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1 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
et. — Le respect des morts, p. 1. II. — TRAVAUX ORIGINAUX. — 1. Les femmes â barbe : Etude psychologique et sociologique :
. Les femmes â barbe : Etude psychologique et sociologique : I. Les femmes a barbe dans l'art 'avec quatre figures), par M,
fa dureté pour les autres ne sont qu'un seul et même oice. » Les Femmes à barbe : Étude psychologique et sociologique,
maux. — L'étude des anomalies est une source d'idées générales. — Les femmes a barbe dans l'art et dans l'histoire. Affirmer
exagération anormale du système pileux fait désigner sous le nom de « femmes à barbe. » On nous permettra de les désigner sous
s naturelles du sujet. Nous étudierons donc successivement : I. Les femmes à barbe dans l'art; II. Les femmes à barbe dans
s donc successivement : I. Les femmes à barbe dans l'art; II. Les femmes à barbe dans l'histoire; III. Les femmes à barb
arbe dans l'art; II. Les femmes à barbe dans l'histoire; III. Les femmes à barbe contemporaines. Ce dernier chapitre com
ques que nous serons autorisés à déduire des faits observés i Les femmes a barbe dans l'art Les documents illustrés rela
Les femmes a barbe dans l'art Les documents illustrés relatifs aux femmes k barbe sont extrêmement rares. Cependant, malgré
faites. Le plus ancien de tous les documents illustrés relatifs aux femmes à barbe est vraisemblablement une figure très cur
vénements surprenants. Le dessin que nous reproduisons représente une femme nue dont le menton est orné d'une barbe touffue (
fois le dessin ci-joint qui a évidemment pour buL de représenter une femme à barbe (Fig. H]. Cette femme porte au menton u
videmment pour buL de représenter une femme à barbe (Fig. H]. Cette femme porte au menton une barbe artistement taillée en
in:) Basilex, per Henrieum Petri... M.D.LVH C1557), In-fol. Fig. I. Femme a barbe, (CAroaicm tf* Wmm*m§, UOÎt Son attit
a barbe, (CAroaicm tf* Wmm*m§, UOÎt Son attitude est celle d'une femme qui marche au pas accéléré. Afin qu'aucun doute n
s dans l'impression et la ciselure de la gravure sur bois. lit. II. Femme a barbe. {Chronique de Conrad Lycoaibcncs, liWj
barbe. {Chronique de Conrad Lycoaibcncs, liWj La représentation de femmes à barbe, dans les deux livres que nous venons de
n faite pour étonner. Elle ne peut s'expliquer que par l'existence de femmes dout le menton était orné de barbes. Ce n'est pas
ort estimées, au nombre desquelles s'en trouve une qui représente une femme à barbe habillée d'un costume de l'époque (Fig. I
nuel Deuu*h, (Wl-IMO de H* i hampe d'une hallebarbe, fait face à la femme barbue. On pourrait, avec un peu d'imagination, s
ne première considération psychologique s'impose. Malgré sa barbe, la femme que l'artiste a figurée ne se désintéresse pas de
rsonne de condition élevée, indique d'ailleurs qu'elle tient à rester femme , et témoigne d'un souci évident de la mode et de
rs. La richesse de son costume nous permet de la ranger au rang des femmes les plus élégantes de son époque. On peut en juge
plutôt libertins dont Fig. IV. Madame Hélène Anthonia née à LU-gc. femme a barbe. Portrait par Johann es Loaellus. le
sinée qui orne son visage, n'est pas une virago. Elle a tenu à rester femme . Il n'y a pas un détail de son costume qui ne pro
ogie du rêve. M. Podiapolski (de Saratow) : Brûlure suggérée chez une femme ayant présenté du mutisme hystérique. M. le P
-dire en six mois, 387 malades ont clé traités, dont 347 hommes et 40 femmes . D'après le genre de leurs occupations, les malad
D'Henry Leuesle, professeur à l'Ecole de psychologie, p. 33. 2. Les femmes à, barbe : Etude psychologique et socio- logiqu
es femmes à, barbe : Etude psychologique et socio- logique : I, Les femmes a. barbe dans l'art 'avec six Jigures), [suite),
r .M. le Dr Damoglou, du Caire, p. 46. 4. Brûlure suggérée chez une femme ayant présenté du mutisme hystérique, par M. Pû
au monde savant la maxime lapidaire : a Dormir, c'est guérir. » Les Femmes à barbe : Étude psychologique et sociologique,
êrillos Professeur & l'Ecole de psychologie {suite) (1) Les femmes à barbe dans l'an. — Héleoa Anthonla au ??* siècl
Les femmes à barbe dans l'an. — Héleoa Anthonla au ??* siècle. — La femme à barbe de Dresde. — /. Pas Iran». — Les femmes b
la au ??* siècle. — La femme à barbe de Dresde. — /. Pas Iran». — Les femmes barbues et velues. — La famille d'Ambras. Ce
résidait alors à Itrescia. Afin d'être documenté sur le cas de cette femme à barbe si extraordinaire, le médecin de Bologne
e quelques années plus tard. Helena Anthonia y est qualifiée de jeune femme , ce qui indique qu'elle avait trouvé un mari. I
semblaient tirer quelque vanité de la présence dans leurs murs d'une femme aussi barbue. Au point de vue psychologique, no
i justifierait ce jugement exprimé par Marcus Palavinus, au sujet des femmes à barbe, à savoir qu'en général elles seraient de
lume de 1712, se trouve l'observation de Theo-philus Michaelis sur la femme à barbe de Dresde (de virginc barbatâ Dresdens!)
e virginc barbatâ Dresdens!) (Fig. 5.). Comme le dit Michaelis, cette femme est la preuve que te sexe féminin peut être doué
garita Müllerin était alors âgée de 6î ans. L'examen méritai de cette femme révéla qu'elle était douée de courage et qu'elle
lle avait joui d'un _ Flg. 5. Roilna Uargarka Müllerin (de Dretde). Femme k herbe, Ifta de tt an*. (!«s-178î) bon somme
sig l'honneur d'avoir donné naissance Flg, S. Jlmi Zenora Paatrani, femme a barbe. Agée Je 83 ans. tlSSSj. à cette femme
lmi Zenora Paatrani, femme a barbe. Agée Je 83 ans. tlSSSj. à cette femme à barbe. Dans son travail il révèle que cette vie
t Illégitime pendant sa jeunesse. Ce fait tend: r à démontrer que les femmes & barbe ne sont pas forcément vouées à la sté
orcément vouées à la stérilité. Lorsque nous aborderons l'étude des femmes à barbe contemporaines, nous pourrons citer des f
87. S. REVUE DE L'HYPNOTISME Pour conservor à cette élude des femmes à barbe son intérêt iconographique, nous interrom
ert de poils et qu'elle ne doit pas être rangée dans la catégorie des femmes à la fols barbues et velues que nous allons prése
Iup. «Rèe >le 8 an» (famille d'Ambra», Tyi*l. m> aiecle). LES FEMMES BARBUES ET VELUES. Avant d'aborder l'étude icon
VELUES. Avant d'aborder l'étude iconographique et psychologique des femmes à barbe contemporaines, sur lesquelles nous avons
grand nombre de documents, nous devons consacrer quelques pages à des femmes qui ont été souvent présentées comme des femmes à
quelques pages à des femmes qui ont été souvent présentées comme des femmes à barbe, mais qui n'étaient en réalité que des fe
ntées comme des femmes à barbe, mais qui n'étaient en réalité que des femmes velues. Elles étaient atteintes de co développeme
qu'une hyperexcitabilité générale et croit avoir un rapport avec une femme : à ce moment en effet il se produit une émission
s étaient restés tout à fait inefficaces. Brûlure suggérée chez une femme ayant présenté du mutisme hystérique, Par M.
notre jeune homme, il s'agit d'une sorte de transformation d'homme en femme . Cette transformation n'est pas du tout le dédo
rappelle deux malades que j'ai présentés dans cet amphithéâtre : une femme de 38 ans, transformée en petite tille de 8 ans,
c'est l'amour. 11 espère perpétuellement trouver dans le regard d'une femme le rayon qui viendra ensoleiller sa vie. « La fem
s le regard d'une femme le rayon qui viendra ensoleiller sa vie. « La femme , dit-il, c'est ma morphine à moi ». Pas très
es qui ne songent qu'à se faire épouser ». Il en arrive à accuser les femmes d'être causes de son malheur et II est devenu per
aux stations thermales, p. 65. II. — TRAVAUX ORIGINAUX. - I. Les femmes à barbe : Etude psychologique et sociologique :
. Les femmes à barbe : Etude psychologique et sociologique : I. Les femmes à. barbe dans l'art 'avec cinq figures), (suite),
'isao;és au point" de tue médical, pédagogique et sociologique. Les Femmes a barbe : Étude psychologique et sociologique,
le Dr Bérillok profctsejr a l'Ecole de psychologie (suite) (1) Les femmes a darse dans l'art Les femmes barbues et velues
cole de psychologie (suite) (1) Les femmes a darse dans l'art Les femmes barbues et velues. — La plus célebro des femmes à
arse dans l'art Les femmes barbues et velues. — La plus célebro des femmes à barbe. — Barbara Ursterln. — La ballerine Julla
a Paatrana. — La psychologie d'un monitrc do laideur. De toutes les femmes à barbe, la plus célèbre fut assurément Barbara U
devint un objet de curiosité. Elle fut certainement une des premières femmes à barbe exhibées dans les foires et on peut, par
ssée Ici {à Bâle), venant d'Augsbourg. » FI?, lï Barbara L'rslerin, femme à barbe, Igec «le ÎO a:;-, par laaac Bruno. (IWO-
orps était presque tout entier couvett de H g. 13. Birtira Urslern, femme a barbe, agee de 25 an.*, par Gaj-wood. (t«8) p
ut la satisfaction de se convaincre qu'elle était bien réellement une femme . M. John Bulfinch a cependant omis de nous appren
oire à l'existence dans le cours du dix-septième d'un grand nombre de femmes û barbe En réalité, bien que leurs observations n
erin ne pouvait manquer de prêter à la même confusion. Cependant, les femmes a barbe sont déjà assez nombreuses pour qu'il ne
s leurs localités respectives. Ils aimaient PI • 11. Jul La Paurani femme barbue et velue, àgèe de 28 ana ilSlSi. à voyag
établissaient ainsi entre les médecins de divers pays d'Europe. Une femme barbue et velue qui eut également son heure de su
à l'âge de 23 ans. Voici la description qui a été donnée de cette femme anormale : «Julia Pastrana a le visage couvert de
dissimulé par un voile épais, on pouvait se croire en présence d'une femme bien faite et normalement constituée. Mais elle é
déraient comme un animal et ne lui ménageaient pas les quolibets. Les femmes surtout se montraient cruelles dans leurs appréci
nt ù pénétrer dans sou intimité. C'est ainsi qu'elle découvrit que la femme phénomène était douée d'une intelligence supérieu
on (I) Ce qui distinguait essentiellement Julia Pastrana dos autres femmes à barbe, c'est qu'au lieu d'avoir des poils doux,
s faiblesses. Elle prouva que pour être barbue, on n'en est pas moins femme . Il en résulta la naissance d'un enfant qui mouru
fier et pendant quelques années, on continua à exhiber le corps de la femme à barbe et celui de son enfant. Triste destinée q
me à barbe et celui de son enfant. Triste destinée que celle de cette femme dont le sort fut de provoquer l'étonnement des ba
raits soient sans expression, on ne se croirait pas en présence d'une femme qui, depuis quatre ans bientôt, ne s'alimente pre
phénomènes sont de courte durée ; en résumé le faciès est celui d'une femme amaigrie, plongée dans un sommeil calme et profon
erf sciatique a complètement disparu au bout de quelques jours. Cette femme se porte très bien depuis, d'après les informatio
OLKLORE LIVRAISON D'OCTOBRE 1904 I; — TRAVAUX ORIGINAUX. — 1. Los femmes a barbe : Etude psychologique et sociologique : I
1. Los femmes a barbe : Etude psychologique et sociologique : I. Los femmes a. barbe dans l'art [avec huit figures), {suite\,
MENTAL ET THÉRAPEUTIQUE 10-ANSftE. — H> 4. Octobre 1904. Les Femmes â, barbe : Étude psychologique et sociologique [s
(% Par M. le D' Bérillon Professeur à l'Ecole de Psychologie Les femmes a barbe dans l'art Les femmes barbues et velues
esseur à l'Ecole de Psychologie Les femmes a barbe dans l'art Les femmes barbues et velues. — Un portrait ressemblant de J
Julia Pastrana. — La laotienne Krao. — La tille de Scawe-Maong. — Les femmes à crinière. Fig. Il Julla Paeiraoa, femme barbu
le de Scawe-Maong. — Les femmes à crinière. Fig. Il Julla Paeiraoa, femme barbue et velue par Konig (agee de 22an»), La p
age hirsute, que Julia Pastrana ait été présentée au public comme une femme à barbe. En effet, sa barbe, assez fournie, était
frappante entre la laideur physique et la beauté morale de la pauvre femme à barbe appellerait bien d'autres considérations.
la n'a rien d'étonnant, car Julia Pastrana Ftg. tï. Julia Paairana, femme barbae dévalue. observait la plus grande réserv
c'est celui d'une danseuse espagnole Julia Pastrana. qui, fort belle femme d'ailleurs {'). portait un front velu et une fort
piaiK nvlirr formol» tupm. SI elle eût vécu en pays musulman où les femmes ont toujours le visage recouvert d'un voile et ou
ge recouvert d'un voile et ou la beauté ne Joue pas dans la vie de la femme un rôle aussi important que dans le notre, son ex
xprimée dans la phrase suivante : - La laideur est une douleur que la femme supporte toute sa vie. * ouvertes, d'un noir
rer sont précisément ceux que M. Cari Bock a signalés chez les jeunes femmes (1) FaCvblli: : U ¦ cas de pilo&itme chez u
'est un exercice dont elle se montra aère, comme du reste, toutes les femmes distinguées du Laos et même du Siam. Je pense qu'
permettait de la présenter à la fois comme un être velu et comme une femme barbue. En 1824. M. Crawfurt, envoyé en missi
se maria par ordre du roi des Birmans, à l'Age de vingt-deux ans. Sa femme parfaitement normale et assez jolie même, dit le
-Maong, âgée par conséquent d'une trentaine d'années (flg. 21). Celte femme avait tout à fait la physionomie de son père; l'a
e of a mission to the court of Ava, IS55, London, p. 91. Flg. ÏÏ. — Femme velue ctrost?nc tt : 1490 garçon de quatorze
artie Inférieure par une sorte de barbe touffue et volumineuse. Cette femme velue et barbue ne présentait rien d'anormal au p
quant avec activité aux soins de son ménage. Klg. 23. Bella Carter. femme à crinière agée de 23 an*. Avant de reprendre l
inière agée de 23 an*. Avant de reprendre l'étude psychologique des femmes à barbe proprement dites, un instant interrompue
arbe proprement dites, un instant interrompue par la présentation des femmes non seulement barbues mais aussi velues, nous vou
autre but que de montrer que la véritable crinière que présente cette femme velue ne peut être une simple conception de l'ima
e de Psychologie. Dans un petit village de l'Allemagne du Nord, une femme dormait, jour et nuit, sans interruption, depuis
ment d'une manière à peu près exclusive chez les jeunes filles et lus femmes après des maladies aiguCs et chroniques. Ma mal
nsidérable que le sentiment de la pudeur, ordinairement si vifehez la femme , se trouve, quelquefois, complètement aboli. Le
nsciente. Tous les médecins savent que dans une salle d'hôpital, de femmes surtout, si une malade vient à avoir tels acciden
logue [arec un portrait), p. 129. II. — TRAVAUX ORIGINAUX. — 1. Los femmes o> barbe : Etude psychologique et sociologiq
s femmes o> barbe : Etude psychologique et sociologique : I. Les femmes à. barbe contemporaines (avec cinq figures), (sui
ulement un chimiste mais qu'il fut aussi un philosophe. E. B. Les Femmes a, barbe : Etude psychologique et sociologique {s
'). Par M. le Li bérillon Professeur i l'Ecole de Psychologie Les femmes a barbe contemporaines Le> femmes à barbe du
i l'Ecole de Psychologie Les femmes a barbe contemporaines Le> femmes à barbe du dix-aeuvifime siècle. — Marie-Madelein
ifime siècle. — Marie-Madeleine Lefori. — Splendeurs et misères d'une femme à barbe.—La cas du D* Chowne. — Le sexe démontré
barbe donne à la physionomie une telle expression de virilité que les femmes à barbe sont souvent soupçonnées d'être des homme
femmes à barbe sont souvent soupçonnées d'être des hommes déguisés en femmes . En cfTet, la structure générale de certains homm
s les cirques. Aussi nous ne nous occuperons dans cette étude que des femmes a barbe dont le sexe a été déterminé d'une façon
on indiscutable par un examen médical. Dans la majorité des cas, la femme à barbe vient d'elle-même solliciter le contrôle
ors que la pudeur naturelle au sexe féminin s'est opposée à ce que la femme à barbo se soumette à l'examen médical, c'est par
même vérification a été faite, au point de vue médico-légal, chez une femme à barbe, suicidée par pendaison, dont le corps fu
nt des documents artistiques qui nous ont transmis la physionomie des femmes à barbe. Nous étudierons d'abord, celles dont ?
t la photographie nous a donné l'expression plus vivante. Parmi les femmes a barbe dont la détermination du sexe a donné lie
mblables à ceux que présente la peau de l'abdomen et des mamelles des femmes qui ont eu des enfants. L'anus est bordé de poils
asculin. Enfin Béclard concluait de son examen que le sujet était une femme . En effet, on découvrait chez elle les organes es
6). On aurait peine à reconnaître dans ce portrait la brillante jeune femme qui faisait les délices des snobs dans les somptu
'un vieillard barbu. Les seins ont l'aspect que présentent ceux d'une femme âgée. Un élève de service, M. Da Corogna, prit
médecins des hôpitaux comme appartenant au sexe masculin. La pauvre femme ne devait pas tarder à fournir aux amateurs de co
sculin. litua un petit événement, et les histoires relatives a la femme à barbe défrayèrent pendant quelques jours les co
un certain embonpoint, exagéré par Flg. K. Merte-Madcleina Lefert, femme a baiba. à£#edeGS au*. Dar.s le du D* Horleloup,
olume assez considérable et sont pendantes comme celles d'une vieille femme . Le ventre est assez volumineux et présente quelq
était définitivement tranchée, Marie-Madeleine Le fort était bien une femme à barbe. Sa carrière, commencée le 15 janvier 181
n de l'hôpital de Charlng Cross, a Londres, présenta à ses élèves une femme à barbe, au sujet de laquelle il fit une série de
lle il fit une série de leçons des plus intéressantes. {*} La jeune femme était venue le prier de l'examiner, sollicitant u
que tout bon clinicien possède au bout de son index lui révéla que la femme & barbo méritait plus d'un titre d'être class
e dans la plus belle moitié du genre humain. Non seulement elle était femme , mais de plus elle était dans un état de grossess
temps à perdre. Mais lais sons la parole au D' Chowne : « La jeune femme à barbe se nomme J. B., âgée de 20 ans, elle est
geait nécessaire de cacher sa barbe, afin que quelque F U.K. J. B-, Femme a barba. A«*e de 20 an*. Cai du D* Chowne, L-n ir
trop zélé n'eût pas l'idée de la considérer comme un homme habillé en femme . Des poils assez clairsemés existaient aussi su
s de poils. La poitrine avait absolument l'apparence de celle d'une femme bien conformée. Les seins étaient très développés
vec l'apparence virile de son visage. La voix douce était celle d'une femme . Quand elle chantait elle avait le timbre féminin
i aient jamais paru en Europe, est arrivée à Londres. C'est une jeune femme de 21 ans, dont le visage, d'une blancheur extrao
incre qu'elle est parfaitement naturelle. » La description de cette femme à barbe est identique à celle qui a été donnée pa
oir aucun doute à ce sujet. Il est dans la destinée de la plupart des femmes à barbe, quelles que soient leur timidité et leur
ôtel, on peut voir la plus grande actualité du moment, la prodigieuse femme à barbe, la célèbre voyageuse au Pôle Nord, profe
t de physiologie. Cette nouvelle prophétesae, par F'iT- 28. Mme X., femme k barbe âgée île X ans. Cas du D* Kcker (Friboure
s événements de son passé et ceux que lui réserve l'avenir. a Cette femme merveilleuse mérite votre Intérêt, car elle est u
le est un jeu de la nature. Si elle présente tous les avantages d'une femme belle, douée d'une voix mélodieuse, son visage es
hôtel, le cadavre d'un individu habillé en homme. C'était celui de la femme à barbe qui, réduite à la plus grande misère, et
ce, qui arriva un peu plus tard, permet d'établir son identité. Cette femme était, au moment de sa mort, âgée de 50 ans. Le
âgée de 50 ans. Les bruits les plus singuliers coururent sur cette femme . Les renseignements obtenus par la police apprire
, et, utilisant la faculté qu'elle avait do s'habiller en homme et en femme , elle avait rempli des missions périlleuses en jo
garantissent les esprits contre les excès de crédulité. Cette pauvre femme , qui prétendait découvrir aux autres les secrets
de celte observation réside moins dans la mentalité spéciale de cette femme à barbe que dans le fait que son véritable sexe f
est à lui sans t'en rien épargner. Massacre depuis l'homme jusqu'à la femme ainsi que l'enfant et le nourrisson, le bceuf et
mère s'est retirée ».—« Ton épée, répliqua Schemouel, a fait bien des femmes sans enfants ; c'est à ta mère, maintenant parmi
bien des femmes sans enfants ; c'est à ta mère, maintenant parmi les femmes , à être sans fils. • El Schemouel égorgea Agag de
KLORE LIVRAISON DE DÉCEMBRE 1904 I. — TRAVAUX ORIGINAUX. — 1. L«s femmes a barbe : Etude psychologique et sociologique :
. L«s femmes a barbe : Etude psychologique et sociologique : I. Les femmes a barbe contemporaines {avec cinq figures], {suit
PÉRIMENTAL ET THÉRAPEUTIQUE 19« Année. —? 6. Décembre 1901. Les Femmes à barbe : Étude psychologique et sociologique (su
e)^), Par M. le D' Bbmllon Professeur .1 l'Ecole de Psychologie LES FEMMES A BARBE CONTEMPORAINES Les femmes * barbe du ux
r .1 l'Ecole de Psychologie LES FEMMES A BARBE CONTEMPORAINES Les femmes * barbe du ux* siècle. — Le cas du D' Duhring. —
NES Les femmes * barbe du ux* siècle. — Le cas du D' Duhring. — Une femme a. barbe parfaile. — La barbe blanche de Mme Tayl
ile. — La barbe blanche de Mme Taylor. — Le trac des acteurs chez une femme I barbe. — Madame Meyer. Flg. 39. Mme Viola "..
urs chez une femme I barbe. — Madame Meyer. Flg. 39. Mme Viola "... femme a barbe, âgée de 33 ans. Cas du D' D . r ¦¦¦ i.
de 33 ans. Cas du D' D . r ¦¦¦ i.1877|. Parmi les.observations de femmes à barbe, celle qui Tut recueillie en 1885 par le
vanic('), présente un intérêt particulier, parce qu'elle concerne une femme à barbe d'un type parfait. On pourra en juger non
, elle a un timbre féminin. Son caractère est tout à fait celui d une femme . Tous ses goûts et ses aptitudes la portent aux t
s acquis plus de développement qu'elle n'en a habituellement chez les femmes de constitution moyenne. Vers dix-huit ans les se
sa mère raconte que pendant sa grossesse elle a reçu la visite d'une femme qui portait au-dessous de la joue un grain de bea
u'elle en eût fait la remarque, elle ne croit pas que la vue de cette femme ait eu une influence sur l'apparition de la barbe
espondant a la grâce et à la douceur de son esprit. Elle est demeurée femme et a toujours conservé toutes les dispositions in
les cas d'bypertrichose généralisée. Elle réalise donc le type de la femme à barbe dans ce qu'il a de plus pur et de mieux d
pur et de mieux défini. • ¦ • Lorsque la destinée condamne une femme à barbe à s'exhiber dans un cirque ou dans une ba
ble que l'usage de la teinture Peul lui Per_ Fig. 30. - Mme T«ylor, femme à lwrte.;tgae del^juu-1890 mettre de prolonger
ger de quelques années de fructueux engagements. Il y a cependant des femmes à barbe qui se sont montrées Hères d'exhiber une
s d'Amérique. Vers la fin de sa carrière, elle se proclamait l'unique femme à barbe o blanche ». Son portrait nousdonne une i
hes commençaient à se dessiner et le visage était Fig. 3t. — Eva S, femme a barbe, tgee de 1S an» déj'à entouré de poils
, car divers auteurs ont prétendu que l'existence de la barbe chez la femme devait se faire aux dépens du système dentaire.
es penchants sont tous pour le sexe masculin, comme il convient à une femme véritablement digne de ce nom. Elle se complaît
es ses robes et tous ses chapeaux. Considérant qu'il est permis à une femme d'être coquette, elle s'habille avec goût et port
c goût et porte ses vêtements féminins avec la plus grande aisance. Femme de ménage accomplie, elle ne dédaigne pas de fair
tranquille, auprès d'un mari bon et rangé. Mes goûts sont ceux d'une femme vertueuse et lorsque j'ai dû gagner ma vie en exh
maîtresse de jeunos gens très riches. Mais plutôt que de devenir une femme entretenue, j'ai préféré une situation modeste, m
oignent beaucoup de sympathie et de respect. Wg. 3.'. — Mme Eva S., femme a barbe, âge© de 31 an*. 1000 Sous ce rapport,
t de vue psychologique, doit être considérée comme un type parfait de femme à barbe. » Mme Mcycr est née au fort Waync, E
et de se rendre compte que sa structure générale est bien celle d'une femme . Les bras sont graciles, les attaches fines, la t
ent très fournies. Mme Meyer vue de dos, donnait l'impression d'une femme très bien conformée. La taille était mince et éla
e s'adonnait avec ardeur à tous les travaux qui sont du domaine de la femme . Elle aimait à coudre et à broder. Comme toutes
ine de la femme. Elle aimait à coudre et à broder. Comme toutes les femmes à barbe, désireuse de justifier la réalité de
Par M. le Dr L. Demonchy. Je fus appelé à donner mes soins à une femme d'environ (renie ans, littéralement clouée nu lit
e, est diminuée chez l'indi-vidu, par quelque procédé que ce soit. La femme , par exemple, qui court dans les magasins sous pr
grès de Psychologie de 190G. p. 193. IL — TRAVAUX ORIGINAUX. — 1. Les femmes a barbe : Etude psychologique et sociologique : I
1. Les femmes a barbe : Etude psychologique et sociologique : I. Les femmes à barbe contemporaines 'arec six figures), \suite
ne sacrifiez jamais à votre personnalité, celle d'autrui, celle de la femme surtout, qui doit être protégée contre sa propre
de l'Hypnotisme et la Société d'hypnologie seront représentées. Les Femmes a, barbe : Étude psychologique et sociologique
ue Par M. le I'- BÊRiLLOH Professeur à l'Ecole de Psychologie Les femmes a barbe contemporaines Les femmes à barbe du di
ur à l'Ecole de Psychologie Les femmes a barbe contemporaines Les femmes à barbe du dix-neuvième siècle : Deux sœurs femme
ntemporaines Les femmes à barbe du dix-neuvième siècle : Deux sœurs femmes & barbe. —Miss Léo Hernandez. — Les singulari
be. —Miss Léo Hernandez. — Les singularités d'un mariage forain. — La femme à barbe chei Barnum. — Annie Jones Elliot. La f
ge forain. — La femme à barbe chei Barnum. — Annie Jones Elliot. La femme à barbe dont nous allons nous occuper apporte enc
er apporte encore une contribution fort intéressante à l'histoire des femmes à barbe douées do goûts féminins, et créées pour
staient entre les seins, qui étaient très développés comme ceux d'une femme qui nourrit des enfants. (1J Voyez Revue de l'H
r des travaux du ménage. Pendant de longues Fig. 3t. - Mme Augeard, femme k ùarbe, àg M de 36 un (1880|. années, elle exe
râce féminine. A tous les points de vue elle était doue une véritable femme . PI - 35. — Mmo Augeard, femme A barba, Igêo
vue elle était doue une véritable femme. PI - 35. — Mmo Augeard, femme A barba, Igêo de 47 ans (I8B7). égalemont une v
x douce; ses goûts étaient féminins, et elle menait l'existence d'une femme de la campagne, partageant son temps entre les so
la grâce étaient féminines. Les gestes étaient absolument ceux d'une femme , ainsi que la démarche. FIg. »- Mlai Lto Heroan
eux d'une femme, ainsi que la démarche. FIg. »- Mlai Lto Heroandei, femme a barbe, ag*« de m aai tlSW]. Les traits de cet
. « Dernièrement, Vhomme tortue ou l'homme mosaïque, a épouse" la femme à barbe, Miss Léo Hernandez, par devant le « mayo
rifice, la barbe étant la condition essentielle de l'engagement de sa femme . Comme elle était orpheline, elle a été conduite
r étalent le garçon obèse et l'homme caoutchouc, la fille flûte et la femme poisson.» L'exhibition d'une femme à barbe est
caoutchouc, la fille flûte et la femme poisson.» L'exhibition d'une femme à barbe est lo complément indispensable de tout c
crifice pour présenter aux habitants du vieux continent une véritable femme à barbe. Miss Annie Jones Elliot est née en 186
ant. » Le boniment ci-joint qui accom- Flg. 47. Annie Jones Elliot. femme s barbe, kgte de !» ec- il&SS). pagnait ses p
document intéressant : LA HE a VEILLE DES MERVEILLES : LA VÉRITABLE FEMME A BARBE Nous avons devant nous un phénomène que
tomlque ne possède aucun spécimen pouvant être comparé à la véritable femme à barbe. Il ne s'agit pas ici d'une réclame ni
l'Amérique et dans les principales capitales do l'Europe. C'est une femme superbement faite, un vrai modèle de statuaire. L
longueur extraordinaire et une immense barbe Fig. 38. Jones Elliot, femme à barbe. Agée de 28 ans (1891) orne son menton.
bre de renseignements me furent fournis par une de ses amies intimes, femme à barbe également, M"* Eva S... dont nous avons
communauté de situations concilie volontiers les sympathies; les deux femmes douées de la même disposition physique se sentire
rit la photographie ci-jointe (fig. 39). Fl£.S9. Annie Jcces Elliot femme a barbe, âgée de Si ans (1886}. Je fus d'auta
ones était de taille moyenne; sa structure générale était celle d'une femme . Elle avait les seins développés. La menstruation
vait aborder les questions les plus sérieuses. Elle était entièrement femme de corps et d'esprit. Tous ses goûts étaient fémi
à Paris. Elle a laissé à tous ceux qui l'ont connue le souvenir d'une femme distinguée, douée des plus hautes qualités du cœu
une seule fois le désir de se coucher — et, plus que cela, une jeune femme , pendant quinze mois, assister à tous les instant
voiture, où le conducteur n'est pas absolument le seul coupable : une femme , un enfant, voient venir une voiture dans la rue
au prochain numéro la suite de fétude documentaire illustrée sur Les femmes à barbe. SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET DE PSYCHOLOGIE
on, professeur h l'Ecole vétérinaire d'Alfort. p. 259. - - - 2. Les femmes A barbe : Etude psychologique et socio- logique
lence positive cor line à la métaphysique la plus vertigineuse. Les Femmes & barbe : Étude psychologique et sociologique
— Une barbe tardive. — La demi-mondaine barbue. — La fécondité d'uno femme à barbe espagnole. — Madame DelaiL Tandis que l
ndité d'uno femme à barbe espagnole. — Madame DelaiL Tandis que les femmes destinées à présenter de la barbe font toujours p
plus grande partie de ses cheveux. Le D' Neugebauer donne de celle femme la description suivante, lorsqu'elle avait 38 ans
aites ; dans chacune d'elles, on n'enfon- Ttt. 10 Mu ..i Xetwtow, femme k bsrl*. Agée de 38 sas. 11891) fonctions de
l constitue une contribution précieuse pour l'histoire des véritables femmes à barbe. çait pas moins de quarante aiguilles.
e, le nom de Louis ; mais elle en est plutôt désobligée, car elle est femme jusqu'au bout des ongles. Ses goûts sont essentie
rmaphrodite. Oela est inexael. Les occasions de prouver qu'elle élait femme ne lui ont pns manqué. Les renseigne- P. tî. Lo
lui arrive souvent de confectionner ses costumes. On rencontre des femmes ù barba dans tous les pays, sous toutes les latit
leD* Cartaz, a également appelé l'attention sur la fécondité de cette femme à barbe. Son portrait nous la reproduit de prof
de poils. Elle n'est donc pas atteinte d'hypertri- Fig 43. Mm* Y.„ femme à barbe, espagnole, igtfc de 38 «ne. chose géné
2, rue Oberkampf. — Prix du flacon : 3 francs. Hg\ M. Maie Delà», femme i barbe. Agée de 33 ans. (lstth nous lui avon
e comme un des plus beaux ornements de sa personne. représenter les femmes à barbe comme faiblement douées au point de vue d
Comme elle le dit elle-même, il n'y a assurément pas au monde d'autre femme à barbe aussi forte, aussi bien proportionnée et
le a recours aux bons soins du S >* Golmard, i ¦ [i. Mme Delall, femme a Inrbe. »ge* de Sj mon de Thaon. Notre con
la bonne humeur. Mme Delait réalise le type parfait et complet de la femme à barbe. (A suivre.) SOCIÉTÉ D'HYPNOLOGIE ET
d'une correction de langage irréprochable, injurie grossière* ment sa femme et l'accable de mots orduriers ; il brise tout ce
l'appartement et piétine sur le linge ; puis il frappe violemment sa femme , si bien qu'une fois il lui fait faire une chute
es d'absinthe, il refait les mêmes scènes violentes : la vie de cette femme est devenue un martyre. Le lendemain de ses jou
non seulement aucune voie de fait, mais aucune scène de violence ; la femme de notre malade n'a jamais connu une aussi longue
principaux repas. Au début de 1900, dans sa lettre de nouvel an, la femme de ce malade se déclare tout à fait tranquille et
00, survient la période des 28 jours, dont nous avons un peu peur, sa femme et moi. Les séances de suggestion som-nique, qui
iable, affectueux. Je dois dire que, j'ai été puissamment aidé par sa femme qui, sous ma direction, a fait des prodiges d'int
rythmés du diaphragme {') par M. le Professeur Raymond Voici une femme de 54 ans qui, il y a quatre ans, s'est blessée à
phtalmie sympathique, l'autre œil a été perdu aussi ; et cette pauvre femme est complètement aveugle. Vous pensez bien qu'e
iscères abdominaux, à chacun des temps de la respiration. Comme cette femme est une grande mangeuse, elle a fait un zona toxi
s et la psychothérapie, p. 289. II. — TRAVAUX ORIGINAUX. — 1. Les femmes a barbe : Etude psychologique et sociologique [
. Par M. le D' BÉRILLON Professeur à l'Ecole de Psychologie les femmes a 1: contemporaines. Femme a barbe et femme col
ofesseur à l'Ecole de Psychologie les femmes a 1: contemporaines. Femme a barbe et femme colosse. — Benne Akaira, dite la
e de Psychologie les femmes a 1: contemporaines. Femme a barbe et femme colosse. — Benne Akaira, dite la (emme-horame. —
barbe cher les aliénées. — Les deur cas du D' Mac-Dowall. Parmi les femmes & barbe vivant à l'époque contemporaine et ex
une remarquable obésité qui a permis de lui donner la désignation de femme colosse. Par la grosseur du bras, on peut se rend
blement douée au point de vue du caractère et accepte sa situation de femme colosse avec la plus grande philosophie. Le préce
ient le faire supposer ses apparences physiques. C'est une excellente femme , qui n'a pas renoncé à la (1) Voyez Revue de l'
lo D' llabcrda, professeur de médecine légale à Flg. W. — Mme x..., femme a barbe, age* de ss sas. (l*92j l'Université
fesseur les invita i constater qu'ils se trouvaient en présence d'une femme . La Signora Berthe Akaira, âgée de 33 ans, déclar
comme un homme, qu'elle en a pris toutes les Ytg. 47. Derme Akalra, femme k barbe, kgee de 33 ans. D'TTaberda de Vienne \19
e et donne nettement l'impression d'un homme qui se serait déguisé en femme . Le cas de Berlhe Akaira a donné lieu à de nomb
inée publiquement en présence de nombreux étudiants, elle est Les femmes à barbe sont-elles plus prédisposées aux affectio
udre dans un sens afflrraatif. En réalité, si l'on rencontre quelques femmes barbues dans les asiles d'aliénés, il n'y en a pa
e de la barbe n'est pas plus fréquente chez les aliénées que ohez les femmes saines d'esprit. Au congrès des aliénistes et neu
té une communication sur ce sujet. Ayant comparé deux séries de mille femmes chacune, l'une prise dans les asiles d'aliénés, l
tre dans les hospices civils, ces auteurs déclarent que sur les mille femmes non aliénées, ils en ont trouvé 290 barbues, dont
40 avec une barbe moyenne et II) avec une barbe forte. Sur les mille femmes aliénées, il y aurait 497 barbues, dont 441 avec
'à 50 ans, la proportion des mentons barbus serait de 38 0/0 chez les femmes non aliénées, aussi bien que réellement une fem
38 0/0 chez les femmes non aliénées, aussi bien que réellement une femme . Par la partie supérieure de son corps, clic ress
is ans, elle n'a cessé d'être réglée très régulièrement Elle est donc femme par les caractères primaires fondamentaux, c'est-
de son sexe féminin. Elle forme un contraste frappant avec toutes les femmes à barbe que nous avons étudiées jusqu'à présent,
e toutes nos observations antérieures, nous pouvions conclure que les femmes à barbe ne sont jamais des vfragos et qu'elles se
t jamais des vfragos et qu'elles se font un point d'honneur de rester femmes dans toute l'acception du terme. Le cas de Berthe
ées et les non aliénées. Après 50 ans, au contraire, tandis que les femmes saines d'esprit seraient barbues dans la proporti
es saines d'esprit seraient barbues dans la proportion de 38 0/0, les femmes aliénées le seraient dans celle de 48 0/0. Il n
l'aliénation mentale. En effet, il n'est pas légitime de comparer des femmes dont l'existence se passe entre les murs d'un asi
ie de famille et la liberté. S'il était exact que la proportion des femmes à barbe fut plus grande dans les asiles, avant d'
résence d'aucune aliénée méritant d'être rangée dans la catégorie des femmes à barbe. Les cas de femme à barbe complète sont d
ritant d'être rangée dans la catégorie des femmes à barbe. Les cas de femme à barbe complète sont d'ailleurs si rares dans le
umberland, a publié dans le Journal of Mental Science {') deux cas de femme à barbe qu'il a eu l'occasion d'observer dans le
in. Elle paraissait croire que les gens se mo- Flg. 18. Mlle I. I-, femme à barba âgée de 53 ans. !•• eu du D* Use DowaU ii
grandes* prédispositions héréditaires, une Flg. 49. Mme E.-P. H..., femme a barbe. ajee de 16 ans. î* cas du D* Mac Dowall
ment internée. La seconde observation du D' Mac Dowall concerne une femme de 26 ans, Mme E.-P. H... qui fut internée le 25
s'intéressanl à rien. Son développement physique était celui d'une femme à tous égards. Comme on peut en juger d'après son
ouce. En un mot bien qu'ayant de la barbe, elle était essentiellement femme . Le Dr Mac Dowall au sujet des deux malades don
alement admise qui tend à considérer que la barbe n'apparaît chez les femmes qu'après l'âge critique et qu'elle se manifeste s
fut durant une mauvaise traversée sur l'Atlantique. C'était une jeune femme qui était tellement malade qu'elle ne pouvait qui
de SaratowJ. Le 18 décembre 1903, je suis appelé auprès d'une jeune femme qui présente des vomissements gravidiques. La mal
t d'alimentation amène une telle faiblesse que, le 26 novembre, celte femme est obligée de garder le lit. L'estomac ne garde
s. Nouvelle nuit sans sommeil. Le troisième jour, je donne à la jeune femme environ cinq centimètres cubes de sœmnoforme et j
le 25 décembre et je ne revois la malade que le 28 février. La jeune femme a l'aspect florissant, et est presque méconnaissa
vation de M. Bérillon, laquelle est à la fois curieuse et rare. Cette femme , en effet, a parfaitement conscience de son état
lle entière criait, geignait, se lamentait sur un ton douloureux. Des femmes , la bouche fermée, se plaignaient sourdement comm
glots, les gémissements montent dans un chromatisme irrésistible. Les femmes surtout, les unes en turban, les autres en chapea
es, on pleure de vraies larmes... Tout à coup une voix splendide de femme s'élève non loin de nous, une voix de cuivre pur,
té des lampes à pétrole, ces gens se lamentant comme des blessés, ces femmes égarées par leur propre suggestion, hurlant à la
t b'y habituer ; ils ne sentent plus l'odeur des hommes, et celle des femmes leur provoque des idées voluptueuses. Celle ode
s de psychologie de Rome. p. 371. II. — travaux originaux. — 1. Les femmes A barbe : Etude psychologique et sociologifrne
ngrès de Genève ne le cédera en rien à celui de ses devanciers. Les Femmes à barbe : Étude psychologique et sociologique {su
(1), Par M. le Dr Bérillon Professeur à l'Ecole de Psychologie Les femmes à barbe contemporaines. La barbe chez l«s alién
as du 0' Ilarrli Liston. Cas du D' William Utils— Sarah Danton. — Les femmes a barbe et la psychothérapie Le D' Harris Lis
, en 1894, dans le Brittih Médiat journal (1), quatre observations de femmes à barbe atteintes d'aliénation mentale. Noua en d
teintes d'aliénation mentale. Noua en donnons le résumé : Obs. I. — Femme de 83 ans (Gg. 50}, atteinte, à l'âge de 43 ans,
haque nuit sa barbe avec des papillotes. La première mention de cette femme sur le registre de l'hôpital où elle est pensionn
semés, de un pouce de long environ. L'aspect physique est celui d'une femme ; elle est d'ailleurs veuve et a eu des enfants.
ne femme; elle est d'ailleurs veuve et a eu des enfants. Obs. II. — Femme de 36 ans, folle depuis la puberté, à la suite d'
uleur blond clair. Quelques poils seulement sous le nez. Osa. III.— Femme de 64 ans (Ûg. 51), atteinte de folie héréditaire
r grise, mesure sept à huit pouces. L'aspect physique est celui d'une femme . Obs. IV. — Femme de 62 ans, devenue folle à l'
à huit pouces. L'aspect physique est celui d'une femme. Obs. IV. — Femme de 62 ans, devenue folle à l'âge de 36 ans ; régl
ré la réalité de la conformation féminine. Une autre observation de femme à barbe aliénée a été publiée par le D'William Hi
le D'William Hills.dans le Médical Times.en 1873(4). Il s'agit d'une femme de quarante deux ans (fig. 521, entrée à l'asile
sté à l'emploi de diverses pâtes épilatoires. Fig. Si. — Urne X..., femme a barbe, agôe de 61 an*. (1891), d' Barris Llaton
léités amoureuses. L'expression générale de la physionomie de cette femme barbue indique qu'on se trouve en présence d'un s
s origines de la folie. En tête de son livre figure le portrait d'une femme à barbe. Mais l'auteur, à ce sujet, se borne à fo
mage et les caractères du coq, on doit la considérer comme Fig. 52. Femme à barbe agée de 42 ans (1873), cas du Dr William
s sexes et les espèces n'étaient pas différenciés. De même lorsqu'une femme présente de la barbe, que ses seins sont diminués
lle apparai! habituellement chez les hommes. Fig. 53. Sarah Danton, femme à barbe, âgée de 57 ans (1S7S), cas du D'Ernest W
L'éducation familiale avait eu de ta prise sur elle et l'avait rendue femme au point de vue psychologique. Elle ne justifie d
ique. Elle ne justifie donc pas la théorie du Dr Mercier. Entre les femmes à barbe dont l'état mental est normal et celles q
rtis. C'est ce que nous avons pu constater, personnellement, chez les femmes à barbe que nous avons eu l'occasion de voir dans
dans les asiles d'aliénés. Nous avons également pu constater que les femmes à barbe ne se portaient jamais aussi bien que lor
en particulier de n'être viriles que par la physionomie et de rester femmes par le goût, par le cœur et par l'esprit. N'y a-t
le cœur et par l'esprit. N'y a-t-il pas dans ce fait d'apprendre aux femmes à barbe à supporter leur sort avec philosophie un
de la psychothérapie aussi intéressante qu'inattendue. L'étude des femmes à barbe que nous avons entreprise comporte en
ons encore notamment de très intéressants documents à publier sur les femmes à barbe devant la médecine légale, ainsi que sur
r sur les femmes à barbe devant la médecine légale, ainsi que sur les femmes à barbe dans l'histoire et dans l'art. (à suivr
famille sans un morceau de pain, ou bien encore la disparition de sa femme , abandonnant ses enfants. L'état psychique du suj
atteint. Illustrons cela par plusieurs exemples. Voici plusieurs femmes abandonnées de leur mari. Klles supportent le mêm
acrée au soin de ses enfants. Voilà encore un quatrième exemple : une femme se trouve dans les mêmes circonstances que celles
une efficacité et des indications spéciales. Citons des faits. Une femme de 30 ans, scrupuleuse, présente un état anxieux
e m'avait, dès le début de la saison, donné le même résultat chez une femme à la ménopause et chez laquelle ces tremblements
ise. Revue à la ûn de mal, six mois après la fin du traitement, cette femme n'avait plus rien eu depuis cette époque). III.
cause : frigidité de l'épouse. Le malade éprouvait en présence de sa femme une véritable intimidation. Obs. 2, médecin, 35
é ; à la cinquième, il note l'adresse; à la sixième, il en parle à sa femme : à la septième, il se promet d'acheter; à la huit
ième il en parle à ses amis: a la dixième, les amis en parlent à leur femme . Alors la multiplication survenant vous jugez de
L'écriture aveu la langue, p. 353. II. _ TRAVAUX ORIGINAUX. - 1. Les femmes à barbe : Etude psychologique et sociologique [av
us forte manifestation de la volonté et de l'esprit de suite. Les Femmes à barbe : Étude psychologique et sociologique [su
a barbe contemporaines. Considérations m£dlco*Icgales au sujet des femmes à barbe. — Fanny Kubabs, la vagabonde. — Une faus
sujet des femmes à barbe. — Fanny Kubabs, la vagabonde. — Une fausse femme à barba. — Les nowipitosi et les influence» mater
a victime et d'en disperser les tronçons (»). Fig. Si. — T6ie d'une femme a barba de Sî ans, apportée * la morgue de Berlin
ne Revue polonaise (s), citée par le D' Neugebauer, était celle d'une femme à barbe, âgée de 82 ans. La barbe avait une longu
e. l'assassin d'Ilanna Brown, et en France. Billolr. l'assassin de la femme Le Manacb, ont du à ce dépècement de leur victime
t. En effet, rien ne ressemble plus à une tète d'homme qu'une tète de femme à barbe. Tandis que tous les anatomistes signalen
entre toutes les parties du tronc et des membres de l'homme et de la femme , ils n'en indiquent aucune en ce qui concerne la
poils couvrent la partie inférieure de la face chez l'homme et que la femme en est dépourvue. Evidemment, ils n'ont pas tenu
t dépourvue. Evidemment, ils n'ont pas tenu compte de l'existence des femmes à barbe. A défaut d'autres renseignements, une
, d'arriver â la conclusion qu'on se trouve en présence d'une téte de femme . Pour cela il faudrait se livrer âde minutieuse
u. Cette saillie est beaucoup plus prononcée chez l'homme que chez la femme . C'est d'ailleurs à cette particularité qu'elle d
-existence de la pomme d'Adam permettra d'affirmer qu'il s'agit d'une femme a barbe. Nous avons eu à plusieurs reprises l'occ
cultés d'identification résultant de l'existence de la barbe chez une femme ne peuvent se présenter que d'une façon tout à fa
1895, des agents de la police saxonne furent requis pour arrêter une femme qui se trouvait en état de vagabondage et s'était
impression fut qu'ils se trouvaient en présence d'un homme déguisé en femme . Cette femme fui conduite devant les (I) La tét
t qu'ils se trouvaient en présence d'un homme déguisé en femme. Cette femme fui conduite devant les (I) La téta do la femme
isé en femme. Cette femme fui conduite devant les (I) La téta do la femme est plus petite que celle de l'homme et cette dif
ans, le poids moyen du crâne l'homme serait de 647 grammes ; chez la femme il ne serait que de 599 grammes. ai SI l'on n
our l'encéphale de l'homme un poids moyen de t.30) grammes et pour la femme de 1.230grammes. (Obersteiner : Anatomie des cent
r : Anatomie des centres nerveux, 1693). Fig. 55. - Fanny Kubaba, femme a barbe agée de 48 ans (1893). représente le vi
u qu'il se trouvait en présence d'un personnage composé. En effet, la femme Koch n'est nullement une femme à barbe. Les circo
d'un personnage composé. En effet, la femme Koch n'est nullement une femme à barbe. Les circonstances qui l'ont amenée à se
fut ordonné. 11 révéla qu'on se trouvait en présence d'une véritable femme . Sa taille mesurait I m. 50 de hauteur. Elle avai
cheveux étaient d'un blond un peu foncé. L'aspect misérable de cette femme inspirait une pitié profonde. Il était permis de
ur assurer son existence par un travail régulier. Le portrait de la femme Koch, née Folk, que nous publions et qui la C
). cusslon sur le fcelus. En voici un exemple qui concerne la jeune femme dontnous donnons le portrait (Fig. 57). Sa mère é
, du coté gauche, cette jeune fille pouvait être considérée comme une femme à barbe. Elle est en réalité affligée d'un nœvusp
est en réalité affligée d'un nœvuspilo-sus. L'histoire de la jeune femme qui se trouve représentée dans un autre portrait
fut la cause de l'anomalie singulière que présente le visage de cette femme . Certaines personnes ont voulu voir dans la c
t développés et ont l'apparence d'une barbe incomplète. Cefte jeune femme , lorsque son portrait fut dessiné, était âgée de2
dessiné, était âgée de2ô ans. Flg. 58 — .Vj. _i pUeimchei une Jeuno femme igée de 2i ann- Glle était fille unique. Malgré
une attitude correspondante que des esprits entraînés étude sur les femmes à barbe par d'autres documents que nous avons rec
us avons recueillis. Ils formeront un dernier chapitre intitulé : les femmes à barbe dan* l'histoire, dans la religion et da
ar je sens que je suisentrainé malgré moi. Je ne suis attaché à cette femme que parce qu'elle m'Impose de l'aimer. Sauvez-moi
evêtirent souvent dans l'esprit de l'homme des formes étrangères a la femme . Cela prouve que l'attrait sexuel peut être mcdiû
la physionomie un aspect figé. Le ventre est énorme comme celui d'une femme enceinte ; chaque mouvement respiratoire est acco
ujon), p. 290. Annonce (La psychologie de 1'), p. 352. Barbe (Les femmes ), par Bérillon, p. I, 37,67.97. 132. 181.195, 26
yl-méthylique, par Wiazemsky, p. 305. TABLE DES FIGURES Fig, 1. Femme à barbe (Chronique de Nuremberg, 1493), p. 6- F
Fig, 1. Femme à barbe (Chronique de Nuremberg, 1493), p. 6- Fig. 2. Femme à barhe (Chronique de Conrad Lycosthènes, 1557),
(Musée de Bâle), p. S. Fig. 4. Madame Hélène Anthonia née à Liège, femme a barbe (Portrait par Jehan- nes Loselius). p.
eur naturelle), p. 32. Fig. 5. Rosina Margarita Mullerin (de Dresde), femme à barbe, âgée de 64 ans (1668-1763), p. 40. F
, âgée de 64 ans (1668-1763), p. 40. Fig. 6. Mme Zenora Pastrana, femme à barbe, âgée de 33 ana (1889), p. 41. Fig. 7. Je
leau de G. Hoefnagel (1547-1600). p. 45. Fig. 11. Barbara Urslerln, femme a barbe, âgée de 20 ans (Galerie d'art de Bâle, 1
ns (Galerie d'art de Bâle, 1653), p. 68. Fig. 12. Barbara Ursterin, femme à barbe, âgée de 20 ans, par Isaac Brun (1590-1G6
ar Isaac Brun (1590-1G69) (1653). p. 69. Fig. 13. Barbara Urslerln, femme à barbe, âgée de 25 ans, par Gaywood (1653), p. 7
, âgée de 25 ans, par Gaywood (1653), p. 70. Fig. 14. Julia Pastrana, femme barbue et velue, âgée de 23 ans (1858). p. 72. Fi
ig. 15. L'enfant de Julia Pastrana, p. 74. Fig. 16. Julla Pastrana, femme barbue et veine, par Konig (igée de 22 ans), p. 9
et veine, par Konig (igée de 22 ans), p. 97. Fig. 17. Julla Pastrana. femme barbue et velue, p. 99. Fig. 18. Krao, jeune La
hwa-Maong. barbue et velue, igée de 30 ans (1855), p. 105. Fig. 22. Femme velue (Chronique de Nuremberg, 1493), p. 106. F
elue (Chronique de Nuremberg, 1493), p. 106. Fig. 23. Bella-Cartor, femme a crinière, âgée de 23 ans. p. 107. Fig. 24. Ma
crinière, âgée de 23 ans. p. 107. Fig. 24. Marie-Madeleine Lefort, femme à barbe, âgée de 16 ans (1815), p. 133. Fig. 25
be, âgée de 16 ans (1815), p. 133. Fig. 25. Marie-Madeleine Lefort. femme a barbe, âgée de 19 ans. Exhibited In Spriog Ga
In Spriog Gardens (1818), p. 135. Fig. 26. Marie-Madeleine Lefort, femme âgée de 65 ans. Dans le service du Dr Hor- telo
e du Dr Hor- teloup, à l'Hotel-Dteu (1864), p. 137. Fig. 27. J. B., femme à barbe, âgée de 20 ans. Cas du Dr Chowne, Londre
0 ans. Cas du Dr Chowne, Londres (1852), p. 139. Fig. 28. Mme X., femme à barbe. Agée de 50 ans. Cas du Dr Ecker (Fribour
. Cas du Dr Ecker (Fribourg 1376), p. 142. Fig. 29. Mme Viola M..., femme à barbe, igée de 33ans. Cas du D' Duhring (I877),
ée de 33ans. Cas du D' Duhring (I877), p. 161. Fig. 30. Mme Taylor, femme à barbe, Agée de 58 ans (1890), p. 164. Fig. 31
lor, femme à barbe, Agée de 58 ans (1890), p. 164. Fig. 31. Eva S., femme à barbe, igée de 18 aus. p. 166. Pig. 32. Mme E
Eva S., femme à barbe, igée de 18 aus. p. 166. Pig. 32. Mme Eva S., femme a barbe, igée de 24 ans (1900), p. 108. Fig- 33
, femme a barbe, igée de 24 ans (1900), p. 108. Fig- 33. Mme Meyer, femme à barbe, âgée de 35 ans, p. 169. Fig. 34. Mme A
Meyer, femme à barbe, âgée de 35 ans, p. 169. Fig. 34. Mme Augeard. femme à barbe, âgée de 30 ans (1830}. p. 196. Ffg. 35
femme à barbe, âgée de 30 ans (1830}. p. 196. Ffg. 35. Mme Augeard, femme à barbe, igée de 17 ans (1897), p. 197. Fig. 36
barbe, igée de 17 ans (1897), p. 197. Fig. 36. Miss Léo Hernandez, femme à barbe, âgée de 32 ans (1886), p. 198. Fig. 37
barbe, âgée de 32 ans (1886), p. 198. Fig. 37. Annie Jones Elllot, femme a barbe, igée de 25 ans (1888), p. 200. Fig.
arbe, igée de 25 ans (1888), p. 200. Fig. 38. Annie Jones Elliot, femme a barbe, Agée de 28 ans (1891), p. 201. FIg. 39.
a barbe, Agée de 28 ans (1891), p. 201. FIg. 39. Annie Jones Elliot, femme à barbe. Agée de 35 ans (1898), p. 202. Fig. 40.
me à barbe. Agée de 35 ans (1898), p. 202. Fig. 40. Maria N'ekrassow, femme a barbe, âgée de 38 ans (1895), p. 209. Fig. 41.
, femme a barbe, âgée de 38 ans (1895), p. 209. Fig. 41. Louise G..., femme A barbe, Agée de 34 ans (1896], p. 270. Fig. 42.
, femme A barbe, Agée de 34 ans (1896], p. 270. Fig. 42. Louise G..., femme A barbe, Agée de 34 ans (1896). p. 27!. Fig. 43.
..., femme A barbe, Agée de 34 ans (1896). p. 27!. Fig. 43. Mme y..., femme A barbe, espagnole. Agée de 38 ans, p. 272. Fig.
emme A barbe, espagnole. Agée de 38 ans, p. 272. Fig. 44. Mme Delait, femme à barbe, Agée de 33 ans (1900), p. 273. Fig. 45.
t, femme à barbe, Agée de 33 ans (1900), p. 273. Fig. 45. Mme Delait, femme à barbe. Agée de 35 ans (1902), p. 274. Fig. 46.
ait, femme à barbe. Agée de 35 ans (1902), p. 274. Fig. 46. Mme X..., femme à barbe. Agée de 35 ans (1892), p. 291. Fig. 47.
femme à barbe. Agée de 35 ans (1892), p. 291. Fig. 47. Bertbe Akaira. femme à barbe. Agée de 33 ans. Dr Haberda, de Vienne, (
e 33 ans. Dr Haberda, de Vienne, (1877), p. 292. Fig. 48. Mlle I L, femme à barbe, Agée de 23 ans. D* Mac Dowall, (1868), p
Agée de 23 ans. D* Mac Dowall, (1868), p. 295. Fig. 49. Mme E. P. H., femme A barbe. Agée de 26 ans. Dr Mac Dowall (1876), p.
mme A barbe. Agée de 26 ans. Dr Mac Dowall (1876), p. 296. Fig. 50. Femme A barbe, âgée de 83 ans. LV Harris Liston (1894),
âgée de 83 ans. LV Harris Liston (1894), p. 323. Fig. 51. Mme X..., femme A barbe. Agée de 64 ans. Dr Marris Liston (1894),
A barbe. Agée de 64 ans. Dr Marris Liston (1894), p. 324. Fig. 52. Femme A barbe, Agée de 42 ans 1873. D' William Hills (1
rbe, Agée de 42 ans 1873. D' William Hills (1873), p. 335. Fig. 53. Femme A barbe.Agée de 57 ans. LDr E. Wbfte (1878), p. J
be.Agée de 57 ans. LDr E. Wbfte (1878), p. J26. Fig. 54. Tote d'une femme à barba de 82 ans, apportée l' la morgue de Berli
ns, apportée l' la morgue de Berlin, p. 356. Fig. 55. Fanay Kubaba. femme à barbe. Agée de 48 ans (1895), p. 358. Plg. 56
elle, p. 320. Fig. 58. Xœvus vile - Voeuspyl pilotes chez une Jeune femme Agée de 25 ans, p. 381. PORTRAITS M. Duclaus,
2 (1905) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 20
e volonté dont on trouverait peu d'exemples chez des Européens. Les Femmes à barbe : Étude psychologique et sociologique (su
1). Par M. le Dr Berillon Professeur à l'Ecole de Psychologie Les femmes a barbe dans l'histoire. Le premier des auteurs
ans l'histoire. Le premier des auteurs qui mentionne l'existence de femmes à barbe est Hérodote (2). Cet historien raconte q
dans son Histoire des animaux. A ce sujet, il s'exprime ainsi : « La femme n'a pas de poils au menton; ce n'est qu'exception
l'avenir. » Dans un autre endroit, Hippocrate cite l'exemple d'une femme d'Ab-dere, Phœtusa, dont le mari était depuis lon
es Romains, une loi tirée des Douze tables défendait expressément aux femmes de se raser les joues. » Mulieres gênas ne radund
loi pense qu'elle avait été instituée afin de s'opposer à ce que les femmes parvinssent, à force de se raser, à se faire pous
s. * Ce n'est pas toujours en se montrant dans les foires que les femmes à barbe sont arrivées à la célébrité. Il en est q
histoire. Les documents figurés les plus anciens qui représentent des femmes avec le menton orné de barbe, proviennent de l'Eg
astie thébaine. Hatshopsitou, dont le prénon est Râ-mâ-Kà, était la femme de Thout-mosis II qui succéda à Thoutmosis I" sur
ncks (7) montra que Hatshopsitou était la fille de Thoutmosis Ier; la femme de (1) Pline ; Histor., Lib. II. (2) Cicéros
n donnerons la représentation dans le chapitre ayant pour titre : les femmes à barbe dans la religion. (4) Champollion : Let
té de caractère. Elio se préoccupa de faire oublier qu'elle élait une femme . Cette préoccupalion se retrouve dans les portrai
es portraits de.la reine, permettent-elles de la considérer comme une femme à barbe? Pour nous cela n'est pas douteux. Les ar
e qui l'a déterminée à la laisser croître comme l'ont fait toutes les femmes à barbe dont nous avons donné le portrait. Les fe
fait toutes les femmes à barbe dont nous avons donné le portrait. Les femmes à barbe ne rougissent pas du développement de leu
yrie, a été aussi représentée par plusieurs autours anciens comme une femme à barbe. Le fait est certifié avec diverses indic
t-elle été représentée avec de la barbe ! Mais comme on n'a sur cette femme célèbre que des traditions légendaires, nous nous
fait F - ¦ (i?- — Marguerite d'Autriche, gouvernante- dea Pays-Bas, femme à barbe, rendant la Justice dans son palais (làîM
expressions de l'historien Strada, elle semblait, dans ses habits de femme un homme en jupons. Pour ajouter à l'illusion, la
rguerite n'était pas dépourvue des qualités qui font l'ornement de la femme . Son caractère était bon ; mais elle prenait trop
elques-uns des apanages de la virilité, mais qui n'en resta pas moins femme par la grâce de son esprit, par son élégance et p
ssi complet que possible, nous devons signaler encore quelques cas de femmes a barbe dont l'existence a été mentionnée par les
Pendant ses campagnes, Charles XII avait dans son armée, un grenadier femme . Ce n'étaient, (1) Le P. o:.- : Recherches sur
a barbe mesurait une aune et demie de longueur. Le Dictionnaire des femmes célèbres nous apprend qu'Anne de Vaux, héroïne du
le régiment du baron de Merci. Il convient encore de mentionner une femme à barbe qui servit dans 63. — Portrait d'une fe
e mentionner une femme à barbe qui servit dans 63. — Portrait d'une femme à barbe ayant vécu au xvtp siècle, les armées d
n, mais elle dut prendre l'engagement déporter toujours des habits de femme . * » » Les femmes à barbe n'ont pas seuleme
e l'engagement déporter toujours des habits de femme. * » » Les femmes à barbe n'ont pas seulement frappé l'imagination
lemande, Le Daheirn, a donné la reproduction en 1883 (fig. 63). Cette femme à barbe vivait au milieu du dix-septième siècle
u voir, dans le cabinet de curiosités de Stuttgard, le portrait d'une femme nommée Bartel Graetge dont le menton était ombrag
avis de M. Henri Lasserre, c'était bien, en effet, une jeune et belle femme , en chair et en os que Bernadette aperçut dans la
ir et en os que Bernadette aperçut dans la grotte. Quelle était cette femme ? Peu nous importe. Nous ne sommes pas chroniqu
ère, depuis son arrivée, la retenait au logis. La vue subite de cette femme habillée avec luxe, éclairée des rayons du soleil
nt de créer à l'hôpital Beaujon, un dispensaire où un grand nombre de femmes du monde apportent aux médecins le concours de la
sent dans ces études les fondements d'une justice scientifique. Les Femmes â barbe : Étude psychologique et sociologique (su
"). Par m. le D' Bérillon Professeur à l'Ecole de Psychologie Les femmes à barbe dans la religion. — Une Isl* réprésentée
odote, à Aris-tote, à Hippocrate et â d'autres auteurs, il y a eu des femmes à barbe. L'apparition de la barbe chez certaines
il y a eu des femmes à barbe. L'apparition de la barbe chez certaines femmes fut même attribuée à des interventions divines. L
esses, puisqu'ils la considéraient comme un présage de malheur. Les femmes à barbe n'étaient probablement pas très rares, ca
ité et du moyen-âge en Occident ('), un passage où il indique que les femmes barbues se renconlraient fréquemment en Arménie.
ent fréquemment en Arménie. C'est probablement à l'existence de ces femmes â bar'ie qu'il faut rat- (1) Voyez Revue de FHy
était transformée en déesse de la guerre (';. Ce sont assurément ces femmes d'allure guerrière qui ont été l'origine des dive
and les nécessités de la lutte pour l'existence n'imposèrent plus aux femmes de prendre part aux batailles, les statuaires con
trouvait un thème séduisant dans la figuration de ces combats où des femmes jeunes, belles et courageuses luttaient à demi-nu
rèce, les Lacédémoniens poussaient au plus haut degré, le culte de la femme vaillante, et prête à la guerre. La Vénus Spartia
constitue une présomption de l'existence dans ces pays de nombreuses femmes à barbe. Si, dans le temple d'Amathonte,.la divin
e l'homme est un lieu commun de la littérature grecque. A Chypre, les femmes à barbe ne devaient pas être dédaignées, puisqu'e
ujours représenté avec de la barbe, des organes virils, et un sein de femme . Chez certains dieux, ces sexes sont l. . ¦ tii
la religion assyrienne à ces figurations de l'Isis barbue, à la fois femme par sa maternité et homme par la virilité de son
st fréquent de rencontrer dans l'Ile de Chypre et en Asie Mineure des femmes dont la lèvre supérieure est fortement ombragée e
its. Dans les monuments antiques, elle apparaît sous les traits d'une femme à l'attitude imposante, à la physionomie sévère,
urs médailles des figures de Cybèle, ainsi que des représentations de femmes viriles ou d'amazones. Dans certains cas, les suj
las de 31 planches. barbue, avec la stature d'un homme habillé en femme , et tenant un sceptre à la main. » Elle aurait, a
g. 86. — Statue trouvce;dans l'ile doJCbypre, « Athicnau. laient en femmes , dans la célébration des mystères, tandis que les
laient en femmes, dans la célébration des mystères, tandis que les femmes revêtaient des costumes masculins. Il ajoute qu'A
résentent la déesse « avec une barbe, le corps et l'habillement d'une femme , un sceptre et la stature d'un homme (4). (1) S
en longues mèches gaufrées, comme dans plusieurs des figurines de femme , en terre cuite, qui proviennent de l'art phénici
. Par l'arrangement de la coiffure, ce sujet peut être rapporté à une femme , mais par les traces très accentuées de sa barbe,
cé l'imagination des mythographes. Suivant Diodore, elles étaient des femmes guerrières qui habitaient la (1) M. de Cessola:
ps de Persée, elles avaient pour sœur Méduse. Pline en parle comme de femmes sauvages hérissées de crins. Selon Héraclide, les
ce longue et tenace. Il connaissait le péché de Madame X..., la jeune femme surprise dans la grotte, et puisqu'il ne pouvait
l'erreur très regrettable commise à l'égard du soldat Boisset. Les Femmes a, barbe : Étude psyécologique et sociologique [s
?}. Par M. le D' Bèrillon Professeur à l'Ecole de Psychologie Les femmes à barbe dans la religion. — La Vénus barbata. — L
es dieux lares- — Les démons femelles. — Proverbes populaires sur les femmes à barbe. — Figures gnostiques. — Les éons androgy
ala y eut également les siens. Voici quelle en fut l'origine ('). Les femmes romaines ayant été attaquées d'une maladie qui le
tie supérieure de la statue représentait un homme et l'inférieure une femme . Selon Codin et Suidas (2), les Romains avaient
nture les formes d'un homme, et de la ceinture aux pieds celles d'une femme . C'est probablement la raison pour laquelle Juliu
choix de ces dieux Flg. "S. — Dieux lares dont l'an représente une femme barbue (Musée du Louvre). familiers. On en étai
Nous nous bornerons à constater qu'ayant pour but de représenter deux femmes jeunes et élégantes, il les a revêtues toutes deu
chez les Romains. Elle nous donne aussi la preuve que la notion de femmes à barbe élait acceptée dans l'antiquité et que
res des deux sexes. Fig. Buste de per-onnage barbu avec un sein 'le femme . Dans le buste dont nous donnons cï-joint le de
ns cï-joint le dessin, la figure barbue s'accorde mal avec le sein de femme que le statuaire a eu soin de découvrir. Tout dan
eut laisser place à la supposition que nous serions en présence d'une femme à barbe. L'intérêt de ce document réside surtout
, sans qu'il soit permis de dire si l'artiste a voulu représenter une femme à barbe ou fixer l'image d'un gynécomaste. ¦
pas, pour mieux duper les hommes, à se dissimuler dans le corps de la femme . C'est surtout quand les propagateurs de la foi v
es prodigieuses de Boaistuau, éditées à Paris en 1561 (Gg. 79). Cette femme , assise sur un trône et à laquelle deux adulateur
eux iconographes. Pour mieux accentuer la répulsion à l'égard de la femme , envisagée comme tentatrice diabolique, ils la do
lui mettent de la barbe au menton. Le sentiment de défiance que les femmes à barbe doivent inspireraux jouvenceaux se retrou
rouve dans des proverbes populaires fort expressifs : Homme roux et femme barbue De trente pas loin les salue Avecque trois
s populaires de Sicile tant de livres documentés, a recueilli sur les femmes à barbe, les proverbes suivants, qui ont encore c
gens simples. » Pig. SI Eon Homme avec des seins et un visage de femme (M. du Hamnier). Fig- 81. Eon gnoslique. Homme
me (M. du Hamnier). Fig- 81. Eon gnoslique. Homme avec des seins de femme . (M. de Uammer). Ils avaient aussi recours à de
iques mystérieuses d'une contrée bourgui- FIr. S2. — Eon gnostique. Femme avec de ia barbe. )M. de Hammer). gnonne. Ce mé
individus mâles, barbus et non barbus, sont figurés avec des seins de femmes on comprend l'indignation du saint auteur du trai
ontre les hérésies ('). Le troisième dessin {fig. 82), représente une femme dont le menton est orné de barbe. Le désir de jus
ous nous bornerons à faire remarquer que Fig. s3..— F.on guoslique. Femme avec do la barbe, médaille des Iles Baléares. (31
par M. Gerhard. Elle représente un individu barbu, avec des seins de femme très manifestement dessinés. Une simple comparais
ues reproduits ci-dessus indique qu'il s'agit d'une représentation de femme barbue ayant pour objet de figurer l'éon androgyn
e pianiste l'aperçut, s'interrompit tout à coup, effrayé, et la jeune femme se renversa en complète catalepsie. Il est éviden
vue. Liébeault rapporte le cas suivant tiré de sa pratique : Une femme , au début de sa grossesse, fait la rencontre impr
igure est colorée d'une tâche vineuse. Effrayée de ce spectacle cette femme croit voir une tache semblable sur l'une des joue
es parties supérieures (Neuge-bauer). Drzewiecki relate ce cas : La femme d'un de ses amis, enceinte de deux mois, éprouva
e de son frère et située au même endroit. Le troisième enfant d'une femme était une fille présentant les anomalies suivante
nt été gelées pendant la campagne de Russie. On cite des cas où des femmes enceintes avaient assisté à des exécutions capita
minel avait passé sous la roue iWa-lebr&ncke, Lav&terj. Une femme , au moment où elle commet l'acte d'adultère avec
d souffrait du même mal mais à un degré moins prononcé (Lucas). Une femme enceinte est effrayée par un colporteur qui se me
fuyant. Il la rattrape et lui assène un coup de poing sur le dos. La femme ne soupçonnait pas que cela pût avoir des suites
s intellectuelles de l'enfant sont plus développées. D' E. B. Les Femmes à barbe : Étude psychologique et sociologique (su
'}, Par M. le Dr Berillon Professeur à l'Ecole de Psychologie Les femmes à barbe dans les initiations mystiques. — Le Baph
nitiations mystiques. — Le Baphomet, l'idole des Templiers, était une femme a. barbe. — Les sorcières barbues. — Les saintes
ue des promesses de s'abstenir de toutes relations sexuelles avec les femmes , on leur montrait certaines figures d'un caractèr
uts des deux sexes. Au nombre de ces idoles se trouvent de véritables femmes à barbe (fig. 84, 85, 86, 87). Ces images, le p
R : La doctrine secrète des Templiers. Paris, 1872. représente la femme barbue dont nous donnons ici la reproduction (6g.
s de leurs crimes, était le plus souvent une simple représentation de femme à barbe. « Femme barbue loing la salue, un bast
était le plus souvent une simple représentation de femme à barbe. « Femme barbue loing la salue, un bastón à la main. » Ce
ne (3) fait allusion à la croyance admise pendant le moyen-âge qu'une femme vieille et barbue ne pouvait être qu'une sorcière
système pileux sur certaines parties du visage est fréquent chez les femmes après l'âge de la ménopause. Malheur aux femmes â
est fréquent chez les femmes après l'âge de la ménopause. Malheur aux femmes âgées et quelque peu barbues dont .le caractère é
temps on trouvait cinquante sorcières pour un sorcier. Combien de ces femmes n'ont dû qu'à leur menton barbu d'être considérée
éclatante des effets de la bienveillance divine. C'est ainsi que des femmes à barbe ont mérité par leur piété et par leurs ve
mbre des saints que l'Eglise vénère. (1) .... « Vous devez être des femmes , cependant votre barbe m'empêche de vous reconnaî
pêche de vous reconnaître pour telles » (Macbeth). (2) .... • Ët la femme qui vient à nous doit porter de la barbe, ce qui
it-on, le signe des sorcières. » (3) .... « A n'en pas douter cette femme est une sorcière. Une femme avec une grande barbe
s. » (3) .... « A n'en pas douter cette femme est une sorcière. Une femme avec une grande barbe n'est pas de mon goût, et j
lingue une grande barbe à travers ce voile, i» * * La notion de femmes pieuses, chez lesquelles l'apparition de la barbe
ment reproduite la même année par Oaspar Isac. L'estampe montre une femme couronnée, barbue, en longue robe. Elle est fixée
e reçoit la visite de Jésus-Christ qui la baptise et la transforme en femme à barbe. Les deux soldats placés en faction devan
ns doute pensé qu'il n'est pas décent pour des chrétiens d'adorer une femme barbue. Ils appartiennent à la même école que ce
par un menuisier la barbe de sainte Wilgeforte n'admettant pas qu'une femme à barbe puisse occuper une place honorable dans l
ment ; on en parlait partout : les curés dans les Eglises, les bonnes femmes dans les maisons, les images pieuses, les journau
ne psychasté-nique. Les phobies secondaires sont fréquentes chez la femme et il est d'autant moins surprenant d'en rencontr
te d'un étour-dissement et d'une chute sur le trottoir; le second, la femme Bœw... à la suite d'un accident survenu à son mar
renversé par une voiture, avait eu le crâne ouvert; le troisième, la femme Lf., à la suite d'un accident survenu à sa sœur q
le sthénomètre. La première malade que nous allons examiner est une femme de 3ï ans, hystérique. Elle a eu une première cri
e -+ 32°. Je citerai un second cas du "même genre ; il s'agit d'une femme de 35 ans, hystérique; troubles nombreux de la se
sychologie expérimentale, le laboratoire de psychologie corn- Les Femmes àbarbe : Étude psychologique et sociologique (sui
(1) Par M. le Dr Bérillon Professeur à l'Ecole de Psychologie Les femmes à barba dans la religion. — Les saintes barbues :
ns les images précédentes, s'est ingénié à représenter le corps d'une femme et on peut s'étonner qu'on ait pu voir (1) Voye
ue beaucoup de paroissiennes étaient scandalisées par la vue de cette femme à barbe, Monseigneur Feutrier se rangea à cet avi
tradition, on lui rajouta l'ornement de son menton (fig. 94). Les femmes à barbe sont, on le voit, très mal considérées pa
surtout dans la spécialité de l'intercession que réclament d'elle les femmes du menu peuple. Elles ne la connaissent pas sou
lairement que le compositeur a eu la préoccupation de représenter une femme et non un Christ habillé. Pour s'en convaincre, i
ière. Dans certains endroits, on lui prête le pouvoir de rendre les femmes fécondes. Dans d'autres elle préside à la paix de
ndes. Dans d'autres elle préside à la paix des ménages. Quand une femme est affligée d'un mauvais mari, il parait qu'il s
la cause d'un innocent. Aujourd'hui, selon le pays, elle favorise les femmes mal mariées en les faisant veuves, ou elle rend l
accommodé de l'existence de saintes barbues. La coexistence chez une femme de sentiments de piété exemplaire avec l'appariti
barbe était considérée comme un signe de demonisme, chez les pieuses femmes on I1: ttribue à une intervention divine. C'est à
elui-ci, marié en 1523, mort le 9 mars 1555, et enterré, ainsi que sa femme Françoise Cueillette, morte le 20 avril 1567. aup
gique en 1314, et Gauthier. Gauthier d'Aunoy reconnut en 1301 quesa femme avaitléguéune rente en grains à l'abbaye de St-An
lle, 15 sept. 190?, p. 531. Celui-ci donna, du consentement de sa femme Avoise de Sablé, à l'abbaye de Marmoutier les égl
ément de Craon. II eut un garçon, Hugues. Hugues eut de sa deuxième femme quatre garçons et une fille, dont Foulques, mort
1148, et fut enterré dans l'abbaye d'Orcamp, et Elisabeth de France, femme de Robert de Beaumont II. it Btiantil Robert de
nseignement si nécessaire auquel ils se consacrent. (à suivre). Les Femmes à barbe : Étude psychologique et sociologique [su
*). Par M. le Dr Bérillon Professeur à l'Ecole de Psychologie Les femmes à barbe dans la religion. — Les idoles juives. —
juives. — Astarté. — M"' Val-hen, de Trêves. — La maternité chez les femmes à barbe. — Mme Hudjon. — Une Hongroise barbue. —
chez les femmes à barbe. — Mme Hudjon. — Une Hongroise barbue. — Une femme à barbe féconde. — Mme Lestienne. Dans toutes l
tarté. C'est ce que nous apprend le grand Fig. 100. — Mlle y «Iben, femme à barbe, igte de 65 ans. 1901. philosophe Lucie
gure de deux divinités tuté-Iaires, dont l'une représentait une jeune femme barbue et l'autre une jeune femme au visage norma
, dont l'une représentait une jeune femme barbue et l'autre une jeune femme au visage normal. Ce sont des dieux Lares. A ce s
sœurs dont l'une soit barbue et l'autre pas. Flg. lui. Mme Hudjon, femme a barbe âgée, de 3ô ans. 190t. D' Ulrschfeld).
lle . tient à la main et le timbre de sa voix qui est celui d'une femme . Elle apporte ainsi une contribution de plus à la
lle apporte ainsi une contribution de plus à la démonstration que les femmes à barbe n'ont rien qui doive les faire assimiler
évidentes, se montrent encore sceptiques à l'égard de l'existence des femmes à barbe. Ils ne seraient pas éloignés de dire que
es à barbe. Ils ne seraient pas éloignés de dire que la plupart des-, femmes a barbe ne sont que des individus mâles, doués d'
nt que des individus mâles, doués d'une confor- Fig. 102- Mme K..., femme a barhe, âgée de 40 ans. 19M. (D' Hirtchfeldj.
n'avons accepté dans notre étude que des observations concernant des femmes à barbe dont le sexe a été déterminé par un exame
té. Nous consacrerons donc la fin de cette étude à la présentation de femmes à barbe qui ont eu des enfants. Les physionomies
rait la représente à l'âge de trente-cinq ans (fig. 101). Elle est la femme d'un patron d'hôtel meublé. Elle a donné naissanc
s seins développés font mentir le préjugé populaire qui n'octroie aux femmes à barbe qu'une poitrine plate. Ses goûts sont c
aux femmes à barbe qu'une poitrine plate. Ses goûts sont ceux d'une femme . Elle se livre constamment aux soins du ménage. L
on enfant. Cette pauvre matrone n'en revenait pas : «Ce n'est pas une femme que vous me demandez d'accoucher, disait-elle, c'
. Les seins sont bien développés. Son allure générale est celle-d'une femme . Sa physionomie est empreinte d'une grande douceu
s'est montrée particulièrement féconde. Elle n'a Fig. 103. Mme D., femme à barbe, àjfOe de Mus. ISS». pas eu moins de ci
grossesses, démontrant par là que la barbe ne doit pas être, chez une femme considérée comme un signe de stérilité. Trois d
vec élégance, elle avait la démarche féminine et tous les goûts d'une femme . * Mme Destienne est bien connue des habitant
r beaucoup dans son succès. Attirés par le spectacle peu commun d'une femme à barbe, les curieux s'approchent de sa boutique.
nton. Pendant quarante ans, elle combattit Fig. 101. Mme Lcslienne. femme à barbe. agée de GO ans. 1000. ces signes visib
la santé avec le port de la barbe a été fréquemment signalée chez les femmes à barbe. Quand elles tourmentent leur système pil
coquetterie de bon aloi, réunissant en elle toutes les qualités de la femme et de la mère de famille. (à suivre). PHYSIO-
lippe d'AunoyII, vivant en 1356, mort avant 1392, fut enterré avec sa femme dans l'église du prieuré de Moucy-le-Xeuf, où ils
x filles, dont Jacques II, mort sans alliance en 1333, et Marguerite, femme de Mathieu de Rouvroi I. d( Fiwroi Mathieu de Rou
bit religieux à l'abbaye de St-Maur-des-Possés, du consentement de sa femme , « y passa le reste de ses jours avec une piété e
tte abbaye. Il y mourut le 26 février 1007, et y fut enterré. De sa femme Elizabeth, qui fut enterré près de lui, il eut un
son église celle de St-Auban en 868 du consentement de Hildcsende. sa femme » ('). Landry de Nevers IV, qui descendait de L
ne de Dijon, Brunon, archidiacre de l'église de Langres, et Mathitde, femme de Landry de Nevers IV. foXmn Landry de Nevers IV
son frère, du consentement et en présence de la comtesse Adelaîs, sa femme ... et de Guillaume, son fils ; quelques tems aprè
iagnostic, si l'on n'y regardait pas d'un peu près. Il s'agit d'une femme de 26 ans. Elle nous demande aide et protection,
ent leurs manières d'être ; ils ne se laissent pas persuader. Cette femme a une hérédité très nette ; son père était alcool
s, je ne peux pas ». — « Pourquoi donc pas? » — « Parce que cette femme continue avec ses malédictions. » — « Quelle fe
Parce que cette femme continue avec ses malédictions. » — « Quelle femme . » Il désigna une voisine des parents de l'enfa
un grand nombre de membres du clergé catholique. (à suivre). Les Femmes â barbe : Étude psychologique et sociologique {su
le Dr Bérillon Professeur à l'Ecole de Psychologie La maternité des femmes à barbe. — Mathilde Van de Cauter, la Dame barbue
rable de Mme Pilou. — Un chef-d'œuvre de Rlbera. — La plus barbue des femmes à barbe : Madeleine Ventura. — Conclusions psycho
es rois et des grands seigneurs, d'autres ont reproduit les traits de femmes à barbe : Antonio Moor('), dît Moro,le célèbre pe
intérêt, étant le documentauthentique le plus ancien qui concerne les femmes à barbe. Si l'on en juge par la simplicité de s
allemant des Réaux publiée par Monmerqué, se trouve le portrait d'une femme à barbe qui eut ses entrées à la Cour de Louis XI
. C'est celui de Mme Anne lîau-desson, dame Pilou. Elle était une des femmes delà société de Mlle de Scudéri. Née en 1580, mor
ndre de tout le monde. « Il n'y a peut-être jamais eu une moins belle femme qu'elle, dit Tallemant des Réaux ; mais il n'y en
ous Sont autant de dames Piloux. Comme on le voit, la profession de femme d'esprit ne va pas sans quelques mécomptes. Les
tique que par sa valeur psychologique. Fig. 103. Madeleine Ventura, femme à barbe âgée de M ans. j. Ribera (1583-1636; Il
oit une tête de vieil homme, à barbe noire, surmontant le corps d'une femme qui donne le sein à un enfant au maillot; puis, q
réfléchies. Il lui a peut-être paru plaisant de nous apprendre qu'une femme pouvait cire beaucoup plus barbue que lui. La tai
anatomie et la préoccupation de l'exacte vérité, le portrait de cette femme à barbe constitue un document de la plus haute va
e sa maternité, par les symboles dont elle est entourée, elle est une femme . Il ne s'agit pas là du portrait d'une virago, ma
transmettre, à titre de curiosité, le portrait de la plus barbue des femmes à barbe : lui, a tenu à faire ressortir les dispo
ons ont confirmé, c'est que l'apparition de la barbe ne confère à une femme aucune des dispositions à la masculinité ni à la
out le monde connail le suprême argument d'Arnolphe, dans l'Ecole des Femmes . Le vers de Molière : Du côté de la barbe est l
é des individus du sexe masculin se font encore de ta vassalité de la femme . Voltaire, qui sur tant de points a porté la gr
ten particulier chez les arabes et les nègres, l'asservissement de la femme n'a pas d'autre cause quesa faiblesse musculair
'à l'époque de la ménopause, les caractères sexuels secondaires de la femme subissent des modifications plus ou moins marquée
ie, qui n'est pas autre chose qu'une ménopause prématurée. Il y a des femmes chez lesquelles l'enlèvement des ovaires est suiv
gements dans le caractère, survenant à la ménopause, transformant des femmes naguère fort sociables en personnes acariâtres, o
es leur réputation d'irascibilité. Cela tient à ce que le mariage des femmes , en France, étant quelque peu tardif, la période
modifications du caractère ont contribué à répandre l'opinion que les femmes à barbe devaient être des viragos. Cette idée a d
auxquelles on ne peut dénier une certaine valeur prophétique. « La femme n'est femme que par les ovaires : toutes les prop
on ne peut dénier une certaine valeur prophétique. « La femme n'est femme que par les ovaires : toutes les propriétés spéci
tte fidélité, tout cela et les autres qualités caractéristiques de la femme sont sous la dépendance des ovaires. Enlève-t-on
oïstes, et au jugement tranchant. » Hâtons-nous de déclarer que les femmes à barbe n'ont rien de commun avec ces viragos pré
aire passer pour des hommes, elles revendiquent hautement le titre de femmes . Bien plus, elles s'ingénient à démontrer qu'elle
e femmes. Bien plus, elles s'ingénient à démontrer qu'elles sont plus femmes que les autres. Elles mettent tout leur amour-pro
'autres argumenls que celui d'avoir du poil au menton. Pourquoi les femmes à barbe sont-elles femmes et surtout pourquoi s'a
i d'avoir du poil au menton. Pourquoi les femmes à barbe sont-elles femmes et surtout pourquoi s'appliquent-elles à se montr
emmes et surtout pourquoi s'appliquent-elles à se montrer encore plus femmes que les autres. Cela tient à deux causes détermin
ries faciles, dont le thème se ramène à ceci : » Toi, tu n'es pas une femme , tu as de la barbe, tu es un homme. » Comment r
re à cette affirmation ? Il n'y a qu'un moyen : prouver qu'on est une femme . Pour cela, la jeune fille barbue s'appliquera av
phe. Heureuse de l'occasion qui lui permet de prouver qu'elle est une femme comme les autres, elle s'attache à son époux, lui
t subordonne toutes ses pensées à la démonstration de ses qualités de femme d'intérieur et de mère de famille. Bien plus, l
nde antipathie à l'égard des personnes de son propre sexe. Toutes les femmes à barbe que j'ai eu l'occasion d'interroger ont é
sur ce point : elles témoignent d'une aversion marquée à l'égard des femmes . Il y a donc chez toutes une réaction contre l'
rôle que l'hérédité joue dans l'apparition de la barbe chez certaines femmes . Comme ces personnes étaient généralement issues
portion de la richesse de l'un et de l'autre. L'étude approfondie des femmes à barbe semble confirmer l'opinion de M. Bordier.
emmes à barbe semble confirmer l'opinion de M. Bordier. L'étude des femmes à barbe soulève encore d'autres problèmes fort tr
lorsqu'une actrice doit, dans une pièce de théâtre, jouer un rôle de femme française, il est de tradition courante, afin de
a repoussent pour elles, il reste cette consolation que le nombre des femmes barbues ne parait augmenter que peu à peu et d'un
: il n'y a donc pas plus lieu de se préoccuper du temps où toutes les femmes auront de la barbe, que de la fin du monde. * N
virilité n'apportent aucun élément dans la formation du caractère des femmes à barbe. Orientées par l'éducation familiale et p
ion qui leur a été primitivement imprimée. En résumé, l'étude des femmes à barbe fournit une contribution importante à l'o
1026 l'abbaye de Lonlay, qu'il dota richement, du consentement de sa femme , de tous ses fils et de son frère Avesgaud. « Il
in de ses jours en l'abbaye de Tiron, et Mahaud d'Alençon-Chateaudun, femme de Geoffroy de Vendôme III laquelle fit une donat
religieux du prieuré de Lavardin pour son anniversaire et celui de sa femme , et mourut en 1202. Il eut deux garçons et une fi
l'abbaye de la Trinité de Vendôme en 1213, fit, du consentement de sa femme , un accord avec le chapitre de l'église St-George
au IV, qui fit des rentes à l'abbaye de Fontevrault, et Marguerite, femme de Louis Rouault. (à suture) société d'hypnol
abbé de Bourgueil, et, en 147?, évoque de Maillezais, et Marguerite, femme de Bertrand Rataut et mère de Jeanne Rataut, femm
is, et Marguerite, femme de Bertrand Rataut et mère de Jeanne Rataut, femme de Charles de Montmorency-d'Auvraismesnil. Ceux
ont : Jeanne, religieuse à Longchamp, morte avant 1490, et Catherine, femme de Philippe de Rouvroi III. HoniHi Philippe de Ro
476, vivant en 1527, Louise, religieuse de Poissy, et Jeanne d'Aunay, femme de Thibaut Baillet, vivante en 1527, enterrée ave
chapelle de Baillet en l'église de St-Merry. Kiolel Isabeau Baillet, femme de Nicolas Potier III, était la petite-fille de c
rt-Royal. € Après avoir rempli dans le mariage tous les devoirs d'une femme chrétienne, elle se résolut, aussitôt après la mo
'inhumer dans l'église, il fut enterré sur le rempart de la ville. Sa femme obtint une sentence du PrésidiaL qui lui permetto
Beauvais était d'aillcursextrêmement chaste etsutrésister à plusieurs femmes qui en voulaient à sa vertu. Un autre enfant de
'un animal oa d'un individu redouté donnant à un être faible (enfant, femme , vieillard) la force de se soustraire à son attaq
ance, a soulevé d'enthousiastes applaudissements. Puis, Mme Demonchy, femme de notre dévoué collègue, le Df Demonchy, à fait
tard, dans des circonstances déterminées, peut survenir la chorée des femmes enceintes, qui est une chorée d'adulte. Dans la c
de Vendôme I. Celui-ci donne une partie de la forêt de Gastine et sa femme plusieursautresterres. Leur fils Lanceiin consent
droit de foire. Son petit-fils, Jean de Vendôme IV, confirme, avec sa femme Gervaise de Mayenne, le don fait par Geoffroy de
ffroy de Vendôme et fait un accord avec l'abbé, du consentement de sa femme et de son fils Bouchard de Vendôme. Landry de X
n. De cette manière aucun litige n'est à craindre dans l'avenir. La femme de Gauthier d'Aunoy lègue une rente en grains à l
son frère, du consentement et en présence de la comtesse Adelaïs, sa femme ... et de Guillaume, son fils. » Parfois même, c
se montre également libéral envers cette abbaye du consentement de sa femme Perronelle de Châteaure-naud. 3° Les sépultures
Elle se composait de deux missionnaires-pasteurs. Après le sermon, la femme d'un instituteur des environs, qui était aliénée
anglais ainsi qu'une langue orientale inconnue. Il est à noter que la femme ne connaissait que l'allemand. A la fin, la pos
eux heures à se livrer à des pratiques d'exorcisme, jusqu'à ce que la femme se débattit des mains et des pieds, et que l'écum
stés par les fidèles qui chantaient des choeurs. Un peu plus tard, la femme rentra tranquillement chez elle, aussi malade nat
pas avec le vulgaire. Dernièrement arriva à St-Pétersbourg une pauvre femme malade. Son mal se manifestait en ce que, chaque
face les élèves bruyants, ni les réprimander ou les punir : c'est une femme du monde, dame patronesse d'une œuvre charitable,
mentation ou à la digestion. J'ai hypnotisé et complètement guéri une femme qui, atteinte de dysphagie ne pouvait manger en p
venir beaucoup de débats et querelles, et souvent entre le mari et la femme ». Ce dernier argument est, ce nous semble, pérem
il apporté un tel élan à son œuvre? D'ailleurs il aima surtout sa femme légitime. Ceci n'est point un crime. Et je doute
rir un mari de l'affection particulièrement tendre qu'il a vouée à sa femme . Dr FlESSINOER. nouvelles Enseignement de l
ns la même faute : * Mais ce qui frappe, — écrit-il, en parlant de la femme pendant la menstruation, — c'est l'état psychique
on, — c'est l'état psychique et l'on voit apparaître, môme chez les femmes robustes, les stigmates mentaux des psychonévrose
es robustes, les stigmates mentaux des psychonévroses........... La femme normale est déjà pendant la durée de cette foncti
demandé la raison de cette dernière fugue, Argen-lina répond : a Une femme m'a dit de m'en aller de chez mon oncle, sans cel
après s'être réveillée, notre jeune fille raconte ceci : o Une jeune femme qui descendait du train m'a touché l'œil gauche a
les maternités, ils pourraient faire accoucher au moins la moitié des femmes sans douleurs et supprimer les tranchées après l'
e sur Olympe de Gouges, considérations générales sur la mentalité des femmes pendant la Révolution française, par il. le Dr Al
ur d'être son élève. Voici le cas en question : Il s'agissait d'une femme de 47 ans, cuisinière de son état, qui avait été
es yeux à la lumière. C'était, comme nous l'avons dit au début, une femme très nerveuse, qui pour un rien éprouvait des pal
rmale le tic-tac d'une montre. En dehors de l'état nerveux, cette femme ne présentait aucune lésion organique; ses antécé
Délire hystérique par M. le Professeur Raymond (•) * Voici une femme âgée de 64 ans, qui présente des hallucinations,
na cette malade s'était refusé à voir en elle une persécutée: a cette femme , disait-il en 1870, est bonne comme du bon pain,
onique de persécution ne présentent pas cette manière d'être. » Cette femme est remarquable, en effet, par son expression cal
il de cette observation qui a son importance; c'est le suivant: cette femme est prise de ses hallucinations surtout quand ell
ait l'héroïne, ce qui lui attirait une foule de tracasseries. Cette femme a été présentée par LàSèGUE comme une hystérique,
Aphonie non hystérique (Un cas de), par Pamart, p. 346. Barbe (Les femmes à), par Bérillon, p. 2, 35, 68, 99, 134, 167, 198
....................... 6 Marguerite d'Autriche ............... 8 Femme à barbe ayant vécu au 17e siècle ..............
..................... 71 Buste de personnage barbu, avec seins de femme ...................... 72 Un démon femelle......
.... 168 Camée romain .......................... 169 Mlle Valhen, femme à barbe ...... 170 Mme Hudjon, femme a barbe...
........... 169 Mlle Valhen, femme à barbe ...... 170 Mme Hudjon, femme a barbe......171 Mme K., femme à barbe.........
mme à barbe ...... 170 Mme Hudjon, femme a barbe......171 Mme K., femme à barbe............ 172 Mlle D., femme à barbe
e a barbe......171 Mme K., femme à barbe............ 172 Mlle D., femme à barbe ............ 174 Mme Lestienne, femme à
...... 172 Mlle D., femme à barbe ............ 174 Mme Lestienne, femme à barbe... 175 Mme Mathilde Van de Canter ... 199
3 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
re, la jalousie en amour dans les tribus où règnait la communauté des femmes etc. repoussés avec horreur, ou les beautés natur
L'homme du monde qui reflète l'argot et le débraillé de l'ouvrier. la femme du monde qui reproduit en chantant les intonation
émule. J'ai cru pouvoir ranger les deux dans la même catégorie : deux femmes très-suggestibles à l'état de veille et n'ayant p
sinent le nommé Pradiés, fermier du Petit-Condom près de Narbonne. La femme Pradiès. venue au secours de son mari, blessa d'u
rer la justice. Deux des meurtriers furent arrêtés : l'assassin de la femme restait à capturer. Pradiès donna son signalement
gnol devait être Borras, avait pris naissance dans les commérages des femmes du Petit-Condom dont quelques-unes entouraient le
conviction. De ce moment, il ne cessa de dire que Joseph avait tué sa femme . C'est sous l'empire de cette influence que la co
endant! plusieurs mois. Vers cette époque (janvier 1886), cette jeune femme ! eut plusieurs émotions extrêmement vives à la su
'est à dire 10 mois environ après le début de la maladie, cette jeune femme devint de nouveau enceinte. Pendant les quatre pr
t de 1 gramme sur 200: mais il dut rester constamment au chevet de sa femme et faire au moins. 30 injec-tions (seringue compl
as dédire: naturam morborum ostemdunt curationes. En résumé une jeune femme est prise d'une douleur aiguë vive et continue à
btins pour la première fois le pouvoir physique de cohabiter avec une femme , ce que, jusqu'alors — j'ai vingt-huit ans mainte
leur tendance innée à la dissimulation, il a ajouté : « Lorsqu'une femme est hystérique, la note principale de son tempéra
dains peuvent troubler singulièrement la tranquilitê d'un ménage. Les femmes , elles-mêmes, reconnaissent cette singularité de
les, l'hystérique écrit et agit, pour obéir à sa passion. C'est une femme qui veut paraître a tout prix et qui n'est même p
istoire du roi David qui ni tuer son lieutenant Une pour lui voler sa femme Dath-Schèba, celle que nos abrégés d'Histoire sai
t ! Pour augmenter les petits bénéfices de ses troupeaux, il prêta sa femme Saraï ou Sarah au pharaon d'Egypte et a un roi de
sous forme de sentiment amoureux. Il ne peut plus se passer de cette femme , il ne peut plus chasser son image de devant ses
cette vision obsédante le poursuit partout. 11 sait I bien que cette femme est indigne de son amour, qu'elle le trompes qu'e
s graves dont nous avons eu à nous occuper, je vous rappellerai cette femme qui vivait dans la préoccupation constante de cou
suicide qui l'ont amené à venir nous consulter, mais en même temps sa femme nous a appris qu'il était devenu sujet à des accè
sa famille. C'est a ce moment que naissaient ses idées de suicide. Sa femme , qui redoutait qu'il n'y donnât suite, se mettait
profondément qu'il ne te souvient pas d'avoir eu de cauchemars. Sa femme l'a cependant entendu parler en dormant. En se co
suggestion post-hynotique suivante : Il devra dire à son réveil à sa femme : « Ah : je crois que je vais être guéri. » Il
u lait. Il n'a pas fumé. On ne lui a pas ménagé les plaisanteries. Sa femme qui ne l'a pas quitté un instant depuis son arriv
17 années (187:2) donne un total de 3,532 aliénés (1695 hommes, 1,837 femmes ), et que le total de la dernière du tableau (1888
e du tableau (1888) est de 4,449 aliénes, soit 2, 549 hommes et 1,900 femmes . L'accroissement a presque toujours été progressi
tout méfait volontaire et corrupteur, et surtout de la séduction des femmes et des garçons, libres ou esclaves. » Quoi que
e petite dame, montrez-moi donc votre jolie petite langue. Quelques femmes sont très sensibles à ces grâces mignardes, pas t
ens, cela l'empêchera au moins de confier les secrets des autres à sa femme ! • A ses débuts, il a eu à soigner l'essaim bourd
une maison bien tenue, les joies réconfortantes du foyer familial. La femme peut beaucoup pour le succès du praticien ; elle
ces délicates recherches. En effet prenons un fait, entre mille : Une femme atteinte de syringomyélie nettement caractérisée
les dents chez les enfants, la menstruation et la grossesse chez les femmes , la frayeur ou les émotions vives, la misère phys
es à domicile. Les risques d'accusations sans motifs faites par des femmes hystériques sont assez nombreux sans qu'on s'expo
occasion, dans ces dernières années : 1° de traiter successivement la femme et le mari atteints de paralysie générale; de rec
t la femme et le mari atteints de paralysie générale; de recevoir une femme paralytique dont le mari était traité à l'hôpital
es recherches, je n'ai pu arriver à la même certitude. Chez une seule femme , la syphilis est certaine; en revanche, elle n'es
MM. J. Sêglas et P. Sollier (de Paris) rapportent l'observation d'une femme de quarante trois ans qui. après un accouchement
rie par la suggestion hypnotique. M. Raymondaud (dê Limoges). — Une femme de 40 ans, mère de cinq enfants, bien constuée et
xemples montrent comment ils pratiquent : 1°Le sorcier calant : Une femme de vingt-cinq ans était atteinte de pelvi-periton
s professeurs, les membres du Congrès, la psychiatrie bacillaire, les femmes doctoresses, les bienfaits de l'anthropologie cri
d'hypnotisme. Ces malades peuvent être divisés en trois classes : Femmes . - . 265 Hommes . . 50 Enfants. - . 45 Tot
. OBS. V. — Paraplégie hystérique Mme A..., âgée de quarante ans, femme d'un pharmacien de la Varenne St-Hilaire, a été a
lui un effet favorable qui se maintient depuis deux mois. II — Une femme , âgée de 28 ans. Mme A..., mécanicienne, a uriné
use depuis dix ans. la guérison fut obtenue en deux séances. Chez une femme de vingt-six ans qui refusait tout aliment depuis
ment tragique s'est produit tout dernièrement à l'hôpital : une jeune femme de vingt-trois ans s'est pendue. C'était une hyst
fait des tentatives de suicide. Parmi ces onze malades, on compte dix femmes et un homme. L'homme était un hystéro-neurastheni
enir compte si on vent ne considérer que les cas d'hystérie pure. Les femmes ont tenté de se donner la mort pour les motifs qu
es et tout se termine par une violente atta-que de nerfs. Une jeune femme de notre service a donné deux fois le spectacle d
vre la bouche que pour des lamentations. La mère aussi passe pour une femme originale. Il. Femme 33; ans. orpheline de mire
des lamentations. La mère aussi passe pour une femme originale. Il. Femme 33; ans. orpheline de mire dès l'âge de deux ans.
haude, suite d'ivrognerie. Il s'était mis à boire après la mort de sa femme , ne pouvant supporter son chagrin. Hérédité mat
du père se sont tués, l'un s'est empoisonne parce que. disait il. sa femme lui faisait des misères: l'autre s'est fusille pa
it des misères: l'autre s'est fusille parce qu'il avait appris que sa femme avait connu d'autres hommes avant son mariage. Un
que j'avais déjà traité au mois d'avril dernier, après avoir guéri sa femme , morphinomane égale-1 ment, dans un espace de dou
la cinquième et de la sixième nuit, le malade était tourmenté par une femme couronnée de pavots rouges et gris, qui tantôt le
d'embrasser tout le monde. » Dans un salon élégant, vous voyez une femme charmer toutes les oreilles. parson esprit e: sa
sses aux. actes. Nous avonsen ce moment comme Je vous l'ai dit. une femme récidiviste qui, ayant déjà réussi à se déshabitu
morphine, es; denou-. veau retombée dans les errements passés. Cette femme me conjure tous les I matins de commencer au plus
olet dans la lune. Ses excentricités écartant la clientèle, lui et sa femme tombèrent dans la misère. Or il avait un beau-frè
e un état analogue, une semi-anesthésie voluptueuse qui fait rêver la femme de scènes plus délicieuses encore que la redite.
urs orientales, s'il ne s'élevait pas des jalousies féroces entre les femmes de harem qui font toutes plus ou moins abus de lo
que l'on donne à l'une il faut le donner a toutes. Pour le reste, ces femmes , ont, parait-il, une indifférence absolue. Et com
elui qui fera le moins d'ouvrage possible ; de même dans un harem, la femme la moins favorisée se rejouit d'avoir moins de tr
tre de façon â tomber en état hypnotique, il est incontestable que la femme enceinte étant dans un état hystérique passager,
ases. Après avoir indique l'action constante du eboréoptisme sur la femme à l'état de gestation et son innocuité, je veux m
ter le cboréo~ ptisme dans la pratique. Ce moment si redouté par la femme perd toutes ses horreurs et toutes ses transes :
me perd toutes ses horreurs et toutes ses transes : l'attention de la femme souffrante sera sans doute attirée par cet avsnta
e morale une somnambule qui à dévié delà sagesse que de pervertir une femme vertuense ( 1 ). » Mais il faut arriver à M. Li
jusqu'alors entend une voix qui, pendant la nuit, lui répète : tue ta femme , tue tes enfants; il y va. poussé par un mouvemen
immoral, le plus chaste impudique ! Si l'en a pont de cette façon une femme publique à abandonner son infâme métier, pourquoi
naire. Endormies, | elles se croient autres qu'éveillées. Une jeune femme que j'ai pu étudier à loisir, Marguerite X..., pr
intéressants, sont à peu près dans le même état d'esprit que la jeune femme , dont 'e vous racontais l'histoire il va un insta
se à leur place. M. Azam a vu, à l'asile des aliènes de Bordeaux, une femme de trente-quatre ans. atteinte depuis plusieurs a
t sur l'état mental qui a accompagné la tentative de suicide. - Une femme est accusée d'avoir tenté de donner la mort à son
n sauvetage Dans de semblables conditions, il ne semble pas que cette femme ait pu apporter dans l'accomplissement des actes
ut une ordonnance de non-lieu. La seconde observation a trait à une femme inculpée d'homicide sur la personne de son fils â
ue les hommes commettent quatre ou cinq fois autant de crimes que les femmes . Ceci est nié par Tarnowski. il dit que 1a prosti
mmes. Ceci est nié par Tarnowski. il dit que 1a prostitution d3ns les femmes appartenant a la même catégorie: Je défectuosité
ime établit, par cela même une juste balance entres les hommes et les femmes . L'œuvre du D' Tarnowski contient un cranj nomb
e plus ou moins marquée. L'alcoolisme surtout semble dominer. Sur 134 femmes 50 étaient nées de parents ivrognes et sur 1*0. 9
le plus tôt possible. Réglées, généralement, plus tôt que les autres femmes , on remarque en elles un développement prématuré
t de ses vices, non de ses nécessités. Le D* Tarnowski a étudié les femmes et peui donner des renseignements scientifiques s
on; l'on se plaint surtout de ce que dans les classes bourgeoises les femmes s'adonnent de préférence a ce vice, beaucoup d'en
tremens, et souvent le man ne se doute aucunement de la passion de sa femme . C'est lui qui paie les notes du fournisseur, m
aurait besoin, tous les cinq ans, d'un nouvel asile d'aliénés. Les femmes diplômées en France D'après la dernière statist
intérêt. « Au mois de juin 1879, je suis appelé auprès d'une jeune femme accouchée depuis deux mois environ. Elle allaite
eur diminue pour disparaître complète-ment. J'ai perdu de vue cette femme , qui a eu depuis plusieurs enfants: mais je trai
avaient été condamnés pour un crime horrible . Ils avaient ligoté la femme d'un d'entre eut. enceinte de trois mois, pour lu
nous efforcer de résumer les débats : Deux criminels, an homme et une femme , se sont associés pour commettre un assassinat. I
compliqué. Cependant, un beau jour, on apprend qu'un des accusés, la femme , a été soumise, a différentes reprises, à des exp
i l'ont tant alarmée et comble de prévenances et de bonnes paroles la femme que, dans Pautre état, elle accuse d'être la comp
de suggestions. Il lui suggéra, notamment, l'idée qu'il était devenu femme et qu'il allaitait son enfant. Puis il lui suggér
se méfier du tête a tête prolongé, d'une jeuue tille ou d'une jeune femme avec un jeune homme, d'un moribond avec un de ses
aux suggestions. Enfin, elle ne croit pas que l'on puisse violer une femme pendant l'état somnambulique. si celle-ci n'est p
l'hypnose a été portée devant les tribunaux, ses victimes, hommes et femmes , étaient tous des hystériques caractérisés. Pen
ient tous des névropathes, des cerveaux faibles, des hystériques, des femmes ; la plupart de rues observations se rapportent à
faits probants. Us sont au nombre de 150, comprenant 61 hommes et 44 femmes , et se répartissant ainsi qu'il suit, d'après M.
s sur 22! Si nous n'avions auparavant hypnotisé pas mal d'hystériques femmes , quand nous prenions leurs observations, nous eus
otisme. (I) Charcot. Accidenta hystériques graves survenus chez une femme à la suite iChypno-lisaiions pratiquées par un ma
rnière séance, même suggestion, dort 20 m. Le 22 novembre au soir, la femme sentit certains malaises, se coucha pendant quelq
l'enfant était dehors. Après qu'on eut fait la ligature du cordon, la femme se leva et descendit seule dans la chambre d'acco
l'autre a souvent des convulsions. A son entrée, le 15 septembre, la femme se plaiat de fortes douleurs qui durent 99 h., se
nt pas le travail. Dans la nuit, les douleurs, toutes les 5-10 m., la femme s'agite, gémit. Le 17 au matin, elle est très fai
eurs ont reparu; elles sont fortes et se répètent à chaque minute. La femme est très excitée, crie, pleure, réclame ma présen
40-50 s., nullement douloureuses. A 10 h., dilatation comme 5 fr., la femme ne souffre plus. Pendant une contraction très for
m., la tête balaie le plancher, se montre à la vulve et se dégage, la femme ne bouge pas. Après l'expulsion de l'enfant, elle
nevoise, 35 ans. couturière, primipare, enceinte depuis fin décembre, femme petite, maigre, tempéraraenlnerveux, n'a jamais e
r les jeux et je lui commande énergiquement de dormir; 2 m. après, la femme s'endort, les membres en résolution, la figure tr
a pas conscience du temps de son sommeil. 26 septembre, à 8 h. m., la femme est inquiète, très agitée, pleurant, les douleurs
eurs de reins et de bas-ventre. Les élèves du service me direntque la femme avait beaucoup crié, qu'à 7 h. la dilatation étai
lques goulles d'éther; elle se calme, les contractions continuent, la femme s'endort. Quand elle se réveille, je lui fais fix
H h. 1/4 la tète se montre, fait sa rotation et se dégage sans que la femme laisse échapper le moindre gémissement. Elle est
i lu, dans un journal de Paris, un article relatif aux vengeances des femmes . Un autre instrument de haine féminine est le rev
atiente qui fait le sujet de cette intéressante communication est une femme mariée, grande et robuste, ardennaise, âgée de pr
nt, l'accouchement eut lieu beaucoup plus tôt que l'accoucheuse et la femme ne l'avaient calculé. Je ne fus appelé par M. Del
tait rompue spontanément. M. Delbœuf m'attendait pour hypnotiser la femme si je jugeais la situation favorable. La patien
moment la matrice se redresser et se durcir très fort pendant que la femme s'agitait et se plaignait beaucoup. Le maximum d'
du diamètre transverse. L'examen était manifestement désagréable à la femme , mais elle s'y soumettait parce que c'était néces
certaine rapidité et qu'il pouvait dans ces conditions hypnotiser la femme sans aucune crainte. Le mari était assez inquiet,
espéré. Pendant ce temps, j'avais la main placée sur le ventre de la femme pour surveiller la matrice. La patiente résistait
ements de déplacements latéraux du haut du corps, pendant lesquels la femme dit à plusieurs reprises : « Il est trop tard; vo
les yeux. Il était environ six heures du matin. Assis à côté de la femme , d'une main placée sur le ventre, j'observais les
emière qui survint, M. Delbœuf, plaçant la main sur la poitrine de la femme et appuyant quelque peu, ordonna de ne plus bouge
dé, alors qu'auparavant elles étaient plus espacées. On commanda à la femme de pousser quand elle aurait des contractions. C'
pas continuer seul l'expérience. Quelque temps après mon départ, la femme se réveilla peu à peu, elle recommença à se plain
'efforts de vomissement au début du travail. Cela agaçait beaucoup la femme qui sentait de plus en plus les douleurs de l'acc
ndaient de nouveau à s'espacer et à s'affaiblir. Elle avait engagé la femme à se lever, à se promener et, finalement, l'avait
avorablement l'effort utérin, je dis à M. Delbœuf de recommander à la femme de ne pousser qu'à son injonction. Dès que la con
utérine était en train, je faisais un signe et M. Delbœuf disait à la femme de faire tout son possible pour pousser éuergique
fortement étonné la sage-femme qui, connaissant la patiente comme une femme nerveuse, avait beaucoup redouté la dernière péri
t n'allait pas assez vite. A un certain moment il voulut embrasser sa femme , comme pour l'encourager: « Allons donc, tais-toi
mbre, moins de dix minutes après la sortie de l'enfant et sans que la femme s'en aperçût. Le périnée était resté absolument i
u'il n'y avait pas eu lieu, à la fin, de ces efforts violents que les femmes les plus énergiques ne peuvent réprimer. Quand
es ne peuvent réprimer. Quand tout fut fini, M. Delbœuf réveilla la femme . Elle ne pouvait croire qu'elle s'était acccouché
rassurer le mari, un cultivateur, sans instruction aucune, adorant sa femme , et ayant une répugnance ?????'? pour ¦ ces nouve
s été aussi marqué que la première fois. Enfin le 9* jour, quand la femme se leva pour la première fois, elle recommença à
es tout à fait modérées. On pourrait peut-être nous objecter que la femme qui fait le sujet de cette observation a ressenti
ons utérines étaient très fortes et très rapprochées. La figure de la femme devenait rouge et exprimait la souffrance, mais i
pas un cri. Cela dura trois ou quatre heures. Le mari encourageait sa femme qui paraissait souffrir beaucoup, mais se taisait
t facilement, et quand tout fut fini, il y eut comme une détente : la femme se mit à pleurer, puis à' rire, et elle m'avoua t
ment aperçu et il y avait entre l'aspect de cette dame et celui de la femme dont je relate l'observation une différence énorm
bien mal choisi, en effet, pour tenlcr l'expérience et la réussir. La femme esl inquiète, agitée, elle souffre dès le début d
ulue pour arriver à un bon résultat. P.-S. — On a pu voir que cette femme , qui s'endort instantanément sur un signe, comme
ilité. Les parents consentirent facilement à l'expérience et la jeune femme fut facilement hypnotisée. Je constatai aussi une
re obtenu dans tous les cas ; mais toutes les fois qu'on saura qu'une femme est susceptible d'être hypnotisée au point d'arri
e : l'effluve est plus puissant chez les hommes, plus faible chez les femmes ; plus haut chez les adultes bien portants et fort
actifs, à 8, 12, 20 lignes et plus. Mais j'ai cependant rencontré une femme de soixante-dix huit ans, bien portante, mère de
grandissaient à chaque adjonction, et, avec cinq personnes, hommes et femmes , on obtenait des Lobées qui, s'élevant tout droit
optisme. Celles-ci, nous le rappellerons, avaient eu pour objet trois femmes hystériques n'offrant, en dehors des stigmates pe
es eaux s'écoulent; dilatation de i fr. A mon arrivée à 6 h. soir, la femme crie sans cesser, et cela dure depuis le début du
ne. A 6 h. 3/4 la tête franchit le canal et commence k se montrer, la femme pousse, reste calme. A 7 h. l'expulsion est finie
, grâce aux injections sous-cutanées d'éther. Après l'accouchement la femme se sent faible, tousse, gémit, se plaint d'avoir
en lui faisant fixer ma montre pendant 1/2 h. sans aucun résultat, la femme assure qu'elle ne peut pas dormir et à la fin ref
suggère de ne ne pas avoir mal k la tête à son réveil. Au réveil, la femme dit qu'elle est très bien. J'ai fait en tout sept
ent toutes les 3-4 m., elles sont intenses, régulières. A 9 h. 30, la femme commence à pousser très fortement pendant les con
n du forceps. A La première introduction de La branche du forceps, La femme se réveille et cesse d'être hypnotisable. L'extra
réveille et cesse d'être hypnotisable. L'extraction a duré S m., la femme gémissait, criaii. L'enfant est né virant, la mèr
s \ jk d'h. Le soir, la dilatation était comme 1 fr. Vers 9 h. s., la femme souffrait beaucoup, douleurs toutes les 5 m. Je p
t, les contractions deviennent plus fréquentes, toutes les 1-2 m., la femme pousse très fort, puis soupire et reste calme, pl
re, fait sa rotation et en trois contractions se dégage.Ace moment la femme se réveille et crie. Après l'accouchement, la fem
age.Ace moment la femme se réveille et crie. Après l'accouchement, la femme se sent bien. Elle m'a raconté que depuis 10 h. d
les étudiants pourront suivre dans ce service, consacré aux aliénés ( femmes ), les applications de l'hypnotisme faites sur un
nté à la Société médico-psychologique [séance du 18 mai 1885| (2) une femme qui perd par moments, tout en restant consciente,
cas de frigidité, les crises génitales survenues spontanément chez la femme , tous phénomènes se produisant en dehors de toute
nital. Dès la plus tendre enfance, l'homme est porté vers l'homme, la femme vers la femme. A" Les cérébraux antérieurs : Us
plus tendre enfance, l'homme est porté vers l'homme, la femme vers la femme . A" Les cérébraux antérieurs : Us répondent à c
l sur lequel M. Magnan a attiré l'attention et qui, survenant chez la femme , est comparable au priapisme^Il cite le cas d'une
ause, Guéneau do Mussy avait décrit des troubles analogues (1). « Des femmes ... qui avaient de l'indifférence pour les rapport
grossesse, elle a eu des envies impérieuses de vin pur. G. est une femme de petite taille, à face asymétrique ; le lobule
uggestions par des modes très variés. Ainsi, dans un cas, une jeune femme à laquelle il avait suggéré de s'emparer d'une pi
serait un vol, et je ne suis pas une voleuse, jj Chez une autre jeune femme , on pouvait provoquer, sans aucune difficulté, le
fait, pour le dire eu passant, assez fréquent dans l'hystérie chez la femme , mais assez rare chez l'homme. Elle a, en outre,
la vie pour une somme de 20.000 francs, payable après son décès, a sa femme , en faveur de laquelle l'assuranee était consenti
ner une somnambule accusée d'escroquerie et de charlatanisme. Cette femme avait été préalablement condamnée en Allemagne po
ent devait être regardé comme une tromperie. Il est certain, que la femme Fay, cette somnambule, a su tirer de nombreux pro
sa nombreuse famille. Nous ne voulons pas affirmer non plus que la femme Fay et sa famille soient des modèles de vertu, ét
me au plus haut degré. En se réveillant l'enfant était au monde. La femme Fay est complètement anesthésiée, tant en état de
'en état de somnabulisme provoqué. Enfin, pendant sa prévention, la femme Fay fut à nouveau hypnotisée par moi. L'esprit Er
irent pas, le sommeil et le réveil eurent lieu comme auparavant. La femme Fay, à l'état de veille, ne s'est pas décidée à m
sées par votre honorée du 10 courant, relatives à l'état mental de la femme Madeleine Fay, de Badenweuler (BadenJ, après avoi
ceux de la somnambule, nous avons constaté les faits suivants : La femme Madeleine Fay, née en août 1833, mariée à Jean-B.
u contraire et la rendit presque folle. B. — NOS OBSERVATIONS. La femme Fay est actuellement d'un certain âge, trapue, fa
don de la terroriser. Nos premiers soins furent de tranquilliser la femme Fay et de gagner sa confiance, en la traitant ave
t avec affabilité et en la transportant dans un milieu paisible. La femme Fay ne présente rien d'anormal sur les parties du
J'arrivai dans son quartier, sans être annoncé, vers trois heures. La femme Fay, qui était assise sur une chaise près de la f
plus clairement. Elle parla d'elle à la troisième personne « cette femme » et me parla en me tutoyant. Demande (de moi)
portant, intérieurement et extérieurement. Demande : Comment est ma femme ? Comment sont ses cheveux? Réponse : Pas noirs. A
s. A part cela, elle ne sait pas dire autre chose. (Les cheveux de ma femme sont châtains.) Ensuite je signifiai catégoriqu
ma femme sont châtains.) Ensuite je signifiai catégoriquement à la femme Fay (endormie), comme je l'avais déjà fait à l'ét
e ma part, elle se réveillerait aussitôt. Au troisième craquement, la femme Fay se réveilla en sursaut, la figure empreinte d
tané. Après cela, je m'en allai. Je revins à 5 heures et trouvai la femme Fay en train de pleurer, parce qu'une autre malad
lles connaissant exactement la méthode de Nancy, peuvent simuler). La femme Fay, qui fut nourrie de superstitions, de spiriti
muler le mutisme. Je m'en allais à la suite de cette expérience. La femme Fay dormit presque toute la nuit. Cependant la su
a chambre à coté. A neuf heures, après l'avoir un instant fixée, la femme Fay s'endort tout d'un coup; elle s'allonge avec
ne; puis elle émettait son opinion toujours sur le même ton. 1° Une femme mélancolique tuberculeuse des poumons. Explicatio
urement. Extérieurement, membre pas bon, a les nerfs fatigués ». La femme Fay tutoyé tout le monde en dormant. Elle redevie
le répond avec vivacité : « Si tu veux prendre le som- meil à cette femme , elle perdra la raison ». Je lui réponds : « Non,
elle perdra la raison ». Je lui réponds : « Non, tu te trompes! Cette femme deviendra, au contraire, plus raisonnable, plus l
lle et devint de plus en plus confiante. Dans la nuit du 17 au 18, la femme Fay dormit tranquillement (confirmation de la gar
omnambule. — Puisque tu m'as pris mon pouroir c'est au sujet de cette femme que s'adresse la prière, justement cette femme n'
'est au sujet de cette femme que s'adresse la prière, justement cette femme n'a plus que quelques années A vivre et je voudra
bien ! c'est bon. Je veux te dire quelque chose. Tu te trompes. Cette femme vivra bien plus de deux années tout en restant sa
ux plus l'endormir. Moi seul puis les provoquer sur le désir de cette femme et avec cela c'est fini. A la suite de cela « l
vec cela c'est fini. A la suite de cela « l'esprit » resta muet. La femme Fay fut réveillée, resta gaie et me remercia avec
la même chose au médecin auxiliaire. Pendant la nuit du 18 an 19 la femme Fay dormit tranquillement, ne se réveilla qu'une
ulisme spontané, il ressort plusieurs constatations importantes. La femme Fay, d'une nature légèrement hystérique depuis sa
façon frappante avec la timidité, la modestie et la simplicité de la femme Fay examinée à l'état de veille. Que cette second
temps de son sommeil somnambulique. Le sommeil somnambulique de la femme Fay est si typique, si classique; sa façon de s'e
ue ceux-ci. Par suite de la simulation du pseudo-médecin Hinken, la femme Fay subit une certaine suggestion et diagnostiqua
ic eût été à peu près exact. Dans les cas que nous avons examinés, la femme Fay a signalé de faux diagnostics, car nous avons
s sujets d'expériences. Dans beaucoup de cas, les prescriptions de la femme Fay ont pu guérir des malades, même par suggestio
ins ou par l'homéopathie. Naturellement, il n'est possible pour cette femme que de formuler des diagnostics grossiers et appr
sur les résultats médicaux obtenus par la seconde personnalité de la femme Fay, surtout si on réfléchit tant soit peu à la f
est la facilité avec laquelle je réussis, avec le consentement de la femme Fay à l'état de veille, à amener sa seconde perso
ondrai de la manière suivante : 1° Il est parfaitement exact que la femme Fay est tombée tous les jours, a neuf heures du m
e rappeler les demandes et les réponses. 2° Il faut admettre que la femme Fay croit de bonne foi à son don de seconde vue,
tre, dans l'état de somnambulisme, les facultés intellectuelles de la femme Fay peuvent être considérées comme troublées au m
nous avons essajéde tracer plus haut. L'une de ses ataxiques est une femme de quarante-huit ans, qui, il y a une quinzaine d
fois dans la journée, même en l'absence de tout désir vénérien. « Les femmes sentent qu'un liquide s'écoule spontanément de le
tales d'un caractère si.particulier. Pour ces auteurs, il y a chez la femme deux formes bien tranchées de délire erotique : d
r depuis ce temps. II so plaignait de voir La nuit l'apparition d'une femme qui lui reprochait de l'avoir frappée d'un coup d
decins légistes. Récemment commis, par le Parquet, à l'examen d'une femme accusée de vols nombreux dans les grands magasins
ombreux dans les grands magasins, il acquérait la certitude que cette femme u avait accompli ces vols que sous l'influence de
enlever du lieu de recel les objets de toutes sortes volés par cette femme , ils constatèrent qu'il y en avait de quoi rempli
son examen, arriver a démontrer la complète irresponsabilité de cette femme , qui a bénéficié d'une ordonnance de non-lieu, ta
té de- nerfs et des muscles dans l'état hypnotique, par Stembo, 67. Femmes diplômées en France, 186. Fibrômes utérins (mét
4 (1908) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 23
. Son mariage ne fut pas heureux, il se querellait sans cesse avec sa femme . Son alcoolisme devint intermittent : après avoir
et elle se fit de plus en plus pressante. Après une querelle avec sa femme et une nuit d'insomnie, il prit la ferme décision
c'est que moi-même, je ne le voulais pas ». C'est la querelle avec sa femme qui lui a fait prendre la décision de se remettre
la suggestion a introduite dans son esprit. Enfin la querelle avec sa femme décide tout. Après la nuit d'insomnie, pendant la
des cas nombreux, où des hommes homosexuels aimaient à s'habiller en femmes et à en prendre toutes les habitudes. Ils portent
s boucles d'oreille, des bagues nombreuses, des éventails, des bas de femmes , des talons Louis XV, des corsets et des toilette
nt développées. Il y en a qui passent toute leur vie en toilette de femme et leur sexe n'est reconnu qu'à leur mort. D'au
les hétérosexuels ? Considérons d'abord le moment où l'homme ou la femme homosexuels deviennent conscients de leur homosex
e et de la suggestion. On trouve l'inversion sexuelle aussi chez la femme , mais le pourcentage est moindre que chez l'homme
omme. Nous possédons, il est vrai, peu de statistiques relatives aux" femmes homosexuelles. Les pratiques de l'amour homosex
e « ces demoiselles » à l'occasion de ces fêtes spéciales. Les vraies femmes , dans ce milieu où les costumes femininssontenmaj
odiques éclats de rire ; des théàtreusîs qui espèrent s'amuser ; -des femmes de littérateurs ou d'artistes, enfin, dont les ma
t ces mots : ? Ne manquez pas de venir. On s'amuse Et on s'amuse sans femmes !... « Nous arrivons donc, à onze heures, dans
n que des hommes entre eux, naturellement puisqu'il n'y a pas une femme dans la salle. Les hommes qui tiennent le-rôle de
pas une femme dans la salle. Les hommes qui tiennent le-rôle de la femme sont des jeunes gens de 20 à 25 ans. Il se balanc
« Nouvelle apparition. Sûre d'elle, le front haut, une très jolie « femme » traverse le salon avec un port de reine. Elle e
eauté et de grâce, la victoire demeura incontestablement aux « hommes femmes ». - « Nous assistâmes, en outre, à des assauts d
prix des places est fort élevé — jusqu'à 5'» fr. le fauteuil — et les femmes , en aucun cas, n'y sont admises. Le prétexîe donn
'on récite, ne sont point faits pour des yeux ou pour des oreilles de femmes . La vérité, c'est que ces représentations, d'ordr
carton pâte et gigantesque, l'image du dieu auquel s'adressaient les femmes stériles d'Egypte, mais si naturaliste quelle eût
sel Withney qui, dans ce singulier ménage, devait tenir le rôle de la femme . Le commissaire désirait qu'on laissât faire. L
ussel Withney. en robe de soie blanche, et les couples d'invités. Les femmes y étaient seulement représentées par des hommes v
la façon la plus draconienne les relations sexuelles entre hommes et femmes homosexuels. Le procès •dOscar Wilde nous en four
tre il est inconséquent que la loi contre l'inversion ne vise pas les femmes homosexuelles. En stigmatisant les homosexuels
es mentionne le fait suivant: Etant dans l'état d'hypnose une jeune femme de vingt-quatre ans s'est soumise à l'avulsio
aurellières. Il y a des chiens et des singes qui s'excitent sur des femmes . Ainsi un jour un beau chien épagneul fut abandon
on. Nous avons constaté qu'il s'excitait chaque fois qu'il voyait une femme . Peut-être sa maîtresse précédente l'avait-elle d
rs de longs voyages, et encore et peut-être surtout sujets, hommes ou femmes , vivant dans un milieu particulier et d'une façon
e qui se voit notamment chez les peuples orientaux ainsi que chez les femmes de certaines catégories sociales. L'inversion s
s fréquent, paraît-il, parmi les invertis que parmi les souteneurs de femmes . Enfin de l'homosexualité dérivent des délits et
et solitaire. Son air céleste est d'un ange, mais plus doux encore ; femme , elle joint la grâce à l'innocence ; ses gestes,
r l'uraniste à supporter d'abord, à rechercher ensuite la société des femmes . Je m'explique. En dehors de cas exceptionnels, l
s occupations, et la crainte même d'être découvert, de fréquenter les femmes ; quelques uns d'ailleurs sont mariés. Pour qu'il
distingue et cultivé, imaginatif et émotif, c'est dans le cercle des femmes intelligentes, même un peu pas-bleu qu'il trouver
d'un rapport sexuel normal, en arrive à aimer la société de certaines femmes est en bonne voie d'amélioration. Ces rapports
de stimuler son appétit sexuel, l'homme est olfactif et gustatif ; la femme , au contraire, dans sa détermination sexuelle, es
s visuelles et tactiles. Par ces caractères, ils se rapprochent de la femme qui. comme je l'ai énoncé plus haut, est détermin
la perception visuelle (1). Lorsque je me trouve en présence d'une femme portée à l'inversion sexuelle Je puis affirmer av
c certitude qu'elle est dominée par ses impressions olfactives. Toute femme homosexuelle a cessé d'appartenir au type visuel
ls du sexe masculin appartenant au type visuel, réagissent, comme les femmes , sous l'influence d'images qui impressionnent fav
ns une atténuation des perceptions olfactives et gûstalives ; chez la femme , les anomalies de l'attrait sexuel trouvent leur
hypnose est le meilleur remède en pareil cas. D'ordinaire, lorsqu'une femme veut accoucher dans l'état hypnotique, on l'hypno
personnelle, ne juge pas indispensable l'hypnotisation préalable des femmes enceintes. Sur 28 femmes auxquelles il a appliqué
indispensable l'hypnotisation préalable des femmes enceintes. Sur 28 femmes auxquelles il a appliqué l'hypnotisme, 10 seule
ême de l'accouchement. Les résultats obtenus ont étéles suivants : 20 femmes ont accouché sans douleurs, 3 n'ont pas souffert
favorables égale à 821/2 pour cent. 11 est bon de remarquer que la femme sur le point d'accoucher est dans (1) Wiazemsky
Paul Joire a pu sans les hypnotiser, obtenir l'insensibilité chez des femmes en travail d'accouchement, par le seul emploi de
es apportent des idées plus larges, plus de méthode, de logique ; les femmes mettent en œuvre leurs qualités de finesse, leur
evue commente le fait, signalé par un journal de Londres, d'une jeune femme qui a subi sans douleurs, en état d'hypnose, l'av
pillons, des esquifs, des cœurs entrelacés ! Une jeune et charmante femme de Berlin fit écrire à l'aiguille sur son dos une
sur son dos une pièce de vers fort longue. Beaucoup d'autres jeunes femmes à Londres font inscrire à leur doigt, sous l'anne
itement au moment même où l'un des siens est venu lui annoncer que sa femme avait cessé de vivre. M. X... va assister aux f
lettre,il se rappelle qu'il a oublié de faire une recommandation à sa femme ; il quitte un instant sa classe et se rend à son
femme ; il quitte un instant sa classe et se rend à son jardin où sa femme cueille des légumes pour le pot au feu. Quand il
rnière, il se décide à lui parler franchement : - Voulez-vous être ma femme , lui dit-il ? — Oui, répond-elle à voix basse. »
qu'il me priait de vouloir bien faire comprendre au mari de la jeune femme , qu'il avait si violemment prise à parti, qu'il é
e suivre mes yeux dans leurs mouvements. Or il s'agissait d'une jeune femme , peintre miniaturiste d'un très grand talent, don
jours et Philippe le Bel dans l'année. D'après Feuchtersleben, une femme ayant refnsé l'aumône à un pauvre mendiant, celui
e surviendra tel jour déterminé. Or, le premier novembre 1899 une femme est morte de peur à l'heure même qu'un certain do
fants qu'il ne survivrait pas à leur mère. Quand on lui apprit que sa femme venait de succomber, il s'affaissa et mourut sur
de ses animaux que de la sienne propre, voire même que de celle de sa femme et de ses enfants : et c'est naturel : la mort d'
eu. L'anémie est aussi une maladie très fréquente, surtout chez les femmes , et très opiniâtre. Je crois que le meilleur re
vessie : Manger une fricassée de rats. Mat, d'oreilles : Du lait de femme . Très recommandé. a son défaut, se mettre dans l'
rectrice de la plus fameuse école secondaire de Londres, et nombre de femmes distinguées prirent part aux débats, parmi lesque
l'amour des hommes exclusivement, que leurs sentiments à l'égard des femmes sont l'indifférence ou une insurmontable repulsio
on physique est celle d'un homme ; mais ses instincts sont ceux d'une femme . « Les manières masculines, dit-il, nous ont été
iciellement. Nous jouons l'homme seulement ; nous le jouons comme les femmes le jouent sur le théâtre. » Pour expliquer cett
héâtre. » Pour expliquer cette énigme, il supposait que l'âme d'une femme se trouvaitincluse, en quelque sorte prisonnière,
des et longues jennes filles aux maigres poitrines ; mais les grosses femmes , aux corsages bien remplis, me dégoûtent au point
e héros d'un de ses romans (2) : « Quelle collection de laideurs, une femme ordinaire ; les jambes sont trop basses, courtes
nt les sveltesses enlacées de certains groupes de lutteurs. Parmi les femmes peintes du premier étage,, une seule m'intéresse,
er ce fait de celui qui est mentionné par Tellement de Beaux. « Une femme de ma connaissance, dit ce chroniqueur, avait une
ion courante. De la lecture de l'ouvrage très connu de Ploss sur la femme : Das "Weib ; il ressort que l'on a vu maintes fo
le amoureux est forcé de se séparer pour quelque temps, l'homme et la femme , échangent des pièces de linge dont ils se sont s
chaleur du bal, cette princesse passa dans une garde-robe où une des femmes de la reine mère lui fit changer de chemise. Elle
t, pourala première fois, témoin de cette crise dyspnéi-que, la brave femme s'affole, croit que son malade est moribond et, d
x sont devenus très friables, tel le cas rapporté par Brou -sais. Une femme est couchée sur une pelouse ; font a coup une gre
ice de sa maison et des affaires de son mari. Pénétrée de son rôle de femme et de mère, elle se dépense sans compter, se surm
: elle en est toute bouleversée et ne peut admettre qu'elle, honnête femme , puisse être atteinte d'une maladie qu'elle consi
difformité, également très répandue, ce sont les verrues. Hommes et femmes s'efforcent à les faire passer, employant à cela
compenser les ravages de la population trop nombreuse, du surplus des femmes ! L'inverti, qui n'est pas chaste, sans être coup
partir de cet âge, d'après lui, l'homme commence surtout à attirer la femme ), amour qui, sexuel ou non dans ses manifestation
: partout où cette sympathie physiologique n'est pas entravée par les femmes et les prêtres, la civilisation fait du progrès.
ésar fut appelé par ses soldats, formant Bithgniœ, mœcliam caltam, la femme de tous les maris, il fut aussi appelé le mari de
la femme de tous les maris, il fut aussi appelé le mari de toutes les femmes . Ce ne fut donc pas un inverti, pas plus que îiér
il perdit son cher Antinous et il le pleura avec la sensibilité d'une femme (muliebriter flevit). Les opinions sur Antinous s
ique que produit, surtout dans la jeunesse, l'atmosphère de certaines femmes et que la € volupté ressaisit même dans les vêtem
ations de la bouche, des aisselles et autres parties « du corps de la femme qu'ils caressent. » (2) Le physiologiste Longet
loin de vouloir pratiquer, c'était le coït réservé. Comme toutes les femmes j'avais mon petit tempérament et à partir du jour
ans tonte la première période de sa vie, elle nous apparaît comme une femme d'une énergie, d'une intelligence, d'une supérior
on du mal parmi les Malaisiens par ce fait, qu'on trouve rarement une femme au dessus deloans qui ne souffre, plus on moins,d
tah ». La maladie peut commencer à tout age, même dans l'enfance. Les femmes en souffrent plus que les hommes. Les Malaisiens
poussés par la suggestion à des actes criminels. Il s'agissait d'une femme qui était malade du ¦ Latah » depuis la mort d'un
salle. A l'aide de coussins et de draps, on imita les contours d'une femme adulte emmitouflée dans son lit. On fit venir alo
ubitement on lui suggéra d'une voix impérieuse et forte de tuer cette femme et de lui voler ses bijoux. Le commandement fut e
nte : elle a peux* de le devenir. Dès lors elle se met à observer les femmes enceintes et h chercher sur leur figure une expre
heure, lorsque je traversais la conr, les gamins criaient : voilà une femme enceinte ; tout le monde parle de moi et me montr
einte ». — « Dites moi, docteur, reprend-elle, est-il possible que la femme puisse oublier l'acte lui-même et qu'il soit cepe
vade » et qui sont affligés de vomissements incoercibles dès que leur femme présume qu'elle est enceinte. M. Jules Voisrx.
isent tout de même, qu'il y faut la participation d'un homme et d'une femme . Certains s'imaginent alors qu'il suffit d'un seu
S La crampe des écrivains (1) par M. le Professeur Raymond. Une femme adulte essaie d'écrire : elle ne peut pas. Un tre
doigts. Il tombe. Impossible de le reprendre, de tracer nn mot. Cette femme est atteinte d'un spasme fonctionnel avec tremble
appe que les personnes qui écrivent beaucoup. C'est une erreur. Cette femme écrivait fort peu. H n'est pas toujours nécessair
re confiance aux malades, leur certifier la guérison. Montrer à cette femme que la calligraphie importe peu, qu'il lui suffit
France, U a reprie son habitude, s'est marié, et depuis 1891, mari et femme ont fumé l'opium tons les jours (10 grammes d'ext
rs (10 grammes d'extrait tontes les semaines). Le mari est calme ; la femme commence à délirer, a des terreurs constantes. En
des terreurs constantes. En fumant l'opium, le mari fume du tabac, la femme boit du vin. M. Anglade croît cependant que le dé
ndant que le délire toxique est dû à l'opium, qui a développé chez la femme un délire dont avait déjà souffert la mère de la
trait d'opium français, différent de l'opium indo-chlnols. Quant a la femme ,elle a du délire terrifiant, or le délire de l'op
chologie. (Suite) m. L'Olfaction comparée chez l'homme et chez la femme . Chez les animaux, les sensations olfactives et
ait une différence entre l'acuité olfactive de l'homme et celle de la femme . Brillât-Savarin, auquel on doit tant d'ingénie
développée. S'il en est ainsi, on peut en inférer à priori, que la femme est moins bien douée que l'homme au point de vue
r k la délicatesse féminine on n'a jamais eu l'idée de recourir à des femmes . Si le terme de dégustateur est fréquemment emp
ine gourmète. » C'est un fait bien connu quo la grande majorité des femmes n'apprécie que très faiblement le bouquet des vin
se guidant par l'odorat. Des expériences faites sur 44 hommes et 38 femmes de toutes les conditions, il ressort que les homm
s, il ressort que les hommes ont un odorat deux fois plus fin que les femmes . L'essence de citron dissoute dans l'eau fut perç
dans l'eau fut perçue par les hommes à une solution de -—^ ; par les femmes dans une solution deux fois plus forte. De même p
olume d'eau vingt mille fois supérieur, n'était plus senti par aucune femme , pendant que presque tous les hommes le sentaient
ieur. Les auteurs précités* en tiraient la conclusion que le goût des femmes pour les odeurs fortes semblerait venir de ce fai
oroni, daus le laboratoire de Lombroso, sur l'odorat et le goût de 15 femmes et de 20 hommes, ont donné des résultats plus con
20 hommes, ont donné des résultats plus concluants : Odorat Hommes. Femmes . Sensation générale : Solution a l'huile de gir
00 Sensation quantitative fine...... 75 0/0 52.8 0/0 Gout Hommes. Femmes . Doux : Solution de saccharine au. . . . 1/7450
a finesse de l'odorat, sont plus développées chez l'homme que chez la femme . Je dois le reconnaître, mes observations perso
par exemple, distinguent très facilement les odeurs personnelles dos femmes de leur connaissance. Par contre, beaucoup de f
rsonnelles dos femmes de leur connaissance. Par contre, beaucoup de femmes avouent spontanément qu'elles n'ont qu'un odorat
s artificiels, au milieu desquels dominait la naphtaline. Cette jolie femme , si bien avantagée à d'autres points de vue physi
était presque complètement dépourvue d'odorat. S'il arrive que les femmes soient mal partagées au point de vue de l'olfacti
men de plusieurs centaines d'hommes et d'un nombre à peu près égal de femmes , dont les conditions d'existence sont normales, n
at et du goût, les hommes étaient sensiblement plus favorisés que les femmes . H nous a également démontré que les altérations
la naphtaline et de colle du camphre l'aversion la plus marquée, les femmes s'accommodent nu contraire de ces odeurs nauséabo
l pratique le malthusianisme. Sans cesse, il surveille la santé de sa femme , k l'affût du moindre de ses malaises et y voyant
, à force de ruses et d'ingéniosité, il parvient à faire prendre à sa femme , sous des noms déguisés toutes les drogues qu'on
émédiable, il n'aura plus qu'à se suicider En faisant ses adieux à sa femme , il est persuadé qu'il la voit pour la dernière f
raphe demander non pas son avis, mais un traitement énergique pour sa femme et pour lui. Le spécialiste ne tarde pas k se r
ce : c'est une véritable délivrance pour lui-même — ainsi qne pour sa femme à qui il va cesser de faire ingurgiter force prép
vier 1864. TJ y avait environ 150 homosexuels, la plupart déguisés en femme . Les cercles et clubs homosexuels typiques n'ex
suprême des faibles et des vaincus : chez l'homme et surtout chez la femme , elle est souvent la suite d'une émotion violente
on. Ordre du jour : M. Féridouu Bey : L'évolution pacifique de la femme musulmane. M. Uheyd Oullah : Le role social du
que tout le monde peut vérifier. On serait tenté de recommander aux femmes la lecture du Cœur humain. L'auteur, en effet, le
ervé une jeune dame qui distinguait à l'odeur seule les hommes et les femmes ; elle ne pouvait supporter de sentir les draps d
oi? Mes jambes s'endorment *, et elles tombaient en hypnose, etc. Une femme qui avait été traitée par moi dix ans auparavant
us parlons, il y a place pour des réunions particulières d'hommes, de femmes et d'enfants dans des dépendances dn temple. Les
seule, parait insuffisante. On leur inculque des idées modernes. Les femmes , de leur côté, forment des groupes d'assistance s
indigestions et des irrégularités dans la menstruation chez certaines femmes . Je vous parlerai seulement de deux cas en déta
le eut une aménorrhée complète. C'est un fait bien connu que quelques femmes du nord n'ont plus d'époques régulières dans un c
idicule qui entoure cette exploitation du sentiment religieux par une femme habile et rapace. CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE
ent propres, sentent très fort pour notre odorat. Je ne parle pas des femmes japonaises : leur odeur naturelle est masquée par
mme. Sagesse, Vertu, Vanité. Action. Vie, Jeunesse, Vieillesse, Mort, Femmes , Amour, Amitié, Argent, Education, Commandement,
e blepharospasms guéri par la métallothérapie ; Voix de tête chez une femme , à la suite d'un tranwatisme ; Anorexique guérie
pnotisme sous un aspect particulièrement nouveau. La malade est une femme d'environ 55 ans. Elle se présente à moi : elle p
servations cliniques nous ont déjà révélé plusieurs cas célèbres, des femmes de négociants en vins et en spiritueux, vivant da
ucation interrompue. Le cas que je vous présente aujourd'hui, cette femme qui pleurait, parce quelle ne pouvait passer de l
uante anecdote suivante, racontée avec humeur par L. Schiller » : Une femme qui n'était ni jeuue, ni belle, (1) V ; Revue d
it s'y habituer ; ils ne sentent plus l'odeur des hommes et celle des femmes leur provoque des idées voluptueuses. Tel est é
imbeau, au cours de voyages à Ceylan et à Madagascar, a interrogé des femmes hindoues et des femmes howas au sujet des impress
ages à Ceylan et à Madagascar, a interrogé des femmes hindoues et des femmes howas au sujet des impressions que leur causaient
es soins de propreté. Cela est sou\-ent loin d'être exact. Il y a des femmes , en particulier, qui sans prendre de soins partic
livier, sous la forme suivante : « C'est une grande perfection en une femme quand elle ne sent ni bon ni mauvais. » Le Dr R
basse Californie, sur le bord de la mer Vermeille, a pu faire sur les femmes de ce pays quelques constatations qui ne manquent
quelques constatations qui ne manquent pas d'intérêt. Tandis que les femmes de la tribu des Yaquis restent des sauvages, cell
sitions à goûter les avantages de la civilisation. Or, tandis que les femmes Moyos, dont la peau est moins rouge, dont les tra
les eaux du Rio-Yaqui exhalent une odeur génitale assez accusée, les femmes Yaquis, beaucoup plus primitives, qui ne se laven
hien crevé* dans le qnarrler de Transtévere. iù\ Que demandes-tu. ? femme digne d'etre accouplée avec les plus noirs élépha
maris se plaindre de n'éprouver aucune attraction a l'égard de leurs femmes . La cause en était due, disaient-ils, à ce qu'ell
est comme figée. Son ventre est énorme et ressemble à celui d'une femme enceinte. Au palper, il donne l'impression d'une
avoir-vivre » tiennent le haut pavé et supplantent même leur « sœur » femme . Vers l'âge de 15 ou 16 ans, « Elles » sont * l
ment épilés : ils doivent en un mot ressembler le plus possible à une femme , dont ils feront fonction plus tard, ou du moins
est très rare que le Chinois se livre à la sodomie avec une véritable femme ; d'où cela provient-il ? Mais,je le répète,cet
'ils avaient parqué dans des camps plus de 80.000 hommes, sans aucune femme , avec interdiction absolue de sortir du camp, gar
ère —. superficielle ou profonde, aussi bien chez l'homme que chez la femme , c'est-à-dire localisée à l'extrémité de la verge
sion pour le malade ; c'est ainsi qu'en 1907, donnant mes soins à une femme très honorable de 70 ans environ, je reçus d'elle
es élèves ne vont qu'individuellement à la représentation du Gid. des Femmes Savantes, et autres pièces du programme, sur le c
ud : bombillas et gourdes a maté du Paraguay, étoffes tissées par des femmes de la Bolivie, etc. Le médecin du ?.'-tru- Mi'-né
tresse de lu volonté qui n'ait son action sur la pupille : souvent la femme en couches laisse dilater ses pupilles aux derniè
ien et sceptique, précèdent et indiquent les chutes passionnelles des femmes , Observation SX — J'ai observé à Lourdes, duran
5 (1895) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 08] : clinique des maladies du système nerveux
'agit d'un cas de paralysie bilatérale du type Duchenne Erb, chez une femme sur laquelle on pratiquait une ovariotomie. Cet
b, chez une femme sur laquelle on pratiquait une ovariotomie. Cette femme resta pendant plus d'une heure le bassin élevé,
... x La fusion des formes corporelles de l'homme avec celles de la femme chez un même personnage n'est pas rare dans les
ge nou- velle participant de la nature de l'homme et de celle de la femme . Ils auraient composé un organisme nouveau en c
elles propres au sexe féminin. Tel autre pourvu des attributs de la femme , semblera par ses traits, sa musculature, sa pi
mme à seins développés, présentant les apparences du féminisme, une femme a barbe, une virago, ne sont pas des hermaphrod
éprises sur leur sexualité véritable. Telles sont, par exemple, les femmes chez les- quelles le clitoris volumineux prend
es, la nature a fourni le modèle, l'artiste l'a idéalisé. Une tête de femme , un torse d'athlète se divinisèrent sous le cis
n jour sous les yeux d'un artiste de talent, et où les formes de la femme se trouvaient harmonieusement confondues avec cel
s. , Au-dessus d'elle, quelques poils rares, disposés comme chez la femme au-dessus du mont de Vénus sans remonter le lon
voit la dépression lombaire inférieure, la seule constante chez la femme ; la supérieure n'est pas visible. 62 ' NOUVELLE
petits pas, d'une allure hésitante et serrant les genoux comme une femme . Cependant il ne souffre plus de son membre opé
s'est allongé. C'est le visage d'un adulte, mais c'est celui d'une femme plutôt que celui d'un homme. Enfin la disposi
e, coquetterie. En définitive, de corps et d'esprit, Angelo est une femme , dont l'appa- reil sexuel est remplacé par des
xagéré les caractères sexuels primordiaux. Tantôt c'est un corps de femme d'un beau modèle. Les courbes des cuis- ses, de
s du corps tiennent à la fois de celles de l'homme, de celles de la femme et de celles de l'enfant. Les hanches sont fortes
RE . .. A première vue, vous pouvez lire sur la figure de cette femme les traces des violentes souffrances qu'elle a
ceps crural provoque également des douleurs. Il existe chez cette femme d'autres troubles de la sensibilité qui, en l'e
nsemble des troubles de la sensibilité que nous relevons chez cette femme peut se résumer dans ces quelques mots : anesthés
* s . 1 En poursuivant l'examen des membres inférieurs de cette femme , nous allons mettre en évidence des troubles tr
t, selon moi, à l'intoxication chronique par la morphine dont cette femme est la victime. Enfin, quand j'aurai attiré v
ielles,. l'évolution de l'alfection dont souffre actuellement cette femme , et nous' serons en état d'établir le diagnosti
tum, le scrotum et la verge, la vulve et les grandes lèvres chez la femme , le pour- tour de l'anus dans les deux sexes, a
s des fonctions génitales, ils ne sont pas aussi constants. Chez la femme , ils passent habituellement inaperçus, pour des
e est circonscrite au pénis, au scrotum (aux grandes lèvres chez la femme ), à la région fessière, à la partie postérieure d
on très évidente survenue depuis quelques mois dans l'état de cette femme . Le traitement qui, dans ce cas particulier, a
Ces gonflements sont douloureux et d'autant plus incommodes que les femmes en sont toujours alarmées ; l'air trop di- laté
e sont spécialement occupés des maladies du sein. « Quelques jeunes femmes , dit-il (1), sont sujettes à une affection du s
les distinguer aussi de toute espèce de tumeur se montrant chez des femmes qui ne sont aucunement prédis- posées à l'hysté
. C'est ainsi que Brodie et Whyte signalent ce fait que beaucoup de femmes avaient, dans leur entourage, des personnes att
e souvent les phénomènes que nous allons décrire, existent chez des femmes dont les règles sont douloureuses et qui présen
que les médecins n'ont que rarement l'oc- casion de l'observer, les femmes qui en souffrent se rendant presque toutes dans
chez les hystériques, et il est bien certain que presque toutes les femmes , chez qui on rencontre le symptôme mastodynie,
é, dit-il, un cas remarquable de cette forme de mastodynie chez une femme qui avait subi une double ablation des annexes po
e l'a noté Le Clerc (1). Angelo Cianciosi (2) a observé une jeune femme hystérique atteinte d'angine de poitrine dont l
tourmentent » (1). Le 9 août 1 î31, elle s'adresse à une vertueuse femme de Nanterre, la charge de dire pour elle une ne
er de la terre prise auprès du sépulcre. Le lendemain 10, la pieuse femme se rend à Saint-Mèdard... « Le soir du lendem
opathiques d'origine réflexe, Th. Lyon, 1892, p. 56) relative à une femme de soixante-deux ans, il existait également de
l n'a pas davantage conscience de l'éjaculalion, à tel point qne sa femme doit le prévenir que l'éjaculalion a eu lieu. E
lisée nettement il la verge, au scrotum (aux grandes lèvres chez la femme ), au périnée, à la marge de l'anus, à la région
echercher méthodiquement cette déformation chez l'enfant et chez la femme sur laquelle nous l'avons également constatée plu
cembre dernier entrait à l'hôpital Saint-Louis, sallellenri IV, une femme de 23 ans, présentant sur la partie gauche du cor
sonnages seulement anime)1L cel intérieur un peu froid : /unë jeune femme , la,nialadcr et un homme entre deux'ages,' le 'mé
osition très simple se dégage un charme infini. La pose de la jeune femme est pleine d'abandon el de nonchalance. Son vis
, à n'en pas douter, un urologue éminent; comme celui qui soigne la Femme hydropique de Gérard Dou. Il pince les lèvres,
igneux de sa personne. Cependant son âge lui donne accès auprès des femmes jeunes et belles, et il recueille leurs confessio
he à la muraille un tableau représentant des Centaures enlevant des femmes nues, ou encore, dans les fonds, il laisse entrev
ière. Presque toutes sont considérées comme représentant des jeunes femmes atteintes du « mal d'amour ». Par comparaison
retourne d'un air maussade vers l'expulsé. A sa droite, une vieille femme se penche pour lui parler; ses 3 eux enfoncés s
- tels que l'homme qui se retourne brus- quement et sa voisine, la femme aveugle, -- qui portent des vêlements très vulg
phiques post-paroxystiques de l'épi- lepsié. INFANTILISME CHEZ LA FEMME par HENRY MEIGE. Le terme d'Infantilisme a
iques. L'An- thropologie, 1895, ne 3 et seq. INFANTILISME CHEZ LA FEMME 219 complète de la morphologie des infantiles e
il est plus facile- ment reconnaissable. Il existe aussi chez la femme . Une définition de l'Infantilisme est nécessair
exuels secondaires qui appar- tiendront en propre à l'homme ou à la femme sont chez lui confondus et restent longtemps mé
ix se renforce un peu ; puis les seins deviennent proémi- nents. La femme , dit-on, s'est formée. , Ainsi s'effectue norma
n'est plus la même. Le féminin participe à la fois des formes de la femme et de celles de l'homme, ou plus exactement de ce
OTOTYPE NEi. HNfP,. M.r.1l F P.010C.L BERTHAUD INFANTILISME CHEZ LA FEMME L BATTAILLE FT C" Éditeurs INFANTILISME CHE
E CHEZ LA FEMME L BATTAILLE FT C" Éditeurs INFANTILISME CHEZ LA FEMME 221 Membres potelés, effilés de la racine aux e
antilisme. Le cas suivant est un bel exemple d'Infantilisme chez la femme . La photographie qui l'accompagne (Pl. XXXVIII)
révèle chez elle la transformation sexuelle qui aurait dû la rendre femme . (1) BIIISSAUIJ, Leçons sur les maladies nerveu
t égal à celui des épaules. Le sujet est maigre; mais même chez les femmes maigres, le tissu adipeux des fesses et des fla
nfantile dont elle a aussi l'état psychique. L'infantilisme chez la femme n'est pas aussi connu que l'infantilisme chez l
tes et les arriérées. Le myxoedème tardif entraîne en outre chez la femme une série de modifications qui semblent faire s
écédente montre que l'infantilisme peut exister isolé- ment chez la femme , comme on l'observe chez l'homme, en dehors d'au-
Ici encore le corps conserve les attributs de l'enfance. L'infantile femme reste une grande fillette à laquelle la puberté
le torse reste cylindrique, les hanches ne su- INFANTILISME CHEZ LA FEMME 223 bissent qu'un faible élargissement et l'éch
me n'est pas la seule anomalie morphologique qui s'observe cliez la femme à la suite des malformations génitales. Au fémi
Au féminisme qui apparaît chez le jeune homme, correspond chez la femme une anomalie morphologique inverse, à laquelle on
loppés. Les poils envahissent tout le corps, jusqu'au visage. Les femmes à barbe sont des exemples de virilisme plus ou mo
troubles du développement tels que le gigantisme ou l'obésité. La femme à barbe des fêtes foraines est .souvent en même t
La femme à barbe des fêtes foraines est .souvent en même temps une femme géante ou une femme colosse.. Mais ici encore i
s fêtes foraines est .souvent en même temps une femme géante ou une femme colosse.. Mais ici encore il importe de distrai
s. Le virilisme est un syndrome morphologique qui s'observe chez la femme pourvue de ses attributs sexuels primordiaux, n
notablement réduits. , * .. L'étude de ces anomalies cllez la femme aussi bien que chez l'homme a un double intérêt
t quelques poils, dont beaucoup sont gris et disposés comme chez la femme . Taille : 1»,59. Poids : Wi kilos. (1) Les in
trouvent les fossettes qu'on observe d'ordinaire seulement chez la femme . Les membres inférieurs ainsi que les supérieur
la masse principale et simule assez bien les organes génitaux de la femme . L'illusion serait sans doute plus complète si
irer les sujets de leurs tableaux. Un buveur attablé, une vieille femme en prières, un boulanger, un fripier, les clien
ne peut contester l'exactitude du titre du tableau de (1 ) La Jeune femme malade, ii- 31g, et la Visite du Médecin, n 3f.
) LES OPÉRATIONS SUR LA TÊTE 231 Gérard Dou, au musée du Louvre, la Femme hydropique : la tuméfaction du ventre et de la
la main gauche de l'opérateur dans un plat que soutient une vieille femme , tandis que, de la main droite, le prestidigitate
une tumeur semblable déposée sur un parchemin. Au dernier plan, une femme à capuche blanche se lamente et essuie ses larm
de mots amphigouriques, et c'est ce qui inquiète si fort la pauvre femme , au point qu'elle ne peut retenir ses larmes, car
lpel, fait une incision sur la tète d'un vieillard. Un homme et une femme ridiculement accoutrés assistent à l'o- pératio
front d'un patient assis sur un fauteuil. A sa droite, une vieille femme maintient la tèle de l'opéré, une jeune fille a
re par une aide qui l'immo- bilise dans ses deux mains. C'est une femme âgée, à la figure compatissante, qui connaît sa c
se blesse dans un mouvement inopportun. Derrière elle, une jeune femme an visage très doux, coiffée également d'une co
t un soldat, il est certain que ce dernier personnage n'est pas une femme . Les traits du visage sont gros et durs, les clj
ouvait échapper à l'observation des artistes. En général, c'est une femme au coeur sensible qui ne peut rete- nir ses lar
en plein vent sont disposés sur une table, à gauche devant la jeune femme qui porte un bol d'étain. On y voit un grand pa
ualités remarqua- bles de cette peinture, les belles tôles des deux femmes , la figure si inté- ressante du chirurgien, et.
s : un jeune enfant qui s'avance soutenu par sa mère et une vieille femme paralysée de tout un côté du corps. Ils représe
ique est sans intérêt médical. LES OPÉRATIONS SUR LA TÊTE 261 Une femme à demi cachée regarde curieusement derrière le ri
oite du dessin, une autre opération. Cette fois, le patient est une femme sérieusement emmaillottée et bien fixée il son fa
tout simple qui, en outre, a l'avantage de ne pas exposer la pauvre femme à la vue de son sang et de celui des autres opé
ierres de dimensions fort respectables. Quel soulagement pour cette femme quand son bandeau relire, elle pourra voir les tr
sur le dossier de son siège. Par terre, auprès de lui, une vieille femme tout à fait grotesque est assise dans un grand
252, 1895. CONTRIBUTION A LA NATURE HYSTERIQUE DE LA TÉTANIE DES FEMMES ENCEINTES par GILLES DE LA TOURETTE ET BOLOGN
TTE ET BOLOGNESI. Nous avons eu récemment l'occasion d'observer une femme dont l'his- toire clinique est susceptible croy
ns-nous de jeter un certain jour sur les rapports de la tétanie des femmes enceintes avec l'hystérie. Mais, avant d'ex- po
erons remarquer, en outre, qu'en décrivant les attaques de la jeune femme qui fait le sujet de sa première observation, Dan
de V Hôtel-Dieu, t. IV, p. 209. NATURE HYSTÉRIQUE DE LA TÉTANIE DES FEMMES ENCEINTES 279 d'hystérie. Or, si l'on se report
n stomacale, Th. Paris, 1892. NATURE HYSTÉRIQUE DE LA TÉTANIE DES FEMMES ENCEINTES 281 intoxications, à t'ergotisme par
rcot, aucun sujet atteint de tétanie non hystérique, si ce n'est la femme de 30 ans dont l'ohservation a été recueillie p
s acci- dents convulsifs pouvant faire penser à la tétanie chez une femme enceinte. Elle entra à l'hôpital Cochin, salle
moderne, 11 avril 1894, p. 457. NATURE HYSTÉRIQUE DE LA TÉTANIE DES FEMMES ENCEINTES 2R'; Elle a eu 5 enfants. Il lui en r
1<kRHnUI·. ACCIDENTS TETANIQUES D'ORIGINE HYSTERIQUE Chez une femme enceinte. L. BATTAILLE ET C" NATURE HYSTÉRIQU
enceinte. L. BATTAILLE ET C" NATURE HYSTÉRIQUE DE LA TÉTANIE DES FEMMES ENCEINTES ' · 28ü quand on la touchait pour ess
ois jours après, avec le diagnostic de . crises tétaniques chez une femme enceinte de 7 mois ayant déjà eu 5 accouche- me
feste. Abolition du goût. ' ' NATURE HYSTÉRIQUE DE LA TÉTANIE DES FEMMES ENCEINTES 287 Ouie. Diminution de l'acuité audi
ale : ' Vous, habitants dé Mallegem, soyez bien d'accord : , Moi, femme sorcière, je désire être aimée de vous, Nouv. I
nq pratiques viennent acheter quelque pommade merveilleuse : quatre femmes enveloppées de mantes avec des cornettes grotes
client bien malade : il ne peut même plus marcher. Un homme et une femme le transportent à grand'peine, il pousse des hu
it, tête basse, flairant son pied difforme ; il est conduit par une femme à cornette qui montre du doigt son front, réclama
intervention de l'opérateur. Au milieu de la gravure se tient la « femme sorcière », personnage im- portant, un peu écra
ourire rusé laisse entendre qu'elle connaît tous les tours. Cette femme a-t-elle existé réellement, ou n'est-ce là qu'une
aisie de P. Bruegel ? Je ne sais. Ce qui est certain, c'est que les femmes pre- naient une part active aux opérations char
ns le tableau de van IIemessen. Chez le Doyen de Ronse, une vieille femme à tête de sor- cière, fait chauffer quelque méd
uegel n'est donc pas une invraisemblance et celui-ci a pu voir la « femme sorcière » de Mallegem exerçant son lu- cratif
ée de travers, il a vraiment le masque de la paralysie faciale. Une femme arrive, juchée sur les épaules d'un homme, hurlan
n plus de pratiques, toutes pour la nouvelle venue. - Une vieille femme assise à côté de ce pauvre homme lui tient des pr
e pour leur plus grand profit. Ils nous apprennent en- core que les femmes ne répugnaient pas à exercer elles-mêmes cette lu
inte et de longues moustaches relevées en crocs. L'opérée c'est une femme a le costume d'une petite bourgeoise : bonnet H
ès courte, il fait sur le front une incision. La douleur est vive, la femme LES OPÉRATIONS SUR LA TÊIE 299 pousse un cri
orporations qui rivalisent avec ceux de van der IIelst. Sa première femme Anneke Iiarmens mourut en 16-16. L'année suivante
à gauche de la compo- sition : l'opérateur, l'opéré et une vieille femme qui fait l'office d'.un aide : Le chirurgien es
plutôt l'oreille aux propos de son aide. Celle-ci est une vieille femme , horriblement bossue, la tête entourée d'un lin
res personnages occupent la droite du tableau. 1 Au fond, une jeune femme assise sur un banc, la gorge demi-nue, un fichu
oise les mains comme pour demander grâce. Derrière eux, une vieille femme regarde, debout, une coiffe blanche sur la tête
sur une table. Par une porte entr'ouverte, on aperçoit une vieille femme assise et un autre personnage, avec un fond de pa
de Mallegem qui déplore dans sa boutique déserte le succès de la « femme sorcière », ce praticien rustique n'a pas hésit
it; il séjourna quelque temps à Leyde, puis à Ilaarlem où mourut sa femme . ' , Jan Steen revint à Leyde vers 1670 - il ro
de la Pinacothèque de Munich (1), La Visite du médecin et la Jeune femme malade du musée de La Haye (2), La Malade du mu
hablement aussi le n° 1380, intitulé Le couple buvant, où une jeune femme semble avaler avec peine une médecine sous les ye
it un geste explicatif. Derrière lui, on opère déjà. Et c'est une femme qui opère : une vieille, au visage crevassé de fo
t encore d'une main sou verre et de l'autre un broc d'étain. 1,L la femme interpelle le charlatan : Opérez donc celui-ci
ns surtout qu'une partie de la besogne opératoire est confiée à une femme , et même que, dans ce document, c'est elle qui pa
parotidienne où est pratiquée l'opération. En arrière une vieille femme , coiffée de blanc, s'apitoie sur les souffran-
compose de cinq per- sonnages : le médecin, son client, une vieille femme qui aide à l'opéra- tion, et deux jeunes gens q
voyait celles-ci s'accumuler dans le bassin d'étain que la vieille femme met juste à portée de ses yeux. El les pierres
de rire. Un autre, dont on ne voit que la tête derrière la vieille femme , rit aussi joyeusement. Et ils ne sont pas les
is. Un gros homme accoudé rit en fumant sa pipe; deux autres et une femme qui se pressent derrière lui partagent l'hilarité
i n'en sont plus dupes, fait présager son prochain discrédit. Les femmes elles-mêmes opéraient les « pierres de tête ».
ipeuse sous-cutanée plus épaisse chez 011... que chez notre vieille femme . Sur cette malade, il faut encore, au point de
es traces en restent à la région fessière, point d'élection chez la femme pour l'accumulation de la graisse. En cet endroit
ntration au niveau de la ligne blanche, - accident fréquent chez la femme qui a eu de nombreux enfants (celle-ci en a eu
planches plus que singulières consacrées aux organes génitaux de la femme , folios CCXXY, CCXXVI et la planche du folio CC
sme antique (deux cas), par HENRY Meige, 56. Infantilisme chez la femme , par Henry Neige, 218. Infantilisme et fémini
- ger de Carpi, par A. CHIPAULT et E. DALEINE, 372. Tétanie des femmes enceintes (naturehys- térique), par Gilles DE l
BLE DES AUTEURS BOLoGNrsi et Gilles DE la TOURETTE. Té- tanie des femmes enceintes (nature hys- térique), 277. BRERO (
y). Deux cas d'hermaphro- disme antique, 56. Infantilisme chez la femme , 218. Les- peintres de la médecine (Samuel Va
Hermaphrodisme antique, X, XI, XII et XIII. Infantilisme chez la femme , XXXVIII. Infantilisme et féminisme chez un épi
ein hystérique (miracle de la demoiselle Coirin), XV. Tétanie des femmes enceintes (nature hystérique), XLIV et XLV. Z
6 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome second
ogique des principales variétés de ces fractures. Chez les vieilles femmes , en effet, surtout chez celles qu'un état habitue
é ailleurs [Essai sur Vanat. pathol., tom. i, p. 194) l'exemple d'une femme âgée de 5o ans, qui n'avait fait aucune chute pré
u fémur gauche, deux ou trois à presque toutes les côtes : chez cette femme , tous les os du squelette étaient fragiles, léger
très considérable, dont la source était dans les os fracturés. I^a femme Haussard, âgée de 85 ans, tomba de sa hauteur sur
paux et deux esquilles. Cette fracture avait eu lieu chez une vieille femme qui était (i) Il est excessivement rare de voir
sur le corps du fémur m'a paru presque identiquement le même chez la femme et chez l'homme, chez les sujets jeunes et chez l
l du fémur avec rotation en dedans. Réunion par cicatrice fibreuse. Femme Mausoin, âgée de 73 ans, indigente de la Salpêtri
sement; car voilà les deux causes principales de la mort des vieilles femmes , la pneumonie surtout. Aussitôt que survient un
' représentent une fracture du col du fémur observée chez une vieille femme delà Salpé-trière qui mourut ^4 jours après la fr
union du col avec la téte. — Décollement du repli fibro-synovial. Femme Leroy, âgée de 72 ans, a été portée salle St.-Luc
fragmens.— Décollement du repli fibro-synovial ( fig. 2 et 2' ). Femme Mathieu, 82 ans, le 5 mai 1836, chute sur le gran
confirme pleinement le fait précédent. Dans ce cas, observé chez une femme adulte, indépendamment de la capsule fibreuse de
une luxation du fémur en haut et en dehors observée chez une vieille femme de la Salpêtrière sur laquelle je n'ai recueilli
s de l'articulation nouvelle. Le sujet de cette observation est une femme âgée de la Salpêtrière qui a succombé à un ramoll
eau, et par le sentiment continuel de frisson accusé par la malade. Femme Lacroix, âgée de 68 ans, marchande des quatre sai
ai remarquer, à cette occasion, que les hernies inguinales chez les femmes sont beaucoup plus fréquentes qu'on ne le croit c
eprésentées planche i , xxxive livraison, appartenaient à une vieille femme de la Salpêtrière, qui mourut d'une maladie étran
ent des phalanges consécutif à une maladie articulaire. Plusieurs des femmes qui présentaient ces altérations avaient été soum
d'aucune cause occasionnelle appréciable, accusaient la goutte. Les femmes sont-elles sujettes à la goutte? J'ai donné des s
sujettes à la goutte? J'ai donné des soins à un assez grand nombre de femmes qui éprouvaient à l'articulation métacarpo-phalan
des articulations ; mais jamais je n'ai eu occasion de voir chez les femmes , ni sur le vivant, ni à l'ouverture du corps, ces
uvent bien difficile à établir. Ainsi à la Salpêtrière, sur plusieurs femmes paralysées du membre supérieur depuis leur enfanc
chez l'homme, les ovaires et quelquefois un utérus imparfait chez la femme ; mais les canaux déférens vont se rendre dans le
ndre dans le rectum: il en est de même des trompes de Fallope chez la femme . Le vagin manque chez la femme comme la verge che
de même des trompes de Fallope chez la femme. Le vagin manque chez la femme comme la verge chez l'homme. Le colon est plus
ts dans les premiers mois de leur naissance. Les occupations de cette femme consistent à avoir soin de son ménage. Nuls accid
rvation suivante appartient à cette dernière catégorie. Une vieille femme de la Salpétrière, âgée de 84 ans, fut prise sans
outes ses périodes pendant la vie de la malade. Voici le fait : Une femme de 5o ans environ présentait tous les signes phys
ir affaire à un cas de parotide suppurée idiopathique chez la vieille femme de 84 ans dont j'ai parlé au commencement de cet
fit porter inutilement pendant cinq mois une sonde œsophagienne à une femme affectée de rétrécissement de l'œsophage. Dans ce
'objet de figures et de descriptions particulières. Ainsi, chez une femme âgée, morte infiltrée, et sur laquelle je n'ai eu
plies par du sang étaient à bords rosés et à fond grisâtre. Sur une femme morte avec deux cancers mammaires, et qui, le jou
nt cette manière de voir. On m'a remis un estomac appartenant à une femme phthisique, âgée de 68 ans, qui n'avait disait-on
nonçait que toutes étaient en voie d'accroissement. Enfin, chez une femme de 5o ans, morte de phthisie pulmonaire avec dévo
j'en ai trouvé dernièrement une douzaine dans l'estomac d'une vieille femme de la Salpêtrière, morte de pneumonie, et qui n'a
ions hémorrhagiquës. La figure i représente l'estomac d'une vieille femme de la Salpétrière, morte d'une maladie chronique
absence de toute dégénération cancéreuse de ce viscère. J'ai vu une femme grosse qui rendait des mucosités noires de suie t
n hémorrhagique de l'estomac que j'eusse observé: il a pour sujet une femme âgée de soixante-cinq ans environ, destinée à nos
s, — Rate infiltrée de pus concrète. Marie-Jeanne Delley, /j.8 ans, femme de ménage, ayant eu 5 enfans dont le dernier avai
toine. — Tumeur formée par les membranes de V œuf renversées. Une femme d'une trentaine d'années entra à la Maternité, da
membrane caduque. J'ai observé un cas tout-à-fait semblable chez une femme qui mourut d'hémorrhagie par suite de la rupture
e péritonéale. — Mort au bout de dix-huit ans. « Madeleine Regnaud, femme Martin, âgée de quarante-six ans et neuf mois, d'
ant pris des informations près des païens sur les antécédens de cette femme , ils nous donnèrent les renseignemens suivans:
nt, elle fut prise de douleurs tout-à-fait semblables à celles qu'une femme éprouve quand elle est en mal d'enfant; cependant
e très aiguës, qui cédèrent en partie aux caïmans et aux bains. Cette femme ne sentit plus alors les mouvemens de son enfant,
du fœtus encroûté de phosphate calcaire et momifié y observé chez une femme de soixante-dix-sept ans, morte quarante-sept ans
que le déplacement du rectum a lieu sans déplacement du vagin chez la femme , de même qu'il a lieu sans déplacement de la vess
chute du rectum, les adhérences de cet intestin avec le vagin chez la femme , et avec la vessie chez l'homme, doivent céder; c
t céder; cependant j'ai noté, dans un cas de chute du rectum chez une femme adulte, que le renversement commençait au-dessus
, et d'une autre part, sur toute la face postérieure du vagin chez la femme et sur tout le bas-fond de la vessie chez l'homme
s résistant que les parties voisines; et cet autre fait, que chez les femmes qui ont eu beaucoup d'enfans, on trouve la cicatr
Sa situation varie d'ailleurs suivant les sujets et surtout chez les femmes dont les parois abdominales ont été distendues pa
deventration sous-ombilicale plus remarquable que celui d'une vieille femme de la Salpêtrière, qui portait dans cette région
nales à laide d'un tissu cellulaire séreux extrêmement délié. Cette femme étant morte d'une maladie tout-à-fait étrangère à
emens delà ligne blanche sont quelquefois si grands, surtout chez les femmes , que toute la « partie extérieure du ventre , dep
lir cette comparaison de la manière la moins équivoque : à côté de la femme qui portait à la région sous-ombilicale une évent
à la région sous-ombilicale une éventration conoïde, était une autre femme qui portait à l'ombilic une tumeur conoïde non mo
ple si remarquable ne soit pas plus fréquente. J'ai conseillé à celte femme un suspensoir qui sera soutenu par des bretelles
lorsque j'étais interne de la salle des opérés sous Dupuytren. Une femme d'un âge avancé est apportée mourante à l'Hôtel-D
présenté planches v etvi, xxivc livraison (i), m'a été fourni par une femme de la Salpêtrière, d'une soixantaine d'années, co
soixantaine d'années, couchée dans la division des incurables : cette femme se montrait par curiosité, moyennant une petite r
petite rétribution, et demandait à tout venant si on voulait voir une femme dont les boyaux étaient sortis de son ventre; une
e les violences extérieures sans la contenir en aucune manière. Cette femme disait qu'elle avait été opérée dans le temps à l
la partie inférieure du même anneau: je ferai remarquer que, chez les femmes qui ont eu beaucoup d'enfans, l'ouraque et les ar
appendice vermiculaire. — Perforation de son extrémité libre. Une femme de la Salpétrière, âgée de 5o à 60 ans , apparten
es, semblables à du sang décomposé, brûlé, suivant l'expression de la femme du malade. Les 22, 23, 24, mêmes symptômes, qu'
r par l'anus. Il voulut absolument savoir ce que c'était, et força sa femme , qui ne s'en souciait guère, à mettre à part cett
du passage de trois noyaux de cerises dans la cavité du péritoine. Femme Richer, âgée de 58 ans, entra le 3 juillet i835 (
r. Voici ce fait : Ayant pratiqué la ponction du thorax à une vieille femme qui était menacée de suffocation par suite d'un é
de m'assurer de la chose; mais un examen attentif me démontra que la femme en question avait une tumeur enkystée de l'ovaire
ble de fois cette coloration sur la muqueuse intestinale des vieilles femmes de la Salpêtrière. Il aurait été fort curieux de
édecin à la Maternité, j'ai eu occasion de voir sur les corps de deux femmes mortes de péritonite puerpérale très aiguë, des c
cérations noir ardoisé. Le sujet de cette observation est une vieille femme de 81 ans, qui fut prise de dévoiement simple d'a
ation chronique; ainsi, on trouve très communément, chez nos vieilles femmes de la Salpêtrière, le sommet du poumon converti e
reneuses. Le gros intestin, représenté planche v, appartenait à une femme âgée de 28 ans, domestique, d'une très forte cons
éral, insistance qui est d'ailleurs commune à toutes les maladies des femmes en couche, même les plus graves; il en est qui de
; mais seul, il constitue quelquefois une très grave maladie'chez les femmes en couches. J'ai assez de faits pour être en mesu
es plus rapidement mortelles, étaient celles qui survenaient chez les femmes épuisées par des hémorrhagies abondantes. Bien
efois pour des plaques gangreneuses. J'ai donné des soins à une jeune femme qui fut prise, au terme de sa grossesse, de coliq
un dévoiement séreux, muqueux, avec ou sans épreintes. Chez quelques femmes , les approches de l'époque du flux menstruel déte
2 et 2' représentent la partie inférieure de l'intestin rectum d'une femme dont l'anus était entouré de végétations molles T
Explication de la figure 3. La fig. 3 représente le rectum d'une femme de la Salpêtrière qui fut admise dans cet hôpital
vait lieu constamment par l'anus ; la douleur n'était pas vive. Cette femme mourut d'une maladie étrangère à l'affection du r
les de dégénération. Ordinairement primitif, il est souvent, chez les femmes , consécutif au cancer de l'utérus ou plutôt du va
rus ou plutôt du vagin. — J'ai vu plusieurs fois à la Salpêtrière des femmes chez lesquelles l'utérus était parfaitement sain,
ancer de cet organe. — Mort avec les symptômes de l'étranglement. Femme Roger, âgée de 44 ans, admise à la Salpêtrière so
sister. Pour commémora tifs, je recueillis que 12 ans auparavant la femme Roger avait éprouvé une maladie syphilitique cons
'intestin rectum, d'une autre part avec la peau qui entoure l'anus. Femme Queulen, 46 ans, réglée à 18, mère à 19, ayant eu
ère m'a donné sur ce point une grande expérience. Il est des vieilles femmes qui ont une rétention de matières fécales et qui,
jours d'accidens de rétention. Je me rappellerai toujours une vieille femme qui, au dire des infirmières, allait régulièremen
e et tellement rétréci à ce niveau, que l'introduction d'une sonde de femme était presque impossible. J'ai examiné la pièce
des désordres qui peuvent accompagner cette inflammation chronique. Femme Moronval, 4*2 ans, mère de deux enfans, est entré
stin.— Incontinence des matières. — Mort par phthisie pulmonaire. Femme Gruson (Victoire), âgée de 34- ans, était à la Sa
de l'infirmerie : elle est morte phthisique le 4 décembre 1838. Cette femme me dit avoir été opérée d'un cancer au rectum, et
ssement au rectum, de dévoiement et de renversement du vagin. Une femme , âgée de 5o ans, entra à l'Hôtel-Dieu, le io juil
abord, cherchant à rencontrer le trajet fistuleux avec une algalie de femme , il vit qu'il existait encore , entre deux orific
reux et ayant fourni une quantité considérable de pus, une algalie de femme fut introduite dans l'ouverture du cautère, et pa
de la partie inférieure du rectum, qui a été observé chez une vieille femme , et qui offre cette particularité, que la matière
ion de volume. Je donne mes soins depuis plusieurs années à une jeune femme dont la rate énorme se concilie avec l'état de sa
extrêmement considérable qu'elle avait auparavant. Jamais cette jeune femme n'a éprouvé de fièvre intermittente : elle est do
us remarquables faits de diagnostic qui existent dans la science. Une femme vint le consulter pour une amygdale gauche très v
tous les cas d'infection cancéreuse : ainsi j'ai rarement ouvert des femmes mortes à la suite de cancers mammaires opérés ou
n séjour à la Salpétrière, ayant rencontré sur le corps d'une vieille femme , morte de toute autre maladie, un foie à la surfa
modes de guérison des kystes acéphalocystes. 3° Sur le corps d'une femme âgée de la Salpêtrière, morte de toute autre mala
s périodes. Le foie représenté pl. v, xxme livr., appartenait à une femme qui a SLiccombé par suite d'un cancer mammaire :
premier abord avoir sous les yeux de véritables abcès du foie. Une femme affectée de cancer utérin succomba dans le marasm
ativement au développement du foie, il est fréquent de voir, chez les femmes qui ont fait usage decorsets fortement serrés, le
est dans les radicules biliaires et tout autour de ces radicules. Femme Godet (Louise), /|5 ans, domestique, entre à l'hô
me, formé aux dépens de la moitié gauche du corps thyroïde. — Sur une femme âgée delà Salpêtrière , la tumeur avait le volume
épaisseur et de la densité des parois de ce kyste. Chez une vieille femme , qui portait un goitre latéral droit très considé
z quelques sujets juqu'au niveau de l'os hyoïde. Voici le fait. Une femme , âgée de 82 ans, entra à l'infirmerie de la Salpê
une pneumonie œdémateuse, à laquelle elle succomba, le 17 mai. Cette femme portait à la partie latérale droite du col une tu
si que M. Landouzy a présenté à la Société anatomique le larynx d'une femme qui avait succombé à une métro-péritonite, sans a
N, PLANCHE II.) L'altération représentée figure i appartenait à une femme de la Maternité, morte en i83/, pendant l'épidémi
et les détails qui l'accompagnent, à M. le docteur Laferrière. Une femme de la campagne était sujette, depuis plusieurs mo
être dans le vrai, en affirmant que les cinq sixièmes de nos vieilles femmes de la Salpétrière meurent de pneumonie. Quand v
viennent les froids humides modérés du mois de décembre, nos vieilles femmes sont prises de catarrhes plus ou moins aigus, ave
étrière la pneumonie sévir et disparaître avec le froid. Les vieilles femmes résistent a un froid de vingt-quatre, de quarante
pice qu'on appelle Saint-Leon et le Bâtiment. Je voulus savoir si les femmes de cette division se trouvaient dans des conditio
t le Bâtiment comprennent une population de six cents personnes : les femmes passent la journée dans des ateliers, et la nuit
est, les regards fixés sur certaines pneumonies latentes des vieilles femmes de la Salpêtrière, que Pinel a fait son chapitre
adhérentes dans les veines iliaques primitives a leur division. Une femme qui a succombé après l'accouchement (je ne sais p
égard, je répondrais par le fait suivant, qui a pour sujet une jeune femme âgée de trente-six ans, sur laquelle j'avais prat
ssiforme, à surface rugueuse et adhérente au kyste. Chez les vieilles femmes de la Salpêtrière, il n'est pas rare de voir de p
l'obstacle apporté à la circulation veineuse. L'œdème douloureux des femmes en couches présente des variétés. Lorsque la phlé
tée, cette phlébite, qui n'est autre chose que l'œdème douloureux des femmes en couches, se termine en général d'une manière h
cin à Marseille (2), a fait de Xœdème des membres inférieurs chez les femmes affectées de cancer de l utérus, le sujet de sa d
ous mes yeux, il conclut que l'œdème des membres inférieurs, chez les femmes affectées de cancer de l'utérus, est occasioné le
eurs pour toutes les phlébites. explication des figures. Chez une femme affectée de cancer utérin, qui mourut avec un œdè
membre inférieur. —Phlébite. J'avais constaté, pendant la vie d'une femme envoyée à la Salpêtrière comme atteinte de cancer
livraison. Ce dernier fait a également été recueilli sur une vieille femme de la Salpêtrière. J'ignore si le membre transfor
résentent les veines iliaques externes, fémorales et saphènes , d'une femme de la Salpêtrière, morte par suite d'une phlébite
ite capillaire hémorrhagique de la peau du pied et de la jambe. Cette femme n'appartenait pas à mon service. Son corps était
antécédens d'autres rensei-gnemens, sinon qu'on avait considéré cette femme comme affectée de gangrène sénile. On m'a même as
rons ensuite à les interpréter. Rien de plus commun chez les vieilles femmes de la Salpêtrière, que de voir la peau des jambes
a peauy du tissu cellulaire et des muscles de la jambe. Une vieille femme entra dans mes salles en mars i836, pour des plaq
bio-tarsienne. —¦ Epanchement de sang sous le périoste. Une vieille femme est entrée, en novembre i83y, salle Saint-Luc, av
rès dense le séparait de la surface de l'os. Troisième observation. Femme Lemaire, 84 ans, est entrée le 10 juin i835, pour
: c'est une question qui est bien loin d'être résolue. Le scorbut des femmes âgées me parait n'être autre chose qu'une phlébit
mme affectée de cancer des parois adossées du rectum et du vagin. Femme Potet, 58 ans, entre à la Salpêtrière sous le tit
iie livraison. 1 deuxième observation.— Gangrène spontanée chez une femme de 81 ans.— Oblitération complète des artères tib
berté de la tibiale antérieure. — Caillots récens dans la poplitée. Femme Fabri, 81 ans, était affectée depuis 18 mois d'un
cas présenté à la Société anatomique par M. Cazalis. Chez une vieille femme morte par gangrène sénile, il y avait oblitératio
uelques jours d'interruption, je trouvai, salle St.-Antoine n. 3, une femme âgée de 78 ans qui était affectée de gangrène spo
éflexions. — Ce cas présente un exemple de gangrène survenue chez une femme affectée de pneumonie. Je possède plusieurs exemp
pneumonie que celui d'une simple coïncidence. J'ai vu chez une jeune femme une gangrène spontanée de la totalité du membre i
'ai rencontré dernièrement dans les artères iliaques primitives d'une femme de 80 ans ce dernier mode de cicatrisation. La ci
servé avec beaucoup de soin, compléterait la démonstration. (2) Une femme de la Salpêtrière éprouve un crachement de sang:
exercé à déterminer l'origine des maladies du cœur chez les vieilles femmes : or, le catarrhe chronique, l'asthme catarrhal m'
ur du ventricule gauche. Le cœur représenté fig. i appartient à une femme de la Salpêtrière sur laquelle je n ai aucun rens
ur.-—¦ Fragilité et coloration jaunâtre du tissu de cet organe. Une femme de la Salpêtrière, âgée de 75 ans environ, d'une
étendue.—Travail inflammatoire probable au sommet du cœur. (\) Une femme de la Salpêtrière meurt subitement. On rapporte q
circonscrite du cœur et l'anévrysme faux partiel : i° Sur une vieille femme de la Salpêtrière, à cœur petit, nous avons trouv
représenté sur cette planche, fig. i et i, a appartenu à une vieille femme de quatre-vingt-six ans, qui mourut subitement.
té, d'une constitution athlétique, qui mourut subitement à côté de sa femme ; genre de mort, dit Bohn, tellement rare, qu'à pe
euillet dans la cavité du péricarde, au niveau de l'oreillette. Une femme de la Salpêtrière, âgée de soixante ans environ,
it également quatre observations de rupture du cœur appartenant à des femmes septuagénaires : de ces faits il concluait que, d
sur lui-même, si bien que sur le corps de presque toutes nos vieilles femmes , le ventricule gauche est presque toujours resser
gaux, mais toujours revêtus par la membrane interne. Deuxième fait.— Femme de cinquante ans, asthmatique depuis trois ans, o
ugeur inégale de la surface interne de l'estomac. Troisieme fait. - Femme Beau vais, soixante-deux ans, entre à l'infirmeri
trouvé des masses cancéreuses dans le foie et dans les poumons d'une femme morte de cancer utérin, je vis quatre ou cinq gan
n'est autre chose que la pneumonie œdémateuse, et voici comment: Les femmes âgées qui peuplent cet hôpital continuent à reste
général de la myolilité. — Mort dans un état d'adynamie. ( i ) Une femme de 55 à 60 ans mourut, en 181/1, à l'Hôtel-Dieu,
oclwr. — Flexion permanente avec rigidité des membres inférieurs. Femme Douart, âgée de 5o ans, brunisseuse sur porcelain
e de la Salpétrière, en remplacement de M. Rostan. Je trouvai cette femme dans l'état suivant : jambes fortement fléchies e
tuelles. Voici d'ailleurs les commémoratifs : il y a six ans, cette femme a été renversée en arrière par un timon de voitur
e j'ai rapporté dans l'une des premières livraisons de cet ouvrage. Femme Moureau , 75 ans, fit, le i5 mars 1834, une chute
rs foyers rénaux purulens dans le tissu cellulaire sous-péiitonéal. Femme Plessi, couturière, 47 ans, réglée à l'âge de onz
bien souvent de voir admises comme paraplégiques dans mes salles, des femmes âgées qui n'avaient autre chose qu'une rigidité d
des circonvolutions. —Ramollissement récent. — Eschare au sacrum. Femme de 85 ans, couchée salle Saint-Luc, n° i : supina
d'ailleurs conservé toute l'intelligence qu'on pouvait attendre d'une femme de son âge: elle exécutait toute sorte de mouveme
encore subi la transformation graisseuse si commune chez les vieilles femmes , à la suite d'une immobilité long-temps continuée
seul que j'aie observé. Voici quelques autres faits analogues. Une femme paraplégique incomplètement et du sentiment et du
de la paraplégie. Un grand nombre de paraplégiques ont été , comme la femme Meurice , exposés au froid et à l'humidité , tour
es des douleurs rhumatismales. Indépendamment de la paraplégie, cette femme est extrêmement oppressée et dans l'état qu'on dé
ransformation gris-jaunâtre des cordons postérieurs de la moelle. Femme Cherpin, 52 ans, paraplégique depuis quinze mois,
uvement. Il y a en ce moment, dans mon service de la Salpétrière, une femme âgée de cinquante ans environ, qui est entièremen
mbres ont conservé toute la délicatesse du sentiment. Chez cette même femme , la bouche n'est pas sensiblement déviée; mais la
lète de paraplégie dans un cas où tout semblait l'indiquer. Une jeune femme , qui, par suite de gastrite chronique, et aussi p
st le cas que j'ai rapporté et figuré, xxve livraison, planche iv. La femme Lacroix était hémiplégique du côté droit; mais l'
en descendant l'escalier. Il y a quelques jours, on nous apporta une femme hémiplégique, qui fut frappée d'apoplexie au mome
alysie à la suite de douleurs des épaules.—Péritonite tuberculeuse. Femme Vogel, 56 ans, d'une assez grande maigreur, est a
égie droite avec impossibilité d'articuler les sonsy observé chez une femme de 45 ans (la maladie avait un an d'ancienneté),
aient donné à ce fait la plus grande attention. Deux jours après, une femme affectée de cancer de l'utérus, étant tombée tout
parties du corps d'une maladie cancéreuse ou tuberculeuse. Ainsi, une femme de la Salpêtrière, affectée de cancer de l'utérus
préservant nullement des lésions aiguës du cerveau, on conçoit qu'une femme cancéreuse puisse être prise d'hémorrhagie cérébr
cerveau. C'est ce que j'ai eu occasion d'observer tout récemment. Une femme , affectée de cancer de l'utérus, avait depuis qui
e ans. Cependant j'ai eu occasion d'observer des tubercules chez Line femme âgée de soixante-cinq ans environ, affectée d'une
vociférations continuelles exprimant la colère la plus vive. Cette femme , que j'ai suivie pendant dix mois, dépérit peu-à-
de l'intelligence. — Articulation des sons absolument impossible. Femme de 55 ans environ, couchée salle Saint-Gabriel, o
moire ne lui faisait pas faux bond, ce qui lui arrivait souvent. La femme dont l'observation précède offrait le maximum de
nt. — Destruction presque complète de la corne occipitale gauche. Femme Gambier, 73 ans, salle Saint-Luc, n° 1 (division
de cicatricules miliaires.— Cicatrice brunâtre de la protubérance. Femme Demousseau, 63 ans, sur l'état antérieur duquel j
rs miliaires disséminés, je l'ai rencontrée presque toujours chez les femmes de la division dite des Gâteuses, dont l'intellig
lables granulations dans la moelle épinière,et cela chez nos vieilles femmes ,affaiblies du sentiment, du mouvement et de l'int
dant que je faisais dessiner le cerveau représenté fig. i,une vieille femme de la Salpétrière mourut dans un état comateux, v
elle appartenait à la division dite des Gâteuses, où sont réunies des femmes âgées, dont l'infirmité est le résultat ordinaire
ure-mère. — Ecchymoses superficielles du cerveau- Rosalie Catois, femme Chiberlan, cuisinière, 23 ans,accouche naturellem
oyantes de même que des apoplexies par foyers. En voici un exemple. Femme Farge, âgée de 69 ans, était entrée à la Salpétri
le fait représenté fig. 3, 3', 3" et 3"', sur le corps d'une vieille femme de la Salpétrière, qui n'avait offert, pendant sa
riforme de la dure-mère sans symptômes cliniques correspondans. Une femme de la Salpétrière mourut d'une pneumonie. La veil
renseignement sur le sujet de cette observation qui était une vieille femme de la Salpétrière. La tumeur, qui pesait cent q
ie cérébrale ordinaire. L'observation suivante, qui a pour sujet la femme à laquelle a appartenu le cervelet représenté fig
érébraux, occupant la même région. — Mort par engouement du poumon. Femme Bode,âgéede cinquante-six ans, est entrée à la Sa
eux et des cicatrices qui les suivent. La figure i appartient à une femme hémiplégique, qui entra dans mon service avec tou
. Destruction â-peu-près complète de cette portion inférieure. .. . Femme Palliard, j5 ans, gâteuse, couchée salle Saint-Mi
u-près également de l'intelligence, du sentiment et du mouvement. Ces femmes ont le cerveau labouré par des cicatrices, soit c
gurées pl. m, xxive livr. Cette production cornée appartenait à une femme de 83 ans, qui portait en même temps plusieurs lo
on qui avait été d'ailleurs pratiquée récemment, avec succès, sur une femme de Tournay, laquelle portait une espèce de corne
eurs dans la portion de peau qui lui servait de support. Cette pauvre femme avait coupé elle-même sa corne à diverses reprise
face et le crâne. Plusieurs faits que j'ai observés chez les vieilles femmes de la Salpêtrière m'ont donné la clef de ce phéno
a partie interne des cuisses ont été fournies pour la plupart par des femmes du peuple très avancées en âge et (1) Voy. P. R
nées. Pendant que j'étais médecin du Bureau central des hôpitaux, une femme se présente à la consultation avec une aréole de
raison, et qui naissaient de l'avant-bras et de la main d'une vieille femme . — On classera dans la même catégorie une pièce d
sée Dupuytren, et qui représente les mains et les pieds d'une vieille femme couverts de productions cornées de grandeurs vari
er du sacrum. — Carie des vertèbres lombaires.—Foie gras. Une jeune femme d'une trentaine d'années entre à l'Hôtel-Dieu dan
ondre et suivre leur marche indépendante. Il y a quelques mois qu'une femme , affectée de cancer utérin, fut prise d'une pneum
a parfaitement guéri. Le cancer utérin n'a nullement été modifié. Nos femmes cancéreuses de la Salpétrière meurent assez souve
cas plus curieux encore que ceux qui les précèdent, c'est celui d'une femme de la Salpétrière, qui, affectée de cancer à la m
ie; rien n'est plus fréquent que de voir, au bas-fond de la vessie de femmes mortes de cancer utérin, une multitude de vésicul
sera frappé de la similitude qui existe entre ce fait et celui de la femme Laberthe. Je suis donc fondé à admettre, qu'il y
kyste purulent multiloculaire, je me contenterai de dire que, chez la femme Laberthe, cette transformation paraissait subordo
, à chaque instant, du trop-plein du liquide, je placerai celui d'une femme de la Salpétrière, qui est venue quatre fois au m
s i et 3. Les fig. s et 3 représentent deux reins appartenant à une femme âgée de la Salpétrière: ces reins occupaient les
ccasion d'observer nombre de fois à la Salpétrière, chez les vieilles femmes , lesquelles sont beaucoup plus sujettes aux calcu
p plus sujettes aux calculs rénaux qu'on ne le croit généralement. La femme qui a fourni le sujet des figures i et 3, planche
in du côté sain suffit aux besoins de l'économie. L'observation de la femme Laberthe (Pl. m, xxxvi6 livr.) vient à l'appui de
xxxvr6 livraison , représente une phlébite rénale, observée chez une femme morte à la Maternité pendant une épidémie de typh
r mammaire sont aussi rares chez l'homme qu'ils sont fréquens chez la femme , différence sexuelle qui s'explique aisément par
ec son obligeance accoutumée. Le sujet de cette observation est une femme âgée de 48 ans, d'une forte constitution, encore
res de ces cancers lobuleux enkystés, c'est de se manifester chez des femmes jeunes et quelquefois à l'époque de la puberté; c
s, appartienne à l'âge critique ou mieux à la période de la vie de la femme , comprise entre trente et cinquante ans; cela est
résenta un cancer commençant du col utérin auquel elle a succombé. La femme qui fait le sujet de notre observation avait 83 a
trouver deux autres cas de cancer mammaire, développé, l'un chez une femme de 82 ans et l'autre chez une femme de 85 ans.
ammaire, développé, l'un chez une femme de 82 ans et l'autre chez une femme de 85 ans. J'ai désigné le cancer mammaire de l
tre chez une femme de 85 ans. J'ai désigné le cancer mammaire de la femme de 85 ans, sous le titre de Cancer chronique atro
le titre de Cancer chronique atrophique. D'après le rapport de cette femme , il existait depuis vingt ans et ne causait aucun
abondamment pourvue de sucs, peut se développer dans la mamelle d'une femme très âgée. Voici ce fait. Femme Nouvelle, âgée
se développer dans la mamelle d'une femme très âgée. Voici ce fait. Femme Nouvelle, âgée de 82 ans, portait à la mamelle ga
as de cancer aigu, avec surabondance de sucs observé chez une vieille femme , je mentionnerai ici celui d'une femme âgée de 5o
sucs observé chez une vieille femme, je mentionnerai ici celui d'une femme âgée de 5o ans environ qui nous a présenté tous l
senté tous les caractères d'un cancer mammaire dur, atrophique. Une femme de 5o ans environ portait à la mamelle gauche un
manifester ses effets qu'à la peau, je mentionnerai ici le fait d'une femme de 5g ans, couchée salle Ste-Marthe n° 5 (Salpêtr
ubjacens à la mamelle et dans les muscles environnans. Ainsi chez une femme delà Salpêtrière, qui avait subi l'extirpation
e du mode de formation de ces plaques cancéreuses de la plèvre. Une femme , âgée de 70 ans, ayant subi l'extirpation de la m
e. Les faits suivans suppléeront aux détails qui me manquent sur la femme qui fait le sujet de cette observation. Rien de
ires. Ainsi j'ai en ce moment, dans le service des incurables, quatre femmes affectées de double cancer mammaire. Chez quelque
ts de masses cancéreuses multiples des os du crâne survenues chez des femmes , dont les unes avaient subi et dont les autres n
ns convulsifs et l'hémiplégie survenue dans les derniers temps. (1) Femme Grosset, 49 ans, est admise, le 28 octobre i835,
ement, mais peut avoir influé sur la maladie puerpérale à laquelle la femme a succombé quelques jours après l'accouchement.
érus et annexes représentés pl. 1, xxive livraison, appartenait à une femme de la Salpêtrière, âgée de 78 ans, morte d'une ma
du mucus utérin s'observe très fréquemment à la Salpêtrière chez les femmes avancées en âge, indépendamment de toute autre ma
utérus régulièrement sphéroïde, qui égalait en volume l'utérus d'une femme parvenue au sixième mois de la grossesse. L'orifi
une tumeur rouge, molle, fluctuante. Cet utérus avait appartenu à une femme qu'on croyait enceinte de six mois et qui était m
ie, du vagin et de l'utérus: cette pièce anatomique appartenait à une femme de 5o ans environ, morte à la Sal-pêtrière dans l
— Représente la coupe verticale antéro-postérieure de l'utérus d'une femme morte à la Salpêtrière avec un écoulement d'une h
tissu de Vutérus. — Représente une altération très fréquente chez les femmes âgées de la Salpêtrière. Cette altération consist
coloré. L'altération, représentée figure 3, s'observe souvent sur des femmes qui n'ont éprouvé aucune perte de sang dans les d
Rien de plus fréquent que de rencontrer pour toute lésion chez les femmes réputées cancéreuses une gangrène humide du tissu
d'un grand nombre de lésions entièrement semblables. Ainsi, chez une femme de 43 ans, qui éprouvait des douleurs atroces, su
truction de l'utérus par couches successives. — Mort lente. Sur une femme réputée cancéreuse, qui mourut dans un dépérissem
érences. Gangrène primitive de l'utérus suivie de péritonite. Une femme de 5o ans est transférée d'un hôpital du centre à
urs à la partie interne des cuisses. Besoin de manger ; soif. Cette femme , qui appelait de ses vœux une fin prochaine, mais
genre que jai sous les yeux, et qui avait sans doute appartenu à une femme âgée, l'utérus (col et corps) est converti en une
profil et vus par leur surface externe , la vessie et l'utérus d'une femme morte avec tous les symptômes d'un cancer utérin.
coupe de l'utérus, de la vessie et du rectum appartenant à une autre femme morte également avec tous les symptômes du cancer
ue chose de positif à cet égard que, dans mes nombreuses autopsies de femmes mortes d'un cancer utérin, j'ai examiné avec soin
s vaisseaux lymphatiques qui s'y rendent immédiatement. Une vieille femme est apportée mourante à la Salpëtrière. Grand dép
production. explication des figures. Sur le cadavre d'une vieille femme de la Salpétrière , les élèves me montrèrent une
troitesse et la disposition circulaire de cet orifice, comme chez les femmes qui n'ont pas eu d'enfans, circonstance qui peut
rossesse, on cite l'observation de Sennert, dont voici le résumé. Une femme grosse, aidant son mari, tonnelier, à courber une
encore un cas rapporté par Fabrice de Hilden, et qui a pour sujet une femme enceinte pour la neuvième fois, qui remarqua à l'
fallait extraire l'enfant par une incision pratiquée sur l'utérus. La femme mourut le troisième jour, et l'enfant au bout de
endues, comme cela se voit dans l'état de grossesse, surtout chez les femmes qui ont eu beaucoup d'enfans, des parois abdomina
résumé des faits de Chopart et de Lallemant : Sur le cadavre d'une femme âgée d'environ cinquante ans, Chopart [Traitédes
ciété médicale d'émulation (3e année, page 3a3), le fait suivant: Une femme , blanchisseuse de profession, vit se former, à l'
sommet, qui répondait à l'anneau, conservait assez de mollesse. Cette femme étant morte d'une maladie de poitrine à lâge de s
lté de médecine de Paris, 1816 (t. 1 , p. 1), et qui a pour sujet une femme , âgée de quatre-vingt-deux ans, la tumeur existai
r, la présence du canal de Nuck et sa persistance, même chez quelques femmes avancées en âge, me paraissent expliquer en parti
e non-seulement la fréquence de la hernie inguinale ordinaire chez la femme , fréquence beaucoup plus grande qu'on ne croit co
Inflammation chronique de l'uretère et du rein du coté droit. Une femme d'une quarantaine d'années est apportée à l'hôpit
r un œdème douloureux, tout-à-fait semblable à l'œdème douloureux des femmes en couches, est presque toujours la conséquence d
ques faits qui établissent la vérité de cette proposition. i°Chez une femme morte à la Salpétrière, la dégénération du corps
eh bien! le col utérin était parfaitement sain. •2° Chez une autre femme de l[5 ans, morte subitement à la Salpétrière par
u'il détruit par couches successives, je citerai le fait suivant. Une femme , âgée de 5o ans, présentait tous les signes ratio
nce d'un fait d'extirpation du museau de tanche, pratiqué à une jeune femme qui mourut de spasme vingt-deux heures après l'op
itions où cette extirpation paraissait indiquée : i° Chez une jeune femme affectée d'hémorrhagie continuelle dont le museau
tte opération, croyait avoir affaire à un cancer. i° Chez une jeune femme , âgée de 18 ans, appartenant à une classe élevée
u de tanche, qui fut extirpée à Beaujon par M. Michon, chez une jeune femme de 26 ans. Cette végétation parfaitement circonsc
laire représentant assez bien la forme et l'aspect du placenta. Une femme de la Salpétrière, âgée de 60 ans environ, portai
rait tombé sur une des tumeurs : on choisit la ligne blanche. Cette femme fut ponctionnée huit fois, à des intervalles vari
ovaire gauche OG, tel que je le rencontrai sur le corps d'une vieille femme de la Salpétrière. Surpris de sa mollesse presque
distingué a accompagné son envoi : M. Jolly fut appelé auprès d'une femme en travail depuis 8 heures : c'était une troisièm
tête. C'était pour cette circonstance que la matrone qui assistait la femme réclama les soins de M. Jolly : — La face était e
ans toute leur longueur, se réunissaient sur le placenta lui-même. La femme allait parfaitement au moment où, M. Jolly m'adre
Salpétrière pour un de mes collègues , en juin i835, je remarquai une femme âgée de 5o ans environ, qui avait un commencement
ençante. — Cancer de Vépiploon.— Tubercules cancéreux du péritoine. Femme Chatenay, 77 ans, entra le 1e1 août i838,à l'infi
égère réaction fébrile. Pour commémoratifs, je recueillis que cette femme n'avait jamais été malade; que les symptômes abdo
it par voie d'absorption. 13° liv. pl. i, h, ni, p. 8 ACCOUCHÉE. La femme qui vient d'accoucher n'a échappé qu'à une partie
chirurgicale, 13e liv., pl. i, n, m, p. i.— Puissance d'infection des femmes en couches. 13e liv. pl. i, n, ni, p. 3. ACCOUC
iv., pl. i, n, m, iv, v, p. 'o. — Influence de l'accouchement sur les femmes atteintes du choléra. lke liv., pl. i, n, m, iv,
on des artères. Observations. Gangrène spontanée de la jambe chez une femme affectée de cancer des parois adossées du rectum
tum et du vagin. 27e liv., pl. v, p. i. — Gangrène spontanée chez une femme de 81 ans. Oblitération complète des artères tibi
onnes âgées ? = Cancer aigu avec surabondance de sucs sur une vieille femme .= Cancer dur atrophique chez une femme de 50 ans.
ndance de sucs sur une vieille femme.= Cancer dur atrophique chez une femme de 50 ans. 27e liv., pl. m, p. 3. —L'altération c
Guérison. 14e liv., pl. t, n, m, iv, v, p. 3.— Choléra moyen chez une femme grosse ; accouchement d'un enfant mort. Guérison.
iv., pl. i, n, m, iv, v, p. i5. — Choléra moyen très intense chez une femme débile; réaction; lutte pendant douze jours. Util
, n, ni, iv, v, p. 2/. — Choléra très grave, non asphyxique, chez une femme à terme, dont les eaux s'étaient écoulées. Evacua
NCOMBREMENT. Terribles effets de l'encombrement des hospices pour les femmes en couches. 13e liv., pl. 1, 11, ni, p. 3. ENDO
4- — Fœtus entouré de phosphate calcaire et momifié, observé chez une femme de kl ans , morte 18 ans après une grossesse extr
des artères. = Observations. Gangrène spontanée de la jambe chez une femme affectée de cancer des parois adossées du rectum
ctum et du vagin. 27e liv., pl. \,p. i. — Gangrène spontanée chez une femme de 81 ans. Oblitération complète des artères tibi
ales sur les gaslror-rhagies. 31e liv., pl. 1, p. 1 GÉNÉRATION. Les femmes à utérus bifide ou cloisonné sont aptes à la géné
de la goutte articulaire. 9e liv., pl. n, m, iv, v, vi, p. i. —Les femmes sont-elles sujettes à la goutte? 34e liv., pl. 1,
r le choléra. 14" liv., pl. 1, n, m, iv, v, p. 22. — Rhumatisme des femmes grosses. 17e liv., pl. m, p. 4. — Terminaisons di
HOSPICES. Terribles effets de l'encombrement des hospices pour les femmes en couches. 13e liv., pl. i, n, m, p. 3. — In-
r du pylore. 10e liv., pl. m, iv, p. 4. — De l'hydropisie aiguë des femmes en couche. 11e liv., pl. 1, 11, m, p. 18. — L'hyd
e. 32e liv., pl..i, n , p. i5. INFECTION. Puissance d'infeclion des femmes en couches. 13e liv., pl. i, n , m, p. 3. — Infec
. Guérison. 14eliv., pl. 1,11,m, iy,y,p. i3. — Choléra moyen chez une femme grosse, accouchement d'un enfant mort. Guérison.
liv., pl. 1, n, m, iv, y, p. 15. —Choléra moyen très intense chez une femme débile; réaction, lutte pendant douze jours ; uti
1, n, ni, iv, v, p. 21.—Choléra très grave, non asphyxique, chez une femme à terme dont les eaux s'étaient écoulées. Evacuat
be. 17e liv., pl. m , p. 5. — Gangrène spontanée de la jambe chez une femme affectée de cancer des parois adossées du rectum
ontenant un fœtus encroûté de phosphate calcaire et momifié, chez une femme de soixante-dix-sept ans, morte quarante-sept ans
pl. m, p. 2. — Cancer aigu avec surabondance de sucs sur une vieille femme . — Cancer dur, atrophique chez une femme de 50 an
ance de sucs sur une vieille femme. — Cancer dur, atrophique chez une femme de 50 ans. = La forme dure et atrophique du cance
tion. 5e liv., pl. n, p. 2.—L'œdème douloureux n'est point propre aux femmes accouchées. 11e liv., pl. 1,11, m, p. 18. — Confu
fusion fréquente du rhumatisme puerpéral et de l'œdème douloureux des femmes eu couches. 17cliv., pl. m, p. /. — L'œdème doulo
des femmes eu couches. 17cliv., pl. m, p. /. — L'œdème douloureux des femmes en couches n'est pas une maladie primitive. 17e l
ntenant un foetus encroûté de phosphate calcaire et momifié, chez une femme de 77 ans, morte 47 ans après une grossesse extra
6.— Fœtus entouré de phosphate calcaire et momifié, observé chez une femme de 47 ans, morte 18 ans après une grossesse extra
ent de la sclérotique. 39e liv., pl. v,p. 4-SCORBUT. Le scorbut des femmes âgées est une phlébite capillaire hémorrhagique.
7 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, 21 série, t. XVII. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE. Il s'agit d'une jeune femme de vingt-quatre ans, plumas- sière. Dans ses an
onditions de l'absti- nence chez les hommes, également que chez les femmes . En faveur de cette opinion on ne peut indiquer
Observation complète avec autopsie et examen histologique chez une femme de 50 ans. Etude extrêmement bien faite. Conclu
- trière, n° 3. 1902. Malformation par absence de péroné chez une femme dont l'as- cendance et la descendance ne présen
n° 11.) 64 revue D'ANATOMtE ET de physiologie pathologiques. Une femme de trente et un ans, bien portante jusqu'alors, e
e M. ALEXAN- , der (The Journal of Mental Science. Octobre 1902). Femme de trente-deux ans, anémique, sans constipation,
a dose de 20 grains (1 gr. 20). Dans ces dix cas il s'agissait de femmes et toutes ont été guéries plus ou moins rapidem
as d'amyotrophie progressive du type Charcot-Marie; le sujet, une femme de cinquante ans, après trente ans de maladie est
se manifestait en particulier par une crampe des écrivains ; cette femme présen- tait en même temps à droite le phénomèn
cuisine, et ne donnant plus signe de vie. Autour du cou, la pauvre femme avait un lien qui la serrait fortement et au-de
pendre (Progrès de l'Eure, 12 septembre 1903). Morte de faim. Une femme Com, âgée de trente-trois ans, dont le mari est
e trace de coups, mais l'examen de l'estomrc a établi que la pauvre femme était morte de faim. Depuis qu'elle était tombé
ses facultés (Progrès de l'Eure, 3 oct.) Kleptomane originale. Une femme d'une trentaine d'années, assez élégamment vêtu
pirite et les esprits lui avaient dit que Ragot était l'amant de sa femme . (Bonhomme Normand, 11 décem- bre). BULLETIN
ez méticuleuse à des recherches sur la parenté de 305 hommes et 286 femmes épi- leptiques (591 épileptiques) et il ne sign
pilepsie el des principales phases de. la vie géni- tale che : . la femme , puberté, menstruation, ménopause. / ? ! /i'ue ?
servations de Maréville, dont la population épileptique était de 63 femmes et 52 hommes, que ce sont les sujets qui présen
hez les trois autres malades de ce premier groupe, com- prenant les femmes du service à manifestations épileptiques les pl
le traitement médicamenteux ayant été abandonné avant 1897 et cette femme n'ayant que trente- quatre ans, ce cas permet d
psychiques ou attaques, sont plus accentués, plus graves, chez la femme par exemple, aux époques menstruelles; nous avo
que les accidents symptomatiques en soient plus intenses chez la femme à chaque époque menstruelle, cela est absolument
eorget, cité par M. Féré 1, avait remarqué déjà « que beaucoup de femmes étaient dans la période menstruelle lorsqu'elles
lière, c'est que l'épilepsie se manifeste plus bruyam- ment chez la femme à chaque époque menstruelle. Tout porte à croir
u'on ne leur avait pas connu antérieurement, et n'a-t-on pas vu des femmes enceintes âgées de plus de cinquante ans, appro
stance de la périodicité de certains troubles intellectuels chez la femme qui a passé l'âge critique, périodicité autrefo
au sujet de la mort du sieur R..., dont vous avez actuel- lement la femme en traitement. « Le dit R... est mort d'acciden
t à admettre la syphilis parmi les antécédents des deux malades. La femme n'a pu mener à bien aucune gros- sesse, fait d'
tion du mari a dû pré- céder le mariage de quelques années; chez la femme elle a dû être contemporaine des premiers rappo
Je vais vous endormir et je vous guérirai. » Si l'état mental d'une femme atteinte de monoplégie brachiale hys- térique c
cination de tout autre sens. La malade de M. Conolly Norman est une femme de soixante ans, ancienne domestique, de santé
Mentale de Belgique, 1903,. n° 108). Ces deux cas concernent deux femmes âgées l'une de cinquante- neuf ans, l'autre de
ans 4 759 aliénés hommes dont - 684 paralytiques et 2 331 aliénées femmes , dont 116 paralytiques. De 1890-1895 il est ent
dont 116 paralytiques. De 1890-1895 il est entré en tout, hommes et femmes , 2 84G aliénés quelconques; de 4896-1901, ont e
s années. De 1890 à 1895, il est entré 305 paralytiques hommes et femmes ; de 1896-1901, il en est entré 495, c'est-à-dire
ces douze années s'est élevé à un peu plus du double du chiffre des femmes ; le nombre des para- lytiques hommes pendant le
t de 14,4 pour la seconde : celte proportion en ce qui concerne les femmes est de 3,3 pour le premier sexennat, et de 6 p.
tente ; par M. Gilbert Ballet (Presse Médicale, 14 mai 1902). Une femme de cinquante-six ans se présente à la consultatio
brusque, guérison du jour au lendemain, n'existe guère que chez la femme . On peut retrouver dans ces deux affections la
de contradiction présentent des mouvements impulsifs, frappent les femmes . Les tentatives de suicide sont aussi rares dan
20 condamnations, 7 avaient été encourues pour vols de vêtements de femmes , vêtements le plus souvent sans valeur et qu'à
Pressé de questions, celui-ci finit par avouer que les vêtements de femmes , surtout lorsqu'il les lacérait, provoquaient c
t que la manie et trois fois plus rarement que la mé- lancolie. Les femmes y seraient plus exposées que les hommes : sur 8
dégénéré qui ne ressent aucun attrait pour les jeunes filles et les femmes jeunes, qui est au con- traire invinciblement a
emmes jeunes, qui est au con- traire invinciblement attiré vers les femmes âgées qui ont des che- veux gris. Il prétend n'
ts sont réguliers et beaux. Ni masochisme, ni fétichisme. Une jeune femme en perruque grise on à cheveux poudrés ne lui dit
tête, pollutions noc- turnes avec rêves voluptueux et apparition de femmes âgées con- nues ou inconnues. Ce jeune homme es
essaire pour rendre valable sa légitimation. A 16 ans (p. 1302), la femme peut contracter mariage. Le paragraphe 2.229
oque actuelle; 4° les hommes sont . sept fois plus atteints que les femmes ; 5° sa terminaison est fatale 160 ' REVUE DE PA
édico-légal de cette observation, qui est des plus instructives. La femme qui en fait l'objet aurait pu, en effet, demand
ItILLON présente un homme de quarante ans qui, depuis la mort de sa femme , survenue il y a dix-huit mois, présente un mut
de 40 à 50 p. 100, pour les hommes, et de 50 à 60 p. 100, pour les femmes . Morselli a voulu vérifier ces chiffres qui parai
ffres qui parais- sent un peu bien exagérés : sur 328 hommes et 280 femmes il n'a trouvé la tuberculose des père et mère q
ère que dans 39 cas (6, 7 p. 100 pour les hommes, 6 p. 100 pour les femmes ),qui se répar- tissent de la manière suivante :
trer dans une chambre où il trouva pendu le corps de la malheureuse femme . Le cadavre était encore rigide; une chaise ren
ant et l'avait ensuite repoussée pour se lancer dans le vide. Cette femme paraissait ne pas posséder toutes ses facultés
quarante-six ans, a été emmené chez lui, rue de l'Armedieu, par sa femme . (Le Petit Var, 23 août 1903.) - Pour cent so
est aussi la cause que la jeune Augustine Levillain. douze ans ; la femme Aubert et son garçon de onze ans, demeu- rant à
. Augustine Levillain et le jeune Aubert ont été acquittés, mais la femme Aubert a été condamnée à un mois de prison avec
hon, 44; Bourilhet. 43. Parmi les internes titulaires figurent deux femmes , Miles Pelletier et Pascal, celle-ci roumaine.
ssion de surveillance, conseillée par l'administration, a admis les femmes et les étrangers à concourir. Nous adressons no
ous a semblé utile de procéder à l'examen du fond de l'oeil chez la femme paralytique et dans un autre milieu que celui d
t quant à l'état ophthalmos- copique. Observation I. - Vauder..., femme S..., trente-sept ans, entrée le 8 juillet 1903
s papilles sont ab- solument normales. Observation II. - Hil'..., femme B..., 31 ans, entrée le 29 juil- let 1903. Exam
papilles sont tout à fait nor- males. Observation III. - Mail..., femme Trou..., trente-cinq ans, entrée le 3 juillet 1
pe les papilles ne présentent pas d'anomalie. Observation IV. K..., femme Laz..., trente-un ans; entrée le 5 juin 1903. E
ée ne parait pas d'une nuance de bon aloi. Observation VI. Il..., femme B..., trente-six ans, entrée le 29 mai 1903. Ex
externe en est rosé (imagé renversée). Observation VII. - in.... femme Gro..., 45 ans, entrée le 10 avril 1903. Dès so
les tire sur le blanc (image renversée). Observation VIII. Lo..., femme Gàt..., trente-huit ans, en- trée le 15 avril 1
de la papille droite un peu imprécis. ZD r Observation IX. Ri..., femme 13ou. , ., quarante ans; entrée le 8 août 1902.
ct normal, mais elles sont un peu pâles. Observation XI. - Fo..., femme Can..., quarante-deux ans; entrée le 15 avril 1
le de chaque côté (image renversée). Observation XIII. -Chantel..., femme Arn..., quarante et un ans; entrée le 9 mai 190
oit des deux côtés. Trois observations. Observation XIV. Schw..., femme Schw..., quarante-trois ans, entrée le 6 avril
egment inféro-interne (image renversée). Observation 1VI.- Lél...., femme Pi..., trente-neuf ans, en- trée le 17 septembr
ilatérales. Sept observations. Observation XVII. L'Az ? veuve P..., femme P..., quarante ans; entrée le 30 mars 1903. O
mal dessinée en même temps que pâlotte. Observation XIX.-Tav..., femme Pei..., soixante-trois ans,entrée le 24 avril 1
, bord externe (image renversée) imprécis. Observation XX. Pi..., femme Guy.... cinquante et un ans ; entrée le 14 août
irréguliers, est plus pâle qu'à droite. Observation XXI. Pet..., femme Leg..., cinquante-six anr,; i entrée le 6 avril
ont uniformément floues et pâlottes. , Observation XXII. Thép..., femme Can..., quarante-trois ans : entrée le 22 mai 1
isibilité aux diverses mises au point. Observation XXIII. - Dev..., femme Pr..., quarante-huit : ! ns; entrée le 1 avril
s ou d'un seul côté. Onze observations. Observation 1XIV. - Dal..., femme Meil..., trente-deux ans, entrée le 21 août 190
L'OEIL CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. 201 Observation XXV. Ros..., femme B ? trente-cinq ans, entrée le 13 mars 1903. A
d à ressembler à un pain à cacheter blanc. Observation \\VI. Cl..., femme Bu..., cinquante et un ans, entrée le 3 août 19
renversée) est dépourvu de netteté. , Observation XXV ! I.Werk..., femme Ga..., quarante-deux ans, entrée le 8 avril 190
atrophie blanche en voie d'évolution. te Observation XXVIII. Pi..., femme Ge..., trente-cinq ans, entrée le 27 novembre 1
bords imprécis, déchiquetés, polygonaux. Observation XXXI. Lar..., femme Ma..., quarante-cinq ans, entrée le 24 juillet
tant d'un flou qui tire sur le blanc. Observation XXXII. - From..., femme Dels..., trente-huit ans, entrée le 24 juillet
leur paraît plus accentuée à gauche. Observation 11YIII. - Rohr ? femme Gai..., trente ans, entrée le 15 novembre 1901.
bord inférieur en est im- précis. , OBSERVATION 11XIV. - Cloq..., femme Ed..., trente-huit ans, entrée 21 août 1903. En
ciation n'a pas de valeur en l'espèce. Observation XXXVI. - Gib..., femme Di..., quarante-six ans, entrée le 14 avril 190
ancienne, papilles floues et nuageuses. Observation XXXVIII. Br..., femme Ga..., trente-six ans, entrée le 24 avril 1903,
e postérieur étendu, surtout à gauche. OBSERVATION X1111. - Pav..., femme Lois..., trente-sept ans, entrée le 21 août 190
Nous croyons à une disposition normale. - Observation XLI. Thi..., femme Guil..., soixante-deux ans, entrée le 24 juille
La turgescence spéciale du corps thyroïde, qui se produit chez la femme et à la puberte et à l'occasion de chaque époqu
énopause, le volume des goitres augmente considérablement chez la femme , disent tous les auteurs; mais nous avons vu auss
ement de fréquence, dis- paraissent même. L'âge critique, chez la femme par exemple, n'accuse-t-il pas toujours une alt
ue d'épilepsie : une frayeur, à l'époque de la puberté, et, pour la femme et la jeune fille, le plus souvent alors que le
subintrants, état de mal. - Epilepsie grave plus fréquente chez la femme que chez l'homme ; causes de cette gravité et d
fonctionnelle de ces glandes soit accrue, comme cela arrive chez la femme aux époques menstruelles, les réactions du terr
recrudescence périodique des manifestations épileptiques chez la femme par l'hyperactivité fonctionnelle périodique de
les troubles gastro-intestinaux que l'on observe chez beau- coup de femmes aux époques menstruelles ? Voici ce qui me port
ïde et la plus grande impressionnabilité du système nerveux de la femme que l'on peut s'expliquer la plus grande fré- q
uer la plus grande fré- quence de l'épilepsie la plus grave chez la femme (état de mal plus rare chez l'homme), alors que
cette plus grande activité fonctionnelle du corps thyroïde de la femme qui est cause des réactions plus vives du système
EPSIE : PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 219 nerveux de la femme , quifait que, en tout temps (maladie ou santé),
veux de la femme, quifait que, en tout temps (maladie ou santé), la femme est plus impressionnable que l'homme ? Je suis
uis porté à le croire. En résumé, prenant toujours comme exemple la femme , chez laquelle les modifications du corps thyro
a simulation de l'épilepsie notammem). 1° Statistique relative à 63 femmes épileptiques : de ces 63 épilepti- ques, 26 tom
02, durant laquelle furent constatés 201 suicides (126 hommes et 75 femmes ), ce qui sur un chiffre approximatif de 788000
ntage de 0,0025 ou 2 5/8 p. 10000. Dans trente cas (17 hommes et 13 femmes ) l'acte a été commis avant l'admission. 16 fois
mes) l'acte a été commis avant l'admission. 16 fois (10 hommes et 6 femmes ) il a été commis après évasion, et vingt fois (
mes) il a été commis après évasion, et vingt fois (11 hommes et 9 femmes ) après une sortie d'essai. En déduisant ces chiff
sortie d'essai. En déduisant ces chiffres, il reste 88 hommes et 47 femmes qui se sont suicidés à l'asile, soit 135 malade
uicidés à l'asile, soit 135 malades. Sur ce chiffre 40 hommes et 32 femmes étaient signalés comme ayant des idées de suici
uicide, et il y avait eu négli- gence dans 51 cas (27 hommes et 24- femmes ). Dans 18 cas, z (10 hommes et 8 femmes) ces te
ns 51 cas (27 hommes et 24- femmes). Dans 18 cas, z (10 hommes et 8 femmes ) ces tendances étaient douteuses. La négligence
brachial suivi d'autopsie. M. TAYLOR rapporte le cas d'une vieille femme ayant présenté une névrite spontanée du plexus
s observations, et il est douloureux (Bessière) chez 26 malades. La femme est plus souvent alteinte de pseudo-oedème cata
é- nés et les établissements privés. Les couvents- d'hommes et de femmes ne peuvent plus recevoir d'aliénés. » C'est vra
que quatre asiles : Marcoutza à Boucarest, avec 500 lits hommes et femmes ; Golia à Jassy, avec 100 lits, femmes; Monastè
est, avec 500 lits hommes et femmes ; Golia à Jassy, avec 100 lits, femmes ; Monastère Neantzu, avec 100 lits hommes ; Mado
avec 100 lits hommes ; Madona-Dudu à Craïova avec 60 lits hommes et femmes . Comme établissement privé il n'y a que celui d
nd-père et leur père, mesuraient l'un et l'autra 1 m.3a. Leur mère, femme intelligente, a une taille de 1 m. tua. G. C.
t offrait des signes de dérangement céré- mais depuis la mort de sa femme , survenue le 18 décembre dernier, son état semb
, dans ma leçon d'aujourd'hui, étudier o,o 'VU" le cas d'une pauvre femme de cinquante ans, atteinte d'une affection qui,
rendent la marche impossible. C'est à ce moment que cette pauvre femme entra dans notre service, et, depuis son état a
devez retenir de cette énumération les faits suivants : Chez une femme sans autécédauts héréditaires et person- nels,
900, au mois de mai, entrait à la clinique Charcot, une malheureuse femme dans un état des plus précaires. Rien d'intér
ouchement, le moindre contact arrachent des plaintes à cette pauvre femme . La pression des masses musculaires et des poin
es que vous aviez tout à l'heure sous les yeux. Il s'agissait d'une femme de quarante-neuf ans, atteinte d'un squirrhe at
ue dans le service de M. le professeur Déjérine à la Salpêtrière. Femme de soixante-six ans, hospitalisée depuis treize a
. L'auteur a reçu dans son service d'hôpital à Beyrouth une jeune femme de vingt-quatre ans, présentant une atrophie musc
i d'au- cun phénomène subjectif. Ces symptômes montrent que cette femme syringomyélique est en même temps une lépreuse.
a remarqué que le corps thyroïde s'hypertrophie chez 80 p. 100 des femmes enceintes pour reprendre son volume avec la pue
s enceintes pour reprendre son volume avec la puerpuéralité. Or les femmes qui ne présentent pas cette hyper- trophie sont
donné des crises d'éclampsie. Heile a étudié récemment le cas d'une femme enceinte, ayant subi l'extirpation partielle de
insholz et Jeandelize rappor- tent l'intéressante observation d'une femme de dix-huit ans, myxoedémateuse qui, devenue en
opinion permet de penser qu'en cas de crises d'éclampsie, chez une femme enceinte ou en travail, surtout si le corps thy-
ique. La quatrième et la cinquième observation visent deux jeunes femmes , prédisposées par une hérédité cérébrale qui au c
E Musgrave-Clay. LVI. Douze cas de « Maladie de Korsakow » chez des femmes ; par John TURNER, (titre Journal of Mental Scie
M,l", TISSOT, interne à Villejuif, communique l'observation d'une femme de trente-trois ans, syphilisée à vingt ans et en
plégies anciennes avec contracture par lésion cérébrale et chez une femme atteinte de paraplégie spasmodique, les muscles
présente un homme de quarante-quatre ans qui, depuis la mort de sa femme , survenue il y a dix-huit mois, présente un mut
e malade a dû présenter de la confusion mentale après la mort de sa femme ; il est maintenant beaucoup moins con- fus et s
Meurtre non motive, commis par une épileptique : Hue<t're'e.Une femme de cinquante ans avait, à la suite d'une maladie
eau qui rappelle la sclérodermie. Le second cas se rapporte à une femme de soixante-cinq ans, alcoolique et tuberculeus
acentral gauche. D'après les renseignements recueillis auprès de la femme du malade, son mari avait reçu un coup de coute
ons manifestes d'ostéite ancienne. Les renseignements donnés par la femme du malade étaient donc vrais. M. Vallas interpr
al of Mental Science. Octobre 1903). Intéressante observation d'une femme atteinte de maladie de Graves chronique, chez l
l'épididyme, mort. Dans la troi- sième observation,*il s'agit d'une femme atteinte de mélancolie avec eczéma généralisé (
). Enfin le quatrième cas est un cas de mélancolie sénile, chez une femme , avec infiltration grais- seuse du coeur et ané
s sciences médicales de Lyon, 19 mars 1902). M. L. Dor présente une femme atteinte d'une tumeur cérébrale. Elle présentai
sommeil de dix-sept ans. M. Paul FAMz rapporte l'observation d'une femme âgée de qua- rante-quatre, laquelle, il y a que
aissent diminués : voici un an qu'il est interné et la privation de femme ne l'a jamais tourmenté ; le ma- lade trouve d'
e signature' pouvait avoir des con- séquences graves. L'idée que sa femme de ménage pouvait le quitter, que son concierge
sur elle et la mordit à plusieurs reprises au poignet'. La pau- ire femme en est morte. » Voici ce qu'il éclit après quel
te. » Voici ce qu'il éclit après quelques recherches : « Lapuuvre femme en est morte. 1't ¡liqnée au poignet par une vi
ilis il a été impossible de savoir s'il l'avait contractée, mais sa femme a eu une fausse couche de deux mois, et deux de s
blessé aux bourses eu remuant un fardeau ; depuis lors, d'après sa femme , il changea d'une façon notable de caractère. I
iturne, sombre, il médite toute la journée. Il écrit cependant à sa femme , et est même sensible aux réponses de cette der
ture dans la journée. Idées de persécution et de jalousie envers sa femme . A menacé de mort cette dernière à plusieurs re
tions terrifiantes de la vue, des idées de jalousie à l'égard de sa femme , quelques hallucinations de l'ouïe mais mal défin
nt et grossier dans ses propos. Un jour qu'on lui dit d'écrire à sa femme , il répond par des insultes et prétend que le m
n certain plaisir une lettre et des photographies que lui envoie sa femme . Mais il ne lui a jamais répondu, ni jamais écr
ndre en ordre et le 16 juin la malade fut transférée à l'asile pour femmes alcooliques d'où elle s'évada plus tard. Il par
mal- veillants à son adresse. Son voisin qui aurait déjà tué deux femmes , disait vouloir l'assassiner. En même temps elle
emps elle aurait entendu une violente dispute entre un homme et une femme , mais ne les voyant pas elle admit que la dispu
la fenêtre, d'où elle aurait vu un attroupement et en même temps la femme en question, toute couverte de sang, qui cherch
s spectateurs outrés de la lâcheté de cet individu qui frappait une femme et en même temps une voix « moutons chez l'autr
selles brisées, de ferrailles, etc., avec lesquelles on battait des femmes . On l'insul- tait, l'appelait « pute », et lui
erception sléréognostique. MM. DÉJERINE et CIIIRAY. Il s'agit d'une femme de quarante ans présentant depuis un an environ
tituée. Il y avait 278 cas de mélancolie en tout (102 hommes et 176 femmes ) et, en rapport à tout le nombre des malades ps
ue, cela fait 6, 23 p. 100; ce rapport, pris pour les hommes et les femmes à part, revient pour les premiers, 3, 65 p. 100 e
chez les hommes se rencontre trois fois plus rarement que chez les femmes . La prédisposition héréditaire, à un degré plus
ancolie revient chez les hommes pour l'âge de 21-30 ans et chez les femmes pour l'âge de 21-25 ans; le second accès chez les
accès chez les hommes le plus souvent survenait 1-5 ans et chez les femmes 10- 20 ans après le premier. Comme espèces de
n de cette maladie ; ce fait tient, à ce qu'il paraît, à ce que les femmes atteintes de paralysie générale, sont pour la p
r, la grossesse dans la, paralysie générale a été observée chez une femme de 22 ans, avec syphilis héréditaire probable e
dans la Clinique des maladies nerveuses de Moscou en 1892 chez une femme de 29 ans, avec paraplégie inférieure, troubles u
une période de douze ans, et se décomposant en 1693 hommes et 1752 femmes . Parmi ces malades, on en 'a trouvé 965 chez le
ez ces 965 malades la question de sexe, on trouve 419 hommes et 546 femmes (soit un pourcentage de 34/74 . varia. : .17 7
ge de 34/74 . varia. : .17 7 pour les hommes et de 31,16 pour les femmes ). La différence est lrappante et d'autant plus
ence paternelle était pré- dominante, il'a trouvé 130 hommes et 176 femmes ; tandis que dans 314 cas où l'influence materne
ence maternelle prédominait, il n'y avait que 124 hommes contre 190 femmes . On voit par les chiffres que l'auteur a réunis
ngénitaux, avec ou sans épi- lepsie, se divisant en 35 hommes et 33 femmes . Ce chiffre est 518 . VARIA. ' faible, mais i
e (soit 44,11 p. 100). Sur ces 30 cas, il y avait 13 hommes et 17 femmes . > La folie associée à l'épilepsie fournit u
e épileptique relevés par l'auteur est de 120, dont 77 hommes et 43 femmes . Ceux de ces malades qui avaient une tare héréd
es. La statistique de l'auteur porte sur 433 cas - 363 hommes et 70 femmes . - Dans 82 de ces cas, - 60 hommes et 22 femmes
363 hommes et 70 femmes. - Dans 82 de ces cas, - 60 hommes et 22 femmes les antécédents héréditaires d'aliénation étaient
pourcentage de 18,93, et, en séparant les sexes, de 31.42 pour les femmes , et de 16,52 seulement pour les hommes. Il résu
er que la maladie est plus souvent acquise chez l'homme que chez la femme , ce qui n'est pas sans importance si l'on songe
rches précédentes. Ce bloc comprend 2824 cas (1 218 hommes et 1 606 femmes ). L'hérédité a été constatée chez 815 (soit un
séparant les sexes on trouve 331 hommes (soit 27,17 p. 100) et 484 femmes (soit 30,13 p. 100.) 1 L'auteur aborde ensuit
sexes, on trouve pour les hommes 327 cas (19,31 p. 100) et pour les femmes 251 cas (14,32 p. 100). En dehors de l'hérédité
cas de prolongé, par Rulillon, 176. BI ûlnre sug-- gérée chez une femme ayant pré- senté c1u - Ilywtériyue, : ! 6\.. Un
8 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
quer égale : ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 29 Chez la femme , les chiffres sont notablement moins élevés ; l
ancée, des indications pronos- tiques utiles. En voici un exemple : Femme S..., trente-huit ans, frappée d'apoplexie avec
z des sujets qui ne présentent pas de con- tracture appréciable. La femme Mar... (n° 16) est dans ce cas. Ses deux mains
Voici les résultats auxquels noua sommes arrivé sur cinquante-trois femmes épileptiques appartenant toutes au type classiq
perd en trois mois, son père, une tante et 48 MÉDECINE LÉGALE. sa femme ; ces deuils successifs l'impressionnent vive- m
il s'imagine être la cause de la mort de son père, de celle de sa femme ; il croit porter malheur à ceux qui l'entourent;
e.] Pas de consanguinité. Le mari n'avait qu'un an de plus que sa femme . Trois enfants. 1° Notre malade; 2" un garçon r
mais qu'il ne se grisait pas. 11 n'a jamais été très porté pour les femmes , partant pas d'excès vénérien; il fume pour 1 fr.
. Remarques SUR LES accidents déterminés par DES FRACTURES CHEZ LES FEMMES ÉPILEPTIQUES ; par F. TERRIER et H. Luc. [Revue
hez des chiens morphinisés.) On observe presque toujours chez les femmes la cessation des règles et l'apparition des perte
pas, par exemple, de demander à ses pa- rents des meubles pour une femme avec laquelle il vivait, s'éton- SOCIÉTÉS SAVAN
mé3e a ce désordre d'esprit et de conduite, que l'affection d'une femme dévouée, les devoirs d'abord d'époux, puis de pèr
années. Tous les ans on compterait cinquante-huit hommes et treize femmes devenus aliénés sur l'effectif d'ensemble des é
pathes serait de 0,18 p. 100 pour les hommes et 0,20 p.100 pour les femmes détenus dans les maisons de correc- tion. Ces c
liénés qu'observa M. Guttstadt dans la même période z83 hommes, 136 femmes ), il s'est écoulé moins de trois mois de détent
n de la folie chez 30,4 p. 100 des hommes et 10, 16 p. 100 chez les femmes . M. ZINN affirme que le nombre des criminels al
sens génital de M. Charcot), l'amour de l'homme pour l'homme, de la femme pour la femme Les observations de ce genre ont le
e M. Charcot), l'amour de l'homme pour l'homme, de la femme pour la femme Les observations de ce genre ont le plus souven
somme le système des pavillons, chaque division (des hommes ou des femmes ) comprenant des corps de bâtiments pour pension
demi-tranquilles, gâteux paraly- tiques et épileptiques, hommes et femmes , se décomposent en deux segments n'ayant de com
du cou à la suite de la déglu- tition d'un paquet d'aiguilles. Deux femmes étaient tourmentées du désir de s'enlever les m
availleurs ? Rarement. AI. Landerer fait en outre remarquer que les femmes ne sont en général employées qu'aux temps des r
et cinquante-neuf ans. Elle est de beaucoup moins fréquente chez la femme . L'ataxie se produit de beaucoup le plus souven
r mère ? ils n'ont 1 H Il CLINIQUE JIKNTALK. ni père, ni mère, ni femme ni enfants; s'ils ont ma] à la tête, mal à l'es
ction et la marche de la folie et des maladies nerveuses chez les femmes a déjà été traitée plusieurs fois; mais cette q
oyaient que la plupart des affec- tions mentales et nerveuses de la femme étaient dues exclusivement ou, du moins, princi
discuter de l'influence des maladies sexuelles sur la folie chez la femme . Ainsi, dans la bibliographie française, on tro
ications sont très générales. Guislain2 dit que, dans beaucoup de femmes aliénées, la région des ovaires est le siège de
rel croit que les maladies primitives des organes génitaux chez les femmes ont été les causes de la plupart des cas d'alié
aussi les anomalies fonction- nelles de la sphère sexuelle chez la femme comme une des causes prédisposantes occasionnel
es aliénées, il se borne à noter que celles-ci, plus que les autres femmes , sont exposées aux irrégularités et suppression
génitales et leurs anomalies peuvent être cause de la folie chez la femme , sans,' toutefois, aborder, comme les précédent
cliniques sur les maladies mentales, 18G4. larcl. Sur la folie des femmes enceintes, 18o8. )Iitirft. Maladies sexuelles e
provoquée et entretenue par des désordres du système sexuel chez la femme , en se rangeant à l'opinion déjà émise par Azam
inion déjà émise par Azam', qui décrit quarante cas d'autopsie de femmes aliénées avec lésions sexuelles. Boussi , au co
de la sphère sexuelle peuvent influer d'une certaine façon chez la femme , soit dans le cours de la maladie mentale ou d'
clinique sur les rapports des troubles génitaux à la folie chez la femme . Thèse de Montpellier, 1880. * Griesinger. Seel
ées comme les mala- dies sexuelles et les maladies mentales chez la femme (loc. cit., p. 306). En somme, on le voit, si
nées d'un certain nombre d'auteurs, les troubles génitaux chez la femme sont une des causes les plus essentielles de la
ammond). Les auteurs qui admettent aux maladies sexuelles chez la femme une certaine influence soit sur l'évolu- tion d
rtaines formes de folie liées à quelques états particuliers de la femme , comme la grossesse, l'accouchement, l'allaite-
nt occupés de la question du rapport des maladies sexuelles chez la femme avec la folie, il restait à se 1 M. Schmidt. Ai
quelle est la fréquence, en général, des maladies sexuelles chez la femme aliénée. ~En effet, si l'on pouvait établir d'u
e elles. Ainsi, II. Furke1 dit très brièvement que la folie chez la femme est accompagnée de maladies sexuelles daus dix
cette question certaines indications prises dans les autopsies des femmes aliénées; mais elles sont très peu explicites e
re part, beaucoup entre elles. Ainsi, Keiser', sur dix autopsies de femmes aliénées, dont sept mélancoliques et trois mani
uement la question de la fréquence des affections sexuelles chez la femme dans le cours de la folie. Mes prédécesseurs n'
tésimale,- on aurait la complication de la folie en général chez la femme par les maladies sexuelles, à peu près dans 69
e total de deux cents malades (trente-trois vierges, cinquante-cinq femmes qui n'ont pas eu de couches et cent douze qui e
d'endométrite, de vaginite, etc. Au contraire, dansée groupe des femmes qui ont eu des couches, les formes gynécologiqu
ences, de même que les autres conditions de la vie sexuelle chez la femme , influent d'une façon manifeste sur la complica
: La complication de la folie par les maladies sexuelles chez la femme doit être regardée comme très fréquente pendant
ALIÉNÉES. 1 S7 Quant à l'influence des maladies sexuelles chez la femme , sur la folie déjà existante, est-elle correspon-
t si intime entre l'appareil nerveux des organes génitaux chez la femme et le système nerveux central, on reconnaîtra q
; de sorte que, pour le plus grand nombre des cas de folie chez la femme avant le retour d'âge, la compli- cation de l'a
une impulsion irrésistible ou des conceptions délirantes, mais en femme consciente de sa personnalité psychique et physiq
ompte que, médecin en chef d'un grand service de près de cinq cents femmes indigentes, j'ai eu sous les yeux beaucoup plus
ience est presque générale ? Déplus, jusqu'à ce jour, sauf chez une femme , il ne m'a pas été donné de voir l'état que nou
cavité coronoïdienne ; c'est la une disposition fréquente chez la femme . 3° Epaule droite. A. Omoplate. La cavité gléno
l'insomnie, de la dyspnée. L'étude des malades (sept hommes et neuf femmes ) enseigne que ce genre d'affec- tion évolue sur
l'asile de Stephansfeld .(Bas-Rhin) que dix-sept aliénés hommes et femmes venant de prisons voisines- qui peuvent conteni
s plus fâcheuses disproportions dans la condition des hommes et des femmes , des gens mariés et des célibataires, dans la r
l'activité des hémisphères. M. MEYNERT présente à ses collègues une femme de trente-deux ans, célibataire ; il s'agit de
sont, chez l'homme, rapidement et profondément con- promis. Chez la femme , l'absinthisme paraît rendre la ménopause plus
aire un bain à une aliénée agitée, Georges. Après avoir placé cette femme dans une baignoire recouverte du couvercle en c
vé de grandes douleurs morales; il a perdu presque en même temps sa femme et un fils. M. A... s'accuse d'avoir causé la
sa femme et un fils. M. A... s'accuse d'avoir causé la mort de sa femme et de son fils, il est pourri, il a la syphilis
as d'àme ; Dieu n'existe pas ; par moments M. A... dit qu'il n'a ni femme ni enfants; dans d'autres instants, il demande
des chutes fréquentes ; souvent il rentrait chez lui en disant à sa femme qu'il avait failli se tuer, qu'il était tombé e
l exprimait de funèbres pressentiments, don- nait des conseils à sa femme et lui faisait de minutieuses recom- mandations
upé, immobile, 'ne recevant per- sonne et' renvoyant brusquement sa femme quand elle venait le voir. Par moments; il répé
voir. Par moments; il répétait : « Je suis un crétin », disait à sa femme : « Tu ne veux donc pas me rendre ma vie d'autre-
er; il passait des nuits entières dans son bureau et répondait à sa femme qu'il ne pouvait se coucher puisqu'il faisait e
t avoir des hallucinations de la vue ; il voit des personnages, des femmes vêtus de blanc, des- cendre du plafond de sa ch
la recherche des occupations féminines, le désir de ressembler à la femme , de plaire à l'homme, l'idée obsédante de l'hom
idée du pénis de l'homme. Par contre, indifférence absolue pour la femme dont les attouche- ments, les provocations de t
une amante adorée, tantôt les clous de la semelle d'un soulier de femme , tantôt le bonnet de nuit coiffant un homme ou
le bonnet de nuit coiffant un homme ou la tête ridée d'une vieille femme ;'le bonnet jï t fy, de nuit, nous le verrons
hénomènes analogues, et nous avons, en ce moment, sous les yeux une femme âgée de trente-trois ans, qui, a plusieurs repr
est parvenu, non seulement à substituer, par moments, l'image de la femme à celle de l'homme, mais ses nuits ont été trav
ais ses nuits ont été traversées par des rêves voluptueux, ayant la femme pour objet, et, à plusieurs reprises, il a pu t
, qui, pour lui, était physio- logique et non maladive, l'âme d'une femme se trou- vant, disait-il, enveloppée dans le co
nt déjà été publiés chez 'l'homme', les observations relatives à la femme sont rares peut-être à cause de la facilité plu
ui suffisent à donner une idée de cette perversion sexuelle chez la femme ? Dans les deux cas, nous voyons se développer
ents qu'ils ne comprennent pas : l'homme est porté vers l'homme, la femme vers la femme, avant même qu'ils aient pu subir
comprennent pas : l'homme est porté vers l'homme, la femme vers la femme , avant même qu'ils aient pu subir l'influence d
jets des mains ; plus tard, il est poussé à regarder les fesses des femmes , des petites filles et aitssi'l'aiiiis d un garço
le garçon nu le laisse indifférent. Les tableaux repré- sentant des femmes nues et des statues l'excitent. Tendances mélan
commencé à éprouver des phénomènes étranges : quand il voyait une femme , sa pensée se portait vers la région fessière et
etites filles. Dans les foules il se frottait contre les fesses des femmes ; mais dès que l'érection survenait, il s'empres
Il fuyait et évitait les tableaux et les statues repré- sentant les femmes nues, parce qu'ils réveillaient en lui les idée
lière qui dirige le regard du patient vers la région fessière des femmes , et qui le pousse à la recherche de l'anus d'un
; à six ans obsession pour la recherche des clous des souliers des femmes ; exaltation ; création d'histoires fait- lasti
t déjà poussé par un instinct irrésistible à regarder les pieds des femmes pour voir s'il n'y avait pas de clous à leurs s
. On le mit de bonne heure en pension ; ne voyant que très peu de femmes , il y fut moins surexcité; il réfléchit, il s'exa
ait, parce que M. X... se retrouvait nécessairement en compagnie de femmes , et il augmenta plus encore pendant un séjour d
tement une éjaculation occasionnée non pas par l'im- pression de la femme , mais par celle des clous. Plusieurs fois même,
se retournait instinctivement dans la rue pour écouter marcher les femmes ; il avait acquis sur ce point une telle finesse
es de cordonniers, il voyait mettre des clous à des chaus- sures de femmes , ou même qu'il voyait exposées des chaus- sures
sures de femmes, ou même qu'il voyait exposées des chaus- sures de femmes , garnies de clous. M. X... n'eut de trêve que d
e, d'une manière générale, des clous que l'on met aux chaussures de femmes ; elle est plus forte s'il est question de femm
x chaussures de femmes ; elle est plus forte s'il est question de femmes qu'il connaît, ou, si au lieu de dire : mettre de
nnaît, ou, si au lieu de dire : mettre des clous ci des bottines de femmes , le cordonnier dit : ferrer des bottines de fem
des bottines de femmes, le cordonnier dit : ferrer des bottines de femmes , et mieux encore ferrer des femmes; l'intensité
ier dit : ferrer des bottines de femmes, et mieux encore ferrer des femmes ; l'intensité augmente aussi graduellement si M.
chaussures dans la boutique du cordonnier, les voit aux pieds d'une femme , s'il y a beaucoup de clous, et si les clous sont
s'ils sont posés à des souliers, plutôt qu'à des bottines, et si la femme qui les porte est jeune, jolie et élégante. L'im-
il découpe, en leur donnant la forme de la semelle d'une bottine de femme , et surtout d'une femme qu'il a remar- quée ; i
ant la forme de la semelle d'une bottine de femme, et surtout d'une femme qu'il a remar- quée ; il lui est arrivé aussi d
l a remar- quée ; il lui est arrivé aussi d'acheter des souliers de femmes , d'y faire mettre des clous devant lui, et de l
aussi pendant l'hiver, sauf les jours où les clous de chaussures de femmes laissent leur empreinte sur la neige, ou sur la
. Cet individu, fasciné par les clous d'une semelle de soulier de femme , s'était masturbé à la porte d'un cor- donnier,
conjugaux remplis à l'évocation de l'i- mage d'une tête de vieille femme ridée couverte d'un bonnet de nuit. no</<
duisait immédiatement. Plus tard l'idée seule d'une tète do vieille femme ridée et laide, mais coiffée d'un bonnet de nuit,
les rapports anor- maux ; il affirme que la vue d'un homme ou d'une femme nus 3111 G PATHOLOGIE MENTALE. le laisse abso
La première nuit des noces, il reste impuissant à côté de sa jeune femme ; le lendemain la situa- tion était la même lors
n était la même lorsque, désespéré, il évoque l'image de la vieille femme ridée, couverte du bonnet de nuit; le résultat ne
e singulière situation qui le force, dit-il, à la profanation de sa femme . Quelquefois, mais à de très rares intervalles,
faire; il hésite aussi à cause de l'affection qu'il éprouve pour sa femme . Il éprouve également des craintes vives quand
e laisse chez lui dans un coin. Quand il aperçoit un homme ou une femme avec un tablier blanc, il les suit, ne tenant auc
'a plus dérobé de tabliers, mais qu'ayant eu des relations avec une femme , il avait eu recours au souvenir du tablier bla
s qu'il distribuait ses camarades. s'est habillé aussi deux fois en femme étant seul dans sa chambre. Depuis deux ans, il n
nibus, auprès des bateleurs, il s'approche et se place derrière une femme , cherchant de préférence la plus grosse; puis i
rottage, condamné à quatre mois de prison, ce qui est exact. « Sa femme est crémière, et c'est lui qui ouvrait la boutiqu
verses parties du corps, sur les organes génitaux, par exemple. Une femme de soixante ans accuse du côté droit des douleu
génésique et de l'aptitude a remplir la fonction (Lasègue). Chez la femme , il peut même exister de la répugnance (Lasèjue
rveux ? Les observations ne permettent pas de conclure. Celle de la femme Taupin publiée par Leudet, montre combien la qu
'appareil génital dans la pathogénie des affections nerveuses de la femme . Il est d'avis, non seulement que l'on doit, da
w. (Arch. ? Psych. u. Nérvenk, XI. 3.) L'observation concerne une femme de 35 ans entachée d'hérédité psychopathique so
tudié le réflexe tendineux, sur soixante et onze hommes et sur onze femmes . Chez les soixante et onze hommes, il était nor
ns huit, absent dans treize, exagéré dans vingt-deux. Chez les onze femmes , il était normal sept fois, une seule fois il é
Scz*e2,tce, n° d'avril 1882.) L'observation peut se résumer ainsi : Femme de trente-trois ans, mariée, entrée à l'asile e
nce, avril 1882.) Voici le résumé de ces deux observations : 1° Femme de vingt-un ans, mariée, d'une bonne santé ha-
aint-jacques, A N.11\T);S. Il possède en tout 800 malades, dont 450 femmes environ. 11 y a aussi quelques enfants arriérés
. ). Epileptiques (accidents déterminés par les fractures chezles femmes ), par Terrier et Luc, 87. Experts aliénistes
9 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
insi, un prétendait que son impuissance tenait à l'absence de toute femme dans le ser- vice ; un autre à la poudre aux mo
tions. Mais les renseignements les plus sûrs sont fournis par les femmes des paralytiques généraux qui, quand elles sont
vations, des paralytiques dans la force de l'âge et en puissance de femme . A l'aide de ces trois moyens et en suivant nos
ques se croient capa- bles de repeupler le monde, de posséder mille femmes dans une nuit et autres prouesses du même genre
antes. Le rapport existant entre le libido, le désir de posséder la femme , et la possibilité de réaliser cette possession
tique affaibli perdait en même temps que sa virilité le désir de la femme . Mais il n'en fut pas tou- jours ainsi et chacu
té; mais d'au- tres fois les sujets conservaient un vif désir de la femme qu'ils étaient incapables de satisfaire et alor
libido. Ces deux derniers pour obtenir l'érection demandent à la femme des complaisances ou se livrent sur elle à des
ur 95 de mes 108 paralytiques des renseigne- ments précis par leurs femmes ou leurs maîtresses et tous les 95 ont eu des t
exactement sur les pertes séminales à cette période, la plupart des femmes ignorant ce phénomène pathologique. Nous avon
difficultés d'observation tandis que au dehors, avant l'entrée, les femmes des malades sont en mesure de les cons- tater j
au lit. Deux semaines après, elle a été effrayée par les cris d'une femme qui avait une attaque : « Je n'ai pas perdn con
dans la nuit, je m'imaginais toujours entendre les cris de cette femme . » Le lendemain, indigestion. Le reste de la gros
que et thérapeutique, novembre 1899.) Chez l'homme, comme chez la femme , se produisent souvent entre quarante et cinqua
t le personnel se compose du directeur, 5 asiles d'aliénés. de sa femme et de sa fille ces deux dernières vaquant aux s
gricole et autre des hommes profite à l'exploitation de l'asile des femmes et que le travail des femmes (lavage, cuisine,
rofite à l'exploitation de l'asile des femmes et que le travail des femmes (lavage, cuisine, racommodage), profile à l'asi
ommes, qui ne doivent ingérer aucune boisson alcoolique, et chez la femme 56 ASILES d'aliénés. une moyenne de 25 p. 100
Centralbl f. Ne ? vcnheilk., XXII, N. I . \, 1899.) Il faut être* femme pour bien comprendre, voir et ouïr telle ou tel
ur bien comprendre, voir et ouïr telle ou telle manifestation de la femme aliénée-; la femme instruite peut seule netteme
voir et ouïr telle ou telle manifestation de la femme aliénée-; la femme instruite peut seule nettement percevoir, senti
eur, les formes et les nuances de l'extériorisation psychique de la femme . L'analyse des éléments demeurés sains du carac
nostic et le traitement moral, sera plus profondément faite par une femme ; elle saura mieux distinguer qu'un homme ce qu
ières. Elles seront mieux surveillées, dirigées, instruites par les femmes méde- asiles d'aliénés. 57 cins. Celles-ci ne
asile a été ouvert eu juin 1892 avec 131 malades (80 hommes et 51 femmes ). 11 est très bien organisé, ses créateurs ayant
n soignés. Le personnel se com- pose de 17 employés (10 hommes et 7 femmes ), le directeur non compris, et de 70 serviteurs
es), le directeur non compris, et de 70 serviteurs (18 hommes et 52 femmes ). Les ate- liers sont consacrés à la fabricatio
iots adultes incurables. Gamme : llosclc2cs. C'est l'asile pour les femmes imbéciles dont l'éducation est terminée; il est
ladie des tics. On doit renoncer à l'avor- tement provoqué chez les femmes enceintes atteintes de chorée. M. Jorrnoo persi
igne des orteils de Ilalil1ski. M. Touche présente le cerveau d'une femme chez qui une tumeur frontale de l'hémisphère dr
à l'hypnotisme. Auguste Voisin, en iSSu, avait dans son service-une femme malpropre, menteuse, voleuse, colère, vicieuse,
r de toutes ses forces contre le préjugé répandu u surtout pour les femmes que le mariage est utile au malade. Quand par e
ouvée atteinte de méningo-encéphalile chronique en foyer. Une jeune femme dans des circonstances analogues mais sans trau
iritis de l'oeil gauche et dans la suite deux fausses couches de sa femme . Le malade nie tout excès alcoolique.' La mal
fond d'oeil est normal. OI3SGIlVATION II. J..., quarante-neuf ans, femme de ménage. Absence d'antécédents héréditaires.
ante ans, exerce la profession de cordonnier. Il vit avec une autre femme , depuis son divorce, prononcé il y a six ans. M
d, il se mit à boire avec excès surtout de l'absinthe. Dès lors, sa femme fut malheureuse avec lui, il l'inju- riait, la
transmise par une aieule. Le cas présenté est le n° VI du tableau. Femme de soixante-sept ans atteinte à quarante-cinq ans
émoire et pour l'installa- tion de l'alitement dans le service des, femmes de M. Bechterew. Il l'a appliqué à 13 malades.
ortalité dans le service des hommes (alités) et dans le service des femmes (non alitées). REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 141) C
deux fois chez des aveugles. Le D1' Leszynsky rapporte le cas d'une femme tabétique aveugle, qui présentait une ataxie co
tomie patholo- gique ; par A. FOXIVELL. (Brain, vol. 20, p. 277.) Femme quarante-cinq ans, bons antécédents, gonflement t
L31KELES. (Neurolog. Centralbl., XVIII, 1899). Observation d'une femme de quarante-six ans. Nécropsie. Figures. - RE
les antécédents héré- ditaires sont un peu plus fréquents chez les femmes paralytiques que chez les hommes atleints de la
ndriaque à forme évolutive ayant duré toute la vie. Il s'agit d'une femme . Le délire a évolué, depuis l'adolescence jusqu
atique, ce fait que l'athématome est très rare dans les services de femmes . Cette rareté tient à ce que les infirmières n'
r clinique. Sclérose pupillaire double. - M. B.uussm présente une femme qui avec ce phénomène est aussi atteinte d'abol
, que D... est épileptique, 1 Pour toutes les fêtes du Congrès, les femmes , filles et soeurs de JIN. les membres du Congrè
ont invitées. Un Comité de dames est organisé pour la réception des femmes , filles et soeurs de les mem- lues du Congrès.
illes et soeurs de les mem- lues du Congrès. Ce Comité, composé des femmes des membres du Comité exécutif du Congrès et de
.. Or, à ce moment précis, cruelle fatalité, Mme Raynaud-Lacroze, femme du maire, vient àpasser à proximité. D... l'aperç
oir, ce dernier hélas l'a payé de sa vie sans compter celle de sa femme et l'un de ses concitoyens. C'est à l'administrat
j'ai tué ma maitresse, 11'e Jeanne Marin, âgée de trente-cinq ans, femme de place aux Halles, qui demeure rue des Fossés
le de Ville-Evrard. C'était Fernand Copin. Quelque temps après, une femme , que Copin avait juré de tuer, vint raconter il
ni où il est. (Le Temps, 6 mars 1900.) Dans un accès de folie, une femme Villain, âgée de cinquante- quatre ans, demeura
liberté. Il vivait sans sortir de chez lui, soigné par une vieille femme , Pauline Burgeau, âgée de soixante- trois ans.
auline Burgeau, âgée de soixante- trois ans. Au moment où la pauvre femme venait lui annoncer - VARIA. 188 hier que le
ose Carpon à l'infirmerie spéciale. (Le Matin, 5 juin 1900.) - La femme Jannot, soixante-huit ans, cultivatrice à Boissey
-sur-Dives, s'est noyée dans la mare située dans sa cour. La pauvre femme avait la. manie de la persécution. (Bonhomme No
s blessures, quoique graves, ne mettent pas sa vie en danger. Cette femme semble avoir agi sous l'empire de la folie. Ell
cile de Mima veuve Anne Dion, 5, rue de Chabrol ; c'était la pauvre femme qui atteinte du délire de la persécution depuis
tirmerie du dépôt par M. Leygonie, commissaire de police, la pauvre femme mit en lambeaux la redingote du cocher et arrac
, couvreur à Villers-Canivet, marié depuis trois mois, maltraite sa femme quand il a bu. Lundi, celle-ci, après une nouve
oir au lieu de voir tout en rose, il a mis à profit l'absence de sa femme pour se pendre dans l'appartement attenant à sa
Un commerçant de Beaumesnil (Eure), a porté plainte contre sa jeune femme qui a pour l'alcool, dit-il, une passion irrési
icide. (Le Progrès de l'Eure, 27 avril.) Ivresse et brutalité. - La femme Marthe Marie, vingt-sept ans, vit, à Fontaine-E
lainte a été portée au parquet. Poursuivie pour ce dernier fait, la femme Marie a été condamnée à huit mois de prison. (L
) Un Vacher poitevin . Entre Saint-Benoit et Smarves (Vienne), la femme Gervais. occupée dans son champ, a été saisie t
dernier crime. On cite encore un voiturier qui a été attaqué et une femme menacée qui n'ont dû leur salut qu'à la fuite.
ion de la clinique (1"' janvier 1898) : 51 malades (19 hom- mes, 32 femmes ). - Nombre des admissions en 1897 : 220 malades
mes). - Nombre des admissions en 1897 : 220 malades (98 hommes, 122 femmes ). -Pei-sonnel médical : le professeur, deux ass
tants, chargés l'un de la division des hommes, l'autre de celle des femmes , sont situés au rez-de-chaussée et au premier é
atteints de, maladies nerveuses. " Chaque division d'hommes et de femmes comprend quatre villas destinées chacune aux ma
traitement, comprend l'appartement du troisième assistant (chez les femmes ), de l'assis- tant volontaire (chez les hommes)
rées. - Population (Ie1' janvier 1898) : 56 malades (26 homme, 30 femmes ). Nombre des admissions en 1897 : 154 (76 hommes,
e, 30 femmes). Nombre des admissions en 1897 : 154 (76 hommes, 78 femmes ). Il importe de faire remarquer en passant quel
lissement était, au FI' janvier 1890. de tC8 malades (91 hommes, 77 femmes ). Nombre des admissions en 1889 : 203 (148 homm
77 femmes). Nombre des admissions en 1889 : 203 (148 hommes, Il : ) femmes ).- Le nombre des lits disponibles est environ d
- Population, le l01' janvier 1898 : 198 malades (100 hommes, 98 femmes ). - Nombre des entrées en 1897 : 520 (305 hommes,
, 98 femmes). - Nombre des entrées en 1897 : 520 (305 hommes, 215 femmes ). - . - . ' - (A suivre.) PHYSIOLOGIE PATHOLO
; par J. Crocq. (Jol/m, de Neurologie, 1900, n° 8.) Il s'agit d'une femme de quarante-deux ans, intoxiquée par le mercure
-NoTZ1NG, (Zeits- chrifl fiir Hypnotismus, mars 1899.) NI ? S..., femme d'un boucher, a été traduite au mois de juil- l
e l'empoisonner ; 2° Pour avoir engagé de vive voix et par écrit la femme Gauz- bouer en lui promettant des récompenses e
tre à mort son mari, trois de ses enfants et cinq de ses amis. La femme Sauter a toujours vécu en mauvaise intelligence a
tresse. Au commencement de l'année 1899 elle est allée trouver la femme Gauzbouer, tireuse de cartes et somnambule, pour
ette question : on va voir quelle contradic- tion il implique : Une femme , raconte ce magistrat, est prise d'une impulsio
u non, il est évidentqu'elle n'était pas irrésistible puisque cette femme , en fait, a résisté victorieusement, et sûremen
che de Murcie en date du 28 août, la foule se pressait autour d'une femme illu- minée, sortie naguère d'une maison de san
une collision se produisit au cours de laquelle le frère de cette femme fut tué et son père blessé. D'autre part, quatre
maison de santé à laquelle je suis attaché, il n'y a eu que quatre femmes paralytiques générales et qui toutes les quatre
elle et se produirait chaque fois qu'il y a chez l'homme ou chez la femme surexcitation sexuelle inapaisée. Pour séparer
extrême état de nervosité qui ne laissait pas que d'in- quiéter sa femme , une brave ménagère. Hier après midi, Lerentier
ris d'une violente crise de folie au cours de laquelle il traita sa femme de mangeuse d'enfants. « Oui, disait-il, tu es
xte de les dérober aux dents aiguës de l'ogresse. Et pendant que sa femme , terrifiée, s'enfuyait chez des voisins, Lerent
ieur Charles Grieux, soixante-douze ans, avait pour mai- tresse une femme mariée nommée Porphiled, trente-trois ans, qu'i
de celle de son fils, avec lequel il habitait à Vesly (Eure). Cette femme s'enivrait chaque jour et avait des relations a
et avait des relations avec Paul Delaistre, braconnier renommé. La femme Porfiled lui ayant fermé sa porte, Delaistre qu
istre qui était ivre, mit le feu dessous. Effrayée par la fumée, la femme sortit. Delaistre lui tira un coup de fusil dan
ers de l'hypnotisme. 1-e Pauline Chevillon, âgée de trente-six ans, femme d'un em- ployé de chemin de fer, demeurant 98,
uses de ce drame, raconta qu'il y a six mois environ, étant avec sa femme et la soeur de cette der- nière chez des amis à
iron internée à l'asile de Saint-Anne, et que la terrible fin de sa femme devrit être attribuée à la folie. M. Brunet, co
ment. Les recherches de ces deux auteurs ont porté sur 90 malades femmes . Ils les ont divisées en deux groupes : 1° celles
traitée avec succès par la suggestion hypnotique. M. BÉRILLON. -Une femme de cinquante-trois ans, à hérédité très chargée
les hommes devien- nent rarement mélancoliques, tandis que chez la femme la méno- pause paraît constituer un terrain émi
y, près Langres, le cadavre de Mue Lhuillier Sommelet. Cette pauvre femme , qui depuis quelque temps donnait des signes de
; la mort est acciden- telle. (Pelit Parisien, 17 septembre.) Une femme Ballay, demeurant à Vinay (Isère), dans un accès
aissé en liberté. (Le Malin, 18 septembre.) Pendant l'absence de sa femme , le nommé Gauthier, de Pressigny, s'est pendu à
- tillon-sur-Seine, rentrait à son domicile en état d'ivresse; sa femme venait d'accoucher. La brute s'arma d'une hachett
me. (Petit Parisien, 15 septembre.) - A Arcenant, près Dijon, une femme D..., qui avait absorbé une grande quantité d'a
aient pas en bonne intelligence. A la suite de scènes violentes, la femme avait même dû quitter son mari, un alcoolique inv
fées. On pénétra dans la maison et on vit gisant sur le plancher la femme Letoulie blessée de trois coups de cou- teau au
le coeur. Le meurtrier doit être Latoulie qui, croyant avoir tué sa femme , se sera fait justice lui- même. La femme, dont
qui, croyant avoir tué sa femme, se sera fait justice lui- même. La femme , dont l'état est grave, est soignée à l'hôpital.
de soixante-trois ans, ménagère à Croix-Chapeau. Samedi dernier, la femme Violet envoya l'enfant à l'extrémité du village
able. En 1898, le nombre des malades s'élevait à 145 (75 hommes, 70 femmes ); 25 lits sont réservés aux sujets atteints d'a
cas traités en 1895, on a relevé 562 pa- tients (291 hommes et 271 femmes ) atteints de maladies mentales proprement dites
tériqnes, imbécillité, idiotie, crétinisme); 88 cas (83 hommes et 5 femmes ) de délire alcoolique, et 40 sujets (26 hommes
es et 5 femmes) de délire alcoolique, et 40 sujets (26 hommes et 14 femmes ) non aliénés (maladies nerveuses). Les sorties
res. Population, le 1er janvier 1898 : ICI malades (85 hommes, 76 femmes ). Nombre des admissions en 1897 : 580 malades (
mmes). Nombre des admissions en 1897 : 580 malades (358 hommes, 222 femmes ). Université de Halle (Prusse, province de Saxe
LES CLINIQUES PSYCHIATRIQUES. 3g5 veillante en chef pour 56 malades femmes . Mêmes chiffres pour la division des hommes. Le
t aller les chercher. Le réservoir est régulièrement vidé. Pour les femmes agitées on n'emploie pas le maillot, mais une r
linique était la suivante : Population : 123 malades (63 hommes, 60 femmes ) ; Personnel médical : le Directeur professeur
té, pour l'année 1897, de : Entrées : 6cJ5 malades (395 hommes, 300 femmes ). Sujets traités : 810 malades (461 hommes, 319
hommes, 300 femmes). Sujets traités : 810 malades (461 hommes, 319 femmes ). Sorties : 651 malades (368 hommes, 283 femme'
: 651 malades (368 hommes, 283 femme's). Décès : 36 (30 hommes, G femmes ). Université de Bonn (Province Rhénane). (Fac
malades Population réelle (1er janvier 1890), 507 (232 hommes, 275 femmes ). Nombre des admissions (année 1889) : 313. L
ts. Population (le,' janvier 1898) : 601 malades (26G hommes, 335 femmes ). Nombre des admissions (1897) : 453 malades (221
mes). Nombre des admissions (1897) : 453 malades (221 hom- mes, 232 femmes ). ' E. et Ed. Ilitzig. L'alimentation des malad
des aliénés indigents. Pain : 500 grammes (hommes) ; 400 grammes ( femmes ). ~ Déjeuner : café au lait (3/8 de litre) corr
ps. Population le ter janvier 1898 : 530 malades (253 hommes, 285 femmes ). 1 Ce bouton, dû au Dr Ilôrinaiin (1889), est
. 395 Nombre des admissions en 1897 : 22 malades (124 hommes, 100 femmes ). Actuellement (1899) le professeur de psychiat
s exhibitionnistes, des coupeurs de nattes, des voleurs de linge de femme , de tabliers, de mouchoirs, de souliers, de mêm
pal. Pour le fétichiste, ce détail est lotit, il compte plus que la femme elle-même dont la possession arrive à être chos
être chose indifférente. Dans cette étrange hérésie de l'amour, la femme perd donc, à peu près, ses droits en tant qu'être
ure de ce dialogue si comique de Trissotiu et de Vadius, dans les Femmes Savantes de Molière. Nous avons déjà répété quelq
erquisitionné dans l'appartement qu'occupe, rue Servandoni, avec sa femme et son fils, M. X... Celui-ci avait dit vrai. L
n 1893, le nombre des malades admis a été de U47 (669 hommes et 478 femmes ). La durée moyenne du séjour est, pour les hommes
e moyenne du séjour est, pour les hommes, de 20 jours, et, pour les femmes , de 21 jours. La population de la clinique étai
lades (1888) et de deux quartiers de surveillance pour hommes et femmes (1897). Population (31 mars 1890) : 392 (235 ho
t femmes (1897). Population (31 mars 1890) : 392 (235 hommes, 157 femmes ). Personnel médical : le professeur Ludwig Meye
s '. Population (ter janvier 1898) : 315 malades (206 hommes, 139 femmes ). 1\Tom6nn, des admissions (en 1897) : 138 malade
s). 1\Tom6nn, des admissions (en 1897) : 138 malades (82 hommes, 56 femmes ). Université de Tûbingen (Royaume de Wurtemberg
: >, comptait, au le" janvier 1898, 704 malades (403 hommes, 361 femmes ;. Le nombre des admissions dans le courant de l
ions dans le courant de l'année 1897 a été de 200 (100 hom- mes, 94 femmes ). Personnel médical : le professeur de clinique
ür4te). Population (1° janvier 1898) : 116 malades (00 hommes, 56 femmes ). Nombre des admissions en 1897 : 280 malades (15
mmes). Nombre des admissions en 1897 : 280 malades (153 hommes, 127 femmes ). M. Kraepelin, qui considère les quartiers de
00. Population au ler janvier 1898 : 2t7 malades (111 hommes, 13G femmes ). Nombre des admissions (année 1897) : 228 mala
Nombre des admissions (année 1897) : 228 malades (114 hommes,. 114 femmes ). 480 0 ENSEIGNEMENT. Personnel médical : le
de 90. Population (1° janvier 1S90) : 94 malades (39 hommes et 55 femmes ). Nombre des admissions en 1889 : 121 malades.
lades. Population (fer janvier 1898) : 113 malades (18 hommes, G3 femmes ). Nombre des admissions en 1897 : 134 malades (
mmes). Nombre des admissions en 1897 : 134 malades (81 hommes, 73 femmes ). Le personnel médical se compose, outre le pro
iénés. Population (ICI' avril ils(0), 199 malades (103 hommes, 96 femmes ). Séjour moyen des malades, 70 jours. Personn
nts. Population (1 ? janvier 1808) : 215 malades (107 hommes, 108 femmes ). ' D'après Buffet, Voyage il travers asiles. 1
li 81 Nombre des admissions (1897) : 766 malades (532 hommes, 234 femmes ). Université de Strasbourg (Alsace-Lorraine). z
ECINE. Population (1° janvier 1898) : aliénés : Ci (23 hommes, 38 femmes ); nerveux et épileptiques : 28 (16 hommes, 12 fem
(23 hommes, 38 femmes); nerveux et épileptiques : 28 (16 hommes, 12 femmes ). Nombre des admissions en 1897 : aliénés : 304
u naît de toutes pièces avec cette substitution qui fait de lui une femme dans un corps d'homme, suivant une expression c
chez J.-J. Rous- seau, qui montrait son derrière sur le passage des femmes dans le but d'évoquer la fessée qu'il eût voulu
il était grondé, enfermé, mis au pain sec, attaché, battu, par une femme également en bas noirs et en souliers jaunes. '
uvé la flexion réflexe des orteils chez 80 p. 100 des hommes et des femmes normaux, l'extension très rarement ; chez les e
teurs comme des organes de contact. Six observations (2 hommes et 4 femmes ) concernent des individus tout à fait en démenc
99. 1\'eu- rologisches Centr«lblalt XVIII, 1899.) Il s'agit d'une femme de vingt ans tarée au point de vue mental et hé
ur possède une seconde observation du même genre également chez une femme , qu'il ne détaille pas. L'effort musculaire (po
. (Neul'ologis(;hes Cent1'aliJlatt XVIII, 1899.) . Il s'agitd'une femme morte à l'Age de cinquante-un ans, atteinte de
ce subconscient. M. Farez. J'ai eu à soigner un littérateur qu'une femme s'amu- sait à endormir à volonté par simple pre
s'était passé pendant les som- meils antérieurs. Mais, comme cette femme lui avait formellement suggéré de n'en rien rév
tions suggérées, j'ai pu neutraliser l'action hypnotisante de cette femme et affranchir cet homme d'une telle sujétion. M
ur abuser d'elle. - Sommeil naturel et suggestion. M. F AREZ. Une femme fait à son mari des suggestions pendant le somm
es Tuileries, non loin de la grille de la place de la Concorde, une femme , jeune encore, entièrement vêtue de noir, qui,
. Les gardiens n'eurent pas de peine à s'apercevcir que la pauvre femme ne jouissait pas de la plénitude de ses facultés
folés. A un moment donné, il réus- sit à saisir par les cheveux une femme d'une vingtaine d'années qui, ayant au bras un-
use et s'était enfui de chez lui, après avoir tenté d'assassiner sa femme . M. Carpin l'a envoyé à l'infirmerie spéciale d
s en dessous du sein droit. Lorsque M. Gayltout rentra il trouva sa femme sans connais- sance tenant son enfant embrassée
s a fait transporter à l'hôpital Tenon ! , Le mari a déclaré que sa femme ne jouissait pas de la plénitude de ses' fàout-
inturier, trente-neuf ans, alcoolique, a tué à coups de revolver la femme Giraud, sa concubine, puis s'est tué ensuite. (
marin à Ajaccio, alcoolique invétéré, a tué, à coups de couteau, sa femme parce que, absorbée par les soins à donner son
rue Demi- dof, au Havre, en état d'ivresse, s'est précipité sur sa femme , née Léontine Mauduit, âgée de vingt-huit ans,
nt : « Maman ! maman ! » Gilles, fou furieux, saisit brutalement sa femme dans ses bras, la porta près de la fenêtre et l
a été arrêté aussitôt. Il exprime de vifs regrets et assure que sa femme se serait elle-même précipitée par la fenêtre.
avait vu avec sa lorgnette le prétendu dormeur s'approcher de sa femme qui causait près de la fenêtre et s'asseoir sur u
fenêtre près de la machine à coudre ! » Diettrich ne bougea pas, sa femme et sa fille se mirent à pleurer ; le brigadier
ttrich, le malade venait d'être reporté dans son lit et les pauvres femmes . terrifiées, n'ont pas pu s'expliquer les motif
e sont les calomnies des voisins qui ont poussé cette malheureuse femme à cet acte de désespoir. On a trouvé, du reste, u
ont' pas désarmé jusqu'à ce qu'ils aient poussé cette malheu- reuse femme à l'acte de désespoir, qui a vivement impressionn
rendit à l'hôtel où elle était descendùe et l'arrêta avec une autre femme qui l'accompagnait. En prison, Azelma Auvray a
- par Huppe, 55. Historique sur les du Ca- nada, par Burgess, 56. femmes médecins dans les -, par Lud- whig, 5G. Rappo
10 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
êmes accidents oculaires se produisirent chez une autre malade, une femme âgée de 26 ans qui ne semblait avoir qu'une man
ezt·albl., XIX. 1900). Plus de la moitié des individus, hommes ou femmes , transportés à l'hôpital de Munich pour cause d
sation fait disparaitre complètement. Psychologie d'anormaux, les femmes à barbe. M. l3EItILLON. On a noté chez certains
me pileux était assez développé au menton ; en outre chez certaines femmes la lèvre·supérieure est légèrement ombragée et
poils. Ce n'est pas leur cas que je veux étudier, mais celui des femmes , assez rares, qui ont une véritable barbe, d'aspe
asculin ; Je vous en fais passer plusieurs photographies. Parmi les femmes qui ont une barbe clairsemée, on trouve fréquem
os à allure, démarche, et sentiments mas- culins. Au contraire, les femmes qui ont une barbe masculine complète et très ab
ont une barbe masculine complète et très abondante sont éminemment femmes par la 1 BIBLIOGRAPHIE. 109 structure physiqu
; elles sont douces, plutôt timides et recherchent la compagnie des femmes . BIBLIOGRAPHIE. 1.' Le caractère; par A. Mala
ternat des asiles à la condition d'être affectées à la division des femmes ; que la première épreuve orale portant sur l'a
pas de mal, dis ! » On mit fin à cette scène en désarmant la pauvre femme . Elle a été envoyée à l'infirmerie spéciale par l
« Un horrible drame de la folie vient de se produire à Toulaud. La femme Marthe Servant, âgée de trente ans, mariée à un
pénétrer chez elle ; mais comme ils allaient franchir la porte, la femme Servant, absolument nue, se précipita dans la r
dés de coups de couteau. Les voisins se mirent à la poursuite de la femme Ser- vant qui, tournant son arme contre elle, s
donc chez un pharmacien du cyanure de potassium et le donna à sa femme , qui devait préparer les boulettes destinées à se
ses affaires. Lorsqu'il revint, une demi-heure après, il trouva sa femme couchée raide morte dans sa chambre, au pied de
eu de la place du Parvis, à califourchon sur un bourricot pelé, une femme d'un certain âge, vêtue d'un costume de cyclist
le propriétaire, 1 000 francs. Lenot. profitant de l'absence de sa femme , partie à Dives chez son gendre, s'était enivré
cuisine, près la cheminée. Ou suppose que Lenot sera tombé d'où sa femme l'avait retiré une fois déjà. Lenot passait pour
yée dans une fabrique de sièges, rue Moreau. C'est là que la pauvre femme a appris la fin tragique de son fils. Elle est
erons, à ce propos, l'observation d'un jeune homme et d'une jeune femme que nous avons eue l'occasion d'observer récemmen
femme que nous avons eue l'occasion d'observer récemment. La jeune femme était une prédisposée débile qui, sous l'empire
ès suggestionnable quoique assez intelligent, cohabitait avec cette femme depuis plusieurs années et devint l'agent passi
s mêmes grossièretés. Au moment où nous avons examiné ce couple, la femme avait commencé à réagir contre ses persécuteurs
pre- nais aussi pour un fou, car il avait assisté à l'examen de sa femme et m'affirma de nouveau avec exaltation la réal
e plaindre au commissaire. Huit jours après, je les revis; la jeune femme présentait tou- jours la même acuité de ses phé
e. Depuis quatre jours, il n'avait plus entendu les injures dont sa femme se plaignait et qu'il lui semblait bien cependant
quelques jours après. Je le revis un mois après l'internement de la femme ; il était alors complètement remis et très cons
auvaise influence 142 CLINIQUE MENTALE. de sa maîtresse. La jeune femme sortit guérie après quatre mois d'isolement et
. Son examen somatique ne présente rien de particulier, c'est une femme grande et bien musclée, qui n'a ni troubles cardi
asymétrie faciale marquée. Au point de vue intellectuel, c'est une femme d'une intelligence moyenne, mais d'un caractère
descendant l'escalier : « nous allons faire des misères aux bonnes femmes qui sont en bas et la police ne viendra pas nou
encore. Les discussions qui eurent lieu à ce moment entre les deux femmes semblent avoir donné une nouvelle force aux phé
s'installer au début de l'exposition et court toute la nuit avec sa femme . Parfois il ramène plusieurs femmes avec qui il
n et court toute la nuit avec sa femme. Parfois il ramène plusieurs femmes avec qui il fait du bruit toute la journée. Ils s
lrière, n° 5, 1901). Gonflement considérable du sein droit chez une femme à petites crises. Ce gonflement. s'exagère sous
dans la rétraction de l'arcade palmaire : le premier cas, chez une femme dont la paralysie du nerf facial se manifesta a
ique considérable des deux membres inférieurs tout entiers chez une femme de dix-huit ans. Ayant évolué len- tement, depu
une (enfant de vingt mois) le membre inférieur gauche, la deuxième ( femme de cinquante-deux ans) le membre inférieur gauc
inférieur gauche avec début à l'âge de quatorze ans, la troisième ( femme de trente ans), les deux membres supérieurs et
sique du pharynx d'après M. Bouveret 2° des éructations sonores. La femme est le plus souvent atteinte, l'homme peut l'êt
o-légaux dans lesquels il eut à faire un rapport, 1'70 hommes et 30 femmes . E. B. VI. L'article 1384 du Code civil et la r
al Science, juillet 1901.) L'histoire de ce crime (assassinat d'une femme par son mari et d'un petit enfant par son père)
un état de raideur presque cata- tonique des membres ; enfin, cette femme est atteinte d'un tic aréo- phagique qui se man
s de catatonisme. 200 SOCIÉTÉS SAVANTES. . L'état mental de cette femme est manifestement troublé par des préocupations
ogie du criminel. M. le D1' Wateau, professeur. Objet du cours : La femme délinquante et criminelle, les vendredis à cinq
cale présente quelques troubles psychiques après son opération : sa femme interro- gée raconte qu'il avait présenté déjà
nanimes à déclarer que l'intervention dans la sphère génitale de la femme ne prédispose pas plus à la psy- chose post-opé
e le nombre des opéra- tions pratiquées dans la zone génitale de la femme est aujourd'hui considérable, il semble que cet
roubles analogues se présentent aussi bien chez l'homme que chez la femme à la suite des opérations les plus diverses, on
st pas autorisé à affirmer que les opérations abdomi- nales chez la femme les prédisposent plus que d'autres aux vraies p
e. Les opérations pénibles, la perte d'un membre, du sein chez la femme , l'anus contre nature ou la fistule urinaire hypo
la boisson et s'enivre assez souvent ; il vit encore ainsi que sa femme et ont tous deux soixante-quinze ans. La malade a
blie. 30 juillet. Le placement étant volontaire le mari emmène sa femme , d'ailleurs en convalescence. Réflexions. Il s'
arante-sept ans, tailleur decristaux. Renseignements fournis par la femme : Antécédents héréditaires. Père, mort à soixan
n le trou- vait toujours chez le marchand devin. «Cependant, dit la femme , depuis, trois ans, il ne buvait presque plus s
, bien à tort d'ailleurs. - Pendant toute cette période , ajoute la femme , il aurait souffert de sensation de pesanteur f
La tumeur était énorme à ce moment, elle atteignait, au dire de la femme , le volume d'un oeuf d'autruche. Depuis le jour
, le volume d'un oeuf d'autruche. Depuis le jour de l'opération, la femme n'a plus revu son mari que les jours de visite,
n'avait jamais eue auparavant. Dès sa première visite, en effet, la femme trouve son mari couché, ne s'occupant pas de ce q
iaques, il montrait une indifférence extraordinaire à l'égard de sa femme et de sa belle-fille qu'il aimait beaucoup aupa
-il; je ne reverrai plus la Bastille. » A partir de ce moment, la femme revoit son mari chaque semaine, et constate que
ait passé ce temps-là toujours alité), le chirurgien fait dire à la femme de venir chercher son mari sans lui donner aucu
sans lui donner aucun renseignement sur son état. 4 mars 1898. La femme ramène le malade chez lui, mais presque aussitô
t il ne trouvait rien de bien. Une fois, un jour qu'il pleuvait, la femme s'aperçut en rentrant qu'il était sorti dans la r
le monde, y ÉTUDE DES PSYCHOSES POST-CPERATOIRES. 229 compris sa femme , voulait l'empoisonner. Il avait peur de tout,
d'autres accusations. Pas d'idées de suicide, au contraire, dit la femme , il avait toujours peur de se faire du mal. E
mentale avait considérablement augmenté, et. menaçant sans cesse sa femme de suicide, cette dernière ne pou- vait le quit
elques semaines de cet été il se pendit à sa croisée pendant que sa femme était sortie faire des commissions. Réflexion
ppari- tion de la période menstruelle; il y a à ce moment chez la femme une période d'hypéralgie toujours très accentuée.
sécutifs, du 1er au 8 ou 10 de chaque mois, par exemple. Chez les femmes , qui, pour la plupart présentent au moment de leu
900.) Deux observations d'un homme de cinquante-deux ans et d'une femme de vingt-sept ans, atteints depuis l'âge de dix a
apportées dans cet article, les deux premières se rapportent à deux femmes hystériques ayant présenté la forme disséminée
bservations se rapportent à deux neurasthéni- ques, un homme et une femme , ayant présenté del'embonpoint suivi d'algie do
sance rénale avec l'insuffisance hépatique. M. TRÉNEL a observé une femme , atteinte pendant trois semaines d'un délire tr
une néphrite aiguë à laquelle elle a. succombé. Il a vu une autre femme , non alcoolique et présentant les symptômes du dé
M. Dupain a observé un cas de délire pseudo-alcoolique, chez une femme à l'autopsie de laquelle on trouva des lésions du
'une année après (1888) médecin en chef et chargé des divisions des femmes à l'asile et au pensionnat. Durant les seize an
; Du rôle de l'hygiène et de la gyliéco- logie dans les services de femmes aliénées (avec le Dr Picqué) Con- grès des alié
és dits criminels et dangereux sont au nombre de 29 (22 hommes et 7 femmes ), dont 2 assassins, 4 tentatives d'assas- sinat
AITS. qu'ici unique, croyons-nous, de paralysie générale chez une femme atteinte de dcrmofibromatose congénitale et proba
blement héréditaire peut présenter un certain intérêt. O...Zélina, femme C... quarante-sept ans, marchande ambulante, ma
r du lobe frontal; par les D"' Cestan et Lejonne. Il s'agit d'une femme de trente-trois ans, chez qui l'existence de né
Il remarqua un jour que cela lui faisait plaisir de regarder une femme uriner ou aller à la selle. Peu à peu il constata
DE PATHOLOGIE MENTALE. lui venait l'envie de prendre l'urine d'une femme pendant qu'elle urinait et de boire cette urine
accidentellement des lieux d'aisance où, sans être remarqué par la femme qui uri- nait, il pouvait prendre de son urine
publiée par l'auteur en est un exemple intéressant. Il s'agit d'une femme soignée dans le service de M. le professeur Pie
fendre. Le malade fut arrêté courant un cou- teau en main après des femmes inconnues, dans la rue. De nombreux auteurs ont
l'intermédiaire de l'élément moteur. M. Vurpas cite l'exemple d'une femme normalement réglée, dont les règles durèrent pe
sque avec dissociation des réflexes. M. DÉJFRLNE présente une jeune femme syphilitique atteinte de paraplégie flasque ave
nd ambulant à Anost (Côte-d'Or), pris de folie et prétendant que sa femme l'avait ensorcelé, l'a tuée d'un coup de coutea
87, jusqu'au 9 septembre 1902) était 4434, dont 2840 hommes et 1594 femmes ; parmi ce nombre de malades psychiques nous av
nnaître la manie seulement chez 40 malades, 'dont 16 hommes et 24 femmes . Les données que nous venons de citer indiquent
une maladie psychique très rare. Si nous prenons les hommes et les femmes ensem- ble, nous verrons alors que la fréquence
s malades psychiques est de 0,9 p-. 100. Mais si nous pre- nons les femmes et les hommes à part, nous verrons que parmi to
mmes les maniaques font 0,56 p. 100 et parmi les malades psychiques femmes , les maniaques font 1,50 p. 100 ; autrement dit
evient un cas de manie et sur 300 cas de maladie mentale chez les femmes il revient 2 cas de manie. Quoique le nombre de
t pas grand en général, mais il permet, pourtant, de penser que les femmes sont plus pen- chées à souffrir de manie que le
ées de la littérature citées plus bas. La grande prédisposition des femmes à la manie comparativement aux hommes sera enco
e SUR la manie. 403 nous prenons en considération que le nombre des femmes aliénées est en général moins grand que celui d
ades psychiques hommes (ZS'r0) au nombre des malades psychi- ques femmes (1894) est de 1,79 : 1. Si le nombre des hommes
mmes (1894) est de 1,79 : 1. Si le nombre des hommes aliénés et des femmes aliénées 'était égal, alors le nombre des homme
l, alors le nombre des hommes maniaques se rapporterait au nombrede femmes maniaques comme 1 : 2,68. Il est intéressant
resque pour 7 fois plus souvent). Si nous prenons les hommes et les femmes à part et si nous comparons les chiffres corres
la mélancolie (10,75 p. 100) et de la manie (1,52 p. 100) chez les femmes , nous verrons qu'elles souffrent de mélancolie
ent de dire d'une manière définie que si la manie apparaît chez les femmes , ainsi que chez les hommes comme une .maladie p
comparativement rare, la mélancolie au contraire, surtout chez les femmes , doit être envisagée comme l'une des mala- dies
fai t 11, 8 p.100 (8 p.100 parmi les hommes et ? b p.100 parmi les femmes ). Goittizikoff5 dans l'asile psychiatrique de K
constata en 1884 parmi les hommes 5,5 p. 100 de manie et parmi les femmes 13, 49 p. 100. Les contradictions si grandes da
istence de la prédisposition héréditaire est niée, con- cernent des femmes . En examinant les malades, qui ont servi de mat
oque ; la situation devient périlleuse pour l'honnêteté de la jeune femme , quand soudain, l'ami galant, saisi de remords
ppression brusque de l'onanisme habituel chez l'homme comme chez la femme . Il y a certes dans cette affirmation de Freud
diate, il néglige ses intérêts, se désole en songeant au sort de sa femme et de ses enfants s'il venait à disparaître. En
e subitement : « C'est imprudent de rester à Paris sans prévenir ta femme : s'il t'arrivait un malheur, elle ne le sau- r
dans laquelle un mari assiste par le téléphone à l'assasinat de sa femme et de son enfant. M. F... est très impressionné p
X, Wien, 1893). Kisch. Névrose cardiaque d'origine sexuelle chsz la femme , in Presse Médicale. 10 juillet, 1897. Lalanne.
fondées. Gentien s'empressa d'accepler. Revenu à Rouen, il dit à sa femme : « C'est une éloquence toute de feu qui se fai
communauté et s'en- gagea envers elle à une rente de 100 écus. Sa femme \laynlene Beuselin; née en 1606, était « fille d'
ladie de coeur, peut être d'une stéatose cardiaque chez une vieille femme obèse, affection qui se serait aggra- vée a la
-sept ans), il fit, avec son frère Augustin Thomas du l3osroeret la femme de celui-ci, une sorte de voyage circulaire. Il
en Sorbonne, grand-oncle de la mariée. Augustin Thomas eut de sa femme un garçon et une fille, qui furent élevés dans
faits. La thèse de IL Larger con- tient plus de 600 observations de femmes , correspondant à 2.000 anomalies obstétricales
eptique aussi, né lui-même par le siège, a successivement, de trois femmes différentes, des enfants nés par le siège. De s
is femmes différentes, des enfants nés par le siège. De sa deuxième femme , il a 2 enfants, nés, l'un par la face avec pro
ons anor- males que dans les couches de sa mère. Observation 112. Femme normale. Mari dégénéré. Après trois couches par
rmale. Mari dégénéré. Après trois couches parfaitement normales, la femme devient enceinte pour la quatrième fois, durant
, acquièrent la valeur d'expériences de laboratoire. Il s'agit de femmes qui, après une ou plusieurs couches nor- males,
nerveuse, elles accouchent de nouveau normalement, etc., etc. Des femmes enfin, qui ont tour à tour des présentations nor-
t : le deuxième amant est un homme marié, qui a simultanément de sa femme légitime un enfant du même âge que celui de sa
ec chaque fois, présentation anormale et éclampsie puerpérale. La femme prend ensuite un amant parfaitement normal; trois
différents aient une influence quelconque sur le bassin d'une même femme . Nous avons tenu à discuter point par point le
dans la pratique, consiste en une contraction simultanée', chez la femme du muscle constricteur de la vulve et de l'anus
thologique, et accompagnée de nombreuses figures. Il s'agit d'une femme atteinte de démence sénile avec hémipa- résie d
es ont rendu ont dépassé toutes les prévisions. Dans les- salles de femmes , la création de plusieurs asiles d'aliénés. 463
masculin. Il n'y a absolument aucune raison de ne pas employer des femmes dans les salles d'hommes malades et infirmes, sou
puis deux ans il n'y a eu qu'un seul isolement dans le quartier des femmes ; il s'agissait d'une malade avec idées d'homici
it de l'asile de Leavesden se compose de 35 personnes : du côté des femmes une surveillante en chef de nuit; une surveilla
personnel de nuit sont identiques dans les quartiers d hommes et de femmes , saul la couleur du papier, pour éviter toute c
chissage. L'auteur aborde ensuite un point épineux, l'emploi des femmes pour soigner les aliénés malades et infirmes :
ps, dans tous les asiles, les aliénés maladesserout soignés par des femmes . A Leavesden, ce principe a été partiellement a
re qu'il y a certains malades qui ne sauraient être soignés par des femmes , ', mais tous ceux qui ont loyalement tenté l'e
irmerie ne doit pas être confié conjointement à des hommes et à des femmes . Il entre ensuite dans quelques considérations
travail analysé par nous ici-même. M. Rhodes, approuve l'emploi des femmes dans les salles d'hommes de l'infirmerie des as
'une psychonévrose Iraumautique intermittente. M. Paul FAnrz. Une femme âgée de trente-trois ans, présente annuellement
ion delamort, agitation des bras et(lesjambes, insomnie, etc. Cette femme aimait follement un homme qui est mort subitement
'obsessions morbides, les hommes pour 3,62 fois prévalaient sur les femmes . La plus grande majo- rité des cas de la lésion
ssion, hérédité, etc. Il résulte des recherches des auteurs que les femmes sont plus sujettes que les hommes aux obsession
que celui des filles. La première est aux mains d'un ménage dont la femme , intelligente et dévouée, se dévoue littéra- le
accès de folie furieuse, et, sai- sissant par les cheveux une jeune femme de vingt-deux ans, Marie Béron, qui était venue
rible. Aux cris de la victime, on accourut et on arracha la jeune femme des mains de son bourreau. Puis on voulut saisir
UROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Note sur un cas de bestialité chez la femme ; Par Cn. FÉRÉ, Médecin de Bicêtre. On obse
Par Cn. FÉRÉ, Médecin de Bicêtre. On observe aussi bien chez la femme que chez l'homme une attraction morbide pour le
ls, c'est la bestialité. La zoophilie paraît plus fréquente chez la femme , la bestialité chez l'homme. Dans la bestiali
le plus initiable, le chien (sodomie bestiale passive) *. Chez la femme on ne connaît guère que la bestialité passive ave
llée en elle. Elle l'ac- cepta avec la ferme volonté de devenir une femme . Elle se tint parole : mais la tâche ne fut pas
ix de la honte. Quand le soir NOTE SUR UN CAS DE BESTIALITÉ CHEZ LA FEMME . 501 arrivait, elle était angoissée, à l'idée q
mique grossière. Il est à remarquer que, sortie de l'enfance, cette femme , atteinte d'une perversion sexuelle grave, est
s plantations sont plus fournies. Derrière le pavillon des agitées ( femmes ), se trouve une pépinière. L'impression produit
avorables. Les villas composant la division des hommes et celle des femmes sont symétriquement disposées autour du bâtimen
ort des aliments. La segmentation de chaque division d'hommes et de femmes en pavillons distincts n'a donc présenté que de
es pavillons est de huit : 4, situés du côté Est, sont destinés aux femmes ; les 4 pavillons du côté Ouest aux hommes. Cha
hommes. Chaque pavillon est, dans chaque division d'hommes et et de femmes , affecté aux sujets des catégories suivantes :
deux chambres pour le médecin assistant chargé de la division des femmes . clinique psychiatrique DE L'UNIVERSITÉ DE GIES
ANQUILLES. - Les deux pavillons (n° 11) de tran- quilles (hommes et femmes ) sont également superposables. Ils n'ont qu'un
tre de salle de jour pour les hommes, d'atelier de couture pour les femmes . Un des lits du dortoir est réservé à un infirm
mmédiats en cas d'acci- dents. (Dans le pavillon de la division des femmes est logé le troi- sième médecin assistant; dans
conduit au pavillon d'isolement. A droite du corridor (pavillon des femmes ) une grande salle de jour d'une capacité de 175
it, à la clinique de Giessen, pour chaque division d'hom- mes et de femmes : · 1° Salle de surveillance pour aliénés tranq
pavillons des hommes. 2° Même disposition pour les pavillons des femmes . 3° Réseau téléphonique principal réunissant to
cins asssistants logés dans les pavillons de tranquilles hommes et femmes . 6° Réseau reliant le rez-de-chaussée avec le 1
ncierge ; de plus les médecins chargés des divisions d'hommes et de femmes sont en communication directe perma- nente avec
nt les suivants : les pavillons de chaque division d'hommes et de femmes doivent être reliés directement entre eux. Dans l
que dans les lavabos et les closets des pavillons n° II (hommes et femmes ), dans ceux du le, étage des pavillons n° M, da
ux de Lyon. 10 janvier 1902). M. Lannois publie l'oFservation d'une femme de quarante et un ans qui présentait l'ensemble
ot-Marie ; par Socn (Nouv. Iconogr. de la Salpêtrière, n° 1,1902) Femme de quarante-six ans ayant un père atteint de la m
ps matériel. Un esprit s'est emparé de lui, l'esprit de sa défunte ( femme ) qui le fait écrire; mais il ne sait jamais d'a
ar le personnel de nuit est insuffisante. 10 Supposons une salle de femmes contenant vingt lits : pendant le jour il y a d
ent consisterait à avoir dans les salles d'hommes aussi bien que de femmes des infirmières instruites en permanence toute
de varia. 575 dérangement cérébral. Hier soir, s'imaginant que sa femme voulait l'empoisonner. il résolut de la brûler
qu'on appliqua contre la fenêtre. A la vue des arrivants, la pauvre femme qui était atteinte de folie mystique à laquelle
uis remontant dans sa chambre, il aura frappé à coups de marteau sa femme qui dor- mait. Celle-ci, se défendant, sera tom
t morte dans d'atroces souffrances. - - Pendant une absence de sa femme , le sieur Alexis Baux, 43 ans, journalier à Liv
propiiétaire, 1fm° Aubichat, logeuse,.36, faubourg du Temple. Cette femme a été frappée, ainsi qu'une de ses amies, AIm0
r Flateau, Men- del et Jacobson. Anormaux. Psychologie d' , les femmes à barbe, par Bérillon, 108. Anthropologie. Des
gouronx et Lavastine, 190. Bestialité. Note sur un cas de chez la femme , par Féré, 497. Biiocv. Voir Aphasie. Car vci
11 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
Charpignon (d’Orléans) avait bien déjà, par le magnétisme, guéri une femme de ses dispositions vicieuses ; mais ce fut là un
t du culte qu’il vouait à l’hypnotisme. Il avait dans son service une femme Schaff... qui avait déjà été plusieurs fois conda
es riches et cultivées, et qu’à son quartier général on rencontre les femmes les plus élégantes et les hommes les mieux mis.
bien habillée mais elle comprend en outre quelques hommes et quelques femmes qui se sont fait un nom dans le monde des lettres
chrétienne est une excellente distraction, et je connais d’estimables femmes qui déclarent jouir d’une meilleurcsanté et mener
malades. Il n'en est pas moins vrai qu’ils sont à la mode et que des femmes et des hommes de haute culture et de haute situat
à la porte de mon administration, que je plongerai dans la misère ma femme et mes enfants, que je finirai à Sainte-Anne...,
e pseudo-attaque apoplectique (' par M. le Professeur Raymond. La femme que vous voyez s’avancer est une bouchère âgée de
ile, dit-elle, cela ne m’avancerait à rien; je veux guérir! » Cette femme est malade depuis un an. Un jour, à 7 heures du s
un an a laissé des troubles qui subsistent encore. Le masque de cette femme est un peu immobile; elle a une certaine difficul
spinale ; enfin, sa marche est trépidante. On a, à propos de cette femme , pensé à la paralysie pseudo-bulbaire; or, il ne
, et l’adaptation, qui est d'origine médullaire. L'affection de cette femme est une variété de l'hystérie. Chez des dégénérés
bie, mais consciente, comme l'est l'agoraphobie, par exemple. Cette femme devra être tonifiée et soumise à l’hydrothérapie
n, comme moyen suggestif; il ne faut pas oublier, en effet, que cette femme a eu deux attaques de sommeil hystérique. REVUE
esoin il sc sentait soulagé. Ensuite, il eut l'impulsion de battre sa femme ; il administra en effet à cette dernière une bonn
là-bas d’une infériorité sociale. En Turquie enfin, les plus belles femmes sont celles qui pèsent quatre cent livres. Un c
1898, j’ai trouve vingt-huit autres cas, dont dix-huit hommes et dix femmes . Les résultats obtenus sont sensiblement les même
s que ceux de la première série d’expériences. Sept hommes et trois femmes se corrigèrent et restèrent tempérants pendant pl
sés ont le désir de se guérir ; mais j’ai rencontré des hommes et des femmes qui n’ont jamais un seul moment, même durant
ation; mais il est, en général très imprudent pour l’homme ou pour la femme qui a été alcoolique de toucher à l'alcool de nou
récemment par la suggestion deux cas d’agoraphobie très marqués : une femme âgée de vingt-six ans, une institutrice, de const
à la porte de mon administration, que je plongerai dans la misère ma femme et mes enfants, que je finirai à Sainte-Anne...,
luait le thaumaturge Apollonius do Tyane, dont Septimus Severus et sa femme Julia Domna avaient voulu faire le rival du Chris
re très facilement, presque inconsciemment, surtout chez les vieilles femmes . Retenons ces indications, elles nous aideront à
professeur Brouardel I. — Sommeil naturel. 11 est possible qu’une femme qui a eu des rapports sexuels fréquents et surtou
e qu’une femme qui a eu des rapports sexuels fréquents et surtout une femme qui a eu des enfants, puisse en avoir de nouveaux
par Hofmann (*) d’après l'avocat Cowan (de Dumfries en Ecosse). La femme d'un aubergiste, mariée depuis seize ans, et mère
Cependant, Hofmann (2j rapporte un cas dans lequel ni l'homme ni la femme n’auraient eu souvenance de l’acte accompli : a U
n'avez pas été sans avoir entendu parler d'. Taires de ce genre. Une femme qui a imprudemment suivi un monsieur en cabinet p
us conduisiez votre interrogatoire de façon à ne pas suggestionner la femme que vous examinerez, à ne pas lui dicter, en quel
t les membres avaient, disaiL-cn, la spécialité de chloroformiscr les femmes en chemin de fer pour en abuser. Pour ma part, je
s. Gucrrieri, qui reprit en Italie ces expériences, opérait sur des femmes idiotes, démentes ou aliénées. Ce sont là des con
pour vous une question des plus importantes. Il peut arriver que des femmes que l’on endort à l’aide du chloroforme aient au
commissaire de police qui, devant les affirmations précises do cette femme , dont du reste la bonne foi peut ctre absolue, ou
rquoi, Messieurs, je vous conseille de ne jamais rester seul avec une femme que vous chloroformisez, qu’il y ait toujours au
n’est pas le sien revienne à plusieurs reprises sur les lèvres de la femme , circonstance fâcheuse, qui place les époux dans
mmeil ; la sensibilité peut être émoussée et même éteinte, mettant la femme dans l’impossibilité de se défendre. Tardieu se
a suggestion [*). Par M. !e Dr Jules VOISIN. Je vous présente une femme de 47 ans, qui, depuis 1888, vient me consulter.
ne femme de 47 ans, qui, depuis 1888, vient me consulter. — C’est une femme de taille moyenne, trapue, d'embonpoint qui n’est
aient-ils pas quelques coutelas, quelques ciseaux! Et quand la pauvre femme monte dans un tramway et qu’elle se trouve vis-à-
esprit d’imitation. Il rappelle d'après Finkelnburg, l’histoire d’une femme qui en voyant verser des larmes ne pouvait s’empê
deux de ses malades, singulièrement améliorés par l’hypnotisme : une femme de quarante ans, atteinte, en 1889, de manie ambu
sommeil subits qui la prenaient en pleins champs, puis encore sur une femme atteinte d'une contracture des pieds qui la fait
lpêtrière — Un cas extraordinaire — La démence religieuse Parmi les femmes malades qui ont été présentées aux membres du con
s du congrès de l'hypnotisme, nous avons dit hier qu'il se trouve une femme qui marche sur la pointe des pieds. Son cas mér
ointe des pieds. Son cas mérite plus qu’une simple mention. Cette femme est à la Salpêtrière depuis trois ans et marche c
les marques ont réapparu. Il en a été fait des photographies. Cette femme se croit d'une très grande légèreté. Elle est pet
eux riant d’intelligence, un grand air de bonhomie et de bonté. Une femme d’une cinquantaine d’années, proprement vêtue de
oir, est assise dans l’embrasure d’une fenêtre. On fait cercle. Cette femme était sujette à des fugues inconscientes. Elle so
de nous une sorte de petite bonne femme entre deux âges, l’air d’une femme de ménage dans un quartier pauvre. Elle ne marche
ongtemps l’explication de cette étrange démarche. Et la voici : cette femme est une délirante mystique. Elle a des extases pe
dégénérées, à toutes les blessées de la vie. Dans cet âprè combat, la femme sera, en effet, l’éternelle blessée ; et, si l’on
et, si l’on consulte ce douloureux martyrologe, on constatera que les femmes forment la grosse majorité. Dans le vieil hospi
st presque la réédition de l'histoire de Ste Thérèse. 11 s'agit d'une femme en proie au délire religieux. Elle a des sensatio
use, sans fatigue et sans apparence d'effort. C'est devenu pour cette femme une posture normale. Dans ses périodes de crise e
uelques exemples récents empruntés à ma pratique médicale. I. — Une femme âgée de 30 ans présente tout à coup une crise à g
agnostiquée : crise d’angine de poitrine. Quelques jours après, celte femme vient me trouver : inquiète, anxieuse, la face co
cette personne un sommeil paisible exempt de cauchemars. II. — Une femme de 40 ans souffre souvent de fortes migraines, dè
lle a vu, à la première page d’un journal illustré, qu’une pauvre femme , après s’être jetée par la fenêtre, s’était fract
nsives. IV. — M. X..., auteur dramatique, est devenu le jouet d'une femme du monde, laquelle, selon toute vraisemblance, l’
errogé pendant l’état de veille, M. X... ne sait pas du tout si cette femme se livre sur lui à des manœuvres quelconques; il
ypnotique, il parvient à se rappeler et il me raconte que jadis cette femme l’a endormi par la fixation du regard ; depuis lo
t. En effet, lorsqu’il est en train de travailler à son bureau, cette femme vient derrière lui sans qu’il s’en doute; elle le
lysie des membres inférieurs. Je l'hypnotise et il me révèle que sa femme , pendant qu’il dort de son sommeil normal, lui a
finement ce qui se passe en lui. lors des suggestions que lui fait sa femme pendant qu’il dort du sommeil naturel. Voici ce q
pendant qu’il dort du sommeil naturel. Voici ce qu’il me répond : Ma femme me fait d’abord subir une certaine préparation qu
Discussion. M. Fare'z. — J’ai eu à soigner un littérateur qu’une femme s’amusait à endormir à volonté par simple pressio
qui s’élail passé pendant les sommeils antérieurs. Mais, comme celte femme lui avaitformeliement suggéré do n’en rien révéle
bitions suggérées, j'ai pu neutraliser l'action hypnotisante de cette femme et affranchir cet homme d'une telle sujétion. M
fera une conférence sur : Psychologie comparée : La psychologie de la femme abyssine. (Cette conférence sera accompagnée de p
es. Tout récemment encore, je me suis trouvé 'en présence d’une jeune femme qui, à la suite d’un accouchement compliqué d'acc
sycosis parasitaire, complétée en trois jours grâce aux prières d’une femme . Et pourtant il y avait des staphylocoques dans l
cherché chez cette malade les stigmates de l’hystérie, mais c’est une femme nerveuse évidemment, très excitable, et d’une loq
uérie. La tumeur avait totalement disparu ! Voici le second cas : une femme du Valais, doit subir le lendemain l’ablation d’u
ait due aux pérégrinations de la matrice (uevipa) dans le corps de la femme . « L’utérus, lit-on dans Le Timée de Platon (427-
du reste le diagnostic que fît le professeur Hardy; il le traita de « femme hystérique ». Pourtant, à cette époque, on connai
à un profond chagrin, il s’est contenu pour ne pas pleurer devant sa femme ; puis, lorsque tout a été consommé, en revenant
a mère, Mme Robinson, figure aussi dans les cirques sous le nom de la femme forte. Le fiancé, le major Criqui, est né à Newar
ource contre la famine. Un « attendu » juridique à retenir. Une femme atteinte de névralgie faciale fut soumise par un
dulte. Il en est de même pour une cellule quelconque dans un corps de femme , car on sait que la femme est en retard sur l'hom
our une cellule quelconque dans un corps de femme, car on sait que la femme est en retard sur l'homme dans le mouvement d’évo
ie soit surtout fréquente chez l’enfant, chez l’adolescent et chez la femme , et que souvent les hystériques héréditaires prés
le Dr Jules Voisin. 11 s’agissait, vous vous en sou- venez, d'une femme qui présentait des stigmates de dégénérescence me
mentale avec phobies multiples. Or, j’ai soigné, l’été dernier, une femme qui présentait des stigmates mentaux de même natu
le, elle n’est cependant pas négligeable. + ¥ • 11 s'agit d’une femme âgée de 57 ans, M,ne C..., grande, forte, solidem
fois mariée, la voilà transformée en garde-malade au bout d’un mois. Femme de son mari, elle ne l’est guère que de nom. Tout
nfin, de faciliter la restauration de la fonction menstruelle chez la femme . Eu résumé, l’emploi de la suggession hypnotiqu
naire. Le début de la maladie remonte à sept semaines. Ni lui ni sa femme n’ont jamais eu la moindre efflorescence sur la p
ivement ému, comme on peut le croire. Le soir même, il se plaint à sa femme de quelques démangeaisons; le lendemain malin, ce
roubles sont survenus après une violente disputé de cet homme avec sa femme : ils se rattachent à l’hystérie, en raison du dé
le Dr Chiari, Société de laryngol. de Vienne, 7 décembre 1809. Une femme présente un état convulsiforme des constricteurs
rbantschitsch Société autrichienne d'otologie, 2G février 1900. Une femme présente une perforation sèche des deux membranes
’est une paralysie subite et très douloureuse de l'accommodation. Une femme hystérique ne pouvait jeter les yeux sur un livre
s diverses, dépend exclusivement de l’état des organes génitaux de la femme considérée. Il y a là une relation de cause à eff
plus normale grâce à la résignation de l’épouse et à son désir d'être femme . Ces douleurs vulvaires disparaissent d'ailleur
intervention des plus simples. 11 s'agissait, dans l’un d’eux, d’une femme qui avait attendu la quarantaine pour goûter du m
tait de la sensibilité, il n'y avait aucun signe de contracture et la femme ne redoutait pas le toucher. Je pratiquai, séance
n. La guérison fut immédiate. Le second cas se rapporte à une jeune femme de dix-huit ans, mariée depuis quatre mois, encei
bien faire remarquer que ces petites lésions, qui, chez d'aulres femmes plus nerveuses, auraient simplement suffi à déter
ôt craintive, l'acte conjugal. Ce moment est évidemment grave et la femme en a nettement conscience : le bonheur de bien de
timidité et inexpérience du mari, soit par excès de sensibilité de la femme qui recule, instinctivement, devant la douleur. L
me intermittent. Ne connait-on pas. en effet, l'histoire de certaines femmes , qui présentent avec leur époux cette singulière
contracture hystérique qui se produit pendant le coit, chez quelques femmes , sous une impression sensuelle exagérée, qui croi
r ceci : c’est que le vaginisme n’est en général observé que chez les femmes mariées, soil que l’appétit sexuel ait empêché so
ation sur ce point, j’appris de cette personne l'histoire d'une jeune femme de vingt-trois ans, mariée depuis quatre ans n’ay
t et depuis n’avait pu jamais reprendre la vie conjugale. Cette jeune femme avait vu neuf médecins consécutivement et avait r
rères consultés, mon interlocuteur reprit vivement : « Docteur, cette femme est la mienne et je vous l’amènerai si vous le vo
ions très précises, il me fit le récit de sa vie. 11 avait adoré sa femme au début de son mariage, et avait bien constaté q
une fois enfin, il avait été plus brusque et avait réussi à rendre sa femme enceinte, mais c'était tout; à partir de ce momen
cription, je répondis en demandant au mari s'il s'était aperçu que sa femme manifestât quelquefois des désirs ou des sensatio
ors une chose assez étrange. En présence de l’impuissance où était sa femme de remplir ses devoirs conjugaux, il avait eu évi
ux, il avait eu évidemment des maîtresses mais sans cesser d’aimer sa femme avec qui il continuait à vivre commc un frère ave
l’habitude de faire lit commun. Or, depuis six mois environ, la jeune femme , qui n’ignorait pas les besoins de son mari, comm
jugales, mais chaque fois qu'il approchait de l’orifice vulvairede sa femme , celle-ci poussait un cri et devenait immédiateme
fis part de ma conviction au mari qui me promit d'envoyer bientôt sa femme à ma consultation. Lorsque cello-ci vint me voi
son mari aussi bien qu'à sa famille. Je fis remarquer à cette jeune femme que, dans ces conditions, il était totalement inu
esprit les phases classiques par lesquelles passe l'imagination d’une femme lorsqu’un premier désir s'est allumé en elle. Pui
qu’à prouver à celte malade qu’elle était bien faite comme les autres femmes et qu’elle pouvait en avoir toutes les qualités e
précédents confrères et peut-être exagéré le vaginisme de cette jeune femme . lôn poursuivant dans cette voie, j'aurais été
e cette suggestion. Voici maintenant un autre cas : il s'agit d'une femme de trente-six ans, mariée depuis huit ans à un ve
gé qu’elle d'une quinzaine d'années, et qui n’a jamais connu que deux femmes dans sa vie, sa première épouse et sa femme actue
’a jamais connu que deux femmes dans sa vie, sa première épouse et sa femme actuelle, n’a fait aucune tentative capable d’éve
ait aucune tentative capable d’éveiller les sensations de cette jeune femme . 11 n'y a pas d'enfants. Quand je vis la malade
et îe mari est le premier coupable en ne cherchant pas à arracher la femme à une appréhension fâcheuse. Bien des malheurs so
n féminine est telle, que bien souvent la jeune fille, qui va devenir femme , peut remercier sa mère de ses conseils, que cell
tre parce que l’on a abusé de ce terrain nouveau, peut-être aussi les femmes sont-elles plus nerveuses, et peut-être enfin, le
s d’aiguillettes, il en existe un peu partout. A Java, à Sumatra, les femmes contractent volontiers union avec les Européens:
es enfants, sur la famille. J’ai connu un cas semblable : une jeune femme de ma connaissance s’est laissée mourir ainsi, pa
aire général, le Dr Bérillon, nous relatait dernièrement le cas d’une femme bien décidée à se suicider de cette façon, et pou
u’un, etc., cela n’est pas exact pour la plupart des autres, pour les femmes surtout, chez lesquelles, d’ailleurs, la neurasth
iquée d’autres causes. M“fl L., tablelière, 38 ans, grande et belle femme , d'apparence magnifique, est malade depuis 11 à 1
ux, avec étourdissements. etc. Avant l’influenza en question, cette femme était seulement faible, anémique, ayant eu beauco
met à nu son ventre, ou on interpose un léger voile s’il s’agit d’une femme : on prend un sabre courbe ou kandjar dont la lame
la fois la vie intime de l’époux et les labeurs du savant ; et cette femme , issue d'une famille où la distinction et le tale
12 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s les phénomènes sous l'influence de l'hypnose 1. Pauline Th...s, femme Garn...r, âgée de quarante-trois ans, entre le
voirs conjugaux. Son mari était jaloux, il enfermait quelquefois sa femme , il ne lui permettait pas de regarder par la fe
e nouveaux sujets d'inquiétudes. Près de sa maison s'installa une femme médisante qui l'insulta et l'accabla d'accusati
ais plus loin, j'ai retrouvé de même le rhumatisme. Il s'agit d'une femme de cinquante- deux ans, Pam..., Mélanie, qui au
nt dans la cour, car elle « ne veutpas être dans la salle, avec ces femmes ! » Dans ses conversations avec nous, elle fait
car la malade est en pleine période des grandeurs. Cas. IV. D... femme Ch ? 53 ans. Pas d'antécédents héréditaires. In
e période à 52 ans. Délire ambitieux systématisé. Augustine D..., femme Ch..., est âgée de cinquante-trois ans. Elle es
soins du ménage. Elle est alors une ménagère rangée et économe, une femme d'humeur égale, une épouse aimante et dévouée.
'appellent « vieille gaule » ou lui disent : « A Saint-Lazare. » La femme Aron, qui loge au-dessus de son appartement, re
son mari entretient des relations adultères avec un grand nombre de femmes . c Tout lui est bon, dit-elle, honnête femme et
un grand nombre de femmes. c Tout lui est bon, dit-elle, honnête femme et catin, ouvrière et dame. » La concierge, femme
dit-elle, honnête femme et catin, ouvrière et dame. » La concierge, femme cepen- dant très âgée, la blanchisseuse d'en fa
eur propre lit avec elles : Augus- tine s'en aperçoit bien, car ces femmes remplissent l'appartement de puces ». D'ailleur
faire partir de la présidence, lorsque j'ai vu qu'il venait chez la femme Aron, cette concubine qui restait au-dessus, chez
s le style de la fin de la renaissance, on plaça ensemble hommes et femmes . Eu 1835 on éleva une nouvelle construction ; à
évit des locaux administratifs, dans l'étage supérieur on séquestra femmes et hommes malades. En 1851, on construisit le p
dortoirs bien ventilés que l'on aménagea aussi dans le pavillon des femmes furieuses reconstruit (actuellement 4° quartier
llon des femmes furieuses reconstruit (actuellement 4° quartier des femmes ) ainsi que dans la division des hommes. Nos mal
ment le traitement au lit des aliénés. Actuellement le septième des femmes et le cinquième des hommes sont ainsi traités.
es femmes et le cinquième des hommes sont ainsi traités. Ce sont 18 femmes et 36 hommes pour cause d'agitation 5 hommes et
Ce sont 18 femmes et 36 hommes pour cause d'agitation 5 hommes et 6 femmes pour mélancolie 6 hommes et 22 femmes pour para
e d'agitation 5 hommes et 6 femmes pour mélancolie 6 hommes et 22 femmes pour paralysie et affaiblissement physique 8 fe
hommes et 22 femmes pour paralysie et affaiblissement physique 8 femmes pour gâtisme 2 femmes et 9 hommes qui ont des h
pour paralysie et affaiblissement physique 8 femmes pour gâtisme 2 femmes et 9 hommes qui ont des habitudes malpropres et
des hommes pour 296 malades, 17 locaux d'isolement, et, pour 286 femmes , 34 cellules. Au pavillon des femmes furieuses re
caux d'isolement, et, pour 286 femmes, 34 cellules. Au pavillon des femmes furieuses remanié, on a adjoint, en 1892, une n
mes ont été transportés sur le domaine même. L'assistance libre des femmes est pratiquée quand leur état la comporte ; dan
f nouvellement édifié. J'ai réalisé mon plan dans la division des femmes . Ce qui me manque pour les hommes, c'est un qua
ésagréables et les plus gênants, notamment la nuit. La division des femmes se compose d'un quartier commode pour pensionna
édifice ; d'une villa pour dames habitant des chambres séparées et femmes tranquilles occupées aux soins du ménage; du tr
tranquilles occupées aux soins du ménage; du troisième pavillon des femmes construit en 1836 et maintenant en partie recon
alysées et de faibles ; du qua- trième et du cinquième pavillon des femmes où se trouvent le quartier de sédation, les loc
é. Archambault obtint le service des hommes, M. Calmeil celui des femmes . Peu de temps après, Archambault, ayant fondé une
t de deux bâtiments pour les hommes, et de trois bâtiments pour les femmes . Chacun des bâtiments est indépendant et possèd
e les cloîtres à l'asile d'aliénés. Plusieurs des aliénés hommes et femmes qui sont à l'asile ont déjà passé par différent
NTERDICTION Un fonctionnaire des télégraphes de Brème reproche à sa femme d'être infidèle. C'est une accusation absolumen
essive ; il lui est impossible de résister à cette obsession que sa femme le trompe. Ils concluent qu'en raison de cette
chez le défendeur, que lorsque les idées délirantes, relatives à sa femme , se mettent de la partie ; sur ce seul point et e
mise au concours d'un projet de construction d'un asile d'aliénées ( femmes ) et d'alcooliques (hommes), sur un terrain dépe
ents meurent vieux, valides jusqu'aux derniers jours. Marié à une femme poitrinaire, M... en a eu un fils, mort lui- mê
M... en a eu un fils, mort lui- même de la poitrine. Remarié à une femme saine, il en a eu deux enfants, restés vivants
uvait seulement des cauchemars. Malgré l'état de suggestibilité des femmes à cette époque, les menstrues n'ont pas eu d'ac
de pseudo-angine de poitrine, aurait, depuis vingt ans, d'après sa femme , les mains blanches comme sa fille, par intermi
'élément nerveux. Nous détachons l'observation VIII, concernant une femme de vingt-deux ans, d'un tempérament nerveux, ay
eur violacée avait disparu, lorsque; à la mort de son mari, cette femme a eu de violentes convulsions suivies d'un délire
dont l'influence n'est pas douteuse. A l'observation IX c'est une femme de trente ans, souvent maltraitée pendant son e
acquitté par le jury; c'était un alcoolisé qui, en compagnie de sa femme , également ivre, avait essayé un suicide à deux
mme, également ivre, avait essayé un suicide à deux, dans lequel sa femme seule avait succombé. A. Marie. 116 REVUE DE
é signalé par Lichtein en 1887. Dans ce cas nouveau il s'agit d'une femme de cinquante-trois ans. Le début eut lieu par d
des hommes et que le diabète insipide est rare chez les hystériques femmes . Le tableau clinique de la polyurie hystérique
x parties (au nord la division des hommes, au sud la division des femmes ). Les bâtiments qui servent à l'exploitation et à
er des hommes, tandis que le grand bâtiment fermé est destiné aux femmes . Le quartier d'aliénés de l'hôpital de Brème av
edouté dans Plouha (Côtes-du-Nord) pour sa bestialité vis-à-vis des femmes , s'introduisit, le 13 novembre dernier, dans la c
ptait au 1er janvier dernier 1,875 aliénés dont 1,005 hommes et 870 femmes . Placés chez des nourriciers, tous ces malades
s, on n'a signalé que deux cas de VARIA. 157 I grossesse chez des femmes aliénées. Les évasions sont également peu fréqu
nstallation et peut assister d'emblée 2,000 épilep- tiques, hommes, femmes et enfants ; mais on peut espérer qu'elle évolu
pileptique nommé Emile Bérenger, âgé de vingt ans. Mardi dernier la femme Franchet, qui était chargée par la famille de r
notre dernier Compte rendu de Bicêtre, p. 1893, p. 154, etc. B. Une femme TUÉE par un mouton. Le Républicain Orléanais du
e Républicain Orléanais du 10 novembre, rapporte que : «Une vieille femme a été tuée par un mouton, qui lui a porté un co
n- vier 1894, commis un homicide volontaire sur la personne de sa femme , en la précipitant par la fenêtre d'un troisième
ner dans le ménage Maumy ; des que- relles y éclataient souvent. La femme avait la réputation d'être honnête, laborieuse,
x et brutal, surtout quand il avait bu, et il buvait volontiers. La femme était alors obligée, pour éviter d'être battue,
u matin, une discussion s'est élevée entre eux et, à six heures, la femme venait s'abîmer sur le pavé de la rue. Transpor
instruction, l'inculpé a d'abord dit : 4 Je suis innocent, c'est ma femme qui volontairement s'est jetée par la fenêtre a
qu'on lui faisait, etc. Confronté à la Morgue avec le cadavre de sa femme , Maumy a eu une émotion bien vite maîtrisée ; p
question nettement formulée : est-il vrai que vous ayez jeté votre femme par la fenêtre ? Maumy tantôt ne répond pas, tant
us donne quelques renseignements. Il avoue qu'il n'a jamais aimé sa femme : « Nous n'étions pas de même idée tous les deu
marquer qu'il a avoué à M. le juge d'instruction avoir précipité sa femme par la fenêtre. « Si j'ai avoué, dit-il, c'est
'ouvrir avant le jour, se défendant à l'avance d'avoir assassiné sa femme . Ce n'est pas là la conduite d'un homme en proi
défendu assez habilement, soutenant qu'il n'avait pas précipité sa femme par la fenêtre, mais qu'elle s'y était jetée vo
y est-il coupable d'avoir commis un meurtre sur la personne de sa femme ? » le jury a répondu oui, mais a accordé à l'acc
son beau-frère était lui aussi malade. Il est mort un mois après sa femme . Elle passa la nuit dans la salle à manger. Con
jusqu'à la guérison. Son étiologie est déterminée. Il s'agit d'une femme de trente-sept ans, hystérique, hypno- tisable,
s 7 cas, 2 se retrouvent chez l'homme, 1 chez l'en- fant, 4 chez la femme . Le nôtre appartient également à la femme. Or l
z l'en- fant, 4 chez la femme. Le nôtre appartient également à la femme . Or l'érythromélalgie est en général une maladie
vec leurs cas personnels 40 cas. Nous avons eu l'occasion, chez une femme de la Salpêtrière, âgée de quatre-vingt-douze a
montent peut-être à l'âge de quinze ans. Le deuxième concerne une femme de trente-deux ans, nerveuse, su- jette à des p
naud et de Weir Mitchell. Morel-Lavallée a a observé le cas d'une femme atteinte d'érythromélalgie avec' paroxysmes aux
ion des vaso-moteurs de ces conduits. Dans certains cas, chez des femmes , l'appareil génital pour- rait être le point de
re récemment Zeller' a publié un cas de gangrène spontanée chez une femme de vingt ans, chlorotique, souffrant depuis peu
trues), il faut tenir compte de la suggestibilité très grande des femmes à cette époque, au moins dans les cas hystériques
l eut toujours une attraction particulière pour les souliers de ses femmes : il lui arrivait de les prendre souvent avec lui
'autre, dans la même propriété, l'une servant d'asile à des aliénés femmes , l'autre à un hôpital d'ivrognes. E. B. XII.
inante de l'affection mentale. Dans le premier cas, il s'agit d'une femme de quarante-trois ans, qui, atteinte de vaginit
ée par la syphilis; la paralysie peut se com- muniquer du mari à la femme ; elle est fréquente dans les grandes cités et
bre 1894.) L'auteur relate dans ce travail les observations de deux femmes chez lesquelles des attouchements coupables pra
état mental d'un sieur B..., inculpé de tentative de meurtre sur sa femme , avait aisément fait la preuve de la folie de c
lle-Evrard en octobre 1893. Arrêté pour tentative de meurtre sur sa femme qu'il avait grièvement bles- sée au sein gauche
bilité générale, qu'il avait été rendu totalement impuissant par sa femme dont il ne parve- nait pas à satisfaire les goû
firmativement qu'il fût atteint d'aliénation et qui a relevé que la femme B... n'était pas restée étrangère à l'interneme
sortie d'aliénés criminels, ordonnée par la justice. Quatre malades femmes de l'asile de Ville-Evrard ont été mises en lib
ier de surveillance continue pour traiter les agités que, celui des femmes ne suffisant plus, on a agité la question de la
core le faire parce que ses observations (qui ne concernent que des femmes ) ne le lui permettent point. Ou bien il s'agit de
n. Berne consacre plus de 1,400 francs à une maison de travail pour femmes ; Lucerne verse le total des recettes, 35,000 fr
ssements de même contenance, l'un pour les hommes, l'autre pour les femmes .' Tous ces asiles seront organisés pour l'hospi
se sont élevées à 133,000 marks (166,250 fr.). Dans la division des femmes , on construit deux bâtiments sem- blables, éval
dans des jardins. Il y a une division des hommes et une division de femmes . Chacune d'elles a son quartier d'admission et
le diviser en deux établissements : un asile d'hommes, un asile de femmes , ayant chacun son directeur médical. Ces deux c
cole spéciale pour les hommes et à Hubertusbourg une école pour les femmes . Dans ces locaux spéciaux habitent et sont inst
891, on a obtenu pour les hommes 74 p. 100 de résultats et pour les femmes 67, il est à remar- quer qu'en 1889 les résulta
er une partie de son domaine : les convulsions épileptiformes des femmes en couches, des enfants scarlatineux, etc., ont é
vec autopsies ; par le Dr Irwin NEFF. Le premier casa trait à une femme entrée à l'asile du Michigan pour léger affaibl
ogique montra que c'était un sarcome. Le second cas a trait à une femme de trente ans entrée à l'asile REVUE D'ANATOMIE
t sa consistance. Examen à.cet égard de 316 aliénés (165 hommes 151 femmes ). L'auteur signale l'hypertrophie de l'apophyse
ès allongé (2 observations) ; les ostéophytes de ce plan osseux (24 femmes , 25 hommes) simples ou doubles avec transformatio
s'éten- dant surleclivussuruiie étendue de 1,2 à 1,5 centimètre (2 femmes ); trois cas d'hyperostose à forme de tubercule
corps devront-elles en présenter à la fois', puisque 21 p. 100 des femmes normales examinées avaient quatre signes, et eh
O-SALPINGECTOMOE; par le Dr REGIS. Intéressante observation d'une femme prédisposée chez qui l'abla- tion des ovaires e
nt de Morton. M. BECTER. Présentation de malade. - 10 Acromégalie : Femme de cinquante-neuf ans, volumeexagéré du nez, du
ion, aucune maladie nerveuse. - 20 Syringomyélie (gliose centrale). Femme de cinquante et un ans, atteinte à dix-sept ans
té droit; rétention et incontinence d'urine. 3° Myxoedème au début. Femme de trente-quatre ans ayant été regardée dans sa
on émotion a été violente. (Quotidien illustré, 8 mars 1895,) Une femme qui se JETTE dans un puits. Ce matin, vers 10 heu
elle, 91, disant qu'elle allait tirer un seau d'eau. La malheureuse femme , qui ne jouit plus de la plénitude de ses facul
devenir épileptiques, surtout les héréditaires nerveux; 2° pour les femmes enceintes qui peuvent être profondément troublé
r cas pathologique. II. La malade que nous allons étudier est une femme de qua- rante-deux ans que je connais et que j'
puis quelques mois, à peu 'près depuis le mois de juin '1894, cette femme a présenté de grandes irrégularités de la menst
ûse en dehors 'de l'hystérie. Nous ? pouvons supposer=ici-que cette femme , en outre de son hystérie qui produit'.E=7rdiré
leur sont visibles sur le périmètre, on' peut déterminer chez cette femme le champ visuel subcons- cient et il est intére
-09 ... «h'o'î Nous n'avons étudié qué'des'epileptiques'vraies (des femmes ) T et nous nous sommes servi du sphygmomètre, d
e et clonique, le pouls ne pouvait être senti ; mais' dès que cette femme , faisant une inspiration profonde et supérieure
s les avoir entendus. Selon lui (et cela est bien con- firmé par sa femme ) les troubles de prononciation sont moindres lo
prétend qu'il n'a pas le droit d'y rester, et insiste auprès de sa femme pour quitter cette maison avant que la Compagni
de paralysie du grand dentelé gauche survenue brusquement chez une femme de trente-trois ans. Lorsque les bras sont pend
OTROPIIIQUF - par W. Mon. 1 Étude d'histologie pathologique sur une femme âgée de trente- neuf ans, morte à Charing Cross
on n'a pas la perception des éléments conceptuels représentant la femme considérée, sous le double point de vue moral et
es à l'asile de Lappviks de 1875-1892, soit : 1520 (861 hommes, : 659 femmes ), dont 107 (98 hommes, 9 femmes), soit 7,03, ont
-1892, soit : 1520 (861 hommes, : 659 femmes), dont 107 (98 hommes, 9 femmes ), soit 7,03, ont eu la paralysie générale. Elém
essive, qui est de beaucoup plus fréquente chez l'homme que chez la femme , sévit surtout sur la popu- lation des villes,
e, sévit surtout sur la popu- lation des villes, mais non parmi les femmes de bonne condition; 2° l'importance étiologique
er, et complètement coïter, sans que l'âme participe à cet acte, la femme n'éprouve de plaisir que si la cohabitation lui
r quelque sentiment. L'homme peut donc coïter avec n'importe quelle femme ; il coïte par nécessité sans intervention du p
; il coïte par nécessité sans intervention du psûchê, tandis que la femme qui trompe son mari le trompe doublement, physi
nt et psycliiquemetil. Par contraste, les exigences sexuelles de la femme sont bien moins puissantes que celles de l'homm
sadisme : activité conquérante et dominatrice de son amour pour la femme ; le sadisme masculin est donc d'un pronostic plus
tion (périodicité) joue un rôle dans les sensations sexuelles de la femme ; d'où sa passivité et en même temps son instin
n- servé quelques caractères physiques et psychiques rappelant la femme , et qui, lorsqu'il y a coït à proepostera c'est q
aravant l'élément actif s'est entraîné à la même pratique chez la femme . L'amour des prostituées entre elles provient :
. 'L'homosexualité des dames normales a les causes suivantes. Les femmes mariées, et dont les maris mesurent, sont surexci
r pudeur ou ont la crainte deiagrossesse ; mais, dans tous ces cas, femmes et filles choisissent des amies masculines (com
(commerce de l'homme pour l'homme) et le tribadisme (commerce de la femme pour la femme) dans lesquels il y a réelle impu
'homme pour l'homme) et le tribadisme (commerce de la femme pour la femme ) dans lesquels il y a réelle impulsion d'un sex
e d'une passion telle que la passion d'hommes normaux préférant des femmes grosses fortement cons- truites et énergiques (
uites et énergiques (sorte de masochisme), des tribades allant à la femme homme, des femmes normales préférant de jeunes
es (sorte de masochisme), des tribades allant à la femme homme, des femmes normales préférant de jeunes garçons délicats,
femelle. C'est un trouble congénital. Les urninges ne sont pas des femmes dans un corps mâle ; ce sont des mâles qui sont s
PATHOLOGIE MENTALE. 393 le même effet psychique et physique qu'une femme fait à un homme ordinaire. L'urninge se complaî
riche, on ne se loue point d'un personnel secondaire marié; ici les femmes des gardiens habitent la division des hommes et
e Cloumel (Irlande) : Une enquête judiciaire sur l'assassinat d'une femme Cleray a été ouverte le 26 courant. 1 Nous ra
x personnes au nombre desquelles se trouvent le père, le mari, deux femmes , tous parents de la victime, comparaissent devant
us parents de la victime, comparaissent devant le magistrat. z La femme Cleary souffrait de surexcitation nerveuse compli
, il lui demanda au nom de Dieu, de déclarer qu'elle n'était pas sa femme . Pour la forcer à faire cette déclaration, les
corps et y mit le feu avec un tison du foyer. Dix hommes et deux femmes assistaient à cette scène de sauva- gerie sans
rances au mari ; mais celui-ci soutenait qu'il s'agissait non de sa femme , mais d'une qui ne manquerait de disparaître pa
s souliers très crottés; l'esca- lier en bois dans les services des femmes dont les occupations sont intérieures. Nous a
s. Il serait hygiénique aussi, me semble-t-il, dans les services de femmes de disposer quelques bidets pour le lavage dés
uer toutefois que ces causes ne se ren- contrent guère que chez des femmes qui sont plus ou moins névropathes, et qui réag
n'est pas manifeste chez l'homme, elle apparaît clairement chez la femme . Nous avons remarqué que souvent les paroxysmes
e joindre à l'état saburral et parler dans le' même sens. Chez la femme , comme nous l'avons déjà remarqué précé- demmen
ne régularité parfaite. Peut-être ce fait peut-il s'expliquer. La femme passe là par une période où elle est évidemment
de petites infections locales qui ont pu s'établir là, parce que la femme se défendait moins bien à ce moment. Du reste,
e se défendait moins bien à ce moment. Du reste, presque toutes les femmes pen- dant les jours de la menstruation ont un c
cadémie de Pétersbourg. On lira aussi avec intérêt l'histoire de la femme possédée Solomoni, qui montre bien comment étai
és détenus légalement au 1 ? janvier 1893, il y a 4tl hommes et 379 femmes . La paralysie générale est assez rare à la colo
re- ment des aliénés des deux sexes d'un asile dans un autre. Des femmes aliénées sont, dans certains cas, conduites par d
s ou de surveillants, sont placés dans le même compartiment que des femmes aliénées, conduites elles-mêmes par des infir-
tablir dans ces transferts la séparation des sexes. A l'avenir, des femmes devront donc être seules char- gées d'assurer l
devront donc être seules char- gées d'assurer le transfèrement des femmes aliénées. Je n'ai pas besoin d'ajouter que cett
ption ne s'applique pas au per- sonnel médical. D'autre part, les femmes aliénées ne devront en aucun cas, être placées
13 (1903) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 18
rive à l'effet aphrodisiaque de la vitesse chez les romanesques. La femme cultivée aime l'homme qui expose sa vie car. par
st : «L'amour à pétrole » ; il a bien caractérisé la volupté de cette femme qui, ayant peur, se réfugie dans les bras d'un ho
ppelle l'évocation du subconscient. Donnons quelques exemples : Une femme a l'obsession du suicide; somnoformisée, elle ent
ntend une voix qui lui dit : « Va te jeter à la Seine ! » Une autre femme est convaincue qu'elle est appelée à jouer un gra
tés, l'empereur planta sa tente sur le roc entre Fattepuret Kipri. Sa femme , une princesse hindoue de la famille Amber, racco
par la suggestion hypnotique. Le cas cité par Khovrine concerne une femme atteinte d'hystéro-épilcpsie. L'application de la
amille: D'abord aimant et aimé, il se détache peu à peu des siens. Sa femme , qui le sent malade, l'entoure de soins et aussi
elles n'ont pas suffisamment d'expérience, ce sont d'autres vieilles femmes , spécialistes dans l'art de couper les freins de
eilli dans le sgàrgiu et coupe le frein de la langue. « Beaucoup de femmes demanderont compte plus tard de cette opération,
La passion de l'opium est répandue chez les fonctionnaires et leurs femmes ; la classe ouvrière en est encore indemne. L'Ad
és, les autres s'asseoient sur des fauteuils ou des chaises—hommes et femmes , quelle que soit leur condition sociale — comme c
s son règne, la puissance du clergé fut sans bornes. De sa première femme , Ermentrude d'Orléans, il eut 4 garçons et 3 fill
abbatiale. Protecteur et protégé du clergé, Hugo Capetus eut d'une femme inconnue un enfant nommé Gauzlin. Ce Gauzlin fut
mourir à celle d'Epternach. Karl le Chauve, ayant perdu sa première femme à 46 ans, se remaria l'année suivante avec Richil
s. En résumé, sur les 11 enfants que Karl le Chauve eut de ses deux femmes , nous relevons 4 sujets morts précocement, 1 bègu
t II dit le Pieux. Ce Robert, que le pape obligea de se séparer de sa femme et qui fit un TABLEAU III pèlerinage à Rome,
tin. Celui-ci eut 1 garçon et 2 filles, dont Constance de Toulouse, femme de Robert le Pieux. Cette Constance de Toulouse
minutes que je reçus une dépêche me priant de prévenir M. X... que sa femme venait de mourir subitement. Si donc j'avais été
asie d'origine hystérique, par M. le Professeur Raymond [*) Cette femme est âgée de 34 ans. Il y a six mois, après s'être
au niveau de la 3e circonvolution frontale et du centre ovale. Cette femme (1) Présentation de malade faite à la Clinique
premiers se contractent également des deux côtés. Je demande à cette femme de se coucher, puis de se relever; vous voyez qu'
sieurs cas. Fille d'un père éthylique et d'une mère nerveuse, cette femme épouse, à 26 ans, un veuf qui a une petite fille.
eau et elle a accusé sa belle-mère de l'y avoir précipitée. La pauvre femme , obsédée par le souvenir de cette fausse accusati
blié l'événement suivant sous la rubrique Faits divers : « La jeune femme d'un sous-préfet de la Somme se présentait l'autr
ffolé, entrait dans cette pièce, en s'écriant : « — Monsieur, votre femme vient de se jeter par la fenêtre. ? En effet, l
in pour en faire perdre la mémoire ou la rendre douteuse (') ». De sa femme Bertrade, qui consentit avec ses enfants à sa don
ée, et fut enterré dans l'abbaye de Fontenelle. Il eut de sa première femme un garçon et urie fille: Guillaume, vivant en 106
rié, et fut enterré dans l'abbaye de Fontenelle ; et .Agnès d'Evreux, femme de Simon de Montfort I". Simon de Montfort I" e
ait de Guy de Montlehery I". Celui-ci donna, à la sollicitation de sa femme et du consentement de ses fils Miles I" et Guy, l
jour de sa prise d'habit, le moulin de Grotel, par une charte que sa femme et ses enfants Miles I" et Guy posèrent sur l'aut
I, mort sans enfants en 1111 ou Il 12; et N. de Montlehery-Rochefort, femme à'Anseau de Garlande. -(1) Le prieuré était un
maury V, vivant en 1200, mon avant sa mère sans postérité de ses deux femmes ; Guy, dit le Chauve, mort en 1191, qui accompagna
uil avec quelque terres à Épinay-sur-Seine, et, lu consentement de sa femme et de Bouchard IV son fils, les deux églises le M
998, fonda l'église de Notre-Dame d'Eu et y mit des chanoines. De sa femme Leziéline de Turqueoille qui, étant veuve, fonda,
e de St-Jean-des-Vigncs et mourut le même jour que sa mère; et Agnès, femme d'Herué de .Vfon/morenc»/. Hervé de Montmorency
nts, et Yves IL Yves de Beaumont II fonda en 1080, avec sa deuxième femme , le prieuré de Ste-Honorine de Conflans pour des
, d'un oncle maternel et de son frère Geoffroy. Il eut de sa deuxième femme deux garçons et une fille, Agnès femme de Bouchar
eoffroy. Il eut de sa deuxième femme deux garçons et une fille, Agnès femme de Bouchard de Montmorency IV. 1 Bouchard de Mo
e jeune phobique, tout aussi nerveux, vient à ma consultation avec sa femme . Il entre seul, tout d'abord, me dit qu'il est au
blement conduit, et me supplie, pour le rassurer, d'examiner sa jeune femme à laquelle il est parvenu à persuader que cet exa
efusé à la chose, je consens à un examen superficiel, auquel la jeune femme se prête d'assez bonne grâce, et je constate une
maintenant sombre, préoccupé. Loin de se complaire auprès de sa jeune femme , il recherche toutes les occasions qui peuvent l'
nce particulière, le sentiment de pouvoir n'être pas considéré par sa femme comme l'être supérieur qu'il veut rester, l'a pré
intes à l'occasion de son mariage; de là à en attribuer la cause à la femme , il n'y avait qu'un pas, et ce pas fut vite franc
rlais tout à l'heure, changement difficile à interpréter par la jeune femme et à rattacher à sa véritable cause. Cet état s'a
islebert. Il donna à l'église de Ste-Gertrude de Nivelle pour lui, sa femme et ses enfants, douze manses (3) ou censes {*) si
ises à Villiers en Ardenne, avec une église et ses dépendances. De sa femme , qui fut enterrée dans l'église de Ste-Waudrude-d
ir aux frais du voyage en Terre-Sainte, vendit, du consentement de sa femme et de ses enfants, à Olbert. évéque de Liège, son
les et un garçon, Albert II. Celui-ci rétablit, du consentement de sa femme , l'église de St-Alban do Xamur où il élut sa sépu
it Liitibenrf. de Xiiir. vivait encore en 1189; et Alix de Namur, femme de Baudouin de Haynaut IV. . Baudouin de Haynau
La livre parisis valait environ 1 fr. 25. il: '.'·'-'}. km*. femme , laquelle l'avait épousé bien qu'ayant fait vœu d
re 1222, il fit hommage à l'archevêque d'Ambrun pour les terres de sa femme situées en Amhrunois. En novembre 1225, il empêch
ert de France-Bourgogne I fit, le l* mars 1043, du consentement de sa femme et de ses fils Hugues et Henry, une donation à l'
Florcy-sur-Osch en 1075, et fut enterré dans l'église de Semur. De sa femme llélie, sœur de Hugues de Semur (3t Hugues), abbé
bles, abbé de Saint-Martin de Tulles en III 1 ; et Mahaud de Turenne, femme de Hugues de Bourgogne II. t Hugues de Bourgogn
llongement hypertrophique du col ou d'une tumeur quelconque, chez une femme peut-être prédisposée par des grossesses multiple
ri me crier tout d'abord : « Mais, Monsieur, c'est extraordinaire, ma femme ne porte plus ni ceinture, ni pessaire, ne fait p
gues, l'habit religieux à l'abbaye de Cluny, où il fut enterré. De sa femme Gothelène, enterrée aussi à Cluny, il eut quatre
n âme et de celles de ses parents, et mourut en 1156 ; et Marguerite, femme de Guigues de Viennois IV, morte le 8 février 1 l
les et un garçon, Guigues V. Guigues de Viennois V* établit avec sa femme Mathilde les moines blancs de l'abbaye de Châlons
et mourut en 1208. Il eut pour fille unique Garcende de Forcatquier, femme de Raynier de Sabran. . Raynier de. Sabran et G
. Sabran et Garcende de Forcatquier eurent deux filles, dont Beatrix, femme d'André de Bourgogne. . André de Bourgogne et B
de Bourgogne et Beatrix de Sabran engendrèrent Beatrix de Bourgogne, femme d'Amauri de Montfort VI. t Amauri de Montfort V
de bonne aventure (j'écris diseuse, car ce sont plus spécialement des femmes qui se chargent d'éclairer les ténèbres du futur)
esse les déclarations qu'elle vous fait. Le rôle principal de cette femme , devant laquelle les sceptiques sentent un Qui Sa
e des Martyrs), disent que le Pouce de saint Jean fut apporté par une femme à Saint-Jean de Maurïenne, en Savoye... Et nos lï
Paris, 9 mai 1903, p. lôSj. (3) A noter l'intervention d'une jeune femme .' Or, cette intervention avait eu lieu avant l'an
eux, étalage plus prodigieux de béquilles et de bâtons... Une vieille femme aveugle, chante... Plus loin, un beau grand aveug
conversation a trait, de nouveau, à la remarquable fécondité de cette femme . Elle me cite un certain nombre de cas de gross
je suis pressé et que je veux couper court à la conversation. Cette femme est une bonne somnambule; elle présente au réveil
a que mes appréhensions n'étaient pas sans fondement. En effet, cette femme mit au monde des jumeaux de sexe différent. D'a
d'un second mariage ressemblent au premier mari défunt ; ou bien une femme blanche veuve d'un nègre produit des enfants mulâ
ression visuelle. Les impressions visuelles de la mère. Ainsi une femme , au début de sa grossesse, assiste au supplice de
plicié (Malebranche, Lavater). Lincoln rapporte le fait suivant : Une femme , enceinte pour la troisième fois, donne le jour à
59. sonnes tuées ; ces récits avaient extrêmement impressionné la femme enceinte. Lincoln rattache ce cas à une violente
s d'après le professeur Iassinsky (2). Le texte n'indique pas si la femme a vu le cadavre de son mari Si l'on suppose que,
tte règle au cas ci-dessus mentionné, nous pouvons supposer que cette femme , même si elle n'a pas vu les victimes de la catas
ne accoucheuse de Saratow Mme A.-P. Konstantinow. Elle accouchait uue femme arrivée au terme de sa grossesse; pendant le trav
d'une couleur rouge très intense. Or, au début de sa grossesse, cette femme avait vu de sa fenêtre, un violent incendie; elle
die et avait, de même que précédemment, porté la main à son cou. La femme de mon ami, le docteur T., contracta pendant sa g
ez. Les souris ont le don de faire peur aux enfants, ot surtout aux femmes enceintes. Une dame tout à fait digne de foi m'a
ame tout à fait digne de foi m'a raconté le fait suivant. Une jeune femme était en train d'arranger sa vaisselle. Tout à co
saute sur l'avant-bras lequel était justement tout à fait à nu. Cette femme était au début d'une grossesse. L'enfant qui naqu
rkow, 1887. (Texte russe} . Transmission de l'état maternel Une femme devenue folle par suite d'abus alcooliques avait
pendant trois générations consécutives. Voici ce dont il s'agit : Une femme remarque que son mari a l'habitude, pendant son s
et même plus. Son fils se marie quelques années plus tard et la jeune femme ne tarde pas à observer chez lui l'habitude décri
ogie du criminel M. le Dr Wateac, professeur. Objet du cours : La femme délinquante et criminelle : La législation compar
naire, de quelques heures ou, au plus, de quelques jours. On cite une femme qui s'endormait tous les quinze jours, du mardi a
Il y a quelques semaines, dans l'Allemagne septentrionale, une jeune femme , à l'occasion d'un incendie, sortait d'un sommeil
Psychologie. Ces dormeuses, (ce sont, en effet, le plus souvent des femmes ) provoquent la curiosité des foules, des gens du
d'André Vésale. Il est appelé en Espagne pour faire l'autopsie d'une femme morte d'une « suffocation de matrice » ; et la pr
ena à la vie le fils d'une veuve de Sarepte et Elisée, l'enfant de la femme de Sunein. Asclépiade, Empédocle, Apollonius de T
gestion : témoin les deux cas suivants, rapportés par Pfendler. Une femme de 28 ans présente, pendant plusieurs semaines, d
par provoquer la véritable attaque de sommeil hystérique. Ainsi, une femme éprouve dans le dos une douleur intercostale. Les
s les provinces du sud de la Chine. Les jeunes filles et les jeunes femmes ont adopté la coutume de s'attacher par groupes d
eux églises de Marly, donation approuvée par son fils Bouchard IV. La femme de Bouchard IV souscrit une nouvelle charte en fa
er, Hugues III, fait à la même abbaye une donation, en présence de sa femme Beatrix de Viennois. D'autres fois la famille p
ynaut III donne à l'église de Sainte-Gertrude-de-Nivelle pour lui, sa femme et ses enfants, douze manses avec une église et s
, y a sa sépulture. Baudouin de Flandre VI est enterré ainsi que sa femme , Richilde de Haynaut, dans l'abbaye de Hasnon qu'
eligieux à l'abbaye de Notre-Dame-du-Val. Son fils, Bouchard V, et la femme de celui-ci, Laurence de Hay- naut, y font be
ré. Guigues de Viennois I se fait religieux à l'abbaye de Cluny. Sa femme Golhelène y est enterrée. Ses fils Guigues-Raymon
rmi ses membres des bienfaiteurs de cette abbaye. Le grand-père de sa femme , Guillaume de Bourgogne I, y avait fait des donat
s conditions toutes particulières. A-t-il un rendez-vous avec une « femme nouvelle suivant l'expression de Fournier, il épr
ne « professionnelle ». Mais s'agit-il d'une petite ouvrière ou d'une femme qu'il a connue dans le monde, l'inhibition est co
ionnelle, cela va tout seul, je m'y prends comme ceci ; mais avec une femme du monde, c'est bien différent! » Au moment dél
nd il doit passer à une autre, il s'épouvante à l'idée d'affronter la femme nouvelle ! Cyniquement il me confie : « Vous n'im
je me fais l'effet d'un lâche! Dans la rue, si je rencontre une jolie femme , j'ai plaisir à la regarder, mais, aussitôt je me
sens bien qu'au bout de très peu de temps je serais, à l'égard de ma femme , ce que sont tous les maris; mais, pendant les pr
us salutaires. Peu de temps après, il se retrouve en présence d'une femme du monde avec laquelle il a subi, deux ans aupara
tairement à la surveillance d'une autre personne sobre par exemple sa femme , son parent, son ami, et promettre de ne jamais s
et, l'ouvrier buveur n'apporte plus d'argent au foyer domestique ; la femme reste sans pain, sans aucun secours. Les enfants
question du tribunal-: Quand cette malade sera-t-elle guérie? Celte femme -exerce la profession de chiffonnière. Un jour qu
que je présente à la Société est âgé de 44 ans. Lors de la mort de sa femme , survenue il y a dix-huit mois, il a été fort aff
ade a dû présenter une certaine confusion mentale après la mort de sa femme ; il est maintenant beaucoup moins confus et semb
pas d'autres ressources que d'entrer à l'asile. Le surlendemain, sa femme accourt chez moi, affolée. Son mari n'a pas uriné
commodé. « Pourvu qu'il ne se paralyse pas ! » Je rassurai la jeune femme de mon mieux. Je sondai son mari sans aucune diff
re très extraordinaire. Je le sondais non seulement en présence de sa femme , qui par la suite apprit à le sonder, mais encore
naçant de la ruine complète, chose d'autant plus pénible que la jeune femme était enceinte. Et, en y réfléchissant bien, la
nde suggestion, c'était pour réagir contre la contre-suggestion de sa femme qui me répondait: « Mais s'il urine une fois, ser
scrivis quelques pilules de bleu de méthylène sur les instances de la femme qui réclamait un signe sensible de la guérison.
i de tels désordres, que la nuit il saute à bas du lit et réveille sa femme en sursaut pour qu'elle n'oublie par d'aller livr
ussie. 3° M. Podiapoloscy (de Saratow). — Brûlure suggérée chez une femme ayant présenté du mutisme hystérique. 4» D" Bér
hologiques illustrées par un travail important sur la Psychologie des femmes à barbe, qui comprend environ 25 gravures. *
efficacement la suggestion pendant la narcose éthyl-méthylique. Une femme de 24 ans, primipare, est arrivée au terme de sa
, par la seule suggestion faite pendant cet état, j'obtiens que cette femme redevienne calme, qu'elle se maintienne sur le do
evient complète à 11 h. 1/2. Toujours sans éprouver de douleur, cette femme pousse de toutes ses forces, longuement, d'une ma
e dès accouchements sans douleur; mais, d'ordinaire, il s'agissait de femmes déjà hypnotisées un certain nombre de fois au cou
r hypnotiser d'emblée, pour la première fois et en plein travail, une femme qui, de plus, présente l'état d'exaspération dont
malade est constipé, il a des hallucinations visuelles : des têtes de femmes et des corps nus passent devant ses yeux. Ces vis
sent devant ses yeux. Ces visions paraissent plus fortes à la vue des femmes , de sorte que le malade les évite et refuse de se
Farez. Traitement hypnotique d'un cas de névrose trémulante chez une femme de 76 ans. Revue de l'hypnotisme, 1902. III. (6
14 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
tre commis par quelqu'un au courant des habitudes du garde et de sa femme : ceux-ci s'étaient absentés deux fois dans la
ns mauvais. Cing... m'obéis- sait eucore, mais il n'écoutait pas ma femme . » Le troisième mai- tie de Cing... déclara, au
novation qui ne peut manquer d'être très appréciée dans un asile de femmes , où la coquetterie ne perd jamais ses droits. E
ROU. VI. De la paralysie générale progressive des aliénés chez la femme ; par B. Greidenberg. (Neurolog. CentrulbL, XVII,
un paralytique pour six hommes ; une paralytique générale pour onze femmes . Accroissement de la paralysie générale. 48 R
ble et par suite, plus longue que chez l'homme. Conclusions. 1° Les femmes paraI} tiques générales ont beau- coup augmenté
rapport numérique de la paralysie générale chez l'homme et chez la femme dépend d'une série de conditions générales, loc
individuelles ; il ne peut, par suite, être partout le même ; 3° la femme tend à devenir l'égale de l'homme surtout dans
n haut de l'échelle sociale pour atteindre ensuite le bas ; chez la femme elle atteint d'abord les classes inférieures, p
elle devient plus ou moins démocratique; c'est le contraire chez la femme ; 4° en Taurie, il y a eu un rapide essor de la
ur- naliers. Aussi constate-t-on en douze ans la proportion d'une femme paralytique pour deux paralytiques généraux ; 5-
causes de la paralysie générale sont les mêmes chez l'homme et la femme ; chez cette dernière, elles paraissent plus fréq
us haut donnent à l'image clinique de la paralysie générale chez la femme un cachet spécial; 7° la marche en est plus len
accroissement du chiffre de la population. Cela est évident pour la femme , car pour 3,5-4 hommes, il y a maintenant une f
ident pour la femme, car pour 3,5-4 hommes, il y a maintenant une femme paralytique. 5° Fréquence ascendante de la para
qualités du sujet, sont des causes certaines. En ce qui concerne la femme , son émancipa- tion et sa participation de plus
Quel douloureux enfantement ! P. KERAVAL. III. Le tatouage chez les femmes en correction au Hanovre; par 0. SNELL. (Ce7lli
tre ans. Comme ailleurs, le tatouage est donc bien plus rare chezla femme que chez l'homme, etil consiste le plus ordinaire
ses observations con- tenues dans ce travail. 1° Observation I. - Femme de quarante et un ans, mariée, mélancolie avec
une cuillerée d'eau dont l'action a été suggérée. Observation IV. Femme de quarante-deux ans, célibataire, institutrice
me son trai- tement au moyen de l'auto-suggestion. Observation V. Femme de trente-huit ans, célibataire, névrite trauma
e, la malade étant morte trois semaines après. 3° Observation VI. Femme de vingt-huit ans, mariée ; cinq jours après so
soumettre à la médication thyroï- dienne pendant leur grossesse les femmes qui ont mis au monde un crétin. En le proposant
, par S. G. Bonney. (The Net-York Médical journal, 2 avril 1898.) Femme de cinquante-quatre ans, mariée, deux enfants, pa
nfluencent sa marche. Sur les 24 cas étudiés, il y a 18 hommes et 6 femmes . L'hérédité directe a été constatée dans 4 cas,
remière de ce genre qui ait été faite en Amérique : il s'agit d'une femme de cinquante-six ans, sourde muette, et atteint
effort, même de mastiquer ses aliments, et devenue gâteuse. Cette femme a été soumise, depuis février 1898, au traitement
ous présenter les deux faits inédits suivants, de même ordre : 1° Femme , cinquante et un ans; douleurs de la cuisse droit
s, a dû se divorcer, par suite de violences qu'il exerçait sur sa femme . Il s'est remarié et se porte à des voies de fait
me. Il s'est remarié et se porte à des voies de fait sur sa seconde femme , plus résignée que la première. De celle-ci il eu
que dangereux, querelleur et violent. Pas d'enfants de sa seconde femme . Les deux autres frères de notre malade sont mort
aucun ennui. Marié à trente-deux ans, il n'eut jamais d'enfants. Sa femme qui m'a fourni la plupart des renseignements ci
à la Kneipp, qui le rendait tout à fait fou, à ce que raconte ' sa femme , encore très émue à ce souvenir. C'est après cett
ment. Six mois avant son décès il ne pouvait plus manger seul. Sa femme était obligée de le nourrir, mais il était alors
DANS LA CHORÉE DEGÉNÉRATIVE. IOJ travers et, à maintes reprises, sa femme dut aller chercher au fond de sa gorge les bouc
son existence le malade ne pouvait pas non plus s'habiller seul. Sa femme était obli- gée de lui passer tous ses vêtement
6 1 PATHOLOGIE NERVEUSE. des scènes de violences pour un rien et sa femme en était terrifiée. Il entrait dans des accès f
, vociférant, sans pouvoir prononcer un mot, et menaçant de tuer sa femme ; il s'emparait de tout ce qui lui tombait sous
disant qu'il allait se jeter au Rhône. Comme il ne rentrait pas sa femme fut dans l'angoisse une grande partie de la nui
écipiter dans la rue. L'aurait-il fait, comme le croit fermement sa femme , si elle ne l'en avait pas empêché ? Quoi qu'il
enfantine qui lui donnait l'illusion d'être de quelque utilité. Sa femme , qui était coiffeuse, lui confiait des démêlure
le dans son intérieur. Il n'avait pas d'accès de jalousie contre sa femme , qui du TROUBLES PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉ
vent menacé de se détruire dans ses accès d'emportement contre sa femme . J'ai voulu rechercher dans la littérature médica
'y jeter, ce qui permit à son fils de l'arrêter. Une autre fois, sa femme l'a trouvé un cou- teau à la main, disant qu'il
jet (était-ce bien un projet ? ) à exécution. Une troisième fois sa femme l'a trouvé devant une fe- netre ouverte, menaça
urs. Dans la même année 1889, Kornilow publie l'observation d'une femme de soixante ans, choréique, sans anomalies psy-
teint de fureur alcoolique. Dans l'observation II il s'agit d'une femme de quarante-six ans, choréique et faible d'espr
, 8 114 r PATHOLOGIE NERVEUSE. l'arsenic en compagnie d'une autre femme toutes deux guérirent. Elle donnait pour motif
opre auxquels elle était exposée de la part de son entourage. Cette femme avait pro- hlablement subi la suggestion de sa
Gilles de la Tourette vient de publier une leçon sur la chorée des femmes enceintes (Semaine médicale, 13 septembre 1899,
re nosographique, parce que tous les cas de soi-disant chorée des femmes enceintes ressortissent notoirement soit à la c
places pour la division des hommes, deux cents pour la division des femmes . Les trois cents places d'hommes se décomposero
proprement dit ; 192 pour la colonie. 1 Les deux cents places de femmes se répartiront en : 88 pour la section de trait
l qui occupe actuelle- ment une ville. ' Les 108 hommes et les 88 femmes qui relèvent de la section de traitement actif
à l'assistance coloniale seront au nombre de 304 : 192 hommes, 112 femmes . S'il y a des inconvénients écono- miques et ad
hacun 25 à 30 individus, soit 6 à 7 pour les hommes, 4 à 5 pour les femmes . On élèvera une cuisine contiguë à une salle à
si un petit pavillon divisé en deux par- ties ; une partie pour les femmes , une partie pour les hommes ; chaque partie for
et tableaux établissant les détails des régions chez l'homme et la femme . La sensibilité tactile n'est pas parallèle au
l accomplissait sans fatigue et sans difficulté. Il est marié et sa femme ne présente aucun .signe d'infection. Le diagno
47 grammes chez l'homme et de 168 SOCIÉTÉS SAVANTES. 1089 chez la femme , ce qui constitue une diminution sur le poids m
e diffère que par 3 grammes en moins de celle de Baillarger pour la femme , mais elle est bien inférieure pour les deux se
par séries de 50 grammes. Il trouvé que le poids de l'encéphale des femmes paralytiques était diminué dans 80 cas de 47 à
us nombreuses. L'inégalité des hémisphères existait 53 fois chez la femme et 124 fois chez l'homme. Le gauche auquel quel
s volumineux qu'à l'état normal (l'auteur l'a constaté 21 fois), la femme et l'homme dont l'encéphale était le plus lourd,
de de fumer de l'opium et ils s'y livrent dans leur appartement. La femme de l'un d'entre eux s'est prêtée avec com- plai
ompagné sa mère en justice de paix à Grandcamp. Au retour, les deux femmes s'arrêtèrent dans quelques cabarets et Anne pri
On m'a assuré qu'en dehors des hommes, il y avait une trentaine de femmes qui étaient habituellement en état d'ivresse; e
ombre plus ou moins considérable de petits verres d'eau-de-vie. Les femmes et les enfants boivent à la maison et c'est en
njectures. Des voisins nous ont dit que le meurtrier avait perdu sa femme , il y a quelques mois, et que cette mort avait
les époux Boillot. Le mari est cantonnier de la ville de Paris, la femme est ménagère. Deux filles étaient nées de celte
le expira, au milieu des cris d'horreur des passants rassemblés. La femme Boillot la suivit de près; elle monta sur l'app
avres de ses petites filles qu'il adorait et ap- prit la mort de sa femme et l'horrible drame qui l'avait précédé. (Le Te
il est à l'asile depuis le 28 juillet 181o. L'intelligence de cette femme est à peu près la même que celle des personnes de
es les périodes de la vie, le plus souvent à la période moyenne. La femme est plus prédisposée que l'homme à cette forme
tres cubes pour les hommes et de 1.020 cen- timètres cubes pour les femmes . La densité moyenne pour le même nombre de mala
r de pareils malades en liberté. Elle est surtout fréquente chez la femme à la puberté et à la ménopause. Elle rentre dan
polyurie. Double syndrome de Weber avec autopsie. M. Souques. Une femme de cinquante ans, à la suite de céphalée et d'éto
la tuberculose en pathologie nerveuse. - 1\1. Dufour pré- sente une femme de trente ans qui souffre depuis trois ans d'une
rbales suivi d'autopsie. MM. P. Sérieux et FARNAniER.H s'agit d'une femme de trente-six ans, chez laquelle depuis quatre
s rêve- ries dont il ne sortait guère que pour quereller la vieille femme . Les signes de dérangement cérébral qu'on avait
n'y attacha pas d'importance. Ce ne fut qu'un peu plus tard qu'une femme , dont la chambre est voisine de celle de 111 ?
comprit qu'un drame se passait à côté. Malheureusement, cette jeune femme était alitée, elle ne put appeler personne, et
même. Dans la chambre à coucher, il trouva le cadavre de la vieille femme étendu à terre : la tête avait été presque comp
que j'observe actuellement voulant combattre, en lui-même et en sa femme , le démon de la concupiscence, la faisait cou-
st supposé doué de vertus préservatrices. En 1890, j'ai observé une femme qui a étouffé son enfant en lui enfon- çant jus
en plâtre de la Vierge. Enfin, ces temps derniers, je recevais une femme qui, dans un paroxysme délirant, avait, pour se
uffocation à l'aide d'une statuette de la Vierge. Guérison. C..., femme L..., trente-huit ans, est admise le 27 mars 1890
avoir brutalisé sa voisine parce qu'une voix lui disait que cette femme lui avait jeté un sort et était cause de son tour
ême un sens mystique, ainsi que nous l'avons précédemment admis. La femme a peur des armes tranchan- tes, en général, et
tes, en général, et répugne à s'en servir. Pour se suicider, les femmes se pendent, se précipitent, se noient ou s'empois
on d'un christ, laémorrhagiesinlestinales; mort ; autopsie. P..., femme J..., trente-quatre ans, mariée, sans enfants, ad
e un cas pareil survenant à la suite d'une fièvre typhoïde chez une femme de vingt-huit ans. Là encore la soif a précédé la
e des pau- pières et crises de sommeil. M. MEIGE. - Il s'agit d'une femme de vingt-huit ans dont la mère souffre depuis v
ale tout à fait pure, il a pu pourtant, avec M. Sérieux, suivre une femme qui a été atteinte pendant deux ans de surdité
s bien présenter des syn- 348 SOCIÉTÉS SAVANTES. dromes nets. Une femme alcoolique employée dans une distillerie eut de
rois susceptibles d'être trompeuses. Je les ai vues, chez une jeune femme à la suite d'une cautérisation du col, siéger à
'influence du morphinisme. M. BÉRILLON. J'ai observé chez une jeune femme morphinomane deux personnalités absolument diff
trice, intéressée, exclusive de toute affectivité réapparaît; cette femme se fait apporter ses livres de compte et pendan
hine qui joue le rôle de cause provocatrice. M. Jules Voisin. Cette femme est une hystérique à l'état habi- tuel ; elle d
objets plus petits et moins lourds. J'ai observé tout récemment une femme qui se plaignait amèrement de maigrir de plus e
individus, s'est élevé de 591 à G17, comprenant 297 hommes et 320 femmes . Les admissions comptent 147 admis pour la premiè
apport à la population moyenne; H,02 pour les hommes 40,86 pour les femmes . Elle a été de 9,47 p. 100 par rapport au chiff
position du gouvernement, élu conseiller général. Sa mère était une femme intelligente, douce, affable, d'une sensibilité
é à remplacer Prosper Lucas comme médecin en chef de la section des femmes de l'asile Sainte-Anne, et dans cet important s
protection pour les anciennes malades des asiles et aussi pour les femmes en détresse qu'il voulait arracher à la mélanco
à remplacer Prosper Lucas comme médecin en chef de la sec- tion des femmes de cet établissement. De cette collaboration na
en ce jour de deuil, j'ou- bliais les siens qu'il a tant aimés : la femme dévouée qui a entouré ses derniers moments de s
ld à succéder au D'' Lucas comme médecin en chef de la division des femmes . C'est dans ce poste où il est resté plus de vi
ès avoir décrit avec une émouvante simplicité les souffrances de la femme aux prises avec les difficultés de la vie, il p
atique du bien. ce On est frappé, écrivait-il, du grand nombre de femmes que la mélancolie sous diverses formes atteint
ncolique plus ou moins grave... « On sait quelles difficultés les femmes rencontrent durant leur existence ; filles ou f
ifficultés les femmes rencontrent durant leur existence ; filles ou femmes , elles sont souvent délaissées avec des enfants
nombre d'eeuvres destinées à les recevoir; mais trop souvent les femmes les ignorent. » Après avoir fait connaître le m
établissement quelconque appartenant à la Ville ; chaque jour, deux femmes s'y tiendraient à la disposition du public fémi
durant certaines heures de la journée et elles indi- queraient aux femmes qui se présenteraient les nombreuses fondations
nnaître les rouages et en apprécier le fonc- tionnement. « Que de femmes , de jeunes filles hésiteraient à se donner la m
déses- poir ne dure souvent qu'un moment très court. Comment les femmes connaîtraient-elles tant d'oeuvres d'assistance t
u ou office de ce genre ren- drait de réels services; tenu par deux femmes , il entraînerait peu de dépenses, la femme, con
services; tenu par deux femmes, il entraînerait peu de dépenses, la femme , conclut-il, montre plus de délica- tesse que l
cette fois la pensée que vous exprimez, quand vous écrivez que la femme montre plus de délicatesse que l'homme dans sa fa
invoque ce touchant argument, pour solliciter l'intervention d'une femme afin de rendre une assistance plus efficace ou
d'une femme afin de rendre une assistance plus efficace ou de cette femme elle-même ? Mon avis est que l'avantage apparti
devant nous à l'infirmerie du Dépôt. Le nombre des alcoo- liques femmes , dans les conditions qu'il nous fallait, est très
bir l'épreuve de l'excitabilité corticale. Ces quelques examens des femmes placées sous la surveillance des soeurs, devena
fé et le petit verre, tel était le régime. Depuis longtemps déjà la femme C... remarque qu'il y a certains moments où ell
ond avec intelligence aux demandes qui lui sont faites. C'est une femme petite, plutôt laide, mais la physionomie expre
iaires. Grand-père maternel alcoolique. Père ébéniste, séparé de sa femme , non buveur. - Mère patronne de lavoir, buveuse
s militaires. L... s'était marié, il y a à peu près un an, avec une femme plus jeune que lui. Dès les premiers jours du m
que nous avons examinés à ce point de vue savoir : 29 hommes et 11 femmes . Chez les 29 hommes nous l'avons constaté 26 fo
mes. Chez les 29 hommes nous l'avons constaté 26 fois ; chez les 'H femmes , 6 fois seulement et moins accusé que dans le s
art à la formation des conceptions de l'espace. Il s'agissait d'une femme de cinquante-trois ans, atteinte d'hémiplégie g
érie, la neurasthénie, les troubles des fonctions génitales chez la femme , les traumatismes cérébraux, la sénilité, etc.
l et de l'état pathologique. Vient ensuite le Meath Home pour les femmes et les filles épi- leptiques, à Westbrook, dans
triser et qui a nécessité l'application de divers topiques. Chez la femme , on ne relève pas d'autres traces de sypliilis qu
ive en 1890 et, actuellement, le syndrome tabétique complet ; cette femme nie la syphilis pour elle-même, mais son mari,
ersonne et aussi plusieurs tabétiques devant leur vérole à une même femme ? Pourquoi d'ail- leurs ne pas étendre à la syp
ection, et la syphilis n'avait paru mani- fester son action chez la femme que par des fausses couches, des accouchements
e tabes, l'autre de paralysie générale; j'ai vu enfin récemment une femme atteinte de paralysie spasmodique associée à de
hes de bougie, des bouchons, etc., chez des jeunes filles ou jeunes femmes qui paraissent bien portantes et ne songent nulle
ipales matières inté- ressant l'Association. R. M. C. CARLYLE, sa FEMME ET ses critiques ; par Sir James CRICaroN- BROW
de la Révolution française était à tous égards un mari modèle et sa femme aurait été fort injuste envers sa mé- moire. Si
ui se faufile dans la foule et pique, à l'aide d'un bis- touri, les femmes passant à sa portée. Ce dangereux maniaque est
le même sort à son vieux père qui venait essayer de le désarmer. Sa femme , de retour d'un enterrement, allait être tuée à
ux fou qu'on n'a réussi à arrêter que dans la soirée. A Auch, une femme Bourdelongue, dont le mari est garçon de café,
de ciseaux, jusqu'à ce que 1 enfant ait rendu le dernier soupir. La femme Bordelongue qui était sortie, il y a quelques m
Auguste Thaon, garçon d'hôtel à Nice, a été tué dans son lit par sa femme , Joséphine Peyron, d'un coup de couteau au coeu
ait le genre de sa maladie. (Petit Var, 4 février.) La folie. Une femme de cinquante ans, Mme Brunswick, demeurant rue
ce qui donnait quelque créance à ce récit, c'est que la malheureuse femme portait, en effet, au sommet du crâne, une bles
la plainte de M. P..., négociant, et sur sa déclaration que cette femme était folle, 111 ? Bonnefoy fut examinée par troi
lles pourraient causer de graves malheurs. En conséquence, les deux femmes furent internées, le 10 du courant, à l'hospice
ce. « La tête et les bras du cadavre furent coupés, et Scherf, sa femme et les deux chanteuses de psaumes se lavèrent les
« On prétend qu'il voulait aussi sacrifier un de ses enfants. Sa femme déclare « qu'il peut revenir à tout moment au log
l'Asile clinique (hommes) passe en la même qualité au ser- vice des femmes , en remplacement de Dr Bouchereau, décédé ; Le
ctère bizarre ; il s'emportait facile- ment et pour un rien battait femme et enfants. Mais un état men- tal ne commença à
silencieux, incapable de travailler. D'autres fois, il me- nace sa femme de la tuer, lui reproche de faire venir des polic
er domestique au bout de quelques années de mariage, abandonnant sa femme et ses deux petits enfants. Ce père, dénué de s
de toules sortes, ils se promènent, lui font des gri- maces..., une femme avec un oiseau sur l'épaule..., un enfant..., t
s apéritifs. Il se marie alors, mais ne fait pas bon ménage avec sa femme et la quitte au bout de quelque temps. Cela le
erreur d'adresse et écrit de nouveau. En 1888, il se marie, mais sa femme le quitte trois ans après, demandant le divorce
t-il, une croix, il y a des lettres dessus, P. A. P., une statue de femme ..., un enfant qui va il l'école, une route, une
aussi a-t-on été surpris quand, un dimanche soir, il a quitté sa femme , avec laquelle il vivait d'accord, emmenant avec
corps genouillé externe a produit une hémianopsie. Il s'agit d'une femme de cin- quante et un ans frappée successivement
observation de nature à confirmer cette hypothèse. Il s'agit d'une femme de soixante-deux ans, issue d'une famille dont
confuses de persécution et ayant fait des excès alcooliques. Cette femme a été atteinte soudainement d'accidents de paraly
que la cécité hystérique s'observe chez les jeunes filles, chez les femmes et quel- 528 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. qu
assin. - Le nommé Pierlot abandonnait, il y a quel- ques années, sa femme demeurant à Faulx (leurthe-et-Moselle) pour all
rement sans ressources et ayant pris des habitudes d'ivrognerie. Sa femme ayant refusé de reprendre la vie commune, il l'
autre fois encore, la même sug- gestion par lettre débarrassa cette femme d'obsessions et d'impul- sions au suicide. M.
ur les malades confiés à ses soins et angoissé par la pensée que sa femme , éloignée et dangereusement malade, pouvait mou
d'un sous-chef et de deux frères aînés ; mais là l'influence de la femme fait défaut ; en Angleterre on a paré à cet inc
à cet inconvénient, en plaçant à côté du directeur, une matrone, sa femme le plus souvent. Ce système est bon, mais il es
e. Les sons au foyer de la -, par Dide et Weil, 515. CAIILYLE, sa femme et ses critiques, par Crichton Biowne, 456. C
15 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
en qu'on est allé jusqu'à dire que les convulsions éclamptiques des femmes en couches méritaient le nom d'épi- DE L'INTOXI
ne note l'absence de troubles pupillaires que chez 17 (hommes 13,4; femmes 33,9 p. 100). Ces troubles sont moins fréquents
42 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Observation D. Pendant un congé une femme a pu accoucher ou faire une fausse couche; elle
eil- lance de cette aliénée-mère; et la question des congés à des femmes aliénées non encore enceintes (le mari se hâte dé
mmes aliénés en congé qui ont immédiatement des rapports avec leurs femmes . Et l'hérédité ! 2. Un cas de folie à deux. - O
schl. Pyknomètre capillaire de Schmalz. 138 malades (104 hommes, 24 femmes ). Cinq observations dans le texte. Conclusion
ens produit chez lui des érections, mais il ne peut coïter avec une femme . Cet homme a guéri.. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
es. Prédominance cependant d'idées de persécution rapportées à sa femme qui, aidée de ses complices, a a toujours fait so
e diffèrent d'eux que par une intensité moindre. C'est ainsi que la femme de S... raconte que son mari, il y a deux ans et
ffectueux pour les siens ». Quand sa tête est perdue, c'est, dit sa femme , un démon; il boit, il vole, il menace tout le mo
s les personnes qui l'ont vu alors " sont unanimes sur ce point. Sa femme exposant son état mental pendant les mois de ju
tre dans la grande classe des myopathies primitives progressives. Femme , vingt-sept ans, lourde hérédité neuropathique, u
plégie avec anesthésie croisées. Voici un cas de ce genre : Une femme de quarante et un ans, sans tare névropathique hé
e façon anormale. ' 68 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Observation. Femme , vingt-sept ans à l'époque de l'examen. Début d
ouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 4.) Première observation. Femme , cinquante-quatre ans, sans tare héréditaire, n
ouleurs en dehors des douleurs fulgurantes. ' Deuxième observation. Femme , quarante-cinq ans, tare héré- ditaire, pas de
tre multiples et bilatérales, les hommes y sont plus sujets que les femmes . Leur apparition est souvent précédée de douleu
cérébral d'un même côté. Deux observations. Première observation. Femme , vingt-sept ans. II y a deux ans céphalée, puis
prix Esquirol à MM. Antheaume et Iscovesco, internes du survice des femmes de l'asile de Villejuif pour leur mémoire sur l
lissement. Le nombre des paralytiques a été de 126 (119 hommes et 7 femmes ), c'est-à-dire du quart des entrées. Les sujets
ints de psychoses simples ont été au nombre de 342 (175 hommes, 154 femmes ). La plus grande partie des hommes rangés dans
M. Pierson la considère comme une forme excep- ' tionnelle. Chez la femme , c'est la mélancolie qui a été la psychose la p
liénés. 87 de l'encéphalite interstitielle chez l'homme que chez la femme , rareté de la maladie chez les femmes des class
ielle chez l'homme que chez la femme, rareté de la maladie chez les femmes des classes riches (4 ou 5 p. 100, au lieu de 1
On écrit de Courtenay, 21 mai, au Républicain Orléanais que « la femme Merlin, âgée de vingt-deux ans, manouvrière à Sai
me dont nous avons publié les détails dans notre dernier numéro, la femme Lejemble avait été conduite à l'hospice de Mort
ntervention de Mrl° Ba- chelier qui se jeta sur l'aliéné. La pauvre femme fut terrassée et piétinée par le fou qui cherch
ès et en porta des coups si violents à sa grand'mère que la vieille femme expira dans la soirée. Son corps a été trans- p
d'aliénés de la Roclie-sur-Yon, L'appréciation de l'état mental des femmes qui commettent un crime au moment de l'accouche
qui démontre que sous l'influence des douleurs de l'enfantement une femme ait été saisie d'une fureur homicide transitoir
ion mentale, de véritable affolement, qui accompagne chez certaines femmes l'acte de la parturition; ou encore qu'une épil
s ordinaires, c'est-à-dire peu de temps après la naissance, par des femmes pour lesquelles on invoque l'excuse banale de l
s à coups de ciseaux ne mérite-t-il aucune importance ? On a vu des femmes découper leur foetus en morceaux, d'autres le s
t d'excitation nerveuse quasi délirante qui s'empare de cer- taines femmes pendant le travail ne soit pas de la folie et ne
escence mentale, véritable origine de cette bouffée délirante de la femme qui accouche et il pourra poser, en dépit de Ta
itoire solidement établi. Qu'on interroge les familles de certaines femmes devenues tardivement aliénées, et l'on apprendr
aissent en même temps que se rétrécit le champ de la conscience. La femme , autrefois pleine d'affection et de solli- citu
s sur la station et la marche chez les myopathiques, à propos d'une femme myopathique de la Salpêtrière dont les muscles,
apophyse épi- neuse lombaire, elle descend un peu plus bas chez la femme adulte, ce qui tient à la plus grande courbure
uvelle iconog. de la Salpêtrière, 1894, . n° 4.) Le sujet est une femme appartenant à une famille nombreuse dont aucun
qui serait à la fois, anatomiquement ou physiologiquement, homme et femme . En revanche, on rencontre des individus qui ont
ion d'une vérité morphologique. Ainsi une statue figure un corps de femme très bien modelé avec les organes génitaux mâles
Les lignes du corps tiennent à la fois de celles de l'homme, de la femme et de l'enfant. Les deux sexes sont représentés
TUANEA et W. BULLOCH. (Brain, part. IV, 1894.) , Il s'agit d'une femme de soixante-six ans présentant de la para- lysi
entale. Sur les 250 malades observés, on trouve 138 hommes et 112 femmes .- En ce qui touche l'âge auquel l'épilepsie est a
d et deWest- morland), la mélancolie a paru plus fréquente chez les femmes que chez les hommes; 4° dans les cas de mélanco
ortion des guérisons a été plus élevée chez les hommes que chez les femmes , et la proportion totale des guérisons a été be
la mélancolie a été un peu plus élevé chez les hommes que chez les femmes : la cause de mort la plus commune a été la pht
tal Science, avril 1894.) La folie apparaissant d'ordinaire chez la femme à un âge plus avancé que chez l'homme, il en ré
ons mentales et les troubles somatiques qui accom- pagnent chez les femmes bien portantes la cessation des règles peuvent
ajouter que la tendance au sui- cide est surtout fréquente chez la femme à l'époque de la vie qui nous occupe. ' Le pr
ont les suivants : pour une première série de 102 cas, on trouve 59 femmes mariées (y compris un petit nombre de veuves),
s, soit 42,1 p. 100. Sur une seconde série de 120 cas, on trouve 94 femmes mariées, soit 78,5 p. 100 et 26 célibataires, soi
pathologique qui unit les modifications de l'appareil génital de la femme aux troubles intellectuels de la ménopause deme
psychologiques, mai 1895.) E. BLIN. XXX. Inversion sexuelle CHEZ la FEMME ; par le D Havelock ELUS. Intéressante étude sur
Havelock ELUS. Intéressante étude sur l'inversion sexuelle chez la femme , sur les causes qui peuvent la déterminer, sur
er, sur sa fréquence, sur les caractères physiques particuliers des femmes atteintes de ce trouble moral. Les femmes qui p
hysiques particuliers des femmes atteintes de ce trouble moral. Les femmes qui présentent de l'inversion sexuelle n'ont pas
nt assez fréquemment mariées, ce qui tient probablement à ce que la femme peut garder un certain degré de passivité. Il par
t certain que l'inversion sexuelle fait de nombreux progrès chez la femme : chez la plupart de celles qui sont atteintes
tra- vail par une observation typique d'inversion sexuelle chez la femme . (The alienist and neurologist, avril 1895.) E.
nd cas ressemble assez à de la paralysie générale au début chez une femme prédisposée par une lourde hérédité - alcooliqu
un cas d'insuffisance mitrale. M. Roubinovitcii. - Il s'agit d'une femme âgée de quarante-six ans, atteinte d'une insuff
C'est d'ailleurs la fille d'un alcoolique et la petite-fille d'une femme qui a eu un accès de folie puerpérale. Ce fai
t de faciliter la réadmission dans la vie sociale et domestique des femmes convalescentes se trouvant dans les asiles d'al
l'Ettre, avait perdu la raison à la suite d'une grave maladie de sa femme , et par un singulier revirement, depuis qu'elle
chez l'autre d'un délire d'emblée des dégénérés. OSERVATION I. - Femme de quatre-vingt-treize ans, sans affaiblis- sem
is cependant encore hallucinée. En résumé, nous constatons chez une femme de quatre- vingt-treize ans, conservant une int
Par quel mécanisme se sont produits tous ces symptômes, chez cette femme jouissant, peut-on dire, de toute son intelli-
e intelligence faible, mais on est ici embarrassé en présence d'une femme qui dans l'inter- rogatoire, et abstraction fai
on moins caractéristique, le délire d'em- blée. Observation II. - Femme de quatre-vingt-un an, superstitieuse, mystique
ait avec Mm0R. » - La malade répondit : « Ah ! voilà pourquoi cette femme voulait toujours revenir de la messe avec nous.
ves et d'infirmités morales ; le malade dont il s'agit répudiant sa femme , abandonnant ses enfants et déclarant adul- tér
progres- sivement dans sa vie intérieure fictive. Une autre sénile femme avait des illusions hypnagogiques avec réaction
de malade. M. Poxs (de Bordeaux) lit une observation relative à une femme atteinte de maladie de Basedow typique. Cette f
relative à une femme atteinte de maladie de Basedow typique. Cette femme était une hystérique, dont les attaques cessère
ntoxication initiale qui a fait de bonne heure une hystérique de la femme E... Elle n'a jamais cessé d'être en puissance
t, appeler, sur un détail, l'attention de mes savants collègues. La femme E... a été arrêtée à la suite d'une inculpation
ation génésique dans la maladie de Basedow. Se produit-elle chez la femme et faut-il y attribuer une importance en médeci
ant la destruc- lion d'un pâté de maisons contenant le quartier des femmes en observation. On suppose que le feu a pris da
cet établissement et ils sont appliqués avec brutalité. Une pauvre femme atteinte de mélancolie, était prise d'attaques au
des faits absolument révol- tants d'individus foulés aux pieds, de femmes tirées par les cheveux, de coups de pieds dans
eu d'accidents secondaires ; il a deux enfants bien portants et sa femme est acluellement enceinte. Histoire de lu malad
oïde à dix-huit ans. Le malade a une fille unique bien portante; sa femme , morte de la poitrine, n'a pas eu de fausse cou
'auteur est un cas de polynévrite à rechutes très espacées chez une femme de trente- neuf ans dans les antécédents de laq
QUE DES EXTRÉMITÉS; par G. HlI'SCh. (Arch. de Psychiat., XXV, 3.) Femme de cinquante-huit ans. Parésie spasmodique des ex
tion d'un cas de myxoedème datant de cinq ans et sur- venu chez une femme de quarante-cinq ans. Sous l'influence d'un tra
ar Fred.. Mort. (Brain, part. LXIX, 1895, p. 21.) Il s'agit d'une femme de trente-neuf ans, qui fut prise un an avant s
ter plus longtemps que dans les maisons pénitentiaires. Il y a des femmes qui dissimulent par honte, ne voulant pas avoue
XXX. 22 338, SOCIÉTÉS savantes. chez l'adulte. La malade est une femme de trente-deux ans dont le père était épileptiq
yon). Cécité verbale sans cécité littérale et sans hémianopsie. Une femme de trente-deux ans, ayant contracté la syphilis
énéral de la Vendée; cependant le projet de' réfection des bains de femmes a été ajourné à une date ultérieure. Sorties pr
p- tembre rapporte le fait suivant qui s'est produit à Agen : Une femme âgée de quarante ans, nommée Zélie Delias, domest
la commune. Après de longues recherches, le cadavre de la pauvre femme a été trouvé dans le gave d'Oloron, sur le territ
ués avec succès. Avant de mettre son funeste projet à exécution, la femme C... avait laissé sur un meuble un billet annon-
Parisien, 31 août.) La nuit dernière, vers deux heures du matin, la femme Jan- vier, fermière aux Hautes-Brives, près de
dix minutes ; les roues avaient passé sur le cou et sur la face. La femme Janvier ne jouissait pas de toute sa raison. On
s le pays qui baigne le Rhin, de Mayence à Cologne, quarante et une femmes , con- vaincues d'être possédées du démon, sont
en (Hanovre). L'asile'de ASSISTANCE DES ALIÉNÉS EN ALLEMAGNE. 371 femmes de Ilubertusburg fonde en 1870 la colonie de Reil
usburg fonde en 1870 la colonie de Reil- witz (90 hectares), où 104 femmes accomplissent tous les travaux agricoles, sauf
Observation d'épilepsie idiopathique - datant de l'enfance chez une femme de vingt-six ans. La plus grande fréquence des
une action variable. - La dose moyenne de 06,40, donnée à une jeune femme ner- veuse ou à un alcoolique font provoquer un
rches de l'auteur portent sur 830 autopsies, dont 656 hommes el 174 femmes . Kroemer, sur 196 cas, n'en a trouvé que 30 ave
uteur l'a trouvée augmentée de poids dans 192 cas (140 hommes, 52 femmes ), ce qui donne un total de 21,3 p. 100. Une dimin
e la pie-mère a été trouvé dans une proportion de 28,1 p. 100 ; les femmes le présentaient plus fréquemment que les hommes
ésions localisées ont été trouvées dans 70 cas dont 54 hommes et 16 femmes , dans une proportion ainsi de 8,2 p. 100 pour les
ativement fréquente, Kaes l'a trouvée dans 41 cas dont36hommes et 5 femmes . La dégénérescence et l'atrophie du moteur oculai
une proportion de 38,5 p. 100, dont zip. 100 hommes et 36,2 p. 100 femmes . Les pachyméningites spinales hémorragiques son
1860 le rapport entre le nombre des paralysies générales hommes et femmes était dans les asiles d'aliénés de 8 contre 1.
plus actives. Enfin, alors que jadis l'homme travaillait seul et la femme ne vaquait qu'aux besoins du ménage, aujourd'hu
age, aujourd'hui ce rapport social des sexes a beaucoup changé, les femmes se livrent en grand nombre à des travaux intell
aux intellectuels et corporels. Ce fait explique déjà pour- quoi la femme de la société actuelleaperdu son immunité relativ
les officiers, les médecins, les ban- quiers, celui que fournit la femme est très minime tant que la sy- philis n'est pa
ela se conçoit quand on réfléchit à la vie facile et inactive de la femme dans la société élevée, par rap- port à l'exist
QUES POUR SERVIR A la connaissance DE LA PARALYSIE GÉNÉRALE CHEZ LA FEMME ; par R. \VOLLEBEnG. (Archiv f. Psychiat., XXVI,
s 1881-1892, à la Charité de Berlin. Il est entré une para- lytique femme pour 3,5 hommes atteints de la même maladie. En
3,5 hommes atteints de la même maladie. En quinze ans le nombre des femmes paralytiques a doublé, et cepen- dant, le nombr
bre des femmes paralytiques a doublé, et cepen- dant, le nombre des femmes mariées l'emporte; très peu de pros- tituées.Ag
observées dans 59,33 p. 100 de cas chez l'homme et 60,38 p. 100 des femmes . P. K. XLVI. DE LA MANIÈRE D'ÊTRE DE LA CONSCIE
chez tous les représentants des races sémitique ethami- tique. Les femmes sont plus souvent frappées que les hommes. Le d
psychoses chroniques. - Les recherches de l'auteur ont porté sur 99 femmes atteintes d'affections mentales chroniques, dont
trente et un et quarante-cinq ans. Les psychoses observées chez les femmes étaient la paranoïa chronique (17 cas), la même
séjour et jusqu'ici s'est conduit convenable-, ment au dehors. Sa femme , âgée de'sbixanLe-six ans, passait pour intellige
lie imposée : le délire s'est évanoui dès qu'il a été éloigné de sa femme . Chez la fille c'est à proprement parler la fol
s du délire des persécutés-persécuteurs : 1° forme typique (chez la femme ) : apparition du délire sur le terrain d'anomal
ar leur coexistence chez tous les membres d'une famille. C'est la femme G... qui crée le délire, le systématise jusqu'au
antes qui lui sont imposées et les abandonne, une fois séparé de sa femme (folie imposée des Français). La fille, une hér
devenue enceinte il lui conseilla de se rendre à Amsterdam chezune femme X... Le jour du départ, W... accompagne sa dome
tée à l'hôpital, dénonce l'auteur du crime qui est emprisonné. La femme de l'inculpé ayant prétendu que celui-ci était at
ofesseur de onze langues. Ensuite il se marie et n'épargne pas rasa femme les injures et les coups ; il entretient des re
etient des relations avec sa domes- tique pendant les couches de sa femme . Il enferme celle-ci et la soumet à une surveil
me. Il enferme celle-ci et la soumet à une surveillance étroite. Sa femme s'étant réfugiée chez ses parents, W...va chez
pparition de manifestations maladives et avant tout de vertiges. Sa femme qui obtint la séparation, le considère comme un
ssis près d'un mur qu'il couvre de baisers, il s'entretient avec sa femme qui lui parle dans la langue universelle. Onanism
ue disent les médecins, ou si l'un des siens en était atteint - une femme ou un enfant - je me demande s'il serait satisf
n Orléanais publie une dépêche de Catane ainsi conçue : - - « Une femme du nom de Gaëtana Stimoli attirait, en leur prome
rs. Vingt-trois enfants auraient été empoisonnés de cette façon. La femme Sti- moli a été arrêtée ; elle a avoué ses crim
issement il n'y avait qu'à tirer au sort de quel. côté seraient les femmes et de quel côté les hommes, qu'à tirer égalemen
ourneville indique 3 baignoires pour une population générale de 700 femmes aliénées. C'est, je le crains, insuffisant; j'e
ré, ayant eu l'obligeance de me communiquer celles de sa section de femmes . Eh bien ! en ce qui concerne les agités, tandi
rard en ce moment : aux hommes de 13 p. 100 (tJ : 2 sur 395) faux femmes de 16,5 p. 100 (77 sur 466). Nous avons fini av
Ville-Evrard, elle est aux hommes de 6 p. 100 (24 sur 395), et aux femmes de 8 p. 100 (38 sur 466). Parmi les quartiers
chiffre total des vésaniques de 10 p. 100 (40 sur 395) et pour les femmes de 11,8 p. 100 (55 sur 466). Reste le quartier
aliénés à idées de suicide est bien plus con- sidérable du côté des femmes que du côté des hommes.. Ainsi, en ce moment, à
la population qu'approximati- vement ils comportaient soit pour les femmes , soit pour les hommes, nous avons omis d'indiqu
e façon toujours identique : Baillarger a rapporté l'histoire d'une femme qui, ayant été blessée au crâne par la chute d'un
l'a pré- senté ; Norwège, attribution au vote populaire (hommes et femmes ) dans chaque commune du droit de supprimer tout
is des recherches sur 100 paralytiques hommes, et 25 paralytiques femmes , d'une part, et sur 300 aliénés non paralytiques,
aut dans 58 cas. Résultat douteux dans 7 cas. Pour les paralytiques femmes on a obtenu les chiffres suivants : 490 SOCIÉ
ion, la grossesse et la ménopause mettent aussi indiscutablement la femme dans un état psychique anormal. Les causas mora
le p1 onostic de l'affection, comme un gynécologiste de soigner la femme en même temps que l'utérus. De même, le neuro-p
les d'aliénés néerlan- dais, G,SS` ? malades (3,269 hommes et 3,313 femmes ). Le nombre des admissions s'est élevé à 1,444
s). Le nombre des admissions s'est élevé à 1,444 (741 hommes et 703 femmes ). Le chiffre des guérisonsa été de 504 (hommes
et 703 femmes). Le chiffre des guérisonsa été de 504 (hommes : 260; femmes : 30r). La proportion des guérisons, par rappor
pport au nombre des admis- sions, a été de 39 p. 100 (hommes : 35 ; femmes : 43,2). Total des malades soignés : 8,026 (hom
femmes : 43,2). Total des malades soignés : 8,026 (hommes : 4,010 ; femmes : 4,016). Décès : 519 (hommes : 272; femmes :
026 (hommes : 4,010 ; femmes : 4,016). Décès : 519 (hommes : 272; femmes : 247). Proportion des décès, sur lOD malades t
Proportion des décès, sur lOD malades traités : 6,4 (hommes : 6,7; femmes : 6,1). Sorties de malades non guéris : 210 (ho
femmes : 6,1). Sorties de malades non guéris : 210 (hommes : 10'r; femmes : 106). Etat de la population le 1er janvier 18
tat de la population le 1er janvier 1894 : 6,733 (homm es : 3,374 ; femmes : 3,359). (Allg. Zeitsch. f. Psychiat., t. LU, fo
mps, paraît-il, elle donnait des signes d'aliénation mentale. Cette femme vivait seule; elle paraissait être dans une cer
version du sens génital, par Kraffl Ebing, 43. - sexuelle chez la femme , par Ellis, 163, 474. Kleptomanie chez une chor
augmentation de fréquence de la , par Kraft Ebing, 400. , chez la femme par YVollenberg, 404. Etiologie et svmptômes
16 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
ur des personnes de vingt-cinq à quarante ans, dont un homme et trois femmes . Dans la majorité des cas la maladie a débuté o
y avait à noter une cause occasionnelle décidée. La maladie d'une des femmes faisant l'objet de mes observations avait débuté
amment une complication dans ses pensées. Il commença à soupçonner sa femme , d'infidélité, quoiqu'étant parfaitement assuré q
pas de propos délibéré à être contaminé afin de se venger ainsi de sa femme . Sa pensée n'était plus uniquement : « Ai-je touc
dessein prémédité que je l'ai touché pour tirer ainsi vengeance de ma femme ? » Cet état psychique fit naître un tourment cont
heures. Une même évolution progressive a été observée chez une des femmes malades. D'abord la crainte de souillure, puis le
ntèrent des alternatives d'exacerbation et de mieux relatif; chez les femmes , les plus fortes crises coïncidaient avec la péri
partie de la fanfare militaire ; séparé depuis plusieurs années de sa femme et de ses enfants a cause de ses débauches et exc
argent sur sa solde pour acheter sa libération ; il alla rejoindre sa femme et ses enfants qui consentirent à vivre avec lui,
ystème nerveux. M. Tokarski en rapporte deux observations : 1 - Une femme de soixante-dix ans, encore active et intelligent
'ordonnerait d'assassiner, je ne pourrais pas m'en empêcher. » 2° Une femme de trente ans commença à être malade ver* vingt-h
Voici l'histoire rapide des prodromes de l'affection : M™ D. P..., femme d'un colonel, âgée de 37 ans, descend d'une famil
ues comme dans le cas dont je vais donner communication : Une jeune femme de vingt-trois ou vingt-quatre ans enfanta pour l
raire très fréquente, plus fréquente peut être que l'hystérie de la femme . Dans ces conditions, au lieu d'invoquer des stat
t dans une rue de Nancy, elle se vit tout à coup face à face avec une femme dont la moitié de la Ggure était affreusement col
fille, il est vrai sans avoir conscience, lors de la rencontre de la femme atteinte de pareille infirmité. Aussi j'en conclu
propos, je demanderai à mes confrères, non pas de rechercher chez les femmes qui ont eu des enfants avec marques anormales, s'
pensée de chacune de leurs fœtus ; mais de faire eux-mêmes, sur dt-s femmes endormies, et de la mère au fœtus, la suggestion
ggestive. Pour tenter de pareilles expériences, on doit choisir des femmes qui, de même que Mme L...., peuvent tomber dans u
nce de l'hypnose et de la suggestion. 11 va sans dire que parmi des femmes mélancoliques, on en trouve plusieurs qui sont ré
uggéré pendant le sommeil hypnotique. Récemment on a emprisonné une femme à Paris, pour vol, et on s'est aperçu que ses act
ait instituer une série d'expériences, le parquet a fait mettre celte femme en liberté. La loi devrait tenir compte des cas
z les philosophes et chez les moralistes, chez les hommes et chez les femmes , d'Aristote A Kant, de Montaigne à Pestalozzi, de
e loi pétris sa joue paralysée et l'autre — impassibilité. J... et sa femme et le docteur, je pourrais ajouter moi-même, sont
heim a voté avec moi. (2) La répuuiion, si justement méritée, de la femme de Tellin, la masseuse, repose uniqiiemcnt sur la
t causé par un coup de fusil tiré près la fenêtre du compartiment des femmes de notre asile. Et chez une autre femme hystériqu
fenêtre du compartiment des femmes de notre asile. Et chez une autre femme hystérique, que j'ai étudiée avec le Dr Guicciard
érifié ces mêmes résultats dans l'état hypnotique de plusieurs de nos femmes hystériques, chez lesquelles les phénomènes, soit
l y a plus encore : Charcot nous cite un cas où il a vérifié, chez la femme hystérique Ilabillon, à l'état de vetlle, l'exist
éaction des nerfs et des musetti aux eicilationi étectriquet chez une femme qui présentait ta phénomène! hypnotiques perniimi
pas éprouvé la moindre envie. Obs. IIL — Mme I...., âgée de 40ans, femme d'un fonctionnaire, vint me consulter en avril 18
ritation disparurent, et en qoelqoes jours elle devint une tout autre femme . Elle recommença à jouir de l'existence, à trouve
demoiselle de magasin, âgée de 40 ans, vint me trouver en Juin 1889. Femme sans éducation, peu intelligente, son commerce l'
emploi dans une maison de commerce et put vivre à la campagae avec sa femme et ses enfants. Je me sentis très fier de ce mala
mpérature en même temps que se faisait la montée du lait. Cette jeune femme allaite son enfant; elle n'a pas cessé de se port
d'Évreux (Eure). Nous avons eu recours à l'hypnotisation chez trois femmes hystériques dont l'état cérébral a été très améli
il s'agit donc d'un cas de gustation colorée. C'est chez une jeuno femme atteinte de neurasthénie que ce phénomène a été o
w-ïord à la Wiener Mediziniache Presse : « ? y a quelques années, une femme atteinte de catarrhe se présenta a « Manhattan Ey
au personnel de reconduire, si elle se représentait. Du reste, cette femme , informée du sort de ses premiers médecins, avait
e le résultat d'une impression momentanée agissant sur l'esprit de la femme enceinte. Néanmoins, de temps en temps, les jou
observé par moi-même, attira mon attention sur cette question : La femme d'un de mes amis, enceinte de deux mois, éprouva
, je voulus bander cette blessure et, au moment où je la nettoyai, ma femme , enceinte d'un mois, entra dans ma chambre et fut
ayeur ; ce dernier corroborait le fait. La sincérité du mari et de la femme est indiscutable ». Le cas suivant, relaté par
t de violents mouvements convulsifs (3), et Perez (4) constate qu'une femme qui éprouvait une grande frayeur trois mois avant
morales dérivés de l'entourage de la mère. Naturellement, toutes les femmes n'ont pas des enfants portant les traces de leurs
s. Il est probable que c'est aussi dans les impressions morales de la femme que se trouve la clef da secret pourquoi les enfa
se : dans un procès récent, un individu ayant tué sa belle-mère et sa femme , fut soumis à l'examen de médecins légistes. Les
essieurs, Je vous ai promis de vous communiquer l'observation d'une femme dont j'ai parlé au Congrès d'Hypnologie, comme ay
ur examiner l'état mental d'une nommée B..., inculpée de vol. Cette femme , âgée de vingt ans, avait dérobé un très grand no
Magasins du Louvre, de complicité avec trois autres individus : deux femmes et un homme, arrêtés en même temps qu'elle. Sa ph
du ventre et du thorax et par la cambrure du tronc en avant. Cette femme a été prise plusieurs fois d'attaques de cataleps
eux voitures de déménagement pour être transportées. De plus, cette femme était arrivée à être d'une suggestibilité et d'un
J'exposai celte conclusion dans mon rapport; je déclarai que celle femme avait élé l'objet de pratiques hypnotiques répété
. Conformément à mes conclusions, dans lesquelles je déclarai celte femme non responsable des actes qu'elle avait commis, l
En résumé, messieurs, si le délit de vol a pu être commis par cette femme sous l'influence de suggestions hypnotiques, l'hy
populations s'expose pour le moins à être insulté, aussi bien par les femmes et les enfants que par les hommes. Même dans la c
Dans le courant de mai 1889, je fus appelé pour donner mes soins à la femme Emma D..., atteinte de pleurésie du côté gauche.
grincements de dents, cris aigus, perte de connaissance, etc. Celle femme , âgée de vingt-six ans, n'avait jamais eu de cris
nerveuse réside surtout dans les nouvelles conditions de vie de cette femme à partir de son mariage. Elle était habituée au b
durée des attaques avaient fini par troubler l'intelligence de celte femme et par la rendre incapable de se livrer à ses occ
, mais encore les idées de persécution et de suicide. J'ai tenu celte femme en observation pendant un an; j'ai éloigné de plu
ur enfant, obéissent h un sentiment de haine et de défi. Telle, cette femme , qui voulait appeler son fils Lucifer, malgré tou
que revient le choix des prénoms'de sa fille. Les parents de cette femme étaient, eux aussi, des gens très peu intelligent
elle eût certainement fini dans un asile d'aliénées. La sœur de cette femme n'est guère plus intelligente, quoique d'esprit u
6 livres. Elle ne mangeait que des pommes. En quelques minutes, cette femme fut plongée dans l'état hypnotique profond. Je fi
use depuis dix an*, la guérison fut obtenue en deux séances. Chez une femme de vingt-six ans, qui refusait tout aliment depui
escents et les vieillards; 11° Caractères de la criminalité chez la femme ; 12° De la nécesssité de considérer l'examen ps
clinicien. Le sujet que je présente aux lecteurs de la Revue est la femme d'un médecin. Elle a aujourd'hui quarante-cinq an
metz, de concert avec M. Mesnet, désigna sous le nom de femme-cliché, femme autographique (d'où autographisme), le sujet qu'i
oise] et fortement soupçonnée de sorcellerie. Un des témoins, dont la femme était possédée des démons, vient déposer que, tro
époser que, trois ans auparavant, ladite Henriette avait apporté à sa femme « une escuellée de papet ». Dès qu'elle en eut ma
affligée de maladie incogneue et demeurait parfois morte ». La pauvre femme , au debut d'une grossesse, avait des syncopes ner
uy dire â Christofle, son voisin, qu'ayant ladite Fauravaud invité la femme Chrisloûe de venir empaster (pélrir la pâte) pour
vait prise, lui fil une espoigne (petil gâteau), et la donna à ladite femme de Christofle (qui la trouva irop petite pour la
igno souvent encore la maladie nommée aujourd'hui l'hystérie), ladite femme malade respondit de sa bouche : « Non, noa, ce n'
: ¦ El qui es-tu? • L'esprit démoniaque répondit par la bouche de la femme Christofle : « Je suis le diable, la Faravauda es
u'elle était soupçonnée d'avoir mis les démons dans le corps de cette femme . On lui ordonna de s'en aller, et, comme elle ne
e elle ne voulait pas partir, le mari de la démoniaque, envoyé par sa femme , s'en fut la battre pour la chasser. On raconta
ntes les plus grandes précautions possibles; nous avons examiné cette femme avec la méthode de psychiatrie moderne et nous lu
virent leurs parent* morts, en entendirent les voix. La pensée de la femme et du père de ces messieurs se transmit au médium
guéris par la suggestion hypnotique. Le second cas est celui d'une femme que j'eus à soigner à Londres. Un jour que j'avai
son colonel, qu'on lui faisait voir tantôt sous la forme d'une jeune femme nullement farouche, tantôt sous celle d'un maland
s qui me louchent davantage. Non seulement une jeune fille, une jeune femme peuvent, pendant le somnambulisme provoqué, être
ce péril, car il n'en est pas où les enfants, les jeunes filles, les femmes ne soient exposées à la présence, souvent prolong
us sommes amenés : Il serait désirable que chacun de nous, homme ou femme , sût jusqu'à quel point il est hypnotisable. Or.
eil somnam-buhque, parvinrent à vaincre son appréhension. La pauvre femme était si satisfaite d'avoir été opérée sans doule
• S'il est pas vray qu'aussitost qu'elle eût baillé l'espoigne à la femme Chrts-tolle, elle devint malade? Hesporui'U qu'el
e. Si elle n'a pas esté à la Synagogue (1JÎ R. Que non. » La pauvre femme n'en fut pas quitte si facilement. On l'interroge
« Qu'elle confesso la vérité touchant l'espoigno qu'elle bailla a la femme Christoflel R. Qu'ayant baillé ladite espoigne à
la a la femme Christoflel R. Qu'ayant baillé ladite espoigne à ladite femme elle ne se trouva point mal, sinon quelque temps
mme elle ne se trouva point mal, sinon quelque temps après que ladite femme tomba malade, et elle y accourut pour la soulager
igne ? R. Que les démons ne le disoyent pas, confesse bien que ladite femme disoi; : Faravaux, fars vaux, le mauvai» chacheau
d'un enfant devenu démoniaque pour avoir mange des châtaignes qu'une femme , accusée de sorcellerie, lui avait données. • L
el à l'Université de Pise. « Des caractères de la criminalité chez la femme ; des caractères de l'incorri-gibilité. • — Rappor
je fais allusion, il s'agit, vous vous le rappelés sans doute, d'une femme qui avait commis aux Magasins du Louvre une série
mis aux Magasins du Louvre une série de vols. Il fut établi que cette femme était une grande hystérique (je relève le fait en
déménagement pour être transportées ». Et M. Voisin ajoute que cette femme était À l'état de veille d'une suggestibilité exc
grands magasins, sous l'influence d'un entraînement maladif, par des femmes qui sont toujours des névropathes et souvent des
it à propos d'un individu sain. Discussion M. Aco. Voisin. — H La femme qui a fait le sujet de ma communication est d'une
t son absence de Paris, en relations avec les individus, un homme, sa femme et sa sœur, jamais, dis-je, elle ne s'était rendu
endue coupable du moindre délit. z* Le sommeil pendant lequel cette femme m'a fait ses révélations était bien vrai ; je con
d nombre d'individus, pour ne pas pouvoir être trompé. 3° Que cette femme soit hystérique ou non, peu importe ; le fait ind
ieté native a reparu et l'on est tenté de ne plus voir en cette jeune femme ce qu'on a appelé avec raison : un candidat à la
s est complexe et «on exposition est un peu longue. II s'agit d'une femme de trente-quatre ans menant habituellement une ex
1631 il y avait à Genève un ménage bourguignon, Jehan Vatrin et sa , femme , octogénaire* tous deux, fortement soupçonnés de
du temps. Entre autres maléfices, Jehan avait donné les démons à la femme de François Godet, en la touchant au col; et comm
rces le maléfice. Il finit par dire qu'il n'avait jamais toucbé eette femme ¦ au péril de sa vie ». « Interroguê. S'il a pa
forme il luy a paru ? /(. Qu'il ne s'est jamais présenté à luy. » La femme du sorcier fut mise à la torture sans avouer dava
lerie. Un jour, Henri eut une dispute avec un habitant du village; la femme de ce dernier excitant son mari contre le prétend
n grand danger d'être roué de coups de bâton, s'enfuit en criani à la femme : « Je te retrouverai bien, lu t'en repentiras »,
Je te retrouverai bien, lu t'en repentiras », et que de»-puis ladite femme ne s'est jamais bien portée et qu'elle frémissait
• nous lu nommerons assez. » Plusieurs témoins racontent que celte femme est exIraordinairement tourmentée quand le chien
qui voutust contrefaire 1 aboyement dudit chien, mais le lendemain la femme de luy qui dépose luy dit que c'estoii la femme d
mais le lendemain la femme de luy qui dépose luy dit que c'estoii la femme du voisin qui esloit possédée des malins esprits,
che la maison de la démoniaque, et qu'il entend toutes les nuils ceUe femme , laquelle quand les coqs chantent, hurle et aboyé
le mal, et avoir ouy dire que ledit F. avoit heu dispu'.e avec ladite femme , et qua lors qu'on luy demande qui luy a donné le
« Damoiselle Jehanne Baptiste, aagée d'environ 60 an«, dépose que la femme d'Henri Chalando, potsé-lée des démons, avant cil
pour luy bailler à boire certaines eaux, incontinent après que ladite femme les cun beues, les démons parlèrent en elle disan
me les cun beues, les démons parlèrent en elle disant que c'estoit la femme Anlonia qui les avait mis dans le corps de ladite
émons le reeognoisiroyent, et à cest effect tin un pain cuit à ladite femme Chalando de son pain, dans lequel pain cuit elle
qu'il» chargeaient la démoniaque, la dépeignant unanimement comme une femme qucrclleuM et cherchant noise à tous ses voisin*.
ortefeuille. Ses affirmations devinrent si catégorique* que la pauvre femme allait être incarcérée, juacd une circonstance fi
juacd une circonstance fit découvrir le véritable auteur du vol, une femme M..., de Ker D... qui fut condamnée a un an de pr
rait lieu de l'expérimenter contre la frigidité si fréquente chez les femme *. Ce procédé de traitement a plusieurs fois produ
soit, pour être concluant, commis par un honnête homme ou une honnête femme , et voici pourquoi : La plupart des humains ne
séance. Telle est l'histoire, pleine de péripéties, de celle jeune femme , histoire assez curieuse que j'ai cru devoir raco
un problème plein de mystère ponr l'analyse psychologique. Une Jeune femme , vertueuse, excellente mèro, épouse amante, oubli
ici : I. me parait qu'il n'y a rien de plus facile que d'abuser d'une femme mariée hypno-tisable, si elle aime son mari : On
xquels ella sentoit de la douleur... » Un autre témoin, une vieille femme de soixante ans. ajoute qu'on plaça la démoniaque
uvaise intelligence et sont demeurés en division depuis le jour où la femme Mocquier eut querelle avec ladite Maurice. Il* on
rie radicalement le jour où la sorcière est conduite en prison 1 La femme de Nicolas Piolet s'est aussi disputée avec la Do
ux coups. Suivant son habitude la Maurice fit des menaces et dit à la femme de Nicolas : Vous vous en repentirez. ¦ '.'effet
s chez la malade l'effet do la suggestion de la peur. « Marguerite, femme de Jean, quarante ans, dépose qu'il y a quelques
le mari d'icelle déposante fut appelé une fois comme témoin contre la femme Durai. Celte dernière passant par la rue, estant
haut et à réitérées fois : « Que l'ire de Dieu tombe sur Jean, sur sa femme et sur sa génération. » L'hystéro - demonopathi
« Honorable Jean Painbis croyl que ledit greffier a fait mourir sa femme soit environ huit ans, comme aussi une sienne jeu
ron huit ans, comme aussi une sienne jeune fille... advint que sadite femme avant fréquenté la maison dudit greffier, elle to
dre deux verges en bois de coudre et bien battre les babils de sadite femme , ei que celuy ou celle qui luy avoit baillé le ma
ges et bien battu les lu habits, advint qu'alors ledit greffier et sa femme tombèrent fort malades. * Il y avait bien d'aut
ce qu'on avoil fait auparavant et le Jour mesmo, Jusqu'à dire que la femme d'un certain Jehan luy avoit donné de l'eau à boi
aire ce signe de la croix pour chasser le Diable? R. Que ce sont deux femmes en ville et de Chesne. /. Si elle scait pas que
fust mal avisée. Comment sadite mère le scavait? R. Que ça esté une femme du village que le luy a dit. Si l'esprit luy a
vec peine et hoquets. , Une seconde procédure fut faite contre deux femmes [Tovne, veuve d'Abraham, et sa tille Pernette) dé
se (qui n'était autre que Jchanne, la démoniaque ci-dessus]. Les deux femmes avaient accompagné et probablement conduit la mèr
pas d'estre nommés chrestiens qui imputent les maux avenus, à quelque femme maligne, au diable et non à la volonté de Dieu- J
17 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ieur à l'égard d'une vieille fille, les reproches infructueux d'une femme au sujet d'une habitude insignifiante de son ép
l, par exemple). Ainsi en est-il de celui qui vient raconter que sa femme est devenue infidèle; de celui qui s'imagine av
ue sa femme est devenue infidèle; de celui qui s'imagine avoir pour femme ou pour fiancée, une personne qui en réalité lu
, irrité et perplexe, il est rentré chez lui et a tout raconté à sa femme . Celle-ci l'a déclaré fou. Ensuite, le médecin
ang ou le martyre. Il essaie d'abord de commettre un meurtre sur sa femme , qui ne parvient qu'avec la plus grande peine à
ar 1. CRocQ. (Joum, de Neurologie, 1899, n" 9.) Observation d'une femme de quarante-cinq ans qui, à la suite de travaux
it l'agent toxique; ainsi, chez ma première malade, il s'agit d'une femme originaire de l'île de Ré, née de père et mère
n. Du RÔLE DE L'HYGIÈNE ET DE LA GYNÉCOLOGIE DANS LES SERVICES DE femmes aliénées; par les Drs Picqué, chirurgien de la Pi
IÉTÉS SAVANTES. 61 plaçant au point de vue de l'hospitalisation des femmes aliénées. Notre pratique hospitalière déjà long
considérations d'ordre hygié- nique et thérapeutique spéciales à la femme . L'asile, construit toujours sur le même plan e
l'intérieur, qu'il s'agisse de l'hospitalisation des hommes ou des femmes , n'a été pendant longtemps qu'une « renfermerie »
t bien l'avouer, rien ou presque rien n'a été fait pour donner à la femme aliénée certains soins hygiéniques dont elle a
aux usages de la toilette. Les affections gyné- cologiques chez les femmes aliénées sont cependant d'une extrême fréquence
n des organes génitaux, soit environ une proportion de 89 p. 100 de femmes aliénées affectées de lésions de l'appareil gén
o- portion des affections de l'utérus ou de ses annexes, chez les femmes aliénées. Notre statistique donne le chiffre de 8
é réalisées à l'infirmerie de l'asile de Ville-Evrard (division des femmes ), afin de donner à toutes les malades opérées o
re les maladies mentales et les lésions de l'appareil génital de la femme , ne pouvait être que parfaitement légitime. Nou
riées ou un délire secondaire surajouté au délire primitif. Chez la femme douée d'une impressionnabilité excessive, l'atten
ormes hospi- talières s'imposent afin de doter tous les services de femmes aliénées d'un petit arsenal chirurgical destiné
inflammation qu'elles ignorent. Les perversions génitales chez la femme aliénée sont tellement fréquentes, tellement péni
tion de son asile, le 9 avril, était de 786 malades dont 407 et 379 femmes . Ces malades proviennent des Bouches-du-Rhône, de
rticulier pour les travailleurs, une nouvelle infir- merie pour les femmes , pour le pensionnat. Les locaux qui devien- dra
à la mémoire de l'ancien directeur-médecin. Un choeur (hommes et femmes ) composé de pensionnaires de l'établissement, a
- 68 SOCIÉTÉS SAVANTES. vie. De nombreuses dames, pour la plupart femmes des membres du congrès, en toilettes claires, p
s un édicule de la cour de Home, à la gare Saint- Lazare, une jeune femme paraissant âgée de trente ans, grande, l'air di
ps, même après le mariage; il ne pouvait avoir de relations avec sa, femme . Etant enfant et plus tard, pendant le service
it à lui. i. En 1882, il revient au pays natal sur le conseil de sa femme . Il ne travaillait plus suffisamment pour entre
erge. Il est persuadé qu'il accomplissait un devoir, en quittant sa femme et sa famille, et en parcourant les routes, la
son existence de vagabondage, travailler pour vivre, et rappeler sa femme auprès de lui. Il s'est attiré de la part des c
UE MENTALE. pas assez distinguée. Elle se peint elle-même comme une femme ayant le coeur très tendre, très romanesque, se
e profonde impression. Comme une fois il l'appela bonne et gentille femme (elle le prétend, du moins), demanda plus tard
peuvent s'éveiller en pareil cas dans l'esprit troublé d'une jeune femme toute naïve. Cette idée flottait de temps en te
it à peu près celle-ci : « Comment peut-il se faire qu'il y ait des femmes qui osent tromper leur mari ? L'idée disparaiss
et les médecins qui ne peuvent la guérir. A côté de cela, c'est une femme extrême- ment intelligente, très lettrée et ins
ujours on le tracassait, on le renvoyait de tous les ateliers ; les femmes s'en mêlèrent, tentèrent de le pousser au vol,
disait : « prends autant d'hommes que Napoléon, » l'autre, voix de femme , s'écria : « Au revoir Alphonse ! » J'en conclu
t son attention et sa jalousie. L'idée germa dans son esprit que sa femme avait des relations incestueuses avec son frère.
x qui l'insultaient et parlaient de lui, principalement celle de sa femme qui se moquait de lui, l'appelant cocu. Il alla
rocureur de la République. Ne recevant aucune réponse, il accusa sa femme de l'avoir interceptée. On l'interna en 1893. A
ans son délire, mais les idées de persécution dominent la scène. Sa femme le harcèle et le poursuit sans lui laisser aucu
envahi les autres organes des sens et la sensi- bilité générale. Sa femme et ses complices actionnent une machine électri
la République, « J'ai l'honneur de vous informer qu'Elvire P..., ma femme , est coupable d'excitation de mineurs à la déba
ginaires, l'origine de ses malaises. S'étant aperçu en 1894, que sa femme entretenait des relations intimes avec le frère
à la suite de ce qui s'était passé, vivre en bonne harmonie avec sa femme , il l'autorisa à se retirer dans sa famille jus
ard sur son lit de mort à la suite de ses couches. Une pièce qne sa femme croyait avoir près d'elle, et qu'elle voulait l
t de lumière; tout s'expliquait, les manoeuvres de la famille de sa femme et la substitution de l'enfant : le but était d
venant du gain d'obligations ( ? ) qui se trouvaient dans ce que sa femme lui avait apporté en mariage ( ? ). Voilà don
chantage. Tous ceux qui l'entourent sont payés par la famille de sa femme pour le faire disparaître, dans la crainte qu'il
'a voulu déposséder d'une somme de 100.000 francs, patrimoine de sa femme , du moins le suppose-t-il, car il ne fournit pa
il ne fournit pas plus de preuves de cela que de la trahison de sa femme et de la substitution d'enfant dont il parle; ses
très méritant, ayant une carrière hien remplie, qui a assassiné sa femme , le jour même et au moment où, d'un commun acco
- lielle hypertrophique progressive de l'enfance. Il s'agit d'une femme âgée de vingt-quatre ans, sans aucuns antécéden
levé dans cette statistique, fut de 2.06, dont 1. t74 hommes et 852 femmes . Quand on groupe ces malades d'api ès la durée
ues l'idée obsédante d'exposer les organes génitaux aux regards des femmes . Très lucide, se rendant compte de l'absurdité
s après il a pour la première fois des relations sexuelles avec une femme , mais sans grande satisfaction, aflirme-t-il.
perd toute retenue et se montre dès qu'il se trouve à portée d'une femme . Dès cette époque 1879, il est condamné à un mo
son pour outrage public à la pudeur, il s'était masturbé devant une femme au marché du Temple. Cette condamnation n'enr
ans la rue et avait exposé ses organes génitaux aux regards de deux femmes qui étaient accoudées à une fenêtre ; le mari de
'asile d'Auxerre. Cette dernière aventure provoque de la part de la femme une d52 SOCIÉTÉS SAVANTES. demande en divorce
bition et ne recherche SOCIÉTÉS SAVANTES. 153 pas d'ordinaire des femmes qui lui plaisent. Dans quelques cas rares, il s
d'ailleurs, du désir de copulation ; il ne cherche pas à séduire la femme et ce ne serait pas là, dit-il, un moyen de lui
'a pas de pollution, mais son désir est d'attirer l'attention de la femme , de voir les regards de celle-ci dirigés sur ses
leurs, c'est préférable, ajoute-t-il, aux rapports intimes avec les femmes , qui épuisent et ne peuvent se répéter que deux
pensée que dans ses rêves il se voit parfois s'exhibant devant des femmes qui le regardent et souvent, contrairement à ce
ns un square, s'assied sur un banc déjà occupé par une ou plusieurs femmes , il déplie un journal, lie conversation avec sa
talon, sort ses organes et s'arrange, dit-il, de façon il ce que la femme puisse le bien voir. Si quelqu'un approche, il
rtis, recouverts par son par- dessus et quand il passe à côté d'une femme , rapidement il entr'ouvre les basques de son vê
isisse précisément ses spectatrices, il s'adresse de préférence aux femmes qui paraissent devoir être disposées à plaisant
devoir être disposées à plaisanter, les bonnes. les ouvrières ; une femme avec un enfant lui inspirerait plus de retenue
rgie, qu'il exhibe sesorganes génitaux pour attirer les regards des femmes ; 3° T... n'est pas responsable de l'outrage pub
continence urinaire spasmodique pendant le coït. M. Paul Fanez. Une femme mariée, mère de famille, âgée de 30 ans, laisse
me de jets synchrones à ces mêmes contractions musculaires. Cette femme est hystérique ; elle est atteinte de bégaiement
s- psychiques. - M. GISCARD. Étude psychologique sur les envies des femmes enceintes. M. 13.1RADUC. Photographies de fluid
ur Cottin, trente-deux ans, placier en dentelles, rentrait ivre. Sa femme lui ayant fait des observations, il la tua d'un
auteur du crime. Emile Sorel, né à Martigny, quarante-huit ans; sa femme , née Delphine Guérin, originaire de Clécy, quar
le nommé Bazus, âgé de quarante-trois ans, typographe, a frappé sa femme , Marie Simonetti, âgée de trente-deux ans, d'un
'arme jusqu'à la garde dans le coeur. La mort a été instantanée. La femme a été transportée à l'Hôtel-Dieu. On n'a pas pu e
pu réunir. Observai ion 1 (Tournier, Rev. de méd., 1898, p. 671). Femme de quarante ans, est atteinte d'abord'd'hémiplégi
II (Magnus, résumée d'après Lépine. Rev. de méd., 1877 ; p. 917). Femme de vingt-cinq ans, atteinte de paralysie pseudo-b
us a paru intéressant de relever. - Observation 1 (M. Mossé) '. - Femme , soixante-dix-sept ans, hospitalisée à la Cliniqu
stérieures, l'hémorragie a disparu. Observation III (Rose). X..., femme âgée de quarante-cinq ans; rien de particulier da
t ans, des accès de paludisme peu sévères. Le 3 janvier 1892, cette femme présente une attaque avec para- lysie du côté d
the pons variolii; ingravescent apoplexy. W..., quarante-trois ans, femme de cabaretier se plaignait depuis une quinzaine
canaux semi-circulaires percepteurs des mouvements. Observation II. Femme atteinte de tabes bulbaire ; lésion des 3°, 5°,
de la station et de la locomo- tion est indemne. Observation III. Femme atteinte d'une tumeur bulboprotubé- rantielle ;
spécialement la neurologie, je lis il la page 27 cette phrase : Les femmes , dont l'infériorité cérébrale parait admise par
l'encéphale nous a demontré que les différences pour l'homme et la femme étaient moins que significatives. » 11 n'en est
ant donné certaines considérations évolutives, que le cerveau de la femme est relativement supérieur à celui de l'homme.
les praticiens contre l'emploi de la médication ovarienne chez les femmes enceintes, le suc ovarien ayant presque toujour
résenter sous trois formes : le puissance conservée pour toutes les femmes ; ` ? ° puissance conservée pour toutes les fem
pour toutes les femmes ; ` ? ° puissance conservée pour toutes les femmes , saut pour l'épouse légitime ; 3° puissance conse
consécutifs aux opérations pratiquées sur l'appareil génital de la femme (étude pathogénique). Margouliss (Abraham). Con
neurasthéniques. Maynaud (Armand). La sciatique variqueuse chez les femmes enceintes. Meillon (Alired). Contribution à l'é
oolique. (Petit Parisien, 11 août.) L'incendie de alancillcac. La femme Veilleraud est main- tenue en état d'arrestatio
sortie, la malade prit de l'armoise, sur les conseils d'une vieille femme . Seconde suppression des règles lors du second
crite comme fille sur les registres de l'état civil, et c'est comme femme également qu'elle a été placée à l'asile. Cepen
tait mâle par la barbe, la voix, le larynx, par le bassin; il était femme par la chevelure, la peau du tronc et des membr
s et jusqu'aux instincts bruyants et belliqueux du coq. » Chez la femme , après la ménopause, il n'est pas rare de voir ap
s'accomplissait chez M... dans la station accroupie, comme chez la femme ; le sujet d'ailleurs s'était toujours considéré
chez la femme; le sujet d'ailleurs s'était toujours considéré comme femme . Nous n'avons aucun ren- seignement sur la poss
médicale, 23 novembre 1898.) L'auteur rapporte l'observation d'une femme qui a été atteinte de névrite ascendante du ner
ales; 2° Les hommes en paraissent plus fréquemment atteints que les femmes ; - 3° La récidive a lieu aussi bien avant l'âge
- 8° Chez l'homme une seule récidive est plus fréquente que chez la femme ; 9° Une seconde récidive est plus fréquente che
e chez la femme; 9° Une seconde récidive est plus fréquente chez la femme que chez l'homme; - 10° Une seconde et une troi
e récidives ont lieu à égalité de fréquence chez l'homme et chez la femme ; 11° Les premières récidives constituent dans l
dier cette question, étant médecin dans un service de plus de 1.200 femmes , penche en faveur de la seconde ; c'est du moin
ue qu'il a recueillie dans le service de M. Magnan. Il s'agit d'une femme de trente-sept ans non syphilitique, mais fille
POSTOWSKY. M. Lioubouchine. - Un cas de démence organique chez une femme ' hystérique (avec présentation de la malade).
y, à Neuilly, le nommé Gelineau, rentrant ivre, voulut étrangler sa femme . Son fils Jules, seize ans, voyant sa mère en d
subi- tement folle a été conduite à l'hôpital où se trouve déjà la femme Elisa Joachim, cette mégère qui a décapité son
(Petit Parisien, 8 sept.). LES aliénés en liberté, Egorgé par sa femme , - Un terrible drame s'est déroulé la nuit dern
déroulé la nuit dernière, il Saint-Pol-sur-Ier, près Dunkerque. Une femme de soixante-huit ans, Elisa Joachim, née Menez,
boulangerie et dans une épicerie voisines. Arrêtée peu après, cette femme a déclaré qu'elle avait tué son mari parce qne
une de ses voisines. Cette allégation est fausse. Très méchante, la femme Joachim, qui était atteinte de la folie de la per
guerre, afin, a-t-elle déclaré, « de pouvoir tuer Dreyfus ». Cette femme , qui avait sur elle une somme de 700 francs, a
ant un coup de fusil sous le menton. Depuis quelque temps la pauvre femme donnait des signes de dérangement cérébral. Le
se suicider. (Petit Parisien, 12 sept.) Suicide. Une malheureuse femme de cinquante et un ans, qui ne jouissait pas de
donnait depuis quelque temps des signes d'aliénation mentale; sa femme avait introduit contre lui une instance en divorc
nir aux hallucinations psycho- motrices verbales, cite le cas d'une femme de quarante ans, saine d'esprit, qui « depuis c
é, coléreux et batailleur, est mort tuberculeux. Sa mère, une brave femme , vit et se porte bien ; elle s'est mariée deux
- tement par ses deux oreilles une ou plusieurs voix d'hommes, de femmes qui lui faisaient des reproches : « Tu fais mal t
bonne celle-là qui la protège contre les deux autres : des voix de femmes . La voix intérieure n'a pas changé de carac- tè
e, de là à Villejuif où elle entre le 21 novembre 1806. C'est une femme de petite taille, brune, elle pèse 50 kilogrammes
ter sa tristesse solitaire et la vie sans disputes, il revint il sa femme et aux querelles. - Ce ménage en désaccord cont
s de renseignements sur eux. 13... savait, ou croyait savoir que sa femme le trompait. Les premiers temps il n'en était p
onneur de son'nom, après trente ans de ménage, devient jaloux de sa femme toute ridée, comme un jeune Othello. Il ne veut
tion. Idées de persécution. Depuis un mois il lui semblait que sa femme et ses enfants lui en voulaient : ils étaient com
use dans la tête, je ne puis dire si c'est une voix d'homme ou de femme , ça n'a pas de timbre. « Cette voix lui dit sourn
me, ça n'a pas de timbre. « Cette voix lui dit sournoisement que sa femme le trompe, lui ordonne d'exécuter telle ou telle
ions de l'ouïe. - Il entend des voix d'hommes qui lui disent que sa femme a couché avec tel ou tel individu, où elle est,
où elle est, où elle va. « Cet homme, lui dit-on, est allé avec ta femme chez le marchand de vins. » Il entend des coups
ions nocturnes et diurnes ; il voyait des hommes autour de lui, des femmes , et même sa femme dans les bras d'hommes. Il vo
iurnes ; il voyait des hommes autour de lui, des femmes, et même sa femme dans les bras d'hommes. Il voyait également des
ne de jalousie, poussé par ses idées de per- sécution, il frappa sa femme à la tête et l'aurait tuée, mais il prit la fui
n peu sombre. Le 3 septembre il est calme, dort bien, il écrit à sa femme pour HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES VERBALES. 3
ontrariétés, s'est mis à boire. Il n'a jamais pu s'accorder avec sa femme . Mort à trente-huit ans d'une maladie de poitri
s exécutés sur les parties ou au voisinage des parties malades. Des femmes de petites tribus no- mades, comparables à nos
te de bois trem- pée dans un mélange de noir de fumée et de lait de femme , ils les enfoncent obliquement dans la peau, en
'il prend pour épigraphe : « La menstruation joue dans la vie de la femme un rôle important dont il ne faut pas exagérer la
localité, dans une maison du chemin du Pont, le cadavre d'une jeune femme . Ce cadavre était tout contusionné; il était re
tement, on en vint aux coups. L'homme eut le dessus. Il terrassa la femme , la saisit par les pieds et se mit à la traîner
nés sur la route. ' Des constatations médicales il résulte que la femme Rosmance n'a succombé que ce matin, à dix heure
llissements et en restant sur le terrain clinique. Observation I. Femme de quarante ans, sans hérédité connue, alcooliq
ulièrement du système de l'hexagone de 1'illis. Observation II. - Femme de quarante-neuf ans. Hérédité vésa- nique et c
t établi à la suite d'une seule poussée d'ischémie. Observation IV. Femme de soixante-huit ans. Hérédité inconnue. Intern
r- veux ne sont pas encore dissociés complètement. Observation V. Femme de soixante-douze ans. Antécédents héréditaires
la Salpêtricre, le mot travail retentit sans cesse à l'oreille des femmes aliénées qui s'excitent les unes les autres : c
ats-Unis, en 1875, 'Weir Mitchell recommande pour le traitement des femmes atteintes d'hystérie grave et de neurasthénie u
méricain, Samuel Jackson, avait recommandé le repos au lit chez les femmes hystériques et neurasthé- niques. ' Playfair.
bles à des coups de marteau. - C'est au commencement de 1897 que la femme est frappée du changement survenu dans le carac
la famille entre dans le ventre d'un éléphant couché sur le lit. Sa femme et sa fille l'appellent par la fenêtre : « Viens
attaché à un piquet, le gracie et a des relations intimes avec la femme de ce dernier, relations qu'il décrit avec force
ses draps, se roule à terre, frappe aux murs, entend la voix de sa femme et des menaces terribles. 23 décembre 1897. L'e
dducteurs. Nette chez les hommes musclés, elle l'est moins chez les femmes grasses. Elle est située chez l'adulte aux deux t
s veines, sans lièvre. Du moins, est-ce son avis. Il s'agit d'une femme de cinquante-deux ans, atteinte depuis plusieur
me à cellules rondes dans le lobe frontal gauche. Il s'agit d'une femme de quarante ans. L'hébétude indique déjà la pré
ave, par les conséquences qu'elle peut entraî- ner, surtout chez la femme (accouchements rendus impossibles), l'auteur pa
entendirent des coups de feu, puis virent s'élancer dans la rue une femme que poursuivait un garçon d'hôtel criant : « Ar
suivait un garçon d'hôtel criant : « Arrêtez-la ! A l'assassin ! La femme fut arrêtée par la foule, jetée à terre et piétin
lle-mère. Evidemment sa raison avait chaviré; on surveilla la jeune femme . Cependant, hier, elle échappa à cette surveillan
l'infirmerie spéciale du Dépôt. (La France, 3a octobre 1899.) La femme Truchet, de Loisé, près Mortagne, qui donnait des
Pommartin (Aube), sujet à des accès de folie, a tué sa voisine, la femme Fèvre, soixante-deux ans, puis s'est donné la m
s le -, par Letulle, 418. Démence. Un cas de organique chez une femme hystérique, par Lioubouchine, 340. DERMOGRAPI
Gynécologie. Du rôle de l'hygiène et de la - dans les services de femmes aliénées, par Picqué et Febvré, 60. Hallucina
ygiène. Du rôle de l' - et de la gynécologie dans les services de femmes aliénées, par Picqué et Febvré, 00. Hyperther
18 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
violet, violet et les couleurs foncées sont préférées des hommes; les femmes , passionnées pour la force et l'énergie, admirent
e mettaient a chanter, à gesticuler; les hommes faisaient la cour aux femmes , et maintenant que nous avons mis du vert ils son
ablement su vie ne pouvant faire deux pas sans être accompagné par sa femme ou son fils, ayant du cesser de travailler et tom
le heureuse. Ses amis et connaissances ne le reconnaissaient plus. Sa femme m'a envoyé un jour la lettre suivante : • Paris
e, prise û l'improviste par son fils au cours d'une promenade avec sa femme , la douceur de son expression qui fait contraste
couvert do son diplôms un cas d'exercice illégal ...Attendu que la femme Guertiau, demeurant à Montreuil (Seine) déclare q
in d'examiner lui-même les malades pour contrôler le diagnostic de la femme Guertiau, qu'il modifie parfois les ordonnances q
s'aidant toutefois du don de seconde vue, dont jouit, d'après lui, la femme Guertiau ; Mais attendu que les consultations o
du que les consultations ont toujours continué à être données chez la femme Guertiau ; que les malades s'adressent à elle ; q
es qui lui sont dictées, on doit, néanmoins, reconnaître que c'est la femme Guertiau qui, dans cette sorte d'association dest
des attributions que la loi lui confère en prêtant son concours à la femme Guerliau, coupable d'exercice illégal de la médec
ovembre 1892 et puni par l'article 18 de cette loi ; Attendu quo la femme Guertiau se trouve en état de récidive légale, au
mes de l'article 24 de la loi sus-visée. Condamne solidairement la" femme Guertiau à 50 fr. d'amende et Gibert à 16 fr. d'a
ur. L'un est collé au-dessns de la porte d'entrée de la chambre de la femme , l'autre sur son front et le troisième, réduit en
Maternité est enlevée de son théâtre et promenée sur le ventre de la femme . Ce procédé est considéré comme infaillible et, q
plication de celte excellente méthode. Pour guérir la nervosité des femmes enceintes et aussi pour les garantir contre toute
eudis suivants. • Au jour convenu, cet instituteur m'arrive avec sa femme et son bambin âgé de cinq ans et demi. J'installe
saint Jean passaient par une ville : ils trouvèrent un homme (ou une femme , garçon...) qui était brûlé ; et le bon Dieu dit
lé ; et le bon Dieu dit à saint .'ean : bulle (souffle) cet homme (ou femme ...) trois fois i'haleine de ton vent. Tu feras au
(?) Docteur Léo Desaire, toc. cit./page> page n="59"> — Les femmes qui accouchent d'un enfant bête souffrent beaucou
auffez-vous le dos au feu de laSaint-Jcsii. — Encore un conseil aux femmes stériles : Mangez de la galette desrelevailleset
r les cancers de sein ulcérés mérite cependant d'être mentionnée. Les femmes s'imaginent que le cancer est produit par une bêt
oux tous les hommes qui approchent de la maison sont les amants de sa femme ; il espionne et voit dans ses enfants même l'œuv
l espionne et voit dans ses enfants même l'œuvre de la trahison de sa femme . Le parfum inusité d'un mouchoir, un coup d'oeil,
son appétit. Si Gilberte lui disait qu'elle avait rencontré une belle femme , cette impudeur l'irritait, et il ne pouvait souf
t en odeur de dévotion, le ? octobre 1696. Déjà Florin Périer et sa femme n'étaient plus. Le premier avait terminé subiteme
indispensables. De l'interrogatoire, il résulte qu'il s'agit d'un3 femme de 55 ans. Quand elle sort pour faire une emplett
éjour chez le pharmacien, ni de sa conduite chez lui. En somme, une femme de 55 ans a des accès particuliers pendant lesque
linique de Charcot, de 1885 à 1887; c'est vous dire que j'ai vu cette femme pendant deux ans, chaque jour et plusieurs fois d
conduite du sujet est correcte, le malade n'est point un comitial. La femme de la Salpétriere qui est restée huit ans dans un
mmeil hypnotique et de la suggestion puisque nous avons affaire à une femme jadis ouvertement hystérique. Il me reste maint
presque toujours trois ou quatre pas en arriére et tombe ; une autre femme , au moment de sa crise marche en arrière: la touc
ssés, pris à l'intérieur. C'est, paraît-il, l'ultime remède de bonnes femmes , et on ne se décide à appeler le médecin qu'après
ent, où il montre que l'homme est toujours et fatalement roulé par la femme . Il a écrit Le Mal du Siècle roman où il met en o
die en collaboration avec Perd. Gross, i880. — De la castration de la femme , thèse, 1882. — La guerre des millions, drame, 18
'état d'hypnotisme. Tous les asthmatiques, vieux ou jeunes, hommes ou femmes , riches ou pauvres, exagèrent leurs souffrances.
, s'imaginant qu'elles préservent leurs moulons de la clavelée. Les femmes enceintes, en Italie, croient qu'elles accouchero
malheureux en ménage invoquent saint Gcngoul et saint Orner dont les femmes avaient un caractère intraitable: une d'elles tro
incontinence nrlnaire epasmodigue (). par M. le D' Paul Faiiez. Une femme mariée, mère de famille, âgée de 30 ans, laisse é
forme de jets synchrones à ces mômes contractions musculaires. Cette femme est hystérique; elle est atteinte de « bégaiement
ait les accès; ce qui retardait sa guérison. Mais, j'ai rencontré des femmes qui ont séjourné à l'hôpital pendant sept ans, pr
ements de la grossesse ; dans certains cas, ils imitent le rôle de la femme enceinte et de l'accouchée ; c'est ce que, chez c
près le réveil ; 2· des aliments après le repas de midi. C'est que sa femme , enceinte de deux mois et demi, raconte un jour,
suis pas une hystérique, disait cette malade; une hystérique est une femme qui court après les hommes; or,moi,je me suis tou
unique et suprême secret do l'art de guérir. Aussi lorsque les bonnes femmes de la Salpêtrière voyaient venir Duchêne, porîant
pital deux fois content, se disant : a J'ai fait plaisir à ces bonnes femmes et je n'ai pas perdu ma journée. »/page> pag
dans mon Histoire, des renseignements sur 103 dévots, 54 hommes et 49 femmes . Ces renseignements, empruntés pour la plupart
evint prêtre, 2 avocats, 1 sous-diacre, I diacre, 14 prêtres. Des femmes , 4 seulement paraissent s'être mariées et 33 étai
costumenos sujets choisissent des étoffes sombres et grossières. Les femmes s'habillent sans corps de jupe, portent des coiff
à!eurtour,sembIentêtrereprésentés dansmonHistoire par 30 hommes et 36 femmes . Cette classe comprend la majorité des dévots, le
tour, sont représentés dans mon Histoire au moins par 24 hommes et 13 femmes . Les créateurs-suggestionneurs étant les dévots d
'avais déjà fait un accouchement dans le sommeil hypnotique, chez une femme préalablement entraînée, que j'avais antérieureme
l'histoire. I M™ M..., sujet de la première observation, est une femme de 24 ans, de taille moyenne, de tempérament asse
vant dix heures. Le travail avait duré environ quatre heures. Cette femme n'avait jamais été hypnotisée et, en réalité, n'a
s la moindre complication. J'ai constate aussi qu'il n'y a chez les femmes , après l'accouchement, ni énervement, ni fatigue,
fait en quelque sorte mentir la fameuse parole biblique, disant à la femme : Tu 'enfanteras dans la douleur... Je répétera
ïn-12. — Paris./page> page n="184"> philosophiques sur les Femmes philosophes et où vous étiez certes pour beaucoup
ouligné la façon pénétrante et sourde dont se glisse la volonté de la femme . Voici un passage. Le héros du livre y parle lui-
C'est un étrange sentiment, que la suggestion muette, rayonnant de la femme amoureuse. Ses volontés descendent par les mystér
erre qu'on ne voit point. Le lent phénomène d'attraction créée par la femme se transforme chez l'homme en irrésistible désir.
ise de rupture, quand l'homme se reprend, il constate que cette jeune femme avait raison et il se détache de ses idées ancien
eudo-affection de la hanche était guérie. L'autre cas intéresse une femme de 30 ans qui vomit tout ce qu'elle mange ; on so
arle, répondit Hodgson, étonné d'entendre ce nom dans la bouche d'une femme qui ne pouvait le connaître. M. George Pelham p
italiens, étaient mariés et vivaient sous des gourbis improvisés. La femme de l'un deux, accouchéo depuis deux mois, se plai
davre au D' Mabboux, qui aval: été appelé en toute hâte, parce que la femme était en proie à une crise nerveuse des plus viol
dernier reconnaisse qu'on n'a pas vu absolument ia couleuvre téter 1» femme , il ne doute pas de la réalité du fuît. Nous ajou
que Broca, sous l'inspiration d'Azam, après avoir hypnotisé une jeune femme , avait pu lui ouvrir un abcès sans qu'elle s'en a
Par M. le Professeur Maein-bsco {do Bufciucrt). J'ai observé une femme de vingt-huit ans, sujet' .*·. divers accidents'
présence d'une hémiplégie hystérique. La façon dont marchait cette femme répondait parfaitement aux caractères que Todd et
es n'étaient plus engourdis et qu'elle pouvait marcher.De fait, cette femme a recouvré la marche, et la guérison s'est mainte
M. Balzcr vient de presenter à la Société de dermatologie une' jeu:ic femme portant des cicatrices aux mains, aux pieds, aux
caractéristiques et d'emblée localisés. Or, nous avons vu, chez cette femme , les accidents gagner de proche en proche, d'heur
es des différents sommeils par le fait suivant : je connais une jeune femme , mariée, et que j'hypnotise pour des troubles psy
suite, sans aucun incident, le sommeil naturel. Il y a, peur cette femme , équivalence entre le somnambulisme hypnotique et
le patient exprime des sentiments de tendresso exagérés &amp; sa femme , tantôt il menace de la tuer. D'autres fois, il e
33 ans, issu d'un père tuberculeux. Marié depuis cinq ans a une jeune femme . Pas d'enfants. Le patient maigrit depuis quelque
et maussade. Très irritable vis-à-vis des domestiques, il agonise sa femme do sottises et de grossièretés. 11 s'occupe moins
aire de gifles à son meilleur ami qu'il accusait d'être l'amant de sa femme . A partir de ce moment, les crises devinrent plus
moment, les crises devinrent plus aiguCs. M. T... me parla de tuer sa femme , son ami, et de se suicider ensuite; quand il par
ns de malades mélancoliques et tuberculeux. La première a trait â une femme de M uns qui, à la suite d'ennuis de famille, dev
-nous penser aussi do ce lubeivulcax maniaque qui, obligea sa jeune femme à déguster s,;j cmchaly, N-csl.C£s pas la encore
coït et qu'il fallut l'intei vention de la police pour soustraire sa femme à ses importunités. « Souvent, dit M. Chartier, n
entendra la chanson d'amour. Ce sera une voix d'homme ou une voix de femme . La voix sera entendue seule ou accompagnée d'i
onneurs avérés de mon Histoire, j'ai relevé 24 hommes et seulement 13 femmes . L'élément masculin l'emporte donc ici de près
nt lui qui le fait agir.» Et elle écrivait à une jeune fille ou à une femme qu'elle engageait à quitter le monde : On vous de
aire, il ne pouvait souffrir que Gilberte lui parlât de la beauté des femmes , et il trouvait même mauvais qu'elle se laissât c
d'outre-to m be. Jean de Borgia se convertit devant le cadavre pe la femme de Charles-Quint, et Antoine Le Maistre, après av
e jéminin. — Dans mon Histoire, sur 66 suggestionnées, j'ai relevé 36 femmes , et l'on sait que, dans l'assistance des cérémoni
, et l'on sait que, dans l'assistance des cérémonies religieuses, les femmes sont en majorité. Cela tient à ce que, chez la fe
eligieuses, les femmes sont en majorité. Cela tient à ce que, chez la femme , la docilité, la surémotivité, la suramativité, l
oncés dans le jeune âge que dans l'âge adulte. C'est surtout avec les femmes et avec les enfants que les religions se fondent.
eurs tout récemment supprimé d'un seul coup les vomissements chez une femme en badigeonnant la région épigastrique avec du co
uivants : « D'un blanc, d'un noir ou d'un Indien, d'un homme ou d'une femme , qui a la mémoire la plus longue ? Se rappellc-t-
hes blanches flottent, lumineuses, autour de sa tète. Près de lui des femmes couvertes de grandes capes sombres, déshabillent
a mère le/page> page n="288"> saisit par le bras, une autre femme retient ses jambes et le forgeron de sa main gauc
teint. L'enfant épouvanté, est habillé a la hâte et emporté par les femmes . Le vieillard a disparu. Chazal remet sa veste et
isite d'un commerçant de province, M. B..., qui me parla ainsi : « Ma femme présente depuis plusieurs mois des troubles menta
as convenir à son genre d'aliénation. a — Mais, riposte le mari, ma femme se proclame tout à fait bien portante, et elle re
Nous convenons alors que le lendemain dimanche, dans l'après-midi, sa femme cl lui se rendront en visite chez une de leurs pa
e. J'exprime donc à M. B... l'avis que, selon toute vraisemblance, sa femme est justiciable de la psychothérapie. Nous déci
Vers le même moment, M. B... m'écrivait les lignes suivantes : « Ma femme reprend peu â peu toutes ses habitudes; son carac
vous rapporter l'observation d'un quatrième cas, lequel intéresse une femme qui, l'an dernier, était internée à la Sulpclrièr
rison a été obtenue et persiste depuis plusieurs mois, bien que celte femme fût encore «lbumi-nurique u sa sortie de la dalpè
age> page n="311"> C'est ce que j'ai observé chez une jeune femme atteinte de morphï-nomanie. Selon qu'elle est ou
Prof. Raymond, Joum. de mèd. et de chir. prat.. 10 janv. 1900. Une femme de 59 ans ne peut supporter la vue de la lumière;
photophobie. 11 existe des photophobies hystériques; mais chez cette femme , 1 hystérie doit être écarlée, et, comme il n'exi
f. Raymond, Journ. deméd. et de chir.pr&amp;t., lOjanv. 1900. Une femme avait une passion pour son chat; comme celui-ci v
ce point, la zoophilie est sans contredît un état maladif,'car'cette femme que In mort de son chat impressionne à ce point a
aiter, car elle se montre peu accessible aux raisonnements. Une autre femme plus gravement atteinte et bouleversée par la mor
on tant redouté avait été employé à boucher une bouteille. Cette même femme , étant jeune enfant, avait déjà cette aversion tr
ié et on ne sait plus encore ce qu'il devient pendant trois jours. Sa femme le retrouve à la Chapelle. Dans la journée, on l'
hypnotique. Par M. le !>' Ii. Vehiubu. 1" observation. — Jeune femme de 22 ans, née à lerrae; son père est asthmatique
et l'autre maladie suivra probablement son cours. 2e observation. — Femme de 35 ans, couturière essayeuse. Père et mère att
ntiel, des bords orbitaires très peu développés, et l'on sait que les femmes ont, d'ordinaire, un goût très modéré pour les ma
hommes: beau parleur sentimental, U est très écouté et très goûté des femmes qu'il admet à ses réunions. // exerce sur les uns
s uns et sur les autres une véritable puissance hypnotique. Hommes et femmes l'accompagnent, lui font cortège dans toutes les
re fois et je reçois de nouveaux remerciements dithyrambiques : cette femme avait guéri parce qu'elle avait foi en moi. M.
nalières de somnambulisme (') par M. le professeur Raymond. Cette femme , âgée de quarante-quatre ans, vient il y a quelqu
emparé d'elle et l'empêche de parler; il a avec lui une ß clique » de femmes qui pénètrent en elle; on devine toutes ses pensé
olère; puis ce persécuteur a des pensées à lui, il les impose à cette femme d'un ton orgueilleux; avec un appareil spécial, i
l en cause. Que s'est-il donc passé ? Il y a quelques années, cette femme a été un médium célèbre et une somnambule « extra
gt; de direction, ont parfois la passion du somnambulisme. Or,celte femme a cessé tout à coup d'6tre endormie quotidienneme
e délire de persécution est en voie de disparition. Xotez que cette femme compte, dans ce qu'on appelle le grand monde, bon
19 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 7. Maladies des vieillards : goutte et rhumatisme
c fruit le chapitre intéressant consacré à YHospice de la vieillesse ( femmes ), par M. Husson, directeur de l'Assistance publiq
nous occuper, la popula-tion de cet asile se compose d'environ 2,500 femmes qui, pour la plupart, appartiennent aux classes l
forment deux catégories bien distinctes. La première se compose de femmes âgées, en général, de plus de soixante-dix ans —
que des affections de l'âge sénile. La seconde catégorie comprend des femmes de tout âge, frappées, pour la plupart, de maladi
ie avait été fondée, et l'on ne transportait plus à l'Hôte 1-Dieu les femmes malades, au risque de les voir expirer en chemin
ans, à quatre-vingts ans, il a perdu 6 kilogr. en moyenne. — Chez la femme , le maximum de poids existe à cinquante ans. (Sur
rois musculaires du cœur en sont presque toujours attein-tes chez les femmes qui meurent à un âge avancé. A cette altération d
rence est à peine sensible chez le second. Je vous présente ici une femme âgée de cent trois ans, qui 1. Mémoire sur les
p. 100 ; au-dessus de 60 ans, elle est de 1,6 p. 100. — Les vieilles femmes sont plus exposées à ces deux maladies que ne son
important mémoire de MM. Hourmann et De-chambre (1). « Les vieilles femmes , disent-ils, ne se plaignent même pas de malaise
mssen). Jours.. 1 2 3 4 5 6 Fig. 2. — Pneumonie catarrhale chez une femme de 83 ans. Mort. (Charcot.) Fig. 3. — Pneumonie
. vu. Malad. desVieillards. 3 Fig. 5. — Pneumonie lobairc, chez une femme de 75 ans. Guérison. (Ghargot.) La juxtapositio
veau. Fig. 6. — Pneumonie lobaire traitée par la digitale, chez une femme de 71 ans. Mort. (Charcot). Le second tableau v
Jours 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 Fia. 7. — Pneumonie lobaire, chez une femme de 76 ans, traitement par le rhum. Guérison. (Gha
Salpétrière. Jours. 2 3 4. Fig. 8. — Pneumonie lobaire, chez une femme de 83 ans. Mort avec élévation de la température.
à des lois identiques. Comme Fig. 9. — Pneumonie lobaire, chez une femme de 69 ans. Mort avec élévation de la température.
de la température. (Ghargot.) Fig. 10. —Pneumonie lobaire, chez une femme de 75 ans. Guérison. (Ghargot.) Fig. 11. — Pneu
75 ans. Guérison. (Ghargot.) Fig. 11. — Pneumonie lobaire, chez une femme de 75 ans. Mort dans la défervescence. (Gharcot.)
e; nous la trouvons en effet dans la proportion de 8 p. 100 parmi les femmes infirmes de la Salpêtrière. Il me semble donc q
interrompu ; souvent les malades tombent dans l'hypocondrie. Chez les femmes , cet état peut se compliquer de manifestations hy
gulièrement amoindrie; c'est ce qui se produit assez souvent chez les femmes et les sujets débilités. C'est alors la forme mol
on de la goutte n'est pas moins évidente que celle de l'hérédité. Les femmes jouissent, à cet égard, d'une immunité relative q
cependant des exceptions à cette règle, et l'on voit quelque-fois des femmes devenir goutteuses de bonne heure ; mais on recon
es individus sanguins et pléthoriques ; la forme asthénique, chez les femmes et les sujets nerveux. B. — Influence des clima
dans cet établissement. En effet, cette affec-tion prédomine chez les femmes , parmi les classes peu favo-risées de la société.
embolie cérébrale, consécutive à une lésion valvulaire du cœur. Cette femme ayant succombé plus tard dans mon service, à la S
de M. le docteur Bail (3). Dans le premier cas, il s'agissait d'une femme âgée de soixante-trois ans, concierge, qui portai
1865.) Voici l'analyse de celte intéressante observation : Chez une femme âgée de soixante etonze ans, depuis long-temps at
eux fois à la Salpêtricre. Dans le premier cas, il s'agissait d'une femme de soixante ans qui, pendant vingt-cinq ans, avai
du murmure vésiculaire. L'expectoration était peu abondante. Cette femme n'avait jamais éprouvé de rhumatisme articu-laire
econd cas, il s'agissait d'une malade âgée de soixante-six ans. Cette femme , après avoir habité longtemps 1. Op. cit., p. 6
ns les genoux. Après un séjour assez prolongé à l'infirmerie, cette femme a fini par succomber, après avoir présenté un œdè
quantité considérable de mucus verdâtre et tenace. Le fils de cette femme est depuis longtemps asthmatique (1). Il est év
git habituellement de jeunes sujets, âgés de seize à trente ans ou de femmes en état de grossesse ou depuerpéra-lité; les émot
espèce qui sont mal-heureusement très rares. C'est ainsi que chez une femme atteinte d'abord d'un rhumatisme subaigu fébrile
i-même j'en ai observé quelques cas à la Salpêtrière. Ainsi, chez une femme âgée de cinquante-trois ans, il y eut, au début,
res, liées au rhumatisme. Il existe actuellement à la Salpêtrière une femme de quarante-six ans qui, après avoir eu d'abord u
xe. — Les hommes sont plus sujets au rhumatisme articulaire aigu, les femmes au rhumatisme noueux. Causes extérieures. — Fro
que dix fois le père ou la mère était rhumatisants, et trois fois les femmes malades avaient des en-fants déjà frappés de rhum
nte observation decegenre.il existe en ce moment à la Salpêtrière une femme atteinte de rhuma-tisme noueux, dont la fille et
s jeunes sujets. IV. Sexe. — Les hommes, sont plus sujets que les femmes au rhumatisme articulaire aigu. Cependant il n'ex
. Le rhumatisme noueux est incomparablement plus fré-quent chez les femmes (Trastour, Vidal). Il suffit, pour s'en convaincr
uffit, pour s'en convaincre, de comparer les habitants de Bicêtre aux femmes infirmes de la Salpêtrière. Le rhumatisme parti
gu, soit surtout du rhumatisme noueux. Les trois quarts environ des femmes atteintes de cette dernière maladie la rattachent
débutant par l'articulation la plus voisine du point lésé. Chez une femme atteinte du rhumatisme noueux, cette maladie avai
niveau du siège principal de l'inflammation phlegmoneuse. Chez une femme de la Salpétrière, un panaris, qui s'était déve
l'in-fluence exercée par les fonctions de l'appareil génital chez les femmes sur le développement des diverses formes du rhuma
sse, l'accouchement, l'état puerpéral, l'allaitement, voilà, pour les femmes , des causes qui exercent une puissante influence
le rhumatisme articulaire aigu, ou sub-aigu, s'est manifesté chez les femmes enceintes. — J'ai rapporté dans ma thèse plusieur
des arthropathies purulentes multiples peuvent se développer chez les femmes en couches. C'est à tort, suivant nous, que ces f
ai vu la gravelle urique coexister avec le rhumatisme noueux chez une femme ; mais le sang examiné dans ce cas, à plusieurs r
u des cicatrices spécifiques. Je pourrais citer plusieurs exemples de femmes qui,, pendant leur jeunesse, ont été affectées de
ollatérale. J'ai vu moi-même le rhumatisme noueux se montrer chez une femme dont le frère était goutteux. Ces relations en ap
lricker (1) a réussi à faire disparaître des dépôts tophacés chez une femme en lui faisant prendre une imitation artifi-ciell
é d'observer dans cet asile sur une grande échelle, sur-tout chez les femmes relativement peu avancées en âge ; d'autre part,
j'ai présenté ici, il y a trois ans, dans une de ces conférences, une femme plus que centenaire, et jouissant d'une excellent
te un tableau relatif à un cas de pneumonie lobaire observée chez une femme âgée de soixante-cinq ans; vous voyez que la cour
thermométriques que je veux mettre en parallèle : l'une concerne une femme de soixante-quinze ans, faible et cachectique, at
l'autre est également relative àun cas de pneumonie survenue chez une femme âgée d'environ cinquante ans et jeune par conséqu
deuxième un homme de trente-huit ans (Wun-derlich), le troisième une femme de soixante-quinze ans, observée dans cet hospice
bleaux relatifs à des cas de ce genre. Le premier se rapporte à une femme âgée de trente-deux ans, affectée d'une hémiplégi
es viscères, (i) (pg. M). Fl:,. 2i. Le second cas est celui d'une femme de soixante et un ans, atteinte d'hémiplégie droi
e consécutive à une hémorrhagie cérébrale datant de deux ans. Cette femme avait déjà eu plusieurs attaques épilepfiformes,
rés, cette année, par l'observation d'un nombre assez considérable de femmes atteintes de cancer du sein, de l'utérus ou de la
icarde que nous avons observé en-semble dans cet hospice. Une vieille femme qui, un matin, dans son dortoir était tombée en s
t chez le malade, un sentiment de bien-être. Tel a été le cas d'une femme de cinquante-quatre ans, af-faiblie par un carcin
jour de la pneumonie, se produisait une déferves-cence rapide, cette femme a accusé un sentiment singulier de bien-être auqu
indigente; c'est encore, comme on le sait, un lieu de refuge pour des femmes de tout âge, atteintes d'infir-mités incurables.
cliniques et nécroscopiques, qui font la base de notre travail Les femmes qui ont été l'objet de nos études présentent touj
ère, bâtiment Saint-Jacques, rez-de-chaussée). — Les parents de cette femme n'ont jamaiseu de douleurs articulaires ; elle n'
s qui viennent les tourmenter. Réduites à cette triste extrémité, ces femmes se montrent souvent fort ingénieuses. J'en connai
rais pas, si je voulais décrire tous les stratagèmes qu'emploient ces femmes pour remplacer les mouvements qu'elles ont perdus
bserve de la rigidité, des craquements, des corps étrangers. Deux des femmes que nous avons observées peuvent à peine ouvrir l
les extrémités osseuses. 2° C'est chez les jeunes sujets, chez les femmes dont les jointures sont prises pendant la grosses
asion d'examiner, dans la division de M. Lélut, à la Salpêtrière, des femmes infirmes par suite d'atrophie cérébrale congénita
nduisent les ma-lades à de déplorables infirmités. L'âge auquel les femmes sont parvenues, lorsque les pre-miers symptômes s
née, laissant après elle les difformités qui privent les malheureuses femmes de l'usage de leurs membres, et les condamnent tr
a progression des symptômes est toujours beaucoup plus lente chez les femmes âgées, et il est permis de suivre pas à pas l'env
pe de flexion. Bâtiment Saint-Charles, 3e, lre ; Mm« Étard. — Cette femme est âgée de quarante-cinq ans, née de père et de
portée, bien qu'elle ait eu vie et habitation communes avec elle. La femme Étard a habité, pendant les dix-neuf premières an
. — La nommée Bridon (Marie-Louise), âgée de soixante-sept ans. Cette femme n'a jamais connu sa mère ; son père, assure-t-eit
ils étaient sur-tout prononcés chez les sujets chloro-anémiques. Les femmes dont nous avons fait l'autopsie avaient succombé
longévité des ma-lades atteintes de nodosités des jointures ; une des femmes observées par cet auteur vécut quatre-vingt-treiz
oujours à l'époque de la ménopause que débuterait la maladie. Ainsi 3 femmes seulement sur 33 furent prises pendant la période
rent prises pendant la période de la menstruation régulière. De ces 3 femmes , 2 étaient âgées de 30 à 40 ans, l'autre d'enviro
s souvent invo-quée, c'est l'action prolongée du froid humide. Des 41 femmes que nous avons interrogées, il s'en trouve 19 qui
à admettre, en outre, l'influence de l'humidité froide chez 8 autres femmes qui, par profession, séjournaient pendant la plus
ur l'in-fluence des sexes, puisque nous n'avons guère observé que des femmes . Landré-Beauvais se tait sur ce point peut-être p
ut semblable à celle que nous avons si fréquem-ment observée chez les femmes . Nous avons cru devoir rap-porter l'observation d
iverses (pneumonie, phtisie, entérite chronique ulcéreuse, etc.). Ces femmes étaient âgées de cinquante à soixante et dix ans,
ans un certain ordre. Nous avons rencontré cette affection chez des femmes d'une 1. Nous avons trouvé de bons renseignemen
et a déterminé peu de douleurs, lorsqu'elle s'est développée chez des femmes âgées ; son évolution a été, au contraire, souven
est très sou- vent héréditaire, qu'elle n'attaque que rarement les femmes , qu'elle est une maladie des gens riches, qu'elle
ruel avait lieu tous les mois régu-lièrement. Dans sa jeunesse, cette femme n'a éprouvé aucune maladie. Depuis l'âge de quato
cune médication n'a été essayée à l'hospice ; depuis vingt ans, cette femme est dans la position où nous la. voyons aujourd'h
us avons pu observer récemment, à l'infirmerie de la Salpêtrière, une femme qui présentait, réunies à l'autopsie, la plupart
, dans les cartilages articulaires, est d'une extrême rareté chez les femmes , surtout chez celles qui sont admise à laSalpê-tr
boire, soit dans le manger. Depuis deux ans, il a dû se séparer de sa femme et de ses enfants, et les renvoyer dans son pays,
r le dos de la main. «Le rhumatisme noueux s'est développé chez une femme de la Salpêtrière, à la suite d'un panaris qui oc
er, dans certains cas, la similitude que nous signalons. Obs. — Une femme âgée de quatre-vingt-quatre ans, atteinte d'arthr
. Voici le résultat de l'examen des déformations que présentent cette femme . Toutes ou à peu près toutes les jointures des me
s, 1853, p. 16, pl. I, fig. 3 et A, pl. II, fig. 1 et c2 ). — Cette femme ayant succombé à une pneumonie, l'examen nécrosco
tent symétriquement et avec les caractères qu'elles offraient chez la femme dont l'his-toire vient d'être rapportée, sont aus
8-129). Urate de soude dayis la sérosité sous-arachnoïdienne. — Une femme atteinte de goutte chronique ayant succombé dans
ploi du médicament, (p. 486). Traitement du Dr Staicker. — Chez une femme goutteuse, âgée de soixante-dix-sept ans, et qui,
hèses de Paris, mars 1853. — Trasbour, Du rhumatisme goutteux chez la femme . Paris, novembre 1853, — Vidal, Considération sur
p. 11.5) avait déjà reconnu l'existence d'une lésion mitrale chez une femme de vingt-trois ans, atteinte de rhumatisme noue
çons sur la goutte et le rhu-matisme (London, 1843, p. 179). — Sur 41 femmes atteintes de rhumatisme noueux, que nous avons ob
cinq fois, à l'autopsie, des traces évidentes d'endocardite chez des femmes atteintes de rhumatis-me articulaire chronique gé
e observation de ce genre, recueillie à l'hospice des Ménages sur une femme âgée de soixante et onze ans, m'a été communi-qué
s qui viennent les incommoder. Réduites à cette triste extrémité, les femmes , — car c'est surfout chez les femmes que les chos
es à cette triste extrémité, les femmes, — car c'est surfout chez les femmes que les choses en arrivent à ce point — se montre
as si l'on voulait faire connaître tous les strata-gèmes auxquels ces femmes ont recours pour remplacer les mouvements qu'elle
porter au cou des cicatrices caractéris-tiques. A fa Satpêtriôre, les femmes qui, par suite des difformités qu'occasionne le r
). Epoque d'apparition du rhumatisme art"u-uluire chronique chez la femme . — Il y a chez les femmes deux périodes de la vie
du rhumatisme art"u-uluire chronique chez la femme. — Il y a chez les femmes deux périodes de la vie où le rhumatisme articula
est certain que le rhumatisme noueux est beaucoup plus commun chez la femme que chez l'homme ; opposition bien tranchée avec
aissent avoir une certaine relation avec le rhumatisme noueux; sur 30 femmes atteintes de cette dernière affection, 12 avaient
ée, a été moins fructueuse, car elle n'a fourni que les cinq vieilles femmes que M. Charcot a placées sous les yeux de ses aud
es compare, on s'en souvient le monde à un théâtre. Les hommes et les femmes sont les acteurs. Les actes de la pièce répondent
ès le préjugé vulgaire. Un simple coup d'œil jeté sur cinq vieilles femmes que M. Charcot a montrées à ses auditeurs permet
tremblement intéressant principale-ment la mâchoire inférieure. Cette femme prétend que sa mala-die s'est développée brusquem
ntent. La langue est respectée, la parole normale. Il y a, chez cette femme , un léger tremblement des pouces qui l'empêche d'
rmi les faits disséminés dans la science, M. Charcot cite celui d'une femme de 83 ans, consigné par M. Roger ; celui d'un mal
urs le pronostic soit relativement bénin. M. Charcot a vu une vieille femme , dont les mouvements étaient excessivement exagér
ombreuses concrétions d'urate de soude. Fig. 2. — Main gauche d'une femme de quatre-vingt-quatre ans, goutteuse, morte à l'
ralement amorphe. — N. B. Ces diverses préparations proviennent d'une femme gout-teuse de quatre-vingt-quatre ans, morte à la
xe. — Les hommes sont plus sujets au rhumatisme articulaire aigu, les femmes au rhumatisme noueux. Causes extérieures. — Fro
e, 45; — rapports avec la goutte, 38, 127, 413; — fréquence chez la femme , 140; — époque d'apparition chez la femme, 563;—
7, 413; — fréquence chez la femme, 140; — époque d'apparition chez la femme , 563;— synonymie, 167: — variétés, 167; primitif,
20 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
Dr Edgar Bérillon. ACCIDENTS HYSTÉRIQUES GRAVES SURVENUS CHEZ UNE FEMME A LA SUITE D'HYPNOTISATIONS PRATIQUEES PAR UN M
magnétiseur pratiquant dans les baraques de foire. Il s'agit d'une femme âgée de 38 ans qui est venue nous consulter avant
e occasion que le mari de la malade est venu nous prier d'admettre sa femme dans notre service. Vous avez compris, Messieur
sujet plongé dans l'état de somnambulisme. H s'agissait d'une jeune femme atteinte de cystocèle et pour laquelle l'ope- r
é décidée. Un interne du service, M. Témoin, ayant constaté que cette femme était facilement hypnotisable, M. Tillaux songea
. La mort de Laura Bridgman vient de rappeler l'attention sur cette femme remarquable. Nous ne nous faisons pas d'idée aujo
détruits par la maladie qui lui fit perdre le rens de l'ouïe. Cette femme ne manifesta jamais qu'elle eût la notion de l'in
bon medium. Cette dame était désignée familièrement par le surnom de femme aux yeux de serpent. Lorsque le roi parla d'abd
lle réellement L... Je lui dis encore : — Vous avez assassiné votre femme ? — Oh ! non. proteste-t-il avec énergie. — Si
yse avec la sensibilité a la pression de l'ovaire, si commune chez la femme en pareil cas la réduction du champ visuel, et un
la suggestion ont réussi a le faire disparaître complètement. Cette femme ,très impressionnable, a éprouvé de grands chagrin
s médecins ont été consultés, qui ont conseillé au malade de voir des femmes , espérant le guérir de ses penchants contre natur
inutiles, jamais il n'eut la moindre velléité d'érection auprès d'une femme — I1 n'y éprouve aucune volupté et les femmes n'é
d'érection auprès d'une femme — I1 n'y éprouve aucune volupté et les femmes n'éveillent en lui aucune sensation sexuelle. Il
ne raison plausible, Raymond (2) en cite un exemple. Chez une jeune femme de vingt-six ans, l'apparition d'un chancre infec
-suggestion, ou si l'on aime mieux, de paralysie psychique. Sur cette femme , dont l'intelligence était bornée et la constitut
sur les hystériques lut découverte par le docteur Burq : Une jeune femme en état de somnambulisme provoqué, venait de pose
rmaux. Elle a recueilli 2.o38 réponses, dont 945 d'hommes et 1.093 de femmes , sur lesquelles 1.7o6 sont négatives et 342 affir
enquête du même genre a été commencée; sur 345 réponses, dont 113 de femmes et 232 d'hommes, il en est 70 de positives. M.P
nérique n'est point satisfait, Le cerveau exerce sur l' utérus de ces femmes , surtout chez celles qui ont un sens génital dé
oureuses prolongées, pendant l'entrevue de deux amants, surtout si la femme se trouve à la fin de ses règles, époque ou les f
, surtout si la femme se trouve à la fin de ses règles, époque ou les femmes sont en général très excitées, très amoureuses (a
é le fait suivant (,23° dimanche après la Pentecôte En même temps une femme qui..depuis douze ans. avait une perte de sang, s
lle. avez confiance, votre foi vous a sauvée, et à l'heure même cette femme lut guérie. Ce dernier exemple nous montre l'idée
mir, je pouvais la guérir par la suggestion hypnotique. Cette malade, femme du monde, qui est très intelligente et a été hypn
uence s'exerce surtout sur une certaine catégorie de sujets, chez les femmes présentant les symptômes de l'hystérie confirmée
r constate, non sans regrets, que le proverbe qui dit que toute belle femme pèche un peu par le nez est surtout vrai en Itali
même, car, actuellement on n'apprécie plus la longueur du nez chez la femme autant que parurent le faire Antoine et César.
tions tendant à démontrer l'utilité du morphinisme chronique chez les femmes atteintes de cancer utérin. La morphine, amenant
Nous avons observé plusieurs cas de ce genre, principalement chez les femmes . Mais il s'agit là du véritable faux contre leque
. 505, 527, 538. 551, 561. Salamanca, 1888. lwoff : Observation d'une femme devenue allènée à la suite de pratiques d'hypnoti
éprit pour lui d'une de ces passions qui enflamment assez souvent les femmes aux approches redoutables de la ménopause. Elle p
jours. Mais il « s'éprit pour elle d'une amitié sans bornes ». Cette femme profita de l'empire qu'elle avait sur lui et lui
t arrêtés. Le pauvre diable protesta de son innocence. D'ailleurs, sa femme repentante lui écrivait des lettres qui semblerai
vante a trait à une myélite bien caractérisée. Oss. III. — Mme R... femme de quarante-cinq ans, est atteinte d'une myélite,
s malades dont je viens vous entretenir. Ma première malade est une femme de cinquante-deux, ans, qui soutirait depuis plus
urs années d'une névralgie sciatique rebelle i tout traitement. Cette femme fut endormie très facilement. Dans son sommeil, j
phénomène. Vers la même époque, j'avais dans mon service une autre femme , âgée de trente-six ans, qui portait les stigmate
vait l'usage de la jambe. Dans la première séance d'hypnotisme, celle femme , à la suite d'une suggestion, fut débarrassée ,1e
mandés. Cependant il finit par comprendre, d'après les réponses de sa femme , qu'elle était eo proie a un cauchemar épouvantab
r d'une façon intéressante, quand je me trouverai auprès de Mme X..., femme d'un de mes supérieurs. Quelques jours avant, lui
user de ce moyen pour dissiper les troubles nerveux que présentait sa femme . Tout d'abord l'effet me parut favorable mais b
Jusqu'à ce jour, R... n'avait pas encore pratiqué le coït avec une femme . L'idée d'un commerce charnel avec une femme lui
ratiqué le coït avec une femme. L'idée d'un commerce charnel avec une femme lui répugnait. Il avait cependant fait appel à to
maladives en essayant maintes (ois d'accomplir l'acte sexuel avec une femme , mais il ne parvint jamais à s'exciter suffisamme
ment pour avoir des érections. Il resta donc impuissant à l'égard des femmes et n'attacha de prix à ses relations avec celles
assurance que l'intérêt que le patient porterait au commerce avec les femmes augmenterait toujours. De plus, défense d'avoir l
s des songes nocturnes furent peu à peu remplacées par des figures de femmes , et déjà, après quelques séances, le malade éprou
ait pas encore connu. A la septième séance, l'union sexuelle avec une femme fut ordonnée avec la persuasion d'une réussite co
uilibre qui se rétablissait de plus en plus, le malade coîta avec une femme , de son propre gré et en présence de son séducteu
et avec facilité. C'était vraiment touchant de con-verser avec cette femme , car ses mots étaient accompagnés de regards étin
feur-mécamcien dont elle eut six enfants. C... est de ceux-ci. Cette femme , abandonnée par son premier amant, se remit en mé
. La prostitution étant si souvent la première étape du crime chez la femme , je ne croirai pas trop sortir de mon sujet en de
dans son ménage â des scéues de violences regrettables, tantôt sur sa femme , tantôt sur ses enfants Il est mort paralytique g
paralytique général à l'asile d'aliénés de Vaucluse. Sa mère est une femme faible de caractère, incapable d'attention, sans
onstances, la jeune fille livrée à elle-même prend un amant. La mère, femme peu scrupuleuse, ne tarde pas à s'en apercevoir.
tes ». Sarah a dix-huit ans. Son père est mort fou. Sa mère est une femme sans pudeur qui vit de la prostitution de sa fill
s les yeux que de bons exemples. Il fut élevé par si mère, excellente femme qui le gâtait. « La main ferme d'un père, m'êcrit
le crime Ma mère bonne et aimante, ne s'aperçut de rien, comme toute femme qui n'a qu'un fils. J'étais son idole et rien ne
du Mexique, épouse sur le tard et sans connaître ses antécédents, une femme dont le père avait été longtemps aliéné. Cette fe
antécédents, une femme dont le père avait été longtemps aliéné. Cette femme est bientôt prise du délire des persécutions et s
rait immédiatement remis en liberté s'il n'y avait encore chez lui sa femme qui est toujours aliénée, elle, l'étant de façon
s les instants, mais le commissaire du quartier dans lequel habite sa femme , prétend qu'elle n'est pas aliénée et l'administr
moment, et satisfait ses appétits déréglés. Il envoie au supplice la femme qu'il caressait une heure avant; il tombe, après
son père, Geias u din Toghlak. était un esclave turc, et sa mère une femme Jat. De fantassin. Gheias était devenu gouverneur
s u din Toghlak, qui eut la réputation d'un roi juste et vertueux. Sa femme était une personne vertueuse, renommée pour ses œ
se livrât aux excès de la boisson ou qu'il fût adonné au commerce des femmes . Le contraire nous semble plus vraisemblable. Mai
es Mahométans considèrent comme de mauvais goût de faire allusion aux femmes d'une famille. A sa mort il ne laissa qu'un fils,
ourir ; que ceux qui veulent en faire autant le fassent ! » Alors les femmes parfumèrent leur corps, et se jetèrent dans les f
s femmes parfumèrent leur corps, et se jetèrent dans les flammes. Les femmes des principaux officiers firent de même. Le Rajah
n on l'écorcha vivant et sa chair cuite avec du riz, fut envoyée a sa femme et à ses enfants. Il fut empaillé, et avec les re
Toghlak. qui épargna sa vie. et même autorisa sa mère, sa sœur et sa femme à vivre avec lui. Mais le sultan victorieux attaq
espions du sultan étaient partout. Ce que les hommes disaient à leurs femmes dans l'obscurité de la nuit, était rapporté au pa
e en paix. La révolte leur rapportait du butin et des esclaves. « Les femmes captives, écrit Ibn Batuta. ont à peine de valeur
ns au café de l'Orient. Les consommations lui étaient servies par une femme . Putz invita la femme à le regarder dans le blanc
. Les consommations lui étaient servies par une femme. Putz invita la femme à le regarder dans le blanc des yeux. La femme ob
femme. Putz invita la femme à le regarder dans le blanc des yeux. La femme obéit, et elle ne tarda pas a tomber dans un état
la, elle s'endormit si profondément que le proprétairc du café et sa femme essayèrent en vain, pendant dix minutes, de lui f
emberg pour avoir commis le délit d'attentat à la liberté de la Jeune femme . L'affaire a été jugée A la fin de la semaine der
, ni en bataille, et il aura bonheur et victoire sur ses ennemis. Une femme en travail, sur laquelle on mettra la dite oraiso
re qu'on se trouvait en présence d'une hystérique, c'est-à-dire d'une femme affectée d'une sensibilité nerveuse anormale. D
à la première. Voici un exemple entre mille : « Je présente a une femme en état d'hypnotisme dit M. Charcot, une feuille
re en déclarant que c'est ma photographie. « Je renvoie alors cette femme . Elle rentre au dortoir et montre à ses compagnes
e. Elle est très marquée chez les personnes sensibles, chez cerraines femmes surtout très facile à émouvoir. La suggestion t
mental d'un homme arrêté pour avoir coupé des nattes de cheveux à des femmes . M. Motet.— Nous avons élé commis. MM.. A. Vois
, sans compter des boucles de cheveux qu'il se faisait donner par des femmes de son entourage, des petits bouts de rubans et m
oissante des mots ». Puis l'idée lui vint de toucher à des cheveux de femme . Il ne se rappelle pas exactement comment il opér
velures qu'il voyait flotter sur les épaules des jeunes filles ou des femmes ; après quoi, ces attouchements ne lui suffisant
c'est d'apercevoir le coiffeur tenir dans sa main la chevelure d'une femme . Si cette femme sort avec les cheveux relevés, il
oir le coiffeur tenir dans sa main la chevelure d'une femme. Si cette femme sort avec les cheveux relevés, il reste calme ; i
dition, que la vue des clous piqués sur la semelle d'une chaussure de femme , que le contact de ces clous mettaient hors de lu
ais tranquilles, au moins pendant quelques années, les chevelures des femmes et des jeunes filles. C'est ainsi qu'une amélio
retour des crises nerveuses, qu'on rencontre si fréquemment chez les femmes et même parfois chez les hommes, l'Eglise le perm
ambules ne réalisent que les suggestions qui leur sont agréables. Une femme ne se laissera violer en état de somnambulisme qu
é pour vol par le tribunal. En mars 1877 les journaux ont parié d'une femme qui se volait elle-même : les soustractions ayant
ne émotion de comédienne ! C'était réelle ment arrivé! Et cette jeune femme était une bonne et honnête naturel Parmi les so
son concours. Je puis lui dire : « Voici un homme qui a séduit votre femme . Quand vous vous réveillerez, vous vengerez votre
s idées de vengeance contre ce jeune homme qui, après avoir séduit sa femme , a fondé un établissement rival qui prospère, tan
ite. Pour assouvir sa vengeance, il captive de nouveau l'esprit de sa femme , lui persuade que son rival est cause de leur mal
e de la responsabilité des névrosées. Nous avons, dans la salle des femmes , une jeune fille dont l'histoire, pour n'être pas
tances les plus remarquables ; il s'agissait d'un viol commis sur une femme adulte et forte, à la faveur d'une attaque d'hyst
ement, qui devait avoir lieu fin février. On devait endormir la jeune femme dès les premières douleurs, l'accoucher à son ins
sitôt que survient une contraction utérine un peu violente ; la jeune femme ouvre immédiatement les yeux, pousse des cris et
pnotisable n'ont pas été nécessairement commis par suggestion; qu'une femme peut être une hystérique avérée, sans que. pour
ECUEIL DE FAITS Réveil d'une mélancolique en état léthargique. La femme Drouilhou... habitant un village des environs de
ment d'une attaque de léthargie d'où j'ai pu la faire sortir. Cette femme , âgée Je vingt-huit ans, très impressionnable et
st encore une application heureuse des études sur l'hypnotisme. Celte femme aurait pu rester longtemps dans son état léthargi
jourd'hui la même indifférence pour les hommes qu'il l'avait pour les femmes . Cinq jours après le malade revient tout à lait
croissement s'arrête pour l'homme de 71 à 80 ans; il continue pour la femme jusqu'à la limite de la vie. Pour les deux sexes,
se scarifie et se peint toute l'enveloppe cutanée, aussi bien que les femme la plus raffinée qui recourt aux maquillages arti
nalité sexuelle qui reconnaît pour cause l'insuffisance du nombre des femmes . Dans le troisième chapitre, nous abordons les
ions lascives de ceux-ci ; les viols si hardis et si étranges sur les femmes endormies. Le Dr Corre cite, à propos de ces dern
ue l'opinion et les débats n'ont pas éclairci le mystère. Une jeune femme du meilleur monde et d'une moralité parfaite, ado
blessé par un coup de pistolet. Revenu à lui, il raconta que la jeune femme éperdument amoureuse, s'était donnée à lui à cond
s que, suivant Chambige. le projet était convenu entre eux, la pauvre femme écrivait à je ne sais quelle personne de sa famil
i naturels, qu'ils indiquaient une tranquillité d'esprit parfaite. La femme qui écrivait ainsi ne pouvait avoir conscience de
sévères de moralité dont sa famille lui donnait l'exemple, c'était la femme du devoir dévouée à son mari et à ses enfants, do
lé d'un imposteur qui, après avoir lâchement violé et assassiné cette femme qui lui refusait ses faveurs, aurait inventé cett
jury non l'impression d'un imposteur qui viole, tue et calomnie une femme innocente, mais l'impression d'un homme franc, sa
as à prendre sur cet esprit faible un ascendant étrange. Cette pauvre femme ne l'aimait pas ; mais elle était dominée et fasc
assion folle, dans ses sens une excitation irrésistible. Si la pauvre femme a fait promettre à son séducteur de la tuer pour
'inquiétait pas trop de la situation. Quand finalement la malheureuse femme découvrit la nature de son mal, l'anxiété fut ext
rale et engendre des actes que la vie normale ignore ou réprouve. Une femme de mœurs irréprochables et qui résiste aux tentat
s suivons de près depuis trois ans deux sujets, un jeune homme et une femme , chez lesquels l'état de conscience varie avec un
n regard et il ramasse le ver librement, sans aucune suggestion. La femme est voisine de la quarantaine, intelligente et fo
nuit, son tourmenteur lui montre des spectacles obscènes; ce sont des femmes nues qu'il fait défiler devant lui. Pranzini les
igne. » il assiste à des orgies terribles; on lui montre toujours des femmes nues, on cherche a avoir des relations avec lui;
hallucinations de l'odorat : on lui envoie des parfums comme ceux des femmes ; ses persécuteur- l'empoisonnent Je leur haleine.
euse pour la classe ouvrière, car on y emploie une grande quantité de femmes et de jeunes filles. On ne tarda pas à s'apercevo
respirant les vapeurs qui s'échappaient des chaudières de naphte. Ces femmes dèclarèrent que ce funeste abus était devenu pour
ne, mon collègue et ami Dujardin-Beaumetz, avait dans son service une femme dont la peau rougissait au moindre contact, sans
rois autres ont été recueillies dans mon service, et comprennent deux femmes et un homme. L'ensemble de ces observations pré
de de quatre années de soins et de surveillance continus. C'est une femme âgée de vingt neuf ans. de complexion délicate, e
peau. Mme A..., âgée de trente-deux ans. née dans le Midi, est une femme d'une constitution vigoureuse et d'ne santé parfa
recherches ont porté pour le premier groupe sur dix hvstériques: sept femmes , trois hommes; elles nous ont démontré que chez e
a vu, A ces expériences publiques, des hommes politiques et même des femmes ! Eh bien! Messieurs, cette publicité, ces spect
se sont occupés de l'hypnotisme constatent que les sujets, hommes ou femmes , sont au début récalcitrants a l'inlïunencc de l'
monde connait d'ailleurs l'histoire de Bernard Schidmaizig qui tue sa femme qu'il a pris pour un fantôme. Quant aux faux té
eux naissances est grand plus on a de chance d'avoir un garçon. Les femmes primipares très jeunes tendent a avoir des filles
n Belgique et dans le pays étrangers. 30 p. in 8° 1887. icard. — La femme pendant la période menstruelle : 1890. Alcan. 380
gences. Car pourquoi tel parfum est-il préféré par presque toutes les femmes de certains milieux et détesté par les femmes d'u
par presque toutes les femmes de certains milieux et détesté par les femmes d'un autre milieu? Affaire d'habitude et de sugge
uées comme leurs vices: le muguet, le corylopsis, le réséda, etc. Les femmes amoureuses et portées à la poésie, ou à la mélanc
suggestion), par Roubi-nowitch, 244. Accidents hystériques chez une femme à la suite d'hypnotisations pratiquées par un mag
mental d'un homme arrêté pour avoir coupé des nattes de cheveux i des femmes , par Motet.247. table des matières Études méd
21 (1872) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 4è année
n ; mais il croit en être capable s'il était encore en présence d'une femme . Il avait, dit-il, pratiqué le coït deux ou trois
uvent dues à une délicatesse inhérente à l'enfant; — 4° Le lait de la femme varie beaucoup dans sa composition, et est parfoi
première fois signalée par MM. Vulpian et Prévost, en 1860, chez une femme de la Salpêtrière. Dans ce cas qui a été communiq
offroy, mon interne, et moi, d'un cas très-remarquable, relatif à une femme de mon ser-vice nommée Wilson, qui succomba à la
a à la phthisie pulmonaire à l'âge de 45 ans. La paralysie chez cette femme s'était dévelop-pée tout à coup, à l'âge de 7 ans
ilité des individus (de Luca, Moreau, de Tours.) Les enfants et les femmes sont très-sensibles à l'action du Ha-chisch ; l'h
graphie, 3e année, p. 5). 111. Molluscum simplex, par Purser. — Une femme très-âgée pré-sentait sur toute la peau, depuis u
ier, est entrée dans le service de M. Charcot, à la Sal-pêtrière, une femme nommée Mahau, âgée de 75 ans, présentant des phén
r jour : le malade guérit. — Le troisième cas, enfin, est celui d'une femme qui fut prise de tétanos à la suite d'une plaie d
tie, dont M. Reliquet étudie ensuite les manœu-vres spéciales chez la femme et chez l'enfant. Nous ne terminerons cependant
au ventre une forme particulière, rappelant l'as-pect du ventre d'une femme ayant un kyste de l'ovaire; 2°indura-tion en form
ésentant aucune ou-verture. Au moment des époques menstruelles, cette femme avait des douleurs de reins, du gonflement des se
que celte pratique eût été plus justiciable et même indiquée si cette femme eût été mariée. — Dans une leçon clinique publi
t de quelle manière se trouve constitué le plancher périnéal chez les femmes qui man-quent de vagin d'utérus et détrompes. La
ois de son mariage, s'était laissé passer autour de la verge par sa femme l'alliance qu'elle portait au doigt. — Citons enf
ourrais constater le faitanatomiquement, sur la griffe cubitale de la femme Mah... que nous avons étudiée dans le numéro de m
t amélioré. Mais il ne peut termi-ner son traitement ; la santé de sa femme le réclame chez lui, et il quitte l'hôpital non p
y est revenu dans son livre bien connu sur les Maladies nerveuses des femmes (1840). Partout ailleurs, si l'ischu-rie hystériq
l'imposture d'une lieue. A qui fera-t-on croire, par exemple, qu'une femme puisse rendre par l'oreille, en 24 heures, 2400 g
is à l'analyse, contenait de l'urée? Et ceci n'est pas tout : la même femme rejetait simultanément par le nombril un liquide
quefois à admirer la ruse, la sagacité et la ténacité inouïes que les femmes qui sont sous le coup de la grande névrose metten
e du corps. Ainsi, pour ce qui concerne la vision, on note chez cette femme de Yhémiopie et de Yachromatopsie, phénomène sign
eux aussi, sont dans ce cas des phénomènes permanents. Enfin, cette femme est sujette à des attaques spéciales, tantôt té-t
yez aussi la Planche XXV, qui représente cette malade. Ainsi, cette femme , vous le voyez, était condamnée à un repos absolu
upercherie. J'avais là la meilleure police, celle des fem-mes par les femmes ; car vous savez que si elles font des complots e
schurie a commencé dès le mois d'avril 1871. Antérieurement déjà, une femme , employée au service, qui sondait la malade plu-s
NIQUE CHIRURGICALE CORPS FIBREUX DE LA GRANDE LÈVRE DROITE CHEZ UNE FEMME ENCEINTE accouchement naturel. — ablation de
Elle fut réglée à l'âge de 17 ans.— Il y a environ quatre ans, cette femme , montée au haut d'un cerisier, tomba à califourch
lions inguino-cruraux n'étaient point engorgés ; l'état général de la femme était bon. Sous l'influence du repos, la tumeur q
lle était exactement sa nature. Sur les instances pressantes de cette femme , qui avait hâte de quitter l'hôpital, l'opération
sieurs éléments embryonnaires disséminés un peu partout. 5 mars. La femme a de fréquentes envies de vomir, elle est pâle, a
absolue qu'il ne fallait point por-ter l'instrument tranchant sur une femme enceinte ; il ajouta même qu'on devait attendre a
me les plus légères et les plus insignifiantes, peu-vent être chez la femme enceinte suivis d'avortement et de mort. Pour ce
ieux: le chirurgien doit être très-prudent, lorsqu'il a à soigner une femme enceinte; il n'opérera que dans les cas tout à fa
que les organes génitaux soient revenus à leur état normal et que la femme ait repris ses forces; trois mois seront nécessai
longation du col de l'utérus. En effet, il décrit nettement, chez une femme de vingt-cinq ans, un corps cylindrique, semblabl
e part, Cruveilhier fait remarquer qu'il existe fréquemment, chez les femmes avancées en âge, un effacement complet du museau
l'état régulier à cette période de la vie. C'est donc chez les jeunes femmes nul upares que la lon-gueur du col est le plus co
MM. Bennet et Huguier. Ce dernier, qui semble n'avoir observé que des femmes d'un certain âge, a été amené à nier formellement
t point l'opinion de M. Bennet, qui a con-staté chez plusieurs jeunes femmes non mariées un allongement plus ou moins prononcé
par M. Guérin à la Société de chirurgie le 15 février 1860). Jeune femme de 23 ans ; réglée entre 16 et 17 ans, elle a eu,
col, par M. Waren (American Journ. of (lie med. Science, 1864.) Une femme de 66 ans présente un allongement hypertrophique
point où le vagin s'insère sur lui. Cette forme se rencontre chez les femmes qui ont eu et chez celles qui n'ont pas eu d'enfa
son orifice est plutôt rétréci qu'élargi. Celte forme appartient aux femmes qui n'ont pas eu d'enfants. Troisième variété.
enfants. Troisième variété. Elle ne se rencontre aussi que chez les femmes qui n'ont pas eu d'enfants ; le col ayant subi un
able d'une seule des lèvres du col. Elle ne se rencontre que chez les femmes qui ont accouché une ou plusieurs fois. Cinquiè
tion des membranes pour déterminer l'accouchement pré-maturé chez une femme atteinte de rétrécissement du bassin, M. Hyernaux
e fait même de la grossesse, la masse totale du sang augmente chez la femme enceinte: il en résulte une hypertro-phie physiol
e une hypertro-phie physiologique du ventricule gauche. Le cœur de la femme doit désormais battre pour deux, ses poumons devr
evèrent le bassin. A ce moment, une douleur violente survint, et la femme s'écria : « J'accouche, prenez l'enfant ». En e
é par M. Martinelli. (Union médicale, 18 avril 1872.) Il s'agit d'une femme d'une trentaine d'années, mariée depuis dix ans e
t été mises en usage, mais très-rarement; d'autres fois, enfin, si la femme est faible au point de ne pouvoir résister aux so
fi-breuses, mais ce que l'on sait de l'hypertrophie du cœur chez les femmes grosses, de la tendance à l'hypertrophie du corps
dessus. Elle put même rester ainsi près d'un mois à l'infirmerie des femmes enceintes, où elle avait été envoyée à cause de s
qu'une partie de la fesse du côté opposé. (Voy. Planche XIX.) Si la femme se couche sur le ventre, la tumeur se détache en
arnue, convexe et arrondie sur les bords. Enfin, lorsqu'on place la femme debout, la tumeur pend, comme un sac charnu sur l
es veines l, à l'ovariotomie, à l'opportunité des opérations chez les femmes en-ceintes et les nouvelles accouchées2, à la val
e, qui s'observe surtout chez des vieillards et plus souvent chez les femmes que chez les hommes, est d'un diagnostic trés-dif
ite, et quitta brusque-ment la Maison de santé. Bien que chez cette femme le col fût allongé au point de faire à la vulve u
vaginale postérieure. (A suivre.) REVUE ANALYTIQUE 'MALADIES DES FEMMES I. Du Vaginisme, par M. Visca1. —C'est une inté
Mauriac dans ses annotations des Leçons de West sur les maladies des femmes . « En résumé, dit M. Visca, toute condition capab
ymptômes du vaginisme qui, outre la douleur, détermine encore chez la femme le découragement et la mélancolie, peut troubler
ims qui dit avoir obtenu trente-neuf succès complets chez trente-neuf femmes , consisteà retrancher l'hymen, àinciser l'orifice
, 1871.) III. Le permanganate de potasse dans quelques maladies des femmes . —Le Dr Williams, de Sprinborg, a retiré de grand
péri-utérin. — Parmi les questions qui se rattachent aux maladiesdes femmes , sans contredit une des plus débattues depuis un
M. Demarquay dans plusieurs circonstances et notamment chez une jeune femme , où il fut aussi possible d'enlever par ce moyen
lepsie. De fait, la forme convulsivc, qui s'observe chez toutes ces femmes , est celle qu'on a désignée dans ces derniers tem
-le bien, c'est la seule forme qu'on rencontre chez elles. Toutes ces femmes ne seraient donc pas sim-plement des hystériques,
uzy, cité par M. Briquet, mérite d'être résumé devant vous. Une jeune femme , épileptique depuis l'enfance, se ma-rie à l'âge
0 ans, est sujette à l'hystérie épileptiforme la plus violente. Cette femme est, sans doute, bizarre, singulière dans ses all
ndant un laps de temps considérable. Georget cite l'observation d'une femme chez laquelle les accès se sont montrés à peu prè
s, « si c'était de l'épiiepsie véri-table, il y a longtemps que cette femme aurait succombé. » Cette remarque, est parfaiteme
du lit, témoignaient suffisamment des occu-pations favorites de celte femme dans les temps de répit. Mais je veux surtout s
M. Charcot nous a rapporté, il y a quelque temps, l'observation d'une femme qui avait succombé dans son service, et qui prése
icatri-sation parfaitement, caractérisé. Chez noire seconde malade, femme âgée de 72 ans, la tempéra-ture, deux heures aprè
e, car chez d'autres malades nous observons les mêmes phénomènes. Une femme atteinte de contracture hystérique, et une autr
malades nous avons également obtenu des résultats avantageux. Chez la femme atteinte de contracture hystérique dans la jambe
, et elle peut mouvoir ses doigts de pieds. (Planche XXX1.) Chez la femme atteinte de myélite, voici les principaux points
sant au premier abord, mais néanmoins il est digne d'être noté. Celte femme , en effet, depuis onze ans, a vu successivement t
elle soit. Nous avons encore employé les courants continus chez des femmes atteintes de paralysies agitantes ; elles prétend
sou-vent aussi peut être nuisible. REVUE ANALYTIQUE MALADIES DES FEMMES 1 VI. Péritonite mortelle a la suite d'un simpl
uel un simple toucher vaginal provoqua une péritonite mortelle. Une femme de 40 ans entra à l'hôpital des Cliniques, se pla
également occasion d'en observer un cas remarquable. Il s'agit d'une femme portant un énorme fibrome de la matrice ainsi que
sieurs petites tumeurs de même nature sur le corps de l'organe. Cette femme était enceinte : elle accoucha sans accident, mal
début du carcinome du col essentiellement différent. 11 s'agit d'une femme présentant une ôlon-gation hypertrophique du col
tte affection dans son stade de début. Nous avons observé souvent des femmes atteintes de carci-nome dans une période avancée,
jet les renseignements les plus précis. Jusqu'à l'âge de 79 ans, la femme Vautr... avait été d'une excel-lente santé : au d
phique du col de l'utérus, accom-pagné de rétroversion chez une jeune femme de 21 ans. — Section du col 1 Voy. Revue phctog
màrquay, pour y être soignée d'une maladie de l'utérus, — Cette jeune femme a été bien portante jusqu'à l'âge de 16 ans. Depu
qui nous a été communiqué verbalement par M. Ricord. Il s'agit d'une femme atteinte d'é-longation hypertrophique du col avec
suivante, où l'autopsie fit découvrir un abcès rétro-utérin chez une femme âgée de 34 ans, mariée et se trouvant par conséqu
ralisation de la péritonite. — Mort. (Observation inédite.) X....., femme de 34 ans, mariée mais sans enfants, se présente
d'une chute de matrice. Sans vérifier ce dernier fait, on admet cette femme dans le service de M. Cusco, vu la gravité de son
on était habituelle, État actuel. Le lendemain de l'entrée de cette femme à l'hôpital, M. Cusco procéda à un examen détaill
ications qui expliquent les accidents auxquels les plaies exposent la femme grosse. Ces accidents sont de deux ordres : Yhémo
er, le ma-nuel de l'expression utérine. « Après avoir fait coucher la femme sur le dos et avoir écarté les anses intestinales
11), elle a déterminé l'arrêt d'une hémorrhagie commençante chez une femme tertipare qui avait eu des mélrorrha-gies considé
, et il n'y eut pas d'hémorrhagie. Huit ou dix jours plus tard, celte femme sortait complètement guérie. L'examen hislologi
Par H. GRIPAT, interne des hôpitaux de Paris Le 10 février 1872, la femme Séraphine Plaçais, âgée de 55 ans, primipare, acc
rents, de la sage-femme, enfin de mon père, sur les antécédents de la femme et sur l'accouchement. Je dois dire de suite que
tention du placenta, n'a pu recueillir que des détails incomplets. La femme Plaçais s'é-tait mariée avec un homme étranger au
lla trois semaines après son mariage, à la suite de querelles avec sa femme . Depuis, il n'a plus été revu. Il avait servi com
, il portait au cou et à la face de nombreuses traces de scrofule. La femme est petite, rachitique, mal conformée et paraît a
sement du bassin, dont le diamètre n'a pas été noté. La mère de cette femme est vigoureusement constituée, son père est faibl
errogés sur la date de la grossesse, répondent avec hésitation que la femme s'est mariée le 25 juillet i87J, six mois et demi
ent après ces querelles. Pendant toute la durée de sa grossesse, la femme Plaçais éprouva par suite de cette situation de g
monstre. OBSTÉTRIQUE OBSERVATION D'ACCOUCHEMENT SPONTANÉ CHEZ UNE FEMME RACHITIQUE Par le docteur verrier Si le rac
celte maladie, le bassin soit agrandi dans ses diamètres, bien que la femme présente toutes les apparences du rachitisme conf
hez une racbitique primipare, car on ne sait pas alors comment cette, femme accouchera. — Volume du fœtus, dimensions exactes
e de 55 ans, nous fut adressée le 8 sept, par madame Haunais. — Cette femme a vu ses règles pour la dernière fois le 24 décem
trois premières sacrées ; c'est une véritable gibbosité : aussi cette femme ne présentait-elle pas cette ensellure habituelle
ssi cette femme ne présentait-elle pas cette ensellure habituelle des femmes à bassin vicié. La hanche gauche est plus élevé
let elle est de 0m,48. On se rend compte alors de l'aspect de cette femme dont les membres in-férieurs sont si développés e
de hauteur des hanches et les courbures de la colonne vertébrale. La femme étant fatiguée, nous remîmes la pelvimétrie inter
, maladie qui fut le point de départ des difformités actuelles, cette femme avait joui d'une bonne santé, sauf quatre anthrax
argea de la besogne, et nous n'eûmes pas le loisir de soumettre cette femme à un nouvel examen. Les premières douleurs se déc
angle beaucoup plus aigu qu'à l'état normal. Au bout de 8 jours, la femme se levait et mangeait à son appétit. L'infiltrati
Cornillon(J.), 178, 406. Corps fibreux de la grande lèvre chez une femme enceinte, par J. Cornil-lon, 178. — de l'utérus,
Yer-neuil, 541. Permanganate de potasse dans quelques maladies des femmes , par Williams, 209. Petit (Ch.-H.), 108. Phlé
E. Teinturier), 85. Il Rachitisme (Accouchement spontané chez une femme atteinte de), par Verrier, 593. Ramollissement
22 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
content de son mariage, n'avoir à se plaindre en aucune façon de sa femme . Celle-ci est en bonne santé, bien qu'elle ait
uelle il était placé en un autre milieu, des allées et venues de sa femme et de ses enfants qui n'étaient plus avec lui ;
le jour de Noël, les habitants de la route d'Evreux à Louviers. La femme Filâtre, journalière, âgée de soixante-deux ans
e renversé. Les voisins ont aidé Filâtre à relever le cadavre de sa femme , dont les chairs tombaient en lambeaux. Comme c
faisait des visites régulières. Ordonne prêtre après la mort de sa femme , il entra comme chapelain au couvent de Saint-J
vre, c'est-à-dire la rénovation de l'ordre des carmélites hommes et femmes , dont elle passe pour la fondatrice ; alors seu
pénible; c'est alors trop le docteur en théologie et pas assez la femme de lettres qui tient la plume. Au xme siècle dé
aient asseoir le syllogisme dans les chaires des écoles et, quoique femme et nonne, Thérèse fut de son 1 Voici ce sonnet
supplément d'informations que nous cherchons. SES SENTIMENTS. Comme femme , elle eut de grandes passions : son coeur aiman
er trois cas de ce sommeil : - 1 Le premier cas est relatif à une femme de cinquante-cinq ans, chez laquelle les sommei
rès semblable, avec une cause différente. Il s'agissait d'une jeune femme de la campagne, sujette à des attaques convulsi
E Bucuet Dr, llooa. (Journal de Neurologie, 1900, n° 5). Chez une femme parésiée des quatre membres et des sphinc- ters
ïne. (The Journal of Mental Science, juillet 1901). Observation : Femme de vingt-cinq ans, déraisonnable, bruyante, vio
'une fracture du fémur, survenue au cours d'une atta- que, chez une femme de trente-trois ans, atteinte de manie chro- ni
s Liston; (Tite Journul of Mental Science, octobre 1901). Obs. 1. Femme de vingt-sept ans; comme signes de syphilis con
seule- ment on constate quelques indices de coquetterie. Obs. Il. Femme de trente-huit ans, bosses frontales saillan- t
utit souvent à de véritables excès vénériens matrimoniaux, dont les femmes surtout eurent à souffrir; et aujourd'hui encor
i encore, il n'est pas rare, chez les juifs orthodoxes, de voir des femmes qui, depuis la puberté jus- 156 REVUE DE PATHOL
'étonner alors que 1'l ? lstei-ia gravis soit si commune .parmi les femmes juives. Les cas graves d'aphonie hystérique, so
sont d'ailleurs extrêmement communes chez les hommes comme chez les femmes . Bien que les qualités inhérentes aux juifs aie
ls y apportent la ténacité héréditaire des jours de misère. . Les femmes ont subi des influences d'ordre différent, mais
02, n° 2.) Dans' l'un des cas relatés dans cette note le mari et la femme étaient atteints de tabès dorsalis ; dans l'aut
ts de tabès dorsalis ; dans l'autre le mari était tabé- tique et la femme présentait tous les signes d'une myélite de' la
ralysie post-anesthésiques rapportés dans cette note concernent des femmes ne présentant aucun signe d'hys- térie et qui a
Sano. (Journal de Neurologie, 1900, n° 5. Histoire clinique d'une femme qui fut atteinte successivement à l'âge de soix
de l'orbite par suite d'une chute. Dans la seconde, il s'agit d'une femme de quarante-deux ans, qui d'abord pendant seize
uge. Quelques heures après, la gen- darmerie, prévenue, trouvait la femme Any dans les bois et la . VARIA. 189 mettait
ns, alcoolique, rentrant ivre, a tiré deux coups de revolver sur sa femme dont l'état est désespéré. (Bonhomme Normand, d
rovost. fou de colère et d'alcool, saisit un fusil et tua la pauvre femme . Il se sui- cida ensuite. (Bonhomme Normand, du
. A Saint-Etienne, on a arrêté une mère indigne, Julienne Martin, femme Fournier, demeurant au Marais, qui martyrisait so
de Grandchamp, près d'Isigny, âgé de 74 ans, a été vu par plusieurs femmes se livrant à des actes honteux sur des chèvres
c, fermiers à Devèze (HauLes-Pyrénes), ont avec eux une soeur de la femme , M ? Sabathie, aujourd'hui âgée de quarante ans
re elle a pris la fuite et on ne sait ce qu'elle est devenue. Cette femme doit avoir agi dans un moment d'aliénation ; el
hef à l'asile de Riom, promu à la 2e classe du cadre. LE tueur DE femmes . Les médecins aliénistes de Lyon chargés de l'e
médecins aliénistes de Lyon chargés de l'examen mental, le tueur de femmes de Nice, se sont réunis hier pour discuter les
a visiteuse et l'étrangla avant que l'on eût pu dégager la pauvre femme . (Le Progrès de l'Eure, 10 juin 1902.) LE vampi
e l'année 1901, a été de 3.916 personnes dont 2.493 hommes et 1.423 femmes . De tous ces malades il y en avait 682 qui souf
n avait 682 qui souffraient de paralysie générale, 590 hommes et 92 femmes . Si nous pre- nons les chiffres des dernières d
apport du nombre des paralytiques hommes au nombre des paralytiques femmes . 1 Si nous faisons les chiffres absolus, que no
sie générale. ' 195 du nombre des hommes paralytiques au nombre des femmes paralytiques ; nous nous permettons, pourtant,
alades psychiques hommes au nombre de toutes les malades psychiques femmes . Chez nous, pour chaque para- lytique femme il
s malades psychiques femmes. Chez nous, pour chaque para- lytique femme il revient 6,41 paralytiques hommes, c'est-à- d
liénés est plus que six fois plus grand, que celui des paralytiques femmes , et que pour chaque femme aliénée il revient 1,
plus grand, que celui des paralytiques femmes, et que pour chaque femme aliénée il revient 1,75 d'hommes aliénés, c'est
des hommes aliénés est presque deux fois plus grande que celle des femmes aliénées. De cette comparaison il s'ensuit que
es serait plus que trois fois plus grand que celui des paralytiques femmes . En partageant ces mêmes données par périodes d
s suivants : Tableau III 196 ' CLINIQUE mentale.. du nombre des femmes paralytiques les dernières quatre années. - C
acun une période de, cinq années. De 67.3 paralytiques (hommes et femmes ensemble) : paralysie générale. 197 grand nom
rand nombre de malades revient au second de ces groupes et chez les femmes au premier. De plus, on voit encore que le nomb
hez les femmes au premier. De plus, on voit encore que le nombre de femmes paraly- tiques dans l'âge le plus jeune et le p
lytique. Démence profonde. Les 572 hommes paralytiques et les 91 femmes paralytiques d'après les histoires de maladie,
hilis dans l'anamnèse de 'la paralysie générale. 520 hommes et 67 femmes ont été répartis de la manière suivante : 202 C
nir ce qui suit : PARALYSIE GÉNÉRALE. 203 Chez les paralytiques femmes , on obtient des données con- cernant ce sujet u
sanguinolents, brillants, font saillie hors de l'or- bite. Chez une femme , ils étaient alternativement ternes et bril- la
eil utéro-ovarien. Aux différentes époques de la vie génitale de la femme cette corrélation s'affirme : le moment de la p
ormale, physiologique, du côté des seins. « Chez un grand nombre de femmes , dit Lannelongue 1, les seins se gonflent quelq
rticle sur la physiologie de la mamelle : « Chez presque toutes les femmes , dit-il, les mamelles sont le siège de sensatio
ent se- gonflent, acquièrent plus de sensibilité et de tension ; la femme éprouve dans son intérieur, particulièrement da
s : « il tenait son pénis à la main et se découvrait même devant sa femme et sa fille ». On rencontre enfin chez les idio
é depuis deux ans deux cas de tic de nicti- tation chez deux jeunes femmes , qui ont arrêté mon attention sur ce point. Ici
ait cependant pu être accompli. La première malade est une jeune femme de trente ans à anté- cédents héréditaires peu
alade, établir une surveillance assidue. La seconde malade, jeune femme de vingt-quatre ans ne se sou- vient pas de ce
er pendant un souper qui terminait sa soirée le fameux tic de cette femme qui semble solliciter les passants par son clig
remarquer son enthousiaste auditrice, laquelle, ne trouvant plus de femme de son monde à entraîner dans son escapade, avait
audition à son mari. M. X..., peu épris d'art nouveau, morigéna sa femme qui après une crise de larmes promit de ne plus
sait constamment, malgré tout ce que le mari tenta pour guérir sa femme . L'obsession était telle que la malheureuse dame
. J'ai eu l'occasion d'observer avec mon ami le Dr Picqué une jeune femme près de laquelle il avait été appelé pour prati
le plaisir d'entendre de nombreux artistes distingués. 1-0 Bonnet, femme du sympathique secrétaire du Congrès, a été par
t eu raison d'une verrue qui datait de deux ans. M. Bérillon. Une femme de Lausanne a guéri un nombre consi- dérable de
re consi- dérable de verrues, en les touchant avec la chemise d'une femme qui venait d'avoir ses règles. Bonjour (de Laus
vieille, qui porte ou ne porte pas de fardeau, d'un homme ou d'une femme , vierge, mariée, avec ou sans enfants. Les vole
se trouvaient un M. Four- nier, avoué à Bétliune, accompagné de sa femme , et un individu paraissant ne pas jouir de ses
isonnements multiples par une aliénée. On mande de Narbonne, qu'une femme rrauconal, de Montredon, qui avait perdu la rai
ris le 19 février d'un accès de folie furieuse et s'est jeté sur sa femme , qui se trouvait près du berceau de leur jeune en
ignes de dérangements cérébraux et avait dû cesser tout travail. Sa femme , âgée de trente- six ans, était depuis quelques
l à la suite de ses couches. Hier soir Minodier, alla chercher sa femme à l'hôpital et ils ren- trèrent ensemble à leur
Minodier avaient dû boire ensemble. Dans la chambre à coucher, la femme Minodier était étendue sur le lit, le crâne fra
sur le sol, Les deux blessés ont été transportés à l'hôpital, où la femme Mi-" nodier est morte ce matin. (Le Temps du 21
lier à Yseure (Allier), a tiré, étant ivre, un coup de fusil sur sa femme qu'il a atteinte grièvement, puis il a voulu tu
s très analogues, sinon presque identiques, chez l'homme et chez la femme , comme chez l'enfant, l'adulte et le vieillard.
vieillard. 50 Cette variété de la folie est plus fréquente chez la femme , mais on l'observe aussi chez l'homme. 6° On
enté, par exemple lorsque la maladie se produit entre le mari et la femme . 7° L'indication thérapeutique principale consi
es défendre leur valent la sensation de n'être pas comme les autres femmes . Dans leurs inquiétudes et leurs doutes, plus d
e comme des ennemies : le juge, l'aumônier, un interne, et enfin la femme qui les fouille conformément au règlement. Ta
ion intellectuelle, quelques idées ambitieuses « il va acheter à sa femme des « chevaux et une voiture pour se promener. »
l se lamente, réclame le médecin pour le rassurer sur le sort de sa femme qu'il croit dans la misère. Nouvelle amélioration
ne trouver que ses trois enfants aînés, se mita la recherche de sa femme , dont le cadavre et ceux de ses plus jeunes enf
l'asile en trois parties : celle de droite réservée au service des femmes ; celle de gauche au service des hommes ; les se
r les indigents, un pension- nat pour les hommes, un autre pour les femmes et une colonie agricole de quarante hectares. D
n hydrothérapique, d'un côté bains des hommes, de l'autre bains des femmes . - Dans le vesti- bule de tous les quartiers, l
de l'année, il a été admis 19 cas de folie alcoolique (14 hommes, 5 femmes ), et 2 cas de crélinisme ou mieux de dégénérescen
Saint-Côme, Falpet, Evrat, Daquin, Char- meil, pour la division des femmes . Le pensionnat donne une recette de 101,770 fr.
auto-ac- cusateurs médico-légaux. Presque tous ces malades sont des femmes et la plupart s'accusent de crimes, surtout d'i
'ordre sexuel (attentats, adultères, etc.). Elle s'observe chez les femmes et peut entraîner de lâcheuses conséquences.
t d'un homme qui déclara tout récemment à la justice qu'une vieille femme , d'ailleurs mendiante de son métier, étant mort
. M. Dupré. On sait que chez les paralytiques généraux (hommes ou femmes ) les délires de grossesse ne sont pas rares; on
ÉTÉS SAVANTES. observé, avec M. Hagniez, un exemple, concernant une femme de trente ans qui s'est présenté à nous avec le
conviction d'une grossesse de cet âge était-elle absolue chez cette femme et dans son entourage : on avait préparé la lay
és les mêmes résultats. C'est ce que nous avons constaté chez une femme de quarante-cinq ans, atteinte depuis deux mois d
paralysie générale chez les débiles. Il rapporte aussi le cas d'une femme qui, au cours d'une paraylisie générale, cultiv
la Seine. L'asile compte 29 aliénés dits criminels (20 hommes et 9 femmes ), qui sont considérés comme dangereux, sauf que
rapprocher de la sialorrhée. LES aliénés EN liberté 1-e Pingard, femme d'un employé de la Compagnie du chemin de fer d
ruay (Pas-de-Calais), pris de folie, s'est jeté dans la rue sur une femme Laure Cam- pagne et l'a tuée en lui coupant la
de folie. (Le Bonhomme Normand du 27 juin au 3 juillet 1902.) La femme Jeanne Dhont, trente-quatre ans, dont le mari est
éros n'en étaient pas conservés. (Le Temps du 18 avril 1902.) Une femme d'Ecquetot (Eure), âgée de cinquante-cinq ans; la
se livre à des recherches. (Progrès de l'Eure, 8 août). Comme cette femme avait déjà donné des signes de . folie, elle au
c'était une indigente, il aurait fallu payer pour elle. Une jeune femme habitant Bissy (Savoie), avait depuis quel- que
catwocltericparisienz2c. Les photographes courent devant nous ; des femmes nous sui- vent jusque dans les chalets publics
merie spéciale, elles voient tout de suite une persécutrice dans la femme de service qui les fouille, et s'inquiètent de
er toutes les trois l'inven- taire. En entrant dans le quartier des femmes , elles entendent toutes trois en même temps les
blicité. Nous n'en n'avons déjà eu que trop. Nous ne sommes que des femmes pot-au-feu et nous voulons rentrer dans l'ombre
re, nous dit-elle, morte de la poitrine à vingt-deux ans, était une femme remarquable. Elle écrivait des vers qui, malheu-
en tirer prolit. Ma soeur, morte aussi de la poi- trine, était une femme de salon d'un très grand esprit. » Elevée dans
st le parallèle du Christ ! le prophète ! Nous n'avons jamais vu de femme comme Mmo J... » 1 Elle dit avoir eu des appari
mmes passaient, nus et montés sur des chevaux qui se cabraient. Des femmes chantent. C'est le bonheur. A côté de cette pla
êtrière, « alcoolique et noceuse ». Vit actuellement avec une autre femme . Grand-père paternel, mort en 1869 ; rhumatisant
des deux ment, il n'y avait pas de témoins ! » D'après le père, ces femmes qui l'auraient ainsi poussée à faire ces racont
ablement améliorée. Elle 1 La maîtresse, alcrs, Alice M.... devenue femme G..., était une hys- térique que nous avons obs
tiques d'une polynévrite infectieuse ou toxique, survenant chez des femmes atteintes d'infection puer pérale ou albuminuri
r CHAR- vET. (Revue neurologique, décembre 1899.) Il s'agit d'une femme de vingt-deux ans, ayant présenté son accident'
Lad. IIASEOVER. (Revue neurologique, octobre 1899.) Il s'agit d'une femme de trente ans, bien portante qui, trois semaine
nombre desépileptiques, dits non.aliénés, estde 31'(16 hommes et 15 femmes ). Relevons cette opinion que nous avons toujours
'avons pas, à l'heure actuelle, un seul cas de tuberculose chez les femmes et du côté des hommes il n'y a qu'un seul cas avé
partement. Il n'y a pas d'aliénés condamnés. Pour les hommes et les femmes , le service de nuit est assuré par un veilleur
pour 2 ser- vices d'hommes et 2 grandes infirmeries pour hommes et femmes avec 9 chambres d'isolement... « En principe,
vier 1901 et de 1.259 à la fin de l'année. Admissions, 221 (dont 6 femmes alcooliques) ; sorties, 123 ; décédées, 104. « No
ssi il avait cherché à voir à travers des planches mal jointes, des femmes dans les cabinets d'aisances. Si on l'avait env
x étalages de bouquinistes, et s'adres- sant à la foule amusée : Ma femme m'a mis des chats dans les jambes, je vais les
r des cris désespérés de : « Au secours ! » poussés par une voix de femme . Ils partaient de la 4G4 FAITS DIVERS. direct
'hospice. La supérieure et le jardinier accou- rurent et virent une femme se débattant dans l'eau. Ils la retirèrent et l
t infirme. Elle n'avait pas même l'usage de la parole. La vieille femme la prit en affection. Elle ne la quittait pas, la
s'ils ont exécuté ou non ce qu'ils redoutent jusqu'à ceux, comme la femme citée plus haut, dont la per- - sonnalité est p
inairement. T... se croyait en butte aux persécutions d'une vieille femme habitant la même maison que lui. Dans cette mai
ne voix lui com- mande, c'est-à-dire qu'il brûle un mouchoir que sa femme lui a mis dans la poche, et l'arrose d'eau béni
ieu et qui le délivre, et aussi un homme à cheval; cet homme est sa femme , qui a le pouvoir de se métamorphoser. Par la s
ii.%w. (The Journal of Mental Science, juillet 1901.) Observation : Femme de cinquante an, de santé générale assez bonne,
travail, la paresse, le besoin de luxe, etc. Pourtant il existe des femmes - et l'intéressant travail de l'au- teurlen cit
par J. CMCQ. (Jouru. de Neurologie, 1902, n" 10). Il s'agit d'une femme de soixante-sept ans qui fut prise de violentes
e de la tragédie passa inaperçu et ne fut loué que par Wagner et sa femme ; puis il publia une véhémente attaque contre D
ivité parait avoir été très faible, et ses sentiments à l'égard des femmes ne paraissent pas aller au delà des satisfactio
27 i relations sexuelles en dehors du mariage. Quand il parle des femmes , d'ailleurs, il ne sort guère des lieux communs.
mculuires : MINI. J. Déjiîrine et P. Armand- Delille présentent une femme chez laquelle apparurent, à l'âge de. trente-tr
ccès d'agitation.. Nous avons dû précisément sollici- ter, pour une femme , son placement d'office comme aliénée véri- tab
1901. Le pourcentage (902 malades) est de 10,76 et de 7,09 pour les femmes . La différence de la mortalité entre 1900 et 19
rononcée. En 1901, nons avons perdu ainsi 10 malades (7 hommes et 3 femmes ) qui étaient entrés depuis BIBLIOGRAPHIE. 541
é 2 833 bains et 861 douches dans les services des hommes; chez les femmes , il a été donné 3,048 bains et 1,008 douches. M
ecin à la colonie de Gheel. Sur 384 aliénés, dont 200 hommes et 184 femmes , composant au l01' septembre 1901 l'effectif de
a section confiée aux soins du D1' leetis, 40, dont 21 hommes et 16 femmes , étaient atteints de démence précoce ; cette pr
soir, étaient révoltés par un fait dont ils étaient témoins. Une femme d'une quarantaine d'années arpentait le trottoir,
a correction des ; le con- tiôle du miroir, par ileige, 274. Deux femmes rares du facial, par von Bechterew, 425. Note s
t de la dans les asiles, par Lionel et Weatherly, 443. Tueur DE femmes , 1 91. TuMEuncerebpUeuse et épilepsie. par Ma
23 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
rès les renseignements que nous avons recueillis de la bouche de sa femme , Ch... n'a pas présenté de troubles de l'intell
cta la syphilis ; à son retour dans sa famille, il con- tagionna sa femme qui devint enceinte. Pendant sa grossesse, elle e
son apparition dans les Pays-Bas. Singulier mal ! ... Seules, les femmes en étaient frappées, et non les vieilles ni les
spirées par un mal, qui, semble-t-il, faisait rage parmi les jeunes femmes de son temps. Dispersées aujourd'hui dans diffé
figure de la malade est expressive. Le médecin a du décorum, et la femme qui présente le breuvage se distingue par un na
'est du moins quelque proche parente. D'ailleurs, toutes ces jeunes femmes ont entre elles un air de famille. Ceci s'expli
ous voyons ici sont sans doute des por- traits de famille. La jeune femme de Jan Steen lui a peut-être servi plus d'une f
bon escient, c'est un mal qui souvent s'attaque au coeur des jeunes femmes : cruels en sont les tourments ; mais aussi le
R Tableau de JAN Steen, intitule Un médecin tâtant le pouls d'une femme malade à l'ancienne Pinacothèque de Munich. M
e coin de meuble, et qui lance sa flèche droit au coeur de la jeune femme . La légende est écrite sur une lettre que la ma
à l'élude de dermalite polymorphe prurigineuse récidivante chez les femmes enceintes et récemment accouchées, in Bull, et 11
couleur dans la peau formait autour du corps et des genoux de cette femme des cercles aussi réguliers que si un dessi- na
aussi prononcé que la peau d'une Africaine. Le mari qui adorait sa femme tant qu'il n'avait vu que ses mains ou son visa
convaincra (Fig. 17). Cette figure représente le bras gauche d'une femme âgée de 40 ans, très bien portante et simplemen
llarrach,mais en diffère par plusieurs détails (en particulier, une femme , Charilas, qui porte sur la tête le pélican sym
aux soins d'une aide, infirmière de cette étrange clinique, grosse femme à coiffe blanche qui noue à tour de bras un banda
ut du mal, et c'était là la cause unique qu'on pût retrouver. Une femme de 39 ans, citée par Bernhardt (1), s'expose à un
I nous reste à mentionner le fait de L. Weber (3) ; il concerne une femme de 27 ans, prise trois semaines après un accouche
uve des douleurs dans l'épaule droite. Quatre jours après, sa jeune femme constate une déformation de l'épaule. Il s'agit
le humide, celui de Busch avait dormi sur la terre humide, enfin la femme de Bernhardt s'était exposée à un courant d'air
e beaucoup en arrière et se rapproche de la 1 igné médiane. Chez la femme de Kohlcr, l'angle inférieur de l'omoplate est
mie. Chez une fillette de 10 ans, issue d'un père français el d'une femme arabe, nous avons découvert à la racine cle la cu
ni difforme ni obèse. Il est à remarquer aussi que le père de cette femme est mort d'une hernie étran- glée et qu'elle-mê
certaines conditions d'hygiène et d'aération qui ont manqué à cette femme , ayant vécu une partie de son adolescence dans
eds', soigné il maintes reprises et récidivant sans cesse.C'est une femme grande, vigoureuse,, maigre et nerveuse. Je lui
mari, qui lui aussi avait des boutons, conduisit plusieurs fois sa femme à l'hô- pital Saint-Louis, où on lui prescrivit
Son mari suivit le même traite- ment, et se garda bien de dire à sa femme de quelle maladie tous deux étaient atteints. L
cette hérédo-syphilis qui poursuitla progéniture d'une malheureuse femme plus de 21 ans après qu'elle a été contaminée p
ce pas aussi ce qui frappe le plus dans les portraits de ces jeunes femmes douloureusement alanguies, cherchant vainement,
e regard mourant est perdu dans le vague. Encore une jeune et jolie femme qui parait être à deux doigts du trépas. Voyez
couple buvant. On a voulu y voir le portrait de Jan Steen et de sa femme , opinion contredite par Burger (3). « La femme, d
e Jan Steen et de sa femme, opinion contredite par Burger (3). « La femme , dit-il, assise de 'profil à droite-et vue jusq
verser à boire. Il parait avoir au moins quarante ans, et la jeune femme guère plus de vingt. Différence d'âge qui prouve
e Steen, on n'a jamais vu maître Jan si sérieux, surtout près d'une femme , fut-ce la sienne, surtout quand il verse à boire
a certainement pas entre eux un écart de vingt ans d'âge. La jeune femme ressemble à bien des figurantes de Jan Steen : el
l Richer, mentionnant cette peinture (1), lui donnent pour titre La femme malade. « Une femme assise, la tête enveloppée, b
t cette peinture (1), lui donnent pour titre La femme malade. « Une femme assise, la tête enveloppée, boit une liqueur qu
i aussi, ins- piré par la febris amatoria. L'air dolent de la jeune femme ,. le malaise évident que son geste exprime, la
de pourpre, savamment relevés sur un balda- quin frangé, une jeune femme est couchée, la chemise défaite, la gorge a nu
et encombrement de fuliginosités. » Le moyen, le voici. Une vieille femme l'apporte sous forme d'une se- ringue qu'elle s
mais sur sa gorge rebondie. L'ensemble repré- sente assez bien une femme en mal de grossesse, souffrant de pesanteurs, d
avec un sérieux grotesque des gestes explicatifs. Enfin, une jeune femme , n'y tenant plus, a dû quitter la chambre pour po
ttitude nous est connue ; mais voici un détail inattendu : la jeune femme , qui écarte légèrement les jambes, tient dans sa
850 florins. Collection van der Hoop. - LE MAL D'AMOUR 2S'7 jeune femme , - la malade - et un homme entre deux âges, le mé
osition très simple se dégage un charme infini. La pose de la jeune femme est pleine d'abandon, mais non sans une cer- ta
a laissé un certain nombre de scènes médicales parmi lesquelles La Femme hydropique du Louvre vient en tout premier rang.
, tous hypothyroïdiens d'après moi. J'étais frappé de voir chez ces femmes , non seulement un facies caractéristique et une
nations individuelles, de t'hypothyroïdie bénigne chronique chez la femme adulte, de cette forme de myxoedème qui ne marche
r de cette méthode d'investigation, citons quelques exemples : La femme représentée à la figure 2 est atteinte de myxoedë
carrière médicale, il y a une quinzaine d'années, j'ai traité cette femme parce qu'elle se plaignait de rhumatismes. Je ne
que l'oppression très pénible à laquelle j'avais toujours vu cette femme en proie et que j'attribuais en partie à l'obésit
s voulons parler du foie et des intestins. La figure 4 montre une femme atteinte de cachexie strumiprive. Elle mourut t
n point, c'est que DE L'RYPOTHYROIDIE BÉNIGNE CHRONIQUE 271 cette femme conserva jusqu'à la fin de sa vie toute sa lucidi
qu'une jaunisse atténuée et dé- pend de troubles biliaires. La femme C... (PI. XLIII, 6) nous fournit un exemple trè
née. Les pieds sont gros. Elle présente le teint clas- sique. Cette femme est irréductiblement constipée, et durant toute s
l'rhagies utérines excessives qui carac- térisent le myxoedème. Ces femmes perdent du sang en quantité in- 276 E. HERTOG
musculaires et articulaires que nous avons indiquées plus haut. La femme que nous montrons (PI. XLV, 14) doit arrêter l'at
es redevinrent de plus en plus abondantes. A un moment donné, cette femme redevient semblable à ce qu'elle doit avoir été
que toute description, donne une idée du changement opéré en cette femme sous l'in- fluence de la thyroïdine. Le retour
GÉNÉRALITÉS Nous avons surtout en vue l'hypothyroïdie bénigne de la femme adulte. Il nous serait impossible d'en donner u
et correspond symptomati- quement aux ménorrhagies épuisantes de la femme . Certaines hypertro- phies de la prostate nous
re sous la dépendance d'une sénilité précoce dysthyroïdienne. Les femmes atteintes d'hypothyroïdie bénigne chronique ne se
et procréent dans des conditions apparemment semblables aux autres femmes . Les grossesses répétées, l'allaitement prolong
d dans ses grandes lignés l'hypothyroïdie bénigne chronique chez la femme adulte, ainsi que les particularités qu'elle a pr
sa formation. Si, en outre, nous décrivons les enfants qu'une telle femme engendre, nous aurons tracé le tableau complet de
our décrire ces formes que j'ai fait ce mémoire. A première vue, la femme atteinte d'hypothyroïdie bénigne chronique para
est en réalité. Elle grisonne de bonne heure. Qui ne connaît de ces femmes dont la chevelure d'argent forme un si vif con-
vec tous les désagré- ments fonctionnels qu'elle entraîne. Chez les femmes atteintes d'hypothy- roïdie très légère, les fo
ts intermi- nables, des plus pénibles. On remarquera que chez les femmes atteintes d'hypothyroïdie bénigne, la voix est
grossesse elle-même provoque une amélioration chez beaucoup de ces femmes . Elles se disent être mieux portantes alors qu'
utumée. La perte de la mé- moire, un certain laisser-aller chez des femmes habituellement soigneuses et attentives à tous
cuité intellectuelle s'observent très fréquemment, surtout chez les femmes à ressources thyroïdiennes amoindries. La délivra
nce est habituellement suivie d'une hémorrhagie assez forte chez la femme à thy- roïde faible. Les règles sont généraleme
t de pathognomo- nique qu'elle s'aggrave pendant la nuit. Certaines femmes , pour échapper à leur lit et à leurs douleurs,
ment subnormale. Malgré une charge incroyable de couvertures, ces femmes sont glacées dans leur lit, dorment dans de la fl
sse de la poitrine et les hernies. La formation des varices chez la femme enceinte s'explique par la com- pression des tr
la calculose biliaire chez les parents des livpouliyi-oïdiens. Les femmes atteintes d'insuffisance thyroïdienne présentent
s il est certain que, dans un grand nombre de cas, surtout chez les femmes et les enfants, cette influence n'y est pas étran
ture des chlorotiques, on serait vite édifié sur la question. Des femmes qui, normalement, ont des selles faciles et régul
issons à la même heure, au point de claquer des dents. Ce que cette femme a avalé de quinine est inimaginable, étant soup-
let. Cela est aussi vrai pour l'esprit que pour le corps. Chez la femme adulte, la tare dysthyroïdienne se réveille sous
refroidi, c'est un pur non-sens. La réaction ne se fait pas chez ces femmes et chez ces enfants. Il faut .avoir traité ces
tard. Le tabac doit être sévèrement interdit aux enfants... et aux femmes . Beaucoup d'enfants fument en cachette ou même
de compression (sciatique uni ou bilatérale). J'ai sauvé plus d'une femme du couteau. Dans la rétroflexion infantile des
faite, pâle et oppressée. Les autres enfants sont bien portants. La femme A... a allaité tous ses enfants. Les dou- leurs
orrhagies hypothyrouliennes. Constipation. Mlle A..., fille de la femme dont nous venons de tracer l'histoire, est âgée
pe imminente. Bien qu'a un examen très attentif il y ait chez cette femme un léger degré de bouffissure de la face, un peu
ent dégarnie sur la ligne médiane. Les enfants mâles issus de cette femme sont bien portants. Il n'en est pas de même des
Fig. 24. - Eetromélie de la main et de l'avant-bras gauches chez une femme issue de mère hypothyroïdienne (Observation III
omplètement disparu et, à part un certain degré de constipation, la femme se déclare guérie. Je la revois encore le 27 jan-
uart de pastille anglaise, dose d'entretien suf- fisante chez une femme de cet âge. La figure 25 représente le radio-
ion est opiniâtre. Cependant, rien dans l'aspect extérieur de cette femme n'indique le myxoedème. Les dents sont mauvaises,
infantiles et celui de leurs ascendants. Malgré ses 52 ans, cette femme est encore fortement réglée. Toute sa vie elle
phtisie pulmonaire. Le traitement thyroïdien a été suivi par cette femme en même temps qu'il a été imposé au fils. Sous
J'ai placé en regard de X4 (Fig. 28) l'image en [pied (Fig. 29) d'une femme atteinte de myxoedème franc et dont l'histoire
dire qu'elle est cinq fois plus fréquente chez l'homme que chez la femme . Les infections pa- raissent jouer un certain r
e pièce garnie de boiseries et de vitraux. Près d'un lit, une jeune femme est assise, une coiffe blanche sur la tête, vêt
oit qu'une malade, mais très soigneusement figurée. C'est une jeune femme couchée dans un lit à rideaux soutenue par de gro
SALPÊTRIÈRE. T. XII. PL. LXI. Dessin de FRANS VAN MIERIS le Vieux Femme malade Bibliothèque Albertine, Vienne. ET CI"
hui le cas est de ceux dont on peut se permettre de rire. Une jeune femme est là, fraîche, jolie, bien en chair, mais tout
fond de l'offi- cine, on aperçoit plusieurs personnages, hommes et femmes , qui s'égayent librement du résultat de la cons
n y voi un docteur, en costumedu temps, tâtant le pouls d'une jeune femme assise; de l'autre main le médecin lient l'urin
e 1/2 heure, l'autre à 14 ans. Le fils de 37 ans, marié, a perdu sa femme , morte tuberculeuse à l'hôpital de Nancy. Remar
articulaire il y a 7 ans n'a pas eu d'autres maladies ; est marié ( femme bien portante), a trois enfants bien por- tants
agie ayant d'ailleurs vite guéri. Jl se marie à vingt-trois ans, sa femme a troisenfants, tous en bonne santé, dont l'aîn
bservé l'acromégalie associée à l'aliénation mentale chez une jeune femme de 25 ans. , Tamburini (31) cite le fait d'une
e-même). Le Pr Joffroy (14) fait en 1895 une leçon clinique sur une femme de 58 ans, acromégalique depuis 4 ou Sans. « La
ieuse sur des gravures du XV. siècle, et cesont le plus souvent des femmes , jeunes ou vieilles,' qui s'adressent à eux. Sa
our des vitraux. Et il vaticine. ' Près de lui se tient une jeune femme , coiffée d'un bonnet blanc, le cor- sage entr'o
eau du musée.de Dijon, près de lui se tient debout une blonde jeune femme qui cherche, mais en vain, à dissimuler la proé-
les autres personnages du tableau (un homme blessé à la main, deux femmes avec des enfants malades, une servante qui appo
n grande nombre de Consultations empiriques, la consultante est une femme âgée. Il ne semble alors guère possible de mettre
TENIERS LE Jeune, a consacrées à ce sujet. Ce sont en général des femmes d'un âge avancé, de très vieilles commè- res pa
Gérard Dow, on voit à Vienne, un gracieux Empirique qui fait à une femme en larmes de cruelles révélations. Il existe plus
abit jaune garni de fourrures,examine le contenu d'un urinal qu'une femme , debout, derrière lui, vient de lui apporter (1).
ttribution contestée et d'ailleurs contestable), qui représente une Femme évanouie (2). C'est une gracieuse hollandaise e
aissance, son regard est mourant, ses mains tombent inertes. Deux femmes s'empressent à ses côtés et s'efforcent de la ran
a galerie de Mannheim, un tableau de Ter Borch représente une jeune femme vêtue d'une jaquette rouge qui travaille devant u
de Rennes, un dessin aux crayons blanc et noir, re- présentant une Femme malade, et qui est attribué à G. Mnrsu (1). La
n tableau analo- gue à ceux 'que nous avons décrits. Mais, comme la femme est déjà âgée, envahie par l'embonpoint, et en
Pinacothèque de Munich par un tableau bien connu sous le nom de La Femme malade (3). C'est une admirable peinture de la
thologique, et c'est un chef-d'oeuvre d'exécution (PL LXII). Une femme , jeune et jolie, perdant soudain connaissance, s'
in connaissance, s'affaisse sur le plancher, soutenue par une autre femme , parente ou amie déjà mûre. Tel est le motif pr
lade. Au milieu d'une société élégante, pendant un repas, une jeune femme se trouve mal. Une des convives, plus âgée, la
T. XII. PL, LXXII. Cliché llan(Waençl. Typogr. ïlansstaengl. LA FEMME ÉVANOUIE Tableau de Frans VA ? MIERIS le Vieux.
La Haye, est intitulé La Moderne Lucrèce (PI. LXXIII). Une jeune femme en jupe bleue, bien en chair, très pâle, le corsa
urtout dans la comparaison qu'on peut faire de la moribonde avec la femme évanouie du tableau de Munich. Elle est toute à
le : Suite d'une nouvelle fâcheuse (Pl. LXXIV). Une charmante jeune femme , vêtue d'une robe orange et d'un châle bleu, la
eux, Eglon van der Neer mérite plus d'éloges que de reproches. Sa Femme évanouie de la Pinacothèque de Munich est une oeu
la cause inconnue qui fait per- dre les sens à cette opulente jeune femme ? Plus qu'aucune autre elle semble faite pour c
HENRY MEIGE decins des Pays-Bas. L'un est de Gérard Dow : c'est la Femme hydropique ; l'autre, de QuiRyNc. Brekelenkam,
peuvent être confondus avec les scènes du mal d'amour. * * La. Femme hydropique de Gérard Dow est trop universellement
sentant des nègres quand on lui demande si ce sont des chevaux, des femmes , elle répond : « Des hommes ». - Demande : sont-i
ffaiblissement intellectuel avec grande irritabilité. L...Olympiade, femme R.,âgée de 59 ans,entrée à l'Asile St-Yon en avri
avons tenu à contrôler le fait par nous-même et nous avons vu cette femme dans le petit village où elle habite, depuis son
eprésentant de cette famille oedémateuse : le père de cette vieille femme , l'arrière grand-père de nos jeunes malades, av
culé ? .... En résumé, huit personnes de la même famille, hommes ou femmes , échelonnées sur quatre générations, dont cinq
eux jambes, rappelant l'aspect de l'éléphantiasis, survenu chez une femme atteinte de maladie de Basedow et ayant présenté
joutent le plus souvent. Georges Meyer (1) cite l'observation d'une femme de 32 ans, hystérique, qui fut atteinte d'éléph
n qui se rapproche davantage des nôtres (3). C'est l'histoire d'une femme de 58 ans, obèse, arthritique, sujette à la lithi
, arthritique, sujette à la lithiase biliaire et il l'eczéma. Cette femme , atteinte desciatique double avec dou- leurs rh
oedème angio.neurotique, qui nous intéresse plus directement. Une femme de 42 ans, sujette dès l'âge de 20 ans à des « fa
oulevée par une communication de M. Debove (I). Il s'agissait d'une femme de 23 ans, atteinte depuis 8 mois d'un oedème d
iberté aux mouvements des membres infé- rieurs. Au demeurant, cette femme était de bonne santé ; elle présentait un léger
e cette communication, M. Mathieu rappela les observations de trois femmes , atteintes de la même variété d'oedème segmentair
e atï'ection survenue depuis 27 ans, sans poussées aiguës, chez une femme obèse. L'hypertrophie avait atteint des proportio
xoedème, la peau conservant sa coloration normale, survenu chez une femme de 63 ans, ayant eu plusieurs attaques de rhuma
l'arthrilisme et à la névropathie. Il serait plus fré- que chez les femmes ; et au point de vue héréditaire, c'est le plus o
-sur-Auron. Nous avons eu l'occasion d'observer récemment une jeune femme âgée de 22 ans, couturière, qui présentait un o
une jupe vio- lette à corsage rose, décolletée à souhait, une jeune femme est assise, te- nant une cafetière de la main d
eugle sur les bassesses et les vilenies humaines - sur celles de sa femme comme sur celles de ses mé- decins, sa naïveté
24 (1850) Journal du magnétisme [Tome IX]
e la crise. Un mois avant cette singulière affection, il a perdu sa femme d’une mort subite. 11 avait un petit chien auquel
ien auquel il était très-attaché, et peu de jours après la mort de sa femme , l’animal disparut, perte qui ne fil qu’accroître
e vive satisfaction , mais d’autre part elle raviva le souvenir de sa femme , et une sombre mélancolie vint remplacer le premi
our te joindre à mon ennemi. Dans d’autres instants, il croit voir sa femme , et lui adresse les paroles les plus affectueuses
Ce n’est qu’en mars dernier que j’eus recours au magnétisme pour ma femme , malade depuis dix ans des suites d’une affection
sations à Paris et à Pau, où je suis allé en dernier lieu conduire ma femme , à qui il faut un climat tempéré. Maintenant j’
oyage en Californie. C’est un grand personnage ruiné, qui consulte sa femme , mise préalablement en somnambulisme , sur la qua
trouvèrent pas peu surpris de l’étrange scène qui leur apparut : une femme en proie aux plus effrayantes convulsions, et, de
icle de foi. Je n’ui donc pu communiquer à mes somnambules, hommes et femmes , ainsi qu’on pourrait me l’objecter, une répulsio
tous les magnétiseurs sont exposés. Ainsi, il a suffi qu’une mauvaise femme , poussée par l’espérance d’une forte indemnité, o
servirait au moins de pièco à l’appui, comme dans le commerce; car la femme qui m'accusait, prétendait que j’avais magné* tis
étexte pour se trouver en contact, pour violer, séduire et abuser des femmes , alors olles poursuivent a outrance, de leur blâm
art. Mais le docteur en question semblait oublier qu’il parlait à une femme , et qu’il assistait à une séance de Salon où les
é n’eût pas été du côté du magnétisme, la victoire devait rester à la femme . Aussi le docteur jugea-t-il prudent de s’esqui
on, nous dirons qu'il est fâcheux que M. Pageot se soit adressé â une femme qui, quoique fort habile à produire, ne pouvait l
chef de la famille, un jour cassa la jambe à la chèvre d’une vieille femme qui passait dans le pays pour sorcière. Furieuse,
sprits. Une âme d'homme, ou masculine, peut passer dans un corps de femme , et vous avez les Jeanne d'Arc , les Jeanne Hache
les Jeanne d'Arc , les Jeanne Hachette, les George Sand. Une âme de femme peut passer dans un corps d’homme, et vous avez c
ut aimer un autre homme, parce que son âme est attirée par une âme de femme . Une femme peut aimer une autre femme, parce qu
utre homme, parce que son âme est attirée par une âme de femme. Une femme peut aimer une autre femme, parce que l’une de ce
me est attirée par une âme de femme. Une femme peut aimer une autre femme , parce que l’une de ces deux femmes possède une â
. Une femme peut aimer une autre femme, parce que l’une de ces deux femmes possède une âme d’homme. La preuve que les âmes
. Je revins ; on m’introduisit dans une chambre où se trouvaient deux femmes , l’une couchée et l’autre assise; celle couchée m
r une chaise la somnambule. Il la vit donner i fr. 5o c. à une pauvre femme , en lui disant : « C’est pour acheter des médicam
oint d’argent, il lui répondit: « Vous paierez une autre fois. » La femme Desrouard est venue la consulter pour sa fille; o
té payés. Inutile de dire que le mutisme continue. Victoire Mcrlot, femme Pichou. C’est la somnambule du prévenu. Elle étai
Il exigeait 10 fr. pour laisser parler à son maître. Il croit que sa femme dormait réellement quand elle était en état de so
elle était en état de somnambulisme. Riéder avait promis de payer sa femme chaque fois qu’elle lui servirait de somnambule.
t un médecin qui m’a réduit à l’état de santé dans lequel je suis. Ma femme et moi mangions de l’ail et de l’oignon, et Riéde
— R. J’ai été ma-iié avec une Française, j’en ai eu deux enfants. Ma femme m’a abandonné; je crois qu’elle est morte, d'ap
Marié avec le ciel, cela veut dire qu’il ne fréquentera plus d’autre femme , à moins qu’il n’obtienne le divorce ou la preuve
me, à moins qu’il n’obtienne le divorce ou la preuve de la mort de sa femme . Il dit qu’il n’a pas pris la qualité de médecin
aint-Esprît descendrait, par un jour de soleil, et la guérirait. La femme Pochet, sœur de la précédente, a été appelée pour
appelée pour rechercher l’enfant que Riéder voulait ressusciter ; la femme Pichon lui a dit qu’elle avait passé la nuit dans
le feu et les flammes j elle avait eu bien du mal cette nuit-la. La femme Pichon nie ces propos. M. Augustin Ancel va tro
ence des maladies, qu’il les découvre à une première inspection. La femme Flahaut. Le témoin s’avance avec peine , en se so
Heureusement le vieillard n’a pas suivi l’ordonnance. A une vieille femme , la veuve Dagoubert, il lui conseille l’ail et l’
au gendarme les effets du magnétisme : il a endormi en sa présence la femme Fourier, l’une de ses somnambules; mais le gendar
eur de long à Lapécure, mari de l’une des somnambules du prévenu : Ma femme déjà avait mal à un bras; elle a consulté Guéri
le voir, il m’a fait souper avec lui. Après le souper, il aendormi la femme Pichon et ma femme, puis il s’écria : « Je vois n
t souper avec lui. Après le souper, il aendormi la femme Pichon et ma femme , puis il s’écria : « Je vois notre Créateur et le
, il renouvela les mêmes cérémonies ; mais je lui dis de réveiller ma femme , et je l’emmenai chez moi. Le bras de ma femme es
ui dis de réveiller ma femme, et je l’emmenai chez moi. Le bras de ma femme est mieux, mais l’ensemble de sa santé est plus m
e vingt-quatre verres d’eau par jour. Magnier : Riéder a endormi sa femme , qui était malade, mais d’un sommeil très-léger.
à son service, et nourri d’ail, d’oignon, etc. 11 a entendu dire à la femme Fourier, pendant son sommeil magnétique, qu’elle
tique, qu’elle voyait le ciel. Douchet, tailleur, était enrhumé, sa femme avait une maladie intérieure, et son enfant une p
qu’ils se trouvent bien des prescriptions qu’il leur a faites. Les femmes Pichon et Fourier, qui avaient paru comme témoins
e, sont poursuivies comme complices de l’escroquerie «le Riéder. La femme Pichon persiste à soutenir qu’elle ne se rappelle
tiquement; il laisse sur la somnambule son influence magnétique. La femme Fourier convient avoir dormi pour elle et les mal
que, établit la prévention tant à l’égard de Riéder, qu’à l’égard des femmes Pichon et Fourier; toutefois il se demande si le
exercice illégal de la médecine, dirigée contre le nommé Riéder et la femme Pichon. Le tribunal a rendu hier son jugement.
é coupable d’escroquerie, a été condamné à un an d’emprisonnement. La femme Pichon, comme complice, a été condamnée à 5o fr.
es de son frère, enfant; et il a , par le même moyen , arraché à 'une femme qu’il avait aimée avant Ursule, à Jeanne de Lauba
quelques-uns des derniers faits qui viennent de se produire. « Une femme d’une quarantaine d’années, que des revers de for
, que celle du magnétisme ! Elle s’exerce par tous les cœurs ; et, la femme , par ses doux épanchements, par sa profonde sensi
ie expirant.... Je suis cet amour délirant Qui surgit au sein d’une femme , Allume les foyers de l'àme Comme un brâsier
Il pàtit..... il a faim.....il 90 meurt.....il attend ! En vain les femmes consacrées Versent les paroles sacrées Au lit du
Journal des Faits du 20 mai : « La semaine dernière, M“« Salleron, femme du propriétaire des Pailles de France, se rendit
ement, à Saint-Jean-d’Angely, vers le milieu de la nuit, Mme Mechain, femme d’un âge encore peu avancé, se réveilla en sursau
tc. Un docteur anglais m’afailli étouffer par ses embrassements ; les femmes raffolent de moi, etc. Le fou, le charlatan Gué
cès chimérique, il s’est fait remettre des fonds; a0 de la part de la femme Pichon une aide et une assistance par elle, prêté
les escroqueries établies à sa charge. « Que la prétention de cette femme d’avoir donné les prescriplions dans un état réel
s, el attira chez la Sibylle moderne (dans la vie réelle Mme Lefcvre, femme Mongruel), et chez son époux , des visiteurs empr
e pour un mal d’aventure; qui le moyen de s’assurer la fidélité de sa femme ; qui la constance de son mari. D’autres, plus cur
re du sol où l’on suppose le trésor. » Énorgueilli des succès de sa femme , le sieur Mongruel a offert scs services au gouve
de concert avec la demoiselle Le-fèvre, sa concubine avant d’être «a femme , un cabinet do consultations magnétiques, à l’e
’objet, le sieur Lemoyne, qui n’oubliait rien de ce qu’il devait à sa femme et à ses trois enfants, porta plainte au parquet.
abowski. Quoique le sieur Lemoyne se fût annoncé comme le frire de sa femme , la sibylle ne voulut point parler devant lui ; a
lui raconta ce qui venait detre dit par la sibylle. « D’après celte femme , la maîtresse du sieur Lemoyne se nommait Jeanne
mmait Jeanne Dubuisson , et demeurait rue Saint-Georgcs, 5i ou 5a. La femme Monlgruel promit à la dame Lemoyne de lui révéler
, sans désemparer, se rendre chez la dame Dubuisson, accompagné de sa femme . Ils trouvèrent, non au 5i ou 5a, mais au 56, une
pas à reconnaître combien elle avait été trompée. « Mongruel et sa femme n’ont pas nié leurs rapports avec les époux Lemoy
aies. « Le sieur Lemoyne, dans l’intérêt de la santé ébranlée de sa femme , a donné son désistement, dans une lettre qu’il l
eur de bâtiments. — Vers le commencement d’avril dernier, un soir, ma femme rentra dans un état atroce, et se jeta dans les b
rouver une brochure intitulée : la Sibylle moderne. Je questionnai ma femme au sujet de cette brochure, et enfin elle m’a avo
e lui apprendre que dans le cas où elle reviendrait la voir. Quand ma femme m’eut raconté toutes ces infamies : « Allons-y en
ur de la République; mais je n’avais pas donné suite à celle idée. Ma femme , voyant cela, s’imagina que si je reculais, c’éta
nait chercher chez la sibylle, et pouvoir en prévenir celle-ci. Cette femme , pour nous donner le change, nous parla d’un vol
i, qui avais mon idée, j’eus le soin de me faire passer près de cette femme pour le frère de mon épouse, et, en effet, la som
dis entre les deux yeux : Prenez garde! je suis le mari, et si votre femme confirme ce qu’elle a dit, gare à à vous! Ces par
à vous! Ces paroles l’ennuyèrent, il se dépêcha de rentrer près de sa femme pour lui dire : Le mari est là ! Mais il était tr
telle (Jeanne Dubuisson); elle est très-bonne musicienne (rires). Ma femme exaspérée, comme vous pensez bien, se précipite s
; ah ! c’est abominable! J’oubliais de vous dire que cette affreuse femme avait promis à Mm' Lemoyne de lui indiquer, à une
par mois de Mongruel, pour signer les ordonnances que lui dictait sa femme ? — R, Ces ordonnances ne renfermaient rien que
ssité de gagner ma vie. D. Vous facilitiez ainsi à Mongruel et à sa femme les moyens d’exercer illégalement la médecine, et
s qui ne signifiaient absolument rien, et aidiez ainsi Mongruel et sa femme à consommer des escroqueries? Le prévenu garde
ublique, soutient l’accusation. Le tribunal condamne le sieur et la femme Mongruel chacun à treize mois de prison et à 5oo
faut. La première somnambule chez laquelle on s’est présenté est la femme Tournier, qui se faisait annoncer sous le nom de
e de 5o fr. Comme l’eau est plus facile à trouver ques le trésors, la femme Tournier, ne prévoyant pas d’insuccès dans cette
jugement prononcé a été rendu par défaut, en ce qui nous concerne ma femme et moi, et qu’en conséquence il ne préjuge rien d
ongruel faisait annoncer dans les diverses feuilles publiques, que sa femme « continuait de recevoir ses amis. » Ces réclames
qualification de rentier ; il habitait la commune de Rueil avec sa femme , qui recevait des jeunes filles des environs, à q
noncer à pousser plus loin son odieuse entreprise. A son retour, la femme Ponsignon parut .1 peine s’apercevoir du trouble
notez que la personne qui se donne ainsi en spectacle est souvent une femme faible, indolente, dont les membres sont en quelq
a justice tout le respect qui lui est dû. M. le Président. Et vous, femme Mongruel? La prévenue. Joséphine Lefèvre, femme
Président. Et vous, femme Mongruel? La prévenue. Joséphine Lefèvre, femme Mongruel, vingt-trois ans, somnambule. M. i.e P
reproduite. M. le Président. Attribuez-vous l'état mental de ■votre femme aux révélations qui lui ont été faites par la fem
mental de ■votre femme aux révélations qui lui ont été faites par la femme Mongruel? Le témoin. Oh! certainement, et j’ai
eorges. M. le Président. Madame, n’èles-vous pas allée consulter la femme Mongruel? — Oui, monsieur,j’avais entendn parler
ntre pas chez moi. M. le Président. Lorsque vous êtes allée chez la femme Mongruel après la scène des époux Lemoyne, a-t-el
eci est faux ; il est vrai que j’ai été plusieurs années séparé de ma femme , mais pour toute autre cause ; ma femme n’a jamai
plusieurs années séparé de ma femme, mais pour toute autre cause ; ma femme n’a jamais été atteinte d'aliénation. M® Favre.
s madame et sortis; quelques instants après, M. Lemoyne me dit que sa femme était dans une exaltation indicible, qu’elle voul
rintemps j’ai des boutons sur la peau. M. le président interroge la femme Mongruel. M. le Président. Femme Mongruel, conv
au. M. le président interroge la femme Mongruel. M. le Président. Femme Mongruel, convenez-vous que vous vous êtes livrée
Il plaise au tribunal, autoriser l’audition des témoins Lopresli et femme Barotte, el leur poser les questions suivantes :
ient à distance; n’a-t-elle pas toujours élé reconnue lucide ? A la femme Barotte : Mmc Mongruel n’a-t-elle pas soigné grat
les inculpés, tant à l’égard dudit témoin Lepresti qu’à l’égard de la femme Barotte, ne sont pas pertinentes, puisqu’elles ne
fusion, Mongruel, qui en est l’auteur et les a signés , représente sa femme comme ayant la science universelle ; lisant dans
es esprits faibles et crédules ; « Que lous ces faits, communs à la femme Mongruel comme au mari, caractérisent au plus hau
25 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
ne se prolonge pendant 20 minutes. Au bout de ce temps, je dis à la femme G... : « Pourquoi riez-vous? » — Elle me montre l
, la vue de ses enfants redoublent les angoisses de cette malheureuse femme en lui montrant à chaque instant les preuves viva
conde épître. Voici du reste le texte lui-même. « Que chacun ait sa femme , que chaque femme ait son mari. » « Que le mari
i du reste le texte lui-même. « Que chacun ait sa femme, que chaque femme ait son mari. » « Que le mari rende à sa femme
sa femme, que chaque femme ait son mari. » « Que le mari rende à sa femme la bienveillance qui lui est due, et que » la fem
e mari rende à sa femme la bienveillance qui lui est due, et que » la femme de même la rende à son mari. » « Que si tu te m
Depuis cette époque, près de deux ans, la santé morale de cette jeune femme ne s'est pas démentie. GUÉRISON PAR L'HYPNOTI
eiller ses sentiments affectifs, lui parlant » longuement de sa jeune femme , de ses enfants qu'il n'avait pas em-» brasses de
ur énumération), et serait » fort heureux de revoir en bonne santé sa femme et ses enfants. Du » reste, tout était pour le mi
. (Naples, 1887.) OUVRAGES REÇUS A LA REVUE De l'onanisme chez la femme , par le Dr Pouillet, 5me édition, 1887. — Delahay
ent : L'une du Dr Pritzl, assistant de Karl Braun. à Vienne, chez une femme accouchée par lui dans l'état léthargique, le 7 n
nne. L'ensemble des conditions générales de la santé de cette jeune femme semblerait excellent, si, ne voyant que les appar
r les trois points essentiels de cette communication : 1° Une jeune femme de 22 ans, très hypnotisable depuis sa première j
ions présentent comme intérêt particulier qu'elles s'appliquent a des femmes . Il n'est même pas inutile de faire remarquer que
ême pas inutile de faire remarquer que deux d'entre elles étaient des femmes appartenant à des familles très aisées, ce qui re
. État de léthargie. Son mari m'apprend quelques jours après que sa femme est plus calme qu'elle n'a plus de mouvements d'i
e que ces modifications dans le caractère et dans les habitudes de sa femme coïncident avec ses habitudes d'ivresse, qui se r
les 8 à 10 jours au moins, sans qu'il ait pu jusqu'ici surprendre sa femme , mais que l'ivresse est évidente. Nous observon
4 grammes... et si vous remarquez que le poids moyen du cerveau de la femme adulte, suivant Boyd, oseille entre 1,127 et «1,2
dans un asile d'aliénés. Il entra dans on cottage, menaça une vieille femme , tua deux chèvres prés de la porte, puis se préci
Remarquons, en passant, cette observation d'Hippocrate, concernant la femme d'un jardinier guérie par le massage sur la régio
ez les délinquants nés (hommes) 13,9 p. 100 ce gauchers, et. chez les femmes , 22,7 p. 100 de gauchères, c'est-à-dire que chez
commis aucun crime ni délit. Cette proportion est quadruple pour les femmes . Il en serait de même pour la sensibilité. La c
u'ils avaient eue jusque-là. Il semble donc que c'est le matin que la femme est le moins impressionnable et le soir le plus.
el fut très étonné de recevoir une semaine plus tard une lettre de sa femme , qui écrivait : « J'ai été bien effrayée au premi
36 ans, mariée et sans enfants, entre a l'hôpital sous la mention de femme aliénée. Elle présentait quelques symptômes d'hys
idérable. J'avais été mandé un soir expressément auprès d'une jeune femme qui avait été soignée longtemps dans le service d
u'on pouvait éprouver des craintes sérieuses pour sa vie. Cette jeune femme était fréquemment sujette à des pertes abondantes
des cas semblables en grand nombre. Il me suffisait de vouloir qu'une femme fût réglée à telle ou telle époque indiquée pour
tes par suggestion. M. Dècle (de Paris). — J'ai pu aussi régler les femmes presque à heure fixe. Il m'est arrivé de fixer co
n'ai, quant a moi, jamais régularisé la conduite menstruelle d'aucune femme ; mais j'ai pu, ce qui est équivalent, absolument
ans, n'a aucune disposition à la boisson. Il y a quinze ans que cette femme a commencé à boire, son mari tenait alors un débi
e nous-même ont démontré qu'il était possible de régulariser chez les femmes la fonction menstruelle et de combattre l'aménorr
is. Divers observateurs ont répété l'expérience suivante : chez une femme hypnotisée, ils appliquent dans le dos des timbre
rvenu à en jeter trois par les fenêtres. L'abandon qu'il fait de sa femme n'est d'ailleurs ignoré de personne ; ses débauch
produisant, quelque jours après, un paquet de lettres écrites par sa femme , de billets de rendez-vous, de déclarations d'amo
pensée, fouiller dans son cœur et voici que sous son regard la jeune femme tressaille, elle tremble, elle le supplie de ne p
it pas au courant des pratiques de l'hypnotisme ; aussi, devant cette femme endormie par son pouvoir, c'est son tour d'avoir
n regard, il est possédé de l'idée que Louis Chassin a dû endormir sa femme . Mais jusqu'à quel point celle-ci etait-elle do
ation. Le baron est convaincu. C'est Louis Chassin qui a dicté à sa femme , pendant le sommeil hypnotique provoqué par lui,
ssin avait, pendant les nuits précédentes, pénétré dans l'hôtel où sa femme demeurait. La visite chez le comédien, comme les
de Givray afin de pouvoir mettre un jour la main sur la fortune de sa femme ; c'est lui, du moins, qui a suggéré le meurtre à
ntenant la prier d'écouter. M. C Paul ht venir dans son cabinet une femme qu'il me parut alors connaître ton peu, sortie je
à l'ardeur génitale et urinaire, on m'accordera facilement que cette femme ne s'en soit pas spontanément expliquée devant l'
la Société voudra bien insérer ma réponse dans son Bulletin. Une femme peut-elle être accouchée sang le savoir? Telle
vement, dans le cas d'une crise de coma. Mais il est bien rare qu'une femme se trouve seule dans cet état. Or la question méd
état. Or la question médico-légale se pose ordinairement ainsi : Une femme raconte qu'elle a accouché étant endormie, et ell
était couché à côté de milady et qui, tout d'un coup, pendant que sa femme dormait profondément, sent un troisième petit per
e remuer dans le lit. Une autre fois, la même chose se passe pour une femme qui couchait avec sa petite fille. C'est celle-ci
naissance. Dans le sommeil artificiel, il n'est pas douteux qu'une femme puisse accoucher sans s'en apercevoir. Il y a deu
très grand bruit et qui n'a duré que vingt-deux ans. Au moment où la femme du seigneur de La Palisse allait accoucher, elle
que plus d'une fois encore la justice criminelle ait à décider si une femme a pu être accouchée sans le savoir. Singulier c
à la région contuse ; tandis que, suivant toute probabilité, chez une femme hystérique, l'engourdissement serait remplacé par
. Des siècles durant, on a regardé l'hystérie comme l'apanage de la femme . Les doctrines régnantes relatives au siège utéri
s rapprochait plus intimement de la grande hystérie si familière à la femme . « J'ai voulu surtout vous convaincre, disait à s
le a guéri de peur. Voici maintenant l'allochirie : * Cette jeune femme offre à l'auscultation de la carotide droite un b
oldat, et lui avait, dans le but de la distinguer de l'hystérie de la femme , appliqué la désignation de Tarassis. En 18S6, un
éral, mais qui ne sont plus à vulgariser. Tout le monde le sait, la femme est incomparablement plus que l'homme sujette à l
e désire attirer quelques instants votre attention est relative à une femme , âgée de 27 ans, Mlle X... Au point de vue héré
ins dans la troisième phase de l'attaque hystéro-épileptique chez les femmes . C'est donc une attaque qui, au lieu de se répé
il y a quelques années, j'ai annoncé que j'avais dans mon service une femme qui ne mangeait pas ou presque pas et qui n'urina
s dans le cadre de la science officielle et toute faite. (1); Cette femme a dormi pendant cinquante-six heures sans s'arrêt
logique. A l'appui de sa théorie, il a rapporté l'observation d'une femme chez laquelle les mouvements du poignet étaient t
reste, s'en assurer en les reproduisant expérimentalement. Chez cette femme , voici ce qui était arrivé : un an avant, elle av
te de ce léger traumatisme que sa paralysie s'était développée. Cette femme est, du reste, une hystérique avérée : elle a eu
tomber dans les exagérations de Gardane, la ménopause, chez nombre de femmes , avive les déterminations nerveuses qui ont occup
nombreuses auxquelles les attributs mêmes de la sexualité exposent la femme et entame sur leur corrélation avec la genèse des
tées vaines ; que l'existence d'une lésion des organes génitaux de la femme n est nullement indispensable au développement de
tient à ce qu'extrêmement fréquente, l'hystérie ne met d'ailleurs les femmes à l'abri d'aucune autre maladie, quelle qu'en soi
re catégorie (le côté thérapeutique), soit chez l'homme, soit chez la femme , ont été moins heureux que ceux auxquels sont par
enseignements à tout le monde : I. L'homme fascine-t-il plus que la femme ? II. Celui qui porte perruque fascine-t-il dava
III. Celui qui porte des lunettes fascine-t-il davantage? IV. La femme enceinte fascine-t-elle davantage? V. Les moine
Dans l'après-midi du jeudi, il quitta la gare de Wood Green avec sa femmes dans l'intention de voir à Londres un ami avec le
il cétait en affaires et dont il devait recevoir une forte somme. Sa femme quitta le train à Holloway et il continua sur Lon
te Street prendre son billet pour Holloway. où il devait retrouver sa femme . Dans le compartiment, il se trouva avec deux p
fants, et la famille est obligée de travailler pour vivre. La mère, femme d'une intelligence moyenne, un peu crédule, est t
endant, ni ce jour-là, ni les suivants, l'amant n'a paru, et voilà la femme complètement abandonnée. Jeanne se met à la reche
, qu'à un degré de sommeil plus ou moins profond. Chloroformisons une femme en travail par le procédé à la Reine, et nous la
excès de douleur peut interrompre le sommeil hypnotique. En outre, la femme de l'observation précédente, gui à la première ex
l'utérus, surtout pendant la période d'expulsion. » 6° Certaines femmes accouchant en souffrant dans l'état second ne se
été favorisé par l'impressionnabilité très vive dont sont douées les femmes qui ont eu des peines de cœur, et que c'est cette
grand sympathique) auquel, dans le mode d'existence qui s'impose à la femme , incombe un labeur vraiment écrasant. II Le c
èdes, les Lapons qu'il faut aller, pour rencontrer, notamment chez la femme , les plus fortes prédispositions aux déterminatio
i paient un assez large tribut, un tribut beaucoup plus large que les femmes du peuple, dont le mode d'existence contraste par
lle sévit principalement sur la population juive. Chez les Juifs, les femmes sont d'une constitution chétive ; on est dans l'u
eux, des formes paralytiques, toxiques, monomaniaques, etc. » Chez la femme arabe, au contraire, l'hystérie a semblé à Moty m
ystérie a semblé à Moty moins fréquente et moins évidente que chez la femme européenne: « Son intelligence est ordinairement
Briquet, enfin, dit tenir d'un médecin de Florence qu'en Italie, les femmes sont assez fréquemment prises d'hystérie et » qu'
l'hystérie y est fréquente, tandis qu'elle est moins commune chez les femmes du peuple, qui vivent plus régulièrement. » Dan
t le cachet. Des recherches de Lebert (de Zurich), il résulte que les femmes du Valais, des environs du mont Blanc et de l'Obc
, nous avons été frappé du grand nombre de jeunes filles ou de jeunes femmes hystériques auxquelles, par occurrence, nous avon
rchives de Genève, il y en a plus des trois quarts qui concernent des femmes , et parmi celles-ci, près de la moitié sont des v
et parmi celles-ci, près de la moitié sont des veuves, tandis que les femmes mariées et les filles se partagent à peu près éga
u nombre total des sorcières. Beaucoup de ces filles sont de vieilles femmes de soixante à quatre-vingts ans ; l'une d'entre e
». Ce simple fait du grand nombre de veuves ou de misérables vieilles femmes qui formaient, non seulement a Genève, mais presq
chasse et tiré des canards pendant le sermon, pour avoir battu leurs femmes et surtout pour avoir mai parlé du gouvernement d
it-elle des portes, après avoir subi sa condamnation, qu'une bande de femmes et d'enfants, excités par un soldat de la garniso
oldat coupable, convaincu d'avoir frappé la malheureuse et excité les femmes et les enfants à lui jeter des pierres pour l'ass
assure qu'il a toujours obtenu d'excellents résultats. La santé des femmes et l'éducation. Voici une statistique curieuse
in, se livrant à une étude sur l'influence des fortes études chez les femmes , à l'occasion de la remarquable diminution des no
s théoriques et cliniques relatives à l'obstétrique, aux maladies des femmes et à la pathologie infantile. Tous les médecins p
influencer car la suggestion, et cela, les hommes aussi bien que les femmes . » Quant aux trois célèbres phases; de ce qu'on
, mais il existe de l'hérédité tuberculeuse du côté paternel. Cette femme n'a jamais été menstruée naturellement : elle a d
tion persiste le 27 mars. Ce n'est plus la même physionomie ; cette femme travaille et s'occupe dans le service. J'ai eu
précédente. Un m'a dit. à propos de mes observations de guérison de femmes aliénées par la suggestion hypnotique, que toutes
mobiles ; la peur les envahit peu a peu ; ils vont reculer, quand une femme . Lalla Khamsia. l'épouse de l'un d'eux, transport
dans la salle des personnes impressionnables, des hommes nerveux, des femmes hystériques ou sur le point de l'être, des adoles
ofondie, il résulte que dans les classes laborieuses on rencontre une femme atteinte d'hystérie avec attaques sur cinq; une f
n rencontre une femme atteinte d'hystérie avec attaques sur cinq; une femme atteinte d'hystérie sans attaques sur sept; une f
s sur cinq; une femme atteinte d'hystérie sans attaques sur sept; une femme très impressionnable sur quatre: une femme sur de
ans attaques sur sept; une femme très impressionnable sur quatre: une femme sur deux, tout au plus, qui ne soit ni fort impre
ue. « 11 n'est pas possible, ajoute Briquet, d'obtenir, à l'égard des femmes des classes aisées, des notions aussi précises. C
rès de médecins très occupés, j'ai trouvé qu'on rencontre au plus une femme ayant des attaques hystériques sur sept, au lieu
sept, au lieu d'une sur cinq. Il est très probable que le nombre des femmes atteintes d'hystérie sans attaques est proportion
a résistance aux atteintes de la névrose qui est plus grande chez les femmes élevées à la campagne, et, par conséquent, son ap
a pour base des sucreries, des fécules et des pâtes. C'est celui des femmes de Suède, dont Magnus Huss fait mention, et dont
soir, du thé. C'est aussi, selon toute probabilité, celui des jeunes femmes de l'île d'Yeu que nous avons eu sous les yeux et
même procédé que j'eus recours pour faire souscrire à Mme D.... jeune femme très intelligente et de caractère très arrêté, de
: celui-ci prétendit que c'était plutôt lui qui endormirait la jeune femme ; je les mis en présence l'un de l'autre, et tand
e, qui peut être pernicieux, et non l'usage. Et c'est, comme pour les femmes affectées de gastralgie dont parle Magnus Huss, s
ut cela rend à l'excès impressionnable. « Quand la susceptibilité des femmes aura été trop ménagée, dit Louyer Villermay, quan
ie des littérateurs et des artistes qui appartiennent à la classe des femmes . On ne doit donc pas attribuer à la culture des l
canaux sécréteurs et des poches sécrétrices. » — Un certain nombre de femmes ont déjà pris, en France, leurs grades en histoir
logie, dés sa fondation, a reçu l'adhésion d'un assez grand nombre de femmes , et leur dévouement n'a jamais fait défaut à l'œu
scinateurs et jettatores. 285. Faux témoignages, par Bernheim, 4. Femme accouchée sans le savoir, 217. Folie érotique (
26 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
ne se prolonge pendant 20 minutes. Au bout de ce temps, je dis à la femme G... : « Pourquoi riez-vous? » — Elle me montre l
, la vue de ses enfants redoublent les angoisses de cette malheureuse femme en lui montrant à chaque instant les preuves viva
conde épître. Voici du reste le texte lui-même. « Que chacun ait sa femme , que chaque femme ait son mari. » « Que le mari
i du reste le texte lui-même. « Que chacun ait sa femme, que chaque femme ait son mari. » « Que le mari rende à sa femme
sa femme, que chaque femme ait son mari. » « Que le mari rende à sa femme la bienveillance qui lui est due, et que » la fem
e mari rende à sa femme la bienveillance qui lui est due, et que » la femme de même la rende à son mari. » « Que si tu te m
Depuis cette époque, près de deux ans, la santé morale de cette jeune femme ne s'est pas démentie. GUÉRISON PAR L'HYPNOTI
eiller ses sentiments affectifs, lui parlant » longuement de sa jeune femme , de ses enfants qu'il n'avait pas em-» brasses de
ur énumération), et serait » fort heureux de revoir en bonne santé sa femme et ses enfants. Du » reste, tout était pour le mi
. (Naples, 1887.) OUVRAGES REÇUS A LA REVUE De l'onanisme chez la femme , par le Dr Pouillet, 5me édition, 1887. — Delahay
ent : L'une du Dr Pritzl, assistant de Karl Braun. à Vienne, chez une femme accouchée par lui dans l'état léthargique, le 7 n
nne. L'ensemble des conditions générales de la santé de cette jeune femme semblerait excellent, si, ne voyant que les appar
r les trois points essentiels de cette communication : 1° Une jeune femme de 22 ans, très hypnotisable depuis sa première j
ions présentent comme intérêt particulier qu'elles s'appliquent a des femmes . Il n'est même pas inutile de faire remarquer que
ême pas inutile de faire remarquer que deux d'entre elles étaient des femmes appartenant à des familles très aisées, ce qui re
. État de léthargie. Son mari m'apprend quelques jours après que sa femme est plus calme qu'elle n'a plus de mouvements d'i
e que ces modifications dans le caractère et dans les habitudes de sa femme coïncident avec ses habitudes d'ivresse, qui se r
les 8 à 10 jours au moins, sans qu'il ait pu jusqu'ici surprendre sa femme , mais que l'ivresse est évidente. Nous observon
4 grammes... et si vous remarquez que le poids moyen du cerveau de la femme adulte, suivant Boyd, oseille entre 1,127 et «1,2
dans un asile d'aliénés. Il entra dans on cottage, menaça une vieille femme , tua deux chèvres prés de la porte, puis se préci
Remarquons, en passant, cette observation d'Hippocrate, concernant la femme d'un jardinier guérie par le massage sur la régio
ez les délinquants nés (hommes) 13,9 p. 100 ce gauchers, et. chez les femmes , 22,7 p. 100 de gauchères, c'est-à-dire que chez
commis aucun crime ni délit. Cette proportion est quadruple pour les femmes . Il en serait de même pour la sensibilité. La c
u'ils avaient eue jusque-là. Il semble donc que c'est le matin que la femme est le moins impressionnable et le soir le plus.
el fut très étonné de recevoir une semaine plus tard une lettre de sa femme , qui écrivait : « J'ai été bien effrayée au premi
36 ans, mariée et sans enfants, entre a l'hôpital sous la mention de femme aliénée. Elle présentait quelques symptômes d'hys
idérable. J'avais été mandé un soir expressément auprès d'une jeune femme qui avait été soignée longtemps dans le service d
u'on pouvait éprouver des craintes sérieuses pour sa vie. Cette jeune femme était fréquemment sujette à des pertes abondantes
des cas semblables en grand nombre. Il me suffisait de vouloir qu'une femme fût réglée à telle ou telle époque indiquée pour
tes par suggestion. M. Dècle (de Paris). — J'ai pu aussi régler les femmes presque à heure fixe. Il m'est arrivé de fixer co
n'ai, quant a moi, jamais régularisé la conduite menstruelle d'aucune femme ; mais j'ai pu, ce qui est équivalent, absolument
ans, n'a aucune disposition à la boisson. Il y a quinze ans que cette femme a commencé à boire, son mari tenait alors un débi
e nous-même ont démontré qu'il était possible de régulariser chez les femmes la fonction menstruelle et de combattre l'aménorr
is. Divers observateurs ont répété l'expérience suivante : chez une femme hypnotisée, ils appliquent dans le dos des timbre
rvenu à en jeter trois par les fenêtres. L'abandon qu'il fait de sa femme n'est d'ailleurs ignoré de personne ; ses débauch
produisant, quelque jours après, un paquet de lettres écrites par sa femme , de billets de rendez-vous, de déclarations d'amo
pensée, fouiller dans son cœur et voici que sous son regard la jeune femme tressaille, elle tremble, elle le supplie de ne p
it pas au courant des pratiques de l'hypnotisme ; aussi, devant cette femme endormie par son pouvoir, c'est son tour d'avoir
n regard, il est possédé de l'idée que Louis Chassin a dû endormir sa femme . Mais jusqu'à quel point celle-ci etait-elle do
ation. Le baron est convaincu. C'est Louis Chassin qui a dicté à sa femme , pendant le sommeil hypnotique provoqué par lui,
ssin avait, pendant les nuits précédentes, pénétré dans l'hôtel où sa femme demeurait. La visite chez le comédien, comme les
de Givray afin de pouvoir mettre un jour la main sur la fortune de sa femme ; c'est lui, du moins, qui a suggéré le meurtre à
ntenant la prier d'écouter. M. C Paul ht venir dans son cabinet une femme qu'il me parut alors connaître ton peu, sortie je
à l'ardeur génitale et urinaire, on m'accordera facilement que cette femme ne s'en soit pas spontanément expliquée devant l'
la Société voudra bien insérer ma réponse dans son Bulletin. Une femme peut-elle être accouchée sang le savoir? Telle
vement, dans le cas d'une crise de coma. Mais il est bien rare qu'une femme se trouve seule dans cet état. Or la question méd
état. Or la question médico-légale se pose ordinairement ainsi : Une femme raconte qu'elle a accouché étant endormie, et ell
était couché à côté de milady et qui, tout d'un coup, pendant que sa femme dormait profondément, sent un troisième petit per
e remuer dans le lit. Une autre fois, la même chose se passe pour une femme qui couchait avec sa petite fille. C'est celle-ci
naissance. Dans le sommeil artificiel, il n'est pas douteux qu'une femme puisse accoucher sans s'en apercevoir. Il y a deu
très grand bruit et qui n'a duré que vingt-deux ans. Au moment où la femme du seigneur de La Palisse allait accoucher, elle
que plus d'une fois encore la justice criminelle ait à décider si une femme a pu être accouchée sans le savoir. Singulier c
à la région contuse ; tandis que, suivant toute probabilité, chez une femme hystérique, l'engourdissement serait remplacé par
. Des siècles durant, on a regardé l'hystérie comme l'apanage de la femme . Les doctrines régnantes relatives au siège utéri
s rapprochait plus intimement de la grande hystérie si familière à la femme . « J'ai voulu surtout vous convaincre, disait à s
le a guéri de peur. Voici maintenant l'allochirie : * Cette jeune femme offre à l'auscultation de la carotide droite un b
oldat, et lui avait, dans le but de la distinguer de l'hystérie de la femme , appliqué la désignation de Tarassis. En 18S6, un
éral, mais qui ne sont plus à vulgariser. Tout le monde le sait, la femme est incomparablement plus que l'homme sujette à l
e désire attirer quelques instants votre attention est relative à une femme , âgée de 27 ans, Mlle X... Au point de vue héré
ins dans la troisième phase de l'attaque hystéro-épileptique chez les femmes . C'est donc une attaque qui, au lieu de se répé
il y a quelques années, j'ai annoncé que j'avais dans mon service une femme qui ne mangeait pas ou presque pas et qui n'urina
s dans le cadre de la science officielle et toute faite. (1); Cette femme a dormi pendant cinquante-six heures sans s'arrêt
logique. A l'appui de sa théorie, il a rapporté l'observation d'une femme chez laquelle les mouvements du poignet étaient t
reste, s'en assurer en les reproduisant expérimentalement. Chez cette femme , voici ce qui était arrivé : un an avant, elle av
te de ce léger traumatisme que sa paralysie s'était développée. Cette femme est, du reste, une hystérique avérée : elle a eu
tomber dans les exagérations de Gardane, la ménopause, chez nombre de femmes , avive les déterminations nerveuses qui ont occup
nombreuses auxquelles les attributs mêmes de la sexualité exposent la femme et entame sur leur corrélation avec la genèse des
tées vaines ; que l'existence d'une lésion des organes génitaux de la femme n est nullement indispensable au développement de
tient à ce qu'extrêmement fréquente, l'hystérie ne met d'ailleurs les femmes à l'abri d'aucune autre maladie, quelle qu'en soi
re catégorie (le côté thérapeutique), soit chez l'homme, soit chez la femme , ont été moins heureux que ceux auxquels sont par
enseignements à tout le monde : I. L'homme fascine-t-il plus que la femme ? II. Celui qui porte perruque fascine-t-il dava
III. Celui qui porte des lunettes fascine-t-il davantage? IV. La femme enceinte fascine-t-elle davantage? V. Les moine
Dans l'après-midi du jeudi, il quitta la gare de Wood Green avec sa femmes dans l'intention de voir à Londres un ami avec le
il cétait en affaires et dont il devait recevoir une forte somme. Sa femme quitta le train à Holloway et il continua sur Lon
te Street prendre son billet pour Holloway. où il devait retrouver sa femme . Dans le compartiment, il se trouva avec deux p
fants, et la famille est obligée de travailler pour vivre. La mère, femme d'une intelligence moyenne, un peu crédule, est t
endant, ni ce jour-là, ni les suivants, l'amant n'a paru, et voilà la femme complètement abandonnée. Jeanne se met à la reche
, qu'à un degré de sommeil plus ou moins profond. Chloroformisons une femme en travail par le procédé à la Reine, et nous la
excès de douleur peut interrompre le sommeil hypnotique. En outre, la femme de l'observation précédente, gui à la première ex
l'utérus, surtout pendant la période d'expulsion. » 6° Certaines femmes accouchant en souffrant dans l'état second ne se
été favorisé par l'impressionnabilité très vive dont sont douées les femmes qui ont eu des peines de cœur, et que c'est cette
grand sympathique) auquel, dans le mode d'existence qui s'impose à la femme , incombe un labeur vraiment écrasant. II Le c
èdes, les Lapons qu'il faut aller, pour rencontrer, notamment chez la femme , les plus fortes prédispositions aux déterminatio
i paient un assez large tribut, un tribut beaucoup plus large que les femmes du peuple, dont le mode d'existence contraste par
lle sévit principalement sur la population juive. Chez les Juifs, les femmes sont d'une constitution chétive ; on est dans l'u
eux, des formes paralytiques, toxiques, monomaniaques, etc. » Chez la femme arabe, au contraire, l'hystérie a semblé à Moty m
ystérie a semblé à Moty moins fréquente et moins évidente que chez la femme européenne: « Son intelligence est ordinairement
Briquet, enfin, dit tenir d'un médecin de Florence qu'en Italie, les femmes sont assez fréquemment prises d'hystérie et » qu'
l'hystérie y est fréquente, tandis qu'elle est moins commune chez les femmes du peuple, qui vivent plus régulièrement. » Dan
t le cachet. Des recherches de Lebert (de Zurich), il résulte que les femmes du Valais, des environs du mont Blanc et de l'Obc
, nous avons été frappé du grand nombre de jeunes filles ou de jeunes femmes hystériques auxquelles, par occurrence, nous avon
rchives de Genève, il y en a plus des trois quarts qui concernent des femmes , et parmi celles-ci, près de la moitié sont des v
et parmi celles-ci, près de la moitié sont des veuves, tandis que les femmes mariées et les filles se partagent à peu près éga
u nombre total des sorcières. Beaucoup de ces filles sont de vieilles femmes de soixante à quatre-vingts ans ; l'une d'entre e
». Ce simple fait du grand nombre de veuves ou de misérables vieilles femmes qui formaient, non seulement a Genève, mais presq
chasse et tiré des canards pendant le sermon, pour avoir battu leurs femmes et surtout pour avoir mai parlé du gouvernement d
it-elle des portes, après avoir subi sa condamnation, qu'une bande de femmes et d'enfants, excités par un soldat de la garniso
oldat coupable, convaincu d'avoir frappé la malheureuse et excité les femmes et les enfants à lui jeter des pierres pour l'ass
assure qu'il a toujours obtenu d'excellents résultats. La santé des femmes et l'éducation. Voici une statistique curieuse
in, se livrant à une étude sur l'influence des fortes études chez les femmes , à l'occasion de la remarquable diminution des no
s théoriques et cliniques relatives à l'obstétrique, aux maladies des femmes et à la pathologie infantile. Tous les médecins p
influencer car la suggestion, et cela, les hommes aussi bien que les femmes . » Quant aux trois célèbres phases; de ce qu'on
, mais il existe de l'hérédité tuberculeuse du côté paternel. Cette femme n'a jamais été menstruée naturellement : elle a d
tion persiste le 27 mars. Ce n'est plus la même physionomie ; cette femme travaille et s'occupe dans le service. J'ai eu
précédente. Un m'a dit. à propos de mes observations de guérison de femmes aliénées par la suggestion hypnotique, que toutes
mobiles ; la peur les envahit peu a peu ; ils vont reculer, quand une femme . Lalla Khamsia. l'épouse de l'un d'eux, transport
dans la salle des personnes impressionnables, des hommes nerveux, des femmes hystériques ou sur le point de l'être, des adoles
ofondie, il résulte que dans les classes laborieuses on rencontre une femme atteinte d'hystérie avec attaques sur cinq; une f
n rencontre une femme atteinte d'hystérie avec attaques sur cinq; une femme atteinte d'hystérie sans attaques sur sept; une f
s sur cinq; une femme atteinte d'hystérie sans attaques sur sept; une femme très impressionnable sur quatre: une femme sur de
ans attaques sur sept; une femme très impressionnable sur quatre: une femme sur deux, tout au plus, qui ne soit ni fort impre
ue. « 11 n'est pas possible, ajoute Briquet, d'obtenir, à l'égard des femmes des classes aisées, des notions aussi précises. C
rès de médecins très occupés, j'ai trouvé qu'on rencontre au plus une femme ayant des attaques hystériques sur sept, au lieu
sept, au lieu d'une sur cinq. Il est très probable que le nombre des femmes atteintes d'hystérie sans attaques est proportion
a résistance aux atteintes de la névrose qui est plus grande chez les femmes élevées à la campagne, et, par conséquent, son ap
a pour base des sucreries, des fécules et des pâtes. C'est celui des femmes de Suède, dont Magnus Huss fait mention, et dont
soir, du thé. C'est aussi, selon toute probabilité, celui des jeunes femmes de l'île d'Yeu que nous avons eu sous les yeux et
même procédé que j'eus recours pour faire souscrire à Mme D.... jeune femme très intelligente et de caractère très arrêté, de
: celui-ci prétendit que c'était plutôt lui qui endormirait la jeune femme ; je les mis en présence l'un de l'autre, et tand
e, qui peut être pernicieux, et non l'usage. Et c'est, comme pour les femmes affectées de gastralgie dont parle Magnus Huss, s
ut cela rend à l'excès impressionnable. « Quand la susceptibilité des femmes aura été trop ménagée, dit Louyer Villermay, quan
ie des littérateurs et des artistes qui appartiennent à la classe des femmes . On ne doit donc pas attribuer à la culture des l
canaux sécréteurs et des poches sécrétrices. » — Un certain nombre de femmes ont déjà pris, en France, leurs grades en histoir
logie, dés sa fondation, a reçu l'adhésion d'un assez grand nombre de femmes , et leur dévouement n'a jamais fait défaut à l'œu
scinateurs et jettatores. 285. Faux témoignages, par Bernheim, 4. Femme accouchée sans le savoir, 217. Folie érotique (
27 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
u et il est marié depuis une vingtaine d'années. Nous savons par sa femme qu'il a été bien portant dans sa jeunesse, et q
troisième est atteint de' mal de Pott. La quatrième grossesse de la femme du malade a coincidé il y a sept ans avec l'aff
i, des troubles délirants dont l'apparition coïncida, a remarqué sa femme , avec de l'oligurie. Le 4 mai il n'urina même p
mortes depuis plusieurs années, il conversa avec elles, et quand sa femme lui demanda avec qui il causait, il le lui dit,
ue, il ne voulait pas sortir. Son agitation nocturne persistant, sa femme provoqua son admission. l'Asile. Entré le 27 ma
Parce que je suis malade », et continuant comme s'il écrivait à sa femme , il ajoute : « Je suis à Vaucluse depuis maintena
vent du nez. Ces renseignements déjà notés ont été confirmés par sa femme . Du le' au 8 juin, le malade est laissé au régi
compte de sa situa- tion : il est entré parce que la famille d'une femme avec qui il voulait se marier, après s'être opp
nique. Le premier médecin assistant est chargé de la divi- sion des femmes , le second de la division des hommes. Leur loge-
malades d'une façon constante. Pour chaque division d'hommes et de femmes il y a 16 infirmiers ou infirmières (y compris ve
it. Le service prend fin et commence à minuit. Dans la division des femmes la veilleuse est de garde toute la nuit de 9 h.
de la première année de son fonctionnement 184 malades (hommes, 79; femmes , 10); le chiffre de sa popu- lation à l'expirat
nique s'élevait, au Il, janvier 1898, à 56 malades (2G hommes et 30 femmes ). Le nombre des admis- sions, en 1897, avait ét
e nombre des admis- sions, en 1897, avait été de 154 (76 hommes, 78 femmes ). La proportion des malades nécessitant une sur
ités, isolés), s'est élevée, pour les hommes, aux 3/4 , et pour les femmes , aux 2/3 de la population. Les sujets admis p
malades. Le nombre total des malades est de 1497 (762 hommes, 733 femmes ), avec 19 médecins (fer janvier 1898). La créat
ant du service, n'ayant jamais eu la syphilis. De concert avec sa femme qui s'occupait principalement du mé- nage et du
a famille. MÈRE, trente-trois ans, brocheuse. Santé toujours bonne. Femme de taille élevée,'physionomie assez intelligent
1901). E. B. VIII. Agénésie bilatérale des lobes frontaux chez une femme ayant présenté un développement intellectuel à
intellectuel à peu près normal ; par le Dl DIDE. Il s'agit d'une femme de cinquante-huit ans, atteinte d'alcoo- lisme
el a pu s'opérer d'une façon à peu près normale, permettant à cette femme d'apprendre à parler, de s'instruire même un pe
illettrés, de s'occu- per de son intérieur, d'en faire en somme une femme normale. L'équilibre instable ne s'est traduit
erne idiopa- pathique. L'affection a débuté soudain. La malade, une femme de soixante ans, tombe tout à coup dans la rue,
. (l3zcll. de la Soc. de Belgique), 1903, n° 108. Il s'agit d'une femme de cinquante ans, se plaignant souvent de 'migr
cum. M. DiDr, , rapporte le cas et montre les photographies d'une femme de soixante ans, chez laquelle l'adipose douloure
hystériques. Les simulations hystériques des organes génitaux de la femme sont fréquentes et constituent des névralgies p
aniques et l'hystérie peuvent aussi évoluer paral- lèlement chez la femme , formant ainsi des associations hystéro- organi
ènes sen- silifs, moteurs ou trophiques. VII. Le mensonge chez la femme hystérique; parle Dl Richard. La femme hystériq
. VII. Le mensonge chez la femme hystérique; parle Dl Richard. La femme hystérique a une tendance très marquée à parler
responsable. Le père a reconnu qu'il laissait son fils Henri et sa femme sans argent et presque sans nourriture. Il a dé
femme sans argent et presque sans nourriture. Il a déclaré que, sa femme ne s'occupant pas de son fils en raison de son
dédommagé Al"0 AL ? qui a retiré sa plainte. Le nombre des jeunes femmes victimes de Paul V... dépasse la trentaine. (Jo
eurs mois après se montrent des idées délirantes de jalousie : « sa femme a des amants, elle leur donne de l'argent », de
canton de Cambremer, était couché dans un lit voisin de celui de sa femme . Se levant dans la nuit, sous prétexte de satis
Pierre Tabur, trente-six ans, em- ployé au chemin de fer, trouva sa femme , née Amanda liobillard, quarante-neuf ans, tomb
café. Quand Tabur revint, à minuit, pour se coucher, il trouva sa femme étendue dans la cuisine, entre l'âtre et une tabl
quelque temps après un ictus suivi d hémiplégie. Depuis 40 ans, sa femme ne l'a pas connu malade. A l'âge de 31 ans, il
l'influence d'allucmations de presque tous les sens; il accusait sa femme de le tiomper avec un contre-mai Ire de la mais
le feu chez lui, intentionnellement pour se venger, si bien que sa femme et ta lille furent obligées de se séparer de lui.
excès probables de boissons. » Or des renseignements fournis par sa femme nous apprirent qu'il n'avait jamais fait d'excè
: mé- lange d'idées de persécution et d'idées de satisfaction : sa femme l'a trompé, et pourtant il est un fort bon chan
zaine du séjour du malade à l'asile. D... pleure souvent, accuse sa femme de l'avoir empoisonné, un instant après il rit
litit-ie eLl'albuiiii[iut-ie persistent. Il a refusé de recevoir sa femme un jour qu'elle est venue le visiter. D'ailleurs
plus calme, mais il n'a pas renoncé à ses idées de per-écution : sa femme a voulu l'empoisonner, mais il lui pardonne, et
xcitation ; les idées de persécution reviennent plus actives : « Sa femme l'a fait enfermer pour se débarrasser de lui et
état ju-qu'au milieu du mois de mars; le 21 mars il a mieux reçu sa femme , mais après le départ de celle-ci itamanifesteu
t de son entrée un délire hallucinatoire très intense. Il voit sa femme et ses enfants passer devant ses fenêtres et les
ne contien- nent pas d'albumine. Les renseignements fournis par sa femme et confirmés par lui après sa guérison nous app
cident primitif, moins de sept ans; 2° de la contamination de la femme du malade, qui elle aussi est devenue tabétique ;
apportent à l'appui de leur thèse une intéressante observation. Une femme de trente-six ans, ayant de 1 hérédité vésaniqu
les aliénées criminelles comprennent deux groupes ; l'un formé des femmes qui ont été légalement poursui- vies et jugées
très passagère en effet, puisque sur les 20 cas de Broadmoor, douze femmes ont pu être remises en liberté après un interne
euses sont très souvent liées à l'obsession homicide. Le nombre des femmes atteintes de folie de l'allaitement à Broadmoor
les chances de guérison diminuent. 2° le nombre des enfants : si la femme est épuisée par des grossesses répétées, le pro
mplication. 6° l'illégitimité de l'enfant tué, qu'il s'agisse d'une femme mariée ou d'une veuve. Dans trente-trois cas le m
Musgrave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XIV. Le tabès chez la femme ; par E. i)llNDEL (NeUI-010g. Ceiiti-cilblatt, X
t 20 539 hom- mes, dont 125 tabétiques, soit 3,53 p. 100, et 21 925 femmes , dont 288 tabétiques, soit 1,'il p. 100, ce qui
25 femmes, dont 288 tabétiques, soit 1,'il p. 100, ce qui donne une femme tabe- tiques pour 2,7 hommes atteints de la mêm
te proportion se voit de trente et un à quarante ans. Sur les 288 femmes tabétiques, 252 étaient mariées, 36 étaient cél
é que la stérilité élait presque trois fois plus fréquente chez les femmes tabétiques que chez les femmes ordinaires vivan
e trois fois plus fréquente chez les femmes tabétiques que chez les femmes ordinaires vivant dans les mêmes conditions soc
, en dehors de ce facteur, d'autres éléments étiologiques chez la femme , que ceux de l'homme. Le tabès de la femme est
s étiologiques chez la femme, que ceux de l'homme. Le tabès de la femme est caractérisé par une ataxie tardive, une ext
r L. MENDEL. (Neurologisclt. Cenlralb. XX. 1901). Il s'agit d'une femme vigoureuse, bien musclée, suffisamment grasse,
t'de deux ans, asphyxiés par un poële. L'enfant est trouvé mort; la femme présente une intoxication légère; le mari offre l
et Cnllx demandent l'avis des membres de la société au sujet d'une femme hémiparétique gauche dont les signes tels que l
érieur aux autres ; il veut aussi paraitre supérieur aux yeux de sa femme ; son état résulte d'un amour propre excessif po
ne d'années, une impuissance absolue toutes les fois qu'il voit une femme nou- velle. Il ne s'agit ni de trac, ni de timi
lgré les consultations des doc- teurs, malgré les remèdes de bonnes femmes , les recours aux sortilèges les plus bizarres e
E. sentit pas la force de se séparer de lui, d'autant plus que sa femme à qui il s'était bien gardé de confier ses angois
avait peine à se dominer et à retenir ses larmes en présence de sa femme quand, à l'occasion d'une peccadille de l'enfan
s ses bras et le couvrait de baisers et de caresses au point que sa femme s'en amusait cependant même alors, parfois à pr
- rante qu'il apprécia d'abord sainement et dont il fit part à sa femme qui s'empressa de lui dire que la douleur lui tro
tous les instants pour l'empêcher de se tuer. Sur mes conseils, sa femme le plaça au pensionnat de l'asile que je dirige
la jalousie chez les hommes dans l'alcoolisme chronique; chez les femmes la jalousie pathologique n'est pas rare comme l
ncontre quelquefois dans les états mélan- coliques séniles chez les femmes et chez les hommes comme symptômo-complexus de
s brusque, elle porte la main à son oreille, exécutant le geste des femmes qui, d'un tour de main, re- mettent en place le
ois mois, le médecin fait un rapport sur les fondions génitales des femmes , et cela en vue d ''éviter les grossesses mé- c
eux : lypolbymies, syncopes, tremblement, cauchemars, obsession, la femme enceinte se représentant pendant plusieurs jour
fections et d'autres intoxications. Le tabes est très rare chez les femmes et relativement très fréquent chez les israélit
ouvel exemple intéressant par l'autopsie qui a pu être faite. Une femme de cinquante-cinq ans présentait depuis quatorze
rencontre, semble-t-il, plus souvent chez les hommes que chez les femmes , qui à leur tour sont plus prédisposées à l'hysté
ineis-iiés voleurs. Chapitre VII. Le vagabondage. Chapitre VIII. La femme criminelle et la fille publique. Cha- pitre IX.
sont soigneusement et tour à tour étudiés chez les hommes, chez les femmes et chez les animaux. Plus particulièrement no
re concernant les modifications du squelette chez les eunuques, les femmes et les animaux, auxquels les travaux récents de
vision des deux yeux est un accident rare, plutôt fréquent chez la femme . Le mode d'apparition ou de disparition des att
par la fenêtre de son appartement, et s'est tuée sur le coup. Cette femme donnait depuis quelque temps des signes de déra
jusque la, avait été irré- prochable devint fort irrégulière et sa femme fut obligée de deman- der la séparation. Mada
t du parquet de Nancy pour abus de con- fiance. Dans la suite, sa femme ayant désintéressé ses créanciers, il bé- nélic
ontracté mariage. Cette union n'a pas été heureuse. Dès le début sa femme s'est aperçue qu'il avait l'esprit troublé. A j
l'enfermer s'il continuait à boire. D... promit d'être sobre et sa femme touchée par son repentir et par les supplicatio
amené au Dépôt de la Pré- fecture de police. Il vient de faire à sa femme des scènes de jalousie épouvantables et il accu
e négociant d'avoir à se tenir sur ses gardes. Cette même année, sa femme lasse de la vie commune et de ses brutalités le
ent une maîtresse à la- quelleilapromis le mariage. Mais à peine sa femme l'a-t-ell-- quitté qu'il accuse le plus profond
la prison. » Quelques jours après il annonce au juge la mort de sa femme dans les termes suivants : « llta femme « est d
nonce au juge la mort de sa femme dans les termes suivants : « llta femme « est décédée des suites de sa maladie et de ch
séparation avait été prononcée entre les deux époux au profit de la femme . Le médecin de Mazas frappé de ses excen- trici
rs, il est conduit au poste pour avoir frappé sa mère. Cette pauvre femme n'a que le temps de se sauver pour échapper à s
ien classés et subdivisés. Les hommes sont occupés au jardin et les femmes se livrent à des occupations domestiques. En
oq-t, fut fondé à Godalming, Surrey, par Lady Meath. Il contient 50 femmes et jeunes filles épileptiques de deux à trente-
sent à cette oeuvre. Il y en a huit : quatre pour hommes, deux pour femmes , une maison de convalescence et une pour les ca
de la vannerie, ou à la forge, ou dans la ferme et le verger ; les femmes font du blanchissage, des travaux à l'aiguille
ppelé St-Luke's Home qui fut fondé en 1895 et qui est destiné aux femmes épileptiques appartenant à la religion anglicane.
lité de l'extrait thébaïque au déclin de la manie, surtout chez les femmes . En ce qui concerne la morphine, je ne puis par
eau). - L'installation de la Colonie de Dun-sur-Auron, destinée aux femmes , ayant donné de bons résul- tats, le départemen
tion d'hommes. Ainay-Ie-Château (Allier), primitivement destiné aux femmes , est choisi pour tenter cet essai. L'existence
mais s'habitue rapidement et préfère actuellement les hommes aux femmes . La colonie se développe d'une façon continue et
voir : flypno- Récemment encore, entrait dans mon service une jeune femme qui vomisssait depuis huit mois tous ses repas
s héréditaire. MM. F. Raymond et PIERRE Janet (de Paris). Une jeune femme de vingt-sept ans présente un syndrome mental v
les autres s'assoient sur des fauteuils ou des chai- ses- hommes et femmes , quelle que soit leur condition sociale comme c
e du calme des bois, de la verdure des gazons, et de la présence de femmes dévouées au service des malades, on con- çoit q
ssez intéressant à cet égard et à d'autres titres : Il s'agit d'une femme ma- riée, mère de cinq enfants, aujourd'hui âgé
anifeste, mais la malade ne touche pas encore à la démence. Cette femme est bien évidemment atteinte de psychose catato
es premiers temps, de son séjour à Nl-iré%ille. Le cerveau de cette femme est devenu un loczis iniîioi,is i,esisleiilix.
cas de paralysie spinale spasmodiquc, à la myélite chronique de la femme . à quelques faits d'atrophie du nerf auditif et
rvations que l'auteur publie surtout à cause de leur rareté. 1. - Femme de trente-huit ans, est à sa troisième attaque d'
ire pour folie pellagreuse sont au nombre de 141 (93 hommes et 49 femmes ) ; ils viennent presque tous de la campagne. Les
oncentrés dans les mains d'un médecin. Convaincu en outre que les femmes possèdent à un degré beau- coup plus développé
d'employés du sexe masculin attachés à l'asile (40 hommes pour 200 femmes ). Cette substitution, commencée il y a une diza
ront peut-être tentés de le croire de s'adresser uniquement à des femmes mûres ou âgées; beaucoup des infirmières que nous
rôle prépondé- rant que l'on n'a pas craint d'y réserver aux jeunes femmes dans le traitement des aliénés -. Il y a là une
vre, elle l'avait créé avec son beau talent d'artiste et son âme de femme . A partir de ce jour vous avez résolu de l'éri-
s i'e-pece humaine. C'est dégoûtant que les hommes se conduisent en femmes , que des hommes changent de sexe. Cela n'est pa
s permis De même qu'un homme ne doit pas s'habiller de vêtements de femme , de même il ne doit pas se comporter avec ses o
même il ne doit pas se comporter avec ses organes sexuels comme la femme s'y comporte. Voilà ce que ceux qui m'insultent
« 1,'o)cle Filocheest une crapulerie, \in Ciloche est une honnête femme . Tous les Filoches sont des honnêtes gens. Le pet
nger... le duc de Clermont- Tonnerre... suis-je morte... je suis ta femme ... je ne veux pas que tu le croies... non, je n
essionne au point qu'elle s'imagine avoir reçu « un sort » de cette femme . Dès lors l'anxiété commence : elle ne se rend
duit alors à l'asile. A son arrivée, on se trouve en présence d'une femme amaigrie, les traits tirés, la langue saburrale
ette affection ; 2° elle a progressé relativement plus vite chez la femme que chez l'homme; 3° sa proportion entre l'homme
z la femme que chez l'homme; 3° sa proportion entre l'homme et la femme est de 2 : 1 ; 4° le véritable chiffre de son exp
es citadins et des gens cultivés ; 7° la para- lysie générale de la femme a pour caractères : une évolution plus lente qu
ont : l'ivrognerie, la syphilis, l'hérédité, chez l'homme ; chez la femme , ASILES D'AHEKÈS. 515 l'hérédité, les secouss
puis deux ans il n'y a eu qu'un seul isolement dans le quartier des femmes ; il s'agissait d'une malade avec idées d'homici
it de l'asile de Leavesden se compose de 35 personnes : du côté des femmes une surveillante en chef de nuit; une surveilla
personnel de nuit sont identiques dans les quartiers d'hommes et de femmes , sauf la couleur du papier, pour éviter toute c
chissage. L'auteur aborde ensuite un point épineux, l'emploi des femmes pour soigner les aliénés malades et infirmes :
ps, dans tous les asiles, les aliénés maladesseront soignés par des femmes . A Leavesden, ce principe a été partiellement a
re qu'il y a certains malades qui ne sauraient être spignés par des femmes , mais tous ceux qui ont loyalement tenté l'expé
confié conjointement à des hommes et 520 ASILES D'ALIÉNÉS. à des femmes . Il entre ensuite dans quelques considérations su
travail analysé par nous ici-même. M. Rhodes, approuve l'emploi des femmes dans les salles d hommes de l'infirmerie de= as
et deux contenant six lits. Les hommes sont au rez-de-chaussée, les femmes au premier. Les malades bruyants sont à l'extré
re en 1888 que fut accomplie une autre réforme très importante. Les femmes qui donnaient des soins aux malades étaient d'u
même époque le quartier-des hommes est éga- lemrnt desservi par des femmes , saut pour quelques malades trop difficiles ou
e les idées obscènes de certains aliénés ne rendissent l'emploi des femmes difficile, il n'en a rien été; ces ten- dances
rencontrent beaucoup plus fréquem- ment dans les asiles du côté des femmes que du côté des hommes. Tout bien considéré, la
énile. M. Toulouse rapporte un cas de paralysie générale chez une femme âgée de soixante-douze ans. Stigmates 7syclùque
aire général communique, au non) de M. R'ahl, l'ob- servation d'une femme qui a présenté pour la première fois, à l'âge d
clonus du pied reste. Il s'agit bien d'une lésion organique. Cette femme était donc atteinte d'un état organique qu'étai
prenant son origine autour des vaisseaux. Ayant remarqué, chez une femme de trente-sept ans atteinte de démence précoce ca
r matin, la rue de Flandre étaient violemment pris à partie par une femme vêtue d'une culotte d'homme et portant un enfan
o-locataire avait intrigués, fit irruption dans la chambre. Mais la femme , s'armant de son marteau et d'un couteau à lame
ques figurent 23-1 p. 100 chez les hommes et de 9,6 p. 190 chez les femmes , les épileptiques représentent 12 p. 100 du tot
t, 181. f. .1(.ENisip.bilatér,-tle des lobes fron taux chez une femme ayant pré- un développement ilitellec- tuel a
et Camus, 181 . Monologues. Voir Aliénés. Mensonge. Le - eliez la femme hystérique, par lîicharri. 91. Moelle. Voir V
28 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
de médecine, 1884, no 8.) Les sujets observés par l'auteur sont des femmes , et pour la plupart des hystériques, autant qu'
nostic adjuvant en matière de tabes. P. K. XVII. Sur LE tabès de la femme ; par P.-J. MOEBIUS. Défense : appendice au mémo
moire PRÉCÉDENT; par le même auteur.' Nouveaux cas DE tabès chez la femme ; par le même auteur. {Centralbl. f. Nei,venheil
omme seule cause (syphilis du mari - avor- tements = syphilis de la femme ), forment le fond du premier mémoire. Après avo
ns suivantes : . 4» Dans la plupart des observations concernant des femmes tabétiques, ou a pu constater la syphilis dans
nfection antérieure. - 2° Le tabes ne s'observe pas chez les jeunes femmes .- 3° L'âge moyen dudébut du tabes est trente- d
ndront sur une muqueuse vaginale saine imperméable (intégrité de la femme ) la mu- queuse d'un homme prédisposé qui sera p
té générale et spéciale est atteinte dans la folie aiguë des jeunes femmes (désordre dans les idées avec hal- lucinations)
d'aliénation mentale les plus diverses'. Douze hommes et vingt-deux femmes ont ingéré des doses de 2 à 8 grammes. Le véhic
nuit, elle contribue à diminuer ultérieu- rement, notamment chez la femme aliénée, l'agitation diurne. P. K. 1 Voy. sur
dmi- nistrée à quatorze aliénés les plus divers, a procuré à cinq femmes un sommeil de plusieurs heures, calme et sans acc
oute surprise des sensations étranges qui l'envahis- saient : cette femme qui ne s'intéressait à rien, éprouva tout à cou
ouvent quelque SOCIÉTÉS SAVANTES. 121 chose de semblable chez les femmes ; ce quelque chose est en rapport avec des anoma
lie postépilep- tique. On ne voit pas, d'après les assertions de sa femme , qu'il y ait eu folie praeépileptique. De plus,
albl. de 1884 SOCIÉTÉS SAVANTES. 123 surprenante, surtout chez la femme et, en particulier chez la femme rebelle à la m
123 surprenante, surtout chez la femme et, en particulier chez la femme rebelle à la morphine, au chloral, à la paraldéhy
ses sous-cuta- nées de ut0 et stomacales de 0,40 à 0,GO. Chez vingt femmes agitées, le résultat fut modéré; le succès le p
baraquement destiné aux affections intercur- rentes du quartier des femmes , dont l'état hygiénique était défectueux ; dans
isine, buanderie avec magasins ainsi que les villas des- tinées aux femmes . De l'autre côté, est le village avec les cons-
temps au culte. Altscherbitz renferme maintenant 230 hommes et 170 femmes . En 1882. on a élevé deux villas pour 25 ou 28
bâtiment d'administra- tion, de deux pavillons pour 60 hommes et 60 femmes ; mais elle est soumise à l'autorité du directeu
ui de Gal'dele- gen (de M. Schultze), on y a évacué 20 hommes et 20 femmes de Nietieben et d'Altscherbitz. On s'est égalem
eur de l'asile de Liedenburg (de AI. Fontlieim); on y a évacué 45 femmes de Nietleben, on y enverra encore 55 malades de N
temps que les édi- fices existants serviront exclusivement pour les femmes . On arrivera à loger 100 hommes en élevant dans
A ce moment l'asile entier contiendra 360 aliénés : 135 hommes, 225 femmes . Ces améliorations permettront de séparercomplè
la cuisine et la buanderie, à gauche l'ancien asile (section des femmes de l'avenir), à droite le nouveau quartier des ho
vra être retardée d'un an et demi pour les hommes, d'un an pour les femmes . Le projet de nou- velles constructions de Rybn
urs la question suivante : le Livre des mères; manuel à l'usage des femmes désireuses de préserver leur famille de l'alcoo-
r. Il se retourne plusieurs fois dans le lit, s'assied, réveille sa femme , gémit et, la tète dans les mains, cherche le n
se souvenir s'est étendu même aux physionomies et aux images. Une. femme entre un jour dans son magasin pour faire une e
tie, il a eu, dit-il, comme un pressentiment et, s'adressant à sa femme , il ajoute « Voilà une tête qui, je le crains bie
di et dem il cherche à retracer dans son esprit les traits de cette femme . Ne pouvant passe rappeler l'image, il s'inquiè
l, il a pu retrouver dans son esprit l'image et les traits de cette femme . Aussitôt, il se calme et il peut dormir. La ph
sante du mot. Pour mettre fin à son anxiété, à ses lamentations, sa femme et sa fille venaient à son secours et prononçai
nt trois mois, avant son mariage, il avait eu des relations avec sa femme , qui avait été attirée dans la maison par la mè
laient lui faire peur. Lorsqu'il s'est marié, il vingt-huit ans, sa femme ignorait absolument qu'il tombât du haut mal ; el
ois par an. 11 n'était pas violent, cependant il battait souvent sa femme quand il était ivre.-11fère, serait morte enflée
culté alléguant qu'il soutire horriblement et il se metà maudire la femme qui lui a donné cette maladie. Tout.l'arsenal o
une analogie presque absolue avec l'hystérique de M. Azam. Cette femme , en effet, pendant l'état prime, avait autant de
plégie gauche survenu dans LE cours d'une pneumonie droite chez UNE femme atteinte D' ? .TIiÉIl01 : 1SIF diffuse ; par le
ng, troubles de nutrition en rapport avec cet état) met souvent les femmes affaiblies et fatiguées à deux doigts de l'alié
des primipares. Sur les douze observations de M. Bartens, une seule femme a guéri de par sa grossesse, c'était une érotiq
tique ; par G. LANGREUTER. (Allg. Zeilsch. f. Psych., XL, i.) Une femme est condamnée à un an de prison pour coups et b
dans les dix ans traité 321 mélanco- liques, dont les deux tiers de femmes , soit une proportion de 1 : 5 par rapport aux a
améliorations, 97 incu- rabilités, 4 morts. Voir l'OBSERVATION III ( femme de trente- six ans, guérison complète malgré le
tre . " .1# 1 ? o.. p e ? I1'0''). (. ,,0 .h 'U ? l ... 1 ? 1 tif femmes et un homme, tous individus fortement héréditaire
mbre dès observations est de 131 pour les hommes et de 116 pouf lés femmes . Les principaux : ré- sultats auxquels elles co
if- férents lobés au poids de tout le cerveau indiquerait que les femmes ont proportionnellement lés lobés frontaux plus p
taux est proportionnellement plus fort pour les nommes que pour les femmes , et c'est seulement chez les vieillards que le co
Michot au moment des meurtres. La première de ses victimes fut sa femme ; or, il est évident que depuis longtemps, Michot
é¡pal" les,¡ : reusJde ,son .1)3.\'5, L'aversion que manifestait sa femme pour lui l'avait indispose contre elle, il en é
dont 'rhél'nispl1èi : è'droitt'esi'udiful'- mément atrophié; cette femme était,' par'alVséén'du"'côté'gaûche. ? ... ? ? Wl
udence en, matière d'intervention sur les fonctions sexuelles de la femme ; un danger est toujours à era.indre'eIesrésu !
ue rendait'encore plus effrayant le bruit de « leurs chaînes... Les femmes étaient enchaînées quelquefois « toutes nues da
déjà occupés, les dernières places sont pro- mises. Le service des femmes contient 25 lits de libres. Dur en. Destiné, à
uire 40 hommes. Aussi, en 1882, construisit-on un édifice pour 40 femmes occupées à la cuisine et à la cave ; il ressemble
té une canalisation neuve, on a terminé le bâtiment d'isolement des femmes . On s'est mis en communi- cation par un télépho
née à 25 hommes. La nouvelle buanderie où habitent quelques malades femmes .(4 à : 6) s'agence actuellement. Les dépenses d
chambres d'isolement. Les asiles privés ne peuvent plus recevoir de femmes . 11,000 marks (13,750 fr.) ont été consacrés au
l'ouest : une huanderie - un nouveau pavillon pour 20 pensionnaires femmes , un bâtiment de femmes (ancien), un nouveau pav
- un nouveau pavillon pour 20 pensionnaires femmes, un bâtiment de femmes (ancien), un nouveau pavillon pour pensionnaire
TS DIVERS. haut on trouve un nouveau pavillon d'observation pour 30 femmes et autant d'hommes. Tout en haut, vers le nord
out en haut, vers le nord existent : un non.* veau pavillon pour 20 femmes agitées, un nouveau réservoir d'eau avec chaudi
closets. Dans la nouvelle buanderie, très spacieuse, habitent 16 femmes avec leurs gardiennes et la gardienne en chef spé
rdienne en chef spéciale- ment attachées au lessivage; les quelques femmes occupées à la cuisine y habitent aussi. Au seco
'du Dr Beach à Holidaysburgh (Pennsylvanie), pour le meurtre de sa femme a excité un vif intérêt. Il a été exécuté le 12 f
avait été traité pendant des années, fait corroboré par sa première femme dont il était di- vorcé, le jury l'a déclaré co
pas l'utilité des écoles d'infirmières et s'imagine que la première femme venue, pourvu qu'elle soit protégée, peut être
xte. Palerme, 1883. Carini, Caronna et Macoclin. THULIÉ (H.) - La Femme (Essai de sociologie physiologique). Ce qu'elle
ropriétaires. Il se maria à vingt-neuf ans, mais deux ans après, sa femme le quitta à cause de sa belle-mère. Berger, loi
rsonnels et ceux de sa famille. Berger me dépeint sa mère comme une femme extrêmement nerveuse, qui, à la moindre contrar
ourrais, d'ailleurs, m'ajouta-t-il, me renseigner soit auprès de sa femme qui, pendant deux ans, avait partagé son lit et
crire immédiatement une enquête et de me mettre en relation avec la femme de l'accusé. Le démenti le plus formel a été do
ui ne pouvait laisser aucun doute, puisque, pendant deux ans, cette femme avait cohabité avec lui. Malgré les répugnances
une confrontation avec le prévenu. L'accusé, qui n'avait pas vu sa femme depuis plusieurs années, se troubla en sa prése
commune. Tous les caractères extrin- sèques de la pyromanie chez la femme .- Irresponsabilité. Ordonnance de non-lieu. C
affaire tous les caractères extrinsèques de la pyromanie chez la femme : Thérèse était doublement héréditaire vésanique,
tout nerveux : n'a jamais fait d'excès de bois- son, au dire de sa femme , tandis que sa belle-mère prétend qu'il buvait
. Il était d'ailleurs bon ouvrier et vivait tranquillemennt avec sa femme . Pas d'autres maladies que sa bronchite'. [Père
équen- terait, au dire de sa mère, de malhonnêtes gens (hommes et femmes ), ce qui aurait amené une brouille entre elles3.
et parfois on avait de la peine à le comprendre. La tenue de cette femme est celle d'une ouvrière soigneuse et propre. O
nous ne ferons que résumer. Observation. --Il s'agit d'une jeune femme de trente ans, ayant des antécédents névropathi
ée et en veut toujours à Mme X... qu'elle appelle maintenant « sale femme » depuis que je lui ai dit qu'il n'y avait plus
'est, encore une fois, la TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES . 395 façon de faire les suggestions, qui nécess
nnaître. REVUE CRITIQUE TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES ; Par M. LECORCUÉ. Les troubles nerveux qu'on
ptôme le plus souvent ob- TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES . 397 Î servé (2 lois sur 114 Oas.). Nous revien
es. 398 REVUE CRITIQUE. TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES . 399 matin au lever qu'au coucher. Elle paraît
i les autres névralgies qu'il nous a été donné d'obser- ver chez la femme diabétique, nous citerons encore la névral- gie
XXXVIII). Ce qui démontre TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES . 01 bien que la cause de ces hyperesthésies de
nous voulons parler des phénomènes que nous avons observés chez une femme de quatre-vingts ans (Cas. XLIX). Cette femme,
s observés chez une femme de quatre-vingts ans (Cas. XLIX). Cette femme , qui rendait chaque jour deux litres d'urine cont
er une sensation désagréable. Le vertige s'observe souvent chez les femmes diabétiques (OBS. XI, XX, XXIV, XLIV, CLIII, LV
des cas où l'anémie n'est TROUBLES NERVEUX dans LE diabète CHEZ LES femmes . 403 point assez prononcée pour qu'on puisse lu
e hémorrhagie rétinienne, et que, d'autre part, le diabète de cette femme s'était compliqué d'albuminurie. Elle rendait 2
staté l'existence de la glycosurie dans ces con- ditions. Chez la femme comme chez l'homme, les phénomènes cérébraux qu
s nerveuses. Ainsi, dans le premier fait de Leudet, il s'agit d'une femme de trente-deux ans qui, avant l'apparition des
elles sont souvent précé- TROUBLES NERVEUX dans LE diabète CHEZ LES FEMMES . 405 dées de la plupart des phénomènes que nous
ngée avec convulsions suivies de coma, nous n'avons observé chez la femme que des cas de ramollissement (OBS. XX. XXI) et
on constata' un' trouble' des' plus marqués de son intellect. Cette femme , d'une intelligence supérieure, avait perdu non
e encore huit ans avec toute l'intégrité de son intelligence. Cette femme , écrivain distingué, continua à produire avec a
veuses proprement dites. TROUBLES NERVEUX dans LE diabète CHEZ LES femmes . 407 La cataracte diabétique n'est certainement
pas rare; nous ne l'avons cependant observée que neuf fois chez la femme . Dans huit cas, elle était double et avait débu
par F. GREIFF. (Arch. f. Psych., XIV, 3.) Observation I. Vieille femme de soixante-quatorze ans, extrêmement athéromat
élimitation macroscopique et microscopique exacte). Observation II. Femme de cinquante-deux ans atteinte, à la suite d'un
EVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. est mort subitement. Interrogée, celle femme déclare qu'après la naissance de son premier en
enu, dit-elle, « complètement fou » deux jours avant sa mort. Cette femme s'est remariée, elle a eu de son second mari pl
s ADAM. (Journal of mental Science, juillet 1883.) Observation 1. Femme de quarante-cinq ans, mariée, insti- tutrice, d
rvalle normal de plusieurs années ? La paralysie générale chez la femme est six fois moins fréquente que chez l'homme ; o
sation de la peau) se résument comme il suit. Premier exemple : Une femme atteinte de dilatation vasculaire des mi11ns (é
risation faradique entraîne une aggravation. Deuxième exemple : une femme atteinte de contraction spasmodique des vaissea
recherches portent sur 235 pesées de cerveaux d'hommes et i-16 de femmes faites par Broca. Elles donnent en grammes comme
mmes 556,4 pour l'hémisphère droilet HH5,7 pour le gauche; chez les femmes Ir7-I,° ? pour l'hémisphère droit et z7-1,4 pou
vidu a été de 18 grammes pour un homme et de 16 grammes pour une femme ; cet écart est par conséquent bien inférieur à ce
on maximum entre vingt-cinq et trente-cinq ans, tandis que chez les femmes le développement est plus précoce; c'est en eff
est plus précoce; c'est en effet entre vingt et trente ans que les femmes ont le cerveau le plus lourd. Le poids croit av
sur deux points particuliers delà communication de M. Hey. Chez les femmes , dit-il, le cerveau acquiert plus tard son maxi
, était, dès l'âge de six ans, obsédé pour les clous de souliers de femme . Et cet autre dégénéré, dont la frigidité cessa
t la frigidité cessait à l'évocation de la tête ridée d'une vieille femme ; ce dégénéré avait commencé dès l'âge de cinq a
'héréditaire que j'ai présentée dans l'avant-dernière séance. Cette femme , âgée de trente ans, perd, par moments, en pleine
ire, est opposé à la nature même dans la manifestation. Ainsi cette femme a été prise un jour d'un fou rire à l'enterrement
bré d'une grande intelligence a torturé pendant plusieurs années sa femme , par l'obligation de passer des nuits entières
. Quand il avait parlé six ou sept heures, il était satisfait et sa femme pouvait se coucher. La fille de ce discoureur n
et sa femme pouvait se coucher. La fille de ce discoureur nocturne, femme d'un de nos confrères des plus dis- tingues, co
ÉTÉS SAVANTES. 447 des dangers inhérents à la surveillance; chez la femme notam- ment, il se pourrait commettre des abus
oints de vue ; la capa- cité d'hériter et celle de transmettre. Les femmes transmettent plus facilement la paralysie génér
rait observer celle- ci plus fréquemment qu'on ne l'observe chez la femme . L'infec- tion syphilitique est souvent escorté
tions fonctionnelles inégales (théorie de Hagen). Un autre crâne de femme , également en proie à des hallucinations de l'o
étude de la manie transi- toire. Un travailleur avait commis sur sa femme un crime hor- rible ; on le trouvait affaissé,
s la question suivante : Le Livre des mères, manuel à l'usage des femmes désireuses de préserver leur famille de l'alcooli
entale chez des détenus), par Krcdlt-Ehin ? 419. Diabète chez les femmes (troubles nerveux dans le), par Lecorché, 395
physiologique et 'patltulo- gique, par Jfatret, 76. Tabes chez la femme , par Moebius, 98. Tabes dorsal et syphilis, p
29 (1851) Journal du magnétisme [Tome X]
îte. Voyageant la nuit et discrètement, j’étais conduit par une brave femme , qui avait bien voulu prendre soin de moi; elle c
pendant lequel la Genèse dit qu’il en retira une côte pour former la femme . « Ce sommeil, dit-il, ne pouvait être le somme
travers. M. Hochenez est malade, il a dos absences , il a renvoyé sa femme , dans la crainte qu’elle ne s'aperçût de son éta
ochenez, qui, pendant son sommeil, a la douleur de remarquer entre sa femme et son cousin une intimité dangereuse. Hochenez s
, raconte ainsi la guérison d’un enfant qui passait pour mort : « Une femme retira l’enfant du berceau, s’enveloppa avec lui
ons prolongées dans l’oreille. Merklinius (3) assure qu’une vieille femme rappela un enfant à la vie, en appliquant sa bouc
long- (1) Voir tome IX, page 512. temps sa concubine et depuis sa femme , exploitaient un cabinet de consultations ;i Pari
nature plus grave, avait été portée par un mari que la jalousie de sa femme , surexcitée par la divination trompeuse de la som
la procédure, qu’il existait contre Mongruel et Rosalie Lefebvre, sa femme , prévention suffisante : « i° D’avoir, dans les
avention. faits annexes, la chambre du conseil renvoya Mongruel et sa femme devant le tribunal correctionnel, pour y être jug
« Mais le même jugement, statuant par défaut contre Mongruel et sa femme , les condamna, à raison ■des faits ci dessus pré
qui, après des débats et plaidoiries animées, débouta Mongruel et sa femme de leur op-posiiion. « Vous êles ai sis, Messie
produits de pures hallucinalions. « Là, 011 a entendu signaler ces femmes qui font métier de donner des consultations, et p
évention, que d’un mari magnétiseur, se livrant conjointement avec sa femme , somnambule, à la divination , à des pratiques du
D. Que veniez-vous y faire?— R. Tâcher d’y gagner nia vie. D. Voire femme est morte dans un hôpital ? — R. Oui, monsieur; m
de magnétisme? — R. Oui, Monsieur. Je me suis aperçu que ma seconde femme était lucide; je me suis occupé alors de magnétis
i j’aurais été obligé d’aller dans les ateliers nationaux. D. Voire femme annonçait qu’elle expliquait le* songes et guéris
té vous parler avant qu’il n’entrât lui-même dans le cabinet de votre femme . — R. C’est matériellement impossible; il n’y a p
e séance de confrontation avec M. Lemoinc. Mme Lemoine prélend que ma femme lui a indiqué M"' Dubuisson comme étant la maître
lle a dix-sept ans, et elle est brune, tandis que la personne dont ma femme a parlé dan» sa consultation magnétique devait, d
me plus forte, une rémunération plus convenable. M. le Président. — Femme Mongruel, levez-vous. Je n’aurai à vous adresser
t imprimer et publier des prospectus et des annonces dans lesquels la femme Mongruel était signalée comme douée d’un pouvoir
ucide? lui répondit en souriant l’amie en question. Le lendemain la femme dormit et parla. Ce mari magnétiseur était dans
ant. Depuis ce jour, le mari s’empresse aux moindres caprices de sa femme , qui se porte à ravir, et qui tous les cinq mois
ndre des bretelles. Un jour qu’elle était chez nous, il arriva que ma femme et mon fils se trouvaient malades, et ils lui dem
n ; vous avez même ajouté que le docteur Pelassy , qui traitait votre femme et votre fds, ayant vu ces ordonnances, a cesse d
s prières. M. LE président. Yous avez signé des ordonnances pour la femme Bridaut et son fils? La prévenue. Ça me serait
NUS. Voici les noms et qualités des prévenus : Annetle Passavant, femme Château, dite Mme Thal-bert, rue de Hanovre, 10,
nées par les prévenus; entre autres annonces, on remarque celle de la femme Tournier, ainsi conçue : « Mme Desaillous, somnam
t. Me Lachaud pour le sieur Isaac. Me Clément d’Anglebert pour la femme Batard et le sieur ftlaugé. Me Thus pour la fem
Anglebert pour la femme Batard et le sieur ftlaugé. Me Thus pour la femme de Villeneuve et le sieur Coty-Andrivon. R1. le
s témoins. M. Gariot, imprimeur lithographe, a reçu les soins de la femme Château, qui lui a fait appliquer sur la poitrine
nez à la vôtre. (Nouveaux rires.) etienne vermot. Il a recours à la femme Desaillous pour un mal d’yeux dont il était affec
s à la femme Desaillous pour un mal d’yeux dont il était affecté ; la femme Desaillous lui a ordonné de se faire magnétiser,
a consulter sur ses deux petites filles, abandonnées des médecins, la femme Desaillous, sur l’inspection seule des bonnets de
la consulter sur quel sujet? Le témoin refuse de s’expliquer. la femme grimot, cuisinière. Mmc Batard m’a dit la vérité
Oh ! j’ai trouvé le reste dans d’autres endroits. D. Votre amie, la femme Boudeville, est allée aussi la consulter ? Elle
ée aussi la consulter ? Elle refuse de s’expliquer sur ce point. la femme batard. Monsieur, Mme Boudeville est venue chez m
antage. C’est sur mon refus qu’ils m’ont dénoncée. m. le président. Femme Boudeville, c’est le moment de vous expliquer; vo
expliquer; vous ne vouliez pas dire le motif de votre visite chez la femme Batard. Est ce que c’était pour la consulter sur
on, et conséquemment ne savaient rien de ce qui s’y dit. Quant à la femme Tournier, elle s’endort seule, ce qui ne lui a pa
ts ont été saisis chez les somnambules; on a, en outre, saisi chez la femme . Cabandé une baguette magique avec le Pe-tit-Albe
ez la femme. Cabandé une baguette magique avec le Pe-tit-Albert. La femme Batard se faisait endormir par sa bonne, la fille
appelée à s’expliquer. M. le président. C’est vous qui endormiez la femme Batard? — J’étais entrée chez elle comme domestiq
cot et de la fille Neuville; il l’abandonne également à l’égard de la femme Batard sur le fait d’escroquerie. L’organe du m
eurs Isaac et Marient el la fille Neuville; il a également renvoyé la femme Batard, sur le fait d’escroquerie; mais il l’a co
-¡5 UMi\ AillD U LLi marquable, s’occupe avec succès des maladies des femmes . Prévisions, recherches, etc. Consultations tous
ante : tantôt elles font leur spécialité des maladies de la peau, des femmes , des enfants, des organes génitaux, des voies uri
ns de sang. jo° m. binet, instituteur à Charbonnières. Jai amené ma femme pour qu’elle consultât Mmc Rose. Celle-ci l’a pal
utes, puis a décrit tout ce qu'elle avait ressenti, aussi bien que ma femme elle-même eût pu le faire. Elle a prescrit des re
ait rien dire sur les maladies. l5° m. rosel-sortais, de Nogent. Ma femme était au plus mal, et notre médecin avait déclaré
crivit exactement son état; elle déclara, entre autres choses, que ma femme éprouvait dans la tête une vive douleur, comme si
âne. Je fus étonné d’entendre révéler ainsi line circonstance dont ma femme n’avait fait part qu’à moi, et dont je n’avais en
teur des ponts-et-chaussées. En 1849, Mme Rose a donné des soins à ma femme , et elle ne l’a pas guérie. Patrix fds, qui la ma
âtres qui avaient résisté à tous les efl'orts des médecins, et que sa femme a été guérie par elle d’un mal de sein qu’il croi
quoi! Mmc Rose est venue et m’a guéri. Aussi je déclare que c’est la femme la plus méritante de tout Nogent et des alentours
ire l’éloge de M“' Rose ; dire qu’il croyait à sa lucidité, et que 9a femme se trouvait bien mieux depuis qu’elle suivait son
où Mm' Chapelle a poussé la passion de connaître la vérité; quand une femme s’est mise dans une position aussi hasardée, quan
pelle fourmillent de contradictions. Ainsi M. Chapelle prétend que sa femme n’a jamais éprouvé d’amélioration par suite du tr
x indigents. Lors de son premier procès, je me rappelle qu’une pauvre femme m’a tiré par ma robe, jusqu’à ce qu’elle ait obte
uellement, par la Société, une médaille d’or au magnétiseur, homme ou femme , qui aura opéré la plus belle cure par le magnéti
. Il n’a pas d’autre guide que lui-même, d’autre intermédiaire que sa femme , et c’est ainsi qu’il a écrit et publié son prem
of Sweden Oorg, page 76. Le voici : « M. Robsham ayant demandé à la femme du jardinier de Swedenborg, si elle avait remarqu
cela que je lui ai donné la main de ma fille ; il a sauvé la vie à ma femme ... M. le président. Tous ces détails sont inuti
ipaux termes : «.....Attendu qu’il est établi par témoins que. la femme Cheyroux ne s’est point livrée à la divination, n
ice, firent penser qu’elle pouvait bien avoir pris les i,5oo fr. La femme Ilarrault a toujours protesté de son innocence, e
at du barreau de Versailles, a présenté avec chaleur la défense de la femme Harrault, et s’est élevé avec force contre ces ch
rédisent l’avenir. Le jury avant déclaré l’accusée non coupable, la femme Marie-Robert Ilarrault a été mise sur-le-champ en
ert Ilarrault a été mise sur-le-champ en liberté. Cette malheureuse femme veut, assure-t-on, poursuivre devant les tribunau
nécessitent quelquefois l’éloignemenl de ceux qui les éprouvent. Les femmes ont semblé y être plus sujettes que les hommes, m
tiseur belge, ffl. Montius, nous exhiber à Paris une demi douzaine de femmes extatiques, qui, aux sons d’une guitare mesquine,
cher cl très-honoré maître, lin face du délire fiévreux d'une jeune femme exaltée par l’amour, 1111 grand philosophe s’écri
s voici donc heureux enfin! Pauvres enfants! » Puis tout à coup celte femme se met à frotter un meuble, cessant de parler au
l qui s'est passé clans la clinique de M. Gendrin , à la l’itié : une femme hystérique s’endormait d’un sommeil particulier à
de son baquet, mais en grand nombre, au contraire, s’y rendaient les femmes les plus titrées el Icj plus nobles daines de la
Lacordaire, qui prononcera le nom du ravisseur. Cet autre a perdu sa femme et veut connaître la direction qu’elle a prise av
munes qui environnent Paris étaient tour à tour visités par une jeune femme mise avec une grande recherche, el qui se faisait
u’un monsieur injuriait, en lui reprochant de lui avoir prédit que sa femme accoucherait d’un garçon, tandis qu’elle venait d
tribunal collégial de district à Kornenbourg, près Vienne. Une jeune femme , Julienne Weiskirch-ncr, enchérissant sur le pouv
procuration. « L’amie de Mme Austin se rendit chez le Dr Ilays. Sa femme , qui lui sert de commère, fut mise en étal de som
s jours, de treize centimètres. La troi- sième avait une maladie de femme , suppression, elc. Ayant été prévenu par des mala
de la physiologie : « Dans un alelier occupé par une soixantaine de femmes , une d’entre elles, à la suite d’une violente alt
ique du célèbre médecin hollandais Boër-haave. Dans une des salles de femmes de l’hôpital de Leycle, une épidémie de convuls
itre YIII) que son maître ayant été touché au bord de sa robe par une femme malade qui n’avait pu guérir, il dit : « Quelqu’u
u’un m’a touché, car j’ai senli une vertu gui sortait de moi. » Et la femme n’eut plus de maladie..... Quelle simple, quelle
e rap-« pellerai qu’ayant été touché, au bord de sa robe, « par une femme malade, celle-ci fut guérie; mais « Jésus dit aus
magnétique , qu’il est aussi le seul des évangélistes qui dise de la femme malade : « Qu’elle avait dépensé « tout son bien
témoin d’un fait très-intéressant d’insensibilité magnétique : qu’une femme enceinte, parfaitement somnambule depuis quelques
dernière lettre, a dit qu’il avait été choisi comme accoucheur d’une femme somnambule qui avait prédit le sexe de l’enfant q
ême jusqu’à quel point est justifiée l’éton-nante prédiction de cette femme , ou au moins j’aimerais à entendre attester le fa
..., qui, nous le déclarons ici, nous a choisi, sauf l’agrément de la femme enceinte, pour veiller à son accouchement. Nous
qui résiste à la douleur physique du pincement violent de la peau. La femme endormie répond ensuite nettement, lucidement à t
épondit que « oui : elle assisterait à ses couches comme si une autre femme accouchait. » D’autres fois, si elle souffrait, e
disait à son magnétiseur (endormie, bien entendu): « Magnétisez cette femme qui souffre beaucoup; » el lorsque la magnétisati
el lorsque la magnétisation l'avait calmée , elle reprenait : « Celle femme vous remercie. » Enfin elle dit : «Celte femme ac
le reprenait : « Celle femme vous remercie. » Enfin elle dit : «Celte femme accouchera à la fin de mars, deux jours plus tôl
t bien des choses qu’il n’avait jamais vues. Il a aussi magnétisé une femme à cinq cents pas au moins, de manière à l’endormi
plus remarquable, c’est que tout individu, quel qu’il soit, homme ou femme , peut apprendre en une heure ou deux, au plus, à
a à èlre instruit par nous, et de cinq dollars seulement si c’est une femme , el sans avoir exigé de chacun ou chacune le môme
mettre son précieux individu à l’abri de la fureur d’une douzaine de femmes enragées, il laisse là Rob, ne songe plus à la bi
faire essai de la nouvelle science, et, en moins de cinq minutes, la femme ivre revint à l’clat de sobriété (all right). Quo
ble autorité sont devant nos y-ux, et nous pouvons affirmer que celte femme , qui était dans un état complet d’ivresse, fut pa
résentation à Saint-Germain, où il devait jouer le soir même, avec sa femme , la Fiole de Cagliostro. En attendant, il donnait
nts, des picotements, des fourmillements ou un mal de tète subit. Les femmes ne sont pas seules accessibles à celle action, de
ations sont ainsi dégagées de toutes préventions. Les hommes el les femmes d’une consli tu lion vigoureuse, et se portant bi
arence de bonne santé : principalement les hommes qui écrivent et les femmes qui cousent continuellement; puis ceux que minent
ement le pouvoir d’élire gouverneur honoraire tout individu, homme ou femme , ayant rendu des services importants à la science
mois dernier, 011 prit encore, pour remplir le« mêmes fonctions, une femme mariée, recommandée par le Dr Ashburncr; ces troi
ze malades ont été mesmérisés, cinquante-quatre hommes et trente-sept femmes : il y en a encore sur les registres vingt-neuf,
a encore sur les registres vingt-neuf, dont dix- neuf hommes et dix femmes . La plupart des maladies traitées ont été la para
ent. Cette mesure sera d’autant plus avantageuse que, ayant admis des femmes au nombre des patients, nous avons cru tl«'-jà
au nombre des patients, nous avons cru tl«'-jà devoir employer une femme pour magnétiser. » Une très-longue et fort inté
homme de trente ans, malade depuis plusieurs années, et qui, comme la femme dont parle saint Luc, avait tout dépensé avec les
une, vit une pauvre famille de colons. Elle se compose du mari, de la femme et de quatre enfants. Une sorte de mystère entour
ette taci-turnité hautaine et froide qui éloigne les indiscrets. La femme et les enfants gardent la même mystérieuse conten
rien de son devoir militaire, Antonio, qui était marié, fil partir sa femme et son jeune enfant pour Paris. 1 n pressentiment
ps de serrer la main de son ami. Il expira en prononçant le nom de sa femme . » Tribunaux. — Il y a environ trois cents somn
point peuvent encore être portées la crédulité et la duperie. « Une femme S..., demeurant rue Rochechouart, élait connue da
plaît surtout parmi ses dupes des commerçants, des propriétaires, des femmes de condition assez élevée, la moindre de ses cons
e fois signalée à la justice et placée sous le coup d’un mandat, la femme S..... fut arrêtée, et M. Boudrot, après avoir
-la-Reine, auquel on avait parlé de la spécialité mystérieuse de la femme S..., vinl la consulter pour fa belle-mire qui, l
, était en proie à îles visions surnaturelles. Le cas était grave; la femme S... consulta son esprit familier, mais celui-ci
erait pas, rendez-vous fut pris pour le lendemain. « Ce jour-lù, la femme S... lui présenta un personnage affublé d’un cost
r qu’une très-belle maison qu’il possède ne se louait pas, il pria la femme S... de conjurer le mauvais sort qui semblait s’a
s la Vie de saint Macaire, qu’on amena à ce pieux solitaire une jeune femme qui se croyait changée en jument. Saint Macaire l
r l’eau bénite. « L’evesque Malachie, assure Le-loyer (3), guérit une femme phrénétique liée de de. cordes, commandant qu’on
ortu- (1) Recueil des Œuvres médic., 1.1, p. 148. (2) Hygiène des Femmes nerveuses, p. 270. nilé, car elle peut aussi pr
iothèque, en dépeignant dans cette dernière pièce plusieurs bustes de femmes , des livres et des tableaux. Un petit portrait ay
x mois de prison pour complicité du fait de la maison exorcisée. La femme Saucerotte et Martini ont interjeté appel de ce j
par M. le conseiller Jurien. M" Cresson a présenté la défense de la femme Sau-cerotte. M* Ph. Millet a plaidé pour le sieur
’âge. Alors (ce n’était pas difficile), elle me dit : « Ah! c’est une femme . — De quel âge?— De trente ans. » C’était encore
la halle, elle fut mystérieusement abordée, rue Saint-Denis, par une femme âgée qui lui remit une carte lithographiée, en lu
sse de la Chaussée-d’Antin, jugée par le Tribunal correctionnel. La femme D.... annonça à Adélaïde que son mariage réussir
arracher votre mal, etc. » Adélaïde suivit les prescriptions de la femme D...., et le lendemain matin, en proie à une fièv
e quelques jours. Interrogée, elle fit connaître ses rapports avec la femme D....... contre laquelle une plainte fut adress
épreuve, ne pouvaient être l’objet des soupçons,'qui tombèrent sur la femme Maudenet. Avant de s’y arrêter d’une manière posi
incesse présenta à Alexis des cheveux de Nathalie, d’Eudoxie el de la femme Maudenet; en voyant ceux de celte dernière; il fi
Eudoxie a déclaré positivement l’avoir vu un jour dans la main de la femme Maudenet, qui variait fort habilement ses cachett
fort habilement ses cachettes. On acquit ensuite la certitude que la femme Maudenet se trouvait, en définitive, dépositaire
e la rue Notrc-Dame-des-Champs, qui était sorti, le dimanche, avec sa femme , en enlevèrent tout. « Sous l’impression de ¡do
commis, et disant que c’était sur les renseignements fournis par une femme (qu’elle dépeignait si exactement que les blanchi
’ouvrière comme complice du vol. Une perquisition cul lieu chez cette femme ; on n’y trouva d’autres preuves accusatrices que
ouchoirs, dont elle expliquait tant bien que mal la possession. Cette femme fut laissée en liberté; elle disparut presque aus
rt-Louis (île Maurice). Médaille d'or à décerner à l’auteur (homme ou femme ) do la plus belle cure obtenue par l'emploi du ma
tes do Swedenborg. 172, 276, 409. Sympathie nerveuse. Un atelier de femmes en convulsions. Fait observé à Lyon, avec comment
30 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
; sorte de pétrification dans nue atlitu e,e rayee ? 10(1 £ IIA Sa. femme nous' fournit' lés renseignements" suivants sur(s
vessie. Je ne suis pas plus heureux avec des bougies fines ? ? Sa femme mandée aussitôt nous apprend qu il y a,neuf ans,
r<. ? r'fT f ? tpT)f 'rf'i' ? fT quiète de ce que deviennent sa femme et son fils. IT s occupe un" peuîairménàge'"1ét
'avait « baisée » et s'était mise sur elle comme un homme sur une femme . Elle déclara qu'elle souffrait lorsqu'elle avait
pensées d'impureté, comne par exemple que la Vierge n'était qu'une femme qui avait fait un enfant qu'elle aurait ensuite
intes espèces ou croyait voir « ' un spectre impur d'homme et un de femme qui commettoient des actions déshonnêtes » ; qu
nt Joseph n'était qu'un charpentier, que la sainte Vierge était une femme comme une autre ayant eu deux enfants, dont l'u
ée demander des potages au lait. elle crut que c'était une envie de femme enceinte ; l'autre expliqua. de son côté, qu'elle
de Hollande, l'autre d'un surplis et d'un bonnet carré, et quelques femmes qui l'accompagnaient, puis s'asseoir près du fe
Châlon, où elle demeura'aussy d'accord d'avoir logé chez une pauvre femme et d'avoir'couché dans la ' mesme chambre dans
rgissement du , bassin,, lequel bassin se rapproche de celui, de la femme , et enfin'une.incii-, naison marquée du pli, fe
x, nos 8 et 26.) .Cass d'automatisme, ambulatoire accompli par une' femme de cinquante-deux ans dans un état de somnambul
cependant quand même de possession, mais de possession divine. Les femmes de ces bas-reliefs antiques sont des côryhantes
recommença à marchernqu'en décembre. erio·Lf2laT f , Cas IV. Une femme ,'qui avait plusieurs fois refusé'du'manger, est
éci- rqùë' estsâns aucune action. ', , n « n-u z , ^.observation. Femme ,] trente-neuf ans" II3'stérique,· syphili- tiqu
i ' i 'r ? 1-t' ; n«vii" , i, i - . , 4 , 1 , ' iii(f i le, cas. Femme , cinquante-neuf ans, intelligence peu dévelop-
- . Il ? 1 Il . 1. s 1 . , .TV-3 i \rf I. Examen DE seize crânes DE femmes , dont DOUZE criminelles ET une SUICIDÉE; par P.
·, 1 Il i - , 1.. " . ^ 1 Il est probable, dit l'auteur,' que les femmes normales, compa- rées aux femmes aliénées et cr
t probable, dit l'auteur,' que les femmes normales, compa- rées aux femmes aliénées et criminelles,- avaient une capacité
' ')' ùr ? f' ! a.' . , --b ? » y , .- . ,- , t. ,. ,. Cas d'une femme adultère.leontre laquelle une demande en divorc
moment de l'acte ^incri- miné. Le divorce fut admis, par suite, la femme reconnue res- ponsabletbien qu'aliénée. (Aiedic
de Fleiscbl. 1 ? 'l-4 . ' Il examiné 116 aliènes (103 hommes et 11 femmes ) à l'âge moyen de la vie. Dans la mélancolie,'
! 'o-pt ? ! a<e; présentation de pré- paratOM. , li s'agit d'une femme grosse de trente-quatre ans, arrivée au sixième
dissement, le reste de l'histoire lui échappe jusqu'au moment où sa femme est arrivée. La perte ou l'incer- titude des so
ntes hallucinations. Dans la seconde , observation, il s'agit d'une femme âgée de quarante-sept ans, concierge qui depuis
. Engour- dissement du bras gauche pendant un jour ou deux. ZD Sa femme a remarqué qu'il avait de l'embarras de la parole
- chesse. Perle de la mémoire surtout marquée depuis six mois, sa femme était constamment obligée de lui rappeler ce qu
rçon de café de seize à vingt-trois ans, a fait beaucoup d'excès de femmes et de boisson. Malade depuis trois ans, pour un
s secousses; 6° Douleurs (à réserver jusqu'aux renseignements de sa femme ). Marche de la maladie. 23 octobre 1892. Cette
t de vingt ans il-)4 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. chez un homme et une femme âgés. Quatre photographies : dis- parition de l
fasc. 4, 1893.) Sur un total de 1,121 crâues d'aliénés (hommes 493, femmes 628), l'auteur a trouvé un torus mamelonnaire,
l'auteur a trouvé un torus mamelonnaire, 251 fois (107 hommes, 244 femmes ); un torus en dos d'âne 232 (103 hommes, 129 femm
107 hommes, 244 femmes); un torus en dos d'âne 232 (103 hommes, 129 femmes ). Le torus était complet seulement dans 340 cas
). Le torus était complet seulement dans 340 cas (105 hommes, 235 femmes ) et partiel dans 217 (88 hommes, 119 femmes). La
40 cas (105 hommes, 235 femmes) et partiel dans 217 (88 hommes, 119 femmes ). La présence d'un éperon, représentant comme u
us rudimentaire a été constatée 10 fois antérieurement (8 hommes, 2 femmes ) et 128 fois postérieurement en proportions éga
résence du torus sur le vivant a été constatée 49,58 p. 100 chez la femme et 39,17 p. 100 chez l'homme. J. SÉGLAS. II. DE
M. PoTOVSKI. (Nouv. Iconogr. de la S«)<M)'t6)-c, 1893, n° 6.) Femme quarante ans, l'aliénation mentale débute quelque
(Revue neurologique, 1893.) " XV. De la paralysie générale chez la femme ; par le Dr ID ? Now. Etude très documentée sur
ns étiologiques et sur la clinique de la paralysie générale chez la femme . Les conclusions soi.t les suivantes : 1° La
nclusions soi.t les suivantes : 1° La paralysie s'observe chez la femme bien plus souvent que ne le croyaient les ancie
taux de huit Etats européens, on trouve, en moyenne, 3 paralytiques femmes pour 10 paralytiques hommes. 2° Ce désaccord
alysie générale devient de plus en plus fréquente, surtout pour les femmes . 3° L'étiologie de la paralysie générale ne pré
dans ses traits principaux, aucune différence bien sensible chez la femme et chez l'homme. Dans les deux sexes, un fait e
eux sexes, un rôle également prédominant et important. , Chez les femmes , la syphilis se rencontre dans la proportion de
ans, guérit en un temps relativement court. Il s'agit encore d'une femme . Et qu'on n'aille pas croire qu'il y a eu simpl
bitants. Cette progres- sion a été de 5 p. 100 plus active pour les femmes que pour les hommes et cependant ceux-ci ont ét
ive. Le district d'Aix-la- Chapelle a ceci de marquant que, chez la femme , il y a une propor- tion croissante de paralyti
grande industrie d'Aix-la-Cha- pelle occupe une telle proportion de femmes que le chiffre que celle-ci représente vient im
86 et 1887. Les hommes ont fourni un bien plus fort appoint quortes femmes à l'augmentatiou de la fréquence des admissions
admettait d'année en année une proportion de plus en plus forte de femmes aliénées par rapport aux admis- sions masculine
s admissions était pour Aix-la-Chapelle de 12,36 hommes, et de 9,27 femmes , pour Elberfeld, 10,26 hommes ; 7,87 femmes. Ce
2,36 hommes, et de 9,27 femmes, pour Elberfeld, 10,26 hommes ; 7,87 femmes . Ce qui prouve que les cercles urbains et ceux
que les mêmes raisons engendrent la progression de lafolie chez la femme . L'étude statistique de l'influence psychopathi
e ce cas : Le 6 septembre 1891 était amenée à l'asile Saint-Yon une femme qui y était envoyée par les soins de l'administ
oyait aussi des êtres imaginaires. A l'asile, on constata que cette femme était incapable de donner aucun renseignement s
médecin, et qui sont transmis à l'asile. On apprit alors que cette femme s'appelait B..., qu'elle 1 Arnoza'n. 4n ! K. ré
souvenirs. AMNÉSIE RÉTRO-ANTÉROGRADE 171 · Je n'ai pu voir cette femme qu'une année environ après son entrée à l'asile
pu noter dans leur évolution. Examei2 somatique. - Mme B... est une femme de cinquante-sept ans, grande, sèche, assez bie
et, des plus nombreux et des. plus divers. haut-il ? dire que cette femme était prédisposée à devenir amnésique à la-suit
mur d'en- ceinte; se trouvent les quartiers' dès agités; hommes et femmes , qui sont ainsi assez éloignés des autres quart
t médecin direc- teur ; C, C', Quartiers d'agités des hommes et des femmes ; -D, Cuisine et hydrothé- rapie ; E, Pensionnat
tte distribution, les deux divisions, celle des hommes et celle des femmes , sont exactement semblables au point» de vue du
0.- Plan de l'Asile. La division des hommes est à gauche, celle des femmes à droite. 1, Quartier des faibles hommes ; - 2,
Quar- tier des tranquilles, hommes; - 4, Quartier des épileptiques, femme ? 5, Quartier des tranquilles, femmes; 6, 6', 6
4, Quartier des épileptiques, femme ? 5, Quartier des tranquilles, femmes ; 6, 6', 6". Quartier et dortoir des faible ? , fe
tranquilles, femmes; 6, 6', 6". Quartier et dortoir des faible ? , femmes ; A. Cour carrée intérieure avec un faîte au cen
' les cours (cloîtres); C et F, Quartier des hommes et dortoir des femmes ; D, Logement des soeurs : E, Logement du receve
cuisine; M, ! Si', Salle de bains des hommes et salle de bains des femmes ; N, Salle d'hydrothérapie; 0. Puits; P P P P, P
sont adjacents l'un à l'autre, le quartier des hommes et celui des femmes n'étant sépa- rés que par un petit chemin. Ch
s pour S25 aliénés, 30 places pour les hommes et 30 places pour les femmes . Aussi, ai- je facilement obtenu la création d'
tiers actuels seront réunis en un quai lier unique pour les agitées femmes . D'après le projet de construction qui sera exé
ertes qui vont, l'une à la division des hommes, l'autre à celle des femmes . On comprend les avantages qui résul- tent de c
s de bains, est la salle d'hydrothérapie qui sert aux hommes et aux femmes . Elle possède tous les appareils hydro- thérapi
s, on n'a pas cessé d'avoir à Bonneval des malades de la Seine, des femmes surtout, aujourd'hui encore, on en compte près
Seine sont reçus moyennant un prix de journée de 1 fr. 20 pour les femmes et de 1 fr. 25 pour les hommes, et on n'a jamai
rite double et troubles trophiques. P. K. XLVII. Du tabès chez la femme ; par P.-J. 11BICIS. (C6n<)'a<6<. f. Ncr-
st bien syphilitique. Observations XIX à XXXIX. Chez la plupart des femmes tabétiques, les commémo- ratifs décèlent la syp
ns doute la preuve directe est souvent impossible, surtout chez les femmes mariées. Mais il n'y a pas un seul cas dans leq
se borne- t-il à déclarer qu'il s'agit d'une dégénérée ? Lorsqu'une femme aura inventé des histoires romanesques, compliq
s de grande famille, etc. (cas publiés), dira-t-il encore que cette femme est une simple dégénérée ? Je n'ose le croire,
e différence existe cependant. Appellera-t-on dégénérée cette jeune femme qui, nor- male jusque-là, qui toujours intacte
elle-ci peut exis- ter à l'état latent. En effet, lorsque sur vingt femmes qui sont sou- mises à la même émotion, j'en voi
ême en l'absence de toute tare névropathique constatable, que cette femme était différente des autres, en un mot que c'ét
ices généraux peuvent-ils convenir à la fois à un asile d'aliénées ( femmes ) et à un asile spécial d'alcooliques (hommes) ?
dez si vos deux asiles celui des hommes alcooliques[1) et celui des femmes aliénées peuvent avoir des services généraux com-
lcooliques ou vos ivrognes. Et puis la contiguïté de votre asile de femmes aliénées avec un hôpital d'hommes ivrognes ne c
2 enfin, une épidémie grave de choléra importée, croit- on, par une femme qui venait de Saint-Denis, près Paris, et qui s
lentement. ASILE DE BONNEVAL. 39S -Le nombre des entrées pour les femmes est un peu plus élevé que ce même nombre pour l
erve souvent les diverses formes de la mélancolie, surtout chez les femmes . Et à ce sujet, je noterai que certaines concepti
e de quantité de cas de manie et de mélancolie, aussi bien chez les femmes que chez les hommes. Quant à la paralysie génér
ovenant du département atteints de cette affection, 64 hommes et 12 femmes . Si en plus on considère que dans les pays agri
avec hallucinations dans la partie abolie du champ visuel chez une femme de trente-cinq ans qui, cinq ans auparavant, avai
r d'hommes contenant 150 malades et un grand quartier affecté aux femmes (près de 800). Les hommes, après un séjour plus o
s. C'est ainsi que les bains des hommes ont été refaits et ceux des femmes améliorés. 11 est regrettable que dans les ins-
na- gés (tout àl'égout et de là à la'l'iretaine). Les quartiers des femmes ont subi également quelques transformations. Ma
En consultant les tableaux I (Urines des hommes) et II (Urines des femmes ), on voit que vingt hommes sur trente, soit les
voit que vingt hommes sur trente, soit les deux tiers, et que six femmes sur treize, soit environ la moitié ontune quantit
e à la moyenne (1,200 cent. cubes pour les hommes et 1,100 pour les femmes , d'après Yvon et Berlioz : Manuel d'Analyse d'
ué. Nos analyses ' (tableau I et II) en montrent partout l'excré- FEMMES ÉTUDE DE L'URINE DANS LA PARALYSIE GÉNÉRALE. 37
l, qui a doté cette école, en 1886, pour perpétuer la mémoire de sa femme . Il a donné pour cela 200,000 dollars, soit un
cas, quelques-uns sont des plus intéressants, notamment celui d'une femme sortie guérie, privée par la vente d'une machin
chorée sénile ; par E. Remak. (Neurol. Centralbl., 1893.) i , 1 . Femme de soixante ans. Hémichorée qui se distingue des
stingue des clio- rées ordinaires de l'enfance, du jeune âge et des femmes grosses . par ceci, que les mouvements clioréiq
la langue. Observation de 125 hystériques se décomposant en : 45 femmes hystériques. 76 hystéro-épileptiques. - 4 hom
à vingt-cinq ans. Prédominance des jeunes filles. Hérédité chez 96 femmes et 2 hommes. Suicide chez 33 femmes et 1 homme
jeunes filles. Hérédité chez 96 femmes et 2 hommes. Suicide chez 33 femmes et 1 homme (= 34 cas, soit 27 p. 100). Criminalit
s et 1 homme (= 34 cas, soit 27 p. 100). Criminalité (délits) de 19 femmes . Forme mentale. Psychopathie, surtout aiguë et
ires partiels sont plutôt imposés que communiqués. 2° Le sexe : les femmes sont de beaucoup plus sensibles que les hommes
te des observations de M. Marandon, que celle-ci s'opère surtout de femme à femme et de femme à homme et très exceptionne
bservations de M. Marandon, que celle-ci s'opère surtout de femme à femme et de femme à homme et très exceptionnellement
M. Marandon, que celle-ci s'opère surtout de femme à femme et de femme à homme et très exceptionnellement de homme à fem
e à femme et de femme à homme et très exceptionnellement de homme à femme et de femme à homme. 3° La nécessité d'une lo
de femme à homme et très exceptionnellement de homme à femme et de femme à homme. 3° La nécessité d'une longue vie commu
oxications, et les états d'origine psy- chique si fréquents chez la femme . (Annales i ? zédico-psychologiqzies, 1894.) E.
, l'impulsion homicide se saisit brusquement dé lui et la vue de sa femme et de ses enfants, concomitante de celle de ses
ntus, exagérant encore l'impression, il sent qu'il lui faut tuer sa femme et ses enfants pour obéir à une force intérieur
urologique, 1894.) E. B. XXXIII. HS'PERTIiICiI0Sl, faciale chez les femmes aliénées ; ' ' par Harris Liston. Les photogr
les femmes aliénées ; ' ' par Harris Liston. Les photographies de femmes barbues chez laquelle la produc- tion pileuse a
Soc. de mccl. ment, debelgiqzie, juin 1894.) @ Observation d'une femme atteinte de paralysie générale qui, au cours d'
n anatomo- pathologique sur les centres cérébraux d'Hitzig chez une femme amputée dès l'enfance. En octobre 1886, le Co
, celle-ci par exemple survenant si souvent ou s'aggravant chez les femmes auprès des- quelles on laisse arriver leurs enf
dont médecins et public n'ont qu'à se louer; il peut arriver qu'une femme mariée essaie de'se rapprocher de son mari alié
romes de folie transitoire intense qui se produisent chez certaines femmes à l'époque de la menstruation et qui n'ont lieu
nge (Londres). a A signaler aussi une étude autbropologique sur les femmes py- romanes (Buben, Laszlo, de Maria-Nostra) et
services généraux médians et divisions symétriques d'hommes et de femmes au nombre de 4 à 500 environ pour chaque. Des cou
ns ne paraissent pas man- quer ; les pianos sont assez nombreux aux femmes , et le théâtre fonctionne quelquefois. « Tous
aux troubles de la sensibilité générale s'allient, surtout chez les femmes , des hallucinations génitales. DÉLIRES SYSTÉMAT
DÉLIRES SYSTÉMATISÉS DANS LES PSYCHOSES. 441 1 Observation I. M... femme R..., quarante-trois ans, sans alztécé- dents h
déménagements; tentative de suicide, menaces de mort. M... (Marie), femme R..., quarante-trois ans, est née de parents qu
Point-du-Jour, elle ne tarde pas à entendre des voix d'hommes et de femmes qui disent : « Vache, salope, putain. » Dans la
lasse, crai- gnant d'être renvoyée comme une «voleuse », comme une femme de moeurs légères », car on dit à son mari « ma
plus. Un jour, au mois d'octobre, elle se plaint qu'une voisine, la femme d'un pilote, l'insulte en secouant des tapis à
à la recher- de l'or, et disparut. Sa mère, au contraire, était une femme de sens et de caractère; elle ne fut pas abattu
t tuberculeux, et meurt au bout de trois ans. Il avait donné à sa femme trois enfants qui moururent eux-mêmes en bas âge
et elle demeure pendant six ans au service de la Belle- Jardinière. Femme d'ordre et d'humeur égale, elle vit heureuse et
. chuchoter sur son passage, « rigoler, se moquer ». Un jour, une femme entre dans sa boutique, et lui demande l'adresse
lités coexistent en lui-même. Une malade est persuadée qu'une autre femme habite en elle, et se substitue à DÉLIRES SYSTÉ
orale, en le tem- poralisant, et que tous les points de ce corps de femme sont exactement superposés à son corps d'homme,
occasion de questions indifférentes. Ceci s'observe surtout chez la femme . Eh bien ! en tous ces cas on n'a pas plus affa
G BIBLIOGRAPHIE. Tous les deux se rencontrent plus souvent chez la femme . Dans le goitre exophtalmique comme dans le goi
Roubinovitch. VIII. Élude clinique de la mélancolie sénile chez la femme ; par E. TOULOUSE. Paris, Jouve, 1891. Les vie
par E. TOULOUSE. Paris, Jouve, 1891. Les vieillards et surtout les femmes sont sujets à une forme spé- ciale de mélancoli
quante avec quatre gardiens. Trois sont réservés aux hommes, un aux femmes , Les pavillons sont librement installés dans la
us facile au point de vue des portes ouvertes. Dans le pavillon des femmes , il n'en est actuellement que quatorze sur quar
rmes d'Altscherbitz) renfermaient 872 aliénés hommes et 686 aliénés femmes . Or, le 1 février 1894, on y constate 844 homme
énés femmes. Or, le 1 février 1894, on y constate 844 hommes et 725 femmes . Par conséquent en près de deux ans, l'accroiss
;ins'ces deux asiles (asile d'infirmes compris) 1152 hommes" et 871 femmes , et que l'on n'aura guère plus d'aliénés à y ad
ions anciennes à fenêtres et portes défectueuses sont réservées aux femmes . Absence d'eau. Un seul puits à 350 mètres de d
traitement chez les syphilitiques, par Plato- now, 128 ; chez la femme , par Idanow, 134; à forme tabétl- que, par Jo
Blocq, 209; à symptômes bulbaires, par Cllvos- teck, 213; chez la femme , par Aloebius, 213; traitement électri- que d
31 (1867) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Suppléments
HOMME et DE MEDECINE OPERATOIRE. DES FISTULES URINAIRES CHEZ LA FEMME . L'histoire des fistules urinaires chez la femm
URINAIRES CHEZ LA FEMME. L'histoire des fistules urinaires chez la femme , à peine ébau-chée il y a vingt ans, est aujourd'
nature, on a employé avec utilité le décubitus dans la position où la femme pouvait le mieux conserver son urine, les injecti
des cas, sont l'unique moyen de guérison des fistules urinaires de la femme . Pour bien comprendre ces opérations, il faut se
ée deux fois par jour. Enfin on place entre les cuisses un urinoir de femme , dont le col est rempli par une éponge, afin que
par les flls de la suture. M. Sims cependant prétend avoir opéré des femmes enceintes avec succès. 8" Cjstocèle vaginale. H
tion du col paraissaient aussi complètes que possible; cependant la femme devint enceinte quatre mois après ; on crut à une
. 277, 1863. Monteros, du Traitement des fistules urinaires chez la femme ., thèses de Paris, 1864. Hergott, Études histor
apitre intitidé : De Cexcès de sensibilité des organes génitaux de la femme ., Clinique chir..^ tome II, a aussi employé la di
recours à plusieurs opérations, qu'il ne faut pas pratiquer chez les femmes encore en Age d'avoir des enfants dans la crainte
t de la cystocèle vaginales, soit encore \épisioraplde de Frike si la femme ne doit plus avoir d'enfants. Dans le cas où un
aire pour la gravité des cas du quatiième groupe. Ceux-là font à la femme une bien triste situation. La plaie, quand elle e
oaque ne peut rien retenir, pas même les produits solides ; la pauvre femme est continuelle-ment souillée. Là ne se bornent p
e périnée se dé-chire. Les causes déterminantes peuvent venir de la femme , de l'enfant ou même de l'accoucheur. Ainsi la fr
e contractions utérines violentes et rapprochées; soit en laissant la femme prendre des positions qui ne permet-tent pas de s
i-nale, dans la présentation du siège ; on modérera les efforts de la femme ; on tâchera de reconnaître l'hydrocéphalie, et o
t, les escharres, s'il y en a, auront eu le temps de se déta-cher, la femme aura pu se remettre des fatigues de l'accou-cheme
nte années de pratique chirurgicale, t, I, p. 464- « Sur ces dix-huit femmes , j'ai fait la périnéoraphie vingt fois, parce que
e que j'ai dù la répéter sur deux d'entre elles_, chacune de ces deux femmes l'ayant subie une première fois sans succès. Sur
rinée proprement dit, ou de refaire le pont charnu qui sépare chez la femme la vulve de l'anus. Ce pont n'avait pas été dé-tr
u à déplorer aucun accident fâcheux, a Sur deux des dix-sept autres femmes , des abcès, des ulcé* rations, des fistules, s'ét
ison recto-vaginale; la vulve et l'anus étaient confondus. Ces deux femmes , qui forment une catégorie distincte, quant à l'o
e ; aucune des autres n'a couru le moindre danger. Parmi les quatorze femmes de cette dernière catégorie, il en est dix qui on
que la quantité de hquide que peut contenir la ca-vité utérine d'une femme nullipare; cette quantité était très-faible; il l
très-remarquable obtenue par le professeur Breslau de Munich, sur une femme atteinte d'hémorrhagie uté-rine depuis sept mois,
eurs, d'hémorrhagie et d'inflamma-tion. 11 affirme que la plupart des femmes auxquelles il a ainsi placé d'emblée un pessaire
rester dans la cavité utérine? Il n'y arien de fixe à cet égard; les femmes qui ne sont pas réglées peuvent supporter l'instr
les graves accidents auxquels ils peuvent donner heu. Une sonde de femme ou un stylet de trousse à olive, des bou-gies en
a une grande courbure et ne peut être sûrement manœuvrée que chez les femmes atteintes d'anteflexion, de rétroflexion ou de
es de long et d'un diamètre qui varie suivant le cas : ainsi chez les femmes qui ont eu des enfants, on peut généralement intr
loyer la sonde il faut s'assurer par tous les moyens possibles que la femme n'est pas enceinte ; il est bon, sous ce rapport,
explorer ou traiter. S'agit-il de découvrir la cavité du col chez une femme qui a eu des enfants et dont le col est mou et dé
n emploie le spéculum univalve de M. Sims, on le place pendant que la femme est couchée sur le côté gauche ; mais dès qu'on a
der ce repos plusieurs jours après l'extraction de l'éponge. Chez les femmes âgées il y a parfois une particularité qu'il est
les de la vulve (voyez Puech : De l'atrésie des voies génitales de la femme , in Paris 1864), sont plus sou-vent congénitales
éno-pause. Dans la majorité des cas, l'occlusion de l'utérus chez une femme dont l'ovulation a lieu détermine la mort, soit p
nous le dirons en traitant de la dysménorrhée mécanique. L'âge de la femme doit être pris ici en grande considération, car s
, il faut se rappe-ler que l'atrésie n'est pas rare chez les vieilles femmes , et qu'elle paraît due chez elles à l'atrophie sé
écrétions de la muqueuse utérine ; le docteur Shank a opéré ainsi une femme à trois reprises et il a fini par la guérir en in
es. (Consultez Bernutz, 11 Clinique médicale sur les maladies des femmes ^ t. 1, et Puech, loc. cit.) L!occlusion de ruté
me le prouvent les faits cités par Churchill {Traité des maladies des femmes ) ; mais la malade abandonnée aux ressources de la
e, un accouchement dans ces condi-tions peut déterminer la mort de la femme avant la sortie de l'enfant (3 fois sur 42, Matte
end l'accouchement im-possible, on peut le détruire avec une sonde de femme ou avec l'ongle, ou avec une sonde cannelée dont
rts énergiques ont montré leur impuissance. Si, après l'opération, la femme est épuisée au point de n'avoir plus de contracti
tez pour ces occlusions : Churchill, Traité pratique des maladies des femmes , — Ashwhell and Trask. American Journal of médica
1848. — Mattei. De l'oblitération complète du col de l'utérus chez la femme enceinte. Mémoires de l'Acad, de méd. de Paris. 1
r, pour le volume et la forme, de l'état normal. Lorsqu'on entend une femme ra-conter qu'elle souffre depuis longtemps à chaq
les trompes et les ovaires, une pelvi-péritonite circonscrite. Si la femme qui a éprouvé ces accidents se marie, son état s'
ut admettre qu'avec réserve les récits de fausse couche faits par les femmes atteintes de cette anomalie ; sou-vent un examen
s où il y a complication de flexion. Voici le premier : « Je place la femme sur le côté gauche; le spéculum américain étant i
a congestion intense et l'inflam-mation qui existent surtout chez les femmes mariées dont le col est conique. On a vu la membr
ssi. Ces avantages ont engagé plusieurs chirurgiens à opérer même des femmes non mariées. Quant à la stérilité, on a obtenu be
aissement préalable. Voici comment on procède dans les deux cas. La femme est placée sur le bord d'un lit comme dans l'opé-
até et se présente sous forme d'une fente transversale, même quand la femme n'a pas eu d'enfants. En général aussi, l'hypertr
étroit pertuis ; il peut être entièrement oblitéré chez les vieilles femmes , et dans ce cas la cavité utérine est distendue p
assin est facile, la tumeur semble reprendre d'elle-même sa place; la femme est soulagée et le déplacement peut être prévenu
érieure du vagin était seule renversée, et que dans les efforts de la femme la tumeur ne dépassait la vulve que de 4 à 5 cen-
n conclutquec'estsurtoutauxépoquesmenstruellesqu'il faut examiner les femmes pour découvrir les polypes intra-utérins, ce que
corps fibreux péri-utérins apportent dans les organes génitaux de la femme . Quand le corps fibreux est peu volumineux et r
ne de caoutchouc contre l'utérus ; le robinet est alors ouvert. Si la femme a un utérus mobile, on peut voir l'eau du spéculu
cidents auxquels elle donne lieu menacent directement la vie. Plus la femme qui présente ces graves accidents est jeune, plus
er même heu à la métrite, et faire courir de véritables dangers à une femme enceinte. Toutefois ce résultat s'observe rarem
s si pressants qu'il n'y a plus d'autre ressource, pour soustraire la femme à une moit imminente, que la provocation de l'avo
e des hôpitaux, 1854. Huguier. Tumeurs fibreuses peh iennes chez la femme . Union médicale 1860. Tanner. Tumeurs fibreuses
ayons ce qui suit. Prenant un utérus avec ses annexes provenant d'une femme qui n'avait pas eu d'enfants, je le divisai verti
Tyler Smith eut bientôt l'occasion d'essayer son instrument sur une femme de vingt ans qui n'avait pas eu d'enfant; la fa-c
rectum ; on cherche à le pousser à droite ou à gauche, on explore la| femme debout et en constatant la sonorité tympanique en
de la vie après la première ponction a été d'environ 19 mois. Sur 3i femmes le docteur W^est en a perdu 2 à la première ponct
doptées par tout le monde; Velpeau, par exemple, assurait que sur 3io femmes opérées par lui, le plus grand nombre avait survé
considérer comme au-dessus des ressources de l'art. Ainsi, on vu des femmes minées depuis longtemps par la fièvre hec-tique,
érente, peut rendre de véritables services. En voici un exemple : Une femme atteinte d'un kyste multiloculaire de l'ovaire dr
ce qui permet : i°de vider la tumeur lentement, de telle sorte que la femme n'éprouve pas les accidents qui accompagnent par-
s instincts génésiques et con-server l'apparence de la jeunesse ; les femmes ainsi châtrées par les rois de Lydie remplaçaient
e Xanthus laisseraient incrédules sur la réalité de la castration des femmes , nous ferions observer que les coutumes barbares
pas encore disparu de l'Orient, car le docteur Roberts a retrouvé des femmes châtrées dans les provinces intérieures de Plnde
tion des ovaires, pratiquée par des châtreurs de profession, sur leur femme ou sur leur fille dans un accès de colère ou de j
courir les risques sont beaucoup plus fortes encore s'il s'agit d'une femme jeune, bien portante qui pourra, si elle guérit,
eloppement souvent très-rapide des kystes de l'ovaire chez les jeunes femmes , et de leur marche au contraire souvent très-lent
es femmes, et de leur marche au contraire souvent très-lente chez les femmes âgées ; il y a donc lieu de prendre une décision
croit aussi, mais sans c[ue le fait soit parfaitement établi, que les femmes dont les parois abdominales sont très-épaisses pr
et que les kystes qui font saillie entre les muscles droits quand la femme est assise, ou qui s'abaissent de 5 à 6 centimètr
otomie comme pour toutes les opérations graves qu'on pratique sur les femmes , le moment le plus opportun est celui qui suit la
s fondées, au moins dans beaucoup de cas ; ainsi M. Wells compte neuf femmes opé-rées de la sorte et qui ont pu mener à bonne
; le troisième jour, la périto-nite primitive ; le sixième jour, les femmes âgées présentent la prostration qui suit la périt
mes âgées présentent la prostration qui suit la péritonite ; chez les femmes jeunes cette prostration n'arrive qu'au neuvième
ien acquis que l'ovariotomie a soustrait à la mort un grand nombre de femmes qui y étaient vouées dans un temps très-court, et
ts. Dans la première cen-taine d'opérées de M. Wells, nous trouvons 0 femmes qui ont eu des accouchements naturels. Sur 76 qui
mort, on trouve une opération inachevée, une opération faite sur une femme qui avait déjà subi l'ovariotomie avec succès, de
Société royale de médecine, 1782, t. V, p. 492. Chambon. Maladies des femmes . Paris 1798, chapitre xxxix. D'Esclier. Thèse de
Thèse de Paris, \ 864. Churchill. Traité pratique des maladies des femmes . Édition française. Paris, 1866. Robert Lee. Mé
ssement de la muqueuse du vagin. e. Doigts d'un aide. f. Sonde de femme traversant l'urèthre, la vessie et la fistule, gg
nts à la Médecine opératoire. PL. I. FISTULES URINAIRES CHEZ LA FEMME PROCÉDÉ ALLEMAND (M. SIMON). Figure i. Positi
(deux tiers de la grandeur naturelle). FISTULES URINAIRES CHEZ LA FEMME . Figure i. opération de la fistule vésico-utéyo
ts à la Médecine opératoire. PL.III. FISTULES URINAIRES CHEZ LA FEMME (PROCÉDÉ DE M. MARION SIMS. — NOUVEL INSTRUMENT
ts à la Médecine opératoire. PL. IV. FISTULES URINAIRES CHEZ LA FEMME . Figure i. Position de l'opérée dans le procédé
nt les exemples des principales espèces de fistules urinaires chez la femme . Suppléments à la Médecine opératoire. PL. V.
résentent encore un rétrécissement de l'orifice externe, bien que les femmes sur lesquelles on en a pris le dessin, aient acco
31. Pince pour l'extraction des corps étrangers de la vessie chez la femme ; les extrémités sont creusées en gouttières ; lo
32 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
lte, mais « cela va bien mieux qu'au commencement» dit elle-même la femme à qui elle a été conliée. Gabrielle... 13 ans.
compris. Pour ces deux derniers, la dualité ne persiste pas dans la femme ; mais on la constate néanmoins dans les cas an
les à l'origine il faut joindre les bourrelets génitaux qui chez la femme donneront naissance aux grandes lèvres et aux b
et annexe véritable du tube diges- tif, médian d'ailleuis. Chez la femme , il est tout entier formé aux dépens du sinus u
avers les membres de sa famille. Il ' est riche, il a la plus jolie femme du monde, et fait un éloge exa- géré des person
rois cas de paralysie générale avec état variable des réflexes : 1° Femme de 50 ans; douleurs fulgurantes. Pendant 10 mois
coup plus accusée à gauche dans la moelle lombaire supérieure. 2° Femme de 35 ans ; signe de Romberg ; les phénomènes du
h (Neurol. Centralbl, XXV, f. 13, p. 594 à 605, 1r juillet 1906.) Femme de 30 ans ; en 1903, attaques d'épilepsie jackson
nvolution, qui dé- bute vers la cinquantaine, de préférence chez la femme ,et qui se caractérise par des idées délirantes
sont susceptibles d'être traités par l'hypnose et la suggestion. La femme stérile, trop souvent abandonnée par les médeci
noblesse et de l'université, ainsi que parmi les jeu- nes et jolies femmes de la haute société.. Les adeptes de cette sect
ies spéciales. LES aliénés EN LIBERTÉ. La folie.- Cette nuit, une femme àgéc se présentait au poste de police de la rue
seau, (i, rue Thérèse. A ces différentes adresses, la malheu- reuse femme était inconnue. Elle a été conduite à l'infirmeri
En 1904, l31autc donne la relation d'un meurtre accompli par une femme sur son amant pendant une crise de somnambu- li
lle devint rapidement, au moral, ce qu'on est convenu d'appeler une femme incomprise. Dans les sept premières années de s
ions qu'elle est amenée à l'Asile. Un se trouve en présence d'une femme amaigrie, au teint jau- nâtre, à l'air épuisé e
continue en délirant de la façon suivan- te : " C'est pourquoi des femmes comme moi ont assez existé ; «si j'axais seulem
mot la conscience claire de ce qu'elle est en réalité, une honnête femme au fond, épouse du fils de ces gens qu'elle haï
% des cas et peut-être dans tous. Elle est plus fréquente chez la femme . Elle se développe dans les deux tiers des cas av
ouplées thyrohypophysoova- rienne. - Le nervosisme sexuel chez la femme , tout en mettant en relief une notion étiologiq
naturelles humaines, d'où la fréquence de la psychonévrose chez la femme . L'hystérie est avant tout une maladie d'évolut
20 %). 2° La paralysie générale est très rarement observée chez la femme en Grèce, car parmi les 380 paralytiques géné-
r parmi les 380 paralytiques géné- raux, 19 9 seulement étaient des femmes ; 3° La paralysie gé- nérale est dans 75 % des
oolique est très rare en Grèce, 4,11 % ; elle compte 83 cas, dont 3 femmes seulement, sur un total de 2.000 alié- nés ; 2°
iques ; 3° La folie alcoolique est très rarement rencontrée chez la femme en Grèce ; 4° La proportion de la folie alcooli
phie relrac- tile, à peu près diffuse, qui donnait à la malade, une femme de quatre-vingts ans, l'attitude d'une momie pé
il fut pris d'une crise de folie furieuse et, se précipitant sur sa femme , se disposa à l'étrangler. Aux cris d'effroi po
Oise). BOIT4UX. - Rapport médical sur le service de la division des femmes de Clermont, pour l'année 1906. ClcrntonL-tlo-l
lobule paraoentral dont beaucoup étaient neuronophagées. Or cette femme mourut phtisique ; les lésions cellulaires sont
isées de dU verses natures. l\1.1BERNARD LEROV. - Il s'agit d'une femme de 49 ans, venue me trouver spontanément pour q
e la moelle, puis par la marche de l'affection. Il s'agissait d'une femme de 51 ans dont le début de l'affection remontai
DOURNEVIJ.LE, IV. Rapport médical sur le service de la division des femmes de l'Asile de Clennont (Oise), pour 190G ; par
D' Boiteux, Médecin en chef. Population au 1er janvier 1906, 819 femmes . Admissions pen- dant l'année 211l, dontS alcoo
DE la folie. Il y a quelques semaines. Crouv, près de Soissons, une femme Lefour, condamnée à quarante jours de prison, s
sprit divin. Bientôt la frénésie gagne toute l'assemblée. Hommes et femmes se jettent sur le sol en battant des mains et e
nchettes et les dépose sur l'estrade, en signe de renonciation. Lps femmes enlèvent leurs chapeaux pour don- ppr libre pou
hier soir, dans son logis, il en profita pour se pendre. Lorque sa femme rentra quel- ques instants plus tard, le désesp
es deux complices auraient fait interner comme folle la malheureuse femme . Il parait que Mme Il..., femme du magistrat, a
interner comme folle la malheureuse femme. Il parait que Mme Il..., femme du magistrat, ayant appris ce qui s'était passé,
ir'on le vit dans les rues mettant en joue plusieurs personnes, des femmes , des enfants. liue du Gué,deux jeunes gens, Romai
, OBs. I. Un cas d'hypoesthésie sexuelle avec fétichisme chez une femme . Le fétichisme « du dégoûtant ». Mme., âgée de
i quand elle remar- quait qu'il avait des attentions pour une autre femme ; mais les Archives, 3° série, 1907, t. II. 17
I. 17 258 CLINIQUE MENTALE. rapports sexuels de son mari avec une femme ne lui causaient aucune jalousie. Son mari ne l
imé. Mme X. n'a jamais senti de tendances sexuelles à l'égard des femmes : il est tout à fait inadmissible et bizarre pour
il est tout à fait inadmissible et bizarre pour elle d'ai- mer une femme de la même manière, qu'elle aime son mari. L'as
une femme de la même manière, qu'elle aime son mari. L'aspect des « femmes dégoûtantes » ne l'excite pas non plus. Parmi l
OBs. Il. Un cas d'hyperesthésie sexuelle avec fétichisme chez une femme . La coquetterie pathologique fétichiste. Mme .1
« normal » qui s'observe assez souvent et qui consiste en ce qu'une femme très coquette, étant gouvernée par des considér
quetterie pathologique fétichiste s'observe assez souvent chez les femmes dégénérées, mais ordinairement la co- quetterie
re, avaient forcé la porte et avaient ligoté le pro priétaire et sa femme ; «le monsieur et la dame ligotés» pen- dant lo
lui avait été indifférent, mais à ['tige de 14 ans c'é- taient les femmes garottées qui excitaient le malade beaucoup plus
arité qui n'existait pas auparavant, c'est-à-dire de la passion des femmes riches, élégan- tes et surtout des femmes chaus
-à-dire de la passion des femmes riches, élégan- tes et surtout des femmes chaussées de bottines vernies ; la beauté des f
et surtout des femmes chaussées de bottines vernies ; la beauté des femmes et la beauté de leurs pieds ne l'intéressaient pa
ès peu... A l'âge de 15 ans, le malade a fait la connaissance d'une femme ayant dix ans de plus que lui, qui n'était pas
lade, « j'ai ligoté pour la première fois de ma vie les mains d'une femme , j'ai éprouvé une violente commotion psychique,
ur ». Le malade ne voulant pourtant pas confier son mystère à cette femme , tâchait de tourner tout en plaisanterie. Le le
ieuse. Pendant qu'il se rendait à son second rendez-vous avec cette femme le malade a résolu fermement de ligoter, coûte
mement de ligoter, coûte que coûte, pour cette fois les pieds de la femme . CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES PERVERSIONS SEXUELL
de bottines de cette dame, les a ligotés au moyen d'une corde ; la femme n'opposait pas de résistance. Alors le malade a
où Z. tenait sur ses genoux les pieds tout à fait im- mobiles de la femme , dont les bottines touchaient légérement ses pa
ar- ties génitales. La représentation des parties sexuelles de la femme en géné- 270 CLINIQUE MENTALE. rai produit ch
no- mie, quand il parlait sur ce sujet. Pareillement la vue d'une femme demi-nue ou même nue ne l'excite pas du tout et p
avec sa compagne et pense à ce que doivent sentir les hommes et les femmes au cours des manoeuvres, ana- logues à celles p
TRIBUTION A L'ÉTUDE DES PERVERSIONS SEXUELLES 271 les hommes et les femmes garrottés. Une fois, il a eu une pollu- tion pe
l'ap- proche de l'époque de la puberté, la vue de la nudité d'une femme , les images et les récits y afférant produi- se
de ces sentiments s'est éclairci pour lui. Enûn, il a rencontré une femme , avec laquelle il a trouvé la sa- tisfaction co
usion est confirmée parle fait que les particularités sexuelles des femmes , l'acte du coït, enfin tout ce qui concerne la
ches, élé- gantes, par « les comtesses », mais cette catégorie de femmes l'intéressait plus que les autres, à proprement
soi, de la faire marcher, les pieds ligotés. Faire descendre une femme de sa haute position sociale à l'état d'un détenu
ait le malade dans ce cas et non les attraits d'une comtesse, comme femme . Nous avons comparé plus haut l'état psychique
es anomalies sexuelles. Il s'a- git de ce que l'acte d'humilier une femme ,de la priver de sa liberté et de la ligoter se
S 274 CLINIQUE MENTALE. l'acte d'accouplement d'un homme avec une femme . Ainsi toutes les représentations-très nombreus
étails devant lui, on lui donne des images où sont représentées les femmes garrottées (c'est-à-dire des scènes qui sont po
en un fétichiste assez banal du pied et surtout des botti- nes de femme . Au premier aspect le fétichisme, des botti- ne
chez Z. se caractérise par les tendances sadistiques : humilier la femme , la ligoter, la garrotter, la priver de sa libe
e et, par conséquent, le si- gne de la haute position sociale d'une femme . En effet, s'il s'agit de la domination sur une
sociale d'une femme. En effet, s'il s'agit de la domination sur une femme , la domination plus complète (le ligotement des
plus complète (le ligotement des pieds), et la domination sur une femme plus haut placée (les pieds élégamment chaussés
entiment sexuel avec des représentations du ligotement des pieds de femme et surtout des pieds élégamment chaussés. Dans
entionnées devaient se former avec la représentation des pieds de femme chaussés. Les associations psychiques d'un cara
actère précis étant formées, le contact occasionnel des bottines de femme avec les parties génitales du malade (sans aucu
ère fois de sa vie ses tendances sadistiques très intenses avec une femme .On voit bien que c'étaient les circonstances ex
on du sens génésique avec la représentation du contact des pieds de femme chaussés et des bottines mêmes. Les nouvelles a
ais il ne lui est venu l'idée de prendre chez soi les bottines de femme et «d'en jouir» comme le font ordinairement les
son excitation et qu'il rêvât toujours au ligotement des pieds des femmes chaussés de bottines vernies. En résumant tou
M. Félix RcGNAULT. Un alcoolique refuse de se laisser traiter. Sa femme supplie son médecin de lui donner un produit qui
son insu. Après avoir refusé, le médecin se décide à donner à cette femme un produit quelconque, inoffensif et inactif en
306 SOCIÉTÉS SAVANTES. lique cesse de boire pendant un mois. Cette femme soutient qu'elle n'a nullement averti son mari
d'un fait de sug- gestion mentale ? Il ne le semble pas : car cette femme est som- nambule ; elle parle* la nuit, et selo
s travaux d'agrandissement touchent à leur fin dans la division des femmes et où ils vont commencer dans la division des h
.Leur exécution doit être complète en cinq ans dans la division des femmes , c'est-à-dire en 1908, et ensuite en quatre ans
n des hommes et le service de la division des 316 CORRESPONDANCE. femmes . Le médecin en chef exercerait dans la division d
ymptômes de dérangement cérébral. La nuit dernière, il demanda à sa femme d'aller lui chercher un ha- reng.Lorsque sa fem
vez mourir. Puis il s'empara d'un énorme couteau, et se jeta sur sa femme . Un corps à corps s'engagea, tandis que les enf
uvre. I. - A l'Infirm erie spéciale du Dépôt, le 14 sept. 1906 un femme de 43 ans, débile, persécutée mélancolique et rét
n, lui ayant défendu sans succès de fréquenter telle ou telle autre femme de la maison, et lui ayant dit, par jalousie, q
t, et se créait de petits bénéfices en tirant les cartes aux autres femmes , sans places comme elle. L'histoire de sa jon
tranquille ( ? ) Depuis, elle ne l'a jamais été. , Bientôt les deux femmes sont certaines que leurs espions for- ment une
me », l'argent manque, aussi la per- sécution redouble, et les deux femmes doivent se quitter ; la maî- tresse assure que
aîtresse (elle n'y fera allusion que plus tard). Séparées, les deux femmes se rendent visite de temps à autre ; le plus so
lus les églises. En mars 1904, elle trouye un emploi chez une jeune femme , qui reçoit z28 CLINIQUE MENTALE des messieur
"'0 Granet, qui a déménagé encore, aperçoit dans un restaurant deux femmes suspectes ; l'une est la mère.l'au- tre est la
t des signes.De même les bedeaux, les quêteurs et les dévotes ; des femmes déguisées en re- ligieuses simulent la truie ou
ovince, elle rencontre Nelly Dor, qui disparaît, et une autre jeune femme effarée qui reste pour lui demander pardon.Ce son
; elle a exercé les diverses professions de bonne à tout faire, de femme de journée, de cuisinière ; elle a même dirigé
uite de bris de carreaux dans un bureau de pla- cement. C'est une femme assez grande, bien constituée, en bon état de s
rve en passant que le brasseur la place presque toujours chez des femmes de cette sorte. Un jour, dans cette maison, on té
e. La même année 1906, placée chez deux vieillards, l'homme et la femme , rue de la L.,n° 8, elle exécute là quelques trav
mme était retroussé jusqu'au dessus des genoux. N'était-ce pas à sa femme à le laver ? S'ils ne le pouvaient ni l'un ni l'a
omme pour ce travail ; mais ils ne devaient pas demander cela à une femme comme elle. Elle n'est qu'une bonne, mais elle
ent à elle, mais plus tard elle a bien compris. Cela est venu de la femme de chambre ; elle a dit en effet d'un air enten
u'elle regardait parfois chez ses amis les V ? il y avait aussi des femmes nues. Les malades émiettent du pain, pour les o
ni- ficatifs. Elle serait peut-être partie sans rien dire, si cette femme n'avait pas continué ces gestes avec une exagér
r. C'est ainsi qu'elle dira que le brasseur,qui la connaît pour une femme travailleuse et honnête, lui trouvera enfin la
Nervenh. u. Psychi., XXIX, f. 218, p. 600 et 601, 1er août 1906.) Femme ; épilepsie génuine sans convulsions jacksoniennes
cal, 10 avril, 1907.) Une ponction lombaire pratiquée sur une jeune femme de 21 ans atteinte d'otite moyenne suppurée per
, 1906, n° 9). L'auteur relate les observations de deux sujets, une femme de 26 ans et un homme de 28 ans, qui ont été at
ull. méd" n° 96, 1906.) Très intéressante observation d'une vieille femme de 75 ans qui mourut subitement pendant une cri
pleurétiques, chez les rhumatisants, dans les amygdalites chez les femmes atteintes de pelvi-péritonite et de salpingite. C
gauche. Accès d'angoisse ; état cachectique. Pas d'hystérie. II. Femme : 29 ans, début par vertiges, céphalée et trouble
; troubles de la pigmentation de la face. Pas d'hys- térie. III. Femme 20 ans, guérie de chlorose. Début par pareslhésie
e transitoire de l'abducens à gauche. Aucun signe d'hystérie. IV. Femme 37 ans : début par oedème du dos des mains avec
eure du sterno-mastoidien droit. Rien au coeur. Pas d'hystérie V. Femme 55 ans : début par sensation permanente de froid
lucinatoire, comme c'est la règle dans les psychoses toxi- ques. La femme qui fait l'objet de l'observation ne mangeait de
avec Satan et lui écri- vaient des lettres enflammées. En 1485, 41 femmes furent brû- lées en Allemagne, pour démonolatri
se déroulera Varennes-sur-Allier. Depuis quelque temps, Mme Vichy, femme du propriétaire du café du Champ -de-Mars, don-
. 11 sauta précipi- tamment à bas de son lit, mais, à ce moment, sa femme qui était demeurée dans sa chambre, tira trois
atteindre. Sans perdre son sang-troid, M. Vichy se précipite sur sa femme et réussit à lui enlever l'arme dont elle allai
'une sénilité précoce, sans aucune analogie avec l'involution de la femme ,... trouble affectif à début lent, mani- festé
rands bâtiments réunis, au superbe palais Crivelli, l'un pour les femmes , l'autre pour les hommes et une autre maison ch
re à droite. Le compartiment masculin a été séparé de celui des femmes en deux grands édifices : l'un regarde l'entrée
le dépendance des laboratoires anatomo-pathologiques. Du côté des femmes se trouvent le vestiaire et les salles de trava
e nombre des entrants hommes est d'un quart supé- rieur à celui des femmes . Les origines des entrants sont pour un peu plu
faudrait aussi que les fem- mes y fussent soujours soignées par des femmes , car elles se com- prendraient mieux entre elle
es excès alcooliques et leurs conséquences mentales tant chez les femmes que chez les hommes. Chez ces derniers, j'ai cons
tions alcooliques, causes exclusives de troubles cérébraux chez les femmes , situation au 1 cr janvier ¡vomi ; 2° Même tabl
ion alcoolique cause déterminante des troubles cérébraux chez les femmes ; ! l° Même tableau pour les hommes. Dans tous ce
fréquence des habitudes alcoo- tiques». Les cas de P. G. chez la femme tendent à se multiplier. Parmi les maladies int
egistré, en 1900, 17 cas, dont G chez les llom- mes et 1 1 chez les femmes . L'hydrothérapie et la balnéothérapie ont élé e
n-traitant : le di- recteur-médecin ; llaut-Barrieux et section des femmes , mé- decin traitant : le médecin adjoint. « G
rganiser méthodiquement une salle d'ali- tement dans la section des femmes que nous avons désenculÍ1- eu installant un dor
ringomyé- lie. Rapportmédical sur le service de la division des femmes de l'n51- le de Clermont, par Boiteux, p. 240
33 (1870) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 2è année
Le 10 novembre 1819, est entrée clans la salle Sainte-Geneviève une femme âgée de 19 ans. Comme antécédent, la malade nou
nre d'asphyxie. T. R.ÉMOND, Interne des hôpitaux. TÉRATOLOGIE FEMME TÉTRAMAZE ENDOLORISSEMEKT DES MAMELLES SURNUMÉR
on ; sa mère est morte à 39 ans et n'avait pas de difformité. Cette femme est atteinte de strabisme convergent de l'œil dro
mamelles. (Voy. planche III.) REVUE PHOTOGRAPHIQUE DES HOPITAUX FEMME TÉTRAMAZE Il y a environ un mois qu'elle ne sen
t une certaine égalité dans leurs dimensions. En résumé, chez cette femme qui porte quatre glandes mam¬maires : deux pector
supplémentaires indépendantes sont rares, on observe plus souvent des femmes qui portent des mamelons supplémentaires sans gla
anatomie signale un cas à peu près analogue, observé en 1844 chez une femme de 28 ans. " Ce mamelon présentait plusieurs pert
épres¬sion qui semblait le confluent des canaux galactophores ; cette femme me dit qu'elle avait eu un enfant, qu'elle l'avai
, M. Gallard citait à l'un des rédacteurs de ce journal le fait d'une femme tétramaze, chez laquelle les deux ma¬ melles su
econd. » Et, à l'appui de son assertion, le profes¬seur fait voir une femme , âgée de 105 ans, jouissant d'une santé excellent
an dernier, à l'hôpital Saint-Louis, dans le service de M. Hardy, une femme , âgée de 91 ans, dont la température vaginale éta
o¬nique est très-fréquent à la Salpêtrière (on le rencontre chez huit femmes sur cent)1. M. Charcot étudie d'abord la goutte
Hardy), est accouchée, à terme, le 50, d'un enfant anencéphale. Cette femme est assez forte et ne présente aucun vice de conf
ur à l'École pratique ; cette photographie, prise sur la rétine d'une femme ayant été assassinée le 14 juin 1868, représente
es ponts et chaussées. M. R..., à la suite d'un coït violent avec une femme aux sécrétions de laquelle il n'était point habit
nés par le tœnia ; expul¬sion par l'huile de croton, l'histoire d'une femme de 32 ans, se plaignant de douleurs abdominales,
nal l'Expérience (vol. VI, p. 47, 1840) on trouve l'observation d'une femme qui, pendant trois mois/fut paralysée des deux me
tal Saint-Louis, salle Saint-Jean, n° 54 (service de M. Hardy). Cette femme , blonde, à tempérament lympha¬tique, a eu dans so
xistaient-elles aupara¬ vant? Cela nous parait très-probable; cette femme est peu soi¬gneuse de sa personne et ne les aura
employé pour com¬battre le tœnia par M. Walter (d'Offenbach) chez une femme âgée de 30 ans, atteinte depuis plusieurs années
c, et étrangère, 1861, 15 janv.), la note de M. Rigaud concernant une femme , âgée de 34 ans, qui rendait de¬puis deux ans des
A l'époque où ont été faites les deux premières opérations chez celle femme , en 1836, la guérison d'une fistule vésico-vagina
ouchée à terme d'un enfant sain qui a vécu deux mois et demi. Cette femme jouissait de l'intégrité de la fonction visuelle
a. TÉRATOLOGIE VICE DE CONFORMATION DES ORGANES GÉNITAUX CHEZ UNE FEMME PAR M. F. VILLARD, INTERNE DES HOPITAUX. Nous
M. Gallard, à l'hôpital de la Pitié, les pièces recueillies chez une femme présen¬tant un vice de conformation des organes g
t. Observation. —Vice de conformation des organes génitaux chez une femme ; — absence de l'utérus et de la partie supérieure
ice de M. Gallard ; elle était atteinte d'une cirrhose du foie. Cette femme , de taille moyenne, était forte, vigoureuse, bien
odiquement tous les mois et annonçant un malaise hémorrhagique. Cette femme s'est mariée deux fois, la pré- 1 Les pièces on
même en rêve. Après quelques semaines de séjour à l'hôpital, cette femme suc¬comba aux progrès de son affection hépatique
même côté. En résume', dans cette observation, il s'agit bien d'une femme mal conformée, sans doute, mais possédant les org
prouve, du reste, le refoulement en arrière du méat urinaire. Cette femme n'a jamais été réglée, et elle a dit n'avoir jama
ue du moment où un individu porte les organes génitaux externes de la femme , il y a lieu de penser que cet individu est une f
externes de la femme, il y a lieu de penser que cet individu est une femme mal conformée et non un homme mal conformé, ou mê
) Dans le journal the Lancet de 1840, se trouve l'observation d'une femme de 22 ans, atteinte d'aménorrhée, mais qui chaque
ue de l'université de Bologne, se trouvent des organes génitaux d'une femme morte à 27 ans, qui n'avait jamais été réglée, ma
T 0 G R A P HIQ U E DES HOPITAUX ORGANES GÉNITAUX INTERNES D'UNE FEMME ( é t a t 11 u ii 1 m e s t a i r i. ) epista
avoir que lorsque un individu présente les attributs extérieurs de la femme , et alors qu'on ne trouve chez lui ni utérus ni v
appartient au sexe féminin et il convient de le considérer comme une femme mal conformée plutôt que comme un homme mal confo
............. 52 — 25 ans (hommes).................. T8 — 29 ans ( femmes ).................. 55 — Ià jeun............. 40
urs qui suivent l'accouchement, et pour recueillir l'obser¬vation des femmes qui ont présenté des accidents à la suite de leur
it. Les auteurs qui ont étudié la marche de la température chez les femmes en couches sont assez nombreux. Tout récemment da
janvier 1870. — La température n'a jamais dépassé 37°,7 chez cette femme . Le pouls, au contraire, a varié dans des limites
heures. Bien. P. 72 ; T. V. 37°,5. Exeat le 5 janvier 1870. — Cette femme nous offre plusieurs particularités : l°Les lochi
— Sécré¬tion laiteuse presque nulle. —0... Hortense, 24 ans, mariée, femme de ménage, est entrée le 24 décembre (salle Ferdi
ins de volume ordinaire, flas¬ques ; pas le moindre écoulement. Cette femme dit qu'elle n'a jamais eu de lait après ses autre
7. Exeat le 5 janvier 1870. — Un point curieux à relever chez cette femme , c'est l'absence presque totale de sécrétion lact
ici l'état dans lequel elle se trouve au moment de son entrée : celte femme est amaigrie ; elle présente une teinte particuli
Pouls à 74 ; température vaginale 37°,2. — Ail heures un quart, cette femme accouche d'un premier enfant mort-né (pré¬sentati
l'état actuel des malades. La première observation se rapporte à une femme que l'on peut voir encore à la Salpêtrière, et ch
et par accès, palpitations cardiaques. 11 y a, en un mot, chez celte femme , de véritables accès viscéraux. 1868, 27 et 28
us allons d'abord en résumer les points principaux. Il s'agit d'une femme âgée de 45 ans, ayant toujours joui d'une bonne s
de la Pitié, dans le service de M. Gallard. Il s'agissait d'une jeune femme , chez laquelle pendant la vie on avait constaté l
tée par M. Serraillier (Bullet. Sociét. anal., 1868). Il s'agit d'une femme , âgée de 64 ans, n'ayant jamais présenté aucun sy
e),se croyait enceinte depuis le commencement de l'année 1868 ; cette femme se laissa souvent éloigner de sa croyance, lorsqu
s d'août. Depuis cette époque, nous avons revu plusieurs fois cette femme , et il ne reste plus trace de la maladie dont nou
¬sibles de l'œil, » l'usage immodéré des liqueurs spiritueuses et des femmes , la poussière entraînée par l'air, " laquelle s'e
en un mois 2. Le 30 avril dernier, M. Bertrand fut consulté par une femme de 28 ans, maigre, de tempérament nerveux. Cette
nsulté par une femme de 28 ans, maigre, de tempérament nerveux. Cette femme avait été prise le matin d'une douleur dans l'art
de noire excellent collègue Deshayes, montrent que, chez beaucoup de femmes , il existe une fièvre de lait •' nul doute n'est
LXIll). M. Ch. Billet rapporte dans sa thèse 1 l'observation d'une femme , âgée de 19 ans, qui accoucha normalement le 25 d
°,8. — 25 mai. P. 64; T. 55°,9. -- Nul accident morbide, chez cette femme , ne peut rendre compte de la production de la fiè
re catégorique la réalité de cette fièvre. En effet, si chez quelques femmes , des phé¬nomènes plus ou moins vagues et d'ailleu
'élévation de la température et la fré¬quence du pouls, chez d'autres femmes , nous n'avons trouvé, pour rendre compte de ces p
ns sa leçon clinique, les enfants n'ont pas la coquetterie des jeunes femmes ou des fdles plus âgées qui mettraient tout en œu
réponses. " Son mari était obligé, depuis trois ans, de rendre à sa femme tous les soins exigés par une paralytique. Depuis
nation très-marquée, principalement lorsque fermant les yeux de cette femme , on lui recommande de porter l'un ou l'autre inde
s, le plus souvent couchés sur la terre, des hommes, des enfants, des femmes même, présentant la plupart le triste spectacle d
ée par M. Waren Tay, chirurgien assistant de l'hôpital de Londres.) Femme de 40 ans, entrée dans l'hôpital de M. Hutchinson
re 1869, au n° 28 de la salle Ferdinand (service, de M. Hardy). Cette femme , enceinte pour la quatrième fois, est au quatrièm
V. 37°,5. Exeatïe 3 janvier. Il ne parait pas y avoir eu chez cette femme de frisson initial. C'est là une particularité qu
après l'accouchement. Nous avons ob¬servé, il y a quelque temps, une femme qui, sortie d'un hôpital dix jours après ses couc
ux. Le premier phénomène morbide que nous devons relever chez cette femme , c'est le peu d'intensité du frisson. Ce caractèr
de 266 cas, la loi suivante : " La température la plus basse chez les femmes en couches se montre le matin jusqu'à neuf heures
ce de M. Marrotte, vient corroborer le précédent. Il s'agissait d'une femme , C...,Laure, âgée de 22 ans, qui entra six semain
ont¬méja, 106. Organes génitaux (Vice de conformation des) chez une femme , par F. Villard, 124 (voy. Eczéma). Ostéite, 29
a jambe, par A. de Montméja, 174. Sécrétion (De la) lactée chez une femme tétramaze, 16. Sueur, 98. Synovite chronique,
tologie, 16, 31, 97, 124, 221. Tétanos [voy. Chloral). Tétramaze ( Femme ), par E. Quinquaud 16. Thérapeutique, 184, 210
anche II. Langue et larynx d'une hydrophobe...... 14 Planche III. Femme tétramaze. . 17 Planche IV. Epithelioma de la v
pied............122 Planche XVIII. Organes génitaux internes d'une femme ..... 128 PHOTOGRAPHIES ■ Planche XIX. Défor
34 (1866) Traité complet de l'anatomie de l'homme comprenant l'anatomie chirurgicale et la médecine opératoire. Tome septième. Anatomie chirurgicale et médecine opératoire. Deuxième partie
ion populaire réveille cette opération, et, au rapport de Manget, une femme anglaise l'emploie avec succès. Dans le cours du
de; c'est pour un fait de ce genre que Jourdain l'a pratiquée sur une femme chez laquelle avaient échoué plusieurs tentatives
e de la carotide primitive. On cite un cas semblable survenu chez une femme que M. Champion, appelé pour la visiter, trouva m
jeune homme affecté de plaie, du larynx, et M. Clouet de Verdun, une femme ayant une fistule. Dans ces derniers temps, on a
uri. On a encore proposé comme lieu d'élection de pé-nétrer , chez la femme , par la partie postérieure et supérieure du vagi
ant l'hydropisie enkystée; 4" par une hy-drocèle congéniale. Chez les femmes enceintes, la préoccupation du chirurgien doit êt
en dehors par l'écartement des os des îles. Canal inguinal chez la femme . Il ne contient que le liga-ment rond de l'utérus
eaux fémoraux. On remarque que l'anneau crural est plus grand chez la femme que chez l'homme, sans doute à cause des dimensio
sur presque tous les points du pour-tour de l'anneau crural ; chez la femme , l'absence de l'artère tes-ticulaire fait que l'o
e, on introduira dans le bout supérieur du tube digestif une sonde de femme afin de permettre l'écoulement des matières, et s
e crurale n'est réellement embarrassant que chez l'homme, car chez la femme on peut toujours diriger le bistouri en haut à ca
directeur infidèle, et l'on est obligé d'y substituer deux sondes de femme , qu'on introduit, l'une dans le bout supérieur et
ec la main droite; on la fait glisser sur le doigt ou sur la sonde de femme dans l'un des bouts de l'intestin, le supérieur p
er-vation d'opération d'anus artificiel, par la méthode de Littre; la femme , Agée de 03 ans, vécut trois mois et demi; enfin
herand, Lagneau et M. Roux. En outre, on cite deux malades, une jeune femme et un homme dans la force de l'âge, tous deux for
elpeau a eu l'occasion de constaterla récidive de la maladie chez une femme cpii avait éprouvé une amélioration de ce mode de
a) et dont la chute de l'utérus et du vagin offre l'analogue chez la femme . Les méthodes opératoires en usage pour remédie
à une sonde d'argent de Callisen , un pessaire dans le vagin chez la femme , etc. Mais il est évident que les corps étrangers
ine, la vessie, et la prostate chez l'homme, et avec le vagin chez la femme . La paroi postérieure n'a aucun rapport important
inq à six centimètres de l'extrémité inférieure de l'intestin chez la femme , et à sept ou huit centimètres chez l'homme. La p
enne, pour qu'on n'ait pas à craindre de le blesser. Le vagin chez la femme est assez adhérent à l'intestin, surtout dans la
et au mois de juillet de la même année , il réussit encore chez deux femmes . De six autres malades opérés depuis cette époque
m servent à le tirer en sens op-posé et à guider le bistouri. Chez la femme un aide place un ou deux doigts dans le vagin, po
pes des glandes séminales chez l'homme, et des grandes lèvres chez la femme . Les anciens regardaient l'hydrocèle comme une ma
décrivaient sous le nom de kyste des grandes lèvres l'hydrocèle de la femme . On distingue plusieurs espèces d'hydrocèle : i
eures à celles-ci ont été mises en usage. Enfin l'hydrocèle chez la femme , qui ne doit ici nous inté-resser qu'au point de
pratiquée près du pubis, l'opéré est obligé de s'accroupir comme les femmes pour uriner. A. Paré a imaginé une canule de form
légèrement recourbé vers son extrémité, à-peu-près comme une sonde de femme , pour inciser ou scarifier les rétrécissemens sit
ux sexes, mais ils ont été observés beaucoup plus fréquemment chez la femme que chez l'homme. Chaussier et madame Lachapelle
te d'obstacles pour leur ex-pulsion au dehors, tandis que celui de la femme , très court, large et presque droit, leur oppose
ce moyen qui trouve une application avantageuse exclusivement chez la femme ; A. Cooper, qui, après lui, s'en est assez fréque
ssit parfaitement. M. Gensoul a pratiqué la même opération chez une femme . Les bords de la plaie, maintenus en contact par
a convexité et près de son extrémité, qu'avec l'autre main. Chez la femme , la fonction de la vessie est une opération qu'on
devant les faits contraires. Elle aurait été plus soutenable chez les femmes où , en raison du peu de longueur et de la dilata
ait de grands succès, c'était à coup sûr dans son application chez la femme . Ce fut aussi l'opinion qu'on s'en fit au début,
pensent que les occasions d'extraire une pierre de la vessie chez la femme étant rares, parce que des calculs d'un certain v
rinéale, la taille hypogastrique et la taille recto-vésicale. Chez la femme on par-vient au réservoir de l'urine par l'hypoga
uelques-uns l'urètre était complètement séparé de la vessie. Chez les femmes le vagin présenta constamment deux ouvertures en
on. Enfin, cette méthode est également applicable sur l'homme, sur la femme et sur les enfans. A la ri-gueur on pourrait fair
ans le rectum, ou dans le vagin, dans le cas où l'on agirait chez une femme . Cette exploration, quelque longue et quelque dif
ndance. Aussitôt que l'opération fut terminée, il prit une algalie de femme , l'entoura d'une bandelette de linge jusqu'à 27 m
OTOMIE CHEZ LA FEMME. La taille, de même que la lithotritie chez la femme , aurait dû être renvoyée aux opérations qui se pr
nt plus que les maladies et les opé-rations des organes sexuels de la femme n'ont plus rien de commun avec celles des organes
des organes de même dénomination chez l'homme. des calculs chez la femme . La femme n'est pas plus exempte que l'homme de
de même dénomination chez l'homme. des calculs chez la femme. La femme n'est pas plus exempte que l'homme de la forma-ti
les pubis. Outre l'hypogastre, on peut arriver à lâ vessie chez la femme par trois points différens, 10 le vestibule entre
le même que cet auteur a décrit pour les hommes. Il prescrit, chez la femme , d'introduire deux doigts dans le vagin pour amen
. méd., tome ier, page 447 )• Celse recommande donc d'inciser chez la femme , ainsi que l'a interprété M. Desruelles, sur le v
tement des os pubis, en ce point, est moins considérable que chez les femmes , il conseille de prolonger l'in-cision sur le côt
pporte qu'il a vu M. Bougon en enlever un de ce volume chez une jeune femme qui a guéri; et M. Castara de Lunéville lui a écr
dé de A. Dubois, dans laquelle il retira un calcul de la vessie d'une femme avec des pinces à pansement; cependant il arrive
eux observations du même genre. Dans la première, il s'agissait d'une femme qui portait dans la vessie une pierre dont l'un d
être senti avec le doigt introduit dans le vagin; dans la seconde, la femme , récemment accouchée, rendait son urine par le va
lla également cette opération après en avoir obtenu la guérison d'une femme qui portait un calcul pesant 5 onces et demie (17
rammes). Ruysch retira par le même moyen 42 calculs delà vessie d'une femme . En 1740, Gooch pratiqua l'opération pour un cas
iqués, l'un par M. Philippe de Beims, qui réussit à extraire chez une femme enceinte un calcul pesant 280 grammes (9 onces);
y dit que son procédé peut s'appliquer chez les filles comme chez les femmes ; il croit que par son moyen on pouvait éviter l'i
cloison vésico-vaginale sur la saillie qui en résultait. De ce que la femme qu'il avait opérée par ce procédé avait bien guér
ry: voici en quoi il consiste. Procédé ordinaire. La position de la femme est la même que pour les autres tailles ; M. Velp
est la même que pour les autres tailles ; M. Velpeau croit que si la femme était placée sur le ventre, les cuisses et les ja
morceaux , et de l'extraire par fragmens. L'opération terminée, la femme est reportée dans son lit, et traitée comme nous
Appréciation des méthodes usitées pour pratiquer la taille chez la femme . Des trois méthodes dont nous venons de parler, l
e l'opération; la taille hypogastrique, sans être aussi grave chez la femme que chez l'homme, à cause de la plus grande ample
ans la pratique civile. Cette série se composait de 37 hommes et de 9 femmes , compris entre 5 et 68 ans : tous ont été guéris.
idus il y en avait 3i2 du sexe masculin et 44 du sexe féminin. Des 44 femmes opérées, 7 seulement avaient de 3 à 15 ans et 11
enir. OPERATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES ORGANES GENITAUX DE LA FEMME . Les opérations sur les organes de la génératio
nous en parlerons aussi brièvement que possible. CATHÉTÉRISME DE LA FEMME . L'urètre chez la femme ne ressemble en rien à
ièvement que possible. CATHÉTÉRISME DE LA FEMME. L'urètre chez la femme ne ressemble en rien à cel ni de l'homme ; légère
e pubienne. Dans l'état ordinaire, chez les filles et chez les jeunes femmes , son orifice externe, ou le méat urinaire, est tr
n tubercule ou d'un bourrelet plus ou inoins saillant ; mais chez les femmes qui ont eu beaucoup d'en-fans, dans la vieillesse
le pouce entraînent fortement les nymphes en dehors. Les sondes de femmes n'ont guère que i4 à 16 centimètres (3 pouces) de
et à ramener en avant le méat urinaire. Sonder à couvert. Quelques femmes éprouvent beaucoup de peine de se laisser sonder
p de douleur et de diffi-culté; la malade elle-même, son mari, ou une femme quelconque, peuvent le faire en le leur montrant.
rottemens fré-quemment répétés dans l'acte de la copulation, chez les femmes récemment mariées : les contusions et les ulcérat
urviennent spontanément; Boyer en a observé un exemple chez une jeune femme enceinte à la suite d'une attaque d'épilepsie et
par suite du décollement des tissus qui résulterait des efforts de la femme et de la pression de la tête contre les parties e
res elle con-stitue presque l'état normal; on sait, en effet, que les femmes des Hottentots ont ces parties si développées , q
ion, les deux bords de la plaie par la suture, et de guérir ainsi les femmes opérées dans l'espace de 7 à 8 jours; mais ce pro
sement. Celle que M. Rapatel a enlevée pesait 8 kilogrammes ip, et la femme guérit (Journal des connais-sances médicales). M.
n sa présence une qui avait le volume de la tête d'un adulte, sur une femme de ao ans qui en guérit très bien; et que lui-mêm
s rap-porté par Royer (Traité des maladies chirurgo t. x, p. 399). La femme étant placée comme pour l'opération de la taille,
on. M. Langenbeck, au contraire, réussit à rétablir le vagin chez une femme qui, suivant les probabilités, manquait aussi d'u
er une autre. Une fois que l'opération est décidée, on fait placer la femme comme pour l'opération de la taille, et l'on met
encore faire périr les sujets , et que ce fut ce qui arriva sur deux femmes qui avaient été opérées, et chez lesquelles l'ins
e d'un pre-mier accouchement, et sont d'autant pins à craindre que la femme est relativement plus âgée, les parties ayant bea
hirures de peu d'étendue sont presque inévitables, même chez la jeune femme , quelques soins qu'ap-porte l'accoucheur à souten
érinée, ou bien encore à ce qu'il n'est pas du tout soutenu. Chez les femmes âgées, dont les organes copulateurs ont subi un r
. Dieffenbach, dans son Mémoire sur les déchirures du périnée chez la femme , en rapporte aussi plusieurs cas; enfin M. Roux q
, ou tout au moins une amélioration assez considérable pour mettre la femme dans un état tolérable. Époque à laquelle on do
loie doivent être longues, fortes, et leur pointe bien tranchante. La femme étant placée comme dans le cas précédent, les lèv
se en usage, si l'on veut qu'elle réussisse , il est important que la femme reçoive des soins appropriés. Ainsi, elle devra a
rait, pour que la cicatrice se consolide, il faut encore maintenir la femme pendant quelques jours au re-pos et au rapprochem
. Péritonite. Observée plusieurs fois, elle a causé la mort de deux femmes , opérées par MM. Roux et Velpeau. Absence d'agg
ucher vaginal. Il y a deux manières de le pratiquer: dans l'une, la femme est debout, et dans l'autre, elle est couchée. Po
ormées par les fèces avec des tumeurs morbides. Premier procédé. La femme ayant le dos solidement appuyé contre un mur ou c
tteindre les parties qu'il veut toucher, on pourrait recommander à la femme de faire des efforts, comme pour aller à la garde
u-leur, on essuie ce doigt sur un linge blanc. Deuxième procédé. La femme étant placée comme pour le tou-cher abdominal et
ndante ; dans l'un ou l'autre cas on y pénètre comme dans celui où la femme est debout. On ne peut accorder de préférence à
exes, on doit préférer la situation en décubitus, parce que, chez les femmes très grasses et dont l'abdomen est très développé
les conjonctions du dit instrument soient élargies et la cavité de la femme soit distendue (traduction de Rondelet). Cette es
vagin : il est vrai qu'en l'ou-vrant il fait un bruit qui effraie la femme , et qu'il pince un peu la muqueuse vaginale lorsq
e varient beaucoup suivant les âges : très dilatables chez les jeunes femmes , ces parties le sont déjà beaucoup moins vers 4o
spéculum brisé, il peut servir pour tous les cas. La position de la femme doit être à-peu-près la même que celle qu'on lui
l'on doit appliquer le spéculum, on en profite pour y faire placer la femme : on la fait étendre dessus, en travers, de maniè
lace entre ses jambes. En ville, dans le cabinet, on fait étendre les femmes sur un divan, ou sur un fauteuil à dos renversé,
bouret de même hauteur convenablement garni, et sur le bord duquel la femme s'assied. Elle renverse son dos sur le siège du f
sse pas déprimer lorsqu'on le repousse avec un stylet ou une sonde de femme . Quelquefois le col est tellement incliné à dro
s, et peut déterminer des accidens assez graves : ainsi l'on voit des femmes chez lesquelles le contact permanent de l'urine a
s à s'échap-per par l'urètre ou par la sonde qui y serait placée. Les femmes qui ont été traitées de la sorte : n'ont pu suppo
échouait constamment, quoiqu'on eût la précaution de faire placer la femme sur le côté, afin que la moindre quantité d'urine
'instrument imaginé par ce célèbre chirurgien est une grosse sonde de femme présentant près de son bec deux onglets qui s'en
ssir; MM. Erhmann et Deyber de Strasbourg l'ont tentée chacun sur une femme qu'ils ont eue à traiter, et en ont obtenu un rés
er la cure par la cautérisation. En 1829, M. Boux la pratiqua sur une femme qui succomba quelques jours après; depuis lors pl
ue celle que M. Lewziski imagina en 1802. Procédé de M. Felpeau. La femme est placée sur le ventre, le siège plus élevé que
la liga-ture, il faut, comme après la cautérisation, faire placer la femme sur le dos , dans son lit, et établir une sonde à
pédicule doit en être plus large que le lambeau lui-même, et chez les femmes grasses, au point de vue de la vascularité, il es
ez fortement et à double nœud, à l'aide d'une pince ou d'une sonde de femme , et on en laisse pendre les bouts au dehors de la
es vé-sico-vaginales. La première opération fut pratiquée en i83a. La femme avait 35 ans, et la fistule était assez grande po
observation bien propre à fortifier cette crainte : c'est celle d'une femme qui est atteinte de fistule vésico-vaginale, à la
sonde à demeure dans la vessie, ou seulement de ne pas permettre à la femme d'uriner sans le secours de la sonde, parce que,
u-devant de la vulve, et se prolonger dans le vagin, sans empêcher la femme de marcher. M. Burner se sert d'une bouteille all
st celui que rapporte M. Ricord (/. Hebdom., t. xm) ; il s'agit d'une femme de 22 ans, forte et d'une bonne santé, chez laque
de tendance à guérir sponta-nément. Ruysch rapporte l'histoire d'une femme qui, portant une ouverture, large de 3 centimètre
. Des-champs a rapporté une observation à-peu-près semblable, sur une femme de 68 ans (Guerbois, Thèse de concours, 1834)- M.
e 68 ans (Guerbois, Thèse de concours, 1834)- M. Vel-peau parle d'une femme , atteinte d'une pareille fistule, qui, au moyen d
y re-médier par des procédés différens. Procédé de M. Roux. Cbez la femme qui est. le sujet de cette observation, la fistul
érieur du gros intestin , et de l'y maintenir par la suture. Mais, la femme étant morte , on découvrit à l'autopsie qu'on ava
grande espérance de voir la fistule vaginale s'oblitérer, lorsque la femme fit, dit-on, des imprudences qui amenèrent sa per
rature médicale étrangère, t. vi, p. 545 , un fait curieux , chez une femme sur le point d'accoucher, où l'opération fut cour
'on eut beaucoup de peine à atteindre la tête de l'enfant, quoique la femme eût été en travail pendant deux jours, avant cett
e de refouler les parties renver-sées ; il suffit de faire coucher la femme sur le dos, le siège élevé, et de repousser la he
il arrive au second et troisième degré, il cause, chez la plupart des femmes qui en sont atteintes, des dérangemens fonctionne
ion. Manuel opératoire. Après avoir vidé le rectum et la vessie, la femme étant placée sur le dos, le siège plus élevé que
t se borner à des soins de propreté , et à faire garder le repos à la femme jusqu'à ce que les ulcérations, qui succèdent à l
es fils à la base du pli à enlever. Pour exécuter ces manoeuvres , la femme étant placée sur le dos, il accroche le plus haut
pêcherait pas l'utérus de peser sur le rectum et sur la vessie, et la femme d'être dans un état encore très fatigant. En-fin
ant la déchirure. Il s'agi-rait donc de considérer un grand nombre de femmes atteintes de prolapsus, comme si elles étaient da
les déplacemens et les déviations des organes génito-urinaires de la femme . Le pessaire, n'étant qu'un moyen mécanique gro
arties ; mais, comme ils sont très lourds, ils fatiguent beaucoup les femmes qui en font usage, et sont difficilement supporté
ire qu'on ait choisi, lorsqu'il est introduit, il faut faire lever la femme , et, conservant le doigt appliqué sur le pessaire
la preuve qu'il sera bien appliqué. Alors il faut faire recoucher la femme , et lui recommander de garder le repos et la posi
écoulement blanc, plus ou moins abondant, ce dont on doit prévenir la femme , afin qu'elle n'en conçoive aucune inquiétude.
rne que celle du ruban, sont mauvaises. Il vaut mieux faire placer la femme comme pour l'introduction du pessaire, glisser le
pourra suffire. On devra préférer ces derniers toutes les fois que la femme sera très maigre, et que les parois du vagin sero
se prolongent jus-qu'aux lombes. La négligence que mettent certaines femmes à les retirer de temps en temps pour les nettoyer
avités. Pour l'extraire, on fut obligé d'avoir une tenette dentée. La femme guérit en trois semaines. Le fait, de M. Bérard e
saillie dans le rectum. M. Colombat rapporte {Traité des maladies des femmes ] l'observation d'une dame qu'on croyait affectée
ement contre la fourchette et le périnée. L'auteur rapporte que les femmes qui en ont fait usage ont pu faire de grandes cou
t un ou deux mois. Nous avons employé ce moyen avec succès chez trois femmes que l'usage des pessaires avait mises dans le plu
es par le docteur Schweighauser de Strasbourg, 35 appartenaient à des femmes dont l'utérus était vide, et les autres à des fem
artenaient à des femmes dont l'utérus était vide, et les autres à des femmes enceintes. Madame Boivin et Dugès citent aussi 3
La position n'est pas toujours la même; on a conseillé déplacer la femme sur les coudes et les genoux , de façon que les p
M. Mo-reau , qui a tenté plusieurs fois la réduction, en donnant aux femmes la première de ces positions, n'a jamais pu réuss
le qui résulte delà compression du testicule chez l'homme ; aussi les femmes ne peuvent-elles y résister, et tombent-elles apl
ieux employer le procédé de M. Evrat, qui consiste à faire coucher la femme sur l'un des côtés, et à introduire dans l'in-tes
t pas toujours pour vaincre l'en-clavement de l'utérus; car, chez une femme qui avait succombé, limiter ne put parvenir à dég
en raison de leur nature et de leur disposition. La position de la femme sera la même que pour les cas précé-dens. Le chir
ces corps ont été extraits, il est souvent nécessaire de donner à la femme des soins consécutifs. Le plus souvent, il suffit
frère Corne pour la ponction de la vessie (pl. 73, fig. 1 et 2). La femme étant placée comme dans les cas précédens, on tâc
nde en gomme élastique, qu'on peut remplacer ensuite par une sonde de femme , comme l'a fait M. Hervez de Chégoin dans un cas.
. de f utérus), Malgaigne ('/'. d'agrég., i83a), Colombat (Medad. des femmes ), etc., en ont encore fait l'objet de leurs médit
quelquefois lieu à des hémorrhagies qu; compromettent les jours de la femme . Tant qu'ils restent ren-fermés dans la matrice,
sentir le polype faire saillie à l'orifice utéi'i lorsqu'on touche la femme pendant les époques menstruelle on pourrait peut-
cès pour extraire un polype fibreux de la grosseur du poing, chez une femme qui venait d'accoucher. Dupuytren qui l'a pratiqu
faut pas trop retarder la fin de l'opération, afin de débarrasser la femme des tiraillemens douloureux qu'elle éprouve, des
remier qui ait tenté la ligature de ces polypes. Il faisait placer la femme en travers sur le bord de son lit, les jambes éca
les deux chefs. ' Pour procéder à l'application de la ligature, la femme étant placée comme pour l'opération de la lithoto
rick. Lorsque la ligature est placée, on la serre jusqu'à ce que la femme en éprouve une sensation douloureuse. Toutefois,
(Mêd. opèr. t. iv, pag. 392) a parfaitement réussi à exciser, sur une femme de /¡0 ans, un polype du poids de 2 livres 1/2 (i
rifice qui était dilaté ne tarde pas à revenir à son état naturel. La femme continue à voir pendant quelque temps un léger éc
s ces cas, la ligature présente beaucoup d'inconvéniens, et expose la femme à de graves acci-dens. 11 était à désirer qu'on p
adopter comme méthode générale, et a réussi. Manuel opératoire. La femme étant placée, comme nous l'a-vons dit précédemmen
ées, dans le but de l'attirer jusqu'à la vulve, et l'on en-joint à la femme d'aider à ces tractions en poussant comme si elle
Marjolin dit en avoir observé un autre, et que, dans les deux cas, la femme mourut. Mais Dupuy-tren qui n'a jamais pratiqué d
e fois dans la nécessité de donner quelques soins par-ticuliers à une femme qui, après l'excision, eut une perte assez abonda
cisé un polype qui ne dépassait pas le volume d'une cerise, et que la femme mourut néanmoins d'une métro-péritonite en huit j
ypes). La première opération a été pratiquée le 11 juin 1840, sur une femme de 45 ans qui, à la suite des acci-dens ordinaire
t se rencontrent aussi souvent de vingt à qua-rante ans, que chez les femmes les plus âgées. Il est presque cer-tain qu'il exi
r-tain qu'il existe quelque altération au col de la matrice, chez une femme jeune ou vieille, qui se plaint d'avoir desflueur
ur que celle-ci disparaisse. Mais, hâtons-nous de le dire, toutes les femmes ne sont pas aussi heureuses, et beaucoup meurent
llons en traiter séparément. i° Ulcères simples et superficiels. La femme étant placée comme nous l'avons dit à l'article s
sque le spéculum et la charpie sont retirés, il convient de placer la femme dans un bain. Au bout de cinq à six jours, on rép
l de l'utérus. M. Colornbat rapporte, dans son Traité des maladies de femmes , que Lapeyronie, con-sulté sur un sarcome attaché
cessité bien démontrée, on courrait le risque de causer la mort d'une femme qui aurait pu vivre long-temps dans l'état où ell
s érignesà un aide instruit placé, comme lui, entre les cuisses de la femme , mais un peu à droite, tandis que lui-même se met
ourir le risque de causer des déchi-rures et de grandes douleurs à la femme . C'est, en un mot, une méthode exceptionnelle, pa
r. Lorsqu'il n'y a pas d'accidens immédiats, il suffit de replacer la femme dans son lit : aucun pansement n'est nécessaire.
ser avec le ni-trate acide de mercure, ou avec le fer rouge. Chez les femmes qui guérissent, la cicatrisation est assez longue
ois semaines ou un mois,et quelquefois plus tôt. M. Colombat cite une femme qui fut entièrement guérie en vingt-cinq jours; m
t quelques rides qui vont converger vers l'orifice interne. Plusieurs femmes opérées par Dupuytren et autres ont parfaitement
s, lorsqu'on a pratiqué l'amputation du col, on doit recommander à la femme qui l'a subie , de laisser en repos les organes g
écoulement durait trop long-temps, s'il était trop abondant, et si la femme s'af-faiblissait beaucoup, il faudrait débarrasse
is-franc, l'hémorrhagie est survenue sept fois, et que trois des sept femmes qui en ont été atteintes, en sont mortes en peu d
du col vingt-huit fois , et Dupuytren quinze à vingt fois. Parmi les femmes guéries par ces moyens, dit Sanson, interprète de
uelques faits en petit nom-bre , qui semblent mieux avérés : sur huit femmes opérées par M. Velpeau, deux ont succombé, chez q
uve plus le corps de la matrice au-delà. Si cet état permet-tait à la femme de se livrer à ses occupations, et ne déterminait
manière suivante. Procédé proposé par M. Dufresse. Faire coucher la femme sur le dos, le siège plus élevé que la tète, pour
rapporté des exemples. Celui d'A. Paré est un des plus concluans. La femme mourut d'une autre maladie trois mois après l'opé
rovins, en 1809; Marschall de Strasbourg, qui ouvrit le cadavre de la femme , morte, dix ans après l'opération, et constata l'
que l'on réduit en dernier lieu. Cette opération, pratiquée sur une femme atteinte de pro-lapsus incomplet, accompagné de d
pation de la matrice dans sa position normale. Sur ce nombre quatre femmes seulement se sont rétablies des suites de l'opéra
sent parfaite-ment que les autres accidens immédiats qui menacent la femme , sont trop nombreux pour qu'on puisse se faire à
er l'extirpation de l'utérus par incision de la paroi abdomi-nale. La femme opérée par le premier n'a survécu que 32 heures,
ration étant d'abord très grave par elle-même, puisque la plupart des femmes opérées n'ont survécu que quelques heures ou quel
oute l'étendue du mal, rien n'autorise à faire subir aux malheureuses femmes dont la matrice est envahie par un cancer, une op
ien que les kystes de l'ovaire puissent se développer chez les jeunes femmes , cependant on les observe sur-tout chez celles de
tanément. Burdach (Truckmuller, Journ. de Grœfe, t. iv) a observé une femme chez laquelle la tumeur se rompit dans un effort
istule, la guérison était complète. Procédé de Truckmuller. Sur une femme âgée de 45 ans, et por-tant un ovaire du volume d
euse dans les cas où l'existence de la tumeur mettant les jours de la femme en danger, on ne peut néanmoins en faire l'extirp
, et réunir la plaie. Procédé de M. Mac Dowel (pl. 72, fig. 16). La femme étant couchée sur le dos, les membres inférieurs
opération et réunir la plaie de l'abdomen, que de s'exposer à voir la femme périr d'hémorrhagie. Enfin, si la tumeur est libr
c succès ; il en fut de même une seconde fois, en 1822, sur une jeune femme . M. Lizars réussit également à enlever, en 1823,
'agit, l'opération est le seul moyen de guérison, que, sans elle, les femmes succomberaient infailliblement, un peu plus tôt o
curatur, ut Galenus ait. Quoique de Lacourvée l'ait pratiquée sur une femme morte, avant j 765, et Plenck, en 1766, on a pu s
n 1773 , à l'école d'Angers. En 1777 il exécuta son opération sur une femme nom • mée Souchot, en présence de A. Leroy, et sa
les crêtes iliaques jusqu'à 5 ou 6 centimètres, sans faire courir aux femmes trop de dangers ; mais on ne saurait le porter au
si l'on s'aperçoit de la mauvaise conformation du bassin avant que la femme soit arrivée à terme, on aime mieux provoquer l'a
opérations de symphyséotomie connues s'élève à 44; s»r ce nombre \l\ femmes ont succombé et un certain nombre sont restées in
Nouvelle méthode de pratiquer l'opération césarienne, dit que, sur 18 femmes opé-rées, il y eut, tant de femmes que d'enfans,
ration césarienne, dit que, sur 18 femmes opé-rées, il y eut, tant de femmes que d'enfans, 21 morts; que sur 2 il fallut en ve
cérat, des compresses et un bandage de corps. Le pénis étant rasé, la femme est placée sur une table garnie d'un matelas ou s
a nature, si les contractions uté-rines sont assez fortes pour que la femme puisse se débarrasser seule, et d'appliquer le fo
version pour le ramener du côté le plus large. Soins à donner à la femme . Lorsque l'enfant est sorti, il faut laver la fem
ins à donner à la femme. Lorsque l'enfant est sorti, il faut laver la femme , la changer de linge, rapprocher les pubis, réuni
és sont fortement ramenées en avant. Ce pansement achevé, on place la femme horizontale-ment sur le dos , dans un lit convena
ves inconvé-niens de la section de la symphyse pubienne, parce que la femme ne peut se dispenser d'exercer quelques mouvemens
s; après tout, il paraît qu'elle n'est pas indispensable pour que les femmes puissent mar-cher. On en a vu qui pouvaient exécu
opération, il administra immédiatement le seigle ergoté, et laissa la femme pendant 24 heures sans la délivrer. Le lendemain,
se décida à séparer l'autre pubis comme il avait fait le premier; la femme fut délivrée, mais elle mourut le lendemain : l'a
le a été trop mal exécu-tée, et qu'on a eu tort de ne pas délivrer la femme immédiate-ment; au reste, cette opération pourrai
très grave. Enfin, nous pensons aussi qu'il ne faut jamais laisser la femme plus de quelques heures sans la délivrer. OPÉRA
la mo-narchie , comme la loi n'en permettait l'application que sur la femme morte, il n'est pas même probable que la mère de
'autres, le résultat du hasard ; et, par exemple, que le ventre d'une femme , sur la fin de sa grossesse, ayant été ouvert par
n'a-vait été question de pratiquer l'opération qu'après la mort de la femme ; Rousset proposa formellement de l'appliquer sur
mort de la femme; Rousset proposa formellement de l'appliquer sur la femme vivante, et rapporta à l'appui de sa proposition
rta à l'appui de sa proposition sept observations dans lesquelles les femmes y avaient été soumises avec succès. G. Bauhin, da
sset, dit qu'un nommé J. Nufer, châtreur de bétail, la pratiquasur sa femme que plusieurs médecins avaient abandonnée, faute
apportées par les mêmes auteurs, sur ce motif, que, par la suite, les femmes opérées ont pu accoucher par les voies naturelles
importe de tenir compte. Ainsi, on agit différemment, suivant que la femme est morte ou vivante; suivant que l'enfant est mo
femme est morte ou vivante; suivant que l'enfant est mort, et que la femme n'est point en danger; suivant enfin, que l'exis-
lle de l'enfant sont aussi certaines que possible. Opération sur la femme vivante. Plusieurs motifs peuvent nécessiter, dan
ctible, il n'y a que l'opération qui puisse dé-barrasser et sauver la femme . Senner rapporte une observation de ce genre, dan
Tumeurs de la matrice et du bassin. F. de Hilden dit avoir ouvert une femme qui n'avait pas pu accoucher, bien qu'elle fût en
, on aurait à se demander si l'extirpation de la tumeur exposerait la femme à plus de danger que l'opération césarienne : c'e
'enfant par l'incision du ventre et de la matrice. Opération sur la femme morte. Lorsque la mort a lieu après le sixième mo
par Numa Pompilius, qui prescrivait aux médecins d'ouvrir toutes les femmes qui mourraient en-ceintes. Lorsqu'on pratique l'o
de la mort, il faut mettre autant de soin dans l'opération que si la femme était vivante, parce que si, par hasard, elle éta
eu moins de désordres produits. Les résultats de l'opération sur la femme morte sont générale-ment mauvais ; il est rare qu
vent , si on la pratiquait quelques instans avant la mort, lorsque la femme est atteinte d'une maladie incurable et dans une
iquée de diverses manières. Autrefois, lorsqu'on n'opérait que sur la femme morte, on pratiquait une incision longitudinale s
n'être pas gêné par le foie, ainsi que le dit Guy de Chauliac : « la femme soit ouverte de long, à côté gauche, d'autant que
de Mauriceau. Voici comment s'exprime cet auteur {Traité des mal. des femmes grosses, p. 3i6). « L'ouverture sera mieux au mil
de l'opéra-tion césarienne qu'il disait n'avoir jamais réussi sur la femme vi-vante , et qu'il ne conseillait de pratiquer q
r la femme vi-vante , et qu'il ne conseillait de pratiquer que sur la femme morte (ouv. cité, p. 2G0). Aussi Deleurye a-t-il
facile à séparer de la vessie, et de la zone utéro-vaginale, chez les femmes grosses, avait eu l'idée de faire une incision ho
rties voisines des tiraillemens très forts, et insupportables pour la femme . De tous les procédés dont nous venons de parle
r la ligne blanche. j° Préparatifs. Lorsqu'on a donné des soins à une femme pendant la grossesse , on sait d'avance si on dev
commencement du travail, ou lorsque la poche des eaux est rompue, la femme fatiguée , la matrice dans un état d'inertie, et
l'eau tiède et froide , du vinaigre , du vin , etc. Position de la femme et des aides. La femme doit être placée horizonta
, du vinaigre , du vin , etc. Position de la femme et des aides. La femme doit être placée horizontalement sur le dos , dan
t du bis-touri ; d'autres aides tiennent les bras et les jambes de la femme pour réprimer les mouvemens brusques que pourrait
, l'opéra-teur, armé d'un bistouri convexe, se place à la droite delà femme , divise la peau en regard de la ligne blanche, da
avec un bandage de corps. Soins consécutif. Après avoir nettoyé la femme , puis changé son linge et les garnitures de son l
ront. Dans le cas où la guérison a lieu, il faut se rappeler que la femme est exposée aux hernies consécutives, et qu'en co
cite un fait à-peu-près semblable (Arch.,gén., t. xxvn, p. 73). Si la femme était atteinte de violentes convulsions, capables
3, f. 3, 4 et 5). Pour faire cette opération, il faut faire placer la femme debout, comme si l'on voulait pra-tiquer le touch
rjat et Coutouly , a parfaitement reusssi a M. Moscati fils, chez une femme dont le col était rétréci, au point de laisser à
M. Martin, Caffe, et autres. Pour l'exécuter, on peut faire placer la femme debout ou couchée comme précé-demment. Si elle es
fant risque davantage d'être atteint par l'instrument cpie lorsque la femme est couchée. De quelque manière qu'elle soit plac
se manifestait un écoulement de sang assez abondant pour affaiblir la femme et pour causer de l'inquiétude, il faudrait tâche
l donc accepter pour vrai, comme le dit Boér, qu'on sauve à peine une femme sur i4: un pareil résultat serait trop découragea
académie de chirurgie. Sprengel, sur 106 opérations, n'accuse que 45 femmes mortes; 1 contre 2 i/3 guéries. Kellie et Hull on
ull ont trouvé une proportion moins avanta-geuse; sur 231 opérés, 123 femmes ont succombé, contre 1 i5 qui auraient survécu. L
ion césa-rienne a été faite plusieurs fois , avec succès, sur la même femme . Michaélis et Lemaitre, d'Aix, en pareil cas, ont
tentative. Dans les opéra-tions pratiquées plusieurs fois sur la même femme , le rapport des succès aux insuccès est très favo
e opé-ration par laquelle on peut sauver plus des deux cinquièmes des femmes qui, sans elle, périraient infailliblement; une o
ation de la lithotritie chez les en-fans, 25o. — Lithotritie chez les femmes , 2S1. — Accidens de la lithotritie, 251-353. —App
omparaison avec les tailles périnéales, 287-28g. Lithotomie chez la femme , 28g-2g5. — Calculs chez la femme, 289. — Taille
ales, 287-28g. Lithotomie chez la femme, 28g-2g5. — Calculs chez la femme , 289. — Taille vestibulaire. Procédés de Celse, d
- 295. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT SUR LES ORGANES GÉNITAUX DE LA FEMME . Pages 2g5—352. opérations qui ont pour siège
r siège les organes extérieurs de la génération. Cathétérisme de la femme , 2g5, 296. — Tumeurs du pénil et des grandes lèvr
.— Hysterotomie abdominale. Historique, indications; opération sur la femme vivante, 345, 346. Opé-ration sur la femme morte.
ications; opération sur la femme vivante, 345, 346. Opé-ration sur la femme morte. Procédés anciens; procédés de Mauriceau, d
tomie vaginale, 3o5, 351. —Résultats de l'opération césarienne sur la femme vivante, 351, 352. SUPPLEMENT A L'ICONOGRAP
hologiques présentés par M. Bouvier à l'Académie de médecine. Sur une femme de 82 ans, affectée de strabisme diver-gent depui
n'offrait aucune résistance lorsqu'on déplaçait l'œil. Sur une autre femme de 62 ans atteinte de stra-bisme convergent depui
ent a été observé aussi par M. Bouvier sur le cadavre d'une troisième femme de 72 ans affectée de strabisme convergent depuis
t Françoys Rabelays, la morale comédie de celluy qui auoytespousé une femme mute. le y esloys, dist Episte-moii. Le bon mary
aré par M. Michon ( Musée de la Faculté). Etranglement, sur une jeune femme , de l'ex-trémité cœcale de l'iléon par une append
ANCHES 56 ET 37. PLANCHE 36. ASPECT EXTÉRIEUR DES HERNIES CHEZ LA FEMME DESSINÉES D'APRÈS MATURE SUR LE VIVANT. Figur
R LE VIVANT. Figure 1. Hernie inguinale externe (entérocèle sur une femme de 48 ans), (a) Gonflement globuleux à l'orifice
é. Figure 2. Hernie crurale volumineuse ( entéro-épiplocèle sur une femme de 70 ans). La maigreur et la flaccidité des tégu
e trop facile. Figure 3. Deux hernies crurales (entérocèles sur une femme de 49 ans ). La forme de ces deux tumeurs est d'u
ueuses. Figure 4. Hernie sous-ombilicale (entéro-épiplocèle sur une femme de 67 ans ). Cette femme à eu quatre enfans ; la
e sous-ombilicale (entéro-épiplocèle sur une femme de 67 ans ). Cette femme à eu quatre enfans ; la paroi abdominale offre de
interne de la Charité. El GERE 1. Hernie inguinale externe chez la femme . La hernie disséquée montre à nu le sac herniaire
re , est la plus favorable pour le cathélérisme. Figure 3. Sonde de femme ; 3 b représente l'en-bouttle la sonde d'argent a
ens des opérations oui se pratiquent sur les organes génitaux de la femme . DEMI-DIMENSIONS. 1° FISTULES DU VAGIN ( RECT
clie(c). FIGURE 14. Rétraction du tendon du biceps brachial sur une femme âgée ( Copiée sur dessin original de M. Bouvier )
35 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'aîné a trois ans, le deuxième quinze mois, ils se portent bien, la femme du malade est en bonne santé. Un frère maternel
i dans un bureau pour gagner sa vie, il se sépare à l'amiable de sa femme et de ses enfants aux besoins desquels il ne pe
donner et il a par instant la vision de sa déchéance, il écrit à sa femme qu'il « est atterré du gouffre où il va s'englout
oi : je sais qu'un homme qui s'appelait le D'' Marie te reçut de la femme et te retenait toutes tes lettres cependant je t'
le de lui parfois à la troisième personne, qu'il a quel- qu'un, une femme en dedans de lui-même qui lui parle et lui écrit
à qui il parle. Nous l'interrogeons et il nous répond qu'il a deux femmes dans la poitrine qui ne le quittent pas et qui
plus souvent des choses agréables, érotiques. Parfois même ces ' femmes empruntent sa voix et causent par sa bouche et ce
entriques. Deux soeurs bien portantes, nerveuses. Marié, a perdu sa femme en 1899, n'a jamais eu d'enfant. Sur les anté-
de ruine, du mutisme et du refus d'aliments. Pas d'alcoo- lisme, a femme a eu quatre fausses couches, la première au bout
retourne chez toi ».lui dit cette voix. Interrogé, il répond qu'une femme lui parle sans cesse dans la bouche, l'ait remu
12 novembre 1900, interrogé à nouveau, il dit qu'une personne, une femme lui dit par sa propre bouche : « B... tu es un
tendu qu'il a le secret d'une drogue qui lui permet, quand il a une femme de coïter cinq fois de file sans faiblir. Après
t du remède, car il a par celui-ci le monopole de toutes les belles femmes de la terre. Ses conversations ne roulent que s
s, mais à entendre le malade cette impuissance est due au manque de femmes ; il est d'autant plus désolé de ne pas en avoi
impuis- sance qu'il explique de la même manière par le manque de femmes , mais il est devenu très fier de ses organes géni
r 1892 au contraire avec une excitation génésique si intense que sa femme qui l'avait prise en permission de huit jours é
t à la fois si abon- dant et si fécondant qu'il engrosse toutes les femmes de la terre en lançant sa semence à la ronde. L
renseignements iournis par les malades et ceux fournis par leurs femmes nuus avons réussi dans 95 p. 100 de nos cons- t
hirurgie pratiques, janvier 1901, p. 02.) . 11 s'agit d'une jeune femme de trente-six ans, bizarre, incon- sidérée, pré
ses confidences.- « Depuis l'internement de son mari, dit-il, cette femme avait à lutter contre les poursuites d'un séduc
ccasion de cette dernière confidence, je constatai chez cette jeune femme une idée fixe qui la dominait complètement, cel
s chaudes et autres moyens conseillés dans ces cas par les bonnes femmes pour sortir d'embarras, restèrent inefficaces. Se
ule l'eau quand on ouvre le robinet. Depuis, le mari est mort, sa femme s'est remariée avec celui qui la mit à deux doi
consi- dérée. Qui sait ce qui serait advenu de cette jeune et jolie femme qu'une simple suggestion à l'état de veille a r
r J. CRocQ. - (Joumz. de Neurologie, 1901, n° 7.) Il s'agit d'une femme de quatre-vingt-un ans qui fut atteinte, à la s
par James EDMUJSDS. (British Médical Journal, 31 mars 1900.) Une femme de soixante ans polyglotte, fort intelligente, es
ons futures. " . P. KEDAVAL. ASILES D'ALIÉNÉS. I. Les soins des femmes auprès des hommes aliénés ; par N.-A. Joaaiaw.
faibles, on ne tarda pas à remplacer le personnel masculin par des femmes , des soeurs de charité, qui con- viennent mieux
orce musculaire. Les soeurs remplissent aussi dans les quartiers de femmes les fonctions des aides-surveillants dans les q
irement chez des personnes d'àge moyen, plus fréquemment chez des femmes que chez des hommes, principalement chez des pers
n accès d'aliénation mentale, il s'est précipité sur l'enfant de sa femme , le petit Pierre Bouillanne, âgé de treize ans,
r.) Tentative de suicide. On a trouvé, baignant dans son sang, la femme Vastine, née Henriette Touet, quarante-sept ans,
l'art ! . Nous avons examiné en 1899 à l'asile de Ville-Evrard 66 femmes . Pour des raisons diverses (absence d'autorisa-
ouvé des lésions évidentes même sans examen complet. Parmi ces 66 femmes examinées, nous en avons trouvé 4 qui, avant le
ur les relations étiologiques entre les affections pelviennes de la femme et la folie, opinion qui se trouve corroborée p
tobre 1894, puis vint à Paris, laissant ses enfants aux soins de sa femme qu'il abandonnait pour avoir eu avec elle des d
tés que nous n'avons pu préciser. Ici, il fit la connaissance d'une femme avec qui il vécut, travaillant régulièrement à
re et trouve notre malade étendu sur son lit, sans connaissance. La femme était à terre, éveillée, mais incapable de fair
haute dose, respiration artificielle, inhalation d'oxygène, etc. La femme , rapidement et complètement guérie put sortir le
.., il ne reprit connaissance que le 10 seule- ment. Et aussitôt sa femme s'aperçut qu'il avait totalement oublié sa tent
stationnaire, il sortit, mais pour être le jour même conduit par sa femme à l'infirmerie spéciale du dépôt d'où il arriva
'il est retourné en Belgique pour se marier, puis qu'il a quitté sa femme pour s'ins- taller définitivement à Paris, il y
ux jours après son entrée, dira « je suis ici depuis 8 jours » ; sa femme vient le voir, et plus d'une semaine après, il
capable d'accomplir au dehors quelques corvées ; c'est ainsi que sa femme lui ayant plusieurs fois parlé de sa tentative
lui et sa maîtresse se sont réveillés au milieu de la nuit, que sa femme a ouvert les fenêtres parce qu'il souffrait tro
le résultat de souvenirs personnels; ce n'est que d'après ce que sa femme lui a raconté ultérieurement que le malade parl
aiblissement très prononcé de la mémoire. Fallût 2 signale chez une femme de soixante-trois ans une amnésie rétrograde, a
ieurs à l'empoisonnement. Thomsen rapporte de même l'histoire d'une femme de soixante-quatre ans, atteinte après intoxica
u'il nous fait de sa tentative de suicide, d'après les récits de sa femme , et qu'il nous donne comme souvenir propre. M
e Journal of Mental Science, juillet 1899.) Il s'agit d'une jeune femme de vingt-cinq ans, ayant une double hérédité me
coulement à celui qui sert de base à ce travail : c'est celui d'une femme de vingt-neuf ans qui depuis cinq ans a tous les
cessent d'être normaux. Quant au réflexe inguinal décrit chez la femme par von Gehuchten il ne serait pas l'homologue du
positif, comme dans une des observations du présent mémoire : cette femme conversait soi-disant, à tout propos, avec son an
ie puerpérale, forme de maladie mentale qui n'est pas rare chez les femmes . 2° Pendant sa maladie on a vu apparaître chez
les connaissauces hu- maines. linons raconte son mariage- avec une femme dont le caractère, peut-être la conduite, le re
laquelle il est enfermé pendant sept mois chez Esquirol. Puis sa femme le reprend, sans qu'il soit guéri, puisqu'il essa
udi- cieuse et sévère. . En 1842, il se sépara complètement de sa femme , avec qui la vie , parait être devenue impossib
onne le Dr Dumas. Cette liaison morale dura deux ans, entre cette femme qui ne parait pas avoir été une créature supérieu
i, lui, était supérieur, mais qui ne connaissait guère le coeur des femmes , 'et Clotilde de Vaux mourut phtisique dans les
Landry dont un avec autopsie. · Résumé du premier cas : Une jeune femme bien portante est subitement prise de faiblesse
qui est exceptionnel. Nous en avons observé un cas chez une vieille femme , à la suite d'une attaque apoplectique. La para
MM. F. HA DIOND et CL. Philippe ont pu observer chez des vieilles femmes à la Salpêtrière, quatre cas avec autopsies d'enc
que. * 1\1111. CESlAi'i et Lejeune rapportent l'observation d'une femme ayant présenté de la névrite optique oedémateus
ques 10 0/0, incurables environ 60 0/0. D'après le sexe on aurait : femmes 52 0/0, hommes 48 0/0. Un tiers des aliénés est
re, étaient autrefois chargées de la surveillance des sec- tions de femmes .et de la direction de divers services généraux
macie, et n'avaient conservé que la surveillance de la division des femmes .' A la fin de l'an dernier, ce service lui- mêm
si une bonne à tout faire qui, au deuxième acte, se trans- forme en femme athlète jonglant avec des poids, aidée dans ses
ans, était, paraît-il, asthmatique et devint phtisique. C'était une femme très nerveuse, très irascible, qui aurait eu un
la menstruation a été déjà signalée. Mendel a cité un cas chez une femme de quarante ans où la cécité survenait à l'appa
893 (p..t6t-7t), rapporte trois cas d'amaurose unilatérale chez des femmes de trente-trois, dix-huit et quatorze ans qui n'a
n même temps'» ; il cite également un cas analogue observé chez une femme hystérique : c'est ce phénomène que cet auteur
es crises d'hystérie à la vue d'une attaque présentée par une jeune femme de ses compagnes. Elle l'ut soignée successive-
me paranoïaque. J'ai eu l'occa- sion d'observer, en 1898, une jeune femme de trente-deux ans atteinte pendant l'allaiteme
isé de courte durée. Dans le cas par- ticulier, il s'agissait d'une femme à tares arthritiques. Elle était obèse. De plus
a. Bien que nous ayons vu un grand nombre d'épileptiques, hommes et femmes , adultes et enfants, nous n'avons que par excep
plus souvent chez le mari, qui a été le premier contaminé. Quand la femme a été la première syphilisée, c'est elle qui, d
us 282 ") varia. particulièrement dans les sections destinées aux femmes , mais encore et surtout en dehors des asiles.
usieurs coups de revolver sur des passants, blessant grièvement une femme de la localité. Le varia. 283 maire manda aus
nterner dans une maison de santé. Hier après-midi, pen- dant que sa femme était absente, Bouchet prit son jeune enfant, â
e Parmentier. Hier matin il se mit à pousser des cris terribles. Sa femme , épouvantée, alla vers lui pour le calmer, mais
nt, dès que l'on a constaté ies premiers signes de la folie. - La femme Reynier, habitant Pau (Basses-Pyrénées), a, dans
sieur Farges, coiffeur à Orléans, a eu hier une discussion avec sa femme , discussion à la suite de laquelle Mme Farges des
dans la boutique eussent remarqué sa présence, il avait saisi sa femme par les cheveux et lui donnait un coup de rasoir
u est un alcoolique, qui a déjà été condamné pour coups portés à sa femme . (Le Temps, du 6 décembre 1900.) A Chateau (S
Emile Frogier, trente-six ans, ouvrier fumiste, abandonné par sa femme , se livrait à la boisson. Etant gris, il a tiré p
t gris, il a tiré plusieurs coups de revolver sur le portrait de sa femme . Puis, convaincu 288 FAITS DIVERS. qu'il vena
- ment par une injection lombaire de cocaïne. Il s'agissait d'une femme atteinte de lésions annexielles (hémato-salpynx
elle est environ trois fois plus fréquente chez l'homme que chez la femme : les symptômes de la syphilis héritée se manif
terrompu ont souvent été suivis aussi bien chez l'homme que chez la femme d'un état syndromique d'angoisse. La pathogénie
e, l'autre spasmodique, le troisième ataxique. De la barbe chez les femmes aliénées. * MM. Dupré et Aimé. Les auteurs ont
ué la fréquence plus grande de la moustache et de la barbe chez les femmes alié- nées. Sur mille femmes aliénées et mille
e la moustache et de la barbe chez les femmes alié- nées. Sur mille femmes aliénées et mille normales examinées àce point
vation de sein hystérique. M. Lamois présente la photographie d'une femme atteinte de sein hystérique. Tandis que le sein
° un jeune garçon atteint de kleptomanie et d'onychophagie ; 2° une femme qui, depuis son enfance, présente le tic du gri
n et ne tarde pas à engraisser. ' Le deuxième cas est celui d'une femme de trente-cinq ans, mère de deux enfants. Il y
ne, le lait lui-même est rejeté aussitôt après son ingestion. Cette femme est exténuée, épuisée ; elle ne peut se tenir d
lennorragie avec ses diverses complicatiuns chez l'homme et chez la femme , le chancre mou, la syphilis avec ses accidents
accès de folie furieuse. Il est allé surprendre dans leurs lits sa femme , sa fille âgée de seize ans et son fils âgé de
r, au cours d'un accès d'aliénation mentale, a blessé grièvement sa femme d'un coup de marteau. Malinge avait été déjà in
s d'un accès de folie alcoolique, a tiré un coup de revolver sur sa femme , sans l'atteindre. Sirigue donnait depuis quelq
mentale, et proférait souvent des menaces de mort à l'adresse de sa femme . Après l'attentat il s'est enfermé dans sa cham
opos ils rappellent que le sujet de Dujardin- Beaumetz, surnommé la femme cliché, tenue en observation pendant six mois n
irer que les mêmes constatations fussent opérées dans un service de femmes ; ces deux aliénistes et nous n'ayant eu à leur
n LIBERTÉ. Une dépêche de Privas (25 septembre) nous annonce qu'une femme Julie Labrosse, cinquante ans, inter- née à plu
ugier chez des voisins. Quand ceux-ci arrivèrent, ils trouvèrent la femme Labrosse, riant aux éclats, à côté du corps de
chez les catholiques que chez les protestants, et surtout parmi les femmes , et que la sobriété des juifs est de nature à c
Bénies (Gironde), un alcoolique, Dourche, a blessé mortellement sa femme d'un coup de fusil, puis il l'a achevée à coups
. 427 7 M. Bourneville demande au Congrès d'approuver l'emploi de femmes dans certains services d'hommes. Il ajoute qu'il
services d'hommes. Il ajoute qu'il a toujours vu, depuis 1860, des femmes attachées au service de l'infirmerie des sectio
s asiles étrangers on a déjà substitué dans plusieurs quartiers des femmes aux hommes. M. DOUTREBENTE fait remarquer que c
la proposition de M. Bourneville. Il emploie sans inconvénient des femmes dans le service d'hommes qu'il dirige dans la c
colonie à laquelle il est attaché dans le département du Cher. Les femmes sont particulièrement utiles dans les infir- me
nt du service intérieur notamment en ce qui concerne l'emploi des femmes dans le service des hommes. Le 4 août, à 9 heur
des statistiques antérieures avaient déjà montré) que le nombre des femmes rentrant dans les catégories ci-dessus énoncées
, 813 élèves. La plupart de ces établissements sont dirigés par des femmes . M. il. VI. Législation comparée des aliénés ;
miniature et donne les plans d'un pavillon pour cinq hommes et cinq femmes , et d'un bâtiment comprenant 10 lits pour chaqu
es et aux tirs installés sur la place de Gacé. Quand il revint, une femme chargée du soin de la maison le gronda et le me
la colère de son père. Le jeune garçon monta à sa chambre. Quand la femme de ménage v s'y rendit pour voir si l'enfant do
ièrement favorables à mon opinion. Observation I. La nommée M..., femme G..., âgée d'environ cinquante-cinq ans, ramass
également prévoir dans le pavillon une petite maternité pour les femmes , peu nombreuses d'ailleurs, qui accouchent à l'
tiel et un mouvement total du corps. 484 PATHOLOGIE NERVEUSE. Une femme internée à la Salpêtrière termine toujours ses
ment calme, pas exubérant. Il était un peu méfiant, et, nous dit sa femme , « ce n'était pas un imbécile, il aurait voulu
à dire qu'il était criminel, qu'il allait être exécuté. D'après sa femme , le crime dont il s'accuse serait d'avoir vécu
rès sa femme, le crime dont il s'accuse serait d'avoir vécu avec la femme de son frère, au retour du régi- ment. Il a eu
refusait la nourriture pour mourir. Il voulait s'asphyxier avec sa femme et celle-ci croit qu'il l'aurait fait, si elle
re- ment relaté. « Eu égard au grand nombre de malades, hommes et femmes , atteints d'hystérie, dit Cartaz dans son excel
s Landouzy 1, Hippocrate aurait observé le mutisme hystérique. « La femme de Polémaque, ayant une affection arthritique,
oulut point ouvrir, cela l'obligea à retour- ner d'où il venait. La femme , qui se levait alors pour aller au marché, ente
Dieu qui m'a rendu la parole, qu'il soit loué et glorifié ». Cette femme était si étonnée qu'elle ne pouvait parler. Mai
Il lui raconta ce qui s'était passé. Le temps de partir pour cette femme étant venu, Gilbert alla au mari pour lui faire p
n pont de bois qui sépare la ville, lorsqu'il rencontra une vieille femme qu'il détestait depuis longtemps. Plein de colè
ependant le fait si typique de Watson, cité par Briquet : une jeune femme , après une attaque d'hystérie convulsive, perdi
M. LESZYNSKY. (The New Yorl. Médical Journal, 10 novembre 1900.) Femme de trente-huit ans, ayant toujours eu une bonne s
n° 13.) L'observation qui sert de base à ce travail est celle d'une femme de trente-huit ans atteinte de cancer du sein,
vement à la percussion du tendon d'Achille. 11 l'a observé chez une femme atteinte de polynévrite du membre inférieur gau
el communique, au nom de M. Crété et au sien, l'obser- vation d'une femme présentant des hallucinations psychomotrices et
ux paralytiques généraux : l'un d'eux se croyait transformé en sa femme et écrivait au médecin pour réclamer la sortie de
de la tuberculose, par La Bonnar- dière, 72c Aliénés. Soins des femmes auprès des hommes , par Jurmann, 48. Soins do
eau chez les , par Marandon de Montre), 384. De la barbe chez les femmes - , par Dupré et Aimé, 354. Mé- decine légale
36 (1856) Journal du magnétisme [Tome XV]
des attaques ressemblant complètement à celles de l’hystérie. Cette femme était, de plus, somnambule à un degré même assez
elle me raconta. Du reste, elle faisait plus que d’écrire, et cette femme garde chez elle quelques petits travaux qu’elle a
sentaient à moi. Obs. II. — T..., mariée en secondes noces, est une femme de quarante-cinq ans, brune, de haute stature, d’
urs, au nombre de dix, sont morts très-jeuues de convulsions. Cette femme est sujette elle-même à des accidents nerveux ; e
, elle n’en reste pas moins très-profondément endormie. Quand cette femme doit avoir, pendant la nuit, un accès de somnambu
ux. Baron DU POTET. LE MAGNÉTISME AU THÉÂTRE. Les Chcveos de ma femme , vaudeville en un acte de MM. Labiche et L. Battu
e MM. Labiche et L. Battu. Sous ce titre piquant, les Cheveux de ma femme , le théâtre des Variétés offre à son public, depu
ouvrage : Un M. Lardenois est allé prendre les eaux de Spa avec sa femme Eulalie. M. Lardenois est affecté d’une monomanie
est affecté d’une monomanie qui consiste à croire que la santé de sa femme est très-sérieusement compromise. Pour apprendre
t autrefois un peu occupé de mesmérisme, il se décide à magnétiser sa femme , à l’endormir et à la consulter elle-même sur sa
oyante mèche. Doué d’un fluide puissant, l’excellent mari endort sa femme et la rend somnambule séance tenante, en présence
e la mèche de cheveux. Eu-lalïe déclare que ce sont les cheveux d’une femme mariée qui mène de front plusieurs intrigues d’am
de front plusieurs intrigues d’amour à l’insu de son mari ; que cette femme se dispose, pour le moment, à faire une partie d’
ointe n’a que le temps de partir pour les Pyrénées afin d’empêcher sa femme de faire sa partie d’ânes.... Probablement il arr
tous les magnétistes et magnétophiles à aller voir les Cheveux de ma femme au théâtre des Variétés. J. i.ovy. — A mesure
une au Vaudeville, Pênicaud te Somnambule, l’autre, les Cheveux de ma femme , aux Variétés. La première est trop loin de nous
n’être pas signés de M. Scribe ou de M. Bouchardy, les Cheveux de ma femme n’en sont pas moins une chose fort amusante où le
dussent-elles paraître invraisemblables. En somme, les Cheveux de nui femme ne sont ni une farce désopilante comme les Extase
listes. Je prouverai que, par le moyen des coups, des hommes et des femmes acquièrent la connaissance de faits qu’ils ignora
st peu clé médecins qui comptent autant de pratiques que Rose Astier, femme Rois, de la commune de la Voulte. Elle a la réput
’Ardèche et de toute la Drôme, de l’Isère et de la Haute-Loire. Cette femme n’appartient à aucune école. Elle n’ordonne ni sa
ache Te secret de la guérir et de la conserver. » En même temps, la femme Bois indique les prières qu’il est bon d’adresser
otre santé, rétablie par ses pieux remèdes, vous suggère envers cette femme quelques sentiments de reconnaissance, elle accep
e pèche pas par un excès de dévotion, a déclaré, à l'audience, que sa femme malade, après avoir épuisé, sans pouvoir guérir
de la médecine et de la pharmacie, l’avait prié d’aller consulter la femme Bois ; que cette femme lui avait prescrit des pri
a pharmacie, l’avait prié d’aller consulter la femme Bois ; que cette femme lui avait prescrit des prières qui devaient être
endant quarante jours ; que ces prières faites et ce délai expiré, sa femme avait recouvré la belle santé dont elle jouit en
btenir de tels résultats. » On se demande comment il se fait qu’une femme semblable, qui donne des conseils si moraux et si
ce correctionnelle. Voici ce qui a pu l’amener devant la justice : la femme Bois ne se contente pas d’ordonner à ses pratique
s, des démarches et de la situation de ces dupes, vont en prévenir la femme Bois, qui ne manque jamais de dire aux consultant
attention sur leurs besoins. » Un pauvre diable, qui avait perdu sa femme et qui soignait sa jeune fdle malade que les méde
la sibylle delà Voulte, et il faillit tomber à la renverse lorsque la femme Bois lui dit : « C’est l’âme de votre épouse qu
che. » Ce pauvre mari devint pâle et tremblant comme si en effet sa femme était revenue de l’autre monde. Bref, il consenti
nées et sa jeune fille guérit. Jusque-là, rien de bien coupable. La femme Bois était tout au plus passible des peines que l
onostiquer, art. ¿79, n° 7, du Code pénal. Mais les pratiques de la femme Bois qui ne savaient pas lire, et elles étaient n
rières ordonnées, étaient obligées de recourir à des tiers ; alors la femme Bois se chargeait de cette mission. Elle déclarai
uvres les caractères de l’escroquerie, et il a cité en conséquence la femme Bois devant le tribunal correctionnel pour s’ente
Bois-sier, substitut du procureur impérial, le tribunal a déclaré la femme Bois coupable d’escroquerie; mais, admettant les
mpte, mais qui le détermina à rentrer chez lui. Il trouva en effet sa femme qu’il avait laissée chez lui au lit, parce qu’ell
né lié dans la poêle à frire. La mère, prise subitement du délire des femmes en couche et prenant son enfant pour une oie, all
fille Ernes-tine, âgée de seize ans. Le lendemain de leur arrivée, ma femme conduisit cette jeune personne au cimetière de Mo
mbule, blanchisseuse de fin à l’avenue de Lamothe-Piquet. C’était une femme brillante de jeunesse et belle d’une vigoureuse o
un prosélyte delà nouvelle croyance ; et moi, grâce à la parole de la femme du peuple, j’avais appris qu’une simple dispositi
familiarisés aux formes indéfinies de ce Protée de la patho-génie des femmes . Dans une crise récente, j’avais facilement apais
ulx nid, tu veux bien revenir? « La tourterelle ne fut pas cruelle; femme à demi, elle sourit.... et lui répondit : Ah ! qu
esl-il lui-même qu’un état de crise imparfaite. Mme Petit d'Ormoy, ma femme , qui d’ailleurs a été un assez bon médium tant qu
se fait entendre que du côté de la cuisine, et, comme je l'ai dit, ma femme se trouvait seule en ce moment dans sa chambre à
devant la loge, regarder dans la rue et rentrer. Mais à ce moment, ma femme trouva devant elle Mme Ogier.— « Tiens, c’est vou
l'appartement, descend l’étage pour aller inspecter la rue. Or, ma femme n’attendait personne, et d'ailleurs les personnes
tuer ce que Deleuze nommait le rapport préétabli. (Il est vrai que ma femme s’est trouvée en rapport avec M“« Ogier en état s
us admettons la légitimité de la coquetterie , quand le sujet est une femme jeune et jolie) , pourrait servir à reconnaître s
j’amène à l’insensibilité la plus complète. Tout justement la pauvre femme souffre d’une dent cariée; vous savez combien l’a
tes-vous convaincu ? — Oui ! — Parbleu ! Il n’est pas possible qu’une femme subisse pendant une minute et demie une pareille
fait de somnambulisme qu’il a eu l’occasion d’observer sur une jeune femme âgée de trente ans, d’une constitution vigoureuse
sortit de son lit. On la laissa faire. Elle s’habilla seule, et cette femme , affaiblie par huit mois de maladie, ne pouvant p
récemment. Ce diagnostic n’était que trop vrai; la malade (une jeune femme qui venait de sortir, et que nos yeux n’eussent p
ici deux exemples de la perception de cette image... à distance. La femme d’un conseiller d une cour royale magnétisait sa
distance. La femme d’un conseiller d une cour royale magnétisait sa femme de Chambre, pour lui donner de la santé. Cette do
e continuer sa route, et de remonter avec le vin demandé II trouva sa femme m,truite de sa chute et de tous te, détails de so
mbule les avait racontés, à mesure qu’ils étaient arrives..... « La femme d’un colonel do cavalerie, que son mari magnétisa
Quelque temps après dans une séance magnétique, le mari, ayant mis sa femme en somnambulisme, 1 engagea à s'occuper de cet of
min de fer, je fus frappé du beau galbe de l’intelligence d’une jeune femme en face de moi. Plus tard, la conversation mecon-
e avait eu, d'une apparition, avertissements et conseils. Cette jeune femme était la fille d'un capitaine de naviro marchand,
der le nnvire. I.e capitaine regarda dans sa chambre et y aperçut une femme jeuneet belle, en compagnie d'un ours qui parlait
erçut une femme jeuneet belle, en compagnie d'un ours qui parlait. La femme adressaau ca-pitaineles provocations les plus aga
agaçantes, auxquelles il résista obtinément. Alors parurent une autre femme et trois hommes qui furent bientôt réunis dans la
r versé à boire ; l'ours mangeait et buvait comme les autres. Une des femmes était vêtue de blanc, et portait des gants noirs
lus fantastiques s’emparèrent bientôt de l'imagi-tion des marins. Ces femmes devinrent des sirènes, et cependant personne n'av
Célait un savant, toujours occupé de grands travaux intellectuels. Sa femme brillait par une grande mémoire, beaucoup d’espri
CANONNADES ! M" *** en fut terrifiée. Cet été, chez M“* C ***, deux femmes qui se détestent, s'étant rencontrées en visite,
e de demander une adresse. Ce qu’il y a de plus étrange, c’est que la femme de Maffei a été dépouillée même de ses vêtements
— Un acte de somnambulisme assez curieux s’est produit chez une jeune femme , mariée nouvellement, à la Croix-Rousse. La nuit
sible, quand vous aurez rempli votre pèlerinage, de veiller sur votre femme et sur vos enfants (2) ! Ce n’est point une phr
ble écrivit : « C’est M‘*‘ (le mari de celte dame) qui conseille à sa femme de ne point céder à ta prière. » (3) On ne lira
solennelle qu’efFrayante et triste. J’en puis citer un exemple : Une femme de quatre-vingts et quelques années gisait sur so
agissent en eux, — suivant la qualité de nature! — comme cette jeune femme , que nous avons vue à Paris, agissait sur ses pro
es eaux, on n’a pu trouver aucune trace des victimes. — Gomment sa femme le voyait-elle d'une grande distance, pendant qu’
que ce qui arrivait à l’un était ressenti par l’autre? L’esprit de la femme se dégageait-il de son corps, pendant son sommeil
les impressions recueillies dans cette pérégrination ?... Ou bien la femme endormie se trouvait-elle douée de la lucidité se
u des visions béa-tifiques, qu’il avait entendu des voix d’hommes, de femmes et d’enfants qui chantaient de la manière la plus
comfort auxquels, disons-le en passant, ie goût el l’élégance d’une femme avaient bien voulu présider. Non, en dehors de
onneurs de l’hospitalité. Parmi eux, à ces places de distinction, des femmes jeunes et élégantes se faisaient remarquer par le
, montrer pour la première fois aux regards émus de ses convives, une femme du monde et du meilleur, une femme de beaucoup de
regards émus de ses convives, une femme du monde et du meilleur, une femme de beaucoup de cœur et de non moins d’esprit, sur
s l’enseignent pourtant nos prêtres catholiques. « 11 n’est pas une femme vraiment épouse, vraiment mère, qui ne sente en s
econdes s’étaient à peine écoulées qu’elle vit debout devant elle une femme ayant l’attitude du repentir, et tenant d’une mai
eusement éprouvée par la mort prématurée d’une fille, charmante jeune femme , mariée depuis trois ans à peine. Une fille resta
de notre cher conservateur aucun objet, si ce n’est le rapport de sa femme , M“" B*** fit de lui le portrait le plus exact :
e, tous les jours, sous les yeux, un exemple dans la personne de la femme d’un de nos amis intimes , laquelle , sans espoir
magnétisme autant que je l’aurais voulu , et la mauvaise san té de ma femme m’a forcé d’aller tous les ans en Allemagne ; de
rt, où vous trouverez plusieurs cas intéressants, surtout celui d’une femme alitée par le rhumatisme depuis 35 ans, et qui, a
si les mains d’un enfant de l’âge de quatre ou cinq ans, ainsi qu’une femme complètement développée, prendre au même instant
e de couches. Le 21 mars dernier, je fus appelé près d’une certaine femme Vallino de Vaglio, récemment accouchée, et qui, d
siècles de date et dont nous devons la traduction à M. de Sacy : La femme d’un des premiers mandarins de l’empire était gra
r une des extrémités à travers la persienne de l’appartement de cette femme , lui recommandant de l’appliquer sur la partie do
rrez insérer ces quelques lignes dans le Journal du. Magnétisme. Ma femme , en ce moment, essaie du traitement hoinœo-pathiq
scute. Comme je ne puis m'être trompé en entendant la réflexion de ma femme , et ses explications, il n’y a donc à craindre de
s-honorable que j’ai encore la satisfaction d’avoir « pour élève. Une femme du Valais devait subir, au bout de a vingt-quatre
ciés , et notamment eût indiqué la distance où était le mari quand la femme , qui ignorait sa démarche, était prise d’accès de
t un document précieux à consigner dans les annales du magnétisme. La femme était-elle avertie de l’approche de son mari par
t avec le navire, fut que, dans peu d’instants, il serait réuni è. sa femme et ses enfants, qui étaient décédés. Il dit encor
chose qui m’étonna beaucoup, c’est que, quand il s’éveilla, il vit sa femme et ses enfants passer loin de lui dans différente
terminé, il songea à se sauver lui-même. Il avait une mère âgée, une femme et des enfants à New-York, et il se demandait à l
bstraite d’un nom. « Parmi ceux qui conversèrent avec moi était une femme . Elle était fort gaie et enjouée, et de ce qu’ell
er trouver Jeannette, «vieille fdle pauvre d’un village voisin. Cette femme fut, « en effet, priée de rechercher ma montre, e
stre de 1856. Sur 458 personnes magnétisées, dont 328 hommes et 130 femmes , on compte 350 personnes sensibles, et sur ce nom
n compte 350 personnes sensibles, et sur ce nombre, 234 hommes et 116 femmes . Enfin, sur ce nombre de 350, ou en compte 47 t
350, ou en compte 47 très-sensibles, parmi lesquelles 25 hommes et 22 femmes . Baron DU POTET. Le Gérant : HÉBEBT (de Camay
a plupart des lecteurs de révoquer en doute la posses-« sion de cette femme , qui était d’une constitution mélanco-« lique et
ie (1 ). » « Du département de l’Aisne était aussi native une autre femme qui porta également à un éminent degré le don de
’était jetée à son cou pour l’empêcher de partir, mais en vain. Cette femme , de laquelle 011 a dit qu’elle fut veuve de troi
tres faits remarquables de divination. « Mais voici venir une autre femme non moins intéressante à connaître que Nicole Aub
ion des Annalei da Itainaul, de Vi.ichant, 1. 5, p. 318. couvent de femmes , a pour pendant dans le Hainaut les faits curieux
eur Desprez, qui rappelèrent à la vie, l’une, son enfant, l’autre, sa femme , que les médecins avaient abandonnés comme morts
ent sauvé, se maria depuis , et c'est de lui qu’est descendu, par les femmes , le prince Ernest d’Aremberg, propriétaire du châ
ules les plus remarquables du nord de la France, madame Godard. Cette femme , par le don précieux qu’elle a de reconnaître les
Talleyrand, dans sa jeunesse, a constaté la réalité eu crucifiant une femme avec l'abbé de La-vauguillon sans lui faire de ma
des malheurs de la France, des campagnes dévastées, des hommes et des femmes assassinés par les Anglais et les Bourguignons, l
xistence des manœuvres constitutives de l’escroquerie, et condamné la femme Grisou à trois mois de prison et 100 fr. d'amende
du magnétisme et par des prestiges, et surtout par l’intermédiaire de femmes nerveuses qui sont tout à fait sous la dépendance
vantent d’avoir trouvé un moyen de prédire et de deviner. De là, ces femmes au tempérament débile, qui, livrées par des gesle
i es-tu mort? — Je me suis brûlé la cervelle. — Pourquoi ? — Pour une femme que j’adorais. —T* aimait-elle T — Oui. — On s’
a réprobation du somnambulisme. Il parle, nous ne savons pourquoi, de femmes au tempérament débile, bien qn*un grand nombre d’
que le célèbre Alexis, qui a été certainement supérieur à toutes les femmes à tempérament débile, signalées par le décret. Co
nt débile, signalées par le décret. Connne il n’est question que de femmes , il pourrait y avoir doute si la condamnation est
Christophe Colomb qui vont à la découverte d’un monde inconnu. Les femmes sont plus généralement somnambules que les hommes
ralement magnétiseurs. Vous ne vous étonnerez donc pas de trouver des femmes parmi mes collaborateurs. Vous n’en serez peut-êt
prit amoureux d’un taureau et d’un cygne pour se faire adorer de deux femmes , vous ne trouverez point étonnant que le directeu
Je, soussigné, certifie que M. E. T. Mayer a guéri radicalement ma femme , après environ un mois de traitement magnétique,
2. Magnétisme mystique. Curesopérées au moyen de la prière , par la femme Bois, 50 ; — par le commandant Laforgue 225; — pa
ine à l’égard du magnétisme, 106, 210, 254. Tribunaux. Procès de la femme Bois, dite la sorcière de la Voulte, 50; — du s
165; — de M. Fauvelle Legallois, 216: — de Mme D.... 427; — de la femme Grisou, 610. Vers écrits par des médiums, 171,
), 285. Bennett (docteur), 332. Bird, 283. Boggio, 387. Bois ( femme ), 50. Boissier, 53. Brierre de Boismont (doct
(Henry), 281. Gouget, 612. Gregory (docteur), 334, 381. Grisou ( femme ), 611. Gudin (peintre), 298. Guibcrt de Clell
37 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
t s'occasion- nent ainsi des lésions plus ou moins graves. Chez une femme à accès périodiques de délire systémalisé roula
t a obtenu quel- ques guérisons de ce genre, entre autres chez deux femmes qui perdaient constamment leur urine nuit et jo
un assassin ; j'ai peur qu'on m'accuse de m'être approché de celte femme pour la tuer. n On le voit, les idées déli- ran
nel ! On le menace, dit-il, parce qu'il a eu des relations avec une femme beaucoup plus âgée que lui. « C'est un crime mora
Il entend sa maîtresse lui dire qu'elle l'accusera d'avoir jeté une femme à l'eau (il s'agit du crime qui avait été commi
esseur SPEHL, recueillie par M. le D1' F. SANO. Observation d'une femme de trente-sept ans, sans antécédents héréditair
uv. iconographie de la Salpêtrière, 1895, n° 3.) Observation. Une femme de vingt-trois ans, exempte d'anté- cédents' ne
scarlatine, fièvre typhoïde, péritonite, hystérectomie, etc. Cette femme , en traitement à Saint-Louis, présente un zona
iusisr. IX. CONTRIBUTION A la nature HYSTÉRIQUE DE la tétanie DES femmes ENCEINTES; par MM. Gilles delà TOURETTE et 130LOG
reste rapidement répandue, rapportent l'observation suivante : Une femme de trente et un ans, à antécédents nerveux hérédi
s, elle a divers accidents de nature certainement hystérique. Cette femme eut plusieurs grossesses, à chacune d'elles, el
XIV. Angiome simple du cervelet; parle D'' L. IIEx1'OEN. Chez une femme de quarante ans, morte des suites presque imméd
ôle primor- dial dans sa genèse. La cause déterminante est, chez la femme , l'éveil du besoin sexuel à demi ou non satisfa
le chez le mari à cinquante ans (mégalomanie, syphilis), et chez la femme à quarante-quatre ans (infection syphilitique,
Paralysie générale tabétique, démence, mort, chez le mari; chez la femme , signes physiques, commémoratifs et intellectue
herches de l'auteur ont porté sur sept malades (six hom- mes et une femme ) atteints d'épilepsie idiopathique avec- troubles
t contenue dans cet organe. L'auteur a traité seize malades (onze femmes et cinq hommes), par la méthode de Flechsiu. To
s résultats n'ont pas été aussi favorables chez l'homme que chez la femme . La médication de Flechsig a une action favorab
bitement t et par accès un besoin invincible de dormir. Comme cette femme a eu antérieurement une attaque d'épilepsie et
ssement de Wiesbaden) qui renferme 200 hommes et une vingtaine de femmes , parmi lesquels de nombreux criminels d'habitude.
spécifique, du moins chez les sujets du sexe masculin, car chez les femmes le tatouage est rare et se rencontre surtout ch
d'une ancienne syphilis; marié jeune, il a eu de beaux enfants, sa femme n'a jamais fait de fausse couche; l'enquête la
entriques ; fugues de la maison paternelle, sérénades données à des femmes , etc. Il était musicien et jouait de l'orgue av
. d'aller dire à son Ernestine qu'il l'avait trompée avec une aulre femme . Cette histoire était fausse, mais Ernestine tr
640 malades soit ],81 hommes et 124 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 159 femmes . L'auteur a été frappé du grand nombre de femmes
DECINE LÉGALE. 159 femmes. L'auteur a été frappé du grand nombre de femmes ayant commis un infanticide sous l'influence de
rale. Le nombre des malades n'y est que de 55, soit 40 hommes et 15 femmes . ' Alors que les épileptiques et les paralytiqu
criminels anglais sont : 1° L'extrême rigueur montrée à l'égard des femmes ayant tué leur enfant dans un accès de manie pu
eillesse (observation de délire raisonnant de' persécution chez une femme âgée de soixante-treize ans) ; par le Dr Régis.
lucinations, tendances persécutrices et processives, etc.) chez une femme de soixante-treize ans, jusque-là indemne de tout
cas pour 100 d'achromatopsie chez les hommes et 2 pour 100 chez les femmes , l'auteur sur 400 malades examinés, n'a rencont
minés, n'a rencontré de l'achromatopsie que chez deux hommes et une femme , et encore ces trois cas étaient incomplets. (Ame
Ramsgate, à l'occasion d'une poursuite intentée contre M Spalding, femme du colonel Spalding, assignée pour violences ex
er in1-0 la colonelle écumant de colère dans le « dock ». « Celte femme du monde, reçue chez la reine et chez la prin-
ertiaires. Marié depuis dix ans. Quelque temps après le mariage, sa femme fit une fausse couche de six semaines. Elle a e
l auditif, venue de l'extérieur. M. Séglas a cité l'exemple d'une femme qui, en entendant fermer une porte, s'est enlendu
en particulier, il y a beaucoup plus d'hommes qui tremblent que de femmes , parce que les femmes sont peu émotives et que le
a beaucoup plus d'hommes qui tremblent que de femmes, parce que les femmes sont peu émotives et que les hommes sont souven
istoire récente d'un commissaire de police, qui se débarrassa de sa femme en l'inter- nant dans un couvent de Caen. En
ce du mercredi 5 août (matin). Cas d'hyperostose crânienne chez une femme épileptique. Observation, pièce anatomique, épr
ux criminels), deux bâtiments séparés pouvant loger 25 hommes et 25 femmes , choisis parmi les malades offrant le plus d'es
ission croit qu'il y aurait avantage à employer exclu- sivement des femmes pour le service des aliénés, sauf pour les beso
s'est-il surmené de quelque façon ? Impuissance... Pollutions... Femmes . Etat de la menstruation, relativement à l'époq
mons.. Examen des organes abdominaux (y compris le bassin chez la femme )... Elat de la coordination... attitude... expr
s blancs. ») L'examen utérin, quand il est indiqué, est confié à la femme médecin. - 31. Les médecins font partout un cou
res payants. Le reste travaille volontaire- ment (126 hommes et 131 femmes sur un millier de malades). Dans les autres hôp
r 40 à 80 hommes et une surveillante pour environ le même nombre de femmes . La proportion varie donc du simple au double s
hôpitaux. 45. Dans six des neuf hôpitaux, on a essayé l'emploi des femmes pour les réfectoires, les salles de convalescen
vices. 46. La plupart des rapports sont favorables à l'emploi des femmes dans les quartiers d'hommes, sauf pour les agités
ale suffit. Les hommes touchent de 100 à 180 francs par mois. Les femmes touchent de 70 à 120 francs par mois. L'augment
les congés sont assez larges. 48. Les salaires des hommes et des^ femmes n'étant pas uni- formes, le rapport ne l'est pa
rmes, le rapport ne l'est pas davantage. Cependant, en général, les femmes touchent environ 70 p. 100 du salaire des hommes.
lquefois dans des bâtiments à part (un pour les hommes, un pour les femmes ). z88 ASILES d'aliénés. Suivant les rapports,
our les ma- lades. 56. Réfectoires séparés pour les hommes et les femmes , en géné- ral. Quelquefois les repas ont lieu e
ts. On les préfère généralement aux bains ordinaires, sauf pour les femmes dont la modestie s'en effarouche. - Ils sont pl
ministration des bains; mais il y a des chefs compétents (hommes et femmes ). 60. Presque partout il y a des serviettes à r
dans le texte, exposée avec bien plus de détails que la seconde. Femme âgée de quarante-six ans, antécédents héréditaire
ante, ni alcoolique, ni syphilitique, bonne santé habituelle. Cette femme était blanchisseuse et passait toutes ses journ
at mental des sujets. On l'observe aussi assez fréquemment chez les femmes qui présentent des zones hyper- esthésiques du
emier cas est celui de la demoiselle Coivin, il date de 1716. Cette femme , quarante jours après un violent traumatisme du
mais de nature non syphilitique certaine. Première observation . - Femme , trente et un ans, non syphili- tique. En janvi
du cadavre n'a pas permis de la reconnaître. Deuxième observation. Femme , quarante ans, sans antécédents héréditaires, s
urs survenant par REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 297 crises, cette femme devint, en cinq ou six jours, complètement para
x malades connus de la Salpêtrière. L'observation est celle d'une femme âgée de cinquante-huit ans, le cas est tout à f
chaleur pénible et se découvrent en dormant. Nue, on voit que cette femme offre des modifications importantes dans la dir
illie par M. le Dr J.-B. CHARCOT, chef de clinique.) Observation. Femme , trente-huit ans, père tombé en démence à un âg
euses. (Nouv. iconogr. de la Salpêtrière, 1896, n° 1.) Observation. Femme , vingt-huit ans, père et mère tubercu- leux, pr
QUET hystérique; clinique du Dr de Renzi, de Naples. Premier cas. Femme , vingt-neuf ans, mariée, tare nerveuse hérédita
u Dr de Renzi, guérison spontanée qui se maintient. Deuxième cas. Femme mariée, trente-six ans. Influenza, et à la suit
é de Naples (Leçon clinique du professeur DE Renzi.) Observation. Femme , trente-sept ans, marchande ambulante de jouets
d'enfants. A l'âge de vingt et un ans, à la suite d'une peur, cette femme avait eu un brusque arrêt des règles, puis des
'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. VU. Infantilisme chez la FEMME ; par M. Henry MEIG : è. (Nouv. Iconogr. de la S
toujours la malformation corporelle. L'infantilisme existe chez la femme comme chez l'homme. Suit l'observation intéressan
a femme comme chez l'homme. Suit l'observation intéressante d'une femme de trente-un ans atteinte d'infantilisme. L'inf
sme n'est pas la seule anomalie morphologique qui s'observe chez la femme , à la suite de malformations génitales. Au fémi
Au féminisme qui apparait chez le jeune homme, correspond chez la femme une anomalie inverse, le masculisme ou virilisme.
ge avec celle du scrotum, ils rappellent les organes génitaux de la femme . Il s'agit donc, en somme, d'un de ces cas que
population de l'asile est de 1,708 malades, dont 801 hommes et 827 femmes . Dans ce nombre figurent 16 enfants (8 garçons
, il y avait 150 goi- treux. Il parait qu'il n'y ena plus que23 (17 femmes et 6 hommes). L'asile renferme 229 aliénés de l
mes). L'asile renferme 229 aliénés de la Seine (119 hommes et 110 femmes ). Le personnel de l'asile se compose d'un direc-
mille Lecot : le mari, âgé de vingt- quatre ans, ouvrier paveur; la femme , âgée de vingt-trois, et leur petite fille, qui
cot rentra ivre au logis et, tout en soupanl, chercha querelle à sa femme . La discussion devint bientôt des plus violentes,
s violentes, et des voisins déclarent avoir entendu Lecot dire à sa femme : « Tu vas y passer Si tu ne veux pas mourir, s
près, Lecot sortait de chez lui en criant : Q Au secours) ma pauvre femme vient de se tuer ! a Et il courait au commissar
! a Et il courait au commissariat voisin, où il racon- tait que sa femme s'était suicidée. et trouva, en effet, la malhe
ibliographique. acquit bientôt la conviction que Lecot avait tué sa femme ; la vic- time était enceinte de six mois. Lecot
ge de qua- rante-huit ans en 1883. L'infection syphilitique chez la femme est donc probable. La malade n'a jamais fait d'
sur la rampe. Faire des petites promenades en donnant le bras à sa femme et en s'ap- puyant sur une canne. Dans sa derni
puyant sur une canne. Dans sa dernière lettre (septembre 1895), sa femme nous écrit de Dieppe, qu'on l'amène avec sa petit
avec sa petite voiture sur la plage, où il se promène au bras de sa femme . Comme bien on pense, nous avons eu les mêmes d
émotion lui occasionnait un tremblement des mains. Il est marié. Sa femme n'a jamais fait de fausse couche. Il a deux enf
t être atteint de paralysie générale. Pendant des nuits entières sa femme était forcée de le consoler. En 1888, premières
véné- riens. It n'a pas eu de syphilis. Marié depuis douze ans. Sa femme a eu une fausse-couche de trois mois. Il a troi
lade a des érections normales, mais il ne sent pas le contact de la femme . Etat actuel (12 mai 1895). Le malade est de gr
syphilis. Marié à l'âge de trente ans. Un an après le mariage,' sa femme fit une fausse couche. Elle a eu depuis trois e
malade par des doses exagérées de drogues puissantes. En effet. une femme recevait de temps en temps, jusqu'à 7 gr. 20 de
atteints de phtisie pulmonaire. Le cas de mort se rap- porte à une femme accouchée dans une salle où il y avait des éry-
nfectée avant son admission. 12. On aurait fait faire à des malades femmes des travaux exces- sifs et peu compatibles avec
on a, il est vrai, fait blanchir des murs à la chaux par certaines femmes fortes et vigoureuses. Mais, la commission n'a
illeurs renoncé à cette pratique. On a prétendu aussi que certaines femmes avaient eu de l'hygroma des genoux après le fro
apparente, et le travail en question n'excède pas les forces de la femme , à la condition d'être modéré. 13. On a dû aban
uvant contenir 375 pensionnaires a eu, dans l'année, 12 hommes et 2 femmes ine- brialcs, devenus fous, dont 9 sortis guéri
llance de nuit s'exerce à tour rôle. En général on n'emploie pas de femmes dans les quartiers d'hommes; cependant, dans un
établissement, il y a une soeur de charité dans chaque salle et des femmes dans les réfectoires. La plupart des rapports n
plupart des rapports ne sont pas favorables à la substitution des femmes aux infirmiers. Les autres reconnaissent ses avan
hommes reçoivent depuis 70 francs jusqu'à 150 francs par mois; les femmes ne dépassent guère 100 francs. Cependant les in
ments a reçu, dans l'année, 70 malades volontaires, 43 hommes, 27 femmes . Cinquième partie. Documents statistiques Ils
ur se satisfaire. C'était un alcoolique, mort tuberculeux. 2° Une femme de trente-neuf ans, ayant pratiqué l'onanisme et
s gens quittent la pension, ils se trouvent mêlés aux hommes et aux femmes , et leur instinct sexuel se dirige en général ver
certain nombre de gaiçons restent insensibles à l'in- fluence de la femme : on peut les regarder comme de vrais invertis
ur instinct génital, et il fallait que sans retard ils trouvent une femme . L'auteur, étudiant les diverses particularités
s ces cas particuliers et en a retiré de bons résultais. Chez une femme , en particulier, atteinte de mélancolie avec an
éciaux toujoursles mêmes pour tous les malades (prénoms, noms de la femme et des enfants, de la ville natale, du métier). I
1877, p. 321.) , « Le manuscrit n° 34 rapporte la guérison d'une femme pamly- tique, qui voyant tout le monde courir a
galement une Bretonne qui obtint le troisième miracle. Guillemette, femme de Jeau Leredde, de Cancale, fut délivrée d'une
gislature du Connecticut a voté une loi interdisant à tout homme ou femme épileptique, imbécile ou faible d'esprit, de se
ou faible d'esprit, de se marier ou de vivre ensemble comme mari et femme , quand la femme est âgée de moins de quarante-cin
it, de se marier ou de vivre ensemble comme mari et femme, quand la femme est âgée de moins de quarante-cinq ans. La péna
tes ses richesses et enfante les plus merveilleux tableaux. « Une femme de la Salpêtrière voit tout à coup descendre du
ier, détériore les murs des locaux ou on le renferme et insulte les femmes ou les enfants après lesquels il court dans un
s séance tenante par le sieur Jean Morand, tisserand à Blois, et sa femme . Anne Rétif. 26 décembre 1827. Préfet à maire
céphalée par changement de résidence s'observe aussi bien chez les femmes que chez les hommes ; on ne sait pas, pour le m
5° Hémiplégie et aphasie gono¡'1'héique. - Il s'agit d'une jeune femme de vingt ans, infectée par son mari et atteinte s
6° Observation d'acromégalie traitée à l'extrait de corps thyroïde. Femme de vingt-quatre ans, atteinte d'acromégahe-type.
i récupèrent leur mobilité, la malade se remet aux fins ouvrages de femme , porte encore son alliance. Apparaît alors l'am
quelques causes célèbres, l'auteur rapporte l'histoire d'une jeune femme , fort riche, d'une éducation parfaite, de la pl
ar la famille, estima que l'allégation de folie eu égard à la jeune femme , ne serait pas acceptée par un jury ordinaire,
goûté de la REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 479 femme par des excès, ou lorsque de détestables pratique
e deux à trois heures. L'enseignement en com- mun des hommes et des femmes ne lui parait pas dangereux. Dans son asile les
- vait jadis et on trouve encore maintenant, un certain nombre de femmes employées dans les quartiers d'hommes. Uamerow
rs. L'encom- brement étant toujours plus accusé dans le service des femmes , c'est celui-ci que nous avons visité. « Nous
s, 2° série, t. II. 32 498 faits divers par les hommes et par les femmes . Signalons en passant l'em- ploi d'infirmières
, par A. Cullere, I. - Nocturne, par de Jlartts, 457. ? MOE chez la femme , par illelge, 318. Infectieuses. Influence de
38 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
VERRIEST. (jours. de Neurolo- gie, 1900, n° 25.) Il s'agit d'une femme de quarante ans, non syphilitique, qui était at
Soc. de Méd. mentale de Belgique, décembre 1901). Il s'agit d'une femme de trente ans qui, à la suite d'un allaite- men
epen- dant toujours leur volume normal. On ne constata chez cette femme aucun stigmate d'hystérie ni de neurasthénie; i
Eu égard à la fréquence des deux névroses, principalement chez les femmes , qu'une coïn- cidence puisse exister, est génér
i l'apparition de la maladie dans le sexe féminin (4 hommes, pour-1 femme ) tandis que depuis quarante ans, les auteurs la
s pas des gens qui passent devant sa cellule reconnaître ceux de sa femme . Inégalité pupillaire, diminution de réaction d
nement d'Es- thonie, vivaient un vieillard de soixante ans, avec sa femme de cinquante ans, son fils Jacques avec sa femm
xante ans, avec sa femme de cinquante ans, son fils Jacques avec sa femme et un enfant à la mamelle, son fils Jean (vingt
veillait le berger en lui commandant d'aller chercher le père de sa femme qui avait été assassinée : lui-même, debout, en
se plaignant son mari, - sur le plancher était étendue sans vie la femme de Jacques dont le cadavre occupait le lit fami
tion du tissu cellulo-graisseux. Dans un autre cas, il s'agit d'une femme de trente ans atteinte d'une hypertrophie du tiss
ire comme signe pronostic. M. DuFOUR communique l'observation d'une femme dégénérée et débile, âgée de trente-quatre ans,
ringomyélie à forme radiculaire. MM. IIUET et GESTAN présentent une femme de quarante-cinq ans atteinte de syringomyélie;
turbation périodique. M. Maurice Bloch rapporte l'observation d'une femme qui pré- 92 SOCIÉTÉS SAVANTES. sente des cris
y LEeESLE. Robert d'Arbrissel, fondateur de l'abbaye d'hommes et de femmes de Fontevrault partageait le lit des reli- gieu
ibilité et sur la motilité, survenues brusquement, ou bien chez des femmes manifestement névrosées ou bien chez des hommes
t d'accident. Rien à signaler chez les collatéraux. 11 a épousé une femme bien portante mais n'en a pas eu d'enfant. Anté
stalla un appareil de Motchoutkowsky et se faisait suspendre par sa femme . KJ de 1 à 3 grammes par jour. Le malade prés
RTIN. (Tlie Ame- ricain Journal of lnsanity, 1900, p. 589-592.) ; Femme de cinquante ans avec hérédité chargée; toujours
ès à se livrer à des pro- fessions fatigantes. Je viens de voir une femme de soixante-cinq ans qui, sans avoir jamais sub
nnel. Traitement hypnotique d'un cas de névrose t1'émulante chezune femme de soixante-seize ans. M. FARTEZ rapporte un
ment sénile, mais en réalité de nature hystérique, survenu chez une femme de soixante-seize ans et guéri en quelques séance
N. VERSJLOFF. Un cas d'ucronzégalie. L'observation a trait à une femme âgée de trente-trois ans. Le début de la maladi
à Culey-le-Patry, canton d'Harcourt, profitant d'une absence de sa femme , a mis fin à ses jours en se pendant à une fenêtr
Belgique. Un terrible drame vient de se dé- rouler à Courcelles. La femme d'un ouvrier mineur nommé Syl- vain Pourbaix, é
endit le dernier soupir que quelques instants après. Interrogée, la femme G... répondit en riant que sa victime n'était p
ccidentelle, sans préoccupation. Un dernier exemple : l'abord d'une femme m'est une épreuve. Je ne redoute pas la femme :
emple : l'abord d'une femme m'est une épreuve. Je ne redoute pas la femme : j'en ai fréquenté plus qu'il ne faut pour êtr
Et pour- '192 ' CLINIQUE NERVEUSE. tant, si je veux accoster une femme , il me faut réunir, concentrer mes forces volon
voeu déjà émis qu'elles soient entreprises dans un grand service de femmes aliénées. Les malades s'y prêtent volontiers ;
, il n'en a relevé que 12 cas, dont 9 chez des hommes et 3 chez des femmes . Pour expliquer cette rareté de la paralysie gé
'y remédier. SDION. XII. Trois cas de paralysie générale chez des femmes jeunes; par W.-L. Worcester. (The american jour
ux soins des siens et à sa fortune, jusqu'à ce que le meurtre de sa femme attirât l'attention sur lui. Le premier article
limite de la folie, où le moindre heurt suffit à les faire verser : femme de vingt-trois ans, faisant de la confusion men
nouvel accès délirant à l'occasion d'appendicite. L'enfant de cette femme , âgé de quatre ans, fait lui-même des phénomène
souvent associées aux époques de la vie, particulièrement chez les femmes : puberté, maternité. En cette fin de siècle, o
t si compliquée, il n'est pas étonnant qu'une grossesse apporte aux femmes des troubles du système nerveux : gêne physique
erveux : gêne physique, gêne mondaine, souvenir de ses ennuis si la femme n'est plus primipare, complications, craintes d
rd transitoires, arrivent à troubler tout à fait sa vie. Il y a des femmes au contraire qui ne se portent bien que pen- da
la puberté. Un tableau analyse 60 cas. La plus grande paitie des femmes qui deviennent folles par gros- sesse le font p
de questions portant sur les organes de la reproduction. Sur 187 femmes examinées dans ce but, 80 ont été trouvées avec
Hallucinations cleristopatiques de la crucifixion. Observation : femme de trente-deux ans, après insomnies et fatigues n
oc. de méd. mentale de Belgique, juin 1901.) .) Observation d'une femme de trente et un ans, ne présentant aucun des st
eut obtenir de renseignements sur l'hérédité. Observation II. Une femme couchée dans un hangar à foin éprouve tout à co
, çà et là, reparait chez des illettrés. Ainsi en était-il de cette femme qui, à l'intérieur de son corps entendait la vo
son directe de la grandeur de la ville et de la séquestration de la femme . Dans les villes de l'Asie moyenne et chez les
femme. Dans les villes de l'Asie moyenne et chez les nomades où les femmes sont libres, les batcha sont rares. A Beyrouth
ont rares. A Beyrouth l'auteur a vu un établissement comprenant des femmes usées de Riga et de Varsovie faisant d'autant p
HOLOGIE MENTALE. 237 I Le batcha, danseur. chanteur, acteur, à demi femme par le cos- tume et les manières, qui, dans les
iter à paepostera ses désirs qu'il satisfait normale- ment avec ses femmes . Par contre, il est des batcha qui veulent lutt
Les uns tombent dans les bas-fonds sociaux ; les autres forment des femmes à la pédérastie. aux débauches, et en sont les so
- nérative. Le développement de la civilisation, la liberté de la femme et son égalité sociale, voilà les remèdes. La pre
fortune aux rivages transcas- piens, il n'y put d'abord trouver de femme . Il dut se satisfaire avec les jeunes garçons d
elle des rapports normaux, si bien qu'il lui proposa d'en faire sa femme légale. 1'. hen.wnr.. XXXIV. Délire par introsp
asmodique . M. CES TAN rapporte l'observation avec autopsie de deux femmes atteintes de psammome de la moelle qui ont pu -
but avait été assez rapide, mais la marche très lente et les deux femmes avaient présenté la paraplégie spasmodique complè
sthénie générale avec hypotonie. MM. Dupré et PncnEz présentent une femme de trente-huit ans, qui a été traitée sans succ
faire mordre, se faire frapper, serrer, sans aucune douleur, cette femme marche mollement comme les myopathiques ; elle
suggestion hypnotique. · M. PAUL FAREz rapporte l'observation d'une femme detrente - cinq ans atteinte de constipation op
ait atteinte de toxicophobie. Par crainte d'être empoisonnée, cette femme en était arrivée à refuser toute espèce de nourri
ion ne furent suivis d'aucun résultat; à la cinquième séance, cette femme tomba dans un sommeil profond et, au bout de de
e fossoyeur àAnchy (Savoie), s'est introduit dans le cercueil d'une femme qu'on venait d'en- terrer et y a été surpris pa
les intes- tins par morceaux. (Bonhomme Normand, 10 octobre). Une femme Julie Labrot, cinquante ans, de la Beaume (Ardè-
ugier chez des voisins. Quand ceux-ci arrivèrent, ils trouvèrent la femme ' Labrot riant aux éclats à côté du cadavre. (B
à la campagne près de parentes qui formaient un cercle de vieilles femmes . J'étais heureux et content de m'en faire aimer,
ù elle indique alors un pronostic très grave, spécialement chez les femmes . Son origine est obscure, non toujours la même,
ite du cerveau au niveau des ascendantes gauches. Il s'agit d'une femme atteinte d'une récidive d'un cancer du sein .op
phénomènes inflammatoires ( ? ). En revanche elle existait chez une femme de quarante-six ans, qui présentait une bléphar
taires dans leur famille et que la mère d'un poète est toujours une femme intelligente, tandis que « le fils d'une femme bê
ète est toujours une femme intelligente, tandis que « le fils d'une femme bête est toujours bête ». Il en conclut que le
ièse syphilitique laquelle se manifesta par une fausse couche de sa femme non contaminée. Du délire de Grossesse. M. To
idée de grossesse est rare chez l'homme, elle est fréquente'chez la femme . On la rencontre plus fréquemment chez les para
ssesse dans les formes dépressives de la folie. On voit souvent des femmes être prises de cette idée au moment de la pério
rossesse plus ou moins avancée. M. Sérieux a dans son service trois femmes ayant des idées de grossesse : l'une.est une pe
il y a eu de la céphalée. 1 J. Babinski. J'ai récemment observé une femme qui, comme le malade de M. Souques, a'souf'ei t
spiratoire cona- pliqué citez une malade aliénée. Il s'agit d'une femme , âgée de cinquante-huit ans, aux antécédents hé
ement délivré. - L'assistance DES aliénés en ALGERIE. « Une brave femme d'Algérie, dit VAuron du 31 janvier a mis deux
ants : une fille de treize ans, un garçon de deux ans et demi. Sa femme meurt le 30 mai 1888 ; à partir de cette époque,
malade par le chagrin éprouvé par ce dernier lors de la mort de sa femme . La paralysie générale évolua très rapidement,
arents. « Il ne sait plus ce qu'il dit ni ce qu'il fait, déclare sa femme lors de l'enquête, il ne veut plus manger et di
asme paralytique le 29 mai 1899. Notons que sur ces entrefaites, sa femme , atteinte de paralysie générale après l'interneme
tteinte de para- lysie radiale dont l'étiologie est complexe. Cette femme s'était endormie dans la position classique et
sont ici multiples et qu'il faut invoquer : Il l'alcoolisme; cette femme était alcoo- lique ; 2° l'hystérie ; elle avait
hies localisées ; par H. Liepmann. (neural. Centralbl., XIX, 1900.) Femme de soixante-quatorze ans, atteinte de démence sén
te postinfluenzique, chez une 390 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1 femme de cinquante-quatre ans. Elle a débuté par le seg
. (The American Journal of lnsanity, 1901, p. 625-639.) Une jeune femme , sans tare héréditaire, bien élevée, sans défauts
nah Hancox étendue sur le côté gauche, sur le bord du palier, et la femme Grainger agenouillée sur elle, et avec une incroy
urut deux heures . . après. Elle était consciente et déclara que la femme Grainger l'avait attaquée sans que rien pût lui
nées intéressantes : il la disproportion entre les hommes et les femmes au point de vue des crimes (139 hommes et 26 femm
s hommes et les femmes au point de vue des crimes (139 hommes et 26 femmes ) ; 2° la disproportion entre lés crimes contre
avec intention homicide 111 (dont 90 par des hommes et 2t par des femmes ) ; b) sans intention homicide (viol, etc.) 6, tou
. Crimes contre la propriété : 48, dont43 par des hommes et par des femmes ). 11 est à remarquer que bien que l'épilepsie s
us les auteurs sensiblement plus fréquente chez l'homme que chez la femme , la différence de proportion est infiniment plu
de cet homme et ses conséquences. Mais qu'un homme, et surtout une femme , ait la -conviction qu'un acte sera suivi de ré
quents d'infanticide avec l'ins- tinct maternel si puissant chez la femme ? C'est ce qu'examine ' REVUE DE MÉDECINE LÉGAL
nnent plus et tous leurs actes sont devenus irrésistibles. » « La femme qui a caché sa grossesse et tue son enfant au mo-
té de ses relations restées cependant à l'état de rêves. Et devenue femme , elle se persuada que l'homme qui la possédait
droit, Confusion mentale " et mélancolie. \I11. Dupré et IIElTz. Femme de cinquante-quatre ans, sans antécédents éloig
Dans toutes ces reproductions on voit un homme chevauché par une femme le menant à coups de fouet, ce qui est bien la fi
eu ancien qui consistait en ce que un joueur devait transporter une femme sur son dos, et qui s'appelait « le Cheval d'Ar
p. 100; enfin que les hommes sont trois fois plus atteints que les femmes . Le diagnostic doit se faire avec l'arthrite défo
Il y a, a-t-il dit, dans le Royaume-Uni 00,000 personnes, hommes et femmes , qui se gri- sent tous les jours. L'Armée du Sa
pporte le fait suivant : Les journaux autrichiens racontent que. la femme d'un paysan de Nemet-Saroslak en Carinthie, ali
non plus de stigmates de la grande névrose. Il En résumé, voici une femme de quarante-trois ans, qui a contracté la syphi
441 ( 'Diagnostic - Messieurs, des attaques d'épilepsie, chez : une femme qui paraît avoir contracté la syphilis, il y a
lioration a suivi cet essai de traite- ment mixte. Donc, chez une femme de quarante-un ans, dont les anté- cédents path
s lésions cérébrales diffuses que nous supposons exister chez cette femme , et je vous ai promis de vous en fournir la pre
e, la seule qui nous laisse encore quelques chances de guérir cette femme , en admettant que sa maladie soit bien une cons
famille. L... est marié, père de quatre enfants bien por- tants. Sa femme n'a jamais fait de fausses-couches. L... a eu l
s une communication à la Société de bio- logie. Il s'agissait d'une femme chez laquelle les temps de réaction simple et d
s plus tard de la paralysie générale tandis qu'apparaissent chez la femme les premiers signes d'un tabes préparalytique.
ment et le malade mourut dans le gâtisme le 27 septembre 1896. Sa femme , âgée de quarante ans, couturière. Sans antécéden
78, il eut deux enfants actuellement vivants et bien portants. Sa femme l'a quitté il y a quinze ans pour se livrer à la
attribuent son état aux nom- breux chagrins qu'il a éprouvés. Sa femme , âgée de quarante ans, ménagère, sans antécédents
x, vingt et un, dix- neuf et onze ans. Depuis un mois, déclare sa femme , il n'est plus comme avant, il a commencé par ê
ique avancée. Il se cachectise, gâte et meurt le 22 mars 1897. Sa femme , âgée de quarante-neuf ans, ménagère, sans antécé
es congestives. attaques épileptiformes. Mort le 10 mars 1807. Sa femme , âgée de trente-trois ans, ménagère, sans antécéd
tion, gâtisme, cachexie, mort deux ans et demi après l'entrée. Sa femme , âgée de quarante ans, ménagère, sans antécédents
lité des époux et l'évolution si intéressante des accidents chez la femme : tabes préparaly- tique nous semblent bien sig
la syphilis est moins cer- tain, encore que l'on doive y penser. La femme qui vécut quinze années dans des maisons de tol
ture, a-t-il été contaminé ? Avant de le quitter définitivement, sa femme se livrait déjà à la débauche; a-t- elle été in
pparition des troubles cérébraux chez le mari. i. L'affection de la femme est attribuable aux chagrins et à la misère .
re enquête attribue l'apparition de la paralysie géné- rale chez la femme . Dans aucun de ces cinq cas, l'apparition delà
ie, enfin dans les observations IV et V le départ du mari laisse la femme dans une misère qui paraît avoir joué le plus g
, IV, V. Dans l'observation II, tout nous permet de croire que la femme a été prise la première. Le mari est mort le pr
Le mari est mort le premier dans les observations I, III, IV. La femme est morte la première dans l'observation V. Rap
e dans l'observation V. Rappelons enfin que dans l'observation I la femme présenta des signes de tabes plusieurs années a
tit entrainée loin de la clinique; ensuite elle aperçut une vieille femme laide qui l'insultait tout le temps, en la mena
ler et qui travaillent effec- tivement. Les ateliers d'hommes et de femmes fournissent un tra- vail évalué à 27 000 francs
quarante ans dans 21 asiles, pour les hommes, et dans 17, pour les femmes . Sur 97 établissements de langue allemande, 0 s
nternement, ne seraient pas aussi fréquents dans cette catégorie de femmes , d'après M. Graz, que semblent l'admettre les a
lles. (Le Petit Parisien du 11 novembre 1901). . VARIA. 531 ' Une femme trouvée morte. Ces jours, derniers M. Brunet, cul
abourant un champ près du hameau de Gourry, trouva le cadavre d'une femme que M. Dolpierre, demeurant dans le voisinage,
par M. Legrand, d'Heudreville-sur-Eure, pour être sa belle-mère, la femme Buisson, demeurant dans la même localité et âgé
arante-trois ans. Ne jouissant pas de toute sa raison, cette pauvre femme s'échappait souvent du domicile conjugal et ren
d et d'inanition. (Progrès de l'Eure, du 31 décembre 1901.) te La femme Auguste Gilles, quarante-un ans, demeurant rue de
l'intention d'en finir avec la vie. Dans les poches de la pauvre femme , on a trouvé une croix, un chapelet et un billet
porta deux coups, l'un au sein, l'autre au bras droit. La pauvre femme tomba, baignant dans son sang, pendant que Mlle
- rale, par Marandon de \Ionty'el, 217. Trois cas de - chez des femmes jeunes, par Worcester, 219. L'étiologie de la -
39 (1892) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 7
endres et en fumée, pourquoi il incommode chaque jour par ce moyen sa femme et ses enfants, pourquoi il altère sa santé peut-
s haschischéens. Dans un moment donné, je m'imaginai être une jeune femme , et qui plus est, une jeune femme enceinte, encei
donné, je m'imaginai être une jeune femme, et qui plus est, une jeune femme enceinte, enceinte et sur le point d'accoucher. E
lâcher quelques gaz... Je souffre horriblement ! El pendant que la femme de mon ami me demandait ce qu'elle pourrait bien
complexes du plaisir et de la douleur. Lombroso. — La sensibilité des femmes , normales, aliénées ou criminelles. M. F. W. H. M
rielle, jeunes époux, viennent me trouver : le mari endort souvent sa femme qui serait sujette à des crises extatiques. Pou
xtatiques. Pour faire une expérience, je prie le mari d'endormir sa femme et prends leurs tensions vitales avant l'opératio
les époux contractés, nerveux, Att 2/0 pour le mari, Att 5/0 pour la femme , changer de formule pendant la période de rapport
entendre. A peine rentré dans son logis, il raconte l'aventure à sa femme qui, déjà, sommeillait. A son tour, celle-ci fr
te fois ça vient de dessous son lit. — As-tu entendu ? fait-il à sa femme apeurée. — Quoi ? — Le reniflement. Ils prê
... Ils tressaillent. — As-tu entendu, cette fois? — Oui, fait la femme ; c'est sous le lit. Z... se lève tremblant, all
évelopper chez lui use hallucination de l'ouïe, l'a provoquée chez sa femme par suggestion. Voici un autre fait bien plus c
prétendre qu'il n'exerçait pas ta médecine. L'une de ses clientes, la femme N.... est devenue folle à la suite des passes qu'
fluide magnétique; qu'il est malheureusement certain que cette pauvre femme , très faible d'esprit, a éprouvé, à la suite de v
tre internée dans un asile d'aliénés; qu'à chacune de ses visites, la femme N... a pavé la somme de un franc à titre de rémun
n franc à titre de rémunération ; « Considérant que de son côté, la femme G..., déclare avoir, dans l'année 1891, fait cinq
, puis ajoutait : « cela ira mieux »; qu'à chacune de ses visites, la femme G... a payé une rémunération de trois francs: «
elle. Les symptômes de l'anesthésie sexuelle et de l'uranisme de la femme n'ont été traités que d'une façon sommaire, d'abo
ans. Guérison par remploi du miroir rotatif et de la suggestion. La femme M.., âgée de soixante-trois ans, entre à l'hôpita
une seule séance de sommeil provoqué au moyen du miroir rotatif. La femme F..., âgée de vingt-quatre ans, entre à l'hôpital
lire et de travailler. Observation v. — Hémichorée hystérique. La femme C... âgée de quarante-six ans, entre à l'hôpital
notisme au moyen du miroir rotatif. Cette observation a trait à une femme D..., âgée de vingt-neuf ans, mariée depuis cinq
sujet de sa paie: se croyant fruste dans ses droits et songeant à sa femme et à tes enfants, il entra dans une violente colè
mais il me fut répondu : « Quand on n'est pas capable de « faire une femme , on se met religieuse. » « Je me révoltai alors
t marqué. Tous les chemins menant plus ou moins à Rome, celle jeune femme allait à ta phtisie par la dénutrition, par la mi
e Psychologie experimentale. C'est une observation recueillie sur une femme atteinte de monosanie impulsive vers le suicide,
die a été recueillie dans le service de M. Charcot. ?me D..., jeune femme de trente-quatre ans, d'un tempérament nerveux, m
une mauvaise plaisanterie, et en voyant le désespoir de cette pauvre femme , les voisins coururent chercher le mari qui se po
ulpice était mis en émoi par un cas pathologique extraordinaire : une femme habitant une maison près de l'église se levait en
es épreuves décisives faites au moyen de courants électriques, que la femme en question se trouvait réellement actionnée par
as-fonds de Constantinople. (1) Tresse et Stock, éditeurs, Paris. Femmes turques, grecques, arméniennes et levantines prêt
Seulement, pour la grande minorité des individus, notamment chez les femmes tres suggestibles. cette sug-gestibilité peut fac
ise; on le salue quand il passe. C'est un fou mari et un bon père. Sa femme Catherine, qui ne se doule de rien, l'adore, cl s
rcher, les reins courbés.) Tu es fou!... Ecoute, tu seras riche... ta femme et ton enfant n'auront plus besoin de rien... Le
riche!... (Le bruit de la sonnette s'approche rapidement. Une jeune femme se couvre la figure de son tablier, d'autres déto
!... (Il se précipite en avant et frappe avec une sorte de rage.) Une femme . — Ah! Mathis, se redressant. Il se penche et r
ait d'un assassinat et d'une tentative d'assassinat sur un mari et sa femme . La femme périt, le mari en réchappa. Mais quel é
ssassinat et d'une tentative d'assassinat sur un mari et sa femme. La femme périt, le mari en réchappa. Mais quel était l'ass
occasion de traiter par la suggestion, Mlle B.... Agée de trente ans, femme intelligente, ayant dirigé comme religieuse un se
Un pharmacien « à la conscience large », selon l'expression de celte femme , lui en vendait tant qu'elle voulait, au prix de
ontre-suggestion. M. Gorodichze. — J'ai donné des soins à une Jeune femme hystérique qui était atteinte à la fois de vomiss
été signalés a toutes les époques. L'anecdote si connue des jeunes femmes et des filles de Milet remonte à la plus haute an
eurs auteurs parlent d un transport de même nature qui saisissait les femmes de Lyon et les portait à se noyer. Esquirol rappo
utres auteurs racontent l'histoire d'une communauté très nombreuse de femmes qui se trouvaient prises tous les jours, a la mêm
universalité, car tout le couvent y tombait à la fois. Chacune de ces femmes se mettait à imiter le cri d'un chat ; de sorte q
apeau marron. Est prévenu d'un doubla assassinat. Il voyage avec sa femme , Alphonsine Tardy, âgée de trente ans environ, as
her résolut aussitôt de se défaire de ce témoin gênant, et aidé de sa femme qui s'opposait à ce qu'il tuât sa seconde fille,
sommeil chloroiormique. Dans le premier cas, il s'agit d'une jeune femme , une Anglaise, qui, dans le cours d'un accoucheme
mari. Il faut saroir que peu de temps après son mariage cette jeune femme était devenue folle et que son mari avait dû l'in
e kitsàne-tsüki « possession par les renards », cl frappe surtout les femmes M les jeunes filles, principalement celles des ba
et tout à fait différente de ta voix naturelle de la malade. « Les. femmes presque seules, et surtout celles de ta basse cla
oï le. Elle guérit; mais, pendant sa convalescence, elle entendit des femmes causer entre elles d'une autre femme qui avait un
onvalescence, elle entendit des femmes causer entre elles d'une autre femme qui avait un renard et qui ferait tout son possib
taux. Il était en train de pratiquer une dangereuse opération sur une femme . Le docteur qui, malgré son grand âge, est animé
rès guérison confirmée : c ... Je puis vous dire que la santé de ma femme , physiquement et psychiquement. est meilleure qu'
ous la direction du Dr B..., dont j'avais entendu dire grand bien (ma femme pesait alors 37 kilos!). M. B... prit immédiateme
. Le mari m'en informa; je lui répondis que dès que je reverrais sa femme , tout cela s'évanouirait. En effet, dès le soir m
eu bas, ne vit que d'illusions! La foule se compose en majorité de femmes , paysannes pauvres ou d'accoutrement modeste, lis
it des épis d'un champ de blé courbés par un vent d'orage. Toutes ces femmes haletantes, effrayées, sont prétes à défaillir, e
et puissant metteur en scène qui maîtrise cette foule fait enlever la femme hystérique, et tout rentre bientôt dans le calme.
l'anxiété des spectateurs est au comble. J'ai observé a ce moment des femmes absolument sidérées par une sorte de terreur reli
nts aujourd'hui : voici un calice, un « poignard corse, un collier de femme des Andes fait avec les os de son enfant « et la
et la mâchoire d'un autre entant, porté en guise de bracelet par une femme c de la Nouvelle-Guinée. « Tous les département
les désirs c de l'amour, les instruments pour défendre la pudeur des femmes et assurer la « chasteté. les engins malthusianis
ress qui ont été faits pour donner à certaines parties du corps de la femme on profit favorable a certains de no* désirs psyc
posé la question suivante : « La loi défend-elle l'accouplement des femmes entre elles ? » A quoi M. Lewin a répondu que l
éritait d'être rapprochée de celles de M. Bérillon. Il s'agit d'une femme de trente-sept ans, mère de cinq enfants, qui, ap
ssions diverses (1). On ma, du reste, raconté le fait suivant : Une femme depuis longtemps malade et découragée, vint à Lou
ntrer à Lourdes un de nos plus distingués confrères, accompagné de sa femme , je demandai à celle-ci de vouloir bien me commun
la grotte. Nous sommes arrêtés par une voiture barrant la route. Des femmes l'entourent en criant. Nous voyons un religieux b
des piquets. II y a là, nous semble-t-il, des centaines d'hommes, de femmes cl d'enfants, les bras en croix, suggestionnés, f
e les ex vota, mais tans attention soutenue. Là encore j'aperçois une femme déposer une lettre sous le socle d'une statue de
st de nature psychique, car elle ne se manifeste qu'en présence d'une femme . Lorsqu'il est seul, il est susceptible d'avoir d
sa naissance jusqu'au moment où la maladie présente a commencé, cette femme n'a eu aucune maladie grave. La menstruation seul
nze ans après le début de la maladie, Mlle Coirin chargea une vieille femme de Nanterre de faire pour elle une neuvaine au to
de l'Académie de médecine de New-York, c'est la première fois qu'une femme docteur est appelée, par un vote, à présider une
nous sommes livrés pour la recherche des antécédents, l'examen de la femme de E..., nous ont permis de reconstituer l'histoi
ins au lycée ou a la chambrée. Il a toujours recherché la société des femmes » caractère efféminé loi-méme, très porté sur l'ac
corps raidi, en sueur et tremblant (d'après ce que nous a raconté sa femme ). Ajoutons que, depuis la puberté, c'est un mas
fois par nuit, même depuis son mariage, quelquefois même auprès de sa femme . Première tentative de suicide. — Quelques Jour
tresse, il ouvre brusquement la fenêtre et enjambe l'appui,mais cette femme , très vigoureuse, le saisit par l'autre jambe et
uatrième tentative. — Quelque temps plus lard, il habite avec la même femme à Sainte-Marie du Pornic Dans une nouvelle disput
ement. Cinquième tentative. — Dans la même localité et avec la même femme , se promenant sur le môle, auprès du phare, au mi
étiséé pour que tu l'aies aimé aussi vite ». Mme E... est une jeune femme brune, petite, aux veux vifs, au regard mobile: d
Septième tentative. — Une grossesse survient, le travail de la Jeune femme est pins difficile, ils se rapprochent alors des
ant son gendre. Lassé de l'existence, E... tente de s'empoisonner. sa femme le surprend et lui fait entendre raison. Acte i
nt, et ma belle-mère s'étant complètement emparée de l'esprit de ma femme , 1 empêchait de coucher avec moi, de peur que n
e enfant ; il fallait nous cacher. Je vojais sourent les jeux de ma femme rougis de larmes et Je souffrais moi-même des r
que Je mangeais, ce que coulait l'enfant, ce que l'on faisait pour ma femme m'était reproché; ils ne nous avaient jamais parl
oché; ils ne nous avaient jamais parlé des trois mille francs de ma femme et nous n'osions pas les réclamer. « Ma belle-m
s réclamer. « Ma belle-mère, devant moi, se faisait soutenir par ma femme et c'est ne a sachant comment sortir de cette sit
restaient à faire. Je ramassai le laudanum et bientôt je sus que ma femme avait tout raconté à ma belle-mère qui lui avait
m étant amer, il vomit sur sa bavette presque tout te reste. Alors ma femme rentra, me vil et, effrayée, appela sa mère, on
atériellement, par tous les témoignages; quant au mobile du crime, sa femme l'attribue à un sentiment incexplicable, la belle
on trouva dans ceux qu'il quittait la lettre suivante, adressée à sa femme : « Baraques, neuf heures du soir. Joséphine,
plus, il nie avoir jamais éprouvé de sentiment de jalousie envers sa femme , qu'il aime et dont il se sait aimé. Soumis à l'h
pas ce qu'on pense de lui, la peine qui l'atteint, la crainte que sa femme ne l'aime plus - pourquoi cela serait-il ? il ne
ais fait de mal — mais bien de savoir si sa belle-mère permettra à sa femme de vivre avec lui ; elle est si méchantel Ajouton
douloureues. Rêves étranges. Voyages dans l'espace en compagnie de ma femme , et lorsque j'étais éveillé, grâce an privilège q
re le pot de fer. Lundi. — C'est honteux. Je le sais J'ai cédé ! Ma femme était venue me voir hier et j'avais l'esprit plei
permissionnaire de la nuit qu'une fois par semaine, je ne verrais ma femme qu'une fois par semaine; a l'hôpital, je suis ass
ilieu d'influences extérieures je ne m'appartiens plus. Si j'avais ma femme chaque jour, en un mot, si je couchais chez moi,
la bientôt d'une façon plus calme de ses relations avec la mère de sa femme , et envisagea de sang-froid la possibilité d'une
, E... fut autorisé a sortir de l'hôpital pendant quelques heures. Sa femme vint le chercher et ils sortirent ensemble. L'ent
enteur dans ses mouvements. E... reçoit fréquemment la visite de sa femme et de son enfant, et ne semble avoir aucun sentim
oser pour la réforme. Rendu a la vie civile, B.... accompagné de sa femme et de son enfant, a regagné Nantes. a la fin de j
ulation avec moins de danger pour sa santé et plus de plaisir pour la femme , dont les premiers organes seront frappés par un
comme les maris débonnaires portent ht peine des gredineries de leurs femmes , toi, tu endosses la responsabilité de tout le ma
dans le plus pileux étal. • Les Orientaux, qui connaissent mieux la femme que nous, t'ont défendu contre la calomnie qui l'
uels il croyait avoir des relations avec sa mère, sa sœur et d'autres femmes proches parentes. Les réflexes rotuliens sont exa
uses. Le malade a passé la plupart de sa vie au Brésil. La mort de sa femme et de son enfant lui ont causé beaucoup de chagri
40 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
six malades. A la clinique de Halle, par exemple, il y, a, pour 56 femmes , une surveillante en chef et 1 Sommer. Un appar
W. J. VINCENT. {y/te Journal of 31ei2tal Science, juillet 1897.) Femme de trente ans, mariée ; malade depuis un an ; irr
uve de plus que cette maladie a changé d'aspect. Observation III. Femme de cinquante-six ans, sujette depuis son adoles
dix cas de mort après l'emploi du sulfonal, survenus tous chez des femmes . R. M. C. V. L'habitude considérée comme un é
cas. Etiologie. La fréquence plus grande de cette maladie chez la femme et à l'âge moyen de la vie est un fait constant.
us les caractères de l'infantilisme et du myxoedème, et une vieille femme atteinte de la maladie de Parkinson. Sur deux c
onnels. Il nie la syphilis ; il a trois enfants bien portants et sa femme n'a pas fait de fausses couches. Il faut signal
yle rhyzomélique survenant contrairement aux cas habituels chez une femme et une femme âgée. Y a-t-il pure coïncidence en
que survenant contrairement aux cas habituels chez une femme et une femme âgée. Y a-t-il pure coïncidence entre les deux
com- munique deux cas ayant présenté cette particularité : 10 Une femme ayant présenté un urticaire thoracique sans cau
s, sous prétexte de les guérir. Il avait même voulu les couper à sa femme . Conduit devant le com- missaire de police, il
développé, tandis que B... est né chétif et très petit. - 4° A... femme R..., trente-six ans, démence primitive avec idée
rescence surtout chez G... et B... fils de phtisiques; V... et A... femme R... frappés de démence primitive ; B... imbéci
fications cou- rantes. · Sur les 71 cas examinés (26 hommes et 45 femmes ), il y en . avait 25 (8 hommes et 17 femmes) où
aminés (26 hommes et 45 femmes), il y en . avait 25 (8 hommes et 17 femmes ) où la substance chromophile présentait la disp
planche. Il. DE MlJSGI1.AYE CLAY. IX. Hyperthermie nerveuse chez la femme ; par LEVEN. (Revue de médecine, mars 1000.)
900, n° 15.) L'observation contenue dans ce travail est celle d'une femme de. trente-neuf ans, chez laquelle s'est dévelo
s cliniques; la vieillesse ne prédispose pas à la neurasthénie. Les femmes sont plus fréquemment atteintes que les hommes.
den- tiques l'un à l'autre, diffèrent par cette circonstance que la femme , tout en se disant morte n'accuse personne de s
lo, Brésil) rapporte l'obser- 186 SOCIÉTÉS savantes. vation d'une femme âgée de quarante ans, atteinte d'une hyperhi- d
fois que survient une émotion ou un choc normal quelconque. Cette femme a été guérie après cinq séances de suggestion hyp
ins sen- timents affectifs chez des enfants, des jeunes filles, des femmes , des maris. Ces cas soulèvent des problèmes de
améliorations qu'il a obtenues, grâce à la psychothérapie, chez une femme de cinquante-sept ans qui, persécutée-persécutr
dans un cas de pendai- son, dans un cas d'asphyxie, l'examen d'une femme enceinte, ou l'examen d'un aliéné. Ce dernier c
t pour son-travail est intéressante- à connaître : Il s'agit d'une- femme de vingt-cinq ans; qui; à la suite d'une chute
s médecins assis- tants) et 55.877 malades (30.358 hommes et 25.519 femmes ). Établissements privés : 120 avec 182 médecins
s : 120 avec 182 médecins et 18.210 malades (11.483 hommes et 6.727 femmes ). Soit en tout 2G2 établissements consacrés aux
nés, avec 741 méde- cins et 74.087 malades (41.841 hommes et 32.248 femmes ). II y a donc pour 100.000 habitants, 154 malad
let 1897.) Ce travail est basé sur 43 observations (21 hommes et 22 femmes ), les auteurs sont amenés à conclure que dans l
ste entre quelques tics et l'épilepsie. La première est celle d'une femme qui présentait depuis son enfance à certains mo
s les deux races, les hommes ont été beaucoup plus atteints que les femmes . On n'a pas trouvé d'indices de contagion direc
crises; la menstruation, les maladies de l'appareil génital chez la femme sont encore des causes déterminantes. Il faut c
ge oculaire surtout s'il existe des anomalies de la défraction. Les femmes sont plus souvent atteintes que les hommes ; le
; les enfants et les adultes y sont également exposés, mais chez la femme les paroxysmes apparaissent souvent avec la pub
- intoxication. Il. de 1\IusGnAVE-C : vr. - XXIX. Chorée chez une femme enceinte; par J.-W. Geddes et Aidons Clincii. (
idons Clincii. (The Journal of Mental Science, octobre 1898.) Jeune femme de vingt-six ans, enceinte de six ou sept mois,
ose de composer, c'est la psychologie de l'amoureux criminel, de la femme délaissée, de l'assassin par jalousie, du meurtri
n amour, la séduction et l'abandon, la jalousie, l'adul- tère de la femme , le pardon, la vengeance du mari, l'adultère du
le développement du nervo- sisme, la protection insuffisante de la femme . Il étudie, dans les trois chapitres suivants,
ance dont l'entouraient son gendre et ses petits-enfants, la pauvre femme a réussi à quitter sa chambre pendant la nuit d
don, s'est noyée dans une mare voisine de son habitation. La pauvre femme , qui avait cinquante- sept ans, avait le cervea
décembre rapporte le fait suivant : Vers huit heures, ce matin, une femme âgée d'environ qua- rante-cinq ans se présentai
vait absolument besoin. M. D..., qui prétend ne pas connaître cette femme , les lui refusa. Entrant aussitôt dans une viol
rs une heure du matin et, s'armant d'un poignard, il en a frappé sa femme , profondément endormie. Cette malheureuse est m
l de Lannion (Côtes-du-Nord) a condamné à treize mois de prison une femme Boussougan, domiciliée à Coatréven, qui après a
31 janvier 1901.) Ivrognerie de L'ENFANCE. Ces jours derniers, la femme Jouy, journalière, rue du Pont-Percé, à Verneui
illejuif. ' Petit (G.). Accès répétés d'épilepsie survenus chez une femme de soixante et un ans après un ictus apoplectiq
Calédonie d'où il est revenu il y a trois mois. Il descend, par les femmes , de Denis Papin. [Son père, soixante-trois ans,
intégration. Réflexions I. Du côté du père, qui « descend par les femmes » de Denis Papin, nous n'avons à relever, au poin
ticaux », Charcot et Pitres citent entre autres l'observation d'une femme qui mourut à quatre-vingt-un ans d'un cancer du
uteur ont porté sur quatorze cerveaux d'hommes et seize cerveaux de femmes . Les régions cérébrales choisies pour cette étu
la substance grise est de 1039 pour les hommes et de 1032 pour les femmes . Pour chaque région étudiée, on trouve une étro
fique légèrement inférieur à celle de la substance grise. Chez la femme la seule région où la substance blanche et la s
ère, faisant étendre la main droite de ce dernier sur le pied de sa femme , et le leur recommandai de faire grande attention
ébarrassé de son bandage, mon expérience objective me dit que cette femme était perdue et allait mourir. Si je cédai à ce
des malades examinés se compose de 1014 sujets, (507 hommes et 507 femmes ) : ces recherches ont eu surtout pour but de pr
rales. L'autre groupe, plus important, ren- ferme 376 hommes et 408 femmes . Pour éviter toute confusion, les chiffres donn
on vienne soit du père soit de la mère. ' . Chez 64. hommes et 22 femmes , -la maladie mentale a paru résulter directemen
puerpérale est proportionnellement beaucoup plus fréquente chez les femmes à prédisposition héréditaire que chez celles qu
l'impulsion au suicide; · 4° Les organes génitaux, surtout chez la femme , ont a. l'égard du poison alcoolique une suscep
cin de la division des hommes, et Paris, médecin de la division des femmes . Ces rapports contiennent de nombreux tableaux
nne pas de renseignements sur l'augmen- tation de la population des femmes ni sur le cubage de ses salles, mais il est pro
décès, 23 aliénés étaient atteints de paralysie gêné) aie; pour les femmes dont 7 seulement ont suc- combé à cette affecti
e 12 ans après le début de la folie, un peu plus longtemps chez les femmes que chez les hommes. La paralysie générale fait
ndit une ptemiere fois, puis une seconde; on fonde.des quartiers de femmes toujours dans le même esprit; les travaux domes
des hommes pouvaient trouver avantage en effet à être faits par des femmes , mais celles-ci sont choisies ayant passé le re
se papillaire guérie par la trépanation. M. B : 1BINHf présente une femme qui. en tombant de bicyclette s'est violemment
e présente que des altérations minimes. Le second cas a trait à une femme présentant tous les signes d'une tuberculose pu
liorations qu'il a obtenues, grâce à la ps3-clrotliérapie, chez une femme de cinquante-sept ans qui, SOCIÉTÉS SAVANTES. 3
u cervelet. Haié- faction des cellules de la corne antérieure. 3° Femme , hémiplégie droite (de naissance), attaques épile
malades ; à l'heure actuelle, il y a 429 malades, 240 hommes et 183 femmes . Ainsi que je l'ai répété bien des fois avant d
rté six coups.de son arme sur la tête. Il s'est ensuite jeté sur sa femme , âgée de vingt-six ans, et l'a frappée avec. ia
fant, dit-il à cette personne. Je viens de tuer mon beau-père et ma femme ; et maintenant je vais en finir avec la vie. -
6, rue Amelot, prenait, il y a deux mois à son ser- vice, une jeune femme , Maria Régnier, âgée de trente ans. Il y a quel
teau, doué d'une force peu commune réussit à maîtriser la pauvre femme qui a été transportée à l'infirmerie du Dépôt. (L
s familles d'Alger. Jeudi matin, vers sept heures, Mmo Descombes, femme d'un officier d'administration de l'intendance, a
age, improvement. The médical News, 1894,vol.LRV,n°45,p.395).-Une femme de trente-cinq ans avait fait une chute sur la ré
ière attaque d'épilepsie. Dans les onze années qui ont suivi, cette femme n'a eu que deux nouvelles attaques, puis leur fré
épression de la paroi, dans la région du sillon de Ilolanclo. Cette femme a été opérée le 20 octo- bre 1890. On lui a exc
cine mentale; Par le D' Alexandre PARIS, Médecin du service des femmes de l'asile d'aliénés de Marévillc-Nancy. Comme
vions à chaque instant à réduire des hernies crurales (service de femmes ) résultant de l'agitation, de cris, etc. ; chaque
iand. (Revue de Psychiatrie, décembre 1809, n° 12.) 11 s'agit d'une femme frappée à 26 ans d'un ictus apoplecti- forme su
, 1900.) ' .... Cas d'hémiplégie hystérique à droite chez une jeune femme de vingt-huit ans, guérie par la suggestion hyp
. (The Neto Yorls Médical Journal, 4 mars 1899.) . OBSERVATION I. Femme de cinquante-cinq ans, se plaint d'une sen- sib
névroses fonctionnelles dans leurs relations avec les maladies des femmes ; par H.-J. BOLDT. (7'Ae New York Médical Journ
érébrale sur les autres parties de l'organisme. La malade était une femme de 43 ans, sur laquelle pesait une lourde hérédit
Journal of 31ental Science, juillet 1899.) Ce cas, observé chez une femme de 45 ans, présente quelques particularités int
dérés comme guérissables, Elles paraissent plus fréquentes chez les femmes que chez les hommes (64 contre 31). Quatorze fe
uentes chez les femmes que chez les hommes (64 contre 31). Quatorze femmes avaient en même temps des hallucinations sexuel
s et 47 fem- mes) : le nombre des décès a été de 25 (18 hommes et 7 femmes ). Encore les chiffres ci-dessus sont-ils probab
n 1686. Cas de béribéri parmi les aliénes 107, dont 31 hommes et 76 femmes ; et parmi le personnel de l'asile 7, en tout 11
rmi le personnel de l'asile 7, en tout 114. Décès : 2 hommes et six femmes pas de décès dans le personnel)-En 1897, pour u
opulation moyenne de 1 800 per- sonnes, 246 cas dont 45 hommes, 193 femmes 2 infirmiers et 6 infir- mières. Décès : 3 homm
, 193 femmes 2 infirmiers et 6 infir- mières. Décès : 3 hommes et 8 femmes . En 1898, 12 cas, tous chez les femmes avec 4 d
ières. Décès : 3 hommes et 8 femmes. En 1898, 12 cas, tous chez les femmes avec 4 décès. La mort survient généralement par
juillet 1899.) Cette épidémie a frappé 54 malades (26 hommes et 28 femmes ) et 23 ont succombé. Le bacille rencontré chez
bilité d'une contracture de la langue. M. Afinorrelate le cas d'une femme âgée de trente-deux ans, ancienne syphilitique,
armerie de Dives-sur-Mer a été appelée à constater le suicide de la femme Anne Le Corre, ménagère à Cabourg. Cause : déra
formel d'un autre versement de 100 francs. Un drame de la folie. La femme Eugénie Rougier, âgée de trentre-quatre ans, de
ter secours à l'enfant. Au moment où il mettait le pied à terre,'sa femme saisit un bol de vitriol qu'elle avait préparé le
ra probable- ment aveugle, a été transporté à l'hôpital Tenon et sa femme diri- gée par les soins de M. Girard, commissai
ais surtout débauché, remarié un mois après avoir perdu sa première femme ; mort à cinquante ans par suicide (coup de fusi
présenta du mal aux lèvres qu'on supposait avoir été pris avec une femme , et il était recommandé de ne pas boire après l
t atteint de pellagre, doublée d'une syphilis qu'il communiqua à sa femme avant la naissance de Victor. La pellagre le co
rouve, bien qu'à un degré moindre, dans la paralysie générale de la femme , comme dans celle de l'adolescent, explique com
e, son père mourut de la variole en l'année 1898. Sa mère est une femme jeune, bien développée, de tempérament tranquille
ait commencé à ' Le syndrome de Lille : par H. Cestan. Paris, 1899. Femme de cin- quante-six ans entre à la Salpétrière a
ande chez les hommes aux larges surfaces ai Liculaires que chez les femmes . Il n'est pas nécessaire de faire appuyer forte
commencé nos recherches chez les épilepti- ques. Sur cinquante-deux femmes observées tant en état de mal que dans des mome
ux, nous avons obtenu le résultat suivant. Vingt malades (hommes et femmes ) atteints de paralysie générale vraie, mais san
dé de cette façon dans un cas en mettant notre esprit en éveil. Une femme âgée chez laquelle on avait signalé des excès a
ORD l'isucr. (llie Journal o' lletztal Sei,îice, avril 1898.) Jeune femme de vingt-six ans atteinte de folie puerpérale ave
la médication thyroïdienne qu'après toute autre médication; 28° Les femmes paraissent plus susceptibles d'amélioration par
cessaires pour ne pas se blesser avec leurs outils ? Est-ce que les femmes employées à la buanderie ne prennent pas soin d
passagères et peu abondantes. L'erreur, dans ce cas, concernant une femme très nerveuse, est d'autant plus surprenant qu'
es , névralgiques dans leur ensemble frappent plutôt l'homme que la femme ; les formes abor- tives dominent exclusivement
ue la femme ; les formes abor- tives dominent exclusivement chez la femme , tandis que les formes transitoires ou aiguës s
tions personnelles. J. Séglas. LVI. La démence organique chez la femme hystérique ; par A.-L. Ltocuuucuma (06u : .rnni
. Ltocuuucuma (06u : .rnninsicliutrit, IV, 1899.) Observation d'une femme de 28 an=. Hérédité. Caractère hysté- rique, sy
es personnes intelligentes et assez instruites pour leur condition ( femmes de fermiers). La troisième soeur qui a guéri ch
transformeren auto-accusation, comme dans, l'exemple suivant : une femme avait la crainte de frapper les per- sonnes qu'
hner, etc., qui n'ont rencontré aussi cette affec- tion que chez la femme . M. Marie a dans son service un homme atteint d
ut-elle quelquefois passer inaperçue. M. LANNOIS a vu récemment une femme chez laquelle une para- lysie radiale réalisait
opie et de légers troubles pupillaires. 11 est aboli aussi chez une femme que présente M. Babinski. Celle-ci a eu des cri
ts est composée pour un nombre de 5 309 aliénés (300 hommes et 1809 femmes ) : 524 BIBLIOGRAPHIE. - 100. les musulmans, 0
), qui donne pour les célibataires 01.7 p. 100 hommes, 51, 9 p. 100 femmes , et pour les mariés) 34, 4 p. 100. D'après Hage
partient aux hommes de vingt et un à quarante ans (38 p. 100 et aux femmes de seize à quarante ans (28,4 p. 100). De tous le
vue étiologique se rappor- tent aux 474 malades (360 hommes et 108 femmes ); 212 malades (14G hommes et G6 femmes) présent
4 malades (360 hommes et 108 femmes); 212 malades (14G hommes et G6 femmes ) présentaient une tare héréditaire, soit 44,70p
c.,3,)p.100. L'émotion a produit plus de cas d'aliénation parmi les femmes -BIBLIOGRAPHIE. 525 (3*,4p. 100) que parmi le
atisme et les fatigues intellectuelles se rencontrent peu parmi les femmes . La syphilis figure comme cause étiologique exc
ennent une place assez importante parmi les causes d'aliénation des femmes (13,7 p. 100). L'hérédité est en majeure partie
nation, l'hystérie et l'épilepsie se rencontrent davantage chez les femmes ; l'alcoolisme, la tuberculose et l'apoplexie chez
maladies nerveuses se rapporte à 286 malades, dont 537 hommes et 49 femmes . L'âge qui donna le plus de malades fut celui d
. 100), les émotions (7 p. 100), la grossesse tt les mala- dies des femmes (1,6 p. 100), onanisme (0,8 p. 100), fatigue inte
ral Idiosyncrasie a l'égard du , par Wilcox, 485. Chorée chez une femme enceinte, chez Gerides et Clinch, '.)59. - hé
-, par fleudon, 325. Démence précoce, par Sprague, 330. - chez la femme hystérique, par Lioubouschine, 493. DÉPRA%,%'
unes émollve, par Jaquarche, 183. Hyperthermie nerveuse chez la femme , par Leven, 141. IhPNO-Mi'.iRONOME, par l'au de
41 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
rnier, se présentait à ma consultation externe de la Salpctrière, une femme âgée de 36 ans, atteinte de neurasthénie et de qu
ès grande). Cet état durait depuis deux mois, époque h laquelle cette femme avait perdu une fillette. Je lui prescrivis des d
rivis des douches et un régime tonique. Huit jours plus tard, cette femme revint à la consultation, mais avec des phénomène
jour entier, étaient survenus à la suite d'une contrariété que cette femme avait eue avec son mari. Il y avait eu une ébauch
hute, ni perte de connaissance le jour môme de la discussion. Cette femme était très bien portante avant la mort de sa fill
chands, commis, ouvriers, paysans. Je n'ai soigné qu'une vingtaine de femmes et je ne peux en dire rien de particulier. Les ma
s de cartes, tantôt des sportsmens passionnés, tantôt des amateurs de femmes , enclins à s'oublier à tout propos et à s'adonner
ésie, laquelles'emmagasine, pour ainsi parler, dans l'esprit de cette femme qui est une névropathe héréditaire. Un beau jour
mesure ma malade, l'ouverture du ventre étant une perspective que la femme s'est habituée sans doute de nos jours à envisage
ut une grande sainte parce qu'elle ne fut pas une grande courtisane : femme d'une grande beauté, d'une intellcctualité éminen
Impossible de satisfaire « nos désirs ! » Quand la fillette devint femme , cette transformation s'accompagna de symptômes n
scellé dans le mur. II passa plusieurs années sans regarder « aucune femme et il me disait que s'il les voyait c'était comme
se précipitaient inconscients dans la mêlée, entraînant avec eux des femmes et des enfants. Tout cela tend à expliquer la r
précisément provoqué ce retour en se suggestionnant elle-même. Une femme , mère de deux enfants, l'un de 11 ans, l'autre de
mplation de l'idéal. Nous pourrions prendre ainsi successivement la femme du monde, élégante et raffinée, et l'ouvrière hab
m'a paru assez intéressant pour vous être rapporté. Il s'agit d'une femme de 30 ans dont la constitution grêle est due pour
e jour. Par contre il est remarquable de constater que chez cette femme si sugges-tible le milieu dans lequel elle vit n'
avait pas eu l'occasion d'analyser les urines n'ayant pas vu la jeune femme pendant son dernier mois de grossesse. Je me re
est abandonnée à elle-même, elle ne lait que croître. Je connais des femmes qu'on n'a pas soignées et qui, mariées, mères de
is. Le second cas est celui de Massarri L., âgée de 42 ans, mariée, femme de ménage, admise à l'asile le 21 juin 1896. Sa
nt de l'admission, les règles sont suspendues depuis deux mois. Cette femme a toujours souffert de troubles hystériques qui s
maladie intercurrente. En dernier lieu il ne faut pas oublier que la femme M... est une hystérique et on sait que ces malade
ie ; il n'est pas de bains où on ne pratique cette opération; les femmes y recourent pour le moindre trouble utérin. Le
ONFÉRENCES Hystérie et ménopause [*). Par M. le P' Raymond. Cette femme a 52 ans. Sa mère était une triste et avait de gr
y a deux ans, les crises convulsives ont reparu. Aujourd'hui, cette femme présente une analgésie totale absolue. Les divers
ilité pour faire des diagnostics différentiels. Actuellement, cette femme présente encore un autre phénomène curieux. La nu
ble à des piqûres de puces était spécial au mal comitial ; chez cette femme il s'agit seulement d'un accident hystérique. L
(Luc, XIII, 11), il s'agissait d'une manifestation hystérique car la femme était possédée d'un esprit qui la rendait infirme
s fièvres symptomatiques comme celles intermittentes. II guérit une femme malade d'une perte de sang depuis douze ans (Mat
estament {Rois, II, IV, 8-37). Elisée pour ressusciter l'enfant de la femme de Sunein employa des procédés médicaux et fit la
u plutôt la léthargie par suggestion. Pierre fait périr Ananias et sa femme pour les punir de ne pas avoir donné tous leurs b
ené prisonnière une petite fille du pays d'Israël, et elle servait la femme de Naaman. Et elle dit à sa maîtresse : Oh! si mo
le est l'effet d'hallucinations collectives des apôtres ctdes saintes femmes . Plusieurs fois déjà les disciples avaient été ef
psychique doit être vraisemblablement écarté; il est certain que des femmes indifférentes à l'idée de grossesse ont pu à tort
l'occasion de « cette dernière confidence, je constatai chez la jeune femme une idée « fixe qui la dominait complètement, cel
é constamment. Je constatai tout à coup un grand changement « chez sa femme que je voyais deux ou trois fois par semaine, ell
ternité. v Nous devons nous défier particulièrement, dit Pajot, des femmes parvenues à l'âge de 30 à 40 ans et qui n'ayant j
nir compte en troisième lieu d'un violent désir de maternité chez une femme approchant du terme de la vie sexuelle, chez une
es derniers phénomènes entretiennent l'émotion subconsciente. Cette femme , d'autre part, dès l'âge de 12 ans, rougissait à
mé les troubles de la sensibilité et décontracturé les muscles. Cette femme , au contraire, est sur les frontières de l'aliéna
t. Guérie par la foudre Les journaux autrichiens racontent que la femme d'un paysan de Nemet-Saroslak, en Carinthie, alit
-1900.) (3) Vies, III, 268. ventre plus gros que la plus grosse femme toute prête d'accoucher » (*)'. On envoya la ma
se trouvait, en 1656, entre les- (1) J'a! observé pour ma part une femme atteinte de tympanite hystérique qu'on eût dit au
ades d (Mat. XIX, 2). On ne pouvait l'approcher facilement : telle la femme cananéenne qui importune les disciples. Ceux-ci d
upes de cénobites, vivant du travail de la terre. Il n'y avait pas de femmes parmi eus ; il n'y avait pas non plus d'esclaves
appel aux seules Ressources de la suggestion. Je fais donc à cette femme une bonne séance d'électricité statique ; je lui
in de conserver leur vertu, les premiers Pères de l'Eglise, fuyant la femme , se sauvèrent au désert. Le xr* siècle à son décl
lème. Robert d'Arbrissel, abbé fondateur de l'abbaye d'hommes et de femmes de Fontevrault, entrait courageusement dans le li
tentation de les posséder, a en aiguisant ses sens contre un corps de femme , il remportât plus a haute victoire sur eux par l
avec lui de partager les deux sexes et de lui laisser le « choix des femmes pendant qu'ils se chargeraient des hommes. « On
rès o du feu afin de chauffer ses pieds. Il se vit bientôt entouré de femmes a persuadées qu'il n'était venu que pour goûter l
de Florence. Nous en détachons le passage suivant : « Il y a quelques femmes avec lesquelles c vous êtes toujours de bonne hum
rature (par exemple de 37° (1) Los médecins pourraient suggérer aux femmes enceintes des marques d'an genre bien défini, mai
au moins, parfaitement sains. Il n'a jamais pu les reproduire sur les femmes hystéro épileptiques sur lesquelles il a eu locca
(2). Traitement hypnotique d'un cas de névrose trémulante chez une femme de 76 ans Par M. le Dr Paul Farez M1" V... es
role est trémulante ; il est devenu assez intense pour empêcher cette femme de vaquer aux soins de son ménage et surtout de g
au lit pendant six semaines. La convalescence dura longtemps ; cette femme resta pendant quelques mois débilitée. Six mois
ppel à une hystérie latente. Aussi étant donné ce qu'a présenté cette femme depuis deux ans, son état mental et son hyperesth
ans lorsque je l'ai soignée, je pourrais signaler le cas d'une autre femme , âgée de 70 ans, et dont j'ai eu à m'occuper, il
ribuer à montrer qu'en dehors des enfants, des jeunes filles, des femmes adultes, et même des hommes faits, l'hystérie peu
ut simplement au début de sa ménopause. Le second cas a trait à une femme plus jeune, 33 ans, également remariée et sans en
is suivants. Je la revis au sixième mois; c'était une toute autre femme . Ses forces d'autrefois étaient revenues avec l'e
e dit: a Mes règles ont reparu chaque mois, mais je sais que bien des femmes continuent à voir pendant tout le cours de leur g
de ses amis, médecin, mais qu'il ne me nomme pas, après examen de sa femme , lui aurait affirmé la grossesse. Puis il m'ajout
affirmé la grossesse. Puis il m'ajouta : d'après ce que ressentait ma femme la nuit dernière, il est bien probable que vous s
chez la seconde, après mon intervention, a fait naître chez ces deux femmes une espérance qu'au début la raison n'avait aucun
tifs de mon examen. Cependant, il est à remarquer que chez ces deux femmes une sorte de mauvaise foi existe..Elles sont conv
abdominaux, entretenant ainsi du météorisme, seule manière chez cette femme plutôt maigre, de donner à son ventre la forme vo
nu peu à peu à l'état normal. L'imagination a donc eu chez ces deux femmes une réelle influence jusque sur la participation
at de veille, fit presqu'aussitôt reparaître les règles chez ces deux femmes . Les fausses grossesses nerveuses ne sont pas t
en sont pas aperçus. Peut-il, en pareil cas, y avoir, comme chez la femme qui désire un enfant, un phénomène suggestif? C'e
qu'elle n'avait fait qu'imiter ce qui se fait dans son pays, pour les femmes en situation analogue. Hypnotisme de degré diff
ro-traumatisme W par le M. Professeur Raymond I Le cas de cette femme est très intéressant parce qu'il soulève une doub
jet commence ce que Charcot appelait la période de méditation : cette femme envisage le danger qu'elle a couru,... et elle s'
stion si débattue de la résistance aux suggestions. Il s'agit d'une femme âgée de 35 ans. C'est une hystérique qui a eu, ja
entre chez lui vers six heures du soir, dine, puis se met à écrire;sa femme vient regarder au-dessus de son épaule -et lit: «
pas que tu couches avec moi ; va te coucher avec ta mère ! a Mais la femme partage néanmoins le lit de son mari et, fatiguée
n remplit chaque soir, avait été amenée au milieu de la chambre. La femme revient rapidement à elle. Le mari reste pendant
e un réchaud de charbon. Quand on force sa porte, on trouve cette femme dans le coma, en train de râler. On constate quel
tait arrivé à oublier le nom de sa rue. D'autre part, un homme et une femme décident de se suicider par l'oxyde de carbone; l
homme et une femme décident de se suicider par l'oxyde de carbone; la femme meurt; le mari survit, mais on l'accuse d'avoir v
t; le mari survit, mais on l'accuse d'avoir voulu donner la mort à sa femme ; il se défend mal, on l'incarcère, il va passer
les tribunaux, la question des magnétiseurs, en faisant poursuivre la femme Blin, et c'est-au Syndicat d'Angers que revient l
abandonnés par les médecins. Le Dr Ledrain raconte qu'au procès de la femme Blin, il a vu défiler un grand nombre de témoins,
ts du nouveau marié s'aperçoivent qu'on a omis de convier une vieille femme , laquelle passait pour sorcière dans le village.
se d'aller la chercher, afin qu'elle vienne assister à la noce. Cette femme ne tarde pas à se rendre au repas; maislabonne hu
sa culpabilité ; chacun affirme qu'il était nécessaire de tuer cette femme , laquelle devait avoir des relations avec de mauv
l'hystérie de la nièce. Réglée à 15 ans, mariée à 16, notre jeune femme est veuve à 17 ans et, peu après, elle perd son e
alité. Pour qu'un sujet arrive à un état tel que celui de cette jeune femme , il faut que la suggestibitité existe avant la su
que d'autres événements sont venus diminuer sa mentalité. * Cette femme a 26 ans. Elle porte un bandeau sur les yeux. Et
ental; c'est une question de transformation de la personnalité. Cette femme a fait de l'algie des yeux, avec crainte de cécit
son enfance. Vient me consulter à deux reprises en avril 1900. Cette femme a perdu il y a quatorze mois un fils unique âgé d
des règles. Par le sang menstruel, en dehors de la ponte des œufs, la femme , surtout la jeune fille, se débarrasse de toxines
du cours : la Puberté Mardi, à 9 h. — Salle Cruveilher — Maladies des femmes . Mercredi, à 9 h. — Salle des consultations spéci
u'il soit le moins psychas-thénique possible, ¦ ¦ Voici une jeune femme de 22 ans qui, depuis sept mois, présente de gran
de ces morsures. Cette zoopsie fait penser à l'éthylisme. Or cette femme est très sobre. D'ailleurs l'examen détaillé
r. * Il l'hypnotise en effet et devient son amant. Voilà donc cette femme prise entre ces deux hommes, chacun d'eux lui fai
es de limiter leur action. Ainsi ballottée de l'un à l'autre, cette femme a eu des idées de persécution; tout le monde lui
de lui veut du mal. Elle a fait de la folie hystérique. Cette jeune femme est entrée dans nos salles; l'action néfaste de s
peutique. Pour terminer j'insiste sur ce point : le délire de cette femme ne doit pas être mis sur le compte d'une psychose
la suggestion, par Jules Voisin, p. 13. Névrose trémulante chez une femme de ÎG ans (Traitement hypnotique d'un cas de), pa
42 (1907) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 22
omon, lorsqu'il proposa de diviser en deux tronçons l'enfant que deux femmes se disputaient, savait qu'il avait recours à un p
artenaient à la haute aristocratie prussienne : le comte Kanitz et sa femme , le comte de Finkenstein et sa femme entre autres
ussienne : le comte Kanitz et sa femme, le comte de Finkenstein et sa femme entre autres. Mais l'université de Kœnigsberg com
le mysticisme ; elle était, d'après Ebel « la lumière ». La deuxième femme était la comtesse de Salken, une jeune fille très
ine : elle représentait « l'obscurité ». La troisième était la propre femme d'Ebel, dont il ne faisait pas grand cas. Elle re
iciers, des membres du gouvernement, des juges, etc., tous avec leurs femmes , une société digne d'être décrite par Huysmans.
té. Quand le grand-prêtre Ebel prenait son bain, il avait toujours 10 femmes du grand monde autour de lui, lesquelles le serva
nd Ebel sortit de la maison correctionnelle, il trouva a la porte une femme qui l'attendait depuis sa détention pour vivre av
en lui comme Madeleine dans le Christ. Et, notez-le bien, c'était une femme d'intelligence, de caractère, comme le raconte le
s harems, c'est qu'il n'y avait jamais de scène de jalousie entre ces femmes accoutumées depuis des générations à la monogamie
veau Messie jusqu'à sa mort. La domination psychique d'Ebel sur cette femme ne chancelle pas un moment. Il n'y a qu'une cho
essivement variées ; elles peuvent exister chez l'homme comme chez la femme mais elles sont beaucoup plus fréquentes chez cet
uses incurables. Ces causes se rencontrent chez l'homme comme chez la femme . Ces causes sont d'abord le manque absolu d'un or
ons longtemps. Ce serait une erreur de croire qu'il n'y a que chez la femme qu'il peut exister des troubles de la circulation
Ces troubles peuvent aussi se présenter chez l'homme comme chez la femme . Chez l'homme, un appauvrissement quantitatif e
vraie cause de leur stérilité. Les troubles des sécrétions chez la femme peuvent aussi être causes de la stérilité ; ils s
e des muscles éjaculateurs et l'atonie musculaire générale. Chez la femme , nous rencontrons l'atonie et la paralysie muscul
u habituelle. Les troubles de cet ordre, chez l'homme comme chez la femme , ne sont presque toujours en somme que des manife
ord nous trouvons l'érotomanie chez l'homme et la nymphomanie chez la femme . Si nous voulons examiner avec soin l'hérédité de
sont dus à des actions réflexes trop peu connues. Il existe, chez la femme , des relations étroites entre la glande thyroïde
en effet que la glande thyroïde, normalement plus développée chez la femme que chez l'homme, augmente de volume pendant la m
nt ignorer, c'est qu'il existe une action réciproque. Surtout chez la femme , une action exercée, directement sur les nerfs du
pas comme une maladie et l'on n'en recherche même pas la cause. La femme stérile est pourtant une véritable malade ; non s
ent lui-même la cause d'une véritable maladie psychique. En effet, la femme stérile sent qu'elle ne remplit pas le rôle qui l
et grossesse nerveuse (l) par M. le professeur Raymond. Voici une femme de quarante-trois ans, dont l'histoire clinique e
surtout marquées du côté gauche. Il suffît en effet d'examiner cette femme pendant quelques instants pour constater de grand
is par des secousses transversales. Si on laissait le ventre de cette femme à découvert, on verrait, en même temps que les se
sourdre du colostrum. La malade sentait remuer l'enfant, et comme les femmes enceintes, avait des envies bizarres. Elle se pla
ait des envies bizarres. Elle se place donc dans les conditions d'une femme qui va accoucher. Ceci se passait entre octobre
faire radiographier. L'épreuve fut naturellement négative ; et cette femme qui était si heureuse de se savoir enceinte est c
et qui n'étaient que des grossesses nerveuses. En somme, chez cette femme de quarante-trois ans, grande nerveuse, approchan
fira amplement à faire disparaître les phénomènes pour lesquels cette femme vient consulter. PSYCHOLOGIE COMPARÉE Considé
ons sur ce génie. Prononcez polon et penanggalane. (3) Esprit d'une femme morte en couches. Cet esprit tourmente les femmes
. (3) Esprit d'une femme morte en couches. Cet esprit tourmente les femmes en - mal d'enfant et cause la mort des nouveaux-n
esprit, sous la forme de la genette ou civette, tourmente surtout les femmes enceintes et les enfants. (17) Encore un esprit
croient à de pareilles histoires. », Je dessinai alors une tête de femme , les entrailles pendantes au cou. M. Milne ordo
hante les bois, garde les fontaines), Lang souyar (est l'esprit d'une femme impudique morte enceinte). Nous lirons ces noms
alors : « Ecoutez, Monsieur, l'histoire de la Penanggalan. C'est une femme qui pratique la Magic noire à laquelle elle croit
orps en est tout brisé. La Penanggalan se plaît à sucer le sang des femmes en couches ; aussi, lorsqu'il y a dans une maison
sang des femmes en couches ; aussi, lorsqu'il y a dans une maison une femme en mal d'enfant, a-t-on coutume de suspendre à la
ue sorte le père ou la mère du Polong selon que c'est un homme ou une femme . Tous les jours il faut ainsi le nourrir de son
g. La personne possédée du Polong, que ce soit une jeune fille, une femme mariée ou un homme, crie sans savoir pourquoi. El
l en est qui veulent se faire aimer, d'autres cherchent à séduire une femme , d'autres désirent forcer les gens à obéir à tout
unissaient par centaines, les assemblées étaient surtout composées de femmes et d'enfants. Les mécréants et les rationalistes
ie gagnait toute l'assemblée. « L'esprit opère ! » criaient hommes et femmes , et tous se jettaient sur le sol, battant des mai
l'esprit divin. Puis la frénésie saisit toute l'assistance. Hommes et femmes comme dans un accès se jettent sur le sol en batt
tes et les dépose sur l'estrade en signe de renonciation, de même des femmes enlèvent leurs chapeaux. « Ce ne sont que soupi
ntes ou apparentes ; symptômes nerveux des foules ; public composé de femmes ou d'enfants, cerveaux crédules, suggestifs, dépo
ncèrent qu'en Espagne, dans la province de Burgos, à Villacienzo, une femme venait de se réveiller d'un sommeil qui durait de
nt même où on lui annonce un héritage de sept mille francs ; de cette femme dont les accidents cessent brusquement lorsque, d
s pour merveilleux. Un exemple ancien et classique est celui de cette femme grecque qui s'endort dans le temple d'Esculape et
u lui perfore l'abdomen d'un coup d'épée : quelque temps après, cette femme présentait effectivement une tumeur de l'abdomen.
nt de blennhorra-gie, traité par M. Stigter, fournit le pendant de la femme grecque ; ce malade rêve une nuit que ses testicu
(de Lausanne) qui nous ont comblés de prévenances et d'amabilités, ma femme ainsi que mol. Vous apprendrez avec plaisir que
u beau idéal. Ils nous livrent également de véritables grotesques : femme le nez exagéré proémine en bec de perroquet. To
ysé. Un autre exemple : Un cultivateur a comme voisine de ferme une femme atteinte d'une affection médullaire qui la met da
nter et régulariser leurs fonctions génésiques. La maladie de cette femme a succédé à la peur d'étouffer en buvant ; elle a
acheteur, rouler, demi-nus, dans les ruisseaux. Et parmi eux sont des femmes , surtout des enfants. On peut deviner ce que devi
ue, parmi les bourreaux, se trouvaient trois adolescents, une vieille femme , et l'oncle même de la victime ! REVUE DES LIVR
audin à Sceaux avisait deux de nos confrères parisiens que Mme de M., femme d'un peintre connu, leur avait légué à chacun deu
ues est partout confié à des instituteurs particuliers, hommes et femmes , collaborant étroitement' avec des médecins. Le
ssible — ainsi que le souhaite à juste raison M. Emile Martin — à des femmes , la femme ayant des qualités de patience, de douc
nsi que le souhaite à juste raison M. Emile Martin — à des femmes, la femme ayant des qualités de patience, de douceur, de bo
un mot la conscience claire de ce qu'elle est en réalité, une honnête femme au fond, épouse du fils de ces gens qu'elle hait
rait normal. Klg. 4L — La première représentation de pied bol. Sa femme Ati, qui le suit, a un corps d'une longueur exces
ges, etc.), et, sur ce diagnostic, on a bâti force théories. Mais les femmes hushmen ont les membres longs ; elles n'ont p
ase ; et c'est là le diagnostic qui s'impose. Si on compare Ati à une femme achon-droplase adulte, la ressemblance est frappa
Stockolm) dont nous déplorons la perte toute récente. Il s'agit d'une femme de 46 ans. Pendant son sommeil hypnotique, on lui
. Rappelez-vous le cas cité plus haut de Szol-lôsy ; il intéresse une femme dont les accidents hystériques avaient précisémen
Pleurer devient leurprincipaleoccu-pation. Il C3t des enfants et des femmes qui se mettent à pleurer avec une facilité vraime
'ils constatent que cet acte ne les rend plus intéressants. Larmes de femmes c'est assaisonnement de malice, disait un philoso
t être éclairés par tes causes et les phases dé l'infanticide chez la femme ; est-ce que les femmes qui commettent cet acte s
causes et les phases dé l'infanticide chez la femme ; est-ce que les femmes qui commettent cet acte si monstrueux, et cependa
us avons étudiées chez les animaux ? N'est-ce pas fréquemment chez la femme sinon un instinct de meilleure reproduction de l'
'amour contrarié, l'amour non satisfait. L'amour de l'homme pour la femme , quand il s'est développé sous forme de passion p
la passion d'aimer. ... Si l'impression première, la présence de la femme pour l'homme est nécessaire, cette impression est
y a un peu plus d'un an, des journaux belges annoncèrent qu'une jeune femme de Hoff, en Bavière, s'était réveillée, au moment
pesé sur lui. Ne voulant pas se résigner à vivre obscurément avec ses femmes , il s'ouvrit les veines avec des ciseaux. Sur ces
lacer ses affections, son amour, ses amitiés. L'homme doit aimer la femme , c'est la loi de l'humanité. Toutefois le trava
ises de présenter dans mes leçons cliniques des jeunes filles ou dt*s femmes présentant d'une façon permanente, on pourrait di
ile et suspendue au cou d'un enfant, ou portée comme ceinture par tes femmes enceintes. Elle est également portée contre les m
t n'a d'influence que sur les propres enfants ou petits-enfants de la femme qui s'est servie de ce linge. Ces quelques exempl
eux-ci, dont les pères sont souvent méchants, ivrognes et durs à leur femme , voulaient étouffer celui dont le seul crime est
existence, à l'état permanent, chez certaines jeunes filles ou jeunes femmes , du signe des yeux cernés, donnant à la physionom
stion La Revue médicale signale un fait des plus curieux. Une jeune femme , à qui cinq dents devaient être arrachées, fut ad
plue de 20,000 malades hommes, et pas un seul parmi un nombre égal de femmes aliénées. La démonstration est donc complète et
lus haut degré l'horreur du bruit. Un jour, passant devant un bain de femmes , il trouva qu'elles se montraient trop bruyantes
Sultan-zadch Mahomet, l'écuyer Yousoufet son précepteur Djndji. Les femmes de son harem abusaient de la débilité de son espr
r à chacune de ses favorites le revenu d'une ou deux provinces. Toute femme qui lui plaisait devait tomber en sa possessi
le appliquée à toutes les serrures. Ce que les maris disaient à leurs femmes dans l'obscurité de la nuit lui était plus ou moi
ypnotique, aidée ou non de la métallothérapie. M. Paul Parez. — Une femme a, le jour et la nuit, des crises que l'on prend
habitude qu'ils ont contractée. Au moins 90 0/0 deux, tant hommes que femmes évitent le commerce des personnes qui veulent les
hands de journaux, nègres dans les Etats Méridionaux), dans celle des femmes du demi-monde, dans les rangs des hommes d'affair
anté. Il est heureux de pouvoir constater, écrit-il, que beaucoup àv. femmes instruites, intelligentes et de grand caractère s
sur les avantages que confère un sage maniement de la suggestion à la femme mariée, à la mère intelligente. Alors que les rem
it, pour t'avoir obserué personnellement, l authenticité. Une jeune femme reçoit la visite d'un ami de son mari, qui lui es
alangette, accident d'ailleurs fréquent, et cet ongle obsède la jeune femme . A chaque visite que l'ami fait dans la maison, p
our de quelques mois, chaque fois qu'il vient dîner chez ses amis, la femme ne quitte pas son ongle des yeux, terrifiée à l'i
mari demande à son ami de rester ganté pour calmer les craintes de sa femme . Mais hélas ! la plaque, pardon, la pâte fœtale é
n Cher Confrère, J'ai assez fréquemment l'occasion d'observer chez la femme cette disposition très accentuée à avoir les yeux
43 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
1880 à la réception temporaire des malades du dehors, l'une pour les femmes , l'autre pour les hommes^ Les lésions de l'axe
, provoquer dans l'œil des désordres trophiques très accentués. Une femme de 57 ans, dont l'histoire a été rapportée par Bo
endant à la substance grise, déter-miner l'atrophie musculaire. Une femme , âgée d'environ 70 ans, avait été frappée d'hémip
né l'atrophie d'un certain nombre de cellules motrices. 1. Chez une femme atteinte de sclérose multiioculaire cérébro-spina
d'entre elles avaient même disparu sans laisser de traces. Chez cette femme , les mains avaient offert la dé-formation connue
ès de douleurs fulgurantes spéciales à l'ataxie locomotrice. Chez une femme actuellement en traitement à la Salpêtrière, d'én
constances analogues, des phénomènes encore plus re-marquables. Celle femme , âgée de 61 ans, admise, il y a huit ans, à l'hos
sultats de l'autopsie que nous avons faite, M. Bouchard et moi, d'une femme morte, dans cet hospice, pendant le cours de la p
emière partie, p. 345, 340. locomotrice progressive (1). Chez cette femme , les douleurs pa-roxystiques spéciales avaient ex
directe des lésions partielles de l'encéphale. Ainsi chez une vieille femme atteinte d'hémiplégie, et dont l'histoire a été r
ent de la moelle, survenu sans cause extérieure appréciable, chez une femme de 21 ans, et occupant le renflement lombaire, im
on-formité avec celles de M. Viguès et de M. Joffroy. Il s'agit d'une femme de vingt-un ans qui reçut dans le dos, au niveau
t à fait con-vaincants (1). A ce propos, je mentionnerai le cas d'une femme que j'ai observée récemment à la Salpêtrière. Ell
l'un des genoux devenir le siège d'une arthro-pathie subaigë chez une femme atteinte de paralysie consécutive au mal de Pott.
ues, appartient, si je ne me trompe, à cette même caté- Obs. I, Une femme de 49 ans. qui pendant longtemps avait joui d'une
it, où cette disposition particulière est bien mise en évi-dence. Une femme , âgée d'environ quarante ans, avait été frappée t
ois mois, la tête numérale que je vous présente et qui provient d'une femme chez laquelle nous avons pu étudier le début de
ir le contraste, une articulation du genou, provenant également d'une femme qui avait présenté les symptômes de l'arthropathi
it suivant, que j'ai communiqué à la Société de biologie en 1868: Une femme de la Salpêfrière fut frappée d'apoplexie avec hé
ont étonnés peut-être d'y trouver réunies, en aussi grand nombre, des femmes chez lesquelles le tremblement paraît constituer
'un coup d'oeil superficiel, le phénomène tremblement chez toutes ces femmes paraît identique ou peu s'en faut; une seule chos
es sont au repos et qu'aucune émotion ne vientles affecter, ces mêmes femmes , qu'elles soient assises ou couchées, offrent l'a
donner l'idée d'une véritable paraplégie avec contracture. Chez deux femmes que je vous présentais tout à l'heure, ces membre
ital national des épilep-tiques et des paralytiques de Londres, d'une femme , Ann Phillips, âgée de 47 ans, chez laquelle tous
e de M. Char-cot, couchée au n° 22 de la salle Saint-Alexandre. Getle femme est parvenue à une période plus avancée de la par
, chez les infirmes qui sont incapables de se servir elles-mêmes. Les femmes qui sont chargées de surveiller ces pauvres malad
gent àne pas con-server le moindre scepticisme sous ce rapport. Des femmes de la Salpêtrière, atteintes de paralysie agitant
atoïdes ou névralgiques vagues. Nous pourrions citer à ce propos, une femme que nous vous avons montrée,et dont la démarche r
trée,et dont la démarche rappelle celle des grands pachydermes. Cette femme , qui fabriquait des gaufres, a demeuré pendantplu
ques qu'il cite, trois paraissent relatifs à la paralysie agitante (2 femmes âgées, l'une de 51 ans et l'autre de 61 ans et un
douter qu'il se soit agi, dans ce cas, de la paralysie agitante. La femme d'un de nos confrères de la province, que j'ai ob
e : la paralysie agitante est aussi com-mune chez l'homme que chez la femme . Nous ne possédons pas de renseignements précis
par paralysie agitante, c'est-à-dire en moyenne par an (14 hommes, 8 femmes ). Disons, enfin, que cette maladie figure au cinq
combé, dans le service de M. Charcot, à la sclérose en plaques. Cette femme est entrée à la Salpêtriôre, le 24 septembre 1864
ue ceux-ci sont mis en mouvement par la volonté. Je vous présente une femme chez laquelle le tremblement persiste, depuis de
ent de la paralysie agitante. Vous observerez en outre, chez ces deux femmes , que la tête ne prend point part au tremblement,
s rapportés avec détails dans notre mémoire. Le premier con-cerne une femme nommée Broisat, qui est morte dans le service de
é, durant le siège, dans le service de M. Marrotte. 11 s'agit d'une femme Lcgr.., Joséphine, âgée de 46 ans, dévideuse de s
ux membres inférieurs et supérieurs: l'intégrité de la vision. —Cette femme a succombé à une pyélo-cystite compliquée d'escha
ns relatives aux cas du dernier genre. Le premier fait concerne une femme âgée de 32 ans, atteinte d'une hémiplégie du côté
, paralysie, ainsi que cela se voit généralement en pareil cas. Cette femme était sujette à des attaques épileptiformes. Elle
-tre nerveux, soit dans les viscères. Le second cas est celui d'une femme de 61 ans, atteinte d'hémiplégie droite consécuti
ite consécutive à une hémorrhagïe cérébrale datant de deux ans. Cette femme avait éprouvé déjà plusieurs attaques épileptifor
ois, dès à présent, que la maladie est beaucoup plus commune chez les femmes que chez les hommes. Ainsi, parmi les cas que j'a
d, 16 cas nouveaux, nous avons un total de 34 cas, dont 9 hommes et25 femmes . De ces mêmes documents, il ressort que c'est l
vent celle de certaines institutrices. Voilà pour ce qui concerne les femmes (2). Quantaux hommes, il s'agit pour la plupart d
é de biologie, 1869, p. 107). 4° Enfin,' nous citerons le cas d'une femme nommée Dr.. Hurleuse, chez la-quelle les première
ive ressentie par la malade qui trouva son mari couché avéC une autre femme 1. . général, trop facilement impressionnables,
y est revenu dans son livre bien connu sur les Maladies nerveuses des femmes (1840). Partout ailleurs, si l'ischurie hystériqu
l'imposture d'une lieue. A qui fera-t-on croire, par exemple, qu'une femme puisse rendre par l'oreille, en 24 heures, 2'i00
mis à l'analyse, contenait de l'urée? Et ceci n'est pas tout :1a même femme rejetait simultanément par le nombril un liquide
uefois à admirer la ruse, la sagaci'é et la téna-cité inouïes que les femmes , qui sont sous le coup de la grande névrose, mett
, eux aussi, sont dans ce cas des phénomènes permanents. Enfin, cette femme est sujette à des attaques spéciales, tantôt téta
oui au moins, ne se résolvant qu'à la dernière limile. Ainsi, cette femme , vous le voyez, était condamnée à un repos absolu
aient quelque supercherie. J'avais là la meil-leure police, celle des femmes par les femmes; car vous savez que si les femmes
upercherie. J'avais là la meil-leure police, celle des femmes par les femmes ; car vous savez que si les femmes font des complo
re police, celle des femmes par les femmes; car vous savez que si les femmes font des complots entre elles, il est bien rare q
churie a commencé dès le mois d'avril 1871. Antérieure-ment déjà, une femme , employée au service, qui sondait la malade plusi
encore une thèse de M. Secouel : Des vomissements uré-miques chez les femmes hystériques (Paris, avril 1873). On y trouvera un
ontré, de l'hystérie poussée au plus haut point; et pour que, sur ces femmes frappées d'anesthésie, une blessure par un instru
; pour montrer l'intérêt de cette notion, il a rappelé le cas où une femme , à la suite d'une émotion morale vive, serait tom
partie la plus postérieure du cordon latéral. Cas IV. — Anne B..., femme âgée, morte le 22 février. Elle avait depuis plus
160 malades qui composent la division consacrée dans cet hospice aux femmes atteintes de maladies convulsives, incu-rables, e
re, coupe pratiquée perpendiculairement au grand axe du cadavre d'une femme de 20 ans, supposé couché, et qui passe à2 centim
est resté au-dessus de la surface de section ; d'après cela, chez la femme r.dulte, l'ovaire serait situé à la hauteur et mê
lVw-des sur les maladies de l'ovaire (2), lorsqu'il dit que chez les femmes , dont les parois abdominales ne sont pas trop rés
eur ovarienne, entre autres, chez la nommée Ler... Lorsque chez cette femme l'ovarie venait à prédominer du côté gauche les
parler de 1 liystéro-pp ile\ « ie. Supposons que, chez l'une de ces femmes , l'accès vienne d'éclater. La malade est tombée à
r servir à l'histoire des ovaires el des affections hystériques de la femme . Angers, 1858, p. 168, 169, 4- Van Swietcn. — C
sertir à l'histoire des ovaires et des affections hystériques chez la femme , publié en 1858, ne paraît pas avoir eu d'ailleur
nos malades, la nommé Gen..., dont je vous ai déjà entretenu. 1 Cette femme a pris depuis longtemps l'habitude d'arrêter le d
édée ; ou encore elle présente l'image à peine affaiblie d'une de ces femmes qu'on nommait Jerkers dans les Camp-meetings méth
gé; 2° à 16 ans, elle a été saisie d'effroi à la vue du cadavre d'une femme assassinée; 3° à 16 ans, nouvelle frayeur détermi
érique soit épuisée, ces malades reprendront la vie commune. 1. Une femme sera restée confinée au lit pendant plusieurs moi
'hystérie convulsive n'exis-tait plus que dans les souvenirs de cette femme . Depuis deux ou trois ans, la contracture était l
e manifestation de la grande névrose. 2° Le second cas concerne une femme également atteinte d'une contracture limitée à un
hystéri-ques proprement dites avaient depuis longtemps disparu. Cette femme fût accusée de vol : la contracture qui avait dur
ur nous, à cause de la précision des détails. Ils se rapportent à des femmes , jeunes encore, frappées subitement de contractur
lesquels présen-taient en outre une anesthésie considérable. Chez ces femmes , la guérison était survenue tout d'un coup, au mi
plusieurs années, l'hystérie paraît complète-ment épuisée chez cette femme , et il est devenu fort peu pro-bable qu'aucun évé
en me fondant sur la connaissance d'un fait analogue, que, chez cette femme , il s'est produit, aune certaine époque, une lési
connaître. Il m'est arrivé, en effet, d'observer une fois, chez une femme hystérique, atteinte, depuis une dizaine d'années
auteur de la moelle, les cordons latéraux. A diverses reprises, cette femme avait vu la contracture céder temporaire-ment, ma
psiè. De fait, la forme convulsive, qui s'observe chez toutes ces femmes , est celle qu'on a désignée dans ces derniers tem
-le bien, c'est la seule forme qu'on rencontre chez elles. Toutes ces femmes ne seraient donc pas simplement des hystériques,
r M. Briquet, mérite à ce propos d'être résumé devant vous. Une jeune femme ,épileptique depuis l'enfance, se marie àl'àge de
ans, est sujette à l'hystérie épileptiforme la plus vio-lente. Cette femme est sans doute bizarre, singulière dans ses allur
ndant un laps de temps considérable. Georget cite l'observation d'une femme chez laquelle les accès se sont montrés à peu prè
es, « si c'était de l'épilepsie véritable, il y a longtemps que cette femme aurait succombé. » Cette remarque est parfaitemen
du lit, témoignaient suffisamment des occupations favorites de cette femme dans les temps de répit. Mais je veux surtout s
rua-tion, et, d'un autre côté, je vous présenterai prochainement deux femmes du service, chez lesquelles les crisesconvulsives
ysie agitante, M. Charcot s'exprime ainsi à ce sujet à propos de deux femmes atteintes de paralysie agitante : « Vous observ
présenté à ses auditeurs et interrogé devant eux un certain nombre de femmes hystériques qui présentent très habituellement et
arracher les cheveux, de se déchirer le visage, comme le feraient les femmes éperdues. La force em-ployée dans ces actes est t
i ne nt chirurgien (Loc. cit., p. 57) de voir, par exemple, une jeune femme , dont le doigta été piqué ou pincé, se plaindre p
te le cas d'une malade de son service, la nommée Geneviève L... Cette femme (1), aujourd'hui âgée de trente-cinq ans, atteint
-moigne l'observation suivante empruntée à Brodie. (Loc.cit., p. 58). Femme cle trente ans environ admise à l'hôpital Saint-G
ent graduellement. Il est à remarquer que, deux ans auparavant, cette femme avait éprouvé des symptômes nerveux analogues, à
a Renaissance. Paris, 1873, art. Pèlerinages, p. 433). Une série de femmes , soutenues chacune par deux hommes et précédées p
44 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
d'une statue d'homme nu ou du souvenir obsédant de ces images; la femme nue laisse indifférent. De 5 à 8 ans, propension
t, tel a toujours été la volupté la plus grande pour moi. Quant aux femmes , si belles qu'elles soient, elles n'ont jamais
ile chez moi à la vue de l'homme, n'a pas même commencé. Jamais une femme n'a provoqué en moi la plus petite sensualité.
petite sensualité. J'adore la toilette féminine ; j'aime à voir une femme bien habillée, parce que je me dis que je voudr
r une femme bien habillée, parce que je me dis que je voudrais être femme pour m'habiller ainsi. A l'âge de dix-sept ans,
pour m'habiller ainsi. A l'âge de dix-sept ans, je m'habillais en femme au carnaval et j'avais un plaisir incroyable à tr
s toilettes et de m'entendre parler de ces choses, comme si j'étais femme moi-même. L'amour que j e ressens pour un homme
Déjà au mois d'août, il racontaitqu'ils'étaitaperçuque la vue d'une femme ne le laissait pas indifférent ; en septembre s
s conseils il s'était efforcé de substituer, dans ses souvenirs, la femme à l'image obsédante del'hommenu. Il l'avait ten
ATHOLOGIE NERVEUSE. tance de son esprit, à s'arrêter à l'idée de la femme et ayant même éprouvé une certaine satisfaction
fort qu'il a pu avoir, à plusieurs reprises, des relations avec une femme , éprouvant d'ailleurs les sensations voluptueus
'est ce double fait que toutes ses observations se rapportent à des femmes et que ces dernières présentent un état intelle
l'affection nou- velle : état crétinoïde pouvant subvenir chez les femmes à l'état adulte. L'auteur se borne à décrire tr
e, à la même société, deux nouveaux cas, se rapportant encore à des femmes , dont l'un, suivi d'au- topsie, avait permis d'
l'obser- vation d'une pensionnaire de l'Hospice de la Vieillesse ( femmes ), nommée Madeleine et qui était devenue légenda
rce d'être montrée comme un échan- tillon-type de la maladie. Cette femme avait été prise graduellement d'une bouffissure
c laquelle les impressions morales pénibles peuvent amener chez les femmes des modifications dans le système cutané généra
nne santé habituelle, [qui, péniblement affecté des désordres de sa femme , tombe dans la mélancolie et entre à l'asile ap
ectuelles. La seconde observation de Ch. Inglis se rapporte à une femme de 39 ans, mère de huit enfants bien por- tants
mélancolie avec perver- sion des divers sens spéciaux. Ainsi cette femme trouve à tout une odeur de poudre. Elle présent
ur deux nou- veaux cas de myxoedème. Le premier se rapporte à une femme de 47 ans, bien constituée, admise au mois d'ao
ectricité et des toniques. Le deuxième cas se rapporte encore à une femme , âgée de 46 ans, d'une forte constitution. Bien
ntéressante au point de vue des troubles nerveux. Il s'agit d'une femme de 41 ans. Au premier abord, il semble qu'on a
n longuement rapportée qui forme la base de cette note concerne une femme de li2 ans ne présentant rien .d'anormal parmi
s, de la titubation pendant la marche et à la fois l'attitude de la femme grosse (rejet du centre gravité en arrière), le
paraît avoir été observée plus souvent chez les hommes que chez les femmes . - . - " Si l'on recherche' quelles sont les ma
se servirait de circonlocutions. 1 Mlle Slwortzoff est la première femme qui ait été admise 1 la Société 12zédico-psilch
oq chanter ce pendant qu'elles se appreflent. Jehan Poumet & sa femme Désirée, tous deux sorciers, ont diit par deuan
ent pour les hommes, es mamelles ou es parties hon- teufes pour les femmes , marqués d'un signe auqueldevient la peau infen
état psychique, prenant les gardiennes pour des hommes déguisés on femmes qui voulaient l'assassiner, pous- sant fréquemm
W. Gull pensait que l'affection était propre à l'âge adulte et à la femme . Mais les observations publiées successivement
si la cachexie pachydermique est beaucoup plus com- mune chez la femme et présente son maximum de fré- quence après tr
chagrins domestiques, émotions, fatigues excessives. Chez plusieurs femmes , il y avait eu un nombre consi- dérable de gros
ayant gardé, dit-on, toute sa connaissance ( ? ), jusqu'à ce que sa femme , étonnée de son absence, vint à son aide. Il se
lligence diminuait en même temps que les senti- ments affectifs; sa femme était morte et, néanmoins, il la réclamait non
ne malade observée par M. Taguet' va nous l'apprendre : Cette jeune femme était unie à un mari pour lequel elle res- sent
end quelquefois à admirer la sagacité ou la ténacité inouïe que les femmes , qui sont sous le coup de la grande névrose met
çu des lettres anonymes. C'est que dans ce pays, il y a souvent une femme hystérique au courant des histoires de tout le
ui, pendant quelques années, a ému plusieurs tètes couronnées : Une femme écrit au roi Victor-Emmanuel pour lui dire qu'e
n; comme preuve, elle parle d'une cassette cachée sous le lit de la femme qui lui servait de mère, un jésuite venait voir
t de la femme qui lui servait de mère, un jésuite venait voir cette femme , et un jour cassette et jésuite dispa- raissent
Italie. Elle revient en France où l'on finit par savoir qu'elle est femme d'un coiffeur, et unjourM. Lasègue la voit en p
ais il est plus rare qu'on le pense, et l'on cite bon nombre de ces femmes chez lesquelles la sensibilité génésique est même
et l'on voit souvent dans les hôpitaux éomme dans la clientèle, des femmes qui éprouvent un singu- lier plaisir à se faire
vent en privations inutiles, ou en agitations stériles. Certaines femmes hystériques ont souvent la manie de de- mander
odalités du caractère féminin. On peut même ajouter aveclui que les femmes à vapeurs, sujettes à « avoirleurs nerfs », com
ettes à « avoirleurs nerfs », comme on dit dans le monde, sont plus femmes que les autres femmes. D'autres, au contraire
erfs », comme on dit dans le monde, sont plus femmes que les autres femmes . D'autres, au contraire, n'ont en aucunefaçon e
me opinion exprimée par Louyer- Villermay, qui prétendait que toute femme hystérique est forte, brune, pléthorique, plein
réciable par les appa- rences extérieures ; cette maladie prend les femmes comme elle les trouve, blondes, brunes, grasses
isposition à l'hystérie Il y a d'ail- leurs de par le monde trop de femmes hystériques pour que cette maladie n'atteigne q
ensemble sont d'au moins 8 à 10 p. 100 plus faibles que celles des femmes allemandes en moyenne. Ne pouvant copier les dé
nt caractérisées par des manifestations délirantes pures. Telle une femme de trente ans, indemne de -e 'tout antécédent p
ions de la vue. Deux autres faits concernant une'jeune fille et une femme consistèrent, dans le premier cas, en de la mél
seul exemple de gangrène circonscrite à un doigt. Intégrité de deux femmes jadis aliénées, au milieu de cette épidémie. La
1r, En résumé, les onze cas traités à l'asile (six hommes et cinq femmes de onze à cinquante ans) offrent, pour l'auteur,
tuelle a persisté. R. DE M. C. VIII. Démence aiguë chez UNE JEUNE femme . MORT par PUTHISIE PULMONAIRE, DEUX ANS PLUS TA
de l'hémichorée. M. Bernhardt présente en outre deux malades, une femme de vingt-cinq ans et un homme de ving-sept, att
les indications de Kowalewsky1. Vingt-huit malades, tant hommes que femmes , en ont été l'objet pendant quatre semaines. On
du même nom. Le second exemple, du même ordre, est relatif à une femme de trente-cinq ans, ayant eu dix grossesses, chez
des enfants. Sur quatorze cas, deux fois seulement il s'agissait de femmes . La nature du liquide injecté paraît sans influ
-lombaire symptomatique des affections des organes génitaux chez la femme ; par A. Le Bailly. Thèse de Paris, 1881. Aprè
temps qu'vn certain du village d'Vnau au reffort d'Orgelet amena sa femme en ce lieu, & l'accufoit d'eflre Sorcière,
eudy, comme ils eftoient couchez enfemble, il se donna garde que sa femme ne bougeoit, ni fouffloit en façon quel- conque
ou trois heures, & iusques a ce que le coq chanta : car lors la femme s'efueigla en furfaut, 'Voir le ? 7, p. 115.
na- cez précédemment. Et certes il y a grande apparence que cette femme auoit efté en esprit au Sabbat, par ce première
les Efcheuins d'Vnau, qui affiftoient le mary, aueroyent que celte femme eftoit defcenduë de parens que l'ô fuspeetoit d
elle mefme se greffoit pour VAItlI. 251 1 aller au Sabbat. Eller, femme du doyen d'Ottingen, aduoua qu'elle fuppofoit e
de son démon ; d'autres duppaient leur mary auec des balays. Marie, femme du raccommodeur de Metzer Efch, se feruoit d'un
si toft qu'elle reuenoit à la maifon'. 1. 77 j a au Sabbat plus de femmes que d'homes. Interrogez en iustice, des Sorcier
. Pourtant atteste Bar- bellina Raiel de Blainville es eaux que les femmes s'y treuuent en nombre maieur. La raifon pour
nt en nombre maieur. La raifon pour quoy il y a au Sabbat plus de femmes que d'homes est que en icelles est plus grande
s grande fuiperflitiofité, dont les caufes font : la prime, que les femmes font par na- ture plus facillement m'eues à rec
mauluois deviennent fuppellativement mefchantes. La féconde que les femmes font crédules à merueille : le Diable s'eftu- d
; bauardes, ne fçavent garder un fecret & racontent aux aultres femmes tout ce qu'elles Içavent.0ultre font choléricqu
ue faire ne peuuent par force ouuerte. La quarte et vltime, que les femmes , comme dit Terentius, font en leurs idées aussi
Terentius, font en leurs idées aussi muables qu'enfans; par quoy la femme mefchante abiure plus facilement sa foy, que pa
ce est en forcellerie raifon fondamentale pour ne s'eftonner si les femmes iuiuent le Diable plus que les homes. Ne faut c
ant que Satan se efforce d'atti- rer à foy autant les homes que les femmes 1. De ce qui se faiét au Sabbat, & mefme de
es incorporez qui re- gnoient il n'y a pas longtemps. Les filles et femmes tiennent chafcune leurs démons par la main, lef
lafcifs & indecens, qu'ilz feroyent horreur à la plus effrontée femme du monde. Auec des chan- fons d'vne compofition
t fort froide. » (Boguet, loc. cit., p. 8.) ci Marguerite Bremont', femme de Noël Laueret, a dift que lundy dernier, aprè
diét lieu, où elles trouuerent Iean Robert, Ieaune Guillemin, Marie femme de Simon d'Agneau, et Guil- lemette femme d'vn
Ieaune Guillemin, Marie femme de Simon d'Agneau, et Guil- lemette femme d'vn nommé le Gras, qui auoient chafcun vn ramo
encore plus effrange, c'eft que Satan se met là en Incube pour les femmes , et en Succube pour les hommes. » Les Sorciers
rant le refferre- ment & coarctation extrefme des parties de la femme ou en faifant le membre de l'homme retrait ! ,
t : l'hotte recogneut que c'eftoit le demicin & les clefs de sa femme , laquelle arrive sur ces entrefaites eftant bie
nde, petite ou grande, fuyuant leurs moyens & intention : les femmes à l'ordinaire prefentent des gaffeaux de froment.
bilité de l'ovaire et en particulier de la douleur ovarique chez la femme enceinte. Th. de Paris, 1 S79. 3 Bourneville et
les sculpteurs de l'antiquité ont fait poser, comme mo- clèles, des femmes cataleptiques, ainsi que le prétendent quelques a
ysie générale par Lau- tac, 21s. Démence aiguë chez une jeune femme , moi par phttiisic pul- molaire deux ans plus t
b;nrc syptuma- ti(illo (les affections des organes génitaux de la femme , 216. Nominations : JIM. Bavle, Bergeron, Bui
45 (1911) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 24] : iconographie médicale et artistique
ère, et d'une taille peut-être supérieure à celle de la moyenne des femmes . Elles sont mariées, et l'une a trois enfants.
tion de la puissance génésique chez l'homme et l'aménorrhée chez la femme , céphalalgie, torpeur intellectuelle, irrita- b
et plus lourde qu'à l'étal normal dans 8 cas de castration chez les femmes . J'ai tout dernièrement observé une femme à laq
de castration chez les femmes. J'ai tout dernièrement observé une femme à laquelle on avait enlevé les ovaires, il y a
PI. VII et VIII). Nous avons connu une deuxième malade, une vieille femme , présentant des déformations rappelant celles d
tic. . Nous ne possédons malheureusement pas l'observation de cette femme , la malade étant dans un autre service et son o
hé pour comparaison des os normaux. Or à la nécropsie d'une vieille femme provenant également d'un autre service nous const
rence que nous venons de signaler. En résumé, il s'agit, de trois femmes présentant comme troubles com- muns des altérat
publié par l'un de nous avec M. JiANo(2),j[ s'agissait d'une jeune femme atteinte d'uue scoliose très prononcée ainsi que
edow. Il en était ainsi dans le cas de KOFPEN (3) ayant trait à une femme de 23 ans atteinte depuis 5 ans d'un goître ave
de Basedow. Dans l'observation de Ilfimi; (5),à la nérropsie d'une femme basedowienne, les côtes furent trouvées très fr
DE L'OSTÉOMALACIE 47 Moebius (6) cite l'observation clinique d'une femme de 48 ans ayant eu 4 grossesses et une fausse-c
Ba- sedow avec l'ostéomalacie. Dans un de ces cas il s'agit d'une femme âgée de 54 ans atteinte depuis 1879 du syndrome
, et depuis 1893 d'ostéomalacie. Dans un autre cas, il s'agit d'une femme de 32 ans, ostéomalacique depuis 1893, qui en 1
éomalacie depuis 1893. Dans le cas de Hofmeier (9), il s'agit d'une femme ayant eu treize grosses- ses, atteinte d'une os
Tolot et Sarvouat (11) ont publié l'intéressante observation d'une femme de B2 ans présentant une tuméfaction thyroïdien
la même dans les deux sexes. Par contre, après 40 ans,le nombre de femmes acromégales est dou- ble par rapport aux hommes
hèse de Paris, 1874. 151. IInnoT et GASTOU. - Ostéomalacie chez une femme récemment acccuchée et épi- thélioma tubuh du f
is bien plus souvent le sexe féminin ; selon Siegrist on trouve i'1 femmes contre 6 hommes seuls. L'âge de l'ap- (1) Pour
secondaire ; en effet la difformité débute le plus souvent chez la femme presque toujours dans le premier âge et parfois e
ra- tions (3). Devay raconte que dans le village d'Eycaux hommes et femmes avaient presque tous un doigt surnuméraire aux
dactylie peut se trans- mettre soit seulement dans l'ascendance des femmes comme dans la famille Hartmann, soit seulement
clinique, sans polynévrite. Un cas de ce genre m'est rappelé par la femme d'un médecin qui, voyant son enfant tomber par la
xemples que je vous ai présentés : dans un cas, il s'agissait d'une femme de 78 ans, Mme H..., qui manifestait son bien-ê
malade, Mme H..., âgée de 84 ans, était, vous vous en souvenez, une femme violente, criarde, renversant tout, injuriant tou
avec durée analogue. «Je me souviens d'un exemple fourni par une femme âgée de 76 ans, jus- que-là très active, chez l
on Kraepelillajoutait que ces malades « étaient pour la plupart des femmes ». U4 DEVAUX ET LOURE le matin ou le soir. Il
e Directeur. « Quelques patientes prennent pour des hommes d'autres femmes malades. Elles ignorent la date du jour, de l'a
ne se sont jamais intéressées au sujet de la conversation, que les femmes ne s'occupent pas de ces clioses-là : à la camp
ppar- tient au domaine de l'oubli ». Une malade disait : « Pour une femme de 80 ans, ma mémoire est encore bonne ; c'est
ce sujet, et qu'il lui avait assuré que la coupable était une autre femme du même nom. Par contre, dans l'apprécia- tion
nées, et, cependant, soit venu au monde dix ans auparavant ; qu'une femme de 86 ans puisse en- core avoir des enfants : «
quet. Un couple de personnes, inconnues de lui, passe : « C'est une femme qui se fait courtiser par un ami de son mari :
l se croit dans une ville de province, où il a rendez-vous avec une femme « qu'il aurait pu compromettre chez lui » » Un
IV. Syndrome presbyopltréniqzee. Démence avec polynévrite chez une femme âgée (64 ans). La malade dit quelle est entré
nsécutive à un état onirique. Polynévrite élhylique fruste chez une femme adulte (48 ans). Amenée par son mari, à l'inf
enfance. Alors la fabulation mérite le nom d'ecmnésique, La vieille femme de l'observation III, rajeunie d'une trentaine d'
minutifs du type humain moyen (2). Les petits hommes ou les petites femmes « ressemblent à des adultes vus par le gros bou
des fées. J'en rapprocherai volontiers le petit homme et la petite femme représentés dans la planche XI. Le nain de la p
sçaitdu palais la rubrique Au gré du juge et du plaideur. Chez la femme naine,le vêtemenl parvient mieux que chez l'homme
ans et sa taille ne mesurait que 27 pou- ces (0 m. 64) de haut. Sa femme se montrait toujours à côté de lui en public et
ner la façon dont pouvait s'égaliser la taille du nain et celle de sa femme . Les épreuves photographiques et radiograpbique
déraste actif, quoique en même temps il continue à fréquen- ter les femmes . Il y a 8 ans à peu près, sans aucune cause appar
ncontre presque exclusivement dans le sexe masculin (13 hommes et 1 femme ). La littérature ne signale, à notre connaissan
La littérature ne signale, à notre connaissance, qu'un cas chez la femme (le cas de Gasne). 2° Le début de la maladie se
s davantage au centre de ces régions enkystées. En résumé, chez une femme atteinte d'imbécillité congénitale et d'épi- le
rition de la couche ovigène ; cette altération est commune chez les femmes qui ont passé l'âge de la ménopause et qui n'ont
rribles, et tenait par moment des propos dépourvus de sens. Mais sa femme mettait tout cela sur le compte de l'ivresse, q
avure de Grünbeck (ou Grûnepeck) (1496) où sont repré- sentées deux femmes et un homme montrant une éruption confluente de
litiques, et celle de Steber (1497) représentant deux hommes et une femme . La première a été reproduite par Ricord. Cette
'est insuffisant. Peut-être trouverons-nous d'autres attributs ? La femme qui figure la Gorre est assise sous un dais en
l'Asne (1) où l'on tournait en ridicule les maris battus par leurs femmes les autorités devaient prendre des précau- tion
res Martyrs, ayans esté en telle sorte battuz et mutiliez par leurs femmes , ne fussent nommez par noms et surnoms, comme de
d'amour tient en main un bouquet de fleurs. Il est trainé par deux femmes , sans doute en costume professionnel. Le bouquet
. (2) Rabelais emploic, ai ec un jeu de mot plaisant, le terme de « femme refondue ». Pantagruel, L. V. Ch. XXI. (3) Le
e. Voici, plus en détail, les deux observations. Observation I. Femme admise à la Salpêtrière, à l'âge de 29 ans, pour
s presque aussi- tôt croûteuses. Mort deux jours plus tard. Cette femme avait, en outre, une atrophie des membres supérie
nt que l'on puisse parler de distension véritable. Observation IL Femme de 23 ans, admise dans le service de M. le Profes
ller et Allen (4) font une constatation analogue à l'autopsie d'une femme de 62 ans, qui semblait atteinte d'une hydrocépha
'il s'ennuie, qu'il est perdu ; il écrit pourtant correctement à sa femme . Au bout de deux mois sa femme le reprend, et p
il écrit pourtant correctement à sa femme. Au bout de deux mois sa femme le reprend, et pendant douze jours son état paraî
et en gesticulant. Une nuit il a comme une syncope pour laquelle sa femme va chercher un médecin. Il s'inquiète de voir ain
uelle sa femme va chercher un médecin. Il s'inquiète de voir ainsi sa femme à une heure indue dans la rue. Il se plaint que
va de là à Sainte-Anne et enfin à Bicètre le 15 décembre 1908. Sa femme , qui donne ces renseignements, affirme qu'il ne b
soucieux, M. G. ? R. Je pense à elle. D. - Qui. elle ? R. -- Ma femme . D. Depuis combien de temps êtes-vous ici ? (Il
us votre estomac bouché ? R. Pas encore. D. Vous aimez bien votre femme ? - R. Oui. D. Croyez-vous qu'elle vous faisa
dessous, puis absorbe une partie du contenu. Il refuse le lait (sa femme et sa mère di- sent qu'il ne l'aime pas) en dis
re di- sent qu'il ne l'aime pas) en disant qu'on le réserve pour sa femme , afin qu'elle le mette dans sa soupe. G. parle
es- que constamment tournés vers le plafond. Il a demandé hier à sa femme si elle avait fait remplacer la chaise qu'il av
On est obligé de le nourrir à la sonde. ^janvier 1909. Ecrit à sa femme une assez longue lettre où il dit qu'il commenc
he est cor- recte. Suppression de la sonde. 8 janvier. - Ecrit sa femme une lettre tout à fait normale d'après celle-ci
im. D. Qui cela ? INTERMITTENCE ET DEMENCE PRÉCOCE 221 IL - Une femme . Puis ne répond plus. Il sort sans forme de pol
mars. Analyse complète d'urine. 222 CHASLIN ET SÉGLAS 25 mars. Sa femme , venue pour avoir des nouvelles, dit que dimanche
zanzibar. Il s'intéresse, dit-elle, à la situation de grossesse de sa femme , à l'enfant futur, à son nom, à la santé de ses
u'il lui devrait un fameux cierge quand il serait sorti d'ici. Sa femme prétend qu'à elle, G. se plaint toujours de souff
ine, douleurs de jambes, rhumatismes, etc. On fait venir G. avec sa femme et on assiste à leur conversation. Il s'anime é
on. Il s'anime évidemment un peu, manifeste de la tendresse pour sa femme , demande spon- tanément des nouvelles de la fam
famille, tout en continuant de temps à autre à faire ses gestes. Sa femme lui demandant pourquoi il les fait, il répond : «
, c'est pour cela qu'il faut que je jeûne. » 3 mai. Il demandé à sa femme si le 1er mai il n'y avait pas eu de bruit dans
n'y avait pas eu de bruit dans la rue. 17 mai. Lettre de G. à sa femme presque raisonnable, sauf qu'il ne mani- feste
aualogue à celle du 20 mai : Lettre adressée par le malade G. à sa femme , le 16 juin 1909. « Ma chère petite femme, «
sée par le malade G. à sa femme, le 16 juin 1909. « Ma chère petite femme , « Comment va-tu, je commence à m'ennuyer de to
oi, nous irons la faire tirer en portrait. « Comment va Ch. et sa femme ? « Les affaires vont-elles en cette époque de
in- fini. v 4 août. On lui annonce avec précaution la mort de sa femme . Il ne pa raît en rien ému. Au bout d'un instan
encontre le plus souvent entre 40 et 50 ans et plus souvent chez la femme que chez l'homme ; elle attaque d'ordinaire la cl
atériaux se sont constitués par 100 glandes pinéales d'hommes ou de femmes de l'âge de 14 à 92 ans. En outre nous avons exam
s ce cas deux glandes confondues ; celte glande fut, ou celle d'une femme de 41 ans, morte pendant une mélancolie agitée ou
femme de 41 ans, morte pendant une mélancolie agitée ou celle d'une femme petite, très grasse, de 51 ans, morte d'une pneum
e, très grasse, de 51 ans, morte d'une pneumonie ; i cette dernière femme avait eu une démence après une méningite. 270 K
. XLV et XLVI). Observation. Mme Louise M..., 72 ans, non mariée, femme de ménage, est malade depuis deux ans environ.
de taille nor- male. Du côté maternel. Sa mère, 42 ans, est une femme vigoureuse. Elle mesure 1 m. 68. A 18 ans elle
s sexuels. A son dire, il a commencé dès l'âge de 12 ans à voir des femmes . Lorsqu'il était dans la colonie pénitentiaire,
celui de Tinzi-Grage (10) qui, en 490, présentèrent à Hambourg une femme acromégalique atteinte d'une psychose maniaque dé
ié, a eu de ce mariage deux garçons très bien portants, dit-il ; sa femme n'a jamais fait de fausse couche. Dans sa jeu
s et les orteils, J'ai vu dernièrement une observation faite par la femme d'un malade atteint d'ataxie locomotrice, auprè
lordose lombaire, la proéminence de l'abdomen, constantes chez les femmes achon- droplasiques. L'exiguïté de la taille
èie, 1910, p. 244. Fruiiinsholz-Michm.. Opération de Porro chez une femme achondroplasique césa- rotomisée pour la quatri
s aventures, qu'il trouva à se marier, et que relativement à lui sa femme était une fort belle femme. De ce mariage naquire
se marier, et que relativement à lui sa femme était une fort belle femme . De ce mariage naquirent deux enfants : une fil
accord dans le ménage ne dura qu'un temps, la famille se sépara, la femme et les enfants vécurent de leur côté, B... du s
nce complète de tout sentiment affectif. Le sort de sa soeur, de sa femme et de ses enfants le laisse parfaitement indif-
ospice d'aliénés. - Dans le premier de-ces deux cas il s'agit d'une femme .atteinte de créti- 3') G PAR H ON ET URECHIA
n a pu avoir un rôle dans l'appari- tion de la polydactylie chez la femme crétine observée par nous, rôle qui pourrait êt
lle qu'ils ont pu avoir est plus difficile à apprécier. Si pour les femmes la régularité des règles et l'événement d'une gro
con- clusion que la prostate était également atrophiée. Chez les femmes ,où un examen complet,ou mieux nécropsique,a pu êt
cipant également des caractères sexuels de l'homme et de ceux de la femme . Outre que ses seins se sont accrus, et que ses
ire de régression sur les autres domaines Enfin la castration de la femme , plus fréquente, devrait fournir des si- 418 CO
de de Jayle, de la thèse de Ferry, on en relire la conviction : les femmes castrées adultes ne présentent guère que des tr
précise davantage : «Le myxoedème tardif entraîne en outre chez la femme une série de modifi- cations qui semblent faire
est ta, en raccourci, la description de l'infantilisme tardif de la femme . Brissaud avait remarqué que le myxoedème peut
solanum et belladonna, dont on aromatise cette liqueur, l'abus des femmes , sont tour à tour invoqués. Les bains de vapeur
l'opothérapie thyroïdienne., Observation IV GOU1LLOUD, résumée). Femme de 37 ans, mère de 3 enfants. A eu il y a quatre
as de syphilis. Marié à 26 ans ; était « très fort », au dire de sa femme qui a eu, de lui, après une fausse couche, deux
0 ans : il remplit ses devoirs conjugaux dans une large mesure ; sa femme meurt de tuberculose ; remarié ; il n'a pas eu d'
jours eu ce timbre Observation XIII (Batssnun et BAUER, résumée). Femme , 29 ans, domestique; entrée à l'hôpital pour une
sy- philis ; marié à 19 ans ; satisfait les appétits sexuels de sa femme dans une large mesure ; il a eu trois enfants d
fréquents ; pourtant il a les mêmes sen- timents affectifs pour sa femme , il s'étonne de cette anomalie. On lui donne des
premier abord de s'en rendre compte, le patient ayant conservé à sa femme toute son affection, et confond volontiers les
e son affection, et confond volontiers les deux sentiments. Mais sa femme dit très nettement la diffé- rence qu'elle y vo
sa déchéance sexuelle, même devant les témoignages attristés de sa femme : il n'y a ni apathie,ni paresse de la mémoire ou
, FEKRY. Co))seMeMCMp/ : )/t«oHes de l'ablation des ovaires chez la femme . Thèse de Lyon, 1907-1908. (1) Nous n'avons s
phie, 1899. JAYLE. - Effets physiologiques de la castration chez la femme . Revue de gynécologie, 1891. Jo'<sERAND. p
omme fort et vigoureux porteur aux Halles, se vantant « d'aimer les femmes », mais qui, dit-il, était « peu poilu ». Le
ma- lade a le corps d'un adulte et le facies vieillot d'une vieille femme . « Plus lard, il voit l'asthénie progresser, la
mélie humérale congénitale, quatre chez des hommes et deux chez des femmes , dans le dessein d'attirer l'attention sur cet ét
te ont donné : '468 ' H. S. STANNUS ET S. A. K. WILSON - V. Mana, femme de 35 ans ; c'est l'épouse du chef du village de
e, district de Nyassa occidental, tribu Acheta. La stature de cette femme est de 137 centimètres ; elle dit que sa mère éta
s. En dehors de ceci, la main gauche est normale. VI. Agalatuolele, femme de 35 ans, appartenant à. la tribu Achewa, vil-
elation avec l'achondroplasie. Dans nos deux cas qui concernent des femmes , l'état des doigts ne se montre pas très éloign
sont morts, l'un do la rougeole, l'autre il ne sait pas de quoi. Sa femme vit encore et dit n'avoir jamais eu de fausses co
il n'a eu aucun accident depuis. Marié, il n'a pas eu d'enfants. Sa femme n'a pas fait de fausses couches. Il ne reconnaî
46 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
s'enfuirent à travers la foule avec une telle brutalité que plusieurs femmes et plusieurs enfants furent foulés aux pieds avan
Richet a rapporté, dans la Revue philosophique de 1880, le fait d'une femme qu'il endormait à l'hôpital Beaujon et qui est de
docteur H..., qui a fait une observation tout à fait analogue : « une femme , point du tout hystérique, qu'il endormait souven
es. Ce sont des faits suffisamment connus. On cite une pauvre jeune femme devenue presque imbécile après avoir été trois nu
rappelle, fort à propos, la situation de ce médecin qui soignait une femme séparée de son mari. Cette femme faisait à son mé
ation de ce médecin qui soignait une femme séparée de son mari. Cette femme faisait à son médecin des aveux d'amour, pendant
t jamais osé pareille chose dans l'état de veille... ; un jour, cette femme s'est trouvée enceinte et le médecin a dû quitter
que (la guérison de ces mêmes maladies); « Attendu, en fait, que la femme Quentin, non munie d'un diplôme de médecin ou aut
mains elle endon David ; que ce dernier, ainsi endormi, dévoile à la femme Quentin la maladie dont le client est atteint et
me de médecin ; » Attendu qu'il resson des déclarations mêmes de la femme Quentin qu'elle a eu recours au magnétisme pour s
» Attendu que le rôle de David s'est borné à prêter son concours à la femme Quentin, à se laisser endormir par elle et à lui
joué un rôle actif; qu'il c'était qu'un instrument dans la main de la femme Quentin, et qu'ayant perdu pour un moment l'usage
, en ce qui touche l'application de la peine, que le fait imputé à la femme Quentin est prévu et réprimé par les articles 35
avoir autant d'amendes que de contraventions ; » Or, attendu que la femme Quentin a donné des soins médicaux à sept personn
égal de la médecine ; » Retient cette contravention au regard de la femme Quentin et condamne cette dernière en sept amende
a, parait-il, exactement décrit les symptômes de la maladie de cette femme ; il est bon d'ajouter que la personne en question
ns le résumé de quelques-unes de ces observations qui ont trait à des femmes . 1° Femme 3gée de 43 ans. Est atteinte d'hy
quelques-unes de ces observations qui ont trait à des femmes. 1° Femme 3gée de 43 ans. Est atteinte d'hypocondrie à un
'emploi de l'hypnotisme elle n'avait pas fait beaucoup d'avance. 2° Femme âgée de 37 ans. Hérédité directe. — Souffre d'i
tranquillement et elle est devenue accessible aux suggestions. 3° Femme âgée de 67 ans. En est à son troisième séjour à
is je suis resté dans le doute sur l'efficacité des suggestions. 4° Femme âgée de 28 ans-Héréditaire. — Hystérique et alcoo
n temps. — Mais dès lors elle est retombée dans son ancien état. 5° Femme âgée de 28 ans. Cas de manie puerpérale très ai
5° Femme âgée de 28 ans. Cas de manie puerpérale très aigu. Cette femme a eu quelques couches très rapprochées. L'épuisem
ation disparut tout à fait, et la malade entra en convalescence. 6° Femme 3gée de 44 ans. Hystérie grave. — Morphinisme i
t parfaitement bien et reposée comme après un bon sommeil naturel. 7° Femme âgée de 44 ans. Hystérique. — Tendance aux spas
mentionnés se développent chez des jeunes filles nerveuses, chez des femmes , je le comprends ; mais qu'on ait recours à cette
itié somnambuliques et moitié cataleptiques, pendant cette crise. Les femmes n'y sont point sujettes, du moins je n'en ai poin
rité, n'en purent venir a bout. — Boisseau 4), enfin, rapporte qu'une femme et son enfant furent surpris, à deux heures d'int
t jeunes. Des moeurs licencieuses les caractérisaient tous, hommes et femmes . 11 en résultait une dégénérescence intellectuell
. I.es gens charitables, ou ainsi appelés, qui donnent l'aumône aux femmes et aux enfants, avaient a répondre d'une faute gr
uisse, dans les quatre Facultes de médecine suisses qui admettent les femmes comme élèves, on constate entre les étudiants des
étudiantes (dont 10 Suisses). II y a donc actuellement en Suisse 102 femmes qui étudient la médecine. (Rev. mèd. de l'Est )
tion de la température. » Merkel a vu plusieurs fois, chez une même femme , une dose de 20 centigrammes de chlorhydrate de q
et seulement 20 respirations. » Bernouilli (de Bâle) a vu, chez une femme de cinquante-deux ans, tuberculeuse, l'antipyrine
sexes : chez l'homme, l'intelligence prédomine davantage que chez la femme , pliée en quelque sorte à un plus haut degré sous
ntage, conformément à ce que I je vous ai dit tout à l'heure, chez la femme que chez l'homme. davajt-J tage chez les enfants
eux au point de vue moral, parce que le magnétiseur peut abuser de la femme magnétisée et commettre un crime. —Je réponds: ou
hypnotise ? Est-ce qu'on magnétise seulement des jeunes filles et des femmes , et ne voit-on pas tous les jours des hommes et d
ns dont Bourdin relate l'histoire, et qui, six ans plus tard, devenue femme , lui rit l'aveu de sa fraude, soutiennent qu'ils
stions salutaires de l'éducation? CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Les femmes et l'étude de la médecine. A l'assemblée des na
ude de la médecine et l'exercice de cet art pouvaient être permis aux femmes . Le professeur Waldeyer, de Berlin, s'est prononc
guments assez contradictoires. H reconnaît, avec l'histoire, que la femme a presque toujours été considérée comme légale de
eyer avoue que la médecine a été aussi pendant longtemps l'apanagedes femmes , qu'elles ont toujours eu la spécialité des accou
guerite de la Marche, Mme Lachapelle, Mme Bol-vin et plusieurs autres femmes distinguées dont les travaux ne sont malheureusem
sez connus. Mais, après ces constatations, il vient déclarer que la femme ne doit point marcher dans la voie de l'homme, tr
étudiantes. Il craint que l'admission de quelques centaines d'élèves femmes (et cous sommes encore loin de ce chiffre) « n'éc
ait-il pas dans cet acharnement que mettent les hommes à i efuser aux femmes leur part de la science, quelque chose comme une
u comme une crainte de voir bientôt apparaître des travaux émanant de femmes instruites et capables, elles aussi, de faire de
, la science médicale serait bien peu solide si quelques centaines de femmes pouvaient l'ébranler en la cultivant. Les femmes
uelques centaines de femmes pouvaient l'ébranler en la cultivant. Les femmes docteurs seront toujours l'exception, bien qu'il
utons enfin que la Faculté serait mal venue à chasser de son sein les femmes courageuses qui se vouent à la médecine, dussent-
nt ment ne. s'attachait qu'a eux. Un jour, pendant qu'on montrait une femme plongée dans l'état de somnambulisme a une réunio
x de savoir si. en cet état, il serait possible de faire deviner j la femme endormie le nom des personnes présentes. Il insis
le nom des personnes présentes. Il insiste, et enfin on demande àv-la femme endormie le nom d'un des assistants. Ellcnomm.iM.
r les douleurs de l'enfantement i Telle est la question posée par une femme M. Hugues Le Roux, le spirituel chroniqueur du Te
ut des résultats surprenants dans le> cj* J'anémie, qui,, chez les femmes , sont très souvent accompagnés de la leucorrhée c
s de relater a son importance au point de vue médico-légal. Certaines femmes , j'en ai ;u conviction,! dans cet état d'hallucin
écrétions : 3* Un point de thérapeutique : la suggestion guérit une femme malade depuis 35 uns et que rien n'avait pu soula
M. Vlzioli (de N'aples), dans la séance du 24 octobre, présente une femme hystérique qu'il hypnotise en la faisant p'accr s
sont des hommes, a'.ors que les vingt rebelles sont presque tous des femmes . Ce qui ajoute a la vraisemblance de ce récit,
s urines, des calculs, de la bile, du saeg. des sérosités, du lait de femme , de l'eau potable, des matières alimentraires les
la première, une lemme propre, docile, laborieuse, et la seconde, une femme affeclueuse et calme. — furent, à -J elles quatre
Z..., 9 ans. A été éduqué à l'habitude de l'onanisme par une vieille femme , â l'âge de 6 arts. Depuis lors, ce petit garçon
crikj, chef de clinique adjoint. J'ni fait apporter devant vous une femme , qui dort déjà depuis treize jours, sans s'être r
s treize jours, sans s'être réveillée une seule fois. Il s'agit d'une femme très connue dans l'hospice, j'allais même dire de
la durée de ce sommeil, on est sans inquiétude sur le compte de cette femme , on sait qu'elle se réveillera un jour ou l'autre
la grande espèce, et qu'il n'y a rien de grave dans son état. Cette femme , en effet, a des attaques d: sommeil depuis :87s
l'hystérie et qui ne se rencontre pas ailleurs. L'histoire de cette femme , la fameuse Eudoxie X..., est consignée dans la p
ic dans le travail de M. Gilles sur les attaques de sommeil. Ccue femme est entrée à la Salpêtrtère. il y a vingt-six ans
et ne lui ressemblant que dans so phase initiale. Cette malheureuse femme a encore été victime d'un de ces accidents, fréqu
ne guérira évidemment pas. On a appelé l'état dans lequel est cette femme crise de sommeil : le mot sommeil est-il bon: Dan
ec résolution musculaire, qui me fait considérer le. sommeil de cette femme comme une attaque fruste, une attaque manquée au
ur découvrir les sorciers, la tribu entière se réunit, et une vieille femme , qui n'exerce que ta magie bénigne, se rend seule
es mains. Puis les hommes s'avancent auprès de la hune et invitent la femme à en sortir; elle refuse; pour la décider, on lui
s mon service à l'hôpital Saint-Antoine, en 188t. C'était une jeune femme de 26 ans, qui m'était venue à l'occasion d'une o
les individus à des degrés divers, plus forte chez les enfants et les femmes que chez les nommes adultes; plus intense égaleme
8> personnes rebelles à la suggestion, se trouvent 68 hommes et 15 femmes . Les 517 autres personnes, appartenant en major
croyance à une secousse généralisée dans tout le corps chez une jeune femme de 20 ans. J'avais moi-même, dans l'exposition de
eur, peuvent rendre de grands services en thérapeutique. Ainsi, une femme que j'ai guérie de métrorrhagies s'en va. Je lui
sensible; ranimé par une injection d'ether, il tourna la tète vers sa femme , et dit brusquement : ¦ Tu ne la retrouveras pj».
ous ces renseignements, avait remarqué qu'il semblait y avoir chez sa femme deux personnages différents, agissant en sens con
depuis je ne l'ai pas réveillée. Somme toute, j'ai créé chez cette femme une double existence absolument analogue a celle
du domaine de la comédie. Alain, le valet d'Arnolphe. dans VEcole des Femmes , est jaloux comme Othello; la seule différence, c
; il frappe, il meurtrit, il blesse, quelquefois il tue. Si c'est une femme , elle pleure, elle crie, elle fait régner la viol
it tout ce qu'il faut pour répandre le calme et le bonheur. Hommes ou femmes , ceux que torture la monomanie jalouse, ne goûten
llie à l'asile Sainte-Anne, service de M. le professeur Bail. Marie femme C..., âgée de Sa ans, est entrée à la Clinique de
n homme doux et patient, beaucoup trop patient, que la jalousie de sa femme a fait horriblement souffrir surtout depuis trois
sen plus fréquentes. M. C... se vit bientôt en butte, de la partde sa femme , à des procédés outrageants qui dégénérèrent prom
extrême ; elle l'accusait de lui faire des traits avec sa concierge, femme de 47 ans, et on ne peut moins séduisante; elle é
de 47 ans, et on ne peut moins séduisante; elle était sure que cette femme était sa rivale heureuse, on le lui avait dit dan
ut supportées eu égard au tempérament un peu bizarre et nervenx de ma femme , ainsi qu'aux souffrances qu'elle avait endurées
arquer des passants, dans un négligé invraisemblable de la part d'une femme qui avait autrefois une tenue irréprochable, en p
dont je m'exaspérais; le plus souvent je partaissans tien dire, et ma femme me suivait en continuant à gesticuler et a débite
autres fois, je hélais un cocher de riacre, je montais en voiture, ma femme s'y précipitait derrière moi et nous échappions a
le. La police, i deux reprises, dut intervenir et emmener au poste ma femme , cause de ces rassemblements: elle se contenait p
ai trouver le iv g..., pour qu'il fût témoin des actes insensés de ma femme et qu'ii me délivrât un certificat constatant l'é
eus la maladresse de laisser ce certificat dans une de mes poches, ma femme l'y trouva, car elle avait pris l'habitude de fou
tère deux heures plus tôt que d'habitude et je revins à la maison. Ma femme , surprise de me voir rentrer si tôt, m'en demanda
toute espèce qui en résultaient, que la pensée seule de reprendre sa femme avec lui, qu'un seul moi qui y lasse allusion
l symptôme morbide, ou, du moins, le symptôme prédominant. Ainsi, une femme de trente-neuf an, atteinte depuis deux ans d'acc
s faits suivants. L'accès le plus typique se rencontrait chez une femme de plus de 5o ans qui leur servait de guide. laqu
nsciente, produite par des convulsions se manifestant la nuit chez la femme qui les accompagnai:. De là, une épidémie dans la
s suggérées fournie par le Dr Bernheim (sur une), par Delbœuf, 202. Femmes et l'étude de la médecine (les), 124. Folie lyp
47 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
, sont coordonnés, ont une logique. On dit qu'il existe chez bien des femmes , en certaines circonstances, un caractère plus dé
désiré, mais moins grave. Tel ce sujet qui, pris d'envie de mordre la femme , la faisait passer en se mordant lui-même. Tand
llente santé. Plusieurs fois, j'ai eu l'occasion d'endormir une jeune femme de sa famille ; il en a été témoin, mais il reste
-midi, et je le trouve assis devant son feu entre cette parente et sa femme . Dans la conversation, la question de l'hypnotism
tôt vous endormir. » Moins d'une minute après, il dormait. La jeune femme était ravie, et Mme X... étonnée. Sur ces entrefa
ut, ni à son moi propre ni à ses moi secondaires, et qu'une ignorante femme de la campagne, dont les prétentions surnaturelle
il de sa blanchisseuse, dit M. Kogevnikoff, le malade s'adressa à une femme qui, ayant examiné l'éruption, déclara qu'elle ne
oute extase, et ne me sentis sous aucune influence provenant de cette femme . Le même jour toutes mes plaies étaient guéries,
ure » a été effectuée, et la mystérieuse prière cabalistique — que la femme refusa de divulguer, par crainte qu'elle opérât a
rt d'une personne de sa famille qui faisait naître l'obsession que sa femme pourrait mourir également. Chez l'autre, c'était
mier et second degré, excellente musicienne, aimable, gaie, en un mot femme du monde accomplie ; elle était folle des chevaux
as étrange de voir un soldat si vaillant, devenir plus poltron qu'une femme des qu'il s'agit d'enfourcher un des- (t) Le ca
t l'autre. Et cela toujours à la même heure, si bien que les bonnes femmes disaient, le voyant passer.....: « Il est cinq
l. Un cas de dilatation volontaire de la pupille. II s'agit d'une femme de 37 ans, névropathe, sujette aux palpitations,
roite. M. Bechterew, qui relate le fait, a pu se rendre compte que la femme en question dilatait sa pupille droite à volonté.
ma le premier jour de chaque époque menstruelle. Il suffisait à cette femme de cligner la paupière droite, pour que sa pupill
raient être appelés des appèritfs du crime. L'effet est tel que les femmes les plus sûres d'elles-mêmes, les femmes fortes,
e. L'effet est tel que les femmes les plus sûres d'elles-mêmes, les femmes fortes, les ménagères connues par l'ordre et l'éc
les s'étaient fixé d'avance. Que doit-il être pour des malades ou des femmes grosses, des hystériques, des neurasthéniques, de
autres, mais elles résistent moins à la tentation. Brouardel cite une femme de magistrat qui, pendant sa grossesse, vola une
exemples caractéristiques : Le Df Paul Dubuisson nous parlait d'une femme qui achète au Bon Marché pour 200 francs d'objets
réel danger pour les personnes faibles ou maladives. Beaucoup de femmes qui n'ont jamais rien pris et qui ne voleraient p
une foule bruyante, dans cette atmosphère odorante et surchauffée, la femme aux vêtements amples parvient facilement à dissim
t de la prudence et de l'honnêteté. Il est certain que la plupart des femmes volent parce qu'elles se croient assurées de l'im
e les voleuses que de prévenir les vols. Quand un inspecteur voit une femme sortir sans payer, il devrait la rappeler à l'ord
caisse au lieu de la conduire au commissariat de police. Beaucoup de femmes seraient fort heureuses d'en être quittes avec ce
aires et rester juge de l'opportunité d'une poursuite judiciaire. Les femmes qui ne sont vraiment pas réfrac-taires à toute ho
commettre sous leurs yeux. Il faudrait enfin conseiller à certaines femmes de ne jamais aller dans ces endroits dangereux. D
pour les douleurs provoquées par les brûlures. Pour quel molif ces femmes se font-elles souffrir ainsi ? C'est généralement
rtent ateinte. «à la liberté morale des enfants, des jeunes gens, des femmes et des ouvriers, les provocations de la presse, l
roues. Le tangage est plus difficilement supporté que le roulis. Les femmes sont plus sujettes à la naupathie que les hommes,
t réussi. Je vous parlerai de quatre personnes, deux hommes et deux femmes , tous les quatre extrêmement sensibles au mal de
ardiopathies, d'ancorysmes de l'aorte, d'artério-sclérose et chez les femmes enceintes, dont les fréquentes contractions abdom
avait soin d'écrire tous les contrats. Dans un accès, il frappa sa femme à coups de chaises et la tua. Tout en déclarant
ii, je veux t'assassiner ; sauve toi, la dame, où je t'assassine.» La femme se sauve, mais au môme moment, trois ouvriers par
A ce même ordre d'idées appartiennent les troubles névropathiques des femmes atteintes de lésions de l'utérus ou des annexes,
aux sujets atteints de monor-chidie, criptorchidie, aux eunuques, aux femmes ovariotomiséesC), aux malades porteurs de rétréci
Hostie consacrée, puis on print de l'eau benistc avec du laict d'une femme nourrice de bonne vie et tout cela ietté dans le
ce genre, et ils sont peu nombreux, se rapportant presque tous à des femmes hystériques vraies ou à des nerveuses atteintes d
es depuis. Il n'a pas eu de rechute, quoiqu'il ait perdu sa charmante femme et ait eu beaucoup de soucis d'affaires. Cas 46
ts déjà grands et son mari ne se souciaient plus d'elle : c'était une femme sans ressources et d'éducation médiocre. Aussi lo
. La malade était mariée à un homme qu'elle n'aimait pas. C'était une femme sans éducation, sans aspiration et d'un caractère
'accès dès le début. J'ai guéri, comme on pourra le voir, plusieurs femmes , et j'ai bon espoir qu'on pourrait guérir de tels
a société. En dépit de l'école anglaise, l'incitation dans la rue, de femmes qui prennent par le bras et prononcent les offres
e qu'elle constitue un mauvais exemple donné aux jeunes filles et aux femmes honnêtes et qu'elle violente la liberté que possè
de Londres les mieux habitées deviennent impossibles à franchir. Les femmes s'y offrent cyniques, accostent, vous retiennent
t un réel danger pour les personnes faibles ou maladives. Beaucoup de femmes qui n'ont jamais rien pris et qui ne voleraient p
r la vente, combien se sont arrêtés pour voir la figure explicative : femmes déshabillées, hommes audacieux, légendes plus aud
n seulement les crimes, mais les procédés criminels vont par séries : femmes coupées en morceaux, victimes mises en colis.....
t avec le doigt la forme des lettres sur ses draps. Son notaire et sa femme savaient qu'un serrement de main voulait dire oui
deux sont morts quelques heures après leur naissance. S.... est une femme grande, maigre, à l'aspect souffreteux, à la mine
ous ne pouvons mettre en doute les affirmations de cette très honnête femme . Quoi qu'il en soit, ces méchants propos ont
nstata la persistance desdouleurs abdominales qui l'empêchaient, elle femme très courageuse, de se livrer aux occupations de
intestinales. Langue saburrale. Perte complète de l'appétit. Cette femme est extrêmement nerveuse ; dès le début de sa mal
ène, a eu raison de ces accidents graves, car l'état général de cette femme , qui ne s'alimentait plus, était à un moment donn
ive, si puissante, cesse de s'exercer dès qu'il veut l'appliquer à sa femme Clara. C'est parce qu'il se trouve en présence d'
la est du domaine des choses possibles ; tenter de suggérer sa propre femme , même pour un pasteur protestant, même pour un vé
nu des troubles mentaux accompagnant souvent l'âge climatérique do la femme et qui appartiennent presque tous à la famille no
mpulsions homicides. La profonde dépression de la vie psychique de la femme au retour d'âge a une double source ; elle est l'
n trouble organique inconscient. La cessation des règles suggère à la femme des idées de vieillesse commençante ou confirmée,
s de vieillesse commençante ou confirmée, de déchéance organique ; lu femme doit se dire que l'heure de la retraite a sonné p
e véritable mort partielle que subit le système nerveux central de la femme et dont les autres centres que ceux frappés par c
rapide chez l'Indien et le blanc du sexe masculin ; les nègres et les femmes blanches réagissent plus lentement. Là où l'Indie
mes de seconde le blanc réagit en 110 millièmes,le nègre en 150 cl la femme blanche en 160 millièmes. Il y a donc un avantage
llièmes. Il y a donc un avantage marqué pour l'Indien; le nègre et la femme blanche sont au contraire déshérités. La réaction
bliées. (A suivre). FOLKLORE Chansons arabes chantées par les femmes indigènes de Guelma pour endormir les enfants.
e ne soit aussi répandue que la morphinomanie. C'est surtout chez les femmes de. lettres qu'elle exerce ses ravages. On cherch
organes de la génération est profonde, . chacun le sait, tant chez la femme que chez l'homme. Le sujet le plus vigoureux et l
suffît à rendre impossible tout rapprochement sexuel normal, chez la femme , elle annihile le plaisir. Ce qui est vrai de l'a
En a-t-on jamais constaté dans les conditions inverses ? A-ton vu des femmes avoir une fausse grossesse déterminée au contrair
e me permettre d'observer à quelques mois d'intervalles sur une jeune femme et sur une jeune fille qui, ne s'étant jamais mêm
ervations. Observation I Madame Eugénie X... est une fort jolie femme de 36 ans, restée si fraîche et si jeune qu'on lu
ui détermina la fausse grossesse, elle avait les allures libres d'une femme légère, et plus d'une fois elle s'attira de v
ui-ci était plus épris d'elle que jamais, il s'empressa d'en faire sa femme légitime. Ils vécurent très heureux et très attac
M. X... survenue onze ans après son mariage, treize ans depuis que sa femme s'était donnée à lui. Les anomalies sexuelles de
signalées. Ensuite, elles établissent péremptoirement que cette jeune femme est une névropathe dégénérée, et en cela elles on
ispensable à la genèse des fausses grossesses. Je ne pense pas qu'une femme normalement constituée au point de vue utérin en
'occasion de cette dernière confidence, je constatai chez cette jeune femme une idée fixe qui la dominait complètement, celle
ité constamment. Je constatai tout à coup un grand changement chez sa femme queje voyais deux ou trois fois par semaine, car
tions diaudes et autres moyens conseillés dans ces cas par les bonnes femmes pour sortir d'embarras restèrent inefficaces. Ses
e coule l'eau quand on ouvre le robinet. Depuis, M. X... est mort, sa femme s'est remariée avec celui qui la mit à deux doigt
s de la vie ! Qui sait ce qu'il serait advenu de cette jeune et jolie femme qu'une simple suggestion à l'état de veille a ren
s, elle était très entendue aux soins du ménage et une excellente femme d'intérieur. Comme syndrome épisodique, elle prés
ique complet. Mais, bien que les douches fussent administrées par une femme , elle n'avait même pas consenti à les prendre en
certainement grosse, et cela intervenant dans les deux cas chez deux femmes profondément dégénérées, celle-ci encore plus peu
que, malgré la diversité des émotions qui agissent. Ensuite, ma jeune femme et ma jeune fille étaient des névropathes dégénér
pas qu'une telle action soit à craindre. Enfin, j'ai examiné ces deux femmes , seul avec elles dans mon cabinet, ce que j'estim
je pourrais accroître la secrétion du lait dans l'un des seins de sa femme (celle-ci se trouvait justement nourrir un enfant
tés de tempérance, dans les œuvres charitables pour le relèvement des femmes de mauvaises mœurs, dans une dévotion papelarde ;
e pouvoir d'exciter les passions animales, et ils affirmaient que les femmes les plus vertueuses pouvaient être victimes des h
.... 3 0(4 Prêtres. ........ 2 0,3 Hommes politiques. . . 3 0.4 Femmes : 350 p. 100 Femmes de médecins . . 35 10 R
...... 2 0,3 Hommes politiques. . . 3 0.4 Femmes : 350 p. 100 Femmes de médecins . . 35 10 Religieuses....... 4 i,l
p. 100 Femmes de médecins . . 35 10 Religieuses....... 4 i,l Femmes de pharmacien . 6 1,7 Sages-femmes...... 2 0,1
... 4 i,l Femmes de pharmacien . 6 1,7 Sages-femmes...... 2 0,1 Femmes d'officiers. ... 4 1,5 Femmes de négociants . 1
. 6 1,7 Sages-femmes...... 2 0,1 Femmes d'officiers. ... 4 1,5 Femmes de négociants . 12 3,4 Sans profession..... 151
randon de Monthyel, 289. Folklore (chansons arabes chantées par les femmes indigenes de Guelma pour endormir les enfants, Ac
48 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 9. Hémorragie et ramollissement du cerveau, métallothérapie et hypnotisme, électrothérapie
ètrière, Saint-Luc, 2. — Charcot. Raynié (Jeanne), 62 ans). — Cette femme dont l'observation a été égarée, est morte d'hémo
nt-Luc, a. — Charcot. Dreptain (Louise-Antoinette), 74 ans. — Cette femme , bien portante habituellement, quoique traînant u
-Matthieu, 16. — Vulpian. Handuc (Marie-Joséphine), 62 ans. — Cette femme , qui avait été sujette à quelques vertiges, est p
Vulpian. Longueville, 77 ans. — Les renseignements manquent. Cette femme étant morte en octobre 1800, on trouva à l'autops
e, Sainte-Cécile, 11. — Cuarcot. Julien (Catherine), 51 ans. —Cette femme avait eu, il y a un an, un certain nombre de métr
déviée, la parole très embarrassée, l'intelligence obscurcie. — Cette femme meurt le 14 janvier 1867, un jour après l'attaque
tel-Dieu (1), Saint-Roch. — Baktii. Homme (Emilie), 58 ans. — Cette femme , qui n'avait jamais eu de paralysie est frappée d
ne hémiplégie subite du côté droit, sans perte de connaissance, cette femme avait recouvré au bout de quelque temps l'usage d
egré de pyélo-néphrite ancienne. Obs. XL Hôtel-Dieu de Lyon (1), 3e Femmes , 84. Bastien (Marie), 00 ans. — Cette femme a é
l-Dieu de Lyon (1), 3e Femmes, 84. Bastien (Marie), 00 ans. — Cette femme a été frappée d'apoplexie ie 19 mars 1807, avec p
nt Luc, 5. — Charcot. Barthélemi (Marie Joséphine), 69 ans. — Cette femme , frap- Chaiicot. Œuvr. compl. t. ix, Hémorragie
VI. Salpêtrière, 2 juin 1807. — Baillarger. Hurtelle, 73 ans. Cette femme qui était démente, est prise •d'une perte subite
, Saint-Alexandre, 2. — Charcot. Buyck (Catherine), 78 ans. — Cette femme est frappée d'apoplexie le 7 juillet 1867, avec h
lpêtrière, Saint-Antoine. — E. Cruveiluier (2). X..., 79 ans. — Cette femme est frappée d'apoplexie le 26 février 1868. Ell
cques, 21. — Charcot. Huteau (Mathurine-Adelaïcle), 76 ans. — Cette femme est frappée d'apoplexie avec paralysie de la face
ris bientôt de secousses convulsives et de rigidité permanente. Cette femme meurt au bout de vingt-quatre heures le 8 mai 186
ière, Saint-Jaques, 13. — Charcot. Borin (Thérèse), 78 ans. — Cette femme habituellement bien portante, est prise d'apoplex
ière, Saint-Paul, 9. — Charcot. Marazin (Victoire), 71 ans. - Cette femme qui était sujette à des étourdissements, mais qui
e flasque du côté gauche avec conservation de la sensibilité. — Cette femme est prise au bout de deux jours d'un râle laryngo
-Marthe, 11. — Charcot. Lecrique (Marie-Joséphine), 73 ans. — Cette femme , qui avait des habitudes alcooliques et qui prése
ière, Sainte-Rosalie, 24. — Charcot. Sauné (Adèle), 50 ans. — Cette femme , qui était sujette à des maux de tète violents, e
aggravation de l'hémiplégie. Deux ou trois jours avant sa mort, cette femme tombe dans la somnolence et te coma; elle meurt l
aint-Alexandre, 18. —Charcot. Gresser (Marie-Marthe), 83ans. —Cette femme sujette à des étourdissements, est frappée d'apop
Marthe, 18. — Charcot. Marquis (Marie-Magdeleine), 75 ans. ?— Cette femme était atteinte d'hémiplégie gauche ancienne. — Le
Saint-Alexandre, 18. — CnARCOT. Drouat (Caroline), 60 ans. — Cette femme avait eu une attaque apoplectique avec hémiplégie
aint-Jacques, 22. - Charcot. Evrard (Marie-Thérèse), 70 ans — Cette femme , amputée du bras gauche éprouvait des sensations
e, 15. — Charcot. Dupont (Marie-Louise), 81 ans. — On n'a sur cette femme que des renseignements presque nuls, on parle d'u
re, Sainte-Rosalie, 14. —Charcot. Ronfand (Denise), 85 ans. — Cette femme , sur laquelle on n'a aucun renseignement, sinon q
e, 11. — Charcot. Taffin (Robertine), 80 ans. A l'autopsie de cette femme , morte de pneumonie le 25 oc tobre 1866, on tro
III, Salpêtrière. — Charcot. Peugnet (Emmerentine), 60 ans. — Cette femme avait eu une attaque d'apoplexie il y a six mois.
lpêtrière, Saint-Paul, 1. — Charcot. Cousin (Marguerite), 81 ans. — Femme morte pendant la convalescence d'une pneumonie le
Sainte-Rosatie, 17. —CnARCOT. Legasperme (Marie-Rose), 00 ans. Cette femme frappée d'apo plexie à l'âge de 38 ans était de
rière, Saint-Mathieu, 76. — Vulpian. Boulé (Anne), 65 ans. —? Cette femme , qui présentait depuis longtemps une hémiplégie g
ère, Saint-Alexandre, 18. — Charcot. Denis (Marie), 70 ans. — Cette femme était devenue presque impotente à la suite d'anci
Saint-Alexandre, 0. — Charcot. Briquet (Françoise), 88 ans. — Cette femme meurt le 13 octobre 1807, sans qu'on ait eu des r
, Sainte-Rosalie, 13. — Charcot. Yaragne (Catherine), 61 ans. Cette femme , dont l'intelligence est fort abaissée, est gâteu
ne avec contracture du côté gauche qui datait de 9 ans environ, cette femme meurt cle pneumonie le 19 février 1868. On trou
e, Sainte-Rosalie, 3. — Charcot. Lesueur (Louise,), 72 ans. — Cette femme était atteinte d'hémiplégie droite depuis le comm
Saint-Alexandre, 21. —Charcot. Nicolas (Catherine), 68 ans. — Cette femme , qui depuis plusieurs années, éprouvait une certa
e, Saint-Luc, 10. — Charcot. Mannessoy t(Marguerite), 70 ans. — Cette femme étant morte de pneumonie, le 18 avril 1808, on
re, Division des aliénés. — Moreau. L... (Louise) 59ans(l). — Cette femme ,qui était atteinte de paralysie générale, est mor
ainte-Rosalie, 17. — Charcot. Georges (Marie-Anne), 65 ans. — Cette femme est une démente, transférée de l'asile de Blois à
ot. Lebon (Annette), 43 ans._— On a peu de renseignements sur cette femme ; on dit qu'elle aurait eu un rhumatisme articulai
région abdominale. - Obs. LXXI. Salpêtrière, 1868. — Vulpian (1.) Femme âgée de 47 ans. — Affection cardiaque ; phénomène
ce des Ménages. — Mauriac (S.) Sabatino Philippine, 71 ans. — Cette femme , atteinte de paraplégie ancienne, est frappée d'a
s miliaires. Obs. LXXIV. Salpêtrière. — Charcot. Jodier (Félicie) femme cle 08 ans. —Aucun renseignement sur les symptôme
LXXV. Salpêtrière. — Charcot. Cronier (Françoise), 01 ans. — Cette femme , atteinte de cécité ancienne, est frappée d'apopl
ni reconnue ni même soupçonnée. Obs. LXXVIII. — Cruveiluier (1). Femme cle 63 ans. — Prodromes : vomissements la veille
it la cause d'hémorrhagies cérébrales. Obs. LXXIX. — W. Gull (1). Femme de 43 ans. — Prodromes : dyspepsie, flatulence et
rière, Saint-Alexandre, 11. — Charcot. Taffin (Robertinre), 80 ans. Femme morte de pneumonie lo-baire le 25 octobre 1866.
ure-mère. Dans une observation que nous a communiquée M. Vulpian, une femme de 41 ans, atteinte d'ataxie locomotrice progress
le rectum a donné presque toujours 37°,4, quelquefois 37°,6. Chez une femme âgée d'une quarantaine d'années, atteinte de para
tie, a été le suivant : Chorée alcoolique. De retour chez elle, cette femme , nous assure-t-on, paraissait jouir d'une bonne s
ents de teinte. En résumé, il s'agit, dans notre observation, d'une femme âgée de quarante-cinq ans, qui, après avoir été
s indiqué les caractères histologiques. Lors de l'autopsie de cette femme , la première question que nous nous sommes posée
analogie avec le notre. Dans l'obs. XC, p. 26o, il est question d'une femme âgée de 48 ans qui, un an avant sa mort, tomba da
de celui que nous avons rapporté plus haut. Observattox III. — Une femme , âgée de 28 ans, se trouve dans le service de M.
ésentée tout dernièrement à la Société de biologie. Il s'agit d'une femme âgée de quarante-sept ans, frappée subitement d'a
ès intacte sur toutes les parties paralysées du mouvement. Chez cette femme , le langage articulé n'était plus représenté que
division des incurables, salle Sainte-Cécile, n° 10. Le père de cette femme est mort à 84 ans, sans jamais avoir été affecté
rvice de M. le professeur Bôhier. Il s'agit dans ce nouveau cas d'une femme âgée de 42 ans, chez laquelle les symptômes de la
chénoïde, confluente, à la suite des douleurs fulgurantes. Chez une femme actuellement en traitement à la Salpétrière, d'én
constances analogues, des phénomènes encore plus remarquables : celle femme , aujourd'hui âgée de soixanle-et- 1. L'atrophie
e le !) avril 1867 ; elle a été admise à l'infirmerie le 8 mai. Cette femme a été frappée, en novembre 1866, d'une attaque d'
année. 11 résulte des renseignements pris auprès des parents de cette femme , qu'à la fin de décembre 1866, elle a été frappée
e la Salpètrière le 11 novembre 1867. On obtient des parents de cette femme les renseignements suivants : elle a commencé à s
et son état ne s'est en rien modifié. Il y a quelques jours, cette femme a commencé à se plaindre pour la première fois, d
logue à celltf qui a été rencontrée dans le genou droit. Chez cette femme , les lésions articulaires ont été remarquables pa
13, infirmerie de la division des incurables, à la Salpêtrière. Cette femme est retenue au lit depuis plusieurs mois par une
s d'hystérie que j'ai examinés sont des cas parfaitement établis. Une femme qui reste huit ans avec un membre contracture n'e
Une femme qui reste huit ans avec un membre contracture n'est pas une femme qui simule ; une femme qui se laisse transpercer
t ans avec un membre contracture n'est pas une femme qui simule ; une femme qui se laisse transpercer le bras sans sentir est
s la prochaine séance, de présenter àla Société de biologie une jeune femme hystérique, atteinte en même temps d'amblyopie et
usion dans, sa communication de la séance précédente. « Cette jeune femme , mercière de son état, est hystérique depuis lo
ltat de nouvelles expériences qu'il a faites à la Salpêtrière sur dos femmes atteintes de grande hystérie. Ces malades sont le
dans les salles de la Salpètrière, où se trouvent un grand nombre de femmes atteintes de cette terrible affection. Justemen
éro-épilepsie. Je lui offris de mettre en œuvre sa méthode sur quatre femmes atteintes de cette maladie, admises dans la maiso
l n'existe la moindre trace de la diathèse hystérique ; l'une est une femme de cinquante-cinq ans, très calme, presque apathi
t à la dernière démonstration dont je vais vous rendre témoins. Cette femme est encore sous le coup de la diathèse hystérique
contracture hystérique peut être provoquée artificiellement chez une femme qui est sous le coup de la diathèse hystérique. I
on matérielle de la moelle? A côté de cette jeune fille, je place une femme atteinte de myélite partielle, et qui ne présente
se demandait la nature d'une paralysie dont était atteinte une jeune femme de vingt ans. Le diagnostic était difficile, mais
vons décrite : (N'oublions pas que nous opérons ici, non plus sur des femmes hystériques, mais sur des hommes bien portants, d
et si les sculpteurs de l'antiquité ont fait poser, comme modèles des femmes cataleptiques, ainsi que le prétendent quelques a
présenté par M. Dumontpallier, bien qu'il s'agisse des deux côtés de femmes hystériques hypnotisées. C'est qu'en réalité l'hy
s'entendre et d'arriver à se contredire sans motifs suffisants. Les femmes hypnotisées auxquelles se rapporte ma dernière co
moins durables, nous le retrouvons aussi chez les adultes, hommes et femmes , à la suite d'hypnotisations mal faites, inopport
ient tous des névropathes, des cerveaux faibles, des hystériques, des femmes ; la plupart de mes observations se rapportent à d
ient tous des névropathes, des cerveaux faibles, des hystériques, des femmes ; la plupart de mes observations se rapportent à
49 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
'elle éprouvait dans le3 régions utérines et annexielles. Cette jeune femme était très malheureuse de n'avoir pas d'enfants,
lpingite. La question de la laparotomie avait été agitée. Cette jeune femme continuait à souffrir, surtout au moment de chaqu
après chaque repas avait été jugé nécessaire, si bien que cette jeune femme passait ia moitié do sa vio diurne sur uno chaise
rminer à accepter une nouvelle intervention chirurgicale, cotte jeune femme voulut prendre mon avis. .Elle vint donc à Paris.
ta le 7 mai 1897 et je ne tardai pas à être convaincu que celte jeune femme était une nerveuse, je ne dis pas une hystérique
ée de n'avoir pas et de ne pouvoir pas avoir d'enfants. Cette jeune femme était pour moi une nerveuse, et son nervosismo, q
ive le 13 mai, en présence du mari. Ce dernier était resté près de sa femme les 11 et 15 mai. J'avais autorisé les rapports c
scrit l'usage des pointes de feu sur les régions ovariennes. La jeune femme pratiquait elle-même cette petite opération chaqu
ains, et que Mme X... pouvait immédiatement reprendre la vie de toute femme bien portante, qu'elle pouvait prendre ses repas
après mon récit, l'état dans lequel se trouve aujourd'hui cette jeune femme . Voilà ce qu'a fait la psychothérapie ; cette obs
s rapports, d'une maladie de cœur, suivant d'autres ; il laissait une femme et deux enfants : un fils et une fille. Il soutin
grave lésion rénale. , Il s'agit de la nommée Valentine K... Cette femme a 24 ans. Elle a eu deux enfants dont l'un est mo
is combien il est insuffisant pour qui sait observer ! Un enfant, une femme , un mari, un soldat, peu importe, est très malade
e III (1897). fois de leurs tortures morales. Mais c'est chez les femmes hystériques Burtout que l'observation en est faci
it, « Les malaises nerveux, les bobos, les vapeurs, laissons cela aux femmes ; mais que l'homme soit ferme, énergique et coura
vée par les consorts Péricr, parce que les époux Jouve exerçaient, la femme , la profession de somnambule et de cartomancienne
uvais existants. 5° Un viol peut être commis par suggestion sur une femme , soil dans le sommeil hystérique d'origine émotiv
rossesse, le mal augmenta encore en ce sens que, tout le temps, cette femme fut préoccupée de cette idée, rougissant même seu
é sur l'issue de sa 3e grossesse. Cependant l'intelligence de cette femme paraît intacte, elle raisonne sans difficulté sur
Observation I. — Mme T..., multipare, croit être enceinte do 9 mois. Femme nerveuse ; plus clic a d'enfants, plus ses grosse
18 février 1897. Au commencement de janvier, première séance : cette femme parait difficilement hypnotisable, c'est pourquoi
oduites par nos suggestions antérieures. Du 18 au 24 Février. Cette femme éprouve continuellement la sensation de contracti
sons remarquer que, sans l'hypnose, elle souffrirait comme les autres femmes . La téte est à la sortie. Chaque contraction est
tout a été employé sans succès pour calmer l'état gastrique de cette femme ; seule la suggestion hypnotique la délivra de se
il, deux remarques nous restent à faire. Premièrement: de ces trois femmes , une seule avait été hypnotisée avant sa grossess
somnambule ù la troisième séance. Nous avons observé, chez d'autres femmes enceintes, cette même facilité à s'endormir. Si c
on, avant l'accouchement, ont été suffisantes pour empêcher ces trois femmes de souffrir après. Les causes des actes sociaux
e l'hypnotisme, et, en outre, de ce qu'il avait su produire, chez une femme qui avait été à son service et s'était ensuite ma
crimes de laboratoire », doit être écartée définitivement. § 2. La femme violée sans le savoir. En état de somnambulisme
savoir. En état de somnambulisme, soit spontané, soit provoqué, des femmes , des jeunes filles, pourraient être violées sans
ui puisse se croire à l'abri de ce danger, car il n'en est pas où les femmes , les jeunes filles, né soient souvent exposées au
n'admet la possibilité du viol que quand les sentiments secrets de la femme seraient d'accord avec l'acte suggéré. Exemple —
accord avec l'acte suggéré. Exemple — emprunté au Dr Bellanger— d'une femme que son médecin posséda dans ses accès de somnamb
e criminel cependant, se rencontrant inopinément, au Palais, avec les femmes B..., avoua son crime. M. Brouardel constata que
consentir à l'épouser, après qu'il aurait divorcé d'avec sa première femme . Le rapporteur entre dans des détails de nature à
tionner que beaucoup d'autres. Observation conforme faite par M. X... Femme du monde, endormie dans une salle d'attente et do
lusion est la suivante : Il serait prudent que toute personne, homme, femme , jeune fille, sût exactement à quoi s'en teni
», et de ne pas consentir à l'épouser ; 4° à ces quatre malheureuses femmes qui viennent (juillet 1897) de se suicider ensemb
er. Ce n'est que sur leurs instances que je a restai. Dans la nuit ma femme eut une crise de nerfs effroyable. » L'agitatio
ir. « Si vous l'avez mis par-dessus le pont de Neuilly, tant pis. Une femme « comprend ces choses-là. M. Apollinaire habite l
ie « en trois semaines, ça ne regarde personne. Vous êtes une bonne « femme , M106 Rémy. C'est comme Don Quichotte, on lui fai
as à faire passer un jeune homme en conseil de " guerre. On rit entre femmes . Faisons une partie de dominos. Vous « faites d
Londres, 1897. Dr» Ch. Barbaud et Ch. Lefêvre. — La puberté chez la femme . Un vol. in-8, 282 p. Prix : 4 fr. A. Maloine. Pa
s se sont introduits dans leur corps (démonomanie, démonolalrie), aux femmes qui se disent enceintes de l'œuvre (1) Voir Ech
par notre confrère M. le Ur Delineau. Marié très jeune, il a perdu sa femme il y a un an. Pendant les quarante ans qu'a duré
emme il y a un an. Pendant les quarante ans qu'a duré son mariage, sa femme a été malade durant trente-neuf ans. Elle a donné
la mort de ses quatre enfants. Mais immédiatement après la mort de sa femme , il présente des crises de larmes d'une extrême v
ue distance. Ces crises se répètent chaqne fois qu'on lui parle de sa femme . Elles surviennent aussi à l'occasion d'un souven
asion d'un souvenir se rattachant à quelque fuit de l'existence de sa femme . 11 est donc facile de donner à la Société une dé
t péniblement soutenu et traîné, en quelque sorte, par les bras de sa femme et de sa sœur. Il vient avec le ferme espoir, la
avait, en moins de deux mois, obtenu le même résultat chez plusieurs femmes atteintes, soit de tumeurs abdo- minales, soi
son beau-frère, que son mari, dégoûté d'elle, s'entend avec une autre femme , poussé qu'il y a été par une somnambule, ce qui
un certificat, qu'elle me dicte en constatant « qu'elle n'est pas une femme vendue, qu'elle n'est responsable d'aucune faute,
Londres, 1897. Dr* Ch. Barbaud et Ch. Lefèvre. — La puòerfé chez la femme . Un vol. in-8, 282 p. Prix : 4 fr. A. Maloine. Pa
elbœuf l'a fait lui-même — on peut faire accoucher, sans douleur, une femme , qui, l'œuvre accomplie, n'en garde aucun souveni
urs que je lui avais fait voir. Bien plus, une autrefois, une jeune femme , également très suggestible et que mes expérience
peut leur faire commettre les actions les plus délictueuses. Telle femme nerveuse refuse absolument de se laisser traiter
et son élève savent aussi bien que moi qu'il est des sujets, hommes, femmes ou enfants qui dans l'état de sommeil provoqué so
il avait été mis en liberté, et son premier soin avait été de tuer sa femme dans un accès de délire causé par la jalousie. Co
d'aliénation mentale. A sa sortie « d'un asile d'aliénés, il a tue sa femme par vengeance et jalousie. « Toutes ses facultés
contradiction formelle avec le caractère, les sentiments d'une jeune femme qui multiplia les tentatives de suicide, les prép
sols, y donne accès : — la villa Gahrielli pour les hommes ; pour les femmes , la villa Barberini et la Casa Homana composent l
, ou attachés trop étroitement à la paille ou ailleurs. « Quant aux femmes , il se rendra auprès d'elles sur l'invitation de
eux qui détestent, par moment, les.ôlres qu'ils aiment le plus, leurs femmes , leurs enfants. Les littérateurs nous ont souvent
esse. On peut y ranger encore ceux qui tombent amoureux de vieilles femmes , de souillons répugnants, bien qu'ils estiment ce
e rencontre plus par les rues qu'hypnotiseur ou hypnotisés, hommes et femmes , enfants et vieillards. La cause immédiate de cet
l. En voici quelques exemples : pendant trois nuits consécutives, une femme entend une voix qui lui dit : « Tue ta fille ! »
on l'arrête au moment où elle va se jeter à la Seine (2) ; une autre femme (I) Macario, Ann. méd. psyelt.. VIII, 176. (2
té variait avec les individus. Elle paraît un peu plus grande chez la femme que chez l'homme. Elle est au maximum chez l'enfa
somnambulisme provoqué ou spontané, ou de condition seconde, des femmes , des jeunes filles peuvent être violées, sans le
i puisse se croire à l'abri de ce danger; car, il n'en est pas où les femmes , les jeunes filles ne soient exposées au contact,
lui-ci, il obéit facilement. Le « Dr lîellangcr rapporte le fait dune femme qui, après avoir fait à son « médecin, dans des c
gnétisme, .vérités et chimères de cette science occulte. Cette pauvre femme , qui s'était livrée à son médecin dans un état ps
aison, endormie, laissait la place libre aux élans de son cœur, cette femme , restée pure et chaste devant sa conscience norma
a fait lui-même, à propos de J..., — faire accoucher sans douleur des femmes mémo primipares; et (2) Gazette des Hôpitaux, 8
laquelle devait s'appuyer l'accusation. A la fin d'avril 1879, une femme B... déposait, au Parquet de Rouen, une plainte c
ait nécessaire, et vous n'avez pas résisté. Sauvez-moi ! Sau-a vez ma femme et mes enfants ! Dites que je ne vous ai pas viol
présenter certaines manœuvres ou certains états hypnotiques, pour les femmes ou les jeunes filles les plus honnêtes et les plu
a déterminer à l'épouser, après qu'il aura divorcé d'avec sa première femme . Le temps me manque pour entrer dans tous les dét
llet 1897 ('), je communiquais à la Société l'observation d'une jeune femme qui, mariée depuis sept années, était obsédée par
ion et je le fais aujourd'hui en informant la Société que celte jeune femme a mis au monde une petite fille dans la nuit du 1
et les maladies, augmentent la tension vitale chez les hommes et les femmes atteints par la vie à outrance de notre époque; e
s pour les opérations chirurgicales. Il arrêtait les vomissements des femmes enceintes, les métrorrhagies, les convulsions, gu
t suggestionné, sur un homme Imaginatif, émotif, sentimental, sur une femme , sur une jeune fille, sur un enfant ! Chez les
chef d'un important établissement commercial de Nancy, rencontra une femme du meilleur monde, dans un train qui devait le co
aquelle mon ami, M. X..., a hypnotisé et suggestionné, à Delforl, une femme honnèle pour laquelle il n'était qu'un inconnu ;
position que nous avons émise, à savoir: la possibilité de faire, aux femmes el aux jeunes filles, à certaines d'entre elles t
de ne recevoir aucune suggestion, ce qui eût empêche que celte pauvre femme — jusque lu épouse et mère irréprochable — fût li
— et à consentir ensuite à l'épouser; 4° A ces quatre malheureuses femmes qui viennent (juillet IS9V de se suicider en même
serait de la prudence la plus élémentaire que toute personne ; homme, femme , jeune lille, sût exactement jusqu'à quel point e
un honnête homme peut-il élre rendu criminel malgré lui ? a 2° Une femme peut-elle être violée sans le savoir, sans le sen
pu, en 1892, M. Liébeault et moi, guérir, par suggestion verbale, un» femme de 3C ans, deux fois veuve, que poursuivait l'idé
'avocat, subvenait de ses deniers aux besoins de Port-Royal. Sa mère, femme très dévote, ayant été vivement émue par un sermo
par le Dr Pierre Janet. La Presse Médicale, 1897, n° 61, p. 41.— Une femme de trente-sept ans, fille d'une mère hystérique,
t elle se réveille. . Toutes les fois qu'au début de sa maladie celte femme s'était efforcée de s'endormir naturellement, ell
50 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
cer à cet égard, sur nos huit observations, quatre concernent des femmes , les quatre autres des hommes. Mais ce qui méri
, dange- reux lorsqu'il est ivre (nombreux actes de violence sur sa femme et ses enfants; une de ses filles a dû, pour ce
vant l'expres- sion de M™0 G..., tous trois sont « enragés pour les femmes ». Deux d'entre eux sont âgés de plus de soixan
. Us ne sont heureux que quand ils causent de sujets légers, où les femmes entrent pour quelque chose. Le troisième, n'en
d-père maternel était très porté pour les plai- sirs de l'amour. Sa femme l'appelait « coureur de filles ». Pen- dant tou
aient dans leur costume ni les attributs de l'homme, ni celui de la femme . 48 recueil DE faits. G... n'a pu nous dire s
féminins. D'ailleurs chez sa mère, les occupations ordinaires delà femme étaient les siennes : il se livrait aux soins d
ière d'être, et professe d'ailleurs toujours le même dégoût pour la femme . Quand on lui demande la raison de sa conduite,
ectuels. REVUE CRITIQUE TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE^CHEZ LES FEMMES '; Par M. LECORCHÉ. LE COMA DIABÉTIQUE ET L'A
1 Voy. tome X, page 395. TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES . 51 Kaulich. Prtig. Vt€ ? 1860. Kussmaul. - D
cot'ch6. -.Diabète. 1885. TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES . 53 Est-il nécessaire de s'étendre sur les lési
s les reins et les autres TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES . 55 organes. Voit et Hertz ont constaté cet éta
réaction rouge-bourgogne TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES . 57 et le malade exhale cette odeur aigrelette,
at actuel de nos connais- TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES . 59 sances, aucune raison péremptoire de donner
tout par les poumons; peu TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES . 61 importe donc que l'épithélium rénal soit ou
és indifféremment sous le TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES . 63 nom de coma diabétique, ne rentrent dans ce
fois, le collapsus parait TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES . 65 avoir été provoqué, comme le coma acétonémi
oqué, comme le coma acétonémique, par une fatigue intempestive. Une femme , âgée de quarante ans, qui perdait de 4SO à 600
tout cas, ils ne mé- TROUBLES NE11VKUX DANS LE I)lAliÈ'IE CHEZ LES FEMMES . 67 ritent le nom de phénomènes acétonémiques q
38°,2; nous avons observé TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES . 69 38°,5, 38°,6 et 39° dans les premiers jours
s symptômes se dissipent, TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES . 73 la réaction et l'odeur acétonique disparais
tente. Pendant plusieurs années, nous avons pu constater chez cette femme , à différentes reprises, des tentatives d'acéto
it curieux signalé dans notre Observation XLIX. La malade était une femme de quatre-vingts ans, reconnue diabétique en 18
n 1878, l'urine ne renfermant plus que des traces de sucre, cette femme fut prise de convulsions toniques des bras et des
symptômes que nous venons de décrire s'observent aussi bien chez la femme que chez l'homme. Au point de vue symptomatique
J. Cyr dans son intéressant travail, 112 seulement ont trait à des femmes , Frerichs de même a observé moins souvent des a
de même a observé moins souvent des accidents acétonémiques chez la femme que chez l'homme. Pour nous, nos observations n
nturier, Progrès médical. TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES . 75 Affections aiguës intercurrentes. Dans d'au
muscles abdominaux ou thoraciques. L'Observation I con- cerne une femme de trente-deux ans adonnée aux boissons alcooli
sept. 1885.) M. Frew rapporte un cas d'ischurie hystérique chez une femme offrant des antécédents héréditaires vésaniques
ème ; par M. H. HARTMANN. (France méd., 1884, I.) Il s'agit d'une femme de trente-six ans qui, vers la vingtième année,
MENT cérébral; par M. MAYET. (Lyon méd., 1884, t. XLV.) Chez une femme qui mourut après trente-six heures de coma, on
jalousie; il s'en va boire, rentre ivre à onze heures, demande à sa femme des excuses que celle-ci se refuse à lui faire,
ire, tue son fils âgé de six ans (coups sur le crâne), et frappe sa femme à la tète avec une pioche. Arrêté, il manifeste
e nouveaux pavillons pour quatorze malades : égalité d'hommes et de femmes '. Ces constructions ont pour but de désencombr
ersation avec billards (section des hommes) et boudoir (section des femmes ). Réfectoire et salon sont pourvus d'une grande
31 décembre 1881, sur 379 hommes il y avait 149 meurtriers; sur 123 femmes , 78 avaient commis des homicides. Le dégoût de
ividus (34 h. 10 f.) : 13 hommes étaient alcooliques; 7 hommes et 3 femmes représentaient t des héréditaires. Aliénés sort
guérison. R. NI. C. IX. Un cas DE paralysie générale chez une jeune femme ; début A L'AGE DE quinze ans; par Joseph YIGLES
el parait être le plus piécoce de ceux qui ont été observés chez la femme . Il faut fajouter que, si l'on étudie, pour les
illeurs. Sui- les rapports des maladies des organes sexuels de la femme aveu les troubles psychiques. D'abord deux observ
femme aveu les troubles psychiques. D'abord deux observations. Une femme , grosse de huit mois, est prise successivement de
gue de 6 centim. dans la moelle dorsale inférieure. Il s'agit d'une femme de cin- quante-quatre ans; prédisposée, névropa
muniqué un intéressant rapport médico-légal : il s'agit d'une jeune femme qui fut arrêtée en flagrant délit de vol dans l
ne. L'enquête qui fut faite à cette époque démontra que cette jeune femme faisait depuis plusieurs années, un usage fréqu
auquel s'est livré le Dr Garnier que, malgré ses dénégations, cette femme au moment du vol jouissait encore de l'intégrit
pas l'intérêt de cette communication : après son arrestation, cette femme fut séquestrée à Saint-Lazare et mise dans l'im
t cesser : d'où il est permis de conclure qu'il existait chez cette femme une intoxication mor- phinique réelle, malgré l
sagés les rapports de l'hystérie avec la paralysie générale chez la femme . Sur trente femmes atteintes de paralysie génér
e l'hystérie avec la paralysie générale chez la femme. Sur trente femmes atteintes de paralysie générale, l'orateur aurait
oixante-quatre ans, n'a pu se consoler, parait-il, de la mort de sa femme ; le 2° est mort à soixante ans à la suite d'un
voir la folie éclater, à la suite d'une émotion morale, chez une femme en couches, ou encore pendant le cours ou à la
s 33 cas résumés dans nos tableaux, il y a vingt hommes et treize femmes , que l'hérédité névropathique est signalée huit
n'était pas atteinte. Tumeurs caséeuses. Observation 41. (P'éré). - Femme de cinquante-deux ans. En novembre 1883, attaqu
trois mois avant sa conception par son mari, buveur acharné. Cette femme ne suivit le traitement convenable qu'après l'acc
é, dans le vieil asile de la ville, deux cas de délire aigu chez la femme . dans le cas de Lévy, constaté l'existence de s
enior. Pendant le cours de sa pratique féconde en psychoses chez la femme , il n'a pas vu de fait semblable à celui de Lev
tie contient la salle d'examens : B est réservé aux hommes, C aux femmes ; entre eux est située la pharmacie (d), la salle
ux agités et aux gâteux; l'un est pour les hommes, l'autre pour les femmes ; entre eux, est la chambre des médecins, et une
On ne les occupe pas; ils s'entretiennent, lisent, fument. Quelques femmes cousent, ou font de petits travaux sem- blables
ts de l'hystérique sus-mentionnée, n'a rien donné non plus. Chez la femme qui constitue une observa- tion analogue à cell
er n'est pas, en tous cas, de l'acide éth\Idiacétique, car, chez la femme que nous avons rapprochée de l'observation de S
ce genre; peut-être est-ce parce qu'il s'agit de préférence de la femme . La bibliographie contient de rares exemples de p
en outre, de se rappeicrque la paralysie géné- rale atteint chez la femme , presque exclusivement les filles pu- bliques,
rihépatile et de la périsplénite. M. Ener, raconte l'histoire d'une femme publique atteinte de paralysie générale consécu
Contribution au traitement de la migraine et de la céphalée chez la femme . (En allemand.) Deux cas sont rapportés dans le
ers sans aide, mais causait à ce sujet, des frayeurs mortelles à sa femme . Depuis deux ans, il lui faut, en les redescend
en commun avec SrÛlILI.N(;IeR. Il s'agit de deux hommes et de deux femmes , parmi lesquels un malade de cinquante-six ans,
rvitudes, les bureaux, un temple provisoire, et un quartier pour 15 femmes habitant en liberté. Pfle-liain a été tout à fa
et buanderie et leurs dépendances (boulangerie et logement pour 16 femmes vivant en liberté)- un pavillon pour 32 femmes
et logement pour 16 femmes vivant en liberté)- un pavillon pour 32 femmes (section fermée) un pavillon pour 32 hommes (se
i à acquérir un nouveau terrain. On a cons- truit les quartiers des femmes qui peuvent héberger 150 malades à l'aise, et a
fr.). Nombre des présences au début de 1882 = 232; 109 hommes ; 123 femmes . On se mit ensuite à réorganiser les asiles de
ichberg, on est en train de cons- truire un asile pour épileptiques femmes du culte catholique. Di- recteur : le conseille
sexes : ils sont prêts. On a amélioré radicalement le quartier des femmes agitées. Cette année, on agrandira et on remani
es en des pavillons construits en dehors des services), du côté des femmes ; l'ensemble des transformations de cette sectio
marks (p6r,696 fr.); ils sont destinés chacun à cent hommes et cent femmes . Leur long côté, parallèle à l'asile de traitemen
nouveaux bâtiments cellulaires contenant l'un 20 hommes, l'autre 20 femmes ; la construction a coûté 115,444 marks (144,305
ai- gnoire. Le rez-de-chaussée du nouveau bâtiment cellulaire des femmes loge a son extrémité nord l'obitoire, avec dépôt
re admis. On projette une semblable disposition pour le service des femmes . A l'hôpital régional de Hofheim, on a terminé
mes. L'addition ou l'agrandisse- ment de 6 divisions d'hommes et de femmes , permit, de concert avec l'installation d'une c
nt central, deux nouveaux bâtiments; c'est d'abord un quartier de femmes qui, à la fin- de 1883, donnait' asile à 30 malad
anderie. La buanderie peut elle-même servir d'habitation à 30 ou 40 femmes . C'est ainsi qu'on a fait disparaître l'encombr
l'asile fermé, a été adaplé à la résidence de 30 travailleuses; 20 femmes y sont depuis le printemps dernier. De même que
nit l'asile à la colonie. Le bâtiment cellulaire de la division des femmes a été doté d'une annexe qui comprend une grande
ssement et pour le médecin adjoint, une aile neuve pour t4 aliénées femmes , un pavillon isolé pour 8 à 10 femmes semi-agit
e aile neuve pour t4 aliénées femmes, un pavillon isolé pour 8 à 10 femmes semi-agitées, deux pavil- lons isolés destinés
l'attention avait été vivement éveillée. Il s'agissait d'une jeune femme qui, inculpée de vol, avait été jugée par l'une
illes à tempérament nerveux pré- dominant. Nous devons à sa mère, femme intelligente et que sa profession de sage-femme
ns peine, le désarroi intellectuel auquel était arrivée cette jeune femme sous la double influence des troubles nerveux don
rtigi- neux, des spasmes, des syncopes survinrent; et quand celte femme arrive à Saint-Lazare, elleétait dans un tel état
ervice M. le professeur Teissier, quatre au- topsies : deux sur des femmes regardées comme atteintes d'épilepsie essentiel
r JAUNIES SU.W. (The' Journal of Mental Science, juillet 1884.) . Femme de soixante-quatorze ans, dont les premiers troub
central DE la moelle ; par G. GLASER. (Arch. f. Psych., XVI, 1). Femme de quarante-deux ans sans tare héréditaire d'aucu
epuis l'âge de onze ans : il n'a jamais eu de rapports sexuels; les femmes ne lui inspirent (et autant du moins qu'il peut
le lendemain. Même oubli au sujet de coups de bâton donnés à une femme qu'il ne connaissait pas, et qui lui valurent tre
e. C'est d'abord une jeune fille, autrefois hallu- cinée ; puis une femme de 40 ans qui, depuis 10 ans, a par inter- vall
de ne plus voir ce cadavre et l'hallucination a disparu. Une autre femme , hystéro-épileptique, à qui on repro- chait la
(opium dans le), 458. Diabète (troubles nerveux dans le chez les femmes ), par Lécorcli6, 5 ? ef. Dure-mère (tumeur de
ar Vinas, 85. Paralysie générale, 87, 257, 286; (chez une jeune femme ), par Wi- i gleswoitli, 92, 420. Paralysie sa
, 42; par Savage, 427. Sexuels, (maladies des organes - chez la femme , et troubles psychi- ques), par Hasse, 99. So
51 (1846) Journal du magnétisme [Tomes II et III]
iabolique « Qu’ici vous avez usé; « Vous avez magnétisé « Celte femme ... F.t loul s’cxpli«.'»«: « On vous avait inter
est essentiel de retenir que, quoiqu’on ait assuré le contraire, les femmes ne sont pas plus susceptibles que les hommes de r
a chez elle une dia-thèse hémorrhagique assez commune chez les jeunes femmes enceintes d’un premier enfant, et, suivant ses as
, éviter soigneusement les excès qui les dissipent; s’il s’adonne aux femmes , il n’a plus qu'une volonté sans valeur, il ne pe
. Orléans, le 6 février 184«. Névralgie. — Il y a quinze mois, ma femme était en proie aux douleurs les plus vives, et de
seur. Mais il ne m’enseigna que'juste ce qu’il fallait pour guérir ma femme de cette maladie : c’étaient des passes à grands
ue rnon médecin, qui ne me répondait que par des paroles évasives. Ma femme fut cependant guérie de cette maladie terrible, e
e par son analogie avec la première qao publia Petétin. « Une jeune femme de vingt-cinq ans, à la suite de chagrins profond
propriétés curatives de l’agent magnétique. « Voici le fait. « Ma femme , habituée à vivre dans un pays chaud, et se trouv
l’inapréciable bonheur, par un procédé des plus simples, de guérir ma femme d’une douleur qui ne lui laissait plus de repos.
sans baguette’. « Il y a à Lisbonne, dit le frère Lebrun, une jenne femme qui a de vrais yeux do lynx ; elle a la vue si pe
pour un nouvel étlifiioe,et en ayant feit chercher inutilement, celte femme a découvert plusieurs sources en sa présence sans
’exploiter les malades en s’adressant à leur crédulité. « Voici une femme qui rend des oracles, comme autrefois la sybille
arquez-le bien, tant qu’elle se tient éveillée ce n’est qu’une pauvre femme ignorante, souvent grossière, qui ne sait même pa
ordon, et, après un instant d’attenle, la porte s’ouvrità moitié; une femme qui était occupée à laver nous dit, en se cachant
enait déjà, m’écrirait-il, quoique j’eusse été obligé de montrer à sa femme à le magnétiser, forcé quej’êtkis de partir de ce
ors la frayeur s’empara des deux filles, qui la « communiquèrent à ma femme . Lorsque la jeune « fille passait dans la salle à
aisselle fut « brisée. Les choses allant toujours en augmentant, « ma femme m’en fit part. « Inutile de vous dire, Monsieur
e. Un Turc assez considérable et fort âgé avait épousé une très-jeune femme , et, voulant remplir tous les devoirs de sa nouve
on fils au lion de Florence. « Quelle est touchante surtout dans la femme en prière aux pieds de la Vierge dont elle implor
ent le long de ses joues. L’illusion est complète. On prie avec cette femme , on pleure avec elle. Du reste, dans toutes les s
alors vers le côté droit et tremble comme ferait celle d’une vieille femme , les muscles de la face se crispent légèrement et
t d’exhumer le corps de Chapus. Ils exhument d’abord le cadavre d’une femme , puis celui d’un homme, et disent reconnaître Cha
— Le fait le plus saillant de cette séance est la présentation d’une femme de Sau-mur, affectée d'une maladie de l’œil, mieu
sse4 ne pourra pas longtemps résister à leur action foudroyante. La femme électrique. — Sous celte dénomination, on joue en
tte dépense, l'autorité refusa la permission d'enterrement. Alors les femmes des environs se levèrent en masse, on dirigea des
elles, une lutte sérieuse s’engagea, dans laquelle il y eut plusieurs femmes et des enfants de tués ; mais les soldats ont été
s de tués ; mais les soldats ont été obligés dfcsere-tirer devant ces femmes exaspérées. » Revue des journaux. — I-a Patrie
a cause des désordres et des ipipuretés de ceux qui la subissent. « Femmes ! vous qu’on éloigne de tout mouvement scientifiq
otre couche nous parait plus dure. Qu’importe la voix d’un ami, d’une femme bien-aimée?... Est-ce de leurs sentiments dont no
at du médecin lui paraisse supportable : les affections nerveuses des femmes charmantes ; parce que là il quitte son rôle, n
ans après, sous la direction de son protecteur. Lion magnétisé.—Une femme , habitait avec son enfant, dans une fraction des
roiset. — Muller.— A. Pilou, typographe. — M",c Gagnadre. — Gentil. — Femme Voibre — Rebin. — Legrand, docteur-médecin. — Riv
maître Robert. « Un jour, pendant un sermon, ayant aperçu une belle femme , il la mande, lui parle doucement et l'engage à c
ique et condamner au feu. Le lendemain, en effet, il fait venir cette femme , lui pose la main sur la tête, et en présence de
veux. — « Vous avez entendu, dit-il aux assistants, comment « celte femme u avoué sa propre turpitude. » « Tous les spect
ondirent qu’ils n’avaient jamais rien entendu de pareil.! Alors cette femme fut livrée aux gardes, qui la conduisirent en pri
femme fut livrée aux gardes, qui la conduisirent en prison. « Cette femme était mère d’un jeune ecclésiastique d’un bon car
et lorsque le clerc eut arraché le papier de la main du moine, cette femme , interrogée comme précédemment, jura devant tout
son sommeil, lui détacha un des anneaux en or, appelés redif, que les femmes portent au pied. Quand la dormeuse se réveilla et
eur qui est devant eux ; aux émotions « produites sur un auditoire de femmes par un pré-« dicateur fanatique qui leur parle d’
nquisition. « Dès 1507 ce tribunal avait fait brûler plus de trente femmes comme magiciennes ou sorcières, appartenant à la
chaque famille représente la personne qui a une volonté raisonnée. La femme , les enfants, ainsi que les domestiques, ne sont
orbée, la plus éplorée, la plus indignée contre Pyrrhus de toutes les femmes qui émaillent cette foule; mais, en même temps, q
s Rachel. Que de votre part l’attention soit aussi entière pour cette femme que la sienne à votre égard est nulle! Au bout d’
esmoulins, détenu au Luxembourg, était séparé'de Lucile Duplessis, sa femme , qu’il aimait tendrement et qu’il ne revit plus.
m’écrit à ce sujet des choses surprenantes. Mise en contact avec une femme qui avait un torticolis, celle-ci en a été guérie
lvio Pellico, à Venise, s’éprend d’un amour véritable pour Madeleine, femme publique, renfermée sous les mômes verrous, qu’il
ses Mémoires, raconte comment un jeune homme s'éprit d’amour pour une femme morte, sur la description qu’on lui en lit, devin
r Esquirol est consulté par un mari qui éprouvait le désir de tuer sa femme , consulté par une femme que poursuit l’idée de tu
par un mari qui éprouvait le désir de tuer sa femme, consulté par une femme que poursuit l’idée de tuer un de ses enfants, co
que poursuit l’idée de tuer un de ses enfants, consulté par une autre femme qui se croit destinée à tuer son mari ou son peti
etit- fils. A la môme époque, le docteur Serres est appelé près d’une femme qui, depuis la lecture du procès d’IIenriette, re
M. Barbier (d’Amiens) lit à l’Aca— démie de médecine l’histoire d’une femme qui, ayant entendu raconter l’affaire Cornier, av
inels se laissent pendre, et leurs amis regardent tranquillement. Les femmes y accompagnent leurs maris, et leur rendent même
ses avec les tigres de l’arène les gladiateurs, les chevaliers et les femmes aussi, quand d’ailleurs ces victimes descendaient
n Pablo. — (S) Célèbre midccin ollcmaud cité par Dcleuze. nombre de femmes en couches. Il ne se passait point de jour sans q
n croira difficilement à quel point la terreur se répandait parmi les femmes enceintes, et cela d’autant plus qu’elles approch
e le fait de la mort implique et des riants tableaux que la vue de la femme réveille, de l'instinct destructeur si propre à n
e. Faut-il même le dire? fascination de la mort et organisation de la femme se rapprochent parfois d’assez près pour se confo
is naturelles, s’écrie avec plus d’esprit que de profondeur : « Les femmes sont sujettes à une férocité épidémique : l’exemp
’y a que la première qui soit criminelle ; les autres sont malades. O femmes ! vous êtes des enfants bien extraordinaires! »
decin Silva, se trouvant à Bordeaux, fut consulté par les plus jolies femmes de la ville, qui venaient à lui processionnelleme
le mal caduc! » Le lendemain, il n’v eut plus dans Bordeaux une seule femme qui eût mal aux nerfs (1). » . Une épidémie d
l’île de Milet à se pendre. Les magistrats ordonnèrent que toutes les femmes que l'on trouverait pendues seraient, après leur
A l’hôpital de Haarlem, des convulsions se propageaient à toutes les femmes de la clinique de Boer-haave. Le savant docteur f
lnrpelum faciens. chacune pour sa part, la cause unique, parmi les femmes , de la fièvre imitative? Nous ne le pensons pas.
er de la Providence que de croire qu’elle inspire contagicusement aux femmes le goût de la douleur et le besoin de la mort, da
fortement à son imagination, par suite de la maladresse d’une vieille femme qui ne cessa’ de l’en entretenir pour lui faire d
ne de scs extases, il lui mit une lettre dans la main, au sujet de la femme d’un de ses amis, qui était malade, et qu’aussitô
. » Cinquièma observation. « Le 8 novembre 1576, Bessine Dunlop , femme d’Anflro Jak, demeurant à Lyne,dans la baronnie d
en découvrir la véritable cause. A.-II. Güinaud. Le ciel ouvert. — Femmes innocentes et persécutées, femmes coupables volon
A.-II. Güinaud. Le ciel ouvert. — Femmes innocentes et persécutées, femmes coupables volontairement et involontairement, fem
et persécutées, femmes coupables volontairement et involontairement, femmes pour qui les feux d’hymen et les feux d’amour ne
issance pour ses parents, fille qu’on y voit courir malgré les siens, femmes de tous âges, de toutes conditions, que les chagr
e somnambule, vous répondez : C'est la science qui vient trouver la femme . Cette science est bien autre, ma foi, que cell
son vote pour un portefeuille; c’est un mari qui vendra l’écrin de sa femme ; c’est la chute d’un empire. Enfin cette somnam
un mari qui vient offrir 1,000 livres sterling pour qu’on endorme sa femme pendant deux mois, prétendant que ce n'est pas
on plus oublier ce jaloux italien faisant magnétiser le boudoir de sa femme , pour que les séducteurs restassent endormis en t
s que rien ne peut tirer des glaces du philosophisme, el pour qui les femmes ne sont que des machines caressantes on des escla
C... s’était déjà fait à Vienne une clientèle très-considérable. Des femmes de la plus haute noblesse, connues pour leur élég
ain qui offre l’exemple des prédictions erronées des somnambules. Une femme de sa maison, qu’il magnétisait, lui annonce qu’e
s la contradiction est manifeste; car l’hystérie est particulière aux femmes , et an nombre de ces victimes de l'ignorance et d
ar, outre que cet état s’obtient magnétiquement sur les hommes et les femmes de tous âges et de toutes conditions, en santé co
pas moins flétris. » CLINIQUE MAGNÉTIQUE. Gastuo-entkiute. — Une femme de trente-huit ans, mariée depuis environ un an,
tinuait. Je magnétisai la malado trois lois. La perte s’arrèla. Celle femme était portière de la maison que ¡’habitais; en qu
une grande réputation pour le traitement de certaine maladie dont les femmes se croient souvent atteintes. Elle suivit divers
dès les premiers jours d’octobre la guérison a été complète. Cette femme n’a jamais vu la somnambule qui l’a soignée, elle
l’opération chirurgicale pratiquée dernièrement, à Cherbourg, sur une femme de trente’ans, nommée Anne Le Marchand. Le procès
3 août contenait une lettre de M. Baucher, huissier, déclarant que sa femme , malade depuis huit ans et inutilement traitée pa
au cabinet de l’Ecolc de médecine de Paris le cadavre desséché d’uno femme qui exerça le triste métier d’avaler des aiguille
tre; il se leva aussitôt, ouvrit sa fenêtre, et vit distinctement une femme qui se promenait sur les toits, laquelle, après s
qui n’était pas occupée en ce moment. Le locataire, pensant que celle femme cherchait à commettre un vol, prévint l’une de se
rait la pièce, s’y rendirent aussitôt. Eu entrant, ils virent celle femme assise, tenant à la main un mouchoir qu’elle ourl
parle haut, gesticule, frappe. Et sur qui frappe-t-il? sur sa jeune femme . D’abord ses coups sont peu répétés, mais assez v
rte, et va droit au lit de sa belle-mère; il frappe celte malheureuse femme de nombreux coups de son gourdin, sans s’arrêter,
ion, craignant avec raison qu’un sort aussi cruel ne fût réservé à la femme de ce malheureux. On eût pu, par le magnétisme,
son président, le docteur Ségalas, partisan du magnétisme, et dont la femme a été très-curieuse somnambule. Revue des journ
eu à peu, et finalement_devenir semblable en tout à celui de la jeune femme , dont la somnambule imitait, en outre, la pose
ur Jury, de Saint-Etienne, qui explique qu’il a également pris poursa femme une consultation qu’il a payée six francs. « M.
52 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
e est institué. Il se compose de 60 lits, à savoir : 40 lits pour les femmes et 20 lits pour les hommes. Je ne saurais trop re
lade. C'est ce que nous avons constaté, ces jours-ci encore, chez une femme atteinte d'atrophie incomplète des muscles du cou
é que l'hystérie n'est pas encore éteinte, tant s'en faut, chez cette femme , et que la diathèse était là toujours vivace, mai
eu près. Et c'est pour cela que j'ai tant tenu à vous présenter cette femme aujourd'hui même ; car l'occasion de vous mettre
qui aura été le siège de la contusion, de l'entorse. Ainsi, chez une femme hémiplégique dont l'histoire a été rapportée par
ui s'éloignent considérablement du type normal. Yoici également une femme , Messieurs, que j'aurai l'occasion de vous montre
sa forme commune. C'est une ancienne hystérique, ou plutôt c'est une femme encore hystérique, bien qu'elle ait plus de 50 an
s cas difficiles, contribuer à fixer le diagnostic. Il s'agit d'une femme de 62 ans, chez laquelle nous ne pouvons pas rele
tle déformation d'une manière tout à fait caractéristique : c'est une femme de 49 ans, chez laquelle la maladie a débuté à 20
phénomènes du début, fait d'une façon très intelligente, par la jeune femme du malade. Je vous rappellerai que, d'après M.
ler quelques-uns des grands épisodes de l'hystérie considérée chez la femme , dans un de ses types classiques : l'hystéro-épil
rce qu'elle se rencontre non seulement chez la plus grande partie des femmes hystériques que nous avons observées, mais encore
ig. 14), au-dessous des seins et dans les régions ovariennes, chez la femme , à la région inguinale chez l'homme ; en arrière
contrent très vulgairement dans la grande forme de l'hystérie chez la femme , et sur lesquels je voulais, au préalable, appele
La proportion serait, du reste, d'après Briquet, de 1 homme pour 200 femmes . Ce chiffre est, sans doute, un peu exagéré. Quoi
n l'y rencontre avec tous les caractères observés d'ordinaire chez la femme . «- Je me bornerai à citer, à titre d'exemple,
e "d'origine traumatique. — Deux observations rela" tives l'une à une femme , l'autre à un homme. — Hérédité. — Griffe cubital
875 à 1880. Déjà Briquet dans son beau livre avait avancé que pour 20 femmes hystériques on rencontre, à Paris du moins, un ho
une affection considérée par beaucoup comme exclusivement propre à la femme . Enfin, j'ajouterai que, chez l'homme comme che
opre à la femme. Enfin, j'ajouterai que, chez l'homme comme chez la femme , la névrose se manifeste sous la forme fruste, à
hystérique, en un mot, peut se rencontrer chez l'homme comme chez la femme . Il n'est pas jusqu'au rétrécissement du champ vi
omme les points hystérogènes, avec leurs mêmes caractères que chez la femme ; mais chez lui les points d'élection sont surtout
ertes; il bredouillait en parlant, disait un mot pour un autre ; sa femme raconte qu'il a dit: « j'ai une main dans le sole
ait les désigner par leur nom, il ne retrouvait même pas le nom de sa femme . Il est impossible de savoir si la bouche et la l
être fait raconter son histoire par lui-même, sous le contrôle de sa femme , alors présente, tâche qu'il a accomplie sans dif
sais pas du tout comment cela est fait. » Le souvenir visuel de sa femme , de ses enfants est impossible. Il ne les reconna
isuelle des couleurs. 11 en semble préoccupé plus que du reste : « Ma femme aies cheveux noirs, j'en ai la plus parfaite cert
ux pas me représenter intérieurement les traits de mes enfants, de ma femme , ou de n'importe quel objet me servant journellem
s oscillations se retrouve dans le tremblement dit sénile. Yoici deux femmes atteintes de ce tremblement: chez l'une, la nommé
endant le siège de Paris, à la suite d'une violente émotion. Chez ces femmes , les mains et les doigts tremblent comme dans la
ffection rebelle, dont on débarrasse difficilement les malades. Cette femme est âgée de 26 ans. Elle a été mariée deux fois,
ne autre malade, à la suite de manœuvres semblables. C'est chez cette femme , la nommée Deb..., que la chorée dure depuis plus
conséquence, je l'espère, moins grave. En somme il s'agit, chez celte femme , en dehors des phénomènes malléatoires, de crises
e de distractions. Aussi, pour faire diversité à cette monotonie, les femmes des officiers principalement, suivaient-elles déj
s enfants. La fillette, en effet, fut placée dans une des salles de femmes de notre Clinique; les deux garçons s'en furent d
s trois cas entre eux et avec les cas correspondants observés chez la femme . Messieurs, Nous nous occuperons aujourd'hui
tense, très accentuée, celle qui répond à ce que Ton appelle, chez la femme , la grande hystérie ou hysléro-épilepsie à crises
s ferons, chemin faisant, des symptômes de la grande hystérie chez la femme et chez l'homme, partout nous aurons à relever le
lés Railway-Brain, sont, en somme, qu'il s'agisse de l'homme ou de la femme , simplement des manifestations hystériques. On co
ollision, d'un déraillement, devenir hystérique, au même titre qu'une femme , voilà, paraît-il, qui dépasse l'imagination. Rie
l'on se fait en général du tableau clinique de cette névrose chez la femme . Chez le mâle, en effet, la maladie se présente s
permanence et la ténacité des symptômes qui la caractérisent. Chez la femme , au contraire, — et c'est là sans doute ce qui se
tre les deux sexes, pour qui ne connaît pas à fond la maladie chez la femme , -— ce que l'on croit être le trait carac- ' 1,
lors, en se fondant naturellement sur des observations prises chez la femme , les phénomènes sont mobiles, fugaces et la march
xemples, un caractère univoque de la maladie hystérique, même chez la femme . Oui, même chez elle, il y a des hystéries aux
montrer : 1° Que les troubles sensoriels hystériques peuvent, chez la femme elle-même, présenter une ténacité remarquable, et
uellement, bien que non nécessairement, toutefois, à l'hystérie de la femme . Mais il est temps, Messieurs, d'arrêter là ces
issons chaque jour dans la forme correspondante de la maladie chez la femme . Enfin, je compte vous présenter, en manière de r
rappeler sommairement, par deux exemples, jusqu'à quel point, chez la femme , les symptômes permanents de l'hystérie, les stig
uencer que pour quelques heures. Je me bornerai à vous présenter deux femmes , véritables vétérans de l'hystéro-épi- lepsie,
q ans C'en est assez, je pense, pour vous montrer comment, chez ces femmes , les stigmates dont personne ne songerait à conte
hez l'homme b}^slérique, plus accentuées peut-être encore que chez la femme . Je vous rappellerai, en outre, comment, chez n
ressent de temps à autre une sorte d'impulsion irrésistible vers les femmes . Il lui est arrivé souvent de courir soudain voir
es. Malheureusement, vers cette époque, un penchant immodéré pour les femmes et pour la boisson se sont développés chez lui. I
nalée que jamais G... n'a pénétré dans îe dortoir où sont placées les femmes « en attaques», de telle sorte qu'on ne saurait i
ractéristiques, telle, en un mot, qu'on l'observe fréquemment chez la femme . mauvaise habitude depuis qu'il est tombé malad
cercle enfin, font absolument défaut. Mais nous connaissons, chez la femme , cette variété de l'attaque hysléro-épileptique 1
issants qui rapprochent l'hystéro-épilepsie de l'homme de celle de la femme , alors même que, cessant de considérer exclusivem
, moins rare celle-là, moins inattendue, c'est, dans l'hystérie de la femme , l'absence des crises convul-sives. Vous savez, e
, suivant l'enseignement de Briquet, un quart environ des hystériques femmes n'ont pas d'attaques. La maladie, en pareille occ
tchell enfin, dans son excellent livre sur les maladies nerveuses des femmes 4 ; pour mon compte, je n'ai pas encore trouvé, j
le fait défaut, suivant Briquet, dans plus d'un tiers des cas chez la femme . Notre observation vient démontrer qu'elle peut f
el plus ou moins violent, appliqué sur l'épaule ; tandis que chez nos femmes hypnotisées, c'est de la suggestion par la parole
tisme Dans cette hypothèse, la sensation particulière accusée par nos femmes hystériques dans le membre soumis au choc, et qu'
tudes antérieures que chez l'homme, plus peut-être encore que chez la femme , un choc traumatique peut avoir pour effet de rév
hystéro-organiques. — Coxalgies artificiellement produites chez deux femmes présentant les phénomènes du grand hypnotisme. —
es deux malades que je fais placer devant vous sont toutes deux des femmes hystériques avérées offrant les caractères les pl
une forme bénigne, l'affection décrite par Brodie. Chez une de ces femmes , c'est en produisant, pendant l'état somnambuiiqu
ui de cette opinion que des pratiques analogues, appliquées chez deux femmes hystériques hémianesthésiques de mon service, ont
s le cours du dernier mois, sur un total de 70 sujets hystériques (43 femmes et 27 hommes), les uns actuellement en traitement
ier sur la contracture produite sur les sujets hystériques (hommes et femmes ), par l'application d'une ligature. (Progrés médi
ermis de déterminer, et dont la fréquence, chez l'homme comme chez la femme , est beaucoup plus grande qu'on ne le pourrait su
tériques hypnolisables. Avant l'épreuve qu'elles ont subies, ces deux femmes n'avaient jamais été en rapport avec des muets hy
à la région contuse ; tandis que, suivant toute probabilité, chez une femme hystérique, l'engourdissement serait remplacé par
mment à la même catégorie. Eu égard au nombre de malades, hommes et femmes , atteints d'hystérie, on peut dire que le mutisme
ivante de mutisme due à Watson (Philosoph. Transact., XIV). Une jeune femme était depuis longtemps sujette à de violentes con
yeur. Wells (Medic. Communications, 1790) rapporte l'histoire d'une femme qui, au sortir d'une attaque hystérique, s'aperçu
Richter (de Wiesbaden) a publié un fait plus curieux : celui d'une femme hystérique qui devenait aphasique régulièrement t
alement d'une façon complète. Obs. XV. — (Wilks, ibidem, p. 465). — Femme de 28 ans, gardant le lit depuis 4 ans et demi. E
rd-muet depuis 1878. Obs. XVII. — (Revilliod, obs. 3 du Mémoire.) — Femme de 47 ans qui, sans avoir l'habitus hystérique,
ent de notre maître, sur ce sujet. La malade dont il s'agit est une femme de 64 ans, présentant quelques antécédents hérédi
s jours et parlait distinctement. En 1879, nouvelle attaque ; cette femme tombe subitement dans la rue, frappée d'une hémip
marquée, qu'à plus d'une reprise il a été nécessaire de nourrir celte femme avec la sonde œsophagienne, tant la déglutition é
e d'origine traumatique. — Deux observations reía tives l'une à une femme , l'autre à un homme. — Hérédité. — Griffe cubital
s trois cas entre eux et avec les cas correspondants observés chez la femme ....................... 253 DIX-NEUVIÈME LEÇON.
ystéro-organiques. — Coxalgies artificiellement produites chez deux femmes présentant les phénomènes du grand hypnotisme. —
de la maladie de Basedow, 413. Zones hystérogènes, .85 ; — chez la femme , 232; — chez l'homme, 260. FIN DE LA TABLE ANAL
53 (1854) Journal du magnétisme [Tome XIII]
mais pour l’avoir observé sur les cinq somnambules lucides, hommes ou femmes , les seuls que nous ayons eus à notre disposition
t : « — Va-t’en chez toi, car tu n’as pas de passe-partout, et « ta femme est malade. » « Celui-ci se retira pour faire p
Aspasie « et de Périclès ! « Apprends de plus que le même joui- une femme infor-« tunée, affligée d’un engorgement au sein,
nez un anneau d’or, le plus massif possible, soit l’alliance de votre femme , si vous avez le bonheur d’en avoir une. Attachez
ppareil accuse la différence qui existe entre un cheveu d’homme et de femme , qui se refusera d’admettre qu’un somnambule puis
à peindre, prenait les réverbères pour des arbres, les hommes et les femmes pour des buissons agités. » Tantôt l'halluciné
ibunal correctionnel de Metz avait condamné à six jours de prison une femme Malassé, à l'occasion de pratiques auxquelles ell
ernier, dans la commune de Devant-les-Ponts, la nommée Barbe Humbcrt, femme Malassé, ayant chez elle une table à laquelle ell
rs, venus sans invitation et reçus indistinctement, ont formé chez la femme Malassé, notamment dans les soirées des 10 et 11
nconsidérées, indécentes et immorales étaient faites à la table de la femme Malassé, soit par cette femme elle-même, soit par
morales étaient faites à la table de la femme Malassé, soit par cette femme elle-même, soit par d’autres assistants, et que l
Attendu que, dans les diverses circonstances signalées ci-dessus, la femme Malassé ayant toujours interprété elle-même les p
de troubles et de désordres; ( Qu’il est possible néanmoins que la femme Malassé n’ait pas apprécié tout d’abord la portée
’abord la portée des actes auxquels elle s’est livrée ; a Que cette femme , dont la conduite n’a jamais été l’objet d’aucun
« Réforme le jugement de première inslance, en ce qu’il a déclaré la femme Malassé alternativement coupable du mime délit, s
oit connue auteur, soit comme complice, en ce qu’il a condamné ladite femme pour ce délit à la peine de six jours d’emprisonn
our ce délit à la peine de six jours d’emprisonnement; n Déclare la femme Malassé coupable d’avoir, dans les circonstances
ne que le surplus du jugement recevra son exécution ; « Condamne la femme Malassé aux frais d’appel liquidés ;\ 8 fr. 60 c.
de petites filles de quatre à cinq ans, à des gens grossiers et à des femmes de village. » (P. La Combe, ouv. cité.) « L'âme
our provoquer l’ancien serpent tout meurtri du coup que le pied de la femme lui a porté à la tête, et pour l’inviter en quelq
.... Mais non ! vous resterez engourdis, comme de vieilles et faibles femmes ; vous ne releverez point la tête pour regarder en
reudu un jugement ainsi conçu : « Le tribunal reçoit en la forme la femme Roger appelante d’un jugement du tribunal de simp
ne du 2(i novembre 1853, el aussi des déclarations à l’audience de la femme Roger, que depuis le jugement d'appel rendu contr
al appelé ; maintient les dispositions dudit jugement, et condamne la femme lloger aux dépens tant d'appel que de première in
dit les avoir rencontrés constamment chez les chloroliques, hommes ou femmes , c’est-à-dire chez des individus dont le sang con
e, je fus mandé chez M. Béga, rue Saint-.lntoine, n» 43, pour voir sa femme chez laquelle j’avais déjà consisté un double bru
ait, et sa surprise fut extrême lorsqu’il vit qu’en m’éloignant de sa femme elle fut tellement attirée de mon côté, qu’elle m
e l’est le sang fourni par les veines du pli du bras, ce qui rend les femmes enceintes plus ou moins chlorotiques, puisque leu
lle-ci existe. Les saignées, que l’on emploie trop souvent chez les femmes enceintes, en augmentant leur état eblorotique au
t délicate, l’intelligence très-fine, et, selon moi, ce qui a mis les femmes pâles à la mode, c’est justement parce qu’on leur
he; « De gagner un procès injuste; u De détourner de ses devoirs la femme du prochain ; u D'appeler un malheur sur la tête
l’abime, ou Satan les reçoit et les exauce volontiers. « Quand les femmes vont à l’église pour montrer leurs robes neuves e
ise pour montrer leurs robes neuves et critiquer les robes des autres femmes ; quand elles s’agenouillent en donnant à leur ta
viles épluchures que le diable ramasse. u Quand un homme donne à sa femme des conseils contre un homme en particulier, c’es
rsonnes et des animaux. 1° ACTION SUR LES PERSONNES. Plaie. — Une femme ayant été renversée par sa vache, avait eu la mai
u bout de huit jours il y avait guérison parfaite. Paralysie. — Une femme avait un bras paralysé depuis lu main jusqu’au co
ncore plus de quinze jours pour leur rendre la souplesse. Enfin cette femme reprit l’usage de sa main, put aller glaner et va
thune, tant est grande la célébrité de ce marcou ! De vieilles bonnes femmes se jetaient aux genoux des magistrats pour obteni
onnaître les excès de la spéculation magnétique de nos jours. « Une femme du monde laisse tomber un jour dans la rue ses re
ières, et de soutirer de l’argent à la pieuse crédulité d'une honnête femme . « Nous avons demandé souvent à des magistrats
étranac quelques-uns des sens. 6 „f a.‘ «u occasion d'observer une femme qui, à toutes ses couches, acquérait des facultés
n terme; mais ici c’est au moment où, par les soins de notre ami, une femme gisant à terre se relevait guérie ; c’est à ce mo
e, comme fait la lame aiguë du poignard, de la douleur qui dévore une femme aimante, dévouée , pleine d’admiration pour l’épo
riosité. Oh ! quelle énergie se développe tout à coup dans ce cœur de femme ! Quelle volonté puissante l’anime 1 Avec cette é
l'ère Qui lo donna la joio amère. Les pleurs de lo maternité, O femme ... Quel triste apanage! La douleur avec toi par
sèche le pré le plus vortj Le temps fit de l'homme un despolo, l)e la femme une pauvre ilote.... Et ce forfait... Dieu l'a
de fréquentes contrariétés, manifesté l’intention de se suicider. Sa femme ne le voyant pas rentrer depuis plusieurs jours,
a stupidité rendue lumineuse, l’immoralité prêchant la vertu. u Des femmes , dont la plupart n’étaient de bonne compa- Eie
de bon ton ne se faisaient pas scrupule, parfois, de se montrer ; ces femmes étourdissaient le monde du récit, souvent assez g
le comte de Schwerin , traduit ad litteram : u Depuis cinq ans, ma femme souffrait d’une maladie nerveuse compliquée, laqu
ril 1853, — c’est-à-dire dans la vingt-deuxième semaine ,—ramenant ma femme bien portante dans sa patrie. « Chez tous ceux,
thiques et secondaires ont tout à fait cessé. L’insomnie dont cette femme était atteinte depuis plusieurs années, altérait
mari, qui ne pouvait non plus fermer les yeux, tant l'agitation de sa femme était grande. Aussi, nous disait cet homme, le ma
rait-il produit que le retour de notre sommeil , il aurait rendu à ma femme et iv moi un très-grand service. Quatrième obse
n homme ; une autre fois, dans la maison d'un de mes amis, il vit une femme . Et chaque fois cet enfant, eut si peur, qu’il al
t moins fatigant de recourir aux procédés ordinaires pour plaire à sa femme ; mais Gemma, décidée à mourir plutôt que de céder
été adressées et rend ses oracles. « Dans le Kamschatka, c’est aux femmes qu’est réservé le don de lire daus l’avenir : rem
rétendent les voir, les poursuivre, les combattre et les blesser. Une femme bas-kir ayant été atteinte de spasmes vers la fin
n termes fortamers; mais convaincu enfin par la lucidité de sa propre femme , devenue somnambule, il s’est noblement rétracté.
ositive dans l’état de santé. Elle est plus souvent négative chez les femmes que chez les hommes; Gardini, eu effet, a trouvé
ue, ne laissent aucun doute sur la nature de ses sensations. Qu’une femme lui passe la main sur le dos, elle fait à peine u
s à cette différence de sensation que produit le chatouillement d’une femme et celui d’un homme ; ce dernier est nul et se bo
sation tactile excitée localement, tandis que le chatouillement d’une femme infiltre dans tout l’organisme une sensation qui
elles. La sensation du chatouillement est également inverse chez la femme , et j’ai remarqué que les sodomistes étaient très
es au chatouillement d’houune et répugnaient au cha- touillement de femme ; il en est de même des femmes, dans les conditio
et répugnaient au cha- touillement de femme ; il en est de même des femmes , dans les conditions aussi monstrueuses par rappo
ganisme? 11 s’est développé une étincelle qui l’initie à la vie de la femme , qui lui révèle l’existence de promission, l’exis
tion , et combien de fois le mesmérisme a-t-il transformé de jeunes femmes en femmes de Putiphar!..... Ah ! tout n’est pas
combien de fois le mesmérisme a-t-il transformé de jeunes femmes en femmes de Putiphar!..... Ah ! tout n’est pas rose en n
insi que sur de petits théâtres , comme sur les places publiques, des femmes éhontées jouent ces misérables rôles en compagnie
siège de la douleur, je magnétise à grands courants. Bientôt cette femme revint à elle ; sa première parole fut : « Oh !
étaient des musulmans. Les hommes étaient assis un peu à l’écart des femmes , sur des tapis et des coussins, fumant le narguil
fumant le narguileh et le tchibouk, ou prenant une tasse de café. Les femmes , au contraire, étaient rassemblées autour de berc
it entre les cyprès et les pierres funéraires, passer et repasser des femmes voilées qui se baissaient pour recueillir sur les
fonde, tout cela formait une décoration convenable à ce drame, où les femmes voilées qui recueillaient des herbes mystérieuses
ientôt le mot de l’énigme. « Cette nuit était une nuit magique. Les femmes qui se trouvaient là étaient des mères éplorées,
doit opérer la guérison. Pendant que ceux-ci fument le tchibouk, les femmes recueillent une herbe qui croit entre les tombeau
r avertir la famille de l’état désespéré où se trouvait le malade. La femme du moribond, très-dévouée à la pratique du magnét
provoquant une crise salutaire. Je communiquai 111011 intention à la femme de mon ami, qui y souscrivit avec bonheur. Elle s
e vingt-cinq minutes dans leur méridien. iliv à Versailles; mais ma femme a pris exactement note des choses, séance tenante
mhert. « M. B..., à neuf heures dix minutes (à Paris), a endormi sa femme , avec laquelle Mm* de M..., selon le désir que vo
enée à un cottage par un homme qui avait en vain essayé, ainsi que sa femme , d’ob- tenir l'indication de sa demeure, el lui
iétant, c’était leur odeur spécifique de gangrène, odeur telle que la femme du malade était quelquefois obligée d’ouvrir port
vers sept heures du matin, je fus appelé pour aller voir (subito) la femme Mazetin (Jean), métayère au village de l’Armurey,
une d’Hurcssans. J’arrive chez elle à huit heures du matin. Cette femme , âgée de vingt-six ans, d’une constitution bonne,
fection semblable à celle pour laquelle je suis appelé. Cette jeune femme s’est couchée hier soir bien portante» Tout à cou
pratique une saignée du bras de /iOO grammes; la saignée finie, cette femme sembla se réveiller d’un profond sommeil, répondi
s. Le lendemain matin, samedi 16 avril, le mari vint me dire que sa femme était parfaitement bien. Le même jour 16 avril,
eure trois quarts de la nuit). La pensée dominante qui occupe cette femme est la sorcellerie; elle dit (toujours en interpo
je crois devoir vous communiquer. Le premier concerne un homme et une femme mariés, tous deux âgés, gens très-respectables, a
mblais et je me levai. Devant moi se tenait debout une jeune et belle femme : ce n’était pas ma cousine. Elle me dit qu’elle
ma cousine absente ; je suis persuadé que son esprit était dans cette femme et était poussé par la force du magnétisme à me f
train de chemin de fer était prêt à partir. Une foule d’hommes et de femmes entraînaient de force Marthe. Ils l’enlevaient po
ous sommes convaincu que la maladie qui a déterminé chez cette pauvre femme les accidents du sommeil, eût pu être guérie si o
naquit en 1801, de parents très-simples, à l’un desquels toutefois sa femme décédée avait annoncé sa mort sept jours d’avance
lieu dans une cuisine du château de Lowenstein. C’était un fantôme de femme qu'elle revit ailleurs quelques années plus tard.
oulager, lui causa de violentes convulsions, et plus tard, cette même femme , par qui elle laissa magnétiser son enfant malade
une rivière, elle aurait infailliblement surnagé. Ceci rappelle uue femme i!e Freyberg qui, si l’on en croit Moller, en 162
Pour elle, les yeux des hommes lançaient des rayons blancs ; ceux des femmes , des rayons bleuâtres. Pendant les orages ou tira
soit dans lame, et certifieraient au besoin le fait. Un fantôme de femme , portant dans ses bras un enfant, se montra à Al'
ge se trouvaient deux grandes pièces; l’une servait au traitement des femmes et l’autre aux réunions du comité. Le second cont
peu près également les malades. II y avait quatre hommes et autant de femmes pour faire ce service-car la règle est que chaque
de la région qui doit être longtemps actionnée. Les sièges pour les femmes étaient beaucoup mieux que ceux des hommes. C'éta
a connaissance du magnétisme.... 11 arriverait bientôt que, panni les femmes , quelques-unes seraient parfaitement convaincues
ux, du 27 mai, contient une facétie sur le somnambulisme. Une jeune femme coquette, ne pouvant obtenir de son mari un genre
ette. Le mari, magnétiseur trop débonnaire, croit à la lucidité de sa femme , et s’empresse de lui accorder tout ce qu’elle s'
des faits qui détruisent son système : il raconte qu’ayant traité une femme affectée d’hystérisme, il agit magnétiquement sur
oyer que la force île sa volonté pour produire dans l’esprit de cette femme l’impression d’un voyage en mer, puis celle d’une
ely, de Morris, raconte aussi des cures remar-quables obtenues par sa femme , sous la direction d’un esprit. La feuille de N
185h , aux rédacteurs du Spiritual Télégraphe « Une dame amie de ma femme a un fermier qui, d’après les conditions de son b
môme journal qu’il y a plusieurs medium dans son voisinage, et que sa femme excelle entre tous. 11 rapporte que, l’hiver dern
e et me dit : « Faites-moi le plaisir de chercher « les lettres de ma femme . » Je les lui remis. Il les prit et les jeta au f
e. On se sépara. Un des membres de la réunion parla de ces faits à sa femme , qui était incrédule relativement aux manifestati
ue je ne suis pas revenue encore d'une telle audace s’adressant à une femme de ma qualité. Je crus qu’il parlait à une autre,
notre province ; à Paris, l’engouement était le même. Une douzaine de femmes de qualité, plus deux comédiennes, l’avaient suiv
et si M"* d'Oberkircli veut me « promettre de n’en jamais parler à ma femme , je vais vous « le raconter. Je vous prie égaleme
« — Et qu'est-ce que je pense encore ? » — Oh I vous pensez à une femme que je vois bien loin «d’ici; elle est dans une c
« bonnet très-haut en argent découpé, qui fait comme la « coiffe des femmes du pays de ('.aux. Tout cela est bien « riche et
ffe des femmes du pays de ('.aux. Tout cela est bien « riche et cette femme est bien belle. » « Le secrétaire d’ambassade,
e, répliqua-t-il vivement. Pouvez-vous « lire dans la pensée de cette femme ? « — Oui. « — Qu’y voyez-vous ? M’aime-t-ell
ez interrogée ; vous étiez perdu sans cela. « Vous avez écrit à cette femme . « — Oui. « — La lettre est dans un petit sac
ois. Vous êtes bien fou, monsieur le comte ; « vous promettez à cette femme d’aller l’épouser, de l’enlever « dans six mois,
urez atteint vos vingt-cinq ii ans. O, mon Dieu 1 0, mon Dieu ! cette femme est une n juive ! » « Ce mot produisit un effet
doit-elle continuer? « — Oui, oui, je préfère tout savoir. Si cette femme ne « m’aime pas, qui aime-t-elle? « — Un homme
n ce moment ; évidemment elle était inspirée. _ t . ,, — Mais cette femme ..... cette malheureuse..... je l’ai i fait inst
ore. 11 y avait à ce dîner M. le duc d’Orléans et M™ la princesse, sa femme , avec deux de ses dames. M. le duc d’Orléans essa
rvice, et qui depuis s’était mariée et établie dans son ménage. Cette femme devait habiter chez M. Leroux, et aller seulement
entif pour guetter l’arrivée de M*" Léonie Ségoin (c’est le nom de la femme de journée), lorsqu’elle entre sans avoir frappé
en quelque sorte l’exhumer; seulement, il se trouve que c’est pour la femme Ségoin le souvenir d’un fait réel. Elle croit (pe
’esprit de Python et j’irai vers e’ie et je la cousu « terai. • Cette femme lui fut amenée et lui dit : « Qui veux-« tu que j
citateur et je lui soumis cette objection i d Vous admettez que cette femme a eu le pouvoir d'arracher Samuel ù son repos. Vo
eu le pouvoir d'arracher Samuel ù son repos. Vous donnez donc à cette femme la puissance d’arracher un élu du Paradis pour la
pour la forcer à paraître sur cette terre. « — Ce n’est pas à cette femme , mais à l’esprit de Python, qui l’animait, que j’
ui dit, Lévitiqne, chapitre xx, verset 27 : • Quand un homme ou une femme aura l’esprit de Py-• thon et sera devin, on les
« En présence de cette crisiaque improvisée, et qui éveillée était la femme pieuse par excellence, ces messieurs s'empressé:
oger, somnambule, 123. — Outrage à la morale publique : Affaire de la femme Malassé,- 85. — Vol découvert par une somnambule
54 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
t état de l'esprit d'une manière plus pré- cise, on constate qu'une femme hystérique ne peut percevoir plusieurs sensatio
me une maladie des organes génitaux et qui enlèvent les ovaires aux femmes pour les guérir de leurs idées fixes. « Il est
es, mais on peut constater aussi le fait opposé ; nous avons vu une femme hystérique, anesthésique totale qui avait conti
inaire des jambes, bien supérieur à ce qu'il est dans le commun des femmes , la presque nullité de crois- sance dans les on
sidérablement agrandi. Ce terme ne s'appliquait d'abord qu'à des femmes présentant des douleurs, des symptômes relatifs
anciennes tribus sauvages brûlant le cheval, les armes et même les femmes du chef mort, avec son cadavre, obéissaient à c
schrift, 1890, n° 47.) Etude complète de 145 malades, 118 hommes,27 femmes . En ce qui concerne les lésions spinales de la
A. Voisin, rapporte trois observations de mélancolie liée, chez la femme , à l'infécon- dité du mari et disparaissant apr
près la naissance d'enfants. Chez 60 SOCIÉTÉS SAVANTES. ces trois femmes , le chagrin de se voir condamnées à la stérilité
utteux. Après quelques saisons d'eaux effectuées par les maris, les femmes devinrent enceintes et guérirent de leurs troub
TES. 61 Séance du 20 novembre 1892. M. le Dr W. RoTH présente une femme atteinte de myxcedème, dans le but de permettre
fondé en Angleterre une société qui a pour but de prendre soin des femmes qui sortent des asiles et de protéger et d'assure
contraire, je fais la charité à quelques-uns. C'est vrai, dit une femme . Et dire qu'il y a des gens qui vous en veulent
é plus de 200 personnes. Les « Thugs » étrangleurs respectaient les femmes , les gens de la basse classe, les musiciens, le
iments, a tenté hier, vers trois heures de l'après-midi, de tuer sa femme . 92 faits DIVERS. Leclerc, qui, à plusieurs r
donné des signes d'aliéna- tion mentale, accusait à tout propos sa femme de le tromper. C'est pendant une de ces scènes
devenu fou furieux, s'est emparé d'un revolver et a fait feu sur sa femme . Celle-ci n'a eu que le temps de se réfugier da
s à Ber- trambois. (La Marseillaise.) Un FOU A la recherche DE sa FEMME .Abandonné par sa femme, un nommé Faux, demeuran
a Marseillaise.) Un FOU A la recherche DE sa FEMME.Abandonné par sa femme , un nommé Faux, demeurant rue Durantin, avait f
de la République. M. Carnot, qui est tout-puissant, sait où est ma femme , et je viens lui demander son adresse, déclara
qui descendaient mardi soir l'avenue de l'Aima, virent soudain une femme vêtue de noir tomber de son haut sur le trottoi
empressés lui furent prodigués, et enfin à l'hôpital Beaujon, cette femme n'a pas encore, après plus de quarante-huit heu
s son cabinet, compulsant un dossier, lorsque se présenta à lui une femme d'une quarantaine d'années, d'allures très rais
rveillance spéciale. (L'Eclair.) MEURTRE commis par UNE folle. - La femme Lévêque, âgée de soixante-sept ans, était attei
sortit guérie. Mercredi, brusquement reprise de sa monomanie, la femme Lévêque vint chercher chez l'instituteur un de se
, on constate 118 syphilitiques certains = 24 à 25 p. 100; chez les femmes russes, il y a : 18 syphilis indéniables =9 à111'
y a 22 cas de tabes et 10 cas'de paralysie générale, tandis que les femmes syphilitiques ont été trois fois'atteintes de'l
.yJ t'})"11'l}tt si , il i i : i-'Ihiii .. li A l'autopsie de deux, femmes atteintes d'agraphie accompagnée de cécité verb
plégiéhÿstériqúl1 ,r]I,ItI`II]j'j' [ 2(1 8 J'l : ¡ : J Observation. Femme de quarante-huit ans atteinte de folie systémat
i , , ? L'observation qui sert de base à ce travail est celle d'une femme , à antécédents héréditaires peu chargés qui'fut
mutisme était toujours absolu, mais une lettre écrite' par lui à sa femme indique qu'il est sous le coup d'hallucinations
n, six.ans après son entrée à l'asile,' il se décide, à parler à la femme du, docteur. Son amélioration fut rapide et il ex
ment psychique sur les hallucinations de l'ouïe et de la vue. - Une femme entend des voix menaçantes qui critiquent sa co
étails, c'est pour montrer le rôle bienfaisant que peut exercer une femme intelligente et dévouée dans la vie d'un savant
anifestaient leur bienfaisance : c'était encore envers les vieilles femmes , les incurables, envers les malades de son serv
de lui. Car sous son inspiration, sous sa direction à vrai dire, sa femme , sa fille, Mule Jeanne Charcot, ont cultivé ave
mentée que sur des hommes beaucoup moins sensibles, dit-on, que les femmes à son action. La sédation amenée par la duboisi
niaque, un maniaque simple, une dégénérée avec délire mystique, une femme atteinte de confusion mentale puerpé- rale. Les
iénés sortants dispo- sent de l'asile de la rue de Charenton et les femmes de l'asile de la rue Fressard ; les unes et les
ment encore, on vient de compléter l'effort par la protection de la femme enceinte actuellement eu voie de réalisa- tion.
état pour ainsi dire permanent. Son premier cas est relatif à une femme âgée de vingt-cinq ans, internée à la Salpêtriè
tique. Les caractères propres à l'affection dont est atteinte cette femme sont les trois suivants : 1° Continuité de l'obi
ssion en cas d'absence venant du dehors. Le second cas concerne une femme âgée de quarante-cinq ans, ancienne institu- tr
plusieurs observa- tions de persécutés. La première est celle d'une femme dont la ma- ladie présente les symptômes habitu
un document instructif. M. Noecke a visité l'asile d'Etat pour les femmes de Mons, l'asile d'Etat pour les hommes de Tour
tres enflammées. Il se garda d'y répondre. Vendredi soir, une jeune femme , jolie, très élégante, entrait à Crosnes, dans un
riboisière, salle Trousseau, n° 18, le 12 septembre 1852. C'est une femme pâle, d'aspect cachectique, qui frappe au pre-
ste et qui s'était beaucoup amélioré par le traitement; c'était une femme d'une conduite régulière, sobre quoique cuisinièr
l'axe nerveux. Le bulbe et la moelle sont complètement sains. - Une femme de quarante ans est prise subitement de maux de
des deux tumeurs que Lance- reaux a décrites dans.le cerveau d'une femme « dont l'esprit passait,- pour êtré singulier "
. de Phys., 1869.) Sur les derniers temps de sa vie seulement cette femme avait pré- senté des signes de tumeur, mais la(
, qu'elle ''envahit de proche en proche; son développement chez une femme 'qui n avait présenté jusqu'a- lors aucune anom
s hommes est moins dure sous le rapport de la liberté que celle des femmes . Les aliénés ne sont point catégorisés, ce qui
ue le trop-plein se fait sentir. La surveillance de la division des femmes et les services géné- raux occupent treize reli
de leurs sections : les hommes aux champs, dans les jardins, les femmes à la buanderie, au lavoir, à la Jégumerie et dans
êt la forme démoniaque, et les succubes ne sont pas rares parmi les femmes aliénées. Les guérisons comptent en général pou
al of Mental Science, janvier 1890.) z ' ' . , l) Il s'agit d'une femme de soixante-quatre ans chez laquelle les symptô
g : Zeitsch. f. Psychiat., XLVIII, 0.) i ? "1'9;, " Il s'agit d'une femme prédisposée aux' idées noires par une' né- vral
0. 000. habitants ; l'aliénation était un peu plus commune chez les femmes que chez les hommes. En 1889, le chiffre des ma
es DE la catatonie dans LE COURS DE la para- LYSIE générale CHEZ la femme ; par P. NOECKE. (Allg. ZC7LSCIL. f. Psychiat.,
orte-vivante d'Oriuy-aiute=Beuoite. i - ." - VARIA : ' 347 Cette, femme ; âgée d'une trentaine d'années ? fille et soeur'
res pour les hommes, par le Directeur-médecin de Saint-Yon pour les femmes . Le secours peut être renouvelé sur l'avis favo
rt, un mulet emporté entraînait à une mort certaine un homme, une femme et un garçon d'une quinzaine d'années, 'montés su
be droite. ' · Le conducteur avait été précipité de son siège et la femme et le garçon étaient traînés par le mulet, empo
mais sans aucune manifestation impudique sur le chemin de certaines femmes , y prennent place à côté de déments séniles, de
des endroits spéciaux, et une fois dans une église, ou devant des femmes qui prient il étale silencieusement la nudité d
, il n'a eu la pensée de pousser plus loin les choses avec ces deux femmes ; aucune cir- constance ne l'y invitait; rien ch
longtemps maritalement et en très bonne intelligence avec une jeune femme qui, de son propre aveu, le satisfait pleinemen
e la dernière affaire. Le malade flânait seul aux Tuileries, deux femmes à pas lents marchaient vers lui. Depuis un mome
nt, sa respiration devient plus courte et sacca- dée. Cependant les femmes l'atteignent et le dépassent, sans qu'il ait en
forces. Enfin, impulsivement emporté par elle, il passe devant les femmes , se jette sur un banc et étale au grand jour ses
t eu lieu dans une rue peu fréquentée servant de passage à quelques femmes . Grâce àla confiance toutà fait conquise, nous
se montre terrorisée à l'idée qu'après sa mort, sa fille (déjà une femme ) sera seule au monde et pourra devenir très mal
sse; à dix-sept ans enfin avec une ânesse. Plus tard il a connu les femmes . Cet événement semble avoir pour un temps modif
ques exigences originales dans ses rapports conjugaux, mais dont sa femme ne paraît pas s'être beaucoup effarouchée. Il n
s fins. Nous lui demandons comment il peut, étant en puissance de femme céder à ce penchant pour les animaux. Il ne sait
its sont restés inconnus et T... n'en a jamais parlé à personne. Sa femme et ses camauades les ignorent. Il a eu le bonhe
nie chronique caractéristique. P. K. XLVI. CRIME ET FOLIE chez la FEMME ; par P. NOECKE (AU. Zeitsck. f. Psychiat., XLIX
ue DE la chorée; par KROEMER.*(A ! 'e/t. f. Psychiat., XXIII, 2.) Femme de trente-cinq ans choréique depuis l'âge de onze
t l'état mental. Malheureusement, sur les quatre enfants, que cette femme eut par la suite, deux se signa- lèrent par des
t des cas décrits, le délire des négations s'est développé chez une femme prédisposée par l'hérédité et ayant dépassé l'â
oit, M. Koenig a examiné quatre-vingt-dix-neuf hommes et cent seize femmes : deux cent quinze individus. Il a trouvé des m
ifications du champ visuel chez vingt-deux hommes et cinquante-neuf femmes : en tout quatre-vingt-un. 11 en a suivi quaran
e du nombre d'heures de sommeil, de l'apparition des règles chez la femme , etc. Les idées de l'auteur sur la valeur des a
clientèle. Les fous. Hier, l'après-midi, un insensé, Cross, dont la femme a été récemment internée, se promenait rue Sain
, dans la cheminée. Elle distinguait deux voix, une d'homme, une de femme . Ces voix parlaient haut et cela « lui pas- sai
se sent des poids dans le dos, des tiraillements dans les pieds. La femme lui dit qu'elle est magnétisée, qu'elle a sa pe
ions, a soudoyé, moyennant une somme de 800 francs, un homme et une femme pour la punir de sa résistance. Elle n'a jamais
lui faire ressentir tout ce qu'elle éprouve, l'homme se sert de la femme comme d'un sujet qu'il fait souffrir pour que la
mes souffrances. « Car, dit- elle, nous sommes deux en une. » Cette femme le lui a expliqué d'ailleurs : c Quand tu es in
ne fait qu'une; quand on me touche, cela te touche. » Parfois la femme dit : « Je suis lasse », et alors la malade est t
lucinations génitales, c'est également par l'intermédiaire de cette femme qu'elle les ressent; elle se touche et en même
mps la malade éprouve des sensations voluptueuses. Bien que cette femme soit une misérable de consentir ainsi à souffri
l'a prise et lui montrera c ce que l'on gagne à faire souffrir une femme ». Au point de vue somatique, la malade se plai
r les oreilles des injures prononcées par des voix d'hommes et de femmes . Elle a aussi des hallucinations génitales. Tou
e aux suggestions. C'est un névropathe. Les hysté- riques hommes et femmes se rencontrent à chaque instant, les neurasthés
tralgie. Vomissements. Asthénie motrice. Guérison (deux séances). Femme N..., quarante-cinq ans, a une longue histoire pa
veux, tantes et oncle également nerveux. Tous les enfants de cette femme présentent des signes manifestes de la névrose hy
des signes manifestes de la névrose hystérique. Depuis cinq ans la femme Ch. ne pouvait plus quitter la chambre. A peine
her ces phénomènes que je viens de décrire ? Existait-il chez cette femme de la dégéné- rescence mentale ? Etait-ce une h
à cause de son extrême faiblesse, on me fit appeler. Je trouvai une femme émaciée, à la physionomie triste, indiquant la so
s bien précis au sujet de l'hérédité nerveuse de cette malade. La femme S... n'a que des souvenirs très vagues de son pèr
che. Je l'attire au dehors avec une pince et je dis à notre vieille femme qu'elle peut désormais la faire mouvoir dans to
être plus que déraison et c'est tout. Depuis plus de dix ans, cette femme souffre de douleurs vives à l'estomac; ses dige
sés de plusieurs fa- milles où tous presque sans exception, hommes, femmes , enfants, sont des hystériques ou des neurasthé
nie, rétrécissement du champ visuel; dans une troisième maison, une femme de soixante-seize ans , contracture spas- modiq
la nuque, dyspepsie, insomnie, etc... et les deux enfants de cette femme , l'un neu- rasthénique comme sa mère, l'autre h
Quelquefois même la folie est résultée de cette opération chez des femmes saines d'esprit. C'est dans les centres nerveux
les parents d'une aliénée le droit de permettre la castration d'une femme qui ne peut donner son consentement et qui, reven
e l'épaule,,de,ce, c8té. ! rLemêmecsymptcîme,se représenta chez une femme du type delmorvaii-et chez un, homme indemne de
est un bel exemple d'association hystéro-organique. Il s'agit d'une femme de vingt-trois ans présentant du nystagmus, de la
i par les cris : Au secours ! A l'assassin ! 1 Presque aussitôt une femme , la poitrine sanglante, sortait de chez elle, p
IN bibliographique. 513 proie à des accès de folie. Par prudence sa femme avait enfermé tous les couteaux, ayant un press
ayant un pressentiment de ce qui allait se passer. Aujourd'hui, la femme Desmarets épluchait de la salade. Pris d'un sou
et acte de désespoir. Les aliénés EN LIBERTÉ. Sous ce titre : Une femme qui se pend, le Bonhomme Normand (8-14 sept.) r
t levé environ une heure après, s'étonna beaucoup de ne pas voir sa femme dans la maison, alors qu'elle aurait dû être re
cave, qui est située près de sa maison d'habitation, il y trouva sa femme , pendue à une corde, attachée à une traverse. Il
une corde, attachée à une traverse. Il appela aussitôt à l'aide. La femme Caval fut dépendue, mais, malgré les soins, il
s 'de' ' dans le cours;> de ' la -paralysie 1 générale chez la femme ? par ' Naecl : e, 330." si ? ' =r" ¡ud Cause
e ? pari ,v l''rancotte, 153. ,ry ,n n , Crime, et folie chez la' femme , par IIINcrcl : e,.390; le ? de Locunolé, . 5
ve à l'hypnotisme provoqué, par No- lan, 388; criuu· et chez la femme , par Xoecke, 300;'un cas de - avec dilusion,par
s, 92; officier - à la frontière, tu'2; un ' à la recherche de sa femme , 93 ; suicide d'un , 94; les , 13l. Force, un
ir; des symptôme^ de la cacatçnie'dans la"'1/ géné- rale chez, la femme pal' N'oecl.et .,330 ^'contribution' à l'étiolo
55 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ontenu, mais sans compter ; après diner je me suis amusé avec des femmes puis je suis allé coucher avec une d'elles dans u
l était chez lui et m'a fait partir, j'avais donné cinq francs à la femme ; je me suis promené toute la nuit sans savoir c
erçu la veille, alors j'ai cherché la maison où j'avais été avec la femme , mais je n'ai'pas pu la retrouver. Je suis part
ou d'épilepsie. Cette maladie se voit dans l'Inde, surtout chez les femmes indigènes; les jeunes y sont plus exposées que
chez les femmes indigènes; les jeunes y sont plus exposées que les femmes âgées. Elle est assez fréquente. Ilammond l'a o
30 centigr.) d'extrait thyroïdien. Observation I. Il s'agit d'une femme qui a tenté de mettre le feu à sa maison et de
e est complètement transformée. Observation IL Elle a trait à une femme qui avait commis des actes de violence sur son
dical journal, . 24 août 189.) L'auteur rapporte l'histoire d'une femme dont l'affection semble remonter à vingt-cinq a
is exemples, excilent les aliénés, etc. Ajoutons que la plupart des femmes vagabondes sont des prostituées, dont le contac
gabondes sont des prostituées, dont le contact est pénible pour des femmes bien élevées. 4° La solution de la question s
(The Journal of Mental Science, juillet 1894.) . 11 s'agit d'une femme de trente-neuf ans, non mariée, entrée à l'asil
'en finir avec cette situation in- tolérable et de tuer la première femme qui lui ferait des proposi- tions dans la rue.
écri- vant au commissaire de police une lettre signée d'un nom de femme dans laquelle il se désignait comme l'auteur de l
. Louis FRANK, de Bruxelles, entretiennent le congrès du rôle de la femme dans la lutte contre l'alcoolisme. NI. FRANK mo
it donné des résultats sérieux, cela était dû à' la coopération des femmes . Il en est ainsi de l'Angleterre, de la Scan- d
k où l'intempérance exerce le plus de ravages, l'intervention de la femme est nulle. Il importe de développer l'action fé
es relatives à la Nouvelle- Zélande, pays où règne la liberté de la femme . Nous y notons de grands progrès daus l'état so
l'aliénation mentale. L'orateur veut favoriser la coopération de la femme en frappant le buveur dans sa bourse, en protég
buveur dans sa bourse, en protégeant le salaire et l'épargne de la femme contre la prodigalité et l'imprévoyance des maris
le pouvoir marital et l'autorité parternelle de telle sorte que les femmes et les enfants soient soustraits à la tyrannie de
aits à la tyrannie de pères et d'époux alcoolisés, en confiant à la femme , dans certaines circonstances, la direction de
ermettent de s'entre-tuer dans la guerre. Il est impossible que les femmes ne cherchent pas à anéantir une politique aussi
plusieurs fois manifesté l'intention de se donner la mort. Hier, sa femme s'ab- senta pendant cinq minutes à peine qui su
libre du 14 octobre publie le récit suivant. « Après la mort de sa femme survenue pres- que subitement, il y a deux ans,
par la bouche d'un enfant, à la plus odieuse des calomnies. « La femme un(,- horrible mégère revendeuse à la toilette,
ication des plumes, à écono- miser 40,000 francs, lorsqu'un jour sa femme , qui l'aidait dans son commerce, le quitta à l'
t celui rapporté par M. Mabille'. Cet auteur, - ayant à soigner une femme qui présentait un délire mélanco- lique avec tr
, 1890, p. 10. 2 Ed. Toulouse. Hallucinations unilatérales chez une femme ayant vue lésion circonscrite du cerveau. (Gaze
e tendance criminelle; et il y abeaucoup d'hommes et encore plus de femmes à qui l'on ne fera jamais comprendre que c'est
décembre 489r : ) La malade qui fait l'objet de cette note est une femme de trente- quatre ans qui contracta des habitud
se rend au commissariat de police pour s'accuser du meurtre de sa femme et qui réussit à en imposer au magistrat. Mais en
alade précédemment séquestrée plusieurs fois pour alcoolisme. Cette femme paraissant très améliorée, M. Voisin lui a acco
services : il est accompagné des assistants (sauf au pensionnat des femmes ). Cette visite se prolonge jusque vers 1 heure
laires, plus un volontaire. Les deux divisions des hommes et des femmes sont segmentées chacune en deux sections : à la
de la division des hommes (136 malades), l'autre de la division des femmes . L'asile provincial de Vienne possède cinq assi
istants (c'est le médecin adjoint qui est chargé de la division des femmes ). Citons encore : les asiles de Düsseldorf (550
oirée entière dans Paris, cherchant une victime. J'ai rencontré des femmes , des jeunes filles, des enfants... Mon arme était
ne de ces dernières nuits, vers quatre heures du matin, Mme Ythier, femme d'un entrepreneur de battages, fut prise subi-
favo- rables. La même année, Bettancourt et Serrano opéraient une femme qui ne paraissait pas avoir de glande thyroïde :
; émotion au septième mois : la mère a eu une dis- cussion avec une femme qui. l'avait insultée; syncope consécutive ;de
tion en résume utilement les points principaux : le sujet était une femme de quarante-deux ans, chez laquelle on ne const
e, il faudrait ranger les affections des or- ganes pelviens chez la femme , ainsi que les états morbides qui se rattachent
déclarant, avec Spencer Wells que l'ovariotomie, pratiquée chez les femmes atteintes d'irrita- bilité nerveuse, de nymphom
ls on a eu recours à la castration : il s'agit, le plus souvent, de femmes dont l'état physique et psychique était très co
veuses. On a reproché encore à l'ovariotomie d'avoir transformé des femmes , jusque-là normales, en névropathes, en hystéri
es. Il est démontré au contraire, par de nombreux exemples, que des femmes prédisposées ont été améliorées ou gué- ries pa
ception et les accou- chements ultérieurs qui sont souvent chez ces femmes la cause de troubles du système nerveux. Cert
insi que l'hémianesthésie. La troisième observation est celle d'une femme de vingt-deux ans, non hystérique, sujette à de
meurt dans le coma qui succède à l'une d'elles. Observation IL - Femme de quarante-six ans, dont le père a 268 .REVUE
ent entre trente et quarante ans ; elle est plus fréquente chez les femmes que chez les hommes ; elle est ordinairement ac
aires. Sou visage s'altère durant l'accès et devient, au dire de sa femme . « étrange et jaune ». La crise ne dure jamais
ingt-dix- neuf cas de rhumatisme, 5r concernaient l'homme, et 45 la femme . Age de 20 à 50 ans. Le refroidissement et les
éressant procès qui s'est déroulé récem- ment dans l'Illinois : une femme demandait le divorce en alléguant que depuis so
i une seule fois ses devoirs conjugaux. Les juges déboutèrent cette femme de sa demande : rien ne prouve, disait le jugem
il pratiqua le coït, il chercha surtout à dérober les mouchoirs des femmes qu'il fréquentait pour se masturber ensuite ave
git d'une veuve de quarante-quatre ans qui a fait avorter plusieurs femmes et filles, fait pour lequel elles ont été condam-
des établissements mixtes (distractions plus rares, perte pour les femmes des préoccupations ayant trait à la toilette) ; 3
venant de l'absence de la main-d'oeuvre des hommes dans un asile de femmes et vice versa (lingerie, cuisine, travaux diver
de réunir dans asiles d'aliénés. 303 un même asile le mari et la femme tous deux frappés de folie. Le choix de l'empla
Institut internat, de bibliogr. méd., Paris, 1895.) Il s'agit d'une femme de vingt-trois ans, atteinte de folie inter- mi
lie inter- mittente avec tentatives de suicide et impulsions. Cette femme était en outre sujette à des crises convulsives
ble. - Une dépêche de Béziers en date du 8 décembre, annonce qu'une femme de nationalité espagnole se croyant possédée du
de folie, au lieu d'éteindre les flammes, voulut se brûler avec sa femme . La femme, qui a de graves brûlures, a été tran
au lieu d'éteindre les flammes, voulut se brûler avec sa femme. La femme , qui a de graves brûlures, a été transportée à
odeur de roussi .- attiraient les passants. Us trouvèrent la pauvre femme , les robes ! relevées, .assise dans, son poêlon,
un jour ivre chez lui. Sans dis- cussion et sans raison, il tue sa femme et son enfant. Après cela, il va à un poste de
e égoïste et brutal avaient naturellement poussé le sujet à tuer sa femme et son enfant qui étaient un obstacle à sa vie
t médical, fut transféré dans un asile. Le second cas a trait à une femme débauchée qui, voulant se dé- barrasser de son
et ses complices condamnés à mort. Or, pendant l'instruction, cette femme fut atteinte d'aliénation mentale et, après obs
nt folle. Il s'agissait de savoir quel était l'état mental de cette femme pendant les années qui ont précédé le crime, et
ion du crime aussi bien qu'à l'époque où le crime fut commis. cette femme n'était point aliénée. Le troisième cas cité a
té a trait à un homme atteint de manie intermittente, et qui tua sa femme sous l'influence d'une impul- sion homicide au
nces en se tuant à l'aide d'une arme à feu. Comme on demandait à sa femme , qui lui était fort dévouée et qui était présen
rât un coup de pistolet dans la bouche. Aux termes de la loi, cette femme aurait dû être poursuivie pour meurtre; il est
l'auleur rapporte une observation intéressante ; c'est celle d'une femme d'environ cinquante ans, entrée à l'asile pour
également très diminuée, et le fait est surtout manifeste chez les femmes , car en prenant pour moyenne de l'effort nécessai
enne de l'effort nécessaire pour fracturer la huitième côte chez la femme adulte le chiffre de 29 livres pour la convexit
our la concavité, on trouve, dans six cas de démence sénile chez la femme , les chiffres extrêmement faibles de 11,8 livre
la convexité, et de 42,14 livres du côté de la concavité; pour les femmes (23 cas), de 20,68 livres du côté de la convexi
ortant dans la diminution de la résistance aux fractures ; chez les femmes , en effet, les côtes paraissent être, aussi exa
x; part. MURATOW. (IVeu ? ,olog. C27tG>'CILL., XIV, 1895.) Une femme qui se plaint de douleurs abdominales est hémipa-
u nombre des enfants du sexe féminin; enfin, le goût montré par les femmes pour les occu- pations masculines, en même temp
occu- pations masculines, en même temps que l'émancipation de la femme . L'auteur montre combien cette dernière notion
comme le dit Shelley, « comment l'homme peut-il être libre, si la femme est uue esclave ? » Les partisans de la dégénéres
que, représente le 1/10 de la hauteur totale était égale chez cette femme au 1/7; les doigts étaient longs, de grosseur u
le crâne avait une circonférence à peine au-dessus de celle d'une femme moyenne, 21 pouces 1/8 (0 ? 53G) au lieu de 20 po
r. 10), soit 8 onces (226 grammes) au-dessous de la moyenne pour la femme . Les méninges étaient saines. Les organes génit
cles de l'oeil (avec présentation de préparations). Il s'agit d'une femme traitée à l'asile de Dalldorf pour paranoïa hal
alité. 2° M. MENDEL. Paralysie générale et tabes chez le mari et la femme . Il s'agit d'une femme de quarante ans atteinte
ralysie générale et tabes chez le mari et la femme. Il s'agit d'une femme de quarante ans atteinte du tabes avec paralysi
un asile d'aliénés. On n'a pu faire la preuve de la syphilis de la femme . Il n'y a pas eu d'enfants. Le début de la mala
nfants. Le début de la maladie remonte déjà à un certain temps : la femme a été en effet soignée il y a deux ans pour une
il est mort, de paralysie générale, après dix ans de maladie, -une femme dont le mari avait succombé à la même affection u
'influence physiologique des tendances qui poussent l'homme vers la femme et l'objet de son culte est d'essence féminine.
hemise, mou- choir, étoffes, etc., tantôt une partie du corps de la femme , l'un des attributs spéciaux de son sexe, sans
catégorie appartiennent les collectionneurs de mèches de cheveux de femme , les coupeurs de nattes, les « frot- leurs » ay
rs de nattes, les « frot- leurs » ayant le fétichisme des fesses de femmes et qui, dans les endroits où la foule s'amasse,
es et qui, dans les endroits où la foule s'amasse, s'approchent des femmes aux formes saillantes, se frottent contre leur
on mentale. L'amour morbide qui pousse l'homme vers l'homme ou la femme vers la femme, a aussi ses passionnés fétichist
L'amour morbide qui pousse l'homme vers l'homme ou la femme vers la femme , a aussi ses passionnés fétichistes. Il ne s'ag
it, pour les indigents, par un schériff seul, même avec les malades femmes . Le scandale est patent pour les cas de manie a
libre- arbitre. La loi ne protège contre lui ni ses parents, ni sa femme , ni ses enfants. La société voudrait obtenir qu
iénés. Sa population se composait, en juin 1894, de 350 hommes, 220 femmes , et 80 enfants des deux sexes. L'asile est comp
dministration, on a placé les quartiers des épileptiques (hommes et femmes ) qui ont besoin d'être isolés, ou que leur état
mes, située à gauche de l'avenue, comprend 10 pavillons ; celle des femmes , à droite de l'avenue, 12 pavillons. Ces pavillon
riques. Les ateliers, situés derrière les villas de la division des femmes , sont vastes, bien éclairés ; le bâtiment qui l
us le titre : Une Mégère, la Justice publie le fait suivant : « Une femme de Catane, du nom de Gaelana Stimoli, attirait en
rs. Vingt-trois enfants auraient été empoisonnés de cette façon. La femme Sti- moli a été arrêtée; elle a avoué ses crime
quarante-huit ans (fusillé au fort d'Ivry) ; il était séparé de sa femme , aussi ne peut-on donner d'autres renseignements
absence semble militer contre la paralysie générale. Mais, chez la femme , ni la conservation, ni la suppression de la sens
globules, caractère qui du reste se retrouve aussi dans le lait des femmes normales, quand il s'est écoulé plus d'un an de
-t-il pas des hommes ayant les attributs physiques et mentaux de la femme ? Les eunuques n'ont-ils pas un caractère fémin
novre) présente un cas typique d'acromégalie. Il s'agit d'une jeune femme , âgée de vingt-cinq ans, non réglée depuis trei
en Prusse, pour l'année 1893, G,409 suicides (5,135 hommes et 1,274 femmes ), sur un total de 746,478 décès (385,061 hommes
4 femmes), sur un total de 746,478 décès (385,061 hommes et 360,817 femmes ). Ce qui donne la proportion de 24,2 décès et d
de la vessie dans la -, par llerting, 392. et tabès chez mari et femme , par Mendel, 403. Forme spasmodique et forme ta
56 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ales du côté gauche sont attirées en bas. Observation VIII. B..., femme Q..., soixante-cinq ans. Hémi- plégie droite :
a paralysie il était incapable de le faire. Observation XI. B..., femme R..., quarante ans. Hémi- plégie droile syphili
environ d'un demi-centimètre, Pas de signe de Revillod. Chez cette femme la corde vocale droite est paralysée. Observati
sa paralysie, fermer un oeil iso lément. Observation 1\IY. R..., femme Il.... cinquante-cinq ans. Début de l'hémiplégi
ur de la frontale ascendante du côté gauche. Brissaud a observé une femme de 80 ans, frappée deux ans avant d'une hémiplé
Sur les huit cas, quatre se trouvaient chez des idiots, un chez une femme démente paralytique à la troisième période, un ch
refroidissement et les fatigues. Une seule observation concerne une femme qui fut infectée par son mari peu de temps aprè
A, SCIIIVELY. L'histoire clinique de la malade était la suivante : femme de soixante-quatre ans, toujours nerveuse ; cri
omme un locus minoris resiatenlix. BIBLIOGRAPHIE. 1H ) Chez une femme , une intoxication de nature indéterminée, peut-
, IV et V.) 1'. KEttAVAL. VARIA. Assistance des aliénés : vieille femme SÉQUESTRÉE. « On télégraphie de Bergerac que le
e en éveil par une dénon- ciation anonyme, a trouvé dans un chai la femme Breton attachée à l'aide d'une forte chaîne pas
utour de sa ceinture et fixée à une marche d'un escalier. La pauvre femme gisait sur une paillasse en mauvais état et éta
e pour l'empêcher de fuir et de commettre quelque méfait. La pauvre femme était ainsi séques- VARIA. 91 trée depuis q
Bruxelles, sous le titre : Une fillette étranglée par sa mère. « La femme Verstraeten qui, à Jette-Saint-l'ierre, a étran
ier drame vient de se compliquer d'un second non moins tragique. La femme de Mondane, sans nouvelles de son mari, avait h
ier. Un spectacle lamentable s'offrit aux yeux. Sur le plancher, la femme Mondane était étendue raide morte, une bouteill
ouvrier nommé Chancerelle, habitant rue Caulaincourt avec une jeune femme , Marie Lesage, s'est levé ce matin en proie à u
ue. Ces recherches se rapportent raz100 paralytiques hommes, à 25 femmes et à 300 aliénés non paralytiques. Les paraly-
ne semblaient propres à aucune interprétation. Chez 35 paralytiques femmes , les chiffres correspondaient aune proportion d
expériences ont porté sur 280 malades hommes pris au hasard, et 100 femmes seulement atteintes de toutes les formes de psy
doulou- reuse perceptible, 39/100 ne sentaient rien. Chez les 100 femmes , les rapports numériques sont semblables, dans
se, ce qui peut s'expliquer par une plus grande sensibilité chez la femme . Enfin, il faut encore mentionner que parmi les
ui le croyait complice dans une affaire d'assassinat commis sur une femme . Observation XV. Le nommé Spir... Voie..., âgé
nement sont profondément altérés. Fig. 10. Groupe de mélancoliques ( femmes ). 111) PATHOLOGIE MENTALE. Elle a un délire
écoutant et n'obéissant ni à Dieu ni à ses parents, elle est restée femme . Elle s'accuse d'avoir mangé, car elle ne devai
. Il avoue lotîtes les querelles de famille à cause de la dot de sa femme et avec ses Fiy. 12. Prêtre Georg. Déni... (mél
à l'église, il y a quatre ans, avec son beau-père pour la dot de sa femme ; depuis lors il sentit son esprit se troubler, q
ques terres ; à cause de ce voisin il évita de se quereller avec sa femme de peur que le voisin ne lui fasse de sorcellerie
ux pour le surveiller; il vit alors l'un d'eux faire de l'oeil à sa femme et lui demander s'il faut ou non le frapper ave
il n'exprime aucunement le désir de retourner chez lui pour voir~sa femme et ses enfants. La mémoire ne parait pas bien a
de l'asile ou de ses dépendances, et un huitième seulement pour les femmes , pour une population à peu près égale. A l'as
portions sont plus faibles pour les hommes et plus élevées pour les femmes . A l'asile de Morningside, la population libre
ation libre est d'un quart pour les hommes et d'un dixième pour les femmes . Les malades qui ont la liberté de sortir hors
se répartissent de la manière suivante : Lar- bert, 47 hommes et 4 femmes sur une population de 500 malades ; à Morningsi
ment dans nos asiles comme cela existe en Ecosse, les hommes et les femmes , alors même qu'ils prendraient l'engagement sol
pécialement le tissu érectile intra-nasal : 1° un certain nombre de femmes ont. au moment de leurs règles, un engorgement
leurs règles, un engorgement du tissu caverneux nasal ; 2" quelques femmes peuvent présenter des règles supplé- mentaires
oint de vue pathologique, on peut constater que : 1° chez certaines femmes atteintes d'une affection nasale, la maladie est
cochon d'Inde ; 3° chez l'homme, des cas cliniques montrent que la femme peut être fécondée par un homme castré. Dans un
tante étude médico-psycholo- gique de la puberté chez l'homme et la femme , fait ici l'étude comparative et ethnographique
s animaux sont toujours rachitiques. Dans la maladie de Basedow, la femme éprouve une grande amélioration pendant la gros
roïdien, d'où les accidents cachectiques jusqu'à l'accouchement; la femme grosse hasedowienne utilise son surplus de suc
ossibilité d'une récidive. La seconde observation se rapporte à une femme de vingt-trois ans qui présentait une paralysie
ivie pendant deux ans après la sortie de l'asile. » Il s'agit d'une femme âgée de quarante-huit ans, d'une consti- tution
causes physiques dans la genèse du délire. » S'il en est ainsi, les femmes aliénées doivent bénéficier dans l'avenir des i
ue des réformes hospitalières s'imposent pour doter les services de femmes d'installations chirurgicales. Il se propose de
. fut alors emmené; hier soir il a été dirigé sur Clermont. - Une femme de quarante-quatre ans, nommée Henriette Faldein,
ies attaques épileptiques avec crise initiale ? Pourquoi toutes les femmes en couches albuminuriques n'ont-elles pas de cr
sely, luthier à la Couture-Boussey, s'adonnait à Vivrognerie, et sa femme avait dû quitter le domicile conjugal, emmenant
ans, menuisier, étant ivre, a saisi un vase de nuit, en a frappé sa femme à coups redoublés et lui a fracturé le crâne. Q
le l'a frappé et a déchiré ses vêtements. On n'espère pas sauver la femme tiret. PATHOLOGIE MENTALE. DU SENS TACTILE
l'exagération d'un phénomène émotif. La trichophobie, spéciale à la femme et provoquée par une hyperthri- cose réelle ou
te et un ans qui, rentrant chez lui après son travail, dine avec sa femme avec qui il était en fort bonne intelligence, p
ar Ch. Féré. (Journ. de Neurologie, 1898, n° 18.) Observation d'une femme de trente-six ans, migraineuse, qui dans la pér
'elle diminue dans plusieurs autres états; il déplore aussi que les femmes et les enfants, suivant l'exemple funeste donné
VII. 16 242 REVUE D'ASSISTANCE ET DE LÉGISLATION. 81 p. 100 des femmes sont employées aux travaux de couture, buanderi
tuera un tout pouvant se suffire. Il y aura 8 cottages de chacun 12 femmes ; 2 de chacun 30 enfants et un certain nombre d
de la syringomyélie (type Morvan). - Nalbandow présente une jeune femme qu'il avait d'abord exa- minée dans la clinique
nésie est absolue. Telle, pour n'en citer qu'un seul exemple, cette femme d'une de nos observations personnelles qui, apr
t racontait qu'il avait rêvé que son ami Octave le trompait avec sa femme , ce qui le désolait. Maintes fois nos élèves on
e avec hallucinations visuelles. Une nuit, il se pré- cipita sur sa femme avec une telle violence que son fils, en le mai
nts caractérisent leur état mental antérieur. Il me semble, dit une femme à M. Etoc, que je sors d'un long assoupissement
slt médical Journal, le, octobre 1898.) C'est l'observation d'une femme de dix-huit ans placée à l'asile de ' Durham.
par Il. FLE1%11,NG. (73rain, LlaVl1 et LXXVI11.) Il s'agit de deux femmes mortes dans le marasme après un temps assez cou
nce : « Ses petits enfants sont avec lui. » Oui, oui, oui. « Sa femme est gentille, » Oui, oui, oui. Le 23 mai, les
utre, il faisait fréquemment des excès de boisson ; à la mort de sa femme , il a fait des spéculations mal- heureuses, a m
s. Paris, 1893, 1897. 348 CLINIQUE MENTALE. La première est une femme de trente-deux ans, entrée le 14 mars 1898, en
e roulait à terre, en poussant des cris perçants. L'autre est une femme de trente-huit ans, atteinte d'alcoolisme chron
pophyses épineuses des ver- tèbres dorsales, il se déclara chez une femme un syndrome consistant en une paraplégie flasqu
qui par jalousie avait juré de se venger. A la seconde blessure, la femme tomba abattue sur le sol avec les membres abdom
blessure. Dans les premières heures de la nuit, on transporta cette femme en ville, et vers les 10 heures l'inspection de
nous rappelons les circonstances dans lesquelles fut blessée cette femme , nous pouvons rétablir parfaitement les faits.
DE THÉRAPEUTIQUE. .Lv,VII. Symptômes de myxoedème au début chez une femme anté- rieurement atteinte de goitre exophtalmiq
le. (Revue neurologique, oct. 1898.) E. B. XVII. Chirurgie chez les femmes aliénées au Canada ; par le Dr BUCKE. Les aff
faisaient.visiter en- détail. Commencée par l'examen du service des femmes , que dirige M. le )D' -Boubila, cette .visite f
e 2 fr. 50 à 5 francs, suivant les. cas. Personnel DE surveillance ( Femmes ). Une surveillante en chef, supérieure des infi
ommaire un cas de trem- blement à distribution segmentaire chez une femme de quarante ans atteinte de sclérose en plaques
te exclusivement l'extrémité. A cela on pourrait objecter que cette femme n'est qu'une hystérique et n'a pas de sclérose
ciens locaux le pensionnat des Dames ; la division des épileptiques femmes , etc..... Et ainsi depuis vingt ans, elle a dit
ore, elle a mis en adjudication la construction d'une infirmerie de femmes qui va être entreprise sous peu. Mais cette mét
folie n'étant pas une contre-indication. M. ltoosr a observé une femme qui se plaignait d'avoir un ser- pent dans le v
euse de l'éparcle. L-jLuNois et IPAVIOT rapportent l'histoire d'une femme de 16 ans, porteur depuis 30 ans d'une arthrite
manie; la vieillesse, la mélan- colie et le délire systématisé. La femme présente moins d'énergie mentale, moins d'espri
suivant : « Au n°24 de l'avenue Faidherbe, aux Lilas, habitait une femme Eugénie Monteille, atteinte de la monomanie du
ivant auprès du puits, perçut enfin les cris que poussait la pauvre femme , et la vit se débattant au-dessus de l'eau. Aussi
'aide et se fit descendre. Il n'était que temps. Sous le poids delà femme , ses vêtements accrochés au morceau de fer se d
e fer se déchiraient peu à peu et allaient céder. M. P... saisit la femme Monteille après bien des difficultés et parvint,
aindre pour son entourage, a été pris d'un nouvel accès et a tué sa femme d'un coup de fusil. Alcoolique meurtrier. A Nan
i. Il discute tous les arguments qu'on peut lui opposer. En vain sa femme déclare ne manquer de rien, et trouver que les
vaines paroles dites pour le rassurer, et en admettant même que sa femme soit sincère, cela prouve qu'elle s'aveugle sur t
ts; il reçoit très volontiers les visites de parents, et écrit à sa femme des lettres très correctes où il ne parle pas m
s. lieutenant, mais en 1877 il est mis en réforme pour dettes. Sa femme demande et obtient la séparation de biens. La m
re de la verge que Ilicord déclare syphilitique; il quitte'alors sa femme dans la crainte de la contaminer mais reste cep
ent. Il quitte alors les Halles et reprend la vie commune avec sa femme . A la fin de 1888, il lui nait un petit garçon.
88, il lui nait un petit garçon. En 1890, il prend en cachette à sa femme 12.000 francs, va jouer aux courses et perd la
ouer aux courses et perd la plus grande partie de cette somme. Sa femme déclare qu'elle ne veut plus le voir ; il se rend
lois fort divers. En 1892, la sépa- ration de corps demandée par sa femme est prononcée. Rien de particulier à signaler j
une somme assez considérable en contrefaisant la signature de sa femme . Poursuivi pour faux, il passe aux assises, mais
vous ne m'emprisonnez pas, si vous me laissez sortir, je tuerai ma femme et je me tuerai ensuite, je veux mourir. » Envo
etc., etc ; il a dissipé dans les cercles la grosse fortune que sa femme lui avait apportée en dot et encore aujourd'hui
ssises, il a été condamné une fois, en police correctionnelle, sa femme a dû se séparer de lui de biens, d'abord, de corp
légie fiasque. MM. Nocuès et Sirol (de Toulouse). Observation d'une femme de 58 ans, qui, sans antécédents héréditaires e
ralysies d'origine d'apparence bulbaire. La première concerne une femme de cinquante-sept ans ayant eu deux attaque-; n
rires et pleurs spasmodiques, etc. La deuxième se rapporte à une femme de cinquante-quatre ans, qui, depuis sept ans,
ui l'avertissent d'un danger, qui invoquent son secours; il voit sa femme entou- rée de misérables qui lui font subir le
eut alors être installé dans la section des tranquilles Sur 1.024 femmes traitées par l'alitement dans mon service de l'
ion de son asile, le 9 avril, était de 786 malades dont ]407 et 319 femmes . Ces malades proviennent des Bouches-du-Rhône,
particulier pour les travailleurs, une nouvelle infirmerie pour les femmes , pour le pensionnat. Les locaux qui deviendraie
mage ému à la mémoire de l'ancien directeur. Un choeur (hommes et femmes ) composé de pensionnaires de l'établissement, a
table somptueusement ser- vie. De nombreuses dames, pour la plupart femmes des membres du congrès, en toilettes claires, p
vait assez solitairement ; son père, garçon de magasin, et sa mère, femme de ménage, partant chaque jour de bon matin. Il
flliiryies au' Canada, par Duché, 365. Assistance des -; \ieille femme séquestrée, 90. Les- en liberté, 91. Assistan
ar lluishelwood, 320. Symptômes de myscrtlème au dé- but chez une femme antérieure- ment atteinte de , par Gau- tier,
mmeil et , par Mongour, 231. Symp- tômes de - au début chez une femme antérieurement atteinte de goitre exopttthaimiq
57 (1829) Anatomie pathologique du corps humain : ou descriptions, avec figures lithographiées et coloriées, des diverses altérations morbides dont le corps humain est susceptible. Tome premier
avoir vus s'agiter dans sa main, qu'il dit avoir été expulsés par des femmes vierges, n'étaient pas des vésicules de cette esp
cet important objet. J'ai eu occasion de donner mes soins à plusieurs femmes qui, parvenues à diverses époques de leur grosses
u'il ne cherchait pas. Je me rappellerai toujours l'observation d'une femme , âgée de soixante ans, amaigrie, décolorée, qui n
un enfant qui a vécu neuffours. (planche vi, ire livraison.) Une femme , âgée de vingt-neuf ans, grosse pour la deuxième
es précédentes. Cruikshank, ayant eu occasion d'ouvrir le corps d'une femme qui avait soupe copieusement, trouva les villosit
ment plein de la même matière. Ce dernier fait a été observé chez une femme qui avait un cancer utérin en détritus. Ici se
sont de grandeur naturelle. Le sujet de cette observation était une femme âgée de quarante-un ans, qui entra à la Maison ro
u'on voit toxnc ico jours des enfans parfaitement conformés naître de femmes qui avaient reçu, dans le cours de la gestation,
Récamier; qu'il croit se rappeler que c'est tout-à-coup que périt la femme qui en est le sujet, et que rien n'avait porté à
Vorifice aortique (*). (planche i, 111° livraison, figure i.) Une femme de la Salpêtrière, âgée de soixante ans, présenta
t communiquait avec le sang en circulation ; et en effet une sonde de femme introduite dans ce foyer arrivait très-aisément p
é anatomique par M. Bérard jeune, qui le rencontra par hasard sur une femme de la Salpêtrière, âgée de cinquante-six ans, mor
Voici les renseignemens qui ont pu être recueillis au sujet de cette femme : mariée trois fois, elle n'avait eu qu'un seul e
communs et dans l'état normal. Le sujet de cette observation est une femme âgée de vingt-six ans, accouchée depuis six semai
ngt-six ans, accouchée depuis six semaines d'un enfant viable : cette femme entra à l'Hôtel-Dieu pour une gangrène spontanée
idérable et présente tous les caractères extérieurs de l'utérus d'une femme récemment accouchée ; la division droite DD est t
grande quantité de mucosité. Le sujet de cette observation était une femme âgée de trente-six ans, qui mourut d'une pleuro-p
équences physiologiques découlent immédiatement de ces faits : i° les femmes à utérus bifide ou cloisonné sont aptes à la géné
s. Le cas représenté fig. 1 et l'le prouve d'une manière évidente. La femme qui en fait le sujet était, m'a-t-on assuré, acco
er présenta à la Société de la Faculté de Médecine (*) l'utérus d'une femme morte des suites d'un dixième accouchement. Cet u
ovaire. Dans un cas d'utérus bilohé, publié par M. Ollivier (**), la femme qui était accouchée quatre fois sans accidens, su
exemples. Deux accoucheurs également distingués, appelés auprès d'une femme en mal d'enfant, soutiennent, l'un que l'accouche
ion enkystée de l'ovaire, cet organe essentiel de la génération de la femme . Sa texture éminemment vésiculaire, spongieuse, é
ous-arachnoïdienne de la base et de la voûte {forme comateuse). Une femme , qui venait d'accoucher, éprouve un violent accès
es fœtus a le développement d'un fœtus de six mois ; et, en effet, la femme était enceinte de six mois environ. L'autre fœtus
ains. Dernièrement, M. Deneux m'a adressé un placenta provenant d'une femme qui venait d'avorter au cinquième mois de sa gros
formée par une appendice épiploïque. ( fig. i .) Demoiselle Hullin, femme Saint-Éloy, danseuse à l'Opéra, âgée de vingt-sep
y a quelques mois que j'avais dans mes salles, à la Salpêtrière, une femme qui portait à la partie interne des cuisses 5 ou
e en ce moment à la Salpêtrière, dans le service de M. Hour-mann, une femme qui porte sur le cuir chevelu une lame cornée de
noïdien. Fig. 2. J'ai trouvé la tumeur représentée figure 2 sur une femme destinée à mes dissections. Une tumeur sphéroïde
lectuelles. — Affaiblissement de la myotilité ( Fig. 3 et 3' ). Une femme , âgée de quarante-cinq ans environ, maîtresse d'é
noïdien. Fig. 2. J'ai trouvé la tumeur représentée figure 2 sur une femme destinée à mes dissections. Une tumeur sphéroïde
lectuelles. — Affaiblissement de la myotilité ( Fig. 3 et 3' ). Une femme , âgée de quarante-cinq ans environ, maîtresse d'é
Vavant-bras sur la main (*). Le sujet de cette observation est une femme adulte sur laquelle je nJai pu recueillir aucune
a beaucoup travaillé et a toujours joui d'une santé parfaite. Cette femme étant morte le 6 novembre 1821 , M. Grellet, aidé
fibro-cartilage inter-articulaire. Je suis persuadé que la vieille femme qui fait le sujet de cette observation avait été
cer aréolaire gélatiniforme du tiers pylorique de Vestomac (*). Une femme , âgée de quarante-sept ans, éprouvait depuis deu
. L'estomac représenté fig. i (planche 4) a appartenu à une vieille femme morte à la Salpêtrière, dans un état de marasme d
es voies de la circulation. J'ai vu tout récemment à la Maternité une femme qui fut prise de phlébite de l'une des veines sup
des veines, des faits tout-à-fait contradictoires : chez une vieille femme , morte, dit-on, subitement, j'ai rencontré la vei
mineux et infiltrés. Dans l'œdème douloureux, ou hydropisie aiguë des femmes en couche, j'ai rencontré plusieurs fois les vein
ordre de veines. Au reste, l'œdème douloureux n'est point propre aux femmes accouchées; j'ai soigné à la Maison royale de San
retrouver les notes relatives à l'histoire de la maladie : Chez une femme qui succomba quinze jours après l'accouchement, e
EXPLICATION DE LA FIGURE. Cette figure représente l'utérus d'une femme morte de péritonite puerpérale quelques jours apr
itonite. M. Monod a présenté à la Société anatomique l'utérus d'une femme âgée de 33 ans, qui mourut de métrite quelques jo
xpulsée par fragmens, tellement qu'elle devient méconnaissable. Une femme âgée de quarante-cinq ans, qui n'offrait d'ailleu
utre chose que le prolongement de ce tissu propre lui-même. Sur une femme de la Salpêtrière, couchée dans la division des i
41 5. ) La fig. 4 représente la face postérieure de l'utérus d'une femme morte six semaines après l'accouchement, des suit
u cas suivant qui vient d'êtrp présenté à la Société anatomique : une femme affectée de cancer aux deux mamelles, mourut suff
jours à une hypertrophie de la muqueuse et de la musculeuse. Chez une femme de 72 ans environ, morte par suite de vomissemens
narines. — Cancer au pylore et à la partie voisine de l'estomac. La femme Pichon, âgée de 67 ans, fut admise à la Salpêtriè
PLANCHÉS I, 11, 111.) Considérations générales sur les maladies des femmes en couches en général et sur le typhus puerpéra
ouches en général et sur le typhus puerpéral en particulier. L La femme qui vient d'accoucher n'a échappé qu'à une partie
menacent dans l'accomplissement de cette douloureuse fonction. Peu de femmes meurent par le fait même de l'accouchement; un no
iques et vitaux qu'entraîne l'état de grossesse dans l'économie de la femme ; i° ceux qu'amène l'accouchement; 3° ceux qui son
x lymphatiques ont également fixé mon attention. IL J'ai comparé la femme qui vient d'accoucher à un individu qui vient de
ecevoir une blessure grave ou de subir une opération chirurgicale. La femme en couches, comme l'amputé, est épuisée de fatigu
a sécrétion du lait dans les mamelles. Cette fièvre traumatique de la femme nouvellement accouchée a son temps d'incubation,
mputé, répond une guérison sans fièvre,sans lochies purulentes, de la femme en couches; mode de guérison qui est excessivemen
e l'accouchement. X. De toutes les maladies qui peuvent attaquer la femme en couches, il n'en est aucune qui soit plus fréq
a pas en harmonie avec la capacité des lieux, tout le temps que 3,ooo femmes enceintes seront reçues chaque année dans un espa
ans un espace qui ne permet d'en admettre que de 15oo à 2000; car une femme en couches a une puissance d'infection bien supér
un malade ordinaire. La question de l'encombrement est donc, pour les femmes en couches, une question de vie ou de mort. Le tr
brille de tout son éclat. 1° La planche I représente l'utérus d'une femme morte du typhus puerpéral, le 4e jour de l'invasi
parut mettre hors de doute l'absorption du pus : il a pour sujet une femme âgée de 55 ans, qui portait à la partie supérieur
ccouche heureusement dans la nuit du 7 au 8 janvier 1851. (1) Cette femme appartient à une série de douze femmes accouchées
au 8 janvier 1851. (1) Cette femme appartient à une série de douze femmes accouchées le même jour, dont six sont mortes. Il
r l'absorption de sa partie la plus séreuse. Dans d'autres cas, les femmes qui avaient résisté à la péritonite, ayant succom
e livr. Lorsqu'une tumeur fibreuse se développe dans l'utérus d'une femme préalablement affectée d'un renversement du vagin
lanche Ve, XIIIe livraison ). L'utérus représenté appartenait à une femme qui a succombé au typhus puerpéral. La figure 1
t, par sa face antérieure, un utérus dont le volume égale celui d'une femme arrivée au troisième mois de la grossesse. Une tu
par M. le docteur Battaille, avec les renseignements suivants : Une femme avait éprouvé, à l'âge de quarante-quatre ans, pe
rin présente, à peu de chose près , le volume qu'il a acquis chez une femme qui a atteint le neuvième mois de la grossesse.
ersent de toutes parts, représente , trait pour trait, l'utérus d'une femme à terme. La cavité utérine était exactement rem
es d'expulsion de corps fibreux que j'aie vus, a pour sujet une jeune femme qui fut prise , dix-neuf jours après un accouchem
es, sont soumises à la loi de périodicité. J'ai donné mes soins à une femme de cinquante ans, dont la face et toute l'habitud
léger. Dévoiement cholérique sans crampes arrêté immédiatement. . Femme Burgaud, 26 ans, porteuse de pain, est conduite à
t pas vive; elle n'est pas dirigée vers les boissons froides. Cette femme avait été portée à l'ambulance, dix jours auparav
s de ce genre que j'aie en l'occasion d'observer, ont pour sujet deux femmes extrêmement âgées, mais d'une bonne constitution,
vomissements ; état thyphoïde porté au plus haut degré. Guérison. Femme Lecomte (Françoise), 80 ans, marchande à la Halle
s de laquelle survient encore le dévoiement cholérique. Mort. Une femme qui était entrée à l'ambulance pour un dévoiement
ntérite chronique ; accouchement ; dévoiement cholérique. Mort. Une femme grosse, à terme, était depuis six semaines sous l
s ; elle n'était point alitée et remplissait ses fonctions auprès des femmes en couche. Prescription : Un quart de lavem. am
ue très affaiblie, put partir pour son pays. Choléra moyen chez une femme grosse ; accouchement d'un enfant mort. Guérison.
us souvent exercer sur le choléra une influence avantageuse. Peu de femmes prises d'un choléra grave dans le dernier mois de
édiatement après le dernier soupir, a amené un enfant mort. Plusieurs femmes qui avaient résisté au dévoiement cholérique ou a
eut servir de type à cet égard. Choléra moyen très intense chez une femme débile ; réaction ; lutte pendant douze jours ; u
fant précède toujours celle de la mère. On cite l'exemple de quelques femmes grosses qui ayant résisté au choléra, sont accouc
fant coïncidait avec l'époque du choléra. Par opposition, j'ai vu des femmes grosses qui avaient résisté au choléra, donner le
s le point de vue cle la gravité, entre le choléra survenant chez une femme grosse, et le choléra survenant chez une femme no
éra survenant chez une femme grosse, et le choléra survenant chez une femme nouvellement accouchée; l'issue de toute maladie
sans la moindre réaction, avec tendance manifeste à l'extinction, une femme en couches, qui aurait probablement résisté dans
remarque , c'est que le travail de l'accouchement survenant chez les femmes cholériques arrivées au terme de leur grossesse,
e de leur grossesse, influe avantageusement sur la terminaison. Trois femmes à terme qui paraissaient très gravement atteintes
uence de ces faits , serait la provocation de l'accouchement chez les femmes cholériques parvenues au terme de leur grossesse;
lement que le travail de l'accouchement ne saurait s'établir chez une femme gravement affectée du choléra, mais encore que
spasme de la maladie. Choléra très-grave, non-asphyxique, chez une femme a terme, dont les eaux s'étaient écoulées. Evacua
tomac et sur les hypo-chondres. Point de réaction. L'e'tat de cette femme reste presque identiquement le même pendant quara
cholérique; plusieurs avaient eu ce qu'on appelle le choléra sec. La femme Breton, portière, qui perdit son mari du choléra
chappe au moment de l'écoulement des eaux. Rétropulsion du cordon. La femme accoucha naturellement vingt heures après. L'enfa
ésie, chez un enfant mort trente-six heures après sa naissance. Une femme avait éprouvé, onze jours avant l'accouchement, u
-olive, chez un enfant qui mourut une heure après la naissance. Une femme qui avait subi plusieurs traitements anti-syphili
re les deux observations qu'on vient de lire. Dans le dernier cas, la femme était dans un état de cachexie, suite, à la fois,
une infiltration pseudo-membraneuse dans l'observation suivante : Une femme accouche prématurément à huit mois d'un enfant mo
es rayons divergents qui procédaient du centre à la circonférence. La femme qui fait le sujet de cette observation était acco
CATION DES FIGURES. Les fig. 1 et i' représentent le placenta d'une femme qui est accouchée à la Maison royale de Santé, le
e ou prolapsus de l'ute'rus que j'ai observé à la Salpêtrièré sur une femme âgée de 75 ans. Fig. 1. Tumeur vue de face form
e ce genre sur le vivant. Je fus appelé, en 1816, auprès d'une pauvre femme qui avait une incontinence d'urine. Elle portait
clarèrent pour ne cesser qu'après la réapparition de la tumeur. Cette femme n'avait pas été mariée : elle m'assura qu'elle n'
ntant les principales altérations morbides des organes génitaux de la Femme . Paris, i833, 2 vol. in-8° ; Atlas in-fol. suit
de ce genre qui a été pratiquée par MM. Récamier et Marjolin sur une femme du faubourg Saint-Martin Cette ablation fut faite
développement considérable. M. Reynaud (1) rapporte l'exemple d'une femme affectée d'une maladie de l'articulation de la ha
ement oblitérée. J'ai cité ailleurs (1) l'observation d'une vieille femme , morte dans mon service à la Sal-pêtrière, qui po
nfin le cas de Coschwitz qui a vu cette veine pleine de sang chez une femme de 96 ans. Un fait de persistance de la veine o
dont les facultés intellectuelles sont affaiblies ; chez les vieilles femmes , connues à la Salpêtrière sous le nom de gâteuses
moitié par douleur et par efforts d'expulsion semblables à ceux d'une femme en travail, moitié par hémorrhagie. A l'ouverture
e n'ai vu de cas plus remarquable de cette déchirure, que celui d'une femme du dépôt de mendicité' de Limoges, affectée d'une
re qui fait du rhumatisme une des affections les plus graves dont les femmes en couche puissent être affectées. Le rhumatism
onsidérer comme appartenant au rhumatisme puerpéral le rhumatisme des femmes grosses, qui m'a toujours paru plus rebelle que c
e vérifier, c'est que, lorsque l'accouchement venait à surprendre une femme affectée de rhumatisme , cette maladie s'aggravai
nfond le plus ordinairement ce rhumatisme avec l'œdème douloureux des femmes en couches, lequel m'a toujours paru l'effet de l
e était au centre de cette vaste dénudation. L'œdème douloureux des femmes en couches n'est pas une maladie primitive, mais
FIGURES 2, 3, 5'et 4. La fig. 2 représente le muscle soléaire d'une femme qui a succombé au rhumatisme puerpéral. L'inflamm
museau de tanche, disposition extrêmement fréquente chez les vieilles femmes ; beaucoup plus fréquente que l'alongement de ce c
. V. La fig. 5 représente un double kyste pileux (1) observé chez une femme morte un mois après l'accouchement. L'utérus offr
était du volume de la tête d'un enfant d'un an a été trouvé chez une femme morte à l'Hôpital Beaujon en 1831, par suite d'un
de cheveux dans la vessie par le canal de l'urèthre, surtout chez les femmes . Les poils rendus par l'anus, ceux trouvés dans l
ils blancs fixés à la tunique interne d'un kyste de l'ovaire chez une femme dont le pubis en était dépourvu, crut que la prés
dents permanentes. Enfin Ploucquet et Autenrieth parlent d'une jeune femme de 11 ans, stérile, dont l'ovaire, qui pesait plu
e, c'est presque toujours le hasard qui les a fait découvrir chez des femmes qui, pendant leur vie, n'avaient accusé ni gêne n
es, l'épaisseur des parois de l'utérus, la cavité abdominale chez les femmes en âge d'avoir des enfants. Mais elle est un défa
ontenant un fœtus encroûté de phosphate calcaire et momifié, chez une femme de 77 ans, morte 47 ans après une grossesse extra
présenté Pl.VI, 18e livraison. Ce fœtus a été trouvé chez une vieille femme morte à l'âge de 77 ans , qui le portait depuis s
sura en lui disant que ces symptômes étaient communs à la plupart des femmes grosses. Du 4e au 5e mois de cette grossesse prés
ion présentée sous diverses formes. Dans toutes ces observations, les femmes , après avoir éprouvé tous les symptômes d'une vra
Sens (1) dont Albosius nous a tracé l'histoire, a été trouvé sur une femme de 70 ans qui paraissait grosse depuis 18 au s. L
fié dans l'observation suivante, d'ailleurs très détaillée fi). Une femme devient enceinte deux ans après un 1er accoucheme
e l'invoquer. Il est relaté sous le titre de fœtus extrà-utérin. La femme qui fait le sujet de cette observation , après pl
mment étranger au kyste qui contenait le fœtus pétrifié. Une pauvre femme de la ville de Troyes, mariée depuis 4 ans, devin
t se manifestèrent; ils continuèrent pendant deux jours. On toucha la femme ; l'utérus était vide, quoique l'enfant exécutât
c, le duodénum, la valvule iléo-cœcale, le poumon et les cotes. Une femme de 60 ans environ, hémiplégique, fut reçue à la S
ncée. Cet état, que j'ai si souvent occasion devoir chez les vieilles femmes de la Salpêtrière, n'estliéàaucun état morbide de
e-femme appelée ne peut point reconnaître la position de l'enfant, la femme s'opposant à l'introduction entière de la main ,
e fit appeler et « après quelques instances , je parvins à loucher la femme . « Après l'introduction delà main, qui se fit a
r du seigle ergoté que j'ai employé pour la troisième fois chez cette femme , sans le moindre accident. Deux « doses de i5 gra
eux, avec intégrité du périoste, je citerai l'observation d'une autre femme de la Salpêtrière autrefois opérée d'un cancer à
le. Infection générale. Cancer dans les os, le foie et la rate. Une femme contrefaite, âgée de soixante-sept ans, portait à
ures. La fig. i représente le péricarde plein de sang d'une vieille femme de la Salpêtrière qui mourut subitement dans son
) Les fig. i et i' représentent l'hémisphère droit du cerveau d'une femme âgée, hémiplégique du côté gauche, morte à la Mai
rd circonscrite, s'étendit bientôt en largeur et en profondeur. Cette femme avait toute son intelligence, jouissait de toute
circonvolutions du cerveau et des lamelles du cervelet. Chez une femme en démence, dont le cerveau et le cervelet avaien
ramollissement du cerveau. Nous voyons souvent, à la Salpêtrière, des femmes qui éprouvent de temps à autre des étour-dissemen
d'ammon et de la voûte à trois piliers du même coté. M***, vieille femme de la Salpêtrière; dans la section des gâteuses d
— et des ovaires. Considérations et observations sur les maladies des femmes en couches en général et sur le typhus puerpéral
58 (1869) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 1ère année
e de trente-neuf ans, est entrée à l'hôpital le 24 août 1868. Cette femme , de petite taille mais bien constituée, a marché
es suites de couches étant régulières, le onzième ou douzième jour la femme s'est levée, mais elle n'a pu marcher et a été fo
Elle est entrée à l'hôpital le 24 à six heures du soir. État de la femme : — Ventre en besace, indiquant une grossesse à t
es HOPITAUX DE PARIS» "Végétations monstrueuses de la vulve. La femme F... J..., blanchisseuse, est admise, le 5 janvie
aitée de végétations vulvaires d'un énorme développement. C'est une femme de dix-neuf ans, pâle, amaigrie. Elle a toujours
on présente une teinte un peu foncée. La lésion pour laquelle cette femme vient réclamer nos soins s'est annoncée, il y a t
ble, impossible même depuis ces derniers jours ; ainsi, lorsque cette femme s'est présentée à 2 la consultation de notre
nomènes consécutifs et certainement imputables à la lésion dont cette femme est affectée. Etat actuel : Anémie très marquée
ins de liquide ; or, certaines personnes ont la peau si délicate, les femmes surtout, que bien que la solution de morphine soi
le a été publiée dans les Archives de Médecine, n° de mars 1868. La femme M... (Césarine), 38 ans, est entrée dans le servi
n du rectum, indépendamment de plaques muqueuses de la vulve. Cette femme aurait eu, il y a trois ans, un chancre de l'anus
quatre pilules de Belloste, chaque jour. Amaigrie, pâle et triste, la femme M... dit qu'elle n'a jamais été guérie; depuis qu
le ne souffrait plus et qu'elle se trouvait mieux. Un mois après la femme M... est revenue passer un mois dans le service,
lement dans les régions du cou, du périnée aux grandes lèvres chez la femme , et sur le tronc. Ces tubercules, plus ou moins
ésenté dans la pl. XII. Cette tumeur existait à la cuisse, chez une femme âgée de soixante-six ans : elle avait fait son ap
ans : elle avait fait son apparition vers l'âge de treize ans : cette femme avait eu dix-sept enfants, sans songer à faire en
de chirurgie, un remarquable exemple de molluscum multiples chez une femme : deux tumeurs, situées à la région lombaire, ava
olluscum éléphantiasis pédicule de la grande lèvre observé chez une femme qui avait ce mal depuis de longues années, et qui
on des taches. Ici, en effet, l'intervention d'une grossesse chez une femme syphilitique a tellement modifié la forme de syph
es caractères classiques principaux dont nous avons parlé. Chez cette femme , la pigmentation était très forte et offrait part
et offrait partout la nuance dont se colore l'aréole du sein chez les femmes brunes, pendant l'état puerpéral. Ces taches s'af
uvrages de main, peu délicats il est vrai, qui peuvent incomber à une femme dans une famille d'agriculteurs. Hypospadias
malade a eu des rapports à des intervalles rapprochés avec plusieurs femmes ; si parmi elles se trouve une fille de maison de
nses ont pour but de permettre au bureau des mœurs de rechercher la femme qui les a contaminés. C'est ainsi que dans 146 ca
ire, du ier janvier au 3i juillet 1867, a signalé à la préfecture les femmes dénoncées par les soldats malades, déclaration qu
s dans la propagation des maladies observées chez ses malades : in la femme légitime et la concubine; la maîtresse ou la simp
ième des cas), est fréquemment contractée (un tiers des cas) avec des femmes n'exerçant pas la prostitution. L'égalité entre c
éon Le Fort étudie ensuite chacune des catégories en particulier. Les femmes légitimes figurent pour trois cas de chancres mou
lité 829 cas de maladie vénérienne. Dans 616 cas, la profession de la femme était connue du malade. Les bonnes ou domestiques
a maladie aurait été contractée dans des relations adultères avec des femmes vivant avec leur mari. Il y aurait eu de ce chef
ef : 25 uréthrites, 5 cas de chancres mous, 14 cas de svphilis. Les femmes rencontrées dans les bals publics peuvent toutes
n'étaient pas pécuniairement hors de la portée de nos malades. Les femmes exerçant isolément ou clandestinement la prostitu
b lique ont donné 1,761 cas de maladie vénérienne. Si l'on classe les femmes suivant le lieu de stationnement; on voit que les
t 861 au 3i décembre 1866, pendant une période de six années, 13,818 femmes arrêtées pour fait de prostitution clandestine, o
vénériennes; sur 2,3o3 arrêtées et visitées annuellement, on trouva 1 femme sur 3, tandis que sur les 3,85o filles publiques
uses et soulève de graves problèmes d'économie sociale. Du côté de la femme , l'insuffisance des salaires, l'interdiction de l
à l'autorité paternelle, qui s'oppose à l'inscription. Sur les 13,818 femmes arrêtées, 1,549 ont Pu être enregistrées, 7,277 o
un temps qui, sauf nouveau jugement, ne peut excéder une année, toute femme accusée de se livrer notoirement et habituellemen
l a réussi une fois, et a publié son observation de guérison chez une femme par ce procédé. Nous tâcherons d'être aussi heu
té aucun défaut de conformation. Pendant sa dernière grossesse, cette femme n'a eu ni maladie, ni aucune émotion, aucun troub
Fournier aborde son sujet par l'étude du début de la syphilis chez la femme . Chez elle comme chez l'homme, dit-il, la syphi
els une aussi courte analyse ne nous permet pas d'insister. Chez la femme comme chez l'homme, dit-il, l'éclosion et le déve
ents. M. Fournier passe ensuite à l'étude de la lésion qui, chez la femme comme chez l'homme, constitue l'infection syphili
C'est une croyance très répandue que le chancre est très rare chez la femme ; d'une façon générale, qu'il est très rare à l'hô
on peut maintenir que le chancre n'est pas d'observation rare chez la femme , et que loin d'être exceptionnel il est au contra
1868 au n° 12 de la salle Saint-Paul (service de M. Charcot). — Cette femme est déjà venue deux fois à l'infirmerie (service
er, médecin de Zittau en 1835, fit avaler, sans qu'elle le sût, à une femme condamnée à mort, quelques instants avant le mome
Société anatomique^ en i8q5, en présentant le membre inférieur d'une femme qui en était infecté. M. Benjamin Anger enfin, al
ant une année, l'autre pendant six mois, des crachats provenant d'une femme de 58 ans, atteinte depuis quelque temps de phthi
XXXII et XXXIII représentent un vice de conformation du bassin d'une femme adulte. Ce vice de conformation n'est pas le résu
59 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
un cas ayant beaucoup d'analogie avec le nôtre. Il s'agissait d'une femme , âgée de trente-neuf ans, syphilitique, présent
re dans la démence alcoolique. Nous avons observé de cette façon 24 femmes et 33 hommes atteints de paralysie progressive
ions ont été prises dans les services de Vallon (hommes) et Briand ( femmes ) à Villejuif. Archives, 2e série, t. V. 3 34
trois semaines. Trois mois après le zona, le mari s'aperçut que sa femme hésitait en parlant, perdait la mémoire. A son
quefois aussi aux troubles trophiques. Les deux services (hommes et femmes ) de Villejuif, où nous avons étudié nos malades
Légère hésitation de la parole. Inégalité pupillaire. » C'est une femme de moyenne taille, brune, apathique. La mémoire
en 1888 (Archiv ? lsl. médis., XL111) dans laquelle il s'agit d'une femme qui, droite, sur ses jambes bien tendues, incli-
ée scolaie 1895-96, la méthode du séjour au lit dans le service des femmes de la clinique psychiatrique de Moscou. Ce syst
hospitalières; - f. III. l'anyemenls; - 'I'. IV.' Soins adonner aux femmes en couches. Soins à donner aux aliénés. Petite ph
omestique, âgée de vingt-trois ans, entrée le 24 juillet 1894, au 3 femmes , service de M. le professeur Teissier. Antécéde
s elle est plus calme et on a pu la faire revenir dans la salle des femmes . Les douleurs de tête se sont un peu calmées, q
de Biologie, 1897. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 113 3 femme atteinte de gomme du lobe frontal gauche : à plus
. C. Marie-Louise, concierge, entrée le 6 janvier 1896, salle 3° ( femmes ) dans le service de M. le professeur Teissier.
ifférence de durée des paralysies générales chez l'homme et chez la femme ? Quant aux terminaisons, on les trouve aussi s
es : les hommes, par exemple, succombent plus fré- quemment que les femmes par ictus congestif, par convul- sions épilepti
fait-il que la para- lysie générale soit beaucoup plus rare chez la femme que chez l'homme alors que les syphilitiques on
st extrêmement rare, je pourrais même dire exceptionnelle chez la femme privilégiée par la fortune ; ` 30 La syphilis e
; ` 30 La syphilis est, d'une façon générale, plus grave chez la femme que chez l'homme ; la femme est plus sujette aux
'une façon générale, plus grave chez la femme que chez l'homme ; la femme est plus sujette aux gommes, aux nécroses, nez
ngt ans) ; 4° La syphilis étant habituellement plus grave chez la femme que chez l'homme, il est assez singulier que la p
rigine syphilitique, ait une durée moindre chez l'homme que chez la femme ; 5° La plupart de nos collègues des asiles de
de l'homme est habituellement de plus courte durée que celle de la femme . Les associations d'intoxications ou d'excès ne
cès ne sont-elles pas moins fréquentes et moins complexes chez la femme , 'moins variées aussi les symptomatologies des ét
variées aussi les symptomatologies des états paralytiformes chez la femme ? Enfin, je le répète, les des- criptions class
: c Je ne puis mieux définir mon état qu'en disant que je suis une femme dans un corps d'homme. Aussi loin que je puisse
OLOGIE MENTALE. 137 surmenage se manifeste particulièrement chez la femme moderne, pour qui la multiplication des champs
ministe actuel, tout en approuvant l'émancipation progressive de la femme , l'auteur estime qu'un certain frein serait uti
intellectuel imposé à la jeune fille « fin de siècle *, et qu'une femme mathématicienne par exemple sera peu apte aux dev
fections ne sont pas plus fréquentes chez les aliénées que chez les femmes saines d'esprit; puis pourquoi les organes géni
sile de London Ontario, et fait les opérations nécessaires. Sur 100 femmes ' 93 avaient des affections pelviennes et 69 av
, A. V. XX. Relation étiologique des affections PI·.L\IIsNNIs3 des femmes sur leur folie; par Georges-11. Roué, M. D. (Br
ces affections sont plus fréquentes chez les aliénées que chez les femmes saines d'esprit ne peut être résolue par la sta
l'attaque. Les réflexes restent normaux. Assez rare chez les jeunes femmes , la maladie devient fréquente chez celles qui o
t l'âge moyen ou la vieillesse, et elle est alors plus intense. Les femmes en souffrent beaucoup plus souvent que les homm
n'y a pas grand fonds à faire sur cette assertion. Chez les jeunes femmes atteintes du Latah, il n'est pas rare de rencon
ire civil qui a écrit sur ce sujet, c'est de ' '' voir que chez des femmes d'un âge avancé la maladie se manifeste dans un
n mot, un regard, un geste, dit, puissent instantanément amener une femme de soixante-quinze ans à se comporter comme une
son accroissement est dix-neuf fois plus considérable que chez les femmes . 4° Parmi les hommes, cet accroissement est deu
rogressif, tandis que chez les seconds il va en diminuant. Chez les femmes indigentes, il est peu considérable; chez les f
uant. Chez les femmes indigentes, il est peu considérable; chez les femmes aisées sa diminution est régulièrement progres-
que chez les céliba- taires et soixante fois plus fort que chez les femmes mariées. tû Le maximum d'accroissement se renco
ttachent à la vie génitale de la REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 149 femme diminuent d'importance en tant que facteurs effec
ssances génitales. RIÏVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 183 L'idée de la femme lui est insupportable. Bien d'autres stigmates
égénérés, de par l'alcool par exemple. Celui-ci vous raconte que sa femme est devenue infi- dèle ; celui-là, qu'il a pour
ce incomplète de sa situation; hésitation de la parole. » C'est une femme de taille moyenne. Ses facultés intellectuelles
'alopécie est symétrique, commence par les tempes, surtout chez les femmes . Elle débute aussi par le vertex sous forme de
érents. Hésitation de la parole. > Signé, M. Briand. C'est une femme de taille moyenne, maigre, grisonnante, apa- th
ation. Hésitation de la parole. Inégalité pupillaire. » C'est une femme de moyenne taille, d'une physionomie souriante
as de la parole, idées de satisfaction. » (Dr Dagonet.) C'est une femme petite, maigre, apathique et indifférente, qui
rents. Hésitation de la parole ; inégalité pupillaire. » C'est une femme petite, grosse, souriante et satisfaite ; elle es
s ; myosis ; embarras de la parole; arrêtée pour vol. » C'est une femme grande et grosse, absolument inconsciente de sa
sitation de la parole. Inéga- lité pupillaire. » C'est une petite femme brune, sans antécédents syphilitiques ni alcool
ES DE LA PARALYSIE GENERALE. '197 qu'observa M. Déjerine1 sur une : femme également paraly- tique ; les bulles de pemphig
xamens. Nos malades étaient au nombre de 87, dont 33 hommes et 24 femmes . Neuf d'entre eux n'ont présenté aucun trouble
vue sexuel, il a tou- jours été frigide et ne couchant plus avec sa femme un an après son mariage. Celle-ci lui a cependa
eux enfants de J... auraient pour père un étranger auprès duquel sa femme cherchait des satisfactions que son mari ne pouva
ils. Il eut d'ailleurs connaissance plus Lard de l'infidélité de sa femme , mais ne voulut pas demander la séparation de c
textuel d'un membre de la famille, il, suffirait d'habiller J... en femme , pour le confondre avec cette soeur. Le probl
dence de la vieil- lesse, déformant le portrait de l'homme et de la femme , efface les signes distinctifs du sexe que l'in
une intelligence et de sentiments puériles; l'efféminé a ceux de la femme ; l'homme homosexuel est bigot, vain, capricieux
est bigot, vain, capricieux, théâtral, s'attife en secret comme la femme , est passionné pour des ouvrages manuels fémi-
r l'hybride féminin. Les différences psychiques entre l'homme et la femme dépendent donc des caractères sexuels. 1) n'est
ncre, en fréquentant des cheffesses du mouvement d'émancipation des femmes , que la femme de cette espèce n'a pas besoin de
ntant des cheffesses du mouvement d'émancipation des femmes, que la femme de cette espèce n'a pas besoin de l'homme et qu
e rechercher l'excitation et la satisfac- tion érotiques auprès des femmes et non auprès des hommes. C'est là un côté extr
s qui tournent autour d'eux. P. KERAVAL. L. L.1 sensibilité chez la femme ; par S. Ottolenghi. (Centralbl. f. il erve)Icc
diées à l'aide du faradomètre d'Edelmann comparativement chez 682 femmes et 400 hommes. 1. La sensibilité à la douleur e
ibilité à la douleur existe au même degré que chez l'homme, mais la femme présente une appréhension exagérée par 1 hypere
scence amoindrit la sensibilité à la douleur ; ce sont les vieilles femmes de l'hospice qui présentant le maximum d'émous-
us- sement et d'hyperritabilité. Dans l'ensemble on trouve que la femme sent moins la douleur que l'homme ; elle y résisi
est plus incons- tante. La suggestion jouant un grand rôle chez la femme peut produire une hyperirritabilité, ou parfois
s professions, mais moins que la sensibilité à la douleur. Chez les femmes aisées, dans le jeune âge, la sensibilité général
ine que les paysannes. Elle se développe plus promp- tement chez la femme aisée que chez l'homme; après dix-neuf ans, ell
ns les profes- sions ouvrières, elle est toujours plus fine chez la femme . 111. Considéré dans les deux sexes, la sensibi
ent un cas de cette affection qu'ils ont observé. Il s'agit d'une femme de vingt-deux ans, sans autres antécédents que
EVIC et CODMONT. (Revue de médecine, avril 1897.) Gliome chez une femme de quarante-six ans, survenu sans cause appréci
tre mâle une sensibilité plus délicate que celle de l'homme oude la femme , d'autres enfin qui aiment le mâle comme des in
es enfin qui aiment le mâle comme des individus nor- maux aiment la femme . Ce ne sont guère ces sujets que les médecins o
surtout attachés aux invertis dont les amours sont des amours de femme , qui miment la femme dans ses goûts, dans sa te
ux invertis dont les amours sont des amours de femme, qui miment la femme dans ses goûts, dans sa tenue, aussi bien que d
e recherchent. On pourrait établir les mêmes dis- tinctions chez la femme , dont les inversions sexuelles sont beaucoup mo
périodes de continence, il n'a jamais eu de rêves lubriques où une femme ait figuré à un titre quelconque. Dans ses rêves
donner de ses répugnances n'existeraient plus, il se maria. Mais sa femme est restée pour lui un objet de répulsion qu'il
résente la plus grande analogie avec la précédente; il s'agit d'une femme , circonstance qui n'est pas sans intérêt, car l
stance qui n'est pas sans intérêt, car l'inversion sexuelle chez la femme , n'a fait l'objet que de peu nombreuses publica
ale, soit plus apparente que réelle. L'existence plus retirée de la femme se prèle mieux à la dissimulation. L'associatio
quiétât. Un jour qu'elle avait entendu une con- versation de jeunes femmes qui lui avait ouvert l'attention, elle s'adress
t restait plusieurs nuits sans dormir. Les conversations des jeunes femmes ou des jeunes filles mieux renseignées qu'elle, l
ant de n'être pas une mère comme les autres que de n'être pas une femme comme les autres. Son mari est de douze ans plus
nte chez cette mère ; elle souffre de n'ôtre pas comme les autres femmes , tant au point de vue de l'appétit sexuel qu'au p
néral la tète petite. - Mère, trente-deux ans couturière, est une femme brune au visage coloré, assez sanguine, d'aspec
t l'affection est huit fois plus fréquente chez l'homme que chez la femme . Les causes ordinaires d'affaiblissement du systè
ins 98 p. 100 sont hypnotisables. La plus grande susceptibilité des femmes ; la résistance spé- ciale des enfants et des vi
on de l'aliéniste doit se porter sur ce côté étiolo- gique. Sur 387 femmes examinéesà cet égard à l'asile de l'Illinois, 2
ticut a voté une loi prohibant le mariage des épileptiques quand la femme a moins de quarante-cinq ans. La pénalité est a
, alimentation artificielle, etc., etc.); T. IV. Soins à donner aux femmes en couches. Soins à donner aux aliénés. Petite ph
es, en particulier de la moelle épinière et des os. Il s'agit d'une femme de soixante-deux ans, sans hérédité, chez qui s
les Drus Souques et Makinesco. Des coupes minces de la moelle d'une femme diabétique, morte dans le marasme, ont montré a
ller de Munich n'a retrouvé la syphilis que 23 fois (17 hommes et 6 femmes ) chez 142 paralytiques généraux (77 hommes et 6
mmes et 6 femmes) chez 142 paralytiques généraux (77 hommes et 65 femmes ). Que les paralytiques généraux soient syphilitiq
M. Sollier a toujours retrouvé la syphilis chez les paralytiques femmes qu'il a eu à observer. M. A. Voisin expose qu'i
s trophiques très accentués. Mort le 31 décembre. Observation II. Femme âgée de trente et un ans. Hérédité psychopathiq
rale aiguë ascendante (avec dé- monstration de préparations). Une femme , âgée de vingt-neuf ans, fut admise dans la clini
ement ébranlée à la suite d'une instance en divorce intentée par sa femme . Il croit entendre des voix, attribue à un eccl
rant au lieu dit a Croas Cus », surla route de )Ioélan, étranglé sa femme dans les circonstances suivantes : la malheureu
cun accident vénérren, aucune manifestation cutanée ou muqueuse; sa femme n'a jamais UN CAS DE TUMEUR DE LA MOELLE. 435
e; maintenant elle s'achemine vers la démence. La malade G. J..., femme P..., internée depuis six ans, croit être le di
quoiqu'elle n'ait pas les organes de la génération faits comme les femmes . - La troisième n'a pas non plus de corps, le m
le ne croit plus en Dieu; il y a un million d'années qu'elle est la femme du grand diable. (C'est une sorte d'immortalité
', rapporte un fait à peu près semblable au précé- dent. C'est une femme à antécédents héréditaires multiples ayant fait
thèse de M. Legrain 2, nous relevons également l'observation d'une femme qui se croit possédée par l'esprit malin. Ses m
jours le mal quand la malade veut le bien. La malade, qui est une femme raisonnable, dit qu'elle a de la peine à croire
he ! (Auguste). Est-il utile de peovoquer l'ac- couchement chez une femme ayant des accès d'éclampsie ? Michel (Josepli-P
e quarante-sept ans qui, à diverses reprises avait tenté de tuer sa femme etson enfant. Ses menaces se faisant de plus en
tre : Tué à coups de canif, Béthume, 5 mai. Ce soir, à Drouvin, une femme qui avait déjà été internée pendant deux ans da
426. Pelviennes. Relations étiologiques des affections chez les femmes sur leur folie, par Robe, 144. Persécutés mél
.191.'l'rou- bles de la - cutanée, par Loe- wenfeld, 6t. chez la femme . par Ottolenghi, 21î. Troub ! es de la - dai)
60 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
la main ou du pied, etc.), ,\1, ,\1asoin relate l'observation d'une femme de 48 ans, idiote et épilelllirtue, dont le mem
s les délires systématisés) dont l'J chez des hommes et 28 chez des femmes , ce qui donne pour les premiers la proportion d
vue de l'âge, le plus grand nombre des cas a élé observé, chez les femmes , entre 30 et 35 ans et chez les hommes, entre 2
plutôt qu'au point de vue de lage) serait donc plus tardive chez la femme que chez l'homme. M, Crocq s'est efforcé ensuit
eur croit qu'il faut placer en première ligne les chagrins chez les femmes , le surmenage in- tellectuel al les traumatisme
, )1. Crocq, cite les observations de quatre malades (3 hommes et 1 femme ) le développement de l'affection a été pré- céd
pileptique ; par Il. Goktze. (Veurolog. l'crttwsLGl., XXI, 1902.) Femme de 51 ans, épileplique depuis la puberté, interné
ne de « déjà vu » ou fausse reconnaissance. 31. D\LLEr présente une femme qui, a la suite de crises épilep- tiformes peut
amp;0 ? tt' asthâniquu. 31 31. 13RISS.-I.UO e[ IhuER présentent une femme de quarante- six ans atteinte de ll1ala( ! iu d
amaigrissement général el atrophie musculaire diffuse. Comme cette femme a présenté de légers troubles proprement bulbai
suggestion ét7 ? /l ? éthliqtle. JI. \YiAXEMSKY (de SaraLwv). Une femme de 28 ans, secon- dipare. est enceinte de deux
rès de Lyon raconte qu'un nom- tiré E nanl a à à coups de rasoir sa femme et son enfant, et "qu'après avoir essayé en vai
890. EXCITATION SEXUELLE DANS LES PS1'CHOPaTHIIS ANXIEUSES 83 F ? femme L...., 00 ans," admise le 15 juillet 1882. Une so
Elle a exercé jusqu'en ces derniers temps la profession de sage- femme et était très occupée. La ménopause s'est établie
signes de trouble mental remontent àuu moins six mois. C'est une femme qui, bien que d'aspecl normal, Bouder convulsions
me d'aliénation est d'ailleurs peu commune, plus fréquente chez les femmes que chez les 5G , CLINIQUE MENTALE hommes, el
wcc fureur contre tous ceux qui l'approchent ; il s'est jeté sur sa femme pour l'étrangler. Par moments, il a des période
ait promis le mariage à une fille qu'il a délaissée pour épouser sa femme . Cependant il ne croit pas lui avoir fait tort.
vous fasse mourir ' ! » « Oh ! si : encore parfois o. - « EL voire femme Y Y pensez-vous H. 11 reste muet et comme embar
e ; tout en gémissant, il demande à grands cris qu'on lui amène des femmes et se livre à une ma-- lurbulion continue. °;
ses divagation» mélancolique.- il appelle à grand- cris « sa petite femme » ; veut embrasser tout le le 11101ldl', 111'¡l
elon le premier médecin trai- tant, soit chez l'homme, soit chez la femme , d'accident antérieur de nature suspecte ; et e
ent antérieur de nature suspecte ; et enfin dans le troisième, la femme , primitivement infectée de syphilis ne devint L
e de (lé- mence parah tique à la dernière période. La mère de celle femme , née Eliennelle IL ? a ulé traitée elle-même il
tembre 1859. Celui- ci, après un ait do cohabitation, vécut avec sa femme 1'11 111au- labe intelligence, aussi le divorce
il ne peut pas être douteux qu'étant donné un mari de : 1; ans et une femme de 49 an, ce n'est pas la femme qui a dû apport
tant donné un mari de : 1; ans et une femme de 49 an, ce n'est pas la femme qui a dû apporter la maladie dans la communauté
ollissement cérébral, 102 RECUEIL DE FAITS. et que, du côté de la femme , non seulement Sa mère, quoique décédée il son
que le mari mourut paralytique un peu plus de deux ans avant que sa femme ne succombât t par suite de la môme affection.
son cer- veau il contracter la paralysie générale était, chez la femme , presque fatale. Néanmoins, cette prédisposition
celle infection, quatre autres enfants tous morts en bas-âge, el sa femme a fait en outre une fausse couche ; mai, peut-ê
, t'ami avec qui il était parut lui reprocher de faire la cour à sa femme : c'élail à la 100 RECUEIL DE FAITS. gare de
e persécution, accompagnées décolères \Îolenlo8, Il disait que sa femme le trompait avec n'importe qui et il l'accablait
l à rester sous une fe- nêtre il la guetter. Devant ses menaces, sa femme , qui se con- duisait bien, a~dû plusieurs fois
. 11 prétendait qu'un complot était dirigé contre lui, auquel celle femme était associée pour le voler. Il croyait parfoi
orfèvre, que trois maisons seulement; Après le départ dosa seconde femme , il était resté assez longtemps sans travail. P
e ; par \\'. ËRBSLOEH (Xeurolog. Centralblatt, XXII, 1103,) . Une femme de 63 ans, mentalement normale est., sans ictus,
nom personnel et au nom de JI. llalhel'sLadL de l'observation d'une femme qui, travaillant depuis de nombreuses années da
5. Jtérzizgo-n7él i te. MM. Mosny et Malloizel montrent une jeune femme chez a- quelle ils ont hésité à diagnostiquer u
nce. MM. ])ÉJERINE el Rouss y ont observé é ce phénomène chez une femme de 71 ans hémiplégique gauche et aveugle de naiss
s marquées : Uas. 1. Littérateur, 38 ans, cause : frigidité de la femme . (los. 2. Médecin, 35 ans, cause : longue atten
ances de suggestion hypnotique. M. Damoglou (du < : aire). Une femme de 28 ans soulfre, de- puis Lige de 8 ans, d'un
tteint de folie alcoolique, Paulin Behalle, mécanicien, a blessé sa femme de deux coups de revol- ver. Il a été arrêté. 1
mme de deux coups de revol- ver. Il a été arrêté. 11 prétend que sa femme voulait le tuer pour livrer son cadavre aux dém
IA , Les crimes de l'alcoolisme .1 ¡s"oi,'c. -Un mari qui tac SI' femme à coups de sabot ci de b(i- ton ? \ le nommé Gu
sabot ci de b(i- ton ? \ le nommé Guy le, jardinier, a assassiné sa femme à coups de bâton, dans un accès d'alcoolisme. I
de ]a Clwpl'ill', a frappé, dimanche, de trois coups de couteau sa femme , née Berlin1 Péral, âgée de quarante-cinq ans.
n et Pierre. Je t'aime de tout mon coeur, et je suis la plus petite femme de la terre. Je suis ici à toi, tout à toi. Je
par A. PICK. (i"eUI-010g. Centralbl. ,XX1, 1902.) 11 s'agit d'une femme de 42 ans, opérée pour une cataracte en rapport
Il l'oeil gauche. L'amaurose unilatérale a frappé 7 hommes et l(i femmes ; la bilatérale, 4 h., 22 f. L'amaurose à un seul
dehors de l'hémiplégie. jDI. URISSAUD et SIC \RD lllOUll'l'lll ulle femme atteinte depuis plusieurs aimées de svncinésie.
ulose pul- monaire (1). Il n'y en a pas eu par lièvre typhoïde. « 2 femmes onlmorll's uhi(el1lenl d'attaques eonvulsives.
urd'hui) qui a régné pendant toute l'année dans les quar- tiers des femmes . » VARIA Tares dynastiques. Un de nos confr
jouent un rôle important dans la dissolution du mariage. Des jeunes femmes sont stupéfaites quand on leur offre ou quand o
DE L'INCONTINENCE SEXUELLE. 2G1 lé et soigneux de l'homme et de la femme est resté né- gatif. La grand' mère ayant compr
esse qu'il est intéressant de connaître le plus tôt possible. Des femmes manifestent immédiatement, après la fécondation
ositions amoureuses ou la menace de la Il'oml)('I' a\f'C unit aulrc femme , ce qui porte à son comble bicolore el l'oxaspéra
r le point d'être publiée quand nous revîmes une seconde fois cette femme à l'occasion d'une nouvelle entrée au bureau d'
de gymnase. M. le Dr Boiteux, médecin en chef de la division des femmes , écrit dans son Rapport ; 284 ASSISTANCE ET PÉD
gymnastique élémentaire, mouvements, ressorts, échelles, etc.. La femme les habitue à s'habiller, les soignc, sur- veil
lioscNl3ERC. (1'eurolng. Cel1tralbl., XXI, 1902.) Il s'agit d'une femme de 52 ans, amputée du bras gauche à. douze cent
ive représente 28 % des malades de l'asile : 13,8 % hommes ; 14,2 % femmes ..Le nombre absolu des déments primitifs hommes
bsolu des déments primitifs hommes est égal il peu près à celui des femmes (62, 63). La démence primitive frappe pour ains
s, il y a 48 hébéphréniques, 9 catatoniques, 43 paranoïdes; sur 100 femmes il y a 61 hébéphréniques, 7 catatoniques, 29 para
43 % ; la catatonique, en proportion presqu'égale les hommes et les femmes (9 % , 7 % ) ou avec une légère prépondérance l
pir Th. Diluer. (Neurolog. Centralbl., XXI, 1902.) Il s'agit d'une femme de 4G ans indemne d'alcoolisme, de syhltilis, U
térieur : résultats thérapeutiques satisfaisants. Uss. 111. Jeune femme présentant les signes prodromiques de l'excitat
ll, méd., 190), na 31.) La cure de déchloruralion a guéri une jeune femme d'une psy- chasthénie avec aboulie, idées de do
ky. (0&o'<')t ! fM ? un<rf/, VI, 1901.) 11 s'agit d'une femme de 32 ans qui d'abord éprouve des dou- 324 REVU
lards et d'infirmes des deux sexes, avec infirmeries d'hommes et de femmes , et un important se ! - vice annexe où sont reç
eurs des deux services de maladies nerveuses et mentales (hommes et femmes ) ont passé par l'asile d'aliénés des Chartreux,
et pensant, d'autre part, que les troubles mentaux présentés par la femme aux diverses pé- 332 BIBLIOGRAPHIE. riodes de
n . 1° Psychoses puerpérales par épuisement. - L'épuisement de la femme peut relever de causes diverses : état anémique e
qui sont la conséquence directe des perturbations phy- siques de la femme enceinte, de la parturiente ou de la nour- rice
légères (délire polymorphe des dégénérés, ob- sessions, envies des femmes enceintes) ; 20 suivant l'évolution du processu
, un bébé de onze mois, odieusement brutalisées par leur mère, la femme Léontine Petit. C'est sur la dénonciation des voi
rvention de son mari, n'a pu èlre rappelée a la vie. La malheureuse femme , qui avait déjà été internée il l'Asile de Clcr
té. ' Antécédents héréditaires : La mère, âgée de 44 ans, est une femme active, vive, d'intelligence moyenne, qui n'a pas
battant continuellement et menaçant de tuer à diverses reprises sa femme et ses enfants, écroué plusieurs fois, interné
e dans le personnage de Claudine. Non pas qu'elle lut amoureuse des femmes : elle n'a jamais eu avec les personnes de son
chp illu"ll'l"e (le C/(Iudine en vadrouille. Sur cetle affiche, une femme étail représentée, dans layucllc llaric \... se
.et je pensais, sans plu ? III' arrêter, que je pourrais tuer celte femme . Puis, le désir de tatue ! ' 111'('n\allÎl a\ec
Cytologie. Examen du liquide céphalo-rachidien de quatre hommes ou femmes rabiques, retiré par fonction lombaire, puis ce
porte- greffe. Il faut trouver un goitre à extirper, cliez un sujet femme possédant un tissu thyroïdien normal, ce qui ne
de, pour échapper à leurs obsessions. Ce- laient deux hommes et une femme et, parmi eux, un ménage. Les trois ont accompl
s l',1 ? de )2 ans ; depuis il n'a pu avoir d'érection auprès d'une femme 400 BIBLIOGRAPHIE. Il a été condamné à plusie
lus que doublé. Nous avons reçu, l'année der- nière, 15 hommes et 4 femmes atteints deparalysie générale ; nous avons reçu
ts deparalysie générale ; nous avons reçu cette année 18 hommes et9 femmes . C'est là une pro- portion peu rassurante pour
n lits : il l'hospice de l'Antiquaille, quarante-huit lils pour les femmes ; il l'hospice du Perron, cinquante-deux lits p
rron, cinquante-deux lits pour les hommes, vingt-sept lits pour les femmes et quatorze lits pour les enfants garçons ayant
u même coup ; 4° que ce personnel comprend' ac- tuellement quatorze femmes mariées qui ont le droit de devenir grosses et
53 ans, fermier à Noce, alcoolique, disait souvent qu'il tuerait sa femme et se suiciderait ensuite. Mardi de la semaine
arbet s'arma d'un fusil de chasse à deux coups, puis, saisissant sa femme à bras le corps, il chercha à l'entraîner dans le
a à l'entraîner dans le fournil déclarant qu'il voulait la tuer. La femme Barbet se mit à crier au secours et, ayant pu s
' Hémiplégie spinale. l' lI. 1)H> : .RiNr : présente une jcune femme non syphilitique qui, après une diplégie totale
opiégie externe congénitale et familiale. ? 1\1. PAGNIEZ présente une femme de 50 ans atteinte de ptosis avec déviation et
idiotes perfectibles. La popu- lation réelle du service est de 888 femmes au 1 ? janvier de cette année. ' « Notre quar
cours a des transferts collectifs pour désencombrer la division des femmes . « Les malades commenceront à avoir des cours p
travailleurs en 1903 a été de 66 pour les hommes et de 110 pour les femmes , non compris les malades, dont le travailn'apu
de revient a été de 2 fr. 589. XIV. - Rapport sur la division des femmes de l'asile d'aliénés de Maréville (Meurthe-et-M
Dr Paris, médecin en chef. ' « Le 31 décembre 1902,1e service des femmes comptait 848 ma- lades, 829 pour le service de
perle cruelle pour les psy- chiatres d'Ecosse. Si)' John laisse sa femme , Lady Sibbald, deux lils et cinq filles. Nous l
Rue à Sèvres, Pierre Rollin, se croyant, bien à tort, (rompe par sa femme , la luail au cours de son sommeil de (rois coup
sile d'aliénés de Blois, parDoutrebente, 460. sur la division des femmes de l'asile d'aliénés de Marévilie (Meurlhe-et
61 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e sur la bonté », elle pensait à cela sans exaltation, seulement en femme qui a d'elle-même une haute opinion. Confirma
ait bien réellement un esprit. Tandis qu'il allait s'améliorant, sa femme , au contraire, déclinait, elle fut prise de fat
qui fut accablé de reproches : « Je t'ai, dit la voix, donné cette femme si pure et si bonne, et tu n'as pus su lui donn
ent apporter un baume, elle était de bon conseil et recommandait la femme à l'affection du mari. Elle constitua le premie
Schtein qui n'a pas vu ces livres ou articles entre les mains de sa femme , n'admet pas que ce soit des souvenirs non reco
Marchand. (IVO2GU. ICO)20g7'. de la S'LlI)Ei9'iP.l'C, n° z, 1903). Femme épileptique internée depuis vingt-deux ans pour d
n cas d'adipose douloureuse. MM. RAYMOND et.GuiLLAIi présentent une femme de cinquante- sept ans atteinte d'une hémiplégi
ries par la suggestion hypnotique. M. VIAZEMSKY (de Saratow). - Une femme âgée de vingt et un ans a de fréquentes attaque
étaient donc de nature hystérique et non point épileptique. Cette femme souffrait, en outre, de divers phénomènes patholo
barrasser, de fixer mon portrait pendant trente secondes. Une autre femme . également hystérique, souffrait d'une douleur
ont complètement disparu. , M. Voisin. - Je soigne en ce moment une femme , hystérique. qui présentait des phobies analogu
. XVIII. 6 82 SOCIÉTÉS SAVANTES. disparaître cette névralgie. Une femme de vingt-six ans est retenue au lit depuis ving
re approximativement pourunefois et demie plus souvent que chez les femmes ; surtout saute aux yeux ce fait que la plus gra
te et un,-quarante-cinq et quarante-six,-ciaquante ans, et chez les femmes à trente-six,-quarante ans. Certains auteurs (S
illé toute la journée de vendredi et n'avait pas rentré le soir. Sa femme , prise d'inquiétude, se mit à sa recherche, aid
tte adresse, habitaient depuis environ six ans les époux Robert. La femme , née Renard, âgée de cinquante ans, donnait dep
des voisins accoururent, et pendant que les uns s'emparaient de la femme Robert les autres conduisaient la victime à l'h
ût joui de la plénitude de ses facultés. Malheureusement, la pauvre femme était faible d'esprit et son mari, qui exerce l
1904). La victime avait fait des démarches pour faire interner sa femme , aliénée. Il serait curieux de savoir si ce n'est
'Oise du 20 mars publie le fait ci-après : t « Le 13 courant, une femme a été repêchée dans la Seine, quartier de la Mu
qui ne jouissait plus de ses facultés mentales, a tenté de tuer sa femme en lui portant un coup de rasoir au cou. La mal
rnier tenta une 96 AVIS A NOS ABONNÉS. seconde fois de frapper sa femme , mais il en fut empêché à nou- veau. 11 se port
dans le service voici quelques années : Il s'agissait d'une jeune femme de vingt-sept ans, mariée à un officier colonia
dent. En 1892, au cours d'une deuxième grossesse, un jour que cette femme sortait du bain, elle remarqua au niveau des ja
ues chez le malade que je viens d'examiner sous vos yeux et chez la femme dont je vous ai résumé l'histoire Chez l'un com
enir notre DEUX CAS. DE LÈPRE NERVEUSE. 119 attention. Chez notre femme , elle occupait les membres supérieurs et les in
rendra MÉDIUMNITÉ DÉLIRANTE. 135 « la plus heureuse de toutes les femmes ; il lui laissera sa beauté et « lui permettra
rits le luicommanùent, « prêcher la charité ct blâmer les vices des femmes du monde dans des conférences publiques » pour le
des esprits de ses amis, non content de ses excès sexuels avec des femmes il aurait été entraîné à des tentatives de pédéra
oidevaux, il frappe de nouveau à la porte du temple maçonnique, une femme ouvre, il insiste pour entrer, disant qu'il a u
les journaux mentionnaient une tentative d'homicide commise sur sa femme par un spirite qui un esprit avait dit que cette
ses théories délirantes. . Les auteurs montrent comment, chez cette femme impression- nable, l'intensité des images menta
t le linge des armoires et le piétine ; il injurie grossièrement sa femme , la bat et lui fait faire quelques chutes graves
de vingt-trois heures ou un multiple de . vingt-trois et, chez les femmes , au bout de vingt-huit heures ou un multiple de
l'auteur. Maladie du demi-sommeil. M. LE Menant des CHESNAIS Une femme de trente ans, neu- rasthénique et dyspeptique,
otégera en omnibus, en chemin de fer, par un jour- nal déployé. Une femme au théâtre ouvrira son éventail, dans la rue po
ses mains, ils ne sont pas seulement ce qu'ils sont pour les autres femmes , mais plutôt de purs emblèmes, armes et bouclie
être. Outre leur physionomie mobile, leurs cheveux en désordre, les femmes (visées surtout dans cette description) affecte
e famille avait également sombré dans la démence précoce. C'est une femme qui, à vingt ans, est atteinte de la même malad
VASTINE présentent les coupes de l'encéphale et des viscères d'une femme de vingt-trois ans morte tuberculeuse chronique
noi,2,hagiqzie. MM. Brissaud et BRÉCY (de Paris). Observation d'une femme de trente-six ans avec double ptosis, myosis, é
es interrogeant sur leurs sensations. Sur 203 sujets examinés (t 11 femmes et 192 hommes), la proportion des résul- tats p
ultats positifs chez les neu- rasthémiques, soit 77 p. 100 chez les femmes et 61 p. 100 chez les hommes. Chez les sujets h
plaisir en extension (voir le monument Aux Morts de Bartholomé ; la femme , en attitude foetale du premier plan est au max
M. Picqué pratique l'examen systématique des organes génitaux de la femme . Par l'intervention il a obtenu 4 guérisons sur
suffisantes ou les éjaculations trop rapides ne permettent pas à la femme d'aboutir au spasme voluptueux; l'abstinence pr
satisfaite de l'excitation génésique. Par les confidences de leurs femmes ou de leurs maîtresses, aussi bien que par les
ait de l'autre sexe débuta, et X... se sentit attiré vers une jeune femme , aide-cuisi- nière de la pension, qui avait un
maladies véné- riennes. Il resta près d'un an avant de trouver une femme qui lui parut offrir toutes garanties, et penda
u'il res- terait toujours tel. A la deuxième tentative avec la même femme , la même impuissance se reproduisit tout d'abor
ur ne pas retomber dans l'onanisme, de nouer des relations avec une femme nouvelle. L'obsession revint dans toute son in-
X... resté seul ne se sentit pas le courage de connaître une autre femme ; il préféra attendre le retour de sa maîtresse
oir, même à plusieurs jours d'intervalle, des rapports avec la même femme . Au point de vue émotif, L... a été de tout tem
l s'en trou- vait un qui avait le fétichisme des «grosses fesses de femmes et qui ne s'en cachait pas. Il riait même des p
'avait mis les pieds dans un musée. La vue de toutes ces statues de femmes nues, en très grand nombre cette année-là, le f
avait le fétichisme des fesses. Il fit alors la connaissance d'une femme qui mit à sa portée, la partie de son corps, obje
oué dans la genèse de l'obsession. r Sous les tropiques, toutes les femmes du peuple, négresses, mu- lâtresses, cabresses,
t contracté pour le garder toujours, le fétichisme des pieds nus de femmes . Tous ceux que du matin au soir, il avait l'occa-
là qui seuls le fascinent. Quand sur son chemin, il rencontrait une femme avec des pieds répondant à son idéal, il la sui
a était très longue à se pro- duire, longue au point de fatiguer la femme . En outre de son fétichisme, Y... a, en effet,
nt qu'il eût constaté l'action favorable du contact des pieds de la femme . Rentré dans son pays à dix-sept ans, Y... pass
n'ent plus le plaisir de contempler par les rues des pieds nus de femmes , et il ignorait complètement comment les avait ce
ons, car il fut navré de constater qu'en Europe, presque toutes les femmes avaient les pieds plus ou moins déformés par la
produisit. La honte qui jusqu'alors l'avait retenu avec toutes les femmes , disparut ; à partir de ce moment, il ne rougit
s; un fonctionnaire de trente-trois ans (il expériences); une jeune femme mariée de trente ans (14 expériences) ; enfin u
t et le plus jeune a eu une fois une affection pulmonaire ( ? ). Sa femme a avorté deux fois. A l'âge de seize ans, il a
èces de complications dans l'observation de M. Hall- MAYR. Chez une femme de cinquante-sept ans, atteinte de migraine oph
tat morbide antérieur. Dans l'appendice, l'auteur communique que la femme qui faisait l'objet de l'observation III est re
prétendant à qui voulait l'entendre, qu'il était amoureux fou d'une femme idéale qui était 364 VARIA. venue le visiter
iques, était interné à l'hospice de Villejuif, sur la demande de sa femme . Au mois de février dernier, Pierre Prat, tromp
oolique, furieux, au cours de ses accès, brutalisait sa malheureuse femme . - Hier après-midi, les cris de Mme Prat, prire
nça la porte du logement, et arriva à temps pour délivrer la pauvre femme , que son mari s'apprêtait à étrangler. Voyant s
r Pinard 1. Il est de la plus élémentaire prudence de donner à la femme enceinte, épileptique ou non, dont le foetus est
de se manifester par ses grands symp- tômes classiques. " Pour la femme , il sera extrêmement important d'assurer la rég
, double raison pour mieux veiller aux époques menstruelles sur les femmes seulement prédisposées. C'est un point thérapeu
ment sur ce que les troubles digestifs sont assez fréquents chez la femme au moment de l'écoule- ment des règles et sur l
SIE : PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 383 surtout, par la femme , aux époques menstruelles). Je donne la préfére
n remplir l'indication, les pilules devront être données, chez la femme , au moins quelques jours avant l'époque présumée
La première de ces observations est due à Gowers 1. Il s'agit d'une femme de quarante et un ans ayant éprouvé, il y a six m
20. grammes; chez , l'adulte il atteint environ 135 grammes pour la femme , presque 150 grammes pour l'homme; son accroi·s
e malade à ce que sa mère, étant enceinte, fut appelée auprès d'une femme qu'on lui avait dit être simplement malade et q
G. Durante (Journ. de Neu1'lllogie, 1904, n° 8.) A l'autopsie d'une femme atteinte d'un neurone du poignet qui avait subi
ciale. Cent vingt-sept sujets, la plupart du sexe masculin; douze femmes seulement; vingt-deux n'avaient jusqu'ici subi au
. Centmlbl., XXII. 1903.) L'observation de Bernhardt concerne une femme de vingt-sept ans chez laquelle se sont dévelop
rédité, de fournir l'explication du plus grand nombre d'hystériques femmes (20 femmes contre 1 homme). Au point de vue ana
fournir l'explication du plus grand nombre d'hystériques femmes (20 femmes contre 1 homme). Au point de vue anatomo-pathol
miplégie gauche totale avec rire et pleurer spas- modiques chez une femme de quarante-quatre ans, syphilitique. A propos
par M. Grasset (Journ. de Neurologie, 1904, n° 8). Il s'agit d'une femme de soixante-dix ans qui immédiatement après un
au mariage, et font du second cas seul un cas de sépara- tion. La femme qui a contracté la syphilis de son mari et qui dé
430 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. de la honte qu'ils entraînent pour la femme elle-même. Il en con- clut que les lois existan
existantes ne sont pas suffisantes pour assurer la protection à la femme aussi indignement trompée et atteinte il la foi
nce totale et immédiate n'a jamais porté préjudice aux malades. Les femmes paraissent être atteintes beaucoup plus souvent q
endie; elle avait en face d'elle un alcoolique qui, pour coups à sa femme , avait même été condamné à treize mois de priso
à coup, des cris terribles retentirent; le fou avait saisi la jeune femme à la gorge et l'étranglait. Les parents sautèrent
du Petit-Mont, dit le Progrès de Lyon, du 31 juillet. habitait une femme Pollet âgée de soixante-dix-huit ans. Cette femme
let. habitait une femme Pollet âgée de soixante-dix-huit ans. Cette femme 444 VARIA. avait avec elle sa fille âgée de q
vait travailler et la mère devenait aveugle. Bien souvent la pauvre femme se plaignait à ses voisins de sa triste situation
finir. Les voisins trouvèrent dans l'après-midi les corps des deux femmes dans une mare. La gendarmerie prévenue aussit
de M. le D1' Edouard. Des premières constatations il résulte que la femme Pollet a noyé sa fille en se noyant elle môme.
e l'étreinte de sa mère; mais la malheureuse fut vaincue elles deux femmes roulèrent dans la mare. Des traces de coups à l
s traces de coups à la tête prouvent surabondamment cette lutte. La femme Pollet était très estimée dans le pays, où ce t
our l'entretien du malheureux. - , Les miracles. Voici une pauvre femme . Toutes les maladies se sont abattues sur elle.
intes. Nous avons annoncé, dans un précé- dent numéro, qu'une jeune femme internée à l'asile d'aliénés de Clermont, Mme G
ly, I, 03, p. 441-446. 1 planche). S. CV. Tumeur cérébrale chez une femme de soixante-dix-huit ans T par J.-D. Madison (T
de Lyon. ter décembre 1903). Il s'agit de l'observation d'une jeune femme de 30 ans, sans aucun antécédent pathologique,
iques est une raison de les recueillir avec intérêt. Observation. Femme de cinquante-huit ans. A eu cinq enfants dont t
of Insanity, IV, 03, p. 601-620). 1° Etudes statistiques : pour 100 femmes internée de quinze à quarante-cinq ans, 75 envi
la méningite ait donné lieu à une diffusion sanguine. , 1 Chez une femme de 33 ans, frappée subitement d'une attaque épi
ditifs dans les cérébrales, par Souques, 161. cérébrale chez une femme de soixante-dix-huit ans, par Madison, 4S9. Une
62 (1847) Journal du magnétisme [Tomes IV et V]
stupéfait, surtout en lui voyant prendre les diverses altitudes d'une femme enceinte. Elle s’était inoculé la grossesse de la
stes, et j'ai appris que la même somnambule, mise en rapport cvec une femme en couches, avait éprouve tontes les douleurs de
s les remèdes. 1" Rhumatisme nerveux affectant le pied gauche d'une femme de soixante ans, durant depuis deux ans et demi,
tel et me prièrent de les accompagner auprès de M"' Cadet-Gassicourt, femme d’un pharmacien do la rue Saint-Honoré ; j’y trou
u commencement du monde. Le récit biblique touchant la création de la femme est présent à tous les esprits; mais personne, qu
t toujours en évidence. Une demi-heure s’étail à peine écoulée qu’une femme turque arriva sur la place avec un enfant de quat
e côté du nez et l’éminencc malaire, ce qui me fit présumer que cette femme avait un érysipèle de la face. En cinq minutes la
n y faisant un nœud, le nombre de paras voulu par l’ordonnance, cette femme les lui remit. • Plusieurs personnes, hommes et
nnance, cette femme les lui remit. • Plusieurs personnes, hommes et femmes , jeunes et vieux, se présentèrent successivement.
vu, dans le service de M. Jobert (de LaraballeJ, il Saint-Louis, une femme atteinte d’une céphalalgie que rien ne peut calme
ard il ne pourrait pas lui indiquer celui qui a été Fa- niant de sa femme . Henri de Clermont, ne recule pas devant un aveu,
om, et la petite baronne du premier acte, qui n’est rien moins que sa femme légitime. Le mariage contracté avec Irène est don
crative de notre industrie, les accouchements, étant, exercée par des femmes , il est bien entendu que l’on supprimera dans un
n’est qu’une bégueulerie qu’il faut réduire à sa propre valeur. Toute femme donc qui accouchera seule ou qui recevra les seco
z-les, vous le pouvez; puis émancipez l'étrc plus faible que vous: la femme , voire compagne, qni a besoin de croire et d’aime
de la vie, tout se succède sans que nous puissions rien prévoir ; la femme a souvent ce privilège; elle l’aura doublement da
ercice illégal de la médecine. Ces encouragements s’adressaient à une femme (Catherine Quéron), qui, pour avoir gardé des mal
deux pensées, et pour moi ce serait un prodige qu’un homme et qu’une femme vinssent à enlacer leurs enivrements sans unité d
rocédésmagnétiques qui me réussirent? Qu’importe! disons. Une jeune femme d’une constitution bien développée souffrit dès s
us ou moins sympathiques ou plus ou moins antipathiques. On voit deux femmes pour la première fois; et l’une, quoique moinsjol
eu incommodée de la chaleur du bal, passa dans une garde-robe, où des femmes de la reine-mère, voyant sa chemise toute trempée
lancolie céleste. Burger pleurait comme un enfant, car il estimait sa femme . 11 allait quitter la maison maritale et fuir a
’être un esprit fort. Toutefois, après avoir communiqué ce songe à sa femme , ils furent assez prudents l’un et l’autre pour r
t imprévu. Après les premiers élans de la douleur, le père dit à sa femme : « C’est aujourd’hui le 23 juin 1846! — Tu y pen
s sans instruction, de pauvres villageois sachant à peine lire, des femmes de tout âge, et jusqu’à des enfants de dix ans (2
étant très-malade, et tout remède impuissant, M. Tissot proposa à ma femme de la magnétiser, espérant qu’elle serait somnamb
ouvant au milieu d’un groupe « d’esclaves, j’aperçois tout à coup une femme grande, « vieille,sèche et ridée, qoi s’avancai
ble « en Egypte. Je me promenais avec quelques officiers, « quand une femme au teint noir et aux vêtements sales « vint à nou
table plusieurs coquillages symboliques, lui dit : « Tu auras deux femmes , lu en répudieras une à grand « tort : ce sera la
nt que tout Romain, et tout dans la domination « des Gaules. « Aura femme par deux.... » o Joséphine s’arrêta. ■ Contin
ne des croisées du château de Plaisance, vit passer des hommes et des femmes d’une structure singulièrement grotesque. Us étai
ger, ainsi que les dames de sa suite. Le lendemain on lui amena cette femme . Madame Bonaparte dit à madame de Camb...... de f
qu’elle était à sept épis; et le petit crétin qui accompagnait cette femme , et qui passait pour son génie tutélaire, fit alo
ntraîné malgré lui par cet accent de conviction. « — Oui, c’est une femme .... Michel marchait tout doucement, bien désoléde
.. Michel marchait tout doucement, bien désolédem’avoirperdue.... Une femme vint derrière lui, tenant à la main un large cout
s il l'entendit venir et se retourna. Quoiqu’il ne pùt la voir, cette femme fut si effrayée de se trouver face à face avec lu
s’élargissant.... Michel n’est tombé qu’au huitième coup, et cette femme a traîné le corps jusqu’à l'une des ouvertures de
n vous connaissez l’assassin? « — Pas tout-à-fait.... Mais c’est la femme qui lui a fait crever les yeux.... Mais il me dir
Je connais l’assassin.... Je vais vous dire le nom de cette horrible femme , cria-t-elle au juge avant môme que celui-ci l’in
» Eh bien ! monsieur, lorsque j’ai eu livré mon poignet à celui de la femme , non pas endormie, car Bouvard réprouve cette exp
cette expression, maisiso/ée, et que le vieillard eut ordonné à cette femme de me presser indéfiniment et de toute sa force l
pas senti ce collier de métal aussi durement que les doigts de cette femme ; son poignet était de l’acier inflexible, et j’a
s maladies où toutes mes connaissances thérapeutiques ont échoué. Des femmes affectées de maux de reins, de douleurs lancinant
qui traduisent une affection grave de l’utérus, furent trouver cette femme , qui leur dénoua les nerfs et les guérit. Quel qu
e scs talents et de son expérience. Trois personnes, un homme et deux femmes , mises dans l’état de sommeil magnétique, en quel
t à « donner la fièvre et le vertige, rien que d’y penser. — « Qu’une femme à musc pénètre dans un salon, au bout « de quelqu
hernies. Il me dit en avoir guéri beaucoup. Alors je lui parlai de ma femme qui en avait une du nombril depuis sa dernière co
laies à force de gratter. J’ai donc résolu cette année de conduire ma femme à Pau. M. Laforgue la magnétisa immédiatement, et
e en mourrait: deux magnétisations ont suffi pour la guérir. « Deux femmes sont venues avec des goitres énormes ; en moins d
is eu face la porte. Comme M. le commandant explorait une malade, une femme , pressant la foule, se montra à l’entrée de la ce
diminuer son goitre ; alors il dirigea l’index vers la tôle de cette femme , et bientôt l’un des bergers reconnut, comme tous
ans les oreilles une baguette de cristal, puis il toucha le col de la femme , qui au bout de dix minutes était presque réduit
était presque réduit à son volume normal. Alors M. Laforgue dit à la femme de s’examiner à un trumeau qui se voit à la chemi
payer « votre viu. » On devine assez quelle fut la joie de la pauvre femme . Depuis le départ de M. Paramelle, on a fouillé l
rdu, et que le commandant, une partie de son équipage et une dame (la femme du médecin en chef) étaient sur l’île au Sable, m
stitués. Il y aurait moins d'inconvénients politiques à laisser aux femmes la liberté de varier leurs ajustements au gré de
qués d’une maladie aussi longue et aussi douloureuse que celle que ma femme vient d’éprouver. C’est au talent de M. Jules d
uratifs de l’électro-magnétisme, que je dois l’entière guérison de ma femme . En 1830, la révolution de Juillet avait fait u
e Rovère, c’est-à-dire à la lin de février dernier 1846. En 1838 ma femme s’était cassé la jambe, et depuis cette époque el
effet, si ce n’est d'empêcher les progrès de la maladie. Cependant ma femme finit par tomber tout à fait en langueur, et étan
, bydropisie et toutes les souffrances, en un mot, ont disparu, et ma femme marche saus béquille, sans canne, et jouit d’une
l’écriture ci-dessus et d’autre part: J. Lemoine.— An nette Marie, femme Lemoine. — Femme veuve Lemoine. — L. Lemoine. — O
ssus et d’autre part: J. Lemoine.— An nette Marie, femme Lemoine. — Femme veuve Lemoine. — L. Lemoine. — Onésime Séguin. —F
emme Lemoine. — Femme veuve Lemoine. — L. Lemoine. — Onésime Séguin. — Femme Séguin. Nous soussignés, témoins oculaires de t
re a guéri un jeune homme qui était malade depuis plus de cinq ans. Femme Monnot. — Denis, étudiant en droit. Je déclare
e hommage et notre amitié, nous vous en prions. Folliot Rbgnauldin. Femme Folliot. Chablis, 21 mai 4847. N# 146. Mons
éances, j’obtiendrai une complète guérison. Autorisée par mon mari, femme Guillau. Auxtrre, 21 mal 1847. INSTITUTIONS M
mpagne et l’éloignement de la Suisse ne plaisaient pas de môme. Cette femme , d’un caractère acariâtre, mit le trouble dans ma
Strohnijtyer ; a 4° Thérèse Strohmaycr; « 6° Auguste Slrohmayer, femme Fetscher ; « 6° Antoine et Mina Slrohmayer. »
, et le bruit court dans toute la contrée que diverses personnes, des femmes surtout, ont été obligées de suivre des gens qui
r le rendez vous des voleurs d’enfants. On trouva six hommes et trois femmes , qui faisaient ce mélier depuis plus de vingt ans
pourrais presque sûrement m’engager de voler en plein jour un homme, femme ou enfant. Dès que je vis ces effets extrêmes du
Marie Cuiboune, épouse Andîeu, de Pau. (Maladie très-compliquée des femmes , suite de couches et lait répandu.) 31. Epouse
a que mardi; mais s'il vit encore sept jours, il est sauvé. » Trois femmes assistaient à la séance. • n > J’emmenai l’u
vec activité. Ses investigations l’ont déterminée à faire arrêter une femme AV..., pratiquant le magnétisme, donnant des cons
is, sera exhumé pour en faire également l’autopsie ; il paraît qne la femme W... a traité aussi cette dame. Cettë affaire, di
Clot, et avec lui plusieurs autres, disent que le trouble dont cette femme fut saisie en apercevant le prophète est assez po
ien payer aux malades, je devais néanmoins subir une punition; que la femme du plaignant était venue à trois différentes repr
ur elle: sa conduite prouve bien qu’elle n’en élaitpoint digne. Celte femme s’est-elle jamais plainte des soins infructueux d
37. Jeanne Pascal, épouse Daniel Canton, deNarcastel. (Maladie de femme compliquée.) 38. Jean Lapassade lils, deuxième
et Larrouué, de Moul de Marsan. (Obstruction du foie et maladie des femmes .) 137. Jean-Alexis IuquetTiIs, de Saiul-Faust.
pétit.) lf.9. Marie IIusté, première née, h. de Gélos. (Maladie des femmes , suppression des règles.) 170. Jeanne Mür, fill
ie d’yeux.) 185. Marie, épouse Lalanne, de Bilhère. (.Maladie des femmes trcs-compliquée.) 186. Jean-François Days, de P
me, provoqua hardiment à « l’essai quelqu'un de l’assemblée, homme ou femme . « C’est pourquoi un gentleman s’assit au piano e
ir, mais non de surprise; car cette nuit même, j’avais vu en rêve une femme , bien jeune encore, en longue robe blanche, qui s
corps et idées, autant qu’on peut l’être... La porte s’ouvrit, une femme entra, c’était ma bonne..... oh! bien bonne en
ite. Tout à coup, j'aperçois sur ce mur une silhouette gigantesque de femme voilée ei parée, qui allait du môme côté que moi
tète, du chemin au mur et du mur au chemin : toujours b silhouette de femme , jamais per- sonne. C’élait une ombre qui ne pr
es ailes, il est vrai ; mais que je sois à entendre chanter une jolie femme ou psalmodier une tragé- die mérovingienne, j’a
magnétisme, si c’est un homme qui ma-» gnétise un homme, si c’esl une femme qui agit sur une » personne de son sexe, si l’on
, si 011 fait pour le magnétiseur magnéti-» sant une jeune fille, une femme , comme fait la mère, » l’époux accompagnant par s
e, » l’époux accompagnant par sage et louable prudence sa » fille, sa femme dans le cabinel du dentiste, du notaire, de » l’a
insi qu’une vague idée de l'immortalité vient se placer au cœur de la femme tendre et fidèle qui perd son mari, comme aussi l
te île, en février dernier, a magnétisé à l’hôpital de Jamestown deux femmes très-malades qui ont éprouvé d'une seule magnétis
re. — On nous écrit de Lyon, qu’un Monsieur Hermann y donne avec sa femme des séances anii-magnéliques qui font grand bruit
d'une volonté rationnée. Par conséquent en seronl exclus : A Les femmes , les enfants, les domestiques, qui tous sont repr
ociété. De cette manière les membres du peuple comme les mineurs, les femmes , les vieillards, les familiers, etc..pourront éga
résister à ce choc inconnu, et présentant la surface du disque à une femme forte d’intelligence el de volonté, dont le doute
miroir. Il était temps, nous n’avions plus alors sous les yeux qu’une femme évanouie : il fallut la soutenir et l’emporter. O
essieurs, de transmettre leurs pensées, l’un à son fils, l’autre à sa femme , bien que fils et femme ne soient pas endormis.
leurs pensées, l’un à son fils, l’autre à sa femme, bien que fils et femme ne soient pas endormis. » Mais, me diront quelq
périences qui a été faite dans la séance donnée par M. Derrien. Une femme , enceinte de plusieurs mois, avait été mandée pou
n tout et pour tout à ses caprices. Ce fait s’observe jusque dans les femmes qui font de leurs corps une marchandise; puisqu’i
vec sûreté l’art de guérir. « Que l'homme el plus s|iécialemeni les femmes puissent, dans quelques c;is, loin ber dans un ét
émoignages que nous n’en donnons ici. Deuxième exemple. Sur celle femme que deux cents personnes ont vue, chez moi, sensi
n et sa sœur, Fanny Haensel, ne formaient qu’une seule âme, car cette femme était elle-même un compositeur distingué qui guid
erra comme une ombre parmi les vivants. Dans une lettre adressée à sa femme , il dit : « Notre âme commune s’est envolée vers
oindre mal ; on pourrait croire que les mouvements de la pensée de la femme s’élaient communiqués au cerveau du lion, et que
63 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
M. Luys avait fixé, pour Paris, quatre ans aux hommes et cinq aux femmes ; mais, dans une note rectificative annexée au t
l'établissement, j'ai trouvé huit cas de guérisons tardives : cinq femmes et trois hommes. Le sexe féminin l'emporterait
sortit guérie en janvier 1881. En quittant l'établissement, cette femme s'est placée comme gouvernante chez le notaire
nnu la fréquence de l'albuminurie chez les scarla- tineux, chez les femmes en couches offrant des con- vulsions éclamptiqu
ible d'esprit, est devenu au bout d'un an l'amant de sa ci-devant femme . M. R... aeu des engorgements scrofuleux du cou
la nature de l'affection. Jacquemier dit : « Il est douteux que les femmes qui sont tourmentées par desaccidents sympathiq
. Il est certain que la susceptibilité nerveuse qui, chez certaines femmes , a pu se traduire dans l'enfance par des accide
couchement. Thèse, 1884. 'Miquel. Traité des convulsions chez les femmes enceintes,etc. 1824 P. 16. 3 Trousseau. Clini
tiques et éclamptiques se produisent chez les enfants ou chez les femmes . Barnes' s'exprime dans le même sens, mais avec
ue. Chui-toii ' rapporte un cas de convulsions puerpérales chez une femme qui avait eu des convulsions ( ? ) trois ans au
clampsie la chorée, qui, quelquefois aussi, se mani- feste chez les femmes en couches', qu'elle a déjà at- teintes antérie
ait qu'on la poursuivait; on disait sur son passage : « Voyez celle femme , quel drôle a°t7 elle <[)'. Un jour, à la su
x, deux voix d'hommes dans les deux oreilles, qui l'appelaient « la femme de l'Apocalypse ». Quand elle disait aux autres
l'a maudite; parce qu'elle a fait le péché de la chair. Elle est la femme apocalypse, la cause des malheurs du monde. Si,
ait parfaitement inconnu. « Quelque temps après, on me présenta une femme malaise âgée et très respectable. Je causai env
étais interposé. « Ce qui me parut bizarre, ce fut la rage de cette femme contre l'instigateur de cet outrage fait à son
dation d'esprit. « Le latah, qui se montre rarement chez les jeunes femmes , est fréquent chez les femmes mûres et âgées.
ui se montre rarement chez les jeunes femmes, est fréquent chez les femmes mûres et âgées. « Chez les jeunes, il se caract
te n'est pas la vertu caractéristique des belles Malaises). « Les femmes d'un âge avancé présentent le même état, et, ce
es du latah, qu'un mot, un regard, un geste, puissent pousser une femme de soixante-quinze ans à se conduire comme une
TIIIQUES DE la langue; par 0. Berger. (Neurol. Centralbl., 1882.) Femme de 28 ans ; pas d'hérédité; éclampsie à la périod
le sont normaux. Ainsi que dans le cas célèbre de Cl. Bernard, la femme avait joui de la plénitude de son odorat. AI. D
ans après l'affection; 4° Très peu de cas d'ataxie ont pu, chez la femme , être rapportés à la syphilis; Quant au trait
ie faciale progres- sive gauche, récemment observé. Il s'agit d'une femme de trente et un au. A de dix ans, a la suile d'
tout récemment avait à s'occuper le jury d'ici. C'est ainsi qu'une femme aliénée laissée à l'abandon fournissait pour la
ispo- santes, telles que lesexe(dans tous ces cas. il s'agissait de femmes ), les chagrins préalables (amour, maladie du ma
éalisa trois succès d'électrothé- rapie. La première concerne une femme de trente ans, atteinte depuis dix ans de mélan
e côté sud. Quand on l'a franchie, on a à sa droite la quartier des femmes , à sa gauche celui des hommes. Chacun d'eux se
'hôpital d'Oslo dans lequel sont entretenues quarante-deux vieilles femmes payant le prix de pension le plus inférieur sur
l'hôpital qui, chaque jour, vient passer une heure à l'asile. Trois femmes et un homme forment le personnel des gardiens.
t, pour l'ailiver- salité des établissements, de 94 hommes et de 39 femmes . On exige, pour autoriser l'entrée du malade, l
Dl Biliberg à Stockholm, Il contenait, en 1880, onze hommes et deux femmes . Guérison : deux hommes et deux femmes. Amélior
en 1880, onze hommes et deux femmes. Guérison : deux hommes et deux femmes . Amélioration : deux hommes. Nous abordons main
couronnes (l,l 10,000 fr.). La population comprend : 90 hommes, 86 femmes . On n'y reçoit que des pensionnaires de deuxièm
é nord renferme la section des hommes; celui du sud, la section des femmes ; sur un arrière-plan se dresse le quartier cel-
de repos des malades regardent, pour les hommes, au nord, pour les femmes ,au sud. Les corridors intérieurs donnent accès
ents ont pour traitement : les hommes, 120 couronnes (168 fr.), les femmes 100 couronnes (140 fr.) par an. On est satisfai
chez les hystériques, nous pouvons rappeler le cas bien connu de la femme Co..., que cite M. Charcot dans ses leçons sur
cendante. Observation VII (Littré. (XXV). Thèse de M. Pitres.) Femme Beauvalet, cinquante-six ans. Pendant une occu-
ervation' XII (Peter, clinique de Trousseau.) aaot 'woo 1 193 m f Femme de quarante ans. -Paralysie de tout le côté gauch
? w : l' l'i'iètiu . ) ) 1 . niu n .. f ,9rT ? q W ? m LfL 91R1t1 Femme , .soixante et onze ans ? Faiblesse d'un eoié du p
nr3 ? ) » ',Un,voit aussi .parties, .détails précédents que .cette, femme a associé.à,sa`icrsécutioml'éleçtricité, la^pol
aladie sur lamarche de l'aliénation mentale. Lebâtiment affecté aux femmes a seul été atteint, et vingt-sept cas ont été o
. l ? ! 'n' 1(", , , li '1 ·n·1»i, »,> D/i., ,. Observation IU ? Femme ,dont 1 âge n est, pas indiqué ;, une soeur a ét
n yiâ un^nfanlepilepliquc ou idiot, pu. une (tijhyst.enque, ou' une femme mélancolique hvpochôudriaque, ou un, mari ateoo-
à leur foyer une garde- ê malade vigilante, infatigable/Ces jeunes femmes , habituées au luxe, ii'aj·aut'connu de lavieaqu
et voilà ce que l'on nous propose de contrôler', déréglementer ! La femme qui se dévoue pour son mari, le mari qui sacrif
emme qui se dévoue pour son mari, le mari qui sacrifie tout pour sa femme , l'enfant qui recueille pieusement ses parents,
es, recherches, qui ont porté sur soixante et un cas (53' hommes, 8 femmes ) et les éléments de même ordre con- tenus dans
micide d'une mélancolique sur son mari; inculpation de meurtre. Une femme de trente-quatre ans coupe le cou à son mari pend
sins) sollicitent le pressentiment de l'irresponsabi- lité de cette femme . En conséquence, le médecin légiste demande et
instinct irrésistible à se revêtir de vête- ments et delottines le, femme , apporter un corset. Son père,1 comme dans'1 le
chaque cas particulier, mais l'un de ces cas est clair. Ainsi, une femme mé- lancolique se met tout à coup à accuser ses
rogressé si bien qu'au début de 1882 il contenait t39 hommes et 117 femmes payant les trois prix de pen- sion déjà indiqué
es qui, eux, n'ont qu'un étage : à gauche les hommes ; à droite les femmes . Tout près du bâtiment du milieu, est la sec- t
ques ménages de gardions sans enfants tiennent, par les soins des femmes , les appartements en bon état : on se loue beauco
ommes de ce genre, et de 200 couronnes (280 fr.) pour les employées femmes . - L'aire de l'établissement comporte un peu pl
831 ; soit : I 0, 100 faites par les hommes et 13,131 faites parles femmes . 258 varia. III. Hôpital central d'Upsala. A
). Ceci fait, les vieux bâtiments seront exclusivement réservés aux femmes . Actuellement, l'établissement n'a de pensionna
térales pour la première classe. La population présente est de 1 09 femmes et 100 hommes. Les récents bâtiments sont à deu
,904, dont l ? ,4 : 31 attribuées aux hommes, 13,473 attribuées aux femmes . On donne de petites fêtes à des intervalles conv
es (20 à 30 hommes), et tissage de 5,072 pieds d'étoffe par 35 à 40 femmes . VARIA. 261 i truira le prochain asile à moin
tation du second médecin, etc. A droite, on a placé le quartier des femmes ; soit, sur la même ligne que le bâtiment d'admi
journées, dont 5,876 à l'actif des hommes et 6,03.'i au compte des femmes ; le domaine de la propriété, encore très nu, f
tion croissante du nombre de ses lits, à contenir 414 hommes et 106 femmes de deuxième et troisième classe et deux pension
lades demi-agités avec quatre chambres d'isolement; à droite les femmes , à gauche les hommes. Au premier étage, les alién
s principal, sont destinées : l'une, celle du nord, au quartier des femmes ; l'autre, celle du sud, au quartier des hommes.
tier des hommes a seul un sous-sol complet, tandis que, chez les femmes , le roc a restreint l'aménagement de pièces en co
e celui des idées; les hallucinations génésiaques, surtout chez les femmes sont très fré- quentes, il y trois degrés dans
ksonnieeîne de nature hystérique. Guérison spontanée. Marie C..., femme de ménage, âgée de quarante-cinq ans, entrée à
, service de M. le professeur Jaccoud, le 26 novembre 1883. Cette femme a toujours eu une santé excellente; elle est en-
and on s'approche de la malade et qu'on l'interroge. Jamais cette femme n'a eu d'ictus apoplectique ; jamais elle n'a é
e l'hystérie au premier chef ? Ajoutons d'ailleurs que chez cette femme , pas plus que chez les autres, les convulsions
vieux soldat; il buvait beaucoup d'eau-de-vie ; il avait quitté sa femme . Mère morte à soixante-six ans, en 1852, d'un c
sociées de sclérose multiloculaire et de paralysie progressive. Une femme de quarante-trois ans, indemne d'hérédité, après
yon médical, 1883, nos 43 et 44.) Le sujet de l'observation est une femme de cinquante-neuf ans, sans antécédents nerveux
ce paralytique présentant cette lésion, qui se décomposenten quatre femmes , cinq hommes âgés de trente-deux à cinquante-hu
NGIL1U8. (N8211'OL. Centralbl., 1883.) L'accident a trait à trois femmes . Les deux premières reprirent assez facilement
e résumé de la double observalion : A.-S. U..., -vingt -huit ans, femme d'un fermier, entrée le 14 août 1882. Trois e
écide qu'avec peine à s'alimenter. E.-G. \V..., vin"t-huit ans, femme d'un architecte ; entrée le 17 août 1882. Tro
ence, janvier 1883, p. 532.) Voici le résumé de l'observation : Femme de trente-deux ans, épileptique et idiote depuis
s impures avec un grand nombre de ses compagnes, et même avec les femmes préposées à la surveillance de la maison, sur les
it 72, 62, 63, 43, 30 ans; il s'agissait de trois hommes et de deux femmes . L'autopsie pratiquée chez deux des morts décela
atiquement, sous ce rapport, vingt- huit hommes et cinquante et une femmes du service des aliénés et convulsifs de la Char
201 ; (le réflexe du genou dans la), par Mickie, 209 ; (chez la femme , par Cowan, 211 ; - (cas ressemblant à la), par
64 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
le bas du tronc présentant une ressemblance avec « une poitrine de femme ». 4. HÜCK, 1838. -Fille de 14 ans : ceintures
placées par deux masses charnues pour- vues de mamelon (poitrine de femme ) ; rudiments de bras, contenant un segment d'hu
s antécédents et sur ceux de son enfant : âgée de 30 ans, c'est une femme robuste, bien constituée, n'ayant aucune anomalie
uche. On défendait d'entretenir dans les Etuves des hom- mes et des femmes sans aveu et sans domicile, des lépreux et autres
Job sur son fumier; près de lui,le chien qui lèche ses plaies,et sa femme qui vomit des injures : la bêle compatissante e
ies,et sa femme qui vomit des injures : la bêle compatissante et la femme sans pitié ». Une inscription humoristique en a
légende : « Ton corps est couvert d'ulcères, aimerais-tu mieux une femme méchante ? L'ulcère te ronge la peau, une mauvais
mieux une femme méchante ? L'ulcère te ronge la peau, une mauvaise femme te salera trop ton souper ». - Il est certain
nes populaires. Il était de tradition d'y faire figurer une vieille femme et un jeune garçon. La vieille n'est souvent qu
caner un brin, ou pour chercher quelque médecine. C'est parfois la femme du client qui se penche timidement pour regarde
la répugnance l'emporte la curiosité. D'autres fois, cette vieille femme est la propre épouse du Barbier. Elle prend alo
pprenti. Ce n'est pas d'ailleurs la seule occasion où l'on voit les femmes prêter leur concours à la médecine et à la chir
ventrières ou ventières, ancêtres de nos sages-femmes acluelles. Les femmes des Barbiers remplissaient peut-être aussi ce r
e d'Amsterdam, et dans son Opérateur du musée de Rotterdam, que les femmes partici- paient à la jonglerie des « Pierres de
ision. Les Barbiers-Etuveurs posaient aussi les ventouses, et leurs femmes les aidaient encore en cetle occasion, opérant
le jarret; son pied nu repose sur un escabeau. Derrière eux, une femme debout, les mains cachées sous son tablier, un
sier de la chaise, son bâton et son soulier déposés près de lui. La femme est vêtue de brun avec un tablier bleu. Elle a su
duits par son disciple Bruegel le Vieux,-le grand-père de la propre femme de Teniers,-ces dépouilles naturalistes semblen
let brillant sur l'uniformité du sol. En arrière et à droite, une femme dans le costume et l'attitude classi- ques, coi
es sous son tablier, regarde l'opération. Elle rappelle beaucoup la femme du tableau de Teniers le Vieux. Un jeune appren
s (1) N° 824, B. II. 27, L. 22, 5. Derrière une table il droite uue femme prépare un autre emplàtre.-A. van Ostade a symb
village fait une opération sur le pied d'un homme âgé. Une vieille femme et un jeune garçon regardent la scène. Intérieur
gante avec des créneaux, des crevés, et des manchettes plissées. La femme au panier et au tablier se tient derrière lui, pl
ter Quast, au musée de Rotterdam. a Le chirurgien opère une vieille femme en présence d'un vieillard qui tient une tête d
oupe et le chirurgien, au second plan, un' vieillard et une vieille femme regardent avec curiosité le cor extirpé. Plus l
t au fond, une porte par laquelle un paysan fait entrer une vieille femme malade assise dans une brouette. En même temps
sonnages accessoires sont conformes à la tradition. Mais la vieille femme malade introduite sur une brouette est une inno-
ux. C'était un beau type de l'espèce. Marié depuis quatre ans à une femme jeune et saine, il avait deux enfants venus à t
endartérite prononcée. 120 LÉOPOLD LÉVI Il s'agit en résumé d'une femme de G` ? ans, sans hérédité manifeste, à santé t
psies, l'une relative à un malade de 49 ans, l'autre concernant une femme de 59 ans, ils ont étudié les lé- sions médulla
ois par mon distingué confrère le Dr V... Il s'agissait d'une jeune femme , de vingt-cinq ans environ, hystéri- que, et at
du pied. Derrière eux, se trouve une table sur laquelle une vieille femme fait chauffer un nouvel emplâtre au-dessus d'un
déformé gisant sur le sol, table grossière sur laquelle une vieille femme il coiffe blanche étale des on- guents, et les
uleur. Le tableau ne serait pas complet s'il y manquait une vieille femme . Nous la retrouvons en effet, derrière le group
, est solidement maintenue au-dessus de la cheville par une vieille femme à la figure apitoyée. A droite est l'opérateur,
ment précisée : pose d'une ventouse et bientôt scarification. Les femmes surtout avaient le privilège de cette médication.
entouseuse (/focr en hollandais) appliquant sur le bras d'une jeune femme une ventouse, évidemment scarifiée, puisque le sa
ention. Nous avons ensuite opéré sur l17 ataxiques : 39 hommes et 8 femmes . Disons, tout d'abord, que nous n'avons pas sou
va- tion dont je transcris les passages principaux. Il s'agit d'une femme âgée de n8 ans, dont la maladie a débuté en 187
ement (p. 130) une observation inédite de P. l3oc ayant trait à une femme atteinte de syringomyélie, dont les deux mains re
et auteur la présence de cavités typiques de syringomyélie chez une femme qui, pendant la vie, avait présenté le type de la
ne s'applique en rien à notre malade. Il s'appliquerait plutôt à la femme qui est au n° 23 de la salle Espé- ronnier dont
bservation et dont nous reparlerons pent-être quelque jour, ou à la femme du n° 15 de la même salle qui, avant-hier penda
l de l'infantilisme. Il ne saurait, par définition, exister chez la femme à titre de disposition morbide. De même, le mas
après tout, les infantiles comme les enfants ne sont ni hom- mes ni femmes avant la puberté, mais simplement des garçons et
t dont l'étude sera beaucoup plus simple. ' Voici d'abord une jeune femme Savoisienne (Fig. 3), âgée de 25 ans, (1) Revue
s est la plus vraisemblable, car tout infantile qu'elle soit, cette femme a été réglée, et cependant elle a les aisselles
dix-neuf (Fig. 5) et tous les Fig. 3. - Infantilisme myxoedémateux. Femme de 25 ans. Fig. 4. -Infantilisme myxoellé- ma
s pa- raitra n'en avoir que 18. Voici, non pas un homme, mais une femme de 30 ans qui a conservé les apparences extérie
el j'em- prunte celle photographie. Il me suffira de dire que cette femme n'a jamais eu aucune manifestation sexuelle : p
s proportions sont celles fjg. 12. - Infantilisme du type Lorain. femme de 30 ans (cas de [1. ]eige). a Fig. 13. - In
ignifie rien autre chose qu'un trouble général de la nutrition. Ces femmes , quoiqu'elles aient tous les organes de leur sexe
ble de leurs actes nutritifs est en souffrance. Comme tant d'autres femmes phtisiques ou chlorotiques ou simplement anémiq
és, réu- nis par Galewsky et Schlossmann, on trouve 23 hommes et 22 femmes . Dans la même statistique, on voit encore que l
ation foetale résultant des troubles digestifs si fréquents chez la femme enceinte. Cette hypothèse d'une névrite foetale
a dispo- sition est si singulièrement systématisée, le chloasma des femmes en- ceintes. BIBLIOGRAPHIE Albers-Schaenber
te, ankylosé de l'épaule, - amyotropiiie deltoidienne. L. Lef..., femme , soixante-six ans, hôpital Hérold, salle D, n° 12
amyotropiiie, adipose limitée au domaine, atrophié. Chart. J..., femme , quarante-sept ans, hôpital llérold, salle D, n°3
ule, atrophie des muscles -de la ceinture scapulaire. Mong. A..., femme , hôpital Hérold, salle D, n° 28. Hémiplégie gauch
ie droite et ankylose, atrophie des muscles de l'épaule. Anna R,,\, femme ,- cinquante sept aus,.Iôpital.tIérold, salle E, n
uarante-quatre ans, hôpital Hérold,, salle D, n° 5. Hué- M. Leb..., femme , quarante-quatre ans, hôpital Hérold, salle D, n°
- Hémiplégie gauche; ankylose de l'épaule, amyotrophie. Bl. Cau..., femme , quarante et un ans, hôpital Hérold, salle E, n°
cles de la ceinture scapulaire et du thénar. " , ', v CI. Nic..., femme , soixante-deux ans, hôpital Hérold, salle E, n° 1
lpté (XVIe siècle). Musée du Louvre. LE GOITRE DANS L'ART 303 Les femmes surtout, selon la règle, sont pourvues de goitres
n'est pas rare d'observer chez les jeunes filles et chez les jeunes femmes , une saillie légère de la région thyroïdienne.
ur, et à l'âge de 29 ans il se maria : Il n'eut point d'enfants. Sa femme est morte en 1884.. B... travaillait assis, l
émotion morale; ce- pendant Rostan cite l'observation d'une vieille femme dont la peau se co- lora dans l'espace d'une nu
i per- dit ses cheveux au cours d'un delirium tremens (4). Chez les femmes au contraire. on observe quelquefois, au cours
anique peuvent s'accompagner du même (1) IIOSTIN, Observation d'une femme devenue noire dans l'espace d'une nuil à la sui
ule et de la hanche, atrophie musculaire et adipose. Marg. BI..., femme , cinquante-deux ans, hôpital Hérold, salle E, n°
a hanche ; adipose généralisée masquant l'atrophie. Eug. Mars..., femme , soixante et un ans, hôpital Hérold, salle D, n°
éjour au lit. Adipose généralisée masquant l'atrophie. L. Bon..., femme , cinquante-huit ans, hôpital Hérold, salle D...,
isée des membres supérieur et inférieur. M. Lard..., cinquante ans, femme , hôpital Hérold, salle D, n° 34. Hémiplé- gie d
avait fait entrer neuf personnes, parmi lesquelles se trouvaient sa femme et ses enfants ; il en avait fermé lui-même l'e
choir et terminait fiévreusement son épouvantable besogne. Outre sa femme et ses enfants, Kowalioff aurait fait disparaître
ient amené la découverte de six nouveaux cadavres, deux hommes, une femme , et trois enfants. Kovalioff nie les avoir emmuré
tre tableau. A la Pinacothèque de Munich (1), se trouve une vieille femme pouillant un garçonnet. L'enfant est assis pa
-1664) représente également une pe- tite pouilleuse dont une veille femme s'efforce de nettoyer la tête reposant sur ses
quer que les hommes seuls héritaient de cette anomalie : toutes les femmes de la famille naissaient avec des mains et des pi
on de la puissance génésique chez les hommes, l'aménorrhée chez les femmes , la torpeur intellectuelle, la céphalée, la trist
joignons à cette série le cas suivant : Chipault a trouvé chez une femme « porteur d'un sarcome des pre- miers arcs dors
esure que l'amélioration s'accentuait. . La première malade est une femme de 38 ans dont M. Brissaud a rap- porté l'histo
uronne royale sur la tête, auréolée et encapuchonnée à là façon des femmes de son temps, dra- pée dans un long manteau aux
origines de semblables déformations. Le troisième malade est une femme qui s'avance péniblement en s'ap- puyant sur un
de la paralysie faciale ? . Ce n'est pas tout. L'attitude de cette femme semble indiquer qu'elle est frappée d'hémiplégi
chée, si l'on en juge par son attitude raidie et le bâton que cette femme tient de la main gauche. Le membre supérieur se
servante distribue des pains aux malheureux. Parmi ces derniers une femme assise à terre est atteinte de la lèpre, dont e
s, maisons et montagnes. A droite, un gentilhomme à genoux. avec sa femme , suivis de plusieurs personnages. A gauche, le gr
personnages. A gauche, le groupe de malades. Au premier plan, une femme à genoux, relevant de la main droite sa manche
ion donne lieu au bubon pesteux. 460 HENRY MEIGE Derrière cette femme , un homme est debout, le torse presque nu. Une
deux fidèles et un serviteur versent à boire à des malheureux : une femme décharnée tenant un enfant entre ses bras ; un
n appartient à M. Von Lanna, de Prague. 462 HENRY MEIGE vieille femme qui porte un enfant sur ses épaules ; un vieillar
rsonnes entourent un moribond couché dans un lit au pied duquel une femme est en prières. Dans le fond, on délivre des pris
musclé. Derrière ce malade sont deux petits enfants et une vieille femme qui tend son bras vers l'évêque. Ce bras ne pré
'de lui, se presse une troupe de miséreux, en quête d'aumône : une femme qui tient entre ses bras un enfant presque nu, et
, a le corps couvert de taches rouge bistre, peu significatives. Sa femme , dans un élan de propreté passionnée, verse un
65 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
inuer, à mesure que se développe la tuberculose. Obsi'rvation IV. Femme de trente-sept ans, aurait eu, en 1843, une enc
ieaernaed. Pnesse, ne 17, 1866). DU CURARE DANS L'ÉPILEPS1E. 51 femme de vingt-deux ans à qui on injecta au bras et à l
ntéressante observation qui fait l'objet de ce travail concerne une femme de trente-cinq ans confinée au lit depuis trois a
es servant de base à chacune des compositions; trois hommes et cinq femmes prirent part à ce petit concours. Le résultat d
petit concours. Le résultat des examens fut très satisfaisant; cinq femmes et quatre hommes obtinrent un certificat de premi
es et quatre hommes obtinrent un certificat de première classe; une femme et trois hommes un certificat de seconde classe
t et M. Willis lui-même ne purent que con- firmer le diagnostic. La femme du malade, interrogée avec le plus grand soin,
er. Voici le résumé très succinct de cette longue observa- tion : Femme de quarante ans, une tante paternelle aliénée; un
gt-cinq fois plus de criminels parmi les aliénés; que les crimiuels femmes sont aussi fréquemment atteints d'aliénation me
bandonné son travail et vivait chez lui oisif, toujours inquiet. Sa femme est blanchisseuse et occupe plusieurs ou- vrièr
frais, il décide qu'à la première provocation il se vengera. Cette femme , qui ne se doute de rien, est alors l'objet d'un
n'avoir plus de repos; ses locataires sont insup- portables, et sa femme l'engage à ne pas se montrer trop dur pour eux.
la plante dans la cour, il la prit, la rentra chez lui et dit 1 sa femme : a Eh bien, Noil,'i ce qui m'empêchait de dormir
enêtre, lui fournissent l'occasion de récriminations sans fin. A sa femme qui lui fait quelque obserW iuu, il répoml : «'l'
ué une de ses poules qu'il est allé jeter très loin de chez lui. Sa femme nous a montré des quit- tances de la compagnie
voix, annonçant qu'il était le Christ, qu'il gouver- nait tout. Sa femme essaya vainement de le calmer, il l'injuria, la
voyait à son exaltation croissante qu'il allait devenir violent. Sa femme s'était depuis longtemps aperçue qu'il s'armait t
mais beaucoup de pneumonie; z il n'en survient que chez de vieilles femmes ; mais on ne saurait, dans l'espèce, les 1 Nous
cina- tions, rétrocéder. L'orateur lit à ce propos l'histoire d'une femme de trente ans, actuellement en traitement à l'a
nsations pathologiques des organes sexuels, plus fréquentes chez la femme : aliénées se croyant enceintes pendant vingt a
sultat est brillant dans les psychoses basées sur l'anémie, chez la femme , et lorsqu'il existe un subs- tratum alcoolique
D Campa, professeur d'obstétrique et de pathologie spéciale de la femme et des enfants à l'Ecole de médine de Valence. »
pas de ceux qui croient que l'hystérie est l'apanage exclusif de la femme , il la localise pour la femme, dans les ganglio
hystérie est l'apanage exclusif de la femme, il la localise pour la femme , dans les ganglions ovariques, d'où part une ex
le sexe masculin, bien que nous possédions l'observa- tion de deux femmes , et qu'O'Briennous apprenne que la maladie sévi
lière de terreur et d'alarme ». « On me présenta, dit 0'Brien ? une femme malaise âgée et très respectable. Je causai env
les traduire par des paroles. Mais que, hors de tout propos, des femmes , des jeunes filles, de jeunes garçons d'excel-
oir observé plus de cinquante. Beard en outre, nenous parle pas des femmes qui, nous le savons, peuvent, comme les hommes,
de criminels dans la famille.] Mère, trente-cinq ans, journalière, femme de ménage, après ' Rosehtltal. - Loc. cit. (11'
pèce de dartre fa- rineuseo erratique. Aussitôt après le mariage sa femme s'aperçut qu'il n'était pas comme tout le monde
s ; il était « halluciné, mystique », très violent; il bat- tait sa femme et ses filles. » Un de ses frères (grand-oncle du
ée. Il est très vorace; parait haineux. Il avait pris en grippe une femme de ménage de sa mère, la battait, disait que, s
et des vaisseaux irions. P. K. XVII. Nouveaux cas de tabès chez L FEMME ; par P.-J. 1BIUS. (Cbl. f. Ncrucrtlccilh., 188,
les noa 9 et 12 du même journal, rap- porté descas de tabès chez la femme ; dans le présent travail qui contient treize no
clusions suivantes : 1) Dans la majorité des cas de tabes chez la femme on a pu retrouver la syphilis dans les antécéde
n de vingt-six cas de tabes portant sur vingt-trois hommes et trois femmes . Dans ce nombre dix avaient certainement eu la
. Dans ce nombre dix avaient certainement eu la syphilis dont trois femmes , cinq l'avaient peut-être eue (accidents second
ans l'ensemble de la po- pulation, et que chez l'homme sain. Sur 75 femmes révélant des signes de dégénérescence, 59 souff
trois mois. Dans les intervalles, il vient payer et donner à cette femme quelques indications complémentaires. Cela dura p
x-sept ans qui couchait dans le logement et essaye de le violer. La femme de chambre entend les cris, arrive au secours,
courte pé- riode dépressive d'uue journée demande à une amie de sa femme en présence de celle-ci de vouloir bien se livr
er à lui. Sur le re- fus de la dame il s'adresse immédiatement à sa femme qui refuse à son tour; il tombe alors à terre,
alors à terre, il gémit, puis il devient furieux et met en fuite sa femme et son amie. Le malade brise les car- reaux, dé
est des jeunes gens qui sont gris ou chauves- à vingt-cinq ans. des femmes de cet âge dont le système dentaire est complèt
antécédents pathologiques individuels ni héréditaires habite Paris; femme d'intérieur, elle a toujours vécu avec sa fille
le tableau symptomatique de ce qui s'est passé en cinq mois. Cette femme vivait pour sa fille et par sa lille; c'é- lait
produit cette année dans notre établissement, sur- tout du côté des femmes La communauté religieuse qui, depuis la fondati
ifférentes divisions, de la manière la plus satisfaisante. Chez les femmes , les médecins en chef se sont, en général, féli-
r Vetault a fait le cours de physiologie avec beaucoup de zèle; les femmes ont montré, en particulier, qu'elles savaient en
montraient plus de zèle et d'assiduité que les nouveaux venus. Les femmes se sont toujours rendues au cours en plus grand
Berkham rapporte qu'un imbécile, marié depuis quelques années à une femme bien portante, n'eut pas d'enfants. Au contrair
ante, n'eut pas d'enfants. Au contraire, un homme sain, marié à une femme idiote, eut trois enfants, dont deux furentidiots
pables de faire des enfants. Dans les cas de conception, lorsque la femme est seule demi-crétine, Berlillain n'a jamais v
Verneuil' (1876) élongea, en le broyant, le plexus brachial à une femme de soixante ans qui accusait des contractures d
ra avec une force de quinze kilos les nerfs médian et cubital à une femme qui accusait de l'ataxie depuis cinq ans. Les d
longation du nerf médian, mort le lendemain. Struckmann' Maag : Une femme de trente-sept ans accusait de la névralgie de
èrent, comme le constata M. Langenbuch en 1880. Kleef (1880). Une femme de trente-cinq ans, névrite ascendante chro- ni
l'élonga- lion du nerf facial fut faite par M. Baum en 1878 à une femme de trente-cinq ans qui souffrait de contrac- ti
. 298 PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE. Schùssller1 (1879, à Brème) : Une femme accusait des convulsions des mucles de la face
l. Insuccès. Allen Sturge et Gadlec' (1880) guérirent une vieille femme de soixante-douze ans, qui, depuis six ans, acc
guérison. Crédé' (1880) guérit une névralgie de la face chez une femme en lui élongeant le nerf sous-orbitaire. Purdie'
. Walsham ' (1880) pratiqua l'élongation du sous-orbitaire chez une femme atteinte de névralgie et contractions convulsiv
aag' (1878) fait part de deux observations concernant deux jeunes femmes atteintes de névralgies de l'extrémité inférieu
erf sciatique et du crural; mort le même jour. Clarke' (1878) : Une femme de vingt-quatre ans fut prise de tétanos après
l'amélio- ration, après la traction du nerf sciatique, chez deux femmes atteintes de névralgies. Norman Mackintosh3 (18
Lamarre )C.5 (1881) : Traction répétée du nerf sciatique chez une femme de soixante-dix ans sans obtenir de résultat fa
d'un fait rapporté par Bennett 2. Un individu, se disputant avec sa femme , lui assène un coup violent sur la nuque, une p
es molles paraissent aucunement intéressées. Quatre jours après ,la femme meurt, et, à l'autopsie, on trouve au centre de
ion de poitrine. Un frère est mort du choléra en 1865, ainsi que sa femme et son enfant. Une soetii- est sujette à des do
certains rapports, avec cette dernière opinion. Antoinette W..., femme d'un médecin, âgée de quarante-neuf ans, entra
uire dès le commet cernent de l'année courante dans la division des femmes de l'asile Saint- Nicolas le no-restraint le pl
entraîné la mort. Burckhardt1 décrit un cas de mélancolie chez une femme , dans lequel la température au début s'était ab
me le prouve l'observation rapportée par Magnan.Il s'agissait d'une femme âgée de trente- huit ans, chez laquelle les tem
ère, quia eu déjà plusieurs milliers d'attaques consécutives. Cette femme , dont l'hystérie n'est aujourd'hui douteuse pou
fre de 1,642 aliénés dans le domaine entier, dont 806 hommes et 836 femmes . Le chef-lieu seul, la ville de Gheel, hébergea
es; le jour de la visite deM. liesse, il y avait là 31 hommes et 24 femmes sous la surveillance de cinq gardiennes (soeurs
ences. Bon aspect des nourriciers; ils paraissent intelligents; les femmes sont particulièrement actives; il semble que ce
i vivent dans les familles, il y a deux tiers d'hommes, un tiers de femmes . Selon l'occupation et l'aptitude au travail de
peu dans le tabes. Il n'est pas admis- sible que les avortements de femmes prouvent, sans plus ample 1 Voy. Archives de Ne
syphilis. Il partage la ma- nière de voir de Westphal au sujet des femmes et de leurs avorte- ments. D'après l'orateur, s
prochaine séance sur sa statistique personnelle. M. LEWI,4. Sur 800 femmes syphilitiques observées par lui, 5 allèrent plu
e tabes (15 f., 49 h.). Laissons, pour les motifs sus indiqués, les femmes de côté; d'ailleurs aucune d'elles n'était syph
n'était syphilitique, partout il s'agissait d'individus (hommes ou femmes ) mariés, 4 femmes avaient eu des enfants sains,
que, partout il s'agissait d'individus (hommes ou femmes) mariés, 4 femmes avaient eu des enfants sains, 4 n'en avaient pa
enfants sains, 4 n'en avaient pas, 3 avaient avorté; en revanche, 5 femmes avaient été sou- mises à des refroidissements,
d'une terreur (saisie- gagerie, perte de fortune, vol). Sur ces 15 femmes , 7 avaient éprouvé des symptômes de paralysie d
e des tuberculeux ? M. Bernhardt. De vingt à quarante ans. Chez une femme tabétique n'étant, en dehors de l'infection syp
estphal combat les assertions de Moebius relatives au tabes chez la femme (Centralllatt f. Neruenheilh. du 1"mars 81'; au
pposer un bien plus grand nombre de faits négatifs, c'est-à-dire de femmes tabétiques non syphilitiques. Il serait intéres
hanté par l'obsession qu'il lui fallait s'approprier des objets de femme . Aussi dans un tramway extrayait-il de la poche d
66 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e son véritable nom, et demande simplement à retourner auprès de sa femme et de son fils, pour reprendre son commerce ; t
e, ou du DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 37 moins la « femme » qui se dit sa mère. Ses vêtements, son linge,
tant marié, il ne rêvait qu'une chose, vivre tranquillement avec sa femme , s'occuper de son art, élever son enfant, il di
s envieux : c L'un a dit : je te ruinerai ; l'autre, je prendrai ta femme ; un d'entre eux lui a craché au visage, l'autre
entrer dans des accès de colère terrible, quand on lui parle de sa femme , ou du médecin qui l'a soigné dans l'asile ou i
le va-nu-pièle indignement; on ne lui fait que va-nu-piétades. Des femmes s'acharnent après lui; les unes, les hargneuses
séquestré. M... s'est marié en 1883; mais sa manière d'être avec sa femme était bizarre; souvent, sans motifs, il la quit
maria une première fois ; mais, après quelques mois, il renvoya sa femme , sans motif sérieux; la malheureuse mourut de c
s, il s'était retiré sur une barque où il s'était installé avec une femme ; il se faisait remarquer non seulement par l'ét
erie de son costume, la singularité de tous ses faits et gestes. La femme avec laquelle il vivait vint à mourir : B... pr
hement sexuel. Il affirme qu'il n'a jamais eu aucun rapport avec la femme qui a été pendant des années sa compagne. Il su
dans la section de sûreté, parce que, chaque fois que S... voit une femme , il se croit obligé de se découvrir. Il ne peut
durant une quinzaine d'années. Il s'est marié à vingt-neuf ans. Sa femme a eu neuf grossesses (cinq fausses couches, qua
èche et pâteuse. Il se levait la nuit pour pisser et pour boire. Sa femme , qui l'accompagne, raconte qu'elle a remarqué, il
ulaire gauche; par SPERLING. (NC ! l1'ol. Ccnt1'albl., 1890.) Une femme de cinquante ans, sans avoir subi de traumatismes
buccale; par M. BERNHARDT. (Neurol. Centralbl., 1890.) Chez trois femmes et deux hommes âgés de plus de trente ans, sens
oisième et quatrième doigts (consistance de l'exos- tose), chez des femmes de trente à quarante ans, aisées, de consti- tu
émoire écrit en anglais. Affection sévissant chez des hommes et des femmes de plus de cinquante ans. Elle est caractéris
ces tout à fait étranges. Tandis qu'une division de soixante-quatre femmes et enfants était conduite à la messe par quator
e de l'asile de Villejuif. Ce transfert était ainsi composé : -. 70 femmes venant de Villejuif et 110 hommes de l'asile de S
n de M. Joseph Peeke Richards, directeur-médecin de la division des femmes de l'asile de Hanwell, et qu'il quitterait le s
'un morphinomane connu, M. G..., à peine marié, enseigna à sa jeune femme l'agréable façon de se servir de la seringue à
meurtrier, M. Maxime Brouillet, vivait maritalement avec une jeune femme , Jeanne Gervais, plus âgée que lui de deux ans.
ors de propos, à tel point que les intimes conseillaient à la jeune femme de ne pas demeurer plus longtemps avec lui. Ell
ondé, on a trouvé noyée dans une mare la veuve Beulard, une vieille femme de quatre-vingt-dix ans, qui habitait chez sa n
ême. instant, les voisins retiraient de l'eau le corps de la pauvre femme , qu'on essaya en vain de rappeler à la vie. La ve
Une dépêche de Saint-Etienne en date du 18 avril, annonce que la femme Bazin, habitant Grand-Croix, qui est atteinte d'é
cet égard, semblent se passer comme dans la paralysie générale des femmes . Il en a 154 CLINIQUE NERVEUSE. été ainsi dan
om- battaient avec acharnement entre eux pour la posses- sion des femmes : . satisfactions génésiques et scènes sanglant
est fort souvent la jalousie, la jalousie d'un mari à l'égard de sa femme , jalousie qui se réveille à chaque excès nouvea
nt. » Une voix intérieure lui dit de me dire : « Vous avez aimé une femme qui est le diable ; » une autre lui dit qu'elle
aissances, je n'aurais pas le droit de discuter. Je ne suis pas une femme , je suis une demoiselle. Ne m'appelez pas bonne d
FAITS. Observation VI. La nommée Victoire Lam..., veuve Pasq..., femme de ménage, âgée de quarante-sept ans, service de
à donner de ce cas la relation détaillée que nous résumons ici : Femme de quarante ans, mariée, entrée à l'asile en juin
d'uu cas d'étranglement intestinal méconnu pendant la \ie, chez une femme atteinte de manie chronique et de démence compl
rès silencieux et répond seulement qu'il vaut mieux s'adresser à sa femme et à ses enfants, qui sont plus savants que lui
accès subaigu de manie, avec mélancolie et hallucinations. Chez une femme affaiblie, après une amputation de cuisse, motivé
les organes viscéraux et il faut en particulier considérer chez la femme tout trouble, quelque bénin qu'il soit, des org
ent, il ne se produisit plus d'attaques de sommeil. Observation II. Femme de quarante et un ans, réglée à vingt et un - a
ommeil qui depuis s'est renouvelée plus ou moins souvent. C'est une femme qui ne présente aucune de ces anoma- lies parti
. , M. Thomas (de Fribourg). Un cas d'hémiplégie fonctionnelle. - Femme mûre ayant élé seize ans auparavant atteinte de r
ro- bable, mais incertaine. Voici une observation suggestive. Une femme de 48 ans est atteinte d'un ictus apoplectique tr
phique subaiguë des extrémités inférieures et supérieures, chez une femme de cinquante ans, morte de dysenterie, une demi
M. RAMADIER, médecin-adjoint j Interne : M. CROUSTEL; Division des femmes ; M. BLIN, médecin-adjoint; - Interne : M. Laro
la présence dans une maison où il y aurait des enfants ou de jeunes femmes serait loin d'être sans inconvénient. A côté de
est de pour- voir à la création, dans chaque hôpital d'Etat, d'une femme mé- decin ayant qualité d'adjointe au corps méd
d'isolement pour maladies contagieuses, les ateliers d'hommes et de femmes , des habitations à rez-de-chaussée pour épilept
ze infirmières, se rendaient à l'église de l'asile de Villejuif, la femme Dourches. son fils Achille, âgé de dix-neuf ans
quet a eu la lèvre coupée, la dame Laget une contusion au front, la femme Rouvray a été atteinte dans la région dorsale e
région dorsale et a subi une hémoptysie assez abondante; quant aux femmes Bastien, Course, Guillemot, Pougelard, Eon, Ena
tant j'étais suffoqué par cette multitude d'au moins quatre-vingts femmes ! ... Bref, je n'ai eu d'autre ressource que la
a passion qu'il avait ins- pirée, elle se mit en tête de devenir sa femme . ' -Lorsqu'elle apprit qu'il était marié, il se
s et les malades. Alors je me suis approchée ; il y avait un tas de femmes , une trentaine au moins, accrochées après Louis
et en liberté. M. Dourches père travaille à Puteaux. Il va chez sa femme tuus les huit ou quinze jours. Le témoin déclar
mois de novembre 1890, la demande d'internement adressée par 'sa femme . Je n'ai, dit-il, jamais rien remarqué dans l'é
rappelle le drame de Chantelle, à la suite duquel Delphine Prévost, femme Achet, née à Paris en 1857, accusée d'assassina
autre part, je donnai mes instructions à la religieuse de la salle, femme intelligente, habituée aux maladies nerveuses que
elle a rapidement présenté un accès de délire alcoolique. - Cette femme , vous le voyez, était un type de déséqui- libra
uvrir tous les becs de gaz, provoque une explosion qui blesse une femme . L'abbé Roussel, dans la maison duquel il était
actiles. J'étudiais non plus à l'hôpital, mais chez, elle une jeune femme de vingt- deux ans que j'ai souvent décrite sou
actère en quelque sorte classique ; n'oublions pas que cette pauvre femme de vingt-deux ans habitait les faubourgs d'une
s, ils ne présentent aucun stigmate de syphilis héré- ditaire et sa femme n'a jamais eu de fausse couche. On peut donc 37
al. C'est ce qui ressort des renseignements recueillis auprès de sa femme , des patrons qui l'ont employé, de ses voisins,
éponses étaient sèches et brusques, il devenait irritable. C'est sa femme qui m'a donné ces derniers rensei- gnements ; e
s sa tête. Mais depuis quand ? - Je n'ai pu le savoir, ni lui ni sa femme ne peuvent, ou ne veulent, répondre catégorique
C'est ce qui ressort d'une façon évidente de l'interrogatoire de sa femme . Lui-même se rappelle très bien, aujourd'hui enco
lors il se met à faire une prière à haute voix, et il exige e de sa femme qu'elle fasse comme lui. C'était là un acte en
tait introduit, courant toujours à la poursuite de M..., il tue une femme et un jeune gar- çon, la mère et le fils, une a
l tue une femme et un jeune gar- çon, la mère et le fils, une autre femme accourue au secours des deux premières victimes
pli, il cherche encore à s'introduire dans une autre maison où deux femmes s'étaient réfugiées, effrayées, refusant d'ouvr
ne fait, du reste, pas de grands efforts pour forcer la porte, les femmes lui ayant, à sa demande, donné leurs noms, ce q
faire. Enfin, il se calme, et il rentre chez lui où il raconte à sa femme tout ce qui vient de se passer. Sa fureur éta
r. 13. Même état à peu près que hier. Je lui demande le nom de sa femme , il ne peut d'abord le trouver et il n'arrive à l
endre compte de l'état des sentiments affectifs. On lui parle de sa femme et de ses NOTE SUR UN ALIÉNÉ HOMICIDE. 377 en
père mort à soixante-dix-huit ans avait vingt-un ans de plus que.sa femme . Il avait cinquante ans quand la malade est née
érie, par exemple. C'est ainsi que nous avons pu observer une jeune femme qui fut prise subitement à la suite d'une terre
les bruits divers exis- taient réellement, mais revêtaient pour sa femme une signifi- cation particulière, tandis qu'au
mme une signifi- cation particulière, tandis qu'au début lorsque sa femme prétendait entendre des bruits ou des voix, lui
ant de publier in extenso l'observation que nous résumons ici : - Femme de trente ans, mariée, entrée à l'asile en 1888,
es chroniques. Nos malades comprennent aujourd'hui 326 hommes et 20 femmes . SOCIÉTÉS SAVANTES. 429 vation convenable, no
nique consécu- tive à des excès prolongés d'alcool. Il s'agit d'une femme de trente- six ans, adonnée continuellement à l
es culots de cartouches qu'on a eu soin de lui retirer. Une brave femme , la dame Grandet, âgée de quarante-neuf ans, qu
: MM. Hannion et Lefiliâtre. 4° Asile de Vaucluse. - Se ? -vice des femmes , médecin en chef, M. BOUDRIE. Int. : M. Larouss
clinique ophtalmologique, habitant Lyon, rue Saint-Joseph, avec sa femme , qu'il avait épousée il y a deux ansàSaint-Etie
n rentrant chez lui, à sept heures, il eut une discus- sion avec sa femme . A une heure du matin, il en eut une nouvelle p
née 1891. Ces bureaux sont donnés, sauf deux ou trois hommes, à des femmes , veuves ou filles de fonctionnaires civils ou m
Richaid-Lenoir. Il s'étonna de ne pas voir à sa rencontre venir sa femme , comme de coutume. Il pénétra dans la chambre à
461 somme d'agent manquait. Le peintre se porta au secours de sa femme et appela à l'aide. Les voisins accoururent; on d
D... dormait depuis quelques instants, lorsqu'il fut réveillé parsa femme qui, endormie, elle aussi, disait : Regarde dan
67 (1900) Recherches cliniques et thérapeutiques sur l'épilepsie, l'hystérie et l'idiotie : Compte-rendu du service des enfants idiots, épileptiques et arriérés de Bicêtre pendant l'année 1899
enfants fréquentent la petite école confiée exclusive- ment à des femmes . Dans le courant de l'année, 197 i y ont été in
à l'enfant. Petite école complémentaire. - Elle est confiée à une femme dont le dévouement ne s'est jamais démenti, M"1
u, médecin en chef de la maison de Santé de Gand; 1\l'lIe Defrancc, femme de lettres ; Du David Frank (de Moscou) ; D1' G
'' Galisson (de Paris); D'' Gaustad (de Christiana); Mille Gaveu, femme de lettres; D" Hoennicke, médecin assistant à l
s) i 1\1'110 Kauffmann, secrétaire du groupe de la Solidarité des femmes (de Paris); M. Koht, professeur à l'Uni- versit
t au pavillon d'isolement des jeunes tilles plus expo- sées que des femmes d'un certain âge il contracter des maladies con
un vieil avare » ; l'autre, cultivateur, s'est marié avec une jeune femme dont il a eu un enfant bien portant. - Pas de t
scussions se renouvelèrent t les jours suivants. « C'était une sale femme », qui voulait lui enlever son mari. - Accouche
et demi, très facile, on n'eut pas le temps de chercher la sage- femme ; couches sèches. - L'enfant cria tout de suite.
ontrariétés, s'est mis à boire. Il n'a jamais pu s'accorder avec sa femme . Mort à trente-huit ans d'une; maladie de poitr
e. Il) En ce qui concerne l'hystérie et 1'lystéro-épilepsie chez la femme , voir Bourneville, Recherche sur l'épilepsie et
se craindre une confirmation de sa démence; on peut le confier à sa femme qui le réclame avec instance. - Signé : Delasiauv
es sans raison ; récits sans suite, prétendus trésors cachés par sa femme . Menace sa femme et la frappe. - Signé : Lasè-
récits sans suite, prétendus trésors cachés par sa femme. Menace sa femme et la frappe. - Signé : Lasè- gue. " -- Sorti l
s complètement rétablie. Il n'y a pas d'inconvénient à le rendre sa femme qui le réclame. Signé : Moreau. » .- Entré à
x reprises. Intelligence faible Accès de manie. Violences contre sa femme . -- Signé : Laségue. » Transféré à Armentières
son pour avoir tenté, avec plu- sieurs « voyous n. de violenter une femme déjà âgée aux environs du fort de Iiomainville.
x, aussi a t-on été surpris quand, un dimanche soir, il a quitté sa femme , avec laquelle il vivait d'accord, emme- nant a
au lit. Deux semaines après, elle a été effrayée par les cris d'une femme qui avait une attaque : « Je n'ai pas perdu con-
t, dans la nuit, je m'imaginais toujours entendre les cris de cette femme . » Le lendemain, indigestion. Le reste de la gr
40 ans, exerce la profession de cordon- nier. Il vit avec une autre femme , depuis son divorce, pro- noncé il y a six ans.
d, il se mit à boire avec excès, surtout de Vabsinlhe. Dès lors, sa femme fut malheu- reuse avec lui, il l'injuriait, la
obre. - Grand'mère morte à 68 ans, peu après son mari ; c'était une femme faible et usée. Aucun autre ren- seignement. De
e autre maladie. Elle a eu le ver solitaire il y a un an. C'est une femme brune, de bonne con- formation. - [Son père, tu
adénites, etc.). Il a eu des rapports vers la mi-décembre avec une femme dans une maison publique. .L'écoulement a paru
rès octobre, ralentissement : un voit tous les deux ou ;i jours. Sa femme est accouchée, au commence- ment de janvier, d'
'a mis au monde au huitième mois de sa grossesse. Il affirme que sa femme le savait épileptique, Puberté. - Fines moust
ouvrable, méat légèrement étroit. 23 février. Munh... nous amène sa femme et son enfant. Celui-ci est athrepsique à un ha
tourne la tète vers son épaule droite et pousse un cri étouffé. Sa femme , qui s'aperçoit de l'imminence de l'accès, nous
la langue. Pas de miction involontaire. Il ne prévient jamais. La femme de notre malade connaissait la famille de son m
e. Il ne distingue pas le tic-tac d'une montre. le, octobre. - Sa femme a fait une fausse couche de 2 mois et demi, le
is j'allais me cacher pour les éviter. ») 1886. ter février. - Sa femme a été malade et alitée au mois de décembre 1885
ent et on ne lui paye que la moitié de son travail. Il conte que sa femme aurait eu il la suite de contrariétés, trois sy
remarqué de rapports entre ses accès et ses rapprochements avec sa femme . il ! Les iris sont d'iule couleur marron clair
utes. Il n'en a pas parlé, dans la crainte d'effrayer sa mère et sa femme . Il nous annonce qu'un cousin germain du côté p
tre. Il aurait prononcé des paroles qu'on ne lui a pas répétées. Sa femme est encore sur le point d'accoucher. Il se plai
ite un secours mensuel; il est sans ouvrage. 1887. 10 février. - Sa femme est accouchée le 24 décembre. Le malade avait t
lui. Mais pour cela il faut « un grand logement et des outils ». Sa femme consacre tout son temps il son enfant. Son père
ions. - Lui-même a eau un accès le lendemain de l'enterrement. - Sa femme , le; jour de l'enterrement, paraît avoir eu une
chaque fois qu'il se place, il est renvoyé a cause de ses accès. Sa femme ne travaille plus. La famille est toujours, sou
istance publique pour solliciter un secours. 1888. 26 avril. - Sa femme ; est de nouveau enceinte. Il a eu, dans ces der
travailler. Les derniers accès ont été plus violents. ;30 mai. - Sa femme ; est enceinte de G mois 1/2. Elle no tra· vaill
psie, ne la disait pas incurable. Il est encore sans occupation. Sa femme , enceinte de huit mois, ne travaille pas. 9 a
isante. 239 dire. - Il est très porté aux rapports sexuels, mais sa femme le met il la ration de deux coïts par semaine.
failli tomber par la fenêtre sur laquelle il était penché; sans sa femme qui l'a retenu, il était tué. a J'aurais, dit-i
s la misère seule qui me pousse il cet acte de désespoir, mais ma femme se fatigue de cette situation, qui cause de fré-
et gagne 12 it 15 francs par semaine, ce qui est insuffisant. Sa femme doit accoucher dans deux ou trois jouis. C'est
- Sa situation, dit-il dans une lettre, est plus triste encore. Sa femme qui n'a pas eu le temps d'aller à l'hôpital, es
lui donne le moyen d'obtenir des secours. 18 ! 13. 17 février. Sa femme vient d'accoucher le 16 février, d'une petite f
ier. 1897. 25 novembre, - Il revient pour demander un secours. Sa femme est accouchée en novembre. Il a eu un accès en
mme. Dans son accès il oublia sa commission, revint chez lui. et sa femme étendue par terre et l'enfant entre les jambes
de bricoles qui rapportent dix sous par ci par la. 1899. Mars. - Sa femme vient nous voir. Elle dit que son mari devient
physique et intellectuelle. s'affaisse sur lui-même. Il a chargé sa femme de nous informer qu'il ne pouvait plus avoir de
e persista de 10 heures du matin il une heure de l'après midi. Sa femme nous assure qu'il est devenu plus sombre depuis
l est impuissant Descendance. 2g et il en reporte la faute sur sa femme (I) ; dans d'autres, il a des rapports deux ou
ie et aggravation des lésions pulmonaires. Pas de convulsions. La femme de Mun... est de nouveau enceinte et va pro- ch
a mémoire, et la diminution de la puissance génitale. VII. Si les femmes épileptiques ne sont pas, d'ordi- naire, très p
ence sexuelle semble avoir été très prononcée chez notre malade. Sa femme et lui-même a confirmé ses dires - s'efforçait
n'en avons jamais observé de manifes- tations et, d'autre part, sa femme n'a pas eu d'infection ni de fausses couches ré
personne ne peut empêcher : C'est par là qu'ont débuté Mun... et sa femme . Ici, non plus, il n'y a pas en erreur sur la p
e. Ici, non plus, il n'y a pas en erreur sur la personne puisque la femme de Mun.. connaissait sa maladie. Il est certain
68 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
onnel ; il se ronge les ongles. La mère est bien portante ; c'est une femme très intelligente, qui seconde bien le traitement
z ses maîtres, elle fui congédiée. Elle revint chez sa mère, pauvre femme , ma voisine de campagne. Là elle eut recours pend
uit par influencé sympathique; sans hallucinations, dun homme sur une femme , uic rappelle le ras absolument identique d'une d
vant : « M. Louis B... se plaignait que 1rs s hommes dédaignaient les femmes rouges, et îl 'a promis des faits matériels après
leur a suggérées ne sont pas. tout le temps qu'elles durent chez, ces femmes , involontaires et comme inconscientes ? A leur ré
avait résisté à tous les traitements et il empoisonnait la vie de la femme et celle de ses amis. Elle se montra un îles meil
draient à le faire admettre, car il s'agissait dans l'un dune vieille femme dont le système nerveux laissait fort à désirer,
eau-frère étuit un alcoolique ; dans un accès d'ivresse, il frappa sa femme et la tua. Arrêté, il ne fut condamné qu'à deux a
fois elle est irrésistible,l'impulsion est trop forte, il réveille sa femme : « Emmène l'enfant, vite. vite. ». — Lorsque ren
jour, l'idée homicide changea de but et qu'il déclara froidement à sa femme qu'il avait le désir de la faire mourir. Cette id
u'il avait le désir de la faire mourir. Cette idée homicide contre sa femme n'a duré qu'un jour, le lendemain c'est contre l'
à M. Liégeois, de même qu'à beaucoup d'autres endornieurs. que cette femme , déjà mise auparavant en somnambulisme el par là
ci mentait quand, ainsi qu'on l'a répété, il disait que c'était cette femme qui l'avait entraîné à assassiner l'huissier Couf
la disparition de la monoplégie. Par M. le Dr Félix Regnault. La femme X..., mariée, sans enfant, est âgée de .15 ans. E
t complètement connaissance. Cela s'observait principalement chez les femmes et surtout chez, les jeunes filles; cela arrivait
éniques et chez les hystériques, ce qui explique sa fréquence chez la femme , chez les jeunes gens et les personnes vouées à d
Féré a été consulté par deux ouvriers qui s'évanouissaient comme des femmes quand ils recevaient la plus légère piqûre ou cou
ns, anémique, vive et nerveuse, sans être hystérique, grande et belle femme il y a quelque temps encore, est aujourd'hui extr
nation. Depuis longtemps, sous l'empire de la jalousie, cette jeune femme était devenue méchante et se livrait à tous les e
ue, pendant quelque temps, elle accompagnait encore son mari chez les femmes qui avaient été cause de cette jalousie, jusqu'à
rmée, le ménage est heureux et il l'est d'autant plus que celte jeune femme est sur le point de devenir mère pour la première
e la jalousie, cause de tout ce mal, qui avait mis les jour» de cette femme en danger, avait sa raison d'être et que, tans av
s les cordes vibrent dans la machine humaine. Tels les voit vou ! des femmes arabes et l'étourdissante mélopée des derviches t
nts qui le guident. Rien ne prouve que dans un cercle d'enfants et de femmes les expériences inaugurées dimanche, n'eussent pa
crite. N° 5. — Des préparatifs furent faits comme pour le n° 4 — Ma femme est entrée dans la chambre, et, pour occuper enti
ru la névralgie de la face, rejeta bien loin ses histoires de vieille femme et lui dit. quant â la sortie du corps étranger d
publiée et qui démontre le remords et le trouble de conscience d'une femme à qui j'avais suggéré pendant l'hypnose, de comme
blé d une robe et coiffé d un bonnet représentait à s'y méprendre une femme couchée. Nous avons suggéré à notre sujet, pend
d'un couteau véritable, posé sur nue table, et d'aller en frapper la femme couchée : en outre, nous lui avons intimé fermeme
le, saisit l'arme et, s'approchant brusquement du lit, elle frappa la femme couchée d'un grand coup de couteau, machinalement
ents. N'avez-vous pas commis un crime ? Ne venez-vous pas de tuer une femme ? » A toutes nos questions elle répond non avec a
été, je ne dors plus, j'ai d'affreux cauchemars : « je crois voir une femme qui me poursuit sans trêve et m'accuse de « l
ntiquc, nous lui demandâmes s'il était vrai qu'elle eût assassiné une femme et qui lui avait ordonne ce crime. Klle nous ré
que toute cette histoire de crime n'était qu'une plaisanterie, que lu femme n'était qu'un mannequin grossier qu'elle avait fr
par une grave maladie de sa mère, il fit la connaissance de Mme G... femme d'un ingénieur de la Compagnie du chemin de fer d
ne promenade à cheval, il avait trouvé dans le jardin de sa villa, sa femme hypnotisée devant une cuillère à café : « Je lu
ncident du même genre se produisit, à une s séance d'Atssaoïtas. Ma femme fut tellement impressionnée qu'elle ne put y rest
ui l'ont connue est unanime. C'était, on l'a dit, une des plus jolies femmes de l'Algérie, cependant, elle a toujours été une
sœur, il demande à M. G... l'autorisation d'aller prendre congé de sa femme . Un peu après huit heures, il se présente à la
. entre une heure etdemie et deux heures ; j'ac-« compagnais, avec ma femme , une autre dame au chemin de fer. s Ces dames ont
quinze minutes. Mme G... avait « l'air le plus naturel. Elle dit à ma femme : « Quel est votre (1) Journal des Débats. 7 no
mourir quelques heures après! » A deux heures et demie. Mme Daujon. femme d'un ingénieur des ponts et chaussées, se promena
nt convaincu. Je serais plutôt tenté de croire que. avec une bonté de femme sûre d'elle-méme, elle a pris en grande pitié cet
oit avoir besoin, pour enlever Mme G... : pendant ce temps, la pauvre femme restée a la campagne, recouvre toute sn présence
le lui fait sigue. elle t'engage à entrer. Est-ce la l'attitude d'une femme qui attend l'homme avec qui elle a projeté de s'e
rovoquer bien «les sourires . n'a plus qu une pensée ; posséder cette femme , pour laquelle il se meurt d'amour, et ne pouvant
mourir dans l'état de nudité où l'on a trouvé son cadavre, elle, une femme , jusque-là. si pure, si honorée, si respectée ! U
sable des actes qu'elle a accomplis ou subis dans cet état ! Pauvre femme ! Et dire qu'il eût sans doute suffi d'une ou plu
pressionné, à ce point que lorsqu'il se trouvait en présence de cette femme , il balbutiait, rougissait, se troublait, n'osait
d'un de ses camarades, d'une personne de sa famille et surtout d'une femme , sans crainte qu'on ne put lire dans ses yeux qu'
c'est qu'il trouve cela plus moral que d'avoir des relations avec une femme en dehors de l'état de mariage. Observation III
ommunication. RECUEIL DE FAITS Vomissements incoercibles chez une femme enceinte de 4 mois traités par suggestion. — Guèr
Dans le courant du mois de juillet 1890 j'étais appelé auprès d'une femme demeurant au village voisin du mien. Il s'agissai
d'une femme demeurant au village voisin du mien. Il s'agissait d'une femme atteinte de vomissements répétés. J'interroge
éliore pas. Je suis uppelé à ce moment, voici ce que je constate : la femme arrivée à un grnud degré d'épuisement, peau terre
re à la personnalité normale et réelle ? Une jeune fille, une jeune femme peuvent être coupables en apparence sans l'êt
t intérêt â bien connaître ces faits. En état de somnambulisme, une femme peut accoucher et se réveiller sans avoir le souv
eux qui douteraient de la possibilité du viol avec inconscience de la femme hypnotisée, il me sulhra de rappeler que l'on peu
r les opérations les plus douloureuses sur les organes génitaux de la femme pendant le somnambulisme, sans qu'au réveil l'opé
es médecins expérimentés, et que jamais il ne faudrait hvpnotiser des femmes en présence d'un de leurs parents, ou bien d'une
aire une opération douloureuse sans douleur, qu'on peut â la première femme hypnotisée suggérer les règles pour la nuit suiva
, en diminuant un peu de fréquence et d'intensité, l.e mari emmena sa femme en Europe, continuant lui-même à l'hypnotiser ave
Italie à la même époque: l'épidémie des nonnains dans les couvents de femmes en Allemagne et en Hollande au xve siècle; l'épid
a transmission héréditaire d'une lare acquise • et ordinaire nient la femme attire son mari, mère mène sa filic (Il s agit du
3 Rapprochons le fait suivant : un homme marie, chaque fois que sa femme avait ses règles, éprouvait certains phénomènes é
quel «|ne so'it le monde auquel il appartienne, tuer son rival ou la femme qui le fait vivre? Non. car c'est dans l'ordre de
ort subite* M. Brouardel répond non. pas pins qu'on ne doit dire m sa femme qu'elle peut, un matin, trooter son mari mort à r
son mari me prenant à part me dit qu'il a entendu parler en Italie de femmes que l'on hypnotisait pour les accoucher sans souf
se pour faire cette expérience. « J'y consens, lui dis-jc, mais votre femme a-t-elle clé déjà endormie? — Non jamais. — Eh bi
je trouvai le mari très ennuyé; en voici le motif; Les cheveux de sa femme que l'on n'a pas eu soin de tresser avant l'accou
eu fort sur un cheveu, cela suffit pour faire éclater la colère de ma femme . • « Eh bien ! lui dis-je, et notre hypnotisme,
contraction, à tel point que M. G... qui connaît la sensibilité de sa femme en est peut-être plus surpris encore que de l'acc
conversation avec le mari n'a cessé d'avoir pour but de maintenir sa femme dans cet état passif. Enfin quand la chevelure
lles ressemblent beaucoup à Mme O... qui est une impulsive, une jeune femme gâtée, volontaire, mais dépourvue do volonté réfl
ole naturaliste a cette catégorie de malades à qui la vue du linge de femme procure une excitation particulière et qui montre
et des laryngologistes. Les cantatrices sont peut-être les seules femmes qui craignent les parfums. Mme Richard, de l'Opér
franchement contre ces nouveautés, en disant avec Henriette, dans les Femmes sivantes :« Pardonner-moi, monsieur, je n'entends
tif de Toroné en Macédonic, avait une bellc-mcre très méchante. Cette femme dénxturéc avait fait avaler à son gendre des sang
mari jaloux, son poète lavori, soupçonné d'être son amant. La pauvre femme , qui alors était enceinte, éprouva, à l'aspect de
uleurs ne sont point caractéristiques, il n'a jamais fait abus ni des femmes , ni de l'alcool, et il n'a pas eu la syphilis. Pa
as s'est termine par la mort. Le premier de ces cas est celui d'une femme de trente ans qui vint se faire soigner une heure
externe et elle guérit en l'espace de quatre semaines. Une troisième femme de trente-deux ans fut de même sauvée par 1'œsoph
olonté (la), par L.. Manouvrier. Vomissements incoercibles chez une femme enceinte de quatre mois traites par suggestion pa
69 (1859) Journal du magnétisme [Tome XVIII]
ue ceux qui avaient de belles manières étaient assez savants pour les femmes ? — Voyez Barthès qui, à cette question, ce médic
service dans East-street, Manchester square, il a entendu une voix de femme qui criait : « Oh ! mes enfants ! sauvez mes enfa
n de l'empêcher d’être brûlé. Si la police n’était pas arrivée, cette femme aurait jeté successivement par la fenêtre ses aut
successivement par la fenêtre ses autres enfants. M. Lewis. — Cette femme était dans une agitation extrême: on l’a conduite
l’enfant blessé, âgé de dix-huit mois. Le médecin a déclaré que cette femme avait dû agir sous l’empire d’un cauchemar. Le
pour ses enfants. J’espère que le magistrat voudra bien laisser cette femme sous la garde de son mari jusqu’au moment où elle
L’acte qu’elle.a commis l’a été sous l’influence d’un songe, et cette femme n’avait pas la conscience de ce qu’elle faisait a
n'en est pas responsable. En présence donc d’une telle doctrine, une femme pourrait fort bien se relever au milieu de la nui
a aucune preuve de nature à faire croire à qui que ce soit que cette femme ait jeté son enfant par la fenêtre avec l’intenti
e faites. M. Lewis.—Il n’y a pas de jury qui puisse condamner cette femme comme coupable de tentative homicide volontaire.
onnes. Si l’enfant avait succombé, j’aurais certainement envoyé cette femme aux assises sous la prévention de meurtre, et lai
es enfants par la fenêtre. M. Lewis. — Je 11e suppose pas que cette femme soit reconnue coupable aux assises; elle ne peut
é. Allons donc ! Ceci est trop dangereux pour être admissible ; cette femme donnera deux cautions de 30 liv. chaque, prom
comme il s’acheminait vers la maison de sa future épouse, une pauvre femme inconnue lui demanda l’aumône et reçut de lui une
en guenilles lui dire : « Monsieur, vous allez épouser une fort jolie femme ... Vous aurez trois fils... o Mais, s’arrêtant to
r, ajouta Seguins, me voici marié ; personne 11e me contestera que ma femme 11e soit jolie ; je serais charmé d'être père de
tion qui isolée n'a pas grande valeur, je vais la rappeler ici. lia femme , qui a été noctambule (somnambule naturelle), mai
e, indiquée seulement sur l’ordonnance sous la désignation de Nnx. Ma femme ne savait pas ce que cela signifiait ; si c'est u
s : on pourrait en composer des volumes. Faut-il rappeler Gal-purnie, femme de Jules César, l’avertissant, d’après un songe,
don et s’en retourneront heureux, car vous leur aurez pardonné. Telle femme , pour laquelle vous avez brûlé en secret d’un cha
poétique. Les esprits interrogés avaient dit qu’aucun mortel né d’une femme ne pourrait nuire à Macbeth, et qu’il ne serait v
blies. En était-il qui méritât mieux cette marque de sympathie que la femme de cœur et d’esprit, de sentiment et de raison, d
« En se plongeant d’eux-mêmes dans une sorte de crise nerveuse, des femmes exercées à cet art, réussissent à guérir certaine
’enquérir d'objets volés; on avait fait venir de la ville une vieille femme qui pratiquait l’art de la divination. La populat
e la divination. La population s’assit en cercle dans un champ, et la femme fut placée au centre. Elle se mit à tourner sur e
une crise nerveuse d’une force telle que je fus obligé d’endormir ma femme , qui est somnambule et très-clairvoyante, pour sa
uérison d'abord, et puis celle de la lucidité cou- stanlc dont ma femme avait fait preuve : le résultat obtenu et constat
s et complaisance à mon égard. Jersey, le 6 décembre 1858. Morin, Femme Morin, Sterlingo. Je déclare avoir travaillé ch
t-Houdin ou un autre a coupé la tête à un homme ou rendu invisible sa femme 1 « Mais où m’emporte l’ardeur de mon zèle ? Pa
eux, par les profanes, ont converti bien des personnes, et surtout la femme d'un médecin, laquelle, par parenthèse, a souvent
ant la pratique à la théorie, il ajoute en note : «J'ai débarrassé la femme d’un jurisconsulte de Vienne de son insomnie, à l
eindre une scène semblable, l’effet en fut immense. Je pris une jeune femme , tille d'un banquier de Bruxelles : l’action magn
dité dont le professeur nous avait fait le récit , et dans lequel une femme somnambule , consultée au moyen d un objet appart
e la cause, si ces ordonnances sont l’œuvre « unique et directe de la femme A..., qui, comme le prétend « la prévention, ne s
me le prétend la dé-« fense, se servirait du sommeil magnétique de la femme « A... pour avoir d’une manière plus certaine le
« 1° Attendu quant à la veuve Polo, que, s’étant présentée « chez la femme A..., cette dernière avait été endormie par „ Son
arié. « Attendu dès lors que le tribunal a la preuve que c'est la « femme A... seule qui s’est livrée à la pratique de la r
le respect qu’il « doit au titre qu’il porte, il a aidé et assisté la femme A... « en signant sans contrôle ni vérification d
ni délit « ni contravention et le renvoie d’instance ; «Déclare la femme A... convaincue d’avoir, depuis moins « de trois
introducteur était complet. « Alexis, prenant ensuite la main de ma femme , lui parla d’événements passés et notamment de la
e renforcé) : il avait pour but de chercher à le convertir. Une jeune femme , à en juger par son extérieur, une couturière san
incrédule que , quinze jours après, lui-même me pria de tenter sur sa femme la même opération, laquelle fut couronnée d’un ég
tanés, m’engagèrent à renoncer à cette cure. Juillet. Madame de M., femme d’un diplomate. Céphalalgie chronique du côté d
aigne pas s’en occuper; ce sont, à ses yeux, des remèdes de bonne femme , la science ne peut s’abaisser jusqu'à discuter d
de sa flûte ; les Floridiennes ornent leur cou du serpent corail; des femmes ont domestiqué la couleuvre à collier au point de
endant le dix-septième siècle, assurait quedes mammifères et même une femme hollandaise avaient été dévorés sous ses yeux par
urnal de Rennes rapporte ainsi : « On venait de porter en terre une femme de soixante-uu ans, domestique aux Lupins, qui av
ire le cercueil, un médecin arrive et celui-ci constate que la pauvre femme est bien morte, mais qu elle vient à l’instant mê
e a fait garderie corps jusqu’au lendemain matin neuf bernes. « Les femmes qui avaient apporté le corps des Lupins à l’églis
ou six mois. Un jour il lui prit envie de sçavoir des nouvelles de sa femme , la longue absence luy ayant engendré quelques fa
re son intention et le désir qu’il avoit de sçavoir ce que faisoit sa femme . Cette fille luy fait voir dans un miroiter sa ch
ouleur des garnitures de ses lits, en après il voit dans ce miroir sa femme dans un lict et un moyne qui luy tient le bras to
ras tout nud, estant sur un petit placet ; luy demande si c'estoit sa femme , il répond qu’oüy, et qu’il reconnoit ce moine. C
ne. Cette fille assure avec serment que c’est Testât auquel estoit sa femme . S’estant retiré en son logis, affligé de ces nou
he des moyens de les exécuter. Estant arrivé chez luy, à Bordeaux, sa femme accourt, le salue, bien aise de le voir de retour
ne, s’approche du feu, parce que c’estoit en temps d'hiver. Voyant sa femme près de luy, les enfant s’estant retirez, luy dem
ut estonné de la supercherie du diable, et depuis affectionna tant sa femme qu’il a fait un petit livre en vers françois en s
» M. Jean-Baptiste Bernand, maître teinturier à Villefranche. d Ma femme a eu recours à Mme Berney, et, depuis lors, s’est
alon, plâtrier à Saint-Cyr-au-Mont-d’Or. » « M,ne Berney a guéri ma femme . J’y suis allé sans confiance, j’en suis sorti co
» M. Moretton, bijoutier, rue de Bourbon. « Mm* Bemey a guéri ma femme abandonnée des médecins et à l’agonie. Elle m’a d
descend à la liàte de chez un client, et vingt autres l’attendent. La femme du concierge, tout en pleurs, l’arrête au passage
la hauteur de l'homme dans la nature... L’homme est plus apte que la femme à exercer la puissance magnétique, surtout à caus
e attractif électro-aimanté , en dominance masculine ou positive ; la femme est moins apte à cause de son fluide métallo-ferr
rêts, avaient été condamnés à tous les frais; c’est, au contraire, la femme Berney, prévenue,, qui supporte d’abord les dépen
à me faire découvrir ces restes sacrés, line main seule, une main de femme entourée d’une chaîne d’or, gisait dans la chambr
es , soit celles du domino , un grand nombre de prénoms d’homme et de femme , des chiffres et des mots tels que : Oui, non as
s lettres de l’aphabet, des chiffres, des noms propres d’hommes et de femmes , des cartes à jouer, des points de dés, des dates
Mais il y a d’autres médecins de ce genre, et le docteur Dorman et sa femme , M""C.-E. Dorman, rue Broad, 361, à Nevvark (N.-J
ant étoit de leur race, et connoîtrepar ce moyeu la chasteté de leurs femmes . Car si l'enfant étoit à eux, les serpens s’enfuy
lle avait touchée. Cette révélation fit sur l’esprit delà malheureuse femme une impression si profonde et si terrible, qu’ell
er ici un fait très-remarquable et parfaitement authentique. Marie, femme de J. Goffe de Rochester, est attaquée d'une mala
ute ma vie. » Unedes personnes qui l'entendaient parler ainsi, Marie, femme de J. Sweet, appprit le matin que madame Golïe ét
s somnambuliques. ltzig est un village à une lieue de Schleifmülh; ma femme y avait ses grands parents. Jamais je n’y avais é
après j’étais veuf; —que de pressentiments précédèrent la mort de ma femme , que je croyais seulement indisposée ; j’éprouvai
is de dire une particularité de Fischbach, en 1842. Cette année, ma femme devint enceinte de mon troisième fils; aussitôt q
us noires; ces songes m’affligeaient au delà de toute expression ; ma femme mourut un an après sa couche, et le fils ne vécut
présentée à ma vue, et, par cette allée,j’avais gagné la rue dite des Femmes .-je le fis en réalité et me sortis d’embarras.
é plusieurs fois visiter la salle de Phelps-House, dans laquelle deux femmes de Rochester, madame Fisch et mademoiselle Fox, o
interprétée comme réponse affirmative. Alors on fit asseoir les deux femmes sur deux chaises placées l’une près de l’autre, l
s. Celle qu’on choisit consista à tenir fermement les genoux des deux femmes en y appliquant les mains de manière que tout mou
, escroc, faussaire, charlatan, fourbe, trafiquant de la beauté de sa femme . Cagliostro semble avoir eu un goût passionné pou
, s’étaient rendus au théâtre. En rentrant, X... dit tout à coup à sa femme : e Va me chercher ma fille, car je suis sûr de m
ement le défunt, mais en outre deux autres personnes, un homme et une femme , se tenant à ses côtés. Et pourtant il n’y avait
t eu dans l’appartement personne auprès du corps. L’habillement de la femme était tout différent de celui de l’artiste, et il
it tout différent de celui de l’artiste, et il n’y avait aucune autre femme dans l’appartement. L’épreuve était très-sombre.
n compte plus de 100,000 victimes, dont les neuf dixièmes composés de femmes . On doit dire, à l’honneur de l’humanité, que que
d'une jambe, une petite mansarde. Tous les remèdes employés par cette femme pour guérir son enfant étant restés infructueux,
n donnée par un voisin, recours au magnétisme. Lundi dernier donc, la femme X... couvrit sa fille de passes magnétiques qu’el
it, se fit en tombant une luxation au bras droit. Perdant la téte, la femme X... sortit en criant au secours. Les voisins acc
t par celui à qui elle appartient et par les autres en même temps. La femme d’un employé entre dans le cabinet de son mari, e
elui-ci, voulant juger delà chose par ses propres yeux, monte avec sa femme , et trouve le fantôme avec sa propre forme, habil
onte qu’à Halberstadt, eu 1557, le 25 novembre, Elisabeth "W edeiûng, femme respectable, et craignant Dieu, âgée de vingt-qua
nfant, parcourt avec la garde tous les coins de la maison, appelle sa femme , et voit qu’elle n'a pu sortir ni par la porte de
rrière, que l’on ouvrait très-difficilement dans le jour, et dit à sa femme : « Entends-tu? il doit y avoir un voleur dans la
femme : « Entends-tu? il doit y avoir un voleur dans la maison. » La femme cherche à lui persuader qu’il se trompe. Ceux q
ndant quelqu’un remuer dans la maison de Schade, croient que c’est sa femme qui s’est levée, et frappent à sa porte pour l’av
iqué plus clairement sur certaines circonstances particulières. Cette femme était malade par suite de ses couches, comme le p
erise rappelle les observations qu’il a publiées précédemment sur une femme qui avait des accès d’hystérie épi-leptiforme : i
lative à une malade que M. Bourdin a eu occasion devoir aussi : cette femme , d'abord hystérique, puis hypocondriaque, devint
ns autre accès la nuit. - La troisième observation est relative à une femme tympanico-hystérique observée il l’hôpital Saint-
en ce lieu, nous avons, du consentement de l’évèque, engagé Petronia, femme delà plus haute condition, à rédiger, pour qu’on
ils ne valent pas le diable ; par l’effet de leurs sortilèges, votre femme perdra la vue, vos enfants seront bossus, vos che
nt sous les traits de sa mère, a jeté un sort sur ses chevaux, sur sa femme , et que toutes ses bêtes ont dépéri sous cette fu
eurs délégués. a Dix-neuf jours enfin après la disparition de cette femme , le maire de Valfogona prévint le juge qu’un past
e Inglès. La déposition du berger n’élait exacte qu'à demi, car celte femme n’était que prise d’un sommeil très-lourd, connu
re dans sa chambre. « Le maître de la jeune fille ayant réveillé sa femme , se rendit avec elle dans la chambre de la servan
é- cédentes. Il eût été le plus grand bienfait pour ces deux deux femmes qui, sans lui, deviendront inévitablement les vic
ermet de dissimuler les mouvements légers ; c’est ce qui fait que les femmes réussissent mieux dans cet exercice. Le son est c
position des sens, 343, 347, 544. 566. Ver logé dans le crâne d’une femme et expulsée l'aide du magnétisme, 618. Visions
athes, pour injures de ceux-ci à ceux-là, 12. — Poursuites contre une femme qui avait jeté son enfant par la fenêtre, dans un
70 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
autre observation clinique de JGANSGL111G (2), il s'agissait d'une femme de petite taille qui, depuis son enfance,avait
ce,avait une scoliosedorso-lombairedenatureindéterminée. Chez cette femme les premières tumeurs étaient apparues à 30 ans.U
tumeurs saillant à la surface extérieure de l'estomac de sa vieille femme atteinte de neurofibromatose; RECKLIXGIIAUSENJ
ombreuses observations, le malade est porteur de mamelles comme une femme qui nourrit (Siredey, Ilenningsen, etc.). Le lo
nt ; le père s'était heurté à une telle résistance de la part de sa femme qu'il avait dû s'incliner, il venait justement
t les espérances illusoires de ces malades. Je sais une malheureuse femme à la cervelle dérangée qui s'en fut trou- ver t
il l'arracheur.... « Tous' guéris ! les jeunes comme les vieux, les femmes comme les hommes, ceux qui souffrent le martyre
t son tour d'opération. Ils sont ta, une demi-douzaine, hommes ou femmes ; une vieille entre autres, grimpée sur une cha
à la pensée qu'enfin elle va trouver la guérison. Plus au fond, une femme soutenant un homme titubant, s'achemine vers l'
assis sur un tonneau fait les frais de l'orchestre. Un homme et une femme du commun exécutent une gigue pesante, balançan
, de pots et d'instruments terribles, la foule se presse, hommes et femmes , émus, inquiets, ébahis, bientôt tous convain-
le sens de ces inscriptions. 86 HENRY MEIGE - Venez, hommes et femmes , venez tous, Et faites-tous extirper III pierre
jours occupé de ces pierres ; or, je n'ai jamais rencontré homme ni femme qui n'aient une pierre dans leur corps. Retenon
tté M. Obreen. Vous, gens de Mallegem, soyez bien d'accord : Moi, femme Hexe (sorcière) je veux être aimée de vous ; Po
ambin, paysan à l'esprit peu délié qui sou- tient dans ses bras une femme , Truytie (Gertrude) Roelen. Truytie Roelen hees
» . Morand ajoute : « Cela a fait arrêter, et mettre en prison deux femmes qu'on soupçonne d'être sorcières. » Le sortil
ù l'on voit un moine occupé à fustiger de la belle façon une pauvre femme il genoux, les mains jointes. La gravure est de
bservation (résumée). - DEVIC et COURMONT, Revue de médecine, 1867. Femme de 46 ans, ménagère. Entrée il l'hôpital le 6 aoû
revenir. Observation (résumée) : - Mensinga, Thèse de Kiel, 1897. Femme âgée de 50 ans, sans antécédents héréditaires, ni
jamais eu la syphilis ; il n'a jamais fait d'excès de boisson ou de femmes . .. En 1848, il reçut au sourcil gauche un coup
t resta sta- tionnaire jusqu'en 1880. A cette date Bad... perdit sa femme et son enfant et fut très alfecté par leur mort
altérées encore. Observation IL - (Pitres et Vaillard.) SOMMAIRE. Femme 66 ans. Syphilis probable. A 41 ans, luxation spo
ALES DANS LE TABES 135 Observation IV. - (Personnelle). SOMMAIRE. Femme , SI ans. Pas de détail sur son hérédité. Dès l'âg
84. Voici les notes qui ont été prises cette époque sur son état. Femme robuste, bien faite, aux yeux noirs et vifs. At
, avec beaucoup de sincérité, qu'il n'a jamais eu aucune maladie de femme . Il nous raconte que, sans aucune raison appare
rigine syphilitique (Neiv-York med. journal, p. 1, juillet 1890). Femme de 40 ans, atteinte de syphilis en 1880 ; deux an
utres influences pathogènes dont nous avons à tenir compte... Cette femme a présenté une albuminurie très intense ce qui
ntéressant de rapporter brièvement ce cas clinique. Il s'agit d'une femme de soixante-trois ans d'une santé normale d'ail-
nes. Réglée de onze ans jusqu'à sa cinquante-troisième année, cette femme souffrait dans son membre malade à chaque époqu
i- nique de la Salpêtrière. Les antécédents héréditaires de cette femme sont peu instructifs. Sa mère aurait souffert d
dont elle est atteinte elle-même. En résumé nous avons observé une femme qui depuis sa naissance pré- sente une ectasie
ulaire est congénitale. De quelle maladie peut-il s'agir chez cette femme ? Il est évident qu'il ne s'agit pas chez notre
. le Dr Chauffard, que je suppléais pendant t les vacances. Cette femme souffrait depuis une dizaine de jours de céphalée
omnie continuelle. Lorsqu'elle s'endormait elle voyait toujours une femme me- naçante s'approcher d'elle, elle se réveill
et décrits chez les arthritiques. On les rencontre surtout chez la femme (1G fois sur 20 cas pour Potain, 3 fois sur 4 c
ation fort intéressante de lipome sus-claviculaire survenu chez une femme de 27 ans. L'aspect clinique était celui d'un vol
plus remarquable que les lipomes vrais sont plus fréquents chez les femmes . Les lipomes symétriques diffus ont été rencont
. Les lipomes symétriques diffus ont été rencontrés parfois chez la femme (Mathieu, Dartignolles, Boucher, von Waal, Lang
téristique du cou. Koenig dit également l'avoir ob- servée chez une femme d'une trentaine d'années. La maladie débute tou
ment chez les hommes, et ceux-ci semblent moins prédisposés que les femmes aux maladies du corps thyroïde. Enfin l'affection
ntiste l'opérateur et l'opéré se tiennent debout, accompagnés d'une femme . L'arracheur de dents est de martiale allure :
t attaque sans faiblir la mâchoire endommagée. Que vient faire la femme qui se tient par derrière ? Rien de bon, du moi
folé par la douleur, ne s'aperçoit pas que, derrière lui, une jeune femme est en train de vider son escarcelle de l'air l
à mal tourner pour le peu délicat opérateur. Car un homme et une femme , assis non loin de là et qui semblaient absorbé
ce temps. (1) De l'autre côté de la table du charlatan, une vieille femme est assise, le front en- touré d'un linge et te
érie, intitulée Le Médecin,représente un doc- teur assis près d'une femme et tenant à la main une sorte de récipient à médi
e « sortir » jusqu'au moment où il le comprenait brusquement. Si sa femme lui disait par exemple : « prends ton chapeau il
t longtemps il urina dans son lit. Il ne pouvait pas reconnaître sa femme ni ses anciens camarades et il lui était égalem
mémoire, mais il semble dû, en partie du moins, à l'habitude que sa femme a prise de lui raconter le passé et de lui rapp
u'il n'avait pas le droit d'y rester et incitait éner- giquement sa femme à déménager, de peur d'avoir des ennuis en y deme
e Bordeaux depuis une trentaine d'années et y a exercé le métier de femme de peine et de ferrailleuse. Elle est placée à
alvéo- laires. A cette époque et depuis quelque temps déjà cette femme subissait de nom- breuses privations, se livrai
. - Face. - Le 2 février 1900, nous nous trouvons en présence d'une femme qui est obligée de rester au lit à cause de l'imp
absolument rien de particulier à noter. Appareil génital. - Cette femme , qui n'est plus réglée depuis deux ans, a encor
précision ; la voix est claire, assez forte, un peu nasonnée. Cette femme a conservé toute sa luci- dité d'esprit ; elle
, à l'occasion d'une simple tentative d'avulsion dentaire, chez une femme atteinte de tabes, une véritable fracture que l'o
- mal. Observation VIII. - (Musée de la Salpêtrière.) SOMMAIRE. Femme tabétique. Scoliose dorsale inférieure, lombair
re). 274 JEAN ABADIE Observation IX. - (Personnelle.) SOMMAIRE. Femme , 45 ans. Pas de trace de syphilis. A 28 ans, priv
égulier. Il se marie à trente-deux ans. Un an après son mariage, sa femme accouche d'une fille qui a dix-huit ans aujourd
fille qui a dix-huit ans aujourd'hui et qui est en parfaite santé. Sa femme n'a jamais fait de fausses couches. Il jouit
strabisme. Depuis cinq ans, il est obligé de s'accroupir comme les femmes pour uriner : il ne peut pas uriner debout. L
ois de toutes sortes de boissons. Il s'est marié à trente ans. Sa femme a toujours été bien portante. Elle n'a pas eu d
ndant de jour en jour, progressivement et toujours insidieusement. Sa femme elle-inème s'en aperçut et lui fit remarquer so
avec un lorgnon la mâchoire de l'opéré ; derrière lui, une vieille femme suit d'un air quelque peu méprisant les péripét
france. Quatre personnages, à gauche, deux hommes âgés, une vieille femme et un jeune garçon contemplent l'extraction ave
de la marche ou de l'équilibre. Il n'a eu qu'un enfant mort-né, sa femme n'a pas fait d'autre fausse cou- l'atrophie OLI
is ans auparavant : à cette époque il dut en effet se séparer de sa femme à cause de son inconduite. Il en ressentit une
graphies, dont lune représentait un infantile Lorain et l'autre une femme adulte myxoedéma- teuse franche, fait ressortir
hoire inférieure, à peu de chose près, ne vaut guère mieux. Cette femme est toujours constipée et est de plus sujette à d
lle paraît en avoir au moins lui-5. Les traits sont fatigués. Cette femme est littérale- ment épuisée. Les paupières supé
nence d'urine chez les xiii '27 414 nrERTOGUE infantiles. Cette femme a uriné au lit jusqu'à sa 13° année et elle n'a é
éces- saire pour supporter son martyre. Derrière lui. une vieille femme , capuchonnée de blanc, les mains croi- sées sou
n geste réflexe et sa mimique angoissée. Derrière le patient, une femme avec une coiffe noire, l'encourage à la résigna
ire composé par l'opérateur et l'opéré, il s'y trouvait une vieille femme préparant un bassin. Au fond, adroite, entrait
scènes de chirurgie rustique représentées par Teniers : la vieille femme , les mains croisées sous son tablier, regardant l
atient qui l'ont accompagné pour cette douloureuse intervention. Sa femme est là, près de lui, il genoux, croisant les ma
re. Le beau sexe n'est pas oublié dans celte gravure satirique. Les femmes entourent et serrent de près la table où le cha
ut est de guérir ceux qui sont atteints de la passion du tahac. Les femmes même qui se livrent à cet excès ne pourront en êt
périodique, il est continuel. Les jeunes gens, les vieillards, les femmes mêmes en sont atteints. Les femmes enceintes, les
jeunes gens, les vieillards, les femmes mêmes en sont atteints. Les femmes enceintes, les jeunes filles ont cet appétit dé
reliquioe. Hoc qui pertineat, dicet qui me noverit. . (La vieille femme et l'amphore.) Mon homme en rit, et me dit qu'e
effet sa tabatière lui était aussi pré- cieuse que pour la vieille femme l'amphore brisée. L'herbe de Nicot règne actuel
nt les \eux et les esprits des jeunes filles plus que leur nez. Les femmes n'ont eu garde d'éviter cette manie. 0 inconstanc
ut en vain. Autre aventure : J'entrai dernièrement chez Faustine, femme du monde élégant el de conversation très agréab
usage Tous les hommes ont l'appétit et l'art de le prendre Et les femmes mêmes n'ont pas celui de se deffendre. Mais que
et galant homme, comme disent les Français. Mais interrogeons les femmes . Quels prétextes vont-elles nous fournir ? Quel
Quoi ? ignorez-vous à ce point les usages, les coutumes. Toutes les femmes ont leur précieuse tabatière et vous voudriez m
n priver ? Mais, lui répond notre auteur, il n'appartient point aux femmes de se mêler des affaires des hommes. Et parap
bat en re- traite ne voulant pas engager la partie avec une vieille femme , qud nihil nasutius maligniusque, dit-il. Nes
Cohausen interdit le tabac, aux jeunes gens, aux vieillards et aux femmes . Les jeunes gens imitent volontiers les adultes
ourront se servir du tabac, mais avec prudence. Mais nous voici aux femmes . A tous les dieux et déesses que l'antiquité no
le qui règle les coutumes et les usages et voici ce qu'elle dit aux femmes de notre temps, . « De prendre du tabac, ce n'e
s de fort bon goût, vous êtes bien avisées. » C'est la mode ! Donc, femmes et filles prenez la précieuse poudre. El- les s
ne m'inquiéterais jamais de rien. » Quel monstre qu'une . pareille femme , s'écrie notre auteur ! Comment l'esprit peut-il
de qualités, ajoute-t-il, est pire que celles des autres. » ' Une femme qui fume ainsi contre toute nécessité, qui rempli
enant du tabac au nez. Si vous êtes sages, gardez vos5tres. » Les femmes dépensent une quantité considérable de tabac. Cha
et elle le re- merciait comme s'il lui avait rapporté un trésor. 0 femme insensée ! Et Cohausen fait dialoguer ici en fr
plus grands hommes Et c'est aussi mon grand désir. . Si bien aux femmes que filles elle plaît fort, Je meure si je ne s
fumée Et c'est aussi la vérité, Que se conforment à l'usage Des femmes de ce pals-ci Si bien dans les villes que villa
sses; les paysans, les cita - dins, les jeunes filles, les vieilles femmes , tous fument. N'est-ce pas une femme d'ailleurs
s jeunes filles, les vieilles femmes, tous fument. N'est-ce pas une femme d'ailleurs qui a donné son nom à l'herbe de Nic
ève avec chaleur contre une passion aussi détestable. Il montre aux femmes que le tabac qu'on peut à peine pardonner aux hom
à leur baleine une odeur détestable. De quels charmes se prive une femme qui ne craint pas de fumer ? Que les femmes qui
els charmes se prive une femme qui ne craint pas de fumer ? Que les femmes qui veulent rester belles et dignes du renom de l
iennent d'une telle peste ! Qu'elles laissent le tabac aux vieilles femmes bavardes et aux commè- res. Plaisir d'ailleur
s éloges. Les priseurs furent certainement moins enthousiastes, les femmes sur- tout publiquement l'aillées durent fairent
envoyé et il raconte bientôt à Apollon qu'une troupe d'hommes et de femmes munis de tabatières sont là qui demandent jus-
n allemand qui a osé tourner leur nez en ridicule, et se moquer des femmes et des jeunes filles. Son livre perfide est répan
puni, et que le libraire lui-même reçoive un juste châtiment. Les femmes plus excitées encore, veulent faire un bûcher des
ite les ex- plications du médecin. Du nez entr'ouvert d'une vieille femme s'est échappé un ascaride vivant, et Dietetus d
PicoNasi avait soulevé contre lui beaucoup de colè- res et que les femmes en particulier ne le ménageaient guère. Sans do
ampsie en bas âge. un second, bien portant, actuellement soldat. Sa femme a fait ensuite une fausse couche de trois mois,
observations utilisables nous avons rencontré neuf hommes et quatre femmes . Leur âge variait de trente-cinq à soixante-six
ues mois après Observation XXXV. VIGNARD, 1899. Il s'agit d'une femme de 71 ans qui reçut il y a 4 ans une lourde caiss
dries BOTH. 560' HENRY MEIGE .' - 'A gauche, une'affreuse vieille femme aux mâchoires de sanglier, en-1 tourée d'enfant
un panier de légumes sur la tête, s'apprête à partir ; une vieille femme encapuchon- née, s'avance au contraire, la main
i donne entre autres caractères celui d'être plus fréquent chez les femmes et, au point de vue héréditaire, de se trouver
histoire d'une affection rare. OBs. Il La nommée P... (Virginie), femme B..., âgée de 38 ans, entre dans le service des
prime très couramment et son intelligence est parfaite. A l'examen, femme de petite taille, de corpulence forte, à figure p
és. Les mains et les doigts, les membres supérieurs sont ceux d'une femme grasse, sans déformations ; les doigts frappent p
es. , La peau du ventre est souple, molle, la paroi est celle d'une femme grasse, sans dureté ; pas de pseudo-hernie ombi
temps dont nous dispo- sions. Cas. II. La nommée D... (Annette), femme P..., âgée de 55 ans, est la mère de la précéde
a tête d'une main et de l'autre lui arrache une dent. Derrière, une femme , émue, fait un geste de prière. 1 Le décor es
moi-même), dit-il, m'ayant fait mettre une syringue, faite pour les femmes , dans le nez jusqu'au gosier, où je n'ay rien sen
de ce prélude opératoire, l'artiste nous mon- tre aussi une vieille femme qui suit les péripéties de l'examen avec une mi
« A droite de ce groupe, et toujours derrière la table, une vieille femme saisit avec la main gauche la main droite du ma
immense un cerceau à la main, s'arrête, comme pétrifié. Une veille femme , un pa- nier au bras, croise les mains dans un
est perché un oiseau, hibou ou perroquet. La victime, une vieille femme , s'affaise sur le fauteuil opératoire ap- puyan
oton, de grosses besicles sur le nez, examine les dents d'une jeune femme en robe rose et châle blanc. A droite, un médec
de son teint. Jean Steen, qui s'entendait à médicamenter les jolies femmes , n'oublie jamais de poser un de ces topiques av
71 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Lavages réitérés. Rires et pleurs involontaires; coprolalie. P..., femme L..., âgée de cinquante ans entre à l'asile clini
ion, elle prétend qu'on mêle à ses aliments des flueurs blanches de femme et que la nuit, pendant son sommeil, on se livr
grand soin de ne pas se découvrir, et demande avec inquiétude à sa femme de chambre si elle n'a pas aperçu ses mollets o
se transmet au nerf optique, on lui met dans le nez des visions de femmes . Il en était parfois* très ému, et on l'entenda
n était parfois* très ému, et on l'entendait crier : « Encore cette femme qui vient dans mon nez 1 D Pour diminuer ces
rovoquaient l'érection, c'est là sans doute la cause des visions de femmes à la suite d'une sensation olfactive favorable
eurs sur l'appareil génital et le réveil simultané de l'image de la femme ; la représentation visuelle surgit avec la repr
le mot « pu- tain » lui vient sur les lèvres quand il rencontre une femme et particulièrement une personne respectable. I
pas été gradé. Marié deux fois, il a été malheureux avec sa seconde femme et en était séparé depuis deux ans. Il est deve
ogie de l'esprit, p. 235.) DE L'ONOMATOMANIE. 17 La malade M... femme H... dont nous allons ré- sumer l'obervation es
coliques alternant avec du délire alcoolique. Copro- lalie. M..., femme H..., âgée de cinquante-deux ans, entre à l'asile
qui se sont produits au commencement ou au cours de la maladie, la femme du malade prononce le mot crises. D'après l'inter
us ou moins reculée. Ainsi, j'ai vu amener à l'hôpital du Havre une femme qui avait eu un accident de ce genre. A la suit
bre. (Je vous rappelle pour nous en servir tout à l'heure que cette femme était à ce moment anesthésique totale et avait
en est encore de même pour les amnésies si curieuses de cette jeune femme G... qui semble avoir totalement oublié la lang
ourquoi est-ce que je me figure une chose pareille, quand la pauvre femme se déclare si malheu- reuse et prétend qu'il lu
n'avais retrouvé aucune mé- moire de cette longue période '. Cette femme présentait, comme cela arrive fréquemment chez
sur la grande hystérie, 1885, p. 707, mais il l'a constaté sur une femme qui n'était acliromatopsique que d'un oeil, ce qu
itaux Eugène L.... trente-trois ans, employé, se présente avec sa femme , le 14 janvier 1891, à la consultation externe de
n homme sobre et nulle- ment nerveux. Sa mère vit encore; c'est une femme d'humeur changeante, bizarre, originale, « un .
e au sort et est dispensé du service mili- taire comme fils aîné de femme veuve. 1 A vingt-cinq ans, il quitte la reliure
ade Début de la DIPSOMANIE. Ce début est difficile à préciser. Sa femme déclare avoir remarqué, quinze jours après son ma
e maison. Dans ces périodes de crises dipsomaniques, il est, dit sa femme , tout changé. Le soir, quand il rentre, il est
quand il rentre, il est taciturne, indifférent, ne regardant ni sa femme ni son enfant qu'il adore en temps nor- mal. En
dérangée ». il est assommant et trouve à redire à tout D, ajoute sa femme ; quand on lui demande ce qu'il a, il dit simple
peut plus raison- nable, en un mot. - - Depuis quelque temps, sa femme croyant supprimer ces excès lui avait supprimé
supprimé tout argent. Mais il a continué et a bu alors à crédit. Sa femme a dû payer des notes chez tous les marchands de
e jours. Durant ces dix jours, il a bu plus que d'ordinaire, dit sa femme , car il était beaucoup plus hébété que d'habitu
après son départ, qu'il est rentré chez lui. Il était, raconte sa femme , dans un état lamentable, les vête- ments sales
ous ses membres et suffoquait, incapable de proférer une parole. Sa femme a essayé de le calmer, et lui a fait boire un p
eurant. « J'aurais bien voulu me tuer, dit-il, mais j'ai pensé à ma femme et à mon enfant. » Il s'est couché ; le lendema
'est un homme d'une émotivité excessive : « Pour un homme, dit sa femme , il pleure facilement. » Ainsi la lecture seule d
du champ visuel d'indi- vidus normaux, de criminels d'occasion, de femmes hystériques, de neu- rasthéniques, de pellagreu
; par Kart- SAKOFF ET SERi3sKi. (Archiv. f. Psychiat., XXIII, 1.) Femme jeune, indemne d'alcoolisme; grossesse extra-utér
n sédatif et un hypnotique recommandable, très rarement nul chez la femme aliénée. Mais ne dépassez jamais la dose de 0,0
albl , 1890.) Tremblement essentiel (jusqu'à nouvel ordre) chez une femme de vingt-six ans, que l'on retrouve dans la gén
ompagnaient de terreurs. Le malade se voyait entouré d'hommes et de femmes qui venaient accomplir sur son lit des actes ob
cure, cela va de soi, du sort de son pupille. Je me souviens d'une femme atteinte de folie systématique qui, renvoyée de
sse de retour; ils se marient. Or, tous deux étaient, l'homme et la femme , incapables, interdits, irresponsables. Et cepe
; on leur délivra toutes les pièces néces- saires, le tuteur de la femme ayant dit, sans plus de difficultés, qu'il s'en
9, la syphilis chez les hommes russes était quatre fois et chez les femmes russes neuf fois plus fréquente que chez les ho
z les femmes russes neuf fois plus fréquente que chez les hommes et femmes juifs. Pareillement, le tabès et la paralysie g
r les soins du co- mité de direction aux patronnés, tant hommes que femmes et enfants. ART. 14. Le garde-magasin est cha
Ford continue ainsi : « Une telle association (comme celle pour les femmes ) devrait également exister pour les hommes, car
hargés de gros travaux. ' B. SUICIDE D'UNE aliénée. Une vieille femme pensionnaire de l'hospice, s'est donné la mort
- Grande fut sa stupéfaction en apercevant le corps de la vieille femme , suspendu à un fort câble de deux centimètres de
ti hier de l'hospice d'aliénés de Ville-Evrard, a tué, ce matin, sa femme à coups de couteau, dans un accès de folie furi
professeur, sortaient de l'école communale, rue Etienne-Marcel, une femme se dressait devant ' eux, et, bran- dissant un
n a pu tout aussitôt regagner son domicile, 50, rue de Bretagne. La femme qui avait tiré sur lui arrêtée aussitôt, fut co
t esprit d'humanité et que nous croyons utile de reproduire. Neuf femmes ont été réintégrées après sortie par guérison ou
xcepté dans les cas où il y a une irritation locale bien nette. Les femmes égyptiennes sont clitori- dectomisés dans l'enf
motif apparent toute relation sexuelle; il continue montrer à sa femme , la plus vive affection. Ils vivent dans un gra
accès de délire mélancolique ; accidents hystériques. P...(Adèle), femme V..., entre à Sainte-Anne le 31 octobre 1891. S
sodiques parmi lesquels la crainte du mot compromettant. Chez une femme de soixante-trois ans, dont nous DE L'oN0fA1'OS
ser maintenant. II Toutes nos expériences ont été faites chez des femmes adultes dans le service de l'un de nous à la Sa
ué sans aucun trouble visuel. Il peut encore arriver, chez quelques femmes qui souffrent de migraine à l'époque des règles
s mois, toutes les semaines ou tous les jours, comme chez certaines femmes pendant leurs règles. l'amblyopie transitoire.
re. Il donne à l'appui un fait concluant. «Il concerne, dit-il, une femme nommée Farnier, observée à la Salpétrière dans
te ; le sillon naso-labial gauche est beaucoup plus relevé. Mais la femme du malade prétend avoir toujours vu ainsi la fa
ours vu ainsi la face de son mari ; celui-ci approuve le dire de sa femme et déclare que c'est de nais- sance. Le diagn
phique; par P. KnoNTDAL. (Neurol. Centralbl., 1891.) Le malade (une femme ) avait vécu plusieurs années en proie à cette a
QUES; par M. KOEPPEN. (Archiv f. Psychiat., XXII, 3.) Chez quatre femmes grosses, l'auteur a observé des manifesta- lion
jorité des observations recueillies jusqu'à présent ont trait à des femmes , la mélancolie est du reste plus fréquente chez
ait à des femmes, la mélancolie est du reste plus fréquente chez la femme que chez l'homme; il est aussi à remarquer que
organique et les séniles sont au nombre de 766 : 385 hommes et 381 femmes , le cinquième environ des en- trées. La plupart
urnée proposé d'abord, 1 fr. 10 pour les hommes et 1 franc pour les femmes , a été trouvé trop faible, on l'a élevé à 1 fr.
as, sinon tout à fait semblable, au moins com- parable, celui d'une femme qui, après une période d'accidents neurasthéniq
ois du rejet des aliments. La troisième observation est celle d'une femme atteinte de cancer du pylore avec dilatation se
tieuse avec hypothermie survenue à la suite de l'influenza chez une femme indemne de tout antécédent héréditaire. M. DENY
succès a été obtenu dans 75 p. 100 des cas, principalement chez les femmes excitées. Il est même possible, lorsque l'injec
ager de dépression. M. Marie (d'Évreux) lit une observation d'une femme aliénée hys- térique, anorexique, qu'on aliment
d'avril et mai 1890, le Dr Louis Bauër rapporte le cas d'une jeune femme sur laquelle il a pratiqué la craniotomie pour
galement honneur à l'élève et au maitre. Paul BLOCQ. VARIA. LES Femmes médecins ET LES Asiles d'aliénés DE l'État. On
étendre qu'il n'exerçait pas la médecine. L'une de ses clientes, la femme N..., est devenue folle à la suite des passes q
it au poste de l'Opéra : Arrêtez-moi, dit-il, je viens de tuer ma femme ..., son cadavre est chez moi, rue Houdon, à Montm
, Doute. Chez une dégénérée syndromique de trente-deux ans, W..., femme M..., entrée le 27 mars 1890 à l'asile Sainte-Ann
intervenir comme constatation concluante d'un acte accompli. Cette femme , ménagère laborieuse, éprouvait le besoin d'êtr
Examen objectif (pratiqué le 1°r avril 1892). -Mme Gi... est une femme de taille moyenne, bien conformée. Elle a des mus
sante conférence de M. le professeur Charcot. Il s'agit d'une jeune femme , laquelle après une violente émotion morale, pr
ladie dans G... c'est vrai que Loewen- feld 2 rapporte le cas d'une femme de trente-quatre ans chez laquelle- pendant six
l lui est arrivé. Cha... depuis douze ans fait vie commune avec une femme pour laquelle il a beaucoup d'affection. Voici
eux sont maladifs, ils présentent des engorgements glandulaires. Sa femme est sujette au moins une fois par mois à des cr
omplètement. Il devint triste, taciturne, brutal jusqu'à frapper sa femme . Il y a deux ans, il eut une première attaque d
ire qui se rencontrent chez les goutteux, les hémor- roïdaires, les femmes enceintes, les anémiques, et même chez des pers
débattre en les appelant; c'est un peu abusif vous l'avouerez. Une femme , dont je vous parlais dernière- Archives, t. XX
de machine, il rentre avec une paralysie hystérique du bras. Une femme , nous raconte M. Gilles de la Tourette, donne une
a été appelé l'hystérie mas- culine, mais qui existe aussi chez la femme . Au fond, ces deux types reviennent à peu près
bocks dans l'intervalle ! 11 a toujours fait un usage immodéré des femmes et attribue même à des excès génésiques la maladi
(1861886),. cet asile a reçu 107 incendiaires, dont 99 hommes et 8 femmes , soit 7,5 p. 100 pour les homme», et 2 p. 100 p
et 8 femmes, soit 7,5 p. 100 pour les homme», et 2 p. 100 pour les femmes du nombre total des aliénés criminels internés
façon suivante : imbécillité congénitale : 36 (dont 35 hommes et 1 femme ); épilepsie con- génitale : 4 (tous du sexe mas
aiguë (généralement d'origine alcoo- lique) : 6 (dont 5 hommes et 1 femme ) ; - manie récurrente : 4 (tous du sexe masculi
(tous du sexe masculin); manie chronique : 7 (dont 6 hommes et 1 femme ); mélancolie : 21 (dont 17 hommes et 4 femmes);
7 (dont 6 hommes et 1 femme); mélancolie : 21 (dont 17 hommes et 4 femmes ); monomanie : 9 (dont 8 hommes et 1 femme); dém
21 (dont 17 hommes et 4 femmes); monomanie : 9 (dont 8 hommes et 1 femme ); démence : 10 (tous du sexe masculin). R. M. C
cas de suggeslion étrange. L'une est particulièrement typique. Une femme qui, depuis quatorze ans, vivait en parfaite in
la voisine lui apparaît, et, bien qu'elle parle exactement comme sa femme , il frappe à tour de bras. Quand sa femme est c
parle exactement comme sa femme, il frappe à tour de bras. Quand sa femme est calmée, elle lui semble reprendre sa forme
logiques, octobre 91.) E. B. II. L'iIYOSCINE COMME SÉDATIF CHEZ LES FEMMES AFFECTÉES DE psychopathies chroniques, parNOECK
ifs avec mouvements par obsession. M. Roubinovitch. Il s'agit d'une femme entachée de dégénérescence héréditaire grave :
le tabès existe combiné à l'atrophie musculaire. - Il s'agit d'une femme de cinquante-deux ans, atteinte il y a sept ans
ion du sens génital, puisqu'il éprouve encore du pen- chant pour la femme . M. Senator". La loi défend-elle l'accouplement
t pour la femme. M. Senator". La loi défend-elle l'accouplement des femmes entre elles ? SOCIÉTÉS SAVANTES. 503 M. LEw
et l'on préfère, par mesure d'hygiène, s'abstenir d'aller avec des femmes . Ceci ne s'observe jamais dans l'inversion géni
M. Lombroso a en- voyé au congrès une étude sur la sensibilité des femmes , normales, aliénées et criminelles, le D'' Gold
et nourris à l'asile. Il y a trois in- ternes à l'asile Saint-Yon ( femmes ), et deux à l'asile Quatre- Mares (hommes). Eta
ions cérébrales, par Fer- rier, 238. Magnétisme, 365. Médecins, femmes américaines, 361 ; - d'asiles à la Nouvelle-Zél
72 (1849) Journal du magnétisme [Tome VIII]
té avec deux autres personnes dans la chambre du malade; Mme Ader, la femme du notaire, avait déjà donné le linceul pour l’en
es traitements qu’il a faits dans le courant de 1848. Ce sont : « Femme de soixante ans, rhumatisme nerveux au pied droit
le, en ce qu’elle a été faite seulement avec l’eau magnétisée.... « Femme de trente-deux ans, douleurs à l’épigas-tre depui
s, cessation des douleurs, facilité dans la marche, sans bâton... « Femme de vingt-quatre ans, par suite de frayeur, depuis
e l’œil droit, par suite vue obscurcie; une séance, guérison. « Une femme de quaranlc-einq ans, suffocation à la poitrine,
citer un cas assez remarquable do l’emploi de l’eau magnétisée. Une femme de quatre-vingts ans, qui a habituellement joui d
r à la santé est parfait. » « P. S. Je viens de voir à l’instant la femme de trente-deux ans, affectée de douleurs à l’épig
i, mais la forme ne nous en paraît pas heureuse. Pourquoi une main de femme ? Celle de l’homme, qui représente la force, n’eût
uivante des guérisons qu’il a obtenues en i8'|8 : «Pauline Bernard, femme Bertain, âgée de vingt-cinq ans, était atteinte d
lle suivait les conseils d’un médecin qui pensait que le mal de celte femme venait d’un amas de sang fixé au côté gauche, car
ement bien. « Elle demeure à Plancy-sur-Aube. « Joséphine Joigny, femme Levêque, atteinte de maux d’estomac depuis plus d
i cela me plaisait. 5° Tiiini'itr caru/titftiieute. 9.1) mars. La femme Hurlo, paysanne de vingt-cinq ans, est venue de C
neaux; il commença par une excroissance semblable à une verrue. Cette femme jouit d’une très-bonne santé. Elle est un exemple
on et sans exciter le plus léger tremblement dans tout le corps de la femme , ni la plus légère contraction sur ses traits. En
entraneé aussitôt qu’à l’ordinaire. A midi, tant que j’examinai la femme Huro, qui était dans la même salle, il fut agité
; une demi-heure la salle avait l’air d’une foire. Ayant fini avec la femme Huro, j’examinai encore Sonatum, et je le jugeai
son pouvoir d’attraction et par la vertu de l’électro-magnétisme. Une femme du village, esprit-fort de l’endroit, se présente
en empereur, égaré dans une forêt, entra dans une cabane d’une pauvre femme et lui demanda si elle n’avait pas quelqu’un pour
edford ayant vu un ulcère qui envahissait toute la tempe droite d’une femme , le couvrit d’acide muriatique pendant que la mal
demanda la permission de toucher le mal avec l’acide, pendant que la femme était dans son état naturel. Quoi que je pusse pe
a l’ulcère avec le bout d’un bouchon de cristal humecté d’acide. La femme s’écria presque immédiatement que sa tête était e
habite les montagnes du Liban, nous écrit qu’il y a dans ce pays des femmes druses qui exercent une sorte; de divination en s
par M. delaRivoire, curé de Fontenay-sous-Vincennes, qui a connu une femme paralysée d’un bras ; elle habitua un jeune chien
alades. a Rien n’est plus commun, dit Cohauscn (4), que de voir une femme sur l’âge redevenir non seulement plus leste et p
i nous nous en rapportons aux détails qu’il nous donne), une ancienne femme de charge d’un médecin célèbre, que l’on connaiss
n et d’une vie bien réglée, qui ont persisté à reposer auprès de leur femme pendant les ravages de cette affreuse maladie; il
une étroite intimité, et à plusieurs années d’intervalle , avec deux femmes qui moururent des suites d’une affection tubercul
ante à faire, c’est que, pendant le cours de l’épidémie, la santé des femmes se trouve plus ou moins dérangée dans leurs fonct
ne m’a paru plus vive que celle exprimée par les traits de l’heureuse femme . Naguère, en entrant, conduite par son mari, son
dura quatre ou cinq minutes. Il n’avait aucun souvenir. I ne jeune femme est bientôt attirée; saisie des mêmes terreurs à
résent ; mais il soigne des affections de poitrine et des maladies de femmes , rebelles jusque-là aux moyens méthodiques employ
e, avait quelque chose de surhumain. Un autre encore voit une jeune femme ; il l’examine en silence, d’abord; puis s’impatie
tourne, se penche, et paraît contrarié; mais le pied de la charmante femme apparue ne peut être aperçu , au grand déplaisir
qu'aujourd’hui il est sauvé. LORI.NET BAÜDAIN, rue du Sauvage, 7. Femme GIBLAT, mòre de l’enfant. TANQUERY, à Troyes.
LOT, ft Troyes. REVERET DUPONT, à Troycs. CH AMPION, ft Troycs. Femme RENVOYÉ, ft Troycs. MARTELET, ft Troycs. Coll
ET, ft Troycs. Collin BAÜDAIN, grand-père de l’enfant, ft Troycs. Femme MARESSE, à Troycs, rue de la Grande Tannerie, 86.
père. MOLLOT, conseiller municipal de Chablis. N0D10T-BARBETTE. Femme N0D10T-BARBETTE. «Moi, guéri par M. de Rovère,
ice en est réduite, comme le public, à des conjectures. On dit qu’une femme qui aurait quitté le pays, avait menacé ces gens,
, le malade s’y oppose. « Que diable, lui dis-je, vous n’êtes pas une femme ! » Je le découvre de force, et j’aperçois une tum
he aux malades, le cercle vivant se mettait à frémir. La plupart, les femmes surtout, éprouvaient des spasmes nerveux, des suf
bien souvent, les transports eurent le caractère de la frénésie. Des femmes y furent aperçues se roulant sur un parquet de co
ntements. D’un cœur avide et l’imagination ébranlée par le désir, les femmes coururent s’asseoir en foule au drame de l’existe
consistait principalement dans son droit de soigner les maladies des femmes , dans sa faculté el ses talents comme sage-femme,
des Préjugés, p. Î71. un petit village de Mottel, une bonne vieille femme , bien dévote , paralysée de tous ses membres, au
s l’observation suivante, dont nous avons été témoin (2). Une jeune femme , d’une constitution très-nerveuse, atteinte d'une
de la médecine. Il a existé, dans tous les temps, des hommes ou des femmes qui passaient pour guérir les maladies par les at
mains; enfin, que saint Martin fit passer un flux de ventre chez une femme , par le contact de son habit. Grégoire, surnomm
démies les plus anciennes dont l’histoire fasse mention est celle des femmes argiennes, qui se croyaient changées en vaches, e
sion des nonains, au xve siècle, envahit presque tous les couvents de femmes en Allemagne , et s’étendit jusqu’en Hollande.
1), rien de plus horrible que l’infernal rassemblement de huit jeunes femmes s’exerçant ainsi en secret à la plus épouvantable
Grégoire, au i" Dialogue , qu’il y eut un prestre, le quel voyant une femme saisie du diable, il print une estole et la mist
ant une femme saisie du diable, il print une estole et la mist sur la femme ; soudain le diable sc saisit du prestre, et quit
t sur la femme ; soudain le diable sc saisit du prestre, et quitta la femme . » Ces accidents devaient être assez fréquents;
a sévérité des lois ecclésiastiques pour éviter le scandale : « Une femme affectée d’une violente inflammation des yeux, de
et défendit formellement à la malade d’en prendre connaissance. Cette femme ne tarda pas à se rétablir, et confia ce papier à
he les deux yeux, « et te bouche la place avec de la boue. » Ces deux femmes furent promptement se confesser , el firent pénit
(3) nous fait connaître que l’empereur Valens fit mourir une vieille femme qui avait la réputation de guérir par de simples
ans le cimetière de Saint-Médard pour prier sur son tombeau. Quelques femmes furent atteintes de convulsions, qui devinrent bi
ne lettre fort curieuse qui se rattache au procès de Manning et de sa femme . Cette lettre est datée de Boston, dans le comté
Catherine Frotin, épouse De-lahay, âgée de soixante-neuf ans. Cette femme dont la simplicité de cœur n'était égalée ou surp
, que c’est un devoir pour les amis du magnétisme qui ont connu cette femme , et qui ont pu la comparer à tant d’autres luci
prendre et à le continuer, et vous serez guéri. » Ce qui fut. Cette femme eût pu facilement gagner de l’éclat et de la fort
s, à l’Athénée national, sur l’histoire philosophique et morale de la femme , dans lequel il traitera du magnétisme, qu’il pa
tableau inséré tome V, page 129 de re Journal. succinctement que ma femme était malade depuis les premiers jours d’octobre
commune, vint chez moi. Cette dernière fut épouvantée de voir que ma femme avait de la peine à respirer tant elle était enfl
ant elle était enflée de la tète aux pieds; elle pressa et engagea ma femme et moi à faire prier M. le commandant Laforgue, d
ère néanmoins que lorsque vous lui aurez dit quel est l’état de votre femme et votre triste position, je suis assurée qu’il s
e de venir avec moi dans ma maison, pour donner quelques secours à ma femme . Il me dit à différentes reprises qu’il n’était p
ui, comme il en voyait tant d’autres ; que, néanmoins, attendu que ma femme ne pouvait être transportée à Pau, qu’il allait m
t homme extraordinaire se rendit chez moi, cl, après avoir examiné ma femme , il lui mit sa main droite sur la tête, et, «leux
uver soulagée; il la magnétisa environ demi-heure ; ensuite, comme ma femme était très-altérée, il lui magnétisa une cruche d
scré tion , et d’en faire aussi son bouillon. Je dois observer que ma femme avait, outre son hydropisie, une diarrhée continu
re grand étonnement, qu’après le second verre d’eau magnétisée que ma femme eut bu, sa diarrhée cessa, le sommeil revint, et
ppétit aussi. M. Laforgue continua pendant quatre jours de visiter ma femme . Comme l’enflure avait considérablement diminué.
Comme l’enflure avait considérablement diminué. M. Laforgue assura ma femme que le lendemain elle serait en état de faire la
embre dernier. Elle continue de faire usage d’eau magnétisée. Moi, ma femme et mes enfants, faisons des vœux et des prières j
ction à ceux qui désiraient connaître l'auteur de la guérison de ma femme , lin conséquence, Monsieur le Rédacteur, je vous
nt avec lequel M. de Rovère me prodigue les soins les plus assidus. Femme FESSART-LEJEUNE, rue de la Monnaie, 17. Troyes,
c les frais, à 16,000 fr. Je m’étais réfugié à Aix-les-Bains, où ma femme et mon enfant sont venus me rejoindre et partager
édition , analysant l’ouvrage du docteur Mathieu sur les maladies des femmes , cite de cet auteur un passage favorable au magné
lus belle, la plus admirable, la plus précieuse des qualités de cette femme étonnante, c’est que déjà elle commence à soulage
p plus humble, la reconnaîtraient à peine. D. Vos noms?— R. Marthe, femme de Paul Hardy, employé dans les douanes. D. Vot
u XI, et par la loi du 29 pluviôse an XIII; * En ce qui concerne la femme Hardy; « Attendu que, pour l’escroquerie, les m
bunal condamne Joly à 100 fr. d’amende et aux dépens; « Décharge la femme Hardy de l’action du ministère public. » (Droit
e du Journal, 673. Magnétisme (le) aux monts du Liban. Divination des femmes druses. Somnambules arabes, 149. Magnétisme (Etat
73 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
stoire très intéressante et très instructive de la maladie de cette femme . Puis je vous promènerai en quel- que sorte à t
d'une certitude pres- que absolue. L'affection dont souffre cette femme date déjà de loin ; dans ces derniers temps, so
philis antécédente ; or, dans l'examen que nous avons fait de cette femme , nous n'avons rien relevé qui vienne à l'appui de
er spécialement votre attention. * .. L'état général de cette femme était satisfaisant; l'impotence motrice était p
on que nous nous étions faite de la nature de la ma- ladie de cette femme , avant le début de cette seconde phase qui, je le
grande névrose la totalité du syndrome morbide constaté chez cette femme , nous avons toujours le droit et même le devoir d
que convulsive. Bref, l'hystérie ne peut être incriminée chez cette femme , ni comme cause primordiale des accidents, ni c
aitement avec manifestations cliniques que nous relevons chez cette femme et.avec l'évolution de la maladie. Une seule part
e aux caractères de l'anesthésie. Nous ne constatons pas chez cette femme la forme d'anesthésie qui est habituelle dans les
e, sur les côtés et en avant. Eh bien ! dans le cas actuel, chez la femme qui est devant vous, on peut prévoir l'extension
s ont également diminué de fréquence et d'intensité. Etat actuel. Femme jeune, assez vigoureuse. Ce qui frappe d'abord,
ument stationnaire. En résumé, nous nous trouvons en présence d'une femme jeune, peu vigoureuse, à antécédents héréditair
qui vit et a toujours été bien portante. Notre malade est veuf, sa femme est morte il y a un an de granulie. Ils avaient
un maître d'école qui préside au châtiment d'un de ses élèves ; une femme qui peint, une autre qui joue de la lyre, des con
mé- lange des formes qui appartiennent en propre à l'homme et à la femme est fait conformément à la vérité clinique; les
droite un coin de son voile au-dessus de son épaule est un corps de femme , à la taille fine, aux hanches très larges, aux j
oite, la jambe gauche cou- verte d'une draperie et accompagné d'une femme qui porte un tambou- rin, d'un faune à pieds de
ûte, et d'un vieillard qui pince de la lyre. Gelui-là aussi est une femme à la- (1) Voir les Difformes et les Malades dan
ueteux, qui lient un bâton a la main, est conduit par un chien. Une femme assise lui fait l'aumône. Peut-êlre faut-il y voi
ovalaire à l'une des extrémités. On a trouvé aussi des sondes pour femmes plus cour- tes et avec une seule courbure, semb
cas de lésions disséminées des centres ner- veux observées chez une femme syphilitique. Archives de physiologie, 1873, t. V
ambe gauche est en contracture (probablement un hystérique), et une femme à l'abdomen volumineux qui s'affaisse entre les b
A gauche, un moine tient entre ses deux mains la main droite d'une femme assise à côté de lui. Peut-être est-il occupé à
te, un personnage est étendu inanimé sur un lit derrière lequel une femme , debout soulève une robe de moine. C'est la préci
x assez détériorés. , .. ' Le personnage qui nous intéresse est une femme tombant à la renverse entre les bras d'un homme
ertre verdoyant, un petit groupe est 'formé par plusieurs hommes et femmes entourant un personnage étendu par terre, inani
es. Florence. Trois intéressants croquis du Sodoma représentent une femme dans une altitude mouvementée qui se débat, mai
glise de Santa Maria Novella, il Florence. St Dominique délivre une femme de sept démons. St Dominique prêchant ;i Bome,
e Bronzino, reproduit cet épisode. Au milieu de la composition, une femme soutenue par la taille s'af- faisse, les bras é
est'assis parterre, les jam- bes entourées de linges; à droite une femme , assise également, tient dans ses bras un jeune
de l'hospice au milieu d'un parterre de (leurs. Elle représente une femme presque entièrement nue, dans une pause contors
qui paraissent se rapporter à des types d'aliénés. La figure de la femme est particulièrement bien traitée et il n'est pas
nce), n° m.i2, représente un saint qui impose les mains à une jeune femme possédée. Celle-ci est fortement renversée en arr
la garde nationale.un service peu actif. En 1872. il se marie une femme robuste dont il a six enfants ou fausses cou" 1
cas de lésions disséminées' des centres nerveux observées chez une femme syphilitique. Archives de physiologie, 4813, t. V
ué (et nous l'en remercions) l'observation suivante relative à -une femme de 33 ans atteinte de paraplégie spasmodique depu
topsie. , 1 Nous résumons ce cas intéressant à plus d'un titre. Femme de 22 ans, hérédo-syphilitique, affectée depuis p
oup d'a-- nalogie avec les faits précédents. ., . Il s'agit d'une femme de 20 ans, n'ayant jamais souffert antérieure-
comparée par la malade la gêne détermi- née par la garniture d'une femme qui a ses règles a beaucoup diminué ; de plus e
trice ancienne ou récente. La démarche de la malade est celle d'une femme atteinte de luxation congé- nitale des 2 hanche
anginienne. b) Ankylose articulaire : un cas de Koch, relatif à une femme de 24 ans chez qui une ostéo-arthrite aiguë mél
e; il en était ainsi dans l'observation de Me Cready relative à une femme de 43. ans chez la- quelle, à la suite d'une os
chez son maître sous prétexte que celui-ci ne lui avait pas donné de femme . Cependant, au dire de Priscus (3), qui nous ra
èses d'un naturalisme surprenant. Il y a aussi des nains obèses. La femme du roi de Poun, figurée sur un bas-relief du mu
r, firent combattre dans les cirques contre des veaux ou contre des femmes et sur lesquels nous manquons de renseignements
NAINS ET LES BOSSUS DANS L'ART 179 tient une baguette, et une jeune femme qui bat la mesure avec le doigt. Toute la parti
c ou romain. Une figurine de Kittion (ile de Chypre) représente une femme accrou- pie dont la gibbosité anguleuse est con
la masse sacro-lombaire. La figure 5 (Pl. XXXII) montre une main de femme , la face palmai>, étant tournée en haut. L'h
ale du mouvement est aussi constante chez les hom- mes que chez les femmes , chez les sujets alités que chez les valides. Ell
(Java). La malade, dont nous allons relater l'observation était une femme javanaise, débile et très anémique, âgée enviro
t de développement des fonctions psychiques. Le 30 septembre, celte femme reste au lit, mange peu, remue rarement, ne rép
gres, vivait un tireur de pierres, nommé Jacques Martin, qui, de sa femme Junille Chai- gnet, eut cinq filles. L'une d'
ut si laborieuse que « le chirurgien entraîna avec la malade quatre femmes qui la tenaient ». Ce tour de force de l'opérat
si laborieuse, que le chirur- gien entraînait avec la malade quatre femmes qui la tenaient. Depuis ce moment, elle n'a plu
divers suivant les individus ; elle est notoire chez la plupart des femmes qui, de ce fait, évacuent facilement et spontané-
que, jusqu'aux derniers travaux de l'E- cole de la Salpêtrière, la femme hystérique était considérée par la majo- rité d
t dans une étude sur un cas d'ostéomalacie célèbre (1), celui de la femme Supiot, dont le squelette est conservé au musée
histoire (1) Histoire de la maladie singulière et de l'examen d'une femme devenue en peu de temps contrefaite par un amol
non n'est pas moins significative : Au mois de décembre 1742, une femme malade à l'hôpital de la Salpêtrière, se plaign
' M. Tenon, pour découvrir la supercherie, plaignit beaucoup cette femme , fit même redoubler les soins elles attentions
, sans avoir à aucun mo- ment présenté rien de particulier. Cette femme a toujours été bien portante et il ne nous a pas
ALPÊTRIÈRE loppée, dit le père, à la suite d'une peur. Quant, il la femme du malade, elle n'a rien présenté d'anormal et
l'observation, avaient ce tremblement. Il s'agissait une fois d'une femme tabétique depuis 18 mois, âgée de 49 ans ; une
me tabétique depuis 18 mois, âgée de 49 ans ; une autre fois, d'une femme âgée de 60 ans, tabétique depuis 8 ans. La 3° m
t voir un grand nombre de globules rouges. Dans l'observation de la femme Laisiet publiée par notre maître, le pro- fesse
tion de l3artels (3) que nous étudierons plus loin, il s'agit d'une femme de 22 ans hérédo-syphi- li tique qui eut une qu
vons dire qu'il s'agissait le plus souvent de foetus portés par des femmes présen- tant au moment même de l'accouchement o
ve surabondam- ment. C'est bien d'ailleurs ce quepensé unevieille femme ,coiffée d'un feutre in- forme, un panier au bra
éré, cliente ou commère à l'affût d'un bavardage, parfois la propre femme du barbier, et, dans ce cas, faisant souvent l'of
éjà cité dans une précédente leçon. Il s'agit du cas de cette jeune femme de vingt-six ans, dont la maladie avait débuté pa
ations de brû- lure. Dès le dixième jour de sa maladie, cette jeune femme éprouvait des sensations bizarres dans les memb
stoire : une fois connue la cause des accidents présentés par cette femme , celle-ci, cela va sans dire, renonça à l'usage
, eut à subir une tentative d'empoisonnement de la part de sa jeune femme . Celle-ci mélangeait de l'arsenic aux aliments
ntaire, pratiqué dans une intention criminelle. Tel le cas de cette femme dont parle Imbert- Courbeyre, et qui se trouvan
bre, irrégulier, épaissi, appa- raît grenu, comme toujours. Cette femme , frappée depuis longtemps déjà par la maladie de
es près, toujours la même. Ici, la lésion s'observe sur une vieille femme d'allures et d'état mental bizarres qui se plai
ccus, grand mangeur et grand buveur. Maccus dériverait de fL"'xxc : " femme ridicule. Aristophane (Equit. 62) emploie le te
te PI. L. 382 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE Une vieille femme , coiffée de blanc, tenant un broc dans la main ga
emplâtre au-dessus d'un réchaud placé sur une table. « Une vieille femme se tient debout, à droite et en arrière du groupe
74 (1858) Journal du magnétisme [Tome XVII]
it des relations toutes particulières, et que c'est à l'aide de cette femme , nommée peu après supérieure, qu’il établit la co
erties. C'est ainsi que chez les sauvages, les peuples primitifs, les femmes privées de leurs vêtements n'inspirent pas plus d
de leurs vêtements n'inspirent pas plus de désirs dishonnêtes que les femmes con- spirituel, par la vie séraphique qu’il l
peupla le plus continent et la plus frugal de la terre, on voyait les femmes danser toutes nues sur io mont Taygite. Cela étan
'aberration, de l'égarement, de la démence, du In part de ces pauvres femmes et do leur trop excentrique directeur, mais jusr
ères, les malheureuses qui faisaient de tels aveux étaient de pauvres femmes en état d’hallucination, de fascination magnétiqu
desjuges.Que pouvait faire,dans un procès de sorcellerie, une pauvre femme , dominée physiquement, magnétiquement, moralement
hait les filles en abusant de la confession, et qu'il ensorcelait les femmes à tel point que celles qui aimaient le mieux leur
é, l’intérêt se mêlaient à une certaine frayeur que tant d’hommes, de femmes et d'enfants entourèrent le bûcher qui devait réd
l’histoire des possédées de cette ville, et il n est point de vieille femme qui n’y fasse souvent encore avec effroi confiden
au bûcher une foule de malheureuses victimes. A Louviers, de pauvres femmes qu’aujourd’hui 011 considérerait tout simplement
nt regardées comme possédées par les puissances de l’enfer. Une jeune femme , deux prêtres sont désignés comme les complices d
i ture, n’avoue rien. Reste l’infortunée Madeleine Bavent, une pauvre femme hallucinée, égarée, se trouvant dans un état pres
qu’il n'y eut tout au plus dans leur sein que des têtes égarées, des femmes nerveuses, atrabilaires, exaltées. Et voilà comme
et est très-robuste ; il parait seul; non, voici sa mère, une grande femme peu jolie et peu vêtue. 11 y a de bien beaux ar
ette réu n ion qui, après la maîtresse delà maison et une autre dame, femme très-distinguée par ses qualités personnelles et
entière , pâle comme celle d'un cadavre et délicate comme celle d’une femme , était très-nettement dessinée. Elle sé tenait da
tre monde. Il s’attache même à combattre les tendances opposées de sa femme , personne d’intelligence et d'instruction. Du res
857. VARIÉTÉS. CAS EXTRAORDINAIRE DE SOMNAMBULISME. Une jeune femme de la ville de Galusliiels, âgée de dii-huit ans,
nt été actionnés, elle dit entendre un concert de voix d'hommes et de femmes , qui exécutaient divers morceaux, et comprenant p
ec les esprits qu’il affectionnait. 11 obtint les visites d’une jeune femme qu’il avait tendrement aimée. Comme on devait s’y
industriels les plus riches et les plus estimés. Ces jours-ci, une femme , élégamment mise, entra chez un coiffeur, et, le
estin la conduit. Je sais à n’en pouvoir douter que les idées de la femme enceinte influent puissamment sur son fruit ; je
i.k président. On vous a trouvée enfermée à clef chez Dauphin, vous, femme mariée, c’est au moins fort équivoque. La préve
ndais mon magnétiseur. M. i.k président. Qu’est-ce que c’est qu’une femme qui a la clef de l’appartement d’un homme dans sa
est M. Quétel, dit-il, qui a jeté la perturbation dans l’esprit de sa femme . Ayant trouvé une magnéti- seuse aux eau\ d’A
sme et s’est mis à le pratiquer lui-mèine ; il a d'abord magnétisé sa femme , puis une jeune servante avec laquelle il a pouss
ent simple, nous a-t-on assuré, qu’il peut être appliqué même par une femme ou par un enfant. Dans le compte-rendu que la P
ur à Paris et qui m’ont été fort utiles. J’ai enseigné à une pauvre femme de magnétiser son mari, qui a été trois mois à l’
ce. J’ai fait davantage pour ce pauvre limmiie en enseignant à sa femme de 1‘ magnétiser. L'autre jour, il a pu l'aire de
d’aller à l’hospice pour se faire couper la jambe. J’ai enseigne à sa femme le magnétisme : d'abord, il a jeté une béquille,
h coup , on frappe à la porte de son confessionnal ; il ouvre, et une femme lui raconte, d’une voix encore tremblante d’émoti
tre-autel. Le vicaire s’empresse, bien entendu, de renvoyer la pauvre femme , la traitant de folle et de visionnaire. « Une
trouverait qu’après avoir fait sortir trois âmes du purgatoire. Cette femme lucide ajouta que les ouvriers qu’on emploierait
e sur trois malades de cet institut, et que deux de ces malades, deux femmes atteintes d’accès, convulsions périodiques , n’on
Moller. Je joins, pour la corroborer, mon attestation h celle de ma femme , et je suis heureux en même temps d’exprimer ici
oin dequelquo chose d'aussi frappant. La somnambule était M™* de C‘", femme d’un avocat à la Cour impériale de Paris. Assise
endu le 19 mai 1858, par la Cour royale de Stokolm, contre do pauvres femmes , coupables.... d'avoir embrassé le catholicisme.
nie, ce qui m’a occasionné d’en faire le récit particulier. Une jeune femme , nommée Jeanne Bor-deau, appelante du juge ordina
sur quoi survint un bouc grand et cornu tout noir, accompagné de deux femmes , et tout aussi tost un homme habillé en prêtre. L
et lorsqu’ils l’adoroient on jetoit dans un bassin de l’argent. Cette femme s'estant depuis retrouvée au même lieu, le bouc l
t à la trentième n’avait plus besoin de mes soins. Les maladies des femmes cèdent encore très-bien au traitement magnétique
i, fut la réponse affirmative ; de la môme manière, je demandai si ma femme , ma fille, ma sœur, ma grand’-mère étaient présen
e lui demandai s’il était heureux, s’il était souvent avec moi, si ma femme et mes enfants étaient avec lui, et à toutes ces
e était absent, mais que le reste de mes défunts étaient présents. Ma femme m’assura par la voie de l’alphabet qu’elle était
septembre 1857. Ce soir-là, nous, c’est-à-dire M. et madameX..., ma femme et moi, retournions d’un cercle spiritualiste de
e. Quelques instants après, la belle-sœur qui est une forte et grande femme , se sentit en-traînée par les pieds sous la table
En rentrant chez moi, préparé à faire mes excuses à la demoiselle, ma femme me dit qu’un ami de miss N.... était venu la pren
i, M. et madame X...., ma belle-sœur, une demoiselle de nos amies, ma femme et moi. Pendant le souper, les esprits annoncèren
meil, la sensibilité peut « être émoussée et même éteinte, partant la femme dans l’im-« possibilité de se défendre. « Agrée
plus vive impression. Il y a soixante ou soixante-dix ans, une jeune femme du château disparut ; on la chercha pendant des a
jetai un cri d’effroi. Je me trouvais en présence d’un squelette de femme , vêtu d une robe de satin bleu , quelques beaux c
agonie ? On avait couru à Honfleur consulter une somnambule. Cette femme vint au château; on l’endormit. — Je le vois? s
s’y opposaient; nos deux saints n’avaient pas le sou, et, de plus, la femme de Ryan, qui était gravement malade, n'appréciait
emprunter d'un ami quatre guinées; il en donna généreusement une à sa femme , en lui promettant la protection divine, et la ch
a chargeant en outre de pourvoir pendant son absence aux besoins delà femme de Wright et de ses enfants ; puis, munis des tro
l avait renouvelé cinq fois cette épreuve, et qu’autant de fois cette femme avait transcrit littéralement ce qu’il avait pens
us si bon, si brave, si généreux ! auriez-vous donc peur d’une faible femme ? » J n Mon bras resta suspendu, ma tête se troub
fantôme 1 Un instinct machinal me fit abaisser mon arme devant cette femme . Elle sourit avec bonté, sourire d'ange que j’ai
bonté, sourire d'ange que j’ai longtemps revu dans mes rêves. « La femme ou le fantôme, car je n’en ai point encore fait l
soit sorti des lèvres d’une morte ! pauvre curieux, qui ignore que la femme qui a le plus souffert par le cœur, possède le tr
ils sont eux-mêmes doublement à plaindre, leur fils, leur fille, leur femme , sont comme eux victimes d’un art mensonger. Les
trois semaines que je suis mort ; l’hôte de cette maison, aidé par sa femme , m’a surpris pendant mon sommeil et m’a coupé la
ité du lieu, amène deux gendarmes et fais-moi ensevelir. L’hôte et sa femme se trahiront d'eux-mêmes et tu les livreras à la
de fièvre nerveuse, des envies de pleurer, des pleurs même. Chez les femmes on voit quelquefois naître le besoin irrésistible
tenter. Les vignerons ne laissent point approcher de leur cuvée des femmes ayant leurs régies ; ce que nous appelons matière
digne de foi, queM. S. deWiliamsburgli, qui fait partie, ainsi que sa femme , de l’Eglise méthodiste, a souffert longtemps de
amille : Comment donc pourrai-je être soulagé?... Au même instant, sa femme fut influencée et excitée à écrire : se trouvantd
ouveau pour la famille ; on ne savait quelle cause avait déterminé la femme à écrire. Le malade déclara qu’il voulait faire l
t plusieurs jours, ses souffrances ne firent que s’accroître. Mais la femme , obéissant à la même influence qui l’avait fait é
fut complète. « Ces personnes n’étaient point spirilualistes, et la femme n’avait jamais été influencée auparavant ; ni ell
ur soutirer ce qu’il leur faut pour vivre. Certains hommes, certaines femmes sont malheureusement ainsi organisés; lorsque leu
ulisme dès la première séance. J'eus donc une somnambule (c’était une femme ), et j’ai pu constater par la suite qu’elle était
rvation la portait à essayer de n’importe quoi, (.’est d ailleurs une femme de beaucoup d’intelligence, et elle parut enchant
Beck, D. M. Je certifie que ce qui vient d’être dit au sujet de ma femme est conforme à la vérité. T. C. Gruber. » (1) N
tement. Peu ;ï peu cette forme se dessina mieux : c’était celle d'une femme à demi-voilée ; elle s’approchait lentement de mo
âche. Je commençai à perdre tout espoir de sauver ma fille; mais ma femme persista avec tant d’opiniâtreté à demander que l
e du train de Lafavette, à deux heures, en retard de trois heures. Ma femme attendait l’événement avec espoir; moi, je n’en a
e manière si subite, résistait énergiquement aux atteintes du mal. Ma femme , au milieu de ses sanglots, s’écria : « 0 Nelly !
force magnétique ! » etc., etc. M. Chase se rendit à notre appel. Ma femme , que les Esprits font quelquefois parler, n'ayant
ent, après mes douze années de pratique et d’études, de- vant une femme qui n’entendait rien à la thérapeutique, ou l’esp
la part des invisibles par l'intermédiaire de madame Tripple et de sa femme , après que tout danger pour l’enlant eut disparu.
employé dans une administration ; elle voyait à coté de lui une jeune femme et deux enfants, tous vêtus de noir ; elle pensa
mme et deux enfants, tous vêtus de noir ; elle pensa que c’étaient sa femme et ses deux fils. Cette prédiction parut fort étr
e 1857. » Peu de temps après, M. M... vit entrer chez lui une jeune femme couverte de diamants, qui lui dit avec .un air fr
plus, elle eut recours alors à l’empirisme. (On lui avait parlé d’une femme de Cassano (Lombardie) , qui jouit d’une très-gra
st dans la connaissance de cette herbe qu’est tout le secret de cette femme ). Après dix jours de souffrance, la plaie du ta
tobre.) PRÉVISION. Communication sympathique. — Madame Belzoni, femme du savant archéologue, a raconté le fait suivant
r séance. Mais il a refusé : il s est engagé envers les parents de sa femme à cesser tout exercice de médium, à rompre entièr
même des gémisse- Dicnts qui semblaient partir de la fosse d’une femme de cinquante-cinq ans, enterrée la veille au soir
octeur Gilbert. « Le cercueil fut déterré ; mais on reconnut que la femme qu'il renfermait venait d’expirer à l'instant. El
les heureux résultats, comparativement si nombreux, qu’obtiennent des femmes sans instruction, ne vous disent-ils pas que vous
vrais dévots. Voici ce que mç racontait dernièrement madame M..., une femme qui n’est pas moins sincère et intelligente dans
Mais , madame, j'attends que vous vouliez bien me le dire. — D'une femme ? — Non, madame, d’un homme. — Ah ! oui, c’est
L’action suivit aussitôt ma pensée (I). » u Madame du Troussel, la femme du monde qui s'occupait le plus de diseurs île bo
r M. du Potet, 225, 393. Médecine (la) légale ot le magnétisme. Une femme endormie du sommeil magnétique peut-elle être vio
, 611. Tribunaux. Plainte eu adultère por-tèe par un mari contre sa femme , à l'occasion du magnétisme, 128. —Accusation de
75 (1889) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 02] : clinique des maladies du système nerveux
autres appareils. OBs. IV. Mme Hub..., âgée de quarante et un ans, femme de ménage, venue il la consultation externe de
ourrait dire spontanée. OBs. VII. Mme lier..., trente-quatre ans, femme de ménage, se pré- sente à la consultation exte
. Ces phénomènes sont bilatéraux. - Accouchement. Il s'agit d'une femme de trente-quatre ans, qui ne présente, ni dans se
OMÉGALIE (Suite 1) uns. XII. « mye C.; âgée de quarante-deux ans, femme forte et bien bâtie, s'adresse à moi, au Boston
out autre égard le fond de l'oeil était normal. » J OBs. XIIII. - Femme mariée de trente-cinq ans. Elle avait cutroisenf'
oux, il semble bien s'être agi d'une attaque de rhumatisme. - Celte femme attribue son état actuel à la fièvre scarlatine
rence il la partie moyenne est de 12 pouces; avant la maladie cette femme portait des souliers n° i large, puis elle prit
ALPÈTRIÈRE. les soins du D'Ballance qui enleva les amygdales. Celle femme jouissait d'une assez grande activité physique
alade, ces nouveaux renseignements proviennent d'un examen de cette femme fait dix-huit mois après le premier. Le corps t
tout cela a apporté à l'exercice de sa profession. ' ' OBs. XV ? Femme de cinquante-huit ans; pas d'antécédents hérédita
al qu'éveillaient les passes et les attouchements dans le coeur des femmes soumises au trai- tement magnétique, il se pass
demande, en qualité de lieutenant général de police, si, lorsqu'une femme est magnétisée ou en crise, il ne serait pas faci
La lune, à son tour, en astre obéissant, envoie son fluide sur une femme placée devant le fameux baquet. - Allusion tran
ntation ; la malade marche en traînant les jambes comme une vieille femme . Appétit petit, mais soif excessive. Pouls rapi
s. XVII1 . Le 25 mars 1 872, l'auteur vit entrer dans son cabinet une femme de taille moyenne, fortement courbée en avant,
vêtements humains et prenant pour marcher l'attitude bipède. Cette femme était âgée de trente- quatre ans, elle raconta
vue des autres personnes. L'examen donna les résultats suivants : femme blonde, de constitution vigoureuse, musculature
rêves, il ne se masturbe pas, ne s'est jamais livré au coït et les femmes lui causent de la répulsion. Cependant il dit avo
a répulsion. Cependant il dit avoir éprouvé, il la vue de certaines femmes , une « sensation spéciale », un trouble qu'il n
ble. Il s'en écarte instinctive- ment. Il a cependant des rèws de femmes quelquefois c'cL a la suite de ces rêves qu'il
sie de l'Observation V (Saucerotte). -A la mort de cet individu, sa femme s'est opposée à ce qu'on fit l'autopsie ; elle po
la tombe. Ce n'est donc que de nombreuses années après, lorsque la femme fut elle-mème morte, que Saucerotte put se proc
n public comme un phénomène extraordinaire. Mais la taille de cette femme ne dépassa pas lm71. Les os en particulier étaien
orence) de Verrochio. représente une scène émouvante, la mort de la femme FIG. 19. I'ic. fJ. - L\ S,¡r.\l;E. - Mineure
chement. L'enfant, entouré de bandelettes, est sur les genoux d'une femme assise à terre près du lit. Et si la douleur qu'é
ouvre une plaie du dos du pied. Dans le fond, près d'une table, une femme découpe avec des ciseaux un nouvel emplâtre. Près
est ici que nous devons citer le tableau si connu de Gérard Dow, la Femme hydropique, également au musée du Louvre. La scèn
musée du Louvre (galerie La Caze). Deux personnages seulement : une femme assise et devant elle un médecin debout qui lui
ies malades. Dans la Malade d'amour, du musée de la Haye, une jeune femme assise présente son bras au médecin qui lui tât
decin également l occupé à tâter le pouls d'une jolie malade est la Femme malade, de la collection Van der Sloop, à Amste
consultation doit être finie, car son attention est dirigée sur une femme qui arrive tenant un broc .. LES MALADES DANS L
ons encore de Jan Steen nn tableau du musée d'Amsterdam intitulé la Femme malade. Deux ligures coupées il mi-corps forment
Deux ligures coupées il mi-corps forment toute la composition. Une femme assise, la tête enveloppée, boit une liqueur qu
illeures toiles. Un autre au musée de Munich, nous montre une jeune femme renversée, dans la pose flaccide de 'l'évanouisse
oude. Le patient qui pousse les hauts cris, émeut de compassion une femme qui assiste à l'opération, mais ne trouble poin
une suite. « Il est fils de rois ou d'empereurs, il a dia-liuit cents femmes , de beaux enfants, on lui a élevé une statue da
de la main a gardé sa cou- leur normale très bistrée (la malade est femme de ménage), ainsi que le reste des doigts. Pas
étations enfantines sur les causes de la mort de ses parents, et sa femme n'est pas à même de rectifier ses dires. La mêm
gne sur ses antécédents personnels. Il est marié depuis 15 ans ; sa femme n'avait jamais rien remar- qué chez lui de part
eu trois enfants qui sont morts en bas âge de convulsions; mais sa femme est une hystérique ovarienne. En juin 1885, à l
ion absurdes qu'il exprimait avec une monotonie assez spéciale : sa femme est magnifique, « elle a eu cinq pieds six pouces
entre 8 et. 12 ans. Et c'est tout. Antécédents personnels. Cette femme a toujours été d'une santé irrépro- chable jusq
eloppement musculaire. La chose est de la dernière évidence chez la femme dont le système musculaire est généralement peu
ONOGRAPHE T. H. ('L. XXXIX PLIS FESSIERS DANS L'ATTITUDE IIANCHÉF, ( FEMME ) L I ! i CR 0 fS 11 1 I : nET DA D t, Ê DIT C U
uses ne présentent pas toujours au même degré. La stéatopygie des femmes hoschimanes n'est que le développe- ment exagér
ide blanc dû a des éléments altérés s'en écoule; 1. Il s'agit d'une femme qui, pendant sa vie, avait été considérée commc a
'existence, et nous observons encore en ce moment à la Clinique une femme de soixante-dix ans, Aurél... qui, depuis plus
t. Depuis cinq ou six ans il est tout à fait sobre. Il a perdu sa femme il y a cinq ans; il y a trois ans, a perdu un enf
h bien, ils vont faire un joli couple. La grosse E... c'est pas une femme , c'est un tonneau ! Ce qu'elle a dû en voir ! M
ammatoires susceptibles également de faire hésiter le diagnostic. Femme de trente-trois ans, père mélancolique. Fièvre ty
es trois cas de Weir Mitchell se résument ainsi qu'il suit : Cas I. Femme de quarante-trois ans, hystérique il attaques, hé
nlevé. Il persista au moins un an et demi. Cas II (très incomplet). Femme trente-sept ans, hystérique; la jambe gauche es
re locale abaissée de deux dixièmes de degré Fahrenheit. Cas III. Femme vingt-six ans, hystérique à attaques, hémiparésie
une prédominance chez deux catégories de malades : d'une part, les femmes hystériques; d'autre part, les individus déjà att
i à un sujet en pleine santé. Il n'est pas rare d'observer chez les femmes , au niveau de la taille, chez quelques individus
qui regarde l'attaque et les états de mal. Nos malades, hommes et femmes à l'encontre de ce qui avait été fait avant nou
nt porlé pour le premier groupe sur dix hystériques normaux, sept femmes et trois hommes, nous ont conduit à admettre - à
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE.. Dans le troisième cas (Mono. femme , 19 ans, 51 kilogrammes) l'état de mal dure 3 j
ne pèse plus au réveil que 50 kil. 40. Dans le quatrième cas (Camp. femme , 25 ans) le sommeil dure 4 jours et s'étend du
es. Voici, du reste, ces analyses in extenso. Elles ont trait à une femme de trente-six ans, pesant 38 kilogrammes, attei
rétion normale 308 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. d'une femme de 38 kilogrammes est environ de 15 à 18 grammes
atre heures. Ce chiffre de 16 grammes d'urée serait normal chez une femme de 38 kilogrammes ; quant au chiffre de 50 centi-
par la compression de la région correspon- dant à l'ovaire chez la femme (n'importe quel côté ou quel testicule). L'inte
ce aux rugosités de la face infé- Fic. OU. A. -Clavicule normale de femme . Fig. 100. - il, - Clavicule du squelette acromég
Humérus du squelette acromyalüluc - rlc. 10 ? B. - Ilumérus normal de femme . 338 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTRIËRE.
hez les - après les attaques), 5, 6, 7, 8. 9, 10, 11, 12, 13, il. Femme malade (la) par Jan Steen, 52. fessier (pli), C
76 (1902) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 17
r La porte du jardin, et les introduire dans la caverne; Mme Daligny, femme d'un capitaine au régiment royal : c'était elle q
s reconnaissent à l'empreinte du pied s'il s'agit d'un homme ou d'une femme , si la personne est jeune ou vieille, si elle por
personne est jeune ou vieille, si elle porto ou non un fardeau, si la femme est jeune fille ou mariée ayant des enfants. En e
urne chez une hystérique. (1) Par M. le professeur Raymond. Cette femme est âgée de 36 ans. Elle mange à peine, ne peut p
r. Cet hémi-œdème l'a reprise encore dans ces derniers temps. Cette femme est une grande hystérique. Comme signes somatique
semblable à la paralysie faciale d'origine organique. Si, chez cette femme , on prend à pleine main les muscles de la commiss
ralysie, ou si l'on veut, de parésie hystérique qu'il s'agit. Cette femme était marquée par l'hérédité ; certaines circonst
Son mari est très jaloux. S'étant aperçu que, de temps à autre, sa femme rêvait tout haut la nuit, il a essayé d'engager l
journée, l'endroit où elle cachait ses lettres, etc. En somme, cette femme s'est trouvée dans la situation de cette autre qu
ne, la foule se hâte lentement, en chantant des cantiques sacrés. Des femmes de mise simple et dont le pays d'origine se recon
de chapelet pour nos pauvres malades. Je vous salue Marie.... » — Les femmes , les bras en croix, les yeux fixés sur l'image de
es, on transporte les malades pour les y plonger. C'est le tour d'une femme d'une trentaine d'années, la face amaigrie, les y
et comptés, une bière ouverte où est étendue, sans vie apparente, une femme de trente ans. Et c'est ensuite un vieux prêtre,
e disciplines religieuses et de cilices utilisés dans les couvents de femmes . Une collection de ceintures de chasteté anci
naire suffit à cela. Il y a trois ans, pas davantage, une malheureuse femme arriva chez le commissaire de police de Vanves et
er de se lever et de marcher; derrière eux. les pèlerins à genoux,les femmes les bras en croix, la tête baissée avec respect,
nseille de toucher ses honoraires, qu'il distribuera en aumônes. Sa femme du reste — il s'était marié vers 1605 — par des h
l'efficacité de ces procédés empiriques. Mme M. E., âgée de 52 ans, femme d'un pasteur protestant, habitantla Poméranie, gr
de la main gauche. Je me rappelle alors toutes les recettes de bonnes femmes , tous ces remèdes populaires, étranges, extravaga
mois. Depuis lors, il n'y a pas eu de récidive. M. Bérillon. — Une femme de Lausanne a guéri un nombre considérable de ver
nombre considérable de verrues en les touchant avec la chemise d'une femme qui venait d'avoir ses règles. Bonjour (de Lausan
ontiers les réunions discrètes du spiritualisme moderne où les jolies femmes ne manquent pas. Ainsi le théoricien est devenu p
ts. Un homme voluptueux verra des tableaux érotiques, par exemple des femmes nues se roulant dans les rideaux de son lit; un a
use avec l'un deux : « Pourquoi, me dit-il, laissez-vous entrer celte femme dans votre établissement » ? Quelle femme ? — « C
, laissez-vous entrer celte femme dans votre établissement » ? Quelle femme ? — « Cette femme qui est là à côté de moi ». — «
rer celte femme dans votre établissement » ? Quelle femme ? — « Cette femme qui est là à côté de moi ». — « Il n'y en a pas,
fervents, pendant la première partie de sa vie : Dieu lui dit que sa femme le trompe, que ses enfants ne sont pas les siens,
volontés de Dieu, il tire un coup de revolver dans la poitrine de sa femme . Parfois aussi en même temps l'ouïe et la vue s
es oreillers ; c'est une vraie bataille, mais enfin il faut céder; la femme , nous dit-il, le prend dans ses bras, le serre co
aints évéques, un esprit lascif qui imposait ses caresses à une jeune femme jusque dans le lit conjugal; ô naïf saint Bernard
Fénelon et Madame Guyon et malgré les paroles sévères de Bossuet, les femmes pieuses continueront à se pâmer d'amour aux pieds
res par un Père Capucin, on voit Jésus-Christ adolescent et une jeune femme représentant l'âme humaine jouant ensemble tous l
mal et la perturbation de l'acte fonctionnel engendre le tic. Cette femme avait un ami qu'elle affectionnait beaucoup. Il f
patientes recherches de l'auteur nous connaissons des états de cette femme que les révélations posthumes sont seules capable
des bas-fonds de la société de cette époque. Un prêtre y coudoie des femmes de vie équivoque, un officier y fraternise avec u
L'autorité et l'habileté de celui-ci désarment immédiatement la jeune femme de toute sa rouerie. Comme la malade devant un mé
o, directeur du Caffaro de Gènes, accuse Eusapia Paladino, la fameuse femme médium, de n'être qu'une mystificatrice. Les mani
elle déclare que c'est le tour qui s'accomplit. Depuis le mari et sa femme ne peuvent reposer en paix. Il y a là un phénom
nstitué, à cet égard, une série de recherches sur 30 Javanais, dont 2 femmes . Il appliqua d'abord le procédé tel qu'il lui ava
te entre autres un nô ou tragédie, Aoi-no-Ouyé, dans laquelle Aoi, la femme poursuivie par des hallucinations terrifiantes et
exemple, curieux pour l'époque, d'un crime de foule accompli par des femmes . On connaît le sujet d'Ajax de Sophocle. A la m
ré par ses illusions terrifiantes, renverse son palais et massacre sa femme et ses enfants, les prenant pour ses ennemis. V
e, les fait sauter à l'aide d'un levier, et d'un seul trait il tue sa femme et son fils. Puis, comme il se hâtait pour aller
triste sommeil, après s'être souillé du sang de ses enfants et de sa femme . Je ne crois pas qu'il y ait un mortel plus malhe
u'il a fait, qu'on lui montre son palais renversé, les cadavres de sa femme et de ses enfants et qu'on lui affirme que c'est
e du jeune bébé, retenu à son usine, a déjà téléphoné trois fois à sa femme pour savoir si j'ai vu l'enfant et ce que j'en pe
gauche!... Mais lu boites !... » Rentré chez lui, il le raconte à sa femme devant l'enfant. En couchant ce dernier, tous deu
A ces solennités on a vu, suivant Hérodote, plus de 700.000 hommes et femmes , sans compter les enfants ; on s'y rendait en fou
sans compter les enfants ; on s'y rendait en foule par eau, hommes et femmes péle-mèle et chaque famille dans sa barque'. Là e
condairement et c'est toujours l'observance du rythme qui domine: des femmes font résonner des crotales, des hommes accompagne
que et traumatisme (1) par M. le professeur F. Raymond. Voici une femme de 31 ans, ouvrière dans une fabrique d'apprêts.
e, à savoir d'amaurose hystérique. On me demande, au sujet de cette femme , un rapport médico-légal. J'exposerai l'évolution
chez lui ; ce doc teur, qui tire son chapeau dans la rue à sa propre femme ou s'excuse auprès d'elle de ne pas la connaître.
oforme et suggestion. 4° Dr Bérillon : Psychologie d'anormaux : les femmes à barbe. M. le Président met aux voix la candid
soit pendant la période d'extase ou sommeil hypnotique que certaines femmes se trouvent avoir un commerce intime avec des ama
s des sens se sont imposées et s'imposent encore à un grand nombre de femmes jeunes ou vieilles, et aussi à un grand nombre d'
gie du criminel. M. le Dr Wateau, professeur. Objet du cours : La femme délinquante et criminelle. Les vendredis à cinq h
de Nuremberg, étaient adressées à la comtesse d'Angiviller, l'une des femmes les plus eminentes de ce temps, et qui fit pour l
s au moins une fois; 342 sont des alcooliques invétérés; 127 sont des femmes de mœurs plutôt relâchées; 37 fut meurtrières et
logie du criminel. — M. le D' Wateau, professeur. Objet du cours : La femme délinquante et criminelle. Les vendredis à cinq h
i, mourait dans le service de M. Widal, à l'hôpital Cochin, une jeune femme atteinte d'endocardite infectieuse, elle succomba
Ici nous avons le pessimisme, mais sans la malveillance. - Chez les femmes , le développement du sentiment affectif, uni au d
méraire de conclure que pareille résignation est le lot de toutes les femmes . En même temps que cardiaques, celles qui sont hy
endant qu'ils, discutaient, la porte s'ouvrit : « Venez vile, cria la femme du malade à M. Worms ». Celui-ci disparut et rent
. Un spectacle terrifiant les attendait ; appuyé sur l'épaule de sa femme et de son valet de chambre, debout, le moribond l
. Les cardio-scléreux hommes deviennent sensibles, pleurent comme des femmes Je voyais l'an dernier, un capitaine de douanes,
avant minuit, espérant bien qu'à cette heure-là il no trouvera pas sa femme éveillée. Celle-ci ne se dit pas que son mari dés
soi : « J'ai revécu dans ces huit derniers jours. me disait la pauvre femme , toutes mes angoisses et tout mon chagrin. » Tout
lice des cimetières. Peu de temps après, il perd sa place ; puis sa femme vient à mourir. Il en est bouleversé; il se deman
connaît l'écriture de la défunte. Une fuis même, il lit: « Je suis ta femme qui t'aime !.... d Puis, un autre jour, sa main é
vec M5" Marie M... qui demeure, 28, avenue P... » Il va trouver cette femme : c'est précisément celle qu'il a été obligé de ch
usqu'à ce que la crise fut passée. Mahomet raconta ses visions à sa femme Khodaijab et à son cousin Waraqah. Ceux-ci devaie
blie, d'une part, chez un homme 170 rêves en 46 nuits et 265 chez une femme pour 55 nuits. On pourrait tirer de cette thèse
qu'une préoccupation, c'était de trouver une issue pour s'enfuir. Sa femme , qui connaissait ses intentions, se tenait en per
malgré la faiblesse du côté droit qui persiste encore. Il aperçoit sa femme et la reconnaît. Il veut lui parler et bredouille
us allons sortir avec les mains. II articule en regardant fixement sa femme . Il est évident qu'il veut exprimer une idée, mai
77 (1909) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 24
pas qu'on puisse trouver une preuve plus décisive que ces exemples de femmes révélant, dans le sommeil somnambulique, les secr
e où il est guéri en trois séances. Voici, d'autre part, une pauvre femme qui a une névralgie faciale depuis cinq ans ; ell
evaient se marier, mais comme Abel ils ne devaient pas connaître leur femme : — les Passolorynchites, vivant en Galatie, an t
cellé dans le mur. Il passa plusieurs années sans * regarder aucune femme et il me disait que s'il les voyait c'était comme
mais bien périlleux ; cet abbé, fondateur de l'abbaye d'hommes et de femmes de Fontevrault, « entrait (2) courageusement dans
entation de les possé-« der. en aiguisant ses sens contre un corps de femme , il remportait « plus haute victoire sur eux par
nt, ne leur causent que chagrins et déboires. Algomanes encore, ces femmes qui ne respectent leur associé d'existence que si
besoin impérieux d'être dominées, subjuguées, terrifiées, qnc tant de femmes portent au cœur, a bien été exprimé par la Clirgs
portent au cœur, a bien été exprimé par la Clirgsis, de Legendre : Femme d'un assassin !... Ah j'avais dans ridée Que terr
n : J'implore un coup de lance au flanc, j'ai soif de fiel, Qu 'une femme implacable entre toutes les femmes Me tende s
u flanc, j'ai soif de fiel, Qu 'une femme implacable entre toutes les femmes Me tende sa chair froide et sa bouche où je p
onter son escalier. Pour mettre mon amour-propre en jeu. je fais à ma femme la promesse formelle d'aller me faire soigner, .e
t dès le lendemain. Le lendemain, dans le courant de la journée, sa femme lui dit : « X'est-ce pas, c'est bien aujourd'hu
ndre appréhension. » Il est d'autant plus étonné du résultat que sa femme lui avait manifesté son scepticisme à l'égard de
aux maladresses et aux tyrannies, ainsi que je l'ai observé chez une femme divorcée, qui voulait suggérer à ses enfants la h
e complet (amnésie). (1) P. Podiapolskv : Brûlure suggérée chez une femme ayant présenté du mutisme hystérique, Revue de l'
nt et demeure à Moscou. Le père de Paraskovie avait, de sa première femme , encore trois fils : l'un Agé maintenant de 30 an
Douglas Biiyan : Observations psychologiques sur la vie sexuelle des femmes . Moret, méd.-vétérinaire : Le dressage des animau
gie des divers organes. La mentalité d'un homme n'est pas celle d'une femme , personne n'ignore qu'un eunuque a perdu sa viril
force inconnue qui crée le sort des hommes écarte de votre procès la femme hystérique, l'enfant menteur, le témoin dont l'es
prince oriental, qui rencontrant dans la rue un soldat accusé par une femme d'avoir dérobé une cruche de lait et de l'avoir b
era-t-il plus d'attention, plus de prudence dans sa déposition. Les femmes hystériques, les enfants, les experts, l'hypnotis
dans laquelle il va se heurter aux mensonges ou aux réticences d'une femme hystérique, aux affirmations d'un individu violen
devons a l'obligeance du !.»* Louis Dubreuil-Chnni-bardel : Une jeune femme de Vouvray ayant un bébé flgé de trois mois, souf
Bbyan (de Leicester) : Rôle de la suggestion dans la vie sexuelle des femmes . 3° Dr Pewnizky : Les phobies apparentes envisa
ux de notre société. Rôle de la suggestion dans la vie sexuelle des femmes par M, le Dr Douglas Bbyas (de Leicester) Le
ficulté de la documentation, à canse de la pudeur naturelle de lu femme qui lui fait taire toute allusion à ces sortes de
nimale et il peut s'accomplir avec différentes partenaires. Chez la femme , au contraire, cequidomfnehabituellement, c'est l
lminant de l'amour. Aussi l'on comprend le soin jaloux avec lequel la femme cachera toute anomalie sexuelle ; car l'avouer ce
est l'ignorance du corps médical en ces matières. Si quelque pauvre femme , rassemblant son courage, fait l'aveu de ses pein
rennent avec soin l'observation des cas d'anomalies sexuelles chez la femme et qu'ils eu donnent communication. Par là seulem
as suivant se rapporte aux observations que je viens de faire : Une femme , âgée de 3S ans, mère de deux enfants, âgés respe
é depuis deux ans. Elles sont deven ues si intolérables que la pauvre femme évite les relations conjugales sous toutes sortes
dès la première le rapprochement fût normal. La vie sexuelle de cette femme fut régularisée et la confiance revint à son foye
réalisation de l'orgasme est, je crois, extrêmement fréquent chez la femme . (J'ai observé au moins une demi-douzaine de ces
ons sexuelles joue un rôle très important dans la vie psychique de la femme . En effet, qu'il s'agisse de l'homme ou de la fem
e psychique de la femme. En effet, qu'il s'agisse de l'homme ou de la femme , l'effort constant pour réaliser un désir impossi
ptômes mentaux et psychiques très nets sont bientôt observés. Chez la femme au contraire, il est beaucoup plus malaisé de fai
ndaires de ces troubles, il faut distinguer celles qui viennent de la femme et celles qui viennent de l'homme. Du côté fémi
orgasme durant le rapprochement est ordinairement plus tardif chez la femme que chez l'homme ; par conséquent il n'est pas or
z l'homme ; par conséquent il n'est pas ordinairement atteint chez la femme . Ce fait méconnu est un facteur puissant de troub
ner l'action puissante que la voix humaine exerce sur les nerfs de la femme . Lisez, pour vous en convaincre, une nouvelle pub
che presque surhumaine, elle créa le Carmel oh vinrent se grouper des femmes d'élite toutes résolues k accomplir les plus gran
intellectuelles remarquables et par de grands actes de dévouement. La femme célèbre qu'on a appelée la vierge et la sainte d'
à tous les désespoirs. En entendant ces paroles rassurantes, la jeune femme chargée d'interpréter le plus intéressant rôle de
ous les deux. Etant donné que les impuissants sont abandonnés par les femmes plutôt qu'ils ne les abandonnent eux-mêmes, je po
tombe dans les mains un livre sur l'onanisme et elle y trouve qu'une femme qui se livre a des pratiques pareilles devient in
le-ci. Enfin, il y a deux mois, le jeune homme la quitta. Alors cette femme honnête, intelligente, ayant beaucoup souffert, p
dans ses travaux, il aurait pu arriver que dans un autre milieu cette femme rencontrât un autre homme et eût par hasard avec
art cette expérience, bien chanceuse et difficile a réaliser pour udo femme honnête, le changement de milieu n'aurait pu être
eonsidé-rables. C'est là un sujet de récriminations Incessantes de sa femme Klara, qui lui reproche de ne pas remplir ses dev
e. Piqué au vif, le pasteur Sang prend la résolution de rendre a sa femme le service qu'il apporte si souvent a d'autres ma
y mettra toute la force de sa prière et de sa foi. Malheureusement sa femme n'est pas aussi hypnotisable et aussi suggestiblc
aissent une supériorité morale. ) 1 n'en saurait être de même pour sa femme Klara, hystérique raisonneuse, au fonctionnement
une prostituée. « attendu qu'une certaine sympathie le porte vers ces femmes , qu'il considère, elles aussi, comme des malheure
taient pas du tout fondés, que toute sa vie et sa conduite envers les femmes prouvaient au contraire une grande honnêteté ains
ssionnable et craintif qu'il s'était imaginé qu'il avait contaminé sa femme II raconte que, depuis plusieurs mois, il a vu be
, malfaisant, car il a la crainte, non seulement d'avoir contaminé sa femme , mais aussi d'avoir, en les embrassant, communiqu
iqué la maladie à ses enfants. Il veut se soigner, il veut obliger sa femme à suivre son traitement, il veut aussi que ses en
issimule sa véritable pensée et que son obsession n'a pas varié. A sa femme , dans les visites qu'elle lui fait, à des confrèr
s nous qu'il est réticent et muet si nous insistons. Il reproche à sa femme son internement : elle sera la cause de sa mort e
de suggestibilité maladive qui l'a placé sous la domination de cette femme . Il est devenu son esclave, et celle-ci, abusant
are qu'il n'a pas reconnu chez la comtesse Tarnowska les signes de la femme dominatrice. D'après lui, elle ne serait même pas
mer le luxe et de se faire faire la cour, ce qui est commun à trop de femmes . « Prétendre que la Tarnowska est une femme fat
i est commun à trop de femmes. « Prétendre que la Tarnowska est une femme fatale, c'est créer autour 'd'elle une légende et
agique, transformait ses adorateurs en pourceaux. « Loin d'être une femme impérieuse, c'est plutôt elle qui a été dominée p
f, mais qu'il a été imaginé inconsciemment par tous les trois. « La femme hystérique, dit en concluant le docteur Morselli,
avec les oncles, les aînés, les proches parents les plus âgés et les femmes de la famille. En principe le fils aîné remplace
e et principalement dans la grande famille indivise des campagnes, la femme : mère, épouse, fille, sœur, cousine est, par la
sociale à laquelle elle appartient. Mais ici, comme en tous lieux, la femme a une action prépondérante sur l'homme, par le pr
. 11 n'est pas admis par les mœurs musulmanes que l'influence de la femme se manifeste publiquement et il serait de mauvais
mes y échappent. Plus la famille est indivise, plus l'influence de la femme que sa valeur élève au rang d'Egérie s'étend à un
le mariage, que de la sienne propre. Mais il faut bien dire que la femme , par sa vie confinée du gynécée, en dehors de tou
ivait alors les cours du conservatoire de Lille et qui est devenue sa femme . » Voilà donc tout ce que je savais sur P. et t
ures galantes et cet homme sentimental, homme d'instinct, trompait sa femme , était un jouisseur comme nous l'avions vu. Que
par iL Ismael Haîiet. interprète principal de l'armée (Suite) La femme est, d'ordre divin, placée sous la sauvegarde des
est le séducteur Beul que la vengeance poursuit de coups mortels ; la femme séduite étant, en principe, considérée comme à. d
ermettent vis-à-vis d'elle, une solution excluant les violences. La femme est d'autant plus honorée qu'elle est féconde ; c
eçus, qu'à l'homme seul, celui qui vit exclusivement du travail de la femme est à peu près inconnu. Les enfants vivent sous
e est à peu près inconnu. Les enfants vivent sous la dépendance des femmes soit, pour les garçons jusqu'à la circoncision, e
25. Suicides d'écoliers, p. 96. Suggestion dans la vie sexuelle des femmes , par Bryan, p. 283. Suggestion hypnotique et mala
78 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
leur ordre chronologique : Cas N° 1. KAposi (in Cassirer).Chez une femme exerçant la profession de veilleuse, l'affectio
st emprunté à la clini- que de Kaposi. Cas N° 2. SouzA-LEITE (2), femme , 44 ans. Depuis plusieurs années, augmentation
sur le nôtre, comme je le montrerai bientôt. Cas No 4. - MEYER (1), femme 32ans,jardinière. Antécédents syphilitiques (sy
chronique avec hypertrophie concomitante. Cas N° 5. HOFFMANN (1), femme 23 ans. Depuis l'âge de 6 ans, remarque que, pe
pal, ni de manifestations paro- xystiques. Cas n°7 7 (CASSIRER).- Femme 3Í ans, se plaint de céphalées fréquentes avec
a pas une importance majeure : nos neuf cas se divi- sent en : cinq femmes et quatre hommes. La profession peut intervenir e
OEDÈIE CHRONIQUE, ACQUIS ET PROGRESSIF 35 En résumé, chez une jeune femme de 27 ans, à hérédité névropathi- que survient
-il une seconde grossesse ? ... Ou bien est-ce pour l'enfant que la femme est venue demander un avis ? Nous pouvons faire
ne, au musée de l'Ermitage, au musée d'Angers; il faut y ajouter la Femme hydropique du Louvre, ainsi que ce superbe Wate
s'agit d'un Urologue de haute marque. Trois clients sont là, deux femmes et un homme. L'une des femmes, encapuchonnée da
marque. Trois clients sont là, deux femmes et un homme. L'une des femmes , encapuchonnée dans un fichu blanc, n'est peut-
e moment, cel alchimiste fait de Yaromancie. Une malade est là, une femme , affalée sur un fauteuil, presque sans connaiss
sur le lit une grande bouteille, enfin le costume et l'attitude des femmes , surtout de celle qui fait de la dentelle, et qui
crois bien qu'il s'agit du « mal d'amour ». L'attitude pâmée de la femme peut déjà le faire supposer; mais, en outre, derr
les cavités vésicales et autres,... De là àcroire que l'urine de la femme peut contenir des traces visibles de sa faute,
mêmes plaisanteries qu'au temps de Schalken (PI. XII). Une jeune femme est venue consulter un médecin ; elle a apporté u
la malade a fait preuve d'une force musculaire peu commune pour une femme et, jusqu'au moment où elle put se diriger seul
'avons pas retrouvé chez eux d'antécédents syphilitiques; jamais la femme n'a l'ai t de fausse couche. Les deux soeurs de n
lement d'une draperie, on aper- çoit une enfilade de salles, où une femme porte deux aiguières sur un plateau; une autre
salles, où une femme porte deux aiguières sur un plateau; une autre femme est auprès d'elle ; enfin, tout à fait dans le
n, tout à fait dans le fond, apparaît la silhouette d'une troisième femme qui soutient un ma- lade. Ce dispositif est bie
un étui qui renferme plusieurs autres instruments. La malade, une femme jeune et bien en chair, repose sur un lit bas,
ement redoutable, d'autant plus affreuse qu'elle s'attaque ici aune femme jeune, jolie, luxuriante de santé. A la tête du
ppelant les images de saint Benoit. C'est vers lui que se tourne la femme pour implorer sa guérison. Un dernier détail .
racellulaire, que l'un de nous (1) a décrite dans l'hypophyse de.la femme enceinte et que l'on peut con- sidérer comme no
TISME PRÉCOCE 187 l'anamnèse et sa conduite agressive a l'égard des femmes et surtout des enfants confirment ses défectuos
s'il est possible, il se produit sans plaisir. De même, chez les femmes , si la menstruation s'était déjà installée, ell
comme dans ces derniers temps le garçon, pris sur les genoux d'une femme , eut une érection régulière, on ne peut pas non
x environs du Folgoët, où j'ai assisté au perzol, je n'ai vu ni les femmes , ni les jeunes filles boire de l'eau-de-vie ; i
das étant devenu veuf rencontra un jour sur le chemin de Tlamna une femme couverte d'un grand voile, qu'il traita comme u
Tlamna une femme couverte d'un grand voile, qu'il traita comme une femme de mauvaise vie. Pour la remercier de sa compla
faitparveniràJudas le bâton et l'anneau quecelui-ciavaitoffertà la femme voilée, Judas dut reconnaître qu'il n'était pas l
ette gravure, on voit Rébecca étendue sur un matelas par terre. Une femme maintient le haut de son corps, tandis que l'acco
précédent. Dans le fond, un lit avec une bassinoire ; à droite, une femme fait chauffer des linges devant une grande chem
chement est déjà terminé ; la mère repose dans son lit, entourée de femmes ou de servantes. Toute l'attention se concentre
rçon ! ... » et cette citation de la Genèse : « Dieu dit aussi à la femme : je vous affligerai de plusieurs maux pendant
ffrait, avec ceux-ci, de grandes analogies (1). Il s'agissait d'une femme d'une trentaine d'années qui semblait présen- t
s cependant disposés à adopter la même interprétation. I La jeune femme , âgée de 25 ans, Es..., se tient tout de travers
s cette exagération des réflexes que nous avons notée chez la jeune femme . Il n'y a pas de nystagmus, ni de troubles de la
Ces agitations diffuses ont existé chez nos deux malades : la jeune femme , a eu des crises avec cris et convulsions, l'ho
se font plus facilement quand survient l'agitation motrice. Chez la femme , le tonnerre en tombant à gau- che a déterminé
ît-il, petite, lourde, de figure bouf- fie. Actuellement, c'est une femme de taille moyenne, sans embonpoint et très acti
nt, un excellent cultivateur, un bon mari et un père exemplaire. Sa femme et les trois enfants qu'il a eus sont tous vivant
douteux qu'on relève chez lui. Il s'est marié à l'àge de 26 ans. Sa femme est bien portante, n'a jamais eu de fausse couc
teint ». Une telle interprétation est inexacte : la jeune et jolie femme à laquelle l'apothicaire donne ses soins n'est
ins n'est pas une paysanne souffrant du mal de dents, mais bien une femme galante atteinte de plaques muqueuses à la (1)
le de ces charmantes peintures représente et symbolise la Vie d'une femme galante à Venise vers le milieu du XVIII, siècle.
e revenir. La gravure en question représente un vieillard, homme ou femme on ne sait lequel des deux occupé à frotter éne
in, que l'un de nous a remplacé. Agée actuellement de 64 ans, cette femme , depuis qu'elle est soumise à notre observation,e
qu'il a été obligé, en raison de ses troubles mentaux, de placer sa femme à l'asile Ste-Anne. Ce renseignement trouve jus
mportance de l'aboulie professionnel le, les auteurs présentent une femme de 30 ans, atteinte de ladite aboulie, quoiqu'e
ie, quoiqu'elle ne montre pas de lésions dans la position assise. Femme nerveuse, émotive, inquiète dans sa jeunesse. Sa
Léon, on trouve encore de ces improvisateurs populaires, hommes ou femmes , vrais descendants des bardes; ils sont connus à
tailleurs. J'ai connu un de ces bardes populaires en jupon ; cette femme , très intelligente, parlait un breton d'une gra
que tous les médecins de Malines,... mais sans aucun résultat». Une femme du village d'Alem avait été saignée deux fois au
résente une scène d'exorcisme (1). Au milieu de la composition, une femme , évidemment possédée du diable, se renverse en
eux. Derrière la malade, et lui soutenant la tête à deux mains, une femme d'un certain âge, probablement une des gardes m
de Paris, Chef de laboratoire a la Maternité. A l'AUTOPS1E d'une femme de 28 ans, morte subitement de néphrite suraigu
mes d2c pse2scto-cedènae catatonique. Il est plus fréquent chez les femmes que chez les hommes. Il est localisé le plus so
r au moment de la production de gan- grène symétrique. ' Chez les femmes , la menstruation est quelquefois modifiée : on pe
'observation clinique se trouve dans la thèse de Chenais (1). Cette femme , dont la maladie mentale évolua pendant une diz
de la peau et un état d'indiffé- rence complète survenant chez les femmes à l'étal adulte. Or, en 1879, on dénomma la mal
nom de Henry Meige et dont la réalité me paraît incontestable. Les femmes sont beaucoup plus prédisposées que les hommes.
la photographie figure dans ce mémoire ; un autre appartient à une femme atteinte de délire paranoïde, et le dernier est
e femme atteinte de délire paranoïde, et le dernier est celui d'une femme atteinte d'involution sénile avec suba- gitatio
ique, le trophoedéme atteignent, avec une grande prédi- lection les femmes ; les caractères objectifs de l'infiltration myxoe
bre différent; tantôt elles appartiennent à un homme, tantôt à une. femme , le plus souvent à tous les deux. Leur quantité
des cas se rapporte a des hommes : 30, contre seulement 3 pour des femmes . En calculant le pourcentage de ces malades (1)
tivement une maladie rare. Si nous prenons les hommes (3110) et les femmes (1703) séparé- ment, nous verrons, que la fréqu
cas de trouble mental, sera chez les hommes 0,96 p. 100 et chez les femmes 0.18 p. 100. En examinant le rapport du nombre
re des hommes, souffrant de délire alcoolique conlinu au nombre des femmes , et prenanten considération, que le nombre de l
en général, prévaut de beaucoup sur le nombre de malades psychiques femmes (le nombre de malades psychiques hommes se rapp
s psychiques hommes se rapportant au nombre de malades psy- chiques femmes comme 3110 : 1703, c'est-à-dire comme 1,03 : 1),
,5 fois souffrent plus souvent du délire alcoolique continu que les femmes , ce qui doit être expliqué, croyons-nous, par c
croyons-nous, par cela que l'alcoolisme est moins répandu parmi les femmes que parmi les hommes. En posant la question con
46-50 ans et dans 4 cas (de ces cas il y en a deux, appartenant aux femmes ) à 51- 56 ans. Cela démonlre que le délire alco
t à l'âge de 26-35. Des 3 cas de délire alcoolique continu chez les femmes dans 2 cas la maladie s'est manifestée à 52-53 an
peut penser que le délire alcoolique continu se développe chez les femmes bien plus tard que chez les hommes. Cette circo
ette circonstance, croyons nous, peut être expliquée par ce que les femmes commencent à abuser des bois- sons fortes dans
nourrice porte l'enfant nouveau-né sur ses genoux; une belle jeune femme , sou- riante et épanouie, tient le lange dont o
le corps potelé de la petite Vierge déjà auréolée. Une autre jeune femme sourit à sainte Anne (qu'on ne voit pas sur le
a jeune Vierge est toute à son enfant : on ne peut pas imaginer une femme plus vierge, ni plus mère. L'enfant, qui dans l
doigts, et de glisser entre eux un regard furtif ; on n'est pas plus femme que cette Vergognosa, honteuse de sa curiosité.
Innocent II. « Toute l'Assemblée applaudit à ce choix, excepté une femme qui, se moquant de cette décision par des grima
des anges qui couron- naient le.jugement de saint Bernard. » Cette femme était une possédée, que le peintre a représenté
au Rijk-Museum d'Amsterdam, l'auteur allemand remarque que la jeune femme qu'on y voit semble un « portrait typique decht
79 (1848) Journal du magnétisme [Tomes VI et VII]
l’époque où je fis commencer le traitement magnétique. Cette brave femme désirait consulter un occulisle. La personne chez
faut-il de temps ? — C’est selon. — Il faut bien une heure à une femme qui fera le trajet à pied et endormant. — D’acc
e monsieur, saluant en rond la société. — Où avez-vous laissé votre femme ? — Sur l'escalier. Nous étions chez nous, il y
ne heure, habillés pouraller en soirée. Tout à coup, crac! je vois ma femme qui s’endort. Je me dis : Bon, c’est M. Dumas qui
es regards se tournèrent vers la porte, qui était restée ouverte. Une femme parut; une femme jeune, blonde, et d’une assez jo
rnèrent vers la porte, qui était restée ouverte. Une femme parut; une femme jeune, blonde, et d’une assez jolie figure. Elle
ration fut faite. Dégagée du fluide qui enchaînait ses sens, la jeune femme soupira, étendit les bras, ferma les yeux, les ro
indiqués aussitôt qu’il était endormi par le moyen des passes que sa femme opérait sur lui avec ses mains, ou seulement en l
positif, entièrement dépourvu d’imagination. Il venait de perdre sa femme Ulrique Eléonore. Quoique sa dureté pour celte pr
science. J’étais fort incrédule; mais depuis que j’ai vu à l’œuvre la femme Cheyroux, ma foi au magnétisme est pleine et enti
lettre quelques plumes du fugitif; je présentai cette enveloppe à la femme Cheyroux et je lui demandai : Qui a écrit cette l
et à personne. Le lendemain de mon arrivée, ma mère se rendit chez la femme Cheyroux, qui était endormie en cet instant. Au m
ce jeune homme, qui n’habite point Limoges, et qui est inconnue de la femme Cheyroux, s’est effectivement mariée peu après ce
crois fermement au somnambulisme. (Adhésion dans l’auditoire.) » La femme Cheyroux ne demandait pas d argent, il fallait in
de; ma belle-sœur prit un vêtement de cette enfant et alla trouver la femme Cheyroux. Celle-ci palpa le vêtement, indiqna l’â
ui est propriétaire d’une maison, à 60’ lieues de Limoges. Il pria la femme Cheyroux de lui décrire cette maison; elle fit ce
ux autres personnes. Toutes ces indications se trouvèrent fidèles. La femme Cheyroux ne pouvait avoir connaissance des faits
t répondit immédiatement, et les renseignements que m’avait donnés la femme Cheyroux se trouvèrent fort exacts. » Alex. Fil
ssi des pièces d’argent enfermées dans la main. » Léonarde Valerie, femme Rougerie. — J’ai vu Au-diguet endormir la femme C
» Léonarde Valerie, femme Rougerie. — J’ai vu Au-diguet endormir la femme Cheyroux. On vint la consulter pour une jeune fil
circonstancesétaient vraies, et je fus convaincu de la lucidité de la femme Cheyroux » On entend successivement plusieurs t
u soulagement. Les uns disent qu’avant de les introduire auprès de la femme Cheyroux, Audiguet leur a fait inscrire leur nom
par M. le procureur du roi et M. le juge d’instruction d’examiner la femme Cheyroux, de m’assurer de la sincérité de son som
faits merveilleux que l’on racontait. Audiguet m’afiirmait que cette femme lisait à 100, 200 et jusqu’à 1000 lieues; qu’elle
ira beaucoup mieux ce mot dans ma pensée. Soumise à cette épreuve, la femme Cheyroux déclara qu’elle lisait le mot Bible. »
conviction que le prétendu don de seconde vue, que posséderait cette femme en état de sommeil magnétique, n’est qu’une fable
es prévenus. » La somnambule déclare s’appeler Marguerite Ri-bière, femme Cheyroux, relieuse, âgée de vingt-huit ans. » J
iguet, carrossier. » C’est moi qui ai presque toujours magnétisé la femme Cheyroux, seulement pour sa santé. On venait la c
s d’une fois égayé le nombreux auditoire. » Le tribunal a relaxé la femme Cheyroux et Audiguet sur le chef d’escroquerie, e
appartient à la nature humaine, puisque tous en sont doués, hommes et femmes , petits et grands, et que chacun peut s'en servir
gastrites. 1 suite de fausse couche depuis 7 ans. 1 faiblesses de femme enceinte, que j’ai mise en état d’avoir une heure
t du malade. Il avait eu une attaque d’apoplexie. Le second est une femme de 32 ans qui est paralysée depuis l’âge de 9 ans
depuis plusieurs jours et ne peut plus diriger son établissement, sa femme en est profondément affectée, je m’en aperçois, j
r le thorax qu’il éprouve une suffocation strangulaire qui effraye sa femme ; mais sans pousser trop loin cet état, je dégage
tements imaginables de la médecine et à tontes les recettes de bonnes femmes les plus extravagantes. Cinq magnétisations lui o
isme, lomc iv, |iage 61. traçant avec «lu collyre, sur le front des femmes et surtout des enfants, la lettre clif, la premiè
a lettre clif, la première de leur alphabet. Aussi en Orient, hommes, femmes , enfants, jusqu’aux chevaux et aux chameaux , por
petits enfants. Les surveillants conseils de la République avec leurs femmes , les citoyens avec leurs femmes; les élèves des d
conseils de la République avec leurs femmes, les citoyens avec leurs femmes ; les élèves des deux sexes séparément. On donne
la même méthode que celle des derwisches pour produire l’extase. Une femme qui l’excite de la voix fait fumer le benjoin sou
la porte d’une mosquée ou devant un café fréquenté, et que nombre de femmes venaient consulter, Dieu sait pour quelles causes
ouleur près du cœur depuis douze jours, — 10 séances, — guérison... Femme de 36 ans, forte migraine, hallucinations; — l'ap
Griseldis une scène de magnétisme; c’est un prétexte pour amener des femmes aériennes qui passent couchées sur des nuages ; c
rophétique. Ayant obtenu l’insigne faveur d’un entretien avec cette femme extraordinaire, M. de Lamartine le rapporte ainsi
us commode d’appeler folie que d'a-nalyseretde comprendre.—Non, cette femme n est point folle... » Le drame politique auque
i a donné lieu à cette manifesta lion favorable. Une dame anglaise, femme d’un ecclésiastique, portait à la partie postérie
nt. L'enfant n’est-il pas la chair de la chair et les os des os de la femme qui lui a donné le jour? Il n’a pu encore, par sa
lui, devant les personnes de sa maison, et le succès fut le même. La femme du malade me promit de suivre mes indications, et
mer, elle fut un masque de liaisons galantes ; on attirait les jeunes femmes aux salles de magnétisme, et les résultats ne plu
1787, elle aura perdu son talisman d’origine, scs réunions de jeunes femmes et jeunes gens, dont on entrevoyait le mobile sci
er à tous indistinctement, les magnétiseurs d’alors choisissaient les femmes , qu’ils considéraient comme les plus aptes, et le
sacrifices ruineux que cet honnête homme s'était imposés pour que sa femme , invalide depuis plus de 3 ans, ne put manquer de
ments et consultations qu’exigeait son état. On me rapporta que cette femme était affligée d’une complication de maux qui la
it-on, succomber prochainement. Après le départ du sieur Chenel, sa femme étant forcée TOau VI. — X" 12. — 25 JUIN 1818.
ieurs cas graves, employé avec succès dans ma propre famille. Cette femme , après avoir été prévenue, me fut amenée par sa m
mière crise; elle s'affaissa sur son siège et perdit connaissance. Ma femme lui prodigua tous les soins que son état exigeait
'aide desquels il pourrait peut-être achever l’entière guérison de sa femme . Je cessai de les voir et d’en entendre parler pe
e-l’Arche et m’étant informé au sieur Chenel de l’état de santé de sa femme , j’appris avec un plaisir bien grand que la pierr
ent; le tout formant un ensemble d’idiotisme complet, au point que ma femme , après l’avoir considérée, me dit, malgré sa foi
gré lui, il se mit à entonner des chants d’église. « Voilà, me dit sa femme , comment il chante jour et nuit et sans que nous
ieu, je respire, merci. » Je partis en recommandant à Suire et à sa femme de venir me trouver pendant quelques jours, afin
échapper à la reconnaissance, je ne le revis que huit jours après; sa femme me l’amena. Pendant sept jours il n’avait rien re
êter avec assiduité. Docile à mes conseils, Suire, accompagné de sa femme , venait tous les jours et fort régulièrement, mal
tit équipage dans lequel, à leur tour, montaient la jeune fille et la femme Suire. J’en suis bien fâché pour messieurs les
e jardin, où je magnétisai un arbre avec confiance, recommandant à la femme Suire de conduire son mari dessous, lorsque les c
la tristesse, les larmes et les impatiences nerveuses l’agitaient, sa femme n’a pas un instant à perdre, elle l’entraîne sous
nie complète. De retour le dimanche 6 juillet au matin, je trouvai la femme du malade qui m’attendait avec une grande impatie
olonté de le faire dormir encore; car l’insomnie l’avait brisé, et sa femme elle-même avait besoin de repos. Je réussis au de
s espérances, car le len- * demain, dans la soirée, je vis arriver sa femme toute effrayée du nouvel état dans lequel était s
ller, ne produiraient-elles pas l’effet contraire? Je remis donc à la femme Suire de nouvelles treilles qui devaient être pou
ances et des treilles magnétisées que, chaque jour, je remettais à la femme Suire, et qui avait grand soin de me les demander
M. Pichard, qui peut en témoigner, un de ces anti-raagnétistesavec sa femme qui lui servait de sujet. C’était d'honnêtes ouvr
sion de m’instruire sur ce sujet alors nouveau et fort en vogue. La femme fut enfermée dans une pièce séparée par une clois
sur les somnambules qui n’étaient pas plus lucides, disait-il, que sa femme . Je cherchai vainement à le désabuser. J’avais af
ans qu’il revint chez lui. Poussée par la plus cruelle inquiétude, sa femme s’en fut consulter le somnambule Ilusson, qui, da
enivrer éternellement. Mahomet promit aux Asiatiques, qui aiment les femmes , un paradis peuplé de houris, ou de femmes toujou
Asiatiques, qui aiment les femmes, un paradis peuplé de houris, ou de femmes toujours jeunes et toujours vierges. Les chrétien
oderne: ■ Il ne faut pas jouer avec le magnétisme ! Me disait une femme , en sa naïveté. Hier, il a vaincu mon superbe h
dont j’ai parlé dans l’un des précédents numéros, avait magnétisé sa femme à plusieurs reprises sans rien obtenir ; on lui c
tures agréables,environné de soins affectueux que me prodiguaient des femmes aimables, je me trouvais heureux, lorsque, vers l
.) — Le D'Hardingue, ayant à amputer le doigt du milieu d’une jeune femme , la soumit à une inhalation de chloroforme. Le su
thyr,nomme Longfcl-low, écrivit, la semaine dernière, une lettre à sa femme , qui’se trouvait alors à Newport, pour lui dire q
e son inquiétude. Désireuse de calmer les craintes de son mari, cette femme arrangea ses affaires à Newport mercredi matin, e
ama les soins d’une somnambule pendant une maladie fort grave. «Cette femme , qui me voyait pour la première fois, dit-il (Thè
mourir. Or, le 12 novembre 1822, il était mort dans cet hôpital une femme nommée Catherine Samson, âgée de soixante-huit an
es personnes bien constituées, pourrait le devenir cependant pour des femmes d’une extrême sensibilité des nerfs, ou tombées
agement des miennes. Un seid cependant a fait exception : c’était une femme atteinte d’une affection chronique fort an- cie
n’a entendu parler des goûts bizarres cl souvent dépravés de quelques femmes pendant la gestation? A-t-on jamais eu dans ce ca
e son exactitude. Ayant touché l’organe de la véné- ration chez une femme instruite, elle se mit de suite en prières, les y
er qu’ils exerçaient la même profession. Sixième observation. Une femme , vieille déjà , vivant dans la solitude, et trait
il ne se soit occupé d’elle en aucune façon. Il est évident que cette femme est travaillée par un germe d’hallucination qui n
80 (1871) Revue photographique des hôpitaux de Paris. 3ème année
avons consigné l'observation dans le précédent numéro; 2° celle d'une femme que nous avons observée en 1868. Oi^ervation II
poignet gauche, ni dans les jointures du bras droit. 2 août. Cette femme a été prise d'une diarrhée, d'abord peu in-tense,
, pages 155, 11G, 216 et 247. aines, le bas-ventre, obligeant cette femme à se placer dans le décubitus dorsal pour les cal
des, des nouvelles accouchées, l'oc-cupation permanente des salles de femmes en couches et l'encom-brement, telles sont les ci
néralisée; elles jouent un rôle considérable dans la pathologie de la femme en couche, et on ne peut les méconnaître sans s'e
a pu fouiller, pour ainsi dire, tous les recoins de la pathologie des femmes en couches, trancher bien des questions restées j
rpérales ; tel est le cadre dans lequel sont entrées les maladies des femmes en couches. Toujours les descr plions sont faites
eux né en Normandie 2. ACCUMULATION DE CHEVEUX DANS L'ESTOMAC D'UNE FEMME par le docteur gull Nous trouvons dans la Pre
e avoir sa place naturelle à la suite de l'article précédent. « Une femme mariée, âgée de 32 ans, chez laquelle personne n'
ans, fruitière, est entrée, le 10 avril 1851, à la Salpêtrière. Cette femme a éprouvé, ii y a vingt-trois ans, les pre-mières
publions une photographie (voy. Planche VII) qui représente une jeune femme du service de M. Guibout, à l'hô-pital Saint-Loui
de 1870, il nous faut citer les cas suivants survenus : l'un chez une femme atteinte d'atrophie musculaire progiessive; l'aut
emblable à celle décrite chez les ataxiques par M. Chareot,— chez une femme de 50 ans, atteinte d'atrophie musculaire progres
Relativement au père, âgé de 28 ans et demi, on nous assuré 1 Cette femme est arrivée à la Salpêtrière à l'âge de 12 ans et
ileptiques et idiotes où il y a une école. De là l'ignorance de cette femme . Si les administrateurs de l'Assi-tance publique
n fut obligé de faire évacuer le bâtiment où se trouvait la salle des femmes de M. Empis et, à la fin de mars, nous retrouvâme
nt. Sa grossesse a été pénible : des vomissements tourmentèrent cette femme , pendant les six premiers mois; ils reparurent da
nuit (présentation du sommet). Le placenta n'a pas été examiné. Cette femme dit avoir été très-vivement impression-née au tro
une multipare à la suite probablement de manœuvres maladroites. Cette femme , au 1 Voy. Revue photographique, 1870, pages 15
out en reconnaissant que la multiplicité des couches faites par cette femme ava t pu amener un affaiblissement de l'utérus, n
é, il ne faut pas oublier que la répétition du toucher sur une même femme n'est pas sans incon-vénient. La Maternité est
t plusieurs phlyctènes. — L'ensemble symplomatique offert par cette femme était tout à fait comparable à ceiui qu'on remarq
érébral, dans le service de M. Charcot, salle Sainte-Rosalie. Cette femme fut soumise à notre examen dans les derniers temp
gênés, notamment la flexion des genoux, ce qui n'empêchait pas cette femme de vaquer à ses affaires. L'autopsie nous montr
-dire, à partir de vingt-cinq ans. Il est donc probable que cheznolre femme , elles étaient stationnaires depuis cette dernièr
a procuré l'occasion d'observer une malforma-lion que présente cette femme , malformation assez rare, intéressant l'avant-bra
s avancée de l'existence. Puis, nous avons relaté l'observation d'une femme appartenant à la première catégorie, en insistant
on, mobile en masse sur les couches profondes, du volume d'un sein de femme pubère. Peau adhérente partout, rouge et très-ami
endant rencontré toutes les formes de tumeurs que l'on trouve chez la femme . — Jusqu'en 1859, le squirrhe paraît être la seul
prouver que la mamelle de l'homme est sujette, comme la mamelle de la femme , quoique bien moins fréquemment1, aux différentes
, p. 8 3.) Le cancer du sein se comporte chez l'homme comme chez la femme ; on avait écrit, et Velpeau l'a cru pendant un ce
caustiques offrent quelques chances de plus chez l'homme que chez la femme . — En tous cas, ces tu-meurs doivent être soumise
, l'étroitesse du bassin, les manœuvres obstétricales, etc. Des trois femmes dont nous avons recueilli l'observation, deux ont
ornerons à la relation de deux observations : 1° celle d'une des deux femmes rachitiques; 2° celle de la malade qui portait un
in relevons un dernier détail, au point de vue de l'étiologie : cette femme est née la dix-huitième sur vingt et un enfants,
ntes fois M. Charcot a noté un abaissement de la température chez des femmes de son service, atteintes de cancer de l'utérus a
re enflammé trouvé accidentellement par Scanzoni sur le cadavre d'une femme morte de pneumonie. Quant au quatrième degré, on
nts jusqu'au 20 avril, jour où N... passe dans le service spécial des femmes en couches. C'est là où nous l'avons observée.
rique soit épuisée, ces malades reprendront la vie commune. 1 « Une femme sera restée confinée au lit pendant plusieurs moi
l'hystérie convulsive n'existait plus que dans les souvenirs de cette femme . Depuis deux ou trois ans, la contracture était l
e manifestation de la grande névrose. 2° Le second cas concerne une femme également atteinte d'une contracture limitée à un
hystériques pro-prement dites avaient depuis longtemps disparu. Cette femme fut accusée de vol : la contracture, qui avait du
our nous à cause de la précision des détails. Ils se rapportent à des femme jeunes encore, frappées subitement de contracture
les-quels présentaient en outre une anesthésie considérable. Chez ces femmes , la guérison était survenue tout d'un coup, au mi
cer-taines, vraiment peu satisfaisantes.... a. Je vous présente une femme , âgée maintenant de 55 ans et qui, il y a 18 ans,
plusieurs années, l'hystérie pa-raît complètement épuisée chez cette femme , et il est devenu fort peu probable qu'aucun évén
n me fondant sur la connais-sance d'un fait analogue, que, chez cette femme , il s'est produit, à une certaine époque, une lés
econ-naître. Il m'est arrivé en effet d'observer une fois, chez une femme hys-térique, atteinte, depuis une dizaine d'année
auteur de la moelle, les cordons latéraux. A diverses reprises, cette femme avait, vu la contracture céder temporairement, ma
• Cuisse.......... HOMMES 56 1 1 11 2 1 0 0 0 1 0 0 1 FEMMES 120 2 1 45 5 5 1 2 1 1 1 1 0 TOTAL 176
tumeurs du foie et du rein, et les tumeurs du bassin, surtout chez la femme . DansVhypertrophie simple, la rate conserve tou
harcot a observée sur le trajet de l'un des nerfs sciatiques chez une femme atteinte d'ataxie locomotrice1. Diverses partic
ut fréquente de 20 à 30 ans ; l'homme paraît y être plus sujet que la femme (87 hommes, 57 fem-mes , d'après les cas relevés
s un angle droit. Nous retrouvons encore cette même attitude chez une femme dont la paralysie, survenue à l'âge de 21 ans, da
5) ressemble plus à un enfant par ses allures et son langage qu'à une femme . Son intelligence est faible; sa tête est peu vol
ions physiologiques s'accomplissent d'une façon normale. Chez cette femme , dont l'hémiplégie est très-ancienne, l'attitude
Archives de physiologie, vous représente l'état de l'axe gris chez la femme dont je vous ai montré tout à l'heure la tête num
s dans les pays marécageux, rares ailleurs ; on les rencontre chez la femme comme chez l'homme; on les a notées à tous les âg
egroux à l'hôpital Beaujon. Il s'agissait, dans ce dernier cas, d'une femme atteinte de choléra peu de jours après ses couche
une forme en quelque sorte spé-ciale, qu'il pointe comme celui d'une femme enceinte; il n'est pas affaissé, étalé sur les cô
81 (1881) Études cliniques sur l'hystéro-épilepsie, ou Grande hystérie
é, ont été signalées par les divers auteurs. Baillarger parle d'une femme atteinte de monomanie religieuse qui percevait pa
antôt par l'oreille gauche2. » Baillarger rapporte l'histoire d'une femme saine d'esprit, mais sujette à des accidents hyst
dissements — née d'une mère atteinte d'une maladie con-vulsive. Cette femme entendait des voix, principalement de l'oreille d
. « Si l'on fait attention, dit Briquet, à ce qui se passe chez les femmes qui éprouvent une émotion morale, on saisit facil
rire rentrent dans la même catégorie. Au dire de Piorry, certaines femmes sont averties de leurs atta-ques prochaines par u
s hystériques. 1. E, Mathieu, Études cliniques sur les maladies des femmes . Paris, 1817,p. 494. i. Cité par Mathieu, loc. ci
qui fait des grimaces. Elle se plaint d'être la plus malheureuse des femmes , et commence la longue suite de ses lamen-tations
et déplore sa destinée : « Ah! malheureux parents!... En voilà une femme que cette mère-là! Non, non, je ne veux pas y pen
le. trent que c'est la négresse qui entre en scène : « Ah! pauvre femme !... Mon Dieu! donne donc un coup de poing..... Oh
r, elle se faufila jusque dans la maison où elle vit le cadavre d'une femme que son mari venait d'assassiner. La vue du cadav
rriot des morts de Gl..., et la né-gresse de Marc... Ler... est une femme sans instruction, elle ne sait ni lire ni écrire
ragé; à seize ans seconde frayeur très vive à la vue du cadavre d'une femme assassinée par son mari; à dix-neuf ans, traversa
étaient des scènes de la guerre, des hommes morts, des incendies, une femme qui jette son enfant dans le feu... Le 24 juin
Je devrais ne pas le recevoir... Il m'outrage... Je de-vrais être sa femme , il fait de moi sa maîtresse,., mais je l'aime ho
ure comme la mienne!... Je suis donc une bête... pas comme les autres femmes ... » Marc... n'a pas toujours un délire aussi l
minutes : « Oh! je te jure que ce n'est pas ma faute... En voilà une femme que cette mère-là..,-Non, non, je ne veux pas y p
fureur s'épuise peu à peu. « Ah ! Jean-Louis-Philippe!... il a tué sa femme , le chameau!... Tiens, v'ià pour toi ! (Elle frap
st réglée (40 h. 7). Ah!... le propre à rien, crois-tu qu'il a tué sa femme ? (Elle s'assied sur son lit, tourne la tête de c
. Oh! le chameau! (Elle se couche.) On a fait un bel enterrement à sa femme , s... vieux maquereau salé! Quand j'étais en nour
, puis le délire recom-mence. «Oh! Jean-Louis-Philippe! il a tué sa femme ... A boire! à boire!... (Elle se met à genoux, se
Ah ! sont-elles jolies, richer. Hystéro-épilepsie. 11 toutes ces femmes dans ce bateau!... et ces hommes couchés à leurs
titude gaie, qui ne dure pas longtemps. « G'est-y mal-heureux! Pauvre femme !... Enfin, ce n'est pas vrai, on dirait bien cepe
tre bouche Demander un baiser pour un morceau de pain. « Toutes ces femmes -là, ça se moque des pauvres gens! Moi, je ne m'en
examen des faits. « Imiter, dit Briquet, est un des privilèges des femmes ; c'est surtout un des privilèges des hystériques.
sions singulières. J'ai eu il y a quelque temps, dans mes salles, une femme qui avait des hurlements et des aboiements; au bo
elle faisait ensuite des mouvements semblables à ceux que ferait une femme qui se livrerait aux transports de l'amour... J
t une particula-rité que nous avons constatée plusieurs fois chez les femmes hystériques à phénomènes extatiques, cataleptique
e est triste et découragée; elle vous prie instamment de renvoyer une femme qui est à son lit, avec un petitchien noir quiveu
mme qui est à son lit, avec un petitchien noir quiveutla mordre;cette femme est invariablement vêtue de noir et a les yeux bl
ectuelles. » » Selon Cabanis, rien n'est moins rare que de voir les femmes acquérir, dans leur accès de vapeur, une pénétrat
e de plusieurs personnes pour pouvoir les contenir. Nous avons vu des femmes assez chétives acquérir alors une force telle que
arracher les cheveux, de se déchirer le visage, comme le feraient des femmes éperdues. La force employée dans ces actes est te
dans son ouvrage sur les hallucinations fait observer que chez les femmes hystériques, lorsque l'excitation sera portée à u
ibue une influence extraordinaire sur le sang. Cet auteur parle d'une femme dont l'ob-servation est citée par Pestins, qui ét
s exemples d'hallucinations de nature évidemment hystérique : « Une femme de quarante ans, douée d'une constitution robuste
est âgée de dix-sept ans, et est née à Saint-Ouen (Vosges). Sa mère, femme très nerveuse, la contrariait souvent, et elle ti
du lit, témoignaient suffisamment des occupations favorites de cette femme dans les temps de répit. » La compression ovari
e composaient les attaques deviennent un exemple foii J. « Chez une femme que j'ai vue il y a plusieurs années à l'hôpital
'autres, ils ne se produisent qu'une ou deux fois par jour. Quel(]ues femmes ne les ont que de loin en loin, comme elles atira
u es une mère infâme !... Et mon père t'a pardonné!... Tu es une sale femme , tu es une femme mondaine. » (Elle pleure, se cou
âme !... Et mon père t'a pardonné!... Tu es une sale femme, tu es une femme mondaine. » (Elle pleure, se couvre le visage ave
trière... Je voudrais bien savoir qui a.pu te le dire?... Une vieille femme ?.-. On ne me l'a pas demandé... L'autre, je le di
brique qui le fait ressembler au type convenu du satyre. Il adore les femmes et se plaît beaucoup dans leur société; loin d'el
s soma-tiques et psychiques. Il ressemblait en tout aux hystériques femmes en état de mal : délire in-terrompu par des crise
ndition qu'ils habiteraient séparément. Elle ne comprenait pas qu'une femme pût s'abandonner aux caresses d'un homme; l'amour
ue l'hystérie se rencontre à un degré moindre chez un grand nombre de femmes et chez quelques hommes, de même l'hypnotisme pou
. En effet, elle se lève inquiète et chancelle, elle marche comme une femme ivre, et porte la main à son estomac avec un air
es avaient au moment de la nmrt : en voici deux très remarquables. La femme d'un vigneron de Nancy fut foudroyée au moment oh
us haut que la catalepsie ainsi caractérisée ne survient que chez les femmes en pleine évolution hystérique. Caractères.— La
res après. » {Recherches sur l'hypnotisme, Paris, 1860.) « Chez une femme hystérique, dit Ch. Richet, que j'ai endormie plu
ons; il n'est pas rare de l'entendre vous dire : « Retirez-donc cette femme et ce chien, personne ne m'en débarrassera donc!
e et ce chien, personne ne m'en débarrassera donc! » Toujours la même femme aux yeux bleus et son petit chien noir, la même h
ané des membres, troubles qui ces- saient aussitôt. Chez une de ces femmes , l'attaque commençait toujours par de la constric
u récemment observer à l'Institut hydrothérapique de Passy, une jeune femme hystérique dont les attaques, au point de vue qui
hez f homme, pendant que l'hystérie ne se rencontre guère que chez la femme . M. Briquet donne des chifïres. Il admet toutefoi
net ajoute que la ténacité du mal, de un à huit ans, se voit chez les femmes seules. Enfin, la facilité de production des ph
au moins pendant quatre heures ; à la suite d'un de ces accès, cette femme mourut subitement, et l'autopsie faite par nous a
on d'en observer un exemple chez un jeune garçon de treize ans. Les femmes hystériques sont, de toutes, les plus sujettes à
bservation IV, page 55 du même ouvrage du D"' Magnan. Il s'agit d'une femme âgée de 45 ans. Les troubles hallucinatoires parf
il fait l'aveu d'en avoir bu de quatre à six verres par jour; mais sa femme prétend qu'il en prenait souvent en cachette. Cet
abitude une fois contractée, les conseils des amis, les prières de la femme n'empêchent point Cl... de prendre des absinthes,
, se croit dans la rue, chez lui, dans son magasin ; il croit voir sa femme et ses en-fants, leur parle, les engage ci fuir,
n'est pas rare, dit Rrodie (pag. 57), de voir, par exemple, une jeune femme , dont a été piqué ou pincé le bras, se plaindre,
n absolue, au moins une exagération dans certains phénomènes chez les femmes nerveuses. » Les classes 2, 3, 4, forment les 2
ffre considérablement dans 4/7 des cas. Elle souffre surtout chez les femmes . Les causes qui agissent avec le plus de sûreté
nt Larrey était le médecin, qu'un jour, ce dernier, appelé près de la femme d'un général tombée en léthargie, installa un orc
e se prêle parfaitement à ce genre d'épreuve. Nous avons vu plusieurs femmes , affectées de névropathies indécises, mais sans t
à Aix-la-Chapelle, arriver de l'Allemagne des troupes d'hommes et de femmes , qui, réunis par un délire commun, offraient au p
ors il semblait que le diable l'en punit. Au contraire, si les autres femmes devi-saient avec elle de menues affaires et de ch
nage,qui fut arrêtée et jetée en prison en même temps que sept autres femmes soupçonnées comme elle de rendre un culte au démo
rits, actuellement conservés k la bibliothèque de Tours, dénotent une femme ambitieuse servie par une vive intelligence doubl
uments, etc., p. 42. 2. Dr Gabriel Lègue, Documents,..,^. 12. Trois femmes de la ville, oubliant la réserve de leur sexe, eu
saint Athanase : « ce « grand évêque accusé au concile de Tyrpar une femme impudique qui ne l'avait ja-« mais vu, s'avisa d'
isa d'un stratagème qui prouva son entière innocence. Lorsque cette « femme entra dans l'assemblée pour former publiquement s
'aux premières accusations lancées contre Grandier. La maladie de ces femmes n'était que trop réelle. Ces revirements soudains
isitant dans son désert, et l'attrapant par le moyen du soulier d'une femme , et d'un mouchoir parfumé, lequel il mit en son c
et souvent il lui montrait des spectres ou des figures d'hommes ou de femmes qui dansaient nus avec une grande effronterie et
assesse et tant de noirceur susceptible d'entrer dans l'âme de jeunes femmes de bonne éducation, vouées par goût à la vie reli
ort contingent. Dans les maisons oii il y avait plusieurs filles ou femmes , il était rare, si l'une devenait malade, que les
rapportée plus haut au sujet des possédées de Loudun, p. 639. « La femme du Tavernier, se trouvant à Morzines, proposa à u
diables qui lui courent sur a figure et la piquent. » Une autre, la femme B... (Nicolas), âgée de trente-huit ans, malade d
malade fut l'unique possédée; mais, en juillet 1878, plusieurs autres femmes furent atteintes de convulsions. Comme à Morzin
secousses dont nous avons parlé et même de la chorée rbythmique. La femme Geoffroy, cherchant à exprimer ce qui se passait
de mobilité, et se porte de rudes coups de poing sur les cuisses. Une femme qui cherche à la contenir est tellement impressio
force de son bras, dont l'agitation était si extraordinaire que cette femme ne pouvait l'arrêter 3. » Pendant le cours de c
tourmentant comme de vrais démoniaques. On y voyait, et j'y ai vu des femmes qui sollicitaient leur miracu-leuse guérison, les
ge n'a que trop fait connaître ; mais on sait la pratique de quelques femmes romaines quand elles étaient stériles, c'était de
sont-ils pas encore dans un usage aussi impertinent, qui est que les femmes exigent de leurs maris d'être battues, pour s'en
développer chez une partie des assistants, et principalement chez les femmes , toute une série de phéno-mènes physiques et inte
la pa- rôle de Dieu. On voyait, par vingtaine les liomnn^s (ît les femmes pèle-mèle, joncher le sol, insensibles et semblal
u'elles faisaient en tombant ressemblait à l'aboiement d'un chien. La femme d'un de nos anciens, personne d'une grande piété,
». En d 822-3-4., elles se reproduisirent dant l'État d'illinois. Les femmes jeunes et de basse condition, natives de la Carol
utres accidents nerveux que les secousses dont il s'agit. « Une jeune femme , dit notre auteur, tournait comme une toupie pend
quait pas de grâce et de charme, mais d'un pas peu varié ». Une jeune femme dansaitsur son banc pendant viugt à trente minute
, on chantait; de l'autre, on entendait le bruit confus d'enfants, de femmes , d'hommes, qui déployaient leur bagage et dressai
e quarante ou cinquante personnes, au milieu desquels des hommes, des femmes surtout, et même des enfants de six à sept ans, r
, dit-il, de s'imaginer à quels excès on s'y livre. Il cite unejeuiie femme qui, dans son extase pieuse, se déshabille, se je
froidement, et il passa. y ..... Est-il nécessaire de dire que les femmes seules obéirent à l'appel des prêtres, et vinre
bancs d'anxiété, et que la plus grande partie étaient de très jeunes femmes ? La congrégation avait revêtu ce jour-là ses habi
evival; mais l'elïet fut tout différent. Au lieu d'un petit nombre de femmes , je vis plus de cent personnes, presque toutes fe
petit nombre de femmes, je vis plus de cent personnes, presque toutes femmes aussi, s'avancer vers le pen, poussant des gémiss
trop méchante nature pour vivre avec les démons eux-mêmes. Une autre femme , placée aussi près de nous, ne cessa pas une minu
service religieux en plein air « la campagne couverte d'hommes et de femmes , retentissait de lamentations et de cris tels, qu
es plus curieux observés sur les revivalistes irlandais : « Une jeune femme couchée à terre, étendue de tout son long, les ye
le, fort développé chez quelques sujets. partieulièreraeut chez les femmes , et qui sert à rendre sensibles pour ceux qui son
. » Parfois la moindre émotion provoquait un accès ; plusieurs jeunes femmes avaient des atta-ques à la vue seule d'une person
cun malade se soit plaint d'avoir ressenti de la douleur, excepté une femme , qui la première fut attaquée de la maladie, cas
de la grande hystérie. Ce sont surtout des individus jeunes et des femmes qui ont présenté des exemples de cette maladie :
mples de cette maladie : il paraît que, hormis le premier malade, une femme depuis longtemps exclusivement adonnée aux idées
grand et riche marchand, lequel avait nom Bérenger. Celui-ci eut une femme du nom d'Hugue, qui était de Barjols (Var, arr. d
femme du nom d'Hugue, qui était de Barjols (Var, arr. de Brignoles), femme de vérité (foi); et tous deux furent bons et droi
nde révérence qu'il avait â la sainte, lui demanda conseil; la sainte femme l'encouragea fort, disant que sûrement il prît l'
ut victoire des ennemis de l'Eglise de Dieu, tout ainsi que la sainte femme le lui avait dit auparavant ; et quand il eut pro
faisait savoir pour certain. Après un peu de temps, quand la sainte femme fut morte, ne se remembrant (ressouvenant) pas de
arquable article de Cerise sur le rôle des émotions dans la vie de la femme . En dehors des crises extatiques, Marie de Mœrl a
tte à plusieurs affections graves. A quinze ans, elle perdit sa mère, femme pieuse et distinguée par son intelhgence. Cette p
u'au fond de l'être, la mort même ressort de tous les traits de cette femme . Elle est là à genoux sur son lit, les mains croi
g; placez en face de cet étrange spectacle des groupes d'hommes et de femmes de toute condi-tion, et parmi lesquels on ne surp
même netteté les personnes qui l'entourent; les apôtres, les saintes femmes et les Juifs. Nous avons maintenant à exposer l
82 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
'établir, durant la vie, la localisation probable. > Sommaire. Femme de soixante-quatre ans. Début il y a six ans par
sant les nerfs trijumeau, facial et acoustique gauches. Marie B., femme K..., soixante-quatre ans, entrée le 6 décembre
blent ressortir d'une prédispo- sition vésanique latente chez cette femme , prédisposition occa- sionnellement éveillée pa
Emory LANPHEAR. (Médecine, Détroit', jânv. 1896.) Il s'agit d'une femme de quarante-deux ans, présentant une paraplégie
la maladie est déjà parvenue à une période avancée; il s'agitd'une femme de cinquante-cinq ans dont lavies'est écoulée s
uverte laissait s'écouler la salive, et il était impossible à cette femme de fermer ou d'ouvrir davan- tage les lèvres, d
nge pas, qu'à côté de son service d'hommes, se trouve un service de femmes que la liberté qu'il accorde dans l'asile à ses
e amsi sans le vouloir le bouclage de jour en jour plus complet des femmes aliénées. Il a d'ailleurs reconnu cette conséqu
ur éviter tous les dangers résultant du contact de l'homme et de la femme . » Il ne nous reste plus qu'à nous expli- quer
ouravieff. Un cas d'encéphalite hémorragique Aiguë. Il s'agit d'une femme comparativement bien portante, âgée de qua- ran
de la faveur de bons de demi-place pour VARIA. 89 les personnes ( femmes ou fils étudiants) qui les accompagneront. Us d
suivi d'autopsie, complète utilement la démonstration. C'est une femme de soixante-quatre ans, qui depuis quel- ques a
r indiscuté : Vulpian 1. Observation II (p. 399). - Il s'agit d'une femme ataxique dont l'autopsie nous intéresse seule;
utres organes. Voici un autre cas analogue : il s'agit encore d'une femme ataxique dontnous résumons exclusivement l'auto
qui va suivre nous en fournira un bel exemple. On y verra une jeune femme enceinte de deux mois. arrivée à la période de
mois aupara- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 133 vant je perdais une femme de vomissements incoercibles de la grossesse, q
ma, puis la mort. Qui sait si en utilisant la suggestion chez cette femme qui s'est refusée jusqu'au dernier jour à l'avo
açon identique. Tout me porte à le croire, car la- maladie des deux femmes revêtait une forme absolu- ment semblable. RE
ce. Janvier l8rJi.) M. Simpson rapporte d'abord l'observation d'une femme elle laquelle on a vu apparaître la folie trois
'âte moyen des malades était de quarante-sept ans : il y avait neuf femmes et huit hommes. Une des femmes est morte. Sur l
quarante-sept ans : il y avait neuf femmes et huit hommes. Une des femmes est morte. Sur les neuf autres cas, il y en ava
yen était de quaraute et un ans : il y avait trois hommes et deux femmes : un homme et une femme sont morts. Le groupe des
t un ans : il y avait trois hommes et deux femmes : un homme et une femme sont morts. Le groupe des déments comprenait qu
Cas d'un homme de soixante ans entré à l'asile en même temps que sa femme . Ils présentaient des idées délirantes identiques
que sa femme. Ils présentaient des idées délirantes identiques, la femme surtout était anxieuse, très hallucinée parlait d
sortit guéri qu'au bout de trois mois. Quand il rentra chez lui, sa femme qui avait été très impressionnée de l'accident
écédents personnels, rien de par- ticulier à noter chez l'homme. La femme au contraire est une pré- disposée, on l'a touj
résistant après une cer- taine lutte de ce dernier. Le délire de la femme peut s'expliquer ici par la prédisposition plus
sser de cette idée préconçue, que l'inversion est un tempérament de femme dans un corps d'homme, ou réciproquement); ce q
hique individuel. L'auteur décrit 4 cas de lésions de ce lobe. 1° Femme , vingt-trois ans. Après un mois de céphalag-ie fr
its espaces ramollis entre les deux substances. Observation II. - Femme trente ans, épilepsie idiopathique; depuis six
apte à relever dans l'esprit des invertis l'amour et le culte de la femme , M. Ellis estime que chez tout inverti sexuel exi
ner l'excitation sexuelle dans sa voie normale, le con- cours d'une femme honnête sera de beaucoup préférable à celui d'u
se affirmative, le ministère public et la défense firent subir à la femme de l'aliéné et aux deux médecins un interrogato
. Mme Hudry-Ménos, dans une causerie intitulée : « Ce que peut la femme contre l'alcoolisme », fait un tableau rapide de
e », fait un tableau rapide de ce qu'était jadis la situation de la femme dans la société, de ce qu'elle est aujourd'hui,
doit jouer. Elle montre ce que sont à l'étranger les oeuvres de la femme contre l'alcoolisme par l'action familiale et s
ociale ; elle énumère les résultats encou- rageants obtenus par les femmes en Amérique, en Angleterre, en Norvège, etc., l
nal, janvier 1897.) L'auteur rapporte l'observation détaillée d'une femme de qua- rante-cinq ans qui présente une paralys
dans son service d'hôpital, un cas de zona dorso-abdominal chez une femme , âgée de cinquante-neuf ans. - On trouva simult
h 11/ed. Journal, février 1897.) Dans l'un des cas, il s'agit d'une femme de soixante-trois ans, atteinte d'un goitre kys
e, les mains ont un volume considérable. L'autre cas concerne une femme de trente-sept ans. Le goitre s'est montré chez
tube intestinal, les organes abdominaux, les organes sexuels de la femme ; plus rare- ment les affections respiratoires.
s ne peu- vent guère s'expliquer que par contamination du mari à la femme ou inversement. A la vérité, l'anatomie patho
t jamais été atteints de troubles délirants. C'est surtout chez les femmes et les jeunes gens que celte absence d'idées dé
grande fréquence de la paralysie générale chez l'homme que chez la femme . M. Charpentier (Paris) s'élève contre la tenda
ssent que l'hystérie con- vulsive existe, non pas seulement chez la femme , mais chez la petite fille, chez l'homme et che
mencera par les services de province où les services d'hommes et de femmes sont confiés au même médecin. M. B. Séance du 2
brillaire. Paralysie du palais mou du côté gauche. Troisième cas. - Femme de quarante-huit ans, toujours bien portante. P
e tous, car la vue d'un épileptique en accès offre souvent pour les femmes et les enfants qui en sont témoins de réels inc
e plus habituellement à un ictus congestif ou apoplectique que la femme ; 2° la paralysée générale arrive le plus souvent
éloignée où l'on faisait de cette névrose l'apanage exclusif de la femme , de la femme qui a franchi l'âge de la puberté
l'on faisait de cette névrose l'apanage exclusif de la femme, de la femme qui a franchi l'âge de la puberté et qui n'a pa
ot. L'intéressante observation relatée par l'auteur a trait à une femme relativement bien portante, chez qui survint, à l
des deux maladies en question. 350 SOCIÉTÉS SAVANTES. Chez une femme de vingt-quatre ans, trois ans après une conta-
maine. Sa mort prématurée laisse dans la plus profonde douleur, une femme admirable qui a été fidèle compagne de sa vie ;
ans, domicilié rue de Montmorency, déclarait qu'il voulait tuer sa femme , ses deux enfants et son concierge. Il s'était
en date du 13 novembre 1741 : « L'évêque de Saintes marque que les femmes qui ont paru, il y a quelque temps, dans les as
ous fassiez informer si ces assemblées continuent et si ces mêmes femmes qui y faisaient personnages continuent toujours d
fait étrange, d'autant qu'il m'était rapporté par la soeur témoin, femme intelligente à l'esprit cullivé, et dont la bonne
eu un an (1896) au mois d'août, aux soins empiriques d'une vieille femme . Le traitement était extrêmement héroïque, car
histologiques de M. Biswinger. De la paralysie progressive chez la femme . M. B. GREIDENBERG (de Simphéropol). - Les cas
IDENBERG (de Simphéropol). - Les cas de paralysie gêné raie chez la femme sont devenus ces derniers temps beaucoup plus n
à 1. Les rapports de cette. maladie, chez les hommes et chez les femmes , se trouvent soumis à toute une série de conditio
ie progressive dans les différentes classes de la société parmi les femmes et les hommes est tout à fait opposée; chez les
uellement dans les classes moyennes et les basses classes; chez les femmes , au contraire, c'est une maladie qui, jusqu'à p
tique qu'elle était, devient de plus en plus démocratique; chez les femmes , c'est le contraire. Les causes sont les mêmes
e contraire. Les causes sont les mêmes chez les hommes que chez les femmes , sociétés savantes. 447 ï mais leurs combinai
naisons diffèrent pour les deux sexes. Le tableau clinique chez les femmes offre certaines singularités qui lui donnent un
culier. Le cours de la paralysie progressive est plus lent chez les femmes que chez les hommes, par conséquent la durée de
ière du côté du quartier des hommes, la seconde sur le quartier des femmes . L'établissement est pourvu d'un cimetière spéc
tinue de soude (Duhelir), elle atteint un degré moins élevé chez la femme et l'enfant que chez l'homme (Jacob). Dans le d
éré), et que les attaques épileptiques sont plus fréquentes chez la femme et l'enfant que chez Archives, 2e série, t. 1 V
decin en chef. Médecin adjoint de l'asile de Saint-Ylie. M... C..., femme B..., ménagère, âgée de quarante et un an*, née
ques avaient cessé depuis huit jours. État physique actuel. Cette femme est bien constituée, mais ce qui frappe chez el
mains et pieds). Voyons en détail chacune de ces particularités, la femme étant déshabillée comme la présen- tent les deu
en s'atténuant progressivement, et au bout de la quinzaine cette femme sort de son état d'apathie et demande à s'occuper
parle mari^qui trouve son état très satisfaisant et déclare que sa femme est revenue à l'état normal. Sa sortie lui est
vation surtout a pour but de mettre en relief. Les enfants de cette femme , pas plus d'ail- leurs que ses frères, soeurs e
l'apparition d'un accès de manie aiguë à évolution rapide chez une femme acromégalique est par elle-même un fait digne d
. Elle sent dans le pénil un je ne sais quoi qui lui indique que sa femme de chambre a une pensée inconvenante sur elle ;
sse main furète dans ses parties génitales. Elle voit des images de femmes nues, un mont de venus. Ces hallucinations sont
s hallucinations sont surtout pénibles lorqu'elle converse avec une femme ; celle-ci lui apparait nue, inconvenante, et e
ines. Ces deux cas ont plus d'un point de rapprochement. Ces deux femmes étaient des névropathes avérées; chez toutes deux
eur ajoute que les arthropathies sont singulièrement rares chez une femme qui, de par sa profession, n'a jamais été particu
mauvais existants. Un viol peut être commis par suggestion sur une femme , soit dans le sommeil hystérique consécutif aux
à qui i incombera cette mission. P. KERAVAL. NOTE SUR LE rôle DES femmes comme infirmières dans LES salles d'hommes des
s surveillants et infirmiers sont au nombre de 100 (62 hommes et 38 femmes ). A propos de L'Open door; par le Dr CHRISTIAN.
eurs. Un sieur X..., atteint de manie chronique, est placé par sa femme à l'établissement d'aliénés de Châlons-sur-Marne;
e malade ayant une certaine fortune. Au bout d'un certain temps, la femme refusa de payer et l'administration de l'enregi
ministration de l'enregistrement fut obligée de poursuivre. Mais la femme du malade constitua avoué et donna citation à l
cesser les poursuites, et les conclusions de l'avoué étaient que la femme , étant sous puissance de mari, n'avait pas eu e
port accompagné de plans prévoit un total de 632 malades (hommes et femmes ). Pensionnats pour 152 pensionnaires de deux cl
classe sont répartis en 14 quartiers, dont 2 de cellules (hommes et femmes ) ce qui fait des sections de 35 malades au maxi
les hommes sont les plus frappés, mais dans la classe ouvrière les femmes sont cependant atteinles dans une assez forte pro
e quarante-deux ans, sommelier, après une longue discussion avec sa femme , aurait précipité celle-ci par la fenêtre du tr
on état est désespéré. « Duchesne a été arrêté. Il prétend que sa femme s'est jetée par la fenêtre de son propre mouvem
nt désir de secourir ces pauvres gens et de faire plai- sir à leurs femmes , parents, amis, bienfaiteurs et tous ceux et ce
Tschisch, 413. Considérations sur la ? par Vallon, 446. - chez la femme , par Greidenberg, 446. Paraplégie après un acco
83 (1857) Journal du magnétisme [Tome XVI]
s’agit de rien autre que de l’âme de la mère du médium, d’une sainte femme qui lui a inspiré sa conversion au catholicisme,
quelles tombent soit en crises, soit dans le merveilleux sommeil. Une femme donc était ainsi tombée endormie derrière M. du P
en fut donné, il s’occupa de régulariser son action et fit tomber la femme en somnambulisme. Déjà il lui avait adressé quelq
elle avait répondu d'une manière remarquable, quand tout à coup cette femme se met à contracter ses membres, à avoir des trem
l a été magnétisé au Waux-Hall 1149 personnes, dont 791 hommes et 358 femmes ; sur ce nombre, il y a eu 871 personnes sensible
ce nombre, il y a eu 871 personnes sensibles, dont 360 hommes et 311 femmes . Il résulte de là que le rapport des personnes
des hommes sensibles est de 7 dixièmes ou de 70 pour 100 ; celui des femmes , de 15 dix-septièmes ou 87 pour 100. Il est à
pour 100. Mais il n’en est pas tout à fait de même de la moyenne des femmes sensibles : M. Hébert a trouvé qu’elle était de 8
et que les plus clairvoyantes commettent des ■erreurs. Il endormit sa femme , à laquelle je présentai des objets ayant apparte
le bonsoir à M. T.... que j’engage à ne pas troubler le sommeil de sa femme . « Je demeure à cinq cents mètres environ de M.
lle et me rends chez M. T...., qui est debout et vient m’ouvrir. — Sa femme a dormi toute la nuit ; quoiqu’il ait eu lui-même
lusieurs fois. « Un mois après, je reçois une lettre de M. T.... Sa femme est très-bien, elle ne souffre plus, ou du moins
d’Elie, rappelle encore mieux les procédés du magnétisme actuel. Une femme de Sunam, qui avait donné l’hospitalité à Elisée,
vie. Elisée chargea son disciple Giezi de le suppléer auprès de cette femme , et il lui fit cette recommandation singulière :
épouvantable dans lequel il vit un bâtiment se perdre à la mer, et sa femme et sa fdle , entourées de victimes , lutter contr
e télégraphe toute la vérité sur la catastrophe qui était arrivée. Sa femme et sa fdle avaient été englouties par les Ilots..
d’expulsion. » Nous ne connaissons nullement ce que peut être cette femme que le Précurseur d’Anvers appelle une prétendue
et miss E... —C’était une bonne fortune, car Satan a du goût pour les femmes , probablement à charge de revanche. «Là, nouvea
ormais profondément, lorsque je fus réveillé par un bruit léger : une femme belle et richement habillée était devant moi : «
n peu conforme à la dignité de sa profession, il se soit associé à la femme Cheyroux, somnambule, et il Audiguet, son magnéti
ications diagnostiques et thérapeutiques qui lui sont fournies par la femme Cheyroux , pendant son sommeil magnétique ; « A
iers consultants, soit même d'après la divination somambu-lique de la femme Cheyroux ; « Attendu que, dans l’état des faits
venus visiter ma fille, s’étant retirés vers dix heures, je dis à ma femme que j’étais averti intérieurement de former un ce
de former un cercle. Il n’y avait personne dans la maison que moi, ma femme et ma fille qui paraissait prête à rendre le dern
femme et ma fille qui paraissait prête à rendre le dernier soupir. Ma femme et moi, nous nous assîmes, et immédiatement nos a
leur présence. Je me mis à chanter un hymne, et aussitôt une voix de femme se joignit à la mienne; elle était aussi claire e
aurait été la voix d’une personne vivante et assise auprès de moi. Ma femme n'avait jamais chanté, et ma fille qui, autrefois
ibilité dans l’arrachement des dents. Je viens de pratiquer, sur la femme d’un de nos sociétaires, sans la ' manifestation
une punition publique pour cette infraction à la foi de Moïse. Une femme de charge vint un jour me demander ses gages, je
’ai trouvé trois gros sous de cuivre à leur place. Je mis plusieurs femmes en état de catalepsie ou de paralysie, en leur ma
C’est ainsi que je fus appelé dernièrement pour donner des soins à la femme Gauthier, de Flacé, près Màcon, âgée de soixante-
nte de coliques violentes, ayant tous les caractères du misère. Cette femme éprouvait une angoisse et une agitation extrêmes
lmez cette douleur! Trois minutes étaient à peine écoulées, que cette femme , si agitée, si angoissée, reste calme et murmure
» Je magnétise pendant quinze minutes à peine et je laisse cette femme en paradis, suivant son expression. Je l’ai revue
je fus appelé dans la nuit pour donner des soins à madame Montbarbon, femme de l’instituteur de Saint-Laurent-lôs-Màcon. Elle
ns la même commune de Flacé pour donner des soins au petit-fils de la femme Gauthier dont j’ai parlé plus haut. Ce jeune homm
; veuillez me permettre de vous la relater succinctement. Une jeune femme , madame Cécile Menant, avait été frappée de paral
t stationnaire et d’autres considérations étant intervenues, la jeune femme fut abandonnée aux pratiques mesmériennes. Mada
tres choses qu il nous tardait de pouvoir vérifier 1 Nous sommes trop femmes pour avoir voulu laisser inachevée une conversati
t : « Faites-moi le plaisir de me cher- « cher les lettres de nia femme . » Je les lui remis; il les prit et les jeta au f
tel que vous savez : habillé d’une espèce de robe, Comme une vieille femme . Une sorte de gibecière lui pendait au côté gauch
pour le champ de mes recherches. Je savais uniquement que cett«jeune femme , qui m’avait été recommandée , était une personne
es couleurs, le son dans la gamme; elle est uu peu différente chez la femme et chez l'homme, du jeune au vieux, du sanguin au
ent. Les yeux des hommes lui lançaient des rayons blancs ; ceux des femmes , des rayons bleuâtres. Pendant les orages on tira
ge en crise magnétique et l’invite à le renseigner sur la santé de sa femme . (1) Journal du Magniliime, mois de février, ma
ue muette. Elle s’empare du crayon et du papier. M. O... regarde sa femme avec un air étonné. Je demande si d’habitude el
rieur des feuilles, et que nous lûmes ensuite au bas d’un portrait de femme , sculpté sur le socle de ce mausolée. Admirez j
s'occupait à préparer les laitages, ou à lisser, selon « l'usage des femmes d'Amdo, une toile.'grossière avec les longs poils
plus que de raisonnement, et de là vient qu’ils sont plus communs aux femmes , aux enfants, aux simples, aux intelligences peu
ité ce qu’elles-mêuics sc disent être, c’cst-à-dirc des hommes et des femmes que lu mort a transfigurés. Eli ! sans aller pr
omprendre comment la simplicité de pauvres pêcheurs de la Galilée, de femmes ignorantes et crédules — sur les déclarations des
e rapporte M. du Potet dans son Manuel (p. 139 de la 2" édition). Une femme affectée d’un anévrisme, étant entrée en somnambu
a dose ! — M. O. a rapporté deux exemples qui lui sont personnels. Sa femme , dont la lucidité est bien connue, se trouvant e
menades, et ce 11e sera rien. » En rentrant chez lui, M. O. trouva sa femme qui se plaignit de maux de reins et annonça que s
e plus grand soin et constatèrent qu’elle n’était pas enceinte. Cette femme mise en somnambulisme déclara voir l’intérieur de
qu’il avait volé sur le potager du cafetier d’en face au moment où sa femme se disposait à le faire cuire, le mari lui jeta u
r sa proie, et la pauvre bête tomber morte du coup. Le cafetier et sa femme , désolés, se demandaient ce que tu dirais en appr
ambulique se présente-t-il plus rarement chez les hommes que chez les femmes ? « Parce que les muscles sont plus forts chez l
manière, qu’il leur devient plus difficile d’agir séparément. Chez la femme , au contraire , l’esprit et le CORPS NE SONT POIN
rts battements de cœur, une faiblesse extraordinaire surtout chez une femme forte en apparence. La dernière maladie commença
ore dans la récapitulation de M. Briquet. Sur le même chiffre, neuf femmes devinrent hystériques pour avoir vu des hystériqu
mari, qui, à la vue des merveilles qu’a opérées le magnétisme sur sa femme , est devenu un de mes élèves, continue à la magné
de l’auteur de l’article qui précède est fausse et inconséquente. La femme dont il s’agit ici n'était pas victime du mesméri
une paysanne qui doit être présentée à l’Académie des sciences. Cette femme , il y a peu de jours, se trouvait dans un champ,
e lugubre, c’est le commun accord qui s’est manifesté pour sauver les femmes et les enfants, sans qu’il s’échappe de cette mul
res le profil massif et sombre de la nef. Quelques larves de vieilles femmes se traînaient lentes et voûtées le long des pilie
n voile noir frôlent contre un pilier. Auprès de moi s’agenouille une femme , ou plutôt une forme suave ; elle s’incline, pen
des Lions-Saint-Paul, n° 11, pour donner des soins à sa fille, jeune femme d’environ vingt-quatre ans. Cette femme , accouch
r des soins à sa fille, jeune femme d’environ vingt-quatre ans. Cette femme , accouchée depuis trois mois et demi, et qui nou
ndant lequel il se mit à ronfler. Deux jours après, je vis la jeune femme et j’appris que son mal de tête n’avait pas repar
un des personnages exerce à distance une action irrésistible sur une femme , l’attire, la fascine et la contraint par la puis
les anciennes croyances, les fées enlevaient souvent des enfants des femmes et leur substituaient leurs propres enfants qui é
elle remonte chez elle. Une heure après, sa voisine descend dire à ma femme de monter, que madame Berson éprouve des douleurs
nnoncent sa prochaine délivrance; l’on fut chercher la sage-femme, ma femme était restée avec elle ; je me trouvais seul chez
Les procès-verbaux transcrits plus bas m’ont été remis par une brave femme dont les premiers accès de somnambulisme se dével
es expérimentations faites pour nos abonnés. Rentrée chez elle, cette femme a vu ses accès de somnambulisme se reproduire, et
et, deux jours après la consultation, vers les six heures du soir, ma femme étant sur le point d’aller rendre une visite clan
venue pour faire la levée du cadavre. Il s’est présenté Anne Bleuse, femme Jac-queminet Marie Jacquemin, femme llenard, lesq
e. Il s’est présenté Anne Bleuse, femme Jac-queminet Marie Jacquemin, femme llenard, lesquelles m’ont déclaré bien reconnaîtr
cadavre. Anne Bleuse me dit : C’est bien certainement mon mari, et la femme Renard reconnaît que c’est bien son gendre. Après
e suis transporté à Ligny, afin de m’assurer. Etant au domicile de la femme Jacquemin, j’ai eu en rencontre madame Thiriot, d
son sommeil magnétique, elle avait donné connaissance à Anne lîleuse, femme Jacqucmiu, que snp mari s’étaitjeté à la rivière
rivière sur le territoire de I.igny, près les bateaux, et que ladite femme Thiriot lui avait même donné le signalement de to
s souliers étant à ses pieds, avoir reconnu que c'était la vérité. La femme Anne Bleuse et la femme Renard m’ont certifié que
ieds, avoir reconnu que c'était la vérité. La femme Anne Bleuse et la femme Renard m’ont certifié que tout ce qu’elle me disa
suit : « Depuis quelques jours , il nous est venu d’Andrinople une femme juive. Le bruit a couru par la ville qu’elle est
manqué d’affirmer que réellement le diable a pris possession de celte femme . J’ai voulu voir cette possédée de mes propres ye
et de ma visite, on m’a fait entrer chez Louna, c’est le nom de cette femme ; elle était assise sur un pince matelas, étendu
e m’approche d’Ezra, et je commence à le questionner sur le mai de sa femme , sur l’état de santé antérieur, ses habitudes
tinuons. « Ezra comptait partir le lendemain pour Jérusalem avec sa femme . « Après tous ces détails, j’ai tâté le pouls d
qu’elle a toujours éprouvés dans la fonction la plus importante de la femme , une affection locale provoquée par la grossesse,
par M. le docteur Léger, 245. Possession. Fait de possession d'une femme par un esprit, 647. Rêves et pressentiments réa
docteur), 615. Gatti (docteur), 27, 612. Gautier, 188. Gautier ( femme ), 278. Gérard, 299, 607. Gordi (docteur), 551
84 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
nt endormi que des hommes les ont déclarés plus hypnotisables que les femmes . Les médecins qui n'ont appliqué l'hypnotisme qu'
que les femmes. Les médecins qui n'ont appliqué l'hypnotisme qu'à des femmes ont conclu que les femmes étaient plus sensibles
ns qui n'ont appliqué l'hypnotisme qu'à des femmes ont conclu que les femmes étaient plus sensibles à l'hypnose que les hommes
nt en litige. D'après ce que j'ai vu, la généralité des hommes et des femmes se montrerait apte à l'état hypotaxique, bien qu'
pensée de lui faire jouer un rôle. Il citait également les envies de femmes enceintes, qui pourraient se transmettre à leurs
x Jouve, le mari exerçant la profession de magnétiseur-masseur, et la femme celle de somnambule. Depuis longtemps Mme Guindra
de son époux survenue en 1892, elle avait même installé le mari et la femme dans son propre apparlement. Mme Guindrand n'avai
d'aliénation mentale s'est élevée à 3.193 dont 1.950 hommes et 1.243 femmes . Sur le nombre total, 2.717 avaient été dirigés s
amilles (placements dits volontaires) s'est élevé à 680 hommes et 621 femmes , soit un total de 1.301. Sur le nombre, les asile
es, la manière de vivre de sa fille et « sur ce qui est du propre des femmes », s'approcha de Nicole étendue sur son lit sans
la grande court un charriot branslant, dedans lequel estoit une jeune femme asgée de seize ans, nommée Nicole Obry, gisant su
ompiles, il tomba en extase ; à cette vue grand nombre d'hommes et de femmes , le croyant mort, se disposaient à l'enterrer, si
a bénir. Cependant, vaincu par ses instances, il fit sur cette pauvre femme le signe de ta croix. A l'instant même, elle se t
rvient rapidement. Voici encore d'autres miracles : « Une honnête femme avait depuis fort longtemps un bras desséché au p
ue. « C'est encore par la vertu du signe de croix qu'il délivra une femme possédée du démon, et une autre que le mauvais es
a nuit même qui a suivi sa mise en liberté ; l'autre, qui accusait sa femme de le tromper, de le déshonorer, toutes les nuits
té où il avait été interné, après avoir proféré des menaces contre sa femme , qu'il est guéri, qu'il se rend compte d'avoir ét
famille exige sa sortie. Il quitte l'asile, et, dans la nuit, tue sa femme et la coupe en morceaux. M. Larroussinie conclu
; 5e La dissimulation reconnait pour mobile: la honte (par exemple, femmes niant des hallucinations de la sphère génitale) e
s l'influence de causes banales, chez des jeunes filles ou des jeunes femmes . Le refus d'alimentation est beaucoup moins fort
ute autre personne qu'un docteur en médecine. Mais, sur appel de la femme Blin, la Cour d'Angers a réformé le jugement du T
sans que la malade ait été réellement électrisée. J'ai vu une jeune femme atteinte de monoplégie brachiale hystérique guéri
tait terrible pour les épouses infidèles. D'après la légende, une femme accusée d'avoir fauté était conduite par son mari
et fumeur endurci de la cigarette, sa mère est une hystérique et une femme de mauvaise réputation;— ses sœurs sont vicieuses
quelques citations. Voici d'abord le châtiment de l'adultère : « La femme sera dévorée par les chiens sur une place très fr
le et pratique de mon sujet. Le cas proposé est celui « d'une jeune femme qui était un modèle de sobriété étant jeune fille
e résidu. La folie ou vice dipsomaniaque dont est atteinte la jeune femme qui nous occupe peut tenir à un travail organique
a mesure des fantaisies de l'hystérie, est celle de Hodges (1). Une femme vient prévenir Hodges qu'elle est au cinquième mo
tion ultérieure. Le 3 février 1875, pendant une absence de sa jeune femme , il va au café, joue au billard avec des amis, et
n hôtel. Le lendemain, effrayé à son réveil de voir près de lui une femme qui n'était pas la sienne, ne reconnaissant pas s
part pour le Luxembourg. A Arlon, il déjeune, veut encore écrire à sa femme , mais toujours dominé par son idée fixe, il repar
t il lui manquait des papiers. Il écrivit néanmoins ses adieux à sa femme légitime, et il partit à pied de Bruxelles avec l
allemand. OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Dr E. Monin. — La Santé de la Femme . 1 vol. in-8, 386 pages. — 0. Doin, éditeur, plac
grand temple presque vide, les cantiques lointains, la présence d'une femme qui fait la prière pour sa guérison, tout cela ét
érique. Claude. Société médicale des Hôpitaux, décembre 1S95. Une femme de vingt-neuf ans, présentant des antécédents hér
l signale la fréquence relative de la folie parmi les fermiers, leurs femmes , leurs filles et leurs fils. On a attribué cette
lever à une heure absolument indue, habitude qu'ils imposent à leurs femmes et à leurs enfants, qui, en empêchant un repos su
ution tendant à décerner à l'avenir les diplômes de l'institution aux femmes . —— Les journaux russes et allemands commencent
orsakoff. OUVRAGES REÇUS A LA REVUE D'E. Mon in. — La Santé de la Femme . 1 vol. in-8, 386 pages. — 0. Doin, éditeur, plac
roisième jour), à la suite de quelques courtes prières faites par une femme dans un lieu saint. II n'y a pas bien longtemps
verrue grossissait de semaine en semaine. On lui parla d'une vieille femme des environs qui signait les verrues. Mais lui ét
mille névropathique dont je vais résumer brièvement l'histoire. Une femme , émotive et d'une affectivité exagérée, dont la s
des obsessions, du délire de persécution, surtout après la mort de sa femme , et un matin, à l'exemple de ses frères, il se pe
dans l'état de sa cliente. Voici son histoire: Mme B. est une jeune femme de 27 ans, elle a été mariée très jeune et a perd
préoccupations industrielles qui excédaient ses forces. Cette jeune femme devint la maîtresse d'un jeune homme ami de sa fa
bservation si fréquente chez les hystériques. Il y avait chez cette femme , outre l'hystérie et sous la dépendance de cette
s la précaution, étant donnés les caractères de la névrose chez cette femme , de la faire accompagner, chaque fois qu'elle ven
rise volontaire ou non du roi des enfers. Dans un conte annamite, une femme de Sadec meurt. Après une nuit de catalepsie, ell
rir des verrues par la suggestion à l'état de veille. « Une vieille femme de ma parenté avait la réputation de guérir les v
et elle touchait chaque verrue de la partie maculée d'une chemise de femme menstruée, puis on l'entendait ressortir. Toutes
e ; la ïîible ne disait-elle pas: « Si un bœuf frappe un homme ou une femme et qu'ils en meurent, lé bœuf sera lapidé et sa c
Tumeur mammaire d'origine hystérique Par M. le D'. Asacleto. Une femme de trente et un ans, manifestement hystérique, re
ur donner plus de poids à ses oracles, une somnambule de Bordeaux, la femme Lancelot, avait imaginé de se faire assister par
de 300 francs à l'officier de santé et une amende de 200 francs à la femme et au magnétiseur; il a adjugé, en outre, au clie
avait toujours été efféminé. Quoiqu'il ait eu des relations avec des femmes , il avait toujours recherché la fréquentation des
d nombre d'individus, conduisent aux conclusions suivantes : 1° Les femmes d'un âge moyen des classes supérieures, les jeune
: 1° Les femmes d'un âge moyen des classes supérieures, les jeunes femmes des classes aisées ; elles sont en revanche beauc
s à la localisation et à la douleur que les ouvriers. 3° Les jeunes femmes des classes aisées sont moins sensibles à la loca
es hommes des mêmes classes. 11 a d'ailleurs été constaté déjà que la femme était plus sensible à la douleur que l'homme, d'o
la douleur que l'homme, d'où il ne résulte pas nécessairement que la femme ne puisse endurer plus dc douleur que l'homme.
sque," au commencement de décembre 1895, il apprit tout à coup que sa femme , avec laquelle il vivait en assez mauvaise harmon
mour-propre, et, chose singulière, il se pril à ressentir pour sa femme une passion violente dont il ne se serait jamais
prit à penser que la vie n'était pas possible sans la présence de sa femme . Il se mit donc à sa recherche et multiplia les d
n et de l'excitation, il avait pris la résolution de se porter sur sa femme aux extrémités les plus coupables. Toujours armé
je ne puis ni penser ni agir autrement que je le fais. Il faut que ma femme revienne avec moi, sinon je la tuerai. Il est imp
jeter le déshonneur et le chagrin sur une famille honorable pour une femme aussi peu respectueuse de ses devoirs. Il reconna
reviens à 10 heures, je trouve M. Pinard qui me prie d'endormir cette femme dans l'amphithéâtre devant son auditoire. A ce mo
le Prof* Raymosd médecin de la Salpétrière. Voici une malade, jeune femme de vingt-huit ans, qui parait d'une assez'bonne s
e intense. A la faveur dc cet état s'implante, dans l'esprit de celte femme , une idée fixe, résultant d'une série de réflexio
gnes. Ajoutons que le plus dévoué de leurs interprètes est une grande femme , maigre, sèche, qui depuis plusieurs mois fait to
mandent même la guérison de parents qui n'ont pu les accompagner. Une femme venant consulter pour une affection de foie récla
goutteux, rhumatisant, resté en Suisse ; Vignes fait la prière, et la femme , de retour chez elle, constate que son mari a été
éd.). OUVRAGES REÇUS A LA REVUE Dr e. Mon in. — La Santé de la Femme , 1 vol. in-8, 386 pages. — O. Doin, éditeur, plac
85 (1889) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 8. Maladies infectieuses, affections de la peau, kystes hydatiques, estomac et rate, thérapeutique
la mère ; — Avor-teraient au cinquième mois de la grossesse 1. Une femme âgée de 23 ans, brune, d'un tempérament où pré-do
avril 1853, salle Sainte-Anne, n° 19, service de la Clinique. Cette femme paraît robuste ; elle assure jouir habituellement
xclu-sivement liée au développement de la fièvre typhoïde, hom-mes et femmes , jeunes et vieux, gens de tout tempérament et de
démie royale de méd., t. VIII, 1842, p. 37, fièvre typhoïde, chez une femme de cinquante-six ans ; Valleix, Union médicale, 1
un homme de 61 ans ; — Lom-bard, Gaz. méclic, 1853, p. 592, chez une femme de soixante-douze ans). Mais ce sont là de rares
maladies aiguës. » Les hommes sont plus sujets à la maladie que les femmes . Les ouvriers adonnés à la boisson ont été surtou
celle de la paume des mains. Ces recherches ont été faites chez sept femmes âgées de G9 à 84 ans, et chez trois autres femmes
té faites chez sept femmes âgées de G9 à 84 ans, et chez trois autres femmes âgées de 30, 59 et 47 ans. Voici l'analyse très s
cholérique. 47 ans, Epileptique d'ailleurs bien portante. 84 ans, Femme a ffaiblie ; pas de maladie déterminée. 75 ans,
emple de cancer secondaire de la colonne vertébrale, survenu chez une femme atteinte d'un cancer de la glande mammaire ; mais
e droite ; — exa-men histologique de ces ganglions. Il s*agit d'une femme âgée de 78 ans (Elisabeth B...), en-trée à la Sal
pporte un cas recueilli par M. Cassan, et relatif à une nommée Perat, femme Leclère, qui, citée devant la chambre des pairs p
ffel, nommé Mamesch, ayant été tué, l'annonce de cette nouvelle, à sa femme , âgée de 35 ans, détermina chez celle-ci une impr
xte d'affaires, venait de Senlis à Paris, pour faire la noce avec des femmes . On sait aussi qu'il n'est pas rare d'observer
de la malade de M. Bail et la face était atteinte. Il s'agit d'une femme de 30 ans environ qui fut prise, il y a quelques
nous avons pu faire l'examen des capsules surrénales provenant d'une femme morte de phlegmon diffus des parois abdominales,
her l'émission de l'urine et des matières fécales, et devenir chez la femme grosse un obstacle à l'accouchement. Dans quelq
petit bassin, offrent des particula-rités assez remarquables chez la femme . Je les étudierai donc successivement chez la fem
arquables chez la femme. Je les étudierai donc successivement chez la femme et chez l'homme. I. — Kystes hydatiques dévelop
es hydatiques développés dans l'excavation du petit bassin, chez la femme . Je commencerai l'exposé des cas de kystes hyda
tiques situés ou développés dans l'excavation de petit bassin chez la femme , par une description anatomique du cas que j'ai e
or-ganes génitaux. Cette pièce a été recueillie sur le cadavre d'une femme conduite pour la dissection à l'amphithéâtre des
les phénomènes qui auraient pu être observés pen-dant la vie de cette femme . Nous avons même à regretter de n'a-voir pu exami
faveur de laquelle il cite l'observation suivante 1 : Obs. V. — Une femme âgée de 30 ans, observée par M. Basset, interne à
fet, dans la Revue médicale de 1838, ?u'au rapport de Mme Boivin, une femme malade à la maison royale de santé, en 1826, prés
résumé : PLes kystes hydatiques se rencontrent quelquefois, chez la femme , dans l'excavation du bassin. Parfois les kystes
Sur les 12 cas qui font le sujet de ce travail, 6 appartiennent à la femme , 5 à l'homme; dans un cas, le sexe n'a pas été no
e; dans un cas, le sexe n'a pas été noté ; sur les six exemples où la femme a été atteinte, nous voyons deux fois les hydatid
et la face postéro-antérieure de la vessie (obs. de Richter). Chez la femme , c'est entre le rectum d'une part, le vagin et l'
ra située à droite ou à gauche de l'axe de ce conduit. Mais chez la femme encore, nous voyons l'ovaire transformé en kyste
hypertro-phiée, comme il est de règle en pareil cas. Quand, chez la femme , les kystes hydatiques, ovariques, ont pris place
mme, souvent le rectum, quelquefois la vessie. Chose à noter, chez la femme , le rectum leur a donné issue, mais non le vagin.
oine. 5° Les kystes hydatiques du petit bassin constituent, chez la femme , une tumeur lisse, bien arrondie, non mamelonnée,
er ici à choisir quelques exemples parmi les plus authentiques. « Une femme d'environ cinquante ans, dit M. Rostan 3, portait
objets de médecine, t. Il, 1749. règle générale, on doit, chez une femme grosse, s'interdire la médication purgative, ou d
ns les cas où elle est indiquée par la nature même de la maladie. Une femme qui a ses règles ne doit pas être saignée, à moin
ignée. Sur ce nombre, 681 sujets ont guéri, savoir: 384 hommes et 297 femmes , 69 sont morts, 28 hommes et 41 fem-mes. La morta
). déjà pu voir une amélioration très nette se manifester chez deux femmes atteintes d'ataxie locomotrice progressive, que n
ravail qui a servi de point de départ à nos propres recherches. Une femme était sujette depuis quatre ans, aux époques mens
mais qui cédait très rapidement à l'emploi du nitrate d'argent. Cette femme se confia aux soins de M. Wunder-lich qui, instru
e. Deux fois il nous a été donné de faire l'examen nécroscopique de femmes atteintes d'ataxie progressive1 ; dans ces deux c
te d'argent offraient une physionomie tellement semblable à celle des femmes dont nous avons pratiqué l'autopsie, qu'il est ex
ar un travail progressif de restauration, puissent reprendre 1. Ces femmes sont mortes de phthisie pulmonaire, {Gaz, hebdoma
erons en dernier lieu l'attention sur une obser-vation relative à une femme qui était atteinte de paraplégie, sans avoir jama
st entrée à l'hospice de la Salpêtrière le 10 septembre 1835. Cette femme , d'un tempérament nerveux, réglée à l'âge de dix-
son tour. Pendant l'année qui a précédé l'entrée à l'infir-merie, la femme R.. était réduite à la plus triste condition : el
abondante : on la fait entrer à l'infirmerie le 9 mars 1862. Cette femme s'est considérablement affaiblie depuis quinze jo
n des services de l'infirmerie, salle Saint-Alexandre, n° 11. Cette femme , mariée à vingt-six ans, a eu huit enfants; elle
es deux ou trois ans qui ont précédé l'apparition de la paralysie, la femme L... ressentit des douleurs qui parcouraient tout
un, deux ou trois jours, et cessent plus ou moins complètement. Cette femme est entrée plusieurs fois à l'infirmerie de l'hos
m-bres inférieurs s'affaiblissent de nouveau progressivement et cette femme rentre de nouveau à l'hôpital où elle subit trois
ce le traitement, des fourmillements dans les doigts : de plus, cette femme avait eu, dès le début, et avait encore, de temps
maladie actuelle, il y a quinze ans au moins. Vers cette époque, la femme M... habita pendant deux ans dans un logement trè
t cou-chée salle Saint-Denis, n° 10, hospice de la Salpètrière. Cette femme , d'un tempérament nerveux, d'une constitution déb
lement présenté à notre obser-vation à la Salpêtrière. Chez plusieurs femmes , qui avaient été longtemps soumises à la médicati
exemple, le nitrate d'argent dans nos salles, à la Salpètrière, à des femmes atteintes d'hé-miplégies anciennes, à la suite d'
Chorée. — En 1793, Hall, publiait une observation de chorée, chez une femme de 36 ans, qui fut rapidement guérie par le nitra
s singuliers que présentait une de ces malades. Il s'agissait d'une femme sujette à des convulsions hystériques chez la-que
ie locomotrice. Sous l'influence du nitrate d'argent, l'état de cette femme s'est considérablement amélioré ; elle est arrivé
rapporter deux exemples. Nous avons en ce moment sous les yeux une femme atteinte de paraplégie par fracture de la colonne
sme que nous avons traités par cette méthode sont au nombre de 17, 12 femmes et S hommes; tous appartenaient à la forme poly-a
tes hydatiques développés dans l'excavation du petit bassin chez la femme .............................................. 218
analyse chimique, 212. • Kystes hydatiques du petit bassin chez la femme , 218, 240; — obser-vations, 218, 222, 224; — symp
86 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s ans, il lui a été impossible d'avoir aucun rapport sexuel avec sa femme , « le canal étant comme bouché ». Plusieurs m
ux visiteurs du service; il en serait tout autrement chez une jolie femme , aussi importe-t-il que les médecins apprennent
ail est spécialement consacré. La plupart ont été observés chez des femmes hysté- riques. Chez uue de ces malades, M. Huch
M. Mesnet, appelé à voir cette malade, lui avait donné le nom de « femme cliché, femme autographique » sous lequel elle
pelé à voir cette malade, lui avait donné le nom de « femme cliché, femme autographique » sous lequel elle était connue d
Me de la Salpé- trière, t. III. 1879-81. 3 Diijardln-Beaumetz. La femme autographique. Soc. i ? téd. des hdy- séance du
'avoir des crises immédiatement après avoir eu des rapports avec sa femme . Elles ne sont pas du tout accom- pagnées d'éré
'avoir des crises immédiatement après avoir eu des rapports avec sa femme . Enfin, elles n'étaient pas du tout accompagnée
tre, dans les intervalles des campagnes, il se livraitàdes excès de femmes et de boisson (deux à trois litres de vin résiné
nt tous des névropathes, des cerveaux faibles, des hystériques, des femmes ; la plupart de mes observations se rapportent
. SciirFEn. (drclv. r, Psych., XIX, 1.) Examen de la moelle d'une femme de quarante ans atteinte de J'IO revue d'anatom
nt tantôt sur l'un, tantôt sur l'autre des quartiers du service des femmes , cas par-ci par-là mortels. En 18, pour la prem
d'épidémie qui dura six mois, atteignant notamment quatre aliénées femmes , cinq gardiennes, deux ouvriers. En 1878, un ga
n gardien et deux gardiennes furent affectés. En 1881, six aliénées femmes , un seul.aliénée homme avaient été pris jusqu'ici
u début de novembre, 28 typhiques, dont 16 aliénés hommes, 1 aliéné femme , trois gardiens. En 1884, atteinte d'une gardie
directeur. En 1885, 13 typhiques, dont 5 aliénés hommes, 2 aliénées femmes , 2 gar- diens, 2 gardiennes. En 1830, 2 aliénés
gar- diens, 2 gardiennes. En 1830, 2 aliénés hommes, 10 aliénées femmes , 2 buandières. En 1887, 1 aliéné homme. Somme tou
pour des aliénées 21,5G 0/0 (20 0/0 ponrles hommes, 23 0/0 pour les femmes ). Fièvre typhoïde grave chez les individus non al
ois, qui guérit pendant la convalescence de la fièvre typhoïde. 1 femme maniaque, 19 ans, malade depuis mois, qui guérit
mois, qui guérit pendant la convalescence de la fièvre typhoïde. 1 femme mélancolique chronique, j2 ans, malade depuis 2 m
une angoisse, une défiance, un scepticisme cruel à l'endroit de sa femme ; d'abord caché, calme, le délire finit par pren
des malaises somatiques, le mari jaloux et querelleur maltraite sa femme ; en proie à des hallucinations de tous les sen
primitive hante plutôt les hommes; la forme secondaire, surtout les femmes . 5° Le pronostic est généralement défavorable p
SAVANTES. '131 M. ËMM)GH.\us. <1-t-on trouvé ce délire chez les femmes après la ménopause, et chez les veuves ? M. N
ménopause, et chez les veuves ? M. NADLER. Les observations chez la femme sont trop peu nombreuses et de trop courte duré
itement apprécié la juste valeur de celle des cas de tabes chez des femmes . Et cependant, malgré cette masse de données st
ises sur l'histoire de huit cas de tabes observés par moi sur des femmes pendant ces deux dernières années, soit dans ma
i- tion de la maladie, le mari attrapa la syphilis avec une autre femme ; peu de temps après, la malade vit apparaître de
adie actuelle, le mari de la ma- lade reçut la syphilis d'une autre femme , se soigna attentivement et régulièrement, mais
ie et de ptosis passagère dans un oeil. Il transmit la maladie à sa femme , ce qu'il me déclara lui-même. Bientôt après de
ntit les premières douleurs lancinantes. Tel est le petit groupe de femmes atteintes du tabès que j'ai eues (et que j'ai e
tistique avec ceux des cas de tabes observés chez des hommes et des femmes et déjà décrits dans la lit- térature, peut à p
r en tant, qu'adjonction à la statistique des cas de tabès chez des femmes , je me permettrai d'y relever encore un fait, s
question du sexe (ici se rattache la statistique du tabes chez les femmes ), la position sociale, les con- ditions de fami
ci les cas de l'apparition simultanée du tabès chez le mari et la femme tous deux syphilitiques - que vient de décrire
ambiante, du moins en ce qui concerne le genre de vie. Quant aux femmes juives, il est indubitable que la syphilis est
ournis par ma statistique : Sur 260 Juifs, il y avait 5 hommes et 3 femmes atteints indubi- tablement de la syphilis, c'es
0 Juifs, 2 cas seulement de tabès, soit 0,7 p. 100 (un homme et une femme ). Sur 123 Russes, 4 cas de tabès, soit 3,3 ? p.
l 2,403 malades (1,364 hommes et 1,039 . 204 PATHOLOGIE NERVEUSE. femmes ). Dans ce nombre il y a 347 Juifs (159 hommes e
EUSE. femmes). Dans ce nombre il y a 347 Juifs (159 hommes et 188 femmes ). Le nombre des cas de tabes était 67, dont 60
es cas de tabes était 67, dont 60 cas indiscutables (55 hommes et 5 femmes ), et 7 cas douteux. Sur les 5,i hommes attein
viron 60 p. 100 des cas avec syphilis dans l'anamnèse. Il y avait 5 femmes atteintes de tabes. Dans un cas, la question su
douteux. Dans seize de ces quarante-huit cas (47 hom- mes et une femme ), il n'a pas été possible d'obtenir des renseig
juifs atteints de paralysie progressive, soit deux hommes et une femme , la seule qui soit indiquée dans cette statisti
lis; chez l'autre, elle n'a- vait pas existé. Pas de données sur la femme atteinte de paralysie progressive. Nous voyons
569 soignés chez eux); ce nombre se divise en 1,196 hommes et 1,414 femmes . Parmi ces malades il y avait 89 juifs (32 homm
,414 femmes. Parmi ces malades il y avait 89 juifs (32 hommes et 57 femmes ). Les cas de tabes atteignaient le chiffre de 6
Les cas de tabes atteignaient le chiffre de 66 (58 hom- mes et 8 femmes ) et parmi ces malades se trouvaient 4 juifs (3
8 femmes) et parmi ces malades se trouvaient 4 juifs (3 hommes et 1 femme ); mais au nombre des 3 juifs malades, un des ca
mi les quatre cas de juifs atteints, il y en avait 3 (2 hommes et 1 femme ) chez lesquels la syphilis était indubitable; l
ième niait la syphilis, mais était atteint d'urétrite. Chez les 8 femmes indiquées : dans trois cas, la syphilis était i
vait 69 malades atteints de paralysie progressive (61 hommes et 8 femmes ); dans ce nombre, 1 juif. Sur ces soixante- neu
te la moitié des cas probables, dans plus de 72 p. 100. Parmi les femmes atteintes de paralysie : Dans deux cas, il y av
à un autre. Il y avait un peu de para- pliasie à ce moment ; car sa femme raconte qu'il disait : et J'ai une maison dans
était sous ses yeux, sur la page imprimée. En parlant de lui, sa femme donnait le détail suivant au Du* Ross : «Je sav
nt tous des névropathes, des cerveaux faibles, des hystériques, des femmes ; la plupart de mes observations se rapportent à
nter les symptômes de la démence secondaire apathique. Le second, femme de soixante-dix ans, offrait depuis l'âge de cinq
dessin d'une lésion du lobule paracentral qu'il a observée chez une femme ; atteinte de folie à double forme. C'est à celt
minée de î9O millimètres chez l'homme et de 475 millimètres chez la femme . b. Peut avoir un index [de largeur égal à celu
ent grave et géné- ralisé de la mémoire. - Ils se rapportent à deux femmes , alcooli- ques de vieille date. La première, âg
M. Leppmann. De l'aliénation mentale comme cause de divorce. Une femme mariée, atteinte de folie systématique, suite de
ste les particularités suivantes de la transformation du mode. Une- femme de cinquante-un ans primitivement affectée de m
e la cryptorchidie chez l'homme, et des troubles menstruels chez la femme . Un chapitre fort important, et qui abonde en fai
censement de l'asile au le, juin était de 1919; 913 hommes et 1,006 femmes , les nouvelles infirmeries sont enlièrement occu-
nouvelles infirmeries sont enlièrement occu- pées, l'infirmerie des femmes contient 250 malades, l'infirmerie des hommes 1
s hommes 150; l'expérience qui a consisté à employer un homme et sa femme pour soigner les vieillards faibles et infirmes
é très satisfaisante, et conduira à une augmentation du service des femmes pour le soin de ce genre de malades. La classe
ieure de l'école des infirmiers et infirmières compte : hommes, 17; femmes , 4; la classe inférieure : hommes, 9; femmes, 1
compte : hommes, 17; femmes, 4; la classe inférieure : hommes, 9; femmes , 13 = total, 43. Pendant le mois de juin, miss
les résultats découlant de ma statistique de cas de tabes chez les femmes . Depuis que je pratique, j'ai eu 3 cas certains
USE. marié que depuis quelques semaines et qu'il craignait que sa femme n'apprît sa maladie par d'autres malades. , ,
on a constaté des troubles oculaires sont au nombre de 79, dont 49 femmes et 30 hom- mes. L'énorme proportion des hommes
norme proportion des hommes tient à ce que beau- coup d'hystériques femmes , dont la maladie était très carac- térisée, n'o
Ann. d'oculistique, 1886. 438 . REVUE STATISTIQUE. A. Hystériques femmes . SERVICE OPHTHALMOLOGIQUE. 439 440 REVUE STAT
tique, - L'ob- servation suivante est due à M. Laschkevitch : Une femme de quarante-sept ans éprouve des douleurs et des
jambe gauche; il mourut épuisé à soixante-huit ans. La mère est une femme énergique, bien portante ; elle a eu neuf enfants
e carbone. M. RAFFKGEAU rapporte l'observation d'un mari et de sa femme tombés dans un état de démence plus ou moins accu
té témoin des faits rapportés par M. Roffe- geau ; il ajoute que la femme a eu pendant quelques jours une amnésie complèt
des blanchisseuses et des cuisinières. M. Garnier vient de voir une femme inculpée d'homicide volon- taire sur son enfant
mémoire des faits antérieurs au suicide était très précise, mais la femme ne se souvient d'aucune des circons- tances de
if, dans le service de M. Briand dont il était l'interne, une jeune femme qu'un prêtre avait la coutume d'endormir. Cette
ne, une jeune femme qu'un prêtre avait la coutume d'endormir. Cette femme ne pouvant se soustraire à l'influence du magné
87 (1858) Leçons cliniques sur les maladies chroniques de l'appareil locomoteur : professées à l'Hôpital des enfants malades pendant les années 1855, 1856, 1857. Déviations de la colonne vertébrale. Atlas de XX planches
rbures presque égales, la dorsale à convexité droite; thorax, bassin. Femme adulte. Traces de rachitisme aux jambes, qui étai
. 8. — Autre forme de scoliose ; courbure lombaire gauche principale; femme adulte; bassin et membres bien conformés. — Colle
sens de la concavité. Fig. 2. —Courbure dorsale droite principale ; femme adulte; bassin bien conformé.—Collection des hôpi
ertèbres voisines. Fig. 4 et 5. —Courbure sus-aortique principale ; femme de soixante-dix ans. — Ma collection. — Pages 389
du rachis. Fig. 6. ,—Courbure dorsale droite principale, 3e degré; femme adulte; membres bien conformés. —Collection des h
HE CINQUIEME. Fig 1 — Courbure dorsale droite principale, 3e degré; femme adulte. — Collection des hôpitaux. —Page 388. S
—Courbure dorsale droite principale, plus avancée que la précédente; femme adulte; membres bien conformés. — Collection des
ont elle se compose. Fig. 5. — Courrure dorsale droite principale ; femme adulte. — Collection des hôpitaux. —Pages 388, 40
ar la courbure dorsale. Fig. 6 —Courbure dorsale droite principale; femme adulte; bassin et membres bien conformés. — Colle
arrière. Pl. V PL. VI PLANCHE SIXIÈME. Fig. 1. — Squelette de femme adulte; rachitisme; scoliose au troisième degré e
au reste, qu'imparfaitement sur cette pièce. Fig. 2. — Squelette de femme très rachitique, parvenue a un âge avancé; 38 deg
droite est un peu plus courbée que la gauche. Fig. 3. —Squelette de femme rachitique, très âgée; scoliose au 3e degré; cour
Scoliosk au 3e degré, a courbure lombaire gauche principale, chez une femme de soixante-neuf ans, avec les viscères thoraciqu
Scoliose au 3e degré, a courbure dorsale droite principale, chez une femme de soixante-quinze ans, morte d'hémorrhagic céréb
orsale droite principale, moins prononcée que la précédente, chez une femme très âgée; foie, aorte, œsophage. — Pages 416, 41
roite légère, courbure lombaire gauche encore moins marquée, chez une femme de soixante-cinq ans; plusieurs organes des cavit
\. — Courbure lombo-dorsale gauche principale, considérable, chez une femme de soixante-cinq ans, morte d'hypertrophie du cœu
orsale gauche principale, moins prononcée que la précédente, chez une femme de soixante ans, morte de péritonite ; plusieurs
ur courbure. Fig. 3. — Courbure dorsale droite principale, chez une femme de soixante-six ans; quelques organes des cavités
ipale, analogue à celle de la figure 2, mais plus prononcée, chez une femme de soixante-huit ans ; plusieurs organes thoraciq
au-devant de l'aorte comme dans l'état normal. PLANCHE SEIZIEME. FEMME DE SOIXANTE-NEUF ANS, RACHITIQUE ET "ATTEINTE DE
s thoraciques et abdominaux est représente planche X, fig. 1. Celle femme , qui n'avait pas 1 mètre de haut, était entrée à
t 2. —Courbure lombo-dorsale droite principale, du 3e degré, chez une femme de quarante-neuf ans, morte de cancer de l'utérus
HUITIEME. COURBURE DORSALE GAUCHE PRINCIPALE, AU 3e DEGRÉ, CHEZ UNE FEMME ÂGÉE DE TRENTE-HUIT ANS; PLUSIEURS ORGANES THOR
88 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
z celui qui le présentera réduit à sa couche la plus mince. Chez la femme et- chez l'enfant, c'est à l'abondance du panni
au-dessus du pli fessier. Elle entre pour beaucoup, surtout chez la femme , dans le volume de la région. Elle contribue à
ermeté de consistance et Fic. 11. Fie. 12. Stéatopygie chez les femmes boschimanes. 24 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA S
unes sujets. Son développement exagéré constitue la stéatopygie des femmes boschimanes (fig. '11, l), dont il est donné d'
graisseuse à la partie supérieure et externe des cuisses, dont les femmes boschimanes présentent le maximum de développem
du flanc prend tout de suite un développement remarquable. Chez la femme , il se confond, pour ainsi dire, en arrière du fl
ble chez l'homme, disparaît presque complètement en arrière chez la femme , alors qu'il reste toujours bien visible, chez ce
nalerai également le tissu graisseux de la région mammaire. Chez la femme , en outre de la présence de la glande mammaire, c
15. rio. 1G. Bourrelet graisseux du flanc chez l'homme et chez la femme . 26 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
té, en 1881, dans le journal l'Encéphale, l'observation d'une jeune femme qui, à la suite d'une attaque, avait été prise
édecine de Londres, M. Ormerod', présenta à ses collègues une jeune femme de vingt-neuf ans atteinte d'accidents hystériq
e les autres parents. Cependant il est à remarquer que, bien que sa femme et les membres de la famille de sa femme, parai
remarquer que, bien que sa femme et les membres de la famille de sa femme , paraissent être indemnes de toute tare nerveuse
té. Il ne rêvait pas, il n'avait pas de cauchemars ; seu- lement sa femme lui disait qu'en dormant il avait des soubresauts
uniquement à combler cette lacune. L'état mental des hystériques femmes , en dehors des travaux de l'École de la Salpêtr
précieux appoint de ses observations personnelles. L'hystérique ( femme ) représente pour ces derniers auteurs un type e
nistes », autre stigmate de dégénérescence mentale, hystériques ces femmes à perversion sexuelle... Nous n'exagérons pas e
estibilité cérébrale de l'hystérique. Elle peut être immédiate. Une femme gronde son enfant qui désobéit : elle lui donne
hystérique entend dire dans sa jeunesse, par un maladroit, que les femmes atteintes de sa maladie mouraient à la ménopause.
s, il faut comprendre dans sa pureté l'état mental de l'hystérique, femme ou homme, adulte ou enfant, quitte à revenir su
ystériques. On a beaucoup parlé de leur coquetterie, de l'amour des femmes pour tout ce qui était voyant, pour ce qui « tira
comincon dit vulgairement. Il ne faut pas oublier que l'hystérique femme est le plus souvent dyschromatopsique. Si elle or
viron avant sa sortie de la Salpêtrière, on plaça à côté d'elle une femme atteinte de cette maladie des tics convulsifs d
at mental hystérique plus particulièrement peut-être étudié chez la femme . Toutefois, tout ce que nous venons de dire est
e parait au premier abord différer de l'état mental de l'hystérique femme . Il est cependant le même : c'est toujours le m
espèce d'un autre état ner- veux, psychique lui aussi, rare chez la femme dans de pareilles cir- constances, va souvent m
le tableau morbide. Nous procédons comme nous l'avons* fait pour la femme , en étudiant d'abord l'état mental hystérique d
nt vers lui venant du côté gauche », car chez l'homme comme chez la femme les hallucinations se présentent toujours du cô
solument spé- cial à l'homme adulte, il se montre également chez la femme lorsque les accidents hystériques débutent tard
voir singulière- ment abusé pour en faire l'apanage des hystériques femmes , en prê- tant à Guéneau de Mussy une significat
yer de quelques matériaux. L'hystérique, quel .qu'il soit, homme, femme ou enfant, mérite, d'après les récents travaux
u coeur; rien dans la poitrine. On peut suivre pas à pas chez cette femme les progrès de la lésion vertébrale par la succ
, poussait des cris (ces renseignements nous ont été fournis par la femme du malade). Les cris, les grands mouvements, le
ages, ou. bien des choses de sa profession. Une nuit, il a saisi sa femme par le cou comme pour l'étrangler. Au réveil, est
comme pour l'étrangler. Au réveil, est très étonné en entendant sa femme lui raconter ces rêves en actions dont il ne cons
s » comme on dit dans le métier. Il y a dix ans, il apprit que sa femme le (rompait, il en éprouva un violent chagrin;
t un emplâtre, qu'il va du reste bientôt remplacer par celui que sa femme est en train de couper. La boîte quadrangulaire a
à se plaindre de lui. A dix-huit ans, il a fait connaissance d'une femme plus âgée que lui. Il ne paraît pas avoir fait
a à se marier dès son retour, et chargea ses parents de lui trouver femme . Peu de temps après, apprenant qu'il n'allait p
aucoup plus fréquents. Etat actuel. - La malade a l'apparence d'une femme faible, ané- mique. Son teint est pâle, ses con
premier, la malade, - car nos cas se rapportent unique- ment à des femmes - se met tout à coup à bâiller, et les bâillement
ut se présenter au tombeau de la sainte. Enfin, assise à terre, une femme d'aspect dolent complète le trio. Elle est sout
miers artistes chrétiens avaient emprunté à l'Antiquité. Enfin, une femme d'un certain âge qui, selon toute vraisemblance,
t une importance décisive en la matière. OBs. I (Rissler'). Résumé. Femme de vingt et un ans, morte huit jours après le d
ut de la maladie. OBs. III (Oppenheim) i. Résumé. - Il s'agit d'une femme de cin- quante-deux ans qui a été atteinte au m
n établi d'après les mesures prises par M. Verstrae- tent, sur cinq femmes bien portantes. La similitude des races et le voi
MÉGALIE A DÉBUT RÉCENT. 1G1 Le grand-père maternel est mort fou. Sa femme , fort jolie et dépen- sière, l'avait ruiné; et
le doute à cet égard. On serait alors simplement en présence d'une femme à grosse face, à gros pieds et à grandes mains.
enfin un petit point qui ne manque pas d'un certain intérêt. Cette femme est atteinte en outre d'hystérie. D'après son his
s. Pas desyphilis.Pas d'excès de boisson. En 1878, il se marie ; sa femme fait une fausse couche de trois mois une dizain
Cas. VIII. - Ophthalmoplégie avec parésie du facial (Rosenstein 2). Femme de soixante-quatre ans (26 novembre 1877). Ptosis
- Paralysie nucléaire de l'abducens et polyurie (Steinheim 1). Une femme de trente-sept ans, frappée d'une grosse pierre à
les pupilles et l'accom- modation sont demeurées intactes. Cette femme ne présente pas d'autres accidents cérébraux. L'i
. OBs. XXI. Ophthalmoplégie et paralysie bulbaire (Rosenstein 2). Femme de quarante et un ans. Diplopie subite au commenc
laryngée compliquée de paralysie du moteur oculaire commun chez une femme d'une trentaine d'années (Hérard'). Chez cett
ez une femme d'une trentaine d'années (Hérard'). Chez cette jeune femme , la maladie a commencé insensiblement vers le m
(Appareil à - du D' Motchow- kowsky), .5. ' Stéatopygie chez les femmes boschimanes, 11, 2. i.
89 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
très pénible, surtout chez les hommes. Il semble, en effet, que les femmes , qui rougissent davantage, en soient moins affe
es jeunes garçons, des jeunes filles au moment de la formation, des femmes à l'âge critique, des chloro-anémiques avec amé
e q.ui leur était liée. , La situation est la même pour beaucoup de femmes à la mé- nopause. Pour un rien, surtout aux rep
épondérante de la rougeur dans le sexe masculin. On trouve bien des femmes atteintes d'éreu- those émotive, c'est-à-dire p
rs collatéraux des individus timides et enclins à rougir. A part la femme , entachée d'hystérie, tous étaient des neurasthé-
poudrer la figure avec une poudre blanche imperceptible, comme les femmes . Un autre demande à être délivré de son obsessi
iquais ces habitudes, mais d'une façon assez modérée. J'ai connu la femme dans le courant de ma seizième an- née, pendant
aussi. Au café, la même chose. Avec des hommes, je rougis. Avec des femmes , je rougis. Maintenant, quelles influences peuv
point de vue, j'avoue également ne voir aucune différence entre une femme mariée et une femme qui ne l'est pas. Car enfin
e également ne voir aucune différence entre une femme mariée et une femme qui ne l'est pas. Car enfin, du moment qu'une f
e mariée et une femme qui ne l'est pas. Car enfin, du moment qu'une femme a appartenu à un homme, qu'elle a été souillée
à l'explication de ce que je disais hier : à savoir que, devant une femme , je n'éprouve aucune espèce de trouble, tandis
rdent littéralement la tête quand ils se trouvent en présence d'une femme . Conclusions. Donc, je rougis à tout propos et
fforts violents qu'elle a faits. Vingt fois par jour, on voit cette femme se gonflant d'air et répétant tous les mouvements
rce de la côte est le double chez l'homme de ce qu'elle est chez la femme , que vers : ;5 ans la porosité et la fragilité co
de dégé- nérescence ; 6° l'aliénation est encore plus rare chez la femme et principalement chez la femme kabyle ; 7° l'h
nation est encore plus rare chez la femme et principalement chez la femme kabyle ; 7° l'hérédité doit avoir une influence
ergerac, âgé de quarante et un ans, rend la vie tellement dure à sa femme , que celle-ci obtient la sépa- ration de corps.
le DI IONDUR.1NT. Il s'agit d'un cas de chorée développée, chez une femme de dix- huit ans, après un accouchement. Cette
ppée, chez une femme de dix- huit ans, après un accouchement. Cette femme était déjà une affai- blie intellectuelle ; mai
96.) Homme de cinquante-un ans; sypliilisextrêmement probable (sa femme , qui est probablementjnorte de tumeur cérébrale,
la fin de 1894, la population était de 453 aliénés (16 hommes et 37 femmes ) pour lesquels existe un personnel de 244 gardien
e individuel. C'est ainsi que chacun des quar- tiers d'hommes ou de femmes sont construits en matériaux diffé- rents, de s
ien installés, l'amphi- théâtre, des gymnases pour les hommes etles femmes , les ateliers, l'usine. L'intéressante descript
malades en très bonne voie de guérison placés en présence de leurs femmes , de leurs enfants et de leurs ascendants qu'ils
ombe en pous- sant un cri affreux que répètent effrayées toutes les femmes présentes; c'est un impulsif, jusqu'alors paisi
thématiques fort importantes données par M. Ziehen. Exemple : Une femme de quarante-huit ans, héréditaire, alcoo- lique
agnant d'hallucinations audi- tives et visuelles. Il s'agit de deux femmes , non alcooliques, dont les hallucinations revêt
nations revêtirent les caractères habituelsdu délire éthylique. Ces femmes ne présentaient aucun signe de paralysie générale
raitant. Le jour même de sa sortie, il boit et essaie de violer une femme . Il est arrêté et le mé- decin qui l'avait trai
ES THÈSES DE BORDEAUX (') 895-1896.) I. DE l'avenir génital DE LI femme après ablation unilatérale DES annexes DE L'UTÉ
Depuis quelque temps, on est frappé, nous assure-t-on du nombre des femmes atteintes de psychopathies consécutives aux opéra
n péché grave que^d'avoir des relations, mêmes innocentes, avec une femme . Il aime ses parents et ses frère et soeur, quoiq
fin du cha- pitre sur la démonomanie s'imagine être transformé en femme et en porte l'habit. Un autre inverti sexuel s'im
femme et en porte l'habit. Un autre inverti sexuel s'imagine qu'une femme s'est introduite dans son corps. Une femme anes
exuel s'imagine qu'une femme s'est introduite dans son corps. Une femme anesthésique sexuelle croit qu'une autre se sub
ce n'est pas dans ces maisons qu'on apprend de vilaines choses; ces femmes -là sont réservées ( ! ). Mais à côté de chez no
oubliant qu'infirmiers et infirmières ne sont que des hommes et des femmes , et pas des anges) ; conservation des forces du
hroniques. Ces cinq derniers cas (dont quatre se rapportaient à des femmes ) étaient des cas de démence secondaire : dans deu
vile. Séance du 23 mai 1894. M. Ganser. Présentation de malade. - Femme de quarante ans. Hallucinations et idées de per
par suite de la propagation de l'intoxication à la bourgeoisie, aux femmes et à la jeunesse. L'alcool lèse l'estomac, le f
Fiirbringer, Kônigsdorf, Schmidt. Il rapporte un cas personnel. Une femme de trente six ans entre à l'asile d'alié- nés d
aire dans les asiles, par Manson; - Des maladies du bassin chez les femmes et aliénation mentale, par Rohe ; Signification d
qui dirige les actes humains : ainsi un homme se mettra à aimer une femme sous l'impulsion de sa raison ; c'est la même i
raison ; c'est la même impulsion qui le poussera à embrasser cette femme , et lorsque après ces embrassements il poussera
étanie sont rares ; celle-ci peut se résumer de la façon suivante : Femme de 37 ans, sans antécédents nerveux personnels
seul étage, avec deux ailes l'une pour les hommes, l'autre pour les femmes . Les fenêtres ont, au lieu de vitres, du papier
turnine chez les ouvrières en fleurs artificielles. Il s'agit d'une femme qui s'est présentée à la clinique des maladies
ement livrés à une enquête dans la profession, qu'excerçait cette femme , enquête qui nous a donné les résultats intéressa
. XLIII. ORIGINE DES caractères différentiels ENTRE l'homme ET la femme ; par Sylvio Venturi. (Il Alanicomio, XII, fasc. 1
fit1'. Psychiatrie, t. XXVIII, liv. 1, 1896.) Etude faite sur 99 femmes , dont 52 non mariées, 46 mariées et 1 divorcée.
femmes, dont 52 non mariées, 46 mariées et 1 divorcée. L'âge de ces femmes variait entre vingt-cinq et qua- Archives, 2° s
que pourquoi les délires de possession sont plus fréquents chez les femmes et surtout chez les hystériques. - - J. SÉGLAS.
le. B). Ce sont les hommes qui ont le plus de frères aliénés et les femmes qui ont le plus soeurs folles. R. DE Musgrave C
lle d'un fermier aisé ; mais il devint amou- reux d'un cousin de sa femme , qui, dit-il, était fort beau, ce qui amena une
forme précoce de la paralysie générale est aussi fréquente chez la femme que chez l'homme : 20 hommes et 21 femmes. 2° L
st aussi fréquente chez la femme que chez l'homme : 20 hommes et 21 femmes . 2° Le début de la maladie s'est fait de quinze
lations de l'épen- dyme. Le poids du cerveaua varié de 720 grammes ( femme de dix-neuf ans) à 1185 (homme de vingt ans). A
ssemblé 63 cas de catatonie. L'affection est plus fréquente chez la femme . Dans 24 cas on observa une rémission; et sur c
isolée dans le lobe frontal. L'auteur a trouvé, à l'autopsie d'une femme de soixante-dix ans, qui avait été atteinte de mé
nt de tissu conjonctif. II. Dans le second cas, il s'agissait d'une femme , âgée de cin- quante-huit ans, qui était déjà e
alades présentant le signe de Biernacki, 16,6 sans ce signe. Sur 12 femmes paralyti- ques, 5 ont présenté une analgésie bi
ation dou- leureuse était diminuée. Résultat : 50 p. 100 de malades femmes présentaient le signe de Biernacki. Pour les de
100 ; la proportion pour les hommes est de 73,7 p. 100 et, pour les femmes , de 43,7. Les trois quarts des para- lytiques h
s des para- lytiques hommes : et la moitié environ des paralytiques femmes présentent donc le signe de Biernacki. Sur 10
entant de l'analgésie (chez 2 le résultat a été incertain). Sur 100 femmes , sensibilité à la pression dans 88 cas, analgésie
'est-à-dire dans le dixième des cas. Pas de cas d'analgésie chez la femme . Mais la sensibilité à la pression disparaissai
ression redevenait normale chez presque tous les sujets; seule, une femme présentait encore, après trente-six heures, une
ntention d'en finir avec la vie. Vendredi der- nier, pendant que sa femme était à son travail, le malheureux a mis à exéc
tombe en poussant un cri affreux que répétent effrayées toutes les femmes présentes; c'est un impulsif, jusqu'alors paisi
ion de Guadalupe il avait cinquante-trois ans et celle qui était sa femme , n'en avait que vingt-huit. La différence d'âge e
st-à-dire l'alcoolisme du père, la différence d'âge entre lui et sa femme , et l'état de mort apparente de l'enfant quand il
sur 427 malades ordinaires; d'autre part, chez 100 aliénés. Sur 270 femmes appartenant au premier groupe, le réflexe a man
s le second groupe formé de 100 aliénés, le réflexe a manqué chez 6 femmes sur 45 (soit dans 13 p. 100 des cas) et chez 11
épend pas des questions d'économie. Elle est plus générale chez les femmes que chez les hommes (de tous les cas 73 p. 100 ch
les femmes que chez les hommes (de tous les cas 73 p. 100 chez les femmes et 27 p. 100 chez les hommes). Le fait qu'un gran
es parties du pays a émigré en Amérique et que, par conséquent, les femmes sont forcées de vaquer aux lourds travaux agric
teur, une des raisons de la grande fréquence de la maladie chez les femmes . ' Conférence donnée au premier Congrès scandin
e peut être aussi sollicitée par un surmenage du corps. Quant aux femmes instruites, il est plus d'usage en Finlande que
ut-être aussi à la plus grande fréquence de cette .maladie chez les femmes . La neurasthénie est rare dans les années d'enf
xuels et le surmenage du corps, ainsi que des couches réitérées des femmes comme une cause fréquente de la neurasthénie da
arties génitales dans la plupart des cas de neuras- thénie chez les femmes . Des douleurs précédant la menstruation et l'ir
e néanmoins que, même si v les maladies des parties génitales de la femme ne peuvent que rare- ment être censées avoir ca
ande influence sur l'intensité des embarras neurasthéniques chez la femme . A la règle ces embarras empirent à l'entrée de
ologique. Le fait que la neurasthé- nie est plus fréquente chez les femmes que chez les hommes porte aussi à y croire. La
de cette observation sont les suivantes grossesse normale chez une femme bien portante- accouchement par le siège, pénib
. sur Psychiatrie, t. XXVIII, liv. I, 1896.) Première observation : femme de vingt-quatre ans. Hérédité chargée. Apartir
Polasson et Pont, 467. 'Annexes de l'utérus. Avenir génital de la femme après ablation des - , parAubrée, 146. Anthro
90 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
s d'épilepsie traumatique person- nels : le premier est celui d'une femme , qui survint à la suite d'une chute de cheval a
servations prouvant que, quoi qu'en ait dit Samt, il existe chez la femme une folie purement épileptique sans aucun mélan
ons extrêmes; le raisonnement régulateur manque. Le caractère de la femme épileptique diffère de celui de l'homme atteint
enaçant ne se montre. Observation Il. - Folie systématique chez une femme de trente- huit ans. Idées de persécution greff
urs. Observations 111. Cysticerques du cerveau et de la moelle. - Femme de soixante-trois ans. Parents indemnes, mais. so
aliénés, vingt-quatre furent atteints, les trois quarts étaient des femmes , dont la moitié avait de vingt-six à trente- ci
s, plus, chez l'homme, de l'anémie avec oedème cérébral et, chez la femme , de l'hyperémie cérébrale notamment des ganglio
he Journal of Mental Science, avril 1884.) Ce cas est celui d'une femme de cinquante ans, atteinte de mé- lancolie avec
KFR. (The Journal of Mental Science, avril 1884.) Il s'agit d'une femme de soixante et un ans qui présentait tous les s
stablement syphilitiques, et il est digne de remarque que, parmiles femmes , les unes étaientdemeuréesstériles etles autres
oints intéressants; nous nous bornerons à les résumer ici : Cette femme , âgée de soixante et un ans, est un exemple de
parition des phénomènes choréi- ques, toutes les misères dont cette femme avait souffert pouvaient être considérées comme
lus élevée (et il faut ajouter : réeulièrement Dlus élevée) chez la femme crue chez l'homme. 76 REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
mes une proportion uniforme qui n'excède que peu 2 p. 100; chez les femmes , cette proportion est à peine appréciable. Le
d'environ 5 p. 100 par an pour les hommes, et de 1 p. 100 pour les femmes . La grossesse, l'accouchement, l'état puerpéral
de 9 à 10 p. 100. Les privations, {'inanition, prédomineut chez la femme comme cause d'aliénation mentale. La vieilles
: 78 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. talée chez l'homme que chez la femme , ce qui confirme d'ailleurs l'opinion exprimée
re ligne la lutte pour la vie, puis l'ivrognerie (du moins pour les femmes ) ; la syphilis n'occupe que le troisième rang e
iblesse irritable, peiné et irrité des débordements conjugaux de sa femme , se rencontre avec l'amant de celle-ci, le prov
conscience de lui-même, sous l'influence des gémisse- . ments de sa femme . Irresponsabilité. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE ME
on connaîtrait trente-deux observations d'hommes sentant comme des femmes , et cinq observations de femmes sentant comme d
rvations d'hommes sentant comme des femmes, et cinq observations de femmes sentant comme des hommes. L'inverti, ajoute-t-i
tionnant à huis clos. Sources littéraires : Mademoiselle Giraud, ma femme -Fridolin's heimliche Ehe, par A. Wilbrand - Bric
n y a reçu, en 1884, 460 malades se décomposant en 367 hommes et 93 femmes ; 120 hommes y sont entrés pour délire consécuti
osses frontales, oreilles détachées de la tête, mas- culinité de la femme , analgésie, daltonisme, dyschromatopsie, inégal
29, c'est-à-dire 2,1 p. 100. M. SIEMEIlL111G.lixamen de sept cent femmes aliénés dont quatre- vingt-uue paralytiques gén
eur confond d'ailleurs avec la paralysie générale vraie. - Chez les femmes qui présentent sou- vent les formes dépressives
tablir rapidement deux classes, l'une de 2S hommes et l'autre de 39 femmes , les règlements de l'association interdisant le
à 2 schellings pour les hommes, et 1 schelling et 6 pences pour les femmes . Dans ce prix était compris un tableau anatomi-
transport des blessés sur des brancards ou autrement, et, pour les femmes , une rapide vue d'ensemble, sur le transport de
au moyen des divers brancards d'ambulance. Nous y ajoutons pour les femmes un coup d'oeil sur les fonctions d'ambulancière
surveillante pour tout ce qui con- cerne les travaux pratiques des femmes . Par ces derniers moyens, je pense pouvoir affi
utton, un des inspecteurs de l'association, sur les 15 hommes et 19 femmes qui se présentèrent, 15 hommes et 18 femmes passé
sur les 15 hommes et 19 femmes qui se présentèrent, 15 hommes et 18 femmes passé- rent avec éloges. L'examen avait surtout
rent avec éloges. L'examen avait surtout un caractère pratique; les femmes ayant, en plus des questions orales, une liste de
sujet ? L'hystérie, disait-on, est l'apanage presque exclusif de la femme ; chez l'homme elle est exceptionnelle et l'hyst
essayé de marcher il ne puise tenir debout et tomba. Relevé par sa femme , il fit quelques' pas en s'appuyant sur elle, e
et demie à peu près avant le passage du train, quand on m'amena une femme des environs, paralysée depuis six mois du bras
I, 2.) I. Foyer de ramollissement dans l'insula gauche. -Aphasie. Femme de soixante et onze ans ayant présenté, il y a un
k chez les singes et les chiens (muscles de la nuque et du rachis). Femme de soixante-treize ans. Il y a seize mois, affa
symé- triques des extrémités survenant de temps à autre chez une femme grosse et affectant particulièrement les bras. Ni
érance; une nièce a succombé à un sarcome de la moelle épinière. La femme qui fait l'objet de cette observation paraissai
hologie nerveuse. 237 7 sant sur les mâles et passant à travers les femmes sans les toucher. Le nystagmus, la bradylalie,
paralytiques de Londres, et qu'il essaye depuis trois ans : 1" cas. Femme , trente ans, intelligence conservée. Ses accès
suivant une marche pro- gressivement décroissante. 28 cas. Sur une femme de trente- six ans. La décroissance est moins n
n mari par des discours sans suite; son père obligeait de même sa femme à l'entendre des heures entières. L'impulsion à f
s l'âge de cinq ans, a des érections à la vue d'une tête de vieille femme et qui plus tard est obligé d'in- voquer cette
lus tard est obligé d'in- voquer cette image pour cohabiter avec sa femme est un être dont l'hérédité seule a pu altérer
es. Le médicament a été essayé dans ces conditions à la section des femmes de l'asile de Dalldorf depuis le mois de novemb
et de la peau fort tenace quoique sans occasionner de douleurs (8 femmes ). Pour l'administrer à 52 femmes d'âges variés, a
ue sans occasionner de douleurs (8 femmes). Pour l'administrer à 52 femmes d'âges variés, atteintes de différents états d'
l'hystérie était considérée comme une maladie n'appartenant qu'aux femmes . La confusion qui s'est introduite dans l'idée
D..., devint tout autre; il devint très irritable, se mit à haïr sa femme , la battit constam- ment, et puis s'adonna à l'
ie des hommes ne sont pas moins variés que ceux de l'hystérie des femmes . L'hérédité et la prédisposition semblent jouer
entes; le père était marié et ne l'a épousée qu'après la mort de sa femme . Elle n'aurait pas vu de crétins pendant qu'ell
H..., âgée de vingt-cinq ans, est une pensionnaire de la maison des femmes incurables, Marylebone Road, elle est née près
s par an, il rentrait un peu excité, jamais en ivresse complète. Sa femme , interrogée à pari, affirme la rigoureuse exact
nt précises ; il est un peu emporté ; jamais de violences envers sa femme ou ses en- fants. Il s'est marié à vingt et un
ère, au rebord que fait un peigne im- planté dans les cheveux d'une femme . Malgré cette espèce de chevauchement, l'occipi
ydermique. IDIOTIE AVEC CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 361 7° IÇocher. - Femme , trente-six ans; tumeur colloïde, extirpa- tion
son en trois semaines. Le mari rapporte, le 19 février 1883, que sa femme n'aplusété un instant bien portante. Le corps e
ujours froid; périodes menstruelles très irrégulières. 8° Kocher. - Femme , trente-huit ans; tumeur colloïde, extirpa- tio
et sa soeur jumelle. 362 CLINIQUE NERVEUSE. en mars 1883 : « Ma femme ne peut écrire elle-même par suite de douleurs
nsss, les symptômes de la cachexie persistent. 27° Baumgartner. - Femme de cinquante-six ans ; extirpation totale en ao
lume ; en 1886, le malade est toujours cachectique. 35° Gordon 3. - Femme de cinquante-deux ans, opérée il y a onze ans p
xtirpations totales, etc. Soit en tout 39 cas, dont 13 hommes et 26 femmes (en retranchant un cas de Kocher sur lequel les
ng quand il s'agitde la chaleur, que lorsqu'il s'agit du froid. Une femme qui était affectée d'anesthésie tactile et d'in
s ce laps de temps, il y a des taux de rémunération spéciaux. Les femmes entre vingt et trente ans qui n'ont pas le diplôm
firmières sont reçus à la place des lettres. Pour l'instruction des femmes , les directeurs se sont assurés les services de
91 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne dorlotons pas trop l'hystérie chez l'homme , laissons- la aux femmes et aux enfants. Dans ces quelques propositions
à signaler dans ses antécédents. Son père était plus jeune que sa femme de cinq à six ans ; celle-ci était un peu nerveus
es n'était guère suivie de réaction, la vue d'une photo- graphie de femme nue, d'un verre de vin, d'une pièce d'or, mais
n d'observer, a modifié en ce sens les idées du médecin d'Imola : Femme de trente ans, épileptique depuis l'âge de treize
ing et Bielschowshy ont trait à des jeunes filles (16 ans) et à une femme de quarante-cinq ans. P. K. VII. CONTRIBUTION c
-cinq ans; - 40 un cerveau de paralysie générale tabétique chez une femme ; 5° un cer- veau de paralysie générale typique;
eau de paralysie générale typique; 6° un cerveau de mélan- colique ( femme morte phthisi'1ue); 7° un cerveau de paralysie
obable chez l'homme; 8° un cerveau de paralysie générale tabétique ( femme ). La conclusion est que ces kystes ont pour ori
curs. Séance du 10 novembre 1890. i. Le D' ROSSOLIMO présente une femme de quarante-huit ans qui, selon lui, est attein
étude de la symptomopa- thologie des tumeurs du cerveau. Chez une femme de soixante-dix ans, se sont développées, après
entant auparavant qu'un esprit troublé. La jeunesse domine chez les femmes normales examinées, et chez une partie des dé-
âgée de deux ans, et s'est suicidée, une fois le crime accompli. La femme Malardeau ne jouissait pas de toute sa raison.
e augmentation de 108.-Ils sont divisés comme suit : Hommes, 1.155, femmes 350. (Médical Record, 1890, p. 442.) Asile d'
out d'abord que le chiffre des hommes dépasse de beaucoup celui des femmes (105 contre 23), alors qu'il est généralement a
é se rencontre parmi les hommes chez les célibataires, et parmi les femmes dans l'état de mariage. Au point de vue de l'âg
r être remplacés par de simples délits (filouterie, etc.).-Chez les femmes épileptiques, les deux pé- riodes qui fournisse
fois il réussit à s'échapper, mais il fut repris à chaque fois. Sa femme était la cause de son malheur; elle l'avait, pa
dans les sentiments olfactifs pas plus chez les hommes que chez les femmes : chez ces dernières l'excitation était plus ma
ctions médullaires. L'unique cas de guérison a été observe chez une femme atteinte de mutisme hystérique avec stupeur : et
, en 1888. Les essais ont été faits sur trente hommes et trente-six femmes . Dans la grande majorité des cas, les résultats
employer. Cette installation comprendra un service d'hommes et de femmes épileptiques, une section pour les enfants épilep
des'deux sexes réunis aux enfants idiots, et une division pour les femmes atteintes de maladies nerveuses. Depuis avril 188
sont à l'hospice du Perron (40 lits). Il y a aussi 25 lits pour les femmes épileptiques. A l'Antiquaille, il y a 37 femmes
si 25 lits pour les femmes épileptiques. A l'Antiquaille, il y a 37 femmes épileptiques et 20 places destinées aux garçons é
de connaissance par suite, il en a observé un cas très net chez une femme âgée. M. COCT.\G;o1E clôt le débat en rappelant
la population des malades est composée seulement de pen- sionnaires femmes (fondations privées) qui se recrutent surtout p
ail porte sur quatre observations : pe observation. - Une vieille femme , délire sénile, mais coor- donné, cicatrices au
d'août 1892. M. SAURY (de-Suresnes) communique l'observation d'une femme de quarante-deux ans, atteinte de troubles trop
adre de la dégénérescence. Il SOCIÉTÉS SAVANTES. 259 s'agit d'une femme de quarante-deux ans, à la face asymétrique, au
agienne qu'il a trouvée en usage à son arrivée dans la division des femmes à Villejuif et qui offre des garanties de sécur
paralysie isolée dit nerf sus-scapulaire gauche sans motif chez une femme de cinquante ans, indemne de tares hé- rédilair
ER. M. Siemerling. Un cas de névrite alcoolique avec myosite. Une femme de cinquante et un ans présentant tous les signes
ence sur les psy- choses préexistantes ? M. SCHUELE. - Voici neuf femmes de 25 à 60 ans. L'influenza chez toutes est res
psychopathies tardives. L'influenza a une action hyposlhénique. Les femmes surtout deviennent aliénées à la suite de l'inf
u deux exemples de psycho- pathie consécutive à l'influenza; sur 69 femmes , il n'en a vu que quatre. Un homme et trois fem
nfluenza; sur 69 femmes, il n'en a vu que quatre. Un homme et trois femmes étaient porteurs de tares héré- ditaires. De mê
pports de la maladie de Basedow et des affections génitales chez la femme . Section de neurologie et de psychiatrie : Dr 1
-Beau- mont, un ouvrier tisseur, nommé Théophile Herbin, a tué sa femme qui était épileptique. La victime porte deux bles
erbin en état d'arrestation. » La situation faite au mari par une femme épileptique, ou à la femme par un mari épilepti
. » La situation faite au mari par une femme épileptique, ou à la femme par un mari épileptique, est en général extrêmeme
ur une plage normande devant une assistance où figuraient nombre de femmes et d'enfants et nous avons constaté combien ces
t individu, dans un accès de fureur alcoolique, s'était jeté sur sa femme , un énorme couteau à la main, sous prétexte que
crime épouvan- table a causé dans la ville une profonde émotion. La femme d'un comptable, nommée Kuhm, a assassiné sa fil
Kuhm, a assassiné sa fille dans un accès de folie religieuse. Cette femme a coupé la gorge de sa fille et' a en- suite tr
, qui était intervenu dans un procès en divorce qu'il avait avec sa femme , avait empêché celte dernière de se réconcilier a
t où il frappait à coups de pied et à coups de poing sa malheureuse femme éten- due sur le trottoir. André C... est en pr
elque temps déjà, à des accès de folie. Dans ces moments, il bat sa femme comme plàtre, sous les prétextes les plus futil
brisa sur la chaussée tout son mobilier. Une resta plus à la pauvre femme une pièce intacte de sa vaisselle. C... a été e
ôt. (Temps 14 avril.) A Saint-Aubin-d'Ecrosville, mardi dernier, la femme Picard, FAITS DIVERS. 303 ménagère a disparu
rche, mais il a perduàQuittebeuf la trace la de fugitive. La pauvre femme a, parait-il, les facultés mentales très alfaib
TOULOUSE (Ed.). - Etude clinique sur la mélancolie sénile chez la femme . Brochure in-8° de 48 pages. Paris, 1891. - H. Jo
donnait des répéti- tions aux enfants de la duchesse de X..., jeune femme de vingt- sept ans, qui se mourait de la poitri
striel, dans un département de l'Est, né en 1844. Sa mère était une femme très intelligente, mais renommée dans le pays p
ines à se remettre. Plus tard il a eu le chagrin de perdre sa jeune femme d'une fièvre typhoïde; enfin les événements de
endant l'ivresse et va jusqu'à la violence; à plusieurs reprises sa femme a dû se cacher pour l'éviter. Il fume beaucoup,
vent des maux de tête, mais pas de véritables migraines. D'après sa femme , il n'était pas coureur. Il aurait eu une infla
ux Folies dramatiques avec une fruitière, avec laquelle du reste sa femme l'avait pris en fla- grant délit d'adultère un'
plus qu'avec des hommes en ville. Il en avoue seulement avec des femmes . 24 avril. - A élé envoyé en congé le 18 avril
- A été renvoyé plusieurs fois de la buanderie parce que la vue des femmes l'excitait et qu'il allait se masturber dans les
ère, mort quand il avait douze ans, d'ennui surtout, ayant perdu sa femme deux ans aupa- ravant. Sobre; très fumeur. [Mèr
lissant dans la rue et avait failli être écrasé par un omnibus. Une femme qui passait, croyant qu'il était écrasé, s'était
z ment, la proportion des paralytiques est de 12 p. 100, pour les femmes de 4 p. 100." . ' En divisant la période de tre
les 30 paralytiques généraux de l'asile d'Evère (19 hommes et 11 femmes ). Sur ces 30 paralytiques, 13 avaient eu certaine
rirais plus volontiers la cellule aux hommes, les petits locaux aux femmes . Du reste, ce n'est pas un malade sur dix qu'il
malade. L'étage supérieur du bâtiment en question est réservé aux femmes . Le chauffage des dix cellules se fait simultaném
la ligne de. descente est plus droite. Elle parait avoir relevé une femme en marasme, faisant disparaître l'oedème, et lu
, dose qui ne fut pas dépassée. Il s'agissait de 33 hommes et de 37 femmes de seize à cinquante-et-un ans, épileptiques de
e démence simple (1), sénile (1), alcoo- lique (1), ainsi qu'à deux femmes hystériques. Les indications qui nous ont servi
ès distincts. Dans les asiles-casernes, les sections d'hommes et de femmes contenant chacune cette population, il faudra les
taux. P. S. XII. Etude clinique sur la mélancolie sénile chez la femme ; . par le Dr TOULOUSE. (Th., Paris, 1891.) Tr
observations, et d'après laquelle l'auteur conclut que lesvieilles femmes sont sujettes 442 BIBLIOGRAPHIE. à une forme
ême. Ceci est encore plus vrai dans le cas d'une personne, homme ou femme , qui, lorsqu'elle sort d'un asiie d'aliénés gué
ée passée, des emplois conve- nables ont été trouvés pour cinquante femmes convalescentes ayant quitté les asiles dans une
abri des meules de paille. En soulageant cette misère qui, chez les femmes , est beaucoup plus grande que parmi les hommes,
d'un médecin morphinomane qui avait jugé bon de faire participer sa femme à son intoxication, pour la rendre peu ardente,
en adultère où les coupables étaient un médecin morphinomane et la femme d'un pharmacien, rendue morphinomane. Il paraît
ion médicale : un mari voulant plaider en divorce, rendit exprès sa femme morphinomane et de là tira argu- ment pour fair
llaman, lit ; - Etude clinique sur la mé- lancolie sénile chez la femme , par Toulouse, 441 ; Les mala- dies de l'espr
92 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
ter sur ce cas? — H y a des ressources: à un âge plus avancé, chez la femme , l'hystérie accentuée est beaucoup plus tenace, p
erie et l'intensité du mouvement sont tels, chez notre malade, que sa femme , d'habitude, le soir quand il se couche, lui lie
rencontrer chez l'homme, ce brio morbide, fréquent en réalité chez la femme , mais dont quelques auteurs font, bien à tort, un
été attiré vers l'autre sexe, et c'est justement dans une affaire de femme qu'il est devenu victime de l'accident, ou mieux
lui, pèche peut-être par excès de généralisation lorsqu'il dit de la femme , qu'elle est perfide comme l'onde: « false like w
s 1880, — il était bien jeune encore, vous l'avouerez pour courir les femmes ,— se prit une nuit de querelle avec des « Italien
de celles que nous avons si fréquemment l'occasion d'observer chez la femme , dans cet hospice. Ce point est relatif à l'extrê
trière, dans le cours des trois dernières années, sont relatifs à des femmes grosses. La première était une fille de' 19 ans
naison fatale. Le deuxième cas est plus récent : il est relatif à une femme mariée âgée de 20 ans, enceinte de deux mois envi
s par la mort. Ils sont relatifs à un garçon de dix-neuf ans et à une femme de vingt ans. Le garçon présentait à l'autopsie d
opsie des végétations sur le bord de la valvule mitrale chez la jeune femme morte « d'épuisement » cinq jours après son entré
ans après le suicide jetant par la fenêtre. l'âge de 43 ans. de sa femme . Le père du malade La mère du malade Suicide
d pas à ce que j'observe dans mon service spécial, surtout composé de femmes (1) ; la vérité est qu'elles y sont plutôt rares.
e de la Clinique, à la Salpêtrière comprend environ 160 épileptique s femmes , non aliénées, considérées comme incurables. 18
ur le boulevard Saint-Germain, non loin de l'église Saint-Bernard,une femme qui traversait le boulevard et était parvenue sur
i fut pas possible de dire l'adresse de la maison où ildemeure. Cette femme parlait d'ailleurs très facilement, avec une cert
s ; un accès de mélancolie à l'occasion d'une maladie aiguë. » Sa femme issue d'une famille goutteuse est goutteuse elle-
membre supérieur droit. — Pièce recueillie à la Salpêtrière chez une femme morte de paralysie générale à l'âge de 50 ans.
st introduite dans la salle de cours.) Il s'agit, vous le voyez d'une femme déjà âgée ; elle a 58 ans ; elle exerce depuis tr
ogressive. Il n'est pas très rare effectivement, de constater que des femmes atteintes d'ataxie ont été auparavant, pendant de
ont, chemin faisant, se dérouler devant vous. Il s'agit d'une jeune femme de vingt et un ans, grande, élancée, comme vous l
à ce qui se voit très vulgairement clans l'hystérie, surtout chez la femme , le cercle de la vision pour le rouge est plus ét
e temps après,la démarche devient titubante ; elle marche * comme une femme prise de boisson ». De 18 à 20 ans, la difficulté
liclinique du Mardi 18 Décembre 1888 NEUVIÈME LEÇON 1er Malade. — Femme de 47 ans. Autrefois paraplégie par mal de Pott ;
l'infirmerie pour aller occuper d'abord une place dans un dortoir de femmes valides, puis pour entrer un peu plus tard au ser
ade. Dans un cas de ce genre, observé avec Michaud, cas relatif à une femme de là Salpétrière qui avait succombé aux suites d
là, sans doute, des phénomènes qui se montrent vulgairement chez les femmes à l'occasion de l'âge critique et qu'on pourrait
ommencé le traitement, j'étais obligé de me faire conduire ici par ma femme qui me soutenait par un bras,tandis que de l'autr
ques ont prédominé ; aujourd'hui 15 mars nous en comptons 114, dont 3 femmes , qui ont été soumis au traitement. Il y a lieu de
au-dessus, sans avoir ressenti aucune amélioration. 38, comprenant 3 femmes , ont été suspendus de quatre à vingt fois et au
alades y éprouvent ont été fortement atténués ; chez une des malades ( femme de -43 ans) le phénomène d'antépulsion a disparu;
de nouveau un peu plus loin. IL Le second sujet du groupe est cette femme âgée de 26 ans nommée Duf...che que je viens de f
e le n° 1, nous a paru surtout intéressante : elle est relative à une femme de 36 ans, atteinte de maladie de Basedow à la su
aux (2). 1. Le cas de paraplégie survenue dans une maladie chez une femme atteinte de maladie de Basedowpublié par M. Balle
E LEÇON S 1er Cas. Accidents hystériques graves survenus chez une femme à la suite d'hypnotisations pratiquées par un mag
magnétiseur pratiquant dans les baraques de foire. Il s'agit d'une femme âgée de 38 ans qui est venue nous consulter avant
e occasion que le mari de la malade est venu nous prier d'admettre sa femme dans notre service. Vous avez compris, Messieur
stériques dont les yeux ont été examinés. Sur ce nombre, il y a eu 49 femmes et 30 hommes. (Compte rendu du service ophthalmos
Le cas dont nous allons nous occuper en second lieu est relatif à une femme de 40 ans qui, à la suite d'une chute sur le geno
il a bon cœur : il s'est jeté à l'eau un jour d'hiver pour sauver une femme qui se noyait ; il s'en est suivi une attaque de
n longtemps, M. Richer et moi, signalé chez les hystériques hommes ou femmes , ces « rêves d'animaux » qui rappellent, vous le
l y a longtemps déjà (Progrès médical n9 3, janvier 1878 (1) chez les femmes hystériques hémianesthésiques. Il est très commun
rien remarqué chez M en... s si ce n'est qu'il était un peu pâle ; ma femme , qui le connaît depuis longtemps, m'a dit après c
ait le bras : « Où me menez-vous ? — Mais chez moi, à la Chapelle, ma femme est en douleurs. — Votre femme ? Je ne la connais
s ? — Mais chez moi, à la Chapelle, ma femme est en douleurs. — Votre femme ? Je ne la connais pas ! Comment s'appelle-t-elle
Chapelle après une course d'un kilomètre environ. Mme T... touche la femme et dit : « Vous en avez encore pour deux bonnes h
ur le lit et paraît s'assoupir. Au bout d'une heure, elle se lève. La femme en couches souffre beaucoup et pousse des cris ép
Et se tournant vers les assistants : « Est-ce qu'elle accouche, cette femme -là? » Le mari est tellement étonné qu'il n'y peut
t. Ses souvenirs personnels ne datent que de cet instant. Une jeune femme , dont l'histoire a été rapportée par M. Motet, to
s une trentaine d'années, et qui contient une division de près de 200 femmes hystériques ou hystéro-épileptiques. Il n'est pas
le somnambulisme naturel s'observe beaucoup plus fréquemment chez la femme que chez l'homme, beaucoup plus rarement chez l'a
ervation bien connue de mon collègue et ami le Dr Mesnet, on voit une femme de trente ans, après avoir éprouvé pendant la nui
itchell, de Philadelphie, sur les maladies du système nerveux chez la femme , publié en 1885 (1), le passage suivant : « La ma
s colères, il cassait tout chez lui. Devenu veuf il s'amouracha d'une femme qui l'abandonna bientôt, et c'est le désespoir qu
e trépidante présenté dans la dernière leçon. 2e Malade. — Chez une femme : paraplégie alcoolique avec rétractions fïbro-
r, sans danger, rentrer dans la vie commune. 2e Malade. Voici une femme nommée Be... eut, âgée de quarante ans, que nous
. Eh bien, je vous ferai remarquer à ce propos qu'il s'agit ici d'une femme et que, dans mon expérience du moins, jamais les
agit ici d'une femme et que, dans mon expérience du moins, jamais les femmes alcooliques, alors même que vous les prendriez en
neetbelleAmé-ricaine de vingt-trois ans, puis plus récemment chez une femme cle trente ans environ qui a été admisedans le se
e on l'a cru, comme on l'a prétendu jusqu'ici, plus fréquente chez la femme que chez l'homme (1)? Toujours est-il que,quelleq
lieu du tronc, un peu au-dessus du sternum, se présente une figure de femme , décemment couverte qu'il dit être la nuit. Pourq
abominable, méchant, qui ne cessait pour ainsi dire pas de battre sa femme et ses enfants. La pauvre malheureuse était, para
fer et presque au même instant, sur un point opposé de la ville, une femme vit descendre du nord-ouest, avec une inclinaison
nce dans les discours, le délire quelquefois furieux (2). « Une jeune femme blessée au .bras, sort frénétiquement de sa chamb
plégie pure. Dans un cas, il s'est agi d'une paralysie alterne. « Une femme fut atteinte par la foudre près de Montargis ; en
s analogies paraissent fort étroites entre les deux cas. L'une de ces femmes , cependant, est atteinte de chorée chronique, tan
, la nommée Ch... a dépassé sa 51' année, Si vous examinez ces deux femmes très attentivement, tour à tour, à plusieurs repr
ait éprouvés remontent à dix ans. Il apprit à cette époque-là que sa femme le trompait : il en éprouva un très violent chagr
-ils produits chez lui? c'est ce qu'il a été impossible d'établir. Sa femme assure qu'elle les a remarqués il y a deux ou tro
iagnostic. Elle paraît être plus fréquente chez l'homme que chez la femme ; c'est de 15 à 25 ans surtout qu'elle fait son ap
faire et qui ont trait à 17 hystériques hémianesthésiques, nommes ou femmes pris au hasard dans mon service, montrent que cet
hiv. 1882 p. 537 chez lui d'antécédents héréditaires. La mort de sa femme qui a eu lieu il y a cinq ans l'avait plongé dans
-il, les noyer. Pendant ces sortes de rêves en action, il appelait sa femme , lui montrait avec insistance ces animaux imagina
i. Constamment préoccupé de son état de santé, il disait souvent à sa femme « qu'il avait peur d'être paralysé ». Le tremblem
nnaissance. Quand il revint à lui, au bout de dix minutes environ, sa femme , qui était présente, lui raconta ce qui s'était p
lorsqu'elle sent qu'elle va avoir sa crise »,appelle auprès d'elle la femme du malade. Au sortir de cette première attaque,
que l'on se fait en général du tabieau clinique de l'hystérie chez la femme . Chez le mâle, en effet, la maladie, quelle qu'en
permanence et la ténacité des symptômes qui la caractérisent. Chez la femme au contraire, — et c'est là ce qui semble faire f
tre les deux sexes, pour qui ne connaît pas à fond fa maladie chez la femme , — ce que l'on croit être le trait caractéristiqu
xemples, un caractère univoque de la maladie hystérique, même chez la femme . Chez elle, il y a des hystéries aux stigmates pe
caprices n'existent pas toujours nécessairement dans l'hystérie de la femme . Ces troubles ne sont donc pas caractéristiques d
y a des hystériques mâles qui sont gais, et l'on peut rencontrer des femmes hystériques d'humeur toujours mélancolique, trist
al. Gela tient peut-être d'ailleurs aux habitudes du sujet. C'est une femme de 34 ans, cuisinière, qui a habité pendant deux
é nerveuse...................... 171 NEUVIÈME LEÇON l01'malade. — Femme de 47 ans. Autrefois paraplégie par mal de Pott ;
ÈME LEÇON lor cas .— Accidents hystériques graves survenus chez une femme à la suite d'hypnotisations pratiquées par un mag
présenté dans la dernière leçon......... 379 2° malade. — Chez une femme : paraplégie alcoolique avec rétractions fibro-
mblement, 232. Alcoolisme, 84. — Difficultés de le déceler chez les femmes , 388. — et conception, 93. — et epilepsie, 95. —
93 (1861) Journal du magnétisme [Tome XX]
e devais à d'autres malades, je partis : le mari devait magnétiser sa femme suivant des indications que je lui donnai. Dès le
eusement la main. C'était la fidèle exécution du programme, la pauvre femme , pétrifiée de surprise, paraissait en proie à d’é
e singulière nouvelle. Un de mes amis m’écrit que ces jours passés sa femme , vers trois heures du matin, se réveilla soudaine
éveilla de même, et sans un geste quelconque ni le moindre mot de ¡¡a femme , il s’écria : « Voyez-vous Dimitri « là-bas au pi
cculte du prince Dimitri qui s’est déplacée, mais bien l’Esprit dé la femme de son ami qui s’est transporté à Paris, si toute
ns nous exprimer ainsi. En termes plus concis, nous dirons : La jeune femme qui est ici en scène s’était entretenue du prince
e démontrerons un autre jour (1). Dans l’état où elle était, la jeune femme s’est mise en ¡1) Nous signalons pour le moment
ité ou clairvoyance. L’état de surexcitation oit se trouvait la jeune femme a réagi sur le cerveau, sur l’esprit de son mari;
nes se trouvaient un soir réunies chez nous, entre autres deux jeunes femmes douées d’un tempérament très-impressionnable. Par
l'aller voir. Mal m’en prit, car je ne fus pas admis près de lui; sa femme me dit que l’ordre des médecins était formel qu’i
e jour en jour des proportions alarmantes: sur les derniers temps, ma femme était obligée de garder constamment le lit. C'est
a hâte, je le mis immédiatement en pratique, et bien que l’état de ma femme me parût, ainsi qu’aux médecins, désespéré, je ne
uelques premières magnétisations, la fièvre continuelle qui minait ma femme depuis longues années disparut, ce fut pour moi u
faction et au grand étonnement des personnes qui la connaissaient, ma femme fut entièrement rétablie, et depuis lors la malad
mmes de bonne volonté pour le transporter, tout le village, hommes et femmes , vinrent le chercher, chacun se disputant l’honne
que l’on vient de lire, représente un homme couché sur un lit, et une femme ou un jeune homme debout. Ce groupe se rencontr
rt et animé. C’est une personne vivante; elle a les pieds séparés. La femme ou le jeune homme qui esta côté et debout, a les
ie. 11 se présente donc chez moi, l’un de ces soirs, en société de sa femme et de sa fille : moi, j’accueille de mon mieux ce
aine, en présence de Remi, qui le raconte dans sa Dœ-monolatreia. Une femme , nommée Biaise de Valfracuria, demeurait en 1589
mbe d’elle-même, et que les mains reprennent leur premier état. Cette femme Connaissait parfaitement, on le voit, la manipula
Sainte-Foi, tome 111, page 195). ESCROQUERIE. La dame B..., jeune femme demeurant à Clicliy, avait été récemment victime
na d’avoir recours aune somnambule. Celle qu’on lui désigna était une femme d’un certain âge, très-pauvre, mais jouissant, af
lons de la pythonisse se trouvaient épars sur le parquet ; mais cette femme qui avait, sans doute, d’un coup d’œil examiné le
s qui les menacent. « Les enfants nerveux, les idiots, les vieilles femmes et généralement tous les célibataires instinctifs
duché de Posen, au château deR., chez madame la comtesse M., une des femmes les plus remarquables du pays sous tous les rappo
qui présentaient cet état, le doute n’allait, plus être possible, sa femme allait lui en présenlerles plus étonnants phénomè
des magnétis urs et des somnambules. Enthousiasmé des faits dont sa femme le rendait témoin, pénétré de leur importance et
ue la visite de personnes étrangères produit sur des malades, sur une femme surtout, leur en faisait un impérieux devoir....
sance que donne sur soi la possession de la vérité; mais l’état de sa femme réclamait impérieusement tous ses soins, toute so
e qui a saisi M. Cornet, en présence des facultés merveilleuses de sa femme . Cet exemple, et quelques autres, sans doute, qu’
je ne suis pas tout à fait étranger à votre sujet, car j'ai connu une femme , celle d’un de nos confrères, qui a présenté dans
mais ne se mêlait jamais de son traitement. Après sa guérison, cette femme ne conserva pas plus de souvenir de ce qui s’étai
tisme, nul doute qu’il n’y ait un fonds de « vérité : mais les jeunes femmes hystériques d’un côté, les « charlatans escrocs d
de fourmillement. Alexandre de Humboldt avait observé aussi que les femmes très-nerveuses pouvaient toucher impunément le pl
ous les signes de la frayeur, qu'il y voyait la forme lumineuse d'une femme démesurément grande qui s'agitait dans l'air, et
même ou le jeune homme avait ses visions. On y trouva le corps d'une femme que l’on y avait déposé bien longtemps avant que
s ou sept jours successivement. En Orient, les hommes ainsi que les femmes exercent également le magnétisme, mais les femmes
ommes ainsi que les femmes exercent également le magnétisme, mais les femmes et surtout les vieilles sont préférées. Parmi l
x personnes qui vivent incessamment ensemble, principalement chez les femmes , et surtout quand il s’y joiut des liens d'étroit
prière des agonisants, ce qu’on fit d’un mouvement unanime. Hommes et femmes , maîtres et domestiques tombèrent à genoux et pri
eb, refusait aussi, et l’objet en cause était la vie de la sœur de sa femme , la vie de la fille de son beau-père ! Ajoutez qu
œur de sa femme, la vie de la fille de son beau-père ! Ajoutez que sa femme d’un côté et son beau-père de l’autre le suppliai
e idée préconçue; puis, comme par instinct, je me mets à dire à cette femme , tacitement, avec la volonté de l’intime foyer de
apeau de paille de Manille. Le trouble de celle qui devait devenir ma femme fut très-sensible à mon approche. Elle déclara dè
e à une crise de a L'institutrice (Mlle Porcerat), chez laquelle ma femme était en pension, avait reçu d’elle mon signaleme
st d'entrer dans les affaires. Pour plus de facilités, il cherche une femme dont la dot soit l'équivalent de ce qu'il possède
a pas une obole. — Son cœur est riche, et cela vaut mieux l Une autre femme trompera, ruinera mon cousin; tandis qu'Elise lui
oir, le docteur Gromier, après avoir endormi par la magnétisation une femme hystérique, demande au mari de cette femme la per
i par la magnétisation une femme hystérique, demande au mari de cette femme la permission de faire une expérience, et voici c
à crises. — Le salon au baquet.— Description qu'en a laissée une des femmes les plus spirituelles de la cour de Louis XVI. —
cculte du prince Dimitri qui s’est déplacée, mais bien l’Esprit de la femme de son ami qui s’est transporté à Paris, si toute
— N“ 117. — 2' Série. — 10 novembre 1861. uii se trouvait la jeune femme a réagi sur le cerveau, sur 1 esprit de son mari
neurs de la charbon-nerie de (Jelfast se rendaient à leur travail, la femme de l'un d’eux lui recommanda d'examiner avec soin
euse de fin à l’avenue de La-mothe-Piquet. La lucidité de cette jeune femme n’avait point franchi, jusque-là, les idées de so
ajesté et solliciter auprès d’elle la faveur de la vie. « 10. Celte femme élait belle, elle plut au roi par-dessus toute ch
mes diverses. Satan, mort à la suite de l’indiscrétion commise par sa femme , quitte la sphère céleste, ranime son propre corp
fer rouge ouïes caustiques sontaussi employés, principalementsur les femmes ; le sang coule comme si ce liquide était de l’eau
lement de la naturelle appréciation de l’événement. Ces « deux jeunes femmes , douées d’un tempérament très-impressionnable, »
description précieuse quoique bizarre, que nous en a laissée une des femmes les plus spirituelles de la cour du Régent, el de
curatif, « prit une espèce de consistance. Bientôt des hommes et des femmes , dont l’ennui et la satiété des plaisirs avaient
ient chez d’Eslon, dans une société de quelques hommes et de quelques femmes à esprit, une sorte de distraction. Le disciple d
à l’oracle des Bran-chides, les boissons d’eau qu’on donnait à cette femme ordinairement épileptique ou hystérique, à Coloph
Le fait que j’ai rapporté moi-même dans l’ünt on magnétique, que ma femme , étant entrée dans une pièce où une autre personn
94 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
ades. Les trois sujets sur lesquels nous avons expérimenté sont des femmes hystériques du service de M. le professeur Charco
sfaite, puis prenant sa robe dans ses mains, ainsi que peut faire une femme qui danse seule, elle se met à polker et continue
s avons vu provoquer des hallucinations gaies chez nos deux premières femmes , produisait une vive terreur chez la troisième. L
jaune. — Il cause avec une marchande d'oranges — ou bien il voit une femme habillée en jaune et la raille sur la couleur de
monsieur qui prise du camphre. Eau de Cologne. — Il s'adresse à une femme qu'il rencontre et la raille sur la bonne odeur q
fluence de cette odeur, mimer une scène des plus intéressantes. Une femme est là, dans la rue, sur le trottoir, en proie à
d'une maison, envoie avec de l'argent un ami chercher un cordial. La femme revient à elle, il l'assied chez une dame, lui de
joue du doigt et en imitant le bruit du baiser). — Il s'adresse à une femme , une ouvrière sans doute, lui dit bonjour, lui de
ramené la scène d'église, le verre jaune la marchande d'oranges ou la femme habillée en jaune, le verre rouge la blessure san
ulte et presque inconnu dans la vieillesse. Ce sont de préférence les femmes qui en sont atteintes. Le noctambulisme serait au
Félida, par M. Àzam, est à cet égard démonstrative. On sait que cette femme vivait, pour ainsi dire, d'une double vie, passan
re chez la première malade de M. Mesnet(l). Il s'agissait d'une jeune femme de 30 ans, soignée pour des accidents hystériques
y aurait même pas fait attention. Tout ce qui pouvait s'adresser à la femme et non à la chatte la laissait indifférente. Elle
les plus habituellement rencontrées sont: les points ovariens chez la femme , les points testiculaires et pseudo-ovariens chez
e. Mais, à (1) Ces faits m'ont été racontés par le charcutier et sa femme , qui invoquaient le témoignage de tous les boutiq
a la queue entre les jambes, qu'ils sont enragés..... « ..... Cette femme -là est peut-être sa maîtresse. Mais, non, l'hom
le monte-charges?... » Avec de l'eau de Cologne, il voit passer une femme parfumée et s'adressant toujours à son camarade i
hoir, parbleu!...» Avec de l'éiher, il est dans la rue auprès d'une femme prise d'une attaque de nerfs et entourée par une
si vous vous f... dessus... menez-la donc chez le pharmacien... O'te femme -là est malade... Ah! c'est bien fait, toi, si tu
il y avait un chien avec une patte cassée, t'en aurais pitié. Vlà une femme qui se trouve mal, t'es là à l'embêter!... Eh bie
quelqu'un). Voyons ! c'est-il le moment de regarder ses mollets? une femme dans c't'état-là! (L'ami revient et il lui prend
ur des excentricités, telles que se promener dans les rues habillé en femme , etc. Les oncles paternels étaient tous emportés
un verre rouge. Le malade, avec anxiété, s'écrie : « Au feu !... Une femme au 3e étage !... » Changeant de ton, ironiquement
t lesquelles elle se voyait entourée de flammes. Plus tard cette même femme effrayée à la vue de serpents (qui n'étaient cepe
é par M. Forel (de Zurich) mérite d'être signalé (4). Il s'agit d'une femme qui, après avoir eu autrefois des attaques d'hyst
elle que ce phénomène est beaucoup plus fréquent chez les hystériques femmes que chez les hystériques mâles, et que cette achr
odifier à volonté la personnalité de l'hypnotisé, changer un homme en femme , un manouvrier en roi, etc. Ce sont les cas du
a personnalité. Il est en effet bien typique. Il s'agit d'une jeune femme , instruite, qui fut prise tout à coup d'un sommei
aits le plus brièvement possible. Il s'agit clans ce cas d'un jeune femme de vingt-huit ans environ. Pendant son enfance el
ette jeune fille travaillait dans un atelier de couture avec d'autres femmes dont elle dirigeait les travaux, lorsque tout à c
pportés par MM. Bourru et Burot (1). Dans l'un, il s'agit d'une jeune femme de 26 ans, « grande hystérique, qui a éprouvé, à
continue à coudre, à faire du crochet ou quelques autres ouvrages de femmes , correctement, sans maladresses ni défaillances d
nde. Elle passe toutes ses journées avec l'une ou l'autre de ces deux femmes . Elles « font popote» ensemble, si l'on peut dire
s il ne faut pas trop lui demander de détails. Cléopâtre, « c'est une femme qui se fait mourir avec un serpent. » Marc-Antoin
issions antérieurement. Ce fut pour nous un trait de lumière. Cette femme , que nous appelions une somnambule éveillée, term
t bien l'Exposition de 1889. Elle y est allée avec un Américain et la femme de celui-ci qui avait séjourné quelque temps dans
re d'entrer dan s quelques explications préalables. Il s'agit d'une femme d'environ trente-quatre ans, habitant G..., marié
Pour le moment, je veux me borner à ceci : lorsque, le 31 août, cette femme sort du délire, elle a perdu le souvenir de tout
sans modification d'aucune espèce. Il y a donc aujourd'hui chez cette femme amnésie rétrograde, mais il y a encore et surtout
période antérograde et actuelle, j'insistais sur ce fait que cette femme n'enregistre point les événements qui se succèden
de veille. Mais la preuve en est surtout dans le fait suivant: Cette femme , que nous avons pu hypnotiser, retrouve dans le s
aît-il, un homme violent, ivrogne et débauché, qui s'est séparé de sa femme dans des conditions assez exceptionnelles. Cette
est venu de vous présenter la malade. C'est, comme vous le voyez, une femme d'aspect normal, bien portante, n'offrant d'autre
s très éloignés ou très rapprochés de cette date, la mémoire de cette femme est également heureuse. Le fait lui-même, les cir
heure ce qu'il faut en penser. Je vous disais, Messieurs, que cette femme avait oublié tous les événements de la période ré
er. » Vous devinez sans peine l'émotion et la douleur de cette pauvre femme . Les voisines accourent à ses cris de désespoir e
l'es* prit, mérite d'être discutée ici : La scène racontée par cette femme est-elle bien authentique ? Un individu inconnu e
, en tenir compte, au moins au point de vue médical pur. En outre une femme déclara tout d'abord qu'elle aussi avait vu ce mê
e forme dans la maison et, pendant qu'on prodigue à cette malheureuse femme les consolations d'usage, un assistant court aux
lle ne doit pas être, qu'elle n'est pas à C... Or, depuis que cette femme est dans le service, malgré le haut degré de cett
e. Maintenant (1), Messieurs, nous allons interroger ensemble cette femme dans le sommeil hypnotique. D. Madame, connaiss
p., 1884.) (2) Lecorché. — Troubles nerveux dans le diabète chez la femme . (Archiv, de Neurol., 1885, t. X, p. 395.) anné
durant une quinzaine d'années. Il s'est marié à vingt-neuf ans. Sa femme a eu neuf grossesses (cinq fausses couches, quatr
sèche et pâteuse. 11 se levait la nuit pour pisser et pour boire. Sa femme , qui l'accompagne, raconte qu'elle a remarqué, il
° Fils. 58 ans. Ataxique. 5 enfants. 1" Fils aîné, ans. Ataxique. Femme bien constituée. 8 enfants. 2° Fils. 45 ans. A
ue. Femme bien constituée. 8 enfants. 2° Fils. 45 ans. A taxique. Femme bien constituée. 1 enfant. 3° Fils. 43 ans.
Père Ni goutteux, ni rhumatisant. Mort aliéné à G4 ans. Marié à une femme de bonne constitution, âgée de 74 ans, actuelleme
FAMILLE ISRAÉLITE Frère. Tabétique. Frère. Migraineux. Sa femme . Diabétique. Fille. Hystérique Fils. Ta
une lésion du noyau de la sixième paire. Il s'agit dans ce cas d'une femme de 67ans, domestique, qui entra àPaddington Infir
aut remarquer que le malade, qui a soixante-deux ans, est marié à une femme beaucoup plus jeune que lui (38 ans), et avait de
tous les épileptiques qui passaient à la policlinique, ainsi, que les femmes épileptiques admises à la Salpêtrière, dans le se
cès alcooliques et vénériens; à cette époque il vivait avec une jeune femme hystérique, sujette à des attaques de somnambulis
nfin perd connaissance. Observation XXVIII. Lem... Marie, 39 ans, femme de ménage. Père alcoolique, très violent, mort su
ura, en moyenne, que 10,76 fois : 10 fois chez l'homme, 11.53 chez la femme . Les recherches de M. Gowers (2) aboutissent à
mari s'était adonné à la morphine. Puis peu à peu il avait poussé sa femme à faire usage de ce médicament et celle-ci à son
parés l'un de l'autre, plaçant le mari dans le service des hommes, la femme dans le service des femmes, et avons tenté de les
çant le mari dans le service des hommes, la femme dans le service des femmes , et avons tenté de les dé-morphiniser. Mais ils n
95 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
des, le développement de l'échinocoque serait plus fréquent chez la femme . Krummacher sur 86 malades l'a ob- i servé 41 f
86 malades l'a ob- i servé 41 fois chez l'homme et 45 fois chez la femme . Finsen sur 255 cas, l'a trouvé 74 fois chez l'
en sur 255 cas, l'a trouvé 74 fois chez l'homme et 181 fois chez la femme . Neisser sur 358 observations en a 148 chez l'h
. Neisser sur 358 observations en a 148 chez l'homme et 210 chez la femme . D'après Thomas, en Australie, la femme serait
chez l'homme et 210 chez la femme. D'après Thomas, en Australie, la femme serait moins atteinte que l'homme, mais il ajou
es mines où l'eau est rare et fréquemment injectée. D'après lui les femmes qui vivent plus renfermées chez elles sont plus s
cés sur ce passage. Quelques-uns disent qu'Abisag fut véritablement femme de David et saint Jérôme paraît être de ce sent
, Hermippus n'était' pas un prince qui passait sa vie au milieu des femmes de son harem. Cohausen suppose qu'il était rége
e par son ami Nunning. 1° Pourquoi Salomon qui eut des légions de femmes ne vécut-il pas jus- qu'à un âge avancé ? UN
ONGER LA VIE 75 2° Pourquoi aussi les Sultans qui possèdent tant de femmes dans leur harem n'arrivent-ils pas à la vieille
vent au milieu des intrigues, des querelles, des jalousies de leurs femmes d'ori- gines et de races si diverses. La luxu
eu- vent être invoquées. Est-il rien de plus commun que de voir une femme sur l'âge redevenir non seulement plus leste et
hausen s'attache à peindre les ravages que peut exercer une vieille femme sur un organisme jeune. Il n'a pas d'image asse
itiquer ces « monstres ». Le jeune homme qui va épouser une vieille femme , à moins qu'il n'at- tende une riche dot, s'app
rte ce qui suit : Un homme de 80 ans, après avoir perdu sa première femme , en épousa une seconde qui n'en avait que vingt
un mot renaître en lui non seulement les grâces, mais au dire de sa femme , toute la vigueur d'un homme de trente ans, ce do
érance et la chasteté la plus rare.' A 40 ans il épousa sa première femme connue sous le nom de Jeanne dont il eu deux en
plusieurs enfants, mais bientôt las de celle-ci, il prit une autre femme et vécut jusqu'à l'année 1635, robuste et plein d
l fut en même temps atteint d'une fièvre aiguë. Je fus mandé par la femme auprès du malade que je trouvai dans un état as
s et de Raymond Lulle. L'histoire du fameux Nicolas Flamel et dé sa femme Pernelle, racontée plus longue- ment encore n'e
jours accompagné de son disci- ple, fait le geste consacré, sur une femme qui lui présente sa main droite. Un oeil exercé
t et P. Richer (1) ont signalé toute la valeur de ce docu- ment. La femme a une attitude en arc de cercle, très caractérist
res ni de mutilations. Dans la figure K, nous reconnaissons notre femme hydropique. Le ventre est très volumineux, mais
ille, tout en faisant du bras gauche un geste de répulsion ; et une femme qui couvre sa bouche et son nez avec son mantea
onnage assis sur le sol, avec un chien à ses côtés. Plus bas, une femme s'avance péniblement sur deux longues béquilles,
essus de sa tête, tandis que Saint Rémi fait le geste consacré. Une femme émerveillée assiste à l'exorcisme. On peut adme
de vents, vrai, et stxoy, image) fut donné au linge avec lequel une femme de Jérusalem essuya, dit-on, la figure du Chris
u Calvaire. On donne souvent à tort le nom de Sainte Véronique à la femme qui recueillit ainsi l'image de Jésus-Christ. C
es pendantes, à l'arrière de la voiture. A côté, sur le chemin, une femme cul-de-jatte est accroupie appuyant ses mains sur
l'autre vêtu d'une longue houp- pelande. Près de là s'avance une femme tenant dans ses bras un enfant. Puis, un homme
éformée et comme couverte de pustules ; devant lui, un homme et une femme gisent élendus côte à côte sur un matelas avec
u, rampe sur les genoux et sur les mains armées de chevalets. Une femme le suit, s'aidant de deux béquilles avec un pilon
'autres maladies infectieuses, P. s'est marié à l'âge de 23 ans, sa femme est restée bien portante. De ce mariage sont né
l'appui de cette remarque, nous publierons l'observation d'une jeune femme atteinte de la crampe des télégraphistes. Cette
affection. , Observation II. Notre second cas concerne une jeune femme de 28 ans, brodeuse à la machine. Pour effectue
lisation et la pathogénie de ces affections. Observation III. Une femme de 32 ans, professeur de piano, est envoyée à l'h
alade atteinte de la « crampe des télégraphistes ». C'est une jeune femme de 27 ans, vigoureuse, employée au « Post office
ion destructive, soit plus fré- quente chez les hommes que chez les femmes et cela précisément au mo- ment de la plus gran
e antique. Dans la mosaïque de la figure B, PL XXI, nous voyons une femme para- lytique, apportée devant le Christ sur un
ontant de ses honoraires. Celui-ci se contenta de la princesse pour femme et de la Chersonèse pour dot. L'heureux confrèr
Ici, les personnages se.réduisent au malade et au médecin, plus une femme à demi perdue dans l'ombre,qui regarde timidement
eine de le rechercher. J'ai en ce moment dans mon service une jeune femme épileptique à crises d'ailleurs peu fréquentes
s complet de la musculature est resté totalement négatif. C'est une femme de taille moyenne, d'apparence vigoureuse, un p
férence avec une épingle, écrire ce qu'on veut sur la peau de cette femme . Il se produit tout d'abord au point touché une r
la crise. Il est bien évident que les vaso-moteurs sont chez cette femme dans un état particulier qui autorise la supposit
tion des crises à 21 ans. Grand dermo- graphisme. 1 La nommée G., femme M., âgée de 23 ans, entre pour la première fois à
ureut et le malade put être renvoyé chez lui. Depuis, au dire de sa femme et de sa fille, les crises n'auraient pas repar
veuse en amont de ces neuro-diélectri- ques (1). Le fils de cette femme (le père de notre malade) a hérité de ces neuro-
L... nous raconte l'histoire suivante. Elle entendit raconter qu'une femme traversant une écurie vit venir à elle un cheva
ALPÊTRIÈRE. T. XIV. PL, XXXI. HYPERTRICHOSE LOMBO-SACRÉE CHEZ UNE FEMME DE 5 ANS (Lucien Mayet) Masson et Ci@, Editeu
médicale de l'Est, 15 mars 1899, p. 186. Un cas de spina bifida. Femme de 45 ans, présentant au niveau de la région lomb
ts personnages, par exemple le Christ, quelques-uns des apôtres, la femme qui se renverse au premier plan. M. Michel (I),
onnes conditions, après une grossesse tout à fait normale. La mère, femme de haute stature, n'a eu en effet pendant sa gr
lette de 9 ans (Eug, X.). B, B', B" Un cas de nanisme myaedematcux, femme de n2 ans f Mart.1. A PROPOS D'UN CAS D'ACHONDR
chez eux la survi- vance de la race,et d'ailleurs uniquement par la femme ,ce sont les lésions du bassin. « Certains auteu
eux ne dément pas les promesses de l'anatomie. Ce sont surtout les femmes qui sont intéressantes à ce point de-vue ; les
marquée; c'est surtout les difficultés de l'accou- chement chez la femme achondroplase, qui ne peut faire souche que grâce
ection pendant son jeune âge. Au surplus, dans sa génération, cette femme n'a pas été seule louchée, et d'après les renseig
s de tubercu- lose pulmonaire, laissant deux enfants. Au dire de la femme V..., tous trois ont présenté des déformations
gération marquée de la courbure claviculaire. N. B. Le mari de la femme V... est un alcoolique, et serait sujet à des bro
ent à deux variétés différentes. Dans la première, relative à une femme atteinte d'un rétrécissement mitral pur congéni
rempée dans l'eau-de-vie ; le soir on veut réitérer la saignée ; la femme s'y oppose : le lende- main, le malade ne se se
dont je rapporterai tout d'abord l'observation. La nommée Marie V., femme B., âgée de 47 ans, garde-malade, suit la con-
t son sein lourd comme une pierre. En résumé, il s'agit ici d'une femme que ses petites crises, la sensation de boule,
ynie : le plus souvent à la suite d'un traumatisme léger, certaines femmes nerveu- ses sont prises de la phobie du cancer.
uriculo-ventriculaires et artérielles souples, comme chez une jeune femme . La portion ascendante de l'aorte, sa crosse, sa
Marie (1) a présenté à la Société médicale des hôpitaux, une jeune femme de 29 ans, atteinte de déformations osseuses di
s, qui étaient tuméfiés, mais non recourbés en yatagan. Cette jeune femme était cachectique et présentait des signes de tub
ncereaux (t. III, f. 792), un cas de sclérose des capsules chez une femme de 30 ans, observé par Iladden (4), et où la ma
ux (1635-1681), au musée de Vienne[(Pl. LV111), une gracieuse jeune femme , coiffée de blanc, vêtue d'un casaquin de velou
miplégie gauche. L'affection s'est développée len- tement, chez une femme , qui, dès l'aiâe de huit ans, fut atteinte de mou
car l'affection ici est congénitale, et depuis sa naissance, celle femme est atteinte d'un oedème blanc, dur et indolore d
eureux de pouvoir le faire figurer ici. Observation 111. La jeune femme que la photographie représente avec des mains vol
irrheux a poussé dans la plaie. J'ai revu dernièrement cette pauvre femme (octobre 1901). La tumeur qui ve- nait de tombe
temps que les règles, comme c'est presque toujours le cas chez les femmes atteintes d'hypothyroïdie bénigne v chronique.
o de l'appauvrissement thyroïdien). Les vertiges sont fréquents. La femme a toujours froid. Elle est triste, impressionnabl
demi grécisé, qui s'y est fait enterrer, selon la coutume, avec sa femme , quelques personnes de son entourage, ses objet
que le patient à demi pâmé tient sur ses genoux. La Saignée d'une femme , gravure sur bois (Lubeck, 1319). Et une autre
femme, gravure sur bois (Lubeck, 1319). Et une autre Saignée d'une femme , gravure sur bois, tirée de A. Sytz (Traité de
ez le philosophe qui vivait depuis quelques années avec Pauline, sa femme , et quelques disciples dans la retraite aux env
. Mais bientôt il ressentit d'atroces douleurs, et pour éviter à sa femme le cruel spectacle de sa mort, il la pria de pa
aquæ introiit. Il mourut peu de temps après. Quant à Pauline, sa femme , Néron ne voulant pas qu'on l'accusât d'un meur
ette scène majestueuse, manque un personnage important, Pauline, la femme de Sénèque. Mais ici, Rubens est demeuré fidèle à
llement au Musée de Dijon (n° 425), où l'on voit également Pauline, femme du philosophe, s'ouvrir les veines. DAVID, en 1
96 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
séances, dont 8 générales ; y prirent part, outre M. Ochorowicz et sa femme , 22 personnes suivantes : 8 médecins, MM. Bujwid,
aconte : « le 29 décembre Eusapia, vêtue d'un court jupon blanc de ma femme et des bas couleur de bronze, mais sans chaussure
a main. L'attouchement momentané d'une ordinaire, même petite main de femme avec les doigts largement écartés, dans le dos fa
s, a sur diverses parties du corps des croix de légion d'honneur, une femme , une botte sur la verge..., tatouages faits à l'â
autrefois alors qu'il avait 36 ans, des ostensoirs, sujets religieux, femmes nues, verges ailées sur le corps de différentes p
différentes personnes, notamment sur ses sœurs, belles-sœurs, filles, femme , etc., Ses tatouages ont été exécutés alors que l
e d'assassinat. Un homme de 50 ans s'est fait tatouer à 16 ans, une femme se mas-turtant dans un bain de siège et un cœur p
ns se décider à entrer. Au dernier moment, malgré les instances de sa femme , il trouvait toujours un prétexte pour remettre l
uteur des hanches, et même plus haut; mais que c'est impossible à une femme assise avec une robe si étroite, comme l'avait Eu
(tressaillements, bonds, danses, gémissements, soupirs, hoquets). Les femmes , dans leurs bonds, se mettaient souvent à nu jusq
ute autre impression extérieure. II a donc pris cinq hommes et deux femmes qui ont bien voulu se prêter à ces expériences. Q
dépendance des fonctions involontaires (l'hémorrhagie périodique des femmes , innervation des vaisseaux sanguins en général, s
u faire cesser, de la même façon, les vomissements incoercibles d'une femme enceinte. En Angleterre, la commission institué
de Salomon fut le résultat de l'hypnotisme même. Malade, cette jeune femme a dû succombera sa maladie et l'opérateur n'est r
hysiologie du cerveau », M. le Dr N... L'enseignement supérieur des femmes .— L'Université de Rome vient de décerner son prem
ans ces. derniers temps, m'arrêter souvent et longuement auprès de la femme Louise G..., occupant le lit 20 de la salle VII.
que je vais vous tracer en quelques mots. Louise G... est une forte femme ayant toutes les apparences de la santé. Ses gran
dégusta, le trouva délicieux, et plein de joie il le fît goûter à sa femme et à sa fille qui, l'entendant et transportées el
ièrement pure et débarrassée de tout autre alliage de folie, chez une femme très impressionnable qui, à la suite de la mort d
rise volontaire ou non du roi des enfers. Dans un conte annamite, une femme de Sadec meurt. Après une nuit de catalepsie, la
annamite, une femme de Sadec meurt. Après une nuit de catalepsie, la femme revient à elle et rapporte que le (ils du roi des
ne table où se trouvent des viandes et des gobelets de vin, une jeune femme soutenue par deux hommes se livre à une danse par
Pendant les sermons des missionnaires, il n'est pas rare de voir des femmes indigènes tomber dans des accès délirants qui par
ignent les coupables, président au jugement de Dieu..., punissent les femmes adultères, etc. Les nègres sont d'ailleurs très
e statue en terre de leurs Dieux. A la fin de la cérémonie, hommes et femmes tournent autour de l'idole, dans une course éche-
se passe dans le pays, toujours, nous a-t-on dit, quelques hommes et femmes tombent alors en convulsions. Ce sont les coupabl
muniquer des accès hystériques. Ainsi, chez les Bakalais (Gabonj, les femmes s'assemblent au clair de lune sur l'ordre donné p
s, dis-nous qui a ensorcelé le roi ?... » Pendant ce temps, l'une des femmes réussit enfin à tomber en catalepsie, voit le die
tableaux qui se son produits dans son esprit pendant l'accès. Si une femme a eu une extase voluptueuse, c'est qu'elle a été
voir les dieux. Suivant la légende hindoue, le roi Vasava Datta et sa femme , après avoir fait solennellement pénitence et jeû
suite, que, revenant chez elle, elle trouvait son mari avec une autre femme qui se sauvait en l'apercevant. Réveillée de nouv
ités (bras et jambes), sont plus développés qu'ordinairement chez les femmes de la même complexión ; on peut dire la même chos
l d'Eusapia, le Dr Harusewicz ajoute : « Elle fait l'impression d'une femme douée par la nature d'une intelligence remarquabl
a même découvert, parmi les paysans de son village, un homme et deux femmes doués de grandes facultés médianiques. M. le Dr J
ésultats très intéressants); h) douleurs lancinantes du tabès chez la femme ; i) mouvements choréiformes et très rythmiques :
e ne fût survenu, qu'un immense chagrin... i! avait été trompé par sa femme . Le malade en avait éprouvé « une commotion comme
ecin de l'Assistance publique à Paris; Jean, professeur à l'Union des Femmes de France; Jasiewicz, professeur à l'Ecole polona
vertus. Une panacée que l'urine, et particulièrement celle des jeunes femmes . Il faut l'appliquer à même, ne pas laisser froîd
morale une somnambule qui a dévié de la sagesse que de pervertir une femme vertueuse: » En 1866, le Dr Liébeault, dans son
usqu'alors, entend une voix qui, pendant la nuit, lui répète : Tue ta femme , tue tes enfants; il y va. poussé par un mouvemen
oral, le plus chaste impudique ! Si l'on a porté, de cette façon, une femme publique à abandonner son infâme métier, pourquoi
tons en passant qu'il n'a jamais eu de manifestation secondaire. Sa femme est une personne robuste, resplendissante de sant
éveloppe parfaitement, sans présenter aucun accident syphilitique. La femme , d'ailleurs, parait indemne. Quand arrive la onzi
muqueuses disséminées dans la bouche ; ce qui le désole, c'est que sa femme présente les mêmes accidents, et il m'affirme que
lus intéressantes au point de vue médical : A Exermont, de vieilles femmes guérissent la maille (kératite) au moyen de signe
la formule suivante : Ante sperante super et sperante te (pour les femmes ), Antum sperantum et super sperante tum (pour les
maman, il aura une sœur. Pour activer un accouchement trop lent, la femme doit revêtir la chemise de son mari, son pantalon
l'application de peines corporelles pour les maris qui battent leurs femmes . Les peines actuellement en usage ne sont d'aucun
leuse cité ouvrière de Seraing. Elle dormait dans la chambre de ma femme malade, et, en dehors de l'époque des vacances, i
arlatanesque. En effet, le mari, en m'entendant, se mit à sourire, la femme poussa des exclamations d'effroi, et je me retira
t pas mille fois raison : Quels étaient les faits poursuivis? Une femme sans diplôme avait donné ses soins à nombre de pe
mot ? Allez donc dire au malade naif et convaincu que soignait cette femme qu'il n'a pas suivi un traitement. Il vous répo
un de ses abonnés sur deux cas de corrélation entre une impression de femme enceinte et une anomalie chez l'enfant. Dans l'un
on enfant vint au monde avec un doigt surnuméraire. Dans l'autre, une femme enceinte vit passer un montreur d'ours qui tira s
la suggestion de sommeil que ne le sont les français. 3* Cas.—Jeune femme , 28 ans. Eczéma rubrum partialis, affectant spéci
billa. Elle revêtit un costume de bain, et sa mère, aidée d'une autre femme , la porta dans l'eau. Peu après l'immersion la ma
D' Régnier ; — Pharmacie : M. Henri Bocqcillon ; — Soins à donner aux femmes en couches : DF Gotchaux ; Pansements : Dr Saxdra
ésentée récemment à la consultation. Observation I. — Mme A..., une femme de trente-trois ans, d'une famille prédisposée au
ant de signaler le cas. suivant. * Observation II. — B... est une femme de vingt et un ans dont l'histoire est trop longu
maitre, M. Hanot. Des agents de police ont amené un matin, une jeune femme qu'ils avaient ramassée absolument ivre dans le r
me dit en plaisantant que, si je voulais étudier la psychologie d'une femme saoule, j'avais là une belle occasion. Je remerci
is sans le moindre souvenir de ce qui s'était passé. En un mot, cette femme avait évidemment des impulsions et même des idées
sensations qu'elles ignorent, et je vous ai présenté dernièrement une femme hémiopique qui avait cependant des sensations sub
mettez-moi de vous dire quelques mots de la guéri-son de Maria. Cette femme , qui a eu de si terribles attaques de dipsomanie,
n des assistant est choisi comme médium, on le prend plutôt parmi les femmes ou les personnes nerveuses; un autre s'improvise
97 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
sommes relativement considérables ; il a épousé contre son gré une femme dont il s'est séparé au bout de quelques mois. Po
use de sa maladie. 'Elle demande ce qui va en advenir puisque cette femme ne peut pas se soigner ? Elle voit son voisin p
est des manies; allez-vous-en. Oh ! quelle horreur, rester avec une femme qui est folle, qui est perdue... Je ne vous reg
faire cela. Qui cela ? des voix d'hommes' ! - Des voix d'hommes, de femmes et d'en- fants, de musique... Là-dessous il y a
e les connais- sait bien, elle les a étudiés, compulsés : quand une femme a élevé ses enfants comme elle l'a fait et qu'o
. 2,3, 4, 5, 6.) Le nommé Berchtold, accusé d'avoir assassiné trois femmes (vol, mobile du crime), a été condamné à la pei
la syphilis dans les antécédents des paralytiques hommes. Chez les femmes , ils n'ont pas vu depuis plus de dix ans un seul
ale ; une fois seulement ils l'ont soupçonnée, et précisément cette femme était une femme galante et très pro- bablement
eulement ils l'ont soupçonnée, et précisément cette femme était une femme galante et très pro- bablement syphilitique. Si
ssier de Lavaur, Elie Rieuverguet, âgé de seize ans, a assassiné la femme de son patron, Mme Colin, âgée de trente-neuf a
e la paralysie générale est plus fréquente chez l'homme que chez la femme . Mais si l'on prend la peine d'examiner ces sta
que la paralysie générale se ren- contre aussi fréquemment chez la femme que chez l'homme, et MM. Mairet et Vires peuven
ur conviction. - " DUCAMP. VARIA. LES aliénés EN LIBERTÉ. Une femme entrait, hier, au commissariat de police, en cria
. Celui-ci lui expliqua que sa muse était en promenade, mais que sa femme allait aller la chercher. La concierge alla aus
arante-cinq ans, demeurant rue Lefort. Le malheureux ayant perdu sa femme il y a quelques mois, avait été frappé d'aliéna
MOURAwIEFF. (Neurolog. Cen- tralbl., XVI, 1897.) . Observation I. Femme de quarante-six ans. Céphalalgies opiniâtres. A
-Provence, et par le Dr Pichenot, médecin en chef de la section des femmes de l'asile de Montdevergues. (Annales médico-ps
ar les soins du Comité de direction, aux patronnés, tant hommes que femmes et enfants. ART. 15. Les secours moraux sont
i, en état d'ivresse, l'avait battue, la nommée Pauline Bour- gine, femme de François Fillon, cafetier à Villars, se réfugi
eunes enfants. Lorsqu'elle rentra le matin au domicile conjugal, la femme Fillon trouva son mari pendu dans la chambre à
mbre à coucher. Le désespéré était un alcoolique très redouté de sa femme et de ses voisins. » Un prétendu crime. - Plusi
il descendit dans sa cave, et ren- versa une pile d'assiettes. Sa femme accourut au bruit. Elle vit son mari, qui, dans u
e. Mais le marchand de vin trébucha dans l'escalier, et entraîna sa femme dans sa chute. Les cris que 11° Rey poussa alor
que tous ses efforts restaient inutiles, il prit la faucille de la femme Lettrée et lui en porta treize coups. Celle-ci a
auver. Avant de tenter de se tuer, Botereau avait menacé de mort sa femme et sa fille. (Le Soleil, 19 juillet.) 1 HO
emps des recherches sur l'élimination du bleu de méthylène chez les femmes épi- leptiques de notre service ; nous avons es
ompter avec cette ' Bar. Menu et Mercier. Perméabilité rénale de la femme enceinte (.oc. obsl. elllyaécolo ? 9 mars 1898)
e trouvent consignés 68 cas, dont 38 sur l'ap- pareil génital de la femme . Dans un rapport au Congrès de Bruxelles z) sur
que, la même année, à la Société des hôpi- taux l'observation d'une femme sans antécédents morbides qui à la suite d'une
: les deux premiers sont empruntés à la thèse de Seelig- mann. Une femme de trente-cinq ans, sans antécédents hérédi- ta
e mélancolie profonde et suicide. Dent rapporte l'observation d'une femme de quarante-huit ans qui, après une ovariotomie
'sixième jour de délire aigu auquel elle succombe le onzième. Une femme de soixante-deux ans, que nous suivons en ce mome
auparavant deux interventions pour manie aiguë, el de l'autre d'une femme hystérique. Enfin, la malade citée dans l'obser
dont M. L... commu- nique les résultats au Congrès. Il s'agit d'une femme de soixante ans, qui s'était consacrée pendant
a plusieurs amants attitrés. Son grand plaisir est de s'habiller en femme : il possède tout un assortiment de toilettes f
sé. M. Vallon cite un cas analogue de tentative homicide chez une femme adonnée à l'ivrognerie. M. KERAVAL donne l'obse
que je suppose- rais plus volontiers éclos en Anjou, dit que « les femmes ont été créées pour parer de fleurs les chemins
bien exécuter le programme. SOCIÉTÉS SAVANTES. 255 Premier cas. Femme de trente-cinq ans, frappée, à la suite d'une a
ent l'appareil qui efface les paralysies hystériques. Deuxième cas. Femme de soixante-quatorze ans qui, après l'ablation
quand il a la liberté de tous ses mouve- ments. Dans la section des femmes , une débile et une idiote se livrent toute la j
e quatre-vingt-quatre ans, a, dans un accès de folie sénile, tué sa femme , âgée de quatre-vingt-cinq ans, et s'est ensuit
énorme marteau qui lui servait dans son travail, et se jeta sur sa femme . Celle-ci, s'attendant à cette attaque, put esqui
ou leva une seconde son merlin; sa main tremblait, heureusement. La femme fut atteinte à l'épaule gauche, très légèrement
riger sur l'infirmerie spéciale du Dépôt. Quant à la blessure de la femme , ce n'est qu'une contusion sans importance. (Le
la mort terrible dePitje Snot, le'roi des Marolles. vitriolé par sa femme dans un accès de révolte de cette malheureuse v
varient selon les pays, parce que d'après Hérodote en Egypte, « les femmes urinent debout, les hommes s'accrou- pissent po
connaissons plusieurs villages de l'Isthme où la majeure partie des femmes urinent à la façon égyptienne. SYRINGOMYÉLIE.
syringo- myélie un cas récent que nous présentons succinctement. Femme âgée de cinquante-huit ans. Multipare. La maladie
e relève la production de cette maladie, à l'âoe adulte, chez cette femme , n'a pu être déterminée. L'alcoo- lisme et les
3 février 1898.) L'observation relatée dans ce travail concerne une femme âgée de 41 ans, alcoolique, chez qui se sont ma
par E. Yonge. (B. med. OlLr'n., mars 1897.) Hémiatrophie chez une femme de quarante et un ans, consécuti- vement à des
téressantes et conduites avec une rigueur de contrôle admirable. La femme soumise à l'expérience était gardée à vue par p
servation d'un homme de vingt-quatre ans, jusqu'alors pris pour une femme , par suite d'une absence presque complète d'org
teur fit l'ablation sur la demande du ma- lade désireux de c rester femme >. A. Marie. XXV. CnANIO-BACHI-SCBISIS; par
malade. Il est il. noter que les facultés intellectuelles de cette femme étaient déjà altérées depuis fort longtemps, et
xillaires et sus-claviculaires. Deux ans avant ces accidents, cette femme avait déjà présenté des troubles psychi- ques.
, ainsi que nous en avons observé un exemple remar- quable chez une femme mariée atteinte de vertiges épileptiques extrêm
11 en a compté jusqu'à 135 cas dans une année, soit 80 hommes et 55 femmes . Parmi leshommes, il y avait 20 doc- teurs en m
ui mouru- rent presque tous -entre trente et quarante ans. Chez les femmes , on remarque des épouses de docteurs, des renti
et sa mère sont morts jeunes d'affections indéterminées. C'est une femme grande et forte, un peu polysarcique, d'un cara
e délire d'une teinte spéciale. Observation III. - Virginie iII..., femme D..., quarante-deux ans, mariée, mère de plusie
de l'ouïe et de la sensibilité générale. C'est une grande et forte femme , affectée d'un eczéma des parties géni- tales q
vis de ces causes spéciales. Il y a des gens, des adolescents, des femmes le plus souvent, qui, à la moindre angine, à la
sistant. (La Nuova Rivisla clinico-lérapel<Licca, n° 6, 1898.) Femme de cinquante ans, ayant eu 5 enfants et un avorte
ur, dont l'auteur donne une obser- vation complète. Il s'agit d'une femme de trente-six ans, ayant eu des convulsions dan
né homme sont, en général, plus graves que ceux que commet l'aliéné femme ; et le plus grand nombre des attentats contre
t chagrin suivi d'accès convulsifs. Peu de temps après on trouve sa femme sur son lit le front troué d'une balle de revol
stance l'inculpé avoue avoir tué son enfant, mais seulement aidé sa femme à échapper à des embarras finan- REVUE DE méd
té sur son persécuteur supposé, telle meurtre de son enfant par une femme atteinte de folie puerpérale ; 3° Peu d'aliénés
), de 988-189, il est entré 2.914 malades, dont 2.010 hommes et 004 femmes ; en tout 369 paralytiques généraux hommes et 0
un symptôme de lésion en foyer du centre de la parole. Voici une femme de quarante-six ans, atteinte, à trois ans d'in-
osexualité; rapprochements non pédérastiques; dégoût du corps de la femme . L'odeur de l'urine étrangère, même en décompos
rien ; il prend de l'urine d'homme ou faute de mieux, de l'urine de femme (maso- chisme larvé). L'excitation sexuelle naî
énomène a lieu en présence de l'urine féminine, des linges sales de femmes , mais le corps de la femme provoque de la répul
e l'urine féminine, des linges sales de femmes, mais le corps de la femme provoque de la répulsion chez lui, de même que
le est tenue nous permet de supposer qu'elle est chose rare chez la femme chinoise ( ? ). - La veuve est, dans la famille
confiées aux parents de leurs futurs époux, et à l'égard des jeunes femmes molestées par leurs belles-mères. Parmi leurs mot
france de vivre séparés. M. Proal met en relief les cas où c'est la femme passionnée et inquiète des suites de son déshon
sont toutes deux mémorables en leur genre. Mais qui peut dire si la femme a été poussée par la folie érotique ou par l'ef
cation par l'oxyde de carbone, par MM. Kachholz et Sieradzki. - Une femme accusée d'avoir empoisonné son mari et son père
Janeii'o, on découvrait dans un panier un sac contenant un tronc de femme . Peu après on pécha un autre sac dans lequel se
volubilité : c Monsieur le président, je suis un brave homme, j'ai femme et enfants. Je ne demande qu'à travailler et je t
98 (1908) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 21] : iconographie médicale et artistique
laire. Atrophie croisée du cervelet. Cette observation concerne une femme Dest... Amélie, célibataire, âgée de 47 ans, en
ique à la Faculté. « Observation. Mme G..., veuve L..., 67 ans, femme de ménage, entre le 28 décembre 1907 dans le se
gauche, siégeant à la partie moyenne. Il ne fut pas alcoolique. Sa femme mourut de tumeur abdominale il y a vingt ans; il
gner le sexe masculin (nous trouvons en ef- fet 28 hommes contre 39 femmes sur un total de 67 sujets). Au point de vue cli
es de Lortat-Jacob avaient les extrémités légèrement bleuâtres ; la femme dont Collet et BeuLter rapportent l'observation
t en Iphigénie. Tanzi (3) rapporte que les mania- ques, surtout les femmes , réduisent leurs vêlements en loques pour s'en
ur de la charité ; deux autres maniaques, un homme (fig. 6), et une femme (fig. L2) portent sur la tête un béret orné com
, ce grade indiqué par les ornements de l'habit. Quand il s'agit de femmes , il faut penser, plutôt qu'à la masculinité com
pressive que dans la démence, et beaucoup plus fréquemment chez les femmes que chez les hommes. En revenant à l'argument q
'ai vu une petite statue du « Prin- temps », représentant une jeune femme qui semblait enivrée d'un amour de vie incapabl
nge du sexe dans l'ornement des habits a lieu plus souvent chez les femmes que chez les hommes, plus souvent chez les maniaq
ment développé pour qu'on puisse affirmer le diagnostic. Quant à ta femme qui, de ses épaules, soutient la lourde masse des
oit commandée par l'office de cariatide auquel est assujettie cette femme , il n'en est pas moins vrai qu'avec sa tête ren
t. XV, p. 237, une descrip- tion sommaire des 5 premiers cas : une femme alors âgée de 46 ans, une mère et ses 3 petites
n n'en retrouve aucune trace actuelle. Il s'est marié à 23 ans ; sa femme a fait deux fausses couches et a eu deux enfants
t qui le persécntent. On l'accuse toujours d'avoir fait avorter une femme qu'il a connue autrefois ; il n'a pu pratiquer,
ciques transitoires, consécutives à une chute sur le dos, une jeune femme de 23 ans fut prise de douleurs avec affaibliss
nfirmé par l'autopsie. Observation. Cliniquement, il s'agit d'une femme de 30 ans, examinée le 22 février 1902 avec M.
lui parle d'autres personnes du même pays parmi elles se trouve une femme qui a été placée en service dans une famille de
persuadé que M... (l'une des infirmières de l'établissement) est sa femme et il l'aime plus que jamais. Rien d'étonnant à
i ait donné l'idée de transformer ce branchage en la membrure d'une femme aban- donnée dans une pose nonchalante. Qui ser
d'une femme aban- donnée dans une pose nonchalante. Qui sera cette femme ? ! 11...cela va sans dire. Après avoir modifié
et des branches de manière à leur donner l'apparence d'un corps de femme ,indiquant par quelques tons légers les nus et l
s y voir un sens symbolique, voyons-y l'image du peu de cas que les femmes font parfois des sciences exactes et de la minime
élevé peut agir et parler avec les anciennes amies de pension de sa femme . » Dans cet ordre d'idées, il ne voit aucun incon
ux yeux, lèvre charnue, expression simple, franche et droite. Cette femme a connu la souffrance morale, son regard le dit c
es flammes d'un bûcher ou dans les ondes marines que périt la jeune femme . En regard, sur la page 12, M. X... voulant que l
cuvette ? » Voilà un tronc et un branchage qui rappelle un tronc de femme , les bras tendus au ciel dans une attitude tourme
oluptueuse, dans tous les cas, passionnée. Nous allons en faire une femme adorant le soleil ou une courtisane sacrée implor
scène, au bout de l'arbre, jouant narquoisement du fifre devant sa femme qui, tout en lui offrant de la main une pomme, lu
imaux d'une signification énigmatique. Tu y verras aussi Y et Z (sa femme ), aux mollets de laquelle les singes s'apprêten
droite; on en voit les cicatrices ; il ne s'en inquiétait pas et sa femme attribuait l'absence de plaintes à sa grande en
irritabilité s'accrut. Ferranini rapporte l'observation d'une jeune femme qui, tourmentée par un début d'obésité, prit ju
on de Thomas (de Genève). Sur les conseils du professeur Mayor, une femme de 47 ans, timide et très nerveuse, qui jeune a
nt-Mé- dard le 13 juin 1731 ? Une ancienne gravure représente cette femme sou- tenue sur deux béquilles, obligée, à chaqu
des empreintes et à l'aide du cinémato- graphe, il s'agissait d'une femme âgée de 20 ans qui, à la suite d'un acci- dent
ai observé, dans le service de M. Babinski, un cas analogue sur une femme qui se plaignait de vives douleurs au mollet ga
complit finalement le pas droit dans cette mauvaise position. Cette femme , qui marchait depuis 20 jours de cette étrange
e la démarche. J'ai vu récemment dans le service de M. Babinski une femme présen- tant dans la marche ordinaire une claud
seins ont conservé leur volume anormal ; ils rappellent ceux d'une femme vierge et sont surmontés cha- cun d'un mamelon
re. Cette royauté était héréditaire et à défaut d'homme passait aux femmes . Vers l'année 1880 ils étaient gouvernés par une
passait aux femmes. Vers l'année 1880 ils étaient gouvernés par une femme , qu'ils appelaient «petite soeur »ou « sainte v
femme, qu'ils appelaient «petite soeur »ou « sainte vierge». Cette femme n'ayant pas d'enfants, a désigné en mourant com
r pour le profit des hommes. Et en bandes de 2.000 environ, hommes, femmes , enfants, ils partirent vers le Sud à la fin de
ne présentent rien de particulier à signaler, jusqu'à la mort de sa femme . Les affaires relati- ves à la succession furen
sujets, actuellement en traitement dans le service (27 hommes ; 30 femmes ). 17 d'entre eux (29, 8 0/0) présentent le réfl
inski (2), la même année, faisait la même constatation : « Chez une femme atteinte d'hémiglégie spasmodique datant de plusi
me marchand ambulant il gagna toujours assez pour bien nour- rir sa femme et ses enfants qui ne souffrirent jamais d'aucune
r jamais été malade ; comme jeune homme il a fréquenté beaucoup les femmes et reconnaît avoir contracté au moins quatre in
aucun stigmate suspect en ce sens. Nous verrons cepen- dant que sa femme fit quatre fausses couches et que ses enfants pré
antines. Sa curiosité a plutôt les caractères de celle d'une petite femme du peuple que de celle d'un enfant. Connaissanc
écrire ; depuis la 8e année il travailla comme tapissier. La mère, femme de médiocre intelligence, ne sait pas nous dire à
cette épreuve radiographique avec celles de la hase du crâne d'une femme normale adulte et de la soeur cadette Adrienne,
onne santé ; ses trois soeurs ne présentent rien de particulier. Sa femme aussi jouit d'une bonne santé ; des cinq enfants
peu de cas d'acromégalie hérédi- taire ; Fraentzel (1) a décrit une femme acromégalique,qui eut un enfant acromégalique ;
s à côté d'épaississements,surtout au calcanéum ; dans le cas d'une femme âgée de 32 ans, une calcification du tendon d'A
e renseignements ; le mari, éthylique, se borna à constater chez sa femme une diminution de l'in. telligence. Admission
ns mon esprit, seulement le premier s'applique plus volontiers à la femme et le second à l'homme. Il y a quelques année
ns un exemplaire sur vélin du Passe temps de tout homme et de toute femme de Guillaume Alexis qui a orné la « librairie »
néralement que « c'est une indécence aux hommes que d'accoucher les femmes ». L'accouchement vient de se terminer. L'accou
t dé- couvre ainsi ses cuisses. Elle est debout, appuyée contre une femme qui se tenant derrière elle, passe les bras sou
les Français appelèrent EuchaireRodion : « Pour le surplus quant la femme enceinte sent sa matrice estre las- chée : et q
re », mit la dernière main au Passe temps de tout homme et de toute femme . Ce poème, en dépit de son litre, n'est pas une
ècle de François Villon. Le Passe temps de tout homme et de toute femme est la traduction en vers, français d'un traité
mile Picot (2) : , « Le passe temps Il De tout home. Et Il de toute femme : Il Ceulx qui vouldront au long ce liure lyre
son. (l) Rodion- (Euchaire), Des divers travaulx et enfanlemens des femmes , Paris, .1. Fourcher, 15 : ;6, in-8» goth., fli
ernier f. : ] [Cy finist le passe temps de tout home Il et de toute femme . Imprime nouuellement Il pour.Anthoine Ve1'anl ma
Piraget et Emile Picot, représente les histoires tragiques de trois femmes célèbres. « On y reconnaît Médée tuant ses enfa
e se donnant volontairement la mort et Phylls, fille de Lycurgue et femme de Démophon, qui se pend à un arbre » (1). A
il a imité le groupement des personnages de la gravure sur bois. La femme qui soutient l'accouchée est presque exac- teme
l'un d'eux est couché à ses côtés dans un grand lit, tandis qu'une femme s'apprête à baigner son frère. Une scène analog
quel, à la différence des autres formes, est plus fréquent chez les femmes . Dans l'infantilisme mitral comme dans l'infant
indre duvet. Marguerite et Adrienne ne sont pas de petites vieilles femmes ni des miniatures de femmes, ni des femmes vues
drienne ne sont pas de petites vieilles femmes ni des miniatures de femmes , ni des femmes vues par le grand bout de la lor-
pas de petites vieilles femmes ni des miniatures de femmes, ni des femmes vues par le grand bout de la lor- gnette, comme
a une influence sur la produc- tion de l'ltypotliyroïdisme chez la femme ; en effet avant la puberté, les femmes sont su
de l'ltypotliyroïdisme chez la femme ; en effet avant la puberté, les femmes sont sujettes au myxoedème dans la même proport
s le développement des fonctions sexuelles le rapport change et les femmes sont alors sujettes au myxoedème par rapport au
série de faits si intéressants est beaucoup plus fréquente chez les femmes , mais on a remarqué chez l'homme aussi l'hypoplas
usgehend t'on der Hypophys, Zeitschr. f. Psych. H. 2, 1908. UNE « FEMME HOMARD » MAINS ET PIEDS A DEUX DOIGTS PAR R
Tbibierge) Masson & Cm, Éditeurs. Phototypie Bertliaud, UNE FEMME HOMARD, MAINS ET PIEDS A DEUX DOIGTS 473 unique
autant dans le service des 500 VALOBRA hommes que dans celui des femmes , on donne des litres de tisane de camo- mille,
lement du corps ; d'autres encore d'une odeur spéciale. Plu- sieurs femmes ont parlé d'une gêne spéciale dans la respiration
hi- ques conscients chez les animaux (3 pl.), 1. Thibierge. Une femme homard, mains et pieds à deux doigts (2 pl.), 4
, 412. Eunuchoïde (Statue d') inbulé (1 pl.), par Sainton, 295. Femme homard (2 pl.), par Thibierge, 412. Gangrènes c
(HULTKRAYJ 1.), XVI et XVII. Eunuchoïde infibulé (SAINTON), L. Femme homard (TitIBIE11C.E),LX'Ili et LXIX. Gangrène
99 (1913) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 26] : iconographie médicale et artistique
]'anarthrie. Observation II La seconde observation a trait à une femme de Si ans, mère de deux enfants ; c'est une per
trois jours. Dès lors, tout rentrait dans l'ordre, et cette pauvre femme reprenait courage jus- qu'au jour où la crise s
lle fit du reste assez rarement. Il n'existait donc pas, chez cette femme , de surdité verbale, proprement dite. Ainsi qu'il
s atteintes qu'elles ne l'étaient en réalité. Le fait est que cette femme qui parlait peu,com- prenait tout, et semblait
tre de fléchir l'avant-bras et de porter la main à la bouche. Cette femme continua, cependant, à présenter périodiquement s
tants, trois enfants morts en bas âge. Pas de fausse-couche chez la femme . Ethylisme prononcé ; 1 à 2 apéritifs, 1 à 2 pe
pas de toux, pas de crachements de sang. Enfants bien portants, sa femme n'a eu ni fausses couches, ni vérole, pas d'abu
très minime; paralysie des extrémités inférieures. Ainsi donc une femme de 43 ans, après une courte période de douleurs
une maladie de la moelle, par laquelle passe pendant une année, une femme de 40 ans. Le cours inégal, l'origine et l'accroi
pérer ses affaires. Mais il se trompa, car le manque d'ordre de sa femme le força plus tard à abandonner une situation p
ir simple ouvrier. Peu de temps après, il fit la connaissance d'une femme de moeurs légères. Ses malheurs passés n'avaient
uragé son optimisme et il tenta sa rédemption morale. « Puisque une femme honnête m'a trompé, se dit-il, si je puis-m'attac
son invention pour supprimer la fumée des cheminées, mais alors sa femme chercha à le faire interner. Il souffrait d'une
ra donc induit en tentation au péché de la chair, tout en ayant une femme jeune et aimable. D'autres femmes non moins belle
ché de la chair, tout en ayant une femme jeune et aimable. D'autres femmes non moins belles s'offriront à lui. 62 DIDE ET
al, l'égalité pour tous. Au point de vue des sexes, il confère à la femme un rôle aussi important qu'à l'homme dans la so
ut mère de famille. A l'homme, l'ex- térieur et la politique ; à la femme , la direction de la maison. Il rêve d'une Bonté
e et de l'hypoplasie des testicules. Cas de Aernan el van Wart. - Femme de 24 ans. Aspect infantile. Absence de soudure
(sans hémianopsie). Il s'agissait d'un tératome. Cas de Zôllner. Femme d'aspect infantile. Atrophie optique bilatérale.
poils, élargissement du thorax chez les hommes, du bassin chez les femmes , développement des seins chez celle-ci, accentu
Philippe II. - MARGUERITE D'AUTRICHE Chez Marguerite d'Autriche, femme de Philippe III et arrière-petite- fille de Jea
, Histoire de la vie et de la mort de Madame Marguerite d'Autriche, femme de Philippe Ill. Traduit de l'espagnol, Paris, 16
ils de ses parents, il voulut voir, en dernier lieu, le corps de sa femme , Louise d'Orléans. Il embrassa longue- ment la
'a pas été possible de les étudier avec soin (il s'agissait de deux femmes et d'un homme) ; d'un naturel timide el soupçon
ute aussi une récente observation de MM. Crespin et Bonnet, sur une femme arabe atteinte de micromélie rhizomélique des m
est masturbé et se masturbe encore quelquefois, bien qu'il aime les femmes et qu'il prétende qu'il en est recherché. Le ba
emps à ces habitudes, et il a des rapports, quand il peut, avec les femmes ; cependant il ne vante pas, comme la font cert
itive est diminuée des deux côtés. Au point de vue psychique, cette femme paraît moyennement développée. Elle n'est pas t
mmes décidés de publier ici le cas suivant. Il s'agit d'une jeune femme primipare qui est enlrée à la Maternité, la pér
de la présence d'un rétrécissement du bassin, et parce que la jeune femme présentait des accès éclamptiques, l'un de nous l
dans l'urine, étaient disparus depuis plusieurs jours, et la jeune femme se trouvait par conséquent dans un état général d
U NERF SCIATIQUE POPLITÉ EXTERNE 231 Après l'accouchement, la jeune femme a eu encore trois accès d'éclampsie, d'une inte
on a dû la sonder tous les jours jusqu'au 18 avril. 22. La jeune femme se plaint de douleurs il la partie postérieure du
ant qui mourut à 6 mois d'affec- tion indéterminée, en nourrice. La femme du malade est bien portante, mais obèse. Le mal
s conditions spéciales. C'était le cas, par exemple, de deux jeunes femmes observées dans son service par M. le Dr Bonnet
, soit spontanément, soit par des obser- vations de camarades ou de femmes . Il se souvient toutefois, que dans son enfance
tefois, que dans son enfance, vers l'âge de 4 ou 5 ans, une vieille femme de sa famille l'aurait à plusieurs reprises pla
chaque fois à un intervalle d'une semaine il passe la nuit avec une femme et pratique 3 coïts chaque nuit. L'éjaculation es
l'âge de 20 ans, qu'ont lieu de nouveaux rapports sexuels. Mais sa femme , atteinte depuis 2 ans de coxalgie listulisée,
arrive à l'éjaculation. Depuis septembre 911, époque à laquelle sa femme présenta quelques acci- dents salpingiens, les
être très ennuyé. En ce qui concerne la salpingite pour laquelle sa femme fut traitée l'an der- nier à la Charité, il nie
suite d'un goître exophtalmique. Kahler (7) a publié le cas d'une femme chez laquelle, pendant l'évolu- tion du syndrom
e sclérodermie dans ce cas. Jeanselme (8) a communiqué le cas d'une femme âgée de 58 ans, qui était atteinte, depuis l'âg
celui de la sclérodermie. Grünfeld (5) décrit l'observation d'une femme âgée de 33 ans, qui souffrait depuis 8 ans d'un
la sclérodermie. Guillain et Dupré (8) ont communiqué le cas d'une femme , âgée de (1) BEER, Club médical de Vienne, séan
le diagnostic de sclérodermie. Samouilson (1) relate le cas d'une femme qui présente, à l'âge de 38 ans un goitre, à 42
uisant la sclérodermie. Dans le cas de Krieger (2), il s'agit d'une femme de 59 ans, qui avait été reçue, dans la cliniqu
après un Basedow. Le cas présenté par Wick (2) se rapportait à une femme ayant des mu- tilations aux doigts et aux ortei
s le processus rhumatismal chronique. · Kornfeld (3) présente une femme chez laquelle il est apparu d'abord les trouble
tre le Basedow et la sclérodermie. Freund (4) publie le cas d'une femme âgée de 39 ans, chez laquelle la maladie a débu
le syndrome de Basedow. Lissogorenko (5) donne l'observation d'une femme âgée de 34 ans, la- quelle avait souffert penda
elin (1) a présenté un cas typique de goitre exophtalmique chez une femme où, peu de temps après l'apparition des symptômes
odermie sur la face antéro-externo des jambes. Rasch (2) a vu une femme de 26 ans, atteinte de la maladie de Raynaud, d
avec de l'extrait des glandes mésentériques, l'un se rapporte à une femme , âgée de 37 ans, avec sclérodermie diffuse et q
ions pathologiques de la thy- roïde. Chauffard (5) note, chez une femme de 59 ans avec sclérodermie dif- fuse, que le c
rophie du corps thyroïde. Dans le IIP cas d'Osier (11), celui d'une femme de 40 ans avec scléro- dermie diffuse, la thyro
(1) mentionnent que le corps thyroïde n'était pas apparent chez une femme de 28 ans, avec sclérodermie généralisée, laque
lioration avec l'opothérapie thyroïdienne. Porter (5) a vu chez une femme de 39 ans, atteinte d'une sclérodermie diffuse,
Kronheimer (6) a noté également l'atrophie de la thyroïde chez une femme de 23 ans présentant une sclérodermie diffuse et
tite et altérée. ' Ménétrier et Bloch (8) ont publié le cas d'une femme de 27 ans avec (1) Lancereaux et Paulesco. L'io
e chronique, de la maladie de Ray- naud et de sclérodermie chez une femme de 60 ans. Le corps thyroïde était atrophié.
Dupré et Kahn (6) mentionnent l'atrophie du corps thyroïde chez une femme de 57 ans avec sclérodermie et maladie de Raynaud
ïdienne fut suivie d'une amélioration. Dans son cas IV, celui d'une femme de 30 ans avec sclérodermie diffuse, il est not
t un mois sans résultats appré- ciables. Etat actuel (mars 1910). Femme amaigrie, la peau est fortement pig- mentée, d'
crétinisme en- démique par insuffisance thyroïdienne. En résumé, femme de 36 ans présentant des signes certains d'hypo-
IQUE D'UN CAS DE SCLÉRODERMIE 299 dans la maladie de Raynaud. Cette femme présentait encore des atrophies musculaires loc
ies pierres de la peau ». Enfin à la radiographie du crâne, celte femme nous a démontré un certain degré d'hypertrophie
xemple tous les symptômes du goîlre exophtalmique survenir chez une femme de 52 ans atteinte de goitre simple depuis l'âge
ectique. Voici ce que l'on trouve dans l'observation de Bayle (1) : femme rhumatisante, artères dures, douleurs lancinant
de Pierre Marie et Cronzonl Darier cita un cas de vitiligo chez une femme âgée de 35 ans présentant une sclérose superfic
dystrophie pig- mentaire apparaît au cours d'une grossesse chez une femme atteinte d'hy- pothyroïdie. Ces auteurs citent
ou ses grands-parents ou même arrière-grands-parents, ni ceux de sa femme aient eu les jambes enflées. Les parents du m
grâce... Seigneur... avec vous. Vous êtes bénie... entre toutes les femmes . Jésus... sais pas ». Lecture à haute voix. Lec
ace du côté gauche. Cette observation peut se résumer ainsi : Une femme de 38 ans est atteinte de paralysie faciale gauch
is 1910. Celte deuxième observation peul se résumer ainsi : . Une femme de 33 ans est atteinte de paralysie faciale gauch
es paroxysmes ont apparu, depuis six ou sept mois environ, chez une femme âgée de 25 ans, et qui, dans son enfance, n ! a p
d'un enfant car sa peau est glabre et rappelle ceile d'une vieille femme . Il est aussi ambigu au point de vue de l'âge qu'
ndis que l'extrémité des doigts est mince comme celle des doigts de femme . Sur le dos des mains la peau est légèrement cr
'anomalies des organes génitaux, il me semble possible que chez les femmes il existe aussi des anomalies de ces organes..
ue le résultat des recherches des anomalies de ces organes chez les femmes affligées de cette maladie ait été nul, il me sem
ru après deux semaines, et aussi une adénite inguinale suppurée. Sa femme a avorté une seule fois et accouché de deux enf
100 (1862) Mécanisme de la physionomie humaine : ou analyse électro-physiologique de l'expression des passions
, sur un jeune homme (voy. fig. h, 15, 16, 27, 24, 25), sur une jeune femme (voy. fig. 35, 36), et enfin sur une femme plus â
27, 24, 25), sur une jeune femme (voy. fig. 35, 36), et enfin sur une femme plus âgée et dont la peau est brûlée par le solei
ses) produites par l'excitation électrique forte du frontal, chez une femme âgée de quarante et un ans et dont la peau a été
édianes qui sont produites par la contraction du sourcilier) chez une femme âgée de cinquante-deux ans, représentée dans la f
Ces sillons sont au nombre de quatre sur la figure 20 ; mais chez la femme qui est représentée dans les figures 26, 27, les
e ou a été exposée longtemps à l'air et à l'insolation, comme chez la femme dont il vient d'être question (elle est Romaine,
de l'une à l'autre. Pendant le repos musculaire, le front, chez cette femme , est sillonné dans toute sa largeur par des rides
montrent une autre nuance de la douleur. La direction du regard de la femme qu'elles représentent, indique que son esprit est
côté électrisé de ces figures, que la physionomie naturelle de cette femme exprimait l'attention. Si ensuite on laisse à déc
douloureuse ; il semble que l'objet qui a attiré l'attention de cette femme l'a péniblement affectée. Ces deux figures ne dif
la contraction forte et partielle du grand zygomatique chez une jeune femme . (Cette femme était triste et abattue au moment d
forte et partielle du grand zygomatique chez une jeune femme. (Cette femme était triste et abattue au moment de l'expérience
triangulaire des lèvres, son antagoniste, avec les palpébraux. (Cette femme était gênée par une trop vive lumière au moment d
e l'angle externe des paupières ne se sont pas montrées. C'est que la femme qui était soumise à ces expériences n'était pas e
f; il est au contraire d'un tempérament si froid, qu'il avoue que les femmes ne lui ont jamais inspiré le moindre désir : il e
n voit un exemple sur la moitié gauche de la figure 35. Chez la jeune femme que cette dernière figure représente, les commiss
cent sur la physionomie. En effet, au moment où la tristesse de cette femme réagissait sur son triangulaire, et, par leur int
e moitié de sa face. J'ai fait l'expérience opposée chez cette même femme , alors qu'elle était dans ses jours de bonne hume
g. 50. — Destinée à l'étude expressive du petit zygomatique, chez une femme jeune (représentée dans les fig. 35 et 36). A d
: l'expérience photographiée, figure 50, en est une preuve. Chez la femme que celte figure représente, il m'a été impossibl
s'opposait à l'électrisation partielle du petit zygomatique, chez la femme représentée dans la figure 50. (1) Traité d'ana
eunesse; on peut constater ce fait sur la figure 50. Chez cette jeune femme , en effet, le petit zygomatique droit a non-seule
transverse du nez donne une expression lascive à la physionomie de la femme . Ainsi j'ai métamorphosé le sourire le plus pur,
muscle peint, dans certaines circonstances, sur la physionomie de la femme , une expression charmante de plaisir. L'expérienc
ne scène de coquetterie. — Un galant surprend à sa toilette une jeune femme dont l'attitude et le regard deviennent, à son ap
le degré d'excitation électrique du triangulaire. 3° Chez ces deux femmes , l'expression de rire moqueur est très fine et no
que j'ai essayé d'exprimer, du côté gauche, sur la figure de la jeune femme photographiée dans la figure 79. Rien assurémen
loureuse du sourcil. Le Poussin a commis la même faute chez une autre femme que l'on voit au milieu du groupe de Japonais, et
» La figure 80 est destinée à peindre une scène analogue.— La jeune femme photographiée dans cette figure est représentée v
e Méduse, de furie, etc. J'ai aussi rappelé sur sa face les traits de femmes célèbres dans l'histoire par leur cruauté. C'es
Duncan que le plaisir d'être reine. — Mais doit-elle être cruelle la femme à qui Shakspeare a fait dire : «J'ai allaité, et
Son regard y est terrible; — mais ce regard ne peut être celui d'une femme chez laquelle un sentiment de piété filiale vient
la mort du duc de Guise. Forcé de se réfugier dans un couvent avec sa femme et ses deux enfants, Duranti est découvert par la
populace fait irruption dans l'asile où Duranti s'est réfugié avec sa femme et ses enfants. On voit le chef de cette bande me
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