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1 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
devoir noter, dans ses antécé-dents. Etant très jeune, elle a eu des fièvres revenant par accès tous les deux jours; plus tard
l'utérus devenue la plus déclive. Quinze jours après le début de la fièvre éruptive, elle enlre à l'hôpital, où nous la trou
t beaucoup mieux et pense déjà sortir de l'hôpital. Ainsi la petite fièvre du soir avait diminué; les douleurs dans les rein
le cuir chevelu, et leur développement n'aurait pas été accompagné de fièvre . Elle n'a jamais été atteinte ni de la rougeole,
encore couverte de croûtes épaisses. Mais il n'existe pas la moindre fièvre , et la malade mange d'un bon appétit. L'ulérus re
le n'éprouve aucune incommodité; elle digère bien et n'éprouve pas de fièvre le soir. L'auscultation abdominale, répétée à plu
s sensitifs (sains) et par des tubes moteurs (altérés). IV. De la fièvre typhoïde 1. ÉT10LOGIE. A. Spécificité de la f
IV. De la fièvre typhoïde 1. ÉT10LOGIE. A. Spécificité de la fièvre typhoïde. — C'est là un point aujourd'hui unanime
logie médicale de Requin. Comme la première partie du chapitre sur la fièvre typhoïde et le § A de l'étiologie, avaient déjà é
i se montre constamment ou exclu-sivement liée au développement de la fièvre typhoïde, hom-mes et femmes, jeunes et vieux, gen
jours ainsi; les conlagionnistes, les partisans de l'identité do la fièvre typhoïde et du typhus, admettent seulement que le
t que le fait a lieu quelquefois. B. Transmission contagieuse de la fièvre typhoïde. — Thèse fort controversée et qui n'est
e par le docteur Auslin Flint [Résumé de re-cherches cliniques sur la fièvre continue, Paris, 1854) à Norlh Boston, hameau de
le cours de leur longue pratique, rassembler quelques observations de fièvre typhoïde contractée dans les salles des hôpitaux
autant de conditions qui rendent très difficile la transmission de la fièvre typhoïde par voie de con-tagion. Il faut, en effe
, un séjour prolongé auprès d'un ou de plu-sieurs malades atteints de fièvre typhoïde et, confinés dans un local étroit et mal
s cas insolites d'une grande épidémie, le principe spécifique de la fièvre typhoïde est doué de peu d'énergie ; il est peu v
xies incontestablement viru-lentes. G. Développement primitif de la fièvre typhoïde. — Lors-que la fièvre typhoïde se dévelo
tes. G. Développement primitif de la fièvre typhoïde. — Lors-que la fièvre typhoïde se développe par contagion, l'apparition
encombrement peut, pour son propre compte, aggraver singulièrement la fièvre typhoïde, la fendre épidémique, ou même, enfin, l
iel le plus meurtrier. — On sait que la plus grande partie des cas de fièvre typhoïde observés à Paris, dans les hôpitaux, se
ntion des médecins est éveillée depuis la publication du Traité de la fièvre enter o-mésentérique? Est-ce la contagion, est-ce
s d'aptitude. — Développée soit par contagion, soit primitivement, la fièvre typhoïde attaque de préférence les individus âgés
ayer, dans Bullet. de YAcadémie royale de méd., t. VIII, 1842, p. 37, fièvre typhoïde, chez une femme de cinquante-six ans ; V
ne constitution forte ne nous met pas, tant s'en faut, à l'abri de la fièvre typhoïde. E. Conditions d'immunité. — Ceux qui,
ant rapporté quelques exemples, rares il est vrai, de récidives de la fièvre typhoïde. Mais ces récidives-là ont toujours été
il cas, reparaître tout le cortège des symptômes caractéristiques; la fièvre , la céphalalgie, les épistaxis, les taches rosées
e sont développés successivement dans l'ordre habituel ; et, si cette fièvre typhoïde nouvelle s'est terminée par la mort, on
de cette sorte de récidive. — On a fait remarquer avec raison que la fièvre typhoïde attaque rarement les enfants ou les adul
, d'une phlegmasie, par exemple. F. Distribution géographique. — La fièvre typhoïde est ré-pandue dans toute l'Europe. D'apr
ans les autres parties du monde, il n'est peut-être pas un pays où la fièvre typhoïde ne puisse se développer; mais elle ne s'
uelques exemples parmi les plus récents et les plus authentiques : la fièvre typhoïde a été rencontrée avec tous les caractère
din, les localités marécageuses se font remarquer par la rareté de la fièvre typhoïde, mais seulement lorsqu'elles impriment à
ute il est des cas, et c'est heureusement le plus grand nombre, où la fièvre typhoïde se présente, dès son dé-but, avec un tel
x (1519), pharyngite scarlatineuse (127), simuler à s'y méprendre, la fièvre typhoïde, c'est ce qui arrive souvent aussi, au d
ière maladie, servent le plus souvent à la faire reconnaître. 6. La fièvre typhoïde, dont la deuxième et la troisième pé-rio
mières phases de la maladie et aux cir-constances éliologiques. — Les fièvres paludéennes comateu-ses (1466), rémittentes (1469
s comateu-ses (1466), rémittentes (1469), pseudo-continues (1494), la fièvre jaune, la peste, sont autant de maladies propres
de maladies propres à cer-taines localités, à certains climats. — La fièvre puerpérale typhoïde [il85), la morve aiguë (1554)
mais il ne faut pas l'oublier, chez l'enfant comme chez l'adulte, la fièvre typhoïde se montre rarement comme affection deuté
yer, 316, J. S.) bien différent des taches lenticulaires rosées de la fièvre ty-phoïde. — Dans la méningite cérébro-spinale ép
er de notre dothiénentérie. — Les affections qui peu-vent simuler les fièvres typhoïdes et rendre son diagnostic difficile sont
complets. PRONOSTIC. Toujours grave, il se peut fort bien qu'une fièvre typhoïde, commencée sous les apparences les plus
nale, la déterminent pres-que à coup sûr. s. Certaines épidémies de fièvres typhoïdes se font remar-quer par la bénignité ext
n essence et l'enrayer dans sa marche, que M. Bouillaud applique à la fièvre typhoïde sa formule des saignées coup sur coup, f
eux, De remploi des bains et de leur utilité dans le traitement de la fièvre typhoïde ; in Arch. yen. de méd. t. XVIII, 4e sér
nous avons supposée plus haut, se rencontre assez rarement dans notre fièvre typhoïde,'où M. Louis ne l'a-vait encore observée
s, t. viii, Maladies infectieuses. 3 administré dans le cours de la fièvre typhoïde, produit un ra-lentissement très notable
rer plus de huit ou dix jours ; il paraît convenir surtout aux cas de fièvre intense avec céphalalgie vive, délire, symptômes
sement combattus par l'opium, lorsqu'ils se mon-trent au déclin de la fièvre , ou même pendant son cours, pourvu que la réactio
cidents nerveux viennent à prédominer dans les premiers temps de la fièvre typhoïde, et éclatent au milieu des symptômes de
illeurs pas l'emploi. (Voyez sur l'administration de l'opium dans les fièvres conti-nues, Sydenhàm : Opéra medica Febris contin
, t. I, p. 40. Genevee, 1757. — Cullen, loc. cit., op. cit. — Dans la fièvre typhoïde: Louis, ouvrage cité, t. II. p. 453. — M
ébriles que l'on peut aujourd'hui rapporter aux diverses formes de la fièvre typhoïde. Plusieurs auteurs, et des plus célèbres
une médica-tion éméto-cathartique, et surtout cathartique, contre la fièvre typhoïde, est venu, en s'appuyant sur un relevé s
loyée, à l'exclusion des émissions san-guines, contre tous les cas de fièvre typhoïde ; ce qui, comme on le voit, constituerai
p. 529), ont expérimenté la méthode évacuante dans le traitement des fièvres typhoïdes et, dans un rapport lu en 1837 sur ce s
ement de M. De-larroque, 48 malades chez lesquels le diagnostic d'une fièvre typhoïde ne pouvait présenter aucune espèce de do
dose, 1 gramme, 1 gramme 50 cen-tigrammes), ont été proposées dans la fièvre typhoïde sous le nom de méthode abortive, par M.
vorise. — Quelques-uns de ces faits sem-blent démontrer que certaines fièvres typhoïdes, soit sporadi-ques, même épidémiques, p
viendraient à se manifes-ter à une époque peu éloignée du début de la fièvre typhoïde (Grisolle, Traité de la pneumonie, p. 75
de poudre de quinquina, etc. V. Des affections laryngées dans la fièvre typhoïde 1. Une observation recueillie tout réc
ulons parler des affections laryngées qui accompagnent ou suivent les fièvres typhiques. Dans cette observation {Union médicale
agit d'une jeune fille qui, se trouvant en pleine convalescence d'une fièvre typhoïde, dont le début remontait à trois mois, f
e (t. I, p. 411), le célè-bre observateur avait fait remarquer que la fièvre typhoïde se distingue des autres maladies par une
sant l'exis-tence d'une diathèse ulcéreuse dans la phase ultime de la fièvre typhoïde, n'avaient guère rencontré, en France, q
Valleix,ne signalentmême pas cette dernière lésion au chapitre de la fièvre typhoïde ; d'autres comme Grisolle, se bornent à
fois chez des sujet qui avaient succombé à une période avancée de la fièvre typhoïde. que relation de cause à effet entre l
ancée de la fièvre typhoïde. que relation de cause à effet entre la fièvre typhoïde et les lésions du larynx. » Et plus loin
l'angine et la laryngite parmi les complications accidentelles de la fièvre typhoïde ; il est vrai de dire que leur assertion
ot, et qu'il désigne sous le nom de laryngite nécro-sique aiguë. « La fièvre typhoïde, dit-il, esl, en particulier, l'une des
enue vingt-trois fois dans le cours ou pendant la convalescence de la fièvre dont nous parlons (p. 116). » Puis il spécifie le
leurs proportions respectives. Dans les cinq cas survenus en cours de fièvre typhoïde, le point de départ de l'œdème laryngé a
gorge. Dans les dix-huit cas survenus pendant la convalescence de la fièvre typhoïde, l'œdème a été occasionné trois fois par
teur en terminant, de méconnaître l'influence toute spéciale de cette fièvre [typhoïde) sur le développement de l'angine laryn
la dialhèse purulente, gangreneuse et nécrosique, qui caractérise la fièvre typhoïde... Le larynx, une fois atteint de nécros
ste sur un cinquième environ des cadavres d'individus emportés par la fièvre typhoïde ( Wir-choivs Handb, t. II, p. 160). M. E
t l'auteur englobe dans son calcul les cas de typhus fever et ceux de fièvre typhoïde. (On œdema glottidis resulting from typh
Rokitansky, Canstatt, etc.) ne manquent jamais dans l'his-toire de la fièvre typhoïde, de consacrer un chapitre spécial à ce q
ontrer pendant le cours du deuxième ou du troi-sième septénaire de la fièvre typhoïde ; mais elle appartient le plus communéme
euse, qui se présente beaucoup plus rarement, et dont le lien avec la fièvre typhoïde n'est pas aussi manifeste. Alors, en gén
mies, cette complication se manifester dès les premières phases de la fièvre typboïde. Ordinairement, des fausses mem-branes e
udo-membraneuses peuvent survenir aussi dans les phases ultimes de la fièvre typhoïde. Ainsi que nous l'avons dit en commenç
Gerhard, Mémoire cité (1564). — M. Valleix, Du typhus fever et de la fièvre typhoïde et Angleterre {Archives générales de méd
ais par le docteur Verhaeghe. — De la non-identité du typhus et de la fièvre typhoïde, Bruxelles, 1852, 2 vol. in-8°. — A. Gri
pathologie interne, 6e édition, t. I, p. 59. le typhus fever et la fièvre typhoïde sont-ils deux mala-dies essentiellement
it qu'il n'existe pas de différences vraiment fondamentales entre les fièvres continues graves, endémiques ou épidémiques de la
épidémiques de la Grande-Bretagne ; il était disposé à croire que ces fièvres sont toutes produites par une même cause, et qu'e
, en Angleterre, jeté les fondements de la doctrine de l'identité des fièvres désignées sous les noms de continued fever, nervo
s rapports, à ce que nous appelons, 1. « Le type le plus commun des fièvres continues, dans le climat que nous habitons, para
t Unes of the praclice of physic, Edinburgh, 1816, p. 51.) nous, la fièvre typhoïde. Celle-ci n'est encore qu'une variété du
mptômes que l'on considère en général comme propres à caractériser la fièvre typhoïde \ Cette dernière affeclion peut, qui plu
ématique, etle typhus exanthématique peut, à son tour, transmettre la fièvre typhoïde. Enfin, s'il est vrai que l'on puisse vo
usion de l'autre, il est plus commun encore que le typhus fever et la fièvre typhoïde coexistent dans une même constitution ép
, que, pour le docteur Stokes et ses adhérents, le typhus fever et la fièvre typhoïde sont des affections consanguines. Ce ne
n peut le faire, lorsqu'il s'agit de distinguer la variole des autres fièvres éruptives. Ce sont, si l'on veut, comme les point
s ces derniers temps, régner simultanément, sous forme épidémique, la fièvre typhoïde et un typhus avec exan-thème pétéchial.
contagion. (Magnus Huss, Statistique et traitement du typhus et de la fièvre typhoïde, observations recueillies à l'hôpital Sé
sez généralement répandue en Allemagne que le typhus abdominal (notre fièvre typhoïde) et le typhus exan-thématique ne sont pa
lé, la doctrine qui consacre la non-identité du typhus fever et de la fièvre typhoïde compte parmi ses pro-moteurs des médecin
qui paraît être en tous points identique au typhus d'Irlande, — et la fièvre typhoïde, diffèrent par des caractères anatomi-
uit plus tard à admettre que cette maladie diffère complètement de la fièvre typhoïde, mais qu'elle ne saurait être distinguée
-ment encore qu'on ne l'avait fait jusqu'à lui, le typhus fever de la fièvre typhoïde. Il a rassemblé en outre (3e mémoire), u
'on ne voit jamais, par exemple, le typhus engendrer par contagion la fièvre typhoïde, ou réci-proquement. Pour le moment, i
t, ce qui n'est pas touioursle cas, à distinguer le typhus fever delà fièvre typhoïde, ne suffirait donc pas à elle seule pour
on nombre d'auteurs éminents, qu'on puisse ren-contrer quelquefois la fièvre typhoïde sans exanthème (17, 29, t.), et quelquef
s la pression des doigts ; mais pareille chose a été observée dans la fièvre d'Irlande (1738, D). La convalescence, enlin, éta
s significatifs que l'agent spécifique du typhus n'engendre jamais la fièvre typhoïde, et vice versa , si l'on fait voir qu'un
e maladie. Quoi qu'il en soit, alors même qu'on démontrerait que la fièvre continue d'Angleterre et la fièvre typhoïde recon
ors même qu'on démontrerait que la fièvre continue d'Angleterre et la fièvre typhoïde reconnais-sent toutes deux une même caus
e, appartient de droit au genre typhus (1564) ; il n'est autre que la fièvre pétéchiale des contre dans la fièvre typhoïde.
(1564) ; il n'est autre que la fièvre pétéchiale des contre dans la fièvre typhoïde. (Archives générales de médecine, janvie
édecins anglais qui se sont efforcés de le distinguer nettement de la fièvre typhoïde, et d'en faire une maladie à part. Nous
-raient pressentir déjà l'identité dénature. SYNONYMIE. Autrefois fièvre pétéchiale (febris petechialis, morbus cum petech
ques auteurs appellent encore le typhus fever du nom de famine fever ( fièvre de famine) ; mais celte dénomination est très imp
fièvre de famine) ; mais celte dénomination est très impropre, car la fièvre de famine (1422) paraît mériter de constituer une
rononcée, et les malades sont forcés de garder le lit. En général, la fièvre est, dès le début, assez intense, mais peu résist
-lin beaucoup plus promptement, en général, que cela n'a lieu dans la fièvre typhoïde. La langue se dessèche rapidement et se
bronchite latente, qu'on rencontre si souvent dès le début même de la fièvre typhoïde et qui ne contribuent pas peu à faire re
lents. Surdité; on l'observe ici à peu près aussi souvent que dans la fièvre typhoïde. La prostration des forces est portée à
er a noté l'entéro-hémor-ragie, chez un tiers des malades atteints de fièvre typhoïde, jamais il n'a vu survenir ce grave épip
se forment, surtout à la région sacro-coccygienne, tout comme dans la fièvre typhoïde (Jenner). On les a vues se produire à l'
me pro-pre au typhus fever avec les taches lenticulaires rosées de la fièvre typhoïde, on remarquera que celles-ci diffèrent d
palement par les caractères suivants : Les taches lenticulaires de la fièvre typhoïde sont en général en petit nombre ; elles
or- mation pétéchiale, d'avec les taches lenticulaires rosées de la fièvre typhoïde. C'est pour cela, peut-être, que quelque
ne marche lente et insidieuse, qui rappelle l'allure habituelle de la fièvre typhoïde. Il arrive souvent alors, con-trairement
semblance vraiment frappants qui existent entre le typhus fever et la fièvre typhoïde. Indiquons actuellement les caractères à
quoi l'éruption du typhus fever diffère de l'exanthème papuleux de la fièvre typhoïde (D. y.). — Les symptômes entéritiques, t
, le gar-gouillement de la fosse iliaque droite, qui caractérisent la fièvre typhoïde dans sa période d'augment, n'appartienne
apide. La durée totale de la maladie est moins longue que celle de la fièvre typhoïde. Tels sont les principaux caractères à l
arfois matérielle-ment impossible de distinguer le typhus fever de la fièvre typhoïde. PRONOSTIC En général, la mortalité
ui forme le principal et le meilleur des caractères anatomiques de la fièvre typhoïde, manque constamment^ au dire de quelques
tre ici plus hâtive et disparaît plus rapide-ment que dans les cas de fièvre typhoïde (Jenner). La peau du tronc et des extrém
dividu (Jenner). Suivant le docteur Ritchie, on voit assez souvent la fièvre typhoïde se développer avec tout l'ensemble des c
er des individus qui ont présenté récem-ment tous les symptômes de la fièvre typhoïde. M. Stokes dit avoir rencontré fréquemme
produit à peu près indifféremment, tantôt le typhus fever, tantôt la fièvre TOPOGRAPHIE MÉDICALE. Le typhus fever est rép
plus de ravages. Il y est endémique, et y règne conjointement avec la fièvre typhoïde. On peut se faire une idée de la proport
de l'Angleterre, si l'on consulte celles des relations d'épidémies de fièvre continue qui sont accom-pagnées de détails nécros
8 et dans celle de 1825 (Stokes). A Edimbourg, de 132 sujets morts de fièvre continue, et dont l'autopsie a été faite par le d
e, à démontrer que la con-tagion du typhus fever n'engendre jamais la fièvre typhoïde, et réciproquement. Quoi qu'il en soit,
démiographes des XVIe, XVIIe et XVIII8 siècles nous ont laissés de la fièvre pétéchiale (febris petechialis, morbus cam petech
bservées à Naples, traduct. par Belloy. Paris 1805, t. II, etc.). Les fièvres pété-chiales observées à Plymouth, par Huxham, pr
ps de grande disette. La dysenterie, les af-fections scorbutiques, la fièvre à rechute (relapsing fever), sont les maladies qu
r, c'est habituellement sous forme de pneumo-typhus, que se montre la fièvre continue d'Irlande. THÉRAPEUTIQUE. Relativeme
fection. Nous avons dit, lorsque nous avons parlé du traitement de la fièvre typhoïde (p. 36.), d'après quelles règles les che
es auteurs anglais ont les premiers étudiée et décrite sous le nom de fièvre à rechute {relapsing fever 2). 1. Gaz. hebd., 1
à rechute {relapsing fever 2). 1. Gaz. hebd., 1865, p. 225. 2. La fièvre à rechute {relapsing fever) a été aussi désignée
ésignée quelquefois sous le nom de five days fever, seven days fever ( fièvre de cinq jours, fièvre de sept jours), mild yellow
us le nom de five days fever, seven days fever (fièvre de cinq jours, fièvre de sept jours), mild yellow fever (fièvre jaune b
ever (fièvre de cinq jours, fièvre de sept jours), mild yellow fever ( fièvre jaune bénigne). Elle paraît avoir été Dans un a
docteur Herrmann, a-t-il pu donner dernièrement une description de la fièvre récurrente fondée sur la comparaison de plus de 7
Jenner, qui s'est efforcé de la distinguer du typhus fève)' et de la fièvre typhoïde, avec lesquels elle règne de concert (vo
rimée, lors du siège de Sébastopol, une étude intéres-sante sur cette fièvre . 1. Vorlœuftge Mitlheilung ùber die Epidémie de
, quant à plus de détails, ce qu'on peut extraire de télégrammes La fièvre à rechute simple ou de forme bilieuse s'est mon-t
8 ; mais généralement elle a été de 70 à 80. Quant à la mortalité par fièvre récurrente spécialement, elle a été, dans les hôp
été observées que dans un seul cas. Telle est la forme simple de la fièvre à rechute ; la forme bilieuse (febris recurrem bi
e complication. Parmi les symptômes les plus caractéristiques de la fièvre à rechute, il faut citer l'état de collapsus (alg
professeur Botkin, il ne se serait présenté aucun cas de typhus ou de fièvre typhoïde dans le service de la cli-nique, depuis
dans le service de la cli-nique, depuis le début de l'épidémie. La fièvre à rechute était, paraît-il, inconnue à Saint-Péte
douleurs musculaires et arti-culaires simulant celles du rhumatisme; fièvre intense; le pouls bat de 100 à 120 fois par minut
des selles liquides, noirâ-tres, et vomit, comme cela se voit dans la fièvre jaune, une matière noire semblable au marc de caf
ant la rechute se produire une seconde et même une troisième fois. La fièvre à rechute est rarement mortelle ; on n'a guère vu
ement : il nous apprend, en effet, que, actuellement, le typhus et la fièvre à rechute simultanément à Saint-Pétersbourg; mais
, janvier, février et mars de la présente année, le nombre des cas de fièvre récurrente l'a emporté de beaucoup sur le nombre
e typhus. Aujourd'hui, un rapport inverse semble devoir s'établir; la fièvre récurrente tend à disparaître; le typhus exanthém
fièvre récurrente tend à disparaître; le typhus exanthématique et la fièvre typhoïde se multiplient, au con-traire. Or, parei
ndon, 1862, p. 299), « la proportion relative des cas de typhus et de fièvre » à rechute a varié suivant les temps et suivant
uivant les lieux; » mais, en règle générale, la proportion des cas de fièvre à » rechute s'est toujours montrée plus grande au
e que les épidé-» mies ont progressé, le typhus a pris la place de la fièvre à » rechute. » Cette loi de succession des deux
euses, relativement à l'étiologie comparée du typhus fever et de la fièvre à rechute. Celle-ci, d'après lui, est la fièvre d
typhus fever et de la fièvre à rechute. Celle-ci, d'après lui, est la fièvre de famine par excellence, tandis que celle-là se-
ons retranché la description symptomatologique et nécroscopique de la fièvre à rechute, parce que cette description nous a par
s bien le genre typhoïde avec diverses modifications connues ; ainsi, fièvre typhoïde, typhus pétéchial, fièvre ty-phoïde bili
ses modifications connues ; ainsi, fièvre typhoïde, typhus pétéchial, fièvre ty-phoïde bilieuse (biblioses-typhoïd des Alleman
téchial, fièvre ty-phoïde bilieuse (biblioses-typhoïd des Allemands), fièvre ré-currente [febris recurrens, recurrendes Eieber
eber des Allemands, relapsing fever des Anglais). » Le typhus et la fièvre typhoïde sévissent à Saint-Péters- bourg presqu
es glaces et de la rentrée des ouvriers nomades dans la capitale, ces fièvres reparaissent, et surtout sans présenter des parti
science médicale. » Le typhus qui sévit aujourd'hui ne diffère des fièvres dont nous venons de parler que par une plus grand
Pétersbourg, et le nombre des cas constatés l'a emporté sur celui des fièvres typhoïdes, pendant les mois de novembre, décembre
e, décembre 1864, janvier, février et mars de cette année. Ce sont la fièvre typhoïde bilieuse, et tout particulière-ment la f
ée. Ce sont la fièvre typhoïde bilieuse, et tout particulière-ment la fièvre récurrente. » Deuxième question. — Est-ce que l
jusqu'à quel point s'est-elle développée? » Réponse. — Bien que la fièvre récurrente n'ait jamais été observée à Saint-Péte
Volhynie, Yladimir, Kalouga, Kiew, Koursk et Toula), l'épidémie de la fièvre typhoïde n'a pris qu'un développement peu considé
l'exception de l'épidémie de 18i0, à Moscou, à laquelle a succédé la fièvre typhoïde simple,nulle part en Russie,l'épidé-mie
cédé la fièvre typhoïde simple,nulle part en Russie,l'épidé-mie de la fièvre récurrente et bilieuse n'a présenté un déve-loppe
la maladie s'est communiquée par le toucher? (sic). » Réponse. — La fièvre récurrente, simple et bilieuse, s'est montrée con
sent ce que les médecins nom-ment gentils morborum epidemicus. « La fièvre récurrente qui se montra, vers la fin du mois d'a
» Aujourd'hui, pendant cette dernière semaine, le nombre de cas de fièvre récurrente a sensiblement diminué, et le typhus p
fièvre récurrente a sensiblement diminué, et le typhus pétéchial, la fièvre typhoïde — genre dans lequel se trans-forme aussi
chial, la fièvre typhoïde — genre dans lequel se trans-forme aussi la fièvre récurrente à son second paroxysme, — prennent la
a fièvre récurrente à son second paroxysme, — prennent la place de la fièvre récurrente. » Aujourd'hui donc, le total généra
civils est de 100 à 150 par jour, y compris le typhus pétéchial ou la fièvre typhoïde et les autres maladies aiguës. » Les h
nt qui convînt à cha-que cas; le médecin portant son attention sur la fièvre et sur l'état des organes abdominaux réussit le m
s cas de maladie et celui des morts? » Réponse. — Ce n'est pas à la fièvre récurrente que l'on doit attribuer le plus grand
le plus grand nombre de cas de mort, mais au typhus pétéchial et à la fièvre typhoïde. » Ainsi, au début de l'épidémie, la f
échial et à la fièvre typhoïde. » Ainsi, au début de l'épidémie, la fièvre récurrente don-nait la proportion de (1 : 20) 1 m
omprises. » Il reste évident que si l'on ne comprend que la maladie fièvre récurrente et typhus, la proportion sera encore p
urnalière due aux maladies épi-démiques, dans les hôpitaux, typhus et fièvre récurrente, ne s'est pas élevée, au maximum, à pl
venues » se développe au cou, aux aisselles et aux cuisses, est avec fièvre ou sans » fièvre. Nécessairement la fièvre qui se
loppe au cou, aux aisselles et aux cuisses, est avec fièvre ou sans » fièvre . Nécessairement la fièvre qui se joint à un bubon
s et aux cuisses, est avec fièvre ou sans » fièvre. Nécessairement la fièvre qui se joint à un bubon est accompagnée » de fris
qui régna en Lybie. Ils » disent que dans cette peste il y avait une fièvre aiguë, de la douleur, une » tension de tout le co
nius lui sont antérieurs. Les » détails dans lesquels entre Rufus, la fièvre , le délire, les bubons dans les » lieux ordinaire
5e vol., n° 508). L'auteur compare à la grande peste du XIV siècle la fièvre à bubons qui a sévi à plusieurs reprises, de 1817
istingue nettement deux formes de peste. Dans l'une de ces formes, la fièvre pestilentielle est accompagnée de signes extérieu
; curieux résultats obtenus de ces expé-riences. — Chirac, Traité des fièvres malignes, etc. Paris, 1742, in-12. — Ghenot, Trac
rs du XVIe et du XVIIe siè-cle, cherchaient à distinguer la peste des fièvres malignes et pétéchiales pestilentielles avec lesq
, gen. xxix). D. Dans la Nosographie philosophique, de Pinel (66) : Fièvres adéno-nerveuses (classe I ; fièvres, ordre vi). C
ie philosophique, de Pinel (66) : Fièvres adéno-nerveuses (classe I ; fièvres , ordre vi). Cet ordre com-prend à son tour un seu
n marqués et revenant par accès, de manière à simuler quelquefois une fièvre intermittente (Chenot, de Mer- Cjiargot. (Euvre
n des bubons est le signal d'un amendement de tous les symptômes ; la fièvre et les phénomènes graves qui l'accompagnaient dis
scharres. En pa-reil cas, il se développe habituellement une sorte de fièvre secondaire plus ou moins vive, qui revêt peu à pe
e secondaire plus ou moins vive, qui revêt peu à peu le carac-tère de fièvre hectique ; le dénoûment de la maladie est ainsi d
(Chenot). ê. Il peut arriver, dans cette forme de la peste, que la fièvre soit assez peu marquée pour que les malades se se
plus caractéristiques, fait assez sentir que, dans cette maladie, la fièvre est vraiment le phé-nomène capital ; elle constit
bubons parcourt toutes les périodes, sans jamais être accompagnée de fièvre , ont été signalés par bon nombre d'auteurs éminen
ir jamais rencontrés (Chenot, Martin Lange), et font remarquer qu'une fièvre prodromique légère passe quelquefois inaperçue. N
es habituellement décou-vertes, sur les bras, les jambes, le cou ; la fièvre paraît seule- (53, E.) pendant laquelle, dans l
roduction d'aucun vice anatomique apparent. Par le fait môme de cette fièvre prodromique qui paraît ne faire défaut que dans d
cette époque, régnent habituellement des maladies populaires (typhus, fièvres pa-ludéennes rémittentes ou pernicieuses), auxque
dans l'espace d'un jour, de quelques heures même, sous le coup d'une fièvre charbon-neuse sans interruption: frissons intense
te une marche moins rapide, et il y a plus de chances de guérison. La fièvre est marquée par une chaleur vive, avec pouls larg
urvient dans un laps de temps très court, à la suite d'une attaque de fièvre charbonneuse, foudroyante, par exemple, on trouve
s à ceux que nous venons de décrire ; revêtir, en un mot, la forme de fièvre charbonneuse, accompagnée ou non d'éruption, et,
le est, en général, précédée par des affections plus ou moins graves, fièvres paludéennes simples ou pernicieuses, typhus, qui
r des taches livides qui couvraient toute la surface du corps 1. La fièvre à bubons qui a été récemment observée dans certai
qu'elles apparais-sent dans des maladies autres que la peste. IX. Fièvre jaune. Bibliographie. — Febreyra da Rosa, Tratt
rnambuco, Lisboa, 1694. — « C'est là le premier traité médical sur la fièvre jaune. La maladie décrite par Ferreyra régna à Ol
he, dans son traité, les points principaux qui, dans l'histoire de la fièvre jaune, ont particulièrement éveillé la discussion
sur les maladies des Européens dans les pays chauds. — Histoire de la fièvre jaune, donnée par le docteur Bruce, p. 19, t. II.
qui a ra-vagé Philadelphie en 1793, Philadelphie, 1794. Traité de la fièvre jaune, Paris, 1820. — Chisholm, Essay on the mali
e. London, 1817. — Dalmas, Recherches historiques et médicales sur la fièvre jaune. Paris, 1805. — 2e édit. Paris, 1822. — J.-
o nella citth di Livorno l'anno, 1804. — Pariset, Observations sur la fièvre jaune faites à Cadix en 1819, Paris, 1820. — Ball
9, Paris, 1820. — Bally, François et Pariset, Histoire médicale de la fièvre jaune observée en Espagne en 1821, Paris, 1823. —
sur le typhus amaril ou maladie de Barcelone, improprement appelée fièvre jaune, Paris, 1822. Rapport sur l'origine, les pr
r l'origine, les progrès, la propagation par voie de contagion, de la fièvre jaune qui a régné en 1821 à Barcelone, Traduit de
édecin des armées anglaises, Paris, I8:i0. — Louis, Recherches sur la fièvre jaune de Gibraltar de 1828 (Dans les Mémoires de
n de Paris, t. II, 1844). Des caractères anatomiques essentiels de la fièvre jaune. (Dans les Archives gên. de méd., p 68, t.
ervin, Rapport sur deux mémoires de M. le docteur Rufz, relatifs à la fièvre jaune qui a régné à la Martinique du mois de janv
mie royale de médecine, 1842, t. VII, p. 1045). — Fi. Littré, Article Fièvre jaune du Répertoire général des sciences médicale
271. — Monneret et Fleury, Com-pendium de médecine pratique. (Article Fièvre jaune, t. V, p. 481). — G. Wood, A Treatise on th
3° édition, Philadelphia, 1852. — Second rapport sur la quarantaine — fièvre jaune, — présenté par le Conseil général de santé
s du par-lement, par ordre de Sa Majesté, Londres, 1851. — Dutroulau, Fièvre jaime, sa spécificité, cas sporadiques (Archiv. g
uve rassemblés tous les documents les plus complets relativement à la fièvre jaune. Nous lui avons fait de nombreux: emprunts.
, 1712. — Moreau de Jonnès, Monographie historique et mé-dicale de la fièvre jaune, Paris, 1S20. DÉFINITION. La fièvre jau
ique et mé-dicale de la fièvre jaune, Paris, 1S20. DÉFINITION. La fièvre jaune, pyrexie endémique et épidémique, qui, jusq
IV, 7) ; de Cullen (ord. I, sect. II, Febres continuée, gen. V). 6. Fièvre jaune d'Amérique, dans la Nosographie philoso-phi
oso-phique de Pinel (classe I, ord. V, Ataxiques malignes, genre XII, Fièvre ataxique contagieuse, espèce 2e). y. Mal de Sia
nre XII, Fièvre ataxique contagieuse, espèce 2e). y. Mal de Siam. — Fièvre de Bulam ou de Bulama. — Cette dénomination a été
m ou de Bulama. — Cette dénomination a été assignée par Chisholm à la fièvre jaune pestilentielle qui a ravagé une partie du n
typhus amaril, par Rochoux, qui s'est efforcé de la distinguer de la fièvre jaune des Antilles. Elle n'en diffère cependant p
TOMATOLOGIE. A. Prodromes. — Les individus qui vont être pris de la fièvre jaune ressentent, pendant les quelques jours qui
e, lorsque la réaction fébrile est violente, rosée seulement quand la fièvre est peu marquée. Les yeux sont injectés, brillant
arrachent des cris aux malades. C'est à ces derniers symptômes que la fièvre jaune doit le nom de coup de barre, sous lequel l
ncipe colo-rant de la bile (La Roche). — Cette deuxième période de la fièvre jaune dure environ vingt-cinq ou trente heures.
des nausées, des diarrhées bilieuses. F. Variétés principales de la fièvre jaune. — a. Telle est la fièvre jaune lorsqu'elle
uses. F. Variétés principales de la fièvre jaune. — a. Telle est la fièvre jaune lorsqu'elle parcourt régulièrement toutes l
dmise par la plupart des épidémiographes anglais et américains : 1° fièvre jaune inflammatoire, 2°fièvre jaune congestive (J
asiatique, et l'on a sous les yeux un exemple de cette variété de la fièvre jaune que le docteur Gillkresl a appelée variété
et elle aboutit à une terminaison funeste. 6. On rencontre dans la fièvre jaune épidémique, comme aussi dans la peste (p. 9
, dans ces derniers temps, de légitimer l'existence d'une forme de la fièvre jaune dans laquelle la maladie se présenterait so
logiques et symptomalo-logiques, que d'établir qu'il existe entre les fièvres d'intoxica-tion paludéenne et la fièvre jaune des
ablir qu'il existe entre les fièvres d'intoxica-tion paludéenne et la fièvre jaune des affinités intimes et que celle-ci n'est
des auteurs les plus à même de l'étudier sous toutes ses faces : « la fièvre jaune, dit M. Dutroulau (loc. cit., p. 135), subi
on où on l'observe, soit que l'épidémie se déclare dans la saison des fièvres , soit que sa longue durée lui fasse subir les var
fasse subir les variations des diverses saisons de l'année. Quand la fièvre jaune sévit pendant l'hivernage et dans toute s
ité, il est impossible de lui reconnaître Je moindre rapport avec les fièvres d'accès. Mais, dans quelques épidé-mies et surtou
e aussi que l'élément paludéen vient s'ajouter à celui que produit la fièvre jaune. C'est ordinaire-ment au début qu'on observ
de lièvre intermittente bien caractérisée; quelquefois c'est après la fièvre jaune qu'on voit des accès de fièvre simple se dé
isée; quelquefois c'est après la fièvre jaune qu'on voit des accès de fièvre simple se déclarer; quelquefois enfin, c'est chez
et il est évident qu'un élé-ment étiologique particulier, celui de la fièvre jaune, est venu s'ajouter à l'élément paludéen. S
ôt en fournir la preuve. Le sulfate de quinine, si puissant contre la fièvre d'accès, vient échouer toujours contre les symptô
vre d'accès, vient échouer toujours contre les symptômes graves de la fièvre jaune. Je crois, en conséquence, ajoute M. Dulrou
nce, ajoute M. Dulroulau, qu'il n'est pas exact de dire qu'il y a des fièvres jaunes intermit-tentes, Vmsi que je l'ai dit moi-
r une étude attentive des documents les plus importants concernant la fièvre jaune à partager l'opinion si nettement formulée
montre cons-tamment, pendant sa première période, sous la forme d'une fièvre continue présentantparfoisdesexacerbalions quisur
e, le plus souvent au moins, chez les individus qui ont succombé à la fièvre jaune, et qui a été considérée par M. Louis, d'ap
e extrêmement rap-prochée du début (Louis); M. Dutroulau (Epidémie de fièvre jaune à la Martinique, de février 1839 à juillet
également rencontrée sur cent cinquante sujets morts à la suite de la fièvre jaune qui a régné en 1838. Il paraît certain, tou
aujourd'hui encore, dans quelle relation elle est avec l'ictère de la fièvre jaune; si, par exemple, elle existe constamment,
anguins ou du sang mêlé à la bile (Louis). 1. Lors de l'épidémie de fièvre jaune qui a sévi à Philadelphie, en 1853 et 1854,
s des vaisseaux. (Desmoulins, Sur létal anatomique de la peau dans la fièvre jaune, in Journal compl. du Dict. des se. médic.,
opinion de quelques auteur* qui attribuent la matière mélanique de la fièvre jaune, en suivant l'expression de Bally, le mélan
. — Le sang qu'on lire pendant la vie, chez les individus atteints de fièvre jaune, lors des premières pério-des, présente que
fois dans le tissu cellulaire sous-arachnoïdien, il n'y a pas dans la fièvre jaune d'altérations du système cérébro-spinal qui
ormal. — Les ca-davres des individus qui ont succombé rapidement à la fièvre jaune sont quelquefois pris peu de temps après la
és chez les individus qui ont succombé à la suite du choléra ou de la fièvre jaune, Th. Paris, 1855.) TOPOGRAPHIE MÉDICALE.
Th. Paris, 1855.) TOPOGRAPHIE MÉDICALE. Le véritable foyer de la fièvre jaune, c'est une région du Nouveau-Monde -compris
t, en outre, une particularité dans la répartition géographique de la fièvre jaune sur le continent et dans les îles du Nouvea
mmunité d'ailleurs très marquée. — En Europe, on n'a guère observé la fièvre jaune que sur les côtes d'Espagne, à Cadix, à Car
s, en effet, ainsi que nous le verrons ailleurs, pour caractériser la fièvre jaune. ÉT10LOG1E. a. Si l'on recherche mainte
lles sont les conditions lopographiques à tous les lieux où paraît la fièvre jaune, on remarque que cette maladie ne sévit guè
us de 2.000 mètres au-dessus du niveau de la mer. ê. Les pays où la fièvre jaune est endémique appartiennent aux climats les
'intoxication paludéenne ; si elles nous font comprendre pourquoi les fièvres intermittentes et rémittentes se montrent si fréq
ittentes et rémittentes se montrent si fréquemment en compagnie de la fièvre jaune, elles ne nous dévoilent certainement pas l
le mystère qui couvre encore l'origine de cette dernière maladie. La fièvre paludéenne est endémique à peu près partout où il
e développe aussi, le plus souvent, sous l'influence maremmatique, la fièvre jaune ne s'éloigne pas du rivage de la mer et ell
s pas? L'agglomération des indivi-dus (y) favorise l'apparition de la fièvre jaune; les fièvres inter-mittentes et rémittentes
tion des indivi-dus (y) favorise l'apparition de la fièvre jaune; les fièvres inter-mittentes et rémittentes peuvent sévir dans
lier, n'ont pas ruiné la doctrine delà transmission contagieuse de la fièvre jaune, ils ont au moins abouti à un résultat impo
on de cette maladie. Reste à savoir maintenant, si la contagion de la fièvre jaune ne peut pas s'opérer dans de certaines limi
Ce n'est pas par le mécanisme de la transmission conta-gieuse que la fièvre jaune a été portée soit du nouveau dans l'ancien
c ce qui nous est enseigné par l'étude chronologique des épidémies de fièvre jaune; elle s'appuie, en outre, sur les analogies
holéra pestilentiel. %. Les individus qui ont une fois contracté la fièvre jaune en sont exempts pour l'avenir, c'est une rè
souffre peu d'exceptions et qui fait contraste avec ce qu'on sait des fièvres paludéennes, dont les récidives sont si fréquente
s à 1 influence paludéenne, échappent cependant presque toujours à la fièvre jaune dans les pays où elle est endémique et où e
nnelles généra-les, capables, en temps d'épidémie, de faire éclore la fièvre jaune. DIAGNOSTIC. Les fièvres intermittentes
emps d'épidémie, de faire éclore la fièvre jaune. DIAGNOSTIC. Les fièvres intermittentes pernicieuses, les pseudo-conti-nue
ti-nues, les rémittentes bilieuses se rencontrent partout où règne la fièvre jaune dont il est souvent difficile de les distin
stoire peut être, pour un instant au moins, rapprochée de celle de la fièvre jaune en raison d'analogies incontestables qui ne
re beaucoup d'obscurité sur presque tous les points de l'histoire des fièvres rémittentes bilieuses des pays chauds (1719, G.);
mprend ainsi qu'il nous soit difficile d'opposer les symptômes de ces fièvres à ceux de la fièvre jaune. Yoici, en peu de mots,
us soit difficile d'opposer les symptômes de ces fièvres à ceux de la fièvre jaune. Yoici, en peu de mots, comment on trouve c
due des États-Unis d'Amérique (Wood, loc. cit., p. 312, 313). Dans la fièvre en les envisageant dans leur ensemble, dans leu
résentent suivant chaque période, qu'on parvient au diagnos-tic de la fièvre jaune. L'ictère, par exemple, se montre dans les
congestive se ren-contre dans le choléra asiatique et dans certaines fièvres pernicieuses, etc. — Un des caractères les plus i
vres pernicieuses, etc. — Un des caractères les plus importants de la fièvre jaune peut être tiré de sa marche ; nous voulons
re, le rôle d'une maladie nouvelle ; on le retrouverait aussi dans la fièvre intermittente, lorsqu'elle revêt au second accès,
type continu. \\ caractérise, au contraire, toutes les époques de la fièvre bilieuse, mais il se présente constamment alors a
t tous les deux jours. — Les évacuations bilieuses sont rares dans la fièvre jaune, elles sont habituelles, et en général très
ourpre de la face et des conjontives, qui est un des caractères de la fièvre jaune. — Il y a dans la fièvre rémittente des vom
tives, qui est un des caractères de la fièvre jaune. — Il y a dans la fièvre rémittente des vomissements d'une matière homogèn
ère, par conséquent, de celle qui constitue le vomissement noir de la fièvre jaune. — La fièvre jaune, lorsqu'elle exisle sans
, de celle qui constitue le vomissement noir de la fièvre jaune. — La fièvre jaune, lorsqu'elle exisle sans complication, ne d
t là, au contraire, une terminaison pour ainsi dire habi-tuelle de la fièvre bilieuse. — On a dit que la fièvre jaune n'était
pour ainsi dire habi-tuelle de la fièvre bilieuse. — On a dit que la fièvre jaune n'était que le plus haut degré de la fièvre
. — On a dit que la fièvre jaune n'était que le plus haut degré de la fièvre bilieuse; il n'en est rien : celle-ci comme celle
nt meurtrière, sans rien perdre de ses attributs caractéristiques. La fièvre jaune, par contre, peut être aussi bénigne que l'
que l'est souvent la bilieuse rémittente. — Lorsqu'on a contracté la fièvre bilieuse pendant l'automne, on est prédisposé à l
nouveau pendant l'automne suivant. 11 est rare, au contraire, que la fièvre jaune atteigne deux fois un même individu. — La l
ent au voisinage de la mer, sur le rivage des grands cours d'eau ; la fièvre rémittente bilieuse ne reconnaît pas de limites g
ôtes de l'Océan. On ne la voit guère dans les villes, tandis que la fièvre jaune sévit principalement dans les grands centre
nds centres de popu-lation. — Bans les pays où elle est endémique, la fièvre jaune épargne les indigènes, tandis que la fièvre
e est endémique, la fièvre jaune épargne les indigènes, tandis que la fièvre bilieuse n'y épar-gne personne. — Les lésions ana
t pas les mêmes dans les deux-maladies. La rate, par exemple, dans la fièvre rémittente bilieuse, se montre presque toujours v
ération toute spéciale, bien diffé-rente de celle qui est propre à la fièvre jaune, et qui a appelé, dans ces derniers temps s
ronzée, toute particulière (voyez sur les altérations du foie dans la fièvre rémittente bilieuse, Sta-vardson, Americ. Journ.
, 315; Stillé, ijbid., p. 323 ; La Roche, loc. cit., t. II;. 6. Les fièvres pernicieuses algides, comateuses, délirantes ou c
es, délirantes ou convulsives, lorsqu'elles débutent par des accès de fièvre intermittente simple, ne sauraient guère être con
èvre intermittente simple, ne sauraient guère être confondues avec la fièvre jaune. L'erreur serait possible, pour un instant
tres symptômes, qui se montrent toujours, au moins en partie, dans la fièvre jaune, alors même qu'elle revêt une forme anormal
esquisser rapidement le tableau symptomatologique du relapsing fever ( fièvre à rechute), des médecins anglais, pour faire ress
et mon- Irer les différences qui existent entre cette maladie et la fièvre jaune, à laquelle on Fa comparée *. L'invasion es
douleurs musculaires et articulaires simulant celles du rhu-matisme; fièvre intense: le pouls bat de 400 à 120 fois par minut
malade rend des selles noirâtres et vomit, comme cela se voit dans la fièvre jaune, une matière noire semblable au marc de caf
t, à la suite d'une sueur copieuse. — La convalescence qui se 1. La fièvre à rechute [relapsing fever) a été aussi quelquefo
lquefois désignée sous les noms de ftve days fever, seven days fever ( fièvre de cinq jours, fièvre de sept jours), bilious rém
les noms de ftve days fever, seven days fever (fièvre de cinq jours, fièvre de sept jours), bilious rémittent fever, mild yel
s, fièvre de sept jours), bilious rémittent fever, mild yellow fever ( fièvre jaune bénigne). — Elle paraît avoir été remarquée
r Jenner, qui s'est efforcé de la distinguer du typhus fever et de la fièvre typhoïde. (Voyez l'article qui a été con-sacré à
s rechutes se reproduire une seconde et même une troisième fois. — La fièvre à rechute est rarement mortelle ; on n'a guère vu
écrite sous le nom d'ictère grave, et quelquefois aussi sous celui de fièvre jaune sporadique, que nous aurons à rechercher en
à rechercher en quoi elle se rapproche et en quoi elle diffère de la fièvre jaune proprement dite. pronostic. Il en est d
re de la fièvre jaune proprement dite. pronostic. Il en est de la fièvre jaune comme de la peste; dans certains cas, c'est
au {loc. cit., p. 449), considérer la complication paludéenne dans la fièvre jaune comme étant toujours fâcheuse, en ce que le
Christophe Colomb. On ne sau-rait, à plus forte raison, décider si la fièvre jaune régnait léjà sur quelques points de l'Améri
lques points de l'Amérique, antérieurement à la conquête. Quant à ces fièvres très violentes avec teinte jaune de la peau et dé
ues, elles se rapportent, suivant M. Liltré (loc. cit., p. 311), à la fièvre rémittente bilieuse des pays chauds qui paraît av
sem-blent l'admettre certains auteurs partisans de l'antiquité de la fièvre jaune, pour caractériser cette maladie. — Les épi
is (voyez l'article consacré à la Bibliographie). SPÉCIFICITÉ DE LA FIÈVRE JAUNE. La fièvre jaune se présente avec des all
consacré à la Bibliographie). SPÉCIFICITÉ DE LA FIÈVRE JAUNE. La fièvre jaune se présente avec des allures toutes spécial
ble d'altérations qui ne se retrouve dans aucune autre maladie. Si la fièvre jaune n'est point con-tagieuse, ce qui d'ailleurs
orcer toutes les analogies, que de vouloir fondre l'histoire de cette fièvre dans celles des fièvres intermittentes ou des fiè
ies, que de vouloir fondre l'histoire de cette fièvre dans celles des fièvres intermittentes ou des fièvres rémittentes bilieus
istoire de cette fièvre dans celles des fièvres intermittentes ou des fièvres rémittentes bilieuses des pays chauds. THÉRAPEU
pas de médication empirique ou spécifique qui puisse triompher de la fièvre jaune, et c'est à la médecine symptomatique qu'il
mploi dans les cas où les accidents nerveux se décla-rent. Lorsque la fièvre jaune se complique de l'élément palu-déen, mais s
trer d'une efficacité réelle. « Il a existé beaucoup d'épidémies de fièvre jaune ; on en trouve la description dans un grand
pplicable à la plupart des affections épidémiques, l'est surtout à la fièvre jaune, qui a été, comme nous l'avons rappelé tout
ie de cet organe, avec coloration jaune plus ou moins foncée, dans la fièvre jaune, est généralement considérée, depuis les tr
peintures représentant les viscè-res abdominaux d'individus morls de fièvre jaune à Lisbonne, et une de ces peintures est des
a-daire, 1858, p. 114. Caractères anatomiques et nosologiques de la fièvre jaune et de l'ictère grave '. tion qui est prop
ite par M. Louis est à peu près, sinon tout à fait, constante dans la fièvre jaune. M. Dutroulau, dans une épidémie de fièvre
t, constante dans la fièvre jaune. M. Dutroulau, dans une épidémie de fièvre jaune à La Martinique, de février 1839 à juillet
avec les données de la symptomatologie, à démontrer l'identité de la fièvre jaune sous des latitudes et des climats différent
est le siège diffère en quelques points de celle qui est propre à la fièvre jaune. Ainsi : 1° le foie, dans le typhus ictérod
ne encore cette espèce d'ictère, est en ce sens vicieuse ; 2° dans la fièvre jaune, le tissu du foie est toujours sec, anémiqu
de bile ; 3° enfin, et cette diffé-rence est très importante, dans la fièvre jaune, les cellules hépatiques se flétrissent, se
es d'opium parviennent à peine à atté-nuer. Il se développe enfin une fièvre assez vive, de l'oppression, et l'examen du thora
ement fétide se manifesta ; des dou-leurs de reins assez vives, de la fièvre , une grande prostration, furent les principaux sy
la défécation, même dans les derniers temps de la vie. Surviennent la fièvre hectique, le délire fugace, la diarrhée colliquat
rtout au-dessus de l'arcade fémorale du côté gauche; il s'y joint une fièvre adynamique, et le malade meurt. A Vautopsie, on
ses en restèrent là jusqu'en 1834 ; à celte époque, Kurth fut pris de fièvre , de soif, d'inappétence, et de douleur à l'endroi
laissa après lui des taches de purpura et il se déclara une sorte de fièvre hectique. L'émaciation devint extrême, et il fut
ni d'attaques ou de mouvements épileptiformes. Il n'y a jamais eu de fièvre . Du 10 au 20, tous les symptômes vont en s'aggr
il est vrai qu'affaibli parla marche rapide de ses tubercules, parla fièvre , par une diarrhée incessante, il ne mangeait pres
males et goutteuses, les ma-ladies dartreuses, etc. ; puis celles des fièvres essentielles, dont la nature spécifique est encor
aladies enfin qui se comportent, à plusieurs égards, à la manière des fièvres , comme f'érysipèle snonlané, la grippe, etc. — Ce
t-on au-jourd'hui contre la scarlatine, contre la rougeole, contre la fièvre typhoïde même, une fois déclarées, lorsque ces ma
st ainsi qu'on administre le quinquina pour couper court aux accès de fièvre paludéenne exemptes de gravité, et qui tendent na
rire si la maladie venait à revêtir une de ces formes graves dont les fièvres intermit-tentes pernicieuses nous offrent des exe
dications rationnelles, céder le pas aux méthodes actives. Dans les fièvres éruptives, par exemple, dans les pyrexies bénigne
nous disons ici s'applique surtout aux pyrexies typïio-des 2 (typhus, fièvre pétéchiale, fièvre typhoïde, peste, fièvre jaune)
pplique surtout aux pyrexies typïio-des 2 (typhus, fièvre pétéchiale, fièvre typhoïde, peste, fièvre jaune). Mais on pourrait
xies typïio-des 2 (typhus, fièvre pétéchiale, fièvre typhoïde, peste, fièvre jaune). Mais on pourrait l'appliquer, d'une maniè
inité pour la saignée. En tête, se placeraient les phlegmasies et les fièvres inflammatoires par excellence, ou celles dans les
De limitanda febris laude1. On sait aujourd'hui, par exemple, que la fièvre quarte ne guérit point l'épilepsie ; mais on sait
elle peut devenir le point de départ d'une expectation raisonnée. —La fièvre in-termittente vulgaire, par exemple, dans notre
fixé à l'avance. Quoi qu'il en soit, cette solution spontanée de la fièvre intermittente vulgaire s'opère, le plus souvent,
particulier des recherches entreprises par Pinel sur l'évolution des fièvres tierces abandonnées en partie à elles-mêmes 2. El
a rigueur, pas grand in-convénient à ne pas intervenir dans un cas de fièvre intermit-tente vulgaire, pourvu qu'on fût placé d
rrive-t-il 1. II n'en serait plus de même dans certains lieux où la fièvre intermit-tente est endémique. « Lorsqu'on abandon
andonne à elles-mêmes, dit le profes-seur Griesinger de Tubingue, les fièvres intermittentes de notre pays, même les plus légèr
'est ce que nous observons tous les jours, dans le cours de certaines fièvres typhoïdes, alors que les signes d'hypersthénie du
ions légères qui ne mettent pas la vie en dan- 1. Recherches sur la fièvre typhoïde, t. II, p. 379. ger; contre ces affect
rations analogues, on a été entraîné à user de l'expectation dans les fièvres éruptives, les pyrexies contagieu-ses, et à faire
guérison. L'expé- rimentation par l'expectation a fait voir que la fièvre intermit-tente d'origine paludéenne peut se guéri
ne3, et celles de Pi-nel*. Il n'est évidemment question ici que de la fièvre intermit-tente simple, vulgaire; une expérimentat
ys et de cli-mat sur certaines affections, sur la dyssentérie, sur la fièvre in-termittente elle-même. CONCLUSIONS ET PROPOS
ans un mémoire inséré dans les Archi-ves générales de médecine (De la fièvre synoque péripneumo-nique, juillet et août 1855),
ammation du poumon participant de la nature bénigne de la maladie (la fièvre synoque), c'est-à-dire atteignant bien rare-ment
té, par un frisson, souvent des vomissements, du point de côté, de la fièvre , de la toux, de l'oppression, des crachats rouill
diarrhée n'est point arrêtée. L'appétit est presque nul, il y a de la fièvre ; il y a eu un peu d'agitation pendant la nuit, à
rbations paroxystiques. Il y a eu de l'anorexie et probablement de la fièvre , à savoir: chaleur pendant la nuit et sueurs abon
d'argent : on peut en pren-dre de 3 à 5 par jour. — La diarrhée de la fièvre typhoïde, lorsqu'elle est entretenue par l'ulcéra
ts résultats. Il ne faudrait pas administrer ce remède au début de la fièvre typhoïde, ni dans le cas où la diarrhée est peu a
d'angine diphtéritique................................ 13 IV. De la fièvre typhoïde.........................................
............................ 29 V. Des affections laryngées dans la fièvre typhoïde................ 41 VI. Typhus fever de
decins anglais............................ 50 Le typhus fever et la fièvre typhoïde sont-ils deux maladies es-sentiellement
érapeutique................................................ 123 IX. Fièvre jaune............................................
............................................. 153 Spécificité de la fièvre jaune................................... 153 Th
............... 154 X. Caractères anatomiques et nosologiques de la fièvre jaune et de l'ictère grave.....................
; — dans les ma-ladies aiguës, 326; — indications de 1' —, 330. f Fièvre , intermittente vulgaire, 325; — expectation dan
; — symptômes, 128; — prodomes, 128 ; — première période, frissons, fièvre , coup de barre, 129; — ac-cidents gastriques, dél
1 46; — diagnostic, 146; — avec la re-lapsing fever, 147; — avec la fièvre rémittente bilieuse, 147 ; — avec la fièvre per
g fever, 147; — avec la fièvre rémittente bilieuse, 147 ; — avec la fièvre pernicieuse, 149; — avec l'ictère grave, 149; —
té, 87; — statistique des malades atteints, 90; — diagnos-tic avec la fièvre jaune, 147, 149. — rémittente bilieuse, 147.
té, 23; — distribution géogra-phique, 24; — diagnostic, 24; — avec la fièvre synoque, 25; — avec les fièvres éruptives, 25; —
hique, 24; — diagnostic, 24; — avec la fièvre synoque, 25; — avec les fièvres éruptives, 25; — avec les états typhoïdes, les fi
25; — avec les fièvres éruptives, 25; — avec les états typhoïdes, les fièvres paludéennes comateuses, 26; — la fièvre puerpéral
vec les états typhoïdes, les fièvres paludéennes comateuses, 26; — la fièvre puerpérale, le choléra pestilentiel, 26; — avec l
els d'argent dans les —, 435. I Ictère, grave: diagnostic avec la fièvre jaune, 151 ; — caractères anatomiques 158. — si
cheval, 261. (Voir Hydatides.) L Laryngées (Affections — dans la fièvre typhoïde), 41; — ulcéra-tions, 42. Laryngite né
s le péritoine, 298, 299. Relapsing fever, 81; — diagnostic avec la fièvre jaune, 147, 149. Rhumatisme articulaire aigu :
2 (1899) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1898
hées. Comme maladies contagieuses nous n'avons à citer qu'un cas de fièvre typhoïde suivi de gué- rison. il. Statistiq
sions dans l'enfance. Mère, rhumatisme articulaire aigu à 18 ans; fièvre typhoïde à 22 ans, .postérieure à la nais- sanc
che étant enfant; puis légères bronchites jusqu'à l'âge de 8 ans; fièvre de croissance a 13 ans; pas de syphilis, pas d'et
igu il 18 ans, sans retentissement sur le coeur. Mariée à 19 ans. Fièvre typhoïde, peu grave, à 22 ans, après la naissance
, Pet... n'a . " Imbécillité athétosique. 29 été atteint d'aucune fièvre éruptive, ni de diphtéric, ni dc mala- die typh
ccidentée par des émotions. - Bien portant jusqu'à 3 ans. - A 3 ans fièvre typhoïde et méningite ou fièvre typhoïde avec c
portant jusqu'à 3 ans. - A 3 ans fièvre typhoïde et méningite ou fièvre typhoïde avec complications mèningitiques . Aff
eurs de tète qui était renversée en arrière ; le corps était raidi, fièvre très forte, vomissements ; il aurait eu aussi «
ssance durant une semaine. Le médecin a dit d'abord qu'il avait une fièvre muqueuse, puis une méningite. » Quand ces sympt
d'une santé florissante. Pas de convulsions dans l'enfance; pas de fièvre typhoïde, ni de migraines, ni d'affeç- Antécéde
aussi grosse que maintenant ». Pas de chorée, pas de convulsions ni fièvre typhoïde. Réglée sans accidents à Il ans et dem
il 18 mois ; coqueluche légère à 20 mois ; pas de scarlatine, ni de fièvre muqueuse, ni de croup ni oreillons; ni chorée,
anger ; a des douleurs dans les coudes, les genoux, les pieds, avec fièvre . Cependant le sommeil reste bon, sans cauchemar
a langue et les lèvres sèches et fuligineuses, n'a pas néanmoins de fièvre . Il a notablement maigri. - Purgatif. Soir : T.
tissement prononcé, lamelliforme, des circonvolutions. Epidémie de fièvre typhoïde à Bicêtre ; l ? n 1111L : 1\"'E\'ILLE
vant donne une idée de la marche de l'épidémie. 102 Épidémie DE fièvre typhoïde. Nous avons cherché à rapprocher de ce
e. Nous avons cherché à rapprocher de ce tableau celui des cas de fièvre typhoïde qui se seraient produits à l'hospice d
30 novembre 1892, nous avons dû nous borner à relever les décès par fièvre typhoïde et nous ne nous illusionnons pas sur t
oncle maternel, carac- tère original. Rougeole, coqueluche pas de fièvre typhoïde antérieure, I prolapsus du rectum, sto
inférieurs. Marche à quatre ans. Rougeole, scrofule, gourme; pas de fièvre typhoïde antérieure. Se) ? 11 ans et demi, entr
ans et demi, entre il l'infirmerie le 2fi août, se 104 Épidémie de fièvre typhoïde. plaignant de mal de tète et de mal de
diarrhée. - Pouls rapide mais bien frappée . , . 406 Épidémie DE fièvre typhoïde. 90 septembre.- Etat général satisfais
es et soeurs morts de convulsions. Convulsions ; coqueluche, pas de fièvre typhoïde ; glossite syphilitique ( ? ) ; blépha
coolique. Grossesse accidentée par des chagrins. Rougeole, pas de fièvre typhoïde antérieure. Cort.... (Jean,) 16 ans, e
ulement depuis- la veille que l'on s'est aperçu que 108 Épidémie de fièvre typhoïde. l'enfant semblait malade. Langue sèch
ent long. Convulsions ; rougeole, scarlatine, co- queluche ; pas de fièvre typhoïde, Mas... (Léon), 12 ans, conduit à l'in
aggravation des signes pulmonaires ; mais la langue 110 Epidémie de fièvre typhoïde. devient saburrale, le ventre sensible
les trois heures; mais l'entant était soignée dans 112 Épidémie de fièvre typhoïde. sa famille, et le traitement n'a pas
ol congénital à gauche, - Convulsions. Rougeole, scarlatine, pas de fièvre typhoïde antérieure. Accidents scrofuleux. .
édecins. ......., - BOU)1NVILI ? Bicêtre, 1898. 8 114 ÉPIDÉMIE DE fièvre typhoïde. Cyanose à la naissance. - Convulsions
ain s'abaissait en géné- ral d'un degré à peine. 1-16 Épidémie de fièvre typhoïde. Cuir chevelu maigre et pâle. - Crâne
ids et de la taille. 119 Cas suivis de décès. 121 OBs. XVIII. - Fièvre typhoïde chez un infirmier. Del..., infirmier,
otie symptomatique d'un arrêt de développement des circonvolutions. Fièvre typhoïde, perforation intestinale.. Sommaire. P
rrhée fréquente, ascarides. Rougeole à. Sans, - Scarlatine à 9 ans. Fièvre lyphoïde, ,per/,Q- -. ration. Mort ? . . .. - ?
re lyphoïde, ,per/,Q- -. ration. Mort ? . . .. - ? 12 Epidémie de fièvre typhoïde. Autopsie. - Perforation il la partie
que, présentant de la nécrose d'un fémur; le troisième est mort d-s fièvres en Cochinchine. - Une soeur morte de la coquelu
nt, mais la mère était convalescente depuis un mois à peine d'une fièvre typhoïde; celle-ci déclare, d'ailleurs, qu'elle n
890). 124 Epidémie de FIËVDE typhoïde rougeole, de scarlatine, de fièvre typhoïde. Sujet à la diarrhée, a eu beaucoup d'
embre, - L'éruption a entièrement disparu; -mais' 126 Épidémie DE fièvre typhoïde. les signes pulmonaires persistent ; l
re. - Entré au pavillon d'isolement, en présentant les signes d'une fièvre scarlatine au début. - La maladie, dans son ens
aibli, et les bains Bourneville, Bicêtre, 1898. 9 130 Epidémie de fièvre typhoïde. froids qui les jours précédents déter
st tombée ,iL 37°, 4 et remonte le soir à 39°. ' - - 1,ig. 11. -- Fièvre tyloSule. -- lI. mort. Epidémie DE fièvre typho
39°. ' - - 1,ig. 11. -- Fièvre tyloSule. -- lI. mort. Epidémie DE fièvre typhoïde. 132 . 11 aoîtt. - Même état; dans l
a M t- ! i-3 M. >3 M ►*. w OS 134 Epidémie DE fièvre TYPHOIDE, Autopsie faite vingt-quatre heures ap
I. Notons que la grossesse est survenue dans la convalescence d'une fièvre .typhoïde,.qu'elle : a été compliquée 'de vomis
eux maladies et mieux se rendre compte de la température clans la fièvre typhoïde.' ' ? : .; , V..En ce qui concerne cet
tempéra- ture terminale. ' 1 1 OBS. XX. - Idiotie et épilepsie. - Fièvre typhoïde compliquée de péritonite généralisée c
ptifo1'1ne. ? Caractère emporté, mendiant - Rougeole.. ? -Teigne; - Fièvre typhoïde. Mort'par péritonite généralisée. - ?
yphoïde. Mort'par péritonite généralisée. - ? ' , : ? Epidémie de fièvre typhoïde. - 139 Lau.. (Maurice), né à Paris le
. Deux jours après, au dire do la mère, l'enfant avait encore de la fièvre . Depuis lors les accès n'ont jamais cessé penda
rise le malade est plongé dans la somnolence est présente un peu de fièvre ( ? ) Rarement on a observé plus d'un accès dan
-unes desquament. r.rt.31°,4, ...... ? .... : 142 - ? Epidémie de fièvre typhoïde. 23 février. - Lau... guéri, est renvo
ans chercher à se sauver. 1898. 4 octobre. - Depuis quelques jours, fièvre avec toux, -anorexie; pas de vomissements, ni d
mie pE.FIÈV.RE typhoïde. Cas suivis de décès. li7 148 Epidémie DE fièvre typhoïde. Lobe pariétal. PA est beaucoup moins
s appréciables. Pancréas blanc et assez dur. - '160 : Épidémie, de - fièvre typhoïde. Rien du côté de la vessie ni des orga
s, constatées à l'autopsie, en fournis- sent l'explication. V. La fièvre typhoïde, sauf une période passagère d'agitatio
e brusquement à 40°,G. Obs. XXI. - Hydrocéphalie et plagiocéphalie. Fièvre typhoïde ;. perforations multiples. Sommaire.
cile. Un oncle et une tante paternels morts très jeunes. - Mère : fièvres intermittentes ( ? ) ; migraines; crises avec (
ent présager une démence assez rapide. Déjà- dit. - 152 Épidémie de fièvre typhoïde. perte de connaissance, - Grand'mère m
aladies graves durant l'enfance ; il 17 ans, érysipèle ; il 27 ans, fièvres intermittentes ; était sujette à des attaques d'h
après les époques menstruelles ; ont cessé lorsqu'ont apparu les fièvres intermittentes. Vers la même époque bronchite a
si, à son entrée dans le service, Char..... agité, 54' Épidémie dé " fièvre typhoïde. bruyant, brisant tout, disant à tout
ment assez développé ; la pression dans la. fosse 156 Épidémie DE fièvre typhoïde. iliaque droite détermine une réaction
on est plus rude. Fig. 13. - Flè\'l'e typhoïde. 158 Épidémie DE fièvre typhoïde. Cas suivis DE décès. 15,9 160 ' Épi
e DE fièvre typhoïde. Cas suivis DE décès. 15,9 160 ' Épidémie de fièvre typhoïde. les pyramides paraissent un peu plate
du thymus. - Corps BOURNEVILLE, Bicêtre, 1898. 11 1ô2 Épidémie DE fièvre typhoïde. thyroïde normal (15 gr.). Poumon droi
hystérie et des migraines qui auraient disparu sous l'influence cle fièvres intermittentes. Dans sa famille, sur laquelle l
un certain nombre de cas pré- cédemment publiés. 164 Épidémie de fièvre typhoïde. tête (krouomanie), clastomanio, glout
clastomanio, gloutonnerie, excita- tion, coprolalie, etc. IV. La fièvre typhoïde s'est compliquée de quatre perforation
modifications de l'état général, de l'insomnie, de la diarrhée, une fièvre vespérale qui n'auraient pas dû échapper à un p
malades présentaient des signes réactionnels tout 16G Épidémie de fièvre typhoïde. différents de ceux que l'on observe c
a fait exception aurait eu un accès au milieu de l'évolution (le sa fièvre typhoïde, alors que la tempé- rature était élev
au 7 février 1899, près de trois mois après le début présumé de la fièvre typhoïde. Gcncv... (Ons. XIII), dont la maladie
us avions alors une nouvelle infirmière veilleuse peu au courant. FIÈVRE TYPHOÏDE ET EPILEPSIE. Hî7 (le dernier en mars)
n ? XIV). Dans le courant de 1898 jusqu'au 17 décembre, début de la fièvre typhoïde, le malade a eu 37 accès et 18 vertige
fièvre typhoïde, le malade a eu 37 accès et 18 vertiges. Durant sa fièvre il aurait eu : 2 accès le 17 décembre; un le 21
avec élévation de la température plus ou moins prolongée, comme la fièvre typhoïde, suspendent les accès chez les épilept
rendre compte de l'influence des complications sur la marche de la fièvre . Ils pourront être comparés à un (1) Le malade,
es intercurrentes sur la marche de l'épilepsie, . 168 Epidémie DE fièvre typhoïde. certain nombre de tracés thermométriq
une autre cause qu'aux eaux d'alimentation la petite épidémie de fièvre typhoïde qui s'est déclarée dans une section de v
nEVtLLE. Notes et observations cliniques et thermomc'triques sur la fièvre typhoïde. (2) Nous étions alors en vacances.
e de la guerre. Il Il n'y a pas en, en 1898, dit-il, un seul cas de fièvre typhoïde ; u fort de Bicêtre. L'eau qui aliment
de moisissure ; - en septembre, 39.340 et 1.875. d70 Épidémie DE fièvre typhoïde. retiré des trémies et porté à l'étuve
,iptioii, (le la « illtlacle. . 1896. Entérite, puis bronchite avec fièvre : suspension des vei·tiges. -A>>2lioratio
ant ses deux maladies. Plat. - Depuis le dbut de son entérite (avec fièvre ) jus- qu'à la fin du mois de mai elle n'a pas e
°, 2 et 37°, 5. 23 février. - Même état, diminution de la diarrhée, fièvre légère. T. R. 38° et 38°, 4. 21 février. - Nu
d'hydrocépha- - .- lie Par Bourneville et Noir... X. Épidémie de fièvre typhoïde il. Bicêtre; par Bourneville et Chapot
3 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
main aurait-elle appris que les émanations marécageuses produisent la fièvre inter-mittente ? Le problème, comme vous voyez, e
r-ticulièrement sans doute, suivant la remarque de M. Littré, sur les fièvres rémittentes ou pseudo-continues, qui régnent en G
parvenue récemment à dévelop-per chez un animal les phénomènes de la fièvre traumatique, en injectant dans le sang le liquide
cendantales, et un médecin pouvait se permettre, dans un traité de la fièvre muqueuse, de comparer sérieuse-ment un globule du
underlich. — Gesehkhte rter Medicin, p. 332. Stuttgard, 1859. cette fièvre de travail, qui ne paraît pas encore près de s'ét
se semble créer, à certains égards, des immu-nités pathologiques. Les fièvres éruptives, la fièvre typhoïde, la phthisie sont p
tains égards, des immu-nités pathologiques. Les fièvres éruptives, la fièvre typhoïde, la phthisie sont peu communes à cet âge
ui sont loin d'être absolues, ainsi que M. Rayer l'a démontré pour la fièvre typhoïde, Murchison pour le typhus, et d'autres a
Bd III, Ileft. 1859. Ces auteurs rapportent des exemples frappants de fièvre typhoïde chez les vieillards. — Murchison fait ob
enu à l'âge le plus avancé est relatif à un vieillard de 84 ans. — La fièvre à rechutes (relapsing fever) est moins fréquente
s exposées à ces deux maladies que ne sont les hommes âgés. — Pour la fièvre typhoïde, la proportion est de 846 p. 100 au-dess
e l'im-munité relative dont jouissent les vieillards, par rapport aux fièvres continues, est loin d'être absolue. (A treatise o
ire ressortir les analogies et les différences qu'il présente avec la fièvre chez l'adulte. Charcot. Œuv. compi, t. vu. Mala
latentes. — Les lésions les plus graves peuvent passer inaperçues. — Fièvres chez les vieillards. — Qu'est-ce que la fièvre ?—
passer inaperçues. — Fièvres chez les vieillards. — Qu'est-ce que la fièvre ?— Importance delà thermométrie clinique. — Du fr
ies par la terminaison fatale ? Mais c'est surtout dans le groupe des fièvres pestilentielles qu'on peut constater des faits an
t ainsi que dans 1. Archives de Médecine, 1836, t. XII, p. 57. la fièvre jaune épidémique, dans la peste et dans le typhus
ent. Un médecin américain, Caldwe, auquel on doit un bon traité de la fièvre jaune, a désigné sous le nom de Walking cases (ca
n des principaux symp-tômes de la plupart des affections aiguës. La fièvre , dit Gillette (2) dans un passage où il s'est fai
'opinion exprimée par tous les auteurs spéciaux qui l'ont précédé, la fièvre se caractérise chez les vieillards par l'accéléra
ent nécessaire d'aborder une discussion préalable? Qu'est-ce que la fièvre ? qu'entend-on par état fébrile? Il est à peine
vation de la tempé-rature constituait le seul et unique élément de la fièvre . C'est ce dont témoigne suffisamment la définitio
larer que « l'accélération du pouls est le seul symptôme qui, dans la fièvre , se trouve toujours présent, du commencement à la
qui seul suffit pour faire recon-naître au médecin la présence de la fièvre (2). » La question, de-puis cette époque, a été r
s, qui se montre d'une manière aussi constante, aussi obligatoire. La fièvre n'existe pas lorsque la tempéra-ture reste au tau
almique et l'hystérie (1). Peut-on dire, d'un autre côté, qu'il y ait fièvre toutes les fois que la température s'é-lève ? C'e
jours est-il que l'accroissement de la chaleur animale domine dans la fièvre tous les autres symptômes, et peut même servir, d
non plus d'une manière passagère, comme dans le frisson initial de la fièvre , mais d'une façon pour ainsi dire permanente, et
illards. 11 est à peine néces-saire de rappeller ici que c'est sur la fièvre concomitante de la pneumonie lobaire que porteron
ents et prolongés, au début d'une pneumonie, d'un érysi-pèle ou d'une fièvre synoque, affection très commune à la Salpétrière,
, se montrent avec une intensité plus grande encore dans les accès de fièvre intermittente sympto-matique qui accompagnent si
ations des voies biliaires. Cette lésion se traduit au dehors par une fièvre intermittente s;/mplomatique, dans laquelle le dé
logie sénile, nous citerons comme exemples la broncho-pneumonie et la fièvre catarrhale. 11 est rare, d'ailleurs, dans les aff
on service. On sait que Monneret avait déjà signalé l'existence d'une fièvre à type rémittent ou intermittent dans les affecti
ns d'indiquer correspondent à la température observée le soir, car la fièvre , dans la pneumonie (même lobaire), n'ob-serve pas
ntie. Chez l'adulte, nous pour-rions citer plusieurs affections (les. fièvres éruptives et le typhus exanthématique, par exempl
ssifs pendant un espace de trois ou quatre jours : c'est le cas de la fièvre catarrhale, de la broncho-pneumonie; tantôt, au c
'avais surtout à cœur de vous prouver, c'est que les phénomènes de la fièvre observés aux époques les plus différentes de la v
te subintrants, pour nous servir d'un terme emprunté à l'histoire des fièvres paludéennes ; enfin, le malade est en proie à des
ômes généraux qui coïncident avec ces manifes-tations locales sont la fièvre , des frissons erratiques ; un état nerveux, une e
orme de maladie, les affections articulai-res ont plus de fixité : la fièvre est moins intense, et se rap-proche de la fièvre
plus de fixité : la fièvre est moins intense, et se rap-proche de la fièvre hectique ; les petites jointures sont sou- mati
urée. — Mobilité de l'affection. État général dans le rhumatisme. — Fièvre . — Marche irrégulière de la maladie. — Rapport en
déjà signalé l'existence: d'une part, le rhumatisme articulaire aigu, fièvre rhumatismale (rheumatic fever) des au-teurs angla
'heure les caractères. Pour le moment, nous allons nous occuper de la fièvre rhumatismale. Les arthropathies le plus souvent
feste. Tels sont, messieurs, les caractères les plus généraux de la fièvre rhumatismale. Mais il nous faut maintenant entrer
le rhumatisme articulaire aigu. Le phénomène fondamental est ici la fièvre ; en effet, la réaction fébrile, marquée par une
e succédant à des époques déterminées, comme dans la pneumonie ou les fièvres éruptives ; nous ne voyons point un frisson viole
er une question qui a été diversement résolue suivant les auteurs. La fièvre est-elle subordonnée aux arthropathies ? est-elle
traire, indépendante de toute lésion locale ? Il est certain que la fièvre peut souvent persister lorsque les arthropathies
scérale latente : une endocardite, une péricardite, par exemple. La fièvre peut aussi précéder les accidents qui se dévelop-
esque justifier l'opinion de Graves. Todd et Fuller, pour lesquels la fièvre est primitive dans le rhumatisme, et non consécut
dans le rhumatisme, et non consécutive, Nous venons d'envisager la fièvre rhumatismale à un point de vue général. Passons m
uis. — Recherches anatomiques, pathologiques et thérapeutiques sur la fièvre typhoïde, 1841, t. L p. 443. Fuller, (1). Les t
ant que nous pouvons l'affirmer dans l'état actuel de la science), la fièvre est moins intense; elle paraît plus exacte-tement
survenir les phénomènes de l'état typhoïde, de Y ictère grave, de la fièvre intermittente sympto-matique qui s'associent au r
actères de l'état aigu. Après un certain temps, il se développe une fièvre rémit-tente, qui ressemble à la fièvre hectique :
ain temps, il se développe une fièvre rémit-tente, qui ressemble à la fièvre hectique : on voit ensuite se manifester une séri
-trois ans, il y eut, au début, des arthrites partielles aiguës, avec fièvre et rétraction mus-culaire; puis la maladie persis
? Non, sans doute. Nous savons que les arthropathies consécutives aux fièvres ne sont pas tou-jours liées à cette diathèse. Les
on, à cet égard, est presque comparable à celle du quinquina dans les fièvres intermittentes; et c'est là encore un des ca-ract
moins remarquables dans des affections qui ne s'ac-compagnent pas de fièvre , mais qui se traduisent d'ordinaire, par des irra
genwarme, in Krankheiten. Leipzig, 1868.) Qu'est-ce, en effet, que la fièvre ? A cette question tous les auteurs répondent aujo
r prœter naturam. C'est qu'en réalité tous les autres symptômes de la fièvre peuvent faire défaut et que seule, l'exultation d
e sont qu'une apparence; comme chez l'enfant, comme chez l'adulte, la fièvre , qu tout au moins l'élévation de la température
une température qui s'élève peu au-dessus de 38 degrés, répond à une fièvre légère (tem-pérature sub-fébrile) ; au-dessous de
it d'une maladie dont le caractère est de produire habituellement une fièvre intense, peut ne pas s'élever pendant tout le cou
aux que pendant un très court espace de temps, comme dans un accès de fièvre intermittente, par exemple, ou dans la pneumonie
a suite. IL La raison du danger des températures élevées, dans la fièvre . — Vous avez reconnu l'importance toute pratique
le trouble qui porte sur l'ensemble de l'économie, et qu'on nomme la fièvre , constitue un danger par lui-même, lorsqu'il est
a pas place pour eux dans l'organisme. Ajoutez que dans les cas de fièvre avec affection locale certains troubles qui résul
ne affecté, viennent se surajouter au désordre général qui produit la fièvre . Ainsi, dans la pneumonie double, dans la bronchi
tiens aux faits les plus généraux. D'où vient donc le danger de la fièvre ? La consomption rapide des tissus, se produisant
à évolution lente. Elle ne saurait jouer un rôle prédominant dans une fièvre à marche rapide, comme dans celle que détermine c
ssible ? Dans cette hypothèse, l'élévation de la température, dans la fièvre , ne serait pas seulement un résultat, un symptôme
, parfois assez graves pour amener la mort. Le vulgaire, qui, de la fièvre , ne connaît guère que la cha-leur fébrile, admet,
e connaît guère que la cha-leur fébrile, admet, sans embarras, qu'une fièvre intense peut emporter le malade. Cette opinion po
rtain niveau au-dessus du taux normal, rappellent les symptômes de la fièvre : ainsi, le pouls s'accélère, les mouvements de l
coagulation du sang dans les vaisseaux est une cause de mort dans la fièvre , et tout récemment M. Weikarf a cherché à démontr
plus ou moins prononcé que peut présenter ce dernier organe, dans la fièvre typhoïde, suivant Louis, et d'après Stokes, dans
s temps, en Allemagne, avec tant d'en-thousiasme, au traitement de la fièvre typhoïde, et cpii parais-sent avoir, d'ailleurs,
altation de la température centrale constitue, par elle-même, dans la fièvre , un danger. Mais laissons, pour un instant, de
ns la fièvre, un danger. Mais laissons, pour un instant, de côté la fièvre et l'élévation de la température, considérons un
vue particulier, les affections qui, chez le vieillard, produisent la fièvre . DEUXIÈME LEÇON De l'importance de la thermom
tinu. — Elles sont beau-coup moins nombreuses que chez l'adulte ; les fièvres érup-tives font défaut. Cependant, j'ai parfois o
s de phénomènes critiques au moment de la défervescence. Quant à la fièvre typhoïde, la phtisie aiguë cafarrhale, qui figu
. 3° Maladies fébriles à type intermittent. — A la Salpê-trière, la fièvre palustre est très rare et je ne suis pas bien cer
Mais, par contre, nous ren-controns fréquemment dans cet hospice des fièvres intermit-tentes symptomatiques d'affections des v
atiques d'affections des voies urinaires ou des canaux biliaires. Ces fièvres symptomatiques peuvent être dis-tinguées des fièv
x biliaires. Ces fièvres symptomatiques peuvent être dis-tinguées des fièvres intermittentes palustres à l'aide de certains car
ns les cas de ce genre, il faut invoquer le mécanisme ordinaire de la fièvre pour expli-quer la production de ces hautes tempé
ale, alcool, etc. — Action des substances putrides. — Septicémie avec fièvre . — Septicémie avec algidité centrale. Action de
ale par froid extérieur (1871, p. 1) ; tais; et l'on détermine la fièvre non seulement par l'injection de substances putri
de putréfaction. D'après les recherches modernes, vous le savez, la fièvre traumatique se produirait d'une manière analogue.
n animal sain, le sang provenant d'un animal fébricitant détermine la fièvre . Et il n'est pas jusqu'à une émission sanguine un
nues dans les liquides pathologiques, ont pour effet de déterminer la fièvre . Mais il est également vrai qu'un certain nombre
coup sûr, quelle substance putride injectée dans le sang produira la fièvre , quelle autre, au contraire, déterminera l'algidi
, prise à un moment donné de la fermentation putride, aura produit la fièvre , pourra, si on l'emploie à une époque plus avancé
u. Malad. des Vieillards. 22 11 est, en effet, des septicémies avec fièvre , d'autres avec algidité centrale. Parfois même ce
es d'infection qu'elles déterminent alors, se révèlent tantôt par une fièvre intense, tantôt, au con-traire, par l'algidité ce
la plupart des maladies pestilentielles : ainsi on l'observe dans la fièvre jaune, la peste, le typhus (1); elle se rencontre
s presse et je craindrais 1. Gharcot, articles Typhus Fever, Peste, Fièvre jaune, dans le quatrième volume, des Eléments de
ans le tome. IX des Œuvres complètes de M. Gharcot (B.). 2. Dans la fièvre pernicieuse algide, voir : Griesinger, Traité des
te. Tous ces accidents, dans la majorité des cas, se développent sans fièvre appréciable, mais ils s'accompagnent quelquefois
viennent rouges et un peu gonflées, mais sans douleur notable et sans fièvre . Presque immédiate-ment, comme dit la malade, les
s où l'affection s'est généralisée, ils peuvent passer inaper-çus. La fièvre du début n'a été notée dans nos observations que
se et gluante. A l'époque des exacerbations, quand il y a un peu de fièvre , les urines sont quelquefois troubles et sédiment
temps, les dou-leurs articulaires ont étévives,accompagnéesd'unpeude fièvre , elles ont persisté pendant six mois un an, deux
noter que les pieds n'étaient douloureux que dans les mouvements, la fièvre nulle, l'appétit intact). Au bout de quinze jours
les coudes se gonflent simultanément. Tout cela se passe presque sans fièvre , mais les douleurs sont très vives et causent de
se lever. Jamais, même au début, de la période d'état elle n'a eu de fièvre ; elle n'a pas cessé de manger, mais elle a obser
essait pas de faire son ouvrage, et n'é-prouvait, dit-elle, jamais de fièvre . Deux ans après l'apparition des premières douleu
velle inva-sion est d'ailleurs précédée de frissons et accompagnée de fièvre ; bientôt après, le pied droit se prend lui-même,
ffle bronchique. Les jours suivants, l'amaigrissement se prononce, la fièvre s'accroît, la langue se sèche, la dyspnée augment
oucher, avec fa même coloration rosée de la peau. Le malade a de la fièvre , la peau chaude, le pouls fréquent; sa respiratio
e colique de plomb : Obsebvation. — Aucun antécédent héréditaire. — Fièvre putride à 24 ans.—-Accès légers de coliques de pl
t quatre ans; il était alors à Nevers ; il s'est agi cette fois d'une fièvre putride, à la suite de laquelle tous ses cheveux
et accompagnée de gonflement et de rougeur ; il y avait à peine de la fièvre . S... crut que c'était là le résultat d'une entor
gs qu'autrefois ; l'inappétence, pendant les accès, plus grande et la fièvre plus vive. Depuis deux ans environ, à peine les a
et, au bout de quatre ou cinq jours, le gon-flement, la rougeur et la fièvre qui était assez vive, disparaissent pour laisser
uvelle invasion est d'ailleurs précédée de frissons et accompagnée de fièvres ; bientôt après, le pied droit se prend lui-même,
crachats muqueux, verts, iarges, arrondis ; oppression assez forte ; fièvre . Les jours sui-vants, même état (Pot. gom. ; dièt
le bronchique. Les jours suivants, l'amaigrissement se prononce, la fièvre s'accroît, la langue se sèche, la dyspnée augment
de aurait été suivie des meilleurs résultats (p. 103). Anémie de la fièvre rhumatismale. — Il est de règle, qu'un état anémi
insisté beaucoup, et avec raison, sur cette anémie concomitante de la fièvre rhumatismale qu'elle contribue à ca-ractériser (p
extenso. Après avoir parlé des douleurs qui, après la cessation de la fièvre , persistent si souvent à la suite du rhumatisme a
Œuvr. compl. t. vu. Malad. des Vieillards. 38 passer inaperçues. — Fièvre chez les vieillards. — Qu'est-ce que la fièvre ?
passer inaperçues. — Fièvre chez les vieillards. — Qu'est-ce que la fièvre ? — Importance de la thermométrie clinique. — Du
urée. — Mobilité de l'affection. Etat général dans le rhumatisme. — Fièvre . — Marche irrégulière de la maladie. — Rapport en
tale, alcool, etc. — Action des substances putrides. —Septicémie avec fièvre . — Septicé-mie avec algidité centrale. Action d
tonite, 341. Anémie rhumatismale, 203; — gout-teuse, 204; — dans la fièvre rhuma-tismale, 516. Anévrysmes valvulaires, 214
; — oscillation de la tem-pérature, 317;— à type intermittent. 319. Fièvre 'chez le vieillard, 24, 246; — augmentation de la
308 ; — cause des dangers de la —, 308; — alté-ration du sang, 342. Fièvre intermittente svmptomatique, 30, 196. Fièvre ja
ration du sang, 342. Fièvre intermittente svmptomatique, 30, 196. Fièvre jaune, 23. Foie dans la goutte, 97; — dans le
, 397 ; influence de l'action musculaire sur les dévia-tions, 369 ; — fièvre , 375 ; — sueurs, 375 ; — état des urines, 375 ;
96, 197;— altérations du sang, 197; — état gé-néral dans le —, 199; — fièvre , 199; — pouls, 200; — sécrétions dans le —, 201 ;
sions encéphaliques, 228; — état typhoïde 219; — ictère grave, 219; — fièvre intermittente symptomatique, 219;—encéphalo-pathi
— acide lactique dans la — des rhumatisants, 205; altérations dans la fièvre , 359; — action de la bile sur le —, 339. Saturn
5. Syphilis, dans la goutte, 113 T Température, élévation dans la fièvre 25; — dans le tétanos, l'épilepsie, le choléra, 2
4 (1891) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Leçons sur les maladies du foie et des reins. Tome 6
que celle des autres prin-cipes fondamentaux, a été reconnue dans la fièvre typhoïde. La bile, en pareille circonstance, est
ans le second cas, de même que dans le premier, il y avait absence de fièvre (le pouls était à 56), de l'anorexie, etc. ; le c
ser du nom d'hépatite et dans laquelle il y avait eu frisson suivi de fièvre , des douleurs vives à la région hypo-chondriaque,
de la leucine et de la tyrosine. — Atrophie jaune aiguë du foie. Fièvres intermittentes symptomatiques en général ; — fièv
aiguë du foie. Fièvres intermittentes symptomatiques en général ; — fièvre intermittente hé-patique : ses causes, ses caract
ittente hé-patique : ses causes, ses caractères ; — analogies avec la fièvre intermittente simple ; différences. — Observation
ile plus ou moins intense. Or, une des conséquences habituelles de la fièvre , dans les conditions ordinaires, est, vous le sav
u que le chiffre de l'urée était très bas, bien que le ma-lade eût la fièvre et continuât à s'alimenter, deux causes qui, dans
e, dans certaines maladies fébriles graves, telles que la variole, la fièvre typhoïde et le typhus, lorsque surviennent les lé
ued Fevers ofGreat Britain (2) a fait la même remarque au sujet de la fièvre ty-phoïde et du typhus fever. Et il attribue l'ab
r le prouver de vous renvoyer aux observations de M. Murchison sur la fièvre ty-phoïde et le typhus. Je vous rappellerai aussi
phie jaune aiguë du foie. 11 s'agit ici d'une forme particulière de fièvre intermittente symptomatique. Vous savez qu'on ind
e symptomatique. Vous savez qu'on indique quelquefois sous ce nom les fièvres composées d'accès, à retour plus ou moins régulie
'intoxication palustre. On appelle assez communément aujourd'hui la fièvre en question : fièvre intermittente hépatique. C'e
e. On appelle assez communément aujourd'hui la fièvre en question : fièvre intermittente hépatique. C'est qu'en effet elle s
nt pas avec la régula-rité presque mathématique qui s'observe dans la fièvre inter-mittente vulgaire; mais, en outre que, comm
la fièvre inter-mittente vulgaire; mais, en outre que, comme dans la fièvre intermittente simple, les accès sont séparés par
enser, et j'essayerai bientôt de justifier cette hypothèse, que cette fièvre intermittente hépatique a son point de départ dan
rquer tout à l'heure les analogies qui existent cliniquement entre la fièvre intermittente simple et (1) S. Th. Sœmmering',
les sépare sur un point. Je vous rappellerai en premier lieu que la fièvre intermit-tente vulgaire est, de toutes les maladi
la diète au contraire aura été observée pendant toute la durée de la fièvre . Ce qui vient d'être dit de la fièvre intermitt
pendant toute la durée de la fièvre. Ce qui vient d'être dit de la fièvre intermittente simple, on peut le répéter de la fi
'être dit de la fièvre intermittente simple, on peut le répéter de la fièvre intermittente des tuberculeux (d'a-près les obser
-tres). Je ne saurais vous dire s'il en est de même relativement à la fièvre intermittente qui accompagne quelques affections
intermittente qui accompagne quelques affections des voies urinaires ( fièvre intermittente cysto-néphrétique) et qui forme en
nte cysto-néphrétique) et qui forme en quelque sorte le pendant de la fièvre hépatique. Nous ne possédons pas malheureusement,
entation de volume. Le trait clinique caractéristique consiste en une fièvre intermittente irrégulière, dont la durée a été de
lument le contraire de ce qui aurait lieu, s'il s'agissait soit de la fièvre intermittente simple, soit des diverses formes hé
ièvre intermittente simple, soit des diverses formes hépatiques de la fièvre intermittente symptomatique, étudiée sous ce rap-
fre de l'urée des 24 heures oscil-ler entre 14 et 20 gr. Les jours de fièvre , vous avez avec une température de 40% 8 sept gra
normales, exagère momentanément sa fonction dans les conditions de la fièvre , mais sans dévier du type normal, et ainsi se pro
sson bien accentué, de manière à repro-duire le tableau d'un accès de fièvre intermittente palustre. Avant de passer outre, je
ires des cholélithes ne doivent pas être confon-dus avec les accès de fièvre , revenant à courte échéance, sui-vant un type plu
nce, sui-vant un type plus ou moins régulier, de manière à simuler la fièvre intermittente palustre et qui se montrent en deho
ngïocholite concomitante. Je vous ai déjà entretenu de cette forme de fièvre intermittente symptomqtique, hépatique oubiliaire
y revenir encore dans une autre occasion. Il est possible que cette fièvre à retours réguliers et les accès fébriles satelli
tances dont il faut savoir tenir compte. DIX-HUITIÈME LEÇON De la fièvre hépatique symptomatique. — Compa-raison avec la f
LEÇON De la fièvre hépatique symptomatique. — Compa-raison avec la fièvre uro-septique. Sommaire. — Symptômes de l'oblité
agies gastro-intestinales, nasales, etc.; —affaiblissement du cœur. Fièvre intermittente hépatique : Frisson; — élévation de
e chronique ; — terminaison. Analogies entre les diverses formes de fièvre hépatique et les accidents de la fièvre dite urét
entre les diverses formes de fièvre hépatique et les accidents de la fièvre dite uréthrale. — Parallèle entre les lésions des
Parallèle entre les lésions des voies urinaires qui se compliquent de fièvre uréthrale et les lésions du foie qui se complique
uent de fièvre uréthrale et les lésions du foie qui se compliquent de fièvre hépatique. — Rôle des altérations de l'urine et d
exposé symptomatologique par une brève description de cette forme de fièvre intermittente sympto --matique à laquelle j'ai dé
canal cholédoque, soit la lithiase biliaire intra-hépatique. Cette fièvre , qu'on appelle parfois fièvre intermittente hépat
hiase biliaire intra-hépatique. Cette fièvre, qu'on appelle parfois fièvre intermittente hépatique, n'appartient pas, tant s
tc. La condition anatomique la plus favorable à l'éclosion de cette fièvre paraît être la présence, dans les voies biliaires
certain que l'angiocholite suppurative peut exister sans qu'il y ait fièvre intermittente et que, d'un autre côté, celle-ci e
la dernière séance, fassent tout à fait défaut dans le cas où il y a fièvre intermittente. Il convient donc de chercher la ra
nte. Il convient donc de chercher la raison du développement de cette fièvre en dehors de tous les élé-ments qui viennent d'êt
ts qui viennent d'être énumérés. Je propose l'hypothèse suivante : La fièvre dont nous nous occupons tiendrait à la présence d
es dans divers auteurs, les caractères fondamentaux de cette forme de fièvre intermittente. Victère peut, actuellement, existe
oire quel-ques auteurs (Thudicum, Leared, Henoch) — s'accompagnent de fièvre intermittente. Il manque encore dans certains cas
t ies trois stades se déroulent comme s'il s'agissait d'un accès de fièvre intermittente légitime. Le frisson est quelquefoi
z régu-liers pour simuler les types quotidien, tierce ou quarte de la fièvre légitime. A la vérité, on rencontre sous ce rappo
rapport de nombreuses exceptions. 3° Un caractère particulier de la fièvre hépatique serait, si nous en jugions d'après l'ob
e l'urée pendant l'accès, à l'opposé de ce qui a lieu dans l'accès de fièvre légitime — et la présence dans l'urine de la leuc
e. L'état sta-tionnante ou l'abaissement du chiffre de l'urée dans la fièvre ne serait donc l'apanage d'aucune fièvre en parti
du chiffre de l'urée dans la fièvre ne serait donc l'apanage d'aucune fièvre en particulier, pas même de la fièvre intermitten
serait donc l'apanage d'aucune fièvre en particulier, pas même de la fièvre intermittente hépatique. Ce phénomène traduirait
dans les accidents fébriles symptô-matiques en général, les accès de fièvre hépatique offrent le caractère vespéral, opposé a
ent le caractère vespéral, opposé au caractère matutinal des accès de fièvre idiopathique. S0 Le plus souvent, la fièvre hép
matutinal des accès de fièvre idiopathique. S0 Le plus souvent, la fièvre hépatique est en quelque sorte chronique ; elle
oie, un peu augmenté de volume, était douloureux. Bientôt apparut une fièvre intermittente qui fit croire à l'existence d'abcè
eu de phéno-mènes graves, rappelant les accidents dits pernicieux des fièvres palustres, tantôt dans le cours d'une fièvre rémi
nts dits pernicieux des fièvres palustres, tantôt dans le cours d'une fièvre rémittente avec symptômes typhoïdes, à laquelle l
cès ont cédé la place. Je vous ai proposé, Messieurs, de séparer la fièvre hépati-que, dont je viens de vous entretenir, de
de la colique hépatique. Il est incontestable que ces deux espèces de fièvre n'ont pas abso-lument la même signification clini
la condition pa- thogénique est la même dans les deux cas. Ainsi la fièvre hépatalgique, comme celle de Yangiocholite, résul
nde partie de mon hypothèse (b). Quant à l'intermittence des accès de fièvre angiocholique, on en ignore totalement la cause.
lques mots,les analogies qui existent entre les diverses formes de la fièvre hépatique et les accidents du même genre qui comp
noter pourtant, que, d'après les écrivains les plus autorisés, cette fièvre urêthrale, comme on l'appelle quelquefois (2), ne
moins nombreux, re-venant périodiquement, et de manière à simuler la fièvre in-termittente palustre (3). Les accès de fièvr
nière à simuler la fièvre in-termittente palustre (3). Les accès de fièvre uréthrale provoquée revêtent dans quel-ques circo
e. — Traité de Path. int. t. i, p. 174 ; Giannini. — De la naluve-des fièvres , 1801, p. 207. gnent les observations de Rayer
ons des voies urinaires qui accompagnent les différentes formes de la fièvre uro-septique méritent d'être mises en parallèles
mises en parallèles avec celles qui président au développement de la fièvre hépatique. En raison du rétrécissement uréthral
la formation de ces abcès (1). Toujours est-il, pour en revenir à la fièvre uréthrale, que l'altération de l'urine paraît ici
n de l'urine paraît ici, comme l'altération de la bile dans le cas de fièvre hépatique, devoir jouer le rôle fondamental. La f
dans le cas de fièvre hépatique, devoir jouer le rôle fondamental. La fièvre uro-septique, en effet, peut exister sans lésions
nales se montrent à Fautopsie de sujets qui n'ont pas été atteints de fièvre uro-septique. En quoi consiste l'altération de
tidité de l'urine n'est pas, tant s'en faut, toujours accom-pagnée de fièvre uro-septique. On peut donc, pour les cas où celle
lier, d'où dépendraient les accidents très spéciaux de cette forme de fièvre intermittente. (1) M. Charcot a vu récemment le
u purulente non calculeuse. — Elle se montre comme complication de la fièvre typhoïde, affection dans laquelle il y a, selon l
9. (3) Clinique médicale. (4) Soc. anal., 1852, p. 466. dans la fièvre typhoïde encore, une cholécystite phlegmoneuse ou
On a observé aussi des ulcères simples de la vésicule en dehors de la fièvre typhoïde (Budd, Cruveilhier) (1). L'angiocholit
st un fait banal dans certaines maladies aiguës, par exemple dans les fièvres éruptives ; on les trouve souvent aussi à la suit
idents uremique;— influence des émotions morales, des fatigues, de la fièvre , des lésions aiguës du cœur, etc. Troubles de l
effet d'abaisser la pression cardiaque ; en outre, par le fait de la fièvre , il se forme une quantité anormale d'urée qui, no
lque temps : le lendemain il présente une anasarque considérable, une fièvre intense ; les urines sont rares et sombres, forte
intensité et de quel- que durée. On sait, par exemple, que, dans la fièvre typhoïde, il est commun d'observer le phénomène q
ault del G Masson, éditeur F. Renaudot Chromolith PLANCHE IV. Fièvre intermittente hépatique. Observation de M. P, R
on de la leucine et de la tyrosine. — Atrophie jaune aiguë du foie. Fièvres intermittentes symptomatiques en général ; —Fièvr
aiguë du foie. Fièvres intermittentes symptomatiques en général ; — Fièvre intermittente hé-patique: ses causes, ses caractè
rmittente hé-patique: ses causes, ses caractères; — analogies avec la fièvre intermittente simple; différences. — Observations
digestifs. — Stéatorrhée............ 182 DIX-HUITIÈME LEÇON de la fièvre hépatique symptomatique. — comparaison avec la fi
E LEÇON de la fièvre hépatique symptomatique. — comparaison avec la fièvre urosëptique. Sommaire. — Symptômes de l'oblit
ies gastro-intestinales, nasales, etc. : — affaiblissement du cœur. Fièvre intermittente hépatique : Frisson; — élévation de
e chronique ; — terminaison. Analogies entre les diverses formes de fièvre hépatique et les accidents de la fièvre dite urét
entre les diverses formes de fièvre hépatique et les accidents de la fièvre dite uréthrale. — Parallèle entre les lésions des
Parallèle entre les lésions des voies urinaires qui se compliquent de fièvre uréthrale et les lésions du foie qui se complique
uent de fièvre uréthrale et les lésions du foie qui se compliquent de fièvre hépatique. — Rôle des altérations de l'urine et d
ents urémiques; — influence des émotions morales, des fatigues, de la fièvre , des lésions aiguës du cœur, etc. Troubles de l
. — Jn-termiltenlé hépatique, 105, 191. — Analogie.-; de in — avec la fièvre hépahrlgiqiie. 198. — Syinpluma-liques. ?. — Typh
ie lobé dans la ,248,253. T Taurine, 78 80. Température dans la fièvre intermit-tente hépatique, 195. Torpeur du foie,
5 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
t une dyspnée assez grande avec toux, expectoration, perte d'appétit, fièvre , céphalal¬gie. A trois jours du début, crachats r
e du 22 juillet, de nouveaux symptômes plus graves se manifestent. La fièvre non-seulement a persisté depuis le début, mais el
qui dominent la situation sont : la persistance et l'intensité de la fièvre (le pouls variant de 23/4 à 28/4, et la températu
c'est une bronchite aiguè simple parfaitement caractérisée ; mais la fièvre persiste, et, quelques jours après, nous sommes e
de bouffissure de la face. État général excellent. A peine un peu de fièvre . 10 octobre. On retire toutes les épingles, sau
d'un tempérament lymphatique, très-petite, nouée, fut atteinte d'une fièvre tierce en avril. L'enfant ne voulant rien prendre
ar la bouche, on lui administra du sulfate de quinine en lavement. La fièvre fut momentanément supprimée ; mais bientôt elle r
réussirent à lui faire avaler du sulfate de quinine dans du sirop. La fièvre disparut encore, la sanlé générale s'améliora. Tr
res environ du tœnia, l'extrémité effilée com¬prise. Dès ce moment la fièvre intermittente cessa pour ne plus reparaître ; la
que, cette petite fille a joui d'une santé parfaite. » Les accès de fièvre intermittente observés chez cette enfant s'é-laie
x mois il porta sur cette région une tumeur qui ne s'accompagna ni de fièvre , ni de douleur, ni d'élancements et qu'un chirurg
) ; elle y est restée sept semaines. Pendant la convalescence de sa fièvre éruptive, est survenue sur les bras une nouvelle
u bis feriens. Le dicrotisme, quand il est prononcé, surtout dans les fièvres continues, indique une tendance aux crises par le
'un anévrysme. CLINIQUE OBSTÉTRICALE NOTES ET OBSERVATIONS SUR LA FIÈVRE DE LAIT ET SUR QUELQUES MALADIES PUERPÉRALES PA
alem. I. de la température et du pouls après l'accouchement ; de la fièvre de lait. Les auteurs qui ont étudié la marche d
des modifications plus ou moins accusées. Parfois tout se passe sans fièvre , d'autres fois, au contraire, on observe des symp
allons successivement passer en revue. 1° Cas oh il n'y a pas eu de fièvre de lait. Quatre de nos malades rentrent clans cet
sans le moindre trouble morbide. Observation I. Multipare. — Pas de fièvre de lait. — Lionn... Jean¬nette, 40 ans, fille, do
ns précis que la température. Observation IL — Multipare. —■ Pas de fièvre de lait. — Lochies presque nulles. —Yven... Domit
llé ensuite enlre 76 et 62 ; — en d'autres termes, il n'y a pas eu de fièvre de lait. — Nous laissons de côté le troisième et.
s et qui sont en tout semblables à ceux qui précèdent. 2° Cas où la fièvre de lait a existé. Ce sont les plus nombreux. Nous
e exposition , le degré d'intensité et l'époque de l'apparition de la fièvre . A. Fièvre de lait légère. En acceptant pour po
avons considéré les trois premiè¬res malades comme n'ayant pas eu de fièvre de lait, puisque leur température a toujours été
ux suivantes, la température n'a jamais été jusqu'à 39° ; partant, la fièvre de lait a été pour ainsi dire insignifiante. Ces
si dire insignifiante. Ces faits établissent un lien entre ceux où la fièvre a manqué et les faits dans lesquels elle s'est mo
'est montrée d'une façon indubitable. Observation III. Multipare. — Fièvre de lait très-légère. — Sécré¬tion laiteuse presqu
ni une plus longue durée. Observation IV. — Second accouchement. — Fièvre de lait légère le troisième jour. — Duples... Vic
,8. Ereat. — La figure qui accompagne cette observation prouve que la fièvre de lait s'est montrée, mais peu intense, le trois
us avons recueillis. Chez toutes les malades qui en font le sujet, la fièvre , apparue un temps variable après l'accouchement,
tion plausible. Observation V. — Primipare. —Accouchement normal. — Fièvre de lait le second jour. — Diminution progressive
peine en blanc. P. 80 ; T. V. 57°,7. — Exeat le 28 décembre. —■ La fièvre est survenue environ 48 heures après la parturiti
e légère élévation. Observation VI. — Primipare. — Frisson léger. — Fièvre de lait le quatrième jour. ■— Rem... Marguerite,
t; léger écoulement vaginal blanc. —Ezeat le 51 décembre. — Ici, la fièvre de lait, précédée d'un frisson éphémère, a été Ir
elquefois tous les deux jours, et ordinairement le soir, des accès de fièvre qui sont caractérisés par un frisson assez vio¬le
ès rapides ; les traits s'altèrent, les yeux s'excavent; les accès de fièvre persistent, malgré l'usage du sulfate de quinine.
. de Montméja. CLINIQUE OBSTÉTRICALE NOTES ET OBSERVATIONS SUR LA FIÈVRE DE LAIT ET SUR QUELQUES MALADIES PUERPÉRALES pa
ville I. de la température et du pouls après l'accouchement ; de la fièvre de lait (suitel). 2° Cas où la fièvre de lait a
après l'accouchement ; de la fièvre de lait (suitel). 2° Cas où la fièvre de lait a existe'. — Nous avons précédemment rapp
avons précédemment rapporté plusieurs observations dans lesquelles la fièvre de lait a été légère, et d'autres dans lesquelles
I. —Multipare.—Accouchement de deux jumeaux. — Pas d'allaitement. — Fièvre de lait très-intense le troisième jour. — EL. L
Soir : P. 68 ; T. V. 37°,6. 27. P. 64; T. V. 37°,2. Exeat. ; — La fièvre de lait s'est annoncée par un frisson soixante he
tation de la température (fig. 3). Observation VIII. — Multipare. — Fièvre de lait le cinquième jour. — Cou... Emilie, 38 an
sécrétion du lait se sont effectués progressivement, avec lenteur. La fièvre de lait a débuté le quatrième jour, a acquis la p
ement. — Elévation temporaire de la température pendant le travail. — Fièvre de lait le cinquième jour.—Abaissement momentané
ère. Elle est enceinte pour la se¬conde fois. Elle n'aurait pas eu de fièvre de lait à sa première couche. 20 décembre, 10 h
hement; 2° l'apparition tardive, comme dans l'observation VIII, de la fièvre de lait; 5° l'accroissement brusque de la tempéra
e, à forme rémittente. — Le dernier fait dans lequel nous avons vu la fièvre de lait persister pendant deux jours, sert en que
x de la troisième catégories. Dans les cas qui composent celle-ci, la fièvre a présenté des variations assez singulières per¬m
parer au type rémit¬tent. Observation X. Fausse couche. — Frisson : fièvre intense. — Herpès labialis. — Nouveau frisson : r
e intense. — Herpès labialis. — Nouveau frisson : recrudescence de la fièvre . — Pas d'allaitement. — Coupl... Joséphine, 30 an
nt. Selon nous, deux hypothèses sont probables, ou bien il y a eu une fièvre éphémère avec herpès critique, ou bien c'est une
mère avec herpès critique, ou bien c'est une forme particulière de la fièvre de lait (fig. 6). Observation XI. Primipare. —
culière de la fièvre de lait (fig. 6). Observation XI. Primipare. — Fièvre de lait le second jour (type rémittent). — Établi
eat le 30, en bonne santé. — Ici, plus que dans aucun autre cas, la fièvre de lait a eu une longue durée. Elle a offert, deu
ventre était considérable et une dyspnée fort gênante s'ensuivait; la fièvre devint plus fréquente, les douleurs se suivirent
E. Bassinet. CLINIQUE OBSTÉTRICALE NOTES ET OBSERVATIONS SUR LA FIÈVRE DE LAIT ET SUR QUELQUES MALADIES PUERPÉRALES PA
ILLE f. I)E LA TEMPÉRATUKE ET DU POULS APRÈS L'ACCOUCHEMENT ; DE LA FIÈVRE DE LAIT (suite1). Les faits que nous venons d'e
llègue Deshayes, montrent que, chez beaucoup de femmes, il existe une fièvre de lait •' nul doute n'est possible à cet égard.
7e — — 38°,5 — 38°,G 8e — — 38° — 38° 9° — — 37°,5 — 38°,5 La fièvre n'a été bien marquée que durant vingt-quatre heur
8°, 3 — 59°, 6 Cette observation n'est pas complète. La durée de la fièvre , ici, 1 Voir pages 155 et 116. est anormale et
LXV.) — Chez F... Emilie, 30 ans, primipare, qui n'allaita pas, la fièvre fut très-légère (38°,4). — F... Célcstine, 27 a
7 — 40°, 6 » *w. — I0°,7 — 40°, 6 6" — — 58°, 8 — 38°,6 Ici, la fièvre a été très-intense, mais la température a baissé
t., obs. LXVIII). — D... Marie, 19 ans, primipare, allaite ; pas de fièvre de lait. — A... Fanny, 21 ans, primipare, allai
50 _ _ 570 _ 59o)9 0e — — 57°,8 ~ 58°,0 Pendant deux jours, la fièvre a été très-forte, et les deux jours sui¬vants, le
" — — 57°, 7 — 58°,4 7e _ _ gf».g _ 380 8e — — 57°,5 — 57°,9 La fièvre , en somme, n'a persisté que pendant deux jours et
mbre, matin : P. 62; T. Ax. 56°,2; soir : P. 64; T. Ax. 56'\3. — La fièvre de lait est survenue, chez cette malade, environ
56 .2. L'enfant telle toujours bien. Soir : P. 64; T. 30",5. ~~ La fièvre , dans ce cas, ne nous paraît attribuable qu'à la
rbide, chez cette femme, ne peut rendre compte de la production de la fièvre qui, par conséquent, doit dé¬pendre de l'établiss
. 64 ; T. 57°,2. Hien de particulier. — 28 mai. P. 64; T. 57°. — La fièvre de lait a été, ici, d'une régularité en quelque s
ée. M. C. Lefort cite (loc. cit., p. 20) un exemple de ce genre. La fièvre delaitexiste-t-elle réellement? Les faits que nou
ous paraissent indiquer d'une manière catégorique la réalité de cette fièvre . En effet, si chez quelques femmes, des phé¬nomèn
irmer les faits cliniques. Une seconde question se pose encore : la fièvre de lait est-elle 1 Y ergleichung der Wärme der
Les observations nous fournissent immédiatement la ré¬ponse : non, la fièvre de lait ne se rencontre pas dans tous les cas. Ai
de tout mouvement fébrile? Pour notre compte, nous l'ignorons, car la fièvre de lait manque ou existe aussi bien chez les prim
eures ne jouerait donc pas un rôle important dans la production de la fièvre de lait. Nous bornons là ces com¬mentaires et, da
hain numéro. — CLINIQUE OBSTÉTRICALE NOTES ET OBSERVATIONS SUR LA FIÈVRE DE LAIT ET SUR QUELQUES MALADIES PUERPÉRALES pa
e permettent d'ailleurs aucun doute sur la nature des accidents. La fièvre , dans ce cas, a été bien moins considérable qu'el
29. Fibrome ossifié du maxillaire inférieur, par E. Demeules, 49. Fièvre de lait (Notes et observations sur la), par Bourn
ure (De la) dans l'endocardite puerpérale, par Habran, 33 ; — dans la fièvre de lait, par Bourneville, 157; — avant l'accouche
6 (1888) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 5. Maladies des poumons et du système vasculaire
tement semblable à celles qui suivent la diphtérie, la coqueluche, la fièvre typhoïde, etc.. On pourrait entrepren-dre, par co
ar l'abondance de cet exsudât que j'ai retrouvé dans la rou-geole, la fièvre typhoïde, la coqueluche, etc.. Toutefois, la comp
jour en potion. Sous l'influence de ce traitement et de la diète, la fièvre n'a pas tardé à tomber et, au bout de huit jours,
e sa dernière rechute. Il mange, mais a peu d'appétit, il a un peu de fièvre le soir, un peu de toux, d'oppression quand il ma
ffaiblit de plus en plus. Un peu de toux, anhélation quand il marche, fièvre hectique le soir. Le 25, les crachats sont rede
trois à quatre jours après s'être exposée au froid, elle fut prise de fièvre et rendit une petite quantité de sang mêlé aux cr
épo-que, les règles reparaissent à leur temps ordinaire. Cependant la fièvre continue toujours; le pouls est à 140; la respira
neux et râles caverneux prononcés, surtout à la base du poumon droit, fièvre hectique, etc. — A l'autopsie on trouva tous les
ofesseur Grisolle *, la maladie s'amender, en apparence du moins ; la fièvre diminue ou cesse même tout à fait. La douleur tho
t fébrile. Ces cas-là sont sans doute loin d'être rares. chés de la fièvre hectique, tantôt, au contraire, il y a préala-ble
t aigu ou, autre-ment dit, rechute. Au bout d'un temps variable, la fièvre hectique se dessine d'une manière plus prononcée,
e malade se lève, mais il a peu de force, il mange à peine; un peu de fièvre le soir ; toujours même état local; le 29 le mala
Il y a eu de la dyspnée, la respiration est rede-venue fréquente, la fièvre reparaît, râle crépitant mélangé au souffle bronc
n plus séreux; pendant ce temps l'état général est toujours fâcheux ; fièvre hectique, amai-grissement rapide ; cependant il n
. — Du 1er au 19 juillet, l'état général s'aggrave graduel-lement, la fièvre hectique persiste, mais Un y a pas de sueurs la n
iveau des lobes inférieurs l. Mais dans la dilatation des bronches la fièvre existe rarement ou d'une manière très passagère,
nt dite. Si cependant l'affection s'était développée à la suite d'une fièvre éruptive (rougeole) ou d'une fièvre typhoïde, l'i
était développée à la suite d'une fièvre éruptive (rougeole) ou d'une fièvre typhoïde, l'idée de carnisation devrait peut-être
des individus dominés par l'influence palustre, et qui, à la suite de fièvres intermittentes de longue durée, ont contracté des
vent s'observer: 1° Après une première attaque de pneumonie aiguë, la fièvre cesse momen-tanément; mais les signes physiques p
cela a lieu chez l'adulte, les signes locaux persistent ; bientôt la fièvre reparaît, un état typhoïde s'établit, et des es-c
s, chez lequel les accidents locaux persistèrent après la chute de la fièvre . Plus tard, celle-ci reparut, en prenant le carac
ite d'un catarrhe bronchique, de la rougeole, de la coqueluche, de la fièvre typhoïde. Dans ces derniers temps, Ziemssen 4,
quefois après la rougeole (Bartels), et, suivant M. Charcot, après la fièvre typhoïde, bien que dans ce dernier cas la forme a
té marqué par une affection aiguë ou subaiguë (rougeole, coquelu-che, fièvre typhoïde, bronchite), occupant le lobe inférieur
est alors à cette période clinique qui se carac-térise surtout par la fièvre hectique à son maximum. C'est une fièvre à oscill
carac-térise surtout par la fièvre hectique à son maximum. C'est une fièvre à oscillations ; la température est souvent peu é
Will, dans son article publié en 1875 (Med. Iransï), non seulement la fièvre faisait défaut, mais encore la tempé-rature était
ë ou chronique. C'est elle qui règle l'état général, qui détermine la fièvre ; c'est elle qui pro-duit les cavernes. C'est dan
l ne manquent pas de rapporter les symptômes d'évolution, sur-tout la fièvre , à cet élément broncho-pneumonique. Mais il faudr
ion des cavernes, que les symptômes généraux graves, le summum cle la fièvre se produisent. Les mêmes remarques s'appliquent e
enir; mais son rôle est toujours effacé. Dès la pre-mière période, la fièvre s'installe avec exaspération vespérale qui d'aill
liams); et il est cer-tain, comme Sidney Ringer l'a montré, que cette fièvre peut exister avant tout symptômelocal. D'autres f
cette fièvre peut exister avant tout symptômelocal. D'autres fois la fièvre tombe, disparaît presque complètement en pleine é
ts humides et l'expectoration de fibres élastiques, il y a sans doute fièvre avec exacerbation nocturne, pouvant attein-dre 39
rbation nocturne, pouvant attein-dre 39 degrés au maximum; mais cette fièvre se comprend très bien comme un résultat de la rés
lis. Et puis comment faire intervenir la pneumonie dans les cas où la fièvre n'existe pas, ou à un très faible degré? Quant à
17 ans qui toussait depuis 15 jours seule-ment, lorsqu'il fut pris de fièvre intense et se plaignit d'un point de côté à droit
la variole, la rougeole et la scarlatine, les typhus, la peste et la fièvre jaune, le scorbut et la diphtérite : il faudrait
lleurs, d'autres taches sur le tégu-ment externe; il n'a jamais eu de fièvres intermittentes et n'a jamais habité de pays où ce
mais eu de fièvres intermittentes et n'a jamais habité de pays où ces fièvres sont endémiques ; il n'a jamais éprouvé aucun phé
ble. Le malade assure qu'il n'éprouve jamais le moin-dre mouvement de fièvre . Respiration tout à fait normale; raison-nance no
caractères des rates devenues volumineuses dans le cours de certaines fièvres pa-ludéennes. La percussion pratiquée en suivant
les voit habituellement se manifester dans le cours où à la suite des fièvres intermittentes, et leur étude devra peut-être, un
substance corticale du cerveau, chez les individus qui succombent aux fièvres intermittentes; Billard3 et R. Bright4, avaient r
ntaient, à un haut degré, l'altération pigmentaire. L'existence de la fièvre intermittente ne se trouve pas notée parmi les an
es dans le sang d'un homme qui était devenu hydropique à la suite de» fièvres intermittentes prolongées : la rate et le foie co
t dans la rate, le foie et les glandes mésentéri-ques, à la suite des fièvres intermittentes. — Dans un second travail, Meckel8
te entreelle et les maladies paludéennes. — 1 Bailly. — Traité (tes fièvres intermittentes. Paris, 1825. 2 Traité des fièvr
ly. — Traité (tes fièvres intermittentes. Paris, 1825. 2 Traité des fièvres ou irritations spinales intermittentes. Paris, 18
est toujours indiquée d'une manière très incomplète. — L'épidémie de fièvres intermittentes qui a sévi en Silésie pendant l'ét
p. 43. un jour ou 1 autre, principalement dans les contrées ou Jes fièvres intermittentes régnent d'une manière endémique. C
toute particulière chez les individus qui ont succombé à la suite de fièvres intermittentes malignes. Mais c'était là un fait
se développe à peu près exclusivement dans le cours où à la suite des fièvres intermittentes; c'est là un point sur lequel s'ac
ujet. On l'a bien quelquefois rencontrée dans des circonstances où la fièvre d'accès n'avait pas été notée parmi les antécéden
ltération pigmentaire constituerait une complica-tion fréquente de la fièvre intermittente, au moins dans cer-taines épidémies
cependant, la rate aurait acquis un volume considérable à la suite de fièvres intermit-tentes prolongées. Dans l'épidémie qui a
s l'épidémie qui a été pour Frerichs l'occasion de ses recherches, la fièvre était le plus souvent de type quotidien ou tierce
sence. Planer a rencontré plusieurs cas de celte espèce : toujours la fièvre intermittente, lorsque son existence avait été si
modifiant plus ou moins profondément, aux symptômes accoutumés de la fièvre inter-mittente simple ou maligne; d'autres fois,
ra-tions pigmentaires de l'encéphale viennent compliquer les accès de fièvre intermittente, on comprend, à priori, combien il
, s'ils tendent à revêtir le type rémittent ou décidément continu, la fièvre aussi affecte les mêmes allures. — Tel est, en
dapter parfaitement et de tous points à la des-cription classique des fièvres comateuses, apoplectiques, lé-thargiques, épilepl
évidemment acces-soire. Ce point litigieux naguère de l'histoire des fièvres perni-cieuses a été, ce nous semble, complètement
se unique qui détermine la production des troubles cérébraux dans les fièvres céphaliques ; elle n'existe pas dans tous les cas
ues ; elle n'existe pas dans tous les cas ; on la rencontre clans des fièvres où les troubles cérébraux i Dans deux cas de fi
ntre clans des fièvres où les troubles cérébraux i Dans deux cas de fièvre soporeusc, mais plutôt rémittente qu'intermit-ten
degré, une certaine part dans la production de quelques accidents des fièvres coma-teuses. L'obstacle qu'une pareille lésion ap
elle pas, dans quelques cas au moins, la cause qui fait que certaines fièvres soporeuses résistent parfois dès l'origine à l'em
on cérébrale se montre, comme il a été dit, indépendante des accès de fièvre intermittente ; elle peut i Voir à ce sujet : J
ermittente ; elle peut i Voir à ce sujet : Jacquot, Mémoire sur les fièvres comateuses, etc., obs. III, p. 15, 1849, et Gazet
s 2, d'une sorte d'aliénation mentale qui surviendrait à la suite des fièvres intermittentes prolongées ; cette observation de
oubles intellectuels durables se sont développés consécutivement à la fièvre inter-mittente. Un de ces cas est relatif à une d
est relatif à une dame âgée de qua-rante ans et qui avait éprouvé une fièvre quotidienne sopo-reuse ; elle était tombée, à la
ièvre quotidienne sopo-reuse ; elle était tombée, à la suite de cette fièvre , dans une sorte de démence qui, deux mois après l
veloppée, mais qui devint complètement idiote après avoir éprouvé une fièvre tierce de forme côphalique. Les troubles cérébrau
cursion qu'il fit en Pologne, dans une contrée où régnaient alors des fièvres intermittentes graves ; ils ne sontpas présentés
us nous contenterons de les avoir indiqués. Valbuminurie, liée à la fièvre intermittente, est quelquefois passagère : elle a
ment, lors des intermissions, et cesse d'exister au moment même où la fièvre est guérie ou peu de temps après la guérison. Les
es causes organiques de cette albuminurie persistante qui succède aux fièvres d'accès? Planer et Frerichs ont recueilli un cert
des cas d'hydropisie avec urine coagulable, développée à la suite de fièvres intermittentes prolongées, qui se comportaient à
les hémoptysies, l'œdème pulmonaire, qui accompagnent quelquefois la fièvre intermit-tente ou lui succèdent. — Les noyaux inf
57, p. 387. huerait à fixer le diagnostic dans les cas douleux : la fièvre in-termittente est signalée dans l'étiologie de l
—Antécédents: oppression, palpitations et. toux datant de Venfance. — Fièvres intermittentes. — Excès alcooliques et fatigues.
s du service militaire. Pendant le séjour en Afrique il contracte une fièvre intermittente de type tierce, qui se produit à pl
pontanées n'ont fait que s'accroître ; cependant il n'y a à no-ter ni fièvres , ni sueurs nocturnes, ni amaigrissement, ni hémop
s'y forme un abondant dépôt d'albumine. Le malade n'éprouve pas de fièvre le soir; il n'a pas de sueurs-tiocturnes. Sa peau
agne d'un ensemble de symptômes rappelant ceux qu'on observe dans les fièvres typhoïdes ou dans l'affection purulente et qui se
s les apparences d'une affec-tion typhoïde au début: il y avait de la fièvre ; faciès abattu, langue chargée d'un enduit jaunât
suile de fatigues excessives, pendant une grave maladie de sa femme ( fièvre typhoïde) est pris de frisson, de courbature et d
des symptômes qui paraissent prédominants; ils semblent indiquer une fièvre ty-phoïde commençante. Toutefois, on est surpris
iniâtre. On commence à soupçonner qu'il ne s'agit pas d'une véritable fièvre typhoïde, et, enfin, le quatrième jour après l'en
in dans ses ramifications. Obs. V. —Primipare; accouchement facile; fièvre et douleurs dans le bas-ventre pendant les quatre
ccou-chement. Le cinquième jour, à la suite d'émissions sanguines, la fièvre et la douleur avaient diminué; le soir, accès de
homme vigoureux entre à la Charité de Berlin, atteint en apparence de fièvre rheumatique. Il se plaignait de douleurs dans la
e. L'aus-culation de la poitrine ne fait rien découvrir d'anormal. La fièvre tombe six jours après, à la suite d'un traitement
nférieurs, peut survenir dans le cours, mais surtout à la suite de la fièvre typhoïde. Suivant le professeur ïluss3, 1 Kling
XL — Une fille de vingt-trois ans, chlorotique, était atteinte d'une fièvre typhoïde latente, ainsi que l'a révélé l'au-topsi
ômes, une douleur vive dans la région sacro-iliaque gauche. Frissons, fièvre , courba-ture, constipation, pesanteur de tête. To
ris dans ce tissu induré *, Obs. XII. — Garçon de vingt-quatre ans. Fièvre typhoïde assez grave. Le malade paraît convalesce
i rattachait aux phlegmasies de cette espèce le plus grand nombre des fièvres , apportèrent à l'étude de ces questions un intérê
aires, et les travaux de M. Louis en ont démontré l'existence dans la fièvre ty-phoïde et les maladies qui s'accompagnent d'un
-sion caractérisée par du malaise, de la dyspnée, des frissons, de la fièvre , et quelquefois par un œdème parliel, et des brui
bdominales sont de-venues de plus en plus violentes. Il y a un peu de fièvre et de l'inappétence; le malade ne veut plus quitt
aire. Ces phénomènes locaux, coïncidant avec une exacerbation de la fièvre , font songer à une pneumonie, et une saignée géné
qui, après un début brusque par du fris-son, du point de côté, de la fièvre , et quoique ayant présenté des signes stéthoscopi
llègue M. Marrotte, a décrits, il y a quelques années, sous le nom de fièvre synoque péri-pneumonique. A la suite de la lect
, 261; — expectoration des -, 265, 272. Fibres de Reissessen, 31. Fièvre intermittente, ?27; — épi-démie de —, 328, 337; —
la —, 344; — dyspnée, hémoptysie, œdème pulmonaire dans la —, 345. Fièvre hectique, 148, 264, 265 ; — dans la phtisie, 250,
45. Fièvre hectique, 148, 264, 265 ; — dans la phtisie, 250, 263. Fièvre synoque, 632. Fissures du l'oie, 83. Foie, es
'—), 330. Hématose,19. Hémiplégie, 313. Hkmoptysies, 155; — dans la fièvre intermittente, 3*5; — dans les anévrismes de l'ao
dans la —, 332; — reins dans la —, 333: — étiolo-gie, 335; — dans les fièvres in-termittentes, 336; — symptômes céphaliques, 33
nterstitielle, 76, 89 ; — parenchymateuse, 77; — albumi-neuse,dans la fièvre intermittente, 344. Nodules péribronchiques, 10
dans les anévrismes de l'aorte, 503. Œdème pulmonaire, 64; —dans la fièvre intermittente, 345. Ophthalmies dans l'endocard
nces du —, 515. Péripneumonie, 167; — chronique ulcéreuse, 112; — fièvre , 632. Phénomènes ataxiques dans les kys-tes pur
7 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
le trouve dans l'état suivant : face pâle, yeux fixes, carphologie, fièvre intense, pouls à 115, respi- ration stertoreuse
MANIFESTATIONS MÉNINGITIQUES DES OREILLONS. 5 puis il survient une fièvre ardente avec délire, carpho- logie, vomissement
Laveran, où l'état général était si grave qu'on hésitait entre une fièvre typhoïde et une méningite, lorsqu'on découvrit
REILLONS. 7 Il paraissait guéri lorsque survinrent du délire, de la fièvre et, le lendemain, une orchite. A partir de ce m
la fièvre et, le lendemain, une orchite. A partir de ce moment, la fièvre au lieu de céder augmente considérablement et a
e d'une parotidite double fugace. L'orchite rétrocède dès le 29, la fièvre ayant atteint son apogée (41°,ts) le 28 mai; l'
de moyenne intensité a les plus grandes analogies avec celui de la fièvre typhoïde ; il est plus ou moins professionnel e
if vive, constipation; le ventre est manifestement ré- tracté. La fièvre est assez marquée, 39°, le matin, 39°,la le soir;
lité est très appréciable, quoique encore imparfait. Cependant la fièvre est toujours notable, 38°, 8 le matin, 39°, 5 le
'hémiplégie droite et d'aphasie survenues chez un malade atteint de fièvre typhoïde, M. Vulpian en a admis la possibilité.
2 Vulpian. 0<)'K(;< ! 07tde<'ay ? e ? eKtte gauche dans la fièvre typhoïde (Reu. dernéd., févr. 88 ? ). MANIFES
ie faciale gauche, non plus que des phéno- mènes divers tels que la fièvre , les vomissements, l'anesthésie, les phénomènes
iquer tous par une lésion de la protubérance. Tous ces symptômes, fièvre , vomissements, consti- pation, ralentissement r
leurs névralgiques en différents points du corps. Il n'y a pas de fièvre à proprement parler, mais seulement une légère
. Les commémoratifs font mention de l'ivrognerie depuis 1869, d'une fièvre typhoïde en 1869, de fièvre intermittente en 18
tion de l'ivrognerie depuis 1869, d'une fièvre typhoïde en 1869, de fièvre intermittente en 1870, d'une intoxication grave
on puisse constater sûrement de cause particulière. Stade initial : fièvre , vomisse- ments, convulsions, pouvant d'ailleur
questions orales ont été : Il des symptômes et complications de la fièvre scarlatine; 2° des fractures de côtes. Les questi
CHE ET RECONNAISSANT COMME INFLUENCE PATHOGÉNIQUE IMPORTANTE' UNE FIÈVRE SAISONNIÈRE ; Par le D, A. Ai.1111ET, agrégé.
nfin qu'avait eue, dans la réalisation de l'aliénation mentale, une fièvre saisonnière, cause qui ne figure pas jusqu'à pr
auditif peuvent donner lieu à la folie ? Comment enfin avait agi la fièvre saisonnière pour produire l'a- liénation mental
nt de l'intelligence, semblent indiquer l'exis- aliénation mentale; FIÈVRE catarrhale. 131 tence d'une paralysie générale
la perte de l'appétit, bref, par tous les symptômes ordinaires delà fièvre catarrhale, si fréquente dans notre région médi
iterranéenne, surtout à cette époque de l'année. La nature de cette fièvre nous fut d'ailleurs confirmée par le médecin tr
s-nous, était depuis quatre ou cinqjours, sous l'influence de cette fièvre , lorsqu'on vint lui annoncer que son beau-frère
ble avoir été un simple accident. En résumé, pendant le cours d'une fièvre saisonnière, et consécutivement à une émotion m
u encore pendant le cours ou à la fin d'une maladie aiguë, comme la fièvre typhoïde, le rhumatisme, etc. Dans le cas de
consécutif à un refroidissement, sous l'influence d'une vulgaire fièvre saisonnière, revêtant les caractères de DE L'AL
nière, revêtant les caractères de DE L'ALIÉNATION MENTALE. 139 la fièvre catarrhale si fréquente sur notre littoral mé-
e catarrhale si fréquente sur notre littoral mé- diterranéen. Cette fièvre que caractérise principalement l'élément fluxio
on, et qui, sous ce rapport, a une très grande ressemblance avec la fièvre rhumatismale, exis- tait chez B... sans détermi
B... sans détermination locale. Mais constater l'existence de cette fièvre au moment de l'application de la cause émotion
nous permettre d'établir une relation de cause à effet entre cette fièvre et la réalisation de l'aliénation. mentale. Si
tale. Si certaines maladies aiguës, le rhumatisme, la pneumonie, la fièvre typhoïde, etc., etc., sont aujourd'hui communém
pou- vant être des causes de folie, il n'en est pas de, même des fièvres saisonnières ; qu'on désigne ces fièvres sous l
n'en est pas de, même des fièvres saisonnières ; qu'on désigne ces fièvres sous les noms de fièvre éphémère, de fièvre cat
s fièvres saisonnières ; qu'on désigne ces fièvres sous les noms de fièvre éphémère, de fièvre catarrhale, de fièvre gastr
es ; qu'on désigne ces fièvres sous les noms de fièvre éphémère, de fièvre catarrhale, de fièvre gastrique, etc., peu m'im
ièvres sous les noms de fièvre éphémère, de fièvre catarrhale, de fièvre gastrique, etc., peu m'importe. Aussi, pour que
d'une manière qui me paraît absolument indubitable, le rôle de la fièvre saisonnière dont était affecté B... DE L'ALIÉNA
que l'élément fluxion qui est un des éléments constitutifs de cette fièvre et qui était resté jusqu'alors sans déterminati
e cause que ces lésions et est de même nature qu'elles; enfin,- une fièvre saisonnière a joué un rôle pathogénique importa
ntale de B... reconnaît comme influence pathogénique importante une fièvre saisonnière . En attribuant dans la pathogénie
attribuant dans la pathogénie de l'aliénation mentale de B..., à la fièvre saisonnière dont ce mal 1 J.-A. Ormerod.0 ! t'j
auteurs modernes sont absolument muets pour ce qui con- cerne la fièvre saisonnière. Esquirol, lui-même, ce grand clini
grand clinicien, n'en parle pas. Bien qu'il signale, en effet, la fièvre gastrique, comme pouvant marquer le début de la
la manie, il n'attache aucune relation de cause à effet entre cette fièvre et la folie; pas plus, il est vrai, qu'entre ce
e et la folie; pas plus, il est vrai, qu'entre cette dernière et la fièvre typhoïde, dont l'influence pathogénique est cep
ngestion cérébrale avec des convul sions épileptiformes, tantôt une fièvre gastrique, ou une fièvre typhoïde, tantôt une p
convul sions épileptiformes, tantôt une fièvre gastrique, ou une fièvre typhoïde, tantôt une phlegmasie. » Cependant le
dmettaient une relation étiologique possible, entre les différentes fièvres saisonnières ou autres et l'aliénation mentale.
érentes fièvres saisonnières ou autres et l'aliénation mentale. Ces fièvres donnent lieu d'abord à un délire aigu, à la phr
ang trop aqueux, qui, depuis quelques jours déjà, avait un peu de fièvre , l'humeur fâcheuse, des lassitudes, moins d'appét
disait beaucoup de choses hors de propos. On aurait pu prédire une fièvre intermittente. Tels furent les commencements de
a maladie. La malade allait et venait, mais avec peine. Enfin, la fièvre et le délire étant moins équivoques, on la conf
pus la guérir. Je me chargeai donc de cette malade qui avait de la fièvre et un délire tranquille. Mais après deux saigné
et l'usage prolongé de doux laxatifs, le délire devint furieux. La fièvre , qui d'abord n'était pas considérable, parut al
e la circulation qu'ils occasionnaient. Jugeant donc la malade sans fièvre , et voyant un délire con- tinuel, furieux, dure
me des auteurs modernes, relativement à l'influence étiologique des fièvres sai- sonnières sur le développement de l'aliéna
nfluence, on nous trouvera peut-être hardi d'avoir fait jouer à une fièvre de cet ordre le rôle qu'on sait dans la pathogé
thogénie de l'aliénation mentale de B... Et si on songe que cette fièvre n'a pas par elle-même, c'est-à-dire de par sa n
s, notre hardiesse paraîtra encore plus grande. Je sais bien que la fièvre catarrhale peut atteindre le cerveau. Il y a lo
LIÉNATION MENTALE. 153 leur existence. Mais ces localisations de la fièvre catarrhale du côté du cerveau ne se font que da
as hésité chez notre malade à accuser l'ac- tion pathogénique de la fièvre saisonnière dont il était atteint. C'est que, d
on élargit le point de vue; quand on envisage non plus seulement la fièvre saisonnière comme cause de folie, mais les mala
se est plus apparente que réelle. , Le rhumatisme articulaire, la fièvre typhoïde, la fièvre intermittente, la pneumonie
que réelle. , Le rhumatisme articulaire, la fièvre typhoïde, la fièvre intermittente, la pneumonie, etc., etc., sont t
semblables; ainsi, à la suite du rhumatisme comme à la suite de la fièvre typhoïde et de la fièvre intermit- tente, etc.,
suite du rhumatisme comme à la suite de la fièvre typhoïde et de la fièvre intermit- tente, etc., peuvent apparaître des t
t élément fluxion est un des éléments constitutifs essentiels de la fièvre saisonnière dont était atteint B... ; et si, d'
te prise au hasard parmi d'autres l'influence pathogénique de cette fièvre saisonnière s'explique parfaitement. M... (Je
excitation et agitation extrêmes, incohérence absolue. Il y a de la fièvre , la peau est chaude; le pouls est fréquent, à 1
; constipation. Pendant quinze jours, l'excitation ma- niaque et la fièvre se soutiennent sans aucune rémission ; ce ne fu
e les choses d'un point de vue un peu général, le rôle qu'a joué la fièvre saisonnière dans le développement de l'aliénati
B... s'ex- plique donc tout naturellement. Seulement, comme cette fièvre n'a de par sa nature, que très peu de ten- danc
'aliénation mentale d'une cause jusqu'à présent non indiquée, de la fièvre saisonnière. PATHOLOGIE NERVEUSE DU TABES C
les jours avec rapidité. Je le trouvai souffrant en apparence d'une fièvre intermittente régulière, frissons suivis de fiè
apparence d'une fièvre intermittente régulière, frissons suivis de fièvre et de sueurs. Il avait été forte- ment purgé et
ller à Nassau. Pendant son séjour là-bas il fut repris de frissons, fièvre et sueurs qui se montrèrent rebelles à de forte
u tous les jours. Il revint a New- York le 15 avril et les accès de fièvre nettement intermittents furent les principaux p
; et il me vint enfin à 204 PATHOLOGIE NERVEUSE. l'idée que cette fièvre intermittente rebelle, irrégulière, était aussi
cédents personnels : pas de convulsions en enfance ; à treize mois, fièvres paludéennes régnant endémiquement à Rochefort-
udéennes régnant endémiquement à Rochefort- su-àler; à quinze mois, fièvre typhique ; à trois ans, rougeole régulière et,
biles. Ces arthrites du- rèrent trois semaines, s'accompagnèrent de fièvre et donnèrent lieu à la production de craquement
moro-tibiales, les hanches et les pieds se prennent à leur tour, la fièvre est plus intense, la malade est oppressée; elle
e poignet gau- ches un peu gonflés. Les genoux ne sont pas gonflés. Fièvre pas très élevée, abattement; bruits cardiaques
mes de plus et que les phénomènes généraux sont proportionnels à la fièvre . La malade est d'abord couchée. 10 léthargie :
nte avec périodes de sopor de plus en plus marquées ; par là-dessus fièvre avec accélération caractéristique du pouls. Dès
la face et du bras du côté gauche présentent des intermittences; la fièvre et la fréquence du pouls augmentent progressive
ux enfants atteints de scarlatine, M. Loehr a trouvé, à la phase de fièvre éle- vée, une forte réaction au perchlorure de
perforée ; on ne la ponctionne pas. La plaie guérit sans presque de fièvre . Le malade s'en re- tourne chez lui, débarrassé
e Landry, Un jeune homme de vingt-deux ans aurait été atteint d'une fièvre modérée (n'ayant pas dépassé 39°); puis, soudai
sie, nul trouble de la.défécation. Puis, pendant quelques jours, la fièvre décroît tandis que la pa- ralysie envahit les e
re des accès de manie transitoire dans le cours de maladies aiguës ( fièvre typhoide, scarlatine, 312 SOCIETES SAVANTES.
épilepsie, ménin- 320 SOCIÉTÉS SAVANTES. gîte) occasionnent de la fièvre , et la constatation d'alcool dans les cadavres,
janvier 1884, époque à laquelle il fut atteint d'une bronchite avec fièvre qui nécessita son entrée à l'hôpital du Val-de-
pectoration muco-puru- lente fatiguent le malade. Le 4 juillet la fièvre s'allume, la toux s'exagère; il s'est produit a
réquentes (sept dans une nuit). Elle présente de l'agitation, de la fièvre et du délire. Quinze jours après, sa mère la reti
s, faux besoins de défécation, moeléna et état catarrhal. -- Pas de fièvre . Douleurs abdominales géné- ralisées. Pas de co
8 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
lus de quelques septénaires. » Il distingue des abcès consécutifs aux fièvres typhoïde, scarlatine, variole, dont Morgagni, Pou
iale, sa symptomatologie, une entité morbide distincte, tout comme la fièvre typhoïde, la coqueluche, les fièvres éruptives, e
morbide distincte, tout comme la fièvre typhoïde, la coqueluche, les fièvres éruptives, etc. Telle est la voie suivie depuis 1
me de grappes. Observation III. — Ataxie locomotrice progressive. — Fièvres intermittentes. — Chlorose. — Douleurs vagues dan
e ni gourmes, ni accidents cou-vulsifs. Pâles couleurs à 16 ans, puis fièvres intermittentes reve-nant, au début, tous les deux
abord. Quelle est la cause des épidémies puerpérales? Existe-t-il une fièvre puerpérale, pouvant rendre compte de tous les fai
endre compte de tous les faits morbides ob-servés? — La théorie de la fièvre puerpérale, admise généralement au siècle dernier
es à même d'observer. Cette doctrine dif-fère en effet de celle de la fièvre puerpérale par un point capital : c'est qu'elle d
les trois phases par lesquelles a passé le malade : Première phase. Fièvre traumatique : ascension rapide de la tem-pérature
ouver un type plus par-fait de tétanos à forme apyrétique, puisque la fièvre traumatique préexistante tombe le jour même où ap
uccède à certaines maladies graves, variole-, rougeole, scarlatine, fièvre typhoïde, et dans lequel on voit survenir des méd
es. » M. Roser a donné à cette hypothèse un développement extrême. Sa fièvre pseudo-rhumatismale des adolescents est une malad
, selon moi, parce que le pus provenant d'un organisme épuisé par une fièvre grave s'altère facilement et fournit des matériau
oisonnement secondaire. M. Bceckel, avec Roser, est plus net : « La fièvre est causée par la résorption des liquides septiqu
de 19 ans tombe sur l'épaule gauche. Douleur très-vive. Le lendemain, fièvre , puis état ty-phoïde. Mort. (Ch. Martin, Thèse, P
ent tiraillé en amenant à lui un sac de poudre-Le soir, douleur, puis fièvre intense. (Chipault.) Ou bien ce sont des fatigu
genou gauche. 2 M. Bail cite un malade chez lequel il y avait de la fièvre (120 puis.) et quel-ques douleurs vagues sur d'au
obs. II, p. 7.) Or le seul symptôme donné, ici, comme symptôme de la fièvre , c'est-à-dire la fréquence du pouls, n'a pas, du
de l'a-taxie locomotrice progressive, 1808, p. 47.) La réalité de la fièvre n'st pas dé-montrée; les renseignements n'ont pas
re sont-ils inconstants, on ne remarque aucun signe précurseur, et la fièvre , douteuse pour nous, n'aurait été indiquée que d'
correspondant. Si, comme dans l'arthropathie, il n'y a ni rougeur ni fièvre , en revanche les mouvements sont souvent dou-lour
communications de M. Hayem sur les hémorrhagies musculaires dans les fièvres graves, sur la stéatose aiguë des muscles dans la
convulsions. {• a duré 5 ans, engelures aux pieds) et à 7 ans, une fièvre intermit-tente. — Eile est devenue propre à 2 ans
nné dans l'organisme par 1 état de mal éclamptique, mais encore de la fièvre de lait, puis d'une pneumonie. L'état de mal éc
l'empoisonnement urémique. Il y a là une condition qui ressemble à la fièvre et est même décrite comme telle, mais qui en diff
e dénutrition vont impressionner les divers organes et déterminer une fièvre dite inflammatoire, fièvre inflammatoire qui vari
onner les divers organes et déterminer une fièvre dite inflammatoire, fièvre inflammatoire qui varie beau-coup dans ses caract
et de notre observation; la troisième est morte à dix-huit ans, d'une fièvre typhoïde (?); elle était nerveuse ; enfin le quat
bonne heure; ni convulsions, ni scrofules. — A sept ans, D... eut une fièvre cérébrale (?) dans le cours de laquelle on lui au
tique, nous voyons la plupart des opérés avoir eu des frissons ou une fièvre plus ou moins légère dans les premiers temps qui
sanglante : la douleur, l'hémorrhagie, l'inflammation de la plaie, la fièvre ; les autres au contraire sont sous la dépendance
que l'on rencontre dans la forme aiguë. Dans cette dernière, outre la fièvre et les troubles menstruels, on note des symptômes
teinte d'une varioloïde assez grave1, et, deux ans plus tard, d'une « fièvre muqueuse, » qui la confina au lit pendant quatre
us souvent on incise dès que la fluctuation apparaît. Dans ce cas, la fièvre peut tomber immédiatement et la plaie se refermer
é sur une appréciation exacte des phé-nomènes généraux et locaux. Une fièvre inflammatoire, si vive qu'elle soit, n'entraîne p
tivement dirigés vers un service de médecine comme atteints tantôt de fièvre typhoïde, tantôt de rhumatisme aigu, et il leur e
r. Deux maladies surtout sont signalées par les observateurs : — la fièvre typhoïde, — le rhumatisme aigu. M. Giraldès y ajo
vre typhoïde, — le rhumatisme aigu. M. Giraldès y ajoute le début des fièvres éruptives. Pour éviter l'erreur, le grand point
fuligineuses ; il marmotte des mots inin-telligibles, délire, a de la fièvre , etc. A un examen superficiel, l'er-reur est poss
rchera. Dans un autre groupe de faits, on voit un enfant atteint de fièvre intense, immobile dans son lit, se plaignant souv
sion, il se développe une douleur vive dans l'hypochondre gauche; une fièvre intense survient ; l'adynamie propre aux suppurat
la même nuit. Souvent ce sont toutes les phases d'un violent accès de fièvre , froid, chaleur, sueur, abattement général, qui d
hatique. Aussi j'ai vu souvent survenir après des refroidissements la fièvre caractéristique qui marque le moment où le calcul
iis, in opéra medica. Stoll. — Ratio medendi. Baii.lv. — Traité des fièvres intermittentes, 1825. Billard. — Archives général
s s'expliquent assez nettement par les lésions. V. Etiologie. — Les fièvres d'origine palustre, intermittentes, ré- REVUE P
ns thérapeutiques spéciales. Son traitement se confond avec celui des fièvres intermittentes vulgaires ou pernicieuses et avec
pidémique suivant une marche forcée et se comportant à la manière des fièvres éruptives, quoiqu'il ne soit pas une fièvre érup-
portant à la manière des fièvres éruptives, quoiqu'il ne soit pas une fièvre érup-tive vraie; il nous montre le traitement cur
Pagliari, et le.malade est porté dans son lit. 6 octobre. — Pas de fièvre , point d'hémorrhagie. il octobre. — La plaie se
ris, 1853). Nepple. — Lettres sur l'engorgement de la rate dans les fièvres in-termittentes (Gazette médicale de Paris, 1833)
de Paris, 1833). Pezerat. — Mémoire sur l'état de la rate dans les fièvres périodi-ques. Nivet. — Recherches sur l'engorge
ger sur les maladies de la rate, ainsi que les différents traités des fièvres intermittentes. On consultera aussi avec fruit le
dans un cer-tain nombre de maladies fébriles ou infectieuses, dans la fièvre ty-phoïde, dans la fièvre intermittente, dans la
maladies fébriles ou infectieuses, dans la fièvre ty-phoïde, dans la fièvre intermittente, dans la lièvre puerpérale, dans la
ntermittente, dans la lièvre puerpérale, dans la septicémie, dans les fièvres exanthématiques ; 2° dans les anoma-lies menstrue
s nous arrêter quelques instants sur la congestion produite par les fièvres infectieuses, intermittentes ou autres. D'une man
s éléments vasculaires. Quant au gonflement delà rate dans l'accès de fièvre intermittente, on a cherché à l'expliquer encore
tion de cet organe même pendant les infections de malaria exemptes de fièvre » (Niemeyer). —À côté de ces causes d'engorge-men
ongestion de la rate. Il faudra donc porter son investigation sur les fièvres , intermittentes ou autres, puisque c'est là une d
gestion de la rate varient suivant la cause qui les produit ; dans la fièvre typhoïde, dans le typhus, dans les exanthèmes féb
nguine, ou encore dans les hy-pérémies fluxionnaires produites par la fièvre intermittente, il peut en être autrement ; la con
'inflammation ; quant au ramollisse-ment, on le trouve dans certaines fièvres pernicieuses, dans le char-bon, etc. Si, cependan
; l'hypochondre gauche est tendu, douloureux. — 11 y a de la soif, la fièvre est forte, continue, par accès qui tendent à se r
intenses, les symptômes aigus s'amendent au bout de 7 ou 8 jours ; la fièvre tombe, la douleur disparaît. Cette, époque paraît
prévoir l'existence de ces collections ; ces cas sont rares. , Les fièvres paludéennes peuvent-elles produire l'inflammation
ncipalement : Bailly. — Observations de rupture de la rate dans les fièvres inter-mittentes. (Revue médicale, t. IV, p. 24, 1
avec soin si le malade a vécu dans un pays marécageux, s'il a eu des fièvres d'accès ou la fièvre typhoïde, s'il a fait des ex
e a vécu dans un pays marécageux, s'il a eu des fièvres d'accès ou la fièvre typhoïde, s'il a fait des excès alcooliques. Il n
9 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
non de frisson; un dépérissement rapide, un état assez analogue à la fièvre dite de résorption; j'en ai vu qu'on accusait de
ue c'était la rate indurée ; mais le malade n'avait pas eu d'accès de fièvre depuis vingt ans, époque k laquelle il avait été
de fièvre depuis vingt ans, époque k laquelle il avait été pris d'une fièvre intermittente qui dura six mois. Alors, palpant d
de quelquefois si cette malade serait dans la catégorie de ces cas de fièvre rémittente (et j'en possède plusieurs exemples re
apprenant absolument rien, j'en conclus que nous avions affaire à une fièvre pernicieuse ; l'intermittence, observée par M. le
die. Cette splénite a-t-elle été la cause, a-t-elle été l'effet de la fièvre ? Elle me paraît cause au même titre que la pneumo
èvre? Elle me paraît cause au même titre que la pneumonie l'est de la fièvre pneumonique. Toutes les maladies de la rate que j
ce des fonctions de cet organe ; et, si dans les premiers accès d'une fièvre intermittente il est permis de douter si la rate
ours avec des adhérences. J'ai connu des individus qui, à la suite de fièvres intermittentes, avaient conservé une gêne dans la
j'ai pu m'assurer qu'une grande source de ces variétés était dans des fièvres intermittentes antérieurement éprouvées. La flu
guine sur la rate qui accompagne, si toutefois elle ne produit pas la fièvre intermittente, a donc beaucoup de points de conta
xion inflammatoire, et cette analogie est d'autant plus grande que la fièvre se rapproche davantage du type quotidien et surto
surtout du type rémittent : si dans ce cas on ne se hâte d'arrêter la fièvre , non point par de faibles doses, mais par de fort
doses, mais par de fortes doses de fébrifuge, bien loin d'enlever la fièvre , c'est-à-dire d'après ma manière de voir, la disp
mauvaise éducation pratique. Il y a une différence énorme entre une fièvre continue primitive et une fièvre continue suite d
y a une différence énorme entre une fièvre continue primitive et une fièvre continue suite de fièvre intermittente inutilemen
e entre une fièvre continue primitive et une fièvre continue suite de fièvre intermittente inutilement et mollement combattue.
ntact pour la déchirer. M. le docteur Bally, dans son ouvrage sur les fièvres pernicieuses observées à l'hôpital Saint-Esprit d
si que nous lisons, dans les recueils d'observations, des exemples de fièvres adyna-miques, d'entérites et autres maladies aigu
phatique, épuisée par des chagrins de toute espèce, éprouve un peu de fièvre le 10 août, se plaint le n d'une lassitude généra
ue des symptômes alarmans me font penser que nous avons affaire à une fièvre rémittente pernicieuse : et en effet, le soir, il
r sur ce point que deux opinions. Était-ce une gastrite? Était-ce une fièvre rémittente pernicieuse syncopale? Dans tous les c
régulières, toutes ces circonstances faisaient pencher du côté de la fièvre rémittente. Et, d'un autre côté, l'inutilité du q
smes non-équivoques, les sueurs régulières m'amenèrent à l'idée d'une fièvre rémittente. L'insuccès du quinquina doit-il faire
à cette même époque, dans un rayon très-considérable, une épidémie de fièvres rémittentes très-graves, dont plusieurs présentèr
endant le frisson ou au moment de l'invasion sans froid des accès des fièvres rémittentes, sont extrêmement nuisibles. Nous avo
ujours l'observation d'une jeune fille âgée de seize ans, affectée de fièvre rémittente avec prostration des forces, sécheress
it au troisième jour de la maladie qui avait débuté par deux accès de fièvre tierce avant de devenir rémittente. Une douleur v
ateux. De nouvelles questions me donnèrent la certitude qu'il y avait fièvre rémittente , que les paroxysmes ou plutôt les acc
r. D'ailleurs la face est altérée, jaune paille, comme à la suite des fièvres rémittentes ou intermittentes de longue durée ou
attaque d epilepsie, il fut pris immédiatement après d'oppression, de fièvre , et de crache-mens de sang qui se renouvelèrent à
a périodicité de ce symptôme appellent toute mon attention; c'est une fièvre pernicieuse algide. Dix grains de sulfate de quin
ervice de M. Fouquier) le i4, dans l'état suivant : dévoiement; soif; fièvre *, grande maigreur : les articulations fixèrent pr
culaires et les symptômes fébriles; le dévoiement persista ; bientôt, fièvre , vomissemens; mort le i5 juillet dans le marasme.
itue une des formes les plus redoutables et les plus fréquentes de la fièvre puerpérale, mot vague appliqué à toutes les phleg
ens distingués qui ont admis que le caractère anatomique constant des fièvres typhoïdes est l'altération des follicules de l'in
douleur a la gorge; déglutition et articulation des sons difficiles. Fièvre . L'exploration de l'arrière-bouche fait reconnaît
queux. Un jeune homme convalescent d'une entérite folliculaire aiguë ( fièvre typhoïde), est pris tout-à-coup de raucité dans l
rs de la Maison royale de santé, où il était resté deux mois pour une fièvre putride, se présenta à l'hôpital Cochin dans l'ét
é avec tous les symptômes d'une phthisie laryngée. Dépérissement sans fièvre , voix éteinte; une toux fréquente et rauque amène
discontinué son travail que depuis quinze jours; d'ailleurs, point de fièvre , les poumons paraissent sains : seulement caverne
tre à l'analyse. Après un mois et demi de séjour, elle fut prise de fièvre , de toux, de diarrhée, et succomba un mois après
Hémiplégie incomplète avec rigidité du côté gauche : léger délire : fièvre . Mort le vingt-cinquième jour par suite d'un phle
us le point de vue de l'apoplexie en elle-même, mais sous celui de la fièvre . Prescription : limonade ; douze sangsues à l'a
sarque. Ce n'est pas la première fois que j'observe le délire et la fièvre dans une attaque d'apoplexie pure et simple. L'un
jour, parce qu'on pensait que le malade était sous l'influence d'une fièvre intermittente pernicieuse. il était aisé de pré
t décrite dans ses symptômes parles anciens sous les titres divers de fièvres putride, synoque, putride et non putride, pituite
se, typhoïde; et par l'école de Pinel, sous les noms correspondans de fièvres muqueuse, adynamique, ataxique, ataxo - aclyna-mi
dans de fièvres muqueuse, adynamique, ataxique, ataxo - aclyna-mique, fièvres graves, l'entérite folliculeuse aiguë a été signa
e titre de maladie muqueuse, expression remarquable qui prouve que la fièvre n'était pour eux qu'une forme de maladie. Prost,
ères anatomiques de l'entérite folliculeuse aiguë, sous les titres de fièvres adynamique, gastro-adynamique, ataxique, au premi
s symptômes autour de l'altération organique, sous la dénomination de fièvre entéro-mésentérique, découverte importante qui se
réparé la réforme opérée dans ces derniers temps dans la doctrine des fièvres . Des histoires plus ou moins complètes de cette m
érapeutiques sur la maladie connue sous les noms de gastro-entérite , fièvres typhoïdes, elc. Paris , 1829. 2 vol. in-8. (**)
uis longues années , que les lésions anatomiques qui accompagnent les fièvres graves; et les élèves internes du même temps que
tude doivent se rappeler que, fatigués des dénominations si vagues de fièvres inflammatoire, bilieuse, muqueuse, adynamique, at
flammatoire, bilieuse, muqueuse, adynamique, ataxique, voyant la même fièvre revêtir tour-à-tour ces divers caractères sur les
entendait bien rarement, nous avions pris le parti de les appeler des fièvres intestinales. Ce qui nous embarrassait, c'était l
pathologique , 1816; Avant-propos, pag. XVI, et t. I, pag. 133, art. Fièvres .) Ce qui nous embarrassait encore, c'était la méd
re anatomique le plus constant des maladies décrites sous les noms de fièvres muqueuse, lente nerveuse, bilieuse grave, putride
lésion qui la constitue essentiellement, conserver la dénomination de fièvre inflammatoire ou synoque non putride, de fièvre a
er la dénomination de fièvre inflammatoire ou synoque non putride, de fièvre adynamique, fièvre ataxique, fièvre typhoïde, pou
de fièvre inflammatoire ou synoque non putride, de fièvre adynamique, fièvre ataxique, fièvre typhoïde, pour désigner l'entéri
atoire ou synoque non putride, de fièvre adynamique, fièvre ataxique, fièvre typhoïde, pour désigner l'entérite folliculeuse a
typhoïde, pour désigner l'entérite folliculeuse aiguë; car il est des fièvres inflammatoires adynamiques et ataxiques qui sont
qui correspondent à l'intestin malade sont enflammés, d'où le nom de fièvre entéro-mésen-térique, imposé à cette maladie. Du
qui en ont bien apprécié le siège. MM. Petit et Serres l'ont appelée fièvre entéro-mésentérique boutonneuse. Elle consiste en
à l'inflammation des follicules ; de là sans doute la dénomination de fièvre mésentérique imposée par Baglivi à un certain ord
tion de fièvre mésentérique imposée par Baglivi à un certain ordre de fièvres malignes ; de là l'expression de fièvre entéro-mé
aglivi à un certain ordre de fièvres malignes ; de là l'expression de fièvre entéro-mésentérique de MM. Petit et Serres. Or il
paraît au contraire dominer l'état local, on leur a réservé le nom de fièvres , comme qui dirait fièvres par excellence; l'épith
r l'état local, on leur a réservé le nom de fièvres, comme qui dirait fièvres par excellence; l'épithète de primitives ou essen
est le plus promptement, le plus profondément affecté, d'où le nom de fièvre adynamique (Pinel); les lèvres, les dents et la l
at de prodrome des maladies aiguës à l'état permanent, d'où le nom de fièvre lente nerveuse, qui lui a été imposé par Huxham;
use aiguë, l'état général, que l'on comprend sous le nom collectif de fièvre , est symptomatique au même titre que la fièvre da
us le nom collectif de fièvre, est symptomatique au même titre que la fièvre dans les maladies éruptives, que la fièvre dans l
tique au même titre que la fièvre dans les maladies éruptives, que la fièvre dans la pneumonie et la pleurésie. XXIII. Dans
scarlatine, rougeole, certes ce n'est pas l'éruption qui gouverne la fièvre , mais la fièvre qui gouverne l'éruption; il serai
geole, certes ce n'est pas l'éruption qui gouverne la fièvre, mais la fièvre qui gouverne l'éruption; il serait absurde de dir
s la fièvre qui gouverne l'éruption; il serait absurde de dire que la fièvre morbilleuse', ou varioleuse, ou scarlatineuse, es
individu s'expose à une suppression de transpiration ; il est pris de fièvre immédiatement ou quelques jours après? Y a-t-il d
quatre heures, et quelquefois deux jours, trois jours après ; donc la fièvre n'est pas symptomatique de cette pneumonie, de ce
cette pneumonie, de cette pleurésie, de cet érysipèle? Et lorsque la fièvre vient à tomber, croyez-vous que la pneumonie, la
lus que la variole, la rougeole et la scarlatine à la chute de la , fièvre qui les accompagne; la cessation des phénomènes g
ens de dire s'applique exactement à l'entérite folliculeuse aiguë; la fièvre précède l'inflammation de douze, vingt-quatre, qu
n de douze, vingt-quatre, quarante-huit heures, trois jours, comme la fièvre de la pneumonie; la fièvre persiste et augmente t
uarante-huit heures, trois jours, comme la fièvre de la pneumonie; la fièvre persiste et augmente tout le temps que s'accroît
accroît le travail local désorganisateur qui n'est pas la cause de la fièvre , mais qui en est la mesure, de la même manière et
qui en est la mesure, de la même manière et par la même raison que la fièvre persiste et augmente tout le temps que s'accroît
stent, identiquement les mêmes, huit à dix jours après la chute de la fièvre . J'ai eu plusieurs occasions de la constater dans
de la faire avorter, de la couper pour ainsi dire à la manière d'une fièvre intermittente, lors même qu'on agit dès les premi
e, lors même qu'on agit dès les premiers momens de l'apparition de la fièvre ; de même l'entérite folliculeuse aiguë a nécessai
avec des symptômes formidables, qui me représentèrent exactement les fièvres graves ou entéro-mésentériques de M. Petit, que j
, inexplicables sans son secours. Aussitôt qu'il fut constaté que les fièvres dites putrides ou adynamiques, malignes ou ataxiq
départ, le foyer de tous les symptômes, qu'en un mot elle précède la fièvre ; tout en regardant cette lésion comme une inflamm
veille ; c'était là d'ailleurs la conduite de Stoll lui-même dans ses fièvres putrides sanguines : mais aussitôt que les symptô
ieux médecin, disciple de Stoll, qui, regardant tous les symptômes de fièvres dites putrides et malignes comme le résultat de l
ême degré d'intensité quelque temps après la cessation complète de la fièvre . Je pense que cette cessation complète coïncide a
1828 à la Maison royale de Santé dans un état de délire violent avec fièvre . Point de renseignemens positifs sur son état ; s
guë : le délire me paraît sympathique. (Saignée.) Le délire tombe, la fièvre persiste ; le malade se croit guéri, demande des
y répugnait beaucoup, et qu'à chaque application il était pris d'une fièvre et d'un malaise qui duraient plusieurs jours. Au
rovoquera la résolution ou amènera la fonte purulente de l'organe. La fièvre et la douleur augmentent les jours suivans. Le te
harpie furent introduites dans la cavité. Au bout de douze heures, la fièvre se déclare; le testicule acquiert un volume consi
ie de la muqueuse gastrique par exhalation. Le vomissement noir de la fièvre jaune ne reconnaît pas un autre mécanisme. VIL
qu'à la suite des plaies de tête, plusieurs blessés chez lesquels la fièvre s'était déclarée le troisième jour de la blessure
nnais pas de moyens thérapeutiques propres à opérer la dépuration; la fièvre seule peut éliminer par les émonctoires les matér
j'ai reconnu être des tumeurs fibreuses. Cette malade, que minait une fièvre hectique et qui offrait tous les caractères extér
nteur à l'estomac ; envies de vomir ; éructations ; aigreurs ; petite fièvre ; petite toux : le matin, au lever, faiblesse exc
catrice. III. Pour réparer une si vaste solution de continuité, une fièvre traumatique est nécessaire : cette fièvre traumat
solution de continuité, une fièvre traumatique est nécessaire : cette fièvre traumatique s'appelle fièvre de lait, parce que,
ièvre traumatique est nécessaire : cette fièvre traumatique s'appelle fièvre de lait, parce que, en vertu de lois faciles à sa
à saisir dans leur but, impossibles à saisir dans leurs moyens, cette fièvre est accompagnée de la sécrétion du lait dans les
èvre est accompagnée de la sécrétion du lait dans les mamelles. Cette fièvre traumatique de la femme nouvellement accouchée a
de la femme nouvellement accouchée a son temps d'incubation, comme la fièvre traumatique du blessé : il est de trois, quatre,
daire, i83i, tome IV, page 217. XIIl" LÏVf? h fSOV. 1 l'autre. La fièvre tombe au bout de vingt-quatre heures et est à peu
réunion par première intention de l'amputé, répond une guérison sans fièvre ,sans lochies purulentes, de la femme en couches;
e fausse membrane est entraînée avec le pus dont la sécrétion suit la fièvre traumatique. Le pus de la surface interne de l'ut
miasmatique. Déjà Désormeaux et autres avaient exhumé le vieux nom de fièvre puerpérale, et par cet apparent anachronisme de l
; le 20, elle éprouve des douleurs abdominales qui s'accompagnent de fièvre . La douleur et la fièvre persistent jusqu'au 25 q
s douleurs abdominales qui s'accompagnent de fièvre. La douleur et la fièvre persistent jusqu'au 25 qu'elle accouche d'un enfa
même sans inflammation du tissu propre de l'utérus et des trompes. Fièvre puerpérale. Mort le neuvième jour. Pour toute lés
ce un flux, une phlegmasie, un spasme, une névrose, une asphyxie, une fièvre pernicieuse algide ? Son siège est-il dans le san
par un accès fébrile de vingt-quatre à quarante-huit heures, par une fièvre continue sans symptômes locaux prononcés, suivie
t de tristesse, lassitude, constipation ou selles naturelles,point de fièvre ou seulement mouvement fébrile nocturne. Le trait
inolente, nullement fétide. Cependant l'état général s'améliorait, la fièvre était tombée, lorsque tout-à-coup survint un dévo
ifs. Il y a quinze jours, forte céphalalgie; paralysie de la langue ; fièvre ; saignée. Il y a trois jours , diarrhée. Dans la
une même famille ; son développement qui n'est pas, comme celui de la fièvre jaune, circonscrit entre certaines latitudes, mai
a, comme tonique , comme spécifique, vu ses brillants succès dans les fièvres pernicieuses cholériques, et comme un des plus pu
cessita une saignée et des synapismes ; l'oppression diminua, mais la fièvre se maintint jusqu'au moment de l'accouchement qui
ait depuis quelques jours à l'hôpital, pour une contusion à la jambe. Fièvre précédée de frisson ; saignée; le lendemain ictèr
vai dans l'état suivant : teint pâle, face amaigrie, dégoût général ; fièvre lente avec redoublement le soir. J'explorai le th
a sécheresse extrême de la langue avec tendance à la fuliginosité, la fièvre continue avec redoublement, m'annoncèrent que j'a
nt, m'annoncèrent que j'avais affaire à une maladie très grave, à une fièvre symptomatique, dont je ne pouvais déterminer le p
ques heures, d'un, deux, trois, cinq, six jours, l'enfant est pris de fièvre , de mouvements spasmodiques, convulsifs; survient
tat d'hypertrophie avec induration qui est ordinairement la suite des fièvres intermittentes ; sa surface était parsemée de pla
u'il lui fut impossible de quitter la chambre: il fut pris d'accès de fièvre pernicieuse comateuse. MM. Marjolin, Jolly et Val
e celui d'une femme du dépôt de mendicité' de Limoges, affectée d'une fièvre quarte rebelle qui plusieurs fois coupée, avait a
e j'ai eu occasion d'observer plusieurs fois et qui consiste dans une fièvre inflammatoire très intense avec formation d'ecchy
mmédiatement à l'accouchement, et survient avant, pendant ou après la fièvre de lait. Il peut se manifester tantôt en l'absenc
avant l'accouchement, elle avait été prise d'une toux catarrhale avec fièvre , pour laquelle je l'avais fait saigner. Tout va
pouces de circonférence en plus pour le genou malade. D'ailleurs, la fièvre était intense : toux avec expectoration ; l'explo
ar suite d'une vive frayeur , il fut pris , disent les parents, d'une fièvre cérébrale qui dura plusieurs semaines. Pendant la
une douleur : les menstrues n'avaient pas reparu. Elle succomba à une fièvre putride en 1786, à l'âge de 46 ans. A V ouvertu
té gauche). Parfois ils augmentaient d'intensité, s'accompagnaient de fièvre , et obligeaient la malade à observer la diète et
rière. les picoteniens étaient plus incommodes et plus fréquens, la fièvre plus vive; la paralysie plus prononcée : pour la
ix-huit mois auparavant de vomissemens, de douleurs à l'estomac et de fièvre . Les vomissemens étaient provoqués par l'ingestio
e et de battemens dans la même région. Appétit presque nul ; point de fièvre : constipation; l'exploration des diverses région
10 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
maladies qu’il a guéries : 1° Suppression de règles accompagnée de fièvre et de douleurs d’estomac; guérie en cinq magnétis
douleurs d’estomac; guérie en cinq magnétisations. 2° Migraine avec fièvre et vomissements, revenant périodiquement chaque d
usage de son bras pour des travaux qu'elle ne pouvait exécuter. 4° Fièvre cérébrale sur un enfant de neuf ans. .5° Pleuré
ois de durée affectant un homme de trente-cinq ans. 9” Etisie, avec fièvre et diarrhée continuelles, chez un enfant de onze
sulfurique continue avec une ardeur qui tient de l’insanie. C’est une fièvre d’imitation sans pareille qui se propage des hôpi
ien ; mais bientôt la réaction commence, la sensibilité s’exhalte, la fièvre s’allume, et l’on reconnaît la défectuosité du mo
tique et éthérée. Dans la magnétique, aucune suite fâcheuse, point de fièvre traumati-que, point de résorption purulente; dans
iée par la pratique. Aujourd’hui je me borne à l’esquisse d’un cas de fièvre grave, ébauche que je donne à titre de simple exe
de vingt-trois ans, lymphatique et fort irascible, fut affecté d’une fièvre inflammatoire d’un mauvais caractère. Quatre méde
ger ; mais la difficulté d’avaler se fit sentir. On la mit au lit: la fièvre se développa rapidement; les yeux devinrent brill
ès, les tumeurs paraissant s’étendrejusqu’à l’origine des poumons. La fièvre durait toujours, les angoisses étaient extrêmes.
le mesmé-ri sme de nous soustraire aux plus cruelles souffrances. « Fièvre typhoïde;. — Yoici une guérison bien propre à con
ltation de Beaujon, où il reçut une entrée d'urgence comme atteint de fièvre typhoïde, fort commune alors. Le cas était pressa
alalgie avait beaucoup diminué, la soif cédé à l'eau magnétisée; la fièvre était apaisée, et les symptômes lui formant cortè
bocage comme un écervelé d’imagination.» I.’astrologue, « contre la fièvre qui rend piteux et lâche, avec jours de répit mêl
dont les contours sont analogues aux plis des intestins. Vous avez la fièvre intermittente, la benoîte naît au moment où ces a
idémique. 216 Erreurs cl préjugés. 223 Faculté de médecine. 331 Fièvre cérébrale. 40 — typhoïde. 180, 227 — intermit
« Le musc, dit-il, est une odeur effroyable qui suffit à « donner la fièvre et le vertige, rien que d’y penser. — « Qu’une fe
t que d’imposer les mains sur le père de Publius pour le guérir de la fièvre et de la dyssenterie, je fis aussi ma prière avan
.) 6. Marie Courtale, épouse Bidot, de Pau. (Maladie de langueur, fièvre lente, affection nerveuse.) 7. Marie, fille Bin
e générale.) 18. Grégoire Vigneau, de Mages, départ, des Landes. ( Fièvre lente et migraine.permanente.) 19. Marie Borde,
(Migraine permanente.) 20. Marie-Màrtbe Labanpedetite, de Pau. ( Fièvre lente, migraine permanente, insomnie et perte bla
s, etc.) 20. Thérèse, fille Roc, de Poey. (Suppression de règles, fièvre lente, migraine, inflammation de poitrine et déch
ssion des règles, obstruclion de foie, migraine, palpitation de cœur, fièvre lente, malaise général, très-faible, insomnie et
d’Arête. (Douleurs rhumatismales.) 4(3. Anne Rey, de Bizanos. ( Fièvre lente, maladie des nerfs, migraine cl insomnie.)
cœur, maladie des nerfs.) 56. Jeanne Piquette, épouse de Gelos. ( Fièvre tierce.) 57. Laurent Monda, de Vic-Bigorre. (
des règles, etc.) (52. 13. Moussicat fils, de Pau, rue Gassics. ( Fièvre lente, malaise, insomnie.) 63. Jeanne, épouse M
et insomnie.,) 00. Jeanne Claverie, épouse Cazarré, de Meillou. ( Fièvre lente, obstruction du foie, mal dégorgé, migraine
venir de la toux, de la souffrance, de l’excitation cérébrale, de la fièvre et de l'affaiblissement causé par une longue et d
ce est fondue,.iln’ya plus que de l’eau. I,e malade est atlciut d’une fièvre typhoïde. — Croyez-vous que le médecin somnambu
es maladies qui ne l’assiègent que trop souvent : à huit ans j’eus la fièvre cérébrale, un médecin fameux me mit à la diète la
songe affreux m'agita violemment et me laissa le matin en proie à une fièvre ardente; le frisson de l’insomnie parcourait tous
ust. (Dcsccnlc de matrice.) 3. Arnaud Sagardoïbubn, h. de Gan. ( Fièvres .) ■i. Jean Sartiiou, h. de Pau. (Inflammation
n Sartiiou, h. de Pau. (Inflammation au bas-ventre et constipation, fièvre e( maladie des nerfs.) 5. Jeanne Mauüis, h. de
55. — 10 or.TonnE 18!|7. 7 9. Marie, fille Bergeron, de Meillou. ( Fièvres ; avec de l'eau nngnétisee seulement.) 10. Jeann
orte, insomnie sans appétit.) 21. Pauline Carles, fille, de Pau. ( Fièvre lente, maladie de langueur, etc.) 22. MaricDANA
cl insomnie sans appétit, etc.) 24. Marie Prat, fdle, de I.oos. ( Fièvre lente, maladie de langueur, elc.) 25. Jeanne Hk
'yeux.) 20. Suzanne Pccueu , épouse Lapassade , d’Arligué-louve. ( Fièvre , migraine, maladie de matrice, etc.) 27. Alexis
aladie d’yeux très-compliquée.) 35. Anne, fille Rey, de Bizanos. ( Fièvres .) 36. Bergitte, fille Dadansens, de Pau. (Mal
38. Jean Lapassade lils, deuxième né, d’Artiguélouve. (Migraine cl fièvre continue.) 39. Marie-Gracieuse, fdle Larrieu, d
, de Pau. (Maladie d'yeux.) 40. Pierre Puyau fils, li. de Pau. ( Fièvre avec transport ei insomnie.) 41. Jean Lapassade
rre Bkoca fils, premier né, de Baringne. (Inflammation de poitrine, fièvre lente, insomnie, sans appétit et palpitation de c
t palpitation de cœur.) 46. Jeau-Fabien Palissat lils, de Moumy. ( Fièvre continue ; avec de l'eau magnétisée seulement.)
oilrinc et maladie ds nerfs.) ¿4. Jeanne, (¡¡le Rey, de Bizanos. ( Fièvre lente.) 55. Marie Cavdevielle, de Bizanos. (M
œur continuelle.) ¿6. Anne, iille Rey, première née, de Bizanos. ( Fièvre tierce.) 57. Magdelaine Bhoca, de Baringue. (
meunier, de Lescar. (Fluxion de poitrine, loux sèche et permanente, fièvre ienle, sans appétit, insomnie, deuxième degré de
somnie et douleurs continue .) CI. Pierre Saintciron, h. de Pau. ( Fièvre continue; l'eau magnétisée a suffi.) 02. Miclie
Mouciiouret fils, premier né, de Monlcslruc. (Maladie de langueur, fièvre lente, palpitation de cœur, migraine, affection n
faiblesse extrême.) CG. Pierre Bkbdot fils, sixième né, d’Idron. ( Fièvre lente el migraine permanente; l’eau magnétisée a
ot fils, de Pau. (Inflammation au lias-ventre, palpitation de cœur, fièvre cl migraine, insomnie, sans appétit.) 08. Isabe
n nerveuse.) 70. Marie Trille, lillc, première née, h. de Gélos. ( Fièvre continue, insomnie, sans appétit ) 71. Thérèse
Maladie d'yeux.) 70. Jean Pon, domestique chez Cazenave, de Pau. ( Fièvre nt-rveuse et convulsions nerveuses, surdité, migr
donnier, de Pau, rue des Cultivaleurs. (Inflammation de poitrine, fièvre lente, insomnie, sans appétit.) 8î. Thérèse, li
ons de cœur.) 90. Marie-Amélie-Alphonsine, fille Pwxtier , de Pau. ( Fièvre # continue».) 91. Pierre Lacrouts, dernier né, «
Pau. (Epileptique.) 97. Bernard Cassou, dit Claverie,d’Ousse. ( Fièvre lierce.) 98. Goyhenrk, chef de bataillon, de Pa
ris.) 102. Pierre Rieupeyrous, h. de Gélos. (Maladie de langueur, fièvre lente, sans appétit, insomnie, et'- 103. Cather
106. Jeanne Caillau, lille, h. de Gélos. (Suppression 'les règles, fièvre lente, palpitation de cœur, migraine permanente,
sans appétit.) 107. JeanneSassous, fille, première née, de Pau. ( Fièvre continue.) 108. Marthe, fille Séguinotte, li. d
ois Tourné, de Pau. (Maladie de langueur depuis plus de quatre ans, fièvre lente, hydropique, insomnie, sans appétit.) 112
. Jean-Auguste Foucques lils, premier né, de Pau, rue du Palais. ( Fièvre lente, malaise, sans appétit, insomnie. L'eau mag
sée a suffi pour le guérir.) 118. Jean Micoulau fils, h. de Pau. ( Fièvres . L’eau magnétisée a suffi pour le guérir.) 110.
étisée a suffi pour le guérir.) 110. Pierre Micoulau, h. de Pau. ( Fièvres . L’eau magnétisée a sufli pour le guérir.) 120.
in droite.) 121. Marie Pillard, fille, deuxième née, de Bilhère. ( Fièvre continue. L’eau magnétisée a suffi pour la guérir
la guérir.) 123. Amélie Goyhknne, fille, quatrième née, de Pau. ( Fièvre continue.) 121. Pierre Goyuennb père, de Pau.
i.) 126. Louis Dat fils, premier né, élève an collège. (Migraine, fièvre nerveuse. Il u é.é guéri dans deux jours.) 1.6.
i dans deux jours.) 1.6. Laurent Bosdagorry, domestique, de Pau. ( Fièvre continue, insomnie, migraine.) 127. Marie Labar
leurs dans les reins.) 131. Joseph d’Auriac, de Sauiazan (Gers). ( Fièvre lente et maladie de lauguour ) 135. Marie Ori»,
sion des règles.) 139. Marie Trii.le, dernière née, h. de Gélos. ( Fièvre continue. L’eau magnétisée a suffi.) 110. Marc-
tranchées et très-fréquentes.) I 14. Saura fils, d’Artiguéiouve. ( Fièvres , migraines ) 115. Marguerite, fille Berdoulet,
èvres, migraines ) 115. Marguerite, fille Berdoulet, de Mazères. ( Fièvres , migraines.) I iG. Jean I.assus, troisième né,
tisée a suffi.) 118. Marie Larbussk fille, dit Pierrot, de Poey. ( Fièvre . L'eau magnétisée a suffi 119. Marie I.arrieu,
ée, de Pau. (Pâles couleurs, perte blanche, suppression des règles, fièvre lente, migraine, insomnie, sans appétit.) 151.
ntoine Monrepos fils, premier né, de Gélos. (Migraine permanente cl fièvre lente.) 168. Marie Bkrgittr, épouse Monrepos, d
de Pau. (Esquinancie.) 163. Pierre-Louis Vignes fils, de Pau. ( Fièvres . L'eau magnétisée a suffi.) 164. Marie-Jeanne C
ppétit.) 165. Michel Barbé, premier né, de Jurançon. (Rhumatisme, fièvre lente, migraine, insomnie, sans appétit.) 166.
ande peine, insomnie.) 174. Anselme Saiiua fils, d’Artiguélouve. ( Fièvre lente continue.) 175. Guillaume Bory fils, de L
Flueurs blanches continues, suppression dos périodes depuis six mois, fièvre continue, des douleurs très-aiguüs dans tous les
e Gau. (Epileptique.) 182. Magdelaine Tailleurrt, fille, de Pau. ( Fièvres . Guéri« avec de l'eau magnétisée.) 183. Marie P
rdu l’usage de ses membres.) 187. Pierre Lartigue fils, d’Ydron. ( Fièvre cont nue. L'eau magnétisée a suffi.) 188. Jeann
L'eau magnétisée a suffi.) 188. Jeanne Lartigue fille, d’Ydron. ( Fièvre continue. L’eau magnétisée a suffi.) 189. Marie
t réussi à le faire disparaître, lorsque le malade fut surpris par la fièvre jaune. Le désordre intestinal reparut, et continu
rien ne m’en eût empêché. Arrivé là-bas, je fus pris subitement d’une fièvre assez, violente. Il parait qu’on me veilla tou le
ès-alarmant. Il est survenu do la salivation, de la diarrhée et de la fièvre , mais je pense qu’il est maintenant hors de dange
, pour se faire amputer une tumeur énorme. Il est sujet à un accès de fièvre tous les quinze jours dont sa santé ne parait pas
jour et nous le fîmes encore les quatre suivants, au bout desquels la fièvre survint et fut suivie de diarrhée, ce qui nous ob
obligés de recommencer tout notre ouvrage. Le retour périodique de la fièvre me décida à profiter de la première occasion favo
s pansements, vit avec surprise que celte jeune fille n’avait plus de fièvre , comme elle l’avait annoncé; elle a continué à al
11 (1893) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1892
'à 3 ans, que pendant son service militaire en Afrique, il a eu une fièvre 4 Idiotie méningitique. typhoïde accompagnée
Paul FEIUUEU. Sommaire. Père nerveux, convulsions de l'enfance ; fièvres intermittentes probables. - Grand père paternel,
cteur des postes. Aurait eu des convulsions dans l'enfance ; pas de fièvre typhoïde, de migraines, d'accidents scrofuleux,
ents scrofuleux, de rhumatismes, ni de syphi- lis. Il aurait eu les fièvres ( ? ) au Tonkin. Il est sobre, fume peu, est as
SCRIPTION DE la malade. 13 sanguinolentes à l'âge de 2 mois. Pas de fièvres éruptives. Blé- pharite qui dura environ 2 mois
aurait pas eu de convulsions dans son enfance; ni 24 Antécédents. fièvre typhoïde, ni migraines, ni affections cutanées, n
mortes, l'une à 18 ans, l'autre à 9 ans, < à la même époque, de fièvre typhoïde. - La quatrième est morte à 3 ans du c
tuées, etc.] Mère, 37 ans, blanchisseuse, n'a eu ni convulsions, ni fièvre typhoïde, ni migraines. Parfois à la suite de f
deux sont morts; l'un écia4,par,' accident, l'autre au cours d'une fièvre typhoïde. - Pas de tantes paternelles. Un oncle
r, bains salés, exercices des membres. 28 novembre. - Diarrhée et fièvre . (La température oscille entre 38° et 30"). L'e
36° et 40°, présentant sur le tracé, les grandes oscillations de la fièvre hectique. L'examen physique fait constater le b
les avait toutes lorsqu'est survenue sa méningite. Il n'a pas eu de fièvres éruptives, mais quelques accidents scrofuleux.
ifférence d'âge : 3 ans. Douze enfants : 1° garçon, mort à 7 ans de fièvre typhoïde ataxique; - 2° garçon, mort à 4 ans, d
à 7 ans de fièvre typhoïde ataxique; - 2° garçon, mort à 4 ans, de fièvre typhoïde avec phénomènes pulmonaires ; - 3° gar
ïde avec phénomènes pulmonaires ; - 3° garçon, mort à deux ans de fièvre typhoïde; - 4o fille, morte à deux ans de convuls
ique ; Pau BOURNEVILLE et J. NOIR. SOMMAIRE. - Père, convulsions, fièvre typhoïde avec délire violent. - Alcoolisme ? En
buissonnière. Venu à Paris à 20 ans environ, il contracta à ans la fièvre typhoïde. Cette maladie aurait été grave et acc
ousine paternelles aliénées.- Tante paternelle tuberculeuse. -Mère, fièvres intermittentes. Pas de consanguinité. - Inégali
- prime en français avec la plus grande difficulté. Elle a eu des fièvres intermittentes à partir de 15 ans. Rien autre cho
La mère affirme qu'il n'a jamais été malade, qu'il n'a jamais eu de fièvre , ni de troubles moteurs autres que ceux qu'il p
. Thill... tousse et maigrit. Son appétit reste bon et il n'apas de fièvre .- Traitement : alimentation abondante : lait et
ntition. A onze ans, abcès de l'épaule. Ni chorée, ni rhumatisme ou fièvre thyphoide. Elle n'a, nous dit-elle, qu'une seul
e. Pas de chorée, de rhumatis- mes, de dartres, de migraines, ni de fièvre typhoïde. C'était un homme très vigoureux, il n
si elle a eu des convulsions dans l'enfance ; elle aurait eu une fièvre typhoïde à 10 ou Il ans, rien de plus. D'après
bablement phtisique à la suite de cou- ches, l'autre assez jeune de fièvre typhoïde; trois sont vivan- tes et en bonne san
t les donner. 1 ? août. Ter., est conduital'Infirmerie avec de la fièvre . Il a eu des vomissements pendant la nuit. T. R
quis davantage. . ' ' , XIII. Idiotie méningitique ; rachitisme ; fièvre typhoïde ; méningite ; Pau BOURNEVILLE et N01
édents héréditaires personnels. - Idiotie complète. Amélioration. - Fièvre typhoïde anormale. Mèningite. - Mort. Autopsi
rusquement. Le tracé thermique offre l'aspect de celui de certaines fièvres 'typhoïdes : on y constate une période d'oscill
que offrit une période d'oscil- lations stationnaires comme dans la fièvre typhoïde. La défervescence brusque, bien que n'
e brusque, bien que n'étant pas la règle, s'observe parfois dans la fièvre typhoïde. (Voir un tracé analogue dans : Bourne
n tracé analogue dans : Bourneville, Notes et obser- vations sur la fièvre typhoïde, fig. 10.) Aucun autre trouble typhiqu
ère, 32 ar.s, imprimeur en taille douce. Pas de convulsions, pas de fièvre typhoïde, de rhumatisme, de chorée, ni de trace
Mère, 26 ans, brodeuse. On ignore si elle a eu des convul- sions. Fièvre typhoïde vers l'âge de 10 ans. Elle n'a eu ni cho
i hémoptysie, ni variole, ni rougeole, ni scarlatine, ni chorée, ni fièvre typhoïde, ni diphtérie. Vaccinée à 3 mois. Coqu
de maux de gorge. Il accuse aussi des douleurs lombaires, a de la fièvre (40° hier au soir) ; sa peau est chaude et moite.
itement : diète, régime lacté et 0,75 de sulfate de qui- nine. La fièvre dure une quinzaine, sans qu'il fut possible de
. Aucun des enfants n'était névropathe. -Mère, morte à 53 ans de la fièvre typhoïde. Elle se portait habituellement bien.
uge, paraissant intelligente. Elle n'a jamais eu de convulsions, de fièvre typhoïde, de migraines, de rhumatismes ou de da
u 8 ou 10 juillet, on peut se demander si l'enfant n'a pas eu une fièvre typhoïde (1), et rapprocher son cas de ceux d'a
re, 65 ans, employé de commerce, ni 208 Antécédents héréditaires. fièvre typhoïde, ni convulsions ; pas de chorée, de rhum
la poitrine, il y a 20 ans. - [Famille du père. - Père, mort d'une fièvre muqueuse et de scarlatine à l'âge de 57 ans. -
forts et vigoureux.] Mère, 46 ans, couturière. Pas de convulsions; fièvre mu- queuse à l'âge de 5 ans. Pas de chorée ; rh
nturier, très vif de caractère. Il n'a jamais eu de convulsions, de fièvre typhoïde, de chorée, de rhumatismes, de dartres
· n'auraitjawais été malade et n'aurait présenté ni convulsions, ni fièvre typhoïde. [Père, mort à 50 ans, on ne sa' de qu
droite. Rien à gauche. Il juin. L'enfant tousse un peu. Il a de la fièvre : 38a,4 au matin. Depuis quelques jours sa temp
nelle, aliénée. - Mère. d'une intelligence médiocre, très nerveuse, fièvres paludéennes. Grand-père maternel, e.vcès de boi
iletière, 52 ans, vivait avec le père sans jamais avoir été mariée. Fièvres paludéennes de 2 à 9 ans. Santé toujours délica
internée à l'asile de Chalons- sur-Marne, aurait eu du délire avec fièvre et se croyait persécu tée. Sa maladie présentai
uval; auparavant cafe- tier en Bourgogne, n'a eu ni convulsions, ni fièvre typhoïde, ni rhumatisme, ni dartres, ni syphili
débauchées]. Mère, 27 ans, n'a eu ni convulsions dans l'enfance, ni fièvre typhoïde, ni chorée, ni rhumatisme, ni dartres,
294 Antécédents héréditaires. commerce. Pas de convulsions, pas de fièvre typhoïde, migrai- neux, assez nerveux, a eu à 3
eu tendu, n'est pas douloureux à la pression. Langue sale, pas de fièvre . Huile de ricin : 20 gr. Soir : T.R. 38", 4. 12
dans l'idiotie. 307 OBS. IV. - IDIOTIE \fÎ.\INGITIQUE, rachitisme, fièvre . typhoïde : méningite. Sommaire. Absence com
dents héréditaires et personnels. Idiotie complète. Amélioration. - Fièvre typhoïde anormale. Më)n ? tgc. Mort. Autopsie
12 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
ourdement sur le dos, raidi par un spasme généralisé. A 7 ou 8 ans, fièvre typhoïde légère et sans suites. En 1870 il s'es
des maladies nerveuses, à l'hôpital de l'Université d'Amsterdam. FIÈVRE HYSTÉRIQUE. I. Il est rare de trouver un état m
t leur nature ; elle pré- sente néanmoins toujours un symptôme : la fièvre . Celte fièvre affecte dans bien des cas un type
; elle pré- sente néanmoins toujours un symptôme : la fièvre. Celte fièvre affecte dans bien des cas un type constant qui
servir comme élément isolé il formuler un diagnostic. A côté de ces fièvres , on peut en grouper d'autres qui ne suivent ni
onnels de l'appareil digestif, etc., etc., sont autant de causes de fièvre et chaque fois que nous la rencontrons coïncidant
Il en est de même pour les excitations physiques et morales, et la fièvre peut apparaître après un exercice musculaire tr
ui ac- /il NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. compagnent la fièvre , il est vraiment impossible de comprendre la caus
aire, mais il termine sans que nous sachions à quoi l'attribuer. La fièvre qui se produit dans ces circonstances offre souve
omplètement opposés et de voir évoluer chez certains individus sans fièvre des maladies qui sont es- sentiellement fébrile
thermogénésiques et ce- pendant elle se développe quelquefois sans fièvre . J'ai vu plusieurs ma- lades de variole qui, à
sence leur serve de caractéristique. L'hystérie qui peut se présen- FIÈVRE HYSTÉRIQUE. 45 ter avec toutes les formes imagi
aussi à supprimer un des caractères distinctifs des névroses où la fièvre n'était admise qu'à titre de complication (Jaccou
gastralgies, nous dit qu'il était en proie à de fréquents accès de fièvre nerveuse. Cependanl, il ne nous est pas possible
ture des membres supérieurs apparut alors. Dans cette situation, la fièvre se présenta, et la contracture des membres supé
ns que les convulsions revinssent. Le médecin traitant crut que cette fièvre s'expliquait par une légère rougeur qu'il obser
ne peut plus impar- faite. Peu de temps après l'apparition de la fièvre , on remarqua une éruption mor- billeuse qui dis
aire. Elle garda le lit pendant trois mois dont un et demi ayant la fièvre ; l'alimen- tation avait été très imparfaite ai
égères élévations thermiques qui existaient encore. Pendant trois - FIÈVRE HYSTÉRIQUE. 47 jours, elle vomit tout ce qu'ell
dominants pendant huit jours sur dix qu'elle garda le lit furent la fièvre et les douleurs abdominales. Depuis le 11, ;i 8 h
et qu'il ne s'agissait que de troubles fonctionnels. Le type de la fièvre a été le même que celui de l'année 1885, plus bre
ent la malade de changer de posi- tion et de converser gaiement. La fièvre persistait nonobstant et vers le soir les doule
étique, mais les douleurs continuaient ayant les mêmes caractères. La fièvre apparut de nouveau pour peu de jours, et enfin,
e blanc, et promené une certaine distance des points douloureux fut FIÈVRE HYSTÉRIQUE. 49 l'appareil dont on se servit pou
'une façon extraordinaire. Tout d'abord, on ne songea pas même que la fièvre put être une manifestation d'une si capricieuse
côlé. Les vomisse- ments ne cessaient pas, et on crut encore que la fièvre était symptomatique d'une maladie abdominale.
matique d'une maladie abdominale. Cependant le temps passait ; la fièvre continuait et le polymorphisme symp- tomatique
entre 40° et 41° se maintienne pendant un mois et demi, et que, cette fièvre étant symptomatique de quelque état morbide org
s tempérés calmaient seuls la maladeet diminuaient momentanément la fièvre . Mais on transporte la malade à la campagne et
iculté l'hyperthermie comme une pure manifestation hystérique. La fièvre hystérique,dit Rosenthal (1), se présente ordinai
et cite 20 cas de ce genre. Il est question comme nous voyons de la fièvre hystérique, mais la des- cription qu'on en fait
que nous décrivons. Chez notre hystérique, il y a réellement de la fièvre , tandis que chez les 'autres, il s'agit d'un ét
ans qu'elle existe positivement. Briand (1) établit trois formes de fièvre hystérique : 1° Forme lente, primitive ou secon
e avec - hyperthermie hystérique manifestée sans causes connues. La fièvre était de type continu et elle dura trois mois e
ence fut rapide. \Vite, cité encore par Manzieri rapporte un cas de fièvre . hystérique obi- servé chez une jeune personne
L'ex- amen le plus minutieux pour découvrir la cause physique de la fièvre ne donna pas de résultat positif, et comme il n
étaient évidents et les mani- (1) Thèse de Paris no 54, 1877. De la fièvre hystérique in Rev. des Sc. Mes., t. VII, 18 î8,
érique in Rev. des Sc. Mes., t. VII, 18 î8, page 180. ; (2) De la fièvre hystérique (Soc. des IIÔB.) La presse méd. belge,
ll, de la soc. fia i cultori di sc. méd. An : IV, 188G, loc. cit. ) FIÈVRE HYSTÉRIQUE. 51 festations pathologiques dela né
uivi de convulsions. Un an s'é- coula et elle fut attaquée alors de fièvre intermittente, du type tierce, qui dépassa en g
tale, etc. Bressler (1) croit qu'on peut admettre l'existence d'une fièvre hystéri- que. Il a observé que dans certains ca
ire qui arrive. Enfin Manzieri (2) publie en l'année 1888 un cas de fièvre intermittente qu'il classe, avec raison, hypoth
ifestations se présentèrent en 1883. En définitive, on a 6 cas de fièvre dont la nature hystérique n'est point douteuse.
ar des purgatifs, mais qui furent excessifs, donnaient l'idée d'une fièvre typhoïde initiale. Cependant au troisième jour,
5 £ NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. tome attribuable à la fièvre typhoïde. Le grand tympanisme, les vomisse- men
ude était-elle permise chez une malade qui, au troisième jour d'une fièvre dont la nature était il peine reconnaissable, p
mais en pré- sence d'une malade dont l'attaque a commencé avec une fièvre de nature dou- teuse, et qui alors qu'on peut l
re. Les relations pathogéniques des troubles nerveux, p. 120, 1880. FIÈVRE HYSTÉRIQUE. ' " . '. 53 térique fébrile, c'est
e temps après s'être levée, la température s'éleva de nouveau et la fièvre se maintint pendant un court intervalle, un mois
u'on observe un malade affecté de douleurs poly- articulaires et de fièvre , on songe au rhumatisme ; mais une fois l'examen
s les arthralgies, la 51 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. fièvre manque, et cet élément existait dans le cas prése
une et l'autre occasion. Ayant en considération les cas observés de fièvre hystérique, on peut con- clure que la fièvre es
on les cas observés de fièvre hystérique, on peut con- clure que la fièvre est une des manifestations possibles de l'hystéri
trition et finalement on doit ajouter que la théorie nerveuse de la fièvre ne doit pas être mise complètement de côté, car
puyant sur les convulsions initiales accompa- gnées de délire et de fièvre , que Massalongo assimile les processus créateurs
esseur Charcot. Antécédents héréditaires. Père. Mort à 36 ans d'une fièvre typhoïde avec manifestations cérébrales. Mère
, sans convulsions (la mère ne se rappelle même pas qu'il eût de la fièvre ), le malade se mit peu à peu à faire des petits
antile, caractérisée par de violentes atta- ques convulsives, de la fièvre et une paralysie des membres inférieurs sui- vi
quelquefois des maladies infectieuses ou autres qui sont notées; la fièvre typhoïde (Oulmont), lypé- manie (Massalongo).
tion, mais,pas nerveuse. Antécédents personnels. D... aurait eu une fièvre muqueuse à qua- tre ans, la rougeole à sept ans
phalalgie surtout si le malade se repose après et s'il n'y a pas de fièvre . Mais elle est rarement indispensable dans ces
llet, 276. (Contracture faciale bilaté- rale -), par Delprat, 38 ; ( Fièvre -), par Estevès, 43 ; (Troubles trophiques symé
13 (1896) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1895
fant gâteux, et nous auraient fait pencher pour le dia- gnostic : fièvre typhoïde. Ce fait témoigne une fois de plus des
ait irrégulière. Le tracé ne ressemble pas au tracé classique de la fièvre typhoïde avec son ascension progressivement cro
a température. V. L'autopsie nous a révélé : 1° les lésions de la fièvre typhoïde à la première période ; - 2" des lésions
e de 5 ans. Enfant petit à la naissance. - Jamais de convulsions. Fièvre à huit mois dite typhoïde ( ? J, suivie d'un état
ssant, d'une bonne santé ; il n'a jamais eu de convulsions, ni de fièvre typhoïde, ni de rhumatismes, ni de dartres, ni de
mille.] Mère, 31 ans, fait des ménages, n'a eu ni convulsions, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni dartres, ni migraine
vulsions. La dentition aurait été tardive. 8 mois, il aurait eu une fièvre typhoïde ( ? ) ayant duré un mois ; en même tem
ïde ( ? ) ayant duré un mois ; en même temps il aurait eu une autre fièvre ( ? ). La convalescence fut longue. A la suite
te à 20 mois. Les parents attribuent la maladie de leur enfant à la fièvre typhoïde. En. avril 1893, le père nous a four
. La maladie que l'enfant a eue à huit mois et qu'on a qualifiée de fièvre typhoïde a peut-être été une méningite. En tout
e de fièvre typhoïde a peut-être été une méningite. En tout cas, la fièvre typhoïde, excep- tionnelle à l'âge de huit mois
morte paralysée à 78 ans. - Trois frères morts jqtines, l'un d'une fièvre typhoïde, l'autre du choléra, le troisième tube
eux garçons, morts l'un .1 3 ans de cholérine, l'autre à 5 ans de fièvre typhoïde; 110 garçon, 23 ans, a fait ses études,
nées. Cholérine à 13 mois. Rougeole peu grave à 16 mois. - - Pas de fièvre typhoïde, de scarlatine, ni de variole, etc. Pa
rères et quatre soeurs. Le frère aine, mort à l'âge de 34 ans d'une fièvre typhoïde, avait un bec-de-lièvre ainsi que le p
ète probablement congénitale; Par %'VILLE et QUEL SOMMAinE. Père, fièvres intermittentes, épileptique avec accès rares. -
92) : - Père, 44 ans, charpentier, n'a jamais eu de convulsions, de fièvre typhoïde, de choréc, de rhumatisme ; n'est pas
endant la Commune, il était en convalescence à Paris, à la suite de fièvres intermittentes contractées à Madagascar, pendan
dans le chariot. Le 26 décembre, embarras gastrique et toux, sans fièvre ; on lui donne un vomitif ; potion calmante. 18
une brûlure de la tête; instabilité mentale; - délire mystique;- fièvre typhoïde avec rechute ; mort ; Par BOL'UNKVILLE
dées mystiques. - Amour de la solitude. - Nuls progrès à l'école. - Fièvre typhoide; - anlélioration; - abcès; - rechute;
t en de violentes colères et de- l3oUwEVtLLE, Bicêtre, 1895. 6 82 Fièvre typhoïde; rechute. mande à être isolé en cellul
nt entre iL l'infirmerie avec les symptômes d'une pyrexie au début ( fièvre , langue sale, courbature, angine légère). Le 30
31 mais Les symptômes sont assez nets pour imposer le diagnostic de fièvre typhoïde (T.R. 41°). - Langue rôtie, taches ros
ti ¡¡ : : d ti. >-3 L1 bd t7 00 M Fig. 2. - Fièvre typhoïde; abcès ; rechute. 84 AUTOPSIE. la te
ne période, ont même revêtu l'allure d'un véritable délire. V. La fièvre typhoïde a eu d'abord une marche bénigne qui fa
hagie intes- tinale, a occasionné un affaiblissement progressa 88 FIÈVRE typhoïde,; RECHUTE. qui s'est terminé par la mo
il indique avec netteté la marche de la température au début de la fièvre typhoïde, durant la période d'état, à la périod
rneville. Noies et observations cliniques et thermométriques sur la fièvre typhoïde. Paris 18Í, p. h-G2. Ce travail renferme
ort, de taille ordinaire, sobre. Pas de convulsions dans l'enfance. Fièvre typhoïde à 18 ans. Marié à 29 ans. Caractère em
t guéri. Ni rougeole, ni scarlatine, ni va- ricelle, ni variole, ni fièvre typhoïde. Coqueluche à un an, en nourrice, très
frères : l'un, idiot depuis l'âge de 7 ans, consécutivement à une « fièvre cérébrale », est mort à 20 ans, on ne sait de q
ait morte de tuberculose à 18 ans. Un frère et deux sam1'S morts de fièvre typhoïde ; l'une d'elles avait cinq enfants qui
7 juin. - Amaigrisse- ment notable (2 k. 300). Apparition de la fièvre (38°, 4) ; pouls 100 ; batte- ments du coeur
tracé n° 1.) OSS. II. - IDIOTIE myxoedémateuse. SOMMAIRE. - Père, fièvres intermittentes. - Grand-père paternel, apoplect
ersé le ventre ». C'est ce qui l'a décidé à faire venir le médecin. Fièvre ; P. à 1 ! 0. - L'urine est rare et son expulsi
14 (1882) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1881
onne santé habituelle. Il s'est marié à 25 ans; a eu, à 27 ans, une fièvre typhoïde « avec beaucoup de délire, » affection
2 ans; maçon; alcoolique ; a bu « tant qu'il a pu. » Mère, morte de fièvre typhoïde. Pas de manifestations nerveuses dans
plus souvent, M... a eu des accès pendant sa rougeole, alors que la fièvre était très forte. Ainsi, il en a eu un le 13 et
mère est bien portante, un peu ner- veuse. Un frère est mort d'une fièvre cérébrale à 3 ans. Deux cousins de la troisième
e du bras et de la jambe de ce côté. L'enfant eut alors beaucoup de fièvre pendant assez longtemps et on dit aux parents q
, recoquevillé sur lui même, indifférent à ce qui l'entoure; pas do fièvre ; depuis hier la diarrhée, arrêtée a grand'peinc
e diarrhée; l'état cachectique s'ac- centue de jour en jour; pas de fièvre ; pouls petit et miséra- ble ; bouche et langue
bituelle. Après celui-ci, il se plaint de douleurs de tête, a de la fièvre , etc. ; et, tandis que le premier état de mal n
bonne santé; l'autre morte en couches à 47 ans. Un frère mort de fièvre typhoïde]. Pas de consanguinité. Le mari n'avai
ont né- cessité un séjour au lit de six ou huit mois ; à 22 ans, fièvre typhoïde. Très nerveux et très impressionnable, i
vec une durée variable d'une ou deux heures à un jour ou deux ; une fièvre typhoïde grave, à forme ataxique avec convulsio
aquelle il a eu des troubles digestifs, sans vomissements. En 1869, fièvre intermittente tierce, d'une durée de deux ou tr
irmerie avec le& signes d'une rougeole à la période d'invasion; fièvre , somnolence, coryza; conjonctivite avec photoph
: Il garçon, 24 ans, bien portant ; 2° gar- çon, mort à 7 ans de « fièvre muqueuse » avec convulsions; 3° fille, 11 ans,
mort. Nous l'avons rangée à dessein dans la catégorie des cas où la fièvre éruptive, bien que compliquée et irrégulière, n
nt réunis les cas où la mort est survenue pendant l'évolution de la fièvre érup- tive. Sans vouloir anticiper sur les dédu
n'en a pas reçu de nouvelles depuis. [Père et trois frères morts de fièvre typhoïde.] Mère, 25 ans, couturière, de taille
tte aux maux de tête. Mariée à 18 ans. - [Mère, ner- veuse, a eu la fièvre intermittente; une tante morte d'un cancer au s
vait des « idées noires. » Trois tantes, dont une morte à 18 ans do fièvre cérébrale. Un grand oncle maternel est mort ali
t membres). A la suite, il n'eut pas 134 ÉPIDÉMIE DE ROUGEOLE. de fièvre . De 7 mois à 2 ans 112, M... aurait eu de petites
du bras et de la jambe du côté atteint. Jamais il n'y aurait eu de fièvre à la suite ( ? ). 1879. Octobre. Etat actuel. L
sujet à des accès de colère. A l'âge de 17 ans, il a été atteint de fièvre typhoïde : il s'est marié à 22 ans. [Père mort
hronique. L'irritation cutanée a donc agi, ici, comme dans d'autres fièvres éruptives, la variole, par exemple, en favorisa
ogastrique. Eu égard au début récent de cet état d'abattement et de fièvre , en même temps que règne la rougeole dans le se
e de bon appétit le matin, mais pas le soir, ce qu'on attribue à la fièvre . Pour s'en assurer, on fait prendre la températ
fre total des accès d'épilepsie est resté le même après qu'avant la fièvre éruptive. Aujour- d'hui, chez ceux de nos idiot
ture n'atteint que très exceptionnellement le maximum de toute la fièvre morbilleuse (1). » Elle est suivie tantôt d'une
'un degré 8/10°, on pourrait incli- ner à croire qu'il s'agit d'une fièvre éphémère si les au- tres symptômes n'étaient pr
e élévation de la température qui correspond à la période ou à la fièvre d'éruption. La température acquiert prompte- me
. 37, 39, 40),elle a directement continué la chute consécutive à la fièvre d'éruption. D'autres fois, après cette chute, l
ure s'est élevée de nou- veau, mais sans atteindre le chiffre de la fièvre d'érup- tion et a oscillé pendant quelques jour
RNEVILLE. Notes et observations cliniques et thermométriques sur la fièvre typhoïde. Vol. in-8 compacte de 80 pages, avec 10
15 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
maladie a un début brusque, soudain, annoncé le plus souvent par une fièvre intense, avec ou sans accompagnement de convulsio
-ptômes cérébraux et quelquefois des contractures passagères. Cette fièvre initiale que nous venons de signaler à votre atte
à la suite d'un état fébrile plus ou moins intense ou en l'absence de fièvre ; 2° Prompte diminution et même abolition appar
e minaient, disait-il, et le faisaient maigrir. Il parlait aussi de fièvre , de sueurs nocturnes, d'insomnie. En l'examinan
e dans les voies aérien-nes, abattre la phlegmasie des bronches et la fièvre , empêcher le retour des mucosités et soutenir les
Chez un certain nombre de malades, on remarqua que l'intensité de la fièvre accompagnait le premier stade, ou de séche-resse,
que l'inflammation a en grande partie disparu et qu'il n'y a plus de fièvre , peut amener la mort par apnée. Par suite de ces
és abondantes, puis une réaction salutaire. Dans tous les cas où la fièvre et l'inflammation persistaient après le vomitif,
antifébrile ; 5° une action régulatrice sur la circulation. Quand la fièvre était intense et continue, l'effet du sulfate de
mammaire souvent confondue avec une névralgie intercostale, par de la fièvre , de l'oppression, des cra-chats muqueux quelquefo
e montre comme accident secondaire, soit dans les maladies générales ( fièvre typhoïde, etc.), soit dans les autres maladies de
elle a été prise, après son frère et sa sœur plus âgés qu'elle, d'une fièvre typhoïde. Elle venait alors de retourner dans le
bout d'une dizaine de jours, alors qu'elle était convalescente de sa fièvre typhoïde et qu'elle commençait à se lever, on s'a
aussi, ont droit à notre intérêt. Ainsi il est des cas où, après la fièvre , la paralysie, au lieu d'at-teindre tout à coup s
ais le cathétérisme dilata-teur est suivi du frisson et de l'accès de fièvre ; 4° Toutes les fois qu'au premier examen on ju
à pratiquer le cathétérisme. La vessie vidée, les accidents généraux, fièvre et prostration, cessent vite, mais la vessie rest
— H y a une très-grande sen-sibilité au froid. —- Tous les soirs, la fièvre est un peu plus forte. Malgré cela, l'appétit e
sulter cette étude sérieusement élaborée. G. Peltier. Pneumonies et fièvres intermittentes pneumoniques avec tracés thermo-gr
Cette brochure est destinée à prouver l'existence d'une forme de la fièvre intermittente qui est peu connue des médecins de
e ne crois pas que, parmi les praticiens qui exercent dans les pays à fièvres paludéennes, il en soit un seul qui mette en dout
l en soit un seul qui mette en doute l'alliance de ces deux éléments: fièvre intermittente, pneumonie. Quanta savoir s'il est
com-prendre que les poumons se congestionnent au moment où revient la fièvre , il est plus difficile d'admettre qu'une congesti
plique d'accidents intermittents dus à l'influence du pays; tantôt la fièvre intermittente, et c'est là le cas auquel se rap-
de de M. Armaingaud, prend la forme d'une pneumonie : c'est une vraie fièvre larvée. Ces faits sont utiles à connaître, non
ique d'importance majeure pour les praticiens qui habitent les pays à fièvre . En effet, il n'est pas besoin d'insister sur l'u
ister sur l'urgence qu'il y a à faire dès le début le dia-gnostic des fièvres pernicieuses. Or les fièvres larvées sont quel-qu
à faire dès le début le dia-gnostic des fièvres pernicieuses. Or les fièvres larvées sont quel-quefois pernicieuses et présent
les meilleurs services aux praticiens ; certaines maladies, comme la fièvre typhoïde, ne sauraient être traitées désormais sa
ue tout à coup il fut saisi de violents maux de tête, de nausées ; la fièvre s'alluma, le délire survint, délire doux, peu bru
affection, maladie typhoïde pour les autres, analogue absolument à la fièvre typhoïde de l'homme, cette maladie sévit plus par
plus loin l'analogie, on veut absolument comparer ces affections à la fièvre typhoïde de l'homme, nous l'avouons, rien, ni dan
te. Quelle que soit la forme que rêvet le charbon (charbon essentiel, fièvre charbonneuse, tu-meur charbonneuse), le fait capi
spèces chevaline et bovine, est atteint de la cachexie aqueuse. Les fièvres intermittentes, chez les animaux, niées par les u
gestions. Car une pleurodynie ne débute pas par des frissons et de la fièvre , et surtout elle ne cède pas aux évacuants d'une
la congestion pulmonaire, et il est arrivé à cette con-clusion que la fièvre et l'élévation de la température sont deux phénom
portance : il faut de l'immobilité au début, pendant la période de la fièvre et des accidents inflammatoires. Elle constitue a
fectieuse dont l'angioleucite est un élément; ce qui le distingue des fièvres éruptives, c'est que ces dernières sont, dès leur
gie en nappe, arrêtée par un pan-sement au perchlorure de fer. Peu de fièvre . — État général assez bon. — Dans la nuit du 24 a
es. Le 7 novembre 1871, elle entra à la Pitié: elle avait alors de la fièvre , de l'inappétence, sans nausées, ni vo-missements
i-degré à la suite de l'opération, c'est-à-dire qu'il n'y a pas eu de fièvre traumatique. La plaie s'est mise rapidement à bou
iode prodromique de trois jours, le malade est pris de varioloïde. La fièvre est presque nulle. On continue toujours l'usage d
nt de sang dans le tissu de l'organe ; on rencontre cet état dans les fièvres paludéennes, la fièvre typhoïde, la fièvre jaune;
de l'organe ; on rencontre cet état dans les fièvres paludéennes, la fièvre typhoïde, la fièvre jaune; le scorbut, la morve,
ncontre cet état dans les fièvres paludéennes, la fièvre typhoïde, la fièvre jaune; le scorbut, la morve, le charbon. L'épanch
de la rate : on l'observe dans les affections d'une gravité extrême : fièvres pernicieuses intermiltentes, la morve, le charbon
elques hoquets. ffijuin. Aggravation des phénomènes, peau chaude et fièvre per-sistante. Embarras de la parole, côté droit d
es des malades, les unes accusant des insomnies, les autres un peu de fièvre et d'excitation. Pour presque toutes, même avec q
malade qui avait une atrophie musculaire généralisée à la suite d'une fièvre typhoïde suivie d'acci-dents divers et d'une long
ments se répétaient dans la journée et il survenait un léger accès de fièvre . C'est la seule malade où nous ayons observé ces
au lit et injection froide. — Le lendemain, il y a à peine un peu de fièvre . Le troisième jour et les jours qui suivent, écou
lsion prématurée du fœtus : ils agissent en cela comme la variole, la fièvre typhoïde et la pneumonie. Les accidents des pla
uve à peine une discussion sur l'emploi du sulfate de quinine dans la fièvre qui suit les opérations des voies urinaires. L'ac
voir pour juger la valeur du sulfate de quinine au point de vue de la fièvre urineuse, les résultats d'une longue expérience.
aucune lésion, et sont pour les praticiens une énigme indéchiffrable ( fièvre pernicieuse); 2° à de secrètes dispositions de l'
16 (1891) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 04] : clinique des maladies du système nerveux
e et qu'elle peut s'accompagner de réaction de dégénérescence. La fièvre hystérique elle-même n'est plus à démontrer, et,
. Après son retour de captivité, il est revenu à Oran où il a eu la fièvre typhoïde et les lièvres intermittentes. Il a to
il a été « somnambule » jusqu'à l'âge de quatorze ans. A vingt ans, fièvre ty- phoïde. Pas d'alcoolisme, pas de syphilis.
ker. Antécédents. Le malade n'a jamais eu d'autres maladies que les fièvres paludéennes en 1869. Il y a trois ans, il a con
e a eu de l'ictère et des coliques hépatiques. Quelques mois après, fièvre typhoïde assez grave. l'âge de trente ans, rhum
ans, rhumatisme articulaire aigu. Il y a quatre ans. réci- dive de fièvre typhoïde. Il y a trois ans, elle fait une fausse
le 14 avril 1877. C'est un homme âgé de trente-six ans qui a eu la fièvre typhoïde en 1871. Plus tard, il ressent de la f
ont eu la danse de Saint-Guy. Antécédents personnels. à huit ans, fièvre typhoïde; à seize, une rou- geole simple. Depui
es ni blessures, il acheva son service dans les colonies et prit la fièvre intermit- tente au Sénégal. Vers la fin de son
; il ne s'enivre pas. Pas de syphilis. A seize ans, il contracta la fièvre typhoïde. En 1868, il se fractura le poi- gnet
ate de qui- nine pour qui en a déjà pris et l'idée de maladie et de fièvre ; l'odeur d'un parfum et l'idée de fleurs odorif
Comme antécédents personnels, rien de bien parliculier. Il a eu la fièvre typhoïde à 1 ans, et de nombreux accidents imputa
ment de l'armée d'Afrique. Pendant son séjour en Algérie, il eut la fièvre typhoïde ; puis la fièvre intermittente (type t
Pendant son séjour en Algérie, il eut la fièvre typhoïde ; puis la fièvre intermittente (type tierce). Il a gardé cette f
oïde ; puis la fièvre intermittente (type tierce). Il a gardé cette fièvre pendant près de trois ans. Il était complètement
millements, les engourdissements dans les pieds et les jambes, la fièvre , etc., plaideront plutôt pour une lésion médullai
désert d'Arizona. Ses parents sont morts : son père est mort de la fièvre jaune à la Nouvelle-Orléans en 1858; sa mère est
t; il n'en souffrait pas. A Panama, il contracta la malaria, eut la fièvre pendant un an. Une fois rétabli, il travailla b
illes, le 1er janvier 1870. Dans sa première enfance, elle n'aeu ni fièvre éruptive,ni autres maladies des enfants. A partir
ition des règles. Rougeole à quatre ans, scarlatine grave à neuf ans, fièvre typhoïde; rhumatisme articulaire aigu à trente
surveillante, elle tremblait « comme quand on a un grand frisson de fièvre », elle étouffait, elle pleurait en môme temps,
blements consécutifs aux maladies aiguës, telles que la variole, la fièvre typhoïde, l'érysipèle faits de Westphall, Pelii
. C'était comme de petits accès avortés. En octobre, céphalalgie, fièvre : entre à Bichat : séjour de quinze jours; déli
halalgie, fièvre : entre à Bichat : séjour de quinze jours; délire; fièvre typhoïde ( ? ) Deuxième accès avec perte de con
parler, manger et boire sans difficulté. Il n'avait pas du tout de fièvre ; il dormait bien. Cet état de contracture persis
ébut de l'affection actuelle, sa santé a toujours été parfaite. Une fièvre scarlatine qu'il eut à l'âge de huit ans consti
ordinairement le Pérou, dans une région marécageuse où régnent des fièvres paludéennes assez graves et rebelles. Elle a eu
de contracture se prolongea jusqu'en juin 1889. A cette époque une fièvre pernicieuse assez grave, mais qui guérit après
es régulières depuis lors. A seize ans et demi, elle a contracté la fièvre typhoïde. Cette fièvre a duré six mois, et au c
rs. A seize ans et demi, elle a contracté la fièvre typhoïde. Cette fièvre a duré six mois, et au cours d'une rechute s'es
lle accouche d'une enfant chétive, et six jours après contracte une fièvre typhoïde. En 1885, elle fait une chute d'un cin
lade. , Antécédents personnels. A sept ans, rougeole; à quinze ans, fièvre typhoïde. Un mois après son complet rétablissem
. Juillet 1886. La malade est prise d'épistaxis, de céphalalgie, de fièvre , de troubles cérébraux ataxiques. On pense d'ab
n- gite tuberculeuse. L'apparition de taches rosées fit songer à la fièvre typhoïde ; néanmoins, même ce diagnostic, à cau
'elle comporte un enseigne- ment précieux. La malade était morte de fièvre typhoïde; les divers viscères, le cerveau étaie
la suite de l'arrivée des Prussiens; après cette peur, elle eut une fièvre ? qui s'est compliquée d'accidents cérébraux. En
appareil pour les redresser. A trois ans, rougeole ; à quatre ans, fièvre muqueuse. Ce n'est qu'à cinq ans, qu'elle a com
. Voici ces cas brièvement résumés : OBs. VI. Homme. A deux ans « fièvre cérébrale » suivie de paraplégie plus accusée à
ssements. Ces vomissements, que n'accompagnaient ni convulsions, ni fièvre , ni céphalalgie, se faisaient sans effort ni doul
males dans toutes les articulations. A treize ans, elle contracte une fièvre typhoïde suivie de rechute qui dure sept mois ;
ure sept mois ; vers quinze ans, elle aurait eu durant deux mois la fièvre intermittente; à dix-sept ans, pleurésie du côt
alors en vacances, pour une pelvi-péritonite ( ? ) : vomissements, fièvre , ballonnement du ventre, douleurs abdominales. On
pour des phénomènes pulmonaires : hémoptysies, râles du côté droit, fièvre , amaigris- sement. La malade doit avoir eu déjà
let, elle fut prise de phénomènes méningiformes : vive céphalalgie, fièvre , vomissements. Le 20 juillet, éruption rubéolifor
a céphalalgie reparaît, accompagnée d'insomnie et d'inappétence. La fièvre avec ses caractères hectiques pour- suivait son
mars 1889, les phénomènes méningitiques commencent à se calmer; la fièvre persiste cependant et l'état général est assez
11epollSSl : C llléllllll(Ol'117C avec céphalalgie, vomis- sements, fièvre et délire durant trois jours. - 2 octobre. Vives
ssible dc 368 . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Fig. 68. Fièvre hystérique prolongée (OBS. XLV111). ÉTUDE DES S
S. XLV111). ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES cl SIMULATEURS ». 3Cn Fièvre hystérique prolongée (Suile). 370 . NOUVELLE IC
olongée (Suile). 370 . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. - Fièvre hystérique prolongée (Suite). ÉTUDE DES SYNDROM
'elle avait présentés. Elle était rentrée pour des hémoptysies, de la fièvre , de la toux et de l'aphonie ; elle présentait d
eptembre, étant dans le jardin, elle est reprise d'hémoptysie et de fièvre . Celte hémoptysie cède par l'ergoline. Le 18, ell
dans la nuque. Le 25, vomissements, cris de douleur, contractures, fièvre , 40°, durant plusieurs jours. On diagnostique une
vrai. Il ne s'agit pas ici de tuberculose mais bien d'hystérie. La fièvre avec ses caractères hectiques est assurément l'él
méd. des hôp., 1886. 5. Chameau, Formes cliniques et palllOg. de la fièvre hystérique. Th. de Paris, 1888, 6. Fabre, Conlr
hystérique. Th. de Paris, 1888, 6. Fabre, Conlrib. à l'étude de la fièvre hystérique. Th. dc Paris, 1888. 7. Lorentzen, C
e longue cicatrice indélébile sur le côté gauche du cou. A dix ans, fièvre typhoïde; à dix-sept ans, fièvres intermit- ten
le côté gauche du cou. A dix ans, fièvre typhoïde; à dix-sept ans, fièvres intermit- tentes durant trois mois. A vingt ans
été bien portant. Il y a sept ans, il entre à l'Hôtel-Dieu pour une fièvre mu- queuse ; il y reste trois mois et en sort g
oir. 1 Le 2 septembre 1889 il est admis à l'hôpital Andral pour une fièvre typhoïde; il y reste dix mois. La dothiénentéri
ue temps après il s'est sondé lui-même (un jour il a eu un accès de fièvre urineuse). Durant les deux mois de mai et de juin
ci- dents saturnins. En 187G, le malade étant aux colonies a eu les fièvres inter- mittentes; qui n'ont pas reparu depuis.
i a appliquées sur l'hypochondre. L'année suivante, il contracte la fièvre typhoïde. Il y a huit mois environ, il aurait t
lle a eu des convulsions. Pas d'autre maladie infantile. A dix ans, fièvres intermittentes ( ? ) pour lesquelles elle fut s
et part au Vésinel en convalescence. A son arrivée, elle contracte la fièvre typhoïde et est obligée de- rentrer de nouveau
. Il ne se plaint d'aucune souffrance particu- lière, il n'a pas de fièvre , pas de troubles gastriques, mais ses mouvements
rasse de ses douleurs dorsales. Pour bien établir l'origine de la fièvre qui aurait bien pu être pro- voquée par une cau
rétrécissement du champ visuel dans l' -, 8, 69, 76. Hystérique ( Fièvre prolongée ! , 6 8; oedèmc bleu-, 9. Hystériqu
17 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
)1.N'I-S I,A-iilo- logiques : convulsions dans la première enfance; fièvre typhoïde ; excès alcooliques avoués remontant «
sions et, plus tard, à une époque que le malade ne peut préciser, fièvre typhoïde. Il n'a jamais eu ni incontinence noctur
asion de la paraplégie. Paraplégie, anesthésie, rétention d'urines, fièvre légère. Vers la fin de juin, douleurs uréthrale
e et des purgatifs. ' Le J 5 juin, ce médecin constate l'absence de fièvre et commande de continuer ses frictions énergiqu
Histoire. --Pierre Loulos, âgé de trente ans, son père est mort de fièvre typhoïde, pas d'autres antécédents héréditaires.
Histoire. N. Chaïs, âgé de vingt-cinq ans; sa mère est morte d'une fièvre typhoïde, pas d'antécédents héréditaires. Pas d'a
in extenso plus tard.) , 111. li.nlakn (de IClin;enmünster). De la fièvre typhoïde chez les aliénés. Depuis que l'asile d
30 décembre 1857, on y a observé presque chaque année des cas de fièvre typhoïde; seules les années 1869 et 1873 n'ont pa
aliénées 21,5G 0/0 (20 0/0 ponrles hommes, 23 0/0 pour les femmes). Fièvre typhoïde grave chez les individus non aliénés,
indi- vidus très âgés (2 H., 1 F.). Dans les cinq dernières années, fièvre typhoïde non maligne; en 1886, cas pour la plup
1887 ; dans la pluralité des cas, pendant et quelque temps après la fièvre typhoïde, amélioration mentale des plus notable
repa- raissait à la suite d'un laps de temps plus ou moins long. La fièvre typhoïde n'exerça aucune influence sur la major
sion de la ma- ladie infectieuse, ne subit aucune rechute de par la fièvre typhoïde, 6 cas de morts, 28 psychopathies chro
morts, 28 psychopathies chroniques duraient au moment où éclata la fièvre typhoïde depuis 8, 10, 2 ans (moyenne 2 à ans),
s qui éprouvèrent un bien être remarquable et manifestement dû à la fièvre typhoïde; ce sont : 1 maniaque dément de 20 ans
malade depuis 18 mois, qui guérit pen- dant la convalescence de la fièvre typhoïde. 1 stupide, suite de délire aigu de 18
, .malade depuis 1S mois, qui guérit pendant la convalescence de la fièvre typhoïde. 1 femme maniaque, 19 ans, malade depu
maniaque, 19 ans, malade depuis mois, qui guérit dès le début de la fièvre typhoïde. 1 stupide, suite de folie systématiqu
ns, malade depuis 2 mois, qui guérit pendant la convalescence de la fièvre typhoïde. 1 femme mélancolique chronique, j2 an
ns, malade depuis 2 mois, qui guérit pendant la convalescence de la fièvre typhoïde. En réalité, la fièvre typhoïde agit e
érit pendant la convalescence de la fièvre typhoïde. En réalité, la fièvre typhoïde agit en pareils cas par la fièvre '. 1
typhoïde. En réalité, la fièvre typhoïde agit en pareils cas par la fièvre '. 1 Voir Arch. de t. t. 1T, p. S0;- X, p. Iào;
V, p. 100. SOCIÉTÉS savantes. 129 Discussion : M. Jolly a vu la fièvre typhoïde guérir une épilepsie avec trou- ble me
et la scarlatine agir de même dans l'épilepsie. M. Schuele a vu la fièvre typhoïde déterminer une rémission dans la démen
'installation du sys- tème des fosses mobiles a fait disparaître la fièvre typhoïde. C'est en modifiant la circulation que
raître la fièvre typhoïde. C'est en modifiant la circulation que la fièvre typhoïde agit sur l'état mental. La phtisie dét
signale dans une épidémie qu'il a vue la marche irré- guiière de la fièvre . Séance du 30 octobre. - Présidence de M. JOLLY
à la chaude-pisse, la diminution de l'instinct génésique après une fièvre typhoïde, une apoplexie cérébrale, un priapisme
ions restées dans l'urne étaient : Etiologie et pro- phylaxie de la fièvre typhoïde; Panaris. 3° Ep. Clinique : Deux malad
ation considérable dans les dou- leurs lancinantes après un état de fièvre assez aigu que la malade eut à supporter pendan
veuve depuis six mois. Élut actuel. Embonpoint notable, absence de fièvre , légère dilatation de la pupille droite; céphal
lade se lève ayant la voix rauque et toussant, pas de frisson ni de fièvre . A 40 heu- res, il fait à jeun sa première imme
musculaire, de la vessie, du rectum et des organes génitaux. Pas de fièvre . Rien du côté de la poitrine, du coeur, des art
lade. Histoire. = Paul Calamatas, âgé de 30 ans. Son père mort de fièvre typhoïde, pas d'autres antécédents héréditaires.
Il n'a pas voulu tra- vailler. La nuit du 13 au 13 juin fut agitée; fièvre , céphalalgie intense, insomnie. Le 13 juin, s
n octobre, il tomba dans un état fébrile (à ce qui semble, accès de fièvre intermittente) et après cela, les troubles dans
cinquième doigts de la main droite. Le 27 juillet, nouvel accès de fièvre (température, soir, 39°,2) qui se prolongea 3 j
ina par une transpiration. Ensuite, le malade fut de nouveau sans fièvre , mais il ressentit parfois une légère indispositi
nt, il n'y eut plus d'état fébrile si l'on ne compte pas un jour de fièvre après un essai d'hydrothérapie. En résumé, no
état général; il n'y en a que deux : l'intoxication saturnine et la fièvre intermittente. Laissant de côté les cas des div
ysies semblables qui sont 380 PATHOLOGIE NERVEUSE. la suite de la fièvre intermittente (voir Herz', Bourru2, Gibney , Gu
on avec notre cas, nous arrêter qu'à un cas d'ataxie aiguë après la fièvre intermittente, décrit par Kaher et Pich 9. Cepe
n'avons pu trouver dans la littérature aucun cas d'ataxie après la fièvre intermittente, qui offrit plus de ressemblance
laquelle nous puissions directement nous baser pour voir dans la fièvre intermittente la cause des troubles nerveux que
tout à coup pris de frissons, puis se produisit un accès typique de fièvre . Le 2 août et toutes les nuits suivantes jusqu'
nerveux a été remarqué beaucoup plus tôt que l'appa- rition de la fièvre intermittente puisque les douleurs lancinantes
lancinantes typiques s'étaient fait sentir en 1880, tan- dis que la fièvre intermittente n'apparut qu'en 1884. Ainsi, pren
us n'avons aucune raison valable de considérer dans le cas donné la fièvre intermittente comme la cause des affections ner
dans la famille. Comme accidents personnels, cet h'omme a eu des fièvres paludéennes, il y a quelques années ; pas d'accid
re de jalap.. Pas d'amélioration; les eschares s'agrandissent ; une fièvre à type intermittent quotidien, à exacerbations
tions revenant tous les soirs, se déclare. C'était évidemment de la fièvre hectique. L'appétit est presque nul, l'état gén
auxquelles le malade résista, gardant l'appétit et n'ayant point de fièvre ; mais enfin la diarrhée survint et la fièvre ave
t et n'ayant point de fièvre ; mais enfin la diarrhée survint et la fièvre avec des frissons et des sueurs, et l'épuisemen
trouvait qu'elles grossissaient peu à peu ; l'appétit diminuait, la fièvre apparaissait avec des frissons et se terminait
après les renseignements donnés, très impressionnable; elle a eu la fièvre typhoïde à qua- torze ans. Depuis quatre à cinq
nt de l'état de la circulation. Névrite multiple consécutive à la fièvre typhoïde. Dans une observation de Mi Roudoff, u
ff, un malade, à la suite d'une REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 163 fièvre typhoïde, présenta des douleurs le long des tronc
ux d'élection des lésions dans les maladies infec- tieuses. Dans la fièvre typhoïde, ils paraissent tuméfiés, hypé- rémiés
la), par Raymond, 269, 460. Névrite multiple, consécutive à la fièvre typhoïde. 464 ; d'origine . syphilitique, 464.
de la glande), 468. Transformisme, par Virchow, 307. Typhoïde ( fièvre chez les aliénés), par Karrer, 127. Vaisseaux
18 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
n), le père du notaire de notre commune, a été tellement malade d’une fièvre cérébrale, que MM. Larroque, médecin à Masseube;
ncontinence d’urine depuis deux mois, ventre balloné, jambes enflées, fièvre dans l’après-midi ; guérison à la suite d’une cri
tre derniers cas étaient des affections récentes. « Dix-neuf cas de fièvre intermittente ont été traités de mai à octobre.
ncore un accès qui a été le coup de grâce emportant définitivement la fièvre . f Je vais tâcher de répondre aux questions que
re aux questions que vous me posiez dans votre lettre au sujet de ces fièvres ; « i° Oui ; les fièvres intermittentes ont ici
e posiez dans votre lettre au sujet de ces fièvres ; « i° Oui ; les fièvres intermittentes ont ici, et surtout dans le voisin
ractère endémique. Les miasmes paludéens en sont la cause; « 2° Ces fièvres commencent à paraître au printemps, et durent ord
puisque tel cas où une bouteille d’eau n’a pas suffi pour chasser la fièvre , deux ou trois ont rempli ce but. Cependant je cr
able d’un officier de marine qui depuis dix-sept ans souffrait de ces fièvres prises sur la côte de Madagascar : l’accès s’anno
uls , me trouvant en voiture avec cet officier, a fait disparaître la fièvre . Je n’ai pu vérifier la guérison qu’un an après :
onstatant que du lendemain du jour où il avait été touché par moi, la fièvre n’avait point reparu. « Je renouvelle ici ce qu
n d’encouragement. Je crois que l’usage de l’eau magnétisée, pour les fièvres intermittentes, sera un bienfait pour l’humanité.
uivante : Toutes les eaux magnétisées sont-elles propres à guérir les fièvres intermittentes? « J’oubliais de vous citer un c
santé, et qui travaille encore à la campagne, tombe malade; une forte fièvre , suivie d’abondants vomissements la tirent d'alFa
ressort de celte simple opération. Cinq ou six jours après, quand la fièvre consécutive a baissé, on trouve que le patient pe
e depuis neuf ans. Il ne fut pas mesmérisé jusqu’au i5, à cause d’une fièvre périodique à laquelle il a été sujet. Le i3. Se
meur scrotale depuis deux ans. Il vint, comme à l’ordinaire, avec une fièvre survenant deux fois par mois, au changement de lu
. Ses deux jambes sont affectées d’éléphantiasis; il a été sujet à la fièvre périodiquo ordinaire, venant deux fois par mois;
qui, dans les trois ou quatre premiers mois, était accompagné d’une fièvre quotidienne qui est devenue irrégulière, et a fi
ier. M. Johnson, âgé de trente-quatre ans, eut, il y a trois ans, une fièvre violente à la suite de laquelle il fut pris de cé
i. Cette inflammation semestrielle était accompagnée de beaucoup de fièvre , et ne cédait jamais qu’à une application de sang
: Une somnambule mise en rapport avec un jeune homme atteint d’une fièvre maligne dont l’état ne laissait plus d’espoir de
s soumis aux épreuves sont-ils malades et en proie à quelque accès de fièvre ? Pas le moins du monde : ils se portent parfaitem
res mois de magnétisation à intervalles irréguliers ; M"0 A. S*** : fièvre intermittente dissipée en trois séances ; M. P*
oissance trop subite, douleurs à toutes les articulations, insomnies, fièvre lente. En quatre séances, plus de douleurs ni de
s, insomnies, fièvre lente. En quatre séances, plus de douleurs ni de fièvre ; à la septième les menstrues s’établissent, et d
a réussi; mais la malade s’étant trop écartée des recommandations, la fièvre est revenue. Alors notre sorcier a prescrit le
fait attendre, et voilà plus de trois semaines que la malade est sans fièvre . Les moyens employés depuis lors ont été .général
te-deux ans, porte, depuis huit ans, une tumeur scrolale, suite d’une fièvre sCmi-mensuelle, qui durait deux jours. Magnétis
e, et les jambes affectées d'éléphant iu-sis, affections précédées de fièvre périodique. Magnétisé journellement une heure e
Sixième Observation. Shamchunder Dutt, âgé de quarante ans, sujet à fièvre périodique deux fois par mois, a depuis six ans u
rente ans, souffrait depuis trois ans d’une tumeur, consécutive d’une fièvre qui venait tous les huit jours. Le dernier accès
tant d’autres, d’une tumeur venue il y a deux ans , à la suite d’une fièvre périodique. Magnétisé une heure et demie par jo
tumeur, consécutive d’un hydrocèle qui vint lui-même à la suite d’une fièvre qui paraissait deux fois par mois, au changement
7 août avec un plein succès; il alla très-bien quelque temps, mais la fièvre revint à son époque ordinaire avec une très-grand
côté droit, qui fut percé il y a environ six ans. Il était sujet à la fièvre périodique deux fois par mois. Dès la première
rotale, depuis dix ans. Cette double maladie avait été précédée d’une fièvre venant deux fois par mois, au changement de lune.
e de Voltaire : Croyez, veuillez ( i ).' « Or, telle était alors la fièvre des esprits que le somnambulisme, à son tour, fit
1) Anquetil. Histoire de France, 1.111. guéri très-rapidement d’une fièvre hectique très-violente, avec jaunisse, à la nouve
enfant ou d’un homme , les intestins commenceront à s’échauffer; une fièvre violente surviendra, et la mort ne tardera pas à
t Ouen de la surdité; saint Roch de la peste; sainte Pétronille de la fièvre ; saint Main de la gale et des dartres ; saint Cl
le femme qui avait la réputation de guérir par de simples paroles les fièvres intermittentes. Ce fut après avoir rendu la santé
guéris. Il obtint des succès extraordinaires pendant une épidémie de fièvres qui eut lieu en i665. Plus tard il traita indisti
scrofules ont enfantées disparaissent sous sa main bienfaisante; les fièvres , si communes sous le ciel qu'il habite, semblent
. Suites toujours heureuses: jamais de résorbtion purulente, point de fièvres traumatiques, cicatrisation plus prompte, panseme
sionna plusieurs maladies auxquelles les médecins ont donné le nom de fièvres gastriques, et dont je me crus guéri. Cependant,
e cruelle d’une jeune fille, fiancée, attaquée au dernier degré de la fièvre typhoïde, à laquelle il consacrait la nuit et le
nous perçons pour un instant les ténèbres qui nous environnent. Cette fièvre singulière qui s’empare de l’homme placé au milie
e jour c’était le corps et les jambes. L’enflure une fois établie, la fièvre , qui l’avait précédée, diminuait, et pendant quat
, âgé de six ans, fut pris tout à coup, sans cause appréciable, d’une fièvre intense, avec éruption ortiée d’abord , puis avec
e, avec éruption ortiée d’abord , puis avec lous les caractères de la fièvre typhoïde. L’estomac et les intestins s’altérèrent
i donnait i5o, jusqu’à 200 pulsations à la minute, s’est ralenti ; la fièvre s’est calmée, le sommeil et l’appétit ont reparu
pauvre fils est pris de tous les symptômes d’une affection cérébrale: fièvre ardente, pouls brûlant, assoupissement invincible
2, 129, 601. Entorses, 292, 606. Epilepsie, 131, 138, 458, 607. Fièvres cérébrales, 33, 651. Fièvres intermittentes, 36
06. Epilepsie, 131, 138, 458, 607. Fièvres cérébrales, 33, 651. Fièvres intermittentes, 36, 291. — typhoïdes, 650. Fl
19 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
vos nombreux lecteurs. Le 15 novembre 1842, elle fut atteinte d’une fièvre grave présentant tout les symptômes de la fièvr
fut atteinte d’une fièvre grave présentant tout les symptômes de la fièvre cérébrale ; endormie du sommeil magnétique, elle
re suivant elle serait prise, à quatre heures précises du soir, d’une fièvre typhoïde qui durerait quatre jours, et pendant la
s’embarrassa dans ses jambes et la lit tomber. Elle eut beaucoup de fièvre , do larges ecchymos.se sur toute la partie postér
plus manifeste. Un enfant de douze ans, devenu sourd à la suite d’une fièvre cérébrale qu’il eut à l'âge de trois ans, éprouve
, si vous allez bien au Pérou chercher l’écorce qui nous guérit de la fièvre , pourquoi ne prendriez-vous pas au Portugal la pe
on pouls battra moins, tes yeux seront moins brillants, et la cruelle fièvre qui te dévore cessera de t’agiter autant. On n’a
par la loi. (La tuile prochainement.) THÉORIES. FASCINATIONS. — FIÈVRE IMITATIVE. Si, grimpé sur le siège d’une voilur
s se classent par sympathies, antipathies, projections magnétiques et fièvre imitative. Elles s’exercent en masse et isolément
èses les deux derniers sens de l’homme, le goût et l’odorat. Comme la fièvre imitativt dépend tantôt de tous les sens:réunis,
i produit un état nerveux dont l’exagération n’est autre chose que la fièvre imitative. » Cette définition est fort claire,
de la partie médicale et externe, de la mimique pure et simple de la fièvre imitative : car les monuments de ce phénomène peu
ernières seules doivent trouver place dans une théorie générale où la fièvre imitative elle-même n’est admise que pour les cir
ait de ressentir, ù Pimproviste et sans mesure, un véritable accès de fièvre imitative. Mais la fascination était matérielle!
uite, je l’ignore : j’avais perdu connaissance (1). » Voilà un cas de fièvre imitative, et la fascination est animique. Mais
de fascination en même temps animique et matérielle, procédant de la fièvre imitative, qui soit d’une élévation plus sublime
n consensus mieux tranché que cet épisode de la Bible. Cependant la fièvre imitative, dans ses fascinations purement animiqu
près de ce qu’on désire. • i renferme un phénomène mélancolique de fièvre imitative. Si les sympathies en général s’aliment
acles ne peuvent être franchis. C’est alors que les symptômes de la fièvre imitative envahissent les deux natures faites l’u
utes les affinités possibles. Quand l’échange a complètement lieu, la fièvre imitative cesse par la solidarité ou le mélange d
onne qui l’inspire; les événements ont survécu dans l’imagination, la fièvre imitative les y réchauffe encore. Byron, se trouv
est une étrange chose (1) ! » Ce n’était pas la musique, c’était la fièvre imitative dont le caractère devait lui paraître,
ivaient.aux orgies de-Neus-teed-Abbey, comme Sheüey et Ilobhouse : la fièvre imitative, communiquée d’abord‘par les tons-«dè l
e leurs mémoires et l’accord involontaire de leurs sentiments. Car la fièvre imitative peut se restreindre dans un individu ,
onstitution. (Lo suite prochainement.) THÉORIES. FASCINATIONS. — FIÈVRE IMITATIVE. (Suilc.) Silvio Pellico, à Venise,
is pleins de sagesse et de remords à ses compagnes (I). Guidée par la fièvre imitative, exaltée par la solitude, l’imaginalion
omme en musique. C’est la plus douloureuse variété du phénomène de la fièvre imitative. Les fascinations animiques de la fiè
phénomène de la fièvre imitative. Les fascinations animiques de la fièvre sont nécessairement proportionnées à la force (le
ter Scott. Ici, le phénomène était purement intellectuel ; l’accès de fièvre se pas- sait dans l’esprit du malade; le contac
s Julie, et Julie dans madame d’Houdetot. Le double résultat de cette fièvre imitative fut la Nouvelle Iféloïse, et le mot aff
visible, aimante et constante. Procédant de l’original à la copie, la fièvre acceptait réellement Julie pour type et madame
x-arts, soit en littérature, les mêmes monuments physiologiques de la fièvre . L’émotion n’a pas d’autre origine; le succès n’a
se rend d’elle-même à l'hôpital,etc.» (M. le Maout. ) Voilà donc la fièvre imitative, par l’énergie seule de la pensée, qui
admirable roman de M. Alfred de Vigny, pour la répéter ici. Jamais la fièvre imitative ne révéla une force de propagation plus
nions fanatiques où le plus habile prêchait les moins fervents : leur fièvre rentrait nécessairement dans la catégorie des fas
de la place Vendôme et sous l’arbre do M. de Puységur, à Busancy. La fièvre imitative favorisait naturellement le parcours du
e nom qu’ils avaient donné aux phénomènes magnétiques, et, grâce à la fièvre imitative, toute la population nègre tombait succ
Cet extrait curieux d’un pamphlet historique prouve à quel point la fièvre imitative se fait une arme du plus grand mystère
ire, et fort heureusement, mais elle est toujours épidémique. Ici, la fièvre imitative renferme un secret calcul de la Provide
r glorieux et servilement recherché la contagion du trépas. Ainsi, la fièvre imitative s’est associée, comme fascination animi
l’exaltation religieuse, elle garde un caractère épidémique; mais la fièvre imitative participe toujours de l’âme et du corps
s mon voisinage, dit Franck (2), régnait, il y a quelques années, une fièvre puerpérale maligne qui emporta un grand (11 Did
, souvent même pris à rebours par la nature dans les phénomènes de la fièvre qui se rattachent au suicide et à toutes les aber
une lyre, en ébranlant une, deux ou plusieurs cordes à la fois; et la fièvre imitative, sympathisant avec la mort, parait être
ens. chacune pour sa part, la cause unique, parmi les femmes, de la fièvre imitative? Nous ne le pensons pas. De si frivoles
mois, à propos des incendies qui désolent la Bourgogne, fait, sur la fièvre imitative, des rapprochements curieux qui corrobo
sa fatale tournée, S’avisa de passer chez moi, . Où se trouvait la fièvre , accompagnée Du tous les maux qu’elle entraîne ap
uffe ; des crachements de sang surviennent; la figure est pourpre; la fièvre se déclare. Pendant une heure, je souffle à froid
sées de matières ayant l’aspect de la chaux délayée, et par suite une fièvre qui la forcera de s’aliter. Elle recommande de
de la médecine et du magnétisme comparés. 291 Fascination. 102, 124 Fièvre imitative. 102, 124, 149 Gastro-entérite guérie.
20 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sser inaperçus surtout lorsque le malade est en traitement pour une fièvre grave. Elle débute par un engourdissement de la
écution et de grandeur. Pas de signes antérieurs de dégénérescence. Fièvre typhoïde suivie de guérison de la maladie menta
-Emmanuel... » Le 28 décembre, 111 ? K... était alitée par suite de fièvre typhoïde. 1n jccnvie· 1895 : la fièvre continue
.. était alitée par suite de fièvre typhoïde. 1n jccnvie· 1895 : la fièvre continue évolue saus complications; les idées d
de ténacité. Au commencement de février se produit une rechute, la fièvre reparaît intense, avec céphalée, etc., mais les
rofessionnel chez cette malade autrefois bonne musicienne. CAS DE FIÈVRES TYPHOÏDES CHEZ DES ALIÉNÉS. 103 montait à plusi
mes collègues, si la question de curabilité m'avait été posée; une fièvre typhoïde aurait nettement fait éclater mon erre
mes et, par suite, la thérapeutique. A PROPOS DE CINQUANTE CAS DE FIÈVRE TYPHOÏDE . CHEZ DES ALIÉNÉS ; Par M. ROGER II
Seine. Ayant eu l'occasion assez rare d'observer plusieurs cas de fièvre typhoïde chez des aliénés, il nous a paru intéres
t, J. Kean (in the Jour- nal of mental science) a observé 38 cas de fièvre typhoïde. Il oppose ce chiffre à six cas seulem
lioration de l'état men- tal survient plus souvent à la suite de la fièvre scarlatine qu'à la suite de la fièvre typhoïde.
plus souvent à la suite de la fièvre scarlatine qu'à la suite de la fièvre typhoïde. Pour celle-ci le febris spasmos solvi
as fait mention de guérisons ou d'améliorations pro- voquées par la fièvre typhoïde. 1 0-in RECUEIL DE B'AITS. Personn
alade de M. Charron était atteint de manie aiguë très violente. Une fièvre typhoïde à furme ady- namique grave se déclare.
0 août nous la faisons entrer à l'infirmerie, parce qu'elle a de la fièvre [/excitation est un peu moins forte. Le lendemain
élevée; taches rosées, langue rôtie, presque tous les signes d'une fièvre typhoïde à la période d'état. La malade est dev
t l'amélio- ration de son état mental persiste; le 18 septembre, la fièvre est tombée définitivement. La malade ne tarde p
la curabilité de la manie ôte à ces observations beau- / CAS DE FIÈVRES TYPHOÏDES CHEZ DES ALIÉNÉS. '105 coup de leur v
par de nombreux antécédents héréditaires, la guérison du fait de la fièvre typhoïde deviendra hypothétique. OI"e B... entr
16 juillet elle est transférée à l'infirmerie avec le diagnostic de fièvre typhoïde. La malade continue à rire à propos de
. Héré- dité chargée. Six semaines après son entrée elle fait une fièvre typhoïde. Elle reste apathique et indifférente.
ulmonaires dispa- raissent ; un mois et demi après l'invasion de la fièvre , la malade « relativement » guérie obtient sa s
nel, il est vrai, que celui de M"e G... Voilà donc cinquante cas de fièvre typhoïde ; simple coïncidence peut- être la man
néficié, en apparence, d'une - influence salutaire du fait de cette fièvre éruptive. Les autres formes de folie, en généra
ésenté des hémo- ptysies, une toux presque continue et sèche, de la fièvre , de la dyspnée, des sueurs profuses. A l'examen
rappelé les observations intéressantes de névrose pulmonaire, de fièvre hystérique publiées par Debove, Camuset, Voisin,
é et de siègeet guérirent par la suggestion et l'électricité; 4° la fièvre était simplement nerveuse puisque l'état généra
ions toniques répétées et prolongées, raideur de la nuque. Bientôt, fièvre peu marquée, sueurs profuses, diminution REVU
u par une de ces influences puissantes (poisons, alcools, émotions, fièvres , insolation, froid) qui, nous l'avons.vu, const
r. Il cite un cas de kleptomanie qu'il a pu rattacher à un accès de fièvre intermittente. Une autre fois, un délit passion
aru s'accomplir régulière- ment ; à aucun moment on n'a constaté de fièvre . La maladie a évolué en inât jours environ. A
ntégrité de l'état général et des fonctions organiques,, absence de fièvre , jusqu'aux dernières heures; ces phénomènes élo
deux fistules qui ont donné issue à du pus; mais il n'y a pas eu de fièvre . Cinq jours après l'opération, a apparu un délire
menne.. 11 pourrait bien y avoir un tubercule solitaire (bronchite, fièvre légère, habitus anémique), occupant le centre d
nq-six ans. A partir de janvier 1896, cystite et pyélonéphrite avec fièvre . Mort le 14 février 1896. Diagnostic clinique :
xpectoration); dé- cubitus sacré, rétention d'urine et de matières; fièvre il type irrégulier, 37,5-38,1; le pouls est à 1
itieuse pour se terminer par ce délire confus, accompagné ou non de fièvre , qui s'observe d'une façon banale dans le décou
. Pas d'ictère. Rien du côté de la rate. Le malade n'a jamais eu de fièvres palustres et n'habite pas un pays maréca- geux.
25. T. m. 37° 4. Les urines sont redevenues claires. Le soir, la fièvre reparait, t. s. 39° 2. Du 26 au 30, il y a une
Du 26 au 30, il y a une amélioration dans l'état général ; pas de fièvre : le malade recommence à prendre quelques aliment
: le malade recommence à prendre quelques aliments. 3 décembre. La fièvre reparaît. Le matin la température était de 37°
crit, ainsi qu'une médication appropriée. Du 5 au 13 décembre, la fièvre cesse de se montrer ; les urines sont claires e
nmoins l'état gastrique laisse toujours à désirer. Ce même soir, la fièvre reparait, t. s. 38° 2. 14. - Le malade se pla
iminée dans le cas précédent : les urines hémaphéiques du début, la fièvre avec ses allures tantôt rémittentes, tantôt int
res tantôt rémittentes, tantôt intermittentes, si différentes de la fièvre paludéenne, l'impuis- sance du sulfate de quini
e de le dire : la confusion mentale du constipé, du convalescent de fièvre typhoïde, de l'inanitié, de l'hépatique, de l'u
ne pneu- monie. Elle était très sujette aux angines et à la moindre fièvre avait du délire. Il y a douze ans environ elle
guments a augmenté. Eruption des règles. Peau chaude et moite, sans fièvre . La malade est le plus souvent affalée dans un
t locaux (douleurs abdominales, vomissements, embarras gastrique, fièvre sans ictère). Elles avaient pour effet d'exaspére
olume. Urines brunes, chargées de pigment biliaire. Vomisse- ments, fièvre , soif vive; t. 38° 2. 13. - Le mal fait des pro
t dans l'hypocondre droit. Céphalalgie, vomissements répétés, toux, fièvre . Le 28, l'état fébrile persiste à un degré modé
éexistante disparaître et guérir au cours d'une mala- die aiguë, la fièvre typhoïde par exemple. Action dérivative de la l
des femmes le plus souvent, qui, à la moindre angine, à la moindre fièvre , se mettent à délirer. Ces personnes-là peuvent
ant électrique à interruptions rares'. ' La malade présenta de la fièvre dès son entrée à l'hôpital, puis l'état devint
parlait déjà d'altérations vagues de la cellule ner- veuse après la fièvre typhoïde. Aujourd'hui, cinquante ans après, nou
encéphalite, et cela en se basant sur la présence ou l'ab- sence de fièvre ou tel autre symptôme clinique, ou enfin sur l'
Lraunialique. Tous les cas exempls de complications ont évolué sans fièvre ; 10 fois on a trouvé de l'albumine dans les ur
: M. le D DODERS est nommé médecin adjoint à l'asile de la Charité ( fièvre ) en rem- placement de M. Roux, placé sur sa dem
erveau d'origine auriculaire, par Barr et Nicol ! . 31. Typhoïde. Fièvre chez les alié- nés, par Hyvert, 103. Urine. S
21 (1887) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1886
en portante, n'offrant aucune trace de goitre, n'a jamais eu qu'une fièvre typhoïde dans l'enfance ; elle n'est pas migrai
°,8. 6. - Th... est plus gai, et ne parait pas être accablé parla fièvre . La rougeur de la face a disparu; elle persiste e
ent de ca- ractère, perte d'appétit. -Etourdissements, strabisme, fièvre cérébrale, rémission,- Titubation, divagations,
'avait plus rien, mais le soir on remarqua que l'enfant avait de la fièvre . 108 TUBERCULOSE DE la protubérance. Cette fi
ant avait de la fièvre. 108 TUBERCULOSE DE la protubérance. Cette fièvre , que le médecin appela fièvre cérébrale, dura h
TUBERCULOSE DE la protubérance. Cette fièvre, que le médecin appela fièvre cérébrale, dura huit jours. Pendant les trois p
te, ses yeux étaient égarés et cet état dura jusqu'à la fin de la fièvre . Quand celle-ci fut finie et que I-Ioi;l... se le
uverte, langue blanche et sèche, pas de muguet. Ni vomissements, ni fièvre , ni convulsions. Pouls toujours fréquent, mais
e selles, ventre rétracté, urines toujours peu abondantes. Pas de fièvre ; on note un abaissement de la température. Rai
e ni de sexe) observé dans le coma. Avait eu huit jours avant de la fièvre et des convulsions. Ptosis droit, face non dévi
rsonnels, IIoël... n'offre rien do bien spécial; une bronchite, des fièvres éruptives sont les seules maladies dont il ait
Toujours est-il qu'un médecin dit que l'enfant était atteinte de fièvre cérébrale. Huit jours plus tard, les accidents fé
la température oscille entre 37° et 36°. Alors, tout d'un coup, la fièvre s'alluma et, en deux jours, la température atte
ns, couturière, grande, n'a pas eu de convul- sions dans l'enfance. Fièvre typhoïde à 15 ans, variole à 18 ans, réglée à 2
s, raideurs musculaires, délire léger et transitoire, vomissements, fièvre , abatte- ment, somnolence, etc.). C'est seuleme
préambule. Sommaire. - Grand'mère maternelle rhumatisante . Mère, fièvre typhoïde à 19 ans, avec délire.- Soeur, morte d
e, mais elle n'a jamais ou d'attaques ni de syncopes. Elle a eu une fièvre typhoïde à 19 ans, ac- compagnée de délire inte
t à une faiblesse de la vue. Aucune manifestation strumeuse, aucune fièvre éruptive, ni coqueluche, ni bronchite, etc. I
. En l'amenant dans cet hospice, son père a remarqué qu'il avait la fièvre . Le lendemain, sa mère l'a trouvé calme et moin
e remarquable ; elle a entraîné la mort, malgré la trachéotomie. La fièvre n'a point dé- passé 38°,6 (1); aussi est-ce plu
dé- passé 38°,6 (1); aussi est-ce plutôt à la diphthérie qu'à la fièvre qu'il faut attribuer l'absence d'accès convulsifs
ons, ni de chorée, ni devers, etc. ; il n'aurait eu non plus aucune fièvre éruptive, aucune maladie infectieuse. Le traite
cté en bateau depuis hier, diarrhée très abondante, séreuse. Peu do fièvre , pouls imperceptible. Rem ne prend presque excl
ioration notable. La diarrhée a disparu. Le sommeil est bon. Pas de fièvre . 19 Février. Même état, mais à l'inspection de
TIQUES. droite, mais sans rougeur ni chaleur appréciables; pas de fièvre . Guéri le 10 octobre. Décembre. L'appétit est e
ffets devraient s'addi- tionner, peuvent évoluer sans déterminer de fièvre , surtout lorsque leur chiffre n'est pas élevé e
ncerne les maladies du système nerveux. (1) Witkowski (L.). De la fièvre épileptique et de quelques autres questions cli
en dehors de la névrose, on ne peut constater aucune autre cause de fièvre » n'ait jusqu'à présent trouvé que « peu d'accè
effets devraient s'additionner, peuvent évoluer sans déterminer de fièvre , surtout lorsque leur chiffre n'est pas élevé e
tôt lorsqu'ils ont cessé pt sont devenus plus rares qu'apparait une fièvre de 40° et davantage. S'il est assez rare d'observ
Marche ascendante de là maladie. - Suspension des accès durait une fièvre ty- phoïde grave. - Aura. Secousses limitées à
lus haut. - Rougeole à 16-17 mois; - fluxion do poitrine à 4 ans; - fièvre typhoïde avec troubles cérébraux à 14 ans, dura
22 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
lpêtrière une si difficile tâche à remplir, a tracé son tableau de la fièvre adynamique. Chez notre malade, je fus éloigné d
ion, en juin i838, pour madame Rigot, qui me présenta l'état suivant: Fièvre très vive ; battemens du pouls, du cœur et de tou
e le fit appeler pour une douleur très vive à la région du cœur, avec fièvre intense, douleur qui avait été précédée et s'acco
e manière sensible. La malade mourut dans le marasme, épuisée par une fièvre vive avec sueurs abondantes : elle conserva ses f
'état de la malade paraît d'ailleurs désespéré. Douleurs abdominales, fièvre lente, vomissemens très fréquens. Mort au bout de
sible à la pression. Il n'y avait ni hoquets ni vomissemens. Point de fièvre ; tous les phénomènes morbides sont concentrées da
la cessation de tout travail d'ulcération, lequel peut survivre à la fièvre et se prolonger jusque dans la convalescence. Or,
fois, savoir : que, dans toutes les maladies fébriles, la chute de la fièvre ne coïncide pas avec la guérison de la lésion loc
le, mais avec la cessation de la marche progressive de la maladie. La fièvre tombée, la résolution commence dans la pneumonie;
deux onces d'onguent napolitain dans la journée. Le neuvième jour, fièvre aiguë, douleur épigastrique diminuée. — Épreintes
ection du sang dans l'entérite folliculeuse aiguë, la dénomination de fièvre typhoïde, qui a pris faveur depuis quelques année
formes anatomiques de la maladie connue de nos jours sous le titre de fièvre typhoïde: du reste, cette entérite pseudo-membran
ar l'opium à la dose d'un grain d'abord, puis de plusieurs grains; la fièvre tombe. Le malade paraît bien, très bien et je le
calement. La dysenterie grave est toujours précédée et accompagnée de fièvre . Je ne connais pas de distinction clinique plus i
endant les huit jours qui précédèrent sa mort, la malade fut prise de fièvre vive, de toux, d'oppression très considérable, et
elui de sa mort, cette jeune fille présenta tous les caractères d'une fièvre de consomption, dont le point de départétait évid
on excessivement abondante; mort accélérée par une pleurésie latente; fièvre de consomption: tel est le résumé de l'histoire d
et dans l'altération qui la constitue et dans ses connexions avec les fièvres intermittentes, et cependant que de choses encore
trée chez des personnes qui n'avaient jamais éprouvé un seul accès de fièvre intermittente , et dont l'excellente santé, la fr
ble qu'elle avait auparavant. Jamais cette jeune femme n'a éprouvé de fièvre intermittente : elle est douée d'un très grand em
. Il raconte que, depuis dix-huit mois, il est sous l'influence d'une fièvre intermittente tierce, qui ne lui a pas permis de
cette plénitude de santé dont il se félicitait auparavant; que cette fièvre , qui dura d'abord deux mois, s'est reproduite à d
ns sont survenus. Bientôt diarrhée, émaciation, sueurs colliquatives, fièvre hectique, infiltration générale, mort sans douleu
i° Un malade éprouve pendant les dix-huit derniers mois de sa vie une fièvre intermittente tierce rebelle qui revient par inte
rate et peut-être aussi à certaines lésions du foie: à l'époque où la fièvre tierce parut, il devait y avoir long-temps que le
r abdominale assez vive, surtout dans l'hypochondre droit. Il y avait fièvre , ictère. On crut néanmoins à la colique de plomb,
nt de la Charité; mais la coloration jaune de la conjonctive, mais la fièvre , mais le siège de la colique, mais ses caractères
e cette dureté. Au bout d'un mois de séjour, la malade est prise de fièvre et d'oppression. La percussion du thorax rend u
cut en cet état pendant deux mois environ, et succomba épuisée par la fièvre et les sueurs : elle conserva l'appétit jusqu'au
re bronze qui existait depuis dix jours. Cet ictère est accompagné de fièvre . Pouls à 108. Or, Xictère fébrile est toujours ch
les femmes sont prises de catarrhes plus ou moins aigus, avec ou sans fièvre , pour lesquels elles consultent rarement, et, par
eilles femmes de la Salpêtrière, que Pinel a fait son chapitre sur la fièvre adynamique. On nous apporte souvent à l'infirme
conde éruption, et celle-ci de la troisième. J'ai conclu de là que la fièvre n'était pas purement symptomatique dans la pneumo
symptomatique dans la pneumonie; qu'elle est à la pneumonie ce que la fièvre est aux maladies éruptives. Cela est si vrai que,
a fièvre est aux maladies éruptives. Cela est si vrai que, lorsque la fièvre tombe, bien que les symptômes locaux soient ident
ômes locaux soient identiquement les mêmes que pendant la durée de la fièvre , le malade est sauvé. La suppression de transpira
és, ou neutralisés ou expulsés par d'autres voies. La dénomination de fièvre pneumonique serait plus convenable que celle de p
pneumonie qui domine. La marche intermittente et rémittente dans la fièvre appartient à la pleurésie. La douleur locale ne d
maison royale de santé, pour une toux sèche sans dépérissement, avec fièvre légère. L'auscultation me fit reconnaître une cav
ut cela : elle avait un très grand appétit, et le dépérissement et la fièvre n'étaient pas portés au point où on dût craindre
ineuse et lymphatique. A la phlegmasie se rapportent la douleur et la fièvre ; à l'obstacle mécanique de la circulation se rap
est plus ou moins sensible à la pression : le mouvement fébrile, dit fièvre de lait, ne se dissipe pas entièrement ; ou bien,
tres cas, parfaitement intactes. Cet état s'accompagne rarement d'une fièvre de réaction. Les malades guérissent spontanément
e. Un jeune homme, âgé de 19 ans, grand et fort, convalescent d'une fièvre légère, fut pris d'une douleur extrêmement vive d
me observation. — 66 ans ; au mois de juillet 1826, quelques accès de fièvre avec sentiment de froid et d'engourdissement au g
mation) des accidens de syncope, lesquels ont pu être rapportés à une fièvre pernicieuse, qui a été suivie d'un bruit de râpe
la pneumonie œdémateuse. L'œdème pulmonaire n'est point accompagné de fièvre ; la pneumonie œdémateuse est une maladie essenti
s le premier moment où le tronc a été affecté. Peu d'appétit ; peu de fièvre : toujours nécessité du cathétérisme. Continuation
ée, émulsion nitrée). Depuis ce moment jusqu'au milieu de janvier : fièvre habituelle avec frisson le soir. Rétention d'urin
. Contre toute espérance , l'état de la malade s'améliore: point de fièvre , appétit, urines toujours purulentes , que j'attr
le atteint les genoux. Dans les derniers jours de février, frisson, fièvre vive, petitesse du pouls, altération des traits,
dans nos salles, elle fut prise de pneumonie latente avec oppression, fièvre , assoupissement, et mourut le quatrième jour. O
toujours involontaires , état parfait de l'intelligence : absence de fièvre : les digestions ne laissaient rien à désirer. J'
rès affaiblie. Cinq, six mois avant sa mort, dépérissement notable, fièvre , respiration fréquente, toux incomplète, jamais s
à une époque très éloignée, l'infiltration des membres inférieurs, la fièvre continue, l'oppression annoncent une fin prochain
si bien que la malade garde le bassin toute la nuit. Toux catarrhale, fièvre , respiration fréquente. Les organes de la respira
ans espérance.— Eschare considérable au sacrum. Les jours suivans, la fièvre , la toux et la gêne de la respiration persistent;
septembre i838. A cette époque se manifestèrent sans cause connue une fièvre très vive avec sécheresse et aspérité de la langu
is d'ailleurs l'appétit est excellent. Le 20 mars, après la visite, fièvre vive, douleurs très intenses dans le membre supér
ns, a rendu un véritable service; de fréquentes crises d'estomac avec fièvre vive, tension épigastrique, étouffement, explosio
et. Les chutes sur la tête, certaines attaques d'apoplexie, certaines fièvres de mauvais caractère, déterminent cette espèce d'
e point de vue clinique, il est curieux et important de savoir que la fièvre , coïncidant avec une attaque d'apoplexie, ne tien
demain, deux onces d'huile douce de ricin. Soulagement très grand. La fièvre de lait parcourut sa marche accoutumée. La nuit
roite. Le suintement purulent par le conduit auditif externe a cessé. Fièvre . Je pense à une otite interne chronique devenue
aient depuis plusieurs jours et avaient été précédés de deux accès de fièvre violens;du reste point de coups reçus, point de c
pour la première fois des graviers, dont l'expulsion fut précédée de fièvre et de coliques néphrétiques avec vomisse- XXXVI
e pus; que probablement les crises de coliques avec vomissemens, avec fièvre , auxquelles la malade était sujette, tenaient à
emps des coliques néphrétiques très considérables avec vomissemens et fièvre intense. Ces coliques se dissipaient quelquefois
urs et prenait 18 grains d'opium par jour. — Elle succomba avec de la fièvre et de la gêne dans la respiration. — A l'ouvertur
ation. Le 1" décembre 1836, la malade fut prise d'un érysipèle avec fièvre qui s'étendit au loin. Oppression. Mort le 6 déce
soupçonner l'existence de l'une et de l'autre de ces phlegmasies. La fièvre me paraissait suffisamment expliquée par l'érysip
fois et par la peau et par la glande mammaire. Au mois de mai 1838, fièvre vive avec oppression, point de côté à gauche. L'a
sur les sangsues et sur les vésicatoires volans. Depuis ce moment, fièvre continue avec redoublemens souvent précédés de fr
hydropique. Les signes rationnels, déduits du point de côté et de la fièvre qui manquent complètement dans l'épanchement sére
u lit du malade. Dans le cas de gangrène par couches successives, une fièvre intense, l'écoulement d'un ichor fétide et abonda
té suivie d'accidens inflammatoires subaigus du côté de l'abdomen, de fièvre lente, de douleurs; je soupçonnai une inflammatio
— Hémiplégie incomplète avec rigidité du côté gauche ; léger délire ; fièvre . Mort le vingt-cinquième jour par suite d'un phle
. — Hémiplégie incomplète avec rigidité du côté gauche, léger délire; fièvre . Foyer apoplectique dans le centre médullaire de
re anatomique le plus constant des maladies décrites sous les noms de fièvre muqueuse, putride, adynamique, typhoïde, etc. ; e
agmens. Décollement du repli fibro-synovial. 26e liv., pl. m, p. 4. FIÈVRES . Influence des fièvres intermittentes sur le volu
repli fibro-synovial. 26e liv., pl. m, p. 4. FIÈVRES. Influence des fièvres intermittentes sur le volume, la couleur et la co
nguines pendant le frisson ou au moment de l'invasion sans froid, des fièvres rémittentes. 2e 1., pl. v,p. 9. — Fièvres putride
l'invasion sans froid, des fièvres rémittentes. 2e 1., pl. v,p. 9. — Fièvres putride, synoque, pituileuse, maligne, bilieuse,
use, ataxique, ataxo-dy-namique, grave. 7eliv., pl. 1, n, ni, iv,p./.— Fièvre entéro-mé-sentérique. 7°liv.,pl.i, n,in,iv,/ .Fiè
. 7cliv.,pl. 1, n, ANAT. PATHOL, - TABLE DES MATIERES. m, iv, p. 5.— Fièvre lente nerveuse. 7eliv., pl.i, ii,m,iv,p. 7. — De
iv, p. 5.—Fièvre lente nerveuse. 7eliv., pl.i, ii,m,iv,p. 7. — De la fièvre de lait. 13e liv., pl. 1, n, m,p. /. —La fièvre n
ii,m,iv,p. 7. — De la fièvre de lait. 13e liv., pl. 1, n, m,p. /. —La fièvre n'est pas purement symploniatique dans la pneumon
iv., pl. v, p. 4. — Dans toutes les maladies fébriles, la chute de la fièvre ne coïncide pas avec la guérison de la lésion loc
on delà marche progressive de la maladie. 30e liv., pl. m, p. 2. — La fièvre coïncidant avec une attaque d'apoplexie, ne tient
cé, pratiqué par lui sur Astruc.l7e liv,. pl. 11 ,p. 4- LAIT. De la fièvre de lait. 13e liv., pl. 1, n, m, p. 4. LANCÏSI. Mé
24e liv., pl.v, vi, p. 2. PETIT (M.). Mention de son travail sur la fièvre entéro-mésen-lérique. 7e liv., pl. 1, n, ni, iv,
itue une des formes les plus redoutables et les plus fréquentes de la fièvre puerpérale. 4e liv., pl. vi ,p. 2. — La phlébite
traitement. 29e liv., pl. v, p. 3. — Des pneumonies envahissantes. La fièvre n'est pas purement symptomatique dans la pneumoni
endant le frisson ou au moment de l'invasion sans froid des accès des fièvres rémittentes ou intermillenles. 2e liv., pl. v, p.
2e liv., pl. 1, n , p. 23. SERRES (M.). Mention de son travail sur la fièvre entéro-mésen- térique..7e liv., pl. 1, 11, m, i
itue une des formes les plus redoutables et les plus fréquentes de la fièvre puerpérale. 4e liv., pl. vi, p. 2.—Tumeur fibreus
eurésie, pseudo-membraneuse latente. 13e liv., pl. 1, 11, m, p. 43. — Fièvre puerpérale .Mort le neuvième jour. Pour toute lés
23 (1894) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie, l'idiotie et l'hydrocéphalie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1893
Fig. 10). ' 1 ' OBS. VIII. - IDIOTIE congénitale. SOMMAIRE. Père, fièvres intermittentes, devenu épileptique à la suite d
E DROIT. ! 50\II : OftI ? Père, nerveux, convulsions de l'enfance ; fièvres intermittentes probables. Grand-père paternel,
. Enfant petit à la naissance. -. .Jamais de convulsions ( ? ). - Fièvre à 8 mois dite typhoïde ( ? ) suivie d'un état d'h
su et arriéré. -11 rèï'es, convulsions. Bien portant jusqu'à 3 ans; fièvre typhoïde et méningite à 3 ans. Affaiblissement
a marche à 14 mois, de la parole vers 2 ans. Propre vers 5 ans. - Fièvre scarlatine avec délire à 8 ans 1/2; convulsions a
conde main, sont insuffisants. Père, vidangeur, mort à 55 ans d'une fièvre typhoïde, à Lariboisière (19 mars 1892), n'aura
celle de la sécrétion urinaire a diminué (à peine 800 gr.). Pas de fièvre ; céphalalgie; délire. Les douleurs dans les jam
). Père, 37 ans, arbustier, sobre, n'a jamais eu de convulsions, de fièvre typhoïde, de chorée, de migraines, de rhumatism
de détails sur les oncles maternels. Un frère, mort à 17 ans de la fièvre typhoïde, était intelligent. - Une soeur, 27 an
s, pas de prostituées, etc.] Mère, 37 ans, pas de convulsions, de fièvre typhoïde, de chorée, de rhumatisme. Nombreux ab
3° Fille morte à 7 ans de méningite; - 4° Fille morte à 17 mois de fièvre typhoïde ; à partir de 9 mois, crises épileptifor
ites convulsions à la dentition; - 6° Fille, morte à 3 ans 1/2 de fièvre typhoïde, intelligente ; ;- 7° Fille, 13 mois, pa
. Le certificat, signe Lasegue, est ainsi conçu : . A eu depuis une fièvre typ/fjfde des accidents cérébraux se manifestant
, une heure ; elles ont été moins violentes que les premières. Ni fièvre , ni délire à la suite; pas de paralysie ni d'affa
el, mort d'un cancer de l'estomac. Mère, nerveuse, accès de colère; fièvres intermittentes à 18 ans, migraines. - Grand-pèr
tes, cependant ni accès, ni attaques, mais, à 18 ans, elle a eu des fièvres intermittentes. Migraines intenses et fré- quen
nations et phosphènes. Caractère doux et calme, mais entêté; pas de fièvre typhoïde. En 1888, la mort de sa mère jointe aux
veau, convulsions du côté maternel. Ajou- tons que la mère a eu des fièvres intermittentes (1), qu'elle a été internée comm
s : non nerveuses. - Deux autres soeurs mortes, l'une à 4 ans, de fièvre typhoïde, l'autre à 16 ans, « d'un diabète qui lu
s mois, mais dut le replacer. L'enfant aurait eu la rougeole et une fièvre ( ? ) durant son séjour à l'Asile Clinique. L
à l'hospice de Bourgoin (lsère)j devenue imbécile à la suite d'une fièvre typhoïde. Trois soeurs mariées, en bonne santé
maigri légèrement, néanmoins il prend bien le biberon et n'a pas de fièvre . 20 mars. Vacciné, 3 piqûres à chaque bras. 2
Mère, lingèrc, morte tuberculeuse à 45 ans, aurait eu à 5 ans une fièvre typhoïde assez grave. De taille moyenne, sobre et
ernelle, rhumatisante et migraineuse. - Oncle paternet bègue. Mère, fièvres intermittentes à 11 ans. - Grand- père maternel
ère.] Mère, 43 ans, couturière, a été pendant 18 mois atteinte de fièvres intermittentes (1) vers l'âge de 11 ans. A part c
essivement est envoyé à l'infirmerie, en observation. Il n'a pas de fièvre , mange, digère, ne présente rien à l'auscultati
e l'oreille droite et de l'impétigo de la face. Il n'a jamais eu de fièvres éruptives. État actuel. - État général médiocre
tre mort noyé par accident ; 3° un troisième mort au régiment d'une fièvre typhoïde avec acct- dents cérébraux ; 4° les tr
Escharre sacrée. Submatité aux bases des pou- mons. Râles muqueux. Fièvre . 3 juin. -Cachexie progressive. Etat typhoïde.
euses dans la famille du père ( ? ). Mère, convulsions à 18 mois, fièvre typhoïde avec délire .'c 10 ans. Grand-père mater
reprises jusqu'à l'âge de 18 mois de nombreuses crises convulsives. Fièvre typhoïde à 10 ans avec délire, sans trouble psy
t au point de ne pouvoir se maintenir droite. Val... n'eut alors ni fièvre , ni convulsions, ni syncopes. Ses yeux, petit à
24 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
Quelques jours après une angine grave se déclarait, accompagnée de fièvre intense. Le pouls s'éleva à 160 pulsations. Sa vi
à l'état général il est aussi satisfaisant que possible : il n'y a ni fièvre , ni la moindre trace d'abattement; ce garçon ne s
u de maladie jusqu'au mois de mai dernier où il fut atteint d'une fièvre typhoïde grave qui le retint à la maison jusqu'à
te toux rare persista cependant avec quelques expectorations. Mais la fièvre persistait, etc. » Il guérit et mourut quelques a
les les plus importants au point de vue doctrinal : 1o Son traité des fièvres où il essaie de faire la pathogénie de la fièvre
: 1o Son traité des fièvres où il essaie de faire la pathogénie de la fièvre et où il établit la doctrine du vitalisme; — 2° S
e et fin) II. — L'œuvre. — Le vitalisme : essai de pathogénie de la fièvre . — Les ferments. — Premiers essais de chimie biol
toute l'Europe. Le plus important de ces opuscules est le Traité des Fièvres , qui parut en 1643 avec une note contre les quatr
'a pas fait de progrès. Il faut chercher s'il n'y a pas à dire sur la fièvre autre chose que ce qu'en dit Galien. Il ne veut p
er au fond même des choses et donner une explication des causes de la fièvre , définir l'essence même de la fièvre — nous dirio
une explication des causes de la fièvre, définir l'essence même de la fièvre — nous dirions aujourd'hui tenter une pathogénie
e de la fièvre — nous dirions aujourd'hui tenter une pathogénie de la fièvre . Les Ecoles définissaient alors la fièvre : « U
nter une pathogénie de la fièvre. Les Ecoles définissaient alors la fièvre : « Une chaleur contre nature qui s'allume dans l
la putridité des humeurs dont la diversité différencie les espèces de fièvre . » Van Helmont va s'élever contre ces deux asse
haleur, ni la putridité des humeurs ne sont la cause ni l'essence des fièvres ; qu'il n'y a qu'une fièvre en somme, qui est sim
umeurs ne sont la cause ni l'essence des fièvres ; qu'il n'y a qu'une fièvre en somme, qui est simplement l'expression de la l
la matière fébrile peccante. Vous, humoriste, vous prétendez que la fièvre n'est qu'une chaleur contre nature qui du cœur, v
sante se répandre par tout le corps, mais alors pourquoi y a-t-il des fièvres qui n'ont pas de chaleur apparente ? pourquoi la
fièvres qui n'ont pas de chaleur apparente ? pourquoi la plupart des fièvres commencent-elles par un frisson ? Vous prétende
des fièvres commencent-elles par un frisson ? Vous prétendez que la fièvre est causée par la putridité des humeurs et vous d
organe où ne se fabrique pas d'humeurs. Comment se fait-il que votre fièvre s'allume précisément dans un organe où il n'y a p
ante '? (materia febrilis peccans). Mais la racine, l'essence de la fièvre est la matière peccante elle-même et la chaleur e
ser l'épine qui est entrée dans le doigt. Il en est de même pour la fièvre . L'augmentation de chaleur contre nature peut ê
e. L'augmentation de chaleur contre nature peut être un signe de la fièvre , mais ce n'est pas la fièvre elle-même. Quant à
r contre nature peut être un signe de la fièvre, mais ce n'est pas la fièvre elle-même. Quant à la putridité des humeurs et
uant à la putridité des humeurs et à leur diversité différenciant les fièvres , il ne l'admet pas comme cause de fièvre, parce q
diversité différenciant les fièvres, il ne l'admet pas comme cause de fièvre , parce que s'il en était ainsi, si la chaleur éta
ue s'il en était ainsi, si la chaleur était fille de la putridité, la fièvre ne devrait pas commencer par un frisson. Du res
que lorsque le sang se putréfie, il devient de la bile. Puisque la fièvre est causée par la lutte de l'archée contre la mat
e se repose que quand il est vainqueur dans la lutte, ou vaincu. La fièvre est donc une et ce qui en fait les variétés, c'es
excrémentielle et il conclut en disant : L'efficient interne de la fièvre — son entité formelle immédiate est la vie elle-m
Maladies infectieuses, 1889, p. 2). Cette conception nouvelle de la fièvre demande un traitement nouveau conforme à sa notio
aments qui agissent contre les poisons. Van Helmont réduisant toute fièvre à la lutte, au duel de l'archée contre la matière
Hippocrate, il faut user de l'alimentation la plus légère. Pour les fièvres quartanes, aucun traitement n'est nécessaire ; il
lade et rend la convalescence moins longue. Cet usage du vin dans les fièvres est la partie nouvelle de son traitement; les Gal
e de son traitement; les Galénistes ayant proscrit son usage dans les fièvres . Cependant comme il y a certaines fièvres plus
oscrit son usage dans les fièvres. Cependant comme il y a certaines fièvres plus graves, dont la matière occasionnelle es
e, diminue, résout, liquéfie et absterge la cause occasionnelle de la fièvre partout où elle se trouve. Le remède souverain c'
ves, je veux parler de l'endocardite infectieuse. Là, il existe de la fièvre et de la dyspnée, mais le malade conserve sa gaît
et de l'ouïe, entendit des voix, vit des lumières. - Peut-être des fièvres qu'il avait contractées dans un voyage en Syrie e
dans la genèse de ces troubles nerveux : il traitait le retour de ces fièvres par des ablutions froides, et il est probable que
25 (1911) La pratique neurologique
dantes, dans les anémies graves, avant et après la syncope, dans la fièvre intermittente, etc. Exceptionnellement, on voit
enfants, plus rarement chez les adultes/ il. survient parfois de la fièvre intense à début brusque avec signes d'irritation
la grippe, de la rougeole, de la scarlatine, de la diphtérie, de la fièvre typhoïde, du zona. Le type le plus évident des
donnements, vertiges, recrudescence des symptômes généraux et de la fièvre . Chez les jeunes sujets, la lésion des deux oreil
formes adynamiques. On l'observe avec une graudc fréquence dans la fièvre , typhoïde et la grippe, moins souvent dans le,
la fièvre, typhoïde et la grippe, moins souvent dans le, typhus, la fièvre paludéenne, la fièvre jaune, la peste, parfois
la grippe, moins souvent dans le, typhus, la fièvre paludéenne, la fièvre jaune, la peste, parfois dans la scarlatine, la
par une hémorragie labyrinthique. que les maladies infectieuses, la fièvre typhoïde, la grippe, la variole, les oreillons
tons enfin sur l'hypertrophie ganglionnaire et sur l'existence dune fièvre rémittente il grandes oscillations. On a pu déc
n sait aussi quel est le danger de la cami- sole de force en cas de fièvre . Magnan a dit avec beaucoup de raison : « Tout
'une différence de degré. Des névralgies se constatent au début des fièvres éruptives, au début et dans le cours de la fièv
ent au début des fièvres éruptives, au début et dans le cours de la fièvre typhoïde, dans la grippe, la blennorragie, la t
gne prodromique de beaucoup de maladies infectieuses, telles que la fièvre typhoïde et les affections para- typhiques, la
éflexe des tendons. Les réflexes rotuliens ont été examinés dans la fièvre typhoïde par M. Hemlinger (Bévue de Médecine, 1
tanos; enfin elle peut s'observer au cours d'autres infections : la fièvre typhoïde et la pneumonie. 5° Exagération des ré
al est intact. Le signe de Babinski a été observé également dans la fièvre typhoïde. Léopold Lévi considère qu'il existe d
qu'il s'agissait sans doute de réactions méningées légères. Dans la fièvre typhoïde, Netter a pu constater dans 1 1,8 des ca
quence du signe de Kernig dans la pneumonie est moindre que dans la fièvre 1)'- plroïde; Voisin a observé plusieurs fois l
niques comme la tuberculose, ou bien à des maladies aiguës comme la fièvre typhoïde, essentiellement variables en leur int
profondes, plus vastes que dans toute autre affection nerveuse. La fièvre , qui existe souvent d'emblée, s'allume, et une
légie organique : Signes de présomption : atrophie, incontinence, fièvre , fourmille- ments, rachialgie osseuse, abolitio
ans un grand nombre de. maladies infectieuses (syphilis secondaire, fièvre typhoïde, érysipèle, variole, paludisme, diphté
uite de névrites infectieuses ou toxiques (alcool, lèpre, syphilis, fièvre typhoïde, etc.). Lps paralysies professionnelles
t-Barbon). Osier a insisté sur les paralysies récurrentielles de la fièvre typhoïde ainsi que M. Schmitt. Dans un article
ns un article récent, Bryson-Delavan énumère encore l'érysipèle, la fièvre puerpérale, la scarlatine, la rougeole, la blen
: infectieuses : lèpre, . béribéri; toxi-infectieuses : diphtérie, fièvre typhoïde, tuberculose, grippe, variole, paludis
erf que par l'in- termédiaire des toxines qu'il secrète (diphtérie, fièvre typhoïde, tubercu- lose en dehors de quelques f
mpagné des symptômes fébriles d'invasion d'une maladie infectieuse ( fièvre jusqu'à 40°, frissons, courba- ture, troubles g
règle, hormis le cas où les nerfs cardiaques sont touchés. Dans la fièvre typhoïde, les névrites sont assez fréquentes, pré
que. Infectieuses : lèpre, béribéri; toxi-infectieuses : diphtérie, fièvre ty- phoïde, tuberculose, grippe, variole, palud
presque totalité des cas, on trouvait à l'origine des accidents une fièvre typhoïde, maladie infectieuse dont on sait la f
oppée, précisément dans le membre supérieur droit, à la suite d'une fièvre typhoïde contractée ultérieurement; le système ve
intoxications alimentaires ou bien dans les pyrexies telles que la fièvre typhoïde, la diphtérie, les septicémies, les ma
elles soient séparées par de longues rémissions. Dans les pyrexies, fièvre et convulsions marchent de pair. La durée- dé
provocatrices de cette catégorie de convulsions. S'il n'y a pas de fièvre , ce peuvent être : le travail de la dentition, le
; c'est là une question qui reste il tirer au clair. S'il y de la fièvre , on peut avoir affaire aux maladies infectieuses
faire aux maladies infectieuses à début brusque et à la plupart des fièvres éruptives (pneumonie, broncho- pneumonie, scarl
e, des accidents urémiques. Si l'on ne trouvait rien, s'il n'y a ni fièvre , ni albumine, on pensera il la possibilité d'un
nts, à la constipation, aux résultats de la ponction lombaire, à la fièvre . Mais quand ces signes sont encore peu marqués, v
ais le méde- cin pourra être appelé auprès de malades qui ont de la fièvre et une forte fièvre, qui sont quelquefois alité
rra être appelé auprès de malades qui ont de la fièvre et une forte fièvre , qui sont quelquefois alités depuis plusieurs jou
t le malade on trou- vera les marques d'une pyrexie au début, d'une fièvre typhoïde, d'une fièvre éruptive. Les convulsion
ra les marques d'une pyrexie au début, d'une fièvre typhoïde, d'une fièvre éruptive. Les convulsions pourront, il est vrai,
pportées à leur cause. Nous ne mentionnons que pour être complet la fièvre pernicieuse il forme convulsive que connaissent
n est en présence d'un malade qui a un état infectieux grave, de la fièvre , des convulsions; on ne trouve pas de signes des
ont vu la chorée consécutive à la scarlatine, à la pneumonie, à la fièvre intermittente. Rilliet et Barthcz ont de même o
t et Barthcz ont de même observé la chorée après la pneumonie et la fièvre typhoïde. Haus- halte ! ' (Revue médicale de l'
Sydenham vulgaire est peu atteint, on verra cependant apparaître la fièvre dans quelques cas, elle est alors le plus souve
s ces cas .on peut observer la disparition des convulsions quand la fièvre s'allume (feb1'is accedens spasmos solvit). Tou
médicale des Hôpitaux, 1899. ' [CROUZON.] ] 858 CHORÉES. de la fièvre est soumise à certaines règles qui ont été fixées
taines règles qui ont été fixées par Germain Sée et Jules Simon. La fièvre fait cesser les contractions quand elle sur- vi
leur croissance, les contractions suivent une marche parallèle à la fièvre quand celle-ci survient dès le début de la maladi
quel- quefois il y a des prndollws très nets : les convulsions, la fièvre marquant le début de la maladie, l'envahissemen
s attitudes cataleptiques dans des infections diverses : pneumonie, fièvre typhoïde, méningites aiguës, tétanos, urémie, m
le dé- but, le plus sou- vent brusque, ne s'accompagne pas de fièvre . Il sur- vient en général un gonflement énor-
E. Les modifications de la température peuvent se manifester par la fièvre ou hypelth('1'111 il' : elles peuvent consister
hermie. Nous commencerons tout d'abord par l'élude de la lièvre. La fièvre est caractérisée par une perturbai ion de l'appar
pérature. Nous ne nous attacherons pas à rechercher la nature de la fièvre , c'est là une question de pathologie générale e
ut se, trouver l'élévation de la tempe- rature. Description de la fièvre et de ses symptômes satellites.- La fièvre est
ature. Description de la fièvre et de ses symptômes satellites.- La fièvre est caractérisée par une élévation de la tempér
est-à-dire sur une échelle de 20 sans qu'on puisse dire qu'il y ail fièvre . La température varie, d'autre part, de 1° enviro
re on trouvera des écarts bien plus considérables, de 4 il 5". La fièvre peut se manifester suivant divers types : la fièv
de 4 il 5". La fièvre peut se manifester suivant divers types : la fièvre intermit- tente est caractérisée par un accès d
erminant par un stade de sueur. On peut, d'autre part, observer des fièvres continues qui persistent à un degré minimum pen
degré minimum pendant assez longtemps. On peut enfin distinguer des fièvres éphémères de courte durée, de 'i't heures il deux
courte durée, de 'i't heures il deux jours. II existe également des fièvres atypiques irrégulières. On peut encore distingu
t des fièvres atypiques irrégulières. On peut encore distinguer les fièvres d'après leur élévation de température : fièvres
core distinguer les fièvres d'après leur élévation de température : fièvres légères a 58 et quelques degrés; lièvres modéré
" la (ü'vre cst clitc lmlmrlln'rmiclac. Phénomènes satellites de la fièvre . La fièvre s'accompagne d'un certain nombre de
cst clitc lmlmrlln'rmiclac. Phénomènes satellites de la fièvre. La fièvre s'accompagne d'un certain nombre de phénomènes
t cardiaque. Dans la méningite, dans les lésions bulbaires, dans la fièvre typhoïde on peut observer cette fièvre dissociée
s lésions bulbaires, dans la fièvre typhoïde on peut observer cette fièvre dissociée ; dans la méningite, c'est une action
astriques qui permet d'expliquer cet état stationnaire du pouls. La fièvre s'accompagne de troubles circulatoires, de dicr
s autres organes, sur l'appareil digestif. Enfin, l'évolution de la fièvre est souvent modifiée par l'appari- tion des sue
t la défervescence, d'où le nom de sueurs critiques. Causes de la fièvre . Nous éliminerons ici les causes microbiennes p
exclusivement, au rôle du système nerveux dans la production de la fièvre ; nous envisagerons ce rôle du système nerveux t
dans lesquelles on peut rencontrer l'hyperthermie. Tout d'abord, la fièvre peut cire produite par l'intervention du système
ther- nlolpticlnes ait pour résultat la production de la lièvre. Fièvre dans les maladies nerveuses. - L'élévation de la
une complication infectieuse de ces maladies ner- veuses, telle la fièvre urinaire dans le cas d'infections vésicales, mais
naire dans le cas d'infections vésicales, mais il est des cas où la fièvre est due probablement à une altération ou à une
ystème nerveux. Dans ces maladies organiques du système nerveux, la fièvre peut être due à un état inflammatoire : le type
la fièvre peut être due à un état inflammatoire : le type de cette fièvre est la fièvre de la méningite. Dans les méningi
t être due à un état inflammatoire : le type de cette fièvre est la fièvre de la méningite. Dans les méningites cérébrales
a fièvre de la méningite. Dans les méningites cérébrales aiguës, la fièvre débute par un grand frisson, persiste ensuite j
maladie et persister encore pendant l'agonie et après la mort. La fièvre s'observe dans la méningite tuberculeuse à la pér
température, il y a alors dissociation des deux grands signes de la fièvre : température et pouls, c'est la fièvre dissociée
es deux grands signes de la fièvre : température et pouls, c'est la fièvre dissociée; vers la fin de la maladie, le pouls
açon considérable. Dans la méningite cérébro-spinale épidémique, la fièvre est presque constante, elle atteint rapidement
hute graduelle : courbe thermique n'a rien de caractéristique. La fièvre peut s'observer encore dans d'autres affections o
locale dans un cas de mala- die osseuse de Pagel unilatérale. La fièvre l'ait partie du cortège symptomatique. dans l'éta
ependant un certain nombre d'auteurs pensent qu'il ne s'agit pas de fièvre véritable, mais bien plus souvent de bouffées de
rature ou température normale (Rour- neville), et l'existence de la fièvre au cours de l'épilepsic urémique indique toujou
e générale infantile. [O. CROUZON.] 958 TROUBLES SUDORAUX. - La fièvre hystérique, sur laquelle un grand nombre de mémoi
s signes généraux manquent ou sont peu proportionnés au degré de la fièvre . Il convient de faire à propos de cette fièvre
onnés au degré de la fièvre. Il convient de faire à propos de cette fièvre hystérique les mêmes remarques qu'il propos de to
une infection latente et qu'il faut souvent admettre l'existence de fièvre chez une hysté- rique et non pas une fièvre hys
admettre l'existence de fièvre chez une hysté- rique et non pas une fièvre hystérique. C'est là une opinion généralement a
de lésions du muscle cardiaque : telles sont les tachycardies de la fièvre typhoïde ou du rhumatisme. On sait qu a l'éta
op rapide par exemple, que les accidents aigus éclatent : frissons, fièvre intense, dou- leurs lombaires plus marquées d'u
même que baisse la température. Plus tard, il y a parfois un peu de fièvre . Ici encore les excitations sensorielles (treilla
ital est fortement hypertrophié, rarement dans la syphilis, dans la fièvre typho ! d la grippe, dans l'alcoolisme. - La
gigantisme tout relatif. A t'age ingrat (Brissaud), à la suite d'une fièvre typhoïde parfois, on voit croître et se dévelop
ptômes toxi-infectieux. Ils se réduisent à l'amaigrissement et à la fièvre . L'amaigrissement est tardif, toujours plus marqu
igmentation de la peau ne commencèrent qu'au bout de deux ans. La fièvre est rarement intense, et l'on compte les cas où e
c le délire vespéral, une céphalée prolongée et assez violente, une fièvre irrégulière et peu élevée, une accélération du po
, les sutures se distendent, les fontanelles bombent et battent. La fièvre est minime ou fugace, l'état général médiocre; l'
. " Étant données les circonstances étiologiques, l'intensité de la fièvre , la gravité des accidents, on ne manque pas de
es est beaucoup moins dramatique que dans la forme précédente, : la fièvre ne dépasse pas 58 degrés ou 58",5; le pouls s'acc
dans la méningite cérébro-spinale épidémique. L'insignifiance de la fièvre est moins propre que l'examen du fond de l'oeil à
à la forte kératinisation de ses cellules superficielles. Dans les fièvres paludéennes la résistance se montre augmentée jus
ocarpine; c'est le cas aussi pour la quinine, surtout quand dans la fièvre elle abaisse la tempé- rature (Silva et Pescaro
aud, 15G4 ? amyéli- niques. Coloration de Ramon y Cajal. I Ui9. Fièvre et symptômes satellites, 954. Causes, 93 : i. -
. I Ui9. Fièvre et symptômes satellites, 954. Causes, 93 : i. - Fièvre dans les mala- dies nerveuses, 955, ! IaG.-Irsl
26 (1898) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1897
le z1 mai, est sorti guéri le 21 juin.; - Signalons enfin un cas de fièvre Igphoïde chez l'en- fantPic;h ? suivi de guéris
oncho-pneumonie, 20 pour accès d'épilepsic, 1 pour coxalgie, 1 pour fièvre typhoïde, 1 pour chorée, 12 pour engelures, 3 p
s. [Son père, cou- vreur en chaume, serait mort, h 3't ans, d'une « fièvre chaude » ; cela parait avoir été une fièvre typ
ort, h 3't ans, d'une « fièvre chaude » ; cela parait avoir été une fièvre typhoïde car il en serait mort « 80 dans le pay
7 ans ; habituellement très-bien portant, il n'a jamais eu que les fièvres intermittentes, contractées au Sénégal. Il les
ituellement très Antécédents PERSONNELS. 43 bien portante. Pas de fièvre typhoïde, ni migraines, ni con- vulsions, ni sy
s quelques jours l'enfant tousse et n'a point d'appétit : un peu de fièvre . A l'auscultation, on constate les signes d'une
le père des excès de boisson, des attaques de nerfs, des accès de fièvre intermittente, qui existaient lorsque l'enfant
épublicain, n'a eu ni convulsions dans l'enfance, ni rhumatisme, ni fièvre typhoïde, ni syphilis. Aurait eu un eczéma vers
embre, elle cessa de manger, mais paraissait très altérée. - Pas de fièvre . L'auscultation, rendue très difficile par suit
eu de lait à la cuillère. Parfois, elle se plaignait et avait de la fièvre . Elle avait maigri progressivement beaucoup. A
Mère, 41 ans, ménagère, d'un caractère calme : pas de convulsions; fièvre typhoïde en 1870. Fréquentes migraines, surtout
ent, contractures variables, etc. XI. Épilepsie consécutive à une fièvre typhoïde ; PAR nOU1\NE\'H,I,E et DA1\\I1¡L. S
alité d'âge de ans. Marche à un an. - Parole et propreté à 2 ans. - Fièvre typhoïde à 3 ans. Convulsions deux mois après.
, pale- frenier, bien portant; pas de convulsions dans l'enfance; fièvre typhoïde à 38 ans ; caractère vif et emporté. II
e l'enfance ( ? ), ni de migraines; elle est morte iL 36 ans, de la fièvre typhoïde. Le mari et la femme furent atteints pre
eux; 3° fille, 14 ans, pas nerveuse ; 4" garçon mort à 9 ans, de la fièvre typhoïde; 5° fille morte à 2 mois, de la fièvre
mort à 9 ans, de la fièvre typhoïde; 5° fille morte à 2 mois, de la fièvre typhoïde; - 6° notre malade. Aucun des frères e
t et marchait seul à deux ans. Il était âgé de trois ans lorsque la fièvre typhoïde sévit dans sa famille, emportant sa mè
ortant sa mère, un de ses frères et une de ses soeurs. Chez lui, la fièvre typhoïde dura six semaines; il aurait été grave
res accidents nerveux qu'il a pu présen- ter. Deux mois après cette fièvre typhoïde, qui l'avait laissé très faible, il fu
parait avoir, dans ce cas, pour origine une maladie infectieuse, la fièvre typhoïde qui a sévi à l'état épidémiquo dans la
ervation aurait pu se résumer ainsi : enfant normal jusqu'à 3 ans ; fièvre typhoïde avec accidents cérébraux, d'oit scléro
27 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
lements survenant à la fin de la grossesse devaient faire redouter la fièvre puerpérale! Que dire des bâillements chez les apo
ns les dragons) à l'âge de 26 ans. Il avait, au service, contracté la fièvre typhoïde; pas d'autres maladies à signaler. Une f
aissa couler beaucoup de sang. Les jours suivants, il survint unpeude fièvre , et sous la plaie un abcès se forma qui s'ouvrit
nément. C'est huit jours après l'accident en question, alors que fa fièvre avait cessé complètement, que la suppuration avai
ons électriques ; la paralysie s'est développée progressivement, sans fièvre , et non brusquement pendant le cours d'un état fé
rhumatisme articulaire avec gonflement, rougeur des articulations et fièvre ? La mère. — Oui, monsieur, il y a quatre mois
ette époque une lacune de deux ou trois jours. — Il y aurait eu de la fièvre pendant ces jours-là et quelques-uns de ceux qui
le lendemain matin le genou était rouge, tuméfié, et il y avait de la fièvre . Il'fallut donc garder le lit. Les choses allèren
oses allèrent ainsi pendant trois jours. — Vers le quatrième jour, la fièvre ayant cessé, et la tuméfaction ainsi que la doule
c prédominance à gauche. La parole était déjà assez difficile; pas de fièvre ; souffle vers la pointe du cœur. La seconde visi
ateur et qui rappellent la description des soubresauts de tendons des fièvres graves. Serait-ce donc qu'il s'agit ici de cett
eux, de l'affection articulaire, ou des affections viscérales de la « fièvre rhumatismale » ; il me parait bien que l'opinion
eure. La nuit du 19 au 20 a été fort agitée, il y a eu du délire, une fièvre vive et le lendemain matin lors d'une accalmie, l
n membre inférieur droit fléchir sous lui et tomba sur le parquet. La fièvre dura trois ou quatre jours encore, et c'est alors
le, un vendredi dans la journée, il ressentit des frissons, un peu de fièvre et se coucha. Le lendemain, au réveil, on constat
u membre inférieur gauche dans sa totalité. Le surlendemain matin, la fièvre continuant toujours, bien qu'à un degré modéré, l
inférieur gauche a été pris à son tour. Enfin, le quatrième jour, la fièvre paraît-il était tombée et néanmoins, ce jour-là,
e la poitrine augmentent. Pas de troubles vésicaux d'ailleurs. Pas de fièvre . Toute cette symptomatologie, ainsi que nous l'
edow présentant certaines particularités intéressantes : tremblement, fièvre , paraplégie spéciale dans la maladie de Basedow.
eu près permanente du pouls, la thermophobie, les sueurs profuses, ni fièvre ni fébricule. L'examen des mouvements des globes
dans la maladie de Basedow en dehors de toute complication et que la fièvre entre autres, est simulée dans l'ensemble de tous
39 Le 19 » 38,6 38,6 Le 20 » 38,2 38,6 Le 21 » 38,4 Ainsi, la fièvre existe chez notre malade, sans qu'elle puisse êtr
n de Galien: c calor praeter naturam ». Ouelle est la raison de cette fièvre ? existe-t-il quelque lésion viscérale qui aurait
e 22 mois. Tout a été classique dans ce cas, à part l'existence de la fièvre ; celle-ci s'est montrée maintes fois pendant cett
en soit, nous pouvons dès à présent conclure de ce qui précède que la fièvre , indépendante de toute complication viscérale, pe
er, cependant, que toutes les observations de maladie de Basedow avec fièvre , sans complication viscérale, recueillies pas M.
avant l'époque de la mort terrible de son fils. Il a eu autrefois la fièvre typhoïde et la syphilis ; mais de tout cela il n'
n the Stomach » qu'il s'agissait, tandis qu'en Italie c'était d'une « fièvre pernicieuse algide » etc., etc. Je l'avaisengagé
rs. Le lendemain matin,le médecin qui fut appelé trouva l'enfant sans fièvre , mais dans l'impossibilité absolue de marcher et
ce d'une maladie aiguë qui a profondément débilité l'organisme, d'une fièvre typhoïde par exemple, des suites de couches diffi
s névropathiques. A l'âge de douze ans, il aurait été atteint d'une fièvre typhoïde grave. C'est de cette époque qu'il faut
r l'emploi du bromure, jusqu'à l'âge de vingt ans. Survient alors une fièvre typhoïde d'une extrême gravité. Pendant la conval
ertain état mélancolique qui persista longtemps. Au sortir de cette fièvre typhoïde, les accès convulsifs reparaissent avec
ent et de ces attaques voici la description : C'est au sortir de sa fièvre typhoïde qu'il est tombé dans la grande hystérie;
t notre malade est arrivé à cet état : Vous savez comment, après sa fièvre typhoïde, il est devenu hystérique. Il paraît qu'
, qui fut désignée sous le nom de rougeole, bien qu'il n'y eût pas de fièvre , on remarqua que cet enfant « ne tenait pas sur s
técédents héréditaires qui méritent d'être signalés. Jamais, àpartune fièvre d'Afrique, Cr...t, n'a subi de maladie. Il a serv
organisme déterminé par diverses maladies infectieuses, telles que la fièvre typhoïde, le rhumatisme articulaire aigu, la 1.
l'évolution du tabes sen-silif. Thèse de Paris, 1882. syphilis, les fièvres intermittentes enfin. Vous comprenez qu'il reste
et, dans les antécédents personnels, nous relevons l'existence d'une fièvre typhoïde à l'âge de 14 ans et demi, et à l'âge de
edow présentant certaines particularités intéressantes : tremblement, fièvre , paraplégie spéciale dans la maladie de Basedow.
(Contagion du), 2, 9. — dans la grossesse, 5. — épileptique, 5. — et fièvre puerpérale, 5. — hystérique, 2, 7. — imité, 10. —
Examens des urines, 238. — Exophthalmie, 233, 234, 236, 239, 241. — ( Fièvre dans la), 237, 238. — Formes frustes, 233, 234. —
— Etat de mal, 113, 239. — (Etat mental dans la), 105, 114, 130. — Fièvre , 106, sq. Chorée grave, 103. — Autopsie,128. —
),108.—Etat mental dans la, 111. — et Etat de mal épileptique, 113. — Fièvre dans la, 106, sq. —Hérédité dans la, 111. Intensi
179, 277, 320. Fibrillaires (Secousses) et paralysie faciale, 101. Fièvre . — Dans la chorée, 106 sq. — Dans la maladie de B
dans la chorée grave, 111 ; — dans la fulguration, 448. Puerpérale ( fièvre ). — et bâillement, 5. Pupillaire Inégalité dans
28 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
1. Archives, 2° série, t. XI. 2 CLINIQUE NERVEUSE. Épilepsie et fièvre typhoïde. (Deux épileptiques morts en crises su
e épidémie restée très circonscrite, d'observer l'évolution de la fièvre typhoïde chez quelques épileptiques. Nous relaton
ogues, ont été infructueuses, et les quelques cas de coexistence de fièvre typhoïde et d'épi- lepsie rapportés signalent t
d les accès convulsifs ont fait leur réapparition L'influence de la fièvre intermittente sur les accès épilep- tiques est
affection intercurrente, quelque peu sérieuse et aiguë, pneumonie, fièvre , érysipèle, variole, goutte, rhu- matisme, susp
ÈVRE TYPHOÏDE. 19 sianve nous n'en trouvons qu'une ayant trait à la fièvre ty- phoïde, la voici : « G..., onze ans, pren
ait à la fièvre ty- phoïde, la voici : « G..., onze ans, prend la fièvre typhoïde, et le naorbas sucer, détourné par l'i
ant déterminé une maladie fébrile. L'observation XXXII a trait t la fièvre typhoïde. « L... Marie, vingt ans, entre, en se
n'eut ni accès, ni vertiges. » Legrain, à propos de l'épidémie de fièvre typhoïde à la colonie d'épileptiques de Vauclus
cinq mois, s'exprime ainsi sur les rapports de l'épilepsie et de la fièvre typhoïde : « Les manifestations de l'épilepsie
n cas d'hystérie ayant simulé le syndrome agonique au cours d'une fièvre typhoïde (pouls fréquent, assourdissement des bru
ées. Bron- chite généralisée avec sibilances, et nous songeons à la fièvre typhoïde. Régime lacté, bains froids d'un quart
mmes; P. C. C., portion cordiale avec 0,50 de caféine. ÉPILEPSIE ET FIÈVRE TYPHOÏDE. 23 coeur très voilés : la congestion
té sus- pendu comme on a coutume de le faire dès l'invasion de la fièvre . Tous deux ont résisté à la première attaque. Che
nique : a) folie infectieuse : il folie accompagnant ou suivant les fièvres aiguës spécifiques ; 2° manie puerpérale, proba
'une courte affection initiale, telle que grande crise de diarrhée, fièvre septique, attaque de fièvre mal caractérisée et
le, telle que grande crise de diarrhée, fièvre septique, attaque de fièvre mal caractérisée et attribuée au palu- disme. L
, il est hémiopique. Il n'est pas hémiplé- gique. L'intensité de la fièvre dont il est atteint fait ajourner un examen plu
seignements suivants : Le père est mort à cinquante-trois ans d'une fièvre typhoïde. Depuis l'âge de trente-cinq ans, c'es
eu huit enfants dont quatre sont morts : l'aîné à vingt-deux ans de fièvre typhoïde; le second, une fille, à seize ans, de f
-deux ans de fièvre typhoïde; le second, une fille, à seize ans, de fièvre typhoïde également; le troisième de la variole
rs l'âge de vingt- sept ans, il eut un accès de folie furieuse avec fièvre qui dura trois ou quatre mois. A la suite, il t
auxieuses agressives). Il séjourne à l'hôpital deux ans et meurt de fièvre typhoïde. Autopsie. Sclérose névroglique des lo
des agents toxiques résultant de la combinaison de l'épilepsie à la fièvre typhoïde. P. KFRHAL. XX. A propos d'une disposi
inement le caractère morbide de ses hallucinations antérieures. , Fièvre typhoïde et épilepsie. M. Marie rapporte deux c
es. , Fièvre typhoïde et épilepsie. M. Marie rapporte deux cas de fièvre typhoïde chez des épilepti- ques morts eu état
mal au cours de leur pyréxie. L'autopsie confirma l'existence de la fièvre typhoïde. Chez l'un des malades la myocardite p
pliquer la persistance des accès pendant la période pyrétique de la fièvre . M. Voisin soigne en ce moment des épileptiques
ièvre. M. Voisin soigne en ce moment des épileptiques atteints de fièvre typhoïde chez lesquels le nombre des accès a dimi
un puissant secours pour abaisser la température aussi bien dans la fièvre typhoïde que dans l'état de mal épileptique. ! Il
ment quelques épileptiques du service de ! IL Toulouse atteintes de fièvre typhoïde. Elles ne sont perdues de vue ni jour
u dans leur histoire actuelle des causes favorisant la trépidation ( fièvre typhoïde 3 fois, alcoolisme 1 fois, nervosisme
8° une fille,- dix-huit ans, bien portante. Lui-même aurait eu une fièvre cérébrale (' ? ) à l'âge de onze. ans. Il y a d
ssait de deux enfants, l'un âgé de sept ans, qui après des accès de fièvre intermit- tente eut cinq crises d'akinésie mala
lement semblable : Un raffineur, âgé de vingt-trois ans, atteint de fièvre malarique à dix-huit ans, fut frappé à plusieur
adie c'est la variabilité de son début : dans certains cas c'est la fièvre et l'irritation gas- tro-intestinale qui ouvren
gues, du malaise, le tout aboutissant au tableau de la névrite sans fièvre et sans troubles généraux. Enfin la mala- die p
vrite locale, et simulent quelquefois (sauf la marche thermique) la fièvre typhoïde. Les manifestations cliniques de l'inf
int d'une thyroïdite aiguë qui dura une semaine, et s'accompagna de fièvre , de gonflement du corps thyroïde, etde signes d
la gorge était normal. Il n'y eut pas d'abcès. Le gonflement et la fièvre dis- parurent, laissant le corps thyroïde atrop
trois mois. 30. L'enfant nous arrive de l'Asile clinique avec de la fièvre (38°). Le corps offre un état d'embonpoint norm
plus exagérée que de coutume. La peau est fraîche, il n'y a pas de fièvre , le pouls est régulier, il bat 64 à la minute et
amaigrissement, changement de caractère, porte des désirs sexuels : fièvre légère. Le malade prend l'aspect des sujets por
Dans le troisième cas, une piqûre de tuberculine a déterminé de la fièvre 'mais sans influen- cer en rien les symptômes e
tôt basse. Bientôt parésie, obtusion, tremblement, gâtisme partiel, fièvre et mort en février. A l'autopsie : très petit a
escarres, enfin attaques épileptiformes très fréquentes. A la fin, fièvre suivie d hypothermie, inconscience absolue, mor
il y a de bonne heure des spasmes musculaires, de la douleur, de la fièvre , et d'autres symptômes généraux bien accusés, o
ial et de l'hypoglosse (langue déviée à à droite), à la suite d'une fièvre puerpérale. Grâce au traitement mercuriel énerg
sions traumatiques de l'- médullaire, par Jlmor, 79. Epilepsie et fièvre typhoïde, par A. Marie et Buvat, 18; par A. .
29 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'enfant a gagné 4°.] Observation II. IDIOTIE MYXOEDÉMATEUSE Père, fièvres intermittentes. Grand-père paternel, apoplectique
lies par M. Magnan. G. DENY, RAVI. SUR LES DÉLIRES du début DE la FIÈVRE typhoïde ; par ASCHU- FENBURG, {Allg. Zeitschr.
ue les psychoses sont rares au cours ou dans la convalescence de la fièvre typhoïde. Bail est du même avis. On doit àBetke
Betke une bonne statistique sur les rapports des psychoses et de la fièvre typhoïde. Sur 1420 cas de dothiénenterie observés
ux. Il y a donc eu des troubles psychiques dans le quart des cas de fièvre typhoïde. Baumler, sur 73 typhiques, a observé
1874) a étudié la date d'apparition des troubles psychiques dans la fièvre typhoïde ; Kraepelin a séparé les états déliran
aine, mal assurée, la parole embarrassée, la physionomie stupide. Fièvre . Dans les 17 cas connus, le délire a débuté dans
Anatomie pathologique et pathogénie. Thuet explique le délire de la fièvre typhoïde par l'intervention de facteurs multiples
considérait déjà les manifesta- tions nerveuse et cérébrales de la fièvre typhoïde comme dues à une intoxication. llluuds
ement à une action chimique sur la cellule nerveuse et pense que la fièvre , à elle seule, agit rarement comme facteur uniq
attribue le délire initial des typhiques au poison spécifique de la fièvre typhoïde et décrit ce délire parmi les psychose
disposition individuelle, le degré, la durée et la continuité de la fièvre et surtout l'hyperthermie. Il accorde cependant,
émise par Brieger et Wassermann, par Sirotiuiu, qui considèrent la fièvre typhoïde comme une intoxication plutôt que comm
uses ressemblances avec les psychoses observées dans la variole, la fièvre intermittente, la fièvre jaune, la rage, et qui
es psychoses observées dans la variole, la fièvre intermittente, la fièvre jaune, la rage, et qui doivent dans bien des ca
ptômes de l'infection générale de l'or- ganisme. L'apparition de la fièvre est un signe important, mais elle peut se produ
'il avait affaire à un dément, le capitaine X... qui, à la suite de fièvres pernicieuses contractées aux colonies, est suje
l s'agit d'un officier de trente-quatre ans qui, aussitôt après une fièvre paludéenne très grave, devint neuras- thénique,
nts. A la fin du mois de juin, le malade a commencé à avoir de la fièvre ; il toussotait; un point de côté s'est montré. On
des bacilles de la tubercu- 324 i ANATOMIE PATHOLOGIQUE. lose. La fièvre est devenue plus intense, la température montait
t restait station- naire, quand le malade en question avait déjà la fièvre régulière- ment tous les soirs, on a noté que l
NTE DES TROUBLES PSYCHIQUES CHEZ DEUX MANIAQUES ATTEINTES, L'UNE DE FIÈVRE TYPHOÏDE, L'AUTRE DE SUPPURATION ABONDANTE; P
de la face, pneumonie, tuberculose pulmonaire, anthrax, phlegmon, fièvre typhoïde, variole, adénite (avec suppuration cons
te durée. Deux malades seule- ment atteintes simultanément l'une de fièvre thyphoïde grave, l'autre d'adénite avec suppura
ent considérable 332 RECUEIL DE FAITS. des régions parotidiennes, fièvre intense; une vaste collection puru- lente se fo
333 convenablement avec nous : syllogisme et mémoire intacts. La fièvre typhoïde évolue avec des symptômes graves adynami
sivement. En résumé : manie aiguë très violente datant d'un mois. Fièvre typhoïde à forme adynamique grave. Pendant la pér
contiennent ni sang, ni excès de mucus; ordinairement il n'y a ni fièvre , ni symptômes généraux graves. La guérison est fr
rois mois. La perforation avec péritonite consécutive est rare : la fièvre manque souvent; quand elle existe, elle est mo-
s sont d'accord pour admettre que, en dehors de certaines maladies ( fièvre typhoïde, tuberculose), les altérations anatomi
à la suite d'efforts prolongés; intégrité de la mofilité. Causes : fièvre typhoïde, syphilis, refroidissement. Amélioration
dre pression, du côté droit. En mars, cet état . subsistant, légère fièvre , marasme, mort. On constate à l'autopsie : de l
Il montre des délirants ainsi traînés en prison préventive avec une fièvre typhoïde ou une pneumonie non diagnostiquées, b
grand' 'tante paternelle démente. - Mère, convulsions de l'enfance, fièvre cérébrale a quatorze ans accompagnée de canitie
fance, il n'a eu ni manifestations scrofuleuses, ni convulsions, ni fièvres infectieuses, ni syphilis, ni migraines, ni mal
d'une tumeur blanche du genou ; à quatorze ans, elle avait eu une fièvre cérébrale grave, durant laquelle une grande parti
e. aurait eu des convul- sions, mais on ne sait si c'est pendant sa fièvre ou dans l'enfance. Pas d'attaques de nerfs ni d
a phalange, aurait ensuite gagné la pha- langine et la phalangette. Fièvre vive, céphalalgie, insomnie. Absence complète d
sique. B... s'aperçoit par hasard d'un gonflement du médius gauche. Fièvre vive, insomnie; ni céphalalgie, ni douleur au n
ure de l'avant-bras droit, à 3 ou 4 centimètres du pli du coude. La fièvre aurait été assez vive; l'incision transversale
alysies hystériques des pupilles, du moteur oculaire externe, de la fièvre hystérique, de la paralysie d'une corde vocale,
possible par la névrose surajoutée. biéningisme dans le cours d'une fièvre typhoïde. Il s'agit d'une fièvre typhoïde à mar
biéningisme dans le cours d'une fièvre typhoïde. Il s'agit d'une fièvre typhoïde à marche absolument anormale qui donna l
ingite et l'autopsie seule démontra que l'on avait eu affaire à une fièvre typhoïde anormale. Délire transitoire dans la p
isholt, 37J. Mémoire. Fausse -, par Arnaud, 295. au cours d'une fièvre typhoïde, par Grasset, 494. Méningite. Trépan
cès, par Dana et Con- way, 76. Tipiioïuc. Délire au début de la fièvre -, par Aschaflenburg, 149. Ulnaire. Symptôme -
30 (1885) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 188
s, vomissements très abondants pendant troisjours, accom- pagnés de fièvre et d'un peu de délire; le médecin aurait dit que
re et d'un peu de délire; le médecin aurait dit que « ça sentait la fièvre typhoïde et la congestion cérébrale» ; durée :
son intelligence était normale. A cette époque, dans le cours d'une fièvre typhoïde ( ? ), il fut atteint d'accidents cérébr
cales non abcédées, conjonctivite légère, pas d'otite, etc., pas de fièvres éruptives. Jusqu'en décembre 1879, 111u1... ne
idiopathique. - Accès de colère de la première en- fance h 18S l. - Fièvre cérébrale et convulsions ti 7 ans (1876). - Pre
il est moins intelligent que notre ma- lade ; 3° garçon, mort d'une fièvre cérébrale avec convulsions con- sécutives à une
, gentille, très nerveuse; a eu des convulsions dans le cours d'une fièvre typhoïde à sept ans. - D'un amant, deux enfants
les accès. On croit qu'il se livre à l'onanisme. Rougeole à 3 ans, fièvre cérébrale à 7 ans, attribuée à un coup de solei
gent ». Il a eu la rougeole à quinze mois, mais n'a eu aucune autre fièvre éruptive, ni diphtérie, etc. A trois ans et dem
connaissance qu'au bout de vingt- quatre heures; il aurait eu de la fièvre (glace, éther, sinapismesj; il ne se leva que v
ervation XXXI. - Epilepsie idiopathique. - Père alcoolique ( ? ). - Fièvre intermittente (trois ans.) - Premier accès à sept
parfois tous les cas étaient mixtes avec pharyngite et catarrhes ; fièvre d'invasion plus longue que celle de la scarlati
décrivent comme une espèce nosolobiqne parfaitement distincte de la fièvre éruptive dont je veux vous dire quelques mots.
l et bronchique, phénomène oblige de la période prodromique de la fièvre morbilleuso. Jamais, en effet, vous ne verrez, da
és au point de se rapprocher il quelques égards de l'une ou l'autre fièvre éruptive... Un grand point pratique c'est de pr
ici la maladie avait revêtu son caractère le plus bénin : pas de fièvre , pas de prodromes, pas d'inappétence, pas d'abatt
couvris point sur les autres régions du corps. L'enfant était sans fièvre ; il avait bien dormi la nuit précédente et demand
s ce frisson n'aurait eu d'influence sur la force et la durée de la fièvre et de l'éruption. DfAONOS'1'IC. Il est facile
ique avec la rougeole ; mais, lorsque la roséole est accompagnée de fièvre et de catarrhes naso- pharyngien et oculaire, l
e trois mois après. Pendant la durée du traitement, il n'eut pas de fièvre et les accès d'épilepsie revinrent comme d'habi
ance; ni migraines, ni syncopes; pas de dermatoses. Elle a eu une fièvre typhoïde à 18 ans. [Père, mort de fièvre typhoïde
dermatoses. Elle a eu une fièvre typhoïde à 18 ans. [Père, mort de fièvre typhoïde à 45 ans, à l'époque où elle-même étai
il a commencé à devenir tout à fait propre. Une fois rétabli de ses fièvres éruptives, on l'envoya à l'é- cole ; il s'y mon
eurs. A la même époque, on a observé de temps en temps des accès de fièvre de croissance; il restait huit jours sans mange
31 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
mière enfance de divers accidents strumeux sans gravité. Il a eu la fièvre typhoïde à l'âge de quatorze ans et demi. Vers
ne observation analogue aux noires où l'influence étiologique de la fièvre typhoïde est incriminée '. Il s'agissait d'un ta-
gissait d'un ta- pissier âgé de vingt et un ans, convalescent d'une fièvre typhoïde qui seplainait surtout de douleurs aux
attaque de rhumatisme. - Celte femme attribue son état actuel à la fièvre scarlatine, bien qu'elle reconnaisse qu'elle avai
porté. Le troisième est une fille de 30 ans. A 10 ans elle eut une fièvre typhoïde, quitta sa famille à 20 ans pour vivre a
, morte à,") o ans; pendant la convalescence d'une scarlatine, de « fièvre cérébrale ». Antécédents personnels. - Pendant
aractère. A 7 ans il y a une série d'accès qui font croire il une « fièvre cérébrale ». Après avoir été fouetté publiqueme
le délire, il déraisonne complètement, ne reconnaît personne, a une fièvre intense, refuse de prendre la nourriture qu'on
la visite, il est assis plus franchement sur son séant. Là, pas de fièvre , ni d'épuisement général. L'affection est toute
u en 1879 et 1884. Mère épileptique. Coléreuse pendant son enfance; fièvre typhoïde a 14 ans. A 12 ans, début des attaques
uë avec délire, durée 5 mois, de nature indéterminée. A treize ans, fièvre typhoïde avec délire. Bien portant ullérieureme
frère bien portants. Antécédents personnels. - Rougeole à sept ans; fièvre typhoïde il seize ans qui dura trois mois. Ré
ystérie remonte à l'âge de seize ans pendant la convalescence de la fièvre typhoïde : sensation de boule sans attaques. De
avec spasme glosso-labié : durée, trois jours. Depuis la fin de la fièvre typhoïde qu'elle avait eue à l'âge de seize ans,
velle- Calédonie. Au Sénégal, à l'âge de dix-neuf ans, aurait eu la fièvre jaune ? Jamais de fièvre intermittente. Il aura
gal, à l'âge de dix-neuf ans, aurait eu la fièvre jaune ? Jamais de fièvre intermittente. Il aurait eu deux petites atteinte
son mari et ses trois enfants. Un frère très nerveux, qui a eu les fièvres au Sénégal, et aurait des attaques d'épilcpsic de
ois semaines ; une petite fille un peu nerveuse. Pas de sy- philis. Fièvre typhoïde à onze ans. Réformé du service militaire
tement indolent. L'état général était parfait ; il n'y avait pas de fièvre ; la température relevée à plusieurs reprises pend
n de l'intérêt pratique qu'ils comportent. Sans doute, l'absence de fièvre , l'état général du malade sont en ces circonstanc
ésiter le diagnostic. Femme de trente-trois ans, père mélancolique. Fièvre typhoïde il dix ans, à la suite de laquelle cho
CRÉTIONS. 303 sur la courbe thermométrique de la pneumonie ou de la fièvre typhoïde, par exemple. Résumant nos recherche
TRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA NUTRITION dans l'état normal ET dans la FIÈVRE du goitre exophtalmique Au cours de nos recherc
t à 'tenir compte des investigations de M. Bertoye, faites sur « la fièvre du goitre exophtalmique », sous la direction de M
et que nous possédions actuel- lement. Le premier caractère de la fièvre , dit-il, serait son instabilité. « Le second es
chorée chronique. Th. Paris, 1889, p. 174. 3. Étude clinique sur la fièvre du goitre exophtalmique et, comparativement, sur
t, y trouver une caractéristique diagnostique importante entre «.la fièvre nerveuse » du goitre et les accidents fébriles in
nts anormaux. D'après ces caractères, il s'agissait donc bien d'une fièvre d'origine ou d'essence au moins particulière, p
oir de semblables recher- ches transportées dans le domaine de la « fièvre hystérique ». A notre connaissance, aucun des a
. Pas d'hérédité nerveuse. A. P. Rougeole et scarlatine en bas âge. Fièvre typhoïde vers G à 7 ans. A l'âge de 15 ans, ecz
tributions àl'étude de la nutrition dans l'état normal et dans la fièvre du -), par Gilles de la Tourette et Cathelineau
32 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
en portants. A. P. A marché il 9 mois : pas de maladies d'enfance ; fièvre typhoïde à 10 ans ; pas d'alcoolisme. En septem
d'affections inconnues de lui. Une soeur est morte il '18 aus de la fièvre typhoïde. Il reste une soeur de 56 ans et un fr
s patholo- giques de l'aphasie avec d'autres affections : syphilis, fièvres éruptives, lé- sions du larynx, traumatismes po
dans les urines. In- continence des urines et des matières fécales. Fièvre légère : 38°5. Diagnostic : myélite syphilitiqu
symptômes essentiels s'en joignent souvent d'au- tres, tels que la fièvre , l'adynamie, les convulsions, le délire, etc., et
il vient se joindre aux douleurs de tête de la somno- .lence, de la fièvre et des vomissements (1). Les vomissements, quoi
ons dont nous faisons le parallèle aient une analogie de plus. La fièvre mérite une attention toute spéciale. Dans la méni
nulle ou à peu près. On a beaucoup discuté sur l'exis- tence de la fièvre dans l'hystérie : affirmée d'abord par Briquet, e
es hystériques deux tracés ther- mographiques semblables. Par là la fièvre hystérique se rapprocherait jus- qu'à un certai
fièvre hystérique se rapprocherait jus- qu'à un certain point de la fièvre des débuts de la méningite. Mais toutes ces con
) BAI\IÉ, id., 1886. 110 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. fièvre hystérique essentielle rapportés par MM. Debove e
ié, on peut ajouter les cas beaucoup plus nombreux dans lesquels la fièvre hystérique s'accompagnerait plus spécialement d
dans notre thèse. M. le professeur Pitres, tout en admettant que la fièvre est possible dans la' pseudo-méningite hystériq
est possible dans la' pseudo-méningite hystérique, considère cette fièvre comme une grande exception ; le pouls, dit-il,
trouvé irrégulier comme dans la méningite vraie (5). Le pouls et la fièvre conservent donc malgré tout une importance séméio
ans la Loire médicale, no 3, 1886. Pseudo-méningite hystérique avec fièvre , simulant une méningite tuberculeuse. L'auteur
manuels et où elle paraît fort s'ennuyer. Antécédents personnels. Fièvre typhoïde il l'âge de 6 ans : depuis cette (1) A
ne céphalée vague et dif- fuse, sans localisation précise. Pas de fièvre . Pouls = 10'(-, égal et régulier. Langue un peu s
ier, puis l'absence de photophobie véritable, de vomissements et de fièvre . MALADIES ORGANIQUES DE L'ENCÉPHALE CHEZ LES EN
rsonnels . Nous relevons, à 14 ans, une entérite rebelle. A 25 ans, fièvre intermittente qui dura 13 mois. A 26 ans, B.....
ette même année, il part pour la Martinique où, dès son arrivée, la fièvre jaune le cloue pendant trois mois sur un lit d'hô
nche augmenta sans que le malade éprou- veut de la douleur ou de la fièvre . De retour chez lui, le lendemain, il avait un
iguant. Aus- sitôt son arrivée dans cette ville, elle ressent, sans fièvre , des douleurs intenses au niveau de la nuque, l
t 1 soeur du même lit. Les deux frères sont morls de maladie aiguë ( fièvre typhoïde ? ), sa soeur vit encore ; elle est mari
rs après, la malade rentrait chez elle, sans avoir eu un instant de fièvre . Elle se souvient qu'on lui mettait le thermomètr
bués à la médication spécifi- que uniquement. Jamais elle n'a eu de fièvre . 15 avril. Amélioration considérable. La nuque
de la région épigastrique. La maladie a évolué depuis le début sans fièvre : la température a été prise régulièrement mati
n frère s'est tué en se précipitant par la fenêtre dans un accès de fièvre chaude. Il n'y a dans la fa- mille ni nerveux (
t à de grandes colères. Soldat pendant 4 années, il a contracté les fièvres intermittentes en Tunisie, mais il a eu seuleme
s intermittentes en Tunisie, mais il a eu seulement 2 ou 3 accès de fièvre fort légère et de courte durée (Il y a de cela
ujours eu une bonne santé jusqu'ici. Pas de maladies graves, pas de fièvres éruptives dans l'enfance, autant qu'il s'en souvi
lade. Lui- même, toujours vigoureux et bien portant n'a fait qu'une fièvre typhoïde légère dans son adolescence. Il a été
ns son adolescence. Il a été soldat en Afrique, mais n'a jamais eu de fièvres intermittentes. En 1883 il contracta sur la v
nférieur droit; la sensibilité est conservée du côté gauche. Pas do fièvre . La vessie est distendue ; le malade n'a pas urin
ation. La maladie, jusqu'alors apyrétique, s'accompagne alors d'une fièvre septique, à laquelle se joignent parfois des ac
33 (1901) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1900
me pavillon pour une épidémie do rougeole. Une fillette atteinte de fièvre typhoïde a été soignée à la Fondation. . Mala
enfants atteints d'irritabilité nerveuse, survenue à la suite de fièvres graves, d'accidents méningitiques, de céphalées
és tous les deux avec succès. l'as de varioloïde, de scarlatine, de fièvre muqueuse, d'an- gine grave, de vers, d'onanisme
lui aussi par moments; très violent. Il a eu, a la Martinique, la fièvre jaune et la dysenterie. Mère : 66 ans, corsetiè
de peau. Réglée à 11 ans 1/2, régulièrement, jusqu'à ce jour, ni fièvre typhoïde, ni fièvre intermittente. [Sa famille.
11 ans 1/2, régulièrement, jusqu'à ce jour, ni fièvre typhoïde, ni fièvre intermittente. [Sa famille. Père : mort à 61 an
pas eu de convulsions. Elle n'a eu ni scarlatine, ni oreillons, ni fièvre typhoïde, ni coqueluche, ni diphtérie, ni faux cr
et cousine, débilité mentale. Mère, convulsions, crises de nerfs, fièvre typhoïde grave. Grand-père maternel, dia- bète.
héréditaires. 59 sions ; il se plaignait souvent de céphalalgies ; fièvre typhoïde à 35 ans ; pas de syphilis. Ethylique,
nue grande comme je suis aujourd'hui ». (Elle est de bonne taille). Fièvre typhoïde grave à 19 ans avec délire et inconsci
re typhoïde grave à 19 ans avec délire et inconscience ; pendant sa fièvre typhoïde les crises nerveuses auraient cessé. E
Broncho-pneumonie à 7 mois ; diarrhée infantile à 13 mois. - Pas de fièvres érup- tives. Impétigo du cuir chevelu. Vertiges
sions de l'enfance, puis crises de nerfs, suspendues au cours d'une fièvre typhoïde ; grand'mère maternelle sujette à des
longtemps à l'hôpital. - Ni rougeole, ni variole, ni scarlatine, ni fièvre typhoïde, ni oreillons. Il a été vacciné avec s
trois mois. 30. L'enfant nous arrive de l'Asile clinique avec de la fièvre (38°). Le corps offre un élat d'embonpoint norm
56 Antécédents personnels. nies (Ile de Bourbon), n'a jamais eu les fièvres ; s'est marié à 30 ans. Il a le nez aquilin et
ine (Savoie), mariée à 32 ans, ménagère, pas de convulsions, pas de fièvre typhoïde, pas de rhumatismes, pas de dartres, p
psie : crâne ET cerveau. 161 t899. /lonf-Septembre. Mol... a eu une fièvre typhoïde qui n'a point offert de particularité
ns à reproduire le tableau de la température rec- tale durant cette fièvre . 162 IDIOTIE myxoedémateuse. La dure-mère est
ifiée à l'autopsie, les masses pseudo-lipomateuses, etc. III. Une fièvre typhoïde en voie d'incubation s'étant déclarée
ul jour 39° et n'a jamais dépassé ce point maximum. Pen- dant une fièvre typhoïde, dont l'enfant a été atteinte, dès qui
34 (1905) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1904
nfant Vivin... qui a succombé à de la lironeho-pnemonie. Trois cas de fièvre typhoïde (dont celui du garçon d'amphithéâtre) on
1 pour ophtalmie; — 2 pour luxations; — 2 pour hémop-tysie; — 1 pour fièvre typhoïde; — 3 pour érup-tions diverses; ?— 3 pour
aladies intercurentes. — Une enfant a été soignée à l'Infirmerie pour fièvre typhoïde; 15 pour bron-chites; 10 pour engelures;
te de la famille, pas d'épileptiques, etc. Mèiie, 39 ans (en 1895), fièvre typhoïde à 12 ans ; aucun accident nerveux, Sa
n'est pas sous le coup d'une maladie intercurrente, par exemple d'une fièvre érup-tive. Elle nous permet aussi d'avoir des élé
Observation I. Sommaire. — Père : excès de boisson (absinthe, vin). Fièvres intermitentes en Afrique. Grand-père paternel : n
55 ans ; tourneur sur bois. Pasde convulsions dans l'enfance, pas de fièvre typhoïde, pas de rhumatisme, pas de dartres; rien
en préciser le quantité ; n'en boit plus depuis son retour. A eu les fièvres paludéennes en Afrique ; n'en a pas eu d'accès de
Mère, 44 ans, ménagère, est de la Hesse. Pas de convul-sions, pas de fièvre typhoïde, pas de chorée; rhumatisme dans les ge
qu'il est devenu, s'il est mort ou vivant; pas de convulsions, pas de fièvre typhoïde, nul indice de maladies vénériennes. Ne
ans; mariée à 18 ans. Marchande de fleurs. Réglée à l'âge de 12 ans. Fièvre typhoïde à 12 ans, bénigne, pas de délire, ni de
jour à Berck. Au moment où la vue s'affaiblissait, il aurait eu de la fièvre et du délire mais pas de vomissements, pas de gri
ans. V. La méningite chronique semble avoir débuté vers 11-12 ans : fièvre , délire passagers; affaiblisse-ment de la vue qui
a base (B.). III. De la température durant le stade initial de la fièvre typhoïde ; iar liOUKNEVlLLIi. Ainsi que le
s, entre autres MM. BrouardeletThoinot, dans leur mono-graphie sur la fièvre typhoïde (1), on a bien rarement l'occasion d'obs
, elle oscilla entre 37°,6 et 37°,8 {Fig. 18). C'était le début de la fièvre typhoïde qui ve-nait de se déclarer. Le 6, de 38°
quinine et des bains froids (cinq quotidiennement à 25°). À part la fièvre , qui a été très prononcée, la maladie a été relat
équin. Gâtisme. 1901. Erysypèle : Vomissenvnts et diarrhée. 1902. Fièvre élevée, diarrhée, signes de tuberculose pulmo-nai
— Père, 38 ans, cocher de fiacre n'a eu ni convulsions ni chorée, ni fièvre typhoïde, ni rhuma-tismes, ni syphilis, soldat pe
mille. Mère, 31 ans, ménagère, n'a eu ni convulsions, ni chorée, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni migraines mais a un
onduit à l'hô- pital une personne atteinte d'une pneumonie ou d'une fièvre typhoïde, on aurait évité les graves accidents qu
........... 90 III. De la température dans le stade initial de la fièvre typhoïde, par Bourneville____ 116 IV. Epilepsie
35 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
à l'asile d'Armentières le 13 décembre 1901. Sa mère est morte de « fièvre cérébrale ». Lui même est alcoo- lique, il a eu
foyers d'encépha- lite suppurée. En présence de la céphalée, de la fièvre , de la som- nolence, etc., on racle l'os au niv
ement ne sont, ni les tuberculeux fébriles, ni les tuberculeux sans fièvre , mais les tuberculeux subfébriles. La tuberculo
écrite, laquelle était : Luxation de l'épaule ; complications de la fièvre typhoïde. Questions restées dans l'urne : Sympt
t cérébral et l'on a tout lieu de croire que c'est dans un accès de fièvre chaude qu'il s'est tué .» D'où la nécessité de
a perdu un garçon de seize ans, qui s'est suicidé à la suite d'une fièvre typhoïde. Ce malheur l'attrista au point d'inqu
lade a été bien portante pendant son enfance. Elle n'a jamais eu de fièvres graves ni de convulsions. Seulement à .l'âge de
es ni de convulsions. Seulement à .l'âge de vingt ans, elle fit une fièvre typhoïde. En outre, elle avait un caractère biz
e eut ses règles pour la première fois. A cette époque elle fit une fièvre typhoïde grave, qui dura huit mois, à la suite
ses presque chaque semaine. Toujours à cet âge elle fit une seconde fièvre typhoïde plus forte que la première : à la suit
édité chargée, et de l'autre par des maladies fébriles surtout la fièvre typhoïde qui viennent renforcer cet état dégénéra
III. 1\. l.lt. 1900.) Il s'agit d'une adulte en convalescence d'une fièvre typhoïde. Elle est incapable de désigner verbal
rie, sans forces ; la langue est sèche, la soif est ardente; pas de fièvre . Ni sucre, ni albumine dans les urines. Le ma
'un cancer, s'enivrait. La malade a eu à l'âge de dix- neuf ans une fièvre typhoïde. Mariée, elle a eu trois enfants, dont
Père, mort à soixante-dix ans, traumatisme crânien. Mère, morte de fièvre typhoïde, cinq ans après la naissance du malade.
et son frère se portent bien, mais sont plutôt nerveux. Sauf une fièvre typhoïde légère dont je l'ai soignée il y a huit
nt négatif' En novembre 1896, elle est prise deux ou trois jours de fièvre assez vive, d'une douleur très violente de tout
orsque, un mois après, elle se plaint de point de côté à gauche, la fièvre se rallume et je constate un gros épanchement d
olent point de côté à droite, avec de la dyspnée, de la toux, de la fièvre . Un médecin consulté ordonne un vésicatoire. Ap
a malade va mieux. En septembre le point de côté revient avec de la fièvre . On fait une ponction exploratrice qui retire d
le mode' de distribution des eaux par l'apparition de trois cas de fièvre ty- phoïde, et j'ai paré au plus pressé en supp
rraine ? De plus, l'asile reçoit de l'eau de la ville, contaminée .( Fièvres typhoïdes fréquentes à Auxerre). 312 BIBLIOGRAP
lade. « Cette maladie, qui étoit toujours accompagnée de grande : fièvres , me dura une année toute entière et me mit à l'ex
'il y a de certain c'est que pendant ce tems-là j'étois accablée de fièvres , de vomissemens et de coliques très violentes.
, « je tombai, dit-elle, dans un de mes grands accidens, ayant la fièvre continue, accompagnée de rêveries, de vomissemens
est atteinte d'une maladie qui se manifeste par de grands accès de fièvre , et dure une année entière ; 0 ' Vies, IL 364
us dorsal, l'inappétence absolue, les nausées, les vomissements, la fièvre , les rêvasseries des paro- xysmes. A ces symptô
n ans) : « elle n'a pas de santé, ou du moins très peu... Elle a la fièvre double-tierce dès les 4 heures après-midi du cinq
torze ans), d'une violente oppression de poitrine accompagnée d'une fièvre continue, avec de fréquens redoublemens. Elle f
A..., cinquante-sept ans, a eu de 1873 à 1881 de nombreux accès de fièvre palustre contractés au Mexique, au Congo, à Pan
disparu au bout de très peu de jours. Peu après la cessation de la fièvre (février 1902), la malade res- sent de chaque c
ie. Il faut noter l'association à l'angoisse de la tachycardie sans fièvre , trouble bulbaire, et la mort rapide avec dyspnée
rés héréditaires ; tous deux ont eu de l'épilepsie à la suite d'une fièvre typhoïde. Des impul- sions violentes ont compli
ie dans ce cas était presque identique à celui du cas précédent. La fièvre ne dura que cinq jours et seulement le 30 septe
nor- male le matin. Le cours ultérieur de la maladie se fit sans fièvre . Les symp- tômes principaux consistaient en des
ns de coma diabétique. Antécédents personnels du malade : rougeole, fièvre thyphoïde à 18 ans, kyste hydatique du poumon à
7 » mourut jeune, au commencement de 1650, « en huit jours d'une fièvre très violente8 ». Il avait été élevé aux Petites-
1649 (quinze ans), « je tombai malade, dit-il,... d'une très grosse fièvre avec un transport au cerveau. Je ne parlois que d
z les prédisposé-. Il est du reste à remarquer que la « très grosse fièvre » de Pierre-Thomas du Fossé se déclara vers l'é
l'époque même où son frère, Gentien Thomas Ifl. fut atteint de la « fièvre très violente » qui l'empoi ta en huit jours. L
és étaient les anophèles des étangs de Port-Royal, qui rendirent la fièvre palustre endémique dans ce monastère. ' Ibid.
441 et mourut en cinq jours d'une «oppression de poitrine » avec fièvre continue. Des quatre dont nous connaissons l'âg
te opinion; en 1899 il y a eu àl'asile de Leavesden une épidémie de fièvre typhoïde, d'entérite et de pneumonie; on a fait v
mière quinzaine de l'admission, 14 i. sontdus à la phtisie, 21 à la fièvre typhoïde. «Le nombre des décès par phtisie pulm
n du réflexe pupillaire à la lumière, l'hypotonicité musculaire, la fièvre continuer etc., phéno- mènes qui ne sont pas ps
s pre- mières années de la vie, coqueluche, scarlatine, impétigo et fièvre typhoïde. Infantilisme acquis, d'origine infect
36 (1897) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1896
e grand'tante paternelle démente. - Mère, convulsions de l'enfance, fièvre cérébrale ci quatorze ans accompagnée de canitie
fance, il n'a eu ni manifestations scrofuleuses, ni convulsions, ni fièvres infectieuses, ni syphilis, ni migraines, ni mal
d'une tumeur blanche du genou ; à quatorze ans, elle avait eu une fièvre cérébrale grave, durant laquelle une grande parti
a phalange, aurait ensuite gagné la pha- langine et la phalangette. Fièvre vive, céphalalgie, insomnie. Absence complète d
que. - B... s'aperçoit par hasard d'un gonflement du médius gauche. Fièvre vive, insomnie; ni céphalalgie, ni douleur au n
ure de l'avant-bras droit, à 3 ou 4 centimètres du pli du coude. La fièvre aurait été assez vive; l'incision transversale
Père, 31 ans, employé de chemin de fer, n'a eu ni convulsions, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni dartres, ni syphilis
icêtre, 1896. 3 34 Antécédents héréditaires ET PERSONNELS. pas de fièvre typhoïde, de rhumatismes, de dartres, de syphi-
me le connaît depuis l'âge de 8 ans. Il n'a eu ni convul- sions, ni fièvres intermittentes, ni maladies de peau. Elle ne pe
re emportée. Grand' mère maternelle, délire très violent durant une fièvre typhoïde. ? A1'1'ière-graml' mère maternelle, p
- PÈRE, 33 ans, l'allineur, aurait eu à 15 ans, 'durant 18 mois les fièvres paludéennes et plus tard une affec- tion pulmon
s sont bien por- tants. - Trois frères : un est mort assez jeune de fièvre typhoïde ; les ceux autres sont sains, mais vio
Mère, bien portante, a eu, peu après la naissance de sa fille, une fièvre typhoïde grave avec délire violent, elle se lev
cutives ; .. Par BOURNEVILLE. Sommaire. - Père, excès de boisson, fièvres , intermittentes , Grand'mère paternelle, excès
s de boisson et a « le vin très exa L,' 1) -, bien ponant, a eu les fièvres intermittentes de n il 35 ; c'est dans cette pé
dents héréditaires sont assez chargés. Le père, sous l'influence de fièvres intermittentes lorsque l'enfanta été conçu, com
juillet 1895). - PÈRE, 38 ans, représentant de commerce, a eu une fièvre typhoïde à 15 ans, maladie qui fut longue mais sa
près ces convulsions, l'en- fant resta 15 jours au lit, ayant de la fièvre , du délire. La tète tombait quand on la souleva
de tabloïds. J'ai toujours observé des accidents, toujours de la fièvre , de l'accélération du pouls, un amaigrissement av
ment thyroïdien. Graves a déjà signalé cette particularité dans les fièvres et notamment dans les états adynamiques, et j'a
duire, et M. Fernet ne me démentira pas si j'ajoute qu'au cours des fièvres graves comme de la médication thyroïdienne la g
ys de plaine ; la rivière est à 6 kilomètres. » Pas de marais ; les fièvres intermittentes n'y sont pas endé- miques. La mè
técé- dents, ni accidents nerveux, ni syphilis, ni alcoolisme, ni fièvres intermittentes, etc. - On ne connaît aucune tare
quilin, cheveux châtains, nerveuse, migraineuse, ni convulsions, ni fièvres intermit- tentes. Elle est originaire de Phalsb
37 (1890) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1889
iques et bibliographiques sur les bacilles de la tuberculose, de la fièvre typhoïde, de la diphtérie, du choléra, de la pn
ence au-dessous de la moyenne ; pas de convulsions de l'enfance ; fièvre typhoïde à 8 ans. Il y a 10 ans, chute d'un peupl
eu jusqu'à 30 par jour. Pas de manifestations scrofuleuses, aucune fièvre érup- tive. Lel... aurait eu beaucoup de vers.
pathique. - Mère migraineuse. - Grand'mère 1 maternelle morte d'une fièvre cérébrale. - Grand-père maternel mort paralytiq
an- çaise pour l'avancement des sciences. Observation IV. - Père, fièvres intermittentes. - Grand- père paternel apoplect
x, mais a contracté en Afrique, étant soldat dans l'artillerie, des fièvres interdit- tentes dont il a souffert jusqu'à 50
conception qui a eu lieu à une époque assez éloignée d'un accès de fièvre inter- mittente du père. - Grossesse bonne, sau
le aurait eu un abcès de la jambe droite; l'enfant n'a jamais eu de fièvres éruptives. 1882 : 29 juin. - Taille, 77 cent.
u beaucoup de gourme dans la tête. Pas d'adénite, ni d'abcès, ni de fièvres éruptives. Il a rendu une fois des lom- brics.
arents ont les cheveux bruns ou blonds. Observation VIII. - Père, fièvres intermittentes, paraly- tique général. - Arrièr
il s'adonnait à la boisson; il a été sujet à des accès mensuels de fièvre intermittente bien caractérisés depuis son mari
ue d'apoplexie, en 8 jours ; il a été sujet à des accès mensuels de fièvres inter- mittentes bien caractérisées depuis son
ères de 3 autres (OBS. IV, V et VIII ci-dessus) ont été atteints de fièvres intermittentes. Nous devons noter aussi l'exist
sont peu prononcés. Souvent, ils ne s'en aperçoivent qu'après une fièvre éruptive, des convulsions ou un trau- matisme.
e- maines. Premières dents à huit mois; marche à un an; blésité ; fièvre typhoïde à onze ans avec accidents cérébraux. - F
ne. Propre à un au. Envoyé à l'école à quatre ans, apprenait bien.' Fièvre typhoïde à onze ans, avec accidents cérébraux.
toujours des hommes avec des fusils qui voulaient le tuer. Après la fièvre typhoïde, il a grandi beaucoup et était un peu
is ; des accès de cris nocturnes d'un à cinq mois ; à onze ans, une fièvre typhoïde compliquée de délire et le laissant pl
é un léger strabisme. Elle 174 IDIOTIE MTXOEDEMATEDSE. a eu une fièvre typhoïde à-deux ans, en même temps que son. père
38 (1892) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1891
au que des enfants atteints de la teigne, de la coque- luche, de la fièvre typhoïde, etc., etc., sont fréqnemmènt transpor
vailleuse, pas de convulsions ; 11° fille morte à vingt-six mois de fièvre cérébrale ayant compliqué une rougeole ; 12° ga
as d'otite, ni d'ophtalmie; pas de dartres; pas de teigne. Aucune fièvre éruptive; pas de diphtérie; pas de chorée; pas de
urs (hystérie, arriération intellec- tuelle et instabilité mentale, fièvre cérébrale). II. L'hystéro-épilepsie s'est dével
ade. '2 DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS D'HYSTÉRiE MALE. Pas d'autres fièvres . Pas de diphthérie; pas de chorée. Coqueluche a
n puisse prendre sa température, mais il ne m'a pas semble avoir de fièvre , pas plus que le 8, au moment de son départ.
re des accès ou avec le sopor. Nous voyons d'après notre cas que la fièvre peut faire totalement défaut, môme quand il s'agi
ies du système ne}'- veux, 1870-71. , . (4) Witkowski(L,),- De (a fièvre épileptique et de quelques autres questions cli
ent : Ipéca, badigeonnages de jus de citron, 4 février. Un pou de fièvre et d'abattement ; les symptômes laryngés sont s
encore un peu de laryngite et de rou- geur de la gorge, mais pas de fièvre ; l'état général est bon. Trait. : Huile de foie
adie dans l'enfance. Pas nerveuse ; pas d'attaques de nerfs; pas de fièvres graves. Grande, forte, parait intelli- gente. E
signe du côté des organes du thorax et de l'abdomen. 2 ? nai. La fièvre persiste, affectant le type rémittent. Pas de d
ndant et il n'y a plus de tuméfaction de la région mastoïdienne. La fièvre et l'état général persistent toujours. Le 13 ma
poche sous-cutanée se reforme, mais l'é- coulement persiste, et la fièvre est toujours élevée. L'enfant s'a- maigrit cons
. Etant jeune, il se masturbait. Dans l'adolescence il aurait eu la fièvre typhoïde ( ? ). [Père, carrier, mort à 66 ans,
ons; variole il 8 ans; ni rougeole, ni scarlatine, ni méningite, ni fièvre typhoïde, ni de maladies de peau, ni migraines.
seignements fournis par S.1 mè¡'e. Père, il ans, crieur aux halles. Fièvre typhoïde étant soldat, très nerveux, violent, t
poitrine, signes de bronchite généralisée. État général bon, pas de fièvre . (Potion cal- mante et solution avec : eau, 10
ment. Le 23 décembre on l'amène à l'infirmerie. Le malade a de la fièvre (38°, 4.) Il est émacié, triste et abattu. Les
d'aucune souffrance il fut envoyé à l'infirmerie. On constata de la fièvre (1), de la sychnurie, et l'existence du sang et
39 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l est soigné pen- dant un mois et demi à t'hôpital de Metz pour une fièvre mu- queuse, à la suite de laquelle il souffre p
compagnée de convulsions. A l'âge de deux ans et demi, elle eut une fièvre typhoïde accompagnée de convulsions. A l'âge de
nce. A l'âge de cinq ans, il a eu la rougeole et, la même année, la fièvre muqueuse. L'année suivante, il eut la coqueluch
che. Au mois de mars 1887, Henri Gob... eut une bronchite suivie de fièvre typhoïde, qui dura un mois. Lors de sa convales
. - Père, auteur dramatique et acteur, mort à soixante-trois ans de fièvre typhoïde avec complications cérébrales, était s
matique, ou autre, elle ressentit de vives douleurs lombaires, sans fièvre , ni trouble des sphincters, qui la forcèrent à
a face qui était aussi plus chaud. Mais un exercice violent ou la fièvre renversaient les conditions de sudation des deu
CEREAUX. Comme antécédents morbides, on relève chez ce malade une fièvre typhoïde, une pneumonie et une pleurésie, celle-c
parotidienne, depuis une parotidite qui était sur- venue lors d'une fièvre grave. On trouve aussi dans la thèse de M. Béza
monomane qui passe une partie de ses nuits en prière, grelottant la fièvre intermittente sur les dalles de l'église, malgré
., XVII, 3.) Jeune homme de dix-neuf ans, atteint, à la suite d'une fièvre récurrente grave, à évolution prolongée, au mom
uels, revêtant, le masque de démence aiguè. Il avait été atteint de fièvre récurrente en février 1884; on l'apportait à la
deux jambes et de l'entéralgie constituant des accès accompagnés de fièvre élevée. Série d'exacerbations et de rémissions
1881, de douleurs dans les extrémités infé- rieures avec un peu de fièvre . Hypéresthésie et émaciation des membres inféri
quante-sept ans. Le 18 décembre 1886, angine tonsillaire; le 24, fièvre (+ 390 C.), rhumatisme articulaire aigu généralis
390 C.), rhumatisme articulaire aigu généralisé jusqu'au 29. Le 31, fièvre (+ 390 2) et douleurs très violentes au niveau de
cécité de l'oeil gauche, pouls : 44. 21 juin, légère exophtalmie et fièvre (38,7), réponses lentes et embarrassées. L'oeil
e anxieuse, parole encore lente et embarrassée, disparition de la fièvre ; coeur et appétit normaux. Après avoir fait un tr
isant autant qu'il s'en souvienne. Jamais il n'a eu ni syphilis, ni fièvre intermittente. Pas d'excès alcooliques ni vénér
a ma- ladie a succédé à une couche laborieuse, dans un autre à la fièvre typhoïde. D'autres fois aucun motif n'est manif
uvent après les accès. Pas de cauchemars ; pas de secousses, pas de fièvre , pas de peurs. ' Il a eu beaucoup de vers éta
marche 11.lJuin ? e mois. Cotlitelzicite ci deux ails et demi, puis fièvre typhoïde et pneu- monie. Rougeole ci quatre Acc
ande analogie de l'état du cerveau avec celui qu'on observe dans la fièvre typhoïde, mais la caractéristique pathologique
pidement les accidents gangreneux du décubitus, des frissons, de la fièvre , mort le 13 avril. Autopsie. Leptoméningite cér
ent ; puis le 9 mai 1885, céphalalgie, vomissements, inappé- tence, fièvre légère. Le 15 mai, brusquement, paralysie incompl
bres inférieurs. Antécédents héréditaires Pare, mort en 1856, de la fièvre jaune dans les colonies. Mère, morte d'un accès
56, de la fièvre jaune dans les colonies. Mère, morte d'un accès de fièvre pernicieuse, contractée à Talaliassec (Floride)
ndémiques si fréquentes dans ce pays. Il n'a eu, en particulier, ni fièvre jaune, ni fièvres intermittentes. Rappelé en Fr
uentes dans ce pays. Il n'a eu, en particulier, ni fièvre jaune, ni fièvres intermittentes. Rappelé en France pour faire so
ion, il se plaignit d'un violent point de côté. Puis il fut pris de fièvre , de dyspepsie intense avec tendances à la synco
onnels : Rougeole et variole dans la première enfance; à vingt ans, fièvre typhoïde; depuis cette dernière alfec- tion la
la malade a eu dans la première enfance la rou- geole, plus tard la fièvre typhoïde et la variole. L... nous dit qu'elle e
âge de trente-six ans, appartient à une famille juive orthodoxe. Fièvre typhoïde à l'âge de dix ans. Il y a huit ans, pre
mère mort aliéné. Antécédents personnels : Rougeole, scarlatine et fièvre typhoïde dans l'enfance. En 1880 le malade a co
inquante-neuf ans, cocher, assez corpulent, aurait eu en 1867 une « fièvre cérébrale » 1 ; n'aurait jamais fait d'excès de
mes peuvent se montrer liées à des affections diverses (rhumatisme, fièvre typhoïde) et nous restreignant au domaine de la
té physique des viscères de la vie végétative. P. = 120 140, sans fièvre . Nystagmus. Parésie des deux oculo-moteurs extern
40 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
(vue, goût, odorat, ouïe), de la température et de la circulation ( fièvre , pouls), des organes génitaux (anaphrodisie, me
eaux, 1805. - Deux cas {l'hystérie provoquée par une maladie aiguë ( fièvre typhoïde et grippe), in Leç. de clin, méd., il,
chronique qui attaque les petites articulations, sans provoquer de fièvre et ne s'accompagne guère de douleur que dans le
t du jour où elle mourait vit ses urines devenir albumineuses et la fièvre s'élever de 37 à41, l'ascension de la températu
avation de cette douleur; déglutition des liquides très difficile : fièvre , inflammation et gonflement de la partie postér
he des autres points d'assimilation que la maladie possède avec les fièvres exanthéma- REVUE DE pathologie NERVEUSE. 229
de paralysie générale développés consécutivement à la grippe, à la fièvre typhoïde, etc. En résumé, bien qu'il me soit
ricérébrites, comme de myélites, de bronchites, de pneumo- nies, de fièvres typhoïdes, etc. La forme la plus grave, général
de nervosisme. Nous avons relaté un cas de délire consécutif à une fièvre typhoïde qui, d'après Comby, devait être rattac
d'une excellente santé, et qui continuait à se Lien porter. Pas de fièvre , pouls cependant un peu agité quoique la tempér
'état général du petit sujet; la déglutition se fait bien et pas de fièvre . A une lésion organique des centres cérébraux s
, ce n'était certes pas le croup, comme le croyait la mère pas de fièvre , pas d'angine, pas de dyspnée ni le faux croup au
m'avait rien révélé qui pût indiquer qu'il fût contaminé. Jamais de fièvre et toujours excellent appétit. De plus, cette par
eurs en demi-flexion; - pas de gonflement aux articulations, pas de fièvre ; -mais une hypéresthésie très accentuée de tout
e entaché de nervo- sisme. Le 25 avril 1897, l'enfant est pris de fièvre et de diarrhée, j'y vois un embarras gastrique,
e un léger purgatif et un peu de sulfate de quinine. Le 29 avril la fièvre disparait, l'enfant a retrouvé son appétit, il
ractures, de l'anesthésie, du coma, puis de l'agitation, du délire, fièvre dissociée, raie méningitique. Pourquoi n'ai-je
rque d'abord seul l'accident. Le lendemain l'enfant est prise d'une fièvre violente avec agitation, cris, véritables cris
hute sur la tête, nouvelle crise de fausse méningite; vomissements, fièvre , agitation, se plaint de la tête. Par instants,
quentes, se roule à terre, elc. En janvier 1894 il est pris d'une fièvre intense, crie sa tête : « Oh ! ma tête ! » se c
ionomie habituelle. En juin 1894 l'enfant est pris subitement d'une fièvre violente, pouls 180, température 41°; malgré le
olente, pouls 180, température 41°; malgré le sulfate de quinine la fièvre persiste pendant dix jours. Faciès non typhique
s de diarrhée, rien à la poitrine. L'enfant boit moins pen- dant sa fièvre , urine moins abondante. Je n'ai pas fait faire l'
le que nous constaterons, tout à l'heure, pendant la rougeole. La fièvre tombe en deux jours, il n'y a pas, à proprement p
inaire et avec ses mêmes habitudes. Quelle était la nature de cette fièvre ? Il faut convenir que son début, sa marche, sa
a terminaison brusque, n'of- frent guère le tableau ordinaire de la fièvre typhoïde; elle n'était pas intermittente non pl
vre typhoïde; elle n'était pas intermittente non plus. Etait-ce une fièvre grippale ? Etait-ce une fièvre hystérique ? La
intermittente non plus. Etait-ce une fièvre grippale ? Etait-ce une fièvre hystérique ? La question me semble assez difficil
ire. » Le résultat ne fut pas très heureux, à peine sa rougeole, sa fièvre disparues, il recommence (23 juin) à Loire comm
quatre ans une paralysie hystérique très nette, six mois avant une fièvre typhoïde, fièvre peut-être hysté- rique. C'est
aralysie hystérique très nette, six mois avant une fièvre typhoïde, fièvre peut-être hysté- rique. C'est donc bien un hyst
evant nous, ainsi que l'indique la paralysie, sans parler de. cette fièvre sur la nature de laquelle je ne peux me prononc
ividus exerçant une profession sédentaire; névrite consécutive à la fièvre typhoïde pendant les suites de couches. En effe
a suite de grandes fatigues corporelles, fut pris de courbature, de fièvre , d'agitation, puis de douleurs dans le dos et d
: elle était porteuse d'ichtyose. La malade ayant succombé à une fièvre typhoïde, l'autopsie, puis l'examen histologiqu
me, le taba- gisme, l'oxyde de carbone; b) les infections : aiguës, fièvre typhoïde, influenza, paludisme; chroniques, tub
t grave pour produire ces désordres, car, dans la Camargue, où la fièvre intermittente est commune et dans certains canton
plus constaté, dans la folie paludique, que le retour des accès de fièvre amène une aggravation dans leur état mental où
souvent le retour des accès de délire coïncidant avec les accès de fièvre intermittente. M. Doutrebente demande à M. Re
bituel d'invasion des maladies infec- tieuses et fébriles (frisson, fièvre , céphalalgie, vomissements). Une deuxième phase
épilep- sie). Antécédents héréditaires, alcooliques et tuberculeux. Fièvre typhoïde à quinze ans. Début des convulsions à
M..., vingt-sept ans, (épilepsie). Pas d'antécédents héréditaires. Fièvre cérébrale ( ? ) iL douze ans. Pre- mière attaqu
as âge de maladie indéterminée. Le malade a eu, à quatorze ans, une fièvre typhoïde qui a duré deux mois et demi et a été
41 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
e Gowers, l'épilep- sie peut se développer à la suite de toutes les fièvres éruptives et indépendamment de l'albuminurie; e
ce de la scarlatine, et a semblé se développer en conséquence de la fièvre érup- tive ; mais le sujet était prédisposé à l
tre grossesses. Pendant la première grossesse, elle fut atteinte de fièvre typhoïde, et avorta à la sixième semaine. Les d
it à propos de la dentition, d'affections gastro-intestinales, de fièvres éruptives, etc. - On peut, dans cette circonsta
romures, les affections le- briles prennent souvent la marque de la fièvre typhoïde, el, d'autre part, qu'il faut se hâter
es symptômes avec ceux d'une maladie infectieuse très com- mune, la fièvre typhoïde, qui m'a conduit à rechercher si le sang
u, comme de récents travaux nous ont démontré qu'il l'était dans la fièvre typhoïde. Le délire aigu essentiel, j'ai essayé
observe dans la manie simple, mais bientôt le tableau change, la fièvre s'allume, la température s'élève et la maladie s'
s continuellement rincés par l'eau même de l'asile; une épidémie de fièvre typhoïde, qui sévissait dans les environs, fit en
1882, qu'elle futjprise de céphalalgies persistantes avec un peu de fièvre . Depuis, elle commence à être inquiète, elle re
a para- lysie générale. - R. M. C. r ' ' XX. Sur les effets de H. fièvre typhoïde chez les aliénés; vingt- deux observat
of mental Science, juillet 1882, p. 212.) Une petite épidémie de fièvre typhoïde qui a éclaté durant l'au- tomne de 188
'étude de ces vingt et un cas, au point de vue de l'influence de la fièvre typhoïde sur l'affection mentale, a donné les rés
te; 2° Dans un cas où il n'y avait eu, jusqu'à l'apparition de la fièvre , aucune amélioration de l'état mental, l'améliora
n de l'état mental, l'amélioration a commencé pendant le cours delà fièvre , et a marché de pair avec la convalescence phys
générale l'amélioration a commencé durant la dernière période de la fièvre et a suffisamment pro- gressé pour permettre la
evenu très défavo- rable, la guérison mentale a commencé pendant la fièvre ty- plioide ; 5" Une amélioration mentale trè
un nombre aussi restreint de faits, on serait amené à penser que la fièvre typhoïde exerce sur les affections mentales une
ent, le patient a été gravement malade dans sa plus tendre enfance ( fièvre typhoïde, pneumonie, affections cé- phaliques o
ode d'excita- bilité génésique ; aménorrhée fréquente, albuminurie, fièvre mor- phinique sous trois formes : intermittente
e Paris, 1884.) Contribution à l'étude des phénomènes nerveux de la fièvre ty- I)hoîde, leurs rapports avec la température
, vomissements très abondants pendant trois jours, accom- pagnés de fièvre et d'un peu de délire; le médecin aurait dit que
re et d'un peu de délire; le médecin aurait dit que « ça sentait la fièvre typhoïde et la congestion cérébrale» ; durée :
son intelligence était normale. A cette époque, dans le cours d'une fièvre typhoïde ( ? ), il fut atteint d'accidents cérébr
nt et mouillé; le lende- main, douleurs rachidiennes, à la nuque et fièvre ; celles-ci dispa- raissent au bout de douze jou
ouvert l'artère sous-orbitaire, blessure guérie en huit jours sans fièvre , apparaît un spasme convulsif de l'orbiculaire,
tre mourait un an plus tard d'un érysipèle de la face accompagné de fièvre modérée ; un troisième était en- levé par une p
tare héréditaire, de par l'évolution d'affections fébriles graves ( fièvre typhoïde, variole, fièvre inter- mittente, néph
l'évolution d'affections fébriles graves (fièvre typhoïde, variole, fièvre inter- mittente, néphrite) à l'époque de son dé
oppement physique et psychique. Depuis un an, il est eu proie à une fièvre systématique entretenue par des hallucinations
oolisme portant pour titre : L'ivrognerie tue plus de monde que les fièvres les plus meurtrières. (Bull. Acad. de méd.) - N
convulsifs, 3S0. Alcoolisme chronique, 225. Aliénés (effets de la fièvre chez les), par Camlibell, 202. Aliénés (les),
42 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
ris de vomisse- ments et de diarrhée. Nous ignorons s'il a eu de la fièvre , le malade ne peut nous renseigner à cet égard,
endant '1 mois, des hémoplysies incessantes ; il est en proie à une fièvre hecti- que, à une toux quintcuse des plus pénib
tition des éléments éruptifs ne s'explique pas par la théorie de la fièvre zostérienne de Landouzy ? En effet, dit M. Carr
dans l'observation de Grasset et Vedel, ne plaidait en faveur de la fièvre zostérienne. La question est donc tranchée (1).
us demandé, par exemple, pourquoi les vergetures consé- cutives aux fièvres sont toujours transversales ou, pour être plus pr
fosse iliaque, diarrhée, splénomégalie) qui faisaient soupçonner la fièvre typhoïde, affirmée d'ailleurs au 12e jour par u
omènes de paralysie qu'il présente sont donc apparus au cours de sa fièvre typhoïde. Ces phénomènes paralytiques sont très
as de paralysie isolée du grand dentelé droit survenue au cours d'une fièvre typhoïde. Les cas dus à pareille cause sont v
ue la névrite du grand dentelé soit exception- nelle au cours de la fièvre typhoïde. La paralysie isolée du muscle grand d
gue musculaire.......... cas Froid et humidité .............. 3 » Fièvre typhoïde............... 1 » P uerpéra 1 i lé ..
des cas de Baeumler et de Weber : la paralysie est consécutive à la fièvre typhoïde et à l'accou- chement. Pourquoi l'infe
, et parfois la mélancolie, lé désir de la solitude, et est appelée fièvre blanche à cause de la couleur, fièvre amoureuse o
e la solitude, et est appelée fièvre blanche à cause de la couleur, fièvre amoureuse ou des jeunes filles, parce qu'elle a
al d'amour du XVIIIe siècle. ' * .. < La description de la fièvre amoureuse donnée par Sauvages est déjà par elle
porte le nom de chlorose par amour. Elle ne diffère pas de cette « fièvre amoureuse » dont il parle dans sa thèse. C'est
l. On la qualifie d'ordinaire de pâles couleurs, d'ictère blanc, de fièvre d'amour, de maladie virginale ; nous l'appelleron
d'une chaste passion contrariée, souf- frant de tous les maux de la fièvre amoureuse. La Visite à la malade de la collecti
r, dont les battements tu- multueux trahissent la lièvre amoureuse, fièvre de l'àme dont le corps subit les fâcheux effets
tance à ces dires du patient et celui-ci attribue les frissons à la fièvre . J'ai vu une servante qui était régulièrement p
ésida dans un village poldérien aux environs d'Anvers, contracta la fièvre intermittente et dut se réfugier fina- lement e
premiers symptômes apparaître quelque temps après une rougeole, une fièvre ty- phoïde, une variole. La date du début est
deuxième de la famille. Elle a eu la rougeole, la coquelu- che, la fièvre typhoïde avant l'âge de 14 ans. Réglée à 16 ans,
3 ans, elle l'a toujours été régulièrement. A 25 ans elle a eu la fièvre typhoïde et elle est restée deux mois au lit. E
orte subitement à 60 ans ; une soeur est morte à 15 ans pendant une fièvre typhoïde ; il reste deux frères et une soeur bien
al d'amour médicalement décrit par Varandal et Sauvages. C'est la « fièvre blanche, amoureuse, des jeunes filles » qui res
s 1889, il partit pour l'Amérique ; à Buenos-Ayres, il contracta la fièvre typhoïde. Il revint en France en 1890, et pendant
une fracture de cuisse. N'aurait eu ni scarlatine, ni rougeole, ni fièvre typhoïde; n'a jamais eu la syphilis. Pas d'an
le voisinage des étangs de Sarrebourg, aurait eu pendant un an des fièvres intermittentes avec accès revenant tous les deu
it lourd ; parésie assez accentuée. Il affirme n'avoir jamais eu de fièvre . Depuis quelque temps le malade, qui avait touj
Il naît à terme, il eut une enfance normale sans convulsions, sans fièvres éruptives. A 19 ans, il contracte une biennorrh
erveuses dans la famille. Rien à signaler dans l'enfance. A 12 ans, fièvre typhoïde. Réglée à 13 ans, 410 ANDRÉ RICHE ET D
décembre 1898. 454 . HENRY MEIGE aucun choc, nulle douleur, nulle fièvre , au début de cette tuméfaction, non plus que le
imité au seul membre inférieur droit, survenu sans douleurs et sans fièvre , cantonné au pied et à la jambe pendant plusieu
les urines, aucun désordre des organes abdominaux. A 14 ans, une fièvre typhoïde très bénigne, mais nulle autre maladie
Et, comme maladies infec- tieuses, il n'y aurait à rappeler qu'une fièvre typhoïde tellement bénigne que le diagnostic en
, laisse à sa suite des oedèmes durs longtemps persistants. Mais la fièvre a fait défaut au dé- but ainsi que la rougeur,
voie de régression. En l'absence de lésion cardiaque ou rénale, de fièvre , de phlébite ou de lymphangite, on est conduit
quefois albuminurie, obnubilation sensorielle, tendance au sommeil, fièvre , soif vive, etc.ï4l. Ricoclion admet qu'il s'ag
s infectieuses. Dans les observations de tropllaedéme chronique, la fièvre typhoïde se rencontre même plus souvent parmi les
bronchite consécutive qui n'a pas laissé de traces; cinq ans après fièvre typhoïde. Vers ! 'age de 8 ans X... commence à
43 (1907) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1906
, épilepsie, athétose. 29 mars. 4 juillet. 7 juillet. Cachexie. Fièvre typhoïde Opposition à l'autopsie. Opposition à
aux Enfants-Malades, 4 coqueluches soignées à Bicêtre (Isolement), 1 fièvre typhoïde soignée aux Enfants-Malades ; 1 scarlati
es intercurrentes. Doux enfants ont été soi-gnées à l'infirmerie pour fièvre typhoïde ; 9 pour tuberculose pulmonaire ; 4 pour
a pas eu de convulsions ; pas de 'rhumatismes, pas de chorée ; pas de fièvre typhoïde ; aucun indice de syphilis ; pas de mala
; n'a pas eu de convulsions pas de rhumatismes, pas de chorée, pas de fièvre typhoïde. Elle est sobre, de caractère calme, nul
jamais été propre. Maladies infectieuses : Rougole à 2 ans ; pas de fièvre scarlatine; pas d'oreillons ; pas de variole; pas
le. Vaccinée avec succès. Pas de faux croup, pas de diphtérie, pas de fièvre typhoïde. — Pas de maux d'yeux, mais . ;(?';!-bis
3, p. 87). Observation I. Sommaire. — Père : rien de particulier, fièvre typhoïde en 1887, léger alcoolisme probable. Gran
omoplate, mais pas de rhumatisme aigu; vient d'avoir (janvier 87), la fièvre typhoïde, n'a pas eu de délire. — [Son père, âg
ture, ventre ballonné, légère diarrhée ; le 4, diarrhée abondante, la fièvre continue. Le 7, retour à la nor-male de la tempér
phalie. Micropolyadénie. Bronchite à l'entrée. Rougeole à 3 ans, auec fièvre (40"). — Teigne, de 3 ans à 6 ans. Un accès con-v
on, température restant entre 36" et 37°. —¦ A Sans, scarlatine, avec fièvre (jusqu'à 35",5); à la guérison, température reven
eure beaucoup depuis quelques jours, tousse depuis la veille ; pas de fièvre , mais râles ronflants et vibrants disséminés dans
44 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
ier, sur l’application heureuse de l’eau magnétisée au traitement des fièvres intermittentes, dans le midi de la France où cett
nction de voix. 1 obstruction de la rate et du foie, accompagnée de fièvre , de céphalalgie, de suppression, etc. ~33 Les
calmer un peu scs soiiffrance6. Il eut une nuit des plus agitées, une fièvre ardente, un violent dëvoiement qui dura deux jour
est tendu, gonflé, et d’un volume considérable, la figure ronge; une fièvre habituelle, des suffocations le gagnent à la moin
mal, elle veut se confier à mes soins. Depuis six semaines elle a une fièvre de cent pulsations par minute, un mal de tète con
de plaies. Peu à peu toutes les douleurs symptomatiques cessèrent, la fièvre tomba, le sommeil revint, le teint reprit une bel
r des trois jours, il ne l’a plus; son enthousiasme a disparu avec la fièvre qui le possédait. Son teint est have; il n’a plus
rison... Garçon de 19 ans, mal d’oreille, côté droit, à la suite de fièvres d’accès; après deux séances passe à l’oreille gau
ent parle moyen de l’eau magnétisée. J’ai obtenu pour la guérison des fièvres intermittentes, communes dans cette partie du dép
avec, recommandation de se mettre au lit, j ai obtenu la guérison des fièvres les plus rebelles, dont plusieurs cas de six mois
ccès, je recommande l’usage de l’eau magnétisée pour eau commune. Une fièvre nouvelle de huit à dix jours se guérit avec une o
dix jours se guérit avec une ou deux bouteilles d’eau magnétisée. Une fièvre de dix mois, un an, exige de dix à douze bouteill
hercher de trois et quatre lieues. Un homme de 40 ans, affligé de ces fièvres depuis plus de quatre ans, est venu de Draguignan
rticulière du magnétiseur, ou si toute eau magnétisée peut guérir les fièvres intermittentes. Si vos occupations ne vous perm
il salivait abondamment; il était, de plus, très-sujet aux rhumes, fièvres et une foule d’autres indispositions..... Sa mè
oreille du même côté, mal du sommet de la tête (celui-ci ancien"), et fièvre quotidienne depuis quinze jours, que le sulfate d
e n’avait pu détourner. Je lis une première séance pendant l’accès de fièvre , et en moins d’une heure il survint un grand calm
t deux autres essais, les jours suivants, firent tout cesser, même la fièvre qui n’a plus reparu. — M. Gallois fut adressé à
grande quantité de fluide magnétique, ce qui occasionne de violentes fièvres . Quand c’est intérieurement, le cerveau en est af
s nerfs et ma pensée? On sait d'ailleurs que lord Byron, malade d’une fièvre nerveuse, projecta son image de Paris à Londres,
, Hahnemann observa que le quinquina produisait chez l’homme sain une fièvre intermittente très-analogue à celle que ce médica
et qui, supprimées, donnent naissance à des désordres plus graves. La fièvre apparait-elle avec ses agitations, ses douleurs,
on veut l’enrayer, et que, par des émissions sanguines, on rend cette fièvre moins intense, il est vrai, mais plus pernicieuse
travail éliminateur qu’elle opérait : il s’agissait, en effet, d’une fièvre typhoïde, de la variole, de la scarlatine, d’une
ns les plus efficaces. Ils arrêteront ces symptômes, qui, tels que la fièvre , la toux, l’oppression, l’expectoration difficile
de l’eau sans mélange produisirent des désordres analogues, tels que fièvre , malaise, céphalalgie, nausées, selles, dérangeme
mais c’est en avril que j’éprouvai pour la première fois un accès de fièvre magnétique assez fort, puisque je me crus alors m
onologie. » Ainsi Gaufridy (brûlé en 1611), Gaufridy, en proie à la fièvre de la terreur et de la question, racontait-il que
sson, demeurant rue Molay, -t, fut affectée, en septembre 1846, d’une fièvre typhoïde TOHS VU. — N° 81. — 10 NOVEMBRE 1848.
agénaire prédire le jour de sa mort un mois d’avance. Il mourut d’une fièvre épiale au jour indiqué. » Ce célèbre praticien
ours la malade; tantôt pour scs règles, tantôt pour une diarrhée, une fièvre , des vers, etc., obéissant en cela scrupuleusemen
contre laquelle la magnétisation fut reprise : ce fut la seule ; mais fièvre , rétention d’urine , etc., surviennent, pour lesq
érison fut complète en quelques mois. Cinq ans après, atteint d’une fièvre cérébrale, on le magnétisa de nouveau. Il indiqua
a soulfert un peu des reins le soir et dans la nuit; il a une légère fièvre , point de mouvements. « La fièvre dura huit jou
et dans la nuit; il a une légère fièvre, point de mouvements. « La fièvre dura huit jours , diminuant graduellement par l’u
y a sensation dans la partie, ou : Je la sens. » 11 eut un accès de fièvre la nuit, et des douleurs de reins; mais le tout d
Fait de prévision, 253. Fascination.— Fable de Lacham-beaudie, 123. Fièvre typhoïde. — Guérison, 258. H. Hydrothérapie.
45 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
es et même certaines altérations dans les battements du coeur, la fièvre hystérique déjà signalée par Briquet ' et qui, au
des maladies mentales; - Déontologie médicale, 1846; - Noie sur les fièvres intermittentes pernicieuses; 1852; - Notices biog
la campagne du Tonkin. Comme tant d'autres, il avait contracté les fièvres . Depuis sa rentrée en France, il y a trois ans,
accompagner. Au mois de novembre, il contracte dans le service une fièvre typhoïde. Cette affection ne semble avoir influ
rant de la convalescence, quinze jours environ après la chute de la fièvre , il se trouve bien de nouveau, et dans l'état d
bien de nouveau, et dans l'état d'amélioration où il était avant sa fièvre typhoïde. Au mois de mars 1890, -en même temp
\ V^ ".....r) ? iQ;f-tnnf. ut, "rp r =c ",\f' ? 1'\n,fn.l XV. DE LA fièvre HYSTERIQUE; par A. SARBO. ` tt ? j i (Archiv f.
Mémoire très bien, ordonné avec observations personnelles..Dans la fièvre ,'y est-il, dit,* le"système,nerveux4éentral, joue
ul, est due à des troubles dans la fonction des centres thermiques ( fièvre nerveuse fonctionnelle). C'est probablement une
thermiques (fièvre nerveuse fonctionnelle). C'est probablement une fièvre de ce genre que, l'on, observe dans l'hystérie, (
ar,èxëelleriée).=r y ? t .IJ t ? · x ? 3 ? Jy e'oJ.' ,-« : ,^ j 1° - Fièvre ltystél'ique apparente (tachycardie pas d'élévati
'observe dans l'hystérie simple et dans, l'hy-téro-épilepsie., ? 40 Fièvre : 'hystérique continue, sans substratum organiq
s. Elleg peut revêtir des caractères qui lui donnent l'aspect d'une fièvre typhoïde, tuberculeuse, périto- nitiqüe.l' Elle
bserve fsurtout"chéz `les'hystéro-épilèptiqnes : r'-1 i 3° Accès de fièvre subits, parfois sans1 cause' appréciable, à inten
s accès convulsifs ! Peuvent s'associer à la pseudo-fièvre, et à la fièvre hystérique con- tinue,'ces trois ' genres pouva
'et' aussi aigus'qu'inter- mitténts'el'passâgers. Autres' symptômes fièvre ; tremblement pat- ¡ : Ïébrâ¡"m'èlÚ; t7thmiqué ?
rnes. Pas de modifications, de l'excita- bilité éleclrique ; pas de fièvre , pas d'eedème, pas de diminution de poids. Thér
'' ce fait quelle "déliré1 113' Peut' être sous la dépendadee'd6'la fièvre , 'mais résulte "plutôt "d'une 'auto-intoxi-, ca
iment important 3 ; les scléroses de la Citons aussi les articles : fièvre typhoïde, typhus fever, peste, fièvre jaune, pa
Citons aussi les articles : fièvre typhoïde, typhus fever, peste, fièvre jaune, parus en 1863 dans la Pathologie méd. de R
lit. Le 13 octobre 1892, c'est-à-dire le vingt-troisième jour de sa fièvre , je l'ai vu dans l'état suivant : Le malade, d'
stre précoce. Apy rétique, depuis cinq jours il n'a plus d'accès de fièvre . Sa PSEUDO-SCLÉROSE EN PLAQUES D'ORIGINE PALUST
elques-unes en forme de croissant. Le malade n'a plus eu d'accès de fièvre . Traitement : sixième injec- tion hypodermique
e porte tout à fait bien. Pendant ce temps là, il a eu deux fois la fièvre , sans aucun autre trouble, qui a passé sans tra
son Traité des maladies du système nerveux mentionne les accès de fièvre précédant la sclérose en plaques ; mais la brus-
, différentes maladies infectieuses (influenza, érysipèle, angines, fièvre typhoïde, diarrhée cholériforme), des désordres
de vue mental il s'est agi dans ces cas d'états mélancoliques sans fièvres . L'auteur établit un lien très net entre ces ét
rairie Ollier Henry. Pechère et Funck. - Le système nerveux dans la fièvre typhoïde. Brochure in-8° de 76 pages. Bruxelles
pour terminer, un point noir à notre horizon : jus- qu'en 1870, la fièvre typhoïde était presque inconnue à l'Asile. Depu
i une observation de folie amnésique avec névrite, à la suite de la fièvre typhoïde. Mais la folie amnésique n'est en rien s
le meilleur des modes de traitement. R. M. C. XLIII. PSYCIIOSE ET fièvre typhoïde; par Klinke. (Cent1'albl, f. Ner venhe
rente-six ans, sans hérédité, qui n'a pas eu d'autre maladie qu'une fièvre typhoïde, il y a dix-huit ans. Il est atteint d
e délire fébrile, l'état psychopathique des maladies générales sans fièvre , le délire du collapsus, la confusion mentale a
ière division, car il parait aujourd'hui prouvé que le délire de la fièvre typhoïde, du col- lapsus, de la confusion menta
es et des névrites de l'autre. SOLLIER. IX. Système nerveux dans la fièvre typhoïde; par V. Pechère et M. 1 UNCE. Bruxelle
façon les névrites typhoïdiques. Quant àlaquatrième, intitulée « fièvre typhoïde expérimentale », elle est un vague exp
llere, 2J1. Fenêtres, nouvelles pour cel- lules, par Poetz, 87. Fièvre hvstériqup, par A. Sarbo, 88. 1 Folie, les dr
ar Terrien, 447. Hystériques, une accusée en crise - 95 ; de la fièvre -, par Sarbo, 138; un cas d'anurie- par Halot
'des ? aiguës, par Wagner, z du jeune,vge,'par Sehoenthai;320; et fièvre typhoïde; pas Klinke, - 389 : -¡¡fi HP "'J'J 3t
4t par Griffitli et Steele Sheldon, 410. 'Typhoïde, psychose et , fièvre ? Par Klinke, 389. Système nerveux dans la fi
, psychose et , fièvre ? Par Klinke, 389. Système nerveux dans la fièvre , par' Pechère et ,·runcl : , 502.'d : : , , ·
46 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
, intestinales ( dysenterie, entérite, cho- léra), à la grippe, aux fièvres palustres et éruptives, au rhuma- tisme, à la t
de la peau, et M. Landouzy décrire l'attaque de choléra ou celle de fièvre pernicieuse : il nous paraît non moins étonnant
n actuellement bien portant; 3° une fille morte àLariboisière d'une fièvre typhoïde; 4° une autre fille épileptique, morte
jaune. - Trois`' frèÿesbien,portants.,Unautre, mort,'a,20,ans d'une fièvre cé- rér'l-le" en",8 8 jours.,Trois soew ? ien p
't ? )...t)"t..)-1r«t ? t1f.Mf'-i"t ? iffh)''f nisse vers 17'mois; fièvre scarlatine vers 19 mois. - Pas ( d'accidents sc
ouillemént : sous'.la] clavicule. 1 --) Expiration soúff1ante.V ? 1 Fièvre h6 ? tique. - Suppression des règles. Augmentat
té des parents. Cet enfant n'au- rait jamais'eu ni' convulsions, ni fièvres éruptives. Les acci- dents nerveux' auraient dé
! ' Le)'IIÍâladÍ1'a ? 1 vait jamais eù ni goutte; ni rhumatisme, ni fièvre intermittente,3 ni'chaudepissé : Etant' enfant
tic, convulsif. des muscles grands droits de l'abdomen) liés, a la fièvre TELLUnIQUS,D'ALGLRIE ; par s E ? ' ' (Ga' -4. h
que se montraient à peu près nor- maux. Le malade, à la suite d'une fièvre intermittente de longue durée, mourut dans le m
consultation, sur un brancard, cette femme que l'on dit atteinte de fièvre typhoïde ; sa température est 374 PATHOLOGIE NE
ire accompagné d'une température aussi éle- vée) ; d'autre part, la fièvre typhoïde devait être rejetée en l'absence de di
t très prononcée; on pense encore un peu à une forme anormale de la fièvre typhoïde, à cause de l'épidémie ré- gnante, et
et non caséeux. Foie. Le foie est un peu gras et friable (lésion de fièvre ), poids : 1,500 gr. La rate est molle et difflu
nt très turgescentes ; pas de souffle au coeur, pas d'albuminurie ; fièvre assez vive. 27. La nuit a été calme. Salicylate
ît à mouvoir ses jointures et à montrer qu'il ne souffre pas ; la fièvre a même un peu baissé, mais est encore très vive (
novembre. L'état du malade est resté à peu près sta- tionnaire. La fièvre a présenté des oscillations régulières (T. 39°,
que la première, la contracture de la nuque reparait encore. - La fièvre moins intense qu'au début, oscille avec d'assez f
s.-Les intermittences qu'accuse le tracé peuvent faire penser à une fièvre intermittente symptomatique dont on ne trouve p
me journée, tantôt rapide et tantôt plus ralenti.-En outre de cette fièvre , les divers autres MÉNINGITE CEREBRO-SPINALE AI
dans certaines maladies (lésions cardiaques, rhumatisme, pleurésie, fièvre typhoïde, fièvre pa- ludéenne, hémorrhagie céré
ladies (lésions cardiaques, rhumatisme, pleurésie, fièvre typhoïde, fièvre pa- ludéenne, hémorrhagie cérébrale). 2° L'ar
que probable de la lésion à la subs- tance grise : apparition d'une fièvre intense et de symptômes généraux graves; 3° P
la sensibilité, pas de paralysie de la vessie ou du rectum, pas de fièvre . Le mieux commença le quatrième mois, et le sep
nt de douleurs dans les jambes. La nuit suivante, il est pris d'une fièvre intense avec délire furieux pendant lequel il c
ris le 14 décem- bre 1879 de douleurs de tête, de vomissements,- de fièvre intense. Le deuxième jour il a de la raideur du
qui, réciproquement pour- raient engendrer la neurosthénie ; 6° la fièvre des foins (hay fever) à laquelle l'état neurost
s ordinaires, à la suite ou au cours desquelles elles se montrent : fièvre typhoïde, pneumonie, fièvre intermittente, rhum
au cours desquelles elles se montrent : fièvre typhoïde, pneumonie, fièvre intermittente, rhumatisme aigu, anémie, phtisie
anie (octobre 1873) bientôt suivie de délire général. En mars 1871, fièvre typhoide grave (hyperthermie, splénomégalie, en
nte de lypémanie chez une femme de 40 ans, également guérie par une fièvre typhoïde intercurrente au moment de la période
iode d'apyrexie ; -une démence paralytique rétrocédant de- vant une fièvre scarlatine grave (éruption très prononcée accom-
sur les vésanies. Tels la variole, la rougeole , la scarlatine, la fièvre récurrente, le typhus exanthématique, le typhus
inal, le choléra asia- 478 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tique, la fièvre intermittente, la pneumonie, l'érysipèle, les a
e transformations dans la nutrition du cerveau, soit que, durant la fièvre , le sang qui irrigue le cerveau préalable- ment
on san- guine, tombées en déchéance reprennent leur perméabilité ( fièvre intermittente ? ); il se forme de nouveaux plexus
objet d'échanges nutri- tifs.-Les leucocytes qui, notamment dans la fièvre typhoïde, émigrent en abondance hors des vaisse
e. La question orale a été la suivante : Signes et diagnostic de la fièvre typhoïde. Signes et diagnostic de la fracture d
ce : affections cérébrales, convulsions, méningite cérébro-spinale, fièvres typhoïdes, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 595
Friedreich ( Vaich. Arch., t. 26, ? ï , 68) cinq mou- rurent de la fièvre typhoïde. M. Schmid apporte à cette casuis- tiq
a. 1880, t. XXV, fasc. 4 et 5.) Deux mois après l'évolution d'une fièvre typhoïde assez grave, à la suite de douleurs br
n au diagnostic de la tuber- culose dans de telles conditions où la fièvre fait souvent défaut; réciproquement, le signe l
Lunier, 485. Fibrome du nerf médian, par Rémy et Bulteau, 291. Fièvre (influence de la), sur les psychoses, par Fiedl
Fièvre (influence de la), sur les psychoses, par Fiedler, 476. Fièvre tellurique (troubles nerveux liés il la), «[ ?
47 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
A fait les campagnes de 64, 66, 67, 70 et 71. En 1865, il a eu une fièvre typhoïde grave. En 1870, il a eu un rhumatisme
gique, février 1899.) E. B. VIL Des paralysies généralisées dans la fièvre typhoïde ; par le Dr Etienne. Les cas de para
ienne. Les cas de paralysies généralisées, diffuses, au cours de la fièvre typhoïde, sont rares, mais tous sont loin d'êtr
E PATHOLOGIE NERVEUSE. dans le cours ou dans la convalescence de la fièvre typhoïde, peut se présenter sous trois types cl
sparurent pas. Bien que le malade ait été antérieurement atteint de fièvre bilieuse hématurique et de fièvre typhoïde, l'aut
ait été antérieurement atteint de fièvre bilieuse hématurique et de fièvre typhoïde, l'auteur rejette l'hypothèse d'une né
illeurs, ce qu'il raconte : Vers l'âge de trois ans, ayant fait une fièvre cérébrale, à ce qu'on lui a dit, le Dr S... qui l
éréditaires. Dans ses anté- cédents personnels, il faut noter : une fièvre typhoïde à l'âge de quatorze ans. De plus une d
eorges, quarante ans, comptable. A noter pour tout antécédent : une fièvre typhoïde à l'âge de huit ans. 0 l'idée fixe.
les ascendants. ARRÊT DE DÉVELOPPEMENT DE L'HUMÉRUS GAUCHE. 113 fièvre avec céphalalgie violente, courbature, anorexie,
centres nerveux consécutives à l'hyperthermie expérimentale et à la fièvre ; par AI. le Dr ALmaiaco. On ne peut pas appl
s maladies fébriles. L'étude attentive des lésions produites par la fièvre chez l'homme permet à l'auteur d'émettre les co
x troubles délirants de l'alcoolisme, et l'on y retrouve, malgré la fièvre qui peut changer la manifestation toxique les t
elirium tremens. Le délire palustre aigu est celui qui constitue la fièvre pernicieuse coma- teuse. Il se présente sous de
élire ne relève d'aucune des causes déjà citées, et « survient sans fièvre chez des sujets qui ne sont ni des malades ni d
ses causes, telles que la déhilitation progressive, la cachexie, la fièvre , à des pansements longtemps prolongés, surtout
effet, la plaie opératoire s'in- 26 CLINIQUE MENTALE. fecta, une fièvre intense apparut, et le malade présenta les signes
persistaient, au point de compromettre même l'existence de C...; la fièvre était très pro- noncée, les forces déclinaient
avec une inconscience évidente. Quoique très fatigué, épuisé par la fièvre et par une abstinence prolongée, sinon absolue,
ment; la cicatrisation de la plaie fit de notables pro- grès, et la fièvre diminua; mais C..., qui jusqu'alors avait été ass
tre jours d'intervalle, de la même affection : début par frisson et fièvre , le lendemain, para- lysie brusque des jambes e
nnaissance durant deux à trois heures. Chez la pre- mière malade la fièvre cessa au bout de six semaines, reparut quinze j
ibilité et des céffexes; légère dysphagie. Chez l'autre malade la fièvre dura quatre semaines : démarche incertaine ; ac
s deux malades présentés fut également atteint à la même époque, de fièvre qui ne dura que quinze jours et d'accès convuls
t ici d'une affection d'origine infectieuse : la longue durée de la fièvre peut bien tenir 1L la localisation du foyer dan
uitter son lit ; en même temps, il eut des troubles généraux, de la fièvre , de la céphalée, pas de rachialgie. Rapidement
étant. Insuccès du traitement anti-syphilitique, cystite incurable, fièvre rémittente ; accidents gangreneux au sacrum. Le
coolique. A été atteinte il y a trois ans de troubles qua- lifiés « Fièvre cérébrale » par la famille. Les renseignements
uarante-neuf ans. Hérédité vésa- nique et congestive. Aurait eu une fièvre typhoïde il y a six mois, suivie d'accès d'épil
te-huit heures, s'est accom- pagné comme dhns les cas précédents de fièvre et de céphalée. Les facultés intellectuelles so
un accès d'agi- tation violente avec hallucinations terrifiantes et fièvre qui a dis- 440 CLINIQUE NERVEUSE. paru au mom
hagies, paralysie générale, méningites aiguës), grandes infections ( fièvre typhoïde, variole, pneumouie), intoxica- tion,
l'ana- cidité du suc gastrique, la prostatorrhée, les sueurs et la fièvre . Tout cela devient facilement intelligible par
rt avec le lancement de la jambe droite. Diagnostic. L'absence de fièvre exclut la poliomyélite anté- rieure aiguë des a
t-trois ans neurasthénique. Une pérityphlite à exsudat étendu, avec fièvre modérée, nécessite l'ap- plication d'un sac de
les paresthésies névralgiques de Bernhardt survenues à la suite de fièvre typhoïde. P. KERA VAL. LXX. Observation de para
hémor- ragie circonscrite, ou poliomyélite) parce qu'il n'existe ni fièvre , ni douleur, ni autre symptôme de ce genre, par
te dans l'ombre. Quatorze jours avant l'admission, il existe peu de fièvre , sensation anormale dans le dos, douleur thorac
s des centres nerveux con- sécutives à l' - expérimentale et à la fièvre , pal' il1arinesco, 228. Hypertrophie. Pseudo-ac
ar W vald, 510. Typhoïde. Des paralysies g-éném11- sées dans la fièvre , par Etienne, JI. Urobilinurie. Notes sur l'
48 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
11 se décida, à cet âge, à en manger, mais il eut de l'insomnie, une fièvre cérébrale et mourut (Journal de médecine, août 17
nt ne retrouva pas ' sa santé générale; il avait souvent des accès de fièvre et des sueurs nocturnes. Le 22 novembre, il se re
ce de douleurs a l'évacuation des vers, et leur exsurbation depuis la fièvre et la douleur thoracique, pouvaient donner l'idée
périodicité pour que dorénavant elle fût créée par l'imagination. La fièvre survenue il y a huit jours, en déprimant l'organi
escendue à 36,2. Je prescris 1 gramme de phénacétine contre l'élément fièvre , une potion thébaïque contre l'élément toux et l'
te, elle n'agit pas sur le bacille ; elle n'agit pas contre l'élément fièvre ; elle n'agit pas directement contre l'évolution o
marades, contagionnés dans le milieu nécrocervical, Ont un jour de la fièvre , de la toux, même des crachats hémop-toïques, et
e potion thébaîque, avec quelques antiseptiques, en quelques jours la fièvre tombe, et la maladie est enrayée. Elle reste enra
des malades. « Une dame de Gamaya souffrait depuis des années d'une fièvre continue ; désespérée des médecins, elle était ré
e militaire dans le Midi, il aurait eu pendant deux mois des accès de fièvre intermittente : l'année dernière il aurait eu pen
ermittente : l'année dernière il aurait eu pendant trois semaines, la fièvre tous les jours. Il a d'ailleurs fait, étant solda
semblait alors absolument tranformé. On ne put remarquer un atome de fièvre , ni l'ombre de douleurs les jours suivants. L'app
, entre Noël et l'Epiphanie, on était préservé pour toute l'année des fièvres et fluxions de poitrine ou de pleurésie ; en s'en
re et du petit doigt de la main gauche s'éteignit, j'eus des accès de fièvre intermittente, un érysipèle se déclara à un genou
que pour la Plata. Revient à la paix. Repart au Gabon et y attrape la fièvre paludéenne. Rapatrié, il se marie et entre dans l
porelle : Mens agitât molem. DE L'ATTITUDE CATALEPTIFORME dans la fièvre typhoïde et dans certains états psychiques. Par
. le professeur Bernheim (de Nancy) On observe très souvent dans la fièvre typhoïde le phénomène que voici : soulevez doucem
o ces phénomènes. Disons d'abord qu'ils ne sont pas particuliers à la fièvre typhoïde; ils existent chez maints sujets dans
r d'un certain état psychique. Quel est cet état psychique? Dans la fièvre typhoïde, ce n'est pas, comme on pourrait le pens
maintenir une jambe en l'air, surtout chez un malade affaibli par la fièvre typhoïde, fait contre-poids ou contre-suggestion,
e, telle que celle qui résulte de l'influenza, de la diphtérie, de la fièvre typhoïde, le fluide nerveux ne passe plus, la con
vue ce fait acquis qu'une aliénation mentale venue brusquement, sans fièvre , sans être précédée d'une obnubilationde l'intell
nerveuse est très chargée, fut atteinte d'influenza en février 1895 ( fièvre , abattement, douleurs dans la nuque, le dos). Pen
a une contrariété et la menstruation s'arrête. A treize ans et demi, fièvre typhoïde qui dura deux mois et demi. La malade di
rtement. 16 Avril. — Broncho-pneumonie du sommet droit. Hémoptysie. Fièvre 39°. Sueurs. Matité du sommet droit. Souffle. Râl
ladie a duré trois semaines. Amélioration de l'état mental pendant la fièvre , mais la maladie a laissé un très grand affaiblis
y avoir eu aucune tare névropathique grave. A huit ans, elle eut une fièvre typhoïde, fait à retenir et sur lequel j'insiste,
ur lequel j'insiste, car vous ne devez pas ignorer l'importance de la fièvre typhoïde comme élément étiologique de beaucoup de
ite, ou exposer son mari â la mort. En somme, chez une prédisposée ( fièvre typhoïde), un choc moral, un chagrin violent déte
mentale de l'), par de Santis, 312. Attitude cataleptiforme dans la fièvre typhoïde et dans certains états psychiques, par B
49 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
1. 24 ik PATHOLOGIE NERVEUSE. été atteinte de la syphilis, ni des fièvres intermittentes ; jamais elle ne s'était exposée
s graves, quelques an- gines, une uréthrite; pas de syphilis ni des fièvres intermittentes. Il y a longtemps qu'il se sent
as d'hérédité neuropathique, ni d'alcoolisme, ni de syphilis, ni de fièvres , ni de traumatismes ou d'autres influences noci
ébéphrénie; attaque convulsive avec opistotho- nos à la suite d'une fièvre typhoïde avec délire intense et avant le début
ait d'abord acceptée passive- ment. 97 août. Elle dit : « J'ai la fièvre typhoïde, empêchez qu'on ne vienne dans ma cham
des phénomènes tendineux ; conservation de la réaction faradique ; fièvre ; aucune espèce de phénomènes d'excitation spin
lie profonde et prolongée, avec tendance au SUICID1 ? diarrhée avec fièvre ; guérison; par le Dr CARYLE Johnstone. (T7te Jo
vorable ; néanmoins, après une assez forte attaque de diarrhée avec fièvre (il est à noter qu'il ne s'agissait pas d'une f
diarrhée avec fièvre (il est à noter qu'il ne s'agissait pas d'une fièvre typhoïde), son état mental commença à s'améliorer
te fillette de 13 ans ; il y a cinq ans, à la suite de céphalalgie, fièvre et vomissements survenus subitement, elle était
talement, amaurose totale. Sur ces entrefaites, les accidents de la fièvre typhoïde s'affirment. Le typhus est cependant l
on de l'alhélose. - Une jeune fille adulte est atteinte, depuis une fièvre typhoïde grave (phénomènes fébriles ayant duré qu
voit facilement survenir ces accidents dans la convalescence de la fièvre typhoïde, quand les membres ont subi une mauvaise
lle qui appartient à la même .catégorie. Egalement à la suite d'une fièvre typhoïde, il s'est pro- duit une contracture da
lébites 7 fois. Nous trouvons une proportion de ,5î p. 10 1 pour la fièvre typhoïde, et pour les autres affections générales
en action un état diathétique. Il peut être comparé au rôle de la fièvre , de l'émotion, de la lésion viscérale que l'on co
frisson général absolument semblable, dit-il, à celui des accès de fièvres intermittentes et bientôt après il perd connais
un craquement, pendant les rares mouvements qu'il faisait ; pas de fièvre . La durée de ces douleurs a été de six heures e
upérieure de la poitrine. Pas de dispositions neuropathiques, ni de fièvres intermittentes, ni de syphilis, ni de traumatis
emière observation, on ne constata de rhumatisme articulaire, ni de fièvre intermittente; intégrité du coeur de l'utérus,
ans le produit de la distillation de l'acétone (réactions upra).Or, fièvre et diabète mis à part, chez les aliénés à désor
urs, afin de ne pas exaspérer la douleur. Il n'y avait pas trace de fièvre . Ces arthropathies sont d'une inten- sité toujo
selles. Décubitus aigu, accompagné de décomposition d'urines et de fièvre , guéri. Le 15 février, retour de la motilité et
e rouge. Le 25 janvier, cette plaque rouge s'ulcère, il avait de la fièvre . Ses urines rendues par la sonde exhalaient une
e escarre se forme à la région sacrée, très étendue, accompagnée de fièvre . Le 20 juin, un nouveau symptôme se déclare; ce
toujours très grande; elles sont conti- nues et non accompagnées de fièvre . Toutefois leur durée a été toujours très court
atisme, le refroidissement, l'épuisement du système musculaire, les fièvres intermittentes et d'au- tres influences nocives
'auteur étudie principalement les troubles nerveux consécutifs à la fièvre typhoïde. Nous relevons : trois observations à l'
lle, mais loca- lisée, des ataxies et névroses convulsives après la fièvre typhoïde. Puis M. Lunz examine ensuite les trou
nt ; à la fin ou dans le cours de maladies aiguës, non pas quand la fièvre est à son summum, mais plus tard ; ou encore à
vées, sans certificats, tout comme un cas de delirium tremens ou de fièvre . C'est permis en Ecosse et non en Angleterre. P
le (etitérou- rhées), ou de vomissements très opiniâtres. Un cas de fièvre d'ori- gine centrale. Deux faits d'accidents ép
rente-six ans. Sa mère avait été atteinte de manie à la suite d'une fièvre typhoïde. Pendant l'été de 1886, elle eut, par
50 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
d'actes impulsifs. Observation. Grand-père ivrogne, mère arriérée; fièvre typhoïde ci huit ans, angine couenneuse à dix;
eu, au dire de la mère, de con- vulsions, mais à l'âge de huit ans, fièvre typhoïde grave, et angine couenneuse deux ans p
rdée à M. d'Olier qui vient de mourir derniè- rement, victime d'une fièvre typhoïde contractée dans son service. Son mémoi
ut se compliquer accidentellement de diarrhées, de dysenterie, de fièvres palustres, de fièvre typhoïde. Au Japon, on a vu,
identellement de diarrhées, de dysenterie, de fièvres palustres, de fièvre typhoïde. Au Japon, on a vu, suivant les circon
férentiel par rapport à la manie, la mélan- colie, la méningite, la fièvre typhoïde, l'encéphalite, le délirium tremens fé
fection nerveuse ; les autres succom- bèrent par' épuisement ou par fièvre hectique. Dans deux cas on'trouva des tumeurs c
s stomacales et intestinales et presque toujours cachectisés par la fièvre intermittente. Elles apparaissent au moment de
ns les proportions de 30 et 67 p. 100, mais les , deux éléments b fièvre ou- infection en sont,, pour, M. |Kra3pelin,,les,
l'auteur,considère comme, relent vant de l'action commune, de, la, fièvre , et du poison, ne, sont) autres que les, trois
AoM, ? ? ! a/d; ? eMHe,classique, qui, ,pour tous, représente, une, fièvre 1 intèrmitte 1n'te,, larvée.. Elle\ diffère, pour
sachant que la.yésanie accompagne, suit ou, rem- place un accès de fièvre , en recherchant les symptômes somati- ques; ass
ons traumatiques de la tête dans 42, cas, (31 hommes et 11 femmes); fièvre intermittente dans 2 cas (2 hommes); insolation
lt; ,, , , , 1 ... 1 VU' t L'important travail de M. Wood, sur la fièvre et sur r sà* ph y7 siologie pathologique, conti
e chapitres princi- étudie successivement : , les, symptômes, de la fièvre , il 1 ? - ? ) ·lo » ..u i ;g 1 V. , 1 U'ybr)n t
nution de la calorification ; ;' les 'phénomènes thermiques 'de' la fièvre et la théorie de la fièvre constituent les' deu
;' les 'phénomènes thermiques 'de' la fièvre et la théorie de la fièvre constituent les' deux derniers'chapitres. ' " · '
moire de,M"Woo -d;'ell'traitë'dèi'plié0-'M'ènes calorifiques de, la fièvre et de la production artificielle de la fièvre che
s calorifiques de, la fièvre et de la production artificielle de la fièvre chez les animaux, au moyen d'injections intra-v
r chapitre du travail que nous analysons porte sur la théorie de la fièvre . L'auteur discute, son origine,héma- tique ou n
température qu'en irritant localement les centres nerveux. , « La fièvre , dit-il (p. 3t8), même quand elle paraît d'origin
erveux cen- tral, c'est donc/de par cela même, une névrose. Dans la fièvre le centre thermo-modérateur n'est pas paralysé,
iale (hémiatrophie progressive), a), par Maragliano, 241, .iV^.li Fièvre , par Wood, 297. 8'fnoa Folié (à deux), par Mora
51 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
indigne d'un pays civilisé. Maladies infectieuses. Un seul cas de fièvre typhoïde chez l'enfant Bell... Un cas de scarla
Bicêtre pour la tei- gne. Maladies infectieuses. Une épidémie de fièvre typhoïde a sévi sur la Fondation Vallée et a po
sieur le Directeur, Il existe à la Fondation Vallée une épidémie de fièvre (1) Il s'agit-là d'une nouvelle application du
ternelle morte tuberculeuse, mère migrai- neuse, nerveuse, morte de fièvre typhoïde. - Soeur, convulsions. Chute durant
nombre de fois « un érythème diffus, très douloureux, accompagné de fièvre , et toujours limité aux extrémités inférieures.
du creux de l'aisselle. Durant ces deux jours, le malade a eu de la fièvre caracté- risée par de l'inappétence, delà cépha
reste toute sa famille. Pas de convul- sions dans l'enfance, pas de fièvre typhoïde, pas de rhuma- .. Antécédents hérédita
e convulsions en bas-âge. Rougeole et coqueluche vers 4 ans. Pas de fièvre typhoïde. Réglée à 10 ans et demi, puis resta d
tée, elle refuse de manger. Paraît très fatiguée et abattue. Pas de fièvre . Entre à l'infirmerie et prend 15 gr. d'eau-de-
fectuée régulièrement et sans accident. Pa8 de convulsions ; pas de fièvre infectieuse, sauf une varicelle à sept ans. - R
or- peur complète, ne reconnaissant personne : il avait un peu de fièvre . Le médecin aurait parle de méningite. Pas de g
'application d'un vésicatoire. A 6 ans, pneumonie, avec beaucoup de fièvre ; elle n'a pas modifié la maladie ner- veuse. En
dans ses antécédents morbides de maladies infectieuses graves (ni fièvre typhoïde, ni croup, ni oreillons). - Aucun accide
venir le manger. Le soir, à son retour à la maison, il avait de la fièvre , a refusé de manger, a demandé à se coucher. Ve
nce nocturne d'urine. - Rougeole à 4 ans. - Scarlatine à 4 ans 1/2. Fièvre muqueuse il. 9 ans : délire, léger affaiblissem
nous avons à relever : Rou- geole à 4 ans, scarlatine à 'tans 1/2, fièvre , typhoïde à 9 ans, durée trois mois; aurait eu
ucun progrès. 1899. 27 février. - Cinq accès épileptiformes. Pas de fièvre ; mais refus d'alimentation. °8/ëc·ier. - Scl
Etat du malade jusqu'à sa sortie (décembre 1880). 1881. Janvier. Fièvre typhoïde; suspension des accès du 18 décembre 1
e s'est relevé qu'un mois plus tard, le 2'c janvier par suite d'une fièvre typhoïde. nans la période des prodromes, il a e
riodes d'ex- citation maniaque, parfois violente. IV. Pendant une fièvre typhoïde, les accès ont été suspendus : c'est l
cas malheureusement trop rares, la rémission occasion- née par la fièvre typhoïde se continue et le malade guérit autant
52 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
itrine, au dire de la malade. Son père est mort à vingt-huit ans de fièvre typhoïde. C'était un homme de constitution robu
amais eu de crises de nerfs. Antécédents personnels I'a point eu de fièvre éruptive ou de maladie générale dans son enfanc
rtébrale). Les articulations pha- langiennes restèrent indemnes, La fièvre était vive, le gonflement articulaire intense.
s jeune enfance à l'âge mûr, nous notons seulement à quinze ans une fièvre typhoïde, non accompagnée de délire, et qui ne
tention d'urine et des fèces. Céphalalgies violentes, vomissements, fièvre , mort. A l'autopsie, au niveau de la huitième d
ant fait les campagnes de 1864, 1866, 1870-71, ayant eu en 1865 une fièvre typhoïde grave, est en 1870 atteint d'un rhumat
Paris, 1894. Libraires associés éditeurs. Narich (B.). Élude sur la fièvre dengue. Première épidémie de Smyrne (Turquie d'
violente se rattache à une affection fébrile aiguë ; notamment à la fièvre typhoïde, à la pneumonie, à la pleurésie, à la
consécutive à plusieurs attaques d'apoplexie. Cause déterminante : fièvre typhoïde en mai 1392. Cause occasionnelle : deu
. 1 Antécédents personnels. A trois mois, elle aurait éprouvé une fièvre cérébrale ( ? ) très grave qui dura plus de deux
ébrales. La malade garda le lit trois semaines. Elle avait eu de la fièvre avec soif vive, de l'anorexie, des sueurs très
d se retrouve chez notre malade. Déjà WeirMitchell avait signalé la fièvre rhumatismale comme antécédent morbide dans un c
'une véritable maladie, par les phénomènes somatiques, dénutrition, fièvre , qui l'accompagnent. Au point de vue psychique,
faire songer à une attaque de delirium tremens, mais il manquait la fièvre , le tremblement et la prédomi- nance des halluc
iv f. Psychiatrie.) M. ASCIJAFFEN13OURG. Des délires initiaux de la fièvre typhoïde. Une observation très complète montre,
st alors que la tempéra- ture vespérale de 38,4 fait soupçonner une fièvre typhoïde qui s'accuse de plus en plus. La fièvr
ait soupçonner une fièvre typhoïde qui s'accuse de plus en plus. La fièvre typhoïde une fois hors de doute, le délire cess
tupeur typhique progresse alors et avec elle arrive la mussitation. Fièvre très irrégulière ; affaiblissement très rapide.
vient la malade, il y avait eu, peu de temps avant, une épidémie de fièvre typhoïde à phénomènes surtout cérébraux. En con
17 exemples. Dans 7 d'entre eux le délire a précédé le début de la fièvre ; l'époque la plus tardive à laquelle on l'a cons
de délire fébrile vrai. Il ne mourut que 6 malades sur les 17 ; la fièvre typhoïde a présent une moyenne gravité, parfois
ité, parfois elle a été tout à fait légère. Le délire initial de la fièvre typhoïde parait se présenter sous deux formes d
délirantes comparées aux rêvasseries qui suivent le déclin de la fièvre , ou aux psychopathies qui occupent la période int
signes physiques viscéraux, la lièvre, l'existence d'une endémie de fièvre typhoïde, la constatation de causes d'épuisemen
iques. Mais ceux de la septicémie, de la rage, de la malaria, de la fièvre jaune sont presque impossibles à distinguer de
ion cérébrale, autant de facteurs pathogénétiques à démon- trer. La fièvre a été accusée, mais le délire initial en question
ée, mais le délire initial en question apparaît à une période où la fièvre manque, disparait lorsque celle-ci monte. On
ers à l'avis de Gerhardt, Vallin, Liebermestein. Les bacilles de la fièvre typhoïde en se dévelop- pant engendrent un autr
tiques, d'idiots ou de criminels ? L'Etat s'efforce de combattre la fièvre jaune et le choléra; pourquoi la loi ne s'effor
il agité. Aucun signe d'urémie, de lésion phy- sique du cerveau, de fièvre intermittente, de fièvre typhoïde. Tel est le c
rémie, de lésion phy- sique du cerveau, de fièvre intermittente, de fièvre typhoïde. Tel est le complexussymptomatique qui
ômes corroborent cette manière de voir, d'abord la brusquerie de la fièvre qui commence la maladie et qui cesse rapidement
ui se développait dans la convalescence de la manie suraiguë et des fièvres cérébrales ataxiques. Cette affection était carac
t du chapitre n de la seconde partie ; elles sont consécutives à la fièvre typhoïde, l'éry- sipèle cérébral, les délires a
gations, par Fi-aii- cotte, 207 : par Séla, 2f0; - initiaux de la fièvre typhoïde, par Aschaffenbourg, 232; sur le , p
DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. Typhoïde, délires initiaux de la fièvre ; par Aschaffenburg, 232. Urique, diathèse et
53 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s autres Pari- siens, à l'existence de la lèpre, du béribéri, de la fièvre jaune et autres maladies exotiques, bien que ce
eloppement physique de D... a été très précoce : réglée à onze ans. Fièvre typhoïde à treize ans. Enfant, elle se montrait
ne heure après l'ac- cident. T. 37°. Le soir, le blessé est abattu, fièvre légère. La tem- pérature est de 3R,v. 2S. T.
ion : une demi-heure, environ. 18 et 19. Le soir du 18 mars, pas de fièvre . Le 19, le pus est moins abondant et moins féti
taire; dans 10 cas, il existait une cause idiopathique (insolation, fièvre , frayeur, etc.) ; dans 10 cas, la maladie recon
SOCIÉTÉS SAVANTES. 257 Séance du 7 août 1891 (soir). M. Joffroy. Fièvre typhoïde et folie. Le travail porte sur quatre
e, délire sénile, mais coor- donné, cicatrices au grand trochanter, fièvre typhoïde à l'âge de : 3 ans avec troubles nerveux
assez rapidement. Dia- gnostic : troubles vésaniques à la suite de fièvre typhoïde. 2° observation. - A. P., attaques d'h
ques d'hystérie antérieures, accidents délirants à l'occasion d'une fièvre typhoïde, depuis, répétition du délire dans les
dans les attaques d'hystérie. 3° observation. Syphilis antérieure, fièvre typhoïde, à la suite démence précoce. 4° obse
oce. 4° observation. - Paraplégie absolue des membres inférieurs, fièvre typhoïde antérieure, stigmates avérés d'hystérie
hystérie avec grandes attaques depuis cette époque. Ce n'est pas la fièvre typhoïde qui crée les accidents, les accidents
ent sont des accidents héréditaires, c'est de la folie en germe, la fièvre typhoïde fait apparaître une cause qui existe d
ause qui existe déjà à l'état latent. M. Weill fait observer que la fièvre typhoïde n'a dans tous ces cas ni plus ni moins
que tous les processus infectieux déjà signalés. M. Joffroy. - La fièvre typhoïde a un rôle plus puissant que toutes les
typhoïde a un rôle plus puissant que toutes les autres maladies. La fièvre typhoïde est une maladie à manifestations inver
longue durée. Ou bien ils ne surviennent qu'après le décours de la fièvre : psychoses asthéniques, mélancoliques ou mania
s séances n'ont pas été publiées. , , - SOCIÉTÉS SAVANTES. 28 1 fièvre où elle exerce son action irritante sur un terrai
uée; elle s'est traduite par le complexus symptomatique connu, sans fièvre élevée; celle- ci atteignit passagèrement chez
vu de psychoses aiguës comme il s'en montre sous l'influence de la fièvre . L'in- fluenza provoque aussi chez les gens sai
les peuvent survenir huit à quatorze jours après la cessation de la fièvre (six observations). Quant à l'étiologie, sur me
se développer que le début de l'in- - lluenza, ou le maximum de la fièvre , ou l'acmée du stade ultérieur d'épuisement acc
n'a pas déterminé de psychoses spécifiques. M. EM3rINGIIAUS. - La fièvre de l'influenza n'a pas d'importance; nous n'avo
La psychose préexistante n'a pas été influencée par l'influenza; la fièvre intense ne provoque pas de délire chez les alié
ati- gues et les privations des deux sièges de Paris; en juin 1871, fièvre typhoïde grave qui le retient plus d'un mois à
mettre. Plus tard il a eu le chagrin de perdre sa jeune femme d'une fièvre typhoïde; enfin les événements de la guerre de
illeuse, pas de convulsions ; - 11° fille morle à vin2t-six mois de fièvre cérébrale'ayant compliqué une rougeole ; - i` ?
d'otite, ni d'ophtalmie; pas de dartres; pas de teigne. - Aucune fièvre éruptive; pas de diphthérie; pas de chorée; pas d
urs (hystérie, arriération intellec- tuelle et instabilité mentale, fièvre cérébrale). II. L'hystéro-épilepsie s'est dével
lade. DEUX NOUVELLES OBSERVATIONS HYSTéRIE MALE. 381 Pas d'autres fièvres . Pas de diphthérie; pas de chorée. Coqueluche a
Elle n'a guère exercé de modifications que celles que produit la fièvre . Il n'y a qu'un paralytique en rémission qui en a
u temps de la grossesse. Un autre pour cent considérable est dû aux fièvres infectieuses et accidents après la naissance. T
54 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
histoire DE l'affection actuelle. - A l'âge de H ans aurait eu une fièvre cérébrale ( ? ). Depuis 11 ans jusqu'à 17 ans,
s antécédents. - Antécédents personnels et histoire DE l'affection. Fièvre jaune en Cocbinchine en 1873, et scorbut en Lap
le de la maladie intercurrente. Mais, quand au lieu que ce soit une fièvre typhoïde ou éruptive, une pneumonie..., c'est u
dicieux des formes phar- maceutiques. Il a été préconisé contre les fièvres adynamiques et ataxiques, la leucorrhée, la gou
des délusions hypocondriaques, etc. R. M. C. IV. Quelques cas de fièvre typhoïde chez des aliénés par n. PERCY SMITH (T
ental Science, avril 1S87.) L'auteur relate sommairement six cas de fièvre typhoïde surve- nus chez des aliénés; nous ne r
nt de rien. La modification de l'état mental sous l'influence de la fièvre REVUE DE pathologie mentale. 103 typhoïde a d
e manie se sont nettement et soudainement calmés dès le début de la fièvre , et la manie n'a pas reparu. Dans un cas, la fi
es ordinaires des modificatious mentales qui succèdent parfois à la fièvre typhoïde chez les sujets sains d'esprits. Dans
Dans un cas, le malade était en convalescence mentale, avant que la fièvre ne fut diagnostiquée; l'amélioration mentale con-
stiquée; l'amélioration mentale con- tinua de progresser pendant la fièvre , et sans être aucunement re- tardée par elle. D
itué pour le malade un danger réel, tomba heureusement pendant la fièvre ; ce qui facilita notablement le traitement; il es
ation intense fut remplacée par le délire beaucoup plus calme de la fièvre typhoïde. Dans un autre cas, la dépression ment
que présentait le malade ne subit qu'une rémission passagère, et la fièvre ne fut pas accompagnée de délire. L'un des ma
pourra-t-on guérircertains accès de folie par l'inoculation de ces fièvres . Tout ce que l'on peut dire actuellement, c'est q
n peut dire actuellement, c'est que dans certains cas de folie, une fièvre typhoïde intermittente peut couper court à la m
. Après avoir fait l'histoire au point de vue qui nous occupe de la fièvre typhoïde, du choléra, de la fièvre intermittente,
int de vue qui nous occupe de la fièvre typhoïde, du choléra, de la fièvre intermittente, de la variole, de l'érysipèle, e
nir en des limites raisonnables principalement torsqu'onaatfaireàla fièvre typhoïde, que, lorsqu'il s'agit de paralysie gé
viennent dans l'enfance, pendant la grossesse, sous l'influence des fièvres érup- tives ou des maladies toxiques, en se bas
Etaient restées dans l'urne les deux suivantes : « Eliologie de la fièvre typhoïde et rétention d'urine; » « Diagnostic d
nales et frisson. 1 NJG PATHOLOGIE NERVEUSE. Les jours suviânts : fièvre , vomissements; application de vési- catoires su
âtré. Etat actuel (20 août 1883). Etat général mauvais; frissons, fièvre , amaigrissement prononcé. Douleurs vives dans l'a
mbe; - les tremblements passagers, ceux par exemple que provoque la fièvre ou une émotion; - le tremblement post-hémiplégi
ts pro- gressifs sans convulsions, ni syncopes, ni vomissements, ni fièvre , ni céphalalgie. En même temps, agitation, terr
° les démences de la puberté ; 7° les démences des maladies aiguës, fièvre typhoïde et états puerpéraux auxquels il joint la
use, agisse sur le système nerveux.' Ainsi, dans les cas légers, la fièvre est modérée et de courte durée; elle n'exige qu
t favorablement chez un neurasthénique qui avait présenté une forte fièvre avec sueurs profuses consécutives. L'influenza
Observation d'un enfant de douze ans, tourmenté, à la suite d'une fièvre typhoïde normale, d'nne impulsion sexuelle excess
équences de l' sur le système nerveux central, par Tuczek, 263. Fièvre typhoïde chez les aliénés, par Percy Smith, 102
55 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
MENTALE. distance ; on lui souffle des odeurs qui lui donnent la fièvre . Son oreille est assourdie de bruits infernaux,
en effet, il a été pris d'embarras gastrique fébrile, et malgré une fièvre intense, de la dépression physique, l'équilibre
nté; l'autre morte en couches à quarante-sept ans. Un frère mort de fièvre typhoïde.] Pas de consanguinité. Le mari n'avai
on frontale ascendante et la moelle allongée) de ma- lades morts de fièvre typhoïde, récurrente ou puerpérale, de pyohémie
ennent souvent, dans la période ultime du morphinisme, des accès de fièvre qui mé- ritent une mention spéciale : ils revêt
ais, parfois, l'intermittence est irrégulière. Au pa- roxysme de la fièvre , survient souvent du délire. Parfois on n'obser
souvent du délire. Parfois on n'observe aucune intermittence, et la fièvre revêt l'apparence d'une lièvre typhoïde ; les m
rdialgies, et névralgie intercostale gauche. En 1 8 G 9 , après une fièvre typhoïde, cet état s'aggrava tellement qu'on du
ndantes, affaiblissement de la mémoire, apathie, diplopie, accès de fièvre intermittente. Elle pri à diverses reprises la
upe, mais aux derniers jours delà pneumonie, lors de la chute de la fièvre : 38° à 39°, engendrés momentanément par la fai
les unes, avec la chute,de la T. entre la période d'éruption et la fièvre de suppu- ration ; les autres pendant la desqua
- sième semaine par de l'insomnie ou une crise de manie, après la fièvre de suppuration, pour se prolonger de un mois à un
rès grave ayant déjà fourni un délire fébrile. 2° Scarlatine. Cette fièvre éruptive serait la cause essentielle et non pas
rveux). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 113 Ceux qui accompagnent la fièvre se bornent, au moment de l'acmé thermique, à de
t un délire furieux, une agitation extrêmement violente, pendant la fièvre ainsi qu'en font foi deux autopsies : taches ro
. forme de la mélancolie active : ressemblant à certains types de fièvre intermittente larvée ou au début d'une psychose
rs qu'interviennent progressivementles éléments pathogénétiques : fièvre , hyperthermie, troubles circulatoires, dégénéresc
d'elles comme de toute psychose née sur un terrain prédisposé ; la fièvre typhoïde a simplement préparé le système nerveu
me nerveux, elle n'est plus en cause. Les maladies voisines de la fièvre typhoïde donnent bien plus rarement lieu qu'elle
psychopathies. M. Kroepelin en a réuni six exemples relatifs à la. fièvre récurrente, dont cinq appartenant à la période fé
nt, té- moin chez ce dernier aliéné les accidents du décubitus avec fièvre , sans que la périeticéplialite prenne la marche
s, deux sont morts en bas âge, l'un de la coqueluche, l'autre d'une fièvre cérébrale. Les troubles intellectuels datent de
ins. Il peut arriver que pendant un accès délirant consécutif à une fièvre typhoïde ou quelqu'autre maladie aiguë, un malade
ble degré de plagiocéphalie. A treize ans et demi, il aurait eu une fièvre typhoïde; il est allé à l'é- cole, il a appris
l'attention dirigée vers l'oreille, dans le cours ou à la suite dés fièvres éruptives, que le médecin qui négligerait ce soin
coqueluche, de la scarlatine, de la rougeole, de la variole, de la fièvre typhoïde, de la tuberculose pulmo- naire. La sc
56 (1881) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1880
il est fort, très grand, hien portant ; il a eu, étant soldat, des fièvres intermittentes ; excès de boisson mensuels ; pa
s, il y avait un répit de quelques semaines. A 6 ans, il a eu une fièvre typhoïde à la suite de laquelle il est resté six
s, la- quelle a persisté 5 mois. Est-ce à cette dermatose ou à la fièvre typhoïde qu'il faut attribuer la suspension des c
. Dans tous ses jeûnes, il restait couché, ne paraissant avoir ni fièvre , ni douleur. Dès que le jeûne était fini, il man-
i de migraines, mais douleurs de têtes fréquentes. Il aurait eu une fièvre typhoïde, un érysipèle et la teigne ; intellige
sions. Coxalgie double à la suite d'une chute. - 3° Garçon, 15 ans, fièvre typhoïde à 3 ans, à la suite de laquelle il aur
Eczéma aux jambes depuis un an. Rougeole à 4 ans, mais pas d'autres fièvres éruptives ; pas de convulsions. Cet enfant a
quel il aurait passé 1 mois à l'hôpital pour la dysenterie et les fièvres . Il avoue lui-même qu'il était, à cette époque, g
RNEVILLE. Notes et observations cliniques et thermométriques sur la fièvre typhoïde. In-8 compacte de 80 pages, avec 10 trac
RNEVILLE. Notes et observations cliniques et thermométriques sur la fièvre typhoïde. In-8 compacte de 80 pages, avec 10 irac
ogique qu'il convient d'attribuer au rhumatisme articulaire aigu ou fièvre . arthritique. Brochure in-8 de 2U pages. 0 fr.
AREM (G.). Leçons cliniques sur les manifestations cardiaques de la fièvre typhoïde, recueillies par Boudet de Paris. In-8 d
de 34 pages, 1 fr. 50. Pour nos abonnés.. 1 fr. JOSIAS (A.). De la fièvre typhoïde chez les personnes âgées.Vo ? in-8°de
57 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
'admit dans son établissement, où il resta 5 mois et fit, dit-il, une fièvre typhoïde. Ce qui est parfaitement sûr, c'est qu'i
en portant, il a fait son service militaire en Afrique, où il a eu la fièvre typhoïde et lés fièvres intermittentes. Il n'a pa
on service militaire en Afrique, où il a eu la fièvre typhoïde et lés fièvres intermittentes. Il n'a pas eu la syphilis. Jamais
maladie du foie; e^e a été prise de troubles mentaux à la suite d'une fièvre typhoïde à 28 ans. Elle se figurait qu'on lui v
l s'écoula seulement un peu de sang. Il n'y avait d'ailleurs point de fièvre , pas d'état général grave et la jeune malade ne s
hérédité. Notre malade a eu des convulsions dans l'enfance, et les fièvres intermittentes vers l'âge de 4 ans. Elle a été ré
avec l'œdème proprement dit, avec un phlegmon. Dans ce dernier cas la fièvre et les divers caractères de l'inflammation plus o
lade ne se rappelle rien de son enfance. Il y a cinq ans elle eut une fièvre typhoïde, deux ans avant elle avait eu une fluxio
Le soir même, douleurs abdominales et frisson. Les jours suivants : fièvre , vomissements ; application de vésicatoires sur l
lâtré. Etat actuel (20 août 1883). —Etat général mauvais; frissons, fièvre , amaigrissement prononcé. Douleurs vives dans l'a
frères et une soeur sans accident nerveux. Antécédents personnels.— Fièvre typhoïde en 1875.— Accès de fièvre pernicieuse en
erveux. Antécédents personnels.— Fièvre typhoïde en 1875.— Accès de fièvre pernicieuse en 1880; est resté huit jours sans co
sine de caoutchouc, généralement bien portant, sauf quelques accès de fièvres intermittentes (If). Il y a quinze ans environ, i
'est plaint fréquemment de douleurs de tête. Elle aurait eu aussi des fièvres intermittentes, quoique n'ayant jamais vécu dans
dies ni blessures, il acheva son service dans les colonies et prit la fièvre intermittente au Sénégal. Vers la fin de son temp
; il ne s'enivre pas. Pas de syphilis. A seize ans, il contracta la fièvre typhoïde. En 1868, il se fractura le poignet gauc
dentellement; la cinquième est folle comme le deuxième, à la suite de fièvre typhoïde. Il connaît peu ses collatéraux et ses g
nous autres Parisiens, à l'existence de la lèpre, du béribéri, de la fièvre jaune et autres maladies exotiques, bien que ce s
vive et fut considérée comme de nature rhumatismale ; il y aurait eu fièvre (?) mais pas de gonflement ni de rougeur. Au bout
a cependant des antécédents pathologiques : à cinq ans une attaque de fièvres intermittentes, à 18 ans une fièvre pernicieuse s
ques : à cinq ans une attaque de fièvres intermittentes, à 18 ans une fièvre pernicieuse suivie d'une forte rougeole ; enfin,
x articulations des deux poignets et du genou droit, avec un peu de fièvre ....., le lendemain il n'y avait plus qu'un peu
, aurait eu des attaques étant jeune. Sœur morte à dix-neuf ans de la fièvre typhoïde. Elle a eu des attaques. Une autre sœur
ulations finirent par s'enflammer et du gonflement survint avec de la fièvre et des douleurs épouvantables à chaque crise. On
58 (1888) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1887
e scarlatine, tous ont guéri ; - En août, nous avons eu un cas de fièvre typhoïde. XIV MUSÉE PATHOLOGIQUE. Musée patho
ent au cou d'assez grandes cicatrices. A dix ans, il fut pris d'une fièvre nerveuse; à quatorze ans, à l'exception des ver
isons, il se plaignait de douleurs dans les membres, auxquelles une fièvre se joignit plus tard , les douleurs dans les me
affectifs. Il travaillait à la cordonnerie chez ses parents. Pas de fièvres éruptives, pas d'accidents strumeux. a A mon id
'une à quatre mois, on ne sait de quoi, l'autre, à neuf ans d'une fièvre typhoïde ; la dernière est en bonne santé. Pas d'
e La Roche- sur-Yon, l'observation suivante : Observation XXII. - Fièvres intermittentes. - Attaques éclamptiques à l'âge
, elle fut prise de phénomènes éclamptiformes à la suite d'accès de fièvre inter- mittente ; combattus par le sulfate de q
uche pendant six semaines. Enfin il aurait eu de temps en temps des fièvres éphémères. Ni succion, ni balancement. Digestio
uvent après les accès. Pas de cauchemars ; pas de secousses, pas de fièvre , pas de peurs. Il a eu beaucoup de vers étant
n cacz, marche à quinze mois. - Coqueluche à deux ans et demi, puis fièvre typhoïde et pneu- monic.-Rougeole à quatre azs.
inquante-neuf ans, cocher, assez corpulent, aurait eu en 1867 une « fièvre cérébrale o 1 ; n'aurait jamais fait d'excès de
eure; on ne croit pas qu'il ait eu d'otites ni d'ophthalmies, ni de fièvres éruptives, ou de maladies d'enfant, du moins chez
nués trop tôt, on ne note que peu d'amélioration. - 1859. Avril : Fièvre scarlatineuse, puis traitement par la liqueur ars
en dehors de la névrose, on ne peut constater aucune autre cause de fièvre . C'est là un fait qui, jusqu'à présent, a trouv
effets, devraient s'additionner, peuvent évoluer sans déterminer de fièvre , surtout lorsque leur chiffre n'est pas élevé e
que nous venons de le dire, dans d'autres petites séries d'accès la fièvre fait complè- tement défaut ou bien, le nombre d
défaut ou bien, le nombre des accès étant faible, on cons- tate une fièvre élevée tout à fait hors de proportion avec l'inte
etc. DE LA TEMPÉRATURE CENTRALE DANS L'ÉPILEPSIE. 189 des accès, fièvre qui peut mêmer accompagner un état purement com
de phénomènes convulsifs res- semblant à un accès, ou bien enfin la fièvre en question se sépare nettement d'une façon bie
lications assez fréquentes, il ne survient chez les épileptiques de fièvre notable que dans des circonstances tout à fait
ble que dans des circonstances tout à fait déterminées et que cette fièvre se rattache à des règles qu'il est possible dès
59 (1918) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 28] : iconographie médicale et artistique
cédents : son père quelque- fois seulement se saoule. A souffert de fièvres paludéennes en bas-âge. A l'âge de 10 ans a eu
ffert de fièvres paludéennes en bas-âge. A l'âge de 10 ans a eu une fièvre éruptive sans pouvoir préciser laquelle. Dans sa
s repas. A eu des convulsions en bas âge. A l'âge de 9 ans, a eu la fièvre typhoïde. Depuis l'âge de 10 ans jusqu'aujourd'hu
ion. - Courbes... Début. Douleurs dans les jambes depuis le 16 mai. Fièvre dès le début à 39°. Céphalée vive. Symptômes
s et de difficulté à la marche. Le premier jour, aurait eu 39° de fièvre , puis apyrexie définitive ; en même temps inapp
Localité de contamination. Hoév... Début. Brusque le 7, par de la fièvre , des douleurs très vives dans les jambes, empêc
ec faiblesse. Du 15 au 30, la température se tient vers 37°2, 37°3. Fièvre plus violente au début. Symptômes à l'entrée. D
ns les jambes, au niveau de la crête du tibia, surtout nocturnes. Fièvre . Température autour de 37°2, 37°3 ; à partir du 1
à la fin de cette période, deux heures avant la constatation de la fièvre ; il arrivait à pied, ayant l'aspect d'un homme
de marcher; dans l'observation VI, le 7 mai, apparition brusque de fièvre et dé douleurs très vives dans les jambes empêc
hypertension n'ayant été constatée qu'au 8= jour. 21 6 ÉTIENNE La fièvre , précoce, est parfois à ascension extrêmement bru
at se rapprochent de ceux signalés par W. Leishman sous le nom de « fièvre des tranchées », notamment la brusquerie de l'i
articulaires aigus. Courbature. Rhumatismes articulaires aigus avec fièvre . Courbature grippale. Rhumatismes articulaires ai
rver des cas en tous points comparables à ceux déjà étudiés dans la fièvre typhoïde. (2) G. ETIENNE, Sérothérapie dans deu
s héréditaire. Cas de polynévrite. Le ma- lade avait eu en outre la fièvre paludéenne (cité après Jahresber. über die Fort
ieuses, et qui en est l'avant-coureur. Elle n'est pas compliquée de fièvre , mais d'un dégoût de toutes choses et d'un gran
s jambes rompus, mais ils ne s'alitent que lorsque le frisson et la fièvre les prend (p. 347). « Il y a une autre faible
les prend (p. 347). « Il y a une autre faiblesse qui accompagne les fièvres , surtout les continues et rémittentes et qui de
les sont dans leur vigueur. Parmi toutes ces différentes espèces de fièvres , il n'y en a point qui abattent plus les forces
s de fièvres, il n'y en a point qui abattent plus les forces que la fièvre chaude et l'hémitritée, qu'on appelle vulgairem
es que la fièvre chaude et l'hémitritée, qu'on appelle vulgairement fièvres malignes (p. 347)... - - « Asthenia ab inanitio
* SYMPTOMATOLOGIE DES tumeurs ET DES abcès cérébraux 307 Le 15. - Fièvre à 39°. L'assistant constata l'existence d'une mon
n le 15 janvier et deux, les plus forts, le 25 du môme mois. 3° Une fièvre qui monte jusqu'à 39° du 15 janvier au 18. . Av
e motrice droite. La rapide succession des symptômes, la crise de fièvre qui passa en trois jours, mais qui monta à 39°,
tomba subitement malade, avec des malaises, des vomissements, de la fièvre , des troubles d'esprit et il a été inconscient
démontré. Les symptômes ne peuvent être en général identiques. La fièvre ne peut pas être regardée comme un caractère dist
de la température, comme le démontrent mes observations 1 et V. La fièvre peut survenir très vite, comme il ressort de l'ob
ppli- quer à l'observation I, où il faut la regarder comme une pure fièvre de résorption. Froin dit de cette fièvre hémato
la regarder comme une pure fièvre de résorption. Froin dit de cette fièvre hématotytique « qu'elle est de courte durée, at
qu'il s'agissait d'un processus inflammatoire, en se fondant sur la fièvre et sur l'apparition initiale (obs. 5 jours après
60 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ion semble normal. Appétit excellent, digestions régulières. Pas de fièvre . Poumons et coeur en par- fait état. Lorsque
embarras plus prononcé de la parole, une accélération du pouls sans fièvre , des étouffements. La suppression du médicament
tinence d'urine nécessita un changement perpétuel du pansement. La fièvre s'alluma dès le second jour, le pus se fraya un
cielles, témoignent pré- cisément de pertes de substances dues à la fièvre typhoïde, à la tuberculose, à des affections gé
etc.) Le délire d'inanition consécutif à des affections somatiques ( fièvre typhoïde, pneumo- nie, scarlatine) relève de co
ix ans : premier accès d'épilepsie. Caractère et marche des accès ; fièvre continue à douze ans. - Description du malade;
ucun traitement. Comme maladies antérieures, l'enfant n'a eu qu'une fièvre mu- queuse qui a duré un mois et pour laquelle
se. 227 l'ura et des douleuis s rhulllaloïdcs dans les jambes, sans fièvre . Bientôt après, il se manifesta une iritis doub
lsions, paralysies, sopor, vertiges, hyperes- thésies, anesthésies, fièvre ). En étudiant ces combinaisons, on arrive à res
paralysie, assoupissements, vertiges, hyperesthésie, anes- thésie, fièvre , etc. C'est dire du même coup qu'il n'existe pas
dut garder le lit. Après deux semaines les douleurs diminuaient, la fièvre cessait; mais la faiblesse, restée à un haut de
vant lentement et qui se montra plus clairement quand par hasard la fièvre s'y est jointe, si nous prenons en considératio
hé pendant t un an ». Il n'a jamais eu la rougeole, ni aucune autre fièvre : n'a jamais présenté d'autres accidents nerveu
son potage; deux ou trois selles diarrhéiques, jaunâtres par jour. Fièvre très modérée, n'ayant rieu de particulier; vési
, il a suffi de l'apparition d'une maladie aiguë et notamment d'une fièvre typhoïde, d'une variole, d'une scarlatine, ce s
cas de paralysie ou de dégradation intellectuelles consécutifs aux fièvres éruptives, à la fièvre typhoïde. La thèse du re
dégradation intellectuelles consécutifs aux fièvres éruptives, à la fièvre typhoïde. La thèse du regretté Fritz sur les sy
yphoïde. La thèse du regretté Fritz sur les symptômes spinaux de la fièvre typhoïde a ouvert la série de recherches que MM
Ann. méd. psych. Janvier 1873. 2 Fritz. - Symptômes spinaux dans la fièvre typhoïde, 1863. 3 Roger et Damaschino. Recherch
iphthéritique ; (arch. de phys. 1101'm. et path., 1878). 7 Laveran. Fièvre typhoïde Tr. de pathologie et de cl. médicales,
s d'encéphalite superficielle signalée par Popoff il la suite de la fièvre typhoïde). 8 Marie. - Sclérose en plaques... Pr
r. Hertz, Zimmermann, Behrend, Krell. M. RATON. Sur une épidémie de fièvre typhoïde à l'asile d'aliénés d'Osnabrùck. Mémoi
ecine clinique allemande, communiqué plusieurs cas dans lesquels la fièvre typhoïde a déterminé la guérison ou l'améliora-
e Siegburg comprenaient aussi des paralytiques généraux atteints de fièvre typhoïde dont la maladie présenta une évolution
évolution plus favorable. Presque tous les auteurs attribuent à la fièvre typhoïde une action salutaire sur les psychoses
rois cas de mort et deux cas d'aggravation psychopathique de par la fièvre typhoïde. Nasse, lui, considère la fièvre typho
psychopathique de par la fièvre typhoïde. Nasse, lui, considère la fièvre typhoïde comme la maladie intercurrente qui exe
luence la plus favorable sur les aliénés. 11 est à remarquer que la fièvre typhoïde guérira aussi bien les maladies mental
s dans lesquels l'état psychique ne se modifie point pendant que la fièvre typhoïde marche, les idées délirantes ne dispar
nigne puisqu'il ne mourut personne ; en revanche, on constata une fièvre élevée, des accidents de néphrite et d'hépatite,
61 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
de chacun de nous , et que, que, par une admirable contagion, la même fièvre d’enthousiasme allumait notre sang qui battait à
« Il est une remarque que je crois nécessaire de faire à propos des fièvres intermittentes que notre collègue, suivant le pri
cette manière de procéder est sans inconvénient quand il s’agit d'une fièvre intermittente simple et bénigne ; mais si le suje
d’un accès pernicieux, caractérisé par une prostration profonde, avec fièvre intense et congestion considérable d’un organe im
affaiblis par le jeûne ou la diète, chez les sujets exténués par une fièvre lente (ataxique) longtemps prolongée, etc. Mais l
uire un poison moins dangereux. Nous voulons parler de la vaccine. La fièvre se guérira sans quinine, et sans que l’estomac ai
IN. CLINIQUE. GUÉRISON PAR I.E MAGNÉTISME D'UN CAS DÉSESPÉRÉ DE FIÈVRE TYPHOÏDE. A Monsieur du Potet , président de la
communication d’une cure opérée à l’aide du magnétisme dans un cas de fièvre typhoïde compliquée d’une congestion cérébrale su
clarée , ce qui ne l’empêchait point de constater les symptômes d’une fièvre typhoïde. Veuillez m’excuser de la longueur de
agnétisée. Les crampes étaient très-fréquentes, je les fis cesser, la fièvre était à son plus haut degré; lamaladeperditpresqu
Si l’on a quelquefois touché la peau d’une personne dans un accès de fièvre , on aura remarqué cette rigueur cutanée toute spé
ciale caractéristique de cette affection. Cet état de la peau dans la fièvre n’est autre chose que la persislance du phenomène
au premier contact des maladies à caractère endémique et surtout des fièvres , des dyssenteries, quoique l’équipage soit dans u
re gardes qui voyagèrent dans la même voiture, il leur communiqua une fièvre putride si grave que deux en moururent. Mais qu
ous les hommes enfin qui pensent ou croient penser, tous prendront la fièvre de propagande , beaucoup môme auront besoin de do
et ne doit pas être mis en oubli. Il en est de même dans les cas de fièvres intermittentes, lorsqu’un accès pernicieux survie
de plus fragile dans l’homme, à cette partie de lui que travaille la fièvre du sang, la fièvre de la pensée. La tradition pop
ns l’homme, à cette partie de lui que travaille la fièvre du sang, la fièvre de la pensée. La tradition populaire nous apprend
ins on sait et moins on sent, et que c’est de là que nous vient cette fièvre de merveilleux qui nous a pris nous autres scepti
ts, les sceptiques, l’expérience ne le prouve que trop, que saisit la fièvre du merveilleux, et il n’est pas logique de dire q
de plus fragile dans l’homme, à cette partie de lui que travaille la fièvre du sang, la fièvre de la pensée, et il conclut qu
ns l’homme, à cette partie de lui que travaille la fièvre du sang, la fièvre de la pensée, et il conclut que ce sont les ruine
ans l’homme. Et d’ailleurs qu’est-ce que cette assimilation de la fièvre du sang à celle de la pensée? Qu’y a-t-il de comm
irables, parmi lesquelles on peut mentionner particulièrement : Une fièvre de Crimée sur un soldat des gardes; guérie en une
i d'aller la. visiter ; je la trouvai dans un état fort alarmant. Une fièvre très-forte s’était déclarée , et le cerveau était
dix heures, j’eus le bonheur de voir la menstruation «'établir, et la fièvre et les douleurs céphaliqties se calmer. La nuit f
nt toutes les nuits; œdèmes des extrémités ; constipation opiniâtre ; fièvre presque continuelle ; plus de sommeil et mille au
ans faire éprouver la moindre douleur. Le sommeil s’était rétabli, la fièvre n’existait plus ; les selles avaient repris leur
nce, le foie avait repris sa colora- — iO:$ — tion normale ; la fièvre , le froid et tous les symptômes alarmants avaient
gue ; elle eut d’abord des étourdissements, puis, deux jours après la fièvre , ce qui lui supprima les menstrues qu’elle devait
ux personnage se retira en débitant la tirade d’habitude, morte d’une fièvre cérébrale amenée par un appauvrissement du systèm
sur la figure une éruption critique survenue à la suite d’un accès de fièvre . Il s’offrit néanmoins à faire tout son possible
démise, 265. Epilepsie, 487, 540, 597. Faiblesse générale, 511. Fièvre de Crimée, 486. — typhoïde, 130. Flueurs blan
62 (1902) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1901
1 de stomatite ulcéro-memb ? 11wllse; - 5 de cliar- rhée; - 2 de fièvre typhoïde; - 1 d'ophtalmie blennorrhagique ; - 1
pour ménin- gite; 1 pour accidents cérébraux (congestion); 2 pour fièvre typhoïde ; 9 pour la grippe ; 15 pour séries d'
ieuses : rougeole, scarlatine, variole, vac- cin (âge), coqueluche, fièvre typhoïde, accidents syphilitiques, diphtérie, f
ture la veille et le matin et nous maintenons l'enfant s'il a de la fièvre . - b) Tableau des mensurations de la tête. - c)
rhumatismes, pas de convulsions, pas de maladies vénériennes, ni de fièvre typhoïde. Il buvait beaucoup, mais n'était que
r et sa fille bien portantes. Un frère mort de tuberculose.] Mère : fièvre typhoïde à douze ans, pas de troubles intellectue
, cinquante-six ans, cordonnier. Pas de convulsions de l'en- fance. Fièvre scarlatine à quatre ans; fièvre muqueuse à douze
Pas de convulsions de l'en- fance. Fièvre scarlatine à quatre ans; fièvre muqueuse à douze ans; bronchite capillaire à qu
a rupture d'un anëurt/sme. Arrière-grand'mère paternelle morte de fièvre cérébrale. Oncle paternel mort de la poitrine.
ails. - Grand'mère paternelle morte iv une trentaine d'années d'une fièvre céré- brale, était « extrêmement intelligente »
e scarlatine, pas de varioloïde. Vacciné au vaccin de vache. Pas de fièvre muqueuse, pas d'angine, etc. On s'est aperçu, a
, un tempérament nerveux et la chorée clans l'enfance ; la mort par fièvre cérébrale d'une des grancl'-mères, par chagrin
colporteur, a eu des convulsions au moment de la dentition; pas de fièvre typhoïde, pas de chorée, de rhu- matismes, de d
t aux exercices, ne bavarde plus, se force pour manger, a un peu de fièvre de temps en temps, transpire beaucoup. 28 sep
67 ans,- sobre, est en bonne santé.- Sa mère est morte à 35 ans de fièvre typhoïde.- Un oncle paternel, souffrant d'une m
ille, .Bicêtre, 1901. Il 15 Il Antécédents héréditaires. ans, une fièvre typhoïde bénigne, sans délire ni accidents céré
ir au niveau du visage. 160 Rubéole; Hypothermie. Toujours pas de fièvre . L'état général est bon ; légère diarrhée; état
es. 15 mai. L'enfant reste à l'isolement en convalescence. Pas de fièvre , rien à signaler, si ce n'est un amaigrissement a
nfant 1new t brusquement sans avoir présenté, à aucun moment, de la fièvre ou un symptôme quelconque. Hier l'enlant avait
63 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s de la rou-eur'de la race ; les *pupilles sont contractées; pas de fièvre . Il urine dans son pantalon. r ,,... ïl ^, , g
mbilic. Langue'sale sû céntre,yrongé sur·lés bords ; soif intense ? fièvre ; il maigrit : prend un teint jaune et refuse le
is, de ; dilatation, sont sus- ,, pendus à cause, du -retour, de la fièvre ,,et des urines purulentes. ft -i<jL* ; ? âj
oide dans là, manie et. dans la folie- systématique aiguë, quand la fièvre est peu élevée; il en obtient de bons résultats.,
de Pott dorsal, symptômes et traitement, diagnostic différentiel de fièvres éruptives. Les candidats ont été classés dans l
tre-indications de la trépanation, étio- logie et prophylaxie de la fièvre typhoïde. , ^,Les candidats ont été admis dans
e question de pathologie : à Bordeaux : Signes et prophylaxie de la fièvre typhoïde; à Toulouse : Fractures de côtes; à Mo
tousser. Il transpirait beaucoup la nuit et paraissait avoir de la fièvre . Sa peau était brûlante. Pas d'herpès. Cetle fi
ait avoir de la fièvre. Sa peau était brûlante. Pas d'herpès. Cetle fièvre a duré un mois et lésions histologiques de la p
yons-nous, tort de s'attacher trop à la recherche soit des accès de fièvre dans les antécédents, soit des altérations splé-
sur- tout ces malades qui depuis longtemps n'ont plus eu d'accès de fièvre ; `7 cas avec engorgement hépatique; 6 cas ave
d'empoisonnement quinique et quelques heures après un fort accès de fièvre , qui a duré quarante-huit heures. A l'examen du
ns. Toujours bien portante, habite Batoum depuis six ans. Jamais de fièvre . Aucune névrose dans ses antécédents. Depuis
abite Batoum depuis quatre ans. Elle n'a jamais souffert d'accès de fièvre . Aucune névrose, ni autre maladie dans ses anté
ats. Mme P... habite Batoum depuis dix ans. Elle n'a jamais eu la fièvre franche, mais elle a de temps en temps des troubl
traitement par la quinine que je lui ai prescrit, un fort accès de fièvre éclata qui fut vite guéri, avec les troubles ne
(depuis 1878). Dès son arrivée à Poti, elle fut atteinte d'accès de fièvre qui ont duré deux ans avec des interruptions, e
rs chez elle. Mais depuis plusieurs années elle n'a plus d'accès de fièvre . Depuis un an elle se plaint de troubles pour l
s un séjour en France de quatre mois. Elle n'a jamais eu d'accès de fièvre , ni d'élévation de température. Le foie, la rat
au bras, pendant quinze jours, à six malades. Accidents signalés : fièvre , syncope, érythème. Un cas de guérison (mélanco
Etranglement herniaire, signes et diagnostic. Restées dans l'urne : Fièvre typhoïde; Fracture du rocher, signes et diagnosti
ie post-puerpérale, MM. Sé-las et Sollier', et 1 Séglas et Sollier. Fièvre puerpéral», amnésie, ataxie et abasie. (Arch. d
et 2° les névrites infec- tieuses (diphtérie, typhus, tuberculose, fièvres éruptives, grippe, etc., etc.).-Enfin, les névr
; lithiase biliaire, 1 cas; rhumatismes articulaires aigus, 3 cas ; fièvres typhoïdes, 3 cas. Veut-on savoir à quelles affe
monie, 3; affec- tion organique du coeur, 3; phtisie pulmonaire, 4; fièvre typhoïde, 1; attaques subintrantes d'épilepsie,
de symptômes difficile- ment explicables en dehors d'elle, comme la fièvre , les symptômes généraux, les douleurs d'oreille
est le seul enfant de sa famille; il avait un frère qui est mort de fièvre typhoïde. Jamais il n'a entendu parler de polyu
s d'un délire qui aurait duré trois à quatre jours, accompagné de fièvre et d'hallucinations visuelles en rapport avec son
ent qui se montre à la suite de l'érysipèle, de la pneumonie, de la fièvre typhoïde, des opérations chirurgicales, du choc
'elles amènent à leur suite. Il en est de même du rhumatisme, de la fièvre typhoïde, etc. Toutes ces affections sont, en s
psychose polynévritique. Mais dans les infections, en particulier, fièvre typhoïde, influenza, on constate aussi des trou
cédents sympathiques, le mode de début de l'affection, l'absence de fièvre , la persistance de l'état général et surtout pa
ce des intlanuuations thyroïdiennes à la suite du rhumatisme, de la fièvre typhoïde, de la variole ; dès lors, on peut admet
goitre exophtalmique se développe à la suite du rhumatisme ou d'une fièvre typhoïde. L'étude des relations du goitre endém
64 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
tout aliment et tombe bientôt dans un état de faiblesse extrême ; la fièvre s'allume, l'insomnie est continuelle, la maigreur
r lui, D..., était malade depuis quelques semaines avec » une vilaine fièvre qui lui avait causé nombre d'hallucinations et de
lui avait causé nombre d'hallucinations et de » frayeurs ; mais cette fièvre était tombée maintenant et quand il allait se » r
épigastrique vive : sa soif est extrême. Elle demande du vin : pas de fièvre ; les membres supérieurs tremblent considérablemen
um d'histoire naturelle, est chargé d'une mission en vue d'étudier la fièvre jaune dans les pays où elle sévit ordinairement e
s, le duc d'Angon-lême, qui suivait l'armée du roi, fut attaqué de la fièvre , et, sentant redoubler son mal, il resta à Meulan
ion s'opéra en lui qu'au bout de deux heures il se sentit soulagé. La fièvre qui le tourmentait depuis vingt-deux jours, dimin
ù il acheva de guérir. (Journal d'hygiène.) Sur une épidémie de fièvre typhoïde M. Bézy (de Toulouse). MM. Brouardel
M. Bézy a observé dans un village près de Toulouse une épidémie de fièvre typhoïde et le microbe en a été isolé par M. Fabr
ouva comme au lendemain d'un jour d'ivresse. Mal de tête, énervement, fièvre , mais il n'éprouva pas le sentiment de la soif. A
perçois d'un mieux réel dans mon état. Je ne suis plus constamment en fièvre comme par le passé ; je n'ai plus de mouvement d'
excessivement paresseuse. A huit ans et demi, elle tombe malade d'une fièvre typhoïde compliquée de fluxion de poitrine. Rentr
hangé. Autre fait: Un jeune homme de dix-huit ans, u la suite d'une fièvre typhoïde, était resté, depuis trois ans, incapabl
à des maladies intéressant l'équilibre général du système nerveux, la fièvre typhoïde, la scarlatine, la chorée, la paralysie
bles à son eclosión. Il en est, a cet égard, de la pelade comme de la fièvre typhoïde, de la tuberculose, de la lèpre, qui se
87;. à la suite d'une perforation intestinale, au douzième jour d'une fièvre typhoïde. Je ne possède aucun renseignement sur s
ouissait d'une très bonne santé et n'aurait jamais été alité avant la fièvre à laquelle il a succombe. La sœur de notre malade
Le moindre attouchement du ventre fait crier et pleurer la malade (ni fièvre ni vomissements). L'utérus, durci, tuméfié, est e
les organismes de la diarrhée de Cochinchine, de la dysenterie, de la fièvre paludéenne, les streptococcus de la suppuration e
en effet, mais, ainsi que l'autopsie l'a démontré, il a succombé à la fièvre typhoïde; et l'accusation d'empoisonnement n'a ét
s, mais dans la journée la plupart éprouvent des frissons légers, une fièvre éphémère avec sueurs, migraine, courbature, épuis
leur état de santé antérieur, tous ont été affectés sans exception de fièvres intermittentes, la plupart dès leur enfance; ou b
d'hérédité morbide. Elle a toujours eu une santé délicate, depuis une fièvre typhoïde qu'elle a eue à l'âge de 7 ans. Elle est
abondantes, bilieuses, fétides, ou des vomissements et parfois de la fièvre . Pendant près de trois mois, alors qu'elle était
ement entraînée a se mainteair. elle a éprouvé de véritables accès de fièvre qui débutaient par des frissons dans le dos accom
ont dissipés sans quinine, par le repos. Aujourd'hui elle n'a plus de fièvre , se maintient sans efforts, sa santé est très bon
t Sages-femmes. 2° Les Grandes Épidémies : Pestes. Mal des ardents. Fièvres éruptives, Suette, Scorbut, Lèpre et Syphilis.
65 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
tout aliment et tombe bientôt dans un état de faiblesse extrême ; la fièvre s'allume, l'insomnie est continuelle, la maigreur
r lui, D..., était malade depuis quelques semaines avec » une vilaine fièvre qui lui avait causé nombre d'hallucinations et de
lui avait causé nombre d'hallucinations et de » frayeurs ; mais cette fièvre était tombée maintenant et quand il allait se » r
épigastrique vive : sa soif est extrême. Elle demande du vin : pas de fièvre ; les membres supérieurs tremblent considérablemen
um d'histoire naturelle, est chargé d'une mission en vue d'étudier la fièvre jaune dans les pays où elle sévit ordinairement e
s, le duc d'Angon-lême, qui suivait l'armée du roi, fut attaqué de la fièvre , et, sentant redoubler son mal, il resta à Meulan
ion s'opéra en lui qu'au bout de deux heures il se sentit soulagé. La fièvre qui le tourmentait depuis vingt-deux jours, dimin
ù il acheva de guérir. (Journal d'hygiène.) Sur une épidémie de fièvre typhoïde M. Bézy (de Toulouse). MM. Brouardel
M. Bézy a observé dans un village près de Toulouse une épidémie de fièvre typhoïde et le microbe en a été isolé par M. Fabr
ouva comme au lendemain d'un jour d'ivresse. Mal de tête, énervement, fièvre , mais il n'éprouva pas le sentiment de la soif. A
perçois d'un mieux réel dans mon état. Je ne suis plus constamment en fièvre comme par le passé ; je n'ai plus de mouvement d'
excessivement paresseuse. A huit ans et demi, elle tombe malade d'une fièvre typhoïde compliquée de fluxion de poitrine. Rentr
hangé. Autre fait: Un jeune homme de dix-huit ans, u la suite d'une fièvre typhoïde, était resté, depuis trois ans, incapabl
à des maladies intéressant l'équilibre général du système nerveux, la fièvre typhoïde, la scarlatine, la chorée, la paralysie
bles à son eclosión. Il en est, a cet égard, de la pelade comme de la fièvre typhoïde, de la tuberculose, de la lèpre, qui se
87;. à la suite d'une perforation intestinale, au douzième jour d'une fièvre typhoïde. Je ne possède aucun renseignement sur s
ouissait d'une très bonne santé et n'aurait jamais été alité avant la fièvre à laquelle il a succombe. La sœur de notre malade
Le moindre attouchement du ventre fait crier et pleurer la malade (ni fièvre ni vomissements). L'utérus, durci, tuméfié, est e
les organismes de la diarrhée de Cochinchine, de la dysenterie, de la fièvre paludéenne, les streptococcus de la suppuration e
en effet, mais, ainsi que l'autopsie l'a démontré, il a succombé à la fièvre typhoïde; et l'accusation d'empoisonnement n'a ét
s, mais dans la journée la plupart éprouvent des frissons légers, une fièvre éphémère avec sueurs, migraine, courbature, épuis
leur état de santé antérieur, tous ont été affectés sans exception de fièvres intermittentes, la plupart dès leur enfance; ou b
d'hérédité morbide. Elle a toujours eu une santé délicate, depuis une fièvre typhoïde qu'elle a eue à l'âge de 7 ans. Elle est
abondantes, bilieuses, fétides, ou des vomissements et parfois de la fièvre . Pendant près de trois mois, alors qu'elle était
ement entraînée a se mainteair. elle a éprouvé de véritables accès de fièvre qui débutaient par des frissons dans le dos accom
ont dissipés sans quinine, par le repos. Aujourd'hui elle n'a plus de fièvre , se maintient sans efforts, sa santé est très bon
t Sages-femmes. 2° Les Grandes Épidémies : Pestes. Mal des ardents. Fièvres éruptives, Suette, Scorbut, Lèpre et Syphilis.
66 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tie, l'épilepsie, le strabisme, la paralysie, les névralgies, les fièvres cérébrales, l'apoplexie, l'excentricité, les ti
es et les urines. Vers le 20 janvier 1883, la malade est prise de fièvre . Le thermomètre marque matin et soir de 39° à 3
définie, il est vrai ; la poussée d'herpès, la teinte ictérique, la fièvre qu'a présentée la malade durant les quatre ou c
de consanguinité. Six enfants : Il une fille, morte à douze ans de fièvre typhoïde : elle était intelligente et n'avait p
ections nerveuses. Mère : asthmatique, morte à soixante ans d'une fièvre typhoïde; impressionnable, pas d'attaques de nerf
et un troisième de la coqueluche; enfin une soeur a succombé à une fièvre typhoïde. Pas d'accidents nerveux dans la famil
habitudes. Il n'a jamais eu de convulsions, ni de vertiges. Pas de fièvres éruptives, pas de.croup; pas de dartres ni de g
avait souvent, à peu pies une dizaine de fois par an, des accès de fièvre qui duraient deux ou trois jours. Ces accès ont
exceptionnel. 11 n'est donc pas admissible qu'un aliéné atteint de fièvre typhoïde, par, exemple, remette sa vie entre les
uestions orales étaient ainsi conçues : Signes et diagnostic' de la fièvre typhoïde; Eliologie, signes et diagnostic du ph
dividus atteints. P. K. 2tH REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ,111. Fièvre zoster ET exanthèmes zostériformes : par M. Lando
ation cutanée est subordonnée ci une neuropathie spéci- fique ». La fièvre zoster diffère de la fièvre herpétique qui récidi
e ci une neuropathie spéci- fique ». La fièvre zoster diffère de la fièvre herpétique qui récidive très fréquemment. a)
me il y a la scarlatine. 11 y a une fièvre-zoster, comme il y a une fièvre scarlatine et des éruptions zostériformes (névr
c.), comme il y a des exanthèmes scarlatiniformes, comme il y a une fièvre parotidienne et des parotidites. C'est à la sém
illons d'une parotidite, la coqueluche de la toux coqueluchoïde, la fièvre rhumatismale du pseudo-rhumatisme. c) Il y a en
a céphalalgie et de la diarrhée, ce qui fit porter le diagnostic de fièvre typhoïde. Plus lard, la lenteur REVUE DE PATHOL
siol., (18ï5). Binswanger(de Berlin), Blondet ont cité des cas de fièvre des fon- deurs (Meesing füber) avec manie chez
e même dénomi- nation, la masturbation et les maladies du coeur, la fièvre typhoïde et l'insolation, donnant ainsi à cette
et Charcot sur les folies consécutives aux maladies aiguës et à la fièvre typhoïde en y joignant les recherches de Marcel
observés dans certaines maladies infectieuses comme par exemple la fièvre typhoïde. Puisque M. Voisin voulait aborder ce
as d'érysipèle chez un buveur (Rayer), deli1'ium tremens dans une fièvre typhoïde (Duclos), à propos d'une fièvre septicém
deli1'ium tremens dans une fièvre typhoïde (Duclos), à propos d'une fièvre septicémique chez un phtliisique (Ebers), à la
s 1 fr. 35. PLUYAlID (P.-J.) - Étude des réflexes tendineux dans la fièvre typhoïde. Un volume in 8° de 72 pages. Prix : 2
a mélancolie anxieuse), par Co- tard, 289. Zoster (herpès), 245; ( fièvre et exanthèmes zostériformes), par Landouzy, 2
67 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e 1883, on l'envoie au Tonkin. Au' bout de six mois, il est pris de fièvre intermittente qui dure trois mois. - Vers cette
de cette conclusion se trouvent relatées plusieurs observations de fièvre calarrbale accompasnées d'encéphalite et même d
, bonne, attentive, intelligente. P. K. VIII. SUR une épidémie DE fièvre typhoïde A l'asile provincial D'OSLBRUC6 ; par
épileptique de cinquante-quatre ans (état de mal dèsle début de la fièvre typhoïde ; mortle dixième jour). Leur autop- si
forme psychopa- thique, de l'amélioration psychique au cours de la fièvre typhoïde (aucun paralytique général ne fut atte
de la fièvre typhoïde (aucun paralytique général ne fut atteint de fièvre typhoïde). Dans la plupart des cas, cette améli
uir chevelu et entraîne une suppuration profonde et étendue; peu de fièvre . A mesure que l'érysipèle gagne, les troubles p
rs*. Discussion : M. BENHARDT. N'y aurait-il pas eu des signes de fièvre intermit- tente (tuméfaction de la rate, etc...
iennes se peuvent montrer sans qu'il y ait eu auparavant d'accès de fièvre proprement dits. M. `WESTPHAL. La maladie date
nq ans. Il n'y a, pendant tout ce temps, pas eu lieu de penser à la fièvre intermittente. Des phénomènes passagers de ce g
git d'hystérie ou d'épilepsie. Antécédents personnels. A seize ans, fièvre typhoïde qui n'a pas été suivie de complication
La veille de ce jour et pendant la nuit, le malade eut un peu de fièvre , les tiraillements aux jambes augmentèrent; mais
face et des extrémités du côté droit avec perte de connaissance et' fièvre , coma, envahissement du côté gauche par les con
tère inflammatoire de la lésion se manifestant cliniquement par la fièvre , les convulsions et le coma. A l'autopsie on trou
l'ouie; absence d'attaques épileptiformes; pas de vomissements, de fièvre , d'amaigrisse- ment ; rien du côté de la vessie
atre membres, signe de Romberg, disparition des réflexes tendineux, fièvre (P = 100. T = 38). Sur cet ensemble symplo- mat
rveux sensibles à la pression; affection articulaire passagère avec fièvre ; quelques accidents ataxi- formes ; disparitio
atre ans, est entré le 14/26 août 1883. Anamnèse : en 1878, a eu la fièvre intermittente danubienne pendant neuf mois; rev
maladie de la moelle épinière. Le début subit de la maladie sans fièvre cependant, l'impossibilité d'expliquer l'existenc
en portante, n'offrant aucune trace de goitre, n'a jamais eu qu'une fièvre typhoïde dans l'enfance ; elle n'est pas migrai
,8. 6. - Th... est plus gai, et ne parait pas être accablé par la fièvre . La rougeur de la face a disparu; elle persiste e
ractérisé par des convul- sions, de la perte de connaissance, de la fièvre . Chez trois enfants venus au monde en etat d'as
t se composent des questions suivantes : Signes et diagnostic de la fièvre typhoïde. Diagnostie de la hernie inguinale. At
estion traitée par les candidats était : Signes et diagnostic de la fièvre typhoïde et diagnostic de la hernie inguinale. A
ome du lobe frontal), : 1.2 1 ! 233, 235. I Typhoïde (épidémie de fièvre -J à l'asile d'Osiiabruck),. p Ratai, 66. j
68 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
rie dans le village. D'après ce que le père raconte, elle avait une fièvre intense, elle resta même sans connaissance pend
demi dont la maladie commença par des troubles viscéraux et par la fièvre , le son de la voix s'affaiblissait de plus en p
able d'un enfant de 11 mois, dont la maladie débuta par un accès de fièvre et des crampes dans le bras droit. Après une ce
rendit mère la même année, mais il fut en même temps atteint d'une fièvre aiguë. Je fus mandé par la femme auprès du mala
et émacié, mais plus robuste et plus florissant encore qu'avant sa fièvre . Un pareil événement renversait toutes mes pré-
toutefois que les meilleurs médecins défendent le lait pendant les fièvres . De tels effets du lait ont cependant été rappo
âgé de 50 ans. Lui-même ne se connaît pas d'autres maladies que la fièvre typhoïde en 1888. Elevé par ses parents, il a c
naissance. Comme maladies : rougeole et coqueluche dans l'enfance, fièvre inter- mittente pendant un an de 7 à 8 ans, gri
t comme épileptique. A 12 ans, il en survint une deuxième après une fièvre typhoïde. Puis les crises disparurent. A 17 a
e, n'a eu en effet pendant sa grossesse ni émotion, ni accident, ni fièvre . Elle a remarqué que, dès la naissance, sa fill
sante. Elle a été alitée pendant une longue maladie (six mois) sans fièvre , que 1V... ne peut définir autrement. Elle n'a
Saint-Guy ». W ? en effet,avait gardé son appétit et n'avait pas de fièvre , et il était moins im- portuné par ses tremblem
e santé pendant plusieurs années, au bout desquelles il meurt d'une fièvre mali- gne. N'ayant jamais oublié les circonstan
aucher, Dejerine et Thomas, par syphilis ; Bernhardt et Pitres, par fièvre typhoïde ; Deje- rine, par grippe; d'autres par
flexion du coude durant le sommeil. BERNHAKDT. Paralysie double par fièvre typhoïde. Pitres. - Paralysie par fièvre typhoï
AKDT. Paralysie double par fièvre typhoïde. Pitres. - Paralysie par fièvre typhoïde. Babinski. Traité médecine. HALI,10,
dans son apparition. On a depuis longtemps parlé du rhumatisme. La fièvre typhoïde avait été accusée chez les deux jeunes
résenter de bien caractérisé, la petite est plaintive; elle a de la fièvre , quelques rares plaques d'urticaire sur le tronc;
écouverte du développement exagéré du membre inférieur gauche, sans fièvre ni douleur. Pouvons-nous prétendre à l'existenc
ccuse par des différences notables d'expression. C'est ainsi que la fièvre initiale manque parfois. La paralysie peut être t
e de défigurer le tableau habituel et d'égarer le médecin (1). La fièvre initiale, avons-nous dit, peut faire défaut ou êt
e et son degré, n'est quelquefois précédée, nj accompagnée d'aucune fièvre à son début ». Lorsqu'elle n'est pas compliquée
caractéristique à la maladie, le souvenir de ces quelques jours de fièvre se fût perdu sans doute et il ne fût venu à per
taine. La mère prétend bien qu'à la suite de ces quelques jours de fièvre l'enfant fut mise en retard pour marcher, tandi
eur. Lannois rappelle à ce propos l'absence d'éruption au cours des fièvres éruptives au niveau des membres atrophiés consécu
droit atrophié. L'on pourrait objecter à cet en- droit que dans les fièvres éruptives, l'éruption caractéristique manque parf
phie. On l'eût peut-être trou- vée, soit sous la forme d'une simple fièvre , soit sous celle de quelque ma- ladie infectieu
ndes analogies. Il s'agit d'une fille de 22 ans qui aurait eu une fièvre de quelques jour de durée, 3 ans et 3 mois avan
oint de vue, pour nous permettre d'incriminer ces quelques jours de fièvre et de les considérer comme le point de départ d
t quelques jours, a mis la petite malade à deux doigts de la mort : fièvre intense, T. 40 degrés, pouls incomptable en raiso
e n'a pas souvenir d'avoir jamais eu de maladies infec- tieuses, ni fièvre typhoïde, ni scarlatine, ni blennorrhagie. Il n'a
69 (1891) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1890
ands parents, sobres, pas de détails. -Un frère mort à 16 ans d'une fièvre intermit- tente. 3 frères morts tout jeunes. Un
s, elle était prise chaque soir de tremblement, de contorsions avec fièvre , accidents qui duraient une ou deux heures. Ver
con idérable. les yeux sont excavés, le teint pâle. Il n'y a pas de fièvre , pas de troubles gastriques, pulmonaires ou car
à 23 ans, a quitté son mari depuis 2 ani ; pas de convulsions ni de fièvre typhoïde. Migraines fréquentes, caractère nerve
on mari, débauchée, conduite déplorable. [Père mort à 40 ans d'une- fièvre typhoïde compliquée d'accidents cérébraux. « Mè
RNEVILLE et MORAUX. SoMMAfUE. Père mort de tuberculose pulmonaire ; fièvre typhoïde grave; strabisme léger; excès de boiss
berculose pulmonaire, après une maladie de quatre ans. Il a eu la fièvre typhoïde et a conservé depuis lors un léger degré
emporté, Antécédents personnels. Gourmes dans l'enfance; à 8 ans, fièvre typhoïde assez grave, s'étant accompagnée de dé
argent; pas d'excès de boisson, pas de convulsions de l'enfance, de fièvre typhoïde, de maladie de peau. Ni rhumatismes, n
ières convulsions à six mois; elles ont été précédées d'un malaise ( fièvre , refus du sein). Tout corps était raide, les po
hl halmies, d'otite, de dartres, de vers intes- tinaux, etc. Aucune fièvre éruptive, aucun traumatisme. Pas d'onanisme : c
e étranglée. Elle assure qu'il 1 n'a jamais eu de convulsions ni de fièvre typhoïde. Une de ses soeurs, à elle, est morte
le. Mère, trente-deux ans, brune, trails réguliers, intelligente; fièvre typhoïde à sept ans; pas de convulsions dans l'en
ion varioliformc, guérie le 10. 29 décembre. - L'enfant est pris de fièvre . Il refuse de manger. Dyspnée. Cris plaintifs.
ents. Respiration gênée, Râles muqueux abondants. Toux fréquente. Fièvre persistante. ' 8 janvier. La diarrhée a cessé p
ête très chaude, voix é- teinte, toux fréquente. 15 janvier. - La fièvre a toujours persisté aux environs de 39° et 40°.
igent; n'a jamais eu d'autre maladie due des accès pério- diques de fièvre , revenant chaque année à l'époque des foins, So
70 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
exemples, enfin certaines affections aiguës (méningite, scarlatine, fièvre typhoïde). Quant à l'âge, Berkham a fait une stat
éreuse. Mentionnons à part une complète étude sur une épidémie de fièvre typhoïde : 21 cas, dont 10 enfants idiots. Et n'o
s dans le texte. VARIA. ï5 V. Du mariage des épileptiques; par A. fièvre , in-8. ('Ih. Pari*. 1899, Jouve et Boyer.) Si
ois. Le père a fait son service militaire en Afrique où il a eu les fièvres intermittentes et où il a fait de notables excè
. Le malade né à terme, n'a pas eu de convulsions; a été atteint de fièvre typhoïde à l'âge de quinze ans; a contracté la
rine. - Rougeole à quatre ans. - Scarlatine à quatre ans et demi. - Fièvre muqueuse à neuf ans : délire, léger ' Filibiliu
relever : rougeole à quatre ans, .scarlatine à quatre ans et demi, fièvre typhoïde à neuf ans, durée trois mois; aurait e
typhoïde à neuf ans, durée trois mois; aurait eu, au cours de cette fièvre , du délire durant trois ou quatre jours; conséc
apparaissent l'incontinence d'urine et des matières fécales, de la fièvre puis des eschares. La fièvre tombe au bout de h
d'urine et des matières fécales, de la fièvre puis des eschares. La fièvre tombe au bout de huit jours, bien que les escha
olent, et perd connaissance. Délire grave. Deux jours plus tard, la fièvre cesse, le malade revient à lui; il ne se rappel
1900, n° 7.) Un jeune homme en pleine santé est subitement pris de fièvre intense, d'un affaiblissement musculaire et de
ence d'urine et des matières fécales. Au bout de trois semaines, la fièvre tombe, les troubles moteurs et sensitifs s'amé-
lle est 2 fois plus fréquente que les autres infections (variole et fièvre typhoïde) et l'alcoolisme réunis ; 2 fois et de
sitoire des jambes. Il eut alors un congé de convalescence. Cette fièvre typhoïde suivit un cours très régulier, sauf que,
ur le coeur, lorsque, le 29 novembre, en pleine convalescence de sa fièvre typhoïde, le malade attire l'attention sur son
e palpitations; mais que celles-ci s'étaient exaspérées depuis sa fièvre typhoïde, qu'il ne guérirait jamais, etc.. Le sor
de symptômes basedowiens développés insidieusement au déclin d'une fièvre typhoïde de moyenne intensité et s'accompagnant
de tuméfaction du corps thyroïde. Les thyroïdites consécutives à la fièvre typhoïde, ne sont pas de constatation récente :
urgie, 1890.) Pinclaud. Des thyroïdites dans la convalescence de la fièvre typhoïde. Thèse de Paris, 1888. Testevin. Thy
nant nous nous demandons comment les infec- tions en général, et la fièvre typhoïde en particulier arrivent à réaliser le
ntéressant de constater, au point de vue de l'action spéciale de la fièvre typhoïde sur la glande thy- roïde que, presque
thyroïde, et rien d'étonnant à ce que les infections, notamment la fièvre typhoïde, qui surexcitent la formation de cette
es. Remarquons en outre, que cet accident de la convalescence de la fièvre typhoïde n'a pas été sans présenter des conséqu
compli son service militaire aux colonies; il y avait contracté les fièvres paludéennes. Il se livrait à la boisson. (Bllnh
signalons, resteront les mêmes, bien que dues à des causes variées ( fièvre , infection, intoxication, etc.) ; il en est ainsi
peu malgré la variété des maladies qui les engendrent (délire de fièvre typhoïde, de pneumonie, d'infection puerpérale, e
ts psy- chiques de la caféine. l3acligeoazaffe de gaïacol contre la fièvre lymphoïde h. ! 11)eipyi-éli(liie. - Brochure iu
les quadri- jumeaux d'origine typhique. Signe de Babinski dans la fièvre typhoïde.-M. Léopold LÉvi. Le signe de Babinski
éopold LÉvi. Le signe de Babinski s'est rencontré dans 10/20 cas de fièvre typhoïde. Il est apparu aux différentes période
élite typhoïdique). L'existence du signe de Babinsky au cours de la fièvre typhoïde ne semble pas augmenter la gravité de
restera de cette atteinte deux ou trois ans après guérison de la fièvre typhoïde. Réflexe plantaire dans la paralysie g
71 (1887) Archives de neurologie [Tome 13, n° 37-39] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sur la vie cérébrale de l'accusé. Parmi ces maladies fébriles, la fièvre typhoïde semble mériter une mention spé- ciale.
es physiques et modifications psychiques concomitants des crimes; fièvre typhoïde; ascendants faibles d'esprit; préméditat
n'était pas gris bien qu'il eût bu un peu. En 1878, il avait eu une fièvre typhoïde très grave avec délire : le médecin qui
Le 23 mars, il fut définitivement arrêté et obligé de s'aliter; une fièvre vive s'était emparée de lui et les vomisse- men
ontré que des lésions centrales peuvent, sans déterminer la moindre fièvre , produire del'albu- minurie ; et cela non pas s
es : Certaines affections du système nerveux peuvent, sans que la fièvre intervienne, entraîner de l'albuminurie, en dehor
jamais eu de douleurs et avoir toujours été bien portant, sauf une fièvre typhoïde, en 1867, pendant laquelle les secouss
eu dehors de la névrose, ou ne peut constater aucune autre cause de fièvre . C'est là un fait qui, jusqu'à présent, a trouv
effets, devraient s'additionner, peuvent évoluer sans déterminer de fièvre , surtout lorsque leur chiffre n'est pas élevé e
que nous venons de le dire, dans d'autres petites séries d'accès la fièvre fait complè- tement défaut ou bien, le nombre d
défaut ou bien, le nombre des accès étant faible, on cons- tate une fièvre élevée tout à fait hors de proportion avec l'inte
e élevée tout à fait hors de proportion avec l'intensité des accès, fièvre qui peut mêmer accompagner un état purement com
ALE DANS 1,'ÉPILEPSIE. '2) ! 1 semblant à un accès ou bien enfin la fièvre en question se sépare nettement d'une façon bie
lications assez fréquentes, il ne survient chez les épileptiques de fièvre notable que dans des circonstances tout à fait
ble que dans des circonstances tout à fait déterminées et que cette fièvre se rattache à des règles qu'il est possible dès
Cependant, dès 1880. amélioration manifeste à tous égards; en mai, fièvre typhoïde compliquée de bronchiopneumonie, à conva
vient la variole, puis le choléra, puis c'est bientôt le tour de la fièvre jaune; d'un autre côté, c'est la sorcellerie qui
affectifs. Il travaillait à la cordonnerie chez ses parents. Pas de fièvres éruptives, pas d'accidents strumeux. « A mon id
'une à quatre mois, on ne sait de quoi, l'autre, à neuf ans d'une fièvre typhoïde ; la dernière est en bonne santé. Pas d'
nies de dis- cipline pour vol. Il a éprouvé en Afrique des accès de fièvre , et des accidents cérébraux de nature indétermi
ait encore des progrès. Toux rare, sèche. Rudesse aux deux sommets. Fièvre vespérine. 25 Octobre. Etat mental le même. R
i l'empêchait de parler. La tuberculose fait des progrès. Sueurs et fièvre nocturnes. Petite excavation au sommet droit. P
de pituites, de crampes, de cauchemars. A l'tïfje de treize ans, fièvre typhoïde assez grave, rechute, serait resté prè
r les mains) boutons miliaires ; pas ou peu de démangeaison, pas de fièvre , ne cessa pas son travail; durée : huit jours e
e, ne cessa pas son travail; durée : huit jours environ. En 1873, fièvre muqueuse ayant duré trois semaines. En 1878, eu
devient chaude, et quelquefois s'ajoutent des phénomènes généraux : fièvre , courbature, etc. Mais ces symp- tômes durent p
e l'auteur n'a pas eu à constater. Les accidents généraux sont : la fièvre iodique, l'a- inaigi-isseiiient très rare, les
72 (1904) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1903
e, 4U ans, cartonnière. Pas de convulsions dans l'en- fance, pas de fièvre typhoïde, de rhumatisme, de chorée. Au- cune af
e bois à la méca- nique. Pas de convulsions dans l'enfance ; pas de fièvre ty- phoïde, pas de rhumatisme, de chorée, pas d
ilisme. 55 Mère, 28 ans, mécanicienne. Pas de convulsions, pas de fièvre typhoïde. Pas de délire au cours de maladie infec
Nanisme avec infantilisme. 57 avec succès et sans accident. Pas de fièvre typhoïde. Pas d'oreillons, ni de diphtérie. Pas
gression dans le dé- veloppement des organes génitaux. Septembre. Fièvre typhoïde qui évolue sans complications, ni acci
e avec sa mère et ses soeurs. Pas de maladies infectieuses, ni de fièvres éruptives. Aucune affection relevant de la scro
de 3 mois à 3 ans. Méningite à 3 ans. Obésité. Parole à 4-5 ans. Fièvre typhoïde il 7 ans. - Hallucinations de la vue. Ré
Helminthiase probable avant la méningite. Maladies infectieuses : Fièvre typhoïde à 7 ans avec léger délire, rougeole à
ans; boit très-peu ; n'est pas nerveux ; pas de convulsions, pas de fièvre typhoïde ; pas d'indices de syphilis ; exempté
d irrégulièrement puis normalement ; elle n'a eu ni convulsions, ni fièvre typhoïde. Elle n'a pas de migraines, mais quelq
lu.ir en ? il/CIt1., Nanisme mongolien. 161 temps des poussées de fièvre , et souvent de la diarrhée; elle mange peu. mai
cularités cliniques et anato- mo-pathologiques. SOMMAIRE. - Père, fièvre typhoïde à 16 ans; rien de parti- culiez. - Cou
s. - Père, 34 ans, cocher de maison bourgeoise. Pas de convulsions. Fièvre typhoïde à 16 ans, à la suite de laquelle il au
de 14 ans, bègue.] Mère, 3G ans, domestique. Pas de convulsions, ni fièvre typhoïde, ni chorée, ni rhumatisme, ni dartres.
e, mais moins élevée, dès le 18 novembre n'atteignant plus 39°, 5 ; fièvre très irrégulière. Elle tousse moins, et n'est p
frère sous les drapeaux; il n'a eu ni convul- sions, ni chorée, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni derma- toses, ni s
e perte un mois avant sa mort; elle n'avait eu ni con- vulsions, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni dermatoses, ni syp
une cataracte de la première enfance, a eu, de dix à treize ans des fièvres intermittentes dans son pays (près de Lannion),
ant paternels que maternels Un on·.1; : maternel serait mort, le la fièvre jaune ? en Bre- tagne. Q tatr· frères dont t.-o
73 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
uatorze ans, très bonne santé. A cette époque, je fus atteint d'une fièvre muqueuse, puis typhoïde, mais cette dernière fu
typhoïde, mais cette dernière fut légère. L'année qui suivit cette fièvre (quinzeans), je ressentis : a) des pesanteurs d
riles qui sont évidemment de nature infec- tieuse, telles certaines fièvres typhoïdes. Dans ces conditions, ce tremblement
juin 1896.) L'auteur passe en revue l'érysipèle, la rougeole et les fièvres éruptives, la tuberculose et la syphilis. Toute
uteurs anciens ont signalé les paralysies dans Ja convalescence des fièvres continues. Landry et Gubler en ont donné la des
31 avait été rendu plus vulnérable par les maladies infectieuses ( fièvre typhoïde, fièvre intermittente) dont il avait été
ndu plus vulnérable par les maladies infectieuses (fièvre typhoïde, fièvre intermittente) dont il avait été atteint anté-
ONSÉCUTIVES; Par BOURNEVILLE. SOMMAIRE. - Père, excès de boisson, fièvres intermittentes Grand'- mère paternelle, excès d
cès de boisson et « a le vin très exalté » ; bien portant, a eu les fièvres intermittentes de vingt-sept à trente-cinq; c'est
dents héréditaires sont assez chargés. Le père, sous l'influence de fièvres intermittentes, lorsque l'enfant a été conçu, c
que deux causes doivent être particulièrement incriminées : 1° les fièvres paludéennes et leurs suites, parce qu'elles exi
le. A l'occasion de ce fait, il a étudié 44 cas de scarlatine et de fièvre typboïde observés dans l'asile qu'il dirige de
ige de 1866 à 1894 : ces cas se répartissent ainsi : scarlatine 6 ; fièvre typhoïde 38. Si l'on pouvait tirer des conclusi
ient plus souvent à la suite de la scarla- tine qu'à la suite de la fièvre typhoïde. Ce travail n'est qu'une con- tributio
aux généraux, la folie se manifeste le plus com- mnnément après les fièvres , les intoxications, les blessures et les opérat
tre celui de la fréquence relative; 3° Dans la période initiale des fièvres , et aprèsrles blessures et les opérations, c'es
l'observe dans la phtisie, dans les lésions cardiaques et après la fièvre typhoïde; 4° Il n'existe aucune forme spéciale
es intoxications (alcool, oxyde de carbone, plomb), la pellagre, la fièvre typhoide, le typhus, la scarlatine, le rhuma- t
ulière ; , 6° Lorsque la cause n'est pas permanente (intoxications, fièvres , tranmatismes accidentels, opérations) les symp
pupille gauche, cyanose de la face, parésie légère du côté gauche, fièvre , 40.5. Mort. Autopsie (12 heures post mortem).
ignes d'induration du lobe infé- rieur droit. Pendant sept semaines fièvre irrégulière, mais assez modérée. Le petit malad
ningitiques survenant au cours de maladies infectieuses (pneumonie, fièvre typhoïde). Si la fontanelle reste normale, on e
ntre la méningite et les accidents nerveux dus à la pneumonie, à la fièvre typhoïde ou à l'urémie. Le choléra infantile se
rales sont l'épilepsie, l'alcoolisme, l'intoxication saturnine, les fièvres , le paludisme, la syphilis, l'insolation ; à prop
rdite. Au bout de deux mois l'élévation de température fut notée Ja fièvre , de 38,8, qui dura assez longtemps, et une augm
es capsules surrénales sont des organes destructeurs de poisons. La fièvre activant le mouvement nutritif joue dans ces cas
nous avons perdu, de per- foration intestinale, un convalescent de fièvre typhoïde, à qui on avait fait absorber quatre t
ce, du tétanos neonatorum; le quatrième à deux ans et huit mois, de fièvres intermittentes; et le cinquième est mort aussi
ndant un ou deux jours. Pas de nausées ni de vomissements, pas de fièvre . A l'examen actuel, bon aspect de santé, mais par
de qui, après un accouchement suivi d'endométrite, fut saisie d'une fièvre assez ardente. Elle commença simultanément à to
74 (1889) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1888
ernelle, démence précoce (60 ans). Début à 12 ans, à la suite d'une fièvre typhoïde. 8° Doubl... Imbécillité. Parents : co
e paternel para- lytique, général. Mère très nerveuse, migraines et fièvre ty- phoïde. Grand'mère maternelle, parésie des
génital, 13" Thei... Epilepsie. Parents : cousins germains. Père, fièvre typhoïde et alcoolisme ; accidents syncopaux. Gra
: cousins germains. Père alcoolique et excentrique Mère, migraines, fièvre ty- phoïde, attaques d'hystérie. Grand'père mat
ue. Grand'mère maternelle, attaques de nerf ; frère mort à 3 ans de fièvre cérébrale avec convulsions ; un neveu idiot. Qu
; pas de convulsions. 6° Fille morte à 1S ans, cette année, de la fièvre typhoïde, à l'hôpital Beaujon ; pas de convulsion
ne sentait plus rien, ne se plaignait de rien, avait une très forte fièvre et restait comme anéanti. Cet état, traité par
es douches le 30 novembre. 1883. -- 2 janvier. Frisson violent avec fièvre . T. R. 40°, 7. Soir : T. R. 38°, 5. 3. T. R.
grande quantité de pus. Drainage; pansement phéniqué. 10. Pas de fièvre , la douleur a disparu, la peau ne se recolle pa
e fièvre, la douleur a disparu, la peau ne se recolle pas. 12. La fièvre reparait ainsi que la douleur de la jambe. Rou-
pression au niveau du creux poplité. Issue abondante de pus. 14. Fièvre . Etat général mauvais. Douleurs vives et empâte-
75 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ères douches, il avait eu.de la surexcitation et comme des accès de fièvre , avec sueur nocturne. La famille inquiète et le
les maux de tête le ressaisirent. L'enfant y eut aussi des accès de fièvre , à caractère intermittent, qui venaient sur- to
des conditions hygiéniques meilleures qu'à Paris. Mais les accès de fièvre devinrent plus forts. Ils apparaissaient avec b
sionner. Il n'a jamais eu de douleurs rhumatismales. Les accès de fièvre revenaient à cette époque tous les jours à cinq
10 novembre. Douche froide matin et soir. Au bout de huit jours, la fièvre fut coupée. La douche de l'après-midi fut donné
portants; pas de diatbèse dans la famille. Le jeune malade a eu la fièvre typhoïde à l'âge de deux ans, et, peu après, la
restée ouverte dans le dortoir, il se réveilla le matin avec de la fièvre et un violent mal de tête qu'il compare à celui
drothérapique. Cet enfant n'avait jamais eu d'autre maladie que des fièvres intermittentes, qu'il avait contractées dans so
Elle a été sucessivement atteinte de rougeole, de scarlatine et de fièvres intermittentes-Les règles s'établirent difficilem
nscience avait coiiipètement disparu ? c'à la.it 1 le, délire de la fièvre .} Un traitement par le quinquina, le musc , et
tI : I'lFIliT : IIO,IOliTi.`I atI U'J·T,fI Après ou sans une courte fièvre , sans aucune douleur, un adulte (OUI um.enfant)
qui se distingue, au début, par la^brusquerie des : accidents, la- fièvre intense,» la ! paral3-sie mus- culaire d'emblée
s une céphalalgie in- tense et continue, fut pris sans diplopie, ni fièvre , ni convul- Archives, t. VI. 8 114 REVUE, DE,
rise l'explosion de la maladie. ' - , 152 SOCIÉTÉS SAVANTES. La fièvre ne saurait, servir,de guide, car. même , à la. pé
il se fait asseoir sur le bord de son lit pour se délasser. Pas de fièvre . - La colonne verté- brale présente une courbur
abattement, frissons erratiqucs qui firent craindre le début d'une fièvre typhoïde. Mais l'observation thermométrique ne
ligente, d'habitude bien portante, actuellement convalescente d'une fièvre typhoïde ; elle n'a pas d'attaques, mais est tr
onomanie exaltée avec hallucinations (hérédité). C'est surtout à la fièvre ', au sens de M. Fritsch, qu'il faudrait attribue
ces psychopathies, par le mécanisme suivant. Le premicreffet de la fièvre est d'accélérer les échanges chimiques dans l'int
pporte l'histoire clinique d'une petite fille qui, à la suite d'une fièvre typhoïde, est restée pendant vingt et un jours
LAG.RRIGUF.. Thèse de Paris, 1883. De la forme méningitique de la fièvre typhoïde chez les enfants ; par FONTAGNY. Thèse
progrès ; la pneu- monie se propagea, il se forma des cavernes ; la fièvre prit un caractère hectique ; la température att
délires; par Siemens. (Neurol. Centralbl. 1882.) Le délire (de la fièvre , des intoxications, des affections soma- tiques
E PATHOLOGIE MENTALE. 409 XXVII. Manie transitoire consécutive A la fièvre intermittente DES ouvriers en laiton; par 0. ]3
bservation est à lire en entier. Le malade avait des accès de cette fièvre depuis trois ans. L'auteur pense que, comme pour
ce titre, M. Kirn présente l'histoire de six psy- choses émanées de fièvre typhoïde, érysipèle, rhumatisme articulaire, br
uments à l'appui de l'assertion tant'de fois'émise'que les accès de fièvre in- termittente peuvent être remplacés par des
t moins d'oxygène ; le fait qui s'observe dans l'urémie et dans les fièvres graves, où la dyspnée apparaît au premier plan
76 (1903) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1902
cas de varicelle, 3 cas. d'érysipèle. Mention- nons enfin 5 cas de fièvre typhoïde dont 2 chez des infirmières; aucun de
ue répondit sur un ton paisible qu'il élait calmé et qu'un accès de fièvre , sans doute, l'avait moussé il se jeter ainsi d
du traitement il cause des accidents pulmonaires et des poussées de fièvre . Le poids a baissé de 1 kg. 700, la taillc s'es
brûlées. Il dut rester alité pendant six semaines, avec une grosse fièvre , mais pas de délire. Huit mois plus tard, à 13
ernel, affection men- tale. Mère, symptômes nerveux au cours d'une' fièvre typhoïde. Gra-nd-pére maternel : syndactylie.-
- nérescence. Mère, 28 ans, ménagère, sobre. Pas de convulsions ; fièvre typhoïde grave il 12 ans, avec délire pendant p
intellectuelle. L'enfant n'a eu aucune maladie infectieuse, aucune fièvre éruptive. Il n'a présenté aucun accident scrofu
ce des convulsions qui ont laissé un léger strabisme. Elle a eu une fièvre typhoïde à deux ans, en même temps que son père
uses qu'une rougeole à dix-huit mois, qui aurait été forte (toux et fièvre ). A deux ans il aurait eu beaucoup de gourmes à
aises, né à Vicrzon ; toujours bien portant, pas de convulsions, ni fièvre typhoïde, ni chorée, ni rhumatismes, ni dartres
convulsions h l'âge de deux ans, léger strabisme consécutif, pas de fièvre typhoïde, pas de chorée, gourmes à G ans, pas d
Cet enfant a eu depuis le 18 novembre 5 il 8 accès par jour. Pas de fièvre . Traitement : Elixir polyhromuré : ? 2 cuilleré
ale. Mère, 44 ans, institutrice; pas de convulsions de l'enfance, fièvre typhoïde à 15 ans, compliquée de délire. Pas de m
rE, 26 ans, fille de boutique dans une pâtisserie, mariée à 20 ans, fièvre muqueuse à 5-6 ans, assez nerveuse, cépha- lalg
lle, attaques d'l2stéricdepuisl' : iede 16ans. - Un oncle maternel, fièvre typhoïde à 25 ans, santé délicate à la suite; c
té limitées à une moitié du corps ? Ont-elles été suivies de coma, de fièvre , de folie, etc. - Y a-t-il eu des accidents con
nés tous les deux avec succès. Pas de varioloïde, de scarlatine, de fièvre muqueuse, d'an- gine grave, de vers, d'onanisme
77 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
nous, nous serions plutôt portés à considérer (1) L. Guinon, De la fièvre . In Traité de Pathologie générale de Bouchard, t.
souffrit pendant l'enfance de paludisme et plus tard vers 17 ans de fièvre typhoïde. Menstruée à 15 ans, les règles se son
e elle a souffert du paludisme et probablement aussi de cer- taines fièvres éruptives. Mariée vers 18 ans, elle a eu 9 enfa
La mère est une femme robuste ; elle aurait eu unevariole à 3 ans,une fièvre typhoïde à 31 ans. Bien réglée elle a eu neuf e
. Il paraît toutefois que, à l'âge de 8 ans, il a été atteint d'une fièvre malarique ; depuis cette époque, de temps en te
époque, de temps en temps, il est encore sujet à quelques accès de fièvre . A l'âge de 19 ans, il fut enrôlé dans l'armée
il a été un fumeur modéré. A l'âge de 31 ans, il fut atteint d'une fièvre typhoïde qui se manifesta sous une forme bénigne,
ciale droite persiste ; l'ouïe est douloureuse du même côté. Pas de fièvre . 30 janvier. - Le caractère irritable de M... s
ns). La maladie actuelle a débuté il y a deux ans et demi après une fièvre typhoïde. Elle se manifestait par des douleurs
Il en est ainsi pour les polynévrites se manifestant au cours de la fièvre puerpérale. Cependant, au cours même de la gros
Marie Ey.... aurait présenté constamment un-délire tranquille sans fièvre élevée (36°5-37°5). Dès ce moment la malade acc
ars 1907. La maladie a commencé à la fin de novembre 1906 par de la fièvre , vomis- ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AI
Elle est tombée malade le 9 mai 1905 avec mal de tête et une forte fièvre . Elle a eu un vomissement et du délire.Ces symp
de Oestra Noebbeloef. La maladie a commencé en août 1907 avec de la fièvre ; puis est venue une raideur prononcée de la nuq
. P..., fille, 2 ans et demi, de Oestra Noebbeloef. Elle a eu de la fièvre le 20 août 1907. Le lendemain elle ne pouvait s'a
g. Il y a maintenant trois ans qu'elle est tombée malade avec de la fièvre , mal de tête (surtout douleurs dans la nuque) e
ymptômes ont apparu soudainement ; les symptômes généraux, comme la fièvre , etc., n'ont duré qu'un jour.mais au cours du mêm
rg. La maladie a commencé en avril 1905 par un mal de tête et de la fièvre . De- puis (les parents ne savent pas depuis com
indisposée et avait des vomissements ; le jour suivant il y a de la fièvre et le soir on observe une parésie du membre infér
e fait n'est pas apparu auparavant de façon aussi nette. Malgré une fièvre médiocre (entre 38° et 39°2), elle meurt au bout
cole militaire ; d'abord sont venues des douleurs dans la nuque, la fièvre s'est déclarée un peu plus tard et il est resté
berg. Pendant l'automne de 1905, il est tombé malade avec une forte fièvre , des douleurs dans la nuque et le long du dos,
adsax. Quand l'enfant avait 7 mois, elle est tombée malade avec une fièvre qui a persisté un jour et demi. Immédiatement a
ne fièvre qui a persisté un jour et demi. Immédiatement après cette fièvre les parents ont ob- servé une paralysie des mem
e et s'est mis au lit; il avait encore mal à la tête et aussi de la fièvre . Un médecin a cru qu'il avait une grippe. Le 1 oc
bles moteurs de la vessie ont disparu au cours de cette semaine. La fièvre a continué cette même semaine, avec un maximum de
aru aussi vite. ÉTUDES CLINIQUES SUR LA POLIOMYELITE AIGUË 397 La fièvre a continué pendant six semaines à partir du comme
partout décrits : sensation générale de malaise et d'abatte- ment, fièvre , mal de tôle (le phénomène le plus constant), vom
est notable aussi pour le bras droit. Le 16 novembre, commence une fièvre pas très forte, due évidemment à une infection
bras. Le manque de tout symptôme d'irritation, de toute douleur, de fièvre au début de la maladie correspond bien au type
garçon est tombé malade avec frissons, mal de tête, vomissements et fièvre . Il est resté couché trois jours. Puis il s'est l
ion n'est possible qu'à un an- gle de 40). A la clinique, jamais de fièvre . Le 19 janvier, les pupilles ne montrent aucune
sur la colonne vertébrale cervicale cause un peu de douleur. Pas de fièvre . Pour les nerfs crâniens, il n'y a aucun autre sy
A 23 ans, étant allé travailler en Sardaigne il fut atteint par les fièvres in- termittentes et, dans une période de 8 mois
ent général augmentait progressivement, mais il n'y eut ja- mais de fièvre . Le malade ne voulant pas mourir dans la cliniq
ntal. Il eut durant son existence plusieurs affections graves : des fièvres paludéennes contractées en Espagne et en Egypte
au Tonkin, une sciatique dans le même pays et en outre un accès de fièvre paludéenne en Guyane. Cet individu présente un
0. Il est mort à 8,30 du suir. A la clinique il n'y avait jamais de fièvre . Observation XXXII,. - A. W..., caissier, âgé d
suivant encore de la céphalalgie, des frissons et le soir une forte fièvre ; alors il était anxieux et par suite d'une sen
x (seule- ment un peu de céphalalgie le matin du 8 octobre). Pas de fièvre , sauf le soir du 8 octobre, 37°9. Etat le Il
78 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
usqu'à 5 heures. A partir de ce moment, l'état général périclite:. la fièvre est permanente, la malade mange peu, n'a plus de
était profondément déprimée physiquement et moralement, minée par là fièvre et la douleur, elle allait vers une mort certaine
trois semaines après le début des traitement. C'était la cause de la fièvre qui disparut après ces opérations ; l'appétit se
nama. Pendant un séjour d'un mois qu'il fit à l'hôpital pour cause de fièvre , sa fille mourut, et cette mort devint le point d
omme Mariotti. il aurait été traite, il y a quelques années, pour des fièvres des colonies, compliquées de troubles cérébraux.
l, appliquant cette théorie à l'amour, ajoute: « L'amour est comme la fièvre ; il naît et s'éteint sans que la volonté y ait la
ré et son contentement intérieur déborde. Le malade cependant a eu la fièvre : tant mieux, c'est que la nature travaille ; — il
amille qui mourait d'hémorrhagie intestinale, survenue au cours d'une fièvre typhoïde. Vous voyez d'ici la scène; cet homme ga
iplégique infantile, l'éclampsie de la grossesse, les convulsions des fièvres graves, des maladies infectieuses et de certaines
einte de grippe. En substance, voici les faits. Convalescente d'une fièvre typhoïde, dont révolution n'avait présenté rien q
là un fait important et inédit..... Elle agit dans ce cas, comme la fièvre typhoïde, la variole, la diphtérie qui elles même
e hérédité névropathique des plus nettes agit comme cause de fond. La fièvre typhoïde, se greffant sur un pareil ter-rain prod
6° les démences de la puberté ;7° les démences des maladies aiguèes, fièvre typhoïde et états puerpé raux auxquels il joint l
édecin qui donna ses soins m'a déclaré avoir eu affaire à cinq cas de fièvre typhoïde. Ce procédé du placenta de vache dans le
est morte d'un dépérissement à 44 ans. Le père peu d'années .après de fièvre chaude, suite d'ivrognerie. Il s'était mis à boir
rnée trois selles purgatives à 4 heures d'intervalle pour atténuer la fièvre du troisième jour, cette suggestion a eu son plei
en second lieu, à son passé morbide. En effet, en 1888, G... a eu la fièvre typhoïde. Depuis, sa mémoire est allée en s'affai
ns les délires fébriles. Un malade de M. Galicier, atteint d'accès de fièvre pendant la convalescence d'un anthrax, croyait êt
ait de la gèue jusque sous les bras, mais il n'y avait pas l'ombre de fièvre . Le lendemain, les seins étaient un peu affaissés
. elle n'arrête pas l'évolution d'une ataxie. elle ne coupe pas une fièvre typhoïde, elle ne remédie pas à l'emphysème pulmo
nfonce, une émotivité excessive. Elle a déliré sous l'influence d'une fièvre typhoïde. Des obsessions, des impulsions sont sur
me : Tares héréditaires. Dégénérescence mentale. Emotivité excessive. Fièvre typhoïde avec délire. Impulsions diverses pendant
es. A cinquante-six ans elle a eu, à la suite d'une discussion, une c fièvre cérébrale * qui a duré trois ou quatre mois, pend
nt cinq sont morts en bas âge; un autre est mort à quatorze ans d'une fièvre typhoïde avec délire : dans la première enfance i
n retour; il fallait la forcer à sortir. A dix-huit ans, survient une fièvre typhoïde grave; elle a des hallucinations : Saint
ues ; la mère était émotive, un oncle a été aliéné. Elle-même eut une fièvre typhoïde à 15 ans et, quelque temps après, à la s
79 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
ammes. Le malade, opéré le jeudi 2 juillet, a eu à peine une légère fièvre . Il n'a pas cessé de manger trois portions. Deu
eux fois, pendant son séjour à l'hôpital, il a été pris d'un accès de fièvre violent, qui pouvait faire craindre soit un érysi
une récidive de l'éléphantiasis. Mais ces accès se rattachaient à une fièvre paludéenne déjà ancienne, et ils cédèrent rapidem
ntenir la constipation. Le surlendemain, la malade fut trouvée sans fièvre , ainsi que les jours suivants. Cependant, le ci
a cuisse sont presque détruits. Cette atrophie n'a été précédée ni de fièvre , ni de paralysie en masse d'un ou de plusieurs me
r que cette dernière affection débute par une paralysie, avec ou sans fièvre , avec ou sans convulsions, à un âge en général mo
commencement de janvier 1869 la diarrhée a reparu, une bronchite avec fièvre est venue compliquer cet état, et à la fin de jan
nfin le 9 février la malade a succombé en présentant les signes de la fièvre hectique. A l'autopsie nous n'avons trouvé aucu
otographie. Cette maladie débute dans certains cas par des accès de fièvre intermittente, des douleurs rhumatoïdes, dans les
qui pourrait être administré par la voie diges-tive. Pathogénie des fièvres intermittentes. — M. le docteur Le Diberder vient
use hypothèse l'auteur explique les divers phénomènes que présente la fièvre intermittente : Il est facile d'imaginer que l'
icide. J'en dirai autant de l'arsenic et des autres fébrifuge:-. La fièvre n'est coupée que pour un temps, si l'on cesse tro
l............................................... 171 Pathogénie des fièvres intermittentes..................... 173 Anatomi
80 (1855) Journal du magnétisme [Tome XIV]
vralgie de la face..................i Pas. t6. Williams Ellicott. — Fièvre intermittente............4 id. 17. Emma Newland
ravelle ou des rhumatismes, son estomac refuserait-il les aliments la fièvre serait-elle en permanence dans ses tissus; aurait
somnambuliques. MM. Trousseau et Pidoux, parlant du traitement de la fièvre typhoïde, disent, tome II, page /il 5 de leur Tra
urs hommes sont impuissants à le tenir. Il sort de ces crises avec la fièvre et le délire. On consulte des médecins en grand n
epuissix ans. Une surdité datant de trois mois déjà, et suite d’une fièvre cérébrale. (Celle-ci en une seule séance.) Je n
ner à pied. Je donne de temps en temps de l’eau magnétisée pour les fièvres intermittentes. J’ai remarqué depuis quelle temps
ède. Environ dix minutes après, je sens un léger frisson s'uivi de la fièvre : c’est bien, dis-je en moi-même, voici une crise
mpromise depuis six jours dans lesquels j’avais eu plusieurs accès de fièvre , est parfaitement rétablie. J’ai fait, il y a e
38 , quelque temps après m’être établi à Troyes, je fus atteint d’une fièvre légère qui céda bientôt à l’usage de quelques tas
ureusement pas au bout. Après quelques jours de répit seulement, la fièvre revint avec plus d’intensité. Alors, mon digne Es
rse s’en seraient mieux trouvés; mais rien n’y faisait. Cette cruelle fièvre empira bientôt au point de me causer d’affreuses
messieurs, pour mon compte personnel, une affection de l’estomac, une fièvre continue et diarrhée, une carie aux vertèbres et
rofondeur; les douleurs se propagèrent jusque sous l’aisselle. « La fièvre et le délire survinrent pendant la nuit qui suivi
lroi-Lasnier, 28, pour donner des soins à M1"* Joutul, affectée de la fièvre typhoïde. Celte dame, enceinte de six mois, ne se
vingt-quatre heures : 10 magnétisations ont sulli pour la guérison. Fièvre tierce depuis dix-huit mois, chaque accès de troi
dix-huit mois, chaque accès de trois heures. Ayant fait apparaître la fièvre à la première magnétisation, elle n’a duré que tr
alme et le sommeil. Cette jeune fille est en proie aux douleurs d’une fièvre pernicieuse; c’est le second accès déjà, vienne l
priété soporifique ! Savons-nous pourquoi le quinquina triomphe de la fièvre ? ¡Nous voyons des phénomènes qui se succèdent ;
urra la comparer avec celle qu’il emprunte à Desion : «Paralysie. « Fièvres de tous genres. r Cécité. « Goutte sciatiquo.
guérie. » Jésus trouve le beau-père de Pierre retenu au lit par la fièvre . VIII, 15. « Il lui toucha la main, et la fièvr
tenu au lit par la fièvre. VIII, 15. « Il lui toucha la main, et la fièvre le quitta. II se leva et les suivit. » La bénéd
e jouet d’un rêve, mais bien d’hallucinations. Il a>ait eaucoup de fièvre , mais le délire avait commencé avant la fièvre.
Il a>ait eaucoup de fièvre, mais le délire avait commencé avant la fièvre . « On demandera peut-être comment ce noir pouva
s, de la belladone, de l’éther, etc., etc., même avec le délire de la fièvre ou les hallucinations de quelques fous; c’est cep
ais San ce du dernier, la dame Flowerday était sujette a des ac-cèsde fièvre , à des hémorrbagiespériodiquesqiii duraient génér
agères, petitesse et irrégularité du pouls, chaleur naturelle, pas de fièvre , ni soif, besoins fréquents de manger. Douce, tim
ux se présentèrent, môme succès fut obtenu. Dans un comté voisin, une fièvre épidémique s’étant déclarée, il fut averti par la
la paralysie, la cécité, la surdité, l’hy-dropisie, la pleurésie, des fièvres de tout genre, des douleurs de sciatique, des tum
uses, 29. Encéphalite, 225, 534. Entorse, 156. Epilepsie, 30. Fièvres diverses, 29, 355. Goutte, 29. Hystérie, 29,
81 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
l'incision de cet abcès on nota le lendemain une augmentation de la fièvre et un vomissement. L'oedème de la paupière supéri
début apoplectique,à marche rapide, s'accompagnant de myosis et de fièvre , il y a lieu de songer à une lésion mésocéphali
uvant le produire sous son commandement. Ainsi M. Babinski nie la fièvre hystérique, nie les troubles vaso-moteurs dans
es troubles trophiques dus à l'hystérie. Je lui ai cité un cas de fièvre hystérique. Je vous dirai sa réponse : « le cas
parce que je n'avais pas le plus léger doute sur la nature de cette fièvre . Si j'avais eu de l'hésitation, il est probable
e suis appelé près d'une jeune fille de ferme, qui présentait de la fièvre . L'état général était satisfaisant, je pensai à l
oilà trois mois consécutifs, qu'au premier quartier, ma on..., à la fièvre , pendant deux ou trois jours. » Vous savez tous
ibue à la lune, sur l'éclosion de certaines maladies : convulsions, fièvre , etc. En entendant ce langage je déchirai vite
ment, je reviendrai le mois suivant, à la même époque, constater la fièvre , vous voyez quelle mauvaise psychothérapie je f
thérapie à rebours, cette fois je serai fixé sur la nature de cette fièvre et je formulerai la médication qui la guérira. »
lune,je retourne près de la malade que je trouve au lit et avec la fièvre T° 39. C'est moi-même qui, par deux fois, ai mi
je la persuadai que,grâce à ce médicament, et malgré la lune ; la fièvre ne reparaîtrait plus, et, elle n'a plus reparu.
et, elle n'a plus reparu. A quoi attribuer, sinon à l'hystérie, une fièvre qui revient tous les mois, pendant quatre mois
e m'adressera pas ici le re- proche qu'il me faisait au sujet de la fièvre , car, en dehors des crises spontanées d'asphyxi
du méloena, des hématuries, de l'albu- minurie, de l'anurie, de la fièvre . Ces divers phénomènes, qui d'ailleurs ne sont
rophiques et vaso-moteurs tels qu'oedème, phlycthène, hémorragie, fièvre ; 2° quelle était l'opinion de chacun d'eux sur l
nocturne et léger, puis rapidement violent, ultérieurement coma. La fièvre ne fut, jamais bien élevée, mais les températur
pour que le délire se déclarât. Cet appoint pouvait être interne ( fièvre , névralgies, chagrins intimes) ou exogène (choc
dique à in- terruptions lentes. G. DENY. XXXVI. - Sur deux cas de fièvre hystérique;par M. 1 SSAÏLO- VITCII-DusclArl. (R
une femme de 26 ans et un homme de 28 ans, qui ont été atteints de fièvre hystérique et qui ont, guéri l'une sous la mena
sie, opération à laquelle il redoutait d'être lui même soumis. La fièvre hystérique serait caractérisée par son irrégulari
résultats » dit M. Sizaret. Nous avons à noter encore neuf cas de fièvre typhoïde, dit M. Sizaret. Parmi les causes poss
e doit-on bien distinguer des cas de la vraie infection spécifique ( fièvre typhoide, choléra), par intermédiaires des huît
de rhumatismes, pas de chorée ; pas de 4' ? 0 clinique nerveuse. fièvre typhoïde ; aucun indice de syphilis ; pas de mala
a pas eu de convulsions ; pas de rhumatismes, pas de chorée, pas de fièvre typhoïde. Elle est sobre, de caractère calme, n
amais été propre. Maladies infectieuses : Rougeole à 2 ans ; pas de fièvre scarlatine ; pas d'oreillons ; pas de variole ;
Vaccinée avec succès. Pas de faux croup, pas de diphtérie, pas de fièvre typhoïde. Pas de maux d'yeux, mais stra- bisme
es ont continué à se montrera la hauteur de leur lâche ; les cas de fièvre typhoïde qui ont frappé certains d'entre eux ^u
trifu- ges des racines postérieures, par Roux et ileitz, p. 63. Fièvre . Sur deux cas de - hvs- 484 TABLE DES MATIERE
82 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tarrhe chronique des mu- queuses, bronchite opiniâtre, parfois avec fièvre , gastrite, entérite, constipation, conjonctivit
e le mieux l'apparition occasionnelle de l'épilepsie à la suite des fièvres infectieuses. Sa fréquence dans l'alcoolisme ch
ou lorsque son organisme subit une déchéance brusque accompagnée de fièvre . 5° En ce qui concerne la médecine légale, il s
que à crises convulsives très nettes, eutune grippe et fut prise de fièvre et de coma, ce qui fit croire à des accidents m
uble moteurs hystériques; du reste. ne serait-ce qu'en raison de la fièvre , on n'avait pas affaire là au tableau classique
es. Un mois après l'accident, sans cause locale, sans cystite, sans fièvre , les genoux et les cousde-pied se mirent à gon-
rès atteint. L'état sensitivo-moteur est stationnaire. Il y a de la fièvre , les eschares se sont creusées. Le pronostic est
nté, n'a fait aucune maladie sérieuse, à part, dans son enfance, la fièvre intermittente, endé- mique dans le pays. Elle a
DE PIÉTÉ COMME INSTRUMENTS DE MEURTRE. 295 vingt ans il fut pris de fièvre quarte qu'il garda six mois. Nerveux, émotif, i
dix ans, est un ivrogne invétéré. Sa mère est morte à trente ans de fièvre puerpé- rale. Rien à noter chez les collatéraux
convulsions. Pas d'alcoolisme, ni syphilis. Pas d'excès vénériens. Fièvre typhoïde à l'dge de dix-huit ans, à forme grave a
le diagnostic d'épilepsie ; les relations de cause à effet avec la fièvre typhoïde sont aussi fort probables, car le mala
ement notable de l'ouïe, nous avons cherché à savoir si, pendant sa fièvre typhoïde ou à la période de convalescence, X...
l. M. Sauvages en rapporte un cas pareil survenant à la suite d'une fièvre typhoïde chez une femme de vingt-huit ans. Là e
s hygiéniques, augmente leur mortalité. Trois malades sont morts de fièvre typhoïde à l'asile, où elle existe presque touj
ablissement. Si cette eau est la cause réelle de la fréquence de la fièvre typhoïde, ce dont il est facile de s'assurer pa
ent amer, et qu'il raisonne avec entêtement : « Mais je n'ai pas de fièvre , pourquoi me faire prendre de la quinine ? » Qu
ion mentale et physique, les cas de delirium treanens, avec ou sans fièvre . Nous savons tous qu'il est impossible de fixer
enfants. Antécédents personnels. Convulsions pendant sa jeunesse. Fièvre typhoïde à l'àge de treize ans, ayant duré deux m
l esta remarquer que cette contraction locale s'accentue dans les fièvres grades et quelque temps après la mort lorsque les
mois en Afrique dans la province d'Oran ; il n'y contracte point de fièvres . Il y but beaucoup d'ab- sinthe. Pas de maladie
smes du diaphragme qui concurremment con- vulsent l'abdomen. Pas de fièvre . La digestion se fait bien ; mais la masticatio
faites-vous prendre du sulfate de quinine ? Je n'ai pourtant pas la fièvre . Etes-vous bien sûr que ce soit du sulfate de qui
quinine qu'on lui fait avaler, et pourquoi, puisqu'il n'a pas de fièvre . Et il crache, recrache sa quinine. A quoi pourro
uté par du delirium. Au bout de quelques jours, délire doux, légère fièvre (101° ou 102° F) ; léger mal de tête, peu de vo
céphalée moins grande, début plus lent, délire moins aigu, moins de fièvre , pas de névrite optique, moins de troubles géné
rous me- ningitis). Dans la forme aiguë, on trouve comme causes : fièvre infectieuse moitié des cas); traumatisme (rare)
ons générales fréquentes; raideur du cou et des jambes ; secousses. Fièvre quelquefois (un tiers des cas). Plusieurs de ce
é, à la 526 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. suite d'une atteinte de fièvre scarlatine, un ensemble d'accidents qui peuvent
lles ressources. Peu après son premier examen, il fut atteint d'une fièvre typhoïde grave et garda le lit pendant six sema
83 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ter c'est l'apparition de la maladie pendant la convalescence d'une fièvre typhoïde. On a publié des cas de ce genre par i
s aux membres inférieurs, plus intenses la nuit, sans fris- sons ni fièvre apparente; puis paralysie des membres inférieurs
s spinaux bien caractérisés dura trois semaines. Dans la seconde la fièvre tomba et des contractures s'installèrent défini-
; une amélioration s'était produite à l'âge de cinq ans, mais une fièvre typhoïde a ramené l'infantilisme. Ce cas pourrait
de parti- culier. Seigle ergoté (3 x 0,30 par jour). 31. Plus de fièvre ; la malade se sent beaucoup mieux. 3 février.
epuis deux jours, maux de tête, vertiges, palpitations, oppression, fièvre (le 18 au soir 38°,5, le 19 au matin 38°,6, le so
ntrée depuis ce matin sur le dos de la main droite. - 22. Plus de fièvre ni hier ni aujourd'hui, encore un peu de palpit
r, tempéra- ture 38°,1. 27. La malade se sent bien et n'a plus de fièvre aujourd'hui. Elle attire ce matin mon attention
-là : nous voulons parler des ecchymoses spontanées et des accès de fièvre observés de temps en temps chez notre malade.
ier, avec desquamation consécutive de l'épiderme 1.) Les accès de fièvre furent constatés à cinq reprises différentes pe
stré à la malade et les troubles digestifs se dissipèrent ; mais la fièvre n'en reparut pas moins, d'une façon intermitten
s aucun rapport avec ces dernières. Dans l'hystérie, par contre, la fièvre peut se présenter indépen- damment des crises c
a été possible de retrouver dans les urines de malades atteintes de fièvre hystérique les mêmes parti- cularités qui, d'ap
cularités qui, d'après les recherches de Gilles de la Tourette de fièvre (jusqu'à 38-38°5,) lorsqu'il est accompagné de co
1 La principale objection qui a été élevée contre l'existence de la fièvre hystérique est le fait que, dans certains cas, de
érapie, î° Aull., Bd. II, 1, p. 527) dit n'avoir jamais constaté de fièvre chez des hystériques lorsqu'il prenait lui-même l
chaleur de la peau) nous avaient fait admettre la probabilité de la fièvre ; jamais nous n'eûmes lieu de soupçonner une su
it., t. II, chap. XI ; Chauveau, Forme clinique et pathogénie de la fièvre hystérique (Thèse de Paris 1888) ; Sarbo, Ûber
inversion de la formule de ces. derniers); ce qui prouverait que la fièvre hystérique ne serait rien d'autre que l'équival
èse s'explique sans doute d'une façon analogue à celle des accès de fièvre . Les deux phénomènes ne sont évidemment pas sub
it à l'hémorragie, soit au ramollissement. En tout cas l'absence de fièvre et de douleur et la rapidité de la guérison mon
par des mous- tiques. et il est terrassé en quelques heures par une fièvre palustre : la punition est prompte, elle n'est
sion mélancolique, de confusion, d'amnésie; céphalée occipitale, fièvre irréguliere, alimentation difficile, prostration
isme, escharres. Dans les derniers jours, hémiparésie gauche, coma, fièvre élevée, mort. Il n'y eut jumais ni convulsion, ni
de a dû garder le lit pendant près de deux mois. Elle n'a pas eu de fièvre , pas de maux de tête, pas de vomissements; elle
demeurant, elle n'avait jamais eu ni céphalée, ni vomissements, ni fièvre . . C'est dans ces conditions que la malade s'es
rganes et viscères ne décelait rien d'anormal. La malade n'avait ni fièvre , ni céphalée, ni vomis- sements. Son crâne ét
trente- six ans, auparavant bien portant, fort buveur, ayant eu une fièvre typhoïde en 1895. Au début de 1899, il éprouve
èvre typhoïde en 1895. Au début de 1899, il éprouve vomissements, fièvre , faiblesse générale, accidents du décubitus, céph
d' - à crises distinctes, avec fcchymoses spontanées et accès de fièvre hystérique, par Iutterer, 333. Infanticide, p
84 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
âgée de dii-huit ans, fut saisie, il y a vingt-trois semaines, d’une fièvre bilieuse très-grave, par suite de quoi elle se tr
le gonflement des mamelles, trouble de la vue, migraine, vertiges et fièvre . — Cet état persistait de six à huit jours au mêm
n « mal, ma faiblesse et cette langueur générale qui meconsu-« me. La fièvre presque tous les jours, indigestions perpétuel-it
elle fut prise de sa toux ordinaire, avec inflammation des bronches, fièvre , douleur locale, insomnie, inquiétude, etc. Je co
uire un poison moins dangereux. Nous voulons parler de la vaccine. La fièvre se guérira sans quinine et sans que l’estomac ait
tomac et les intestins ; le quinquina qui agit si puissamment sur les fièvres !! Vous savez bien que parmi les minéraux que renf
autre destin, ne laisse nul repos à l’esprit ; comme un malade que la fièvre dévore, il se tourmente sur sa couche * et, ne tr
n prononça que le cas était désespéré. La maladie consistait dans une fièvre typhoïde avec inflammation au cerveau. J’entendis
l qui était devenu éteint et vitreux, reprit son éclat ordinaire ; la fièvre cérébrale, le toucher visqueux de la peau disparu
parler. Je lui parlai de madame Lombard, qui était très-malade de la fièvre . Je venais d’auprès d’elle; elle était tellement
que nous les voyons, ce que préparent, è la géuêraüou prochaine, la fièvre de l'ugiotagc, les furours du tidgoce Donc, m
s, par exemple, ces journaux regorgent de discussions sans fin sur la fièvre puerpérale : or, il en résulie que les plus célèb
une terre froide et humide, un atome respiré en passant, lui donne la fièvre et le laisse languissant sur le sol. Ce sont là l
nies survenir à la suite de ces excitations, quelques petits accès de fièvre nerveuse, des envies de pleurer, des pleurs même.
ir conjurer. La patiente était en proie à des hallucinations , et une fièvre affreuse la tourmentait constamment. Miss Harris
boire, et commença à causer avec sa sœur. Circonstance singulière, la fièvre l’avait quittée tout à coup, son pouls était régu
qui prennent corps dans l’imagination d’une personne affaiblie par la fièvre ou la maladie. Si nous en parlons, c’est afin que
les trois heures du matin, prise de vomissement» et d’une très-forte fièvre . Supposant que le mai provenait d’une attaque de
heures de l’après-midi, l'enfant avait pris 30 grains de calomel ; la fièvre était intense, le cerveau engagé, et le pouls trè
ment raconter des événements plus importants. « En février 1852, la fièvre typhoïde sévit dans toute ma contrée, et j’en fus
après, mon père et un jeune homme du voisinage furent atteints d’une fièvre bilieuse, un Esprit se chargea de traiter mon pèr
bilieuse, un Esprit se chargea de traiter mon père ; en deux jours la fièvre fut dissipée, et il put vaquer à ses occupations
; pendant le même temps, le jeune homme fit venir un médecin, sa fièvre tint bon, et il lui fallut trois ou quatre semain
en fait trop souvent un déplorable abus. Ainsi : Un enfant avait la fièvre ; le médecin, averti, fit dire quai irait le voir
t malade fut som-nambulisée le soir même et dit : « Mon enfant a rune fièvre de croissance; il faut la couper avec du jus
a clairvoyante déclara que le petit malade avait pris froid et que la fièvre provenait de l’irritation des intestins et de l'e
n donnait ce médicament, on courait risque d’occasionner une mauvaise fièvre . Mais la famille avait pleine confiance au médeci
— de vers et de reptiles logés dans l'estomac, 82, 173, 482, 510. Fièvre bilieuse et autres, 538, 601. — typhoïde, 231,
85 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sait avoir eu du délire et beaucoup souffert et qu'elle appelait sa fièvre cérébrale. C'est bien plus tard seulement et pa
on de Cam... Cam... permettra « docteur faire connaître secret sur. fièvre typhoïde, façon isoler « les malades dans grand
e cloche de verre. Dirai secret d'Uranie « pour guérir radicalement fièvre typhoïde comme l'ai révèle à « celui qui te fit
oire. G. Carrier. XXIX. Du cas d'hystérie à grandes manifestations. Fièvre hysté- rique ; par MM. Lannois et Porot. (Lyon
taire l'obser- vation d'une hystérique qui garda, près d'un an, une fièvre con- tinue dépassant parfois 41°, des vomisseme
albuminurie, hématuries; crises sudorales en rapport avec l'anurie; fièvre continue); de la longue durée des symptômes féb
oolisme, la psychose de KOHSAKOFF peut être provoquée encore par la fièvre typhoïde, par l'ictère, par des troubles gastro-i
à un âge avancé; des quinze enfants du ménage, neuf sont morts de fièvre typhoïde ou d'affections indéterminées; des six v
pas nous fournir de renseignements sur sa pre- mière enfance. Deux fièvres typhoïdes, une il vingt et un ans. l'autre à tr
equel elle n'avait, en tous cas, parlé de rien que de sa très vague fièvre cérébrale. Tous ces souvenirs se sont, au contr
les cas où la psychose de KORSAKOFF est provoquée par l'ictère, la fièvre typhoïde, la pyohé- mie, etc., et au début de l
u pyrétique, des troubles gastro-intestinaux analogues à ceux de la fièvre typhoïde, MM. Dou- ARCIIIVES, 2' série, t. XVIU
Marchand ont eu l'idée de faire l'application du traite. ment de la fièvre typhoïde en donnant à leurs malades des bains d
). Thérapeutique reconstituante, gavages, lave- ments alimentaires. Fièvre vespérale, traitée avec succès par des lavement
les poussées d'accidents tabétiques sont nettement accompagnées de fièvre , et, dans l'intervalle de ces poussées, la temp
a lésion tabétique et les accidents qu'elle entraine sont, comme la fièvre , des conséquences parallèles d'un état géné- ra
guéri; un frère est assez faible d'esprit. Développement régulier, fièvre typhoïde à douze ans, sans accidents cérébraux
de raideur de la nuque, de paralysies, de sueurs hémilatérales, de fièvre . Le second jour, 3 attaques. Le troi- sième, 23
, accès subintrants, cyanose faciale et cervicale, sueurs profuses, fièvre , pouls faible ; elle succombe le lendemain matin.
ans. Des sym- ptômes fébriles persistant avaient fait croire à une fièvre typhoïde et ce n'est qu'un examen ultérieur qui
lesquelles prédo- minent des troubles gastro-intestinaux, comme la fièvre typhoïde, suspendent l'épilepsie pendant leurs
mme de vingt-cinq ans, qui fut pris subite- ment de céphalalgie, de fièvre , de vomissements avec raideur de la nuque, conv
frère sous les drapeaux; il n'a eu ni convul- sions, ni chorée, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni derma- toses, ni s
e perte un mois avant sa mort; elle n'avait eu ni con- vulsions, ni fièvre typhoïde, ni rhumatismes, ni dermatoses, ni syp
une cataracte de la première enfance, a eu, de dix à treize ans des fièvres intermittentes dans son pays (près de Lannion),
chien de fusil, raideur de la nuque, signe de Kernis, vomissements, fièvre (38° 6). Les attaques épileptiformes se répétèr
es ? Con- tribution il la théorie du neurone, pat Muenzer, 396. Fièvre hystérique Voir Hystérie. Folie. Un cas de à de
? par Parhon, 63. Hystérie. Du cas d'- à grandes manifestations. Fièvre hystérique, par Lannois et Porot, 60. Un cas
86 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
avec oedème des pieds, etc. Il existait en outre de la toux, de la fièvre , des signes d'induration des pou- mons et une d
t être rattachées a trois groupes distincts : a) groupe infectieux, fièvre typhotde,impaludisme; b) groupe toxique,alcool,
on fracas- torienne reste important comme cause de folie. Pour la fièvre typhoïde, Marandon de 31ontyel insiste sur la d
ble et se termine fréquemment par un étal dé- mentiel définitif. La fièvre typhoïde serait,pour certains auteurs, une caus
s. -a) directement, par des toxiques ou non (syphilis, tuberculose, fièvre thyphoïde, vérole, etc., troubles, alcool, morp
a 2° classe ; - li. leDr31au- paté, directeur médecin à la Charité ( fièvre ), nommé médecin en chef à Bailleul (Nord), post
ce un élément microbien, c'était le bacille d'Eberth dans un cas de fièvre typhoïde. M. Maurice Faure est frappé de la dif
la tare nerveuse contemporaine, et variables avec elles (paludisme, fièvre ty- phoïde, tuberculose, alcoolisme, syphilis,
tat actuel. Il y a six jours environ, la fillette a été prise d'une fièvre violente, avec vomissements, et au bout de 48 heu
éveiller le lendemain bien portante. A aucun moment, elle n'a eu de fièvre , ni aucune autre affection ailleurs, sauf une h
e cette obsession morbide. Deux cas de confusion mentale liés ci la fièvre typhoïde el à la . scarlatine. Séro-dia{]l1osti
s signalé la coïncidence chez un même sujet de l'éclampsie et de la fièvre puerpérale ; - ce qui est plus certain, c'est l'i
dothiénentérie : d'autre part une mélancolique an- Meuse tira de sa fièvre typhoïde un tel profit qu'elle put sortir deux
leur égard ait été causée par un acte insensé tendant à allumer la fièvre , soit que l'excitation mentale due au changemen
qui nous occupe la séro-agglutination découverte par Widal pour la fièvre (1) American Journal of insauitY,,janvier 1S99.
positif. Ce qui rend cette affirmative plus délicate que pour la fièvre typhoïde, c'est que les cultures en bouillon de
trace de maladie dans son enfance, ni dans l'adolescence ; pas de fièvres éruptives, pas de rhumatismes, pas de mi- grain
pas eu de convulsions dans l'enfance ; pas de rhuma- tismes, pas de fièvres éruptives, pas de syphilis ; quelques maux de t
un autre, mort à 13 mois, avait la gourme ; le troi- sième mort de fièvre typhoïde à 7 ans. Trois soeurs : l'aî- née, 31
pas de cicatrice. Elle n'a pas eu la coqueluche, ni le croup, ni la fièvre typhoïde. Pas de croûtes dans les cheveux, pas
ide lactique, sous-nitrate de bismuth, élixir pa- régorique,eLc, La fièvre ne tombe pas ; malgré tout, l'enfant s'alimente
'état de l'enfant ne s'améliore pas; elle a encore perdu 1 kilogr.; fièvre et diarrhée. Juillet. Cott.. s'affaiblit de plu
nt à boire. Les nuits sont agitées, l'enfant ne dort plus. Toujours fièvre à grandes oscillations, diarrhée et toux. La pe
que, par De- ny et Renaud, p. 40. Deux cas de - mentale liés à la fièvre typhoïde et à la scarlatine. Séro-diagnostic
-il une rég. ant. des nerveuses' par Munzer et Fischer, p. 397. Fièvre typhoïde. Voir C071/1l- sion mentale. Folie.
87 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
ns les jeux de son âge. 8 RAYMOND A douze ans, elle contracte une fièvre typhoïde, Irés grave, selon elle, mais qui n'a
a Corrèze, quand, trois ou quatre mois après la terminai- son de sa fièvre typhoïde, sans fièvre nouvelle, sans douleur aucu
s ou quatre mois après la terminai- son de sa fièvre typhoïde, sans fièvre nouvelle, sans douleur aucune, sans troubles cé
vultueuse, angoissée, les lèvres sèches. Cependant il n'y a pas de fièvre . T. 36° 2. Cet incident rapide, sinon subit, di
it notamment à supprimer son Éloge de l'antimoine et son Traité des fièvres . Il avait vanté l'antimoine dans son Traité de
i l'audace, n'étant que simple chirurgien, d'écrire un chapitre Des fièvres . Il dut le supprimer dans les éditions postérieu-
eur : « Ami lecteur, écrit-il, j'avais bien prévu que le Traité des fièvres dont j'avais autre- fois fait voir quelques éch
ue rougeole assez sérieuse ; à 24 ans, à Madagascar, il est pris de fièvres in- termittentes. Il nie toute atteinte de syph
is a toujours eu des époques régulières. La même année elle a « une fièvre cérébrale » qui dure huit mois avec délire pend
re pendant 24 jours. Elle se marie à 20 ans. A 22 ans, elle a une fièvre typhoïde qui évolue sans accidents ; cependant,
le. A l'âge de 17 ans, nouvelle épistaxis abondante, prodrome d'une fièvre ty- phoïde d'intensité moyenne, mais suivie d'u
e le diagnostic de rétrécissement de l'artère pulmonaire. Depuis sa fièvre typhoïde, le malade conserve une surdité bilatéra
attaques successives de rhumatisme articulaire aigu accompagnées de fièvre , mais qui ne semblent pas avoir donné lieu à une
ant 8 jours, et on constate une congestion pulmonaire évoluant sans fièvre . L'hé- moptysie, moins abondante, se reproduit
pe l'année dernière ; la température s'élève jusqu'à 40°. Depuis sa fièvre typhoïde le malade présente, sans cause apparente
que depuis quinze jours il souffre d'anorexie, de lassitude, d'une fièvre légère, de consti- pation. Depuis dix jours il
paru partout sauf dans les paupières. La constipation persiste ; la fièvre est augmentée. Il entre dans le service de M. l
le service de M. le professeur Graziadei qui pose le diagnostic de fièvre typhoïde, diagnostic qui fut plus tard confirmé p
sa convalescence. Les phénomènes cutanés n'ont pas disparu avec la fièvre , mais ils s'effacè- rent peu à peu dans la conv
s d'altérations au dehors d'une certaine leucopénie commune dans la fièvre typhoïde (5500). L'examen des urines ne nous a
25 jours elle souffrait d'une anorexie absolue, de lassitude, légère fièvre , constipation opiniâtre, douleurs abdominales.
é en convalescence dans sa famille. A peine arrivé, il rechuta : la fièvre et l'épanchement se reproduisirent et disparure
ignements, pas d'antécédents héréditaires pathologiques. Il a eu la fièvre typhoïde dans sa jeunesse. Il fait de nombreux ex
(17)] ; parfois même les oedèmes sur- gissent au moment même de la fièvre , et disparaissent avec les sueurs [Keefe (18),
e aucun doute; d'ailleurs les tuméfactions ne guérirent pas avec la fièvre en parfaite analogie avec les manifestations to
écent ieHarns (21) : Un garçon de il 2 ans présenta au déclin d'une fièvre typhoïde des oedèmes circonscrits aigus et pass
ans l'ob- servation de Rapin (62), par une maladie d'infection avec fièvre ; dans l'observation de Debove (61), par une ang
comme antécédents personnels des convulsions dans son enfance, une fièvre typhoïde à 10 ans, une scarla- tine à 13 ans, u
n il n'a jamais été malade ; il n'a eu ni rougeole, ni scarlatine, ni fièvre typhoïde. Il a étudié à l'école trois ans et
survenus des maux de tête, et pendant un mois il a eu des accès de fièvre , type tierce. C'est de cette époque que date le c
é à 12 mois, aucune maladie dans sa première en- fance. A4 ans 1/2, fièvre typhoïde grave, soigné à l'hôpital des Enfants-Ma
'appétit n'a, paraît-il, jamais changé, il n'y a jamais eu la moindre fièvre dans toute l'évolution de la maladie. La fill
ommençait à sortir, quand brusquement, sans cause appréciable, sans fièvre nouvelle, elle fut prise de douleurs dans les r
nt sur le cartilage. « Si certaines maladies infectieuses, comme la fièvre typhoïde, don- nent une poussée d'allongement a
négatifs. Etant jeune il eut la rougeole et le croup ; à 14 ans les fièvres intermittentes Il a été réformé au régiment pou
héréditaires. Il sait seule- ment que sa mère est morte à 23 ans de fièvre puerpérale 17 jours après sa naissance. Son pèr
équente et quinteuse, une expectoration abondante et puriforme, une fièvre continue à exacerbation vespérale, sont les manif
arras exagéré du langage. Cepen- 658 MOCQUIN dant l'apparition de fièvre , de symptômes pleuro-pneumoniques paraît tout e
88 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t observés dans des familles différentes et débutèrent tous par une fièvre assez élevée. Mais la durée et le degré de la f
t tous par une fièvre assez élevée. Mais la durée et le degré de la fièvre n'ont aucune influence sur la marche et l'issue
nq enfants qui guérit presque complètement avait eu précisément une fièvre très élevée qui persista longtemps. Chez les
pendant de longs mois à nous abstenir d'une façon absolue quand des fièvres typhoïdes ou des érysipèles y sont en traitemen
permet de soupçonner la névrose : pour toute maladie, il a fait une fièvre typhoïde étant jeune, ses parents, étaient bien
es* de certains hémiplégiques. La mort survient rapidement avec une fièvre progressivement croissante et le coma terminal.
t demeurant dans sa famille, était depuis quelque temps atteinte de fièvre chaude. C'est dans une crise'que, trompant la s
ssion. G. Ballet. Sur les lésions corticales et médullaires dans la fièvre typhoïde. Boumeville. Noies sur l'étiologie et
esure l'intensité des réactions fonctionnelles qui en résultent. La fièvre est constante et offre le type rémittent. Elle
e est constante et offre le type rémittent. Elle a le caractère des fièvres toxi-infec- tieuses ; elle peut être le résulta
ériode d'excitation ; les plus constants sont la sitioplaobie et la fièvre . L'embarras gastrique s'accentue rapidement, le
s. Ils refusent toute inges- tion de solides ou de liquides. ? La fièvre est un symptôme qui ne manque jamais; elle est ir
diminution des sécrétions résultant de SOCIÉTÉS SAVANTES. 255 la fièvre et de l'infection empêchant la libre élimination
e et l'urémie, dans les infections et i toxi-infections, telles que fièvre typhoïde, grippe, et aussi la rage, I le paludi
lisation organique ; leur agitation ne fait que s'accroître avec la fièvre qu'ils supportent d'abord allègrement, alors que
la dépression, les hallucinations, l'hyperesthésie sensorielle, la fièvre sont dissem- blables. L'évolution, la pathogéni
ts dans les maladies toxi-infectieuses, dans la pneumonie, dans les fièvres éruptives, le rhumatisme articulaire aigu, la g
signalons resteront les mêmes, bien que dues à des causes variées ( fièvre , injection, intoxication, etc.); il en est ains
paroles insaisissables, les hallucinations de la vue intenses ; la fièvre s'allume, une diarrhée profuse et fétide se déc
onçu : « Mélancolie compliquée de délire ai,r¡u; adynamie profonde, fièvre , diarrhée, état typhoïde des plus graves ». S
. Le 4 mai, les symptômes s'aggravent de nouveau, le délire et la fièvre redoublent ainsi qne la diarrhée; une escarre se
se briser la tête contre lès murs, refus d'ali- ments. Le 14, la fièvre s'allume, le malade tombe dans une prostration
lle, âgé de vingt à vingt-deux ans, d'un bon tempérament, après une fièvre intermittente qu'on arrêta par les remèdes or-
dans l'eau, mais avec beaucoup d'enroue- ment. Quand elle avait la fièvre , elle parlait dans le chaud. M. Le- mery, qui a
qui délivrèrent la malade de quelques incommodités restées après la fièvre mais non pas de son extinction de voix, en ordo
moteur ou sensitif. - , li. C. LXXXI. Réflexes tendineux dans la fièvre typhoïde ; par HEUIlLl1\GER. Les réflexes ont
nglé, 527. cutanés et tendineux par Van Gehuchten, 528. dans la fièvre typhoïde, par Reumlinger, 529. Réfraction and
89 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
rclov. per le scipiize mecliclie.'l'ormo, 1886. - La doctrine de la fièvre et les centres thoraciques cérébraux. Etude sur
que. La marche devient impossibleen novembre 1889, à la suite d'une fièvre typhoïde, pour revenir en partie. Au moment où la
une maladie aiguë, qui a profondément débi- lité l'organisme, d'une fièvre typhoïde, par exemple, des suites de couches' d
'épilepsie en 1886, la marche devient impossible en 1887, après une fièvre typhoïde, pour revenir en partie plus tard. Dan
Lépine a également obtenu de bons effets de l'acéta- nilide dans la fièvre typhoïde et dans un cas de fièvre palu- déenne
effets de l'acéta- nilide dans la fièvre typhoïde et dans un cas de fièvre palu- déenne grave. Son action doit être survei
peut rendre de grands services. Chez les individus qui n'ont pas de fièvre , elle ne détermine pas de refroidissement et da
vation ne nous apprend rien de nouveau. C'est à l'in- fluence de la fièvre et non à l'intoxication miasmatique que l'auteu
tendu trauma- tisme, et la malade fut soupçou : ée de mensonge ; la fièvre cons- tatée chez elle s'expliquait aisément par
observa- tions VU et VU¡ (hystérie consécutive à la malaria et à la fièvre typhoïde). Conclusions : Pratiquez l'hypnotis
ation provoque un complexus physio- logique, analogue à celui de la fièvre (élévation de la température accélération des é
ervation de méningite chez un petit enfant. - Dans la méningite, la fièvre varie suivant le mode d'évolution. La forme la
adie, se montrent des phénomènes cérébraux ; pendant neuf jours, la fièvre tombe, tandis que le pouls s'accélère; puis, pend
e, tandis que le pouls s'accélère; puis, pendant quelques jours, la fièvre reparait modérée et l'enfant succombe. On tiouv
té évolué exactement comme une méningite tuberculeuse, quant à la fièvre . La raison en est que la nutrition avait auparava
icle confirmatif des idées de Sydenham sur la folie consécutive aux fièvres intermittentes, et des mémoires bourrés de faits
ue des membres infé- rieurs et de la partie inférieure du tronc, de fièvres et de douleurs intolérables quandon exerce une
M. failli aurait obtenu de bons résultats dans l'urémie et dans la fièvre typhoïde. Paul BLOCQ. X. Leçons de clinique méd
e Normand, s'est pendu dans sa cave. Ce malheureux, par suite d'une fièvre typhoïde, ne jouissait pas de l'entier exercice d
s à l'oc- casion des sensations (181'J). De la folie à la suite des fièvres inter- 318 ô NECROLOGIE. mittentes. Influence
e et fut consi- dérée comme de nature rhumatismale ; il y aurait eu fièvre ( ? ) mais pas de gonflement ni de rougeur. Au
du cadre des maladies mentales lé délire qui accompagne ou suit les fièvres . Mais aujourd'hui l'on sait que la distinction
: les psychoses fébriles proprement dites, qui éclatent pendant la fièvre ou même avant l'accès, et les psychoses asthéni
ng. (Allg. Zettsch. f. Psychiat., XLVI, 5.) Manie consécutive à une fièvre typhoïde, suite de couches, guérie à son tour p
90 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
e la base du sacrum : le tout s'était fait en 3 jours de temps avec fièvre et signes de décubitus acutus. Chipault ayant p
ées à une colique néphrétique, puis à un phlegmon pari néphrétique ( fièvre ) ; puis, abcès par congestion, sur le bord exte
s points déclives, affaiblissement général, diarrhée, vomissements, fièvre ; 24 jours après douleurs en ceinture, fourmil-
on obtient l'abduction du pied avec flexion des 3e et 4e orteils. Fièvre avec délire tranquille. Mort cinq semaines après
isation dans l'organisme ; amaigrissement, perte de forces, sueurs, fièvre . Ces symptômes acquièrent une certaine importan
ulièrement, excepté des troubles digestifs ( l'âge de 18 mois) avec fièvre et maux de ventre, mais qui disparurent bientôt.
un peu de ses mains. Au mois de novembre 1903 il tomba malade de la fièvre , et se plaignit de douleurs dans les extrémités,
famille du malade habitant la même maison que lui, était atteint de fièvre typhoïde et notre malade ayant souffert pendant p
oïde et notre malade ayant souffert pendant plusieurs se- maines de fièvre accompagnée de diarrhées, le médecin croyait que,
ce rapide des extrémités était due à l'influence d'une infection de fièvre typhoïde atypique, Nous reviendrons plus tard sur
jours dans différents services hos- pitaliers. Syphilis à 23 ans, fièvre typhoïde dans la jeunesse, coliques de plomb il y
nt, asthénie, malgré la con- servation de l'appétit et l'absence de fièvre . (1) DUPHÉ, Psychopathies organiques, in Traité
ans, élevé en nourrice où il aurait subi toute sorte de privations. Fièvre typhoïde à 12 ans ; peu de temps après, embarra
ictère, à l'âge de 22 ans. H. M. - Pendant la convalescence de la fièvre typhoïde ou immédiatement après, et sans cause
euse (P. Marie). Les infections le plus souvent incriminées sont la fièvre typhoïde et la variole; mais on a aussi observé
plus rarement, comme conséquence de la diphtérie (Henschen), de la fièvre puerpérale (Oppenheim), de l'éry- sipèle, de la
Catola), du rhu- matisme cérébral (Charcot), de la pneumonie et des fièvres paludéennes. En outre, dans ces derniers temps,
agnostic différentiel entre une forme consécutive par exemple à une fièvre typhoïde et une forme de myélite disséminée syp
rès bonne santé : un autre frère est mort en Afrique à la suite des fièvres malariennes. Il a eu à 9 ans la rougeole dont i
te des muscles des membres inférieurs. Eschare sacrée suppurante et fièvre élevée pendant quelques jours, éruption papulo-
culier, on a noté une augmentation subite de son impotence et de la fièvre : 37°8. Le 14, le malade a 38°7, et présente un
récédents symptômes augmentaient, d'intensité. Il n'y eut jamais de fièvre , les sphincters restèrent normaux et les fonction
ogressive évoluant d'une manière subaiguë ou plutôt chronique, sans fièvre ni convulsions ni vomis- sements. Elle est cara
à 8 mois. Elle ne fit dans son enfance aucune maladie grave, aucune fièvre érup- tive. Elle ne présenta ni nouures ni cour
e des méninges molles. Femme de 59 ans. Convulsions dans l'enfance. Fièvre typhoïde et, proba- blement, tuberculose pulmon
ence par regorgement, puis escarre sacrée, rapidement considérable. Fièvre , hecticité, amaigrissement, oedème des membres
se), puis une escarre fessière font leur apparition ; cachexie avec fièvre hectique ; mort - 47 mois après le début. Pas d
es réservoirs. Aggravation rapide, apparition du signe de Babinski, fièvre avec délire tran- quille, mort 5 semaines après
; pas de signes pul- monaires. Escarre fessière vaste et profonde ; fièvre à grandes oscillations montant progressivement
bout de 6 mois de tuberculose pulmonaire, avec amaigris- sement et fièvre . Autopsie. Broncho-pneumonie caséeuse : effondr
igne d'Argyll,troubles sphinctériens par moments. Escarre fessière, fièvre , mort. Autopsie. - Tuberculose pulmonaire ancie
91 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e du côté gauche. Tous ces symptômes évoluèrent chez la malade sans fièvre , et avec conservation relativement bonne de l'é
sive que cer- taines maladies, infectieuses ont sur l'épilepsie, la fièvre typhoïde notamment, j'étais persuadé que ce rés
et que nous consi- dérions même comme muette. Elle fut atteinte de fièvre 'typhoïde ; après quelques jours d'alitement, à
- sives, aucun trouble épileptique jusqu'à la convalescence de la fièvre typhoïde. Mais la convalescence arrivée, l'état
étude, etc., reparut, et, de- puis plusieurs années, comme avant la fièvre typhoïde, Larti... ne parle plus. Cherchant t
e paternelle. Comme antécédents personnels, elle n'aurait eu qu'une fièvre typhoïde légère dans sa jeunesse. Elle a épousé
EVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 161 XLII. Sur les, psychoses liées à la fièvre typhoïde ; par Cla- rence-B. FAHRAR (The Americ
. L'auteur résume lui-même son article à peu près comme suit : La fièvre typhoïde atteignant un individu sain, peut le lai
s men- taux n'est pas nécessairement en rapport avec le degré de la fièvre ou la profondeur de l'infection. La prédisposit
tervient spécialement pour les accidents délirants du début. Une fièvre épuisante prolongée prédispose à une psychose ast
e à une psychose asthé- nique. Une deuxième ou troisième attaque de fièvre typhoïde s'accompagnent plus souvent de'trouble
équente d'erreurs de diagnostic. Tout trouble mental, accompagné de fièvre , doit faire soupçonner la fièvre typhoïde; .
Tout trouble mental, accompagné de fièvre, doit faire soupçonner la fièvre typhoïde; . 2° Les psychoses de la période fé
s psychoses ultérieures de pronostic douteux. Les psychoses de la fièvre typhoïde n'ont de caractéristiques cliniques ni
umis, n'ont aucun caractère de spécificité. On les retrouve dans la fièvre typhoïde, les cachexies, etc. M. Ballet reconna
s accidents secondaires. pendant trois mois; aucun accident depuis, fièvre typhoïde pro- longée il cinquante ans. Tabès
plusieurs années inerte, hébétée, ne parlant pas, est ~ atteinte de fièvre typhoïde, son cerveau retrouve une activité nor
s liés à l'épilepsie disparaissent jus- qu'à la convalescence de la fièvre typhoïde. Comment pour- rait-on admettre que l'
la hauteur d'un troisième étage. La malheu- reuse dans un accès de fièvre chaude, était sortie de sa chambre en chemise,
ut le ver solitaire. Le premier symptôme a été une céphalalgie sans fièvre , qui s'aggrava trois jours après,en s'accom- pa
articulier : la douleur locali- sée a la pression d'une part, et la fièvre d'autre part. Le foyer dou- loureux est en géné
ser des réserves sur la valeur rigoureuse de ce signe. Quant à la fièvre , deux hypothèses peuvent l'expliquer : ou bien
un état de confusion mentale hallucinatoire suraiguë accompagnée de fièvre et de trem- blement. Ilislologiqztentettt, c'
iniquement, c'est un état de confusion hallucinatoire suraiguë avec fièvre . Histologiquement, c'est aussi une neuro-myélo-
e six heures du matin à onze heures du soir, enfui il fut repris de fièvres palustres et traité à l'hôpital d'Oran. Jusqu
est écarté de la conscience. Dans l'insomnie, dans le délire de la fièvre , dans certaines intoxications, celle du haschis
gue et constipation, nausées et quelquefois vomissements, un peu de fièvre avec des températures irrégulières ; amaigrisse
e. Sur les - chez les Juifs, par Pilez, 154. Sur les - liées à la fièvre tltyplrorde, par Farrar. 161. Un cas de - polyn
92 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
on d'étoufïement, elle se plaint de la gorge qui est rouge ; pas de fièvre . Archives, 2° série, 1905, t. XIX. - 2 18 REC
logiques. SCLÉROSE ATROPHIQUE HÉMISPHÉRIQUE. 19 SOMMAIRE. - Père, fièvre typhoïde à 16 ans; rien de parti- culier. Cousi
nts. Père, 34 ans, cocher de maison bourgeoise. Pas de convulsions. Fièvre typhoide à 16 ans, à la suite de laquelle il au
de 14 ans, bègue.] Mère, 3G ans, domestique. Pas de convulsions, ni fièvre typhoïde, ni chorée, ni rhumatisme, ni dartres.
nts, et pendant tout le mois de novembre, l'enfant a encore de la fièvre , mais moins élevée, dès le 18 novembre n'atteigna
e, mais moins élevée, dès le 18 novembre n'atteignant plus 39°, 5 ; fièvre très irrégulière. Elle tousse moins, et n'est p
. Tableau du poids et de la taille. 32. RECUEIL DE FAITS. 22. - Fièvre un peu moins élevée; respiration plus facile. -
. - Fièvre un peu moins élevée; respiration plus facile. - 23. La fièvre est remontée ; l'oppression a reparu, 52 res- p
s, qui sont extrêmement abon- dantes, mais ne durent qu'un jour. La fièvre atteint h0°,3. L'oppression et la faiblesse aug
sie post-spasmodi- que. Myopathie hypertrophique consécutive Ü la fièvre typhoïde (Dissociation des diverses propriétés
3 IBl¡. : SKI. Je présente une jeune fille qui, dans le cours d'une fièvre typhoïde, il y a cinq ans,acte atteinte d'une all
cine va- cante à l'Asile public d'aliénés de La Charite-sltr-Loire ( fièvre ). Traitement : 800 fr. par an. Avantages en nat
dow prédispose aux maladies organiques du coeur. L. WAHL. XXX. La fièvre hystérique ; par GARGANO. (Rivista critica di c
nd le type intermittent tierce, d'autres fois le type continu de la fièvre typhoïde. Fabre, de Marseille, distingue cinq f
ente, pseudo-typhique et fébricule hystérique. 11 existe un type de fièvre hystérique avec pseudo-affection viscérale qui
ns conta- gicuscs ; il cuL des convulsions au cours de toutes les fièvres éruptives qu'il prit elles maladies de gorge et a
rités suivantes : pas de caractère familial, début à la suite d'une fièvre infectieuse, arythmie el troubles de l'audition.
ivant, préférant maintes régions, elles s'accom- pagnent parfois de fièvre . Ces douleurs-types-là indiquent la sclé- rose
nfection. - Comme toute infp('- tion aiguë ou chronique (pneumonie, fièvre typhoïde, tubercu- lose, rhumatisme, syphilis,
intelligence moyenne, qui n'a pas eu d'au- tre maladie grave qu'une fièvre typhoïde ( ? ) à l'âge de 3 ans. Elle est très
e : -2" les téta- nos à forme chronique, sans lièvre où avec peu de fièvre , sans accidents graves, qui guérissent sans le
ner les annexes des divers quartiers. A noter aussi le retour de la fièvre typhoïde dont nous avons eu à supporter deux at
ns notre service, et de surseoir à cette opération, s'il y a (le la fièvre . 464 bibliographie. «Chez un entrant, nous av
e la colora- lion des , par Stransky, 231. Voir Dégénérescence. Fièvre typhoïde. Voir Myopa- thie hystérique, par Gar-
opathie HYPERTROPHIQUE con- 504 TABLE DES MATIÈRES. sécutivè à la fièvre typhoïde, par Babinski, 12. Myxoedème fruste,
93 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ndant plus de raideur dans les membres. 98° jour. Nouvel accès de fièvre avec frissons répétés ; la sensation de cercle
trois ou quatre jours; pendant cette affection, qui s'accompagna de fièvre , les mouvements furent beaucoup moins intenses
ot, hospice de la Salpêtrière. ' Son père est mort, dit-il, d'une fièvre typhoïde, sa mère est bien portante ainsi que s
le- ment. A l'âge de six ans il a eu la rougeole; à treize ans la fièvre muqueuse. Dès l'âge de huit à neuf ans, sans ca
26 juillet. Ch... revient à l'Electro thérapie. Interrogé sur la fièvre muqueuse dont il a souffert à l'âge de treize ans
nique; avec affaiblissement ou abolition des mêmes réflexes dans la fièvre typhoïde et sa convalescence. L'anémie ar- tifi
dans l'espèce. SOCIÉTÉS SAVANTES. 119 9 M. Mueller. A la suite de fièvres typhoïdes graves, maints ma- lades présentent d
s médicaments par la même voie. A. Fabre établit la réalité de la fièvre hystérique et lui recon- naît cinq formes, éphé
es, son origine émotive, son évolution désordonnée caractérisent la fièvre hystérique. La fausse phthisie des hystériques,
l'aliénation mentale comme complication immédiate ou tardive de la fièvre typhoïde ; par Pituvosr. (Thèse de Paris, 188t.)
- porter des affections aiguës (Obs. III, angine simple; Obs. IV, fièvre muqueuse ( ? ) ; Obs. VI, angine couen- neuse).
cales non abcédées, conjonctivite légère, pas d'otite, etc., pas de fièvres éruptives. ' Jusqu'en décembre 4S9, llul... ne
e idiopathique. Accès de colère de la première en- fance ci 1881. - Fièvre cérébrale et convulsions ci 7 ans (1876). Premi
il est moins intelligent que notre ma- lade ; 3° garçon, mort d'une fièvre cérébrale avec convulsions con- sécutives à une
, gentille, très nerveuse; a eu des convulsions dans le cours d'une fièvre typhoïde à sept ans. D'un amant, deux enfants :
les accès. On croit qu'il se livre à l'onanisme. Rougeole à 3 ans, fièvre cérébrale à 7 ans, attribuée à un coup de solei
matières; accidents du décubitus ; oedème des extrémités; un peu de fièvre . Mort cinq mois après les premiers phénomènes.
erveuses et cérébrales d'un autre ordre, voire dans le délire de la fièvre traumatique (une observation à l'appui). 'i. P.
ci succède, accompagnée de troubles intellectuels, aux suites d'une fièvre typhoïde, d'un traumatisme crânien ou d'une der
gent ». Il a eu la rougeole à quinze mois, mais n'a eu aucune autre fièvre éruptive, ni diphtérie, etc. A trois ans et dem
connaissance qu'au bout de vingt- quatre heures; il aurait eu de la fièvre (glace, éther, sinapismes); il ne se leva que v
usEw-a'rcov \111. -Epilepsic idiopathique. - Père alcoolique ( ? ). Fièvre intermittente (trois ans.) - Premier accès à sept
94 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ères fécales. 84 RECUEIL DE FAITS. Il ne peut prononcer un mot. Fièvre violente ; l'eschare s'étend. Mort. ' A l'autop
moins fréquents. Pas de symptômes de 'méningite ' secondaire avec fièvre ? "l'imii1 I,r, Mort rapide., ? ", ? M gJij
réquents. ' Il Symptômes de méningite secon- l'i'daire avec'forte fièvre ,,vers le troisième ou lé quatrième jour. lièg
Plaies des artères; 2° concours (1880) : Signes et diagnostic de la fièvre ty- pAotde. Signes et diagnostic de la fracture
n'avait que quinze ans quand elle devint enceinte, et aurait eu une fièvre cérébrale ( ? ) pendant sa grossesse ; elle éta
ers dix ans, un an après les premières attaques, elle aurait eu une fièvre cérébrale. Elle a été réglée à treize ans. A part
t d'une douleur dans le côté gauche de la poitrine, sans toux, sans fièvre , sans fréquence du pouls. L'auscultation ne rév
ral du sujet qui amène la dis- parition des troubles nerveux, si la fièvre suffit pour amener ce résultat, ou si l'amendem
paraît intéressante au point de vue de l'étude de l'influence de la fièvre sur l'itiestliésie hystérique. C... (Virginie),
ent spasmodique n'est donc pas non plus modifié sensiblement par la fièvre . Ce fait semble- rait donc indiquer que si la m
la suite d'un accouchement gémellaire heureux, s'était établie une fièvre ressemblant à celle de la malaria. Les accès pe
mbre d'affections aiguës ou chroniques, dans la convalescence de la fièvre typhoïde, dans l'encéphalopathie rhumatismale,
Sa mère est bien portante, un peu nerveuse. Un frère est mort d'une fièvre cérébrale à trois ans ; deux cousins de la troi
e du bras et de la jambe de ce côté. L'enfant eut alors beaucoup de fièvre pendant assez longtemps et on dit aux parents q
recoquevillé sur lui-même, indifférent à ce qui l'entoure ; pas de fièvre ; depuis hier la diarrhée, arrêtée à grand'peine,
e diarrhée ; l'état cachectique s'accentue de jour en jour : pas de fièvre ; pouls petit et misérable ; bouche et langue sè
bituelle. Après celui-ci, il se plaint de douleurs de tête, a de la fièvre , etc. ; et, tandis que le premier état de mal n
tté l'école, débile, triste, lypémaniaque, irritable, et depuis une fièvre tpliolde n'a jamais été ce qu'il paraissait êtr
lus ou moins durable ; on les rencontre dans la convalescence de la fièvre typhoïde, delà pneumonie ; on peut les rencontrer
95 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
hée avec épreintes, abondante, le dérangeant 10 fois par jour, sans fièvre . Il se guérit de cette diarrhée au bout de 6 sema
sque toujours brusque, avec des symptômes généraux graves, tels que fièvre plus ou moins élevée, somnolence, vomissements, c
tieuse quelconque déterminée, elle débute d'une façon brusque, avec fièvre plus ou moins forte et des phéno- mènes générau
ans 1/2, qui après avoir présenté tous deux des symptômes généraux ( fièvre , agitation, convulsions, somnolence, état gastr
s deux premiers enfants pré- sentèrent des phénomènes généraux avec fièvre , sans symptômes d'une ma- ladie infectieuse déf
6 jours après le début de troubles gastro-intestinaux graves, avec fièvre élevée, présente des convulsions à type jaksonicn
(3). Il s'agit d'un enfant qui fut atteint à l'âge de 13 mois de de fièvre intense, pendant 2 jours, avec des convulsions gé
ch (1). Il s'agissait d'un enfant de 5 mois, atteint brusquement de fièvre et d'agitation, chez lequel au 4.e jour de la mal
e souffrit encore, depuis le début de sa maladie, plusieurs fois de fièvres palustres. Le volume du membre continua encore
; le quatrième est mort accidentellement. Antécédents personnels. - Fièvre typhoïde et variole en 1807, à l'âge de 21 ans.
des plongeurs à Tripoli d'Afrique, avec les phé- monènes suivants : Fièvre 38° 2. Le corps, sauf la tête et le cou, était at
inales. Le 8" jour, tache sombre de décubi- tus à la région sacrée. Fièvre 38° 8. Les phénomènes continuèrent en s'ag- gra
fut remplacée par de l'in- continence ; les érections cessèrent. La fièvre continua jusqu'à la fin. Les urines devinrent t
n- dant 13 jours l'état s'aggrava. Le 29° jour de la maladie, coma, fièvre 39° 2 le matin,et 39° 5 à minuit avec de l'exci
rs la fin de novembre 1905 une légère indisposition, avec un peu de fièvre et des troubles gastriques ; au bout de trois jou
où il fut atteint d'un malaise 14 218 JACINTO DE LÉON général, fièvre légère, coryza, toux, troubles gastriques, influe
s de juillet 1906, une maladie fébrile de quelques jours ; quand la fièvre disparut, les parents observèrent qu'il était i
l de l'an dernier, où elle tomba malade de nausées, vomissements et fièvre de moyenne intensité, état qui dura plu- sieurs
ière après douze jours, parce qu'il y eut réapparition d'une légère fièvre , environ 38°, et quelques troubles gastri- ques
ents et petits frères sains, tomba malade tout à coup en juin 1906, fièvre élevée, nausées, vomis- sements, grand abatteme
i dura quatre ou cinq jours, d'après ce que disent ses parents ; la fièvre tombée, on s'aperçut que l'enfant ne pouvait se
rver celle de l'accommoda- tion ; tachycardie, 123 battements, sans fièvre ; douleurs intenses à la pres- sion musculaire,
examen dans le premier âge. Le début de la maladie par une légère fièvre et le lent développement delà paralysie, qui se
t conformés. T. J... marché très jeune et toujours bien. A part une fièvre typhoïde contractée à l'âge de 12 ans, elle n'a
s, tuméfaction douloureuse de la région sous-maxillaire droite avec fièvre et rougeur de la peau. Bientôt il se fait un abcè
conservée pour son âge, n'ayant jamais fait d'autre maladie qu'une fièvre typhoïde à l'âge de 30 ans, un peu nerveuse, a so
multiples. C'est ainsi qu'elle a souffert de paludisme à 6 ans, de fièvre typhoïde à 10 ans, de rou- geole à 12 ans et de
96 (1898) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 11]
long sé- jour en Algérie et aurait été en proie pendant 4 ans à la fièvre intermittente. Il aurait contracté un chancre q
régions voisines sont envahies successi- vement et il arrive que la fièvre , la douleur et l'oedème persistent encore alors
mplètement dépassée ; c'est ainsi que dans le cas de Munchmeyer, la fièvre a duré 54 jours. Une fois l'oedème disparu,la t
était bien conformée et ve- nait bien fut prise de convulsions avec fièvre et qui lui laissèrent une paraly- sie du côté d
régions de l'économie; il s'ins- tale avec son cortège habituel de fièvre , de douleurs aiguës et de trans- pirations, ave
côté de la peau. Tout autre est le début de la myosite ossifiante : fièvre modérée, douleurs peu mar- quées, et formation
'à l'ye de 11 ans, époque à laquelle il eut, pendant une année, des fièvres intermittentes graves, à type tierco, qui i l'o
uleur très intense, surtout mar- quée à l'épaule et au liras, de la fièvre allant jusqu'à 37° et 38°, au dire du malade ;
vait pas ouvrir l'oeil. Ces accidents aigus, gonflement, douleur et fièvre ,Font obligé il garder le lit pendant trois mois;
elle formation. L'année suivante, vers la même époque, en avril, la fièvre a réapparu ; le gonflement, la rougeur et la do
ébuchait en marchant. L'anorexie devint complète : X... avait de la fièvre . Au bout de deux jours, la fièv re redoubla ; i
moigne un portrait qu'on a conservé de lui. Mort à douze ans, d'une fièvre typhoïde. Une quatrième grossesse a donné naiss
légère durant 3 jours. Huit jours après au milieu de douleurs et de fièvre , formation brusque dans le droit antérieur gauc
ineux et du demi-membraneux. 16 juillet. L'infiltration diminue, la fièvre cesse, les muscles de la cuisse deviennent pâte
e gau- che sont transformées en une. tumeur pâteuse, accompagnée de fièvre , doulou- reuse.Plus tard, dysphagie, sensation
ait pas marcher. Tous ces phénomènes inflammatoires ont évolué sans fièvre . Le malade est concentré et timide. Dès sa jeun
fficultés de la déglutition. Tous ces phénomènes sont survenus sans fièvre et sans gonflement des articulations. A la même
irement pas le siège de gonflement ni de rou- geur. Il n'y a pas de fièvre . Le cas de Baumler fait un peu exception à cett
lier au sujet des sens de l'ouïe et de l'odorat. La malade meurt de fièvre typhoïde. L'autopsie est faite, mais incomplète-
l a donné une description magistrale de la lithiase biliaire, de la fièvre intermit- tente due à l'angiocholite, des cirrh
et l'oblige à re- gagner son lit en proie aux frissons. Bientôt la fièvre se déclare et elle éprouve au côté droit du tho
ale. La projection inspiratoire du diaphragme égale des deux côtés. Fièvre , pouls, phénomènes physiques, les mêmes à peu p
ère du malade ont eu tous les deux à deux re- prises différentes la fièvre rhumatismale. Mère âgée de 35 ans bien portante
légère rougeur de la peau et douleur très vive à la pression ; pas de fièvre . - Le 13 juin excision d'un petit morceau de mu
biles; comme des noisettes, qui disparurent bientôt après. En 1884, fièvre , douleurs sur tout le côté gauche du thorax penda
e. En novembre, chute sur le bras gauche, gonflement de ce dernier, fièvre , douleurs, application d'un bandage plâtré et r
ltat : uu peu de mobilité à l'épaule gauche. Le 21 janvier 1896. -- Fièvre 38°2 C le matin, perte de l'appétit, gonfle- me
97 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
t dans son établisse- ment, où il resta six mois etfit, dit-il, une fièvre typhoïde. Ce qui est par- faitement sûr, c'est
qu'une personne du service croyant qu'il s'agissait d'un frisson de fièvre releva la température centrale de la patiente, te
pelle pas avoir fait de maladies pendant son enfance. Elle a eu une fièvre typhoïde à l'âge de vingt-deux ans. FIG. 30.
rait eu des attaques étant jeune. Soeur morte il dix-neuf ans de la fièvre typhoïde. Elle a eu des attaques. Une autre soe
ébut de la maladie. A la suite d'un accouchement, elle est prise de fièvre vive avec céphalée et rachialgie pendant vingt-
d'autre cause que le froid. Le 21 février, au matin, il est pris de fièvre ; l'après-midi, l'avant-bras gauche est paralysé
hère des nerfs crâniens ni bulbaires. Enfin on ne constate pas de fièvre , ni d'affection quelconque des organes thoraciq
lexes étaient intenses. Embarras de la parole. 10 janvier. - Pas de fièvre . Etat cachectique, alternatives de diar- rhée e
lle chez elle. La malade ne présente aucun symptôme général, pas de fièvre , bon appétit, défécation et miction faciles, re
ed gauche enfla sans cause apparente, sans douleur, sans rougeur ni fièvre notable ; il était gros, gonflé dans toute son ét
qu'il ait eues sont une rougeole dans sa pre- mière enfance, et la fièvre typhoïde à l'âge de neuf ans. Cette dothié- nen
es bases suivantes : d, Début subit de la paralysie en général avec fièvre , ou quelquefois sans fièvre, avec ou sans convu
t subit de la paralysie en général avec fièvre, ou quelquefois sans fièvre , avec ou sans convulsions (fièvre ne durant guère
avec fièvre, ou quelquefois sans fièvre, avec ou sans convulsions ( fièvre ne durant guère que trois à huit jours); 2° P
e son travail ; dans quelques-unes, nous notons un début subit avec fièvre , douleurs abdominales (obs. IV, VII; VIII, IX,
rons d'Auxerrc, dans un pays de vignobles, non marécageux, où la fièvre paludéenne est inconnue; elle y a vécu jusqu'à l'
98 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
ne élévation de la température centrale. La fréquence du pouls sans fièvre est d'ailleurs un fait très commun, dès les premi
attiré l'attention. Enfin, c'est le cas de mentionner en passant la fièvre réelle qui, au début de l'ataxie, accompagne les
ces symptô-mes est presque constante. 1 La fréquence du pouls sans fièvre est chose commune chez les ataxi-aues. Il est n
accentués. Cette arthropathie ne s'accompagne le plus souvent ni de fièvre , ni de douleurs ; ce n'est que par exception que
maladie a un début brusque, soudain, annoncé le plus souvent par une fièvre intense, avec ou sans accompagnement de convulsio
mptômes cérébraux et quelquefois de contrac-tures passagères. Cette fièvre initiale, que nous venons de signaler à votre att
la suite d'un état fé-brile plus ou moins intense ou en l'absence de fièvre ; 2° Prompte diminution et même abolition appar
elles aussi, ont droit à notre intérêt. Ainsi, il est des cas où la fièvre initiale présente une inten- 1 Heine, loc. cit.
site et une durée exceptionnelles ; il en est d'autres où, après la fièvre , la paralysie, au lieu d'atteindre tout à coup so
, deux ans auparavant, après 4 jours de malaise, avait été pris d'une fièvre intense, laquelle dura pendant plus d'une semaine
ôt, s'accompagna de symptômes tels qu'on put croire à l'invasion d'un fièvre typhoïde, s'annonçant avec des caractères d'une h
es. L'inertie motrice avait été remarquée déjà pendant la durée de la fièvre mais elle avait été considérée jusque-là comme ré
uches et massage énergique. Le 27 septembre 1873, il fut pris d'une fièvre peu intense qui ne l'obligea pas à se coucher. L'
t recouché. Il paraît bien établi que, ce jour-là, il n'avait plus de fièvre . La paralysie fut accompagnée, dès l'origine, d'u
te, dans la grande majorité des cas, par les membres supérieurs, sans fièvre , le plus communément sans malaise appréciable, qu
êt, je relèverai seulement les points suivants : La malade a subi une fièvre typhoïde à 18 ans, et, à 30 ans, une fièvre inter
ts : La malade a subi une fièvre typhoïde à 18 ans, et, à 30 ans, une fièvre intermit-tente qui a duré six mois. A 41 ans, R
trophie musculaire ; elle-même n'a jamais eu d'au-tre maladie que les fièvres éruptives de l'enfance, enfin elle a toute sa vie
99 (1883) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des épileptiques et des enfants idiots et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1882
de chagrins cau- sés par des pertes d'argent. » Un frère mort d'une fièvre typhoïde; trois soeurs ont l'une trois enfants,
gère (il avait été vacciné), une rougeole à 2 ou 3 ans et enfin une fièvre muqueuse. - Il est allé à l'école, a appris à lir
u moins on le croit, jamais de manifestations strumeuses, jamais de fièvres éruptives ou autres; il aurait eu une dartre fa
deux sont morts à la suite de convulsions et le troisième après une fièvre ; un autre a eu six enfants dont deux sont morts
e frères ou soeurs sont morts ; l'un d'eux aurait été fou après une fièvre typhoïde à 19 ans ; un autre frère, encore viva
de Sedan, mère de Paris). 4 enfants : 1° Fille morte à 5 ans d'une fièvre cérébrale : intelligente, bien conformée; avait
gauche; elles ont duré environ six heures et ont été suivies d'une fièvre intense qui a per- sisté 4 à 5 jours. On n'aura
'accès une période de stupeur assez marquée; le ma- lade n'a pas de fièvre , l'appétit est bon, mais il reste tout le jour
5 ans ; il a eu la rougeole ; vacciné, pas de vario- laide, pas de fièvres . Sa maladie nerveuse aurait débuté à l'âge de 8
100 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e a commencé à uriner au lit à partir de sept ans, à la suite d'une fièvre muqueuse. On me l'amène dans le courant d'avril
maintenue. Avril 1894. Apparition des règles sans accident. Août. Fièvres intermittentes paludéennes, cachexie commen- ça
'idée suggérée. A remarquer aussi la rechute survenue à la suite de fièvres intermittentes. TRAITEMENT DE L'INCONTINENCE D'
omme guérie, mais la semaine dernière ayant été prise d'angine avec fièvre , elle a pissé au lit deux fois. 22 juillet. E
'arrivait que de temps en temps, mais il y a un an à la suite d'une fièvre violente accompagnée de symptômes céré- braux a
illée depuis le 22. Hier, cet enfant a eu encore un de ces accès de fièvre avec état quasi comateux dont le diagnostic est
ayant quand même un passé pathologique défavorable : scarlatine, fièvre typhoïde, péritonite, hystérectomie, etc. Cette f
inconnu, mère hystérique. Comme antécédents personnels : rougeole, fièvre typhoïde, syphilis, trau- matisme grave, hystér
t que la vita- lité du malade soit assez forte pour triompher de la fièvre pro- duite par l'alimentation thyroïdienne, sin
e écrite : Méninges cérébrales; épreuve orale : Complications de la fièvre typhoïde, luxations de l'épaule; pour la région
tablir la nalure. S... n'a pas eu de maladies graves autres que les fièvres éruplives communes de l'enfance. Sur aucun poin
ait tantôt actif, exubérant, tantôt apathique et déprimé. Il eut la fièvre typhoïde et depuis resta sujet aux maux de tète
néralisée, de ces mêmes artérioles cutanées ; en effet, qu'il y ait fièvre ou non, l'ischémie est en rapport étroit avec l
ulte. Etat de la constitution ? Le malade a-t-il été atteint : de fièvre typhoïde ou intermittente, de méningite, lésion
coup de soleil, chlorose ou anémie, rhumatisme, rachitisme, chorée, fièvres éruptives, désordres chro- niques de l'appareil
enace. Il y à un mois, encore à la suite d'une peur, elle eut de la fièvre pendant dix jours, puis des coliques violentes
és et les anémiques. Parmi les causes déterminantes, le typhus, les fièvres intermittentes invétérées, les excès sexuels, l
mburg und Leipzig, 1896. Verlag von Leopold Voss. MELLO-BAHRETO. La fièvre jaune. Sa pallioqéîiie el son traitement. Broch
n 1891 TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS. ù4t) légère fièvre typhoïde. En 1892 la malade étant forcée de march
ni psychopathique. Antécédents personnels. - A1'âe de quatorze ans, fièvre typhoïde Réglée après sa fièvre typhoïde et rég
ersonnels. - A1'âe de quatorze ans, fièvre typhoïde Réglée après sa fièvre typhoïde et régulièrement. Syphilis à dix-sept
un traitement électrique, comme le thermomètre donne le degré de la fièvre . (La Force vitale, notre corps fluidique, sa fo
lr'10 VARIA. joues amaigries par la souffrance et enflammées par la fièvre . Pour le consoler, je lui parlai de nos divines
thrombus inflammatoire produit par les pyococci, car il n'y a eu ni fièvre , ni méningite, ni abcès. 6° Observation d'acr
/ 181