se, ne for- ment plus-que deux salles exclusivement réservées aux
familles
les jours de visite : c'est le nouveau parloir.
sont de deux espèces : les placements volon- taires, faits par les
familles
, et les placements d'once, faits par l'autorité
très forte proportion, occasion- nant des ennuis très pénibles aux
familles
, obligées de recourir au commissaire de police
Dépôt au Bureau d'admission de l'Asile clinique. Les plaintes des
familles
, celles des malades dont l'état mental leur per
ntaires, tous les malades aliénés qui y seraient conduits par leurs
familles
, après l'accomplissement des formalités légales
sez longues de leurs accès, qui permettraient do les rendre à leurs
familles
. Mais celles-ci hésitent souvent à les reprendr
es sorties et les réadmissions. 11 conviendrait enfin, lorsque la
famille
est nécessiteuse, qu'on accordât à leurs malades
ice ont de graves inconvénients pour les aliénés adultes dont les
familles
réclament le placement, ces mesures en ont de p
tat de vagabondage ; mais pour tous les autres, qui sont dans leurs
familles
, ces pratiques constituent une vé- ritable barb
ation desquels on présente des enfants et qui, inter- rogés par les
familles
, sur les formalités à remplir pour l'hospitalis
onduire l'enfant au Bureau d'admission de l'Asile cli- nique où les
familles
auront à signer la demande de placement. Des
s 95/100 au moins des enfants in- curables, nous répéterons que les
familles
doivent remplir les formalités suivantes : 1° c
nés dans d'autres départements que le nôtre, et ayant toute leur
famille
il Paris, sont encore mineurs et par conséquent,
disparaître cet inconvénient très préjudiciable aux malades et aux
familles
? - Ne pourrait-on pas demander une modificatio
enus LX ADMISSION DES ENFANTS IDIOTS. dans ces asiles quand leurs
familles
sont établies à Paris, et ce, au prix de journé
tique aussi fréquem- ment qu'on pourrait le croire, attendu que les
familles
qui désirent garder dans les asiles de la Seine
urcroît de dépenses. Je m'empresse d'ajouter que s'il arrive qu'une
famille
se trouve dans l'impossibilité de payer celte s
il s'agit d'enfants nés hors du département de la Seine et dont la
famille
habite Paris depuis plusieurs années, dans ce c
nt la famille habite Paris depuis plusieurs années, dans ce cas les
familles
n'ont pas seulement le chagrin de se sépa- rer
ées, le maintien des enfants dans nos asiles à la condition que les
familles
habiteraient Paris depuis deux ans (1). Si l'Admi
celle des sorties de 24 heures et des congés mon- trent combien les
familles
conservent d'affection pour ces malheureux désh
nte en proportion de l'état misérable de l'enfant.Nous avons vu des
familles
n'ayant pas d'autres ressources que le produit
u monde dans le département du Nord, où elle n'a aucun membre de sa
famille
; elle habite Paris depuis plusieurs années. La
PREMIERE PARTIE A propos de Clinique BOURNEYILLE, 1885. 1 Des
Familles
d'idiots; par SOURT1H'.VILLE et IÉrLAJ. A san
pri- mordiale, la cause des causes, qui fixe la maladie dans les
familles
et la rend transmissible de génération en générat
parence contra- dictoires. C'est ainsi que l'on verra dans une même
famille
des enfants sains qui auront des frères sourds-
ues et moraux, doivent être considérés comme les enfants d'une même
famille
, comme les rameaux divers d'un même tronc », di
nfants une cause de prédisposition héréditaire il des afl'ec- 4 DES
FAMILLES
D'IDIOTS. tions nerveuses d'un autre ordre. Ce
tare héréditaire viennent se joindre des causes occasionnelles, ces
familles
s'éteindront d'elles-mêmes; car les derniers desc
deux cas analogues. Le premier a été publié par l'un de nous'. I.
Famille
II... Trois frères idiots. Influence de r/tet'(
.-Arc% lues des maladies mentales et ccerueuses, 18(il, p. 289. DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 5 tristesse, revenant à intervalles i
t affectueuse; santé physique bonne. Pas de renseigne- ments sur sa
famille
. - Les accouchements ont été naturels. - Une pe
elque attention aux petits exercices qu'on lui faisait faire. 6 DES
FAMILLES
D'IDIOTS. Ce fait n'est-il pas un exemple frapp
n'est-il pas un exemple frappant des dégénérescences dans certaines
familles
? Comme antécédents : de simples irré- gularité
l'abâtardissement est très prononcé et tout porte à croire que la
famille
s'est éteinte en elle. Sur quatre enfants, l'un m
tons encore un nouvel exemple emprunté au Dr F.-W.-A. Browne. II.
Famille
W... Groupe de sept idiots, frères et soeurs. (
efois à James; solitaire, taciturne, travaille dur au jardin. DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 7 Ainsi donc, ces parents excentrique
dité n'éclate-t-elle pas manifes- tement dans la déchéance de cette
famille
où les derniers membres arrivés à un âge avancé
consé- quences finales plus frappantes et plus terribles. II bis.
Famille
WHAUP '. M. Ireland a publié, en octobre 1881,
ur, nous a paru devoir être reproduit : John WHAcr (marié). 8 DES
FAMILLES
D'IDIOTS .... 111. Famille 13ONT... Père : fa
produit : John WHAcr (marié). 8 DES FAMILLES D'IDIOTS .... 111.
Famille
13ONT... Père : faible d'esprit, épileptiquc, b
quatre enfants qui sont en bonne santé et n'ont jamais eu de DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 9 convulsions. Ces deux frères sont p
es, d'épileptiques, de suicidés, de criminels, de difformes dans la
famille
.] Mère : quarante-sept ans, taille petite; jour
prononcé. Pas d'aliénés, de goitreux, de convulsifs, etc., dans la
famille
.] Pas de consanguinité.... 10 DES FAMILLES D'
nvulsifs, etc., dans la famille.] Pas de consanguinité.... 10 DES
FAMILLES
D'IDIOTS. Six enfants : d° un garçon mort à dix
son frère Julien. Il ne pousse pas de cri : rigidité générale, DES
FAMILLES
D IDIOTS. H égale des deux côtés, pas de seco
l, mais mal et il fallait l'aider. Il est assez peureux. 12 2 DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 1884. 7 mai, - Etat actuel. Tète de g
uis son entrée. A ce moment, il ne savait lire que les lettres, DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 13 n'écrivait que mal et en gros cara
ni... (Désiré-Xavier), dit Julien, né à Bourg-la-Reine, le 5 14 DES
FAMILLES
n'IDIOTS. avril 1868, entré le 23 mai 1881 à Bi
aissât entraîner par celui-ci à faire l'école buisson- nière. DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 15 16 DES FAMILLES D'IDIOTS. dépr
aire l'école buisson- nière. DES FAMILLES D'IDIOTS. 15 16 DES
FAMILLES
D'IDIOTS. déprimé à sa racine. Oreilles grandes
u'on lui donne : il travaille bien et se montre docile et assez DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 17 travailleur. Il n'a pas de mauva
s se rapportant au sujet qui nous occupe actuellement : . .18 DES
FAMILLES
D'IDIOTS. de l'hérédité se fait déjà sentir dan
18 DES FAMILLES D'IDIOTS. de l'hérédité se fait déjà sentir dans la
famille
du père qui voit plusieurs de ses neveux mourir
rés. Pour terminer ce travail, nous avons encore à parler de deux
familles
ayant produit plusieurs enfants idiots ou imbéc
familles ayant produit plusieurs enfants idiots ou imbéciles. IV.
Famille
Horn... Père alcoolique ( ? ) - 4lène débauchée
mère maternelle, le père et la mère). - trente-sept ans, assez DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 19 grand, atteint depuis quatre ans d
orte en couches; leurs enfants sont bien portants. Il n'y a dans la
famille
ni épileptiques, ni aliénés, ni difformes, ni s
opre. On pense qu'elle a encore un amant (septembre 1885). 20 DES
FAMILLES
D'IDIOTS. - mostiquc, mort à vingt-sept ans de
'a pas constaté d'indice d'ivrognerie. - Pas de névropathes dans la
famille
, etc.] Pas de consanguinité, ni avec Des..., ni
l de Forges-les-Bains pour une tumeur blanche du genou droit. DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 21 transféré le 31 août à l'asile de
it intelligent, d'un carac- tère calme. [Pas de névropathes dans sa
famille
.] "'" : - Grossesse bonne, sans accidents, pas
'11.1;'1;-[[ 1 Rieli de particulier lors de la conception. 22 DES
FAMILLES
D'IDIOTS. z. 14 mai. Etat actuel. Tête ronde, a
i. Etat actuel. Tête ronde, assez volumineuse et régu- lière. DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 23 musclés, présentent une très légèr
ni au menton. Poils noirs, abondants au pénil. Verge grosse 2'ï DES
FAMILLES
D'IDIOTS. et longue. Testicules de la grosseur
et n'a 1 Bien portants tous deux à l'époque de la conception. DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 25 jamais dit autre chose; il n'a mar
ues muqueuses anales. , 2fi / / DES rAIIIILLES D'IDIOTS. 26 / DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 15 novembre. Persistance de larges pl
ine indiquée. L'occipital est plat suivant un plan vertical, la DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 27 moitié droite en retrait sur la ga
t peu saillantes, égales, mais ne sont pas sur le même plan. 28 DES
FAMILLES
D'IDIOTS. Peau : cheveux, cils, sourcils châtai
1, à l'âge de dix ans, à Bicêtre (service de M. BOURNEVILLE). DES
FAMILLES
D IDIOTS. 29 Antécédents personnels. (Renseigne
siculaire de ce côté. Rien de particulier à la conception. 30 DES
FAMILLES
D'IDIOTS. La température oscille toujours entre
parle facilement; il ne crache presque plus ; son haleine n'est DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 31 plus fétide. Il s'est produit une
re très modérée, n'ayant rien de particulier; vésicatoire. 32 DES
FAMILLES
D'IDIOTS. nution de la sonorité dans les deux t
ns de 38°, sans rien présenter de particulier dans sa marche. DES
FAMILLES
DI'DIOTS. 33 8 mai. L'éruption est modérément c
ons, rien de caractéristique. BOUl\ : OEVIL.LE, 1885. 3 3 ! DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 21 mai. L'enfant est gai et mange de
rontale gauche est notablement plus développée que la droite. DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 35 tion est normale ; les gencives so
rs, mais ne savait pas s'habiller seul; au réfectoire, il se 36 DES
FAMILLES
D'IDIOTS. servait de la fourchette, de la cuill
soient, que les observations peuvent présenter d'étrangers à DES
FAMILLES
D'IDIOTS, 37 notre sujet, nous ne résumerons
tableau que les points qui nous occupent en particulier : 38 DES
FAMILLES
D'IDIOTS. signale l'hérédité et les anomalies i
lle en a, hériteront des prédispositions névropathiques de toute la
famille
. 1 (;. Ballet. - - lieviie du ntétleeirte, 188
un état de marasme nerveux qui amènent rapidement la mort. 40 DES
FAMILLES
D'IDIOTS. Consanguinité : le père et la mère du
e assez bien conformée, figure assez intelligente; idiotie con- DES
FAMILLES
D IDIOTS. 41 génitale, ne dit guère que «papa»
renseignements sur Henriette Gui..., le septième enfant de cette
famille
. Nous les transcrivons ici : Observation X. - I
aintenu sur les genoux ». Il a commencé à prononcer quelques 42 des
familles
d'idiots. monosyllabes vers deux ans, jamais la
gales, peu saillantes; au-dessous d'elles, légère dépression. DES
familles
d'idiots. 43 Système dentaire très défectueux;
le, 1 m. 22. 1885. Juin. Poids, 23 kil. 200. Taille, 1 m. 22. DES
FAMILLES
D'IDIOTS. Observation XII. - Idiotie complète;
un ne sent pas les testicules. Même traitement; viande crue. DES
FAMILLES
D'ID10TS. 45 4 mars. Maigreur extrême la peau
5 mars. Mort à quatre heures du soir. Marche des accès : 46 DES
FAMILLES
D'IDIOTS. côté du père et du côté de la mère. L
dont le père était asthmatique, et qui compte déjà un idiot dans sa
famille
, est elle-même sujette à des accidents nerveux.
pportons plus haut en détail. Il est un fait déjà signalé dans la
famille
W... (p. 4) que l'on retrouve dans celle-ci et
nt, ce n'est, somme toute qu'indirectement, en rapprochant les deux
familles
déjà tarées et en accumulant, si nous pouvons p
Quoiqu'il en soit, dans le fait qui nous occupe actuellement, DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 47 nous voyons que, par suite de la d
nous voyons que, par suite de la dégénérescence progressive, cette
famille
est vouée à l'extinction. La plupart des enfants
strale- ment décrites. Nous aurions pu multiplier les exemples de
familles
d'idiots ; nous nous sommes bornés volontaireme
n état de gagner sa vie comme ouvrier menuisier, et aussitôt 48 DES
FAMILLES
D'IDIOTS. que les circonstances le permettront,
s, ni difformes, ni sourds-muets, ni suicidés, ni criminels dans la
famille
.] Mère, 49 ans, autrefois journalière aux champ
libre assure qu'il n'y avait de jumeaux ni de son côté, ni dans la
famille
de sa femme. 5G PEUR : cauchemars ; HALLUCINATI
TABLE DES MATIÈRES. ¡);3 I-) DEUXIEME PARTIE Clinique. r. Des
familles
d'idiots, par Bourneville et Sellas ... l II. O
1884. NU 19. ARCHIVES DE NEUROLOGIE AT11OLOGIIaJ GÉNÉRALE ' LA
FAMILLE
NÉVKOPATH 1Q LIE : Par Cn. FEUE. * Les maladi
multiplié les espèces, on peut dire qu'elles constituent une seule
famille
indissolublement unie par les lois de l'hérédit
ille indissolublement unie par les lois de l'hérédité. Cette grande
famille
morbide n'est point complètement isolée des aut
ux dans leur ensemble, et à rassembler les membres épars de cette
famille
; car chacun d'eux, s'il est encore fé- cond, p
commodité de l'étude et tout artificielle- ment, nous diviserons la
famille
névropathique en deux branches : une branche ps
luence des zzéuropatlcies sur le dynamisme intellectuel, 1859. LA
FAMILLE
NEVROPATHIQUE. 3 Tours), etc., ne font que révé
té de pathologie interne (traduction 13a5·le), t. III, p. 143. LA
FAMILLE
NÉVROPATHIQUE. 5 tion pathologique contribue à
1875. ' Legrand du Sanlle. - La folie héréditaire, 1873, p. 9. LA
FAMILLE
NÉVROPATHIQUE. 7 quefois que tous les suicidés
LA FAMILLE NÉVROPATHIQUE. 7 quefois que tous les suicidés des mêmes
familles
choi- sissent le même genre de mort et se détru
. méd.psych., 0e série, t.`I, 1879, p. 22G.) 1 Bail et Régis. - Les
familles
des aliénés au point de vue biologique, etc. {L
de vue biologique, etc. {L'Encéphale, 1833, p. 401, 405, 428.) LA
FAMILLE
N1 : \'ROP.ITIIfIUr. 9 que la paralysie général
N1 : \'ROP.ITIIfIUr. 9 que la paralysie générale n'est point de la
famille
des vésanies, qu'elle ne naît point, comme elle
e sont l'hystérie et l'épilepsie. On les rencontre souvent dans les
familles
d'aliénés; et d'ailleurs elles offrent parmi le
es chez le même aliéné. (A ? -eh. de Neurologie, t. I, p. 49.) LA
FAMILLE
NÉVROPATHIQUE. 11 L' hystérie peut, dans certai
utions. - Trois soeurs nerveuses; une seule a eu des attaques. LA
FAMILLE
NÉVROPATHIQUE. 1 : 1 Chez les hystériques mâles
n rapporte plusieurs exemples remar- quables, notamment celui de la
famille
Chrétien. M. Maudsiey' fait remarquer avec just
re. (Ann. méd. psrlcla., 1875, 48 série, t. XIII, p. 161,374.) LA
FAMILLE
NÉVROPATHIQUE. 15 Le vice, le crime et la folie
t été traités coirme alié- nés et qui avaient des aliénés dans leur
famille
. On ne peut pas apprécier, même approximativeme
ly i| 1882. - Lombroso. null. Soc. arellzroy.r 1883, lr. ,. ,. LA
FAMILLE
NÉVROPATHIQUE. 17 malformation ou par maladie.
on les voit former soit chez les sujets eux-mêmes, soit dans leur
famille
. Nullum magnum ingenium nisi mixtura quadam stz
r l'Amulette de 1 Lombroso, Genio e l'allia, lie édit., 1882. LA.
FAMILLE
NÉVROPATHIQUE. 19 Pascal ' a bien montré la réa
veloppement intellectuel le plus élevé. L'histoire pathologique des
familles
d'un grand nombre d'hommes éminents étudiés par
e l'hérédité des né- vroses et que l'hérédité du crime. On cite des
familles
de musiciens, de peintres, de poètes, de savant
tout; ce sont là les génies partiels. Certains enfants, après LA
FAMILLE
NÉVROPATHIQUE. 21 1 avoir donné de grandes preu
l'aliénation, l'épilepsie, l'hystérie sont unis par des liens de
famille
incontestables, il faut aussi reconnaître, et n
tré déjà par les quelques généalo- gies citées plus haut, que cette
famille
psychopathiquc artificiellement isolée se trouv
nstituer la branche névropathique proprement dite de notre grande
famille
morbide. M. Moreau (de Tours) reconnaît que la
ité. Les lésions cérébrales de tout genre, les affections ner- LA
FAMILLE
NÉVROPATHIQTJE. 23 veuses dont le siège et la n
ette idée. Plus récemment, M. Mübius 5 a étudié en détail plusieurs
familles
ner- veuses où les combinaisons sont fréquentes
c] . 1'1 ? ]1. 41 PM/Ao/oy/ec/'exp) ? trad. fr., 1883, p. 115. LA
FAMILLE
NÉVROPATHIQUE. 25 l'épilepsie, l'hystérie ', l'
rthritisme qui, comme nous le ver- rons, est un proche parent de la
famille
névropathique. D'autres fois, la paralysie agit
fluence d'une hérédité directe, d'autres fois, c'est une maladie de
famille
, plus souvent, on le trouve associé dans la mêm
Ballet : et Marie 3 montrent que non seulement c'est une maladie de
famille
(Cheadle); mais que fré- quemment elle est liée
mes frustes de 11 maladie de B(isedow. (Thèse de Paris, ISS3.; LA
FAMILLE
.\ÉVR01'ATHIQUE. 27 La migraine, dans certaines
enfance. - Mère hystérique. Les névralgies aussi appartiennent à tu
famille
né- vropathique par les mêmes liens. Elles sont
OGIE GÉNÉRALE. Les tics se rencontrent aussi fréquemment dans les
familles
d'aliénés. Ils existent si souvent chez les imbé-
z la fille, et Blache en a observé un chez trois enfants de la même
famille
. Observation XXIX. M. B... offre un tic non dou
ourbe. (Bull, Soc. ltiol., 1876; arc. de phys., 1876, p. 267.) LA
FAMILLE
NÈVROPATHIQUE. 29 Brodie rapporte le cas d'une
hez les enfants nés d'une mère éclamptique 2. Trousseau' cite une
famille
intéressante au point de vue des transfor- mati
au. Clin. utéd, de l'llôtel-Dieu, 2e édit., 1873, t. II, p. 171. LA
FAMILLE
NEVROPATHIQUE, ·11 1 attaques éclamptiques à l'
glotte, l'asthme de Kopp, qui fréquemment aussi est une maladie de
famille
, et la tétanie, qui se rencontre surtout chez l
importants'. Cette affection a d'ailleurs des liens étroits avec la
famille
névropa- thique ; dans le seul fait publié en F
uence des émotions ? La sclérodermie peut aussi être rattachée à la
famille
nerveuse : Observation XXXIV. Une des sclérod
) 6 l'autry. - Essai sur la lIlu'']Jltoea alba. (Tluac, 1SS3.) LA
FAMILLE
NÉVROPATIIIQUE. 33 avec les psychoses. MM. Bail
remarqué que cette maladie se trouve souvent associée dans la même
famille
avec l'idiotie, l'épilepsie, l'alié- nation, le
rs phénomènes de l'ataxie (incontinence d'urine) à trente ans. LA
FAMILLE
KËYROPATUIQUE. 37 Nous ne citerons que pour mém
a décrite sous le nom d'ataxie héréditaire qui est une maladie de
famille
au premier chef. ' La maladie de Thomsen peut ê
ditaire de Friedreich, et fréquemment on trouve des aliénés dans la
famille
de ceux qui en sont atteints. Cette parenté ave
L'atrophie musculaire progressive est quelquefois une maladie de
famille
°, et elle pourrait s'associer à des troubles m
el°ti°uphiue, dont l'hérédité a été mal étudiée, est une maladie de
famille
; on a vu souvent plusieurs frères et soeurs att
ralysie pseudo-hypertrophique. Thèse, 1877, p. 17. 1877, p. 2. LA
FAMILLE
NÉVROPATHIQUE.. 39 souvent on a noté un affaibl
La paralysie labio-glosso-laryngée peut être aussi rattachée à la
famille
. Observation L1V. - 111. X..., atteint de paral
e héréditaire3. D'autres fois elle se présente comme une maladie de
famille
: nous avons connu deux frères et une soeur att
nel, mort aliéné à la suite d'un coup. Plusieurs migraineux dans la
famille
. Observation LXXI. - Mme R..., quarante-sept an
l'hystérie qui figure assez souvent ,dans ses antécédents; les LA
FAMILLE
NÉVROPATHIQUE. 41 1 deux affections se sont dév
s enfin un sujet atteint de sclérose latérale amyotrophique dont la
famille
est largement entachée de nervosisme. Observa
ais nous pensons que ces affections ne peuvent être rattachées à la
famille
névropathique qu'à titre de collatérales; elles
e, les difficultés s'accumulent : s'il existe une notoriété dans la
famille
, on en fait tout de suite parade, on avoue un i
la responsabilité et accuse tout ce qui peut être accusé, dans la
famille
de l'autre; c'est ainsi qu'on obtient parfois l
partie du système nerveux subisse un trouble quelconque, il y LA
FAMILLE
NÉVROPATHIQUE. 43 aura alors un point faible, l
combine avec l'hérédité progressive pour propager sans cesse cette
famille
morbide. (A suivre.) z ' lîouclmt. Du rzercos
ses. Pas de névro- pathes, de difformes, de suicides, etc., dans la
famille
. Mère, cinquante-six ans, de taille moyenne et
a deux; tous sont bien portants. Pas d'affections nerveuses dans la
famille
]. -Pas de consanguinité. Six enfants : Il une f
r a succombé à une fièvre typhoïde. Pas d'accidents nerveux dans la
famille
. Pas de mérycoles du côté du père ni de la mère
bserve en général, il n'y aurait pas eu, ici, de jumeaux ni dans la
famille
du père, ni dans celle de la mère. DU MÉRYCISME
dents nerveux, de syphilis. [Aucun antécédent névropathique dans sa
famille
; pas d'aliénés, d'épileptiques, de difformes, d
ots. En raison du peu de succès que cette colonie a eu auprès des
familles
aisées (cette colonie ne reçoit que très peu d'en
. Une soeur, morte folle. Pas d'autres maladies nerveuses dans la
famille
. Archives, t. VII. I I 162 PATHOLOGIE NERVEUS
ique. 1111'111 n, i et , ? (AsMwe.) PATHOLOGIE GENERALE 11,1 1 LA
FAMILLE
ËVROPATHIQUE' : )fil, 1,A FA111,1,E Ni'VIIOPATI
) -i VII., - ..1 .1 , , flul '1 >q d i i in , '" 1 - il Laye'
famille
névropathique, ainsi constituée en groupe natur
es' du 'Système ner- veux que l'on'voit'se combiner/ -soit dans via
famille
, soit ''chez1' les' sujets' eux-mêmes, avec les
erveux, notamment avec l'idiotie, soit chez l'individu soit dans la
famille
. Mais un fait moins connu, c'est que les névrop
,, » Ireland. On idiocy and imbecility, 1877. Londres, p. 101. LA
FAMILLE
\VltUY1'l'111yUli. 177 Le bégaiement consiste e
ables chez les sujets atteints d'affections nerveuses ou dans leurs
familles
... , 1 1 , VIII. a ' " Le groupe psychopath
ues et moraux, doivent être considérés comme les enfants d'une même
famille
, les rameaux divers d'un même tronc», dit Morea
névropathies. On rencontre souvent chez les nerveux et dans leur
famille
le rhumatisme, la dartre et plus souvent la gou
sléro-éhilepste. (Arch. de Neurol., 1882, t. III, 1). 16 ! ).) LA
FAMILLE
NÉVItOF.l1'131,\,UE. 177 jets atteints de névro
es accidents prémonitoires de la goutte. Thèse de Paris, 1878. LA
FAMILLE
NÉVROPATHIQUE. 179 propres de l'arthritisme est
même sujet, il faut citer la combinaison des deux maladies dans les
familles
. Observation L ? IIII. -NI.114..., agé de vingt
). 126. 180 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. aucun antécédent nerveux dans la
famille
, mais il y a un oncle et un grand-oncle goutteu
quelques spasmes d'origine lujstè- rique. Thèse de Paris, 1880. L
FAMILLE
NÉVROPATHIQUE. <8) porte un cas de coexisten
coexistence de la goutte et de la paralysie agitante dans la même
famille
. Parmi les troubles dits métastatiques que l'on
de colère, 1 Delasiauve. - Traité de l'épilepsie, 1854, p. 48. la
famille
MÉVROPATHIQUE. 183 d'une impression subite quel
1862, p. 210. s Berthier. - Les névroses diathésiques, 1875. LA
FAMILLE
NÉVROPATIUQUE. 1S3 mêmes conclusions'. La goutt
p. 456. 1 Potain. - Gazette des hôpitaux, 1878, no 48, p. 377. LA
FAMILLE
NÉVROPATIIIQUE. 187 Î traitement dirigé contre
sis. (Edimburgh med. and sw'.q.jOll ? 1854. 1 j;uuarY, p. 18.) LA
FAMILLE
NÉVROPATHIQUE. 18J l'exemple d'une sciatique ch
la goutte ou le diabète, soit chez le même sujet soit dans une même
famille
, s'ils ne prouvent pas, comme le veut M. Duckwo
, montrent au moins qu'il y a des rapports assez étroits entre la
famille
arthritique et la famille névropathique. Si nou
l y a des rapports assez étroits entre la famille arthritique et la
famille
névropathique. Si nous supposons un peloton de
l'arthri- tisme, etc., se trouvent diversement combinés dans les
familles
; et, dans certaines conditions, leurs manifes-
t est morte dans une de ses attaques. - Plusieurs des membres de la
famille
de Grossor... ont des dispositions 1 Dans l'obs
e ataxie hé- réditaire ou maladie de Z%riedreicla, cette maladie de
famille
qui DES TROUBLES URINAIRES. 1 243 par ses sym
re d'observer son développement chez plu- sieurs enfants de la même
famille
. G. D. XI. DE l'irritation cérébrale chez les e
de santé privées, où le médecin est en rapport plus direct avec les
familles
, et nous en trouvons la mention dans le projet
ent et qui commit un meurtre peu de jours après son arrivée dans sa
famille
; mais c'est là fort heureusement un accident rar
oyen de diagnostic et de traitement. On peut aussi craindre que les
familles
n'abusent de leur malade, en lui faisant donner
nd danger à augmenter le nombre des inoffensifs rendus ainsi à leur
famille
, mais, ici encore, nous re- venons à une questi
la demande en interdiction. Quelques jours après, je recevais de la
famille
, une réclamation de vingt mille francs de domma
ge de ses lésions que la maladie de Duchenne appartient à la grande
famille
des affections du sys- tème nerveux, mais aussi
es des renseigne- ments quelque peu précis sur leurs antécédents de
famille
. Si l'on réfléchit, d'autre part, qu'une syphil
a recueilli une qui est décrétoire entre toutes; c'est celle d'une
famille
dans laquelle il n'y eut pas moins de dix-huit
lle apparait manifeste quand on dépouille le dossier de certaines
familles
, elle se révèle avec éclat chez certain» malheure
se les sorties provisoires que sur les sollicitations réitérées des
familles
. Je concède volontiers une sortie de quelques h
nque dans son secrétaire, toujours pour aller boire. Aujourd'hui la
famille
s'est enfin décidée à renoncer à ces sorties.
e le fit sortir de nouveau pour le placer chez un prêtre, ami de la
famille
, qui voulut bien se charger de lui; mais bientô
rées de son fils et surtout à la pression de quelques membres de la
famille
, sa mère voulut faire un nouvel essai. Elle me de
amment des perplexités et des tourments, auraient pu avoir pour les
familles
les plus graves conséquences. Les sorties provi
e surtout sont en jeu de graves intérêts entre divers membres d'une
famille
, un procès peut surgir, par le fait d'une signa
mpraticable quand il s'agit d'aliénés placés volontairement par les
familles
, et des pensionnaires séquestrés d'office. Pour
e nous est quelquefois posée soit par les malades eux-mêmes et leur
famille
, soit par l'autorité judiciaire. Quel parti pre
qui donnera satisfaction à tout le monde, au chef de service, à la
famille
, à l'autorité judiciaire, au public. Quant au mal
cas de mise en liberté, on pourrait en même temps faire engager la
famille
par la signature d'une pièce officielle qui ser
lle-Evrard, où des imprimés ad hoc sont remplis par le membre de la
famille
qui demande la sortie du malade, sous sa respon
tificat que le malade pourrait vivre en liberté, surtout s'il a une
famille
qui se charge de lui. Mais quandle malade a de
profitent dans une large mesure, à la grande satisfaction de chaque
famille
qui trame une consolation à faire une promenade
est préférable de ne pas interrompre complètement les relations de
famille
, et en agissant de la sorte on transforme l'asi
quelques idées de persécution, mais cependant assez calme. Comme la
famille
demandait avec insistance de reprendrele malade
uences auxquelles elle peut don- ner lieu, reste toute entière à la
famille
. » Cn. F. 1 Cette opinion est en opposition ave
tat s'améliora considérable- ment, et M. P... put retourner dans sa
famille
. Un nouvel accès nécessita un nouveau placement
t les objets. Etant allé dernièrement passer quelques jours dans sa
famille
, en province, il nous raconte qu'à son retour,
ent l'effet produit par cette mort prématurée sur les membres de ma
famille
. » 1 Auguste Comte. Politique positive; Tms.sim
Soeur actuellement bien portante. Pas de maladies nerveuses dans la
famille
. Antécédents personnels. -Bonne santé jusqu'en
? ) Tels sont les renseignements que nous avons pu recueillir de la
famille
, car le malade nous a été apporté dans le coma.
trois ans. Renvoi de la gouvernante : guérison des enfants. Dans la
famille
d'un collègue, on engagea une gouvernante hysté
o KOl : a,OEa). Un collègue, le Dr X..., ruminait il y a douze ans.
Famille
en bonne santé. Etant enfant, il eut un catarrh
relle qu'il n'en fit jamais part à aucun de ses cama- rades ni à sa
famille
, et que personne ne s'aperçut jamais de ces rég
n des deux résultats, positif ou négatif, se borneà l'un des côtés.
Famille
d'épileptiques jusqu'au bisaïeul. Paralysie spi
oncles du même côté atteints d'épilepsie psychique. On note dans la
famille
l'adhérence héréditaire des deuxième et troisiè
\ ! . Charpentier et Gxnmea ; Trésorier : M. A. Voisin ; Conseil de
famille
: MM. Motet etUALLYSont adjoints aux membres du
tUALLYSont adjoints aux membres du bureau pour former le conseil de
famille
. M. le Président annonce à la Société que deux
californiens. M. Delasiauve a relaté des troubles mentaux dans une
famille
exposée aux vapeurs de mercure provenant d'un app
et de loi donne à l'Etat un droit sur les aliénés traités dans leur
famille
. M. LuNiER. Non, l'Etat s'occupe seulement de c
is la commission du Sénat a l'intention d'étendre jus- que dans les
familles
la surveillance de l'Etat. M. Falret. Je ne voi
lade ordinaire ou à un aliéné, quand elle se trouvera en face d'une
famille
qui refu- sera de la renseigner ; que) médecin
M. LuNiER. Tout a été prévu : si, après trois mois de soins, une
famille
ne prévient' pas l'autorité qu'un de ses membres
le de faire une législation ayant pour but de s'introduire dans les
familles
pour y violer le secret qu'elles cachent avec t
pratique, il est bien difficile et presqu'impossible d'obliger une
famille
à venir déclarer la folie dont est atteinte un de
c la loi de SOCIÉTÉS SAVANTES. 359 1838, c'est seulement dans les
familles
qu'on doit aller chercher les séquestrations ar
roduire en France la même mesure et enfin jusqu'à quel membre de la
famille
s'éten- dra l'obligation de faire cette déclara
oix, viendra interroger la personne placée, fera une enquête sur sa
famille
, ses antécédents, etc , et adressera en- suite
eront « ou indifférentes ou dangereuses pour le malade lui-même, sa
famille
ou la société ». M. Lunier n'intervient, dit-il
rs et, à leur départ, ils l'emportent ou la somme est remise à la
famille
, selon l'avis du médecin en chef. Il n'existe pas
t dans les asiles les épileptiques, surtout celles qui n'ont pas de
famille
ou qui n'ont pas d'aura les avertissant assez à
ntroduction de la psy- chiàtrie dans les épreuves <l'), 360.
Famille
névropathique (la), par Ch. Féré, 1, 173. Gen
nsolite de par com- pression), par Knecht, 336. Névropathique (la
famille
), par Ch. Féré, 1, 173. Névrose convulsive (c
r passer prochainement on 1™ classe (cours moyen de l'école) quand sa
famille
a demandé et obtenu pour lui, vu son état, un con
si le patron qui l'emploierait avait pour lui la sollicitude crue sa
famille
semble lui refuser. Placé comme apprenti clans un
nts valides de Bicêtre et de la Fondation Vallée y ont assisté. — Les
familles
sont admises seulement aux fêtes organisées par l
...................... 15 Total............ 1.387 Les visites des
familles
au parloir no sont pas suffi-samment surveillées,
nous leur accordons d'abord un congé d'essai et nous engageons leurs
familles
à s'efforcer de les placer dans un ate-lier corre
'ils ont des permissions de sorties et des congés, sur la demande des
familles
, à toutes les époques de l'année, qu'ils ont des
ctions d'adultes (1), 21 ont été transférés, 16 ont été rendus à leur
famille
, guéris ou améliorésousurladcmande do celle-ci, 1
s désirerions vivement suivre nos malades après leur retour dans leur
famille
, savoir ce qu'ils deviennent, si l'amélioration r
n nombre d'entre eux. Ils ne les rencontrent pas toujours. Souvent la
famille
a déménagé et on ne peut avoir sa nouvelle adress
ie complète. Idiotie légère. Imbécillité, prononcée. Rendu à sa
famille
le 1G janvier. Amélioration légère. Passé à l
at. Transféré à Villejuif, le 25 février. Même état. Rendu à la
famille
, le 3 mars. Amélioration Rendu à la famille,
me état. Rendu à la famille, le 3 mars. Amélioration Rendu à la
famille
, le 3 mars. Amélioration notable. NOMS. Bon
ité, Incontinence d'urine. C A U S E S DE LA SORTIE. Rendu à sa
famille
, le 22 mai. Amélioration Rendu à sa famille,
SORTIE. Rendu à sa famille, le 22 mai. Amélioration Rendu à sa
famille
, le 23 mai. Amélioration légère. Transféré à
Passé à la 5 e 2L' (adultes), le a octobre. Même état. Rendu à la
famille
, le 21 octobre. Même état. Rendu à la famille
état. Rendu à la famille, le 21 octobre. Même état. Rendu à la
famille
, le 27 octobre. Notablement amélioré. Passé à
ré. Passé à l a 5° 2 e le 29 o c t . T r è s amélioré. Rendu à la
famille
, le 30 octobre. Amélioration. Rendu à la fami
ré. Rendu à la famille, le 30 octobre. Amélioration. Rendu à la
famille
, le 30 octobre. Amélioration t r è s notable.
famille, le 30 octobre. Amélioration t r è s notable. Rendu à la
famille
, le 30 octobre. Amélioration. Passé à la 5e 2
h e r i n c (.Y!lier), le 3 nov. Amélioration légère. Rendu à l a
famille
, le 12 novembre. Amélioration. P a s s é à la
s s é à la 5 e 2° (adultes), le 15 nov. Amélioration. Rendu à la
famille
, le 20 novembre. Même é t a t. Rendu à l a fa
. Rendu à la famille, le 20 novembre. Même é t a t. Rendu à l a
famille
, le 21 novembre. Amélioration notable. P a s
r t i e r d'hospice le 27 nov. Amélioration notable'. Rendu à la
famille
, le 27 novembre. Amélioration. Passé aux enfa
x enfants assistés le 1 e r déc. Amélioration notable. Rendu à la
famille
, le 8 décembre. Même état. Défalqué à la s u
(pic cette mesure soit mise à exécution. — Signé : Mouricr. (ajXJnc
famille
étant venue visiter un parent malade, entré quel-
cerne les enfants nerveux et arriérés. Pour ceux d'entre eux que leur
famille
ne veut pas placer, il s'ag-it de véritables cons
lé le traitement, nous faisons voir l'application des procédés que la
famille
doit employer, clans la mesure de ses possibilité
abitue les fillettes aux soins de propreté. C'est ce que les mères de
familles
, les institutrices, les maîtresses de pension dev
été au nombre de 5.251. Ces chiffres témoignent de la sollicitude des
familles
envers leurs malheu-reuses enfants. Il semble que
gés de plus de cinq jours, parce que le séjour des enfants dans leurs
familles
se prolongeant, il est moins facile de les faire
andé maintes fois, sans résultats, à l'Administration de rappeler aux
familles
qu'elles ne doivent pas, dans l'intérêt môme de l
vesties varie de £0 à 60. Ces peti-tes fêtes auxquelles assistent les
familles
, ne coûtent rien à l'Administration. Nos fillette
Transférée à l'asile de Maison Blanche le 25 février. Rendue à sa
famille
qui la réclame le 27 février. Déjà t r è s amél
t r è s améliorée à son e n t r é e à la Fondation. Rendue à s a
famille
qui la réclame le 18 mars.. Même clat. Rendue
à s a famille qui la réclame le 18 mars.. Même clat. Rendue à sa
famille
qui la réclame le 12 a v r i l . Amélioration.
amille qui la réclame le 12 a v r i l . Amélioration. Rendue à sa
famille
qui la réclame le 19 a v r i l . Amélioration n
tat. Transférée à Villejuif, le 4 juin. Même état. Rendue à s a
famille
qui la réclame le 5 août. Amélioration. Rendu
s a famille qui la réclame le 5 août. Amélioration. Rendue à s a
famille
qui s'oppose au t r a n s f e r t 6 août. Même
qui s'oppose au t r a n s f e r t 6 août. Même état. Rendue à sa
famille
qui la réclame le 27 s e p t . Amélioration not
ansférée à Chàlons (Marne), le 8 novembre. Même état. Rendue à sa
famille
qui la réclame le 24 novembre. Même état. Ren
sa famille qui la réclame le 24 novembre. Même état. Rendue à sa
famille
qui la réclame le 27 novembre. AG E S . 14
lle. Arriération intellectuelle. Causes de la sortie. Rendue à sa
famille
le 29 novembre. Même état. Rendue à sa famille
ortie. Rendue à sa famille le 29 novembre. Même état. Rendue à sa
famille
qui la réclame le 3 novembre. Même état. Rendue
e à sa famille qui la réclame le 3 novembre. Même état. Rendue à sa
famille
qui la réclame le 30 novembre. Amélioration Ren
sa famille qui la réclame le 30 novembre. Amélioration Rendue à sa
famille
qui la réclame le 2 décembre. Même état. Rendue
e à sa famille qui la réclame le 2 décembre. Même état. Rendue à sa
famille
qui la réclame le 2 décembre. Amélioration. Tra
on. Transférée à Villejuif, le 7 décembre. Même état. Rendue à sa
famille
qui la réclame le 7 décembre. Amélioration. Fig
oumis la question à la délégation cantonale du V° arrondissement. Les
familles
, disait-il, ncvoudrontpasmettreleurs enfants clan
amp, croyons-nous. Les parents des enfants, loin d'engager les autres
familles
, à placer les leurs, les en dissuadaient. Ils ne
s, débiles à l'entrée, sont devenus un soldat, un ouvrier, un père de
famille
, un membre utile de la société. Quand, en écoutan
is considérer l'arriéré en dehors de ses circonstan-ces de milieu, de
famille
, d'hérédité, de régime économique ou alimentaire,
qu'il a pu écrire. 5° Un autre, frère du précédent, marié, père de
famille
, éga-lement ancien pensionnaire de Bicètre, où il
de l'ancien enfant de Bicètrc, il nous montre les photographies de sa
famille
avec un, deux, quatre, sept enfants. Tous ne sont
bien des enfants dans nos garderies les plus propres, dans certaines
familles
des mieux intentionnées. Tous les ans sortent d
r définitivement dans la société ; plusieurs sont mariées et mères de
famille
. » L'écoJe de Saint-Yon est classée comme école
in nombre d'expectants, ins-crits à l'Asile clinique, mais combien de
familles
, par ignorance, ne réclament pas pour leurs malhe
vé que celui des asiles. Les arriérés sont nombreux aussi clans les
familles
riches ou aisées. Pour l'Institut médico-pédagogi
les cas nouveaux relevés dans nos observations de 1904. Si aux 128
familles
, figurant dans notre statistique de 1903, et exer
ées de 1904 (41 filles et 105 garçons) nous voyons : 1° Que ces 143
familles
ont fourni 675 enfants, soit près de 5 enfants pa
e ces 143 familles ont fourni 675 enfants, soit près de 5 enfants par
famille
; 2° Que sur ces 675 enfants, 340 sont décédés,
elle-même, entre en ligne de compte, l'aicoo-lisme. En effet, sur 143
familles
, 79 pères et 4 mères faisaient des excès de boiss
ont des enfants-assistés, parceque d'autres, étant délaissés par leur
famille
, nous n'avons pu obtenir qu'elles se rendent, c
atisme. Mort en 1901 des suites d'une pleurésie avec hémoptysie. Su
famille
. — Son père buvait beaucoup (vin) et serait mort
is o?icZes seraient morts de mala-dies du foie, — Dans le reste de la
famille
, pas d'épileptiques, etc. Mèiie, 39 ans (en 189
ns (en 1895), fièvre typhoïde à 12 ans ; aucun accident nerveux, Sa
famille
. — Son père est mort de la rupture d'un anô-vrism
ère paternel était buveur. — Rien à noter du côté de la mère et de sa
famille
. II. Pendant la grossesse, frayeur de la mère.
paralysie complète avec aphasie. Rensei-gnements insuffisants sur sa
famille
. — Mère : quelques excès de boisson (?). — Cousin
ousine : convulsions de l'enfance. Renseignements insuffisants sur sa
famille
. Pas de consanguinité. —Inégalité d'âge de 11 a
s paternels ou maternels. N'a ni frère ni sœur. — Dans le reste de la
famille
du père, on ne connaît ni idiots, ni aliénés, ni
ligentes; il a perdu un garçon de la coquelu-che. Dans le reste de la
famille
de la mère, on ne connaît aucune tare : pas d'ali
rveuse. 16 novembre. — L'enfant, dans le môme état, est rendue à sa
famille
. 1899. 17 juillet. — Entre dans notre service,
peine ; on ne sait si elles ont eu des enfants. — Dans le reste de la
famille
on ne connaît rien de particulier.] Mère, 42 an
La mère du malade est la deuxième des enfants. — Dans le reste de sa
famille
, nous n'avons rien à signaler, en parti-culier pa
aucune autre tare héréditaire, ni de cas de tucerculose dans les deux
familles
, sur lesquelles, toutefois, nous n'avons que des
quelques excès d'alcool; mort subitement. — Rien clans le reste de la
famille
. Mère : Convulsions vers l'âge de 6 ans attribu
à un homme de 26 ans. Les renseignements recueillis sur le reste delà
famille
sont absolument négatifs. Ni aliénés, ni épi-lept
erveuse, d'irritabilité physique et mentale qui font le désespoir des
familles
. VIII. Le fait le plus intéressant est sans con
petite était morte axphyxiée. On doit donc recommander aux mères de
famille
et aux infirmières de veiller avec le plus grand
ête, a un bon caractère. Paraît d'une intelligence très moyenne. Sa
famille
. Son père, instituteur, sujet aux maux de tête, m
l'un d'eux est mort d'une fluxion de poitrine. — Dans le reste de la
famille
du père il n'y a pas eu de tuberculeux, pas d'idi
de suicides, pas de prostituées, pas de criminels dans le reste de la
famille
. Mère, 31 ans, ménagère, n'a eu ni convulsions,
ès correcte et est proprement habillée. Elle paraît intelli-gente. [
Famille
de la mère. Son père, âgé de 70 ans, a quel-ques
ces sœurs, pas do tuberculose. — Rien à signaler pour le reste de la
famille
.] Inégalité d'âge de 7 ans (père plus âgé). — C
chargée, du côté paternel, qui pesait sur l'enfant : i"du côté de la
famille
du père : céphalal-gies, migraine* que l'on retro
du père : céphalal-gies, migraine* que l'on retrouve souvent dans les
familles
d'épileptiques. arriération, pied-bot congé-nital
s de placement pour les aliénés : les placements volontaires, par les
familles
; les placements d'o/'/fcepar l'intermédiaire des
ous assurc-t-on, et renvoyée parce qu'il n'y avait pas de place. La
famille
ou des amis ont essayé do recourir au pla-cement
employé de commerce. M. M..., âgé de quarante-cinq ans, inquiétait sa
famille
par ses allures qui attestaient un trou-ble menta
ans, est une véri-table consultation médico-pédagogique. Les mères de
famille
sont mises au courant, dans la mesure du possible
dico-pédagogique exige un temps si long que, la plupart du temps, les
familles
des enfants que nous voyons ne peuvent, occupées
tiologie au faisceau des maladies du système ner- veux, à la grande
famille
névropathique, comme l'a appelée M. Ch. Féré.
ente-cinq ans, caissier dans une maison de commerce. Antécédents de
famille
: Père, soixante-cinq ans, bien portant ; mère
homme de lettres, nous est adressé le 3 juin 1883.- Antécédents de
famille
: DE LA PARALYSIE FACIALE. 7 Père mortparalyt
inze ans, vient nous consulter le 9 juillet 1881.. - Antécédents de
famille
: Père bien portant ; mère nerveuse, a souvent
ns, commerçant, nous est adressé le I février 1886.- Antécédents de
famille
: Père mort d'apoplexie; mère aliénée, s'est su
paralysie faciale a frigore survenus chez des membres de la même
famille
(la soeur et les deux frères). Voici d'abord le
ces trois paralysies faciales survenues chez les membres de la même
famille
, de la récidive de la para- lysie chez l'un des
xistence de laquelle les renseignements relatifs aux antécédents de
famille
ne laissent d'ailleurs aucun doute. Toutes le
seignements précis, d'être nettement fixé sur les anté- cédents de
famille
. Mais si, dans les cas suivants, la preuve abso
oixante ans. Pas de' renseignements précis quant aux antécédents de
famille
. Mme G... a toujours été très nerveuse; depuis
obre 1885. Pas de renseignements au point de vue des antécédents de
famille
. M. D... est très nerveux; depuis un an il a eu
Observation XVI. M. M..., vingt-huit ans, négociant. Antécédents de
famille
: Pas de renseignements positifs au point.de vu
le 29 juillet 1886. Pas de renseignements quant aux antécédents de
famille
. Antécédents personnels : Migraines périodiques
ses antécédents person- nels, au point de vue de ses antécédents de
famille
; et le plus souvent, toujours à notre convictio
le disait n'avoir pas d'attaques de nerfs, mais des membres de la
famille
m'ont affirmé qu'elle en avait eu à plusieurs rep
me. 43 rencontre dans le même groupe plusieurs membres de la même
famille
. J'y ai vu le père et les deux fils. M. le Dr M
guéris, mais restés sans moyens d'existence etabandonnés par leurs
familles
. Après avoir démontré le mode de fonction- neme
dans certaines localités russes. Les malades seront placés dans les
familles
qui habitent tout près de la maison d'aliénés,
ve que le traitement du malade ne pourra se faire dans un milieu de
famille
, il ordonne son placement dans un établissement
ent pas prendre un aliéné qui pour- rait parfaitement vivre dans sa
famille
. L'auteur pense, en effet, que le traitement de
certaines formes d'aliénation mentale qui exigent un traitement en
famille
, d'autres pour lesquelles l'hôpital est indispens
lles l'hôpital est indispensable. En tout cas, ce n'est pas dans la
famille
à eux que les aliénés doivent être placés, mais
mille à eux que les aliénés doivent être placés, mais bien dans les
familles
qui se sont spécialement consacrées à cette sor
s de Neurologie, t. XIII, p. 13a, 2a8 ci É39. 136 SÉNAT. dans une
famille
; cet aliéné n'est pas placé dans un établis- s
il n'y ait pas de séquestration; s'il est, en outre, traité dans sa
famille
par son père ou l'un de ses ascendants ou desce
me seul, même, ainsi que je le dirai tout à l'heure, par le père de
famille
ou par son préposé sous sa surveillance et sa r
endre. De l'autre, un intérêt aussi con- sidérable, l'intérêt de la
famille
, un devoir aussi impérieux et un droit aussi re
lance de l'Etat doit s'exercer jusqu'à tel point, et le droit de la
famille
doit être respecté jusqu'à telle limite. Ce n'e
nt ou non soignés par leurs plus proches parents et au sein de leur
famille
, le Sénat se trouve en présence d'un premier sy
idées de la commission de considérer d'un oeil moins favorable la
famille
qui fait traiter son malade que celle qui le lais
i où, malgré la diversité des domiciles, les soins personnels de la
famille
ne feront pas défaut à l'aliéné. Je combats don
ctions, ne puisse pas, dans l'intérêt même des autres membres de sa
famille
, demeurer avec l'aliéné; qu'il ne puisse pas, s
lité à l'exécution de ses ordres. Et vous voulez que, si un père de
famille
fait soigner son enfant à côté de lui, dans une
lade sera traité sous la surveillance et sous l'autorité du père de
famille
ou d'un proche parent en qui vous devez avoir "
l n'y aura pas de séquestration, je vous dirai : Laissez le père de
famille
accomplir sa tâche, ne le soumettez pas ainsi a
rveillance que je trouve exagérée et respectez en lui les droits de
famille
. Voilà pourquoi, sur l'article 7, l'amendement
esponsabilité. » En un mot, ce que je veux, c'est que si un père de
famille
, je sup- pose, faitsoignerson enfantparune pers
s faudrait-il à mes yeux, dans tous les cas, assimiler au père de
famille
les collatéraux de la branche ascendante, les onc
urquoi cela ? Parce que, ainsi qu'on l'a dit bien souvent, dans les
familles
, l'affection descend et ne remonte guère. Nous po
certains de l'affection des membres de la branche ascendante de la
famille
pour la génération qui vient après elle, tandis
t la seule conciliation possible à mes yeux, entre les droits de la
famille
d'un côté, et les droits ou les intérêts de la so
au Sénat. Je lui demande en premier lieu d'étendre le cercle de la
famille
un peu plus loin que ne le fait la commission;
'admettre que toutes les fois que ce sera un membre rapproché de la
famille
qui soignera un malade par lui-même ou qui le f
au moins on respecte le droit le plus naturel, le droit du père de
famille
. L'amour paternel ne peut pas être suspecté; c'
ances. Je crois donc qu'il faut tenir un grand compte de ce lien de
famille
, le considérer comme ga- rantissant d'une maniè
ces privés ou publics d'aliénés, c'est bien plus sou- vent dans les
familles
. Je ne viens pas contester ce point; je veux al
, en l'introduisant comme un surveillant jaloux, même au sein de la
famille
, vous vous engagez dans une voie re- doutable o
es, qu'ils ne peuvent pas se défendre, et que c'est au sein de leur
famille
qu'ils ont le plus de chance d'être mal- traité
ts survivants, - vous pouvez dire aussi que c'est dans votre propre
famille
. Eh bien, alors, qu'est-ce que vous ferez ? Fer
r aussi au système préventif pour la protection de l'enfant dans la
famille
aussi bien que pour celle de l'aliéné. Je ne cr
je n'admettrai pas cette intervention illimitée de l'Etat dans la
famille
et surtout dans la famille la plus rapprochée. N'
intervention illimitée de l'Etat dans la famille et surtout dans la
famille
la plus rapprochée. N'avez-vous pas remarqué, d
ue je veuille invoquer devant vous - que vous demandez au père de
famille
une déclaration bien pénible pour lui et de natur
article 67. Vous vous trouveriez dans cette situation qu'un père de
famille
qui donnerait tous les soins possibles à l'un d
us propres à l'éclairer sur le traitement à suivre ; que ce père de
famille
, après avoir donné de pareilles preuves de son af
fait patent; et il décide que l'aliéné qui est traité au sein de la
famille
doit être l'objet d'une certaine surveillance de
n ni pour la personne, ni pour les biens de l'aliéné traité dans sa
famille
ou traité à domicile par un étranger. Eh bien,
a lieu d'étendre la protection de l'Etal à l'aliéné traité dans sa
famille
ou à domicile, nous sommes d'accord avec l'ho-
pinion, il a dit : Toutes les fois qu'un aliéné sera traité dans sa
famille
ou qu'il sera traité à domicile, même par un ét
otection de l'Etat doit s'étendre sur les aliénés soignés dans leur
famille
ou chez un étranger. Les articles 7 et 8, ainsi
fants, de son conjoint, ou de ses frères et soeurs, les liens de la
famille
sont assez puissants pour offrir des garanties
des étrangers, je soutiens pour ma part qu'à côté des droits de la
famille
vient se placer le devoir de l'Etat. Le devoir
andons d'adopter. Est-ce que nous portons atteinte aux droits de la
famille
? Nul- lement ! Qu'est-ce que nous demandons pa
l'honorable M. Lacombe. Il admet l'intervention de l'Etat quand la
famille
placera un aliéné dans un asile privé, c'est-à-di
l'intérêt de l'aliéné et de la liberté indi- viduelle. Et, quand la
famille
placera cet aliéné chez un étranger, dans une m
nt été commis; c'est dans les asiles privés, c'est surtout dans les
familles
et dans les maisons particulières. Vous n'avez
qu'il soit placé dans un asile privé, ou qu'il soit gardé dans sa
famille
ou chez des étrangers, c'est l'autorité judiciair
rveillance et sans contrôle à la spéculation des collatéraux, à des
familles
avides, le soin de protéger ceux de leurs membr
et de loi, c'est-à-dire cette obligation dans laquelle se trouve la
famille
de faire une décla- - SÉNAT. 151 ration dans
' L'article 8, en effet, n'exige une déclaration de la part de la
famille
que lorsque la nécessité de tenir l'aliéné enferm
a duré trois mois; tant que cette nécessité n'est pas constatée, la
famille
est affranchie de toute espèce de déclaration.
urs chez une per- sonne qui est investie de la confiance du père de
famille
, il me semble, dis-je, que l'article 7 ne dit p
manière précise l'étendue des droits de l'Etat et des droits de la
famille
, tout en respectant la liberté individuelle. C'
es et aussi téméraires que celles que vous nous apportez ici. Et la
famille
, messieurs ! Jusqu'à présent, qui avait donc os
sorte le capital social; le respect de la liberté, le respect de la
famille
, le respect de la propriété ? Que m'importent vos
a première, introduit l'autorité de l'Etat dans le sanctuaire de la
famille
. Elle y est entrée déjà par les lois scolaires
e savoir s'ils sont traités comme ils ne doivent pas l'être dans la
famille
! 154 ' SÉNAT. Mais quelle meilleure garantie
elle meilleure garantie avez-vous, si ce n'est la sollicitude de la
famille
? Sous prétexte d'abus vous pourrez intervenir pa
ics, qui est gardé par la sollicitude inquiète et affectueuse de sa
famille
; quel mal fait-il au point de vue social ? Vou
, mieux traité puisque vous tenez tant à cette expression dans sa
famille
? On invoquait tout à l'heure une statistique; je
n. Mais savez-vous à quel moment a commencé le traitement dans la
famille
? Lorsqu'il a été constaté dans le sanctuaire d
ns la famille ? Lorsqu'il a été constaté dans le sanctuaire de la
famille
que le traitement domestique, le traitement rel
pas indigents. Par conséquent, elle ne permet pas d'entrer dans les
familles
dans les conditions, au moins, que vous indique
r mot qui me vient à l'esprit- la durée de cette détention. dans la
famille
sera d'un, de deux, de trois, de quatre mois, m
a personne de cet individu qui reste sous la protection sacrée delà
famille
, pourquoi et de quel droit vous, Etat, voulez-v
traité même seul, à moins que le tuteur, autorisé par le conseil de
famille
à se charger du traitement, le conjoint, l'un d
est celle-ci : « A moins que le tuteur, autorisé par le conseil de
famille
à se charger du raitement. » Cette addition a é
un aliéné est traité dans le domicile d'une personne étrangère à sa
famille
ou bien dans le domicile de cer- tains de ses p
seul, à moins que le SENAT. 161 tuteur autorisé par le conseil de
famille
, le conjoint, l'un des as- cendants ou l'un des
on sur la suffisance des soins qui peuvent lui être fournis dans sa
famille
. » Vient ensuite le paragraphe suivant, qui est
ocureur de la République, soit par un délégué spécial du conseil de
famille
. La décision sera prise en présence du tuteur o
oulait laisser aux parents, représentés par un délégué du conseilde
famille
, le droit de provoquer lui-même cet internement.
il pouvait y avoir utilité pour un aliéné à ce qu'un membre de la
famille
dans ces conditions pût s'adresser au tribunal. A
ure sur l'insuffisance des soins que pouvait efficacement donner la
famille
au cas d'alié- nation mentale de l'un de ses me
un agité, qui a des accès de fureur, ne puisse pas recevoir dans sa
famille
les soins qui sont indispensables à sa santé et
ureur de la République, soit par un délégué spécial du con- seil de
famille
. La décision sera prise en présence du tuteur ou
ette disposition constitutionnelle est du reste héréditaire dans sa
famille
. Son grand-père maternel était goutteux; sa mèr
ultés et deses fonc- « tions ; où, poussé par le désir d'établir sa
famille
, « d'acquérir de la fortune, des honneurs et de
t heurtés à des difficultés d'un autre ordre, les préjugés de leurs
familles
, l'op- position formelle de leurs ascendants, e
nt encore renchéri sur cette opinon : dans une statis- tique de 100
familles
de paralytiques généraux, com- prenant ,565 mem
éellement pro- voquer la maladie. En écoutant les confidences des
familles
, j'ai appris bien souvent que ces paralytiques,
ation maniaque tout à fait caractéristique : il fut retiré par sa
famille
après six mois de séjour. Y avait-il unrappoit t
Ce sont même les causes le plus généralement invo- .quées par les
familles
; leur action est lente, progres- sive. Mais que
Un frère et une soeur idiots. A plusieurs idiots et aliénés dans sa
famille
. Il y a douze ans, coups de sabre sur la tête.
mme soldat (il avait 21 ans), mais il fut bientôt renvoyé dans sa
famille
avec un certificat d'aliénation mentale. Devenu
pti- ques, de difformes, de criminels, de suicides, etc., dans la
famille
.] Mère, soixante-quatorze ans et demi, colorist
gements sur les grands-parents. Pas d'épileptiques, etc., dans la
famille
.] - Pas de consanguinité. Cinq enfants, quatre
aralysée consécutivement aune attaque d'apoplexie. Il n'y a dans sa
famille
ni aliénés, ni dif- formes, etc. Mère, quaran
-trois ans. Ni aliénés, ni épileptiques, ni suicides, etc., dans la
famille
]. -Pas de consanguinité. Deux enfants : 1° un m
e deux jours plus tard qu'il a été reconnu à Bercy par un ami de sa
famille
: il n'avait pu indiquer son adresse. - On s'ap
compte aucun ins- trumentiste parmi ses ascendants « mais toute la
famille
aimait « à chanter, nous écrit sa mère, et l'en
isque vous reconnaissez avec moi qu'en 1854 il se disait allié à la
famille
impériale. M. CHRISTIAN. Oui, mais cela n'a pas
début à cette affaire, dit-il, si j'y suis intervenu, appelé par la
famille
, c'est que déjà, dans une circonstance non moin
ent de la Chambre, on a pu jeter à tous les vents les secrets d'une
famille
cruellement atteinte, que si, sans pitié, on a
violences du langage, les me- naces contre plusieurs membres de sa
famille
, non moins que les exagérations vaniteuses, car
ment que dans le cas où l'excitation persisterait. Ce qui décida la
famille
de M. le baron Seillière à agir, ce fut à la fo
ert, Mahomet, puis moi. A chercher naturellement la filiation de ma
famille
récente, on trouvera que j'ai, pas très loin, u
ur le faire conduire à la campagne dans un château appartenant à la
famille
, entre cettemanière d'appré- cier la situation
nterlope dont il a été question dans les journaux. D'accord avec la
famille
, on préparait une installation dans un château lu
faits qui faisaient hésiter M. Falret, médecin traitant, auquel la
famille
avait confié le ma- lade, devantunemise en libe
que lorsque le train est sorti de la gare; il va à Munich dans une
famille
amie, et là on le voit inactif, inerte; rester
ur le développement ultérieur des soins donnés aux aliénés dans les
familles
à Ilten 1. Maintenant quatre- vingt-quatre alié
en 1. Maintenant quatre- vingt-quatre aliénés sont traités dans des
familles
soit à Ilten même, soit dans les villages envir
t dans les villages environnants. Jusqu'àprésent, on n'a confié aux
familles
que des hommes aliénés et pas plus de deux par
confié aux familles que des hommes aliénés et pas plus de deux par
famille
. Chaque nourricier reçoit annuellement 270 marks
-administratifs, p. g, SOCIÉTÉS SAVANTES. 297 qui conviennent aux
familles
. Jusqu'ici les expériences faites sur ce terrai
s expé- riences paraissent favorables quant à l'action des soins de
famille
sur les malades. La prochaine séance aura lieu
otons quelques propositions relatives au placement des malades : la
famille
a le droit de soigner un parent aliéné comme bo
accordée aux parents qui désirent l'élargissement de leur membre de
famille
interné dans une maison de santépublique ou pri
on; mais quand on vient violer le principe de l'inviolabilité de la
famille
, j'ai le droit de faire de l'obstruction, et j'
utre a trois filles et un garçon, également en bonne santé. Dans la
famille
, pas d'aliénés, d'épi- leptiques, 'de choréique
n 1882, épo- que où il fut ramené à Bicêtre sur les instances de sa
famille
. Il a parlé «en bégayant)), vers deux ans; il a
ents très curieux parce qu'ils confirment les détails donnés par la
famille
et nous permettent, en comparant les symptômes à
ieillards. Pas d'aliénés, d'épileptiques, etc., dans le reste de la
famille
.] Mère, quarante-sept ans, couturière, taille o
dépouiller, devait constituer en quelque sorte le grand conseil de
famille
des aliénés. L'article 54 du projet de la commi
vie humaine et de plus mystérieux au point de vue de la pudeur des
familles
. Il y a, messieurs, des familles qui ont un int
x au point de vue de la pudeur des familles. Il y a, messieurs, des
familles
qui ont un intérêt suprême - tout le monde, d'a
qui dévoilera ce qu'il y a de plus intime et de plus sacré dans la
famille
. Voilà pourquoi les hommes honorables et pratiq
s séquestrations et celui d'entrer dans cette intimité sacrée de la
famille
. Mais, messieurs, en ce qui touche l'éducation
s sacré encore que l'intérêt des enfants eux-mêmes, l'intérêt de la
famille
, celui de l'autorité paternelle ? Je suis frapp
ction, et l'on ne touchait pas, je le répète, à ce sanctuaire de la
famille
qu'on ne saurait trop res- pecter ! Les abus
t dire de mieux en sa faveur. (Brit. med. Journal, p. 157, 1887.)
Famille
DONT les individus ONT six doigts. (Six-fingered
ux de deux siècles, dû à John Smith Berkeley, il est question d'une
famille
de Slimbridge, dont tous les membres avaient si
viation conjugée (centre cortical de la), par Blanc, 411. Doigts (
Famille
dont les individus ont six), 455. , Enfants a
e, ni des congés. Ils contribuent à maintenir les liens entre les
familles
et leurs enfants et, comme ceux-ci y tiennent b
épartis : : XLVIII Améliorations diverses. enfants, et pour leurs
familles
il faire passer le tramway du Cllàtclet devant
avec la coqueluche qu'elle avait contractée durant un congé dans sa
famille
; trois autres enfants ont été prises successiv
S. SOI\I : 11RE. - Père, plagiocéphalie, aucun antécédent dans sa
famille
. Mère rhumatisante, névralgies intercostales, m
LES. Sommaire. Père, coléreux, renseignements insuffisants sur sa
famille
. - Mère, fortes convulsions à 18 mois ; chorée de
. Père, excès de boisson; pas d'autres renseignements sur lui et sa
famille
. Atëre, nerveuse. Grand'oncle maternel, bègue e
excès de boisson, sang endormi. Renseignements insuffisants sur la
famille
paternelle. Mère rien de particulier. Arrière-g
u service et sait très bien raser. Ce jeune homme pourrait vivre en
famille
et gagner sa vie. En raison de sa timidité, de
é, de son inexpérience de la vie ordinaire et de l'absence de toute
famille
, nous l'avons fait passer dans les divisions de
, nombreux excès de tous genres. Renseignements insuffisants sur la
famille
paternelle. - Mère, rien de particulier. - Gran
re paternelle morte paralytique. Renseignements insuffisants sur la
famille
paternelle. - Mère rhumatisante. - Grand-père m
s ; elle avait joui d'une bonne santé. - Aucun renseignement sur la
famille
maternelle du père de l'enfant. Un frère, bien
s cinq enfants qui n'ont pas eu de convulsions. Dans le reste de la
famille
on ne trouve aucun membre ayant présenté des ac
ux enfants qui n'offrent rien de particulier. - Dans le reste de la
famille
, il n'y a rien à signaler. - Pas de consanguini
ammation ni de calculs. Réflexions. I. Les renseignements sur les
familles
paternelle et maternelle sont trop insuffisants
ume plus. Pas de traumatisme sérieux. Caractère violent, coléreux. [
Famille
du père : Père, mort à 36 ans de tuberculose pu
veuse, a une fille bien portante, intelligente. Dans le reste de la
famille
, pas d'idiots, d'aliénés, d'épilep- tiques, de
lgie intense « tout tourne autour d'elle ». Pas de vomissements. [
Famille
de la mère : Père, 15 ans, briquetier, sobre, c
ente, mariée, a un fils normal, en bonne santé. Dans le reste de la
famille
, pas d'idiots, d'aliénés, etc.] Pas de consangu
uelles, la mère alors n'étant pas mariée et étant mal reçue dans sa
famille
. Accouchement à 7 mois 1/2 ; durée du travail 4
tres aliénés, pas d'épileptiques, ni d'autres sourds- muets dans la
famille
, etc.]. Mère, 29 ans, modiste. Pas de convulsio
tête « bien a-sise ». Pas d'accidents nerveux dans le reste de la
famille
. Pas d'autres bègues]. Pas de consanguinité. In
ac. Il n'y a pas de trace d'ac- cidents nerveux dans le reste de la
famille
. Mère, 45 ans, nerveuse, facile à irriter, colè
graves jusqu'à 11 ans. Pas d'accidents nerveux dans le reste de la
famille
]. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 15
eux, morte à 74 ans. Renseignements insuffisants sur le reste de la
famille
. Mère, 42 ans, ménagère. On ne sait si elle a e
67 ans. Pas d'autres mani- festations nerveuses dans le reste de la
famille
.] Consanguinité au 4° degré. Différence d'âge d
jamais été malade et a un enfant bien portant. Dans le reste de la
famille
, il n'y a ni paralyti- que, ni épileptique, ni
6 ans, « d'un diabète qui lui a duré deux ans. » Dansle reste de la
famille
, ni bègue, ni strabique, ni épileptique, ni par
configuration du crâne et de la face ont en quelque sorte un air de
famille
, qui ne laisse aucun doute sur la nature de l'a
ans accidents nerveux. Ni aliénés, ni épilep- tiques, etc., dans la
famille
, soit d'un côté, soit de l'autre. Pas de consan
xcès alcooliques : il rentre cinq ou six fois ivre dans l'année. [
Famille
du père : Père, mort on ne sait de quoi à 45 ans,
x sauf deux ou trois syncopes ; assez coléreuse, mariée à23 ans. [
Famille
de la mère : Père, mort il )'2 ans des suites d'u
J's (de mère) mortes jeunes de «convulsions». - Dans le reste de la
famille
aucune tare pathologique connue.] Pas de cons
autre tare neuro-arthritique, psychique, etc., dans le reste de la
famille
du père.] f Mère, 36 ans, cuisinière, puis conc
l'épilepsie. Aucun autre accident pathologique dans le reste de la
famille
de la mère.] Pas de consanguinité. Inégalité d'
s paternels et maternels : aucun renseignement. Dans le reste de la
famille
, aucune autre tare neuro-arthritique ou psychiq
, elle est nerveuse, irascible, mais n'a jamais eu d'at- taques. - [
Famille
de la mère. - Père, u7 ans, cultivateur, bien p
soeurs est rachitique, scoliotique. Rien déplus à signaler dans la
famille
de la mère.] . - , t Pas de consanguinité. Diff
e jeune âge et, à 13 ans, ces crises se renouvelant fréquemment, la
famille
de sa nourrice ne 'voulut plus le garder. L'Adm
voulut plus le garder. L'Administration le mit alors dans une autre
famille
, mais au bout de deux ans, on dut-lè retirer 22
aide. Ayant eu uno succession de 6 à 7.000 francs, il abandonna sa
famille
et par- tit avec la belle-soeur de sa femme. On
on ne sait de quoi. Aucun autre ren- seignement sur le reste de la
famille
.] Mère, 21 ans, blanchisseuse, grande, blonde,
dent ou symptôme somatique d'ordre nerveux méritant d'être noté. [
Famille
de la mère. - Père, 59 ans, corroyeur, alcoolique
ns, atteint d'hémiplégie gauche. - Aucun autre renseignement sur la
famille
de la mère.] Pas de consanguinité. Inégalité d'
euse. C'est un homme sobre, fumant très peu, d'un oaractère calme. [
Famille
du père. Père, mort à la suite de complications
é.- Aucun autre antécédent morbide et psychique dans le reste d3 la
famille
du père]. Mère, lingèrc, morte tuberculeuse à 4
e des règles. Jamais elle n'aurait eu d'autres accidents morbides. [
Famille
de la mère. - Père, 68 ans, cocher, sobre,- un
ose pulmonaire.-Aucun autre antécédent morbide ou psychique dans la
famille
de la mère.] . - Pas de consanguinité; père s
a douleur par les pleurs et les rires. Mais, malgré l'opinion de sa
famille
, les sentiments affectifs que nous avons pu obs
, violent même, il n'aurait jamais battu sa femme, ni ses enfants. [
Famille
du père. Père, maçon, 77 ans, bien portant, sob
e et l'autre est en bonne santé. Pas d'autres renseignements sur la
famille
du père.] , Mère, 35 ans, journaliers, tète p
ujours très bien portée et n'aurait jamais eu d'accidents nerveux. [
Famille
de la mère. - Père, enfant naturel, tailleur de
ffection bien définie. Aucun autre renseignement sur le reste de la
famille
.] Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 9
belleux, etc. Là aussi, les crânes ont, en quelque sorte, un air de
famille
. L'hy drocépha- lie occupe soit les ventricules
xcès. Fort et vigoureux il est actuelle- ment atteint de gravelle. [
Famille
du père. Père, mort à 83 ans, on ne sait de quo
ner des paris.' A part cela, rien de particulier à signaler dans la
famille
du père]. Mère, 27 ans, s'est mariée malgré la
lgré la grande différence d'Il- ge de son mari afin d'échapper à sa
famille
mal disposée pour elle. De 14 à 20 ans, elle fu
se, impressionable et pleure facilement. Elle paraît intelligente. [
Famille
de la 7zzèz'c. -Père , mort tuberculeux, a eu d
eux enfants. A part ces renseignements, rien de particulier dans la
famille
de la mère]. Pas de consanguinité. Inégalité d'
consécutifs. Il est sobre, doux avec les siens, mais un peu vif. - [
Famille
du père. Père, 81 ans, très bien portant, sobre
15 jours. Aucune tare, ni indice neuropathique dans le reste de la
famille
du père.] Mère, 43 ans, couturière, a été penda
elle répond nettement il toutes les questions que nous lui posons. [
Famille
de la mère. Père, 73 ans, était bien portant qu
e, n'a jamais eu de mala- dies vénériennes, ni de dermatoses, etc. [
Famille
du père. Père, mort à 51 ans, à l'hôpital Cochi
ent pathologique ou psychique intéressant connu dans le reste de la
famille
du père.] . Mère, 27 ans, bonne santé, intellig
re, 27 ans, bonne santé, intelligente sans antécédents ouspecte. - [
Famille
de la mère. Père, 50 ans, sobre et bien Antécéd
yant jamais eu, dit-on, de convulsions. Aucun autre détail sur la
famille
de la mère.] Pas de consanguinité. Inégalité d'
assez sombre mais n'est pas méchant et mène une vie régu- lière. [
Famille
du père. Père, enfant naturel, 61 ans, scieur d
cousins n'ont eu de con- vulsions. Aucun autre renseignement sur la
famille
du père.] ] Mère, 27 ans, brune, grande, phys
de crises convulsives. Étant jeune elle était sujette à la gourme. [
Famille
de la mère. Père, mort en 1871, devenu brusquem
ont pas d'accidents mentaux. Aucune autre tare pathologique dans la
famille
de la mère]. Consanguinité. Le mari et la femme
mais présenté d'accidents nerveux. 300 IITDRO-SCAPHOCI·.PHALI1;. [
Famille
du père : Père, mort du choléra, était sobre. M
cun antécédent neuroarlhriti- que, psycliopathique ou autre dans la
famille
du père.] Mère, 40 ans, femme do ménage, aupara
e, possédant une bonne santé, n'a jamais eu de troubles nerveux. [
Famille
de la mère : Père, sobre, calme, mort écrasé par
x saurs bien portantes. Pas d'antécédents nerveux ou autres dans la
famille
de la mère.] Pas de consanguinité (père du Mans
la migraine. Absolumentrien de suspect dans sa santé antérieure. [
Famille
du père. Père, journalier, sobre ; il mourut à
gnaler de suspect au point de vue pathologigue et psychique dans la
famille
du père.] 308' Hydrocéphalie symptomatique. M
ière, physionomie régulière, intelligente ! n'a jamais été malade. [
Famille
de la mère. - Père, ajus- teur, enfant naturel,
Aucun autre accident pathologique, ni psychique dans le reste de la
famille
de la mère.] Pas de consanguinité. Inégalité d'
es personnes qui devraient les éduquer. I'eti..., peu soigné par sa
famille
, n'a appris à marcher qu'à 4 ans, tandis que la
u raisonnement sommaire qui fait que le jeune homme reproche à sa
famille
la prolongation de son interne- ment. Les senti
rnelle, morte enfant de convulsions. - Têtes volumineuses dans la
famille
du père ( ? ). Mère, convulsions à 18 mois, fiè
thésique, ni professionnelle. Il est cal- me, sobre, bien portant. [
Famille
du père : Père : ivrogne, mort à l'hôpital Sain
. Aucun renseignement sur les grands parents, ni sur le reste de la
famille
.] Mère, 33 ans, fleuriste, a eu à diverses repr
u père de l'enfant, tout le monde avait la tête fort grosse ( ? ). [
Famille
de la mère. -Père, 60 ans, bien portant, mais v
e antécédent pathologique, ni psy- chique connu dans le reste de la
famille
de la mère]. Pas de consanguinité. (l'ère des V
soigne, mais en parlant des autres elle dit : «Je m'en moque». Sa
famille
parait jusqu'alors avoir cédé à tous ses caprices
actuellement la tenir sévèrement. Les sentiments affectifs pour sa
famille
sont poussés très loin par elle; elle regrette
. A part cela, il était bon ouvrier, intelligent et travailleur. [
Famille
du père. -Père, charretier, mort écrasé à 63 ans,
lier au point de vue neuropathique et psychique dans le reste de la
famille
du père.] Mère, 53 ans, couturière, femme très
ui, elle est blonde et a le front haut et bombé. (Fig. 62 et 65) [
Famille
de la mère. Pè7'e, mort à 67 ans d'un « asthme »
e dernier serait né à la Salpêtrière. Aucun détail précis sur cette
famille
, avec laquelle les parents de notre malade n'on
et écrire. Aucun autre antécédent pathologique ou psychique dans la
famille
de la mère.] Six enfants : 1° un fils, né d'un
prix à l'école. Voici les mensurations actuelles de sa tête : 344
Famille
d'hydrocéphales. légères. Récemment, durant 5 m
anque d'égards et la froideur presque hos- tile qu'il témoigne à sa
famille
. Il répond par des « hum ! » 352 Observation.
ne homme est aigri, de méchante humeur, mal disposé à l'égard de sa
famille
. Il sem- ble que la vanité et la fatuité, ordin
intelligent, bien portant. Aucune tare n'a été constatée dans sa
famille
. - Mère, 37 ans, en bonne santé; elle n'est pas
ans, en bonne santé; elle n'est pas nerveuse et prétend que dans sa
famille
aucune affection ou tare héréditaire n'a été si
tres et concerts de Paris ; le con- cert du 25 mars organisé par la
famille
Just-Lam- berty ; une séance de prestidigitatio
ils ont des permissions de sortie et des congés, sur la demande des
familles
, à toutes les époques de l'année. - (2) C'est-à
es Enfants-malades, soit à l'hôpital Trousseau (2). (Il Ce sont les
familles
dee enfants. \Ier..., \Iul... et Bon ? A la Fonda
ee enfants. \Ier..., \Iul... et Bon ? A la Fonda- tion Vallée trois
familles
se sont trouvées dans le même cas Délie... Delcou
nombre de 6.100. Ces chiffres témoignent de la solli- citude des
familles
envers leurs malheureuses enfants. Il semblerai
s de plus de cinq jours, parce que le séjour des enfants dans leurs
familles
se prolongeant, il est moins facile de les fair
on de ces classes spéciales, dans l'intérêt des enfants, de leurs
familles
et clos linances du département. A notre avis,
améliorés et qui, par conséquent, pour- raient être rendus il leurs
familles
avec ou sans secours mensuel et être envoyés da
n enfant anormal, trop souvent ne sachant que faire, ils disent aux
familles
: « Attendons, à sept il surviendra une amélior
tonnant puisqu'on n'a rien fait dans ce but. Aux observations des
familles
, le médecin répond : « Soyons patients, il est pr
ement, il l'ac- quitte et le rend, suivant les circonstances, il sa
famille
ou l'envoie dans une maison de correction. Si,
essaires pour enrayer le mal. Une bonne part de ce mal provient des
familles
, de l'hérédité d'abord, des habitudes alcooliqu
, des habitudes alcooliques ensuite, et aussi de l'indifférence des
familles
qui ne surveil- lent pas leurs enfants, les lai
un enfant qui a eu des convulsions en nourrice. Dans le reste de la
famille
aucun antécédent névro ou psychopathique, ni ch
orée. Aucun antécédent morbide dans Antécédents..5 le reste de la
famille
de la mère et, entre autres, aucun cas de choré
ble assez sobre, fume peu. Il est d'un caractère un peu emporté. - [
Famille
du père. Père, 66 ans, cultivateur très sobre,
nt psychopathique, ni diathésique bien constaté dans le reste de la
famille
du père.] Mère, 30 ans environ, toujours bien p
mal. Elle s'est mariée il ,23 ans. - Migraines assez fréquentes. [
Famille
de la mère : Aucune tare ne saurait y être signal
culose généralisée. Réflexions. I. Cette enfant n'est pas d'une
famille
à antécédents pathologiques nombreux. Les convu
mphatisme. Ni aliénés, ni suicides, etc., etc., dans le reste de la
famille
.] Mère, 'il ans, autrefois cuisinière, maintena
leptiques, de paralytiques, de difformes, etc., dans le reste de la
famille
.] Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge d'un
père alcoolique. - Ren- seignements insuffisants sur lui et sur sa
famille
. - Mère nerveuse. - Grand-père maternel, excès
ps en temps. Elle ne peut donner d'autres détails sur lui ni sur sa
famille
. Mère, 32 ans, domestique, brune, grande, physi
» et bossu. - La mère dit qu'il n'y a pas eu d'autres tares dans sa
famille
ni de tuberculeux.] Pas de consanguinité (le pè
iol...., née le 24 octobre 1885. Renseignements insulfisants sur la
famille
. Accouchement normal ; pas d'asphyxie. L'enfant
curables, bien à tort; on donne quelques paroles de consolation aux
familles
: on leur laisse espérer qu'à 7 ans,- (si l'enf
n temps, douleurs articulaires ne nécessitant jamais l'alitement.
Famille
du père. Père, grand buveur de vin et de rhum,
outes mortes en nourrice, on ne sait de quoi. Dans le reste de la
famille
du père, pas d'aliénés, ni d'épileptiques, ni bèg
urs; BOURNEVILLE, Bicêtre, 1898. 5 66 Manie DE l'adolescence. -
Famille
de la mère. Père, cultivateur, mort à l'àge de 60
arrhée ; pas de convulsions chez aucun d'eux. - Dans le reste de la
famille
, rien à signaler, ni idiots, ni aliénés, ni épi
sse de la mort, s'imaginant voir mourir les uns ou les autres de sa
famille
. Puis elle commen- ce, vers la mi-févricr, à de
personne qui l'appro- che en la couvrant d'injures. La vie dans la
famille
devient intenable et les parents se décident à
lait. Elle nie avoir joué avec des garçons. Sur les instances de la
famille
, nous signons la sortie, en leur recommandant d
nte d'être enceinte. Manie; guérison. 77 7 \ 15 nouembre. -- La
famille
nous ramène Cél.... L'améliora- tion persiste.
tions rhumatismales, d'ailleurs lé- gères, différents membres de sa
famille
ont offert des tares plus ou moins graves : le
tre, chez les alcooliques, deux cas cle cancer du pylore. Dans la
famille
maternelle, ce qui domine, c'est le rhumatisme,
Pas d'aliénés, ni de nerveux, ni de bègues, ni de ticqueux dans la
famille
paternelle. Mère, quarante-cinq ans, bien porta
'aurait pas eu de convulsions. - Pas d'autres renseignements sur la
famille
maternelle. Pas de consanguinité. - Inégalité
rès grossier ; il fait des menaces de mort à tous les membres de sa
famille
: « Demain, vous ne vous réveillerez pas tous,
nt sort il l'occasion du mardi-gras, il est resté dix jours dans sa
famille
; n'a eu ni l'ombre d'une crise, ni la moindre v
se suicider, de tuer 92 Traitement médico-pédagogique. les de sa
famille
, sans qu'il y ait une tentative vraiment sérieu
L ET NOllt. Sommaire. Enfant assislé : aucun renseignement sur sa
famille
et sur ses antécédents personnels. Description
s l'entant était soignée dans 112 Épidémie de fièvre typhoïde. sa
famille
, et le traitement n'a pas toujours été appliqué a
rte en naissant. Pas d'autres renseignements sur le restant de la
famille
.] Mère, 35 ans, s'occupe des soins du ménage. I
eur morte de la coqueluche à un âge peu avancé. Dans le reste de la
famille
pas d'idiots, d'aliénés, d'épileptiques, de dif
en 1898, avec toute sa connaissance. si On vit vieux dans les deux
familles
. » (Renseignements donnés en 1890). 124 Epidé
nite généralisée consécutive à une appendicite. . SOMMAIRE, - Père,
famille
du père, rien de particulier. . Mère bien porta
Père, famille du père, rien de particulier. . Mère bien portante. -
Famille
de la mère tuberculeuse : . père, mère, frère e
issons ; pas d'accidents rhumatismaux, ni d'affections cutanées. - [
Famille
du père. - Son père est mort tige, sa '1lIè1'e
s ni de douleurs rhumatismales, ni d'affec- tions cutanées, etc. - [
Famille
de la mère. - Père mort il h9 ans de tuberculos
t. Ne fume pas. Pas de rhumatismes, pas de syphilis probable. [Sa
famille
. - Père, cultivateur, mort h 71 ans; peu de ren
morts très jeunes. Pas d'autres renseignements sur le reste de la
famille
.] Mère, 'il ans, porteuse de pain. Pas de convu
isage très coloré, physionomie fran- che, assez intelligente. [Sa
famille
. - Père, inconnu. Mère, morte à 54 ans ; Hydroc
uf ans, elle n'a pu laisser à sa fille aucun renseignement sur sa
famille
.] Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 13
ommeil est calme, on n'a pas observé de tendance à l'onanisme. Sa
famille
n'a. jamais cherché à l'instruire ni même à l'édu
ment. - Organes génitaux sains. Réflexions. I. Rien à noter dans la
famille
Cas suivis DE décès. 163 paternelle, excepté
raient disparu sous l'influence cle fièvres intermittentes. Dans sa
famille
, sur laquelle les renseignements font défaut, n
plu- sieurs mois, il nous a été possible de rendre l'enfant à sa
famille
(2). III. Sur les seize malades du service, qua
ui en a été victime avait, en juillet, passé quelques jours dans sa
famille
qui habite le Kremlin, nous avons pensé qu'il a
in germain maternel pied-bot. Plusieurs cas de gémella1'ité dans la
famille
de la mère. Soeur, morte de convulsions. - Frèr
, achat de trousseau sans autorisation, idées de s'éloigner de sa
famille
. - Se place lui-même à-plusieurs reprises et quit
a Belle-Jardinière un trousseau avec l'idée de se placer hors de sa
famille
. Trouve lui-même une place à Issy dans une épic
rt même d'expressions grossières. Au lieu d'aller chez un ami de la
famille
qui devait le moraliser et chez lequel il devai
des. Le 2'juin (1895), Edouard emprunte 40 francs iL un ami de la
famille
et part pour le Havre. De cette ville, il redeman
ier revient en toute hâte il Paris, va trouver le boulan- ger de la
famille
auquel il emprunte 30 francs et file à Joinvil-
beaucoup, se cache pour satis- faire sa passion. Après un voyage en
famille
où il se montre par intervalles très excité, il
s et multiples, vol d'argent à son père, emprunts à. des amis de la
famille
, gros- sièretés, fugues, etc). C'est dans cet é
e, sans démence ; elle 2; eu deux jumelles (Pas d'autre cas dans la
famille
). - Un oncle et deux tantes~paternels, ainsi qn
ne saurait dire s'ils ont eu des convulsions. - Dans le reste de la
famille
, on ne con- naît aucune espèce de tare, ni alié
sujette il. des migraines. lîibn de particulier dans le reste de la
famille
.] Pas dé consanguinité. - Inégalité d'âge de 13
'interpellait vivement, elle restait indifférente. Le médecin de la
famille
a cru un moment qu'elle était sourde. Le sommei
aéclilé est peu chargée, au moins d'après ce que nous savons sur la
famille
. Du côté paternel, nous relevons; quelques excè
rects. Une enquête minutieuse devra donc éclairer l'expert sur la
famille
du-prévenu. De nos six malades, un était enfant
situation de fortune relativement considérable pour un paysan : sa
famille
possédait une centaine de mille francs en propr
oint de vue intellectuel et moral. Enfin, à l'époque des crimes, la
famille
de Mer... avait remarqué chez lui un caractère
nt abandonné, élevé par l'hospice de Dijon; on ne savait rien de sa
famille
. Tous les maîtres qu'il avait servis étaient un
gereuses, et est sorti le 26 sep- tembre 185 ? sur la demande de sa
famille
. Il fut réintégré le 12 septembre 1857, à la su
futile. Ou ne possède aucun renseignement sur ses antécédents de
famille
. Son père, ancien gendarme, était mort au moment
ce jeûne, elle commença à s'éloigner avec dégoût de la table de la
famille
, et à rejeter avec répu- gnance les meilleurs m
e ne pouvait, sans de grands dommages, abandonner les soins de sa
famille
. Sur l'ordre du juge, les mêmes personnes qui l'a
engagent les intérêts éternels de l'humanité, de la société, de la
famille
, une loi qui touche aux questions les plus élev
lance les droits sacrés de la liberté, les égards que l'on doit aux
familles
et les garanties non moins précieuses de la soc
decins, de ven- geance pour les gouvernements, de cupidité pour les
familles
. Enfin, un journal français des plus sérieux ré
ec hardiesse que les services qu'elle a rendus aux aliénés, à leurs
familles
, à la société, sont aussi nombreux qu'incontest
possible de le faire, les malades et leurs biens, la société et la
famille
. Tel est le but du projet de la commission au n
tion de le priver de sa liberté, de l'éloigner de la société, de la
famille
et des milieux où son mai a pris naissance; de
n chambre du conseil, déci- sion qui n'excite pas la répugnance des
familles
, qui s'obtient rapidement, simplement et sans l
s les campagnes, en- fermes dans des prisons, séquestrés dans leurs
familles
, objets de SÉNAT. 1 43 dérision ou de mauvais
nd les circonstances l'exigent, de pénétrer jusque dans le sein des
familles
. Pour faciliter leur admission dans les asiles,
ils sont réel- lement criminels et qu'ils excitent la répulsion des
familles
; les seconds, parce que, tout irresponsables qu
uppor- tées exclusivement par les départements, les communes, les
familles
, tandis que l'Angleterre, en laissant l'Ecosse à
aliénés français. Nous en avons vu à Gheel qui appartenaient à des
familles
considérables de notre pays. Nous en avons trou
. La loi de 1838 ne s'inquiétait pas des aliénés traités dans leurs
familles
; la surveillance de l'Etat sur les asiles priv
vives'objections. Est-il juste d'ajouter encore à l'infortune d'une
famille
qui a le malheur d'avoir un aliéné parmi ses me
a' charge d'un nouvel impôt ? Cet impôt serait perçu sur toutes les
familles
sans exception, qu'elles soient riches ou pauvr
Comment ! il faudra payer un impôt parce qu'on a un aliéné dans sa
famille
! Je ne pense pas que cela soit juste, je ne croi
ent plus de respon- sabililité, plus d'intelligence qu'aux pères de
famille
, qu'aux mères de famille, qu'aux frères ou aux
ilité, plus d'intelligence qu'aux pères de famille, qu'aux mères de
famille
, qu'aux frères ou aux soeurs ? Mais vous n'y avez
able. (Très bien ! 1 à droite.) Vous n'avez pas confiance dans la
famille
! Vous me parlez d'in- convénients ; mais où n'
nvénient. Enfin, pourquoi ne voulez-vous pas vous en rapporter à la
famille
; qui est, en définitive, le meilleur gardien de
langue du droit, un incident contentieux. Toutes les fois que des
familles
, toutes les fois que des tiers, dans un intérêt
s'il ne le faisait pas, il respectait en définitive la liberté des
familles
. Vous le forcez maintenant à agir, vous ouvrez
us faites porter quelquefois 164 SÉNAT. sur les antécédents de la
famille
; mais c'est effroyable, cela, messieurs ! Tou
peu conforme à l'é- quité, puisqu'il s'agirait de faire payer à des
familles
malheu- reuses une taxe frappée en quelque sort
e malade ne pense pas qu'il y ait eu des maladies nerveuses dans sa
famille
. Il dit avoir toujours été bien portant pendant
éveloppement de la moelle. Govvers (1880) rapporte l'histoire d'une
famille
de neuf enfants dont cinq malades. La thèse ina
. La loi actuelle en effet ne touche en aucune façon au droit de la
famille
, 256 SOCIÉTÉS SAVANTES. - de la police de fai
ernière séance que nous y avons vu des Fran- çais appartenant à des
familles
très notables de notre pays. Mais je dois ajout
de qui existe dans les éta- blissements publics au point de vue des
familles
et de l'Etat doit exister également, dans les é
raité, même seul, à moins que le tuteur, autorisé par le conseil de
famille
à se charger du traitement, l'un des ascendants
e tuteur » je propose d'ajouter ceci : « autorisé par le conseil de
famille
à se charger du traitement ». Voici quel a ét
ent être soignés par le tuteur, avec l'autorisation du conseil de
famille
. Alais il pourrait se faire aussi que le tuteur,
e le soigner dans son domicile ou en dehors, sans que le conseil de
famille
eût été consulté. Il me parait que les deux c
projet 'de loi au cas où l'on se trouve en présence d'un conseil de
famille
prévenu de la maladie et autorisant le traiteme
les caractères de sa miladie et l'état de sa fortune, le conseil de
famille
pourra arrêter qu'il sera traité daus son domi-
C'estévidemmentau premier de ces trois cas, celui où le conseil de
famille
a autorisé le tuteur à faire soigner le malade da
'au mot « tuteur » on ajoute ceux-ci : « autorisé par le conseil de
famille
à se charger du traitement ». Voilà pour le pre
e de l'ar- rondissement du domicile de cette personne. » Il y a des
familles
dans lesquelles il peut y avoir des malades. On
la République et amener ainsi une surveillance, au sein même de la
famille
, des soins qui peuvent être donnés au membre de
de la famille, des soins qui peuvent être donnés au membre de cette
famille
! Pour ma part, je crois que cette disposition va
ir une formalité qui peut répugner et qui répugnerait à beaucoup de
familles
, et, d'un autre côté, je ne vois aucune sanctio
pliquent pas le moins du monde aux malades qui sont soignés dans la
famille
proprement dite, par les proches parents dont on
'est celle de la situation de l'aliéné qui sera traité soit dans sa
famille
, soit par un étranger, dans le cas qu'indiquait,
question qui se pose est celle de savoir si l'aliéné traité dans sa
famille
sera soumis à la surveillance et au contrôle de
asiles publics : c'est dans les asiles privés et surtout dans les
familles
que ces abus se commettent. (Très bien ! très bie
e toute l'attention du Sénat. Je crois qu'à côté des droits de la
famille
il y a le devoir de l'Etat. Le devoir de l'Etat e
surveillance sur tout aliéné, alors même qu'il serait gardé dans sa
famille
par ses proches parents. M. DELSOL. Votre avis
des aliénés dans ces pays. Signalons les soins des aliénés dans des
familles
en Ésosse, moyennant 6 à 7 shi- lings par semai
euse; par KREUSER. Le Dl Kreuser rapporte l'histoire clinique d'une
famille
qui fournit un curieux exemple de folie communi
à faire prier ses paieu'ls avec elle. Au bout de quelque temps, la
famille
ferma portes et fenêtres, et tous s'assirent au
nts sont adjoints aux membres du bureau pour former le con- seil de
famille
. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE 319 Bromure DE magn
tiques, pas de difformes, pas de suicides, pas de criminels dans la
famille
.] Mère, cinquante six ans, brune, de taille moy
quante ans, elle aurait guéri). Pas d'autres aliénés, etc., dans la
famille
.] Pas de consanguinité. Deux enfants du second
énés, pas d'épi- leptiques, ni d'autres paralytiques, etc., dans la
famille
.] Mère, quarante-quatre ans, châtaine, bien por
re est en bonne santé. Pas d'autres aliénés, suicidés, etc., dansla
famille
]. Pas de consanguinité. , DE l'épilepsie PROCUR
e le 18 juillet 188... par hasard, appelé par un autre membre de sa
famille
. Il est considéré comme sourd par son entourage
rcer ma voix ; quand j'adresse la parole aux membres présents de sa
famille
, F... ne me comprend pas ; il est incapable de
labes des mots que je lui adresse, et aussitôt je m'aperçois, et sa
famille
est tout étonnée de constater comme moi, qu'il
logique notable, soit personnel, soit héréditaire. Marié et père de
famille
; ses enfants au nombre de trois, tous vivants,
cuisine, coud et tricote. A la mort de son père, il s'éloigne de sa
famille
pour suivre en qualité de domestique un M. G...,
ion. M. Seglas donne la description de l'arbre généalogique d'une
famille
de déséquilibrés dont tous les membres, jusqu'à l
les asiles d'aliénés infirmes et le traitement des aliénés dans les
familles
qui déchargent d'autant les asiles ordinaires.
près Glasgow, qui entraîna la mort du malade et les plaintes de sa
famille
, le juge de paix menaça l'établissement de fair
illièmes pourront être traités ad libitum dans un asile ou dans les
familles
. M. S1ElrERLING. A l'asile de Morniugside près
à raison de l'extension donnée au traitement des aliénés dans les
familles
. M. SANDER. Coups d'oeil et échappées sur l'ass
upporter par l'Etat des charges que la loi a imputées au compte des
familles
, des communes et des départe- ments. Les décl
ui exige que ce tuteur soit spécialement autorisé par le conseil de
famille
. La commission a accepté ce complément. C'est u
ité, même seul, à moins que le tuteur, autorisé par le conseil de
famille
à se charger du traitement, le conjoint, l'un des
te, selon moi, et une atteinte grave encore poitée aux droits de la
famille
. C'est sur ce point que je voudrais appeler l'a
mmission porte une atteinte, et une atteinte grave aux droits de la
famille
, c'est dans l'article 7, et c'est sur ce point
tes, quels en seront les degrés de gravité. Et par-eela même qu'une
famille
, cédant à des idées que l'on comprend parfaitem
eillance de l'administration, et vous allez obliger un membre de la
famille
, car c'est peut-être un membre de la famille ou
bliger un membre de la famille, car c'est peut-être un membre de la
famille
ou un ami intimement lié avec elle à faire la d
Vous portez là une atteinte et une atteinte grave aux droits de la
famille
, aux droits du père de famille. Ah ! je compr
une atteinte grave aux droits de la famille, aux droits du père de
famille
. Ah ! je comprends que vous interveniez efficac
peut pas intervenir sans porter une atteinte grave aux droits de la
famille
. Que se passe-t-il, en effet, jour- nellement ?
es vérités saisis- santes en ce qui concerne la possibilité pour la
famille
de confier momentanément à un de ses membres ou
veillance de l'administration, et doit rester dans le domaine de la
famille
. Aussi, lorsque je me suis reporté à toutes les
mentale n'est pas constaté par deux médecins désignés, l'un par la
famille
ou les personnes intéressées, l'autre par le ju
iéné ne menace pas la sécurité publique; qu'il n'est, au sein de la
famille
, l'objet d'aucune préoccupation de ce côté; lorsq
ulez-vous que le législa- teur intervienne au mépris du droit de la
famille
? (Très bien ! ) Abordons maintenant le texte p
et de la commission lorsqu'il s'agit d'apprécier les pouvoirs de la
famille
. A cette rédaction de la commission venant dire
nt pas manifestés, tant que tout s'est passé dans l'intérieur de la
famille
, qu'il n'y a de menaces pour la sécurité de per
peut être malade mais qui peut être traité sans bruit au sein de sa
famille
ou chez un ami,je ne comprends pas l'interventi
que nous trouvons dans l'article 8 qui limiterait les droits de la
famille
, et c'est parce que j'admets cette restriction
ans lequel je ré- serverais d'une manière générale les droits de la
famille
. un aliéné est traité dans une maison avec néce
épart d'un projet de loi quelconque un esprit de défiance contre la
famille
? ... Mais alors, renversez complètement notre
utes les dispositions qui se trouvent au titre du code civil sur la
famille
; dites qu'il ne faut pas en tenir compte ! Il y
estables attachés à la puissance paternelle, à l'intervention de la
famille
dans la composition du conseil de famille, et dan
e, à l'intervention de la famille dans la composition du conseil de
famille
, et dans les mesures à prendre pour sauvegarder
Je dis que nous devons respecter ces principes fondamentaux de la
famille
et que tant qu'ils resteront la base de notre org
st sou- SÉNAT. 451 mise à la discussion a pour effet de placer la
famille
sous la sur- veillance de l'administration quan
né chez elle. On dit : c'est une atteinte portée à la liberté de la
famille
, il faut des cas graves, des raisons sérieuses
de justifier cette mesure exorbi- tante qui consiste à soumettre la
famille
au contrôle, à la sur- veillance de l'administr
u'il convient de faire au sujet de l'aliéné gardé et traité dans sa
famille
, j'aime à croire qu'aucun de ceux qui m'entendent
aise a apportés à cette tribune. Ce qu'il a dit du sanctuaire de la
famille
, du droit pour elle de garder dans son sein, à
e exception, mais elle impose à l'autorité publique d'abord et à la
famille
elle- même des obligations dont il faut bien re
e à altérer les sentiments naturels dont ils sont l'objet dans leur
famille
. Si l'aliéné est en proie à un délire violent,
lent trop souvent, et c'est ainsi que le séjour de l'aliéné dans la
famille
, funeste à l'aliéné parce qu'il est presque tou
de l'expérience. Il n'y a pas de traitement de l'aliénation dans la
famille
; les efforts soutenus pour la main- tenir dans
qu'il est maintenu par les siens dans les conditions de la vie de
famille
. Je n'ai pas besoin d'ajouter combien est plus tr
ux sévices de la séquestration arbitraire, l'aliéné appartenant aux
familles
les moins favorisées parla fortune. Pour tous, le
estrictives que l'on reproche à celle-ci à l'égard des droits de la
famille
à maintenir les aliénés dans son sein, en dehor
contraire qu'il est bon, non seulement pour l'aliéné, mais pour la
famille
elle-même, que l'oeil de l'autorité publique pé
ètement opéré. Nous ne demandons pas de pénétrer dans le sein des
familles
au début même du mal, et nous comprenons très bie
qu'il a empruntée à M. le doc- teur Blanche. Nous savons que les
familles
riches peuvent aisément entourer de toute espèc
proche parent ; mais nous n'a- vons pas affaire exclusivement à des
familles
opulentes; nous avons affaire, malheureusement,
us avons affaire, malheureusement, et en très grand nombre, à des
familles
pauvres ou voisines même de l'indigence, et nous
auvres ou voisines même de l'indigence, et nous savons que dans ces
familles
il n'y a pas moyen de donner aux aliénés des so
, ce n'est pas de pénétrer dès les pre- miers mois dans le sein des
familles
pour imposer lessoinsqu'on ne réclame pas. On l
élai. On suppose que pendant un délai de trois mois les soins de la
famille
n'ont pas pu rendre la santé à l'aliéné séquest
par ce fait, que l'a- liéné se trouve renfermé dans la maison de la
famille
ou dans celle d'un ami de la famille, quelle ob
renfermé dans la maison de la famille ou dans celle d'un ami de la
famille
, quelle objection à faire à la séquestration d'
squ'il y apla- cement volontaire, c'est-à-dire sur la demande de la
famille
, le doute peut se présenter. Quand une famille
sur la demande de la famille, le doute peut se présenter. Quand une
famille
ne peut garder, loger et faire soigner chez ell
bjection qui porte sur la distinction qui est faite en faveur de la
famille
. Nous ne portons aucune espèce d'atteinte aux d
a famille. Nous ne portons aucune espèce d'atteinte aux droits delà
famille
; nous lui laissons, pendant trois mois, le droi
après le rapport qui lui est fait, s'il se trouve en présence d'une
famille
qui peut soigner et qui veut le faire, ou bien
é de prendre une sauvegarde contre les séquestrations faites parles
familles
. Maintenant, faut-il ajouter que la pensée du G
sés à domicile - et ce sera le cas, justement, des aliénés dans les
familles
pauvres, - ceux qui restent sans traitement uti
ctère. Il est plus affectueux et il se réjouit à présent de voir sa
famille
, et de passer quelques jours avec elle. Fig.
mot les leçons de choses. Puis nous parlons à nos élèves de leur
famille
et leur présentons successive- ment les mots :
de sortie et des congés. Visites, congés. LXX\'l1 des visites des
familles
, des permissions de sortie pour la journée et d
ole plus supportable et contribuent à maintenir les liens entre les
familles
et leurs enfants. Nous avons insisté auprès de
s avons insisté auprès de l'Administration pour qu'elle exige des
familles
qu'elles fassent rentrer exactement les enfants
r exactement les enfants à l'issue de leur congé. Les visites des
familles
au parloir ne sont pas sulli- samment surveillé
ils ont des permissions de sorlie et des congés, sur la demande des
familles
, à toutes les époques de l'année et qu'ils ont de
dirigés sur l'une des sections d'adultes, 28 ont été rendus à leur
famille
, guéris ou améliorés ou Thymus et glande thyroï
t d'aider leurs parents dans le travail qui est le gagne-pain de la
famille
, 'pourraient être donnés comme modèles aux autr
ns les asiles ou quartiers d'hospice de la Seine, la remise à leurs
familles
, après avis du médecin chef de service, des enf
e jour, par laquelle le Conseil général, afin de ne pas obliger les
familles
bénéficiaires de la mesure a sortir de Paris, a
premier. Des secours de t fr. 50 à 2 francs à allouer par jour aux
familles
des enfants idiots ou arriérés, dans les condit
déci- sion préfectorale. A 11'1'. 2. - La remise des enfants aux
familles
sera effectuée par le directeur de l'asile sur
nés, au moins une fois par mois, à des jours et heures indiqués aux
familles
par le directeur de l'asile Clinique (Sainte-An
a visite do M. le docteur Magnan, qui déli- vrera un certificat aux
familles
. - Les secours seront payés la sortie de celle
, une indemnité de 100 francs par mois. Art. 7. - Les secours aux
familles
et l'indemnité au méde- cin visiteur seront ord
1 ? du budget départemental. ART. 8. - Les enfants repris par leurs
familles
ne pourront figurer de nouveau au décompte des
quelques-uns des services d'enfants, et faire face aux demandes des
familles
, M. le (le la Seine, clans la lettre suivante,
t 18't. Le système adopté à celte époque consistait à allouer aux
familles
, qui. sur avis conforme du médecin chef de ser-
étaient amenés une fois par mois à des jours et heures indiqués aux
familles
par le Directeur de l'asile Cli- nique au burea
une indemnité variant entre I franc et I fr. 50 serait accordée aux
familles
des enfants repris. Il y a lieu de prévoir qu
édit de 50.000 francs, ayant pour objet l'allocation de secours aux
familles
se trouvant dans les con- ditions susénoncées.
ltes peuvent être effectués directement ; c'est aux médecins et aux
familles
il en profiter plus libéralement ; c'est à nos
admettant facilement, en prévenant les Secours a domicile. clxxv
familles
des malades auxquels ils signent le certificat
rté des placements volontaires, était d'éviter aux malades et aux
familles
le passage par l'infirmerie du dépôt avec ses d
ttaient de tenir compte, dans une certaine mesure, des désirs des
familles
habituées il venir visiter depuis longtemps leu
ys. Ces classes permettraient non seulement de maintenir dans leurs
familles
, tout en les soumettant au traitement médico-pé
isés et qui sont suffisam- ment améliorés pour être rendus il leurs
familles
, avec ou sans secours. Par la, on aurait encore
ainsi les charges de l'assistance en mainte- nant l'enfant clans sa
famille
, en resserrant les liens entre la famille et le
nant l'enfant clans sa famille, en resserrant les liens entre la
famille
et les enfants. En procédant de la sorte, on fe
pe de malades de 17, 18 ans et davantage pouvant être rendus à leur
famille
moyennant un. secours mensuel analogue à la pen
ngereuses, pouvant parfois même être relativement utiles dans leurs
familles
. Il s'agira toujours d'une question d'espèce; i
la présence, en quelque sorte constante, de l'un des membres de la
famille
. Nous estimons que les malades ainsi secourus
si considérable ct n'entraînait pas des dépenses sérieuses pour les
familles
, nous pen- sons qu'il y aurait plus d'avantage
i ceux les moins visités, de façon à tenir compte des habitudes des
familles
. Je vous prie de donner des instructions dans c
erait .s01'- tir de l'asile pour qu'ils soient gardés clans leurs
familles
, uu bien s'il doit également servir il distri-
disposition. Le sedum acre est une petite plante charnue, de la
famille
des Crassulacées, qui croit communément dans no
es accès de colère. Il n'y a aucun exemple de tuber- culose dans la
famille
. Ses trois soeurs, âgées de 28, 20 et 18 ans, «
n portant, grand et vigoureux ; très sobre, comme du reste toute sa
famille
. Pas de convul- sions dans l'enfance, pas de fi
vers 4 ans, de mé- 911nfJiLC. - Rien à signaler dans le reste de la
famille
.] Mère, 38 ans, très nerveuse, parle avec volub
t est mort en mer. Les deux qui restent sont bien portantes, leur
famille
aussi. - Trois tantes paternelles ont eu des enfa
e poitrine attribuée à l'alcoolisme, - Pas de renseignements sur la
famille
paternelle. - Mère, ner- veuse, morte à trente-
erveuses, congestion cérébrale. -Pas d'autres renseignements sur la
famille
maternelle. - Frère arriéré. - Autre frère très
ements fournis par la grand'mère paternelle et par le médecin de la
famille
). - Père négociant en vins, excellent sujet, ma
ante, intelligente, nerveuse. - l'as d'autres renseignements sur la
famille
paternelle. Mère, « névropathe des plus accentu
brale. - Un frère bien portant, sobre. Pas d'aliénés, etc., dans la
famille
. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de six
placement dans un établissement spécial. La crainte de quitter sa
famille
provoqua chez l'enfant une rémission ; mais penda
re. - Père, rien de particulier, renseignements insuffisants sur sa
famille
. - Mère, rien noter. Grand- père maternel excen
grand et fort, intelligent, cultivateur. Aucun renseignement sur la
famille
du père. - Mère, cinquante-deux ans, bien porta
gnotement des pau- pières est plus accentué dans ces moments là. La
famille
ne peut dire si ce tic date du début de la mala
car elle n'avait aucune autorité sur lui. Un médecin, parent de la
famille
, qui n'avait jamais assisté il une crise, nous
rthographe est meilleure, les lettres qu'il .écrit de lui-même à sa
famille
manifestent un raisonnement moins naïf et sont
par une peur et probablement un excès alcoolique dans un repas de
famille
. C'est encore une peur qui, après une rémission
t Leflaive. (Compte-rendu de 1884, p. 164). - Brig... 1889. - Une
famille
d'hystériques, jeunes garçons et jeunes filles.
(En collaboration avec P. Sollier. Compte- rendu de 1889, p. 148).
Famille
Lav... 1890. - Cas d'hystérie chez l'homme. (En
convulsions. Il n'y aurait aucune tare nerveuse dans le reste de la
famille
(1). Mère, 36 ans (en 1882), couturière, sobre,
ants. - Ni aliénés ni épileptiques, etc., etc., dans le reste de la
famille
.] Mère, 28 ans, ménagère, ni convulsions, ni in
e l'enfant, comme nous l'avons dit plus haut. - Dans le reste de la
famille
ni aliénés, ni paralytiques, etc., etc.] Pas
l était comme mon enfant. » - Rien à mentionner dans le reste de la
famille
.] Mère, 35 ans, blanchisseuse, enfant naturelle
ce de syphilis ; mariée il 21 ans. - [Père, aucun détail, ni sur sa
famille
. - Mère, 75 ans, se porte bien ; aucune maladie
le a eu trois enfants morts de méningite. » - z Dans le reste de la
famille
, ni aliénés, ni épileptiques, etc.] Pas de cons
mort de convulsions ; un autre était idiot. Plusieurs membres de la
famille
-du père, et lui-même, étaient eczémateux; quel
fant naturelle, nous n'avons aucun renseignement sur son père et sa
famille
. Un cousin est mort de tuberculose; une demi-ta
, a quitté son mari « pour faire la fête. » - Dans le reste de la
famille
, on n'a pas connu d'aliénés, mais les alcooliques
octobre, elle était suf11samt1lent améliorée pour être rendue iL sa
famille
. Le certificat de sortie, délivré le 8 octobre;
uillet 1899, elle est venue nous donner des renseigne- ments sur sa
famille
et celle de son mari, elle; a très bien répondu
gée de six ans, aurait eu des conuut- sion... - Dans le reste de la
famille
, on n'a pas connu d'autres aliénés, et l'on ne
i survivent sont en bonne santé. Aucun autre rensei- gnement sur la
famille
du père. Mère, 39 ans, ménagère, très bien port
ais eu de convul- sions. - Elle a encore 3 soeurs mariées, mères de
famille
, jouissant d'une excellente santé ainsi que leu
persistant. La malade est réglée prématurément. Cependant dans la
famille
, il n'y a jamais eu d'exemple de règles précoces
nts. - Pas d'a- liénés, d'épileptiques, de difformes, etc., dans la
famille
.] Mère, 36 ans, raccommodeusc, parait intellige
qui n'ont jamais eu de maladies ner- veuses. - Dans le reste de la
famille
, on ne trouve aucune tare héréditaire, ascendan
e. Il ne prévient jamais. La femme de notre malade connaissait la
famille
de son mari depuis trois ans. Elle est orphelin
isait îles excès de boisson. se plainl déjà. gène qui règne dans sa
famille
. 14 décembre. - Après son dernier accès, il a e
est renvoyé a cause de ses accès. Sa femme ne travaille plus. La
famille
est toujours, souvent du moins, dans le dénument;
e son mal. Il demande des secours pour subvenir aux besoins de sa
famille
. 4 juillet. - Dans sou dernier accès, ce matin
'impossibilité dans laquelle il est de sub- venir aux besoins de sa
famille
et d'être il bout de ressources. Il récrimine c
Réflexions. - I. L'hérédité est relativement peu chargée. Dans la
famille
paternelle, nous avons à mentionner les excès d
aliéné et, clans 248 8 Marche et complications de l'épilepsie. la
famille
maternelle, la nervosité et les migraines de la
t son séjour dans le service il a 23 accès. Malgré nos conseils, sa
famille
le retire. Ainsi que nous l'avons dit, il est r
certificat d'étu- des primaires. Il est maintenant retourné dans sa
famille
. (2 décembre 1903). XL Grande école : résulta
s valides de Bicêtre et de la Fondation Vallée y ont assisté. Les
familles
assistent seulement aux fêtes organi- sées par
es congés : Revaccinations; service dentaire. lui Les visites des
familles
au parloir ne sont pas suffi- samment surveillé
s ont des permissions de sortie et des congés, sur la demande des
familles
, à toutes les époques de l'année, (1) A l'Insti
'essai et nous engageons Enseignement professionnel. LXXIII leurs
familles
à s'efforcer de les placer dans un ate- lier co
ctions d'adultes, 16 ont été transférés, 3.*) on[ été rendus à leur
famille
, guéris ou améliorés ou sur la demande de celle
nombre d'entre eux. Il ne les rencontrent pas toujours. Souvent la
famille
a déménagé et on ne peut avoir sa nouvelle adre
que cette mesure soit mise à exécution. Signé : Mouricr. (a) Une
famille
étant venue visiter un parent malade, entré quel-
rne les enfants nerveux et arriérés. Pour ceux d'entre eux que leur
famille
ne veut pas placer, il s'agit de véritables con
le traitement, nous faisons voir l'application des procédés que la
famille
doit employer, dans la mesure de ses possibilit
e son métier. Vu cette amélioration notable, elle a été rendue à sa
famille
dans le courant de l'année. For.. (Louise), i
ex Enseignement du dessin. de propreté. C'est ce que les mères de
familles
, les institutrices, les maîtresses de pension d
s de plus de cinq jours, parce que le séjour des enfants dans leurs
familles
se prolongeant, il est moins facile de les fair
dé maintes fois, sans résultats il l'Administration de rappeler aux
familles
qu'elles ne doivent pas, dans l'intérêt même de
r, salon, chambre, mur, grenier, cabinet, toit, balcon, cheminée.
Famille
. Papa, maman, prénoms des frères et soeurs, onc
ents : 1° par placements volon- [¿¡ires, c'est-à-dire faits par les
familles
, directement à l'asile, - ce que nous avons fai
ance de ces enfants, met en relief la pénible situation (le leurs
familles
, paralysées dans leur action, absorbées par le
liberté de vous recom- mander la jeune Bousq..., demeurant dans sa
famille
, 3, rue Bâche... Cet enfant, complètement arrié
plètement arriéré et impulsif, devient méchant et dangereux dans sa
famille
, pour sa soeur qu'il frappe et pince, et aussi
la personne à placer : bulletin de naissance, de mariage, livret de
famille
, etc. CLXXXII Hospitalisation des enfants idiot
dultes peuvent être conduits direc- tement dans les asiles par leur
famille
et admis de suite. C'est à la suite d'une longu
u Conseil général (1878-1883), que cette faculté a été accordée aux
familles
et qu'elles ont la faculté d'éviter le pénible
mesure des vacances. D'après la lettre de notre correspondant, la
famille
a rempli les formalités nécessaires, l'enfant e
outre obtenir du commissaire de police un rapport sur l'enfant. La
famille
, par deux témoins, doit lui fournir la preuve q
émoins, doit lui fournir la preuve que l'enfant est dangereux. La
famille
, munie des pièces exigées par la loi et du rapp
iété ou aux personnes. Dans l'intérêt des enfants malades, de leurs
familles
et de la société, le préfet de police, M. Lépin
ugustine), née le 11 juin 1890. Entrée le 26 juin 1900, rendue à sa
famille
le 4 avril 1903. 1902. Poids 30 kg. ; Taille 1
. Idiotie ; nanisme et infantilisme prononcés. Sommaire. Père et sa
famille
, mère, rien ci signaler. Grand-père maternel mo
hilis, ni alcoolisme. Aucune maladie nerveuse. Pas de tabagisme. [
Famille
du père. Hère morte à 77 ans et père à 66 ans, on
aucune in- toxication, aucune maladie grave, de caractère calme. [
Famille
de la mère. - Père mort à 43 ans d'une hématé-
bien portante. - Frère 35 ans, bien portant. On ne signale dans la
famille
aucune tare, ni physique, ni morale, ni intelle
morts tous quelques jours après leur naissance. Dans le reste de la
famille
, il n'y a aucune autre tare nerveuse, physique
e et impressionnable. Ni sy- philis, ni alcoolisme, ni caféisme. - [
Famille
de la mère. Père, Il 1 ans. bien portant, sobre
; l'autre soeur morte à 26 ans tuberculeuse. - Dans le reste de la
famille
, il n'y a pas d'autre tare nerveuse, morale, ph
pouce et l'index sciés huit jours avant la naissance de l'enfant. [
Famille
du père. Père mort à 78 ans « de vieillesse »,
i n'ont rien il signaler. Pas de soeurs. Dans tout le reste de la
famille
, il n'y a aucune tare morale, intellectuelle ou
es. Caractère un peu emporté. In- telligence vive, bien portante.- [
Famille
de la mère. - Père mort à 55 ans, l'asile de Vi
pable d'apprendre un métier. Pas de soeurs. - Dans le reste de la
famille
, pas d'autre tare physique, morale ou intellectue
robable. Caractère vio- lent et emporté, vindicatif. Rhumatisant.
Famille
du père. Père mort à 72 ans, alcoolique. Mère, tr
eurs qui la rendent malade pendant huit jours. Elle mesure lm 59.
Famille
de la mère. Père mort à 53 ans de tuberculose pul
Interrogé de nouveau, il a affirmé qu'il n'y a pas de nains dans sa
famille
. Il a été réformé par défaut de taille (1 lU 53
- Père, pas d'accidents nerveux. Renseignements insuffisants sur sa
famille
. Mère hys(crirlue' ? - Dans les fa- milles du p
e de syphilis. Caractère très calme. Il était grand et non obèse.
Famille
du père. Ses -père et mère sont morts alors qu'il
rte à 78 ans ; l'autre, vivante, a 80 ans. - Dans le reste] de la
famille
, on ne trouve aucune tare, aucune maladie nerveus
ment un embonpoint moyen. Elle est bien conservée pour son âge. «
Famille
de la mère. Père sobre, mort à 65 ans, d'une affe
en est de môme pour les neveux et les nièces. - Dans le reste de la
famille
, il n'y a rien à signaler. Pas de tares nerveus
). Il n'y a pas de goitreux dans ces pays. 11 n'y a dans les deux
familles
ni nains, ni goitreux, ni obéses.Dansla famille
'y a dans les deux familles ni nains, ni goitreux, ni obéses.Dansla
famille
du père,on était en général grand. Inégalité d'
ions cutanées. Pas de rhumatismes. Écrouelles dans le jeune âge. [
Famille
du père. - Père de petite taille, mort à 75 ans.
pas eu de convul- sions et est en bonne santé.- Dans le reste de la
famille
du père, il n'y aucune autre tare -physique, mo
s eu aucun symptô- me qui permette de faire penser àla syphilis. [
Famille
de la mère. Père alcoolique, mort à 59 ans. Mère
coxalgie. - Tante mater- nelle, morte tuberculeuse. Dans les deux
familles
aucun cas d'obésité ni de nanisme, - Aucune aut
inué ses excès à cause de douleurs gastriques. Caractère violent.
Famille
du père : Père mort à 66 ans à la suite d'une c
s deux filles, l'une a eu des convulsions et est strabique. Dans la
famille
tous les sujets ont une taille moyenne, sauf un
perte de connaissance. Elle est de taille petite mais non obèse.
Famille
de la mère, - Père, mort il 44 ans de tuberculose
maintenant fort au-dessous de la moyenne. Dans tout le reste de la
famille
, on ne cite aucun obèse ni aucun nain. État act
'à de 7 ans. Coléreux, ni alcoolisme, ni syphilis, ni rhumatisme.
Famille
du père : Aucune tare morale, intellectuelle ou
ique ou névropathique, mais elle est impressionnable et nerveuse. -
Famille
de la mère. Rien à noter. Pas de consanguinité.
'un cancer utérin. Pas de cas de nanisme ni d'obésité dans les deux
familles
. Aucune tare morale ni intellectuelle. Une soeu
ès violent, mais non brutal. Pas de renseignement sur la syphilis. [
Famille
du père : Père sobre, de caractère doux. Mère v
e santé. Trois frères, normaux. On ne signale aucune tare dans la
famille
du père. Ni aliénés, ni épileptiques, ni paralyti
migraine à chaque menstrue. Sa conduite serait fort suspecte. - [
Famille
de la mère. Père sobre, de caractère violent. -
e maternels. Un oncle rhumatisant. Cousins bien portants. - Dans la
famille
on ne relève aucune tare intellectuelle morale
ates d'ordre physiologique. L'insuffisance de renseignements sur la
famille
de l'enfant, qu'il nous a été impossible de com
n- vulsions. - Rien de particulier à signaler dans le reste de la
famille
. Aucun autre exemple de type mongolien.] Mère,
santé, et n'auraient pas eu de convul- sions. - Dans le reste de la
famille
, rien il signaler, sauf une petite cousine faib
cêtre, 1903, PL. III. Nanisme mongolien. 167 tante. Dans les deux
familles
, d'ailleurs, aucun autre exemple de type mongol
ande différence d'âge (7 ans). Déplus, elle était la dernière d'une
famille
(9 enfants). A signaler également un autre fait
Pas de traumatismes. Caractère un peu vif. Pas de migraines. [Sa
famille
. - Père, 67 ans, et Mère, 57 ans ; bien portants
convulsions, bien por- tants. - Pas de soeurs. Dans le reste de la
famille
, rien autre à signaler qu'un cousin germain, de
il est difficile dé décider s'il s'agit de vraies migraines. [Sa
famille
,. Père, mort à 36 ans, noyé accidentellement ;
rtants, n'ont jamais eu aucun accident nerveux. Dans le reste de la
famille
, rien il. noter.] Pas de consanguinité. Inéga
lleux; . Par BOURNEVILLE et Reine MAUGERET Sommaire. - Père et sa
famille
, rien de particulier. - Petite cou- sine, hémip
ne serait pas arriérée et n'aurait pas d'accès. Dans le reste de la
famille
, rien autre à signa- ler. Mère, morte à quara
santé; une nièce de dix-sept ans, épileptique. Dans le reste de la
famille
, rien à signa- ler d'anormal. Pas d'autre épile
es, avec raison, insalubres, exercées par les parents. Si aux 115
familles
, figurant clans nutre statistique de 1902, et e
rées de 1903 (57 filles et 84 garçons) nous voyons : 1° Que ces 128
familles
ont fourni 609 enfants, soit près de 5 enfants
ces 128 familles ont fourni 609 enfants, soit près de 5 enfants par
famille
; -) 2° Que sur ces 609 enfants, 304 sont décéd
romane. - Cousin, sourd et muet. Renseignements insuffisants sur sa
famille
. Mère : rien. - Arrière grand'mère, paralytique
che à 15 mois. Parole à 4 ans. Propre de bonne heure. Repris par sa
famille
à 4 ans : on constate qu'il est arriéré, qu'il
seignements par le père de l'enfant, le U mars 18'16, sur sa propre
famille
, pa ? - la mère le 18 mars 1896 pour le reste d
sujet à des accès de colère et à d'assez fréquents maux de tête. [
Famille
du père. - Son père, âgé de de 62 ans, est fer-
ler durant les deux dernières années de sa vie. Dans le reste de la
famille
, le père relève, un oncle maternel asthmatique
u de convulsions. Aucun autre détail intérressant à relever dans la
famille
du Père]. MÈRE, 25 ans, sans profession, d'un a
e, prétend n'avoir jamais eu d'accidents nerveux d'aucun'' sorte [
Famille
de la mère. Le père est mort, il y a un an, ;\ 56
1 et à la migraine. Rien de plus à signaler dans le reste de cette
famille
au point de vue pathologique. Pas de consangu
u'un ennui très sérieux de la mère de se voir enceinte à cause de a
famille
. L'accou- cément ut naturel, la durée du travai
o : : t des permissions de sortie et des congés, sur la demande des
familles
, à toutes les époques de l'année. xxvi Mouvemen
ions d'adultes de la division des aliénés; 57 ont été rendus à leur
famille
, guéris au améliorés ou sur la demande de celle
rs demandes ont été encore très nom- breuses cette année, mais deux
familles
ont préféré reprendre leurs enfants plutôt que
seil général de la Seine envers cette catégorie d'enfants et leurs
familles
laissent les préfets trop souvent indifférents.
bliques du ministère de l'intérieur rendrait un service signalé aux
familles
et aux enfants en question en faisant comprendr
u parquet du gymnase et réflection complète de celui du parloir des
familles
. Création de lieux d'aisance dans le lias du ja
ES aliénés. LXVII ou suffisamment améliores, ils sont rendus à leur
famille
. Ces derniers auraient besoin d'aide, de secour
sur-Marne, à Maréville, Villejuif, etc. : 4° Les parloirs pour les
familles
, qui viennent visiter leurs malades, doivent êt
ises ; - de vastes parloirs, pouvant être subdivisés, à l'usage des
familles
, - cons- tituent autant de particularités qui d
RNEVILLE. Malgré l'intensité exceptionnelle de l'hérédité dans sa
famille
et l'accumulation de l'alcoolisme, nous n'aurio
ique graves, ne mettent pas sa vie en danger. » Dans le reste de sa
famille
on ne connait pas d'autres cas de maladies ment
ls. Grand'mère paternelle, ivrognesse : « ils buvaient tous dans sa
famille
. » - Grand'mère maternelle, « méchante au possi
t en bonne santé. - On ne con- naît rien de plus à signaler dans la
famille
.] Pas de consanguinité. (Père d'Orléans, mère d
oit sortir qu'ac- compagné d'un parent ou d'un ami, autorisé par la
famille
qui en prend la responsabilité, on d'un agent d
du fait qui vous occupe. En septembre 1891, sur la demande de sa
famille
et sur la vue de certificats très nets de méde-
point. De quoi s'agit-il ? D'un individu qui, sur la demande de la
famille
, a été placé ù 131cètre, d'nborcl dans un servi
écile et coureuse. - Men- tionnons aussi deux cas de cancer dans la
famille
paternelle et trois cas de tuberculose dans la
ncer dans la famille paternelle et trois cas de tuberculose dans la
famille
maternelle. En face de cette série de tares, qu
faisons passer dans les services d'adultes, ou nous les rendons aux
familles
. Nous avons pu retrouver les noms de 23 d'entre
upe, qu'on trouverait des malades pouvant être renvoyés dans leur
famille
avec un secours d'hospice mensuel régulier, com
és à rendre d'incontestables services à eux et à leurs malheureuses
familles
: réforme sociale au premier chef. Joignez-vous
rères et soeurs bien portants. - Aucun antécédent nerveux dans la
famille
.] Mère, 27 ans, émailleuse sur verre avant son
Pas de consanguinité, - Ren- seignements insuffisants sur les deux
familles
. Pas de convulsions. - Epilepsie iL 3 a ? is à
on ne sait de quoi. Pas d'antécédents héréditaires nerveux dans la
famille
.] Mère, 46 ans, journalière, peu intelligente,
ance. - 3 frères et une soeur bien portants. Pas de nerveux dans la
famille
.] - Pas de consanguinité. Quatre enfants : 1° u
une pneumonie h la- Salpêtrière. - Aucun antécédent nerveux dans la
famille
ou l'on meurt très vieux on général.] : \I¡;l\E
« la d'anse de Saint-Guy, dont il est guéri ». Dans le reste de la
famille
, aucun antécédent nerveux.] Pas de consanguinit
nts excès de bois- son. -Re7-iseigite ? îie71ts insuffisants sur sa
famille
. Mère, rien de particulier. Grand-père maternel
nement sur lui; il n'y a absolument aucun détail sur le reste de la
famille
.] MÈRE, 32 ans, couturière, intelligente, habit
'hérédité est-elle plus chargée car nos renseignements sur les deux
familles
sont incomplets. II. Dans les antécédents per
is- tés, aussi n'avons-nous absolument aucun renseignement sur sa
famille
et ses antécédents personnels.- Voici, à titre de
pris de crises nerveu- ses vers 65 ans, à la suite d'un chagrin de
famille
, occasionné par une de ses filles qui faisait d
ts maternels, peu connus. Nombreux (1) Pas d'autres jumeaux dans la
famille
. Description D1 la malade. 65 oncles et tante
campagne, mais dont aucun n'a eu d'attaques. - Dans le reste de la
famille
, on ne découvre aucune tare nerveuse.] Pas de
, très fatiguée et très affectée par la mort d'une per- sonne de sa
famille
; le père était sans travail; toutes ces causes
c ; caractère vif ; pas de migraines. - Les rensei- gnements sur sa
famille
manquent. Son père est mort de cause inconnue.
iénés, d'épileptiques, de paralytiques, de difformes, etc., dans sa
famille
.] Pas de consanguinité. Différence d'âge de 23
à la conception. - Pendant la grossesse, la mère eut des ennuis de
famille
: ses parents avaient fait venir son cousin au
psie chez un cousin-germain du même côté. Nous n'avons rien dans la
famille
maternelle, mais les renseignements sont incomp
ait cependant « très nerveux » et se laissait facilement abattre.
Famille
du père. Père, 63 ans, inspecteur des égouts, c
ortante, qui marche et parle. - Rien à signaler dans le reste de la
famille
du père. Les mem- bres de cette famille ont plu
ignaler dans le reste de la famille du père. Les mem- bres de cette
famille
ont plutôt en général la tête petite. MÈRE, 32
autre maladie qu'une légère blépharite ciliaire dans son enfance.
Famille
de la mère . Père, mort à 45 ans de tuberculose
néanmoins très intelligente. - Rien à signaler dans le reste de la
famille
, dont les membres n'ont pas en général la tête
ismes. Migraines violentes et courtes revenant tous les mois. - [La
famille
du père ne présente absolument aucun accident m
atismes articulaires chro- niques depuis 4 ans. Dans le reste de la
famille
de la mère, on relève quelques parents arthriti
débauché, a un. caractère violent, frappe sa femme et ses enfants. [
Famille
du père. Son père s'est suicidé il 71 ans à la
père de l'enfant) est bien portante ; c'est la moins violente de la
famille
. Unj dernière soeur est morte aliénée it 38 ans
Unj dernière soeur est morte aliénée it 38 ans. Dans le reste de la
famille
il n'y a pas d'autres idiots, aliénés ou suicid
ans à cause de son inconduite et de ses mauvais traite- luenls. - [
Famille
de la mère. Son père, décédé iL U7 ans d'une ma
, morte il Il ans, cardiaque. Rien à signaler dans le reste de la
famille
.] Pas de consanguinité. - Différence d'âge de 9
du père, car, repete-t-ellc, ilji a pas eu d'épileptiques dans la
famille
. Debie... a eu trois accès en novembre et déccm-
ommaire. Père, quelques excès de boissons, rien dans le reste de sa
famille
. - Mère, rien de particulier. - Pas de consangu
ater- nelle, à 83 ans. - Ni frères ni soeurs. Dans le reste de la
famille
, ni bègues, ni sourds-muets, ni aliénés- ou épile
s . - Deux frères, très forts et bien portants. Dans le reste de la
famille
, pas d'idiots, d'aliénés, d'épilepti- ques, de
Il était âgé de trois ans lorsque la fièvre typhoïde sévit dans sa
famille
, emportant sa mère, un de ses frères et une de
ectieuse, la fièvre typhoïde qui a sévi à l'état épidémiquo dans la
famille
, frappant non seulement l'enfant, mais son père
serait sujet il des poussées d'eczéma. Aucun indice de syphilis.
Famille
du père. - Son père, paveur, sobre, a succombé à
ans des suites d'une chute. - Rien à mentionner dans le reste de la
famille
qui est peu nombreuse. Mère, 33 ans, couturière
revenaient quand les règles réapparais- saient après le sevrage.
Famille
de la mère. - Père, sobre, en bonne santé (1). -
l n'y aurait eu aucun cas de maladies nerveuses dans le reste de la
famille
. ' Pas de consanguinité. (Père et mère de Lille
nos renseignements étant assez incomplets sur l'ensemble des deux
familles
. II. Il est un point très intéressant de l'hist
oration. 179 catégorie d'enfants anormaux qui constitue pour leur
famille
et pour les voisins un milieu infernal, et cela
plus en plus satisfaisantes pour les médecins, les maîtres et les
familles
. A tous, il faut de la confiance, du temps et d
nts valides de Bicêtre et de la Fondation Vallée y ont assisté. — Les
familles
sont admises seulement aux fêtes organisées par l
...................... 23 Total............ 1.404 Les visites des
familles
au parloir ne sont pas suffi-samment surveillées,
nous leur accordons d'abord un congé d'essai et nous engageons leurs
familles
à s'efforcer de les placer dans un ate-lier corre
'ils ont des permissions de sorties et des congés, sur la demande des
familles
, à toutes les époques de l'année, qu'ils ont des
ctions d'adultes (1), 23 ont été transférés, 23 ont été rendus à leur
famille
, guéris ou améliorés ou sur la demande de celle-c
nfants assistés, le 25 avril. Amélioration très notable. Rendu à sa
famille
, le 28 avril. Amélioration légère. Rendu à sa f
Rendu à sa famille, le 28 avril. Amélioration légère. Rendu à sa
famille
, le 30 avril. Amélioration. Passé aux adultes,
x administrés, 2mcDiv. le 6m. Amélioration très notable. Rendu à sa
famille
, le 10 juin. Amélioration. Rendu à sa famille,
notable. Rendu à sa famille, le 10 juin. Amélioration. Rendu à sa
famille
, le 2 juillet. Amélioration. Rendu à sa famille
ation. Rendu à sa famille, le 2 juillet. Amélioration. Rendu à sa
famille
, le 6 juillet. Môme état' Rendu à sa famille, l
ioration. Rendu à sa famille, le 6 juillet. Môme état' Rendu à sa
famille
, le 9 juillet. Môme état. Rendu à sa famille, l
ôme état' Rendu à sa famille, le 9 juillet. Môme état. Rendu à sa
famille
, le 12 juillet. Même état. Passé aux adultes, 5
écillité. Transféré à Villejuif, le 4 août. Même état. Rendu à sa
famille
, le 18 août. Amélioration notable. Rendu à sa f
Rendu à sa famille, le 18 août. Amélioration notable. Rendu à sa
famille
, le 20 août. Amélioration notable. Rendu à sa f
Rendu à sa famille, le 20 août. Amélioration notable. Rendu à sa
famille
, le 22 août. Amélioration légère. Rendu à sa fa
. Rendu à sa famille, le 22 août. Amélioration légère. Rendu à sa
famille
, le 25 août. Même état. Rendu à sa famille, le
ion légère. Rendu à sa famille, le 25 août. Même état. Rendu à sa
famille
, le 16 octobre. Môme état. Rendu à sa famille,
me état. Rendu à sa famille, le 16 octobre. Môme état. Rendu à sa
famille
, le 28 octobre. Amélioration. Rendu à sa famill
état. Rendu à sa famille, le 28 octobre. Amélioration. Rendu à sa
famille
, le 30 octobre. Môme état. Rendu à sa famille,
oration. Rendu à sa famille, le 30 octobre. Môme état. Rendu à sa
famille
, le 10 novembre. Amélioration. Rendu à sa famil
tat. Rendu à sa famille, le 10 novembre. Amélioration. Rendu à sa
famille
, le 10 novembre. Amélioration notable. Reudu à
endu à sa famille, le 10 novembre. Amélioration notable. Reudu à sa
famille
, le 30 novembre. Amélioration. Rendu à sa famil
ble. Reudu à sa famille, le 30 novembre. Amélioration. Rendu à sa
famille
, le 30 novembre. Amélioration Rendu à sa famill
tion. Rendu à sa famille, le 30 novembre. Amélioration Rendu à sa
famille
, le 30 novembre. Même état. Transféré à Vauclus
état. Transféré à Vaucluse, le 2 décembre. Même état. Rendu à sa
famille
, le 5 décembre. Môme état. Rendu à sa famille,
me état. Rendu à sa famille, le 5 décembre. Môme état. Rendu à sa
famille
, le 9 décembre. Même état. Rendu à sa famille,
me état. Rendu à sa famille, le 9 décembre. Même état. Rendu à sa
famille
, le 19 déccmbqe. Même état. Rendu à sa famille,
e état. Rendu à sa famille, le 19 déccmbqe. Même état. Rendu à sa
famille
, le 30 décembre. Même état. (1) (1) Nous nous b
ans. 16 ans. 6 ans. 9 ans 1/2. I après leur retour clans leur
famille
, savoir ce qu'ils deviennent, si l'amélioration r
n nombre d'entre eux. Ils ne les rencontrent pas toujours. Souvent la
famille
a déménagé et on ne peut avoir sa nouvelle adress
cerne les enfants nerveux et arriérés. Pour ceux d'entre eux que leur
famille
no veut pas placer, il s'agit de véritables consu
lé le traitement, nous faisons voir l'application des procédés que la
famille
doit employer, dans la mesure de ses possibilités
abitue les fillettes aux soins de propreté. C'est ce que les mères de
familles
, les institutrices, les maîtresses de pension dev
été au nombre de 4.465. Ces chiffres témoignent de la sollicitude des
familles
envers leurs malheu-reuses enfants. Il semble que
gés de plus de cinq jours, parce que le séjour des enfants dans leurs
familles
se prolongeant, il est moins facile de les faire
dé maintes fois, sans résultats, à l'Administration de rappeler aux
familles
qu'elles ne doivent pas, dans l'intérêt même de l
vesties varie de 50 à 60. Ces peti-tes fêtes auxquelles assistent les
familles
, ne coûtent rien à l'Administration. Nos fillette
férée à Clcrmont (Oise), le 15 février 1905. Même état. Rendue à sa
famille
qui s'oppose au transfert, le 18 lévrier 1905. Mê
i s'oppose au transfert, le 18 lévrier 1905. Même état. Rendue à sa
famille
qui la réclame, le 15 mars 1905. Amélioration not
qui la réclame, le 15 mars 1905. Amélioration notable. Rendue à sa
famille
qui s'oppose au transfert, le 21 mai 1905. Même é
érée à l'asile de Villejuif, le 10 mai 1905. Même état. Rendue à sa
famille
qui s'oppose au transfert, le 10 juin 1905. Tra
e à l'asile de Villejuif, le 12 octobre 1905. Même état Rendue à sa
famille
qui s'oppose au transfert, le 25 octobr e!905. Mê
les cas nouveaux relevés dans nos observations de 1905. Si aux 143
familles
, figurant dans notre statistique de 1904, et exer
trées de 1905(46 filles et 92 garçons) nous voyons : 1° Que ces 150
familles
ont fourni 675 enfants, soit près de 5 enfants pa
e ces 150 familles ont fourni 675 enfants, soit près de 5 enfants par
famille
; 2° Que sur ces 707 enfants, 351 sont décédés,
elle-même, entre en ligne de compte, l'alcoo-lisme. En effet, sur 150
familles
, 83 pères et 4 mères faisaient des excès de boiss
quo toute relative. Nous voyons néanmoins que sur ce nombre. 1° 46
familles
ont fourni 163 enfants, soit plus de 3 enfants pa
. 1° 46 familles ont fourni 163 enfants, soit plus de 3 enfants par
famille
. 2° Que sur ces 163 enfants, 61 sont décédés, s
ont des enfants-assistés, parceque d'autres, étant délaissés par leur
famille
, nous n'avons pu obtenir qu'elles se rendent, cho
s entrent à tout âge du 1er janvier au 31 décembre, sortent quand les
familles
le veulent, sauf en cas déplacement d'office, n'o
ue, pour obtenir son maximum de résultats, doit être tenté hors de la
famille
et le plus tôt possible. Il doit être basé sur l'
re une nouvelle transplantation. Ils ne doivent être replacés dans la
famille
que si le changement est complet, et après des es
indiscipline. Placés dans des établissements spéciaux, ou dans des
familles
étrangères, ils seront soumis à une discipline do
les enfants aisés. poids, taille, puberté, etc. — Nous écrivons aux
familles
pour qu'elles nous les ramènent et nous racontent
, . i- , , i- , ' tions diverses (polydactylie, syndactylie, bec-
famille
. j ^e-lièvre, spina-bifida, etc.); suicidés, pros
ique et au point de vue psychique ? S'il y a eu des aliénés dans la
famille
, placés dans les asiles, prendre note du nom de l
s et autres : fractures, luxations, brûlures; sévices exercés par les
familles
. Cause à laquelle les parents attribuent la mal
se, de l'atrophie. Lorsque ces renseignements ont été donnés par la
famille
, nous prenons ou nous faisons prendre la descript
les; pour les moins mala-des, qui peuvent et doivent rester dans leur
famille
, des classes ou des écoles spéciales ou, si l'on
actère. Il est plus affectueux, et il se réjouit à présent de voir sa
famille
et de passer quelques jours avec elle. 1901. —
evoirs et des dictées, sans trop de fautes, peut écrire lui-même à sa
famille
et sans le concours de personne. Il fait les troi
qui concernent les couleurs, nombres, jours de la semaine, vêtements,
famille
. Lemaît... éprouve une grande difficulté pour le
gé à dire de ces paroles plus ou moins désobligeantes à l'égard de sa
famille
, on lui a fait sentir surtout le respect dû à ses
te ide j;es succès, elle espère à juste titre pouvoir rentrer dans sa
famille
d'ici peu et occuper son rang dans la société.
vrages manuels le démontrent., Germaine peut être rendue un jour à sa
famille
et vivre du fruit de son travail. LVIII. Peuli.
re son métier. Vu cette amélioration nota-ble, elle a été rendue à sa
famille
dans le courant de l'année, 1905. — Lesag... a
lasse elle a appris à faire des dictées, à rédiger une lettre pour sa
famille
et enfin la multiplication qu'elle ne faisait pas
une bonne ouvrière. Cette enfant est donc rendue à la société et à sa
famille
et pourra gagner honorablement sa vie d'ici peu.
lle tous les six mois,la photographie touslesans (2). Con-seiller aux
familles
, comme le font malheureusement irop de médecins,
tion avec le monde, ne sont plus un chagrin, une humiliation pour les
familles
et la Société, et sont mis en mesure de sui-vre l
é nerveuse constitue le symptôme le plus important, sont le fléau des
familles
, l'appoint des maisons de correction.Leur place e
. X Bains ET hydrothérapie. buent à maintenir les liens entre les
familles
et leurs enfants et comme ceux-ci y tiennent be
(1) Nous avons délivré 69 bulletins pour le placement d'enfants à des
familles
qui sont venues nous demander des conseils à no
t été plus nombreuses; toutes n'ont pas eu de suites, parce que les
familles
ont préféré reprendre leurs enfants que de les
e police fasse une enquête; que des .témoins se déplacent ; que les
familles
conduisent leurs enfants à la Préfecture de Pol
« que toutes les facilités possibles soient données de nouveau aux
familles
pour les -placements volon- taires d'enfants. »
origine et séparés, par conséquent, d'une manière complète de leurs
familles
. Nous devons dire, à l'honneur de celles-ci, qu
es préfets. Aussi les demandes de transfert continuent-elles et les
familles
sont-elles de nou- veau mises en face de déterm
tait momentanément, puis vient à Paris qu'elle n'a pas quitté. Sa
famille
habite l'Alsace ; l'enfant sera transféré dans le
t appelé, par son ser- vice, au Mans. Un de ses enfants y naît ; la
famille
revient habiter Paris, l'enfant, placé à Bicêtr
- M. Bourneville invoque, à l'appui de sa demande : l'intérêt des
familles
et les décisions du Conseil général. L'intérêt de
t des familles et les décisions du Conseil général. L'intérêt des
familles
et celui des enfants seraient beaucoup mieux sauv
n attentat récent qui n'a pas été ébruité, grâce à la sagesse de la
famille
, je les signa- lais de nouveau à l'Administrati
demandes de placement des enfants, et avisera, à tour de rôle, les
familles
, lorsque des vacances viendront à se produire.
t. - Je crois devoir vous signaler la tendance ahusive de certaines
familles
habi- tant Paris à se décharger sur l'Administr
si qu'il arrive pour lajeuneC ? à l'état d'abandon, très loin de leur
famille
, lorsque votre administration décline la charge
à cause de la fréquence des visites rendues à nos aliénés par leurs
familles
, mais encore faute de places dans ces derniers
émence sénile est placé au bureau d'admission et qu'il n'a pas de
famille
, je signale le cas à l'Administration préfectoral
ps, ou des imbéciles, parce qu'il sait que ces malades n'ont pas de
familles
, ou ont des familles trop pauvres pour leur ven
parce qu'il sait que ces malades n'ont pas de familles, ou ont des
familles
trop pauvres pour leur venir en aide, et que, s'i
ait à l'application de cette mesure, un sérieux avantage pour les
familles
dont les déplacements seraient moins coûteux et p
. sible, envoyés dans des asiles à proximité du domicile de leurs
familles
(1). Une autre circulaire, invitant les Directeur
'origine, là où ils ont ou peuvent encore avoir des membres de leur
famille
en mesure de les venir visiter et leur apporter
trouvons dans la- Seine, de transférer nos aliénés loin de leurs
familles
; mais en attendant que de nouveaux établissements
trai- tement, toujours nécessaires pour l'activité de l'esprit de
famille
, ces aliénés pauvres peuvent être et sont, en eff
Des transferts. LXXVII pouvoir, en lui faisant stipuler, pour des
familles
pauvres; la nécessité d'une émigration lointain
ents. « Par suite de la même disposition législative, l'esprit de
famille
perd tous ses droits; les sentiments les plus nat
t une atteinte grave portée à la morale publique et au sentiment de
famille
. » Cette citation me paraît justifier la qualif
le clinique inscrirait les demandes et aviserait à tour de rôle les
familles
, au sur et à mesure des vacances qui se produir
cements volontaires. LXXIX le répète, on donnerait satisfaction aux
familles
sans encom- brer le bureau d'admission. , M.
ner que sur les décès, mais ses renseignements, joints à ceux de la
famille
Bult ? constituent une forte présomption en fav
sine de la fondation, ni dans l'hospice, admi- nistrés, employés et
familles
. , Enfin l'état des décès de la commune de Gent
: : Que toutes lesfacilités possibles soient données de nouveau aux
familles
pour les placements volontaires d'enfants.' ; '
lle, « que toutes facilités possibles soient données de nouveau aux
familles
pour les pla- cements volontaires d'enfants. »
clinique. Un prospectus mentionnant les pièces à pro- duire par les
familles
à l'appui de chaque demande de place- Placement
. Ce que je désire obtenir, c'est que les enfants appartenant à des
familles
pauvres puis- sent, comme ceux appartenant à de
ant à des familles pauvres puis- sent, comme ceux appartenant à des
familles
riches, éviter le passage par l'infirmerie du D
à une infection matérielle et morale ; c'est qu'on évite ira ces-
familles
pauvres des démarches aussi nombreuses qu'inutile
ivant l'or- dre d'inscription. Vous donnerez ainsi satisfaction aux
familles
, et vous éviterez l'encombrement. . M. le Da
insistant de nouveau pour que toutes facilités soient accordées aux
familles
pour le placement à titre volontaire des enfant
la porte nous serions de nouveau et très rapidement encombrés, les
familles
s'empressant toujours de répondre à l'appel qu'
tte pratique dans l'intérêt de l'Administration, dans l'intérêt des
familles
et des enfants eux-mêmes, qui ont tout à gagner
stance DES aliénés. tes les facilités soient de nouveau données aux
familles
pour les placements volontaires d'enfants. M.
ront adressées dans ce but. Toute satisfaction sera donc donnée aux
familles
dans la mesure du possible ; mais ce que nous v
ettre le voeu que toutes les facilités possibles soient données aux
familles
pour les placements volontaires d'enfants. , '
rneville, mais comme rien n'est plus cruel et plus pénible pour les
familles
que le passage de leurs malades par l'infirmerie
sont guéris ou amé- liorés au point de pouvoir être.rendus à leurs
familles
. Pour ceux-là il faudrait une Société de patron
ncore, c'est que l'enfant arriéré est réclamé impérieusement par la
famille
quand il est quelque peu dégrossi et qu'il poss
iques, de difformes, de suicidés, de criminels, etc., etc., dans la
famille
.] Mère, cinquante et un ans, assez grande et fo
erveux. Pas d'aliénés, d'épileptiques, d'hystériques, etc., dans la
famille
.] Pas de consanguinité (père de Sierck et mère
Pas d'hystériques, d'épileptiques, de paraly- tiques, etc., dans la
famille
. Mère, quarante ans, s'occupe de son ménage. Pa
, Pas d'hystériques, d'épileptiques, d'aliénés, etc., etc., dans la
famille
. [Pas de con- sanguinité.] Deux enfants : 1°
de l'année 1889), nous avons publié avec Sollier l'histoire d'une
famille
d'hystériques (p. 159). Enfin, le tome XI renfe
». Un frère enlevé par le choléra en 1865. Elle ne connaît, dans sa
famille
, ni aliénés, ni paralytiques, ni épileptiques,
res idiots ou débauchés, pas d' aliénés, pas d'épileptiques dans la
famille
]. Mère 52 ans, blanchisseuse, puis concierge ;
d'excès de boissons. Pas d'aliénés, d'é- pileptiques, etc., dans la
famille
.] ] Pas de consanguinité (Père d'Arcueil, mère
tout d'abord l'alcoolisme chez le père et plusieurs membres de sa
famille
et de la famille de la mère, l'arrêt de dévelop-
alcoolisme chez le père et plusieurs membres de sa famille et de la
famille
de la mère, l'arrêt de dévelop- pement intellec
xcès de boisson, violent. - Antécédents cancéreux probables dans sa
famille
. Mère, d'une intel- ligence médiocre. - Grand'm
c ( ? ). Pas d'accidents nerveux d'aucune sorte dans le reste de la
famille
.] . Mère, ! il ans, assez peu intelligente, émo
e numéro de sa maison. Elle ne peut donner de renseignements sur sa
famille
, et n'a pas de notion du temps. Quand elle ne c
ni paralytiques, ni difformes, ni suicidés, ni criminels dans la
famille
]. Mère, 52 ans, brodeuse. Elle a, depuis l'âge
e soeur bien portants. Aucune affection mentale ou nerveuse dans la
famille
.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 3 an
irs et des dictées, sans trop de fautes, peut écrire lui-même il sa
famille
et sans le concours de personne. Il fait les tr
x concernant les couleurs, nombres, jours de la semaine, vêtements,
famille
. Lemait.. éprouve une grande difficulté pour le
a la garde de l'argent des enfants : C'est donc il lui seul que les
familles
devraient remettre cet arpent. xxiv Traitement
ont des per- missions de sortie et des congés, sur la demande des
familles
, à toutes les époques de l'année, qu'ils ont de
Le premier de ces malades, suffisamment amélioré a été rendu il sa
famille
. Quant aux quatre autres, dont l'évasion n'a do
eur nom, leur domicile, le chemin de l'école, leurs parents, leur
famille
, les animaux domestiques, les membres, les cou-
leptiques. XCVII quartiers d'hospice de la Seine, la remise à leurs
familles
, après avis du Médecin-Chef de service des enfa
jour; par laquelle le Conseil général, afin de ne pas obliger les
familles
bénéficiaires de la mesure à sortir de Paris, a
e premier. Les secours de 1 fr. 50 à 2 fr. il. allouer par jour aux
familles
des enfants idiots ou arriérés dans les conditi
nés, au moins une fois par mois, à des jours et heures indiqués aux
familles
par le directeur de l'Asile Clinique (Saint-Ann
visite de M. le docteur Magnan, , 1 qui délivrera un certificat aux
familles
. Les secours seront payés à la sortie de cette
t, une indemnité de cent francs par mois. ART. 7. Les secours aux
familles
et l'indemnité au médecin-visiteur seront ordon
budget départemental. Ans, 8, \j.a e : if,i : iti repris par leurs
familles
, ne pour- ront figurer d.' nouveau au décompte
mbre- ment des services d'enfants, et faire face aux demandes des
familles
, M. le Préfet de la Seine propose de rcvenir au
8S'i. · Le système adopté à cette époque consistait à alloucr aux
famille
, qui, sur avis conforme du médecin chef de servic
étaient amenés une fois par mois a des jours et heures indiqués aux
familles
par le Directeur de l'asile Cli- nique au burea
, une indemnité variant entre I fr. et I fr. 50 serait accordée aux
familles
des enfants repris. Il y a lieu de prévoir qu
rédit de 50.000 francs ayant pour objet l'allocation de secours aux
familles
se trouvant dans les con- ditions sus-énoncées.
dultes peuvent être effectués librement : c'est aux médecins et aux
familles
à en profiler plus libéralement : c'est aux che
e à les encourager, en les admet- tant facilement, en prévenant les
familles
des malades auxquels ils signent le certificat
ent de tenir compte, dans une certaine propor- tion, des désirs des
familles
habituées à venir visiter depuis longtemps leur
. Ces classes permettraient non seule- ment de maintenir dans leurs
familles
, tout en les sou- mettant au traitement médico-
lisés et qui sont sullisamment améliorés pour être rendus à leurs
familles
, avec ou sans secours. Par la, on aurait encore
si les charges de l'Assistance en maintenant les enfants dans leurs
familles
, en resser- rant les liens entre elles et leurs
de malades de 17, 18 ans et davantage pouvant être rendus il leurs
familles
moyennant un secours mensuel analogue à la pens
reuses, pouvant parfois même être relativementuti- lisés dans leurs
familles
. Il s'agira toujours d'une question d'espèce ;
nt la présence en quelque sorte constante de l'un des membres de la
famille
, ce clui constitue une lourde charge pour tous
impose il l'Administration, pour faire face aux besoins urgents des
familles
, assurer l'amélioration et le traitement médico
int de vue delà sécurité publi- que, pourraient être rendus à leurs
familles
, mais comme colles-ci, souvent, n'ont pas de re
n. Elles seraient attribuées aux malades tranquilles rendus à leurs
familles
. Nous pensons que dans chaque asile on pourrait
e, on trouvera des malades susceptibles d'être ren- voyés dans leur
famille
avec un secours à déterminer d'après la positio
Congrès intern. de médecine de 1900. 4 Affection familiale. deux
familles
, atteintes l'une de paraplégie spas- modique, l
, ne fume (1) Voir sur les affections familiales : Bourneville, Une
famille
d'idiotslAr- chives des maladies mentales et ne
dies mentales et nerveuses, 1861, p. 2891 : -Bourneville et Séglas,
Familles
d'idiots (Compte-rendu de Bic6lre pour 1886, p. 3
sie à la suite d'une vive frayeur. Rien à noter dans le reste de la
famille
. ] Mère, 38 ans, très calme, n'a jamais eu d'ac
célibataire, n'a pas eu de convulsions, sobre. Dans le reste de la
famille
, pas d'idiots, pas d'épilep- tiques, d'aliénés.
t mais gêné par sa snrdité; il a une hernie, est asthmatique. [Sa
famille
: Père, sobre, mort à 52 ans d'une maladie du f
t, la soeur cadette est morte de convulsions. - Dans le reste de la
famille
, pas d'aliénés, pas d'autres paralytiques, pas
jusqu'à ce jour, ni fièvre typhoïde, ni fièvre intermittente. [Sa
famille
. Père : mort à 61 ans, poitrinaire et ayant « u
durant sa vie beaucoup de chagrin et beaucoup de peine à élever sa
famille
. Mère : 58 ans, sobre, modiste, nerveuse, malad
ant de deux ans, bien portant et intelligent. - Dans le reste de la
famille
, on ne trouve rien à signaler si ce n'est un gr
ilepsie, sans troubles mentaux consécutifs. Quand on le rendit à sa
famille
il y avait dix mois qu'il n'avait pas eu d'accè
r cette éducation de la marche. .liai. L'enfant va en congé dans sa
famille
. A son retour un constate que les quelques prog
e et un oncle ont succombé à la tuberculose, qu-'il y a eu, dans la
famille
, des coxalgiques et des bossus. Un frère de Fél
: « une fois en colère, dit-il, je ne sais plus ce que je fais ».
Famille
du père . Père, mort il 78 ans, jamais malade,
qu'à quatre ans. Dans le Antécédents héréditaires. 47 reste de la
famille
on ne trouve pas d'aliénés, pas d'idiots, pas d
e l'absinthe, elle était très nerveuse et d'un caractère emporté.
Famille
de la mère. - Père inconnu. Aucun rensei- gneme
n cousin a été pendu en Angleterre, pour crime. Dans le reste de la
famille
, on ne trouve rien à signaler. Pas de consang
rs. Pas d'autre tare nerveuse ou de malformation à signaler dans la
famille
. Mère, 31 ans, couturière, sobre. Règles abonda
s, qui aurait eu des convulsions. Pas d'autres épileptiques dans la
famille
, etc. Pas de consanguinité. Différence d'âge, 6
cle paternel, alcoolique. Cousin arriéré pour la parole. Mère et sa
famille
, rien de particulier. Pas de consanguinité. -
formation ni autre particularité à signaler, dans le reste de la
famille
paternelle. Mère, 2G ans, cartonnière. Elle n'a
à peu près nulle du côté maternel, est relativement chargée dans la
famille
du père, alcoolique, au moins à une époque. Un
ans, ouvrière en brosserie avant le mariage; elle appartient à une
famille
de paysans bretons très robustes. Pas de convul
âgé a trente-quatre ans, le plus jeune dix-sept ».] [Dans les deux
familles
, il n'y aurait pas eu d'idiots, d'aliénés, d'ép
; s'est marié à 30 ans. Il a le nez aquilin et les cheveux noirs.
Famille
du père. Père alcoolique, mort à 62 ans d'un ch
soeur aurait eu des convulsions de l'enfance. Dans le reste de la
famille
: pas d'idiots, pas d'aliénés, pas d'épileptiqu
et de faiblesse. Elle a eu pendant longtemps des pertes blanches.
Famille
de la mère. - Père, mort à fi5 ans d'une maladie
illes, intelligentes, n'ayant jamais eu de convulsions. Reste de la
famille
, rien il signaler, en particulier pas de goitre
re soient nés en Savoie, il n'y a ni goitreux, ni crétins dans leur
famille
. II. L'enfant a probablement été conçue durant
rte de tuberculose pulmonaire. - Renseignements insuffisants sur sa
famille
. - Mère ner- veuse. Grand'mère maternelle morte
on n'a pas eu à se plaindre et qui, peu ou point visités par leurs
familles
, ne vont jamais en permis- sion de sortie ou en
la grande joie de nos malades dont l'émotion est partagée par leurs
familles
qui tout en les couronnant essuient parfois une
tesse de l'internement qui prive nos petits malades des joies de la
famille
, nous nous efforçons d'apporter un rayon de gai
obtenu son certificat d'études ; il a été amélioré au point que sa
famille
a réclamé sa sortie. 3° DcLV.. (Fernand), 17 an
ariant de 50 centimes à un franc. On achète des fleurs, vendues aux
familles
qui assistent à ces fêtes. On vend les brioches
Nous n'insisterons pas sur les nombreux avantages des visites des
familles
, des permissions de sortie. pour la journée et
o plus supportable et contribuent à mainte- nir les liens entre les
familles
et leurs enfants. » Les visites des familles au
ir les liens entre les familles et leurs enfants. » Les visites des
familles
au parloir ne sont pas suffi- samment surveillé
ont des per- missions de sortie et des congés, sur la demande des
familles
, à toutes les époques de l'année, qu'ils ont des
ombre d'entre eux. Il ne les rencontrent pas toujours. Souvent la
famille
a déménagé et on ne peut avoir sa nouvelle adre
itue les fillettes aux soins de propreté. C'est ce que les mères de
familles
, les institutrices, les maîtresses de pension d
au nombre de 5.968. Ces chiffres témoignent de la sollicitude des
familles
envers leurs malheureuses enfants. Il semble qu
s de plus de cinq jours, parce que le séjour des enfants dans leurs
familles
se prolongeant, il est moins facile de les fair
es et arriérés, amé- liorés au point de pouvoir être rendus à leurs
familles
, s'il était possible, en ville, de continuer le
la création des classes spéciales comme moyen d'assistance, dans la
famille
, du groupe important des enfants arriérés (1).
r l'installation des idiots adultes capables de travailler chez des
familles
pri- vées, mais sous le contrôle des institutio
i- mées devant vous. L'homme et la femme sont faits pour créer la
famille
. Le devoir et l'intérêt de la Société, c'est d'
pour les aliénés de la Seine, dont il tire profit. Rappelons que la
Famille
, la Commune, le Départe- ment et enfin l'Etat o
oique tout à fait guéri n'est pas dangereux, on peut le rendre à sa
famille
, avec ou sans secours, ou le placer dans une co
ez longues de leurs accès, qui permettraient de les rendre il leurs
familles
. Mais celles-ci hésitent souvent il les reprend
t ces deux modes d'assitance, hospitalisa- tion, assistance dans la
famille
avec secours en argent, délivrance des médicame
La conséquence de ces accusations, souvent violentes, c'est que les
familles
et les ' médecins hésitent à faire procéder en
ts ne devraient donc jamais hésiter à conseiller dans ce sens les
familles
. Très lourde est la responsabilité de ceux qui
et au point de vue psychique ? ' ? S'il y a eu des aliénés dans la
famille
, placés dans les asiles, prendre note du nom de
et divers, fractures, luxations, brûlures; sévices exercés par les
familles
. Cause il laquelle les parents attribuent la ma
se. de l'atrophie. Lorsque ces renseignements ont été donnés par la
famille
, nous prenons ou nous faisons prendre la descri
mort de tuberculose. Renseignements insuffisants sur le reste de la
famille
. - Mère sujette ci des céphalalgies. Un frère et
r. Pas d'idiots, d'épileptiques, de mal- formés dans le reste de la
famille
.] Pas de consanguife. Inégalité d'âge de cinq a
berculose en décembre 1890. - Renseignements à peu près nuls sur sa
famille
. - Mère, migraineuse. - Grand' mère maternelle
jette à des ne- vralgies. - Bien de particulier dans le reste de la
famille
. SleU1' morte probablement de tuberculose. - Pa
d'origine italienne, et on ne peut donner de renseignements sur sa
famille
, mais on pense quil ii*y a jamais eu de cas de
SIE VERTIGINEUSE ET BROMURE DE CAMPHRE. 15 Rien dans le reste de la
famille
, ni bègues, ni paralytiques, ni malformés, ni s
ère, irritabilité, affaiblissement progressif de la mémoire, vie de
famille
impossible. -Un oncle paternel se sui- 1 Un rés
> IDIOTIE morale; mensonge. cide à vingt et un ans, parce que sa
famille
s'oppose à son mariage. Grand'mère paternelle s
lsions de l'en- fance. - Le seul cas pathologique à relever dans la
famille
mater- nelle, est celui d'un grand-oncle matern
'argent au nom de son grand-père (jusqu'à 100 francs) à des amis de
famille
, il a acheté une fois avec de l'ar- gent volé o
me jeter dans la Seine. Je vous donne tous ces détails pour que ma
famille
fasse rechercher mon corps ». IDIOTIE morale.
'un autre va au domicile des parents avec la lettre en question. La
famille
nous répond : « Il n'y a pas de danger qu'il se
père manifestant l'agréable impression qu'A... a faite sur toute la
famille
. Un nuage cependant le 25 : l'enfant comptait all
trique qui dura cinq jours. Février. - Malgré nos observations, la
famille
espace de plus en plus ses visites et le laisse
tat d'irritabilité extrême persiste jusqu'en Mars. Une visite de la
famille
et un congé de trois jours paraissent remonter
parait se produire à son sujet des tiraillements dans le conseil de
famille
. Les uns vou- draient le faire engager, d'autre
le lendemain de la répulsion pour l'état militaire. - Un voyage en
famille
an bord de la mer pendant les mois d'août et se
t à l'Institut, mais un changement s'est produit dans le conseil de
famille
. C'est un oncle qui connaît peu A... qui est no
II. Si l'amélioration n'a été que passagère, cela tient à ce que la
famille
ne nous a pas suffisamment aidés dans notre oeu
ques, ni difformes, ni suicidés, ni prostituées dans le reste de la
famille
maternelle. Pas de consanguinité (père savoyard
médiaire de la surveillante, la placer comme domestique dans une
famille
de la commune où elle s'est parfaitement condui
égalité d'aîge de 6 ans. (Père plus âgé.) Gémellarité dans les deux
familles
. Naissance à 8 mois. - Arrêt de développement à
deux enfants qui n'ont pas eu de convulsions. - Dans le reste de la
famille
, on ne connait aucune tare : pas d'aliénés, pas
'une angine consé- cutive à la rougeole ; pas d'autre décès dans la
famille
. - L'enfant présente toujours un tympanisme pro
pour aller se placer devant le feu et tout cela sans raisons (1).
Famille
du père. Son père est mort à 52 ans de bronchite
siste beaucoup sur ce que : « lors de l'accident de notre malade la
famille
s'estenquisede l'état d'esprit deleurs parents
fille 1 1 e bien portante, pas de convulsions. Dans le reste de la
famille
, on ne trouve rien à noter, et en particulier a
un caractère très doux, elle ne se plaignait jamais de la tête.
Famille
de la mère. Son père et sa mère sont morts vieu
rième, 58 ans, mariée, n'a jamais eu d'enfants. Dans le reste de la
famille
, il n'y a rien à signaler; pas de tuberculose.
hétive. Pour expliquer ce fait, deux causes sont invoquées par la
famille
: d'abord l'air confiné de la classe, car, l'enfa
turbulence comme aux deux premières attaques. C'est alors que la
famille
se décide à la placer. Elle est admise -IL l'Asil
ondation : la nuit elle se levait et jetait tout par la fenêtre. Sa
famille
allait la voir deux fois par semaine et a pu ap
sait en ses moments de folie. Elle demande à. être renvoyée dans sa
famille
. Depuis son entrée, son poids a augmenté de 12
lle parle souvent d'eux et manifeste le désir de retourner clans sa
famille
. L'état de l'enfant est tout-à-fait satisfaisan
ante et l'on doit souvent la stimuler. Elle parle fréquemment de sa
famille
qu'elle semble aimer beau- coup. Elle lit avec
able. l ? a0t'(t. - Marguerite part en congé pour 8 jours dans sa
famille
. Elle a pris très exactement deux douches par jou
urer sa guérison par un traitement régulier, nous recommandons à la
famille
de a ramener exactement a la fin de son congé,
rases sont sans suite, tantôt elle pleure parce qu'elle n'a plus de
famille
et qu'elle se trouve dans le deuil le plus comp
on, d'exemples de tuberculose, mais les renseignements sur les deux
familles
sont assez incomplets. II. A deux ou trois an
ous accordons un congé de quelques jours, en insistant auprès de la
famille
sur la nécessité d'une prolongation de traiteme
du type mongolien ; i' PAR BOURNEVILLE. v SOMMAIRE. - Père et sa
famille
, rien de particulier, sauf f un oncle paternel
yxier par le charbon, s'est pendu. Rien à noter dans le reste de la
famille
.] Mère, 47 ans, très nerveuse, pas de convulsio
fille, compliquée d'attaques de nerfs consécutives à des ennuis de
famille
. Elle aurait même eu une attaque de 2 heures av
ortants ainsi que leurs enfants. Rien à relever dans le reste de la
famille
. Pas de cas analogue à l'enfant.] Pas de consan
s à la mort de sa mère, à une maladie de sa soeur, à des démêlés de
famille
, dans le deuxième mois de sa grossesse. A la mê
e aliénée, excès de boisson. - Renseignements insuffisants sur la
famille
. Mère, rien de particulier. Grand-père . matern
Un jour, pendant une courte absence qu'elle fit pour aller voir sa
famille
, son mari pénétra par ruse dans l'école, enleva
l'enfant qui fournit les détails, dit n'avoir jamais bien connu la
famille
de son mari. Elle ne saurait dire s'il y a eu d
abitue les fillettes aux soins de propreté. C'est ce que les mères de
familles
, les institutrices, les maîtresses de pension d
et moins inexpérimentées quand elles sont placées ou rendues à leurs
familles
. A cinq ou six d'entre elles, nous permettons d
été au nombre de 3.583. Ces chiffres témoignent de la sollicitude des
familles
envers leurs malheu-reuses enfants. Il semble que
gés de plus de cinq jours, parce que le séjour des enfants dans leurs
familles
se prolongeant, il est moins facile de les faire
andé maintes fois, sans résultats, à l'Administration de rappeler aux
familles
qu'elles ne doivent pas, dans l'intérêt même de l
ccordée. Par contre, nous avons des enfants qui s'ennuient dans leurs
familles
, n'ayant plus le même régime, les mêmes distracti
pace qui leur manque, car il est évident que les logements de leurs
familles
sont assez exigus. Aussi demandent-elles à reveni
e gymnase de la Fondation. Ces petites fêtes auxquelles assistent les
familles
ne coûtent rien à l'Administration. Nos fillettes
. Imbécillité, mutisme volon-taire. Idiotie, gâtisme. Rendue à sa
famille
qui la réclame, le 9 janvier. Très améliorée. R
a famille qui la réclame, le 9 janvier. Très améliorée. Rendue à sa
famille
qui la réclame, le 21 janvier. Très améliorée.
famille qui la réclame, le 21 janvier. Très améliorée. Rendue à sa
famille
qui la réclame, le 7 février. Amélioration notabl
ansférée à l'asile de Villejuif, le 16 mars. Même état. Rendue à sa
famille
qui la réclame, le 24 mai. Même état. Transféré
non rentrée, défalquée le 5 juin. Amélioration notable. Rendue à sa
famille
qui la réclame, le 17 juin. Amélioration légère
amille qui la réclame, le 17 juin. Amélioration légère. Rendue à sa
famille
qni la réclame, le 21 juin. Amélioration légère.
à son père qui la réclame, le 13 septembre. Même état. Rendue à sa
famille
qui la réclame, le 12 octobre. Même état. Trans
e 16 mars. Môme état. Transférée à Marseille, pour être rendue à sa
famille
qui la réclame, le 24 mars. Amélioration notabl
. Amélioration notable. Transférée à Marseille, pour être rendue à sa
famille
qui la réclame, le 24 mars. Très améliorée. Tra
cerne les enfants nerveux et arriérés. Pour ceux d'entre eux que leur
famille
ne veut pas placer, il s'agit de véritables consu
é le traitement, nous faisons voir l'appli-cation des procédés que la
famille
doit employer, dans la mesure du possible : exerc
'essai, préparatoires de la sortie, ont lieu le plus souvent dans les
familles
même ; avec le concours de notre personnel, en pa
thénaïs Bohain et M"0 Lapeyre, nous plaçons d'autres enfants dans des
familles
étrangères, entre autres les enfants assistés ou
le comme à la Fondation. Les enfants sorties en liberté, dans leurs
familles
, ou placées dans des familles étrangères en 1906
enfants sorties en liberté, dans leurs familles, ou placées dans des
familles
étrangères en 1906 sont au nombre de 13. Voici qu
ce d'urine avait pour ainsi dire disparu. — Elle a été reprise par sa
famille
; elle apprend le métier de repasseuse, a déjà fa
u'elles avouent qu'il a bu. Nous profitons des visites nombreuses des
familles
pour faire noter par notre personnel l'état d'ébr
les cas nouveaux relevés dans nos observations de 1906. Si aux 143
familles
, figurant dans notre statistique de 1904, et exer
7 entrées de 1906 (filles et garçons), nous voyons : 1° Que ces 150
familles
ont fourni 675 enfants, soit près de 5 enfants pa
e ces 150 familles ont fourni 675 enfants, soit près de 5 enfants par
famille
; 2° Que sur ces 707 enfants, 351 sont décédés,
Grands-pa-rents morts vieux. — Mère, rien de particulier, ni dans sa
famille
. — Pas de consanguinité. — Inégalité d'âge de 10
e le 12 décembre 1900, décédé le 15 sep-tembre 1906. Histoire de la
famille
et de la malade (Renseignements fournis parlamère
œurs, ni leurs enfants n'ont eu de convulsions. — Dans le reste de la
famille
, on ne relève ni épilcptique, ni aliénés, ni idio
si elles ont eu des convulsions. Rien à signaler dans le reste de la
famille
; pas d'aliénés, pas d'épileptiques ; ni bègues, n
ité d'âge: père plus âgé de 8 ans. —• Deux cas de gémellarité dans la
famille
maternelle. Conception : rien de particulier. —
, âgé de 3 ans; ni l'un ni l'autre n'ont eu de convulsions. — Dans la
famille
, pas d'aliénés, pas d'épileptiques, pas de paraly
rte bien; les unes et les autres n'ont pas de convul-sions, — Dans la
famille
, pas d'aliénés, ni d'épileptiques, ni d'idiots, n
i de criminels, etc., etc.; pas de microcéphale (non plus que dans la
famille
dû père). ] Consanguinité : le père et la mère
8 ans, le père étant le plus âgé. — Deux cas de gèmellnr.ilè dans la
famille
de la mère : la mère elle-même a une sœur jumelle
; et la sœur de sa mère a eu deux jumeaux. Pas de gémellarité dans la
famille
du père. Deux enfants : 1° notre malade; — 2° u
eut-être peu marqué du père, et enfin deux cas do gémellarité dans la
famille
maternelle. Fig. 5. — Tuliour..., cicatrices du
ée de son premier enfant, aucun fait nouveau ne s'est produit dans la
famille
. Le malade. — Lors de la conception, la mère ét
s de l'observation précédente. II. — Il est à remarquer que dans la
famille
Tabou-r.. le premier et le troisième enfants sont
aux ; or, cette alternance, on le sait, est loin d'être rare dans les
familles
qui comptent des enfants ayant une tare pathologi
ptiques incapables d'être mis en liberté ; 37 ont été rendus à leur
famille
guéris ou améliorés, ou sur la demande de celle
es des préfets ont été beaucoup plus nombreuses, mais plu- sieurs
familles
ont préféré reprendre leurs enfants que de les
éreuse du Conseil géné- ral de la Seine envers ces enfants et leurs
familles
les laissent trop souvent indifférents. On le c
au nombre de 3.605. Ces chiffres témoignent de la sollicitude des
familles
envers leurs malheureux enfants. Il semblerait
ent en quelque sorte et presque com- plètement un des membres de la
famille
, alors que dans les asiles une personne suffit
t il les éduquer en dehors des asiles, en les laissant dans leurs
familles
et en les envoyant dans des classes spéciales. En
ébiles, les insuffisants sont soit dans les écoles, soit dans leurs
familles
. Ceux des écoles sont une gêne pour les institu
des arriérés, souvent, instables, qui sont censés rester dans leurs
familles
, ils sont généralement à à eux-mêmes, errent da
s ont réuni tous les renseignements nécessaires aux médecins et aux
familles
pour les guider dans le traitement, l'éducation e
La loi sur l'instruction primaire comporte l'obli- gation pour les
familles
de donner à leurs enfants l'instruction' élémen
nement de la République, le devoir de mettre à la disposition des
familles
tous les moyens d'obéir à la loi, qu'il s'agiss
ux est trop souvent entourée de difficultés, sans compter que les
familles
ignorent parfois l'existence même de ces établi
ait d'ouvrir largement leurs portes et de délivrer libéralement aux
familles
tous les renseignements qui leur sont nécessair
heureuse modification, d'autres surviennent et plus rapidement. Les
familles
doivent donc prendre patience, faire crédit au
s, d'apoplectiques, de difformes, de suicidés, de criminels dans la
famille
]. Mère, 27-ans, fleuriste, sujette à des attaqu
nt*, frères, soeurs, en bonne santé. - Pas d'aliénés, etc., dans la
famille
]. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de di
i. - Rien en février jusqu'à ce jour. - On n'a pas plus que dans la
famille
constaté de vertiges. IDIOTIE ET ÉPILEPSIE méni
ulant trop tôt une opinion, qu'il ne rectifie pas, à l'erreur de la
famille
. III. Le diagnostic de la maladie terminale éta
Il a un caractère froid, calme ; il est travailleur et bon père de
famille
. Son instruction se borne à savoir lire et écri
sont bien portants. - Il n'y a rien à signaler dans le reste de la
famille
.] Mère, 31 ans, fait des ménages, n'a eu ni con
morte jeune on ne sait de quoi.- Pas d'affections nerveuses dansla
famille
.] 26 ri Idiotie méningitique. Mère, 53 ans, p
turelle. Mère syphilis; Renseigne- ments insuffisants sur lui et sa
famille
. - Mère probable- ment syphilitique (traitement
fils unique. - On ignore s'il y a des antécédents nerveux dans sa
famille
.] Antécédents héréditaires ET personnels. 33
ormer une opinion sur l'I2.érï- (lité nerveuse l'histoire, des deux
familles
n'étant qu'imparfaitement connue. III. - La s
graine ; intelligent, travailleur (gagne de 5 à G fr. par jour). - [
Famille
du père. Père, mort. 5G ans « à force de boire »
ni d'affection cutanée, morte à 31 ans de tuberculose pulmonaire. [
Famille
de la mère. Père, mort à 60 ans, mère, à 50 ans
émiplégie gauche, mariée, n'a pas eu d'enfants. Dans le reste de la
famille
, pas d'idiots, d'aliénés, etc.]. Pas de consang
ait un bec-de-lièvre ainsi que le plus jeune. - Dans le reste de la
famille
, aucune affection nerveuse, psychique, arthriti-
. C'était un enfant trouvé, et on n'a eu aucun renseignement sur sa
famille
. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 6 a
sinent le foyer. Réflexions. - I. Les renseignements sur les deux
familles
du père et de la mère sont très incomplets. Nou
ans, il ne sait de quoi. Il n'y a pas d'autres épileptiques dans la
famille
, pas d'idiots, d'aliénés, pas de suicidés, de d
bonne santé. -Pas d'épileptiques, ni d'aliénés dans le reste de la
famille
]. Pas de consanguinité. - Différence d'âge de 1
'est séparé de sa femme à l'amiable pour incompatibilité d'humeur. [
Famille
du père. Le père de cet homme était bien portan
ernel est mort d'un cancer, ainsi qu'une tante. Dans le reste de la
famille
paternelle, on ne relève l'existence d'aucune m
s et, quoique cuisinière, fait un usage très modéré de l'alcool. - [
Famille
, de la mère. - Sa mère est morte à 76 ans, asth
3 soeurs vivantes et parfaitement portantes. - Dans le reste de la
famille
, il n'y aurait eu ni aliénés, ni difformes, etc
le malade. Cette gros- sesse double n'était pas la première dans la
famille
maternelle : la soeur de la mère de l'enfant a
raison de ce dernier accident que les frères l'auraient rendu à sa
famille
. Il avait alors 12 ans. Ses tendances religieus
nis. Délire mystique. 87 II. Notre malade était jumeau et dans la
famille
, ainsi que cela se rencontre souvent, il y avai
es nerveux, ainsi que sa fille, âgée de 9 ans.- Dans le reste de la
famille
, ni idiots, ni épileptiques, ni aliénés, ni par
e sixième mois, à la suite de contra- ' Antécédents. 91 riétés de
famille
, sans perte de connaissance, ni accident uté- r
ie générale. » - [Père, inconnu, partant aucun renseignement sur sa
famille
. - Mai- tresse de musique, intelligente, sobre,
suicidés, de débauchées, de crimi- nels, etc., dans le reste de la
famille
]. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 8 an
renseignements nous font défaut surle grand père paternel et sur sa
famille
. La mère, très nerveuse, sans accidents convuls
ait cinq enfants qui n'ont rien de particulier. Dans le reste de la
famille
, on ne signale ni suicidés, ni aliénés, etc.]
excès de boisson, fume très modérément. Intelligence normale. - [
Famille
du père. Père mort à 55 ans d'une affection pul-
ion pul- monaire au dépôt de St.-Denis, homme de peine, chargé de
famille
, il s'était laissé aller au découragement etalaha
utres antécédents pathologiques ni psychiques inté- ressants sur la
famille
du père.] Mère, morte ia 29 ans en 1871 d'une a
ritables. Elle était sobre et avait reçu une certaine éducation. - [
Famille
de la mère. Père, cuisinier, serait mort « de l
uraient pas d'accidents comitiaux. - Rien de plus à noter dans la
famille
de la mère]. Pas de consanguinité. (Le père est
droyante en quelques minutes; il toussait un peu depuis un mois. - [
Famille
du père. .Père, âgé de 80 ans, vigoureux, carac
, dont l'une a 12 enfants parfaitement sains. - Dans le reste de la
famille
, ni aliénés, ni paralysés, etc.] - Pas de consa
septembre 1895. TROIS cas D'IDIOTIE myxoedémateuse. 185 toute sa
famille
. - Mère, rien de particulier. - Grand- père mat
mois après la naissance de l'enfant. - Aucun rensei- gnement sur sa
famille
. Mère, 36 ans, autrefois domestique, maintenant
s sont morts vieux, sans acci- dents nerveux. - Dans le reste de la
famille
, pas d'autre cas d'apoplexie, pas d'idiots, de
as de rhumatismes, marié à 27 ans ; pas de mala- dies vénériennes. [
Famille
du père. Père. Mort d'une flu- xion de poitrine
e il cinquante-cinq ans de refroidissement; rien à signaler dans la
famille
du père, sinon un oncleet une tante paternels-p
ient en abondance et repoussaient vite et de plus en plus bruns. [
Famille
de la mère. - Père, mort écrasé par un mur, sobre
pas d'enfants quoique mariée ; l'autre soeur célibataire. Dans la
famille
de la mère, ils sont tous nerveux, mais ni paraly
est meilleure, l'enfant lit couramment, fait seule des lettres à sa
famille
, l'orthographe est meilleure, elle fait de peti
aux de ménage et de couture). Personnellement, nous estimons que la
famille
aurait mieux fait de laisser cette jeune fille
et qu'il possède une fortune énorme et qu'il est allié à toutes les
familles
nobles du pays. Les parents de V... possédaient u
lcoolisant. J'ai lieu' de croire = qu'il y a eu des aliénés dans la
famille
de X..., et que lui-même faisait des excès alco
ui est traité indignement, qui n'est pas à sa place, pour lequel sa
famille
paie une pension considérable, et cependant on
e curieux persécuté. 11 a dû avoir une jeunesse mouvementée, car sa
famille
, a bout d'expé- dients, l'avait engagé comme ma
, d'un esprit très cultivé, poète à ses heures. Depuis longtemps sa
famille
avait remarqué ses originalités, mais on n'y at
nous appelons des persécutés; ils forment, à mon sens, une grande
famille
; ils délirent tous de la même façon, par le mêm
dmettre le même trouble fondamental de l'intelligence. Dans cette
famille
d'aliénés, il convient d'établir des groupes di
ci le diabète alterner avec le tabes chez divers membres d'une même
famille
. Nous avons hâte de démontrer que ces deux enti
rands parents ma- ternels ni sur un certain nombre de membres de sa
famille
. Il sait cependant que son grand-père paternel
rnel est aliéné. Il y a en outre un certain nombre de membres de sa
famille
qu'il ne fréquente pas et qu'il ne connaît pres
ogie peut être représentée par le tableau suivant : TABLEAU XXIII
FAMILLE
ISRAÉLITE Antécédents PERSONNELS.K... n'a jamai
es infructueuses. Jamais D... n'a entendu parler de maladie dans sa
famille
. Tous les mem- bres qu'il connaît n'ont ou n'on
'affections pathologiques distinctes quoique unies par des liens de
famille
2, ' Soc. de méd. de Goudres, 28 octobre 1889.
sion pour reparaître. Ce n'est donc pas seulement dans une même
famille
qu'on rencontre la coexistence .du tabes'et du
écédents nerveux héréditaires; mais elle appartient cependant à une
famille
de musiciens en- diablés et pour la plupart san
e progressive chez une jeune fille de vingt-cinq ans, sortant d'une
famille
complètement indemne d'antécédents neuro ou psy
é morbide singulière DU SYSTÈME NERVEUX CEN- TRAL PROPRE A une même
famille
; par M. Nonne. (Arch. f. Psych., XXII, 2.) Tr
, dix ans atteints d'un complexus symptomatique progressif. Dans la
famille
, on note toutes sortes d'anomalies, notamment d
es à celles de la forme myopa- thique. Voici, par exemple, dans une
famille
jusqu'alors indemne d'atrophie musculaire, un j
dix-neuf ans et demi présente la forme spinale : il existe dans la
famille
une tare héréditaire névro et psychopathique ; pa
traitées, exigent la présence cons- tante de l'un des membres de la
famille
, lequel se trouve ainsi immobilisé et dans l'im
dans l'impossibilité de travailler, de contribuer aux charges de la
famille
. Les idiots, les imbéciles, les paralytiques, l
ec perversion des instincts sont dans ce cas. Leur présence dans la
famille
est une source de graves inconvénients pour leu
er des idiots au dernier degré qui sont une gêne évidente pour leur
famille
, il en est un grand nombre d'autres, imbéciles
es qui remplissent d'inquiétude et de douleurs leurs malheu- reuses
familles
. Et la grande classe des enfants dégénérés avec
e là et dis- parurent rapidement. L'enquête a établi que c'était la
famille
qui avait fait procéder à cet enlèvement par le
u lieu dans les mêmes circonstances. Cette fois, c'était un père de
famille
qui avait enlevé sa fille, âgée de dix-sept ans
ande somme de liberté possible en leur donnant des congés dans leur
famille
, en leur faisant faire des promenades, en les o
rangers et qui consiste à placer les aliénés non dangereux dans des
familles
de cultiva- teurs. Les cultivateurs qui recevro
e du malade afin de ne pas le priver complètement des visites de sa
famille
et de ses amis. En mettant les aliénés placés c
réparation des sirops;-matières médicales : produits fournis par la
famille
des strychnées. - Les questions restées dans l'
mmades; matières médicales : produits fournis à la pharmacie par la
famille
des laurinées. 2° Chimie : phosphates employés
vins médicinaux ; - matières médicales ; - produits fournis par la
famille
des solanées. FAITS DIVERS. 137 L'épreuve déf
essité de leur internement dans l'immense majorité des cas. - Une
famille
de fous. Un gamin de onze ans, Jules B..., était
les renseignements que nous avons pu obtenir sur les antécédents de
famille
du sujet. Antécédents personnels. Dans son enfa
a paralysie générale sont bien d'ail- leurs deux rameaux d'une même
famille
, car parmi les parents de paralytiques on renco
du tabes avec le diabète, chez un même individu comme dans une même
famille
, n'est pas une coïncidence fortuite; elle est l
quence des liens étroits de parenté qui unissent les deux grandes
familles
arthritique et névropathique en général, le dia
it au Congrès de Marseille une intéressante communi- cation sur une
famille
dont presque tous les membres étaient atteints
ons ici, voulut bien nous envoyer quelques notes con- cernant cette
famille
et son tableau généalogique. On trou- vera égal
dans la suite et qui n'est pas moins intéressant. Observation DE la
famille
A... (Maladie de Friedreich.) (Dr Latil, d'Aix.
DE la famille A... (Maladie de Friedreich.) (Dr Latil, d'Aix.) La
famille
A... offre un intéressant exemple d'ataxie hérédi
é par cet auteur, le con- trôle de la vue chez deux sujets de notre
famille
corrige nettement l'incoordination motrice. Che
ns maintenant comment s'est faite l'évolution de la maladie dans la
famille
A.... L'aïeul, ataxique depuis plus de vingt an
tasie-abasie; nous l'avons citée. Nous n'avons pu trouver dans la
famille
A... les traces d'au- cune diathèse : syphilis,
t ne peuvent entrer en ligne de compte. . Toute l'histoire de cetle
famille
'se trouve consignée dans le tableau suivant.
interprétations délirantes. Elle croit avoir fait le malheur de sa
famille
, elle se reproche des fautes imaginaires; les g
noires, préoccupations pour son travail. C'est sans doute ce que sa
famille
appelle une crise nerveuse, car elle n'a jamais e
uchotait près d'elle, elle pensait qu'il y avait un mystère dans sa
famille
. Elle voit aujourd'hui qu'elle avait une 208 RE
pour intelligente, mais était peu sympathique. Quand on jouait en
famille
, elle aimait mieux prendre sa tapisserie. Elle ne
oitrine et une soeur qui avait huit ans (elle avait la jaunisse).
Famille
personnelle. Son mari est mort à trente-cinq ans
1889.) Il s'agit d'un homme de cinquante-neuf ans, ayant dans sa
famille
des antécédents névropalhiques, qui entra volonta
. Observation D'UN cas DE FOLIE A deux chez CINQ MEMBRES D'UNE MÊME
famille
; par Oscar-T. WooDS. (The Journal of Mental Sci
(The Journal of Mental Science, janvier 1889.) . Il s'agit d'une
famille
de dix personnes ainsi composée au point t de v
liore une seconde fois la maladie. Enfin, à la suite d'une scène de
famille
, et aux approches de la menstruation, attaque d
, qui avait des rapports sexuels avec six petites filles de la même
famille
, dont l'ainée avait treize ans et la plus jeune
nfin, suivant le sexe et l'âge de celui-ci, de la composition de la
famille
où il entre; de fréquentes visites d'inspection s
âcheux résultais ne soient pas plus fréquents. La composition de la
famille
où entre un aliéné a une impor- tance évidente
a. même rang, on doit placer la sécurité physique et morale de la
famille
qui le reçoit. Si ces préceptes sont rigoureuse
particulier de la pathologie ne permettraient pas aux médecins des
familles
, en les mettant sur leurs gardes, en leur donna
lé cette faute, dit-il. ' , M. LE Président. - En abandonnant votre
famille
et en com- paraissant aujourd'hui pour la secon
pendant les sept . VARIA. 283 semaines qu'elle a passées dans sa
famille
, après l'enlèvement, Louise était très calme, t
e-t-il qu'il soit salutaire pour la malade d'aller l'arracher de sa
famille
à cinq heures du matin ? M. MAGNAN. - En agis
Ce n'est pas une raison de folie. De nombreux voisins ou amis de la
famille
Dourches, des per- sonnes qui ont employé Louis
rise administrative des plus regrettables. Il y a quelque temps, la
famille
Réboul, de Roquemaure, était informée de la mor
it un autre aliéné du même nom qui était mort ! De là plainte de la
famille
et condamnation. GEOnGES Guinon et J.-B. CHARCOT.
troversée des névroses, à savoir : s'il existe quelques rapports de
famille
entre le somnambulisme spontané et l'hystérie ?
enseignements qui vont suivre : Le 24 avril, après avoir déjeuné en
famille
avec beaucoup d'entrain, avec une grande gaité
une boule de feu dans la tête, un fer rouge dans l'estomac. - Sa
famille
et les personnes qui l'assistent essaient de la c
actes) elle se désole, fond en larmes, et demande pardon à toute sa
famille
d'avoir été aussi déraison- nable. Jusqu'à 1
sse dans le calme parfait, elle s'occupe raisonnablement, dîne en
famille
, mange d'un bon appétit. - A 8 heures du soir,
enue de plus en plus critique, le médecin crut devoir proposer à la
famille
l'entrée soit à l'hôpital, soit dans une maison
résul- tat. Elle quitta l'hôpital le 14 juillet et rentia dans sa
famille
, heu- reuse de sa guérison, reconnaissante des
un épiphénomène. N'avons-nous pas là un trait d'union, un lien de
famille
, qui nous conduit à l'unité, à la consanguinité
', Messieurs, Les héréditaires dégénérés constituent une grande
famille
pathologique nettement définie, à caractères pr
la recherche du terme qu'il poursuit, mais qu'il entraîne toute sa
famille
dans cette bizarre occu- - pation, et lorsqu'on
s que la clinique révèle sont tellement nets, ils ont un tel air de
famille
chez les différents sujets, qu'il n'est pas pos
lus indépendante.. Tous les déséquilibrés appartiennent à la même
famille
, on ne constate pas chez eux de lésions anato-
e. D'après les renseignements les plus sérieux, il appartient à une
famille
dans laquelle on n'a jamais observé ni folie, n
buvait un peu quelquefois, mais il n'était pas un ivrogne. Père de
famille
rangé, laborieux, doux et serviable, il avait l
t oublié le nom de l'enfant, il ne se souvenait même plus du nom de
famille
du parrain. Ce fait m'a été rapporté par la par
l'aide dont leur seraient redevables les communes ou leurs propres
familles
. Voici un malade dont les facultés ont baissé, qu
upèrent pleine- ment leur vigueur définitive. Est-ce dans sa propre
famille
ou dans un hospice ordinaire qu'il trouvera le
souvent précieuse, en ce qu'il possède à fond la population et les
familles
propres à faire des nourriciers. La même réflex
en apprécient le bien-être peu de temps après leur entrée dans les
familles
et se défendent toujours de retourner à l'asile.
une habileté remar- quable à la culture. Sous l'action de la vie de
famille
, leur aspect extérieur se modifie; ils se refon
formes morbides. Les aliénés actuellement en trai- tement dans les
familles
sont atteints ou ont été affectés de : SOCIÉTÉS
s arts, vous a donné le charme et les joies de l'intérieur et de la
famille
. Depuis lors, mon cher maître, votre maison a é
y trouvaient le gracieux accueil et le réconfort moral, presque une
famille
. Que nos paroles ailées portent à Madame Charco
hes contribueront bientôt à glorifier encore davantage cette grande
famille
des élèves de la Salpêtrière, dont vous êtes le
satisfaction des aînés, restez de longues années a la tête de cette
famille
, c'est le voeu fervent que nous formons tous et
es dévoués et reconnaissants. . VARIA 449 CHER MAITRE, Dans les
familles
nombreuses, il y a presque toujours des en- fan
obligent à s'éloigner du toit paternel. Il y en a aussi dans votre
famille
scientifique. Plusieurs de vos élèves, non des
tombola (2) et quatre concerts dont un suivi d'une pié- cette. Les
familles
assistent aux fêtes organisées par les enfants.
- fiés : . .,\XXV111 : - -.Vaccination. - -- ." Les visites des
familles
au parloir lie sont pas suffi- samment surveill
ofessionnel. missions de sortie et des congés, sur la demande des
familles
, il toutes les époques du l'année, qu'ils ont des
sés clans un des quar- tiers de l'hospice, 29 ont été rendus à leur
famille
, guéris ou améliorés ou sur la demande de celle
nombre d'entre eux. Il ne les rencontrent pas toujours. Souvent la
famille
a déménagé et on ne peut avoir sa nouvelle adre
ion Générale de l'Assistance Publique. Signé : I)IOURIER. (a) Une
famille
étant venue visiter un parent m.1lade, entré quel
xxxn Enseignement nu dessin. de propreté. C'est ce que les mères de
familles
, les institutrices, les maîtresses de pension d
ndé maintes fois, sans résultats à l'Administration de rappeler aux
familles
qu'elles ne doivent pas, dans l'intérêt même de
encore elle rendait de fréquentes visites à celles reprises par les
familles
, nous fournissant sur chacune d'elles une note
d'enfants notablement améliorés qui pourraient être rendus il leurs
familles
, s'il existait à Paris des classes spéciales, c
ettrait de recevoir les enfants, plus mala- des, qui attendent. Les
familles
, qui ne doivent pas oublier leurs devoirs les r
it ve- nir dans notre service, une fois par semaine, des mères de
famille
avec leurs enfants auxquels des leçons étaient
rhumatisant, excès de bois- sons (absinthe); caractère emporté. - [
Famille
du père : Père, rhumatisant, nombreux excès de
santé, veuve, sans enfant, pas de convulsions. Dans le reste de la
famille
, il n'y aurait eu ni aliénés, ni épileptiques,
er- dit connaissance, eut des convulsions et mourut en 7 heures. [
Famille
DE la mère : Père, excès de boissons, mort vers
et n'aurait pas eu de convulsions. Aucun détail sur le reste de la
famille
. Il n'y aurait eu, ni d'un côté ni de l'autre,
, « une soupe au lait. » Rhumatisant, « tout le monde l'est dans ma
famille
. » Pas de dartres, pas d'accidents vénériens. [
avec beaucoup de peine : elle « n'était pas faite pour être mère de
famille
; » n'a jamais éprouvé de bonheur dans la mater
Pas d'autres apoplectiques, pas d'aliénés, etc. dans le reste de la
famille
.] BOURNEVILLE, Bicêtre, 1902. 3 G IDIOTIE mon
sanguinité ; inégalité d'âge d'un an, mère plus âgée. Dans les deux
familles
aucun cas semblable à Mar- celle. Trois enfan
rtie de l'Institut médico-pédagogique, Marcelle est rentrée dans sa
famille
où, après peu de temps, elle a été placée chez
aternel atteint de paraplégie. Renseignements insuffisants sur la
famille
. Mère, 46 ans, bien portante. Grand'mère matern
50 ans d'un cancer du pylore. Rien ' de spécial sur le teste de la
famille
, l'as de consanguinité. Père deux ans de plus q
bes". Ni frère, ni sceur. - Il ne semble pas qu'il y ait eu dans la
famille
d'aliénés, ou d'épileptiques, etc.. MÈRE, 46
s collés. On ne peut les écarter. Il n'y aurait pas de palmature.
Famille
du père. Père, mort à 91 ans, éthylisme (eau de
ien portants et n'ont jamais eu de convulsions. Dans le reste de la
famille
du père, on ne signale aucune autre tare morale
ions cutanées, ni de migraines. Caractère doux, excellent ménage.
Famille
de la mère. Père, 70 ans, bien portant, pas d'é-
frères, vivants-, n'ont pas eu de convulsions. Dans le reste de la
famille
de la mère, pas d'autres tares physiques morale
ancien interne, M. Camescasse, les renseigne- ments suivants sur sa
famille
. Antécédents. Père, ouvrier dans une fabrique d
. 1. Les renseignements très incom- plets que nous possédons sur la
famille
et sur les antécédents personnels clu malade, n
nfant naturel. - Père, rien à noter. - Renseigne- ments nuls sur sa
famille
. - Mère eczémateuse, pas d'accidents nerveux. -
ctions cutanées. Aucun indice de syphilis. Nul renseignement sur sa
famille
. Mère, trente-trois ans, brocheuse. Santé toujo
as de migraines, pas de signes de syphilis. Intelligence moyenne.
Famille
DE la sikre. Père, sobre, mort d'une paralysie au
ne connaît ni aliénés, ni épileptiques, ni arriérés, etc., dans la
famille
, d'ailleurs limitée. Pas de consanguinité. 12
ous n'avons,rien à relever du côté du père, enfant naturel, dont la
famille
est inconnue. - Du côté ma- terne), nous notons
de maladies nerveuses ou mentales. [Ilien à noter dans le reste de
famille
.] Mère, quarante-huit ans, ménagère, tempéramen
nt, mais ayant une bonne santé. Rien à signaler dans le reste de la
famille
: pas d'autres bègues, pas d'aliénés, etc.] Pas
atisme céphalique, ni de migraines ; caractère emporté, très vif.
Famille
du père : Père, rhumatisant, Age de 5U ans, ne
rère survivant, bien portant. Une sntur, morte jeune. Reste de la
famille
: pas d'idiots, d'aliénés, d'épileptiques, de p
ments, retour avec les règles. Sobre, caractère nerveux, emporté.
Famille
de la mère : Père, vivant, sobre, serait sujet à
ssance ; une autre a deux enfants très bien portants. Reste de la
famille
: pas d'idiots, ni aliénés, ni épileptiques, ni
aucune lifficulté, rien à la suite. Pas de sévices exercés par la
famille
. La mère se plaint de ce qu'un maître l'a frappé
manifestation épileptique ; il devrait toujours en être ainsi. Les
familles
en temporisant, Y administration en créant des
i ans, la fille et le garçon de l'autre, soit onze personnes de la
famille
, ont tous, comme elle et au même endroit, une m
re. 171 qui sont morts n'étaient pas devenus chauves (1). Dans la
famille
on désigne cette canitie partielle sous le uom
ées, avec raison, insalubres, exercées par les parents. Si aux 87
familles
, figurant dans notre statistique de 1900, et ex
1 et 1902 (95 filles et 197 garçons) nous voyons : 1° Que ces 115
familles
ont fourni 555 enfants, soit- près de 5 enfants
es 115 familles ont fourni 555 enfants, soit- près de 5 enfants par
famille
; 2° Que sur ces 555 enfants, 278 sont décédés,
dés, nous ajoutons les 115 enfants idiots, épileptiques, et('. (une
famille
a deux enfants o. (1) Compte-rendu de iJtIO, p.
on. » Pas d'indice de syphilis. Caractère plutôt égal et doux. Sa
famille
: Père et mère, rien à signaler. Demi-soeur pat
la maison, j'ai hâte de revenir à la maison pour pouvoir revoir la
famille
. Ici je voudrais aider mais c'est tellement granp
- paru. Même traitement. Réflexions. I. Les renseignements sur la
famille
de la malade sont un peu insuflisants. Nous avo
tions de coeur. -Rien autre de saillant à noter dans le reste de la
famille
paternelle]. : IÉtrE, 26 ans, fille de boutique d
et la tante maternels. Aucun accident nerveux dans le reste de la
famille
]. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 6 an
l n'est jamais allé à l'école. Il ressemblerait surtout au père. La
famille
ne connait aucune cause défi- nie à la maladie.
ls que : cou- 216 MARCHE DE la maladie. leurs, nombres, surfaces,
famille
, vêtements, qu'il lit avec la même facilité.
médecine d'octobre 1900, relatant l'histoire pathologi- que de deux
familles
, atteintes l'une de paraplégie spasmodique, l'a
re mater- (1) Voir sur les affections familiales : Bourneville, Une
famille
d'idiots (Ar- chives des maladies mentales et n
ies mentales et nerveuses, 1861, p. 289) : - Bourneville et Séglas,
Familles
d'idiots (Compte-rendu de Bicétre pour 1886, p. 3
e à la suite d'une vive frayeur. Rien à noter dans le reste de la
famille
.] Mère, 38 ans, très calme, n'ajamais eu d'acci
célibataire, n'a pas eu de convulsions, sobre. Dans le reste de la
famille
, pas d'idiots, pas d'épilep- tiques, d'aliénés.
à eux-mêmes, qu'il est même nécessaire de ne pas laisser dans leurs
familles
, car ils sont plus encombrants que des vieillar
re s'est accrue d'une clientèle d'un genre particulier, celle des
familles
qui ont un enfant épileptique ou aliéné à place
déplacement long, pénible surtout l'hiver, coûteux, inu- tile aux
familles
et à leurs enfants, aux vieillards et aux infir
vraient connaître les formalités à remplir. En 1889, soixante-douze
familles
sont ve- nues de tous les quartiers de Paris ou
s enfants de notre service nés dans ces départements, mais dont les
familles
habitent le département de la Seine. Nous avons
mesure barbare, puisqu'elle éloigne ces malheureux malades de leur
famille
. Dans la séance du 7 février 1889 de la Commiss
secours, appartiennent à des départements étrangers, mais dont la
famille
habite Paris depuis deux ans au moins. A cette
cteur des affaires départementales, répond que, chaque fois que les
familles
le sollicitent, le maintien dans les asiles de
les aliénés mineurs étrangers à la Loire-Inférieure, mais dont les
familles
demeurent dans le départe- ment. Leur entretien
leurs départements respectifs, éloignant ainsi les enfants de leur
famille
. Le département pourrait accepter la petite cha
minime différences de frais, un état de choses qui éloigne de leur
famille
les enfants malades, le domicile de secours éta
jusqu'à un certain point, le droit de me con- sidérer un peu de la
famille
. « Si cette dernière n'a pas de représentant pl
de couches. Aucune trace d'acci- dents nerveux clans le reste de la
famille
. Mère, 54 ans, ménagère, santé délicate ; très
Pas d'aliénés, pas d'épileptiques, pas de difformes, etc., dans la
famille
.] lllère, 31 ans, blanchisseuse, bien portante,
de longs inter- valles. - Pas d'aliénés, etc., dans le reste de la
famille
. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 9 a
. - Pas d'aliénés, ni d'épileptiques, ni de suicidés, etc., dans la
famille
.] Mère, 42 ans, couturière, bien portante, n'a
nte. Pas d'aliénés, ni de ner- veux, etc., dans tout le reste de la
famille
.] Pas de consanguinité ; inégalité d'âge d'un a
et des vertiges. iCOT0g11V. OBSERVATION XX 47 i Bien dans la
famille
. Cousin germain hystérique. Première crise à 8
s et bien développés. Aucun exemple d'une semblable maladie dans la
famille
, de l'un et l'autre côté. Le père est un artisa
lytiques, pas de difformes, ni de suicidés, ni de criminels dans la
famille
.] Mère, 51 ans, passementière, assez grande, so
est de même de leurs enfants. Pas d'autres aliénés, etc., dans la
famille
.] Consanguinité : La mère du père et celle de l
. Il est dans notre service et c'est en interrogeant sa mère sur sa
famille
que nous avons eu l'occasion d'examiner sa soeu
s nerveux, ainsi que leurs enfants. - l'as d'aliénés, etc., dans la
famille
.] Mère, 32 ans, lymphatique, nerveuse, ni migra
ptiques, ni myxoedémateux, ni goitreux, ni difformes, etc., dans la
famille
. Mère, 24 ans, couturière, bien portante, brune
l bien portant, adonné à la boisson. - Pas d'aliénés, etc., dans la
famille
. Pas de consanguinité (Père de l'Oise, mère de
des gens qui sont goitreux, mais il n'y en a pas d'exemple dans la
famille
).- Inégalité d'âge de neuf ans. Deux enfants et
mplète de la glande thyroïde. Ces deux cas, observés dans la même
famille
, sont tout à fait typiques. Relevons en passant
se voit pas à l'état endémique. Enfin, dans les antécé- dents de
famille
de la majorité des idiots myxoedéma- teux sur l
naux spéciaux, surtout les Archives de Neu- rologie. III. , Une
famille
d'hystériques (jeunes garçons et JEUNES pilles)
suivantes, surtout parce que les malades appartiennent à la môme
famille
et qu'ils ont pu être suivis durant plusieurs a
. - Evasions de Bicêtre. - Fugue de la maison paternelle. 100 UNE
FAMILLE
D'HYSTÉRIQUES. Lav... (Eugène), né à Ivry, le 1
s. - Pas de frère. - Pas d'aliénés, d'épilep- tiques, etc., dans la
famille
. - Pas de consanguinité. - Inéga- lité d'âge de
ts des attaques d'hystérie. Nous y reviendrons plus loin. 152 UNE
FAMILLE
I)'II'ISTI'sR1(UES. Il disait que tout le temps
Oreilles un peu écartées, bien ourlées, lobule adhérent. 134 UNE
FAMILLE
D'HYSTERIQUES. vers le front; une pression plus
- Attitude du crucifiement. l'ig. 15. - Arc de cercle. , 156 UNE
FAMILLE
D'HYSTÉRIQUES. Extension, les jambes écartées.
commande de nouveau, il vient, mais lourdement. On le fait 158 UNE
FAMILLE
D'IIYSTÉRIQUE5. asseoir et on lui dit de compte
tout le matin au réveil. Un jour, il en a eu une trentaine. 160 UNE
FAMILLE
D'HYSTÉRIQUES. leur avril. - Depuis la semaine
i le tableau des attaques durant son séjour à Bicêtre : 'J6 : ! UNE
FAMILLE
D'HYSTÉRIQUES. ments sur leur famille sont bien
our à Bicêtre : 'J6 : ! UNE FAMILLE D'HYSTÉRIQUES. ments sur leur
famille
sont bien vagues et les graves accidents observ
e à quarante-cinq minutes. Voici le tableau des crises : 164 UNIT
FAMILLE
D'il YSTKRlQUliS. elle cherche à saisir les obj
ises ont eu la marche suivante : HYSTEIiO-EPILT.PSIE. 165 166 UNE
FAMILLE
D'HYSTÉRIQUES. entendit qu'elle respirait bruya
d'où, nous le répétons, la nécessité de l'hospitalisation. 168 UNE
FAMILLE
D'HYSTÉRIQUES. régulières. Parfois tympanite. P
à mordre. Revenu à lui, il s'est souvenu de ce qui s'était 170 UNE
FAMILLE
D'HYSTÉRIQUES. passé, disantà sa mère qu'il ava
ancien interne, M. Camescasse, les renseignements suivants sur sa
famille
. Antécédents. - Père, ouvrier dans une fabrique
ns. I. Les renseignements très incomplets que nous possédons sur la
famille
et sur les antécédents person- nels du malade,
phalites chroniques de l'enfance, par PiLDET ......... 113 m. Une
famille
d'/n/sfërtques (jeunes garçons et jeu- nes fill
que ces congés contribuent il maintenir le lien naturel entre les
familles
et leurs enfants. Ajoutés aux prome- nades et a
ents. 1° Nous ne trouvons aucune indication d'un parloir pour les
familles
les jours de visite. 3° L'hôpital, c'est-à-dire
faudrait édifier le bâtiment de l'Administration, le parloir des
familles
et la loge du concierge. Le bâti- ment devra-t-
ur de ces parloirs un certain nombre de bancs afin de permettre aux
familles
, durant l'été,de voir leurs enfants à l'extérie
lle de dépôt des morts, salle d'autopsie, salle d'attente, pour les
familles
moitié plus grande que celle de l'Asile de Vill
e la Seine. 'On n'aperçoit pas bien, eu effet, pour quel motif les.
familles
. qui sont dénuées de ressources se trouveraient
ion de l'Asile clinique. On pourra objecter que le plus souvent les
familles
condui- ront leurs malades à l'Asile clinique,
lica- ble aux malades internés d'office pourrait être réclamé aux
familles
non indigentes; et, pour les placements volontair
x par mois : XLVI Assistance des aliénés. choisir leur asile, les
familles
signent une demande de place- ment ; payent le
ansformer le placement payant en placement gratuit. Par contre, les
familles
qui ont demandé le placement gratuit protestent
ent ne cherche pas à réa- liser des bénéfices. Le prix payé par les
familles
doit être en réalité le remboursement pur et si
; ils se trouvent, dès lors, exposés à être transférés loin de leur
famille
, dans les asiles de leur département d'origine.
ntaires il tous les malades dont l'admission est sollicitée par les
familles
. » Ces chiffres comprenaient les placements vol
inq il dix jours, comme cela se fait trop souvent, les réponses aux
familles
. » 30 novembre 1881. - Nous enregistrons une lé
au 31 octobre 1882. D'où il suit que, malgré votre insistance, les
familles
pauvres trouvent tou- jours des difficultés à l
que l'Administration se conforme il vos voeux, en auto- risant les
familles
a conduire directement leurs malades au Bureau
i- gents qu'aux placements volontaires payants, en autorisant les
familles
des indigents iL conduire directement leurs mal
eau d'admis- sion, pour qu'ils y soient inscrits, en autorisant les
familles
à indiquer à l'occasion leur préférence ? La pr
glementation proposée pour eux sera acceptée avec bonheur par les
familles
et en particulier par les familles des enfants qu
ra acceptée avec bonheur par les familles et en particulier par les
familles
des enfants qui sont nés en dehors du départeme
conséquences heureuses pour les malades de nos asiles et pour leurs
familles
. Nous concluons donc en vous demandant, au nom
la personne à placer « bulletin de naissance, de mariage, livret de
famille
, etc.. » Air. G. - Toute personne, atteinte d
t en tenant compte, dans la mesure'du possible, des préférences des
familles
. DISPOSITIONS PARTICULIÈRES AUX ENFANTS ÂGÉS DE
s sensiblement le nombre des malades ; nous ne ferons qu'éviter aux
familles
un certain nombre de démarches pénibles et surt
ant l'adoption des conclusions de mon rapport. Un certain nombre de
familles
, pour éviter le passage par l'Infirmerie du Dép
ppelé aux Préfets qu'ils devaient autant que possible faciliter aux
familles
le placement volontaire ce leurs malades. Je
bien portantes, mais nerveuses, sans crises. - Dans le reste de la
famille
, pas de tare physique ou physiologique; pas de
ptomatique. Pas d'aliénés, d'épilepiques, etc., dans le reste de la
famille
. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 8 a
troisième est mort à 9 mois d'une affection demeurée inconnue à la
famille
. - Des quatre soeurs la première est bien porta
voir jamais en d'accidents vénériens. Idiotie MICROCÉPHALIQUE. 25
famille
du père nous n'avons à signaler, ni idiots, ni al
urée et n'ayant jamais présenté de convulsions. - Da le reste de la
famille
, ni aliénés, ni épileptiques, ni idiots, etc.p
onséquence. Rappelons que cet accident s'était déjà produit dans la
famille
, le frère aîné de Sal... vint asphyxié à sa nai
e suicidés, de criminels, de pa- ralytiques ou de difformes dans la
famille
]. Mère, 32 ans, domestique depuis son veuvage.
délire violent. - Alcoolisme ? Enfant naturel, ne connaît pas sa
famille
. - Mère, migraines, crises nerveuses, accès de
otre enquête à son égard. Il ne connaît absolument personne de sa
famille
.] Mère, 3G ans, vit séparée de son mari sous pr
veugles-nés, de suicidés, de prostituées, etc., dans le reste de la
famille
]. Pas de consanguinité. Inégalité d'Age : 1 an
le troisième, 24 ans, sont d'une bonne santé. - Dans le reste de la
famille
de la mère, aucune tare nerveuse.] Pas de consa
nel. - Un frère, âgé de 50 ans, bien portant. - Dans le reste de la
famille
, pas d'idiots, d'aliénés, d'épileptiques, de pa
Trois frères et trois soeurs en bonne santé. - Dans le reste de la
famille
, rien à signaler au point de vue d'une tare n er-
t bien conformés, en bonne santé, affectueux. On ne connaît dans la
famille
ni idiots, ni épileptiques, ni bègues, ni sourd
'aliénés, de bègues, de sourds-muets, de dif- formes, etc., dans la
famille
.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 4 an
lles parait avoir des douleurs rhumatismales. Dans le reste de la
famille
, pas d'aliénés, d'épileptiques, de personnes atte
t assez jeune; 2 sont vivants et bien portants. Dans le reste de la
famille
, pas d'aliénés, d'épileptiques, etc.] Pas de co
de bègues, de sourds- muets, de suicidés, ni de prostituées dans la
famille
.]50 ^ : ,"1-, . Mère, 39 ans, couturière, n'a j
) sont bien portants, intelligents et sobres. - Dans le reste de la
famille
, ni idiots, ni aliénés, ni épileptiques, etc.]
m- pliqué la rougeole. Réflexions. - I. Les tares nerveuses de la
famille
tant du côté du porc que de la mère sont suffis
ucun foyer de sclérose. Rien dans les renseignements fournis par la
famille
ne permettait de penser à cette lésion et, d'au
n sain, très intelligent, sans convul- sions. - Dans le reste de la
famille
, il n'y a ni idiots, ni alié- nés ni épileptiqu
es du côté maternel. - Ni frè- res ni soeurs. - Dans le reste de la
famille
, ni idiots, ni alié- nés, ni épileptiques, etc.
silence l'atcooitsme et la tuberculose que nous avons notés dans la
famille
paternelle de Ter.. L'affection de l'estomac à
est morte à 18 ans d'attaques d'éclampsie. - Dans le reste de la
famille
, pas d'aliénés, pas de bègues, de sourds-muets,
ilis, anté- rieurement au mariage (1). Nous notons encore dans la
famille
paternelle, plusieurs cas de convulsions, la mé
n'avaient rien d'épileptique. - Il ne voit rien dans le reste de sa
famille
au point de vue nerveux. Pas de tares héréditai
mère de notre malade, est morte de la poitrine, il y a 20 ans. - [
Famille
du père. - Père, mort d'une fièvre muqueuse et de
migraines. Femme nerveuse. émotive, mais sans crises nerveuses. - [
Famille
de la mère. Père, boulanger, mort à 78 ans, sob
n cou- ches. - Pas d'antécédents héréditaires dans le reste de la
famille
. - Pas de consanguinité. Egalité d'âges. Chute
eurs et de leurs enfants. - Rien de particulier dans le reste de la
famille
: pas d'idiots, d'épileptiques, de paralytiques
ne sa' de quoi. - Mère, morte en couches : 1 36 ans. Le reste de la
famille
est totalement i nconnu au mari. Cependant, rie
tant ivre. Il était enfant naturel et son père ainsi que toute sa
famille
est inconnu. 224 Antécédents. Mère, 65 ans, s
part cela, ni idiots, ni épilep- tiques, etc., dans le reste de la
famille
du père, à la con- naissance de lanière de l'en
physionomie peu sympathique parait médiocrement intel- ligente. - [
Famille
de la mère. Père, cultivateur, mort à 62 ans du
Aucun autre renseignement sur les antécédents pathologiques de la
famille
de la mère.] Pas de cons nguinité. Inégalité d'
u pendant l'i- vresse, mais la brutalité du père, l'hostilité de sa
famille
à l'é- gard de la mère, la misère du ménage, la
en conformé, est mort à 3 ans, on ne sait de quoi. Il n'y a dans la
famille
du père, ni épileptiques, ni aliénés, ni bègues
ne connaît pas d'idiots, d'épileptiques, etc., dans le reste de la
famille
]. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 3 an
out cas, Réflexions : Hydrocéphalie. 253 on peut constater que la
famille
, nombreuse à un mo- ment donné, puisque le père
n pulmonaire à la suite de sa quatrième couche. Dans le reste de la
famille
du père, aucune affection psychique, ner- veuse
and'mère maternelle est morte « asthmatique » . Dans le reste de la
famille
de la mère, rien d'intéressant, à part cela, à
hérédité, les accidents neuro-arthri- tiques abondent, tant dans la
famille
du père que dans celle de la mère. L'alcoolisme
e le père est un peu nerveuse, sans crises, intelligente. Dans sa
famille
, le père n'a jamais entendu parler d'idiots, d'al
re. Excitation. Agitation du 11 octobre au 12 décembre. Rendue à sa
famille
le 29 janvier. 3 séjour du 1G février 1905 au 2
une sneur bien portants. Pas de tares nerveuses ou mentales dans la
famille
. tttccfepet'sottK.ek. A 20 ans, fièvre typhoïde
ans grande importance jusqu'en octobre 1905. « La maladie, écrit la
famille
, consiste en l'idée de voyage, il se sauve à tout
de poitrine avait déjà noté que cette angine se rencontre dans les
familles
en- tachées de folie ou d'épilepsie. Survenant
un traitement approprié et il serait avantageux pour eux, pour leur
famille
et pour la société de les soigner dans des hôpi
e descrip- lion est suicide conseils d'hygiène pour la maison et la
famille
établis sur les mêmes principes. Enfin M. Forel
à un roulement de service, on permettra à ces agents de fonder une
famille
et de disposer fréquemment de leurs nuits. » La
a Clinique des Maladies nerveuses et mentales (Varsovie). VARIA
FAMILLE
FOLLE. Niort. Une famille entière est devenue f
euses et mentales (Varsovie). VARIA FAMILLE FOLLE. Niort. Une
famille
entière est devenue folle à Périgni (Deux-Sèvre
venue folle à Périgni (Deux-Sèvres) dans une ferme exploitée par la
famille
Gilbert Toute cette famille, composée du père,
Sèvres) dans une ferme exploitée par la famille Gilbert Toute cette
famille
, composée du père, de la mère, d'un garçon âgé
ce cas de folie extraordinaire; on parle de certains faits dont la
famille
Gilbert et leur domestique auraient été vic- ti
ur et le médecin de l'établissement ne soient de connivence avec la
famille
, l'interné a toute liberté de protester auprès
ue l'on n'objecte pas que le placement provisoire sera facile : les
familles
sauront que dans la quinzaine, interviendra un
pas une nouvelle peine que la loi ins- titue ? Il n'y a pas que les
familles
qui seront au cou- rant des formalités légales
cin apprécierait leur état avant de les confier soit à .leur propre
famille
, soit à une famille étrangère. Il ne se- rait p
r état avant de les confier soit à .leur propre famille, soit à une
famille
étrangère. Il ne se- rait peut-être pas inutile
triple attribution : 1° elle remplit les fonctions de « Conseil de
famille
» à l'égard des aliénés non interdits. Que peut
pport journalier des faits et gestes actuels de l'aliéné, et par sa
famille
il est mis au courant de ses antécédents hérédi
- gissent souvent de cette trop constante promiscuité de diverses
familles
. C'est possible, en effet, mais alors pour- quo
le faire sortir. L'observation m'en a été souvent présentée par les
familles
pauvres qui vien- nent solliciter la sortie d'u
nvénient du reste à ce mode de procéder : c'est que le secret d'une
famille
sera dévoilé et souvent mis à la merci d'un emp
ficat d'admission, il sera obligé de la renvoyer à un confrère. Les
familles
n'y comprendront rien, ni nous non plus. Il e
el, sera-t-il mis dans l'im- possibilité de se faire soigner, et la
famille
devra-t-elle encourir les risques d'un accès de
l. Jus- qu'ici le soin d'amener le malade à l'asile revenait à la
famille
seule ; dans certains cas, on envoyait bien des
s gardiens, voire même des internes, mais c'était aux frais de la
famille
et par pure condescendance. Désormais, le maire
ent ? On n'a jamais bien su ce que ve- nait faire ici le conseil de
famille
; pour ma part, je ne l'ai jamais vu consulter,
i cinq mois après son en- trée, il reste à Paris dans une maison de
famille
pendant six mois environ ; il y commet une foul
sans argent, arrive a Metz d'où il est rapatrié par les soins de sa
famille
. 2° Quelque temps après, il part de Paris à 2 h
y parvient, est arrêté pour avoir voyagé sans billet et ramené à sa
famille
. Lorsqu'on demande au malade le motifquiapu lop
rêté parqu'il n'a. pas de billet, conduit à la gen- darmerie oii sa
famille
envoie le prendre. Ils explique- sa fugue par d
et, dans cette gare, et revient à Paris avec l'argent envoyé par sa
famille
IL fait ce voyage « pour échapper au passant qu
nce, il s'arrête à mi-chemin, se fait héberger par une dameamiedesa
famille
, lui vole ses bijoux et file sur Paris.Engagé a
chant, ni malfaisant ce qui ne l'empêche pas d'avoir ruiné toute sa
famille
qui occu- pant des situations en vue, a toujour
eux. , . R. DE Musgrave Clan. XLVI. Un cas d'idiotie amaurotique de
famille
; par James BuRNET. (The Journal of Mental Scie
ur état. R. de IUSGRAVIr CLAY. XLVIII. Sur la nécessité de soins de
famille
pour les personnes dont l'esprit n'est pas sain
ience, juillet 1904.) L'auteur insiste sur le fait que ces soins de
famille
seraient chose nouvelle en Irlande et sur l'uti
doit se montrer très prudent dans les certificats qu'il délivre aux
familles
intéressées. Il doit aussi ne pas oublier qu'il
asset conseille de provoquer une con- férence des médecins des deux
familles
avant toute union) et celle de la formation de
s membres adhérents ; 2° des membres associés (dames, membres de la
famille
, étudiants en médecine) présentés par un membre
ement soit volontaire ou d'office. Si une réci- dive se produit, la
famille
pourra toujours reconduire le malade à l'asile,
uation de fortune ; encore faut-il tenir compte des be- soins de la
famille
qu'il laisse derrière lui, et l'administra- teu
ce de difficultés sera l'immixtion forcée du curateur au sein de la
famille
, car pour surveiller l'emploi des revenus de l'
connaître ces revenus. Plutôt que de subir une telle ingérence, les
familles
garderont auprès d'elles leurs malades ; la loi
ures garanties quant à la gestion de ses intérêts et à ceux de sa
famille
. Il existe des cas où tel aliéné riche paye inuti
angements apportés par la sé- questration de l'aliéné au sein de la
famille
, et ce n'est que lorsqu'il a des doutes sur les
nt et un administrateur datif, ce der- nier nommé par le conseil de
famille
seul, sans interven- tion du tribunal. Cet admi
ous savons trop par expérience ce qui se passe dans les conseils de
famille
pour ne pas entrevoir les abus auxquels conduir
re nom- mé par le tribunal peut être pris parmi les membres de la
famille
; il est même souvent désigné par le conseil de f
ite fut isolé dans l'atmosphère d'une campagne malsaine, dans une
famille
atteinte depuis longtemps de pellagre chronique.
n a pour attributions : 1° de remplir les fonc- tions de conseil de
famille
à l'égard des personnes non interdites, placés
rivé sans déclaration lorsque le tuteur, autorisé par le conseil de
famille
à se charger du traitement, le conjoint, l'un d
de la Ré- publique ou d'un délégué spécial nommé par le conseil de
famille
, pourra ordonner en chambre du conseil qu'il se
mpagnent les crises paroxystiques. La disparition des sentiments de
famille
n'est guère plus importante. M. Dumas a cité de
it au début de son affection. « Je ne vois plus que des ombres ; ma
famille
, le monde n'exis- tent plus ». Comme les idée
mémoire était prodigieuse. Les sentiments affectifs vis-à-vis de sa
famille
? (\['- faiblissent. Par moments, il a des accè
plus légitime. » Il s'accuse d'avoir fait du mal à ses amis et à sa
famille
, mais à mesure qu'il cause le ton de sa voiv ch
ure. » (1). I. - Mécanisme normal de la loi. On constate dans une
famille
un changement de l'état mental d'une per- sonne
tal d'une per- sonne, on s'inquiète autour d'elle, le médecin de la
famille
est consulté, souvent il demande l'avis d'un sp
, souvent il demande l'avis d'un spécialiste, trop souvent aussi la
famille
hésite, ne se décide à con- duire le malade dan
cette pièce et d'une demande d'admission signée par un membre de la
famille
ou un ami, le directeur de l'asile reçoit le ma
tentat à la liberté individuelle qu'il y ait complicité entre la
famille
et ces trois médecins. Si deux d'entre eux peu-
des ascendants, des descendants. S'il existe un désaccord dans la
famille
,le malade peut sortir sur avis du conseil de fa
cord dans la famille,le malade peut sortir sur avis du conseil de
famille
, même si une opposition est faite par un des avan
seil, s'il y a opposition du malade, du conjoint, d'un membre de la
famille
ou d'un ami. Le tribunal peut demander une expe
ent d'interdiction et un extrait de la délibération du con- seil de
famille
prise en vertu de l'article 510 du Code civil ;
ternement a été formulée par l'aliéné, le conjoint, un membre de la
famille
, un ami, la décision sera prise par le tribunal,
à ce qu'elle use de cette faculté sans l'assentiment du conseil de
famille
; 6° Toute personne à ce autorisée par délibérati
e ; 6° Toute personne à ce autorisée par délibération du conseil de
famille
, homologuée par le tribunal ou, à défaut, auto-
oit entre les ascendants, soit entre les descendants, le conseil de
famille
décide. Cesse éga- lement d'être retenue, si el
e remis qu'à son tuteur ou à la personne désignée par le conseil de
famille
, et le mi- neur qu'à ceux sous l'autorité desqu
vertu de l'article 1\1, à un réinternement d'office aux frais de la
famille
.» Décès : 1v9 (àS.II. - 51. F.) L'ùge moyen des
d, près de Xantes, Julien Perthuis, âge de 55 ans, marié et père de
famille
, se trouvait ce matin seul avec ses deux enfants,
Nous citons ce fait à propos do l'assistance des aliénés dans leurs
familles
. Ce mode d'assistanco exige une surveillance ri
ersonnes soumises au placement, qui en donne immédiatement avis aux
familles
. » ART. 34. Aussitôt que le médecin a déclaré,
tion le permet. Le curateur peut provoquer la réunion du conseil de
famille
et le saisir de toute proposition tendant à la
tant qu'il n'a pas été pourvu par le tribunal ou par le conseil de
famille
à la nomination d'un administrateur judiciaire
chambre du conseil. Elle doit être précédée de l'avis du conseil de
famille
, mais seulement lorsqu'elle est demandée par le
ministrateur datif ; cet administrateur est nommé par le conseil de
famille
de l'aliéné, réuni à la demande de tout parent, e
né ne peuvent être ré- pudiées qu'avec l'autorisation du conseil de
famille
, homologuée par le tribunal civil. L'autorisati
jugement. En ce qui concerne l'administrateur datif, le conseil de
famille
peut, soit dans la délibération contenant nomin
ent, en vertu du mandat exprès .qu'ils en auront reçu du conseil de
famille
ou, à son défaut, du tri- buna),intenter au nom
ra être intentée en vertu d'une délibération conforme du conseil de
famille
provoquée par le tribunal qui désignera un admi-
iénés dont le placement a été ordonné par le préfet, à moins que la
famille
ne demande leur admission dans un autre établisse
ent du régime do l'asile et ceux qui doi- vent être placés dans les
familles
. C'est à lui également qu'il ap- partiendrait d
vue hospitalier : la plupart des mala- des restent encore dans les
familles
et les cas de P. G. restent ordi- nairement ign
M. R. Voisin et D'1ACÉ DE LÉPINAY présentent cinq sujets de la même
famille
; le début des accidents hérédo-ataxiques remonte
travaux consacres par lui à la « Patholo- gie des émotions , à la «
Famille
névropathique », à la « l'é- généresoence et à
sie et à ses diverses formes », au « Traitement des aliénés dans la
famille
», pour ne citer que ses principaux ouvrages,en
nglaise, Londres, 1S ! I ! 1 ; - Le traitement des aliénés dans les
familles
(3e édition), i vol., 1\J0 : >; Le magnétism
1888; Dégénérescence el criminalilé (3- édition), 1 vol., 1900 ; La
famille
névropalhique, (2- édi- tion), 1 vol. 1898, tra
roman expérimental et que son histoire naturelle et sociale' d'une
famille
sous second Empire a été scientifiquement conçu
e. L'histoire des suggestions religieuses chez Rabelais et dans les
familles
Pascal et Racine lui permettra au- bibliographi
matistes l'emportent sur les mystiques. Ces mystiques ont un air de
famille
, ce sont des hypersuggestibles et ils se con- t
ionnent. Cette contagion est plus aisée entre les membres d'unemême
famille
: les Arnauld, les Pascal, les Racine. Le livre
Dans les '-le et 3° parties, l'auteur nous montre au contraire les
familles
Pascal et Racine, victimes de leur hérédité et de
uant un excellent terrain pour la culture des idées religieuses. La
famille
Pascal s'éteignit, décimée par l'erreur, après
tration, les observations médicales de tous les membres de cette
famille
, et, en vérité, rien n'est plus probant..Le cas d
cette famille, et, en vérité, rien n'est plus probant..Le cas de la
famille
Racine n'est pas moins frappant : tous les asce
st-à-dire la cohésion intime et fa- tale des dégénérés dévots d'une
famille
. lit dans sa conclusion, il généralise, il évoq
eurs en médecine) ; 2° Des membres associés (dames, membres de la
famille
, étudiants en médecine, présentés par un membre a
s folies. Ma fortune,mon influence person- nelle, l'influence de ma
famille
et de mes amis me permettaient de faire sans di
fortune, avait le cerveau quelque peu détraqué. Mais jusqu'ici, sa
famille
n'avait pas cru devoir consulter un spé- cialis
. Marie, p. -131. La sur- veillance des - sortant des asiles sans
famille
et sans amis, telle qu'elle est établie par la
9. ; par Déjerine, p. 500. IDIOTIE. Un cas d'- amauro- tique de
famille
; par Burnet, 'p. 145. Conception clinique, a
té médico-psychologique (séance du 29 janv. 1906) p.147. Soins de
famille
. Sur la nécessité de pour les personnes dont
ammte Medidn (1876). « Une fille, âgée de huit ans, n'ayant dans sa
famille
d'autres parents nerveux que sa tante, qui étai
és, de sorte qu'on croyait le malade comme parfaitement rétabli, la
famille
était enchantée, mais malheureusement, je ne po
rieurs. L'avenir n'a pas tardé a dissipé les vaines espérances delà
famille
. Seize jours après, la mélancolie revint avec l
de son grand-père, elle a été prise de ce fou rire au milieu de sa
famille
qui pleurait. De même, il lui arrive de verser
ême, dans ces derniers temps des idées de suicide qui décidèrent sa
famille
à prendre cette résolution. « Voilà la cause de
des mères; manuel à l'usage des femmes désireuses de préserver leur
famille
de l'alcoo- lisme et de l'ivrognerie. Montant d
se lamente de l'insuccès de ses recherches. Sur les instances de sa
famille
, il se couche quelques heures vers le matin après
ombée dans un égout en réparation. Il nb connais- sait nullement la
famille
de cette enfant, et le fait eh lui-même l'intér
que. Il avait fait des croix devant les noms des membres d'une même
famille
ou les noms des personnes amies. En lisant les
lisait parfois un grand nombre de pages avant de trouver le mot. La
famille
ne se couchait, en général, qu'après la découve
orps granuleux du faisceau pyramidal direct. CLINIQUE MENTALE DES
FAMILLES
D'IDIOTS; Par BOURNEVILLE et SÉGLAS. A sanis
pri- mordiale, la cause des causes, qui fixe la maladie dans les
familles
et la rend transmissible de génération en générat
parence contra- dictoires. C'est ainsi que l'on verra dans une même
famille
des enfants sains qui auront des frères sourds-
ues et moraux, doivent être considérés comme les enfants d'une même
famille
, DES FAMILLES D'IDIOTS. 187 comme les rameaux
doivent être considérés comme les enfants d'une même famille, DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 187 comme les rameaux divers d'un mêm
tare héréditaire viennent se joindre des causes occasionnelles, ces
familles
s'éteindront d'elles-mêmes ; car les derniers des
s mentales et nerveuses, 1861, p. 289. 188 CLINIQUE MENTALE. I.
Famille
R... Trois frères idiots. Influence de l'hérédi
t affectueuse; santé physique bonne. Pas de renseigne- ments sur sa
famille
. - Les accouchements ont été naturels. Une peti
c l'âge, mais les jambes sont sans force; aussi est-il toujours DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 189 assis. Cependant il n'y a rien d'
n'est-il pas un exemple frappant des dégénérescences dans certaines
familles
? Comme antécédents : de simples irré- gularité
l'abâtardissement est très prononcé et tout porte à croire que la
famille
s'est éteinte en elle. Sur quatre enfants, l'un m
tons encore un nouvel exemple emprunté au Dr F.-W.-A. Browne. II.
Famille
W... Groupe de sept idiots, frères et soeurs. (
dité n'éclate-t-elle pas manifes- tement dans la déchéance de cette
famille
où les derniers membres arrivés à un âge avancé
es consé- quences finales plus frappantes et plus terribles. III.
Famille
BONT... Père : faible d'esprit, épileptique, bu
coup et faisait de fréquents excès de boisson; il était souvent DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 191 t ivre plus ou moins deux ou troi
es, d'épileptiques, de suicidés, de criminels, de difformes dans la
famille
.] Mère : quarante-sept ans, taille petite; jour
prononcé. Pas d'aliénés, de goitreux, de convulsifs, etc., dans la
famille
.] Pas de consanguinité. Six enfants : 4 un ga
e personnelle de cnacun des deux enfants idiots épileptiques. DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 193 Observation 1. - Idiotie; épileps
st assez peureux. Archives, t. X, 13 19Ï. CLINIQUE MENTALE. DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 195 - Maxillaire supérieur régulier e
n augmentant. I ! s sont diurnes et nocturnes, leur maximum n'a DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 197 Î jamais dépassé quatre en vingt-
u : cheveux, sourcils et -cils chàlain-clail' assez abondants ; DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 199 quelques poils au pubis; visage g
et en, relief, les. points particuliers de 200 CLINQUE MENTALE. DES
FAMILLES
D'IDIOTS. ces observations se rapportant au suj
nomène nerveux. Marié tardivement, il a eu néanmoins une, nombreuse
famille
. ' Sa mère, âgée de cinquante-cinq ans, est pet
mère. Nous avons pu examiner tous les membres survivants de^'celte
famille
et voici les notes que nous avons prises sur eu
Neurolog. Cen- tralbl., 1884). Observation révélant chez une même
famille
, l'existence de plusieurs cas d'atrophie muscul
onsécutives ; elles n'ont pas de valeur, car chez les membres de la
famille
envisagée ici, l'adipose existait chez tel suje
de liberté pendant les périodes d'accal- mie, voire au sein de leur
famille
; au premier signal on les inter- nerait sans b
municipal et des délégations de l'Académie, de l'Institut, etc. La
famille
Pinel était représentée par M. Honoré Pinel et le
à fois la sécurité publique, la liberté individuelle, le secret des
familles
et les soins à donner à de malheureux aliénés q
immédiat de l'établissement; on y a logé tous les métiers et les
familles
, on y a fondé une colonie d'aliénés en liberté. E
de Schwetz et des malades empruntés aux hôpitaux d'indigents et aux
familles
. Très bien situé, accoté à des monts boisés don
villa pour le directeur, ce qui porte- à quatre les habitations de
familles
de médecins. On a affermé neuf hectares en sus.
On a installé dans l'ancien pavillon du directeur une habitation de
famille
pour le second médecin ; au rez-de-chaussée ont
extrinsèque, à un examen relatif aux anté- cédents personnels et de
famille
, aux conditions d'âge, d'état mental habituel,
âmes. Ces six incen- dies avaient, si on peut ainsi dire, un air de
famille
qui les faisait attribuer à une même main. Ils
ient ainsi : « Je n'ai pas mis le feu par méchanceté; ni moi, ni ma
famille
nous n'avons à nous plain- dre de la victime. Ç
récis sur la lignée paternelle et maternelle de l'accusé. Dans la
famille
du père il n'y avait à relever qu'une myopie hé
rès nerveuse, est sujette à de fréquentes migraines. Enfin, dans la
famille
maternelle de Claude Saron, les branches collat
nsi au courant des inimitiés qui divisaient les deux branches de la
famille
, des raisons qu'elles avaient de se détester et
. Je le questionnai sur ses antécédents personnels et ceux de sa
famille
. Berger me dépeint sa mère comme une femme extr
Adam a déclaré qu'il était depuis vingt-trois ans le médecin de la
famille
, et qu'il n'avait jamais constaté chez les dive
tirage au sort et en 1871, avait été dispensé à titre de soutien de
famille
et n'avait jamais été réformé, à preuve que, de
n'a vu parmi eux, il est vrai, ni aliéné ni faible d'esprit mais la
famille
maternelle est originaire de Metz et je n'ai pu
par sa mère et par son père qui appartenaient l'un et l'autre à des
familles
d'aliénés, elle était imbécile et douée des plu
la surveillance et avait mis sept fois le feu pour se venger de sa
famille
et des habitants du village qui, sans affection
e et l'irritabilité émotive se présentent à des degrés divers DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 347 qui laissent plus ou moins intact
, déclarés responsables ou irresponsables. CLINIQUE MENTALE DES
FAMILLES
D'IDIOTS'; Par BOURNEVILLE et SÉGLAS. Pour te
LAS. Pour terminer ce travail, nous avons encore à parler de deux
familles
ayant produit plusieurs enfants idiots ou imbéc
familles ayant produit plusieurs enfants idiots ou imbéciles. IV.
Famille
HORN... ' ty Père alcoolique ( ? ) Mère débau
orte en couches; leurs enfants sont bien portants. Il n'y a dans la
famille
ni épileptiques, ni aliénés, ni difformes, ni s
propre. On pense qu'elle a encore un amant (septembre 1885). DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 3M mestique, mort à vingt-sept ans de
n'a pas constaté d'indice d'ivrognerie. Pas de névropathes dans la
famille
, etc.] Pas de consanguinité, ni avec Des..., ni
it intelligent, d'un carac- tère calme. [Pas de névropathes dans sa
famille
.] Grossesse bonne, sans accidents, pas d'alcool
aille : 1 kil. 52. Rien de particulier lors de la conception. DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 35 Ik 1884. 14 mai. Etat actuel. Tête
ues ni au menton. Poils noirs, abondants au pénil. Verge grosse DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 3 ? 3 et longue. Testicules de la gro
t inguinales; rien dans la gorge, plaques muqueuses anales.1. DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 355 5 15 novembre. Persistance de lar
siculaire de ce côté. 1 Rien de particulier il la conception. DES
familles
D'IDIOTS. 359 La température oscille toujours e
16 avril. Circonférence de l'abdomen au niveau de la douzième DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 36 i nution de la sonorité dans les d
oir présenté, dans ses oscillations, rien de caractéristique. DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 363 21 mai. L'enfant est gai et mange
liers, mais ne savait pas s'habiller seul; au réfectoire, il se DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 365 servaitde la fourchette, de lacui
tre tableau que les points qui nous occupent en particulier : DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 367 signale l'hérédité et les anomali
lle en a, hériteront des prédispositions névropathiques de toute la
famille
. 1 G. Ballet. Revue de médecine, 1883, p. 254.
patlties. * Salter. On asthme, 1860. 368 CLINIQUE MENTALE. III.
Famille
GUI... Grand-père paternel; quelques excès de b
et un état de marasme nerveux qui amènent rapidement la mort. DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 369 Consanguinité : le père et la mèr
es renseignements sur Henriette Gui., le septième enfant de cette
famille
. Nous les transcrivons ici : OBSERVATION X. -ID
.maintenu sur les genoux ». Il a commencé à prononcer quelques DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 3Î,i' monosyllabes vers deux ans, jam
le, 1 m. 22. 1885. Juin. Poids, 23 kil. 200. Taille, 1 m. 22. DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 373 Observation XII. IDIOTIE complète
5 mars. Mort à quatre heures du soir. Marche des accès : ; DES
FAMILLES
D'IDIOTS. 375 côté du père et du côté de la mèr
dont le père était asthmatique, et qui compte déjà un idiot dans sa
famille
, est elle-même sujette à des accidents nerveux.
ient, ce n'esqsomme toute qu'indirectement, en rapprochant les deux
familles
déjà tarées et en accumulant, si nous pouvons p
nous voyons que, par suite de la dégénérescence progressive, cette
famille
est vouée à l'extinction. La plupart des enfants
convulsives avec délire loquace; puis, à l'occasion de chagrins de
famille
, s'ajoutent des hallucinations, de l'insomnie,
. Juillet. - Même état : un peu soucieuse par suite d'affaires de
famille
existant réellement, juge frès bien sa maladie pa
nt difficile à obtenir dans les confidences des malades ou de leurs
familles
. Les traités de l'im- puissance et de la stéril
un fou rire à l'enterrement de son grand-père, pendant que toute la
famille
, en larmes, se lamentait et qu'elle était elle-
recherches cons- ciencieuses sur la question de savoir si. dans la
famille
des para- lytiques généraux, on a déjà eu à dép
s, insolites, ont rap- port à des individualités connues dans leurs
familles
comme entê- tées ; ils montrent que l'alimentat
des mères, manuel à l'usage des femmes désireuses de préserver leur
famille
de l'alcoolisme et de l'ivrognerie. Montant du
, 226. Ictère (endémie d' à l'asile do \Ierzi), 4 . Idiots (des
familles
d'), par Bour- neville et Séglas, 186, 47; -
surtout la ;mélancolie simple, s'observent plus sou- vent dans les
familles
, plus rarement dans les hospices et asiles d'al
s à une surveillance indispen- sable et souvent impossible dans les
familles
. Les sensations, délires et hallucinations des
ur à l'hospice sans amélioration bien notable, il est repris par la
famille
le 19 juin 1895. Observation III. La nommée S.-
dieuse, mais d'un caractère irritable, d'après ce que nous écrit la
famille
; la malade, après avoir terminé les cours de l'
. Pas d'aliénés ni de nerveux, ni de bègues, ni de ticqueux dans la
famille
paternelle. Nèra, quarante-cinq ans, bien porta
n'aurait pas eu de convulsions. -Pas d'autres renseignements sur la
famille
mater- nelle. Pas de consanguinité. Inégalité
ès grossier; il fait des menaces de mort à tous les mem- bres de sa
famille
: « Demain, vous ne vous réveillerez pas tous, je
fant sort à l'occasion du mardi gras, il est restédix jours dans sa
famille
; n'a eu ni l'ombre d'une crise, ni la moindre v
multiplient. 0... menace de se suicider, de tuer les membres de sa
famille
, sans qu'il y ait une tentative vrai- ment séri
éréditaire, frappant les adultes et souvent plusieurs membres d'une
famille
pour aboutir généralement à l'aliénation mentale,
et Kalischer, sur un total de 174 personnes appartenant à diverses
familles
, 38 furent atteintes à un âge moyen de 33,3 ans
les ovaires sont plus ou moins intimes suivant les personnes, les
familles
, les races, et c'est ce qui explique que quelques
lles, les races, et c'est ce qui explique que quelques personnes ou
familles
sont plus aptes que d'autres à transmettre les ca
s sont plus aptes que d'autres à transmettre les carac- tères de la
famille
et de la race ; c'est ce qui explique aussi la di
r au Maître un hommage posthume et à assister à son apothéose. La
famille
de Charcot était représentée par son fils, le Dr
a eu la jaunisse il y a sept ans. Il avoue lotîtes les querelles de
famille
à cause de la dot de sa femme et avec ses Fiy.
ieu de l'église. 11 a des idées de persécution ; il accuse toute sa
famille
au sujet de sa fortune, ainsi qu'un de ses vois
malades. Mais il y a lieu de remarquer que les placements dans lés
familles
tendent à diminuer considérablement le nombre d
t n'a aucun moyen réel d'initia- tive et s'en remet entièrement aux
familles
. L'unique sélection physique qu'il ébauche par
de vingt-deux ans, dans mon service, a pu avoir des antécédents de
famille
syphilitiques . En effet, la mère et une tante
net ; secrétaires annuels : MM. Semelaigne et SOLLIER. Conseil de
famille
. Le conseil de famille est composé des membres
uels : MM. Semelaigne et SOLLIER. Conseil de famille. Le conseil de
famille
est composé des membres du bureau auxquels sont
voulu donner à ses confrères le sens des indications à fournir aux
familles
, qui les consulteraient sur le cas de ces malheur
plus ou en moins. RECUEIL DE FAITS. CONDITIONS BIOLOGIQUES DES
FAMILLES
DES i : PII,I;P1'IQUGS; Tarie Dr Gaston BÉCIl
n d'étudier dans ma thèse inaugurale les conditions biologiques des
familles
des paralytiques géné- raux. Aujourd'hui, je me
raux. Aujourd'hui, je me propose de faire le même travail pour les
familles
d'épileptiques, d'après une méthode iden- tique
familles d'épileptiques, d'après une méthode iden- tique. Quarante
familles
d'épileptiques ont été étudiées avec le plus gr
s serrer la vérité d'aussi près que possible. Nous étudierons les
familles
des épileptiques aux quatre points de vue suivant
ion (gaacls-pa·eals). Sur les 160 grands-parents appartenant aux 40
familles
d'épileptiques que nous avons étudiées, 25 nous
donnant comme moyenne d'âge, au moment CONDITIONS BIOLOGIQUES DES
FAMILLES
DES ÉPILEPTIQUES. 203 de leur mort, 67 ans et 3
soit ensemble 50 ans. On y trouve : CONDITIONS BIOLOGIQUES DES
FAMILLES
DES ÉPILEPT1QUES. 203 nir les renseignements le
ration. Le nombre est de 30, ce qui donne comme moyenne pour chaque
famille
, le chiffre de 7,62. · 206 RECUEIL DE FAITS
· 206 RECUEIL DE FAITS. la moyenne est plus élevée que dans les
familles
normales. Dans ces dernières, en effet, cette m
à la quatrième génération, le chiffremoyenétant de 2,73 dans chaque
famille
normale, il tombera '1,16 dans la famille des é
étant de 2,73 dans chaque famille normale, il tombera '1,16 dans la
famille
des épileptiques. Nous pouvons donc conclure :
Nous pouvons donc conclure : Lesépiteptiques appartiennent à des
familles
dont l'énergie de reproduction est considérable,
e reproduction est considérable, notablement supérieure à celle des
familles
normales. Mais par contraste, la puissance repr
tomber à un niveau sensiblement inférieur à celui de la moyenne des
familles
normales ; les épileptiques tendent à la stéril
ivants. Soit G3,1G p. 100 morts et 46,83 p. 100 vivants. Dans les
familles
normales, MM. Bail et Régis donnent : 57 p. -10
37,83 p. 100 pères vivants et 62,16 p. 100 mères vivantes. Dans les
familles
normales, nous trouvons : 31 p. 100 pères vivan
vue de l'âge auquel ils ont succombé. CONDITIONS BIOLOGIQUES DES
FAMILLES
DES ÉPILEPTIQUES. 207 Soit sur 245 frères et so
s : 208 RECUEIL DE FAITS. Soit : CONDITIONS BIOLOGIQUES DES
FAMILLES
DES ÉPILEPTIQUES. 209 sions, la méningite sont
folie. sont, d'après nos recherches, remarquablement rares dans les
familles
des épileptiques. Ces résultats confirment, on
e chez les ascendants des épi- leptiques à celle que présentent les
familles
normales. 20 La moyenne des naissances ou natal
20 La moyenne des naissances ou natalité est plus élevée dans les
familles
d'épileptiques que dans les familles nor- males
alité est plus élevée dans les familles d'épileptiques que dans les
familles
nor- males. Les épileptiques appartiennent géné
les nor- males. Les épileptiques appartiennent généralement à des
familles
nombreuses. Mais, par contraste, si les épileptiq
ombe à un niveau sensi- blement inférieur à celui de la moyenne des
familles
nor- males. Les épileptiques tendent à la stéri
3° La puissance de vie ou vitalité est beaucoup inférieure dans les
familles
d'épileptiques à celle qu'on trouve dans les fa
re dans les familles d'épileptiques à celle qu'on trouve dans les
familles
normales. L'époque de la vie ou la vitalité est l
e la vie ou la vitalité est le moins forte, est le bas âge dans les
familles
d'épileptiques comme dans celles d'individus no
morbidité, c'est-à-dire la fréquence des diverses maladies dans les
familles
d'épileptiques présente des carac- tères bien s
folie sont d'après nos recherches, remarqua- blement rares dans les
familles
des épileptiques. Ces résultats confirment l'op
sidérés comme malades. C'est dire que c'est sur- tout au médecin de
famille
qu'incombe le diagnostic, la thérapeu- tique et
dommages de toutes sortes, moraux et matériels que peut causer à sa
famille
et à lui- même un paralytique général au début,
en plaques, etc. En même temps qu'il empêche le malade de ruiner sa
famille
ou de causer des scandales, le diagnostic préco
question de la curabilité ait été déter- minée. De cette façon, les
familles
hésiteraient moins à faire pla- cer leurs malad
ment de milieu s'impose, doit se faire, s'il est possible, dans une
famille
amie ou dans une famille rétribuée : dans le ca
doit se faire, s'il est possible, dans une famille amie ou dans une
famille
rétribuée : dans le cas de tendances suicides,,
nterner le malade dans un asile. Le plus souvent le médecin de la
famille
appelé à donner les premiers soins emploie le b
sition de loi et un assez grand nombre de cas de folie maintenus en
famille
, en observation spéciale et en traitement avant
tion officielle de folie, cause de chocs mo- raux profonds pour les
familles
et les malades. Marie. REVUE DE PATHOLOGIE NERV
que ses enfants sont d'ordinaire des dégénérés inférieurs et que sa
famille
s'éteint le plus souvent après la troisième génér
ationnel doit d'abord commencer par l'éloignement du malade de sa
famille
. L'éloignement seul fera cesser les manifestati
nie, en même temps que les antécédents sont recherchés auprès de la
famille
. A chaque malade correspond une fiche où les cr
'alcoolisme du père, ne présente rien d'anormal. Personne dans leur
famille
ne présente de strabisme ou de démarche titubante
ite une autre malade S... âgée de quatorze ans et demi, issue d'une
famille
de dégénérés et qui a subi un arrêt de développ
même des enfants de deux ou trois ans doivent être séparés de leurs
familles
et hospi- talisés. B. L'alcoolisme CHEZ LES e
r tous, le paysan est resté confiné, ne s'alliant volontiers qu'aux
familles
du même village ou d'alentour. Il en résulte la
s, la contagion s'étendit en même temps à cinq autres membres de sa
famille
(le père et la mère, un frère et deux soeurs).
te alors d'une façon extraordinaire. Au début, dans les accès où sa
famille
a déliré avec lui, le point de départ aurait ét
'isolement fut suivi à la sortie de la dispersion des membres de la
famille
; les soeurs allèrent à la ville avec le père et l
marqués par une agitation plus grande. ' Les autres membres de la
famille
, restés depuis indemnes étaient l'élément passi
s. M. Orchanski fait observer qu'il existe dans sa collection une
famille
de tziganes criminels dont les traits sont cepend
. LXIII. Trois cas d'ataxie cérébelleuse héréditaire dans la même
famille
; par G. Rossolimo. (11'olcu. Iconor. de la Salpé
cas multiples de cette affection, suivis en même temps dans la même
famille
, sont encore très rares. L'au- teur a eu l'occa
aussé de quelques touches qui constituent probablement la marque de
famille
, sur laquelle l'auteur appelle particulièrement
r et de mon oncle Lunier ; c'était donc simplement une tradition de
famille
à continuer. Je lève mon verre en l'honneur du
ne malade qui, après une attaque d'influenza, présentait, disait sa
famille
, des symptômes de paralysie. Le début de l'atta
jours pour les malades de la ville, la nécropsie fut refusée par la
famille
. Il nous a semblé néan- moins qu'il serait peut
ue, l'arthritisme, qm fait périr en quelques générations toutes les
familles
urbaines qui ne savent pas se régénérer par des
M. Paul Fartez. Une dame âgée de trente-cinq ans, mariée, mère de
famille
et manifestement hystérique, se plaint de palpita
quelques mois après, de violentes émotions surviennent, la vie de
famille
est désorganisée et cette même dame souffre d'une
nos yeux est accru par ce fait qu'il appartient, de très près, à la
famille
médicale par sa parenté étroite avec le profess
au Bon-Sauveur. Les communes doivent, assurément, payer lorsque la
famille
de l'in- terné est dans l'indigence. Tel n'est
e de l'in- terné est dans l'indigence. Tel n'est pas le cas, car la
famille
du jeune homme interné n'est pas dans la misère
un être inutile, incapable de subvenir à ses besoins, à ceux de sa
famille
, d'élever son enfant. Il est un menteur, un fou
iculier, ont commencé à se manifester d'une façon apparente pour la
famille
qui cependant n'y attacha pas grande importance
om- plissement de ses devoirs divers de fonctionnaire, de chef de
famille
, il s'est toujours montré méticuleux, très scrupu
t à subir des con- trariétés très sérieuses à propos de rapports de
famille
, dont il se montra quelque peu affecté, non san
igne, considérant sa position comme perdue, voyant l'avenir de sa
famille
compromis à cause de lui. Il était déshonoré ;. t
on milieu habituel, les médecins qui le traitaient déterminèrent la
famille
à le placer. C'est alors que nous pûmes l'observe
ent et les recherches les plus minutieuses auprès des membres de la
famille
qui n'avaient pas quitté le malade ne nous ont
toute cette aventure ne lui ait nui auprès de ses supérieurs, de sa
famille
. Jouira-t-il de la même considération ? Pourra-
il de la même considération ? Pourra-t-il encore être le chef de sa
famille
, le maître chez lui ? Ne sera-t-il pas considér
aie. Quoi qu'il en soit, le malade ne tarda pas à rentrer dans sa
famille
, à reprendre sans accidents sa vie antérieure. So
que la majorité des cas de vices de la parole se rapportent à la
famille
des dégénérés dans la large acception du terme ;
ino, 246. Trois cas d' céré- belleuse héréditaire dans la .même '
famille
, par Hossohmo, 360. Suri ? locomotrice, par Tre
r, 404. Epu.EE'unuES. Les -, 93-430. Con- ditions biologiques des
familles
des -, par Béchet, 202. Albumi- après les cri
rez pour vous promener et vous donner de l'appétit. » Je déclare ù la
famille
que si vraiment il y a nne tumeur, on. peut e
on de masympathie ; je suis malheureusement retenu par des devoirs de
famille
impérieux. Soyez, je vous prie, mon interprète au
combien de gens dont la vie a été un tourment pour eux-mêmes et leur
famille
et qui ont retrouvé au moyen de l'hypnotisme un é
x travaux. La société charge M. le Secrétaire général d'adresser à la
famille
du Dr Stembo nos douloureuses condoléances. Les
'aggraver son état. (Rires.) Comme on incriminait le séjour dans la
famille
, les parents consentirent à se séparer de leur en
ologie. Dès les premiers jours du mois de novembre 1904, un père de
famille
vient me trouver et me dit ce qui suit: « J'ai qu
tion. Le dernier est un mauvais garnement qui fait honte à toute la
famille
: il ment! Depuis quelques mois, il nous a bernés
4, dans la classe de Troisième. Après chaque composition, il dit à sa
famille
qu'il est premier, second ou troisième. Chacun es
mente ; on le comble de cadeaux. Aux approches du 14 juillet 1904, sa
famille
, — qui part pour la campagne, — l'emmène; il n'as
ur cynique, vous jugez la déception et la colère de ce pauvre père de
famille
! Le lendemain, je reçois la visite de Madame Z
ge. Ayant appris la « vilenie » de son fils, il a convoqué toute sa
famille
, femme, fils, belles-filles, sœurs, belles-sœurs,
llure biblique : « Tu as menti, tu nous as trompés, tu t'es avili; ta
famille
te renie ! Pour le monde, pour les domestiques, t
ni bonsoir. Retire-toi dans ta chambre, tu ne fais plus partie de la
famille
. » Cet enfant se retire en sanglots ; il ne man
joie dans un milieu qu'avait, un moment, bouleversé le petit drame de
famille
rapporté plus haut. Enfin, la transformation obte
ers le jour de l'an, il fut, toujours sous condition, renvoyé dans sa
famille
. Il y a quelques semaines, le maire et le commiss
fin de septembre. Les conseils du médecin ne sont pas suivis par ta
famille
. Le 3 octobre 1900, la petite malade s'endort pro
du département de l'Yonne. A cela rien d'étonnant : dans ma propre
famille
, mon imagination d'enfant avait été profondément
ires. Ne sommes-nous pas les uns et les autres des membres de la même
famille
scientifique. Les encouragements de mon maître Gr
heureux. M. Bienvenu-Martin a connu tous les miens. Les membres de ma
famille
répandus dans les diverses parties du département
elé la façon si élevée dont mon père comprenait sa mission de chef de
famille
et le courage avec lequel, à des heures difficile
ndividu qui, par son langage, nuit à la tranquillité ou au bien de sa
famille
et de ses voisins, tout autre qui trouble l'ordre
mais qui, avec des soins, une surveillance, pourrait vivre dans leur
famille
, sans faire courir aucun risque à la Société. Cer
s jours, les portes des l'asile se ferment sur des vieillards dont la
famille
se débarrasse au compte de la Société, parce qu'i
e ceux qui sont chargés d'appliquer la loi: Le médecin appelé par une
famille
pendant sa tournée de clientèle à constater que t
ereux pour la sécurité publique, est obligé de s'en rapporter à cette
famille
, aux voisins, car l'interrogatoire direct si scru
résence de l'irritabilité, de la mauvais volonté qu'il devine dans la
famille
, des mauvais traitements aussi qu'il redoute pour
u'on vienne les chercher et vainement ils attendent la visite de leur
famille
. Ils sont cause de l'encombrement des asiles d'al
la téte). Grâce à l'amélioration de son état, il était rentré dans sa
famille
. Il eut la malencontreuse idée d'aller consulter
alade craignirent une rechute nécessitant un nouvel internement. La
famille
en fut réduite à demander au procureur de la Répu
it rire. Je ne me suis décidé à le suivre que sur les instances de ma
famille
. Le 11 février donc je me suis mis à l'œuvre ; j'
e qui sera publiée et dont les principes iront, par l'enfant, dans la
famille
. En organisant un cours spécial et des exercice
sse, de la réglementation administrative dans les lieux publics, à la
famille
dans le sein de la vie privée. L'Etat doit être
cessifs de l'intelligence. Ils pourront donc être confiés soit à leur
famille
, soit plutôt à des sociétés de patronage, à des f
s soit à leur famille, soit plutôt à des sociétés de patronage, à des
familles
étrangères connaissant les soins à donner à ces m
t en effet une surveillance incessante de ces enfants. Cependant, une
famille
se consacrant au relèvement moral de ces enfants,
elles l'enfant est doux, facile à vivre, on pourra le placer dans une
famille
, mais bientôt l'aggravation de l'affection nécess
andis que les premiers, en effet, ont besoin d'une assistance dans la
famille
, les seconds réclament surtout une assistance méd
tion et les bons conseils au moment opportun. Cette absence de vie de
famille
est encore une cause d'autres maux. Les générateu
a pas de maladie de l'intelligence, de tare intellectuelle, c'est la
famille
qui, instruite par le médecin de la véritable cau
ns le bon chemin. Mais, dans certains cas, cette assistance dans la
famille
de l'enfant n'est pas possible : les parents sont
ou moralement abandonnés et d'essayer de créer pour eux une nouvelle
famille
. On doit, avapt de placer l'enfant dans une fam
ux une nouvelle famille. On doit, avapt de placer l'enfant dans une
famille
, s'enquérir de sa nature intime, de sa sensibilit
l'enfant. Il faut alors déplacer l'enfant et rechercher une nouvelle
famille
. Tous les nourriciers ne sont pas aptes à éduquer
s cas être rendu à ses parents ou placé dans une colonie, ou dans une
famille
choisie. Il sera dons une certaine mesure capable
ociété de secours mutuels n'a pas hésité à payer à deux reprises à la
famille
d'un de ses membres les frais d'un voyage auprès
le que joue la timidité dans l'étiologie des psycho-névroses. Dans la
famille
et à l'école, à force de faire aux enfants des re
n silence absolu, et restent immobiles devant les vieux, les pères de
famille
, les instituteurs, en signe de respect. C'est ain
les instituteurs, en signe de respect. C'est ainsi que chaque chef de
famille
est, dans son foyer, un petit seigneur, un petit
oyer, un petit seigneur, un petit tyran. Prenons d'abord le père de
famille
. La plupart du temps, il mange tout seul. Sa femm
'Université du Caire. Il est âgé de vingt-six ans et appartient à une
famille
noble de province. Son père, homme lettré, lui dé
endant tout mon séjour, je vis les frères plus âgés, mariés, pères de
famille
, habitant la maison paternelle, à l'exception de
ermission d'assister, avec son cousin, âgé de 20 ans, aux réunions de
famille
. A l'école, si l'élève demande une explication
exandrie et dans d'autres villes de l'Egypte, j'ai connu des pères de
famille
qui traitaient leurs enfants tout à fait à l'euro
et de 1905, j'ai fait voir que les prophètes juifs appartiennent à la
famille
psychopathique et que la plupart eussent été de n
Je montrerai cette année que Jésus de Nazareth appartient à la même
famille
. J'apporterai dans cette étude Pataraxie absolu
débarrasser, je ferai l'analyse de ces biographies. J'étudierai la
famille
de Jésus, son père, le dévot charpentier de Nazar
égoïsme, de son maladif orgueil, de son indifférence à l'égard de sa
famille
, de sa sympathie pour les déclassés, les publi-ca
dans le flacon par deux exemplaires seulement, appartiennent à la
famille
des Coléoptères curculionides ou charançons, et a
et la bienveillance des gens âgés à l'égard des jeunes, des pères de
famille
envers leurs enfants, des instituteurs envers leu
morne était augmenté par l'humeur taciturne et insociable du chef de
famille
, dont la sévérité glaçait son âme d'enfant. Nou
sortait que par des emportements. Avare dans l'espoir de rendre à sa
famille
son premier éclat, hautain aux Etats de Bretagne
es Vallès a raconte combien il souffrit des mauvais traitements de sa
famille
, dont la dureté le paralysait. Un de mes collèg
à il se trouve dépaysé. Passant subitement de l'intîmité de la vie de
famille
à un milieu inconnu, il y arrive prévenu, avec un
, a bien analysé la tristesse et la timidité de l'enfant arraché à sa
famille
: On voit dans les sombres écoles Des petits qu
bureau, se désintéresse de son avenir et, enfin, se fait renvoyer. Sa
famille
est lasse de s'occuper de lui, et en désespère. C
ère. Cependantun traitement moral a été institué par le médecin de la
famille
, pendant longtemps; mais il n'a donné aucun résul
rtée par M. L..., vérificateur de la dette publique, ami intime de la
famille
, lequel était venu me voir quelques jours avant d
mène, et surtout pour sa conduite si préjudiciable à lui-même et à sa
famille
. Le traitement est continué régulièrement [pend
mps, il prenne encore un peu de cocaïne. Depuis il est rentré dans sa
famille
, s'est mis à travailler, ainsi qu'à mener une vie
gulière, et ne prend plus de poison. Actuellement il est choyé par sa
famille
, par ses amis et toute la haute société. J'ajoute
égation, sous le règne de Louis XVIII, parce qu'il s'était allié aune
famille
protestante. On lui doit cependant des travaux d'
en que les autres ; ou bien elle exaspère l'amour-propre. Une mère de
famille
nous a avoué que sa fille faisait des scènes à la
ur cette dernière affection, dont elle ne fait pas grand cas. Dans la
famille
de son mari, plusieurs membres ont été atteints d
qui, comme son frère, est atteint d'énu-résie. Cette affection est de
famille
, dit-elle, et guérit toujours. « Consulté donc
oyé. Stupéfait lui-même d'un pareil suc-sès, il va en faire part à sa
famille
et célèbre mes louanges. Deuxième cas. — M. Moh
cu-lations mal versifiées. Celui-ci ne me semble pas moins de la même
famille
imaginaire et subconsciente que le Dr Phinuit, av
a nourrissait; elle dut cesser l'allaitement. La mère est née d'une
famille
de rhumatisants et de goutteux confirmés; elle
a eu des attaques d'hystérie. Il y a aussi des alcooliques dans la
famille
. Antécédents personnels. L'enfant, venue à term
traité dans une maison de santé et y séjourna deux mois loin de sa
famille
. Au bout de peu de temps, le 8 mai, un grand ch
erafeno ROME.) Antoine D. M..., jeune enfant âgé de onze ans, d'une
famille
aisée, est d'une bonne constitution physique; i
ette tentative, mais sans succès. Entre temps, je fus invité par la
famille
à le visiter. Au mois de septembre 1883, il sou
mais d'une altération dynamique fonctionnelle. Je manifestai à la
famille
l'espoir que la guérisdn viendrait bientôt et q
s bien portants. Pas d'épileptiques, pas de suicides, etc., dans la
famille
.] Mère, soixante-deux ans, marchande des quatre
aineux, morts on ne sait de quoi. Pas d'épileptiques, etc., dans la
famille
.] Pas de consanguinité. Neuf enfants. De son ma
petite ville de Saint-Remy (Provence) en '18lu et appartenait à une
famille
influente et riche. Son père, homme énergique e
tour de lui. Il ne parait pas avoir conservé de l'affection pour sa
famille
; il n'en parle jamais, et l'évocation du souven
Mistral ne peut ressentir, même à un faible degré, les joies de la
famille
. La mémoire, qui joue un si grand rôle dans la
pellerait- elle ? Ne serait-il pas comme un étranger dans sa propre
famille
? Dans ces conditions, quel intérêt pourrait-il
se voir brutalement imposé aux soins directs et à l'affection d'une
famille
dont aucun membre autorisé ne parait vouloir se
trouve dans la maison de santé, pour les soins problématiques d'une
famille
qui entend rester dans la stricte limite des ob
stration comme à la protection d'imprudents amis. Le séjour dans la
famille
n'est un bien pour un aliéné que si tous les br
qu'au moment où les Chambres auront mieux déterminé les devoirs des
familles
et de la société envers les aliénés incurables
e le défendre également contre les déterminations éventuelles d'une
famille
exaspérée par une longue polémique, et contre l
délire, le malheureux Mistral fut considéré comme une victime de sa
famille
et de l'adminis- tration. Sa mort a remis les c
des sujets. L'hystérie, comme on le sait, appar- tient à la grande
famille
neuro-pathologique ' et, en ce qui regarde spéc
obser- vation à l'hôpital Broussais, qui, à la suite de chagrins de
famille
, ressentit au cours de l'année de 188G des bour
us te surveillons; tu ne tueras personne; tu ne déshonoreias pas ta
famille
; ne pense plus à ta femme, c'est une coquine; p
sque leur intervention est obligatoire, et sur la réquisition de la
famille
ou des intéressés. Je crois en effet que telle
icle 7, les aliénés qui sont soignés à domicile par un membre de la
famille
, sont sou- mis à la même surveillance que ceux
par son représentant direct, naturel dans le canton où se trouve la
famille
de l'aliéné, c'est-à-dire par le juge de paix;
de les perfectionner encore; tandis qu'une fois rentrés dans leurs
familles
, ils perdent une grande partie de ce qu'ils ont
t de ses frères et soeurs sont morts à des âges différents. Dans sa
famille
, autant qu'il sache, il n'y a eu ni scrofule, n
uel. Pas de neuropathies, ni de tuberculose, ni de syphilis dans la
famille
. Ses parents avaient eu onze enfants : cinq d'ent
d'atrophie musculaire, de para- lysies, de psychoses, etc., dans sa
famille
. Son grand-père était un vieillard robuste, mor
iques, d'idiots, de difformes, de suicidés, ni de criminels dans la
famille
.] Mère, quarante-quatre ans, couturière, brune,
de vieillesse à quatre-vingt-sept ans. Pas d'aliénés, etc., dans la
famille
.] Deux enfants etune fausse couche : 1° notre m
nze ans et demi, il est allé en Prusse (en pleine campagne, dans la
famille
de sa mère). Il y est resté deux mois; il a eu
and'7zèrep«tenzelle, névralgies. - tendance aux congestions dans la
famille
paternelle. - Oncle paternel, mort de convulsio
le et deux oncles maternels, suicide. - Trois morts subites duns la
famille
maternelle. Un frère, une 1>(1HlI', une cous
ns du pays une foule de fonctionnaires; on leur livre le secret des
familles
... A gauche. Allons donc ! AI. DE Gavardie. A
e des aliénés ? Est-ce qu'il y a trace aujourd'hui de ce secret des
familles
que vous livrez aux quatre vents du ciel ? Ah !
nctionnaires les plus élevés livrent à la publicité les secrets des
familles
? Je ne veux pas entrer dans des détails, mais vo
t, qui assuraient tout : et l'intérêt des malades, et l'intérêt des
familles
, et l'intérêt des biens. Tout cela était sauveg
un moment donné, je le répète, livrer à la publicité le secret des
familles
. M. le Président. Personne ne demande plus la p
ail sur les fiches tous les ans pour leur destruction, et ainsi les
familles
ne sont pas à jamais marquées sur ces papiers q
, si on les conservait, devenir des moyens de porter atteinte aux
familles
. Voici, messieurs, ce qui a été dit en peu de m
ement d'interdiction et un extrait de la délibération du conseil de
famille
pris en vertu de l'article 510 du Code civil ;
n mentale, c'est je vais vous citer des faits - le traitement de la
famille
. Plusieurs sénateurs à gauche. C'est tout le co
ons dis- cuter. Remarquez que, quand je parle du traitement de la
famille
, je ne parle pas seulement du traitement matériel
e parle pas seulement du traitement matériel dans l'intérieur de la
famille
; je parle du traitement qui se fait, sous la su
ui se fait, sous la surveillance morale, affectueuse, dévouée de la
famille
, parles soins d'un médecin investi de la confia
la famille, parles soins d'un médecin investi de la confiance de la
famille
. Voilà le traitement par excellence. Et quand o
ans les asiles publics que dans les asiles privés etsurtout dans la
famille
. J'ai souvent eu l'occasion de dire qu'on écriv
n'entrez pas dans ces innovations téméraires. Le traitement dans la
famille
ou sous l'influence de la famille n'est-il pas
téméraires. Le traitement dans la famille ou sous l'influence de la
famille
n'est-il pas supérieur à tout autre ? Est-ce que,
é devient de plus en plus aliéné ; tandis qu'en les isolant dans la
famille
, sous la protection des soins vigilants d'un mé
tout est concilie, et l'intérêt de l'ordre public, et le secret des
familles
, et l'intérêt des malades ? Tenez, je parlais t
mbreux; c'est dans les asiles privés, et surtout dans l'asile de la
famille
. Je vous demande donc de voter contre l'article
situation de ces malheureux qui sont ordinairement à charge à leur
famille
. Les écoles publiques leur sont fermées; nul ne
portant sur les antécé- dents des malades, sur leurs antécédents de
famille
, nous apprennent que toutes les causes habituel
les influences exté- rieures, mais dans le sujet lui-même, dans sa
famille
qu'il faut chercher la source du mal. Ces enquê
gnorant très souvent les tares physiques qui ont pu entacher leur
famille
et incapables de donner aucune indication pré-
fections vésani- ques qui ont pu frapper certains membres de leur
famille
. Mais si, au lieu de se contenter d'un seul exa
dépouillement des observations apprend au médecin qu'il y a dans la
famille
des hystériques, des DE LA PARALYSIE FACIALE. 3
ôté droit. Pas de renseignements au point de vue des antécédents de
famille
. Antécédents personnels : Bien réglée, depuis l
5 octobre 1887. Pas de renseignements précis sur les antécédents de
famille
. Antécédents personnels : Rougeole et coqueluch
s dont la relation va suivre les indications sur les antécédents de
famille
sont nettes et concluantes et les preuves abond
te du 35 août 4881;, soit depuis deux ans environ. Antécédents de
famille
: Père bien portant, mère très nerveuse. Un onc
887; elle est paralysée du côté gauche de la face. Antécédents de
famille
: Père mort depuis dix ans à la suite d'une mal
1887; il est atteint d'une paralysie faciale droite. Antécédents de
famille
: Père a eu il y a trois ans une hémiplégie du
roid. Les renseignements qu'il nous donne sur les antécédents de sa
famille
et sur les siens sont les suivants : Antécédent
de sa famille et sur les siens sont les suivants : Antécédents de
famille
: Son père est bien portant. Sa mère, nous dit-
oixante ans, vient nous consulter le 30 juin 1887. Antécédents de
famille
: Grand-père paternel mort après avoir été enfe
on XIV. David F..., rabbin, âge de trente-six ans, appartient à une
famille
juive orthodoxe. Fièvre typhoïde à l'âge de dix
ère maternel aurait eu une affection nerveuse qu'on cachait dans la
famille
; grand' mère maternelle très nerveuse ; mère mo
'ataxie locomotrice. Voici un autre cas non moins intéressant. La
famille
névropathique y est encore plus largement repré
e nous donne les renseignements suivants sur ses : Antécédents de
famille
: Grand-père paternel goutteux, père éga- lemen
x encore que tous ceux qui précèdent; il s'agit de l'histoire d'une
famille
de névropathes voués pour ainsi dire à la paral
aralysie de la septième paire, observés chez des membres de la même
famille
. Ce n'est plus seule- ment, comme dans les autr
rapproché des vésanies et des névroses que des autres membres de la
famille
neuropathologique. Il suffit, pour s'en assurer
. Pas d'aliénés, pas d'épileptiques, pas de suicides, etc., dans la
famille
.] Mère, soixante ans, assez grande, brune, fait
. Pas d'aliénés, pas d'épileptiques, pas de suicides, etc., dans la
famille
.] Pas de consanguinité. Notre malade.- Grossess
uyait ou leur disait des sottises. » La misère qui existait dans sa
famille
l'avait fait réfléchir, elle a refusé de se marie
n était injuste, etc. » - Le rachat du frère (3,800 fr.) a ruiné la
famille
, i bien qu'elle avait été obligée elle-même de
s traces d'anomalie sexuelle, elle explique ses difficultés avec la
famille
, elle offre, en un mot, l'etat mental d'une dél
ques- non pas ceux des asiles, mais ceux que l'on ob- serve dans la
famille
, qui, en dehors des manifestations parfois très
Dans J'OnsERvA110N IV, M. Ma- gnan oublie de rappeler que toute la
famille
de la malade était bègue comme elle. La malade
rois plutôt à ceux qui m'ont été donnés de différents côtés par les
familles
qu'à ceux qu'a pu recueillir M. Magnan qui n'a vu
res et personnels et ensuite d'après la marche de la maladie. Si la
famille
sociétés savantes. 471 me raconte que depuis
ment d'aliénés en pays étranger. Comment ! vous voulez empêcher une
famille
de dépayser un de ses membres malades dans les
s vous ne devriez pas vous épouvanter de ce qu'il soit permis à une
famille
de placer dans un de ces établissements un de s
s offrent des garanties suffisantes. Et d'ailleurs, est-ce que la
famille
ne saura pas choisir ? ... Je dis que cet article
mieux le tromper, qu'il s'entendait avec les persécuteurs de notre
famille
, et toul cela sans rire et à des intervalles irré
nt thyroïdien en réalise un second en permettant de soigner dans la
famille
les cas sporadiques. Les résultats de ce traite
'était accentuée au point que l'on pouvait,-et c'était l'avis de la
famille
, la considérer comme équivalent à un retour à l'é
ories principales de vagabonds : 1° Les roulot- tiers qui vivent en
famille
autour d'une carriole et se répandent dans les
é certainement inconnue chez les peuples sauvages». Même dans les
familles
nobles, même dans la famille impériale, on corrig
les peuples sauvages». Même dans les familles nobles, même dans la
famille
impériale, on corrigeait les enfants de la même
is carac- tères suivants : 1° La maladie est héréditaire. Il ya des
familles
entières de choréiques, chez lesquels s'ajouten
ui étaient aussi médecins, l'avaient déjà observée dans certaines
familles
. Les observations subséquentes ont montré que l
n- a H 3 M co eo Chorée DÉGÉN8f\ATIVE (DE HUNTINGTON n
Famille
B... 100 PATHOLOGIE NERVEUSE. Alfred B... est
des années de maladie. Il y avait plusieurs cas d'épilepsie dans sa
famille
. Deuxième génération. - Le père était paysan. I
sont de deux ordres. On rencontre en effet, à l'origine, dans la
famille
de l'aïeule, concurremment avec la chorée dégén
ditaire qu'est due la dégéné- rescence rapide et irrémédiable de la
famille
de noire malade. Antécédents personnels. - Al
OUBLES PSYCHIQUES DANS LA CHORÉE DÉGÉNÉRATIVE. 109 l'histoire d'une
famille
qui fournit de nombreux choréiques pendant quat
souvent cité, rela- tant douze cas de chorée héréditaire dans deux
familles
pro- venant de la même souche, ne mentionne nul
ns, ne dit pas un mot de suicide sur les neuf cas de chorée dans la
famille
Rinderknecht. En 1888, nous avons d'abord l'imp
yon médical, 1893). Osier (1893) non plus (nom- breux cas dans deux
familles
), à en juger d'après l'analyse de Neurologische
numéro de juin.] ' CLINIQUE MENTALE Conditions biologiques des
familles
des paralytiques généraux ; Par le Der Gaston
ns le journal l'Encéphale (1883) sur les conditions biologiques des
familles
des paralytiques généraux, MM. Bail et Régis s'
parce que, en tant qu'espèce morbide, elle ne fait pas partie de la
famille
des folies, parce qu'elle ne naît point comme e
s cérébrales. Les paralytiques généraux appartiennent non pas aux
familles
d'aliénés qui n'existent pour ainsi dire pas dans
aux familles d'aliénés qui n'existent pour ainsi dire pas dans ces
familles
, mais aux familles des cérébraux, et s'il existe
énés qui n'existent pour ainsi dire pas dans ces familles, mais aux
familles
des cérébraux, et s'il existe une hérédité pour
lusions qui nous sem- blent davantage d'accord avec les faits. 40
familles
de paralytiques généraux ont été étudiées avec
ion (grands-parents). Sur les 160 grands-parents appartenant aux 40
familles
de paralytiques généraux que nous avons étudiée
. A la génération suivante l'âge moyen des parents morts dans les
familles
normales étant de cinquante-sept ans à peine, d
d'après Bail et Régis, nous le trouvons de soixante-un ans dans les
familles
de paralytiques généraux. Sans doute, il est bo
. Sans doute, il est bon de faire quelques réserves. Que sont ces
familles
normales qui servent de point de comparaison da
e comparaison dans le travail de MM. Bail et Régis ? Où trouver ces
familles
étalons ? N'y a-t-il point là une cause d'erreu
se et indiscutable ? C'est notre opinion. Mais si, négligeant ces
familles
normales, nous comparons la moyenne générale de
rmales, nous comparons la moyenne générale de longévité à celle des
familles
des paralytiques généraux, nous retrouvons les
té. Deuxième génération (oncles, tantes, pères, mères). Dans les 40
familles
de paralytiques géné- raux qui font l'objet de
ion. Le nombre est de 280, ce qui donne comme moyenne pour chaque
famille
, le chiffre de 7. MM. Bail et Régis ont trouvé
MM. Bail et Régis ont trouvé celui de 6,20. Le détail pour chaque
famille
est le suivant : 120 CLINIQUE MENTALE. Troisi
es malades, eux compris, ce qui donne comme moyenne G,5 pour chaque
famille
. .\1.\1. Bail et Régis ont trouvé 0, te pour ch
chaque famille. .\1.\1. Bail et Régis ont trouvé 0, te pour chaque
famille
. PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. " 127 Î Dans les fami
, te pour chaque famille. PARALYTIQUES GÉNÉRAUX. " 127 Î Dans les
familles
normalés, ils donnent 57 p. 100 morts et i ? a
20,33 p. 100 mères vivantes. 11f. l3all et Régis trouvent dans les
familles
des paralytiques, 20,31 pères vivants et 48,95
, 20,31 pères vivants et 48,95 mères vivantes p. 100; et dans les
familles
norniales 31 p. 100 pères vivants et 54 p. 100 mè
eurs). Sur les 220 individus nés a la troisième génération dans les
familles
de nos 40 paraly- tiques généraux, 84 sont mort
âge auquel ils ont succombé : 128 8 CLINIQUE MENTALE. 2° Dans les
familles
normales. PARALYTIQUES GENERAUX. 129 MORBID
ébilitation générale, etc., les maladies les plus communes dans les
familles
des paralytiques généraux sont les affections c
à laquelle appartiennent les paraly- tiques généraux, 5. Dans les
familles
normales d'après MM. Rail et Régis, les causes
l faut remarquer que, tandis que sur 1565 individus appartenant aux
familles
'des paralytiques généraux, il n'y en a que 13
isme, névroses, suicide, folie, sur z1497 individus appartenant aux
familles
normales il s'en trouve 17 morts de ces mêmes m
les ascendants des paralytiques généraux à celle que présentent les
familles
normales ; 2° la moyenne des naissances ou nata
2° la moyenne des naissances ou natalité est plus élevée dans les
familles
de paralytiques généraux que dans les familles no
plus élevée dans les familles de paralytiques généraux que dans les
familles
nor- males. Celte moyenne étant de quatre naiss
nor- males. Celte moyenne étant de quatre naissances et demie par
familles
normales, se trouve être de six et demie dans les
ie par familles normales, se trouve être de six et demie dans les
familles
de paralytiques généraux. Les paralytiques généra
tiques généraux. Les paralytiques généraux appartiennent tous à des
familles
très nombreuses. A la deuxième génération, la n
a deuxième génération, la natalité est un peu inférieure dans les
familles
des paralytiques généraux. Les paralytiques gén
individus normaux et ils laissent comme la plupart des hommes une
famille
dont il faudra plus tard suivre la trace. Toute
3° La puissance de vie ou vitalité est beaucoup inférieure dans les
familles
de paralytiques généraux à celle qu'on trouve d
les familles de paralytiques généraux à celle qu'on trouve dans les
familles
normales. L'époque de la vie où la vitalité est
que de la vie où la vitalité est la moins forte aussi bien dans les
familles
de paralytiques généraux que dans les familles
aussi bien dans les familles de paralytiques généraux que dans les
familles
normales est le bas âge ; mais ce défaut de vit
bi- dité c'est-à-dire la fréquence des diverses maladies dans les
familles
de paralytiques généraux présente des différences
raux présente des différences notables avec celle observée dans les
familles
normales. Tout en conservant le premier rang à
une seule'entité morbide la folie de plu- sieurs membres d'une même
famille
». M. I)OUTREi3rNTE rappelle que cette idée ava
cissement du champ visuel droit, boule, anorexie. Je propose à la
famille
de traiter Zoé par la méthode de resensi- bilis
le 23 août. A cette date le malade quitte Nantes pour aller dans sa
famille
à Paris. Après l'opération nous avons pu assist
Le malade subitement, après nous avoir exposé certains chagrins de
famille
, brusquement pousse un cri, et tombe à terre, a
es de trouble mental, qui sont ordinairement plus apparents pour la
famille
que pour le médecin. Assez souvent les premiers
'isolement à l'asile, seul permis aujourd'hui, le placement dans la
famille
du malade et les colonies familiales. M. Pornai
amilial direct, c'est-à-dire le traitement du malade dans sa propre
famille
avec allocation de secours individuels en argen
, parce qu'ils nécessitent une surveillance et une éducation que le
famille
ne peut assurer, le quatrième, à cause de ses c
us partageons l'opinion du D1' Pornain, mais, en pratique, seule la
famille
a le droit d'isoler un malade qui n'a pas encor
'aller plus loin. Ce qu'il faut donc, c'est de faire comprendre aux
familles
qu'il est de l'intérêt du malade de réclamer l'
comme le désire M. Pornain, que de laisser peser sur l'aliéné et sa
famille
la honte d'une condamnation imméritée. Mais j
se, il se sert d'une statue de la Vierge. En effet, il considère sa
famille
comme coupable envers Dieu non moins qu'envers
projection, sur ce qu'on a nommé les zones marginales. Certaines
familles
de ces images sont aujourd'hui bien localisées :
ront celles qui, sans menacer fortement leur person- nalité ou leur
famille
, constituent cependant des fautes qu'ils n'au-
urie. M. Paul FAREZ. Mmo B..., âgée de trente-quatre ans, mère de
famille
, israélite, habite une grande ville de province q
fonctions et de donner partout un nouvel essor aux pensionnats, les
familles
répu- 356 BIBLIOGRAPHIE. * gnant toujours à
l'ube de soixante-cinq ans. Gustave Bouchereau, issu d'une vieille
famille
médicale de la Touraine, est né à Montrichard (
oses une expé- rience qui lui a été des plus utiles. Rentré dans sa
famille
, il s'occupa du soin de son domaine ; il était
ssister à ses derniers moments : à toutes deux, ainsi qu'à toute la
famille
, nous adressons l'hommage de nos respec- tueuse
émoignages et ces regrets adoucir pour sa veuve en deuil et pour sa
famille
la douleur de la séparation définitive ? Nous l
ociation était utile à ceux que la maladie atteignait, ainsi qu'aux
familles
laissées dans la misère par eeux qui étaient mo
renouvelant un de ces traits dont s'honore l'histoire de la grande
famille
médicale dans l'histoire du pays, il avait fait
du tout, car elle était très surveillée par sa mère. Elle quitte sa
famille
à l'âge de vingt-deux ans, pour vivre avec un a
29 450 SOCIÉTÉS SAVANTES. ceci que nous avons affaire ici à « une
famille
gliomateuse ». L'existence de la même affection
». L'existence de la même affection chez trois membres de la même
famille
ne peut pas être l'effet d'un pur hasard, c'est p
ue temps, donnait des signes de folie, s'est tout à coup rué sur sa
famille
composée de deux jeunes enfants, les a tués à c
uante-cinq ans, poursuivait depuis 'quelque temps les membres de la
famille
P... d'injures et de menaces. Sur la plainte de
Saint-Grave. « Les cinq enfants de Scherf ont été retirés à leur
famille
et con- fiés à des parents, ainsi que les trois
é inhumé au cimetière d'Appelterre. Les porteurs, les membres de la
famille
, l'instituteur chef de l'école protestante et l
nfants. Ni aliénés ni épileptiques, etc., etc., dans le reste de la
famille
.) Hère, vingt-huit ans, ménagère, ni convulsion
e l'enfant, comme nous l'avons dit plus haut. - Dans le reste de la
famille
ni aliénés, ni paralytiques, etc., etc.). Pas
hypothèse. Il s'agit d'une femme de soixante-deux ans, issue d'une
famille
dont plusieurs membres avaient présenté des tro
rière, ho 6, 1899.) Les recherches de Milroy (1893) portant sur une
famille
de 97 individus échelonnés sur 6 générations et
inférieurs, celles de l'auteur portant sur 4 générations d'une même
famille
et présentant 8 cas d'oedème chronique (ces cas
comme lui de vingt-et-un ans. Fils de cultivateur, et membre d'une
famille
où tous étaient fermiers ou petits propriétaire
te durée ; quinze mois plus tard une pneumonie emportait le chef de
famille
, et la veuve revint à Quincarnon. Presque sans
Semelaigne, devait dès lors s'écouler doucement, partagée entre sa
famille
, ses malades et l'étude. Le 11 décembre 1860 l'
ur éviter une véritable contagion en les laissant au milieu de leur
famille
. Les sentiments d'humanité, que la civilisa- ti
rès examen médical et pédagogique, ils seront envoyés soit dans des
familles
choisies à cet effet, soit dans des maisons de ré
plus économique, mais le - moins efficace. Il y a le système dit de
famille
, usité en Allemagne et en France (Mettray), où
s sont placés par groupe de 15 à 40, sous la direction d'un chef de
famille
, aidé d'un sous-chef et de deux frères aînés ;
comités spé- ciaux. Le système irlandais combiné avec le système de
famille
, serait presque l'idéal : l'école Lepelletier-S
par Sachs, 251. Paralytiques généraux. Conditions biologiques des
familles
des - par Béchet, 121. Surdité chez un , par
ayant le plus souvent des névropathes et des tuberculeux dans leur
famille
et, presque toujours aussi, des parents ou coll
mais sans obsession. Rougit moins aujourd'hui. Tuberculeux dans la
famille
. L'OBSESSION DE la ROUGEUR. 5 Une soeur et un
avaient des nerveux, des alcooliques ou des tubercu- leux dans leur
famille
. Tous avaient dans leurs ascendants ou leurs co
ns un restaurant et s'as- treignent à prendre leurs repas seuls, en
famille
ou dans une maison particulière. Quand ils sont
que et je me rappelle ces paroles textuelles d'une domestique de ma
famille
, qui était présente : « A la maison c'est la mê
suis arrivé à l'état dans lequel je suis que peu ci peu. Ma propre
famille
a, je crois, beaucoup contribué à développer ce
is, tout pervers qu'ils soient, sont relative- ment inoffensifs, la
famille
, quand elle est riche, prenant à sa charge les
ournal, 18 avril 1896.) C'est une jeune fille de quatorze ans d'une
famille
de tuberculeux. L'attaque de paralysie débuta p
ues ; leurs camarades les évitent et ils deviennent à charge à leur
famille
. Quand ils par- viennent à l'adolescence, ils n
N° 14. ARCHIVES DE NEUROLOGIE ASILES D'ALIÉNÉS. LES VISITES DES
FAMILLES
DANS LES SERVICES PUBLICS D'ALIÉNÉS z ET LE R
sidérer les relations avec les parents et les amis, les visites des
familles
, comme Archives, 2e série, t. III. G 82 asile
s les aliénés plus ou moins sont des mélancoliques, porte contre sa
famille
les accusa- tions les plus noires ou se figure
es plus noires ou se figure qu'elle l'abandonne, ou DES VISITES DES
FAMILLES
83 croit qu'il est un misérable qui mérite d'êt
ume. Et de fait, quand à aucun moment on n'a rompu les relations de
famille
, quand les visites ont toujours été autorisées,
thérapeutique en ce qui concerne les relations de l'aliéné avec sa
famille
. Elle est tout l'opposé de celle jusqu'ici appl
une en- trave, ou à peu près, aux relations des aliénés avec leur
famille
et leurs amis. De même qu'autrefois, avant sa m
ristait le paralytique. Je n'y reviendrai pas, me ' DES VISITES DES
FAMILLES
85 bornant à signaler le fait des visites à vol
ongrès de Nancy M. Rouby m'a prêté cette opinion. DES VISITES DES
FAMILLES
87 Î coup de services, les médecins se montrent
es, les médecins se montrent impitoyables pour ces malades et leurs
familles
; ils refusent systématiquement tout permis, du
. Il convient donc que ces malades comme les autres reçoivent leurs
familles
; en l'absence de tout local approprié le mieux
s'il n'y a qu'un parloir unique, comme à ses yeux les relations des
familles
avec les malades jouent, contrairement à l'opin
tainement il n'est parmi nous personne qui ait jamais refusé aux
familles
, quel que fut le moment d'embrasser un parent à
ts où le travail ne va pas et qui ne coïncident pas DES VISITES DES
FAMILLES
89 toujours avec les jours et les heures offici
qu'on croirait bon de rompre pour certains aliénés les relations de
famille
durant un certain temps, j'ai moi-même dans mon
os vieux maîtres, ils seraient sûrement tombés fou- DES VISITES DES
FAMILLES
91 droyés d'indignation; l'ordre était formel,
déterminée. Etpourtant, elles sont une joie pour les aliénés et les
familles
, ces collations si sévèrement condamnées ! Les
r l'inconvénient qu'une question de mesure et d'avertissement aux
familles
qui sont d'ordinaire dociles car elles seraient
titude de laisser visiter nos malades comme nous le DES VISITES DES
FAMILLES
93 jugeons utile dans leur intérêt et dans l'in
S FAMILLES 93 jugeons utile dans leur intérêt et dans l'intérêt des
familles
sans être gênés par des limitations de jours ni
is. Enfin nous désirerions que les relations des malades avec leurs
familles
et leurs amis fussent exclusivement du ressort
dans ces condi- tions, non seulement notre devoir est de donner aux
familles
toutes facilités de visiter leurs parents afin
et très coûteux. Ne serait-il pas humain dès lors de permettre aux
familles
de voir les aliénés quand elles le peuvent sans
fermerait lors des visites pour obtenir trois beaux parloirs où les
familles
auraient la facilité de voir les convulsifs, le
erté et que, tant dans l'intérêt des aliénés que dans celui de leur
famille
, notre devoir est d'aider à son déve- loppement
e de la malade, qui recherche la solitude et affecte de mépriser sa
famille
trop indulgente. En 1894, après une violente fr
e permettent pas le moindre relâchement même pendant le sommeil. La
famille
absurde refuse toute inter- vention chloroformi
édullaire ou ccrébrospinale. Tous les médi- caments ont échoué ; la
famille
, toujours hostile à tout moyen rai- sonnable, r
s dont les premières sont surtout utilisées pour l'alimentation; la
famille
ne fait qu'entraver les efforts du médecin. Des
ait pu isoler la malade ou au moins écarter le milieu funeste de sa
famille
. F. BOISSIER. XL. LA THÉORIE DES NEURONES ET LA
a Commission des finances. Conformément aux statuts le conseil de
famille
est composé des membres du bureau et des deux d
un même processus vaso-moteur et présentent entre elles un c air de
famille
» emprunté à l'hystérie. Leur indé- pendance av
ernes de nos asiles. Ces demandes, que ne motivait aucune raison de
famille
, n'avaient pas en réalité d'autre but que de per-
M ? trente-trois ans, célibataire, forgeron. Les antécédents de sa
famille
sont inconnus. Son développe- ment physique s'o
ole provinciale des aveugles et des sourds-muets de Burgos. Dans la
famille
il y a un autre sourd- muet, son cousin germain
d-muet, considéré anthro- pologiquement, est un membre de la grande
famille
des dégé- nérés ; ses psychoses doivent être ma
la contagion s'étendit en même temps à cinq autres membres de sa
famille
(le père et la mère, un frère et deux soeurs). Ce
ordinaire (démo- nomanie externe). Au début, dans les accès où sa
famille
a déliré avec lui, le point de départ fut une m
ître les mêmes accidents, non seulement chez lui mais chez toute la
famille
. 180 . CLINIQUE MENTALE. Cette fois, grâce au
- lement fut suivi à la sortie de la dispersion des membres de la
famille
; les soeurs allèrent à la ville avec le père et
et marqués par une agitation plus grande. Les autres membres de la
famille
, restés depuis indemnes, étaient l'élément pass
re d'enfants sains. - Pas de maladies nerveuses dans le reste de la
famille
.] , Mère, cinquante ans, fruitière, intelligent
s : six fois, on a noté la folie chez d'autres membres de la même
famille
; sept fois, on a trouvé sur le malade des stigma
stigmates ner- veux. Dans deux on signale un cas de diabète dans la
famille
. Le réflexe du genou était exagéré dans cinq ca
vec la vie. R. DE lIIUSGRAVE-CLAY. XL. SUR UNE FORME d'idiotie DE
famille
, A terminaison généralement FATALE, ET ASSOCIÉE
n généralement FATALE, ET ASSOCIÉE A UNE CÉCITÉ PRÉCOCE (IDIOTIE DE
FAMILLE
AMAUROTIQUE) ; par B. Sachs. (New-York médical
.) L'auteur a déjà publié l'observation d'un des enfants de cette
famille
, qui, d'apparence saine à sa naissance, avait com
us tard, M. Sachs a constaté un deuxième cas semblable dans la même
famille
; la marche des événements fut identique, identi
hologistes, on voit qu'il s'agit bien réellement d'une affection de
famille
dont les principaux symp- tômes sont les suivan
s; 6° reproduction de l'affection chez plusieurs memhres d'une même
famille
. On peut ajouter que, parmi les symptômes obser
e inflammatoire). Au point de vue étiologique, la prédisposition de
famille
est manifeste puisque les 19 cas cités appartie
famille est manifeste puisque les 19 cas cités appartiennent à dix
familles
, et qu'on a'compté jusqu'à dix enfants pareille
'on a'compté jusqu'à dix enfants pareillement atteints dans la même
famille
. L'absence d'hérédité syphilitique a été constaté
omination spéciale et propose de l'appeler « idiotie amaurotique de
famille
». R. DE MUSGRAVE-CLAY. XLI. ETUDE du crétinism
aines études, et qui n'appartient pas au sujet seul mais à toute la
famille
, M. Toulouse s'abstient d'en parler ne pou- van
deux soeurs normales. Pas de déformation crânienne analogue dans la
famille
. Le malade a contracté la syphilis il y a douze a
communiquée. - Le premier cas 252 SOCIÉTÉS SAVANTES. concerne une
famille
M., composée de Nicolas, né en 1853, de sa soeu
pour menaces : ultérieurement d'autres condamnations frappèrent la
famille
M. pour menaces, injures aux fonctionnaires, etc.
pas une faible d'esprit. Elle prétend être persécutée, ainsi que sa
famille
, par les juges et les voisins; elle défend sa cau
icolas est mis en liberté en juillet 1889; il se met alors, avec sa
famille
, à persécuter ses voisins, fait une ten- tative
bourreaux : Imbécillité morale Un individu, dont le sentiment de la
famille
est loin d'être des plus intenses, le nommé Gas
diverses mesures adoptées jusqu'ici pour protéger l'indi- vidu, sa
famille
et la société elle-même contre les déplorables
i il était le plus nécessaire ; que dans l'intérêt du malade, de sa
famille
;et de la société, il y avait urgence à ce que, l
r ses indications à Uchtspringe, renfermant des habitations pour 14
familles
d'infirmiers et pour 32 aliénés confiées à l'assi
rès rares (1 p. 100 des cas), par suite de scrupules religieux. Les
familles
avant de placer leurs malades à l'asile, les co
observation peut être ainsi résumée : Enfant naturel; mère : d'une
famille
névrôpathique; père : syphilis anté- rieure au
M. SCH : 11·FENBUBG (Heidelberg). ' Pour répoudre aux demandes des
familles
de nos malades qui réclament de nous un pronost
q ans qui suivirent la sortie. Sur 10 sujets en rémission dont la
famille
a suivi et noté l'état mental, un seul a été cons
ces fâcheuses pour la profession médicale, pour les aliénés et leur
famille
, et pour les asiles eux-mêmes. c 2° Il est par
ficile en raison du grand nombre dés entrées, des rapports avec les
familles
. Il y a lieu de limiter la discussion aux grands
ne peut s'occuper à la fois des intérêts du malade et de ceux de la
famille
des infirmiers. Il faut qu'il puisse se débarra
LUDN(G. Ces infirmiers sont une source d'ennuis continuels avec les
familles
qui exigent qu'ils soient constamment et exclu-
lade a besoin d'un infirmier spécialement attaché à sa personne, la
famille
doit payer deux marks par jour. M. ScmiLE a bes
e l'asile de Ville-Evrard est élevé à la classe excep- tionnelle.
Famille
d'idiots. - M. X... a épousé Ahie Y... et en a eu
e de M11e Y... a deux filles et un garçon qui sont idiots. Ces deux
familles
appartiennent à la haute bourgeoisie d'une des
haute bourgeoisie d'une des grandes villes du Midi : « C'est une
famille
de a Saints » nous dit-on. Mieux vaudrait une fam
: « C'est une famille de a Saints » nous dit-on. Mieux vaudrait une
famille
de « Sains 1). BULLETIN, BIBLIOGRAPHIQUE. B
ceux-ci sont aux ateliers, ou aux travaux des champs. Autoriser les
familles
à visiter les malades à leur gré, c'est, en out
ortes constamment ouvertes aurait un résultat déplorable pour les
familles
à qui le chemin de fer consent une réduction très
nouvelle » aurait, on le voit, la triple consé- quence de nuire aux
familles
, de rendre les visites moins fréquentes, de ren
jours, de quelques heures, une pièce absolument indépendante où les
familles
peuvent assis- ter leurs malades et recevoir le
rloir unique, mais nous le voudrions assez vaste pour permettre aux
familles
de s'en- tretenir librement avec leurs malades
où les malades sont en pleine digestion. On ne peut compter sur les
familles
qui, neuf fois sur dix, prennent leurs devoirs
dans lequel aucune intervention chirurgicale n'a pu être tentée, la
famille
s'y étant formellement opposée démontre une foi
olontaires dans les-, par Smith, 79. - d'aliénés. Les visites des
familles
et le règlement du 20 mars 1857, par Marandon d
hirurgical de Il -, par Shutleworth, 510. Sur une réforme d' - de
famille
, par Sachs, 237. Incendiaires. Sur les - alié
olution de cet important problème, c'est de comparer dans chacune des
familles
, et même dans chacun des individus qui composent
ui eut une influence décisive sur la carrière du troisième fils de la
famille
. La pauvre mère, puisant dans son désespoir une f
mps, il résista aux prières qu'on lui adressait de laisser venir sa
famille
à laquelle il voulait dérober la vue de ses souff
es dans sa bouche, ce qui du reste n'est pas très rare dans plusieurs
familles
de poissons. Comme la raie, elle remue la vase, e
ique du meno--poma et du menobranchus, deux reptiles appartenant à la
famille
des batraciens de Cuvier. Fr. Funk a décrit le sy
Nerfs hypoglosses. M. Rusconi (1) n'a jamais aperçu ces nerfs dans la
famille
des batraciens. Cuvier a omis de les mentionner;
grenouilles et les crapauds. Tous les reptiles appartenant à une même
famille
, n'ont pas le cerveau conformé d'une manière semb
que 10 lamelles blanches. Chez vingt oiseaux appartenant à toutes les
familles
de cette classe d'animaux , je n'en ai pas trouvé
t la lamellation du cervelet, lamellation dont, chez les poissons, la
famille
des squales nous a seule présenté quelques exempl
ce, et les premiers indices des facultés morales. Mais, pas encore de
famille
, pas d'amour véritable, pas d'amitié, pas de soin
roie, Jamais il n'y a deux nids d'aigle dans la même contrée. Dans la
famille
des passereaux, dans celle des grimpeurs, des gal
coups de bâton : ils creusent des terriers pour se loger eux et leurs
familles
; un îlot desMalouines a recule nom de l'île aux
ent assez robustes pour chercher eux-mêmes leur nourriture , alors la
famille
se disperse, et chaque petit pourvoit seul à ses
steté conjugale, ils soignent leurs petits; le mâle est mari, père de
famille
; tous deux, quelque faibles qu'ils soient, devien
s'exposent volontairement à la mort, quand il s'agit de défendre leur
famille
. » Chez les cailles, les mâles sont si ar-dens qu
pporté un exemple, en parlant des argules, se rencontre dans quelques
familles
d'oiseaux; on l'a observée chez la perdrix, la ca
n très petit nombre; car dans celte classe d'animaux, les soins de la
famille
sont partagés presque également entre le mâle et
provisées et transmettent quelquefois, par l'éducation , à toute leur
famille
, ces chants qu'ils ont appris. C'est surtout da
leur est nécessaire. 5. Les oiseaux sont domiciliés; ils vivent en
famille
; quelques-uns se réunissent en troupe et voyagen
ler, parce que sa forme ne diffère pas sensiblement dans les diverses
familles
d'oiseaux : reste donc le cerveau considéré dans
arées ». La possibilité de prendre le mâle et la femelle de cerlaines
familles
d'oiseaux pour des espèces différentes, avait don
différences étonnantes de nombre, de volume et de forme (1). Toute la
famille
des herbivores, le bœuf, la vache, le mouton, etc
on des circonvolutions présente à-peu-près le même caractère. Dans la
famille
des carnassiers, tels que le chien, le blaireau,
mine par ceux qui le sont le plus; mais dans la série des groupes ou
familles
que j'établis, il y a des embranchemens qui, bien
groupe. Le premier groupe se compose d'animaux pris dans différentes
familles
: il s'y trouve des chéiroptères, des insectivore
e que présente de commun et de particulier le cerveau de la troisième
famille
des mammifères, celle des renards, quant aux circ
ier aspect, de l'analogie avec la circonvolution correspondante de la
famille
des chats. La circonvolution sus-orbitaire simp
rd, est parfaitement applicable au loup et au chien. Ainsi, dans la
famille
des renards, les circonvolutions sont au nombre d
ai déjà signalé à la partie antérieure et supérieure du cerveau de la
famille
des renards, et qui est très bien marqué sur le l
roit, comme deux circonvolutions, ne présente rien d'analogue dans la
famille
des chats. (1) 5e groupe. Dans ce groupe, les c
troisième circonvolution toujours bifur-quée en arrière comme dans la
famille
des renards, ne l'est jamais dans celle des ours.
que l'on voit sur le cerveau du lapin. 9e groupe. Le cerveau de la
famille
des moutons qui forme le 9e groupe, n'a en réalit
sissement, une sorte d'amplification du cerveau de l'oryctérope. La
famille
des moulons estime des plus nombreuses parmi les
oupes précédens, et même de la plupart de ceux qui font; partie de la
famille
des moulons; le défaut de prolongement de la même
des circonvolutions cérébrales ne sont pas livrées au hasard; chaque
famille
d'animaux a le cerveau conformé d'une manière dét
isions, mais encore des formes bien arrêtées et très simples; dans la
famille
des ours et des martres, une tendance vers une au
srapproché de l'homme, mais inachevé et rudimentaire. Dans une même
famille
, ordinairement plus le cerveau granditetplusilse
n'y trouve aucun caractère spécifique qui puisse servir à diviser en
familles
distinctes, les animaux dont il s'agit. Les tub
les singes, les rongeurs et les jeunes animaux appartenant à d'autres
familles
de mammifères qui occupent ici le premier rang. L
chat, le sanglier est à côté du singe papion. Les animaux d'une même
famille
, même ceux qui sont parvenus à l'état adulte, occ
s du corps, diminuent à mesure que l'animal grandit : ainsi, dans une
famille
de lapins, j'ai trouvé les rapports suivans : E
un simple coup-d'œil suffît. La partie antérieure du cerveau, dans la
famille
des moutons, a beaucoup plus de largeur que dans
, dans la famille des moutons, a beaucoup plus de largeur que dans la
famille
des renards; elle a également plus de longueur.
indiquer les limites de leurs variations. La plupart des groupes ou
familles
, dont se compose la classe des mammifères, se dis
ti; le pourtour en est presque circulaire. Comme il est le seul de sa
famille
, je n'ai pu le comparer qu'à ceux des familles vo
me il est le seul de sa famille, je n'ai pu le comparer qu'à ceux des
familles
voisines ; mais à voir le défaut de sinuosités de
Tiedemann en a fait l'observation. Dans les dix premiers groupes ou
familles
de mammifères les nerfs olfactifs naissent comme
voir ce qu'elles sont chez les animaux et notamment dans la nombreuse
famille
des moutons. Là, les éminences antérieures, fiâte
Les singes, les rongeurs et les jeunes animaux appartenant à d'autres
familles
de mammifères sont ceux qui ont l'encéphale le pl
cri de la frayeur et le cri de l'amour. Si une mère effrayée pour sa
famille
n'avait qu'un cri pour l'avertir de ce qui la men
qu'un cri pour l'avertir de ce qui la menace, on verrait à ce cri la
famille
faire toujours les mêmes mouvemens. Mais, tantôt
ce cri la famille faire toujours les mêmes mouvemens. Mais, tantôt la
famille
précipite sa fuite, tantôt elle se cache, tantôt
s fois il s'empare du terrier d'un blaireau ou de celui qu'habite une
famille
de lapins, ce Si l'on a mis un piège à l'entrée d
sions et si elle est trop souvent poursuivie elle déloge emportant sa
famille
avec elle. On n'apprivoise le renard que diffic
t. xi, p. est déjà très marqué en eux ; c'est l'homme qui fait leur
famille
, et tous les individus de leur propre espèce auxq
onné, il aime son maître plus que les chiens, plus même que sa propre
famille
. Le chacal tient du loup par sa férocité, et du
ence que ceux du groupe précédent; ils ne vivent pas en troupe, ni en
famille
; ils ne deviennent jamais domestiques, ne s'attac
aux* sang chaud, comme font en général les individus appartenant à la
famille
des chats ; il se nourrit aussi de caïmans, de lé
mère, ce qui a permis d'observer quelques-unes de leurs relations de
famille
. Un jour, les oursons se battaient, la mère impat
é, une feuille lui fait peur; c'est seulement la nuit, que réuni à sa
famille
, car il vit en famille, il prend ses ébats sur la
peur; c'est seulement la nuit, que réuni à sa famille, car il vit en
famille
, il prend ses ébats sur la pelouse, pendant que l
t l'hiver, ils se bâtissent des cabanes habitées par une ou plusieurs
familles
; et se placent toujours près des lieux qui peuve
leur nature ils sont inoffensifs et portés à se réunir pour vivre en
famille
ou en troupe. Le nombre des espèces solipèdes est
ent surpris, ils se défendent courageusement. On les trouve réunis en
famille
de cinq ou six individus. La girafe diffère plu
uger, passer près de lui, la troupe de ses ennemis. « Il demeure en
famille
; le père, la mère et les petits vont ensemble; o
diffèrent des cerfs principalement en ce qu'ils vivent appariés et en
famille
, tandis que les cerfs changent de femelle et se r
nt de poissons : ils vivent en troupes, et les troupes se divisent en
familles
; enfin ils sont éducables et sont susceptibles d
souin, du cachalot et de la baleine. Le phoque vit en société et en
famille
, mais sa famille est plutôt une sorte de sérail q
t et de la baleine. Le phoque vit en société et en famille, mais sa
famille
est plutôt une sorte de sérail qu'un lien récipro
es, sont ordinairement très fugaces. Le coaïta, qui appartient à la
famille
des sapajous, est plus timide que la plupart des
i grande que le renard et le chien; ils ne vivent ni en troupe, ni en
famille
; ils ne s'attachent à l'homme que par égoïsme, et
eur proie plutôt qu'en la poursuivant. 6. Les animaux composant les
familles
des ours, des martes et des civettes, ne se nourr
gétaux à tout autre aliment. C'est dans le groupe formé par ces trois
familles
que se trouvent les animaux les plus voraces et l
7. La chauve-souris et la roussette, quoique appartenant à la même
famille
, ont des mœurs très différentes, la chauve-souris
taires; la plupart se réunissent en troupes et quelques-uns vivent en
famille
. 14. Le plus intelligent parmi les solipèdes es
és, du pécari, par exemple. Ils sont sociables entre eux et vivent en
famille
; ils se donnent des secours réciproques. 17. Le
es cétacés sont supérieurs aux précédens; ils vivent en société et en
famille
, un mâle avec une femelle seulement. 18. Aucun
joint à ce nombre celui des têtes des autres animaux appartenant à la
famille
des chats qui font partie de la collection de Gal
d'une manière frappante de celui du chevreuil qui vit à la vérité en
famille
, mais qui ne se réunit pas en troupe ». (t) La
pour le courage, ou la ruse, ou l'instinct carnassier, supérieur à la
famille
entière des chiens et à celle des chats. J'ai pos
de poissons. Enfin, dans le troisième groupe, viennent se ranger la
famille
entière des ours, celle des martes et celle des c
es ; ceux du second groupe vivent en société nombreuse ou au moins en
famille
; ils attaquent peu; leurs ruses ont pour objet d
berger. Chez les ruminans, un fait analogue : le chevreuil vit en
famille
et non pas en troupe, l'homme n'en obtient aucune
incts semblables, tandis que, dans une même classe et dans une même
famille
, nous rencontrons souvent des instincts opposés?
prendre toutes les mesures nécessaires pour les en guérir. Dans les
familles
on ne saurait faire de recommandations trop pre
le plus supportable, et contribuent Ù maintenir les liens entre les
familles
et leurs enfants ». Vaccinations et revaccina
couvert pour la petite école ; 4° la reconstruction du parloir des
familles
. Visites du service. La section a été visitée e
les dans l'une des sections de l'hospice ; 45 ont été rendus à leur
famille
, guéris ou améliorés ou sur la demande de celle
s écoles ordinaires ou qui, renvoyés des écoles, restent dans leurs
familles
ou vagabondent dans les rues. Pour ces enfants
r, ou de renvoyer d'ici et des autres services analogues, dans leur
famille
un nombre considérable d'enfants, tout en les t
pas de détails. - Point d'aliénés ni d'épileptiques, etc., dans la
famille
]. Mère, blanchisseuse, sobre, morte à quarante-
e quoi, faisait des excès alcooliques. Pas d'aliénés, etc., dans la
famille
.] Consanguinité (cousins germains); différence
mes nerveux. Deux soeurs, sans tare nerveuse. - Dans le reste de la
famille
, ni idiots, ni épileptiques, ni paralytiques; p
de rensei- gnements. - Ni frères, ni soeurs, - Dans le reste de la
famille
, rien de particulier, pas d'aliénés, etc...]
urnée. Les yeux (1) On ne connaît pas de cas de gémellarité dans la
famille
du père, mais l'arrière grand'mère maternelle d
, à 6 heures du matin. T. R. 390. - Poids après décès : 9 kilog. La
famille
a fait opposition à l'autopsie. - Résumons le
horée dans son enfance. - Nombreux accidents de tuberculose dans la
famille
. - Pas de cons ? guinité. - Inégalité d'âge de
-cousine maternelle arriérée, morte à 15 ans. - Dans le reste de la
famille
, ni aliénés, ni apoplectiques, épileptiques, pi
nez aquilin légèrement retroussé (il n'y a pas de nez camus dans la
famille
), réglée à 16 ans sans accidents. A l'Age de 19
de suicide, d'aliénés, d'autres elioi-éîciues, de goitres dans la
famille
.] Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de de
- Aucun autre antécédent névropathique ou psychopathique dans la
famille
du père.] Mère, 30 ans, femme de ménage, brune
re accident morbide ou trouble de développement dans le reste de la
famille
de la mère.] Pas de consanguinité. - Différence
re d'enfants sains. - Pas de maladies nerveuses dans le reste de la
famille
]. Mère, 50 ans, fruitière, intelligente, sobre,
nfance, phénomènes d'hystérie. Renseignements insuffisants sur sa
famille
. Émotion et chute durant la grossesse. - Emotio
le, sans affection ner- veuse. - Pas d'autres renseignements sur la
famille
du père]. Mère, 27 ans, a eu des convulsions fr
a boule hystérique et est sujette à des palpitations fréquentes. [
Famille
de la mère. - Père, mort à 25 ans, pas de rensei-
, nerveuse mais bien portante. - Aucun autre rensei- gnement sur la
famille
de la mère]. Quatre enfants : 1" Notre malade ;
'enfants. -Une soeur boiteuse dès sa naissance. Dans le reste de la
famille
, aucune autre tare ; ni idiots, ni alié- nés, n
rac- tère vif et emporté, pas de migraines. - Dans le reste de la
famille
, aucune espèce de tare, ni d'affection nerveuse.]
un stigmate de syphilis. Pas d'excès de boisson ; pus de goitre. - [
Famille
du père. - Père, 60 ans, vit à Sermoyer, dans l
ez aquilin ; jamais d'attaques, de migraines, ni de rhumatismes. - [
Famille
de la mère. BOURNEVILLE, Bicêtre, 1896. 10 14
de soeurs. Elle dit qu'il n'y a pas eu d'autres jumeaux ni dans sa
famille
, ni dans celle de son mari. - Pas d'aliénés, d'
plus fins et moins foncés. - Emmenée en congé de 24 heures dans sa
famille
, les voisins ne pouvaient la reconnaître, telle
particulier du côté du père, - Rensei- gnements insuffisants sur sa
famille
. - Mère, nerveuse, migraineuse. - Grand'père, a
s intermittentes, etc. - On ne connaît aucune tare nerveuse dans sa
famille
, sur laquelle les renseignements sont un peu in
ginaire de Phalsbourg où, assure-t-elle, il n'y a pas de goitreux. [
Famille
de la mère. - Père, Antécédents héréditaires ET
- Ni aliénés, ni difformes, ni goitreux, etc., dans le reste de la
famille
, sauf une cousine atteinte de la chorée.] Pas d
la Fondation (juillet 1895). 166 IDIOTIE myxoedémateuse. Dans sa
famille
, elle mangeait comme ses parents, de préférence
ulier. - Oncle maternel bègue. - Renseignements insuffisants sur la
famille
de la mère- . Pas de consanguinité, - Inégalité
lsions, ni aucune maladie, syphilis, etc. ; caractère très doux. [
Famille
du père. » Son père et sa mère sont morts à un âg
d'aliénés, de paralytiques, de difformes, etc., dans le reste de la
famille
.] \Ii.nt : , 36 ans, en bonne santé, caractère
, caractère très calme, ne boit pas; ni convulsions, ni migraines. [
Famille
de la mère. Père; 58 ans, se porte bien, sobre.
n'ont pas eu de convul- sions. Rien à signaler dans le reste de la
famille
, pas d'idiots; pas d'aliénés, pas d'épileptique
res, le cas suivant. SOMMAIRE. - Renseignements insuffisants sur la
famille
paternelle. - Mère migraineuse. - Pas de consan
fort, marchand de vins en gros. Aucun renseignement [précis sur sa
famille
. Il n'y aurait eu, toutefois, ni aliénés, ni nerv
ni nerveux, ni apoplectiques, ni paralytiques, ni difformes dans sa
famille
Mère, trente-cinq ans, bien portante, grande, f
roulait par terre et ne voulait pas se coucher. Aucun enfant de la
famille
ne lui ressemble. Etal du malade à son entrée l
umatisme articulaire aigu. Pas de syphilis. Caractère assez calme. [
Famille
du père. Son père, qui faisait de nom- breux ex
bien portants. Rien de particulier il signaler dans le reste de la
famille
: ni aliénés, ni difformes, etc, etc.] Mère,
ines après l'accouchement. Elle n'a jamais eu de crises nerveuses. [
Famille
de la mère. Son père est mort de tuberculose à
sent être morts de convulsions. - Rien iL noter dans le reste de la
famille
.] Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de fl a
? 1(i). (2) Il n'y a pas d'exemples de cette malformation dans les
familles
de son père et de sa mère . Imbécillité ET pa
Et ces derniers sont obligés de s'en fier aux souvenirs soit de la
famille
, soit sim- (1) Pour bien des raisons un service
contradictoires. Tous les enfants de- vraient avoir leur livret de
famille
: si cela est difficile en ville, cela est poss
crit pendant son délire des lettres fort correctes pour annoncer à sa
famille
son intention de mettre tin à ses jours ou pour l
On a quelques points intéressants à signaler dans ses antécédents de
famille
. Sa mère, ses oncles et cousins maternels sont bi
de observé par cet auteur est un jeune homme de vingt ans, issu d'une
famille
de névropathes, bien développé, hystérique et att
octobre 1889. Elle souffrait à cette époque d'une pneumonie (?) et sa
famille
, croyant sa vie en danger, voulut lui faire admin
nstants après l'admission, alors que la malade, encore entourée de sa
famille
, avait eu tout juste le temps de pénétrer dans la
plus loin l'interrogatoire et lui demander des renseignements sur sa
famille
, on voit déjà apparaître les premières lacunes de
lui en demander plus long; c'est tout ce qu'elle sait. Le reste de sa
famille
est pour elle dans la plus absolue obscurité. P
rtants de sa vie antérieure (années de pension, renseignements sur sa
famille
). Mais en scrutant plus attentivement on s'aper
tagent leurs bijoux, leur argent, sortent ensemble en ville avec leur
famille
. Elle les connaît donc parfaitement bien et paraî
erite, dans une des sorties qu'elle faisait de temps en temps avec sa
famille
, est emmenée par elle (toujours en état B, puisqu
de sa vie antérieure, d'après les renseignements qu'elle donne sur sa
famille
et sur son enfanco (voir plus loin). Elle sait li
de faire, on s'en souvient, dans l'état B. De plus, elle donne sur sa
famille
et ses antécédents des détails précis (je les ai
la Commune. Elle ignore absolument tout cela. En ce qui concerne sa
famille
, elle ne connaît rien touchant son père, quelle p
E _J_22 décembre (jour de la leçon). elle vivait en bonne mère de
famille
, simplement, paisiblement. La vie avait toujours
ablement pas sans émotion pénible. Ils ont trait à ses antécédents de
famille
. Mme D..., âgée de trente-quatre ans, lingère, ha
l lui arrivait parfois de tomber à terre à la suite de discussions de
famille
; elle est morte d'ictus apoplectique. Son père s
us la retrou- vons très accusée chez presque tous les membres de sa
famille
, du côté paternel. Enfin, la sœur de Mme D... est
qu'un instant, au sujet des liens de parenté étroite qui relient les
familles
arthritique et névropathique. Gela pourrait se re
les signes du diabète et del'ataxie locomotrice progressive. Les deux
familles
sont dans ce cas représentées chez le même sujet,
ment y voir l'intervention des liens de parenté qui unissent les deux
familles
arthritique et névropathique, dont le diabète et
auteurs, qui les ont étudiés soit dans les divers membres d'une même
famille
, soit chez un même individu. Quant aux relation
disparu. La paralysie agitante seule persiste. TABLEAU VII père (
Famille
israélite). Mélancolie. (Plusieurs accès.) I
nodosités d'Heber- Une fille suicidée. den. TABLEAU VIII père (
Famille
israélite). Maladie des voies unitaires. Fils.
. Rien (?) Petit-fils. Paralysie gêné' raie. TABLEAU IX père (
Famille
israélite). Diabète et goutte. I Fille. A
I i Quatre enfants sains. Aliéné. Aliéné. Diabétique. TABLEAU XI
Famille
o... (Israélite). côté maternel côté paternel
nce de M. P. Blocq les deux tableaux suivants : TABLEAU XII mère (
Famille
israélite). Hy pochondr laque. H-i-!-i-1 Fils
iabétique. Colique hépatique, Arthritique. TABLEAU XIII Mmo F... (
Famille
israélite) a eu 4 filles. Morte diabétique. i
que. Les exemples de cette hérédité de transformation dans une môme
famille
, de ces associations du diabète avec les vésanies
l'épilepsie, sur la fréquence, chez un seul individu et dans une même
famille
, des successions et des transformations morbides
relèvent de la parenté étroite qui existe entre les membres des deux
familles
arthritique et névropathique. Pareils rapports
mmes environ par vingt-quatre heures. II est un membre de la grande
famille
névropathique sur lequel on n'a pas, à notre conn
es phénomènes morbides à travers les générations successives dans une
famille
. On y voit alterner le tabès et le diabète, de te
hilis. L'un de nous a eu l'occasion d'observer divers membres d'une
famille
dont on peut résumer ainsi le pedigree. Fille.
e le diabète alterne avec le tabès dans les divers membres d'une même
famille
, absolument comme il alterne avec les vésanies et
locomotrice progressive affecte du reste avec d'autres membres de la
famille
arthritique des rapports du même ordre. MM. Lando
e tabès affecte des liens de parenté avec le rhumatisme, membre de la
famille
arthritique. C'est sans doute en raison de ce f
'ici le diabète alterner avec le tabès chez divers membres d'une même
famille
. Nous avons hâte de démontrer que ces deux entité
es grands-parents maternels ni sur un certain nombre de membres de sa
famille
. Il sait cependant que son grand-père paternel ét
ternel est aliéné. Il y a en outre un certain nombre de membres de sa
famille
qu'il ne fréquente pas et qu'il ne connaît presqu
estées infructueuses. Jamais il n'a entendu parler de maladie dans sa
famille
. Tous les membres qu'il connaît n'ont ou n'ont eu
casion pour reparaître. — Ce n'est donc pas seulement dans une même
famille
qu'on rencontre la coexistence du tabès et du dia
n du tabès avec le diabète, chez un même individu comme dans une même
famille
, n'est pas une coïncidence fortuite ; elle est la
onséquence des liens étroits de parenté qui unissent les deux grandes
familles
arthritique et névropathique en général, le diabè
x) fit au Congrès de Marseille une intéressante communication sûr une
famille
dont presque tous les membres étaient atteints de
ercions ici, voulut bien nous envoyer quelques notes concernant cette
famille
et son tableau généalogique. On trouvera égalemen
dans la suite et qui n'est pas moins intéressant. Observation de la
famille
A... (Maladie de Friedreich.) (Dr Latil, d'Aix.)
n de la famille A... (Maladie de Friedreich.) (Dr Latil, d'Aix.) La
famille
A... offre un intéressant exemple à'ataxie hérédi
servé par cet auteur, le contrôle de la vue chez deux sujets de notre
famille
corrige nettement l'incoordination motrice. Chez
nons maintenant comment s'est faite l'évolution de la maladie dans la
famille
A... L'aïeul, ataxique depuis plus de vingt ans,
stasie-abasie ; nous l'avons citée. Nous n'avons pu trouver dans la
famille
A... les traces d'aucune diathèse : syphilis, art
famiiile se trouve consignée dans le tableau suivant : TABLEAU XXIV
FAMILLE
A... (Dr Latil) Le terme ataxie signifie toujours
u tabès et du diabète. 1° DIABÈTE ET MALADIES NERVEUSES TABLEAU XXV
FAMILLE
BER... (Dr Latil. d'Aix) GRAND-PÈRE GRAND'mÈRE
sme. diabétique (diabète gras), depuis l'âge de41 ans. TABLEAU XXVI
FAMILLE
ISRAÉLITE CÔTÉ PATERNEL CÔTÉ MATERNEL I Mèr
gauche très considérable datant de plusieurs années. TABLEAU XXX
famille
d... PERE Coliques hépatiques. MERE Diabète.
es. MERE Diabète. _l Fils. Paralysie générale. TABLEAU XXXI
FAMILLE
ISRAÉLITE CÔTÉ MATERNEL Grand'mère. Hypocondr
re. MU0 X..., 18 ans. Névropathe, hypocondriaque. TABLEAU XXXII
FAMILLE
ISRAÉLITE père Mélancolique. Fils. Diabétiq
Diabétique et mélancolique. 2° TABES ET DIABÈTE TABLEAU XXXIII
FAMILLE
R... père Diabétique, avec névrite diabétique
, zona, etc. Fils. Tabes ti paralysie générale. TABLEAU XXXIV
FAMILLE
ISRAÉLITE Frère. Tabétique. Frère. Migrai
répétés. La malade. — Mmc X... Syphilis (?) Tabes. TABLEAU XXXVII
famille
israélite PÈRE Diabétique. MÈRE Nerveuse. F
ÈRE Nerveuse. Fils. Neurasthénique. — Ataxique. TABLEAU XXXVIII
famille
israélite PÈKE Ataxique non syphilitique. M
desquelles le malade ne connaît plus personne. Tous les membres de la
famille
sont morts à un âge avancé. Il a eu cinq frères
ieurs fois. Entre 18 et 20 ans, Arn... s'aperçoit qu'il maigrit. Sa
famille
lui fait remarquer qu'il a une démarche ce affect
En ce qui concerne les antécédents héréditaires, on ne trouve dans la
famille
, au point de vue névropathique, qu'une tante mate
hronique et un frère scrofuleux. Pas le moindre amyotrophique dans la
famille
. Antécédents personnels et histoire de la malad
épileptique. » Père paralytique. * Mère suicidée. Père buveur.
Famille
nerveuse. » » » Convulsions chez un neveu. Sœur
ntécédents nerveux héréditaires; mais elle appartient cependant à une
famille
de musiciens endiablés et pour la plupart sans do
hritique par excellence, et l'hystérie, membre important de la grande
famille
neuropathologique, sont deux affections qui coïnc
rochement n'est pas sans intérêt quand on songe, je le répète, que la
famille
névropathique à laquelle appartient l'hystérie, e
que la famille névropathique à laquelle appartient l'hystérie, et la
famille
arthritique dont fait partie la goutte, ont entre
bien est pitoyable la position de ceux qui ont quelque membre de leur
famille
atteint de cet affreux vice. Voici cette lettre :
atives nombreuses auxquelles s'ajoutaient l'obligation de soutenir sa
famille
, la préoccupation constante de la mauvaise santé
pour-quoi. J'ai vu assez souvent en réve des personnes mortes de ma
famille
ou de mes amis sans que je puisse me rendre compt
une anesthésic généralisée. . Cette jeune fille a été isolée de sa
famille
; car la famille plaint la malade; elle appelle et
généralisée. . Cette jeune fille a été isolée de sa famille; car la
famille
plaint la malade; elle appelle et retient son att
rbe de Dresde. — /. Pas Iran». — Les femmes barbues et velues. — La
famille
d'Ambras. Ce que lo seul examen du portrait d'I
le chapitre suivant. Fi*. 8. Jetoc lille ïoIup. «Rèe >le 8 an» (
famille
d'Ambra», Tyi*l. m> aiecle). LES FEMMES BARB
la curiosité publique fut vivement sollicitée par l'exhibition d'une
famille
de gens velus. Cette famille se composait de cinq
vement sollicitée par l'exhibition d'une famille de gens velus. Cette
famille
se composait de cinq personnes : le père, un fils
ations différentes. Mais elle eslsurtoutconnuesous Fig. 9. Toguina (
famille
d'Ambras, Tyrol. xvie siecle). le nom de famill
Fig. 9. Toguina (famille d'Ambras, Tyrol. xvie siecle). le nom de
famille
d'Ambras qui est celui d'une petite ville voisine
ol. Il est probable qu'ils y furent retenus par le caprice de quelque
famille
prin-cière. Pendant les xv", xvi* et xvu" siècles
et y était connue sous le nom de Tognina (Antonine). Il Fig. 10. La
famille
velue d Ambrai iTyrol). xvie siecle. Tableau de 0
qu'il oxécuta vraisemblablement le portrait do quelques membres de la
famille
d'Ambras, (t) Aldrorandus (Ulysses), Monstrorum
qu'on pûtsupposer qu'il ail exagéré les anomalies, que présentait la
famille
d'Ambras, Il a eu l'idée fort ingénieuse de place
es analogies avec celles queTonadécrites chez les membres velus de la
famille
d'Ambras (*). Il y a quelques années des phénomèn
ras contre les chocs. Quelque temps après, la maison occupée par la
famille
B. ayant été louée à d'autres personnes, M. B. fu
ait fréquemment vues autrefois. En présence de cette altitude de la
famille
, je ne pouvais entrer avec la malade dans des dét
ts pathologiques, accent bien plus intense que chez les membres de sa
famille
. Si l'on veut bien prendre en considération que
té du peuple. En voici un exemple. Une jeune fille, appartenant à une
famille
de paysans, est très jolie et remplie de séductio
eignements que j'ai recueillis sur eu cas. La malade appartient à une
famille
névropathique; la mère, nerveuse, irritable, a eu
ui habituellement s'atrophie après la nais- Fig.20 Shwe-Maong et sa
famille
. sance. En elTet, c'est également à la partie s
Tous les accoucheurs ont constaté les préoccupations que causent aux
familles
ces petites filles qui.eu naisaant, sont velues j
TtO',. Mais il ne mentionne pas la seconde partie de l'histoire de la
famille
Shwe-ilaong rapportée par Yule. Elle a cependant
s une acuité et une irritabilité extrêmes. L'n jour, le médecin do la
famille
, venant de faire un pansement chez une voisine, a
lité olfactive lui permet de discerner Bi une personne étrangère à s»
famille
se trouve auprès d'elle. Au cours de ce sommeil
suivant. A la fin du mois de juillet 1901, je rendais visite à une
famille
de cinq personnes qui allaient en France; l'une d
ns professionnelles sans compromettre leur situation et celle de leur
famille
renonçaient à toute tentative de traitement. C'
ait elle avait le timbre féminin. Les renseignements obtenus sur sa
famille
présentent quelque intérêt. Sa mèreétailnormale,
e, et donnera toutes les explications désirables sur sa naissance, sa
famille
et les mohilesqui l'on engagée à quitter son pays
d'excuses de M. le Dr Jules Voisin, président, retenu par un deuil de
famille
, de M. Boirac, recteur de l'académie de Dijon, vi
tribus et par kiliarchies ». Puis il désigna la tribu de Bénianim, la
famille
de Matri et parmi elle, Schaôul » ('). Cette am
de plusieurs enfants, travaillant dur et ferme pour élever sa petite
famille
. Elle était même autoritaire et c'était elle qui
En effet, son père était guérisseur ; cela veut dire : Que dans sa
famille
on considérait l'art de guérir comme un don : imp
t l'art de guérir comme un don : impression anccstralc. Que dans sa
famille
son père avait ce don : impression paternelle.
e, sa postérité pale pour lui et, si la médecine n'intervient pas, la
famille
va sombrer et s'éteindre bien vite et souvent de
tout bonnement un excentrique, un détraqué, resté légendaire dans la
famille
. C'est pour cela que l'on voit les unions entre p
érilité, nous conduit sûrement à l'extinction, à la disparition de la
famille
. Cependant tout cela n'est qu'en germe et les eff
e médicale. La folie se montre certainement plus fréquente dans les
familles
sujettes aux maladies du système nerveux ; mais l
uite à l'autel par l'homme incombustible, faisant fonction de père de
famille
. Les garçons et demoiselles d'honneur étalent le
rmer en témoignages de satisfaction, car Annie devint bientôt pour sa
famille
une source de revenus assez considérables. Dès
ocation, mais, pour nous, ils ne représentent que des sectaires de la
famille
anarchiste, espèce dangereuse et, jusqu'à nouvel
avaient cru désirer être admis et revenir avec persistance dans leur
famille
pour Unir, au bout de quelques mois, par rire de
leurs devoirs et Ils ont réalisé cette conception admirable qu'eût la
famille
militaire moderne. L'archaïsme a fait son temps
l leur éducation les a si mal préparés. L'Eglise, l'Etat, l'école, la
famille
, tout contribue à énerver en eux l'individualisme
iblesse de la volonté se fait sentir partout, dans la direction de la
famille
, comme dans la direction du gouvernement. Personn
s qui vont suivre. Maria Jakowlcwna Bartschew est née en 1857 d'une
famille
de paysans polonais de Courlande, possédant quelq
ous allez me damner... ou mon père va mourir! » Pendant dix jours, sa
famille
n'a mangé que du pain, du fromage et du lait, par
me) accompagnée d'un chèque de 20 francs (10 fr. pour les Dames de la
famille
des Membres du Congrès], k M. le D' Giovanni Lucc
mes dont l'existence se passe entre les murs d'un asile, loin de leur
famille
, avec d'autres qui bénéficient des avantages soci
qui bénéficient des avantages sociaux et moraux que procure la vie de
famille
et la liberté. S'il était exact que la proporti
ort plus, ne mange plus ; il a des crises de désespoir et assaille sa
famille
de lettres éplorées. Cinq jours avant le Concou
alades, le devoir du médecin est nettement tracé. 11 doit prévenir la
famille
et lui demander l'autorisation de faire entendre
tances notre intervention morale, acceptée avec reconnaissance par la
famille
, a eu pour effet de mettre un terme à des états n
douleurs atroces de la migraine, quand le Dr Bitsokls recommanda à la
famille
d'essayer l'hypnotisme. Avant de commencer son
bles, partant hypnotisables, parce qu'ils appartiennent à « la grande
famille
névropathique », soit héréditairement, soit du fa
en main, chaque événement important de la vie sociale ou de la vie de
famille
. Le mariage, le baptême, les anniversaires, les s
ement que sa passion lui cause un véritable préjudice, autant qu'à sa
famille
, qui, par sa faute, se trouve dans la misèro ; il
perçoit soudain toute l'horreur de sa chute ; il se ressouvient de sa
famille
, de la situation pénible où il l'a réduite; et, d
occupations dont nous venons de parler, telles que la situation de la
famille
et l'avenir des enfants, la carrière, etc., elle
endu et ses suites, comme par exemple mise à la retraite, laissant la
famille
sans un morceau de pain, ou bien encore la dispar
e passage à Paris. A la suite d'événements tragiques survenus dans sa
famille
et desquels dépendent de très grosses questions d
tout le moode se retire. Le lendemain matin, la surveillante dit à la
famille
: «Mais, elle très gentille voire jeune fille ; cl
our, avec une telle intensité qu'ils amenaient des syncopes et que la
famille
redoutait la mort de la malade dans une crise. Re
-ils sur l'alimentation et l'hygiène générale, mais sans résultat. La
famille
, très inquiète sur le sort de sa malade, frappée
ntcrostomic). Cette opération est acceptée; mais au dernier moment la
famille
ayant des craintes sur les suites de l'opération
t à toute intervention chirurgicale. Le docteur Roussy, médecin de la
famille
, consulté, engage celle-ci à avoir recours à l'op
out d'un mois de séjour dans cet établissement la malade privée do sa
famille
s'ennuyait, écrivait qu'on vint 'a chercher, ce q
ieu des siens. Causeuse agréable, enjouée, elle faisait la joie de sa
famille
et de son petit neveu qu'elle faisait jouer... De
Au bout d'un mois et demi, les résultats ODte-nus étant médiocres, la
famille
, bien que prévenue de la longueur du traitement,
elle cherche à la quatrième page des journaux les offres d'emploi. Sa
famille
jugeant qu'elle n'est pas encore suffisamment bie
le temps a fait subir aux êtres et aux choses qui l'entourent. Si la
famille
est surprise par ces phénomènes psychiques qu'ell
e de 33 ana (1889), p. 41. Fig. 7. Jeune fille velue, âgée de 12 ans (
Famille
d'Ambras, Tyrol, XVIe siècle), p. 42. Fig. 3. Jeu
Tyrol, XVIe siècle), p. 42. Fig. 3. Jeune fille velue. Agée de 8 ana (
Famille
d'Ambras. Tyrol, XVIe siècle), p. 43. Fig. 9. Tog
8 ana (Famille d'Ambras. Tyrol, XVIe siècle), p. 43. Fig. 9. Tognina (
Famille
d'Ambras, Tyrol. xvie siècle), p. 44. Fig. 10. La
9. Tognina (Famille d'Ambras, Tyrol. xvie siècle), p. 44. Fig. 10. La
famille
velue d'Ambras (Tyrol, xvie siècle). Tableau de G
. Jeune Laotienne, barbue et velue, p. 103. Fig. 20. Shwe-Maong et sa
famille
, p. 104. Fig. 21. La fille de Schwa-Maong. barb
blir ce fait m'a été inspirée par le procès de Tisza-Eslar. Plusieurs
familles
juives sont accusées d'avoir tué une jeune fille
rois enfants vigoureux. Il ne connaît aucune maladie nerveuse dans sa
famille
. Le 21 mars dernier, M. le docteur Schmitt, pro
onc la résolution de se laisser mourir de faim. Les instances de sa
famille
, de sa mère, les exhortations du prêtre qui a dir
ation à ce moment et mis au courant de ces faits par le médecin de la
famille
, j'offris d'essayer d'endormir la malade et, dans
ait des inquiétudes sérieuses aux membres le» plusclair-voyants de sa
famille
, quand vers la fin de 1885 éclata une forte crise
er un augure favorable. Mes confrères se rangèrent a mon avis et la
famille
, consultée, ayant accepté cette tentative de médi
fants. Du » reste, tout était pour le mieux dans la plus heureuse des
familles
... La » crise commerciale touchait a sa fin... on
utieux de sa vie domestique, détails qui m'avaient été confiés par sa
famille
. Après ce long discours et pour intervenir fructu
cultés de sa vie. Plus d'une fois il s'impose comme directeur de sa
famille
quand celle-ci vient à manquer du père, son chef
and il est appelé à subir la vie scolaire. Tout d'abord, il étonne sa
famille
par sa précocité et devient un petit prodige ; pu
s d'étude, à veiller à ce que chaque année ceux des élèves à qui leur
famille
ne peut assurer pendant les vacances un séjour à
erne. Alice D..., domestique, àgée de vingt-deux ans, est née d'une
famille
dans laquelle on trouve, tant du côté du père que
ère s'aigrit; ce sont des disputes et des scènes continuelles dans la
famille
. L'intelligence du dipsomane perd de son énergi
e et de soigner d'une manière continue » ses affaires ou celles de sa
famille
, sera considérée comme » étant ivrogne d'habitude
remarquer que deux d'entre elles étaient des femmes appartenant à des
familles
très aisées, ce qui rendait l'affection dont elle
d que, dans ces conditions, Mme X... soit devenue un scandale dans sa
famille
et dans son entourage, qui appartiennent au meill
ieu, tandis qu'elle pratiquait auparavant. Le 18 juillet 1887. — Sa
famille
eut assez de peine à me faire pénétrer jusqu'à el
actère sera »calme. C'est ainsi que votre bonheur et celui de votre
famille
revien-» dront. Vous entrerez demain dans l'églis
irez à votre frère que vous lui savez grand gré d'avoir quitté sa »
famille
pour vous soigner. » Vous continuerez a ne plus
uveau heureuse; qu'elle a recouvré le bonheur de l'intérieur, de » la
famille
; que tout le ma! venait de ce qu'elle buvait ; q
. Je vais aller à la messe prier sincèrement pour vous et votre chère
famille
; merci mille fois. En attendant le plaisir de
aissance. Mme X... va bien. Elle a repris toutes ses habitudes de
famille
. Elle s'occupe de son ménage, de ses enfants ; el
nt j'ai eu l'honneur d'entretenir l'Académie l'an dernier. Dans une
famille
composée du père et de deux fils, le diamètre ant
jeunes enfants, je me suis trouvé déjà plus d'une fois appelé par les
familles
à les suivre dans la vie. J'ai actuellement un re
s qui ont repondu à l'appel des organisateurs. Le Petit Médecin des
familles
, organe d'hygiène de l'enfance (24 rue Roche-çhou
n troublée au point qu'il ne reconnaissait pas même les membres de sa
famille
. Quand il voulait s'asseoir sur une chaise ou sur
dence une des causes les plus fréquentes de la gaucherie : Dans une
famille
composée de cinq personnes, le pire et la mère ne
gauche. rajouterai, pour finir, qu'il n'y a pas de gauchers dans la
famille
du père ou de la mère, ni chez les grands-parents
antécédents héréditaires m'ont appris qu'il n'y avait pas eu, dans sa
famille
, d'ivrognes, d'aliénés, de suicides, d épileptiqu
it lire à 3 ans. Or. à l'âge de 6 ans, il fut enivré par un ami de la
famille
(!) qui l'avait conduit à une fête scolaire et ne
ment où Verbeck passait à Montpellier. Un autre jeune homme de grande
famille
, soumis a de fréquentes hypnotisations par Donato
u lieu de treize à quinze jours. Mme H..., trente-cinq ans. mère de
famille
, vint me consulter le 3o septembre 1886 pour un r
t ordu-riers. Elle est pourtant très intelligente et appartient à une
famille
dans une position élevée. C'est vers l'âge de s
ne a toujours été dominant et le plus fréquent. Le 11 mars 1887, sa
famille
me l'a amenée et depuis cette époque je ne cesse
l'électricité; l'isolement existait, puisqu'elle était séparée de sa
famille
, et cependant l'état ne s'est pas amélioré. Il
eut. Mademoiselle X... vient de passer récemment quinze jours dans sa
famille
, où elle a été très calme, et toutes les personne
psie, d'hystérie, de chorée. de vésanies, etc., font le désespoir des
familles
et du médecin. Les auteurs de la communication
t déjà été obtenus (i). Observation III Mme X.... 47 ans, mère de
famille
. Jamais il n'y a eu de cas d'ivrognerie dans sa f
ans, mère de famille. Jamais il n'y a eu de cas d'ivrognerie dans sa
famille
. Mère morte d'une attaque d'apoplexie. Frères et
t été frappé par l'opinion maintes fois exprimée par le médecin de la
famille
, que l'hypnotisme ne parviendrait pas à le guérir
e parle des autopsies à domicile, sur des personnes dont l'entourage,
famille
ci amis, peut préciser les particularités de
mois, à un arrêt de renvoi devant la cour d'assises de l'Ardèche. La
famille
avait aussi fait une enquête et réuni un ensemble
mental, le dossier de cette affaire, les renseignements réunis par la
famille
et un mémoire auto-biographique rédigé par le doc
cette maladie ayant été déclarée non contagieuse par le médecin de la
famille
. J'ai refusé ce certificat, pensant qu'il y avait
re atteint d'un herpès ton surant ou d'une pelade, il' fût rendu à sa
famille
, et qu'il ne pût être réintégré en classe qu'aprè
elade au valet de chambre, qui l'a transmise à son tour au fils de la
famille
. Voici un autre fait venu à ma connaissance : Un
famille. Voici un autre fait venu à ma connaissance : Un enfant d'une
famille
de Paris est envoyé à la campagne. Les deux enfan
e avait besoin de repos ; car on sait que, dans ce temps-là, toute la
famille
assistait aux accouchements. Puis, quand on était
a folle ou qu'elle doit mourir pour ne pas être un déshonneur pour sa
famille
. Interrogée sur ses idées absurdes, elle m'avoue
a peur d'être une fille de mauvaise vie et d'être le déshonneur de sa
famille
. Voici quels sont ses antécédents héréditaires
statique est alors entrepris sous l'habile direction du médecin de la
famille
. Ce traitement produit, au début, une assez grand
on. Cette méthode de traitement est acceptée sans enthousiasme par la
famille
et par la malade. Je procède par simple occlusi
é dans la maison; elle a pris ses repas avec les autres membres de la
famille
; elle n'a plus eu ses défaillances, n'a pas eu be
Debove appelait l'attention sur un homme de 36 ans, robuste, père de
famille
, et dont l'excès de sensibilité nerveuse se tradu
t bien noté: « 17.—... Il n'y a plus eu ni céphalalgie ni nausées. La
famille
est rassurée, mais la persistance de la somnolenc
interne des asiles de la seine Mlle Jeanne N... appartient à une
famille
de petite bourgeoisie de province. Son père est m
ovince. Son père est mort laissant une veuve avec sept enfants, et la
famille
est obligée de travailler pour vivre. La mère,
fille a commis un péché mortel, qu'on ne peut plus la garder dans la
famille
, et finit par décréter l'éloignement de « la breb
évrose que les chagrins et les tourments. Brutalités, déchirements de
famille
, rêves déçus, unions malheureuses, déceptions amè
les femmes, à l'occasion de la remarquable diminution des nombreuses
familles
en Amérique, est arrivée au résultat suivant, qui
u résultat suivant, qui mérite d'être contrôlé : cent soixante-quinze
familles
étudiées ont donné une moyenne de 3,2 enfants. Or
lles étudiées ont donné une moyenne de 3,2 enfants. Or, celles de ces
familles
qui dépassaient le plus cette moyenne, présentaie
l s'agit d'une jeune tille de dix-neuf à vingt ans, appartenant a une
famille
de la société, ayant reçu une excellente éducatio
le mieux s'est bien dessiné, elle est allée seule, sans moi, dans sa
famille
; elle s'est bien maintenue, car elle a appris a v
se retrouvait avec les autres personnes. On m'a dit aussi que dans sa
famille
, elle reviendrait a son ancien état et que les vi
eparaîtraient. Or, je l'ai envoyée plusieurs fois toute seule dans sa
famille
, et elle s'est bien maintenue parce qu'elle domin
quelles ils se sont prêtés inconsciemment. D'autres fois, ce sont des
familles
qui se plaignent qu'on ait fait accomplir à des p
à glisser jusqu'aux abus les plus graves, se perpétuant au foyer des
familles
sous le prétexte de soirées amusantes, en guise d
omènes de nervosisme et de surexcitation qui inquiétèrent vivement sa
famille
. L'hypnotisme est une science qui ne doit pas ê
blir ce fait m'a été inspirée par le procès de Tisza-Eslar. Plusieurs
familles
juives sont accusées d'avoir tué une jeune fille
rois enfants vigoureux. Il ne connaît aucune maladie nerveuse dans sa
famille
. Le 21 mars dernier, M. le docteur Schmitt, pro
onc la résolution de se laisser mourir de faim. Les instances de sa
famille
, de sa mère, les exhortations du prêtre qui a dir
ation à ce moment et mis au courant de ces faits par le médecin de la
famille
, j'offris d'essayer d'endormir la malade et, dans
ait des inquiétudes sérieuses aux membres le» plusclair-voyants de sa
famille
, quand vers la fin de 1885 éclata une forte crise
er un augure favorable. Mes confrères se rangèrent a mon avis et la
famille
, consultée, ayant accepté cette tentative de médi
fants. Du » reste, tout était pour le mieux dans la plus heureuse des
familles
... La » crise commerciale touchait a sa fin... on
utieux de sa vie domestique, détails qui m'avaient été confiés par sa
famille
. Après ce long discours et pour intervenir fructu
cultés de sa vie. Plus d'une fois il s'impose comme directeur de sa
famille
quand celle-ci vient à manquer du père, son chef
and il est appelé à subir la vie scolaire. Tout d'abord, il étonne sa
famille
par sa précocité et devient un petit prodige ; pu
s d'étude, à veiller à ce que chaque année ceux des élèves à qui leur
famille
ne peut assurer pendant les vacances un séjour à
erne. Alice D..., domestique, àgée de vingt-deux ans, est née d'une
famille
dans laquelle on trouve, tant du côté du père que
ère s'aigrit; ce sont des disputes et des scènes continuelles dans la
famille
. L'intelligence du dipsomane perd de son énergi
e et de soigner d'une manière continue » ses affaires ou celles de sa
famille
, sera considérée comme » étant ivrogne d'habitude
remarquer que deux d'entre elles étaient des femmes appartenant à des
familles
très aisées, ce qui rendait l'affection dont elle
d que, dans ces conditions, Mme X... soit devenue un scandale dans sa
famille
et dans son entourage, qui appartiennent au meill
ieu, tandis qu'elle pratiquait auparavant. Le 18 juillet 1887. — Sa
famille
eut assez de peine à me faire pénétrer jusqu'à el
actère sera »calme. C'est ainsi que votre bonheur et celui de votre
famille
revien-» dront. Vous entrerez demain dans l'églis
irez à votre frère que vous lui savez grand gré d'avoir quitté sa »
famille
pour vous soigner. » Vous continuerez a ne plus
uveau heureuse; qu'elle a recouvré le bonheur de l'intérieur, de » la
famille
; que tout le ma! venait de ce qu'elle buvait ; q
. Je vais aller à la messe prier sincèrement pour vous et votre chère
famille
; merci mille fois. En attendant le plaisir de
aissance. Mme X... va bien. Elle a repris toutes ses habitudes de
famille
. Elle s'occupe de son ménage, de ses enfants ; el
nt j'ai eu l'honneur d'entretenir l'Académie l'an dernier. Dans une
famille
composée du père et de deux fils, le diamètre ant
jeunes enfants, je me suis trouvé déjà plus d'une fois appelé par les
familles
à les suivre dans la vie. J'ai actuellement un re
s qui ont repondu à l'appel des organisateurs. Le Petit Médecin des
familles
, organe d'hygiène de l'enfance (24 rue Roche-çhou
n troublée au point qu'il ne reconnaissait pas même les membres de sa
famille
. Quand il voulait s'asseoir sur une chaise ou sur
dence une des causes les plus fréquentes de la gaucherie : Dans une
famille
composée de cinq personnes, le pire et la mère ne
gauche. rajouterai, pour finir, qu'il n'y a pas de gauchers dans la
famille
du père ou de la mère, ni chez les grands-parents
antécédents héréditaires m'ont appris qu'il n'y avait pas eu, dans sa
famille
, d'ivrognes, d'aliénés, de suicides, d épileptiqu
it lire à 3 ans. Or. à l'âge de 6 ans, il fut enivré par un ami de la
famille
(!) qui l'avait conduit à une fête scolaire et ne
ment où Verbeck passait à Montpellier. Un autre jeune homme de grande
famille
, soumis a de fréquentes hypnotisations par Donato
u lieu de treize à quinze jours. Mme H..., trente-cinq ans. mère de
famille
, vint me consulter le 3o septembre 1886 pour un r
t ordu-riers. Elle est pourtant très intelligente et appartient à une
famille
dans une position élevée. C'est vers l'âge de s
ne a toujours été dominant et le plus fréquent. Le 11 mars 1887, sa
famille
me l'a amenée et depuis cette époque je ne cesse
l'électricité; l'isolement existait, puisqu'elle était séparée de sa
famille
, et cependant l'état ne s'est pas amélioré. Il
eut. Mademoiselle X... vient de passer récemment quinze jours dans sa
famille
, où elle a été très calme, et toutes les personne
psie, d'hystérie, de chorée. de vésanies, etc., font le désespoir des
familles
et du médecin. Les auteurs de la communication
t déjà été obtenus (i). Observation III Mme X.... 47 ans, mère de
famille
. Jamais il n'y a eu de cas d'ivrognerie dans sa f
ans, mère de famille. Jamais il n'y a eu de cas d'ivrognerie dans sa
famille
. Mère morte d'une attaque d'apoplexie. Frères et
t été frappé par l'opinion maintes fois exprimée par le médecin de la
famille
, que l'hypnotisme ne parviendrait pas à le guérir
e parle des autopsies à domicile, sur des personnes dont l'entourage,
famille
ci amis, peut préciser les particularités de
mois, à un arrêt de renvoi devant la cour d'assises de l'Ardèche. La
famille
avait aussi fait une enquête et réuni un ensemble
mental, le dossier de cette affaire, les renseignements réunis par la
famille
et un mémoire auto-biographique rédigé par le doc
cette maladie ayant été déclarée non contagieuse par le médecin de la
famille
. J'ai refusé ce certificat, pensant qu'il y avait
re atteint d'un herpès ton surant ou d'une pelade, il' fût rendu à sa
famille
, et qu'il ne pût être réintégré en classe qu'aprè
elade au valet de chambre, qui l'a transmise à son tour au fils de la
famille
. Voici un autre fait venu à ma connaissance : Un
famille. Voici un autre fait venu à ma connaissance : Un enfant d'une
famille
de Paris est envoyé à la campagne. Les deux enfan
e avait besoin de repos ; car on sait que, dans ce temps-là, toute la
famille
assistait aux accouchements. Puis, quand on était
a folle ou qu'elle doit mourir pour ne pas être un déshonneur pour sa
famille
. Interrogée sur ses idées absurdes, elle m'avoue
a peur d'être une fille de mauvaise vie et d'être le déshonneur de sa
famille
. Voici quels sont ses antécédents héréditaires
statique est alors entrepris sous l'habile direction du médecin de la
famille
. Ce traitement produit, au début, une assez grand
on. Cette méthode de traitement est acceptée sans enthousiasme par la
famille
et par la malade. Je procède par simple occlusi
é dans la maison; elle a pris ses repas avec les autres membres de la
famille
; elle n'a plus eu ses défaillances, n'a pas eu be
Debove appelait l'attention sur un homme de 36 ans, robuste, père de
famille
, et dont l'excès de sensibilité nerveuse se tradu
t bien noté: « 17.—... Il n'y a plus eu ni céphalalgie ni nausées. La
famille
est rassurée, mais la persistance de la somnolenc
interne des asiles de la seine Mlle Jeanne N... appartient à une
famille
de petite bourgeoisie de province. Son père est m
ovince. Son père est mort laissant une veuve avec sept enfants, et la
famille
est obligée de travailler pour vivre. La mère,
fille a commis un péché mortel, qu'on ne peut plus la garder dans la
famille
, et finit par décréter l'éloignement de « la breb
évrose que les chagrins et les tourments. Brutalités, déchirements de
famille
, rêves déçus, unions malheureuses, déceptions amè
les femmes, à l'occasion de la remarquable diminution des nombreuses
familles
en Amérique, est arrivée au résultat suivant, qui
u résultat suivant, qui mérite d'être contrôlé : cent soixante-quinze
familles
étudiées ont donné une moyenne de 3,2 enfants. Or
lles étudiées ont donné une moyenne de 3,2 enfants. Or, celles de ces
familles
qui dépassaient le plus cette moyenne, présentaie
l s'agit d'une jeune tille de dix-neuf à vingt ans, appartenant a une
famille
de la société, ayant reçu une excellente éducatio
le mieux s'est bien dessiné, elle est allée seule, sans moi, dans sa
famille
; elle s'est bien maintenue, car elle a appris a v
se retrouvait avec les autres personnes. On m'a dit aussi que dans sa
famille
, elle reviendrait a son ancien état et que les vi
eparaîtraient. Or, je l'ai envoyée plusieurs fois toute seule dans sa
famille
, et elle s'est bien maintenue parce qu'elle domin
quelles ils se sont prêtés inconsciemment. D'autres fois, ce sont des
familles
qui se plaignent qu'on ait fait accomplir à des p
à glisser jusqu'aux abus les plus graves, se perpétuant au foyer des
familles
sous le prétexte de soirées amusantes, en guise d
omènes de nervosisme et de surexcitation qui inquiétèrent vivement sa
famille
. L'hypnotisme est une science qui ne doit pas ê
e obscène. Plusieurs médecins avaient conseillé l'éloignement de la
famille
et le placement dans un établissement spécial p
suc- cessivement ces différents syndromes, mais sur le refus de la
famille
non seulement pour le déplacement mais même pou
ombre, plus renfermé, et pendant les vacances il se confine dans sa
famille
ne recherchant plus du tout la société de ses a
(Sainte-Anne), le 2 novembre 1891. On ne sait rien de précis sur la
famille
du père, mais un oncle maternel est affecté d'u
ensemble un système. Ainsi, elles oublient ce qui a rapport à leur
famille
, ou les idées relatives à telle personne, ou le
l est réformé après quelques semaines d'observation. Rentré dans sa
famille
, il ne peut plus trouver à se placer, il tombe tr
confirme assez bien l'exactitude des renseignements fournis par la
famille
: pen- dant le mois, une série de cinq attaques
liénation car on cachait la chose et on n'en parlait jamais dans la
famille
. En outre, un cousin germain de sa mère, est ég
également devenu fou, à la suite de con- trariétés et d'ennuis de.
famille
et a été enfermé durant quatre mois à Sainte-An
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 79 vingt-cinq ans, provenant d'une
famille
prédisposée aux affections nerveuses et mentale
s la génération des ascendants; sur quarante et un membres de cette
famille
, dix-neuf sujets sont atteints. Il s'agit d'un
atteinte que chez trois. Pas d'autres anomalies nerveuses dans la
famille
si ce n'est un peu d'émotivité avec excès de démo
me genre, on fait diminuer les tremblements. Ceux des membres de la
famille
qui boivent volontiers des boissons alcooliques
pourraient, si l'on organisait leur assistance, de- meurer dans des
familles
ou à la charge de l'assistance communale. Il y
t 273 du code civil s'occupent des intérêts des aliénés et de leurs
familles
. Et encore datent-ils de 1811. Le § 270 dispose
ien, puisqu'il n'y est pas tenu par la loi, de créer des ennuis àla
famille
. Le mot d'aliénation mentale n'estpas prononcé;
eur personne et dans leurs biens. Pourquoi alors le médecin et la
famille
se gardent-ils de signaler les aliénés et de le
liénés et de les mettre sous la protection de la loi ? Parce que la
famille
craint de divulguer ce malheur et que les mesures
iciaire; la procédure continue. Un second juge- ment ordonne que la
famille
paiera les frais de l'examen médico- légal. Il
frais de l'examen médico- légal. Il est signifié par huissier à la
famille
. Si par malheur le débiteur est absent, l'huiss
multiplient les nombreuses citations judiciaires des membres de la
famille
pour constituer un curateur, les pénibles inter
epuis quarante-six ans, était au service de trois générations d'une
famille
seigneuriale, elle avait économisé pas mal d'arge
al permettrait du même coup l'ensei- gnement de la psychiatrie. Les
familles
seraient évidemment plus portées à placer un ma
i le médecin-assermenté-fonctionnaire. Ce qui lèse les intérêts des
familles
riches et le plus souvent pauvres, qui veulent fa
umains. En effet, soit que les parents se déplacent avec toute leur
famille
, soit que la naissance ait eu lieu, par un de ces
ui, nés dans d'autres départements que le nôtre et ayant toute leur
famille
à Paris, sont encore mineurs et, par conséquent
, l'administration sera en mesure, le cas échéant, d'empêcher des
familles
malheureuses d'être plongées dans une grande déso
transferts des enfants de leur département d'origine, loin de leurs
familles
. C'est aux médecins-directeurs de plaider la ca
com- plirait une oeuvre utile et rendrait service à de nombreuses
familles
. B. FAITS DIVERS Asiles D'ALIÉNÉS. - Le Dr Ni
per- sonnes résidant à Londres ou à proximité pour permettre aux
familles
de placer leurs parents dans n'importe quel asile
trente-huit ans, à la suite de chagrins causés par des malheurs de
famille
, l'idée obsédante d'enterrements précipités, d'en
tains mots qui pourraient porter malheur soit à lui-même, soit à sa
famille
, soit à d'autres personnes. Il fait tous ses ef
itait du tempérament nerveux de sa mère, et dont presque toute la
famille
était migraineuse, aurait pour ainsi dire condens
impulsions homicides. Avant son accident; il vivait heureux dans sa
famille
. Il n'y avait point de lésion appa- rente qui p
les observations que nous avons pu réunir, quand les antécédents de
famille
des malades sont connus, la tare héréditaire de
elatif ? Pour M. Brouardel, le secret est toujours invio- lable, la
famille
même vous eût-elle donné par écrit la liberté de
us interroge et la vérité absolue va souvent au delà de ce . que la
famille
a cru autoriser à dire. Pour d'autres auteurs, le
d'emblée gardiens vigilants de la santé intellectuelle au sein des
familles
qui ne nous ont rien demandé. Une question qu
96 SOCIÉTÉS savantes. est consulté sur les chances d'hérédité de la
famille
, à propos de mariage d'aliénés. Lorsqu'on est c
mariage d'aliénés. Lorsqu'on est consulté par les intéressés, la
famille
, il n'y a pas de secret médical; si c'est par des
par des étrangers, il faut se munir d'une autorisation écrite de la
famille
avant de parler. Il en est de même lorsqu'on vo
homme de l'art. M. TaIVCT demande à M. Régis ce qu'il entend par la
famille
du malade. M. HÉGOE. - Les seuls parents immé
ne consultation, deux s'il le faut, avec le médecin ordinaire de la
famille
, dans l'esprit de qui cette démarche sème le do
cret médical. Ce ne sont jamais les médecins, mais des membres de
famille
en désaccord avec les autres qui divulgent l'état
erreur. Un des reproches qui ont été faits à l'assistance dans les
familles
repose sur la mortalité relative. Dans la stati
un certain nombre de rechutes et permettrait de maintenir dans les
familles
un nombre plus ou moins grand de malades; 3°
al direct, c'est-à-dire l'assistance des aliénés dans leurs propres
familles
avec un secours mensuel de 95, 20, 25 ou 30 fra
rs mensuel de 95, 20, 25 ou 30 francs, suivant les ressources de la
famille
et l'état mental du malade ; 4° Les colonies
Le patronage familial indirect, c'est-à-dire l'assistance dans des
familles
étrangères aux malades, à l'imitation de ce qui s
tat menlal se produit pour la plupart des cas envoyés de l'asile en
famille
. Ce changement peut être attribué à l'influence
t pas possible de les laisser dans la rue, livrés à eux-mêmes, sans
famille
, sans ressources d'au- - eune sorte, matérielle
rnée payé à la Salpêtrière, 2 fr. 10. Or, nous doutons fort que les
familles
de Dun en voyant qu'ils ne peuvent tirer aucun
tion qui consistait à envoyer ces incurables tranquilles dans leurs
familles
en leur accordant un secours mensuel. Ce secours
ade. Pourquoi ? Y (B.). 302 SOCIÉTÉS SAVANTES. gné dans sa propre
famille
; il est plus républicain puisque le malade ne s
ublicain puisque le malade ne serait pas éloigné de son pays, de sa
famille
, de ses amis et que nos principes veulent que l
t inoffensifs et pourraient être placés sans inconvénients dans des
familles
de paysans qui, pour une somme modique, voudrai
t laproposition de M. Riu; 2° Les placements des aliénés dans leurs
familles
; c'est le mode d'assistance auquel M. Bournevil
des malades, afin d'éviter les accidents, et dans la sélection des
familles
pour ern- pêcher le surmenage ou l'exploitation
non guéri, s'il est inoffensif ou paraît tel, peut être confié à sa
famille
, si elle le désire. Cette famille devient respon-
paraît tel, peut être confié à sa famille, si elle le désire. Cette
famille
devient respon- Archives, t. XXIV. 20 306 SOC
sie générale elle-même. Si donc mon' malade avait été repris par sa
famille
à ce moment, on aurait pu le croire guéri et de
risation de pratiquer les autopsies, à moins d'une opposition de la
famille
. Le secrétaire colonial sera chargé de demander
âmes, où les aliénés, au nombre de 1,800, sont disséminés dans les
familles
du pays. Après une discussion à laquelle ont pr
leil ? » Il fut malmené assez rudement par deux ou trois pères de
famille
, puis en fin de compte conduit au commissariat, d
e ne peut pas, dit-elle, agir au- trement. t. L'éloignement de la
famille
, l'influence d'un entou- rage expérimenté et l'
donnant pleine satisfaction à toutes ses idées obsédantes; dans sa
famille
, on fermait les yeux sur ce qu'on appelait ses
a pu obtenir une longue rémission à la suite de l'éloignement de la
famille
et d'un traitement hydro- thérapique ; il a pu
e nous l'avons déjà dit (Obs. VII), quand il ne le trouvait pas, la
famille
l'aidait, on lisait le dictionnaire et l'on ne
reux, de ne pas être capable de bien remplir ses devoirs de mère de
famille
, de ne pas être assez active, assez intelligent
ir' de résister, ils ont fini par suc- comber. Laissés dans leurs
familles
, les onomatomanes, de même que les autres dégén
anvier 1891 (service de M. le professeur Ciurcot). Antécédents de
famille
. Père nerveux, il avait des tics, il mourut d'u
Jalpélrière (service de 11. le professeur Charcot). Antécédents DE
famille
. Ses aïeuls maternel et paternel sont morts à u
zarre; à lace de soixante-quatre ans, malgré les désirs de toute sa
famille
, elle voulut se remarier; mais cette union ne fut
e Cha..., entraîna la mort. Pour compléter ce croquis sur l'état de
famille
de Cha..., je dois ajouter qu'une soeur de sa mèr
a Salpêtrière (service de M. le professeur CHARCOT). Antécédents de
famille
. Son père mourut à l'âge de quarante- cinq ans,
a première enfance B..., a exercé le métier de saltimbanque avec sa
famille
. A cause de son métier il est tombé très fréque
système nerveux, t. III, p. 80), qui démontre combien le milieu de
famille
est, favorable à l'entretien des accidents hyst
ultation externe de la Salpêtrière, le 21 juin 1892. Antécédents DE
famille
. Son père est mort à quatre-vingt- trois ans, d
puis onze ans; ce mariage qu'il a contracté contre la volonté de sa
famille
lui a causé beaucoup de chagrin et de discussio
peur de ne pas récupérer les forces nécessaires à l'entretien de sa
famille
commença à le préoccuper. Il souffrait, en outr
minel en lui-même, les antécédents personnels et les antécédents de
famille
du criminel, ses caractères anthropologiques, e
qui se- rencontre spécialement chez les malades soignés dans leur
famille
: une fois l'obsession créée, le repos moral est
us souvent observées de dégénérés : ces deux aliénés sont pour leur
famille
et la société un véritable fléau. L'état nerv
porter à l'observation directe, aux rensei- gnements fournis par la
famille
. Or de l'observation ditecte, il appert que c'e
as où l'hypnotisation ne peut pas être réalisée et dans le cas où les
familles
la refusent par pusillanimité, opinion fausse, cr
st très mécon-tent de lui au collège, on parle même de le rendre a sa
famille
parce que, chaque nuit, sa literie est souillée p
l'urine, excrétée en quantité normale. VI Autre chose encore. Les
familles
déplorent la mauvaise habitude noc- turne de
lui-ci reçoit n'ira toujours pas transpercer le matelas et la mère de
famille
se recouche, convaincue d'avoir fait son devoir.
ux sollicitations évacuatrices et à rester pleine jusqu'au lever. Les
familles
croient bien faire : c'est au médecin à leur expl
e, et les a placés ensuite, selon les résultats de l'examen, dans des
familles
de particuliers, dans des établissements d'édneat
ladie avait évolué, c'est-à-dire l'interdiction de toute visite de la
famille
(la première visite n'eut lieu qu'après deux mois
pour certains mets, dont on retrouve l'origine dans des habitudes de
famille
, de nationalité et surtout dans des préjugés loca
éciation. Dans un cas que j'ai pu suivre longuement, le médecin de la
famille
énervé par les inquiétudes sans cesse exprimées p
la souffrance, Ste Rose de Lima ne doit pas être oubliée. « Née d'une
famille
opulente « elle aspira à la pauvreté et dès l'âge
sidérable, si une mort prématurée ne l'avait ravi à l'affection de sa
famille
et de ses collègues. Bené Pamart s'était inspiré
l'image de notre excellent ami, eu même temps que je renouvelle à sa
famille
l'oxpresion de notre.douloureuse et unanime sympa
ins-les-Bains fut la scène d'un accident d'automobile qui enleva h sa
famille
et à la science l'homme d'élite, de vaste savoir,
rt a prématurément fauché sa belle existence au grand désespoir de sa
famille
et celui de ses nombreux élèves et amis. Son dépa
des se montrent, par là, sœurs cadettes de ces évadées des meilleures
familles
, qui se font les maîtresses, passionnées et très
s idées « fausses, tel est le travail auquel s'attachent toujours les
familles
de « nos malades, sans autre résultat que d'infli
ection des écoles, la collaboration des médecins et l'influence de la
famille
. D'après lui, « les écoles et les établissements
'éducation ”. Pour autant qu'on peut parler d'une collaboration de la
famille
et de l'école dans certains cas des suicides d'éc
liers, Enlenburg prouve, que la faute retombe presque toujours sur la
famille
, qui pèche par manque de surveillance, par un man
usions : le médecin et le pédagogue demandent, que l'éducation par la
famille
remplisse tout son devoir il côté de l'école, cet
ir il côté de l'école, cette dernière restant Impuissante, dès que la
famille
néglige ses devoirs envers l'adolescent. Dr TVi
antes : « Tel médecin Israélite on libre penseur sera mandé par les
familles
catholiques, tel médecin catholique entrera dans
par les familles catholiques, tel médecin catholique entrera dans les
familles
Israélites. Nons avons jadis donné le nom de deux
de psychologie ; Alfred Pierrot, secrétaire du Comité du monument, la
famille
Liégeois, représentée par M"10 veuve Jules Liégeo
pportent dans cette discussion leurs préjugés de classe, de caste, de
famille
, tout ce que l'éducation met en l'homme de fatali
ul, on se laisse absorber par une lecture captivante ; si l'on est en
famille
, on s'entretient des affaires, des soucis, des pr
u de son apathie, ou de ses habitudes, invoquer toutes les raisons de
famille
, d'altruisme, d'utilité, d'égoïsme que comportent
s, cette jeune paysanne nommée B... s'était mariée et avait charge de
famille
. Elle habitait un pays éloigné ; par surcroît, no
ce acceptée et pratiquée d'une façon prolongée par un grand nombre de
familles
du Nord et de l'Ouest de la Hussie a pour princip
rbe lejat, être couché) et consiste en ceci : « A peine le chef d'une
famille
s'aperçoit-il vers la fin de l'automne qu'une con
ue nécessaires pour les travaux de printemps, il se plonge, lui et sa
famille
, dans la lêjka, c'est-à-dire que tout simplement
s plus chauds, hivernent, seuls ou entassés, les autres membres de la
famille
. Durant le cours de la famine de cette année, la
s, l'existence rendue trop facile par la sollicitude imprévoyante des
familles
, la sentimentalité démoralisante de plus en plus
, il ne lui restait, disait-il. que le suicide. M. F. descend d'une
famille
très nerveuse. De taille moyenne, il est frêle, m
ecin, lorsque le traitement prescrit par celui-ci ne satisfait pas la
famille
. Mais souvent, aussi, il est vrai, on procède tou
rande réserve. Le malade que j'ai choisi pour modèle appartient a une
famille
respectable dans laquelle il a eu la malechance d
stables. • On peut dire, écrit-il, que les médiums appartiennent à la
famille
nécropathiqae et, pour mieux préciser, que la tra
se levait tous les matins à sept heures, prenait part à nos repas de
famille
, et sauf deux fois, lorsqu'il se trouva fatigué p
it suivant qui m'est personnel. Le 11 janvier 1910, un événement de
famille
concentrait toute mon activité et déterminait les
sée, il se voyait ruiné et réduit à la plus noire misère ainsi que sa
famille
. Incapable de commander à son personnel parce qu'
de sa femme Klara, qui lui reproche de ne pas remplir ses devoirs de
famille
et de négliger l'éducation de ses enfants. Elle s
dans les visites qu'elle lui fait, à des confrères envoyés par la
famille
pour rendre compte de son état, il se départ de s
: elle sera la cause de sa mort et des malheurs qui tomberont sur la
famille
. Le malade ne fit qu'un séjour très court (un m
la société fondée sur la puissance des liens du sang, a pour base la
famille
. Celle-ci est, pour cela, même fortement constitu
lus longtemps possible dans l'indivision sous la direction du chef de
famille
, et tous ses membres sont étroitement solidaires
tous ses membres sont étroitement solidaires les uns des autres. Des
familles
agglomérées forment des villages fixes ou des tri
ent une certaine puissance ne furent que de vastes confédérations par
familles
agrégées, dont l'organisation intérieure rappelai
e chef administre avec des auxiliaires qui sont les représentants des
familles
. Le chef de famille est puissant et obéi ; il a
des auxiliaires qui sont les représentants des familles. Le chef de
famille
est puissant et obéi ; il a une grande autorité,
les, les aînés, les proches parents les plus âgés et les femmes de la
famille
. En principe le fils aîné remplace le père absent
a pondération et le jugement étant les qualités maîtresses du chef de
famille
, il arrive qu'un cadet les possédant à l'exclusio
tous, la direction des intérêts communs. Qu'il s'agisse du chef de la
famille
ou du chef élu par la communauté, on attache la p
rayon étendu, elle a consenti à laisser l'hérédité du pouvoir dans la
famille
de ce chef. Mais celui qui abuse de ses prérogati
gime, c'est qu'il a été impuissant à s'y soustraire. L'ensemble des
familles
musulmanes vit dans une certaine mesure sous la d
ction morale des lettrés. Ces lettrés qui appartiennent souvent à des
familles
religieuses, ont un rôle qui leur donne un grand
igieuse manque. Chez les populations rurales et surtont celles où les
familles
religieuses sont fortement représentées, cette po
la plus grande liberté de penser, de parler et d'écrire. Dans la
famille
musulmane et principalement dans la grande famill
crire. Dans la famille musulmane et principalement dans la grande
famille
indivise des campagnes, la femme : mère, épouse,
, n'en est pas moins très réelle et peu d'hommes y échappent. Plus la
famille
est indivise, plus l'influence de la femme que sa
ve au rang d'Egérie s'étend à un grand nombre d'individus, tant de la
famille
où l'a fait entrer le mariage, que de la sienne p
aient succédées dans la journée il n'était question que de lui, de sa
famille
, de tous ceux qui étaient liés à lni d'une façon
urs naturels absents. Elle personnifie, d'autre part, l'honneur de la
famille
, et ceux qui l'entourent, parents à quelque t
qu'elle est féconde ; celle qui est stérile, dans cette société où la
famille
tend à rester indivise pour mieux se défendre, ne
traits communs se perpétuent, de là des distinctions entre groupes de
familles
; dans les uns certaines vertus persistent tant q
ime semi-patriarcal avec la. forte et intransigeante discipline de la
famille
; mais, en balance avec les vertus qu'il conserve
est exercée à l'intérieur par la communauté et a l'extérieur par les
familles
; celle des familles religieuses est très respect
rieur par la communauté et a l'extérieur par les familles ; celle des
familles
religieuses est très respectée et c'est grâce à e
de la circonvolution interne ou PLANCHE QUATRIÈME ENCÉPHALE DE LA
FAMILLE
DES RENARDS. La famille des renards comprend le
ne ou PLANCHE QUATRIÈME ENCÉPHALE DE LA FAMILLE DES RENARDS. La
famille
des renards comprend le renard, le loup et le chi
netteté, le caractère propre aux circonvolutions cérébrales de cette
famille
. Renard. Fig. ire. Face supérieure de l'encépha
ment d'éminence olivaire. c. r. Corps restiforme. ENCÉPHALE DE LA
FAMILLE
DES CHATS. Cette famille comprend tous les anim
c. r. Corps restiforme. ENCÉPHALE DE LA FAMILLE DES CHATS. Cette
famille
comprend tous les animaux que Cuvier y a placés,
rvelet dont les parties latérales sont un peu plus larges que dans la
famille
des renards, et enfin la moelle allongée avec les
ion entre la première et la seconde circonvolution. Dans toute la
famille
des chats, ce point de jonction existe, on le voi
ec la seconde circonvolution, la troisième avec la quatrième. Dans la
famille
des moutons, ce n'est plus une simple tendance, c
ion, l'autre par la troisième et la quatrième. Ainsi le cerveau de la
famille
des chats constitue une transition naturelle entr
amille des chats constitue une transition naturelle entre celui de la
famille
des renards et celui de la famille des moutons.
sition naturelle entre celui de la famille des renards et celui de la
famille
des moutons. Panthère. Le cerveau de cet animal
figure d'encéphale de chat, le nom d'encéphale de lion. Dans cette
famille
, le cervelet est généralement large, moins que ch
par la première et la seconde circonvolution , a son analogue dans la
famille
des renards; ce sont des circonvolutions lisses o
aturellement entre les renards et les moutons, c'est-à-dire entre une
famille
d'animaux carnassiers, et une famille d'animaux h
moutons, c'est-à-dire entre une famille d'animaux carnassiers, et une
famille
d'animaux herbivores. Furet. Trois circonvoluti
ution qui la recouvre. La fig. 1 représente l'encé- ENCÉPHALE DE LA
FAMILLE
DES OURS ET DES MARTES. phale du même animal, v
sont les mêmes chez les ours et les martes que chez les animaux de la
famille
des renards, et ceux de la famille des chats. [V,
martes que chez les animaux de la famille des renards, et ceux de la
famille
des chats. [V, pl. IV, renard, fig. 3; et pl. V,
V, pl. IV, renard, fig. 3; et pl. V, chat, fig. 3.) ENCÉPHALE DE LA
FAMILLE
DES MOUTONS {comprenant les ruminanset les solipè
i de l'homme (Pl. XVI, XVII et XVIII PLANCHE HUITIÈME SUITE DE LA
FAMILLE
DES MOUTONS. Bœuf. Fig. i. Côté gauche de l'enc
eprésenté l'encéphale du chevreuil. Ce dernier encéphale est, pour la
famille
des ruminans et des solipèdes, ce que celui du ch
olipèdes, ce que celui du chat et celui du renard sont chacun pour la
famille
dont ils forment le type. Boeuf. Côté droit de
que celle qui est située en arrière ; le cerveau recou- SUITE DE LA
FAMILLE
OES MOUTONS. vre les tubercules quadri jumeaux
aut la compléter, si faire se peut, par l'histoire pathologique de la
famille
tout entière. Or, voici ce que les investigations
nt dont on est le père ; quoi qu'il en soit, voilà tout un côté de la
famille
qui échappe à notre étude. — Rien à noter, paraît
Une jeune fille âgée de quinze ans, appartenant à l'une des premières
familles
de la ville deX..., jeune fille fort bien élevée,
ment, fils d'un réfugié polonais, notre malade n'a pas connu toute sa
famille
et il ne peut, par conséquent, nous renseigner ex
contraire, qu'il n'est pas une seule des espèces composant la grande
famille
nerveuse qui ne se soit pas montrée dans les cond
r s'il n'y a pas soit dans son histoire propre, soit dans celle de sa
famille
, quelques circonstances de nature à faire compren
ense qu'il n'est nullement légitime d'admettre qu'il existe toute une
famille
d'hystéries, distinctes nosographi-quement les un
formés. M. Charcot.— Voici la part de l'élément arthritique dans la
famille
; recherchons maintenant si l'hérédité nerveuse n
à la fois à la mère et au père : Avez-vous connu des membres de votre
famille
atteints de maladies nerveuses ou ayant eu la têt
La mère. — Non, monsieur, je n'en connais pas d'autre exemple dans la
famille
. M. Charcot. —Vous avez eu d'autres enfants que
ches poussées dans cette direction aucune tare névropa-thique dans sa
famille
, qui compte prétend-il, des centenaires. Nous a
Cas n° 2 : plusieurs cas de bégaiement et un épileptique dans la
famille
; 4° Vertige de Ménière; forme chronique et verti
tion, — de rechercher s'il n'existe pas quelque tare nerveuse dans la
famille
. Or, voici quels sont chez cette jeune fille le
lle. Or, voici quels sont chez cette jeune fille les antécédents de
famille
révélés par sa mère. Son père a été il y a troi
faites ? Le malade : Oui, monsieur, c'est chez nous une maladie de
famille
. Mon père «st bègue, mon grand-père paternel l'ét
nattendue, fort intéressante. Le bégaiement en effet figure dans la
famille
neuropathologique et y occupe un rang distingué.
énétrons plus avant et peut-être aurons-nous à relever encore dans la
famille
quelque chose d'important. (Au malade) : Y a-t-
amille quelque chose d'important. (Au malade) : Y a-t-il dans votre
famille
quelque cas de maladie nerveuse autre que le béga
une grande force. Je me réserve de vous parler un peu plus tard de sa
famille
considérée au point de vue de l'hérédité nerveuse
'est grisé plusieurs fois : « Il n'y a pas de mal, dit-il, à boire en
famille
. » Rien d'étonnant qu'avec de pareils exemples
a Muse « aux yeux verts » mais encore toutes les autres muses de même
famille
, dont les yeux sont d'autres couleurs. Par le f
service qu'il avait résolu d'épouser mais qui lui fut refusée par sa
famille
. Le chagrin qu'il en éprouva fut, paraît-il pro
hercher actuellement si nous ne trouvons pas, dans les antécédents de
famille
de notre homme, quelques particularités dignes d'
la paralysie générale, i'épilepsie, l'hystérie, etc., un membre de la
famille
neuropathologique, ou autrement dit une maladie d
idérés comme des dégénérés, des déséquilibrés. Mais on voit dans la
famille
, un peu partout, régner le vice d'ivrognerie. C'e
es espèces morbides dont l'ensemble constitue ce que nous appelons la
famille
neuropathique. Tout ce que nous avançons là repos
servation bien connue de M. le professeur Quatrefages, relative à une
famille
de quatre enfants dont un seul, conçu alors que l
mis à l'action du froid. La recherche des antécédents nerveux dans la
famille
ou chez le sujet lui-même est restée sans résulta
erai que, dans ces cas-là, une recherche attentive des antécédents de
famille
conduirait, vraisemblablement presque toujours, à
lequel se révélera dans tout son jour par l'étude des antécédents de
famille
. Messieurs, c'est cet élément-là qui, dans le dra
articulaire coexistent souvent soit chez un même sujet, soit dans la
famille
, cela n'est nullement douteux; mais la coïncidenc
et il n'est pas à proprement parler un seul des membres de la grande
famille
neuropathologique où cette.association-là ne puis
des antécédents héréditaires. TABLEAU SYNOPTIQUE DES ANTÉCÉDENTS DE
FAMILLE
DE A... EL COTÉ PATERNEL COTÉ MATERNEL Grand-pè
ant sa grand'mère, qui l'a élevée, affirme que tous les membres de la
famille
« étaient excessivement nerveux, aussi nerveux qu
ule des affections nerveuses dontl'ensemble forme ce que j'appelle la
famille
neuropathologique qui ne puisse apparaître comme
lus sur les antécédents de notre malade. L'étude des antécédents de
famille
ne fournit aucun renseignement intéressant. Père
, autant qu'il le sache du moins, ne se trouvent représentées dans la
famille
. Il n'en est pas tout à fait de même en ce qui le
que la maladie dont il s'agit, représente un des membres de la grande
famille
neuropathologique; quelques-uns des documents sur
e Dr Déjerine (¦!). Je me bornerai ici à relever quelques tableaux de
famille
qui me paraissent significatifs. Voici d'abord
aladie frappant le fils d'un paralytique général qui comptait dans sa
famille
plusieurs aliénés, une hystérique et deux sourds-
lancolie à l'occasion d'une maladie aiguë. » Sa femme issue d'une
famille
goutteuse est goutteuse elle-même (goutte réguliè
a été admis à la Salpêtrière le 17 octobre 1888. Il appartient à une
famille
de paysans normands, malins et retors, dont nous
affections, ataxie ît hystérie, représentent deux membres de la même
famille
nosographique, "t qu'il est tout naturel par cons
les jointures. M. Cfiarcot (Ala mère). — Connaissez-vous bien votre
famille
et celle de votre mari? Connaissez-vous quelqu'un
'oncle du malade) : C'était votre frère. Vous devez bien connaître sa
famille
: y avez-vous connu des malades ? L'oncle.— Un
e sa demande en mariage. Hélas, il n'avait pas un sou vaillant, et la
famille
de la jeune fille 1. Du pstudo-mal de Pott hyst
e : on ignore s'il y a des antécédents héréditaires, une partie de la
famille
est inconnue ; par contre les causes occasionnell
principaux traits de l'histoire de notre malade. Les antécédents de
famille
sont ici tout à fait favorables à la thèse d'aprè
doivent pas, sans plus ample informé, figurer parmi les membres de la
famille
neuropathologique. Voilà pour la prédisposition h
l tomba tout à coup dans la misère, entraînant dans sa ruine toute sa
famille
. Le chagrin profond ressenti par Man...llon à la
On n'a pu recueillir de renseignements concernant les antécédents de
famille
. l'occasion de relever plus d'une fois en étudi
lques mots concernant les antécédants de notre jeune « dormeuse ». La
famille
de son père n'est pas connue ; son père est mort
s. L'élément névropathique, vous le voyez, ne fait pas défaut dans la
famille
. Chez notre malade les premiers accidents nerve
hénique. On voit que les tares nerveuses ne font pas défaut dans la
famille
Je crois utile en manière de conclusion de groupe
scription va nous occuper, et qu'enfin, l'étude de ses antécédents de
famille
poussée aussi loin que possible ne nous a rien ap
e pas, autant qu'on puisse le savoir, de tares héréditaires dans sa
famille
. Ainsi, le accès automatiques sont chez lui parfa
u moins accentuées. Il n'en est rien chez notre homme ; l'étude de sa
famille
ne nous a rien appris. Il est vrai que nous n'avo
raité,paraît-il, pour un « rhumatisme » à l'aide de l'électricité. Sa
famille
lui ayant, sur ces entrefaites, envoyé quelque ar
rconstance est bien de nature à faire supposer, pour le moins, que sa
famille
a dû vivre plus d'une fois sous le coup d'émotion
que des environs de Paris, où il vécut dans l'isolement, séparé de sa
famille
. Au bout d'un mois un grand changement s'opérait
l coup d'œil les principaux faits de l'histoire pathologique de cette
famille
, où la mort prématurée a sévi tant de fois, et do
nous les tenons, remarquez-le bien ; ils nous ont été fournis par sa
famille
. D'ailleurs n'allez pas croire que ces réponses
ent ni lire, ni écrire. Dans la société, comme bien vous pensez, leur
famille
n'appartenant pas aux classes privilégiées, ce so
e vous propose de l'admettre. Il affirme qu'il n'y a pas eu dans sa
famille
d'antécédents nerveux. A cet égard, je me permett
de ses antécédents, le chemin est coupé; il ne connaît pas du tout la
famille
de son père. Sa mère et sa tante sont mortes de
ance, je relèverai que les tares nerveuses ne font pas défaut dans la
famille
du malade. Sa mère, d'après le récit qu'il nous d
à-dire dont tous les composants présentent en quelque sorte un air de
famille
. Plus haut je vous ai dit, et je maintiens l'asse
'est-à-dire il y a six jours. En ce qui concerne ses antécédents de
famille
, il nous apprend qu'un de ses oncles, du côté pat
première apparition dans l'enfance ; que notre malade compte dans sa
famille
quatre cas de chorée chronique, en outre d'un cer
ue, thèse de Paris, 1889. névropathiques ne font pas défaut dans la
famille
. Mais il n'y a à cet égard rien de bien accentué.
.ni qui exerce la profession d'artiste dramatique. Ses antécédents de
famille
sont fort significatifs et méritent d'être relevé
t simple, du reste, vous allez le reconnaître. Il n'y a pas dans la
famille
d'antécédents héréditaires qui méritent d'être si
tent d'éviter la confusion. Toutefois, parmi les membres de la grande
famille
neuropathologique, il en est un qui n'appartient
épète, par un exemple frappant. Vous avez compris que ce membre de la
famille
auquel je fais allusion, toujours un peu négligé
utres vivent en parfaite santé. Le malade affirme qu'il n'y a dans sa
famille
, ni goutteux, ni rhumatisants, ni épileptiques, n
c. Cas n° 2 : plusieurs cas de bégaiement et un épileptique dans la
famille
.................... 78 4°. Vertige de Ménière :
M. le Dr Paul Farez, p. 15. 5° De la suggestion religieuse dans la
famille
de Biaise Pascal [suite), par M. le Dr Biset-Sang
ions le plaisir de guérir lo Gis ù cuti du pire et de transformer une
famille
malheureuso en une famille heureuse. Ses amis et
o Gis ù cuti du pire et de transformer une famille malheureuso en une
famille
heureuse. Ses amis et connaissances ne le reconna
tre photographie prise avant lo traitement dans une petite réunion de
famille
. » • * Coneîusions.—Les conclusions qu'on p
onner mon avis sur l'état mental d'un homme de 32 ans, marié, père de
famille
, inculpé d'outrage public à la pudeur. Les condit
tervention ? Voilà le point délicat. 11 ne suffit pas de dire à une
famille
: cet état n'est pas grave, il guérira un jour ou
je fais une nouvelle séance de suggestion, non plus en présence de la
famille
ou de mes confrères, mais seul ù seul avec la mal
e lettre m'apprit le plein succès de mes suggestions. La malade et sa
famille
étaient ébahies d'une si prompte réussite, — mes
ur, à propos d'une question d'argent, une très violente discussion de
famille
survint en présence de la malade qui ne put s'emp
Et puis, le succès n'est guère possible que si les personnes do lo
famille
et de l'entourage du malade sont ß psychiquement
très peu de temps on a pu mettre un terme aux angoisses de toute une
famille
et supprimer tout un cortège de symptômes morbide
uration fouetfonnelle. HISTOIRE DES SUGGESTIONS RELIGIEUSES dans la
famille
de Biaise Pascal Par M. !e D' Cbarlca Bisit-Sas
tre ainsi : ß II y a tant de marques de bénédiction de Dieu sur votre
famille
que je mets entre les grâces qu'il m'a faites cel
tes les fois que le sommeil hypnotique n'aura pas été accepté par les
familles
ou que, après avoir été accepté par ces dernières
: Durand de Gros. Durand (Joseph-Pierre), né à Gros, en 1826, d'une
famille
d'agriculteurs, montrait, dès sa jeunesse, l'espr
ditaires il n'y a rien d'important à signaler, tous les membres de sa
famille
sont doués d'une bonne santé. Chose rare et tout
de la nuque; la tète se tournait brusquement un (l). Cb. Fébx. — La
Famille
névropatique, p. 312, éd./page> page n="76"&
t; page n="78"> HISTOIRE DES SUGGESTIONS RELIGIEUSES dans la
famille
de Biaise Pascal Par M. le D* Charles Bwet-Sako
'âge de soi-xante-septans et quatre mois. CHAPITRE XXI La Fin d'une
Famille
. Deux des fils do Gilberte, Etienne, né en 1642
-Royal, qui soutint, en se basant sur l'Ecriture sainte, l'avis de sa
famille
. Alors Etienne refusa le parti. Peu à peu cependa
umanité des précieux rejetons qu'on en pouvait attendre, cette grande
famille
décimée par l'erreur. Que n'eût-elle pas été, si
de lui, dans la plante, dans la pierre, dans l'animal. Et lorsque la
famille
voulut faire de lui un prêtre il se rebiffa et pr
ulée de Médecine cl de Chirurgie Infantiles ». Le efu6 des mères de
famille
de Michigan (Etats-Unis) désireux de. renseigner
nôtre se digère au lit, —pour l'adolescent ayant accès à la table de
famille
, une ou deux heures après le dîner; l'adulte et l
en tout cas, des rêves, des cauchemars, des terreurs. Les mères de
famille
doivent être averties par le méJecin de ce danger
epasmodigue (). par M. le D' Paul Faiiez. Une femme mariée, mère de
famille
, âgée de 30 ans, laisse échapper inconsciemment c
e mentale. — Dans les choses journalières de la vie les membres de la
famille
sont habitués à l'entendre citer mes paroles, que
et de poser, d'après mon Histoire des suggestions religieuses dans la
famille
de "Biaise Pascal (*), les premières assises psyc
use, séance de 11 juillet 1839. Une jeune fille de 18 ans, issue de
famille
névropathique, a été atteinte de la phobie des ch
re de travail, le tracassaient. A tout prix, il ne voulait pas que sa
famille
y jetât les yeux, et il priait son camarade Hodgs
leurs faux témoignages. On en a vu tromper ainsi, non seulement leur
famille
, mais les médecins et les tribunaux, qui se laiss
qu'elle a été due à un accident arrivé à un membre très proche de la
famille
de notre malade. Aussitôt revenu de sa terreur,
par un phénomène de reviviscence partielle, faire retrouver dans une
famille
d'hommes des types oubliés, des ancêtres méconnus
jord de cetto tombe désormais illustre, nous l'affirmons & la
famille
désolée ds notre cher et, vénéré collègue. Au n
devait bientôt aprea dovcph- son cendre I Si vie, partagée entre la
famille
et la science, fut celle d'un sage ; et sa fin. s
..as crachats renferment des bacilles de Koch. J'ai conseillé A la
famille
d'envoyer cette jeune malade à la campagne et de
i, et de se suicider ensuite; quand il parlait d'autres membres de sa
famille
, il divaguait. Comme je considérais ce sujet dang
il divaguait. Comme je considérais ce sujet dangereux pour lut et sa
famille
, je le fis enfermer dans une maison de santé. Au
s aux environs de Paris. Obs. V. — Gaston F... est un jeune fils de
famille
de 30 ans, qui s'est marié avec une belle veuve d
La première a trait â une femme de M uns qui, à la suite d'ennuis de
famille
, devint triste jusqu'à l'obsession. Dientot appar
ement; 3° enfin, souvent la folie rem-placo la tuberculose : dans une
famille
de phtisiques, ou ne verra un sujet n'échapper au
ait alors 55 ans. Biaise Pascal avait 23 ans lorsqu'il convertit sa
famille
, 30 ans à l'époque où il dirigeait la piété de «
, à 23 ans, « l'amour de la perfection chrétienne » (') dans toute sa
famille
. De même il est peu de sujets prédisposés à la dé
iie. Jusqu'à ces derniers mois, elle a été une très diligente mère de
famille
, s'occupant avec soin des moindres détails de son
u»/page> page n="302"> elle considérerait les membres de sa
famille
comme les complice des ceux qui lui en veulent, a
idées délirantes sont suspendues; à midi, elle se lève et déjeune en
famille
, puis s'habille, vient à pied à mon cabinet où je
d — à son mari; le moment du dinerarrive;après une courte causerie en
famille
, une partie de cartes ou de dominos, elle se couc
ors, elle s'applique à les « réduire » et y réussit assez souvent. La
famille
, étonnée et ravie, caresse l'espoir d'une guériso
i décrit cette méthode sous les différents noms de vaccination par la
famille
, de méthode des congénères et d'hérédothérapie.
Le sang fui donné par une jeune fille, âgée de 18 ans, étrangère à la
famille
. Le lendemain de mon intervention, ma cliente, qu
n moral fût aucunement atteint; il y a d'ailleurs des aliénés dans la
famille
et la malade a eu déjà des idées fixes. Elle est
ut. La sœur aiuée de celle jeune fille, aujourd'hui mariée et mère de
famille
, a présenté jadis les mêmes troubles, donl elle e
. Elle est satisfaite de voir que l'on s'intéresse â son élat et à sa
famille
. Son teint animé et son œil brillant contrastent
ajouter qu'un sien cousin, soldat â Lille, vient très souvent dans sa
famille
. — Lo récit de ses rêves n'en finirait pas si nou
été de médecine de Toulouse. Une. jeune fille de 18 ans, issue de
famille
névropat hique, a été atteinte de la phobie des c
estionnés réciproquement. Ce phénomène est fréquent, surtout dans les
familles
. Je l'ai constaté dans mon Histoire, non seulemen
y a déjà un commencement), à voir éclore une nouvelle maladie pour la
famille
? » Le mieux, à son avis, était de réclamer son h
le malheureux pût quitter le lit. Tout au plus, tant pour rassurer la
famille
que pour éviter une fugue do nature à compromettr
anœuvres de), par Bérillon, p. 251. Suggestions religieuses dans la
famille
de Blaise Pascal (Histoire des), par Binet-Sanglé
les du Morvan, par Bidault, p. 115. Suggestions religieuses dans la
famille
de Blaise Pascal (Histoire des), par Binet-Sa
r M. le Dr Grasset professeur à l'Université de Montpellier 5. La
famille
de l'hypnotisme est constituée par tous les états
y a désagrégation suspolygonale plus ou moins complète. Dans cette
famille
, nous trouvons d'abord des états physiologiques c
e confondus. A côté de ce caractère commun qui appartient à l'entière
famille
, il y a des caractères spéciaux qui distinguent c
e confondre l'hypnose avec les autres états faisant partie de la même
famille
physiopathologique. Cependant la confusion a ét
ses senti- ments moraux l'emportent, il se dénonce et verse à la
famille
une forte indemnité. Celte mésaventure ne l'a pas
le roc entre Fattepuret Kipri. Sa femme, une princesse hindoue de la
famille
Amber, raccompagnait. Que se passa-l-il entre le
les membres de la Société d'hypnologie et en font comme une véritable
famille
scientifique se sont encore resserrés.Xul doute q
-vous songé à lui pour des fonctions électives. Considérez-le dans sa
famille
: D'abord aimant et aimé, il se détache peu à peu
, des récriminations réciproques entre le mari et l'épouse. C'est une
famille
perdue, sans avenir et bientôt sans ressources. D
a question ne se pose pas ; ou au contraire, elle intéresse toute une
famille
ou la société tout entière, et alors, quoi ? il f
ment de l'autoriser à ne pas garder le secret lorsque l'intérêt d'une
famille
ou de la société l'exigerait absolument. Le mal
le projet d'union; sa carrière dépendait de son futur beau-père, les
familles
avaient conclu plus que lui-même. Je ne pouvais a
u plus que lui-même. Je ne pouvais arrêter les démarches de sa propre
famille
sans révéler le secret de mon malade. Je fis rema
rnets médicaux, qui tendent de plus en plus à se généraliser dans les
familles
, pourraient, sans que le médecin manquât au secre
arnets sont fort importants; mais ce n'est pas au médecin, c'est à la
famille
de les produire, si elle le juge à propos. Le méd
était interdit toutes les fois qu'il y a une tare quelconque dans la
famille
, y aurait-il un seul mariage possible, car quelle
s la famille, y aurait-il un seul mariage possible, car quelle est la
famille
qui, de près ou de loin, ne comporte pas une tare
nouveau-né ni la phonation chez l'enfant. Il s'agit d'un membre de sa
famille
qui, élevé au sein tétait fort bien et qui, plus
e l'usage de couper le frein est très commun, mais seulement dans les
familles
du clergé, de la petite noblesse et des march
médecins l'exécutent également à l'aide de ciseaux, à la demande des
familles
. Les sages-femmes font l'opération en s'enduisa
e envisagée d'abord chez les malades soignés dans des pensions de
famille
par le docteur lui-même. Il les endort une ou deu
ère, a fait l'objection suivante : « II faut distinguer, dans les
familles
qui fournissent beaucoup de membres ayant une vie
té victimes, à une certaine époque de leur vie, des suggestions de la
famille
dévote, de l'école congréganiste, du curé de la p
dité est mise en lumière par la corrélation qui existe, dans une même
famille
, entre cette profession et certains signes de dég
lle Savinien, martyr, était apparu. Elle jeta la discorde dans sa
famille
. Excessive dans ses haines comme dans ses affecti
trêmement douloureuse. On décide l'opération. Sur les instances de la
famille
on accorde un sursis et j'essaie la suggestion. D
in traitant arrive chez moi avec la jeune fille, très suggestible. La
famille
, avant de laisser continuer l'application de
gestion, consulte un chirurgien. Celui-ci conseille l'opération et la
famille
consent. L'opération enlève la douleur pendant de
s'y trouve, selon son désir, seul ou accompagné d'une personne de sa
famille
. Une grande salle spéciale est réservée pour le
ans. Le nom de sa maladie lui avait été transmis par un membre de sa
famille
et ce nom, tout d'abord, ne lui avait rien dit. I
bien nettes. Agé de 26 ans, il a mené l'existence agréable du fils de
famille
que rien n'oblige au travail, sans toutefois « fa
s'est toujours bravement comporté. Cédant aux sollicitations de sa
famille
en même temps qu'à une vive inclination personnel
docteur Joal : Odeurs et troubles digestifs. Bartholin a connu une
famille
dont tous les membres avaient pour le beurre et l
(3) Mesure de terre jugée nécessaire pour faire vivre un homme et sa
famille
, environ 40.000 mètres carrés. (1) Ferme, métairi
e qu'avait prise le Dr Mathieu en créant la Ligue des médecins et des
familles
pour l'amélioration de l'hygiène physique et inte
corps. Czermak entreprit les expériences sur d'autres oiseaux de la
famille
des Gallinacés ainsi que sur les canards, oies, c
THALMOLOGiE (Maladie des Yeux). terrestre, Labiée bien connue de la
famille
des Népétées; 2° et le Millepertuis {Hypericum pe
bégaiement ou de tout autre défaut de prononciation qui inquiète une
famille
. Comme ces affections ne sont pas décrites dans l
ç-sacré, cuvy-i^ua-groupe) le groupe formé par les membres d'une même
famille
ayant subi avec succès des suggestions religieuse
ent omis. Chaque hiérosyncrotème est désigné par le ou les noms des
familles
qui concourent à le former. Il est défini : 1° pa
mbre de ceux-ci, et le dénominateur le nombre total des membres de la
famille
depuis le membre initial jusqu'au membre terminal
yncrotèmes familiaux. Une des principales raisons pour lesquelles les
familles
du XIe et du XIIe siècle ont fourni tant de membr
lui veut du mal. Elle craint qu'il n'arrive malheur aux membres de sa
famille
. Le sommeil est mauvais, l'appétit moyen, les gar
le de facultés intellectuelles ». II allègue le cas suivant. Dans une
famille
d'artisans où les parents étaient normaux et avai
érieures, comme aussi aux suggestions plus ou moins maladroites de sa
famille
ou .des visiteurs. • Dans les sommeils dont i
ire assister à la fondation, et pour leurs descendants un souvenir de
famille
, et ils la choisissent de préférence à toute autr
ement des institutions congré-ganistes grâce aux largesses d'une même
famille
. Bouchard de Montmorency III signe une charte e
tion, en présence de sa femme Beatrix de Viennois. D'autres fois la
famille
prend simplement l'église ou l'abbaye sous sa pro
V fait du bien à cette abbaye. D'autres fois les libéralités d'une
famille
envers un monastère sont dues à ce qu'un de ses m
mes du Graisivaudan. Le fils de ce dernier, Guigues IV, s'allie à une
famille
qui comptait aussi parmi ses membres des bienfait
ne, beau père de Guigues de Viennois IV. L'entrée d'un membre d'une
famille
dans un monastère déterminé peut d'ailleurs être
t-il, je pense beaucoup à une très gentille jeune fille, d'excellente
famille
; elle est un parti excellent et je l'aime; mon pl
vous a coûté votre penchant à boire? 29. Qui boit encore dans votre
famille
? 30. Est-ce que vous vous accusez dans votre i
ue vous avez souffert sans être coupable? 33. Renseignements sur la
famille
du malade : a) Fausse couche ou avortement? 6)
se mit à rire d'une façon discontinue pendant quatre jours ! Toute sa
famille
en pleurait de désespoir. Le père, heureusement,
s coupes d'excellent champagne ont agréablement terminé cette fête de
famille
, et on s'est retiré en se disant que si M. Pitres
s des bêtes, qu'il aimait, disait-il, « comme des erres humains ». Sa
famille
voulait faire de lui un prêtre, mais il s'orienta
les plus Indispensables à la vie et la tuberculose s'installe dans la
famille
. La misère, mauvaise conseillère, peut à son to
ant un dispensaire anti-alcoolique. Le buveur tout en restant dans sa
famille
, viendra à ce dispensaire suivre son traitement.
beau-père et, qui plus est, devant sa belle-mère. Tout se passait en
famille
et mon malade n'en ressentait aucun trouble. Je
rit en France) ; -> Par Gilbert BALLET, chef de clinique de la
Famille
, cL Pierre MARIE, interne des hôpitaux. Nous
le fait dont il s'agit : OBSERVATION. - M. S..., né au Caire, d'une
famille
juive établie, depuis longtemps déjà en Egypte,
onner aucun renseignement sur les antécé- dents pathologiques de sa
famille
; sa mère et ses frères sont bien portants. D
affection, a pu la retrouver dans trois générations de sa propre
famille
où les accidents nerveux sont d'une remarquable
. Quant aux symptômes présentés par les différents membres de cette
famille
, ce sont ceux que nous avons vus dans les obser
en même temps d'un esprit très borné; de plus, nous voyons dans sa
famille
une alternance et une alliance étroite entre la
ns résultat des re- cherches sur les antécédents héréditaires de sa
famille
. Elle m'assura être restée quelques semaines à
malade en voiture, avec ordre de la, déposer entre les mains de sa
famille
, seule juge des- résolutions à prendre. Je n'ai p
al Iieaujon. Le malade ne connaît pas d'antécédents nerveux dans sa
famille
. Sa mère est bien portante, son père est mort d
rer les ten- dances de certains journaux à dévoiler les secrets des
familles
et à donner même les noms propres, comme dans c
ère fois qu'il a parlé de tuer son frère ? M. Legrand du Saulle. La
famille
a fait, sans résultat, son possible pour le cor
dents héréditaires ? M. Legrand du SAULLE. Il y a des tares dans la
famille
, mais je vous avouerai qu'il est très difficile
aurendorif termine la séance par une communication sur les soins de
famille
que reçoivent actuellement les aliénés ci Ilten.
ait des inconvénients. Malheureusement l'existence dans leur propre
famille
est loin de répondre aux desiderata que l'alié-
ent mo- ral invariable. Mais leur dispenser la liberté et la vie de
famille
à deux pas de l'asile en leur prodiguant les av
'aliéniste des malades qu'il compte soumettre au traitement dans la
famille
. Aussi l'exclusion de ce mode de traitement est f
cité de ses premières conférences un certain nombre d'excel- lentes
familles
s'offrissent spontanément pour tenter l'expérienc
ades installés dans chacune d'elles. De cette façon, le choix de la
famille
étant aisé, il fut fa- cile d'obtenir pour les
conditions voulues et de styler, pour ainsi parler, chaque chef de
famille
. Jus- qu'à ce jour il existe à Ilten sept famil
r, chaque chef de famille. Jus- qu'à ce jour il existe à Ilten sept
familles
qui s'occupent de douze malades, dix hommes et
la répartition ne comporte pas plus de trois aliénés dans une même
famille
. Quatre malades vont être au premier jour trans
és dans deux nouvelles fa- milles. La sphère sociale à laquelle ces
familles
ressortissent est celle des paysans ou des arti
et qui porteront gra- duellement à trente ou quarante le nombre des
familles
recevant des aliénés. Un règlement dont M. Wahr
conomiques et mé- dicales du directeur de l'asile avec les chefs de
familles
et les obli- gations de ceux-ci à l'égard des a
le est de rigueur quand l'aliéné ne s'accommode pas des soins de la
famille
. Une famille ne peut entreprendre la cure de plus
ueur quand l'aliéné ne s'accommode pas des soins de la famille. Une
famille
ne peut entreprendre la cure de plus de deux ma
e de l'asile privé, ont également cours à propos des soins dans les
familles
. S'étendent particulièrement aux familles les ins
propos des soins dans les familles. S'étendent particulièrement aux
familles
les inspec- tions trimestrielles que doit prati
à ce qu'elle use de cette faculté sans l'assentiment du conseil de
famille
; 6° toute personne à ce autorisé par le consei
seil de famille ; 6° toute personne à ce autorisé par le conseil de
famille
. S'il résulte d'une opposition notifiée au chef
t entre les ascen- dants, soit entre les descendants, le conseil de
famille
prononcera. I 3 \ VARIA. Néanmoins, si le méd
nnes soumises au placement, qui en donnera immédiate- ment avis aux
familles
. ART. 29.- Les prescriptions de l'article 17 so
dont le place- ment aura été ordonné par le préfet, à moins que la
famille
ne demande son admission dans un établissement
rnée et les pensions payées soit par les départements, soit par les
familles
pour les aliénés à leur charge. Art. 40. La d
on administrative ou de surveillance remplacera celle du conseil de
famille
pour les actes pour lesquels le code exige cette
sujette 1 l'appel. Elle devra être précédée de l'avis du conseil de
famille
, mais seule- ment lorsqu'elle sera demandée par
s danslesdits établissements, comme pensionnaires au compte de leur
famille
, le président du tribunal désignera d'a- vance
M. Charpentier et Garnier, Trésorier : M. Au-. Voisin. Conseil de
Famille
: MM. Luys et Dally sont adjoints aux mem- bres
s et Dally sont adjoints aux mem- bres du bureau pour le Conseil de
famille
. Comité de publication : MM. Dagonet, Dumesnil
s untttcels,11\I. Charpentier ET Trésorier, M. A Voisin; Conseil de
famille
, 1111. Luos et 1).%LLY sont adjoints aux membre
%LLY sont adjoints aux membres du Bureau pour former le. conseil de
famille
. Comité de publication, MM. Dauonet, Dumesnil e
ter.l'Ordre des avocals; il cédait aussi surtout aux conseils de sa
famille
qui avait déjà remarqué chez lui de légers dérang
ès plusieurs années d'observation; et encore ne la rendit-on à sa
famille
qu'après l'avoir placée en observation continue d
rendorff. De l'étal actuel des soins prodigués aux aliénés dans les
familles
à Ilten. L'auteur apporte, un simple complément
pleine voie de développement. Le nombre de psychopathes confiés aux
familles
est aujourd'hui de trente-deux. La progression
oisir les malades qui se prêtent le mieux au succès, de choisir les
familles
qui puissent t consacrer leur temps au traiteme
squ'ici sont satisfaisants. Les rapports entre les malades et leurs
familles
d'adoption ne laissent rien à désirer, la nutri
une profonde et salutaire impression. L'action bien- faisante de la
famille
est manifeste chez la plupart des aliénés : ils
plupart des aliénés : ils se sont admirablement prêtés à la vie de
famille
, ils se sont iden- tifiés avec elle et, de bon
rès de Londres, quand il dit : « Le traitement des aliénés dans les
familles
est totalement organisé'en Ecosse, à ce point q
tages que procure à Itten cette réception de psychopathes dans les
familles
. Il reste une exccttenff impression à qui a obser
t, Motet, Polaillon, Legraud du Saulle, Gram. Membres du conseil de
famille
: MM. Chaude, Chopin d'Arnouville, -de Villiers
rs psychiques et somatiques au-dessus de la moyenne. Ainsi dans les
familles
dont le système nerveux est atteint, l'hérédité
e (mêlée ou unilatérale) est beau- coup plus fréquente que dans les
familles
bien portantes : un vingtième de ces faits conc
ui en constituent l'essence. I. Un garçon de quinze ans, issu d'une
famille
d'aliénés ou suicidés, bien doué et travailleur
âuérdu pavs nuisant' a'ia distraction*' les' 'Preoccup ât i'oii d 6
famille
;1 lé remords ^la* pemaiiie avec u s 1 hallucina
est héréditaire en ce sens que, si un cas de folie éclate dans une
famille
, on finit, en remontant plus ou moins haut dans l
hez les collatéraux ; mais cela ne veut pas dire qu'un membre d'une
famille
étant atteint d'aliéna- tion mentale les autres
is ne change rien aux résolutions prises d'avance. Parfois les deux
familles
se présentent ensemble, ces cas deviennent alors
r le point d'épouser la fille de mon malade. Interrogé par les deux
familles
en présence, j'ai dit ce queje pensais de l'hé-
mon malade reprocha à l'autre groupe d'appartenir lui-même à une
famille
d'aliénés, où les fous, les imbéciles et les idio
aise voie, en ce sens que, beaucoup d'entre eux, pour complaire aux
familles
, leur masquer une vérité pénible, les débarrass
e l'auteur lorsqu'il examine l'hystérique dans ses rapports avec la
famille
, la société, la loi. Et tout d'abord, M. Legran
est là que l'on voit se débattre l'hystérique dans l'intérieur'dela
famille
, et lesméprisescontinuelles de celle-ci, au poi
t, qu'apparaît l'hystérique dans ses rapports non seulement avec la
famille
, mais aussi avec la société. Les actes délictue
lorsqu'après avoir examiné l'hystérique dans ses rap- ports avec la
famille
, le monde, la société, il l'examine au point de
)ter,360. Aliénés criminels, 107, 251,260, 400. Aliénés (soins de
famille
que re- çoivent actuellement les Ilten), d25,
MOSCOU - TROIS CAS D'ATAXIE CÉRÉBELLEUSE HÉRÉDITAIRE DANS LA MÊME
FAMILLE
PAR G. ROSSOLIMO Privat-docent il l'Univers
dans sa manifes- tation multiple, chez plusieurs membres d'une même
famille
. Dans toutes ces observations les phénomènes mo
se trouvent présents chez plusieurs membres appartenant à une même
famille
. Il existe pourtant une série de questions se r
publier l'observation suivante concernant trois membres d'une même
famille
, une soeur et deux frères, dont les deux dernie
bation, tremblements, strabisme. Pas de maladies psychiques dans la
famille
, ni de tuberculose. La famille est d'une cultur
. Pas de maladies psychiques dans la famille, ni de tuberculose. La
famille
est d'une culture intellectuelle peu élevée.
mble des données suivantes : 1° Les malades appartiennent à la même
famille
: 2° La maladie remonte non à la première enfan
e pouvons passer sous silence et qui sont probablement la marque de
famille
. Cest d'abord la distribution particulière de l
t quel- ques années et contracta la syphilis ; à son retour dans sa
famille
, il con- tagionna sa femme qui devint enceinte.
nte. D'ailleurs, toutes ces jeunes femmes ont entre elles un air de
famille
. Ceci s'explique aisément, si l'on se rappelle qu
es personnes que nous voyons ici sont sans doute des por- traits de
famille
. La jeune femme de Jan Steen lui a peut-être serv
. La séparation fut prononcée et ce triste événement plon- gea deux
familles
dans la plus vive affliction (1). » (1) ALIBERT
einte de xérodermie pig- mentaire depuis deux ans, et cadette d'une
famille
de quatre enfants dans laquelle les trois ainés
petits- lils. On compte, pour le moins, vingt-six peintres dans la
famille
! ...Et les oeuvres picturales de cette légion
ne sont pas toujours des co- pies exactes des créations du père de
famille
. La donnée et l'ensemble res- tent les mêmes, m
complète d'antécédents et de symptômes nerveux. Issue d'une robuste
famille
de cultivateurs, l'enfant qui n'avait jamais ét
des pieds. Cesphéno- l, mènes existant chez deux enfants d'une même
famille
, ont apparu chez ' tous deux au même âge. Il
a dû marcher il l'époque normale. A l'âge de il ans elle a suivi sa
famille
à Paris. , . 4 't'âgede 12 ans, elle quitte l'é
fois élucidée par leur apparition chez plusieurs enfants d'une même
famille
dont l'un présente à un moment donné un stigmat
ons du goût qu'avait Jan Steen pour tous les réalismes de la vie de
famille
. Nous dirons donc qu'il s'agit encore ici d'un
enne, est formé par une mère allaitant son enfant. Dans la Scène de
famille
du musée de la Haye, c'est une aïeule qui fait sa
petits, que de tendresse épandue dans cette affectueuse réunion de
famille
! Enfin', Jan Steen n'ignorait. pas les formes
uel van Iloogstraaten était un homme grave, réfléchi, érudit, d'une
famille
d'artistes laborieux. Rien de commun par conséque
plusieurs traductions et dictionnaires longtemps renommés. De cette
famille
laborieuse, Samuel van Iloogstraaten parait être
n ne pouvait pas oublier qu'il comptait au moins un médecin dans sa
famille
. C'est encore un fameux urologue que le jeune d
mblables d'infantilisme se rencontrent parmi les enfants d'une même
famille
, sous le même toit. J'ai vu, dans la -même fa-
Belgique, 1898). 266 E. HERTOGHE vue, par la thyroïdine, dans une
famille
ou mère et enfants étaient atteints de nyctalop
eut y voir un phénomène morbide, que plusieurs personnes de la même
famille
présentent la même particularité. A un degré pl
rouve en même temps que le myxoedème infantile franc dans les mêmes
familles
, sous le même toit, et qu'ils se développent merv
e une autre, mariée, bien portante. La malade est la deuxième de la
famille
. Elle a eu la rougeole, la coquelu- che, la fiè
ons nerveuses chez les collatéraux. La malade est la dernière de la
famille
; réglée à 13 ans, elle l'a toujours été réguli
e soeur bien portants, Il n'y a pas de maladies nerveuses dans la
famille
. La malade est l'aînée ; réglée à 17 ans, elle
autre est mort à 28 mois. Il n'y a pas de maladie nerveuse dans la
famille
. ' Réglée à 14 ans, elle l'a toujours été régul
al que dans le gros public, permet précisément d'expliquer l'air de
famille
commun à toutes ces oeuvres d'art. (1) Cette co
; et cependant leur comparaison met en évidence le véritable air de
famille
que tous présentent. D'une façon générale, l'at
. Poull..., 65 ans, manoeuvre (Pl. LXI, fig. D). Personne dans sa
famille
n'a eu de maladie nerveuse ni d'atrophie muscu-
es de détail, conservent, comme nous le disions au début, un air de
famille
, qui, mieux que toute autre base, constitue un
est interné à la Maison de santé de Ville-Evrard. A aucun moment la
famille
n'a remarqué de modifications notables dans les
ettent, et, pour ce dernier auteur, « on rencontre souvent dans les
familles
d'acromégaliques, une tendance au suicide, de la
s que les maladies nerveuses et men- tales sont fréquentes dans les
familles
d'acromégaliques; et que, d'autre part, les mal
ont une bonne santé. On ne relève pas de maladies nerveuses dans la
famille
. Rien à signaler dans l'enfance. A 12 ans, fièv
tous bien portants. On ne relève pas de maladies nerveuses dans la
famille
. Rien à signaler dans ses antécédents personnel
ite d'une fausse couche. Il n'y a pas de maladies nerveuses dans la
famille
. La malade est née à terme dans de bonnes condi
n Steen a utilisée dans son Alchimiste, du musée de Francfort : une
famille
éplorée, réduite à la plus noire misère, suppli
ions en donnant son petit nom ; elle n'a dit qu'une fois son nom de
famille
. En général elle donne à sa place un mot quelconq
re), je ne sais pas, je ne sais plus rien. Et Louvet ? (nom de sa
famille
) - C'est moi ; peut pas le dire, tllorctcG, Mon
des membres inférieurs survenant chez plusieurs membres d'une même
famille
et pendant plusieurs générations (1). Les faits
ments. Nous reprendrons donc en détail l'histoire de la curieuse
famille
oedé- mateuse que nous avons eu l'occasion d'ob
a malade à s'aliter. Chaque fois, elle est allée se reposer dans sa
famille
; au bout d'un mois ou six semaines, les accidents
ris que sa soeur et elle n'étaient pas les seules personnes de leur
famille
qui fussent affligées de la même infirmité oedé
pas tout : cette difformité s'étend encore à d'autres membres de la
famille
. Observation IV. 1 . A..., âgée de 13 ans, lé
Il mourut brusquement, parait-il, en 48 heures « l'enflure, dit la
famille
, lui étant remontée au coeur ». L'autre oncle e
ute tare. Ainsi, sur deux générations, voici six membres d'une même
famille
, atteints, à des degrés divers, de la môme sing
Observation VIII. Enfin, huitième et dernier représentant de cette
famille
oedémateuse : le père de cette vieille femme, l
s). Schéma généalogique montrant la répartition de l'oedème dans la
famille
de Fe... Sur le schéma de cette dernière, le po
ique encore plus reculé ? .... En résumé, huit personnes de la même
famille
, hommes ou femmes, échelonnées sur quatre génér
er dans chacun des cas pris isolément. Chez aucun des membres de la
famille
que nous avons eu l'occasion d'examiner il n'ex
ne phlébite ? Bien que ce nom soit de- venu d'usage courant dans la
famille
de nos malades, il semble bien super- flu de s'
es indique explicitement qu'aucun cas analogue n'exis- tait dans la
famille
de sa malade. (2) Dhummond, Alcoholic oedema. N
une autre substance toxique n'ont pu être mises en cause dans notre
famille
d'oedémateux. Toute une série d'observations se
des, Fe.... Mais il n'est fait mention d'aucun cas analogue dans la
famille
de la malade de Follet (1). Dans une thèse pa
ant une donnée capitale : c'est la plura- lité des cas dans la même
famille
. Il n'est pas impossible qu'elle ait existé, ma
ès de Bordeaux de 1895, M. Ricochon (1) a rapporté l'histoire d'une
famille
dont les membres ont pendant trois généra- tion
rk médical record. Parmi quatre-vingt dix-sept individus de la même
famille
, échelonnés sur six générations, vingt-deux ont
cun autre trouble local ou général. Et voici la répartition dans la
famille
. lyre génération (1 168) : Mme W., indemne. La
urabondamment démontré. Nous ferons remarquer seulement que dans la
famille
W.. l'oedème n'a jamais dépassé la jambe. On a vu
dème chronique se rencontrera dans plusieurs générations de la même
famille
, on pourra le dire héréditaire. C'est le litre
la dystrophie musculaire frappe souvent plusieurs sujets de la même
famille
; le trophædème héréditaire n'en fait-il pas autan
ans, porteur cependant d'un épithélioma de l'oreille. Dans toute la
famille
on ne connaît personne ayant ou ayant eu une affe
membres supérieurs. On ne connaît pas de maladie semblable dans sa
famille
. Le père a suc- combé à )'age de 79 ans; il ne
pugne point aux propos malicieux. Met- tons qu'elle soit de la même
famille
que Toinette, qu'elle en ait la verve et l'espr
t.), 433, Ataxie cérébelleuse héréditaire (Trois cas dans la même
famille
),par G. ROS80LIMO, 22. Atrophie musculaire et
ferte par M. Bru, économe de Bicêtre ; une matinée offerte par la
famille
Darthenay ; une fête organisée dans la Sibérie
des des préfets ont été beaucoup plus nombreuses, mais, plusieurs
familles
ont préféré reprendre leurs enfants que de les
fant et aussi tenir compte des habitudes qui ont été prises dans la
famille
. A ce sujet, nous croyons bon {1} Bourneville e
nt ne se souille, d'où avantage pour l'enfant et éco- nomie pour la
famille
. Il faut aussi observer les enfants pour se ren
ans les stations balnéaires ou villes d'eaux et cer- tains pères de
famille
, sous les yeux de qui il était tombé, se sont é
e directeur joue le rôle et as- sume la responsabilité d'un père de
famille
. Or, quel père de famille consentirait à laisse
as- sume la responsabilité d'un père de famille. Or, quel père de
famille
consentirait à laisser soumettre ses enfants à de
(Bruit.) M. Le- rolle. Je répète ce qu'on a déjà dit : Quel père de
famille
consentirait à soumettre ses enfants à ce trait
'on aurait pas faites sur d'autres, qu'on ne tolérerait pas dans sa
famille
. M. Deschamps. On vous a dit qu'il n'avait pas
la Commission a bien qualifié ces faits, en demandant quoi père de
famille
suppor- terait cela pour ses enfants. Je fais a
fais appel de vous à vous- mêmes, des hommes de parti aux pères de
famille
, et je vous posera question : « Qui de vous tol
n : « Qui de vous tolérerait cela pour ses enfants ? » Dans toute
famille
où de tels faits se seraient passés, on ne se c
de son autorité elle couvre tout. L'opinion jugera et les pères de
famille
apprécieront (Bruit prolongé.) Voix nombreuse
les deux autres sont bien conformées et intelligentes. « Dans ma
famille
, dit le père d'Ét..., on meurt de maladie de l'es
re homme. Le divorce a été prononcé il y a quel- que temps. Dans sa
famille
, ainsi que nous l'avons vu, l'hérédité est très
s le service, nous prenions nous-même les renseignements auprès des
familles
, antécédents héréditaires, antécédents personne
sique et au point de vue psychique. S'il y a eu des aliénés dans la
famille
placés dans les asiles, prendre note du nom de
et divers, fractures, luxations, brûlures ; sévices exercés par les
familles
. Cause à laquelle les parents attribuent la mal
état de mal. 2° Lorsque ces renseignements ont été donnés par la
famille
, nous prenons ou nous faisons prendre la descrip-
miers et infirmières ne doivent point donner des renseignements aux
familles
sur l'état des enfants qu'ils ne connaissent qu
peu depuis 1879, avait autrefois fumé beaucoup. Caractère doux. [
Famille
du père. Père, bûcheron, sobre, mort à la suite
plus à signaler au point de vue pathologique et psychique dans la
famille
du père.] Mère, 43 ans, couturière, à physionom
odifié les accès, qui n'apparaissaient jamais durant la grossesse. [
Famille
de la mère. Père, menuisier, mort à 75 ans d'un
utres épileptiques, pas de goitreux, ni de myxcedérnateux dans la
famille
.] o · itfèr.e, 57 ans, institutrice, grande, br
ppeler que cette cause, la peur, est fré- quemment invoquée par les
familles
pour expliquer l'apparition du mal comitial. Il
cteur peut s'étonner de la minutie des renseignements concernant la
famille
. Elle a pourtant sa raison. Nous avons dis que
aussi des plaintes qui ne manqueraient pas de surgir de la part des
familles
des aliénées par suite du voisinage des malades
ile régional, plus éloigné, les séparant ainsi c. avantage de leurs
familles
, de leurs amis, rendant par conséquent plus rar
stent pas; on ne laisse pas introduire du vin, on ne laisse pas les
familles
apporter aux malades, on quantité, des liqueurs
mort de tuberculose. Renseignements insuffisants sur le reste de la
famille
. Mère sujette à des céphalalgies . Un frère et un
r. Pas d'idiots, d'épileptiques, de mal- formés dans le reste de la
famille
.] Pas de consanguité. Inégalité d'âge de cinq a
tuberculose en décembre 1890. Renseignements à peu près nuls sur sa
famille
. JHO'e, migraineuse. - Grand'mère maternelle su
sujette à des né- vralgies. Rien de particulier dans le reste de la
famille
. SoeMr morte probablement de tuberculose . - Pa
d'origine italienne, et on ne peut donner de renseignements sur sa
famille
, mais on pense qu'il n'y a jamais eu de cas de
E VERTIGINEUSE ET BROMURE DE CAMPHRE. 'lez Rien dans le reste de la
famille
, ni bègues, ni paralytiques, ni malformés, ni s
'Argyll-ltobertson existait chez les trois malades atteints dans la
famille
, bien que pour l'un d'eux l'absence de syphilis
suisse, il est né à Genève le 18 juin 1864. Il est marié et père de
famille
, (Le Iiépu- blicain Orléanais, 26 juillet 189.)
rfois l'affection se retrou- vait chez plusieurs membres de la même
famille
et tous avaient été frappés dès la naissance :
corps, est maçon de son mé- tier. Il n'y a pas de tousseurs dans la
famille
du père et de la mère. Aucune autre personne ne
lle du père et de la mère. Aucune autre personne ne tremble dans la
famille
. La mère a remarqué que, dès /'t ! g'6 de quinz
s apparaissant chez quelques-uns seulement des membres d'une même
famille
. Nous retrouvons là un élément commun aux diverse
tations de cet état morbide si apparent chez quelques membres de la
famille
et qui n'est peut-être que latent chez les frèr
tion de l'hôpital civil le 13 juillet 1901. Elle est la seule de la
famille
à présenter cette infirmité. C'est une fille de t
nus. Mais il est affirmatif lorsqu'il dit qu'il est le seul dans la
famille
dont les yeux bougent. Lui-même n'a jamais eu d
ent des cas précédents, nous étudions en ce moment l'histoire d'une
famille
dans laquelle 9 personnes sont frappés de Nysta
ajoutés. Il est probable aussi que l'on pourra trouver dans la même
famille
des types différents ressortissant les uns à la
., quarante ans, sommelier, est le troisième enfant d'une nombreuse
famille
. Trois de ses frères sont .morts en bas âge ; d
t-être pour faire courir après moi ; ce jour-là étant une fête de
famille
, elle pensait la déranger et l'assombrir par mon
t la déranger et l'assombrir par mon départ. A mon arrivée toute la
famille
pleurait autour du lit, le corps était insensib
s devinrent de plus en plus névropathes. L'intérêt se limitant à la
famille
, les sentiments familiaux devinrent plus intens
èrement intéressant au point de vue de la persistance dans une même
famille
de formes semblables d'aliénation mentale. R. M
Il se disputait surtout avec sa marâtre, car il était l'aîné de la
famille
et fils d'un premier lit. Hier, armé d'un gros co
'après les histoires de maladie, où a été inscrite leur position de
famille
, peuvent être répartis ainsi : PARALYSIE GÉNÉRA
n seulement analogie, il y a souvent association, soit dans la même
famille
, soit chez le même individu. Ici le tic et l'ob
supporté avec indifférence. Mais les observations insistantes de la
famille
devenues maladroi- tement exagérées ont bientôt
aussitôt il l'éprouve réellement. Plusieurs fois il a donné à sa
famille
de sérieuses inquiétudes. Quand j'arrive, il me s
malades jouissent depuis des siècles de la liberté et de la vie de
famille
, Gheel fut considéré longtemps comme une simple
le embrasse aussi les malades qui sont soi- gnés dans leurs propres
familles
avec ou sans surveillance des autorités. Car, s
t est désirable. Ce côté de la question intéresse non seulement les
familles
elles-mêmes, mais aussi les législateurs et les
charrette, a versé du poison dans la soupe que devait consommer la
famille
. Elle est morte ainsi qu'une de ses fillettes;
'accouche- ments, de Liège, 30 mars 1902.) , LES aliénés dans les
familles
. Sous ce titre : Dix-sept aiis clans une cage,
estreint, on a l'habitude de placer des aliénés en pension chez des
familles
qui habitent la campagne. Cet usage a bien des
une courte promenade. La pauvre malade est mariée, appartient à une
famille
qui vit dans l'aisance et qui l'avait placée en
isposante, lorsqu'il s'agit de deux personnes appartenant à la même
famille
; mais cette cause ne peut plus être invoquée d
inrent de plus en plus modestes, et il aurait laissé en mourant une
famille
complè- tement ruinée, n'eut été la dot de la m
euvre d'un jeune homme de dix-sept ans, J.-M. Pages, vivant dans sa
famille
. L'auteur de ces incendies est un irrespon- sab
ept heures, à Arc-sur-Tille, à 12 kilomètres de Dijon : une mère de
famille
du nom de Régnier, dont le mai est employé aux
t ancienne. Ce l'ut vers la fin du xf siècle que deux princes de la
famille
des Dauphins fondèrent un monastère à Saint-Rob
vroses, il est fréquent d'entendre invoquer par les malades ou leur
famille
, l'influence des traumatismes généraux ou locau
au, constituent une mesure barbare, et pour les malades et pour les
familles
. A tous les médecins qui sont ici de faire comp
ois environ avant de donner satisfaction complète au malade et à sa
famille
. M. Doutrebente (de Blois). Les sorties d'essai
pratiquées en réalité depuis longtemps, soit que l'on rende à leur
famille
des améliorés avant guérison complète, soit que
il municipal nous ont envoyé des enfants, leurs pupilles; plusieurs
familles
nous ont-honoré de la même marque de confiance.
liques qui ont tous, dans l'unifor-' mité de leur délire, un air de
famille
, les dégénérés sont tous dif- férents les uns d
e remit un énorme couteau qu'il prétendait avoir été apporté par la
famille
de cet individu. La chose était inexacte, mais
ns de deux frères atteints de paralysie générale appartenant ci une
famille
de dégénérés. MM. À. Joffroy et Et. L. lA13 ? U
s dissemblables, sont morts de la même maladie ; que dans la même
famille
, se trouvent des manifestations mentales très div
très diverses. L'auteur responsable du mauvais état cérébral de la
famille
entière parait être le grand-père maternel, alc
férable d'éviter ces internements dans l'intérêt du malade et de sa
famille
. En conservant ces malheureux quelques jours de
n'a rien à se reprocher, appartiendrait-elle donc, dit-elle, à une
famille
sur laquelle pèse quelque malédiction ? Son niv
NTES. 403 faire qui puisse la compromettre ou porter préjudice à sa
famille
et surtout à ses enfants. Lorsque nous lui dema
ques, ni difformes, ni suicidés, ni prostituées dans le reste de la
famille
maternelle. Pas de consanguinité (père savoyard
médiaire de la surveillante, la placer comme domestique dans une
famille
de la commune où elle s'est parfaitement condui
onde observation a trait à une jeune idiote de dix ans, issue d'une
famille
de névropathes, indemne de paralysie ou de symp
nt, malgré ces va- riantes, ces observations conservent « un air de
famille
qui, mieux « que toute autre base, constitue un
que : les mala- dies nerveuses et mentales sont fréquentes dans les
familles
d'a- cromégaliques, les malades eux-mêmes prése
ouveler l'ambiance et de libérer totalement le malade des soucis de
famille
et des préoccupations d'affaires : ce sera parf
Dt L. Picqué, chirurgien en chef des asiles, au nom des amis de la
famille
. Une foule nombreuse, parmi laquelle on voyait
but de la maladie : le meilleur traitement, c'est l'isolement de la
famille
et des habi- tudes antérieures, isolement qui d
les autopsies sont faites ici, il moins d'op- position formelle des
familles
, ce qui est fort rare d'ailleurs, l'in- terne l
ovisoires à titre d'essai. Si l'amélioration se maintient et que la
famille
veuille conserver le malade on régula- rise la
ment lorsque les infirmiers jouissent, pour eux- mêmes et pour leur
famille
, de conditions favorables d'habitation : ce qui
hytérique ou hystéro-neu- rasthénique et peut, dans le milieu de la
famille
ou de l'inti- mité se présenter sous forme de p
termédiaires existent pourtant ; on en trouve des exemples dans les
familles
, dans les écoles où ces enfants sont qualifiés
urtout dans les classes pauvres, les filles idiotes vivre dans leur
famille
en butte aux attentats d'individus sans scrupul
l(tl Science, janvier 1901). - Friedrieli Nietzche descendait d'une
famille
noble polonaise que les persécutions religieuse
Olla Hausson nous apprend que depuis plusieurs générations, dans la
famille
de sa mère comme dans celle de son père il y av
191. Dans un asile d' , 191. Les en liberté, 283. Les dans les
familles
, 286. Asiles d' -. Nominations et promotions,
vation de deux frères atteints de - géné- iale, appartenant à une
famille
de dégénérés, par JotFroy et lia- baud, 309 L
ont repris la vie normale. Deux d'entre elles sont mariées, mères de
famille
, jouissent d'une excellente santé et n'ont plus d
était arrivé fréquemment de poursuivre son mari et les membres de sa
famille
avec un couteau. Quoique peu disposée à reconna
à ces impulsions qui compromettaient la dignité et la sécurité de la
famille
? Il résulte de ce que nous venons de dire, que
. 11 y a aussi des aliénés du côté de la mère. D'autres membres de la
famille
se distinguent par leur caractère violent et exce
t excentrique. 11 n'y a pas à ma connaissance d'alcoolique dans cette
famille
. M. B.. notre malade, est un type de dégénéré d
er a M. le Dr Mesnet, médecin de l'Hôtel-Dieu. retenu par un deuil de
famille
, toute sa reconnaissance pour la part prise par l
dèle réalité que peignait, par exemple, la terreur sur ses deniers la
famille
Hostilia... Dans toutes les races et à tous les â
mblance physique et psychique entre les différents membres d'une même
famille
(physionomie, intelligence, émotions, caractères,
iers est encore élevé : une partie d'entre eux sont réclamés par leur
famille
; les autres doivent être inhumés par les soins de
ujours par la position sociale des personnes ou des considérations de
famille
, variété d'aménorrhée dont on trouve l'expression
quer la catalepsie : je m'aperçus bientôt, ce qui fut confirmé par ta
famille
, que toute docile qu'elle était, son premier mouv
à sa tendance instinctive a la contre-suggestion. Je recommandai à sa
famille
de ne jamais parler devant elle de ses crises et
peuvent plus pourvoir eux-mêmes a leurs besoins, aux besoins de leur
famille
. C'est à eux que sont destinés des établissements
séances consécutives ne font que confirmer un succès qui surprend sa
famille
et ses intimes. Plusieurs fois depuis cette épo
idérable dans l'application du traitement. Un enfant qui vit dans une
famille
disposée à seconder avec intelligence tous les ef
me : Etude psychologique et clinique sur les dégénérés buveurs et les
familles
d'ivrognes, par le Dr M. Legrain, avec une prefac
point tout. Plus tard, quand l'enfant devenu adolescent sortira de la
famille
, quand il ira à l'atelier, le péril ne sera pas m
enseignements sur ses parents. Il appartient, dit-il. à une honorable
famille
de l'Anjou et n'eut jamais sous les yeux que de b
art des cas, la première chose a faire sera d'éloigner l'enfant de sa
famille
, de le séparer de ses parents, c'est-à-dire de l'
t la lettre, ils procédèrent comme il suit : A minuit, un ami de la
famille
, mandé pour la circonstance, se coucha dans un ce
htstérie » (1). où il est question de plusieurs individus d'une même
famille
, 'qui à la suite de !a mise en œuvre des procédés
s ou fous, les seuls sur lesquels est permis, sur la demande de leurs
familles
, exercer une violence dans le but de les hypnotis
t. C'est, en effet, une-scène horrible et impossible dans le sein des
familles
, ce qui se produit quand on attache sur un fauteu
ut positivement dû à des obtacles et à des suggestions opposées de la
famille
de la malade, au résultat que je me proposais, et
les tous peuvent rarement être traités efficacement au sein de leurs
familles
; mais non détruire la sûreté d'expériences répét
n ne sera pas surpris que la folie ait apparu dans toutes les grandes
familles
régnantes. Dès les temps historiques les plus rec
ns dans la dynastie babylonienne et dans la dynastie persane, dans la
famille
Julia, dans celle de Charlemagne, dans la famille
ie persane, dans la famille Julia, dans celle de Charlemagne, dans la
famille
royale d Espagne, et dans beaucoup de maisons roy
considèrent comme de mauvais goût de faire allusion aux femmes d'une
famille
. A sa mort il ne laissa qu'un fils, que son vieux
ient le feu à leurs maisons et se retiraient dans les bois avec leurs
familles
et leur bétail. Beaucoup de villes populeuses fur
un bibliophile ) BIBLIOGRAPHIE Du traitement des Aliénés dans les
familles
. Par Ch. Féré, in-12, Alcan. Paris. On se pla
ir si la maladie fait véritablement plus de victimes ou si plutôt les
familles
se rendant mieux campte de l'intérêt de leurs mal
e, l'auteur montre tes avantages de l'assistance des aliénés dans les
familles
; il s'appuie sur les résultats fournis par les i
ns, et les principales difficultés du traitement des aliénés dans les
familles
. Ne pouvant entrer ici dans l'examen de chacun de
omplet, des conditions nécessaires au traitement des aliènes dans les
familles
, suffira pour faire comprendre que ce traitement
xquelles ils se sont prêtés inconsciemment. D'autres fois ce sont des
familles
qui se plaignent qu'on ai tait accomplir a des pe
se plus dans ce bas monde, ni son père, ni toute autre personne de sa
famille
; il lui est inutile de vivre ; elle embarrasse t
mére, quoique d'un tempérament nerveux, est la mieux équilibrée de la
famille
.énergique et laborieuse. X... n'a jamaiseu de m
, c'est-à-dire une hystérie en forme de clownisme. Le docteur et la
famille
me demandèrent alors à la recevoir, à Montpellier
age. Je savais, de plus, par le docteur X—, qu'elle appartenait à une
famille
fort honorable, et je tenais, de sa mère elle-mêm
la façon de certaines gens du peuple, pousse des cris, se lamente en
famille
, mais ne songe pas à poursuivre le coupable, ou d
ité d'une grossesse, dont la révélation est la cause, pour elle et sa
famille
, d'un affreux chagrin. On endort la jeune fille
manière suivante : La jeune fille, bien que très surveillée par sa
famille
, a eu un amant. Elle est devenue enceinte en mars
est bien connu dans le public comme médecin de plusieurs membres des
familles
souveraines de l'Europe, en outre le monde médi
criminalité créole proprement dite: le relâchement des mœurs et de la
famille
, l'alcoolisme, l'abus de l'opium, la superstition
es manœuvres abortives (brochure in-8° 1889). Dr Émile Laurent. — Une
famille
de dégénérés incendiaires : (Brochure in-8° 188
son mari et ses enfants recevait chez elle un jeune homme, ami de sa
famille
, Chambige. Un jour, on la trouve dans un pavillon
ntre eux, la pauvre femme écrivait à je ne sais quelle personne de sa
famille
une lettre calme et sereine, elle y parlait de so
a candeur même. Elevée dans des principes sévères de moralité dont sa
famille
lui donnait l'exemple, c'était la femme du devoir
e le craignait. Je tiens ce détail de quelqu'un qui était lié avec sa
famille
, qui la connaissait fort bien elle-même, ainsi qu
cas signalé par le docteur Bellanger (1): Une jeune fille de bonne
famille
, fort intelligente, d'un caractère doux et affect
té extraordinaire, de longue main, et de perpétrer l'assassinat d'une
famille
entière de sept ou huit personnes. II attire le p
ar je ne sais quelle combinaison réaliser la modeste fortune de cette
famille
exterminée. Quelle ingénuosité extrême, quelle sé
ent, d'ailleurs, pour faire sentir l'influence d une tare nerveuse de
famille
. La mère était excessivement émotive, peureuse,
Personne ne pense plus A lui. il est indigne; il ne guérira pas ; sa
famille
n'existe plus, etc. Pendant quelques jours il off
res qu'il reçoit, parce qu'il n'a plus le droit de faire partie de sa
famille
, prétend qu'il sortira de l'asile en passant par
onnera-t-on point que la première préoccupation de certaines mères de
famille
, lorsqu'elles ont le bonheur de posséder leur enf
'HYPNOTISME nement point des pédagogues , ces hommes n'ont point de
famille
, ils n'ont jamais vu d'enfants ou, s'ils en ont v
mmes et un homme. L'ensemble de ces observations présente un air de
famille
, qui démontre, a priori, leur commune origine; tr
l'un de l'autre, comme se distinguent les différents êtres d'une même
famille
, par quelques caractères propres à l'individu, qu
l'habitude de courir la nuits sur les toits. Ainsi tous, dans cette
famille
, présentaient une grande faiblesse de constitutio
normal m isp^tute. Dès lors, a-t-ildlt. on peut s'attendre à voir la
famille
rèclam:r sa mise en liberté. Si on la refuse, il
la jambe une plaque d'œdéme bleu noirâtre, qui inquiéta a ce point la
famille
que le chirurgien mandé en toute hâte s'empressa
sionnées. IV Puis cet enfant qui ne connaissait que la cuisine de
famille
, les petits plats succulents que préparait la mèr
iènes (nouvelle législation sur les), 318. Aliénés traités dans les
familles
, 224 Agraphie (un cas d'), 220. American soci
traction d'une loupe, pendant le sommeil hypnotique, par Fort, 143.
Familles
(du traitement des aliénés dans les), par Féré,
'un traitement très irrégulièrement suivi, le malade fut rendu à sa
famille
le 1 Il juillet 1883. Il revint au Havre dans c
ans lequel nous trouvons S... le 15 juillet 1885., au Havre dans sa
famille
, état dont nous complétons l'exposé au moyen de
x et nous demande avec insistance quand il pourra retourner dans sa
famille
. De temps en temps, il prononce encore le mot m
ès sans modifications jusqu'à présent. 1'le X... appartient à une
famille
qui est dans une position très élevée. Son éduc
de leur délivrer des médicaments à prix réduit. P. K. X. Sur les
familles
nerveuses; par P.-J. Atoalus. (Allg. Zeitsch. f.
nclusions. Les affections les plus graves se sont montrées dans les
familles
où il y avait, soit transmission multiple (bila
diathèse névropathique : durée delà vie et fécondité comme dans les
familles
saines; seules REVUE DE pathologie mentale. 79
mariage à des héréditaires jusque-là sains, mais il faut avertir la
famille
in- demne des dangers d'une pareille alliance,
oncierge n'a que fort rarement pu pénétrer chez lui. D... a de la
famille
à Paris, mais il vit éloigné d'elle, se souvenant
es. Mais nul n'a constaté l'atrémie proprement dite de Neftel. la
famille
et considérations sur l'opium. Après avoir gémi s
ter ces mau- vaises conditions. Depuis de longues années (1767), sa
famille
a fondé un asile que les fils aînés se transmet
- pagnée ou non de conceptions délirantes, à la condition que les
familles
surveillent leurs malades, qu'on n'ait à redouter
née aux travaux domestiques. Ni les antécédents pathologiques de la
famille
de la malade, ni les siens propres n'ont aucune r
es hôpitaux d'aliénés des com- munes, et 52 retournèrent dans leurs
familles
, etc., etc. Depuis l'année 1873-1874, où le chi
ard, est aussi héré- ditaire que la folie ou l'épilepsie... Dans la
famille
sur laquelle j'expérimentais il y ayahçuatre sa
ux, une .soeur atteinte de la même affec- tion. 1 V. Ch. Féré. La
Famille
néuropatlcique. (Archives de Neurologie, 1884,
tarde pas à être pris à son tour. C'est à l'école, c'est dans la
famille
, que le profes- seur ou les parents s'aperçoive
, des femmes, des jeunes filles, de jeunes garçons d'excel- lente
famille
, parfaitement élevés, remplacent un cri inartic
ue la folie ou l'épilepsie, nous dit l'auteur américain : dans la
famille
où j'expérimentais, il y avait quatre sauteurs
cause connue, et même coexister chez différents membres d'une même
famille
; c'est alors que les difficultés peuvent deveni
ptiques; pas de difformes, ni de sui- cides ou de criminels dans la
famille
.] Mère, trente-cinq ans, journalière, femme de
es détails sur elles. Il y aurait eu plusieurs paralytiques dans la
famille
. Pas d'autres suicides. Une Cr..., à un degré de
e Espagnole et je ne puis pas donner d'autres renseignements sur ma
famille
.] - Pas de con- sanguinité. Six enfants dont
es, de la puissance génératrice et des conditions hy- giéniques des
familles
, du caractère de la grossesse envisagée en soi
x autres accouchements, du mode d'évolu- tion de l'idiotie dans les
familles
d'ivrogues et de son degré, du genre de mort de
elle de coït normal. Tel autre homme très bien, très rangé, père de
famille
, etc., a des accès autrement curieux : on lui p
ait temps d'en finir et on lâchait le malade qui ren- trait dans sa
famille
. Ces attaques se répétaient deux fois par an. M
11 a quelques accès d'é- pilepsie. Fiancé à une demoiselle de bonne
famille
, il arrive le jour de la noce, accompagné de so
sont confirmés par les travaux de Monteyell sur l'hérédité dans les
familles
dégé- nérées psychiquement. (Joumt. of tteruous
ne incontinence d'urines nocturne intermittente.Il n'existe dans sa
famille
aucune maladie du système nerveux. 11 présente
s, de paralytiques, de difformes, de suicides, de criminels dans la
famille
. 1 DU CURARE DANS L ÉPILEPSIE. 321 Mère, quar
ital de Saint-Nicolas, le 12 mars 4 884. La malade appartient à une
famille
de psychopathes. Son aieul (maternel) se distin
tions réitérées qu'on parvient à obtenir des réponses brèves sur sa
famille
, son mari, son âge, etc... Elle est ordinaireme
ité et l'asymétrie delà tête a toujours existé. Il appartient à une
famille
d'aliénés et d'é- pileptiques. Quand on apprit
e dans un tableau trop significatif, la géiiéa- logie d'Inisdea. Sa
famille
, véritable type d'hérédité morbide, compte trei
ves. Aussi est-ce de tradition que l'on soigne des aliénés dans les
familles
, ces soins formant en somme la res- source du p
es admissions directes, et même faire mettre en traitement dans les
familles
des cas aigus, à son gré. On ne s'inquiète pas,
aigus, à son gré. On ne s'inquiète pas, pour l'évacuation dans les
familles
, du lieu de séjour, on examine simplement le no
traite des malades depuis 600 ans. C'est la que les soins dans les
familles
ont acquis le degré de développement et d'organ
n'est pas de médecin qui n'ait vu des malades apportés du sein des
familles
complètement gâteux, devenir complètement propres
e clos; 6° Choisir avec rigueur les malades à introduire dans les
familles
; en exclure systématiquement les manies chronique
Gheel, malgré les règlements formels, on a confié des aliénés à des
familles
trop besogneuses. Voyez plutôt Winkeloomsheide.
nt insuffisante ; du reste, avec la meilleure volonté du monde, les
familles
pauvres ne sauraient le remplir complètement (v
ui a tout vu sans parti pris pense que le soin des aliénés dans les
familles
, tel qu'on le pratique à Gheel, a une réelle im
à Ilten organisé à petites doses le traitement des aliénés dans les
familles
'. Institué par Waiirendorff avec l'autorisatio
la suite d'un grand bain. Le choix du malade à installer dans la
famille
n'a lieu qu'après une longue observation préala
stématique). Les déments, on n'hésite pas à les transférer dans les
familles
; quant aux fous systématiques, on en étudie les
sensorielles. Les paralytiques généraux sont également confiés aux
familles
quand, appartenant à la forme démente, ils ne son
e réaction à l'égard du monde extérieur, s'améliora si bien dans la
famille
, . qu'au bout de dix mois, non seulement son ha
ets moins éclatants permettent d'affirmer que le traitement dans la
famille
exécuté avec circons- pection à Ilteu et dans l
èce d'occupation, ils se mettent graduellement à travailler dans la
famille
, ils s'associent, s'amalgament avec le milieu d'a
asiles fermés ? On peut parer. Conclusion. Le traitement dans les
familles
constitue un moyen capable de retarder la déché
d'Elle77. Dans ce village, sont aujourd'hui en traitement, dans les
familles
, 40G malades, dont 20 ne sont pas aliénés. Avant
temps, les réintégrer à l'asile fermé. Sur ceux qui vivent dans les
familles
, il y a deux tiers d'hommes, un tiers de femmes
t ans, sont imbéciles de naissance. Hérédité et prédisposition de
famille
. Elle existait : 420 SOCIÉTÉS SAVANTES. ouver
. Faciale (un cas d'atrophie uni- latérale), par Bernhardt, 65.
Familles
nerveuses, par Moebius 78. Galvanomètre verti
ves aux mala- dies fébriles), par Kirn, 71; - (traitement dans la
famille
et par l'opium, 125. Psyctioses(etcarcitioiii
ié, s’asseyait sur le bord de son lit, et se mettait à causer avec sa
famille
qui faisait la veille, puis, après avoir conversé
en vous rendre, avec la somnambule que vous dirigez, au sein de notre
famille
médicale, afin d’apporter la conviction des phéno
ng-frappé. J’avais été vivement ému d’un fait qui s’est passé dans ma
famille
et qui vient à l’appui de votre doctrine. J’hés
e milieu', je vous prie, pouvait- elle se pénétrer du sentiment de la
famille
, rencontrer et l’amitié, et l’amour et le dévouem
pièce d’artillerie, qui ne bougea plus. Le 4 juillet, au milieu de la
famille
du docteur B***, je reparlai de cette espièglerie
eux qui ont traité la question, et h leur têle Deleuze, c’est dans la
famille
seulement, ou entre amis intimes, que peuvent s'e
eraient de temps ; que leur temps, c’est leur fortune, la vie do leur
famille
. Ceci se réduit évidemment à une question de dépe
l n’avait que sept mois lorsqu’il est mort. — « Je veille sur notre
famille
, et, pour que tu n’en doutes pas, je viens t’aver
chez le docteur ***, nous étions six témoins (quatre personnes de la
famille
, un jeune ingénieur et moi), lorsque nous entendî
; la fraternité et l’union s’établiront entre tous les membres de la
famille
humaine ; les principes de l’amour de Dieu et du
réveiller, et nous irons ensemble chez votre oncle, afin d’avertir la
famille
contre le danger que vous reconnaissez. — On ne n
andes qualités d'obligeance, était sollicitée vivement en laveurd’une
famille
dans la gène. Mm* M'" venait de s’engager tout no
nobstant cela, de disposer d’un millier de francs au secours de celle
famille
, si mon intercession n'avait rien d’indiscret. Je
t. (3) Suivant la Genèse, quand Jacob, après avoir fait pass;r à sa
famille
le gué de Jaboc, y fut demeuré seul : « Il paru
suis guéri. » Il voulut s’habiller et descendre pour dîner avec sa
famille
. Le matin encore, ses jambes ne pouvaient le supp
r sous silence l’accueil aimable que les visiteurs reçoivent de cette
famille
affligée, ni les soins empressés, incessants, don
, et elle espérait recouvrer l’odorat lorsque je cessai de voir cette
famille
, et dès lors aussi ils ont renoncé à tout secours
crotales, les pythons, les boas, toute cette brillante et redoutable
famille
lui sert comme de jouets, et elle renouvelle sur
x qui, arrivés plus tard, auraient voulu prendre part à cette fête de
famille
. Nous ne craignons pas de l’avouer, ce qui nous
les uns aux autres, se trouvaient, à peine entrés, u leur aise et en
famille
, en ne voyant autour d’eux que des visages amis e
en effet, ce qu’après lui nous voulons tous, faire descendre dans la
famille
les principes d’une médecine naturelle, bien supé
ion, ni illusion. Des manifestations semblables ont eu lieu dans la
famille
de M. Rymer avant que M. Hume partit pour l’Angle
x. « J’habitais, depuis quelques mois, la Corse quand un malheur de
famille
, aussi terrible que foudroyant, vint me frapper c
s raisons de penser ainsi. Je fis part de ma secrète résolution à une
famille
amie, qui, elle aussi, avait été douloureusement
jeune femme, mariée depuis trois ans à peine. Une fille restait à la
famille
de C***, dont le chef était conservateur des forê
atement à Toulouse, d’où, après avoir consacré quelques semaines à ma
famille
, je continuai ma route sur Paris, stationnant à T
ce que l’on regretterait bientôt. « — Je ne puis comprendre que la
famille
de C*** ou moi regrettions ce que nous désirons
répète, de travailler à une chose qui serait ensuite déplorée par la
famille
, objecta la somnambule. « — Mais, vous vous tro
« Ma lettre, qui fut un événement singulier et inattendu,, livra la
famille
de C*** à tous les calculs possibles de probabili
ne d’elles ne connaissait ni le nom de Peter Rovy ( ce dernier nom de
famille
est inconnu à toutes les personnes auxquelles j’e
ême geme.) Je quittai Paris, et, lié d’une intime affection avec la
famille
R...... — dont, malgré mes 50 ans, les chefs ont
e qu’on le prétend, doit donc, au contraire, être introduite dans les
familles
, et c’est dans ce but, dans cet unique but, que v
aque jour à une porte, que, clans l’intérêt bien entendu de la grande
famille
humaine, on doit craindre de voir s’ouvrir?... Le
its de cette science de Dieu seront perdus pour les peuples, pour les
familles
, auxquels elle a été destinée, de tous les temps,
re que la méthode Raspali de 1 Ir. 26, et de manière il ce que chaque
famille
puisse en avoir un exemplaire. . . Pour bien
te qui lui occasionna plusieurs blessures à la tête. Un insecte de la
famille
des myriapodes, qui ont l’habitude de fuir l'air
ans tel royaume où on défend encore le magnétisme, le souverain et sa
famille
l’étudient en secret. Tel autre roi également a r
s justifle son électricité vitale. Ainsi les naturalistes ont fait la
famille
des félins qui emprunte son nom au genre chat (fe
phe ses béquilles désormais inutiles aux yeux de ses voisins et de sa
famille
frappés d’étonnement. Quatre jours après, il se
omparer qu’à un pain de deux livres. Cette enfant, seul soutien de sa
famille
, était dans un état qui ne lui permettait plus de
elle s’assied sur lui et l’embrasse. Pendant mon séjour dans cette
famille
, j’avais été fréquemment témoin de scènes de ce g
ne, même ses plus proches parents. Un jour, au grand étonnement de sa
famille
, elle demanda à écrire. On lui donna tout ce qu’i
mais elle ne connaissait pas un mot d’anglais, et personne , dans sa
famille
ni dans son entourage, ne savait cette Langue. On
avoir chez lui une réunion à laquelle assisteraient les membres de sa
famille
curieux d’examiner les phénomènes merveilleux don
rès des personnes qu’il intéressait ; mais, par considération pour la
famille
du malheureux commis, en faveur duquel le négocia
écemment en Provence, de rencontrer l’épouse d’un des membres de ma
famille
, une cousine malade et au lit, à la suite d’une i
frappé. La nouvelle s’en répandit bientôt partout, et surtout dans ma
famille
qui est très-nombreuse ; j’y pus même encore obse
ts. Elle devint naturellement somnambule, ce qui frappa de terreur sa
famille
qui n’avait jamais entendu parler de rien de semb
ent; elle a guéri sa sœur d’une affection au foie ; elle a éclairé sa
famille
sur plusieurs faits qui l’intéressaient. On avait
ne épreuve que Dieu lui envoyait ; elle exhortait les personnes de sa
famille
à prier pour elle ; elle recourait particulièreme
t, à rentrer dans l’état normal. Puisse un pareil exemple prouver aux
familles
combien ou est coupable de dédaignai- les bienfai
t impuissant à la sauver, et elle répétait sur son lit de douleurs sa
famille
navrée : « Oh ! il n’y a que M. G... qui puisse m
s une minute : il s’agissait de tenter une guérison pour consoler une
famille
. 11 trouva la malade en proie à une fièvre si i
plus tard, un de ses successeurs, l’abbé Anson (1). 11 était né d’une
famille
opulente à Floyon , près d’Avesnes , en Hai-naut,
à cette journée célèbre, un jeune officier issu d’une des plus nobles
familles
du Hainaut. Aussitôt que la nouvelle de la batail
onnaissant le philosophe que de nom, s’obstinent à le classer dans la
famille
des Mahomet et des Jo. Smith. D’ailleurs, ce n’
mer du danger que je courais et les engager à envoyer quelqu’un de ma
famille
près de moi pour 1 aider à me soigner. Craignant
e savoir que probablement j'allais avoir la visite de quelqu’un de ma
famille
; pourtant, ne voulant point non plus me laisser
ette solidarité, il en existe une entre tous les membres de la grande
famille
humaine, qui, malgré leur inégalité de développem
jamais pu entendre prononcer le nom de ma mère, ni rien savoir sur ma
famille
, se trouva indisposée. Un médium lui ayant consei
r chez lui, il manqua le paquebot et ne put par conséquent joindre sa
famille
avant deux jours. Tourmenté de l’inquiétude qu’il
médium de Terre-Haute (comme on l’a su depuis) se rendit auprès de la
famille
du Monsieur absent et rapporta précisément ce qui
rémonie, son étendard à la main. Elle voulut alors se retirer dans sa
famille
, disant que sa mission était remplie ; mais le ro
elle il expliquait ainsi la cause de son suicide: « J’ai hérité de ma
famille
ci’une fatale monomanie. Mon père, deux de mes fr
r- rassé. Que répondre à celui qui affirme descendre d'une grande
famille
, être l'objet de tracasseries, avoir été en butte
son d'être chez celui qui la for- mule. Un ouvrier se prétend d'une
famille
princière ; une dame se dit recherchée ostensib
s et demi, il est très surmené dans son service; il a une nombreuse
famille
et n'a qu'un petit salaire, des dettes, des sou
t être condamné aux brasiers éternels, et qu'il ne peut empêcher sa
famille
de subir le même sort que par ce que l'on appel
une thyroï- dite infectieuse accidentelle, les cas où, dans la même
famille
, il y a plusieurs sujets atteints d'affections
e du 24 avril 1899. PRÉSIDENCE DE M. J. Voisin. L'hérédité dans les
familles
d'aliénés et la théorie générale de l'hérédité.
tiques, statistiques très nombreuses et portant sur des chiffres de
familles
examinées, allant parfois jusqu'à deux cent cin
ée et ci plus forte raison opérée, sans le consentement écrit de la
famille
. Toutes les interventions gynécologiques ont ét
tifiée. L'initiative que nous avons prise, avec le consentement des
familles
, et en dehors de toute idée préconçue sur les r
nces de jumeaux et de trois jumeaux sont très fré- quentes dans les
familles
où sont des idiots. En Norvège l'auteur a trouv
trouvé jusqu'à 10 et 14 p. 100 des nais- sances de jumeaux dans les
familles
où sont des idiots; dans les autres familles on
es de jumeaux dans les familles où sont des idiots; dans les autres
familles
on ne trouve que 1,3 p. 100; dans 4 à 5 p. 100 de
isation et ne s'attirait que des sarcasmes. 11 ne reste pas dans sa
famille
; il vient à Montauban, colportant çà et là des
persuadé qu'il accomplissait un devoir, en quittant sa femme et sa
famille
, et en parcourant les routes, la Bible à la mai
1884, il est arrêté comme vagabond, puis expulsé. Revenu dans sa
famille
, il recommence à travailler, sans aban- donner
lui, il continua la même existence de déséquilibré, inquiétant sa
famille
par ses tendances délirantes de plus en plus accu
hampagne. L'idée lui vint peu à peu qu'il était le descendant d'une
famille
ayant régné sur la France. Un jour, en mettant
omme avait été assassiné. A quelque temps de là, dans un conseil de
famille
, il entendit le dialogue suivant entre l'aîné d
ix de femme, s'écria : « Au revoir Alphonse ! » J'en conclus que ma
famille
et moi, sommes enserrés dans un filet à ne pouv
Wernicke la voit, trois ans après le début de sa maladie, dans une
famille
amie dont elle était l'hôtesse et où elle se re
bonne harmonie avec sa femme, il l'autorisa à se retirer dans sa
famille
jusqu'après ses couches, ignorant qu'il existait
était encore à Paris. Le soir, elle mourait ayant auprès d'elle sa
famille
qui s'était emparée de tout ce qui se trouvait ch
ur lui un trait de lumière; tout s'expliquait, les manoeuvres de la
famille
de sa femme et la substitution de l'enfant : le b
qu'un odieux chantage. Tous ceux qui l'entourent sont payés par la
famille
de sa femme pour le faire disparaître, dans la
édents. Chen... est né à Artos (Isère) le 3 décembre 1876, dans une
famille
robuste. D'après lui, son père est rhumatisant
très jeunes. Tuberculose du côté maternel. Pas d'épilepsie dans sa
famille
. 1 Troisier. Sole sur l'état de la moelle épill
tit pas nécessairement, ainsi qu'on l'a dit, à l'extinc- tion de la
famille
, même à la quatrième génération, mais imprime à
les trois premières années du mariage, mais malgré l'attrait de la
famille
, les satisfactions que lui procure son intérieu
es les fois que le sommeil hypnotique n'aura pas été accepté par la
famille
, ou que, après avoir été accepté par cette dern
asmodique pendant le coït. M. Paul Fanez. Une femme mariée, mère de
famille
, âgée de 30 ans, laisse échapper inconsciemment
remplacent mutuellement ; 3° La folie remplace la phtisie dans les
familles
de tuberculeux par une sorte de transformation
fiée. Il n'existeentre la tuberculose et la folie frappant une même
famille
que le lien très général créé par la dégénéresc
peut avoir une réelle valeur inductive. Le fait d'appartenir à une
famille
décimée par la tuberculose n'est pas moins impo
e parle pas, n'articule aucun mot. Il aurait (d'après le dire de sa
famille
) perdu la parole le 11 no- vembre 1896, après u
s n'ayons pas eu connaissance de l'existence d'autres tares dans sa
famille
, il n'en reste pas moins établi que notre malad
é conduite à l'asile par sa nièce et un voisin ; aucun membre de la
famille
n'est venu assister à l'enterrement. Il. Etal
exions. 1° Il est regrettable qu'il n'ait pu nous être fourni parla
famille
aucun renseignement sur les anté- cédents de la
i une maladie familiale puisqu'elle atteint deux membres d'une même
famille
et tout jeunes (on sait que cette maladie est r
s accidents, les malades peuvent en général ètre soignés dans leurs
familles
ce qui explique, en partie, la rareté relative
tion de la malade). Couturière, âgée de vingt-huit ans, issue d'une
famille
d'alcoo- liques et dont une soeur est hystériqu
olle. - Une dame de cinquante-cinq ans, appartenant à une honorable
famille
des environs de Rennes, s'est présentée hier so
ire qu'elle ne parait pas jouir de la plénitude de ses facultés. La
famille
a été avertie. (Petite Gironde, 21 août.) Au vi
poitricze altri6zcée ci l'ulcoolisme.- Fas de renseignements sur la
famille
¡Jutemelle. -1llèl'e, nerveuse, morte ci trente-d
veuses, congestion cérébrale. Pas d'autres renseignements sur la
famille
maternelle. - Frère arriéré. - il utre frère très
ents fournis par la grand'mère pater- nelle et par le médecin de la
famille
). - Père, négociant en vins, excellent sujet, m
tante, intelligente, nerveuse. Pas d'autres renseignements sur la
famille
paternelle. Mère « névropathe des plus accentué
brale. Un frère bien portant, sobre. Pas d'alie- nés, etc., dans la
famille
. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de six a
n placement dans un établissement spécial. La crainte de quitter sa
famille
provoqua chez l'enfant une rémission ; mais pen
acte individuel, mais comme un fait collectif imputable à toute une
famille
, ou toute une tribu, - non pas comme la violation
e provoquer la vengeance de quelqu'un. Le premier souci dans chaque
famille
était de s'assurer un héritier mâle, non pas se
culte des ancêtres, mais pour avoir en lui un vengeur. A l'égard de
familles
sans vengeur, les actes d'autres familles n'ent
n vengeur. A l'égard de familles sans vengeur, les actes d'autres
familles
n'entraînant aucune responsabilité effective, éta
esponsabilité purement maté- rielle, objective, d'une collectivité,
famille
ou clan, un résultat de 428 BIBLIOGRAPHIE. l'
dignes de porter ce nom », sont ceux commis dans le sein même de la
famille
, entre parents. Ceux-là restent non vengés. Ils
rmée, de parti à parti, se sont substituées de la sorte à celles de
famille
à famille, de clan à clan, qu'elles reproduisent
arti à parti, se sont substituées de la sorte à celles de famille à
famille
, de clan à clan, qu'elles reproduisent en les a
l y a trois ans de troubles qua- lifiés « Fièvre cérébrale » par la
famille
. Les renseignements recueillis près du médecin
doléances de ces malheureux, relégués dans les asiles loin de leurs
familles
et de leurs pays. L'idée du traitement individu
imple et facile, protéger les malades et sauvegarder la dignité des
familles
tout en enrayant un n peu l'encombrement progre
ne cuirasse, des fourmille- ments dans les membres inférieurs. Sa
famille
inquiète le conduisit à la consultation de la Sal
regarde fumant sa pipe dans le ventre d'un cochon vivant, toute la
famille
entre dans le ventre d'un éléphant couché sur le
ission se maintient pendant deux mois et Eugène X... est rendu à sa
famille
le 29 novembre 18'.n, se portant bien physiquem
xication chronique; ni syphilis, ni tuberculose. Aucun traumatisme.
Famille
névropa- lhique ; les deux soeurs sont hystériq
ux, dont il était le directeur depuis le 20 août 1889. Issu d'une
famille
de médecins et longtemps médecin lui-même à Vil
entretenant de bonnes relations avec sa belle-mère. Une affaire de
famille
vint troubler cet accord, et l'humeur de Marie
Sur quel- ques variétés'd ? par Bouet,57. Hérédité. L' - dans les
familles
d'aliénés et la théorie générale de l'hérédit
un certain nombre dVcoles communale» de t'aris. tation. Dans une
famille
composée de six enfants, tous les ni m rongeaient
iques et physiques les plus variées. La dégénérescence dans certaines
familles
fertiles en onychophages atteint un tel degré qu'
s trois classes formant un total de Xi élèves qui appartiennent à des
familles
aisées, ou a observé 16" rongeurs d'ongles. L'onv
ès qu'ils étaient retirés, le sujet retombait dans sois habitude, t.a
famille
ne négligea ni les punitions, ni les châtiments ;
et de I onanisme, et sa conduite donne une entière satisfaction à sa
famille
. Observation III oxyciiopiiacie. - SOMNAMBULI
nt cicatrisée. Cette campagnarde est bientôt entrée au service d'uni'
famille
de Liège connue servante, et elle y est encore.
ence de cet insuccès de l'aggravation de la maladie, je proposai à la
famille
d'employer le traitement hypnotico-suggestif. Il
La mère est atteinte d'hystérie confirmée. Plusieurs personnes de la
famille
sont des alcooliques ou des névropathes. L'enfa
éprouvé aucune maladie générale grave. A cette époque survint dans sa
famille
un terrible événement qui. en frappant M. X... da
é du moins l'honneur que sa condamnation ;i fait perdre à lui et à sa
famille
. Dans une autre observation nous n'avons plus s
mme dans les cas précédents, il n'y a pas de cas d'aliénation dans sa
famille
, mais le père est un alcoolique invétéré, il étai
âge de 12 ans chez ses grands-parents, intendants dans une grande
famille
, avec les enfants d'un prince. Il est gaté bso-lu
anxiété de ses parents. Depuis ce moment il vit a la campagne dans sa
famille
. Bientôt surviennent des froissements entre ses p
micide n'existe pas continuellement; elle nait au milieu de ce que la
famille
appelle une crise. Ces accès surviennent ainsi; t
ymmaslique Ses parents se décident à l'interner et le médecin de la
famille
qui a suivi le développement de la maladie signe
se bien. Je ne m'oppose pas à la sortiedéfînitive : mais j'avertis la
famille
que cette forme de maladie ne se guérit jamais bi
u'il peut recommencer les mêmes tentatives criminelles. D'une part sa
famille
demandait sa sortie et prenait la responsabilité
se est peu probable. Depuis trois mois il séjourne tranquille dans sa
famille
: il m'écrit qu'il n'a cessé de bien se porter et
âgé de 50 ans. homme très instruit, auteur bien connu, descend d'une
famille
dont aucun membre n'a soufiert de maladie nerveus
s ont même, des convulsions. J'ai été pendant 15 ans le médecin d'une
famille
où un hématophobe se révéla dès sa jeunesse de ce
re. Observatios A. D... habitait la campagne avec ses parents, la
famille
était ainsi composée : un grand-père très bien po
fâcheux, et inexplicable pour eux. Il n'y avait eu, en effet, dans la
famille
, aucun antécédent nerveux et surtout point de ces
Elle n'est pas moins héréditaire que les autres phobies. On a vu des
familles
entières en être frappées, et cette névrose se su
arquable d'hématophobie chez une hystérique de quarante ans; toute la
famille
y était sujette du reste, mais celle-là l'était d
être aux spectacles les plus tristement réalistes. Il apprendra de la
famille
, s'il ne l'a observé lui même, que tel geste, tel
le, il est tout à fait possible et indispensable que le. malade et la
famille
du malade exercent une intelligence toujours aler
ve qu'il recevait ; il revint a résipiscence et se réconcilia avec sa
famille
. Puis, comme il s'était créé une aaaei belle posi
mpagnie du chemin de fer de l'Est algérien. L'intimité entre les deux
familles
était grande, mais, la réputation de Mme G... éta
ui faire partager. Celle-ci. placée entre son amour et ses devoirs de
famille
, aurait formé le projet d'abandonner son mari et
ou moins plausible, à la villa de Sidi-Mabrouk. qui appartenait à sa
famille
; là. pai un moyen quelconque, qu'on n'a pu précis
alors elle n'est plus la même personne, elle a oublié mari, enfants,
famille
, situatiou sociale, devoirs, etc Tout cela n'exis
it se trouver en présence d'un de ses camarades, d'une personne de sa
famille
et surtout d'une femme, sans crainte qu'on ne put
e. Il accuse de bons antécédents héréditaires, ne connaissant dans sa
famille
qu'un cousin maternel qui ait présenté des troubl
nervosismr, c'est presque un devoir pour tout le monde, les chefs de
famille
, d'ateliers, d'usines, de collèges et de pensions
s'agit d'un pauvre diable, maigre, efflanqué. mais distigué, de bonne
famille
el qui sert maintenant d'infirmier volontaire. Il
r le gaîac. ci-devant Saint-Bois. Le gatac (gaiacuin officinal, de la
famille
des rut accès; est utile, évidemment, aux goutteu
s en secret — et même eu voyage. Le galbanum (bubon galbanum, de la
famille
des oinbcllifcrcs n'est pas dénué de qualités. Il
médecine el en chirurgie, j'ai nommé la Gaieté (Jocus honestus, de la
famille
des déridés derideri déridera, tra la la). J'ai
ne plus sérieuse concurrence à l'anis vert (pimpinella anisuni, de la
famille
des ombelliferes), célèbre en thérapeutique c
ari, mère mène sa filic (Il s agit du Sabbat) et quelquefois toute la
famille
routinur plusieurs siècles aiusi qu il a été avér
parce que j'ai plusieurs fois remarqué u.ie véritable disposition de
famille
, soit à subir la suggestion hypnotique, soit à y
e nuire à la considération du médecin, mais parce que, dans certaines
familles
, les accidents qui peuvent survenir au cours de t
ctuels et le plus souvent aussi somatiques que les membres de la même
famille
anthropologique qui satisfont leurs instincts mal
ances héréditaires que la pensée peut naître et se constituer. La
Famille
nèvropaïhique, théorie tératologiquc de l'hérédit
rédité dissemblable et d'hérédité collatérale, se retrouvent dans les
familles
térntologiques qui souvent sont aussi des famille
etrouvent dans les familles térntologiques qui souvent sont aussi des
familles
pathologiques. Ce qui est héréditaire, ce sont de
t dans des couvées artificielles les mêmes dissemblances que dans les
familles
térntologiques ou pathologiques. Des faits cliniq
11 pages. Itochc Jourdain. Les Sables d'Olonnc, 1891. d' Fere. — La
famille
nevropathique, in-8°. 331 pages. Alcan, Paris, 18
ibilité (de la sensibilité à distance et de l'), par P. Joire, 172.
Famille
névropathique (la), 351. Fascination (la). 220,
. Plusieurs fois, j'ai eu l'occasion d'endormir une jeune femme de sa
famille
; il en a été témoin, mais il reste absolument co
ins anglais ne tirant pas assez promptement d'affaire leur malade, la
famille
royale consulta le Dr Wildey, qui répondit par la
une violente émotion. Chez l'un, c'était la mort d'une personne de sa
famille
qui faisait naître l'obsession que sa femme pourr
de ces habitudes de politesse ou de bienséance puisées au foyer de la
famille
, mais peut-être bien aussi à une influence ataviq
peut-être bien aussi à une influence atavique. Pivot était issu d'une
famille
d'artisans hantés jusqu'aux moelles par l'esprit
innocence. Les parents payent pour en finir, et ainsi une dizaine de
familles
répondent à la réclamation du marchand. On voit q
ous répondrions que les aliénés, sauf exceptions, ne sont pas 1. La
famille
névropathique, p. 165. 2. 2* édit. Contagion du
était très impressionnable. Un de ses frères est mort fou, loin de sa
famille
, après une fugue de plusieurs mois. Quant à lui-m
prouve une légère atteinte d'influenza à forme gastro-intestinale. Sa
famille
remarque dès lors qu'il devient de jour en jour p
urs des hommes de l'art. Nous sommes au 2 août 1895. Que faire ? La
famille
désolée, qui craint que le malade ne devienne tou
hypochondriaques. II est maintenant retiré des affaires, et, dans sa
famille
, on le tient pour parfaitement guéri. Si je me
le qui boit aussi : c'est, du reste, une habitude héréditaire dans la
famille
de son père. Il ne peut plus se rappeler commen
s de bicyclette. Justement il apprenait à monter à une personne de ma
famille
; et nous allions souvent tous trois par le chemi
cs, elle est incurable. La suggestion religieuse réciproque dans la
famille
Pascal. Par M. le Dr Charles BiXR (d'Angers)
e dans la famille Pascal. Par M. le Dr Charles BiXR (d'Angers) La
famille
de Biaise Pascal a présenté un cas fort intéressa
l'eût désiré ; et l'on conçoit quelle influence pouvait avoir sur sa
famille
, dont il était vraiment le chef, un homme de la r
nt était arrivé son détraquement mental. Les cas de Pascal et de la
famille
Pascal ne sont point rares. Certains mythes en co
de la persistance des croyances puériles, si l'on songe que, dans les
familles
, la suggestion peut être réciproque, comme il est
lles, la suggestion peut être réciproque, comme il est arrivé pour la
famille
Pascal. DISCUSSION ET POLÉMlQUE Charcot jugé
représentation de l'Évasion à laquelle n'assistait aucun membre de la
famille
du Dr Charcot, son fils le Dr Jean Charcot était
ui était à son service (et qui, dans de douloureuses circonstances de
famille
, lui avait montré un dévouement admirable), à se
Était le fils d'un lord. Je l'hypnotisai à la demande instante de sa
famille
. Il m'assura qu'il n'avait pas l'intention de ren
ition, celle des autres, parfois se suicide ; la misère suit dans les
familles
. Le gagnant dissipe follement une fortune qui ne
on fut presque complètement obtenue. Mais le malade eut des ennuis de
famille
et, malgré sa bonne volonté, le traitement fut in
s papiers. Ils étaient tous caractérisés par cette disposition que sa
famille
, dont l'ava- rice avait été pour lui la cause
part, la situation très précaire dans laquelle il était laissé par sa
famille
n'avaient constitué pour le succès du traitement
je l'avais prévu. Une heure après, le petit malade déjeunait avec sa
famille
d'un fort hou appétit. Il n'y eut ni* lièvre ni r
l'âge climatérique do la femme et qui appartiennent presque tous à la
famille
nosologîquc des états de dépression psychique : m
lade souvent incurable autrement, malgré l'opposition du sujet, de la
famille
parfois, de l'entourage souvent. Qu'il soit tenac
toutes probabilités, il y a donc de l'hérédité névropathique dans la
famille
de la mère. Son développement a été normal, plutô
aucun attrait pour le sexe différent du sien. Quand elle abandonna sa
famille
pour suivre celui qui devint plus tard son mari,
e grandir puisque je la connaissais depuis neuf ans, elle et toute sa
famille
, et qui me déclara, en sanglotant, qu'elle était
aveu. Emma X..., aujourd'hui âgée de dix-huit ans, appartient à une
famille
manifestement névropathique. Le père, atteint de
établissent tous les détails rapportés plus haut sur l'hérédité de la
famille
, son développement, son organisation physique et
à se laisser détatouer. Nous n'hésitons pas à répondre que le père de
famille
a le droit centaine de détenus, un seul, assez
constantes que l'on peut estimer qu'ils appartiennent à une sorte de
famille
naturelle. Les caractères distinctifs de cette fa
à une sorte de famille naturelle. Les caractères distinctifs de cette
famille
seraient les suivants (p. 198) : 1° Pas d'influ
notique. Jeanne F.... est née en Touraine, le 12 mai 1874, dans une
famille
d'ouvriers fixée à Paris depuis une quinzaine d'a
frissons, du métérisme, des vomissements, une température élevée. La
famille
, consternée, nous met en quelques mots au courant
nt brusquement la crise d'asystolie qui devait emporter le chef de la
famille
. Jeanne F.... rentre un soir de son travail, just
quiétude croissante, et se demande anxieusement ce que deviendrait sa
famille
, dont elle est le soutien, si elle retombait grav
e l'empêchera de se lever le soir même pour se mettre à table avec sa
famille
. Avant de la réveiller, au bout du temps convenu,
souvient de rien ; mais tout se passe comme nous l'avons prescrit. La
famille
est émerveillée. Les 10, 12, 15 et 19 août, nou
portantes, ne sont nullement peureuses. Il est le seul poltron de la
famille
. Son aspect physique n'est nullement en rapport
érisée de la façon suivante : a Léthargie, sommeil cataleptique ». Sa
famille
communiqua sur Victorine Doirat les renseignement
e s'est mariée avec un sourd-muet. Elle a eu des contrariétés avec la
famille
de son mari, et elle a éprouvé des chagrins qu'el
ose une atmosphère suggestive où, pour chaque collection d'individus (
famille
, nation, etc.,) qui s'est légué un même terrain n
este; et, en fait, nous savons qu'il eut grand'peine à faire vivre sa
famille
. D'autre part, je me rappelle avoir rencontré,
le Dr Edgar Bérillon. 70. Suggestion religieuse réciproque dans la
famille
de Pascal (la), par le Dr Ch. Binet, 184. Sugge
sciencieuse et impartiale, je dirais donc aux médecins religieux, aux
familles
chrétiennes et aux directeurs d'âmes, que ce prob
Sa mère avait 49 ans lorsqu'elle le mit au monde. Il reste seul d'une
famille
de 6 enfants. Sa descendance comporte deux mort
e, il ressentit très vivement le contre-coup de tous les deuils de la
famille
. 11 fut encore poussé dans la voie de l'hypocondr
ge. Arrivé chez lui, il retrouvait un calme relatif en faisant à sa
famille
le récit de ses souffrances de la journée. Il s'e
presque employer la force pour l'obliger à me recevoir le jour où sa
famille
, justement effrayée de son amaigrissement et crai
origine première, peut-être de grandes émotions et grands chagrins de
famille
, ce nervosisme, d:s-je, était entretenu par l'idé
t : « Je crois vraiment que je suis guérie. » Nouvel étonnement de la
famille
. Tout ce qui avait été suggéré pendant l'hypnose
coliques utérines ni de douleurs de reins, je rassurai Mme X... et sa
famille
, et je conseillai le repos au lit. Trois jours ap
sont l'objet d'une attention spéciale de la part des médecins et des
familles
. C'est qu'ils contribuent, comme l'air, la lumièr
nnées d'abord par l'incendie de la maison d'habitation qu'occupait la
famille
, et ensuite par de nombreux revers de fortune.
travail avance fort peu. Ce qu'elle éprouve la surprend ainsi que sa
famille
; clic a l'air hypnotisée à un léger degré. Le 24
anger, mémo dans le delirium tremens. b) L'exemple du médecin de la
famille
ou d'un ami. c) Gréer un milieu de sociabilité
chants les plus vils, les actions les plus honteuses. Il n'est pas de
famille
, si haut placée qu'elle soit, fût-elle princière
Czvnski, magnétiseur de bas étage, parvint, quoique marié et père de
famille
, à séduire, par des manœuvre de suggestion hypnot
suggestion hypnotique, la baronne de Z... de L..., appartenant à une
famille
riche et puissante de l'aristocratie prussienne.
i concerne ses antécédents héréditaires; la plupart des membres de sa
famille
habitent la province et il ne les connaît guère ;
au mois de septembre 1896. A cette époque, à la suite de chagrins de
famille
, E. N. perdit complètement le sommeil. Elle affir
satisfactions désirables, et qui étaient menacés d'être rendus à leur
famille
. Un an après, nos expériences nous ayant appris
Jules C. est un Breton de 34 ans, fort gaillard, père d'une nombreuse
famille
, ouvrier d'une usine de tabletterie, de santé ord
itements. Il est désolé de ne pouvoir travailler, ayant une nombreuse
famille
. C'est dans ces conditions que, voyant que je n
gt-deux ans, agriculteur. Rien de particulier dans les antécédents de
famille
. Personnellement, il n'est ni alcolique ni syphil
prochain article. HISTOIRE DES SUGGESTIONS RELIGIEUSES DANS LA
FAMILLE
PASCAL Par M. le Dr Charles Binet-Sanglé I
été parallèle à l'évolution de la société humaine qui, partant de la
famille
pour aboutir sans doute un jour aux états-unis te
res, a présenté un travail de concentration continuel. Au père de
famille
correspondait le dieu familial, an chef de la tri
des temps, des lieux, des races, des croyances..., ont tous un air de
famille
, et se ressemblent singulièrement entre eux(3) »,
conçoit que la contagion sera plus aisée entre les membres d'une même
famille
, où les terrains sontanalogucs, et en intime cont
nts les plus vils, les actions les plus honteuses! Et il n'est pas de
famille
, riche ou pauvre, opulente, prin-cière, royale mê
ent ses soins. Sa moralité laisse beaucoup à désirer ; marié, père de
famille
, il vit avec son médium, dont il a eu un enfant.
liente; il se donne comme un hommo très malheureux, appartenant à une
famille
princière de Lilhuanie, dont certaines circonstan
amicalement d'une jeune dame dont je connaissais depuis longtemps la
famille
('). Après avoir étudié avec soin cette malade, j
stion pendant le sommeil naturel. Cette intervention, acceptée par la
famille
, fut commencée le soir même. Durant quinze jour
consécration du temps. Je dirai donc et aux psychothérapeutes et aux
familles
: ne vous découragez pas trop tôt ; soyez persévér
on que je préconise. histoire DES SUGGESTIONS RELIGIEUSES DANS LA
FAMILLE
PASCAL Par M. le Dr Charles Binet-Sanglé (1) CH
ait en recrudescence; et plus que jamais, les filles et les cadets de
famille
emplissaient les monxstères. De nouvelles commu
eligieux. CHAPITRE II Etat religieux des Pascal jusqu'en 1646. La
famille
Pascal était une famille de fonctionnaires, c'est
tat religieux des Pascal jusqu'en 1646. La famille Pascal était une
famille
de fonctionnaires, c'est-à-dire une famille bonne
famille Pascal était une famille de fonctionnaires, c'est-à-dire une
famille
bonne catholique, « aussi fidèle à Dieu que fidèl
umus quantum scimus. histoire DES SUGGESTIONS RELIGIEUSES DANS LA
FAMILLE
PASCAL Par M. le Dr Charles Binet-Sangle (1)
luence qu'eurent alors sur Etienne Pascal et, par contre-coup, sur sa
famille
, La Bouteillerie et Des Champs des Landes. Ils re
ris. Il s'y lia avec Du Vergier, qui lui fit avoir une place dans une
famille
noble, puis l'emmena à Bayonne.sa ville natale. D
s la connaissance, le mit en relations avec la nombreuse et puissante
famille
des Arnauld, qui tenait l'abbaye de Port-Royal, r
r l'ancienne direction, et évincèrent Zamct lui-même. Soutenue par la
famille
Arnauld, la réputation de Du Vergier grandit rapi
uvrages de Jansen, de Du Vergier et d'Antoine Arnauld fui fatale à la
famille
Pascal. Tous les caractères changèrent d'orientat
des Hypnotismus » HISTOIRE DES SUGGESTIONS RELIGIEUSES DANS LA
FAMILLE
PASCAL Par M. lo Dr Charles Binet-Saxolr (i) (S
me, par une céphalalgie oontinue et par d'autres douleurs. Toute la
famille
, on le conçoit, devait subir le contre coup de la
es. » (1) Loc. cit. CHAPITRE V Action de Blaise Pascal sur sa
famille
. « L'amour de la perfection chrétienne, dit Gil
II existait entre eux cette entente qui détermine si souvent dans les
familles
des groupements où il semble que la suggestion ré
Du Vergier de lïaurannc, le principal suggestionneur de cette célèbre
famille
, où la contagion religieuse fit de tels ravages q
l, par le Dr Parez, 257 , 292, 324. Suggestions religieuses dans la
famille
Pascal (histoire dos), 266, 302, 335, 302. Tabe
il se rend mal compte de sa situa- tion : il est entré parce que la
famille
d'une femme avec qui il voulait se marier, aprè
du maintien. Dans les cas où la sortie d'un malade est refusée à la
famille
par le médecin, le ministre de l'Intérieur inte
s pensionnaires est fixé après une entente entre la direction et la
famille
. L'Etat fournit à la clinique une subvention an
être ramenés de nouveau à la clinique, avec l'autorisa- tion de la
famille
; cette faculté est importante au point de vue de
la religion, l'âge (avec la date de la naissance), la situation de
famille
, les ressources du malade. Il est fait mention
mbre 1898. Cet enfant, âgé aujourd'hui de dix ans, appartient à une
famille
de 8 enfants dont voici les dates de naissance
du côté de la mère. Sur les 8 enfants issus des époux F... (dont la
famille
est très connue de l'un de nous comme nous l'av
Enfant naturel. Père, rien à noter. Renseigne- meH<s nuls sur sa
famille
. Mère eczémateuse, pas d'accidents nerveux. Gra
fections cutanées. Aucun indice de syphilis. W renseignement sur sa
famille
. MÈRE, trente-trois ans, brocheuse. Santé toujo
as de migraines, pas de signes de syphilis. Intelligence moyenne.
Famille
de la mère. Père, sobre, mort d'une paralysie au
ne connaît ni aliénés, ni épileptiques, ni arriérés, etc., dans la
famille
, d'ailleurs limitée. Pas de consanguinité. 12
ous n'avons rien à relever du côté du père, enfant naturel, dont la
famille
est inconnue. -Du côté ma- ternel, nous notons
it consécutive à aucune maladie sérieuse ayant été remarquée par la
famille
, et elle était survenue sans que, à aucun momen
bres. La congénitalité du syndrome ne faisait pas de doute. Dans la
famille
on attribuaitl'in- firmité du malade à la renco
it être gardé, c'est bien entendu, mais si elle intéresse toute une
famille
ou la société tout entière, pourquoi sacrifier
ses clients, mais à ne pas garder le secret lorsque l'intérêt d'une
famille
ou de la société l'exigent absolument. M. BËM
nets médicaux qui tendent de plus en plus à se généraliser dans les
familles
pourraient, sans que le médecin manquât au secr
ets sont fort importants : mais ce n'est pas au médecin, c'est à la
famille
de les produire si elle le juge à propos. Le mé-
it interdit toules les fois qu'il y a une tare quel- conque dans la
famille
, y aurait-il un seul mariage possible, car quel
la famille, y aurait-il un seul mariage possible, car quelle est la
famille
qui, de près ou de loin, ne comporte pas une ta
aison de son état d'imbécillité, il ne pouvait remplacer la mère de
famille
, qu'il n'avait pas assez d'énergie pour réagir
rt à une demie minute. P. Keraval. XVI11. De l'appendicite dans les
familles
de névropathes, par ADLER. (1\eztrolo. Ceutrulb
ar A. (iYeit2,olog. Centrulbl. XXI, 1902). Il s'agit de toute une
famille
composée du père, de la mère, d'un enfant'de de
logie familiale. La succession de ces faits chez deux membres d'une
famille
ou abondent les antécédents tuberculeux et névr
bservation I. La malade est une jeune fille, quatrième enfant d'une
famille
indemne de toute névropathie et que j'ai su lon
es antispasmodiques les plus variés n'ayant donné aucun résultat la
famille
se fitiraque le mariage remédierait à la situat
nt ; à six ans il ne se gênait guère pour envoyer promener toute la
famille
. Le père fut désolé d'avoir un tel enfant, puis s
as de ce genre. Il s'agit d'une malade d'âge moyen, provenant d'une
famille
dégénérative. La malade était considérée comme
nt il s'agit, provient, comme cela a déjà été noté plus haut, d'une
famille
dégéné- rative, elle est la fille d'un père qui
u Conseil de guerre pour refus d'obéissance. Après cet incident, sa
famille
le perdit de vue, jusqu'à son entrée à l'asile.
u de maladies nerveuses ou mentales. [Rien à noter dans le reste de
famille
.] Mère, quarante-huit ans, ménagère, tempéramen
nt, mais ayant une bonne santé. Rien à signaler dans le reste de la
famille
: pas d'autres bègues, pas d'aliénés, etc.] Pas
as à découvrir d'autres tares morbides chez plusieurs membres de la
famille
. On voit par ce petit fait qui, isolé, n'a peut
cin. Généralement, c'est aussi le médecin qui correspond avec les
familles
, il garde les adresses des familles qui sont en c
médecin qui correspond avec les familles, il garde les adresses des
familles
qui sont en correspon- dances régulières avec d
rès, sauf contre-avis du médecin-directeur, l'aliéné est renvoyé en
famille
. Quand un habitant de Gheel désire être inscrit
rimestre, quand il s'agit de la pension d'aliénés appartenant à des
familles
aisées, et après chaque semestre, quand il s'ag
ionnaires riches dont la pension varie avec l'aisance même de leurs
familles
respectives, je trouve parmi mes 364 aliénés in
es nerveuses. Ces idiots ne semblaient pas être les aboutissants de
familles
de dégénérés. La plupart d'entre eux ne présent
adive; G7 une descen- dance saine. On obsei ve plus fréquemment des
familles
à un seul ou à deux enfants. » XX. L'observat
ux mêmes arguments que lui, vantant sans cesse l'honorabilité de sa
famille
, les services militaires de ses ancêtres, etc.,
et sa femme touchée par son repentir et par les supplications de sa
famille
abandonna l'instance en divorce qu'elle avait i
t avant même d'avoir été as- sermenté il s'intitule régisseur de la
famille
de L... C'est de là que datent ses premiers dém
de se trouver sur son passage et l'accable d'outrages ainsi que sa
famille
. En 1889. il rentre comme gardien à la maison p
rutalités le quitte pendant quelques'mois et va se réfugier dans sa
famille
. Une enquête de police relève qu'il entretient
s qui le gê- nent et se lance dans des digressions, sans fin sur sa
famille
, sur ses qualités, sur ses projets d'avenir, et
e envisagée d'abord chez les mala- des soignés dans des pensions de
famille
par le docteur lui-même. Il les endort une ou d
Or, ce résultat quel qu'il soit est un gain pour l'enfant, pour sa
famille
et aussi pour la société. Hystérie et morphinom
ereur Alexandre II, à Kiev. Le jeune homme est le second fils de la
famille
; il est d'une taille extraordi- nairement gran
oins grand nombre, des aliénés curables que nous rendrons à leurs
familles
, améliorés à la fois physiquement et morale- me
traitement après lequel elle serait rentrée très améliorée dans sa
famille
. Le père fait remonter les derniers troubles, q
, ne montrant même pas la moindre émotion lorsqu'on lui parle de sa
famille
, lorsqu'on lui propose de rentrer dans sa famil
n lui parle de sa famille, lorsqu'on lui propose de rentrer dans sa
famille
, de faire venir ses parents, etc. En juin et ju
ses craintes à sa maîtresse qui la congédie; elle rentre dans sa
famille
où ses préoccupations vont sans cesse croissant,
plus, finissent par disparaître, etc., et M... peut rentrer dans sa
famille
. Il ne lui restait, quand elle a quitté le serv
une rémission commence, elle parle parfois spontanément, écrit à sa
famille
, mais elle n'a pas la moindre conscience de son
ts représentants de la Politique et de la Médecine, autour de cette
famille
, si digne de son chef, que Lamalou remercie d'u
ge avancé. Mie ne connaît pas d'accidents névropatliiques dans sa
famille
, ; un de ses frères et une i-oeur sont morts de t
a l'idée de boire du pétrole pour en finir avec ses tortures. Sa
famille
la conduit alors à l'asile. A son arrivée, on s
fait qu';l appartient à un hôpital général, ce pavillon inspire aux
familles
moins de répu- gnance que l'asile, et qu'on y a
tion, sauf ceux de M. Ireland, qui constate la dégénérescence de la
famille
royale d'Espagiie en résultat des mariages des
lle royale d'Espagiie en résultat des mariages des membres de cette
famille
entre eux. Esquirol dit que les maladies mental
les maladies mentales se rencontrent fi0 fois plus souvent dans les
familles
aristocratiques que dans le reste de la popula-
(des cliniques et des hôpitaux de Moscou), je notais, dans leurs
familles
, les personnes chargées de tares, les personnes d
u'à ce qu'une observation attentive per- mettent d'assister dans la
famille
. DRAME DE l'alcoolisme. Un fou incendiaire. U
vous des hommes utiles, nous nous empresserons de vous rendre à vos
familles
. Le jour où nous pourrons vous accorder votre s
rer une insti- tution importante pour les enfants appartenant aux
familles
riches, à la condition d'y installer des enfants
ut chargé de faire l'éducation d'un enfant arriéré appartenant à la
famille
Pour lui facili- ter sa tache, la famille loua
arriéré appartenant à la famille Pour lui facili- ter sa tache, la
famille
loua une propriété rue des No- yers, n° 9, et l
anéité de mes vues et de mes sentiments, sans que personne, dans ma
famille
, ait à se dire lésé par moi. « Mon désir eut ét
« S'il arrivait, en fin de compte, que l'immeuble dut revenir à ma
famille
, en la personne de ma soeur et de ses deux filles
dont il convient, tout en donnant satisfaction à mes sentiments de
famille
, que j'assure les condi- tions d'existence. «
pharmacie ; rit Un logement pour un commis d'administration et sa
famille
; trois logements pour une surveillante et deux s
à la réparation d'une ferme, dont la jouis- sance est laissée à la
famille
du défunt pour une durée de dix années après la
ptiques, pas de difformes, de suicides, de criminels, etc., dans la
famille
.] Mère, 40 ans, couturière, bien portante, migr
e. Tous ces enfants sont intelligents. Pas d'aliénés, etc., dans la
famille
. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge des pare
Pas d'aliénés, pas d'épileptiques, pas de sui- cidés, etc., dans la
famille
maternelle. ] - ' Pas de consangteinité (Père d
rencontre du côté paternel, mais il est surtout très accusé dans la
famille
maternelle et chez la mère de l'enfant. II. L
re) ? ) à l'hospice de Mirecourt. Pas d'antécédents nerveux dans la
famille
]. Mère, 37 ans, brocheuse, a eu des convulsions
des suites d'une fausse couche. Pas d'antécé- dents nerveux dans la
famille
]-. Pas de consanguinité. Inéga- lité d'âge d'un
utres difformes, pas d'aliénés, de suicidés, de cri- minels dans la
famille
.] Mère, 26 ans, blanchisseuse, sobre.-intellige
de sa dégénération. Quels sont donc les antécédents de Jans... ? Sa
famille
maternelle est exempte de toute tare mais, du c
ouvent troublé en lisant les observations lors- qu'on voit dans une
famille
clés enfants bien portants à côté d'idiots, d'é
mais arrivé de voir une atténuation dans la marche dégénérative des
familles
par une alliance bien choisie; dans ces cas les
(1). Observation II. Sommaire. Renseignements insuffisants sur sa
famille
. Mère morte phlhisique. Pas de consanguinité. I
'âge de S;) ans (1863) d'une carie du fémur. (Pas de détails sur sa
famille
dans laquelle il n'y aurait jamais eu de nerveu
72 ans d'un catar- rhe avec affection du coeur. Dans le reste de la
famille
, il n'y a d'ailleurs rien de particulier à rele
, d'épileptiques, de difformes, de suicidés, de criminels dans la
famille
] Mère, quarante-six ans, cultivatrice, assez gr
, était bien proportionnée. Pas d'autres cas de gémellarité dans la
famille
, 3° Fille, seize ans, bien por- tante, intellig
qu'il voulait. » Pas de maladie nerveuse, etc. Aucun détail sur sa
famille
; il est lui-même enfant naturel. « Sa mère n'av
'autres aliénés, pas de paralytiques, d'épileptiques, etc., dans la
famille
. Mère, trente-deux ans, brune, trails réguliers
paralytiques, de difformes, de suicidés, de criminels etc., dans la
famille
.] Mère, 25 ans, plumassière, bien portante, int
ant des enfants intelli- gents. - Pas d'épileptiques, etc., dans la
famille
.] 1 Pas de consanguinité. Inégalité d'àge de hu
r- tante, ainsi que ses eufauts. Pas d'autres névropathes dans la
famille
.] Mère, cinquante-quatre ans, blanchisseuse dep
maladies nerveuses. Pas d'antécédents nerveux héréditaires dans la
famille
.] Pas de consanguinité. Douze enfants : 1" une
ui les fait reconnaître' généralement comme appartenant à : la même
famille
. » Puis il rappelle les principaux caractères d
lui étaient personnelles. 5 d'entre elles appartiennent à la même
famille
. Avant de donner un résumé de chaque cas, nous
t malades. Aucun trait particulier ne distingue les membres de la
famille
qui jouissent d'une bonne santé à tous les poin
le d'avoir des renseignements sur ses antécédents et sur ceux de sa
famille
. Tout ce qu'on sait, c'est qu'il a été envoyé à
ce, nous appartenions à la vieille noblesse du duché de Bourgogne. Ma
famille
autrefois donna son nom à deux rues de sa capital
nomie. Hélas ! la justice légale offre souvent l’image de celle de la
famille
qui, n’écoutant rien que ses préventions ou impre
sacrée à Esculape, qui y avait un tem-« pie fameux; les membres de sa
famille
exer-« çaient comme un double sacerdoce dans le t
tu, en desservant les autels et en soignant « les malades. Dans cette
famille
, le fds héritait de la « tradition orale des cure
des praticiens, espérant que le magnétisme descendrait ainsi dans les
familles
et y deviendrait une œuvre toute de philanthropie
et de maman. Ils sont, durant toute leur vie, les chefs de la grande
famille
du Vaudoux, el ils ont droit au respect illimité
t où ils passaient, les bûchers s’allumaient, le deuil était dan» les
familles
, l’intelligence poursuivie fuyait épouvantée.
é qu’elle était perdue et pouvait trépasser d’un moment à l’autre. Ma
famille
voulut qu’on fit venir la somnambule. Celle-ci pa
mps. Elle voyait M. Aubert, à Nocé, dans sa demeure, et entouré de sa
famille
. Elle dit : « Voilà le jeune fils qui mange du mo
l nous ait faits tous égaux en droits, en tant que membres d’une même
famille
, il a distribué inégalement ses dons, accordant à
s. On a fait un crime à la prévenue d’un seul fait, de sa position de
famille
irrégulière : est-ce donc lii un forfait pour leq
lle n’eüt jamais voulu laisser éclater, dans la craiule d’affliger sa
famille
. Avec Ml,e Ra-phard, non-seulement elle devina, l
ent, elle a vu l’appartement de Nocé où M. Aubert se trouvait avec sa
famille
, et a décrit do point en point ce que faisaient s
it avoir le plus compté, est celui qui est tiré des témoignages de la
famille
Chapelle. Nous devons d’abord rechercher quel est
s peuvent donner de la force à un témoignage. Les dépositions de la
famille
Chapelle fourmillent de contradictions. Ainsi M.
oin, et supposons pour un instant que tout ce qui est rapporté par la
famille
Chapelle soit exact ; nous allons prouver que, mê
mnambule la plus lucide placée dans la position où nous la dépeint la
famille
Chapelle, «faaUMire harcelée de questions malveil
venons de nous livrer. Nous repouseons avec énergie les récits de la
famille
Chapelle, et nous avons dit pourquoi ils étaient
e la contravention. M">c Rose, vaincue par les supplications d’une
famille
éplorée, se décida donc, quoiqu’à regret, à donne
Louis de Tong, et moi-même, magnétisions alors, mais dans le sein des
familles
seulement. Depuis que noire pratique est ostensib
si l’un des convives nous écrit-il : « Ça été, une magnifique fête de
famille
à laquelle rien n’a manqué. » T ravaux. Nous
santes autant qu’indiscrètes. Il est de ces choses qu’on ne dit qu’en
famille
. Vous ferez du magnétisme, Messieurs, vous en fer
té mon enfant assez sérieusement malade. — Avis aux pères et mères de
famille
. L. BOMÉA. Valence, 21 mars 1851. THÉORIES.
ns-nous des vœux pour que cet art s’impatronise complètement dans les
familles
. C’est alors qu’on en appréciera toute la valeur
nt vif, Expansif, S’est souvent montré fautif.... Mais dans los
familles
, Que de jeunes drilles, Que de gas, Ici-bas
comme de près, pour venir communier fraternellement à ceban* quet de
famille
. JNous nous eu réjouissons tous, Messieurs ; mais
à qui le magnétisme donne un peu de vie, elle me pria de visiter une
famille
allemande dont elle n’était séparée que par la cl
s. Elle ne respirait plus ; son cœur était à peine sensible. Toute la
famille
s’approche.... et au lieu de chercher dans mes ye
cueillit les idées swedenborgiennes, les inculqua à son frère, à sa
famille
et a ses deux élèves.....Louise élait somnambul
nt obtenue, une pensée qui n’a point existé. Dans cette réunion de la
famille
mesmérienne, il n’avait pas été donné accès à la
moyennes qui firent la fortune de Mesmer, mais bien les plus grandes
familles
de la monarchie; 011 voyait peu de bourgeoises au
erche, el qui se faisait appeler la comtesse Vade-ney de Luzancy. Aux
familles
pauvres elle prodiguait des consolations, en s’en
Croix est une petite maison, à rez-de chaussée, qu’habite une honnête
famille
d’ouvriers, composée du père, de la mère cl de tr
ne honorable aisance, fruit de longues années de travail, a mis ccLle
famille
à l’abri du besoin. « Louise, l’aînée des enfan
taine d’années, mère déjà de six enfants, et fort bon médecin de sa
famille
depuis que M. Léaumont l’a somnambulisée, fit une
les livres. Mais le magnétisme doit surtout être pratiqué dans les
familles
; car la nature prévoyante et sage a mis partout l
ien mieux encore lorsqu’on se sera fait une habitude de magnétiser en
famille
. Il ne faut jamais perdre de vue qu’il y a toujou
en obtenons, pour qu’ils fassent comme, nous, dans le cercle de leur
famille
, et qu’ils acquièrent aussi la conviction que le
eurs aurait peut-être conservé la vie à un bon citoyen, un père à une
famille
qui avait besoin de lui!... J. B. Le Journal
agnétiques n’aient pu conserver la vie à ce bon citoyen, à ce père de
famille
dont vous parlez. Mais permettez que nous vous di
on; mais nous ne désespérons pas de le voir un jour pratiqué dans les
familles
, surtout si ce qu’il y a de mé- (lecins honorab
s, « à la promenade, et que je regrette beaucoup; c’est « un joyau de
famille
. Je l’ai fait afficher, avec pro-« messe d’une ré
antispasmodiques et autres médicaments. Un jour, bien persuadé que la
famille
devait être lasse de la médecine, je proposai d’e
magnétisme sera par- venu à son apogée, il se trouvera dans chaque
famille
un ou une crisiaque qui servira d’ange gardien da
ordinaire de leurs réunions, passage de, la Bourse, pour célébrer en
famille
l’anniversaire de la naissance de l’illustre Mesm
. Déjà le magnétisme s’est glissé comme un rayon bienfaisant dans les
familles
où il était d’abord repoussé par celui-là même qu
curatives du magnétisme. A nous d’en propager l'enseignement dans les
familles
. Il y aurait crime do lèse-humanité à sc dire: Pu
les chercher par la magnétisation. On en aura un jour dans toutes les
familles
, et on les consultera toutes les fois qu’on en au
uère s’exposer aux dangers de ces sortes tic recherches ; mais, 011
famille
, 011 n’aura pas à craindre los indiscrétions, l'.
loin du village de Masseret, dans une petite commune, vit une pauvre
famille
de colons. Elle se compose du mari, de la femme e
Mais ce n’esl pas la seule singularité qu’on ait observée dans cette
famille
, où tout est étrange. La jeune fille dont nous av
e comprenons-nous la supériorité de celte médication qu’au milieu des
familles
unies par les liens d’une sincère affection. « Il
ude quand je vous vis le partager. Quel bonheur ressentit toute celte
famille
, épuisée de veilles et de sacrifices pécuniaires,
ouement pour leurs malades et leur compassion pour les malheurs de la
famille
Morel ; mais pour combattre tant de causes de des
ssance. Aujourd’hui, à quatre heures, je trouvai toute cette pauvre
famille
consternée. En voici la cause : hier, à huit heur
re les bons médecins avec les mauvais : qu’on y prenne garde dans les
familles
. Le magnétisme fait le sujet d’un grand procès
aura le sien. La pratique du magnétisme doit devenir une habitude de
famille
; c’est c’est là sa destinée ; mais combien de mal
c’est c’est là sa destinée ; mais combien de malades qui n’ont pas de
famille
, et n’ont d’autre asile que l’hôpital !.....Faiso
ndant le sommeil de la somnambule, le magnétiseur lui demandait si la
famille
avait des moyens, était en état de payer un trait
gariser 1e magnétisme, de manière à ce qu’il devienne la médecine des
familles
, 578 à 609, 679, 740. Erreurs des somnambules.
73. — Rapports intimes des âmes. Faits merveilleux observés sur une
famille
alle-mande, par M. E. V. Léger, 393. Substances
en même temps aussi désastreuse au point de vue économique pour les
familles
pauvres, n'a pas été étran- gère à l'affluence
e la neurasthénie et de l'hypocondrie chez les divers membres de la
famille
, ainsi que les psychoses, les diverses formes du
nclure que les incontinents urinaires ne sortent pas en général des
familles
d'aliénés mais bien plutôt des familles de névr
sortent pas en général des familles d'aliénés mais bien plutôt des
familles
de névrosiques. Ils n'en présentent pas moins trè
de ces deux observations appartien- 16 THÉRAPEUTIQUE. neni à une
famille
où l'incontinence est héréditaire et se dévelop
tion VI. L. V..., fille de treize ans. Aucun renseigne- ment sur sa
famille
que je n'ai vue qu'une fois et que je n'ai pas eu
, garçon de treize ans. Parents arthri- tiques, aucune tare dans la
famille
. Cet enfant qui n'urinait au lit que de temps e
inence ne s'est pas reproduite. Il est considéré comme guéri par sa
famille
. 13 février 1894. J'apprends qu'à part quelques
dix-neuf ans. Il nous dit ne connaître aucune tare nerveuse dans sa
famille
, ses frères et soeurs sont bien portants. Gar
ion XIV. G..., garçon de treize ans. Pas de rensei- gnements sur sa
famille
; il m'est envoyé par une personne charitable.
la dixième année. Observation XV. R. S.. , fille de quinze ans. Sa
famille
n'est pas exempte de tares nerveuses. Forte f
chute. Le sujet de l'observation précédente est un dégénéré de la
famille
des débiles arrivé à l'âge d'homme sans que l'inc
.. garçon de quatorze ans; domes- tique. Aucun renseignement sur sa
famille
. Enfant vigoureux mais trapu, surmonté d'une tr
e six ans. La mère semble bien portante; aucun renseignement sur la
famille
. Cet enfant est d'apparence normale; il a march
Observation XX. T. S..., quatorze ans. Aucun renseignement sur la
famille
. Garçon d'aspect bien portant et intelligent, att
THÉRAPEUTIQUE. Les sujets qui en sont atteints appartiennent à des
familles
où la tare névropathique se fait sentir sous le
es funèbres préparatifs parce qu'on veut l'empoisonner ainsi que sa
famille
. Pour échapper aux souf- frances que provoquera
que vous m'ayez fait venir auprès de vous pour nous empoisonner, ma
famille
et moi ; je crains qu'on attire ici les miens p
au moment de la formation de l'enfant, il institue lui-même dans la
famille
, ou fait commencer de bonne heure dans une inst
Kreisphysicus, médecin fonctionnaire). Les aliénés traités dans des
familles
étrangères doivent être égale- ment surveillés.
r 138 " SOCIÉTÉS SAVANTES. et la confiance des malades et de leur
famille
, c'est anéantir le zèle et l'ardeur au travail
aquelle il poursuit sans cesse ses revendications, sans souci de sa
famille
, de sa fortune et de sa réputation, dans l'impo
ui pourraient y demander personnellement leur admission, ouvert aux
familles
et aux auto- rités qui pourraient y placer leur
ut le confortable et de tout le luxe dont ils jouissent t dans leur
famille
; de plus, qu'on peut permettre aux familles de
s jouissent t dans leur famille ; de plus, qu'on peut permettre aux
familles
de vivre avec leurs malades des journées entièr
solement, qui justifient cette grave mesure si douloureuse pour les
familles
. Nous voterons donc les deux premières conclusi
qu'ils ne le soient pas autant qu'ils le devraient, parce que les
familles
ne sont pas renseignées, parce que beaucoup de mé
ciles, prompts, comme pour l'hôpital. Alors moins de résistance des
familles
, moins de résislance des malades, puisque l'idé
respondant à Paris ; nous les don- nons donc sous toute réserve. Sa
famille
d'origine israélite était, depuis longtemps éta
du désir de faire fortune, se décida à abandonner la Russie avec sa
famille
. Il se dirigea d'abord vers l'Allemagne et fit
lique Argentine, A. K... s'emploie à faire valoir une ferme dont sa
famille
avait entrepris l'exploitation; mais son séjour à
e raison il a voulu rester en Alle- magne au moment du départ de sa
famille
pour la République Argentine. La faculté d'atte
appelle quelquefois des médecins du dehors en consul- tation ; les
familles
des malades ont d'ailleurs toute liberté à cet
le malade, physiquement et mentalement ? Conditions de la propre
famille
du malade... Historique du malade. - Enfance.
nt cette période a-t-elle été franchie par d'autres mem- bres de la
famille
? A-t-il jamais montré de la haine pour le sexe
28. Les autopsies se font presque partout, avec l'autorisation des
familles
, sous la direction des médecins du service. Le ch
Belfort, comprendront qu'il est inhumain d'envoyer si loin de leurs
familles
, leurs aliénés et se décideront à construire un
sur lettres de cachet, par les ordres d'un prince ou la volonté des
familles
, les malheu- reux dont il lui plaisait de se dé
miné, mais dont la création était réclamée depuis longtemps par les
familles
des ma- lades, a pu être édifié. Malheureusem
able a été commis hier soir dans la rue de Cormicy. Là, habitait la
famille
Lecot : le mari, âgé de vingt- quatre ans, ouvr
mais très nerveuse. Le grand-père paternel est mort aliéné. Dans la
famille
maternelle, il y a également de l'aliénation me
dans les petits établissements, on les réunit parfois à la table de
famille
. Prix de la pension par semaine. Le minimum var
qui, après un séjour de huit années à l'asile, furent rendus à leur
famille
sans que leur état mental se fût beau- coup mod
n, mais beau- coup se trouveront fort bien de ce retour à la vie de
famille
. Il est certain qu'un grand nombre de ces chron
le fait d'une maladie nerveuse ancienne. Lorsqu'il habitait avec sa
famille
, il lui arrivait souvent de se lever la nuit et
d'éloigner le malade de chez lui, mais qu'en faire ? Beau- coup de
familles
se répugnent à l'envoyer dans un asile public, et
consiste à placer le ma- fade.dans un sanatoriun, ou une pension de
famille
, assisté d'un médecinspécialisteet d'un infirmi
les de ce genre entrainent la res- ponsabilité, non seulement de la
famille
, mais encore du maire de la commune et du préfe
de ce genre de malade on pourrait solliciter la charité de quelques
familles
et même s'adresser à l'administiaUon pour avoir
ecourir une fille attaquée de la vue et presque en démence parce sa
famille
est en état de subvenir à ses besoins. Cependant
ements. Le malade est réformé à la fin de 1893 et il rentre dans sa
famille
. Deux ans après, 1895, l'auteur apprend que son
t sujet à des accès intermittents de mélancolie de courte duree. Sa
famille
qui est dans une belle situation de fortune, le
se rendit ailleurs, après avoir erré longtemps dans la campagne. Sa
famille
vint le chercher et le ramena en France. M. X..
tion parfaite, de la plus grande rigidité de moeurs, vivant avec sa
famille
et qui, à l'occasion d'un désordre utérin banal
d'argent. 476 REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. L'auteur, consulté par la
famille
, estima que l'allégation de folie eu égard à la
jury ordinaire, et voulut faire poursuivre la doctoresse, mais la
famille
recula devant le scandale. C'est ainsi qu'il est
malheureux- sèment fréquent de voir, dans des cas de ce genre, les
familles
accepter très volontiers le qualificatif de fol
sonnes du même sexe sont arrivés au point d'annihiler toute idée de
famille
, le médecin peut poser le diagnostic d'état men
référence les enfants dont l'organisme est peu résistant. Dans deux
familles
tarées au point de vue névrol pathique et possé
- Le nommé Victor Beuret, âgé de trente et un ans, marié et père de
famille
, cultivateur à la Rivière, fut trouvé pendu dans
nfants, en effet, à la maison, im- mobilisent un membre actif de la
famille
pour les soi- gner ; ils sont l'occasion d'impr
nablement soigné, la pré- sence constante de l'un des membres de la
famille
, lequel se trouve immobilisé et ne peut plus co
ncts ou de folie morale. La présence de ces pauvres êtres dans la
famille
où, d'ailleurs ils ne peuvent recevoir aucune i
arches, do per- tes do temps, d'inquiétudes et de douleurs pour les
familles
. Puis, viennent des enfants, plus ou moins débi
u aujourd'hui, et j'en ferai mon profit, comme homme, comme père de
famille
, comme citoyen, comme ministre d'un gouvernemen
tiques, pas de difformes, pas de suicides, pas de criminels dans la
famille
.] Mère, cinquante-six ans, brune, de taille moy
quante ans, elle aurait guéri). Pas d'autres aliénés, etc., dans la
famille
.] Pas da consanguinité. Deux enfants du second
énés, pas d'épi- leptiques, ni d'autres paralytiques, etc., dans la
famille
.] Mère, quarante-quatre ans, châtaine, bien por
re est en bonne santé. Pas d'autres aliénés, suicidés, etc., dansla
famille
.] - Pas de consanguinité. DE l'épilepsie PROCUR
e deux jours plus tard qu'il a été reconnu à Bercy par un ami de sa
famille
: il n'avait pu indiquer son adresse. - On s'ap
pileptiques, de difformes, de criminels, de suicides, etc., dans la
famille
.] Mère, soixante-quatorze ans et demi, colorist
gements sur les grands-parents. Pas d'épileptiques, etc., dans la
famille
.] - Pas de consanguinité. Cinq enfants, quatre
-trois ans. Ni aliénés, ni épileptiques, ni suicides, etc., dans la
famille
]. - Pas de consanguinité. Deux enfants : 1° un
bien portants. - Pas d'épileptiques, pas de suicides, etc., dans la
famille
.] Mère, soixante-deux ans, marchande des quatre
aineux, morts on ne sait de quoi. Pas d'épileptiques, etc., dans la
famille
.] - Pas de consanguinité. Neuf enfants. - De so
iques, d'idiots, de difformes, de suicidés, ni de criminels dans la
famille
.] Mère, quarante-quatre ans, couturière, brune,
vieillesse il quatre-vingt-sept ans. - Pas d'aliénés, etc., dans la
famille
.] Deux enfants etune fausse couche : 1° notre m
nze ans et demi, il est allé en Prusse (en pleine campagne, dans la
famille
de sa mère). Il y est resté deux mois; il a eu
and'mère paternelle, névralgies. - Tendance aux congestions dans la
famille
paternelle. - Oncle paternel, mort de convulsio
le et deux oncles maternels, suicide. - Trois morts subites dans la
famille
maternelle. - Un frère, une soeur, une cousine
- Pas d'aliénés, pas d'épileptiques, pas de suicides, etc., dans la
famille
.] Mère, soixante ans, assez grande, brune, fait
- Pas d'aliénés, pas d'épileptiques, pas de suicides, etc., dans la
famille
.] - Pas de consanguinité.. Notre maMe.Grossesse
autre (sept enfants). Pas d'aliénés, d'épileptiques, etc., dans la
famille
.] Mère, quarante et un ans, journalière aux cha
entre autres les cas de Dewar con- cernant cinq enfants de la même
famille
(épidémie d'hystérie) . - (Itilliet et Barthez.
utre a trois filles et un garçon, également en bonne santé. Dans la
famille
, pas d'aliénés, d'épi- leptiques, de choréiques
n 1882, épo- que où il fut ramené à Bicêtre sur les instances de sa
famille
. il parlé « en bégayant », vers deux ans; il a
ents très curieux parce qu'ils confirment les détails donnés par la
famille
et nous permettent, en comparant les symptômes à
ieillards. Pas d'aliénés, d'épileptiques, etc., dans le reste de la
famille
.] Mire, quarante-sept ans, couturière, taille o
és, pas d'autres idiots, pas de déformations congénitales dans sa
famille
]. Mère, 43 ans, - elle a deux mois de plus que
s d'aliénés, d'épileptiques, de para- lytiques, etc., etc., dans la
famille
. - Pas de consan. guinité. 4 enfants : 1° not
ec eux. J'ai toujours été dans les meilleurs rapports avec toute ma
famille
. Je suis allé en classe jusqu'à 13 ans 1/2; il
ser la nuit dans la rue. Le lendemain jo rentrai déjeuner. Toute la
famille
était rassem- blée et, en mangeant, l'odeur de
s, dans le but de m'exciter et d'occa- sionner des troubles dans la
famille
. Tout le monde se mit à se bousculer (cette der
nt. « fais le exprès.» Alors, je le fis par la raison ci-dessus. La
famille
s'ef- fraya, d'elle-même, se mit à dire à ma mè
e qu'on allàt cher- cher les gendarmes. Ma mère ne voulut point, la
famille
s'y opposa, et leur fit la même déclaration. No
re de police. I. - Nous n'avons à relever dans l'histoire de la
famille
que la mort d'une soeur du malade, par le fait
ie de sa glande pituitaire. Or cet adolescent, qui était issu d'une
famille
où se dessinait le gigantisme héréditaire, qui
tre frères, dont deux plus âgés que lui,tous bien portants. Dans sa
famille
, on ne se souvient pas de cas similaires : ni rac
'a rien pu apprendre. Il nous renseigne bien sur son état et sur sa
famille
pour laquelle il mani- feste beaucoup d'affecti
vue, sauf une seule : celle de la dégé- nérescence. D'abord dans sa
famille
il n'y a pas eu de cas similaire : ni dans l'as
nifes- tations et de leurs traits. Quelle que soit la condition des
familles
dont ils sortent, quel que soit le pays où ils
il y ait eu à tout prix des infections ou des intoxications dans la
famille
. Et pour cette raison encore les achondroplases
normales et en général il n'y avait plus de cas de nanisme dans la
famille
. Dans le problème de notre court article n'entr
rdiale, et de la respi- ration difficile. Pas d'autres maladies. La
famille
est bien portante. Etat actuel. - Malade d'une
s; en 1892, il fait une fièvre typhoïde avec une psychose aiguë. La
famille
est bien porlante. I tumeurs DE la moelle épini
quelques renseignements complémentaires sur les ascendants de cette
famille
qui, bien que de source apparemment saine, se tro
e étaient morts âgés depuis peu de temps. Jamais aucun membre de sa
famille
n'avait souffert de troubles nerveux plus ou mo
j'ai eu la possibilité d'exa- miner les deux enfants mâles de cette
famille
, et voici en deux mots leur état présent. Dom
nfance ; or il faut encore ajouter que deux autres enfants de cette
famille
sontmorts en bas-âge, respectivement à 1 an et
e grave du système nerveux. En effet, sur les sept membres de cette
famille
deux sont morts à la suite d'attaques convul- s
ont été épargnés. En résumé il est certain qu'il existe dans cette
famille
une labilité dégénéra- tive du système nerveux
rement dans l'âge adulte. Elle frappe le plus souvent dans une même
famille
les individus du même sexe, de préférence le sexe
r- veux central ou périphérique : Tous trois, les rejetons de cette
famille
présentent un tableau morbide saisissant, qui e
IENNE 139 pisse du sapin, il est en sapin : il vivra 80.000 ans. Sa
famille
est perdue, déshonorée, mais immortelle comme l
santé. Elle a eu 6 enfants dont 3 sont morts. Une fausse couche. La
famille
est bien por- tante. Etat actuel. Déformation
cette tendance chez l'en- fant et l'adolescent comprimés dans leur
famille
, chez la femme en puis- sance de mari, la maîtr
comme des rappels et des séquelles de la timidité ? Il y a dans ma
famille
un célibataire un peu retiré, mais bienveillant
out autre chose ; elle n'est cependant pas héréditaire, bien que la
famille
suit fertile en attributs dégénératifs. La mè
liques. , Le grand-père paternel était, comme tout le monde dans sa
famille
, gros et très petit. La grand'mère, normale, eu
ées, a fait deux avortements de trois et cinq mois. En résumé, la
famille
de notre malade est remarquable par la présence d
est « très bizarre ». La mère qui a donné ces renseignements sur la
famille
de son mari,qu'elle dé- teste, est nerveuse, im
l nous semble, encore inconnu, celui de l'existence d'une véritable
famille
achon- droplasique, composée du père, de la mèr
a eu des fausses couches, car dès son enfance il a vécu hors de sa
famille
. Ni chez les ascendants, ni chez les collatéraux,
aille ; ils furent appelés « les nains frères Bagonghi » du nom de la
famille
de son compagnon, qui était espagnol. A 15 ans,
re parlé d'achondroplasie familiale où plusieurs membres de la même
famille
étaient affectés. Mais comment peut-on soutenir q
u'on puisse réunir ces individus épars dans le monde, en former une
famille
, une tribu ; il pourrait arriver que le fait dé
s contrées, en Italie, notamment dans la vallée d'Aoste, il y a des
familles
entières de myxoedématiques et de crétins, où l
n fait nouveau et très intéressant à savoir, le cas d'une véritable
famille
d'achondroplasiques ; nous ne pouvons faire moins
important de nos observations, celui de l'existence d'une véritable
famille
achondroplasique. Etant données la fréquence de
APERT. Nouvelle Icon. de la Salpêtrière, 1901, p. 270. APERT. Une
famille
d'achondroplasiques. Société de Pédiatrie de Pari
qu'on était très inquiet de ces phénomènes et qu'on parlait dans la
famille
, depuis quelque temps, d'éléphantiasis ; c'est
s. La-syphilis ne se retrouve pas. Le malade ne buvait pas. Dans la
famille
, pas de maladies nerveuses ou psychiqucs. A pré-
malie ou tare nerveuse appréciable. Il affirme ne connaître dans sa
famille
nul cas semblable au sien. Naevi multiples, pig
nt congénitale et la jeune fille ne connaît aucune anomalie dans sa
famille
. Cas. VI. Naevus-myélite segmentaire symétrique
bien constituée. Pas trace de syphilis. Aucun cas analogue dans la
famille
. Tuberculose- pulmonaire au début, se manifesta
mais com- prend, parle correctement, donne quelques détails sur sa
famille
et sur sa vie antérieure, s'intéresse aux incid
e eut la rou- geole à cinq ans, la coqueluche à huit, la gourme. La
famille
qui a depuis longtemps abandonné sa fille n'a d
l'annulaire, le raccourcissement est de 15 millimètres. - Dans la
famille
il n'y a aucun cas de malformation digitale, pas
deux baccalauréats Or, il avait vingt-trois ans, était déjà chef de
famille
, et peu fortuné. , A force d'opiniâtreté, et gr
ons, à côté de la catégorie des infanti- tilismes, une aulre grande
famille
clinique, celle des nanismes, beau- coup moins
et encore si confuse des caractères différentiels entre les grandes
familles
cliniques des in- fantilismes, des nanismes et
ns surtout rendre évidente la dis- tinction entre les trois grandes
familles
cliniques dont l'existence nous semble prouvée
de Marie-Louise, duchesse de Parme, don- nait la description d'une
famille
toute composée de nains ; nous n'avons pu malhe
phtérique enjuin 1873, à l'âge de 33 ans. Le second nain de cette
famille
était un garcon nommé Ernest, de même très bien
, Rieger et Von Hansemann. Dobos Janos était L lepremier nain de sa
famille
; il était le cinquième et eut 12 frères Après
ondent à ce type (la demi-mondaine, le petit mulâtre, et surtout la
famille
Maggi), il n'en parle pas et il ne met pas, au ba
on (la demi-mondaine et le petit mulâtre), les trois individus delà
famille
Maggi qui méritent, encore plus que les deux suje
e moindre symptôme apparent de dysthyroïdie. Les trois sujets de la
famille
Maggi et la demi-mondaine avaient la tête un pe
rrespondent probablement à nos sujets, sont les membres mâles de la
famille
Maggi dont nous avons pu, par un étrange hasard,
et chez un autre nain de la même catégorie appartenant à une autre
famille
. L'expression du visage est vive : il n'y a pas
t à laquelle nous renvoyons le lecteur pour tous les détails sur la
famille
. Antécédents personnels. Notre petit sujet est
nt encore d'une excellente santé. Dans le pays auquel appartient la
famille
Gazzano, on ne connaît pas d'autres cas de nani
x individus qu'on serait tenté de les croire appartenant à une même
famille
, cependant qu'ils proviennent de familles diffé
ire appartenant à une même famille, cependant qu'ils proviennent de
familles
différentes et de régions italiennes très éloig
e plus souvent la malformation n'atteint que l'un des membres d'une
famille
. Ce n'est pas à dire d'ailleurs que les ascenda
s petits; des anomalies digitales affectent plusieurs membres de la
famille
. En d'autres cas, l'enquête a été négative (Joa
a brachymélie mé- tapodiale pure, idiopathique, se rattache à celle
famille
d'anomalies que F. Regnault a nommées « Achondr
ansmission d'un caractère acquis et sa fixation secondaire dans une
famille
, ou même qu'une rase nou- velle. oligo-brachyda
u raccourcissementd'un métacarpien. Il est certain que beaucoup des
familles
des brachyméiiques sont tarées : hérédilé ménin
position musculaire, nerveuse, cardiaque ou hépatique dans d'autres
familles
. » L'hérédité dégénérative est certaine, très i
ent la malformation ne se rencontre que chez un seul mem- bre d'une
famille
. La symétrie est habituelle et peut exister aux
vu de toute éducation ; ce petit .bonhomme est un excellent chef de
famille
et un homme très pratique ; c'est lui qui règle
s dit, présentait le même type de nanisme que son (ils ; dans celle
famille
donc le nanisme est héréditaire à travers trois
de cette forme de nanisme, nous ferons remarquer que dans les deux
familles
que nous avons consi- dérées,la transmission hé
héréditaire du nanisme a toujours élé paternelle : dans la première
famille
, en effet, la mère et le père de notre nain étaie
t nains, avait épousé une femme de taille normale ; dans la seconde
famille
, le père de notre sujet était nain aussi, cependa
argu- ment : nous avons nous-même fait remarquer, en effet, que nos
familles
de nains, proviennent toutes deux de contrées d
nation tout à fait primordiale de la microsomie dans notre première
famille
. Nous ne croyons pas que la petite Alexandrine
e est néga- tive. Notre fillette n'est pas le seul individu de sa
famille
présentant des lésions nerveuses et de la polyd
l'ectrodactylie héréditaire est probable ; ainsi, il a observé une
famille
où la mère, la fille et le petit-fils n'avaient q
escence . Annali di Nevro- , logia, 1903, p. 31. 2. Ch. FÉitÉ. La
famille
néuropalhique. Paris, 1894, p. 281. 3. CESTAN.
oncho-pneumonie rapide, arrivé à l'extrême cachexie paralytique. La
famille
ne nous a pas permis l'autopsie. Observation
ogr. de la Salpélrière, n° 6, 1900.) Relation de 1 cas dans la même
famille
, contribuant à démontrer REVUE DE PATHOLOGIE NE
ie de la paralysie infantile. Ces cinq cas furent observés dans des
familles
différentes et débutèrent tous par une fièvre a
, les malades restent en observation soit à l'hôpital, sont dans le
famille
, soit en prison. Les inconvénients de ce. mode
(1776-1841) naquit à Oldenburg. 11 fut d'abord précef teur dans la
famille
de Steiger, qui lui avait confié trois enfants.
ait une prédilection pour l'éducation particulière, estimant que la
famille
seule, et non l'État, peut faire couvre d'éduca
qu'y peuvent présenter les professeurs. Son rêve serait de voir la
famille
s'occuper de la culture morale, les écoles publ
enseignement synthétique, et des répé- titeurs, ayant accès dans la
famille
, se charger de l'enseignement analytique. M.
laquelle ils désirent effectuer le voyage ; 3° Des membres de leur
famille
qui les accompagnent, pour le cas où les Compagni
nsentiraient à étendre la réduction de demi-place aux membres de la
famille
. 111. Nous rappelons également la nécessité d'en-
pparentes l'une n'a pu être examinée au pointde vue des annexes (la
famille
n'ayant pas donné l'autorisation). , Les lési
urs sur les raisons qui nous ont engagé à recourir à la demande des
familles
et aussi sur les motifs qui poussent l'entourag
'en est pas moins vrai que dans pres- que tous les cas, ce sont les
familles
qui refusent l'opération. C'est ainsi que sur 2
lusions suivantes : B. 1° La malade~avait de fâcheux antécédents de
famille
. 2° Elle était personnellement névropathe, ce q
opinions d'Auguste Comte lui créa des difficultés pénibles avec sa
famille
. En 1826, il commence des cours publics, donne po
e ophtalmique survient assez souvent chez des individus ou dans des
familles
migraineuses ; la migraine du premier âge peut
i des anormaux de la même catégorie. L'indifférence à l'égard de sa
famille
qu'il aban- donne dénote bien l'état affeclil'
0 0/0 dans les éta- blis,ements' privés ; 41 0/0 restent dans leurs
familles
. Parmi les aliénés 80 0/0 sont des célibataires
111 ? d'Indecourt, âgé de cinquante et un ans, et demeurant dans sa
famille
, était depuis quelque temps atteinte de fièvre ch
ir qui lui est imposé ; on la menace alors de la renvoyer dans sa
famille
et, sous l'effet possible de cette contrariété, q
ents hérédi- taires et sur le passé clinique et psychologique de sa
famille
. La malade passa la plus grande partie de sa je
à demi usés. La goutte, le diabète et toutes les affections de même
famille
, dont on a pu dire avec raison qu'elles étaient
remercier M. le préfet d'avoir honoré de sa présence notre fête de
famille
. M. le D'' Ballet, en quelques mots, a répondu
r, bien -que pris au dépourvu et Limousin lui-même le berceau de sa
famille
est en effet à Saint-Benoît-du-Sault a prononcé
cides. L'état délirant apparaissait surtout la nuit. Rentré dans sa
famille
, il manifeste des idées de persécution. Il est in
liénation mentale. Mais comme il était de son naturel très doux, sa
famille
n'avait pas cru devoir le faire interner dans u
, s'est armé d'une hache et s'est pré- cipité sur les membres de sa
famille
. Ceux-ci, couverts de bles- sures, n'ont dû leu
de, soit chez les paralytiques généraux adolescents, soit dans leur
famille
. Parfois même, les deux infections, syphilitiqu
vieilles localités, tout comme les vieilles races et les anciennes
familles
, ont-elles leur dégénéres- cence ? Une étude mi
résidence des vicomtes d'Albi, refuge au moyen âge des principales
familles
de la contrée qui vinrent y chercher un asile dur
ns à vous en donner le résumé 2. 1° Cette statistique montre que 87
familles
ont fourni 420 enfants soit près de 5 enfants p
e que 87 familles ont fourni 420 enfants soit près de 5 enfants par
famille
. 2° Sur ces 420 enfants, 220 sont décédés, soit
s sous le nom générique de zigs. Ils ont tous, entré eux, un air de
famille
; quelques spé- cimens les feront reconnaître.
oirs et des dictées, sans trop de fautes, peut écrire lui-même à sa
famille
et sans le concours de personne. Il fait les tr
concernant les couleurs, nombres, jours de la semaine, vêle- ments,
famille
. Lemait... éprouve une grande difficulté pour le
à leurs jeunes malades, en conseillant, comme il convient, leurs
familles
. Ils supprimeront des incurables . Photographie
dans un ménage ouvrier de l'agglomé- ration de Mazières. Un père de
famille
nommé Blondeau, qui, depuis quelque temps, para
, évadé de l'asile de Lafond, et qui était allé se réfugier dans sa
famille
, à Pons. Cet aliéné se nomme Ferdinand Guillard
s dont est hérissée la recherche des antécédents per- sonnels et de
famille
. L'étude de la dermographie chez les aliénés de
ts tranchants, pour frapper les étrangers et même les membres de sa
famille
. Jusqu'à présent les nombreuses voies de fait q
et elle est souvent ainsi l'indice d'antécédents névropathiques de
famille
. Elle peut aussi alterner avec les névroses, di
intercurrentes, 3 ; malades améliorés et confiés aux soins de leur
famille
, 12 ; malades transférés dans d'autres asiles, 7;
upérieure. Ce sont généralement des gens du pays, mariés, ayant une
famille
, s'atta- chant à l'établissement ; ils sont d'u
attaché aux aliénés de la Seine-Inférieure et ayant des charges de
famille
. Toute personne mariée et ayant des enfants reç
e supplément de traitement et à titre d'indem- nité pour charges de
famille
. M. Doutrebente n'a jamais pu obtenir que ses a
u personnel secondaire qui considèrent l'asile comme leur véritable
famille
et qui demandent à y rester jusqu'à la fin de l
deux sexes. - M. GIItALD demande qu'on tienne compte des charges de
famille
et qu'on accorde aux employés mariés et pères d
charges de famille et qu'on accorde aux employés mariés et pères de
famille
des indemnités en rapport avec le nombre de leu
a donné lieu à des plaintes très vives de la part des parents, des
familles
et des médecins. Dans ces derniers temps ces ré
nés tranquilles peuvent être assistés en dehors de l'asile, dans la
famille
, et pour bien d'autres une sortie précoce accél
25 septembre 1901.) Quels malades (aliénés) faut-il placer dans les
familles
; par A. Marie et A. VIGOUROUX. (Revue de Psychi
ussi ceux qui profitent et jouissent le plus du traitement dans les
familles
. F. B. FAITS DIVERS. Suicide d'un garçon de q
ation évite les chances de contamination par les malades et leurs
familles
, par les infirmiers qui vont trop souvent et malg
son attitude néga- tiviste, elle ne se laisse pas approcher, et la
famille
fait remarquer que son unique préoccupation jou
st guère possible que dans des établisse- ments spéciaux ; dans les
familles
les rechutes sont trop faciles. Il ne faut jama
maladies aiguës. Les idiots restent chez eux avec le reste de leur
famille
et se mêlent aux autres enfants du village. Qua
s chargés de l'éducation de l'enfant et secondement les médecins de
famille
; 9° La condition présente réclame une instruct
y adresse un dernier adieu au regretté D1' Meuriot, et adresse à sa
famille
, le témoignage ému de la vive et respectueuse s
Expertise. Psychologie de Il- z dico-légale, pat Betouheres, 279.
Famille
. Quels malades aliénés faut-il placer dans les
intégralement parfois à travers plusieurs gé- nérations d'une même
famille
. Or, il'en est de même des manifestations intel
cin de ce même hospice, constatait le fait, à son maximum, dans les;
familles
régnantes. Mais ce n'est guère]que dans la seco
re distinc- tif de se rencontrer parmi plusieurs membres d'une même
famille
. C'est une maladie qui tend à créer, à côté du
use provocatrice explique l'immunité de certains membres d'une même
famille
et les exceptions à la loi de l'hérédité « aux
ns son cachet spécial. Si en effet il rentre anatomiquement dans la
famille
des scléroses de la moelle, de la transverse cl
endre puis Legendre (son nom est Legendre). Quel est votre nom de
famille
? Elle cherche, puis après un peu d'hésita- tio
ocument officiel vint rappeler la réalité....) Il appartenait à une
famille
pauvre, ou tout au moins de condition modeste ;
orteil. Elle existe aussi souvent dans les Nativités, les Saintes
Familles
, les (1) Nous laissons de côté la plus connue d
tracer. Nous avons pu obtenir des ren- seignements complets sur la
famille
jusqu'à la troisième génération, d'autant mieux
50 ans. Nous avons pu examiner trois membres de cette intéressante
famille
: 9° Un cousin du malade absolument sain. 2°
e anatomie pathologique suivant les sujets et, surtout, suivant les
familles
. Mais, ce qui pour les dualistes peut séparer e
isé, comme dans le cas de Menzel, autant de types différents que de
familles
atteintes, mais tous rattachés par le syndrome
eppina, 26 ans, sage-femme. Aucune hérédité névropa- thique dans la
famille
. A l'âge de 12 ans elle présenta une affection ca
estation de rachitisme (renseignements fournis par le médecin de la
famille
). A. 10 ans, grippe avec congestion pulmonaire; à
, en appa- rence au moins, et était envoyé en convalescence dans sa
famille
. A peine arrivé, il rechuta : la fièvre et l'ép
pas au moment où le malade avait quitté l'hôpital. Le médecin de la
famille
qui l'avait vu, au moment de son arrivée en conva
t pas. Signe de Romberg. .D'après les renseignements fournis par sa
famille
, on apprend que la cécité date de sept années,
premier examen, en l'absence de tout renseignement de la part de la
famille
, ne pouvait-il permettre un diagnostic exact :
tallent précoces ; la main droite est contracturée en flexion. La
famille
, dans la crainte d'un décès, emporte la malade en
s de ce genre. Apert et Debille (12) tout récemment ont parlé d'une
famille
où cinq mâles présentaient ces phénomènes. C'es
es urticaires familiales et de l'oedème aigu familial dans une même
famille
» a été observée (Apert) (12). Au point de vue
inke qui peut se présenter chez le même sujet, ou bien dans la même
famille
(Blau), ne présente pas ce caractère d'être segme
ophoedème familial de Mil1'oy (68) (6 obs. sur 22 sujets de la même
famille
), de Meige (57) (8 obs. sur quatre générations)
il obs. dans 3 générations), de Tobssen ( ? ) (4 sujets de la même
famille
) (69). Au point de vue du terrain sur lequel ce
TTINGER MALADIE OSSEUSE DE PAGET TROIS CAS OBSERVÉS DANS UNE MÊME
FAMILLE
. HYPOTHÈSE NOUVELLE SUR LA PATHOGÉNIE DE CETTE
fection. Il est rare que deux cas aient été constatés dans une même
famille
. Malgré les recherches cliniques, histologiques e
e de trois cas nouveaux. Nos trois malades appartiennent à une même
famille
. Leur étude nous a suggéré une hypothèse nouvel
s croyons préférable de donner d'abord l'arbre généalogique de leur
famille
. Nouvelle Iconographie DE la Salpêtrière. T.
« Mon père avait une tête aussi grosse que la mienne. Seuls dans la
famille
nous pouvions mettre les chapeaux l'un de l'aut
les observations de Robinson (1886- 1889), deux membres d'une même
famille
sont atteints. M. Chauffard (So- ciété médicale
lui-même d'ostéite déformante, que d'ail- leurs l'histoire de cette
famille
, la longévité remarquable de presque tous ses m
MALADIE OSSEUSE DE PAGET 297 couverte de deux autres cas dans sa
famille
, où l'on exerce depuis près d'un siècle la même
Société médicale, 26 mai 1905. SOCIÉTÉ DE NEUROLOGIE DE PARIS UNE
FAMILLE
DE QUATRE SUJETS ATTEINTS DE DYSOSTOSE CLÉÏDO-C
casion de présenter à la Société de Neurologie, le 2 mars 190G, une
famille
de quatre malades qui sont atteints de l'affec-
et les trois enfants. L'étude des antécédents héréditaires de cetle
famille
nous fournit quel- ques renseignements intéress
.XLII). C'est une jeune femme de 23 ans. Elle ne peut donner sur sa
famille
que des renseignements assez vagues. Sa mère es
st vigoureux et bien bâti. C'est elle qui est la plus chétive de la
famille
. (1) A. Couvelaire, Exposé des travaux, Steinhe
e malades qui ont servi à la description de ces auteurs la première
famille
(A) est composée du père et du fils, la deuxième
a première famille (A) est composée du père et du fils, la deuxième
famille
(E) com- prend la mère et la fille. Avant eux
e. Signalons les 5 cas très nets de Hultkrantz, dont 4 dans la même
famille
, les observations de Shorstbeinet de Carpenter,
e la plus inté- ressante puisqu'elle porte sur 6 membres de la même
famille
. Les cas de MM. Pinard et Varnier concernent le
eurs assez d'exemples pour prouver la valeur de ce signe important (
familles
de P. Marie et Sainton, de IIulttkrantz, de Car
. Ces tares peuvent se remarquer d'ailleurs parmi les membres de la
famille
atteinte qui ne pré- sentent pas de dysostose c
avaient des pieds-bots congénitaux ainsi que deux des enfants de la
famille
citée par Carpenter, le frère de la malade de Pin
sée par des signes bien nets que nous retrouvons au complet dans la
famille
que nous avons décrite. 2° Le signe qui, à côté
observation dont les quatre cas sont à mettre en parallèle avec les
familles
les plus nombreuses et les plus typiques (Gegen
divers foetus, correspondant à la plupart des genres établis dans les
familles
des pseudencéphaliens et des anencéphaliens se
isent insensiblement d'un tableau morbide à l'autre. OBSERVATIONS
Famille
H..... Aucune tare du côté maternel. 1. Grand
rque de Jendrassik, la non-atteinte de plusieurs membres de la même
famille
ne prouve pas qu'une affection du système nerve
propre qui doit faire réfléchir le médecin, auquel le malade et sa
famille
raconteront souvent une étiologie de fantaisie, p
ébaubis. La cure se maintint car, quel- ques années plus tard, une
famille
nous pria de renouveler le miracle pour une fil
liction et s'en prennent à lui du retard à soulager tant de pauvres
familles
qui deviennent la compassion de ceux qui connai
se anor- male, une observation qui, quoique rentrant dans la grande
famille
des ano- malies du développement osseux, différ
nformés. L'achondroplasie peut apparaître accidentellement dans une
famille
, mais peut également être héréditaire (Porak, B
rents sain ? ou également touchés. Boeckh rapporte l'histoire d'une
famille
où le bisaïeul, le père et deux filles auraient é
tenable. Les petits individus qui apparaissent sans raison dans une
famille
lorsqu'ils ne sont ni achondroplasiques, ni rac
. ' Cette localisation pourra varier suivant les membres d'une même
famille
(hérédité hélérologue), portant, par exemple, c
aire, la localisation est la même chez les différents membres d'une
famille
(hérédité homologue), comme chez certains myopath
position musculaire, nerveuse, cardiaque ou hépatique dans d'autres
familles
. Nous avons, dans ce travail, cherché à élucide
leur état. Le sujet a trois frères et deux soeurs mariées et mères de
famille
. Toute la famille est bien constituée ; jamais
a trois frères et deux soeurs mariées et mères de famille. Toute la
famille
est bien constituée ; jamais on n'y a observé de
ès démonstrative. Il a pu suivre chez quatre générations de la même
famille
la façon de se comporter de la polydactylie. Su
son de son alimentation mauvaise et insuffisante vu la misère de sa
famille
, je trouve que son état général laisse à désire
héréditaire ; il est manifeste et indiscutable dans deux des trois
familles
qui m'ont fourni le matériel d'observation. Du
ffection est essentiellement héréditaire. Cependant dans une de nos
familles
, dans la première, il ne m'a pas été possible d
t une évolution non sup- purative. Maintenant, de l'étude des trois
familles
que j'ai observées, il résulte que la présence
les exostoses de croissances (1893). 650 SIMONINI Dans la seconde
famille
, il semble d'abord,que l'on puisse exclure l'in-
pécial, paraissent d'une nature assez suspecte. En aucune des trois
familles
étudiées, on n'a trouvé trace d'alcoolisme, ni
rares pour justifier la publication de l'his- toire clinique d'une
famille
que nous avons pu étudier à la consultation de
tudier à la consultation de notre maître, M. le Dr Thibierge. Cette
famille
se compose de sept membres dont cinq sont attei
issent normalement. Au résumé, nous nous trouvons en présence d'une
famille
frappée à trois générations d'ophtalmoplégie ex
bituellement) apparaissant ici et là chez quelques membres de cette
famille
: existence de bégaiement chez un des enfants, ar
de la musculature interne de l'oeil chez tous les membres de cette
famille
est un fait qui parait constant dans les cas d'
res et une soeur en bonne santé ; aucune affection nerveuse dans la
famille
; pas d'alcoolisme ni de syphilis, pas de tuber
ypothèse de myo- pathie primitive progressive. On ne relève dans la
famille
de M.... aucun cas semblable, aucune tare héréd
e Isidore Geoffroy-Saint-Hilaire a pu établir un parallèle entre sa
famille
des Exencéphaliens et celle des Pseudencépha- l
par VALOBRA, 560. Dysostose cléido-crânienne et héréditaire (Une
famille
de quatre sujets atteints de) (5 pl., 3 fig.),
61. Paget (Maladie osseuse de ) trois cas observes dans une même
famille
. ll ypo- thèse nouvelle sur la pathogénie de ce
LE DES AUTEURS osseuse de Paget. Trois cas observés dans une même
famille
. Hypothèse nou- velle sur la pathogénie de cett
paralytiques géneraux (2 pl.), 201. VILLARET et Louis Franco/. Une
famille
de quatre sujets atteints de dysostose ctëido
o (') a reconnu la filiation et lui a assigné sa place réelle dans la
famille
. Elle n'était pas la sœur, mais la tante de Thout
rier tapissier d'Audenarde. Charles-Quint fit élever sa fille dans la
famille
de Douvrin, puis elle séjourna à la Cour de sa ta
mois de janvier 1858, Bernadette quitta Bartrès pour rentrer dans sa
famille
, au lieu d'un bien-être plus grand, c'est une pau
ait l'objet d'un véritable culte et se conservait pieusement dans les
familles
. On pouvait voir des samouraï appauvris et miséra
nsulte ou pour expier un acte qui aurait terni leur nom ou ruiné leur
famille
ou bien encore pour ne pas survivre à la ruin
t ne l'empêchait nullement de remplir chez lui ses devoirs de père de
famille
, au palais, ses fonctions de magistrat, et que pe
engraissée, elle avait tellement épaissi, suivant l'expression de sa
famille
, qu'on fut obligé d'agrandir le tour de taille de
divinités tutélaires. et qui exerçaient sur la maison, sur le père de
famille
, sur la famille et même sur les biens, une influe
ires. et qui exerçaient sur la maison, sur le père de famille, sur la
famille
et même sur les biens, une influence protectrice.
e de mets et de boissons. Ils présidaient à tous les événements de la
famille
. Chaque circonstance, heureuse ou malheureuse, de
abi- tude ont été constatés chez l'enfant? 10. Y avait-il dans la
famille
, des anomalies semblables? Les décrire. 1J. Combi
il s'agit. 12. Quel était l'état de santé des divers membres de la
famille
? Adresser, autant que possible, des photographi
celui d'un homme mùr. Il y a dix ans. qu'il dut fuir sa maison et sa
famille
à cause d'une impulsion presque irrésistible à co
s par les exemples pernicieux qu'ils avaient sous les yeux dans leurs
familles
, Us ont été détournés de la vole normale par des
pliers de Voulaine ('). Mme de Chastenay a trouvé dans ses papiers de
famille
plusieurs traces de vente et d'échanges de ces li
tait atteint d'hystérose grave depuis quelques mois. Rentré dans sa
famille
il se laissa conduire un jour au théâtre par un p
rtaine excitation qui, s'augmen-tant les heures suivantes, obligea sa
famille
à le conduire dans une maison de santé. Or il arr
réflexe pharyngien. Son état s'est aggravé à la suite d'ennuis de
famille
, de fatigues. Nous notons un affaiblissement cons
tous les névrosés. Si Bernadette, à un moment donné, fut enlevée à sa
famille
pour être placée dans un couvent de Lourdes d'abo
e 16 novembre 1502, enterrés l'un et l'autre dans la chapelle de leur
famille
en l'église des Saints-Innocents de Paris, et Jac
ble et de pressentir sa mort prochaine. On imagine le désespoir de la
famille
. Le médecin traitant n'est pas d'avis d'appliquer
ne saurais toutefois vous dire si la guérison s'est maintenue, car la
famille
a quitté Oorfou depuis près d'un an et, je n'en a
, réunissant en elle toutes les qualités de la femme et de la mère de
famille
. (à suivre). PHYSIO-PSYClfOLOGIE DES RELIGIEU
i utile pour lui-même. Certain, au contraire, d'être soigné lui et sa
famille
au compte d'autrui, assuré d'un bon traitement, q
de la possession. Les parents sont de religion mixte. Dans certaines
familles
de Wemding, les enfants sont élevés dans la relig
quer la curiosité, et de tous les environs on vint rendre visite à la
famille
de la jeune fille barbue. De ses sept frères et s
es les aptitudes féminines, elle s'est toujours montrée bonne mère de
famille
. Son exemple apporte un fait de plus à la démonst
la période de l'âge critique survient, en général, chez les mères de
familles
, peu de temps après le moment où leurs filles ont
à la démonstration de ses qualités de femme d'intérieur et de mère de
famille
. Bien plus, les quolibets et les sarcasmes de s
endue à la mémoire de l'homme de bien et du savant modeste dont notre
famille
s'honore et qui laisse à tous le souvenir d'un bi
onne à notre réunion d'aujourd'hui son caractère de véritable féte de
famille
. Autour du buste remarquable dû à l'habile ciseau
rie des toasts fut clôturée par le général Mercier, qui, au nom de la
famille
du Dr Liébeault, de ses amis personnels et des dé
oppement d'institutions congrêganistes grâce aux largesses d'une même
famille
. — Perronelle de Chàteaurenaud lègue trois arpent
he du château familial qu'aillent toujours les libéralités d'une même
famille
. Les moines ont d'ailleurs soin d'établir dans la
rée possédée. Elle souffrait depuis trois ans de ces crises. Enfin sa
famille
résolut d'avoir recours au remède considéré comme
la suite de chagrins violents. Il a perdu plusieurs membres de sa
famille
dans l'espace de quelques mois, il en a été très
formation, ou les indications fournies par l'inculpé lui-même, par sa
famille
ou par son défenseur.) » La position pendant le
ort pour deux, trois, cinq et même huit jours. En novembre 1904, sa
famille
retourne en Italie et se fixeàSanRemo. On met not
eune fille, qui a aujourd'hui 24 ans, appartient à une très honorable
famille
des environs de Paris. Je la soigne depuis le 28
d'enrouement. Néanmoins, au cours des réceptions de nouvel an dans sa
famille
, elle dut parler beaucoup, chanter, fatiguer son
s Il y a quelques années, je fus appelé à donner mes soins dans une
famille
, à une jeune bonne à laquelle on tenait beaucoup
bruyants de l'intestin qui, malgré bien des médications, affirmait la
famille
, avaient tellement augmenté d'intensité que le se
des borborygmes ; pas ou peu de constipation ; règles normales. La
famille
m'avait fait appeler pour savoir si l'hypnotisme
e médecine d'Alger. Des liens d'amitié unissaient depuis longtemps ma
famille
à la famille L... Aussi, bien que n'a3'ant encore
Alger. Des liens d'amitié unissaient depuis longtemps ma famille à la
famille
L... Aussi, bien que n'a3'ant encore, à cette épo
e passer de son magnétiseur plus de 48 heures consécutives. Ainsi, la
famille
L... étant venue à Paris, avait dû faire exacteme
e infantile ait été faite, malgré les renseignements fournis par la
famille
sur l'origine congénitale de la déformation. Mais
ier : ainsi il arrive, bien que le fait soit rare, de voir dans une
famille
de cas congénitaux un cas non congénital (Milro
lle de Lannois : la déformation frappe plusieurs membres d'une même
famille
mais n'apparaît en général qu'à la puberté : c'es
ais-1 68 COURTELLEMONT sance et ne frappe qu'un seul membre de la
famille
. Ce type paraît le plus rare de tous (cas de Ra
7 ans, sa mère à 73 ans. Il était le troisième des cinq enfants de la
famille
: son frère a succombé dans l'enfance, ses troi
erie, se maria et eul quatre enfants, mariés aussi et tous pères de
famille
. Histoire de sa difformité. Il naquit avec sa d
la fin de la journée. Rappelons à ce propos qu'un des membres de la
famille
étudiée par Miron avait un oedème rosé ; les mala
utres points du corps. L'existence de noevi a été signalée dans les
familles
de trophoedémateux ; sa présence sur les membres
un fils dysostosique et deux fils normaux sont nés dans cette même
famille
. J'ai pu, en outre, observer une famille où la mè
x sont nés dans cette même famille. J'ai pu, en outre, observer une
famille
où la mère et deux des fils (âgés de 20 ans et
s personnels. B., étant encore. en bas âge, fut accueillie dans une
famille
de paysans où elle grandit en jouissant constamme
armi elles se trouve une femme qui a été placée en service dans une
famille
de R... mais originaire de P... et très connue de
e de M. X...Celui-ci se rap- pelle alors que l'un des membres de sa
famille
, depuis plusieurs années décédé, lui a souvent
entendu la voix de M... murmurer à son oreille que son vrai nom de
famille
n'était pas M ? qu'elle n'était autre chose que l
ité trouvait très logiquement sa raison d'être dans des chagrins de
famille
malheu- reusement trop fondés. Mais, dès cette
xxi u 12 178 HOPE ET FRENCH Celle affection étant commune dans la
famille
, on n'y prêta que peu d'attention ; et lorsque,
devoir prendre la même évolution que chez les autres membres de la
famille
qui ont été attaqués. Les enfants d'Ellen, fi
rrell, aurait présenté des difficultés sérieuses si l'histoire delà
famille
n'avait pas été aussiexpli- cite ; mais, étant
aire ». La seule mention que nous ayons trouvée en Angleterre d'une
famille
similaire est la description de H. D. Rolleston
otiques de nature. La coexistence d'autres troubles nerveux dans la
famille
. C'est toujours une chose difficile que d'éluci
es histoires d'aliénation mentale ou de crises convulsives dans une
famille
. Néanmoins il est inté- 196 HOPE ET FRENCH re
eptiques. Une histoire similaire d'épilepsie chez les membres d'une
famille
dont d'autres membres sont atteints de trophoedèm
vateur constituent pour chacun un groupe qui appartient à une seule
famille
; par conséquent,alors que tous les cas d'un gr
t. Effets de la grossesse sur l'affection. Plusieurs filles de la
famille
se sont mariées alors que l'oerlème était bien
iale : IIunsley, fille d'une personne atteinte de l'infirmité de la
famille
, n'en était elle-même pas affectée, mais elle a
ance un jour à des enfants qui en seront atteints. CONCLUSIONS La
famille
dont nous avons donné l'histoire paraît comparabl
toire paraît comparable, bien qu'il y ait quelques différences, aux
familles
décrites par Milroy, Meige, Rolleston, et d'aut
vateurs. Le point capital de la maladie dont certains membres de la
famille
ont été atteints (13 sujets sur 42 personnes en
ne histoire d'é- pilepsie ou d'autres troubles nerveux dans la même
famille
. Nos malades, différents en ceci de ceux des au
in- terdisant au musulman de jeter les yeux sur les personnes de sa
famille
, lorsqu'elles sont nues. Périmètre sous-mamma
e poursuivre comme jadis, non plus V... puisqu'il est mort, mais sa
famille
. Dès son entrée à Bicêtre, son attitude est déj
en bière que j'ai dû de pouvoir re- tirer lu colonne vertébrale. la
famille
s'étant opposée à l'autopsie. Les deux poumons
nous donnons in extenso concer- nent deux soeurs appartenant à une
famille
dont nous pûmes étudier avec soin chaque membre
ependant très important en ce sens que, ne provenant pas de la même
famille
et étant probablement déterminé par des causes
considère sa cécité absolue), prenant normale- ment part la vie de
famille
. Etat actuel (18 mai 1908). Conditions généra
vie, à avoir de la compagnie après la mort des parents, à avoir une
famille
à soi ». A la question si elle croit qu'elle va
avec résignation, par habi- tude et parce que les conditions de sa
famille
l'y contraignent. Elle est douée d'une concepti
qui sont éviden- tes chez Marguerite et chez d'autres membres de la
famille
. La langue est fine, à surface normale : sa mob
la moyenne. ' Le patient ne sait rien nous dire sur le reste de sa
famille
. Il a deux frères et deux soeurs plus âgés que
ion que la main de Marguerite ; quoique n'appartenant pas à la même
famille
il nous montre à un très haut degré le dé- fici
sures du patient sont devenues trop étroites. Les personnes de sa
famille
disent que durant les deux dernières années, el
1 ans. ttien de bien particulier à signaler dans ses antécédents de
famille
. En particulier pas de malformations anciennes an
sées à n'importe quelle heure. C'est sur le status psychique que la
famille
donna le moins de renseignements ; le mari, éth
t amé- liorée, à la suite d'un traitement mercuriel. Toutefois la
famille
nous affirme que, dès la première attaque, la mém
e typhoïde dont auraient été atteints à la fois douze membres de la
famille
. Elle a été réglée à 13 ans, et jusqu'à l'âge de
mations ne se sont jamais manifestées chez les autres membres de la
famille
, ni parmi leurs ascendants. En outre, le frère et
Il n'y a pas de mal ». Le maire le fait relâcher, et conseille à sa
famille
de le conduire à l'hôpital de Bordeaux. C'est
er comme un anormal, inférieur mentalement aux autres membres de sa
famille
. Son intelligence est très peu développée, très
sont nuls. Pierre n'a jamais manifesté d'affection à l'égard de sa
famille
. Actuellement, il offre le tableau de l'indiffére
lose pulmonaire. Sa mère est bien portante. Il est le quatrième d'une
famille
de six enfants. Les frères et soeurs sont norma
n Lorain typique, l'au- tre nettement myxoedémateux. Dans de telles
familles
les antécédents 426 ETTORE LEVI . héréditaire
thèse que nous soutenons par le fait même qu'elle appartient à une
famille
où il y a deux infantiles ayant une ossificatio
êmes faits étaient évidenls chez tous les autres membres de la même
famille
. Il ne paraît pas que chez aucun de ces individ
e caput quadratum hydrocéphalique. Chez d'autres membres de la même
famille
nous avons aussi constaté des stigmates rachiti
de mon troisième 'sujet Elis%o Bian..., n'appartenant pas à la même
famille
et dont l'arrêt de développement général est pr
s un cas d'obésité familiale chez une malade de 15 ans, issue d'une
famille
où obésité et goitre ,vont de pair, observa que
s mêmes déformations dentaires chez trois autres membres de la même
famille
; un frère a enfin un palais ogival. Dans un
mariée pendant 17 ans et n'a pas eu de grossesse. Personne dans sa
famille
n'a, à sa connaissance, présenté de déforma- ti
gène ? 'ou doit- on incriminer une prédisposition spéciale de cette
famille
à faire des complications cérébro-médullaires,
ien se nourrir. Pas de psychoses, pas de maladies nerveuses dans la
famille
. Antécédents personnels. - Scarlatine à 8 ans.
e d'une suggestion. Il s'agit d'une jeune fille de 12 ans : dans sa
famille
, personne n'a souffert d'accidents hystériques.
Bientôt elle ne voulut plus travailler, et malgré les prières de sa
famille
, elle décida de ne plus aller dans les champs.
cise ; on sait cependant qu'il n'y a jamais eu d'aliénés dans sa
famille
. Mariée à vingt ans, la malade a eu trois enfants
ses compatriotes qui possédait plus de 50,000 francs, que dans sa
famille
ils sont tous riches de père en fils, qu'elle a e
au demeurant c'était un homme calme, bon ouvrier, et dévoué à sa
famille
. Augustine a fréquenté l'école jusqu'à l'âge de
ne l'appelle même plus par son prénom, mais seulement de son nom de
famille
. Enfin, le 22 juin, elle s'avance vers nous, à
de deux frères atteints d'une maladie du système nerveux central de
famille
. Redlich. Présentation d'un cas de dystrophie m
en Poitou. C'est là que naquit le Dr Calmeil, troisième fils d'une
famille
qui devait se compléter par la naissance de trois
ur y installer, sous la surveillance d'une vieille domestique de la
famille
, les deux jeunes gens. L'un, âgé alors de neuf an
rères etsoeurss'adonnaientgaie- ment à toutes les occupations de la
famille
, à la surveillance des vendanges, lui, prenait
rande 62 BIOGRAPHIE MÉDICALE. affection, il l'accueillait dans sa
famille
, mais bientôt la mort vint le surprendre et pri
appelait chez lui à Paris, deux fois par semaine, pour recevoir les
familles
des aliénés. Sachant que pendant son passage à
ligé de faire un rap- port au ministre pour faire rentrer dans leur
famille
les sujets atteints. Ce n'est qu'à la suite de
l'enfant le plus vicieux aux autres. Un grand nombre de pères de
familles
ont entrepris de suivre le contrepied de cette
de l'union des sexes. L'auteur entre- prend une enquête auprès des
familles
qui ont adopté ce mode d'éducation et fait appe
curables inoffensifs indigents, pou- vant vivre chez eux, dans leur
famille
, à la condition qu'on organise leur assistance
la condition qu'on organise leur assistance et qu'on fournisse aux
familles
les moyens de les ,,aider. Pour organiser leur
es du médecin officiel de l'endroit et de donner une subvention aux
familles
stylées par le médecin et surveillées par lui. Le
proposition dans les limites suivantes : s'il 1 est reconnu que la
famille
présente les qualités matérielles et morales pr
n ou de l'amélioration compa- tible avec la vie de l'aliéné dans sa
famille
; le Ministère consulte trois médecins (mais he
s. Père mort par apoplexie; frère légèrement rhumatisant. Dans la
famille
, aucune maladie nerveuse ni mentale, pas de déf
de maladie de Friedreich chez une petite fille de quatorze ans; sa
famille
est remarquablement indemne de toute tare nerve
cer, soit dans des exploitations agi icoles, soit dans leurspropres
familles
; le défaut de surveillance et de soins paraissa
ourriciers, tous ces malades jouissent delà liberté et de la vie de
famille
, sauf lorsqu'ils deviennent agressifs ou violen
façon permanente. Pour leur assurer autant que pos- sible la vie de
famille
, on n'en confie jamais plus de deux à un nourri
ingt ans. Mardi dernier la femme Franchet, qui était chargée par la
famille
de rechercher ce jeune homme, apprit de INIIII
l et que jamais, à leur connaissance, il n'y a eu d'aliénés dans sa
famille
. Maumy s'est marié le 22 janvier 1888, il a eu
vant elle de la mort, soit à propos de la mort d'une personne de sa
famille
ou d'un grand personnage, soit en évoquant seul
me acuité jusqu'au moment où, deux mois après, il fut repris par sa
famille
et ramené dans son pays. b M. Régis est d'avis
près un maximum de deux années de séjour, le malade sera rendu à sa
famille
, guéri ou non. En cas de rechute, l'hôpital ne
beaucoup de malheureux aliénés et plongent dans le déshon- neur des
familles
qui ne le méritent pas. M. ARNAULD. - Les huit
ainsi préparé, inter- viennent des facteurs moraux (discussions de
famille
, procès, etc.) qui produisent une dépression pr
itables conceptions délirantes (ils ont, disent-ils, déshonoré leur
famille
et doivent être brûlés). Un trait commun réunit c
ant des ressources suffisantes, soit par eux- mêmes, soit par leurs
familles
. M. LE Président. -Notre procès-verbal constate
éné pour 437 habitants ; 36 p. 100 des aliénés restaient dans leurs
familles
; 12 p. 100 dans des hôpi- taux communaux, dans
de lui échapper; . ,r ,r ,par leD''r11'. IaELASD. ` , , Dans une
famille
entachée d'hérédité ilévropalhique, tous les des-
de développement intellectuel ; il y a eu de ces dégénérés dans la
famille
ainsi que des malformations. Depuis 1890, époqu
der celte place d'honneur à son grand'oncle, au chef illustre de la
famille
d'aliénistes à laquelle il appartient. Mais ici
était goutteux. Un oncle bien portant appartient aussi à la grande
famille
des arthri- tiques, il est légèrement obèse.
'ils décrivent et donnent un tableau généalogique intéressant de la
famille
de cet héréditaire. (British Médical Journal, 1
esasiles par les autorités, [dans l'intérêt des malades et de leurs
familles
, qu'ils la souhaitent encore; voyez plutôt le con
e- ment. L'hypnotisme à lui seul guérit parfois très bien dans la
famille
même de la malade ; c'est ce qui est arrivé tout
l s'agit d'une maladie céré- brale ? De même que le médecin de la
famille
, en cas de maladie infec- tieuse, adresse un ra
ébrale, un rapport devrait être fait par le médecin ordinaire de la
famille
, et un médecin spécialiste viendrait immédiatem
ec cette tradition et chaque pavillon possède un petit salon où les
familles
visitent leurs 1 Ou mieux encore on peut avoir
ter à demeure. En dotant chaque division d'une pièce des- tinée aux
familles
, on aura cet avantage de faciliter les visites
moi-bide (1859). Moreau. Psyc/tooze mor&Me (1859). 1 Féré. La
famille
névropalhique, Arch. Neurologie (1884). » Jules
o- cher du type parfait de l'espèce3. Mais combien rares sont les
familles
où l'on ne puisse trouver la moindre tare hérédit
bonne voie de guérison ; malheureusement, elle appartenait à une
famille
de buveurs et les réjouissances qui célébrèrent s
nu et, par conséquent, son fils fut élevé dans les traditions de la
famille
. Quand son éducation première fut terminée, pen
1857, à la mort de son père, il fut décidé que la vieille maison de
famille
dans Laurenee-Street, à York, serait convertie
a table : un repas ne lui faisait jamais oublier son travail, et sa
famille
souriait et grondait alternativement lorsqu'il
it, voilà de l'hospitalisation. Il viendra à vous des Mies de bonne
famille
comme nous en avons dans les hôpitaux. C'est ce
vent faire préfé- rer le traitement à l'asile au traitement dans la
famille
. La famille SOUSCRIPTION J.-M. CHARCOT. 493 e
réfé- rer le traitement à l'asile au traitement dans la famille. La
famille
SOUSCRIPTION J.-M. CHARCOT. 493 est trop disp
n qu'ils ont des idées qui ne sont ni partagées ni admises par leur
famille
, les dissimulent avec soin, jusqu'au jour où l'in
e par un véritable crime. Enfin, on ne saurait oublier que dans les
familles
où il existe de l'hérédité névropathique, les i
se communiquent facilement et fréquemment d'un des membres de la
famille
à un autre ou à plusieurs autres. Ces considérati
nois; renseignements- , insuffisants' sur lui, et nuls sur toute sa
famille
. -Mère, rien de. Fig. 12. Wa ? en septembre 1
ois mois après la naissance de l'enfant. Aucun renseignement sur sa
famille
. Mère, trente-six ans, autrefois domestique, ma
els sont morts vieux, sans accidents nerveux. Dans le reste de la
famille
, pas d'autre cas d'apoplexie, pas d'idiots, de go
is d'août dernier. ATAXIE LOCOMOTRICE ET FOLIE SIMULÉES. 29 De sa
famille
nous ne savons rien ; sur son enfance et son ad
git d'une affection atteignant souvent plusieurs enfants de la même
famille
, débutant, dès la première année de la vie, sans.
se trouve appliqué le système du traitement des aliénés dans les
familles
. Au lieu d'être sous la surveillance d'une commis
Une opération, au moins exploratrice, fut proposée, acceptée par la
famille
, et pratiquée par le Dr Alac-Naught. L'os éta
sincère. Séjour de seize mois dans un asile ; puis retour dans la
famille
, suivi dix mois plus tard d'un nouvel internement
sexuels. La mélancolie, le suicide existent manisfestement dans la
famille
. Il est hypochon- driarlue depuis de nombreuses
de temps on devra le garder à l'asile et il dési- rerait, quand la
famille
demandera la sortie, voir la magistrature inter
té des Publications : MM. Ballet, BOUCUEREAU, Vallon ; Conseil de
Famille
: LE Bureau et MM. A. Voisin et P. Moreau. Suff
nt admis, suivre ceux-ci chaque jour avec soin, prendre, auprès des
familles
, les renseignements sans les- quels diagnostic
ministrative, de rédiger une partie de la correspon- dance avec les
familles
, etc. Ainsi comprise, la fonction de l'interne
pécialement, et qui connaît à fond les malades, le personnel et les
familles
. La seconde disposition est éminemment regretta
les asiles nécessite un temps considérable : les rapports avec les
familles
, l'étude d'affections toutes spé- ciales que l'
on, de la rédaction des observations, de la correspondance avec les
familles
, etc. '. A l'asile de Dûssel- dorf (550 malades
visite quotidienne; ils sont chargés de la correspondance avec les
familles
, et rédigent des rapports de médecine légale. C
de séjour seront, comme ceux des autres malades, supportés par les
familles
, les communes ou le départe- ment. Le conseil a
Au point de vue de la situation de fortune : 65 appartiennent à des
familles
aisées, 233 à des familles nécessiteuses. 111
tion de fortune : 65 appartiennent à des familles aisées, 233 à des
familles
nécessiteuses. 111. Quartiers d'enfants annexés
N° 2. Une scène pénible s'est déroulée, hier, rue Blomet, dans une
famille
composée du père, M. L..., âgé de soixante-cinq a
sons à Levallois et à Asnières et je vous prie de faire prévenir ma
famille
à cette dernière commune où je suis domicilié.
uilibrée et qui s'entraîne à tout ; notre malade est le cadet de la
famille
. Il est né à ternie, mais les couches étaient l
J. BOYER. SOMMAIRE.Rt : )Me : 9 : e ! Kett<S insuffisants sur la
famille
patemelle.- Mère migraineuse. - Pas de consangu
fort, marchand de vins en gros. Aucun renseignement précis sur la
famille
du père. Il n'y aurait dans sa famille, ni aliéné
renseignement précis sur la famille du père. Il n'y aurait dans sa
famille
, ni aliénés, ni ner- veux, ni apoplectiques, ni
nnaissance de treize à quatorze ans. Réglée à douze ans et demi. - [
Famille
de la mère. - Père, bien portant, cultivateur, so
roulait par terre et ne voulait pas se coucher. Aucun enfant de la
famille
ne lui res- semble. État du malade à son entr
angage et de l'excitation bruyante. La malade a des aliénés dans sa
famille
. Normalement, ses allures sont modestes, son in
s malades seraient suivis de plus près, partant mieux traités ; les
familles
seraient mieux renseignées, les chefs de servic
décembre 1894. Il était né le 3 avril 1855 a Sainte-Philomène d'une
famille
de fer- miers. Après la mort de ses parents, su
à l'hérédité, la maladie ne reparaît pas dans cette branche de la
famille
; - elle ne reconnaît aucune cause appréciable ;
lus grand nombre est laissé en liberté, et le reste à la charge des
familles
. hf. Masoin démontre ensuite qu'aucune de ces c
es conditions requises pour le traitement du morbus- sacer. Dans la
famille
, à moins qu'il ne soit favorisé de la fortune,
able du travail, portes et fenêtres ouvertes, visites à volonté des
familles
, collations et villégiatures, possibilité d'écr
t mille fois plus humanitaire et plus agréable pour le malade et sa
famille
. La réussite de la tentative entreprise par M.
és. Il y un grand réfectoire pour 120 personnes. L'inspecteur et sa
famille
prennent leurs repas en commun avec les enfants
is lorsqu'il y aura des lits vacants; d'autres demeurent dans leurs
familles
qui ignorent l'exis- tence des établissements o
isent en quelque sorte et presque complètement un des membres de la
famille
, alors que dans les asiles, une personne suffit
ent le devenir que s'ils sont sans surveillance de la part de leurs
familles
, il y aurait un grand avantage à les soigner et
er et à les éduquer en dehors des asiles, en les laisant dans leurs
familles
et en les envoyant dans des classes spéciales.
ine 'puisqu'on leur viendrait en aide, en les maintenant dans leurs
familles
, tout en procédant à leur développement physiqu
ébiles, les insuffisants sont soit dans les écoles, soit dans leurs
familles
. Ceux des écoles sont une VARIA. 315 S gêne p
édes arriérés, souvent instables, qui sont censés rester dans leurs
familles
, ils sont généralement abandonnés à eux-mêmes,
s'est montré, après un fort refroidissement. Chez les membres de la
famille
du palient, on n'a observé aucune maladie nerve
en Angleterre, le ma- gistrat chargé de l'enquête les épargne à la
famille
en rendant un verdict de suicide dans un accès
pargnerait au clergé des situations difficiles, et assu- rerait aux
familles
la consolation des dernières prières; elle met-
e dans une large mesure de ceux qui étaient les gagne-pain de leurs
familles
ont été encore aggravées par les mariages qu'on
f. Psy- chiat" LI, 3.) Il s'agit d'une fillette intelligente, de
famille
tarée. A l'âge de dix-huit ans, elle reste en s
t du développement du thyroïde chez trois jeunes enfants d'une même
famille
nouvelle venue, il estime que REVUE DE PATHOLOG
préconise en Cali- fornie la comparution rapide devant le juge. La
famille
est généra- lement représentée au prétoire. mai
es d'intempérance aura compromis ses propres intérêts et ceux de sa
famille
, ou sera un danger pour la sécurité publique, p
pas de détails. - Point d'aliénés ni d'épileptiques, etc., dans la
famille
]. Mère, blanchisseuse, sobre, morte à quarante-
e quoi, faisait des excès alcooliques. Pas d'aliénés, etc., dans la
famille
.] Consanguinité (cousins germains); différence
les. L'hystérie est à peu près aussi fréquente chez les enfants des
familles
riches que chez ceux de la classe pauvre. Le pr
us de l'alcool sont, plus que tous les autres, portés à ruiner leur
famille
. Ces 492 BIBLIOGRAPHIE. considérations font d
ude, qui sont dangereux pour autrui ou qui causent la ruine de leur
famille
, puissent être séquestrés d'office dans des asi
hologie et l'enseignement de l'art. Félix Régamey appartenait à une
famille
d'artistes dont aucun ne fut négligeable. Son pèr
anormalité acquise dans le milieu. Entourés d'enfants choyés dans la
famille
, renseignés sur les caresses, les joies, le bien-
une infirmité psychique parce que le sujet appartiendra à une honnête
famille
, on apprendra quelques mesures de capacité, des n
; M. le D' Mabille, l'actif et dévoué secrétaire de la section, et sa
famille
; M. Beauvais, directeur de l'Ecole professionnel
te rarement à vous dire qu'il a eu une frayeur, de graves chagrins de
famille
, des revers de fortune, des pertes d'argent ou d'
te doit comprendre celle de son entourage. J'aime à écouter ce que la
famille
ou les amis ou patients ont observé, concernant s
trouve seul avec moi. Il peut y être accompagné d'une personne de sa
famille
dans le cas où il le désire. Le plus souvent, dès
compagné des deux sœurs norvégiennes. Il les admit dans le sein de sa
famille
(car il est marié et père de iamille) et commença
uels j'adresse mes très vils remerciements, — l'un, très lié avec une
famille
que je soigne à Paris, le Dr Hamon Barco de Palac
nourriture, quitte à s'alimenter en cachette. On a vu également telle
famille
profiter d'un cas analogue pour exciter la curios
aux écoliers. Ils y sont libres. La règle de la maison est la vie de
famille
et M. Quinqué l'applique avec méthode. Il veut êt
neusement sélectionné, pour peu que le débile n'ait rencontré dans sa
famille
que brutalités, méchancetés, n'ait pas senti, en
it pas senti, en somme cette influence de confiance que doit créer la
famille
— et le cas est particulièrement fréquent, lorsqu
nt, sur la limite de la débilité et de la normale, se trouve, dans sa
famille
, mal surveillé, abandonné à lui-même, livré au ha
idiots. On redoutait ces enfants, leur présence portait bonheur à la
famille
. Le crétin ou myxœdèmateux fut de tous temps vé
eproduit. Les quatre idiots des figures 5, 6, 7, 8, ont un air de
famille
: figure slupide, rire bestial, larges oreilles c
dre ces consultations plus accessibles aux maîtres, aux élèves et aux
familles
, elles pourraient se faire aux heures de sortie d
onvaincue, certes, qu'elle a des griefs sérieux contre son mari et la
famille
de ce dernier, elle juge sévèrement leur conduite
uyant la gorge centre la courroie tandis que les autres membres de la
famille
regardent par des trous pratiqués dans le mur. Si
ans le cours des maladies capables d'inspirer quelque inquiétude à la
famille
que s'organisent insidieusement ces élatsde . con
br, agrégé de l'Université, professeur. Objet du cours : Rôle de la
famille
dans l'éducation. La famille française moderne. L
rofesseur. Objet du cours : Rôle de la famille dans l'éducation. La
famille
française moderne. Les mercredis à cinq heures, à
pays. C'est la gymnastique (Il Roger. L'Education physique dans les
familles
et d l'école. Thèse de Paris, 1902. allemande
s de leur pays, une existence des plus précaires. Les membres de sa
famille
eux-mêmes ne trouvent pas grâce devant son arbitr
ns une seconde élection, il obtient l'unanimité. Il n'était pas de la
famille
de Mahomet et on le préféra au gendre du prophète
antées, bombardées au grand jour avec des pierres tombant du ciel, de
familles
persécutées parles crachements des esprits, mâcha
Certaines injures faites aux esclaves. Le jus occidendi du père de
famille
. Le jus occidendi du mari (en cas d'adultère).
l'influence que la dégénérescence héréditaire a exercé sur le sort de
familles
royales de l'Occident, rien de pareil n'a encore
es kalifes de Bagdad, dans les dynasties des Seljoucides que dans les
familles
qui se sont succédé pendant douze siècles sur le
d'alcool. Dans le second cas, il s'agit d'une jeune fille de bonne
famille
, d'excellente éducation mais pauvre et qui devait
panents, du côté paternel, une mortalité précoce qui a fait que d'une
famille
originairement nombreuse, il ne reste plus aucun
cachée à tout l'entourage excepté au père du malade. Personne dans la
famille
, sauf un oncle du malade, n'était atteint de viti
ses bûtes. Cela a paru blessant, mais on a su ensuite que le chef de
famille
avait peur d'être désagréable aux invités, parce
c et j'ai, plusieurs fois, été consulté à cet égard, par des pères de
familles
inquiets. Voici un couplet populaire qui me revie
e n'admets aucun intermédiaire (ni ministre du culte, ni membre de la
famille
) pour renseigner franchement un malade sur sa sit
ient le feu à leurs maisons et se retiraient dans les bois avec leurs
familles
et leur bétail. Beaucoup de villes populeuses fur
De telles individualités sont souvent de véritables fléaux pour leur
famille
et pour leur entourage. Mais les désastres qu'ils
n mot d'Elisée provoque chez Guéhazi la blancheur héréditaire dans sa
famille
(II Livre des Bois, v, 27). Marie était devenue «
rtie clinique de l'ouvrage mentionne le beau rôle dévolu à la mère de
famille
comme éducatrice des enfants et celui assigné à l
t lieu à des discussions approfondies : * 1° La collaboration de la
famille
et de l'école dans l'éducation. « 2° Les enfant
e ces demi-fous, vivant en liberté, ne cessent de faire courir à leur
famille
ou à leur milieu, il n'a pas hésité à demander co
ersé de longues périodes de puissance et de prospérité. Dans aucune
famille
royale d'Occident, on ne trouve d'aussi longues s
oupe familial. 11 est vrai que chez les anciens l'autorité du père de
famille
était empreinte d'une certaine rudesse qu'elle a
ggestion hypnotique, étaient tous, sans exception, des névropathes de
familles
dégénérées. 1er cas. — En pleine nuit on m'appe
ques et psychiques les plus variées. La dégénérescence dans certaines
familles
fertiles en onychophages atteint un tel degré qu'
de la race transmise par hérédité, et quand elle apparaît dans une
famille
, indemne jus- qu'alors de troubles nerveux, ell
. Beaucoup d'anciens aliénés ont encore très vif le sentiment de la
famille
; affaiblis au point de vue intellectuel, ils so
s vis-à-vis de lui-même, des autres et de la société; d'entourer sa
famille
de l'affection et des soins auxquels elle a dro
leurs malades à se trouver un jour des étrangers dans leurs propres
familles
. Eu compulsant les registres de l'établissement
ntra chez lui. Sans être guéri, il parut à ce point amélioré que sa
famille
le laissa jouir de sa liberté et de ses biens;
tion est telle qu'il va en permission passer quelques jours dans sa
famille
. A l'expiration de son congé, le 38, il revient,
. sortit guéri. Je suis en relations à Dijon avec des membres de la
famille
Brug... ; j'ai pu obtenir ainsi sur cet ancien
lui ; il s'est marié, a toujours été bon époux et excellent père de
famille
. Il prospère dans ses affaires. Observation II.
ate de deux mois et demi. Dup... est atteinte de manie aiguë que la
famille
attribueàdes Archives, t. VIII. 3 34 liez CLI
d'éclamp- sie' ; on les voit souvent chez les enfants d'une même
famille
; il n'est pas rare que les sujets qui en ont été
umatisme subaigu. On n'avoue pas d'autre antécédent nerveux dans la
famille
. La malade, qui a eu quelques douleurs dites de
mère; on sait en effet qu'il est fréquent de rencon- trer dans les
familles
des névropathes des cas remarqua- bles de longé
sie. N1 ? S..., de Toulouse, quarante-trois ans. Il n'y a dans sa
famille
, au dire de son mari, aucun parent ascendant ou
descendants sous des formes variables, montre encore les liens de
famille
de l'éclampsie. VII. On peut citer telle épilep
echercher les liens qui les unissent aux différents membres de la
famille
névropathique ' . '. 1 Cli. Féré. - La fmi7ftf'
exe. » Disons encore que le jumping semblait héréditaire. Dans la
famille
sur laquelle le Dr Beard expérimentait, il y avai
nt dans la tête. Quant à l'hérédité, on ne trouve dans sa nombreuse
famille
qu'un seul frère atteint d'épilepsie. Après un
cifiant les mesures de prudence habituelles, on a pu le rendre à sa
famille
. La discussion du rapport ne se plie pas à une
équence d'une escharre. M. LE Président annonce que le conseil de
famille
, après en avoir délibéré, propose à la Société
. Parant, relativement à la séquestration de deux aliénés dans leur
famille
. Une plainte ayant été portée au parquet à l'occa
n le droit de garder dans un domicile particulier les membres de sa
famille
qui sont dans un état d'aliénation mentale, de
xemples nombreux démontrent que la séquestration pratiquée dans les
familles
peut être, non seulement défectueuse, mais enco
e vingt ans. Antécédents héréditaires. La malade appartient à une
famille
de nerveux. Une de ses cousines germaines (du côt
ines, les deux autres, quatre mois. Foisn... retourne alors dans sa
famille
et là de loin en loin, elle a des accès. Enfin,
dité; et; pour, cela' moine,' souvent impossible à reconnaître,, la
famille
? les arents dissimuilant de leur, mieux, hij.tar
essasse conti- nullement. Voici les renseignements fournis par la
famille
: le grand-père paternel, très vif, disposé à l
i ..«'iw'-r ? t ? tp) Jil,9ui ? Jo;> 1 ? jtT.ieeuecitfi ? bt les
familles
qui, ne feront pas les decfarations ;.sans compte
f)f ? n ? Iln. 11 Ji ? (it'jnt tiers, mais a ceux trattes dans leur
famille
. Elle devrait être exer- n,. r ? ), r ? r,^sn .
,llir, Vi > .> J.. quèslrations ne se produisent que dans les
familles
peu, fortunées, , ... ,,ri. « r.-11'Jit>1-jp
? )>lli,il(, r- - .u J, t. JU JW u01\"nt ? membres valides de la
famille
; il est nourrr comme eux,,cest-a- ,r5 9^ia tfli
I ,<. JJ passeront-elles aussi simplement ? , Je suppose ? une,
famille
dans la- * ,, ...I' U'I 1|l|. ri'i.l. h : Vtllj
amais ! Si.ce n est pas le médecin., sera-ce. le.pero) le, chef, de
famille
? Mais quand il, sera.perbuadé qu'il a un a)iune
pore, qui dé- noncera 1e crime de soigner un aliéné au milieu de sa
famille
. Qui'sera"ce ? Sahs'doutè' quelque domestique '
pouvez-vous imaginer un. inquisiteur plus importun.' Quelle est la
famille
qui voudrait se soumettre a de pareilles obliga
intenu dans sa y 1 : r. r1[t·nr·11 ·rmn.i·)'r v;Jr 1 `i J'i 'tllW
famille
, ^soigne par les siens/peut devenir la victime de
atteindrez'quo lés târ- milles qui feront leur devoir, et, pour ces
familles
, votre loi sera v'éx'atbirc^insupp'orlibléT1™1
onnais que ces malades eussent pu rester si 'longtemps dans leurs'1
familles
, j'apprenais que, du jour où ils 'avaient été f
a genèse simultanée d'une poliomyélite chez deux enfants de la même
famille
. Il se'rappelle 1,1 encore un cas observé penda
édité caractérisé par lui à l'aide de l'expression de « cerveaux de
famille
» ; il s'agit de l'exis- tence, chez les membre
famille » ; il s'agit de l'exis- tence, chez les membres d'une même
famille
, d'un type de circon- volutions, qui, dans quel
ne qui jouit d'une bonne santé ; aucun n'a pu nous signaler dans la
famille
une affection analogue. Dans le cas qui vient
atarrhe pulmonaire. Pasd'aliénés,pasd'épi- leptiques, etc., dans la
famille
.] Mère, trente-trois ans, ménagère, assez intel
nous ne trouvons aucune affection nerveuse ou héréditaire dans la
famille
de notre malade; ajoutons seulement que les deux
i fut reconnu exact. Un autre pointa signaler, c'est que dans cette
famille
, qui compte cinq enfants, ces enfants, bien qu'
(localisation centrale), 322. Séquestration des aliénés dans leur
famille
, 105. Simulation des troubles psychi- ques, p
SIE CHEZ LES JEUNES GARÇONS; Par BOURNEVILLE et P. SOLLIER. UNE
FAMILLE
D'HYSTÉRIQUES ' 1 Nous devons compléter l'obser
on l'a envoyé à l'infirmerie de la pré- i Voir le il" 54, p. 410.
FAMILLE
D'HYSTÉRIQUES. 99 fecture de police où il est r
ors des asiles publics et privés, l'assistance des aliénés dans les
familles
et les colonies d'aliénés, agricoles ou non. C'
rs, et l'oncle assassiné était le frère de la mère du meurtrier. La
famille
comptait en outre deux cas d'aliénation mentale
juge- ment ou un arrêt solennel sous la protection duquel et les
familles
doivent y tenir - se trouve l'état mental de l'ac
nt précisément atteindre ce qu'il y a de plus sacré : l'intérêt des
familles
. Eh bien, voyez : au jugement ou à l'arrêt qui
lle atteint l'homme dans ce qu'il a de plus sacré; elle atteint les
familles
! Je vous supplie, messieurs, de réfléchir là-d
iénés dont le placement a été ordonné par le préfet, à moins que la
famille
ne demande leur admission dans un asile privé e
rnée et les pensions payées soit par les départements, soit par les
familles
pour les aliénés à leur charge. , « Les fonct
c., etc.. Il conclut que l'alcoolisme héréditaire « appartient à la
famille
névropathique et en particulier à la branche ps
suffit donc d'après ces données, pour ranger un individu dans la
famille
névropathique, de par son hérédité, de trouver da
re l'objet d'attaques injustes, et que, pour les mêmes raisons, les
familles
reculent à provoquer l'internement de leurs par
nés criminels dangereux rend ordinairement inutiles les rapports de
famille
, au point de vue de l'amélioration de l'état pa
est une sorte de colonie ouverte où les malades vivent de la vie de
famille
). Ligue patriotique belge contre l'alcoolisme.
. [Etude psychologique et clinique sur les dégénérés buveurs et les
familles
d'ivrognes.) Avec une préface de M. le D' Magna
ancien interne, M. Camescasse, les renseignements suivants sur sa
famille
. Antécédents. - Père, ouvrier dans une fabrique
ns. I. Les renseignements très incomplets que nous possédons sur la
famille
et sur les antécédents person- nels du malade,
un caractère comminatoire qui lèse les intérêts des malades et des
familles
; rabaisse dans l'opinion publique, sans motif j
re appar- tenant à un milieu de déséquilibrés et présentant dans sa
famille
toutes sortes d'éléments d'immoralité et d'inst
ppement et de la propagation de la folie et de l'idiotisme dans les
familles
royales, s'est attaché dans ce travail à relate
divin peut fréquemment se confondre avec le droit à la folie. La
famille
de Wittelsbach, souche des rois de Bavière, est
ttelsbach, souche des rois de Bavière, est l'une des plus anciennes
familles
régnantes d'Europe. Le duc de Bavière, qui se f
ns mesure, à des goûts artistiques notoirement héréditaires dans sa
famille
, dépense des millions pour orner sa capitale de
ographes, ce serait ce prince qui aurait introduit la folie dans la
famille
, par son mariage avec Marie de Hohenzollern, fi
liéné, et qu'elle est aujourd'hui traitée en fief héréditaire de sa
famille
! A peine, en effet, était-elle délivrée de Lou
une fois de plus quels liens étroits de parenté réunissent les deux
familles
arthritique (rhu- matisme, diabète) et neuropat
qu'un instant au sujet des liens de parenté étroite qui relient les
familles
arthritique et névropathique. Cela pourrait se
signes du diabète et de l'ataxie locomotrice progressive. Les deux
familles
sont dans ce cas représentées chez le même suje
rente-Inférieure jusqu'en 1880; à cette époque, il a émigré avec sa
famille
à Buenos-Ayres, où il est resté dix-huit mois,
l'observation : to le malade était un jumeau; 2° il y avait dans sa
famille
des antécédents de névrose mentale, mais ils ét
mais ils étaient très peu marqués; 3° il appartenait en somme à une
famille
intelligente, sensée et énergique; 4° il était
r ce sujet. L'auteur conclut qu'à notre époque, alors que si peu de
familles
peuvent se vanter de n'avoir dans leur ascendan
resque toujours les mariages consanguins : en revanche, si dans une
famille
, on ne peut après mûr examen, découvrir aucune
itique. M. SIOLI (de Francfort. De l'assistance des aliénés par les
familles
artificielles. L'encombrement les asiles est un
e critique à laquelle il se livre sur les colonies d'aliénés et les
familles
artificielles installées à Gheel à Ilten, en Ec
d'un grand asile un nombre important d'aliénés et les confier à des
familles
et si l'établisse- ment, trouvait dans ce mode
s qui ont été adoptées par 1\1. \Vahrendol'ff'. On confie il chaque
famille
deux malades; l'asile paie pour chaque malade 2
nduit les malades à l'établissement afin qu'on les baigne. Dans les
familles
, ils sont soumis aux genres d'occupations les plu
bien du système. Quelques-uns sont devenus de vrais enfants pour la
famille
qui les a recueillis. L'amélioration constatée
l'hébéphrénie et à la folie systématique avec catatonie ; la vie de
famille
en liberté détermina chez eux des accès de suba
onnée, la proportion de ceux auxquels convient l'assistance par des
familles
artificielles ? Tant que sur 400 malades hommes
de l'établissement, il est possible et praticable de confier à des
familles
sûres un ou deux aliénés ; 2° Il faut que le
gérer la portée. M. SCIlROETER (d'Eichberg). - L'assistance par des
familles
arti- ficielles est utile aux malades et peut d
ordonnée à sa volonté. Ce qu'on écrit le plus vite, c'est le nom de
famille
; puis viennent les mots que l'on a l'habitude
ion stomacale chez les par Noorden, 403; assistance des - par les
familles
artificielles, par Sioli, 410; - par Sanger B
érées par des hallucinations de la vue, la font renvoyer dans -sa
famille
, où le docteur Ancelon reconnaît les phéno- mèn
t un délire général qu'un délire particu- lier. Elle rentre dans sa
famille
, et le docteur Ancelon, appelé immédiatement à
utre preuve en ce sens résulte de la longue léthargie subie dans la
famille
. Nul indice d'activité mentale. Le D' Ancelon s
c. AI"0 ? vit avec une gouvernante ; celle-ci, pour des intérêts de
famille
, ayant été obligée de se rendre à Paris, sa maî
2)ezt perdu 1(t tête » à un moment donné, à la suite de chagrins de
famille
, mais cela « lui aurait passé », au moment où i
loppement d'éléments conjonctifs de la névroalie. M. M. VIII. Une
famille
atteinte d'ataxie locomotrice; par M. R. GowERS
de chorée dans son enfance. revue DE pathologie nerveuse. 9t 1 La
famille
se compose de neuf enfants. L'aîné a trente-neuf
e division déconsidérerait moins le malade placé à l'hôpital et les
familles
, comprenant la différence d'avec l'asile, hésit
FGR.IND du SAULLE annonce à la Société qu'il vientde recevoir de la
famille
Belliomme un titre de rente de trois cents fran
s avec 11. Blanche. 11 suffit d'en citer une. X... appartient à une
famille
dans laquelle on compte plusieurs cas d'aliénat
'avaient d'effet sur son caractère impétueux et désordonné. Dans sa
famille
, il a toujours été un sujet de préoccupations e
endemain d'une intervention médicale, au milieu des angoisses de sa
famille
, se laisse surprendre en flagrant délit d'outra
e d'une rechute men- tale et morale, etsouvent de rendre un père de
famille
aux siens. Bien plus, les établissements d'alié
siens. Bien plus, les établissements d'aliénés sont, par la vie de
famille
qu'on y rencontre, bien plus propres à préparer
mme annexe aux asiles fermés. 4° Le traitement des aliénés dans les
familles
est impraticable, vu les conditions de notre ex
idées, il serait possible de retirer des asiles pour les rendre aux
familles
un certain nombre d'aliénés chroniques, tranquill
bre d'aliénés chroniques, tranquilles, à la condition d'allouer aux
familles
indigentes un secours mensuel. Celte mesure con
urs mensuel. Celte mesure contribuerait à resserrer les liens de la
famille
et allégerait les dépenses que les départements
ur ne pas exiger, auprès de lui, l'immobilisation d'un membre de la
famille
. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE BLAI9E (H.). - Cont
sont incapables, indignes, ils font le malheur et la honte de leurs
familles
; on va les arrêter DU DÉLIRE DES NÉGATIONS. 15
ur le monde extérieur, les malades s'imaginent qu'ils n'ont plus de
famille
, plus de pays, que Paris est détruit, que le mo
a maladie, au lieu d'avoir son origine dans l'abâtardissement de la
famille
, naît-elle des excès ou des misères du patient,
d'elle. N'ayant pu se tuer grâce à la surveillance exercée par sa
famille
, 14lm° C... est venue d'elle-même à l'asile dans
'asile de Marseille le 3 février 1880. Pas d'hérédité au dire de la
famille
. La malade a toujours joui d'une bonne santé et
amélioration s'étant encore accentuée, M°'e 8... fut retirée par sa
famille
. De retour chez elle, elle voulut reprendre ses
ioration renaissent à la vie extérieure, s'occupent, réclament leur
famille
, mais ils subissent encore l'action du mal tout
er la loi découle de cette proposi- tion. J'estime en outre que les
familles
et même certains malades atteints d'un délire p
vation I. NI ? E..., âgée de cinquante-quatre ans , mariée, mère de
famille
, est placée le 12 juin 18G3 à la maison 38t CLI
anxieuse; elle s'imagine qu'elle n'a plus rien, qu'elle a ruiné sa
famille
et qu'on va la mettre en prison. Mme E... est con
ervation IV. Mm0 M..., âgée de cinquante et un ans, mariée, mère de
famille
, paraît avoir toujours été bien portante jusqu'
servation VI. M ? C..., âgée de quarante-trois ans, mariée, mère de
famille
, est entrée à la maison de santé de Vanves en n
, âgé de quarante-cinq ans, de constitution robuste, marié, père de
famille
, ayant toujours mené une existence régulière et
bservation X. «1-0 G..., âgée de quarante-deux ans, mariée, mère de
famille
,' eu il y a plusieurs années de vio- lentes att
dans le monde entier, et qui peu- vent faire le plus grand mal à sa
famille
. En même temps qu'elle accuse ses persécuteurs
néan- tissement. Les malades nient tout, ils n'ont ni parents, ni
famille
; tout est détruit, rien n'existe plus, ils n
indéfinissable. Deux jeunes filles, ses parentes, logeaient dans sa
famille
; il se rendait dans l'endroit où leurs souliers
tions et les signes physiques de dégénérescence. Observation IV.
Famille
d'excentriques : père halluciné, s'essuye le vi
., âgé de trente-sept ans, d'une bonne constitution, est issu d'une
famille
d'excentriques. Le père, fort original, très ex
occupe toute la journée ; elle sort de temps à autre, et va dans sa
famille
pour essayer en quelque sorte ses forces; mais
re la vue de son neveu l'impressionne vive- ment ; à table, dans sa
famille
, elle se place loin de lui, mais pendant toute
, d'une bonne santé ha- bituelle, ne comptant pas d'aliénés dans sa
famille
; un mois avant son entrée à l'asile, elle a eu
es de l'), par Mor- timer Granville, 219. Ataxie locomotrice (une
famille
atteinte il'), par Gowcrs, 90. Ataxie locomot
UE. XV congés. Les chiffres ci-dessus montrent l'empressement des
familles
à en profiter; ils nous aident à maintenir la d
enfants placés à Bicêtre, à la Salpêtrière ou à Vaucluse, par des
familles
habitant Paris. Prévenus du transfert, les pare
les dangers qu'occasionne la présence de ces malheureux au sein de
familles
peu fortunées. - Bientôt, ces dangers, ces ennu
l'Administration réclame un nouveau transfert. Et les démarches des
familles
recommencent ; et si elles sont infructueuses,
quière en un an droit de domicile. Témoin des douleurs des mères de
familles
et des fatigues qu'elles se donnaient pour cons
épileptiques, etc., nés dans d'autres départements, mais dont les
familles
habitent Paris ou les communes suburbaines, à l
ISTIQUE. XXI ser dans les asiles de la Seine les enfants dont les
familles
étaient établies à Paris et ce, au prix de jour-
ls se sont divisés en deux bandes ; ils ont été retrouvés dans leur
famille
, sauf l'un d'eux qui a été ramassé par la polic
diffor- mes, pas d'idiots, ni de suicides, ni de criminels dans la
famille
]. Mère, 24 ans, femme de ménage, auparavant dom
d'apoplectiques, de difformes, de suicides ou de criminels dans la
famille
.] Mère, 58 ans, domestique, cuisinière, brune,
pas de paralytiques, pas d'épilep- tiques, ni de criminels dans la
famille
.] Mère, couturière, 44 ans, mariée à 20 ans ; d
fants dont trois sont seuls vivants. - Pas d'aliénés, etc., dans la
famille
.] observations. 25 Pas de consanguinité. - 11
leptiques, pas de difformes, ni de suicides ou de criminels dans la
famille
.] Mère, 29 ans, cannière, est sujette depuis la
lytiques, ni de difformes, pas de criminels, ni de suicides dans la
famille
.] Mère, couturière, de taille moyenne, morte le
ni paralytiques, ni dif- formes, ni suicides, ni criminels dans la
famille
.] Mère, 30 ans, blanchisseuse, bien portante, b
ntrer à la mai- son ; on ne sait s'il était nerveux. Il y a dans la
famille
une sorte de légende qui donne à croire que cet
haut et en dehors). [Nuls détails sur les grands parents ni sur la
famille
paternelle]. Mère morte le 24 janvier 1880 d'un
nfluence de ce (1) Nous avons également complété les antécédents de
famille
avec les notes de M. Doutrebente. 132 HYSTÉRO
de décembre 1881; actuel- lement il sort tous les dimanches dans sa
famille
, et si l'amélioration continue, l'intention de
a- lysie des membres ; sujette à des céphalalgies. Le reste de la
famille
ne présente rien de particulier.] Pas de consan-
un frère enlevé par le choléra, en 1865. - Elle ne connaît, dans sa
famille
, ni aliénés, ni para- lytiques, ni épileptiques
avorter; craintes de poursuites, du déshonneur, de la ruine pour sa
famille
, de la damnation. Elle est un monstre, elle fai
ussissait jamais à changer de cette façon le type d'une race, d'une
famille
, encore moins d'une espèce. Ainsi, vous auriez be
en génération, vous n'arriveriez jamais à produire une race, une
famille
de manchots, si l'on peut s'exprimer ainsi. A c
pense qu'il y faut des formes et des ménagements ; le médecin de
famille
peut préparer le malade et l'entourage et leur ép
avec l'eau-de-vie de cidre. Du cabaret, l'alcool est passé dans la
famille
, le nourrisson au biberon n'y échappe pas plus
pêcher de nuire d'une façon quelconque. Ces pauvres diables ont des
familles
sur qui retombent lourdementet cruellement l'op
eur de la condamnation d'un de leurs membres, taches auxquelles ces
familles
auraient échappé si, au lieu de la peine infamanl
rie Pages, âgé-de dix-sept ans, qui appartient à une très honorable
famille
de Fabas. Le malheureux a énuméré, le rire aux
ention de l'autorité administrative est réclamée dans un intérêt de
famille
en vue de rechercher le sieur François Bil- lau
érédité alcoolique. Le professeur Demms, de Stuttgart, a étudié dix
familles
de buveurs et dix familles de tempérants durant
esseur Demms, de Stuttgart, a étudié dix familles de buveurs et dix
familles
de tempérants durant un laps de temps de douze
e tempérants durant un laps de temps de douze ans. Les 10 premières
familles
produisirent ensemble 57 enfants. 25 de ceux-ci
ur enfance un développement physique et intellectuel normal. Les 10
familles
tempérantes eurent 61 enfants. De ceux-ci, 5 mo
Policlinique du 1 ? novembre 1902). Assistance DES aliénés dans LES
familles
. Une séquestration. Une dépêche de Vienne au Da
décou- vert à Dolcero un jeune homme appartenant à une très riche
famille
qui, depuis trois ans, était enfermé et enchaîné
CHLINE, mort il y a quelques mois, était né en Russie en 1865 d'une
famille
israélite. Il fit ses études successivement aux
sur quelques cas de folie (t deux chez plusieurs membres d'une même
famille
(th., .0 ? )t. of ment. Science, il- d'oc- tobr
ouble moral, un dommage considérable causé par un prêtre à toute la
famille
de la malade, à tel point que l'évêque dût s'en
omme nous l'avons vu, que des déséquilibrés appartenant à la grande
famille
des dégénérés. Le second syndrome, la folie du
bles étant durs. Une intervention chirurgicale' est réclamée par la
famille
, mais le malade succombe à une pneumonie, dont
la seconde sept ans. Pas d'antécé- dents pathologiques nets dans la
famille
. 184 -li REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. C'est
l'insu d'un aliéné ou malgré lui, avec ou sans l'assentiment de sa
famille
? Les exemples cités montrent que la solution e
némié, de malade en un mot, et au lieu de sévir, il pré- viendra la
famille
et le médecin. » Le Dr Bordier ne pouvait mieux
e sujet de cette observation est Melle Marie V... appartenant à une
famille
'dont l'un de nous soigne les différents membre
dans la plèvre gauche pour lequel le Dr Brault est rappelé par la
famille
et moi : j'étais sur le point de pratiquer une-po
médecine septembre 1901.) Observation d'un malade appartenant à une
famille
de cinq personnes ayant présenté une même affec
ion dont le nominateur représente le nombre total des membres de la
famille
et le numérateur le nom- bre de religieux ou dé
a famille et le numérateur le nom- bre de religieux ou dévots de la
famille
ainsi définie. J'ai pu reconstituer plus de 200
de leur <t'6e ? a(tOH ; 2° Efficacité des secours à domicile aux
familles
nombreuses, Troisième Section : Vieillards, inf
pouvoir compter sur le concours du public. Toute personne, mère de
famille
ou autre, en possession de documents intéressan
est absolument impos- sible de parler, et c'est une personne de sa
famille
qui nous donne les renseignements de son observ
de névralgie faciale typique. La malade estime que des chagrins de
famille
sont pour beaucoup dans l'apparition de cette n
Cas II. Malade de vingt ans. Père alcoolique. Mère provenant d'une
famille
tuberculeuse, mais bien portante. Le lues et l'ab
ours bien com- prises. Les notices imprimées que nous remettons aux
familles
ne FAITS DIVERS. 3,9 le sont guère mieux. Nou
d'un coup de couteau. (Bonhomme 1101'- mars). Assistance dans les
familles
; séquestration. On a arrêté à Madrid (Espagne),
onnable ; mais aucun .cas de psychose ni de diathèse graves dans la
famille
. La malade ne présente pas d'ailleurs de stigma
isté encore par des difficultés de succession et des discussions de
famille
. En octobre 1901, un an environ après la mort d
Magdeleine Thomas du Fossé descendait de Gentien Thomas I, dont la
famille
était originaire de Blois et qui était maître d
par Antoine Arnauld. « Digne héritière de la piété de son illustre
famille
, elle sçut joindre à une profonde humilité et a
Thomas du Fossé ne pouvait échapper à la fatalité qui pesait sur sa
famille
et fut emportée dans le mouvement de dégénéresc
t sous-prieure de Port-Royal. Voici la formule hiérologique de la
famille
Thomas du Fossé. 438 HISTOIRE ET CRITIQUE.
de cette soeur que huit ans après. La formule hiérologique de la
famille
Giroust se réduit à ces trois membres : Margu
les anomalies de la gestation, Ch. Féré avait déjà rangé dans sa «
famille
névropathique » la stérilité, la gémellité et l'a
el et bien d'autres ont montré avec quelle rapidité s'éteignent les
familles
d'aliénés; mais le grand mérite de MM. Larger e
débuté chez ce malade à l'âge de sept ans; il n'exis- tait dans sa
famille
aucune hérédité similaire. Ce début précoce de
ins, ses sentiments moraux l'emportent, il se dénonce et verse à la
famille
une forte indem- nité. Cette mésaventure ne l'a
les maladies nerveuses et psychiques au moins chez 3 membres de la
famille
donnée parmi les plus proches parents. Dans 1/3
Seine un nommé Mussy, inculpé de vol. Cet individu ayant eu dans sa
famille
des alcooliques, épileptiques, aliénés, infirme
ique. Mme B..., soixante-douze ans, appartient par son père à une
famille
où la longévité n'est pas rare. Son père et un on
le inséparable de la langue d'un chien. Elle aimait les enfants, la
famille
, la maison, s'occupait avec plaisir des soins du
soins du ménage et avait le plus grand désir de devenir une mère de
famille
; elle comprenait la fonction comme un honneur.
elle comprenait la fonction comme un honneur. ° Le fiancé que sa
famille
avait choisi pour elle, était un homme de douze
Ce malade ne présente pas des signes d'hystérie, mais il a dans sa
famille
des tares nerveuses importantes, et son père et s
STAN et LEJONNL (Nouv, Icoizog7-. de l'a Salpêtrière, n° 1,1902).
Famille
de 4 enfants (sans antécédents héréditaires) dont
quand il décrit ses Rou- gon-Maquart, sait bien qu'il s'agit d'une
famille
exceptionnelle, d'une famille de dégénérés. Il
Maquart, sait bien qu'il s'agit d'une famille exceptionnelle, d'une
famille
de dégénérés. Il le sait et le dit. D2. Trenga ou
a rue Labruyère vivaient les époux Vandevelde-Bousseuw, avec leur
famille
, composée de huit enfants. Le mari était atteint
Assistance des épileptiques, 32, 123. 579. des aliénés dans les
familles
,1 ? 3.- cies enfants iHiots, 399. dans les fami
énés dans les familles,1 ? 3.- cies enfants iHiots, 399. dans les
famille
? 400. des aliénés en Bavière jusqu'à la fin
n état s'imposa, et aussitôt l'on manda auprès d'elle le médecin de
famille
. Ayant repris connaissance, la ma- lade demeura
, les meilleures intentions de la garde-malade ou des membres de la
famille
, n'a- 24 ARCHAMBAULT boutissaient pas au résu
santes que le malade croyant sa mort prochaine, de- manda à voir sa
famille
. Quoique le malade prétendit que des symp- tôme
s à la forme imagée des sermons évangéliques. L... appartient à une
famille
doublement tarée : l'un de ses frères pst mort
preuve de ses légèretés, il lui proposa une séparation à laquelle sa
famille
s'opposa. Des lors, il partit pour l'Algérie af
de la République et des prési- dents du Conseil des Ministres, des
familles
royales ayant régné en France et des hommes de
rtant qu'à l'homme dans la société, mais il la veut surtout mère de
famille
. A l'homme, l'ex- térieur et la politique ; à l
nérations. Lundborg se réfère à quatre cas du même mal dans la même
famille
. Les observations des cas de cette maladie sont
riques décou- verts depuis une cinquantaine d'années, d'étudier une
famille
royale dont les membres présentèrent des troubl
ntécédents héréditaires de nos malades. Au contraire l'histoire des
familles
illustres nous fournil des documents d'une inap
ournil des documents d'une inappréciable valeur. Alors que dans une
famille
quelconque, tout caractère qui aurait eu tendan
ixer peut disparaître sous l'intrusion d'un sang étranger, dans les
familles
dynastiques et surtout celle de Habsbourg, les ma
la hauteur d'un principe et constituent une véri- table hérédité de
famille
. C'est ainsi que M. Galippe, dans son livre sur
iers la légitimité des enfants est impossible à démontrer, dans les
familles
dynastiques, la réalité de la descendance est plu
912. (5) GAL[piE, L'hérédité des stigmates de dégénérescence el les
familles
cttuo'o'MM. l'aris, loua-, in-8°. xxvi 10 1
la mort : il observait avec rigueur les anniversaires funèbres de sa
famille
et faisait célébrer des services extraordinaire
chez Jeanne la Folle et Charles II, la plupart des membres de cette
famille
ont présenté des ma- nifestations morbides rema
malade ainsi que sa soeur ont eu la taille normale. Personne de sa
famille
ni même de son village n'avait eu une taille se
trouve aucune dystrophie du squelette chez les divers membres de la
famille
. Dès la naissance de l'enfant, on a constaté qu
- nait perceptible même iL travers des vêtements d'hiver. Dans la
famille
du sujet, ou ne trouve aucun antécédent héréditai
laire quelconque. Il n'a aucune connaissance de. l'existence, dans sa
famille
, d'un cas de paralysie ou d'atrophie musculaire
ns. A cette époque il entre comme valet de chambre au service d'une
famille
de collectionneurs ; là son rôle consistait sur
dans son enfance, vers l'âge de 4 ou 5 ans, une vieille femme de sa
famille
l'aurait à plusieurs reprises plaisanté sur le
ouble existe depuis sa naissance, ce qui nous a été confirmé par sa
famille
. En outre, elle ne porte pas de corset. La po
enflées depuis sa naissance et que même d'autres per- sonnes de sa
famille
avaient les jambes enllées. Alors il me vint à l'
avec la croissance. Et j'ai trouvé que, chez quelques membres de la
famille
du malade, il existe de l'oedème des extrémités
ussi au scrotum ; il n'est pas marié. Nous voyons que, dans cette
famille
, il y a un certain nombre de mem- bres, qui ont
enfants avec de l'oedème des jambes. Chez tous les membres de celte
famille
qui ont de l'oedème et qui sont venus ainsi au
te famille qui ont de l'oedème et qui sont venus ainsi au monde, la
famille
ne peut attribuer aucune cause marquante. J'ai
ut attribuer aucune cause marquante. J'ai vu tous les membres de la
famille
qui onl de l'oedème excepté un ; je puis donc e
s rares, car dans l'histoire de la médecine, on ne parle que de six
familles
, dont quelques membres en sont atteints. J'ai
r je n'ai pu lire leurs propres écrits. Le nombre des membres des
familles
, qui souffrent de cette maladie, est différent.
maladie, est différent. Nonne trouvait sur 3 générations d'une même
famille
su- jets affligés de cette maladie ; Milroy tro
e ; Milroy trouvait, sur G générations de 97 per- sonnes d'une même
famille
, 22 affligés de cette maladie ; Tobeisen trouvait
maladie ; Tobeisen trouvait, sur 3 générations de 7 personnes d'une
famille
, 4 affligés de celte maladie ; Hope et French t
celte maladie ; Hope et French trouvaient, sur 5 générations d'une
famille
de 42 membres, 13 affligés de celle maladie, pe
de 42 membres, 13 affligés de celle maladie, pendant que dans notre
famille
de 2 généra- tions et de 24 personnes, il y en
chez des nouveau-nés. L'oedème existait chez quelques membres d'une
famille
et n'existait pas chez d'autres membres de la m
es d'une famille et n'existait pas chez d'autres membres de la même
famille
et l'oedème se montrait chez les enfants de cer
et l'oedème se montrait chez les enfants de certains membres d'une
famille
, qui n'en avaient pas eux- mêmes. xxvi 21 3
des acéphales et en cas d'autres mons- truosités. Et comme dans la
famille
où Nonne a fait ses observations il y a quelque
ons si la malade a été rééduquée (intentionnellement ou non) par sa
famille
et son entourage pendant les premières années, ma
onde. Il n'y aurait pas eu de maladie ner- veuse ou mentale dans la
famille
. Antécédents personnels. - Né à terme. Développ
Pas de maladies nerveuses, pas d'in- toxications à signaler dans la
famille
. Antécédents personnels. - Sauf quelques affect
mère d'un enfant bien portant. Aucun des membres de cette nombreuse
famille
ne présente d'anomalie congénitale ni acquise et
ruptions cutanées, qui ont surtout attiré l'attention du malade, sa
famille
nous raconte qu'elle a toujours été frappée par l
3 février 1908. Le malade ne peut renseigner sur ses antécédents de
famille
. Examen du malade. - Système musculaire el nerv
i ne nous a pas permis de vérifier l'existence d'autres cas dans la
famille
permettant de supposer qu'il s'agit d'une malad
toujours connu ainsi » et fait remarquer que plusieurs membres de sa
famille
ont la même dystrophie : son grand-père materne
fications identiques rencon- trées chez d'autres membres de la même
famille
el rappellent enfin quelques caractères de malf
Agasse-Lafont signalant plusieurs cas de maladie de Paget dans une
famille
de blanchisseurs. Mieux encore, on pourrait pense
que M. Souques a présenté à la Société de neurologie, en 1912, une
famille
grecque, où sur 6 enfants quatre sont achondrop
res, cas congénital et se présen- tant chez plusieurs membres de la
famille
, pareillement congénital chez tous (voir tablea
nt de raconter à nouveau exactement ce qui a été observé dans cette
famille
, parce que les déviations dans ces cas- ci sont
les deux tes- ticules étaient hypertrophiés. Dans cette nouvelle
famille
, je n'ai pu examiner personnellement que les or
ans les derniers jours on pouvait dire qu'il était dans le coma. Sa
famille
l'a transporté à la maison presque agonisant. O
Pas de traumatismes. Caractère un peu vif. Pas de migraines. [Sa
famille
. - Père, 67 ans, et Mère, 57 ans, bien portants
convulsions, bien por- tants. - Pas de soeurs. Dans le reste de la
famille
, rien autre à signaler qu'un'cousin germain, de
il est difficile de décider s'il s'agit de vraies migraines. [Sa
famille
. - Père, mort à 3G ans, noyé accidentellement :
rtants, n'ont jamais eu aucun accident nerveux. Dans le reste de la
famille
, rien à noter.] . ' Pas de consanguinité. - I
s de relations cordiales. C'est- l'inverse de ce qui a lieu dans la
famille
, chez les gens mariés : d'où la folie il deux. Il
la Ilussiedu Sud. L'auteur donne l'observation de deux nou- velles
familles
: 3 types. On ne pourrait la confondre qu'avec
membres adhérents ; '20 des membres associés (dames, membres de la
famille
ou étudiants en médecine, présentés par un memb
xuelle. ( : ... 1 ! ) ans, admise le 20 juin 1901 appartient il une
famille
de dégénérés. Le père parait indemne, mais son
L'autopsie ne. put ette pratiquée, en raison de l'opposition de la
famille
, opposition qui, d'ailleurs, s'était déjà produ
pas d'ailleurs, d'une façon déjà claire, chez les membres de celte
famille
, la tendance de leur cerveau il faire de la par
ité, lo moindre symptôme suspect ; et cependant ce frère, père de
famille
, entrepreneur ayant brassé des affaires, a dû a
du Préfet, du pro- cureur, de la commission de surveillance et des
familles
, est aussi le seul responsable : d'où, la néces
nes ; inca- pable de fournir des renseignements sur son adresse, sa
famille
, son passé, elle est incapable de se repérer, b
and nombre d'aliénés calmes possible dans leurs commu- nes et leurs
familles
. Cette commission propose la di\ ision des asil
e ; Cihlio- l hécail'l-al'chh i[e : )1. BOISSlEH. , Le Conseil de
Famille
est constitué par les membres du Bureau auxquel
de salubrité qui règne dans les locaux trop petits habités parties
familles
nombreuses; c) la mora- lité plus que précaire
ets. Le crime a call-l;lIlIl'éIllOlioll profonde il Issoirc, oit la
famille
Gay lu est 1res connue. (Aurore, 23 janvier HJO
ertain nombre de fois le chif- fre 13, il recevrait la visite de sa
famille
; il s'imaginait qu'après avoir fait pendant un
et 4 ans. Consanguinité du père et de la mère, alcoolisme du père,
famille
tarée des deux côtés. Début chez l'un des enfants
stagmus. L'intelligence est normale. Deux autres enfants de la même
famille
paraissent nor- maux mais ont de l'exagération
jet de loi règle la situation légale des alie ? nés placés dans les
familles
: ceux-ci conlinuent d'appartenir, de fait, à l
L'article 111 du même projet assure aux aliénés assistés dans les
familles
les secours que la commune-domicile doit aux alié
tare qui, avec celle mentionnée, constitue l'apanage tragique de la
famille
. Il est epileptique. Son père, Alexandre III, e
yme, hyportrichosc lombaire. Les parents affirmaient que dans leurs
familles
, il -n'existait aucune difformité, aucun accide
a quartet ly journ. of antenital patlvAogy, 1895, II p. 245.) La
famille
névropathique, etc., 2" éd., 189 ? p. 239. (2)
lisme Pt donl l'hbtoi re personnelle el héréditaire réunit dans une
famille
les principales « anomalies évolutives de l'iml
ui), car toutes deux se peuvent montrer chez les membres d'une même
famille
, chez la même personne, et se remplacer l'une l
maladie est sans danger : d'où l'utilité du traitement du« père de
famille
» ; el, à propos de la transmissibitité materne
oli- ques principalement) à sa libération et à son renvoi dans sa
famille
, soit enfin, en cas de folie tranquille, ne récla
des malades. 11 montre aussi l'impé- rieux devoir qui s'impose aux
familles
de surveiller rigoureuse- ment les malades qu'o
de l'amuser pendant qu'elle travaillait. Personne ne louche dans sa
famille
. Le même accident si; produit dans d'autres circo
'autant moins nombreuses (lue la maladie, dure depuis longtemps. La
famille
et les communes n'ont donc aucun intérêt à terg
eur séjour à l'asile n'a rien d'humiliant ni pour eux, ni pour leur
famille
. J'ai provoqué et recueilli leurs confidences e
per leurs préoccupations, j'ai faci- lité leurs rapports avec leurs
familles
et pris part à la défense de leurs intérêts par
fois que, l'état des malades le permettant, nous rencon- trons des
familles
qui veulentbien venir en aide à leurs parents e
maturées produisent d'excellents ré- sultats ; ce sont les mères de
famille
ayant laissé chez elles des enfants en bas-âge.
re la classe com- mune ; ils ne peuvent davantage être instruits en
famille
à cause des connaissances spéciales que doivent
us durant l'année écoulée ont fait l'admiration et l'étonnement des
familles
qui se sont adressées à elles pour l' l'éducati
use. La même observa- tion s'applique aux aliments apportés par les
familles
, qui, malgré leur affection, ne font pas toujou
Chorée familiale. 1\DI. BRISSAUD, IiAUER et Rathery présentent une
famille
de choériques. Les quatre enfants ont eu la cho
es recherches. Quand il s'agit de malades placés volontairement, la
famille
qui les accompagne peut nous aider dans cette t
mer l'internement précoce ; c'est une mesure sage. La société, la
famille
, n'ont rien à perdre, en raison des dangers que l
us être assurés personnellement de la parfaite honorabi- lité de la
famille
, toutes les fois que nous voulons éprouver la sus
tranquilles pour vivre au de- hors ; elles sont restées dans leurs
familles
. Les 4 autres ont été réintégrées soit pendant
début de la maladie le meilleur traitement, c'est l'isolement de la
famille
et des habitudes antérieures, isolement qui doi
ts des placements tardifs, inconvénients pour les malades, pour les
familles
, pour les com- mîmes, pour les départements, pu
alors qu'il eût été facile et préférable de les soigner dans leurs
familles
, à défaut d'un hospice destiné spécia- lement à
, comme nous l'avons dit maintes lois, bibliographie. 403 que les
familles
et les maires des communes n'hésitent point à p
s chroniques et incurables, au grand bénéfice des malades, de leurs
familles
et des commu- nes, appelées à payer les frais d
ption de congés ou sorties à titre d'essai, très utiles lorsque les
familles
présentent des garanties suflisantes pour les s
u'avec un peu de bonne volonté il eût été facile de soigner dans la
famille
ou dans un hospice. « Je citerai, comme exemp
ier, a rendu annuellement vingt, sur cent, de ces malheureux à leur
famille
; la charité de l'excellent docteur savait trou
la régularité d'une action - attentive aux plus chers intérêts des
familles
et de la Société, l'oeuvre d'un chef de service
nt, il y a quelques années, à-Paris et s'insialla dans une pension de
famille
. Il y fit la connaissance-d'une jeune Allemande d
eur vie ; d'autres sont malheureux parce qu'ils ne peuvent fonder une
famille
, et un certain nombre, mal ou non conseillés, se
s remarquables sur \Hérédité des stigmates de dégénérescence dans les
familles
souveraines, a provoqué naguère quelques froissem
malin à 9 heures, question à l'ordre du jour : La collaboration de la
famille
et de l'école dans l'éducation ; Rapporteurs : Ml
omittance psycho-pathologique. Orr il s'agît d'une jeune fille que sa
famille
nous a fait soigner dans un but purement esthétiq
Parents et des Maîtres répond à la question qui préoccupe le plus les
familles
: Comment orienter nos fils et nos filles en deho
460 pages, Privât, Toulouse 1908, 3 tr. 50. F. Gâche : Collégiens et
Familles
. Le travail de l'enfant à la maison ; L'éducati
e chez ceux qui l'écoutaient. Ses élèves étaient pour lui une seconde
famille
: Il se plaisait an milieu d'eux et ne s© lassait
âtiments corporels justement supprimés chez nous, (sauf dans quelques
familles
). Ils étaient en honneur au XVIIe siècle et Louis
individu qui avait dépassé la quarantaine faisait la désolation de sa
famille
qui le soignait avec un véritable dévouement et a
sion de l'importante question de la collaboration de l'école et de la
famille
dans /'education. Sur ce sujet on entendit les ra
nie s'associe de tout cœur au denil de la Faculté de Nancy et de la
famille
qui vient d'être si cruellement éprouvée. • * *
rappelait (dans une conférence sur Maîtres et parents) qu'un père de
famille
avait protesté contre le devoir suivant : « Il fa
jeune fille. Pour les maladies des yeux, on conserve dans certaines
familles
des bagues très anciennes en argent et portant un
ort pendant la narcose chloroformique. Aussitôt, les quotidiens ou la
famille
du décédé ébruitent le cas : l'autorité judiciair
de vivre de la vie commune. Or, un jour qu'elle assiste a un dîner de
famille
elle éprouve des douleurs vives d'estomac. Pour é
on ne pourra pas dire qu'elle s'est suicidée et ainsi l'honneur de la
famille
sera sauf. Son projet ainsi bien arrêté, elle écr
e auprès de lui le secret professionnel pour qu'il n'avertisse pas la
famille
. C'est à cette époque (mai 1904) que je suis ap
ses enfants, des affaires commerciales de son mari ou des affaires de
famille
, elle s'est révélée à son entourage comme si supé
avis, il n'en a pas été de même de la part de certaine membres de sa
famille
qui n'ont pas consenti à abdiquer toute personnal
itudes de leurs enfants, ils s'ingénient k les contrarier. Un père de
famille
se plaignait de la différence des résultats obten
ne s'en préoccupe pas assez, en dépit de la Ligue des Medeclxset des
Familles
.qui par l'abstention des parents, a dû se transfo
assez bien.Le détail des matières figurerait au Bulletin envoyé à la
famille
. La plupart des élèves ont protesté contre les
460 pages. Privât, Toulouse, 1908. Ferdinand Gâche : Collégiens et
familles
. In-12, 400 pages. Privât, Toulouse, 1906. L'at
Après la naissance de mon second enfant, mon mari trouvant que notre
famille
était assez nombreuse ne voulait plus d'enfant et
?"ß X... qui fait l'objet de cette communication, appartient à une
famille
tout à fait normale : elle est la troisième de ci
ente colère et reprochent vivement à la malheureuse d'avoir exposé sa
famille
à des propos déshonorants. Cette scène la confirm
e de ses nombreux élèves. On ne manqua pas d'associer à cette fête de
famille
, madame Danrlac, la compagne dévouée do maître.
evant être les premiers devoirs des bons citoyens, ceux de fonder des
familles
solidaires et de repousser les barbares, les étra
ension mentale est soulagée aussitôt que la malade est éloignée de sa
famille
et qu'elle sait que par ordre du médecin elle doi
ient me voir huit jours après et l'on me raconte, qu'il a dit dans sa
famille
, qu'il éprouvait maintenant un dégoût inouï pour
és de toute sorte sont des prometteurs. Dans certains cas, dans des
familles
timorées on pourrait prescrire le port ininterrom
édés adjuvants sont utilisés lorsque, pour une raison quelconque, les
familles
n'acceptent pas l'emploi de l'hypnotisme. Discu
mier l'enfant. Grace à son influence, l'enfant prend sa place dans la
famille
, où aujourd'hui il est roi. Rousseau conçoit un
s erreurs de jugement, n'aboutissaient jamais à la constitution d'une
famille
solidement établie. J'ai entendu souvent des mari
sulta des dissentiments qui ont divisé, d'une façon irrémédiable, une
famille
jusqu'alors étroitement unie. Dans un autre cas
au point de vue de la conservation de la race, la constitution d'une
famille
définitive et la solidarité du milieu familial, é
chothérapie. L'opération proposée est, en principe, acceptée par la
famille
, malgré l'opposition d'un médecin très réputé. To
urs jours de réflexion, sous la pression d*un vieux médecin ami de la
famille
, on renonce à l'opération^ Deux autres spéciali
emps que la pins simple, son temps et ses conseils aux malades et aux
familles
, comme à ses élèves. Tous ceux qui l'approchèrent
ce. Ce jour là. il avait été appelé au Mans, auprès d'un membre de sa
famille
gravement malade. Vous me permettrez également
de sa fièvre typhoïde, étaient encore des enfants à la.mamelle. La
famille
, peu instruite, ne comprend rien a cet état d'esp
tions, nous avons fait appel à la collaboration des élèves et de leur
famille
. « Je sais faire une boussole, dit une élève ; mo
nération actuelle. Il y a à ce fait d'autres causes:relâchement de la
famille
, etc ; or les parente faibles n'ont point été éle
tes do la faculté de médecine de Paris. Né en 1852, a Besançon, d'une
famille
d'universitaires, le D' Brissand fut successiveme
au-dessus de 13 ans. 61 % des enfants étaient donc restées dans leur
famille
pendant toute la durée de leur première enfance.a
ournois, menteur, voleur, paresseux, insupportable à l'école comme en
famille
. L'n seul fait donnera une idée de sa malignité :
les appareils de contention dus à l'ingéniosité des fabricants et des
familles
sont condamnés comme absolument inefficaces par t
ssible de l'endormir k nouveau, malgré tout ce qui a été tenté, et sa
famille
, impatiente, a préféré revenir aux mesures de rig
moral comporte qu'il veille à sa santé et pourvoir aux besoins de sa
famille
. Si l'homme obéit à la loi morale, si les idées
e bornant pas à leur personne, jette bien souvent une ombre sur les
familles
mêmes des malades. Or, ce quinouspréoc- cupe c'
atériel offert par l'histoire clinique d'en- tières descendances de
famille
. Une partie de ce matériel peut- être se trouve
ol sur le plasma organique, 1. ú) Etude de cette influence dans les
familles
et les communautés des peuples civi- lisés ou n
la gravité de leur conduite, Ou garde celle 1·1115 DIVERS. 159
famille
à vue eu attendant la décision du parquet do Sain
l-juillet 1899) deux fois par semaine. Elle me parle une fois de ma
famille
, « de ma mère, de ma pauvre mère » ; ses questi
A X ? dans l'intimité de la comtesse V ? je viens à par- ler de ma
famille
et elle aussi me parle de ma famille, un matin
V ? je viens à par- ler de ma famille et elle aussi me parle de ma
famille
, un matin après le petit déjeuner (octobre 18')
i je suis tué dans le train, pensai-je en moi-même, quelqu'un de ma
famille
le saura. Il me reçoit d'une façon assez vague,
conseille de me retirera la campagne et d'y apprendre l'es- prit de
famille
. « Ces sept causeries sont autant de conseils,
ant, d'images auditives logiques tendant à me faire aller dans ma
famille
; leur action doit être d'autant plus grande sans
rès un jour et ne trouvant toujours aucun emploi il revient dans sa
famille
. Puis, obéissant à un besoin incessant de mouve
Illicite avait cependant l'air de s'intéresser aux personnes de sa
famille
qui no la quittent pas. Elle menait une existen
ments, avec les cahiers sco'aires, devront compléter le Li- vrcl de
famille
qu'ils illustreraient et sur lesquels ondoitmar-
(Nouv. Icon. Sal- pêtrière, 1905, n" 6.) Histoire clinique d'une
famille
frappée à trois générations d'ophtalmoplégie, c
qu'ils sont appelés à recevoir. Il appartient, en conséquence, aux
familles
qui ont les ressour- ces nécessaires do contrib
tinuera, comme par le passé, à accorder des fractions de bourse aux
familles
réellement nécessiteuses, la la condition que l
ction complémentaire et le prix du trousseau soient garantis par la
famille
, par le département, par la com- mune ou par un
sourds-muets de Bordeaux et de Chambéry, seront à la charge de la
famille
lorsqu'ils ne seront pas garantis par l'autorit
rds-muets de Chambéry. Ce prix pourra être réduit il la demande des
familles
intéressées et en tenant compte de leur situati
i l'existence en général de celle-ci aux maladies mentales dans une
famille
donnée fait faire dans beau- coup de cas une co
eurs des frères et soeurs des mêmes parents et constituant une même
famille
, mais qu'alors presque toujours l'hérédité se r
er des unions entre pa- rents, car dans la très grande majorité des
familles
les aptitudes mauvaises sont plus nombreuses qu
sionde cons- tater quelquefois, qu'elle était une exception dans la
famille
, car tous les membres étaient plus ou moins exc
tains avaient été réellement fous. Le père appartenait aussi a une
famille
d'aliénés ; s'il n'avait jamais poussé jusqu'au d
. 20 300 CONGRÈS INTER A1T0NVL DE L'ASSISTANCE DES ALIÉNÉS. des
familles
des malades internés, pour leur conserver un fo
l'activité en faveur des appuis moraux aux aliénés sortis et à leur
famille
sont aussi essentiels que les secours en argent
rveillera et ré- glera l'usage. Le patronage doit être étendu aux
familles
des aliénés afin d'exercer une influence favora
grin ou de préoccupation de la part de l'aliéné à son etour dans sa
famille
; Dans l'ordre économique : éviter la dispersio
ter la dispersion des biens de aliénéen procurant aux membres de sa
famille
les moyens de vivre par leur travail. a) Etan
faisance et d'assistance publique en faveur des aliénés et de leurs
familles
, lorsqu'ils sont pauvres. b) On devrait aussi c
l, de s'occuper enfin des conditions morales et économiques de sa
famille
. IL Que les oeuvres de bienfaisance, d'assistance
nt été réintégrés, les 10 autres ayant pu être maintenus dans leurs
familles
, à l'expiration du mois de congé, 7 devant être
malades à l'Asile sans formalités, en cas de rechute, encourage les
familles
à tenter l'épreuve de la sortie pro- posée à ti
e La Moche-sur- Yon est autorisé à confler,à titre d'essai, à leurs
familles
, parents ou amis qui y consentiront, les malade
ant guérison et ordinairement contre l'avis du médecin. Beaucoup de
familles
ont même la tendance fâcheuse à faire interveni
t acte à l'état neurasthénique (le Jlme Gallou. Terrible drame DE
famille
. Camhridge (111minois) 1 cr odobre, Hier, dan
oolique, pas nerveuse. Pas d'antécé- dents nerveux signalés dans la
famille
, tant du côté paternel que maternel. D ? avait
sait bien. Il part au régi- ment, fait un an de service (soutien de
famille
), s'y conduit bien. Pas de maladies vénériennes
ntons les « documents de « cette étude (1), « confiés à des «
familles
épar- « pillées sur une « grande étendue «
ure presque pure chez un malade de l'Apennin, qui habitait dans une
famille
atteinte de pellagre chronique.Cet agent patho-
t encore aussi souvent des malheureux traîner leur délire, dans les
familles
, dans les hôpi- taux, dans les maisons de spéci
iers avec les malades ; 4" sur les rapports des infirmiers avec les
familles
dis n : alaAes et sur leurs relations hors de l'a
urveillance des en- fants n'est, certes, pas commode pour certaines
familles
où le père et la mère sont retenus loin du logi
lée le 4 janvier 1899 ; décodée le 8 juillet 1906. Histoire de la
famille
et de la malade. (Renseignements fournis par la
seignements. Cette soeur est atteinte de zézaiement. Le reste de la
famille
est absolument in- connu. Mère : 32 ans, gard
ns de méningite, n'avait pas eu de convulsions.-Dans le reste de la
famille
, on ne note aucune anomalie congénitale physiqu
I. Les antécédents sont peu chargés, mais les renseignements sur la
famille
laissent un peu 1 désirer. Signalons un grand o
deux jours auparavant de l'histoire d'un chat enragé, qui dans une
famille
, avait mordu huit personnes. La seconde obser
que joue la timidité dans l'étiologie des psycho- névroses. Dans la
famille
et à l'école,à force de faire aux enfants des r
n seulement sans au- cun danger mais encore utilement, auprès d'une
famille
de braves gens ou ils trouveraient une surveill
ts héréditaires. - Père : vivait en mauvaise intelli- gence avec sa
famille
. A abandonné sa maîtresse après l'accou- chemen
r sur une grande route, ne se fait aucun scrupule de dépouiller des
familles
entières dans une opération industrielle ou fin
on Zastrow, représen- tant d'une des plus vieilles, des plus riches
familles
nobles du pays,' qui fut jugé il y a quelques a
riche, beau et heureux, quand subitement, grâce à des intrigues de
famille
, il fut enlevé d'une garnison autrichienne où i
aux ou hospices, etc.; les 28.000 restants sont conservés dans leur
famille
ou errent à l'aventure '. M. Lacour met en reli
rties. Ce n'est pas que l'auteur soit contre le traitement dans les
familles
, mais ce système n'est pas possible avec l'indi
la division. Le malade, un mois et demi après, a pu être rendue sa
famille
; il est calme, d'humeur égale. L'état de dépres
iézy. Depuis ce jour, et malgré toutes les recherches faites par la
famille
, elle n'a pu être retrouvée. .. Cette gamine,
enfant ausi jeune, a pro- duit une vive émotion dans le pays, où sa
famille
est très estimée. (Petit Troyen, 23 avril.) A
. Les meubles furent entassés sur des charrettes. Quand matériel et
famille
arrivèrent au quai des Grands Augustins, où se
'un instant, au sujet des liens' de parenté étroite qui relient les
familles
arthritique et névropathique. Cela pourrait se
ignes du diabète et de l'ataxie locomo- trice progressive. Les deux
familles
sont dans ce cas représentées chez le même suje
nt y voir l'intervention des liens de parenté qui unissent les deux
familles
arthritique et névropathique; dont le diabète e
teurs qui les ont étudiés soit dans les divers membres d'une même
famille
, soit chez un même individu. Quant aux relation
'épilepsie, sur la fréquence chez un seul individu et dans une même
famille
des successions et des transformations morbides
èvent de la parenté étroite qui existe entre les membres des deux
familles
arthritique et névropathique. Pareils rapports
mmes environ par vingt-quatre heures. Il est un membre de la grande
famille
névropa- thique, sur lequel on n'a pas, à notre
nomènes mor- bides à travers les générations successives dans une
famille
. On y voit alterner le tabes et le diabète, de
ocomotrice progressive affecte du reste avec d'autres membres de la
famille
arthritique des rapports du même ordre. MM. Lan
tabes affecte des liens de parenté avec le rhumatisme, membre de la
famille
arthritique. C'est sans doute en raison de ce
un thème unique. Le ma- lade affirme qu'il appartient, non pas à la
famille
dont il porte le nom, mais à une race illustre,
DES IDÉES DE GRANDEUR CHEZ LES PERSÉCUTÉS. 333 rejetons d'illustre
famille
comment, à quelle époque, de quelle façon, ils
bien constitué, maigre, très brun. Pas de renseignements ni sur la
famille
ni sur les antécé- dents du malade. L'intellige
'abord qu'un séjour d'nn mois, -après lequel il put être rendu à sa
famille
dans un état de calme apparent. Mais à peine ho
n caractère jetait devenu bizarre; il vivait seul, brouillé avec sa
famille
, se nourrissant mal, probable- ment hanté par d
minations contre son père, son beau-frère et d'autres membres de sa
famille
, voilà pour les idées de persécution. Mais les
urs universels, etc., etc., etc. » OBSERVATION VI. - H... est d'une
famille
où il y a beaucoup d'exaltés. Lui-même a toujou
Observation IX. - S..., lieutenant d'infanterie, appartient à une
famille
de pauvres paysans lorrains. Il envoyait à ses pa
es yeux. Observation X. C..., né en 1858, est le dernier né d'une
famille
nombreuse ; il a dix frères et soeurs, tous bien
succès, déclarant hautement « qu'il ne demanderait jamais rien à sa
famille
», et cependant n'ayant pour vivre que ce qu'elle
doctrine de Descartes, et, comme il n'arrivait à rien, il accusa sa
famille
c d'être jalouse de lui et de vouloir étouffer
recasteaux, le compagnon de La Pérouse, - tantôt il appartient à la
famille
des Fugger, les banquiers de Charles-Quint, ou
eur ont marché les idées reli- gieuses. Puisque C.. appartient à la
famille
des Ilabsbourg,il estle défenseur de la foi cat
t très bien dire qu'il n'est pas ici sous son véritable nom, que la
famille
L... n'est que sa famille d'adop- tion, qu'il s
st pas ici sous son véritable nom, que la famille L... n'est que sa
famille
d'adop- tion, qu'il s'appelle en réalité de Mér
siaque, etc. Observation XIV. - Officier, appartenant à une vieille
famille
noble, dont les parchemins auraient pu suffire
uite. Une année ne s'était pas écoulée depuis cet epouvante, que la
famille
remarqua chez elle de l'atrophie dans le territ
n enfant de douze ans, entré à l'hôpital il y a un mois, issu d'une
famille
de meuniers solides. Rien d'héréditaire, 358 cl
iques, de difformes, de suicidés, de criminels, etc., etc., dans la
famille
]. · Mère, cinquante-et-un ans, assez grande et
erveux. Pas d'aliénés, d'épileptiques, d'hystériques, etc., dans la
famille
]. Pas de consanguinité (père de Sierck et mère
Pas d'hystériques, d'épileptiques, de paraly- tiques, etc., dans la
famille
. .Mère, quarante ans, s'occupe de son ménage. P
. Pas d'hystériques, d'épileptiques, d'aliénés, etc., etc.7 dans la
famille
. - [Pas de con- sanguinité.] Deux enfants : 1
u de l'année 1889), nous avons publié avec Sollier l'histoire d'Une
famille
d'hystériques (p. 149). Enfin, le tome XI ren-
s d'asthme pendant le stade maniaque. P. K. XVI. D'une maladie DE
famille
TOUTE spéciale ayant revêtu la FORME DE démence
int de vue pratique, il est exceptionnel de ne pas trouver dans les
familles
des suicidés de tare héréditaire. Il existe en re
s suicidés de tare héréditaire. Il existe en revan- che beaucoup de
familles
dont les membres, quoiqu'ils ne soient pas norm
a paralysie bulbaire de l'enfance constatée par Berger sur une même
famille
. On constatait dans l'espèce divers arrêts de f
mmis quelque acte hautement répréhensible, toutes les démarches des
familles
échouent devant une opposition systématique et
re confiée au médecin le mieux placé pour connaitre l'interne et sa
famille
. 1 E. B. Lorsque nous étions au Conseil génér
anes. - Le Mercredi médical publie la note suivante : « Un drame de
famille
s'est déroulé hier à Nancy. Vers midi, M. Miche
ssions do sortie, les congés leur rendent service, font plaisir aux
familles
, maintiennent les liens d'affection et nous aid
ls se trouvent tout à fait privés des visites affectueuses de leurs
familles
. Ce voeu a été adopté par le Conseil général en
rt qui est très vaste ; d'autre (1) En un mot, c'est le parloir des
familles
des 125 enfants de la section. (2) Il y a 44
en faveur d'un vote favora- ble doivent être reproduites. 1° Des
familles
, n'habitant Paris que depuis quelques années, a
quelque temps sont réclamées par leur département d'origine et les
familles
sont dans la nécessité de reprendre leurs enfan
nfants gâteux, servant de parloir le jeudi- et le dimanche pour les
familles
des 175 enfants. Ces hangars pourront être affe
istance à domicile. Elle rendit un certain nombre d'enfants à leurs
familles
en accordant à celles-ci un secours quotidien v
lec- tuelles, est capable encore de rendre quelques services à sa
famille
, ou est atteint d'une maladie ou d'une infirmité
, tant que l'assisté n'immo- bilise pas un des membres actifs de la
famille
. Or, tel n'est pas le cas des enfants idiots, i
e continuelle d'émotions ; parce qu'ils ne peuvent recevoir dans la
famille
pauvre ou peu aisée, les soins et l'instruction
cessaires ; enfin, parce qu'ils immobilisent l'un des membres de la
famille
et augmen- tent sa misère. La société adonc le
ience pour les .améliorer. Laisser ces malades séjourner dans leurs
familles
, c'est en faire des in- curables qui tomberont
rrhe pulmonaire. Pas d'aliénés, pas d'épi- leptiques, etc., dans la
famille
.] Mère, trente-trois ans, ménagère, assez intel
ous ne trouvons aucune all'ection nerveuse ou héréditaire dans la
famille
de notre malade; ajoutons seulement que les deux
ptiques; pas de difformes, ni de sui- cidas ou de criminels dans la
famille
.] 1 Rosenthal. - Loc. 6/. i,il'ieuu. merl. Pres
es détails sur elles. Il y aurait eu plusieurs paralytiques dans la
famille
. Pas d'autres suicides. Une Cr..., à un degré de
e Espagnole et je ne puis pas donner d'autres renseignements sur ma
famille
.] - Pas de con- sanguinité. Six enfants dont
s, de paralytiques, de difformes, de suicides, de criminels dans la
famille
.] J Mère, quarante-sept ans, intelligente, tein
re malade, nous sommes de nouveau invité à nous rendre dans la même
famille
pour visiter la soeur aînée de notre première m
des ont accusé du prurit pendant toute la durée de l'éruption. La
famille
nous a déclaré n'avoir connaissance d'au- cun c
ous n'avons pu en déterminer approximativement la durée que dans la
famille
dont il a été question tout à l'heure. Si nous
de tics, pas de difformes, ni de suicides ou de criminels dans la
famille
.] Mère, 37 ans, blonde, rousse, petite, fatigué
s d'une «inflammation d'intestins. » Pas d'aliénés, etc., dans la
famille
.] Pas de consanguinité. Le père du malade a eu
s, d'apoplectiques, de difformes, de suicidés, de criminels dans la
famille
.] Mère, 55 ans et demi, lingère. Taille moyenne
ssivement des rap- ports sexuels avec six petites filles de la même
famille
, dont l'aînée avait 13 ans et la plus jeune 4 a
e donner avis de la sortie du jeune S..., rendu provisoirement à sa
famille
par M. le Dr Bourneville, et vous me demandez s
éraisonnant déjà » puis transféré à Sainte-Anne en 1870. Rendu à sa
famille
au bout de six mois, il est mort à Necker en 18
; il apprenait assez bien et ne causait guère de désagréments à sa
famille
. A 2 ans 1/2, il eut des convulsions pendant 10
servations qui précèdent. Examinons tout d'abord la situation des
familles
et les antécédents de ces deux malades. I. Le
érités de la nature humaine, ou bien on devrait les placer dans des
familles
de cultivateurs où ils pourraient gagner leur v
ment : Isolement absolu, pas même de communications écrites avec sa
famille
, repos au lit, alimentation ordonnée sévèrement
névropathique, ni chez ses ascendants, ni chez les membres de sa
famille
. Un de ses frères pourtant passe pour être très i
gangrène, le processus semble identique et il y a comme un air de
famille
entre tous ces cas; un des caractères principaux
plus fréquente, car il faut tenir compte : 1° de la façon dont les
familles
apprécient mieux de jour en jour la valeur et l
gnostic de folie transitoire solidement établi. Qu'on interroge les
familles
de certaines femmes devenues tardivement aliéné
on ne relève aucune lare physique congénitale. Comme antécédents de
famille
on relate que la mère est morte d'une maladie de
le courant de l'année 1894, les voisins et les membres de sa propre
famille
reconnurent chez Marie C... les signes d'une nouv
rir des reproches que ne lui ménageaient pas certains membres de sa
famille
tant pour les charges occasionnées par son prem
pêtrière, 1894, . n° 4.) Le sujet est une femme appartenant à une
famille
nombreuse dont aucun des membres n'a présenté d
arrêt de développement et de tout signe de dégé- nérescence dans la
famille
, croit, malgré l'absence de cicatrice, qu'il s'
la modification des sentiments affectifs (hostilité à l'égard de la
famille
), la perver- sion morale aboutissant à la tromp
a malade qui doit être aussi promptement que possible séparée de sa
famille
et internée dans un asile. Il est à noter, tout
ration, on peut souvent, en auto- risant son retour précoce dans sa
famille
, hâter une guérison traî- narde. Dans les cas o
leurs ancê- tres, mais qui les rapprochent tous, et en forment une
famille
pathologique les dégénérés si l'on veut. Peut
IS DES asiles. Il était naturel qu'un médecin que les traditions de
famille
- ^on trisaïeul avait fondé en 1792 la fameuse
éditaires. - Les parents étaient des gens très superstitieux, et sa
famille
racontait que la maison paternelle était hantée
s détails les plus minutieux, avec les renseignements donnés par sa
famille
, on ne peut mieux faire que de reproduire son p
r seule. (Notons que le le, janvier, il y eut chez elle un dîner de
famille
, et qu'elle y 206 CLINIQUE MENTALE. a fait pe
; nous avons vu en effet que, renseigne- ments pris, on trouve une
famille
superstitieuse, croyant aux revenants, aux hant
, quand elle sort une semaine après son entrée sur la demande de la
famille
. Au pointdevue psychique quoiquelamalade conser
s, disposant ainsi plus que de la vie des malades, de l'honneur des
familles
. Il y a trois ans, un des membres les plus esti
bunal condamner un aliéné, joignant ainsi au malheur qui frappe une
famille
la flétrissure d'une condamnation judiciaire. M
reurs judiciaires dimi- nuerait, parce que souvent le médecin de la
famille
aurait observé les premiers symptômes du mal et
accès antérieurs de mélancolie, qui comptent des aliénés dans leur
famille
, ou se manifeste au même âge que chez les ascen
ctère. C'est une jeune fille de vingt-quatre ans, appartenant à une
famille
de névropathes alcooliques, quelque peu alcooli
re.) Trois cas de chromi- drose jaune chez trois membres d'une même
famille
(neurasthénie, hystérie)... . lli. MABILLE (d
d'en citer d'autres montre que souvent, cédant aux instances des
familles
, aux réclamations des conseils généraux qui trouv
s laissaient beaucoup à désirer, avait trompé la surveillance de sa
famille
et disparu de la commune. Après de longues rech
a porte fermée, inquiet, il s'informa. Rien, personne n'avait vu sa
famille
. Il enfonça une vitre de la fenêtre et bientôt
par les journaux politiques. Ils témoignent de l'insouciance des
familles
, des administrations municipales et départemental
our prolongé dans un asile : le traitement de ces sujets dans des
familles
étrangères qui se chargent, moyennant une rétribu
rmet aux malades de bénéficier de la vie en liberté et de la vie de
famille
. Ce mode d'assistance, pratiqué à Gheel (Bel- g
'on ne le fait habituellement, et même les laisser vivre dans les
familles
. Roller propose d'installer une colonie familiale
es : en 1893, 209 de ces sujets étaient assistés dans leur propre
famille
, ou dans des familles étrangères, tout en restant
e ces sujets étaient assistés dans leur propre famille, ou dans des
familles
étrangères, tout en restant sou- mis aune surve
oïde extrait par Merci : , de la duboisia myoporoïdes, plante de la
famille
des solanées : il appar- tient au groupe des po
x délits et crimes accomplis en état d'ivresse. M. L ! EB6fANN. Une
famille
de quérulents. - Il s'agit d'une famille ' d'al
resse. M. L ! EB6fANN. Une famille de quérulents. - Il s'agit d'une
famille
' d'aliénés dont trois membres sont actuellemen
iénés dont trois membres sont actuellement à l'asile de Bonn. Cette
famille
, qui appartient à la classe des cultivateurs,-a,
des idées délirantes; c'est elle qui les a communiquées à toute la
famille
. Chez le mari il s'agit de folie imposée : le d
ées délirantes que par leur coexistence chez tous les membres d'une
famille
. C'est la femme G... qui crée le délire, le sys
à fait exceptionnels. Né en 18 ! il, W... dont on ne connaît pas la
famille
, fut réformé, étant au service militaire comme
privai docent et officier du génie et poursuit une jeune fille 'de
famille
honorable de ses obsessions ; il agit en persécut
'en est plus de même des agités qui sont forcés de recevoir là leur
famille
et qui, pour évoluer, ont besoin de plus d'espa
matismes ; marié à vingt-sept ans; pas de maladies vénériennes. [
Famille
du père. Père. Mort d'une fluxion de poitrine à c
te à cinquante-cinq ans de refroidissement; rien à signaler dans la
famille
du père, sinon un oncle et une tante parternels p
n abondance et repoussaient vite et de plus en plus en plus bruns. [
Famille
de la mère. Père. Mort écrasé par un mur, sobre
, pas d'enfants quoique mariée; l'autre soeur céliba taire. Dans la
famille
de la mère, ils sont tous nerveux, mais ni para
est meilleure, l'enfant lit couramment, fait seule des lettres à sa
famille
, l'orthographe est meilleure, elle fait de petite
x de ménage et de couture). Personnelle- ment, nous estimons que la
famille
aurait mieux fait de laisser cette jeune fille
t dilatée ? , fils et frère d'artério-scléreux, et comptant dans sa
famille
plusieurs ascendants paternels et maternels morts
Observations d'ataxie héréditaire chez trois individus d'une même
famille
. La discussion de ces observations amène l'auteur
tème du no-restraiut et préconise le placement des aliénés dans les
familles
autant que possible. En résumé, le livre de M.
Es. Folie blennorrhagique et -, par Venturi, 474. Quérulants. Une
famille
de -, par Liebmann, 417. Race. Influence de l
ux. ' . A Dun, l'on avait commencé par placer en groupes dans des
familles
celles de nos pensionnaires adultes qui devenai
ntégrer dans un asile fermé (.'8 août). Celle enfant n'avait pas de
famille
qui s'intéressât à elle. ('Bs.H.Germaine..... N
ontiers ce qu'on lui défend, très capricieuse. En quelques jours la
famille
qui l'a recueillie n'a plus sur elle une autorité
lle ci « maman » ou « grand'mère » donnant aux autres membres de la
famille
les noms qui leur convien- nent dans la parenté
urs repas à la table commune. Elles jouent avec les en- fants de la
famille
ou avec ceux des voisins , quelques- unes font
art en communication immédiate avec la pièce,où se tient la nuit la
famille
qui les héberge, soit dans la chambre à coucher
petites affaires, tout en n'ayant que très peu de contact avec la
famille
qui les .hospitalise, les enfants vivent au con
italise, les enfants vivent au contraire continuellement dans cette
famille
; leur cham- bre, quand elles en ont une qui le
es ont de- mandé des fillettes de préférence, mais une dizaine de
familles
se sont fait inscrire uniquement pour recevoir
susceptibles do rendre à DU PLACEMENT DES ENFANTS ARRIÉRÉS. 11 la
famille
qui les reçoit quelques petits services, et en
leur état mental ne permet pas de 12 ASSISTANCE. placer dans une
famille
de nourriciers. Mais ce n'est pas le lieu d'ins
certaines d'entre elles n'arrivent il prendre sur cette nouvelle
famille
autant d'empire qu'elles en avaient sur la leur
s parler de la crainte qu'en ont exprimée avec insistance plusieurs
familles
, il serait évidemment fâcheux de laisser perdre
n pas virtuel- lement chez un être de raison qui s'appelle genre ou
Famille
, mais double réellement dans tout oeuf, et que
cédants héréditaires . Le père et la mère sont. bien portants ; la
famille
nie toute tare nerveuse tout alcoolisme chez les
opos incohé- rents et insulte à tort et à travers les membres de sa
famille
. Il ' est riche, il a la plus jolie femme du mo
M. ANTHEAUME ; bibliothécaire-archiviste : M. BoiSSIER. Conseil de
famille
: les membres du bureau auxquels sont adjoints
ans, a déjà été interné à la suite de circonstances ana- logues.Sa
famille
prévenue va le faire conduire dans une maison d
adameX...,28 ans, est admise le 18 mars 1891. Elle appartient à une
famille
de nerveux et a toujours manifesté elle-même un
dant lesquelles elle se livre à des fugues inopinées qui jettent sa
famille
dans la plus vive inquiétude ; il lui arrivait de
heurs domestiques et leur dénoncer ses griefs contre son mari et sa
famille
. C'est dans ces conditions qu'elle est amenée à
isolé. Le G septembre, Mme X..., à la suite d'une con- trariété de
famille
, tomba en condition seconde. Pendant toute cett
tat somnam- bulique.- Après un intervalle de sept ans passé dans sa
famille
, MmeX... nous est ramenée le 10 septembre 1900
incue, certes, qu'elle a des griefs sérieux con- tre son mari et la
famille
de ce dernier, elie juge sévè- rement leur cond
cause du séjour habi- tuel de ces malades dans le monde et dans la
famille
et non dans les asiles d'aliénés.» n J. ROLET.
égis débarquant à la gare de Genève et oubliant bagages, congrès et
famille
,courant à la recherche de ses amis de la sociét
ter l'apparition tardive de la maladie, sauf chez un sujet, dans la
famille
, et on peut se demander s'il s'agit d'une anoma
tance d'admission, entendant les ré- clamations et les plaintes des
familles
, vous avez constaté la né- cessité impérieuse d
gereu- ses, vous avez enregistré les difficultés qu'éprouvaient les
familles
, souvent l'insuffisance des médecins peu au cou
us a fait accepter de suivre nos conseils, véri- fier les dires des
familles
, les aider . Vous avez agi, vous êtes inter- ve
des qui en ont bénéficié ont pu ache- 'CI' de se rétablir dans leur
famille
». « Tandis que la moyenne des admissions, de 1
de leurs défauts de caractère, ne peu- vent pas être confiés à des
familles
, sont placés, par décision du préfet, sur le ra
nement il y ait une consultation entre un médecin désigné par la
famille
et un médecin désigné par le malade. Après l'inte
temps des signes non équivoques de dérangement céré- bral. Aussi sa
famille
avait-clip jugé prudent de l'enfermer dans une
ile possède deux internes. - Séquestration arbitraire Un drame de
famille
. Une mère volée et séquestrée par son fils. L'o
tale. Il était l'objet d'une surveillance spéciale de la part de sa
famille
, qui est en instance pour le faire interner. Hi
coquetterie pathologique fétichiste. Mme .1., âgée de 25 ans, d'une
famille
névropathique où il y a eu plusieurs cas de psy
sionnable ; elle a passé les premières années de sa vie dans une
famille
de moeurs douteuses et n'apas reçu une bonne éduc
s et même ne peut pas se défendre de séduire les jeunes garçons des
familles
consanguines où elle réside temporairement. Cec
malade faisait ses observations dans les rues,au théâtre et non en
famille
; à cause de cela les associations ci dessus me
e complète de surveillance, mauvais exemples,indignité des parents,
familles
névropathiques, etc.) Dans les écoles spéciales
gravement atteints pour que leur éducation puisse se faire dans la
famille
sui- vront de préférence le régime de l'interna
ême des modifications des traités . Les tarifs maxima exigibles des
familles
et des fondations de bourses pour les frais de
fectionnement si l'enseignement ne doit pas leur être donné dans la
famille
. Un représentant de la famille sera toujours in
ne doit pas leur être donné dans la famille. Un représentant de la
famille
sera toujours invité à assister à l'examen de l
ron, elle entre en relations avec un garçon d'hôtel, à l'insu de sa
famille
, et vit avec lui durant trois années, sans être
ut gêné ; il était tout tremblant. A propos des V..., cette vieille
famille
de ses amis, elle raconte que la grand-mère lui
l résulte que ce malheureux avait échappé à la surveillance de sa
famille
et qu'on se trouve vraisemblablement en présence
ais le lende- main c'était l'hiver - tous les membres d'une autrc
famille
ayant consommé les restes des mêmes homards son
ions semblables à celles de notre ob- servation.Trois membres de la
famille
d'un officier (père, mère et fils, âgé de 18 an
ands-pa- rents morts vinix. Mère, rien de particulier, ni dans sa
famille
. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge de 10 an
12 décembre 1900, décédée le 15 sep- tembre 1906. Histoire de la
famille
et de la malade (Renseignements fournis par la
elles ont eu'des convulsions. f Rien à signaler dans le reste de la
famille
; pas d'aliénés, pas d'épileptiqucs ; ni bègues
mont-Fer'rand. (Bull. nzd., 1907, n° 6.) Cette grenouille est de la
famille
du lézard de M. Richelot,dont la postérité vien
stions sur l'hérédité restent moins souvent sans réponse et que les
familles
aiment mieux dévoiler «la tare héréditaire » qu
complète avec aphasie. Rensei- 17187ne12tS 2t271f/'tSa12lS sLlt' sa
famille
. Mère : quelques excès de boisson ( ? ). - Cous
sine : convulsions de l'enfance. Renseignements insuffisants sur sa
famille
. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de 11
aternels ou maternels. N'a ni frère ni soeur. Dans le reste de la
famille
du père, on ne connait ni idiots, ni aliénés, ni
entes; il a perdu un garçon de la coquelu- che. Dans le reste de la
famille
de la mère, on ne connaît aucune tare : pas d'a
use. 16 novembre. - L'enfant, dans le même état, est rendue it sa
famille
. 1899. 17 juillet. Entre dans notre service, à
, l'enfant (1) Il n'y aurait jamais eu de tuberculeux dans les Ceux
familles
. (2) Nous mentionnons toujours 1'.i,c de propre
peine ; on ne sait si elles ont eu des enfants. Dans le reste de la
famille
on ne connaît rien de particulier.] Mère, 42
a mère du malade est la deuxième des enfants. - Dans le reste de sa
famille
, nous n'avons rien à signaler, en parti- culier
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. l'individu qui en est atteint, dans la
famille
des dégéné- rés. G. DENY. V. Hypothermie chez
Antécédents héréditaires. - Nous manquons de renseignements sur la
famille
de la malade, nous savons seulement que le père,
ère, est aussi le père réel ( ! ). Du côté du père présumé donc, la
famille
se compose de gens tous solides et bien portant
ompose de gens tous solides et bien portants. Côté maternel. Ici la
famille
se compose de neu- rnpathes et d'aliénés. Une d
il y a deux ans lors delà mort d'un enfant. Pas de suicides dans la
famille
. Pasde consanguinité. Le père est un solide gai
venu, la raideur générale que cet ef- il) Des renseignements sur la
famille
m'ont été fournis par le médecin de la commune
à noter : 1° L'absence d'hérédité homologue : aucun membre de la
famille
n'a jamais rien présenté de semblable. Il y a d
le. On observe souvent la maladie chez plusieurs enfants de la même
famille
et elle est parfois héréditaire. Les réflexes ten
de Parkinson serait due 2 fois à des émotions ou à des ennuis de
famille
, 3 fois à des accidents du travail, fois la cause
u plus trois élèves à ses leçons : « Si vous êtes appelé dans une
famille
, leur disait-il, et si vous soupçonnez que la dem
quatre oeufs et quatre cuillerées à soupe de poudre deviande. Sa
famille
n'ayant à ce moment aucune raison de la laisser
d'all'ections nerveuses, ni de maladies mentales déclarées dans la
famille
; nous n'avons pas de renseignements plus complets
vail régulier exigeant quelque précision dans les mou- vements ; sa
famille
fut obligée de la reprendre et l'employa comme
et état rend la malade impropre à toute occupation suivie : dans sa
famille
, on l'em- ployait surtout autrefois à garder de
erelles de ménage. La femme du malade lui reprochait de conduire la
famille
à sa ruine ; elle alla elle-même jusqu'à le pou
ui dura deux ans à la suite de soucis mul- tiples de carrière et de
famille
. Un homme mieux trempé que notre malade aurait
; pour les moins mala- des, qui peuvent et doivent rester dans leur
famille
, des classes ou des écoles spéciales ou, si l'o
tère. Il est plus affectueux, et il se réjouit à présent de voir sa
famille
et de passer quelques jours avec elle. 1901.
oirs et des dictées, sans trop de fautes, peut écrire lui-même à sa
famille
et sans le concours de personne. Il fait les tr
i concernent les couleurs, nombres, jours de la semaine, vêtements,
famille
. Lemaît ? éprouve une grande difficulté pour le
à dire de ces paroles plus ou moins désobligeantes à l'égard de sa
famille
, on lui a fait sentir surtout le respect dû à s
e de J;es succès, elle espère à juste titre pouvoir rentrer dans sa
famille
d'ici peu et occuper son rang dans la société.
rages manuels le démontrent. Germaine peut être rendue un jour à sa
famille
et vivre du fruit de son travail. LVIII. PEULL.
is les idées délirantes disparais- sent et le malade est rendu à sa
famille
en 1901. En juin de la même année, il est ramen
XXVII. - Maladie osseuse de Paget, trois cas observés dans une même
famille
, hypothèse nouvelle sur la pa- thogénie de cett
ponsabilité médicale ou adminis- trative. Droits de l'aliéné, de la
famille
, du service médical et du service administratif
nt anormales et des lares affreu- ses qui sont à la charge de cette
famille
. Le père de la femme Schuhinger était fou par i
d'incendie. Il serait assurément difficile de réunir,dans une même
famille
, un tel amoncellement de lares ! [Le Journal, 2
de l'excitation maniaque, mais permettant la sortie réclamée par la
famille
. C. de situation 6 mai 1901 : Est atteint d'obt
ntairement dans un asile et retiré au bout de quelques jours par sa
famille
, qui vint récla- mer peu après un certificat d'
ologie de ces deux affec- tions. Toutes les deux frappent les mêmes
familles
et les mêmes sujets, toutes les deux peuvent êt
ards encore. A. 0 ? une mahométane de 37 ans, mariée, issue d'une
famille
de nobles, originaire des montagnes du Caucase, n
son métier. Vu cette amélioration nota- ble, elle a été Tendue à sa
famille
dahs le courant de l'année. 1965. - Lesàg ? a q
Savoie, c'est un touchant préjugé que le crétin porte bonheur a sa
famille
. La brute qui ne suit que l'ins- tinct, en qui
ils René, 8 ans, rue Monjol. Il y a deux mois, Bardois abandonna sa
famille
et alla loger en garni, rue de la Chapelle, ave
ls soient, c'est un état men- tal déplus en plus inquiétant pour sa
famille
et qui consiste en de la dépression, des triste
e elle a appris à faire des dictées, à rédiger une lettre pour sa
famille
et enfin la multiplication qu'elle ne faisait pas
bonne ouvrière. Cette enfant est donc rendue à la société et à sa
famille
et pourra gagner honorablement sa vie d'ici peu.
us les six mois, la photographie tous les ans (2). Con- seiller aux
familles
, comme le font malheureusement trop de médecins
avec le monde, ne sont plus un chagrin, une humiliation pour les
familles
et la Société, et sont mis en mesure de sui- vr
se constitue le 3'llll)tô : lle le plus important, sonLle l1eau des
familles
, l'appoint des maisons de correction. Leur plac
inq religieuses étudiées dans ce travail, l'une appar- tenait à une
famille
présentant des signes de dégénérescence avancée
sonnes soumises au placement, et celui-ci en avise, sans délai, les
familles
; vous devez, en outre, m'en rendre compte. .le
1. Paget. Maladie osseuse de , trois cas observés dans une même
famille
, par Œltinger et Agasse-Lafont, 333.
à l'affaire une publicité qui pourra singulièrement déplaire à la
famille
de l'aliéné; elle fait perdre, en outre, pour ce
t d'abord il est des choses importantes, ignorées du sujet et de la
famille
que le médecin découvrira et qu'il ne pourra di
de visites provoquées, fait croire qu'il était issu d'une illustre
famille
, qu'il allait entrer en possession d'une immense
ors redonner à ses malades l'illusion de la liberté et de la vie de
famille
; mais il ne songe pas, qu'à côté de son servic
lsin-fors)* « Nouvelles contributions sur une singulière maladie de
famille
sous forme de démence progressive. b Priv.-Doce
uelle du tabès et du diabète et je vous citerai comme exemple cette
famille
israélite où le père étant ataxique non syphili
tème des pensionnaires extérieurs, ouplacement des aliénés dans les
familles
, à l'instant de ce qui se passe à la colonie de
ditions d'infériorité l'épileptique se trouve placé vis-à-vis de sa
famille
et de la société : partout rebuté, il se décour
ves bruyantes et moro,es). Père mort phtisique, para- lysie dans la
famille
: trois enfants morts jeunes de bronchite; des
complicité au moins tacite des magistrats. Trop souvent on voit des
familles
, désireuses d'éviter le discrédit d'un placemen
t dans un asile, mettre un de leurs membres « en pension » dans une
famille
salariée pour le recevoir ; et cela au double d
nce DES idiots. Sous ce titre : Séquestration d'un imbécile dans sa
famille
. Acquittement, le Soleil du 11 février 1897 rac
'acquittement. » - Sous le titre : Séquestration d'un idiot dans sa
famille
, le Temps du 6 février 1897 relate le fait suiv
t très fréquentes et la responsabilité en incombe non seulement aux
familles
, mais aux municipalités et aux administrations
l qui veut ouvrir grandes les portes de son service aux visites des
familles
, aux villégiatures et aux sorties provisoires,
pour résultat que de donner le change au public et de rassurer les
familles
, c'est peu, mais c'est encore mieux que rien. Q
renseigne non pas seulement sur le malade mais encore sur toute sa
famille
. Le Dr Dubief parait avoir oublié ces choses es
riner et de déféquer. Il s'agit d'un homme de trente-quatre ans, de
famille
nerveuse qui, à la suite d'excès de tabac, se s
ôté de l'hérédité simi- laire il faut placer l'hérédité de toute la
famille
névropathique, épilepsie, migraine, excitabilit
tion d'une épidémie d'hystérie qui sévit sur six enfants de la même
famille
bretonne qu'on avait bourrés à satiété de conte
'hystérie infantile se manifester chez plusieurs enfants d'une même
famille
. Comme on le voit, les cas de contagion nerveus
il ne fit aucun excès de boissons. A la suite d'une visite dans sa
famille
, uù on lui reprochait la tenta- tive d'assassin
ix, dans de petits cottages champêtres, où ils seront confiés à des
familles
vertueuses, cela va s'en dire et désintéressées,
les seuls aliénés que l'on mène dans nos asiles sont ceux que leurs
familles
ne peuvent plus garder avec elles, parce qu'ils s
domestiques chargés de leur tenir la porte ouverte à eux et à leurs
familles
? Les gens normaux e : bien équilibrés, ayant l'h
mêmes ni pour les autres; s'ils peuvent aller voir ou recevoir leur
famille
quand bon leur semble, sans inconvénient pour l
r être isolés trop tardivement, conservés trop longtemps dans leurs
familles
, que tant d'aliénés de- viennent incurables ? N
es se produire chez des mélancoliques à la suite de visites de leur
famille
, et mar- cher de nouveau vers la convalescence
ns des aliénés. D'où l'utilité de recom- mandations incessantes aux
familles
qui viennent voir leurs parents malades, d'une
serions-nous, grands dieux ! si nous perdions cette tutelle, si les
familles
allaient croire que l'idée de malade évoque tou
peut avoir les conséquences les plus graves pour les malades et les
familles
. L'article 111 du règlement dit que le directeu
es. L'article 111 du règlement dit que le directeur transmet, aux
familles
qui les demandent, des bulletins rédigés par le
lle, je crois, un faux en écriture. ' - Le secret des lettres des
familles
aux malades n'est pas mieux observé. Sous le pr
plique très bien que certains malades les refusent et que certaines
familles
hésitent à épancher leur âme dans une lettre re
ce mentale. Mère très irri- table et très impressionnable. Toute la
famille
est entachée de nervosisme. Antécédents perso
d'exagération du réflexe rotulien. Les renseignements donnés par la
famille
sur la chute et sur le début de l'affection me
ingite ? Est-ce, en raison de l'hérédité nerveuse dont je savais la
famille
entachée, une pseudo-méningite ? Je ne peux, à
t ans. Guérison au bout de dix jours. Marie G... appartient à une
famille
d'hystériques. Son père a eu de la parésie hyst
mmeil hypno- tique ayant si bien réussi chez tous les membres de la
famille
, j'essaie l'hypnose sur l'enfant : impossibilit
e. Un tel tremblement peut atteindre plusieurs membres d'une même
famille
. Il peut apparaître de bonne heure ou assez tard.
des malades, conscience du moi, et ensuite les faits relatifs à la
famille
. D'une façon générale, les plus éloignés ont le
pour un enrouement très prononcé qui faisait craindre le croup à la
famille
. En raison de l'hérédité nerveuse de l'enfant-
manifestations sont dues à la mauvaise direction imprimée par la
famille
à l'éducation et à l'instruction de leur enfant;
on et à l'instruction de leur enfant; elle se charge souvent, cette
famille
, d'entretenir le mal quand elle n'arrive pas à
de tout autre cas d'aliénation mentale ou maladie nerveuse dans la'
famille
. Cette négation ne nous a pas paru sincère, elle
et des habits comme il n'a pas encore existé. Il aidera toutes les
familles
pauvres, etc. Le malade dort passablement. Il e
jours nouveaux auxquels se sont trouvées aux prises les différentes
familles
de vertébrés au cours des luttes séculaires pou
hystérique ou hystéro-neurasthénique, et peut, dans le milieu delà
famille
ou de l'intimité, se présenter sous forme de ph
par l'obser- vation clinique de trois soeurs, qui descendent d'une
famille
neuro- palhique. Les premiers symptômes apparur
nt de 1800 francs à 4000 francs. Pour ménager la susceptibilité des
familles
qui placent leurs ma- lades au pensionnat, rien
impossible; le malade prend alors un congé, qu'il va passer dans sa
famille
. Il est anxieux et a des idées de suicide auxqu
elles il peut encore résister. Il est soigné par un médecin dans sa
famille
, pendant deux mois, sans résultat. Il est alors
ils emploient sont : 1° Création de lois protégeant la personne, la
famille
et les biens de l'alcoolique. En ce moment la G
continentales afin d'étudier les effets produits sur l'individu, la
famille
, la société, ses relations, et les dispositions d
Les malades, après la période d'observation, sont placés dans les
familles
; ils en partagent la vie, les plaisirs et les tra
ueillis-par le patronage, 27 engagés volon- taires,12 rendus à leur
famille
, 10 acquittés par le tribunal, 7 con- damnés av
il était comme mon enfant. » Rien à mentionner dans le reste de la
famille
. 1 SCLÉROSE TUBÉREUSE. 31 Mère, trente-cinq a
syphilis; mariée à vingt et un ans. (l'ère, aucun détail, ni sur sa
famille
. Mère, soixante-quinze ans se porte bien; aucun
; elle a eu trois enfants morts de méningite. » Dans le reste de la
famille
, ni aliénés ni épileptiques, etc.) Pas de con
5° pour l'action combinée de ces diverses modalités d'influence, la
famille
à maternité alcoolique tend normalement vers un
que tend normalement vers un type absolument inverse de celui de la
famille
syphilitique, c'est-à-dire que, dans la premièr
ied dans la vie sociale, où ils peuvent devenir une plaie pour leur
famille
et un danger pour la société. Sans qu'il soit néc
me de loin, l'hospice ou la maison de correction ; c'est une grande
famille
. Son principe fondamental est celui d'un relève
s les conditions pécuniaires sont l'objet de conventions entre la
famille
et l'habitant logeur. Les indigents admis aux fra
nés paraissent être généralement traités à l'égal des membres de la
famille
: ils partagent la table, le travail et les amu
s'est mariée depuis; elle est maintenant une épouse et une mère de
famille
excellente. M. BÉRILLON. Ces cures d'orthopédie
tre observé sont une rarissime exception et sont douteux. Dans la
famille
le conjoint épileptique est généralement un objet
équense funestes qui peuvent en résulter pour lui, pour sa nouvelle
famille
et pour sa descendance. Ce travail s'appuie pri
.., trente-trois ans, couturière. Père mort d'hémorragie cérébrale.
Famille
nerveuse. Pas d'antécé- dents personnels, Deux
ée, a quitté son mari « pour faire la fête ». - Dans le reste de la
famille
, on n'a pas connu d'aliénés, mais les alcooliqu
octobre, elle était suffisam- ment améliorée pour être rendue à sa
famille
. Le certificat de sortie, délivré le 8 octobre
juillet 1899, elle est venue nous donner des renseignements sur sa
famille
et celle de son mari, elle a très bien répondu à
, âgée de six ans, aurait eu des convulsions. Dans le reste de la
famille
, on n'a pas connu d'autres aliénés, et l'on ne tr
. 276 ) Dans le Drain de 1892, M. Meyer a publié le tableau d'une
famille
de 53 personnes dont 24 avaient subi l'ataxie hér
ait à son usage que peu de mots et ne connaissait, en dehors de sa'
famille
, que quelques personnes de son entourage journa
être la même chez tous les sujets atteints. 11 n'a observé que 11
familles
chez lesquelles on ait pu constater 23 cas d'al
EBENTE ne croit pas à l'existence de types similaires dans une même
famille
. Il croit que les types disparates sont au contra
aire la règle. M. TAGUET rappelle qu'il a publié l'histoire d'une
famille
composée de trois garçons et de deux filles ent
optât un vocable autre que celui de maladie familiale, parce que la
famille
ne comprend pas seule- ment une génération. M
nel n'a pas voulu dire dans sa communication que lorsque dans une
famille
un membre était frappé de folie, si un congénère
nérale, par le professeur Wladimir Tschisch (de Dorpat (Bussie). La
famille
des paralytiques généraux, par les Drs Ch. Vallon
ns diverses sur la thérapeutique. Le placement des aliénés dans les
familles
. Le système d'Ecosse (avec cartes) par le D1' S
n caractère est depuis longtemps sournois, irritable, violent. Sa
famille
, dévote, espérant améliorer son caractère, lui in
ne pas faire interner leur fils ce qui « serait une tache pour leur
famille
». D'ailleurs, ils s'engagent à exercer sur ce ma
mbule lui a déclaré qu'elle pré- voyait de nombreuses morts dans sa
famille
et dans son entourage; elle lui parla en outre
l était âgé de cinquante ans, avec des antécédents de folie dans sa
famille
et pouvait être considéré comme un cas type de
ans, le jeune Buisson, de la commune de l'Houmeau-Pontouvre, que sa
famille
surveille fort peu, a, le 14 juillet, profité d
'ayant acquitté comme ayant agi sans discernement, le laisse à sa
famille
. faits divers. 331 1 3° C'est encore un enfan
en général, une impression désagréable sur les malades et sur leurs
familles
; leur aspect rappelle trop celui "des établiss
t compte à la fois des susceptibilités légitimes des malades et des
familles
à l'endroit des grillages ou des barreaux, et d
n outre des rapports médico-légaux, de la corres- pondance avec les
familles
. Ils* sont logés, nourris, etc. Leur traitement
r- sonnes, y compris la leur bien entendu. En général ce sont les
familles
qui demandent le placement d'un enfant arriéré
ns beaucoup de départe- ments les placements faits à la demande des
familles
, ne sont accordés qu'à titre onéreux. C'est pou
dico-pédagogique, consacré aux enfants arriérés et nerveux pour les
familles
aisées. Par de nombreuses publications, il a mo
onner l'organisation dans chaque département d'asiles-écoles où les
familles
, et à leur défaut les communes, pourraient envo
lheureux ? Quand ils sont réputés inoffensifs, ils reslent dans les
familles
; dans le cas contraire ils sont internés dans les
ar le Dr PicouÉ (de Paris). Discussion : MM. Giraud et PiCQuÉ. La
famille
des paralytiques généraux. MM. Vallon et WAUL (
reux cas de paralysie générale que l'on trouve fréquemment dans les
familles
de ces malades, aussi bien chez leurs ascendants
vésanique et d'admettre que la première seule se rencontre dans les
familles
de paralytiques généraux. M. Régis (Bordeaux)
es. Nous avons soutenu qu'elles l'étaient d'une autre façon que les
familles
de vésaniques et qu'elles l'étaient moins. Elle
puration par le fait même de la mort avant terme, qui élimine de la
famille
les éléments les plus mauvais. Giraud, TOULOUSE
types pathologiques ou normaux. Le placement des aliénés dans les
familles
, système d'Ecosse; par le D1' SU'l'tIERLAND.
e. Pour empêcher la folie et le crime, qui sont bien de la même z
famille
, de se produire chez ces enfants, il importe de r
réditaires. Cette diminution va en s'accentuant graduelle- ment des
familles
saines aux familles d'aliénés, de psychiques, de
minution va en s'accentuant graduelle- ment des familles saines aux
familles
d'aliénés, de psychiques, de diathésiques, de n
âge, au-dessous de trois ans, dont la léthalité va en croissant des
familles
saines aux familles des aliénés, des dialhé- si
rois ans, dont la léthalité va en croissant des familles saines aux
familles
des aliénés, des dialhé- siques, des psychiques
il' La léthalité des survivants serait à peu près la même dans les
familles
saines, vésaniques, psychiques et nerveuses; elle
saniques, psychiques et nerveuses; elle serait t augmentée dans les
familles
diathésiques et alcooliques, ce qui indique dan
es de sa mère. Lorsque le brigadier et ses amis ont pénétré chez la
famille
Diettrich, le malade venait d'être reporté dans
retrancha, pour ainsi dire,- Dietlrich du nombre des vivauts, cette
famille
jouissait de la con- sidération générale qui se
Sache, 217 Parakinésies, par de Buch, 12 ? Paralytiqles généraux.
Familles
de -, par Vallon et Wahl, 186. P.1EAL1SIE gén
reprise de la vie de violence et d'alcoolisme. Comme il ruinait sa
famille
, on le mit à l'asile, où il entre ayant signé sa
alent d'une déposition faite en justice sous serment. Puis c'est la
famille
, c'est l'entou- 60 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
s, ihoffensifs, peuvent aussi sans inconvénient être gardés dans la
famille
, pourvu que celle-ci soit dans l'aisance : sans
hes. Il faut signaler l'hérédité de l'hémorrhagie cérébrale dans sa
famille
maternelle. l'âge de 31 ans, il y a par suite 1
x de ses malades. L'observation porte sur quatrefemmes de la même
famille
: la mère, deux filles et une petite-fille qui ét
'exerçant pas ouvertement la prostitu- tion, est jusqu'ici indemne.
Famille
de dégénérés à stigmates. 70 B..., vingt-six an
n à stigmates multiples, fils d'un père phtisique appartenant à une
famille
de phtisiques. Une soeur jumelle morte à cinq a
ue son frère jumeau conserve intactes ses facultés. Il s'agit d'une
famille
à. hérédité assez chargée. Dans l'autre, on voi
ille est de 1 mètre 60. Il n'y a entre les deux soeurs qu'un air de
famille
; la ressemblance n'a rien de bien frappant. Tan
61, ont été successivement admis à l'Asile. Ils appartiennent à une
famille
sur laquelle nous avons recueilli les renseigne
la ferme paternelle. Ils étaient considérés par les membres de leur
famille
comme des faibles d'esprit. Les troubles intell
médecin militaire aurait dit qu'il resterait aliéné. Revenu dans sa
famille
, il manifesta en effet un caractère irri- table
llage qu'il fait et le-refus de tout travail. » C'est pour- quoi la
famille
se décida à le faire admettre à l'Asile le 17 jan
s légitimes puisqu'il avait simplement réfuté, sur la demande de la
famille
, l'information d'un journal préten- dant qu'un
: M. Brunet; bibliothécaire-archiviste : 1\1. 1301SSlER; Conseil de
famille
: Les membres DU Bureau ET les deux Présidents so
iennent ni sucre ni albumine. En résumé, trois individus de la même
famille
, le père et deux fils, sont frappés au même âge
observer des cas multiples d'hémorragies de la moelle dans la même
famille
, et si la loi d'hérédité établie par le profess
pport avec la bizarre affection présentée, par les membres de, la
famille
G... Westphal7 a signalé,le cas d'un jeune garçon
dans son remarquable travail*, fait connaître l'observation d'une
famille
chez laquelle cinq personnes, la mère et quatre
ralysie spastique récidivante observée chez deux enfants de la même
famille
; l'auteur les considère comme hérédo-syphilitiq
litiques. Goldflamm' a publié l'histoire de onze membres de la même
famille
chez lesquels une para- lysie complète de toute
rtout de délirants et de névropathes qui rentrent guéris dans leurs
familles
après un séjour plus ou moins prolongé à la cli
nés que plus ou moins longtemps après le début de la ma- ladie. Les
familles
hésiteraient beaucoup moins à placer leurs malade
ant de deux journaliers bien portants, n'ayant eux-mêmes dans [leur
famille
aucune hérédité fâcheuse. On se trouve donc ici
mple. Il y va de. l'intérêt non seulement des malades, mais de leur
famille
et aussi de la société. L'importance des études
son vrai jour, puisqu'il se sent surveillé; et le père, la mère de
famille
ne nous induiront- ils pas, dans leurs réponses
nsidération ; la victime est peu inlelli- gente et appartient à une
famille
"pauvre. (Rappel de l'Eure, 19 janv.) A Lyon
ans, ouvrière en brosserie avant le mariage; elle appartient à une
famille
de paysans bretons très robustes. Pas de convul
s âgé a trente-quatre ans, le plus jeune dix-sept ».][Dans les deux
familles
, il n'y aurait pas eu d'idiots, d'aliénés, d'ép
ûreté, en même temps qu'il pousse des cris perçants qui désolent la
famille
. A cette période d'excitation, succède de nouve
e. Ses parents eux-mêmes sont bien portants et sobres; ni dans la
famille
du père, ni dans celle de la mère, on n'a remarqu
stmorland, on a trouvé des antécédents d'aliénation mentale dans la
famille
de 30,7 p. 100 des malades admis dans l'établis
orme observée chez les ascendants, et différents membres d'une même
famille
ou d'une même génération peuvent présenter des
une tendance héréditaire peut avoir été précédée dans l'hérédité de
famille
non par l'aliénation mentale, mais par d'autres
état de démence ou d'ampiiiia qui tend à amener l'extinction de la
famille
; mais il se peut aussi que la tendance à la foli
ascendants l'origine des névroses héréditaires rencontrées dans une
famille
. 13° La prédisposition héréditaire à la folie d
une famille. 13° La prédisposition héréditaire à la folie dans une
famille
est souvent associée à la diathése tuberculeuse
sortie des dangereux et peut renvoyer certains inoffensifs à leurs
familles
avec secours. Le no restranit est prescrit par
loyé en Ecosse où les incura- bles tranquilles sont placés dans des
familles
privées zip. 100 des aliénés étant ainsi soigné
tenus enfermés. Il faut tâcher de conserver pour les fous la vie de
famille
.; faire quelque chose d'intermédiaire entre 'l'
ent en .profiter. En Ecosse, on envoie, dit-il, en pension dans des
familles
33 p. 100 des malades. Et-son expérience person
; bientôt on avait une colo- nie de 23 malades vivant de la vie de,
famille
; des travaux divers attachent tout le monde à l
rales, les stimulants habituels de l'intelligence y font défaut, la
famille
, l'image réduite de la société, et la société e
malheureux de son avertissement et il a fait prévenir aussitôt sa
famille
. Il se nomme le comte Emmanuel de B. L... et est
ze ans vient de plonger dans le désespoir une des plus honorables
familles
d'Alger. Jeudi matin, vers sept heures, Mmo Desco
nt à partir de l'âge de la puberté, Le second cas se rapporte à une
famille
de dix enfants dont plusieurs pré- sentèrent de
détermination : nature du trouble mental, antécédents dans les deux
familles
, et surtout degré de vitalité physique du princ
uite à se donner la mort. Le drame s'est déroulé dans la pension de
famille
de la « Villa de la Grille Dorée », route de Ve
dans cet établissement, puis il avait été placé dans la pension de
famille
voisine où la scène tra- gique s'est en réalité
Louis-Joseph Singer, décédé le 17 février 1901 à Berguette, dans sa
famille
; il était dans sa trente-quatrième année. ,
u 25 mars au 18 juil- let 1898. A cette date, il fut envoyé dans sa
famille
, en congé de convalescence de deux mois. Pend
dans tous les pays. Pour en terminer sur ce point, je note que la
famille
de notre malade, j'entends la descendance du pr
tails précis, présente les caractères de morti-natatité propres aux
familles
de syphili- tiques tels que les a tracés notre
és. ' Les renseignements montrent que cet individu est issu d'une
famille
scrofuleuse, affectée de syphilis héréditaire, da
elques-uns..l'ai observé un malade très instruit, appartenant à une
famille
spirite dont il plaisantait la crédulité, jusqu
rédité ; certaines circonstances, de pertes d'argent, des malheurs de
famille
ont fait éclore l'hystérie latente; enfin, une ca
frants qui demandent la guérison d'une maladie, soit pour eux ou leur
famille
, soit pour leurs bestiaux. Afin que Dieu ne se tr
Mérode, d'Oôrschot et autres lieux, naquit â Bruxelles en 1577 d'une
famille
noble. C'était le dernier et le plus chétif de se
l'étude et la pratique de la médecine et n'en est détourné que par sa
famille
et ses hésitations pathologiques ; il tombe la fa
et grâce de la fleur disparurent. Van Helmont est donc de la grande
famille
névropathique. Son pessimisme, son incertitude da
et l'agitation choréique devient moindre. A la fin d'août 1896, la
famille
0... vient habiter Vilna. Au mois d'octobre de ce
de « mes enfants, je sais à quoi m'en tenir ». Nous faisons venir sa
famille
; elle voit, elle touche, elle entend son mari et
s siens, alors entrant dans des accès d'excitation qui épouvantent sa
famille
, il menace de tuer tous ses proches; un jour, se
outerrain, personne ne s'aperçoit qu'elle est malade; elle écrit à sa
famille
des lettres pleines de raison et de bons sentimen
l,qu'on n'a pas perdu un seul instant de vue, font quelquefois à leur
famille
les confidences les plus embarrassantes sur leurs
s qui hante son cerveau et il appartient presque toujours à la grande
famille
névropathique. Labruyère a finement décrit le f
re qu'à midi la visite demandée. Quand j'arrive, je trouve toute la
famille
consternée. Depuis 9 heures, le père du jeune béb
vaises suggestions formulées inconsidérément par quelque membre de la
famille
. Ordonnons-nous un peu d'huile de ricin ? — « Mai
on s'y rendait en foule par eau, hommes et femmes péle-mèle et chaque
famille
dans sa barque'. Là encore, la tonalité, comme mo
he, aux épaules, et en certains points de la colonne vertébrale. La
famille
s'adresse alors à un autre docteur, un de nos con
dant un certain temps, mais ne donne aucun résultat appréciable. La
famille
découragée ne sait plus à quel saint s'adresser.
e au dernier confrère qui a vu notre malade. Ce confrère inspire à la
famille
une grande confiance. Il est porteur de titres qu
archer par ce moyen ; puis il la renvoya pendant quinze jours dans sa
famille
en lui recommandant de se promener du matin au so
on lui enleva son bandage et on constata la guérison. Les sœurs et la
famille
crièrent au miracle et exigèrent du chirurgien-ma
is je pense qu'il y faut des formes et des ménagements: le médecin de
famille
peut préparer le malade et son entourage, et leur
sent pendant lesquelles MlleX... se plait à répéter aux membres de sa
famille
l'histoire du théâtre ; on constate que toutes se
i qu'au bout de quatre mois. II y a un mois, à propos d'affaires de
famille
, il se dispute avec sa sœur; fortement émotionné,
dans la nature et que les espèces comme les variétés, les genres, les
familles
ne sont que des catégories de notre entendement,
dans quatre-vingt-dix genres, dont la moitié environ appartient à la
famille
des Légumineuses. Les mouvements que j'étudiera
mois et dont l'état de faiblesse et d'amaigrissement avait alarmé sa
famille
. Il reprit vite l'embonpoint qu'il avait perdu et
ns dégénérés et aussi difficiles à diriger à la pension que dans leur
famille
. Une de mes observations se rapporte à un jeune
e montre irrespectueux envers ses parents et les autres membres de sa
famille
. En récréation, il est brutal avec ses petits cam
avait sans cesse les mains, tenait à mettre lui-même le couvert de la
famille
, et, pour lui faire plaisir, ses parents se priva
avoir lieu au sortir du bain aussi bien qu'à l'étude) et signaler aux
familles
, les enfants dont les yeux, le nez, la bouche, la
t pas aussi efficace que l'hypnotisme, mais il y a encore beaucoup de
familles
qui se refusent à faire hypnotiser leurs enfants.
51, le dénominateur 51 représentant le nombre total des membres de la
famille
depuis le membre initial jusqu'au membre terminal
escence. Discussion Félix Regnault. — Il faut distinguer dans les
familles
qui fournissent beaucoup de membres ayant une vie
rreau a mis fin à leur belle existence. Enfin, on a calculé que cette
famille
avait coûté pour ses délits à l'Etat, qui a eu l'
ception de l'état de suggestibilité : exposé et discussion. 5. La
famille
de l'hypnose. Etats analogues : caractères commun
pire de l'idée fixe, les sentiments altruistes se rétractent. Plus de
famille
, plus d'enfants. Plus d'affection d'aucune sorte
térieur; ainsi, se trouvera tout naturellement reconstituée la vie de
famille
et, en môme temps, un milieu psychique tout-à-fai
ent sur la santé de l'individu, par le moyen de la vie commune, de la
famille
, de l'exemple et de l'éducation. Des causes moral
façon très naturelle. II fut décidé entre les chefs des principales
familles
de la Mecque que le groupe des Banon-Hachim, dont
a résolution de ne pas se rendre au concours. Sur les instances de sa
famille
, nous arrivâmes à la plonger dans l'état d'hypnot
yer de préciser, pour l'état de sug-gestibilité, les caractères de la
famille
et les caractères de l'espèce. (à suivre) SOC
rs de ses études. L'Ecole l'aidera en lui indiquant les pensions de
famille
ou lés particuliers désireux de le loger ou de le
expérience. Il a vu nombre de malades soignés dans leurs propres
familles
, fort assidûmeut et avec beaucoup d'intelligence,
ans d'autres cas où l'incompatibilité d'humeur ou l'absurdité de la
famille
rendait impossible le traitement individuel che
u. Il est en effet beaucoup plus facile de le soumettre, hors de sa
famille
, au régime qui lui convient. Son existence sera r
e base de dia- gnose, de prognose et de traitement individuel ou de
famille
, mais avant tout et surtout dans un but prophyl
e la diphtérie. Il ne parait y avoir aucune tare nerveuse dans sa
famille
. Antécédents personnels. Aucune maladie sérieus
riée et mère de 4 enfants bien portants. Il ne parait avoir dans la
famille
ni tuberculose, ni maladie nerveuse. Antécédent
up inférieure à la réalité, car il est fort difficile d'obtenir des
familles
des renseignements précisa ce sujet. Après quel
rtante que soit la chose. Les résultats de la folie sénile dans les
familles
n'ont pas échappé à l'attention des écrivains e
opératoirement sans être couvert par l'autorisation formelle de la
famille
. BOURNEVILLE. XXI. LE LATUI, maladie mentale
et il atteint ordinairement un grand nombre des membres d'une même
famille
. L'activité cardiaque est accélérée pendant l'a
e d'être relevée. Issu d'un mariage consanguin, il appartient à une
famille
où l'on compte plusieurs cas d'idiotie. Le père
pé à un problème, en oublie le boire et le manger, son agrément, sa
famille
, ses amis. Telle encore celle d'un collectionne
nfluence incongrue peut être le produit d'une col- lectivité, d'une
famille
, d'une race, d'un peuple. Elle peut être le mob
n'a jamais eu d'enfant. Trois mois avant l'entrée à Vil- lejuif, la
famille
s'aperçut que la mémoire du malade diminuait be
n début, ne pouvant obtenir aucun renseignement à cet égard, ni des
familles
des malades, ni des malades eux-mêmes. Il nous
e de médecine men- tale, les renseignements des malades et même des
familles
sont suspects. La perte des cheveux surtout pas
ux. Les altérations dentaires n'attirent pas plus l'attention des
familles
que la chute des poils. Nous signalons 19 cas con
t donné deux enfants : 1° une fille, actuellement mariée et mère de
famille
; 2° un fils, mort quelques jours après sa naiss
malade lui ressemble si bien, qu'au dire textuel d'un membre de la
famille
, il, suffirait d'habiller J... en femme, pour l
e, ferait son possible, s'il venait à décé- der, pour obtenir de la
famille
la permission de faire la 208 RECUEIL DE FAITS.
outons ici un détail ignoré de nous et fourni ultérieurement par la
famille
, c'est que toutes les fois que le malade urinai
rs jours avec examen microscopique, préparation de pièces, etc.; la
famille
devant emmener le corps, on ne put se livrer qu
héance appliquée au buveur dan- gereux, son exclusion du sein de la
famille
par le divorce, sou interdiction légale le frap
au moins, dans un asile de buveurs; puis l'exemple du médecin de la
famille
ou d'un ami, la création d'un milieu de sociabi
un ascendant commun atteint à un degré atté- nué. L'analogie de ces
familles
avec les familles tératologiques est frappante.
n atteint à un degré atté- nué. L'analogie de ces familles avec les
familles
tératologiques est frappante. C'est l'intérêt
à peu près imbécile (1896). z Ce jeune homme est le fils aîné de la
famille
: deux frères de deux et quatre ans moins âgés
érieure. On ne connaît non plus aucune tare névropa- thique dans sa
famille
; il n'a jamais eu qu'un frère d'un an plus âgé,
ster chaste, il avait besoin de travailler, il garda son secret. Sa
famille
lui conseillait le mariage qui devait améliorer e
ongtemps à se décider. Mais la honte de ne pas pouvoir être père de
famille
, ni remplir ses devoirs sociaux, et peut-être aus
, l'amie répondit par une acceptation à une offre accueillie par sa
famille
, et la dissimulation ne fut pas longtemps possibl
vées elle-même. , Elle a cinquante-trois ans. Elle appartient à une
famille
qui a toujours vécu à la campagne et composée d
t l'attention, elle s'adressa à son confesseur, qui était ami de la
famille
. Non seule- ment il lui ordonna de cesser toute
se sentait humiliée de ne pas se marier, de ne pas devenir mère de
famille
, bien que la maternité lui inspirât une répulsi
ait cependant « très nerveux » et se laissant facilement abattre.
Famille
du père. Père, soixante-trois ans, inspecteur des
ortante, qui marche et parle. - Rien à signaler dans le reste de la
famille
du père. Les membres de cette famille ont plutô
signaler dans le reste de la famille du père. Les membres de cette
famille
ont plutôt en général la tète petite. - Mère,
autre maladie qu'une légère blépharite ciliaire dans son enfance.
Famille
delamère. Père, mort à quarante-cinq ans de tuber
éan- moins très intelligente. Rien à signaler dans le reste de la
famille
, dont les membres n'ont pas en général la tête gr
ent en degré, depuis le vol. d'une épingle jus- qu'au meurtre d'une
famille
. L'individu qu'on appelle normal est celui qui,
lepsie, folie intermittente, etc.), variétés observa- bles dans une
famille
et aussi chez une même personne. Ce défaut de p
ines maladies conta- gieuses ; propension de tous les membres d'une
famille
à prendre et à avoir plusieurs fois de suite un
mission de certains caractères corporels sans valeur dans certaines
familles
, comme la forme du nez, des doigts, etc., qu'il
rteur de sommes importantes, ayant écrit des lettres d'affaires, de
famille
, sans qu'aucune trace en soit restée dans son e
qu'en janvier 1895, époque où le malade put retourner guéri dans sa
famille
: le souvenir des quatre mois passés en pérégri
sortie peut être tentée. Mais, après quelques mois de calme dans la
famille
, les crises reparaissent, et depuis cette époqu
ublie une dépêche de Quimper en date du le, avril : « Un drame de
famille
, causé par l'alcoolisme, vient de mettre en émo
extérieur qui sont l'objet des négations du malade ; il n'a plus de
famille
, ses amis ne sont plus ses amis, il nie la natu
icide réitérées, qui se croit dam- née. Elle s'imagine que toute sa
famille
est vouée aux enfers à cause d'elle, que des so
propre rerponsa- bilité après un examen sommaire des malades. Les
familles
abusent souvent de l'interdiction, réduisent le p
cutés auto-accusateurs. Béchet (Gaston). Conditions biologiques des
familles
des paralytiques généraux. Bibard (Camille). Con-
chimiques, examen du sang, etc., renseignements du médecin de la
famille
, etc.). Tous ces examens seront ensuite continués
cents de leur affection psychique, pour qui le retour hâtif dans la
famille
, où les atten- dent les difficultés de l'existe
rd of charily and Lunacy) s'est également trompée dans le choix des
familles
auxquelles les aliénés doivent être confiés ; e
ue le sommeil lucide est employé, mais pour découvrir les secrets des
familles
, et souvent, lorsque la lumière manque pour ces c
ous devra le même tribut que s'il eût fai t une longue maladie. I.a
famille
est responsable envers nous, et le pharmacien, qu
rendra ; vous voudrez bien considérer cette réunion comme une fête de
famille
, et vous nous rendrezeette justice que si l’éloqu
ce. Qu’il me soit donc per mis de la lui témoigner dans cette fêle de
famille
. El d’ailleurs, lui, l’apôtre le plus zélé, le pl
trine comme la pratique du magnétisme que l'on fera descendre dans la
famille
. Nous avons mille moyens pour qu’il en soit ainsi
i le crime n’intéresse qu’une société en particulier, un corps on une
famille
; partant du même principe, il est également juste
affaire du revenant deStockwell,en 1772. La maison est habitée par la
famille
Williams seule, qui se compose de quatre personne
marquable par ses sauts incessants de côté et d’autre. Les amis de la
famille
Williams supposent que la petite Espagnole est la
s faire connaître un fait assez remarquable qui s’est passé dans la
famille
d’un de mes amis, et sur la vérité duquel je puis
ue la position honorable, l’esprit élevé, autant que la douleur de la
famille
, sont une garantie suffisante delà véracité de ce
ressentir une telle maladie, car aucun des membres de cette nombreuse
famille
n’en avait jamais été atteint. La douleur profo
départ arriva avec un déchirement d'autant plus affreux pour toute la
famille
, qu’il était plus brusque et imprévu. Après les
ua des remèdes convenables, et dans la même séance, par le rapport de
famille
, elle trouva en esprit le frère de cette dame, pe
l’âme, pure encore, est digue des visions célestes. Quelle immense
famille
! C’est vraiment la race de Jacob s’étendant comm
tat d’impassible inertie de cette personne a grandement émerveillé sa
famille
et les assistants, qui savaient qu’éveillée elle
ute, vous pouvezpresque en sûreté découvrir ce qui n’intéresse qu’une
famille
; mais si vous sortez d’une individualité, malheu
n sèche et délicate et d’un tempérament lymphatique, ayant eu dans sa
famille
plusieurs parents morts de phthisie pulmonaire, e
jeune fille est venue à Paris, il y a dix mois, pour rentrer dans sa
famille
. A son départ de Tournay (Belgique), ses règles c
témoins qui tous viennent attester qu’eux-mémes ou quelqu’un de leur
famille
ont été guéris par les soins de la dame Ponson de
droit, mais une science, » et le temps viendra bientôt où dans chaque
famille
on verra s’exercer sur les membres souffrants les
et j’ai rejeté avec dégoût cet instrument menteur. « Si une mère de
famille
, devenue somnambule lucide, était consultée sur l
ntraires, le magnétisme est devenu la seule médecin*1- de beaucoup de
familles
, soit directement, soit par le somnambulisme. Les
es muscles poplités, guérie en vingt-trois minutes, en présence de sa
famille
et de MM. Delpit (ils et Anténor Achar, par une m
ri du choléra, époque depuis laquelle la médecine n’a point visité ma
famille
. «La cellule et les approches étaient encombrés
s la cellule de M. Laforgue, dont beaucoup me sont personnels ou à ma
famille
. Je fais des vœux pour le progrès du magnétisme,
mations ont pour résultat d’en empêcher la pratique médicale dans les
familles
pieuses et jusque dans les hôpitaux, où, lorsque
r leur profession ou l’agriculture. Ils seront alors appelés pères de
famille
ou citoyens susceptibles d’étre électeurs s'ils s
vement à mes démonstrations, soit que vous ou quelque membre de votre
famille
ayez vu ou éprouvé les effets de mon influence, f
nées de laborieuses recherches n’avaient pu mettre sur la trace de la
famille
de Mesmer, lorsque quelques jours avant la fête d
et y a donné les explications suivantes : Ignorant l’origine de sa
famille
, mais ayant entendu dire vaguement ‘a sa grand’mè
arent de Mesmer ! » Il n’était plus douteux que ce fût bien la même
famille
et non une simple homonymye. Alors le vieux docte
yer. » On était sur la voie positive, et M. F. Mesmer apprit sur sa
famille
les détails qui suivent : Son bisaïeul avait qu
ne revint plus. De là l’ignorance où se trouvait, sur l’origine de sa
famille
, celui qui communique ces détails. Maintenant,
pro-bablemnet transmis depuis la plus haute antiquité dans certaines
familles
ou certaines castes. On verra même par la curieus
onnu comme il mérite de l’être, on le pratiquera dans l’intérieur des
familles
; une main amie dissipera une indisposition commen
rribles crises qui donnèrent beaucoup d’inquiétude à son mari et à sa
famille
. La médecine ne fui pas négligée, et elle fit bie
docteur D"", qui a été si longtemps et e>t encore le médecin de la
famille
, le docteur I)“*, ne pouvant douter du fait, me d
tive que le docteur B“* vint chez moi le 3 décembre, de la part de la
famille
, pour me prier d’aller voir la malade et faire un
urez plus que faire, magnétisez. » Et nous devons penser que dans une
famille
de médecin, et surtout d’un médecin qui n'est rie
vier d’Angers, je suivis le conseil amical de l’honnète médecin de ma
famille
, et j’allai passer une année à la campagne, où je
en tremblant l’avenir qui se déroulait, devant moi ; le bonheur de la
famille
était proscrit de mes projets; comment, en effet,
lle »’assisteraient que mademoiselle Lind et ses amis, M. Braid et sa
famille
, aurait lieu vendredi soir. La réunion se fit ver
pauvre... L influence de ces messieurs est. toujours grande dans les
familles
; mais ils perdent un puissant auxiliaire dans le
imprévus dans le drame toujours renaissant de la vie des nations, des
familles
ou de chaque individu !... Combien de fois se dit
t de Paris pour faire mes études chez un bon prêtre, ancien ami de ma
famille
, qui venait d'y établir un pensionnat. Nous étion
n’élais pas assez près de ma fin pour qu’on eûleru devoir avertir ma
famille
. Je demandai la lettre de mon père... Il n’v avai
avantages existant dans la patrie commune. Qu’il soit père ou chef de
famille
, marié à une républicaine d’un Age fait à pouvoir
fants, les domestiques, qui tous sont représentés par le seul chef de
famille
. B Les individus en étal d’ivresse, de démence,
La discussion ne se ferait pas dans le lieu de l’assemblée, mais en
famille
, en conversation, en petite société. De cette man
épousé, il y a dix ans, la fille d’un sénateur do Francfort. Ces deux
familles
n’en firent qu’une. Mendelsohn et sa sœur, Fanny
es individuelles ayant perdu leur influence, il commença à y mêler sa
famille
: « Ma sœur, mon frère tomberont malades, deviend
et il ajoute : « Cela pourrait être vrai et je ne puis pas exposer ma
famille
n de telles possibilités ». Lui aussi so croit un
acopée of6cicllc : ses bons avis, son éloquence, les influences de la
famille
, de la religion, les intérêts les plus chers du m
e je n'oublierai • jamais ce que vous avez fait pour moi et pour ma
famille
. Dans l'espoir « que vos ctforts pour améliorer l
e la « jambe a reniant, puis le renvoie chez lui. Indignation de la
famille
, action en justice. « Le médecin est condamné à 1
ion : M™ D. P..., femme d'un colonel, âgée de 37 ans, descend d'une
famille
névropathique. Son père a souffert de diabètes me
. — Le bureau fait fonction de commission permanente et de conïeil de
famille
. (1) Os statuts ont été adoptés dans la st-ance
ri, survenue il y a dix ans d'une façon tragique pendant que toute la
famille
était réunie à table Inutile rémunérer ici tous l
dire qu'il jouit d'une parfaite santé. U m'a affirmé être issu d'une
famille
robuste, et il ne connaît aucun malade nerveux pa
chronique de l'alcool, furent guéris de cette façon et rendus à leur
famille
el à la société. Je ne sais pas si la guérison re
La nommée F..., une jeune fille juive de 20 ans, appartenant à une
famille
névropathique, me consulta quatre mois après sa p
our sans avoir éprouvé aucune douleur. * La malade descendait d'une
famille
où les maladies nerveuses ou mentales étaient abs
n nombre d'enfants, du pédagogue, maître spécial à un enfant ou a une
famille
. C'est a peu près la différence que nos lois étab
s expériences en manière de jeu, que l'on observe dans les cercles de
famille
, dans les écoles, etc., puisque des jeux semblabl
d'articles sur la pédagogie et l'orthopédie morale. Nous prions la
famille
de M. Hément d'agréer L'expression de regrets que
s héréditaires sont favorables : il ne connaît pas de nerveux dans sa
famille
. Son père est mort à soixante-douze ans, après av
il, 47 livres 100 grammes. L'enfant, très heureux, retourne dans sa
famille
ce jour. Je lui suggère, avant son départ, de m'é
s améliorée le 28 janvier 1890 et son amélioration a persisté dans sa
famille
. En l'hypnotisant seulement tous les quinze jou
ue. Dans le premier, il s'agissait d'une tille de viogt-el-un ans. de
famille
»aine, souffrant de vomissements persistants, de
mes paroles. Dans un instant, si quelqu'un vous demande votre nom de
famille
, que vous connaissez cependant mieux que personne
peu scrupuleuses qui peuvent se débarrasser ainsi d'un membre de leur
famille
morphinomane; en entretenant même sa funeste pass
e poussés par une loi fatale. Dans le dernier procès, il y avait deux
familles
déjà célèbres dans les annales judiciaires : l'un
t. — On peut bien répéter ici les paroles de Vidocq : « Il existe des
familles
dans lesquelles le crime se transmet de génératio
s'est remise à ses occupations habituelles, et tous les membres de sa
famille
, comme ses amies, déclarent qu'elle est aujourd'h
e délabrement complet. La malade refusait de voir tes personnes de sa
famille
. Après avoir endormi la malade, je lui ai fait fa
ées, quotidiennes. Au mois de juin dernier, à la suite d'une scène de
famille
, elle avait eu une attaque de nerfs et, deux jour
très sensible. Un rien peut l'agiter. Pas d'accidents nerveux dans sa
famille
, ni chez les ascendants, ni chez les collatéraux;
elle n'avait jamais vu de mort. Il y a quatre ans, un événement de
famille
vint brusquement et désagréablement la surprendre
ssociation doit accepter en consultation celui qui est proposé par la
famille
, à condition qu'il soit diplômé et pratique sou a
2° Pour la société civile, c'est-à-dire pour la paix et l'honneur des
familles
. J'essayerai ensuite d'indiquer le remède. Voyo
ts de la défense national il en est un autre qui touche à la paix des
familles
, à leur sécurité, à leur honneur. Je me crois ten
Déjerine. Quel danger n'esl-ce pas là pour la paix et l'honneur des
familles
! Sans parler des donations et des testaments — c'
hants les plus vils, les aclions les plus honteuses ! Il n'est pas de
famille
, riche ou pauvre, opulente, princière, royale mêm
e repassage, soit dans la triste chambre habitée par elle et toute sa
famille
. Aussi, la guérison complète d'une surdité nerv
la plus petite incommodité, à sa grande stupéfaction et à celle de sa
famille
, qui avait été témoin des difficultés antérieures
égoûté, phénomène qui s'accentuait progressivement à tel point que sa
famille
s'en alarma. Il fut soigné par plusieurs confrè
quai le traitement psychique, qui fut adopté avec empressement par la
famille
. Nous procédions, employant la fixation du rega
res tous les jours. De cette manière, j'ai rendu à la société et à sa
famille
ce pauvre malheureux, qui allait à pas de géant d
oisin. — H La femme qui a fait le sujet de ma communication est d'une
famille
très honnête; jamais, avant d'avoir été mise par
t lui rendre visite et loi apportaient des consolations ainsi qu'à la
famille
éprouvée. A l'occasion de la G11«? d'Isaac Bichon
s maux de tète. Son médecin, auquel i\ en parle et qui connaissait sa
famille
, lui dit : « Ce mal de tète est héréditaire; vous
vertueuse, excellente mèro, épouse amante, oublie tout, enfant, mari,
famille
, respect de soi-même, pour, dans je ne sais quel
parents... Catherine Polus fut sorcière a huit ans; elle était d'une
famille
où tout le monde se déclarait voué au diable. Mar
sentiel pour chacun de nous, pour la conscience individuelle, pour la
famille
, pour la patrie, pour l'humanité. » Un des plus
nt mis la main. On se contenta de renvoyer les religieuses dans leurs
familles
, ou de les transférer momentanément dans un autre
rsey, durant l’été de \ 856, je fus appelé pour donner des soins à la
famille
d’un fermier du voisinage. Son nom est Pinney; il
qu’il m’a raconté. Un cercle exclusivement composé de personnes de sa
famille
était réuni chez lui autour d’une table, en vue d
en panoplie contre le mur de l’appartement : les esprits invitent la
famille
à passer dans la pièce voisine après avoir fermé
. Nous remarquerons à ce sujet qu’on désigne sous le nom de slave une
famille
nombreuse de langues, comprenant le polonais, le
naire que la table ait répondu exactement aux questions concernant sa
famille
. Il ne peut donc répondre que la dame qui servait
pratique delà magie était chez Grandier, nous apprend-il, un goût de
famille
; Pierre, père de Urbain, et Claude son oncle, qui
neur que la vie. Demain, je serai mort. » L’alarme fut vive dans la
famille
Bernard. On fit jouer le télégraphe ; on avertit
e suivante : « M. Jules Bernard a disparu depuis quelques jours. Sa
famille
est dans les plus vives inquiétudes. En quelque l
aucune difficulté. Quand dont le magnétisme sera-t-il dans toutes les
familles
? quand donc les médecins ouvriront-ils les yeux ?
re deux JSeues à pied, et i) travaille maintenant, pour une nombreuse
famille
, lil n est pas encore parfaitement rétabli; mais
ssi, c’est souvent un grand chagrin pour les pauvres de quitter leurs
familles
pour entrer à l’hospice. Je sais qu’il y a des ca
on fait toujours (Tu bien à la moralité en resserrant les liens de la
famille
. Ainsi ferait le magnétisme ; on pourrait faire r
rties égales de suc de joubarbe des toits (sem- ptrvium tectorum,
famille
des crassulacées, Jussieu), et iOr-pin commun (se
nde parle d’un fait étrange que je vous donne sans commentaires. La
famille
d’un ancien représentant du peuple, affligée par
t depuis lors, comme si quelque malédiction avait frappé cette pauvre
famille
, le père, la mère, un frère, sont tous atteints d
aire sortir les trois âmes prisonnières, tandis que les membres de la
famille
X... distribuaient des aumônes abondantes pour au
iction ; au dehors il ne voit qu’antagonisme; lois, morale, religion,
famille
, ce qu’il y a de plus respectable et de plus sacr
. La propagande, qui devait introduire l’usage du magnétisme dans les
familles
, était donc urgente. Repoussée d’en haut, l’idé
’harmonieuse entente des milliards de volontés qui divisent la grande
famille
humaine qu’il doit recouvrer ce don sublime, apan
s l’avenir! A II. du Potct. Nous avons parmi nous, dans la grande
famille
, Un fier représentant de Mesmer ici-bas; Voye
si qu'au vrai toujours il tend les bras. Séchez, séchez vos pleurs,
famille
désolée, Il fait rendre à son corps la pauvre A
ne pouvoir se rendre auprès de nous pour preudre part à cette fête de
famille
; mais qu’il y ncra présent de cœur et d’inten
bre de nos amis, pourtant, manquaient ii cette fête ; le dimanche, la
famille
, la campagne ou la maladie nous avaient privé de
agne journellement du terrain, dans l’expérimentation au secret de la
famille
. A leur tour, les magnétistes exclusifs, ceux-l
rait autour du monument de Mesmer, comme les membres épars d’une même
famille
, ses disciples et ses admirateurs. Je suis avec
il résidait : c’était Copenhague. 11 lui donna des nouvelles de sa
famille
et des détails tellement circonstanciés sur ce qu
s, répandre les sentiments religieux et réaliser l'unité de la grande
famille
humaine, en y faisant régner la fraternité. 11 po
Société, désormais purgée de ses éléments de désordre, est comme une
famille
où régnent l’harmonie, la confiance réciproque.
j’ai promis; je suis venu et j’ai vaincu d’abord l’incrédulité de la
famille
, et je vaincrai le mal si l’on veut suivre, non p
la scène déchirante que je m'empressai d’effacer sur la prière de la
famille
. Cela rentre dans le spiritualisme.) En ce moment
soulager parmi les vôtres. — Personne, il faut un fluide étranger, ma
famille
et moi c’est tout un. — Ce mot fut une révélation
leur fds prît des leçons pai-ticu-liùces pendant ses vacances. Cette
famille
, qui est ancienne considérable, habile aux envi
acile et qui n’offre aucun inconvénient, soit employé dans toutes les
familles
où il y a des somnambules,natuïels. Nous extray
e trouvais dans une pareille situation, comme cela survenait dans une
famille
avec laquelle je n’avais pas de relations intimes
écidai ainsi à quitter pour quelque heures la c&-taleptique et la
famille
, ce que je n’aurais pas fait si j’eusse véritable
et dans une de ses crises de violente douleur, il s’écria, devant sa
famille
: Comment donc pourrai-je être soulagé?... Au mêm
er et d’administrer le médicament. Ce fait était tout nouveau pour la
famille
; on ne savait quelle cause avait déterminé la fe
nui nous gagne bien vite où il n’y a point de vie ; on fuit certaines
familles
, honorables pourtant, non parce qu’on n’y rencont
enter encore le nombre des partisans de la religion nouvelle. , [_a
famille
Park, composée du père, de la mère et de trois en
odiges surnaturels dont 011 l’entretenait sans cesse. C’était pour la
famille
tout entière un véritable sujet de chagrin, et pl
profond ; mais ce fut sans succès. On la fit conduire ensuite chez sa
famille
; elle n’avait aucun sentiment, (¡et état se prol
de médecin, mais j’eus recours aux invisibles. Nous avions dans notre
famille
une servante allemande qui était un très-bon médi
à celle des Ghika de Moldavie. 11 n’en est pas moins vrai (pie cette
famille
des Ghika est comme vouée à une prédestination fu
— Plusieurs journaux assurent que le fameux Hoirie a donné devant la
famille
impériale une séance où se sont passés des phénom
icament, on courait risque d’occasionner une mauvaise fièvre. Mais la
famille
avait pleine confiance au médecin, et la quinine
heurs qui frappent vos clients vous atteignent aussi dans vos propres
familles
; mais vous pourriez faire beaucoup mieux si vous
manière à rendre les élèves en état d’égaler et même de surpasser la
famille
Fox. Une table sera suspendue en l’air sans conta
, 309. Fin (la) des mystères, par Emile Bertrand.— Livre intime des
familles
, par le même.—Triumphans uni-tas, par le méme. An
ical avaient été épuisées ; car cette jeune personne appartient à une
famille
très-aisée : aussi les médecins ne négligeaient-i
Cetle divulgation de noms propres, de détails intimes , de secrets de
famille
peut-être, a des inconvénients graves, car c’est
sonnellement, ni par images, ni par relations, ni par ressemblance de
famille
, ni par lieu de résidence , etc., ce mort ne fût
gne-pain à beaucoup de frères malheureux, dont l’un resterait dans la
famille
pendant que l’autre accompagnerait son chef dans
tous les jours de la force. Il me prie de le laisser aller voir sa
famille
, et promet de revenir; s’il le fait, son traiteme
agnétiseurs, des somnambules et des guérisons. C’est dans le sein des
familles
que nous voyons tomber l’incrédulité, là où nous
voir pour croire ensuite. « Je vous parlais dans ma dernière d’une
famille
de médecin, esprit-fort s’il en fut. J’ai été m
nce. En attendant que la naissance de Mesmer soit fêtée dans chaque
famille
, il faut que partout les magnétiseurs s’assemblen
s avec bçau-coup de dédain les remèdes vulgaires; tous les secrets de
famille
ne se seraient pas accrédités aussi longtemps s’i
une extinction de voix. La catalepsie paraît héréditaire dans Còlte
famille
, car une tante dés deux tnàladés, religieuse, en
laUlenaissance? Où êtes-vous , Scopas , Raphaël, Dominiquin?... Votre
famille
deNiobé, votreTrans-figuration, votre sainte Céci
onnaissance parfaite de la puissance que donne le magnétisme dans les
familles
où un des membres pourrait suffire avec ardeur à
é avec dévouement dans le choléra, est un auxiliaire puissant que les
familles
aflligées devraient pouvoir trouver dans leur sei
e desquelles produit en ce moment de précieuses conversions parmi les
familles
qui visitent amicalement la sienne. M. Mauberre
ous diront sans doute par quel moyen je les ai convertis, eux et leur
famille
. 11 m’a fallu persévérer près de quatre mois , ma
e n’était pas faute de médecins, car elle en compte plusieurs dans sa
famille
: son frère , son oncle et un cousin, sont trois
puis enfin la malade elle-même, et je pus amplement satisfaire cette
famille
par une série de ces petites expériences qu’on pe
mps , et je m’en trouve bien. Dès que le magnétisé, en présence de sa
famille
, ou d’amis seulement, me semble être sorti de l’é
té n’existait que pour quelques-uns. Les sciences, comme un bien de
famille
, ne se transmettaient qu’à de rares élus. « Des
les bienfaits futurs du magnétisme , lorsque, comme lui, les pères de
famille
sauront l’employer dans leur intérieur. Il voit d
gnétisme soit compris par tous les hommes, et que, descendant dans la
famille
, il devienne la médecine naturelle, comme Dieu l’
sans ressources, jt: quittai Paris pour me rendre à I royes, dans ma
famille
. Là, je m’adressai aux sœurs Saint-Vincent, récla
ouveau bienfait de M. deRovèrc, dont l’inépuisable bonté s’attache ma
famille
. Depuis vingt-cinq ans j’étais sourd de l'oreil
ys perdu et enseveli sous les neiges durant moitié de l’année, vit la
famille
des Durafour, riches cultivateurs : trois fils, u
vigoureux gaillard saisit le fils aîné, qui paraissait exercer sur la
famille
une grande influence, le Jia sous les bras par un
frère ainé surtout, finirait par faire parler quelques membres de la
famille
. On conduisit les deux plus jeunes fils, et la fi
aller au taree , mais il n’avait point éprouvé de récentes pertes de
famille
. « Il y a une entière différence entre les plai
e de douze ans, la dentition s’était fort mal développée chez lui. Sa
famille
lui fit extraire plusieurs dents ; cette opératio
aient ordinairement ces connaissances au hasard ou à des héritages de
famille
. La plupart d’entre eux étaient des habitants de
i dans nos provinces. J.-B. Thiers ( i ) nous affirme que certaines
familles
avaient le privilège de guérir le carreau par le
e toucher ; d’autres, les corps aux pieds, etc. Il fallait être de la
famille
de sainte Catherine, et né en mars ou avril, pour
M"* Bosquet (5), d’après Y Essai historique de Frédéric Pluquet, une
famille
à laquelle cette faculté merveilleuse (toucher du
agnétisme, et rend depuis deux ans d’immenses services à sa nombreuse
famille
. Son médecin habituel, riant de ses exploits et d
ssi. » Vr^. 1 1 Or ce savant médecin avait le privilège de toute la
famille
, et, bon an mal an, en recelait une somme assez r
t c’est une des preuves de sa sublimité. 11 doit être un jour dans la
famille
; s’y exercer comme une des vertus domestiques. Il
yant accumule pour ses enfants un sûr héritage : l’humanité est votre
famille
. Ah ! messieurs, vous aurez fait beaucoup pour so
moire. Valentín Greatrake, né en Irlande en 1C28, appartenait à une
famille
estimable; il servit comme officier pendant la gu
il devint , ainsi que ses élèves. Le comte de Thun , issu d’une des
familles
les (1) Mémoire sur la découverte du Magnétisme
sme animal avec goût, et j’ose dire avec succès. Rentré au sein de ma
famille
, où j’ai exercé pendant dix-sept ans la médecine
r de l’éclat et de la fortune sur un grand théâtre; ses affections de
famille
et ses goûts simples l’en détournèrent, quoique s
u plus lard, M. Mesmer, neveu, fournit à la Société divers papiers de
famille
(i), desquels il résultait que l’événement en que
e; l'impaludisme n'est pas en cause. Pas de bradytrophiques dans la
famille
. Depuis l'âge de six ou sept ans, cette malade
ges, entré à l'hôpital le 27 mars 1882. Antécédents. Marié, père de
famille
, adonné depuis de longues années à ['alcoolisme
e maladies nerveuses d'un ordre quelconque ou de diallièses'dans la
famille
. (Rensei- gnements recueillis en commun avec M.
e n'a conservé aucun trouble. Ne voulant pas rester à charge à sa
famille
, le malade entre à l'hôpital le 27 mars. jE<
e l'on retrouve en analysant soigneusement la vie des membres de la
famille
. Certains n'ont présenté que l'état desimpicdés
pisodes saillants dans la vie intellectuelle des membres d'une même
famille
. Cet état mental qui se transmet, cet ensemble
, ni de vertiges, ni d'excès alcooliques. Aucun des membres de la
famille
n'a, parait-il, présenté de malformations des org
té de il" G..., de qui nous les tenons. Bon nombre de membres de la
famille
ont échappé à notre analyse. G... est venu à te
ce de ses gardiens, le directeur de l'asile de Bétel a supplié la
famille
de retirer le malade. Sorti de l'asile, il y a
uarante-cinq ans, sobre sans aucun antécédent suspect du côté de la
famille
, ayant eu la syphilis dans sa jeunesse, mais ne
l. Homme de vingt-sept ans, sobre, actif, ayant des aliénés dans sa
famille
; trois mois avant son entrée, il s'est fait, en
s colonies d'aliénés sous deux formes principales : des colonies de
familles
, des colo- nies agricoles. On obtient, au moyen
ize cents aliénés, qui jouissent de tous les avantages de la vie de
famille
et d'une liberté presque complète. Sans doute,
contrôle sur les aliénés très nombreux qui sont soignés dans leurs
familles
. Delà une première difficulté presque impossibl
ailleur, présentant de nom- breux antécédents de rhumatisme dans sa
famille
, fut pris vers le milieu du mois de septembre 1
délire avec prédomi- nance d'idées de persécution (il n'y a dans sa
famille
ni chez lui aucun antécédent d'aliénation). Com
Féré a très bien mis ces faits en lumière dans ses articles sur la
famille
névropathique et Ballet et Landouzy les ont spé
atro- phie musculaire, etc., se succèdent, se remplacent dans les
familles
, établissant le rôle étiologique con- sidérable
venir, l'un et l'autre de l'hérédité : tel est le tabétique dont la
famille
paternelle est profon- dément arthritique et la
que dont la famille paternelle est profon- dément arthritique et la
famille
maternelle profondé- ment névropathique. Cett
roite, décisive, soit chez l'individu qu'on considère, soit chez sa
famille
, comme l'ont écrit plusieurs médecins d'il y a
e la malade est rentrée à Rochefort. Cette circonstance fait que la
famille
de notre malade se fixe à Bor- deaux, et là les
a frappé aussitôt : c'est la qualité des nombreux antécédents de
famille
lesquels, en dépit de leur variété, ont entre eux
qui ont été dernièrement le sujet d'un très important mémoire : La
Famille
névropa- thique de M. Ch. Féré, médecin de la S
dans DE L'ÉPILEPSIE AVEC LE RHUMATISME ARTICULAIRE AIGU. 225 leur
famille
le rhumatisme, la dartre et plus souvent la gou
fre encore de l'épilepsie et du rhumatisme articulaire ; quant à sa
famille
nous. résumerons ses maladies dans un tableau r
veau un éclat osseux. Ou ne connaît aucune tare héréditaire dans la
famille
. Le trouble mental, qui nécessite son entrée à
en-être exigible. 11 va de pair avec les soins des aliénés dans les
familles
groupées autour de l'établissement'. Grâce à ce
oici celle de lielp : -. Un jeune homme de vingt-huit ans, de bonne
famille
, entre en 18-j à l'asile de Wehnen. Hérédité; b
dépendances; adroite et à gauche, les bureaux, les habitations des
familles
du receveur et de l'économe, cellesdu personnel
l'habitation du directeur, une grande habitation sé- parée pour la
famille
du second médecin de l'établissement et pour le
quelques placements volontaires qui sont faits directement par les
familles
dans les divers asiles, tous les aliénés passen
vocat; le Dr 'rberl : Yvon, pharmacien. Ilei ? î61,es du conseil de
famille
.' MAI. Btdn- che, président; Ilorteloup et Pol
PATHOLOGIE NERVEUSE. pour jouir d'un congé de convalescence dans sa
famille
. Mais après un très court répit la santé déclin
ge. Pas d'affection nerveuse, ni d'antécédents rhumatismaux dans la
famille
et chez les collatéraux. Antécédents personnels
a petite fille. Pas de dia- thèse nerveuse, ni rhumatismale dans la
famille
. Antécédents personnels. Jusqu'à l'âge de cinq
turel que son désir serait d'être mort pour ne pas faire honte à sa
famille
. Il est actif, travailleur, et gagne largement
l sort guéri. Il. 11. C. XVII. Quatre cas DE MÉHXCOUEDANS une seule
famille
; par Joseph Wiglesworth. (T/te Journal of Menta
résenteraient pas grand in- térêt, mais leur réunion dans une seule
famille
, surtout en l'ab- sence d'antécédents héréditai
dont une partie serait des pensionnaires placés au compte de leurs
familles
. En outre, on ajouterait à l'asile de Dalldorf
ion par le rectum, 427. llelaucholia attonita, 431. Mélancolie de
famille
, 430. lfénière (malalie de), 458. Mental (tro
ains mets sont délestés d'un commun accord par tous les membres d'une
famille
, soit à cause d'un caractère spécial ou plus simp
les mangeait tout crues. Il faut penser qu'un enfant élevé dans une
famille
en adopte forcément les goûts et les répugnances.
(de Lille) : Les états médianiques de l'hypnotisme. Max Nordau : Une
famille
névropathique. Manouvrier : Questions relatives
mps, le nombre d'aliénés placés directement dans les asiles par leurs
familles
(placements dits volontaires) s'est élevé à 680 h
le ne réussit pas toujours. Quand un malade se confie à moi et que la
famille
me demande si je réponds de la guérison, alors mê
; au malade, je dis catégoriquement qu'il guérira certainement; à la
famille
, je dis que ce malade peut être traité par la mét
Mlle X..., âgée de 30 ans, sans aucune trace héréditaire, vit dans sa
famille
dans de bonnes conditions hygiéniques. II y a env
ant marcher seule, quitta l'hôpitel et repris ses occupations dans sa
famille
. SOCIÉTÉS SAVANTES CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉN
d compte d'avoir été malade. Il parait tellement sain d'esprit que la
famille
exige sa sortie. Il quitte l'asile, et, dans la n
te environ. Comme un jour sa mère le conduisait chez le médecin de la
famille
qui l'avait soigné étant enfant et qui demeurait
ectuelle ou émotive, comme la peur de se rendre chez le médecin de la
famille
, la préparation aux examens, l'abus des exercices
Enfin les lois éternelles des différentes contrées, des castes et des
familles
...ont été déclarées dans ce livre par Manou. » (I
rue avant qu'on ait pu lui porter secours. Elle éprouve un chagrin de
famille
et aussitôt l'état empire. La peur de mourir la p
dont elle souffrait cruellement, mais qu'elle avait voulu cacher à sa
famille
pour ne pas l'attrister : le regard de toute pers
inconnus, lui était absolument insupportable. Vivant au milieu d'une
famille
nombreuse, dont les relations étaient étendues, e
onduit à la gare où il prend pour lui un billet qui le ramène dans sa
famille
. Là, il consulte son médecin habituel qui, aidé
ue. L'hypnotisme ne réussit pas. Mais en raison de ses antécédents de
famille
, le diagnostic d'hystérie fut maintenu. Il se p
de sortie, il rencontra son frère qui lui assura que lui et toute sa
famille
le tenaient pour absolument innocent de ce crime
meurtre, étudiant l'hérédité criminelle, avait pris comme exemple la
famille
Keranjal des Essarts..., célèbre, à ce titre, dan
èbre, à ce titre, dans les annales judiciaires. Une personne de cette
famille
a assigné M. Aubry devant la première Chambre civ
viande, de coudre et de tricoter : une vraie charge pour cette pauvre
famille
. Sa jambe droite était comme inerte ; tout au plu
l'occasion d'observer un adolescent de quinze ans, appartenant à une
famille
des plus honorables, chez lequel l'impulsion de s
celui qui l'a guéri les plus vifs sentiments de reconnaissance. Une
famille
névropathique. Par M. le Dr M. Max Kobdac. J'
opathique. Par M. le Dr M. Max Kobdac. J'ai observé récemment une
famille
névropathique dont je vais résumer brièvement l'h
i. (Ejenedeluik, 6 janvier 1896). Suicide par la pendaison dans une
famille
névropathique. {Drei Suicidfâlle durch Erhângen
es analogies avec le précédent, est celui d'une dame de 40 ans, d'une
famille
névropathique, qui vint nous consulter pour une p
un cas personnel fort intéressant : un petit garçon de 10 ans, d'une
famille
fortement névropathique, était atlcintd'incontine
omprendre cet étal d'âme qui fait pâtir à la fois les malades et leur
famille
; on s'éloigne d'eux et les prétextes ne manquent
s. Cette jeune femme devint la maîtresse d'un jeune homme ami de sa
famille
, qui lui promit le mariage, mais qui brusquement,
tellement poursuivie par l'idée fixede le revoir que des malheurs de
famille
qui l'ont frappée l'ont laissée presque insensibl
t de Constantine,les êtres fantastiques suivants servent aux mères de
familles
Arabes pour j eter l'effroi et ramener le]calmc c
rivées à constituer aujourd'hui un sérieux danger pour lui et pour sa
famille
. Ce sera, si nous réussisspns, un beau succès à l
er l'interdiction de séjour et de pouvoir rester à Paris auprès de sa
famille
. Ce fait singulier, étudié avec le plus grand s
ps après, à la suite de dissentiments qui survinrent entre elle et sa
famille
, elle se mit en apprentissage. Pendant quatre à c
e de devenir assassin et de jeter le déshonneur et le chagrin sur une
famille
honorable pour une femme aussi peu respectueuse d
e partir en province pour se reposer pendant un mois, au milieu de sa
famille
. Le malade a bénéficié d'un état de suggestibilit
. Narcolepsie (la), 313, 352. Nécrologie, 320. Névropathique (une
famille
), par Max Nordau. 338. Obssession passionnelle
. Suggestion en 1560 (la), 286. Suicide par la pendaison dans une
famille
névropathique, par Marcel Lauterbach, 250.
es plus distingués. Il n'y a ni rhu- matisanls, ni goutteux dans la
famille
. A... a eu, au dire de sa mère, une enfance un
de rares leçons chez lui. Vers le mois de mars, le médecin de la
famille
conseilla l'hydrothérapie, et l'on mena le jeune
arents désolés allèrent consulter M. Char- cot. Celui-ci rassura la
famille
, déclara que le jeune homme guérirait, et me l'
surexcitation et comme des accès de fièvre, avec sueur nocturne. La
famille
inquiète et le docteur Bonin, qui redoutait l'h
a l'enfant à Ragatz, sur les conseils du Dr Blache, médecin de la
famille
, à Paris. La cure lui fit un pou de bien, en ce s
mises en usage, mais sans résultat. Le Dr Bucquoy, médecin de la
famille
, conseilla le repos absolu et puis un séjour dans
de quinze ans, né de parents bien portants; pas de diatbèse dans la
famille
. Le jeune malade a eu la fièvre typhoïde à l'âg
i, le Dr Jules Simon, qui avait remplacé M. Maurice Raynaud dans la
famille
, m'adressa le jeune malade, pour reprendre la c
mon ami le Dr Clleurlot. Cet enfant n'a jamais été bien malade. La
famille
n'est pas arthritique. Il est entré de bonne he
tiques, raconte qu'il appartient mystérieusement à quelque illustre
famille
; l'autre en- tend des. voix,, reçoit des ! .rév
suivants 1 - del \ Observation XV ? Pas d'hérédité au dire de la''
famille
. - 1"31éitoi)ause. ~ Panophobie avec conscience
le de 'Marseille le 3 l'juillet, 1881. Pas d'hérédité au dire de la
famille
. Bonne santé physique'antérieure.'Mariée à ving
sprofession ? instruction\supérieure, pour laquelle en mars 1880 la
famille
me demandait mon avis, ap- partient à une' mais
x, aurait- été heureuse de se guérir, car une femme mariée, mère de
famille
, âgée de quarante-huit ans, ne peut oublier tou
, lrl ., , 1 - ,1 ) Observation XIX. \ Pas d'hérédité au dire de la
famille
. . Mariage disproportionné quant et l'âge. Hall
anté physique et psychique antérieure; pas d'hérédité au dire de la
famille
. 111 ? Ves... avait conscience d'être halluciné
appait. Après avoir vainement essayé, sur la demande formelle de la
famille
, de la traiter chez elle pendant Archives, t. V
ontre la-maladie : J'ai'porté un pronostie'd'in'èurabilité, i et la
famille
a'retir6-M-e,,Kr ? de la congrégation où elle é
d ardeur, la corde se rompit; attirée" par" là chute'du corps,' 'la
famille
l'isola tout' 'de suite ? ùTnevniédication ! ÚL
1\1\"\ ? . ! 1 l'Y.- Observation XXIV. Pas d hérédité au dire de la
famille
. ., ,, ? »U'4«>4 .t .oV4'JW , ,, ? XJ>'.i
-silt 3H 1 ? n Marseille; -le 24 juinr1880 Aucine hérédité'dans'la
famille
,' au dire de'laisoeur/'EUe affirme aussi.que ju
JJ ? (),l (,....IJ . Le 2 décembre 1881, l'étais appelé, dans ,une,
famille
pour, 1 donner mon avis sur 1 isolement d.une l
Tt,1- : I-it»iri| I î0 ! ^ tll ? iro,n ? t.f'B)ïf,, »-li,.f : 1'X'l
famille
; disait-il, pour le déposséder de ses biens, d ac
git ici d'une fille de vingt ans, imbécile, mais s intéressant a sa
famille
et connaissant les personnes de son entou- rage
bÕÍ'é Ùè 2 no\Ívèau projet de loi. M. Motet. L'intervention de la
famille
ne peut avoir d'effet suspensif; ,si, ! a m¡se¡
rer un article additionnel'- contenant 'l'obligation de prévenir la
famille
de la décision prise, afin 'de lui ^permettre d
tive), déployée par le malade. Il faut toujours agir en bon père de
famille
. La mesure est impossible à déterminer; on veille
, a peur des consommations qu'on lui offre, et rentre enfin dans sa
famille
. Le lendemain, 21 octobre, il part pour la chas
trente mois, qu'il a pu quitter l'asile Sainte-Anne, être rendu il sa
famille
et reconduit dans la Haute-Saône. f 6ti MÉDEC
noffcnsif, incapable d'aucune initiative, il peut être rendu à sa
famille
; dans son affaissement mental, il ne délire plu
nd'mère maternelle, morte paralysée.- l'as d'aliénés, etc., dans la
famille
. illère, trente-sept ans, fait son ménage, inte
paralysés, pas de difformes, ni de suicidés ou de criminels dans la
famille
.] -Pas de consanguinité. Dix enfants et fausses
e vie éternellement triste et solitaire ou de se créer une nouvelle
famille
non reconnue par les lois. Se fondant sur certa
de délirants partiels peuvent être rendus sans inconvénients à leur
famille
après de longues années de chronicité ? Leur dé
ussée, mais pas au point qu'ils ne puissent jouir des soins de leur
famille
ou souffrir d'en être abandonnés. Voilà bien
souffrir, il n'en sera pas moins toujours un « mort vivant », sans
famille
, sans foyer et sans biens, si sa femme a su lui
e M. Bourneville1. La jeune fille que ce fait concerne, issue d'une
famille
phlhisique, niais in- demne quant au système ne
..., de Bordeaux, vingt-deux ans. Pas d'antécédents nerveux dans la
famille
, dit-elle. Elle-même n'a jamais offert d'autres
Villefranche. Il est impossible d'avoir des renseigne- ments sur sa
famille
ou sur ses premières années. Il a la taille d'u
minutes à une heure; pas de migraines. Pas d'aliénés, etc., dans la
famille
.] Pas de mérycoles ni du côté du père, ni du cô
nnement; pas de salacité. On n'avait jamais vu de ruminants dans la
famille
. DU MÉRYCISME. 397 Etat actuel(août 1882).- T
arée de son mari; pas d'aliénation ni do maladies nerveuses dans sa
famille
; un écoulement vaginal après son mariage, pas
ins cons- cience de sa situation, s'inquiète de son avenir et de sa
famille
; elle cherche longtemps ses réponses, la parole
almodiant. Eh bien ! tous ces troubles de la motilité ont un air de
famille
, et quand on a ainsi suivi celte sorte de gamme
es ont pris naissance, à la suite d'un traumatisme cépha- lique. La
famille
avait gardé sur ces phénomènes le plus profond
es. Elle répond convenablement aux questions posées sur son âge, sa
famille
, sa maladie, etc... On note de nouveau les jour
iments se détrui- saient ; les briques.tombaient en masse. Toute la
famille
du médecin était écrasée par le chemin de fer.
s elle a éprouvé de vives contrariétés à propos d'ar- rangements de
famille
et a dû continuer de vivre dans la situation qu
conte qu'elle a desséché la forêt, etc., elle est très déprimée. Sa
famille
la reprend en novembre 1895. A sa sortie elle e
x semblables qui sont sur sa tête. Elle re- fuse toute visite de sa
famille
, car ou ne lui montre que des fantas- magories.
e l'intime confidente. Enfin, réclame avec instance sa sortie. Sa
famille
la retire de l'asile en janvier 1897. Dans ce t
malheureuse- ment la rapidité avec laquelle elle fut reprise par sa
famille
n'a pas permis de se faire une opinion ferme, e
t de plus en plus mou, perdit la mémoire et toute affection pour sa
famille
et ses amis. Plus tard encore il devint de pl
s prennent leurs observations dans des milieux différents. Dans les
familles
riches on garde le paralytique qui ne délire pa
arrasser, parce qu'il constitue une bouche inutile etqu'en outre la
famille
n'a pas les moyens de le faire surveiller. Il ent
non désespéré. Quant à Thomas, il compte plusieurs aliénés dans sa
famille
et on le con- sidère dans le pays comme ne joui
20 juillet). DEUX ALCOOLIQUES. Le nommé Botereau, marié et père de
famille
, dans une crise nerveuse déterminée par l'ivres
les avis ne sont pas toujours écoutés, les tristesses profondes de
familles
qui cachent aussi longtemps qu'elles le peuvent
ez-vous pas eu à intervenir pour sauver l'honneur, la fortune d'une
famille
, quelquefois la vie d'un aliéné méconnu ? Cette
e, La malade, âgée de trente-cinq ans, avait des vésaniques dans sa
famille
. Les troubles psychiques com- mencèrent huit jo
en, la malade à la 14 - SOCIÉTÉS SAVANTES. suite de chagrins de
famille
perdit une bonne partie du terrain gagné et fin
urer parfois des renseignements sur le passé des malades ou de leur
famille
,et que bien souvent, par négligence ou par faus
t présent, dans ses antécédents personnels, dans ses antécédents de
famille
. Je vais passer brièvement en revue ces divers
e, au moyen des renseignements fournis, et par lui-même et par sa
famille
, on arrivera souvent à se convaincre qu'on se tro
commémoratifs ne révèlent rien d'anormal chez l'inculpé ou dans sa
famille
? La presque unanimité des auteurs français rép
énérative (lutte, angoisse, etc.). Les renseignements donnés par la
famille
firent découvrir que ce jeune homme avait déjà
rreyeurs, et d'autre part cinq cents braves citoyens, tous pères de
famille
, sacrifiaient cou- rageusement leur vie, au pon
s convives la' fille de mon prédécesseur, seul reste de cette noble
famille
. Née à l'asile, elle me permettra de lui dire q
s occupa- tions de la vie journalière, et depuis son retour dàns sa
famille
les accidents n'ont pas reparu. En dehors de
aliéné, procéder son inter- nement immédiat ou le maintenir dans sa
famille
quand la valeur intellectuelle de l'entourage e
choisis avec soin. On devrait recourii d'abord au placement dans la
famille
elle-même, puis dans les familles extérieures,
ourii d'abord au placement dans la famille elle-même, puis dans les
familles
extérieures, en choisissant les, localités les pl
e a été observé par Ferrannini chez Francesco, un des membres de la
famille
syrinaomvélique qui a été l'objet de ses études :
insuc- cès au retard mis à opérer, en raison de l'opposition de la
famille
et du délire du malade; il se demande si l'inté
ns des dégéné- rés, un des stigmates physiques qui caractérisent la
famille
névro- pathique D. R. CHARON. XI. La GROSSE l
ous dire que je respecte et que je veux continuer la tra- dition de
famille
que vous avez rappelée. « Je vous salue, messie
se pulmonaire à vingt-deux etàvingt- six ans. Pas d'aliénés dans la
famille
. Il n'a jamais fait de maladie sérieuse, n'a su
du de réputation et refuse complètement de sortir, ce qui décide sa
famille
à le placer. 22 novembre. - Le malade est trist
u'on a pu lui dire pour la détourner de cette mesure prématurée, la
famille
retire le malade. 5 avril 1898. - Nous appren
e 14 janvier. Autopsie. - Le cadavre devant être transporté dans la
famille
, nous avons dû nous contenter d'examiner le foi
au- coup d'influence est la répugnance naturelle qu'éprouvent les
familles
et les amis à attribuer la mort à un suicide, rép
causes de ces erreurs qui peuvent être 'dues à des influences de
famille
et à des négligences de l'administration qui re
u discrédit, de la déconsidération qui en résultera pour toute la
famille
, le plus grand obstacle au placement des malades
t tourner à l'état chronique, alors s'impose l'éloipnement dans une
famille
étrangère, dans une maison de santé. (¡t ! ncri
ociétés de patronage doivent étendre leur action à l'aliéné et à sa
famille
. Dorénavant cette protection se fera avant, pen
st chose rare chez la femme chinoise ( ? ). - La veuve est, dans la
famille
, à la merci de sa belle-mère et de ses beaux-frèr
d'autorité paternelle dont dérivent plus tard la juridiction de la
famille
et celle de la tribu, et qui est toujours conce
sur l'existence des dieux, ni que l'autorité judiciaire du père de
famille
ne soit en relation avec la délégation d'employ
824 BIBLIOGRAPHIE. des peines, l'autorité primitive du père de
famille
. L'évolution de la peine se ramènerait ainsi si
ine se ramènerait ainsi simplement au transfert du droit du père de
famille
à la tribu représentée par son chef, puis à l'Eta
vengeance dont l'exécution dépend exclusivement de la volonté de la
famille
intéressée ». Je lui citerai le cas des Ossèthe
d'Homère. D'où s'ensuit cette conséquence extrêmement grave qu'une
famille
privée d'une descendance mâle, de vengeurs, sera
ées dans la Archives, t. XVI. 3 . 18. 34 PATHOLOGIE NERVEUSE.
famille
du malade. Le père était alcoolique, la mère est
, plus d'excitation; accès de tristesse, de pleurs, elle demande sa
famille
, s'inquiète de ce qu'elle deviendra; sa maladie
et qui, au premier abord, paraissent si différents, sont de la même
famille
et qu'on peut à juste titre rapprocher les uns
les DKoehler et Spitzka de New-York, ont observé au moins dans une
famille
la dégénérescence diffuse d'anévrysmes miliaire
lérose multiple type, chez les membres de deux générations de cette
famille
. Dans un cas terminé par la mort, l'autopsie mo
uête à laquelle ce magistrat pourra se livrer sur la situa- tion de
famille
et les antécédents de l'aliéné, ainsi que les cir
x personnes, et il y en a une de trop au point de vue du secret des
familles
! Qu'est-ce que vient faire ici ce médecin ? : '
arrivait dans l'asile, il y était entouré de ce mystère sacré de la
famille
qui doit le suivre et l'accompagner tant qu'il
hère supé- rieure à tous les intérêts qui s'agitent, intérêts de la
famille
, inté- rêts de l'asile, le met à l'abri de tout
at du premier médecin venu, d'ordinaire et souvent'le médecin de la
famille
, qu'on pouvait à la rigueur soupçonner de compl
tient aux lenteurs administratives. La préfecture veut savoir si la
famille
ou la commune paieront, si le malade est ou non
mi les passagers il y avait un aliéné, un curé très anémique et une
famille
qui voyageaient pour la première fois par mer. On
curé, âgé de vingt-six ans, très anémique, a beaucoup souffert. La
famille
a souffert également. - Enfin, nous citons qu'u
autre (sept enfants). Pas d'aliénés, d'épileptiques, etc., dans la
famille
.] Mère, quarante et un ans, journalière aux cha
bilité du médecin. Mais c'est toujours une dépense coûteuse pour la
famille
qui se trouve ainsi parfois ruinée contre son g
peler, parce qu'il habite loin, parce qu'il est en inimitié avec la
famille
de l'aliéné, etc. D'ailleurs, il peut bien étab
cin-fonctionnaire, c'est léser les intérêts des malades et de leurs
familles
; c'est un besoin qui jusqu'à ce jour n'est pas
s temps. Vers le 13 mai, une jeune fille de vingt-deux ans, dans la
famille
de laquelle il n'y a pour tout antécédent héréd
cinatoire aiguë. Huit jours après, la mère de cette enfant, dans la
famille
de qui on ne constate aucun trouble mental, pré
ient aliénés. Les deux jumeaux avaient été élevés séparément en des
familles
différentes. Tous deux furent affectés à un an et
de traitement : une légère récidive ultérieure put évoluer dans la
famille
même. Chez la jeune femme, hallucinations très
de l'avis d'un médecin complaisant et des mauvais sentiments d'une
famille
pour décider et faire passer en acte la séquest
ui certainement est moins suspect, qui n'a pas de relations avec la
famille
, ce soupçon s'attachera au troisième, et vous e
pas rare d'observer en effet, dans un même milieu, dans une même
famille
, par exemple, dont les membres vivent dans une'
hologique ne semble préexister à l'acte. Nous avons connu plusieurs
familles
où le suicide était héréditaire, sans être, le
st pendu à trente ans,disait froidement un membre de l'une de ces
familles
, je me pendrai à trente ans. » Et à trente ans
. Renseignements pris, on ap- prenait que« c'est l'habitude dans la
famille
». Un fait authentique et bien curieux nous a é
é. Et même après l'internement, que de protestations delà part delà
famille
, des amis, etc., que de réclamations signées, c
et d'ailleurs de nous faire disparaitre, puisqu'on trouve que notre
famille
n'est pas propre. Seuls, mon père, ma soeur et
ènes d'entraînement, des impulsions cernant cinq enfants de la même
famille
(épidémie d'hystérie). (Rilliet et Barthez. Tra
bien portante. Deux frères en bonne santé. Aucun des membres de la
famille
ne présente un aspect rappelant celui de l'enfa
ières fécales par la fenêtre. Il refuse de prendre part au repas de
famille
, mais dérobe des aliments pour les manger en ca
lissement et son direc- teur, mais l'intérêt des malades et de leur
famille
, celui du fisc et celui de l'avenir de l'assist
elle est longue, difficile, coûteuse, retentissante, et combien les
familles
redoutent d'engager des procès de cette nature.
rotection des malades qui ne peuvent pas être interdits ou dont les
familles
ne veulent pas demander l'interdiction que la loi
plaisant il suffit d'un médecin complaisant pour qu'un membre d'une
famille
lasse enfermer une personne gênante. Ce sera ta
douteux et difficile, comme cela arrive souvent, si un membre de la
famille
ou l'individu qu'on prétend être aliéné se présen
civile donne le droit de provoquer l'interdiction d'un membre de la
famille
. Ici, il ne s'agit plus d'assigner un contradic
il-se trouvait ; qu'elle pourrait demander des renseignements à sa
famille
, notamment sur le but visé par la personne qui
, à cette barbarie, dis- je, de'mettre et de laisser les secrets de
famille
entre les mains des petits expéditionnaires ! V
de la liberté individuelle, le sacrifice complet de l'intérêt des
familles
et de leurs biens, dont vous prétendez vous préoc
prenait la route de Souvigny et arrivait, vers neuf heures, dans sa
famille
. Il paraissait très calme et rien dans ses allu
, morte de fièvre typhoïde. Pas de manifestations nerveuses dans la
famille
.] Mère, 41 ans, couturière, est assez intellige
ruption) ; un le 18 et le 21. Observation II. Névropathes dans la
famille
. - Ac- couchement prématuré. Asphyxie à la nais
taient. Pas d'autres cas d'affections mentales ou nerveuses dans la
famille
.] Mère, 29 ans, anémique, très nerveuse, prompt
Ni frère, ni soeur ; pas d'antécédents héréditaires nerveux dans la
famille
. li Mère. 34 ans, couturière, a eu des convulsi
me génération ont été aliénés. Pas d'autres cai3 d'hérédité dans la
famille
. ] Pas de con- sanguinité. Un seul enfant, no
peu perdu la tête » à un moment donné, à la suite de chagrins de
famille
, mais, cela « lui aurait passé » au moment où il
core de temps à autre. Aucune affection mentale ou nerveuse dans la
famille
.] Renseignements fournis par sa mère. - Mère, 4
rs des événements de 1848. Pas d'autres accidents ner- veux dans la
famille
.] , Consanguinité. - Le père et la mère sont co
ossesse avait été troublée par des émotions dues à des querelles de
famille
. Notre malade. Grossesse assez bonne. Toutefois
ées, sans enfants. Pas d'épileptiques, pas d'aliénés, etc., dans la
famille
. Notre malacle s'est marié à 34 ans; il ne fais
erveux; fait des excès de boisson; accidents névropathiques dans sa
famille
. Mère, bien portante. Pas de consanguinité. Cin
culaire aigu. [Père rhumatisant ; pas de troubles nerveux dans la
famille
.] -Pas de consanguinité. Trois enfants et une f
x. [Mère, morte phtisique; pas d'accidents névro- pathiques dans la
famille
.] Mère, 45 ans, domestique, bien constituée, su
lique. Mère nerveuse. - Accidents névropathiques multiples dans la.
famille
maternelle. Grossesse accidentée. Accouchement
s de l'en- , (L'autopsie n'a pu être pratiquée par suite (1 de la
famille
.) n'a pu être pratiquée par suite d'oppositioi
morte de cholérine, il y a5 ans. Pas d'affections nerveuses dans la
famille
.] . hydrocéphalie 145 Mère, 33 ans, d'une int
re »; était très nerveuse. Pas d'accidents névropathi- ques dans la
famille
.] . Pas de consanguinité. Deux enfants et une
ne douzaine de fois par an. Pas de manifestations nerveuses dans la
famille
. Mère, 31 ans, opticienne, intelligente, coléri
s ner- veux. [Père rhumatisant; pas de maladies nerveuses dans la
famille
.] Mère, 44 ans, couturière, intelligente, sujet
des douleurs de tête très intenses. Pas d'accidents nerveux dans la
famille
]. Pas de consanguinité. Six enfants : 1° garç
les petits malades internés à l'hospice, il a observé dans une même
famille
quatre cas de la première catégorie ; les enfan
t pas voulu que l'on fit du bruit autour de cette petite cérémonie de
famille
, et nous n'étions guère réunis qu'une trentaine,
d'enfants. Plusieurs cas d'aliénation mentale sont relevés dans sa
famille
. Plusieurs crises de grande hystérie que nous a
il est sans cesse inquiet, se tourmentant beaucoup sur le sort de sa
famille
. Dans ces moments d'inquiétude, il ressent une pr
par son idée de persécution; il t'imagine qu'on veut faire mourir sa
famille
de faim. Arrivé chez lui, il se couche; il se sen
endant, que ce résultat fut obtenu. Certaines hostilités venant de la
famille
amenèrent plus d'une fuis des crises hystériques
unes campagnardes robustes et faines, aujourd'hui mariées et mères de
famille
, bonnes somnambules, dont les noms reviennent sou
illette. Angélina interrogée par moi me fit le récit suivant : La
famille
Rocher se compose du père, de la mère et de quatr
is, ces deux derniers victimes des crimes dénoncés par Angélina. — La
famille
Rocher exerce la profession de saltimbanques ou a
ique la malade n'ait jamais su ce qu'il lui était arrivé. Le mari, sa
famille
et les médecins anglais attribuent la guérison à
nde, un drame peut-être, une lutte certainement. Les médecins de la
famille
n'acceptèrent d'abord pas le diagnostic de M. Gib
de ses correspondants, un médecin, en visitant de vieux papiers de
famille
, avait trouvé la pièce qui suit, transcrite par a
e les avertir à se confesser ou de leur en faire donner avis par leur
famille
et en cas que les malades ou leurs familles ne pa
faire donner avis par leur famille et en cas que les malades ou leurs
familles
ne paraissent pas disposez à suivre cet avis, les
révolution sociale qu'il prêche, il la prêche à l'universalité de ht
famille
humaine. « Son « royaume », il en ouvre les iss
00»âmes, où les aliénés, au nombre de 1.800. sont disséminés dans les
familles
du pays. Après une discussion à laquelle ont pris
sent Littré et Robin, est un mammifère de l'ordre des primates, de la
familles
des bimanes s. « L'homme, dit Charles Richet, e
us n'êtes pas seulement des mammifères de l'ordre des primates, de la
famille
des bimanes ou même des hominiens ! Sans doute, d
tres névroses, comme l'épilepsie, La plus fréquente. Young a cité une
famille
de chats où l'épilepsie s'est montrée dans trois
là, vous n'aurez plus jamais d'accès, et vous retournerez dans votre
famille
, bien portante ». 25 octobre, — La malade appar
mygdale droite resta hypertrophiée. Pendant l'été, le médecin de la
famille
eut à soigner plusieurs amygdalites successives.
études et les continue jusqu'au premier de l'an, puis rerient dans sa
famille
, fatiguée de nouveau, et paraissant s'ennuyer à l
espère bien que ma petite pensionnaire pourra bientôt rentrer dans sa
famille
tout à fait guérie. Applications thérapeutiques
lusions : Première observation. — B. B.. , soixante ans, issu d'une
famille
saine, a beaucoup travaillé dans sa vie, mais enc
Troisième observation. — Un garçon de douze ans, faible. Issu d'uno
famille
fortement névropathique, et souffrant d'une incon
iait sans application, ne témoignait aucune sym-patbie aux amis de sa
famille
. Des quatre enfants de ses parents, il était le s
folle. Le malade n'a pu nous donner d'autres renseignements sur sa
famille
, mais ces renseignements sont suffisants pour car
e à si bon marche. Troisième tentative, — Peu après, revenu dans sa
famille
et devant en repartir pour une autre entreprise d
ux déclarent qu'ils ont ainsi agi pour les forcer au mariage, mais la
famille
ne veut plus en entendre parler. Joséphine s'enfu
e la membrane, ni aucune ecchymose. Plainte ayant été portée par la
famille
, l'enfant a été soumise a un examen médico-légal,
cite le singulier exemple suivant : une petite fille adoptée dans une
famille
entend lire dans les journaux une histoire d'atte
bus des environs d'Aden. mais un peu dans l'intérieur des terres, des
familles
entières où la circoncision est pratiquée du haut
s adoptés par long les membres appartenant a la même tribu, à la même
famille
, au même dogme religieux, à la même espérance, à
se de terreurs indicibles. La moindre indisposition d'un membre de sa
famille
est à ses yeux une maladie mortelle. L'un des suj
et Laborde. — M. le Dr Danet — Le Dr Dahet. de Paris, médecin de la
famille
Bona-piue, est mort le 12 avril, après une courte
le droit de se plaindre. L'Académie lui avait prouvé qu'il avait une
famille
scientifique. L'Administrateur-Gérant : Emile B
nsonges ou la simulation. On en a vu tromper ainsi non seulement leur
famille
, mais les médecins et les tribunaux, qui se laiss
proposent. M. Bréuardel cite l'histoire d'une jeune fille de bonne
famille
qui racontait qu'elle avait été obligée, pour se
ppelons encore ce fait signalé par Lasègue : Une jeune fille de bonne
famille
se plaint d'avoir été violée et elle désigne comm
re. « Je me contentai de faire surveiller le malade, affirmant à la
famille
que le lendemain il n'y paraitrait rien. « Mon
t brillante au premier abord quoique plutôt médiocre en réalité. Sa
famille
appartient à l'orthodoxie israélite, la religio
nfiance et d'enthousiasme, et a repris tout son goût pour la vie de
famille
. Remarques. Cette observation suggère un certai
père fort, intelligent mais nerveux, est mort depuis longtemps. La
famille
de sa mère compte plusieurs aliénés. Ses soeurs
moi dans la région frontale. , Il a peur de ne pas reconnaître sa
famille
quand il la verra. Après une nouvelle améliorat
l. qui était en moi et qui m'a dit de me tuer pour me sacrifiera ma
famille
que j'ai déshonorée » ; à ce moment la voix de
es. Les démonomanes, en effet, n'appartiennent pas tous à la même
famille
, il est parmi eux des possédés qui sont les uns
nt partie avec les démonomanes et les théomanes raisonnants de la
famille
des délirants mystiques. ' Pendant sa longue pé
ctuellement posées, il est à prévoir que dans un avenir proche, les
familles
de traumatisés aliénés ' demanderont des indemn
urel. M. Paul FaREZ. - Un homme de vingt-cinq ans, marié, père de
famille
, boit chaque jour un litre de vin, plusieurs bock
les épileptiques (C. R de la société de biologie, 1893, p 57).- La
famille
névropccllciy2ve, théorie lé1'alolo,gique de l'hé
terne dans un collège libre où étudiaient des jeunes gens de bonnes
familles
. Je suivais les classes de ce collège et je venai
SOCIÉTÉS SAVANTES. 231 j'ai encore appris qu'un cousin de la même
famille
avait également sombré dans la démence précoce.
bre étaient accompagnés de;leurs dames et d'autres membres de leurs
familles
. · M. le professeur Brissaud, M. l'inspecteur D
nstituent d'excellentes mesures. On pourrait, au besoin, mettre les
familles
et les médecins dans l'obligation de déclarer à
nels ; leur envoi dans cet asile infligerait aux malades et à leurs
familles
un déshonneur immé- rité. Ils sont si peu nombr
rofessionnelles sans com- promettre leur situation et celle de leur
famille
, renonçaient à toute tentative de traitement.
ne. associée à l'entéro-colite muco-membraneuse, chez une mère de
famille
de cinquante-trois ans ; chaque période d'amélior
ontracta une bionchite qui l'obligea à aller passer l'hiver dans sa
famille
à Montpellier. X... resté seul ne se sentit pas l
ls que j'ai rapportés. Sachant qu'il y avait eu des aliénés dans sa
famille
, il était alors obsédé par l'idée qu'il devenai
mépris. Aussi fut-il heureux d'appren- dre qu'un ami influent de sa
famille
, avait obtenu pour lui une place à l'administra
s, lorsqu'il fit ses premières armes avec la femme de chambre de sa
famille
; jeune fille de couleur dont les pieds réuniss
t surtout dans les stations assise et debout, et pour lesquels la
famille
, justement émue, s'est décidée à consulter. Mais
du sexe masculin. M. Litkens donne à l'appui l'observation de cinq
familles
témoignant de cette proposition. Pour lui, l'in
Pendant les quinze premiers jours que le passementier passa dans sa
famille
, rien de grave ne se produisit, et Pierre Prat
'épi- leptiques (j'ai connu ici, en vingt-cinq ans, de véritables
familles
d'epileptiques), la plupart des autres descendent
uences non seulement pour le prédis- posé ou le malade mais pour sa
famille
, pour les personnes qui sont tenues de vivre av
affection s'aggraver à tel point que, en janvier 900, un ami de la
famille
m'écrit : « l'état de la malade a empiré, « ell
reste, permis, dans la même année 1900, de rendre promptement à sa
famille
une jeune fille dont l'épi- lepsie s'était aggr
tion se dissipaient totalement et la jeune fille rentrait dans sa
famille
fin mai 1900. 11 est quelquefois utile de faire
tte de dix-neuf ans, appartenaut à une DEUX CAS DE MÉRYCISME. 393
famille
fortement entachée d'hérédité névropathique, mais
éciles torpides, forment avec les criminels par habitude une grande
famille
: c'est pendant les premières années de leur vi
la messe, obligé de prendre et de tenir en disant la prière pour la
famille
impériale. Pendant tout ce temps, il est inquiet
s, la présence d'enfants, la visite d'étran- gers, les relations de
familles
qui produisent ce résultat ? Toujours est-il qu
issue possible des hospices était la mort, il y a dans la vie de '
famille
comme un espoir de guérison et celle-ci ne frit-e
combiné et exécuté cet affreux drame. A la suite d'arrangements de
famille
, Stoffel avait dû prendre à sa charge son beau-
se laissant facilement aller au découragement. Il n'existe dans la
famille
ni idiots, ni épileptiques. L'inculpée a donc u
des menaces faites et prouvées, des renseignements fournis par la
famille
ou les voisins; au besoin, une enquête spéciale
oir de se renseigner aussi complète- ment que possible . auprès des
familles
, des municipali- tés, etc. Il pourrait même ord
ur, c'est s'exposer à des revendications passionnées de la part des
familles
, à des attaques de journaux, poursuites contre
al droit. 1 Par BOURNEVILLE ET Reine MAUGERET Sommuhe. Père et sa
famille
, rien de particulier. Petite cou- sine, hémiplé
ne serait pas arriérée et n'aurait pas d'accès. Dans le reste de la
famille
, rien autre à signa- ler. MÈRE, morte à quara
santé; une nièce de dix-sept ans, épileptique. Dans le reste de la
famille
, rien à signa- ler d'anormal. Pas d'autre épile
ose, mais ces trophoedèmes isolés ne s'en rattachent pas moins à la
famille
névropathique. Cette tare nerveuse, dit l'auteu
sombre et taciturne, ne dort plus, mange à peine et désespère sa
famille
par ses lettres éplorées. Quatre jours avant le c
, mais qui en auraient été des signes certains pour le vulgaire, la
famille
, les amis, les curieux qui auraient cherché à voi
ais honoré. Il faut plus encore; le magnétisme doit descendre dans la
famille
, s’y implanter comme une croyance sainte et sacré
ns l’élévation du prix d’abonnement qui en empêchait l’accès dans les
familles
non fortunées. Or, les riches étant les moins nom
ts. Qu’aucun sentiment de modestie ne vous arrête, nous sommes ici en
famille
, réunis par la même pensée, animés des mêmes dési
ochain, je voudrais que le magnétisme pénétrât dans le sein de chaque
famille
, car alors nous aurions à côté du mal le bien, du
riosité des voisins surpris d’un aussi étonnant résultat. Une mère de
famille
ayant urt enfant de 5 ans affligé depuis 6 mois d
ur de chaises de son élat, rue Saint-Dizier, 35. » C'est d’abord en
famille
que le sieur Ilusson a exercé ses talents divinat
ois me raconter des choses tout aussi merveilleuses. Est-il une seule
famille
, un seul individu même, qui ait vécu sans avoir é
eaud, juge de paix. — J’ai par complaisance accompagné une dame de ma
famille
chez la dame Cheyroux. Je demandai à celle-ci : Q
ion complète de forces. Sollicitée vivement par son mari et sa propre
famille
, à tenter un traitement magnétique, ce ne fut qu’
l’abattement ordinaire, à la grande joie de la malade et de toute la
famille
. Magnétisée pendant un mois environ, d’abord chaq
’heure à laquelle je l’avais actionnée. L’autre personne de la même
famille
était d’une «elle susceptibilité cataleptique qu’
t et lentement, jusque dans l’appartement où se trouve le reste de la
famille
qui pousse un cri de surprise en le voyant arrive
douter des souffrances qu’il endurait quelques heures auparavant. Sa
famille
était dans le ravissement. J’engage alors son pèr
ères? Les gaëidi ne pourraient-ils pas être une branche de cette même
famille
? Ce qui est certain, c’est que leur langage, leur
encore, mais nous nous attachons principalement à enseigner dans les
familles
le peu que nous savons. Il y a grand progrès dans
s premiers besoins, et entraîne dans l’exil avec lui 18 membres de sa
famille
qui eussent dû, d’après les probabilités, régner
assis dans un fauteuil, entouré de personnages qui paraissent être la
famille
. Placé à l’extrémité de la grande salle, à droite
humanité, celui de faire descendre la pratique du magnétisme dans les
familles
. » — Les Confessions du docteur Teste sont enfi
6. Un gouvernement provisoire s’établit après la révolution. 27. La
famille
rpyale est obligée de quitter la France. 28. El
0. Mise en accusation des ministres de Charles X. 81. Le chef de la
famille
meurt sur la terre étrangère. donne lieu à des
6. Un gouvernement provisoire s'établit après la révolution. 27. la
famille
royale est obligée de quitter le sol de la France
re qui serait jugé absolument nécessaire à la subsistance aisée d'une
famille
, et pour la perfection de la culture selon la nat
s cette manière de faire de la propagande. Quand nous allons dans les
familles
, c’est bien moins pour magnétiser nous-mêmes que
s déjà, dans plusieurs cas graves, employé avec succès dans ma propre
famille
. Cette femme, après avoir été prévenue, me fut
à la société que par la forme humaine, est rendu à la raison et à sa
famille
! Voilà donc les admirables effets de ce fluide
nces successives, ce clairvoyant qui ne connaissait ni mon nom, ni ma
famille
, ni mon domicile, a vu dans ce dernier jusque sur
le, ni mon domicile, a vu dans ce dernier jusque sur des portraits de
famille
, et m a donné des indications très-précises, y co
premier règne diffère des deux autres. Il diffère encore dans chaque
famille
, chaque genre, chaque espèce. Il est modifié dans
(Dordogne), pour m’y reposer des fatigues de la guerre au sein de ma
famille
; je pris un logement en janvier 1840 chez M. Lava
fièvre magnétique assez fort, puisque je me crus alors menacé par ma
famille
tout entière, dont les voix m’arrivaient parfaite
mon frère, qui semblait me provoquer. Mon frère, ainsi que toute ma
famille
, me chérissait alors comme aujourd’hui, j’en ai e
qui m’insultaient, me menaçaient, surtout la nuit, el croyant que la
famille
Lavaud, dont 011 imitait les voix à s’y méprendre
même résultat en arrivant aux oreilles du magnétisé. Arrivé dans ma
famille
, tout éplorée de ma fatale position, je fus oblig
aux sages ; mais il faut pour cela que le magnétisme descende dans la
famille
et que scs divines propriétés deviennent manifest
imitif. Ma seconde visite eut lieu six heures après la première; la
famille
fut prévenue de mon arrivée dans la maison, par l
équente chez les lurcs et se conservait héréditairement dans quelques
familles
. Possidonius (Cicero, de Divinat., p. 48) nous
intuition médicale chez les mourants ne sont pas rares; il est peu de
familles
, même de nos jours, qui ne puissent citer quelque
lance universelle; que s'il devient, pour ainsi dire, une médecine de
famille
, alors disparaîtront les jongleurs et les faux pr
téressants; si, plus tard, je suis en position de le faire, et que la
famille
veuille bien me le permettre, j’aurai l’honneur d
ches, dictées par les passions, qui peuvent jeter le trouble dans les
familles
, et qui n’ont qu’un médiocre intérêt d’utilité. L
eligion. Il" Apôtres et Prêtres. 12° L’Autorité. 13“ Société et
Famille
. 11° Résumé. 1?>" Développements de l’exta
opprimé, et la punition du méchant; croyez-vous , par exemple, qu’une
famille
injustement dépouillée, et réduite à la misère pa
a su triompher de tous les accidents et rendre à la santé un père de
famille
dont la vie était gravement compromise. Cette obs
mondices de la matière. La science vraie sera bientôt dans toutes les
familles
, on n’ira plus aux •écoles de médecine chercher
utes leurs décisions , soit qu’il s’agisse de maladies, d’affaires de
famille
, de détournements, etc. Nous avons eu plus d’une
ucoup de ces hommes divins, de ces génies bienfaisants, les liens des
familles
seraient plus difficilement rompus, les gouvernem
a date de cet événement domestique est célébré avec solennité dans la
famille
des Mossini. » Les annales du catholicisme renf
les ont cessé chez moi, par suite de l’affliction où était plongée ma
famille
; nia fille unique était alitée, malade de consom
t plus d’espoir de la sauver. Nous n’avons que de petites réunions de
famille
dans la chambre où ma fille est couchée. Souvent
e propage partout, lin des descendants des Choiseul-Gouffier, dont la
famille
est fixée en Pologne depuis la fin du siècle dern
me toutes les causes, le magnétisme a — nous pouvons l’avouer ici, en
famille
— des amis terribles dont l’imprudence et la légè
ent les idées reçues, le surnaturel y a droit de cité. Presque chaque
famille
a, dit-on, son médium, témoignant d’une science n
à une jeune folle abandonnée des médecins et ramené la joie dans une
famille
consternée. En prononçant le nom de chacune des
tinée première, celle d’une allocution au sein d’une brève réunion de
famille
, nous avons engagé l’auteur à le compléter par qu
ait été recommandée , était une personne honnête et probe , et mèr«de
famille
. « Dès que je l’eus endormie et qu’elle fut e
ne grille; mais ce n’est pas une tombe ordinaire , c’est un caveau de
famille
. Une seule place est occupée ; les autres attende
ntionnent des faits de notoriété concernant des personnes et même des
familles
entières, qui, sans aucune apparence de nature nu
nt d«grandes chaînes magnétiques, reliant les âges cl les parentés de
famille
, de croyance et d'affections. Ce sont les rameaux
exposer aux regards du public, afin d’amener sa reconnaissance par sa
famille
, ils le placèrent sur une des dalles destinées à
lles» se produisent ordinairement, au début, dans le sanctuaire de la
famille
, dans la retraite solitaire du cabinet de travail
et où elles vont. Parfois un éblouissant météore vient surprendre une
famille
paisiblement attablée devant le foyer domestique
u’il s’agisse de leur santé, de leur fortune, ou môme des intérêts de
famille
les plus graves. Des procès scandaleux ont fait v
ü. ALUX. SOMNAMBULE NATUREL GUÉRI PAR LE MAGNÉTISME. Un père de
famille
très-honorable, qui occupe à Bruxelles une haute
lheurs. Une telle alternative ne pouvait plaire ni au patient ni à sa
famille
. Quand on n'a plus d’espoir du côté des savants
tre les dangers auxquels il s'expose et les chagrins que causent à sa
famille
ses courses nocturnes. Quand vous le verrez conva
; ce n’est que dimanche dans la journée qu’il a pu enfia rassurer la
famille
alarmée et répondre du réveil et de la guérison d
rd, contre-maître d’une maison de teinture , disparut tout à coup. Sa
famille
étant fort inquiète, un ami de son père alla trou
dos, et une de ses mains est élevée et placée tout près du visage. La
famille
aura le corps avant que vous soyez de retour à Ch
ant partir le lendemain et seul, je ne dis rien de cet événement à ma
famille
, afin de ne pas l’inquiéter sur ses suites lorsq
ambule, le résultat de notre examen. Invité par une très-lionorable
famille
venir prendre ma part d'un dîner offert à M. Home
rto, des in-folio, tout ce qui enfin orne une table de salon dans une
famille
où la science et la littérature sont quelque chos
urent singulièrement. Mais, comme ils intéressent particulièrement la
famille
dont j’étais l’hôte, je ne puis m’arroger la miss
ais disposer pour la rédaction de ma correspondance ; des affaires de
famille
m’avaient temporairement distrait de mes études f
a pratique privée. Si quelquefois je ne donne pas en entier le nom de
famille
d’une personne dont je décris le traitement, c’es
de le laisser en pleine convalescence après cinq jours d’un (1) I,a
famille
du malade avait fait demander par la voie télégra
; je ne vous parle même pas de mon désintéressement pour cette pauvre
famille
, ce serait entrer dans des détails qui n’ont aucu
t..., un riche propriétaire du midi de la France, que des affaires de
famille
avaient appeléen Angleterre. Mon compagnon,— quej
la veille de s’embarquer avec moi pour New-York, me présenta chez une
famille
honorable de Londres, qui entretenait un commerce
est question ici ne sont pas une fiction ; il s’agit de l’excellente
famille
de M. Rymer, avoué à Londres, • !1 , fin risq
le lac Erié , où je m’étais rendu dans !c but spécial de visiter une
famille
de médiums célèbres qui habitent ordinairement ce
en vouant tout leur temps les éclairer). Avant de prendre congé de la
famille
au milieu de laquelle je venais de passer cette i
Davenport ne saurait compter sur ses recettes pour l’entretien de sa
famille
, quelque modestes que soient ses besoins, et qu’i
le ont soumis à des investigations suivies les faits présentés par la
famille
Davenport. Le résultat de leurs recherches a été
tisme , j’ai été assez heureux de porter du soulagement chez quelques
familles
, je dirai môme quelques guérisons, non pas que je
petite lille, üue nous ne servons de parrains Qu'aux enfants de notre
famille
. Une idée a frappé chez nous, Fermons notre p
mothe, 112, 190, 508. Lanning, 490. Laporte, 161, 226. Laporte (
famille
), 183. Larrey (docteur), 429. Lefeuvre, 635.
lle présente. Il est de toute évidence que Marie présente un air de
famille
avec les cas précédents. Il est vrai que la ric
, qui a 37 ans, n'a jamais été malade ; aucune tare morbide dans sa
famille
. Père âgé de 36 ans, très vigoureux, huit frère
réditaires. Le malade affirme, toute- fois, qu'il n'y a pas dans sa
famille
d'affection pareille à la sienne, ni d'affec- t
ic de tumeur cérébrale. ° Un confrère appelé en consultation par la
famille
du malade est d'opinion qu'on essaie un traitem
et ne communique ses doutes qu'à ses parents, de sorte que c'est la
famille
qui attire notre attention sur ces troubles menta
certains moments, ces troubles ont des périodes d'exacerbation. Sa
famille
reconnaît d'avance leur venue par le fait que l
et il veut frapper ceux qui cherchent à l'empêcher, de sorte que sa
famille
demande son internement à l'hôpital. Le malade
change les objets de leur place habituelle. Aux observations de sa
famille
qui essaie de lui faire comprendre que ce sont
outient Jendrassik, la non atteinte de plusieurs membres de la même
famille
ne prouve pas qu'une affection ne soit pas héré
cité au moins une observation (Bauer el Gy, 1909 où, dans une même
famille
, le frère était atteint d'hérédo-ataxie cérébel
ÈTE 107 pas où il était, ne se rappelait ni son nom, ni celui de sa
famille
. Ses paroles étaient presqu'inintelligibles, et
ait ob- tenu une permission de deux semaines pour se rendre dans sa
famille
, et le 14 août, il était rentré à Stockholm ; t
e soeur et d'un frère : Gustaf, Disa et Teodor ; ensuite sou nom de
famille
et le mot Hul- larjdlui vinrent à l'esprit. Un
ns méthodiques, il ne savait encore rien de son congé passé dans sa
famille
au commencement du mois d'août. A l'aide de que
ays ; grâce à l'association de celui-ci avec les images vives de la
famille
qui, après le réveil, furent les premières actu
certain temps espacer les visites des dif- férentes personnes de sa
famille
, car les embrassements de sa mère sont pour lui
eut jamais rester seul dans sa chambre et il oblige quelqu'un de sa
famille
à occuper un lit voisin du sien. En même temps
e exécutée à cette époque nous le montre à 16 ans dans un groupe de
famille
où l'intention de mettre en valeur sa grande tail
es mêmes raisons quelques mois dans une maison de santé. Rendu à sa
famille
, il retombe très vite dans le même état. On lui
rçants, la fit conduire à l'hôpital. Quelques renseignements sur sa
famille
et sur elle-même nous ont été donnés par sa soe
e depuis lors elles furent toujours peu copieuses. Jamais dans la
famille
, on ne s'était inquiété de la conformation spécia
mais le désir d'en sortir. Elle ne se préoccupe pas davantage de sa
famille
, qui ne paraît pas s'en préoccuper non plus ; il
ur ; elle ne ressemble nulle- ment à sa soeur, seule personne de la
famille
que nous avons pu approcher. Ses cheveux sont c
toute hérédité, sur l'inexistence d'ano- malie du squelette dans la
famille
de notre malade. Nous l'avons interrogé tout sp
t deux nouveaux cas concernant cette fois la mère et la fille d'une
famille
autre que la précédente. La mère, âgée de 47 an
le seul qui reste, étant le plus petit. Il n'a connu personne de sa
famille
présentant des mal- formations analogues à cell
lsions furent également notées chez un enfant appartenant l'une des
familles
décrites par Pierre Marie et Sainton, qu'un malad
méd. des hôpit., 12 mars 1903. S. VILLARET et FRAI>C07., - Une
famille
de quatre sujets atteints de dysostose cléido-
trouvait depuis 32 ans ; cette femme, qui avait été soignée dans sa
famille
, fut à ce moment inter- viewée par de nombreux
impotent, mais il n'y a pas eu de cas d'anomalie psychique dans sa
famille
, ni dans celle de son mari. Parmi les frères de C
er une cause ayant pu détermi- ner cet événement qui, pour toute la
famille
, fut une grande surprise. Après la mort de sa f
née, laissée seule dans la maison, lorsque les autres membres de la
famille
, la gouvernante comprise, avaient leur travail
île de Oknô) l'avaient vue sur l'escalier lorsque les membres de la
famille
étaient absents. « Depuis la mort de la mère, Car
DE STUPEUII 271 tés à se nourrir ; seulement, par déférence pour la
famille
, elle parais- sait peu encline discuter ce suje
ndit en riant qu'il n'était pas encore trop tard. Les membres de la
famille
étaient unanimes à affirmer que maintenant elle
es sujets normaux ; elle avait des souvenirs nets des membres de la
famille
voisine, elle se rappela qui avait alors été le
alade avait travaillé sans interruption, gagnant ainsi la vie de sa
famille
; on ne put constater aucune défectuosité psych
que , parla juxtaposition de deux modalités cliniques dans une môme
famille
. Un des sujets est atteint dans la première enf
a été publiée dans la thèse de Ilânel (2) l'histoire clinique d'une
famille
présentant 22 cas d'atrophie musculaire, répartis
s particulièrement démonstratives sont celles des sujets d'une même
famille
montrant ces deux modalités initiales. Document
ur les faits anciens que pour les faits récents. Le sentiment de la
famille
est très dé- veloppé chez lui, et il en est de
ge avancé ; pas de rachitisme, pas de déformations osseuses dans la
famille
. Il a lui-même été toujours bien portant, n'a p
Venue de l'intérieur pour se soigner à la capitale, et reçue par une
famille
aussi pauvre qu'elle-même, la malade en vue de
ère aveugle par kératite ( ? ). Il n'y a pas de tuberculose dans la
famille
. Antécédents personnels. Elle a souffert de név
la Charité (service de M. le professeur Potain)1. Antécédents DE
famille
. La famille de AU... est exempte de tare nerveu
é (service de M. le professeur Potain)1. Antécédents DE famille. La
famille
de AU... est exempte de tare nerveuse. Ses pare
Salpêtrière (service de M. le professeur Charcot). Antécédents DE
famille
. Son père mourut à l'âge de cin- quante-huit an
quatre frères [qui jouissent tous d'une bonne santé. Personne de sa
famille
ne souffre de maladies nerveuses. Antécédents
de Blois, la blessure cicatrisa complètement; Bo... rentra dans sa
famille
et après quatre mois de convalescence, il repri
r le Dr iI : IBILLE. Les cas de suicide chez les membres d'une même
famille
ne sont malheureusement pas rares. M. Mabille n
t pas rares. M. Mabille nous rapporte l'histoire pathologique d'une
famille
où les manifestations morbides de l'hérédité so
e ce phéno- mène se produit : certain jour, tel membre d'une de ces
familles
, jusqu'alors indemne d'accidents névropathiques
le milieu morbide est identique. Jeunes et âgés appartiennent à des
familles
où le sys- tème nerveux central est électivemen
aroxystiques avec hallucinations, état mé- lancolique, dégoût de la
famille
. Cet état a empiré depuis une maladie intercurr
devient impropre à toute activité productive, devient à charge à sa
famille
. Son lot, c'est la misère physique, intellec- t
les fonctionnaires sans ressources, ne paieront, non plus que leurs
familles
le bénéfice sus-indiqué. - 1 1 6o L'asile n'e
complète de ce trouble. Je veux simplement le placer dans sa vraie
famille
physiologique ; je veux le faire sortir du grou
1 En raison des difficultés que nous avons eues, pour obtenir de la
famille
de la malade l'autorisation de pratiquer l'autops
l- monaire à la suite de sa quatrième couche. Dans le reste de la
famille
du père, aucune autre affection psychique, nerveu
grand'mère maternelle est morte « asthmatique z Dans le reste de la
famille
de la mère, rien d'intéressant, à part cela, à
l'hérédité, les accidents neuro-arthritiques abondent tant dans la
famille
du père que dans celle de la mère. L'alcoolisme d
Histoire d'une jeune fille de treize ans, qui a des nerveux dans sa
famille
, qui est timide et craintive, et qui par crainte
e, mais ni syphilis, ni alcoolisme, ni maladies nerveuses dans sa
famille
. Aucun accident pendant l'accouchement. La tête d
OFFMANN. De l'atrophie musculaire spinale progressive dans une même
famille
. Il s'agit de deux familles non parentes; chez
ulaire spinale progressive dans une même famille. Il s'agit de deux
familles
non parentes; chez l'une d'elles, sur quatorze
ges et, en des cas excep- tionnels, fait parvenir des subsides à la
famille
du malade. Un mois avant l'époque présumée de l
rtement de l'Aisne, était arrivé depuis trois jours à Paris avec sa
famille
. Il était atteint d'aliénation mentale. Sa foli
l'avaient déjà soumis à l'examen de mé- decins aliénistes. Toute la
famille
, le fou compris, habitait un hôtel de la cité B
RcoT), salle Prus, lit n° 21. Antécédents héréditaires . Issu d'une
famille
de laboureurs, de paysans robustes et bien port
Antécédents héréditaires. Le grand-père maternel appartient à une
famille
où le tempérament névropathique s'est révélé chez
ais aussi herpétiques. Notre patient n'est pas le seul enfant de sa
famille
qui a dû sup- porter les atteintes de la maladi
ité dans les maladies du système nerveux. Thèse agrég., 1886. lérv.
Famille
névropathique. (Arch. de Neurologie, 1884, etc.
tutrice ayant présenté des phénomènes hysté- riques, entre dans une
famille
pour s'occuper de l'éducation des enfants; à la
mptômes et dans sa marche constam- ment fatale, que les membres des
familles
atteintes doivent le plus souvent- renoncer au
uvent- renoncer au mariage. - lI. Menzies a pu observer deux de ces
familles
, dont il annexe à son mémoire l'arbre généalo-
ser ici, les symptômes observés chez les divers membres de ces deux
familles
. Les pi incipales remarques qui lui ont été sug
ent que les femmes; aucune diathèse n'a été constatée dans les deux
familles
observées, pas même le rhu- matisme ; les sympt
ui attribuer le même siège; les types cliniques varient suivant les
familles
observées; la question de savoir si les secouss
ciété (Ibid., 1881); Les frontières de la folie (Ibid., 1883) ; Les
familles
des aliénés (Ibid., 1883); - La folie gémellair
il bon qu'à force de rouages on finisse par divulguer le secret des
familles
? Le prochain article de M. Ascher nous intéres
server cet intéressant malade. 440 RECUEIL DE FAITS. tation de sa
famille
, où il avait beaucoup chanté; il possédait, dit
Un de ses frères, couché dans la même pièce, accourt, appelle la
famille
et, difficilement, quatre personnes le peuvent co
de seront celles qui seront le plus sujettes à déchoir. 6° Dans les
familles
les plus progressives de la race aryenne, les f
senter de nouveau l. 1. Depuis la leçon, Mlle A. a été isolée de sa
famille
. Elle est entrée à l'hospice le 27 mai, et elle n
toute la rigueur du terme. Il s'agit d'un enfant de 13 ans, né d'une
famille
dans laquelle se trouvaient plusieurs idiols épil
ontrer les analogies qui établissent que tous appartiennent à la même
famille
. C'est de l'hystérie qu'il s'agit, et rien que de
tributs du sexe mâle, des militaires, des artisans mariés et pères de
famille
, des hommes, en un mot, chez lesquels on pourrait
'anamnèse n'a fourni aucun incident digne d'être signalé, soit sur sa
famille
, soit sur elle-même. Il y a 15 ans environ, elle
our cause l'influence du froid humide ; ce n'est point une maladie de
famille
ou d'hérédité, comme l'ataxie, et il n'y a pas à
rrogeons Yhérédité, nous ne trouvons aucun antécédent nerveux dans sa
famille
; son père est encore vivant et bien portant, sa
fet extérieur produit par cette mort prématurée sur les membres de ma
famille
. « Je ne sais si j'explique bien ce que j'éprou
i développée, celte faculté paraît être, suivant M. Gallon, un don de
famille
, et, de fait, le frère, la sœur, le père de M. X.
seudo-hypertrophie des muscles. On ren contre souvent dans une même
famille
à la fois plusieurs enfants pris, dont les parent
forme infantile est héréditaire et l'on peut retrouver dans une même
famille
des parents atrophiques engendrant des frères et
et, d'autre part, des cas dans lesquels plusieurs membres d'une même
famille
présenteraient, as Fiy. SI. sociées ou dissoc
e 29 ans D'un autre côté, M. F. Zimmerlin 2 a publié l'histoire d'une
famille
chez laquelle deux des enfants présentaient la fo
tion d'une épidémie d'hystérie ayant sévi sur les trois enfants d'une
famille
habitant un pénitencier militaire et adonnée au s
mment, cette épidémie d'hystérie qui sévit sur six enfants de la même
famille
bretonne, qu'on avait bourrés à satiété de contes
nsi que vous pouvez en juger vous-mêmes. Au mois d'août dernier, la
famille
tout entière se trouva réunie à l'occasion des va
ous fait assister à la genèse et à l'évolution de la maladie dans une
famille
de nerveux et à'arthritiques, tributaires partant
is utile de vous donner des nouvelles de ces trois enfants d'une même
famille
que je vous ai présentés le 19 décembre dernier.
que nous avons prises et du traitement que nous avons institué. La
famille
, je viens de vous le rappeler, se compose de troi
renouvelèrent 15 à 20 fois par jour, jusqu'à l'admission de toute la
famille
à la Salpêtrière, le 9 décembre 1884. C'est qu'en
bientôt finira ce pelit drame ou mieux encore celte petite comédie de
famille
, car il n'y a rien de bien sombre dans tous ces
i particulièrement l'hérédité nerveuse si fortement accentuée dans sa
famille
: hystérie chez le père, très vraisemblablement p
uberculeuse, a eu des attaques d'hystérie. Enfin, l'on trouve dans sa
famille
une grand'mère maternelle encore hystérique, bien
importance capitale, quatre hystériques et un alcoolique dans la même
famille
! les antécédents personnels ne sont pas moins in
ment de nature hystérique. Il n'y a pas, paraît-il, d'aliénés dans la
famille
. Parmi les antécédents personnels, nous relevon
rôle. 11 ne paraît pas qu'aucune maladie nerveuse ait existé dans la
famille
. Mouil... était en état de santé parfaite lorsq
le Bouvier, service de M. le professeur Charcot. Comme antécédents de
famille
, voici ce qu'il nous apprend : Grand-père pater
s nerveuse, morte à 72 ans, d'un catarrhe (?). Il y avait eu, dans sa
famille
, un aliéné, mort dans une maison de santé. Grand-
n grand établissement horticole privé. A la suite de discussions de
famille
et de chagrins d'amour, il quitta la Suisse, son
, entrée à la Salpêtrière, service du professeur Charcot, issue d'une
famille
de musiciens. Sa mère est morte des suites d'une
it reperdue, le mutisme revenu complet. Ceci se passait en 1877. La
famille
s'adresse à un pseudo-médecin. Au bout de ce temp
tion d'ime épidémie d'hystérie ayant sévi sur les trois enfants d'une
famille
habitant un pénitencier militaire et adonnée au s
ions, et mille autres semblables, intéressent au plus haut point la
famille
; mais elles sont souvent insolubles pour le méd
des différentes causes de folie dans les deux sexes. Chagrins de
famille
(y compris la perte de parents ou d'amis) : le
s'évadent en effet de leurs habitations privées et du sein de leurs
familles
. Il ne faut donc pas toujours attribuer les ten
ar E. ScoLl. (Arc%. f. Psych., XVI, 1, 2, 3.) L'auteur a étudié des
familles
dont les père et mère ont été à un même établis
'analyse critique exacte. La section principale A comporte quatorze
familles
dont les descendants sont atteints de psychopat
ter aux autres éléments et que l'évolution et l'issue diffèrent : 4
familles
; 3° psychoses pério- diques 2 familles ; 4° fo
on et l'issue diffèrent : 4 familles ; 3° psychoses pério- diques 2
familles
; 4° folie systématique ou types à peu près purs
olie systématique ou types à peu près purs de vésanie organisée : 5
familles
. Des observations complètes se dégagent les con
ait transmis une psychopathie chronique. La section B envisage cinq
familles
dans lesquelles la perturba- tion mentale paraî
e morte pmtri- naire. Pas de nerveux ni de difformes, etc., dans la
famille
.] Mère, née à Lille, morte en ! 877, a trente-n
x SOEUI'S bien portantes. Pas de ner- veux, ni de difformes dans la
famille
]. -Pas de consanguinité. Cinq enfants : I° Loui
de paralysie, ni d'attaques d'aucune sorte, ni d'aliénation dans la
famille
. Antécédents personnels. Lui-même n'a jamais ét
la Salpètrière. Antécédents héréditaires. Aucun des membres de sa
famille
qu'il connaît (père, mère, trois soeurs, tantes,
siens, niait l'influence des mariages consanguins, au moins dans sa
famille
, et insistait sur la diversité des origines socia
pour confirmer à nouveau la non-consan- guite des mariages dans sa
famille
, et cependant l'hérédité de la perturbation ner
auteur de l'organe*. - Hérédité neuropathique et notamment, dans la
famille
, propension à faire des néoplasmes dans le syst
oisième année. Débilité mentale, mais intégrité de la mé- moire. La
famille
compte cinq membres atteints de la même forme m
ions inutiles se retrouve souvent chez plusieurs membres de la même
famille
. J'ai encore dans mon petvice un homme qui SOCI
répond qu'auparavant il n'a jamais eu d'attaques; que, de toute sa
famille
, il n'a qu'une soeur de neuf ans sujette à ces
uparavant; les cas 3, 8 et 10 nous montrent une pré- disposition de
famille
à l'hystérie. Parmi les causes accidentelles da
rô- lés. Il est fort possible que le brusque passage de la vie de
famille
à celle de soldat influence sur l'origine de l'
pas d'épileptiques, pas d'autres difformes ni d'alcooliques dans la
famille
.] Mère, quarante-cinq ans, couturière, bien por
autre, un garçon, tous bien portants. Pas d'aliénés, etc... dans la
famille
.] Pas de consanguinité. Le père est né à Paris,
re au troisième degré, on n'aurait jamais connu de goitreux dans la
famille
. Jusque vers l'âge de quinze mois, le Pacha se
à Paris, de parents bien portants, ni crétins ni goitreux. Dans la
famille
, un oncle paternel aliéné à Ville-Evrard, une s
cun antécé- dent d'alcoolisme, ni de folie ou de crétinisme dans la
famille
. Une soeur de la malade, âgée de vingt-trois an
Une circonstance particulière nous ayant mis en rela- tion avec la
famille
de ce malade, nous avons fait une 338 CLINIQUE
pas d'idiots, pas de goitreux, de cré- tins, 'de criminels, dans la
famille
.] Mère, soixante-dix-huit ans, domestique, puis
n'ont rien présenté de particulier. [Pas de goitreux, etc., dans la
famille
.] , 1 La physionomie du malade se rapproche hea
entre à la Salpêtrière quelques jours après et, si l'on en croit la
famille
, l'amélioration qui avait autorisé sa sortie n'
t changé; B... suppliait autrefois qu'on ne la renvoyât pas dans sa
famille
, TENTATIVE DE SUICIDE PAR PENDAISON. 381 parc
és, mais il ne faudrait pas cependant les faire entrer tous dans la
famille
des héréditaires, car alors on serait fort emba
res formes héréditaires ? M. Magnan a eu raison de créer une grande
famille
pour tous ces malades. C'est un très grand prog
à fait isolé et Shakespeare, le peintre génial de la folie dans les
familles
royales,' n'eût pas pu trouver un drame plus po
▲