophie des
fibres
dans les couches externe et moyenne (méthode de W
tions rolandiques; chez les sujets non paralytiques, l'atrophie des
fibres
de cette région est moins avancée. M. LÜHRMANN
derniers, M. leur Lhos- pital (de Clermont-Ferrand) a préconisé la
fibre
de coco pour le couchage des malpropres; on en
sur les diverses parties de l'arc neuro-musculaire : tantôt sur les
fibres
périphériques (polynévrite), tantôt sur la subs
ques dépend principale- ment de troubles fonctionnels du système de
fibres
nerveuses destinées à relier entre elles les ce
diée qu'incomplètement. La cause morbide agit non seulement sur les
fibres
périphériques, mais aussi sur les centres. On ren
ronique, il est probable que les différents degrés d'altération des
fibres
nerveuses constituant le système d'associa- tio
respondants; l'exagération des réflexes tendineux, qu'il existe des
fibres
psychomotrices inhibi- toires. J. Ségus. LVII
aux d'association (méthode de Pal) : à gauche, dégéné- rescence des
fibres
du corps calleux, diminution notable des fibres
égéné- rescence des fibres du corps calleux, diminution notable des
fibres
du faisceau sagittal interne, dégénérescence co
u transverse du cunéus. A droite, dégénérescence presque totale des
fibres
du corps calleux dans le lobe occipital; tapetu
corps calleux dans le lobe occipital; tapetum droit plus pauvre en
fibres
que le gauche. En résumé : lésion en foyer du
bourrelet du corps calleux. Le bourrelet renferme probablement les
fibres
commissurales qui relient la surface interne et
scence primitive du bourrelet. Consécutivement à l'alté- ration des
fibres
d'association, les cellules qui leur corresponden
dal du côté droit sont moins volumineux, mais ne contiennent pas de
fibres
dégénérées L'olive droite est atiophiée; les ce
en sont en majeure partie SOCIÉTÉS savantes. 479 dégénérées. Les
fibres
arciformes externes gauches sont plus rares qu'
oelle lombaire. Cette néoplasie avait pris naissance aux dépens des
fibres
lisses des tuniques moyenne et adventice des ar
du pathétique et du nerf moteur oculaire montrèrent l'intégrité des
fibres
et du noyau du pathétique et la dégénérescence de
ccentuée au niveau 492 BIBLIOGRAPHIE. du noyau du côté droit. Les
fibres
émanées de ce dernier sont t complètement atrop
ules nerveuses dans l ? -.cérébrale localisée par Prout, 39t. des
fibres
corticales chez les aliénés par Ieyer, 413. - m
ie, 336. Dualité. Deux cas de cérébrale par Bruce, 319. Ecorce.
Fibres
nerveuses à myé- linedel'-du cerveau de l'homme
en et le supérieur sensitifs. Ces deux derniers sont formés par des
fibres
qui proviennent du cordon postérieur, du fioaic
t etineaitis, et qui vont ensuite se placer à la partie externe des
fibres
motrices des pyramides déjà entrecroisées à ce
mence lorsque l'entrecroisement moteur est terminé. Il est formé de
fibres
qui, prove- nant des cordons postérieurs, s'acc
ouche profonde. D'après les auteurs que nous venons de citer, les
fibres
sensitives s'accolent pour les uns à la partie
s uns à la partie externe, pour les autres à la partie profonde des
fibres
motrices, mais sans se confondre avec elles ; p
ntraire, il y aurait fusion plus ou moins intime des deux ordres de
fibres
. Le fait qui a servi de point de départ à nos r
dans toute l'étendue de la moelle, mais aussi dans le bulbe, où ses
fibres
fortement colorées par le carmin (durcissement
t par la térében- thine et le baume de Canada), tranchaient sur les
fibres
appartenant aux autres systèmes qui présentaien
A la partie inférieure (fig. 1) de l'entrecroisement, on voit les
fibres
sensitives (jaunes) se diviser en petites bande
jaunes) se diviser en petites bandelettes et pénétrer au milieu des
fibres
motrices (rouges) des pyramides, dans leur part
à ces dernières, confondues avec elles. Un peu plus haut ? 2), les
fibres
de t'entrecroi- sement sensitif pénètrent dans
isement sensitif. P, pyramide ;-E, entrecroisement sensitif; - F S,
fibres
sen- sitnes; 0, noyau jaune olivaire; Z, Stratu
8 AXATOMIE. tain nombre d'entre elles vont se confondre avec les
fibres
du stratum zonale. A la partie supérieure (fig.
es fibres du stratum zonale. A la partie supérieure (fig. 3), les
fibres
sensitives suivent deux voies différentes, les
DE LA MOELLE. 9 Ainsi donc, pour nous, la plus grande partie des
fibres
sensitives, après s'être entrecroisées, se mélan-
s, après s'être entrecroisées, se mélan- gerait intimement avec les
fibres
motrices des pyra- mides. " Telle est la disp
ce pathologique qui rend singu- lièrement facile la distinction des
fibres
appartenant aux entrecroisements bulbaires'.
, ont pour caractère commun de déterminer dans la structure de la
fibre
nerveuse elle-même des modilica- tions profonde
es autres, toutefois, nous avons pu rencontrer un petit nombre de
fibres
nerveuses altérées. Avant d'aborder la descript
duites sur l' \..IX 1'1 ())IIE l' 11'IIOI.O(;IQI'E. la moitié des
fibres
qui ont été figurées, et que, de plus, ces modi
ifications varient d'aspect suivant qu'on envi- sage telle ou telle
fibre
. La lésion n'est pas toutefois aussi prononcée
si prononcée dans tous les points du nerf. D'une façon générale les
fibres
malades ont de la tendance à se grouper par fai
les plus profondément atteints, on trouve toujours un bon nombre de
fibres
saines, de même, au niveau des points les moins
ation ne porte ici que sur une étendue limitée de la longueur de la
fibre
, et qu'immédiatement au-des- sous comme immédia
olume et son aspect habi- tuels. Il y a plus, l'examen de certaines
fibres
isolées sur une grande longueur permet de s'ass
s'être produite à la fois sur deux points de la longueur d'une même
fibre
séparés ? un de l'autre par un intervalle au ni
ernier cas, il est possible de cons- tater directement sur une même
fibre
trois ou quatre interruptions très peu étendues
est modifié dans toute son étendue. 1 U Plwse de dégénération. La
fibre
n'a pas subi de réduction de volume, elle est p
oute leur étendue et se continuant à leurs deux extrémités avec une
fibre
d'aspect tout à fait normal. Tout ce que l'exam
gure 4), la gaine de myéline tend de plus en plus à disparaître; la
fibre
est devenue moniliforme. Les portions renflées
ns la figure 5, et est simplement rejeté sur l'un des côtés de la
fibre
. Du reste, par un examen attentif, en déplaçant
fibre. Du reste, par un examen attentif, en déplaçant légèrement la
fibre
et en mettant à profit les change- ments de pos
de quelques noyaux, 2 18 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. en B, B, et la
fibre
est essentiellement représentée par le tractus
aspect, mais ininterrompu dans sa continuité. La conservation de la
fibre
au-dessous du point altéré établit déjà, comme
t bien de nature à les dissiper. Cette figure montre en effet une
fibre
altérée, brisée par le fait de la préparation,
constitue, croyons-nous, la phase de restauration. Ici (fig. 7) la
fibre
nerveuse est, comme précédemment, modifiée dans
d'axe à nu pour ainsi dire dans la gaine de Schwann, on observe une
fibre
mince, pourvue d'une gaine de myéline A, à bord
quelques granulations co- lorées en noir par l'osmium. Sur d'autres
fibres
(fin. 10), la gaine de myéline est plus réguliè
ine de Schwann. On le suit ainsi sur une certaine longueur, puis la
fibre
se renfle et le cylindre s'engage dans une gain
ve nulle part complètement mis à nu. On voit à un moment donné la
fibre
mince, tout en conservant autour du cylindre d'
PATHOLOGIQUE. intacte qui ferait les frais de la restauration de la
fibre
et de sa reconstitution sur un nouveau type, au
ce segment. Ainsi, est-il fréquent d'observer sur le trajet d'une
fibre
large (fig. 15) un, deux, quel- quefois trois r
t suffisant, apparaissent avec tous les caractères d'une portion de
fibre
mince inter- calée dans la continuité de cette
une portion de fibre mince inter- calée dans la continuité de cette
fibre
. La longueur de cette portion mince est variabl
25 pour reconstituer la gaine de myéline normale, au moment où la
fibre
reprend son aspect habituel. En un mot , nous o
e processus étant alors moins actif, la diminution de calibre de la
fibre
ne s'effectue pas par un procédé plus voisin de
res, encore reconnaissables malgré la modification de volume que la
fibre
présente à leur niveau, il est facile de voir q
e qu'au début de la phase de dégénération. Quant à l'aspect de la
fibre
au voisinage du noyau B, c'est-à- dire à sa par
de la façon la plus évidente. De même lorsque la restauration de la
fibre
est complètement achevée (fig. 9), on constate
er. De plus, soit qu'une lésion circonscrite intéresse sur une même
fibre
plusieurs segments qui se suivent (fig. 15) soi
segments qui se suivent (fig. 15) soit qu'on examine un faisceau de
fibres
parallèles et ayant par conséquent toutes la mê
probable de distribution de la lésion dans la conti- tinuité de la
fibre
nerveuse, depuis l'origine médullaire de celle-
z9 là indiquer qu'on assiste à un envahissement progressif de la
fibre
s'effectuant dans un sens déterminé. Comme exem
'effectuant dans un sens déterminé. Comme exemple, nous citerons la
fibre
représentée dans la figure 15 : au delà de l'ét
dans la figure 15 : au delà de l'étranglement annulaire D, cette
fibre
peut être suivie, dans la préparation, sur une ce
mince pourvue d'une gaine de myéline régulière, et succédant à une
fibre
large, va pro- gressivement en s'atténuant et p
ions identiques et à peu près simultanées sur toute l'étendue de la
fibre
, disparition rapide du cylindre d'axe, destruct
observe dans le bout inférieur des nerfs sectionnés; dans certaines
fibres
, la myéline s'est segmentée en blocs volumineux
- tervalle desquels se montrent des amas de noyaux ; ailleurs, la
fibre
n'est plus représentée que par la gaine de Schw
est digne de remarque, nous avons pu constater direc- tement qu'une
fibre
aussi dégénérée peut faire suite, dans la conti
re parfaitement normal. Ici encore la lésion n'a donc pas frappé la
fibre
sur toute sa longueur; le bout périphérique seu
u ces tubes, suivis sur une certaine étendue, se continuer avec une
fibre
large. Du reste, lorsqu'on examine le nerf à l'
ois sans retentir sur le tissu con- jonctif intrà-fasciculaire, ses
fibres
sont plus apparentes que d'habitude, ses cellul
proche des faits que nous avons décrits plus haut; le calibre de la
fibre
est presque régulier, la gaine de myéline finem
tubes ner- veux légèrement dissociés, on constate la présence de
fibres
à myéline, s'interrompant brusquement pour se 1
semblé probable lors de la publi- cation du mémoire, penser que ces
fibres
ont été rompues par le fait de la dissociation.
rations, nous avons pu acquérir la certitude que le plus souvent la
fibre
n'a pas été brisée et qu'elle est continuée par
t à ce sujet bien significatives. Dans la première, nous voyons une
fibre
large interrompue par trois portions minces dis
s racines révèle la présence d'une quantité tout à fait insolite de
fibres
minces pourvues d'une gaine de myéline et possé
es dissociations permettent de reconnaître sur un certain nombre de
fibres
des modifications pré- sentant beaucoup d'analo
isqu'ici nous voyons une portion mince occupant la continuité d'une
fibre
large et située à l'une des extrémités d'un seg
irritation locale déve- loppée accidentellement sur le trajet de la
fibre
ner- veuse. 1 fn-1fr. Il convient de rappeler
lements annulaires bien marqués. (Période de restauration.) fit. 2.
Fibre
nerveuse vue à un faible grossissement et présent
ig. 10 et il. - Dégénération et restauration associées sur une même
fibre
. Fig. 10.. - T, portion de fibre normale. - b, po
estauration associées sur une même fibre. Fig. 10.. - T, portion de
fibre
normale. - b, portion mince pourvue d'une gaine
mis à nu par un accident de préparation. Fig, 11. - C, portion de
fibre
normale. Eotre C et A (phase de dégé- nération)
nettement reconnaissable du seg- ment B. " Fig. 14. Portion d'une
fibre
nerveuse présentant un dédoublement de la gaine
mité du segment B, atteinte de dégénération au début. 4 Fig. 16. -
Fibre
nerveuse prise au niveau d'une racine antérieure
que). A, B, C, portions minces intercalées dans la continuité de la
fibre
.' ' ' Fig.' 17. Le point B de la figure précéde
ent. A, cylindre d'axe. B, gaine de myéline. c, noyau. Fig 18. - La
fibre
nerveuse constituée par des segments interannulai
n suivante, empruntée à M. le professeur Vulpian' : « Puisque les
fibres
musculaires- des sphincters, dit ce maître émi-
,iq2t -e ty -, b, 1.... ? , j 1 Il s'en convaincre de dissocier les
fibres
d'une même ra- 9v , 1 U 1 1 Li). .. ' 1 V' * z
d'une même ra- 9v , 1 U 1 1 Li). .. ' 1 V' * z WR-e ? 4}rfôé, de
fibres
saines, on en trouve d'autres pro-, fondement a
ré de la lésion ; Icelle-ci déterminant d'abord une excitation, des
fibres
de sensibilité, d'où douleurs fulgurantes, puis
erveux, ainsi' que le -fait la nature, et atteindre isolément les
fibres
'sensitives venant de tel ou tel muscle : Si on c
; les muscles tonifiés produiront un travail représenté par 14, les
fibres
non tonifiées par 10. Si la contraction muscula
us sous le nom de bandelette longitudinale postérieure renferme des
fibres
ner- veuses qui vont, par un trajet-croisé, for
pposé ; II. Que chacune de ces bandelettes renferme également des
fibres
qui vont, par un trajet croisé, former une partie
des faisceaux radiculaires du nerf pathétique du côté opposé. Ces
fibres
, en rendant solidaire et synergique l'exercice fo
g dans le protoplasma granuleux duquel on peut suivre les dernières
fibres
; 4.° La branche linguale de la cinquième paire
e détruit le sens du goût dans les 2/3 antérieurs de la langue, les
fibres
subissant la dégénération ; 5° La section du
onde pour éviter l'arrêt du coeur. H. D'OLIER. IL Décussation DES
fibres
d'arrêt DE la MOELLE épinière ; par MM. J. OTT
on- tractions spasmodiques des sphincters anaux et vaginaux ; les
fibres
d'arrêt descendaient, selon cet auteur, dans les
lle. Le travail de MM. Ott et Smith a pour but de rechercher si ces
fibres
s'entrecroisent dans la moelle. Voici le proc
Des treize expériences de MM. Ott et Smith il résulte que : « Les
fibres
d'arrêt des contractions rythmiques des sphincter
wn-Séquard admet que, chez l'homme et la plupart des vertébrés, les
fibres
sensitives s'entrecroisent dans la moelle épini
e leur pénétration dans l'axe spinal, tandis que la décussation des
fibres
motrices n'a lieu qu'en dessous du bulbe. L'exp
et l'auteur en conclut que chacun des cordons latéraux renferme des
fibres
sensitives et motrices pour les deux moitiés du
res sensitives et motrices pour les deux moitiés du corps ; que les
fibres
sensitives sont REVUE DE PHYSIOLOGIE. 135 éga
uisque la sensibilité est égale à gauche et à droite; enfin que les
fibres
motrices sont inégalement réparties dans ces co
s, il l'attribue à une modification qualitative ou quantitative des
fibres
desti- nées au côté opposé : « Un cordon latéra
êle. 6° Relativement à la dégénération secondaire d'un système de
fibres
quelconque, l'examen microscopique de la moelle,
elle, sont intacts dans tout leur parcours. Si d'autres systèmes de
fibres
ont subi la dégénération secondaire, c'est ce q
SE. 139 pas dans l'écorce qu'il faut chercher le point terminal des
fibres
centrifuges, et par suite sont loin de parler e
gions de l'écorce soit située l'unique et directe ter- minaison des
fibres
pyramidales chez le chien. Bien plus, il semble
fibres pyramidales chez le chien. Bien plus, il semblerait que les
fibres
des pyramides se terminent dans d'autres région
é gauche était détruit par une hémorrhagie, avec ramollissement des
fibres
antérieures de la capsule interne et de la part
gument en sa faveur est tiré de ce fait qu'on peut rencontrer des
fibres
qui n'ont subi la dégénération ou la ré- généra
que les modifications, dont il s'agit, varient notablement d'une
fibre
à l'autre. Le plus souvent, l'altération est lé
- fications survenues dans les autres parties constituantes de la
fibre
soient d'une observation moins aisée, il est ce
EGMENTAIRE PERI-AXILE. 179 Nous avons pu par ce moyen, sur quelques
fibres
d'aspect normal jusqu'à un certain niveau, voir
s que sous forme de tronçons contenus dans des blocs de myéline. La
fibre
présentait dès lors l'en- semble des lésions co
que dans les faits de dégénération wallérienne; alors même que la
fibre
est en voie de restauration, le cylindre axe es
écutive que nous avons mentionnés , ces altérations intéressent des
fibres
qui ont conservé leurs relations avec les centr
tion estdesavoirparquelmécanisme cette lésion réagit sur l'état des
fibres
nerveuses qui en émanent : or, à ce propos, la
ération du nerf, et équivaut, en quelque sorte, à'une section de la
fibre
nerveuse portant sur le prolonge- ment du cylin
tion de la cellule correspondrait la dégénération wallérienne de la
fibre
. Cette manière de voir suppose une condition qu
nte, puisqu'elle ne nous renseigne en aucune façon sur l'état de la
fibre
nerveuse pendant que sa cellule d'origine subit
la plus éloignée de la moelle, remonterait lentement le long de la
fibre
, au sur et à mesure que la puissance de l'éléme
s'atténuant; il s'agirait encore ici, pour la cellule comme pour la
fibre
d'un processus purement passif, d'une simple dé
rritation est transmise par le cylindre axe à toute l'étendue de la
fibre
nerveuse. z La première hypothèse s'appuie sur
péri-axile, est loin de s'effectuer au même niveau sur toutes les
fibres
que celle-ci atteint dans un même nerf. Or , si
s supposons que cet accident se soit produit sur un grand nombre de
fibres
, il est facile de voir, en se reportant à la fi
orne antérieure de la moelle épinière A, de laquelle partent quatre
fibres
nerveuses dont la partie B est saine ou atteint
ration wallérienne. Cette dernière ayant débuté dans chacune de ces
fibres
en des points différents, 2, 3, 4, 5, les dissoci
E PATHOLOGIQUE. périphérie du nerf, plus grand sera le nombre des
fibres
affectés de dégénération wallérienne. En effet,
axe aura disparu sur un point quelconque de sa continuité, chaque
fibre
va, présenter deux portions d'aspect très diffé
allérienne, lésion d'apparence uni- forme jusqu'à la terminaison du
fibre
; au-dessus, elle sera normale ou atteinte de né
du côté des muscles, nous avons cons- taté la présence de quelques
fibres
très minces qui ne se rencontraient pas dans le
ncient nettement de la dégénération wallérienne : 1° sur une même
fibre
, la lésion est discontinue, elle atteint certains
çons diffé- rentes : ou bien il se produit une restauration de la
fibre
autour du cylindre d'axe conservé au niveau des
une véritable dégénération wallérienne dans toute la partie de la
fibre
située au-dessous du point sectionné. Il est vr
est presque identiquement le même, en raison de l'intrication des
fibres
. DE LA DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 241 Les trois cas
us avancée, on peut dis- tinguer nettement un assez grand nombre de
fibres
élastiques qui semblent englobées dans la couch
ens parallèle a Il 1 '1"' t l' l',j il il - 1 1 ;I ,, , celui des
fibres
nerveuses. Enfin, parmi ces cellules, . i' m ..
t ne HlOI/i 1(ilil) ? 1'1 ? "'1""(' : rrf) "diri.-és dans le sens'des
fibres
sont' presque touioursainses dans le sens des l
a rigidité chloroformique ; examiné au microscope le contenu de ses
fibres
n'est plus transparent mais à demi coagulé. En
e d'altération et spéciale- ment de dégénérescence atrophique de la
fibre
musculaire. Des solutions plus faibles (0,4 p.
ne postérieure par les processus réticulaires restés sains. Là, les
fibres
nerveuses manquent encore presque complètement.
lus de la périphé- rie et ne comprend plus que quelques sections de
fibres
; à la huitième paire, il n'y a plus rien. Supér
ance blanche de la moelle subit des altérations qui portent sur les
fibres
nerveuses. M. C. Eisenlohr, termine son artic
acerj le; siège : 4§ J'WrltetiPJÎâ.4.e.s.fJ}yPPSl0AsesJcda^si| lesj
fibres
i .et ganglions, sénsitifs,"qui X< ? tJdE !
ux' eJ4aeJà séténdënt jusqu'aux cordons postérieursde,lajmoelle,l
fibres
, et g2-}g ! i9Hnqui,¡ d.'aprs'.Ks¡na1] ? jsont ,e
t à la périphérie de la moelle ait envahi la pie- mère,, ou que les
fibres
des racines postérieures soient englo- bées dan
is- tribution vasculaire. Le myocarde était gras et de nombreuses
fibres
cardiaques étaient atteintes de la dégénérescence
constituant ces filets nerveux sont des tubes à myéline et quelques
fibres
de Remak. Nulle part, sur les vaisseaux ou aill
lus nombreux et plus faciles à voir. Ils sont également for- més de
fibres
à myéline et de fibres de Remak ; autour des fa
ciles à voir. Ils sont également for- més de fibres à myéline et de
fibres
de Remak ; autour des faisceaux nerveux, on dis
° Contrairement à l'opinion générale, il est inexact que toutes les
fibres
du corps genouillé externe appartiennent à la b
erficielle ; 5° La périphérie de la couche optique ne reçoit pas de
fibres
de la bandelette optique; la couche optique n'e
rzel de Meynert) n'appartient pas à la bandelette optique; 7° Les
fibres
qui composent la prétendue racine du corps geno
le bulbe d'un singe cébien et arrive, relativement à l'origine des
fibres
moyennes et supérieures du glosso-pharyngien chez
tive, et peut être une racine vaso-motrice (vaso-dilatatrice) : les
fibres
accompagnent en effet le nerf lingual et vont a
s les deux formes que distingue M. Lion, l'état physiologique de la
fibre
striée est rigoureusement le même. Avec M. Ch
- nique de M. Lion : Les centres spinaux auxquels aboutissent les
fibres
du faisceau volontaire sont irritées par la dégén
s du faisceau volontaire sont irritées par la dégénéra- tion de ces
fibres
; elles deviennent hyperexcitables. Dès lors, to
sujets eux-mêmes. D'autre part, on sait que l'entrecroisement des
fibres
médullaires ne s'effectue pas uniquement au nivea
s centres spinaux des membres inférieurs reçoivent beaucoup plus de
fibres
commissurales que les cen- tres des membres sup
es que les cen- tres des membres supérieurs ; l'entrecroisement des
fibres
des- tinées à la région lombaire s'effectue, en
oute la hau- teur de l'axe spinal, tandis que l'entrecroisement des
fibres
destinées au renflement brachial n'a lieu que d
ial n'a lieu que dans une éten- due fort restreinte. L'ensemble des
fibres
nerveuses qui subis- sent cette décussation en
e et les difficultés de prononciation, à raison de l'at- teinte des
fibres
longitudinales conductrices de l'organe. Aussi
musculaire, qui est le siège d'une destruction des cellules et des
fibres
suivie de néoplasie réparatrice (fièv. typh.),
créta; si la distension se produit, il en résulte une faiblesse des
fibres
musculaires des parois membraneuses, et cette p
ers laprotubérance et les pédoncules cérébraux, la dégénération des
fibres
atteintes par la lésion primordiale et est arrivé
iculé, Brissaud), correspond au genou de la capsule et contient les
fibres
du faisceau pyramidal qui actionnent les muscle
misphèreqest, enjqeque sorte, eisoléides ganglions cérébraux : îles
fibres
^qui en, partent, à l'état mornïal,iipour se i r
uelque 19sôrt'e`; études gang)ipnsGërébrau ? iYt3des faisceaux de
fibres
qui traversent ilailèapshle) inteTnët(etqui W ë
aginés par des esprits émi- nents, pour expliquer l'intrication des
fibres
dans l'épaisseur du cerveau, n'en restent pas m
ans(leque ! on travaille. Comment le scalpel pourrait-il suivre une
fibre
)I'Ikt t,l 5 < ! a, '1 . dont le trajet no
emières 'zones ? on trouve' donc réez nis : le fascicutusuncinatus (
fibres
arquées de Grâtiolet);1 1 la capsule''externe''
pëcial' que' présentélle éentre ovale. On'y'voit comme un ruban' de
fibres
; courbes1, convexes 9en9dèhors,lrr venant"' les
e doute que les excitations produites sur un point quelconque d'une
fibre
nerveuse sen- sitive ou motrice, se propagent a
s de la moelle. Si la présence, dans les racines postérieures, de
fibres
vaso-dilatatrices admises par Stricker, venait à
EVUE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 577 E. Régénération. La néoplasie des
fibres
nerveuses s'observe toujours à la 4° ou 5° sema
Vulpian, Ranvier), admettant le développement autonome de nouvelles
fibres
dans les gaines de Schwann sur les deux bouts à
es gaines de Schwann sur les deux bouts à la fois jusqu'à ce qu'une
fibre
réparée rétablisse la continuité. Les nouvelles
u'à ce qu'une fibre réparée rétablisse la continuité. Les nouvelles
fibres
proviennent, selon lui, dû protoplasma qui remp
partie saine du nerf ne fournissant pas de fais- ceaux de nouvelles
fibres
aux anciennes. Cette période est enfin caractér
lindraxe. Pour lui, la moti- lité est proportionnelle au nombre des
fibres
régénérées, tandis 37 578 REVUE D ANATOMIE PA
880.) , 0 ' i Dans tous les cas où il est difficile de suivre les
fibres
myéli- niques, de déterminer leurs interruption
eurs entraîne l'auteur à établir l'atteinte simultanée de certaines
fibres
nerveuses concourant au même but physio- logiqu
Arch. dephy- siologie, ne 2, 1879), qui démontrent l'intégrité des
fibres
sensitives dans l'inflammation parenchymateuse
ts atteints de tétanie, le défaut de myéline observé dans certaines
fibres
nerveuses, les rapports étiologiques des anomal
eurs produits par l'irritation locale qu'exerce la tumeur sur les
fibres
vaso-motrices du fond de' l'oeil ; cette dernière
donSanderson et' d'autres auteurs, que le centre d'où procèdent les
fibres
des. canaux demi-circulaires occupe le même siè
x, mais elles se propageraient promp- tement à toute la hauteur des
fibres
postérieures jusqu'à la moelle allongée on pren
ection combinée des faisceaux pyramidaux et de certains systèmes de
fibres
des cordons postérieurs, faible atteinte des co
dissement des extrémités infé- rieures, dû soit àla contracture des
fibres
musculaires annulaires des vaisseaux, soit à un
ations de la), par Debove, 9. Moelle épinière l décussation des
fibres
d'arrêt de la), par Ott et Smith, 130. Moelle
lements annulaires bien marqués. (Période de restauration.) Fig. 2.
Fibre
nerveuse vue à un faible grossissement et présent
lng. 10 et Il. Dégénération et restauration associées sur une même
fibre
. - Fig. 10. - l', portion de fibre normale. - b,
tauration associées sur une même fibre. - Fig. 10. - l', portion de
fibre
normale. - b, portion mince pourvue d'une gaine
mis a nu par un accident de préparation. Fig. il. - C, portion de
fibre
normale. Entre C et A (phase de dégé- nération)
e nettement rcconnaissable du seg- ment B. Fig. 14. Portion d'une
fibre
nerveuse présentant un dédoublement de la gaine
rémité du segment B, atteinte de dégénération au début. Fig. 16. -
Fibre
nerveuse prise au niveau\d'une racine antérieure
ie). A, B, C, portions milices intercalées dans la continuité de la
fibre
. Fiv. 17. Le point B de la figure précédente, e
ent. A, cylindre d'axe. B, gaine de" myéline. c, noyau. Fig. 18. La
fibre
nerveuse constituée par des segments interannulai
que. F, fasciculus uncinatus. F 111, faisceau de lleynert. F v,
fibres
d'association veltlcale. Ne, noyau caudé. N l
ant vers la bosse frontale. A la branche verticale correspondentles
fibres
rectilignes les plus internes du muscle fron- t
muscle fron- tal, tandis que l'autre branche dessine les premières
fibres
obliques du muscle. Les rides apparaissent brus
deux cas, le tic est tout à fait localisé; il est limité à quelques
fibres
musculaires ; il occupe le même côté de la face
ue les centres cérébraux moteurs lésés, ou du moins on réincite les
fibres
d'association et de suppléance du côté altéré o
ssants. Ils seront publiés plus tard. P. Kéraval. II. Le trajet des
FIBRES
dans LE nerf optique; par 0. IIEBULD. (Neurolog
ite. L'autopsie révèle une atrophie du nerf optique gauche dont les
fibres
sont toutes détruites ; dans le nerf optique dr
ans le chiasma; elle montre que, dans tout nerf optique, il y a des
fibres
nerveuses qui appartiennent à la bandelette du
inférieure (ventrale). P. K. ' III. Contribution A la QUESTION [des
FIBRES
externes d'association DE l'écorce du cerveau ;
qui s'associent, fusionnent, etcoupent par autant de parallèles les
fibres
verticales de projection. C'est àpeu près, dit
aire où le faisceau latéro-cérébelleux direct donne naissance à des
fibres
arciformes qui gagnent en arrière l'extrémité l
xterne et les colonnes de Clarke. Le premier sert de lien entre les
fibres
des cordons pos- térieurs et le pédoncule céréb
belleux du corps restiforme ; les colonnes de Clarke réunissent les
fibres
des cordons postérieurs au faisceau REVUE D'ANA
éralement sur le côté, c'est-à-dire vers le corps restiforme et les
fibres
arci- formes émanées du cordon cérébelleux. On
s et vaso-moteurs. P. K. X. Emploi DE la méthode DE WOLTERS SUR LES
fibres
fines, DE l'écorce du cerveau; par Tu. KArs. (J
méthode (Zeitsch. f. wiss. 1lIikl'osliOpie, t. VII), on colore les
fibres
tangentielles d'une manière à tous égards sur-
manière à tous égards sur- prenante. On voit aussi un trousseau de
fibres
dans l'écorce crise, qui se détache nettement e
erne de Meynert. P. K. XI. RECHERCHES anatomiques SUR la marche DES
FIBRES
DE la SUBSTANCE GRISE CENTRALE DES CAVITES CÉRÉ
e l'arc ré- flexe (nerf optique, nerf oculomoleur). Le faisceau des
fibres
lon- gitudinales qui couvre comme d'une calotte
nce grise du troisième ventricule, on compte quatre trous- seaux de
fibres
: 1° Le prolongement direct du faisceau dorso-l
au dorso-longitudinal, occupe la région de l'infundibulum; 2° Les
fibres
qui occupent la substance grise centrale des cavi
dinal occupe la substance principale de ces libres; , 4° D'autres
fibres
atteignent les tubercules quadrijumeaux, la valvu
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. C'est à l'atrophie des
fibres
de la substance grise des cavités qu'il faut ra
mbryogénique montre aussi qu'il s'agit là d'un véritable système de
fibres
. Elles demeurent intactes dans la démence sénil
ATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 111 sible de distinguer des
fibres
optiques les éléments qui établissent une relat
ces des racines ascendantes, au moyen du plus fort calibre de leurs
fibres
nerveuses, ce qui permet de reconnaître que la
nte, car, du côté altéré, il reste des deux racines encore quelques
fibres
qui expliquent la conservation totale ou partiell
rtielle des quelques cellules indemnes et l'existence intégrale des
fibres
d'entre- croisement. S'il y a des fibres qui s'
l'existence intégrale des fibres d'entre- croisement. S'il y a des
fibres
qui s'entre-croisent, en tout cas, il n'y en a
-croisent, en tout cas, il n'y en a que très peu. Les trousseaux de
fibres
de la racine ascendante prennent t probablement
res, la substance gélatineuse est encore le centre de formation des
fibres
de la racine ascendante. Au surplus, la seconde
e l'atrophie des deux organes. P. Klraval. XIV. DE l'atrophie DES
fibres
dans la substance grise ET des PRO- CESSUS DE d
is son étio- lement se prolonge jusque dans la région lombaire; les
fibres
ont conservé leur aspect normal, elles ne le cè
rès la décharge, des stries ou des plis sur le revêtement corné des
fibres
nerveuses (cônes et bâtonnets). Etudes de Kuehn,
ne impression qui affecte simultanément les extrémités de plusieurs
fibres
nerveuses. La force de chaque impression dépend
ce qui reste de la charge empêche l'affaissement de l'enveloppe des
fibres
nerveuses; la strie ne se produit pas. Une imag
nce d'une image avec l'objet dépend du nombre plus ou moins égal de
fibres
affectées, bien que de nouvelles impres- sions,
affectées, bien que de nouvelles impres- sions, même dans les mêmes
fibres
, occupent toujours de nouvelles parties éloigné
ulement une nou- velle partie d'une cellule ou d'une terminaison de
fibres
ner- veuses. Quand, en présence de plusieurs
outre, des altérations musculaires, une atrophie très prononcée des
fibres
nerveuses, dissociation de la myéline, tuméfactio
vale partant du centre optique du lobe occipital et intéressant les
fibres
qui, parties de ce lobe, vont à la capsule intern
ion ad integnl1n est impossible-est suivie d'une dégénérescence des
fibres
du bout central et des cellules dont ils provie
jusqu'au noyau beaucoup de masses noires caractéristiques pour les
fibres
ayant leur gaine de myéline atteinte; l'examen
ésion des nerfs spinaux mixtes (n. ischiadicus). Sont atteintes les
fibres
des racines antérieures et les cellules des cor
ite. M. le Dr DORNSCfII : VITCTH est d'avis que le bout central des
fibres
est atteint de dégénération consécutivement à u
e pouvoir rapporter l'atrophie de la langue à une légère lésion des
fibres
trophiques dans la racine ascendante du trijume
III. M. le Dr G. P(tIBYTKON. Contribution à l'étude du trajet des
fibres
des nerfs optiques. Après avoir mis à l'épreuve t
tes les .méthodes, connues de nos jours, pour l'étude du trajet des
fibres
des nerfs optiques, le rapporteur se servit de
cture et le trajet des bande- lettes optiques; Il,1) le rapport des
fibres
des nerfs optiques aux diverses régions du cerv
ons du cerveau, peuvent être envisagées comme centres primaires des
fibres
optiques. Toutes les expériences ont été faites
centrale du troi- 136 SOCIÉTÉS SAVANTES. sième ventricule) et les
fibres
pupillaires de Bechterev (au noyau du nerf mote
sure de Hannover, la racine indépendante optique de Flechsig et les
fibres
pupillaires de Beclrterev leur manquent aussi.
directe allant à l'écorce des hémisphères, de même que l'union des
fibres
optiques avec le corps de Luys et le corps géni
habenulaë, que le D'' Darkschevitsch envisage comme un faisceau de
fibres
optiques qui réunissent la rétine de l'oeil ave
nerf moteur ocu- laire commun. Les observations sur le rapport des
fibres
optiques aux centres primaires aboutirent aux r
aux résultats suivants : chez le cobaye, le lapin, la majorité des
fibres
finit dans le corps quadri- jumeau supérieur :
rps géniculé externe est le siège de l'extrémité de la majorité des
fibres
, tandis que le corps quadrijumeau sert seulemen
e, au niveau de l'oculo-moteur, dans le «tegmentum»; une partie des
fibres
optiques, y parviennent en faisceau distinct qu
s principales : la dégénérescence du côté lésé a lieu : 1° dans les
fibres
arquées d'association du premier ou du deuxième
'association du premier ou du deuxième ordre; 2° dans un système de
fibres
déterminé; ce système est limité dans sa partie
le corps caudé et du côté externe par la cou- ronne rayonnante; ces
fibres
appartiennent, de l'avis du rappor- teur, aux f
ayonnante; ces fibres appartiennent, de l'avis du rappor- teur, aux
fibres
d'association et leur dégénérescence est unilatér
tion et leur dégénérescence est unilatérale; 3° dans une partie des
fibres
du « gyrus fornicatus », principale- ment dans
e c gyrus cru- ciatus » aux lobes occipitaux. La dégénérescence des
fibres
du corps calleux a été constatée bilatérale. No
modi- fications du sens musculaire dépendent, d'après l'auteur, des
fibres
d'association. 11). M. le Dr G.-I. Rossolimo.
emple, les auteurs nous montrent dans le muscle, une atrophie de la
fibre
et du réseau terminal de la plaque, tandis que
is que dans le tendon on voit, au contraire, une hypertrophie de la
fibre
terminale. D'autre part, la névrite est caractéri
e picro-carmin, tranche très nettement sur la couleur plus pâle des
fibres
de soutènement du tissu adipeux et sur la cou-
utènement du tissu adipeux et sur la cou- leur rouge-brun foncé des
fibres
musculaires. Celles-ci se montrent sous des asp
jonctif lamelleux, qui est quelquefois d'un aspect fibrillaire. Les
fibres
conjonctives de volume et déforme variables, so
divers points une double réfringence qui les fait ressembler à des
fibres
musculaires. Si l'on examine attentivement le t
du reste, sur leur impor- tance et leur signification. Quant aux
fibres
musculaires, elles diffèrent par leurs formes et
t plutôt agglomérées. Il arrive ainsi que, tantôt on voit plusieurs
fibres
petites et très atrophiées et que tantôt le mêm
petites et très atrophiées et que tantôt le même amas contient des
fibres
petites et grosses. - Parmi les fibres les plus
le même amas contient des fibres petites et grosses. - Parmi les
fibres
les plus fines, certaines conservent leur striati
rent une striation bien moins accusée. L'hypertro- phie de quelques
fibres
est très considérable. Souvent on observe des f
ie de quelques fibres est très considérable. Souvent on observe des
fibres
présentant des parties renflées en ampoule au mil
desquelles la striation est plus évidente que sur le reste de la
fibre
. On peut saisir, sur le fait, en certains endro
peut saisir, sur le fait, en certains endroits, la métaplasie de la
fibre
musculaire : on voit, en effet, comment la striat
ulaire : on voit, en effet, comment la striation dispa- raissant la
fibre
désagrégée se transforme en tissu conjonctif. La
transforme en tissu conjonctif. La coupe transversale de certaines
fibres
est uniforme, les champs de Colmheim n'étant pl
tion générale de l'élément qui permet de voir qu'il s'agit d'une
fibre
auparavant musculaire. On voit aussi le tissu adi
forment un réseau plus épais et plus régulier. Les altérations des
fibres
musculaires sont analogues aux précédentes. Mêm
fication qu'ils paraissent avoir. On y voit, en effet, parfois, des
fibres
nerveuses ou des fragments de fibres reconnaiss
voit, en effet, parfois, des fibres nerveuses ou des fragments de
fibres
reconnaissables à leur cylindre-axe, et aux granu
axe, et aux granula- tions de myéline qui l'entourent, bien que ces
fibres
soient notablement modifiées. Nous avons rech
nerfs de l'homme, et qui dérive d'une trans- formation de certaines
fibres
nerveuses, en vue d'un but qui reste à détermin
sions d'ordre dynamique et d'ordre organique, des altéra- tions des
fibres
terminales des nerfs périphériques. Or, il n'en
ssu interstitiel dont le développement en arriverait à étouffer les
fibres
musculaires, car outre qu'elle ne s'accorde pas
elle n'a pas conservé de défenseurs. C'est en dernière analyse la
fibre
musculaire elle-même cirrhose parenchymateuse d
ie expérimentale, muscles pseudo-hypertrophiés). Il rappelle que la
fibre
musculaire striée résulte d'une associa- tion c
e cellules fusiformes. Les cellules se réunis- sent pour former des
fibres
grêles, et se fusionnent. La divi- sion des noy
rêles, et se fusionnent. La divi- sion des noyaux à l'intérieur des
fibres
jeunes produit la crois- sance en longueur, tan
argeur se fait par l'accolement sérié des éléments cellulaires. Les
fibres
étant devenues adultes, les noyaux des cellules
gie de nu- trition plus grande que le protoplasma différencié de la
fibre
musculaire, prennent le dessus. Ils prolifèrent
e serait précisé- ment un désordre primordial de la nutrition de la
fibre
mus- 1 Lewin. - Deulschc Zeilschrifl sur .rerve
échanges nutritifs en général. Aussi bien, ne provient-il ni de la
fibre
musculaire ni des fibres conjonctives, mais rés
éral. Aussi bien, ne provient-il ni de la fibre musculaire ni des
fibres
conjonctives, mais résulte-t-il d'une hyperplasie
uses. Nous pouvons ajouter que le mécanisme de la disparition de la
fibre
musculaire n'est pas uniforme au point de vue c
e musculaire n'est pas uniforme au point de vue chimique. Certaines
fibres
dispa- raissent par le fait du remplacement du
l'énergie qu'engendre l'attention est inhérente aux cellules et aux
fibres
de ce système, et comme des centres d'ordre plu
ce, notamment des muscles masticateurs. L'auteur en conclut que les
fibres
trophiques du trijumeau ne sont pas situées dan
que la plaque de marbre ait, dans l'aisselle, atteint isolément les
fibres
du musculo-cutané dans le plexus avant dissocia
traitement, laisse après elle un trouble de la conductibilité des
fibres
nerveuses cédant elle-même à la strychnine ou à u
anatomique étant plus actif ou plus prolongé, un certain nombre de
fibres
succombent à l'atrophie. Il y a par conséquent de
i s'entre-croisaient. Entre ces éléments, il n'y avait que de rares
fibres
nerveuses. 2° A la périphérie, un tissu très rich
mesurant 27 à 47 centimètres. L'auteur a trouvé que les pre- mières
fibres
nerveuses à myéline apparaissent dans les cordons
e cet organe. Dans la moelle dorsale et cervicale inférieure, ces
fibres
myéliniques n'occupent qu'une bande étroite avois
cordon et encore, pas jusqu'à la périphérie postérieure; entre ces
fibres
internes et externes, des deux côtés, il existe
ux côtés, il existe, dans le cordon postérieur, une partie veuve de
fibres
myéliniques qui a la forme d'un coin à sommet d
n postérieur de la moelle lombaire sont égale- ment occupés par des
fibres
myéliniques. Mais déjà. le reste du cordon est
myéliniques. Mais déjà. le reste du cordon est pourvu de nouvelles
fibres
ou du moins leurs gaines myéliniques commencent
ncent à se former à cette époque; en effet, outre que le nombre des
fibres
à myéline y est infiniment plus Archives, t. XX
nté. Dans les régions dorsale et cervicale inférieure, abondance de
fibres
myéli- niques, aussi pressées dans les segments
interne à moins de bien remarquer une petite bande, moins riche en
fibres
myéliniques, et, par suite, plus claire, qui cons
oyenne du cordon postérieur se développe, c'est-à-dire qu'entre les
fibres
nerveuses myéliniques déjà développées, de nouv
tre les fibres nerveuses myéliniques déjà développées, de nouvelles
fibres
reçoivent leur myéline (région lombaire). Dans
on lombaire). Dans la moelle dorsale et cervicale infé- rieure, les
fibres
myéliniques s'accroissent dans les segments ext
bscures quelle que soit la région de la moelle. A cette époque, les
fibres
du cordon postérieur ont toutes reçu leurs gain
cette époque aussi, on voit dans la zone marginale de Lissauer des
fibres
myéliniques, mais il y existe encore des espace
iste encore des espaces clairs assez étendus. Par conséquent, les
fibres
des cordons postérieurs sont pourvues de leurs
one marginale de Lissauer qui n'est pas invariablement pourvue de
fibres
myéliniques chez tous les foetus de 42 centimètre
res de long. Quant aux relations qui existent à cet égard entre les
fibres
du segment interne (faisceau de Goll) et du seg
on postérieur dans la moelle dorsale et cervi- cale inférieure, les
fibres
du faisceau de Goll sont pourvues de leurs gain
es du faisceau de Burdach. Or, dans le faisceau de Goll, il y a des
fibres
à long trajet; dans le faisceau de Burdach existe
des fibres à long trajet; dans le faisceau de Burdach existent des
fibres
à court trajet; il n'y a donc au point de vue du
érieur qui est surtout lésée ; or, cette partie est occupée par des
fibres
nerveuses relevant du troisième stade du dévelo
rescence corres- sociétés savantes. ? 91 pond donc exactement aux
fibres
de ce troisième stade. Cette opi- nion est renf
Burdach. Il est d'autres observations de tabès dans lesquelles les
fibres
dégé- nérées appartiennent au troisième et au q
au deuxième stade de son développement, puisqu'on n'y trouve pas de
fibres
relevant des stades trois et quatre; cette ress
le inférieure. Il est des cas dans lesquels la lésion porte sur les
fibres
des deuxième et troisième stades de développement
accusée dans la partie moyenne du cordon postérieur; déchéance des
fibres
des deuxième et troisième stades de développeme
nérescence moyenne du segment postérieur du cordon, dans lequel les
fibres
du quatrième stade demeurent intactes. La moelle
cervicale inférieure est surtout, à raison de la réparti- tion des
fibres
des deuxième et troisième stades, lésée dans la
réparations d'embryons sur lesquelles on constatait la présence des
fibres
du troisième stade de déve- loppement. Il a éga
enté des préparations empruntées à un tabétique dans lesquelles les
fibres
en question avaient dégé- néré exactement à la
de Saint-Pétersbourg. L'auteur s'est atta- ché à étudier l'état des
fibres
d'associalion dans l'écorce cérébrale des paral
s : 1° Quand on détruit l'écorce, on observe une dégénérescence des
fibres
du corpus callosum jusqu'à l'écorce de l'hémisp
tement limité, correspondant à la quan- tité et à l'emplacement des
fibres
sectionnées dans le corpus callo- sum ; 4° le c
s callo- sum ; 4° le corpus callosum est une commissure composée de
fibres
dont une partie a pour centre l'hémisphère gauc
se; ici, en effet, grâce à l'ablation, SOCIÉTÉS SAVANTES. 473 les
fibres
de l'hémisphère correspondant dégénèrent, tandis
ondant dégénèrent, tandis que dans la section, cela a lieu pour les
fibres
provenant de l'hémis- phère opposé, ce qui entr
nces à cet égard. Ainsi il établit plus exactement le trajet de ces
fibres
croisées et non croisées, spécialement'des macu-
e même; il montre ainsi, par exemple, que la partie non croisée des
fibres
ne forme pas un fais- ceau compact sur tout leu
l'autre plus (latéro-) dorsal, et qu'entre eux s'in- tercalent les
fibres
maculaires. L'auteur suit ces trajets à travers
lement au tiers médian et postérieur (3 à 4 centimètres) et que les
fibres
ma- Archives, t. XXV. 31 ri : .1 .BIBLIOGRAPH
spital, 381. CÉPHALIQUE, traumatisme par Thomsen, 281. Cerveau,
fibres
d'association de l'écorce du -, par Bechterew,
rveau, fibres d'association de l'écorce du -, par Bechterew, 105;
fibres
de l'écorce du -, 1 par Kaes, 109; fibres de la
-, par Bechterew, 105; fibres de l'écorce du -, 1 par Kaes, 109;
fibres
de la substance grise des cavités du , par Sc
es cellules nerveuses de la -, par Schaffer, 107 ; atro- phie des
fibres
de la substance grise de la -, par llinor et Ku
Obsession avec conscience, par Ber- bez, 253. Optique, trajet des
fibres
dans le nerf -, par Hebold, 105; par Pri- byt
nce vitreuse; d'autres enfin, en très petit nombre, contiennent des
fibres
nerveuses nor- males entourées d'une couche de
certains points des accumulations compactes de ces cellules. Les
fibres
nerveuses qui s'y rencontrent sont presque toutes
, quelques cylindres-axes luméfiés : Certains espaces sont vides de
fibres
nerveuses et la névroglie semble présenter un c
. Dans les deux cas, le processus a entraîné la des- truction des
fibres
nerveuses et l'altération des cellules ganglion
la volonté indique, d'après l'auteur, une atrophie dégénéralive des
fibres
et cellules nerveuses, des noyaux, des oculomoteu
mités inférieures que M. Struempell rat- tache à une altération des
fibres
centripètes est pour 111. Jen- drassik d'ordre
de la motilité des pupilles dépendent toujours de l'at- teinte des
fibres
pupillaires centrifuges (oculomoteur commun et gr
eux de la sensibilité réflexe E. R. proviennent de l'at- teinte des
fibres
centripètes. Quant à l'immobilité fixe et réflexe
triques et aux altérations anato- miques décrites. Une observation.
Fibres
musculaires épaissies, très faciles à dissocier
sion et à l'écrasement; peu de tissu conjonctif inters- titiel. Les
fibres
atteignent souvent 120 à 130 . Disparition de l
vec l'intégrité du faisceau sain. Par conséquent, en respectant les
fibres
sous-corticales, on détermine, par l'atteinle e
de la couche corticale motrice, une dégénérescence d'un système de
fibres
sous la dépendance de cette couche ; le corps s
. P. Keraval. II. Contribution .1 LA question du trajet profond DES
fibres
RADI- CULAIIiES POSTÉRIEURES DE LA MOELLE; par
iences de vivisection chez des cochons d'Inde. Conclusions : 10 Les
fibres
des racines postérieures de la moelle cessent, ch
as, dans les racines postérieures de la moelle du cochon d'Inde, de
fibres
qui se prolongent sans inter- ruplion avec cell
c celles du cordon de Goll du même côté ou du côté opposé. - 3° Les
fibres
des cordons de Goll ont leur centre tro- phique
I. Contribution A la QUESTION DU territoire QUI DONNE naissance aux
fibres
DE la commissure antérieure dans l'écorce DU cerv
connexion surtout avec ces deux organes ; il n'existerait pas de
fibres
qui, prenant naissance dans les lobules linguaux,
ale et lombaire ont pour caractère l'existence de grosses et larges
fibres
fort abondantes. 2° Dans les racines postérieures
ines de la moelle dorsale il existe un très grand nombre de petites
fibres
réunies en assez gros trousseaux qui apparaissent
fibres réunies en assez gros trousseaux qui apparaissent entre les
fibres
larges. P. K. V. Contribution A l'étude DU traj
ondantes on voit des cellules nerveuses assez bien marquées, et des
fibres
blanches pourvues de myéline. Tels sont : le ve
ue de chacun des districts du cerveau ne se montre qu'après que les
fibres
nerveuses de ces zones se sont revêtues de subs
it tout à fait exempt de dégénérescence. P. K. X. De l'allure DES
fibres
NERVEUSES A myéline DE L'ÉCORjCE DU CERVEAU, DA
générale s'accompagne toujours d'atrophie plus ou moins accusée des
fibres
intracorlicales en des 88 REVUE D'ANATOMIE ET D
ctions cérébrales dues à la sénilité; dans ces cas, -l'atrophie des
fibres
intracorticales marche de pair avec les lésions
mateuses. Nous avons aussi rencontré une atrophie très nette de ces
fibres
dans trois cas de psychose épileptique ; on con
sen- taient ni alcooli-me, ni lésion des vaisseaux, ni atrophie des
fibres
intracorticales. D'ailleurs, l'aliénation menta
pure (psychose fonctionnelle vraie), se traduit par l'intégrité des
fibres
intracor- ticales. Ce sont, en effet, les régio
les régions antérieures du cerveau où l'on rencontre l'atrophie des
fibres
intracorticales, mais non sur- tout le gyrus re
sujet des diverses couches de l'écorce atteintes par l'atrophie des
fibres
intracorticales, au sujet de l'ordre dans lequel
aques. Au point de vue histologique, c'est une atrophie simple; les
fibres
se rétrécissent graduellement, deviennent variq
du reste, de toujours constater un paral- lèle entre l'atrophie des
fibres
intra-corlicales et les altérations interstitie
uelle il se termine (territoire d'origine inférieur). Le trajet des
fibres
de l'accessoire n'est pas partout le même. Une
blanche de la moelle, et arriver à la périphérie. Ces trousseaux de
fibres
possèdent donc : 1° un segment antéro-postérieu
forme un long ruban à la hauteur de la commissure postérieure. Les
fibres
émanent probablement, par la commissure postéri
s il est aussi probable que des cellules nerveuses interrompent les
fibres
radiculaires sensitives dont il est le pro- lon
ans ce cas spécial. P. K. XIV. Quelques remarques SUR LE trajet DES
fibres
DE la commissure postérieure du cerveau; par L.
ITSCH. (Neural. Cent1'albl, 1886.) Elle comprend deux systèmes de
fibres
tout à fait différents qui n'ont rien à voir l'
; un système dorsal (supérieur). Le système ventral renferme les
fibres
qui vont de la glande pinéale au noyau supérieur
91 autres, et par l'étude, sur des embryons, du développement des
fibres
à myéline, les auteurs sont parvenus à constater
foetus, de six mois, dans la moelle allongée duquel le système des
fibres
des olives était absolument privé de myéline, e
pézoïde l'autre, d'un foetus d'âe inconnu chez qui le système des
fibres
des olives et les pyramides molliraient un fonds
schéma géné- ral du noyau du cordon postérieur avec les systèmes de
fibres
qui en partent. Le noyau du cordon postérieur d
oyau du cordon postérieur d'un côté est en rapport avec les longues
fibres
des cordons postérieurs, avec la tête du corps
la tête du corps restiforme de l'autre côté, avec trois systèmes de
fibres
arquées qui courent dans le segment interne du
possible que les cordons postérieurs soient en con- nexion avec les
fibres
cérébelleuses (surtout du même côté) par la têt
même côté) par la tête du corps restiforme primitif ;au système des
fibres
arquées, qui apparaissent aux stades plus tardi
pement myélinique, se rattache la connexion de ces organes avec les
fibres
cérébrales du côté opposé. Nous avons, disent l
développement précède celui du noyau de Goll, nous croyons que les
fibres
du noyau de Goll qui se développent plus tard s
tiforme primitif et secondaire, quatre substances grises avec leurs
fibres
correspondantes. Une subs- tance grise plus ext
ses du développement, avec le faisceau longitudinal postérieur, des
fibres
longitudinales qui, par les fibres arciformes,
eau longitudinal postérieur, des fibres longitudinales qui, par les
fibres
arciformes, viennent des noyaux de la zone ou cha
supérieur du même noyau occupe la partie moyenne de ce champ ; les
fibres
émanées de l'acoustique et le noyau du nerf vag
t le noyau du nerf vague dans le champ externe du bulbe forment les
fibres
les plus supérieures du faisceau lon- gitudinal
vèle que le point du segment externe des cornes postérieures où les
fibres
radiculaires viennent pénétrer dans corne posté
ut en faisant remarquer qu'à côté de l'importance de l'atrophie des
fibres
radiculaires postérieures, le maître lui-même fai
ainsi que la dégénérescence des trousseaux longitudinaux de grosses
fibres
myélirziques du renflement cervical à la base de
ervical à la base de la corne postérieure (probablement ce sont des
fibres
radiculaires postérieures). P. ËERAVAL. XVII.
complètement séparées, éloignées l'une de l'autre : le système des
fibres
longitudinales de ces organes s'est partielleme
érieur de Burdach et 111eynert qui mé- rite le nom de trousseau des
fibres
d'association fronto-occipitalea. Voilà les con
éale contient (méthode de Weigert à l'lémaloxy- line) de nombreuses
fibres
nerveuses émanées : 1° de la capsule in- terne
s les tractus classiques à travers la pro- tubérance et le long des
fibres
pyramidales, gagnant le faisceau de Turck gauch
physiologique sont loin d'être nombreux. Mevnert a bien décrit les
fibres
qui président à cet entre-croisement et il a sign
ÉTÉS SAVANTES. -t 13 M. A. 111YEa (d'Osnabrrick). De l'atrophie des
fibres
dans le cerve- let. Il s'agit de l'atrophie des
atrophie des fibres dans le cerve- let. Il s'agit de l'atrophie des
fibres
à myéline dans l'écorce du cervelet chez les pa
e; on croirait assister aux premières périodes de développement des
fibres
cérébelleuses. Parallèlement, la substance gris
strer tous les aliénés. M. Cramer (d'Eberswalde). De l'atrophie des
fibres
du cerveau à la suite d'insolation. - Une journ
ilatérale, de l'oedème pulmonaire, une atrophie brune du coeur. Les
fibres
itî les ont disparu irrégulièrement en n'import
nvolution du corps calleux ont en outre perdu une grande partie des
fibres
inte1'mé- lliui1'es. Les ascendantes et les lob
if et encore moins à la pathogénie interstitielle de l'atrophie des
fibres
cérébrales. Le cervelet est atteint de la même
éparant par la dissection le nerf sciatique en deux parties que les
fibres
du nerf sciatique poplité externe se continuent
ion et de symptômes de paralysie prouve que ce nerf contient et des
fibres
vasoconstrictives et des fibres vasodilatatrices
prouve que ce nerf contient et des fibres vasoconstrictives et des
fibres
vasodilatatrices rem- plissant simultanément le
e sommeil hypnotique, il n'y a pas d'enchaînement des pensées ; les
fibres
d'association ne fonctionnent plus ; elles se pro
ie. Diagnostic. Lésion circonscrite de la première temporale et des
fibres
correspondantes de la cou- ronne rayonnante. Au
rg. Quelques jours après, paralysie des bras. Enfin, at- teinte des
fibres
motrices du trijumeau (grincement de dents; oti
e de réflexe croisé par suite de l'exa- gération de la tonicité des
fibres
. Conclusion. - Les phénomènes tendineux, tout e
la paupière supérieure; or, on se rappelle qu'une bonne partie des
fibres
motrices du trijumeau prennent nais-ance dans l
ouveaux vaisseaux. Atrophie parallèle des cellules nerveuses et des
fibres
nerveuses qui disparaissent par bouquets. P. KE
l. Centralbl., 1888.) Sorte d'inflammation toxique (tuméfaction des
fibres
nerveuses, hypérémie, espèce de bourgeonnement
quelques milli- mètres. Ce centre projette un trousseau spécial de
fibres
qui le rejoint au centre cortical (portion inte
bas à travers la capsule interne et la calotte un autre faisceau de
fibres
au centre de la moelle. Ce centre vésical de la
, convient pour saisir les vais- seaux, les noyaux des nerfs et les
fibres
nerveuses (Krauss). Les colorations s'effectuen
ion de M. Targowla, sur l'histoire ana- lomique et pathologique des
fibres
nerveuses à myéline intra-cor- ticales du cerve
e dans le cerveau de l'homme, sur toute la hauteur de l'écorce, des
fibres
myéliniques indépendantes des faisceaux ascen-
egrette que MM. Keraval et Targowla se soient bornés à l'examen des
fibres
sans constater l'état des vaisseaux. M. KERAVAL
oration auxquels on doit recourir selon qu'il s'agit d'examiner des
fibres
" ou des vaisseaux. M. Charpentier maintient
el apparent. Ces tractus sont, pour la plupart, la continuation des
fibres
des nerfs olfactifs ; quelques-uns émanent du n
man- quant souvent), fournissent ou plutôt reçoivent une somme de
fibres
proportionnelle à ce volume. Les racines seules
un ensemble de faisceaux profonds qui se continuent soit avec les
fibres
des troncs olfactifs soit avec la subs- Fig. 29
e des « systèmes fibreux », il la rattache aussi à la charpente des
fibres
d'associations. ', BROCA. - « L'origine du corp
e de l'appareil olfactif, car elle disparait, en même temps que les
fibres
blanches de la racine moyenne, chez les anosmat
re ces deux centres (olfac- tifs) une communication directe par des
fibres
nerveuses étendues de l'une à l'autre ? C'est c
s, elle ne se distingue pas de la substance grise dans laquelle ses
fibres
cheminent. Il en reste toutefois un vestige, qu
représenterait tout au plus la portion la plus interne de quelques
fibres
diagonales qui DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE
on département, coopérant tous en- semble avec harmonie au moyen de
fibres
commissurales. Les centres individuels s'unisse
l'individu, car, quand une lésion de la capsule interne sépare les
fibres
sensitives de leur connection avec l'écorce, l'
areille région a été indiquée avec soin, Flg. 39, - Disposition des
fibres
motrices de la capsule interne, d'après Bcevor
n obtient dé semblables réactions en plaçant les électrodes sur les
fibres
médullaires sous-jacentes. Burdon-Sanderson a l
us les expérimentateurs suivants. Après l'ablation de l'écorce, les
fibres
médullaires cepen- dant perdent leur excitabili
onductibilité vers la base du cerveau. On a établi que les cônes de
fibres
médullaires correspondant respectivement aux ce
espectifs indiqués en marge. Mais il ne s'ensuit pas, parce que les
fibres
médullaires sont excitables, que les régions corr
nt. Et une comparaison des réactions respectives de l'écorce et des
fibres
médullaires indique des différences qui ne peuv
'd examinons l'excita- bilité relative de la substance grise et des
fibres
médullaires. C'est le poiut sur lequel il y a d
r lequel il y a des différences d'opinion, mais Putnam a trouvé les
fibres
médullaires moins excitables que celles de l'éc
lle sur les couches profondes de l'écorce ou sur la terminaison des
fibres
médullaires. - Gerber" a montré qu'il n'en étai
nerfs. - Une autre différence entre la réaction de l'écorce et des
fibres
médullaires sous-jacentes, indiquée pour la pre
près l'ablation de l'écorce et l'application des électrodes sur les
fibres
médullaires, la période de retard descend à 30
une couche inerte qui transmet simplement le courant électrique aux
fibres
médullaires, mais, comme les autres centres ner
ier à l'écorce et qui ne se rencontre jamais après l'excitation des
fibres
médullaires seules. Après une excitation répété
lings Jackson. Elles ne se produisent jamais après l'excitation des
fibres
médullaires seules sans l'intervention de la su
nt détruits des deux côtés. La durée des effets de l'excitation des
fibres
médullaires.est strictement propor- liennelle à
la même différenciation fonctionnelle dans l'écorce que dans les
fibres
médullaires, même si on ne considère les faits qu
lmoplégie externe, on pourrait néanmoins très bien admettre que les
fibres
nerveuses qui se dirigent aux muscles de l'oeil
sur les racines du plexus sacré, le prolon- gement dégénératif des
fibres
radiculaires dans le cordon posté- rieur gagne
albl., 1887.) L'auteur rappelle ses travaux au sujet du système des
fibres
propres de la zone limitante de la substance bl
n altération dans la para- lysie générale. Il divise l'atrophie des
fibres
blanches en quatre formes : 1° dégénérescence s
trer en même temps de l'atrophie générale qui frappe sur toutes les
fibres
indistinctement, et de l'atrophie simple qui n'
bres indistinctement, et de l'atrophie simple qui n'attaque que les
fibres
enlre-croisées, sans ordre, épargnant les systè
ue les fibres enlre-croisées, sans ordre, épargnant les systèmes de
fibres
intramédullaires. L'atrophie des fibres nerveuses
, épargnant les systèmes de fibres intramédullaires. L'atrophie des
fibres
nerveuses à myéline de l'écorce ne semble pas a
myéline de l'écorce ne semble pas avoir de rapport avec celles des
fibres
nerveuses que nous envisageons ici ; elle relève
que nous envisageons ici ; elle relève de l'a- trophie commune des
fibres
nerveuses quelconques du cerveau y compris la b
euses quelconques du cerveau y compris la base. Les altérations des
fibres
blanches quelles qu'elles soient de l'écorce ou
3.) Le fonctionnement du cerveau détermine la multiplication des
fibres
nerveuses et des cellules. Aussi les organes de l
on lumineuse aux centres du réflexe pupillaire, il la devrait à des
fibres
spéciales fibres pupillaires cen- tripètes sui
centres du réflexe pupillaire, il la devrait à des fibres spéciales
fibres
pupillaires cen- tripètes sui generis. - Il con
modation. P. K. XLVIII.DE l'irritabilité de certains trousseaux DE
FIBRES
NERVEUSES dans la moelle DES animaux NOUVEAU-NÉ
ue mais non le sens de la force. P. KERAVAL. L1V. DES SYSTÈMES DE
fibres
QUI OCCUPENT LE PIED DU PÉDONCULE ET DE leur DÉ
sphère droit dont l'analyse montre que le lobe occipital envoie ses
fibres
au pulvinar et aux ganglions de la bandelette o
des lames, que, si le sens lumineux est atteint, l'interruption des
fibres
les plus intérieures supprime du même coup l'acui
, par Bartels, 110; chez les déments, par Wulf, 114; atrophie des
fibres
du par suite d'insolation, par Cramer, 115 ;
s du commandant aux mouvements de la vessie, par Mi- tanski, 266,
fibres
nerveuses à myéline intercorticales du -, par
égé- nérescence de l'olive opposée, par Dudlay, 98 ; atrophie des
fibres
du -, par Meyer, 113. Champ visuel entoptique
agricoles, par Bartels, 112. COMMISSURE (du cerveau), origine des
fibres
de la antérieures, par Popoff, Flechsig, 83 ; -
fibres de la antérieures, par Popoff, Flechsig, 83 ; -trajets des
fibres
de la - postérieure, par Darkschewitsch, 90.
es consécutives à l' -, par Munter, 284. Insolation, atrophie des
fibres
du cerveau à la suite d ? par Cra- mer, 115.
goté sur la- des animaux, par Gl'nenfeld, 7-Í; trajet profond des
fibres
radi- cuiaires postérieures de la-, par ltoss
tomie de la moelle et du bulbe, par Wagner, 427; irritabilité des
fibres
nerveuses de la des ani- maux nouveau-nés, par
8, par Krauss, 266. (Voir nerfs.) Paralysie loÉ11ÉILILE, état des
fibres
a myéline du cerveau dans la - par Zacher, 87
'argent d'après la méthode de Cajal n'a pas démontré l'existence de
fibres
nerveuses. Mais l'examen complet des nerfs SUR
, nous n'avons pu appliquer la méthode de Weigert-Pal à l'étude des
fibres
nerveuses de la paroi gastrique, si tant est qu
s racines postérieures de la région pénétrer sous forme de groupes de
fibres
serrées et bien colorées dans la corne postérie
de cheval, de certains d'entre eux qui sont extrêmement pauvres en
fibres
à myéline, tandis que la majorité les ont conserv
claire, comparée à celle du cordon postérieur gauche, comme si les
fibres
il myéline y étaient un peu moins den- ses,un p
toires radiculaires des cordons posté- rieurs ; il contiendrait les
fibres
longues des racines sacrées inférieures. Dans n
e et surtout en rapport avec les lésions du réticulum formé par les
fibres
fines de la corne postérieure ; il croit la zone/
corne postérieure ; il croit la zone/le Lis- sauer occupée par des
fibres
endogènes fines verticales. De ce -que cette ré
vorable à l'opinion de Nageotte. D'après Dejerine et Thomas (5), les
fibres
comprises dans les bandelettes externes occupen
de Pierret, sans doute parce que cette dernière ne renferme que des
fibres
radiculaires moyennes (les fibres lon- gues des
ette dernière ne renferme que des fibres radiculaires moyennes (les
fibres
lon- gues des racines lombaires et sacrées occu
ette hypothèse, les champs postéro-externes), ou bien parce que les
fibres
longues que la ban- (belette externe pourrait r
tabès ne frappe donc pas indifféremment et en même temps toutes les
fibres
des racines postérieures. Quoi qu'il en soit, il
u'il en soit, il ne faut pas admettre sans réserve qu'il n'y pas do
fibres
longues dans la ban- delette externe, en se bas
as du tout comparable à celui de la dégénérescence Wallerienne; des
fibres
longues peuvent bien être interrompues dans la ba
dire qu'elle attaque électivement certains syslémesélémentail'es des
fibres
radiculaires, respectant les autres (Pierrel, W
ident dans un fonction- nement défectueux du pouvoir conducteur des
fibres
nerveuses. La perte de la gaine de myéline, la
oir disparu, la lésion spinale intéressait une partie seulement des
fibres
qui interviennent dans la production de ce réfl
supplémentaires (peut- être des névrites périphériques frappant les
fibres
stomacales des systè- mes sympathique et pneumo
ans des régions basses d'où, vrai- semblablement, il ne part aucune
fibre
sympathique à destination de l'estomac, pour qu
té des ganglions et de leurs cellules et révélé des altérations des
fibres
à myéline des troncs sympathiques. Ce sont lu d
aire du tabès et que c'était peut-être une névrite périphérique des
fibres
stomacales du sympathique et du vague. Ces ques
n peut penser qu'il s'est produit une amélio- ration anatomique des
fibres
nerveuses malades et une amélioration des DE LA
a manière dont se transmettra cette image jusqu'à la glande. Or les
fibres
du nerf opti- que (fig. 5), qui se poursuivent
es nerfs.Ils ont la force d'élargir quelque peu les intervalles des
fibres
, de plier légèrement celles-ci de diver- ses ma
s suivant leurs propres mouvements et la disposition antérieure des
fibres
, « en sorte qu'ils y tracent aussi des figures, q
vus sous un fort grossissement, conservent une structure normale :
fibres
nerveuses tassées les unes contre les autres, san
Long). ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 287 Les
fibres
nerveuses sont plus ou moins atrophiées ; on trou
bres nerveuses sont plus ou moins atrophiées ; on trouve tantôt des
fibres
de petit calibre dont le cylindraxe est encore en
conjonctif. Enfin, dans quelques espaces, où il ne reste que de rares
fibres
normales ou atrophiées, il est évident qu'un gr
normales ou atrophiées, il est évident qu'un grand nombre d'autres
fibres
ont disparu. Les gaines de Schwann se présent
des aspects très variés et sans relations évidentes avec l'état des
fibres
nerveuses ; il existe des gaines de Schwann lin
des gaines de Schwann linéaires, normales par conséquent, autour de
fibres
bien conser- vées, ou au contraire très atrophi
du tissu conjonctif intrafasciculaire est moins aisée. Lorsque les
fibres
nerveuses sont tassées les unes contre les autres
s apparaissent, au microscope (PI.XXXVIII), occu- pées par de rares
fibres
nerveuses très espacées, et composées essentielle
euses très espacées, et composées essentiellement d'un réticulum de
fibres
conjonctives entrelacées dans toutes. les directi
ments des nerfs sciatique et crural (Méthode de Pal). 288 LONG de
fibres
saines, en général groupées ; les autres sont en
Enfin (fig. g), dans les zones d'aspect vitreux, la raréfaction des
fibres
ner- veuses arrive à son maximum, la partie cen
ettent d'étudier les variations de structure dans la continuité des
fibres
. Les gaines de myéline présentent des segments
Schwann n'est pas propor- tionnelle au degré d'altération de la la
fibre
nerveuse : il est fréquent qu'une gaine hypertr
nerveuse : il est fréquent qu'une gaine hypertrophiée contienne une
fibre
normale on à peine modifiée ; inverse- ment, on
ne fibre normale on à peine modifiée ; inverse- ment, on trouve des
fibres
arrivées à un degré avancé d'atrophie sans que le
ez rare cependant, est la présence dans une même gaine de plusieurs
fibres
myélinisées, enroulées et de calibre très irré-
ulier. Bien que leur volume soit, en général, égal à celui des autres
fibres
, il semble qu'il y ait là un processus de régén
il semble qu'il y ait là un processus de régénération. Fio. 3. -
Fibres
nerveuses. Coupes longitudinales des troncs nerve
CHENNF, 28 ! : J Le tissu réticulé apparaît sur ces coupes formé de
fibres
conjonctives à long trajet, dirigées en tous se
, avec des noyaux ovoïdes ou fusiformes, parfois très allongés. Ces
fibres
sont de plus grandes dimensions que celles qui
e les muscles exten- seurs du pied très atrophiés et parésiés), les
fibres
nerveuses sont moins non]-, breuses qu'il l'éta
des zones de tissu réticulé, ni un épaississement concentrique des
fibres
conjonc- tives des gaines de Schwann. Plus lo
s lésions (PI. XL). Il s'agit, tantôt d'une raréfaction diffuse des
fibres
nerveuses qui fait paraître le tractus moins co
stologique que dans les troncs nerveux périphériques : atrophie des
fibres
nerveuses et épaississement concentrique de leu
nsi la figure i montre la ire racine dorsale, la dégénérescence des
fibres
nerveuses n'apparait qu'au niveau du trou de conj
gravité. De même dans la racine L 3 (fig. h), la dégénérescence des
fibres
ner- veuses et la sclérose interstitielle s'obs
ulièrement répartie. Dans le même fragment, il est des zones où les
fibres
musculaires, de volume normal, sont régulière-
e. ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPJ : ftCRENNE zvi volume des
fibres
striées est tantôt exagéré, tantôt diminué; des e
Enfin, sur d'autres segments de la coupe, il ne reste plus que des
fibres
musculaires rares, très atrophiées, au milieu d
s parait anormalement t développé, indépendamment de l'atrophie des
fibres
musculaires ; cette myosite interstitielle est
n- flement cervical. Pans les nerfs : atrophie d'un grand nombre de
fibres
nerveuses ; hypertrophie fréquente des gaines d
t presque indemnes . Dans les muscles, atrophie à divers degrés des
fibres
striées myosite interstitielle. Cette atrophie
épaissis, bleuâtres ; sur les coupes, on voyait une raréfaction des
fibres
nerveuses qui parfois atteignaient une épaisseur
IE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 295 espaces dénudés de
fibres
. La plus grande partie du travail est consacrée a
elle intacte ; dans les nerfs des régions malades, une atrophie des
fibres
nerveuses et une infil- tration interstitielle
ui n'atteignent pas la totalité du tronc nerveux, mais laissent des
fibres
et des fascicules sains, se prolongent dans le
cles, myosite chronique interstitielle avec atrophie graisseuse des
fibres
striées. Dans l'observation Il du même ouvrage,
t de douleurs. Les cordons postérieurs de la moelle sont sclérosés (
fibres
nerveuses incluses dans une substance granuleuse
e épais et un tissu conjonctif abondant, riche en noyaux, autour de
fibres
nerveuses plus ou moins altérées. Ces lésions fon
r les coupes se présentent comme des anneaux, ne contiennent pas de
fibre
nerveuse noire (imprégnation par l'acide osmiqu
nes antérieures à peine altérées. Dans les nerfs périphériques, les
fibres
nerveuses avaient disparu en partie, séparées par
érieures de la moelle, et le noyau de l'hypoglosse ; diminution des
fibres
dans les cordons postérieurs et latéraux ; dans
postérieurs et latéraux ; dans les nerfs périphériques, mélange de
fibres
normales, de fibres dégénérées et de libres ent
raux ; dans les nerfs périphériques, mélange de fibres normales, de
fibres
dégénérées et de libres entourées de couches conc
ie de la moelle ; dans les nerfs périphériques : dégénérescence des
fibres
à myéline, augmentation du tissu interstitiel,
des cordons postérieurs dimi- nuant de bas en haut ; diminution des
fibres
des cordons latéraux ; diminution des fibres et
haut ; diminution des fibres des cordons latéraux ; diminution des
fibres
et des cellules dans les cornes antérieures et la
spinaux ; dans les nerfs périphériques, diminution considérable des
fibres
et épaississement de quelques vaisseaux ; dégén
divers degrés. Dans les nerfs périphériques, tantôt diminution des
fibres
nerveuses, épaississement de la gaine lamelleuse
ois augmentation des noyaux des gaines de Schwann qui contiennent des
fibres
normales, ou des fibres fines, ou des fibres ag
x des gaines de Schwann qui contiennent des fibres normales, ou des
fibres
fines, ou des fibres agglutinées en faisceaux ; u
nn qui contiennent des fibres normales, ou des fibres fines, ou des
fibres
agglutinées en faisceaux ; un assez grand nombr
, ou des fibres agglutinées en faisceaux ; un assez grand nombre de
fibres
sont réduites la game de Schwann ; les cylindraxe
s cutanés sont intacts ; les nerfs intramusculaires montrent peu de
fibres
saines, beaucoup de fibres de petit calibre et
s nerfs intramusculaires montrent peu de fibres saines, beaucoup de
fibres
de petit calibre et de nombreuses gaines vides.
ns les ganglions spinaux, atrophie cellulaire, dégé- nérescence des
fibres
des racines postérieures. Dans les nerfs, dégénér
les nerfs, dégénérescence dans le sens centripète ; diminution des
fibres
sans prolifération des noyaux (1) Un cas d'atro
rfs périphériques, diminution numérique et diminution de volume des
fibres
nerveuses incluses dans une sclérose inters- ti
u tissu interstitiel et épaississement des parois vasculaires ; des
fibres
saines persistent à l'état isolé au milieu de l'a
énérescence partielle des cordons postérieurs ; éclaircissement des
fibres
dans les cordons antéro-latéraux, sans systémat
cordons antéro-latéraux, sans systématisation nette; diminution des
fibres
de la colonne de Clarke ; dans les cornes antér
intégrité des racines antérieures et postérieures. Dans les nerfs,
fibres
en petit nombre, gaines gon- flées ou absentes;
ions spinaux, les racines antérieures montrent une dimi- nution des
fibres
à myéline et un épaississement de l'endonèvre. Da
ment de l'endonèvre. Dans les nerfs périphériques, dégénération des
fibres
, épaississement de l'endonèvre et du périnèvre
heval. Dans les muscles : atrophie ou transformation graisseuse des
fibres
striées ; myosite interstitielle (Les auteurs i
es cordons postérieurs et des faisceaux cérébelleux, diminution des
fibres
des racines antérieures et postérieures; atrophie
es nerfs périphériques, diminution parfois considérable du nombre des
fibres
; « les images en pelure d'oignon (zwiebelartig)
pinaux et sympathiques, avec lésions parenchymateuses (atrophie des
fibres
et des gaines de myéline) et interstitielles (s
myéline) et interstitielles (sclérose orientée suivant l'axe de la
fibre
et composée d'éléments conjonctifs imbriqués co
tion, prolifération des noyaux, transformation graisseuse, quelques
fibres
hypertrophiées ; parois vasculaires fréquemment
ues volumineux avec sclérose conjonctive annu- laire, engainant les
fibres
. Dans la moelle, dégénérescence des cordons pos-
a moelle, dégénérescence des cordons pos- térieurs ; diminution des
fibres
à myéline et des cellules multipolaires des cor
: Dans la moelle, sclérose des cordons postérieurs, raréfaction des
fibres
dans les cordons antéro-iatéraux. Les racines r
re. Dans les troncs nerveux périphériques, diminution du nombre des
fibres
à myéline. Tissu conjonctif intra-fasciculaire
tissu réticulé, tantôt épaissi et condensé dans les intervalles des
fibres
nerveuses. Présence de gaines conjonctives annu
conjonctives annulaires et volumineuses autour d'un grand nombre de
fibres
des nerfs mixtes. Ces diverses lésions sont plus
mérique des tissus interstitiels accompagne la dégénérescence de la
fibre
musculaire. Les rapports entre l'atrophie des f
escence de la fibre musculaire. Les rapports entre l'atrophie des
fibres
nerveuses et t'hypertrophie des éléments inters
RE PROGRESSIVE TYPE-ABAN' DUCHENNE oua en indiquent l'absence ; les
fibres
nerveuses disparaîtraient donc dans certains ca
conjonctif dense ou de tissu réticule, dans laquelle passent t des
fibres
nerveuses, normales ou atrophiées (cas Westphal,
vations, l'hypertrophie des gaines de Schwa.nn constitue autour des
fibres
nerveuses d'épais man- chons, cylindriques, com
ucun rapport avec l'état de l'élément conducteur ; on peut voir une
fibre
nerveuse bien conservée, entourée d'une gaîne de
érébelleux, parfois diffuses sous la forme d'un éclaircissement des
fibres
myélinisées. Ces dégénérescences médullaires, d
e des lésions d'un autre ordre : augmentation du volume de quelques
fibres
, distribution segmenlaire des processus dégénérat
ations sont encore peu prononcées ; il existe un bouleversement des
fibres
des fais- ceaux blancs qui se trouvent sectionn
et de dehors en dedans (PI. XLII, fig. 8 et PI. XLIII, fig. 9); les
fibres
radiculaires qui les composent sont intactes et
laircie : mais il ne s'agit pas d'une dégénérescence en masse ; les
fibres
sont plus grêles, plus rares, et l'éclaircissem
égion cervicale supérieure, il existe encore une grande quantité de
fibres
dégénérées le long du septum. Cette atropgiedes
et en certains points orienté en tourbillons, parsemés eux-mêmes de
fibres
à myéline provenant des racines postérieures ou
sont intactes ; au niveau de leur pénétration dans la moelle, leurs
fibres
sont dissociées, éparpillées. La dégénération d
disséminés dans la masse adipeuse qui est également traversée par les
fibres
radiculaires dissociées des racines postérieure
moitié gauche de la moelle, formation du cordon postérieur par les
fibres
radiculaires postérieures f., p. diminution de la
ophiés à un degré moindre. Le muscle deltoïde est réduit à quelques
fibres
seulement, à peine palpables. Bien que moins volu
rerait ces éléments devenus surabondants, et prendrait la place des
fibres
musculaires. Comme on le voit, cette théorie s'ap
esseur Dccwrrc. SYRINGOMYÉLIE, HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF,
FIBRES
MUSCULAIRES STRIÉES DANS LA MOELLE. PAR si AN
n'offre aucune particularité ; il est constitué par un feutrage de
fibres
névrogliques,dans les intersticesdesquelles les n
roi fibreuse avec une tunique adveutilielle très développée. Pas de
fibres
à myéline, pas de cylindres axes. Les limites p
T. XXV. PI. LII SYRINGOMYÉLIE. HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF.
FIBRES
MUSCULAIRES DANS LA MOELLE (A. Thomas et Quercy
. 15jv. Pl. LUI SYRINGOMYÉLIE. HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF.
FIBRES
MUSCULAIRES DANS LA MOELLE (A. Thomas et Quercy
'. : oN. Pl. LI\' SYRINGOMYÉLIE. HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF.
FIBRES
MUSCULAIRES DANS LA MOELLE (A. Thomas et Quercy
tissus voisins. L'adventice est constituée soit par des couches de
fibres
conjonctives concentriques, soit par un réticul
particularité'est bien mise en lumière sur la planche LIV, Il. 1.
Fibres
musculaires striées. -- Sur toute la bailleur de
la moelle depuis Civ jusqu'à Dxl, il existe en diverses régions des
fibres
musculai- res striées. Ces éléments, qui ne s
encore la striation longitudinale est seule appa- rente. Plusieurs
fibres
sont partiellement nécrosées. granuleuses ou vi-
éoplasique. Le sarcolemme contient de rares noyaux. On trouve les
fibres
musculaires dans la cavité, entre les membranes
ure-mère. Voici quelques exemples de leur distribution : En Civ les
fibres
mus- culaires sont accolées à un petit amas de
de la cavité centrale, celle-ci se dilate autour d'un petit amas de
fibres
musculaires striées ac- compagnées de tissu cel
entoure et sert d'inser- tion aux mailles du tissu cellulaire. Les
fibres
musculaires sont nettement striées ; à leur voi
culaires sont nettement striées ; à leur voisinage on voit quelques
fibres
nerveuses, dont quel- ques-unes viennent s'appl
KXV. PI. LV L , SYRINGOMYÉLIE. HYPERPLASIE DU TISSU CONJONCTIF.
FIBRES
MUSCULAIRES DANS LA MOELLE (A. Thomas et Quercy
té, la pie-mère reparaît, très épaissie et adhérente. Il existe des
fibres
musculaires striées dans l'épais- seur de la pi
u'à la périphérie. Le centre de la cavité est encore occupé par des
fibres
musculaires striées, du tissu cellulo-graisseux e
amas de tissu conjonctif (PI. LII, C) au milieu desquels gisent des
fibres
muscu- laires striées, d'aspect vitreux (PI. LI
laires striées, d'aspect vitreux (PI. LII, A) ; quelques-unes de ces
fibres
s'incrustent dans le bloc névroglique qui forme
lulo-graisseux, le centre de la cavité est comblé par un peloton de
fibres
myélinisées, orientées en divers sens, en conti
Sur le bord postéro-interne de ce peloton il existe une très belle
fibre
musculaire striée (PI. LV, K).La membrane papilla
out au niveau des extrémités des diverticules la téraux. ' 4° Des
fibres
musculaires striées et du tissu conjonctif cellul
tissu conjonctif ; 380 ANDHÉ-THOMAS ET QUERCY 2° La présence des
fibres
musculaires striées dans la moelle; c'est la pr
ntérieure au même niveau ; des hétérolopies, telles que des amas de
fibres
nerveuses dans la cavité. La présence de fibres
les que des amas de fibres nerveuses dans la cavité. La présence de
fibres
musculaires striées peut être interprétée de deux
tératologique ? On peut objecter à la première hypothèse que si les
fibres
musculaires striées se trouvent presque constamme
sence de connaissance antérieure au niveau du Dvl. La présence de
fibres
musculaires striées est encore plus une curiosité
en effet une réelle curiosité de trouver dans une moelle adulte des
fibres
musculaires, dont quelques- unes sont clans un
- unes sont clans un état de conservation aussi remarquable que les
fibres
d'un muscle qui a normalement fonctionné. En
t dépourvues de myéline, mais ayant conservé leurs cylindraxes. Ces
fibres
sans gaine myéiiuique aug- mentent vers la péri
du dehors dans les faisceaux postérieurs, on constate l'absence des
fibres
nerveuses isolées. Le faisceau de Goll dans sa pa
ons noires. Au niveau du 6e segment cervical, la trans- parence des
fibres
apparaît surtout dans la zone périphérique des fa
t aplatie, la commissure antérieure à peiue indiquée, le réseau des
fibres
myé- 400 ROTSTADT liniques dans les racines a
racines antérieures on constate des symptômes de dégénérescence des
fibres
myéliniques moins prononcée du côté droit ; dans
substance grise des cornes a une teinte très pâle et le réseau des
fibres
des racines antérieures et postérieures est con
droit comprimé et consistant avant tout dans la démyélinisation des
fibres
, la dilatation des vaisseaux, des espa- ces pér
« ossification des ligaments, qui se fait sur place, sans saillie,
fibre
par fibre, de façon presque absolument régulièr
ation des ligaments, qui se fait sur place, sans saillie, fibre par
fibre
, de façon presque absolument régulière » (A. Lé
stérieure du côté' malade est étriquée et ne contient pas autant de
fibres
myéliniques ; 4° les gros vaisseaux sont de- me
ar du côté droit sont cependant à peu près complètement disparus. Les
fibres
sont pâles, jaunes et clairsemées. , On prélè
ès fibreux et les axes fibreux renferment une proportion notable de
fibres
élastiques. Les points lymphatiques sont assez
e turcique. Inversion sexuelle, -) (4 pl.), par GnL- lais, 124.
Fibres
musculaires striées dans la moelle dans un cas
O, 413. S.yrin,t7onziléli'e, hyperplasie du tissu conjonc- tif.
Fibres
musculaires striées dans la moelle (4 pl.), par
es mentaux con- sécutifs à un traumatisme crânien (Petit), LVI.
Fibres
musculaire dans la moelle dans la syringomyélie
e (CoNTO), LIX. Syringomyélie, hyperplasie du tissu con- jonctif,
fibres
musculaires dans la moelle (ANDRÉ-TiIO31AS et Q
l dilatateur de la pupille, le centre de Budge d'où partiraient les
fibres
ner- veuses qui gagnent ensuite la voie du symp
'excitation lumineuse, sensorielle ? Quelle est l'action exacte des
fibres
issues de ce centre dilatateur, action d'inhibi
mera tout en conservant l'action de l'accommodation à la distance :
fibres
spéciales à grosse gaine de myéline du nerf opt
constaté que de ces tubercules, portaient un nombre considérable de
fibres
nerveuses descendantes reliant cette masse grise
'existence à été démon- trée par Ferrier et Turner, il y a d'autres
fibres
motrices descen- dantes qui suivent le même tra
gique n'a pas nettement prouvé l'existence de grosses masses de ces
fibres
, mais on peut distinguer beaucoup de libres don
de toute sclérose. Si, comme cela est plus que probable, les rares
fibres
corticales qui pénètrent dans la moelle viennent
ésions et à l'âge où le mal apparaît. F. f3olsslea. XVII. Sur les
fibres
endogènes dans la région lombo-sacrée ; par A.
ernier segment dorsal, les tleux faisceaux tendent à se diffuser en
fibres
isolées semées dans tout le cordon postérieur.
anes inférieurs. F. BOISSIER. XVHL Sur une disposition anormale des
fibres
de la pyramide bulbaire; par van Gehuchten. (Jo
copique montra qu'il ne s'agissait pas là d'une atrophie et que les
fibres
qui manquaient à la pyra- mide plus étroite éta
vent donc étre attribués qu'à une interruption physiologique de ces
fibres
motrices et comme cette interruption a dû reten
lexes rotuliens qui a persisté jusqu'à la mort. Une compression des
fibres
dans Ja capsule interne aurait entraîné une exa
e, les neurolibrilles forment deux réseaux reliés entre eux par des
fibres
radiaires. A la grille extérieure ou périsomale
s fibres radiaires. A la grille extérieure ou périsomale, formée de
fibres
délicates, viennent les fibrilles périphériques
ues du prolongement nerveux ; de la grille périnucléaire, à grosses
fibres
, part une fibrille primitive, épaisse, axile, q
mirnow se traduit par les détails suivants. Il y a imprégnation des
fibres
nerveuses périphériques et de celles du neuropile
rquoi n'est-ce que le neurosome qui réagit au pôle négatif ? Si les
fibres
nerveuses composées d'un cordon de fibrilles pr
i sont également im- prégnables, bien que pas au même degré que les
fibres
nerveuses. Les nerfs périphériques enclavés dan
forme de neurosomes isolés. L'impéné- trable embrouillement de ces
fibres
dans le système nerveux central des vertébrés n
obable que l'intégrité anatomique d'une cellule com- plexe comme la
fibre
musculaire est intimement liée à son inté- grit
i cet état morbide a pour siège le neurone, la cellule nerveuse, la
fibre
nerveuse, ou bien tous ces divers élé- ments, d
art de cercle peut être due à une lésion de la capsule interne. Les
fibres
de la région maculaire n'ont pas une marche spéci
éplacement de la névralgie, stratification anormale des cellules et
fibres
nerveuses). L'auteur croit à la simultanéité de
amiqne. Intégrité de l'anse du pédoncule cérébral, c'est-à-dire des
fibres
du noyau lenticulaire qui passent au-dessous du
l'extirpation du centre frontal ont pu être suivies (sous forme de
fibres
dégénérées ! ) dans les circonvolutions voisine
ntérieur, au niveau du noyau du moteur oculaire commun, on voit des
fibres
dégénérées se dirigeant du pied du pédoncule ve
égénérescence ne se laissait pas poursuivre plus loin sous forme de
fibres
, mais on apercevait seulement de loin en loin d
u faisceau longitudinal postérieur des deux côtés. En dehors de ces
fibres
, qui se rendent au noyau du moteur oculaire du
e commun du côté opposé. Après l'extirpation du centre pariétal des
fibres
dégénérées (qu'on peut poursuivre directement j
côté, dans SOCIÉTÉS SAVANTES. 169 le cingulum, dans la couche des
fibres
tangentielles de la substance grise sous-épendy
que sur toutes les coupes, faites dans la région correspondante des
fibres
dégénérées monter du pied du pédoncule cérébral v
du pédoncule cérébral vers le tubercule quadrijumeau antérieur. Ces
fibres
arrivent à la couche grise superficielle, la pl
ercule quadrijumeau antérieur au niveau de la IVe p. représente des
fibres
aberrantes superficielles postéro- externes du
les aberrants superficiels externes de Long. Outre ces faisceaux de
fibres
dégénérées issues du pédoncule cérébral on voit
égénérescence dans le corps genouillé externe et dans la couche des
fibres
superficielles du tubercule quadrijumeau des de
ces animaux des régions non myélinisées, il y en a de même dans les
fibres
de projections et que chez l'homme aussi, les c
les animaux et chez l'homme. Les régions tard myélinisées dans les
fibres
de projection ont, en comparaison avec l'ensemb
ns les fibres de projection ont, en comparaison avec l'ensemble des
fibres
de projection, une si grande étendue qu'on peut
ue les centres corticaux auxquels elles appartiennent possèdent des
fibres
de projection en varia. 17b grand nombre. Cec
daires qui montrent que toutes les régions corticales contenant des
fibres
de projection, pas une ne peut constituer un pu
masses tuberculeuses, plus ou moins altérés (renflement exagéré des
fibres
à myéline avec cylindre-axe gonflé en certains
enfin du pied du pédon- cule cérébral gauche et la destruction des
fibres
de la calotte, ren- dent compte des troubles oc
rticulier les faisceaux postérieurs sont aussi richement pourvus de
fibres
à myéline que dans une moelle nor- male. Les ra
de tous les nerfs étaient placées dans le ce ! veau. La présence de
fibres
, dans cet organe, était méconnue ou niée. On ig
vous le répète, la plupart des anatomistes niaient la pré- sence de
fibres
dans les centres nerveux, Gall et Spurzheim affir
e, qu'avaient Gall et Spürzheim, de l'origine des nerfs et de leurs
fibres
, s'éclaira d'une lueur nouvelle, grâce à la déc
d. A cette date, Hannover proclama, catégoriquement, que toutes les
fibres
du cer- veau naissent des cellules nerveuses. E
ait de déchiffrer l'agencement intime des cellules ner- veuses, des
fibres
nerveuses et de la névroglie; de démêler l'enche-
des agglomérations considérables de cellules multipo- laires et de
fibres
primitives, celles-ci ne communiquant entre elles
lées ou des agrégats de cellules avec d'autres cellules et avec les
fibres
centrales et péri- phériques. Un peu plus tar
isait'cettè couceptiou des rapports anatomiques des cellules et des
fibres
nerveuses. Il édifiait sa doctrine de l'agencem
centres nerveux se composent d'éléments parenchymateux, cellules et
fibres
, soutenus par une trame interstitielle, on appl
recherches de Flechsig, sur la chronologie de la myélinisation des
fibres
nerveuses dans le cerveau du foetus et du nouve
ions d'ordre physique. Ce courant nerveux aboutit, en sui- vant les
fibres
nerveuses, à des agglomérations de cellules de
ants dans la période de croissance, aussi bien les cellules que les
fibres
nerveuses. Parfois, comme dans un cas rapporté
otie, le Dr Bevan-Lewis a noté un durcissement de la névroglie, des
fibres
et des cellules local ou diffus, avec une atrop
it moins que le droit. L'examen microscopique montra l'atrophie des
fibres
tangentielles, l'atro- phie et la désagrégation
s reproduisent successivement les dispositions des cellules et des'
fibres
nerveuses dans les diffé- rentes régions en jet
b, etc.), on a trouvé le manque ou le développement insuffisant des
fibres
myéliniques intracorticales transverses. Dans le
ntracorticales transverses. Dans le cas de. Monakow n'existaient ni
fibres
tangentielles zonales, ni stries de Vicq-d'Azyr
ielles zonales, ni stries de Vicq-d'Azyr; dans le cas de Matell les
fibres
tangentielles zonales, les stries de Baillarâer
respectait les noyaux moteurs des yeux, mais qui avait détruit les
fibres
allant de l'écorce à la sixième paire, et celle
paire. C'est vraisemblablement à l'in- terruption de ces dernières
fibres
qu'était due la paralysie des mouvements associ
é dans son tiers moyen (méthode de Weigert Pal). Des deux côtés les
fibres
du faisceau pyramidal sont primi- tivement et p
ns les premiers, une dégénérescence granulo-graisseuse de plusieurs
fibres
musculaires (méthode de Marchi). Les altération
ouvoir, à elles seules, rendre compte des symptômes. L'atrophie des
fibres
pyramidales "a une plus grande importance et pe
étir¡uc, méthode qui nous retrace l'histoire du développe- ment des
fibres
, dans leur trajet à travers les centres. Pour bie
tée de cette méthode. Il est un principe général d'après lequel des
fibres
nerveuses équivalentes (c'est-à-dire appartenan
nfirmation, d'une façon toute particulière, au niveau des masses de
fibres
des hémisphères cérébraux. Ainsi, par exem- ple
l résulte de tout ce que l'on sait sur l'ordre de développement des
fibres
nerveuses, que les territoires primordiaux, pré
que les territoires primordiaux, présentant sur certains points des
fibres
à myéline quatre mois plus tct que les territoi
en centres de projection et centres d'associa- tion. La présence de
fibres
de projection isolées, dans les centres d'assoc
égénérations secondaires n'ont pu prouver exactement l'existence de
fibres
de projection isolées, à plus forte raison d'un
rojection isolées, à plus forte raison d'une couronne rayonnante de
fibres
groupées en faisceaux, unissant l'écorce cérébr
terminaux périphériques et réalisant ainsi tous les caractères des
fibres
de projection. Dans toutes les publications par
chent les centres sen- soriels et leur sont unies par de nombreuses
fibres
arquées. L'in- sula et le précunéus ne semblent
faisceaux atypiques de la couronne rayonnante, qui représentent des
fibres
de projection aberrantes, des centres sensoriel
l'écorce du cerveau, se fondent : 1° Sur l'existence prétendue de
fibres
de projection dans ceux-ci et l'absence de fibr
ence prétendue de fibres de projection dans ceux-ci et l'absence de
fibres
de projection dans ceux-là. Cette assertion n'e
sociation et que d'autres auteurs affirment avoir observé aussi des
fibres
de projection partant du reste des centres d'asso
oires de l'écorce cérébrale possèdent un bien moins grand nombre de
fibres
de pro- jection que d'autres, qui de leur part
i- culations, distend le tissu élastique rétracté et fortifie les
fibres
musculaires, frappées de la parésie. Quel est le
e la parésie. On croit aussi, que c'est par l'action directe sur la
fibre
nerveuse, que le massage ' GoliakhoWSky. La tec
méthodique agit plutôt par son influence nutritive; il agit sur les
fibres
musculaires, non atteintes de l'atrophie et qui
muscle est convenablement fixé la rupture se fait par le milieu des
fibres
musculaires. Des expériences sur les cobayes on
ogie. Suivant lui, grâce à l'influence trophique des centres sur la
fibre
nerveuse, la désorganisation se fait plus rapid
e), et la question anatomique se pose désormais en ces termes : les
fibres
de projection sont-elles réellement beaucoup mo
mmes arrivé dans nos recher- ches sur cette question : la somme des
fibres
de projection réunies dans la couronne rayonnan
ent petit de points corticaux. Dans toutes les circonvolutions, les
fibres
de projection ne forment qu'une petite fraction
projection ne forment qu'une petite fraction de toute la masse des
fibres
de la substance médullaire limitante. Il existe
nce et empiétant les uns sur les-autres, où l'on ne trouve aucune :
fibre
de piojpclion. Ou peut désigner l'ensemble de.
Ou peut désigner l'ensemble de. ces parties corticales privées' du
fibres
de projection sous-le nom de centres d'associa-
forme. La. division adoptée par Flechsig, qui ne considère que- les
fibres
de- projection des voies sensorielles, ne tient
ngents cérébraux, Gi,ossili ? n(i71lheile de von Monakow), dont les
fibres
de projection pénètrent souvent dans les centre
sulte des observa- tions embryologiques. Le mode de répartition des
fibres
de pro- jection dans l'écorce cérébrale est iné
e de succes- sion du revêtement de la myéline dans les faisceaux de
fibres
ner- veuses, on jugera que le matériel des rech
ous pensons que la théorie de Flechsig, d'après laquelle toutes les
fibres
de projection d'une voie corticale sensorielle s'
Vocr (de Berlin). Jusqu'au dernier moment toutes nos études sur les
fibres
cérébrales n'ont fait que confirmer ce que M"10
ous ont amenés : 1° contrairement à ce que dit Flechsig, toutes les
fibres
de même valeur ne se myélinisent pas en même te
élinisation n'a pas été confirmée par nos recherches; 3° il y a des
fibres
myélinisées dans toute l'écorce plus tôt que Fl
égions corlicales, car plus une région est tôt myélinisée, plus ses
fibres
et leurs gaines sont grosses ; 6° sans pouvoir
le de nous la four- nir, je pense que tout au début, la plupart des
fibres
myélinisées sont des fibres de projection. Mais
pense que tout au début, la plupart des fibres myélinisées sont des
fibres
de projection. Mais il y a des fibres d'associati
s fibres myélinisées sont des fibres de projection. Mais il y a des
fibres
d'association qui commencent très tôt à se myél
s fibres d'association qui commencent très tôt à se myéliniser. Les
fibres
du corps cal- 1 0. Vogt. Sur la myélinisation d
mois, où une..grande partie du cerveau ne contient pas encore de
fibres
myélinisées , on trouve déjà des libres commissur
chez les carni- vores, toutes les régions corticales possèdent des
fibres
de projec- tion ; 10° mais de plus. contraireme
is de plus. contrairement à l'opinion de M. Flechsig, à côté de ces
fibres
de projection il y a un nombre encore plus grand
é de ces fibres de projection il y a un nombre encore plus grand de
fibres
d'association et commissurales. Donc, déjà chez l
les car- nivores, il y a pour toutes les régions corticales plus de
fibres
d'autre valeur que de fibres de projeclion, et
toutes les régions corticales plus de fibres d'autre valeur que de
fibres
de projeclion, et nous ne pouvons pas voir, dan
de projeclion, et nous ne pouvons pas voir, dans .une minorité des
fibres
de projection, une,particularité du cerveau hum
en détail 1-0 Vogt. Avec cette réserve que seulement une parlie des
fibres
de projection se recour- bent ainsi, l'anatomie
rée appuie ce point de l'enseignement de M. Flechsig; 12° quant aux
fibres
d'association, nous avons pu constater chez les
s, par la méthode de la dégénérescence secondaire, qu'il existe des
fibres
d'association dans toutes les couches du centre
re ovale, entre l'écorce elle-même et l'épendyme ventriculaire. Ces
fibres
sont d'autant plus longues qu'elles se rap- pro
évroglie et ses modifications pathologiques ; enfin, l'anatomie des
fibres
. Quoique du domaine des anatomistes et des anat
es constatations cliniques. Je parlerai seulement de l'anatomie des
fibres
, mais ce que j'en dirai s'.applique aussi bien
rand nombre de travaux qu'on publie tous les ans sur l'anatomie des
fibres
, nos connaissances avancent très lente- ment. L
es : 1° il est si difficile de débrouiller le réseau enchevêtré des
fibres
du cerveau qu'il est absolument nécessaire qu'u
générescences secondaires. Mais s'il s'agit de suivre le trajet des
fibres
à l'intérieur de la moelle, il faut pous- ser p
veau la réaction au liquide de différenciation d'un même système de
fibres
, d'un même faisceau, est régulière, constante,
e à l'extrême. Pour- quoi ces réactions différentes des systèmes de
fibres
? 2 SECTION DE NEUROLOGIE. 423 1° Différence
ct du liquide (de ces conditions fait partie l'adhérence intime des
fibres
en faisceaux aussi denses que le corps de la fi
ence intime des fibres en faisceaux aussi denses que le corps de la
fibre
elle-même) ; 3° Direction de la coupe. Un faisc
ansversalement : c'est que dans la coupe transversale, bien plus de
fibres
sont intéressées ; mais, d'autre part, le liqui
apsule interne en jaune clair, et 3° le faisceau de Tiirck dont les
fibres
viennent surtout des 11° et 111° circonvolution
les, et qu'on peut, grâce à leur bleu intense, suivre au milieu des
fibres
foncées jusqu'au cinquième externe du « pes ped
culaire de la cap- sule interne, enfin un champ bleu foncé dont les
fibres
pénètrent dans le corps optique. A travers tout
t le pied du pédoncule on trouve des réactions correspondantes. Les
fibres
qui rayonnent vers les lobes occipitaux se dess
taque dans le sens le plus favo- rable, eu égard à la direction des
fibres
; il est d'ailleurs facile d'enlever la pièce ap
L'arc réflexe dont dépend le tonus spinal du muscle est composé de
fibres
nerveuses afférentes venant du muscle lui-même
modique due à une com- pression médullaire, il y a interruption des
fibres
cortico-spinales et intégrité relative des libr
cutunés et tendineux découle une autre conséquence : la lésion des
fibres
cortico-spinales entraîne l'aboli- tion complèt
l; par Jean 1'1L1Z (de Varsovie). (Présentation des dessins.) Les
fibres
aberrantes de la voie pédocz=ulairc; par 1\111\0
même côté que la lésion cérébrale et qui peut être suivie dans les
fibres
arciformes internes et les noyaux des cordons de
ndre-axe et de sa gaine de myéline, en un tassement en masse de ses
fibres
, particulièrement manifestes dans la couche int
e, un certain nombre de fascicules qui consti- tuent le système des
fibres
aberrantes de la voie pédonculaire. Ces fibres
tuent le système des fibres aberrantes de la voie pédonculaire. Ces
fibres
se portent en arrière, s'adossent au ruban de Bei
férieur des pyramides. A leur trajet bulbo-protubérantiel près, ces
fibres
aberrantes dégénérées se comportent donc comme la
ns toute la hauteur de son trajet bulbo-protubérantiel. Parmi les
fibres
aberrantes qui se détachent de la voie pédoncu-
e interne du SECTION DE NEUROLOGIE. 503 ruban de Reil médian. Les
fibres
aberrantes prolubéranlielles peu- vent se détac
nt refoulées en arrière et adossées au ruban de Reil médian par les
fibres
trans- versales profondes du pont. Quant aux fi
médian par les fibres trans- versales profondes du pont. Quant aux
fibres
aberrantes bulbaires, elles s'incorporent dans
illon bulbo-protubérantiel, immédiatement au-dessus des der- nières
fibres
transversales profondes du pont. 2° Que la dégé
uban de Reil constatée dans ces cas est due à la dégénérescence des
fibres
aberrantes de la voie pédonculaire. Elle n'occu
sente suivant le trajet, le nombre, la longueur et la catégorie des
fibres
aberrantes les plus grandes variétés individuel
rzcc ne peut être invoquée en faveur de l'existence d'un système de
fibres
reliant directement et sans l'eltti ganglionnaire
ion corticale. 3° Que la voie pédônculaire peut posséder, outre les
fibres
aber- ran;es qui s'adossent au ruban de Reil mé
ibres aber- ran;es qui s'adossent au ruban de Reil médian, d'autres
fibres
aberrantes. Telles sont : a) Les fibres aberr
de Reil médian, d'autres fibres aberrantes. Telles sont : a) Les
fibres
aberrantes postéto-rxlcmes qui contournent la par
ent être suivies dans le tubercule quadrijumeau antérieur. b) Les
fibres
pyramidales homolulérnles superficielles qui se d
umeau. Elles sont ren- forcées au niveau du collet du bulbe par les
fibres
pyramidales homolatét'ales profondes qui décapi
u faisceau pyramidal croisé et au faisceau pré- pyramidal. c) Les
fibres
aberrantes pyramidales croisées se détachent du f
. Le faisceau dit de Pu/; k n'est qu'une modalité anatomique de ces
fibres
; il se détache de la pyramide antérieure dans l
se du bulbe, puis s'entremêle au niveau du collet du bulbe a\ec les
fibres
du faisceau pyramidal croisé de la moelle épini
amidal croisé de la moelle épinière. La connaissance du système des
fibres
aberrantes de la voie pédonculaire est donc imp
ubérantielles de la voie pédonculaire. L'exislencc de ce système de
fibres
démontre une fois de plus, dans l'étude de ces
ons de Goll et de Burdach dépend de la terminaison de leurs longues
fibres
dans le nucleus gracilis et le nucleus cuneatus
parties constituantes. La loi de Kahler concernant la position des
fibres
exogènes dans les cordons est généralement vrai
ent aux branches descendantes des racines. La position relative des
fibres
radiculaires ascendantes, en tant que connue, s
ascendantes, en tant que connue, sera prise en con- sidération. Les
fibres
exogènes descendantes des régions cervico- dors
aisceau en virgule de Schullze, dans une partie de leur trajet. Les
fibres
exogènes descendantes des régions dorsale infér
en considération, et il sera démontré qu'ils contiennent aussi des
fibres
exogènes, et qu'ils ne sont pas purement endogè
zone radiculaire pos- téro-interne est principalement composée des
fibres
radiculaires d'une longueur intermédiaire, qui
ec des degrés variés d'amincissement et d'émyélini- sation de leurs
fibres
(état embryonnaire). Des changements simi- lair
la sclérose à l'action immédiate d'une substance toxique sur les
fibres
nerveuses. Elle est attribuée par Marie à une aff
antérieures, de l'excitation que le choc du tendon produit sur les
fibres
nerveuses sensibles intratendineuses. Un facteu
re. Une grande partie du rameau frontal du trijumeau tirerait ses
fibres
des groupes de noyaux les plus éloignés du centre
oints d'atrophie correspond l'atrophie du réseau intranucléaire des
fibres
et des. racines intramédullaires. Il existe enc
unilatérale qui nous occupe (cinq ans de durée), et l'atrophie des
fibres
radiculaires intramédullaires, l'atrophie nuclé
an, Girami, l3riand, Magnan, Legrain, 162; par Bois- sier, 163.
Fibres
endogènes de la région lombo sacrée, par Bruche
antile avec scoliose tardive, par P. Marie, 520. PEDO\CUL111tE.
Fibres
aberrantes de la voie , par M"" Déjeune, 501.
Etudes de -, par Seif, 49. Pyramides. Disposition anormale des
fibres
des - bulbaires par, van Gehuchten, 132. IIEG
copique dans la vascularisation du fond de l'oeil. Du côté droit,
fibres
nerveuses à myéline du côté inféro-nasal (disposi
poussant l'analyse plus loin que le physiologiste, semble isoler des
fibres
trophiques. Pour expliquer la pathogénie de l
A gauche, la fente gagne la périphérie au devant de l'émergence des
fibres
sensitives ; à droite, elle pénètre dans la rac
mes. Ces nodules sont ovoïdes, légèrement allongés dans le sens des
fibres
du muscle ; ils sont au milieu même des élément
u pédoncule cérébelleux supérieur droit qui envoie un contingent de
fibres
vers l'entrecroisement bien moindre qu'à gauche.
ulbe (Planche XIX), on con- state l'atrophie de l'olive droite. Les
fibres
de la capsule de l'olivesont dé- 82 MARIE ET GU
es du bulbe, alors que ce faisceau est venu se con- fondre avec les
fibres
de la formation réticulée blanche. On reconnaît c
olive droite est très diminué, aussi s'explique-t-on l'atrophie des
fibres
cérébello-olivaires. M. Thomas (1) dans un cas de
presque impossible de constater sa disparition au milieu des autres
fibres
restées saines. (1) A. Thomas, Recherches sur
une grande épaisseur, sous forme de traînées cellulaires entre les
fibres
tassées étroitement, ou avec l'apparence de pet
illeurs la transformation scléreuse est moins avancée et les minces
fibres
conjonctives sont écartées par l'infiltration cel
n de la zone périphérique eu contact avec les méninges malades. Les
fibres
colorées persistent autour des cornes antérieures
quelles elles forment une courte auréole. Dans le cordon latéral, les
fibres
colorées se groupent encore contre la substance
insi que de pelites hémorrhagies, des dégénérescences va- riées des
fibres
nerveuses, des altérations constantes du canal ce
ions diverses de la myéline; mais ces lésions s'ob- servent sur des
fibres
isolées aux environs immédiats des régions infilt
e de la substance blanche, soit qu'elles apparaissent au milieu des
fibres
, soit qu'elles pénètrent le long des septa ou p
s dans les amas, et rattachées par Boettiaer à la destruc- tion des
fibres
blanches. Dans le cordon postérieur existent, n
nt très abondants et forment des groupes de dix à vingt éléments. Les
fibres
myéliniques sont totalement disparues au niveau
es vertico-transversale, on ren- contre encore un certain nombre de
fibres
nerveuses saines ; du côté gauche, il est impos
nerveuses saines ; du côté gauche, il est impossible de dire si ces
fibres
appartiennent à tel ou tel faisceau ; on ne \ p
nt à tel ou tel faisceau ; on ne \ peut reconnaître aucun groupe de
fibres
qui puisse être rattaché soit au faisceau longi
soit au tapetum. A droite, on distingue encore un certain nombre de
fibres
à direction antéro- postérieure, reste du faisc
que d'une localisation du processus pathologique sur telle ou telle
fibre
ou sur tel ou lel centre. » Diminution de l'acuit
que chaque macula est en rapport avec les deux hémisphères par des
fibres
directes et croisées ; la lésion d'un lobe occipi
de ramollissement (Fürster). Selon la troisième hy- . pothèse, les
fibres
correspondant à la macula se dispersent dans tout
amen histologique décela dans notre cas la conservation de quelques
fibres
saines disséminées dans les radiations optiques.
jours suivre parallèlement dans leur disparition la disparition des
fibres
musculaires, sans modifications qualitatives. P
blent pas complètement atrophiés ; il semble rester encore quelques
fibres
dans le groupe péronier. Le malade en effet conse
n n,y rencontre aucun paquet musculaire. A l'avant-bras, quelques
fibres
musculaires persistent au niveau du bord radial
ogues à celles de l'écorce cérébrale, enfin au centre une couche de
fibres
nerveuses. Un nerf optique se constitue ; passant
yélinisation. Sur les côtés de ces ganglions on trouve toujours des
fibres
nerveuses, qui représentent peut- être des raci
que dans les muscles. Les muscles ont une structure nor- male ; les
fibres
musculaires ont leur striation transversale très
res musculaires ont leur striation transversale très nette comme la
fibre
musculaire adulte. Les muscles sont bien proporti
normal de ces nerfs moteurs, vu leur distribution régulière par des
fibres
bien proportionnées aux masses musculaires il e
ortionnées aux masses musculaires il est à peu près certain que les
fibres
nerveuses motrices existent. t. L'absence des
ar quelques tractus fibreux. Pellizzi (1) croit à l'existence des
fibres
motrices; cet auteur a constaté dans deux cas l
ivant les réseaux névrogliques préexistants, et à leurs dépens, les
fibres
nerveuses se trouvent étouffées, dissociées, en
itués ; les parois sont relativement épaisses, contiennent quelques
fibres
conjonctives reconnaissables à leur coloration ro
remplacer complètement celui-ci ; les éléments nerveux, cellules et
fibres
nerveuses, disparaissent graduellement ; il ne re
érieures, qui ne sont pas touchées par le processus atrophique. Les
fibres
nerveuses de la substance blanche sont pour la pl
ithélium et une gaine de fibrilles névrogliques très épaisse. Les
fibres
nerveuses des cordons antérieurs et latéraux sont
ors deleurendothélium, normal et bien conservé, quelques assises de
fibres
conjonctives ; c'est une sclérose une hypertrop
compression : il avait subi un élargissement transversal, mais les
fibres
nerveuses qui entrent dans sa constitution avai
s'élève, ensuite, perpendiculairement dans la substance médullaire (
fibres
transverse) qui constitue la partie essentielle d
conicæ et qui correspondent, surtout vers les bords extérieurs, aux
fibres
obliquo-transverses, qui dérivent des muscles sty
cale de la langue, au-dessous de la muqueuse est constituée par les
fibres
longitudinales du musculus lingualis superficiali
bres longitudinales du musculus lingualis superficialis (superior),
fibres
qui s'amincissent jusqu'à s'y confondre, vers les
heure. Au-dessous du muscle lingualis superficialis se trouvent les
fibres
muscu- laris tmnsversæ de la langue. Celles-ci
les muscles. lingualis superficialis et lingualis inferior, dont les
fibres
plus contiguës et voisines s'entrelacent et s'e
es s'entrelacent et s'entrecroisent avec les couches proximales des
fibres
transversoe (Sappey, Quain, Romiti, Testut, Hyrtl
arquent par leur rayure, dans une langue 'normale, la direction des
fibres
obliquo- transverses du stilo-glosszs et hyoglo
es plus ou moins régulières, mais elles in- téressent seulement les
fibres
du lingualis superficialis et peut-être celles
orphologiques, que nous avons décrites frappent essentiellement les
fibres
longitudinales du muscle lingualis superficialis.
r, en réunissant étroitement leurs cellules en de petits faisceaux (
fibres
) au moyen de leurs peri1ftysia. Ceci ne s'est pas
défaut ou par excès, mais seulement une variété de disposition des
fibres
in toto. Nous sommes donc autorisés a admettre
surface, s'est déve- loppé segmentairement en de gros faisceaux de
fibres
bien différenciés entre eux depuis sa première
a envahi les traits laissés libres et s'est fixée au fond, sur les
fibres
transverses plus superficielles de la portion s
n en 1898, ont décrit dans l'écorce des tabétiques une atrophie des
fibres
tangentielles et une prolifération de la névrog
ceux que nous retrouverons dans le névrome périphérique. Formés de
fibres
grêles à myéline très mince, souvent moniliform
rès mince, souvent moniliformes, ils donnent l'impression de jeunes
fibres
en voie de régénération (voy. pl. LXII, fig. B).
moins nombreux par coalescence (Voy.pl. LXII, fig.C). En dehors des
fibres
grêles, on y observe un certain nombre de fibres
.C). En dehors des fibres grêles, on y observe un certain nombre de
fibres
larges à myéline régulière. Dans la lig. C, rep
uées par des points noirs bien marqués, tandis que les faisceaux de
fibres
grêles et de cylindraxes nus forment les amas g
amas grisâtres plus ou moins étendus qui séparent ou entourent les
fibres
larges. Dans chaque faisceau, ces fibres se réu
séparent ou entourent les fibres larges. Dans chaque faisceau, ces
fibres
se réunissent en fascicules dont les éléments,
les uns des autres. Quelques-uns de ces fascicules ne possèdent des
fibres
que dans une partie de leur aire, le reste étan
ment par le Pal ou le bleu d'anthracène, puis par la safranine, les
fibres
sont beaucoup plus serrées que dans les rameaux
digitaux du bout périphérique. Il existe une notable -proportion de
fibres
larges avec myéline régulièrement colorée et cy
e.) NÉVROME ADIPEUX DIFFUS DU MÉDIAN 327 irrégulière, ou sont des
fibres
grêles, à myéline gris clair et moniliforme. Ce
rement. Quelques-unes semblent se diviser en Y. Ailleurs, c'est une
fibre
large qui s'arrête subitement et donne naissanc
qui s'arrête subitement et donne naissance par son extrémité à deux
fibres
minces. Enfin, nous avons observé une libre lar
ant insertion, au niveau d'un étranglement annulaire, à deux autres
fibres
d'un diamètre égal au sien. Les anneaux de Ranv
g. E et les fig. F. G. IL de la planche LXIII). Lorsque, dans les
fibres
larges, la myéline fait localement défaut, la c
sont presque toujours parfaitement bien différenciés au centre des
fibres
. Toutefois, ils nesontpas toujours exacte- ment
trait couleur encre de Chine au milieu de la myéline qui, dans ces
fibres
, prend toujours une teinte noire moins intense
is de petits amas, , assez bien limités, situés à la périphérie des
fibres
ou sous le périnèvre et ayant la forme et le vo
paraissent plus nombreux que sur les coupes longitudinales, caries
fibres
sans myéline, extrême- ment nombreuses, dissémi
ibres sans myéline, extrême- ment nombreuses, disséminées entre les
fibres
larges ou réunies en -petits faisceaux, s'y dis
réunies en -petits faisceaux, s'y distinguent plus nettement. Les
fibres
sont généralement assez espacées et dissociées co
es larges, ovoïdes, nucléées et à protoplasma finement grenu. Les
fibres
élastiques sont assez nombreuses. 2° Corps du n
raissent répondre, surtout dans le centre des faisceaux, soit à des
fibres
cylindriques, homogènes, régulières, se colorant
eloppe de myéline recouvrant partiellement certains segments de Ces
fibres
, soit peut-être des cylindraxes qui, dans cette
à cet égard émettre d'opinion certaine. Enfin, quelques-unes de ces
fibres
homogènes paraissaient, déplace en place, inter
de dimen- sions variables, n'atteignant presque jamais celle d'une
fibre
normale (Voy. pl. LXIV, fig. J). Ils paraissent
le montrent les coupes longitudinales. Giàceà leur disposition, ces
fibres
embryonnaires se reconnaissent mieux sur ces co
jonctifs. Si parfois.il apparaît, au centre et au bord d'une de ces
fibres
, un corps plus colorable, il semble devoir être
erprété non pas comme un cylin- draxe, mais comme le noyau de celle
fibre
coupé transversalement. 3° Pédicule du névrome.
es plus intéressantes à étudier, car on y voit paraître, à côté des
fibres
em- 330 DURANTE .bryonnaires, d'autres tubes
différenciés. Les coupes longitudinales à la safranine montrent des
fibres
nerveuses en plus grand nombre que celles au Pa
Sur les coupes longitudinales (Voy. pl. LXIII, fig. F, G, II), les
fibres
nerveuses myélinisées sont, suivant les faiscea
comme on pourrait le supposer, mais renferme une grande quantité de
fibres
amyéliniques, ainsi que le démontrent les coupe
ransversales (comparez pi. LXIII, fig. G et pi.LXIV, fig. I). Les
fibres
sont cylindriques et bosselées ; les plus jeunes
ectent sou- vent une disposition moniliforme très nette. Dans les
fibres
larges, la myéline se colore tantôt en gris, tant
lques cas, les poils de certains animaux. La caractéristique de ces
fibres
est la séparation souvent considérable entre le
pas d'anneau de Ranvier à proprement parler. Ce n'est que dans les
fibres
les plus avancées que l'on voit un filament cyl
segment suivant. Le cylindraxe ne peut être reconnu dans toutes les
fibres
. La plupart de celles-ci, et particulièrement l
EUX DIFFUS DU MÉDIAN 331 par le Pal, et ceci non seulement dans des
fibres
différentes, mais- aussi dans les différentes p
s différentes, mais- aussi dans les différentes portions d'une même
fibre
ou d'un même segment in- terannulaire. La trans
a partie moyenne du segment qu'ils occupent. Signalons,enfin, une
fibre
dans laquelle existait un noyau caractéristique
ès grêles ou représentés par des points fou- cés comme une coupe de
fibre
de Rémak. Ces derniers ne prennent ni les color
léments nerveux est assez grand. Les faisceaux paraissent formés de
fibres
plus serrées que ne le faisaient songer les coupe
eux sens, on se rend compte que le tissu interstitiel, séparant les
fibres
apparentes dans la coupe longitudinale, doit re
r- veux étouffé par son périnèvre exubérant. Ce qui distingue les
fibres
nerveuses du bout périphérique de celle du bout
ifications de ce névrome périphérique nous ont montré de nombreuses
fibres
à large myéline et à cylindraxe nettement diffé
'achèvement. A côté de ces tubes nerveux myéliniques existaient des
fibres
dépour- vues de myéline et chargées de noyaux n
e myéline et chargées de noyaux nombreux se colorant fortement. Ces
fibres
, du diamètre d'un tube nerveux mince, et assez ré
qui l'entoure le rend plus difficile étudier., Quelques-unes de ces
fibres
présentaient, sur leur continuité, de larges di
hwann, ni de superposition, mais bien d'éléments constitutifs de la
fibre
ayant subi cette transformation. Chaque vacuole
n rap- port avec un ou plusieurs noyaux et leur ensemble donne à la
fibre
ainsi modifiée l'aspect d'une chaîne de grosses
dans le tronc du médian. Mais ici, ils sont composés d'un mélange de
fibres
larges à myéline et de fibres grêles à caractèr
ci, ils sont composés d'un mélange de fibres larges à myéline et de
fibres
grêles à caractère jeune ou privées de myé- lin
et de fibres grêles à caractère jeune ou privées de myé- line. Ces
fibres
grêles sont soit disséminées, soit réunies en ama
n leur trouve souvent des segments noirs et d'autres colorés. Les
fibres
sont parsemées de grains noirs souvent réunis en
ans le bout périphérique, au niveau du moignon, on ne trouve pas de
fibres
à myéline. Mais les coupes transversales montrent
up plus larges que ceux du névrome central et qui con- tiennent des
fibres
nues paraissant uniquement constituées par des ba
aux nerveux sont, sur les coupes longitudinales, formés, les uns de
fibres
cylindriques d'aspect homogène, les autres de f
és, les uns de fibres cylindriques d'aspect homogène, les autres de
fibres
moniliformes rappelant des cellules fusi- forme
une sclérose très marquée de l'endonèvre qui enserre presque chaque
fibre
dans un anneau de cellules concentri- ques. E
de ce névrome 334 DURANTE périphérique, on retrouve de nombreuses
fibres
larges bien différenciées, mais dont la myéline
xe souvent interrompu. Il existe également de nombreux faisceaux de
fibres
homogènes encore non différenciées. Les cylindr
du névrome. Il en est de même de l'inégalité de la myéline dans les
fibres
larges et de la présence de petites fibres grêl
é de la myéline dans les fibres larges et de la présence de petites
fibres
grêles, de fibres amyéliniques. Toutefois, ces de
ns les fibres larges et de la présence de petites fibres grêles, de
fibres
amyéliniques. Toutefois, ces dernières pour- ra
'entre-croisent avec les plus volumineuses ; enfin par l'existence de
fibres
divisées en Y. L'évolution clinique, cette ébau
à la formation du tissu adipeux qui infiiti e le tronc nerveux. Les
fibres
renflées de distance en distance par des cellules
constitué un névrome terminal. Ilislologiquement, il contenait des
fibres
nerveuses. La plupart étaient à l'état de bande
ROME ADIPEUX DIFFUS DU MÉDIAN 341 toplasmiques embryonnaires et les
fibres
nerveuses adultes complètement différenciées. C
des segments interannulaires. Dans les rameaux digitaux, à côté des
fibres
larges dont on peut discuter la provenance cubi
larges dont on peut discuter la provenance cubitale, existaient des
fibres
jeunes néofor- mées. Les cylindraxes, quoique n
adipeuse entre les faisceaux. Le gros faisceau de gauche montre des
fibres
assez dissociées. Les fibres à myéline sont iné
Le gros faisceau de gauche montre des fibres assez dissociées. Les
fibres
à myéline sont inégalement disséminées, raremen
ceaux compacts. Elles sont souvent entourées d'un petit faisceau de
fibres
amyéliniques se présentant comme un petit polyg
gitudinale du bout central du médian au niveau du bras. Plusieurs
fibres
montrent un cylindraxe très net, parfois avec ren
rouge à son extrémité supérieure au point où il se renfle. Dans la
fibre
qui côtoie cette dernière à droite, il y a passag
rendre pour un étranglement,au milieu de la figure, représente deux
fibres
un peu obliques sectionnées. Fio. F. Coupe long
que, correspondant environ à l'un des faisceaux de la fig. I. Les
fibres
nerveuses sont abondammcnt myélinisées, mais plus
I. Autre coupe longitudinale du tronc du bout périphérique. Parmi les
fibres
différenciées, les unes possèdent un cylindraxe
paraissent privées et présentent parfois un aspect annelé. Dans la
fibre
occupant le centre de la figure, le cylindraxe, p
jonctif constitue une enveloppe fibreuse concentrique à chacune des
fibres
nerveuses qui sont représentées par de petites
e névrome terminal et la division en branches digitales. Nombreuses
fibres
à myéline complètes. Plus nombreu- ses fibres e
digitales. Nombreuses fibres à myéline complètes. Plus nombreu- ses
fibres
embryonnaires représentées par des points grisâtr
ignes noires (myéline ou cylindraxe colorés par le Pal) au milieu des
fibres
homogènes. L'extrémité centrale de ce fragmen
FiG. L. Dissociation d'une des branches digitales. A droite, grosses
fibres
nerveuses complètes avec myéline et cylindraxe.
fibres nerveuses complètes avec myéline et cylindraxe. A gauche,
fibres
embryonnaires dont l'une est chargée d'un chapele
1898). Cattani. - Sulla apperecchio di sostegno della mielina nelle
fibre
nervose midollare peripheriche or. Ac. dell. se
XVIII, 1895). Gedoelst. Etude sur la constitution cellulaire de la
fibre
nerveuse (La cellule, 1887 et 1889). V. Gehuc
mia e nevrectomia (Lo policlinico, 1898, supplément). La régén. des
fibres
nerveuses à la suite de la section des nerfs (Arc
ur, ce dernier étant le plus long. Ces replis sont constitués par des
fibres
de la membrane qui, des extrémités de l'anneau ty
». Histologiquement, la membrane tympanique est constituée par des
fibres
radiées, dendritiques et circulaires. Ces dernièr
une énarthrose. L'étrier est tixé au bord de la fenêtre ovale par des
fibres
radiées qui forment le ligament annulaire. C'est
russak. Helmholtz y considère deux faisceaux, l'un antérieur formé de
fibres
plus courtes, l'autre postérieur plus fort, plus
scendante du trijumeau et de la substance gélatineuse par ses propres
fibres
radiculaires qui s'apprêtent à quitter le bulbe.
es au niveau de la zone postérieure du noyau secondaire médian. Les
fibres
émanées de ce noyau bulbo-protubérantiel remonten
t le nerf du muscle de I'étrier. D'après renseignement classique, des
fibres
motrices, issues du facial, suivraient la voie du
nerf grand pétreux superficiel, on ne put trouver, au microscope, des
fibres
nerveuses dégénérées.» Le trajet extra-pétreux
lope, à f\ millimètres au-dessus du trou stylo-mastoïdien. Mêlées aux
fibres
du facial, les libres de la corde du tympan attei
olongement des cellules unipolaires de ce ganglion se bifurque en une
fibre
périphérique ou cellulipète dont nous venons de s
ique ou cellulipète dont nous venons de suivre le parcours, et en une
fibre
centrale ou cellulifuge qui appartient au nerf in
que. En écartant le sterno-cléido-mastoïdien, on tend les différentes
fibres
de cette branche, qui se perdent dans le muscle o
mporale. Dans l'épaisseur de ces différentes couches, on trouve des
fibres
radiées et transversales qu'on peut diviser, d'ap
qu'on peut diviser, d'après leurs connexions et leurs trajets en : i°
fibres
de projection efférentes et afférentes; 2° fibres
urs trajets en : i° fibres de projection efférentes et afférentes; 2°
fibres
d'association larges et courtes ; 3° fibres calle
érentes et afférentes; 2° fibres d'association larges et courtes ; 3°
fibres
calleuses ou commissurales. Les fibres de proje
ation larges et courtes ; 3° fibres calleuses ou commissurales. Les
fibres
de projection efférentes du lobe temporal sont co
yramidales qui se réunissent pour former les voies pédonculaires. Les
fibres
de projection afférentes proviennent des ganglion
amifications terminales parcourent les quatre couches de Cajal. Les
fibres
d'association relient un point de l'écorce à d'au
l'écorce à d'autres points du même lobe ou de lobes distincts. Les
fibres
calieuses ou commissurales représentent un systèm
rsal, inter-hémisphérique, formé par des cylindre-axes directs et des
fibres
collatérales de provenances diverses (faisceau de
nsverses de Heschl. C'est par l'étude de la myélinisation précoce des
fibres
, que Flechsig a pu relier exactement l^radiatio a
utions transverses, siège du centre de l'audition tonale, partent des
fibres
d'association courtes qui gagnent les deux cinqui
la zone visuelle. Ces centres sont intimement unis entre eux par des
fibres
d'association que nous montre l'anatomie, formant
bstance blanche. — La substance blanche est formée par l'ensemble des
fibres
de projection, d'association et commissurales.
n. Couronne rayonnante du lobe temporal. — Elle est constituée parles
fibres
qui arrivent à l'écorce ou en partent, en établis
interne, dernier neurone de la voie centrale de l'audition, dont les
fibres
se myélinisent plus tôt que toutes les autres du
Elle comprend : a) La radiatio optica de Gratiolet, formée par les
fibres
de projection genouillées externes-corticales, de
la scissure calcarine, dans le cunéus et le lobule lingual ; b) Des
fibres
centripètes et centrifuges reliant les circonvolu
les circonvolutions occipitales au pulvinar : elles s'entremêlent aux
fibres
de la radiatio-optica et contribuent avec elles k
faisceau arqué ou longitudinal supérieur, constitué par une série de
fibres
courtes reliant des circonvolutions voisines : il
e frontal ; c) Le faisceau longitudinal inférieur, qui se joint aux
fibres
de la radiation thalamique et au tapetum pour con
sure calcarine k l'écorce de la convexité du lobe occipital; g) Les
fibres
en Y de Meynert (stratum proprium cunei), voies d
ce faisceau n'est plus accepté en tant que faisceau d'association.)
Fibres
commissurales. — D'après Ferrier, Turner et Lorio
s portions antérieures du lobe temporal sont reliés entre eux par des
fibres
calleuses. (Bechterew.) Les portions inférieure
erew.) Les portions inférieures de ce lobe sont commisurées par des
fibres
qui traversent la commissure antérieure. Au niv
tion com-missurale, l'un supérieur, l'autre inférieur, formés par des
fibres
qui viennent des différentes parties du lobe occi
notion du mot. Dans la cécité verbale pure, la lésion a détruit les
fibres
d'association qui retient le pli courbe au territ
alcarine des deux côtés (Déjerine); dans la surdité verbale pure, les
fibres
détruites sont ceiles qui vont du centre de Werni
u toucher, de la vue ou de l'ouïe. L'interruption porte alors sur les
fibres
qui, de la face convexe du,lobe occipital, se ren
tical de la voie centrale de l'audition. Gomme l'entre-croisement des
fibres
du corps trapézoïde est double, il en résultera s
latérale homonyme. Cela s'explique par la distribution anatomique des
fibres
sensitives qui sont, pour chaque hémisphère, dire
ême côté que la lésion cérébrale, étant donnée la non-décussation des
fibres
olfactives. L'abcès du lobe temporal pourra com
sphénques et les bouchons. Substance blanche. — Elle est formée de
fibres
de projection et d'association intra-hémisphériqu
n intra-hémisphériques et inter-hé-misphériques ou commissurales. Les
fibres
de projection sont courtes ou intra-cérébelleuses
au niveau desquelles s'épanouissent les ramifications terminales des
fibres
du faisceau radiculaire médial des racines postér
aire médial des racines postérieures. En remontant vers le bulbe, les
fibres
de ce faisceau occupent la périphérie de la moell
s noyaux de Goll et Burdach. — Les cordons postérieurs renferment des
fibres
qui se rendent directement au cervelet, ou bien r
let, ou bien relaient au niveau des noyaux de Goll et de Burdach. Les
fibres
qui naissent de ces noyaux, par voie soit directe
elon Bechterew (communication au Congrès de 1900), l'existence de ces
fibres
n'a pas été confirmée. « Tout porte à croire, dit
fibres n'a pas été confirmée. « Tout porte à croire, dit-il, que les
fibres
de ce faisceau proviendraient du noyau de Deiters
e les fibres de ce faisceau proviendraient du noyau de Deiters ». Ces
fibres
efférentes Deiters-médullaires sont admises par t
telé est relié au noyau réticulé de la calotte par l'intermédiaire de
fibres
efférentes qui passent par le pédoncule cérébelle
e voie efférente, formée par la branche ascendante de bifurcation des
fibres
pédonculaires supérieures qui dérivent de l'écorc
surtout du noyau dentelé. Après entre-croisement, presque toutes ces
fibres
se terminent au noyau rouge. D'autres ont pu être
use. Thomas ne pense pas « que les olives inférieures fournissent des
fibres
à l'olive cérébelleuse ; ses rapports avec la cor
es collatérales aux noyaux bulbaires du vestibulaire. A côté de ces
fibres
afférentes vcstibulo-cérébelleuses, il existe d'a
eau tecto-bulbaire de Pavlow; avec les centres de l'olfaction par les
fibres
du faisceau rétro-réflexe de Meynert, et, finalem
inalement, avec les ganglions de la base et l'écorce cérébrale parles
fibres
rubro-thalamiques et rubro-corticales. La bande
eliés au cervelet par le faisceau vestibulo-cérébelleux, envoient des
fibres
au noyau de la sixième paire du même côté et au n
même côté et au noyau de la troisième paire du côté opposé, plus des
fibres
au même côté de la moelle: lorsqu'ils entrent iso
ales, le lobule fusi-forme, l'hippocampe, la godronnée ; 3° parmi les
fibres
de projection : le pied de la couronne rayonnante
tie le lobe occipital aux lobes temporaux et frontaux, et, enfin, des
fibres
temporo-thalamiques. Des deux côtés, la scie a
'Ammon, la godronnée et les lobes supérieurs du cervelet; 3°parmi les
fibres
de projection : la couronne rayonnante de Reil, l
a radialio optica de Gratiolet, les pyramides bulbaires; 4° parmi les
fibres
commissurales : le corps calleux, ta tapetum, des
4° parmi les fibres commissurales : le corps calleux, ta tapetum, des
fibres
du pont de Varole; 5° parmi les fibres d'associat
corps calleux, ta tapetum, des fibres du pont de Varole; 5° parmi les
fibres
d'association : le cingulum, le faisceau occipito
le faisceau longitudinal inférieur en partie, la capsule externe, les
fibres
temporo-thalamiques, le brachiumposticum, et, enf
s la substance blanche : le tapetum, le forceps du corps calleux, les
fibres
de la radiatio thalatnica qui naissent dans le pu
lésions réparables, et qui n'intéressent pas for- cément toutes les
fibres
de ces nerfs. Les chances de survie sont donc con
seulement, puis disparaît au sur et à mesure de la destruction des
fibres
musculai- res (1) ». N'est-ce pas ce que nous
de là se con- tinuent les racines antérieures passant à travers les
fibres
myéliniques qui entourent la membrane périphéri
A l'examen de la moelle allongée, au niveau de l'entrecroisementdes
fibres
du ruban deReil, nous ne trouvons pas ces fibre
entrecroisementdes fibres du ruban deReil, nous ne trouvons pas ces
fibres
, non plus que lespyramides (PI. VIII, I). Manqu
le quatrième ventricule est très distendu pal' l'hydrocéphalie. Les
fibres
arciformes internes sont marquées très mal et seu
ures avec le noyau arciforme ne sont pas développées, ainsi que les
fibres
arciformes externes postérieures,les fibres arc
eloppées, ainsi que les fibres arciformes externes postérieures,les
fibres
arciformes internes dans la partie inférieure e
ales. Ainsi nous avons ici le faisceau longitudinal postérieur, les
fibres
arciformes internes, presque non développés et
l postérieur, au-dessus le genou du facial, eh dehors le noyauetles
fibres
du nerf oculo-moteur externe, et d'un côté la b
très bien développé ainsi que les olives supérieures. La couche des
fibres
sensitives manque, ainsi que dans la partie ant
s fibres sensitives manque, ainsi que dans la partie antérieure les
fibres
protubérantielles et les pyramides. Plus haut,
ais mal développée dans sa partie basale, en dehors nous voyons les
fibres
radiculaires du nerf trijumeau. Nous trouvons e
igine de la couche latérale du ruban de Reil. La couche médiane des
fibres
sensitives n'est pas développée, ainsi que les
res sensitives n'est pas développée, ainsi que les pyramides et les
fibres
protubérantielles. Les pédoncules cérébelleux i
e qui suit (Pl. VIII, M) : le faisceau longitudinal postérieur, les
fibres
arciformes internes de la formation réticulaire m
de la formation réticulaire mal développées, la couche latérale des
fibres
sensitives. Mais les pédoncules cérébelleux sup
. Mais les pédoncules cérébelleux supérieurs, la couche médiane des
fibres
sensitives manquent; manquent aussi les pyramid
des fibres sensitives manquent; manquent aussi les pyramides et les
fibres
transversales du pont. L'aqueduc de Sylvius est
eaux (le pulvinar et les corps genouillés manquent). En dessous les
fibres
du faisceau longitu- dinal postérieur qui vienn
i viennent en contact avec les noyaux du nerf de la 3° paire et les
fibres
radiculaires du nerf oculo-moteur commun. Quant
e faisceau de Meynert. La partie basale est très déformée. Toutes les
fibres
nerveuses qui forment le pied du pédoncule manq
i forment le pied du pédoncule manquent; manque aussi la couche des
fibres
sensitives. Plus haut, au niveau du 3e ventricule
l'absence du faisceau cérébello-spinal, du faisceau de Gowers, des
fibres
arciformes externes et antérieures et du noyau ar
que des libres arciformes externes et postérieures, des olives, des
fibres
arciformes internes et des pédoncules cérébelle
s arciformes internes et des pédoncules cérébelleux inférieurs. Les
fibres
protubérantielles, les faisceaux cortico-protub
bas du triangle. Toute cette formation est couverte tout autour de
fibres
myéliniques. Au centre de ce triangle, il y a b
s sont fortement arrondis. Tout autour la formation est couverte de
fibres
myéliniques. Plus haut (PI.1X, P) les deux part
côtés situées dans la partie postérieure, les stries arciformes de
fibres
myéliniques rappellent les noyaux du faisceau d
e postérieure, nous trouvons le noyau de Goll duquel s'écartent les
fibres
entrecroisées dans la ligne du milieu. Le canal
plus haut, alors la fusion est complète (Pl. X, R) . Cette raie de
fibres
myéliniques qui était située dans la périphérie
u glosso-pharyngien, le faisceau cérébelleux du cordon latéral, les
fibres
arciformes internes et l'entrecroisement des pyra
xes descendants et ascendants avec leurs noyaux. Ainsi manquent les
fibres
arciformes exter- L'UYDROCÈPUALIE ET l'hydromyé
T l'hydromyélie 47 nes et antérieures et les noyaux arciformes, les
fibres
arcifurmes internes et les olives, etc ? etauss
ent disparu, ou ne sont plus représentés que par un petit nombre de
fibres
qui échap- pent à la palpation. Le coraco-brach
t. Des pectoraux il ne reste que 52 SABRAZÈS ET BRENGUES quelques
fibres
qui unissent la clavicule à l'humérus dans l'angl
oti- que, nacré, résistant, sur lequel s'implantent encore quelques
fibres
musculaires décolorées, couleur chair de poisso
,que le deltoïde dont la fasciculation est exagérée ; cependant les
fibres
du deltoïde qui s'insèrent sur la clavicule son
e quelques expan- sions aponévrotiques donnant insertion à de rares
fibres
décolorées. Le petit pectoral est un peu moins
irection longitudinale, onduleux, parsemés d'un abondant chevelu de
fibres
élastiques et entrecoupé de vésicules adipeuses;
5C sabrazès ET brengues entre eux on trome ça et là des segments de
fibre
musculaire striée très rarement intacts, généra
cette affinité relative pour les colorants nucléaires rapproche ces
fibres
altérées des éléments atteints de nécrose de co
s éléments atteints de nécrose de coagulation. Dans ces segments de
fibre
musculaire les noyaux du sarcoplasme se sont mu
ce de terminaison nerveuse en bouton à l'intérieur des reliquats de
fibre
musculaire plus ou moins altérés qui ont encore
nt nom- breux et perméables. A u voisinage et dans l'interstice des
fibres
musculaires dégénérées, l'irrigation est moindr
l postérieur; on rencontre toutefois dans les préparations quelques
fibres
grêles (1 sur 10 environ). Les nerfs facial, cu
pendant ici encore on trouve une libre grêle sur dix et de plus une
fibre
dégénérée sur vingt ; ces fibres atteintes de n
libre grêle sur dix et de plus une fibre dégénérée sur vingt ; ces
fibres
atteintes de névrite parenchymateuse ont une ga
re, il est légitime d'accepter la théorie des métamères. Toutes les
fibres
sensibles d'un membre ou d'un segment de membre s
est normale au point de vue de la richesse de son chevelu de fines
fibres
myéline. Aussi bien dans ses cornes antérieures
DURANTE renient disséminées dans toutes les régions, de nombreuses
fibres
larges dont la myéline semble tuméfiée mais res
n'est plus représentée que par une teinte un peu claire et quelques
fibres
absentes dans la partie moyenne de son aire. 10
ui ne sont plus représentées que par l'absence d'un petit nombre de
fibres
dans la portion moyenne. G. Région CERVICALE su
La dégénérescence du faisceau pyramidal gauche réduite à quelques
fibres
altérées n'est plus que difficilement reconnaissa
Cellules nerveuses normales comme nombre, volume et prolongements.
Fibres
tangentielles conservées. Fibres de la couche m
nombre, volume et prolongements. Fibres tangentielles conservées.
Fibres
de la couche moyenne légèrement diminuées de nomb
vées. Fibres de la couche moyenne légèrement diminuées de nombre.
Fibres
profondes saines. 2) Circonvolution du lobe par
et un peu atrophiées, sans ce- pendant présenter de granulations.
Fibres
superficielles normales. Fibres moyennes mieux
endant présenter de granulations. Fibres superficielles normales.
Fibres
moyennes mieux conservées que plus haut quoique,
haut quoique, peut-être un peu moins nombreuses que normalement.
Fibres
profondes saines. - , Quelques vaisseaux présen
ii 8 102 GILLES DE LA TOURETTE ET G. DURANTE Cellules normales.
Fibres
superficielles très diminuées. Fibres moyennes
URANTE Cellules normales. Fibres superficielles très diminuées.
Fibres
moyennes presque absentes. Fibres profondes nor
superficielles très diminuées. Fibres moyennes presque absentes.
Fibres
profondes normales. Nous n'avons pas trouvé de
es tubes nerveux. Ces lésions des tubes nerveux sont limitées aux
fibres
superficielles et moyennes des circonvolutions.
tées aux fibres superficielles et moyennes des circonvolutions. Les
fibres
moyennes semblent plus ou moins altérées dans l
es sont, en somme, relativement très légères, n'intéressant que des
fibres
commissurales et ne sauraient être regardées comm
u- laires et nerveuses. Ces altérations qui intéressent surtout les
fibres
de la zone moyenne des circonvolutions, existen
ui du reste il côté de ces lésions vasculaires ne montraient pas de
fibres
dégénérées. Enfin les lé- sions vasculaires rad
de myélite cervicale puisque nous savons que ce faisceau contient des
fibres
qui subissent dans quelques cas la dégénérescen
d'une lésion nerveuse tron- culaire s'observe quand les lésions des
fibres
sont suffisantes pour inter- rompre à la fois l
sécuti- vement aux phénomènes de névrite radiculaire ascendante des
fibres
sensitives et aussi du fait de micro-traumatism
ation ascendante, le long des racines, des lésionsirri- tatives des
fibres
nerveuses sensitives, lésions qui se traduisent p
areil nerveux, porte sur l'appareil nerveux.périphé- rique, sur les
fibres
afférentes des éléments ganglionnaires, sur ces é
eux-mêmes; sur la racine postérieure spinale, c'est-à-dire sur les
fibres
efférentes du protoneurone centripète, sur les él
ntripète, sur les éléments des cornes postérieures ou enfin sur les
fibres
qui en émanent vers les centres plus élevés, fo
le trou auriculaire, légèrement dissocié par les divers systèmes de
fibres
qui les traversent. Dans le trou auriculaire
qui les traversent. Dans le trou auriculaire les deux systèmes de
fibres
sont accolés, et le tronc cochléaire reste touj
ont si haut placés dans le voisinage des centres supérieurs que les
fibres
qui en émanent n'ont aucune raison de se former
s, le toucher sous toutes ses modalités ; il a pour conducteurs des
fibres
grêles externes, à engainement myélinique plus ta
ent objectif, l'audition elle-même, qui a pour conducteurs de mômes
fibres
grêles externes, à engainement myélinique égale
actiles profonds, articulaires et autres. Il a pour conducteurs des
fibres
grosses internes, à engainement myélinique précoc
bulaire, et surtout ampullaire ; il a pour con- ducteurs de grosses
fibres
internes, a engainement myélinique également pr
uestion au point de vue physiologique. Il existe dans la moelle des
fibres
qui des cornes postérieures vont direc- tement
s au niveau des centres labyrinthiques bulbo-protubél';1l1ticls des
fibres
unissant cer- tains noyaux labyrinthiques prima
rieures de la moelle. LE TABES LABYRINTHIQUE 137 Certaines de ces
fibres
vont au noyau du facial. Certaines autres s'élève
primaires de la protu- bérance et du bulbe auxquels aboutissent les
fibres
centripètes du tronc labyrinthique émettent san
tent sans doute vers les centres supérieurs un très grand nombre de
fibres
, plus qu'aucun centre médullaire des racines post
n centre médullaire des racines postérieu- res. Mais tandis que les
fibres
émanées des centres médullaires des racines pos
estes les lésions présentées si- multanément par un grand nombre de
fibres
parallèles, il n'en est pas de même pour les fi
grand nombre de fibres parallèles, il n'en est pas de même pour les
fibres
émanées des centres labyrinthiques. Celles-ci div
é. Il n'existe plus ici de cordons systématisés, ni de faisceaux de
fibres
parallèles, chaque fibre gagnant iso- . lément
cordons systématisés, ni de faisceaux de fibres parallèles, chaque
fibre
gagnant iso- . lément ou à peu près isolément l
e se montrent plus ici qu'indivi- duellement ; et si l'atrophie des
fibres
peut se reconnaître, la sclérose fasci- culaire
guère de sclérose des cordons, z faute de cordons - l'atrophie des
fibres
labyrinthiques a été depuis longtemps 138 PIERR
des nerfs acoustiques qui n'étaient plus que deux bandelettes. Les
fibres
du nerf cochléaire avaient presque toutes dispa
on de Scarpa, de ses rameaux eflerents ou tronc vesti- bulaire, des
fibres
intrabulbaires de ce tronc, des noyaux étalés sou
Luschka et IIenle particulièrement, ces deux racines traversent les
fibres
du scalène postérieur avant de se réunir; quelq
unir; quelquefois même, le tronc du nerf lui- même traverserait les
fibres
musculaires. On concevrait ainsi qu'il fût faci-
pas la commissure postérieure, elle en est séparée par une bande de
fibres
saines. De même la région voisine des racines e
a partie postérieure des cor- dons de Burdach se trouve une zone de
fibres
normales correspondant à la bandelette externe
ts présentent des lésions à peine appré- ciables. La diminution des
fibres
dans les faisceaux pyramidaux croisés est toujo
Les racines postérieures paraissent un peu atteintes, le nombre des
fibres
y est certainement inférieur à la normale. -
térés, mais beaucoup moins que les cordons de Burdach, le nombre de
fibres
colorées est beaucoup plus intense que dans ce de
postérieures, séparée de la périphérie de la moelle par une zone de
fibres
saines. Les colonnes de Clarke présentent des a
altérations notables : les cellules sont intactes, mais le réseau des
fibres
est nettement dégénéré. Région lombail'e.- Co
. Enfin les zones de Lissauer sont peut-être un peu touchées. Les
fibres
des racines postérieures sont un peu diminuées de
ier présente quelques altérations comme le montre la figure 1 ; les
fibres
nerveuses altérées sont en petit nombre, mais il
assez nombreuses. Le nerf tibial postérieur est moins atteint : les
fibres
nerveuses sont normales ; il existe un peu d'au
un développement peu anormal du tissu interstitiel. Le nombre des
fibres
nerveuses est à peu près normal : quelques-unes
tion. . Le nerf médian .présente des altérations très légères ; les
fibres
sont en nombre normal. La sclérose péri ou inte
dant un certain nombre de faisceaux musculaires sont atrophiés, ces
fibres
en voie d'atrophie se trouvent à côté de fibres a
sont atrophiés, ces fibres en voie d'atrophie se trouvent à côté de
fibres
absolu- ment saines : le tissu interfasciculair
ions qu'une légère hypertrophie de la gaine lamelleuse; si quelques
fibres
ont disparu, le plus grand nombre paraît normal
t disparu, le plus grand nombre paraît normal. 1 La striation des
fibres
musculaires est conservée, il n'y a pas d'altéra-
c la plus grande netteté. Ils ont conservé un assez grand nombre de
fibres
: leur gaine lamelleuse est un peu épaissie. Il
sceaux sont pris, en ce sens que dans chaque faisceau il existe des
fibres
atteintes à côté de fibres restées saines. Les
s que dans chaque faisceau il existe des fibres atteintes à côté de
fibres
restées saines. Les faisceaux sont déjà envahis p
qué des gaines lamelleuses ; il semble y avoir peu d'altération des
fibres
. Muscles jumeaux. - Les fibres musculaires inta
semble y avoir peu d'altération des fibres. Muscles jumeaux. - Les
fibres
musculaires intactes sont en très petit nombre
fs et des vaisseaux. Dans le segment où se trouvent encore quelques
fibres
musculaires, celles-ci sont diminuées de volume,
es réactifs. Il existe un très grand nombre de noyaux entourant ces
fibres
en voie d'atrophie. Les vaisseaux sont épaissis,
s nerfs intramusculaires sont inégales : les uns ont conservé leurs
fibres
; les autres au contraire paraissent dégénérés.
uées. Un point important reste à signaler, c'est que la striation des
fibres
a il peu près disparu. En résumé, les lésions
nt normaux. : 3° Des lésions musculaires consistant en : atrophie des
fibres
muscu- laires, inégale clans les mêmes muscles,
mêmes muscles, pouvant aller jusqu'à la dispari- tion complète des
fibres
et à leur remplacement par du tissu conjonclivo-
ation des extrémités des nerfs cutanés, soit par une irritation des
fibres
des nerfs sensitifs, soit par une action réflexe,
erveux. Dans les muscles on constatait une diminution de volume des
fibres
musculaires avec développement exagéré de tissu
ance grise. - Il existe des lésions des cellules et des lésions des
fibres
. Le nombre des cellules des cornes antérieures
cts. (Fig. 1.) Sur des dissociations on trouve (Marinesco) : 10 des
fibres
nerveuses dont la myéline est fragmentée ou réd
rveuses dont la myéline est fragmentée ou réduite en boule ; 2° des
fibres
atro- phiées contenant beaucoup de noyaux et se
coup de noyaux et semblant garder encore leur cylindre-axe ; 3° des
fibres
minces où il est impossible de distinguer un Fi
Fig. 2. - Coupe musculaire. véritable cylindre-axe, et enfin des
fibres
qui présentent au point de vue morphologique le
res qui présentent au point de vue morphologique les caractères des
fibres
embryonnaires. Sur des coupes il y a augmentati
grés. (Fig.2.) 1° Au début on constate une diminution de volume des
fibres
muscu- laires plus ou moins diffuse dans les di
es noyaux périfasciculaires. 2" A une seconde période le nombre des
fibres
musculaires saines est moins considérable, mais
u abondant, limitant des champs considérables jadis occupés par les
fibres
musculaires, et qui ne sont plus constitués que p
gue conjonctive très épaisse, qui enserre des filets nerveux et des
fibres
à myéline moins abondants que normalement. Le
dants que normalement. Les muscles atrophiés présentent à côté de
fibres
saines, des fibres atteintes de dégénérescence
ment. Les muscles atrophiés présentent à côté de fibres saines, des
fibres
atteintes de dégénérescence vitreuse, colloïde,
grand pectoral des deux côtés n'est plus constitué que par quelques
fibres
musculaires à peine perceptibles sous la peau. Re
l existe une dépression considérable, où il ne semble rester aucune
fibre
musculaire. Atro- phie notable des muscles de l
musculaires de l'éminence thénar. - Dis- parition très marquée des
fibres
nerveuses ; très nombreux tubes sans cylindre-
, surtout, les muscles de l'éminence thénar sont réduits à quelques
fibres
blanches, nacrées, de consistance et d'as- pect
nar droite, on trouve de grandes différences entre les dimensions des
fibres
, dont beaucoup sont amincies. Atrophie simple,
s des muscles. Dans les muscles atrophiés la surface de section des
fibres
primitives a subi une diminution de 1/4 à 1/3 à e
1/4 à 1/3 à en juger par comparaison avec la surface de section des
fibres
provenant du muscle sain. De plus les divers él
On peut se demander si, dans le cas des atrophies dites réflexes, la
fibre
musculaire altérée quant à sa trophicité, recev
de pathologie générale, 1891. (5) SOUDAKEWITCII, Modifications des
fibres
musculaires dans la trichinose. Annales de l'In
mentaire que vous avez vue ne peuvent dépendre que d'une lésion des
fibres
radiculaires postérieures dans les racines postér
ables recherches de Sherrington (1) que le mode de distribution des
fibres
sensitives diffère notablement, selon que l'on
fibres sensitives diffère notablement, selon que l'on considère ces
fibres
dans les racines postérieures ou dans les nerfs
nerfs périphériques, chaque racine spinale postérieure fournit des
fibres
à dij"é- rents nerfs sensitifs de la périphérie
641. Imperiments in examination of the peripheral distribution of the
fibres
of the posterior roots, etc. Eod. loco, 1898, v
ne s'observent que dans le domaine des seuls nerfs qui tirent leurs
fibres
des racines lésées. Or des lésions semblables n
même dans les coupes suivantes. Dans la coupe 7 sont détruites les
fibres
de la portion inférieure du pli courbe et des p
- teint le niveau de la 2° temporale. Donc, destruction de tous les
fibres
blanches du pli courbe et d'une partie de celle
angle postéro-supérieur de l'insula. La lésion a détruit toutes les
fibres
de la première temporale, du lobule du pli courbe
iétale] située au-dessus de celte,incisure. Elle a coupé toutes les
fibres
profondes de l'insula et atteint la substance bla
enou et le segment antérieur en sont respectés. Mais la plupart des
fibres
qui par la couronne rayonnante la mettent en comm
ons probables des cellules corticales faisant partie du système des
fibres
d'association ainsi détruites. Seules les techniq
e. I ! faut seulement que les cellules cérébrales, d'où parlent ces
fibres
, soient lésées ou que le faisceau soit interrompu
stion et reconnaissent que le faisceau pyramidal contient aussi des
fibres
inhibitrices, ce qui explique pour eux la contr
nt poursutpe6rrdre temporairement cette action inhibitrice dans les
fibres
de ce faisceau qui correspondent aux centres de
t suspendue d'une façon permanente, par suite de la destruction des
fibres
du faisceau pyramidal, la machine privée de son
e telle sorte qu'elle ne se concentre que sur une certaine somme de
fibres
primitives partant du cerveau... - Le mouvement
endre à isoler le principe nerveux sur des groupes particuliers des
fibres
. Le résultat de l'exercice est donc, par rappor
n activité l'ilot de substance grise de la moelle d'où naissent les
fibres
nerveuses destinées aux muscles fléchisseurs ; ma
, des neurones du téléencéphale qui sont les cellules d'origine des
fibres
du faisceau pyramidal, et abandonnées aux stimu
s fibres du faisceau pyramidal, et abandonnées aux stimulations des
fibres
constitutives de la voie indirecte cortico-ponto-
é des fléchisseurs. « Si, en effet, l'hémorragie détruit toutes les
fibres
capsulaires desti- nées au membre supérieur, pa
flasque. Si, au contraire, l'hémorragie respecte quelques-unes des
fibres
capsulai- res destinées aux membres supérieurs,
ten ? Si un jour l'hémorragie produit une lésion plus forte sur les
fibres
cap- sulaires correspondant aux extenseurs, il
bras en flexion, qu'un autre jour elle atteigne plus fortement les
fibres
correspon- dant au groupe des fléchisseurs, on
hémorragie, sur le même hémisphère, semble ainsi détruire certaines
fibres
plutôt que d'autres. La théorie de van Gehuchte
A ZONE MOTRICE DU CERVEAU ET DES DÉGÉNÉRESCENCES SECONDAIRES DE SES
FIBRES
DE PROJECTION) (1). PAR E. LONG (de Genèv
ule cérébral et l'isthme de l'encéphale par un simple tassement des
fibres
saines sans sclérose interstitielle. (1) Commun
énétré assez profondément dans la substance blanche pour couper les
fibres
de projection qui descendent de cette région ex
écutives à la lésion de la région paracentrale portent : 1° sur les
fibres
courtes d'association qui vont aux régions avoi
vont aux régions avoisinantes de écorce cere- brale ; 2° sur les
fibres
de projection. En suivant, sur les coupes sérié
ante., où elles sont indiquées par un éclaircissement du feutrage des
fibres
qui s'y entrecroisent en tous sens. Au pied d
Au pied de la couronne rayonnante on voit encore une raréfaction des
fibres
verticales dans le secteur postérieur qui corre
ticales dans le secteur postérieur qui correspond à la projection des
fibres
de la région rolandique supérieure. Mais déjà d
la présence du tissu de sclérose qui remplace habi- tuellement les
fibres
dégénérées ; et dans la région qu'ils devraient o
y a qu'une diminution à peine appréciable du volume de la masse des
fibres
de projection. Cette anomalie se retrouve sans
du tiers externe du pied du pédoncule, 'zone qui livre passage aux
fibres
de pro- - jection de la partie supérieure de la
pyramidale. Ici encore on ne trouve pas de tissu scléreux entre les
fibres
myélinisées. De cette absence apparente de dégé
gique, que la région du lobule paracentral n'envoie que très peu de
fibres
de projection cortico-médullaires. Mais dans
, de dégénérescence descendante du FPyC. Quant à la raréfaction des
fibres
du cordon de Goll dans la partie supérieure de
gie si la lésion atteint l'écorce de l'opercule rolan- dique ou les
fibres
de projection qui en partent. Quant aux lésions s
egmentaire persistante ». Il expliquait ce fait par la solidarité^des
fibres
descendantes de la motilité unies par de nombre
ux symptômes de déficit. 44 LONG à cause du trajet convergent des
fibres
de la couronne rayonnante vers la capsule inter
cen- tral n'a pas beaucoup de chemin à parcourir pour atteindre les
fibres
de projection delà région rolandique moyenne ;
le que la présence de la sclérose interstitielle qui a remplacé les
fibres
dégénérées. On ne peut donc parler ici d'une abse
e fait d'une résorption lente du tissu scléreux et du tassement des
fibres
saines ; et on ne trouve en dernière analyse qu
qu'une diminution simple du volume des régions que traversaient des
fibres
supprimées. Ce processus de résorption doit pou
érieure du bulbe, se retrouve plus bas sur le trajet médullaire des
fibres
de projection. (1) Nous ne pensons pas que l'ab
étudiées avec la méthode de Marchi qui indique le trajet exact des
fibres
mêmes au milieu des éléments sains de la substa
rigoureuses sur le volume normal et la délimitation des groupes de
fibres
qui ont dégénéré. Il peut se faire en effet qu'
la conclusion erronée que le lobule paracentral n'envoie que peu de
fibres
de projection jusque dans la moelle épinière ; il
car il n'est pas possible d'évaluer assez exactement le nombre des
fibres
saines qui passent encore dans ce feutrage névrog
périeur des circonvolutions ro- landiques. Répartition uniforme des
fibres
de projection de cette zone motrice restreinte
orizontales montrent une substance blanche compacte, comprenant les
fibres
d'association et de projection des circonvolution
ore des circonvolutions de la face interne un contingent important de
fibres
de projection. Mais il va lui-même en se rétréc
rayonnante, il est réduit à une bande de substance blanche dont les
fibres
sont verticales ou obliques, sans juxtaposition
dont les fibres sont verticales ou obliques, sans juxtaposition de
fibres
il direction horizontale. En même temps que cet
indiquant la présence d'une sclérose de remplacement ; 1 2° Que les
fibres
de projection provenant de la partie supérieure d
à région rolandique inférieure, qui y fait passer à l'état normal ses
fibres
de projection). Cet étalement des fibres de p
sser à l'état normal ses fibres de projection). Cet étalement des
fibres
de projection provenant d'une zone motrice réduit
t postérieur ne sont pas occupées par du tissu fibreux mais par des
fibres
bien myélinisées suivant une direction vertical
que et jusque dans la partie supérieure du pédoncule' cérébral, les
fibres
du segment postérieur de la capsule interne Fig
on le segment postérieur de la capsule interne est traversé par des
fibres
obliques venant du globus pallidus, et en particu
ibres obliques venant du globus pallidus, et en particulier par les
fibres
du système strioluysien, on peut donc supposer qu
réseau transversal qui a empêché l'étalement en avant de la masse des
fibres
verticales. En effet, immédiatement au-dessou
, tout tissu de sclérose interstitielle a de nouveau disparu et les
fibres
de projection occu- pent toute la largeur du pi
ns qu'on peut la trouver en partie dans la répartition anormale des
fibres
de projection de la zone motrice que nous révèl
corticale on doit, dans la' règle, constater l'absence complète de
fibres
de projection dans le genou et la moitié antérieu
oncule cérébral. Or nous voyons au contraire dans notre cas que les
fibres
descendantes delà voie motrice occupent toute l
que la lésion céré- brale a été assez précoce pour permettre il ces
fibres
de s'étaler en avant pendant leur période de dé
a force musculaire. Notons en passant que grâce à cet étalement des
fibres
de projection, grâce aussi à la longue survie d
descendante ; sauf dans la région sous-thalamique où le réseau des
fibres
transversales du système strio- luysien aempêch
eau des fibres transversales du système strio- luysien aempêché les
fibres
verticales de se répartir également dans toute
ue jusqu'à l'o- blitération. Belkousky a cité un cas d'atrophie des
fibres
nerveuses avec sclérose des artères. On peut
histologiques et les dégénérescences qu'elle entraîne séparent les
fibres
radiculaires des systèmes endogènes dans les co
rées droites (60 D). Ê Détail de la figure A (gr. : 1 io D) grosses
fibres
ondulées enserrant les faisceaux nerveux dont la
larges travées scléreu- ses, qui s'insinuent entre les faisceaux de
fibres
nerveuses, qu'elles morcellent et étouffent (Pl
ie postéro-laté2 raie droite de la préparation que les faisceaux de
fibres
, cerclés de sclérose,' Fis. 4. Symphyse mëniogo
détail des faisceaux pris dans la sclérose, on voit que quel- ques
fibres
à myéline persistent à la périphérie, que les gra
Marchi. On voit dans SI, S)), SIII. la dégénération ascendante des
fibres
radiculaires posté- rieures remplir tout le cor
aires et les cellules rondes. Auprès de la méninge des faisceaux de
fibres
sont complètement détruits par la sclérose (PL
nsemble de la mé- ningite englobant les racines nerveuses, dont les
fibres
raréfiées et privées de leurs gaînes de myéline
rée, L'il est indemne (PI. XXII), Lv dé- générée. Au-dessous, les
fibres
dégénérées sont beaucoup moins nombreuses par sui
riment pas. Aussi 1 ? et Lm n'ont-elles qu'une raréfaction de leurs
fibres
nerveuses. Les lésions des racines ressortent d
ilome ne sont pas dégénérées. Au-dessus du syphilome il y a plus de
fibres
dégénérées qu'au-dessous. Il n'y a que dans la
ite que les racines sont dégénérées d'une façon massive. Dans les
fibres
dégénérées manquent les granulations noires de Ma
un peu plus en dedans re- présentent la dégénération ascendante des
fibres
sensitives des deux premières racines lombaires
ones externe et interne de Lissauer droites contiennent très peu de
fibres
, mais peu de grains noirs. Le réticulum fin de
de la corne postérieure droite est à peine raréfié, mais de grosses
fibres
sont dégé- nérées surtout à leur entrée dans la
(PI. XXIII). Dans S'il cette dégénérescence massive de toutes les
fibres
radiculaires pos- térieures droites met schémat
dans cette dégénérescence radiculaire ascendante, comme formées de
fibres
endogènes. De plus les coupes sériées, montrant
moelle sacrée montre, une fois de plus, qu'ils ne dépendent pas des
fibres
radiculaires postérieures et la continuité de ces
le de Gombault et Philippe ensuite, augmentent le nom- bre de leurs
fibres
, confirme cette opinion. « Les fibres endogènes
entent le nom- bre de leurs fibres, confirme cette opinion. « Les
fibres
endogènes, dit Nageotte dans le livre classique d
postérieure (zone marginale de Westphal) et enfin par des semis de
fibres
très fines réparties 1 égulièrement sur toute'.
égrité des zo- nes de Lissauer (1) formées, pour les classiques, de
fibres
fines radiculai- res courtes, mais pour Nageott
, de fibres fines radiculai- res courtes, mais pour Nageotte (2) de
fibres
endogènes fines verticales. Les coupes au March
oit que très peu de granulations noires, mais au Pal presque aucune
fibre
n'est imprégnée. On pourrait admettre qu'il s'a
ut-être pas certain que les zones de Lissauer ne contiennent aucune
fibre
radiculaire postérieure. Pour Dejerine et Spill
une fibre radiculaire postérieure. Pour Dejerine et Spiller (3) des
fibres
radiculaires postérieures existent aussi dans l
la même opinion. Dans le cas actuel le triangle ne contient pas de
fibres
dégénérées, mais il est très petit, plus petit qu
es est donc strictement endogène. Pour ce qui est de l'existence de
fibres
provenant des racines postérieu- res dans le zo
fait les observations de De- jerine et Spiller. Il existe donc des
fibres
provenant des racines postérieu- res dans la zo
e granulations au Marchi dans L; mais cette zone contient aussi des
fibres
endogènes puisqu'elle est conservée dans la moe
Nageotte qui a eu le mérite d'affirmer que le faisceau ascendant à
fibres
longues, dit faisceau de Hoche, n'a pas tou- jo
res de tout cadavre. Méthode de Weigert. Les gaines myéliniques des
fibres
nerveuses qui constituent les différentes racin
es autres méthodes en démontrant l'intégrité complète de toutes les
fibres
nerveuses de la portion extra médullaire des raci
appréciables ni dans la gaine de myéline ni dans les cylindraxes des
fibres
nerveuses qui constituent les racines antérieur
coloration noir foncé (fig. 5), tandis que la zone centrale de chaque
fibre
, correspondante au cylindraxe, est restée clair
ment effacé en transformant la section transverse de chacune de ces
fibres
en une tache noire d'une forme plus ou moins arro
se vérifier ce même fait à l'intérieur de la substance grise où les
fibres
myéliniques qui s'y trouvent, présentent la col
rative de la figure 7. La com- missure blanche contient très peu de
fibres
nerveuses teintes en noir ; dans la substance g
bstance grise contient à ce niveau un nombre assez remar- quable de
fibres
colorées en noir parle liquide de Marchi. Cela se
stérieures qui se montrent parcourues par de nombreux faisceaux des
fibres
nerveuses teintes en noir, entrelacées en tous se
marquées. Elles consistent surtout en ceci qu'un certain nombre des
fibres
ci-dessus mentionnées présen- tent des dilatati
tôt légères, disposées en série (fig. 9). Seu- lement dans quelques
fibres
ces dilatations apparaissent très prononcées et
réelle du réseau fibrillaire intracellulaire. Les cylindraxes des
fibres
de la substance blanche, ainsi que nous l'avons
ode de temps, colorées avec les mêmes réactifs. La colora- tion des
fibres
myéliniques de la commissure blanche et de la sub
escence des cordons postérieurs et, plus exactement, l'atrophie des
fibres
ascendantes des cordons postérieurs, sur- tout
tions systématisées, non bornées, d'ordinaire, à un seul système de
fibres
. Les plus fréquem- ment et les plus intensément
res postérieures. Au niveau de la moelle sacrée la dégénération des
fibres
myéliniques était cantonnée ex- clusivement dan
chimique, que nous avons obtenue dans un cas où les altérations des
fibres
nerveuses sont sans doute des altérations prima
n'im- porte quel niveau de leur parcours, que la majeure partie des
fibres
nerveuses n'est plus colorable avec la laque hé
f sciatique, ont perdu toute apparence normale : presque toutes leurs
fibres
sont disparues et remplacées par un nombre cons
g. 13). Seulement par ci par là on rencontre en- core des traits de
fibre
à peine reconnaissables, et constitués par des bl
iable, rangés en chapelet. On n'y voit pas, au contraire, une seule
fibre
colorée en noir de la même façon que nous avons d
moelle épinière. Le nerf sciatique reste presque intact. Toutes ses
fibres
ont pris la colora- tion jaunâtre caractéristiq
es, excepté bien entendu le nerf sciatique, contiennent très peu de
fibres
nerveuses gardant un cylin- draxe capable de do
de Van Gieson, bé- matoxyiine-éosine. Coupes longitudinales : Les
fibres
musculaires sont en général extrêmement minces
que réelle. Elle est, en effet, due surtout à l'extrême minceur de
fibre
et par conséquence au fait que les noyaux des d
r de fibre et par conséquence au fait que les noyaux des différents
fibres
se trouvent notablement rapprochés. Coupes tran
prochés. Coupes transversales : On confirme l'extrême petitesse des
fibres
musculai- res. Presque toutes ont un contour de
ond ou arrondi. Les fuseaux neuro-musculaires semblent normaux. Les
fibres
musculaires qui y sont con- tenues ont un diamè
es qui y sont con- tenues ont un diamètre plus grand que les autres
fibres
. Les nerfs iltramus- culaires ont perdu toutes
autres fibres. Les nerfs iltramus- culaires ont perdu toutes leurs
fibres
. ' Vaisseau : Les artères intra-musculaires pré
axe prend part dès ledébutau processus régressif ou destructif delà
fibre
ner- veuse et que dans le second il reste intac
primaire est caractérisée par une atrophie plus ou.moins lente des
fibres
nerveuses avec disparition progressive des gain
luence pathologique, ou si l'on veut, la même affinité que pour les
fibres
des nerfs périphériques et les cordons blancs d
, le coude étant porté en arrière se traduitpar une contraction des
fibres
antérieures du deltoïde, mais il n'est pas extrêm
trêmement rare de voir en même temps une contraction simultanée des
fibres
du grand pectoral. La percussion de l'épitrochl
produit t presque toujours la contraction du muscle triceps et des
fibres
postérieurs du muscle deltoïde, etc. Au membre
es connus, tendineux et cutanés, ont un arc représenté : 1" par une
fibre
centripète qui conduit l'excitation produite pa
ine nucléaire intramédullaire de tous les muscles excités par celle
fibre
sensitive ; et 3° par une fibre (1) NOICA et ST
de tous les muscles excités par celle fibre sensitive ; et 3° par une
fibre
(1) NOICA et STHOIINGEa, Réflexes osseux. Revue
gé- rée, on peut provoquer aussi, en même temps, la contraction des
fibres
antérieures du deltoïde et même du grand pector
ndyle, le coude étant porté en arrière, on voit une contraction des
fibres
antérieures du deltoïde et du muscle grand pec-
t observer en même temps une contraction du triceps brachial et des
fibres
postérieures du deltoïde. La percussion de l'ép
n avant et un peu fléchi, produit une contraction du triceps et des
fibres
postérieures du deltoïde, s'étendant au grand r
bra- chial, le second mouvement est produit par la contraction des
fibres
anté- rieures du muscle deltoïde et même quelqu
aniques dans leur liberté d'action qu'à une véritable maladie de la
fibre
musculaire elle-même. Les réactions électriques
l'étendue de l'exsudat. Ils sont toujours disposés à la surface des
fibres
et des faisceaux conjonctifs sous-arachnoïdiens
qui concerne la névroglie, nous avons déjà noté la mince couche de
fibres
parallèles qui entoure la surface des circonvolut
tale gauche. Sur- face de l'écorce. Faible grossissement. Couche de
fibres
névrogliques parallèles, reliées entre elles pa
ons bilaté- rales. L'irradiation motrice se fait sans doute par les
fibres
commissurales antérieures de la moelle. Que d
le singe, après la section de sa moelle, peut encore rééduquer ses
fibres
courtes, et ses réflexes peuvent reparaître apr
. - Enfin, il existe dans la commissure antérieure de la moelle des
fibres
qui réunissent les cellules des deux cornes ant
liforme. Les ligaments jaunes étaient nettement ossifiés sur place,
fibre
par fibre, de dehors en dedans, car si on ouvra
es ligaments jaunes étaient nettement ossifiés sur place, fibre par
fibre
, de dehors en dedans, car si on ouvrait la cavi
ehors l'étaient incomplètement au dedans ; on voyait même certaines
fibres
, ligamenteuses encore par une extrémité, se ter
ue fibrillaires. On sur- prend bien là, ce processus d'ossification
fibre
par fibre sur lequel ont insisté Pierre Marie e
aires. On sur- prend bien là, ce processus d'ossification fibre par
fibre
sur lequel ont insisté Pierre Marie et Léri. Un
tes. c) Par une ankylose vertébrale constituée par une ossification
fibre
à fibre de tous les ligaments vertébraux, à l'e
Par une ankylose vertébrale constituée par une ossification fibre à
fibre
de tous les ligaments vertébraux, à l'exception d
uver identique à celui qui a été décrit. Cette ossification se fait
fibre
par fibre, puisque sur certains ligaments, les
ique à celui qui a été décrit. Cette ossification se fait fibre par
fibre
, puisque sur certains ligaments, les sus-épineu
ntale du corps calleux, dont il n'existe plus ici qu'un faisceau de
fibres
basales. Déjà a la hauteur de la commissure ant
des éléments névrogliques ; de varicosités et de des- truction des
fibres
nerveuses. 2° D'une invasion très étendue et ma
TÉRATIONS DU TISSU CÉRÉBRAL 369 Signalons en passant la pauvreté en
fibres
nerveuses de la partie antérieure du lobe tempo
s la parole spontanée. L'aphasie doit relever de la destruction des
fibres
traversant la région de l'insula et des lésions
L 371 satellites et des amas disséminés de noyaux névrogliques. Les
fibres
ner- veuses tangentielles, supra et inter-radia
émergence, entraînant une dégénérescence descendante de toutes les
fibres
de ce nerf. Lésions spécifiques des artères de
iveau de son émer- gence, qui amène la dégénérescence de toutes les
fibres
périphé- riques de ce nerf. Cerveau. - L'écor
t sain, ainsi qu'on le voit dans la paralysie géné- rale. Quant aux
fibres
tangentielles, elles paraissent avoir disparu d
tréfié au moment de l'autopsie et, d'une façon générale, toutes les
fibres
à myéline du cerveau, colorées par la méthode d
ien ancienne, ni bien profonde, car les éléments cellulaires et les
fibres
à myéline n'ont pas subi encore d'altérations. «
lésion des éléments nerveux : les cellules des noyaux gris et les
fibres
des divers faisceaux sont complètement intacts. L
seul le nerf moteur oculaire com- mun droit est altéré : toutes ses
fibres
sont en voie de dégénéres- cence wallérienue et
n distingue encore quelques noyaux allongés qui appartiennent à des
fibres
lisses ; la veine est distendue par le sang. Ma
régions au.point de vue des lésions vasculaires et des lésions des
fibres
myéline, on trouve que les unes elles autres se
ipital les lésions vasculaires sont à leur minimum, les lésions des
fibres
tangentielles étant plus accentuées que dans la
sont très altérés; sur un fascicule nerveux on aperçoit cinq à six
fibres
intactes, plusieurs fibres grêles et une ou deu
fascicule nerveux on aperçoit cinq à six fibres intactes, plusieurs
fibres
grêles et une ou deux fibres avec la myéline en b
cinq à six fibres intactes, plusieurs fibres grêles et une ou deux
fibres
avec la myéline en boule; le tout repose sur un
tion légèrement latérale se disposent en séries concen- triques des
fibres
et des lamelles très fines pressées les unes co
substitue parfois un, tissu- d'une laxité : remarquable. Ici les *
fibres
et lestlamelles, tout en conservant : leur extrêm
processus résiderait d'après lui dans une atrophie dégénérative des
fibres
nerveuses. La disparition, ou tout au moins la di
celle de Blocq et Marinesco. Eux aussi font jouer un rôle actif aux
fibres
nerveuses dans la production des foyers ; mais
longitudinales on peut apercevoir dans certaines préparations des
fibres
nerveuses altérées, mais encore reconnaissables a
auteurs dit en effet avoir rencontré mais une fois seulement une
fibre
nerveuse coupée en travers au centre même d'un de
duit enfin, dans certaines circonstances, une atrophie relative des
fibres
nerveuses corticales par suite de la compres- s
sceau nerveux aplati (f) pris entre deux couches mésoneuriales. Les
fibres
renfermées dans ce faisceau ont subi un certain
nt d'assez nombreux noyaux. En c, de petits groupes superficiels de
fibres
nerveuses à demi atrophiées. v, une artériole d
27, le faisceau nerveux n'est représenté que par le contour de ses
fibres
corticales..... , si - .1 -,\ v. , , ? -a '. 1
scences ordinaires, il existe encore une diminution considérable de
fibres
à myéline dans la région du faisceau pyramidal
s se fusionnent dans le faisceau latéral du bulbe où une partie des
fibres
dégénérées parait s'arrêter (faisceau de Gowers
? 4 , , ? La sclérose du faisceau de Goll n'atteint pas toutes les
fibres
de t.. - OU I" *" l ? l, ? Il '1111U1 ( . TU '
J. ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 119 9 supposition ces
fibres
ascendantes hypothétiques devraient être saines
ous du foyer transverse, on voit qu'il a disparu infiniment plus de
fibres
au-dessus qu'il n'en est resté au-dessous. Ce son
es au-dessus qu'il n'en est resté au-dessous. Ce sont donc bien les
fibres
du faisceau pyramidal croisé, des fibres descenda
ous. Ce sont donc bien les fibres du faisceau pyramidal croisé, des
fibres
descendantes par conséquent, qui sont lésées. L
.. 31%/[t;ij,<i ul n[ ,lmraplq Les éléments nerveux, cellules et
fibres
, sont absolument sains; les fibres tangentielle
es éléments nerveux, cellules et fibres, sont absolument sains; les
fibres
tangentielles en particulier, sont d'une richesse
faction et la vacuolisation obser- « i>vées sur le trajet de ces
fibres
sont en faveur de cette inter- prétation. * >
xte amène, consécutivement des changements aussi bien «.i- dans les
fibres
du bout central que dans les éléments cellu- la
d'éclat par il. tiamon y Cajal, on ne comprendrait pas comment les
fibres
pyramidales pourraient être sous la dépendance de
n,des éléments nerveux; ce sont les vaisseaux qui com- mencent, les
fibres
et les cellules ne sont atteintes que consé- cu
étant demeurés intacts, il faut croire que le ramollissement des
fibres
blanches voisines de la partie; postérieure du co
phères dans lequel réside le sensorium, et que, chez ce malade, les
fibres
d'association utilisées pour l'im- pression psy
normal, ne peut s'interpréter elle aussi que par l'interruption des
fibres
d'irra- diation postérieures du corps calleux a
tissu du cerveau est imbibé, dissocé; les cellules nerveuses et les
fibres
myéliniques sont dégénérées, détruites; atteinte
scles; atrophie et hypertro- phie, souvent dans le même muscle, des
fibres
musculaires. " Pathogénie. l°Action délétère pr
du bourrelet du corps calleux. Ce ramollissement inter- rompait les
fibres
d'association unissant la région occipitale droit
la suppression du lobe occipital gauche et de l'in- terruption des
fibres
d'association qui, parle corps calleux, vont au
. 'Ir l - n,. - ,. v cellules inhibitrices, oit'pal, 1 atrophie des
fibres
qui, relient les centres d'inhibitiôn`ûi'àutrès
oplate dispa- raissentpresquètotalelnent : En voici la raison. Les'
fibres
du deltoïde, avec celles du sus-épineux et du s
rizontale; puis interviennent : la portion moyenne du trapèze, les,
fibres
postérieures-du;delloïde, celles des muscles iron
ope confirme ces idées unitaires. 11 montre que l'hypertrophie* des,
fibres
et mêmela mul- tiplication des noyaux sont un p
n revanche les autres muscles témoignent de' cette(même. dystophie'(
fibres
arrondies), vacuolisées, avec divisions des noy
(fibres arrondies), vacuolisées, avec divisions des noyaux quelques
fibres
hypertro- phiées ? h ? ) il intt. A .,41(, 1P.
un vice dans l'innervation-centrale, car, l'étude microscopique des
fibres
musculairesde roivoa,donné uni résultat; négatif.
ce qui est plus'croyable;4ll il v ait quelque part interruption des
fibres
unissant le centre de la^'ue et celui deJa.parole
teints 'du'centre de la vue et 'du centre dé' la parole ou de leurs
fibres
d'association. ? · `9 * P. K. j , st ' »-A ;9»a
HOLOGIQUES. 199 | il s'ensuit des altérations aussi, bien, dans les
fibres
du bout, cen- tral que dans les éléments cellul
tral que dans les éléments cellulaires qui donnent naissance aux f
fibres
motrices., ,«. ^.levrb -b 14·J^s'i 't. tj6 : j »
s constituent aussi un des centres primaires du nerf auditif;'4 les
fibres
de l'auditif qui se terminent dans les clives s
es vont du tronc de l'auditif dans le corps trapézoïde 'et sont des
fibres
radiculaires, c'est-à-dire que; dans leur J tra
es t nerveuses ! "} Il ne nous a pas été possible de décider si ces
fibres
appartiennent^ aux racines antérieures . ou aux
jet intramédullaire. Cette dégénérescence indique.que le;trajet des
fibres
, radiculaire^ postérieures est bienlcelui,qui ;
térieures est bienlcelui,qui ;a, été. décrit paroles auteurs. Les .
fibres
radiculaires postérieures qui pénètrent dans la z
ons dont l'origine comporte une autre , explication; se compose des
fibres
des racines postérieures du seg- ment de moelle
t, dans lazone radiculaire, fun trajet horizontal, etautmilieu, des
fibres
, longitudinales des 5 racines. quit entrent] da
essous des premières; sur la ligne médiane également, on trouve des
fibres
ascendantes provenant des ! racines sous-jacent
ditions, le tabes comprend trois zones de dégéné- cence : celle des
fibres
radiculaires émanées des parties inférieures de
r'une étendue "qui longe la commis- sure pos erieure, parce, que es
fibres
de. cette partie, ainsi que le démontre l'expér
ité postérieure' de lascissùre postérieure. Cette zone contient des
fibres
ascendantes. Il a°moius défibres' dégéné- rées
moelle cervicale), parce'que'Ià au faisceau de Goll s'ajoutent des'
fibres
de la corne postérieure ? 1 '2,"Imf; -JisJa ? 9
articipe à cette dégénérescence. Dans la substance gélatineuse, les
fibres
fines sont plus ou moins dégénérées; 'parmi les
les fibres fines sont plus ou moins dégénérées; 'parmi les' grosses
fibres
, celles qui ont un trajet horizontal' sont nett
un trajet horizontal' sont nettement dégénérées; quant à l'état des
fibres
longitudinales, il est inconstant. Les altération
nerfs des muscles de il il se pro- duit une dégénérescence de leurs
fibres
radiculaires intracéré- brales. La' partie de l
s en' ce qui concerne le facial.1 Ce' ne* sont'd'abord que quelques
fibres
, mais 'plus l'animal 'survit à' l'opération/ plus
Marchil est f excellente pour permettre de suivre des trousseaux de
fibres
intra-cérébrales et donne d'excellents résultats.
bablement^ aussi dans, la tête de la, corne postérieure ; 2° les
fibres
provenant du, noyau sensitif du même côté ; -3° l
; 2° les fibres provenant du, noyau sensitif du même côté ; -3° les
fibres
du noyau sensitif.du.côté opposé. Il est- plus
^ti''fD'· °w~,- . .. Les racines motrices se composent de : 11, les
fibres
du noyau mo- teur dü mêmè c8té; ` 2° les fibres
posent de : 11, les fibres du noyau mo- teur dü mêmè c8té; ` 2° les
fibres
du noyau moteur du côté opposé; " 3°'1'uâcinë d
t;l<<5l ' ? .·. 1., . ,. Quatorze observations., Lésions ^des
fibres
, nerveuses, du tissu conjonctif interstitiel 'e
la dégénérescence peut être suivie (obs : ·4 et 2), on voit que les
fibres
nerveuses participent à l'altération et dans un
i, graduellement, détermine,, la destruction. des éléments nerveux,
fibres
d'abord, cellules ensuite, REVUE D'ANATOMIE.ET^
nfirmé Turk en étudiant les dégénéres- cences secondaires. = 3° Les
fibres
qui viennent' du noyau' d'origine des cordons p
centre cortical les ascen- dantes : - 4° La plus grande partie'des
fibres
de l'entre-croisement'supé- rieur des pyramides
l de, Flechsig) mais encore des cordotis, postérieurs puis- que les
fibres
de ceux-ci vont dans, la partie principale, du .
qui correspond '"surtout ! air noyau interne de Burdach : =-'8° Lès
fibres
du trijumeau lpren'aiil" léur origine dans ce n
relative A l'étude DU trajet du ruban de' Reil dans l'écorce ET DES
fibres
centrales DU trijumeau chez l'homme; par IIoese
'ANATOMIE, ET - DE PHYSIOLOGIE -PATHOLOGIQUES. t 207 de Reil et des
fibres
, centrales. du trijumeau qu'occupent.ce . systè
rieur 1 de la calotte ; atteinte simultanée de'plusieurs points des
fibres
optiques centrales ! *Dans l'étude analytique'd
du segment externe, du. noyau lenticulaire, ils s'en vont, avec les
fibres
des pyramides, dans la couronne rayonnante, jusqu
volutions ascendantes. En ce qui concerne let trijumeau, il y a des
fibres
de ce nerf,qui,,issues de son noyau sensitif, s'e
la. capsule interne, tout à fait en arrière, existe le pinceau des
fibres
de l'irradiation, optique cen- trale, qui, part
deux trousseaux se sont réunis en, partantes ascen- dantes. Or les
fibres
pyramidales rassemblées dans la capsule interne
infra, sur le corps'genouillé interne, abandonne une partie de ses
fibres
au pulvinar et au corps genouillé externe, contou
de l'irradiation optique, il y a ensemble ruban de Reil cortical et
fibres
pyramidales, c'est-à-dire deux systèmes. P. KER
is intra-utérin. Par suite d'un trouble dans le déve- loppement des
fibres
blanches, les cellules embryonnaires indiffé- r
ion histogénétiquedes cellules embryonnaires destinées à former des
fibres
blanches qui sont, par -suite, anormalement dev
trois régions, 1 avantmur, le putamen, la tête du noyau caudé, les
fibres
blanches provenant des deux ascendantes*. Dis-
nternes du ;pédondule cérébral y compris le faisceau pyramidal, les
fibres
qui vont de l'écorce à à la couche optique et l
optique et' de la région sous-thalamique en rela- ' tion' avec-ces
fibres
-là;' des fibres qui paraissent relier le foyer
la région sous-thalamique en rela- ' tion' avec-ces fibres-là;' des
fibres
qui paraissent relier le foyer cortical 1 a'ü'-
J JI^'.V tu 1° La partie corticale du ruban de Reil est composée de
fibres
- qui, proviennent directement$des, cellules ne
nerf optique (intéâritéde'lacbandelettetoptique); lestprétendues
fibres
de la bandelette originaires du corps decluys son
sacrées : en' cet endroit, il n'y a plus de substance nerveuse, les
fibres
radiculaires seules sont partiellementconservées.
é de equialieuidansi,le tabès,. dégénérescence exception- nelle'des
fibres
fines') : des'colonnes de Clarke.j Lésions des pa
i P.Ii. 1 ' ' sa 'N-ioû ..)j 21AlT XXIX. De la manière d'être DES
fibres
tangentielles DE l'écorce DU cerveau chez les I
rale que l'on observe chez les idiots arrêtent le développement des
fibres
tangentielles ;[ 2° les 'attaques convulsives t,
précoces qui précèdent^ le parachèvement du développement ^de ces
fibres
exercent dans l'espèce une action nuisible; 3 ? l
ble; 3 ? les progrès de l'âge déterminent une faible diminution des
fibres
.en;question, diminution qui prend-une intensité
oup 'celle que l'on obserbe chez quelques idiots ; 5° le nombre des
fibres
, qui n'est pas égal pour cha- cune desprovinces
plus fort après ceux-ci con- cerne lelobe occipital droit ; 6° les
fibres
les plus belles se rencon- trent généralement'
utres cas, il semble y avoir eu-continuation°dùr développement, des
fibres
quoique alors ce développement soit'resté plus
témoigne- dela façon la plus frappante du faible développement des.
fibres
; après lui, vient à cet égard le lobe temporal
UE d'anatomie ET DE physiologie, pathologiques. divers- systèmes de
fibres
, ce sont) généralement les Gbrestaugen- tielles
tes d e l'dge; soit dans la démence sénile ; ce sont avant tout les
fibres
externes3 qui. sont. atteintes. slsssx3 z ! ? u P
ou presque le nerf. Le mode le connexion.de ces ^cellules avec les
fibres
du fais- ceau radiculaire n'a pu être déterminé
s muscles de l'oeil, on voit se produire la dégénérescence de leurs
fibres
radiculaires intra-cérébrales. La partie de-*la
e, du moins, quant au facial ."Ce' he"sont''d'ab'6rdque ? quetques'
fibres
, mais',1 plus l'animal' survit à l'opération} p
omposent : rliiluaoarl s51qi )° De la racine asèendantes dont(llésu
fibres
naissent 'dans' la '- région des cellules de la
pro- bablement "aussi, "'dans/laf tête'de'cette corhe ? ' 2° Des !
fibres
provenant du noyau=sensitif·'dû mêtüe.é8té ? ?
ées'par Flechsig ; elles ont le trajet de'Flechsig et de Turck. Les
fibres
qui-viennent du noyau d'origine des'cordons posté
pour centre cortical, les ascendants.' ' La' pius grande partie des
fibres
de l'entrecroisement supérieur des pyramides deMe
de Flechsi- mais aussi pour les cordons postérieurs,' puisque' les
fibres
de ceux-ci vont dans la partiet principale du'r
ban de Reil, connexion qui représente le trajet titral de certaines
fibres
de trijumeau. ,Le noyau sensitif, du trijumeau
t un organe qui correspond surtout au noyau interne de Burdàch. Les
fibres
du trijumeau prenant, leur origine dans ce, .no
eau prenant, leur origine dans ce, .noyau vont, de concert avec les
fibres
du noyau d'origine des cordons^ postérieurs, dans
jumeau. Il existe, une voie de ' locus coeruleus, formée' aussi des
fibres
au noyau sënsitifetau faisceau cérébelleux. Les
faisceau cérébelleux. Les racines motrices se composent* : 1 1° des
fibres
du noyau moteur. du même côté; 2° des fibres du
composent* : 1 1° des fibres du noyau moteur. du même côté; 2° des
fibres
du noyau moteur du côté opposé; 3°, de la racin
ui, graduellement, détermine la destruction des éléments nerveux (
fibres
, puis cellules), des ganglions spinaux. L'atteint
mar. p : rrmrrhrl3lr : m. ( ? t.'r-t dans le tabes. Les lésions des
fibres
nerveuses croissent du centre à la périphérie,
ellulepârsôn éylili= draxe ; 30 les rameaux nerveux terminus de'là'
fibre
.1 'Lés cellules s'unissent entré elles par en'h
, se ^terminent' librement à la périphérie (plaque teéminale d'üiii
fibre
? iüùscûlairé' pàr, éâémple),`vônt à la cellule
es.° . ' mV2 alla Lp yt19U1) 89UBJ ub 9Yt00tT SAIJG,, bl 4` - " Les
fibres
de la commissure 'grise postérieure comprennent t
bordidorsal'du- canal'central (trousseau n° 3).'li existe aussi des
fibres
radiculaires postérieurs dont'iajportion latérale
entraîné des dégénérescences secondaires. Diminution partielle des
fibres
du ruban de Reil du même côté et de la substanc
ssauer. Hyperplasie de la' substance ! intermédiaire aux dépens des
fibres
nerveuses. La lésion, qui'a terminé'son évolution
ment il v a enlre-croise- z pupillaires du nerf optique tel que les
fibres
du nerf optique droit vont au noyau droit et ga
s sont plus nombreuses et plus volumineuses qu'à l'état normale Les
fibres
tangentielles et les nbres'superradiées sont di
ies et'anatomiquement associées entre elles par 1 un sys- tème df "
fibres
anastôm^tiquës : }^, ^7 ? ^ ? t au ? "tt, / , C
lammatoire 'gagnerait la' névroglie'et âmènerait·lafdestruction des
fibres
ner- veuses étales allérations^des cellules ner
firment, tous, l'opinion de uTuczek sur l'altération, primitive des :
fibres
nerveuses : il. s'agit, enf effet, d'après Schiit
la para- lysie bénéralelproressive ? d'une;disparition générale^des
fibres
, s'étendant'a tout le système nerveux' central
bres, s'étendant'a tout le système nerveux' central et ce. sont les
fibres
les plus fines, qui sont<atteintes. La, disp
plus fines, qui sont<atteintes. La, disparition de , toutes, ces
fibres
, ajoute M. Schiitz, doit être, considérée comme
aires et, pourZacher, la vulnérabilité des, éléments nerveux, ^ des
fibres
"d'association". (Annales médico-psychologiques
ructure du système nerveux ne colore que peu de cellules et peu 'de
fibres
; elle est par suite inutilisable* pour lés rëct
eurs;1 prolongements et les ramifications de ces derniers. Mais les
fibres
.* nerveuses à myéline ' sont très, heureusement
se de l'inversion du sens génital-, La faiblesse du J système' des'
fibres
"d'association( détermine la sensibilité conscie
ôle positif produit l'effet inverse. Dans le premier cas toutes les
fibres
du nerf sont devenues plus excitables. Dans le
u point de vue du pronostic. · ' y- 1 e- D'après ses recherches les
fibres
nerveuses périphériques pos- sèdent une faculté
e, peu atrophiée,\.se.) contracte,. môme a par, l'intermédiaire des
fibres
moyennes du bord supérieur du même muscle. Le,
gt; . z1m s Le pétrissage augmente le volume du muscle, affermit la
fibre
, en augmente. la, vitalité, rend les ; contract
ceau nerveux aplati (y) pris entre deux couches xnésoneuriales. Les
fibres
renfermées dans ce faisceau ont subi un certain
nt d'assez nombreux noyaux. En c, de petits groupes superficiels de
fibres
nerveuses à demi atrophiées. v, une artériole d
27,'le faisceau nerveux n'est représenté que par le contour de ses
fibres
corticales..1. 1,-q. -' «I ? 1, , 1 ? z corti
parZiehen, 290 ? til <; ? Idiots, de la manière0 d'être* des
fibres
tangentielles de'l'écorce du cerveau chez' les
,question et n n tt;" ? 1 t Par exemple, la plus grande partie des
fibres
rectilignes du ...... 1 j f 1 j 1 A ut . t l L
res au pédoncule cç,r;ér : al; ly,ru,bal1 de P;il contiendrait les,
fibres
cérébrales de l'acoustique, du trijumeau, du gl
as même où les faisceaux en question contiendraient égale- ment des
fibres
centripètes*. ' 1 l" ,i, " 1 *" '' ' P. K : ' 9
JÇl'eJlvjron(.d euxl i¡111lliJ'nètres,r.il.J,est C0nstiluéi;parî"des'
fibres
- perv.euj3e,s ? ¡ ? rnyéUpc, ¡.c : : Ürêm : cm
nts cy11tldrú ? ses dus6'Con'typc ? ' ? «"^ ? i'' 5" Enfin, par les
fibres
du tractus olfaolorius. T¥.I¡\ somme, les ; cel
grise' des lqr ¡2 ! Ca.çt,ifs. &g.nt¡.tnll,rapporl.,avec) des !
fibres
: > dm tràclus;1 de la ur ? ,'1 ? ,a ! o,;n,
cpmmissure'antérieure mais il.u'Y a continuité directe qu'entre les
fibres
de la couronne rayonnante* et les cellules gang
,2nrA la formation de, la·commissure antérieure' concourent, 'dès -
fibres
! : a) des différents points de la 'corne antérie
tre qu'elles servent d'intermédiaire au changement de direction des
fibres
qui y arrivent ? .,J. PIGiOL ? 1'1(1 .1"'I ? 1;
fn in f i · W ·v r 11 II 'rr· -m tJ Iff1 ! `r11" t· ,1 n"tAfj .Les
fibres
ÍhuscuJaIrèS"dument striées offrent une multiplic
rtent a des lésions des. origines cérébelleuses ou bulbaires et des
fibres
elles-mêmes de, la portion delà huitième paire
tage supérieur 'du pédoÍ1cllle;' 'c'ést-à. : di;e le 'chaIl1p' 'des
fibres
motrices' (substance i : éliculfe) 1 et le doma
e'ce dernier nerf, des origines ; fasciculailes et d'une partie dès
fibres
du tronc de la septième paire. hitégritéile l'o
rné sa ' racine 'ascendante' l'altéraLion"n'a"'p'à'rté que' sur les
fibres
'qui,' du 'lo'ells 'coel'Ítlc ! ls gagnent l'en
. L'olive 'supé- rieurs' subi la destruction avec une portion' des'
fibres
profondes de la protubérance. Dégénérescence de
il a en tota- lité disparu ; plus bas, dégénérescence du ruban. Les
fibres
motrices 'moyennes- et latérales' réticulées,"
) ? J ? (WnI,hYl'iG L analyse histologique, décelait 1 alroplne des
fibres
,nerveuses par la prolifération du' tissu 1 con
cal'JJ¡La clinique.et. la pnysiologierperme,tient.deicroire/que des
fibres
directes relient à.(l'écorce9 cérébrâle'le i-ce
! du'ruban'de Reil dans'la'cal6tte;.vdie réflexe de Meynert ! 'Les
fibres
dé'la'calbtté nes'entrecroisent''que'dans`la"mô
r' d'unernoi- setté' eirf avaÍlt dû' noyau de l'abducens, parmi les
fibres
verti- cales 1 d'e' la" calotte;' et' sur 'lti)
oyait, l'anastomosée de tb4 ! tc5\ns et deJ'9culo-motem : dans des,
fibres
verkicalés,sous-épendymaires,'et3leurrfaisait g
és/*aussif bien1 qu'une tumeur à lent accroissement comprimant'les
fibres
sans les' détruire, seront de nulle, valeur, ta
roscope permet'de recon- naître : àl'état frais, la réduction de la
fibre
musculaire'qui appa- raît comme poussiéreuse et
'H ? J VIf' è 1-lielii >'1' » SOCIÉTÉS SAVANTES. 147 seaux' de
fibres
, qui issus du noyau lenticulaire, vont se confond
r' substratum'anatomique l'interruption de la conductilité dans les
fibres
d'association détruites et- la mise hors de'fon
e'sauraient s'expliquer par 'l'interruption de» la conductilité des
fibres
nerveuses à' la base, celles qu'il faut ratta-
colère chez les animaux, par Fesenko ; Distribution anatomique des
fibres
motrices des nerfs chez l'homme, la lapin et la
on de l'acide osmique ne présentent aucune altération notable : les
fibres
nerveuses, le tissu conjonctif interstitiel, les
a gomme et l'alcool, on ne dis- tingue aucun faisceau atrophié. Les
fibres
sectionnées perpen- diculairement à leur axe on
etprésentant les apparences décrites dans le type 5. A côté de ces
fibres
très nombreuses, on aperçoit un certain nombre
ôté de ces fibres très nombreuses, on aperçoit un certain nombre de
fibres
saines, avec des gaines de myé- line fortement
ertrophié et traversées par des incisures sembla- bles à celles des
fibres
nerveuses les plus saines. Entreles fibres comp
embla- bles à celles des fibres nerveuses les plus saines. Entreles
fibres
complètement atrophiées et les libres tout à fa
d'intermédiaires. C'est à peine, si de loin à loin on rencontre une
fibre
altérée selon le type : 3. On n'en rencontre pa
dans ces différents nerfs, portent sur la proportion rela- tive des
fibres
saines et des fibres atrophiées. Les branches D
erfs, portent sur la proportion rela- tive des fibres saines et des
fibres
atrophiées. Les branches DES NÉVRITES PÉRIPHÉRI
pal- maire de l'index, renferment une assez grande proportion de
fibres
saines, à côté de faisceaux de fibres tout à fait
ne assez grande proportion de fibres saines, à côté de faisceaux de
fibres
tout à fait atrophiées (type 5). Les branches p
raux palmaires de l'index renferment proportionnelle- ment moins de
fibres
saines que les branches terminales des mêmes ne
que les branches terminales des mêmes nerfs. La grande majorité des
fibres
est atrophiée. Quelques-unes présentent encore
n-foncé par l'osmium. On y trouve en outre un nombre assez grand de
fibres
grêles à contours gris-cendré, formées par la j
à bout de segments relativement très courts, et paraissant être des
fibres
régénérées. Le nerf collatéral interne palmai
s que les nerfs de l'index, mais on y découvre cependant quelques
fibres
atrophiées et quelques fibres variqueuses; toutef
mais on y découvre cependant quelques fibres atrophiées et quelques
fibres
variqueuses; toutefois le nombre des fibres alt
atrophiées et quelques fibres variqueuses; toutefois le nombre des
fibres
altérées est moins considérable que celui des f
e nombre des fibres altérées est moins considérable que celui des
fibres
saines. En résumé, altération profonde de tous le
onnaître que ces faisceaux sont presque uniquement composés par des
fibres
totalement atrophiées (type 5). Les fibres ayan
quement composés par des fibres totalement atrophiées (type 5). Les
fibres
ayant conservé leur gaine myélinique et leur as
existe cepen- dant quelques-unes. On voit aussi de loin en loin des
fibres
fragmentées en boules (type 2), ou variqueuses
enferme de granula- tions ambrées (type 4). En revanche, à côté des
fibres
com- plètement atrophiées, il n'est pas rare de
nt atrophiées, il n'est pas rare de rencontrer une ou plusieurs des
fibres
grêles à segments courts, que nous considérons
des fibres grêles à segments courts, que nous considérons comme des
fibres
régénérées. 186 PATHOLOGIE NERVEUSE. Dans le
érieur (fragment pris au milieu de la jambe) la grande majorité des
fibres
sont normales. Mais on trouve de loin en loin q
sont normales. Mais on trouve de loin en loin quelques faisceaux de
fibres
atrophiées (type 5) ou des petits groupes const
iées (type 5) ou des petits groupes constitués par quatre ou cinq
fibres
fragmentées variqueuses (type 3). Les nerfs col
taire interne, mais à un moindre degré en ce sens que le nombre des
fibres
saines y est propor- tionnellement plus considé
rations que le nerf plantaire interne du côté droit, la plupart des
fibres
sont atrophiées avec aspect conjonctif (type 5)
f (type 5). Dans le tibial postérieur, au contraire, la plupart des
fibres
sont saines, on y rencontre à peine de loin en
fibres sont saines, on y rencontre à peine de loin en loin quelques
fibres
atrophiées (type 5), ou fragmentées en boule (t
res atrophiées (type 5), ou fragmentées en boule (type 2), mais les
fibres
malades sont en infime minorité. Les nerfs de l
uées de volume à l'oeil nu, sont presque exclusivement composées de
fibres
nerveuses totalement atrophiées ne présentant p
ans chaque préparation, on peut trouver de loin en loin une ou deux
fibres
contenant de la myéline et encore celle-ci est
rées que leurs congénères de la région dorsale. La plupart de leurs
fibres
sont revêtues de myéline; mais cette myéline es
s nerfs, et que les altérations inflammatoires ou dégénératives des
fibres
nerveuses, ne se propageaient pas uniformément
vèlent des alté- rations profondes des libres nerveuses. Toutes les
fibres
qui composent ces faisceaux sont atrophiées, ré
phiées, réduites à l'état de gaines vides et présentent l'aspect de
fibres
conjonctives (type 5). La peau de la fesse ét
x troisième et quatrième ganglions lombaires droits et gauches. Les
fibres
des racines antérieures sont toutes absolument
racines postérieures correspon- dantes, on trouve un bon nombre de
fibres
avec des fragmenta- tions en blocs de la myélin
minés. 2° Nerfs fessiers supérieurs droit et gauche. Toutes les
fibres
de ces nerfs sont fragmentées en boules (type 2).
voisinage des phlyctènes malléolaires du côté gauche. Toutes les
fibres
provenant de ces nerfs sont altérées, toutes sont
type 3). 4° Tronc du sciatique poplité externe gauche. Toutes les
fibres
sont encore lésées sans exception, mais moins pro
e l'acide osmique n'a pas permis une étude rigoureuse de l'état des
fibres
nerveuses dans ces ganglions. Les coupes, prati
rieures sont absolument saines. Dans les racines posté- rieures les
fibres
de structure normale sont en majorité; quelques
cées dans leur évolution et surtout moins généralisées à toutes les
fibres
. Aussi trouve-t-on dans le musculo-cutané et le
de tubes sains et une minime quantité de gaines vides il côté de
fibres
où l'altération dominante est figurée par les t
du côté gauche. 101 - Racines correspondante ces ganglions. - Les
fibres
des racines sont en très grande majorité normal
tation en blocs (type 1). Dans les racines postérieures beaucoup de
fibres
sont saines, quelques-unes montrent également l
heval. - Plusieurs de ces nerfs ont été examinés ; sur toutes leurs
fibres
la myéline est encore fragmentée en blocs. 13
tiques poplités ex- ternes sont moins gravement atteints et que les
fibres
du tronc des sciatiques sont tout à fait normal
tout d'abord que les résultats de nos examens tenaient à ce que les
fibres
périphériques altérées étaient pour ainsi dire
iphériques altérées étaient pour ainsi dire perdues au milieu des
fibres
saines dans les gros troncs nerveux des membres.
, dans ces examens rapides et nécessaire- ment incomplets, quelques
fibres
, malades auraient pu échapper à notre attention
vons découvert aucune altéra- tion appréciable des faisceaux ni des
fibres
de ces troncs nerveux. L'étude des racines ra
tes aux nerfs altérés étaient presque toutes saines, la plupart des
fibres
des racines postérieures appartenant aux mêmes
ont profondément altérés. Ils renferment tout au plus un tiers de
fibres
saines. Plus de la moitié de leurs fibres sont fr
tout au plus un tiers de fibres saines. Plus de la moitié de leurs
fibres
sont fragmentées en blocs (type 2), ou en boule
e énorme quantité de gaines vides, accolées et adhérentes. Quelques
fibres
renferment encore delà myéline des névrites pér
fs saphène interne et externe sont peu altérés. La plupart de leurs
fibres
sont normales. Colles qui sont altérées sont pe
mêmes altérations que les saphènes, peut être même le nombre des
fibres
altérées y est-il proportionnellement moins con
préparations soigneusement examinées nous n'avons pas rencontré de
fibres
manifestement altérées. Dans les racines antéri
ment altérées. Dans les racines antérieures, la grande majorité des
fibres
est normale. Çà et là on découvre quelques très
té des fibres est normale. Çà et là on découvre quelques très rares
fibres
fragmentées en boules (type 2). Dans les racine
boules (type 2). Dans les racines postérieures, presque toutes les
fibres
sont fragmentées en boules (type ). Réflexions.
troubles n'apparaissent probablement que lorsque la proportion des
fibres
altérées est assez considérable. Ils varient du
inée à l'état frais, présentait les éléments suivants : cellules et
fibres
nerveuses ; fibres, noyaux et cellules de la né
présentait les éléments suivants : cellules et fibres nerveuses ;
fibres
, noyaux et cellules de la névroglie ; vaisseaux,
peu plus épaisse et parait avoir les mailles plus serrées avec des
fibres
plus fortes et plus colorées dans les parties p
e. La substance grise, immédiatement sous la pie-mère, présente des
fibres
onduleuses et très fortes, mais on n'y constate
dans leur évolution : hy- pertrophie diffuse des éléments nerveux (
fibres
et cellules) ; ensuite compression des parties
pas pourtant, présentent des dérivés soit de ces éléments, soit des
fibres
nerveuses. En donnant la description de ces élé
e de la muqueuse de l'estomac ou à une plus grande énergie de ses
fibres
musculaires. Cette hypothèse serait aussi applica
ilité de la muqueuse de l'estomac et une plus grande énergie de ses
fibres
musculaires tenant à leur développement exagéré
'exis- tence dans les masses les plus dures d'un tissu conjonctif à
fibres
résistantes englobant de nombreuses cellules ro
jusqu'au bulbe. En même temps on s'assura que la myéline, dans les
fibres
nerveuses des fais- ceaux latéraux, avait dimin
oelle, mais ne l'atteignait pas, en étant séparée par une couche de
fibres
nerveuses normales (directe kleinhirn-seitenstr
allait le long de la moitié antérieure (inférieure) en suivant les
fibres
longitudinales; il s'y trouvait une grande quan
ar le milieu du pédoncule perpendiculairement à la direction de ses
fibres
cette place présentait la forme d'une trapèze;
la moelle épinière et du bulbe, c'est-à-dire une dégénérescence des
fibres
nerveu- ses. Que cette altération n'était pas s
tout l'hémisphère jusqu'à son écorce, on peut en conclure que les
fibres
dégénérées vont aussi sans interruption aucune à
modification. Dans les muscles atrophiés, on rencontrait parmi des
fibres
tout à fait normales quelques fibres très aminc
hiés, on rencontrait parmi des fibres tout à fait normales quelques
fibres
très amincies; dans quelques-unes de ces derniè
ne aug- mentation du nombre des noyaux musculaires; dans d'autres
fibres
le sarcolemme était rempli d'une grande quantité
d'ailleurs, même dans les muscles les plus atteints, le nombre des
fibres
normales était beaucoup plus grand que celui de
al, pris sur l'avant-bras, a montré que l'immense majorité de leurs
fibres
étaient à l'état normal, mais, par la dissociat
aîne de myéline était par places interrompue ; de quel- ques autres
fibres
il ne restait que la gaîne de Schwann, avec une
re une atrophie en général très peu prononcée et limitée à quelques
fibres
ner- veuses seulement. La substance grise de
blent parais- sentprouverque le processus morbide commence dans les
fibres
nerveuses qui constituent les faisceaux pyramid
même développe- ment et étaient de même ancienneté. Donc, si les
fibres
des hémisphères, dont nous avons constaté la dé
rands gan- glions; il peut servir à déterminer quelle direction ces
fibres
prennent dans l'encéphale. Ce dernier fait est
ec une certaine indécision'. Jusqu'à maintenant la direction de ces
fibres
dans le cerveau d'un adulte est com- plètement
ue le fond et les pa- rois latérales du sillon de Rolando. D'autres
fibres
, montant encore plus haut, suivent les courbes
tent toujours dans le voisinage du sillon de Rolando. Les dernières
fibres
, enfin, montent jusqu'au sommet des circonvo- l
circonvo- lutions centrales. De cette manière, la direction de ces
fibres
1 Uebcr System 1 ? l'1C1'VIIâUL1C17 im Rùckenma
ig. 6, l'r.. VIII, représente schéma- tiquement la direction de ces
fibres
dans l'un des hémisphères du cerveau.) Comme il
des hémisphères du cerveau.) Comme il est plus que probable que ces
fibres
, atteignant dans un certain endroit la substanc
parties de la subs- tance grise comme contenant les centres de ces
fibres
. Dans notre cas, les libres dégénérées n'atteig
out dans la circonvolution antérieure ; une par- tie notable de ces
fibres
arrivait jusqu'au sommet de ces cir- convolutio
uver dans la partie de l'encéphale vers laquelle se dirigeaient les
fibres
dégénérées, c'est-à-dire que les centres des mo
blement dérangés, nous pouvons présumer qu'une partie seulement des
fibres
qui dirigent ces mouvements était lésée, et que
s était lésée, et que la surface occu- pée par les terminaisons des
fibres
dégénérées ne représentait qu'une partie de cel
attirer l'attention sur le fait suivant : En montant, plusieurs des
fibres
pyrami- dales des hémisphères rencontrent dès l
X, Direction des faisceaux pyramidaux indiquée schématiquement. X',
Fibres
de ces faisceaux, qui se terminent au fond de la
rovoquer l'expulsion; et peut-être aussi, dans la con- traction des
fibres
longitudinales de l'oesophage nécessaire pour d
gnées dans l'analyse du mémoire de M. Tuczek sur la disposition de
fibres
dans l'ecoree. (Archives de Neurologie.) P. K.
névrotique épaississement; cellules-araignées; épais feu- trage de
fibres
englobant des cellules-araignées disséminées, les
, Direction des laisceaux pyramidaux indiquée seltematiquement. 1',
Fibres
de ces faisceaux, qui se terminent au fond de la
bryons de cinq, six, sept, huit mois; étude du développement des
fibres
d'après 1 évolution de la myéline. Le revêtement
res d'après 1 évolution de la myéline. Le revêtement myélinique des
fibres
a, dans les cordons postérieurs, à peu près termi
ach, qui limite la corne postérieure et constitue une émanation des
fibres
radiculaires (portion radiculaire). Elle se mon
de Burdach. P. K.. II. CONTRIBUTION A la connaissance DU trajet DES
fibres
DU CORDON postérieur dans la moelle allongée ET
e la méthode de Weigert, dans le but d'élucider cette question. Les
fibres
des cordons postérieurs traversent-elles les oliv
rinire de cet entrecroisement, les faisceaux de Burdach donnent des
fibres
qui, en s'arquant légèrement, traversent la subst
ée s'est enrichie du système des olives et d'un nombre croissant de
fibres
réticulaires, les faisceaux des cordons postéri
postérieurs tracent ils travers la substance grise, sous le nom de
fibres
ara formes, des cercles allongés pour gagner la
laire : dans les olives et autour d'elles, on ne voit encore aucune
fibre
à myéline. Chez les foetus plus âgés, les olives
ibre à myéline. Chez les foetus plus âgés, les olives possèdent des
fibres
qui leur appartiennent, d'où l'erreur que les fib
possèdent des fibres qui leur appartiennent, d'où l'erreur que les
fibres
des cordons postérieurs viennent se rendre aux
lives mêmes. La vérité .est qu'il ne demeure dans les olives aucune
fibre
du cordon postérieur; toutes les fibres de ce d
meure dans les olives aucune fibre du cordon postérieur; toutes les
fibres
de ce dernier se rendent dans la couche intermédi
e des olives; à mesure que cette couche augmente suprà, le taux des
fibres
des noyaux des cordons postérieurs diminue; il
couche intermédiaire des olives ou ruban de Reil du côté opposé des
fibres
issues du cordon postérieur (exclusivement du f
ur (exclusivement du faisceau de Burdach ? ) une .petite partie des
fibres
du cordon postérieur (exclusivement em- pruntée
sivement em- pruntées au faisceau de Goll ? ) arrive sous le nom de
fibres
ar- ciformes, dans le corps restiforme. Aux sep
e cordon postérieur, le nerf auditif, le nerf trijumeau. Toutes ces
fibres
gagnent le vermis où elles pari- clpent, pour u
Le corps restiforme renferme trois portions dilfe- rentes : 40 des
fibres
appartenant a la moelle; 2° des libres émanées
rijumeau. (Ces deux sortes de faisceaux gagnent le verrais); 3° des
fibres
issues des olives qui peuvent être suivies dans l
ient : a, les cor- dons latéraux qui se rendent au cervelet; b, des
fibres
émanées . du cordon postérieur du même côté, et
stérieur du même côté, et peut-être de celui du côté opposé; c, des
fibres
appartenant aux racines nerveuses signalées; 2°
lleux; elle ren- 78 REVUE D'ANATOMIE KT DE PHYSIOLOGIE. ferme des
fibres
issues des olives et peut-être encore d'autres sy
plan vaut mieux, dit-il, que la légende du texte; il montre que les
fibres
des cor- dons postérieurs qui passent dans le b
dants : 1° le noyau des faisceaux cunéiformes (Burdach) fournit des
fibres
qui appartiennent a la grosse olive et des fibres
dach) fournit des fibres qui appartiennent a la grosse olive et des
fibres
qui vont plus haut qu'elle après l'avoir traver
uban de Reil ; il envoiedès son origine un tractus qui s'annexe aux
fibres
émanées du cordon cunéiforme pour gagner, en tr
nies ni aux cordons postérieurs, ni au ruban de Reil; un tractus de
fibres
assez fourni les rattache au cerveau, mais il n
segment qui relève de la formation réticulaire, exclusivement des
fibres
qui proviennent de l'eutrecroissement supérieur d
de Reil (Wernicke); mais il faut remarquer qu'il contient, avec des
fibres
du ruban de Reil, nombre de parties constitutiv
tique ou noyau à grandes cellules de Deiters(Laura et Monakow), les
fibres
arciformes du bulbe, le 'pédoncule cérébelleux
e cérébelleux supérieur, le faisceau longitudinal pos- térieur, les
fibres
radicùlaires de l'acoustique entrecroisées dans
ionnaires disséminées ou groupées au sein des couches profondes des
fibres
immédiatement adjacentes 80 REVUE D'ANATOMIE ET
res avec les atrophies expérimentales) ; chez lui, le système des
fibres
de projection de l'écorce du lobe occipital aux c
aux a beaucoup de ressemblance avec celui du lapin et du chat ; les
fibres
des centres optiques primaires ne rayonnent que
a calotte, un cordon volumineux, bien limité, nettement tranché, de
fibres
à myéline qu'on ne connaît ou qu'on n'a décrit
éti- culaire, par conséquent du cordon central ; et se compose de
fibres
issues de la substance grise latérale du quatrièm
paraitre dans la couche intermédiaire des olives. Les trousseaux de
fibres
, envoyés par la commissure postérieure au faisc
chargées des communications providentielles. 11 se forme aussi des
fibres
collatérales assurant la sensibilité quand vien
nd viennent à manquer les plexus ou les troncs proprement dits; ces
fibres
collatérales cons- tituent à leur origine des é
e externe. Les cordons latéraux envoient de puissants trousseaux de
fibres
aux cellules, ce qui doit tenir au développemen
ivement les éléments nerveux auraient diminué dans ces organes. Les
fibres
nerveuses qui partent de la face inférieure des
'est sur la paroi externe du ventricule latéral que se dirigent les
fibres
qui vont se terminer dans cette zone. . P. K.
'. On sait que l'acoustique se compose au moins de deux systèmes de
fibres
; le centre auditif propre est le tubercule acou
jumeau antérieur et l'écorce. Sans doute les couches supérieures de
fibres
nerveuses du tuber- cule en question sont dimin
petits vestiges qui appartiennent à la portion fermée du lobe, les
fibres
commissu- z rales de cette portion même ayant a
on reconnaît, au pourtour de la fosse calcarine, un trous- seau de
fibres
blanches connu sous le nom de bandelettes de Vi
pour l'étude des cellules, des procédés spéciaux à la recherche des
fibres
pour l'é- tude des fibres. Sa méthode à lui 2 d
des procédés spéciaux à la recherche des fibres pour l'é- tude des
fibres
. Sa méthode à lui 2 décèle presque exclusivement
de l'anatomie fine permet de distinguer les principaux faisceaux de
fibres
qui parcourent les diverses parties de l'encé-
E. 197 que ce centre sensitif, où viennent aboutir sans doute des
fibres
pédonculaires appartenant au faisceau sen- siti
sitif occupe le même point qu'un centre moteur, en rapport avec des
fibres
pédonculaires motrices ' ? Enfin pour donner un
tre d'ailleurs peu de granulations grais- seuses, et l'atrophie des
fibres
est particulièrement prononcée dans la moelle d
ossible des racines antérieures lombaires. Diminution de volume des
fibres
du jambier antérieur. M. Westphal l'ait remarqu
atéraux et dans les faisceaux cunéiformes externes; tuméfaction des
fibres
nerveuses de la névroglie ; intégrité des cellu
disparition des réflexes tendineux, parésie musculaire, parésie des
fibres
lisses de la peau, absence d'horripilation, de
s destinées à conduire la parole jusqu'au centre des images orales (
fibres
appartenant au faisceau cérébral sensitif). I
à l'appui de mon diagnostic de surdité verbale brute. En effet, les
fibres
cérébrales aboutissant au centre auditif des mo
Destruction des trousseaux de substance blanche qui contiennent les
fibres
de projection issues des lobes occipitaux et d'
té corticale devrait être rattachée à la destruction bilatérale des
fibres
blanches antéropostérieures ; à l'atteinte des
ilatérale des fibres blanches antéropostérieures ; à l'atteinte des
fibres
pariétales gauches l'auteur attribue la gloutonne
ribue la gloutonnerie excessive observée pendant la vie (lésion des
fibres
de projec- tions qui représentent les fibres gu
ant la vie (lésion des fibres de projec- tions qui représentent les
fibres
gustatives des nerfs trijumeau et glnsso-pharyn
es des nerfs trijumeau et glnsso-pharyngien). La dégénérescence des
fibres
blanches en rapportant la sphère visuelle a ent
ques primaires), et consécutivement des deux bandelettes optiques (
fibres
rétiniennes surtout) , puis des deux nerfs opti
ie 1.1' DE physiologie. du corps genouillé interne qui contient des
fibres
de projec- tion appartenant au segment latéral
- dons fibreux solides, permet à l'observateur d'affirmer que les
fibres
qui des bandelettes vont aux centres optiques pri
corps genouillé externe et du pulvinar, aucune région ne fournit de
fibres
au nerf optique ; les relations que le nerf opt
de toute autre nature. Dans le rizil- vii7a ? ,, des trousseaux de
fibres
du nerf optique émanent de la zone marginale mé
La substance blanche zoniforme du pulvinar se compose mi-partie de
fibres
du nerf optique, mi-partie de fibres de project
lvinar se compose mi-partie de fibres du nerf optique, mi-partie de
fibres
de projections optiques. Il n'y a pas d'autres
les mêmes éléments que dans le pulvi- nar. La zone dont il tire ses
fibres
a une situation principalement latéro-venlrale;
re en une union plus intime avec lui que les grosses. Le nombre des
fibres
du nerf optique provenant du corps genouillé ex
rme et ventrale du corps genouillé externe se compose mi- partie de
fibres
des racines optiques, mi-partie de fibres du nerf
se compose mi- partie de fibres des racines optiques, mi-partie de
fibres
du nerf optique; la séparation anatomique de ce
bres du nerf optique; la séparation anatomique de ces catégories de
fibres
est impossible, cependant les fibres du nerf op
natomique de ces catégories de fibres est impossible, cependant les
fibres
du nerf optique paraissent plus superficielles.
plutôt une orientation transversale et verticale, les trousseaux de
fibres
du nerf optique issues du corps genouillé exter
de cellules de gros calibre, semblent avant tout être l'origine de
fibres
de la calotte; ces fibres fournissent un certai
re, semblent avant tout être l'origine de fibres de la calotte; ces
fibres
fournissent un certain trajet à l'intérieur de
meau antérieur prend naissance la substance grise superficielle des
fibres
du nerf optique (confor- mément aux expériences
mément aux expériences de de Gudden, Tartuféri, Ganser), ici les
fibres
semblent, pour une part, émaner directement de pe
une part, émaner directement de petits élé- ments cellulaires; les
fibres
zoniformes de la coiffe grise (Tartu- féri), ne
là substance blanche superficielle sont, dans leur pluralité, des
fibres
optiques pures ; elles occupent le bras du tuberc
sont, avant tout, les portions caudales qui donnent nais- sance aux
fibres
de projections optiques. Une assez forte partie d
(plans transversaux et verticaux) n'affecte aucun rapport avec les
fibres
optiques. Y a-t-il dans le segment inférieur de
t naissance à la racine optique. Le mode d'origine histologique des
fibres
de projection du tubercule biju- meau antérieur
mais le caractère de l'atrophie descendante paraît prouver que les
fibres
zoniformes de la coiffe, qui proviennent des ce
la sphère visuelle aussi bien que la substance blanche moyenne des
fibres
de projection. L'ensemble des racines optiques
ent des nerfs sectionnés transversale- ment, on aperçoit de courtes
fibres
; là où passent des fibres ner- veuses conserva
ansversale- ment, on aperçoit de courtes fibres ; là où passent des
fibres
ner- veuses conservant leur direction longitudi
veuses conservant leur direction longitudinale, existent de longues
fibres
entre lesquelles de courtes fibres. Les longues f
ngitudinale, existent de longues fibres entre lesquelles de courtes
fibres
. Les longues fibres qui souvent accompagnent pa
t de longues fibres entre lesquelles de courtes fibres. Les longues
fibres
qui souvent accompagnent parallèlement sur une
qui souvent accompagnent parallèlement sur une grande étendue les
fibres
nerveuses ne sont qu'un produit pathologique. Sur
normales, partout où l'on peut suivre le trajet longitu- dinal des
fibres
nerveuses, on constate, à côté d'elles, de longue
dinal des fibres nerveuses, on constate, à côté d'elles, de longues
fibres
fines de tissu conjonctif.'Dans les foyers sclére
ues fibres fines de tissu conjonctif.'Dans les foyers scléreux, les
fibres
conjonctives longues, qui, sur des coupes traus
euses, qui, sur des coupes longitudinales, accompagnent partout les
fibres
nerveuses dans le même sens qu'elles, ces fibre
agnent partout les fibres nerveuses dans le même sens qu'elles, ces
fibres
longues sont considérable- ment multipliées, ma
e normale et neprovienneni pas de la transformation fibrillaire des
fibres
courtes. Leur trajet est très droit, tandis que
aire des fibres courtes. Leur trajet est très droit, tandis que les
fibres
courtes sont infléchies en zigs-zags; ce sont l
s sont infléchies en zigs-zags; ce sont les inflexions brusques des
fibres
courtes, vues en raccourci, entremêlées avec le
tes, vues en raccourci, entremêlées avec les coupes transverses des
fibres
longues, qui on ont imposé pour l'aspect granul
tique (obs. IV) ; la névroglie est multipliée ; on y voit aussi des
fibres
courtes et longues mais plus fines, les parois
sont-entourées d'un liquide qui a dissocié, comprimé, désagrégé les
fibres
nerveuses; la myéline est détruite en petits débr
a cuisse et péroniers, mais intégrité des noyaux des muscles et des
fibres
. L'auteur admet une dégénérescence primitive de
u interstitiel des muscles. P. K. RV111. Contribution au trajet des
fibres
DE la corne postérieure DE LA MOELLE HCSMAINE E
a zone mar- ginale, dans laquelle s'épuiseraient principalement les
fibres
de la zone marginale; 2° la substance gélatineu
te à peu près comme la substance spongieuse; on y trouve de grosses
fibres
issues des racines postérieures et des parties ex
partie de la corne pos- térieure est, elle aussi, traversée par des
fibres
radiculaires pos- térieures (grosses et fines).
térieures (grosses et fines). La corne postérieure reçoit donc des
fibres
radiculaires de deux catégories : 1° de grosses f
oit donc des fibres radiculaires de deux catégories : 1° de grosses
fibres
qui vont directement en trousseaux jusque dans
ubstance spon- gieuse où elles prennent une autre direction; 2° des
fibres
fines (mêlées à d'autres systèmes de fibres) qu
autre direction; 2° des fibres fines (mêlées à d'autres systèmes de
fibres
) qui, aussitôt après l'entrée de la racine, dév
crites dans le mémoire. On en a examiné parti- culièrement : 4° les
fibres
fines de la zone marginale; 3° les ' Voy. Archi
eurologie, t. XII, 21f. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 1 5 5
fibres
fines de l'intérieur de la corne postérieure ; 30
ibres fines de l'intérieur de la corne postérieure ; 30 les grosses
fibres
radiculaires de la corne postérieure; 4o les irra
fibres radiculaires de la corne postérieure; 4o les irradiations (
fibres
fines) du noyau du cordon postérieur (zones radic
La zone marginale, système.spécial appartenant particulièrement aux
fibres
radicu- laires postérieures, presque toujours a
me (trois cas) ; elle est généralement affectée de bonne heure. Les
fibres
fines de l'intérieur ce la corne postérieure sont
t que le processus morbide se soit propagé de la zone marginale aux
fibres
intérieures de la corne en question. Les grosse
rginale aux fibres intérieures de la corne en question. Les grosses
fibres
radiculaires sont dans le tabes atteintes relat
ostérieure qu'elles traversent est encore normale; le déchet de ces
fibres
est, de concert avec les altérations des colonn
atteintes, et dès les premiers stades du tabes; ce sont d'abord les
fibres
fines mé- dianes, celles qui viennent des cordo
ns postérieurs de la région lombaire, qui dégénèrent, alors que les
fibres
latérales et les cel- lules nerveuses demeurent
rticipe à l'atrophie. La colonne de Clarke reçoit des trousseaux de
fibres
émanées de parties très diverses du cordon postér
basée sur leur développement) par Redilcrew, 7 si ; Trajet des
fibres
des-danslamoelle allongée et le pédoncule céré-
e de bloscois. Dans le cours de mes recherches sur la direction des
fibres
des racines postérieures dans l'intérieur de la
du même genre, la conservation des mouvements dépend d'un groupe de
fibres
du cordon antérieur qui est resté intact. \ D
ouvrir nulle trace d'éléments nerveux; il n'y avait ni cellules, ni
fibres
, mais seulement un tissu conjonctif avec une cert
n bas - offrent une ramification difffuse des éléments nerveux; des
fibres
nerveuses de la substance blan- che et grise, a
es montre que dans la partie dégénérée du cordon de Goll toutes les
fibres
ont disparu; dans la partie exté- rieure du cor
'on appelle faisceau direct du cerve- let, la plus grande partie de
fibres
était dans le bout postérieur DE LA MOELLE ÉPIN
ordon latéral du côté gauche et présente une perte insignifiante de
fibres
blan- ches ; dans ce cas, nous avons à faire, é
à faire, évidemment, aune dégénéres- cence descendante de certaines
fibres
, qui forment le faisceau pyramidal du côlé gauc
V. 62 ANATOMIE. 1 - \ quelle on ne put découvrir aucun signe de
fibres
dégénérées ; en outre, dans la moitié gauche de
un sens particulier : vu qu'il n'y a, dans la cicatrice,* point de
fibres
nerveuses, qui puissent conduire les fonctions
ns, même-dans la moitié lésée de la moelle épinière. L'absence de
fibres
régénérées, démontrée dans un sens posi- tif pa
stée, après l'opération, remplie de tissus moelleux consistant en
fibres
de Remak et cellules ganglionnaires. Paul Denta
men des coupes de la moelle épinière démontra dans la cicatrice des
fibres
nerveuses dégénérées. ' Bientôt après, Naunyn
loppement de la ci- catrice, contenant une assez grande quantité de
fibres
blanches et de cellules qui ressemblent beaucou
e épinière chez les chiens il ne put découvrir de régé- nération de
fibres
nerveuses ; il faut donc admettre que les éléme
ociées où sur les .. coupes prises dans la cicatrice, on trouve des
fibres
nerveuses; ces dernières s'étendent sans interr
E. l'épaisseur de la cicatrice : pourquoi ne pas admettre que les
fibres
qu'on y trouve se terminent dans la cicatrice en
sonnelles). Ce n'est que Brown-Séquard qui parle de régénération de
fibres
nerveuses trouvées dans les cas d'hémisection c
ant du pédoncule à l'espace perforé ; mais je ne pouvais suivre ces
fibres
dans le pédoncule, et de plus, elles ne me para
très probablement une émanation du faisceau principal dont quelques
fibres
ont pénétré dans le pédoncule cérébral; 2° par
au lobule olfactif, auquel il attribue des propriétés motrices, des
fibres
émanant du plan inférieur du pédoncule. Mais
ée : ce n'est que par analogie qu'il conclut à l'existence de ces
fibres
motrices chez l'homme. Nerfs olfactifs (' ! le
laire. Peut-être faut-il ajouter à l'arc rachidien un faisceau de
fibres
qui, issu aussi des petites masses ganglionnaires
nue avec le bord posté- rieur de cette bande, c'est-à-dire avec les
fibres
qui viennent du faisceau médullaire juxta-pédon
en finir avec le ruban péri-optique, je men- tionne les échanges de
fibres
qui ont lieu quelquefois entre lui et le pilier
un grand volume, notamment dans sa moitié antérieure, renferme des
fibres
nerveuses facilement distinyuables à l'u'il nu.
æ) s'étale en une membrane mince au- tour de la couche optique. Les
fibres
clairsemées se recourbent t d'avant en arrière
optique trois éléments distincts, savoir : 1° son écorce formée de
fibres
en anse, qui appartiennent au même groupe que l
ptique. Son extrémité postérieure s'épanouit en un large pinceau de
fibres
qui s'étalent sur la paroi supérieure do la por
tion de 1-hippocampe. » D'après CRUVEILHIER, « quelques-unes de ses
fibres
peuvent t être suivies jusqu'à la partie inféri
u corps calleux. Or, cela n'est pas exact. Il existe, en effet, des
fibres
transversales, ou plu- 84 ANATOMIE. tôt des f
en effet, des fibres transversales, ou plu- 84 ANATOMIE. tôt des
fibres
dont la direction générale est transver- sale.
res dont la direction générale est transver- sale. Ces faisceaux de
fibres
, beaucoup plus fins, plus déliés que ceux du co
st unique- ment représenté par un faisceau plus ou moins large de
fibres
directement transversales. (Voir la fiz ? e 13.)
chées; et j'ajouterai qu'il m'a semblé que lorsqu'à ce niveau les
fibres
entre-croisées et anastomosées sont peu nom- br
olfactif, je rappellerai que, dans certains cas, des échanges de
fibres
ont lieu entre le ruban péri-optique et les pilie
'hiatus du ven- tricule latéral, ces fascicules sont réunis par des
fibres
arciformes, quelquefois très apparentes, d'autr
ux du taenia. Le restant de cette couche blanche est formée par des
fibres
émanant d'une des divisions internes de la band
faisceau originel du pilier antérieur peut être suivi par quelques
fibres
jusqu'au toenia. CRUVEILHIER a vu cette anastom
pocampe et des corps godronnés est représenté par cet en- semble de
fibres
délicates transversales, qui font saillie à la
» Cruveilhier : « La couche médullaire (du septum) est composée de
fibres
radiées qui, des piliers de la voûte, se porten
e des appareils et des organes de la machine animale. Parlant des
fibres
nerveuses d'association, Edinger s'ex- prime ai
ur substratum ana- tomique. Il n'y a rien d'impossible à ce que ces
fibres
ner- veuses aient un rôle important dans la pro
'atrophier, diminuer de volume et d'épaisseur ; ses cellules et ses
fibres
blanches (coloration de Weigert) se reco- quill
ubstance intermédiaire s'éclipse; c'est en réalité l'altération des
fibres
myé- iiniques qui ouvre la marche. P. K. XV.
résulte que la partie médiane du ruban de Reil contient surtout des
fibres
destinées à conduire la sensibilité de la moiti
) , XIX. Contribution A L.t ' T11ÉORIE 'de l'entrecroisement DES
fibres
nerveuses dans le CHIASMA des nerfs optiques; p
au droit non entre-croisé, dans le chiasma et la bande- lette : les
fibres
non entre-croisées sont réunies dans le nerf en é
l'organe; dans le chiasma et la bandelette, elles se mélangent aux
fibres
croisées : cependant elles ne se répartissent p
ne et inférieur de ce segment, puis elles se mêlent peu à peu à ses
fibres
. Il est donc certain, conclut l'auteur, que les
à peu à ses fibres. Il est donc certain, conclut l'auteur, que les
fibres
non entre-croisées forment dans le nerf optique
lus ou moins séparé : dans la bandelette, elles fusionnent avec les
fibres
croisées. P. K. XX. CONTRIBUTION A la PHYSIOLOG
DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 131 calotte en prenant le chemin'des
fibres
acoustiques. Le trans- port de l'excitation des
tendent à se résorber, finalement, ils s'organisent en un tissu de
fibres
fines conjonc- tives qui circonscrivent les gro
céphalie), les auteurs concluent que les cinq sixièmes au moins des
fibres
qui, des noyaux d'origine des cordons postérieu
e dernière se complique de phénomènes tenant à l'interruption des
fibres
des cordons latéraux qui ne sont pas reliées aux
x noyaux des cordons latéraux qui reçoivent d'en bas une paitie des
fibres
des cordons latéraux. Il. Il existe des système
onnexion avec des cellules, d'ou, par l'intermédiaire du raphé, ces
fibres
gagnent le noyau réticulaire de Bechterew (voy.
é- rieures. III. Le cervelet fournit au cerceau trois systèmes de
fibres
. 1° un trousseau qui va du centre des hémisphèr
x et avec la partie postérieure des hémis- phères cérébraux; 3" les
fibres
du pédoncule cérébelleux antérieur contiennent
e la région du noyau rouge de Stilling qui, de son côté, envoie des
fibres
il la couche optique, au noyau lenticulaire, à
de la psychopathie. Les expériences relatives à la contracture des
fibres
lisses nous montrent en effet ce phé- nomène pa
mesure, d'après M. Epoff, de 3/5 à 4/5 de l'épaisseur entière de la
fibre
nerveuse ; on sait, cependant, que dans les man
proximative du cylindre- axe s'évaluait jusqu'à présent à 1/5 de la
fibre
, ce qui s'explique, d'après l'auteur, par l'act
outes sur l'existence de l'axolemme. Enfin, M. El'OFF pense qne les
fibres
de Remack ne se ramifient pas en réalité et con
rmer comme par enchantement. La première paire dorsale contient des
fibres
ner- veuses qui sont destinées : 1° au brachial
a bien établi Mlle Klumpke 2 par de remarquables expériences, les
fibres
iridodilatatrices, à l'exclusion des éléments vas
tte association remarquable de symptômes, portant à la fois sur les
fibres
irido-di- latatrices, sur le brachial cutané in
en général tous les bromurés. Or, ces sels agissent surtout sur les
fibres
mus- culaires des vaisseaux capillaires ; ils m
ce d'éléments nerveux; 2). du côté droit unediminution prononcée de
fibres
dans les cordons antérieur et postérieur, une d
stérieur, une diminution de cellules, une raréfaction du réseau des
fibres
ner- veuses dans la substance grise et en même
le épinière est sectionnée à l'exception d'une certaine quantité de
fibres
dans l'angle le plus antérieur et le plus intérie
e la sec- tion, s'est formée une cicatrice qui ne contient point de
fibres
ner- veuses régénérées, et en même temps une dé
des pyramides jus- qu'au niveau des racines motrices contenant les
fibres
ner- veuses pour l'extrémité postérieure, oit e
REFOUR OLFACTIF AVEC L'ÉCORCE cérébrale. [Arc direct.) Toutes les
fibres
nerveuses qui viennent de la moelle épinière se
onvolution de l'hippocampe. Il peut être démontré qu'une partie des
fibres
se continue avec la substance blanche réticulée
ne externe, - il dit : « On ne sait pas au juste si elle envoie des
fibres
à la substance réticulée, autrement dit à la co
l'étalement de leur substance grise et par l'irradiation de leurs
fibres
blanches émanant de l'arc olfactif, une sorte d
nchyme sont à la fois compromis. Le foie, les reins, le coeur et la
fibre
musculaire elle-même sont envahis par la dégéné
prolongements qui s'entre- croisent et prennent la disposition des
fibres
de névroglie Les cellules sont le seul point où
elles de la partie antérieure de la rétine, constituent le pied des
fibres
de Muller. Ces fibres se touchent toutes par le
érieure de la rétine, constituent le pied des fibres de Muller. Ces
fibres
se touchent toutes par leur pied. Ces cellules
ller. Ces fibres se touchent toutes par leur pied. Ces cellules des
fibres
de Muller dans larétine sont des éléments de la
psie on trouva : une bifidité de la partie inférieure du bulbe, des
fibres
transversales dans la moelle, un déplacement des
ême côté (branches sensitives ' toutes); la muqueuse buccale et les
fibres
gustatives de la corde du tympan sont aussi aff
jusque dans leurs rameaux intramusculaires, affectés d'atrophie des
fibres
avec multi- plication des noyaux du tissu conjo
s (tissu conjonctif et ses vaisseaux); atro- phie de la plupart des
fibres
, hypertrophie de quelques fibres; dans le tissu
aux); atro- phie de la plupart des fibres, hypertrophie de quelques
fibres
; dans le tissu interstitiel beaucoup de pigment
utané qui est affecté primairement, et qu'après sa disparition, les
fibres
élastiques contractent les vaisseaux et provoqu
la plupart des cliniciens, elle s'explique bien par l'affection des
fibres
trophiques du nerf trijumeau; pour les autres, vu
; et quant au processus pathologique, ce dernier atteint tantôt les
fibres
trophiques seules comme singulièrement sensible
singulièrement sensibles à tous les facteurs nuisibles, tantôt les
fibres
sensitives. Ce processus ne diffère ni par son
as de granulations ; 2° elles servent à conduire l'excitation d'une
fibre
à un grand nombre de fibres. Du moins, chez le
es servent à conduire l'excitation d'une fibre à un grand nombre de
fibres
. Du moins, chez le lapin, on suit tel prolongem
stérieur ou noyau de Burdach (figures à l'appui). Le contingent des
fibres
du corps restiforme émanées des cordons pos- té
s est considérable. Il reçoit à l'endroit spécifié, deux espèces de
fibres
: des fibres croisées et des fibres directes. Abs
rable. Il reçoit à l'endroit spécifié, deux espèces de fibres : des
fibres
croisées et des fibres directes. Abstraction fait
droit spécifié, deux espèces de fibres : des fibres croisées et des
fibres
directes. Abstraction faite des fibres arciform
: des fibres croisées et des fibres directes. Abstraction faite des
fibres
arciformes postéro-externes qui viennent du noyau
o-externes qui viennent du noyau du faisceau de Goll, il reçoit des
fibres
émanées du noyau du faisceau de Burdach. Voici
ystèmes : Il 0 ) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. A. Des faisceaux de
fibres
blanches fines allant au ruban de Reil latéral.
(dorsale) de la même substance grise donne de fortes et nombreuses
fibres
blanches qui s'infléchissent à angle aigu, vont
u raphé et s'entre-croisent en cet endroit avec les trous- seaux de
fibres
issus du noyau rouge de la calotte de l'autre côt
fération des cellules de leurs parois), une diminution médiocre des
fibres
tangentielles (couche externe) REVUE DE PATHOLO
externe) REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 411 et peut-être aussi des
fibres
qui coupent les faisceaux de la cou- ronne rayo
e des altérations de la névroglie, des vaisseaux, des cellules, des
fibres
nerveuses, des lésions de la moelle, comparées au
e troubles organiques, en faisant intervenir l'action de celles des
fibres
qui ne sont pas encore totalement détruites. P.
érés, tandis qu'il y avait une atrophie considérable et étendue des
fibres
SOCIÉTÉS SAVANTES. 417 myéliniques. Il existe
générale ayant pour substratum anatomique primitif.une atrophie des
fibres
myé- liniques. Discussion. - M. Hertz. C'est
es vis- cères contredit à cette idée. Et d'ailleurs, l'atrophie des
fibres
myéli- niques du cerveau n'a, jusqu'à ce jour,
les de Purkinje. Suivant l'intensité de cette atrophie, les grosses
fibres
myéliniques de l'écorce et de la substance blan
on constate la conservation en parfait état d'un épais feutrage de
fibres
minuscules. Par conséquent, les grosses fibres
un épais feutrage de fibres minuscules. Par conséquent, les grosses
fibres
myéliniques sont en rapport avec les cellules d
n rapport avec les cellules de Purkinje. L'altéra- tion des grosses
fibres
en question et l'intégrité des fibres fines, se
e. L'altéra- tion des grosses fibres en question et l'intégrité des
fibres
fines, se poursuit dans la substance blanche du
phie pigmentaire, dans son bile, on trouve une légère éclaircie des
fibres
. Le pédoncule cérébelleux supérieur gauche est
côté opposé. Atrophie macroscopique et microscopique (atrophie des
fibres
) du corps restiforme du côté gauche. De là : at
du noyau d'origine de ce cordon. Disparition notable du système des
fibres
arciformes externes antérieures du côté malade;
rnes antérieures du côté malade; atrophie encore plus prononcée des
fibres
arciformes internes à droite ou à gauche. Atrop
la grosse olive du côté opposé, diminution notable du trousseau de
fibres
qui part du corps restiforme atrophié pour gagner
vec les noyaux d'origine (homonyme et croisé) du cordon postérieur (
fibres
arciformes externes, couche intermédiaire des o
rieur (fibres arciformes externes, couche intermédiaire des olives,
fibres
arciformes internes, noyau du cordon grêle) il es
iste, en plein centre ovale, des oasis de cellules ner- veuses. Les
fibres
intra-corticales sont bien développées; la couche
eurs - crdr : iens, par Mendel, 4l1 ; - de l'entre-croisement des
fibres
ner- veuses dans le chiasma des optiques, par
rt, que l'insula est relié à la troisième frontale par d'abondantes
fibres
commissurales ? De là, il est per- mis d'admett
l'insula ne déterminent l'a- phasie que par retentissement sur ces
fibres
commissurales. Nous étendrons pourtant, par l'i
r M. Stern, l'ataxie serait générale- ment due à une altération des
fibres
motrices centrifuges ; la preuve, ajoute-t-il,
on du phénomène du genou, ou plus exactement la zone d'entrée des
fibres
radiculaires dans la substance grise. Si l'on tra
nvahisse la zone radiculaire, de façon à atteindre spécialement les
fibres
radiculaires qui pénètrent dans la subs- tance
des réflexes tendineux en particulier, tenant à la lésion non des
fibres
motices, mais de certaines fibres d'arrêt des cor
ulier, tenant à la lésion non des fibres motices, mais de certaines
fibres
d'arrêt des cordons laté- raux des pyramides. D
cervicale, où elle occupe les cordons de Goll ; on trouve aussi des
fibres
dégénérées dans les segments infériems des cord
dégénérées dans les segments infériems des cordons postérieurs, ces
fibres
corres- pondant probablement aux origines des c
oit et l'on y a trouvé au microscope une colossale hypertrophie des
fibres
: d'aucunes après durcissement atteignent jusqu'à
t, hypertrophie. Il est donc très pro- bable que l'hypertrophie des
fibres
est la période prodromique de l'atrophie. Dis
s doivent alors conduire à la dégénérescence des divers systèmes de
fibres
. Tel n'est pas l'avis de M. Rumpf. Prenons la p
puscules lym- phoides et de la névroglie. Atrophie d'une partie des
fibres
ner- veuses, surtout dans une zone périphérique
aine. D'ailleurs, le reste du nerf présente également de nombreuses
fibres
atrophiées à des stades très divers de la dégén
tuméfiée, qu'il existe un nombre exces- sivement marqué de petites
fibres
nerveuses, que la myéline a subi la décompositi
e l'importance du corps strié. L'ora- teur considère le système des
fibres
qui sortent du corps strié et traite aussi d'un
as, dit-il, encore permis de dire avec une absolue certitude si des
fibres
prennent naissance dans le corps strié ou si ce
le corps strié ou si cet organe n'est qu'un lieu de passage à des
fibres
qui le traversent. La méthode embryogénique nous
, le cerveau antérieur (sens embryologique) con- tient déjà trop de
fibres
pour que les rapports s'y soient conservés simp
phibies ou les reptiles dont le manteau ne contient que très peu de
fibres
à myéline. Chez ces divers animaux, la partie p
ane. Ce trousseau se scinde en deux parties. Une partie composée de
fibres
fines peut être suivie jusque dans le bulbe. L'
e de fibres fines peut être suivie jusque dans le bulbe. L'autre, à
fibres
grossières, gagne le gros ganglion de le couche
ra-utérin) montrant exactement les mêmes conditions. Le système des
fibres
en question ne s'entoure dans toute la série an
st en connexion avec le ganglion de l'habenula' par un trousseau de
fibres
très net. C'est, comme l'on sait, du gan- glion
e secondaire peu étendue. Troisième cas : dégénérescence diffuse de
fibres
nerveuses à myé- line dans la substance blanche
lanche corticale, mais ayant plus ou moins respecté le faisceau des
fibres
d'association de Meynert; on trouve, avec cela,
en plusieurs places du cerveau de ces dégé- nérescences diffuses de
fibres
nerveuses de la substance blanche, tandis que l
e la substance blanche, tandis que l'écorce offrait une atrophie de
fibres
relativement faible. Voici maintenant, par cont
toujours le même des deux côtés. À côté de cela, dans l'espèce, les
fibres
nerveuses des colonnes de Clarke, pour la plupa
s ; l'analyse delà préparation 'permet de fournir la preuve que ces
fibres
sont la continuation directe des fibres radicul
fournir la preuve que ces fibres sont la continuation directe des
fibres
radiculaires qui entrent dans la corne postérieur
égion de l'écorce encore mal définie, que Meynert. fait aboutir les
fibres
du faisceau, qui provient du carrefour sensi- t
la zone intellectuelle, mais aussi sur le trajet intra-cérébral des
fibres
sensitives, ainsi que des fibres intellectuelles.
i sur le trajet intra-cérébral des fibres sensitives, ainsi que des
fibres
intellectuelles. Intelligence et sensibilité so
Encéph., 1881, 263 et 403.) 252 REVUE CRITIQUE.' ou l'origine des
fibres
du centre ovale, selon la fonction res- pective
vale, selon la fonction res- pective attachée à chaque faisceau des
fibres
. Nous prendrons donc à l'écorce cérébrale pour
érance et enfin dans le bulbe et la moelle, chacun des faisceaux de
fibres
centripètes ou centrifuges. Nous colorerons sur
ontale ascendante ; la pariétale, par la pariétale ascendante'. Les
fibres
blanches, qui, sur chacune de ces quatre coupes
dans une très courte étendue de son trajet. Au centre ovale, les
fibres
intellectuelles forment les fai- sceaux préfron
de la capsule interne ne serait pas le lieu de passage exclusif des
fibres
intel- lectuelles : « d'après M. le professeur
ment len- ticulo-strié de la capsule interne contiendrait aussi des
fibres
centrifuges, qui descendraient dans le segment
cartes de topogra- phie cérébro-spinale, nous n'envisageons que les
fibres
directes de la capsule, fibres pédonculaires pr
-spinale, nous n'envisageons que les fibres directes de la capsule,
fibres
pédonculaires proprement dites, laissant de côté
capsule, fibres pédonculaires proprement dites, laissant de côté les
fibres
indirectes, qui ne nous occupent pas et que nou
us occupent pas et que nous ne figurons pas par simplification. Ces
fibres
indirectes sont de deux ordres et vont : 1° les
ux à l'écorce cérébrale (libres cortico- optiques ou thalamiques et
fibres
cortico-striées et cortico sous-optiques de Luy
rois régions aux points assignés plus haut au trajet du faisceau de
fibres
qui nous occupe, la dégénérescence secon- daire
sceau de fibres qui nous occupe, la dégénérescence secon- daire des
fibres
de ce faisceau s'arrête inférieurement au pédon
trajet. 2" Faisceau DE l'aphasie (aphémie). C'est le faisceau de
fibres
partant des cellules de l'écorce du pied de la tr
culo- frontale de Pitres (Pij. I, fig. 3, jaune), de même que les
fibres
parties de l'écorce du pied de la deuxième fronta
ement en ce point où elles sont réunies la continuité de toutes les
fibres
du faisceau, engendre une aphémie com- plète.
e pied de la pariétale ascendante (PL. I, fig. i, vert) partent les
fibres
essentielle- ment motrices formant ce faisceau
e des pyramides motrices. Au bulbe. Enfin, parvenus au bulbe, les
fibres
centrifuges des deux faisceaux de l'hypoglosse,
s internes du plancher du quatrième ventricule2, de ces noyaux, les
fibres
de l'hypoglosse se portent en avant et un peu e
erminale dans la région bulbo-protubérantielle des trois groupes de
fibres
qui entrent dans la constitution du fais- ceau
de fibres qui entrent dans la constitution du fais- ceau géniculé :
fibres
de l'hypoglosse, fibres du facial infé- rieur,
ns la constitution du fais- ceau géniculé : fibres de l'hypoglosse,
fibres
du facial infé- rieur, fibres de la branche mas
au géniculé : fibres de l'hypoglosse, fibres du facial infé- rieur,
fibres
de la branche masticatrice du trijumeau. Unique
dans la pro- tubérance pour donner naissance à ces trois groupes de
fibres
, qui, après avoir évidemment traversé leurs noy
faisceaux cérébro-médullaires, le mieux connu dans son trajet. Ses
fibres
centrifuges partent de l'écorce cérébrale, de t
limite de la zone motrice proprement dite, car une por- tion de ses
fibres
, les fibres antérieures, étudiées par Brissaud (V
zone motrice proprement dite, car une por- tion de ses fibres, les
fibres
antérieures, étudiées par Brissaud (Voir Thèse
vèle par des troubles psychiques (zone intellectuelle). Ce sont ces
fibres
cérébrales antérieures non mo- trices, entrant
e répression des impulsions motrices, propose de regarder comme des
fibres
à influence DE l'axe cérébro-spinal. 259 Elle
spinal, le grand système cortico-moteur. Dans le centre ovale, les
fibres
du faisceau pyramidal vien- nent former : 1° Su
pe frontale de Pitres, le faisceau frontal supérieur (fascicule des
fibres
motrices du membre infé- rieur en partie' (PL.
e' (PL. I, fig. cl, bleu), le faisceau frontal moyen (fascicule des
fibres
motrices du membre supérieur) (PL. I, fig. 4. d
ariétale de Pitres, le faisceau pariétal supé- rieur (fascicule des
fibres
motrices du membre inférieur dans sa totalité (
ntre ovale, si commode pour démêler par imagination l'é- cheveau de
fibres
blanches rayonnantes de cette région du cerveau e
trice corticale, à sommet inférieur pédonculaire, constitué par les
fibres
motrices. Au niveau des deux tiers antérieurs d
cule, le faisceau pyramidal commence à se dissocier. Un groupe de
fibres
motrices s'isole du tronc du faisceau et vient se
u faisceau et vient se placer dans, l'étage supérieur en dedans des
fibres
centripètes de cet étage (PL. II, fig. 1, bleu
bres centripètes de cet étage (PL. II, fig. 1, bleu 4). Ce sont ces
fibres
centripètes de l'étage supérieur du pédoncule q
ceau s'y présente sous l'aspect d'un réseau presque inextricable de
fibres
entremêlées avec les fibres trans- versales de
ect d'un réseau presque inextricable de fibres entremêlées avec les
fibres
trans- versales de la région. Il est toutefois
n des deux faisceaux pyramidaux, auxquels sont venus se joindre les
fibres
centri- fuges de l'étage supérieur du pédoncule
la moelle (fais- ceau pyramidal direct). Le mode de décussation des
fibres
du système cortico-moteur est assez variable ai
faisceau direct. Du reste, autant de varié- tés de décussation des
fibres
motrices au bulbe, autant d'ano- malies apparen
à chaque variété'. 3° Après la décussation du faisceau moteur, les
fibres
centri- fuges entre-croisées se mettent en l'ap
s cellules des noyaux d'origine des nerfs moteurs du bulbe dont les
fibres
constituantes se détachent, .selon toute probab
aisceau pyramidal croisé diminue donc graduellement de volume ; ses
fibres
constituantes s'arrêtent progressivement aux di
rées, le faisceau de Turk n'est révélé que par une bande étroite de
fibres
en dégénérescence et appliquée au sillon antéri
par sa mortification même, puisque par des lésions supérieures, ses
fibres
constituantes interrompues dans leur continuité
tions postérieures occipitales comme l'aboutissant d'un faisceau de
fibres
centripètes, les fibres rayonnantes du fais- ce
itales comme l'aboutissant d'un faisceau de fibres centripètes, les
fibres
rayonnantes du fais- ceau de Meynert. Nous suiv
les fibres rayonnantes du fais- ceau de Meynert. Nous suivrons les
fibres
sensitives dans leur marche centripète, les pre
s mar- qués. (Douleurs fulgurantes, etc.) Au niveau du bulbe, les
fibres
centripètes qui constituent le faisceau sensiti
n un point situé au-dessus du lieu ou cesse l'entre- croisement des
fibres
motrices et elles se réunissent pour for- mer l
er l'é- tage moyen (PL. II, fig. 2, rose 2). Il y est séparé parles
fibres
transversales du pédoncule cérébelleux moyen, e
cependant représenté uniquement dans le pédoncule par ce groupe de
fibres
centripètes externes de l'étage inférieur. D'au
roupe de fibres centripètes externes de l'étage inférieur. D'autres
fibres
centripètes paraissent oc- cuper l'étage supéri
ns antérieurs prolongés de la moelle, traversés à ce niveau par les
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur. : l'atrop
rne, le passage du faisceau sensitif est nettement précisé pour les
fibres
du faisceau de Meynert au tiers postérieur du s
ement en arrière du fais- ceau pyramidal' en un point où toutes les
fibres
occipitales se rapprochent et se réunissent pou
pe occipitale de Pitres (non figurée sur la planche I), puisque les
fibres
rayonnantes du faisceau de Meynert se rendent à
isceau de Meynert se rendent à l'écorce des lobes occipitaux. Les
fibres
centripètes que nous avons vues distinctes du fai
u noyau rouge de Stilling. De telle sorte que, dans le cerveau, les
fibres
centripètes pa- raissent être de deux ordres :
s : une partie du faisceau sensitif atteignant la couche optique ou
fibres
indirectes sensitives de la capsule interne et
é directement la capsule sans s'arrêter aux noyaux gris centraux ou
fibres
pédonculaires ou directes delà capsule interne.
ent lenticulo-optique de la capsule n'est assigné qu'au passage des
fibres
du faisceau de Meynert. On tend à ad- mettre to
bres du faisceau de Meynert. On tend à ad- mettre toutefois que les
fibres
sensitives- qui doivent aboutir à la couche opt
pu voir par la lecture, sur les schémas du trajet des faisceaux de
fibres
conductrices centripètes ou centrifuges dans to
e ci un foyer bulbaire et prouvant, par conséquent, .l'existence de
fibres
trophiques ascendantes issues des faisceaux - g
endantes issues des faisceaux - grêles et cunéiformes de la moelle (
fibres
arciformes se dirigeant dans le ruban de Reil d
é opposé). Le ruban de Reil contient donc, entre autres systèmes de
fibres
, des fibres issues du cordon postérieur du côté
e ruban de Reil contient donc, entre autres systèmes de fibres, des
fibres
issues du cordon postérieur du côté opposé; il
il peut donc, par suite de sa com- 'plexité, selon les systèmes de
fibres
interrompus, détruits par une altération, subir
iques surtout à gauche ; atrophie commençante. Seul un trousseau de
fibres
a échappé à la destruction et présente sa conti
tions, l'auteur tire ce qui suit : SOCIÉTÉS SAVANTES. 383 « Les
fibres
qui vont innerver la partie temporale de la rétin
e repré- sentation bien nette sur les cellules et surtout sur les
fibres
atteintes. Dans bien des cas , on ne voit pas du
urs. En général, nous connaissons seulement que certains groupes de
fibres
et cellules nerveuses peuvent périr, se détruir
cun symptôme et, en général, nous savons avec quelle facilité les
fibres
nerveuses s'écartent et s'accommodent à une pre
mitées, affecte de préfé- rence certains systèmes de cellules et de
fibres
ner- veuses. Cette localisation spéciale d'un p
trame, qui ne ré- siste pas aux procédés de préparation ; d'autres
fibres
sont probablement repoussées aux parois de la c
de conducteurs aux impressions thermiques. (Nous savons que les -
fibres
nerveuses de diverses catégories ne réagissent '/
ieurs correspondant à la même région, et, par l'inter- médiaire des
fibres
d'association, des contractions cloniques d'ori
111·LologiIue de toute la région des oculo-moteurs communs (troncs,
fibres
radiculaires, cellules des noyaux réels) ; à cô
ostérieures de la moelle lombaire et ayant détruit une quinzaine de
fibres
nerveuses ; elles sont finement grenues et poss
nerfs, dégéné- rescences musculaires considérables (régression des
fibres
pro- tiféfation des noyaux). Faible atrophie de
rps restiforme, du noyau interne de l'acoustique, quelques-unes des
fibres
qui joignent le cervelet à ce nerf. Intégrité d
ensitive des pyramides. t, t ; cordons antérieurs traversés par les
fibres
des pédon- cules cérébelleux supérieurs (étage
lle (étage sup.). 4, î ; grosse racine de la cinquième paire. 5, 5;
fibres
transversales formant par leur réunion les pédonc
sents ; par place seulement on aperçoit un noyau allongé accolé à une
fibre
.En certains points les différentes couches de c
e, il s'agit plutôt de démyélinisation segmentaire et le nombre des
fibres
saines est encore très grand. La coloration de Ma
xvi 2 18 BABINSKI, .IUMENTET JARKOWSKI - myélinisation locale des
fibres
parce qu'il n'existe aucune dégénérescence sous-
ontale est parfaitement intacte, mais nous sommes convaincu que les
fibres
de projection qui en proviennent ne sont pas in
s nerfs, on remarque à un faible grossissement que la structure des
fibres
rappelle l'épi de blé (fig. 1). Un grossissemen
'axe des incisures de Lantermann. De ces formations proviennent des
fibres
qui se dirigent en forme d'arc vers le cylindra
d'arc vers le cylindraxe et vers la gaine de Schwann. A côté de ces
fibres
principales, d'autres unissent les autres forma
es unissent les autres formations stelliformes. Sur le parcours des
fibres
principales, on rencontre à côté des forma- tio
l'il1u ! dullail'es) (fig. 4). De toutes ces formations sortent des
fibres
, dans des directions diffé- rentes, qui forment
ibres sortant transversalement des for- mations stelliformes et les
fibres
qui en dérivent prennent une direction (1) Les
tincte, mais d'un réseau à mailles serrées. Ce réseau se compose de
fibres
fines et de formations stelliformes plus petites
nds, on peut les trouver entourés de réseaux formés généralement de
fibres
extrêmement fines, continues ou pointillées col
(fig. 6, 7, 8). Par endroits on trouve des noyaux dont naissent des
fibres
du même calibre que celles du réseau intramédulla
ructure deux espè- ces de réseaux (fig. 10). Le premier, Composé de
fibres
un peu fortes, - 1 Fig. 9. Même coupe que fig
le voisinage immédiat des cylindraxes. Aux points de croisement des
fibres
, on trouve des formations stelliformes semblabl
ables à celles des nerfs périphériques. L'autre réseau est formé de
fibres
colorées en rose, fibrilles de soutien de Weige
colorées en rose, fibrilles de soutien de Weigert. Plusieurs de ces
fibres
s'approchent de très près des fibres du premier
n de Weigert. Plusieurs de ces fibres s'approchent de très près des
fibres
du premier réseau ainsi que des cylindraxes. To
iphériques et de la substance blanche de la moelle épinière. Chaque
fibre
nerveuse du nerf périphérique présente un tube
nication entre les éléments constitutifs de la gaine médullaire des
fibres
nerveuses. Les fibres nerveuses de la substance
nts constitutifs de la gaine médullaire des fibres nerveuses. Les
fibres
nerveuses de la substance blanche de la moelle ép
de la substance blanche de la moelle épinière. Les cylindraxes des
fibres
ner- veuses à myéline sont en effet entourés pa
s régulier et plus serré que les réseaux névro- gliques le long des
fibres
nerveuses dans la substance blanche du système
aspect semblable à celles colorées selon van Gieson. Cependant les
fibres
issues du voisinage des cellules névrogliques et
pes pour la plupart plus rectilignes, tandis que le parcours de ces
fibres
dans les préparations colorées selon van Gieson e
vrogliques par lesquels sont entourées les coupes transversales des
fibres
nerveuses, ce que ne permet pas la méthode Wcig
s'agit ici de réseaux formés d'éléments sans doute cellulaires, de
fibres
et de formations stelliformes. Nous disons sans
vroglique qui semblent jouer le rôle de soutien. Dans le trajet des
fibres
nerveuses,on distingue çà et là des parties moi
sinage. Un grossissement plus fort montre à ces endroits-là que les
fibres
névrogl illues accompagnant le cy lindraxe sont
nt plus éloignées l'une de l'autre, car elles sont écartées par une
fibre
trans- versale bien grosse réunissant les forma
ongements (plasmatiques), il est souvent difficile de distinguer la
fibre
de Weigert d'un prolongement plasmatique grêle ou
fibre de Weigert d'un prolongement plasmatique grêle ou même d'une
fibre
de Weigert enveloppée par un prolongement plasmat
enfant assez âgé, que nous trouvons en nombre plus considérable les
fibres
« rigides », fibres de Weigert qui courent, tan
e nous trouvons en nombre plus considérable les fibres « rigides »,
fibres
de Weigert qui courent, tantôt librement, tantô
ME NERVEUX DANS LA PARALYSIE AGITANTE 139 la figure 29, excepté les
fibres
rigides, comme substance protoplasmatique, laqu
assification d'Eisath). 140 HASKOVEC ET BASTA Etant donné que les
fibres
« rigides » du tissu névroglique augmentent ave
un adulte et chez un vieillard est due en partie ai la richesse en
fibres
rigides du tissu névroblique. Ces libres « rigi
es cylindraxes dans la substance blanche de la moelle épinière. Ces
fibres
se croisent en formations d'aspect arachnoïde q
des cas, ces formations ne sont dues qu'à « l'épaississement n des
fibres
rigides. Nous avons décrit ces formations dans le
bolie. Dans la polynévrite en outre, qui atteint spécia- lement les
fibres
motrices et tout particulièrement lorsqu'elle a a
lectrique est la preuve d'une dispari- tion à peu près complète des
fibres
musculaires : on peut admettre que, dans le cas
fibres musculaires : on peut admettre que, dans le cas actuel, les
fibres
qui subsistent encore sont incapables de produire
gne de compte. Le long extenseur du pouce est peu volumineux et ses
fibres
sont profondément situées au-dessous du cubi- t
ns le compte-rendu montrent qu'il n'est pas impossible que quelques
fibres
musculaires excitables restent au sein du muscle,
DIFICATIONS DANS LA MOELLE EPINIERE 247 rieurs dénote un oedème des
fibres
radiculaires antérieures dans leur partie intra
centre, est parfois thrombose. La corne gauche antérieure a moins de
fibres
que la corne droite. Les racines antérieures, s
ation présente une faible coloration d'une intensité iné- gale. Des
fibres
isolées des faisceaux sont tuméfiées et raréfiées
fiées et raréfiées. On rencontre parfois des espaces vides dont les
fibres
ont disparu. l'io. 2. LES MODIFICATIONS DANS
n d'anormal, tandis que la partie intramédullaire est constituée de
fibres
tumé- fiées et séparées les unes des autres. Ce
e tumescence est plus marquée dans la partie périphérique de chaque
fibre
et surtout au point de sa pénétration dans les
si nous observons plus de modifications au point de pénétration des
fibres
radiculaires dans les méninges. Somme toute, le
rmal. L'examen des III 8-Ve segments dorsaux a dénoté un oedème des
fibres
des racines antérieures dans leur partie intraméd
ée au point de leur pénétration dans la pie-mère. On note aussi des
fibres
tuméfiées dans tous les faisceaux, ils abondent s
descendant ou ascendant. Voilà ce qui est plus digne à noter : les
fibres
d'un même fais- ceau présentaient une coloratio
res d'un même fais- ceau présentaient une coloration différente.Les
fibres
moins colorées parais- saient, à un fort grossi
réparations on pouvait même noter des régions absolument privées de
fibres
. L'absence de dégénérescence systématisée dans
dans la plupart des cas et le degré différent des modifications des
fibres
appartenant au même faisceau, nous permet à cro
entait rien d'anormal, leur partie intramédullaire pré- sentait des
fibres
tuméfiées et séparées les unes des autres. L'oedè
es les unes des autres. L'oedème est surtout marqué au point où les
fibres
pénètrent dans la pie-mère ; on y observe même
dans la pie-mère ; on y observe même dans quelques préparations des
fibres
déchirées. En com- paraison avec les racines an
re des lésions est toujours le même : oedème et désagré- gation des
fibres
. Ce n'est que dans un seul cas deJacobsohn et Jam
faveur de cette dernière hypothèse. L'oedème et la désagrégation des
fibres
dans la partie intramédullaire des racines anté
osition de la dilatation des voies lymphatiques pas- sant parmi les
fibres
des racines. Nous avons noté des espaces périvasc
nous, avant que nous ne fîmes connaissance de son travail, que les
fibres
radiculaires présentent le maximum des lésions au
use principale des modifications que nous avons remarquées dans les
fibres
nerveuses : oedème et même dégénération, si ell
nt des vaisseaux lymphatiques très dilatés avec un tissu pariétal à
fibres
épaisses, que l'endothélium est bien visible à
x proviennent -est-il nécessaire de le dire de la prolifération des
fibres
du nerf sciatique. Leur structure et leur disposi
ers et se colorant fortement en noir par l'argent réduit. Entre ces
fibres
, s'observent quelques fibres myélinisées à cylind
en noir par l'argent réduit. Entre ces fibres, s'observent quelques
fibres
myélinisées à cylindraxes plus volumineux, plus
raxes plus volumineux, plus irréguliers et moins argentophiles. Ces
fibres
myélinisées sont d'autant plus rares que l'on s
illon- naira très caractéristique du tissu névromateux. Outre les
fibres
nerveuses suivant fidèlement les faisceaux fibreu
ivant fidèlement les faisceaux fibreux, s'obser- vent de nombreuses
fibres
nerveuses s'égarant dans le tissu conjonctif ento
s trajets, sinueux et compliqués. La terminaison de ces différentes
fibres
nerveuses néoformées à la suite de la première
is, assez difficiles à découvrir à cause des trajets récurrents des
fibres
nerveuses et de ieurs terminaisons à différents n
ieurs terminaisons à différents niveaux. D'une façon générale, les
fibres
se terminent par une extrémité mousse, souvent
régénération d'un nerf est arrêtée par un cal conjonctif épais. Les
fibres
à extrémités ramifiées, à extrémités en boules vo
, à disposition tourbillonnaire et renfermant un nombre colossal de
fibres
ner- veuses surtout amyéliniques. Il s'agit don
une impor- tance considérable : nous venons de dire que lorsque les
fibres
en croissance rencontrent un obstacle difficile
e exubérante d'un nerf est encore parcourue par un nombre énorme de
fibres
nerveuses appartenant pour la plupart à la vari
extraordinaire exubérance ; les cellules centrales d'ori- gine des
fibres
du sciatique ont donc conservé intactes leurs apt
a première, comme après la seconde intervention, un grand nombre de
fibres
du sciatique présentent des altérations delà ga
névrome enlevé 23 ans après l'amputation initiale.Nous y voyons les
fibres
amyéliniques fines et innom- brables cheminant
ommagée ; il persiste malgré tout, un plus ou moins grand nombre de
fibres
qui tapis- sent le fond des circonvolutions et
nvolutions et leurs irradiations dans les circonvolutions voisines (
fibres
en U). Il existe, en outre, quelques petits foy
pied, qu'au niveau du cap et de la région orbitaire (PI. LI, d). Les
fibres
de la couronne rayonnante ont été complètement
d'une atrophie secondaire. C'est sans doute à la dégénérescence des
fibres
de projection qu'il faut attri- buer l'atrophie
optique est non seulement réduite dans tous ses diamètres, mais les
fibres
à myéline y sont clairsemées et faihlement coloré
ut tenir compte aussi dans une certaine mesure de la diminution des
fibres
striothalamiques, dans les plans correspondant à
de Weigert-Pal, le bord interne contient un très petit faisceau de
fibres
bien colorées, le reste est dépourvu de fibres
ès petit faisceau de fibres bien colorées, le reste est dépourvu de
fibres
et peut être considéré comme totalement dégénéré
a été complètement détruit dans sa portion fronto-pariétale. Les
fibres
du faisceau longitudinal inférieur ont été partie
l'avant- mur, et en dedans par un faisceau compact qui comprend les
fibres
du faisceau longitudinal inférieur et les radia
nt de subs- tance nerveuse, dans lequel on ne distingue plus aucune
fibre
à myéline. A la limite postérieure de la lésion
substance nerveuse, qui constitue le fond de la cavité se garnit de
fibres
à myéline, qui appartiennent aux radiations thala
dans la profondeur, par le faisceau longitudinal inférieur dont les
fibres
les plus externes sont encore interrompues par
la plus grande partie de son trajet. C'est à la dégénération de ses
fibres
qu'il faut attribuer la pâleur de la substance
niveau du pôle antérieur du lobe temporal, la dégénérescence de ses
fibres
peut être suivie dans les coupes inférieures du
res peut être suivie dans les coupes inférieures du lobe frontal.
Fibres
de projection. Voie pédonculaire. Le pied du pédo
externe comprend le faisceau de Tùrck plus un assez grand nombre de
fibres
qui occupent surtout le tiers postérieur du segme
t posté- rieur de la capsule interne sont complètement dépourvus de
fibres
. La dégénération du segment postérieur de la ca
n de la couronne rayonnante. La conservation d'un certain nombre de
fibres
dans le tiers postérieur est due à l'intégrité du
lamiques et dans la substance blanche du lobe pariéto-temporal. Les
fibres
du noyau externe du thalamus sont moins nombreu
mouvements des lèvres ne pouvaient être ainsi commandés que par les
fibres
qui relient le centre cortical droit de la face a
es réapparaissent, mais leur substance blanche, sauf une partie des
fibres
en U. est complètement dégénérée ou détruite.-
es sont involontaires, brusques, brèves, n'intéressant que quelques
fibres
ou faisceaux des muscles dans lesquels elles se
fossettes mentonnières et contraction du peaucier lui-même dont les
fibres
se dessinent nettement sous la peau du cou. Cet
ires occupant tantôt un faisceau, tantôt plusieurs, tantôt quelques
fibres
seulement des mus- cles intéressés. Elles sont
sont pas également hypertoniques, certains faisceaux ou quel- ques
fibres
se contractent à l'exclusion des autres : d'où la
de l'hémirace ancien- nement paralysée, ce ne seront plus quelques
fibres
ou quelques faisceaux, mais le muscle tout enti
e contraction synergique des muscles de l'hémiface gauche; quelques
fibres
du peaucier gauche se dessinent cependant à la
l'effort pour main- tenir le menton abaissé, on voit quelques rares
fibres
se contracter à la partie postéro-externe de ce
res se contracter à la partie postéro-externe de ce muscle ; aucune
fibre
de la partie moyenne et de la partie antérieure
'aspect nettement oblique ovalaire, enfin par la parésie du peaucier (
fibres
antérieures). HÉMISPASMES SYNCINÉTIQUES DE LA
e plisse plus fortement que du côté opposé : on dirait que quelques
fibres
du muscle orbiculaire se contractent plus forteme
es lèvres, dans le carré du menton et dans la houppe, même dans les
fibres
supérieures du peaucier du cou. Elles ont été obs
phies musculaires par lésion de nutrition primitive et isolée de la
fibre
musculaire (prolo- spathiques) et les atrophies
10115 a'ons renoncé complètement à la méthode faisant ressortir les
fibres
névrogliques et nous ne nous servons que de la mé
ome preli- 9ninary observations upon the deuelopewent ol nevtroglia
fibres
. Tlie American Jour- nal of Anatomy, V. il, 190
a couche musculaire. L. lumen. FiG. 6. -- A la partie supérieure,
fibres
collagènes des méninges ; à la partie infé- rie
catrisation. En employant les méthodes habituelles de coloration des
fibres
conjonctives, nous n'obtenons ordinairement qu'
ie de fibrilles de la région donnée revêtue de substance collagène (
fibres
colla- gènes), rien de plus ; tandis que si l'o
, forment un seul réseau continu. Le cerveau normal contient peu de
fibres
collagènes (elles se trouvent dans l'adventice
périphérie de l'écorce cérébrale modifiée. Nous voyons comment les
fibres
collagènes se dirigent en faisceaux dans la subst
assées de la substance collagène, se soudent pour ainsi dire en une
fibre
collagène. Mais la formation de celte fibre col
pour ainsi dire en une fibre collagène. Mais la formation de celte
fibre
collagène de fibrilles élémentaires se dé- mont
fibrilles élémentaires se dé- montre dans le trajet ultérieur de la
fibre
: tantôt elle donne une branche collatérale for
e réticulum (le tissu réticulé) ne présente que la continuation des
fibres
collagènes. En allant plus profondément dans le
; c'est un réseau continu qui, à la périphérie, se continue par les
fibres
collagènes des vieilles cellules conjonctives des
s suppositions. Il faut tout d'abord admettre que les fibrilles des
fibres
collagènes peuvent croître distalement comme la f
ibrilles des fibres collagènes peuvent croître distalement comme la
fibre
nerveuse ; ensuite que les fibrilles sont produ
parentes épithélioïdes des espaces lymphatiques (1) et enfin que les
fibres
collagènes forment des réseaux grâce et ce que
tissu cicatriciel. Il faut croire que la nouvelle couverture de la
fibre
formée par la substance colla- gène vient du cô
e la fibre formée par la substance colla- gène vient du côté de ces
fibres
collagènes dont elle forme la continuation. Pou
les différentes parties de l'écorce sont liées entre elles par des
fibres
d'association. Nous sommes encore loin de les c
réseau qui lie les cellules ganglionnaires entre elles, puis les
fibres
qui établissent la communication entre les circ
la communication entre les circonvolutions voisines, et il y a des
fibres
qui sont tendue entre des champs plus éloignés.
ntalement à para- lyser, selon les phases de l'état hypnotique, les
fibres
des divers systèmes d'association. En termina
atégorie des mouvements choréi- formes consécutifs à une lésion des
fibres
convergentes en éventail voisines de la capsule
lastiques; c'est d'elles qu'émane le tissu scléreux; les couches de
fibres
conjonctives de nouvelle formation procèdent de
terne de la périphérie de ce dernier organe donnant naissance à des
fibres
qui se dirigent vers l'écorce. P. K. II. NOUV
o- vient sans aucun doute du tubercule bijumeau inférieur. 3° Les
fibres
du ruban de Reil latéral (partie constituante pri
pénétrent, au niveau de la partie inférieure du bulbe, à l'état de
fibres
arci- formes, dans le noyau des cordons de Goll
avec le faisceau longitudinal postérieur (faisceaux arqués); 4° des
fibres
arci- formes allant du noyau externe aux plans
aux des cordons postérieurs : peut- être y a-t-il dans son sein des
fibres
qui rattachent l'acoustique aux tractus sensiti
noyaux des cordons postérieurs, le fais- ceau de Burdach envoie des
fibres
qui s'adjoignent à la racine de l'accessoire et
pportée A la NOUVELLE méthode DE coloration DE VE1GERT DESTINÉE aux
FIBRES
NERVEUSES A MYÉLINE DES organes centraux; par M
gert. On verrait, par l'ensemble des traitementsrecommandés, les
fibres
colorées bleu intense, ou bleu noire, selon larég
les recommandations techniques. P. K. VII. SUR LES trousseaux DE
FIBRES
longitudinales DE la formation réticulaire du B
par étapes correspondant à diverses périodes de la vie foetale. Ces
fibres
longitudinales représentent les unes le prolong
s longitudinales représentent les unes le prolongement immédiat des
fibres
spinales qui ont trouvé dans la formation rétic
e entre le faisceau longitudinal postérieur et le ruban de Reil. 1.
Fibres
qui doivent être considérées comme le probn- ge
s qui doivent être considérées comme le probn- gemeutimll1édiat des
fibres
de la moelle. De la substance blanche spinale i
la formation réticulaire. Ils se rendent aux olives supérieures (
fibres
issues de la partie postérieure du faisceau radic
isceau radiculaire' du cordon latéral), au noyau central de Roller (
fibres
du reste du faisceau radiculaire du cordon laté
latéral (aire externe de la formation réticulaire), il contient des
fibres
qui servent de liens entre les noyaux de la for
sses grises du cerveau moyen et antérieur; on y rencontre aussi des
fibres
longitudinales issues, les unes de la couche li
système latéro-dorsal de la formation réticulaire qui renferme des
fibres
émanées des débris des cordons latéraux et se r
au cerveau moyen et au cerveau antérieur (tractus sensitif ? ). II.
Fibres
par lesquelles les noyaux de la formation rétic
ire teg- menti pontis qui sont envisagées ici ; ce noyau reçoit des
fibres
qui le mettent en communication avec les cellul
de Weigert, montre que cette commissure renferme divers systèmes de
fibres
; on devrait distinguer un plan inférieur l' (ve
bonne heure(foetus de vingt-huit centimètres de long), contient des
fibres
à peu près parallèles ; ces fibres mé- dianes (
ntimètres de long), contient des fibres à peu près parallèles ; ces
fibres
mé- dianes (commissure vraie) descendent latéra
ongitudinaux postérieurs ; elles se per- dent alors, soit entre les
fibres
de ces derniers, soit dans un groupe de petites
faisceaux longitudinaux postérieurs, eux-mêmes traversés par des
fibres
de l'oculo-moteur commun ; par conséquent le plan
eure, les faisceaux lon- gitudinaux postérieurs, réduits à de rarés
fibres
, reçoivent plus haut encore des fibres issues d
térieurs, réduits à de rarés fibres, reçoivent plus haut encore des
fibres
issues du groupe des petites cellules qui repré
où elles forment une convexité à direction infé- rieure ; d'autres
fibres
passent, sur les côtés, dans l'anse du noyau le
aire ou dans le corps de Luys. Il est impossible de confon- dre les
fibres
du plan inférieur de la commissure postérieure av
rme âgés de quelques semaines. Il y a' lieu de distinguer entre les
fibres
transverses de la protubérance qui appartiennent
tomie le,'[' de PHYSIOLOGIE. line ; c'est Itt moitié supérieure des
fibres
transverses de la protubé- rance ou moitié céré
a protubé- rance ou moitié cérébrale ; l'autre ne se compose que de
fibres
à myélines c'est la moitié inférieure ou spinal
que de fibres à myélines c'est la moitié inférieure ou spinale des
fibres
transverses de la protubérance. La première, si
e termine en arrière, à la base, et latéralement; une partie de ces
fibres
gagne l'écorce de la face supérieure de l'organ
u par trois espèces de conduc- teurs : 1° par plusieurs systèmes de
fibres
du pédoncule cérébel- leux antérieures ou supér
cule cérébelleux inférieur (corps restiforme) et notamment par les
fibres
qui (entrecroisées) gagnent les olives ;des olive
tubérance dans toute sa longueur, se rendent au cerveau. Toutes les
fibres
qui unissent le cervelet au cerveau s'entrecroi
et se dirige, après avoir abordé le cervelet, mi-partie entre les
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur, mi-partie au-
eau spinal, monte entre les petites cellules sus-mentionnées et les
fibres
du segment externe du corps restiforme ; il vient
du quatrième ventricule, auxquels se rend un certain nombre de ces
fibres
, l'entrecroi- sement de Meynert (grande commiss
re antérieure d'entrecroi- sement du vermis de Stillingj ; quelques
fibres
pénètrent dans la substance gélatineuse et la r
d avec la racine postérieure des auteurs et comprend l'ensemble des
fibres
situées au dedans du corps restiforme qui pénèt
ong, se confond avec la racine postérieure des auteurs, ce sont des
fibres
situées en dehors des corps restiformes, émanan
rtie, dans le bulbe, en suivant pendant une certaine étendue, les
fibres
du segment interne du pédoncule cérébelleux infér
, est épaissie. Par conséquent, le faisceau py- ramidal fournit des
fibres
aux cellules des processus réticulaires. Il est
l'ablation du lobe pariétal entraîne la déchéance des trousseaux de
fibres
depuis la mutilation corticale jusqu'à la partie
la couche tÏn te 1'- médiaire des olives (Flechsig), à travers les
fibres
circulaires qui forment l'entrecroisement supér
s cordons grêles du côté opposé. Donc le lobe pariétal, au moyen de
fibres
fines médianes et laté- rales du ruban de Reil,
res fines médianes et laté- rales du ruban de Reil, se rattache aux
fibres
circulaires et au noyau des cordons grêles du c
s de 1,4 p. 100 et probablement de moins. Bien que la recherche des
fibres
qui occupent la paroi ventricu- laire ait condu
lésion portant 122 SOCIÉTÉS SAVANTES. uniformément sur toutes les
fibres
radiculaires et l'agent élec- trique montre que
au zona et à la paralysie; il y a eu dans l'espèce inflammation de
fibres
nerveuses, trophiques, que le tronc du facial p
rsqui unitl'org3ne de la volonté aux racines antérieures ; mais les
fibres
qui joignent directement, sans passer par les c
postérieurs. M. Krauss a cons- tamment enregistré la diminution des
fibres
dans les colonnes de Clarke, mais il est fréque
uit le sillon longi- tudiual postérieur, une atrophie partielle des
fibres
radiculaires au point où elles s'étalent dans l
ribution A l'anatomie pathologique du tabès dorsal ET au trajet des
FIBRES
DE la moelle épinière de l'homme. Communica- ti
histochimique de Weigert. Disposition particulière d'une partie des
fibres
nerveuses fines contenues dans les racines post
la moelle; les faisceaux ainsi produits, composés exclusivement de
fibres
extrêmement fines, après être sortis de la pie-
ure. Dès qu'ilsont adopté la direction longitudinale, on voit leurs
fibres
affecter une telle complexité, former un lacis
. Treize cas de tabes dorsal ont décelé l'atteinte constante de ces
fibres
fines sous forme d'une petite plaque intermédia
il une dégénérescence parenchymateuse atteignant primitivement la
fibre
nerveuse dont elle tuerait d'abord la myéline dan
aussi nettement, mais en leur imprimant une leinle différente, les
fibres
nerveuses et les éléments conjonctifs. A côté d
des truucs artériels dans les cor- dons postérieurs (déchéance des
fibres
par compression ; absence de lacunes] [V. Die R
, présentait, après durcissement, une ! typer- trophie énorme de la
fibre
(de près du triple) jevenue presque ronde, cyli
tés motrices, ce qui semble en même temps récuser la ré,istance des
fibres
trophiques (Luederilz); au fond, quatre obser-
derilz); au fond, quatre obser- vations décèlent ici l'atteinte des
fibres
trophiques et sensitives eL l'intégrité des lib
normales, soit par la prompte régénération d'un petit segment de
fibres
. P. K. XXXVII. Un cas DE sclérose HTHUALE .\\fV
haut dans la cavité du quatrième ventricule, dont elle rejette les
fibres
raphéiques à gauche, gagne ira presque la zone
la calotte et ne pèse ni sur les fais- ceaux pyramidaux, ni sur les
fibres
transverses. Ce néoplasme n'a pas détruit de fi
aux, ni sur les fibres transverses. Ce néoplasme n'a pas détruit de
fibres
, mais il a engendré tout autour de lui une infl
otubérance et du bulbe, des racines du trijumeau, des trousseaux de
fibres
appartenant aux pédoncules cérébelleux moyens,
lleux moyens, des olives, des faisceaux pyramidaux; destruction des
fibres
du faisceau longitudinal postérieur sur une gra
un météorisme intestinal en rapport avec l'atonie musculaire des
fibres
lisses de l'intestin et des fibres striées musc
ort avec l'atonie musculaire des fibres lisses de l'intestin et des
fibres
striées musculaires de la paroi abdominale. L
la pie-mère paraît forlement épaissi, mais en intensité variable, à
fibres
plus fortes que d'ordinaire; il y a souvent des
rigées sur la couronne rayonnante pouréviter d'endommager ainsi les
fibres
venant de l'écorce et circonscrire le siège de
ation. Ceci se fait naturellement en se rap- pelant les trajets des
fibres
de l'écorce à la capsule interne. Il y a beauco
riciel pénétrait plus profondément de quelques millimètres dans les
fibres
de la circonvolution marginale dans la couronne
une lésion de l'écorce. On ne saurait trop comprendre que quelques
fibres
allant du gyrus fornicatus à la couronne radiée
es, des rapports de leurs faisceaux entrecroisés ou non et de leurs
fibres
optiques et pupilluires avec les centres de cesor
udden a prouvé l'existence dans le nerf optique de deux systèmes de
fibre
.-) ; l'un sert à la vision, l'autre commande au
le tuber- cule quadrijumeau supérieur. Le nerf optique contient des
fibres
de deux calibres différents : le chat se prête
oscopique des nerfs convenablement préparés un nombre prodigieux de
fibres
épaisses. Chez le chat les fibres épaisses prés
préparés un nombre prodigieux de fibres épaisses. Chez le chat les
fibres
épaisses présentent le même rapport de volume en
t de volume en ce qui concerne les faisceaux croisés ou non que les
fibres
minces. M. GIIASHEY (de Wûrzbourg). De l'import
e les plus beaux aperçus de cellules nerveuses, mais il détruit les
fibres
. La solution de bichromate de po- tasse conserv
uit les fibres. La solution de bichromate de po- tasse conserve les
fibres
, mais détruit plus ou moins les cel- 1 V. Archi
ie, t. X, p. 270. SOCIÉTÉS SAVANTES. 407 Iules. Pour observer les
fibres
à myéline, il n'y a rien de mieux que la colora
à un cas de maladie de Thomsen1. On y rencontre l'hypertrophie des
fibres
, la multiplication de leurs noyaux. Il en est d
ire progressive de Erb) ; on trouve dans le gastrocnémien nombre de
fibres
hypertrophiées, atrophie de certaines autres (q
èse des noyaux du tissu con- jonctif, multiplication des noyaux des
fibres
musculaires; le sous-épineux présente surtout d
res musculaires; le sous-épineux présente surtout de l'atrophie des
fibres
accompa- gnée d'hypergenèse du tissu conjonctif
de cellules de graise; le grand dorsal ne contient presque plus de
fibres
, il comprend des masses de tissu conjonctif et de
rtrophie musculaire véritable, accompagnée d'atrophie de nombreuses
fibres
^et d'hy- perplasie simultanée du tissu conjonct
hypertrophie on n'a jusqu'ici pu constater que l'hypertrophie d'une
fibre
musculaire en ait toujours précédé l'atrophie.
par Raymond, 58. Faciale (paralysie), compliquée de zona, 212.
Fibres
nerveuses à myéline des organes centraux (procé
rdon de Tùrck peut s'expli- quer par un entrecroisement complet des
fibres
cen- trifuges. La remarque est fort juste, mais
t à la possibilité d'une sclé- rose systématique limitée aux seules
fibres
centrifuges du cordon latéral. Ce qui nous semb
lité de la couche sous-muqueuse, ontdisparu. La. couche musculaire (
fibres
circulaires et longitudinales de l'oesophage) e
nales de l'oesophage) est bien développée; on n'y re- marque aucune
fibre
musculaire striée au niveau du cardia; il en est
s l'écorce cérébrale du mouton et du porc. . B. II. DU TRAJET DES
FIBRES
QUI SERVENT A RÉTRÉCIR LA PUPILLE ET DE LA LOCA
'svU>; D'.1 : ! \TO\II ET DU PHYSIOLOGIE. 1° On ne trouve pas de
fibres
qui servent aux mouvements ré- flexes pour rétr
nimaux supérieurs et les tu- hercules jumeaux des oiseaux. 2° Ces
fibres
, prenant leur origine dans la rétine et passant d
ommun et de làavec le tronc de ce nerf vers la périphérie. 3° Les
fibres
qui rétrécissent les pupilles restent, sur toute
pille de l'autre. Ce lien réside, selon toute probabilité, dans les
fibres
commissurales des deux noyaux du nerf moteur oc
a suite dc; excitations doulou- reuses, ne se fait pas à l'aide des
fibres
du nerf sympathique, mais agit d'une façon indé
oyau du nerf moteur oculaire. l3ouvor.r. III. DE LA DIRECTION DES
FIBRES
OPTIQUES A PARTIR DES CORPS GENOUILLËS JUSQU'AU
s ana- tomiques de Gudden, ne laissent aucun doute que toutes les
fibres
du tractus, qui constituent le nerf optique, pass
ra- lentie et le tonus musculaire endommagé, de par la lésion des
fibres
radiculaires postérieures. La phase latente du ré
iques quand elle part du pied. P. K. V. Sur La voie QUE suivent les
fibres
gustatives de H corde DU tympan pour se rendre
ût étant aboli sur les deux tiers antérieurs de la langue (zone des
fibres
de la corde du tym- pan), le nerf facial étant
moins affecté dans toute son étendue, l'auteur on con- clut que les
fibres
en question occupent il la base le tronc du tl'ij
obant les nerfs cités. Un second cas entraîne la conclusion que les
fibres
gus- tatives sont contenues dans le maxillaire
que le noyau externe de l'acoustique (noyau de Deiters) dépend des
fibres
de la moelle et qu'il n'affecte aucune espèce d
développement de portions du tubercule externe et de la couche des
fibres
en grille, de la bandelette optique, des tuberc
n motrice du lobe frontal. De sa destruction résulte l'atrophie des
fibres
des pyramides et du faisceau de Vicq d'Azyr en
origine corticale de l'hypo- glosse et le trajet que parcourent les
fibres
de ce nerf des circonvolutions au bulbe, à trav
microscopique , on trouve de la dégénérescence graisseuse dans les
fibres
musculaires de la langue. Les tubes nerveux dan
entre ovale est décomposable en un certain nombre de faisceaux de
fibres
blanches, destinées à relier à la périphérie les
tres contenus dans la substance grise des circonvo- lutions. Si ces
fibres
viennent à être détruites, les voies de communi
io-glosso-laryngée. Le faisceau frontal inférieur renferme donc les
fibres
cérébrales de l'hypoglosse et du facial inférie
es de l'hypoglosse et du facial inférieur ; il contient de plus les
fibres
cérébrales de la branche motrice du trijumeau,
corps sont représentées dans chaque hémisphère par deux ordres de
fibres
, des fibres directes et des fibres croisées. Le
représentées dans chaque hémisphère par deux ordres de fibres, des
fibres
directes et des fibres croisées. Les fibres cro
ue hémisphère par deux ordres de fibres, des fibres directes et des
fibres
croisées. Les fibres croisées seraient habituel
x ordres de fibres, des fibres directes et des fibres croisées. Les
fibres
croisées seraient habituellement seules utilisé
ération dans les pédoncules, le pont et le bulbe. Dans le pont, les
fibres
dégénérées sont situées près du raphé médian. N
examen anatomique, « car, dit Clarke, bien que la structure de la
fibre
musculaire soit fort altérée, le volume de l'or-
ture des sphincters, soit, et le plus souvent, par la paralysie des
fibres
propres de la vessie. La rétention paralytiqu
hérédité. Pour Trous- seau, elle résulte d'une hyperexcitabilitédes
fibres
musculaires de la vessie ; Leubuscher et Van La
a ligne médiane du côté droit, et intéressant de ce fait, outre les
fibres
des deux oculo-moteurs externes, le centre des
, collapsus sans délire), il admet une paralysie du coeur dont la
fibre
musculaire est dégénérée ou détruite. Dans les
bituellement à la face qu'aux membres, en raison de l'intégrité des
fibres
, d'une portion des fibres du, fais- ceau génicu
aux membres, en raison de l'intégrité des fibres, d'une portion des
fibres
du, fais- ceau géniculé qui se rendent au noyau
ns la destruction des amas de substance, grise interposés entre les
fibres
motrices. 1 CH. F. IV. Des paralysies chez les
(Charcot'; Brissaud2, Féré'). Ils renferment, en même temps que les
fibres
intellectuelles, des fibres 1 Charcot. - Leçons
. Ils renferment, en même temps que les fibres intellectuelles, des
fibres
1 Charcot. - Leçons sur la localisation dans le
E. motrices destinées à l'innervation des muscles de la face. Les
fibres
détachées du pied de la troisième frontale (fai
ées du pied de la troisième frontale (faisceau de l'aphasie) et les
fibres
détachées de la frontale ascendante (faisceau d
e la face, du voile du palais. Pour Brissaud, comme on le voit, les
fibres
du faisceau pédiculo-frontal inférieur et celle
fournir, nous pensons qu'il existe dans le pédoncule un faisceau de
fibres
dis- tinctes, intermédiaire au faisceau génicul
les plus postérieurs delà pyramide motrice, sans empiéter sur les
fibres
transversales. L'examen du bulbe fait reconnaître
à douze millimètres de la face inférieure, parait siéger dans les
fibres
trans- versales. Les deux foyers sont très ra
art postérieur de la pyramide motrice et empiète légèrement sur les
fibres
transversales. Les deux foyers, en arrière, se
deux foyers, en arrière, se rejoignent; à ce niveau, leraphé et les
fibres
trans- versales correspondantes n'existent plus
r de la py- ramide motrice droite et empiétant légèrement sur les
fibres
transversales de la protubérance; dans l'Ob- bs
its, par là, à regarder ce point comme étant le lieu de passage des
fibres
cérébrales de l'hypoglosse, et, par suite, du f
307 Nées du pied de la circonvolution frontale ascen- dante, les
fibres
cérébrales de l'hypoglosse suivent le faisceau
que de la tumeur 1 démontré qu'elle est formée de gros faisceaux de
fibres
de tissu conjonctif s'entre- croisant en divers
ffit de faire porter l'interruption de la conductibilité sur peu de
fibres
radiculaires postérieures du nerf crural pour o
bien la moitié droite intacte contenait à elle seule bon nombre de
fibres
ne subissant pas l'en- trecroisement, ou bien l
ue entièrement détruite fournissait encore le passage à un reste de
fibres
ininterrompues. On constatait, en revanche, en
ntrale réflexe; l'excitation aurait été transmise au centre par les
fibres
de l'étage supérieur des pédoncules cérébraux q
atérales symétriques, dans lesquelles pénètrent de préfé- rence des
fibres
émanées des cornes postérieures. On trouve égale-
res, ainsi que de l'atrophie des racines postérieures (identité des
fibres
de ces racines et de celles des cordons postéri
es dans les faisceaux des pyramides. La multiplicité des groupes de
fibres
qu'il est permis de distin- guer dans les cordo
rai, simplement la sélection du poison pour les mêmes sys- tèmes de
fibres
que tout autre élément pathogénétique, néanmoins
la dégénérescence secondaire semblerait prouver qu'un trousseau de
fibres
d'ordre moteur joint le pulvinar et la couche o
poser à l'auteur qu'il avait affaire à la rétraction convulsive des
fibres
musculaires des artères examinées. Résultat nul
une névroglie épaissie et hyperplasiée. Pour les auteurs, c'est la
fibre
nerveuse et non le tissu conjonctif qui aurait
ressemblant aux cellules ner- veuses, issues, pour les auteurs, des
fibres
nerveuses. Ils con- cluent à la dégénérescence
ù les cornes antérieures sont atteintes, on voit une diminution des
fibres
nerveuses partant de ces cornes et se dirigeant
ions ana- tomiques (augmentation du tissu conjonctif aux dépens des
fibres
nerveuses) que dans le cinquième et le sixième
rition progressive des éléments nerveux (cellules ganglionnaires et
fibres
nerveuses). [Depuis cette communication , l'exa
ons. Une première série de préparations concerne la disparition des
fibres
nerveuses à myéline dans l'écorce du cerveau de
rocédé dans lesquels, que la maladie fût récente ou an- cienne, les
fibres
nerveuses myéliniques avaient disparu plus ou m
laplusexterne où, à l'état normal, on rencontre un grand nombre de
fibres
plus ou moins volumineuses, tangentes et parall
s plus ou moins volumineuses, tangentes et parallèles à la surface (
fibres
d'association int1'( ! -Co1'tieales) *. Le lobe
'y fier complète- ment. L'auteur tend à croire que la déchéance des
fibres
d'asso- ciation est primitive, qu'on a attribué
ne peut placer encore sous les yeux de l'assemblée les attaches des
fibres
nerveuses en question avec les cellules envisag
ence paralytique soit trouvé définitivement, que la disparition des
fibres
myélli1jques de l'écorce constitue la lésion pa
e seconde série de préparations met en lumière la dispari- tion des
fibres
myéliniques, dans la démence paralytique, sur la
chromi- que. On n'y trouve, sur les coupes transverses, que peu de
fibres
; son tissu est composé de névroglie épaissieave
éphalites in- terstitielles, M. Tuczek insiste sur ce point que des
fibres
nerveuses avaient été détruites en grand nombre
e, parmi elles, celles qui vont d'une circonvolution à l'autre, les
fibres
d'association de Meynert, avaient disparu. Les
, mais elles prouvent, selon lui, uniquement que la disparition des
fibres
nerveuses à myéline s'observe dans l'encépha- l
la paralysie générale seule, voudrait-elle dire que l'atrophie des
fibres
fût primitive et que l'encéphalite serait secon
onduite, dans l'espèce, puisque j'ai dit que l'union anatomique des
fibres
tangentes à la surface avec les cellules nerveu
es ganglionnaires était encore à montrer, que la disparition de ces
fibres
ne saurait jusqu'ici être tenue pour la lésion
ns de nutrition, à la conductibilité centrifuge ou centri- pète des
fibres
d'association. Mais est-il défendu de rattacher l
ritables, exclusives (dégénérescence atrophique des cellules et des
fibres
nerveuses). Il a notamment observé ces altération
in). La méthode de Weigert fournit d'excel- lentes préparations des
fibres
tangentielles. En enlevant à un para- lysé géné
eux heures après la mort, on observe une excessive abondance de ces
fibres
dans la couche externe. On en voit au contraire
le paracentral intact. M. SMIDT insiste encore sur la fragilité des
fibres
qui explique les différences énormes de colorat
. 375 tout le noyau lenticulaire. 11 est vrai que les trousseaux de
fibres
sont fins. Ils suivent une direction (elle que
urfaces découpes qui révèlent la continuité cherchée, parce que les
fibres
en ques- tion présentent mille zig-zags dans le
ux sonttrès obscures, le^ sections longitudinales sont claires; les
fibres
obliques offrent une nuance intermédiaire. On y v
abilités, en même temps du noyau lenticulaire; après avoir reçu les
fibres
issues du tubercule quadrijumeau antérieur, il
originaire du tubercule quadrijumeau postérieur, l', recevrait des
fibres
émanées de la racine descendante du trijumeau e
ire (ascendante et descendante) montrent qu'il contient réunies des
fibres
motrices et des fibres sensitives. Discussion :
endante) montrent qu'il contient réunies des fibres motrices et des
fibres
sensitives. Discussion : - - M. HrrziG disser
ubstance grise : ses réserves sur les rapports anatomiques avec les
fibres
out leur cause dans la petitesse extrême des ce
du tissu; il les avait dilatés en refoulant la substance nerveuse (
fibres
et cellules) atrophiée contre les vaisseaux aux-
dans les lésions cérébrales. (Nouveau schéma du trajet présumé des
fibres
optiques). Brochure in-8" de 15 pages, avec une
tes allemands, 359. Corde du tympan (de la voie que suivent les
fibres
gustatives de la - pour se rendre à l'encéphale
'une affection en foyer, par Holloender, 332. OEil (du trajet des
fibres
qui ser- vent à rétrécir la pupille et de la
ques (états chez les aliénés), 376. Optiques (de la direction des
fibres
- à partir des corps genouillés jusqu'aux cor
élevés que la moelle épinière, soit encore, suivant Charcot, en des
fibres
coor- dinatrices spéciales situées à proximité
stérieurs. Todd avait admis que par ces cordons devaient passer des
fibres
à direction centrifuge servant à trans- mettre
rveau. « Dans la moelle épinière, écrivait Erb, il doit exister des
fibres
centri- fuges servant à la coordination, et c'e
i- fuges servant à la coordination, et c'est uniquement quand ces
fibres
sont lésées dans une affection spinale que l'atax
dans une affection spinale que l'ataxie se mani- feste. Où sont ces
fibres
? On l'ignore complètement. Provisoire- Arciiiv
re préoccupé des fonctions du cervelet, inclinait à localiser les «
fibres
coordina- trices » dans le faisceau cérébelleux
indemnes dans les cas types de cette maladie. De l'existence des «
fibres
spéciales de coordination », on ne savait rien
ues de la motilité, il était utile de supposer l'existence d'autres
fibres
à direction centrifuge passant parles cordons p
rations secondaires des cordons postérieurs, on ne découvre que des
fibres
à direction centripète ou ascendante. A la th
s fibres à direction centripète ou ascendante. A la théorie des «
fibres
coordinatrices ». Leyden opposa les constatatio
connaître que les cordons pos- térieurs sont les prolongements des
fibres
radiculaires posté- rieures. Cette doctrine est
cellules des ganglions spinaux pénètre dans la moelle épinière. Les
fibres
des cordons postérieurs dérivent donc anatomiqu
xtrémités des collatérales et des arborisations terminales de leurs
fibres
constitutives. La fonction des nerfs centripète
gements 121l ? ,antédi(Ilaii-es des racines pos- /e')' : 6M)'M. Les
fibres
endogènes de la moelle ou ne sont pas affec- té
ques de la moelle épinière des tabétiques concernent simplement les
fibres
nerveuses qui se distribuent à la substance grise
antérieures) et qui représentent soit les prolongements directs des
fibres
des racines postérieures, soit les collatérales d
à 1894, il résulte et demeure acquis que, dans cette affection, les
fibres
ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES DU TABES.
tains segments de la moelle et amenant la dégénérescence de leurs
fibres
ou territoires radiculaires ? C'est ce que Leyden
verra que dans les cas où, sur une étendue considérable, toutes les
fibres
radicu- laires postérieures sont dégénérées, où
ire ce sont les racines lombaires : cette lésion entraîne celle des
fibres
radiculaires montant dans le cordon postérieur,
ubstance grise. Nous rapporterons à la disparition de ces dernières
fibres
les troubles de régulation inconsciente, réflex
éficit pourra, jusqu'à un certain point, être compensée, car chaque
fibre
radiculaire envoie des collatérales sur une longu
cette dégénération, les lésions destructives, la dégénérescence des
fibres
ascendantes du cordon postérieur qui s'arborise
sûreté, je le crois, écrit Redlich, dans le cordon postérieur, les
fibres
qui servent à la fonction consciente du sens mu
don postérieur n'arrive que jusqu'à l'écorce du cerveau, et que les
fibres
de cette voie s'arborisent en partie dans des c
pinière ont à souffrir de ces lésions, un petit nombre seulement de
fibres
s'élevant vers le cerveau et servant aux sen- s
emiers troubles. Redlich a confirmé le fait qu'une dégénération des
fibres
des colonnes de Clarke appartient aux signes le
ignes les plus précoces du tabès lombaire ; en d'autres termes, les
fibres
radiculaires postérieures, ou leurs collatérales.
bès et les colonnes de Clarke. Les effets de la dégénération de ces
fibres
apparaîtraient déjà dans les symptômes initiaux d
tations sont en grande partie sous l'influence des collatérales des
fibres
radiculaires postérieures qui s'arborisent dans
nc, dans le tabes, on constate une dégénération très précoce de ces
fibres
, il est de toute évidence que l'influence exerc
r la motilité des extrémités inférieures. La lésion destructive des
fibres
nerveuses dont il s'agit peut bien, jusqu'à un
es elles- mêmes de ces colonnes sont dégénérées, aussi bien que les
fibres
du faisceau cérébelleux direct. Le caractère cé
aisceau cérébelleux de la moelle épinière (et vraisemblablement des
fibres
spino-cérébelleuses et cèrébello spinales) au p
té- rieures proprement dites, la zone marginale de Lissitiiei-, les
fibres
des racines postérieures pénétrant dans la subs
ntia gelalinosu, sont peu affectées. Or, c'est précisément dans ces
fibres
qu'on doit chercher les voies de la sensibilité
ne connaît aucune preuve directe qui permette d'admettre qu'ici les
fibres
servant à la régu- lation centripète des mouvem
n'interrompt point la destruction même d'un nombre considérable de
fibres
. On sait aujourd'hui qu'un territoire cutané n'
toire cutané n'est pas innervé par une seule racine : il reçoit des
fibres
sensitives de plusieurs racines, quelquefois de t
rvent un territoire cutané conservent encore un nombre suffisant de
fibres
saines, aucun trouble considérable de ANATOMIE
ance grise de la moelle. Du fait de l'arborisation terminale de ces
fibres
dans la moelle, le courant y subit une interrupti
t destinées à favoriser la transmission du courant, apporté par une
fibre
, à plusieurs neurones endogènes de la moelle ép
du travail de la dégénérescence, par la disparition com- plète des
fibres
radiculaires, malades au début, si bien qu'il ne
chargent les cellules nerveuses autour desquelles s'arborisent les
fibres
radiculaires postérieures, cellules qui repré-
ffet de ces excitations. Or si l'on suppose, avec Redlich, que, des
fibres
radiculaires postérieures innervant un territoire
ons postérieurs, etc., représentent les prolongements directs des
fibres
radiculaires postérieures; leur destruction ne sa
des collérales, non plus que les deux branches de bifur- cation des
fibres
radiculaires postérieures. Mais ces résultats nég
pas à nier, il le reconnaît, l'existence, et de la bifurcation des
fibres
radiculaires postérieures et des collatérales.
thologie du tabes, qu'il se trouve dans les cordons postérieurs des
fibres
endogènes dont les cellules d'origine sont dans
ont les cellules d'origine sont dans la substance grise, et que ces
fibres
sont - surtout rassemblées dans la région ventr
urale de P. Marie) '. Ce qui témoignerait de l'origine endogène des
fibres
de cette région, c'est que ce territoire offre
présente pour la moelle dorsale. Avec Marie, Redlich admet que des
fibres
endogènes se mêlent aussi au cordon de Goll, part
grande partie de voies courtes; il est vraisemblable aussi que ces
fibres
affectent une direction descendante. (^1 suivre
ons postérieurs qui dégénèrent alors, dans ce sens, contiennent des
fibres
endogènes ou exogènes. L'hypothèse qu'il s'agit
t des fibres endogènes ou exogènes. L'hypothèse qu'il s'agit ici de
fibres
exogènes, dérivées des racines postérieures, lui
fait, consécutivement à une lésion des racines postérieures ou des
fibres
radiculaires postérieures. Il est d'ailleurs pos-
culaires postérieures. Il est d'ailleurs pos- sible qu'il y ait des
fibres
descendantes endogènes et exogènes, les pre- mi
t valable contre cette manière de voir, car ce seraient surtout les
fibres
endogènes (et elles se trouvent en bon nombre d
t elles se trouvent en bon nombre dans le cordon de Goll à côté des
fibres
exogènes) qui auraient ici été atteintes. Ils c
ns avec le siège embryologique; 2° Mala- dies en'relations avec les
fibres
exogènes et endogènes; 3° Mala- dies en relatio
articipation quantitativement différente des différents systèmes de
fibres
et des différents étages de la moelle. La parti-
altérées. Cependant la possibilité d'une altération primi- tive des
fibres
endogènes n'est pas exclue, ni même celle d'une
3° Celles tout à fait indépendantes des neurones ou des systèmes de
fibres
, mais en rapport intime avec les vaisseanx. Dan
(4 cas, âge 30, 32, 36, 59), il y eut.dans deux cas altération des
fibres
sensitives, surtout dans le renflement lombaire
s vaisseaux, souvent aussi par places allération ou disparition des
fibres
autour d'eux. Dans un des deux cas précités,
dans les cas précédents, dégénération primitive quoique légère des
fibres
exogènes. Dans le marasme sénile (4 cas, 73, 77
de la neuroglie avec atrophie correspondante- et destruction des
fibres
nerveuses, généralement autour des vaisseaux plus
ostérieurs. On rencontre cependant quelquefois une dégénération des
fibres
isolées, ordinairement autour des vaisseaux. Le
médullaires avec leurs fortes courbures et leurs relations avec les
fibres
voisines, soit dans les relations entre ces cor
ment. Dans les faisceaux postérieurs, les zones radiculaires et les
fibres
exogènes sont les parties les plus 70 SOCIÉTÉS
es anatomiques distincts : le proloneurone moteur ; les cellules et
fibres
de cordon. Sans comp- ter qu'assez souvent les
cordon. Sans comp- ter qu'assez souvent les lésions intéressent les
fibres
commissu- rales du cerveau, la zone rolandique,
sent les fibres commissu- rales du cerveau, la zone rolandique, les
fibres
du faisceau pyra- midal, peut-être même les voi
tabes, dépendent d'une affection primitive du centre trophique des
fibres
radiculaires. Dans le courant de l'année 1898,
pourtant constaté, dans la sllbstantia gelalinosa, l'intégrité des
fibres
appartenant au second neurone. Mais la dégénéresc
artenant au second neurone. Mais la dégénérescence des faisceaux de
fibres
de gros calibre qui partent du cordon posté- ri
stance grise de ces régions dans le tabes. « La dégénération de ces
fibres
, écrit Redlich, peut être à ce point intense qu
ui pénètrent dans les colonnes de Clarke, prolongements directs des
fibres
radi- culaires postérieures, et formant le fin
Une affection de ces cellules devrait amener la dégénéra- tion des
fibres
des cordons postérieurs. Stroebe a trouvé, dans t
rieures de la moelle '. Le prolongement nerveux de ces cellules, la
fibre
radicu- laire du protoneurone moteur, n'est poi
eurs prolongements dans la moelle épinière, les collatérales de ces
fibres
n'entourent plus, de leurs fines arborisations
tion avec l'état anatomique du neurone moteur phériphérique dont la
fibre
radiculaire a été sectionnée, il est permis de
ique avec prolifération des noyaux, disparition des cellules et des
fibres
ner- veuses sur de vastes espaces, infiltration
ns la démonstration négative de Redlich. L'état des cellules et des
fibres
nerveuses du côté de la moelle épinière corresp
tive de la dégénération dans les parties les plus vulnérables des
fibres
radiculaires postérieures, dans les collatérales
érales de ces ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES DU TABES. 129
fibres
(Marie, Marinesco). Le premier Redlich a montré q
r Redlich a montré que les lésions des parties intramédullaires des
fibres
radiculaires posté- rieures sont plus graves qu
rieures, devait suffire pour expliquer la dégénération en ce point (
fibres
radiculaires intramédullaires). En outre, les, pa
gements des racines postérieures qui dégé- nèrent, c'est-à-dire des
fibres
d'origine exogène, mais des fibres d'origine en
i dégé- nèrent, c'est-à-dire des fibres d'origine exogène, mais des
fibres
d'origine endogène (Marie), lesquelles tirent l
re des nerfs correspondants. Avec la-méthode de Marchi, beaucoup de
fibres
présentent des réactions pathologiques et celle
s. Il reste toujours possible, à la vérité, que tous les 'genres de
fibres
contenues dans une racine postérieure de la moell
ant plus gravement, c'est-à-dire qu'ils perdent la plupart de leurs
fibres
. Le caractère de lésions en foyer de la dégénér
d'autopsie. R. M. C. VI. Nouvelles recherches sur la formation des
fibres
axiales dans le cerveau, par leD'' PAUL Flechsi
es sont colorées d'une façon diffuse et faiblement, on y trouve des
fibres
pâles et des noyaux colorés ou bien des noyaux
re typhoïde. P. KFRHAL. XX. A propos d'une disposition anormale des
fibres
de la pyra- mide bulbaire ; par Van (jËHUciiTKr
ité du système pileux. P. Keraval. XXVI. De la dégénérescence des
fibres
du bulbe dans la démence paralytique progressiv
térales des cylindraxes se développent toujours plus tard que leurs
fibres
principales aux points de renflement en chapele
ne constate en d'autres régions telles que la corne d'Ammon que des
fibres
primitives sans trace aucune de la formation de
ésions. L'étude histologique de la moelle montre une diminution des
fibres
dans les faisceaux pyramidaux, surtout dans les
ôté; de; ces auteurs, d'autres s'appuyant'sur. les altérations des-,
fibres
musculaires. biopsiées (Oppenlieim;,Goldflamtu)
éressait le tractus pyramidal ainsi que la région tegmentale et les
fibres
qui sont au noyau du facial droit ; elle s'étai
une affection qui se caractérise par un spasme ou une crampe des
fibres
musculaires de l'iris, des muscles ciliaires et d
médiate- ment après leur entrée dans la moelle, en sorte qu'ici les
fibres
qui pénétraient au-dessus du niveau de la premi
laires, restant delà charpente névroglique des circonvolutions; ces
fibres
sont hypertrophiées et les tuniques interne et mo
laces quelques globules san- guins et des débris de cellules et des
fibres
nerveuses. Mais si l'on observe les points (por
IDIOTIE : 111CROCEFH.1LIQUE. 287 I 'dient des pinceaux de grosses
fibres
névrogliques vers les circon- volutions, au mil
circon- volutions, au milieu desquelles on aperçoit encore quelques
fibres
nerveuses grêles contournées en divers sens. Le
minution de l'acuité auditive, elle a pour cause la destruction des
fibres
acous- tiques qui se rendent dans le lobe tempo
sont très nombreuses dans toutes les formes de dégénérescence où la
fibre
nerveuse est atteinte, et la méthode de Marcha
veuses, des cellules du tissu contiectif (itévi-oglie ? et même des
fibres
mus- culaires lisses des vaisseaux (iltiguenin,
l'on rencontre dans la démence paralytique. La dissémination des
fibres
, le nombre relativement faible des fibres d'ass
e. La dissémination des fibres, le nombre relativement faible des
fibres
d'association, longues ou courtes caractérisent l
on à leur phase de plus complète simplicité. L'auteur a parlé des
fibres
qui servent de voies de. transmission aux impul
artie supérieure doivent être sous la dépen- dance d'une lésion des
fibres
du pédoncule cérébelleux inférieur qui, dans la
les coupes fines permettent de constater l'existence de très fines
fibres
nerveuses de régénération; ainsi SOCIÉTÉS SAVAN
agénésie accentuée de l'écorce du cervelet, du noyau de Goll et des
fibres
du pédoncule cérébelleux. Aphasie sensorielle.
la corne antérieure dans les régions cervicale et lombaire, et des
fibres
constituant le réseau de cette même corne. A re
faisceaux efférents supérieurs et inférieurs. Enfin tandis que les
fibres
de projection sont atrophiées, celles d'associati
es montrent que, dans les cas d'iridoplégie réflexe bilatérale, les
fibres
de Meynert ne sont pas intéressées. R. de MUSGR
taire, et insinuation de leucocytes dans le pro- toplasma. Dans les
fibres
, gonflement du manchon de myéline, et désintégr
s des auteurs, il faut atta- cher un grand prix, à la déchéance des
fibres
nerveuses, et à la leucocytose des cellules. P.
ion sont évidemment sépa- rément accessibles par l'intermédiaire de
fibres
nerveuses spécia- les, dont le gouvernement du
de la protubérance avec atrophie des cellules et dégénérescence des
fibres
surtout dans l'olive gauche. Ce cas de déficit
rochent du gliome présentent un mélange de cellules de tumeur et de
fibres
fortement rétractiles. En outre on rencontre da
able diminution de volume, probablement due à la dégénérescence des
fibres
croisées de com- municatioif qui vont de la bas
ntense que soit la rigidité spastique. Une dégénération de quelques
fibres
seulement a produit d'énergique* contractures.
évrogliquc surtout au voisinage des vaisseaux et la disparition des
fibres
lau- gentielles et de la strie de Les grandes
démontrant ainsi qu'il n'y a pas de dégénérescence en activité des
fibres
blanches. Il n'y a pas non plus de lésions vasc
evue les diverses lésions signalées par les auteurs, diminution des
fibres
tangentieues, lésions vasculaires, altérations
s encore en litige, sur la situa- tion des centres et le trajet des
fibres
pupillaires. Dans le chapitre suivant, Minot dé
ôté des troubles, résultant d'altérations manifestes des centres et
fibres
pupillaires, il existe des troubles, considérés c
Ambler, 52. Formes atypiques du -, par Mickle, 135. Formation de
fibres
axiales du -, par Fleclisig, Doll- lieu et Ni
entales, par )li- gnot, 520. Pyramide. Disposition anormale des
fibres
de la bulbaire, par Van Gehucbten, 145. Ponoo
RACTURES REFLEXES INTRAIIIPNOTIQI : '1;'S. 3S' gauche, delà par des
fibres
d'association, elle se dirige vers le centre le
distension des masses musculaires des jumeaux. Ces muscles dont les
fibres
charnues sont assez courtes ne sont pas susceptib
e distension soit simple, soit un état de contraction légère de ses
fibres
. Il résulte de ce qui précède qu'autant les fes
s postérieu- res et latérales de la région sphénoïdale, et dont les
fibres
se portent en convergeant au-dessous de la couc
ure du thalamus. Arnold semble avoir voulu décrire le même corps de
fibres
sous la désignation de faisceau tempoJ'o-tJ¡alami
au tempoJ'o-tJ¡alami- que. La forme et les rapports de ce groupe de
fibres
nerveuses sonl assez difficiles à concevoir en
D'autre part, il nous semble dé- montré qu'une certaine portion des
fibres
de la bandelette sous-optique dégénèrent dans l
corps ge- nouillé externe (RGE), et, un peu plus en dehors, par tes
fibres
du segment postérieur de la capsule interne (CI
elette optique, devenue stratum zonale, commence à épar- piller ses
fibres
. Là est une des extrémités de la bandelette sous-
la région que nous venons d'indiquer, c'est-à-dire au niveau où les
fibres
du stratum zonale du' pulvinar se condensent pour
'n éventail dans une certaine région du' lobe sphénoïdal : Mais ces
fibres
, avant de diverger, restent encore quelque temp
econnaît la bandelette optique- ou tractus optique (BO) accolée aux
fibres
de la cap- sule interne (CI). Immédiatement en
e de dedans en dehors. En haut, elle est séparée du putamen par les
fibres
les plus antérieures du segment postérieur de l
missure antérieure (CA). Le côté inféro-externe est limité par les
fibres
sphénoïdales du tapetum (TAP). Enfin, le côté i
ant par la circonvolution de l'hippocampe, en avant de l'uncus, les
fibres
de la bandelette sous-optique s'écartent, se po
; deméme,'il nous.parait vraisemblable qu'aucun groupe important de
fibres
de la'bandelette sous-optique ne remonte vers la
nférieure du noyau amygda- lien est au contraire enveloppée par les
fibres
d'origine de la racine inférieure du tha- lamus
anatomo-pathologiques de W. Roth (3). Cet auteur a constaté que les
fibres
musculaires subissaient l'atrophie par leurs extr
endineuse qui le remplace. Au point de contact de l'extrémité de la
fibre
musculaire en voie d'atrophie et de la portion
miquement actif. En même temps existe une atrophie transversale des
fibres
musculaires. Et dans le voisinage des points où
hors de doute que la dégénéralion envahit dans un cas des systèmes do
fibres
qu'elle épargne dans l'autre, et réciproquement
tient pas non plus à une modification matérielle ou dynamique de la
fibre
striée ; l'intoxication limite ses effets aux p
ellement fatigués, mais sans la sensation de fatigue préalable. Les
fibres
de la sensibilité musculaire, chargées de donne
ouvera résolue de la fa- çon suivante : dans le tabès sensitif, les
fibres
centripètes de toutes les sensibi- lités subira
és subiraient la dégénération ; dans le tabès moteur, ce seraient les
fibres
de la sensibilité réllexe : dans le tabes compl
pas autre chose qu'un segment d'arcs réflexes; c'est un système de
fibres
chargées d'utiliser pour la fonction motrice, des
point où le grand arc réflexe a fait escale. Si, dans le tabès, les
fibres
centrifuges de ce grand arc réllexe sont respecté
de la moelle, ces dernières conservent la fa- culté d'actionner la
fibre
striée et les muscles ne s'atrophient pas. Il sub
alc tro- phique est insuffisante pour entretenir la nutrition de la
fibre
striée. Sans nier l'existence que nul ne contes
r tardi- vement il un état de nutrition presque irréprochable de la
fibre
striée, de même on peut voir l'accommodation di
la méthode de Golgi et des idées de Ramon y Cajal dans l'étude des
fibres
du nerf cochléaire par Hans Ileld (4), ont comp
centre des images d'attitude céphalique. Bechterewy fait aboutir les
fibres
issues du noyau des cordons grêles, provenant d
rôle dans l'équilibration et la coordination, reçoit également des
fibres
vestibulaires et médullaires qui se donnent ren
et médullaires qui se donnent rendez-vous au vermis supérieur. Ces
fibres
nous semblent 1 devoir être physiologiquement h
Ce novau est réuni au nucleus ambig1l11S du pneumogastrique par des
fibres
qui s'associent en partie à celles du faisceau so
e de la formation intermédiaire. Or on a retrouvé (Erlitzki (1) des
fibres
de Remak dans certains points du tronc labyrint
a') Le nerf labyrinthique possède également de son côté de grosses
fibres
internes, à engaînement précoce, qui se dirigent
e formation de grosses cellules, noyau de Deiters, d'où partent des
fibres
centrales qui gagnent plus spécialement le cerv
erf vestibulaire. l). Les racines postérieures ont d'autre part des
fibres
minces et grêles à engaîneinent tardif qui abou
de la corné posté- rienre. b') De même le nerf labyrinthique a des
fibres
externes minces, tardivement engainées qui se t
neural auriculaire était celle qui correspondait à la division des
fibres
elles-mêmes en nerf vestibulaire et en nerf coc
hez l'homme, émanée égaiementdu ganglion de Scarpa, et émettant des
fibres
qui se distribuent à la partie inférieure du prem
IQUE 3n venue la papille cochléaire d'où partent un grand nombre de
fibres
qui abou- tissent soit directement, soit après
ntre deux troncs isolés par une cloison conjonctive. L'un, formé de
fibres
assez fortes qu'on a comparées (Ertitzky) aux fib
L'un, formé de fibres assez fortes qu'on a comparées (Ertitzky) aux
fibres
des racines anté- rieures de la moelle, encombr
e; c'est le nerf vestibulaire. L'autre forme un faisceau compact de
fibres
d'une épaisseur de moitié moindre que celle des
u compact de fibres d'une épaisseur de moitié moindre que celle des
fibres
vestibulaires, sans interceptions cellulaires. Ce
qui finira par se joindre à lui et qui reçoit un nombre variable de
fibres
émanées d'éléments en îlots disséminés dans le
e et décrits par Erlilzky. On trouve dans le tronc vestibulaire des
fibres
de Remak qui sem- blent faire défaut dans le tr
continue d'ailleurs, ne peut être assimilée qu'aux cellules et aux
fibres
de la subs- tance gélatineuse de Itolando, bien
ier, avec ses grosses cellules et surtout par la destination de ses
fibres
afférentes et efférentes, nous apparaît com- me
eures ; ils établissent de plus la correspondance entre les grosses
fibres
de la ra- cine vestibulaire et un faisceau céré
ongements de la base des cornes postérieures, reçoivent les grosses
fibres
du nerf vestibulaire qui correspondent aux gros
s grosses fibres du nerf vestibulaire qui correspondent aux grosses
fibres
internes des racines postérieures. Le noyau ant
que, prolongement de la tète des cornes postérieures, reçoivent les
fibres
grêles du nerf cochléaire, homo- logues des fib
s, reçoivent les fibres grêles du nerf cochléaire, homo- logues des
fibres
minces externes des racines postérieures. V N
s racines postérieures. V Nerf vestibulaire. Un grand nombre de
fibres
pénètrent directement dans la moelle allon- gée
tout le noyau interne (VIII i)(Fig.90). D'après Edin- ger, d'antres
fibres
se détachent de ce faisceau principal, traversent
s celui du côté opposé. Du vermis supérieur, rendez-vous commun des
fibres
cérébelleuses di- rectes et croisées de la moel
isées de la moelle et du nerf vestibulaire, et d'un grand nombre de
fibres
provenant des noyaux cérébelleux, fibres que nous
e, et d'un grand nombre de fibres provenant des noyaux cérébelleux,
fibres
que nous n'avons pas fait figurer sur notre sch
eux, fibres que nous n'avons pas fait figurer sur notre schéma, des
fibres
se dirigent par le pédoncule céré- belleux supé
N L BATTAILLE ET Ci. Éditeurs Fig. 90. Projection de toutes les
fibres
homologues du nerf labyrinthique et d'une racin
rsion est nécessitée par les décussations bulbaires. Le système des
fibres
noires d'origine cochléaire correspond à celui de
ns poursuivi l'homologation au delà des noyaux primaires. Celui des
fibres
grises comprend le nerf vestibulaire et les gross
rg. 35 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE s'élèvent d'autres
fibres
vers le lobe pariétal (Bechterew). Nous verrons
ante. Du noyau de Bechterew et de l'interne partent encore d'autres
fibres
cérébelleuses vers les noyaux du toit et peut-ê
cérébelleuses vers les noyaux du toit et peut-être les autres. Ces
fibres
cérébelleuses issues des noyaux de la base sont l
ers le vermis cérébelleux supérieur. C'est par ce double système de
fibres
que doivent être véhiculées les images d'attitu
u noyau interne et du noyau de Deiters partent d'autres systèmes de
fibres
, qui s'entrecroisent en avant au raphé, passant d
ecroisent en avant au raphé, passant de l'autre côté, se mêlent aux
fibres
ascendantes qui proviennent des parties profondes
buent à former et aboutissent à l'écorce pariétale (Bechterew). Ces
fibres
ontpour homologues les fibres issues de la base
à l'écorce pariétale (Bechterew). Ces fibres ontpour homologues les
fibres
issues de la base des cornes médullaires et qui p
noyau interne (et peut-être aussi de celui de Deiters) partent des
fibres
que Ileld a pu suivre jusqu'au noyau du facial (V
sources de l'accommodation et de l'inter- ception stapédienne. Ces
fibres
qui unissent les noyaux de la base aux noyaux m
nt les noyaux de la base aux noyaux moteurs ont pour homologues les
fibres
médullaires unissant les cornes postérieures au
motrices antérieures. Du noyau interne et du noyau de Deiters, des
fibres
gagnent l'olive su- périeure (0 S), dont nous a
ers et d'îlots situés en dedans de lui, descend un fort faisceau de
fibres
que nous n'avons pu figurer, parallèlement au f
postéro-externe du nerf labyrinthique. La plus grande partie de ses
fibres
se jettent dans le noyau antérieur (VIII a) ; d'a
tubercule acoustique (T A) ; enfin certains auteurs admettaient des
fibres
qui, sans s'arrêter au tubercule acoustique, fo
emporaux. Bechterew et les auteurs plus récents n'admettent pas ces
fibres
directes. L'anatomiste russeiinter- prète tout
ries médullaires dont il fait une commissure cérébelleuse. Si ces
fibres
existent réellement, elles auront pour homologues
Si ces fibres existent réellement, elles auront pour homologues les
fibres
des racines postérieures qui traversent sans s'
aversent la partie externe de la formation réticulée tandis que les
fibres
acousti- ques prennent sa partie interne, et ga
tablis avec l'écorce temporale. Du tubercule acoustique partent des
fibres
décrites par Hans Ileld, Bechterew et Koelliker
tubercule quadriju- meau postérieur (Q P). De ce noyau partent des
fibres
soit vers le corps postéro-basilaire (n P. B) d
stérieure,. rejoint dans le faisceau interne de l'anse latérale les
fibres
médullaires dont nous avons parlé plus haut et
é plus haut et aboutissent à l'écorce pariétale. Certaines de ces
fibres
se comportent vis-à-vis de l'audition, en la vé-
ps genouillé interne et aboutissant à l'écorce temporale, comme les
fibres
du nerf opti- que qui aboutissent à l'écorce oc
orps genouillé externe, se comportent à l'égard de la vision. Ces
fibres
directes aboutissant à l'écorce temporale sans in
uctrices tout à fait comparables. Du même tubercule acoustique, des
fibres
, décrites par .Monakow, s'en- gagent à travers
ons plus loin les connexions de ces noyaux. Du noyau antérieur, des
fibres
partent en arrière, en dehors du corps restifor
a temporale corres- pondante. Un troisième contribue à former les
fibres
du corps trapézoïde et atteint l'olive supérieu
écorce du côté opposé est homologue LE NERF LABYRINTHIQUE 355 des
fibres
qui partent de la tête de la corne postérieure, s
une destination analogue. De ce noyau du ruban de Reil partent des
fibres
vers le tubercule quadrijumeau antérieur corres
quelle région du lobe temporal et du lobe pariétal aboutissent les
fibres
du nerf labyrinthique ? Nous l'ap- prenons par
a pariétale ascendante comme le centre cortical de l'appareil 1 des
fibres
du nerf vestibulaire. C'est également là qu'about
es fibres du nerf vestibulaire. C'est également là qu'aboutissent les
fibres
originaires du faisceau de Goll, par l'interméd
1. Bidactylie congénitale, 63. Cerveau, région ou aboutissent les
fibres
du nerf labyrinthique, 91,93. Compression de
, 48, 49, 50. Nerf labyrinthique, 90, (préjection de tou- tes les
fibres
numologues). Nerfs rachidiens, rapports avec le
ps fémoral, enlevé pour l'observation microscopique, a montré des
fibres
musculaires parfaitement normales ; pas d'aug-
entation du tissu conjonctif ni du tissu adipeux in- terstitiel des
fibres
musculaires; le sarcolemme est normal. C'est
sen, mais cet auteur n'a trouvé aucune lésion; la dis- position des
fibres
, leur striation étaient absolument normales; de
rcher si à la suite de l'amputation d'un membre la dégénération des
fibres
nerveuses pouvait remonter jusque dans le cerve
'insula et notam- ment les centres oro-lingaux de Ferrier, avec les
fibres
d'asso- ciation idéo-symboliques de Kussmaul (a
eider qui, pourvue de l'épithélium que l'on sait, ne reçoit que des
fibres
de la cinquième paire, l'autre sitpé7,o-a ? îté
t le pulvinar et le corps genouillé externe à la région occipitale (
fibres
de Gra- tiolet). Il semblerait que le lapin a u
et la diffi- culté d'assigner exactement en pareils cas un rôle aux
fibres
blanches tandis qu'en revanche l'aphasie consta
générescence secondaire ascendante malgré la notable diminution des
fibres
de tout le système pos- térieur du renflement l
e allongée (anesthésie droite en rapport avec l'entrecroisement des
fibres
sensitives des nerfs médullaires ), localisant
endroit où les racines ascendantes sensitives du tri- jumeau et les
fibres
radiculaires, peut-être aussi le noyau du nerf
etc. ; puis les différents conducteurs excito-mo- teurs, sensitifs,
fibres
d'association. 106 SOCIÉTÉS SAVANTES. Il ment
intenant l'affection produite par le contact direct du métal sur la
fibre
nerveuse. 11 est bien connu aujourd'hui, ajoute-t
posté- rieures de la moelle, mais atteignaient aussi la région des
fibres
pyramidales. Au-dessus du point de compression,
association des mouvements réflexes des paupières se fait par des
fibres
commissurantes; car une incision, même super- P
Dans les deux cas, on observe au début le gon- flement du noyau des
fibres
nerveuses et la segmen- tation de la myéline, à
cylindre-axe et de la gaîne myélinique. Dans les deux cas aussi les
fibres
détruites peuvent se régénérer, ou tout au moin
ites peuvent se régénérer, ou tout au moins être remplacées par des
fibres
de nouvelle formation., Mais de ce que les deux
anglions rachidiens et la moelle elle-même. , Les altérations des
fibres
nerveuses, dans les névrites spontanées . que n
de la myéline en fines granulations avec atrophie discontinue de la
fibre
nerveuse. Etat variqueux, monilifornie. Renflem
equel les noyaux font encore une légère saillie. Nulle part sur les
fibres
ainsi altérées on ne découvre trace du cylindre
er des dilatations et des renflements sur la minceur générale de la
fibre
atrophiée. Entre les traînées et les amas de gr
les plates du tissu conjonctif. Évidemment il ne s'agit point là de
fibres
de Re- mak ou de fibrilles conjonctives; l'erre
arement à l'état d'isolement absolu. Il peut arriver que toutes les
fibres
d'un même nerf soient exactement au même degré
myéline est fragmentée en blocs volumineux (type 1), on verra des
fibres
partiellement atrophiées, variqueuses (type 3) et
s que des granulations ambrées (type 4). On peut même sur une seule
fibre
, consi- dérée isolément, rencontrer une associa
brées. Dans un certain nombre de cas, nous avons trouvé à côté de
fibres
profondément dégénérées, réduites à l'état de g
res profondément dégénérées, réduites à l'état de gaînes vides, des
fibres
nerveuses grêles, à con- ton ! 'sgi' ! sAh\'s,
E NERVEUSE. proches les uns des autres qu'ils ne le sont dans les
fibres
nerveuses adultes. Selon toute vraisemblance, i
ibres nerveuses adultes. Selon toute vraisemblance, il s'agit là de
fibres
régénérées et présentant les caractères de l'ét
nt les caractères de l'état embryonnaire. On observe du reste des
fibres
tout fait semblables dans le bout péri- phériqu
lieu de les con- fondre dans une description commune. Toutes les
fibres
sans exception sont altérées. La plupart sont c
; mais ces tubes sont relative- ment rares. 11 n'y a pas une seule
fibre
présentant les apparences de l'état normal. Les
étaient pro- fondément altérés puisque déjà presque toutes leurs
fibres
étaient complètement atrophiées. Il y a là une
ence normale à l'oeil nu, sont profondément altérées, et toutes les
fibres
qui les composent présentent des lésions éviden
de névrite parenchymateuse. Nulle part on ne ren- contre une seule
fibre
saine, et même n'en existe-t-il qu'un très peti
s (type 2), ou bien en granulations avec atro- phie partielle de la
fibre
et renflements fusiformes (type 3). Les racines
e rapidité, cardans les expériences pratiquées sur les animaux, les
fibres
des bouts péri- phériques d'un nerf sectionné r
inq semaines, tandis que chez notre malade la grande majorité des
fibres
sont complètement atrophiées après 31 jours.
ns chaque préparation, existe un mélange en proportions inégales de
fibres
dissemblables par leur aspect, leur diamètre, e
unes, les plus nombreuses, sont en cours d'altération ; ce sont des
fibres
de gros diamètre, dont la myéline, plus ou moin
ro- duits par les figures 1, 4 et 5 empruntées à ce cas; quelques
fibres
cependant présentent le type 3 ou sont réduites à
t réduites à l'état de gaines vides (type 5). Les autres sont des
fibres
minces, grêles, d'un diamètre trois fois moindr
voïdes colorés en rose. Ces der- nières représentent exactement des
fibres
régénérées. En résumé, les nerfs aboutissant à
ir été, comme ceux du côté droit, frappés dans la totalité de leurs
fibres
; ils con- servent en effet une notable quantit
ntité de tubes absolument normaux. Toutefois la grande majorité des
fibres
est altérée et leur myéline est fragmentée en g
itesàmarche suraiguë, atrophiant rapidement la presque totalité des
fibres
, ici au contraire, la névrite semble affecter u
Aussi existait-il sur chaque branche nerveuse un certain nombre de
fibres
susceptibles d'un fonction- nement régulier, so
uant et en raison de l'adhérence plus intime des fais- ceaux et des
fibres
. Dans les nombreuses préparations faites, soit
ilets cuta- nés, soit du tronc lui-même, il n'existe plus une seule
fibre
saine ; toutes sont altérées à des degrés diver
ttelettes avec formation de varicosités (type 3), ou bien encore la
fibre
est atrophiée et ne contient plus que des granu
e contient plus que des granulations ambrées (type 4). Sur une même
fibre
isolée dans une grande longueur, on peut rencon
s faisant suite à des segments altérés. Quelquefois au milieu des
fibres
les plus altérées, on dis- tingue un tube de tr
o-carminate d'ammoniaque. Sur les prépa- rations ainsi obtenues les
fibres
de la racine sensitive, qui traversent le gangl
us fort grossissement (obj. 6), on constate alors que beaucoup de
fibres
ont disparu, laissant à leur place une logette vi
es. Mais là ne se bornent pas les altérations existantes. Parmi les
fibres
qui contiennent encore de la myéline, c'est à p
postérieure, au contraire, il est impossible de découvrir une seule
fibre
intacte. Toutes sont lésées; tantôt la myéline
ongueur et partout il montre des altérations identiques. Toutes les
fibres
y sont lésées à des degrés différents qui varient
les parcelles de tissu conjonctif dissociées en même temps que les
fibres
nerveuses, les cellules plates ont paru plus no
s à son grand axa, ne présente aucune altération appréciable de ses
fibres
, de ses cellules ou du tissu conjonctif. Racine
rofondes dans toute l'étendue du sixième nerf intercostal, dans les
fibres
nerveuses qui traversent le sixième ganglion ra
ation en gouttelettes avec varicosités ou renfle- ments fusiformes,
fibres
provenant du nerf mentonnier (Obs. V). planche
planche III. Fig. il, 12, 13. Atrophie avec granulations ambrées
fibres
provenant du 1 le nerf intercostal (Obs. IV).
du voisinage de l'escliare fessière (Obs. I); fig. 16, faisceau de
fibres
non dissociées; / : y. 17, fibres isolées par la
re (Obs. I); fig. 16, faisceau de fibres non dissociées; / : y. 17,
fibres
isolées par la dissociation. Fig. 18. Coupe tra
t d'observer que les plaques terminales motrices reçoivent de fines
fibres
amyéliniques. Ces fibres sans myéline sont du m
s terminales motrices reçoivent de fines fibres amyéliniques. Ces
fibres
sans myéline sont du même genre que celles qui in
anger de cons- titution qu'on no put savoir si elles proviennent do
fibres
à myé- line. On a cependant pu voir plusieurs f
dant pu voir plusieurs fois un seul et même trous- seau fournir des
fibres
amyéiiniquesa à une plaque terminale et à un va
laque terminale et à un vaisseau sanguin; parfois une seule et même
fibre
se divisait en un rameau destiné au muscle et e
muscle et en un second destiné au vaisseau. D'ailleurs, ou bien la
fibre
amyéiique se rend dans la même plaque terminale
fibre amyéiique se rend dans la même plaque terminale, formée d'une
fibre
amyélique ordinaire, ou bien la fibre amyélique
laque terminale, formée d'une fibre amyélique ordinaire, ou bien la
fibre
amyélique constitue elle-même un appareil de te
rminales tant du même muscle que de divers muscles voisins. 3° Deux
fibres
ntyéli- niques peuvent aboutir à une seule et m
es tubercules quadrijumeaux; elles mettent en lumière le trajet des
fibres
à l'intérieur de ces organes et leurs connexions
me cause de la portion inférieure de la moelle lombaire limitée aux
fibres
du sciatique, on trouve une dégénérescence seco
t, par conséquent, en droit de supposer que ce système renferme des
fibres
en rapport avec le sciatique. Dans une observat
ransversal augmenterait chaque fois que s'y amas- sent de nouvelles
fibres
également accompagnées de courts tractus. Il fa
aux postérieurs fondamentaux. Elle ressortit peut-être à celles des
fibres
des racines postérieures qui, après leur arrivé
- phique. Il y, existe en tout cas des faisceaux mixtes. Quelques
fibres
disséminées des cordons latéraux dégénèrent aussi
'on;peut admettre une f a'etioii' tiophiqüe`'du ? aulionr'sur'les
fibres
" 'sensitives correspondantes, 'il '"est ! malaisé
Oui ii.r-iu-»Ci nia J-JC'JMtU'JU ? fi.1 truc lion 'de* la, té'des,
fibres
üer,véuses, et épaissÿsse- ment' du tissu conio
151 ([il n Il. ··t·tnm rcnr·1 4- ., 1 . .,tif ..nerveux s étend aux
fibres
qui traversent -le sixième - -j-ot c.,m.u .a.,
! l'l'1`1 ? En .aucun, des. points examinés, il n'existe .une, seule,
fibre
saine;.partout lâ mÿéliné est'dlmseë en gouttel
r, l'étude histologique Examen histologique. r Sciatique droit. Les
fibres
pro- venant du. nerf sciatique droit ,ne présen
ATHOLOGIE NERVEUSE. leurs' caractères normaux ; on'ne'trouvo aucune
fibre
'dégénérée. ), Sciatique gauche, rrr Il|n'en| e
trophié (type 3 ; la figure J 5 à 'été dessinée 'sur'' une1 dé' ces
fibres
) ? Certaines fibres ne sont plus représentées q
figure J 5 à 'été dessinée 'sur'' une1 dé' ces fibres) ? Certaines
fibres
ne sont plus représentées que parla gaine dc'Sc
' '" " M- * ' ' * D'ailleurs, même intégrité d'un certain nombre do
fibres
, mêmes altérations 9, y . rr rrr t i e 1 1 dcsp
e la chose' soit difficilc'à apprécier exactement,'1 le, nombre des
fibres
altérées semble ! proportionnellement plus, con
on musculaire'ont, leunraisoznen dehoys2d;une modification) déniai (
fibre
* musculaire elle-même^dans uiie-moclificâtionys
si.l'état cle la question : ' « Il est.probable, àit7.il ,,que,,Ies
fibres
, sensitives, et les i fibres, motrices, d'un ne
« Il est.probable, àit7.il ,,que,,Ies fibres, sensitives, et les i
fibres
, motrices, d'un nerf mixte ont leur,oriine·à,,pcu
mités d'un nerf sensitif tendent tout d'abord à'mettre' en jeu les
fibres
, motrices de ce nerf..));[) ..i<>1» l- »
ges,. prédominant au niveau, des noyaux ,d origine de cer- ..gaines
fibres
nerveuses ou au niveau de, leur; émergence Une
s nerveux ,il " ? t , ? . nécessalres am muscles - It " " 1 . des
fibres
motrices nécessaires aux muscles pour entrer en a
synergiques, et qu il existe une véritable syste- "'maUsatio'n'des
fibres
neWeuà'éii)iiériqÏiê ? dbs'Irer origine. ny ti'
eme sujet, -et qu'elles'' ? donnent toujours une même proportion de
fibres
aux mêmes 1 troncs nerveux. Quand on, examine
eau de'la : fusion de la racine'<sensitm ét : dela racine in les
fibres
présentent une combinaison inextricable/ et ilt
l impossible de dire dans quel ordre de superposi- tiômnaissent les
fibres
qui en partent pour : constitù'e^~r.l roncs neü
ent de la moelle tel nerf prend son origine; elles montrent que les
fibres
qui, constituent chaque, nerf sont fournies en.
te un groupement sys- tématique dans les trous de conjugaison-; des
fibres
nerveuses se rendent aux muscles,, à la peau qu
de, sa, gaine ! conjonctive,"on' le voit constitué pârlun, laçis de
fibres
) fusionnées* à maillés allongées, tout à fait c
r arriver, à, la.même destination. EnlI' somme, dans'.le trajet des
fibres
nerveuses, il ne parait y avoir"' · que deux po
ce, 1 un.rouloement,l , l, § f Ji tA.W 4'1 . 1. svstématiftue des
fibres
nerveuses- incitatrices .des mouvements, " ,. v
orat (Laborat. de Marey, IV, 1878-79) suit la marche et le rôle des
fibres
de ce nerf qui influencent, quel que soit leur
ait en être imputée à un défaut de conjonction unilatérale dans les
fibres
commissurales; conjonction qui, comme on sait,
ation en gouttelettes avec varicosités ou renfle- ments fusiformes,
fibres
provenant du nerf mentonnier (Obs. V). EXPLICAT
5 PLANCHE III Fig. il, 12, 13. Atrophie avec granulations ambrées
fibres
provenant du lie nerf intercostal (Obs. IV).
du voisinage de l'eschare fessière (Obs. I) ; fig. 16, faisceau de
fibres
non dissociées; fig. 17, fibres isolées par la di
ère (Obs. I) ; fig. 16, faisceau de fibres non dissociées; fig. 17,
fibres
isolées par la dissociation. Fig. 18. Coupe tra
la région olivaire gauche, intéressant le faisceau pyramidal et les
fibres
de ^hypoglosse (cas de Anna Goukowski). savez q
e- ber. Sans parler des cas où la lésion peut n'intéresser aucune
fibre
motrice, vous trouverez pour le pédoncule, comm
ceau spécial, qu'ils dénommaient faisceau de l'aphasie, et dont les
fibres
partant de la troisième circonvolution fron- ta
a pas eu destruction des noyaux du moteur oculaire com- mun ou des
fibres
nerveuses qui en émanent, mais simplement suspens
er spécialement les artères des racines et des noyaux d'origine des
fibres
du moteur oculaire commun destinés aux muscles
leur nutrition et dans leur fonctionnement (par la destruction des
fibres
d'association qui réunissent le lobe occipital et
ui président à sa diffusion, conditions aux- quelles assurément les
fibres
commissurales et d'association ne sont pas étra
ifs divers entre eux et avec les centres des souvenirs anciens. Les
fibres
d'association seront ainsi opposées aux fibres
uvenirs anciens. Les fibres d'association seront ainsi opposées aux
fibres
de projection qui mettent en rapport les organes
es et les centres corticaux. Histologiquement rien ne distingue les
fibres
d'association des fibres de projection, elles se
ux. Histologiquement rien ne distingue les fibres d'association des
fibres
de projection, elles se con- fondent dans la su
ité, montre que si seul le secteur moyen de l'hémisphère envoie des
fibres
de projec- tion dans le pied du pédoncule céréb
ieur et posté- rieur sont reliés au thalamus par de très nombreuses
fibres
de projection; la même année au mois de juin, a
sphères ne sont pas exclusive- ment formés par une seule variété de
fibres
(de projection, d'association ou commissurales)
rception qui se développent les premiers bientôt complétés par. des
fibres
à direction centrifuge, fibres de projection. Mai
premiers bientôt complétés par. des fibres à direction centrifuge,
fibres
de projection. Mais ces centres n'occupent qu'u
urs, les deux autres tiers reçoivent de ces centres sensi- tifs des
fibres
myélinées, ils sont destinés à la pensée, ils ne
e la partie postérieure des trois circonvolutions frontales, là les
fibres
sensitives se mettent en connexion avec les cel
sensitives se mettent en connexion avec les cellules d'origine des
fibres
motrices. La sphère auditive la dernière dévelo
temporale et l'oper- cule inférieur de la scissure de Sylvius ; les
fibres
du nerf cochléairese ter- minent là autour des
nerf cochléairese ter- minent là autour des cellules d'origine des
fibres
qui vont aux masses grises du pont et au delà à
ment indépendants des masses grises infé- rieures, ils n'ont pas de
fibres
de projection, ils reçoivent des filets centri-
s ni comparées, il n'y a aucun mouvement volontaire : peu à peu les
fibres
d'association vont unir ces sphères sensitivo-m
e souvenir puis la comparaison des diverses ima- ges ; de nouvelles
fibres
partant des centres psychiques vont aux sphères
n : cellules fusiformes géantes, surabon- 56 G. G.15G , dance des
fibres
intracorticales d'association déjà signalée sous
ne antérieure est dissociée après passage à l'acide osmique. Chaque
fibre
considé- rée isolément ne présente ni boules, n
e externe. Des racines postérieures il ne reste plus que quel- ques
fibres
, mais une coupe légèrement oblique entre la 5e et
s postérieures conservées au niveau des cordons postérieurs. Peu de
fibres
sillonnent les cornes postérieures. (Pl. X, A.)
térieurs. La coupe des cornes postérieures montre également plus de
fibres
dans leur intérieur. Trois régions sont essenti
essus s'applique à ces régions : pénétration en quantité moyenne de
fibres
postérieures au niveau des zones de Lissauer, m
veau de la 2e lombaire, on aperçoit les colonnes de Clarke dont les
fibres
blanches ont diminué légèrement de quantité. Les
dons postérieurs. La zone de Lissauer est légèrement sclérosée; des
fibres
assez nombreuses pénètrent dans la moelle, appart
pénètrent dans la moelle, appartenant surtout au groupe interne des
fibres
radiculaires postérieures. La zone de sclérose
nte de la corne postérieure qu'on voit encore se continuer avec les
fibres
postérieures, une zone en forme d'L qui borde l
sées. Dans la 90 o CE. ACIIARD ET L. LÉ VI corne postérieure, les
fibres
du faisceau réfléxo-moteur, ainsi que les collaté
nes de Lissauer, dans lesquelles pénètrent un assez grand nombre de
fibres
. Les lésions sont en outre disséminées dans la
rtie moyenne et interne du faisceau de Burdach, enfin une couche de
fibres
limitant la périphérie de la moelle, juxtaposée
xtaposée à la région de Goll sclérosée. On voit nettement certaines
fibres
des racines postérieures pénétrer d'emblée dans
ssi- ble, d'autre part, que, dans les racines sensitives, certaines
fibres
soient plus directement affectées à l'acte réfl
histologique. On sait en effet, que Ramon y Cajal (1) a divisé les
fibres
radiculaires postérieures en deux groupes : gro
, que la dégénération du tabes atteint d'une façon prédominante les
fibres
courtes des racines postérieures, comme le fait
ts de diffé- rentes formes; beaucoup plus rarement on rencontre des
fibres
muscu- laires striées, très peu modifiées. A
s les points où il entoure un grand nombre de coupes transverses de
fibres
, aussi bien que là où il sépare isolément les f
transverses de fibres, aussi bien que là où il sépare isolément les
fibres
les unes des autres, le tissu conjonctif est pr
e néoplasme a envahi une partie plus ou moins grande du muscle. Les
fibres
musculaires qui subsistent se montrent, dans la
érimysium externe élargi aux dépens des faisceaux musculaires ; les
fibres
musculaires elles- mêmes sont altérées, elles s
e plus cellu- ]eux et plus large avec des lésions concomitantes des
fibres
musculaires consistant dans la perte de la stri
rieur de l'abdomen, les séries étaient plus longues, dans une seule
fibre
, on en pouvait compter jusqu'à 15 placés les un
ourés par une membrane hyaline qui rappe- lait le sarcolemme. Les
fibres
atrophiées sont souvent entourées d'amas leucocyt
-ci se montrent souvent dans le périmysium interne, tout autour des
fibres
atrophiées, dont les noyaux et le sarcolemme se
et le sarcolemme se serrent contre la substance contractile. Les
fibres
musculaires sont-elles complètement détruites, il
les uns contre les autres. Une coupe longitudinale au point où les
fibres
musculaires s'insèrent sur le tendon fait voir
ESSIVE 123 Formation d'un tissu conjonctif adulte avec atrophie des
fibres
muscu- laires, telles sont en un mot les lésion
tices musculaires, particulièrement dans le sens de la longueur des
fibres
; ce dernier est souvent traversé, par des trav
ur des fibres ; ce dernier est souvent traversé, par des travées de
fibres
musculaires, quel- ques-unes indemnes, d'autres
es lisses. Il est probable qu'elle peut atteindre tout le système à
fibres
striées ; cependant les sphincters, le diaphrag
ombaire (ossifications qui suivent presque tou- jours le trajet des
fibres
musculaires, et marquent la place des muscles m
isseur, ils sont fibreux ; il en est de même des temporaux dont les
fibres
antérieures cependant font une saillie sen- sih
plus élevées et l'on rencontre encore une assez grande quantité de
fibres
saines. Région lombaire. Sclérose des cordons p
rées (zones radiculaires postérieure et moyenne) il y a un semis de
fibres
saines. Dans les cordons latéraux il existe une
nd nombre et paraissent plus petite que sur une moelle normale. Les
fibres
pa- raissent aussi atrophiées. ' Région cervi
s posté- rieurs, la zone radiculaire antérieure possède beaucoup de
fibres
saines. Le faisceau pyramidal direct est très a
érieures présentent de très grosses lésions de dégénérescence ; les
fibres
à myéline sont très nombreuses ; d'en existe au
. Tous présentent des lésions de dégénérescence très manifeste. Les
fibres
à myéline sont en très petit nombre. Dans un ne
etit nombre. Dans un nerf musculaire, le nerf du biceps crural, les
fibres
saines sont en plus grand nombre. Des fragmen
e, on distingue un ou deux faisceaux constitués entièrement par des
fibres
grosses qui doi- vent représenter uniquement le
nts de la racine antérieure; à côté, d'autres faisceaux composés de
fibres
grosses et petites et provenant de la racine po
racine postérieure, etc. De tout cela, nous pouvons retenir que les
fibres
fines qu'on observait 1 dans les nerfs mixtes,
ovenir uniquement des racines posté- rieures et être par conséquent
fibres
sensitives, el que d'une même pro- venance et d
que d'une même pro- venance et d'une même nature devaient être les
fibres
fines trouvées dans les nerfs musculaires. Il
eich, il existait dans les nerfs mixtes une atrophie systématique des
fibres
sensitives tant cutanées que musculaires. » L
ularités suivantes : les py- ramides manquent (Fig. 2) et comme les
fibres
qui d'ordinaire viennent du cordon latéral, à t
les olives se sont associées et au-dessous de celles-ci passent les
fibres
arciformes externes. Les py- ramides qui auraie
a une fonction plus importante purement physiologique. Si chaque
fibre
nerveuse sensitive est capable de recevoir et de
es d'un autre type, qui sont aussi capables, comme plusieurs autres
fibres
, de transmettre la sensation de la douleur (ner
broyement), le nombre des éléments nerveux lésés, leur qualité (une
fibre
nerveuse calorique ou ter- minaison tactile) on
par la méthode de Pal, on constate un certain état d'a- trophie des
fibres
nerveuses, surtout par comparaison avec les coupe
nales, on voit des traînées embryonnaires dirigées dans le sens des
fibres
musculaires. La striation des libres est très n
de Ma rchi n'a point montré de lésion systématisée sur un groupe de
fibres
. Par ci par là on note sur quelques tubes à myéli
nous n'avons constaté trace de sclérose. Les différents groupes de
fibres
il myéline de la substance grise ne nous ont pas
rne les muscles, une diminution de nombre plutôt que de volume, des
fibres
musculaires et des nerfs et pro- posa pour cett
e en rien de cet os : même couleur, même dureté, même direction des
fibres
, et le périoste se con- tinuant avec celui de l
st entièrement ossifié; tous conservent encore un certain nombre de
fibres
charnues, et surtout chez aucun les tendons n'ont
ur le biceps du côté droit dont le tendon terminal seul et quelques
fibres
charnues, en bas, et le ten- don de la longue p
as, et le ten- don de la longue portion, en haut, sont sains. Les
fibres
charnues s'insèrent sur les portions ossifiées de
e la même manière qu'elles le font sur les autres os par de petites
fibres
aponévrotiques qui vien- nent s'unir et se conf
arge de 8/10 à 2 pouces, épaisse de 2 à 4 lignes, s'attache par des
fibres
tendineuses à la crête iliaque gauche, à 1 pouce
des vertèbres dorsales, depuis la 7" jusqu'à la 2", par de courtes
fibres
tendineuses. De la partie supérieure et externe
à 1/2 pouce et de 2 il 3 lignes d'épaisseur. Elle s'insère, par des
fibres
tendineuses, à la partie postérieure de la crête
end de la 11° vertèbre dorsale au milieu du sacrum adhérent par des
fibres
tendineuses aux apophyses épineuses des deux de
errière la bande 284 A. WEILL ET J. NISSIM longitudinale dans les
fibres
du grand dorsal et se termine en s'épaississant
où elle se réunit à un fragment osseux de 2 pouces adhérant par des
fibres
tendineuses il l'angle de l'omoplate, et siégea
s bandes osseuses, longues de 3 à si pouces, siégeant au milieu des
fibres
des pectoraux, s'insèrent parleur extrémité ant
induit déter- mine en quelques endroits la contraction de quelques
fibres
dans les muscles atteints. La teinture d'iode d
i commence il l'apophyse mastoïde gauche et suit la di- rection des
fibres
du trapèze en se dirigeant en bas. Le trapèze s
racique. Sur la face postérieure de l'iliaque gauche, en avant des
fibres
du grand fessier, masse osseuse comme un neuf d
de la deuxième côte, vont au bras; elles croisent la direction des
fibres
musculaires. Au-dessous, le bord inférieur du g
'à la crête iliaque. Des bandes osseuses suivent la direc- tion des
fibres
du trapèze dans la paroi postérieure du thorax, e
ïdien, se voit une exostose de 2 centimètres qui suit le trajet des
fibres
musculaires. Epaississement probable du maxillair
, surtout abondant sous la muqueuse génienne, est constitué par des
fibres
fines, pauvres en cel- lules et traversé par de
ts adi- peux et conjonctif dissocient et étreignent de ci de là les
fibres
musculaires qui ne prennent qu'une faible part
le ; à droite, l'excitabilité est diminuée peut- être parce que les
fibres
sont dissociées et parce que la résistance est au
o-dilatatrices du nerf, subordonnée aune affection irrita- tive des
fibres
nerveuses. Expérimentalement (en '18M)M. Schiff
es olfactifs; toutefois, elle, n'a pas empêché le développement dos
fibres
olfactives, qui partent des bul- bes en grande
uelques jours ou même de quelques semaines ; chez ces -derniers les
fibres
du fais- ceau pyramidal ne sont pas encore reco
pédoncules cérébelleux antérieurs a déjà eu lieu, non seulement les
fibres
de la voie pyramidale sont absentes, mais encore
ent les fibres de la voie pyramidale sont absentes, mais encore les
fibres
ponto-protubérantielles et les libres occipito-pr
a pas de pulvinar, en outre à la base du pé- doncule cérébral, les
fibres
à myéline manquenl totalement (PI. XLV, X). Enf
rantielles ; le noyau lenticu- laire, le corps sous-thalamique, les
fibres
de la couche optique qui vont vers le corps len
- misphéres ; 2° l'absence de voies pyramidales ; 3° l'absence de
fibres
unissant la substance grise du pont de Varole a
du système frontal et temporal du pont de Varole (c'est-à-dire des
fibres
qui unissent le pont de Varole au cerveau) et l
nière au bulbe, existe une membrane, dans laquelle on distingue des
fibres
de myéline. Dans le cas du cyclope (Cas VI), ch
ls étaient, il la périphérie, enveloppés d'une couche très fine des
fibres
myéliniques. Plus haut, dans la région où la co
du trijumeau. b. Cas 1', Moelle épinière et membrane recouverte de
fibres
myéliniques, racines postérieures. c. - Cas Il'
SOLOVTZOFF moelle épinière, il savoir : des cellules nerveuses, des
fibres
myéliniques et même des racines antérieures par
térieure de ce tube à la périphérie une bande étroite consistant en
fibres
myéliniques, il travers lesquelles passent les
région lombaire. A gauche des 5e et 6e vertèbres dorsales, dans les
fibres
les plus inférieures du trapèze, masse arrondie
ts de différentes formes, beau- coup plus rarement on rencontre des
fibres
musculaires striées, très modifiées. Au bout de
ent des cinquième et sixième paires, traversent avant de s'unir les
fibres
du muscle scalène postérieur. 11 arriverait même
r. 11 arriverait même parfois que le tronc du nerf traverserait ces
fibres
musculaires. Cette dis- position favorise-t-ell
le du bras, du fait de l'omoplate ailée, l'insertion scapulaire des
fibres
du grand den- telé se trouve reportée très en a
un tiraillement, qui se fera sentir sur l'insertion costale de ces
fibres
, et amènera un cer- tain degré de voussure et d
gauche est très raccourci, mais on ne cons- tate pas d'os dans ses
fibres
, excepté un tout petit noyau sur son bord anté-
points où il entoure un plus grand nombre dû coupes transverses de
fibres
, que là où il sépare les fibres les unes des autr
and nombre dû coupes transverses de fibres, que là où il sépare les
fibres
les unes des autres, il y a une prolifé- ration
le, sans limites précises ; le muscle est souple sauf au niveau des
fibres
de la 3° côte qui forment une corde mince. Tumeur
upant la partie moyenne du deltoïde gauche, tumeur sur laquelle les
fibres
musculaires se contractent en levant le bras, l
ondent à la 10e côte, sur une longueur de 10 centimètres, là où les
fibres
pouvaient se déta- cher le plus de la côte. 1
rtie du grand trochanter, la tumeur suit en partie la direction des
fibres
, en partie elle les croise; elle soulève les mu
latéraux, un triangle caractérisé par un amincissement anormal des
fibres
nerveuses. C'est là, d'après l'auteur, l'anomal
uses antérieures. Tandis que chez les individus sains d'esprit, les
fibres
nerveuses y présentent un diamètre ordinaire, c
nerveuses y présentent un diamètre ordinaire, chez les aliénés les
fibres
ne mesurent pas plus de 4 p. à 1 M 3. Ce triang
entes du faisceau pyramidal et latéro-cérébelleux et formée par des
fibres
du plus mince calibre. Les meilleures coupes tr
s éléments, et espaces péricellulaires très augmentés ; les petites
fibres
de cette région ont disparu. Dans les cornes post
res, il n'y a plus que quelques cellules éparses. Les trousseaux de
fibres
nerveuses ont perdu leur myéline et les cylindrax
rescence de diverses parties des cordons postérieurs et la perte de
fibres
dans les faisceaux cérébelleux et pyramidaux ;
terne, inflammation granu- leuse de l'épendyme. Les cellules et les
fibres
de l'écorce out dis- paru ; intégrité de la sub
faisceaux : l'interne ou celui de Goll, qui se dis- tingue par des
fibres
plus fines, adhère à la scissure postérieure et
vie intra-utérine; mais ce n'est que quatre mois plus tard que les
fibres
de ces faisceaux reçoivent leur enveloppe de my
1885, n" 2. DES CORDONS POSTERIEURS' DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 1 î )
fibres
dont l'enveloppe à myéline était déjà sensible-
épinière des embryons au neuvième mois de leur vie utérine, que les
fibres
des parties internes des faisceaux de Goll poss
tableau perd considérablement de sa clarté. Le motif de ce que les
fibres
des fais- ceaux de Goll ne se recouvrent pas si
ans la dualité de leur origine (flq. 5, G et 7). ' Une partie des
fibres
, d'après Flechsig, part de cor- dons de Clark e
tteint ainsi la région des faisceaux de Goll ; la seconde partie de
fibres
forme avant sa jonction à la substance blanche
blanche la partie intégrante de la commissure posté- rieure ; ces
fibres
émergent des cornes postérieures, le long du bo
tale et arrivent au septum posterius. Le septum contient encore des
fibres
, pro- ÉTUDE DE l'ÉTIOLOGIE DU TARES. 183 vena
cordons de Clark. J'ai pu constater sur mes préparations, que les
fibres
de la commissure postérieure étaient encore pri
es de la myéline, ou n'en avaient qu'une faible quantité, quand les
fibres
des cordons de Clark se dis- tinguaient déjà pa
q. 5, 6, 7). Me basant là-dessus, je suis enclin à croire que les
fibres
des faisceaux de Goll, qui débouchent des cor-
se trouvent dans l'intérieur même de ces faisceaux, tandis que les
fibres
de la commissure postérieure constituent la par
ituent la partie externe. Quant à l'extrémité de ces deux genres de
fibres
, il est évident qu'elles la trouvent simultaném
s troubles psychiques, ainsi que les rôles importants joués par les
fibres
commissurales entre les centres visuels et audi
; -, ce n'est qu'en dernier lieu que le noyau change déforme. Les
fibres
nerveuses subissent une dégénérescence graisseuse
ons humains de 28 centimètres de long ; à cette période, toutes les
fibres
de la région comprise entre le plancher du quat
té le corps trapézoïde), sont dépourvues de myéline, tandis que les
fibres
radiculaires en sont déjà pour- vues. Les fib
, tandis que les fibres radiculaires en sont déjà pour- vues. Les
fibres
du vague, arrivées dans le bulbe, entrent pour la
urbent pouratteindre le nucleus ambiguus du même côté. Le reste des
fibres
radiculaires gagne le faisceau solitaire du bul
s pyra- mides. Il ne dépasse pas en haut le point d'émergence des
fibres
radiculaires du vague. Il ne contient que des fib
mètres, où le vague seul est muni de myéline, on cons- tate que ces
fibres
ne forment que le tiers du faisceau solitaire.
éthode de Flechsi-, la constitution du corps restiforme. Toutes les
fibres
du corps restiforme ne s'entourent pas de myéli
nq ordres qui sont, suivant la date d'apparition de la myéline : Il
fibres
venant du faisceau cérébelleux direct ; 2" fibr
e la myéline : Il fibres venant du faisceau cérébelleux direct ; 2"
fibres
venant du noyau du faisceau de Burdach du même
; 2" fibres venant du noyau du faisceau de Burdach du même côté; 30
fibres
sortant du novau REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 215 du faisceau latéral du même côté; 10
fibres
arciformes externes, antérieures et postérieure
postérieures, du faisceau grêle du même côté et du côté opposé; 5°
fibres
venant de l'olive inférieure du côté opposé. To
; 5° fibres venant de l'olive inférieure du côté opposé. Toutes ces
fibres
forment trois faisceaux. Lé premier contient tr
bres forment trois faisceaux. Lé premier contient trois systèmes de
fibres
: 10 des fibres du faisceau cérébelleux; 2° des
is faisceaux. Lé premier contient trois systèmes de fibres : 10 des
fibres
du faisceau cérébelleux; 2° des fibres du noyau
systèmes de fibres : 10 des fibres du faisceau cérébelleux; 2° des
fibres
du noyau du faisceau cunéiforme;' 3° des fibres
cérébelleux; 2° des fibres du noyau du faisceau cunéiforme;' 3° des
fibres
du faisceau latéral. Toutes ces fibres montent en
faisceau cunéiforme;' 3° des fibres du faisceau latéral. Toutes ces
fibres
montent en haut et en avant, en se rapprochant
rtie allant au côté opposé. Le deuxième faisceau, constitué par les
fibres
du cordon grêle, se sépare du précédent, se dév
yenne du vermis supérieur. Le troisième faisceau, constitué par les
fibres
de l'olive infé- rieure, se disperse dans la su
grises de l'aqueduc de Sylvius et les noyaux des nerfs moteurs. Ses
fibres
s'entourent de myéline en même temps que celles
constitution de ce faisceau qui contient, selon cet auteur : 1° des
fibres
commissurales à court trajet; 2° des fibres commi
lon cet auteur : 1° des fibres commissurales à court trajet; 2° des
fibres
commis- surales à long trajet, qui réunissent l
les noyaux moteurs des yeux-, et dégénèrent de bas en haut; 3° des
fibres
qui passent dans la partie centrale de la commi
pas des fibres- d'association. D'après Darschlcevitch, les quelques
fibres
du tractus optique qui- passent par le corps gé
dégénérescence de la commissure i antérieure. On admet que quelques
fibres
de la commissure» e blanche viennent des lobes
nt des lobes olfactifs, mais la provenance délai plupart des autres
fibres
est à peu près inconnue. Suivant 276 REVUE DE P
M. Popoff a constaté la disparition presque complète de toutes les
fibres
de la commissure antérieure, ce qui légitime par-
reconnu dans les racines postérieures l'existence de deux ordres de
fibres
qui se séparent à leur entrée dans la corne pos
térieure et forment deux faisceaux : un faisceau interne si grosses
fibres
et un faisceau externe à fibres grêles. Les gro
ux : un faisceau interne si grosses fibres et un faisceau externe à
fibres
grêles. Les grosses fibres se développent les p
grosses fibres et un faisceau externe à fibres grêles. Les grosses
fibres
se développent les premières et se couvrent de
un trajet horizontal dans la substance grise ; quelques-unes de ces
fibres
entrent en con- nexion avec les cellules de la
directement, soit en traversant la zone radiculaire antérieure. Les
fibres
grêles se développent peu de temps avant la nai
ent dans la substance gélati- neuse et se placent entre les grosses
fibres
. Dans le renflement lombaire, cette dernière pa
osses fibres. Dans le renflement lombaire, cette dernière partie de
fibres
grêles occupe la région la plus externe des cor
ach. De la colonne de Clarke, où aboutissent la plupart des grosses
fibres
, partent trois ordres de fibres : 1° Les unes t
aboutissent la plupart des grosses fibres, partent trois ordres de
fibres
: 1° Les unes traversent le cordon latéral vers s
artie postéro-interne des cordons de Burdach ; quelques-unes de ces
fibres
prennent part à la cons- REVUE DE PATHOLOGIE NE
cellules de la corne postérieure, où aboutissent principalement les
fibres
grêles partent des fibres minces qu( passent so
rieure, où aboutissent principalement les fibres grêles partent des
fibres
minces qu( passent soit en dedans, soit en deho
et forment le faisceau limitant du cordon antéro-latéral. D'autres
fibres
partant de ces cellules forment le plus grande
ande partie des cordons de Goll. En résumé, il y a deux systèmes de
fibres
bien distincts ·.' [" les grosses fibres intern
é, il y a deux systèmes de fibres bien distincts ·.' [" les grosses
fibres
internes, donnant naissance à la partie périphé
ons de Burdach, et au faisceau cérébel- leux direct ; 2° les minces
fibres
externes formant un système' particulier du cor
dis que le faisceau interne remplit des fonctions réflexes (par les
fibres
qui réunissent la corne postérieure-à la corne
rvir cette fonction. Quant aux radicules externes, celles de, leurs
fibres
qui participent à la constitution des cordons de
onnées pathologiques ne donnent que des résultats négatifs ; 2" ces
fibres
ne sont pas entre-croisées tandis;que les faits
férentes parties du système nerveux n'apparaît qu'à l'époque où les
fibres
du système que l'on considère sont pourvues de
ésultat. Au cinquième jour tout le cordon postérieur contient des
fibres
à myéline, et le cordon de Goll excité donne nais
développées depuis longtemps, démontre l'excitabilité propre de ses
fibres
. . De même les fibres du faisceau pyramidal qui
gtemps, démontre l'excitabilité propre de ses fibres. . De même les
fibres
du faisceau pyramidal qui se couvrent de myélin
émi-section de la moelle n'a jamais vu se faire la régénération des
fibres
coupées, bien que les animaux eussent survécu a
rofes- seur Popoff ; Au neuvième mois de la vie embryonnaire, les
fibres
internes des cordons de Goll contiennent déjà d
des cordons de Goll contiennent déjà de la myéline, tandis que les
fibres
externes en sont dépourvues; donc le cor- don d
nt au moins deux faisceaux particuliers. M. Popoff soutient que les
fibres
internes émanent de la colonne de Clarke. Nou
étudié les terminaisons centrales du trijumeau; il soutient que ses
fibres
radiculaires n'ont aucun rapport avec le cervel
u trijumeau au delà du ganglion supprime la dilatation directe. Ces
fibres
passent par les nerfs ciliaires longs, car la s
blation du ganglion ciliaire ne produisent rien. Une partie de ces
fibres
part directement de l'encéphale, et suivent, sans
ur de l'acoustidue (noyau antérieur deMeynert),en connexion par des
fibres
du corps trapézoïde avec l'olive du même côté et
côtoyée par le noyau antérieur, le dépasse en arrière, embrasse les
fibres
restiformes, fait un crochet en dedans, et gagn
s restiformes, fait un crochet en dedans, et gagne ce qui reste des
fibres
restiformes au niveau du plan supérieur de la f
che devient un noyau supéro-dorsal, au voisinage du raphé; mais ses
fibres
ne sont point en rapport avec le noyau interne
Réil, il, dans le cervelet : par le faisceau iatéropyramidal et les
fibres
cérébellobulbaires. Le cervelet s'associe en so
ur et élroitesse de plusieurs racines but. baires; nombre infini de
fibres
étroites pouvant peut-être imposer l'idée d'une
l'élément psychopathique dé- pressif accompagné de contraction des
fibres
musculaires lisses et d'affaiblissement de la c
ent. La racine postérieure participe à la genèse d'un feu- trage de
fibres
dans la substance grise du toit ; de ce feutrage
r, Mayser) viennent s'entre-croiser sur la ligne médiane, enfin les
fibres
qui pénètrent dans le stratum zonal de ce qui s
interne). Tout ce système d'association tectobasal ne reçoit pas de
fibres
distinctes du nerf optique. La formalion réticu
longitudinal postérieur, d'un fascicule originaire du cervelet, de
fibres
envoyées par le système d'association tectobasal.
contrairement à ce qu'en dit Mayser, ne dérive pas exclusivement de
fibres
ascen- dantes. Les pédoncules cérébelleux supér
e terminent dans des cellules ovales à uoyau vésiculaire. Parmi les
fibres
ascendantes, il faut, en sus des faisceaux long
faisceaux longitudinaux postérieurs qui perdent une partie de leurs
fibres
dans les plans d'origine du moteur oculaire commu
ysaire) dans le ganglion de l'habenula'. Mentionnons finalement les
fibres
se dirigeant au-dessus du lobe inférieur. Voy
cent. Ils constituent des moweue : lsrNflexes en connexion avec les
fibres
308 SOCIÉTÉS SAVANTES. d'association par l'in
en droit d'admettre une altération interrompant la continuité des
fibres
reliant les deux sphères visuelles au centre de l
t intactes, la cécité psychique peut résulter de la destruction des
fibres
d'association qui joignent les centres des images
bout de quelques mois. Ce rétablissement du membre serait dû à des
fibres
suppléantes, car jamais on n'a pu constater de
encore que la dégénération soit simul- tanée sur tout le trajet des
fibres
. La question de la nature de la dégénération se
ces faits font ressortir d'une manière toute spéciale, le rôle des
fibres
des cordons postérieurs de la moelle épinière;
pas directement de l'insensibilité mais sont sous la dépendance de
fibres
trophiques spéciales. REVUE DE PATHOLOGIE NERVE
te parenchymateuse la lésion peut porter exclusivement soit sur les
fibres
sensitives, soit sur les fibres motrices (exemp
t porter exclusivement soit sur les fibres sensitives, soit sur les
fibres
motrices (exemple : la lésion due au curare); l
araissaient plus petites que normalement. Mais il n'existait pas de
fibres
d'association entre les petites circonvolutions
et les circonvolutions nor.- males. Ce fait prouve l'importance des
fibres
d'association et l'inutilité d'un grand nombre
i- tablement due à l'interruption anatomique ou fonctionnelle des
fibres
médullaires au point comprimé ». Nous reviendrons
ent, « sont dues à l'interruption anatomique et fonction- nelle des
fibres
médullaires du point comprimé », et qui cependa
e volume, aplatie d'avant en arrière et déjetée latéralement. Les
fibres
colorées en noir par la méthode de Pal sont en tr
ndre un aspect normal. Les cornes antérieures sont bien nettes, les
fibres
qui les circonscrivent sont bien noires, bien n
res (colonne de Clarke). Les racines contiennent un grand nombre de
fibres
saines. Plus bas encore, la moelle continue à a
sont fortement teintés ; les cordons de Goll renferment quelques
fibres
saines. Les racines sont normales. A la hauteur
t et gauche,) ont été traités par l'acide osmiqup et dissociés. Les
fibres
nerveuses sont bien colorées en noir, bien cyli
sont bien colorées en noir, bien cylindriques. On ne trouve pas de
fibres
moniliformes ni de gaines vides. ' En résumé
n sont la conséquence), .excite ou supprime le fonctionnement des
fibres
des racines. Aussi la constitution symptomatiqu
méninges spinales plus rarement prises. Le reste du tissu nerveux,
fibres
et cellules des colonnes de Clarke, cellules de
ines postérieures, pour occuper, au sein de ces dernières, soit des
fibres
d'une zone embryonnaire déterminée, soit à la f
dorsale supérieure et dans la moelle cervicale, tandis que d'autres
fibres
dudit faisceau peuvent être suivies jusque dans
teint en outre le faisceau sulco-marginal ascendant (Marie), et des
fibres
éparses des cordons antéro-latvruux ; 5° les cord
e en montant ? A la suite de la lésion transverse de la moelle, les
fibres
qui ont d'abord à subir une dégénérescence grav
avec la myélite aiguë, précisément la dégénérescence exclusive des
fibres
très longues, tant daus le cordon pyramidal que
pyramidal que dans le cordon posté- rieur. Comme dans la moelle les
fibres
longues sont entremêlées de libres à trajet plu
nt entremêlées de libres à trajet plus court, la dégénérescence des
fibres
longues n'apparaît nette que la où il n'y a plu
ence des fibres longues n'apparaît nette que la où il n'y a plus de
fibres
courtes et où, de plus, les fibres longues sont
nette que la où il n'y a plus de fibres courtes et où, de plus, les
fibres
longues sont plus drues et plus épaisses. C'est c
gues sont plus drues et plus épaisses. C'est ce qui a lieu pour les
fibres
du cordon latéral des pyramides au niveau du se
postérieur au niveau du segment le plus élevé. Peut-être aussi les
fibres
longues sont-elles moins résistantes que les fibr
-être aussi les fibres longues sont-elles moins résistantes que les
fibres
courtes (Leyden et Goldscbeider). - - P. KERAVA
cbeider). - - P. KERAVAL. XII. Des proliférations circonscrites des
fibres
musculaires lisses dans les vaisseaux de la moe
ne sphère par rapport à la direction longitudinale du vaisseau. Les
fibres
sont tantôt réunies en faisceaux, dont les fibr
les transverses : par places on voit plusieurs faisceaux, les uns à
fibres
obliques ou transverses, les autres à fibres lo
s faisceaux, les uns à fibres obliques ou transverses, les autres à
fibres
longitudinales. L'artère du sillon antérieur es
es parties voisines. En ces points, sous le microscope, on voit les
fibres
d'un bleu prononcé tandis que les gros tractus
squ'à ce quelles se fusionnent au niveau de l'entre- croisement des
fibres
sensitives. H. C. XXIII. Tumeur cérébrale : par
inje, soit par lésions de celles qui envoient leurs cylindres-axes (
fibres
moussues) autour des grains. Il s'agirait alors d
stent étrangers à la cellule, qui, en qualité de bouts centraux des
fibres
nerveuses, n'arrivent à la cellule que plus tar
ules qui forment la couche supérieure se transforment en cordons de
fibres
, dont chacune pénètre dans les couches profonde
lule, en dessinant ainsi un fuseau : si non, les deux moitiés de la
fibre
qui ont enclavé le noyau divergent et détermine
ellule pyramidale. La structure fibrillaire déjà apparente dans les
fibres
non divisées, devient, après leur bifurcation,
devient, après leur bifurcation, tout à fait nette, au point où les
fibres
tendent à se partager. Les fibrilles sont tantôt
travail avec planches. En tout cas, la cellule nerveuse a, comme la
fibre
, une origine pluricellulaire, et les substances
e de la duré de l'anémie expé- rimentale. P. IiERAV.1L. XXIX. Des
fibres
spinales ascendantes croisées et de leurs rapport
ent aux cordons antérieurs et latéraux. pour monter au cerveau. Ces
fibres
ne sauraient encore être sûre- ment distinguées
s argu- ments en faveur de l'existence dans les cordons latéraux de
fibres
sensorielles croisées. La preuve anatomique dem
E ET DE/ PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 1 53 Gowers : une partie de ces
fibres
, par le faisceau spino-cérébelleux postérieur,
ts termi- naux du système du ruban de Reil. Un nombre assez fort de
fibres
resterait dans la substance grise de la moelle,
mation réticulaire et dans d'autres massifs gris. Du côté lésé, nos
fibres
forment une partie du faisceau de Gowers, qui a
es mêmes rapports quant à ses points terminus : par conséquent, les
fibres
entrecroisées ascendantes, dans la partie supérie
ande partie constituées des neurones voisins du centre. Quant aux
fibres
botnolatérales qui se rendent au faisceau de Gowe
Gowers dégénère et du même côté et du côté opposé. L'origine des
fibres
ascendantes entrecroisées paraît être les régio
entrecroisées, dont le trajet est exactement semblable à celui des
fibres
ascendantes. Les conditions de leur entrecroise
après les points où il se ter- mine, on peut lui reconnaître 1° des
fibres
spirzo-cérébelleuses anléro- postérieures, qui,
et (système spinal antéro-latéral restiforme de Tschermak) ; 2° des
fibres
spino-cérébelleuses antérieures, qui cor- respo
s, qui cor- respondent rigoureusement au faisceau de Gowers; 3° des
fibres
spino-tectiiles et des fibres spino-thalamiques
usement au faisceau de Gowers; 3° des fibres spino-tectiiles et des
fibres
spino-thalamiques ascendantes. Il est opportun
thalamiques ascendantes. Il est opportun de mettre en parallèle les
fibres
obliques cirzé7éôrzyes, qui de la substance gri
r de l'autre, libres obliques de la commissure antérieure, avec les
fibres
transverses qui unissent la substance grise il
s qui unissent la substance grise il la substance grise. Celles des
fibres
ascendantes à court trajet dont on n'arrive à t
'origine ni la terminaison, sont certainement des mor- ceaux de ces
fibres
obliques sectionnées et extirpées de leur trajet
- dant et Sherrington). Tous les vertébrés possèdent vraiment des
fibres
croisées ascendantes qui unissent la substance gr
se myélinise : d'ailleurs partout, en d'autres régions, on voit des
fibres
à myélinisation hâtive. Le pied des frontales est
noyaux des cellules ganglionnaires. Raréfaction très prononcée des
fibres
tan- gentielles de l'écorce, notamment dans les
à cet endroit on remarque également une raré- faction du réseau des
fibres
« sus-radiaires ». On trouve à peu près les mêm
multiplier et à s'effiler (en longueur); 2° la gaine de myéline des
fibres
nerveu- ses devient plus mince et se colore fai
presque complètement, ce qui met à nu le réseau achromatique de la
fibre
. Parfois on trouve dans la gaine de myéline des
philes ; 3° les cylindres-axes se conservent, mais dans beaucoup de
fibres
, ils présentent des épaississements fusiformes et
ations décrites plus haut, sont de nature atrophique; dans quelques
fibres
isolées seulement on trouve la dégénération wal
de Thomsen était due à une affection des plaques terminales et des
fibres
des muscles en rapport avec une prolifération a
à partir de son extrémité éloi- gnée du centre. Quand en effet les
fibres
sont séparées de leurs cellules, l'influence tr
luence trophique de celles-ci cesse sur n'importe quelle partie des
fibres
qui en est séparée, quel qu'en soit l'éloignement
e facilement masquée par places par un très faible mélange avec des
fibres
normales bien colorées. La décoloration reparai
dans les régions élevées, où le cordon de Goll contient de longues
fibres
pressées les unes contre les autres. Le thème des
ions trophiques auxquelles sont soumises les portions éloignées des
fibres
nerveuses, par suite plus aisément accessibles
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 305' , Il faut encore penser que les
fibres
du faisceau de Goll ne s'ont eh' quelque sorte
sceau de Goll ne s'ont eh' quelque sorte guère groupées, et que les
fibres
qui correspondent aux racines postérieures du s
ines postérieures du sciatique occupent la ligne médiane. Quant aux
fibres
à trajet longitudinal de, la corne postérieure, e
hement des ganglions spinaux pas non plus de dégénéres- ' cence des
fibres
longitudinales de la corne postérieure : chez un'
sur des coupes transverses et perpendiculaires, permis de voir des
fibres
affectant la direction longitudinale à travers
Quand ces contractions sont d'origine mentale, elles éma- nent des
fibres
vaso-motrices du sympathique. Il est à penser,
é, pour obtenir la réaction, par ce fait que de forts trousseaux de
fibres
de l'élévateur de la paupière vont à la peau, e
que (infiltration dans le voisinage et dégénérai ion secondaire des
fibres
de la capsule interne). L'alcoolisme du malade
e médullaire également. Altérations parenchymateuses diffuses des
fibres
nerveuses, oedème de la névroglie. Dans la région
sentent des altérations parenchymateuses graves des cellules et des
fibres
. Dans la plupart des cellules, on trouve de la
ions, d'après \Iarclii, on constate une dégénération graisseuse des
fibres
sous-corticales. Périartérite modérée. Pas d'hémo
ite granuleuse et de lésions paren- chymateuses des cellules et des
fibres
de l'écorce cérébrale. Comme ces dernières lési
ivement innervé par le musculo-cutané, mais peut-être aussi par les
fibres
du médian associées à ce nerf. L'atrophie des m
Bechterew, il n'y a ni périoste, ni tissu tendineux, mais bien des
fibres
supérieures et horizontales du grand dorsal. Eh
ont observés, ils dédui- sent les conclusions suivantes : 1° Les
fibres
émanées de l'olive bulbaire aboutissent à la part
s altérations réparables des éléments paren- chymateux, cellules et
fibres
nerveuses, dans le territoire privé transitoire
qui partent de ces cellules, ne sont autres que les cylindraxes des
fibres
du nerf optique. Ils convergent vers la papille
crâne. Après un trajet intra-crânien de 10 à 12 millimètres, les
fibres
du nerf optique subissent un entrecroisement part
Cal, scissure calcarine. - Cu, cuneus. 450 CLINIQUE NERVEUSE. les
fibres
nerveuses qui tirent leur origine du segment tem-
la décussation, elles vont aboutir à l'hémisphère du même côté; les
fibres
ner- veuses qui tirent leur origine du segment
aches jaunes. En définitive, chaque bandelette optique renferme des
fibres
venues des deux globes oculaires : , La bande
x globes oculaires : , La bandelette optique de droite renferme les
fibres
issues du segment temporal de l'oeil droit et c
le trajet de la voie optique jusqu'à son terminus, nous verrons les
fibres
constituantes de chaque bandelette optique abou
de la;couche optique. De ces trois territoires d'aboutissement des
fibres
réti- niennes du nerf optique, le premier est d
cas d'hémianopsie. 451 important ; il reçoit environ 80 p. 100 des
fibres
en ques- tion. A l'idée de la plupart des ana
gue à ce que sont les noyaux de Burdach et de Goll, par rapport aux
fibres
sensitives, issues des ganglions spi- naux. Con
bres sensitives, issues des ganglions spi- naux. Conséquemment, les
fibres
rétiniennes du nerf optique viendraient se term
étinienne et son prolongement long, qui forme le cylin- draxe de la
fibre
nerveuse constituante du nerf optique. Au delà
dans la substance blanche de l'axe cérébro-spinal se mêleraient aux
fibres
du tiers pos- térieur du bras postérieur de la
e interne, pour gagner ensuite les centres visuels corticaux. Les
fibres
de cette seconde catégorie concourraient donc 4
mpressions visuelles venues de la péri- phérie. Au contraire, les
fibres
du premier groupe, celles qui vont aboutir aux
le chiasma et les centres corticaux de la vision, interrompt les
fibres
destinées au segment temporal de l'oeil du même
ences de vue, on ne peut t plus tranchées. Il est entendu que les
fibres
nerveuses,' dont se composent SUR TROIS cas d'h
e par le tapetum, mince couche de substance blanche, formée par des
fibres
qui émanent du corps calleux. En dehors, il est
est en rapport avec le faisceau longitudinal inférieur, composé de
fibres
d'association; elles relient les circonvolution
élargissant, au sur et à mesure qu'il s'éloigne de son origine. Ses
fibres
constituantes rayonnent vers les circonvolution
ngual) doivent être considérées comme le lieu d'aboutissement des
fibres
du nerf optique. En outre, elle confirme les as
eure de la scissure calcarine doit être un lieu d'aboutissement des
fibres
du nerf optique. z qui partent de la tache jaun
cale, ce serait parce que le territoire de l'écorce, qui reçoit les
fibres
nerveuses issues de la région de la tache jaune,
raient être locali- sées dans la portion de la voie optique, où les
fibres
consti- tuantes de cette voie sont tassées en u
e, pour terminer : Dans ce qui précède, il n'a pas été question des
fibres
des- cendantes de la voie optique, des fibres q
pas été question des fibres des- cendantes de la voie optique, des
fibres
qui, ayant leur ori- gine dans la sphère cortic
n- trifuge, pour se rendre, les unes dans les ganglions centraux (
fibres
c01'tico-ganglionnaires), les autres dans la réti
raux (fibres c01'tico-ganglionnaires), les autres dans la rétine (
fibres
c01'tico-1'étiniennes). Aussi bien, nous ne conna
emier lieu, n'est- elle que l'aboutissant de la dégénération de ces
fibres
des- cendantes. PSYCHOLOGIE Contribution à
aine la multiplication du tissu conjonctif ainsi que l'atrophie des
fibres
nerveuses périphériques. C'est pourquoi, au déb
tion rétro-oculaire du nerf (canal optique) : la dégénérescence des
fibres
nerveuses, qui se manifeste à l'état de pâleur
existe une union ana- tomique directe entre le centre primaire des
fibres
pupillaires réflexes d'un côté et le centre sph
use avec épaississement de la névroglie et diminution du nombre des
fibres
nerveuses : autour des vaisseaux, dont les paro
égion pédonculaire cérébrale gauche, ayant épargné complètement les
fibres
pyramidales, ayant atteint assez légèrement le
sur la -, par les excitations de l'odorat, par Ch. Féré, 317. \
Fibres
musculaires. Proliférations circonscrites des -
erveuses, par J. Roux, 86. Goitre. Voir Hystérie. GOWEITS. Voir
Fibres
spinales ascen- rlarsles. Grossesse. Deux cas
Ebing. 57. Moelle. Compression de la -, par Boucliard, 131. Voir
Fibres
111US- culaires. Etat atrophique de la - dans
; les faisceaux nerveux sont dis- sociés par le tissu fibreux ; les
fibres
s'atrophient très vile et ces- Fic.. 3. A, cerv
x du nerf -facial est encore nettement dilférencié. 11 est formelle
fibres
, d'apparence presque intactes, et entouré d'une
emporale du facial présente une atropine nota- ble des faisceaux de
fibres
nerveuses, avec sclérose bien moins considérabl
espectée. ' Nous n'avons contate aucune lésion dégénérative, ni de*
fibres
motices, ni tln. liltrc. scit·ilivc·, tlan· la
les tissus ambiants étaient un peu plus denses que normalement, les
fibres
nerveu- \ ! 'us ! 's selllhlaÍPl11. i 11dpIIIIJ
s de l'endonèvre, infiltration diffuse, dissociant, entourant les
fibres
nerveuses sans les détruire. La différence con-
ine du facial, à sa sortie du bulbe, disso- ciant et comprimant les
fibres
nerveuses,qui, après avoir traversé la tumeur,
s affectaient le trajet et avaient la constitution histologique des
fibres
11,;u ! 'cn'm, : es régénérées de lèjcJ¡- ler (
eur pense qu'il s'agit de ramilicalions de nouvelle formation des
fibres
des cordons latéraux des pyramides séparées de la
ique par le résumé de plusieurs centaines do coupes en série. « Les
fibres
dit-il, qui s'élèvent le plus au-dessus de l'en
et ne se distinguent plus des autres libres de la moelle. D'autres
fibres
apparaissent contre les capillaires et les petits
nnes de Clarke con- tre les capillaires de cette région. Toutes ces
fibres
en descendant n'atteignent pas l'endroit compri
y, il n'ya pas eu d'amélioration, c'est que l'on ne Il'om'ai pas de
fibres
sur un segment de moelle aussi long que chez le
a- bles d'émettre des rejets qui bien souvent ont la structure de
fibres
nerveuses périphériques. Les libres nerveuses en
mé au niveau duquel on n'en voit pas ; leurs allures sont celles de
fibres
nouvelles successivement créées el non d'un tro
tt, \11, 103). Remarques sur ce tra- vail, par A. STttaEaLt3ea. Les
fibres
nerveuses amyé- liniques dans les foyers de scl
litNL5CIi0\'SKY.-Contribution à la question de larégé- nération des
fibres
nerveuses dans les foyers de la sclé- rose en p
lalÍ\ émeut recentsou anciens,con- tenaient un nombre surprenant de
fibres
privées de leur mvéline (figures). La déchéance
eux cylindraxes ont suc- combé. De concert avec les altérations des
fibres
nerveuses, constamment, il existe une proliféra
chymateuse, il la fois interstitielle ; dès le début né- vrogtio et
fibres
nerveuses participent au processus d'origine to
euses sont bien plus uniformément atteintes que la névroglie. Les
fibres
nerveuses dénudées, privées de leur myéline sont-
fibres nerveuses dénudées, privées de leur myéline sont- elles des
fibres
persistantes ou des fibres néoformées, en état de
privées de leur myéline sont- elles des fibres persistantes ou des
fibres
néoformées, en état de régénération1 ! 31. DieJ
lro\\'sky conclut qu'il existe des zones où l'on est en présence de
fibres
persistantes : on'peut suivre di- rectement les
présence de fibres persistantes : on'peut suivre di- rectement les
fibres
longitudinales depuis le tissu pourvu de sa myé
ns le tissu scléreux (figure) ; on voit même, par places, les mêmes
fibres
privées de leur myéline dans le tissu scléreux
lus, même dans les levers anciens, les relations topographiques des
fibres
et des cellules (substance grise et. subs- tanc
vités en tuyaux où l'on pourrait penser à un simple effilochage des
fibres
; j'ai vu les deux branches de la bifurcation ent
s discussions aussi longues et aussi minutieuses, (l¡¡'i existe des
fibres
régénérées dans les foyers de la sclérose en pl
rnier auteur, qu'il s'agit, non de la substance périlihrillaire des
fibres
nerveuses il myéline, mais bien d'une substance
fet un fait clinique fort ancien ; la conservation prédominante des
fibres
longitu- dinales. Il est certain que le petit n
des fibres longitu- dinales. Il est certain que le petit nombre des
fibres
régénérées qui peut-être s'y trouve nu saurait
s il peut se produire une néoformation de cellules ; finalement les
fibres
néuogliqucb se multiplient. P. KERAV1L. VI. L
ais il a été impossible de sai- sir le point de jonction direct des
fibres
dégénérées avec les noyaux. Par contre, des deu
inées, sans cependant qu'on ait pu en fixer la con- nexion avec ces
fibres
dégénérées. Il. - Le lobe pariétal contient un
ssent par le tubercule hi,jumeau antérieur montrent l'ascension des
fibres
dégénérées parties du pied du pédoncule vers ce
du canal encé- ptialomédullaire. ' Il existe encore un tractus de
fibres
dégénérées qui va directe- ment de la capsule i
contiennent des libres dégénérées émanées delà capsule interne. Ces
fibres
ne descendent pas dans le pied du pédoncule : e
ère qui sépare la calotte du corps genouillé interne. Ce sont : les
fibres
aberrantes superficiel- les 1)osté*o-extei-ies
' (l'allé l'll 1 ions mal'(luées, tant sur les cellules que sur les
fibres
. L'appréciation de leur degré permet de dire qu
IIézoUc..1n point de jonction de la protubérance et du bulbe, ces
fibres
sont en dehors de la partie supérieure de l'olive
es (Emin, XXIV, p. 4G3) aprécisé l'identité de ce dernier, dont les
fibres
se dissocient dans le troisième serment cervical
VUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ment cervical : les
fibres
sont en dehors du champ du cordon an- térieur d
e la for- mation réticulaire, des pyramides de la protubérance, des
fibres
prolubérenlielles transverses; moindre du ruban
commun. Amyélinie de la partielle la'couche optique qui reçoit les
fibres
centripètes de l'écorce. Intégrité des noyaux r
éline plein les vaisseaux et en dehors des vaisseaux,'1 très peu de
fibres
radiaires, pas de fi- bres tangentielles. Aucun
l'aeil, est privé du réflexe palpl'hra], de l'action trophique des
fibres
du trijumeau, a de l'alle;,lhéie cornéenne et c
ellulaires, les cellules nerveu- ses sclérosées, la disparition des
fibres
tangentielles et suprara- diaires, l'altération
. - REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES XVIII. Des
fibres
d'association de la couche finement grenue de l
Un mémoire détaillé est en préparation. P. KElU\'AL. XX. L'état des
fibres
nerveuses à myéline dans l'é- corce du cerveau
\ hémisphères une largeur extrême inune- diaLell1l'I1l en avant des
fibres
de projection, surtout il gauche. Le coin zonal
ême temps, on doit d¡;monll'PI't'ncoJ'e i la 111Yl ? linisalion des
fibres
appartenant aux zones dites intermédiaires et t
ts des zones sensorielles, et excite leur activité. Elle n'a pas de
fibres
de projection. Les expériences, les maladies de
6. 180 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.- libres d'association courtes ; les
fibres
sagittales (Tap. Euh. Fli.) sont directement lé
s dans sa partie inférieure de Rth. Dans les deux (Rth. ethli.) les
fibres
coupées transversalement font défaut, on n'y vo
'au Tap. Elles y disparaissent en tournant à droite et en haut. Ces
fibres
, plus minces que celles de Fli. et ne prenant pas
AIRE. 181 entre Iith. et Fli. et à l'extrémité du 1/4 inférieur des
fibres
sa- gittales (fig. 8, coupe 205). Mais déjà sur
jam- bage médian et le coude de l'U recommencent à se peupler de
fibres
paraissant venir de la région comprise entre les
e extérieur de l'U (si l'on peut dire ainsi) que réapparaissent des
fibres
, tandis que le jambage latéral mon- tre un défe
a branche horizontale interne et le coude de Fit. Elle contient des
fibres
longues, claires, pa- raissant venir de lUit, o
ntacte (fig. 12). Il est facile de constater l'appau- vrissement en
fibres
nerveuses de la partie supérieure de c. g. c. (
r- quons un enchevêtrement de deux sortes de libres surtout. : 1°
Fibres
parlant en éventail du bord de c. g. e. Un faisce
eau plus serré à concavité médiane se dirige vers le pulvinar. 20
Fibres
à direction transverse, de l'extérieur à l'intéri
g. c. et c. g. i Putamen et globus pallidus) et se compose donc de
fibres
de pro- jection. - C'est à cette opinion que
be occipital, la partie inférieure de Fli. con- tient mélangées des
fibres
d'association et de projection. Plus en avant l
et de projection. Plus en avant les deux systèmes se séparent : les
fibres
de projection s'élèvent et occupent dorénavant
e les dernières recherches anatomi- quee semblent avoir établi. Les
fibres
sensitives passeraient dans la capsule interne
AVAL.. XLVM1. Contribution à la conservation de la coloration des
fibres
; par M. E. STRANSKY. (0-0. Cenfralbl" Xi. 901.)
e tissu conjonctif qui sépare les loges contient des glan- des, des
fibres
musculaires lisses et striées, un cartilage hyali
e le mésoderme de l'organe hrw-inteslinal, fourni tissu conjonctif,
fibres
musculaires lisses et striées, carti- lage. P.
trecroisement dorsal (en fontaine) de la calotte de Meynerl ; ces
fibres
tendraient ensuite par le faisceau longitudinal p
de noyau spinal du toit, noyau intrat¡'igc ! ¡1Ú¡wl, Ell bien ! les
fibres
qui \ont au faisceau longitudinal postérieur co
: 1" Le noyau inlratrigéminal est le seul noyau qui fournisse des
fibres
spinales dans le territoire du toit du tubercule
du tubercule quadri- jumeau antérieur ; 5° La partie principale des
fibres
qui for- ment l'entrecroisement dorsal (en font
également réparties, sauf qu'elles sont un peu plus rares dans les
fibres
des cordons antérieurs que dans celles des cord
s laprotubérance(oitse termine l'examen). Bien que le nombre de ces
fibres
dégénérées soif assez faible, le faisceau pyram
le territoire du faisceau pyramidal con- tient un nombre modéré de
fibres
très longues dont la direction est ascendante.
s nerfs. Tout porte à croire à l'existence de la dégénérescence des
fibres
musculaires striées qui, d'après Zankcr, serait
tement dégénérés ; dans les plus grands foyers, il reste encore des
fibres
musculaires suffisamment nor- males pour parera
s que l'al- tération a commencé elle s'étend toujours plus loin aux
fibres
connexes el voisines. Les cordons postérieurs
nt isolés. Le liquide laiteux qui a traverse l'élamine contient des
fibres
nerveuses ou des fragments de fibres, des cellu
raverse l'élamine contient des fibres nerveuses ou des fragments de
fibres
, des cellules nerveuses, des cellules névroglique
çoit le froid. Les cas de ce genre sont en faveur de l'existence de
fibres
dif- férentes propres à l'impression du froid e
à l'impression du froid et du chaud. Dans la né- vrite, toutes les
fibres
nerveuses ne sont pas également atteintes. Lors
ous, trappe principalement tantôt des libres sensitives, tantôt des
fibres
motrices : c'est une règle. Par suite, s'il y a
t la fonction des libres thermiques et qu'il ait respecté celle des
fibres
cryes- lltésidues. - L'examen des faits patho
n de la queue de cheval et de tabès incipiens. Conclusions : 1. Les
fibres
endogènes des cordons postérieurs, à la région lo
région lom- hu-sacrée. doivent être divisées en deux classes : les
fibres
endo- gènes grossesetleslibres endogènes Iines,
centre ovale de Fleschsig, qui est un faisceau radiculaires IV. Les
fibres
endogènes fines sont les unes horizontales, les
région cervicale. V. Les zones de Lissauer sont constituées par des
fibres
endogènes fines verticales qui sont condensées
ent. Elles dégénèrent tardivement dans le tabès. \'l. Le réseau des
fibres
fines de la corne postérieure est de nature end
re une forme compliquée qui représente un M de chaque côté. IX. Les
fibres
de la ban- delette externe sont des fibres radi
de chaque côté. IX. Les fibres de la ban- delette externe sont des
fibres
radiculaires de moyenne longueur, qui restent d
région lombo-sacrée n'a- boutissent pasau cordon de Goll. -- X.Les
fibres
radiculaires lon- 302 REVUE D'ANATOMIE ET DE PH
aralytiques bien différents de ceux qui succèdent aux lé- sions des
fibres
capsulaires corticales : c'est une paraparésie
nt, la décussafion a lieu à la hauteur du genou du facial, mais les
fibres
semblent déjà épuisées vers le noyau très volum
inime ; celle- ci augmente proportionnellement au développement des
fibres
' myéliniques. Il est donc fort probable que l'
G; : ltçBliO-\OLUII\I)f1'nE. Voir , Appareil. : , Cernelet. Voir
Fibres
. Nouvel- I les études sur le - par Sici- lian
n calcarine, par Weber, p. 177. Observation de - as- cendante des
fibres
du fais- ceau pyramidal ; contribution à l'in
for- me hypertrophique, par Pini, 241. Ecorce du cervelet.Voir
Fibres
. du cerveau. Voir Fibres.'De la région visuel
par Pini, 241. Ecorce du cervelet.Voir Fibres. du cerveau. Voir
Fibres
.'De la région visuelle de l'- céré- brale et
e l ? par Scbnitzer. 3.'3. - Voir Traitement . Epileptiques. Voir
Fibres
. - Voir Etat mental. Ergothérapie et psychoth
le. Fétichisme. D'une forme origi- nale de , par Bechterew,390.
Fibres
nerveuses. Voir Sclérose. Des d'association de
elsehowskv, 40. Remarques sur ce travail, par Stroehuber, 45. Les
fibres
nerveuses amyéliniques dans les foyers de en
wslcy, 45. Contri- bution à la question de la ré- génération des.
fibres
nerveu- ses dans les foyers de la-en plaques,
. La névroglie ne parait pas modifiée ; quant au tissu nerveux, ses
fibres
ne présentent aucune altération par la méthode
et qu'il y a toujours intervention des couches optiques et de leurs
fibres
nerveuses (2). BETCHEREW insistait sur le proce
ène spasmodique se produit. Mingazzini admet aussi l'existence de
fibres
psychothalamiques,destinées à discipliner le ri
sychothalamiques,destinées à discipliner le rire et le pleurer. Ces
fibres
traversent le putamen pour porter à la couche o
partie moyenne ; ce point correspondant à l'insertion des dernières
fibres
du deltoïde; c'est aussi la région où l'épaisse
prolifération névrotique très intense et on ne voit que très peu de
fibres
nerveuses sur ce point. Epithélioma primitif du
n dehors de la cellule ; 4" chro- matolyse. Il existe très peu de
fibres
nerveuses reconnaissables. En résumé, cette obs
nutieux nous avons pu déceler dans les racines antérieures quelques
fibres
en voie d'atrophie et dans les racines postérie
oie d'atrophie et dans les racines postérieures quelques très rares
fibres
fines terminées en massue, comme celles qui ont
ez épais,entourésde leur gaine de myéline : ils appartiennent à des
fibres
qui n'ont pas été détruites par le processus poly
ajal (2), Marinesco (3) et Perroncito (4). Très souvent, lorsqu'une
fibre
en voie de croissance se trouve arrêtée soit pa
te d'être attirée et dirigée par des éléments chimiotaxiques, cette
fibre
se replie sur elle-même et finit par former des
ils de Perro'ncito ». La figure I, 3, montre quelques-unes de ces
fibres
paraissant désorientées et formant des sortes d
parenchymateuse : dans ce cas, par le fait même de la structure des
fibres
à myéline, on peut distinguer deux degrés : ou
tant anatomiquementet fonctionnel- lement; ou bien au contraire, la
fibre
nerveuse dans son ensemble est frappée, et dégé
(2) STRANSKY, Journ. f. Psych., I. LA POLYNÉVRITE GRAVIDIQUE 361
fibres
nerveux de façon tout à fait élective. Dans ce de
s parenchy- mateuses amenant une véritable section transversale des
fibres
motrices et respectant les fibres sensitives, p
éritable section transversale des fibres motrices et respectant les
fibres
sensitives, plus résistantes ; les filets moteurs
eur régé- nération. Deux points restent à expliquer. Pourquoi les
fibres
sensitives des nerfs mixtes échappent-elles à l
ontenter de la constatation banale de la résistance plus grande des
fibres
sensitives, sans que nous puissions discerner les
s, au niveau des nerfs, lésions qui respectent en grande partie les
fibres
sensitives tandis qu'elles sectionnent véritablem
les fibres sensitives tandis qu'elles sectionnent véritablement les
fibres
motrices. A ces lésions succèdent la chromolyse e
s semaines. Les tissus paraissent nécrosés,le plus grand nombre des
fibres
nerveuses présentent l'aspect de « l'oedème» ;
ert-Pal, on en découvre de beaucoup plus petits, limités à quelques
fibres
nerveu- ses, formant un groupe irrégulier' de f
tés à quelques fibres nerveu- ses, formant un groupe irrégulier' de
fibres
« oedémateuses » au milieu d'autres, à peu près
re des amas de cellules analogues sur quelques coupes au milieu des
fibres
musculaires. Les fibres elles-mêmes ont presque
alogues sur quelques coupes au milieu des fibres musculaires. Les
fibres
elles-mêmes ont presque toutes leur striation nor
asme, ni du sarco- plasme. Un nombre relativement considérable de
fibres
présentent une augmentation des noyaux du sarco
interruption, au nombre de huit à dix et même davantage. Certaines
fibres
, peu nombreuses, sur une longueur égale à deux ou
une prolifération de leurs noyaux qui forment à l'in- térieur de la
fibre
un véritable amas ; en ces points la striation tr
udinale demeure seule visible : cette régression plasrnodiale de la
fibre
n'occupe qu'une partie très limitée de celle-ci q
n dehors du point lésé sa striation normale. Nous avons vu quelques
fibres
, présentant toujours une prolifération de leurs
e prolifération de leurs noyaux, donner naissance à trois ou quatre
fibres
plus petites dont les noyaux étaient également
inale. La striation transversale était conservée aussi bien dans la
fibre
qui se divisait que dans celles qui naissaient de
s constaté les lésions suivantes : Sur des coupes intéressant les
fibres
dans le sens de leur longueur, on voit des grou
libres perdre toute striation. En ces points qui n'intéressent les
fibres
que sur une longueur très limitée, ne dépassant p
noyaux du sarcolemme sont proliférés et occupent l'épaisseur de la
fibre
tout entière. Tout-autour des fibres existe une
s et occupent l'épaisseur de la fibre tout entière. Tout-autour des
fibres
existe une légère infiltration de cellules conj
e infiltration de cellules conjonctives et de lymphocytes et quelques
fibres
conjonctives. A l'intérieur même des fibres, on
lymphocytes et quelques fibres conjonctives. A l'intérieur même des
fibres
, on peut constater la présence de fibrilles con
s que Durante a décrites sous le nom de métamorphose fibreuse de la
fibre
musculaire. Nous n'avons pas pu trouver, sur de
l'acide osmique ou le Soudan III, de dégénérescence graisseuse des
fibres
. Muscles du pharynx. - Sur les coupes colorées
iffuse d'éléments cellu- laires disposés irrégulièrement autour des
fibres
. Sur les points où les fibres sont coupées perp
res disposés irrégulièrement autour des fibres. Sur les points où les
fibres
sont coupées perpendiculairement à leur directi
ments cellulai- res infiltrés dans le tissu conjonctif et entre les
fibres
. Sur des coupes colorées à la thionine phéniqué
sieurs nucléoles. On retrouve les mêmes cellules au milieu même des
fibres
musculaires où elles sont, en raison du peu d'e
aires où elles sont, en raison du peu d'espace qui existe entre les
fibres
, allongées en grain de blé, avec leur noyau sit
était possi- ble d'étudier les lésions depuis la muqueuse jusqu'aux
fibres
musculaires les plus profondes, nous avons pu c
pes transversales où l'on voit la surface de sec- tion de certaines
fibres
occupée uniquement par des noyaux, et sur des cou
on constate, mais en des points toujours très limités pour une même
fibre
, une prolifération des noyaux du sarcolemme avec
on voit net- tement à un fort grossissement, à l'intérieur même des
fibres
musculaires, aux points où la striation a dispa
petit-nombre, les unes à la suite des autres dans la direction de la
fibre
. Les nerfs intéressés par les coupes étaient no
HÉNIE GRAVE d'eRB-GOLDFLAM 441 grand intérêt. Les altérations de la
fibre
musculaire avaient déjà été décrites dans la my
préciser la nature des éléments cellulaires infiltrés au milieu des
fibres
: la banalité même de ces cellules, le peu d'inte
t simplement accolées à son niveau, et que, d'autre part, certaines
fibres
radiculaires pénètrent dans le ganglion, mais n
e est formée par du tissu fibreux pauvre en noyaux et très riche en
fibres
élastiques. Elle renferme très peu de vaisseaux
es colorées par la méthode de Wei- gert une certaine raréfaction de
fibres
à myéline des faisceaux latéraux pyra- midaux e
ale des faisceaux postérieurs, ainsi qu'une di- minution notable de
fibres
à myéline des racines, remplacées par du tissu
eures de la région dorsale supérieure ne renferment plus du tout de
fibres
à myéline. Ailleurs, cette atrophie est de beau
ssu osseux, avec des cellules osseuses très nettes, situé entre les
fibres
et les cellules gan- glionnaires. Ce foyer osse
plus, on 500 ROUDNEW constate dans le cerveau des cellules et des
fibres
nerveuses en voie de dégé- nérescence. L'exam
ganglions intervertébraux et des faisceaux de Collet deBurdach. Les
fibres
musculaires présentaient une dégénéres- cence a
faction osseuse, on ne peut le penser, quand on se rappelle que les
fibres
nerveuses responsables de l'atrophie ont leur c
llement ou à une compression des racines, en somme à une lésion des
fibres
nerveuses pro- duite elle-même par la déformati
e. D'abord, il faut remarquer qu'il n'a pas existé de paralysie des
fibres
motrices du pneumogastrique, caria voix était nor
troubles bulbaires de la respiration. Par exemple, l'influence des
fibres
centripètes du pneumo- gastrique sur la respira
t que nous soyons complètement fixés sur l'origine et le trajet des
fibres
cérébelleuses ainsi que sur les relations des dif
elleux moyens et dans les olives bulbaires du plus grand nombre des
fibres
cérébello-olivaires. Le cas que nous rapportons
dans l'atrophie otivo-ponto-cérébetteuse, les olives bulbaires, les
fibres
cérébello-olivaires et le cortex cérébelleux sont
s noyaux rouges sont t intacts, et d'autre part que la majorité des
fibres
cérébello-olivaires vient de l'olive bulbaire p
laire présente une atrophie prononcée ; elle est constituée par des
fibres
névrogliques qui rayonnent de la couche des grain
t de la couche des grains vers la surface des circonvolutions ; ces
fibres
(libres de Bergman) sont très augmentées à la f
à la fois de nombre et de volume. Les vaisseaux sont normaux et les
fibres
ne sont pas plus nombreuses qu'ailleurs autour
que dans la couche moléculaire profonde il n'y a plus trace de ces
fibres
à myéliue qui se terminent en corbeille autour
lle autour des cellules de Purkinje. Dans la couche des grains, les
fibres
sont rares, irrégulières, variqueuses. Au lllar
est très réduite de volume ; par la méthode de Pal, on voit que les
fibres
myéliniques qui la constituent sont évidemment
un noyau difficilement décelable. 608 LEJONNE ET LHERMITTE Les
fibres
blanches ne paraissent pas très altérées ; il sem
urs dimensions normales; les cellules ne sont pas très malades; les
fibres
myéli- niques sout bien conservées, mieux que d
aissent également normaux tant au point de vue des cellules que des
fibres
myéliniques. Les noyaux dentelés à l'oeil nu so
nd nombre ; c'est surtout de l'atrophie simple qu'on observe. Les
fibres
qui traversent l'olive sont très raréfiées; la pa
l'olive est complètement démyélinisée, on y trouve seulement quelques
fibres
, rares, tortueuses. Dans les autres parties, le
nt quelques fibres, rares, tortueuses. Dans les autres parties, les
fibres
sont très diminuées de nombre, variqueuses. S
Dans la moitié supérieure par les méthodes de Weigert et de Pal,les
fibres
sont bien colorées ; on retrouve la lésion géné
c'est-à-dire l'atrophie en masse de la substance blanche, mais les
fibres
examinées au microscope sont bien conservées, rég
ons normales ; il y a simplement disparition d'un certain nombre de
fibres
. Au niveau de la partie externe du pédoncule cé
pas dans les coupes supérieures. A son niveau, on constate que les
fibres
sont très diminuées de nombre; celles qui reste
. Au niveau du foyer les vaisseaux ne paraissent pas malades. Les
fibres
du noyau dentelé semblent à l'aeil nu avoir compl
ronçons très courts présentant des renflements très volumineux. Les
fibres
de la toison sont assez clairsemées, sans que la
omme une lentille au niveau duquel disparaissent presque toutes les
fibres
nerveuses. Un autre foyer de démyélinisation ex
ar une décoloration visible, au Pal et au Weigert; à son niveau les
fibres
à myéline conservées sont irrégulières, tortueu
intm-cérébelleux. - Dans la moitié inférieure du noyau dentelé, les
fibres
intra-ciliaires sont, nous l'avons dit, extrêmeme
e à la face interne du noyau dentelé. Ce faisceau est en dehors des
fibres
venues des noyaux de Deiters et de Bechterew et
s venues des noyaux de Deiters et de Bechterew et allant au vermis,
fibres
qui, elles, sont épaisses et bien conservées. S
é, les pédon- cules cérébelleux supérieurs présentent également des
fibres
très clairsemées. 2° Segment juxta-velltl'icuta
oncules cérébelleux supérieurs sont réduits à quelques faisceaux de
fibres
bien colorées, mais peu nombreuses ; beaucoup de
sceaux de fibres bien colorées, mais peu nombreuses ; beaucoup de ces
fibres
paraissent normales, plusieurs sont qioiiilifor
ns les coupes les plus élevées on trouve de plus un grand nombre de
fibres
en tronçons. Contrastant avec la diminution éno
diminution énorme du volume du pédoncule cérébelleux supérieur, les
fibres
semi-circulaires externes sont au contraire très
nt posséder plus de libres que dans les deux premiers segments. Les
fibres
sont régulières et ne présentent pas les lésion
LHERMITTE cette commissure et une partie encore plus restreinte des
fibres
postérieures du côté opposé. Plus haut, après
à gauche, ce qui est en rapport avec une destruction plus notable des
fibres
commissurables par le foyer ancien. Les noyau
e foyer ancien. Les noyaux rouges ont des dimensions normales ; les
fibres
nerveuses qui les traversent sont évidemment tr
he, la partie externe de la capsule est moins dense, moins riche en
fibres
. Pédoncules cérébelleux inférieurs. Olive . - S
se est hypertrophiée, on ne constate plus dans son intérieur aucune
fibre
à myéline; quelques rares fibres transversales la
tate plus dans son intérieur aucune fibre à myéline; quelques rares
fibres
transversales la traversent dans la région post
nt démyélinisé; la capsule de l'olive est remarquablement pauvre en
fibres
, le feutrage extraciliaire est tout à fait raré
n observe les mêmes lésions ; restent seulement quelques très rares
fibres
myéliniques. Dans la partie supérieure de l'oli
liaire est moins rare- fié ; dans le hile il existe encore quelques
fibres
qui sortent en faisceaux. Au point de vue histo
par un feutrage névroglique abondant; sur une coupe horizontale ces
fibres
apparaissent parallèles et s'insinuent perpen-
Dans l'intérieur des circonvolutions olivaires et dans le hile, les
fibres
névro- gliques s'unissent en faisceaux qui sort
ernes que l'on suit parfaitement jusqu'au corps restiforme et à des
fibres
postérieures qui suivent la ligne médiane pour se
rciforme est plus réduit; malgré cela on peut suivre un faisceau de
fibres
arciformes antéro-externes jusqu'au niveau du cor
oit; de même on suit un faisceau postérieur assez bien développé.
Fibres
cérébello-olivaires. - Région inférieure. Ces fib
ien développé. Fibres cérébello-olivaires. - Région inférieure. Ces
fibres
sont en général diminuées, mais néanmoins on en
is néanmoins on en observe un certain nombre bien conservées. Les
fibres
prétrigéminalesont presque complètement disparu,l
ées. Les fibres prétrigéminalesont presque complètement disparu,les
fibres
inter- trigéminales sont excessivement réduites
ru,les fibres inter- trigéminales sont excessivement réduites ; les
fibres
rétrotrigéminales consti- tuent le groupe le mi
semble bien avoir disparu. A la région moyenne, il n'y a plus de
fibres
transversales passant à travers l'olive, les se
rsales il apparatt réduit de moitié, tant à droite qu'à gauche. Les
fibres
qui le composent, colorées par la méthode de Pa
cérébelleux inférieur (corps juxta-restiforme) paraît intacte; les
fibres
semi-circulaires internes sont bien conservées. N
rement diminués de volume, mais remarquablement bien conservés. Les
fibres
qui les composent sont normalement développées et
males d'aspect et 612 LEJONNE ET LHERMITTE de nombre. On suit les
fibres
de ces pédoncules jusque dans le cervelet où elle
il n'y a aucune différence entre les deux côtés, pas de lésion des
fibres
. Disons une fois pour toutes que les méninges s
ment, pour être réduit au ni- veau de la traversée pédonculaire des
fibres
de la me paire à la dimension d'un ovoïde de 3
oie pyramidale, la moitié interne du ruban de Reil médian, quelques
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur gauche qui d
stérieur. A sa partie supérieure le foyer sectionne la majorité des
fibres
du moteur oculaire commun et une très faible pa
constate seulement un tissu largement aréolaire, cloisonné par des
fibres
névrogli- ques. Dégénérations ascendantes. Le
nné par des fibres névrogli- ques. Dégénérations ascendantes. Les
fibres
pyramidales au niveau du pied du pédoncule gauc
t complètement dégénéré du côté gauche, on n'y constate plus aucune
fibre
à myéline. Le faisceau central de la calotte es
lume, du côté gauche ; on y retrouve néanmoins un certain nombre de
fibres
à myéline nor- males. Dégénérations descendan
les. Dégénérations descendantes. Au-dessous de la lésion toutes les
fibres
pyramidales ont disparu. On poursuit la dégénér
e pro- noncée de la substance blanche centrale avec raréfaction des
fibres
myé- liniques. 3° Atrophie des noyaux dentelé
doncule cérébral gauche, avec à son niveau destruction complète des
fibres
du faisceau pyrami- dal et section presque comp
des fibres du faisceau pyrami- dal et section presque complète des
fibres
de la IIIe paire gauche, il s'accompagnait d'un
du faisceau pyramidal direct. Ce foyer avait en outre sectionné les
fibres
du faisceau longiludinalpos- térieur gauche et
ibres du faisceau longiludinalpos- térieur gauche et une partie des
fibres
du faisceau central de la calotte. En face de c
x. Ce foyer d'ailleurs n'attei- gnait qu'une très minime partie des
fibres
entrecroisées du pédoncule cérébelleux supérieu
onsistent en une agénésie plus ou moins marquée des cellules et des
fibres
cérébel- leuses, comme dans les cas de Nonne et
antiels par les cellules du néoplasme qui dissèquent, peut-on dire,
fibre
à fibre, les voies ner- veuses. De place en p
par les cellules du néoplasme qui dissèquent, peut-on dire, fibre à
fibre
, les voies ner- veuses. De place en place, le
cavité, est constituée uniquement aussi de tissu gliomateux. Les
fibres
nerveuses traversant les masses de tissu névrogli
tance contractile, soit, enfin, une véritable transformation de la
fibre
muscu- laire, dont la striation ne se voit plus
autres. Mais daus tous ceux que nous avons exami- nés on trouve des
fibres
très fortement infiltrées et colorées en jaune-or
e-orange dans les préparations colorées au Scharlach. A côté de ces
fibres
ainsi infiltrées on en voit d'autres qui ne le
ne le sont que très peu ou pas du tout. Il arrive même que la même
fibre
présente aiternctivement des fragments infiltrés
expliquer la répartition typique des symptômes en supposant que les
fibres
nerveuses les plus longues seraient les moins r
urter et se faire tort. Aucun lien logique ou phy- sioloique,aucune
fibre
nerveuse ne les unit et elles vivent dans le même
nombre de celles-ci devient facilement appréciable à nos sens. Les
fibres
musculaires qui, individuellement, ne peuvent f
ment sur place et peut avoir des répercussions lointaines grâce aux
fibres
nerveuses qui la canalisent et qui représen- te
ne de leurs cellules est reliée au système nerveux central par deux
fibres
au moins dont l'une, centripète, conduit la sen
niveau du menton. La partie antéro-externe du cou, au niveau des
fibres
du peaucier présente aussi des rides assez nomb
l'antérieure) l'épaisseur d'environ quatre ou cinq des faisceaux de
fibres
nerveuses qui se trouvent dans cette région et
'occupait guère que la largeur de deux ou trois de ces faisceaux de
fibres
. De sorte qu'en somme, la surface occupée par c
glions ne pré- sentent pas de lésions apparentes ; les faisceaux de
fibres
qui traversent la couche optique sont notamment
oncule, dans la région qui est considérée comme donnant passage aux
fibres
du faisceau pyramydal ; ils forment trois group
des autres mais correspondent à la segmen- tation produite dans les
fibres
du pédoncule par les travées fibro-vasculaires
dela moelle les faits suivants : Dans les faisceaux pyramidaux, les
fibres
nerveuses sont moins abondantes qu'à l'ordinair
e supposer la coloration intense de cette région par le carmin; les
fibres
nerveuses existent encore en grande quantité, m
grande quantité, mais ce sont presque exclusivement les très minces
fibres
qui persistent. Quant à ces grosses fibres qui
sivement les très minces fibres qui persistent. Quant à ces grosses
fibres
qui sur une moelle normale se voient si netteme
ru. Dans la substance grise des cornes antérieures, le nombre des
fibres
nerveuses est diminué d'une façon très notable; (
fuchsine acide) (Weigert). Dans la moelle lombaire, le nombre des
fibres
nerveuses de la substance grise semble normal.
bre des fibres nerveuses de la substance grise semble normal. Les
fibres
nerveuses qui constituent les zones radiculaires
AS DE SCLEROSE LATERALE AMYOTROPH1QUE. 19 normal. Au contraire, les
fibres
radiculaires postérieures étaient très belles.
, les travées en sont plus grosses et plus nombreuses. De plus, les
fibres
ner- veuses semblent un peu moins nombreuses qu
La langue qui présente une diminution de nomhre et de volume des
fibres
musculaires avec surcharge graisseuse et légère
tent pas de lésions tout à fait certaines. Le deltoïde a quelques
fibres
dégénérées ; le long supina- teur n'est pas alt
tre) des espaces ellip- tiques formés par la coupe des faisceaux de
fibres
nerveux et contenus dans la capsule interne. Ce
n seulement les corps granuleux existent au niveau des faisceaux de
fibres
coupés en travers, mais encore dans les tra- vé
ravées, les corps granuleux sembleraient dus à la dégéné- ration de
fibres
se portant du noyau lenticulaire à la couche op
. l'épaisseur des faisceaux elliptiques formés par la section des
fibres
nerveuses verticalement dirigées, tandis que les
nt moins nets. Avec la méthode de Weigert, diminution du nombre des
fibres
nerveuses dans les cornes antérieures. Dans l
Weigert (hématoxyline et prussiate de potasse), on constate que les
fibres
nerveuses y sont moins nombreuses, surtout près
ils siègent dans les travées conjonctives qui donnent pas- sage aux
fibres
radiculaires antérieures et aux vaisseaux; la p
ans les processus radiculaires antérieurs mais bien au milieu des
fibres
nerveuses et paraissant provenir de la destructio
ps granuleux se retrouvent aussi dans quelques-uns des faisceaux de
fibres
verticales circonscrits parles expansions du tr
nous n'avons jamais vu un seul corps granuleux dans l'épaisseur des
fibres
nerveuses; on en observe quelquefois en très pe
omplète des grandes cellules de la subs- tance grise, ainsi que des
fibres
nerveuses contenues dans celle-ci. Sclérose d
s très longs et bien ramifiés, d'autres n'en ont presque pas. Les
fibres
nerveuses de la substance grise paraissent aussi
s ; le nerf plantaire interne droit semble présenter aussi quelques
fibres
altérées et peut-être un peu de sclérose. Quant
e, suivant toute apparence, à la disparition d'un certain nombre de
fibres
nerveuses. La langue est, comme nous l'avons di
s- cope, diminution considérable du nombre et aussi du volume des
fibres
musculaires, la striation est généralement conser
osseux palmaires du troisième espace, à droite et à gauche, ont des
fibres
dimi- nuées de volume, dont la striation manque
corps gra- nuleux se colorer en noir beaucoup plus foncé que les
fibres
à myéline entre lesquelles ils se trouvent. On
ubstance blanche et, sur certaines coupes (suivant la direction des
fibres
), on les voyait très abondants dans l'a moitié
circonvolution, les voir plus abondants dans certains faisceaux de
fibres
que dans d'autres. Quant à leur disposition, el
r disposition, elle coïncide très nette- ment avec la direction des
fibres
du faisceau pyrami- dal ; tantôt isolés, tantôt
'la majorité des corps granuleux semble siéger ' sur le trajet des
fibres
nerveuses, et vraisemblablement dans leur épais
ns postérieurs, principalement près des cornes postérieures; peu de
fibres
nerveuses normales. Des deux côtés de la fissur
300 grammes chez les lapins n'exerçait aucune in- fluence sur les
fibres
nerveuses, traitées par l'aide osmique. Entre '
egment supérieur et le segment inférieur de la moelle épinière. Ces
fibres
étaient très probablement régénérés. Il me semb
nécessitent un plus grand travail nerveux, un plus grand nombre de
fibres
nerveuses se mettent en jeu; 2° à quelques cas
conclusions de ce travail, d'après l'auteur lui-même : 1° Chaque
fibre
sans branches est en connexion avec chaque cell
cervelet. P. M. II. SUR LES PHÉNOMÈNES CONSÉCUTIFS A la SECTION DES
FIBRES
DU NERF OPTIQUE A L'INTÉRIEUR DES HÉMISPHÈRES C
îne, l'auteur, après avoir réglé l'expérience, arrive à séparer les
fibres
de la capsule interne à la hauteur de la face s
tervertébraux serviraient donc de foyer trophique non seulement aux
fibres
sensitives et aux racines des nerfs spinaux, ma
PHYSIOLOGIE. VI. CONTRIBUTION A la connaissance DE la marche DES
FIBRES
dans LE corps STRIÉ; parL. EDINGER. (Neurol. Cen-
). Le système de l'irradiation de la calotte est d'abord composé de
fibres
myéliniques. Ce n'est que beau- coup plus tard
oyau lenticulaire (putamen). Dans la capsule interne, ce sont les
fibres
occupant le dernier tiers de la branche postérieu
e dernier tiers de la branche postérieure qui ont les premières des
fibres
à myéline. Elles entrent, en partie, dans le no
interne du noyau lenticulaire, et pénétrer dans sa masse grise. Les
fibres
qui entrent dans le noyau lenticulaire prennent
e noyau rouge. Bien plus difficiles à trouver sont les rapports des
fibres
issues du segment externe du noyau lenti- culai
ubthalamique contient déjà d'autres tractus à myéline nombreux. Les
fibres
en ques- tion sortent du putamen, entre les deu
amen, entre les deux articles internes du noyau, et de là, avec les
fibres
suhrà, atteignent les gan- glions de la région
ire jusqu'à l'anse décrite. Il parait aussi exister un système de
fibres
issues du noyau caudé, mais M. Edinger n'a pas de
cepen- dant témoignèrent de l'atteinte d'un assez grand nombre de
fibres
, soit par exemple des groupes de vingt d'entre el
de l'organe ; chaque coupe transverse décelait l'énormité, soit de
fibres
axiles isolées, soit de groupes de cylin- draxe
e. 11 semble donc qu'en tel cas le courant impressionne surtout les
fibres
nerveuses cen- tripètes, qu'en tel autre il inf
altérations du faisceau solitaire de Pierret, en relation avec des
fibres
du grand sympathique, expliquent les troubles v
du tissu frais ou durci) a révélé une augmentation du diamètre des
fibres
dans la proportion de 1-1,3; pas de dégénéresce
assez compact. Signalons aussi la présence de ces corps clans les
fibres
ou les tractus, qui- traversent horizontalement l
l'état ordinaire des choses, c'est-à-dire' à une' disséminationldes
fibres
pyramidales beaucoup plus marquée qu'on'rié lep
que cette extension de la sclérose est due à la dégénération de ces
fibres
pyramidales 172 pathologie nerveuse. dissémin
icale cette extension existe d'une façon très nette, bien que les
fibres
des faisceaux pyramidaux soient dans cette régi
sceau pyramidal croisé) et qu'il n'y ait qu'un très petit nombre de
fibres
aberrantes. D'autre part, certains faits indiqu
égion lombaire où la substance grise (grandes cellules nerveuses et
fibres
nerveuses à myéline observées par la méthode de
emarque est à faire à propos des lésions médullaires sur l'état des
fibres
nerveuses au niveau des faisceaux pyramidaux sc
fibres nerveuses au niveau des faisceaux pyramidaux sclérosés. Ces
fibres
existent encore en grande quautité ainsi qu'on
n reconnaît (cela est surtout net dans la moelle de Dupont) que les
fibres
qui persistent ainsi sont presque exclusivement
bres qui persistent ainsi sont presque exclusivement de très minces
fibres
; quant à ces grosses fibres qui sur une moelle
t presque exclusivement de très minces fibres ; quant à ces grosses
fibres
qui sur une moelle normale se voient si netteme
e qui contient les faisceaux pyramidaux,' il existe encore d'autres
fibres
, et que suivant toute ressemblance, les plus gr
faisceaux latéraux. D'autre part cependant, un certain nombre de
fibres
des faisceaux de Goll semble avoir disparu ains
corps granuleux n'est pas exactement proportionnel au nombre des
fibres
atteintes, quoiqu'il s'en rapproche sensiblemen
tes, quoiqu'il s'en rapproche sensiblement. De plus la quantité des
fibres
dégénérées étant supposée égale dans des segmen
d'admettre qu'elle correspondait à une inégalité dans le nombre des
fibres
dégénérées. Il est donc bien probable que le pr
sus destructif n'atteint pas d'un coup et dans toute sa longueur la
fibre
176 G PATHOLOGIE NERVEUSE. nerveuse; il comme
rait que peu à peu sa partie inférieure; de telle sorte qu'une même
fibre
nerveuse pourrait pré- senteur dans l'écorce de
ment, les corps granuleux finis- sent par disparaître au niveau des
fibres
dégénérées, on ne peut de leur absence conclure
dégénérées, on ne peut de leur absence conclure sûrement que les
fibres
nerveuses sont saines. La chose est évidente et
née la difficulté qu'il y a à reconnaître dans des organes où les
fibres
nerveuses forment un lacis inextricable s'il y
t d'abord au niveau des éléments moteurs en rapport intime avec les
fibres
du faisceau volontaire. Quelle que soit la rais
C, corps granuleux occupant les interstices entre les faisceaux de
fibres
coupés perpendicu- lairement à leur direction.
anomalie., Mais au, microscope, on. constate que la,disloarition des
fibres
parnit due aune prolifération .conjonctive, (qu
vaine. l, Impossihle "de trouver la zone trophique et,le trajet des
fibres
conductrices. Peut- être faut-il accuser de cet
2° Parles nerfs sensitifs de là peau; ' , 3o Et par une parlie'dcs
fibres
du pneumo-gastrique, tandis que l'action d'arrê
ent d'une série d'exci- tations qui arrivent au centre par d'autres
fibres
du pneumogas- trique, par le trijumeau et par t
quer facilement des tuméfactions variqueuses des cylindres-axes des
fibres
nerveuses et des cellules- araignées très nombr
paissies avec une construction dans laquelle on voit clairement des
fibres
oblongues. d) Près de ces vaisseaux changés d'u
de l'appareil d'association, l'auteur résume les travaux d'Arnold (
fibres
propres), d'IIitzig, de Meynert, de Gratiolet,
fois on aperçoit, munies de leur gaine de myéline, des faisceaux de
fibres
qui s'épanouissent en forme d'aigreltes, d'un b
galement dans les démences secondaires, tandis que la déchéance des
fibres
nerveuses 'Voy.'Archivcs de Neurologie, t. VI p
y aurait lieu de formuler le diagnostic de lésion systématique des
fibres
d'association sous-corticales de Meynet, dans l
paralytique résulte d'une lésion primitive de certains systèmes de
fibres
intracorticales; la dégénérescence des libres d
au d'association intracortical, et provenir de la disparition des
fibres
d'association intracorticale qui les prive des ex
ntes en ques- tion. Au surplus, il ne serait pas impossible que des
fibres
altérées récupérassent leur structure normale e
sy- chiatrique de l'Allemagne du Sud-Ouest, 245. · Corps strié (
fibres
du), par Edin- ger, 88. Cylindraxes tuméfiés
Onoinatomanie, par Cbarcot et Ma- gnan, 157. Optique (section des
fibres
du nerf au voisinage de la capsule interne),
abord une couche de substance blanche (0, /%'. ,8,) formée de fines
fibres
nerveuses : ce revêtement blanc, auquel les ana
périeurs (Bindearm), tandis que Mathias Duval3 insinue que quelques
fibres
des racines antérieures du nerf auditif se rend
baczewski ` (v. Rente, loc. cit., p. 461) distingue deux espèces de
fibres
nerveuses, dans le nerf auditif de la brebis et
es, dans le nerf auditif de la brebis et du cheval, notamment : les
fibres
du nerf cochléaire plus grêles , et les fibres
val, notamment : les fibres du nerf cochléaire plus grêles , et les
fibres
du nerf vestibulaire plus volumineuses. Axel
ineuses. Axel Key et Gustave Retzius ont obtenu deux espè- ces de
fibres
nerveuses, par voie de dissociation du nerf aud
leur travail.) Ils ne disent pas cependant, si ces deux espèces de
fibres
furent prises au même en- droit du nerf auditif
courant par endroits la coupe transversale du nerf et contenant des
fibres
nerveuses transverses, ainsi que des vaisseaux
également un petitnombre de cel- lules étoilées et de noyaux. Des
fibres
nerveuses fraîches, prises en cet endroit, fure
Leur grosseur est inférieure, à très peu de chose près,à celle des
fibres
des racines antérieures de la moelle épinière.
tubes médullaires, des tubes de myéline excessivement déliés et des
fibres
de Remak. La seconde portion occupe une plus gr
à la partie inférieure et antérieure du nerf. Elle se compose de
fibres
nerveuses plus grêles et plus fines, et en cont
et en contient même d'excessivement déliées. Dans bon nombre de ces
fibres
, les cylindres d'axe ne se colorent pas par le
s et les faisceaux en sont plus courts et ne contiennenent guère de
fibres
transversales. Ces trabé- cules du tissu conjon
noyaux du tissu conjonctif abondent également. Pour ce qui est des
fibres
nerveuses de cette portion du nerf, à l'état di
s cylindro-coniques. On ne saurait découvrir sur le parcours de ces
fibres
, ni des noyaux de la gaine deSchwann,ni des étr
n,ni des étrangle- ments, même lorsque l'on réussit à dissocier ces
fibres
sur une étendue assez considérable. En échange,
er ces fibres sur une étendue assez considérable. En échange, ces
fibres
présentent le long de tout leur parcours de fré-
n l'ova- faire sont celles qui prévalent. Cette particularité des
fibres
que nous venons de mentionner, ainsi que leur t
xtricables, rend leur dissociation extrêmement difficile. Parmi ces
fibres
nerveuses, ce n'est qu'exceptionnellement que j
laire de myéline. Mais je n'eus jamais l'occasion d'y discerner des
fibres
de Re- mak. Ces deux parties bien distinctes,
deux parties ne diffè- rent entre elles que par la nature de leurs
fibres
, et DE LA STRUCTURE DU TRONC DU NERF AUDITIF. 4
jonctif de plus en plus accentuée, qui sépare les deux faisceaux de
fibres
nerveuses. Immédiatement avant l'entrée du nerf
par le carmin (Pl. V, fig. 5, A) ; à cet endroit, il n'y a plus de
fibres
nerveuses transversales. 9- Pour ce qui est d
e compose exactement, comme à son émergence du corps restiforme, de
fibres
nerveuses plus ou moins grêles, dont les cylind
t d'ac- cord avec les données anatomiques, d'après lesquelles les
fibres
du nerf auditif ont deux différents aspects et
ive cepen- dant que l'îlot s'approche plus ou moins du faisceau à
fibres
grêles (le nerf cochléaire); mais dans ce cas é
ochléaire); mais dans ce cas également, l'îlot se trouve entouré de
fibres
nerveuses plus grosses. , En observant de plu
ux capillaires. Les interstices de ce réseau sont traversés par des
fibres
46 ANATOMIE. nerveuses longitudinales éparses
faisceaux. Le second réseau, dit nerveux, est constitué par des
fibres
nerveuses très grêles. Toute l'étendue du tissu
deux), qui forment le nerf intermédiaire de Wrisberg. Bien que les
fibres
de ce dernier prennent habituellement naissance
aissance dans le corps restiforme même, il arrive cependant que ces
fibres
émergent de la partie postérieure supérieure du
ules, déjà notés (PL. V, fiq. 6 et 7). Ces derniers contiennent des
fibres
nerveuses transversales excessi- vement déliées
du tronc du nerf auditif, on ne voit pas s'en détacher une seule
fibre
nerveuse; dans ces cas-là, les coupes transver-
d'autres individus au contraire, on observe une grande quantité de
fibres
nerveuses très fines, se détachant du nerf audi
), se trouve en re- lation directe avec le nombre et la capacité de
fibres
nerveuses qui se détachent de ce nerf, pour se
ne laissant tout autour que très peu de place, pour le passage des
fibres
nerveuses. J'ai déjà fait observer que les gros
ssage des fibres nerveuses. J'ai déjà fait observer que les grosses
fibres
ner- veuses du faisceau postérieur et supérieur
tif interne, tout en conservant une diffé- rence marquée d'avec les
fibres
grêles du faisceau an- térieur et inférieur. No
faisceau an- térieur et inférieur. Notons que l'amincissement des
fibres
nerveuses en question commence exactement à par
ux ' citent des ganglions sur le trajet du nerf lingual, et sur les
fibres
grises du grand sympathique. Henle2 affirme qu'
rouve un certain nombre de cellules nerveuses disséminées entre les
fibres
du nerf oculo-moteur. Hyrtl 3 prétend que « dan
nerf auditif. Koelliker " affirme avoir trouvé également parmi les
fibres
du nerf cochléaire et du vestibulaire, ainsi qu
'est ainsi que Rauberb, et d'autres observateurs prétendent que les
fibres
ner- veuses qui se détachent du nerf auditif et
soumis à l'action de l'acide osmique. Sur toute la longueur de ces
fibres
se présentent beaucoup de renflements de divers
nue (multiplication des noyaux); le processus était complet sur une
fibre
de chien au neuvième jour; au quatorzième, un l
ième jour; au quatorzième, un lapin présentait un grand nombre de
fibres
dégénérées sur la périphérie du nerf. En aucun ca
s les gaines et assez souvent à la rayure de Fontana (tassement des
fibres
les unes contre les autres). En somme l'élongat
'élongation, en supprimant la conductibilité d'un certain nombre de
fibres
, détermine rapidement une dégénéra- tion qui s'
'affecte la région en question avec la moelle allongée (trajets des
fibres
nerveuses). Séance du 14 mars 4 88 Présidence D
uie l'opinion de Râhlmann pour qui, dans le tabes, la paralysie des
fibres
oeulopupillaires de la moelle cer- vicaleassure
t ceuv des deux commissures; enfin le plus petit nombre a trait aux
fibres
entre-croisées. Celles-ci reposent sur les non
sure postérieure se montre à sa face inférieure. On peut suivre les
fibres
de cette dernière jusqu'au corps genouillé latéra
faible, se dégage dans le pont de Varole. Dans le nerf optique les
fibres
n'affectent nullement la disposition que divers
t la disposition que divers schémas ont prétendu leur assigner. Les
fibres
commissurales, les fibres croisées ou non sont
s schémas ont prétendu leur assigner. Les fibres commissurales, les
fibres
croisées ou non sont surtout juxtaposées à l'in
6 6 à 39°. L'autopsie démontre l'intégrité des centres nerveux; les
fibres
, les cellules, les noyaux même de l'oculo-moteu
cune dégénéres- cence, même si l'on mutile à la fois le système des
fibres
de la queue de cheval auxquelles la disposition
rien pour l'homme, car rien ne démontre que l'entre-croisement des
fibres
optiques est le même chez le singe que chez l'h
ion tient-elle à ce qu'il existe des variétés d'entre-croisement de
fibres
optiques analogues aux variétés d'entre-croisemen
variétés d'entre-croisement que l'on observe dans le bulbe pour les
fibres
motrices ? La chose est possible mais non démon
d'autre part une lésion cérébrale peut déterminer la paralysie des
fibres
rétiniennes de la moitié externe de l'oeil corr
. f. oplatlealmol., XXVI) avait démontré que l'entre-croisement des
fibres
du nerf optique dans le chiasma n'est que parti
taupe et le lapin, entraine la conviction que la couche moyenne des
fibres
de ces or- ganes contient le système de project
confirme en partie les vues de Meynert et, suivant le trajet de ces
fibres
dans les noyaux du 4° ventricule, il conclut en
t les contractions rhythmiques des sphincters anal et vaginal ; les
fibres
émanées de ces cen- 1 On peut, à propos de la t
le. D'après ces notions, c'est à la solution de continuité de ces
fibres
que serait due l'apparition des contractions spas
ces vivi- section, ont conduit MM. Ott et Smith à conclure que les
fibres
inhibiloires arrêtant les contractions rhythmiq
vre à la loupe ou même à l'oeil nu le trajet de certains groupes de
fibres
. C'est par erreur que l'auteur dit que ces coup
u'elles sont faites, c'est-à-dire parallèlement, ou à peu près, aux
fibres
du pédoncule cérébral. Du lobe occipital du cer
bral. Du lobe occipital du cerveau on voit partir quatre groupes de
fibres
: 1° les unes se dirigent vers la capsule exter
pont de Varole; il se distingue des faisceaux moteurs en ce que ses
fibres
au lieu d'être rectilignes sont on- dulées. Il
es fibres au lieu d'être rectilignes sont on- dulées. Il existe des
fibres
, très fines qui paraissent naître des cellules
se rendent dans la partie interne du pied du pédoncule. D'autres
fibres
partent du noyau rouge pour se diriger aussi ve
toute la partie interne du pied du pédoncule est constituée par des
fibres
venues de la capsule interne et du noyau lentic
recroisent dans le noyau lentiforme (noyau de Luys), qui reçoit des
fibres
venant : 1° du noyau rouge, 2° de la substance
ons du tendon. Erb en fait un réflexe déterminé par l'excitation de
fibres
nerveuses tendineuses (Tschiriew a démontré l'e
bres nerveuses tendineuses (Tschiriew a démontré l'existence de ces
fibres
); Schulze et Furbringer, ayant constaté que la
léoles peu ou point apparents, à prolongements rares et grêles. Les
fibres
nerveuses ont aussi diminué en nombre et en épa
tte dans la), par Rollei, 345. Moelle épinière (décussation des
fibres
inbibitoires de la), par Ott et Smith, 31 ? i ;
sensitive que sa racine cérébelleuse contient princi- palement des
fibres
sensitives que sa racine descendante est, au mo
ATHOLOGIE NERVEUSE. ques-unes de ses branches présentaient quelques
fibres
dégétérées, probablement parce qu'il reçoit un
eloppement des manchons de myéline, l'origine et la terminaison des
fibres
ner- veuses dans les diverses zones foetales.
nes foetales. 1. La zone des racines antérieures reçoit beaucoup de
fibres
directement des racines postérieures, mais il e
est impossible de constater sûrement cette origine pour toutes les
fibres
. Les fibres en question s'infléchissent après u
ble de constater sûrement cette origine pour toutes les fibres. Les
fibres
en question s'infléchissent après un trajet plu
avoir-leur plus long trajet dans les cordons postérieurs. - 2. Les
fibres
du premier sys- tème de la zone radiculaire moy
ème de la zone radiculaire moyenne émanent, dans leur ensemble, des
fibres
radiculaires postérieures; après avoir fourni gén
rdes postérieures, elles aboutissent en grande partie au réseau des
fibres
des colonnes de Clarke. Là où il n'y a pas de col
'y a pas de colonnes de Clarke, notamment dans les renflements, les
fibres
se dirigent vers la zone limitrophe des cordes
nt. Il est probable qu'elles ont pour équivalents des trousseaux de
fibres
qui entrent directement des racines postérieures
ce gélatineuse, soit en montant, soit en descendant. - 3. Quant aux
fibres
placées dans la zone médiane, impossible d'en s
laire moyenne. Mais il est impossible de savoir par quelle voie les
fibres
des cordons de Goll arrivent dans la zone radicul
rise ou des colonnes de Clarke dans les cordons postérieurs. 5. Les
fibres
de la zone radi- culaire postérieure médiane pr
e. Elles abandonnent les cordons postérieurs par trois chemins. Les
fibres
médianes vont en partie dans le raphé (cloison
es antérieures qui rayonnent et les grandes cellules nerveuses. Les
fibres
de la zone radiculaire postéro-médiane ne monte
ême. 6. En ce qui regarde la zone radiculaire postéro-latérale, les
fibres
se perdent dans le fin réseau placé en avant de
réseau placé en avant de la substance gélatineuse d'où partent les
fibres
qui se rendent à la commissure postérieure; à la
rise des cordons latéraux, elles se confondent directement avec les
fibres
radiculaires postérieures. Donc, les fibres de
nt directement avec les fibres radiculaires postérieures. Donc, les
fibres
de la zone radiculaire moyenne entrent princi-
ntrent princi- palement en rapport avec les colonnes de Clarke; les
fibres
de. la zone postéromédiane s'unissent surtout a
égénérescence de zones des cordons postérieurs marche la lésion des
fibres
radiculaires postérieures correspondantes et des
lésion des fibres radiculaires postérieures correspondantes et des
fibres
des cornes postérieures (le réseau des colonnes
rieures (le réseau des colonnes de Clarke est pris le première, les
fibres
les plus fines sont finalement atteintes). ' Te
ule interne. Il est donc évident que ce segment livre passage à des
fibres
sensitives qui unissent l'écorce aux nerfs céré
qui unissent l'écorce aux nerfs cérébro-spinaux. Que deviennent ces
fibres
plus haut, vers l'écorce ; où s'y terminent-ell
ppement. Le microscope révèle, dans la moelle : une exagération des
fibres
fines aux dépens des grosses (racines postérieure
t des lacunes dans les trames de l'association des idées; ainsi les
fibres
qui nous avertissent de la réalité de nos perce
ie. - Si l'on admet que la mélancolie émane de la con- tracture des
fibres
lisses des vaisseaux, tandis que la manie résulte
baire et sacrée de la moelle et qui est en relation intime avec les
fibres
des racines antérieures. Mémoire qui sera publié.
ns le liquide de Muller, on procéda à l'examen microscopique. Les
fibres
musculaires du gastrocnémien sont normales; elles
=lement, contient aussi plus de noyaux que d'ordinaire. Quelques
fibres
du deltoïde présentent aussi des vacuoles. La mul
ême résultat émane de la comparaison rationnelle des dimensions des
fibres
et de leur coupe trans- verse. C'est donc une p
et des phé- nomènes inflammatoires suivis de la dégénérescence des
fibres
nerveuses. M. Kalilden n'a, dans l'ensemble de
ation en est délicate. On est aussi frappé de la dégénérescence des
fibres
myéliniques et des altérations des ganglions spin
dans le pulvinar. La localisation exacte porte directement sur les
fibres
sensorielles de la capsule interne. Par places, i
périeure du ruban de Reil, du même côté, il existe une atrophie des
fibres
, que l'on constate en descendant jusque dans la
nombre; il en est de même des granulations internes; la couche des
fibres
du nerf optique est très amincie; néanmoins, au
moins, au voisinage de la pa- pille, on reconnaîtencore beaucoup de
fibres
. Les vaisseaux rétiniens sont ici gorgés de san
cas de ce genre il une affection du triju- meau et spécialement des
fibres
trophiques qu'il contient. MM. les Drs KOJEVNIK
u corps.- MM. les Drs DARKSCBEVITSCH et PMBYTKOFF..Z)M systèmes des
fibres
au fond du troisième ventricule du cerveau. Ils
roisième ventricule du cerveau. Ils distinguent trois ' systèmes de
fibres
: la commissure de Gudden, celle de Meynert et
l'entre-croisement de Forel. La commissure de Gudden consiste en
fibres
réunissant les noyaux lenticulaires avec les corp
sés.... , z La commissure de Meynert est formée de deux systèmes de
fibres
: ♦ a). Des fibres du ruban de Reil médians, qu
issure de Meynert est formée de deux systèmes de fibres : ♦ a). Des
fibres
du ruban de Reil médians, qui se dirigent vers le
noyau de Luys et vers le noyau lenticulaire du côté opposé; b). De
fibres
reliant les noyaux de Luys avec les noyaux lentic
es des côtés opposés, , . L'entre-croisemenl de Forel consiste en
fibres
reliant le noyau rouge du legmentum avec le noy
sont mis en communication les uns avec les autres par le système de
fibres
d'association et de pro- jection signalé déjà p
ules n'ont rien à voir avec les vais- seaux ; elles proviennent des
fibres
et correspondent à des tumé- factions circonscr
où il y a dégénérescence des capillaires, il y a dispa- rition des
fibres
nerveuses. Les capillaires lymphatiques restent
ez celui-ci, il faut et il suffit que dans la région tourmentée les
fibres
nerveuses soient revêtues de leur myéline. Conc
s soient revêtues de leur myéline. Conclusion : - Le revêtement des
fibres
nerveuses par des manchons de myéline correspon
ou d'autres particu- larités morphologiques se produisant dans les
fibres
au moment où elles s'entourent de myéline. " P.
E ET LES animaux ; DE LA PRÉSENCE A L'INTÉRIEUR DE CES FAISCEAUX DE
FIBRES
QUI SONT CARAC- TÉRISÉES PAR UN DÉVELOPPEMENT P
n où se devraient trou- ver les pyramides, et où l'on rencontre des
fibres
amyéliniques, on REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
OLOGIE PATHOLOGIQUES. 399 constate, au milieu de ces dernières, des
fibres
à myéline. On trouve encore de celles-ci dans l
cérébraux des pyramides. Mais il ne faut pas les confondre avec les
fibres
des trousseaux de la moelle qui traversent les
tus moins âgés, à une époque où sont déjà revêtues de myé- line les
fibres
du faisceau fondamental, du faisceau cérébello-
pée par les pyramides encore dans les limbes, une absence totale de
fibres
myéliniques ; toutefois, à la périphérie, on vo
s de signaler, à la périphérie des zones pyramidales supposées. Les
fibres
des systèmes pyrami- daux ont au contraire, pou
sez uniformé- ment toute la coupe de la zone pyramidate. Les autres
fibres
cons- tituent-elles des trousseaux indépendants
ait un certain volume, et que ses éléments aient pénétré entre les
fibres
de la capsule interne, il n'y a pas eu de sympt
rieures. P. K. XII. CONTRIBUTION A la connaissance DE la marche DES
FIBRES
dans LE PIED DU PÉDONCULE ET DES RELATIONS ENTR
édoncule en quatre zones, on voit que le quart externe renferme des
fibres
qui vont des lobes temporal et occipital à la p
one adja- cente, c'est-à-dire en dedans de ce dernier, existent les
fibres
du corps strié, des circonvolutions frontales (
s frontales (segment postérieur) et de la frontale ascendante ; les
fibres
immédiatement en arrière du genou de la capsule
rne. Enfin, la zone la plus interné du pédoncule ne contient ni les
fibres
du lobe frontal ni celles du noyau lenticu- lai
ns le bras inférieur gauche des tubercules quadrijumeaux; comme ces
fibres
ne paraissent pas tirer leur ori- gine du corps
paraissent pas tirer leur ori- gine du corps genouillé interne (les
fibres
d'origine de celui-ci étant intactes), ce sont
ibres d'origine de celui-ci étant intactes), ce sont évidemment des
fibres
qui, suivant Meynert, unissent les tubercules q
du lobe occipital (coin première occipale) ou l'interruption des
fibres
blanches antéro-postérieures qui correspondent à
minées. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 403 Les
fibres
blanches qui participent à l'édification des circ
ppartiennent, dit M. Schnopfhagen, sans exception, au sys- tème des
fibres
d'association; leur trajet et leur direction perm
t et leur direction permettent de les diviser en deux espèces : les
fibres
longues ou insulo-operculaires; les fibres cour
er en deux espèces : les fibres longues ou insulo-operculaires; les
fibres
courtes ou insulaires. Quand on a ejilevé l'écorc
fibres courtes ou insulaires. Quand on a ejilevé l'écorce, avec les
fibres
courtes, il reste trois crêtes. La crête postérie
La crête inférieure ou basale, insignifiante, est constituée par des
fibres
d'association de la troisième frontale. En résu
l'insula ne fournissent, par ces crêtes, qu'un très petit nombre de
fibres
d'association qui, traversant l'avant mur, pénè
et des irradiations du corps strié, M. Schnopfhagen montre que les
fibres
pédonculo-corticales directes participent à la
de la cap- sule interne, et exercent, au même titre que les autres
fibres
de pro- jection, une influence indéniable sur l
le sur le développement des hémis- phères. Il montre encore que les
fibres
du corps calleux rejoignent non pas, comme on l
ifférents et comme situation et comme fonction. Il existe aussi des
fibres
d'association unilatérales. Quoi qu'il en soi
atérales. Quoi qu'il en soit de ces détails anatomiques, toutes les
fibres
de 404 REVUE D'ANATOMIE ET DE~ PHYSIOLOGIE PATH
rment un éventail dont les tiges, constituées par des trousseaux de
fibres
, poussent, en se dévelop- pant, l'hémisphère et
le sens et sous la forme qui résulte de leur direction. Ainsi, les
fibres
de la couronne rayonnante', considérées dans le
t est la plus faible, c'est-à-dire là où les points de la ligne des
fibres
d'association unilalérales sont tangents aux li
ue propre à la paralysie générale qui frappe, non pas seulement les
fibres
, mais aussi (méthode de Nissl) les cellules de
u larynx, spasme, qui pourrait être occasionné par l'irritation des
fibres
sensitives du nerf vagus par deux tumeurs symét
ilité électrique. Au microscope, il y a un simple amincissement des
fibres
musculaires, tandis que les nerfs périphériques
- table DES matières. 465 rimentale du -, par Schrader, 242 ; -
fibres
du troisième ven- tricule du-, par Dai-lsche%vi
é, 108. Parole, embarras de la -, par Samsburg, 225. PÉDONCULE,
fibres
du-, par Zacher, 401. Persécutés, idées de gr
presque en contact avec ceux du côté opposé. On sait aussi que les
fibres
des pyramides s'épanouissent dans la pro- tubér
la pro- tubérance en fascicules séparés les uns des autres par des
fibres
transversales venues principalement des pédoncu
essous de l'aqueduc, de manière à intéresser les noyaux gris et les
fibres
pyramidales du côté gauche, respectera les cent
plégie droite, par suite de la destruction ou de la compression des
fibres
pyramidales du côté gauche. Ce même foyer produir
paralysie. Deux autop- sies témoignant d'une certaine déchéance des
fibres
nerveuses dans les racines postérieures lombair
ARCHIVES DE NEUROLOGIE ANATOMIE. z ' - 1 SUR LE GROUPEMENT DES
FIBRES
ENDOGÈIIti4 DE LA MOELLE DANS LES CORDONS POSTE
)1. le professeur Raymond, il la Salpêtrière. I. L'existence des
fibres
endogènes dans les cordons pos- térieurs de la
professeur Bou- cliard' parlait après Todd, Gratiolet et autres, de
fibres
com- missurales entrant dans la constitution de
82 ANATOMIE. de la moelle, dénommées cellules des cordons, que ces
fibres
sont les prolongements de neurones dont l'éléme
l'accord- est loin d'être fait. De plus, s'il est établi que ces
fibres
représentent des voies commissurales, reliant ent
t attribué à'ces faisceaux qu'un trajet assez court, d'où le nom de
fibres
commissurales courtes qui leur a été donné. Plu
e prononcer sur le point de savoir s'il s'agit dans ses deux cas de
fibres
endogènes des- cendantes, les seules que nous a
? scUeNitcL. i\'eunolo ! /isches Cenlrulbloll, 1" janvier 1896. DES
FIBRES
ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 83 , pression des racin
E. giques, même difficulté pour savoir si chez l'homme adulte ces
fibres
radiculaires descendantes existent réellement.
oi d'étonnant que dans une étude plus complexe. lorsqu'il s'agit de
fibres
endogènes, de faisceaux dont la topo- graphie,
Dufour. Bulletin de la Société .lnaloll11qllr, février 1896. z DES
FIBRES
endogènes DE la moelle. 85 picro-carmin; elles
que sur l'interprétation à lui donner au sujet de l'ollgille de ses
fibres
, interprétation qui, on le verra ne con- corde
ien voulu se charger de l'exécution de nos dessins. Fin. 7. DES
FIBRES
ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 87 1 Coupes entre les p
e cornu-commissurale exisle toujours mais déjà con- fondue avec les
fibres
radiculaires qui ont fait leur apparition. Il e
donc difficile sur ce seul cas de le différencier du groupe de ces
fibres
radiculaires. Mais si l'on se reporte à d'autre
elles et le septum un espace dégé- néré occupé actuellement par les
fibres
altérées des racines sacrées. Coupe au niveau d
de la deuxième lombaire et au-dessus (/'vg. 11). Sur ces coupes les
fibres
de notre groupe postérieur qui for- maient le c
s postérieures de ce qui releve des faisceaux endogènes. Toutes ces
fibres
sont en con- tact immédiat et on ne peut pour l
la zone dégénérée occupe exactement dans le cordon Fifl. 11. DES
FIBRES
ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 89 de Goll la place qui
rale. Pour le moment qu'il nous suffise de constater l'existence de
fibres
à dégénération descendante ou à long trajet dan
e pos- térieure. Mais auparavant et puisque nous allons parler de
fibres
endo- gènes et de faisceaux commissuraux des co
commissuraux des cordons postérieurs, il 1 Hoche. - Loc. cil. DES
FIBRES
ENDOGÈNES DE LA MOELLE. ui l est de toute néces
ie interne du cordon postérieur n'est pas uniquement formée par des
fibres
radiculaires. Après section de quatre paires ra
interne du cordon pos- térieur n'est pas uniquement formée par des
fibres
radiculaires La zone limitant le sillon médian
rtie supérieure du cône médul- laire. » Pour lui l'origine de ces
fibres
se trouverait dans la subs- tance grise. Hâtons
s cordons posté- rieurs. De plus, de l'avis de tous les auteurs les
fibres
radicu- laires descendantes sont toujours des b
la terminaison de la moelle, car cette circonstance prouve que les
fibres
saines n'étaient pas des rameaux descendants venu
les fibres saines n'étaient pas des rameaux descendants venus des
fibres
radiculaires^ saines sus-jacentes, mais bien des
s venus des fibres radiculaires^ saines sus-jacentes, mais bien des
fibres
d'origine médullaire. » Voilà un premier point
de tous ces cas que par la présence dans les cordons postérieurs de
fibres
descendantes à long trajet. Dans les descriptio
s à long trajet. Dans les descriptions données par ces auteurs, ces
fibres
se prolongeaient manifestementjusqu'à la partie
doit de même faire écarter toute explication par la dégénères DES
FIBRES
ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 93 cence traumatique de
ga- tifs ; expérimentalement on sait d'une façon positive que les
fibres
endogènes existent dans la moelle. On lit dans va
quelques semaines à cette expérience, outre la dégéné- rescence des
fibres
des racines antérieures et d'un grand nom- bre
scence des fibres des racines antérieures et d'un grand nom- bre de
fibres
du cordon antéro-latéral... une zone de fibres en
un grand nom- bre de fibres du cordon antéro-latéral... une zone de
fibres
en dégénérescence au sommet du cordon postérieu
e, p , Voyons maintenant comment il faut comprendre le trajet des
fibres
endogènes dans la moelle : voie d'union courte po
bres endogènes dans la moelle : voie d'union courte pour toutes ses
fibres
ou courte pour les unes, longue pour les autres
es ses fibres ou courte pour les unes, longue pour les autres. 1°
Fibres
à court trajet. Nous allons étudier d'abord les
autres. 1° Fibres à court trajet. Nous allons étudier d'abord les
fibres
groupées dans la zone appelée communément, cornu-
ment, cornu- commissurale, qui répondent à notre premier système de
fibres
endogènes groupe antérieur ou à court trajet.
te zone dans le tabes, a émis l'hypothèse qu'elle est com- posée de
fibres
endogènes. Pour lui la pellagre, maladie d'ori-
ombre dans la zone cornu-commissurale. On devait donc retrouver ces
fibres
dans notre cas, elles existent 1 SchielIerùecke
r laquelle nous reviendrons après avoir montré qu'il s'agit bien de
fibres
courtes. Dans une observation du mémoire de MM.
au niveau du renflement lombaire, on trouve : un triangle vide de
fibres
, dont la pointe atteint la commissure postérieure
s'en assurer sur les figures données par ces auteurs. En route les
fibres
de la région anté- rieure disparaissent en part
observation, une de Schultze, celle de Souques et Marinesco. Ces
fibres
courtes dans les cas de compression de la moelle
nce quant à la signification; il s'agit de régions occupées par des
fibres
à trajet assez court et qui chan- gent de place
u- commissurales, et devenant cornu-commissurales à partir de DES
FIBRES
ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 95 la région lombaire m
re la zone cornu-commissurale est dégé- nérée, il n'y avait plus de
fibres
endogènes. Le même fait s'est reproduit sur nos
et Marinesco, la dégénérescence ascendante refoule latéralement les
fibres
endogènes à ce niveau troisième lombaire. La
soit de la base des cornes postérieures. Ils forment un groupe de
fibres
endogènes antérieur, et, sui- vant les étages a
ient le faisceau virgule de Schultze.. , D'une façon générale les
fibres
occupent la partie interne des filets radiculai
onctionnel une dispo- sition particulière qui fait supposer que ces
fibres
mettent en connexion la moelle d'une part, les
osés de la substance grise médullaire'. 2° Du deuxième système de
fibres
endogènes à direction des- pendante. Fibres à
u deuxième système de fibres endogènes à direction des- pendante.
Fibres
à long trajet. Jusqu'ici les auteurs n'ont décrit
crit que des voies commissurales courtes ; le deuxième système de
fibres
que nous allons étudier est le postérieur et par
e à long trajet. Bien entendu ce n'est pas sur la présence seule de
fibres
à myéline intacte dans les cas de lésions des n
l'on peut exclusivement s'appuyer. La preuve de l'existence de ces
fibres
ne peut être fournie que par les cas de dégénér
oyenne il se - 1 ' 1 Dans la zone cornu-commissurale, en plus des
fibres
endogènes à dilectiun descendante, il en existe
te, il en existe à direction ascendante. ' Barbacci Loc. cil. DES
FIBRES
ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 97 1 dirige vers le sep
ont que les différentes étapes topographiques d'un même groupe de
fibres
et représente la voie endogène à long trajet des
érie, on comprend très bien qu'à aucun moment il n'ait à couper les
fibres
radiculaires dans la moelle. Chemin faisant il
situation tout à fait périphérique et du nombre très restreint des
fibres
qui le composent mais cette continuité est trop
. Des deux l'antérieur est le plus important quant au nombre de ses
fibres
avec exception possible pour la région tout à f
e pouvait être mise en doute, elle n'infirmerait pas l'existence de
fibres
endogènes à dégénération descendante dans ces m
s mêmes cordons postérieurs; 2° On peut considérer deux systèmes de
fibres
descendantes dans le cordon postérieur dites fi
eux systèmes de fibres descendantes dans le cordon postérieur dites
fibres
endogènes ou commis- surales. L'un de ces systè
re postérieur a un trajet très long au moins pour une partie de ses
fibres
. Nota. - Nos figures schématiques, n'ayant la p
ciété de Biologie, 2 mai 1896. Il. Durant. Thèse Paris, 1895. DES
FIBRES
ENDOGÈNES DE LA MOELLE. 99 15. Egger..t1'ch. su
le résultat des altérations qu'il a constatées dans le système des
fibres
d'association corticales. 11 faut dire que les
bres d'association corticales. 11 faut dire que les altérations des
fibres
constatées par Jen- drassik n'ont pas été confi
notre méthode de traitement. En effet, si chez les tabétiques les
fibres
d'association indispensables pour la coordination
e,' à apprécier les impressions affaiblies que lui transmettent les
fibres
nerveuses sensitives altérées. Les exercices le
phériques présentent de l'hyperplasie du tissu conjonctif, mais les
fibres
nerveuses sont saines. Cette lésion est de nature
on voit dans les cordons postérieurs, avec raréfaction légère des
fibres
nerveuses avec un peu d'épaississement du tissu d
le semble intact sauf cependant une certaine raréfaction encore des
fibres
à myéline dans les cordons latéraux. 2e autop
rieure et postérieure. Quant aux nerfs hypertrophiés, ils ont leurs
fibres
nerveuses normales, mais ils sont oedématiés et
fec- tion lente du centre trophique ne produit pas l'altération des
fibres
- nerveuses périphériques dans toute leur longu
escence amyloïde des cellules, et dans tous les cas, l'atrophie des
fibres
et cellules. P. K. XIV. DES CONVULSIONS ET DE l
peut porter sur le centre cortical (aphasies corticales) ou sur les
fibres
qui relient les centres d'images motrices, visuel
es visuelles. Ces diverses parties sont reliées entre elles par des
fibres
blanches, d'autres fibres les réunissent aux autr
parties sont reliées entre elles par des fibres blanches, d'autres
fibres
les réunissent aux autres régions corticales, d
misphère. De toute la corticalité de la zone du langage partent des
fibres
de projections venues des cellules pyramidales.
té- rieur est altéré. Les aphasies pures résultent d'une lésion des
fibres
de conduction centripète ou centrifuge ; la zon
icroscope fait voir que, malgré une paraplégie absolue, bien peu de
fibres
nerveuses pourtant sont désorganisées. (Rivista
lexes; par le Dr HDGHES. L'auteur admet l'existence hypothétique de
fibres
reliant le cer- veau aux cornes antérieures de
UES. 48l t représentent les cylindres des cellules de Purkinje. Ces
fibres
des- cendantes se distribuent dans les éléments
le. - D'après les recher- ches de l'auteur, une partie au moins des
fibres
corticales se ter- minent au niveau de la protu
e dirigent en partie vers une direction opposée, formant quelques
fibres
arquées internes; 6° Fibres collatérales du fai
e direction opposée, formant quelques fibres arquées internes; 6°
Fibres
collatérales du faisceau longitudinal postérieur
ts des cellules de Deilers ne sont pas des prolongements et que les
fibres
de la névroglie s'enroulent autour des cellules d
s est systématisée dès la sortie des nerfs de la moelle ; ainsi les
fibres
motrices qui émergent de la 486 REVUE D'ANATOMI
ction simultanée de plusieurs muscles, ou de plusieurs faisceaux de
fibres
musculaires appartenant à des muscles différent
ngiomateuse. Au niveau des points lésés il y avait une atrophie des
fibres
tangentielles et des éléments nerveux avec une
oelle épinière. L'ordre adopté par l'auteur est très rationnel. Les
fibres
nerveuses étant destinées établir des rapports
En rapport avec cette division l'auteur étudie successivement les
fibres
de la moelle épinière, y compris celles des racin
re, y compris celles des racines posté- rieures et antérieures; les
fibres
du tronc cérébral ainsi que les faisceaux qui u
gion entre elles et avec les autres territoires de l'encéphale; les
fibres
du cervelet, c'est-à-dire celles qui mettent en
nissent les différentes parties du cervelet entre elles; enfin, les
fibres
des hémisphères cérébraux qui com- prennent : a
re eux les divers territoires des hémisphères cérébraux (système de
fibres
d'association). J. ROUBIVOVITCH. VARIA. Quest
ns prétendues - du Mont Saint-Michel, 40S. Moelle. Groupement des
fibres
en- dogènes de la-, par Dufour, 81 . Gomme sy
le, à certains groupes de cellules nerveuses, à certains faisceaux de
fibres
? Il est permis d'en douter. La maladie, au contra
nous permet de constater quel groupe de cellules, quels faisceaux de
fibres
nerveuses ont été irrités, atrophiés ou détruits.
, il existe en cette région des cordons postérieurs, des faisceaux de
fibres
, éta-blissant sans doute, dans le sens vertical,
vertical, des connexions entre les diverses parties de la moelle. Ces
fibres
serviraient à la coordination des mouvements des
ésion produit l'incoordination, tandis que la lésion des faisceaux de
fibres
qui composent les cordons mé-dians ne paraît pas
fini, de manière à constituer ce que M. Gerlach appelle lere'seau des
fibres
nerveux [Nerven fasernetz). C'est par l'intermédi
t, les accidents qu'elles occasion-nent, en interrompant le cours des
fibres
nerveuses dans la moelle, constituent souvent les
giques, nés en dehors de ce conduit osseux. avec l'interception des
fibres
nerveuses spinales, tandis que ces phénomènes, da
i se rattachent directement aux effets de l'interruption du cours des
fibres
nerveuses dans la moelle, ne s'observent presque
, par le fait de la seule intercession mécanique de la continuité des
fibres
nerveuses. Quoi qu'il en soit, Messieurs, la ré
ganglionnaires, liées entre elles par leurs prolongements jusqu'à des
fibres
nerveuses restées saines ; ces impressions parven
suivant la règle commune, rapportées à la périphérie de ces dernières
fibres
nerveuses, et de là proviendrait l'erreur dans la
traire, ces condi- lésions organiques qui interceptent le cours des
fibres
nerveu-ses dans la moelle, sur un point, dans tou
édiane. La lésion doit avoir, par conséquent, interrompu le cours des
fibres
des cordons postérieurs et antéro-latéraux d'un c
ir de l'interruption subie par le faisceau latéral correspondant, les
fibres
qui constituent ce faisceau ne s'entre-croisant n
nt ce faisceau ne s'entre-croisant nulle part dans la moelle avec des
fibres
homologues du côté opposé. J'avais soin de vous
générale, progressent paral-lèlement ; autrement dit, moins il y a de
fibres
musculaires dans un muscle ou plus il y a de fibr
, moins il y a de fibres musculaires dans un muscle ou plus il y a de
fibres
atrophiées, plus la fai-blesse est grand-e, et ce
ieure de la protubé- 1 rance, la lésion peut être suivie tant que les
fibres
, provenant des pyramides, sont encore réunies en
ont encore réunies en faisceaux ; mais, plus haut encore, lorsque ces
fibres
se disséminent, on les perd aisément de vue. Qu
pertrophie du tissu conjonctif interstitiel, avec atrophie simple des
fibres
musculaires, peut se retrouver, par exemple, à la
sont constituées par du tissu conjonclif de formation récente, où les
fibres
lamineuses, dirigées surtout parallèlement au gra
le à l'étendue des vides laissés par l'atrophie ou la disparition des
fibres
musculaires. Il est possible toutefois que l'hype
semblable, déjà, d'après cela, que les éléments nerveux, faisceaux de
fibres
ou corpuscules ganglionnaires, dont la lésion est
s méditations et à vos critiques, qu'à côté, en avant sans doute, des
fibres
qui, dans la couronne rayonnante, servent de voie
servent de voie aux impres-sions sensitives, il est des faisceaux de
fibres
douées de proprié-tés motrices particulières et d
e, voir de nombreuses stries jau-nes correspondant à des faisceaux de
fibres
malades, alterner avec des stries rouges moins no
unique moyenne, elle est dans certains points évidemment altérée. Les
fibres
musculaires deviennent granuleuses et un certain
iel, et l'absence de toute production exagérée du tissu adipeux. La
fibre
malade conserve habituellement jusqu'à la dernièr
érale. Ainsi, dans le diaphragme, dans le long supinateur, cer-taines
fibres
sont remplies d'un contenu granuleuxet surd'autre
tissu conjonctif. C'est à peine si, de loin en loin, on retrouve une
fibre
musculaire, et, chose singu-lière, cette fibre un
loin, on retrouve une fibre musculaire, et, chose singu-lière, cette
fibre
unique restée là comme pour attester l'existence
qui l'a-nime, l'altération est bien loin d'y être aussi avancée. Les
fibres
musculaires y sont encore nombreuses; elles ont c
e cette simple comparaison (Pl. VIII, fig. 4 et 5). Dans l'une, les
fibres
sont volumineuses de 45 à 90a, toutes de dimensio
rritatif a été transmis à la zone radiculaire par l'intermédiaire des
fibres
nerveuses qu'elle reçoit de la corne antérieure.
rophie, le nerf ne se trouve envahi que lentement, et pour ainsi dire
fibre
à fibre (Pl. VIII, fig. 1 et/ig. 3). Il convien
le nerf ne se trouve envahi que lentement, et pour ainsi dire fibre à
fibre
(Pl. VIII, fig. 1 et/ig. 3). Il convient de rap
de, la paralysie progressive des muscles respiratoires. Le nombre des
fibres
jouissant de leurs fonctions, diminuant de jour e
r expliquer une paralysie aussi complète, dans les muscles pourvus de
fibres
encore assez nombreuses et qui, bien que considér
illes sur le verre à préparation, on reconnaît que la consistance des
fibres
est un peu plus grande qu'à l'ordinaire; elle rap
me. — Ces granulations varient beaucoup en nombre et en volume, d'une
fibre
musculaire à l'autre. Les stries transver-sales e
t longitudinales, qui se voient d'une façon très nette dans certaines
fibres
atrophiées, mais peu granuleuses, sont plus ou mo
dance. La striation a entièrement disparu dans un certain nombre de
fibres
musculaires qui apparaissent sous l'aspect d'un c
ni dans l'acide acétique ni dans la potasse, pas plus que celles des
fibres
qui ont conservé la striation. Le volume des fi
que celles des fibres qui ont conservé la striation. Le volume des
fibres
musculaires semble normal pour un cer-tain nombre
erve une diminution parfois considérable. C'est ainsi qu'à côté d'une
fibre
musculaire de dimension normale, on en voit d'aut
le diamètre transversal est réduit à un 1/3 ou à la moitié. Certaines
fibres
offrent même un diamètre 4 et jusqu'à 5 fois plus
une particularité importante à signaler, c'est qu'un grand nombre des
fibres
qui ont subi une atrophie aussi considérable prés
ation très nette et sont à peine ou même pas granuleuses. Parmi les
fibres
musculaires les plus altérées, un petit nombre se
ésenté la division en fragments de la sub-stance musculaire. Dans les
fibres
où nous avons observé cette di-vision, les blocs
ires. Nous n'avons pas, dans ces cas, remarqué qu'ils continssent des
fibres
nerveuses dégénérées. — Le tissu conjonctif' inte
fendillé, très remarquable principalement aux extrémités brisées des
fibres
: cet aspect fen-dillé se retrouve d'ailleurs dan
ctif; 4° une altération granulo-graisseuse peu marquée pour certaines
fibres
; très accen-tuée pour d'autres ; o° la division e
en fragments de la substance musculaire ; 0° l'atrophie de certaines
fibres
musculaires, simple et indépendante de toute dégé
on pouvait rencontrer toutes ces alté-rations à la fois. A coté d'une
fibre
musculaire entièrement saine ou à peine granuleus
ivision en blocs de la substance musculaire. Dans l'intervalle de ces
fibres
, on aper-cevait une grande quantité de tissu conj
é leur coloration normale. On trouve toutefois, dans l'intervalle des
fibres
, une augmentation notable du tissu conjonc-tif ;
une augmentation notable du tissu conjonc-tif ; il y a, là aussi, des
fibres
granulo-graisseuses, des fibres vi-treuses, d'aut
u conjonc-tif ; il y a, là aussi, des fibres granulo-graisseuses, des
fibres
vi-treuses, d'autres considérablement atrophiées
à notre grand étonnement, absolument présenté aucune altération. Les
fibres
étaient remar-quables par leur volume relativemen
ême dans le diaphragme : nous n'avons rencontré qu'un petit nombre de
fibres
où les granulations fussent assez abondantes pour
que négatif. Du moins jamais n'a-t-on trouvé cet état granuleux de la
fibre
musculaire, vu cette prolifération nucléaire abon
évolution. — Dans les muscles de la face, au contraire, de nombreuses
fibres
avaient perdu leur striation transversale et prés
générés. Dans les éminences thénar et hypothénar, en particulier, les
fibres
avaient subi une atrophie simple très marquée ; s
de l'état normal. C'est à peine si on pouvait y distin-guer quelques
fibres
à contenu granuleux, tandis que quelques autres,
rieur notablement altéré. On a noté, en particu-lier, l'intégrité des
fibres
de l'hypoglosse, parvenu à la base de la langue ;
du renflement cervical, ont présenté, au milieu d'un grand nombre de
fibres
restées saines, quelques fibres dégénérées. Le
senté, au milieu d'un grand nombre de fibres restées saines, quelques
fibres
dégénérées. Le nerf médian du côté gauche, exam
histologique. — ?.. Mucles. — Vers la pointe de la lan-gue, là où les
fibres
musculaires étaient le plus pâles, la moitié peut
on des no-yaux du sarcolemme à un degré plus ou moins prononcé. Les
fibres
musculaires de coloration jaune, provenant de la
rtout, et l'on trouve toujours dans les régions les plus variées, des
fibres
malades entremêlées parmi des faisceaux parfaitem
ropos, qu'en pareil cas l'absence d'altération granulo-graisseuse des
fibres
muscu-laires a, le plus souvent, été seule nettem
ont constituées par du tissu con-jonctif de formation récente, où les
fibres
lamineuses, dirigées surtout parallèlement au gra
ce qui est des muscles pectoraux et sacro-lombaires, les lésions des
fibres
primitives qu'on y rencontre tiennent le milieu e
e à l'étendue des vides laissés par l'atrophie ou la dis-parition des
fibres
musculaires. 11 est possible toutefois que l'hype
pertrophie du tissu con-jonctif interstitiel avec atrophie simple des
fibres
musculaires 1 Deux cas d'atrophie musculaire pr
me normal. Fig. 5. — Coupe longitudinale du diaphragme malade. — a,
Fibres
atro-phiées bien qu'ayint c uissrvè leur striatio
es espaces conjonctifs, b, sont élargis par le fait de l'atrophie des
fibres
musculaires. Document numérisé par la Bibliothè
spéciaux constitués par des gaines lamelleuses contenant de petites
fibres
musculaires et des tubes ner- veux. Trois ans
s. dans l'épaisseur du tissu conjonctif qui sépare les faisceaux de
fibres
, de petits îlots plus ou moins régulièrement ar
espace délimité par chacune de ces gaines, on voit un groupe de 3 à
fibres
musculaires striées, d'un diamètre plus ou moin
plus ou moins considérable, mais de beaucoup inférieur à celui des
fibres
qui se trouvent dans toutes les autres parties
énéralement un plus grand FIG. i. Faisceau nouro musculaire. a,a.
Fibres
musculaires qui a-voisinent le faisceau neuro-mus
Dans l'espace délimi- tée par cette gaine on voit : c. Les petites
fibres
musculaires; nombre de noyaux que ces dernièr
musculaires; nombre de noyaux que ces dernières. Ces peti- tes
fibres
musculaires sont séparées les unes des au trè
i- formes. Dans certains de ces îlots on trouve aussi entre les
fibres
musculaires quelques tubes nerveux (voir fi
zones secondaires, dont la principale est occu- pée par de petites
fibres
musculaires ; dans une des zones accessoires se
u'une variante de la précédente : le tronc nerveux et le groupe des
fibres
musculaires, au lieu d'être logés dans une gain
laires, bien dis- tincts des faisceaux voisins par la dimension des
fibres
et la gaine conjonctive dont ils sont entourés.
e les fais- ceaux et les troncs nerveux dont ces groupes de petites
fibres
sont accompagnés leur sont destinés. » Ayant
ction du sciatique, chez le lapin, une disposition particulière des
fibres
musculaires altérées, qui me paraît propre à fa
arce qu'on peut y trouver, à tous leurs degrés, les altérations des
fibres
musculaires. Pour voir la disposition que je va
it par le picro-carmin, soit par l'hématoxyline. Sur la plupart des
fibres
musculaires dépendant du nerf sciatique section
ommune, on trouve des dispositions par- ticulières à telle ou telle
fibre
, mais qui se rapportent toutes à la tu- méfacti
méfaction du protoplasma non différencié. Sur un ccrlain nombre de
fibres
musculaires, il existe toute une couche protoplas
sma remplit presque à lui seul la gaine du sarcolemme. Sur d'autres
fibres
, MODIFICATIONS DES MUSCLES APRÈS SECTION DE LEU
es figures sont tout à fait comparables à celles que présentent les
fibres
musculaires en voie de développement. On voit d
ce prolo- plasmique en voie de développement « Si l'on compare la
fibre
musculaire altérée à la fibre musculaire normal
de développement « Si l'on compare la fibre musculaire altérée à la
fibre
musculaire normale, voici comment on peut compr
n peut comprendre le processus patholo- gique : à l'état normal, la
fibre
musculaire est un élément très diffé- rencié, d
14 HISTOLOGIE NORMALE ET PHYSIOLOGIE. PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE « La
fibre
musculaire, : 1 la suite de ces troubles d'innerv
à une période où, le bout périphérique du nerf étant dégénéré, les
fibres
musculaires ne présentent que des altérations m
érescence ne serait, en partie au moins, que la réaction propre des
fibres
musculaires. On pourrait donc expliquer la réacti
serait duc à la persistance de l'excitabilité électrique propre des
fibres
musculaires à une période où celle des filets n
ainsi que dans des hémiplégies toutes récentes, dans des cas où les
fibres
nerveuses du faisceau pyra- midal étaient détru
posés sont ceux dont le développement est le plus avancé : dans les
fibres
qui les composent, la substance striée est très
pparents et il existe beau- coup de noyaux à la partie centrale des
fibres
. Ainsi, le long supina- leur, les muscles orbic
exes tendineux dépend, dans l'espèce, d'une altération propre de la
fibre
musculaire. De plus. nous avons fait remarquer
e : la cornée, la sclérotique, la muqueuse palpébrale reçoivent des
fibres
sensitives du trijumeau qui transmettent au noy
nsé- quence d'une disposition individuelle en vertu de laquelle les
fibres
de la zone radiculaire moyenne ont été moins se
é quelques sujets atteints d'hémiplégie organique chez lesquels les
fibres
du peaucier étaient, à l'ouverture de la bouche,
unilatérales) tient à ce qu'un des foyers interrompt à la fois les
fibres
olivaires gauches avant leur entre-croisement e
ois les fibres olivaires gauches avant leur entre-croisement et les
fibres
olivaires droites après leur décussation; b) le
u de Deiters (Probst), cette voie est également sectionnée ; c) les
fibres
du ruban de Reil, surtout dans la partie postér
artie postérieure de la couche interolivaire, région où siègent les
fibres
nerveuses provenant du noyau grêle auquel aboutis
es fibres nerveuses provenant du noyau grêle auquel aboutissent les
fibres
longues des racines postérieures correspondant
au longitudinal postérieur par lequel passent vraisemblablement les
fibres
descendantes établissant la communication entre l
u longitudinal postérieur, il existe des faisceaux longitudinaux de
fibres
dégénérées que l'on peut suivre jusque dans les
sceau cérébelleux descendant. Au-dessus des foyers, on aperçoit des
fibres
dégénérées qui remon- tent jusqu'au noyau de De
qui remon- tent jusqu'au noyau de Deiters; ce sont probablement des
fibres
du 161 AFFECTIONS DE L'ENCÉPHALE faisceau cér
n, et c'est là le point le plus important, nous avons pu suivre les
fibres
olivaires dans toute leur étendue jusqu'à leur te
s olivaires dans toute leur étendue jusqu'à leur terminai- son. Les
fibres
émanant des deux olives bulbaires, sectionnées en
nt par leur dégénérescence des boules beaucoup plus petites que les
fibres
des autres faisceaux. Elles constituent d'abord
que les fibres des autres faisceaux. Elles constituent d'abord les
fibres
pré-, inter- et rétro-trigéminales, puis vont s
igent directement dans la toison pendant leur trajet ascendant. Ces
fibres
se terminent dans l'embolus et l'olive cérébelleu
dent pas à l'écorce, comme on l'avait supposé. A la dénomination de
fibres
olivo-cérébelleuses, il convient donc de substitu
t pas restée cantonnée dans cette région et qu'elle a intéressé les
fibres
de la voie pyramidale. Destarac (Revue neurolog
e l'homme d'un système spécial constitué par des groupes de petites
fibres
musculaires entourées d'une gaine lamelleuse (S
on des cellules de l'écorce cérébrale qui va de pair avec celle des
fibres
du corps calleux (Forel). On peut adopter en co
et 4e paires. Les auteurs ne croient pas que la 4°;paire envoie des
fibres
directs dans le tissu de la 3e paire, en outre,
n des cellules, sclérose et demyélinisation d'une grande partie des
fibres
surtout de la capsule olivaire. Pseudo-tcabes
r les circonvolu- tions du lobe lrontal et du lobule paracentral.
Fibres
nerveuses. Etant donné les lésions cellulaires pr
s nerveuses. Etant donné les lésions cellulaires précé- dentes, les
fibres
nerveuses ne sauraient être intactes. Partout, on
diminution de nombre ne va jamais jusqu'à la disparition totale des
fibres
qui se retrouvent, encore assez nombreuses, dans
zone d'Ext)er Itisqu'a.1 centre ovale proprement dit. En outre, les
fibres
nerveuses, exami- nées isolement, sont plus grê
ment, sont plus grêles qu'à l'état normal, même quand il s'agit des
fibres
relativement grosses, qui entrent dans la cons-
t de sclérose déjà avancé; il n'est plus possible d'y distinguer de
fibres
optiques et il n'entre plus dans sa structure q
IL CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 129 décrites à ce niveau, et les
fibres
et cellules nerveuses des couches correspondant
et névrogli- ques qui aux abords de la papille occupe la couche des
fibres
ner- veuses, devient moins dense, mais d'autres
(1, fig. 19) est épaissie, elle mesure plus de deux p.; d'épaisses
fibres
de Muller 2 (fig. 19) en partent, on les voit,d
verticalement vers les couches externes delà rétine,' La couche des
fibres
nerveuses, ne semble plus contenir de fibres op
rétine,' La couche des fibres nerveuses, ne semble plus contenir de
fibres
opliques intactes, elle présente des lésions ex
sur notre figure 19 et on peut en certains points s'assurer que les
fibres
de illulier contribuent à la formation de leurs
du décollement. Grossissement : diamètres. 1, Limitante interne; 2,
fibres
de lluller, 3, noyauide cellule nerveuse proliMre
t vaisseau Ci paroi hypertrophiée; 6, couche granuleuse interne; 7,
fibres
de Muller formant autant de colonnes séparées par
tes polynucléaires. Lestroma choroïdien, très riche en faisceaux de
fibres
conjoncti- ves, et en cellules fortement pigmen
certain nombre de lym- phocytes de volume variable sitjés entre les
fibres
conjonctives du stroma séparées par un exsudat
tion veineuse n'existe pas, et on n'observe pas d'exsudat entre les
fibres
connectives. En somme, il s'agit d'un malade sy
atrophie des cellules du cerveau sous l'influence de la lésion des
fibres
qui en émanent avait été déjà mise en relief par
montré beau- coup de cellules polynucléaires. Note sur l'état des
fibres
A myléine du plexus cardiaque chez les tabétiqu
é l'état du plexus cardiaque chez douze tabétiques. Il a trouvé les
fibres
à myéline diminuées dans la pro- portion des de
une hypertrophie des olives avec sclérose et démyeti- irisation des
fibres
périolivaires et intraolivaires. Ces lésions n'on
te cellule cérébrale actionnée par une idée actionne à sou tour les
fibres
nerveuses qui doivent réaliser cette idée, on arr
ent, il est vrai, que le leucocyte peut subir une transformation en
fibre
conjonctive fusiforme et aboutir ainsi à un tis
et au sarcoplasme dans les atrophies et les dégénérescences de la
fibre
musculaire. Il ne semble pas que l'histologie pui
es et acces- soires, et que le premier rôle revient aux lésions des
fibres
et des cellules nerveuses, engendrées par des s
r la périvascularite, la prolifération névroglique, l'atro phie des
fibres
tangentielles et les altérations de degré divers
flammation du tissu conjonctivo-vasculaire, et que l'atrophie des
fibres
nerveuses à myéline est due, quand on l'observe,
Dans les parties détruites, il n'y a plus ni cellules nerveuses, ni
fibres
nerveuses. On y rencontre en abondance des vaisse
uite cette méthode ne fournit aucun renseignement sur le trajet des
fibres
radiculaires entre le point sectionné et les ce
igine et de la dégénérescence wallérienne consécutive de toutes les
fibres
radiculaires. C'est à cette dégéné- rescence wa
fibres radiculaires. C'est à cette dégéné- rescence wallérienne des
fibres
du bout central d'un nerf arraché, dégénérescen
ode de Marchi ; on y trouvera en dégénérescence complète toutes les
fibres
du bout central depuis leur noyau d'ori- gine r
uestion encore si discutée de l'exisleuce ou de la non-existence de
fibres
croisées dans les nerfs périphériques. Nous avo
ats obtenus. 334 SOCIÉTÉS SAVANTES. Nerf oculo-moteur commun. Les
fibres
radiculaires proviennent toutes du noyau classi
t toutes du noyau classique ; les plus proximales sont toutes des
fibres
directes, les plus distales sont à la fois direct
nent de la partie ventrale du noyau corres- pondant, tandis que les
fibres
croisées sortent de la moitié dor- sale du noya
sées sortent de la moitié dor- sale du noyau du côté opposé. Aucune
fibre
ne provient ni des tubercules quadrijumeaux sup
nerf VI (con- tra Duval et Laborde). Nerf pathétique. Toutes les
fibres
proviennent du noyau clas- sique. Le plus grand
s'entrecroisent dans la valvule de Vieussens ; un 'petit nombre de
fibres
sont directes. Nerf oculo-moteur externe. Toute
mbre de fibres sont directes. Nerf oculo-moteur externe. Toutes les
fibres
radiculaires sont directes. Elles proviennent d
. Nerf facial. Le tronc du nerf facial est formé exclusivement de
fibres
directes. Le faisceau de fibres nerveuses que la
f facial est formé exclusivement de fibres directes. Le faisceau de
fibres
nerveuses que la plupart des auteurs considèren
euses que la plupart des auteurs considèrent comme représentant les
fibres
croisées du nerf facial, n'appartient pas au ne
'appartient pas au nerf de la septième paire. Il n'est pas formé de
fibres
radiculaires, mais de fibres centrales ayant le
septième paire. Il n'est pas formé de fibres radiculaires, mais de
fibres
centrales ayant leurs cellules d'origine dans l
de Deiters, pour devenir, après entrecroisement dans le raphé, des
fibres
constituantes du faisceau longitudinal postérie
es du faisceau longitudinal postérieur. Nerf pneumogastrique. Les
fibres
motrices du nerf pneumo- gastrique sont toutes
ique. Les fibres motrices du nerf pneumo- gastrique sont toutes des
fibres
directes. Les unes proviennent du noyau dorsal
de 11'illis. Nous avons établi, dans un travail antérieur, que les
fibres
bulbaires du nerf de Willis appartiennent en ré
une origine exclusivement médullaire. Il est formé exclusivement de
fibres
directes. Celles-ci, réunies en petits faisceau
jus- qu'à leur origine réelle, on voit que chaque petit faisceau de
fibres
radiculaires traverse transversalement la moell
niveau de la partie externe de la corne grise postérieure. Là, les
fibres
se SOCIÉTÉS SAVANTES. 335 recourbent en bas p
res radiculaires proviennent du noyau classique. Ce sont toutes des
fibres
directes. Le noyau accessoire de Roller ne donn
directes. Le noyau accessoire de Roller ne donne pas origine à des
fibres
radiculaires. Nerfs spinaux. Après arrachement
ment du plexus brachial ou du nerf sciatique, on voit de nombreuses
fibres
radiculaires en dégé- nérescence provenir de la
elles ne provient du côté opposé. Nous pouvons en conclure que les
fibres
motrices continues dans les nerfs correspondant
ces continues dans les nerfs correspondants, sont exclusivement des
fibres
croisées. Conclusions. De l'ensemble de nos rec
conclusion : les nerfs moteurs périphériques sont tous formés de
fibres
exclusivement directes. Il n'y a d'exception que
ption que pour le nerf pathétique, qui est formé essentiellement de
fibres
croisées et pour le nerf ocu/o-ntoew commun qui
isées et pour le nerf ocu/o-ntoew commun qui renferme à la fois des
fibres
directes et des fibres croisées. Sur le mode
cu/o-ntoew commun qui renferme à la fois des fibres directes et des
fibres
croisées. Sur le mode de contact entre les neur
y Cajal a décrit depuis longtemps que les fines arborisations des
fibres
nerveuses dans la moelle épinière. l'écorce céréb
', ont montré qu'il existe incontestablement dans chaque cellule ou
fibre
musculaire deux 'substances contractiles : la s
sme, qui se trouve plus ou moins abondamment dans chaque cellule ou
fibre
musculaire. Le sarcoplasme possède des caractèr
e et dirige les processus mécanique d'expliation, de clivage, de la
fibre
muscu- laire, qui vont jusqu'à la disparition c
OCIÉTÉS SAVANTES. 373 des courants secondaires allieront le long de
fibres
d'association tous les groupes mentionnés, et d
est effectuée, au moyen d'un courant secondaire nouveau, le long de
fibres
d'association qui allient un groupe de cellules
ifération des éléments conjonctifs et névrogliques et par celle des
fibres
radiées ; les cellules ganglion- naires diverse
ion ; quand elle présente l'aspect flou, on trouve les faisceaux de
fibres
ner- veuses à peu près intacts simplement sépar
njonctives et névrogliques, sont alors tellement abondantes que les
fibres
ner- veuses ne sont plus visibles. Le nerf opti
et en avant à la commissure de l'habénule, envoient de puissantes
fibres
saggitales destinées aux régions inférieures du n
nt exactement, dans cette dernière partie de leur trajet, comme les
fibres
des tubeicules quadri- jumeaux au cordon antéri
amique dit cordon (intérieur de lioyce et Ltechterew. 21 Quelques
fibres
transverses de moyen volume s'entrecroisent en
13rICELI : S ;LVC2n'ol0l. CenlrulGl., XX, 1901). D'où viennent les
fibres
qui, dans les segments inférieurs de la moelle,
sacrée jusqu'au niveau de la moelle cervicale, absence partout des
fibres
arquées de la corne postérieure. Et, malgré cel
arrêtée par une couche de noyaux couchés ovoïdes. On ne voit nulle
fibre
nerveuse. Cet arrêt de développe- ment cérébral
gines dendritiques. Les expansions terminales péri- cellulaires des
fibres
nerveuses restent d'ordinaire incolores, bien q
noir s'étend aux noyaux des cellules, aux hématies, aux noyaux, aux
fibres
et aux cellules de la névroglie. Des précaution
1\.1'lU\111. E1' Lh PHYSIOLOGIE PAIHOLOG1QUIÎS. XXIX. Un système de
fibres
peu connu situé à la périphérie du segment anté
faisceau central de la calotte, de la grosse olive et du système de
fibres
qui nous intéresse (Meyer), du côté correrpoudaut
et la couche optique, a constaté la dégénérescence d'un tractus de
fibres
qui, dans la région protubérantielle, était à c
as pas de relation avec le faisceau pyra- midal, car il se revêt de
fibres
myéliniques plus tard que ce der- nier ; puis,
lus tard que ce der- nier ; puis, tandis que celui-ci se compose de
fibres
myétiniques assez épaisses, le faisceau périoli
gine cérébrale. Mais il est extrêmement probable que la plupart des
fibres
dégénérées devaient leur lésion à l'action de la
la tumeur sur la partie située en arrière de l'olive. Celles des
fibres
dégénérées qui pénètrent dans l'olive par le hile
entrent après avoir traversé son feuillet postérieur, seraient des
fibres
descendantes appartenant à l'olive (faisceau RE
immédiatement à la cellule et ne pas aller jusqu'à l'extrémité des
fibres
. P. Keraval. XXXI. Observation de ramollissemen
Reil principal est un peu atteint; évidemment il s'agit de quelques
fibres
motrices mélangées à cet organe (iloclie). Dégé
ceau pyramidal droit de la protubérance : un très grand nom- bre de
fibres
antérieures dépassent la ligne médiane pour se pe
s dépassent la ligne médiane pour se perdre entre les trousseaux de
fibres
du faisceau pyramidal du côté opposé. Le geno
trouve la dégénérescence habituelle des hémi- plégies, bien que les
fibres
du faisceau pyramidal destinées au membre infér
ique est intact, le noyau latéral contient un assez grand nombre de
fibres
dégéné- rées, non-seulement près de la capsule
comme l'a dit Mellus (Journal ofnerv.aud ment. disease, 1899), les
fibres
des pyramides destinées aux diverses parties du
opa- thologiques sus-résumés, par l'absence de dégénérescence des
fibres
propres du ruban de lieil malgré le ramollissemen
a branche frontale du facial, et l'in- tégrité d'un petit nombre de
fibres
entre les innombrables foyers de ramollissement
du même côté sur tout le parcours de la moelle. Pour le trajet des
fibres
sensitives, l'accord est moins parfait. Il semb
é, tactile, thermique, à la douleur, pa- raissent desservis par des
fibres
qui ne se croisent que par- tiellement dans la
- tiellement dans la moelle. Kocher a défendu l'hypothèse que les
fibres
exclusivement réservées à la sensibilité tactile
a sensibilité tactile ne se croisent pas, tandis que la plupart des
fibres
réservées à la. AItClll\'H5, ` ? ^ série, t. a\
tion de la douleur se croiseraient. Brissaud enseigne aussi que les
fibres
de la sensibilité tactile suivent un chemin abs
de déceler la présence d'un élément nerveux quelconque, cellule oil
fibre
. Ce tissu est constitué, d'une façon assez homogè
ent encore quelques fascicules radiculaires plus ou moins riches en
fibres
nerveuses. Tous ces caractères histologiques (s
moelle 7 à 8 fascicules arrondis qui conservent un grand nombre de
fibres
intactes, surtout pour les fascicules radiculai
t peu à peu établie au profil du côté lésé, par l'intermédiaire des
fibres
correspondantes du côté opposé. ' Cette compr
tion de la cellule nerveuse considérée comme centre trophique de la
fibre
nerveuse correspondante et l'unité cellulaire d
nte et l'unité cellulaire du neurone. Même séparée de sa cellule la
fibre
sectionnée continue à fonctionner et à se nourr
. Faculté de Médecine, de Paris, 288 Fatigue. Voir Ergographe .
Fibres
. Un svstème de - peu con- nu situé à la périphé
r lîicharri. 91. Moelle. Voir Voies ceutrifiiyes. cervicale. Voir
Fibres
. Sur quel- ques étais de la dans les ané- mie
ie du cervelet et du pont de Varole. Dans la moelle, diminution des
fibres
des faisceaux para- modaux. Les enfants Lecl.
endyme. La substance grise est normale. Il y a une dimi- nution des
fibres
sans sclérose dans le cordon antérieur, au nive
ont les suivantes : il n'y a plus d'apparence de con- servation des
fibres
dans la zone bordante du cordon latéral ni dans
aires, restant de la charpente névroglique des circonvolutions; ces
fibres
sont hypertrophiées et les tuniques interne et mo
laces quelques globules san- guins et des débris de cellules et des
fibres
nerveuses. Mais si l'on observe les points (por
là s'irra- Examen HISTOLOGIQUE. 95 dient des pinceaux de grosses
fibres
névrogliques vers les circon- volutions, au mil
circon- volutions, au milieu desquelles on aperçoit encore quelques
fibres
nerveuses grêles contournées en divers sens. Le
partie médiane par des nodules de sclérose; à sa périphérie par des
fibres
myéliniques qui atteignent à peine la substance
atteignent à peine la substance grise, où l'on voit encore quelques
fibres
radiaires, mais aucune trace des fibres tangent
ù l'on voit encore quelques fibres radiaires, mais aucune trace des
fibres
tangentielles. On voit se former de nombreuses
uffisamment réussie pour qu'on puisse conclure à une altération des
fibres
à myé- line. Les altérations dominantes sont ce
s de petites dimensions (vaisseaux avec parois très épaissies). Les
fibres
nerveuses sont un peu grêles, raré- fiées parto
out, mais surtout au niveau de l'écorce grise, où. seules, quelques
fibres
radiaires apparaissent encore; les fibres d'ass
e, où. seules, quelques fibres radiaires apparaissent encore; les
fibres
d'association de l'écorce ont presque totalement
pas le tiers de la nor- male, des bandes de sclérose névroglique à
fibres
parallèles aux bords des circonvolutions appara
identiquement tous les points du cerveau. Examen histologique. Les
fibres
à myéline sont très nom- breuses, non seulemeut
rt-Pal. Le réseau d'Exner et les autres plexus sont assez riches en
fibres
, mais toutes ces fibres tangentielles sont intr
et les autres plexus sont assez riches en fibres, mais toutes ces
fibres
tangentielles sont intriquées de bizarre façon, a
qui forment un feutrage tel qu'il est difficile de s'orienter : ces
fibres
sont encore plus intéres- santes quand on les c
s renflements nombreux, leur myéline est très granuleuse. Entre ces
fibres
et dans la gaine des vaisseaux, on trouve des q
urtout quant à ses fibrilles assez grosses et disséminées entre les
fibres
à myéline dans le centre ovale, sans constituer
ntre non plus, en cette région, aucune cellule nerveuse ; comme les
fibres
, ces éléments ont entièrement disparu. Les circ
un noyau allongé ou ovalaire rempli d'un réseau de chroma tine. Les
fibres
névrogliques sont denses et serrées, formant de
s méninges sont adhérentes et épaissies (travées formées de grosses
fibres
conjonctives el, dans leur interstice, très peu
temporales). La substance blanche est très diminuée de volume, les
fibres
nerveuses, très grèles, sont accompagnées de no
se, elles subis- sent une raréfaction considérable ; par places les
fibres
radiai- rcs sont assez bien conservées, ailleur
des disposées en nappes. De plus, elle est très épaissie, formée de
fibres
assez robustes, serrées les unes contre les aut
que par une mince membrane translucide, ne con- tenant plus aucune
fibre
myéliniques, mais possédant des fibres névrotiq
ne con- tenant plus aucune fibre myéliniques, mais possédant des
fibres
névrotiques, à noyaux allongés, disposées en couc
, et envahir en partie le centre ovale des circonvolutions dont les
fibres
myéli- niques restantes, dévies en tous sens, s
us sens, sont très atrophiées. Au niveau de la substance grise, les
fibres
à myéline s'ar- rêtent et la zone inférieure de
bien des points, on ren- contre encore une quantité assez grande de
fibres
tangen- tielles; par contre, les fibres radiair
ne quantité assez grande de fibres tangen- tielles; par contre, les
fibres
radiaires sont partout très raré- fiées. L'ad
que dans ces points on observe encore une conservation relative des
fibres
myéliniques tangen- tielles. Les altérations
ts nerveux consistent sur- tout en une atrophie des cellules et des
fibres
nerveuses : cellules arrondies, petites, très p
es- araignées. Ce qui domine dans toutes les régions, ce sont les
fibres
grosses, disposées en bandes ou en tourbillons et
s sanguins, des éléments fixes plus ou moins reconnais- sables sans
fibres
à myéline ni cellules nerveuses, constituent to
nérale, la substance grise est très démyé- linisée (peu ou uoint de
fibres
tangentielles ; fibres radiaires raréfiées, con
ise est très démyé- linisée (peu ou uoint de fibres tangentielles ;
fibres
radiaires raréfiées, contournées, enroulées en
cées par des fibrilles névrogliques. Une autre particularité de ces
fibres
à myéline, c'est leur gracilité, souvent, même
e s'arrête bientôt devant la for- mation d'une, paroi plus dense de
fibres
névrotiques. On peut voir, dans certains cas, l
dans le centre ovale, alternant avec les ban- des scléreuses : les
fibres
radiaires de la substance gl i : se ont disparu
bstance gl i : se ont disparu, alors que persistent encore quelques
fibres
tangen- tielles, moyennes ou inférieures. Les a
considérablement dilatés, il y a une hyperpla- sie considérable des
fibres
névrotiques disposées parallèle- ment à l'axe d
cules, car la sclérose fasciculée peut envahir le centre ovale. Les
fibres
à myéline sont nécessairement refoulées par l'ec-
moins totale des grandes cellules pyramidales. La destruction des
fibres
des plexus corticaux est en rapport avec l'état d
les vais- seaux ne sont pas augmentés de nombre. Les couches des
fibres
tangentielles superficielles et pro- fondes exi
tout sans grosses lésions. Mais il faut cependant remarquer que ces
fibres
sont grèles, bien moins nombreuses que dans des
rdinateurs des noyaux gris sous-cor- licaux, lésion intéressant les
fibres
centripètes de la sensibilité non consciente, e
s à publier leur cas. Les coupes en série n'ont révélé que quelques
fibres
dégénérées dans le corps restiforme et la dégén
ans le corps restiforme et la dégénérescence d'un certain nombre de
fibres
arciformes internes allant aux olives. (Revue neu
le dans les cas de lésions des sphères visuelles parce fait que les
fibres
correspondant à la macula se dispersent dans to
cune libre nerveuse et que dans la plupart des autres le nombre des
fibres
restantes ait été très minime. La couche des fi
s le nombre des fibres restantes ait été très minime. La couche des
fibres
optiques'de la rétine était dans tous ces cas trè
ée d'épaisseur, mais nullement proportionnellement ni au nombre des
fibres
conservées dans le nerf, ni au nombre des cellule
ons quelconques du nerf optique ou des extrémités terminales de ses
fibres
, à la suite d'une lésion du corps genouillé par
e leur volume : certains nerfs qui ne conte- naient presque plus de
fibres
avaient conservé un volume égal au moins à celu
nerfs qui contenaient encore un nombre relativement considérable de
fibres
étaient déjà très réduits et que d'autres nerfs
evait exister une autre lésion qu'une simple atrophie sur place des
fibres
nerveuses. Cette disproportion nous a été expli
isseaux pré- existants et néoformés essentiellement chronique ; les
fibres
nerveuses disparaissent alors faute d'irrigatio
érinèvre ou tissu périfasciculaire qui enveloppe les fais- ceaux de
fibres
et dans lequel cheminent les vaisseaux, enfin l
enfin l'endonèvre ou tissu intrafasciculaire pénétrant entre les
fibres
nerveuses. Eh bien ! la lésion lépreuse se rencon
'in- tensité et la rapidité du processus, soit une atrophie de la
fibre
nerveuse qui devient plus grêle dans ses éléments
efforcé de déterminer les altérations des cellules nerveuses et des
fibres
en insistant surtout sur la loca- lisation du t
dans l'enceinte duquel on constatait l'exis- tence des cellules et
fibres
nerveuses altérées. Par contre, on ne s'est pré
e problème le plus important, celui des relations des cellules, des
fibres
et de la substance grise, attend encore sa solu
téra- tions histologiques. P. Ji : EHAVAL. XXX. De la quotité des
fibres
à myéline d'un cerveau normal et d'un cerveau p
il y a des cas de paralysie générale dans lesquels la déchéance des
fibres
blanches, ne se propageant pas à l'hémisphère e
rne d'Ammon, une partie de l'insula sont indemnes de l'atrophie des
fibres
. Le processus dégénératif épargne tout à fait o
sente est un exemple de dégénérescence circonscrite localisée des
fibres
blanches '. M. Schalferen possède actuellement
à la dernière période, où l'hémisphère entier trahit l'atrophie des
fibres
. la plus grande qui sepuisse imaginer. Partout le
ophie des fibres. la plus grande qui sepuisse imaginer. Partout les
fibres
blanches de l'écorce ont totalement disparu; se
sparu; seule la frontale ascendante présente en son tiers moyen des
fibres
myéliniques ru- dimentaires, mais elle est elle
du muscle ciliaire s'effectuent lentement comme il arrive pour les
fibres
musculaires lisses. Impossible de noter de rela
EDEN5KY. 0&o. : )'eHt'e psichiatrü. VII, 1902, 2, 3, Il. Chaque
fibre
nerveuse possède deux propriétés fondamentales;
re la forme d'un croissant. En effet, dans ce cordon descendent des
fibres
« parapyramidales » qui n'appar- tiennent pas a
e nerveuse. On apercevait encore beaucoup de petites cellules et de
fibres
, se trouvant dans différents stades de dégénére
ique et ce qui domine ici ce sont les phénomènes de compression des
fibres
nerveuses qui prennent le pas sur les troubles
ance blanche, brun jaune. L'alizarine colore proto- plasma, noyaux,
fibres
nerveuses, névroglie.La structure du noyau et l
; de proliférations des noyaux; pas de prolifération névro- glique.
Fibres
des nerfs optiques indemnes. Les cellules nerveus
correspondant à la lésion; il existe une faible dégénérescence des
fibres
qui, originaires du côté opposé, s'entrecroisen
l'auditif. 1. Immédiatement après être entrées dans le cerveau, les
fibres
du nerf cochléaire se rendent au noyau antérieu
iters ainsi qu'à la racine descendante de l'auditif. Une partie des
fibres
s'en va dans le corps trapézoïde où on peut les s
les autres dépassent le raphé et s'en vont de l'autre côté. 2. Les
fibres
du nerf vestibulaire 'dégénérées sont, du côté
ers. 3. La grosse olive du côté opposé à la lésion contient plus de
fibres
dégénérées que celle du même côté. 4. La dégéné
nérées que celle du même côté. 4. La dégénérescence descendante des
fibres
de l'auditif s'étend à la racine descendante de
Burdach des deux côtés symétriquement. De ces noyaux une partie des
fibres
se rendent au ruban de Reil, s'entrecoisent et
s olives inférieures. A ce niveau, on note une dégé- nérescence des
fibres
arciformes externes. Au point le plus éloigné d
s noyaux qui appartiennent aux faisceaux de Goll et de Burdach, les
fibres
dégénérées se groupent dans toutes la substance
s plus près de l'axe du noyau réticulaire de la protubérance, les
fibres
de l'auditif s'entrecroisent et se groupent en de
e, au niveau du noyau central supérieur de Bechterew, le nombre des
fibres
entrecroisées décroît ; il en est qui passent d
ment le ruban de Reil latéral, aussi volumineux de chaque côté. Les
fibres
de ce dernier montent jusqu'aux noyaux des tuberc
ieurs, il se produit un nouvel entrecroisement d'un petit nombre de
fibres
entremêlées aux fibres du prédoncule cérébelleu
nouvel entrecroisement d'un petit nombre de fibres entremêlées aux
fibres
du prédoncule cérébelleux antérieur : c'est le
Reil principal semble tout à fait' indemne de dégénérescence : les
fibres
dégénérées se limitent au territoire du ruban d
de la protubérance, au niveau précisé tout à l'heure, on trouve des
fibres
dégénérées dans le faisceau longitudinal posté-
sentent pas de dégénérescence du tout. -7. Nulle dégénérescence des
fibres
acoustiques de Monakow, ce qui signifie 332 REV
fie 332 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. que les
fibres
radiculaires de l'auditif ne passent pas directem
ibres radiculaires de l'auditif ne passent pas directement dans les
fibres
acoustiques de Monakow. - P. KERAVAL. LI. De l'
l'organe n'est pas complètement altérée : il existe encore quelques
fibres
indemnes et le faisceau pyramidal n'est pas tot
lombaire. . P. IEnAVAL. LU. Contribution à l'étude du trajet des
fibres
du goût; parJ. hnor. (Neurolog. Cenl1'(/[/¡I.,
constatation a donc la valeur d'une expérience quant au trajet des
fibres
du goût dans le maxillaire inférieur. De plus,
e espèces de saveur, Vintschgau pense qu'il y a lieu d'admettre des
fibres
spéciales propres à la perception de l'acide et
de la langue. La partie postérieure de cet organe serait pourvue de
fibres
gustatives à l'aide de la neuvième paire (Vints-
ieure de la langue, ainsi que le veut Carl. Du ganglion pétreux les
fibres
, par le nerf tympanique ou de Jacobson, gagnent
que la pile de noyaux du faisceau solitaire reçoit par devant les
fibres
du goût de la cinquième paire, qu'elle est, par c
issues de divers ganglions. En ce cas il faudrait admettre que les
fibres
de la neuvième paire peuvent, chez certains ind
déterminer l'état du développement des ramifications terminales des
fibres
inhibitrices du coeur, et celui du centre inhib
l'ignore; le microscope n'a pas trouvé d'explication à cela. Les
fibres
inhibitrices du coeur dans le nerf vague sont éga
vie qu'à partir de ce jour, parce qu'il y a jusqu'alors beaucoup de
fibres
amyéliniques; mais dès le quatrième jour le dév
ibres amyéliniques; mais dès le quatrième jour le développement des
fibres
s'effectue. Le centre inhibiteur bulbaire exist
s de loin ? On ne sait. Le procédé rend visible les cylindraxes des
fibres
nerveuses myéliniques ou amyéliniques. Outre
thologie fine, elle lui est inférieure pour l'étude anatomique des
fibres
des organes centraux. P. KERAVAL. LXIV. Que son
ons, de mottes, d'amas sans ordre de substance colorée. Partout des
fibres
formant une touffe autour du noyau; les unes vo
es (transverses et obliques) qu'on pourrait designer sous le nom de
fibres
et qui semblent être les intégrantes absolues d
oit. A un fort grossisse- ment, le raphé, les noyaux olivaires, les
fibres
arciformes se dessi- nent nettement en rouge fo
ttement en rouge foncé sur fonds rouge clair; on voit très bien les
fibres
du corps restiforme droit, tandis que celles du c
s corps restiformes convergent en arrière, se rappro- chent, où les
fibres
diminuent fortement. Le faisceau latéral du cer
triques à gauche, mais sans différences marquées dans le trajet des
fibres
. P. KERAVAL. III. Convulsions myocloniques da
oire, le patient ayant été hémiplégique et hémianesthésique, qu'aux
fibres
motrices sont mélangées des fibres sensitives. ce
ique et hémianesthésique, qu'aux fibres motrices sont mélangées des
fibres
sensitives. celles de la sensibilité cutanée. (
ui. P. KERAVAL. LXXIII. Existe-t-il une régénération autogène des
fibres
nerveuses 1 Contribution à la théorie du neuron
ndépendante des cellules nerveuses. M. Muenzer pense que toutes les
fibres
qui pro- viennent d'une cellule nerveuse appart
nerveuse appartiennent à un neurone; le neurone comprend toutes les
fibres
nerveuses sous la dépendance trophique d'un pro
ands du Sud-Ouest, de juin 1901 (Bade), Betlie combat la genèse des
fibres
nerveuses du neuroblaste, soutient la v genèse
recouvré sa fonction. D'après les mêmes expériences de Muenzer, les
fibres
nerveuses néoformées constatées dans le bout pé
es cellules nerveuses. Il n'existe pas de régénération autogène des
fibres
nerveuses. Du tout, répond Bethe, ces anastomos
IQUES. 397 bout périphérique même isolé du centre que je trouve des
fibres
régénérées composées de manchons de myéline et
régénérées composées de manchons de myéline et de cylindraxes. Ces
fibres
régénérées ne sont pas entrées du dehors dans le
entrées du dehors dans le bout du nerf; ce ne sont pas non plus des
fibres
venues du bout central dans le bout périphériqu
cicatrice de la continuité avec les centres nerveux expliquant les
fibres
néofor- mées, et sauvegardant la théorie du neu
n'aboutir à l'écorce que dans le gyrus lingual, Il envoie aussi des
fibres
au revue d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologi
oin. Les antres circonvolutions du lobe occipital ne sont munies de
fibres
myéliques que lorsque la radiation optique de Gra
orps genouillé externe, ce faisceau se com- pose de deux espèces de
fibres
. 1° En dehols de cet organe, il reçoit des fibr
e deux espèces de fibres. 1° En dehols de cet organe, il reçoit des
fibres
du nerf optique. 2° Il en reçoit du ruban de Reil
des fibres du nerf optique. 2° Il en reçoit du ruban de Reil. Ces
fibres
-ci se séparent de la portion externe du ruban de
a rétine, de la papille et du nerf optique, ainsi que par celle des
fibres
radiées. G. D. Archives, 2' série, t. XVIII. 27
région médiane du nez, la toxine tétanique se soit propagée par les
fibres
sensitives des deux nerfs de la cinquième paire
, boule de matière ingérée, consistant principalement en grossière
fibre
à matelas. Cette masse, qui reproduisait la forme
gs mois, car le malade n'avait pas eu d'occasion de se procurer les
fibres
à l'asile (cette masse a été présentée) (Egagro
. Bout périphérique persistant avec névrome terminal et présence de
fibres
nerveuses présentant tous les stades entre les
s les stades entre les tubes protoplasmiques embryonnaires et les
fibres
nerveuses adultes. Fibres jeunes de néoformation.
ubes protoplasmiques embryonnaires et les fibres nerveuses adultes.
Fibres
jeunes de néoformation. Cylin- draxes nets mais
et désintégration cellulaire considérable. Pas d'altérations des
fibres
à myéline ni des vaisseaux. Smon. XXXVII. Paral
urs tient à ce que ceux-ci reçoivent tous les deux beaucoup plus de
fibres
venant d'un seul hémisphère que les membres sup
ky,-325 Face. Voir Paralysie. Faisceau longitudinal. Voir Reil.
Fibres
. De la quotité des à myé- line d'un cerveau nor
tale, par Jouty, 88. Gliome. Voir Ponction lombaire. Goût. Voir
Fibres
. Habitude. Des phénomènes morbi- des d ? par
an- ger du conduit auditif externe, Sabrazès, 52. Myéline. Voir
Fibres
. Myélite. Note sur l'anatomie pa- thologique
nce des lésions suivantes : OEil droit. - 10 Rétine : La couche des
fibres
nerveuses est en certains points très altérée,
ouche des fibres nerveuses est en certains points très altérée, les
fibres
y sont gonflées, diminuées en nombre, particuli
u malade 13... Grossissement 'r10 diamèlres. Seules les couches des
fibres
et des cellules non ruses ont été représentées.
es ; eu amas de nos au>, llé%roglitlties très prolifères; en e les
fibres
neigeuses appa- ratssenl ondulées, diminuées en
au lieu de 80. 2° Papille : Nous avons rencontré dans la couche des
fibres
ner- veuses de la rétine un certain nombre de p
es sont, le plus souvent, dirigées transversalement par rapport aux
fibres
nerveuses, et paraissent provenir surtout des p
ssie. Elle est constituée par de multiples couches concentriques de
fibres
conjonctives, autour 'desquelles existent de no
parois de l'artère mais surtout de la veine pour pénétrer entre les
fibres
nerveuses. Nous venons de voir que c'est surtou
n'existait dans son voisinage aucun élément leucocy- taire. 0 Les
fibres
nerveuses qui constituent la papille apparaissent
me, et, ainsi que l'on peut s'en rendre compte sur la figure 2, les
fibres
y sont diminuées en 14 ANATOMIE PATHOLOGIQUE.
trophie papillaire apparaît dans toute son évidence au point,où les
fibres
nerveuses se recourbent pour gagner la rétine,
parent sur notre seconde figure. Si nous considérons maintenant les
fibres
optiques au niveau de la lame criblée, nous con
que est formée, comme à l'état normal, par de nombreux faisceaux de
fibres
conjonctives ne semblant pas présenter d'altéra
semblant pas présenter d'altérations notables, et les faisceaux de
fibres
nerveuses qui la traversent ne nous sem- blent
rquées, ne semblent pas, à ce niveau, différer de la normale. Les
fibres
nerveuses paraissent pour la plupart normales et
s Gowers, on ne trouve, dans la coupe transversale d'un faisceau de
fibres
nerveuses du nerf optique, que quelques cellule
comptons ici jusqu'à quarante; ces cellules, disséminées entre les
fibres
nerveuses, accolées aux capillaires autour desq
nte des altérations multiples, diffuses, cantonnées à la couche des
fibres
et surtout à celle des cellules nerveuses, au n
elles décrites pour l'oeil droit. Raréfiées en certains points, les
fibres
nerveuses sont réfractaires à la coloration par
LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 17 différent de celle du côté droit. Les
fibres
nerveuses dans leur ensemble paraissent normale
t la veine centrales ont, il est vrai, une paroi épaissie, mais les
fibres
conjonctives dominent et nous ne voyons point à
its le siège d'une hyperplasie évidente, très limitée du reste. Les
fibres
optiques ne présentent pas d'altérations bien m
OEil droit. 1° Rétine : Pas de lésions apparentes de la couche des
fibres
nerveuses. La couche des cellules nerveuses prése
uches de la rétine dont l'épaisseur est normale. 2° Papille : Les
fibres
nerveuses sont d'apparence normale et leur nomb
eaux très denses, dans des directions transversales par rapport aux
fibres
optiques. Notons enfin que dans les' espaces in
choroïdienne de la lame criblée; celle-ci se trouve constituer aux
fibres
optiques une trame extrêmement densifiée. La po
La méthode de Marchi ne nous révèle aucune altération notable des
fibres
nerveuses. OEil gauche. 1° Rétine : Celte membr
e B... 2° La papille présente peu d'altérations; pas d'atrophie des
fibres
optiques. Nous constatons que la quantité de ce
uantité de cellules conjonctives et névrogliques, situées entre les
fibres
nerveuses, n'est que bien peu supérieure à la n
e se montre très altérée dans toute son étendue. a) La couche des
fibres
nerveuses présente de notables altérations la p
x constitutifs, tout élément noble a disparu : On ne trouve plus de
fibres
nerveuses, et la papille n'est plus constituée
du I)oiLI de la macula. Seules sont représentées ici la couche des
fibres
et des cellules nerveuses et une paitie (le la
érable et ne laissent plus constater au milieu d'eux l'existence de
fibres
nerveuses (voir fig. 7). 3° Le nerf optique e
t plus intense à mesure qu'on remonte vers le cerveau. L'état des
fibres
nerveuses du nerf optique nous intéressait au p
es du nerf optique apparaissent presque uniformément jaunâtres, les
fibres
nerveuses encore entourées de myéline, étant tr
st à peine si pour un faisceau on trouve une quin- zaine de grosses
fibres
à myéline et une trentaine de fibres fines, qui
uve une quin- zaine de grosses fibres à myéline et une trentaine de
fibres
fines, qui présentent la coloration brune carac
LE FOND DE L'OEIL CHEZ LES PARALYTIQUES GENERAUX. Il Î riches en
fibres
d'apparence normale que les faisceaux centraux.
iasma, nous avons figuré par un nombre de points correspondant, les
fibres
à myéline colorées par la méthode de Weigert, o
lorée par l'alun à 1 liénialoxvliiic. La partie inférieure montre les
fibres
à. mydlmc restant d'après une préparation trait
ntés par des points; m, faisceaux nerveux où. nous avons figuré les
fibres
à myélmc, elles sont on le voit extrêmement rar
nous avons alors pu constater l'exis- tence d'un certain nombre de
fibres
présentant de la désorganisa- tion de la gaine
des boules colorées en noir, si caractéristiques; le nombre de ces
fibres
altérées est beaucoup plus grand dans les faisc
fournis par la méthode de Weigert. (Le nombre peu con- sidérable de
fibres
dont l'altération est démontrée par la méthode
ns) de la lésion). Le nerl optique de V.... bien que moins riche en
fibres
nerveuses que normalement, étant donné la sclér
uses de l'écorce dans la paralysie générale. 2° La papille dont les
fibres
nerveuses disparues dans un cas étaient atrophi
s cellules conjonctives de sa gaine piale, altérations diverses des
fibres
nerveuses. LE FOND DE L'OEIL CHEZ LES PARALYT
du nerf, altérations diffuses des cellules ganglion- naires et des
fibres
nerveuses de la rétine susceptibles de détermin
on de la force musculaire, l'intégrité plus ou moins complète de la
fibre
musculaire, et la non-abolition des contraction
savoir, en cas de troubles fonctionnels, s'il y a altération de la
fibre
elle-même, ce qu'indique l'examen électrique, e
ue l'examen électrique, et alors la rééducation est impuissante. La
fibre
musculaire étant supposée intacte, on tiendra l
malades qui n'en peuvent pas béné- ficier. Non seulement lorsque la
fibre
musculaire elle-même est malade il n'y a rien à
lorsque la pression vasculaire augmente. Or, on voit bien aussi les
fibres
restées saines dans un muscle se développer lor
sens précis. L'atrophie vraie, avec altération histologique de la
fibre
musculaire et modification des réactions élec-
a affaire qu'à de l'amaigrissement des muscles avec intégrité de la
fibre
elle-même. Ces notions sont d'ailleurs bien éta
t ces moyens deviennent insuffisants chez les ataxiques chez qui la
fibre
musculaire n'est pas altérée et ne saurait être
anglions spinaux, entraine la dégénérescence ascendante de quelques
fibres
nerveuses dans les cordons posté- rieurs. Il pe
ligne de compte dans la genèse du réflexe pupillaire, y compris les
fibres
centripètes des pupilles. Cepen- dant, en tous
es théories qui essaient d'expliquer ce phénomène par un trouble de
fibres
centripètes des pupilles se heurtent au fait in
ale des noyaux sphinc- tériens et de l'entre-croisement partiel des
fibres
pupillairescentri- pètes (Bernheimer). Discussi
on croit aussi à l'entre-croisement partiel et à la terminaison des
fibres
pupillaires dans les noyaux sphinctériens, un n
théories les plus admises actuellement qui présument une lésion des
fibres
pupillaires centripètes. En effet, dans ces con
s le noyau sphinctérien que dans le noyau accom- modateur ; or, les
fibres
sphinctériennes autant que les fibres accommoda
yau accom- modateur ; or, les fibres sphinctériennes autant que les
fibres
accommodatrices se terminent dans le ganglion c
question. Donc, quand le noyau de l'accommodation est innervé, les
fibres
qui en émanent n'agissent que sur l'accommodati
au niveau du noyeau de Deyters, et seulement du côté de la lésion (
fibres
déjà entrecroisées). L'état des faisceaux dégén
ement postérieure et radiculaire, mais encore par le choix même des
fibres
qui sont spécialement touchées dans la moelle et
ouchées dans la moelle et 202 SOCIÉTÉS SAVANTES. les racines. Ces
fibres
sont électivement celles qui vont aux cellules
gnements de Westphall, Vulpian, etc., la nature de la lésion de ces
fibres
spéciales dépend d'un processus atrophique sans a
ablement intact ou malade, envahir la lymphe qui arrose cellules et
fibres
, et agir sur le parenchyme : ici intervient une
dante du système vasculaire, mathématiquement limitée au trajet des
fibres
radiculaires postérieures, qui n'altère pas la
lle est la marche de la lésion de bas eu haut, progressivement. Les
fibres
nerveuses disparaissent pour être remplacées pa
nt. Les fibres nerveuses disparaissent pour être remplacées par des
fibres
névrogliques. A un moment donné, le champ dégén
es à combler le vide produit par la mort des éléments nerveux ; les
fibres
névro- gliques se multiplient, mais les noyaux,
et chroniques où l'irritation caresse les couches périphériques des
fibres
nerveuses, fouette la nutrition du cylindraxe e
ultiplient sans alté- ration apparente du parenchyme. Ailleurs, les
fibres
de la névro- glie sont intactes à côté des lacu
es cellules mésodermiques du système vasculaire, endothéliales, des
fibres
de muscles et de tissu conjonctif tuméfiées, hy
la disposition des libres nerveuses, fréquemment tra- versé par des
fibres
nerveuses amyéliniques; dans la zone margi- nal
ez considérable des cellules nerveuses. Il existe de l'atrophie des
fibres
pyramidales dans leur trajet protubérantiel et
-cles du larynx présentent de la dégénérescence graisseuse de la
fibre
musculaire. Quel que soit l'intérêt des particu
l, respectant les noyaux mo- teurs des yeux, mais ayant détruit les
fibres
qui vont de l'écorce à la VI, paire et celles q
une lésion périphérique du nerf sciatique intéressant seulement les
fibres
motrices descendant plus bas que le genou, on e
ambe) ; lésions musculaires (atro- phie plus ou moins accentuée des
fibres
). 1. C. I.X. Un cas de polynévrite tuberculeuse
ce du faisceau longitudinal postérieur et sur la dégénérescence des
fibres
de la calotte. Il lui a semblé que ces fibres v
la dégénérescence des fibres de la calotte. Il lui a semblé que ces
fibres
venaient se placer en arrière de l'olive bul- b
la calotte dans le pédoncule, la protubérance et le bulbe, avec les
fibres
périolivaires. Le faisceau central de la calott
cervicales gauches. Par la méthode de Marchi, ils ont constaté des
fibres
dégénérées des racines postérieures corresponda
atoires faisait présumer qu'il y avait une destruction complète des
fibres
nerveuses du membre atteint, aussi les auteurs on
cylindres- axes revêtus de leurs gaines de myéline mais toutes les
fibres
sont grêles. On peut se demander s'il ne s'ag
les fibres sont grêles. On peut se demander s'il ne s'agit pas de
fibres
de régénération car tandis que pendant les deux
trumpet) l'atrophie primaire de certains sys- tèmes accessoires des
fibres
nerveuses ayant rapport aux mouve- ments. Le tr
ues. Ce qui semblerait démontrer que, au cours des myélopathies, la
fibre
musculaire subit des altérations variées et que
re ressemble étonnamment quant au volume et à la disposition de ses
fibres
à lacirconvolution sous-angidaire décrite en 18
e blanche de la pariétale ascendante lui envoie en arrière quelques
fibres
myéliniques. Le petit nombre d'éléments empêche
e parler de trousseaux de la couronne rayonnante et il s'y mêle des
fibres
arciformes de la pariétale ascendante, de sorte
pariétale ascendante, de sorte qu'il pourrait bien y avoir quelques
fibres
de projections isolées. Mais de très bonne heur
s le champ de,Vicq d'Azyr. Presque en même temps que la case 8, les
fibres
nerveuses se myélinisent dans une région de l'é
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. contient déjà de la myéline, quelques
fibres
à myéline occupent l'écorce de la circonvolutio
est encore amyélinique : sans doute un trousseau myélinique de 100
fibres
s'élève du globus pallidus vers . les ascendant
-il donc se déjuger ? 50 La disposition et le ,mode d'évolution des
fibres
corticales prématurément myélinisées présentent
s sus et sous-angulaires : disposition spéciale (radiaire) de leurs
fibres
, rappelant un peu le type moteur mais aussi voisi
processus aigus et chroniques lésant le territoire nucléaire ou les
fibres
nerveuses du sphincter. En attendant les recher
plexus la lésion localisée de la moelle allongée dans la région des
fibres
arciformes internes, avoisinant l'olive, le noy
des voies pyramidales, mais il ne dépend pas de la lésion même des
fibres
pyramidales. Le siège du phénomène des orteils
de la rétine. La fovea centrals ne représente qu'un petit nombre de
fibres
rétiniennes et, avant d'affirmer l'intégrité de l
s yeux, lésion des nerfs optiques, du chiasma, des bandelettes, des
fibres
optiques dans leur tra- jet hémisphérique jusqn
LE CHAMP VISUEL côté des affections qui atteignent la totalité des
fibres
de la voie optique et par suite toute l'étendue
st d'autres, plus nombreuses, qui touchent une partie seulement des
fibres
optiques . et n'altèrent que certaines portions
rtaines portions du champ visuel. ' La destruction d'une partie des
fibres
optiques entraîne toujours la perte ue la visio
variétés de scotome. Il ne s'agit pas alors d'une interruption des
fibres
de la voie optique, mais d'une interruption des
s rétiniens, amènera la perte de la vision dans la J<'ig. 58. K,
fibres
dn nerf optique; L lésion située à la surl'arc de
t-à-dire entre le chiasma et l'écorcc cérébrale.- , La marche des
fibres
nerveuses qui constituent le nerf optique expliqu
ituent le nerf optique explique bien ce symptôme (fig. 59). - Les
fibres
du nerf optique droit se divisent au niveau du ch
occipitale gauche. C'est le faisceau croisé. ~ Même trajet pour les
fibres
du nerf optique gauche. Par suite de cet entre-
iasma (entre le chiasma et l'écorce) sont formés, à droite, par les
fibres
temporales de l'optique droit et nasales de l'opt
e l'optique droit et nasales de l'optique gauche; à gauche, par les
fibres
temporales de l'optique gauche et nasales de l'
ophtal- moscopiques, témoignant d'une dégénérescence atrophique des
fibres
optiques. C'est encore dans cette variété d'hém
asma, seul point où elle puisse couper du même coup la totalité des
fibres
rétiniennes nasales qui viennent s'y entre-croise
lques différences suivant le point où se produit l'interruption des
fibres
optiques intracràniennes. Ces : symptômes assoc
ngage. La cécité verbale pure n'est pas, en effet, . une lésion des
fibres
venant du pli courbé, ce. n'est pas une lésion du
érieure le plus souvent au niveau du lobule lingual. Elle coupe les
fibres
visuelles et en même temps vient toucher légère
isuelles, puisse facilement, par extension, loucher la totalité des
fibres
nerveuses et amener une cécité complète bilatér
es du M. 0. C. s'entrecroi- sent dans la région pédonculaire, les
fibres
du facial et du M. 0. E, dans la partie supérie
et du M. 0. E, dans la partie supérieure de la protubérance, les
fibres
motrices des membres au- dessous dans le bulbe.
doncule cérébral au niveau du noyau du M. 0. C, à l'émergence des
fibres
nerveuses. D'après les autopsies peu nombreuses
ériques ou de lésions nucléaires. En ces deux points, en effet, les
fibres
qui constituent le tronc du M. 0. C. s'éparpillen
ergence. Pour l'expliquer, on admet l'existence dans le M. 0. C. de
fibres
spéciales préposées à la transmission du réflexe
ptique; la diphtérie n'atteint-elle pas avec prédilection certaines
fibres
du M. 0. C., les fibres de l'accom- modation. O
tteint-elle pas avec prédilection certaines fibres du M. 0. C., les
fibres
de l'accom- modation. On peut aussi, mais plus
n dans les points 1, 2, 5, 4 4 des voies optiques réflexes, sur les
fibres
reliant les noyaux réflexes aux noyaux d'origin
. 0. E'. à l'emi-- nentia teres, ou par- suite d'une lésion des
fibres
de ce nerf dans la-protubérance (Voir Syndrom
P, centre cérébral d'associa- tion postérieur, sensorio-moteur. Les
fibres
qui partent des centres CA et CP constituent le
ments associés. Le siège des centres d'associa- tion, le trajet des
fibres
nerveuses d'association ne sont pas encore exac
déviation des yeux se fait, dans ce cas, par retentissement sur les
fibres
de projection centripètes ou centrifuges sous-j
jection centripètes ou centrifuges sous-jacentes au pli courbe. Les
fibres
centrifuges seraient plus fragiles que les centri
ns conjuguées sans hémianopsie, c'est-à-dire sans participation des
fibres
centripètes (J. Roux). Dans le centre ovale, le
ans le centre ovale, le faisceau antérieur chemine au voisinage des
fibres
du facial; le faisceau postérieur est intimement
antérieur chemine à la partie pos- térieure du bras antérieur; les
fibres
postérieures accompagnent les radiations optiqu
s. ' Au niveau du pédoncule, on ne peut actuellement distinguer les
fibres
antérieures des postérieures. Ces fibres ne sem
ctuellement distinguer les fibres antérieures des postérieures. Ces
fibres
ne semblent pas comprises dans le faisceau de l
GLOBES. 1 7 ! 1 région protubérantielle supérieure, avant celui des
fibres
du facial (Voir syndromes Foville) . ' Il exi
des mouvements de latéralité des yeux, auquel viennent aboutir les
fibres
des oculogyres, mais sa situation exacte est enco
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. partie antérieure au voisinage des
fibres
du facial ou partie postérieure au voisinage de
érieur (faisceau de la calotte), au voisinage de la couche optique (
fibres
oculo-motrices du centre postérieur auxquelles se
rices du centre postérieur auxquelles semblent t s'être réunies les
fibres
du centre antérieur) ; e) lésions protubérantiell
ympathique cervical (com- pression, etc.), avant la destruction des
fibres
nerveuses, il existe sou- TROUBLES PUPILLAIRES.
ffection de la rétine ou du nerf optique détruisant la totalité des
fibres
nerveuses qui le constituent : section du nerf op
uffit, en effet, de la con- servation d'une très petite quantité de
fibres
sensorielles pour que la transmission et par su
on a conclu : la voie réflexe centripète est constituée non par les
fibres
sensorielles du nerf optique mais par des fibre
tituée non par les fibres sensorielles du nerf optique mais par des
fibres
spéciales, ne percevant pas la lumière, réservé
ne percevant pas la lumière, réservées à la conduction réflexe. Ces
fibres
peuvent, dans certaines atrophies optiques, per
ien des circonstances, la voie centripète étant intacte, toutes les
fibres
du M. O. C. paraissant l'être également, on const
on est porté à admettre l'existence, dans le tronc du M. 00 Co, de
fibres
spéciales à la transmission réflexe lumineuse,
it la perte isolée du réflexe lumineux siège dans les points où les
fibres
du M. 0. C. se dissocient, c'est-à-dire, à la pér
périphériques; voire même exercer une action élective sur certaines
fibres
du M. 0. G. N a-t-on pas vu la compression du M
o-clinique ne nous a rien appris sur le trajet, en ces régions, des
fibres
élévatrices de la paupière. Cependant, dans un ca
AUPrERES. -1 U il contient des filets sécréteurs de la salive). Ces
fibres
sécrétoires se détachent du facial, dans le roc
t une rétraction des paupières due à la contraction spasmodique des
fibres
lisses de Mul- ler. L'absence d'occlusion palpé
que provoque l'ouverture permanente des Fig. 65. Trajet supposé des
fibres
sécré- toires des larmes venant du facial. A, n
ffé- rents. Dans certains cas, c'est, une simple dégénérescence des
fibres
optiques, une atropine simple. Le plus souvent
e Deiters, noyau dorsal interne et noyau de Bcchterew). De ta ses
fibres
ascendantes, entrecroisées ou non, se rendent au
ventral contournent l'olive supérieure en lui abandonnant quelques
fibres
, mais vont surtout à l'olive du côté opposé en
f côchléaire analogue à la semi-décussation du nerf optique.. Les
fibres
auditives condensées au niveau de l'olive supérie
aire avec 1', ganglion de Scarpa. 2, 2', 2", noyaux bulbaires des
fibres
vestibulaires. 5, fibres courtes allant aux noy
Scarpa. 2, 2', 2", noyaux bulbaires des fibres vestibulaires. 5,
fibres
courtes allant aux noyaux des nerfs bulbo-pro
res courtes allant aux noyaux des nerfs bulbo-protubérantiels. 4,
fibres
lon- gues se rendant après entrecroisement à
après entrecroisement à la zone sensitivo-motrice de l'écorce. 5,
fibres
cérébelleuses se rendant suc- cessivement aux n
zoïde et corps trapézoïde. d, fais- ceau acoustique central avec e,
fibres
courtes allant aux tubercules quadri- jumeaux
ire de ceux-ci, aux noyaux des nerfs bulbo- protubérantiels. - f,
fibres
longues se rendant par la capsule interne aux
erne aux circonvolutions temporales. 12G MALADIES DE L'OREILLE.
fibres
se rendant directement il la capsule interne et a
ns le corps genouillé interne (Cajal). Quoi qu'il en soit, toutes les
fibres
auditives aboutissent au lobe temporal, soit il
ANIQUES. 159 auditifs passagers par lésion concomitante de quelques
fibres
de la racine auditive; 6° des manifestations do
des cas, l'audition colorée est la manifestation de l'existence de
fibres
commissurales reliant entre eux les centres vis
que Magendie avait pensé que le nerf de la 5e paire renfermait les
fibres
olfactives : en réalité la lésion du triju- mea
les impressions sont conduites aux centres par un nombre infini de
fibres
nerveuses, qui tantôt se mélangent aux fibres m
r un nombre infini de fibres nerveuses, qui tantôt se mélangent aux
fibres
motrices pour constituer un nerf mixte, tantôt
e nerf : nerf sensitif. IROVSSY.l 37C . SENSIBILITÉ. De là, les
fibres
nerveuses sensitives, pénétrant dans la moelle (p
térieures rachi- diennes et viennent s'arboriser, les plus courtes (
fibres
courtes et moyennes) autour des cellules des co
troisième et dernier neurone sensitif; thalamo-c01'tical, dont les
fibres
, passant par la capsule interne et la couronne
interne (carrefour sensitif' de Charcot), mais au contraire que les
fibres
sensitives se trouvent indifféremment mélangées a
que les fibres sensitives se trouvent indifféremment mélangées aux
fibres
descen- dantes motrices dans tout le segment po
i serait la suivante (van Gehuchtcn) : ln Neurone périphérique. Les
fibres
sensitives périphériques, arrivées dans la moel
racines postérieures, vont s'arboriser après un très court trajet (
fibres
courtes), pour la plus grande partie dans la su
lleztx.' - =De la corne postérieure ou de la colonne de Clarke, les
fibres
sensitives gagnent l'écorce du cervelet par deu
directe, par le faisceau cérébelleux direct ou ascendant, dont les
fibres
partent des cellules de la colonne de Clarke du
ar le faisceau de Gowers, qui serait essen- tellement formé par des
fibres
sensitives provenant de la substance grise de l
rieur. 5" Neurone cérébello-olivai°e. De l'écorce cérébelleuse, les
fibres
vont gagner l'écorce cérébrale par plusieurs re
s (Johann Iii1ler, Helmholtz), d'après laquelle chaque catégorie de
fibres
ne peut nous renseigner que sur une seule quali
a émis, pour expli- quer ce fait, l'hypothèse de l'exis- tence de
fibres
sensitives homolaté- rales analogues aux fibres
l'exis- tence de fibres sensitives homolaté- rales analogues aux
fibres
motrices, ou encore l'existence d'une lésion
d'ischémie ou d'excitation à distance que par les lésions même des
fibres
sensitives. Pour ces différentes raisons, on n'
e du segment posté- rieur de la capsule interne, en un point où les
fibres
de conduction des sensibilités générale et spéc
le et spéciale sont mélangées entre elles, mais indé- pendantes des
fibres
de la voie pyramidale (carrefour sensit if' de Ch
LA SENSIBILITÉ OBJECTIVÉ. 515 médian et du pulvinar, ainsi que les
fibres
correspondantes du segment postérieur de la cap
s certains signes nouveaux, résultant des rapports qu'affectent les
fibres
de projection des voies sensitives et motrices
siègent la face, du même côté que la lésion (par participation des
fibres
radiculaires de la racine descen- dante du trij
OPOGRAPHIE RADICULAIRE DE L'INNERVATION CUTANÉE » La projection des
fibres
d'une racine postérieure sensitive sur la peau
qui se comprend, étant donné qu'il partir du ganglion rachidien les
fibres
sensitives sont intimement mélangées aux fibres m
glion rachidien les fibres sensitives sont intimement mélangées aux
fibres
motrices dans le nerf. Dans les cas de lésion
reur de localisation, la douleur dans le territoire cutané dont les
fibres
sensitives aboutissent au même segment médul- l
oldschcider) ; 2" ils ne sont que le résultat de l'irri- tation des
fibres
sensitives centrales sur un point quelconque de l
qui n'est que la continuation de la branche interne du spinal. Ces
fibres
aboutissent au plexus pharyngien. Ainsi s'expli
ise à une ou plusieurs des cellules des cornes postérieures par les
fibres
unissant ces cellules avec les cet- )u)cs des c
ZON.] 1-58 RÉFLEXES. luge et emprunte les racines antérieures des
fibres
motrices du nerf crural. En résumé, les organ
xes cutanés empruntent la voie pyramidale, c'est-à-dire la voie des
fibres
cortico-spinales; au contraire, les réflexes tend
: c'est la voie des libres venues du noyau rouge, c'est-à-dire des
fibres
d'origine inésencéphalique; .on les désigne sous
s fibres d'origine inésencéphalique; .on les désigne sous le nom de
fibres
rubro-spinales. Cette conception de Van Gehucht
. C'est-à- dire son intensité est proportionnelle il la quantité de
fibres
pyrami- dales atteintes, il existe une exagérat
al, ainsi que des articulations, atrophie et dégéné- rescence de la
fibre
musculaire. Les malades, fort âgés, présentent un
dépendant de Duchenne. Il est plus puissant que le biceps, mais ses
fibres
étant moins longues que celles de ce muscle ont
xterne et le bord inférieur du ligament annulaire du carpe, par des
fibres
profondes sur le trapèze, sur la gaine fibreuse d
la base, le bord antérieur et la tète du troisième métacarpien. Les
fibres
il inser- tion carpienne ont un trajet oblique
, [G GUILLAIN ] : ih0 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. la prédominance des
fibres
antérieures, la contraction du moyen fessier da
chancrure située au-dessous, sur l'aponévrose fessière. En bas, les
fibres
tendineuses s'entremêlent avec l'aponévrose fém
eur du fascia lata s'insèrent sur le bord externe de la rotule. Les
fibres
tendi- neuses du tenseur du fascia lata, en se
n seul pied (station hanchée). Le grand fessier qui insère quelques
fibres
sur la bandelette de Maissiat l'attire en haut
al s'insère sur la lèvre externe de la ligne âpre où il confond ses
fibres
avec celles du vaste externe, sur les faces ant
la lèvre antérieure de la gouttière sous- pubienne et par quelques
fibres
sur le ligament pubo-femorat. En bas. les fibre
ne et par quelques fibres sur le ligament pubo-femorat. En bas. les
fibres
du muscle s'insèrent sur le fémur sur cette ligne
enne. un véritable ligament actif qui s'oppose il I ecarlenienl des
fibres
métatarsiennes lorsque le poids du corps appuie
le quart interne de la clavicule, en haut existent deux groupes de
fibres
d'insertion, les unes se fixent au sommet et au
ieurs et inférieurs du muscle. La partie supérieure, formée par les
fibres
claviculaires et costales supérieures, porte l'ép
rant le bras contre le thorax. La portion inférieure formée par les
fibres
sternales et costales infé- rieures abaisse le
ransverse de la deuxième vertèbre lombaire ; au niveau du psoas les
fibres
du diaphragme se ter- minent sur l'arcade du ps
transverse de la première ; au niveau de la colonne vertébrale les
fibres
du diaphragme forment deux gros faisceaux, les
amètres de cette cavité. La contraction du muscle tend à donner aux
fibres
charnues une direction rectiligne, il leur fair
ax. Beau et Maissiat pensaient flue le point d'appui nécessaire aux
fibres
charnues du diaphragme pour [G. GUILLAIN] : .
te iliaque sur une étendue de deux à trois centimètres. En haut les
fibres
s'insèrent sur le bord inférieur de la douzième c
s quatre premières vertèbres lombaires. Il existe un second plan de
fibres
en avant de celui-ci, elles se détachent MUSCLE
partie était l'ultinwm moriens dans les atrophies du trapèze. Les
fibres
de la partie moyenne qui s'insèrent le plus en de
ane, effacent le moignon de l'épaule; elles sont adductriecs. Les
fibres
de la partie inférieure attirent l'omoplate en ba
e s'insère sur le sommet de l'apo- physe transverse de l'atlas, ses
fibres
se portent en haut et en dedans et se terminent
ois groupes : les libres internes s'insèrent à la sous-cloison, les
fibres
moyennes au bord postérieur du cartilage de l'a
avec les libres ascendantes du demi-orbiculaire inférieur et avec les
fibres
du buccinateur. Deux faisceaux accessoires se r
ommissures sur la peau de la muqueuse en s'entre- croisant avec les
fibres
du muscle précédent. Il est renforcé par le fais-
s lèvres, au voisinage du bord libre on voit un cer- tain nombre de
fibres
à direction autéro-postérieure qui constituent le
o-postérieure qui constituent le muscle compresseur des lèvres. Ces
fibres
naissent en avant à la face, profonde de la pea
les radiés, l'autre, l'orbiculaire interne, est constituée par l,es
fibres
appartenant en propre au muscle constricteur. Dan
férieur de l'arcade zygomatique dans ses deux tiers antérieurs, les
fibres
se dirigent en bas et en arrière et se terminent
bord inférieur et sur l'a face interne de l'arcade zygomatique, les
fibres
se portent en bas et en avant et viennent se fi
n interne s'insère dans toute l'étendue de la fosse ptérygoïde, les
fibres
se portent obliquement en bas, en arrière, en d
la hauteur de l'axe gris médullaire, chaque noyau ne fournissant de
fibres
qu'à la racine correspondante. Je partage tout
ique pas sa force motrice au tronc tout entier, mais uniquement aux
fibres
par, lesquelles il se con- tinue depuis le tron
. Parlant, une même racine fournira il plusieurs muscles. Ainsi les
fibres
motrices répondant il tel mouvement déterminé s
en la lettre h indique le niveau le plus élevé de l'émer- gence des
fibres
les plus supérieures et la lettre b le niveau le
res et la lettre b le niveau le plus inférieur de l'émer- gence des
fibres
les plus inférieures qui ont été relevés dans les
pathique cervical, le myosis est la conséquence de la paralysie des
fibres
radiées de l'iris, le rétrécisse- ment de la fe
LES DU LARYNX. w au noyau postérieur du pneumogastrique, lés autres
fibres
motrices de ce nerf provenant du noyau ambigu d
rs expéri- mentateurs et plus récemment encore par iirocckaert, les
fibres
centri- pètes provenant soit du laryngé supérie
hibition bulbaire d'origine périphérique (irritation centripète des
fibres
sensitives du vago-spinal). C) Spasme d'origine
L'atrophie musculaire est la diminution de volume et. de nombre des
fibres
contractiles d'un ou de plusieurs muscles. Cett
l s'agit d'un véritable processus inflammatoire, d'une myosite : la
fibre
musculaire prolifère et se subdivise avant de d
rolifération interstitielle, qui marche de pair avec l'atrophie des
fibres
, puisse prendre le pas sur elle; le tissu cellulo
tissu cellulo- ou fibro-graisseux non seulement prend la place des
fibres
disparues, mais encore occupe plus de place qu'
t atrophiés. Dans d'autres cas une portion seule de la longueur des
fibres
sera atrophiée, de sorte que l'on verra la cont
toute amyotrophie devient une para- lysie le jour où le nombre des
fibres
musculaires conservées est insuffi- sant pour a
t les nerfs sont dégénérés, mais qu'elle est la réaction propre aux
fibres
musculaires se contractant d'une manière indé-
s (2) qui ri trouvé dans la même maladie des lésions manifestes des
fibres
musculaires du coeur, de Mme Sacara qui a remar
jà qu'histologiquement tous les muscles atrophiés con- tiennent des
fibres
hypertrophiées et que cliniquement cette hypertro
E. 701 muscles se prennent faisceau par faisceau et parfois presque
fibre
par fibre. La contractilité faradique diminue
cles se prennent faisceau par faisceau et parfois presque fibre par
fibre
. La contractilité faradique diminue progressive
ique diminue plus tardi- vement, puis augmente, quand le nombre des
fibres
en voie de dégénéra- tion, quoique non complète
n, quoique non complètement atrophiées, l'emporte sur le nombre des
fibres
saines (Erb) ; à ce moment la contraction se fait
mpotence fonctionnelle est excessive si on la compare au nombre des
fibres
musculaires disparues; la preuve en est que génér
sie soit d'ordinaire proportionnelle à la diminution du nombre des.
fibres
musculaires. Aussi est-ce l'amyotrophie qui prend
iologiques, fonction- nelles, compensatrices, où l'augmentation des
fibres
contractiles atteint un muscle sain et constitu
riori être déterminées par des modifications toutes différentes des
fibres
musculaires. Les hypertrophies patholo- giques
e l'hypertrophie n'est pas uniquement un phénomène d'adaptation des
fibres
musculaires il un tra- vail exagéré. D'une part
ît résulter uniquement de l'augmentation de volume ou de nombre des
fibres
contractiles. Hep, Letulle incriminent surtout
ncriminent surtout l'hypertrophie volumétrique légère de toutes les
fibres
, mais comme le diamètre reste toujours modéré e
d'atrophie, quelle que soit l'origine de l'atrophie, on trouve des
fibres
hypertrophiées. Erh, qui avait constaté ce fait
Ce qui est vrai, c'est que, en dehors des myopathies, le nombre des
fibres
hypertrophiées dans un muscle en voie d'atrophie
est la partie moyenne qui est typer- - trophiée, les extrémités des
fibres
s'atrophiant; cette « atrophie longitu- dinale
cliniquenient constatable, opposée a la constance de l'existence de
fibres
d'un volume énorme dans les muscles en voie d'a
atrophie, s'explique par le fait que l'hypertrophie est pour chaque
fibre
musculaire un état transitoire, c'esi, la premièr
sitoire, c'esi, la première phase de révolution atrophique. Or; les
fibres
sont atteintes individuellement ou par petits g
s fibres sont atteintes individuellement ou par petits groupes; les
fibres
les premières atteintes s'atrophient déjà " [A
le stade préalable d'hyper- trophie soit indispensable, pour toute
fibre
qui s'atrophie. L'hypertrophie préatrophique es
pertrophie préatrophique est donc déjà un signe de la maladie de la
fibre
musculaire : on comprend qu'avant de s'atrophier
ie de la fibre musculaire : on comprend qu'avant de s'atrophier les
fibres
musculaires s'hypertrophient généralement, puis
- trophie préatrophique se révèle dans la lésion histologique de la
fibre
: non seulement les fibres hypertrophiées attei
révèle dans la lésion histologique de la fibre : non seulement les
fibres
hypertrophiées atteignent le volume énorme de 2
es contractiles et du protoplasma intercontractile s'atténuent, les
fibres
se remplissent de vacuoles, et surtout les noyaux
sus sera l'origine de l'atrophie. .Ces caractères distinguent les
fibres
atteintes d'hypertrophie préatro- phique et cel
ue autrefois par Dejerine, à savoir que l'hypertrophie de certaines
fibres
dans les muscles en voie d'atrophie esl - une h
ie esl - une hypertrophie fonctionnelle vicariante : en réalité ces
fibres
hyper- trophiées ne sont pas des fibres saines.
vicariante : en réalité ces fibres hyper- trophiées ne sont pas des
fibres
saines. ei , qF. - 1 5 GROUPE. ? W PERTRÔPHIE
L'histologie semble confirmer ces conclusions, car les lésions des
fibres
musculaires sont très semblables dans les deux af
très semblables dans les deux affections, 'fout d'abord, à côté des
fibres
hypertrophiées, de '1 ;,(1 u. et plus, on trouve
ouve toujours dans les muscles des thomséniens un certain nombre de
fibres
HYPERTROPHIES MUSCULAIRES PÉRIPHÉRIQUES. 7t,)
ÉRIQUES. 7t,) atrophiées, de 20 à 10 u. et moins. De plus, dans les
fibres
hypertro- phiées on constate dès le début, avec
tions, absorbées peu à peu par le sarcoplasme. L'hypertrophie de la
fibre
musculaire a donc pour résultat non pas l'accrois
res, dans la maladie de Thomsen la persistance dans l'intérieur des
fibres
d'un sarcoplasma abondant, il noyaux multiples
on a constaté une hyperplasie numérique et surtout volumetnque des
fibres
muscu- laires, très analogue à celle que l'on
férentes pour servir de phagocytes aux portions différenciées de la
fibre
; c'est pourquoi il n'y a pas d'atrophie consécu
u plusieurs muscles par augmentation de nombre ou (le dimension des
fibres
contractiles. I. HYPERTROPHIES MUSCULAIRES VISC
êmes (lésion des faisceaux cérébelleux directs en relation avec les
fibres
radi- culaires postérieures par l'intermédiaire
les cordons postérieurs, les faisceaux endogènes à l'exclusion des
fibres
radiculaires : il en résulte que ces affections n
e pernicieuse, le diabète, déterminent de préférence une lésion des
fibres
radiculaires des cordons postérieurs : ce sont
niques semblent être des variétés d'une ma- ladie congénitale de la
fibre
musculaire. Klippel et Villaret, Raymond ont in
vicale et )"' paire dorsale (d'où partent la plus grande partie des
fibres
du médian et du cubital), dans certaines lésion
culations vertébrales par ossification sur place, sans saillie, des
fibres
ligamenteuses, processus de consolidation d'une o
des courants galvaniques, même faibles, M. Weiss a constaté que les
fibres
musculaires étaient profondément altérées et qu'e
iés. Il pré- sente surtout des avantages pour exciter les muscles à
fibres
lisses. On sait que ces muscles se montrent peu
de la lenteur du processus d'atrophie, les libres nerveuses et les
fibres
musculaires se trouvent détruites lentement et
rtie ; les lésions, au con- traire, les envahissent pour ainsi dire
fibres
par libres; de là il résulte qu'au début les ré
e fibres par libres; de là il résulte qu'au début les réactions des
fibres
musculaires altérées qui devraient manifester d
ient manifester de la DR se trouvent masquées par les réactions des
fibres
restées saines; ces conditions ne permettent de
po- excitabilité simple plus ou moins marquée. Plus tard, quand les
fibres
d'abord indemnes s'altèrent il leur tour, les f
ard, quand les fibres d'abord indemnes s'altèrent il leur tour, les
fibres
les premières atteintes sont assez atrophiées p
ncéphale), ou les racines nerveuses motrices qui en partent, ou les
fibres
nerveuses dans les plexus, ou les nerfs dans leur
e ou de ramollis- sement, si les noyaux moteurs de ces nerfs ou les
fibres
radiculaires qui en partent se trouvent intéres
avoir une origine 111y'01)at11111r1C et dépendre d'altérations des
fibres
musculaires. Elles constituent des signes objec
lles s'étendent parfois aussi aux cornes de la substance grise, aux
fibres
radiculaires dans leur trajet intra-médullaire, a
atrophiés en entretenant ou en stimulant le développement de leurs
fibres
restées saines. Comme type principal de ces aff
rant assez fort, tel qu'il produise des contractions apparentes des
fibres
du peaucier, ou des contractions assez fortes d
ent très mal. Cette méthode a élé surtout employée pour l'étude des
fibres
tangentielles de l'écorce cérébrale. r Méthod
ide osmique. Les libres mvéliniqucs sont colorées en noir, mais les
fibres
fines sont souvent mal colorées et la coupe a f
u l'eau de Javel diluée. Méthode de Nageotte pour la coloration des
fibres
à myéline des nerfs, de la moelle et du cerveau
solution de formol à 10 pour 100, mais Nageotte a remarqué que les
fibres
les plus fines de l'écorce cérébrale .sont alté
avoir employé la méthode de Bielschowsky, colorer les noyaux et les
fibres
névrogliques en passant les coupes dans la solu-
s nerveux, 1545. Avellis (Syndrome d' -), 472, 649. Azoulay. Voy.
Fibres
à myéline. B Babinski (Syndrome cérébelleux d
. Troubles de la motricité et de la sensibilité, 996. Exner. Voy.
Fibres
à myéline. Exophtalmie dans la maladie de Based
et dégénérescence, 1102. Faux urinaÏ1'es, 967. Féminisme, 1090.
Fibres
h myéline. Coloration élective de Weigert, 1559
1l ili. Kojewnikoff (Syndrome de -), 86 ! ). Kulschitzky. Voy.
Fibres
il myéline. L Labyrinthe. Anémie, congestion,
ic, 1179. . N Naevi, (roubles trophiques, 917. Nageotte. Vov.
Fibres
à myéline, Fixa- lion.. Nanisme, m.mdéntateu2
t (Maladie de -). ). Radiodiagnostic, 1178, 1181, 1182. Pal. Voy.
Fibres
à myéline. Palmaire cutané. Innervation, physio
es, z3. Religieuses (Idées -) chez les aliénés, 245. Renaud. Voy.
Fibres
à myéline. Résistance électrique du corps, 1276
llla, 1152. Weber (Syndrome de), ptosis, 99, 471. Weigert. Voy.
Fibres
il myéline. - Né- vroglie. Werding-Hoffmann (
urs : au point de vue anatomique, on observe une dégénérescence des
fibres
radiculaires postérieures (zone cornu-radiculai
s leurs filets d'émergence en pleine substance grise, même quelques
fibres
de la région du faisceau pyramidal croisé. Mais
érieure principalement; les lésions, surtout démyélinisatrices, des
fibres
nerveuses, l'in- tégrité suffisante des cellule
tait que la lésion initiale qui aboutissait à la dégénérescence des
fibres
des colonnes postérieu- res de la moelle avait
orts entre les altérations de ces cellules et la dégénérescence des
fibres
des colonnes posté- rieures de la moelle, et co
différences qui existent entre l'intensité de la dégénérescence des
fibres
de la moelle et le peu d'importance relative de
tionner le prolongement central de : ces cellules, c'est-à-dire les
fibres
des racines postérieures, sans y dé- terminer d
es, en a proposé une autre. Il rend compte des dégénérescen- ces de
fibres
rencontrées dans la moelle chez les tabétiques et
l'on a souvent rencontré des lésions portant surd'autres tractus de
fibres
que ceux des colonnes postérieures. Celte analy
ait saine à la région lombaire, alors que la continuation des mêmes
fibres
à la région cervicale où elles forment la colonne
sentait des iésionsétendues, ce qui démontre qu'un même faisceau de
fibres
peut être sain dans une région de la moelle et
s les faisceaux malades il n'est pas rare de rencontrer beaucoup de
fibres
saines disséminées bien que, naturellement dans
as chroniques de longue durée la sclérose puisse être complète. Les
fibres
des racines antérieures et postérieures ont mon
« Que la dégénérescence du tabes con- « sisie en une altération des
fibres
qui sont défectueuses à leur «point de départ.e
la dégénérescence. Etant donné le fait que la dégénéres- cence des
fibres
nerveuses et les altérations vasculaires sont due
ir compte à la fois de ce que. Sciuti appelle « la défectuosité des
fibres
nerveuses » et de ce que Fort Hobert- son a dés
t claire chez l'homme, est impossible chez l'animal. La texture des
fibres
nerveuses comporte, chez le chien, le chat, le
mbras- sent les éléments cellulaires sus-indiqués. 2. Une couche de
fibres
nerveuses minces qui correspond à la jre couche
e couche distincte. Elle est de part en part en abondance coupée de
fibres
excessive- ment minces dans toutes les directio
re. Toutes ces couches sont traversées par une énorme quantité de
fibres
radiaires allant de la substance grise centrale à
le à la troi- sième couche de Tartuferi inclusivement : c'est à ces
fibres
que Meynert et Obersteiner attribuent la transm
nerveux, est ainsi mise au point. Les ramifications terminales des
fibres
de la rétine entrent en contact avec les élémen
lumineuses. La transmission s'y effectue de là par les systèmes de
fibres
qui pren- nent naissance dans le corps de l'org
ordon latéral de la moelle. Le cervelet recevant presque toutes les
fibres
sensibles de la moelle, (voie cérébelleuse dire
antité de collatérales des voies motrices qui vont de haut en bas ?
fibres
cortico-protubéranlielles. Ces mêmes cellules f
par leurs cylindraxes presque tout le pédoncule cérébelleux moyen :
fibres
ponlo-cérébelleuses. Le tuber- cule quadrijumea
ue assurance qu'il exisle une énorme quantité de courts systèmes de
fibres
à direction descendante, qui joignent diverses
oignées de l'axe. Cette transmission est descendante. Reçoit-il des
fibres
descendantes d'organes situées au-dessus de lui
e supposer, jusqu'à nouvel ordre, qu'il n'existe pas de systèmes de
fibres
pre- nant naissance dans la couche optique et s
II. De l'emploi du microscope à lumière polarisée dans l'examen des
fibres
nerveuses à myéline dégénérées; par K. Ii110D3SAN
Nervenheilk. XXIV. N. F. XII, 4904.) .) Les manchons de myéline des
fibres
nerveuses présentent d'une manière très accusée
uble réfraction est négative par rapport à l'axe longitudinal de la
fibre
, ce qui la distingue de celle des autres tissus a
celle des autres tissus anisomé- tropes, tels que muscles, tendons,
fibres
végétales, qui est positive. Elle devient posit
e myéline apparaissent, sur le fond rouge, jaune clair, lorsque les
fibres
ont leur direction parallèle au grand axe de la
ent rouge pourpre. Le caractère positif de la double réfraction des
fibres
musculaires et du tissu conjonctif leur assure,
res et du tissu conjonctif leur assure, quand ils sont associés aux
fibres
nerveuses, une coloration contraire, ils seront
lipses d'élasticité dans la coupe optique. La coupe tranverse de la
fibre
myélinique apparaît dans les conditions d'exame
x autres sont jaunes. . Tel est le procédé d'analyse applicable aux
fibres
nerveuses, fraîches, dissociées, ou sectionnées
e, 1 névrite propagée dans l'ar- thorite nécrosique. En somme les
fibres
nerveuses à myéline présentent normale- ment un
côté opposé. Il semble donc qu'il y ait entrecroisement partiel des
fibres
olfac- tives, la plupart d'entre elles innervan
u creux épigastrique du même côté, à raison de la con- traction des
fibres
les plus supérieures du grand droit de l'abdo-
ection, ainsi que tous les départements des centres nerveux. 2. Les
fibres
des nerfs et des muscles présentent une atrophie
trophie sim- ple et une dégénérescence primitive. Celle-ci, dans la
fibre
ner- veuse, revêt la forme de névrite périaxill
econdaire de Marinesco. Le bout central et le bout périphérique des
fibres
nerveuses subissent la déchéance myélinique. Ce
dans le ruban de Reil, on ne peut rencontrer qu'un petit nombre de
fibres
disséminées. Quant aux systèmes endogènes, on r
, on remarque, dans le segment sacré, une certaine irri- tation des
fibres
du faisceau postéro-interne d'Obersteiner. La ré-
on d'un faisceau supplémentaire du ruban de Reil, qui apporte les
fibres
des noyaux moteurs du bulbe; on la suit, enfin, à
rés sont les suivants : a) Le fais- ceau cérébelleux direct; b) les
fibres
radiaires de l'écorce du cer- velet ; c) les gr
es de la couche à gros grains et les cel- lules de Purkinje; d) les
fibres
qui se ramifient aux alentours de ces dernières
s nettes; c'est là que s'affirme la destruction la plus intense des
fibres
d'association de toutes catégories, que Les cel
ltérations histologiques se caractérisent par des modifications des
fibres
nerveuses compa- rables sous certains rapports
tions cérébrales sont reliés entre eux de toutes manières par des
fibres
transcorticales, intrapolygonales, reliés à la pé
e pupillaire à la lumière par exemple, met en jeu le muscle irien à
fibres
lisses. Jamais la suggestion, ni la volonté, n'on
ais en réalité réglée par une di- minution de résistance, certaines
fibres
et cellules. Ce sont naturel- lement les plus d
aphique, moteur, auditif et du langage en un point théorique où les
fibres
d'asso- ciations, allant de deux- de ces centre
étant le produit de rebut du métabolisme de cellules particulières,
fibres
musculaires ou cellules nerveuses, par exemple,
s. A l'examen histologique, d'ailleurs, aucune dégénéres- cence des
fibres
de la moëlle; mais, révélés par la méthode de N
ormaux est un réflexe cutané extra-pyramidal, c'est-à-dire dont les
fibres
motrices suivent la voie thalamo-spinale ainsi qu
de prétendus morts (Revue neurologique, mars 1901). E. B. XL VI.
Fibres
nerveuses à myéline dans la pie-mère de la moelle
mère de la moelle . épinière, par les Drs DERCum et SPILLEIt, Les
fibres
nerveuses à myéline dans la pie-mère de la moelle
olorosa, les auteurs en ont trouvé un bon nombre contenant de fines
fibres
à myéline dans cette partie de la pie- mère qui
mère qui couvre les cordons postérieurs de la moelle épinière. Ces
fibres
étaient si entrelacées, qu'il était impossible de
t la reproduction est jointe au mémoire, on voit nettement quelques
fibres
sortir de la pie-mère pour entrer dans les cord
r entrer dans les cordons postérieurs. 11 est très probable que les
fibres
nerveu- ses, dans la pie-mère viennent des raci
lombaire (il ne subsistait, en effet, en cette région que de rares
fibres
dans les cor- dons postérieurs), la paralysie m
des nappes hyalines résul- tant de la dégénérescence simultanée des
fibres
nerveuses, de la névroglie et des vaisseaux.
des deux 'côtés, parait démontrer qu'il existe un certain nombre de
fibres
qui proviennent du côté opposé (Revue neurolo-
e la nuit, la perception des becs de gaz. L'anatomie montre que des
fibres
optiques peuvent subsister dans le nerf optique
ns donne aisément l'explication de la symptomatologie observée. Les
fibres
sont sectionnées nettement au niveau des masses
héliales, au sein desquelles, aucun réactif n'a pu montrer trace de
fibres
nerveuses. A quelque distance de la section, qu
nctive respec- tant jusqu'à un certain point les éléments nerveux :
fibres
à myéline et cellules ganglionnaires. , Fig.
en une atrophie lente qui frappe de préférence certaines espèces de
fibres
dans cha- que racine et qui est habituellement
ur les diffé- rents fascicules de chaque racine. La disparition des
fibres
radi- culaires est la première en date; lorsqu'
cher exclusivement. Dans le ramollissement étaient donc compris les
fibres
arciformes cérébello-olivaires, une partie de l
es centres d'équilibration ou bien ont un rapport immédiat avec les
fibres
qui vont au cervelet ou qui en viennent. Telle
Telle est la région bulbaire supérieure dans laquelle l'olive, les
fibres
cérébello-olivaires et peut-être encore d'autres
emment elle déterminerait au niveau de l'oeil, par prédominance des
fibres
vaso-constrictives, la rétraction du globe ocul
restriction que dans son cas la paralysie ne porterait que sur les
fibres
atteignant le muscle de Millier et qu'une telle
gures, discute l'opinion de MM. Marie et Guillain sur l'origine des
fibres
pyramidales directes et leur situation dans le
u pédoncule cérébral et la pyramide bulbaire ne contiennent que des
fibres
d'origine corti- cale. De cette communication i
ge de la lésion, mais selon que l'individu possède plus ou moins de
fibres
pyramidales directes, à dégénérescence pyramida
de la substance blanche sous-jacente, laquelle était très paume en
fibres
médullaires. L'hémisphère gauche- était petit : l
la névroglie dans la moelle au point où devraient se trouver les
fibres
pyramidales entrecroisées droites, en sorte qu'on
ci parait pouvoir s'expliquer par ce fait que la dégénérescence des
fibres
provenant de l'écorce cérébrale et de la couche
et s'est par conséquent accompagnée de moins de sclérose que si ces
fibres
avaient atteint leur myélination parfaite. n. D
ntestablement exister puisqu'il y a dans les centres sensoriels des
fibres
qui descendent des centres supé- rieurs et para
attention. En tous cas Tanzi estime que même sans le secours de ces
fibres
centrifuges, il est possible, quoique peu probabl
tence de centres vaso-moteurs dans les noyaux gris cen- traux et de
fibres
vaso-motrices dans la capsule interne. Chez cet
très particulière, qui consiste en une division transversale de la
fibre
musculaire. De pareilles fibres musculaires se re
e en une division transversale de la fibre musculaire. De pareilles
fibres
musculaires se retrouvaient aussi quelquefois i
d'une légère prolifération névroglique, de l'altération de quelques
fibres
corticales. · Ces lésions ne sont pas spécifi
le dans la cellule nerveuse, on n'a jamais pu la constater dans les
fibres
nerveuses de l'une ou l'autre variété. Mais cec
veuses de l'une ou l'autre variété. Mais ceci n'implique pas que la
fibre
nerveuse ne subisse, pendant la transmission d'un
une onde moléculaire d'irritabilité croissante propagée le long des
fibres
nerveuses, les variations 476 REVUE D'ANATOMIE
nt se transformer toutes les deux en énergie chimique latente de la
fibre
. L'énergie additionnelle peut provenir des modi
yéline, tandis que ces relations n'existent pas quand il s'agit des
fibres
nerveuses péripheriques. Plusieurs raisons co
eulement un rôle d'isolement : 1° Les impulsions transmises par les
fibres
non médullées des tissus viscéraux et vasculair
ante de la substance fondamentale; 4° La dégénérescence de toute la
fibre
va assez également. Dans les névrites diphtèrit
ène primaire ; ordi- nairement, il n'y a point de fragmentation des
fibres
; l'absorption de la myéline a lieu à la suite
telle fragmentation existe donc aussi dans la coupe centrale de la
fibre
coupée. Présentation des préparations du sang d
oscope. De l'emploi du - à la lumière polarisée dans l'examen des
fibres
nerveuses à myéline dégénérées, par Brodmann, 5
chez des enfants nouveau-nés, par Souklianoff et Czarnieck, 58.
Fibres
nerveuses à myéline dans la pie-mère de la - ép
n appareil sensitivo-moLeur volontaire représenté par un système de
fibres
directes, le système cortico-pyramidal , qui met
appareil sensitivo-moteur réflexe involontaire formée d'une sériede
fibres
indirectes et superposées, reliées entre elles pa
nvolontaire. Quand, au contraire, il y a seulement interruption des
fibres
d'association entre là sphère psycho-volontaire
distinguer cet état du morcellement en écale, ou de l'atrophie des
fibres
. Le cylindraxe participe à la rétraction ; on n
ffaire à des miettes de myéline isolées ou en amas, libres dans les
fibres
ou dans les enveloppes des libres ovoïdes, ou g
ratives REVUE d'anatomie ET de PHYSIOLOGIE pathologiques. 45 (les
fibres
à myéline les plus fines, toujours globuleux, ils
dullai res,doiven têtl'e imputés à des conditions physiologiques de
fibres
nerveuses très jeunes ou enétat de formation, c
s ou brun-noir, le gonflement vari- queux, la coloration foncée des
fibres
. La chromisalion durera de 8.ic)ui-s à 6 mois ;
ologiques. 49 traumalique mollirent, alors qu'il n'y a aucune autre
fibre
ner- veuse, de très fines fibrilles à trajet ir
lles à trajet irrégulier, qui sont en di- recte continuité avec les
fibres
régénérées du segment de la ra- cine postérieur
tion de la moelle a-t-il une utilité physiologique; aboutit-il; les
fibres
régénérées sont-elles susceptibles de vivre : n
nt de rup- ture de la moelle, survécut 10 mois à l'accident, et les
fibres
ré- générées étaient indubitablement de date pl
ntourent les cylindraxes. Dans l'écorce cérébrale on perçoit et les
fibres
tangentielles et les fibres de la couche suprar
ns l'écorce cérébrale on perçoit et les fibres tangentielles et les
fibres
de la couche supraradiaire sous-jacente. Pour le
le cerveau, il est préférable de fixer au mélange de Weigert : les
fibres
mvé- liniques qui sont d'un noir plus intense d
6 heures ; on double ce temps pour le cerveau. On voit en outre des
fibres
nerveuses à myéline (bleu-noir), les noyaux des
elettes optiques, alors même qu'il n'y a plus dans les nerfs aucune
fibre
nerveuse. Ce faisceau résiduaire ne représente
lésion au niveau du centre visuel commun. La lésion interrompt les
fibres
de communication avec le centre visuel verbal.
eur intensité, au degré de la pachyméningite environnante (perle en
fibres
nerveuses, nom- breuses fibres grêles, libres q
achyméningite environnante (perle en fibres nerveuses, nom- breuses
fibres
grêles, libres qui se colorent mal au Pal, fibres
une certaine abondance de libres grêles, dans d'autres la perle en
fibres
nerveuses est très forte, sans être toutefois com
s phénomènes de dégénération très évidents (disparition de quelques
fibres
, grosses boules de myé- line libres, nombreuses
es, la plupart toutefois remplissant plus au moins complètement des
fibres
en voie de dégénération, et dans la pré- sence
es à un plus fort grossissement pré- sentent, disséminées parmi des
fibres
intactes, quelques mailles delà neuroglie vides
l'exagération de la striation longitudinale dans un grand nombre.de
fibres
, disséminées ctsépaivcspar des fibres parfaitem
inale dans un grand nombre.de fibres, disséminées ctsépaivcspar des
fibres
parfaitement saines : la prolifération des noya
vidente, ainsi que l'augmentation du sarcoplasma qui sépare dans la
fibre
les fibrilles élémentaires et rend plus nets qu
ent, sur coupes transversales, les champs de Conheim. Le volume des
fibres
est très variable, et à côté de fibres à volume
de Conheim. Le volume des fibres est très variable, et à côté de
fibres
à volume en apparence normal, on constate des fib
, et à côté de fibres à volume en apparence normal, on constate des
fibres
ex- trêmementatrophiées : cesdifferentesfibress
su con- jonctif net avec un assez grand nombre de noyaux. Certaines
fibres
présentent des divisions longitudinales et cert
l'exagération de la stria tion longitudinale sur un grand nombre de
fibres
avec proliféra- tion des noyaux du sarcolemme e
existe aussi une légère augmentation du tissu conjonctif entre les
fibres
. Nerfs riches en libres grêles sans phénomènes
es lésions consistant dans l'abondance, supérieure à la normale, de
fibres
grêles, sans aucune forme de dégénérescence de
ormale, de fibres grêles, sans aucune forme de dégénérescence de la
fibre
nerveuse. Même en ne tenant pas compte de la pr
OGIE PATHOLOGIQUES. XV. Contribution à la méthode de coloration des
fibres
nerveuses du système nerveux central ; par A. D
tiennent aux noyaux arciformes à raison de leurs relations avec les
fibres
ar- ciformes externes antérieures. 3. Les organ
e de réaction locale extérieure du muscle loca- lement excité ; les
fibres
musculaires se soulèvent au-dessus de la surfac
int limité ; c'est la contraction partielle ou raccourcissement des
fibres
au lieu de l'excitation. 2. Ce phénomène, physi
roisement des libres sensitheset de leur connexion étroite avec les
fibres
motrices dans le même hémisphère. Le trac par
outenue par M. Marinesco pour les faits de ce genre : le trajet des
fibres
parties d'un membre étant identique dans tous l
du côté non amputé, c'est-à-dire à un niveau où une décussation des
fibres
radicu- laires postérieures n'était pas encore
de flexion médian-musculo cutané et cubital) ; mais ce clivage de
fibres
n'est connu et ne devient apparent qu'au niveau d
déjà très nettement sur la fin de son parcours en deux faisceaux de
fibres
, fais- ceau antérieur et faisceau postérieur, s
lesingegibbon; chez cet animal, Chemin apusui- vre l'accolement des
fibres
de flexion et des fibres d'extension dans la ra
nimal, Chemin apusui- vre l'accolement des fibres de flexion et des
fibres
d'extension dans la racine jusqu'au trou de con
nerve le muscle temporal. Ce qui reste encore de ce noyau donne les
fibres
motrices au masséter et aux muscles ptérygoïdie
larisation active, altération à divers degrés des cellules et des
fibres
, prolifération de la névroglic. Il s'y joint pa
us ne nous trouvons qu'en présence d'un ré- flexe cortical. Or, les
fibres
d'association qui font com- muniquer les région
isent que dans l'ordre suivant : au deuxième mois, apparaissent des
fibres
« qui partent des centres sensitifs pour se dév
de ou la troisième semaine de la vie extra-utérine pour trouver des
fibres
motrices en voie de myélinisation. Ce n'est d'a
ni cerveau, ni voies pyramidales, mais il possède des systèmes de
fibres
qui peuvent assurer un fonctionnement syner- gi
les faisceaux sensitifs, le faisceau fondamental antérieur et les
fibres
courtes d'associations motrices et sensitives.
l existe également très développé dansla série des vertébrés et ses
fibres
s'entourentd'unc gaine de myé- (1) N. Vasciiide
par les nerfs rachidiens.De ce faisceau naissent dans la moelle des
fibres
en relation avec les faisceaux posté- rieurs. I
(2). D'autre part Spitzka a démontré que ce faisceau a beaucoup de
fibres
descendantes.Il met en relation les lobes optiq
sceau fondamental (4) ». La moelle est donc suffisamment pourvue de
fibres
sensiti- ves et motrices et l'excitation peut b
as. Si dans son bulbe on ne rencontre pas de faisceaux moteurs, les
fibres
sensitives y sont bien constituées, en rapport
égénérescence primitive du protoneurone moteur ou de son annexe, la
fibre
musculaire. Et il y a lieu de prévoir que l'oeu
de Clarke sont presque complètement dépour- vues de cellules et de
fibres
; diminution de volume des cornes antérieures,
lume des cornes antérieures, dont les cellules sont atrophiées, les
fibres
raréfiées. L'auteur rattache ces trois cas à un
lativement nombreuses malgré l'ahsence ou la diminution extrême des
fibres
optiques. Il y avait souvent diminution marquée
s cellules visuelles avec diminution de lon- gueur et de nombre des
fibres
de llenle et peut-être parfois alté- ration des
ronon- cée : il y a atrophie des racines antérieures, du réseau des
fibres
des cornes antérieures, ainsi qu'une luxuriante
des cornes antérieures, ainsi qu'une luxuriante prolifération des
fibres
névrogliques et des cellules araignées. La nett
rement, autour de la lésion primitive la névroglie prolifère et les
fibres
nerveuses perdent leur myéline. Fait intéressan
s dans un tissu-interstitiel épaissi, de nature fibro-adipeuse. Les
fibres
musculaires sont soit normales, soit hypertroph
; les muscles antagonistes au contraire offraient beaucoup moins de
fibres
saines et étaient particulièrement infiltrés de t
deux théories avant cours sur ce point : d'une part la sclérose des
fibres
musculaires (théorie de Krusing), d'au- tre par
Les altérations parenchymafeuses existent il tous les degrés. Les
fibres
saines sont rares, cependant certaines régions de
nt sur les études de Rumpf concernant l'action de la lymphe sur les
fibres
nerveu- ses, Kahler interpréta les lésions par
dien et dans l'espace épispinal ; la lymphe qui stagne détruitles
fibres
nerveuses de la moelle d'autant plus facilement
res nerveuses de la moelle d'autant plus facilement qu'il s'agit de
fibres
dépourvues de gaine de Schwann, tandis que les
toutefois qu'il peut y avoir aussi une lésion mécanique directe des
fibres
nerveuses parla com- pression ; celles-ci alors
ait de l'interruption de l'influence des centres.trophiques sur les
fibres
ner- veuses. La similitude des lésions rencontr
es rencontrées dans la coupe précé- dente : la plus grande perte en
fibres
nerveuses se trouve ici dans les cordons antero
, surtout abondants dans le cordon antéro-latéral, et de nombreuses
fibres
nerveuses tuméfiées en pleine dégénération, dis
ent proliféree el les septa épaissis dans les points où la perte en
fibres
nerveuses est très inlense ; dans d'autres poin
ssous de la pach) méningite, on rencontre outre la disparition' des
fibres
, l'abondance de libres grêles el une discrète p
ningite atteint un degré encore très considérable et où la perle en
fibres
nerveuses est moins forte, la moelle, bien que
446 PATHOLOGIE NERVEUSE. montre que, à côté d'une perte diffuse en
fibres
nerveu- ses, il existe de nombreuses mailles de
ste de nombreuses mailles de la névroglie dila- tées, de nombreuses
fibres
à gaine pâle, dilatée, à clin- draie,, très tum
coupe supérieure, à la périphérie de laquelle il existe encore des
fibres
nerveuses en abondance, et dans les segments im
idemment l'expression d'une dégé nérescence secondaire touchant les
fibres
moyennes et courtes. ' SUR LA PATHOGÉNIE DES
s mailles dila- tées on retrouve des mailles normales contenant des
fibres
nor- males. Les mailles plus fortement dilatées
ubstance grise semblé être raréfiée : on y rencontre aussi quelques
fibres
épaisses, irrégulières : en général, elle ne mont
énomène inflammatoire. Dans la moelle, à côté d'une raréfaction des
fibres
nerveuses, il existe très nettement, encore plu
que la plus saillante n'est pas ici représentée parla diminution en
fibres
nerveuses, mais parles phénomènes d'oedème due
de la substance blanche constituées par une sim- ple diminution en
fibres
nerveuses ; les lésions diffuses, qui se retrou
epum lunto y ménager avec la bande opposée un mince triangle ou les
fibres
402 PATHOLOGIE NERVEUSE. sont pour la plupart
se montrent sous deux formes : d'une part sous la forme de perte en
fibres
nerveuses qui, dilfuse à toute la moelle, est t
part de l'action de la pachyméningite et que la perte dif- fuse de
fibres
nerveuses n'est, peut-être, que la suite de l'o
gite. COEXETHÉSIE. Voir Délire. Coloration. Voir Sissl. -. Voir
Fibres
ne) ? e1lses. ? . Voir Ra11lon. -. Voir Cellu
ault, p, 492.. Fatigue. La - suggérée, par Verjnollc, p. 380.
Fibres
nerveuses. Contribu- tion it la méthode de colo
s quadri- jumeaux, les couches optiques, etc., « les faisceaux de
fibres
issus des circonvolutions cérébrales posté- rie
optiques dans le chiasma. Il croyait que l'entre- croisement de ces
fibres
était complet, chez l'homme même, « opinion, éc
partagées Goltz, Ferrier et Munk lui-même, que la décussation des
fibres
du nerf optique est incom- plète chez ce mammif
es auteurs italiens, l'hypothèse d'un second en- tre-croisement des
fibres
optiques, outre celui du chias- ma, dans un poi
' I corpi gellicolati dei mammiferi studiali nei loro rapporti colle
fibre
del lratlo ottico e nelle loro forme cellulari.
e partie du centre de la vision mentale y est en rapport avec les
fibres
des faisceaux croisés et des faisceaux directs du
iétale de l'hémisphère repré- senté ici, font voir quel rapport les
fibres
optiques du faisceau croisé, issues du segment
el; les points hachés, plus clair-semés, indiquent les rapports des
fibres
optiques du faisceau direct , issues du segment
s, il n'est pas invraisemblable que le mode d'entre- croisement des
fibres
optiques varie parfois comme celui des faisceau
rapporte que parce que Luciani croit pouvoir en conclure que les
fibres
du nerf olfactif, comme celles du nerf optique
confon- dues ces trois sphères de sensibilité spécifique; 2° les
fibres
optiques issues des éléments nerveux du grand h
ce du faisceau croisé sur le faisceau direct; 3° de même pour les
fibres
acoustiques issues de la même région; 4° enfin,
ur les fibres acoustiques issues de la même région; 4° enfin, les
fibres
olfactives issues des régions ammoniques ne sub
olfaction, comme dans ceux des autres sens spécifiques : ainsi, les
fibres
nerveuses à myéline de la lamina medullaris inv
fus, appartiendraient, sui- vant Golgi, à la sphère sensitive ; les
fibres
de l'alveus et de la fimbria, en communication
ique, on distingue des perles de gaz qui distendent et dilatent les
fibres
nerveuses. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPH
ses vaisseaux que dans l'épaisseur de son tissu que dissocient les
fibres
ner- veuses ; il n'y a aucune trace d'hémorrhag
s du trijumeau; par W. BECSTEREN. (neural. Centralbl., 1887.) Les
fibres
de la grande racine ascendante de ce nerf prennen
scendant. Cette racine se développe un peu plus tard que les autres
fibres
du même nerf. - Quant à la petite portion du tr
du trijumeau, à peine entrées dans la protubé- rance la plupart des
fibres
s'arrêtent au noyau moteur; quelques- unes cepe
les du côté opposé, mais sans des- cendre, sans s'aboucher avec les
fibres
mêmes du pédoncule, ni de la substance ferrugin
Expériences sur des chats de trois à six mois. Conclusions : Les
fibres
motrices ont leur centre dans la moelle même. Qua
al, une petite partie dégénérait, qu'il y avait, autrement dit, des
fibres
directes traversant le ganglion sans prendre d'at
t la portion du centre cortical du facial ou du système central des
fibres
du facial qui commande au peaucier. M. WOLLE1
le pour les coupes en séries. Il ne fait pas ressortir non plus les
fibres
de Weigest. (Du reste, rritscli dit que ces fib
tir non plus les fibres de Weigest. (Du reste, rritscli dit que ces
fibres
ne sont pas des fibres nerveuses.) Mais il révè
de Weigest. (Du reste, rritscli dit que ces fibres ne sont pas des
fibres
nerveuses.) Mais il révèle les cellules chromop
uillet 1888. - PnÉSIDE1\CE de M. WcnmcxE. M. SIOLI. Des systèmes de
fibres
qui occupent le pied du pédoncule cérébral et d
Sioli s'occupe d'un fait capable dejeter une vraie lumière sur les
fibres
latérales de cette région. 11 s'agit d'un homme
ns la cou- che blanche du manteau des circonvolutions et que toutes
fibres
rayonnantes qui rejoignent le lobe frontal et l
e latérale du pied du pédoncule cérébral contient des trousseaux de
fibres
issue du lobe temporal et des régions du lobe p
obe pariétal, en arrière de circonvolutions ascendantes. Toutes les
fibres
convergent sur un triangle de substance blanche
, des nerfs craniens, des ganglions, de la couronne rayonnante, des
fibres
corticales, etc.; il trace par là même les- dis
t de leur reproduction photographiques. Mais dans ces pièces, les
fibres
à myéline de la surface de l'écorce et celles d
le procédé à ! Ex71er (acide os- mique et ammoniaque) de très fines
fibres
à myéline, sans étranglements annulaires, d'apr
ine, sans étranglements annulaires, d'après Ranvier. Ce réseau de
fibres
est altéré dans la paralysie générale, au dire
colonne, les unes au-dessus des autres, parce que les faisceaux de
fibres
de la couronne de Reil qui vont jusqu'à la couc
ifficile à débrouiller à cause de l'épanouissement des faisceaux de
fibres
et de la substance blanche, qui s'écartent les
us n'avons qu'à profiter de la disposition normale des faisceaux de
fibres
qui montent dans la substance grise, et qui s'a
ment dans les intervalles en colonne de cellules; en voyant leurs
fibres
aux faisceaux qui leurs sont contigus. Cette di
les pertes de substance. Ces foyers interrompant la disposition des
fibres
nerveuses qui gagnent la substance blanche, com
ec analyse microscopique de la peau qui donna quantité exagérée des
fibres
élastiques et des leucocytes, sur- tout dans le
hronique reconnaissant pour cause une accumulation de cheveux et de
fibres
ligneuses dans l'estomac. L'habitude qu'avait l
a difficulté que l'on éprouve à avaler isolément des cheveux ou des
fibres
ligneuses a conduit l'auteur à penser que le ma
multipolaires des cornes antérieures de la moelle, une atrophie des
fibres
du nerf moteur et des muscles auxquels ces fibr
une atrophie des fibres du nerf moteur et des muscles auxquels ces
fibres
se distribuent. La guérison des troubles intellec
us le nom d'éléments araignées. La couche intermédiaire, couche des
fibres
arquées, et la couche des grandes cellules pyra
bre les figures signalées par M. Babinski en 1886 (Soc. biol.), des
fibres
musculaires jeunes se montrent enveloppées d'un
superficielle, mince et homogène, formée de faisceaux parallèles de
fibres
fines, avec de pelits noyaux sphériques très pe
la perte de substance, de la substance grise, et dans laquelle les
fibres
n'existent t pas; tout autour, ces fibres sont
ise, et dans laquelle les fibres n'existent t pas; tout autour, ces
fibres
sont entourées d'une grande quantité de petites
pièces, il nous était impossible de rechercher les lé- sions des
fibres
conductrices. Les fibres fines à myéline de la
impossible de rechercher les lé- sions des fibres conductrices. Les
fibres
fines à myéline de la couche superficielle des
fines à myéline de la couche superficielle des circonvolutions, les
fibres
arquées qui relient chaque circonvolution en pa
ccupe la couche la plus profonde de la substance grise, enfin les
fibres
descendantes de la substance blanche de- LÉSION
es chiens ont perdu la faculté de faire jouer certains groupes de
fibres
musculaires d'une manière appropriée dans certa
ès l'isolement du gtrus sigmoïde, c'est-à-dire après la section des
fibres
d'association qui rattachent ce territoire mo-
eurs de l'écorce, ainsi qu'on l'admet », on doit supposer que « des
fibres
intercen- trales relient les corps striés aux d
cune connexion directe avec l'écorce du cerveau. Des faisceaux de
fibres
isolées pénètrent bien de la subs- tance blanch
et d'où decendraient les faisceaux pyrami- daux, ces deux sortes de
fibres
, sensitives et motrices, formant un même systèm
l'équilibre de ces mouvements. Le point où ces deux faisceaux de
fibres
ascendantes et descendantes se rencontrent et c
nations de Maurice Schiff. Pourquoi, demande-t-il, ces faisceaux de
fibres
se donneraient-ils rendez-vous sous l'écorce, o
e, c'est-à-dire au gyrus sigmoïde, où se distribuent uniquement les
fibres
du faisceau pyramidal. Les mouvements que ces c
qu'ils sont situés en dehors de l'aire corticale où s'irradient les
fibres
du faisceau pyra- midal, ces centres, pour être
des points d'origine de faisceaux moteurs indépendants, dont les
fibres
centrifuges vont innerver des muscles de la moi
t l'entrecroisement com- LES FONCTIONS DU CERVEAU. ils-, plet des
fibres
de la sensibilité générale et du mou- vement. L
côté opposé à la lésion cérébrale, non du côté correspondant. Les
fibres
nerveuses centripètes et centrifuges seraient d
nalysa mycroscopiquement la peau et trouva une quantité exagérée de
fibres
élastiques et de leucocytes, surtout dans la di
une proli- fération du tissu intertitiel, une quantité exagérée de
fibres
élastiques, une accumulation de leucocytes, sur
eut donc supposer que la sclérose a envahi d'emblée dans ce cas les
fibres
nerveuses profondes, mais la constatation nécrosc
musculaires se traduisent par de l'hypertrophie ; en même temps les
fibres
s'altèrent et l'atrophie graduelle s'accompagne
qui en accompagnent la formation ? Peut-on constater un système de
fibres
qui soit commun au cerveau antérieur de tous le
interne composée de cellules, une couche externe constituée par des
fibres
et de la névroglie. La place qui, - chez les an
ne en replis multiples, et donne naissance à une grande quantité de
fibres
, d'association et de rayons en couronne (couronne
ment de l'animal, et non dans la phase embryonnaire. Cette fusée de
fibres
que l'écorce "vient projeter de haut en bas en
égion qn'occupe la couche inférieure du noyau de Deilers (iéseau de
fibres
avec un terri- toire cellulaire correspondant)
ie fonctionnelle des muscles qu'il innerve. Quel trajet suivent les
fibres
du facial supérieur dans l'en- cépliale ? Il es
? Il est facile de le déduire de ce qui précède. Elles suivent les
fibres
du facial inférieur dans tout leur trajet. Les
l n'existe qu'un seul centre cortical du facial, de même toutes les
fibres
qui en partent suivent le même trajet, par le g
t le même trajet, par le genou de la capsule interne. Le trajet des
fibres
du facial supérieur par l'anse lenticulaire doi
e ramollissement au niveau de la région pariétale droite. Enfin les
fibres
à myéline sont altérées à divers degrés dans la
d'Ehrlich ; les méthodes do coloration des gaines de myéline des
fibres
nerveuses, méthodes de Weigert, de Pal, de Vassal
mi les éléments qui constituent cette écorce cérébrale, aucun, soit
fibre
, soit cellule, soit carac- téristique de l'impo
s la section incite elle-même mécaniquement de proche en proche les
fibres
de la partie énervée de ce muscle. F. BOISSIER.
les collatérales se développent, sans exception, plus tard que les
fibres
fondamen- tales ; il se forme donc des systèmes
iverses valeurs qui sui- vent une loi sériaire ; 3° les systèmes de
fibres
dont le dévelop- pement n'a pas lieu en même te
ont le dévelop- pement n'a pas lieu en même temps, par exemple, les
fibres
radiaires de la deuxième pariétale et celles de
ont vécu un ou deux mois. Le caractère anatomique des trousseaux de
fibres
distincts y apparaît des plus évidents, bien plus
ent, des conducteurs sensibles ; à ce moment il n'y a nulle part de
fibres
myéliniques disséminées dans les lobes du cerveau
de fibres myéliniques disséminées dans les lobes du cerveau. Les
fibres
d'association ne se développent point en même tem
fibres d'association ne se développent point en même temps que ces
fibres
de projection là; 6° le développement de la subst
à fait dis- tincts; les autres endroits sont tout à fait exempts de
fibres
[myé- liniques même à trajets complètement isol
nt REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 155 de ses
fibres
nerveuses ; chacune aussi a ses particularités pr
line bien avant que les territoires terminaux contiennent une seule
fibre
myélinique. Tels : les ascendantes (surtout la
en arrière ; une autre représente un territoire primordial muni de
fibres
de projection éparses, qui est placé immédiate-
t de la myélinisation. Dans telle catégorie de zones, ce sont les
fibres
de projection qui commencent à s'entourer de myél
i commencent à s'entourer de myéline, dans telle autre, ce sont les
fibres
d'association ; ce qui permet déjà de distingue
zones en centres de projections et en centres d'asso- ciation. Les
fibres
les premières mûres s'appellent s.aèmes pri- ma
Dans aucune zone il n'y a genèse simultanée des deux catégories de
fibres
. Le sens dans lequel se développent les fibres
deux catégories de fibres. Le sens dans lequel se développent les
fibres
indique le sens dans lequel elles sont conductr
du corps genouillé externe et de l'écorce. Et tous les systèmes de
fibres
pri- maires des territoires primordiaux sont au
s corticopètes. ' Dans les territoires terminaux, au contraire, les
fibres
corticales REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
eur myéline d'abord dans le voisinage de l'écorce ; les systèmes de
fibres
primaires y sont corticofuges. Mais ce ne sont
es de fibres primaires y sont corticofuges. Mais ce ne sont pas des
fibres
de projection motrices, ce sont plutôt des fibres
e ne sont pas des fibres de projection motrices, ce sont plutôt des
fibres
du corps calleux. Les fibres de projection mo
jection motrices, ce sont plutôt des fibres du corps calleux. Les
fibres
de projection motrices ne se développent nulle pa
ruban se com- pose de deux trousseaux : 1 ? un trousseau de fortes
fibres
du ruban de Reil principal, se développant avec
e fortes fibres du ruban de Reil principal, se développant avec les
fibres
correspon- dantes du cordon postérieur, pénétra
i. Ce second trousseau est donc un ruban de Reil pyramidal dont les
fibres
parviennent à la protubé- rance ; les uns s'ent
Il occupe alors ici, en avant du ruban de Reil médian, la place de
fibres
qui, d'ordinaire, sont fournies par la partie l
Reil pyramidal explique le grand nombre des variétés du trajet des
fibres
à la surface du pied du pédoncule cérébral et d
oir aussi dans les lobes du cerveau des variétés dans le trajet des
fibres
myéliniques ; il peut donc arriver que des régi
ut donc arriver que des régions décrites jusqu'ici comme dénuées de
fibres
de projection soient un beau jour munies d'un p
de projection soient un beau jour munies d'un puissant trousseau de
fibres
de la couronne rayonnante. 158 REVUE D'ANAT
s territoires primordiaux. Le développement du gros de la masse des
fibres
s'accompagne presque en même temps, surtout dan
les centres d'association en question soient aussi innervés par des
fibres
de la couronne rayonnante, il reste à décider d
il reste à décider du véritable trajet, dans la couche optique, des
fibres
qui vont aux territoires terminaux, des origine
x, des origines et des sens des cou- rants de celles-ci. Toutes les
fibres
de la couronne rayonnante doivent-elles être co
de la couronne rayonnante doivent-elles être considérées comme des
fibres
de projection cons- tituant des conducteurs int
unitaire. Le noyau du ruban de Reil, tout petit, reçoit beaucoup de
fibres
corticofuges(Koelliker). Le zone 39, qui correspo
de consi- dérer les conducteurs en rapport avec ces zones comme des
fibres
de projection ? Les fibres du lobule pariétal i
eurs en rapport avec ces zones comme des fibres de projection ? Les
fibres
du lobule pariétal inférieur, qui vont soi- dis
gagnent, en réalité le tapetum direc- tement, et sont, les unes des
fibres
du corps calleux, les autres des fibres d'assoc
ment, et sont, les unes des fibres du corps calleux, les autres des
fibres
d'association. La bibliographie ne contient pas
le de la face. Cette dernière est due à ce que par l'opération, les
fibres
nerveuses motrices ayant été séparées, les cell
hasie a été produite par une lésion du centre ou par la section des
fibres
unissant le centre cortical au centre bulbaire
n arrière du bord posté- rieur du sterne-mastoïdien gauche dont les
fibres
furent section- nées jusqu'au splenius qui fut
ent; de même que la perte des centres, d'où partent ces systèmes de
fibres
. Ainsi l'absence du cervelet entraine l'absence
du cervelet entraine l'absence du faisceau cgrébelleux direct, des
fibres
arciformes, etc ! , etc. La perte des hémisphèr
pyramides, de la couche extraolivaire, du laqueus et de toutes les
fibres
qui forment le pied du pédoncule. L'oedème du can
iveau des nerfs des membres, porté primitivement son action sur les
fibres
à. myéline et que les altérations cellulaires a
gliques endothéliformes chez les mammi- fères ; par C. Bonne. Les
fibres
névrogliques se terminent sur la limitante margin
uption soit centrale, soit péri- phérique, dans la continuité de la
fibre
primitive conductrice. Le système nerveux est a
à la cellule musculaire et produisent une substance conductrice, la
fibre
ner- veuse, absolument comme la cellule muscula
ment comme la cellule musculaire produit un élément contractile, la
fibre
musculaire. Quant aux cellules ganglionnaires,
alement en connexion avec plu- sieurs cellules par une ou plusieurs
fibres
primitives; une cellule ganglionnaire peut, de
cellules nerveuses. Dans le corps de la cellule ganglionnaire la
fibre
primitive conductrice forme un réseau mais n'a au
l'autre, les cellules nerveuses et les cellules ganglionnaires. Une
fibre
nerveuse sort du prolongement d'une cellule ner
lionnaires de structure compliquée, avant de se distribuer dans une
fibre
musculaire. L'apparente nouveauté des résultats
On sait que Chauveau, ayant excité directement dans le crâne les
fibres
d'origine du spinal et du pneumogastrique, a cons
spinal et du pneumogastrique, a constaté que seule l'irritation des
fibres
du pneumogastrique produit des contractions de
s stomacales, qui sont au contraire bien nettes quand on irrite les
fibres
d'origine du spinal. Toutes les racines parais-
infé- rieures. Chez le chien, comme chez le chat et le lapin, les
fibres
appar- tenant nettement au pneumogastrique n'on
es hémorragies interstitielles. Dans les nerfs atrophie marquée des
fibres
fines se rendant aux vaisseaux, alté- rations l
ndant aux vaisseaux, alté- rations légères au contraire des grosses
fibres
ayant plutôt souffert de la compression produit
les, pas de lésions vasculaires, mais seulement-dès cellules et des
fibres
aussi bien des grosses fibres que des petites q
s, mais seulement-dès cellules et des fibres aussi bien des grosses
fibres
que des petites qui n'ont ici rien de par- ticu
e et les maladies qui accroissent le tissu conjonctif soutenant les
fibres
fines précipitent de ce chef la dégénérescence ar
appui solide dans l'anatomie normale ni dans la patholo- gique. Les
fibres
centripètes provenant des ganglions rachi- dien
e de la décussation, mais se bifurquent en Y se continuant avec les
fibres
du cordon postérieur, pour terminer après un tr
natomie pathologique n'a pas démon- tré de son côté l'existence des
fibres
dégénérées dans le cordon postérieur opposé à l
de voir du dernier de ces deux auteurs, démontrerait qu'il y a des
fibres
, probablement sans myéline, qui, partant d'un c
se terminer à l'opposé. Mais en tout cas, on ne peut assigner à ces
fibres
, qu'aucun procédé n'a révélées jusqu'à présent,
es des cornes anté- rieures apparaissent rapetissées, les débris de
fibres
musculaires 360 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
affinité spéciale pour le cylindraxe, elle l'aura également pour la
fibre
blanche. On peut donc dire qu'il existe des lésio
roscopiqne on trouve une dégénération graisseuse très prononcée des
fibres
musculaires des muscles : biceps, fléchis- seur
grands fessiers et les gastrocnémiens ; là on trouve la plupart des
fibres
très amincies, fusiformes, se terminant par des
iformes, se terminant par des bouts effilés et recourbés; entre les
fibres
, une grande quantité de tissu adipeux; parfois le
entre les fibres, une grande quantité de tissu adipeux; parfois les
fibres
- 414 SOCIÉTÉS SAVANTES. se dichotomiosent
légère hyperplasie du tissu connectif intra- fasciculaire. Dans les
fibres
du muscle cardiaque, on constate en partie les
tiers externes du nerf médian. La suture de ces deux tendons et des
fibres
sectionnées du médian fut suivie du retour rapi
noyau moteur à petites cellules. Ce noyau~appartient à la fois aux
fibres
du vague et aux libres bulbaires du nerf de Wil
es du vague et aux libres bulbaires du nerf de Willis. 2" Que les
fibres
sensitives du nerf vague pénètrent dans le bulb
t en bas pour devenir les éléments constituants de ce faisceau. Ces
fibres
peuvent se poursuivre jusque dans l'extrémité sup
ti- neuse voisine. Celle-ci représente donc le noyau terminal des
fibres
du faisceau solitaire ainsi que le noyau sensitif
° ESSAI DE DÉTERMINATION ANATOMIQUH DU TRAJET INTRA-CÉRÉBRAL DES
FIBRES
SENSITIVES. Il n'est plus douteux que les circo
faits. Il importe de remarquer toutefois qu'un certain nombre de
fibres
nerveuses venues de la périphérie, fibres des ner
s qu'un certain nombre de fibres nerveuses venues de la périphérie,
fibres
des nerfs opti- ques et peut-être olfactifs, pa
la couronne rayonnante. 11 semble que ce noyau gris soit pour' ces
fibres
une sorte de centre de relai. C'est un point d'
certaine mesure indifférente (expérience de M. Vulpian) ; 2° les
fibres
des cordons postérieurs jouent le rôle de commis-
cérébral gauche, et réciproquement. Au niveau de ces pédoncules les
fibres
centripètes, jusque là éparpillées, se réunisse
faisceau sensitif, ce terme sert à désigner seulement le groupe de
fibres
qui, émanées de la partie postérieure de la capsu
ssante description de Moynert où l'on trouve esquissé le trajet des
fibres
sensitives -de la capsule interne à l'écorce; M
écorce; Meynert-indique avec précision l'existence d'un faisceau de
fibres
qui se détache du pédoncule cérébral, derrière
Gratiolet, sous le nom d'expansions cérébrales optiques et dont les
fibres
émanées des corps genouillés et de la couche op
cérébrale en vue de déterminer la direction des certains groupes de
fibres
dans le centre ovale. M. Brissaud est le premie
nt nous les modifications de couleur que la solution communique aux
fibres
blanches, suivant le sens dans lequel on les se
se convaincre que la teinte gris brun corres- pond aux faisceaux de
fibres
coupées perpendiculairement à leur axe ; tandis
leur axe ; tandis que sur une section parallèle à la direction des
fibres
, celles-ci affectent une coloration jaune clair.
s les caractères de la coloration communiquée par le bichromate aux
fibres
nerveuses, on conçoit que sur les sec- tions ai
sec- tions ainsi faites, il sera possible de distinguer celles des
fibres
qui se dirigent horizontalement en arrière, de
ur du segment postérieur). Il re- çoit bientôt un certain nombre de
fibres
, qui lui viennent de la couche optique et des c
optique et des corps genouillés, et qui sont la continua- tion des
fibres
centripètes, émanées des nerfs optiques. Le fais-
ceau sensitifest alors constitué au complet; il renferme toutes les
fibres
de la sensibilité générale ou spéciale. (Carrefou
- calement vers les circonvolutions fronto-pariétales. Les autres
fibres
se recourbent en arrière et constituent un volumi
ndrit en pro- o-ressant, parce qu'il abandonne, chemin faisant, des
fibres
aux circonvolutions avoisinantes. De son pourto
t celles des circonvolutions cérébrales auxquelles vont aboutir les
fibres
émanées du faisceau sensitif (c'est la patholog
f au niveau de la capsule. - D, Corps du faisceau sensitif dont les
fibres
se dirigent horizontalement en arrière. E, Irra
ais- ceau. - 1, Circonvolutions. 76 REVUE CRITIQUE. tissant des
fibres
centripètes, sont les suivantes : les frontale
onne rayonnante (tiers postérieur de la capsule in- terne) ; 2° des
fibres
du centre ovale, qui s.ont comme l'épa- nouisse
nfin de la couche grise des circonvolutions, aboutissant ultime des
fibres
centripètes. On conçoit que les phénomènes obse
suivant que la lésion aura assez d'étendue pour léser toutes les
fibres
, ou ce qui revient au même, tous les centres perc
e la cou- ronne rayonnante, c'est-à-dire cette région où toutes les
fibres
constitutives du faisceau sont réunies, condens
ble, que la lésion ait assez d'étendue pour in- téresser toutes les
fibres
centripètes de la couronne rayonnante après leu
e ou de son voisinage, intéressant directement ou indirectement les
fibres
sensitives à leur passage au niveau du carrefou
herché à l'établir, peuvent n'intéresser qu'un certain nombre des
fibres
sensitives qui la traversent. Deux hypothèses p
ilité tactile, un autre pour la vue, pour l'ouïe, etc.) Ou bien les
fibres
nerveuses centripètes, après leur sortie de la
les fibres nerveuses centripètes, après leur sortie de la capsule (
fibres
des sensibilités communes et spéciales), s'en-
ne n'est peut-être pas absolue, en ce sens, que certains groupes de
fibres
émanant de tel ou tel nerf, peuvent se rendre e
ar la rupture du fil conducteur, et l'on comprend que si toutes les
fibres
ont été rompues, ce qui est fréquent, l'hémiane
que marquée qu'elle soit, n'interrompt jamais la conductibilité des
fibres
nerveuses d'une façon aussi complète et aussi dur
rétablissement de la sensibilité, avec une destruction complète des
fibres
sensitives, au niveau du carrefour. Il est né-
ensibilité reparait sous l'influence des oesthésiogènes, ou que les
fibres
centripètes étaient simplement comprimées, ou q
cette hypothèse, que les agents en question puissent rendre à des
fibres
simplement engourdies leur conductibilité pre-
de M. Pierret, c'est-à-dire intéresserle noyau lenticulaire et les
fibres
les plus externes de la partie postérieure de la
temps qu'une abolition complète ou à peu près complète de celle des
fibres
de sensibilité commune, alors que tous les conduc
ient simples et bien constatées, on voit qu'elles intéressaient les
fibres
anté- rieures et surtout les fibres externes de
voit qu'elles intéressaient les fibres anté- rieures et surtout les
fibres
externes de la partie intra-capsu- laire du fai
mune cheminent dans la partie externe de la capsule, tandis que les
fibres
qui contiennent les nerfs spéciaux seraient sit
tiolet et Meynert, un double tractus, l'un formé évidemment par les
fibres
pédonculaires directes, l'autre, plus interne,
ibres pédonculaires directes, l'autre, plus interne, par celles des
fibres
de la sensi- bilité spéciale qui proviennent de
s signalés plus haut, on arrive à cette con- clusion que toutes les
fibres
préposées à la sensibilité spéciale se rapproch
u plus pourrait-on supposer que, en cas de simple compression des
fibres
de la capsule, la résistance opposée par la lésio
les. Il est possible en effet, comme nous l'avons déjà dit, que les
fibres
émanées des divers sens se rendent en plus gran
, il y a cinq ans, comme une simple hypothèse : chez l'homme, les
fibres
sensitives réunies, comme dans un carrefour, au n
ieur de la capsule interne, au lieu d'aller se ter- miner comme les
fibres
motrices, dans des territoires corticaux physio
épine sciatique et jusqu'au boid antérieur delà grande échan- 1 Les
fibres
musculaires comprises dans l'espace losangique co
ait indiqué de rechercher avec soin le mode d'en- trecroisement des
fibres
nerveuses; malheureusement la substance blanche
n violet la.substance blanche et en bleu la subs- tance grise, (les
fibres
radiées qui traversent la' substance blanche' a
t fi; 5); .1 1 . .1 l, ji 330 RECUEIL DE FAITS. La plupart de ses
fibres
et surtout celles qui composaient ce qui restai
elles de la substance blanche. J ) Dans les conditions normales les
fibres
de 1,% colonne grise von en divergeant de leurs
nce de la pression exercée par la tumeur, en un simple faisceau) de
fibres
parallèles dont la direction était la même que ce
comparant ces deux côtés, on voit la direction toute différente des
fibres
grises autour de la tumeur. Ces dessins nous mo
tus, dont l'axe longitudinal suit la même direc- tion que celui des
fibres
transformées de la substance grise et dont les
s libres de ce muscle et sa force est déterminée par le nombre de
fibres
qui entrent dans sa composition. La longueur et l
s circonvolutions pariétales, celles-ci recevant probable- ment des
fibres
sensitives issues de celle-là. P. K. DEUX cas D
la moelle (prolifération interstitielle et atrophie consécutive des
fibres
nerveuses) ? Faut-il, de préférence, croire que
une affection systématique ne portant que sur certains faisceaux de
fibres
? Voici le résumé de l'observation, base de ce
e hypothèse concernant ces manifes- tations a trait à la lésion des
fibres
radiculaires intra-médul- laires, l'inflammatio
c paire dorsale ; on sait en effet que l'entrecroisement sensitif des
fibres
émanées des racines se fait dans les cordons po
nte, SG', zone AG ; enfin que l'irritation de voisinage, en o', des
fibres
d'entrecroisement de la racine SG2, a pour effe
e et grise. La substance blanche est atrophiée. Quelques groupes de
fibres
sont tout à fait dissociés, d'autres libres son
se est très raréfiée avec atrophie des cellules ganglionnaires, des
fibres
nerveuses et de la névroglie. L'auteur résume
litérante, hydromyélie, atrophie des cellules ganglionnaires et des
fibres
nerveuses ». La deuxième observation de syphili
nombreux espaces vides au niveau desquels des faisceaux entiers de
fibres
sont détruits. Le canal central est très dilaté
par la névroglie épaissie pri- vée de cellules ganglionnaires et de
fibres
nerveuses. Il existe de l'endartérite. Autour d
tance scléreuse. Dans la substance blanche, on trouve de très rares
fibres
nerveuses, et de nombreuses cellules de la névr
s, et de nombreuses cellules de la névroglie. On ne trouve pas de
fibres
nerveuses dans les cordons de Goll. Celles-ci com
que de la coupe est constituée par de la névroglie avec très peu de
fibres
nerveuses. Les cordons postérieurs sont scléros
ivers segments est dégénérée, les cellules rares et atrophiées, les
fibres
nerveuses disséminées. Dans la partie inférieur
à une mince bande circulaire oit il est impossible de découvrir des
fibres
nerveuses et des cellules ganglionnaires. Entre
tance blanclie de la grise et réciproquement. On voit de très rares
fibres
dégénérées avec des gaines variqueuses de myéline
gommes de la pie-mère qui, de 1,'i, pénétraient la moelle. - 'es
fibres
nerveuses étaienf altérées, en partie par l'infil
taient peu altérées, il exislait cependant une atrophie de quelques
fibres
nerveuses,surtout dans la région de la queue de
irconvo- lution pariétale supérieure)on constate une diminution des
fibres
etcellules nerveuses; ces derniers éléments se
la protubérance, cette asymétrie est encore évidente, mais plus les
fibres
du pédoncule s'enfoncent dans le tissu de la pr
difficile de se former une opinion sur les noyaux arciformes et les
fibres
qui en émergent, car ces noyaux se trouvent en
uche optique et aux circonvolutions centrales par des radiations de
fibres
blanches (Flech- sig et 7e/) (1). Sur la couc
et avec la circonvolution pa- racentrale; en has, une partie de ces
fibres
, la partie centrale, s'accole aux cellules des
llules des cornes antérieures de la moelle épinière, tandis que les
fibres
externes et internes se terminent selon 7< (2)
CEAU LATÉRAL PÉDONCULAIRE '213 Cependant Zacher (1) prétend que ces
fibres
s'unissent avec les circon- volutions de l'insu
sur la question de savoir où se terminent en direction distale ces
fibres
médianes.Tandis que .Jelgers1na (4) croit qu'elle
ur les faisceaux centraux et internes. Aleynel't prétendait que ces
fibres
externes servaient à la Sensibilité et cette op
echsig n'avaient jamais vu une dégénération centrifuge de trajet de
fibres
, bien qu'en raison de ses recherches évolutionist
moitié proximale de la protubérance. Quantà la terminaison de ces
fibres
blanches dans les réseaux des cellules de l'éco
. plus externes entrenl en relations avec le lobe occipital et les'
fibres
plus médianes avec les circonvolutions temporal
le nom de « fascicule or(il » à la cinquième partie latérale de ces
fibres
longitudinales et le fait cheminer vers le lobe t
ssi avec la base et les circonvolutions inférieures, tandis que les
fibres
internes se terminent dans la partie médiane du l
truction du lobe occi- pital n'était pas suivie de dégénération des
fibres
pédonculaires latérales,et sur une trouvaille d
r, prétend que le lobe occi- pital n'entre pas en relation avec les
fibres
susnommées. Notre observation est un pendant de
TERMINAISON CORTICALE DU FAISCEAU LATÉRAL PÉDONCULAIRE 2l t que les
fibres
du piedpédonculaire passent directement, sans int
avait donné une dégénération secondaire. IV. Sioli. Destruction des
fibres
blanches du lobe pariétal avec dégé- nération p
substance nerveuse elle-même, elles sont de deux sortes. Tantôt les
fibres
ont disparu au milieu de l'infiltration, tantôt
ent en rose par le picrocarmin forme la partie périphé- rique de la
fibre
nerveuse etengaine le cylindre-axe. A un stade pl
etengaine le cylindre-axe. A un stade plus avancé, le contenu de la
fibre
est devenu uniforme, il est impossible de séparer
les des racines antérieures et Postérieures. Çà et là seulement les
fibres
nerveuses des racines sont affectées par le proce
On y trouve les mêmes altérations que celles déjà décrites pour les
fibres
nerveuses de la moelle dorsale, le reste quoi-
che et grise. La substance blanche est atrophiée. Quelques groupes de
fibres
sont tout à fait dissociés, d'autres fibres son
ée. Quelques groupes de fibres sont tout à fait dissociés, d'autres
fibres
sont extrêmement grêles. Les tuniques des vaiss
se est très raréfiée'aVec atrophie des cellules ganglionnaires, des
fibres
nerveuses et de la névroglie. » La deuxième o
nombreux espaces vides au niveau desquels des faisceaux entiers de
fibres
sont détruits. Le canal central est très dilaté e
é par la névroglie épaissie privée de cellules ganglionnaires et de
fibres
nerveuses. Il existe de l'endarté- rite. Autour
ubstance scléreuse '. Dans la substance blanche, on trouve de rares
fibres
nerveuses et de nom- breuses cellules de la név
SATIONS SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 289 On ne trouve pas de
fibres
nerveuses dans les cordons de Goll, elles com-
rique de la coupe est constituée par de la névroglie ou très peu de
fibres
nerveuses. Les cordons postérieurs sont scléros
ivers segments est dégénérée, les cellules rares et atrophiées, les
fibres
nerveuses disséminées. Dans la partie inférieur
il une mince bande circulaire où il est impossible de découvrir des
fibres
nerveu- ses et des cellules ganglionnaires. Ent
ance blanche de la grise et réciproque- ment. On voit de très rares
fibres
dégénérées avec des gaines variqueuses de myéli
t des méninges, cndartérite oblitérante, liydromyélie, atrophie des
fibres
nerveuses et des cellules ganglionnaires. ix 19
larges tractus entre de plus petits et de plus gros fais- ceaux de
fibres
nerveuses dissociant ainsi les faisceaux qui form
étré jusque 292 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE entre les
fibres
nerveuses. Ces dernières ne présentent que peu de
autre un cylindre-axe est gonflé ou même a disparu totalement, des
fibres
isolées sont atrophiées. Ce n'est qu'au niveau du
oit de petites places répondant à une section transversale de 4 à 8
fibres
nerveuses qui sont comme découpées et se colore
tard, le tissu de la névroglie ne présente pas d'augmentation de ses
fibres
, mais celles-ci sont plus écartées les unes des
ilieu de ces amas nucléaires, on peut encore voir distinctement des
fibres
névroglillues, mais il la limite entre les cônes
ues, mais il la limite entre les cônes et la substance nerveuse ces
fibres
prolifèrent abondamment et forment un feutrage ép
d'une conséquence de la disparition de la substance ner- veuse, des
fibres
blanches. Quant aux vaisseaux de la moelle, ils
moins entouré d'une zone d'infiltration nucléaire. Le parenchyme,
fibres
et cellules, est compris naturellement dans le pr
ologique. Au milieu des végétations nucléaires compactes toutes les
fibres
nerveuses sont détruites à part quelques-unes iso
n trouve seulement éparses dans toute la substance blanche quelques
fibres
nerveuses plus ou moins malades. Les parties les
ion plus claire à la méthode do Weigert, celle-ci montre encore des
fibres
isolées ou réunies par petits groupes dont les
tantôt granuleux, tantôt striés, parfois aussi vacuolisés. Sur des
fibres
il y a transsudation de liquide entre la gaine et
n massue volumineuse, d'aspect vitreux. Dans la substance grise les
fibres
sont épaisses, gonflées, surtout dans la moelle
nté- rieures et des colonnes deCIarke sont totalement dépourvues de
fibres
. Les cellules ganglionnaires, surtout les grand
endothélium des capillai- res sont doublées par la condensation des
fibres
conjonctives voisines que les cellules embryonn
seaux néoformés, aplatis, à lumière anfractueuse, autour desquels les
fibres
conjonctives voisines se sont tassées en strati
tient sans doute à ce que le noyau de la sixième paire fournit des
fibres
nerveuses au droit interne du côté opposé et qu
ainsi que dans les hémiplégies toutes récentes, dans les cas où les
fibres
nerveuses du faisceau pyramidal étaient détruites
étés de névrites, que la lésion porte plus particulièrement sur les
fibres
motrices ou qu'elle atteigne de préférence les
ement sur les fibres motrices ou qu'elle atteigne de préférence les
fibres
sensitives ; on l'observe non seulement dans les
intra-spinales : myélites, néoplasies, hématomyélie, atteignent les
fibres
ou les cellules d'arcs tendino-réflexes, elles pr
ou immédiatement au-dessous; en effet, sauf dans cette région, les
fibres
du faisceau pyra- midal sont partout tellement
dal sont partout tellement rapprochées qu'une lésion atteignant les
fibres
correspondant au membre supérieur frappe presque
suis pas convaincu. Mais une irritation portant sur l'extrémité des
fibres
sensitives semble pouvoir déterminer une exagér
e de la commissure opposée, soit qu'il est dû à une contraction des
fibres
musculaires qui abaissent la lèvre et que, par
servé deux sujets atteints d'hémiplégie organique chez lesquels les
fibres
du peaucier étaient plus apparentes du côté paral
a- tion I), sont indubitablement une manifestation d'une lésion des
fibres
cérébelleuses de la protubérance. Le tremblemen
rose multiloculaire avec plaques soit sur le cervelet, soit sur les
fibres
cérébelleuses de la protu- bérance ou du bulbe
u bulbe et de la protubé- rance peuvent atteindre simultanément des
fibres
appartenant à l'appareil cérébelleux ainsi qu'à
à une période où, le bout périphérique du nerf étant dégénéré, les
fibres
musculaires ne pré- sentent que des altérations
ine : « Des névrites », page 181. ELECTIIOLOGIE 221 t que sur les
fibres
musculaires, ce qui revient à dire que la réactio
érescence ne serait, en partie au moins, que la réaction propre des
fibres
musculaires sans aucune intervention des nerfs. S
apidité d'autant plus grande qu'ils sont d'un ordre plus élevé, les
fibres
musculaires conser- vent encore leur excitabili
xcitabilité électrique propre à une période où l'excitabi- lité des
fibres
nerveux intra-musculaires est abolie ('). HYPER
diagnostic nous montre que le faradique est impuissant à exciter la
fibre
musculaire. Un certain nombre de ces muscles in
nette- ment deux taches blanches qui semblent dues à la présence de
fibres
à myéline et qui (') a) Sur une forme de parapl
t pas restée cantonnée dans cette région et qu'elle a intéressé les
fibres
de la voie pyramidale. (') Extrait de l'exposé
es des muscles se sont montrées absolument normales sauf celles des
fibres
de la portion inférieure du trapèze gauche sectio
ntalement dans certaines condi- tions, d'obtenir, après section des
fibres
nerveuses motrices, des dégéné- rations muscula
a tête à droite, un abaissement de l'épaule droite, une saillie des
fibres
muscu- laires du peaucier droit et enfin une as
e centrale de l'hémisphère cérébelleux correspondant en suivant les
fibres
du pédoncule cérébelleux inférieur et les voies
reil céré- belleux et qui sont les suivantes : in Destruction des
fibres
cérébelleuses remontant de la moelle par le faisc
pédoncule cérébelleux inférieur du même côté; 2° Interruption des
fibres
provenant du noyau de von Monakow, contingent bul
rps restiforme, du pédoncule cérébelleux infé- rieur, de toutes les
fibres
cérébelleuses provenant des formations olivaire e
estruction de l'olive bulbaire et des noyaux juxta-olivaires dont les
fibres
constituent la contingent bulbaire du pédoncule
continuité avec le foyer bulbo-protubérantiel ; 8° Destruction des
fibres
vestibulaires de la 8e paire, ainsi que des fibre
8° Destruction des fibres vestibulaires de la 8e paire, ainsi que des
fibres
qui éta- blissent une connexion entre le noyau
partie des racines du spinal; il interrompt forcément le trajet des
fibres
ascendantes du faisceau antéro-latéral (faiscea
ijumeau n'a pas dégénéré au-dessous de la section ; néan- moins les
fibres
arciformes ont dégénéré à partir du point section
se place au hile de l'olive de manière à interrompre à la fois les
fibres
olivaires gauches avant leur entre- croisement
is les fibres olivaires gauches avant leur entre- croisement et les
fibres
olivâtres droites après leur entre-croisement; de
t; de là résulte une dégénérescence bilatérale et symétrique de ces
fibres
, ou du moins d'une bonne partie d'entre elles.
est immédiatement juxtaposé. Au-dessus du foyer il existe quelques
fibres
dégénérées dans le faisceau pyramidal; on peut le
ence rétrograde ? Nous ne pouvons l'affirmer, n'ayant pas suivi les
fibres
dégénérées jusqu'à à leur disparition. Le rub
de myélite signalé plus haut. En remontant dans la protubérance, les
fibres
dégénérées suivent le trajet classique du ruban
te l'épaisseur de ce faisceau. Arrivées dans la couche optique, les
fibres
dégénérées s'écartent les unes des autres et se r
ute dégénérescence cesse, et nous nous sommes assurés qu'aucune des
fibres
du ruban de Reil ne se dirige vers l'écorce. Au
u bulbe. NV. Noyau de la 5° paire. NXII. Noyau de la 12' paire. OG.
Fibres
olivo-cérébellcuses. PCM. Pédoncule cérébelleux m
. Nerf glosso- pharyngien. X. Nerf pneumogastrique. de suivre les
fibres
dans leur entre-croisement jusqu'aux noyaux d'ori
la région épargnée dans le ruban de Reil gauche et qui provient de
fibres
sectionnées à gauche de la ligne médiane avant le
gne médiane avant leur entre-croisement ; ce sont naturellement les
fibres
dont l'entre-croisement est le plus élevé qui ont
o AFFECTIONS DU CERVELET tudinaux dégénérés qui cheminent entre les
fibres
de l'hypoglosse. Au-dessous des olives ces fibr
eminent entre les fibres de l'hypoglosse. Au-dessous des olives ces
fibres
sont séparées du ruban de Reil par le corps juxta
ceau antéro-latéral, en dedans de la place du faisceau de Gowers. Ces
fibres
diminuent rapidement de nombre dans la région c
grand nombre, épars dans la substance réticulée. Un certain nombre de
fibres
se recourbent dans la portion postérieure de ce
faisceau descendant, originaire du noyau de Deiters, plutôt que de
fibres
ascendantes venant de la moelle et destinées à ce
de la moelle et destinées à ce noyau. Il existe, en outre, d'autres
fibres
dégénérées qui se rencontrent jusque dans les r
au-dessous des foyers une dégé- nérescence intense ; mais comme ses
fibres
se mélangent bientôt à celles du ruban de Reil,
u'elles deviennent par en bas. En haut il existe un petit nombre de
fibres
dégénérées dans le faisceau; par analogie avec ce
vec ce qui se passe dans le ruban de Reil, on peut supposer que ces
fibres
représentent une dégéné- rescence centripète qu
interne du noyau rouge. Enfin nous arrivons à la dégénérescence des
fibres
olivaires, que nous avons pu suivre dans toute
nt par leur dégénérescence des boules beaucoup plus petites que les
fibres
des autres faisceaux. Elles constituent d'abord l
que les fibres des autres faisceaux. Elles constituent d'abord les
fibres
pré-, inter- et rétro- trigéminales, puis vont
igent directement dans la toison pendant leur trajet ascendant. Ces
fibres
se terminent dans l'embolus et l'olive cérébelleu
ndent pas à l'écorce comme on l'avait supposé. A la dénomination de
fibres
olivo-cérébelleuses, il convient donc de substi
par ce fait que la lésion du ruban de Reil a atteint à la fois des
fibres
entre-croisées et des fibres Ills1119SYiVERGIE,
du ruban de Reil a atteint à la fois des fibres entre-croisées et des
fibres
Ills1119SYiVERGIE, 1,,i TllRoP Ul. SION ET MYOS
incipal trouble de la motilité, est évidemment liée à la lésion des
fibres
cérébel- leuses contenues dans le bulbe, mais n
pend plus particulièrement de l'altération de tel ou tel système de
fibres
bul- baires qui sont en connexion avec le cerve
en connexion avec le cervelet. Faut-il l'attribuer à la lésion des
fibres
olivo-ciliaires ? L'action de ce système dans l'a
lusi- vement limitée à un côté, tandis que la dégénérescence de ces
fibres
est bilatérale. Il y a tout lieu de faire jouer
tant à la lésion du faisceau cérébelleux descendant, ou à celle des
fibres
cérébelleuses conte- nues dans le faisceau de G
ion, les vertiges, le nystagmus, sont liés aussi à l'altération des
fibres
cérébelleuses. La paralysie du voile du palais es
La paralysie du voile du palais est provoquée par l'altération des
fibres
de la XIe paire qui passent par le foyer extern
qui doive sur- prendre, puisqu'on admet qu'il y a dans le bulbe des
fibres
irido-dilata- trices ; mais où siège la lésion
Nous ferons observer enfin que nous avons été à même de suivre les
fibres
qui émanent de l'olive bulbaire et de détermine
u corps ciliaire ; elles méritent, par conséquent, d'être dénommées
fibres
olivo- ciliaires. Des faits que nous venons d
s d'exposer, nous déduisons les conclusions suivantes : -. i° Les
fibres
émanées de l'olive bulbaire aboutissent à la part
orps ciliaire du cervelet ; elles méritent par conséquent le nom de
fibres
olivo-ciliaires ; 2° Une lésion unilatérale du
aux sont épaissis, hyalins et entourés de cette mince collerette de
fibres
névrogli- ques qui témoigne d'une sclérose diff
périeur, à une altération de la moelle et plus particulièrement des
fibres
sympathiques qui y prennent naissance. Quant à
? Il me parait difficile de l'admettre. S'il en était ainsi, si les
fibres
des faisceaux pyramidaux correspondant au membr
dmettre à priori que ce phénomène dénote seulement l'altération des
fibres
du sciatique faisant partie de l'arc réflexe dont
ute, si la conser- vation, au sein d'un segment médullaire lésé, de
fibres
des voies sensi- tives est due à leur résistanc
ts; par place seule- ment on aperçoit un noyau allongé accolé à une
fibre
. En certains points les différentes couches de
lle, il s'agit plutôt de démyélinisation segmentaire et le nombre des
fibres
saines est encore très grand. La coloration de
e, mais il ne s'agit là encore que d'une démyélinisation locale des
fibres
parce qu'il n'existe aucune dégénérescence sous-j
compressions extra-spinales troublent notablement les fonctions des
fibres
sensitives, elles épargnent la substance grise, m
, mais non détruites ; dans les racines antérieures, il y avait des
fibres
ner- veuses non dégénérées ; 4° Enfin, reteno
s auteurs, de Head, d'Oppenheim entre autres, l'entrecroisement des
fibres
sensitives dans la portion lombo- sacrée ne se
lombo- sacrée ne se produit pas immédiatement après l'entrée de ces
fibres
dans la moelle ; il pourrait résulter aussi de
: la cornée, la sclérotique, la muqueuse pal- pébrale reçoivent des
fibres
sensitives du trijumeau qui transmettent au noy
inateur est le muscle dont le développement est le plus avancé. Les
fibres
musculaires sont très rapprochées les unes des au
unes des autres, la substance striée est très abondante dans chaque
fibre
, les champs de Cohnheim sont peu apparents et l
hnheim sont peu apparents et les noyaux situés, dans la plupart des
fibres
, à la périphérie, sous le sarcolemme. Les fléch
aire, les muscles dont le déve- loppement est le moins avancé ; les
fibres
sont plus espacées que dans le supinateur, la s
ents ('), les noyaux plus nombreux et ils occupent dans beaucoup de
fibres
leur partie centrale. Nous devons faire remarqu
e leur degré de développement, d'examiner dans ces muscles quelques
fibres
en particulier. En effet, Grützner a montré que
muscles de l'homme sont mixtes, c'est-à-dire qu'ils se composent de
fibres
blanches et de fibres rouges, ou, en d'autres t
t mixtes, c'est-à-dire qu'ils se composent de fibres blanches et de
fibres
rouges, ou, en d'autres termes, de fibres inéga
de fibres blanches et de fibres rouges, ou, en d'autres termes, de
fibres
inégalement développées Q. Il faut donc examine
ment de chaque muscle. Si, par exemple, nous fixons au (') Dans les
fibres
en voie de développement, comme dans celles qu'on
emarque que les champs de Cohnheim sont plus apparents que dans les
fibres
adultes ou les fibres normales. Voir à ce sujet :
de Cohnheim sont plus apparents que dans les fibres adultes ou les
fibres
normales. Voir à ce sujet : Des modifications q
tabilité idio-musculaire est subordonné au nombre et au volume des
fibres
musculaires. Cependant, il a déjà été noté (Lan
flexes tendineux dépend dans l'espèce d'une altération propre de la
fibre
musculaire ; cela nous paraît d'autant plus proba
es provenant du foyer traumatisé. 11 est difficile de savoir si ces
fibres
centripètes appartiennent au système céré- bro-
l'homme d'un système spécial consti- tué par des groupes de petites
fibres
musculaires entourées d'une gaine lamel- leuse
du premier pli de passage tem- * poral profond ; d) du système des
fibres
de la corne d'Ammon. II. '"* une excessive dégé
de centres d'association. Siemerling n'a-t-il ' '' pas dit que les
fibres
les plus résistantes à la lésion de la paralysie
centres sensoriels de l'écorce un plexus spécifique qui, composé de
fibres
" centripètes, se 'termine, dans l'écorce motri
avité est remplie d'un liquide lymphatique, d'éléments ner- - veux (
fibres
et cellules névrogliques), d'éléments figurés du
élioïde, qui a détruit le noyau rouge mais respecté entièrement les
fibres
pyramidales, don- nant' lieu ainsi à une variét
de la troisième paire droite, - --suivre la direction de sortie des
fibres
de cette troisième paire, sectionner dans son m
gauche : 1° en totalité, ? le trajet de la troisième paire (noyau et
fibres
) ; 2° en totalité, le noyau rouge ; 3° la moiti
laire est rempli par le tissu nerveux conznlc- tement dégénéré sans
fibres
à myéline, sans éléments nerveux, sans réaction
hi et de Weigert-Pal) très accusées et de divers stades suivant les
fibres
observées, aspect qui correspond assez bien à l
ns trouvé des granulations caractéristiques de dégéné- rescence des
fibres
nerveuses, en petit nombre dans le pédoncule cé
ant du faisceau longitudinal pos- térieur, en petit nombre dans les
fibres
du ruban de Reil et dans la région du faisceau
hémorragie brusques qui en une seule fois détruisent un système de
fibres
. Cependant le caractère nette- ment destructif
ui a attribué. L'anatomie nous enseigne qu'il est en- touré par les
fibres
du pédoncule cérébelleux supérieur venu de l'hé
osé. Pour certains auteurs, il est en partie le point d'origine des
fibres
du pé- doncule supérieur, pédoncule par suite à
n a cherché à expliquer le tremblement soit par des altérations des
fibres
musculaires, soit par des troubles nutritifs de
omplet, s'il y a une déviation dans l'achè- vement définitif' de la
fibre
nerveuse, cette modification associée à une mal
scrite à un point de son trajet, on constate que l'excitabilité des
fibres
sensitives disparait avant celle des fibres mot
que l'excitabilité des fibres sensitives disparait avant celle des
fibres
motrices et que le réveil de celles-ci a lieu ava
ibres motrices et que le réveil de celles-ci a lieu avant celui des
fibres
sensitives. D'une façon générale, la fibre sensit
a lieu avant celui des fibres sensitives. D'une façon générale, la
fibre
sensitive est plus sensible la fibre motrice pl
ives. D'une façon générale, la fibre sensitive est plus sensible la
fibre
motrice plus résistante à l'action des anesthésiq
t. D'autres observations cliniques permettent de for- muler que les
fibres
lacrymales arrivent du bulbe dans le tronc du f
males arrivent du bulbe dans le tronc du facial de concert avec les
fibres
sécrétoires de la salive. An niveau 164 REVUE D
le de spécifier si l'excitation du nerf lacrymal tenait à celle des
fibres
du trijumeau, ou du sympathique mélangées. P. K
posé ! Hypertrophie numérique vraie par accroissement du nombre des
fibres
dont le volume reste normal. Le membre inférieu
nerfs périphériques du cobaye donnait lieu à des altérations de la
fibre
nerveuse. Restait à se demander comment se comp
remède à son mal. Les tics ne sont pas seulement tributaires de la
fibre
musculaire striée : ils peuvent s'accompagner d
musculaire striée : ils peuvent s'accompagner de contraction de la
fibre
mus- culaire lisse. J'en pourrais citer comme p
t les cellules nerveuses de l'écorce : -. 2° La papille, dont les
fibres
nerveuses étaient atrophiées dans un cas, était
ue selon le type de la tumeur, mais émettant toujours un chevelu de
fibres
extrêmement fines qui circonscrivent de petites
s d'une seule couche d'appa- rence endothéliale, sertis de quelques
fibres
fines, ayant toutes les réactions histochimique
ssu uniquement sarcomateux, sans mélange d'éléments névro- gliques,
fibres
ou cellules. Nous pensons donc avec Klippel que l
. Au point de vue micioscopique, dispa- rition presque complète des
fibres
tangentielles, dilatation des vaisseaux avec in
M. Brissaud objecte que des lésions destructives de la totalité des
fibres
pyramidales, dans la capsule interne, peuvent pro
interne. Je réclame la preuve du fait que la section de toutes les
fibres
corlico-spinates peut provoquer l'hyper- tonie
t, nos procédés actuels ne suffisant pas à déterminer si toutes les
fibres
sont sectionnées, pas même lors- qu'il y a dégé
it la moelle et dans lequel on apercevait cependant encore quelques
fibres
ner- veuses. Ni cliniquement ni anatomiquement
crois pas faire une encur analomique en supposant l'existence de
fibres
descendantes reliant des corps opto-striés aux co
de dégénérescence sans systématisation aucune, ayant débuté par les
fibres
à myéline, et des lésions vasculaires chroni- q
erfs, des centres et dans la myo- pathie progressive. , - Dans la
fibre
musculaire, il faut distinguer la fibrille striée
la dégénération de l'élément. ., Comme dans toute cellule, dans la
fibre
striée considérée à l'élat normal et à l'élat p
'isoler dans le tissu conjonctif voisin. Généralisée, elle rend les
fibres
volumineuses et leur donne un aspect trouble, fin
nom de tuméfaction trouble. Telle est la cause de la formation des
fibres
hypertrophiées qui marquent la première phase i
ÉS savantes. 389 Au niveau des amas de sarcoplasma, ou au milieu de
fibres
hypertrophiées, se produisent des fentes qui en
ce paraissent le résultat de la division répétée d'une seule grosse
fibre
. Cette division longitudinale peut donner naiss
sse fibre. Cette division longitudinale peut donner naissance à des
fibres
très grêles, mais ne saurait, à elle seule, ent
ortionnelle à leur augmentation de nombre. 2° Soit à la surface des
fibres
encore bien striées, soit dans l'iutérieur de f
la surface des fibres encore bien striées, soit dans l'iutérieur de
fibres
en tuméfaction trouble, le protoplasma jusque-
régression cellulaire véritable retour à l'état embryon- naire. Les
fibres
les plus grêles, produites par voie de division,
le milieu et la fonction déterminent la morphologie cellulaire. La
fibre
striée est revenue à l'état plus indifférent de
nie qui doit régner entre les différentes parties cons- tituant les
fibres
striées, le sarcoplasma s'hyperplasie, prend le
. - Les dégénérescences diverses que l'on rencontre dans quelques
fibres
relèvent de complications secondaires. Elles sont
partie inférieure de la région cervicale, où prennent naissance les
fibres
de la première racine dorsale et de la huitième
ccupe le territoire de la calotte et est limitée; en avant, par les
fibres
les plus dorsales du pont de varole ; en arière,
lasme touche les faisceaux les plus médians du ruban de Reil et les
fibres
croisées du pédoncule céré- belleux supérieur.
symptômes observés et les lésions trouvées. En effet, pas une seule
fibre
du faisceau pyramidal gauche n'a été interrompu
es contractions musculaires dans les régions homolatérales dont les
fibres
correspondantes naissent à peu près au niveau d
'excitation, on voit que les mouvements sont dus à l'excitation des
fibres
radicu- laires motrices et à l'intervention réf
diculaires sensitives, soit isolément, soit en combinaison ; 4° les
fibres
du REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGI
ERAVAL. 494 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Des
fibres
des cordons postérieurs qui vont au cervelet, et
YCll1'úlog. Cenlz·al6l., XIX, 1900.) - Il est admis que les longues
fibres
ascendantes des cordons pos- térieurs de la moe
s cordons pos- térieurs de la moelle semblent les prolongements des
fibres
des racines sensitives postérieures, et paraiss
médiatement sans être interrompue par des cellules. Donc toutes les
fibres
ascendantes longues des cordons postérieurs ne
dier les sensations de mouvements et de position. Une partie de ces
fibres
, tout en restant centripète, n'a rien de commun
rt de voie de transmission centripète du cervelet. Dans les longues
fibres
ascendantes des cordons postérieurs de la- moel
on ou la perte de cette sensibilité. Ces deux systèmes émanent -des
fibres
des racines postérieures. - La voie cérébelleus
a voie cérébelleuse directe des cordons latéraux. Dans celle-ci les
fibres
des racines postérieures sont interrompues par
h dans la pre- mière. Ces deux voies sont immédiatement formées des
fibres
des racines postérieures qui débouchent dans la
céré- 'belleuse directe des cordons latéraux et par une partie des
fibres
du trousseau de Gowers et Bechterew. Les excita
en- taire. Mais dans chacun des segments de la moelle, toutes les
fibres
radiculaires ne sont pas toujours simultanément
sibilité à l'ataxie, déterminée par la dégénérescence de toutes les
fibres
longues ascendantes des cordons postérieurs La pa
rocessus tabétique s'explique par la dégénérescence continuelle des
fibres
des colonnes de Clarke, en rapport intime avec
roviennent de l'existence dans les nerfs sensibles périphériques de
fibres
centripètes allant au cer- velet. La maladie
ères, d'où, par exemple la dysar- thrie cérébelleuse, à' toutes les
fibres
qui conduisent au cervelet les excitations cent
bès des accidents cérébelleux accusés ; alors la dégénérescence des
fibres
radiculaires gagne, par les colonnes de Clarke,
olatéraux. La constante et précoce parti- cipation au processus des
fibres
radiculaires qui se dirigent vers les colonnes
isphères ne sont atteints. AI. B%BiNsxi estime qu'en pareil cas les
fibres
cérébelleuses doi- vent être intéressées. M.
nd et Cesian, 179. Voir Queue de cheval. Cordons postérieurs Voir
Fibres
. Cortex cérébral. Localisations mo- tiices du
scia Voir Réflexe. Fausse - grossesse, Voir Paralysie générale.
Fibres
des cordons postérieurs qui 'vont au cervelet e
ôt elles n'occupent qu'une région suivant généralement le trajet de
fibres
ner- veuses irritées : éphidroses parotidiennes
s net : il y avait une pigmentation prononcée du protoplasma. Les
fibres
du sympathique n'étaient altérées ni au-dessus
er le myosis. Peut-être aussi faut-il admettre une dissociation des
fibres
irido-dilatatrices et vaso-motrices, la même ca
douloureuse. Dans cette deuxième observation il y a paralysie des
fibres
vaso-motrices, comme dans l'observation de M. R
CE. 69 préparation, ces cloisonnements sont seulement composés de
fibres
qui dissocient les éléments du ganglion sans prés
que les cellules saines fixent davantage l'acide pi- crique. Les
fibres
nerveuses qui traversent le ganglion sont parfai-
de la face qui sont lésés. 11 y a dans ces cas une irritation des
fibres
excito-sudorales qui accompagnent le facial ou
otide, d'opérations pratiquées sur la région, il y a irritation des
fibres
sudorales et l'éphi- drose s'ensuit. On conna
hidrose est d'ordre purement réflexe, sans excitation préalable des
fibres
sudorales du facial. En 1740, Kastremsky rapp
natomie pathologique DE la démence POST- FÉBRILE. Remarques sur les
fibres
nerveuses de l'éeorce cérébrale; par H. E31MING
une tuméfaction albumineuse des cellules corticales ; intégrité des
fibres
ner- veuses. P. K. III. UN cas DE NEUROPSYCHO
inflammatoires dans les cordons latéraux, la substance grise, les
fibres
nerveuses. P. K. VII. D'UNE forme TOUTE particu
faisceaux pyramidaux sont lésés, mais non dans tous les systèmes de
fibres
qu'ils renferment. Cinquième groupe : lé- sions
, dans les cas de tabes avec paralysie générale, celte atrophie des
fibres
corticales dont parle Tuczek et présente-t-elle
c l'olive supérieure du même côté par l'in- termédiaire de quelques
fibres
, avec le noyau acoustique interne par l'intermé
ues fibres, avec le noyau acoustique interne par l'intermédiaire de
fibres
arcuées qui sont situées au-dessous des stries
tractus émane de la 'région des noyaux du toit; il commence par des
fibres
assez épaisses qui existent en dedans du corpus
notamment t chez les poissons. Somme toute, le cervelet envoie des
fibres
di- rectes aux nerfs sensoriels périphériques.
olifèrent dans le tissu même à la façon des protoplasmas et non des
fibres
; il ne se produit pas d'abcès : la substance co
éparations à l'appui), une atrophie presque complète des réseaux de
fibres
nerveuses dans les colonnes de Clarke. M. le pr
uiller l'enchevêtrement d'ordres et de contre- ordres à envoyer aux
fibres
musculaires. Le travail s'accomplit sous une di
'exécution immédiate était dans l'écorce, un très grand nombre de
fibres
nerveuses seraient nécessaires pour trans- mett
eau ne transmet qu'un ordre sommaire, il n'a besoin que de peu de
fibres
pour mettre en jeu le groupe cellulaire où rési
plume. De là, pouvait-on conclure, qu'en raison du petit nombre de
fibres
nerveuses qui subsis- taient, un centre cérébra
e cérébral organisé pour la marchen'au- rait pas disposé d'assez de
fibres
pour transmettre son action isolément à chacune
ion psychique : dès que, par suite de la régénération de quelques
fibres
nerveuses, la transmission de cette im- pulsion
re parfaitement dis- tincte, liée alors à une irritation des seules
fibres
excito- sudorales. Dans l'expérience de Luchs
rdon cervical ne contenait que 214 lë pathologie NERVEUSE. peu de
fibres
excito-sudorales, si même il en contenait, et q
, au contraire, la sudation est le fait de l'excitation directe des
fibres
sudorales. MM. Vulpian et Raymond pensent que
ecte des fibres sudorales. MM. Vulpian et Raymond pensent que les
fibres
excito-sudorales de la face accompagnent le ner
2° Ceux dans lesquels l'éphidrose est le fait d'une excitation des
fibres
sudorales; Dans ceux-ci, la sueur locale existe
bien noté cette mydriase, mais pas d'hypéridrose concomitante. Les
fibres
excito- sudorales et irido-dilatatrices paraiss
uvelle raison encore pour admettre deux voies distinctes pour les
fibres
irido-dilatatrices (suivant on le sait, le 216
le sait, le 216 6 PATHOLOGIE NERVEUSE. cordon sympathique) et les
fibres
excito-sudorales et cela parait conforme aux ex
et le sympathique 'abdominal, le sympathique cervical contient des
fibres
excito-su- dorales. Dès lors, l'excitation de
Dès lors, l'excitation de ces dernières jointe à l'exci- tation des
fibres
iriennes, donne la raison d'être de notre deuxi
rsudation; il semble peu probable qu'une excitation portant sur les
fibres
sudorales et iriennes du tronc nerveux ne porte
rales et iriennes du tronc nerveux ne porte pas également sur les
fibres
vaso-motrices du même tronc. Or, l'excitation d
rvicales passe par le nerf vertébral. Par ce nerf aussi passent les
fibres
excito-sudorales de la face 2. Puis ces fibre
aussi passent les fibres excito-sudorales de la face 2. Puis ces
fibres
un instant unies aux fibres irido-di- latatrice
cito-sudorales de la face 2. Puis ces fibres un instant unies aux
fibres
irido-di- latatrices remonteraient le long de l
trices remonteraient le long de l'artère vertébrale, tandis que les
fibres
irido-dilatatrices, après s'être réu- nies au n
and sympathique, t. XIV, p. 6. 'Vulpian et Raymond. - Origine des
fibres
excito-sud. de la face. C. R. Acad. des science
face. C. R. Acad. des sciences, 1879. z'18 8 CLINIQUE NERVEUSE.
fibres
homologues des deux derniers groupes, remon- te
, remon- tent le long du tronc du sympathique cervical. Quant aux
fibres
vaso-motrices de la face, elles proviennent des
horaciques, puis se mélangent dans le tronc du sympathique avec les
fibres
irido- dilatatrices, tandis que les fibres exci
du sympathique avec les fibres irido- dilatatrices, tandis que les
fibres
excito-sudorales, nous l'avons vu, n'empruntent
ésion irritative qui intéresse soit le nerf vertébral mais dans ses
fibres
descendantes seulement, puisque les fibres qui
vertébral mais dans ses fibres descendantes seulement, puisque les
fibres
qui accom- pagnent l'artère vertébrale ne conti
ant à déterminer l'influence qu'exer- cent sur ces divers ordres de
fibres
la moelle, l'encé- phale, la moelle allongée, c
r- médiaire aux zones motrices et sensitives, qui s'ad- joint aux
fibres
ascendantes qui occupent le cervix cornu poster
nerf sciatique sectionné amène une di- latation pupillaire par des
fibres
provenant du triju- meau'. Quant aux filets sud
TES. de l'hémisphère gauche des cellules granulo-graisseuses, des
fibres
nerveuses fracassées; aucun élément cellulaire ne
acines postérieures renferment, aussi bien que les antérieures, des
fibres
nerveuses intactes, pour- SUR UN CAS DE PSEUDO-
de tubes nerveux à myéline. Il est composé presque exclusivement de
fibres
atrophiées, d'aspect ruhanné, très difficiles à
e l'estomac et du coeur paraissent également altérés.' Les quelques
fibres
rnyéliniques qu'on y rencontre à l'état normal
'on y rencontre à l'état normal ont disparu ; on n'aperçoit que des
fibres
sans myéline. Quant aux fibres de Remak qui se
ont disparu ; on n'aperçoit que des fibres sans myéline. Quant aux
fibres
de Remak qui se trouvent toujours en grande abo
le savons, consistent en une altération totale ou par- tielle des
fibres
nerveuses comme nous l'enseigne d'ailleurs l'ét
le réflexe tendineux rotulien a disparu. Une autre plaque lèse les
fibres
sciatiques dans les cordons latéraux (clonus po
cervicale et de la moelle lombaire regorgent de grosses et larges
fibres
nerveuses. Elles mesurent en épaisseur 0'°m,018 à
es de la moelle dorsale contiennent un très grand nombre de petites
fibres
réunies en assez gros faisceaux qui cheminent e
ites fibres réunies en assez gros faisceaux qui cheminent entre les
fibres
larges. Séance du 13 décembre. - Présidence d
, transparence du tissu fondamental; aux alentours du noyau, peu de
fibres
nerveuses à myéline; les racines sont amincies.
tives à la physiologie des ganglions spinaux. Conclusions. - 1° Les
fibres
motrices ont un centre tro- phique dans la moel
ont un centre tro- phique dans la moelle. - 2° Un certain nombre de
fibres
ner- veuses directes qui traversent le ganglion
° Le ganglion spinal confient un centre trophique autonome pour les
fibres
nerveuses sensitives, mais il n'y a pas d'argum
disposition anatomique du noyau de ces nerfs et la marche de leurs
fibres
, il ne peut guère y avoir qu'une lésion fasciculé
de la névroglie amène consécutivement la compression et la mort des
fibres
nerveuses. Les manifestations extérieures du pr
énératif, seront toujours l'expression d'un état d'irri- tation des
fibres
nerveuses et de leur atrophie ou compression par
ra l'apport des éléments toxiques qui produisent la destruction des
fibres
nerveuses. Dans les périodes avancées de la mal
ts thérapeutiques, nous n'osons même pas rêver de faire revivre les
fibres
nerveuses détruites et remplacées par du tissu co
n attendant, contentons-nous de chercher à relever la nutrition des
fibres
nerveuses et les préserver autant que possible
uspension répétée amenant chaque fois un afflux du sang nouveau aux
fibres
nerveuses comprimées et anémiées améliorera leur
tissu conjonctif proliféré et 2° quand le trouble des fonctions des
fibres
nerveuses est lié à un état anémique et à une n
dans des dégénérescences secondaires, il y a également atrophie des
fibres
et sclérose consécutive. En se resserrant, le t
est pas moins vrai que les résultats ne sont pas les mêmes pour les
fibres
des différents systèmes. Ceci paraît improbable
la lésion étant la même, l'ac- tion devrait être identique pour les
fibres
motrices ou les fibres sensitives. Cependant le
, l'ac- tion devrait être identique pour les fibres motrices ou les
fibres
sensitives. Cependant les résultats thérapeutiq
. Les douleurs ne sont qu'en partie provoquées par l'irritation des
fibres
nerveuses, elles tiennent principalement à la com
ctif; les paresthésies tiennent surtout à l'état d'ir- ritation des
fibres
nerveuses malades et en partie seulement à la com
Il est beaucoup plus difficile de faire disparaître l'irritation des
fibres
nerveuses qui tientau processus dégénératif, et
ve encore des symptômes qui tiennent à la fois à la compression des
fibres
, à leur état d'irritation, à leur atrophie. Dans
s de la motilité (paralysie) sont déterminés par la compression des
fibres
nerveuses et leur atrophie, les phénomènes spas
atrophie, les phénomènes spasmodiques, par l'état d'irritation des
fibres
consécutif à la dégénérescence. Comme dans cett
ne trouve pas des symp- tômes uniquement dus à la compression de la
fibre
nerveuse par le tissu conjonctif, on constate q
suspension une distension de la névroglie, une décompres- sion des
fibres
nerveuses encore aptes à fonctionner et une activ
grande de la circulation qui exagère momentanément la vitalité de ces
fibres
. L'action du traitement est limitée parce que d
ue, la suspension ne se faisant plus, la névroglie se resserre, les
fibres
nerveuses sont de nouveau comprimées et leur nu
du tissu interstitiel des nerfs grâce à laquelle la compression des
fibres
nerveuses devient moindre et leur conductibilité
pérant par là améliorer la nutrition et rétablir les fondions de la
fibre
nerveuse et pour cela nous demanderons à la sus
d'autres manifestations morbides résultant de la com- pression des
fibres
, nous devons avoir recours a des distensions prol
voir de petites fossettes correspondant aux endroits où les petites
fibres
musculaires s'y attachent. On peut aisément produ
es, peuvent avoir pour base une rupture de la gaîne de myéline, des
fibres
nerveuses et la formation de substances colloïd
ique dans tous les cas où il y a une hyperémie d'un organe dont les
fibres
vaso-motrices émanent de lui. Cependant, jusqu'
utre chose que le resserrement des artères auxquelles il envoie des
fibres
, tandis que Remak voulait encore provoquer des
'après des lois physiologi- ques. Chaque artère est ccompagnée de
fibres
vaso-motrices. De là, ressort l'in- dication de
parce qu'il est établi depuis longtemps dans la physiologie qu'une
fibre
nerveuse conduit l'irritation vers le centre comm
centre nerveux ou d'un viscère ? Le grand sympathique contenant des
fibres
vaso-motrices qui remontent au cerveau et à la
troisième ganglion cervical du grand sympha- thique que partent les
fibres
vaso-constrictrices de cet organe. Ces fibres se
thique que partent les fibres vaso-constrictrices de cet organe. Ces
fibres
se rendent à l'artère sous-clavière dont elles
us thora- ciques me font croire que les poumons possèdent aussi des
fibres
vaso-cons- trictrices issues du grand sympathiq
reliés à lui par des anastomoses, et on peut admettre que certaines
fibres
vaso-motrices des ramifications de l'aorte abdomi
u -1 ; il doit donc être possible d'exciter par le courant induit les
fibres
"enI)1otrices contenues dans le plexus de l'aor
que la partie cervicale du grand sympa- thique contient, outre, les
fibres
destinées au muscle dilatateur de la pu- pille
utre, les fibres destinées au muscle dilatateur de la pu- pille des
fibres
destinées à son antagoniste. Il est possible que
pille des fibres destinées à son antagoniste. Il est possible que ces
fibres
dans la cavité crânienne se rejoignent à celles
irritante. Le courant faradique traversant le cou, l'excitation des
fibres
vaso-mo- trices de la carotide externe est inév
hémorrhagie cérébrale produit la paralysie en comprimant certaines
fibres
nerveuses et en déchirant d'autres ; c'est par un
bles. Le choc est un état passager, mais la continuité de certaines
fibres
nerveuses reste lésée pour toujours. La guériso
l dans les cas légers (où l'on ne peut pas supposer Une rupture des
fibres
nerveuses) le retour des mouve- ments volontair
es cellules motrices de la moelle épinière, par l'intermédiaire des
fibres
transverses du cordon latéral ; cependant, dès qu
e des fibres transverses du cordon latéral ; cependant, dès que ces
fibres
sont sclé- rosées, la source de l'excitation de
ve. Ce travail régénérateur doit se produire, non seulemen dans les
fibres
détruites par l'hémorrhagie, mais aussi dans ce
provoquer la contracture et la restitution de la conductibilité des
fibres
nerveuses. Cela est d'autant plus admissible qu
nt dans les tissus de la région claviculaire doit exciter aussi les
fibres
vaso-motrices qui accompagnent l'artère sous-clav
. La faradisation de la région inférieure du cou excitant certaines
fibres
du pneumogastrique, on pourrait craindre d'exci
pneumogastrique, on pourrait craindre d'exciter par ce procédé les
fibres
cardiaques de ce nerf. Mais je n'ai jamais vu un
t des an- goisses qu'il faut attribuer peut-être à l'excitation des
fibres
en question. Pour éviter ces angoisses j'éloign
rieure et la partie thoracique supérieure du grand sympathique, les
fibres
vaso- motrices qui accompagnent les artères sou
us-el a, ière et vertébrale. Delà l'ex- citation est portée par ces
fibres
jusqu'à leurs terminaisons dans les artè- res d
Je crois que l'excitation est portée jusqu'à ces ganglions par les
fibres
nerveuses qui les relient entre eux. Le succès
ataxie des tabétiques. Les auteurs ont incriminé la destruction des
fibres
coordinatrices pas- sant par les cordons postér
aurait disparaître si elle dépendait de la dégénération de quelques
fibres
dès cordons postérieurs. J'ai vu l'ataxie dispa
ssus morbide siégeant dans les cordons postérieurs excite certaines
fibres
et que l'excitation est portée aux cellules motri
e l'excitation est portée aux cellules motrices de la moelle et aux
fibres
qui en partent. Le signe de Romberg est à mon avi
n est affaiblie grâce à la destruction d'une certaine quan- tité de
fibres
centripètes; elle doit être compensée par des sti
e. QQ/ couches fibreuses combinées avec ce nerf. E, nerf au-ditif, e,
fibres
d'union de ce nerf avec le trijumeau. FIGURE 4e
au niveau du tractus optique. U, débris du faisceau pos-térieur. 0 0,
fibres
du faisceau moyen. Ces fibres, qui procèdent par
U, débris du faisceau pos-térieur. 0 0, fibres du faisceau moyen. Ces
fibres
, qui procèdent par en-trecroisement de la région
raphé postérieur de la protubérance dans lequel s'entre-croisent des
fibres
de la région fasciculée. On voit à droite et à ga
s YYSD marquent différentes régions, cette figure fait voir en A' des
fibres
du faisceau moyen détournées dans la protubérance
ra-cine de ce nerf formant avec les parties précédentes un système de
fibres
qui enveloppent les prolongements intra-cérébelle
on voit le relief de ce prolongement du corps restiforme, toutes les
fibres
qui l'enveloppent se rapprochent de la ligne médi
de l'intérieur du corps strié. L'on voit en--un entrecroisement des
fibres
de la couche fibreuse du corps calleux avec cel
du noyau cérébral répondant à la corne temporale du ventricule. Q Q,
fibres
prolongées de cette région tem-porale dans le côn
n crochet. 0, saillie centrale des faces latérales du noyau, -+- +,
fibres
passant de la surface de cette saillie centrale d
ue prolongés dans la di-rection G du faisceau postérieur, ou bien les
fibres
de ce faisceau prolon-gées de G en L dans les rac
t de la face plane de l'hémisphère. D'nn autre côté on voit en H" des
fibres
provenant du tronc fibreux H, et qui se portent c
es latérales du noyau issue de la marge du quadrilatère perforé. V V,
fibres
de cette saillie centrale qui se portent à la rég
sceau à la partie moyenne de l'espace perforé. On voit en -+- + des
fibres
de la saillie centrale S rattachées à la bran-che
la bran-che P' du faisceau postérieur. 0, commissure antérieure. TT,
fibres
qui, des prolongements du faisceau postérieur et
lleux. I I, fragments du ruban fibreux de l'ourlet. FIGURE 6e. S,
fibres
divergeant de la face externe convexe du cotylédo
édon extra-ventriculaire du corps strié. A A, prolongements des mêmes
fibres
deve-nues circulaires à la limite externe du coty
xterne du cotylédon ventriculaire du corps strié. + -f-, débris des
fibres
de l'éventail de la région fasciculée à leur sort
s se brisent par les causes les plus légères, parce que le nombre des
fibres
osseuses, et par conséquent la résistance de i'os
ur avoir le cal cartilagineux parfaitement isolé, ou laisser quelques
fibres
mus-« culaires pour avoir la totalité du cal; mai
aire par lamelles super-« posées, lesquelles se continuaient avec les
fibres
musculaires et étaient séparées par des « couches
du col du fémur, un ligament capsulaire nouveau, formé aux dépens des
fibres
musculaires du muscle petit fessier, une déformat
la disposition en collier de l'insertion inférieure, la présence des
fibres
circulaires , expliquent le collier si épais et s
e est de nouvelle formation et me paraît en partie constituée par les
fibres
du petit fessier. La moitié inférieure de la caps
étranglé par cette déchirure. Le ligament rond était lacéré dans ses
fibres
les plus postérieures seulement, les fibres antér
ond était lacéré dans ses fibres les plus postérieures seulement, les
fibres
antérieures avaient été respectées. Les inégalité
aire déplacé, mais il m'a semblé qu'il résultait d'une altération des
fibres
supérieures des ligamens odontoïdiens. Ces ligame
s.....Le périoste épaissi et plus « consistant, donnant attache aux
fibres
charnues, était facile à reconnaître à la super-«
ion aréolaire, résultant de la dissociation de ses lamelles et de ses
fibres
, offre, au contraire, un tissu extrêmement compac
plète du muscle aryténoïdien , dont il ne reste qu'un petit nombre de
fibres
rouges entrecroisées. La figure 2' représente l
é externe, avait conservé son développement. Il reste encore quelques
fibres
rouges dans le muscle aryténoïdien : or, l'anatom
e altération dans la texture de la membrane ainsi resserrée, et les «
fibres
musculaires environnantes étaient parfaitement sa
ictions produites par la cou traction d'une portion quelconque de ses
fibres
musculaires, sans aucune altération de texture.
de texture. Devons-nous ajouter avec Baillie qu'on conçoit que les
fibres
musculaires contractées pourraient comprimer la m
mais que la couche fibreuse est tellement ténue, qu'on dirait que les
fibres
musculaires subjacentes sont à découvert; que cet
Rabel ; peut-être que des purgatifs, en excitant la contractilité des
fibres
musculaires de l'intestin ; pourraient en quelque
leuse. Dans certains points de la surface interne de l'estomac, les
fibres
musculaires sont à nu : il y avait donc, dans ces
s du détroit inférieur; le sphincter est singulièrement atrophié, ses
fibres
sont pâles et se continuent, sans ligne de démarc
pâles et se continuent, sans ligne de démarcation tranchée, avec les
fibres
circulaires de l'intestin rectum : j'ai vu un cas
phincter avait subi un commencement de transformation graisseuse. Les
fibres
circulaires de la tunique musculeuse du rectum m'
hiées dans toute la portion invaginante de l'intestin, tandis que les
fibres
longitudinales étaient plus fortes que de coutume
ui a lieu par l'anneau de celle qui a lieu à travers un écartement de
fibres
aponévrotiques : i° Situation de l'ouverture : el
cellulaire induré, s'ouvraient dans la cavité du rectum à travers les
fibres
musculaires hypertrophiés ; celles-ci étaient com
plus ou moins anfractueux, à travers les aréoles constituées par les
fibres
musculaires disposées en faisceaux distincts. R
lle sorte que la membrane musculeuse est à nu et se présente avec ses
fibres
circulaires devenues ici extrêmement robustes. Le
évidemment constituée par les membranes du rectum. J'y ai reconnu les
fibres
longitudinales de cet intestin ; on y voyait, en
avaient subi la dégénération présentaient encore quelques vestiges de
fibres
musculaires et aponévrotiques. Une côte qui éta
ère des hernies abdominales, c'est-à-dire à travers un écartement des
fibres
des muscles intercostaux, et précédé par la plèvr
formation variqueuse : on rencontrait encore un assez grand nombre de
fibres
musculaires sur ses faces antérieure et postérieu
Le tissu caverneux de l'urèthre du cheval contient manifestement des
fibres
musculaires: il n'est pas démontré que le canal d
beaucoup plus complète que celle du biceps humerai ; on ne trouve de
fibres
musculaires qu'à leur attache supérieure. Leurs t
t entremêlé de graisse qui remplit l'intervalle des aréoles. Quelques
fibres
tendineuses paraissent avoir échappé à la dégénér
queuse, comme d'ailleurs dans toutes les dégénérations, ce soient les
fibres
musculaires, les aponévroses, la peau , le tissu
lieu, il doit tout envahir; les tissus fibreux sont dissociés; leurs
fibres
resplendissantes, long-temps visibles à raison de
les faisceaux musculaires, et même le tissu cellulaire qui sépare les
fibres
elles-mêmes. On dirait que les fibres charnues so
tissu cellulaire qui sépare les fibres elles-mêmes. On dirait que les
fibres
charnues sont infiltrées de sang. Un épanchemen
avait perdu toute son extensibilité, toute son élasticité et dont les
fibres
étaient dissociées. Je pense que le moment est
ité apparente des membranes de l'aorte avec celles du sac. Enfin, les
fibres
de la tunique moyenne de l'aorte avaient exacteme
e lisse. Cette bride ou anneau fibreux résultait: i° du tassement des
fibres
de la tunique moyenne, recouverte d'une lame appa
a une cause d'irritation qui aura pour résultat la transformation des
fibres
musculaires en tissu fibreux, en tissu cartilagin
évrysme partiel. Or l'inflammation qui, en même temps qu'elle rend la
fibre
musculaire plus fragile, la prive de sa contracti
ts me portent à admettre que la transformation fibreuse primitive des
fibres
du cœur joue un plus grand rôle dans la formation
reux viscéral du feuillet séreux péricardique. Sur la figure ire, les
fibres
charnues du cœur sont mises à nu, et on voit parf
on voit parfaitement la disposition de la couche superficielle de ces
fibres
. Une coupe du cœur (fig. 1) a été faite au nive
isseur des parois de cet organe, FA, FA, avait suivi la direction des
fibres
musculaires, disposition qui donnait au tissu du
iron de la hauteur du ventricule gauche. Le sang infiltré le long des
fibres
charnues constituait çà et là de très petits foye
'on aurait pu prendre pour des tumeurs fibreuses déposées au sein des
fibres
charnues, si ce n'eût été la continuité de ces ma
es de la coque, des prolongemens fibreux, dont les uns font suite aux
fibres
musculaires et dont les autres sont entremêlés à
suite aux fibres musculaires et dont les autres sont entremêlés à ces
fibres
. La transformation fibreuse TF s'étend donc au-de
5 mars 1827 : au niveau ou un peu au-dessus de la pointe du cœur, les
fibres
musculaires du ventricule gauche s'arrêtaient bru
s de la tumeur étaient formées par un tissu fibreux faisant suite aux
fibres
musculaires de l'oreillette. La disposition aréol
e par spasme bronchique, c'est-à-dire par contraction spasmodique des
fibres
musculaires qui entrent dans la structure des div
isions bronchiques contiennent jusqu'à leurs dernières extrémités des
fibres
musculaires circulaires situées en dedans des cer
ition prolongée. Cet état du cœur permettait la séparation facile des
fibres
musculaires. Il y avait dans le péricarde une pet
st infiltré de bas en haut entre la séreuse doublée de graisse et les
fibres
charnues ; que cette infiltration s'étend bien pl
ure, scissure du cœur longue d'un pouce, et autour de cette scissure,
fibres
du cœur rongées par une érosion qui n'était pas r
une dégénérescence remarquable dans la texture du cœur ; savoir, ses
fibres
ramollies, comme infiltrées de sérosité gélatineu
dans ses parois, sauf les colonnes charnues, sauf la couche mince de
fibres
musculaires qui les soutient, sans que la rupture
avait subi la transformation fibreuse dans une certaine partie de ses
fibres
. La fragilité du cœur une fois survenue , l'équ
ollissement et le défaut de résistance ne fussent partiels : non, les
fibres
du cœur ne sont pas épuisées chez les vieillards
avoir lieu directement sans infiltration de sang dans l'épaisseur des
fibres
charnues; le feuillet séreux du péricarde résiste
ssu du cœur n'est pas aussi considérable, ou si elle est inégale, ses
fibres
musculaires peuvent ne pas se rompre dans toute l
ches les plus internes, le sang peut s'infiltrer dans l'épaisseur des
fibres
charnues, et constituer un foyer sanguin dont la
s l'épaisseur des parois du cœur, indépendamment de toute rupture des
fibres
internes de cet organe, et de toute communication
de ces foyers partent de petits prolongemens linéaires interposés aux
fibres
charnues, dont la couleur jaune de bois contraste
u cœur s'opérait du dehors au dedans, c'est-à-dire commençait par les
fibres
les plus externes, à la manière d'une canne que l
'on casse en la ployant sur le genou, et qui se brise d'abord par les
fibres
les plus éloignées du genou, et on se fonde sur c
et on se fonde sur ce que la déchirure est plus considérable dans les
fibres
externes que dans les fibres internes ; j'avoue q
déchirure est plus considérable dans les fibres externes que dans les
fibres
internes ; j'avoue que je ne comprends pas cette
cation, et il me paraît évident que la rupture doit commencer par les
fibres
qui reçoivent les premières Faction du sang, et c
er par les fibres qui reçoivent les premières Faction du sang, et ces
fibres
ce sont les plus internes. On conçoit que la ru
et pour ainsi dire d'une manière successive : on conçoit même que les
fibres
externes puissent résister assez long-temps ou êt
on, qui était pleine, sans vestige aucun de cavité, était composée de
fibres
séparables suivant sa longueur, et non dans un au
plus compacte que le reste de la tumeur, partaient en divergeant des
fibres
osseuses rayonnées faciles à séparer les unes des
unes des autres, et se terminaient par une extrémité mamelonnée. Ces
fibres
osseuses étaient faciles à séparer les unes des a
elle adhérait par un pédicule extrêmement étroit, osseux, composé de
fibres
osseuses agglutinées s'épa-nouissant de suite en
e que, après l'avoir dépouillée de son névrilème, je pus la disséquer
fibre
par fibre, absolument comme après sa macération d
ès l'avoir dépouillée de son névrilème, je pus la disséquer fibre par
fibre
, absolument comme après sa macération dans l'alco
gris rougeâtre , il y a destruction de la substance blanche, dont les
fibres
sont coupées net. La couleur gris rougeâtre n'occ
tes de la moelle, et, d'une autre part, tend à suivre la longueur des
fibres
et non à s'étendre suivant la circonférence. L'in
s et des îles gris jaunâtre. La substance grise est très dense et les
fibres
blanches semblent avoir été détruites au niveau d
'indépendance réciproque non-seulement des faisceaux, mais encore des
fibres
juxtà-posées. Les autres faisceaux de la moelle
très petit nombre d'îles grises, qui n'interceptent qu'une partie des
fibres
de ces cordons. Les colonnes postérieures et laté
oplectiques, sur la production desquels la distinction des faisceaux,
fibres
et lamelles du cerveau ne paraît être que d'une i
ce tissu à aucun autre tissu morbide. A la région cervicale, quelques
fibres
médullaires avaient échappé à la dégénération, et
s stries disposées linéairement suivant la direction transversale des
fibres
de la protubérance; ces cas-là ne sont pas mortel
e, de cette déchirure, dans une cicatricule. La brèche causée par les
fibres
déchirées est irréparable, et, si une multitude d
ltitude d'ecchymoses disposées linéairement, suivant la direction des
fibres
; ces taches occupaient la moitié supérieure de l
coupe longitudinale de ces productions que constituent évidemment des
fibres
juxtaposées. L'une de ces cornes a été soumise
longée dans l'eau ramollit la substance des cornes, elle sépare les c
fibres
longitudinales qui les forment. Une odeur putride
vrose lombaire, et paraissait « prendre fin au point de naissance des
fibres
charnues. Quelques rameaux artériels furent liés.
en présenter les caractères anato-miques, elle n'offrait ni lames ni
fibres
régulièrement et parallèlement disposées. Cette p
s brune à l'extrémité libre qu'à la base; quelquefois, à la base, les
fibres
sont séparées par une matière d'apparence graisse
sommet, elles sont fortement pressées les unes contre les autres. Les
fibres
de la surface sont généralement plus solides que
et égard, que les lésions anatomiques des nerfs ne portent pas sur la
fibre
nerveuse elle-même, mais bien sur le névrilème et
nt ici des aréoles, là de petits kystes à étroit orifice. On voit les
fibres
charnues de la vessie se prolonger autour de la p
rtion membraneuse du canal de l'urètre. En outre, une couche mince de
fibres
musculaires comme rayonnantes, faisant suite aux
uche mince de fibres musculaires comme rayonnantes, faisant suite aux
fibres
musculaires de la vessie, se prolongeait entre la
ar des couches musculaires extrêmement prononcées, qui font suite aux
fibres
musculaires de la vessie. Il résulte de cette dis
res musculaires de la vessie. Il résulte de cette disposition que les
fibres
musculaires delà vessie, non-seulement forment un
que, dans un certain nombre de cas, on rencontrera l'hypertrophie des
fibres
musculaires prostatiques coexistant avec l'atroph
la prostate; qu'en outre, la prostate est elle-même traversée par des
fibres
musculaires qui sont encore le prolongement de la
es colonnes charnues, et c'est tout au plus si l'on remarque quelques
fibres
musculaires rares disséminées à la surface du kys
par les couches moyennes ou le centre du tissu compacte, où quelques
fibres
osseuses sont remplacées par du tissu cancéreux;
ang sans parois; 3° vaisseaux noueux, tantôt suivant la direction des
fibres
, tantôt perpendiculaires à cette direction, jamai
aire sous-cutané. La fig. i en montre un certain nombre au devant des
fibres
du grand pectoral et du grand oblique de l'abdome
sposés linéairement, et semblent le résultat de la transformation des
fibres
du grand pectoral lui-même. Au niveau de la gla
: la peau, le tissu cellulaire sous-cutané , la glande mammaire, les
fibres
adjacentes du grand pectoral sont convertis en un
s cancéreux des muscles est d'être disposés régulièrement le long des
fibres
musculaires aux dépens desquelles ils semblent fo
glande, le grand pectoral ne présente plus aucun des caractères de la
fibre
musculaire ; qu'il est tuberculeux et fibreux ; q
eure qui se développe; enfin, s'il avoisine le péritoine, ce sont les
fibres
qui le séparent de cette membrane. Dans ces cas d
me au milieu d'une gangue celluleuse, qui n'était autre chose que les
fibres
de l'utérus, du sein desquelles elles s'enlevaien
à celui de l'utérus chargé du produit de la conception, mais dont les
fibres
auraient été pour ainsi dire disséquées. Ce tissu
pédicule jusqu'à la tumeur principale. Ce pédicule constitué par des
fibres
utérines établit bien manifestement que la grosse
nsidérer ce cas comme un exemple d'atrophie de l'utérus, bien que les
fibres
prises individuellement soient évidemment hypertr
soient évidemment hypertrophiées, parce que l'ensemble de toutes ces
fibres
ne me paraît pas à beaucoup près représenter la t
s fibres ne me paraît pas à beaucoup près représenter la totalité des
fibres
utérines. Explication des figures de la planche
su propre de l'utérus lui-même semble disparaître ou du moins que ses
fibres
dissociées viennent s'appliquer sur les parois ve
te, qui voile dans une grande partie de leur étendue la direction des
fibres
utérines. L'érosion occupait surtout le fond de l
; il y a deux centres aponévrotiques séparés l'un de l'autre par des
fibres
charnues ; le diaphragme est d'ailleurs bien loin
TROPHIE. Différence entre l'atrophie et la solution de continuité des
fibres
cérébrales. 8e liv., pl. v, p. 2. — Divers modes
e quantité de sérosité. Induration et disposition rameuse de quelques
fibres
cérébrales. 5e liv., pl. iv, v, p. 2. — Idiotie p
cerveau. Différence entre l'atrophie et la solution de continuité des
fibres
cérébrales. Résultats différens de l'atrophie du
quantité de sérosité ; induration et disposition rameuse de quelques
fibres
cérébrales. 5e liv., pl. iv, v, p. 2. — Difficult
longements. mais du réseau péri -cellulaire en chapelet partant des
fibres
qui passent directement dans les axones des cel
sensitive, c'est-à-dire l'affection exclusive ou prédomi- nante des
fibres
sensitives des nerfs périphériques, due à l'infec
ériphérique. Dans l'idéation, le centre est stimulé par la voie des
fibres
associées : mais là non plus, il n'y a pas diss
ans l'illusion, la stimulation du centre'se fait d'un^ part par les
fibres
associées et vient d'autre part de la péri- phé
e petites hémorragies superficielles et disséminées intéressant les
fibres
tangentielles et évoluant vers la sclérose. Ces
res échangent-ils quelques-uns de leurs cen- tres nerveux, dont les
fibres
afférentes ou efférentes tra- versent ainsi obl
centres ner- veux de chaque côté, tout en échangeant de multiples
fibres
commissurales avec ceux du côté opposé, président
ve et constante des parties des deux ré- tines dont précisément les
fibres
ne sont pas entrecroi- sées, pour une fonction
es chiasmas optiques présentant toutes les proportions possibles de
fibres
directes et de fibres croisées, quelquefois com
résentant toutes les proportions possibles de fibres directes et de
fibres
croisées, quelquefois complets (Poissons), et d
imaginables du (le., pyramides chez l'homme mais les fonctions des
fibres
pyramidales lioniolalcrales sonl encore obscure
l le reconnaît lui-même ; comment admettre que la répartition des
fibres
entrecroisées puisse corriger la désorientation d
, il y ait dans chaque nerf op- tique un croisement vertical de ses
fibres
. 5° Les symptômes de l'hémianopsie corticale so
est facile à expliquer sans l'hypothèse du croisement vertical des
fibres
; dans tous les yeux pourvus d'un système diopt
ments des yeux. Elle impose naturellement le croisement complet des
fibres
optiques venues des moitiés in- ternes des deux
genèse des sentiments et l'évolution des tendances, on sait que ses
fibres
, avant même de formes plexus pour innerver les
E DU CORPS. 513 sensation tactile nu thermique est conduite par des
fibres
aban- donnant des collatérales à des centres gr
tres gris qui en reçoivent aussi, directement ou indirectement, des
fibres
homologues du côté op- posé : quand un nouvel é
ux côtés (p. 56) par des voies, qui pour la plupart sont formées de
fibres
de direc- tion contraire. D'après Tanzi (1901),
s cas où l'impression périphérique a un caractère spatial, « chaque
fibre
sensorielle conduisant un signe spatial se termin
duisant un signe spatial se termine d'un seul côté du cerveau ? les
fibres
[continuant physiologique- ment les fibres] née
ul côté du cerveau ? les fibres [continuant physiologique- ment les
fibres
] nées en des points identiques des deux rétines s
ualité) sont répartis dans les deux moitiés du cerveau ; que chaque
fibre
sensorielle afférente se divise en un rameau di
e. Tels sont les cas où manquent dans le pédoncule et la moelle les
fibres
(la voie pyramidale notamment) provenant du côt
primaires et secondaires,ainsi qu'avec l'existence des nom- breuses
fibres
du corps calleux et des deux commissures blanch
ées sont orientées le plus souvent parallèlement à la direction des
fibres
de la cou- ronne rayonnée. Ces cellules ont été
ues et embryologiques sur la struc- . ture de la gaine myélique des
fibres
nerveuses périphériques ; par M. BE STA.in Rivi
rs, sensoriels, viscéraux et vaso-moteurs, réunis entre eux par des
fibres
et des faisceaux d'association. C'est à cette r
ergie physiologique et psychologique des centres corticaux dont les
fibres
calleuses ont été at- teintes ? D'ailleurs, l'a
es axiterminales de cellules autres que celles dont proviennent les
fibres
afférentes. Cela ne veut pas dire, ainsi qu'on
e de Golgi, qu'un centre simple soit constitué par le contact d'une
fibre
cellulifuge avec une SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE
bre cellulifuge avec une SUR LA SYMÉTRIE BILATÉRALE DU CORPS. 381
fibre
cellulipète appartenant à un autre élément, et qu
s uns aux autres : les ébranlements apportés, par exemple par les
fibres
thalamo-corticales,avant de diffuser dans la zone
nité de cellules, elles-mêmes en rapport direct ou indirect par les
fibres
corticipètes d'association et aussi grâce aux l
ar les fibres corticipètes d'association et aussi grâce aux longues
fibres
de) la couche zonale, avec des territoires cort
nts dans les terri- toires exclusivement réservés chez l'adulte aux
fibres
myélini- ques. Quel peut donc être le sens cach
ordres : 1° une sclérose diffuse ou un développe- ment exagéré des
fibres
nerveuses de la névroglie dans la substance cér
nt il fait la présentation. ,1. Rolet. ' \ BIBLIOGRAPHIE X. Les
fibres
myéliniques du cortex de l'homme, d'après le .
s que le pathologiste a à consi- dérer dans l'écorce cérébrale, les
fibres
myéliniques sont certai- nement ceux dont l'exa
ières années dans l'étude du cytosome des cellules ner- veuses, des
fibres
amyéliniques axiles et dentriliques, de la né-
omparaison nécessaires à une interpréta- tion juste de l'aspect des
fibres
mises en évidence. Un programme invariable, éta
ertain nombre de régions dans l'étendue de chacune desquel- les les
fibres
myéliniques n'offrent que des variai ions légères
té dans une ligure schématique. Système superficiel : Couche sans
fibres
. C. zonale. - cl pauci-cellulaire. C. corre
e de Baillarger. C. intermédiaire. Strie interne de Baillarger.
Fibres
d'association du système profond. Fibres arquée
e interne de Baillarger. Fibres d'association du système profond.
Fibres
arquées de lleynert ou fibne pi,opiit,. Faiscea
abl. 3 à 15) ; épaisseur moyenne de l'écorce et de chaque couche de
fibres
etc. établie pour chaque région de chaque hémis
es corti- caux, qui constituent le point d'arrivée et de départ des
fibres
de pro- jection, doivent entraîner des troubles
comment l'esprit peut agir sur la péri- phérie sans passer par les
fibres
qui la relient au cerveau, sans se sou- mettre
s savons un peu mieux ce qu'est un centre cortical, ce que sont les
fibres
nerveuses qui le relient aux organes pé- riphér
à celui du côté opposé, et, à cha- cun de ces deux centres, par des
fibres
dirigées dans les deux sens (Cajal, Déjerine, e
graphie) est une nouvelle démonstration indirecte de l'existence de
fibres
unissant « chaque moitié de la 484 PSYCHOLOGIE.
moment de la puberté. F. TissoT. XXV. Régénération collatérale de
fibres
nerveuses terminées par des massues de croissan
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 487 tion collatérale : les
fibres
néoformées, très fines et amyéliniques pour la
ge adulte les cônes'de croissance de la période embryonnaire. Ces
fibres
à massues ne sont point l'apanage de l'état patho
ne disposition probablement générale dans le système nerveux et ces
fibres
à massues de croissance doivent être considérée
s de rem- placement destinés à remédier à l'usure physiologique des
fibres
, nerveuses. Leur multiplication excessive dans
s aucun doute que ces néoformations sont ap- pelées à remplacer les
fibres
radiculaires détruites. Peut-être ce processus
des lésions des racines, peuvent être décelées par la présence- de
fibres
régénérées terminées en massues, avant que soit
érieurs ; que d'au- tre part il existe dans le tabes une lésion des
fibres
radiculaires qui précède leur destruction : cet
omliformo des cylindraxes, occupe dès le début toute la hauteur des
fibres
radiculaires postérieures ; dans la racine an-
ur et le faisceau optique central ; quelques considérations sur les
fibres
d'association du cerveau ; par La Salle Arciiam
au longitudinal inférieur des classiques c'est ce dernier moins les
fibres
d'association qui encombrent son territoire. Da
postérieure du lobe pariétal. Le tapetum est formé exclusivement de
fibres
calleuses, il ne renferme pas de fibres d'assoc
est formé exclusivement de fibres calleuses, il ne renferme pas de
fibres
d'association. Il n'existe pas chez l'homme de
s chez l'homme de faisceau d'associa- tion occipito-frontal. Aucune
fibre
de l'écorce occipitale ne passe dans le pied du
occipitale ne passe dans le pied du pédoncule cérébral ; toutes les
fibres
que les ré- gions postéro-inférieures de l'hémi
euxième circonvolution temporale et en partie de la troisième : ces
fibres
constituent le faisceau de Turck. F. TISSOT. XX
uro-arthritisme ; par Lévy et de Rnthsclüld, p. 245. Cortex. Voir
Fibres
. Cours libre de psychopathologie du tube dige
71. Distinctions honorifiques, p. 173. Dowwccro. Voir Réticutum
fibre
[- [aire. Voir Cellules ner- VCllSPS. Dysent
férieur et le optique central ; quelques considérations sur les
fibres
d'association du cerveau; har I.a Salle .rchamb
r Moulot, p. 55. pédonculaire ; voir Asymétrie. tabétiques ; voir
Fibres
. Va- leur des corticales dans les psychoses d
s : par l3rissauU CL Mou- tier, il 191. Racines médullaires. Voir
Fibres
nerveuses. Rapport médical et compte mo- ra
rillaire. Sur une altération primitive du en- docellulaire et des
fibres
lon- gues dans les cellules de la moelle épin
est le plus souvent rectiligne. Dans cer- tains cas, une partie des
fibres
des cordons postérieurs passe par les noyaux de
ire des racines postérieures sectionnées, l'auteur ne trouva pas de
fibres
saines, et,30 jours après l'opéra- REVUE D'ANAT
HOLOGIQUES. 57 tion,le bout ganglionaire ne contenait pas une seule
fibre
dégéné- rée. L'auteur en conclut que,chez le si
t que,chez le singe, les racines postérieures ne contiennent pas de
fibres
médullifuges. Ce résultat, que l'on peut consid
érer comme négatif, car les éléments sains du bout cen- tral et les
fibres
dégénérées du bout ganglionnaire sont en très pet
n 1896-1897). Mais, ayant constaté moi-même que la pro- portion des
fibres
centrifuges diminue régulièrement à mesure que
que, chez les mammifères, les racines postérieures contiennent des
fibres
vasomotrices dont t l'interruption joue probabl
re un peu plus haut, la dégénération plus ac- cusée à gauche et les
fibres
allant à la colonne de Clarke manquent t presqu
rescence suivant un double processus ; d'une part accroissement des
fibres
anciennes, d'autre part formation de nou- velle
ssement des fibres anciennes, d'autre part formation de nou- velles
fibres
qui se multiplient par des ramifications successi
nt par des ramifications successives et de plus en plus minces. Ces
fibres
néoformées doivent leur nutri- tion à des cellu
t par leurs propriétés chimiotaxiques alti- rent à elles les jeunes
fibres
nerveuses et les nourrissent ; ces cellu. REVUE
c'est que dans le trajet qu'ils ont à parcourir le faisceaux et les
fibres
de nouvelle formation n'arrivent pas à rétablir
s sur l'état des neurones périphériques. Contribution à l'étude des
fibres
centrifuges des racines postérieures ; par Roux
s ont mis en évidence l'existence, dans les racines postérieures,de
fibres
myéliniques à trajet centrifuge. Il est impos-
névrite expérimentale qui est une dégénérescence wallé- rienne (les
fibres
dégénérées à type wallérien sont rares dans le ta
niveau impossible à préciser du noyau moteur du X ; sectionne les
fibres
olivo-cerébelleuses (de l'olive bulbaire au noyau
même en 1890, Rossolimo, avaient déjà rattachés à la lésion de ces
fibres
. Dans 8 cas antérieurs semblables, l'ataxie coï
tait donc toujours très limitée. De plus, comme dans la moelle, les
fibres
intervenant dans les sensations de température
es troubles du goût, et, à propos de ceux-ci, le trajet central des
fibres
de la corde : leur noyau serait dans le voisina
at du noyau sensible du V et,par conséquent dis- tinct de celui des
fibres
gustatives du tiers postérieur de la langue ; -
es trois cas, l'étude de la topographie des lésions corticales (des
fibres
et des cellules) montre qu'il existe entre Fa e
e des plus frappants. On note en effet, dans Fa la dégénération des
fibres
radiaires très nette au Mar- chi, plus légère,
tes de Betz) ;- dans Pa au contraire, aspect tout à fait normal des
fibres
, par la méthode de Pal ; pas de lésion cellulai
Pal ; pas de lésion cellulaire ; présence de quel- ques très rares
fibres
radiaires dégénérées, décelables seule- ment pa
ons presque exclusivement, par ce que la présence de quelques rares
fibres
dégénérées dans Pa (au Marchi) ne nous permet p
également songer à la possibilité d'une régé- nération possible des
fibres
nerveuses. M. CRocQ (Bruxelles) remercie M. le
base, isthme de l'encéphale, bulbe et moelle, ont développé leurs
fibres
qui ont leur place normale, mais tout le système
leurs fibres qui ont leur place normale, mais tout le système des
fibres
de projection fait défaut, il n'y a pas de fibres
ut le système des fibres de projection fait défaut, il n'y a pas de
fibres
des- cendantes dans la capsule interne et la vo
par contre, dans les régions thalamiques moyenne et supérieure les
fibres
thalamo-cor- ticales étudiées dans des cas comp
On remarque, en général, un rapport inverse entre le nom- bre des
fibres
dégénérées et celui des fibres de nouvelle forma-
apport inverse entre le nom- bre des fibres dégénérées et celui des
fibres
de nouvelle forma- tion à l'intérieur du gangli
crés, où le processus tabétique est plus ancien,on constate que les
fibres
épaisses ont disparu en grande partie, et qu'à
rtie, et qu'à leur place il s'est formé un nombre considé- rable de
fibres
fines, disposées en faisceaux et séparées par des
posées en faisceaux et séparées par des cellules apotrophiques. Ces
fibres
finissent par une massue ter- minale, soit à l'
ent une marche rétrograde. Avant d'arriver au faisceau nerveux, les
fibres
de nouvelle formai ion affectent les dispositio
primé car d'une part il existe dans l'iiitérieui du ganglion des
fibres
en état de dégénérescence et plus lard régénérées
pas dans le bout central des nerfs sec- tionnés et d'autre part les
fibres
de nouvelle formation dans 104 CONGRÈS DES MEDE
anivent jamais à leur maturité et gardent toujours le caractère des
fibres
embryonnaires. Ceci tend à prouver que la cause
on de la branche centrale des racines postérieures, qui empêche les
fibres
de nouvelle formation d'arriver à leur dernier
, se recouvre d'un réseau progressivement plus dense qui envoie des
fibres
, d'une part, à la méninge pour réaliser la symp
orps de Nissl, centrosomes, etc.), des variations régionales et des
fibres
myélini- ques.Le chapitre premier (développemen
ports réciproques. Il ne faut pas oublier, en effet, que toutes les
fibres
nerveuses, toutes les cellules nerveuses de l'éco
près les données exposées dans l'art. le' sont étudiées d'abord les
fibres
corticipètes de pro- jection, puis d'associatio
s fibres corticipètes de pro- jection, puis d'association, puis les
fibres
autochtomes ; puis, les connexions des cellules
que si nos connaissances sont assez précises en ce qui concerne les
fibres
à myéline tangentielles et radiées, elles sont
ires de la substance grise étaient tous en chro- matolyse. Pour les
fibres
, les gaines myéliniques étaient à l'état vacuol
hauteurs de la moelle, toutes portent des amas purulents, mais les
fibres
nerveuses ne sont pas détruites ou même seuleme
ffirmé que, chez le lapin, le chat, le singe, une petite partie des
fibres
ne se rend pas dans le voile médullaire antérieur
le voile médullaire antérieur où à lieu l'entrecroisement, que ces
fibres
se dirigent en bas et en avant pour aller proba
B. confirme de nouveau ce dernier point, en notant t aussi que les
fibres
formant le tronc qui subit l'entrecroisement to-
c le noyau du III ; enfin, que de chaque noyau du IV nais- sent des
fibres
qui se dirigent d'arrière en avant entre les fais
que dans la partie supérieure de la moelle cervi- cale, toutes les
fibres
ascendantes dégénérées des'cordons posté- rieur
histologique des muscles démon- trait une lésion très profonde des
fibres
striées et dans ce cas on observait une prompte
acroscopiques ; lésions microscopi- ques complexes, intéressant les
fibres
myéliniques, les fibrilles, les fibres et cellu
s complexes, intéressant les fibres myéliniques, les fibrilles, les
fibres
et cellules névrogliques, les vaisseaux, mais sur
ent les caractères de l'hémiplégie cérébrale. Intégrité absolue des
fibres
pyramidales dans le pont, le bulbe, Archives, 3
idales géantes et grandes que l'on considère comme l'origine de ses
fibres
. L'hémiplégie relève donc de lésions siégeant a
out autour des vaisseaux, mais formant aussi des anneaux autour des
fibres
musculaires ; celles-ci ne présentent ni multip
nt lié à des lésions des cellules motrices, la simple excitation de
fibres
de transmission pa- raissant a priori insuffisa
e de commun entre eux, tous indiquent notamment l'af- fection des
fibres
nerveuses provenant non de la peau mais des par
branches « pro- fondes » des nerfs contiennent, comme on sait, les
fibres
centripètes et centrifuges d'une fonction physi
généralisée chez notre malade indiquent l'affection de certaines
fibres
centripètes. Le caractère partiel des symptômes
aitement du mal< perforant plantaire, par Rheu- ler, p. 456.
Fibres
. De l'influence de la sec- tion expérimentale d
sthéniques. Voir Psycho- thérapie. Neurones périphériques. Voir
Fibres
. La théorie des -, la fa- tiguc, le repos et le
, p. 300. Ihitl., par Bumke, p. 300. Racines postérieures. Voir
Fibres
.. M, 1 Radiculite lombaire, par Jean- selme e
femme. 26 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. la saillie des
fibres
charnues du grand pectoral, ainsi que le pensait
ces trois organes : cellule ganglionnaire des cornes anté- rieures,
fibre
motrice, fibre musculaire ». Mais il est d'avis a
es : cellule ganglionnaire des cornes anté- rieures, fibre motrice,
fibre
musculaire ». Mais il est d'avis aussi « que l'
uites de nombre. De même, les prolongements du cylinder-axis et les
fibres
nerveuses qui traversent la substance grise n'e
aupière supérieure peut être le fait du muscle de Millier, muscle à
fibres
lisses qui serait capable de conserver son acti-
rès durcissement resta absolument négatif. Par contre, l'examen des
fibres
et des troncs nerveux périphériques démontra l'
eusement colorées, et que, ni dans les centres moteurs, ni dans les
fibres
radiculaires des nerfs de l'oeil, on ne put révél
appréciable à nos moyens d'investigation. Par contre, l'examen des
fibres
et des troncs nerveux périphériques démontra l'
siège de préférence autour des vaisseaux (PL XXXII, fig. 5, a). Les
fibres
nerveuses des cornes antérieures, très raréfiée
rée parla méthode de Weigert : a, région du muscle sclérosé, où les
fibres
persistent avec des dimensions diverses ; a', a
u conjonctif dense; d, région du muscle extrêmement dégénéré où les
fibres
ne sont plus représentées que par des débris, m
rsistent des libres à myéline ; c, c, espaces vides laissés par les
fibres
musculaires ; /, faisceau neuro-musculaire ; g, s
nsi que les parois des vaisseaux sont très épaissis, et beaucoup de
fibres
nerveuses ont disparu. La sclérose est exacteme
colore mal. Le réseau fibrillaire est diminué et raréfié, quelques
fibres
ner- veuses sont hypertrophiées, quelques autre
st la sclérose atrophique. Dans les parties les plus atteintes, les
fibres
musculaires ont diminué de nombre et de volume,
t fibrillaire com- pact, etcontient relativement peu de noyaux. Les
fibres
ontconservé leur striation. Pour les raisons
HIE DE LA SALPÈTRIÈRE. du faisceau pyramidal par la destruction des
fibres
d'association, dépendant des éléments cellulair
flement lombaire, il existe une diminution évi- dente du réseau des
fibres
fines qui, à l'état normal, est assez riche, et
qu'ils présentent, consistent dans une très faible dimi- nution des
fibres
à myéline, et dans la présence de quelques gaines
LITES ET POLYNÉVRITES. 211 osmique et par la liqueur de Mûller. Les
fibres
dissociées, ou les coupes ont été colorées au p
neau de tissu conjonctif. Dans chacun des groupes ainsi isolés, les
fibres
musculaires elles-mêmes sont séparées les unes
p plus épaisse qu'à l'état normal (Planche XXXII, fig. 4, b). Les
fibres
musculaires offrent des dimensions très variables
oncé, qui tranche nettement sur la coloration brun clair des autres
fibres
. Le tissu conjonctif proliféré ne se présente p
nouvelle formation, on distingue parfois des sortes de traînées de
fibres
musculaires extrêmement atrophiées, et sans tra
ce de striation, qui présentent une grande abondance de noyaux. Ces
fibres
sont très pâles, et vis-à-vis des réactifs colora
de tubes nerveux ont disparu. Dans le territoire de ces traînées de
fibres
musculaires très altérées que nous avons signalée
sont plus rarement atteints. En certains endroits, cependant, leurs
fibres
musculaires sont atrophiées et hyalines, en d'aut
nes, en d'autres, leur gaine lamellaire est très épaissie, et leurs
fibres
nerveuses ont disparu' ¡ (Planche XXXII, fig. 4
les mêmes lésions scléreuses : on observe aussi que la plupart des
fibres
musculaires ont conservé leur striation. Mais i
tense. Dans leur voisinage on voit (à un fort grossissement) que la
fibre
musculaire est dissociée en ses éléments primit
s cellules sont le plus souvent disposées en séries parallèles. Les
fibres
musculaires ainsi altérées sont tra- versées pa
pris à droite. Quand on dit à la malade de le contracter on voit les
fibres
se dessiner sous la peau du côté gauche seuleme
st relié au noyau de l'oculo-moteur commun, de l'autre côté par des
fibres
communicantes. Il ne s'agit donc pas ici d'une
ien plus vraisemblablement sur le trajet intra-protubé- rantiel des
fibres
de ces nerfs, entre leur noyau d'origine et leur
t ici d'un tubercule intra- protubérantiel, situé sur le trajet des
fibres
d'origine du facial et du moteur oculaire exter
terminaison, au poignet, ne renfermaient qu'un très petit nombre de
fibres
dégénérées, et cela au point que leurs lésions
inence thénar. Or, le nerf médian présentait, il est vrai, quelques
fibres
ayant subi la dégénérescence parenchymateuse; mai
ses trois organes; cellules ganglionnaires des cornes antérieures,
fibre
nerveuse motrice, fibre musculaire. Cependant l
ules ganglionnaires des cornes antérieures, fibre nerveuse motrice,
fibre
musculaire. Cependant l'arc neuro-musculaire, e
seulement des cellules ganglionnaires des cornes antérieures, de la
fibre
nerveuse motrice et de la fibre musculaire, mais
aires des cornes antérieures, de la fibre nerveuse motrice et de la
fibre
musculaire, mais encore et surtout des régions
les tendons et les muscles, dont elles séparent les faisceaux et les
fibres
. 4° Les tissus propres organiques, qui, selon q
rties séparées, distinctes pour la texture, mais confondues par leurs
fibres
en un ensemble, et, dans cet état, constituent le
mais élastiques. La texture des os varie quant à la disposition des
fibres
appropriée à la forme de chacun d'eux; mais elle
ais elle est pourtant homogène, eu égard aux parties composantes. Les
fibres
de la substance compacte sont rayonnées dans les
s un cylindre commun. En général, elles sont formées de deux plans de
fibres
, les unes longitudinales ou parallèles à l'axe du
n aux faisceaux musculaires tenseurs des aponévroses. L'autre plan de
fibres
est transversal; celles-ci ne décrivent jamais to
sser de la profondeur à la surface, glissent dans desécarte-inens des
fibres
, protégés par une gaine d'isolement. L'usage de
es; dans beaucoup de lieux il fournit, par l'intermédiaire de courtes
fibres
aponévrotiques, de larges surfaces d'insertions a
ers, etc.) Partout le périoste sert d'implantation, par continuité de
fibres
, aux cloisons aponévrotiques et aux tendons funic
e sections, à chaque fois qu'ils traversent des aponévroses, avec les
fibres
desquelles ils se confondent, en formant autour d
ant de dédoublemens successifs que ces organes ont de faisceaux et de
fibres
. La texture intime de toutes les membranes sére
vu qu'elle se fondait avec la naissance du cou par la continuité des
fibres
des muscles qui leur sont communs , le trapèze et
c le périoste , qu'elle recouvre néanmoins par une première couche de
fibres
entre croisées. Dans la profondeur du membre, le
gme; dans ce cas, c'est surtout l'estomac qui s'insinue à travers les
fibres
musculaires clans la cavité de la poitrine, mais
d'orifices spéciaux, formés par une arcade fibreuse, que forment des
fibres
aponévrotiques, implantées sur les vaisseaux eux-
s inféricurement au pubis, et réunis au-dessus de l'ouverture par des
fibres
transversales très résistantes. Les piliers de l'
s la face fémorale du contour aponévrotique de l'anneau, naissent des
fibres
apouévrotiques en forme d'entonnoir fibreux, impl
rnies; les unes se font par écartement, éraillement, ou déchirure des
fibres
des aponévroses; c'est le cas de la hernie ombili
. 3° Couche musculaire sous-cutanée. Formée par le peaucier, dont les
fibres
laissent en avant un léger écartement triangulair
: le premier cellulo - adipeux ; le second musculaire, formé par les
fibres
très minces du peaucier ; et le troisième constit
et celui du transverse. Sur le plan moyen, la suture entrecroisée des
fibres
des quatre aponévroses qui passent d'un côté à l'
ile à obtenir, vu la direction inverse ou oblique des divers plans de
fibres
musculaires. Sous le rebord costal s'ouvrent fréq
grand oblique, disposée par bandelettes concaves, qui s'étendent des
fibres
musculaires à la ligne blanche et aux pubis. Au-d
stéo-fibreuse, et confondus en dedans par l'entrecroissement de leurs
fibres
en un raphé médian mi-partie fibreux et aponévrot
et les muscles de l'urèthre, et sc'confond sur le plan moyen avec les
fibres
du sphincter anal. 4° Muscles. Au milieu, en arri
es orifices eux-mêmes, et se confondent, par entrecroisement de leurs
fibres
, dans l'espace intermédiaire, de huit à dix ligne
tivement assez mince sur la face interne, et formée principalement de
fibres
courbes transversales qui forment, pour les muscl
sorte de capsule de contention des muscles, formée principalement de
fibres
obliques, étendues de la cloison aponévro-tique e
et un autre accident moins rare du même genre, la rupture de quelques
fibres
des jumeaux ou du soléaire dans l'extension brusq
les vaisseaux propres de la peau. 3"° Aponévrose. Mince, composée de
fibres
courbes transversales, elle revêt toute la face d
section est indispensable, on doit préférer l'incision parallèle aux
fibres
à celle qui les couperait plus ou moins obliqueme
ement ou même l'atrophie; les tissus fibreux deviennent plus secs, la
fibre
musculaire tourne au gras; de sorte que le membre
travers de masses charnues, il est assez commun que des faisceaux de
fibres
viennent faire issue à travers la division des ap
résistance; les tiraillemens douloureux causés par les tractions des
fibres
musculaires traversées par des fils : aussi a-t-o
elle-même. La plaie longitudinale dont la direction est contraire aux
fibres
principales de la tunique moyenne et à la force d
nt vrais; mais il a eu tort d'attribuer la rétraction à de prétendues
fibres
longitudinales dont il a gratuitement supposé l'e
: i° de dehors en dedans, en divisant, avec le tranchant à plat, les
fibres
, à petits coups, par plans parallèles, de manière
e et la glisse sur la face postérieure du muscle, le plus près de ses
fibres
, et la fait ressortir au dehors par le point oppo
i boutonné, relever son tranchant vers soi, et couper, en sciant, les
fibres
sous la peau, de la profondeur vers la surface.
inte ressortit de l'autre côté; puis retournant le tranchant vers les
fibres
, il les divisa en ramenant le bistouri. Les plaie
iser jusqu'à l'os l'épaisseur du masseter suivant la direction de ses
fibres
. Mettre à nu de chaque côté, par dissection des a
lésé par ses attaches, mieux vaut inciser tout d'abord en travers les
fibres
sur le trajet des vaisseaux. B. Incision du sol
erne; le muscle soléaire étant à découvert, diviser immédiatement ses
fibres
dans la même direction et suivant la longueur de
océder avec lenteur et ménagement jusqu'à ce que l'on ait reconnu les
fibres
tendineuses d'insertion sur la forte aponévrose a
autres et prescrit d'inciser au milieu, en écartant parallèlement les
fibres
du muscle, sauf même à inciser en travers si l'or
nt au milieu du muscle couturier, puis écarter et dénuder les grandes
fibres
du muscle; si elles gênent trop, les inciser en t
t divisés du premier coup, séparer avec la sonde cannelée les longues
fibres
du grand fessier qui croisent très obliquement la
il vaut donc mieux, si on doit lier un peu haut l'artère, inciser les
fibres
à plat, suivant la ligne indiquée ci-dessus, en t
ns toute la longueur de la plaie, l'épanouissement du peaucier et les
fibres
claviculaires du grand pectoral, en prenant garde
vert, il est préférable d'inciser le muscle lui-même en soulevant ses
fibres
avec la pince et glissant dessous la sonde cannel
tête vers le côté de l'opération pour relâcher le muscle; écarter les
fibres
avec lenteur et précaution : rejeter de côté les
vrose du grand oblique, celle du petit oblique et enfin les dernières
fibres
musculaires du Iransvcrse; parvenu sur le bord
s qu'on écarte avec violence ou qu'on a divisés dans le sens de leurs
fibres
, en conservant leurs insertions, sont de puissans
le côté externe de l'épaule une incision longitudinale, parallèle aux
fibres
du deltoïde, étendue de l'a-cromion j usqu a douz
ties molles. L'issue de la tête de l'os opérée, détruire le reste des
fibres
ligamenteuses qui la retiennent et circonscrire l
). Réunir ces deux plaies par une section transversale qui divise les
fibres
deltoïdiennes à treize millimètres (six lignes) a
procédé de Moreau renversé. Deux incisions latérales, parallèles aux
fibres
du deltoïde, réunies par leur extrémité inférieur
deux sections transversales qui se dirigent en dehors et divisent les
fibres
deltoïdiennes près de leurs insertions supérieure
a plaie clu deltoïde une petite incision transversale cpii divise les
fibres
du muscle sans intéresser la peau. Cette espèce d
roniques des articulations; 3° on ne divise que longitudinalement les
fibres
du deltoïde, d'où il résulte que toutes ses inser
dos du pied. Le tendon du long péronier fut écarté en dehors, et les
fibres
du muscle pé-dieux, incisées, furent déjetées en
sur la face postérieure. Le péroné étant mis à nu par la division des
fibres
du long péronier, on commence par le dénuder exac
u d'Alanson; divisait d'un second coup le cône saillant formé par les
fibres
profondes, pendant qu'un aide remontait fortement
mme Celse; puis, à la manière d'Alanson, de porter le couteau sur les
fibres
adhérentes, au niveau cle celles cpii sont rétrac
n lambeau de même longueur que le premier, couper en 8 de chiffre les
fibres
inter-osseuses et le périoste, par le premier ou
e Dupuytren, d'enfoncer le couteau un peu plus haut que le niveau des
fibres
superficielles rehaussées, afin d'obtenir ainsi l
culier, mais considérer seulement les divers degrés de rétraction des
fibres
prises en masse. 11 faut ajouter que l'on doit su
secondaire, et que les procédés de Bell et d'Alanson, appliqués aux
fibres
profondes, remplissent très bien ce but, précisém
remplissent très bien ce but, précisément à cause de l'adhérence des
fibres
profondes et de la rétraction des superficielles
érence et partant la multiplicité, la brièveté et le parallélisme des
fibres
du triceps avec l'humérus font que la situation d
dienne; mais comme, d'une part, il n'est guère possible de couper les
fibres
musculaires dans la meilleure position, et que, d
re part, avant la section de l'os on ne peut savoir absolument si ces
fibres
recouvriront ou du moins dépasseront la surface o
de l'humérus, en jugeant des modifications que subit la longueur des
fibres
pendant ces mêmes mouvemens, et on scie l'os à un
mêmes mouvemens, et on scie l'os à une hauteur proportionnelle. Les
fibres
du deltoïde, convergentes à l'axe de l'humérus, e
conseillé Grœfe et S. Cowper, ou mieux couper perpendiculairement les
fibres
profondes et détacher les muscles de l'os suivant
cuisse. Louis se contentait de couper perpendiculairement alors les
fibres
profondes ; mais ce procédé est insuffisant pour
e grande valeur; parce que le biceps ne remonte pas plus haut que les
fibres
superficielles du triceps, qu'il faudrait alors d
au travers de la section la lame du couteau et couper obliquement les
fibres
profondes : le reste comme il a été dit (pl. 83 b
des anfractuosités, sont difficiles à isoler, et la brièveté de leurs
fibres
empêche de les ramener sur la surface de section
, couper selon la méthode d'Alanson les muscles profonds, diviser les
fibres
inter-osseuses, remonter les chairs aussi haut qu
, à travers les chairs du mollet : disséquer les lambeaux, couper les
fibres
adhérentes, dégager l'espace interosseux et scier
mputation de la cuisse. Anatomie. Au-dessus du lieu d'élection, les
fibres
musculaires, plus rares, courtes, et mêlées à de
racter les chairs et, d'un troisième tour de couteau, coupe à ras les
fibres
les plus remontées, celles qui adhèrent aux os, e
s muscles jusqu'aux os; au niveau des libres rétractées, division des
fibres
profondes : le reste comme dans le procédé ordina
ueur que le premier ; les chairs relevées, inciser circulairement les
fibres
profondes. Dans le lambeau interne se trouve l'ar
le l'article. Du reste, à cause cle l'adhérence et de la brièveté des
fibres
musculaires et aponévrotiques au niveau des artic
s, mais légèrement obliques et convergentes, suivant la direction des
fibres
, l'une interne et antérieure, l'autre externe et
e en diagonale sous le biceps (fig. 6') et entièrement revêtue parles
fibres
de ce muscle, qu'elle a éraillées. Dans la figure
cale entre le deltoïde et le grand pectoral, prolongée en coupant les
fibres
de ce dernier; ultérieurement on coupe en travers
ie occupé par la face postérieure du brachial an- térieur, dont les
fibres
numérales sont coupées obliquement. E. Section
e a été enlevée en regard des côtes. 4. Section perpendiculaire des
fibres
du grand pectoral, dont il ne reste plus que la
. 5. Muscle poplité. Inférieurement (5 ') on voit la conversion des
fibres
musculaires en tissu fibreux, pour faire corps
deux tiers internes de la rétine droite, en détruisant aussi quelques
fibres
et en atteignant moins profondément beaucoup d'
nt des altérations consistant en disparition d'un certain nombre de
fibres
, fragmentation des autres, etc. Les muscles (de
des altérations marquées consistant en atrophie d'un grand nombre de
fibres
, dont le volume n'atteint parfois que le cinqui
olume n'atteint parfois que le cinquième ou même moins de celui des
fibres
normales. Les noyaux sont proliférés et disposés
ranulations lipoïdes surtout dans le voisinage des noyaux. Dans les
fibres
moins altérées, la striation transversale est con
inale. Enfin on ob- serve des divisions longitudinales de^certaines
fibres
. Les os montrent l'élargissement des canaux de
n note une pro- lifération névroglique très accusée et diffuse. Les
fibres
tangentielles sont totalement disparues, la str
ltration graisseuse ou hypertrophie. On ne relève aucune lésion des
fibres
myéliuiques. Rate. - Elle présente une sclérose
scle même et que d'autre part, l'élasticité et la contractilité des
fibres
musculaires exercent sur le liquide introduit u
partie d'entre elles ne subit pas cet entrecroisement; ce sont les
fibres
pyramidales homolatérales de Déjerine dont le nom
ngélation et coloré) (1), présente au microscope un réseau serré de
fibres
élastiques avec une faible addition de fibres c
pe un réseau serré de fibres élastiques avec une faible addition de
fibres
collagènes (fig. 4). Nous avons prélevé dans
rotome à congélation (coupe frontale). Réseau noir serré de grosses
fibres
élastiques. - Coloration de l'hématoxyline non
une direction sagillaic (voir nir. 26). A la place de réseau des
fibres
élastiques (ng. 4), tissu osseux véritable. (Gr
lage relative- ment conservé ; B, absence absolue du cartilage ; C,
fibre
conjonctive néoformée ; Dt le corps spongieux d
pôt calcaire. Dans d'autres endroits, le cartilage est corrodé, les
fibres
fines se transfor- ment en fibres plus épaisses
ts, le cartilage est corrodé, les fibres fines se transfor- ment en
fibres
plus épaisses et la matière hyaloïde n'est plus v
ment de la périphérie en dedans (fig. 15). La couche extérieure des
fibres
horizontales est très épaissie dans ces parties
ui sont posées sur l'os sans inter- médiaire (B). Les faisceaux des
fibres
conjonctives traversent par endroits cette dern
des fibres conjonctives traversent par endroits cette dernière, ces
fibres
qui partent de la membrane périphérique vers la
vertébraux, se rencontrent quelquefois une quantité considérable de
fibres
collagènes jeunes et de vaisseaux néoformés qui t
hez les enfants, au-dessus de la glande pinéale, un petit cordon de
fibres
ner- veuses, au bout duquel on voit un amas de
mées d'éléments névrogliques ; dans les alvéoles il y a toujoms des
fibres
et des cellules névrogliques, mais il y a aussi
nous semble plus important, c'est-à-dire dans la relation avec les
fibres
névrogliques, nous proposerons ici une autre di
me; entre elles on voit un réseau constitué partiel- lement par des
fibres
névrogliques; cependant les fibres névrogliques
onstitué partiel- lement par des fibres névrogliques; cependant les
fibres
névrogliques remplissent incomplètement les esp
ties voisines du cer- veau, on voit qu'il y a des espaces entre les
fibres
névrogliques, et il n'est pas impossible que la
éléments névrogliques nous entendons à la fois des cellules et des
fibres
, quels que soient d'ail- leurs des rapports qui
nt d'ail- leurs des rapports qui existent entre ces cellules et ces
fibres
. » Les auteurs venus ensuite semblent avoir don
it pas en effet de constater qu'une cellule est en contact avec des
fibres
névrogliques pour affirmer qu'elle est une cell
ont une tendance à se réunir ; et quelquefois on verra beaucoup de
fibres
réunies par une cel- lule ; cette cellule émet
par une cel- lule ; cette cellule émet en effet un grand nombre de
fibres
, si grand que les fibres de relativement peu de
e cellule émet en effet un grand nombre de fibres, si grand que les
fibres
de relativement peu de ces cellules suffiront pou
ue : 1° le protoplasma de ces cellules suit un peu les faisceaux de
fibres
névrogliques, ce qui ne se voit jamais pour les
y a une très grande différence entre les cellules qui émettent des
fibres
et les autres qui sont en contact avec les fibr
qui émettent des fibres et les autres qui sont en contact avec les
fibres
, et du reste indépendantes d'elles. Nous notons d
s notons donc ceci en suivant l'opinion de Ileld selon laquelle les
fibres
névrogliques sont des produits du protoplasma,
moindre de cellules névrogliques, émettant un très grand nombre de
fibres
qui s'entrecroisent avec les autres cellules.
ques sont de formes différentes. Ordinairement elles émettent leurs
fibres
dans plusieurs directions ; mais on voit assez so
es à noyaux oblongs qui émettent seulement dans deux directions des
fibres
qui se divisent dès leur origine en forme de pin-
et émet des prolongations courtes qui ne se colorent pas comme les
fibres
né- vrogliques. Nous pensons que ces cellules s
coloration de V. Gieson comme par celle de Mallory, on voit que les
fibres
de ce tissu conjonctif se colorent d'une manière
lorent d'une manière relativement t faible par comparaison avec les
fibres
des méninges avoisinantes ; quand les septa son
é aucune. Dans les glandes de structure régulière on ne voit pas de
fibres
con- jonctives dans le parenchyme ; mais il y a
es cellules pinéales ou des cellules névrogliques isolées (avec des
fibres
névrogliques) situées dans les septa, probablemen
es ci-dessous. Nous ajouterons seulement que nous avons cherché des
fibres
élastiques selon la méthode de Weiberl ; mais n
de celles qui sont dans les vaisseaux. Nous avons cherché aussi des
fibres
nerveuses il gaine de myéline selon la méthode
ésultats ont confirmé ceux des autres auteurs : il n'existe pas des
fibres
nerveuses à gaine de myéline ni dans le parench
discutée dans nos conclusions, Calcifications, pigment, graisse,
FIBRES
musculaires, kystes. Des concrétions ont été dé
'appenheimer a décrit une tumeur de la glande pinéale contenant des
fibres
musculaires; c'est pourquoi il pense (se rappor
oit seulement quel- ques artérioles entourées d'un large manchon de
fibres
collagènes adultes. La majorité des cellules se
nsuration in toto des coupes, le dénombrement et la mensuration des
fibres
. Nous citerons les chiffres obtenus pour le qua
de la substance blanche du cordon antérieur une moyenne de 70 à 80
fibres
par champ de microscope. Dans les faisceaux pyr
, et dans les colonnes dégénérées de Goll, G0. La mensuration des
fibres
donne les nombres suivants. Dans les fais- ceau
. Dans les fais- ceaux pyramidaux latéraux, le diamètre minimum des
fibres
intactes est de 0.7S ; ces fibres très minces s
latéraux, le diamètre minimum des fibres intactes est de 0.7S ; ces
fibres
très minces sont assez nombreuses dans le champ d
ombreuses dans le champ du microscope. La plus grande dimension des
fibres
pyramidales croisées s'exprime par les chiffres
upes. Or, nor- malement, lesplus grandes dimensions diamétrales des
fibres
pyramidales sont de 10 . X 7,7 et les fibres fi
nsions diamétrales des fibres pyramidales sont de 10 . X 7,7 et les
fibres
fines qui se présentent très serrées ont un dia
de 1,7 1'" Dans les cordons postérieurs, le minimum du diamètre des
fibres
est de 0,7 ? et les plus grosses mesurent 3 y.
,7 ? et les plus grosses mesurent 3 y. x 2 y.. Or, normalement, les
fibres
fines ont 3 X 3 1"; les plus grosses ont pour dim
encéphalie ; cependant ici, il n'est pas question de l'atrophie des
fibres
. Si nous envisageons les causes aptes à provoqu
nt néanmoins sous la dépendance de l'écorce par l'intermédiaire des
fibres
corticu- thalamiques. Une lésion unilatérale de
aire des fibres corticu- thalamiques. Une lésion unilatérale de ces
fibres
suffit à provo- quer l'exagération psycho-réfle
isolés, soit associés, ce qui est dû, sans doute, à l'existence des
fibres
croisées dans le faisceau tua- lamo-facial. L
ire du rire et du pleurer se fait par un faisceau unique dont les
fibres
gouvernent des groupements musculaires antagonist
granuleuse. Ces nappes ne sont interrompues que par des traînées de
fibres
nerveuses en fascicules. Cette observation conc
che représentant le corps calleux, est une masse épaisse, formée de
fibres
(fibres calleuses ? ) et dont l'ablation permet
entant le corps calleux, est une masse épaisse, formée de fibres (
fibres
calleuses ? ) et dont l'ablation permet de voir l
es cérébel- leuses, pour se diriger, en contournant en dehors les
fibres
du corps restiforme, vers le plancher du qua- t
t est due à l'agénésie des noyaux gris du côté droit intercalés aux
fibres
trans- versales venues des pédoncules cérébelle
leux moyens et difficiles à distinguer à l'oeil nu des faisceaux de
fibres
pyramidales coupés transversalement. On sait d'
l'hémisphère cérébelleux auquel il se rend, mais contient aussi des
fibres
dont l'origine se trouve dans la substance gris
cations pro- longées (alcoolisme chronique, urémie, etc.). b) Les
fibres
nerveuses peuvent être toutes très dimi- nuées
ibres nerveuses peuvent être toutes très dimi- nuées de nombre. Les
fibres
radiées sont très diminuées dans la substance b
stance blanche et dans là substance grise des circonvolutions ; les
fibres
transversales sont également très diminuées, et
ibres transversales sont également très diminuées, et notamment les
fibres
tangentielles de Tuczek : cette dernière lésion
dans les cerveaux de séniles non déments. La dégéné- rescence des
fibres
myéliniques se faitgénéralementpar atrophie sim
r de la segmentation de cylindraxes variqueux. La disparition des
fibres
myéliniques explique pour- quoi l'atrophie de l
ce (5 cas,dont un personnel). Les mêmes lésions des cellules et des
fibres
, nerveuses et névrogliques, peuvent être observ
oduisent l'altération des vaisseaux. L'atrophie des cellules,et des
fibres
nerveuses en par- ticulier, semble être l'about
gine toxique, de désintégration et d'atrophie des cellules et des
fibres
nerveuses. ' 2° Les petites lésions en FOYER DU
oblitérées. L'intensité de la désintégration nerveuse sur- tout des
fibres
tangentielles et de la prolifération névro- gli
ar l'atrophie et la dégénérescence des cellu- les cérébrales et des
fibres
nerveuses ils peuvent appa- raître précocement,
ervicale. : cela tient, sans doute, à une sorte de condensation des
fibres
du faisceau pyramidal dans les régions inférieu
régions inférieures, plus ou moins analogues il la condensation des
fibres
radiculaires postérieures dans le cor- don de G
dans de nombreux neuroblastes, entre la 60° et la 65° heure. Les
fibres
nerveuses périphériques sont dues à la transforma
ci- cule 1.) La méthode de Donaggio est basée sur ce fait que les
fibres
nerveuses, dans la première phase de la dégénér
potasse, acquièrent la propriété de résister beaucoup plus que les
fibres
normales, au processus de décoloration. Ayant u
ions sur les erreurs de mé- moire..1. S. XV. Le développement des
fibres
nerveuses périphé- riques et centrales dans les
ment fibrillaire,qui est le début de la structure fibrillaire de la
fibre
adulte. Les noyaux des chaînes cellulaires se t
clarté du texte. J. Séglas. Y'I. - Recherches sur la coloration des
fibres
nerveuses fit la phase initiale de dégénération
s ont amené les au- teurs à considérer la dégénération primaire des
fibres
nerveuses comme d'origine toxique. Les lésions
exposé sa méthode au bichromate de potasse, émet l'opinion que les
fibres
nerveuses, dans la première phase de la dégénér
donnent aux libres dégénérées la propriété de ésister plus que les
fibres
normales aux procédés de décolora- tion. 14
LORATION du RETICUI UM bl3ltILLAIRE ENDOCELLULAIlŒ ET des
fibres
longues : deux méthodes accessoires et deux mé-
.OLOR\TIO\ SIMULTANÉE DU RÉTICULUM FIBRILLAIRE ENDO- CELLULAIRE DES
FIBRES
LONGUES DU RETICULUM PÉRICELLULAIRE : - )lèl1le
le réticulum péricellu- laire. E. Coloration DES cylindraxes DES
fibres
NERVEUSES CEN- TRALES et PÉRIPHÉRIQUES. - Mêmes
s cérébrales doiventleur ori- gine à la propagation des lésions des
fibres
descendantes dégéné- rées de la cellule nerveus
le nerveuse, à travers la substance grise spinale, les nerfs et les
fibres
musculaires. Ces altérations sont toujours démo
dérer trois portions : une dorso-latérale au noyau delà XIIe paire (
fibres
de la formation intercalaire], une au niveau de
hémisphère gauche permit de constater une atrophie considérable des
fibres
tangentielles d'Exner, la destruction des faisc
arc réflexe : voie centripète trigémellaire, noyau central,voies et
fibres
centrifuges de la 7e paire. Sur la présence de
s sans lésions de continuité, et sans dégénération secon- daire des
fibres
; gonflement notable de la taille né\ l'ogli'luc
passe en revue à ce propos les diverses théories sur le trajet des
fibres
gustatives et conclut que, chez son malade, les
e trajet des fibres gustatives et conclut que, chez son malade, les
fibres
gustatives de la moitié postérieure de la langu
postérieurs). Dans foutes ces parties, les fais- ceauxet plexus de
fibres
myéliniques sont « exLraorlinairement denses. »
togene Régénération der Nervenfa- sern ? Y a-t-il une rég. aut. des
fibres
nerv. ? ) ; par E. niunzEa et 0. 11SCHER, de Pr
ri- cité. Chez trois chiens tués les 39°, 10 î^, 17 Ie jours, des
fibres
nerveuses nées du névrome du bout central trave
il fut possible dans tous les cas de constater la conti- nuité des
fibres
régénérées du segment périphérique avec celle du
térieures entre la moelle et leganglion, M. ne tient pas compte des
fibres
mé- liullifuges lie ces racines. CH. Bonne. L
électro-diagnostic, la ponction lombaire, l'examen histologique des
fibres
musculaires sur le vivant, l'cxa- men du sang,
eppe Bel- lei, p. 153. -. Voir Courbes. FER. Voir Neurasthénie.
Fibres
nerveuses. Le développe- ment des nerveuses pér
mple, à la manière des tubes nerveux qui viennent s'appliquer sur les
fibres
musculaires. La cause du mouvement de nutrition e
roposée par Meissner, à propos de son expé-rience. Il suppose que les
fibres
les plus internes du trijumeau, qui seules avaien
, les filaments axiles persistent; il a trouvé les filaments dans les
fibres
nerveuses des nerfs coupés depuis cinq mois chez
la différence qui peut exister, au point de vue de leur action sur la
fibre
nerveuse ou sur le fais-ceau musculaire, entre l'
pé par la masse du tissu eonjonclif, on aperçoit, interposé entre les
fibres
nerveuses, beaucoup de tissu conjoncttf fibrillai
fibrillaire avec de nombreux noyaux ovalaires, faiblement grenus. Les
fibres
nerveuses elles-mêmes présentent, en certain nomb
nombre, les divers degrés de la dégénération graisseuse. Beaucoup de
fibres
ont conservé les caractères de l'état normal. Que
nerveux qui se rendent au muscle frontal ne renfermen! guère que des
fibres
nerveuses dégénérées ; d'autres, appartenant vrai
autres, appartenant vraisembla-blement au trijumeau, ont toutes leurs
fibres
à l'état normal. — Le muscle fron-tal gauche est
nd nombre. La striation transversale est conservée sur la plupart des
fibres
musculaires atrophiées : sur d'autres elle est à
llement, dans ceux-ci, aucun travail de réaction. La dégénération des
fibres
du bout périphérique, qui suit l'opération à titr
ou de sensations anormales, indices de l'irritation que subissent les
fibres
sensi-tives (1 ). A ces douleurs s'adjointfréquem
lentement développée, qui a dû, pendantun certain temps, irriter les
fibres
nerveuses avant d'en déterminer l'apla-tissement
jours assez profondes pour interrompre complètement la continuité des
fibres
nerveuses et amener la destruction du cylindre de
anqué de faire ressortir. Est-il vraisemblable que, dans ces cas, les
fibres
motrices auront subi des altérations profondes, t
ibres motrices auront subi des altérations profondes, tan-dis que les
fibres
sensitives entremêlées avec elles dans toute l'é-
ranulo-graisseuse de lagaincmédullaire et àlaperted'ex-citabilité des
fibres
nerveuses qui seraient la conséquence de cette al
ar exemple, que l'interrup-tion brusque du cours du sang artériel, la
fibre
musculairepeut éprouver plus rapidement encore, —
phénomènes révé-lés par l'observation clinique, cette altération delà
fibre
con-tractile, manifestée par les modifications de
gressant. Cependant, la striation transversale persiste et jamais les
fibres
n'offrent de traces des altérations de la dégénér
che plus ou moins épaisse de tissu fibreux se trouve interposée aux
fibres
nerveuses qui ont subi tes diverses phases de fa
capable,, sous l'influence d'une lésion irritative, de réagir sur la
fibre
musculaire et d'y déterminerdes troubles trophiqu
ractilité électrique, et d'une atrophie à dévelop-pement rapide de la
fibre
musculaire. — Je citerai, en premier lieu, la myé
'orbiculaire des lèvres, etc., une atrophie plus ou moins accusée des
fibres
musculaires (2). 1. Duehenne (de Boulogne). — D
sceaux blancs. Ces faisceaux paraissent presque entièrementcomposésde
fibres
qui, nées soitdansl'en-céphale, soit dans la moel
en cause indistinctement; tout porte à croire, au contraire, que les
fibres
sensitives, issues des racines postérieures qui c
is-ceaux radiculaîr es internes, doivent être seules incriminées. Ces
fibres
participeraient, de temps à autre, d'une façon pé
les accès fulgurants d'une intensité anormale ?I1 est certain que les
fibres
nerveuses qui constituent les faisceaux radiculai
influence plus ou moins directe. L'irrita-tion de ce dernier ordre de
fibres
— irritation plus difficile à mettre en jeu que n
es — irritation plus difficile à mettre en jeu que ne l'est celle des
fibres
sensitives— devrait être invoquée pour expliquer,
apparition, ducôté opposé à la lésion spinale tend à établir que les
fibres
nerveuses dont l'altération provoque, en pareil c
re-croisent, au contraire, dans la moelle, delà même ma-nière que les
fibres
préposées à la transmission des impressions tacti
lésion cérébrale, résultent généralement d'une irritation directe des
fibres
nerveuses encéphaliques, il ajouta : « Ce sont là
erait arrivé cepen-dant à démontrer que, dans la corde du tympan, des
fibres
nerveuses différentes sont affectées à la sécréti
de doute que les excitations, produites sur un point quelconque d'une
fibre
nerveuse sensitive ou mo-trice, se propagent auss
« le tissu cellulaire séreux extrêmement délié qui unit et sépare les
fibres
cérébrales et qui forme une trame excessivement t
st hypertrophié. La matière amorphe, qui recouvre de toutes parts les
fibres
du réticulum, paraît plus abondante que dans l'ét
assim. — 3. Fromman, Charcot. nous l'avons dit, à se substituer aux
fibres
ou trabécules du réticulum ; mais, en outre, elle
nale des fibrilles, leur aspect bril-lant qui les fait ressembler aux
fibres
élastiques, leur agence-ment sous forme de faisce
meux; elles diffèrent enfin des Charcot. Œuvres complètes, t. i. 14
fibres
élastiques que l'on trouve si souvent mêlées au t
emple, comme le veut M. Frommann, en partie dans l'épaisseur même des
fibres
du réticulum qu'elles doivent rem-placer bientôt,
e-même, se plisse si bien que, lorsqu'on examine un certain nombre de
fibres
nerveuses juxtaposées, ainsi altérées, on croirai
ement la multiplication des noyaux et l'hyper-plasie concomitante des
fibres
réticulées de la névroglie sont 1. Fi'ommann, l
ujours plusieurs de ces régions étaient atï'ectées en même temps. Les
fibres
qui vont de la substance blanche de l'hémisphère
res lésions, en conséquence, siègent vraisembla-blement, soit sur les
fibres
mêmes qui traversent le carrefour sensitif, soit
psies.on arrivera à élucider le trajet encore en partie inconnu des
fibres
optiques. q ! t Il ? fjoro'- ai^a..^ '< ? 'k
itiencore sur le pli courbe, pénétrait profondément, dissociait les
fibres
compactes de la couche sagittale interne et la
particularités qu'offrent ces derniers, comment se com- portent les
fibres
naissant des cellules calleuses des circonvo- l
ous connaissons dans la moelle les cellules donnant naissance à des
fibres
qui vont se mêler à celles qui forment les cordon
ns diverses de la substance grise bien caractérisées, englobant les
fibres
radiculaires intra-médullaires, de constater cett
es nerfs qui renfler- ment des nodules fibro-hyalins renferment des
fibres
dégénérées. * Voir le t. XXVII des Archives.
NTES. 245 C'est en eux aussi que j'ai vu pour la première fois' des
fibres
à myéline se régénérant dans la continuité, par
res soient nettement altérées. Ce que l'on peut dire, c'est que les
fibres
des cordons postérieurs qui dégénèrent dans le
égénèrent dans le tabes appartiennent principalement au système des
fibres
radiculaires. Mais quel est le point de départ
diculaires. Mais quel est le point de départ de l'altération de ces
fibres
? Il était tout .naturel de le chercher dans le
était tout .naturel de le chercher dans les centres trophiques des
fibres
en question, dans les gan- glions cérébro-spina
ltéra- tions ganglionnaires sont l'origine de la dégénérescence des
fibres
radiculaires, il faut invoquer l'existence de l
tif, dans les cellules nerveuses. Les altérations périphériques des
fibres
motrices peuvent être attribuées à une modifica
re attribuées à une modification dynamique des cellules ,dont ces
fibres
dérivent, c'est-à-dire des cellules motrices de l
y produisant des modifications organiques dont les altérations des
fibres
des nerfs et de la moelle ne seraient que la co
moelle ne seraient que la conséquence. Enfin, la dégénération' des
fibres
du nerf optique serait aussi sous la dépendance
les motrices, permettent d'établir les données suivantes : z` Les
fibres
longitudinales du corps calleux (fascictiltis sub
petum représentent un seul et même système constitué par de longues
fibres
qui unissent entre eux divers endroits de l'écorc
entre eux divers endroits de l'écorce d'un seul et même hémisphère (
fibres
d'association de Meynert); ces fibres ont la mê
d'un seul et même hémisphère (fibres d'association de Meynert); ces
fibres
ont la même fonction physiologique, mais les endr
endroits où elles se terminent dans l'écorce sont différents. Les
fibres
transverses ou fibres du corps calleux proprement
terminent dans l'écorce sont différents. Les fibres transverses ou
fibres
du corps calleux proprement dit, unissent n'imp
volutions des lobes frontaux.de l'autre hémisphère. Il y a donc des
fibres
unissant entre eux des endroits identiques de l
des fibres unissant entre eux des endroits identiques de l'écorce,
fibres
qui ont leur centre trophique dans l'écorce ; c
l'écorce, fibres qui ont leur centre trophique dans l'écorce ; ces
fibres
, pour la base du corps calleux du moins, sont d
Le corps calleux est donc surtout une commissure constituée par des
fibres
arciformes unissant entre eux les deux hémisphère
émisphères, 314 REVUE d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques.
fibres
transverses directes dans la base du corps calleu
l'innervation de la glande lacry- male de la façon suivante : Les
fibres
du nerf facial se séparent à la hauteur du gangli
ère, va rejoindre le nerf lacrymal, et, à leur réunion, émanent les
fibres
nerveuses qui entrent dans la glande lacrymale.
névroglique au premier stade de son évolution, avec destruction des
fibres
ner- veuses. Chez un singe, dont la santé gén
gle supéro-interne du putamen passent, dans la capsule interne, les
fibres
qui, à la péri- phérie, se réunissent dans le c
blerait donc qu'il y ait dans la capsule interne une place pour les
fibres
cubitales des interosseux et une autre place pour
les fibres cubitales des interosseux et une autre place pour les
fibres
radiales des fléchisseurs. P. K. XIV. DE l'asym
njonctif, le protoplasma de ces cellules rappelant l'assemblage des
fibres
fines du tissu névroglique. Les cellules-araign
une substance basophile à gros grains et une substance acidophile à
fibres
fines. Le noyau de ces cellules présente dans les
au non entre-croisé du nerf optique droit envoie la majorité de ses
fibres
à la moitié temporale de la rétine de l'oeil dr
ne de l'oeil droit jusqu'au bord rétinien, une petite partie de ses
fibres
empiète sur la moitié nasale de la rétine, mais
faisceau croisé du nerf optique droit comprend parla plupart de ses
fibres
la moitié nasale delà rétinede l'oeil droit jusqu
e l'oeil droit jusqu'au bord de la rétine; une petite partie de ces
fibres
empiète sur la moitié temporale de la rétine, m
droit envoie à la moitié temporale de la rétine de l'oeil droit les
fibres
chargées de la sensation lumineuse et simultané
nément des actions réflexes. Il n'envoie à la moitié nasale que des
fibres
chargées des actions réflexes. Le faisceau entr
droit en- voie à la moitié nasale de la rétine de l'oeil droit des
fibres
char- gées de la sensation lumineuse et des fon
t des fonctions réflexes; il n'envoie à la moitié temporale que des
fibres
chargées de l'action réflexe. Le faisceau non e
uche envoie à la moitié temporale de la rétine de l'oeil gauche des
fibres
chargées et de la sensation lumineuse et de l'a
euse et de l'action réflexe; il n'envoie à la moitié nasale que des
fibres
chargées de la fonction réflexe. Le faisceau en
gauche envoie à la moitié nasale de la rétine de l'oeil gauche des
fibres
chargées de la sensa- tion lumineuse et du mouv
et du mouvement réflexe; il n'envoie à la moitié temporale que des
fibres
chargées de la fonction réflexe. L'étude de la
émontrer qu'on peut tourner la difficulté et mettre en évidence les
fibres
nerveuses avec tout leur dispositif conservé, y
e-même, qui a été fixée comme soufflée à l'entour et à distance des
fibres
nerveuses, on peut conclure hardiment qu'il n'y
nc non de la lymphe, mais bien un liquide aquiforme, protégeant les
fibres
nerveuses contre les actions exté- rieures. A
ns exté- rieures. A l'intérieur de la gaine de Henle, on voit les
fibres
à moelle avec leurs segments interannulaires et
clair qu'il en serait de même de toute lésion de la gaine ou de la
fibre
nerveuse consécutive à la névrite, à l'oedème,
à relever : 1° Pour le coucher des gâteux, on se sert de matelas en
fibres
de coco qui coûtent très bon mar- elié et qui s
se avec les autres filets cervicaux (tissu fibreux ayant altéré les
fibres
nerveuses) ; contrac- ture des muscles de la nu
tion immanente pourrait bien provenir d'une pauvreté congénitale en
fibres
ner- veuses à myéline (arrêt de développement h
ces petits foyers était au voisinage du canal de l'épendyme. Les
fibres
nerveuses de la substance blanche présentent au
nt nécessairement couper à angles droits le cours ou la direction des
fibres
musculaires. » C'est le premier auteur qui ait
tion qu'un muscle se raccourcit pendant son action, ou plutôt que ses
fibres
se raccourcissent (ce qui n'est pas tout à fait l
imprimez différents mouvements à la partie, observez le moment où les
fibres
se tendent et celui où elles se relâchent, vous p
le muscle contribue à amener la position dans laquelle vous voyez ses
fibres
relâchées sur le cadavre. Ce moyen si simple, si
e ce muscle contribue à ramener la position dans laquelle on voit ses
fibres
relâchées sur le cadavre), n'est pas applicable à
ablement, dans la préparation anatomique, les portions terminales des
fibres
qui vont s'insérer à la face interne du derme.
sse expliquer ce mouvement : elle va même jusqu'à nier l'existence de
fibres
musculaires dans l'aile du nez (1). J'espère pouv
...Muscle de la bienveillance et complémentaire de la joie franche.
Fibres
excentriques de l'orbi- culaire des lèvres.....
aire des lèvres......Muscle complémentaire du doute et du dédain.
Fibres
concentriques de l'or- biculairiî des lèvres...
du menton, triangulaire des lèvres et palpébraux. Houppe du menton,
fibres
excentriques de l'orbiculaire des lèvres, soit de
édiane du front résiste à l'action des pyramidaux, au point que leurs
fibres
terminales supérieures ont creusé un sillon profo
tre excité que par l'intermédiaire de son filet moteur, en dehors des
fibres
les plus excentriques de l'orbiculaire supérieur,
nerveux moteur du sourcilier. Le rhéophore a touché quelques-unes des
fibres
les plus externes de l'orbiculaire palpébral supé
t des lignes qui se développent sous son influence. On a vu que ses
fibres
agissent dans des directions différentes; que les
tales et secondaires cle la joie, avec légère contraction de quelques
fibres
du muscle dit sphincter des paupières : rire faux
l'étude du petit zygomatique, le rhéophore est appliqué au-dessus des
fibres
les plus externes de l'orbiculaire inférieur, c'e
ier, par plusieurs racines dont Y line est souvent constituée par les
fibres
externes du muscle orbiculaire des paupières. Dan
ns quelques cas, le petit zygomatique est exclusivement formé par des
fibres
détachées de ce muscle. Dans d'autres cas, ce mus
int la lèvre supérieure et le côté externe de l'élévateur propre, ses
fibres
charnues deviennent pâles et cessent d'être contr
e des joues et les ailes du nez. Et puis, comme en se contractant ses
fibres
deviennent recti-ligncs, il soulève nécessairemen
térieure du cou. Enfin, au maximum de contraction, un grand nombre de
fibres
de ce muscle forment, à la surface de la région
res en avant (mouvements produits par le petit zygomatique et par les
fibres
excentriques de l'orbiculaire des lèvres) indique
la gaîne lymphatique et par l'atrophie de la tunique musculaire. Les
fibres
musculaires font constamment défaut sur les parti
points. Cette lésion de la musculeuse consiste en une altération des
fibres
transversales, sans substituí ion graisseuses d'o
ur est extrêmement volumineux ; ses parois sont d'un jaune clair, les
fibres
sont chargées de granulations pigmen-taires ; il
son intérieur, une diminution et presque partout une disparition des
fibres
musculaires avec prolifération nucléaire très-abo
etits fragments. Le liquide abondant qui baignait de toutes parts les
fibres
musculaires, paraissait sous le microscope assez
ines ou des cordons postérieurs de la moelle. On sait aussi que les
fibres
nerveuses sensitives qui forment les racines et l
n une irritation à la moelle ou sur un point quelconque du trajet des
fibres
nerveuses sensi-tives, cette irritation retentira
des tranches minces pratiquées perpendiculairement à la direction des
fibres
, que les faisceaux primitifs du biceps droit offr
ure musculaire n'est pas due seulement à l'excitation mécanique de la
fibre
musculaire elle-même, mais qu'elle se montre égal
u'elle se montre également bien, que l'excitation soit portée sur les
fibres
tendineuses qui sont en rapport de continuité ave
la substance musculaire, ou sur les rameaux nerveux moteurs dont les
fibres
viennent s'y terminer. Nous étudierons donc suc
tendon doit consister en un choc brusque qui, par l'intermédiaire des
fibres
tendineuses, détermine un ébranlement soudain de
nde, maintenu dans cette situation par une contracture permanente des
fibres
musculaires qui font suite aux fibres tendineuses
une contracture permanente des fibres musculaires qui font suite aux
fibres
tendineuses. Pour les tendons de la tabatière ana
III. — Excitation des muscles. quence de l'excitation directe de la
fibre
musculaire elle-même, ou bien suit-elle l'excitat
rps du sterno-mastoï-dien, ou une simple pression sur un point de ses
fibres
, pour que ce muscle entre en contracture, imprima
g extenseur du pouce ; 12, interosseux. portant l'excitation sur sa
fibre
elle-même, soit indirectement, en portant l'excit
neuro-musculaire, celles qui résultent de l'excitabilité spéciale des
fibres
tendineuses et de la synergie musculaire. Mais,
ur le muscle lui-même ou sur le rameau nerveux qui l'innerve, met les
fibres
musculaires en action, mais, la contraction ainsi
ettement à l'excitation mécanique portée sur différents points de ses
fibres
. En excitant sur la lèvre inférieure un point méd
muscles en certains points et de l'intrication d'une partie de leurs
fibres
. De plus, un même rameau nerveux les innerve. Il
e de toucher avec l'excitateur une portion du rameau nerveux dont les
fibres
se distribuent à plusieurs muscles à la fois. En
beaucoup de points également, l'excitateur rencontrera à la fois des
fibres
musculaires appartenant à plusieurs muscles soif
nférieure en la renversant un peu en dehors. Le peaussier, dont les
fibres
se terminent dans cette région, est également trè
de plus de l'excitation d'un muscle, directement, en agissant sur les
fibres
musculaires elles-mêmes, ou, indirectement, par l
servation, si ce n'est que, dans ce cas, nous excitons directement la
fibre
musculaire dans la zone située au-dessus de l'ore
du tendon comme directement produite par l'excitation mécanique de la
fibre
musculaire en continuité avec la fibre tendineuse
r l'excitation mécanique de la fibre musculaire en continuité avec la
fibre
tendineuse, ne paraît pas devoir prévaloir contre
onction musculaire ont leur raison en dehors d'une modification de la
fibre
musculaire elle-même, dans une modification spéci
sume ainsi l'état de la question : « Il est probable, dit-il, que les
fibres
sensitives et les fibres motrices d'un nerf mixte
uestion : « Il est probable, dit-il, que les fibres sensitives et les
fibres
motrices d'un nerf mixte ont leur origine à peu p
ont leur origine à peu près au même niveau dans la moelle et que les
fibres
sont reliées les unes aux autres dans cet organe
xtrémités d'un nerf sensitif tendent tout d'abord à mettre en jeu les
fibres
motrices de ce nerf (1) ». Ainsi donc l'excitat
rt avec l'écorce grise, siège des phénomènes psychiques, à l'aide des
fibres
du faisceau pyramidal qui représente, en quelque
e par un ensemble de faits sur lesquels je ne puis m'étendre, que ces
fibres
du faisceau pyramidal transmettent, les unes, l
ormale dans les centres moteurs centraux, et en conséquence, dans les
fibres
du faisceau pyramidal. Par suite, rétablissement
Fig. 1. — Lésions de la périartérite diffuse. A, Artère dont les
fibres
musculaires sont raréfiées sans substitution grai
uscle, en attendant que l'influx nerveux puisse parvenir jusqu'à la
fibre
musculaire. Je vous ferai remar- quer que ces c
es espaces péri-cellulaires. Partout on constate la disparition des
fibres
transversales de l'écorce ainsi que des fibres
e la disparition des fibres transversales de l'écorce ainsi que des
fibres
perpendiculaires de la première couche, presque a
FFECTIONS DE LA QUEUE DE CUEVAL 101 du plexus sacré, tandis que les
fibres
du nerf péronier proviendraient principalement
sculaire, et ont une direction perpendi- culaire à la direction des
fibres
charnues. Par contre, les faisceaux musculaires
ion a ceux que nous venons de signaler, parallèles à la direction des
fibres
charnues elles-mêmes. Au gonflement caractéri
ussi les dépressions qui se creusent au niveau de l'in- sertion des
fibres
charnues sur les fibres tendineuses et les sailli
se creusent au niveau de l'in- sertion des fibres charnues sur les
fibres
tendineuses et les saillies des tendons, lorsqu
ment différent avec chaque muscle. Ils dépendent de la longueur des
fibres
charnues, et aug- mentent avec celle-ci. Plus
n relief surbaissé marqué quel- quefois de sillons dans le sens des
fibres
musculaires. La contraction peut survenir dans
, quelquefois marqué de sillons perpendiculaires à la direction des
fibres
charnues. Ces sillons sont dus soit au fronceme
on des fibres charnues. Ces sillons sont dus soit au froncement des
fibres
charnues repliées sur elles-mêmes, soit a la comp
n outre quel- ques sillons parallèles cette fois à la direction des
fibres
charnues et correspon- dant aux cloisons de sép
n muscle contracté et raccourci est remarquable par la saillie de ses
fibres
charnues et par le relief distinct des faisceau
ation des divers, faisceaux, dont il se compose, et par un relief des
fibres
char- DE LA FORME DU CORPS EN MOUVEMENT 125 n
ues recherches physiologiques récentes ont dé- montré le passage de
fibres
nerveuses trophiques par les premières racines
s par les premières racines postérieures lombaires, et l'absence de
fibres
nerveuses de même nature dans les autres racine
ns- versales sont très nettes et distinctes. A la moitié gauche les
fibres
musculaires sont amincies. Le sarcolème est par
sont donc des gouttelettes graisseuses. Le tissu adipeux entre les
fibres
musculaires est fortement développé et évi- dem
as de véTit sclé- rose des cordons postérieurs. Il est vrai que les
fibres
à il]3,Cli4 soi plus clairsemées dans les régio
radiculaire postérieure. Cependant," il est a bon de noter que ces
fibres
qui semblent dégénérées ne constituent pas un e
rose des cor- dons postérieurs. Notons ensuite qu'un bon nombre des
fibres
nerveuses à myéline, des régions qui paraissent
e on voit que cette pâleur est en relation avec une raréfaction des
fibres
nerveuses. Sur des préparations traitées par la
de de Weigert) on constate que dans cette région pâle le nombre des
fibres
fines comparativement aux fibres grosses est pl
ns cette région pâle le nombre des fibres fines comparativement aux
fibres
grosses est plus grand que dans la région radicul
ce 212 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE qui regarde leurs
fibres
nerveuses. De même semble intacte la zone de Li
ément cellulaires et présente une vascularisation considérable. Les
fibres
nerveuses ne sont pas altérées ou sont plus clair
térieur qui avoisine le sillon postérieur un très grand nom- bre de
fibres
fines, résultat, pensons-nous, d'un processus d'a
res fines, résultat, pensons-nous, d'un processus d'atrophie de ces
fibres
nerveuses. Quant aux nerfs que, dans ces cas, n
ligne médiane, sont presque au contact. N'oubliez pas enfin que les
fibres
du faisceau pyramidal s'épanouissent dans la prot
- rance en plusieurs fascicules, séparés les uns des autres par des
fibres
transversales, venues surtout des pédoncules cé
essous de l'aqueduc, de manière à intéresser les noyaux gris et les
fibres
du faisceau pyramidal gauche. Dans cette suppos
eu, un pareil foyer altérera par compression ou par destruction les
fibres
du faisceau pyramidal gauche et en consé- quenc
ège, par hypothèse, au-dessus ou au niveau de l'entrecroisement des
fibres
cortico- bulbaires du nerf facial. C'est, en ef
s qui émergent du foyer de myélite sont fort peu altérées; quelques
fibres
ont seulement leur gaine de myéline boursou- fl
sables à leurs prolongements étoilés et à leurs connexions avec les
fibres
névrogliques, les autres, au contraire, transform
présentent d'ailleurs pas la moindre lésion parenchymateuse ; leurs
fibres
sont parfaitement saines aussi bien dans leur t
en fragments très petits. Ce tissu est lâche; il ne contient pas de
fibres
élas- tiques ; il est tellement riche en capill
éorie que l'on a donnée de certaines contractures en disant que les
fibres
musculaires se contractaient les unes après les
signalées il faut en ajouter une septième. Cette couche, formée de
fibres
blanches, double dans toute son étendue le systèm
double dans toute son étendue le système des couches corticales. Ses
fibres
ne paraissent avoir aucun rapport d'origine avec
lors, et l'œil n'aperçoit plus qu'un milieu diaphane traversé par des
fibres
d'une excessive ténuité. M. Baillarger a essayé
'expliquer la formation des couches stratifiées, en supposant que les
fibres
rayonnantes qui pénètrent de toute part dans l'éc
es et grises; les lignes opaques correspondant aux points renflés des
fibres
, les lignes grises transparentes correspondant, a
thèse. Suivant cette hypothèse, les couches opaques sont formées de
fibres
propres constituant des plans parallèles que sépa
arallèles que séparent des couches de substance grise. Ces couches de
fibres
horizontales sont coupées à angle droit par les f
Ces couches de fibres horizontales sont coupées à angle droit par les
fibres
rayonnantes. Les unes et les autres sont surtout
rer que les couches corticales constituent un système indépendant des
fibres
rayonnantes. 11 y a entre ces couches et ces fibr
e indépendant des fibres rayonnantes. 11 y a entre ces couches et ces
fibres
un rapport d'harmonie. Il n'y a point un rapport
n'y a point un rapport de continuité, et, si j'ose le dire ainsi, les
fibres
rayonnantes de l'axe se comportent avec les couch
rtant une large ouverture. Cette ouverture donne passage à toutes les
fibres
qui pénètrent dans l'intérieur de la bourse, à to
ntérieur de la bourse, à toutes celles qui sortent de sa cavité Ces
fibres
, attachées au noyau cérébral qui termine l'axe, n
ants des plis, les couches corticales n'ont aucune adhérence avec les
fibres
qui émanent du noyau cérébral ; au sommet des pli
qui émanent du noyau cérébral ; au sommet des plis, au contraire, les
fibres
pénètrent dans les couches, et l'adhérence est in
rébraux indiquent, d'une manière fidèle, les séries des points où les
fibres
rayonnantes de l'axe sont en relation avec l'écor
tion crêtée méritent d'être considérés séparément; ils sont formés de
fibres
qui viennent des stries longitudinales de Reil. R
ongitudinales. Ces processus s'unissent avec ceux qui proviennent des
fibres
des pédoncules pour former le bord interne (bord
eurs qui, probablement comme les nerfs spinaux, contiennent aussi des
fibres
sensitives ; 3° Un nerf de sensibilité ordinair
ose avec la corde du tympan venant de la septième paire, contient des
fibres
motrices. Les branches de la cinquième paire ve
voile du palais (1) et par l'intermédiaire de la corde du tympan aux
fibres
musculaires intrinsèques de la langue. À leur ter
es intrinsèques de la langue. À leur terminaison dans les muscles ses
fibres
s'anastomosent avec la cinquième paire. VIII. L
nerf centripète de la déglutition. Il est douteux qu'il contienne des
fibres
motrices ne venant pas des nerfs avec lesquels il
paire) représente la neuvième paire de Willis, il innerve toutes les
fibres
extrinsèques de la langue. Sa fonction est exclus
l'antérieure; elle possède un ganglion et est composée uniquement de
fibres
destinées à transmettre les impressions sensitive
. La racine antérieure qui ne possède pas de ganglion est composée de
fibres
qui transmettent le mouvement aux différents musc
union de ces deux racines a une fonction mixte, car il est composé de
fibres
motrices et de fibres sensitives. Aussitôt sort
nes a une fonction mixte, car il est composé de fibres motrices et de
fibres
sensitives. Aussitôt sortis des trous de conjug
hes antérieures et latérales pour la surface du thorax. Les petites
fibres
émanant des nerfs rachidiens près de leur origine
sule interne, et l'auteur admet, que l'irri- tation à ce niveau des
fibres
do projection conduisant les in- citations motr
li- quer par la localisation de la lésion au centre visuel ou aux
fibres
qui l'unissent à la zone calcarine, le centre a
aucune trace d'inflammation. La moelle ne confient presque plus de
fibres
nerveuses normales, on en rencontre encore quel
rrées par le processus méningitique, ne contiennent presque plus de
fibres
nerveuses ; et celles qui subsistent se coloren
otalement les centres sphinctériens, n'ayant fait qu'a- brutir les -
fibres
sensitivo-motrices des membres infé- rieurs.
sant par le lobule paraecnlraL profonde, plusépaissectplus dense, à
fibres
perpendiculaires aux premières. Dans ces deux c
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES X. Du déplacement des
fibres
des pyramides dans les cordons postérieurs chez
dessus de l'entrecroisement du ruban cle l'ceil, un fort tractus de
fibres
se détache de la pyramide et se recourbe dans l
accolent aux libres pyramidales entrées dans le cordon latéral. Ces
fibres
dispersées sont-elles totalement mé- langées ce
n arrière et en dehors derrière la tète delà corne postérieure. Ses
fibres
qui immédiatement au- dessous de l'entrecroisem
ent ayant produit dans les deux hémisphères déchéance de nombreuses
fibres
des deux py- peu de temps avant la mort, hémorr
orragie de la capsule interne droite ayant par compression lésé les
fibres
de la capsule interne gauche. Les fibres des py
t par compression lésé les fibres de la capsule interne gauche. Les
fibres
des pyramides qui ont échappé à la destruction
) augmente l'excitabilité des centres correspondants de l'autre.Les
fibres
qui descendent de l'écorce envoient dans celle
, en réséquant les nersshypogastriques et honteux, on a empêché les
fibres
muscu- lait'es longitudinales de la vessie de p
côté, RuTUANN résume sa revue en ces ternies : La con- traction des
fibres
qui pressent sur la vessie urinaire peut être p
en des dégénérescences ascendantes. Il est admis que la plupart des
fibres
qui forment les cordons postérieurs sont le pro-
res et. naissent des cellules des ganglions intervertébraux. Chaque
fibre
des racines postérieures, dès qu'elle est arriv
ntes, des libres courtes (zone de dégénérescence en virgule) et des
fibres
longues (zone de dégé- nérescence ovale), d'où
atteints dans la dégénérescence en virgule de Schultze. Les longues
fibres
descendantes sont probablement des fibres endog
de Schultze. Les longues fibres descendantes sont probablement des
fibres
endogènes, c'est-à-dire des libres nées dans les
substance grise ; il se pourrait toutefois que quelques-unes de ces
fibres
.pénètrent dans la zone en virgule, mais ce n'a pa
descendantes et ascendantes trahissent enfin l'atteinte des courtes
fibres
de la moelle au-dessous et au- dessus du foyer.
r les muscles épais. Ce son n'a rien à faire avec le glissement des
fibres
musculaires sur leurs enveloppes ; il est indép
oloration par l'éosine 11émaLox lique, montra la Yarularisation des
fibres
, leur inégalité de gonflement et l'augmentation
acines postérieures, une grande partie des cordons postérieurs, les
fibres
radiculaires irradiées dans la substance grise de
céphalo-rachidien, incom- pressible, se fait place en réduisant les
fibres
nerveuses à l'a- trophie : c'est le second stad
its résiduels de la nutrition cérébrale ou de la dégénérescence des
fibres
que la circulation lymphatique n'arrive plus à
cette conclusion que l'excitation nerveuse, arrivant par une grosse
fibre
afférente, venait se transmettre à un nombre co
ur l'élude des terminaisons dans les calices, on voit que la grosse
fibre
de Held se termine en fibrilles ; celles-ci von
SÉGI.AS. LVI. Note d'histologie pathologique (par biopsie) sur la
fibre
musculaire striée dans la maladie de Parkinson;
ématoxvline de De- lafield ? L'examen microscopique a révélé que la
fibre
musculairc est en général un peu atrophiée. La
, dégénérescences récentes granulo- graisseusus des cellules et des
fibres
, név roglie, nerfs périphériques. On conçoit le
ns élevé parmi les centres des muscles de la jambe parce que, des
fibres
lombo-sacrées formées par la réunion des 4c et 5
des 4c et 5 racines lombaires, seul le jambier antérieur reçoit des
fibres
de la 4c racine lombaire. c) Dans le 5e segme
présente aucune connexion avec la cellule ganglion- naire; - 30 la
fibre
nerveuse périphérique et centrale se déve- 32
aucunement à la fonction des autres parties constitutives de cette
fibre
. - 5° Les prolongements protoplasmiques de la c
t des circonvolutions voisines, avec dégénérescence consécutive des
fibres
antérieures de la protubérance du même côté, en
et Lahol'de1, l'anatomie patholo- gique (Bruce) ont montré que des
fibres
quittent le noyau de la \'le paire, pour aller
la sclérose latérale amyotrophique, mais s'étendent sou- vent aux
fibres
centrovalaires du faisceau pyramidal et jusque
erne et jusque dans l'écorce grise, et qu'elle peut s'éten- dre aux
fibres
constituantes du corps calleux et aux fi- bres
il reste des traces plus manifestes que dans la deuxième zone : des
fibres
myéli- niques abondantes en voie d'atrophie, de
, suivant exactement la disposition que nous avons décrite pour les
fibres
conjonctives. Il ne nous semble pas qu'il s'agi
bjec- tifs de la dans le travail vo- lontaire, par Trêves, 205.
Fibres
. Du déplacement des - des pyramides dans les co
atola, 145. - Note d'histologie pathologique (par biopsie) sur la
fibre
muscu- laire striée dans la maladie de , par
, les autres transversaux. Dans son épaisseur se voient de nombreuses
fibres
élastiques groupées en faisceaux dont la directio
2° Plus en dedans, on trouve la tunique musculeuse, compo sée par des
fibres
lisses disposées en faisceaux circulaires (Fig. 6
ste, vous n'ignorez pas, Messieurs, l'importance accor-dée au jeu des
fibres
de Reissessen dans quelques théories de la bronch
aissit sous forme d'une membrane anhyste (membrane fondamentale). Des
fibres
élastiques, groupées en faisceaux allongés, s'obs
fois la tunique fibreuse externe et l'in-terne ; 2° des faisceaux de
fibres
élastiques qui acquièrent ici une grande valeur ;
ux de fibres élastiques qui acquièrent ici une grande valeur ; 3° des
fibres
musculaires lisses dont le rôle, au contraire, es
a broncho-pneumonie chro-nique de nature tuberculeuse (Fig. 9). Les
fibres
élastiques constituent par leur présence un des c
d'un homme adulte. — a, Orifice d'un infundibulum. — b, b, noyaux de
fibres
musculaires lisses. abondantes, surtout dans le
s infundibules latéraux ou terminaux ; — on voit enfin des anneaux de
fibres
élastiques, moins épais que les précédents, à l'o
véoles est beaucoup moindre. De ces travées principales parlent des
fibres
élastiques déli-cates se ramifiant dans l'épaisse
ur de la tunique conjonctive qui constitue la paroi alvéolaire où ces
fibres
se dessinent sous l'aspect d'un réseau dont les m
valaires du tissu conjonctif. Les altérations que peuvent subir ces
fibres
élastiques ont été, jusqu'ici, peu étudiées. Cepe
semblant à des bâtonnets. Ainsi que je l'ai annoncé, Messieurs, les
fibres
musculaires lisses n'existent qu'en faible propor
les observe sur tous les points où se trouvent de grosses travées de
fibres
élastiques, et là, elle s'entremêlent avec ces fi
sses travées de fibres élastiques, et là, elle s'entremêlent avec ces
fibres
. D'après M. Reindfleisch, elles s'hypertrophient
entant encore en tout cas, parfaitement caractérisée, sa charpente de
fibres
élastiques. Ces parois paraissent tapissées par u
traînant la destruction des éléments spéciaux de la région, à savoir:
fibres
musculaires de la vie organique, faisceaux de fib
égion, à savoir: fibres musculaires de la vie organique, faisceaux de
fibres
élastiques, etc.; 2° Substitution d'un revêleme
e qui tientleur place et joue le même rôle. Malgré la contraction des
fibres
lisses qui entourent les bronchioles, ce muco-pus
ant dans les vésicules que dans le tissu cellulaire interstitiel; les
fibres
pulmonaires, quoique écartées, étaient partout pa
les canalicules (vésicules pulmonaires), que circonscrit la trame des
fibres
élastiques. La même matière se retrouve entre les
er cependant un petit nombre de granules graisseux. Aux faisceaux des
fibres
élastiques et sui-vant leur direction générale s'
tranchés; ils sont très abondants ; 2° dans les aréoles et entre les
fibres
, matière amorphe finement granuleuse et cellules
rès épaissie, remplit les espaces intercostaux dans les points ou les
fibres
musculaires sont dissociées. Poitrine. ?—Poumon
t se laissant pénétrer avec peine; son aspect est celui d'un muscle à
fibres
serrées et peu distinctes. Quand on le presse, il
ts ronds, fusiformes, quel-quefois même par du tissu fibrillaire. Les
fibres
élastiques sont encore manifestes. Le contenu des
s de l'organe envahi qui ont résisté à la néoplasie, c'est-à-dire les
fibres
élastiques des artères de calibre, des travées al
omogène, demi-transparent; pas la moindre parcelle qui se colore. Les
fibres
élastiques sont redevenues visibles ; çà et là qu
sement caractérisée parles craque-ments humides et l'expectoration de
fibres
élastiques, il y a sans doute fièvre avec exacerb
rcule, l'élément caractéristique des parois alvéolaires, à savoir les
fibres
élastiques. D'ailleurs, quelques cellules épi-thé
les bronchioles, reconnaissables encore à la présence des anneaux de
fibres
élastiques et dont la cavité est le plus souvent
le; les contours alvéolaires marqués par la présence des faisceaux de
fibres
élastiques sont là moins apparents que dans cette
ent granuleuse. On y rencontrait, dans les parties périphériques, des
fibres
de tissu cellulaire et des cellules apparemment é
ut et présentant le même aspect ; 3° une troisième couche formée de
fibres
musculaires, pâles, décolorées et comme infiltrée
musculaires, pâles, décolorées et comme infiltrées de graisse; 4° les
fibres
musculaires du cœur avec leur aspect normal. L'
t XII. L'appareil de symptômes que nous avons essayé de dé- 4 Les
fibres
musculaires de la vie organique se rencontrent su
orphe de nouvelle formation est interpo-sée aux éléments normaux, aux
fibres
élastiques du tissu pulmo-naire. Cette matière es
elles qui appartiennent à l'induration du poumon. C'est ainsi que les
fibres
élastiques ont conservé leur structure normale; l
phe plus foncée, à granulations plus petites. d, e, f, Faisceaux de
fibres
élastiques pulmonaires. Fig. 2. — Cellules épit
fusiformes fibro-plastiques qui accompagnent parfois les faisceaux de
fibres
élastiques autour des canalicules pul-monaires, d
vation pulmonaire, 140, 144, 176. Exsudais gélatiniformes, 283. F
Fibres
élastiques des bronches, 30, 31, 245, 261; — expe
es des bronches, 30, 31, 245, 261; — expectoration des -, 265, 272.
Fibres
de Reissessen, 31. Fièvre intermittente, ?27; —
cent est divisé par des travées connectives assez fortes, riches en
fibres
élastiques. Peau de la main. - Même aspect en g
ovaire. - Comme il est habituel à cet âge, l'utérus contient peu de
fibres
lisses, le col en est dépourvu. Les ovules sont
rations qualitatives, elles sont très peu marquéos. Les lésions des
fibres
à myéline dans la couche corticale, dans les fa
t de leur reproduction photographiques. Mais dans ces pièces, les
fibres
à myéline de la surface de l'écorce et celles de
par le procédé d'xner (acide os- mique et ammoniaque) de très fines
fibres
à myéline, sans étranglements annulaires, d'apr
ine, sans étranglements annulaires, d'après Ranvier. Ce réseau de
fibres
est altéré dans la paralysie générale, au dire
colonne, les unes au-dessus des autres, parce que les faisceaux de
fibres
de la couronne de Reil qui vont jusqu'à la couc
ifficile à débrouiller à cause de l'épanouissement des faisceaux de
fibres
et de la substance blanche, qui s'écartent les
us n'avons qu'à profiter de la disposition normale des faisceaux de
fibres
qui montent dans la substance grise, et qui s'a
ment dans les intervalles en colonne de cellules; en voyant leurs
fibres
aux faisceaux qui leurs sont contigus. Cette di
les pertes de substance. Ces foyers interrompant la disposition des
fibres
nerveuses qui gagnent la subslance blanche, com
d'être disposées en série régulières, bout à bout, limitées par les
fibres
d'origine de la substance blanche, présente ces
us le nom d'éléments araignées. La couche intermédiaire, couche des
fibres
arquées, et la couche des grandes cellules pyra
bre les figures signalées par M. Babinski en 1886 (Soc. biol.), des
fibres
musculaires jeunes se montrent enveloppées d'un
superficielle, mince et homogène, formée de faisceaux parallèles de
fibres
fines, avec de petits noyaux sphériques très pe
la perte de substance, de la substance grise, et dans laquelle les
fibres
n'existent t pas; tout autour, ces fibres sont
ise, et dans laquelle les fibres n'existent t pas; tout autour, ces
fibres
sont entourées d'une grande quantité de petites
pièces, il nous était impossible de rechercher les lé- sions des
fibres
conductrices. Les fibres fines à myéline delà c
impossible de rechercher les lé- sions des fibres conductrices. Les
fibres
fines à myéline delà couche superficielle des c
fines à myéline delà couche superficielle des circonvolutions, les
fibres
arquées qui relient chaque circonvolution en pa
H : OEVll.l.E, Bicêtre, 1889. 10 146 ENCÉPHALITES CHRONIQUES. les
fibres
descendantes de la substance blanche de- vaient
ilitique. MM. H.4.usERetTnoMAS.A propos d'un cas où les lésions des
fibres
étaient nettes, celles des vaisseaux et des mén
s représentations, comme la physiologie construit le corps avec des
fibres
. Deux représentations peuvent 70 O BIBLIOGRAPHI
chez les amphibiens, sûrement chez les rep- tiles, la quantité des
fibres
se rendant à l'écorce ne pré- sentent absolumen
cun rapport avec le puissant appareil cortical, aux cellules et aux
fibres
nerveuses extrêmement nombreuses, dans lequel s
ro- pagés jusqu'à ces centres par un nombre relativement petit de
fibres
afférentes ; c'est que l'écorce tout à fait au
and nombre de conglomérats nucléaires, aussi bien à 1 intérieur des
fibres
atrophiés, mais ayant conservé leur striation,
nt conservé leur striation, qu'au milieu du périmysium interne. Les
fibres
musculaires ont donc réagi à la section du scia
ra- musculaire, mais quand les masses deviennent trop grandes, la
fibre
atrophiée ne parvient plus à les loger et elles f
ture chimique ne subissent que des modifications quantitatives. Les
fibres
sécré- toires de la glande sous-maxillaire cont
e thermique. Ce manque de concordance semble exclure l'existence de
fibres
communes aux deux sensibi- lités, car alors les
EVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 129 l'existence de
fibres
distinctes, diversement distribuées dans les tr
ation partielle. La névrite qui existe si souvent peut affecter les
fibres
sensitives comme les motrices, bien qu'il y ait
, dans ce cas comme dans le premier, l'opinion suivant laquelle les
fibres
préposées à la conduction du chaud, du froid et
Gowers ; tandis que, la sensibilité tactile est transmise par les
fibres
des cordons postérieurs.Il n'y a aucune cavité da
résumé nos connaissances, sur ce point, de la façon suivante : Les
fibres
des cordons postérieurs, provenant des neurones
postérieurs servent à la conduction de la sensibilité tactile ; ces
fibres
sont directes c'est-à-dire non croi- sées et se
n livre Van Gehuchten, résumant nos connaissances sur le trajet des
fibres
sensitives dans la moelle, conclut que les impr
eaux de Gowers. Comme ces faisceaux sont formés en grande partie de
fibres
provenant des cellules nerveuses de la substanc
ous les faisceaux (f. moteur; f. de Gowers; f. cérébelleux direct ;
fibres
commis- surales courtes) ; très vraisemblableme
upes transversales des faisceaux nerveux on ne voit pas beaucoup de
fibres
saines. - 160 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. En résumé,
mp de l'anesthésie tactile porte l'auteur à admettre l'existence de
fibres
distinctes pour les diverses sensibilités, et d
ait d'une altération fonctionnelle des extrémités des dentrites des
fibres
nerveuses provenant des cellules corticales, au
vrite interstitielle. Il y avait diminution marquée et atrophie des
fibres
nerveuses, eu même temps qu'une grande prolifér
cellules, il a employé les méthodes de Nissl et de Golgi ; pour les
fibres
, les méthodes de Weigert et de Weigert-Pal, de
cérébrales et spinales sont normales, ainsi que la névroglie. Les
fibres
nerveuses des écorces cérébrale et cérébelleuse,
ôt déco- lorées, tantôt segmentées, granuleuses. De très nombreuses
fibres
sont détruites surtout dans les couches superfi
n évidence un processus de dégénérescence cellulaire primitive. Les
fibres
nerveuses sont le siège d'une dégénérescence prim
une hémorragie cérébrale limitée, qui s'est effectuée tout près des
fibres
du faisceau pyramidal ; celles-ci sont assez co
inage du segment posté- rieur de la capsule interne, où passent les
fibres
pyramidales sous forme d'un faisceau compact. D
us, vers la corne postérieure du ventricule, et se confond avec les
fibres
du corps calleux. En avant, la cavité va jusqu'
u libreux avec une hypertrophie modérée et un état vacuolaire des
fibres
musculaires. L'examen du sang, des urines et des
ue soit au contraire la conséquence d'une véritable contraction des
fibres
musculaires. On a tendance à considérer encor
oujours en flexion; si cette contracture est due à l'irritation des
fibres
pyramidales intactes, il faudrait donc admettre q
ésions à localisation variée qui créent l'hémiplégie cérébrale, les
fibres
destinées aux extenseurs seraient toujours plus i
destinées aux extenseurs seraient toujours plus intéressées que les
fibres
destinées aux muscles fléchisseurs. M. CCST.1N.
premier cas le muscle est tiraillé suivant la longueur même de ses
fibres
, dans le second à ce que le choc est transmis p
s le second à ce que le choc est transmis perpendiculairement à ses
fibres
. Les réflexes patellaires, qui ne seraient ains
plancher. Il brille comme un oeil. A côté, quelques ondulations des
fibres
ligneuses esquissent la courbe d'un ovale et les
motrice de l'écorce cérébrale, après la section expé- rimentale des
fibres
de projection chez le chien (en collaboration ave
favorables à l'expérience et qu'il faut choisir une partie riche en
fibres
lisses. C'est au bras que le phénomène s'est to
points que nous n'avons fait qu'effleurer. Nous voulons parler des
fibres
très délicates qui se rencontrent dans la subst
se produise des substances toxiques qui affectent primitivement les
fibres
nerveuses dans toute l'é- tendue du système ner
. On a jusqu'ici, à tort, accordé peu de valeur aux altérations des
fibres
nerveuses : tout récemment, Siemerling, Starlin
et non pas d'une seule. La névroglie est attachée aux artères, aux
fibres
et aux cellules ner- veuses, auxquelles elle fo
vec le tissu vasculaire, ni avec les cellules nerveuses ni avec les
fibres
nerveuses. Les cellules de la mésoglie ont un a
u ne font pas reconnaître de lésions notables des cel- lules ou des
fibres
à myéline. Les artères sont le siège d'altération
onservés. Par la méthode de Pal, on note la disparition diffuse des
fibres
à myéline dans les régions que nous avons signa
s trouvée altérée macroscopiquement qu'une ra- réfaction légère des
fibres
nerveuses avec un peu d'épaississement du tissu
uve dans la partie postérieure du cordon latéral une diminution des
fibres
à myéline. » Dans le deuxième cas les lésions s
nt établies avec lenteur, suivant toute apparence. D'autre part les
fibres
à myéline touchées conservent leurs cylindres-a
antérieurs et latéraux sont intéressés. La névroglie interposée aux
fibres
et aux cellules- nerveuses est hyperplasiée, le
- ment tendance à admettre la systématisation illtra-médullaire des
fibres
constitutives des nerfs périphériques; d'où déc
e; en effet une section, pratiquée à ce niveau, doit intéresser les
fibres
qui du noyau respiratoire du nerf vague se ren-
on ; mais elle est attribuable, pour une autre partie, à ce que des
fibres
conductrices, restées intactes, suppléent dans le
la moelle interrompt le faisceau pyramidal de ce même côté. Or les
fibres
qui composent ce faisceau pyramidal conduisent
sycho-moteurs projettent sur les muscles. Les cylindres-axes de ces
fibres
représentent des prolongements descen- dant des
RAUMATIQUE DE LA MOELLE 313 le long prolongement cylindraxile d'une
fibre
nerveuse motrice ; ce pro- longement aboutit à
xile d'une fibre nerveuse motrice ; ce pro- longement aboutit à une
fibre
musculaire. - Un coup d'oeil jeté sur la figure
brale, et dont le pro- longement cylindraxile, représenté par une
fibre
pyramidale, s'entrecroise au niveau du bulbe, p
che de la moelle, suivant une direction légèrement oblique, cette
fibre
radiculaire se bifurque à son tour, en Y. Elle
ie de ces branches longitudinales, en lesquelles se subdivisent les
fibres
radiculai- res postérieures. Chacune de ces bra
dire, des branches ascendantes et descen- dantes de bifurcation des
fibres
radiculaires postérieures. Parmi ces collatéral
4). Les lignes que vous voyez dessinées en noir repré- sentent des
fibres
radiculaires postérieures irradiantes FRS, avec l
ive venue de la périphérie : Cette impression chemine le long d'une
fibre
radiculaire FRS; elle ga- gne la collatérale co
TRAUMATIQUE DE LA MOELLE 317 de la moitié droite du corps, par les
fibres
radiculaires FRS, au-dessous de la ligne a b, q
que ni les branches ascendantes b a, issues de la bifurcation des.
fibres
Fig. 4. 318 F- RAYMOND radiculaires postéri
oilà qui choque toutes les conceptions qu'on se faisait du rôle des
fibres
constituantes des cordons postérieurs. Voilà qui
ieure. L'anatomie nous enseigne que les branches de bifurcation des
fibres
ra- diculaires postérieures ne subissent pas de
pour qu'il répondit à la réalité des choses, il fin-- drait que les
fibres
longues des cordons postérieurs ne prissent qu'un
isement aussitôt après leur naissance. En tout état de cause, les
fibres
tant soit peu longues des cordons postérieurs
ences de la section du cordon de Goll qui, lui, ne renferme que des
fibres
lon- gues. On serait ainsi à même de s'éclair
On serait ainsi à même de s'éclairer sur la part qui revient à ces
fibres
longues, dans la transmission des imnressions s
ion et de la cli- nique. î-ig. b. 1, 1', Voie motrice. 2, 2',
Fibres
sensitives destinées aux muscles. 3, 3', Voie s
la suite d'une solution de continuité traumatique de la moelle, les
fibres
nerveuses divi- sées subissent, jusqu'à une cer
ive, qui se résout à la longue. On conçoit donc que les segments de
fibres
nerveuses, compris en deçà d'une hémisection, et
es nerveuses, compris en deçà d'une hémisection, et ces segments de
fibres
proviennent du côté correspondant du corps, propa
osé, étant donné que la dégénération irritative, la tuméfaction des
fibres
nerveuses, s'étend à une certaine distance au-d
érieurs et latéraux de la subs- tance blanche on voit seulement des
fibres
dégénérées isolées. Un aspect tout aulre est pr
ve une dégénérescence assez considérable, quoique non compacte, des
fibres
ner- veuses (Fig. 1). Mais, en général, dans
1). Mais, en général, dans les cordons postérieurs la quantité des
fibres
sai- nes prédomine sur celle des libres altérée
ée par la méthode de Alarchi. 350 SERGE SOUKHANOFF tionspar des
fibres
dégénérées. Dans les cellules de la corne postéri
e des cordons de Goll saute aux yeux, mais ici encore le nombre des
fibres
saines est plus grand que celui des libres alté
les cordons antérieurs et latéraux, il n'y a qu'un petit nombre de
fibres
dégénérées. La substance grise surtout de la corn
ubstance grise surtout de la corne antérieure est traversée par des
fibres
dégénérées. Le processus morbide dans les racin
le membre supérieur droit profondément atteint. Il est inerte et la
fibre
musculaire est bien près d'avoir complète- ment
du côté de l'utérus : cette action se traduit par la contraction des
fibres
musculaires utérines. On a utilisé cette propriét
ve s'entre-croisant en tous sens, à la façon d'un feutrage... ; 2° de
fibres
élastiques, assez nom-breuses, entourant en spira
sanguins, qui ne sont pas très-multipliés. M. Malassez n'a trouvé ni
fibres
cellules muscu-laires, ni nerfs bien évidents. «
dans la coxalgie musculaire), d'autre part, diminue la résistance des
fibres
, et amène des ruptures telles qu'on en ob-serve d
ns son tissu un trouble de nutrition. Les élé-ments qui le composent,
fibres
, tissu conjonclif, gaîne, se raccour-cissent alor
onne la pensée que nous n'aurions pas sectionné toute l'épaisseur des
fibres
à ce niveau. Néanmoins, et c'est là l'essentiel,
dorsal, examinée vingt-quatre heures après la mort, nous a montré des
fibres
muscu-laires pâles, ayant perdu une grande partie
on, et qui, à l'œil nu, pa-raissait un des moins atrophiés, avait des
fibres
nettement striées ; d'autres, striées dans un poi
t ail-leurs des plaques de granulations très-caractérisées ; d'autres
fibres
enfin étaient dans toute leur étendue granulo-gra
e jaunâtre très-molle. Les points les plus saillants sont séparés des
fibres
du grand pectoral par des bourses séreuses très-d
toral par des bourses séreuses très-distinctes ; un certain nombre de
fibres
de ce muscle parais-sent s'implanter sur le pédic
cordon est, dans les parties riches en mucine, formé par un réseau de
fibres
conjonctives tapissé de cel- (1) Voy. Colin, Ob
-prononcée ; à côté de faisceaux ayant encore conservé l'apparence de
fibres
musculaires, on en trouve un grand nombre qui ne
éraux décrivent la même courbe que les muscles postérieurs mais leurs
fibres
s'insèrent aux deux bords et au sommet de l'angle
° Les surfaces de section sont réunies par de nombreux trous-seaux de
fibres
très-courtes allant directement de l'une à l'autr
ourtes allant directement de l'une à l'autre. Après la section de ces
fibres
, les surfaces fracturées présentent un aspect tom
ction générale de ce faisceau graisseux différait de la direction des
fibres
voisines du court ad-ducteur, dont il était, du r
u'il a bien voulu me montrer, on voit en effet très-manifestement des
fibres
musculaires en assez grand nombre, beaucoup de va
ps pendant lequel le courant est interrompu, c'est-à-dire que plus la
fibre
musculaire est fatiguée, plus il faut de temps po
écropsie. — Le cœur est de volume normal, il n'y a de lésion ni de la
fibre
ni des orifices. — Au sommet de chaque poumon, ex
les racines spinales et pour le nerf sciatique du côté gauche. Les
fibres
musculaires, qui toutes ont conservé leur striati
oignent notablement des chiffres habituels, la largeur normale de ces
fibres
oscillant, d'a-près Kôlliker, entre 0,011 et 0,06
léments de l'organisme, et l'on peut dire sans exagération que chaque
fibre
musculaire ou chaque cellule constitue une pile.
ppareil électrique spécial des poissons, ou bien un tube nerveux, une
fibre
musculaire, etc. Dans chacun cle ces groupes, il
vaginisme au début, vaginisme passager ; altération consécutive de la
fibre
musculaire, voilà le vaginisme permanent. » M. Yi
es : il faut que le nerf moteur ait été affecté primitivement, que la
fibre
musculaire n'ait subi qu'une altération passive,
t la surface présente les parties suivantes : 1° En avant, quelques
fibres
restantes du masséter; le bord pos-térieur de la
La couche moyenne, considérablement épaisse, 0mm,l, se composait de
fibres
musculaires lisses, disposées transversalement, s
aires lisses, disposées transversalement, séparées par quelques rares
fibres
élastiques. Autour des noyaux des fibres muscul
séparées par quelques rares fibres élastiques. Autour des noyaux des
fibres
musculaires on remarquait quelquefois des granu
ié par M. Duchenne, consiste dans un raccourcissement permanent de la
fibre
musculaire pendant tout le passage d'un courant c
e infiltration de cellules arrondies; l'infiltration augmen-tant, les
fibres
du tissu conjonctif sont séparées et écartées par
embres. M. Collette est porté à admetlre une diminution de volume des
fibres
musculaires primitives. Quant au tissu cellulaire
au niveau de la fracture, entre la face antérieure de la côte et les
fibres
correspondantes du grand oblique, est une collect
et la digitaline produisent, à doses thérapeutiques, l'excitation des
fibres
musculaires du cœur; à doses toxiques, l'abo-liti
nctives, au milieu desquelles on distingue encore il peine quelques
fibres
. Les mêmes lésions se voient nettement sur les co
faisceaux nerveux sont diminués au centre des circonvolutions, les
fibres
tangentielles ont dis- paru à la périphérie. ,
e aurait plus souffert de la compression que le droit, et comme les
fibres
de la IIIe paire s'entre-croisent en partie, c'es
tion d'un muscle isolé, encore, en relation avec le névraxe par ses
fibres
afférentes, et d'un muscle qui. par l'interruptio
r ses fibres afférentes, et d'un muscle qui. par l'interruption des
fibres
proprioceptives est mis dans un état d'atonie. Da
rence essentielle entre les deux formes : malgré la destruction des
fibres
'centripètes, le tabétique est fort bien capable
inverse fait défaut chez le tabétique à cause de l'interruption des
fibres
centripètes de l'arc réflexe et les mouvements
cependant au substratum anatomique. L'existence des fais- ceaux de
fibres
unissant les noyaux lenticulaires aux noyaux roug
rieures. D'après les expériences de Bottazzi (1), il y a dans toute
fibre
muscu- laire une matière qui se contracte lente
, dans ces temps derniers surtout Boeke (2), nous ont montré que la
fibre
musculaire reçoit deux sortes de fibres nerveuses
(2), nous ont montré que la fibre musculaire reçoit deux sortes de
fibres
nerveuses : les fibres à myéline et des fibres
ue la fibre musculaire reçoit deux sortes de fibres nerveuses : les
fibres
à myéline et des fibres nues, probablement de nat
eçoit deux sortes de fibres nerveuses : les fibres à myéline et des
fibres
nues, probablement de nature sympathique. .Réce
i ressemblent à celles qu'obtenait Sherrington après la section des
fibres
proprioceptives. , Il me semble que la signific
de, face antérieure du liras), peut s'expli- quer par la lésion des
fibres
envoyées dans ce nerf par la huitième paire. Ce
ome apparaît comme étant celui d'une disso- ciation lésionnelle des
fibres
émanant de deux racines : lésion destructive de
onnelle des fibres émanant de deux racines : lésion destructive des
fibres
de la huitième cervicale amenant une parésie avec
avec hypotonie de V adducteur du pouce et une lésion irritative des
fibres
de la pre- mière dorsale, amenant une contractu
tal qui en émerge. Cela nous explique l'atteinte des deux ordres de
fibres
(huitième cervicale, première dorsale) et les i
nt, d'après les études d'Alquier (1), être le point de jonction des
fibres
musculaires et de leurs lendons. Et précisément,
is fermes ont été transformés par l'habitude, par l'éclatement, des
fibres
élastiques, en tissus plus ou moins lâches et p
rs en cause ; c'est fort possible, mais il semble que la lésion des
fibres
sym- pathiques intratronculaires suffise à déte
aires suffise à déterminer des troubles trophiques, sans lésion des
fibres
sympathiques périvasculaires, à la condition que
complète. Il suffirait de la persistance d'un très petit nombre de
fibres
pour éviter semblables troubles trophiques. Il es
bles troubles trophiques. Il est d'ailleurs vrai- semblable que les
fibres
sympathiques périvasculaires peuvent jouer un r
ne constata en effet histoiogiquement dans ce tractus que quelques
fibres
nerveuses très rares, difficiles à trouver et d
iscontinues ; le névrome lui-même contenait d'ailleurs bien plus de
fibres
conjonctives que de fibres nerveuses. En D, il
i-même contenait d'ailleurs bien plus de fibres conjonctives que de
fibres
nerveuses. En D, il s'agissait d'un sujet qui p
nalogues à celles du tabes (dégénération des zones de Lissauer, des
fibres
des cornes postérieures et du réseau des colonn
ulaires sont profondes : tout de même on constate du côté droit les
fibres
du muscle petit pectoral bien conservées. - P
t en haut, et cela à cause de l'action du muscle rhomboïde dont les
fibres
sont bien conservées. Le malade peut porter en
question d'une lésion (hémorragie, tumeur) atteignant seulement les
fibres
faciales dans leur trajet operculo-bulbaire, ca
ceau pyramidal en dedans. Dans leur trajet intra-protubérantie) les
fibres
du facial forment une. anse dans laquelle est l
faiblesse muscu- laire - et même surtout la faiblesse des muscles à
fibres
striées - sans parler de la faiblesse mentale,
x éloignés n'aient pas d'autre signification qUj3l'interruption des
fibres
d'association. La malade est aujourd'hui dans d
emne. - Nous rappellerons ici avec Stewart (p. 407) le parcours des
fibres
dila- tatrices de là pupille'. Emanant du centr
avons observée, il faut donc admettre que, dans notre cas, quelques
fibres
dilatatrices de la pupille (1) André Odoul, Les
sudation du côté lésé pourrait indiquer, dit Stewart, que quelques
fibres
sympathiques ont peut-être échappé à la lésion
e échappé à la lésion opératoire; mais il est plus probable que les
fibres
sudoripares de celte partie du visage sont four
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